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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 978 -



Un mardi fort plaisant

Hier matin, mardi, c'est le Concerto pour deux voix de Saint-Preux qui nous tire violemment de nos profonds sommeils.
< Il est fou ! > s'écrie Clémentine en s'allongeant sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Il est 5 h55. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes vêtus de nos de tenues de sport. Morts de faim.
Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner. Et nous mangeons de bon appétit.
Le mardi, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend toujours assez euphorique. Et elle nous fait rire dès le matin. Joie.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.
La douche. Je descends pour aller sortir la petit auto de Clémentine. Elle me rejoint chaudement vêtue. Il ne pleut pas.
La fraîcheur est vive. Un dernier bisou. Je la regarde partir dans le jour naissant. Un dernier coucou. Je rentre. 7 h45.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un beau feu dans la cheminée. Elle chauffe très vite. Agréable.
Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Je peins avec la même euphorie que Clémentine.

Cette seconde toile destinée à ma saison 2020 sera terminée demain pour midi. Une nature morte. Très hyperréaliste.
Respectant toutefois les préceptes chers au XVIIème siècle hollandais. Le fameux "Siècle d'Or". C'est un réel bonheur.
Il est aux environs de 10 h lorsque résonne la musique imbécile de mon smartphone posé sur la petite desserte. Dur !
Mais quel est le cuistre qui à l'outrecuidance de perturber mon introspection créatrice ? Je décroche. La surprise. Julie.
Elle me téléphone depuis la fac, entre deux cours et des toilettes. Elle tient à me remercier pour la soirée de hier. Joie.

Elle se réjouie pour nous revoir vendredi soir au restaurant. Notre projet commun l'émoustille et elle y pense beaucoup.
Je lui confirme notre venue, notre présence. Clémentine est toute aussi impatiente de vivre cette exaltante expérience.
La conversation est courte et nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins en pensant à cette étonnante jeune fille.
Julie, étudiante en Lettres modernes, exerçant comme serveuse dans le restaurant de sa tante en soirée. C'est parfait.
Je me réjouis pour cette nouvelle expérience. Clémentine va jouer à la seconde serveuse un vendredi soir. C'est génial.

Cette pensée me procure une délicieuse érection qui participe de mon inspiration picturale. Il est très rapidement midi.
Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du millet doré. Je prépare une pâte à pain. Le mardi soir, c'est la tarte aux poireaux.
Le rituel de la Flamiche Picarde. Je coupe le poireau en petits morceaux que je plonge dans l'eau bouillante. Béchamel.
J'y verse le poireau égoutté. Du gruyère de Comté. De la la noix de muscade, du sel, du curcuma, persil et ciboulette.

Il est 12 h20. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Contente.
Je récupère un peu de cette garniture comme sauce avec le millet. Une rapide salade de carottes. Pour ce soir c'est ok.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Nous traînons à table. Dehors le ciel est gris. Bas.
Clémentine propose une bonne balade pour l'après-midi. Je trouve la suggestion excellente. C'est si bien d'en profiter.
Le sol n'est pas si humide. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. La salle de bain.

Nos vieux jeans, nos chemises à carreaux sous nos sweats. Nos godasses de marche. Nous dévalons les escaliers. Vite.
Nous enfilons nos anoraks. La fraîcheur est moins vive que ce matin. Nous faisons le tour de la propriété. Tout est bien.
Plus de feuilles au sol. Les haies sont taillées. Les employés de l'entreprise paysagère, hier, ont fait un excellent travail.
Nous descendons jusqu'à la rivière. Je raconte l'appel téléphonique de Julie ce matin. Notre projet qui va prendre forme.
Sous mon anorak, j'ai la bite et les couilles à l'air. Aussi, Clémentine toute excitée par cette perspective, peut s'amuser.

Glissant sa main dans mon anorak qu'elle ouvre, elle saisit mes organes génitaux à pleine poigne pour me les secouer.
< C'est chaud. C'est bon ! > murmure t-elle en se serrant contre moi. Nous longeons la rivière en bavardant. Superbe.
La conversation reste axée sur ce projet que Clémentine a nommé "Serveuse vicieuse". Je dis : < Vous serez deux ! >
Avec Julie, cela va faire une belle paire de jeunes salopes à faire le service en salle. Nous rigolons comme des bossus.
Nous passons derrière les bâtiments du haras. Ils se découpent là-bas à 300 m sous le ciel gris et bas. Endroit désert.

< A part ce vicieux de Gérard, personne ne vient jamais là derrière ! > fait Clémentine en observant avec les jumelles.
Il y a juste la caravane de Gérard. On distingue plein de voitures dans la cour mais on ne voit aucun cavalier. Silence.
Nous longeons le ruisseau. A nouveau, sur la demande de Clémentine, je joue au satyre. A l'exhibitionniste dissimulé.
Nous adorons interpréter nos rôles. La promeneuse qui tombe sur un vicelard. Le promeneur qui tombe sur la pisseuse.
Comme il ne fait pas trop froid, nous pouvons nous amuser à ces jeux qui nous excitent considérablement. C'est génial.

Les filles de 22 ans ne se lassent pas de ce genre de jeux. Elles ont bien assez de temps à venir pour d'autres passions.
Notre promenade est fort agréable. A chaque fois que c'est possible, et surtout après ses pissous, je lèche Clémentine.
Elle est souvent accroupit à sucer les derniers épanchements après les miens. Nous ne croisons qu'une cavalière. Loin.
Aux abords du haras, les cavaliers, en majorité des filles, sont fréquents. Celles qui ne restent pas au manège, sortent.
La nuit tombe vite. Dès 17 h. Nous sommes de retour pour 18 h15. Et en même temps qu'Estelle qui me saute au cou.

Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Nous enlevons les godasses et les sweats pour rester en chemises, en jeans.
Estelle travaille la pâte à pain pour la rendre plus onctueuse encore. Clémentine s'occupe de la salade, l'assaisonnement.
Je réchauffe la garniture. Les filles qui évoquent leurs études. Je sors ma bite et mes couilles pour les présenter à Estelle.
Elle adore enduire mes organes génitaux de farine. < Je te rase ce week-end. Je te fais les couilles sans poils ! > dit elle.
Nous en rions de bon cœur. < La farine tiendra mieux et ce sera plus digeste ! > rajoute t-elle. Nous en éclatons de rire.

La tarte aux poireaux est au four. La table est mise. Ma queue et mes couilles enduites de farine qui a déjà bien séché.
Estelle m'entraîne au salon. A genoux sur l'épais coussin, elle se régale de son "salami" en le faisant briller, bien reluire.
Clémentine me tient par les hanches. Penchée en avant, elle observe Estelle. Je me fais tailler là une pipe des familles.
Clémentine m'embrasse, se frotte contre ma hanche, se masturbe d'une main dans sa culotte. C'est un si bon moment.
Je caresse la tête à Estelle. A chaque fois que Clémentine cesse de m'embrasser, je lui chuchote des cochonneries. Bien.

La sonnerie du four. J'aide Estelle à se relever. Clémentine nous entraîne à la cuisine. Nous voilà installés à table. Miam.
Nous mangeons de bon appétit. Estelle, déjà informée de notre projet "Serveuse vicieuse", qui pose quelques questions.
Nous mettons au point notre stratégie. Estelle et moi, nous serons des clients comme les autres. Assis à table à manger.
Nous pourrons assister au show de Clémentine. Il faudra ruser pour descendre aux toilettes du sous sol pour aller mâter.
Julie prépare la soirée. Il faudra tout expliquer à sa tante qui n'est pas du tout contre un peu d'excentricité. Au contraire.

< Nous en saurons davantage vendredi soir. Attendons ! > fait Clémentine. Estelle, debout, mime une branle masculine.
< Je suis impatiente. Une nouvelle aventure ! > fait elle. < Et moi donc ! > rajoute Clémentine en mimant une fellation.
Je me lève pour agiter ma bite vers les filles qui me font des clins d'œil en mimant toutes les deux une branlette de mec.
Nous traînons à table. Les spéculations vont bon train. Les filles qui passent en revue les situations les plus improbables.
Nous éclatons souvent de rire à l'évocation de choses irréalisables. Je propose aux filles un léchage de minous au salon.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle m'entraîne par le Zob au salon. < Demain je baise avec parrain ! > dit elle.
< Avec ce froid, au fond du garage, sur le matelas gonflable et le radiateur électrique ? > s'exclame Clémentine en riant.
< Non, à la cave, à côté de la chaudière. Là où marraine suspend le linge ! > précise Estelle. Nous en rions de bon cœur.
Les filles sont à quatre pattes sur l'épais tapis, les coudes en appui sur le canapé. Je suis à genoux derrière Clémentine.
C'est à elle que je lèche le cul en premier. Avec la promenade et l'excitation, il y a là de quoi régaler un honnête homme.

J'ai des poils plein la bouche que je tente de retirer. Je me pourlèche de ce jus de muqueuse avec délectation. C'est bon.
Je passe au cul d'Estelle. Il me faut surmonter le dégoût. L'odeur. Pouah ! Estelle, fille volontairement si négligée. Miam.
Elles se lèvent pour se vautrer dans le canapé. Je passe d'une chatte à l'autre que je bouffe et que je nettoie avec soin.
Elles se masturbent à chaque fois que je cesse de sucer leurs clitos. C'est rapidement un concerto pour deux voix aussi.
Estelle m'attire sur elle. < Je veux comparer avant et après parrain ! > murmure t-elle en introduisant ma bite. Profond.

Avec Estelle, je pratique la machine à coudre. Elle m'y encourage par ses mouvements de bassin. Je passe à Clémentine.
Avec elle je peux rester immobile. C'est ce que nous préférons tous deux. Je passe de l'une à l'autre. De la bonne baise.
L'orgasme d'Estelle la laisse comme assommée. Celui de Clémentine la terrasse. Je les entraîne aux chiottes. Les pipis.
Je lèche le croupion d'Estelle. Je lèche celui de Clémentine. Estelle me suce. Il est 22 h15. Il faut cesser. C'est si difficile.
Nous la raccompagnons. Assise dans son auto, vitre baissée, je lui éjacule dans la bouche. Nous la regardons s'en aller.

Bonne soirée à toutes les couines impatientes d'interpréter quelques nouveaux rôles pour jouer à des trucs vicelards...

Julien - (Qui écoute les derniers ressentis de Clémentine, serrée contre lui, dans le lit, avant de s'endormir heureuse) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 979 -



Une agréable soirée en compagnie de Juliette

Hier matin, mercredi, c'est le Prélude No 7 de Chopin qui nous arrache avec violence de nos profonds sommeils. Dur.
< Put-Hein ! > s'écrie Clémentine qui se roule sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. < J'ai mes "petits machins" de fille ! > fait Clémentine. Règles.
Vêtus de nos tenues sport nous dévalons l'escalier à la cuisine. Nous y préparons notre petit déjeuner. Morts de faim.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant le 20 de chaque mois, date fatidique de ses "petits machins" de fille.

Nous remontons pour nous livrer à notre heure de gym. Joggings sur tapis roulants. Charges additionnelles et abdos.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Elle me rejoint chaudement vêtue. Il fait si frais.
Un dernier bisou. Il est 7 h45. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Très rapide.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Il reste encore des braises. Bon.
Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Dehors le ciel reste gris, bas.

Je peins dans un enthousiasme si intense que je module longuement les cris les plus surréalistes. C'est extraordinaire.
Il est aux environs de 10 h lorsque la stupide musique de mon smartphone macule le silence de sa médiocrité. Chiant.
C'est Julie. Elle n'a que quelques minutes entre deux cours. Elle appelle depuis les toilettes de l'université. Nous rions.
< Pour vendredi soir, ma tante viendra bavarder un peu avec vous. Je lui ai parlé de notre projet ! > m'annonce Julie.
Un peu estomaqué j'encaisse le coup en avalant de travers. Julie me rassure, nous pouvons compter sur sa complicité.

Nous nous saluons avant de raccrocher. Je continue ma peinture en pensant à Julie. Ainsi ce "plan" devient réalisable.
De quoi me réjouir. Mon érection participe de l'élan créatif de la matinée. C'est tout simplement prodigieux. Bonheur.
Il est rapidement midi. J'épluche des pommes de terre. Pour ce soir, je fais un gratin en accompagnement des gambas.
Je lave les feuilles d'une belle laitue. Pour midi et pour ce soir. Je dispose les tranches de patates ébouillantées au plat.
Je mets une épaisse couche de gruyère. Je verse le mélange œuf crème fraîche sur le tout. Voilà le gratin déjà au four.

J'ai gardé des pommes de terre que je fais rissoler à la poêle en accompagnement d'un filet de cabillaud que je pane.
Je mange de bon appétit tout en tentant d'écouter les informations et leurs chapelets de mensonges calibrés, éhontés.
C'est au dessus de mes forces après l'émission de Stéphane Bern. J'éteins la radio pour terminer mon repas peinard.
La vaisselle. Je range la cuisine. Je mets mon anorak pour aller faire quelques pas au dehors. Il fait moins frais. Super.
J'apprécie la grande propreté, la netteté de la propriété. Les ouvriers de l'entreprise paysagiste ont fait du bon boulot.

Il est 13 h lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. La douce chaleur de la cheminée.
Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. Je commence cet après-midi la troisième toile de ma saison 2020.
Une belle nature morte. Des bijoux dépassant d'une boîte au couvercle entrouvert entre différents objets précieux. Or.
Il est rapidement 16 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son sac sur le canapé pour se précipiter. Me rejoindre.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Et c'est mon seul lien avec l'extérieur.

J'aime l'entendre évoquer ses cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. C'est tellement intéressant. Parfait.
Clémentine a encore du travail. Mettre les notes du jour au propre. De quoi bien mémoriser l'ensemble. Super méthode.
Il est 18 h30 lorsque le premier bruit sourd, suivi d'un claquement sec, se font entendre à l'étage. Bruits de pas furtifs.
Nous rangeons nos affaires en écoutant. Serrés l'un contre l'autre, assis devant la cheminée, nous tentons de localiser.
Impossible de savoir d'où viennent exactement les bruits. Ce soir encore le fantôme de ma compagne vient nous visiter.

Cela dure un bon quart d'heure. Nous restons silencieux. Nous pouvons sentir battre nos cœurs. Indifférence impossible.
Tout cesse dans ce retour au silence progressif. Comme si quelqu'un baissait le volume d'une télévision. C'est si étrange.
Je raconte la conversation téléphonique avec Julie. < Les choses se précisent ! > fait Clémentine, palpant ma braguette.
< Je suis impatiente d'être en situation ! Je n'ai encore jamais joué à la "serveuse" de restaurant ! > rajoute t-elle. Rire.
Je fais : < C'est absolument génial. Estelle et moi, nous serons clients et tu viendras nous servir. On va "t'allumer" ! >

Nous en rions de bon cœur. Nous quittons l'atelier. Il est déjà 19 h. Juliette doit arriver pour 19 h30. Tout est bien prêt.
Il n'y a que la table à mettre au salon. Nous déplions le chemin de table en lin écru. Nous disposons assiettes, couverts.
Les trois bougies du chandelier allumées éclairent la pièce. Une lumière mystérieuse et il y a plein de recoins ténébreux.
Le gratin réchauffe au four. Je fais rissoler les gambas avant de les flamber. Le couvercle. Nous montons nous changer.
Clémentine porte un pantalon noir à plis. Un chemisier blanc. Des souliers à talons hauts. Elle est somptueuse. Si belle.

Sur sa demande, je porte un pantalon de flanelle clair, une chemise blanche et mes mocassins marron clair. C'est bien.
< Regarde un peu comme on est beaux tous les deux ! > fait Clémentine en m'entraînant devant le miroir de l'armoire.
< Sors ta bite. Je te veux hyper vicieux pour la soirée. Juliette vient également pour "ça" ! > dit Clémentine en rigolant.
Elle me tient la queue pour l'agiter. Le spectacle est amusant. Nous dévalons les escaliers. Il est presque l'heure. Bien.
Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite pour aller ouvrir. Elle revient suivie de Juliette toute souriante. Super.

< Bonsoir Julien ! Je vous serre la main ou le sexe ? > me fait elle. < Les deux ! > lance Clémentine. Juliette qui hésite.
La jeune femme est toute contente d'être là. Elle est vêtue comme Clémentine qui la débarrasse de son épais manteau.
Elle garde ma main dans la sienne pour dire : < Je me réjouie tous les jours pour cette soirée loin de mon entreprise ! >
C'est la pleine saison pour le haras. La pension pour chevaux a fait le plein. Et les demandes ne cessent d'affluer. Super.
Je propose aux filles de s'installer au salon. J'assure le service. < Pas question, je reste avec vous ! > me lance Juliette.

Je sors le gratin du four. Il est merveilleusement doré. Juliette s'empare de son téléphone pour le photographier. Rires.
Elle nous montre les deux photos. On ne voit pas mon visage mais on voit parfaitement, et en haute définition, ma bite.
Nous rigolons comme des bossus quand Juliette rajoute : < Un beau souvenir, n'est-ce pas ? >. Je bande mou. Marrant.
Clémentine porte le saladier. Juliette porte la poêle. Je porte le plat à gratin. Nous allons tous les trois au salon. Super.
L'ambiance de mystère ravie Juliette. Nous nous installons. Elle fixe mon sexe qui pend de ma braguette. Petit clin d'œil.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Juliette évoque les occupations de chacun dans son entreprise. Bien.
Elle en vient rapidement au sujet qui la passionne encore davantage. Le sexe. Elle s'est sucée Gérard hier après-midi.
< Il m'a parlé de vous. Vos pipes lui manquent. Vous êtes la bienvenue et très attendue ! > lance Juliette à Clémentine.
Les filles éclatent de rire. Clémentine précise son désir quand à cette éventualité : < Seule, juste Estelle, Julien, vous ! >
< Mais avec plaisir ! J'adore les soirées intimes ! > rajoute encore Juliette. Je me lève. J'agite ma bite dans sa direction.

Je le fais à plusieurs reprises. A chaque fois les filles cessent de parler pour observer. Je saisi le verre ballon de Juliette.
Je dis : < Je fais ça tous les lundis soirs devant Julie ! >. Juliette répond : < Oui, elle m'a raconté ! Roi des vicelards ! >
Elle rajoute : < Mais à comparer avec Gérard, vous ne vous alignez pas. Il est incomparable. Un vrai génie du stupre ! >
Nous en rions de bon cœur. Je me masturbe au dessus du verre que je tiens juste sous ma queue. Je bande assez mou.
J'essore mon prépuce sur le bord du verre afin d'y faire couler les premiers épanchements de liquide séminal. Je pisse.

Juliette, dans les moments les plus intenses, me tutoie toujours. < Tu n'as pas honte espèce de salopard ! > me fait elle.
Je réponds : < Si ! Mais c'est tellement bon d'avoir honte devant une belle jeune femme ! Et une femme qui apprécie ! >
Je lâche de petits jets de pisse dans le verre ballon. Il s'y écoule du foutre qui flotte sur le liquide jaune. C'est surprenant.
Juliette, le menton en appui sur ses mains, les coudes sur la table, observe en silence. Clémentine vient tout près de moi.
Son visage à quelques centimètres du verre, elle fait à Juliette : < Le roi des salauds. Que pour les reines des salopes ! >

Nous éclatons de rire. Je manque d'en mettre à côté. Juliette me fait un délicieux sourire. Un clin d'œil. Je me masturbe.
Nous sommes télépathes, Clémentine et moi. Je suis très excité. Et je dépasse volontairement le cap du contrôle absolu.
Clémentine ouvre la bouche. J'y éjacule avec délice. Je tiens le verre ballon juste sous son menton. Rien ne coule à côté.
Juliette, en apnée, le souffle court, observe comme si c'était la première fois qu'elle assistait à un tel spectacle. Superbe.
Je frotte ma bite sur les lèvres de Clémentine. J'essore mon prépuce comme je le fais sur le bord du verre. C'est coulant.

Clémentine invite Juliette à se rapprocher. < Il en reste toujours et le meilleur est à venir ! > dit elle avant de sucer. Joie.
Juliette se lève, contourne la table pour venir s'assoir sur le banc, à ma droite. Clémentine lui tend la queue dégoulinante.
A l'instant où Juliette ouvre la bouche pour gober la bite, je lâche un petit jet de pisse. Et elle n'a pas le temps d'esquiver.
Elle se prend le jet de pisse au fond de la gorge. En toussant, elle s'écrie : < Salopard va ! >. Elle se lève pour s'essuyer.
Avec une serviette en papier Juliette s'essuie le menton. Elle prend le verre presque plein de pisse pour cracher le reste.

< Je me fais toujours avoir ! > murmure Juliette en éclatant rire. < Et par plus vicelard que vous ! > rajoute Clémentine.
Il est 22 h. Juliette insiste pour faire la vaisselle avec nous. Clémentine m'essuie soigneusement la queue plusieurs fois.
Ça coule. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. < On se fait notre soirée samedi ? J'aimerai bien ! > fait elle.
Elle rajoute : < Juste Gérard, Estelle et nous trois ! >. Clémentine répond : < On vous fait un courriel. Ça m'intéresse ! >
Au lit, Clémentine me félicite pour mon comportement. La giclée de sperme rien que pour elle. Epuisés, nous plongeons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment venir passer la soirée chez un couple dont le mec est un vrai vicelard...

Julien - (Qui écoute les recommandations de Clémentine. Elle se réjouie pour sucer de la bite minuscule et molle) -

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Classe - 9 - Tous droits réservés - © - Episode 980 -



Un jeudi soir à sucer du clitoris turgescent

Hier matin, Jeudi, c'est la Sonate No 28 de Beethoven qui nous tire avec violence de nos profonds sommeils. Difficile.
< Il est fou ! > s'écrie Clémentine qui se couche sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, nous descendons à la cuisine.
Nous préparons notre petit déjeuner que nous savourons tout en bavardant. Nous mangeons de bon appétit. Superbe.
Nous remontons nous livrer à notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles. Abdos.

La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine. Il fait plutôt frais. Elle est chaudement vêtue. Les gants.
Un dernier bisou. Il est 7 h45. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Et le jour se lève.
Je fais notre lit et notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Il fait si vite bien chaud.
Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Je peins rapidement dans une sorte d'euphorie.
Cette troisième toile destinée à ma saison 2020 prend doucement forme. Elle sera probablement terminée mardi le 26.

Un mardi 26 novembre. Quelle plus belle date pour terminer une toile vers 18 h ? Cette simple idée m'amuse. J'en ris.
Il est aux environs de 10 h. La musique absurde de mon smartphone le fait vibrer au fond de la poche de ma blouse.
Je le saisis. C'est Juliette. Elle me confie à quel point la soirée de hier lui a été récréative, agréable et bénéfique. Rires.
Je la rassure. Pour Clémentine et moi, nos soirées à trois sont de véritables parenthèses de plaisir également. Supers.
Juliette aimerait beaucoup passer la soirée de samedi avec nous. "Plan" pipe. Je promets d'en parler, de faire un mail.

Nous bavardons ainsi une bonne vingtaine de minutes. Mode "haut-parleur". Ce qui permet de bosser en même temps.
Juliette se montre particulièrement insistante, persuasive par quelques éventualités bien salaces. C'est troublant. Joie.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je lui avoue bander comme un salaud et comme après chacun de nos contacts.
Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle m'avoue être bien excitée aussi. Je continue ma peinture avec une érection folle.
Il est déjà midi. Je rajoute deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Bon.

Le rituel des pizzas du jeudi soir exige que je fasse une belle pâte à pain. J'y rajoute du Parmesan finement râpé. Bien.
Je fais la garniture. Tomates fraîches, ail, oignon, champignons, persil et ciboulette. J'égoutte les coquillettes. Attention.
Je récupère un peu de garniture pour l'accompagnement. Je mange de bon appétit. Je tente d'écouter les informations.
C'est en dessous de tout. J'éteins la radio. La vaisselle. Je range la cuisine. Je mets l'anorak. Je descends au jardin. Bon.
Il fait moins froid que ce matin. Le ciel reste d'un gris uniforme. Je fais le tour de la propriété. Et pas un souffle de vent.

La pâte à pain repose sous un linge dans le saladier. La garniture repose sous un couvercle dans une casserole. 13 h05.
Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé de la même euphorie que ce matin. C'est sublime.
Je module longuement les cris surréalistes qui viennent ponctuer les coups de pinceaux les plus exquis. Les plus colorés.
Il est rapidement 16 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son sac sur le canapé pour se précipiter vers moi. Bises.
J'anticipe toujours en déposant ma palette et mes pinceaux sur la petite desserte de droite. Elle s'assoit sur mes genoux.

Ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Les cours, les profs, les menus du restau universitaire.
Ce seul lien avec le monde extérieur comble de joie. J'écoute religieusement. Et Clémentine est une narratrice de talent.
Elle a encore du travail. Il faut mettre au propre les notes prises en cours aujourd'hui. L'excellente façon de mémoriser.
Nous adorons ces séances de concentration. Parfois l'un se lève pour voir ce que fait l'autre. L'échange des bisous. Joie.
Il est 18 h15 lorsque Estelle arrive à son tour. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle raconte en riant.

< Hier soir, avec parrain, on a baisé à la cave. Une grande première depuis longtemps. C'était pas mal ! > confie t-elle.
Nous en rions de bon cœur. Il n'y a aucune filiation parentale entre son parrain et Estelle. Tout reste donc très normal.
Estelle rejoint Clémentine. Elles comparent l'avancée de leurs travaux. Il est 18 h35. Un bruit sourd à l'étage. Puissant.
< Bonsoir Christine ! > font les filles en même temps. Le fantôme de mon ancienne compagne fait sa visite quotidienne.
Tout en rangeant nos affaires, nous écoutons. Assis devant la cheminée, nous tentons de localiser d'où viennent les pas.

Ce soir encore, les errances de l'entité semblent sans fin. Absurdes. Illogiques. Cela ne dure guère plus de 15 minutes.
Comme si quelqu'un baissait le son d'un téléviseur, les bruits disparaissent pour laisser place à un profond silence. Fou.
Serrés tous les trois, Clémentine à ma droite, Estelle à ma gauche, nous évoquons nos soirées respectives. C'est drôle.
Nous rions beaucoup de l'aventure d'Estelle. L'odeur de mazout dans le local chaudière. Le matelas gonflable parterre.
Le radiateur électrique. L'heure de baise. Le parrain qui s'avère un véritable "étalon" malgré ses 45 ans. Le baiseur fou.

< Ça m'étonnerait qu'il baise ta marraine comme il te baise ! > lance Clémentine. < Moi aussi, c'est sûr ! > fait Estelle.
Nous en rigolons comme des bossus. Morts de faim, nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Il est 19 h. C'est bien.
Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement. Estelle travaille encore un peu la pâte. La rendre onctueuse.
Les mains pleines de farine qu'elle agite, Estelle me dit : < Sors ta bite, tes couilles que je les enduise bien de farine ! >
< Attends ! > fait Clémentine qui s'essuie les mains pour venir sortir les organes génitaux qui pendent de la braguette.

Estelle les enduit copieusement de farine pâteuse en disant : < C'est mon "amuse gueule" de tout à l'heure ! >. Rires.
La table est mise. Les pizzas sont au four. Estelle m'entraîne au salon en me tirant par la main. < Viens voir ! > dit elle.
Clémentine nous précède. Elle jette les épais coussins au milieu de la pièce. Elles s'y mettent immédiatement à genoux.
Les filles observent ma bite et mes couilles complètement enduites de pâte presque sèche. Qui craquelle sur les couilles.
< Dimanche, je te rase les couilles. Je veux les avoir lisses. La pâte collera mieux ! > dit Estelle avant de lécher, riant.

Je pose mes mains sur leurs têtes. Je dis : < Ce soir les filles je vous suce les clitoris comme un forcené. Un salaud ! >
< Moi, ce ne sera que le clito, j'ai mes "petits machins" de fille ! > lance Clémentine. < Moi c'est lundi ! > fait Estelle.
J'ai rapidement la bite et les couilles luisantes et d'une propreté exemplaire. Les filles se refilent ma queue. Elles sucent.
C'est toujours un spectacle émouvant de les voir s'occuper si consciencieusement de mon "matériel". C'est merveilleux.
Je leurs caresse la tête, les cheveux, le visage. Quand l'une suce, l'autre lèche. C'est un concert de gémissements. Bien.

La sonnerie du four. J'aide les filles à se redresser. J'ai la bite qui dégouline. Nous nous précipitons à la cuisine. La faim.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent l'éventualité de la soirée de samedi au haras. Juliette et Mr Gérard.
< Tu as envie de te sucer sa vieille bite minuscule, mollasse ? > demande Estelle à Clémentine qui répond : < Oui ! >
Nous rigolons comme des bossus quand Estelle rajoute : < Moi, je m'occupe de celle de Julien. Et hélas sans farine ! >
Nous traînons à table. Nous envisageons également notre projet "serveuse" au restaurant de l'étang. Estelle se réjouie.

Estelle et Clémentine parlent de leurs existences. Cette vie d'étudiantes exemplaires et brillantes. L'autre aspect. Rires.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Une fois encore Estelle me tire par la bite toute molle pour m'entraîner au salon.
Elles retirent leurs jeans et leurs culottes. C'est devenu un autre rituel. Elles sont à quatre pattes, coudes sur le canapé.
Position idéale pour me permettre de leurs bouffer le cul. Je commence le plus souvent par Estelle. Vraie fille négligée.
Les poils autour de son trou du cul qui collent tout autour et qui envahissent ma bouche. Je n'arrête pas de les retirer.

Je nettoie les deux culs avec soin. < Tu as un cheveux sur la langue ? > me demande Estelle vautrée dans le canapé.
Elles me présentent toutes les deux des croupions incroyablement velus. La petite ficelle qui dépasse chez Clémentine.
Je me bouffe la moule trempée d'Estelle qui se masturbe en murmurant des paroles inaudibles. Et c'est un vrai délice.
Clémentine cesse de se toucher chaque fois que je suce son clitoris. Il est plus énorme encore quand elle a ses règles.
Par contre il semble beaucoup plus sensible. Cette fois, c'est elle qui connaît un orgasme foudroyant. La vraie surprise.

Elle me caresse la tête en gémissant de plaisir. Comme pour m'empêcher de retourner bouffer la chatte d'Estelle. Bien.
Estelle se lève. Se masturbe. Elle frotte sa chatte sur mon visage. < Je t'aime Julien ! > s'écrie t-elle dans un spasme.
Son orgasme la fait retomber dans le canapé. Elles reprennent toutes les deux leurs esprits en me fixant. Grands yeux.
Je leurs caresse le visage. Je dis : < Alors les filles, on s'est encore envoyé en l'air ce soir ? Incorrigibles jouisseuses ! >
Elles m'attirent entre elles. Je bande mou. Lorsque je me concentre sur mes activité de lécheurs, je suis très concentré.

Estelle se penche pour me sucer. Elles se refilent ma queue. Je bande comme un priapique en phase terminale. Exquis.
J'attire l'attention d'Estelle sur l'heure. Il est déjà 22 h. Il faut songer à cesser. C'est toujours difficile et c'est frustrant.
Nous raccompagnons Estelle dans la nuit froide jusqu'à sa voiture. La vitre baissée, assise dans l'auto, elle me pompe.
Cela devient un rituel aussi. Je lui éjacule dans la bouche. Elle déglutit avec peine. Ce soir en toussant. En s'étouffant.
La séparation est difficile. Nous nous dépêchons de rentrer. Au lit, Clémentine me félicite d'être un si bon lécheur. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font lécher, sucer, brouter, bouffer le cul et la chatte jusqu'à l'orgasme...

Julie - (Qui aime écouter les dernières confidences de Clémentine serrée contre lui, au lit, avant qu'elle ne s'endorme) -

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Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 981 -



Un vendredi soir des plus prometteurs

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonne la musique habituelle et quotidienne.
Il est 5 h55. J'éteins le réveil quelques secondes avant. Clémentine se frotte contre moi, me couvre de bises. Bonheur.
Le vendredi, le week-end commence à midi. C'est la cause de cette euphorie matinale. Nous nous précipitons aux WC.
Vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous y préparons notre bon petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. < Ça va être une soirée riche en émotions ! > me lance Clémentine.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Bien.
Un dernier bisou. Elle me palpe la braguette en disant : < Prends en bien soin, je m'en occupe dès mon retour ! >. Rire.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin dans le jour naissant. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. 8 h15. Dehors, un ciel gris. Bas.

Assis devant le chevalet, je prépare ma palette. Je peins en chantant. L'euphorie de Clémentine qui est communicative.
La peinture de cette troisième toile destinée à ma saison 2020 me procure les plus délicieuses sensations de plénitude.
Comme toujours, lorsque je me livre ainsi à ma passion dévorante, qui est aussi mon métier, les heures passent si vite.
Il faut me voir faire la danse du guerrier Sioux autour de mon chevalet à chaque coup de pinceau plus sublime. Super.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine, je fais bouillir l'eau des spaghettis.

Je trempe les langoustines dans l'eau bouillante afin de pouvoir les décortiquer facilement. Je les fais rissoler à la poêle.
Il est 12 h15. Je suis en pleine activité culinaire lorsque Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou, je la soulève.
Elle me couvre le visage de bisous. < Je t'aime Julien. enfin le week-end ! > me fait elle avant de m'embrasser. Fougue.
Clémentine s'occupe de la salade d'endives et de son assaisonnement. Je prépare une sauce au Roquefort. C'est rapide.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre programme de l'après-midi, du soir. Bosser un peu jusqu'à 16 h.

Nous traînons à table. Le repas est simple mais délicieux. Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa branlette.
Dans la voiture, en rentrant, comme elle aime le faire, elle s'est masturbée. < Mais je roule doucement ! > me fait elle.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.
Clémentine m'entraîne par la main. Nous dévalons l'escalier. Elle a encore du boulot. Autant s'en acquitter au plus vite.
Nous voilà dans l'atelier. Clémentine devant l'ordi qui met ses notes au propre. Elle prépare déjà la semaine prochaine.

Cette agréable émulation me permet d'avancer également. Cette troisième toile sera probablement terminée pour lundi.
Le crépitement du bois. Nos respirations. Les petits cris surréalistes que nous nous renvoyons. C'est un moment de joie.
Seize heures. Nous rangeons nos affaires. Nous montons nous changer. Nous portons des jeans propres. Chemise, pull.
Avec une écharpe, nos manteaux, nous prenons la pose devant le miroir de l'armoire. Clémentine me sort la bite molle.
Elle l'agite en disant : < Ce soir, tu seras bien vicelard au restaurant ? >. Je promets de faire au mieux. Eclats de rires.

Accroupie, Clémentine s'observe entrain de lécher ma bite, la prendre en bouche. La sucer. Se regarde dans le miroir.
Je caresse sa tête. Je chuchote : < Je t'aime Clémentine. Comme un fou ! Parce que tu me rends complètement fou ! >
Je la force à se redresser. Nous dévalons les escaliers en riant. Nous prenons la berline. Je roule doucement. Il fait gris.
Clémentine joue avec ma queue. Parfois elle se penche pour la sucer un peu. Il est 17 h05 quand nous arrivons en ville.
Je gare la voiture à dix minutes du centre. Dans la petite ruelle habituelle. C'est vendredi. Plein de monde. Très curieux.

Nous comprenons rapidement la cause d'une telle affluence. C'est l'ouverture du marché de Noël. Le premier jour. Bien.
Il y a des petits chalets en bois sur la place du centre. Il y a même les préparatifs pour une émission de télévision. Joie.
Nous flânons un peu. Quelle surprise. Nous rencontrons Mme Walter et Pierre, son mari. Nous bavardons un peu. Super.
Nous apprenons qu'il y a le marché de Noël qui débute demain également sur les quais du petit port de plaisance. Bourg.
Nous saluons le couple avant de continuer notre promenade. La nuit tombe. C'est l'enchantement des décorations. Noël.

Tout comme moi, Clémentine trouve tout cela ridicule. < Noël ! C'est dans plus d'un mois. Ils nous font chier ! > dit elle.
Nous nous offrons des pains d'épices que nous savourons en parcourant les allées. La grande roue au milieu de la place.
Bien évidemment, il ne se présente aucune opportunité de "jeux d'exibes". Trop de monde. Et plein de militaires armés.
Cette année, le déploiement des services de sécurité et des forces de l'ordre est impressionnant. L'affluence s'accentue.
Nous quittons le marché de Noël pour nous rendre à la FNAC. La grande librairie du premier étage est bondée de monde.

Nous feuilletons les dernières sorties. Clémentine m'entraîne dans les rayons qui concernent ses études. Plein de livres.
Là non plus, il serait vain de tenter un plan. Trop risqué. Trop de gens. Des vigiles qui circulent. On devine les caméras.
< Bienvenue dans le nouveau monde et chez Big Brother ! > dit Clémentine que toute cette effervescence dérange. Dur.
C'est vrai que tout cela en devient oppressant. < C'est même d'une hypocrisie sans nom ! > rajoute encore Clémentine.
Nous retournons flâner dans les rues. Partout ces décorations, ces guirlandes. Jusqu'à l'écœurement. Un 22 novembre.

La fraîcheur du soir se transforme en froidure. Nous avons nos gants. Nos écharpes. Nos manteaux. Préventifs. Parfait.
Il est 19 h15. Nous sommes de retour à la voiture. < On sait ce qu'il faut éviter jusqu'en janvier ! > s'écrie Clémentine.
Nous en rigolons comme des bossus. < On s'en fout, on passe nos fêtes de fin d'années à Edimbourg ! > rajoute t-elle.
Nous rions de bon cœur lorsque je précise que là-bas aussi il y a des marchés de Noël, des guirlandes, des décorations.
Nous quittons la ville pour prendre la direction du restaurant de l'étang, situé à 5 km de la zone commerciale. C'est bon.

Je gare la voiture sur le parking. Il est 19 h40. Il y a du monde. Clémentine qui m'entraîne par le bras autour de l'étang.
Nous en faisons le tour en appréciant le calme et le silence de la nuit. En pleine campagne. Un moment magique. Super.
Sous mon manteau, j'ai la bite à l'air. Clémentine n'a pas cessé de jouer avec durant toute la route. Je bande mou. Ouf.
Nous montons les quatre marches sous l'auvent éclairé par une lampe à l'ancienne. Julie vient nous accueillir. Souriante.
Nous nous serrons la main. La jeune fille ne cache pas sa joie de nous revoir. Sa tante derrière le comptoir fait un signe.

Il y a pas mal de clients. Principalement des groupes de quatre. Les réservations vont bon train avec la période de fêtes.
Nous prenons notre commande. Julie bavarde avec nous à chaque fois. Juste quelques instants. Si débordée de travail.
Quelle surprise. Sa tante vient nous rejoindre. < Je peux m'assoir deux minutes ? > fait elle. Nous l'invitons à s'installer.
< Julie m'a parlé de votre projet. Je ne suis pas contre. Je demande simplement la plus absolue discrétion ! > fait elle.
Nous la rassurons. Clémentine rajoute même : < Si vous saviez le nombre de fois où je me suis "amusée" ici ! >. Rires.

< Oh mais n'imaginez surtout pas que j'ai les yeux dans ma poche. Je vois et je sais tout ce qui se passe ici ! > dit elle.
La jeune femme, belle bourgeoise, au milieu d'une quarantaine rayonnante, se présente : < Anne-Marie ! >. Enchantés.
Nous nous présentons. Tout en bavardant, Anne-Marie ne quitte pas la salle des yeux. C'est son établissement. Privé.
Anne-Marie se révèle une femme pleine d'un humour raffiné. Maniérée et délicate, elle a les mots justes pour désigner.
La jeune femme est obligée de nous laisser. Nous savourons nos plateaux de fruits de mer. Julie vient parfois discuter.

Il est 20 h30. La petite salle de 60 places est presque pleine. < Je vous montre les toilettes ? > vient demander Julie.
Nous en rions de bon cœur. Je me lève. Je descends les escaliers. J'entre dans les WC homme. Je suis seul. Personne.
Je sors ma bite. Je me branle doucement. Le bruit de pas dans les escaliers. Je reconnais ceux de Julie. Et entre mille.
Je peux à présent reconnaître ses pas de suite. Elle dévale les escaliers. Elle n'a que très peu de temps entre les clients.
Elle me surprend en pleine masturbation. Et comme à chaque fois. < Génial ! > me fait elle en restant devant la porte.

< Alors ? Et ma tante ? Elle est d'accord sur le principe. Mais avec vous aussi ? > me demande t-elle. Je confirme. Rire.
Nous sommes des gens d'une discrétion absolue. Julie qui le sait bien. Il faut juste que sa tante le découvre également.
Elle me laisse. Elle file à toute vitesse. Je me branle encore un peu. C'est trop bon. Cette complicité neuve est excitante.
Je remballe. J'entends des pas dans l'escalier. Au bruit, c'est une femme. Et quelle surprise. C'est Anne-Marie. Alors ça !
Elle reste dans l'encadrement de la porte comme pour sécuriser l'endroit. Elle lance : < Je peux voir l'objet du délit ? >

Je n'en crois pas mes oreilles. Pas plus que mes yeux d'ailleurs. Je suis soudain gêné. Et comme un adolescent surpris.
Je ne sais quoi faire. Je me palpe la bosse énorme qui déforme ma braguette. J'hésite. Et je n'ose pas sortir ma biroute.
C'est hyper excitant mais cela me procure également un profond sentiment de honte. C'est prodigieusement divin. Bon.
Anne-Marie, toute aussi pressée de retourner faire le service en salle, ne s'attarde pas. Elle me fait un clin d'œil. Et file.
Je remonte. Je raconte tout à Clémentine qui fait : < Oui je m'en doutais. Je l'ai vu descendre. Une membre du club ! >

Nous traînons à table. Ce ne sont plus seulement les regards vicelards et par en dessous de Julie que nous surprenons.
Ce sont également ceux de sa tante. Anne-Marie, nouvelle complice des jeux futurs qui s'annoncent en ce lieu. Super.
Je descends une nouvelle fois. Je fais un clin d'œil à Anne-Marie. Ce regard et ce sourire lourds de sens sont excitants.
Je me branle devant l'urinoir. "Gagné". Anne-Marie ouvre la porte. < Je vois ! > fait elle avant de remonter en vitesse.
L'addition. Il y a trop de monde pour commencer un truc. Dans la voiture, Clémentine me suce. Nous faisons le bilan.

Bonne soirée bien vicelarde à toutes les coquines qui préparent les futures situations de plaisir qui les attendent...

Julien - (Qui écoute les ressentis de Clémentine venant de jouir d'un cunnilingus délirant. Elle se réjouie pour la suite) -

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Un samedi soir dans l'ancienne écurie

Hier matin, samedi, je suis réveillé par le léger froissement des draps, des imperceptibles mouvements du matelas.
Clémentine sait quand je me réveille. Ma respiration change. Elle cesse sa masturbation pour se blottir contre moi.
< J'ai fait un rêve très cochon ! > murmure t-elle à mon oreille en saisissant mon érection matinale, toute naturelle.
Je dis : < Viens, tu me le raconte à la cuisine devant un bon petit déjeuner !>. Nous nous précipitons jusqu'aux WC.
Vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Bien.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son rêve. J'en suis un des protagonistes. Une situation réelle.
C'est une aventure vécue en Ecosse, cet été, avec de légères variantes oniriques. C'est très amusant et très vicelard.
Je suis caché dans des toilettes. Clémentine taille une pipe à un mec. J'arrive pour la tenir par la nuque, la discipliner.
C'est tout à fait charmant. Il est presque 8 h20. Dehors il fait froid mais tout est sec. Nous choisissons un bon jogging.
La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways, les bonnets, les gants et les godasses de running. Nous voilà au grand air. Bon.

Quelques mouvements d'échauffement et nous pouvons enfin courir à l'extérieur. Bien mieux que sur les tapis roulants.
Une heure de jogging sur notre circuit habituel. Il est 9 h30 lorsque nous revenons pour prendre notre douche. Superbe.
Nous nous habillons. Nous portons les vêtements de hier. Nos jeans, nos pulls, nos bottines, nos manteaux, écharpes.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en parlant de son rêve. 3 km. Nous arrivons au bourg. Le marché
Je gare l'auto. Il y a toujours du monde. Nous y faisons provisions de fruits et de légumes chez nos agriculteurs locaux.

Nous y faisons provisions de yaourts, d'œufs, de beurre, de fromages et de crème fraîche chez notre artisan fromager.
Nous revenons à la voiture. Nous rangeons les produits frais dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Et en route.
Direction la zone commerciale distante de 15 km. Clémentine me branle, me suce et reviens sur son rêve. C'est super.
Je gare l'auto sur le parking du supermarché. Je pousse le caddie. Clémentine tient la liste des courses. Elle m'entraîne.
Produits d'entretien, conserves, céréales, pâtes, riz et tout le nécessaire. Il faut louvoyer parmi les caddies. Du monde.

Il y a même un Père Noël bedonnant qui se promène dans les allées avec un micro pour vanter les mérites de produits.
C'est un peu crispant de flâner dans cette grande surface avec l'agression permanente de la voix du Père Noël. Pénible.
Par acquis de conscience, même si elle sait que c'est impossible. Clémentine nous entraîne au rayon des livres. Un plan.
Il serait vain de tenter une petite exhibe, même discrète. Il y a beaucoup trop de gens. Des familles de Simpson. Bruit.
Nous n'avons qu'une hâte, terminer par la poissonnerie, passer en caisse. Ce qui demande beaucoup de patience. Dur.

Nous flânons dans la galerie commerciale. Les agressions sonores du gros Père Noël se font entendre jusqu'ici. Enfoiré.
Il y a tant de monde. Nous lisons rapidement les menus proposés par la cafétéria. Inutile d'espérer y manger. Pleine !
De retour à la voiture, nous rangeons nos achats. J'ajuste le niveau d'essence. Là aussi, il faut patienter. Je fais le plein.
Je vois Clémentine dans la voiture bavarder au téléphone. Je paie. Je m'installe. < Tu as le bonjour de Julie ! > dit elle.
< Elle nous remercie pour hier soir. Nous avons fait une très excellente impression sur sa tante ! > rajoute Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. Clémentine affirme que la jeune femme est membre de notre "Club". Que c'est une vicieuse.
Je peux toujours compter sur les appréciations de Clémentine. Tout ce qu'elle suppute s'avère souvent très juste. Exact.
Anne-Marie, patronne de ce petit restaurant de caractère, est une femme divorcée. Julie nous a confié quelques détails.
Julie ne lui connaît aucune relation. Aucune aventure. Elle est une dirigeante d'entreprise très sympathique, à l'écoute.
Anne-Marie connaît les travers de Julie. Elle n'y prête aucune réelle attention. Tant que le travail de serveuse est parfait.

Il est 12 h30 lorsque nous sommes de retour. Nous rangeons les courses. Nous montons nous changer. Vielles fringues.
Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement. Je fais bouillir l'eau pour les moules. Un bouillon, ail, oignons.
Dans le wok, je verse le contenu du sachet. Petits pois et haricots verts qui vont décongeler durant la cuisson. Je touille.
Nous mettons la table. Nous n'arrêtons plus de nous faire des bisous. Et à glisser nos mains entre les cuisses de l'autre.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. < Mes "petits machins" de filles sont finis ! > m'apprend Clémentine.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me confie son impatience de revoir Edimbourg aux fêtes. Joie.
Comme à chaque vacances de fêtes de fin d'année, nous partirons pour l'Ecosse en avion. Lundi 23 décembre pour 10 h.
Je réserve les places et j'achète les billets ce lundi. Nous passerons 11 jours dans ma famille. Et retour pour le 3 janvier.
< Je compte les jours ! > me fait Clémentine. Il reste quatre semaines. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. C'est bon.
Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine mime une pipe.

De la mousse de dentifrice aux coins des lèvres, faisant une bosse à l'intérieur de sa joue avec la brosse à dents, riant.
Je demande : < C'est la bite à qui aujourd'hui ? >. Faisant attention de ne pas avaler de dentifrice, elle fait : < Toi ! >
Nous rions de bon cœur. Après s'être rincée la bouche, se serrant contre moi, Clémentine dit : < J'ai envie de sucer ! >
< Ça me reprend. J'ai tout le temps envie ! > fait elle avant de m'embrasser, fouillant ma bouche de sa langue avide.
J'ai une trique d'enfer. Clémentine frotte son sexe contre le mien. < Viens ! > dit elle en m'entraînant dans la chambre.

A genoux entre mes jambes écartées, Clémentine me sort une bite raide comme le démonte pneu d'un camion de 35 t.
< Wouah ! > s'écrie t-elle admirative avant de rajouter : < Et tout ça pour moi !. >. Nous rigolons comme des bossus.
Je la regarde renifler l'extrémité de mon prépuce tout fripé. Jusqu'à presque se l'enfoncer dans une narine. C'est drôle.
Je chuchote : < Comme tu es belle. Tu comprends ce que tu suscites chez tous les pervers que nous croisons ! >. Rire.
< Oh oui, je le sais très bien. Je gère plutôt bien, tu ne trouves pas ? > me fait elle en me décalottant très légèrement.

Je la regarde sucer avec passion. Ses yeux grands ouverts me fixent quelquefois. D'un regard terriblement suggestif.
Je lui chuchote des cochonneries. J'évoque la bite à Gérard qu'elle pourra déguster ce soir. < Mmhh, miam ! > dit elle.
Je me fais tailler une véritable pipe des familles. Régulièrement je lui retire la bite pour le repos de sa mâchoire. Bien.
< Tu es l'homme le plus attentionné que je connaisse ! > me fait une fois encore Clémentine. Je lui fais plein de bisous.
Nous passons ainsi une bonne heure. J'esquive l'orgasme juste au dernier moment. Nous aimons rester excités. Mieux.

Il est 15 h lorsque nous entrons dans l'atelier. Mettre à profit cette météo grise pour travailler un peu. Quoi de mieux.
Clémentine est assise devant l'ordinateur à préparer ses cours de la semaine prochaine. Prendre de l'avance. Superbe.
Je peins dans une sérénité rare. Parfois, l'un se lève pour rejoindre l'autre. Faire des bisous. Chuchoter des trucs. Joie.
Il est 18 h lorsque Estelle arrive. Elle fait la bise à Clémentine avant de se précipiter pour me couvrir le visage de bises.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte sa journée au bureau de l'entreprise familiale.

Nous sommes invités à manger chez ses parents. Dernier dimanche avant l'Ecosse. Balade au marché de Noël du port.
C'est une excellente idée. Nous acceptons immédiatement. < Cette année, je pars avec vous ! > rajoute encore Estelle.
Je dis : < Pas question. Tu passes Noël avec tes parents. Tu nous rejoins le jeudi 26. Je m'occupe de ta réservation ! >
Comme tous les ans, je dois être ferme et me montrer autoritaire. C'est bien de passer Noël en famille à 22 ans. Super.
< Mais je paie l'avion. C'est toujours toi ! > dit Estelle. Je réponds d'un ton péremptoire : < Tu ne paies rien du tout ! >

Un bruit sourd à l'étage met un terme brutal à nos échanges. Le fantôme de mon ancienne compagne vient en visite.
< Bonsoir Christine ! > font les filles en même temps. Nous cessons le boulot. Nous rangeons nos affaires en écoutant.
Estelle commente chaque bruit. < Ça vient de là. Maintenant là ! > s'écrie t-elle tout en se déplaçant sous les bruits.
Elle tente de localiser les manifestations sonores. Ces dernières, et comme par dérisions, sautent d'un point à l'autre.
Nous restons assis devant la cheminée à regarder la danse des dernières flammes. Silencieux. Nous écoutons les pas.

Cela ne dure pas plus d'un quart d'heure. Mais c'est impressionnant. Nous avons affaire là à de véritables poltergeists.
Ces manifestations paranormales inexplicables qui, tant qu'on ne les a pas vécu, semblent ridicules, stupides et folles.
< Les fantômes, ça donne faim ! > lance Estelle. Nous nous levons pour nous précipiter à la cuisine. Ce soir spaghettis.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle s'occupe de la sauce au Roquefort. Je fais rissoler des crevettes. Ail, oignon.
Tout va vite. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons en bavardant. Les filles parlent mathématiques. Fractales.

Nous sommes attendus au haras pour 20 h. Il est 19 h15. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Se changer.
Nous sommes tous les trois vêtus exactement de la même façon. Jeans, chemises à carreaux sur des T-shirt cols roulés.
Nos anoraks. Nos bottines. Pressés d'aller nous encanailler, nous dévalons les escaliers en nous tenant par la main. Joie.
Je roule doucement. Les filles sont assises toutes les deux sur le siège passager. Inutile de vouloir les raisonner. Sympa.
< Tous les trois ensemble, sinon rien ! > fait Estelle. Nous en rions de bon cœur. J'ai la bite et les couilles à l'air. Super.

Je gare la voiture dans la cour. Il y a les voitures de Juliette et de Mr Gérard. De la lumière dans les anciennes écuries.
Nous y entrons. Clémentine me prend la main pour la glisser sous son anorak, sur sa poitrine. Je sens son cœur battre.
Estelle pose sa main sur ma braguette. J'ai remballé mes "outils". On ne sait jamais. Nous caressons quelques chevaux.
Juliette a entendu la voiture. Elle sort du local technique. Toute souriante. Vêtue chaudement. Tenue d'écuyère d'hiver.
< Le box et le trou dans le mur ? > fait elle en nous montrant le box vide. Nous hésitons. Le trou, c'est tellement bien.

< Non je veux tout voir ! > s'écrie Estelle en sautillant autour de nous. < Moi aussi ! > rajoute Clémentine, se serrant.
Je passe mon bras autour des épaules d'Estelle et de Clémentine. Je dis : < Elles ont décidé ! >. Juliette éclate de rire.
Elle nous invite à la suivre. Nous entrons dans le local technique. Monsieur Gérard est entrain de faire chauffer du thé.
Il fait bien chaud. Le radiateur électrique distille une agréable et si douce chaleur. Nous prenons place dans le canapé.
Juliette s'installe dans le fauteuil. Mr Gérard sert le thé fumant. Il s'assoit dans le second fauteuil. Des petits gâteaux.

Sur la petite table basse qui nous sépare, il y a des chips, des gâteaux secs, les bols fumant de thé et la théière. Bien.
Nous bavardons. Mr Gérard est vêtu d'un de ses éternels pantalons d'épais velours, de grosses godasse, d'un gros pull.
Il s'adresse tout particulièrement à Clémentine. Juliette nous raconte sa journée. Les projets d'animation pour les fêtes.
Mr Gérard se lève. Il invite Clémentine à le suivre en disant : < Viens, je vais te montrer ! >. Nous ne savons pas quoi.
Absorbés par notre conversation avec Juliette, nous n'avons pas prêté attention à celle de Clémentine et de Mr Gérard.

Nous les regardons sortir. < Il va lui montrer son "matériel" ! > lance Juliette en mimant une fellation. Assez vulgaire.
Je sors ma bite. < Oh oui ! > s'écrie Estelle qui me l'attrape de sa main droite. Nous bavardons avec Juliette amusée.
Tout en discutant, Estelle, comme elle le fait à la maison, me tord la queue dans tous les sens. Juliette observe. Bien.
Moi, je pense surtout à Clémentine. Que fait elle ? Où est elle ? Comme si elle lisait dans mes pensées, Juliette se lève.
< Venez, on va mâter ! > dit elle en nous invitant à la suivre. Et pour nous entraîner dans tous les recoins des écuries.

Nous entrons dans les anciennes toilettes. Personne. Estelle me tient par la bite durant toute la visite. Où sont ils ?
< Il fait trop froid partout. Je crois savoir ! > fait Juliette en nous entraînant jusqu'à la poterne arrière. Petite porte.
Nous sommes dehors, dans la nuit froide, à l'arrière du bâtiment. Sur la droite, la caravane de Mr Gérard. Personne.
< Il reste sa bagnole ! > fait Juliette. Nous retournons à l'intérieur pour sortir dans la cour. < "Gagné" ! > fait elle.
Mr Gérard se fait probablement tailler une pipe. L'intérieur de la voiture faiblement éclairé par l'unique lampadaire.

Il fait froid. Faire les voyeurs dehors, sans voir, n'est pas agréable. < Venez, on verra mieux ! > murmure Juliette.
Nous la suivons. Nous retournons dans l'ancienne écurie. Nous gravissons les marches du vieil escalier raide, étroit.
Nous n'y sommes jamais montés. Là, il faut marcher courbés pour ne pas heurter la charpente. Les grosses poutres.
Il y a une fenêtre tout en longueur. Nous nous mettons à genoux pour voir. On est tous les trois au dessus de l'auto.
On voit beaucoup mieux. Clémentine est effectivement entrain de tailler une pipe à notre vieux retraité dégueulasse.

Parfois elle se redresse pour lui sourire. Parler avec lui, éclater de rire avant de retourner à sa fellation passionnée.
Ce vieux salaud caresse sa tête. Parfois il appui sur sa nuque. Joue avec ses cheveux. La force à se redresser. Vice.
Je bande comme un salaud. Estelle me tient fermement par la queue. Nous restons silencieux à observer. C'est bien.
Je passe mes mains sous les cheveux d'Estelle et de Juliette qui se laisse curieusement faire. Ce qui est très étrange.
Je caresse leurs nuques. Affectueusement. Juliette passe son bras autour de mes hanches pour se blottir contre moi.

Estelle à ma gauche, Juliette à ma droite, nous restons serrés. Excellente manière de nous réchauffer tout en mâtant.
Estelle me branle un peu. Je sors mes couilles. Juliette n'attendait que ça pour s'en emparer. Nous restons silencieux.
Là en bas, dans la voiture, Clémentine et Gérard se comportent à présent comme des amoureux. Et ils s'embrassent.
Une jeune fille de 22 ans entrain de sucer et de rouler des pelles à un vieux salopard de 66 ans. Un spectacle insolite.
Clémentine ne s'attarde jamais longtemps dans les bras du vieux. Elle retourne très vite le sucer. On ne voit pas tout.

Impossible de distinguer la bite minuscule et molle de Mr Gérard. Par contre on distingue bien ce que fait Clémentine.
Ma compagne, la fille que j'aime, entrain de tailler une pipe à un autre. Mon fantasme le plus fou. Et cela se passe ici.
Juliette est très douce avec mes couilles qu'elle masse doucement de sa main libre et chaude. Serrée fort contre moi.
Estelle me tient la queue d'une main ferme et toute aussi chaude. Je leurs caresse la nuque. Elles gémissent de joie.
Nous restons là à faire du splendide voyeurisme depuis plus d'une heure lorsque la porte de la voiture s'ouvre en bas.

Gérard tire Clémentine par ses cheveux pour la forcer à sortir côté conducteur. C'est étroit. C'est une "mini Cooper".
La même voiture que celle de Clémentine. Il la tire sans égard. Fermement. Comme le "Maître" qu'il est. Dans l'âme.
Clémentine, courbée en avant, comme tenue à la laisse, suit ce mec. Il la force à s'accroupir dans différents endroits.
Avec l'obscurité, on ne discerne pas bien. Mais nous devinons. Ce salaud est entrain de la faire sucer dans les coins.
Ils font le tour de la cour. A chaque fois qu'il la fait se relever, il lui met une gifle avant de l'embrasser comme un fou.

Ils rentrent dans le bâtiment. Nous entendons la nature des propos échangés juste sous le plancher. Gérard enflammé.
Nous écoutons en nous regardant dans l'obscurité à laquelle nous nous sommes habitués. Il fait une vraie déclaration.
Nous savons que Mr Gérard est amoureux fou de Clémentine. Mais ce que nous entendons là est une vraie romance.
Nous en rigolons comme des bossus. Juliette me masse les couilles. Estelle me masturbe. Nous nous redressons enfin.
Nous redescendons l'étroit escalier pour rejoindre le couple dans le local bureau. Clémentine entrain de sucer Gérard.

Gérard, vautré dans le canapé, tient Clémentine par ses cheveux. Elle est couchée à ses côtés. Il lui tire la tignasse.
Il la force à redresser la tête pour dire : < Cette grande salope est la plus merveilleuse ventouse que j'ai connu ! >
Clémentine, la bouche littéralement baveuse, baisse les yeux de honte. Sans oser me regarder. J'adore cette attitude.
Je me rapproche pour lui murmurer : < C'est à ton goût ? >. Estelle se rapproche, s'accroupit pour dire : < Miam ? >
Juliette me tient à présent par la bite. Je lui palpe la chatte à travers son pantalon moulant d'écuyère. C'est si chaud.

< Tiens ma grande, il y en a pour toi aussi ! > fait Mr Gérard en tendant son Zob minuscule et mou à Estelle. Juteux.
Estelle ne se fait pas prier. La bite de Mr Gérard est réputée intarissable. Clémentine et Estelle se refilent la biroute.
Juliette me fait tomber dans le fauteuil. A genoux sur un des coussins, elle se met à me sucer. Et c'est tellement rare.
La bouche de cette jeune femme de 43 ans, est un trésor de bienfaits. Comme d'avoir la queue dans un bol de purée.
Là, devant moi, Estelle vautrée à sa droite, Clémentine vautrée à sa gauche, sont entrain de se refiler la bite du vieux.

C'est la toute première fois que je me fais tailler une véritable pipe par Juliette. Je caresse sa nuque. Affectueusement.
Par contre, à chaque fois que je veux caresser ses seins, elle repousse doucement mes mains en gémissant. Pas de ça.
Il est impossible de savoir quand Mr Gérard éjacule. Et s'il éjacule. C'est un mystère pour toutes les filles qui le sucent.
Par contre, à voir la quantité de foutre qui dégouline des bouches d'Estelle et de Clémentine, le type n'est pas un avare.
C'est génial. Je suis aux premières loges. J'assiste à une scène fabuleuse. Mes deux coquines adorées qui suce du vieux.

Lorsque l'une cesse pour reprendre son souffle en tentant de déglutir, l'autre se remet à le pomper si passionnément.
Elles se régalent. Je les vois se chuchoter des trucs sans rien comprendre. Sans rien entendre. Gérard est "effondré".
Estelle se redresse. Elle me regarde. Elle contourne la table pour venir se mettre à genoux à côté de Juliette qui suce.
Juliette n'est pas prêteuse. Pas partageuse. Je ne sais pas ce qui se passe là-bas, sur le canapé, mais Clémentine crie.
< Non ! Pas ça ce soir ! > s'écrie t-elle en se redressant. Nous cessons pour regarder. Le vieux salaud s'est redressé.

Il pisse. Le vicelard rempli consciencieusement chaque bol de thé vide. Clémentine qui s'approche pour bien regarder.
Elle reste toutefois sur ses gardes. Elle sait qu'à tout moment Mr Gérard peut la choper. Lui faire sucer la bite pisseuse.
Juliette se remet à me sucer. En sournois, sans prévenir, je lui éjacule dans la bouche en lui maintenant la tête. Et fort.
Elle n'a d'autres choix que d'avaler. Elle tente bien de se soustraire à mon étreinte. Mais j'ai préparé mon coup. Salaud.
La bouche ruisselante de foutre, Juliette se dégage enfin en toussant et en crachant. < Vieux salopard ! > me fait elle.

Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Nous nous serrons la main. Juliette garde la mienne en disant : < Merci ! >
Soudain, alors que je ne m'y attends absolument pas, elle m'allonge une gifle cinglante. < Espèce de salopard ! > dit elle.
Dans la voiture, Clémentine analyse cette attitude comme une auto punition que se serait infligée Juliette. Je comprends.
C'est également l'avis d'Estelle. Au lit, couchée entre les filles, je les écoute échanger leurs impressions. C'est surprenant.
< Je ne me suis jamais régalée autant que ce soir ! > fait Clémentine. < Mon non plus ! > rajoute Estelle en s'endormant.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment parfois aller sucer de la vieille bite au fond des bagnoles...

Julien - (Qui écoute Clémentine lui avouer à quel point le sperme de ce vieil homme lui semble succulent. Y retourner) -

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Un dimanche des plus agréables

Hier matin, je suis réveillé par Estelle qui se frotte contre moi. Toute la nuit je la sens serrée, je la sens bouger. Fort.
Elle me fait des bisous dans le cou. Ce qui réveille Clémentine qui se blottit à son tour. Et mes bras sous leurs nuques.
Nous nous chuchotons des douceurs. Estelle me tient fermement par mon érection matinale. Clémentine qui se frotte.
Je suis entre les filles. Une fois encore nous savourons tous les trois notre immense privilège. Relation extraordinaire.
Il est 9 h. Le dimanche pas d'entraînement. Estelle, n'en pouvant plus, se lève pour se précipiter aux toilettes. "Pipi".

Elle revient pour enfiler son pyjama mauve. Me faire quelques bisous en disant : < Je descends préparer le petit déj ! >
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux chiottes. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle.
Cette délicieuse odeur ou se mêlent celle de la brioche, du café et du pain grillé participe de l'enchantement du matin.
Nous mangeons de bon appétit en bavardant. < J'avais le goût du foutre de ce vieux salaud toute la nuit ! > fait Estelle.
< Moi aussi. Et ça reste persistant longtemps ! Mais je crois que c'est surtout psychique ! > rajoute encore Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. Je félicite les filles pour leur comportement de hier. Nous traînons à table en riant beaucoup.
Estelle se propose de passer l'aspirateur partout. Comme tous les dimanches, le matin est consacré au rituel du ménage.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine monte s'occuper de la chambre. Je commence par nettoyer la cuisine. Et c'est parti.
J'entends Estelle chantonner en passant l'aspirateur au salon. Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère. Super.
Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine lorsque le "piège" d'Estelle se referme une fois de plus sur moi. C'est beau.

Toute nue, elle me guette au bas des escaliers. Juste derrière une des deux portes du salon. Elle me saute au cou. Fort.
Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de mes hanches. Ses bras autour de mon cou. Et je l'entraîne dans la pièce.
Je la dépose sur le bureau. Je frotte mon Zob dur comme du bois sur son sexe avant de l'enfoncer doucement. Le rituel.
Rapidement, d'un coup de reins, Estelle s'enfile presque toute la bite en poussant un petit gémissement. Elle bouge vite.
< J'aime baiser avec toi ! > me chuchote t-elle. Je l'emmène faire le tour de la pièce. Elle reste serrée contre moi. Bises.

Je la dépose sur le bureau. Je me retire. < Non ! Comme tu es vilain avec moi ! > fait elle. Je l'entraîne dans l'escalier.
Nous montons rejoindre Clémentine qui termine de faire notre lit. Il fait froid. Les deux fenêtres sont grandes ouvertes.
Elle est déjà habillée. Nous nous habillons de la même manière. Tous les trois en jeans et en chemises à carreaux. Bien.
Je ramasse le tas de draps sales pour les emmener à la salle de bain. Clémentine me rejoint. Je lui raconte notre baise.
Je fais le bac à douche et le bidet. Clémentine fait les miroirs et le lavabo. Nous nous faisons plein de bisous en parlant.

< Merci Julien ! Je me suis bien amusée hier soir ! > dit Clémentine. Je fais : < Et moi donc. Tu as encore été géniale ! >
Nous nous confions toujours toutes nos impressions en murmurant. Comme si quelqu'un pouvait nous entendre. Sympa.
< J'adore la bite de ce vieux salaud. Si tu savais ! > me fait Clémentine, palpant ma braguette. Je réponds : < Je sais ! >
Nous rigolons comme des bossus. Nous entendons Estelle chanter en passant l'aspirateur. Clémentine qui m'embrasse.
< Ça ne te dégoûte pas, ma bouche ? > me demande Clémentine. Je réponds : < Si mais ça m'écœure toujours après ! >

Je regarde sa bouche qu'elle ouvre en grand. Cette bouche avec laquelle elle suce la minuscule bite molle du vieux salaud.
Je précise : < C'est écœurant mais c'est aussi très excitant tu sais ! >. Clémentine se serre contre moi en gloussant. Rire.
Elle descend avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes du haut. Estelle qui arrive derrière moi silencieuse. Autre piège.
Je suis à genoux devant la cuvette à en frotter l'intérieur avec les mains gantées. Elle s'accroupit pour se frotter. Mon dos.
Elle me chuchote des trucs salaces. Elle me dit : < C'était bon hier soir de te faire tailler une pipe par la vieille salope ? >

Je lui réponds : < Je préfère quand même quand c'est toi qui me le fait ! >. Elle se serre, disant : < Promis. Tu jures ? >
Je me redresse. Je tire la chasse. Je retire mes gants de caoutchouc. Estelle m'embrasse. Elle demande la même chose .
< Ça t'écœure pas de m'embrasser ? >. Je la rassure. Nous en rigolons comme des bossus en dévalant les escaliers. Vite.
Nous rejoignons Clémentine à la cave. Dans la buanderie. Une machine tourne déjà. Nous trions le linge de couleurs. Bon.
Les filles évoquent la soirée de hier. La gifle que m'a administré Juliette. J'en ai encore la joue toute rouge et qui picote.

Estelle nous laisse pour aller préparer notre repas. C'est devenu un autre rituel. Clémentine et moi suspendons les draps.
Nous n'arrêtons pas de nous toucher. Je rassure également Clémentine. Je préfère ses pipes à celles de Juliette. Poilade.
< J'aime comparer ! > me fait Clémentine en me sortant la bite. Accroupie elle en déguste les saveurs dominicales. Bien.
Je lui caresse la tête en lui murmurant à quel point il est divin pour moi de la voir sucer une autre bite. Et elle en gémit.
Je la laisse sucer. Je la tiens sous le menton. Je lui frotte la bite sur la gueule. Je la tiens par la nuque ou par les oreilles.

Cette comparaison se transforme rapidement en véritable pipe. Je la force à cesser. < C'est trop bon ! > dit elle en riant.
Du foutre plein la bouche, elle se redresse pour m'en montrer le contenu. Je demande : < Comparaison concluante ? >
< Je t'aime ! > me fait elle en tentant de déglutir avec peine. Je l'entraîne par la main. Nous montons rejoindre Estelle.
Le feuilleté de saumon, autre rituel du dimanche, est déjà au four. Estelle est entrain de remuer la potée dans la cocotte.
Clémentine lui montre l'intérieur de sa bouche avant de dire : < Julien m'en a donné encore un peu ! >. Un éclat de rire.

Nous dressons la table au salon. C'est jour de fête. < La fête de la pipe ! > fait Estelle. Je dis : < Et la fête du Cunni ? >
< Dimanche prochain ! > rajoute Clémentine. Estelle fait encore : < On s'invente une fête tous les dimanches ! >. Rires.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme de l'après-midi. Je propose le port de plaisance.
Il y a le marché de Noël. C'est plus sympa qu'en ville. < Génial ! > font les filles en même temps. Nous traînons à table.
Je recommande à Clémentine de ne rien tenter. Les marchés de Noël sont sous surveillance vidéo. Etroitement surveillés.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.
Nous nous changeons. Jeans propres. Chemises à carreaux sous nos sweats. Chaussures de villes. Habillés tout pareil.
Nous dévalons les escaliers en nous tenant par la main. Pressés de filer pour de nouvelles aventures. Il est à peine 14 h.
Il y a 30 km par la route pour aller au port de plaisance. 25 km par la piste cyclable quand nous sommes à bicyclettes.
Je roule doucement. Sans risque. Mais ça devient aussi une nouvelle habitude. Les filles assises sur le siège passager.

Il faut juste souhaiter qu'il n'y ait pas de gendarmes sur la petite départementale. Nous ne croisons que deux voitures.
Je roule avec la bite à l'air. Pas les couilles. Comme ça, en cas d'urgence, je peux la remballer vite fait. C'est rassurant.
Clémentine joue avec ma queue. Parfois c'est Estelle. Elles rigolent comme des petites folles en évoquant le Zob à Gégé.
Nous en rigolons comme des bossus. Je gare la voiture à l'extérieur du bourg. Malgré la fraîcheur il y a là un monde fou.
Encore un succès. Le marché de Noël sur le port est une initiative de la dynamique municipalité du bourg voisin. Super.

Il est 15 h. Il faut avancer péniblement dans la foule dense qui déambule dans les allées entre les petits chalets de bois.
Le ciel reste gris et bas. C'est une ambiance particulière. Nous savourons des gaufres au sucre en marchant. Du monde.
Estelle peste contre ces maudites poussettes que s'obstinent à imposer des gens très peu soucieux du confort des autres.
< Put-Hein ! Il y en a même avec des jumeaux ! > Poussettes doubles qui bloquent toute l'allée. Parfois elles se croisent.
C'est surréaliste. Deux poussettes qui se font face. Que faire sinon subir la profonde bêtise de quelques Simpson chiants.

Contrairement aux apparences, il est beaucoup plus simple de se toucher les braguettes au milieu d'une foule si dense.
Nous ne nous privons pas. < T'es pas chiche de sortir ta bite cachée sous ton anorak ! > me fait Estelle en me tripotant.
< Les paris sont ouverts. Cap ou pas cap ! > rajoute Clémentine. Je ne suis pas homme à me dégonfler. Je sors le Zob.
C'est discret. Personne ne peut se douter un seul instant que sous mon anorak fermé, je me balade avec la queue à l'air.
< Il n'y a pas les couilles ! > fait Estelle qui touche pour contrôler. Il y a une petite vieille qui a entendu. Elle en rigole.

Je refuse de sortir les roubignoles. En cas de problème elles sont beaucoup plus difficiles à remballer qu'une bite molle.
Clémentine et Estelle glissent leurs mains à tour de rôle sous mon anorak. < Contrôle ! > fait à chaque fois Estelle. Rire.
< Service des douanes ! > rajoute Clémentine. Nous déambulons ainsi jusqu'à la nuit tombante. Voilà l'envie de pisser.
Nous nous rendons aux toilettes publiques. Il y a carrément la file devant la porte. Des simpson, leur marmaille, bruits.
Nous décidons de pisser près de la bagnole. Ce sera plus discret et surtout plus tranquille. Il fait nuit. Il est déjà 18 h15.

Nous pissons derrière la bagnole, les deux portières ouvertes. Ça protège des regards. Je torche soigneusement les filles.
C'est à mon tour. Estelle me tient la bite pour en diriger le jet. Clémentine m'essuie le Zob avec un mouchoir en papier.
Nous voilà en route. Dans la voiture, les deux coquines se débrouillent pour se refiler ma bite qu'elles sucent en rigolant.
Je roule doucement. Il est 19 h lorsque nous sommes de retour. Morts de faim nous préparons le repas. C'est très rapide.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait une belle omelette. Je réchauffe la potée. Et nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Nous évoquons nos aventures de l'après-midi. Nous qui sommes devenus "experts" en tripotages.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je propose aux filles un bon léchage de minous. Pas besoin de proposer deux fois.
Ça aussi c'est devenu un adorable rituel. Le dimanche, pas de douche. Il y a donc de quoi savourer des chattes délicates.
C'est hyper miam. Je passe d'un cul à l'autre. Je passe d'une cramouille à l'autre. Je suce les deux clitoris avec bonheur.
Les orgasmes des filles sont magnifiques. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Difficile. Au lit, nous faisons le bilan.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font nettoyer la chatte baveuse et odorante du dimanche sans douche...

Julien - (Qui s'endort contre Clémentine avec le goût de sa foutrine léchée encore une dernière fois au lit) -

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Notre amie Julie vient passer la soirée

Hier matin, lundi, c'est la Sonate pour piano de Mozart qui nous tire douloureusement de nos profonds sommeils. Dur.
< Merdre ! > s'écrie Clémentine en s'allongeant sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Quelques papouilles. Il est 5 h55 et il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes vêtus de nos tenues de sport.
Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine pour y préparer un solide et copieux petit déjeuner. Bien.
Nous mangeons de bon appétit en évoquant certaines séquences particulières de ce week-end. C'était parfois salace.

Nous remontons pour nous livrer à nos joggings sur tapis roulants, nos charges additionnelles, nos abdos et stretching.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Joie.
Il fait froid. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller dans le jour naissant. 7 h45. Un dernier coucou. Je rentre. Rapide.
Je fais le lit. Je fais la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un beau feu dans la cheminée. Dehors le ciel gris. Lourd.
Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette en chantonnant. Je peins dans l'euphorie totale.

Il est aux environs de 10 h lorsque la ridicule musique de mon smartphone fait tout vibrer dans la poche de ma blouse.
Je peste en le saisissant. C'est Juliette. Quel plaisir d'avoir la jeune femme en ligne sur mode "haut parleur". Superbe.
Après les civilités d'usage, Juliette en arrive très vite au sujet de son appel. Notre dernière soirée, ce samedi, au haras.
< Excusez ma réaction et cette gifle. Pourrez vous jamais me pardonner ? > me fait la jeune femme d'une voix trouble.
Je la rassure. Je propose de ne plus y penser et de considérer que cela faisait partie du jeu. Une drôlerie sexuelle. Bien.

Juliette me confirme sa venue mercredi soir pour partager notre repas. Elle insiste pour emmener le dessert. Une tarte.
Nous bavardons ainsi une bonne vingtaine de minutes avant de nous saluer, de raccrocher. Je peins avec une érection.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je lave les feuilles d'une belle laitue.
Il en faut pour ce soir. Je fais gonfler le riz complet. Quantité. Je fais revenir du filet de cabillaud très finement émincé.
Je concocte une Béchamel dans laquelle je verse le cabillaud, l'oignon, les champignons et l'ail saisis à point. C'est bon.

Je verse le riz dans le plat en terre cuite. Une première couche. J'y verse de la Béchamel. Seconde couche et Béchamel.
Il me suffit de recouvrir le tout d'une couche de gruyère de Comté grossièrement râpé, de chapelure, de mettre au four.
Voilà notre repas de ce soir déjà préparé. Je mange du riz avec un filet de cabillaud que je pane préalablement. Miam.
Je tente bien d'écouter les informations. Mais cela rend mon repas indigeste. Je préfère éteindre la radio. C'est plus sain.
La vaisselle. Je range la cuisine. Je mets mon anorak pour aller faire quelques pas au jardin. Il fait moins froid. Agréable.

Il est 13 h lorsque je suis à nouveau bien assis devant mon chevalet. Je peins animé de la même euphorie que ce matin.
Il est 16 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle jette son sac sur le canapé pour venir me rejoindre à toute vitesse.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les profs, les cours, le menu du restaurant universitaire. C'est super.
J'écoute toujours avec beaucoup d'intérêt. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa masturbation dans la voiture.
< Je te promets, je fais très attention et je roule doucement. De toute façon je ne croise qu'une à deux autos ! > dit elle.

Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle me confie : < C'est à cause de Gérard ! >. Je lui propose de passer le voir un soir.
Je dis : < Pourquoi ne pas aller t'amuser un peu avec lui, en revenant de cours et avant de rentrer ! >. Un long silence.
< Je préfère te savoir dans les environs et je t'avoue que ce n'est pas l'envie qui m'en manque ! > rajoute Clémentine.
Je déboutonne son jeans. Je glisse ma main dans sa culotte. Clémentine se relève pour me permettre un meilleur accès.
C'est mouillé. J'enfonce délicatement la première phalange de mon médius. Je le retire pour me lécher les doigts. Miam.

Clémentine a encore du travail. Moi je termine cette troisième toile destinée à ma saison 2020. Il nous faut êtres sérieux.
Le crépitement du feu dans la cheminée. La nuit qui tombe au dehors. Tout cela participe d'un de ces moments heureux.
Parfois l'un se lève pour venir faire des bisous à l'autre. < Je suis hyper excitée ! > chuchote Clémentine en se touchant.
Je dis : < Donne moi tes doigts à sucer ! >. Elle me les fourre dans la bouche en riant. Il est 18 h30. Les premiers bruits.
< Bonsoir Christine ! > fait Clémentine. Le fantôme de mon ancienne compagne vient nous rendre visite. Nous écoutons.

Nous rangeons nos affaires. Ma toile est terminée. Je la dépose sur le second chevalet afin qu'elle sèche quelques jours.
Assis sur le tapis, devant la cheminée, à admirer la danse des dernières flammes nous écoutons les bruits, là, à l'étage.
Cela ne dure pas plus d'une dizaine de minutes. Tout cesse soudain. Le silence est pesant, lourd. Nous nous blottissons.
J'ai la main dans la culotte de Clémentine. Elle est allongée sur le dos pour se laisser doigter en gémissant. Yeux fermés.
< Tu seras le dernier des vicelards avec Julie ce soir ? J'ai envie de saloperies. Si tu savais ! > me murmure Clémentine.

Nous mettons rapidement au point une stratégie bien vicieuse. J'apprécie l'inventivité de Clémentine dans ce domaine.
Il est 19 h. Nous quittons l'atelier. Je me lèche les doigts plein de foutrine. Clémentine me sort la bite à la cuisine. Rire.
Il suffit de préparer l'assaisonnement de la salade déjà lavée. De réchauffer le gratin de riz déjà au four. Mettre la table.
Nous déplions le chemin de table en lin. Nous y déposons les assiettes en grès, les couverts laitonnés et les serviettes.
Clémentine dépose un grand verre ballon au milieu de la table. < C'est pour ton "show" ce soir ! > me fait elle en riant.

Je plonge les langoustines encore congelées dans l'eau bouillante. Clémentine fait une mayonnaise. Graines de sésame.
Il est presque 19 h20. Tout est prêt. Je vais aux toilettes. La porte est grande ouverte. Je me masturbe d'un geste lent.
Trois coups de sonnette. Clémentine me laisse pour aller ouvrir. Elle revient suivie de Julie qui me surprend ainsi. WC.
Je regarde son expression dans le miroir juste au-dessus du lavabo car elle entre dans les toilettes. Debout derrière moi.
Je dis : < Bonsoir Julie ! >. Elle me contourne pour observer ma masturbation en répondant : < Bonsoir Julien ! >. Joie.

Clémentine à ma gauche, Julie à ma droite, je me branle. Je dois pisser depuis deux heures. Impossible. Je bande fort.
< On passe à table ? > propose Clémentine en même temps que ne résonne la sonnerie du four. Je cesse ma branlette.
< C'est génial ! > me fait Julie sans cesser d'observer ma queue bien raide. Je propose aux filles d'aller s'installer. Bien.
Je fais le service. < Comme ça ? > demande Julie avec un geste masturbatoire. < Comme ça ! > lui répond Clémentine.
J'apporte les plats. Nous voilà assis. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent leurs études.

Julie en vient rapidement à notre "projet". < Ma tante est d'accord sur le principe. Mais elle exige beaucoup de tact ! >
< Pas question d'attirer l'attention de qui que ce soit de manière ostensible. Et tout doit être suggéré ! > précise Julie.
Clémentine la rassure. Il n'est pas question de faire des conneries mais de passer une agréable soirée. Tout maîtriser.
Je me lève. J'agite mon sexe dans la direction de Julie pour dire : < Par contre moi, si tu descends me rejoindre ! >
Nous rions de bon cœur lorsque Julie me dit : < Ne vous inquiétez pas. Moi aussi je veux m'amuser ! Soyez vicieux ! >

Je suis surpris. Julie se lève pour saisir le grand verre ballon. Elle contourne la table. Elle s'assoit sur le banc. Silence.
Julie tient le verre juste sous ma queue. Je bande mou. Je n'en peux plus. Je dois vraiment pisser. Le premier petit jet.
< C'est tout chaud ! > s'écrie Julie comme émerveillée. Il y a du foutre gluant qui s'écoule entre chaque jet contrôlé.
Du liquide séminal épais et visqueux qui flotte à la surface de la pisse. Julie attend. Prudente. Je cesse les petits jets.
Elle lève le verre pour en faire miroiter le contenu à la lueur des trois bougies qui éclairent la scène. Admirative. Belle.

Dans ces moments de vice intense, j'entends la respiration des filles. Elles sont en apnée. Elles reprennent leur souffle.
C'est tellement excitant. Julie place à nouveau le verre sous ma bite. Il est remplit aux deux tiers. Elle attend. Silence.
Clémentine s'est levée pour venir s'accroupir entre nous. Tous les trois nous observons les petits jets et le foutre. Joie.
J'essore mon prépuce juteux contre la paroi du verre. Julie le tient fermement, à deux mains. Il y a du foutre qui coule.
Je n'en ai pas mis la moindre goutte à côté. Julie se penche. Elle met le verre sous son nez pour en respirer le contenu.

Je lui dis : < Tu veux que je t'en mette dans un petit flacon pour en emmener à la maison ? En garder un souvenir ? >
Elle éclate de rire en répondant : < Non merci, ça ira. C'est dans ma tête que ça se passe surtout ! >. Je comprends.
Nous sommes entre cérébraux. Je me branle. Je fabrique du foutre épais, gluant et visqueux qui s'écoule dans le verre.
Pas question d'éjaculer. C'est juste du liquide séminal en quantité abondante. Je suis tellement excité par la situation.
Ce qui est le cas de Clémentine et de Julie. Je ne peux pas continuer à pisser. Le verre est presque plein. Je contrôle.

Julie pose le verre sur la table. Elle prend son téléphone pour faire deux photos. Je sors les couilles. Ça l'impressionne.
< Je peux ? > me demande t-elle en orientant l'objectif vers mes organes génitaux. Je fais : < Mais bien sûr Julie ! >
Elle prend plusieurs photos. Sous des angles différents. Je me branle. Elle filme en gros plans. < Génial ! > lance t-elle.
Julie insiste pour faire la vaisselle avec nous. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Elle me saisit soudain la bite.
< Merci Julien c'est tellement génial ! > fait elle en s'asseyant dans l'auto. < On se contacte très vite ! > s'écrie t-elle.

Nous la regardons partir. < Tu as été génial ce soir. Je suis terriblement excitée. Viens, on va au lit ! > fait Clémentine.
Elle m'entraîne par la bite. Nous nous lavons les dents en faisant les pitre devant le miroir de la salle de bain. Je bande.
Au lit. Le visage entre les cuisses de Clémentine, je recueille le fruit de son excitation. Ça me dégouline dans la bouche.
Je pompe, je lèche, je suce. La cyprine semble intarissable. Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. Fou.
Elle insiste pour me tailler une pipe. Elle aussi a de quoi se régaler. Je lui jute dans la bouche. De longues giclées. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver chez un couple d'amis dont le mec est un vrai vicieux...

Julien - (Qui écoute les dernières impressions de Clémentine qui s'endort blottie dans ses bras, bien au chaud) -

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C'est tellement bien une pipe d'Estelle

Hier matin, mardi, c'est le Concerto en Sol de Ravel qui nous arrache de nos profonds sommeils. C'est cruel. Difficile.
< Ah non ! > s'écrie Clémentine qui se couche sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Il est 5 h55. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Nous descendons vêtus de nos tenues sport.
Nous préparons notre petit déjeuner dans une certaine euphorie car le mardi Clémentine termine à midi. C'est super.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la soirée de hier et mon comportement lors de la présence de Julie.

Nous en rions de bon cœur lorsque Clémentine me fait : < Je te félicite pour ton attitude fort appréciée. Formidable ! >
Nous montons pour nous offrir notre heure de gymnastique. Charges additionnelles, joggings sur tapis roulants. Abdos.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Frais.
Le dernier bisou. Clémentine me palpe la braguette. Je la regarde partir dans le jour naissant. Le dernier coucou. 7 h45.
Je me dépêche de rentrer. Je monte faire notre lit. Je redescends pour faire notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. Enfin.

J'allume un bon feu dans la cheminée. Il est 8 H15. Me voilà assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Super.
J'attaque ce matin la quatrième toile destinée à ma saison 2020. C'est le cycle des "natures mortes". Il m'en faut dix.
Je peins dans un enthousiasme qui me fait rapidement pousser les cris les plus surréalistes, longuement modulés. Joie.
Il est 10 h lorsque la stupide musique de mon smartphone le fait vibrer au fond de la poche de ma blouse. La surprise.
C'est Julie. Elle m'appelle entre deux cours et des toilettes de la faculté. La jeune fille me remercie pour la soirée, hier.

Ce témoignage me va aussi directement au cœur qu'il me va à la bite car j'ai une érection immédiate et très violente.
Je confie à Julie que je développe une addiction à sa visite, à nos bons moment, à son voyeurisme et à mes attitudes.
Nous en rions de bon cœur. Julie n'a que quelques minutes. Elle positionne son téléphone entre ses cuisses. Le pissou.
Je trouve cette initiative adorable. C'est à mon tour de la remercier. Nous nous verrons probablement ce vendredi soir.
Julie se propose de nous faire un courriel afin de nous donner une série de dates pour le projet "Clémentine serveuse".

Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins avec une érection inconfortable. Je me mets à l'aise. Je sors la queue.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée avant d'aller à la cuisine. Je prépare la belle pâte à pain.
Je coupe le poireau en tous petits morceaux pour les plonger dans l'eau bouillante. Il est 12 h15. Clémentine qui arrive.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Elle s'occupe de la salade, de l'assaisonnement.
J'égoutte les coquillettes. Je récupère un peu de la Béchamel contenant le poireau comme sauce en accompagnement.

La pâte à pain repose dans un saladier, sous un linge. La Béchamel repose dans une casserole sous un couvercle. Bon.
Le nécessaire pour la Flamiche Picarde est prêt. Cette tarte au poireau qui fait le délice des rituels de nos mardis soirs.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Je lui raconte le coup de téléphone de Julie. Rires.
< Tu vois, en te faisant écouter son pissou dans les chiottes de la fac, elle te fait part de son plaisir ! > dit Clémentine.
C'est vrai que c'est une surprise qui enchante. Entendre au téléphone une jeune fille de 20 ans qui pisse pour moi. Ha !

Nous traînons à table. Dehors, le ciel reste gris et bas. Les jours se suivent et le climat reste le même. Température 4°.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me propose une petite balade. Prendre l'air.
Voilà une excellente suggestion. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. Joie.
Clémentine, de la mousse aux coins des lèvres, fait une bosse avec sa brosse à dents à l'intérieur de sa joue. Imitation.
Je demande : < Et là, tu suces qui ? >. En faisant attention de ne pas avaler de dentifrice, elle répond : < La tienne ! >

Je sors ma bite. Je l'agite devant le miroir dans sa direction en disant : < Alfred te remercie pour toutes tes faveurs ! >
Clémentine s'en saisit, s'accroupit et fait : < Cher Alfred, c'est toujours un plaisir de s'occuper d'un orphelin si gentil ! >
Nous rigolons comme des bossus. Nous nous rinçons la bouche. Clémentine qui se change pour mettre un vieux jeans.
Nous voilà prêts à aller marcher. Nous dévalons les escaliers. Nos anoraks, nos grosses godasses. Nous voilà au dehors.
Nous descendons vers la rivière. Nous nous tenons par la main. Clémentine revient sur notre projet de "serveuse". Joie.

< Je suis impatiente de me retrouver en situation. Encore une nouvelle expérience. C'est absolument génial ! > fait elle.
Sous mon anorak, j'ai la bite et les couilles à l'air. Clémentine me la tient souvent d'une poigne ferme. Elle m'embrasse.
Accroupie, elle me suçote entre deux conversations. Je glisse ma main entre ses cuisses. Et nous nous promenons ainsi.
Clémentine a encore du travail. C'est une petite balade de deux heures. Déjà 15 h45 lorsque nous revenons à la maison.
Nous allons dans l'atelier. Assise devant l'ordinateur, Clémentine met ses notes au propre. Il lui faut préparer ses cours.

Je peins. Parfois l'un se lève pour venir rejoindre l'autre. Lui faire des bises, murmurer des douceurs, des cochonneries.
Il est 18 h15. Estelle arrive. Elles se sont vues en cours ce matin. Estelle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. Bien.
Elle nous raconte son après-midi au bureau de l'entreprise familiale où elle concilie la paperasse et ses cours. Grand art.
Nous lui racontons la soirée de hier. Mon comportement de satyre et de pervers devant Julie émerveillée et participante.
< Le coup du téléphone entre les cuisses pour te faire écouter son pissou ! Très fort ! Je lui dirai ! > s'écrie Estelle. Rire.

Il est 18 h30. Un coup sourd. Puissant. Il vient de l'étage. Des bruits de pas. Une porte qui grince. Qui finie par claquer.
Nous rangeons nos affaires. < Bonsoir Christine ! > font les filles en même temps pour saluer la visite du fantôme. Bien.
Estelle tente de localiser le déplacement de l'entité. Du doigt, elle montre le plafond en suivant les errances du fantôme.
Cela ne dure guère plus de dix minutes ce soir. Mais quel vacarme. Nous sommes assis devant la cheminée, serrés forts.
Admirer la danse des dernière flammes reste un des plus charmants spectacle d'une fin de journée. C'est reposant. Joie.

Il est 19 h. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade, de son assaisonnement.
Estelle travaille la pâte pour la rendre plus onctueuse encore. Je réchauffe la garniture. < La bite à l'air ! > lance Estelle.
Je lui présente la bite et les couilles qu'elle m'enduit consciencieusement de farine humide. J'ai la bite comme un salami.
< Tu ne lui as toujours pas rasé les poils des couilles ! > lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Sympa.
La tarte aux poireaux est au four. La table est mise. Nous passons au salon. C'est le rituel de la "dégustation" de queue.

Toutes les deux, à genoux sur les épais coussins, les mains croisées sur la tête, me lèche la bite pour bien la nettoyer.
La farine a disparu. J'ai la biroute luisante comme une saucisse viennoise sortie de l'eau bouillante. Et je les congratule.
Je leurs frotte le sexe sur le visage. Elles en gloussent de joie. Toutes mes délicates attentions pour elles les comblent.
J'esquive longuement leurs tentatives pour gober mon sexe. Je bande mou. Il y a les premiers épanchements de foutre.
Je leurs dis : < Ce soir, léchage de chattes ! >. Estelle s'écrie : < J'ai mes "petits machins" de filles. Deuxième jour ! >

Nous rions aux éclats lorsque Clémentine lui dit : < Décidément, tu ne t'emmerdes pas ! >. La sonnerie du four. 19 h45.
J'aide les filles à se relever. Mourants de faim nous nous précipitons à la cuisine. Le repas est un enchantement. Délice.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. < Tu ne peux pas baiser avec parrain demain soir ! > fait Clémentine.
< Non ! Je le suce un peu. Il aime pas trop ça mais à défaut de grive je mange un merle ! > répond Estelle. Eclat de rire.
Nous traînons à table. Je rappelle à Estelle que malgré ses règles, je vais lui offrir un superbe suçage de clitoris. Sympa.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine nous entraîne au salon. Estelle s'accroche à mon cou. Elle se blottit.
< Ce soir, je te taille une méga pipe pendant que tu t'occupes de Clémentine. Tu veux ? J'aimerai bien ! > me fait elle.
< Génial ! > répond Clémentine en retirant son jeans et sa culotte. Estelle suggère une position permettant "l'action".
Clémentine dispose les coussins sur le bureau. Elle s'y allonge. Je m'assois sur la chaise. Estelle met un coussin au sol.
Là, à genoux sous le bureau, elle peut me tailler une pipe dans un confort relatif. Je peux lécher Clémentine allongée.

Le visage entre les cuisses de Clémentine, je hume longuement les effluves parfumées de sa journée de fille. L'odeur.
Je respire jusqu'au vertige. J'ai l'impression d'avoir la bite dans un bol de purée tiède. Estelle me taille une pipe. Bien.
Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues du sexe de Clémentine. Ce goût vinaigré, légèrement acidulé. Miam.
Ça picote sur le bout de la langue. Je pompe la cyprine qui s'écoule. Je ne veux pas en perdre une goutte. Et ça coule.
Les gémissements de Clémentine, couchée sur le dos, à même le bureau, sont l'indicateur de ses immenses plaisirs.

Je suce son clitoris géant. Je récupère les miasmes en décalottant la peau qui le recouvre en partie. Une petite queue.
Clémentine me caresse la tête du bout de ses doigts. Et j'interprète les petits mouvements comme autant de "codes".
J'éjacule dans la bouche d'Estelle. En sournois. Sans bouger. Je peux l'entendre pousser un profond râle. Une surprise.
Elle me fait le "fond de cuve" en gémissant. L'orgasme de Clémentine fait vibrer tout le bureau. Pauvre vieux bureau !.
Je la continue malgré sa tentative de me repousser. Second orgasme. Seconde éjaculation. Il est déjà 22 h. C'est dur.

Nous reprenons nos esprits. Je félicite Estelle pour cette délicieuse pipe. < C'est moi qui te remercie Julien ! > fait elle.
< Moi aussi ! > s'écrie Clémentine. Elles sont toutes les deux blotties dans mes bras. Je les serre fort. C'est émouvant.
Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture dans la nuit froide. La séparation est une fois encore difficile. Douleur.
Nous nous revoyons jeudi soir. Nous la regardons partir. Nous avons toujours un léger pincement au cœur. C'est si bon.
Au lit, épuisés, nous nous cajolons encore un peu. Clémentine me confie ses derniers petits secrets. Branlette en auto.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment sucer de la bite, à genoux, sous le bureau du boss...

Julien - (Qui s'est encore fait vider les couilles. Deux fois, comme le dernier des salauds) -

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Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 986 -



Juliette vient manger à la maison

Hier matin, mercredi, c'est le Rondo Veneziano qui nous arrache avec une cruauté baroque de nos profonds sommeils.
< Taré ! > s'écrie Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit. Dur !
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Il est 5 h55. Vêtus de nos tenues sport, nous descendons.
Nous préparons un solide petit déjeuner que nous mangeons d'un bon appétit en évoquant notre soirée de hier. Super.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.

La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Il fait meilleur que les jours précédents. Du vent.
Un dernier bisou. Clémentine me palpe la braguette. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre. Il est 7 h45.
Je fais le lit et la vaisselle avant d'aller dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Je suis assis devant le chevalet.
Il est 8 h15. Je prépare ma palette. La peinture de cette quatrième toile destinée à ma saison 2020 m'absorbe très vite.
Je peins dans une félicité enchanteresse et quasi divine. Voilà une excellente journée de travail qui s'annonce. Parfaite.

Comme toujours, lorsque je suis ainsi livré à ma passion dévorante, qui est aussi mon job, le temps s'écoule vite. Joie.
Il est déjà midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. La pâte feuilleté, le saumon ont décongelé.
Je fais bouillir l'eau des coquillettes. J'émince finement le saumon, des champignons, de l'ail, de l'oignon. Dans la poêle.
Je fais revenir à feux doux. Je concocte une belle Béchamel. J'y verse le contenu de la poêle. Et j'étale la pâte à la main.
Dans un moule à cake. Je verse la Béchamel après y avoir rajouter du gruyère de Comté. J'enroule la pâte pour fermer.

Une petite salade de carotte en accompagnement de mes coquillettes. J'ai récupéré un peu de Béchamel comme sauce.
Je mange de bon appétit. Le feuilleté de saumon ainsi que le gratin de coquillettes sont au four. Le repas du soir. Bien.
La vaisselle. Je range la cuisine. Je mets mon anorak pour aller faire quelques pas à l'extérieur. Il fait presque agréable.
Il y a du vent. Ce qui assèche le sol. On peut à nouveau marcher sans éviter les flaques et la boue. Et hors des dallages.
Il est 13 h05 lorsque je suis à nouveau confortablement assis devant mon chevalet. Je peins avec cette même sérénité.

Il est 16 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle jette son sac sur le canapé pour se précipiter vers moi rapidement.
Assise sur mes genoux, bras autour de mon cou, elle me raconte ses cours, les profs, menu du restaurant universitaire.
Clémentine a encore du travail. La voilà installée devant l'ordinateur à mettre ses notes du jour au propre. Elle aime ça.
Nous partageons ce goût pour les choses bien faites. Nous sommes plongés dans nos labeurs lorsqu'il y a un gros bruit.
Le fantôme est ponctuel. Il est 18 h30. Nous tentons de localiser les pas au dessus de nous. Et ce soir ils sont traînants.

Nous rangeons nos affaires sans cesser d'écouter et de commenter ce qui semble se dérouler à l'étage. Impressionnant.
Assis sur le tapis, serrés l'un contre l'autre, nous observons la danse des dernières flammes. Les bruits qui s'estompent.
Et ce profond silence qui suit toujours ces phénomènes paranormaux est au moins aussi impressionnant que les bruits.
Il est 18 h50. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Je mets le four en route. Clémentine qui prépare une salade.
Nous dressons la table au salon. Tout est prêt. Nous montons nous changer. Jeans propres, chemises blanches. Pareils.

< N'oublie pas que Juliette est une véritable voyeuse et qu'elle vient pour voir ! > me fait Clémentine, palpant le Zob.
Nous en rions de bon cœur. Nous descendons juste au moment ou résonnent les trois coups de sonnette. C'est Juliette.
Clémentine se précipite pour aller l'accueillir. Je suis aux toilettes. La porte ouverte. Juliette ne peut éviter de regarder.
Elle s'arrête. < Bonsoir Julien ! > fait elle en pénétrant dans les cabinets pour se mettre à ma gauche, se pencher. Voir.
Clémentine se met à ma droite. < Ça commence très fort ce soir ! > fait Juliette en se redressant, tenant ses cheveux.

Je bande comme le dernier des salauds. Je me branle doucement. Je demande : < Vous allez bien depuis samedi ? >
Clémentine invite Juliette à la suivre au salon. Je propose aux filles de s'installer. Je vais assurer le service. Et le vice.
Juliette insiste pour m'aider. < J'attends cette soirée toute la semaine, ce n'est pas pour rester seule ! > me fait elle.
Elle n'arrête pas de mâter ma queue qui pend à présent bien molle de ma braguette. La sonnerie du four. C'est super.
Je sors le plats à gratin et le moule à cake. Le feuilleté de saumon est doré à point. Son fumet est délicieux. C'est bon.

Clémentine remue la salade avant d'emmener le saladier au salon. Juliette s'empare du gratin de coquillettes. Parfait.
J'emmène le feuilleté. Clémentine va au buffet pour en ramener le grand verre ballon. C'est un verre à sangria. Géant.
Elle le pose au milieu de la table en disant : < Julien adore se donner en spectacle vers la fin du repas. Un artiste ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Juliette rajoute : < Je viens tant pour le délicieux repas que pour le spectacle ! >
C'est dans cette ambiance que nous nous commençons un repas succulent. Nous mangeons de bon appétit. C'est bon.

Juliette revient sur la gifle qu'elle m'a administré samedi soir alors que je venais juste de lui éjaculer dans la bouche.
Je l'ai fait sans prévenir, en sournois. Comme j'aime à le faire pour surprendre mes suceuses. Juliette est si confuse.
Je la rassure une fois encore. Je fais : < Juliette, cela ne ferait-il pas partie de votre façon d'appréhender le sexe ? >
< Tout à fait ! > rajoute t-elle comme réconfortée. Juliette est une "dominatrice" dans l'âme. Une maîtresse femme.
Je me masturbe sous la table, de la main gauche, tout en portant la fourchette à ma bouche. Juliette mâte mon bras.

Je me lève pour débarrasser la table. < Je vous donne un coup de main ! > lance Juliette qui se lève avec Clémentine.
Nous ramenons les plats vides à la cuisine. < On fait la vaisselle de suite ? > propose Juliette. On s'y met. C'est sympa.
Je bande mou. Juliette a ramené le dessert. Une belle tarte aux pommes "maison". Bien dorée et le dessus caramélisé.
Je ne m'y attends pas du tout. Juliette se saisit de ma bite. Et juste à sa base. Entre le pouce et l'index pour la secouer.
< Vous permettez ? > fait elle en me fixant dans les yeux avec son regard terriblement vicelard. Ça excite Clémentine.

Je tiens le plat à tarte. Les mains occupées. Juliette, sur ma droite, penchée en avant, agite ma queue vers Clémentine.
< Vous avez beaucoup de chance tous les deux. Je vous envie à chaque fois que je pense à vous ! > nous fait Juliette.
Cet aveux nous comble. Je dis : < Mais lorsque vous êtes avec nous, c'est un privilège supplémentaire ! >. Un silence.
Nous voilà assis à table à savourer la tarte aux pommes préparée par Juliette. Clémentine me fait du pied sous la table.
Je comprends. Je dois pisser depuis la visite du fantôme. Je saisi le verre ballon. Je le tiens sous ma bite molle. Humide.

Une nouvelle surprise. Juliette se lève. Elle contourne la table. Tout comme l'a fait Julie lundi soir, elle s'assoit. Sympa.
Elle prend le verre pour le tenir. Sa tête penchée en avant. Assise à cheval sur le banc. Sa jupe le permettant à peine.
Son visage près du verre, Juliette attend. Clémentine se lève pour venir s'accroupir à côté du banc. Un profond silence.
Je dois absolument pisser avant que l'excitation folle ne me fasse bander. Je me concentre. J'arrive à lâcher une giclée.
Juliette oriente le verre. Pas une goutte à côté. Clémentine tire la chaise pour s'y installer. Et son visage près du verre.

Là, sous le regard de Juliette et de Clémentine, je lâche deux petites giclées que je contrôle malgré tout à la perfection.
Le liquide séminal s'écoule par gouttes épaisses entre chaque giclée. J'essore mon prépuce sur le bord du verre. Super.
Le jus dégouline le long de la parois intérieur du verre à sangria. Juliette le tient à deux mains. Je bande comme un fou.
Clémentine saisit ma queue à sa base pour la forcer à pointer vers l'intérieur du verre. Contrainte presque douloureuse.
Soudain, pointant mon sexe vers sa bouche qu'elle approche et qu'elle ouvre, elle se met à pomper. Bruits. Gargouillis.

Le visage de Juliette est couvert de sueur. Je ne la savais pas aussi émotive. Elle observe comme une entomologiste.
Une fois encore je ne peux m'empêcher de lui caresser la tête. Elle se laisse faire, ignorant totalement mon initiative.
Du moins, je le crois. Clémentine me suce. Là, sous les yeux de Juliette, cette indicible caresse me procure le vertige.
Je suis obligé de me tenir à la table d'une main. A la nuque de Clémentine de l'autre. Nous sommes en apnées. Fou !
Clémentine cesse de sucer. Elle tend mon sexe vers Juliette. Je la vois hésiter. Elle me fixe de son regard dominateur.

< Si tu me pisses à la gueule, tu t'en ramasses une autre ! > me fait Juliette en levant une main menaçante. Silence.
Elle pose le verre ballon sur la table, loin de nous. Elle avance sa bouche. Clémentine y introduit ma bite dégoulinante.
Les yeux ouverts, comme pour garder le contrôle, ne rien perdre de la situation, Juliette me suce du bout des lèvres.
Je veux lui caresser le visage. Elle repousse ma main. Ses curieuses réactions de défense ne m'étonnent plus. La pipe.
Clémentine fait bouger ma queue dans la bouche à Juliette. Elle me branle doucement. Juliette pompe à présent fort.

Je contracte mes muscles fessiers pour faire monter de la jute. Juliette tente de déglutir. Elle lève une main menaçante.
Elle cesse de sucer, saisit le verre ballon pour y recracher une invraisemblable quantité de liquide séminal très visqueux.
Elle frotte ses lèvres sur le bord du verre avant de dire : < Je ne m'y ferais jamais ! >. Clémentine prend le relai. Suce.
Juliette observe. A nouveau elle tend ma queue à Juliette qui se remet à pomper pour recracher dans le verre. Salope.
J'éjacule dans la bouche de Clémentine. Une fois encore, elle tend ma queue vers Juliette qui me fait le "fond de cuve".

Juliette me suce ainsi, consciencieusement, une bonne dizaine de minutes. Elle cesse pour dire : < J'aime "l'après" ! >
< Je préfère ce qui vient après. C'est ma préférence ! > nous confie t-elle. Il est déjà 22 h15. Et il faut êtres sérieux.
Juliette se lève tôt. Comme nous, sa journée commence par un entraînement intense. Clémentine se serre contre moi.
Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. < Venez samedi soir. S'il vous plaît. J'insiste ! > fait Juliette si douce.
Nous confirmerons par mail. Au lit, j'offre à Clémentine un Cunnilingus qui achève de calmer son excitation. Le dodo...

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment rendre visite à un couple dont le mec donne de magnifiques spectacles...

Julien - (Qui offre à Clémentine un orgasme délirant. Elle en gémit en se blottissant contre lui. Derniers secrets) -

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Estelle adore m'enduire la bite de farine

Hier matin, jeudi, c'est le barbier de Seville de Rossini qui nous tire de nos profonds sommeils. C'est une vraie torture.
< De l'Opéra ! > fait Clémentine en se couchant sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Il est 5 h55. Quelques bisous et nous nous précipitons aux chiottes vêtus de nos tenues de gym. Volupté des pissous.
Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner. Pain grillé. Confiote.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre soirée de hier avec Juliette. Et encore étonnés par son attitude.

< La gifle de samedi, c'est parce qu'elle est jalouse que tu sois avec moi. C'est manifeste ! Certaine ! > fait Clémentine.
Je sais qu'elle est dans le vrai. Ses analyses, les déductions qui en découlent s'avèrent toujours d'une redoutable vérité.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous son parapluie. Derniers bisous.
Il est 7 h45. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin dans le jour naissant. Un dernier coucou, la main levée.

Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Déjà 8 h15.
Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Je peins rapidement dans un enthousiasme délirant. C'est bien.
La peinture de cette quatrième toile destinée à ma saison 2020 m'accapare dans de profondes réflexions introspectives.
Il est aux environs de 10 h quand la stupide musique de mon smartphone le fait vibrer au fond de la poche de ma blouse.
En pestant je m'en empare. Surprise. C'est Juliette. Après les civilités d'usage, la jeune femme en arrive à la soirée, hier.

Nous bavardons en mode "haut-parleur", ce qui nous permet de travailler en même temps. Juliette est dans son bureau.
Elle me confie à quel point elle développe une véritable addiction à nos soirée à trois. J'avoue que cela nous ravi aussi.
Nous sommes invités à passer samedi soir. Je ne m'engage pas. Par contre nous viendrons dimanche en fin d'après-midi.
Nous apprécions beaucoup assister à la fin des animations équestres au haras. Nous discutons une vingtaine de minutes.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Comme d'habitude, je me mets à peindre dans un enthousiasme encore décuplé.

J'adore travailler en érection. De bander participe à mon inspiration. Il est rapidement midi. Je mets du bois dans le feu.
Je vais à la cuisine. Pendant que je fais gonfler du riz complet, je prépare la pâte à pain. Le rituel des pizzas. Jeudi soir.
Je fais la garniture. Tomates, ail, oignon, champignons, persil, ciboulette. Je rajoute des queues de langoustines. Super.
Je récupère un peu de garniture en sauce d'accompagnement de mon riz. Je lave les feuilles d'une belle salade. Scarole.
Je mange de bon appétit tout en tentant d'écouter les informations. Aujourd'hui, c'est carrément révoltant et à gerber.

J'éteins la radio pour ne pas rendre mon repas indigeste. La vaisselle. Je range la cuisine. Je mets l'anorak. Le parapluie.
Je sors pour aller faire quelques pas au dehors. La pâte à pain repose sous un linge. La garniture sous un couvercle. Bien.
Je reste sur les dalles de grès pour faire le tour du jardin. La roseraie, les deux bassins. Un paysage hivernale et sinistre.
Il est 13 h lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans le même enthousiasme.
Du bruit. Déjà 16 h30. Clémentine rentre de cours. J'anticipe toujours en posant ma palette, les pinceaux sur la desserte.

Clémentine se précipite vers moi. Elle jette son cartable sur le canapé. < Je t'aime. Et tu m'as manqué ! > s'écrie t-elle.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Ses cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. C'est bien.
Clémentine a encore du travail. La voilà installée devant l'ordinateur à mettre au propre ses notes du jour. Elle apprécie.
Le crépitement du bois dans la cheminée. La nuit qui fait suite à un long crépuscule. Nos souffles et nos cris surréalistes.
Parfois, l'un se lève pour venir faire des bisous à l'autre. Lui chuchoter quelques douceurs. Quelques cochonneries. Joie.

Je lui raconte la conversation téléphonique avec Juliette. < Elle a pris une méchante habitude. Salope ! > dit Clémentine.
Nous en rions de bon cœur lorsque Estelle arrive à son tour. Il est déjà 18 h15. Elle aussi se précipite vers moi. Contente.
Assise sur mes genoux, les bras autour de mon cou, elle me raconte sa soirée avec son parrain, à la cave, à le masturber.
Nous rigolons comme des bossus. Estelle ayant ses règles, c'était la branlette ou rien. Même si parrain voudrait l'enculer.
Nous avons en commun, Clémentine, Estelle et moi, de détester cette pratique. < C'est à chier ! > fait souvent Estelle.

Soudain, à l'étage, un bruit sourd. < Bonsoir Christine ! > s'écrient les filles en même temps pour saluer notre fantôme.
Il est 18 h35. Excellente opportunité de cesser nos travaux pour ranger nos affaires. Ce soir, les bruits sont très violents.
Des pas qui semblent errer sans but. Des grincements de portes qui claquent. Impossible de s'habituer. Impressionnant.
Nous sommes assis sur le tapis. Serrés tous les trois. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite. Nous écoutons. Fort.
La danse des dernières flammes est fascinante. Elles éclaire la grande pièce d'une lueur étrange. A l'étage tout qui cesse.

< Quand je raconte ça à mes parents, ils m'écoutent. Ils ont cessé de rire. Ils aimeraient bien y assister ! > fait Estelle.
Clémentine précise : < Ils viennent manger un dimanche soir et ils pourront entendre ce qui se passe tous les soirs ! >
Je rajoute : < Bonne idée ! Propose leurs ce dimanche. Nous les attendons pour 18 h. Et nous pourrons les préparer ! >
< Je vais transmettre votre invitation ! > conclue Estelle. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Tout est ok.
Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Estelle travaille la pâte à pain. Je réchauffe la garniture.

< Votre bite et vos couilles, monsieur le peintre ! > me fait Estelle en agitant ses mains menaçantes pleines de farine.
Je sors ma bite et mes couilles. Je m'avance. Estelle m'enduit les organes génitaux soigneusement. Notre autre rituel.
En séchant, la farine se met à craqueler. < On dirait une sculpture de la Grèce antique. < Un salami ! > dit Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Les pizzas sont au four. La table est mise. Les filles m'entraînent par le bras jusqu'au salon.
A genoux sur les épais coussins de velours carmin, elles mâtent les attributs virils avec une attention d'entomologistes.

Estelle, la tête penchée sur le côté, me lèche les roubignoles. Clémentine me lèche le Zob. Je les entends glousser. Rire.
C'est devenu un autre de nos amusants rituels. J'ai rapidement la bite et les couilles propres et luisantes. C'est fabuleux.
Estelle se retire des poils de la bouche, disant : < Je me spécialise dans le nettoyage de couilles ! > en éclatant de rire.
< Moi, c'est le nettoyage de queue ! > rajoute Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Je leurs caresse la tête.
Ce jeu se transforme très vite en taillage de pipe "maison". Comme deux "soumises", les mains sur la tête, elles sucent.

Elles se refilent ma bite. Estelle me demande, du foutre ruisselant aux coins des lèvres : < Le "Maître" est content ? >
< Est-il satisfait de nos services ? > rajoute Clémentine. Je me penche pour couvrir leurs visages de bisous. C'est bien.
Je dis : < Mes adorables "Soumises" sont les plus délicates nettoyeuses de bites dans un rayon de 100 km ! Certain ! >
Nous en rigolons comme des bossus. C'est tellement drôle que je me mets à genoux entre les deux filles. Plein de bises.
La sonnerie du four. Je les saisi toutes les deux par leurs nattes pour les tirer comme par une laisse jusqu'à la cuisine.

Elles arrivent à la cuisine à quatre pattes en imitant des grognements d'animaux. Je les aide à se relever. C'est si drôle.
Les pizzas n'ont jamais été aussi bonnes. Nous les savourons de bon appétit et tout en bavardant. Nous traînons à table.
Les filles évoquent la possibilité d'aller passer la soirée de samedi au haras. < Sucer du vieux ! > comme le dit Estelle.
< Ce n'est pas pour déplaire. La vieille bite molle de ce salaud de Gérard reste toujours une friandise ! > dit Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Je propose aux filles un bon léchage de minous après la vaisselle. < Je suce ! > dit Estelle.

Nous débarrassons. Nous rangeons la cuisine. Les filles me tendent leurs nattes. Elle se mettent à quatre pattes. Rires.
C'est ainsi que je les emmène au salon. J'ai toujours encore la bite et les couilles à l'air. Clémentine retire ses fringues.
< On se refait le bureau ? > propose Estelle. Je trouve cette idée parfaite. C'est à la fois pratique et plutôt confortable.
Clémentine s'étale sur les coussins posés sur le bureau. Estelle est à genoux sur un coussin sous le bureau. En position.
Je suis assis sur la chaise, le visage entre les cuisses de Clémentine. Estelle me taille une de ses pipes si somptueuses.

Nous avons tous trois conscience que cette façon de nous offrir du plaisir, va devenir un de nos nouveaux rituels. Joie.
< A appliquer à chaque fois que j'ai mes "petits machins" de filles ! > précise Estelle entre deux pompages très juteux.
< Et quand c'est moi qui les ai, on reproduit mais en permutant ! > rajoute Clémentine entre deux gémissements. Joie.
Le reste de la soirée se déroule ainsi. L'orgasme de Clémentine atteint une fois encore un sommet himalayen. Fabuleux.
Estelle, qui se masturbe tout en me suçant sous le bureau connaît le sien en même temps que je lui éjacule en bouche.

Assis tous les trois sur le bureau, reprenant nos esprits, Estelle dit : < C'est la configuration idéale ! C'est génial ! >
< Put-Hein comme c'est bon ! > rajoute Clémentine. Nous allons aux toilettes. Estelle fait un long pissou. Je la lèche.
C'est au tour de Clémentine. Aux frissons qui secouent son corps lorsque je la lèche, je devine son désir d'une récidive.
Il est 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture sous l'immense parapluie. Séparation difficile et toujours pire.
Au lit, j'offre à Clémentine un second orgasme. < Je n'en peux plus, tu vas me faire mourir ! > dit elle avant de dormir.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment alterner le dessous du bureau et le dessus du bureau. Avec coussins...

Julien - (Qui écoute les dernières révélations de Clémentine s'endormant blottie très fort dans ses bras) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 988 -



L'euphorie du vendredi. L'effervescence du week-end

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par plein de bisous déposés délicatement sur mon visage. J'ouvre les yeux. Dur.
Il est presque 5 h55. < C'est Week-end ! > chuchote Clémentine. Je la serre fort contre moi. Elle éteint le réveil. Ouf.
Juste avant que ne résonnent les premières notes de musique. Nous nous précipitons aux toilettes. La volupté. Pissou.
Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner. Pain grillé. Confiote.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le vendredi Clémentine termine à Midi. Ce qui la rend euphorique.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous son parapluie. Il fait agréable.
Un dernier bisou. Elle palpe ma braguette. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Bien.
Je fais notre lit. Je fais la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un beau feu dans la cheminée. Et il est à peine 8 h15.
Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette en chantonnant "Le grand Café" de Charles Trenet. J'apprécie.

Je peins dans cette euphorie partagée par Clémentine. Cette quatrième toile destinée à ma saison 2020, prend formes.
Cette nature morte aux bijoux sera terminée pour lundi soir au plus tard. Et j'ai une confortable avance sur mon timing.
Je n'ai jamais eu quatre toiles déjà peintes et dix toiles de commandes déjà réalisées pour la fin du mois de novembre.
C'est fort de ce constat rassurant que je peins en poussant les cris les plus surréalistes que je module longuement. Joie.
Comme toujours, ainsi livré à ma passion, les heures défilent à mon insu. Mon horloge biologique qui me prévient. Midi.

Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. La sauce au Roquefort.
Il est 12 h15. Clémentine revient de cours. Elle se précipite pour me sauter au cou. Je la soulève pour la faire tourner.
Elle me couvre le visage de bisous. < Je t'aime Julien ! > me murmure t-elle plein de fois. Elle est tellement heureuse.
Clémentine s'occupe de la salade, de son assaisonnement. Je pane deux filets de colin que je fais revenir dans la poêle.
Avec du Parmesan finement râpé notre repas est un véritable délice. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.

Nous traînons à table. Dehors il fait sombre. Le ciel est bas et lourd. Il pleut sans arrêt. Que faire sinon bosser un peu.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons pour nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir.
Nous restons serrés l'un contre l'autre en nous observant devant l'armoire. Clémentine tient ma braguette. Avec force.
< Comme c'était bon hier soir sur le bureau ! > me fait elle. Je passe ma main entre ses cuisses. C'est doux et chaud.
Nous avons encore du travail. Nous préférons nous garder pour la fin de l'après-midi, une fois tout achevé. C'est sage.

Nous descendons. Nous allons dans l'atelier. Il est 13 h30. Clémentine est assise devant l'ordinateur. Et déjà absorbée.
Je suis assis devant mon chevalet. C'est encore un de ces moments dont nous sommes friands. Des instants fabuleux.
Le crépitement du feu. Le souffle de nos respirations après les apnées de la concentration. Une émulation constructive.
Parfois, l'un se lève pour rejoindre l'autre. Lui faire des câlins, des bisous, chuchoter des douceurs à son oreille. Parfait.
Il est 17 h lorsque Clémentine s'écrie : < Stop ! Ras le bol ! >. Je nettoie ma palette. Nous rangeons nos affaires. Bien.

La nuit tombe rapidement après un interminable crépuscule. Nous nous vautrons dans le vieux canapé. Tous les deux.
Il y a juste la lumière des flammes qui éclaire la grande pièce. Clémentine me confie quelques impressions. Ressentis.
Elle évoque son addiction pour le sexe à Gérard. Je propose de passer la soirée de samedi au haras. Elle pourra sucer.
< Je t'aime, Julien. Tu comprends tout chez moi c'est tellement bien ! > dit elle, se blottissant encore plus fort. Douce.
Pour ce soir, je suggère le restaurant de l'étang. Faire une petite surprise à Julie. < Oh oui ! > s'écrie Clémentine. Joie.

Je me lève pour récupérer le smartphone posé sur la desserte à côté du chevalet. Je le tend à Clémentine qui le prend.
Elle réserve une table. J'entends la conversation. Déjà17 h45. Nous nous y prenons à temps. Il reste juste deux places.
Nous avons du temps. Pendant que Clémentine parle au téléphone avec Anne-Marie, la patronne, je lui retire le jeans.
Je lui retire sa culotte. A genoux sur un des épais coussins, mon visage entre ses cuisses, je hume sa journée de fille.
Je m'enivre jusqu'au vertige de l'effluve parfumée de son intimité de jeune fille. Clémentine vautrée. Cuisses écartées.

Du bout de la langue, je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. J'adore ce goût acidulé. Vinaigré.
Les premiers épanchements de cyprine. Ce fin filet crémeux qui suinte de sa vulve palpitante et chaude. Je me régale.
Je suce son clitoris géant que je décalotte du bout de mes lèvres. Clémentine, en gémissant me guide par les oreilles.
Parfois elle m'appuie sur la nuque jusqu'à m'étouffer. Je retourne sucer la cyprine. Un festin de roi. Je m'en pourlèche.
Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. Clémentine, tout en chuchotant : < Attention ! > me repousse si délicatement.

Nous évitons son explosion de plaisir à trois reprises. Clémentine, même en étant la virtuose de l'esquive, doit lutter.
Je me relève. Il est déjà 18 h30. Clémentine m'entraîne par la main. Nous montons nous préparer. L'envie de pisser.
Je la tiens par ses cheveux. Clémentine lâche plusieurs jets sonores. Je me mets à genoux sur le carrelage. Je lèche.
Je lui nettoie consciencieusement la chatte. J'adore les mélanges. Il faut cesser. Une fois encore un orgasme guette.
Clémentine me tient la queue pour en diriger le jet. Je suis tellement excité moi aussi qu'il y a des coulures de foutre.

Accroupie, Clémentine se régale de mes derniers épanchements. Elle aussi raffole de ces "mélanges" les plus sirupeux.
Je la force à cesser en l'aidant à se relever. Je tire la chasse. Nous allons dans la chambre. Nous nous changeons. Joie.
Clémentine porte une de ses jupes kilt. Des bas noirs fixés par un porte-jarretelle. Le chemisier blanc sous un pull noir.
Ses escarpins à talons. Sur sa demande, je porte mon costume de velours noir, une chemise blanche, le pull col en "V".
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > me dit elle en m'entraînant devant le miroir. Nous nous embrassons.

Nous dévalons les escaliers. Nous passons nos manteaux. Notre immense parapluie. Nous traversons le jardin. Il pleut.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce parfois avec passion. Je lui appui sur la nuque. Pipe.
Quinze kilomètres. Je gare la voiture. Le parking est presque plein. Il est 19 h45. Julie vient nous accueillir. Souriante.
La jeune fille est tellement contente de nous voir. Sa tante a gardé le secret sur la demande de Clémentine. Surprise.
Nous la suivons jusqu'à notre table habituelle. Anne-Mare vient nous saluer. La salle est pleine au trois quart. Clientèle.

Julie n'a pas beaucoup de temps à nous consacrer. Des gens arrivent. Il y a 65 places dans le restaurant. Et occupées.
Nous savourons nos plateaux de fruits de mer. Clémentine voudrait beaucoup s'offrir un petit frisson exhibitionniste.
Hélas, avec tout ce monde, il serait vain de tenter un "plan". Ce qui la frustre un peu. Elle s'est vêtue en conséquence.
Je lui propose de descendre aux toilettes. Si un des clients l'a remarqué, il ne manquera pas de la rejoindre. Excellent.
Pourtant, même si elle passe à chaque fois cinq minutes dans les toilettes homme, curieusement personne ne descend.

Trois tentatives qui s'avèrent inutiles. C'est rageant. Il faut dire qu'il n'y a que des couples. Le plus souvent par deux.
C'est à mon tour. J'attends de croiser le regard de Julie. Je me lève. Je descends les escalier. J'entre dans les chiottes.
Je sors ma bite. J'ai mon smartphone allumé. En mode caméra. Ainsi Clémentine, en haut peut regarder. C'est parfait.
Je suis debout devant un des deux urinoirs. Je me branle. Un bruit de pas rapides qui dévale les escaliers. C'est Julie.
Elle ouvre la porte. Me surprend en pleine masturbation. Julie qui reste dans l'encadrement de la porte pour surveiller.

< C'était génial, lundi dernier. Je reviens lundi prochain ! > me fait elle. J'agite ma queue dans sa direction. Clin d'œil.
Julie rajoute : < Pour le "plan" serveuse, on ne pourra pas le faire un vendredi soir. Trop de gens mais en semaine ! >
Il faudra juste décider du meilleur soir. L'idéal pour nous étant un mardi soir ou un jeudi soir. Estelle veut être avec.
< Je vous tiens informés. On met ça au point lundi soir. Il faut que je remonte ! > dit elle avant de remonter très vite.
Je m'apprête à remballer. Surtout qu'il y a un autre bruit de pas. Quelqu'un descend. Je vais aux lavabos. C'est parfait.

Je me lave les mains après avoir glissé mon smartphone dans la poche. La porte s'ouvre. Surprise. C'est Anne-Marie.
< Julie vous a informé ? Ce serait l'idéal un soir en milieu de semaine ! > me fait la jeune femme. Elle fait un sourire.
Je me retourne. Je passe mes mains sous le séchoir électrique. Anne-Marie précise encore. < Avec deux serveuses ! >
Nul doute qu'elle aussi est à se réjouir de cette aventure. Je me palpe la braguette vulgairement devant Anne-Marie.
Elle lève le pouce de la main droite comme pour me féliciter avant de s'en aller. Je monte. Je rejoins Clémentine. Bien.

Je lui raconte. Il est 21 h45. Le dessert est succulent. Deux énormes coupes glacées. La salle est pleine. De la clientèle.
Nous voyons Julie refuser plein de monde. Des gens n'ayant pas réservé. L'addition. Julie nous raccompagne à la porte.
Nous comprenons pourquoi Anne-Marie décline l'offre de se voir décerner une étoile. Inutile. Une fréquentation si dense.
Je sors ma bite dans l'obscurité. Julie l'attrape pour la tenir dans sa main. < A lundi soir ! > nous fait elle avant de fier.
Dans la voiture Clémentine me suce tout le long de la route. Au lit, je lui offre un cunnilingus de folie. Orgasme. Dodo ...

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment rejoindre des mecs dans les toilettes en sous-sol de bons restaurants...

Julien - (Qui broute la chatte de Clémentine avant de la pénétrer un peu puis de recommencer à la lécher. Miam) -

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Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 989 -



Un samedi très sympathique

Hier matin, samedi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est 8 h. Dehors il pleut. Il fait tellement moche.
Quelques papouilles et Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nos pissous voluptueux et si libérateurs.
Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine pour y préparer un solide petit déjeuner. Pain grillé. Café.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre soirée au restaurant, hier. Julie et le comportement de sa tante.
Notre projet "Clémentine serveuse" semble se dessiner avec les meilleures dispositions de tous les protagonistes. Bon.

La vaisselle. Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles.
Nous terminons par les abdos et le stretching. La douche. Nous nous habillons. Avec cette météo nous faisons simple.
Des jeans propres. Des sweats bien chauds. Nos bottines, nos blousons. Nos écharpes et nos gants. Nous voilà prêts.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Trois kilomètres et nous arrivons au bourg. C'est jour de marché.
Sous notre immense parapluie que tient Clémentine, nous faisons provisions de fruits et de légumes chez l'agriculteur.

Nous faisons provisions de beurre, de yaourts, de fromages, d'œufs et de la crème fraîche chez notre artisan fromager.
Il pleut. Je porte les cabas. Nous sommes très vite de retour à la voiture. Les produits frais dans glacière. C'est parfait.
En route pour la zone commerciale à 15 km. Je roule prudemment sur la petite départementale. Le jeu d'essuies glaces.
Clémentine évoque la possibilité d'aller passer la soirée au haras. Juliette insiste toujours tant. Et nous allons y réfléchir.
Je gare l'auto sur le parking. Je pousse le caddie. Clémentine qui tient la liste des courses m'entraîne dans les rayons.

Il y a des gens. Malgré la météo déplorable toute la ville voisine semble s'être donnée rendez-vous ici, au supermarché.
Il serait vain de tenter le moindre plan exhibe. Ce qui frustre Clémentine. Une bon petit frisson exhibitionniste serait bon.
Hélas, que ce soit au rayon culturel, au rayon des vêtements ou encore à l'informatique, il n'y a pas d'opportunités. Dur.
Nous terminons par la poissonnerie avant de passer en caisse. Il faut être patient. Il y a dix caddies devant nous. Chiant.
Nous flânons dans la galerie commerciale. Il y a une action caritative. Les restaus du cœur. Nous offrons quatre paquets.

Sur le chemin du retour, Clémentine a le nez qui coule de plus en plus. < Le rhume ! > s'écrie t-elle tout en se mouchant.
Nous en rions de bon cœur. Chaque année, et pendant quelques jours, Clémentine doit faire face à cet ennui. Le rhume.
Il est un peu plus de midi lorsque nous sommes de retour. Nous rangeons les courses puis nous montons nous changer.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je fais bouillir l'eau. Le bouillon pour les moules. Superbe.
Ail, oignon, persil et ciboulette permettent d'agrémenter les moules que nous apprécions dans leur jus. Véritable régal.

Dans le wok, je fais décongeler les haricots verts et les petits pois. C'est rapide. Nous mettons la table. Tout est parfait.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Et nous faisons un vague programme pour le reste de cette journée.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine préfère décliner l'invitation de Juliette. Rhume.
Il suffit d'envoyer un texto. Quelques mots pour s'excuser. Ce qui semble soulager et convenir à Clémentine. Préférence.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. < Et si on faisait tout le ménage ? > propose Clémentine.

Je trouve la suggestion parfaite. Ainsi, demain matin, nous pourrons fainéanter à notre aise. Traîner d'une pièce à l'autre.
Clémentine passe l'aspirateur. Je nettoie la cuisine et les chiottes du bas. Nous passons la serpillère tous les deux. Bon.
< A deux c'est rapide ! > fait Clémentine. Nous nous faisons plein de bisous tout le temps mais ça avance quand même.
Nous montons à l'étage. Clémentine passe l'aspirateur. Je nettoie la salle de bain et les chiottes du haut. Odeur de javel.
Clémentine change les draps. Nous faisons le lit ensemble. Il fait froid. Les deux fenêtres sont ouvertes pour aérer. Bien.

Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine mime une bonne pipe.
Je demande : < Tu suces qui ? >. Clément répond en faisant attention de ne pas déglutir : < La bite sale à Mr Gérard ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Nous nous rinçons la bouche. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Sur le lit.
< Et présentement, je vais sucer la bite à Julien ! > fait Clémentine en me faisant tomber sur le lit. Elle m'embrasse fort.
J'ai rapidement la bite à l'air. La tête de Clémentine qui tète posée sur mon ventre. Je lui caresse la tête, la nuque. Joie.

Nous restons ainsi un long moment. Régulièrement je tire Clémentine par ses cheveux pour ramener son visage au mien.
Je lui chuchote des douceurs. Elle retourne à sa pipe dès que sa mâchoire est à nouveau reposée. Je suis si attentionné.
C'est une super pipe. J'ai l'impression d'avoir la bite dans un bol de purée tiède. Nous gémissons tous les deux. Génial.
Tout comme Clémentine, j'aime à rester excité pour le reste de la journée. J'esquive l'orgasme à trois reprises. C'est bon.
Il est 16 h30 lorsque nous descendons pour aller dans l'atelier. Je prépare une bonne tisane à Clémentine. Petits gâteaux.

Assise devant l'ordinateur, Clémentine prépare un cours pour la semaine prochaine. Moi, je suis assis devant le chevalet.
Je mets à profit ce moment magique pour appliquer le dessin préparatoire d'une future toile. Calque d'un ancien dessin.
Cette formule me permet de gagner beaucoup de temps. Reproduire une ancienne œuvre mais avec des changements.
La nuit tombe. Il est 18 h. Estelle arrive. Elle nous fait la bise. Assise sur mes genoux, elle nous raconte sa journée. Bien.
Les filles sont devant l'ordinateur à peaufiner une de leurs stratégies. Elles aiment surprendre les professeurs. Brillantes.

Un bruit sourd. C'est au-dessus de nos têtes. Il est pile 18 h30. < Bonsoir Christine ! > font Clémentine et Estelle. Rien !
Des pas se font entendre. Estelle se déplace pour tenter de les suivre. De les localiser. Des grincements et claquements.
< J'en ai parlé avec papa et maman. Ils viennent manger demain soir pour assister à ces phénomènes ! > précise Estelle.
< Génial ! > fait Clémentine. Superbe. Nous évoquons plusieurs idées de plats. < On fait simple ! > rajoute encore Estelle.
A l'étage les bruits s'estompent. Comme si quelqu'un baissait le son doucement. Et c'est toujours très impressionnant.

Nous restons assis devant la cheminée à regarder la danse des dernières flammes. Il est 19 h. La faim se fait sentir. Dur.
Nous nous précipitons à la cuisine. Improvisation totale. Estelle suggère un gratin d'aubergines avec du pâté de lentilles.
< Excellente idée ! > s'écrie Clémentine. Je propose de remplacer le pâté de lentilles par des filets de colin pannés. Bon.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle lave et coupe les aubergines. Je pane les filets. Chacun à sa tâche nous rions.
< C'est bien aussi de rester à la maison ! > fait Clémentine qui retire la main d'Estelle glissée dans ma braguette. La bite.

Le gratin est au four. Les filets sont au chaud dans la poêle sous le couvercle, feux éteint. Nous mettons la table au salon.
Estelle s'assoit sur le bureau et s'écrie : < On permute ce soir, pour le dessert ? >. Nous en rigolons comme des bossus.
Clémentine va au canapé pour en récupérer tous les coussins. Quatre sur le bureau. Le dernier parterre et sous le bureau.
Estelle se vautre sur les coussins. < Soirée bureaucrates ! > fait elle. < On va faire notre compta ! > rajoute Clémentine.
< La méthode des moindres carrés. La méthode de Mayer. En abscisse le vice, en ordonné le sexe ? > demande Estelle.

Tout cela nous amuse beaucoup. Je sors ma bite que j'agite vers les filles vautrées dans le canapé. Elles applaudissent.
Je m'approche. Elles me tendent leurs visages d'anges en ouvrant la bouche. Je leurs frotte la bite sur la gueule. Super.
Nous adorons jouer à l'esquive. Chaque fois que l'une manque de me gober la bite, je retire la queue au dernier moment.
La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Nous ramenons les plats au salon. Tout est parfait.
Nous mangeons de bon appétit tout en riant beaucoup. < On va s'offrir une de ces soirées ! > lance Estelle en se levant.

Elle mime une masturbation masculine avec toute sa vulgarité coutumière. Clémentine mime une pipe. Je me lève aussi.
Nous traînons à table. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon en me tirant par les mains. Pressées de nos agapes.
Estelle retire son jeans et sa culotte. En chaussettes et avec sa chemise à carreaux, la voilà couchée sur le bureau. Rires.
Clémentine se contente de déboutonner sa braguette avant de se mettre à genoux sur le coussin sous le bureau. Prête.
Je suis assis sur la chaise. Mon visage entre les cuisses d'Estelle. Je hume longuement les odeurs de sa journée de fille.

Je dois surmonter quelques hauts le cœur. Estelle reste "fille négligée" le week-end. Rien que pour m'offrir un bon repas.
Je bouffe sa chatte. Depuis quelques mois, ses épanchements de cyprine n'ont plus rien à envier à ceux de Clémentine.
Clémentine me taille une pipe des familles. Comme je me suis déjà fais sucer cet après-midi, il y a des montées de jute.
C'est dans un concert de gémissements que je lèche une moule dans son jus et que je me fais pomper le nœud. Super.
Estelle connaît un orgasme rare. Sous le bureau, tout en me suçant comme une affamée, Clémentine se masturbe. Joie.

Je propose la permutation. < Veux pas ! > fait Estelle en m'offrant sa cramouille baveuse. J'y retourne. Avec délectation.
L'orgasme à Clémentine, sous le bureau est tout aussi sonore. Elle ne cesse pas de sucer pourtant. Et c'est fantastique.
Les filles veulent rester à leur place. < C'est trop bien ! > fait Estelle. < C'est trop bon ! > fait Clémentine. Tout est parfait.
J'éjacule dans la bouche de Clémentine qui pousse un râle de bonheur. Estelle lève la tête. Elle demande : < Tu jutes ? >
Je fais oui de la tête sans arrêter de sucer son clitoris et de pomper son jus de fille. Nouvel orgasme d'Estelle. Le délire.

Bonnes soirée à toutes les coquines qui aiment les travaux de bureau, la paperasserie et la comptabilité...

Julien - ( Qui se laisse entraîner au lit par les deux coquines littéralement épuisées. Estelle s'endort la première) -

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La visite des parents d'Estelle en soirée

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par Estelle qui se blottit contre moi avec un force invraisemblable.
Comme une naufragée à sa bouée. Elle me couvre le visage de bisous. Se saisit de mon érection pour la serrer. Fort.
Tout cela réveille Clémentine qui se blottit à son tour. Je suis entre les filles qui me chuchotent plein de trucs sympas.
Clémentine nous a fait cadeau de son rhume. Nous sommes tous les trois avec nos nez qui coulent et à nous moucher.
Nous luttons contre l'envie de pisser. Estelle se lève la première en s'écriant : < Pipi ! >. Clémentine me chevauche.

Estelle revient, plonge sur le lit en nous disant : < Je descends préparer le petit déj. Mais j'ai pas envie d'être seule ! >
< Attends nous ! > fait Clémentine qui m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Il est 9 h. Et dehors il fait si moche.
Nous revenons. Estelle s'est habillée. Nous faisons pareil. Tous les trois vêtus de nos jeans et nos chemises à carreaux.
Nous dévalons les escaliers. Clémentine s'occupe du café. Je presse nos oranges. Estelle fait griller les tranches de pain.
La brioche du dimanche matin. Un "chinois" au pudding est notre gâterie dominicale. Nous savourons ce petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons notre soirée de hier. Les "travaux de bureaux". Rire.
Estelle nous confirme que ses parents arrivent en fin d'après-midi pour 18 h. Ils veulent assister à la visite du fantôme.
< Maman est morte de trouille ! > fait Estelle. < On va leur refiler la crève ! > rajoute Clémentine. On se mouche. Rire.
Nous traînons à table. Comme nous avons fait le ménage hier, nous apprécions un certain farniente. Ce qui est si rare.
Assises sur mes genoux, tout en terminant leur tranche de brioche, les filles évoquent leurs études. Ruses et stratégies.

Il n'y a plus que trois semaines de cours avant les vacances de fin d'année. < Comme ça passe vite ! > fait Clémentine.
< Vous allez encore m'abandonner pour Noël ! > murmure Estelle en imitant des pleurs. Nous rions de bon cœur. Joie.
Nous avons notre avion pour Edimbourg le lundi 23 décembre. Estelle nous rejoint le jeudi 26. Et juste 3 jours sans elle.
Je dis : < Nous allons nous occuper des réservations dès ce matin ! >. La vaisselle. Les filles qui m'entraînent au salon.
Clémentine allume l'ordinateur. < Easy Jet ! > font les filles en même temps, découvrant les tarifs et les disponibilités.

Il reste des places sur la ligne d'une compagnie française. J'aime voyager en première classe. < Bourge ! > dit Estelle.
Nous en rigolons comme des bossus. C'est Clémentine qui fait toutes les manipulations à l'ordinateur. C'est très rapide.
Je m'écrie : < Et voilà ! >. Les coordonnées de ma carte bancaire enregistrées nous ouvrons quelques pages écossaises.
Nous avons tant et tant de photos de l'Ecosse. Nous comparons avec les plus belles conservées sur le bureau de l'ordi.
Il y a même le château d'Edimbourg en fond d'écran. Assises sur mes genoux, les filles me couvrent le visage de bises.

L'imprimante qui crépite. Et voilà nos documents. < Avec toi tout est toujours si simple ! > me fait Clémentine. Bisous.
Nous allons devant l'une des deux portes fenêtres du salon. Dehors, il pleut. Nous sortons sur le perron. Une fraîcheur.
A l'abri sous le grand balcon de l'étage, en haut de l'escalier, nous restons serrés fort pour rester au chaud. On rentre.
Estelle glisse sa main dans ma braguette. < Tu t'emmerdes plus ! > lance Clémentine qui déboutonne mon jeans. Rire.
J'ai la bite à l'air. Les couilles qui pendent. Bien dodues. Clémentine referme juste le bouton du haut. Cela serre le tout.

< Viens, je vais te les raser ! > me fait Estelle en m'entraînant vers l'escalier. Nous remontons en riant de bon cœur.
Là, dans la salle de bain, les filles m'enlèvent le jeans et le slip. Je suis assis sur le bidet. Je me sens un peu ridicule.
A genoux entre mes jambes écartées, Estelle joue au docteur. < Rasoir ! > fait elle. Clémentine tend les accessoires.
< La mousse à raser, l'eau chaude ! > demande Estelle qui soupèse mes couilles en reniflant les odeurs de ma queue.
Clémentine se met à genoux à côté d'Estelle sur l'épaisse serviette pliée en quatre sur sa longueur. C'est confortable.

Avec le blaireau, Estelle enduit consciencieusement mes couilles et ma bite de mousse à raser. C'est tiède et agréable.
Avec une petite paire de ciseaux à ongles, elle coupe soigneusement tous les poils qui dépassent. Et il y en a parterre.
Armée du rasoir usé que je garde pour les parties délicates, Estelle passe doucement la lame sur les roubignoles. Bien.
< Si je te fais mal, tu le dis ! > fait elle et en rinçant à chaque fois le rasoir dans la cuvette que tient Clémentine. Rire.
< On dirait de la peau d'un poulet déplumé ! > s'écrie Estelle en me séchant les parties génitales. C'est tellement vrai.

Me voilà glabre des couilles. Plus un poil. Estelle m'enduit de crème Nivea. Les filles caressent affectueusement le Zob.
< Que voilà un monsieur bien rasé pour traîner avec des jeunes filles ! > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus.
Clémentine oriente le miroir de façon à ce que je puisse bien admirer le résultat de l'épilation. Et je félicite Estelle. Rire.
Je n'ai jamais rasé mes parties génitales. Je ne suis pas très poilus. J'ai une peau naturellement lisse. Là c'est étrange.
< Je goûte ! > fait Estelle qui se met à sucer avec avidité. Clémentine tient mes couilles comme un objet précieux. Ah !

Les filles se refilent ma bite. Je leurs caresse la tête. Il est déjà 11 h30. Je propose d'en rester là et de descendre. Joie.
Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. < Chaque fois que ça pique, de la crème ! > me dit Estelle.
< Mais c'est moi qui l'applique ! > rajoute Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Et nous préparons le repas.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle et moi nous épluchons les patates, les carottes, le navet et le céleri rave. Bien.
Nous en faisons en grande quantité. Ce sera l'accompagnement de l'inévitable feuilleté de saumon de ce soir. C'est bon.

Tout est rapide. Estelle émince finement le saumon qu'elle verse dans la poêle où je fais blondir l'ail et l'oignon. Parfait.
Clémentine prépare la Béchamel. Il suffit d'y rajouter le contenu de la poêle ainsi que du gruyère de Comté râpé très fin.
Le feuilleté de saumon est au four. Je remue la potée dans la vieille cocotte en fonte noire. Les filles qui mettent la table.
J'ai la bite, les couilles à l'air. A tour de rôle les filles se penchent pour mâter, pour humer. < Crème Nivea ! > dit Estelle.
< Je préfère "nature" ! > dit Clémentine qui soupèse le paquet. Je n'ai jamais vu mes roubignoles aussi luisantes. Lisses.

< Monsieur "Couilles Chauves" ! > lance Estelle avant de s'accroupir pour sucer. La bouffe est prête. Je la force à cesser.
Nous mangeons de bon appétit tout en riant beaucoup. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation.
< Cool ce soir ! Et tu ne dragues pas ma mère ! > me fait Estelle en accélérant le mouvement. Nous rions de bon cœur.
Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, tout en caressant mes couilles, les filles évoquent nos futures vacances.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous allons dresser la table au salon pour le repas du soir. Une belle décoration.

Il est 14 h30. Nous mettons nos anoraks. Sous l'immense parapluie, sans quitter les dalles, nous faisons une promenade.
Le tour de la propriété. Un paysage hivernale pour cet automne finissant. Nous allons dans la serre. Il y reste du fenouil.
Avec nos nez qui coulent, nous préférons rentrer. Une bonne tisane. Nous voilà dans l'atelier. J'allume un beau feu. Bien.
Quelques châtaignes parfument la grande pièce. Que faire d'autre avec cette météo que de travailler un peu. C'est parfait.
Les filles préparent de prochains cours, prenant ainsi une considérable avance. Ce qui étonne leurs professeurs. Superbe.

Je reproduis deux dessins d'anciennes réalisations. Deux dessins préparatoires qui permettent un gain de temps. Super.
L'après-midi se passe ainsi. Il est 17 h30. Nous quittons l'atelier pour monter nous changer. Jeans propres et chemisiers.
Nous faisons les pitres devant le miroir de l'armoire. < Sors tes couilles chauves ! > fait Estelle tout en s'accroupissant.
Clémentine accroupie à ma droite, Estelle à ma gauche, j'agite ma bite. Nous ne pouvons pas traîner. Il est déjà 17 h50.
Nous dévalons les escaliers. J'ai la braguette bien fermée. Trois coups de sonnette. Estelle se précipite. J'allume le four.

Clémentine invite Michèle et Yvan, les parents d'Estelle à la suivre au salon. Estelle vient me faire plein de bises secrètes.
Nous allons rejoindre ses parents. Michèle est vêtue d'un pantalon noir à plis, un chemisier blanc, des escarpins à talons.
Nous nous serrons la main. Yvan est vêtu d'un jean et d'une chemise blanche. Il a ma taille et est athlétique comme moi.
Nous sommes contents de nous revoir. Nous voilà vautrés dans le canapé, Estelle, Clémentine assises dans les fauteuils.
Nous bavardons. Nous sommes invités à un repas de fête pour le dimanche 22 décembre. La vieille de notre départ. Joie.

La seule lueur dans la grande pièce vient des bougies. Une ambiance propice aux mystères et à l'imagination. Fait exprès.
Soudain, au dessus de nos têtes. Un bruit sourd, caverneux, inexplicable. < Le fantôme ! > s'écrient les filles de concert.
< Put-Hein ! C'est vrai ! > lâche Yvan. Michèle se serre contre lui en s'écriant : < C'est une maison hantée ma parole ! >
< Ben oui ! Depuis le temps que je te le dis ! > fait Estelle. Yvan se lève. < On monte ? > me demande t-il. Pourquoi pas.
Je ne suis jamais monté. Non par trouille mais pour laisser le fantôme de mon ancienne compagne flâner tranquillement.

Il y a une série de bruits considérables. On les entends encore mieux depuis le salon. Nous montons à l'étage. Très vite.
Yvan et moi les premiers suivis de Michèle, de Clémentine et d'Estelle. Tout a cessé brutalement. Un courant d'air glacé.
Pourtant, aucune fenêtre n'est ouverte. Nous visitons chaque pièce. Dans notre chambre à coucher, Michèle touche le lit.
Elle me lance un curieux regard avant de mâter ma braguette. Je comprends immédiatement ce qui traverse son esprit.
Je peux même lire sur ses lèvres : < C'est ici ! >. La mère d'Estelle n'est pas dupe. Elle connait la nature de la relation.

Cela me gêne toujours considérablement. Les parents d'Estelle sont plus jeunes que moi. Et c'est parfois embarrassant.
La sonnerie du four. Nous redescendons. Tout a cessé. < On n'a rien vu. Mais on a entendu ! > fait Yvan. Nous en rions.
Le repas est un délice qui fait le régal des convives. Nous bavardons. Je surprends souvent le regard de Michèle. Fixe.
Si je ne baisse pas les yeux, la maman d'Estelle me fixe. Ses yeux bleus et perçants. Le sosie de sa fille. Cheveux noirs.
Nous traînons à table jusqu'aux environs de 21 h45. Il faut se quitter. Nous raccompagnons Michèle et Yvan à la porte.

< Je suis là dans une demi heure ! > fait Estelle à son papa qui lui fait deux bisous. Nous rentrons nous mettre au chaud.
Nos nez qui coulent. Nos mouchoirs en papier à la main. Nous faisons le bilan de cette soirée fort sympathique. C'est bon.
Estelle adore ses parents. De les savoir, là, dans cette maison où elle vit tant de bonheur, la comble d'une joie si intense.
Nous faisons la vaisselle. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Séparation cruelle et difficile. J'ai la bite à l'air.
Au lit, Clémentine insiste pour me sucer avec tant de passion. Je la pénètre un peu. Je la lèche. Des orgasmes tantriques.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment la présence de papa et de maman dans la maison de leurs turpitudes...

Julien - (Qui écoute les dernières impressions de Clémentine. Elle ne tarde pas à s'endormir blottie contre lui) -

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Quelques changements de programmes

Hier matin, lundi, c'est la Sonate pathétique de Beethoven qui nous tire de nos profonds sommeils. Plutôt violemment.
< Il est taré ! > fait Clémentine qui se couche sur moi pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit. De mon côté.
Quelques papouilles. Il est 5 h55. Nous nous précipitons aux toilettes. Et morts de faim nous descendons à la cuisine.
Nous préparons un solide petit déjeuner. Le lundi il reste toujours de la brioche. Nous mangeons de bon appétit. Bien.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles. Abdos.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Elle me rejoint bien chaudement vêtue.
Il fait froid. Il est 7 h45. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Chaud.
Je fais notre lit. Je fais notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Ce matin il fait froid.
Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Il faut travailler avec la lumière artificielle. Dur.
Je peins dans un confort d'esprit. Je termine cette quatrième toile destinée à ma saison 2020, ce soir. C'est sécurisant.

Il est dix heures lorsque la stupide musique de mon smartphone m'arrache de mes profondes réflexions. J'enrage. Dur.
C'est Julie. Elle m'appelle depuis les toilettes de l'université, entre deux cours. Elle ne pourra pas venir ce soir. Malade.
Je la rassure, Clémentine et moi nous avons la crève aussi. Julie n'a pas le temps de discuter longtemps. Elle est triste.
Nos lundis soirs sont devenus des rituels très importants. Il faut se faire une raison. Je la rassure. On se voit vendredi.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins en pensant à cette adorable coquine. Trois coups de sonnette. Qui ?

Je vais à la porte. C'est le menuisier du bourg. Il me livre enfin les cadres pour expédier mes toiles. Et il était temps.
Ce sont dix cadres de bois destinés à protéger mes toiles de commandes que je vais envoyer dès demain après-midi.
Je le remercie. Il m'enverra la facture. C'est tous les ans le même principe. Cette année avec un peu de retard. Parfait.
J'emmène les cadres dans l'atelier. Ils sont légers et très solides. Indéformables. Je les ai conçu il y plus de vingt ans.
Je peins en pensant cette expédition. A Julie. A notre projet. Clémentine qui va jouer à la serveuse dans le restaurant.

Il est presque midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Il reste encore de la potée de hier.
Je fais une salade de tomates. Je pane un filet de cabillaud. C'est rapide. Je mange de bon appétit. Malgré le rhume.
La vaisselle. Je range la cuisine. Il est 12 h45 lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant le chevalet.
Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. Avec un sentiment d'assurance et une profonde sérénité. Superbe.
Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable sur le canapé. Elle se précipite vers moi. Impatiente.

Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Les cours. Les profs. Les menus du restaurant universitaire.
Ses bras autour de mon cou, elle me confie avoir utilisé trois paquets de mouchoirs en papier. Et tout comme je l'ai fait.
Nous avons tous les deux le nez qui coule. Clémentine a gardé ses gants toutes la journée pour éviter tous les contacts.
Estelle a fait de même. < Tout le monde a la crève à la fac ! > me dit Clémentine. Je dis : < Comme ici ! La crève ! >
Nous en rions de bon cœur. Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant l'ordinateur pour recopier ses notes.

Je lui raconte l'appel de Julie. < Ça tombe bien. On va pouvoir emballer les toiles. Je veux t'aider ! > lance Clémentine.
Il est 18 h lorsque je dépose la toute dernière touche de rouge de Cadmium sur la surface de la toile. Elle est terminée.
Je la dépose sur le second chevalet afin qu'elle puisse y sécher. Je prends une nouvelle toile déjà prête. Dessin, enduit.
Je rejoins Clémentine qui m'explique ce que je vois sur l'écran de l'ordi. Un graphique. Des courbes. C'est assez abstrait.
Nous sommes tous les deux assis l'un à côté de l'autre. Mouchoir en papier dans une main. Nos nez qui coulent. Sympa.

Clémentine éteint l'ordinateur en disant : < Stop ! Ça suffit pour aujourd'hui ! >. Il est 18 h30. Un gros bruit à l'étage.
< Elle n'a pas la crève Christine ! > lance Clémentine. Au dessus de nos têtes le fantôme erre longuement. Et sans but.
Cela dure une bonne dizaine de minutes. < Viens, on fait les emballages ! > me propose Clémentine. Nous nous levons.
Je sors le gros rouleau de papier Kraft de l'armoire. Clémentine m'aide chaque année depuis trois ans. Elle sait le faire.
Nous travaillons en bavardant. < Tu me montres tes couilles après. Tu as mis de la crème ? > me fait Clémentine. Rire.

C'est vrai que mes couilles, fraîchement rasées hier, m'ont un peu démangé toute la journée. J'y ai appliqué la crème.
Nous en rigolons comme des bossus. Les dix toiles sont parfaitement emballées. Prêtes à êtres envoyée. C'est superbe.
Nous nous réjouissons de les emmener à la poste demain après-midi. Il faudra aller en ville. Un excellent programme.
Il est 19 h15. Nous allons à la cuisine. Malgré le rhume, nous avons faim. Clémentine s'occupe de la salade. Une laitue.
Je fais gonfler du riz complet. Je fais rissoler des crevettes à la poêle. Ail, oignon, persil et ciboulette. La crème fraîche.

Nos rhumes altèrent quelque peu le goût des aliments. Nous mangeons toutefois de bon appétit et tout en bavardant.
La perspective d'aller en ville demain après-midi procure une certaine effervescence. Nous traînons à table. C'est bien.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine émet quelques possibilités d'exhibes demain.
Je dis : < Il faudra nous habiller chaudement. Pas question de te balader en jupe. C'est prendre le risque d'aggraver ! >
Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Nous voilà vautrés. Canapé.

< C'est bien aussi d'êtres seuls, tous les deux. Je m'en rends compte aux rares occasions qui se présentent ! > dit elle.
Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. < Avec nos rhumes, même le goût du foutre change ! > fait elle.
Je dis : < Il faut que je te goûte pour faire la part des choses ! >. Nous éclatons de rire. Clémentine me sort la queue.
< Oh ! Mais elles sont toutes lisses et douces ! > fait elle en caressant mes couilles dodues. C'est vrai. Elles sont lisses.
Clémentine renifle ses doigts. < Nivea ! > lance t-elle. Je confirme. < La crème des familles ! > fait encore Clémentine.

Elle se lève pour déposer un des épais coussins au sol. Entre mes jambes. Elle s'y met à genoux. Elle tient ma queue.
Je la regarde humer longuement ce mélange. L'odeur de la crème et de ma journée d'homme. < Miam ! > lance t-elle.
Je la regarde glisser sa langue entre la peau de mon prépuce et le gland. Cela évoque un petit animal qui se promène.
Je lui caresse la tête. Je ne tarde pas à bander. Clémentine suce. Avec le nez qui coule, elle cesse souvent. Se mouche.
Inutile de s'imposer cette épreuve devenue inconfortable avec nos rhumes. < Ça na pas le même goût ! > me dit elle.

J'ai envie d'essayer à mon tour. Clémentine retire son jeans et sa culotte. Et c'est moi qui suis à genoux sur le coussin.
C'est vrai. Avec nos affections nasales, les choses ont un autre goût. Pour moi, ils deviennent semblables. Et identiques.
Ce curieux phénomène est partagé par Clémentine qui le perçoit de la même façon. Puis je lèche les lèvres de son sexe.
C'est quand je suce son clitoris géant, que je le décalotte du bout de mes lèvres que Clémentine se met à gémir. Miam.
Elle bouge le bassin doucement. Affaiblie par l'affection, Clémentine a beaucoup de mal à se contrôler. Et à se maîtriser.

Il lui est impossible d'éviter l'orgasme. Le plaisir qui la submerge. Qui achève de l'épuiser totalement. C'est merveilleux.
Elle me caresse la tête en me chuchotant des douceurs. Elle me repousse délicatement. Un second tour serait "mortel".
Nous en rions de bon cœur. < Et toi ? > me demande t-elle en me tenant fermement par la bite un peu mollasse. Joie.
Je réponds : < Moi, mais je suis l'homme le plus heureux de l'univers. Je viens d'offrir du plaisir à la fille que j'aime ! >
Nous sommes tous les deux complètement épuisés. Je propose de remettre cette pipe qu'elle aimerait faire, à demain.

Il est 21 h45. Nous montons. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Rire.
Il est rare que soyons déjà au lit à cette heure. Mais fatigués comme nous le sommes, nous apprécions. C'est superbe.
Blottie dans mes bras, Clémentine me confie à quel point elle est contente d'aller en ville demain. Se changer les idées.
Elle me tient les couilles. Se mouche. Me raconte des trucs très rigolos. Et doucement, elle se relâche pour s'endormir.
Je tente bien de lutter contre la fatigue pour la regarder encore un peu. Mais c'est inutile. Je glisse dans le sommeil ...

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font sucer le clitoris avec le nez qui coule autant que la cramouille...

Julien - (Qui sent et qui écoute les derniers battements du cœur de Clémentine, si fragile d'apparence, contre lui) -

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Un mardi après-midi en ville

Hier matin, mardi, Clémentine me couvre le visage de bisous juste avant que ne résonne la musique. Presque 5 h55.
Couchée sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit, elle me murmure : < Je vous aime ! >
Réveillé de cette délicieuse façon je la serre fort contre moi. Au réveil, je bande toujours comme un véritable salaud.
C'est par mon érection que Clémentine m'entraîne aux toilettes. Fort heureusement je débande vite. Nous descendons.
Vêtus de nos tenues sport nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Parfait.

Le mardi, Clémentine termine à midi. Comme nous avons un projet pour l'après-midi, ça rend Clémentine euphorique.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.
La douche. Je descends. Je sors la petite auto de Clémentine. Il fait froid. Elle me rejoint chaudement vêtue. Bonnet.
Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller dans le jour naissant. Il est 7 h45. Un dernier coucou. Je rentre vite au chaud.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis assis devant le chevalet.

Je prépare ma palette. Je suis très inspiré ce matin. Je commence la cinquième toile destinée à ma saison 2020. Super.
Je peins dans l'euphorie communicative offerte par Clémentine. Je pousse les plus surréalistes cris de satisfaction. Bien.
C'est une nature morte. Il y a quelques objets précieux, un tissu de dentelles, un livre relié de vieux cuir, sur fond noir.
A chaque coup de pinceau plus sublime je me lève pour exécuter la danse d'un guerrier Sioux autour de mon chevalet.
Il est rapidement midi. Je viens de prendre conscience que mon nez ne coule presque plus. Quel soulagement. Superbe.

Je nettoie ma palette. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes.
Je prépare la pâte à pain. Je coupe le poireaux en petits morceaux que je plonge dans l'eau bouillante. Avec méthode.
Il est 12 h20. Clémentine arrive pour me sauter au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Si heureuse.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais une Béchamel dans laquelle je verse le poireau cuit et du gruyère râpé. Bien.
Je récupère un peu de Béchamel comme sauce avec les coquillettes. Je fais rissoler quatre gros gambas. Mort de faim.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de l'après-midi. Nos nez ne coulent plus. Et fini le rhume.
La Béchamel repose sous un couvercle. La pâte à pain repose sous un linge. Les ingrédients de notre repas de ce soir.
La Flamiche Picarde. Cette tarte au poireau qui fait les délices de nos mardis soirs. Un de nos nombreux rituels. Super.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.
Clémentine reste vêtue de son jeans, de sa chemise à carreaux sous son gros pull, de ses bottines et de son manteau.

Sur sa demande, je m'habille exactement de la même manière. Nous mettons nos chapeaux de feutre noir. Identiques.
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > fait Clémentine en m'entraînant devant le miroir de l'armoire. Vrai !
Nous descendons à toute vitesse, pressés de filer. Dehors il fait un froid vif et cinglant. Nous prenons les cadres de bois.
Il faut les emmener à la voiture. Trois allés et retours. Ils sont empilés sur le siège arrière de la voiture. Tout est prêt.
Nous voilà en route. Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. Quinze petits kilomètres. Bien.

La poste est en face de la gare. J'entre dans la cour réservées à la clientèle. Peu de voitures. Nous prenons les cadres.
Chacun deux. Nous entrons dans la grande bâtisse. Personne au guichet des expéditions. Un rêve. C'est mardi surtout.
Je propose à Clémentine de m'attendre là, je vais chercher les autres cadres. Trois allées et retour. Voilà qui est parfait.
Je choisi la formule la plus sécurisée. Chaque colis arrivera chez le destinataire sous 24 h garanties. J'ai les récépissés.
Cette formalité accomplie m'emplit d'une satisfaction intense. Voilà dix commanditaires qui verrons leurs toiles arriver.

C'est chaque année la même chose. Chaque année je me dis que je pourrai me contenter de réaliser des commandes.
Pourquoi continuer à m'emmerder à peindre tous les jours. Je peux prendre ma retraite depuis au moins dix ans. Rire.
C'est compter sans ma passion dévorante. Peindre me consume. C'est un sublime bonus à une vie de privilégié. Plaisir.
Nous en parlons souvent avec Clémentine. Elle me rejoint complètement sur ce principe. Continuer mes activités. Joie.
Nous laissons la voiture garée là. A dix minutes du centre. Sachant que la poste ferme pour 18 h. Il faudra revenir ici.

Nous allons vite. Nos hautes tailles, notre élégance, cet homme d'âge mûr tenu par une jeune fille attirent les regards.
Nous nous amusons beaucoup de la curiosité que nous suscitons. Pour bien situer notre relation, Clémentine me bise.
Nous voilà dans la grande librairie au second étage du grand bâtiment. La FNAC. Il y a peu de monde. Mardi à 15 h15.
Nous découvrons les nouvelles parutions. Clémentine aimerait beaucoup s'offrir un petit frisson exhibitionniste. Discret.
Comme toujours, je reste à l'écart. Je la regarde du coin de l'œil. J'aime la voir évoluer ici. A attirer quelques regards.

Avec ses bottines Clémentine culmine quand même à 1,85m. Ce qui semble impressionner les messieurs qui la mâtent.
Ses longs cheveux noirs qui flottent sur ses épaules. Avec son chapeau c'est de l'ordre du mètre quatre vingt dix. Bien.
Il n'y a pas de réelle opportunité. Il y a bien un ou deux types seuls. Mais rien de consistant. Il y a ce jeune mec. Blond.
Clémentine le dépasse d'une tête. A environ deux mètres, discrètement, elle se touche sous son manteau ouvert. Joie.
Le jeune type s'en rend assez vite compte. Je suis de l'autre côté. Je devine son embarras. Il voudrait bien faire un truc.

Je vois à quel point il mâte. Il semble autant impressionné par la taille de la jeune fille que par la main sous le manteau.
Clémentine adore mettre les messieurs dans l'embarras. Cela participe de son plaisir. Elle fait tout cela avec prudence.
J'admire toujours ce côté virtuose. Le jeune homme ne tente rien. Quelle frustration doit animer ce brave garçon timide.
Clémentine lui donne le coup de grâce. Accroupie de trois quart face à lui, elle saisit un livre du rayon du bas. Geste lent.
Les cuisses écartées. Malgré son jeans la position reste hautement suggestive. Et surtout la main posée sur la braguette.

Notre jeune V.P. (Victime Potentielle), mâte de biais à s'en déboîter les globes oculaires. Il assiste à un grand spectacle.
Ne se sachant pas l'heureux élu de la jeune fille qui pratique là un art magistral. L'art d'une exhibe de très haut niveau.
Même s'il est timide, notre gaillard reste au même endroit. Il ne veut pas en rater la moindre miette. Et il a bien raison.
D'autres clients circulent. Pas l'un d'entre eux n'imagine un seul instant le superbe show qui se déroule là. C'est fameux.
A la limite de la crampe, les jambes ankylosées, Clémentine se redresse. A nouveau le type est impressionné. La taille.

Comme tout cela ne mène à rien, Clémentine s'en va. Non sans contourner notre voyeur, en s'approchant au plus près.
Nous nous rejoignons devant l'escalator. Nous en rions de bon cœur. Je félicite Clémentine pour son "numéro" d'artiste.
Nous faisons un petit tour au rayon informatique, aux CD, aux DVD, les rayons pour les fêtes de Noël. Les décorations.
Darty s'est associé à la grande enseigne. Nous parcourons les rayons des percolateurs, des machines expresso, tout ça.
Il est 16 h30 lorsque nous sommes au dehors. Ce froid n'est pas pour nous déplaire. Il est même vivifiant. C'est super.

Nous faisons quelques magasins. H&M, C&A, Zara, etc... Certains pratiquent encore les prix du Black Friday. On a tout.
Nous retournons à la voiture. Nos rhumes semblent complètement guéris. 17 h50. Nous récupérons la voiture. A temps.
La circulation est dense. Clémentine me sort la bite. < Elle mouille. Je t'ai excité avec mon exhibe ? > demande t-elle.
Je confirme. C'est toujours un tel plaisir de la voir dans les show qu'elle offre aux "victimes" qu'elle choisi. Si fabuleux.
Il est 18 h30 lorsque nous arrivons à la maison. Estelle est déjà là. Il y a sa voiture à côté du garage. On se dépêche.

Estelle est en pleine préparation du repas. La tarte aux poireaux est déjà au four. Elle me saute au cou. Je la soulève.
Elle me couvre le visage de bisous. < Et tes couilles, ça picote ? > me fait elle en glissant sa main dans ma braguette.
< Mais tu ne te fais plus chier ! > s'écrie Clémentine qui lui retire la main. Et tout ceci n'est qu'un jeu qui nous amuse.
Nous montons nous changer. Estelle vient avec nous. Nous mettons nos vieux fringues quant un bruit sourd résonne.
< Le fantôme ! > s'écrie Estelle. Cette fois les bruits sont immédiatement près de nous. Cela se passe à l'étage. Forts.

Nous dévalons les escaliers à toute vitesse. Il y a un courant d'air glacial venant de nulle part qui nous balaie le visage.
C'est impressionnant. Nous voilà à la cuisine. Tout s'est calmé. < Put-Hein ! > s'écrie Estelle en se serrant contre moi.
Je peux sentir les battements affolés de son cœur contre ma poitrine. Pareil pour Clémentine qui prend sa place. Rires.
Clémentine s'occupe de la salade. Je mets la table. La sonnerie du four. Nous sommes morts de faim. Flamiche Picarde.
Le repas est fameux. Nous mangeons de bon appétit tout en racontant nos frasques de l'après-midi. Le mec de la FNAC.

< J'aimerai être avec vous tout le temps ! > fait Estelle. < T'as qu'à venir avec ! > lui dit Clémentine. Un éclat de rire.
Estelle nous raconte son après-midi au bureau de l'entreprise familiale. C'est moins drôle. Nous en rions de bon cœur.
Nous traînons à table. Je propose aux filles un bon léchage de minous au salon. Je ne suis pas obligé de dire deux fois.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles m'entraînent au salon par les bras. Pressées de se faire lécher. Super.
Elles retirent les jeans, leurs culottes. A quatre pattes, coudes en appuis sur le canapé, elles me présentent leurs culs.

Moi aussi, à quatre pattes, je leurs bouffe le cul. Comme toujours, je commence par celui d'Estelle. Fille bien négligée.
Pouah ! Beurk ! Mon écœurement se transforme rapidement en dégustation. Elles se masturbent toutes les deux. Bien.
Vautrées dans le canapé, elles m'offrent leurs chattes succulentes. Je passe de l'une à l'autre. Une vraie dégustation.
Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. On baise. Je me retire. Je m'introduis en Clémentine.
Nous reproduisons plusieurs fois. Les filles ne cessent de se masturber. Estelle jouit la première. Elle en crie de plaisir.

L'orgasme de Clémentine est dévastateur. Elle ne peut l'apprécier véritablement. Elle se précipite aux chiottes, pissant.
Il y a de la pisse partout. Il n'y a qu'à suivre les flaques. Estelle m'entraîne en me tirant par la bite raide et dure. Fort.
Nous adorons nous retrouver tous les trois aux chiottes. Je lèche la chatte de Clémentine qui termine de pisser. Super.
Elle reprend son souffle. < Tu es fou ! > me chuchote t-elle. Je tiens Estelle qui pisse à son tour. Je lui bouffe la chatte.
Clémentine passe la serpillère. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Nous rentrons vite au chaud. Le lit. Le dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font lécher la chatte après le repas, au salon et aux chiottes...

Julien - (Qui propose à Clémentine de s'offrir sa pipe demain. C'était tellement bon ce soir. Une fois encore) -

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Encore un merveilleux mercredi

Hier matin, mercredi, c'est le concerto pour clarinette de Mozart qui nous tire avec violence de nos profonds sommeils.
< Put-Hein ! > lance Clémentine qui se couche sur moi afin d'éteindre le réveil posé sur ma table de nuit de mon côté.
Il est 5 h55. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Nous descendons vêtus de nos tenues de sport.
Nous préparons un solide petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant les cunnilingus de hier soir.
Nous remontons nous offrir notre heure d'entrainement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, nos abdos.

La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Il fait un froid de canard. Les bassins ont gelés.
Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Un dernier bisou. Elle me palpe la braguette. C'est un rituel récent. Super.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin dans le jour naissant. Dernier coucou. Je me dépêche de rentrer.
Je fais notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un superbe feu dans la cheminée. Je prépare ma palette.
Je suis assis devant mon chevalet à chantonner "L'orage" de Georges Brassens. Cette séance qui s'annonce grandiose.

La peinture de cette cinquième toile destinée à ma saison 2020 m'accapare rapidement de ses mystères enchanteurs.
Je peins dans une totale zénitude qui me fait pousser les plus invraisemblables cris d'animaux et des cris surréalistes.
Il est aux environs de 10 h lorsque la musique ridicule de mon smartphone le fait vibrer dans la poche de ma blouse.
Je m'en saisi en poussant un puissant cri de rage : < Mais quel est l'enfoiré ! >. Je me calme très vite. C'est Juliette.
Nous bavardons toujours en mode "haut-parleur" afin de pouvoir continuer à travailler. Elle dans son bureau. Parfait.

La jeune femme, même si elle dirige son entreprise avec une poigne d'acier reste une simple mortelle. Elle est malade.
< Tout le monde a la crève dans l'entreprise. Sauf les chevaux ! > m'apprend Juliette. Nous rions de bon cœur. Chiant.
Juliette, atteinte d'un rhume préfère ne pas venir nous le refiler et rester chez elle ce soir. Elle s'en excuse sans arrêt.
Je la rassure, Clémentine, Estelle et moi, nous en sortons à peine. C'est donc une très sage décision. Nous remettons.
Nous passerons peut-être dimanche pour assister à la fin de l'animation équestre. Après la balade au Marché de Noël.

Juliette en vient tout de même rapidement à ses préoccupations. Le sexe. Elle m'avoue avoir sucé Gérard hier soir.
< Avec la crève, ça n'avait aucun goût. Pourtant, du goût, il n'en manque pas le vieux salaud ! > fait encore Juliette.
Nous en rigolons comme des bossus. < Gérard est d'ailleurs le seul à ne pas avoir la crève ! > rajoute t-elle. Facétie.
Nous discutons ainsi une bonne vingtaine de minutes. Nous nous saluons avant de raccrocher. C'est toujours sympa.
Je peins avec une érection tellement encombrante, contrariée et tordue au fond de mon slip que j'en extrait ma bite.

Il est presque midi. Prévenu par mon horloge biologique, je mets deux bûches dans l'âtre avant d'aller dans la cuisine.
J'épluche des pommes de terre, des carottes, un navet, un céleri, de l'ail, de l'oignon. Je fais des morceaux grossiers.
Dans la vieille cocotte en fonte, je fais rissoler le tout. C'est une potée. Le repas de midi, de ce soir, pour demain midi.
Je concocte une sauce au Roquefort. Accompagné d'une salade verte dont je lave les feuilles pour deux repas. Parfait.
Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les infos. C'est assez pimenté car demain c'est la grève du 5 décembre.

La vaisselle. Je range la cuisine. Je mets mon anorak, mon bonnet et mes gants. Je vais prendre la température - 2°
Il fait vraiment froid. Cela dure depuis dimanche. Certes, c'est le début décembre, mais ce n'était pas nécessaire. Dur.
Les eaux des deux bassins restent couvertes de glace qui épaissit de jour en jour. Je fais le tour de la propriété. Bien.
Le silence absolue de la campagne. Les arbres nus dont les branches restent recouvertes de givre. Et toute la journée.
Les vitres de la roseraie sont également recouvertes de givre. Pourtant, l'hiver ne vient toujours que le 21 décembre.

Je rentre. Il est 13 h15. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet dans cette douce et odorante chaleur.
Le craquement des bûches. Les parfums des marrons et des châtaignes. Malgré le froid, c'est encore l'automne. Joie.
Je peins animé du même sentiment de plénitude. Cette cinquième toile sera terminée vendredi pour midi. Au plus tard.
Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son sac sur le canapé et se précipite pour me rejoindre. Des bises.
Assises sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire.

A partir de ce lundi 9 décembre, les deux dernières semaines de cours seront consacrées à la rédaction d'un mémoire.
Il faudra rédiger dix pages. En quelque sorte le résumé de ce premier trimestre. C'est un travail personnel et gratifiant.
Clémentine apprécie et y excelle. Elle a encore du travail. La voilà assise devant l'ordinateur. Nous sommes concentrés.
Nous adorons ces séquences de travail commun ou seules nos respirations viennent moduler les crépitements du feu.
< Put-Hein ! J'en ai plein les bottes ! > s'écrie Clémentine derrière moi. En même temps que les tous premiers bruits.

< Bonsoir Christine ! > fait Clémentine, s'adressant au fantôme de mon ancienne compagne venu nous visiter. 18 h30.
< Elle est ponctuelle et très fidèle ! > rajoute encore Clémentine, restant serrée dans mes bras. Son cœur qui bat fort.
Il est impossible de s'habituer à de tels phénomènes. Par contre on peut parfaitement vivre avec. On sait bien qui c'est.
Les errances de l'entité semblent la mener à travers tout l'étage. Grincements et claquements de porte. La totale. Dur.
< Bienvenue dans la famille Adams ! > fait Clémentine comme pour conjurer le malaise par un trait d'humour. Poilade.

Cela ne dure le plus souvent qu'une dizaine de minutes. C'est le cas ce soir. Nous rangeons nos affaires. C'est rapide.
Nous adorons rester assis sur l'épais tapis devant la cheminée pour y admirer la danse des dernières flammes. Magie.
Nous sommes dans l'obscurité, l'un contre l'autre. Silencieux. Et ces moments sont aussi précieux que tous les autres.
Il est 19 h15. Morts de faim, nous quittons l'atelier. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la potée. Méthode.
Je pane deux filets de colin. Nous mangeons de bon appétit. Je reviens sur le coup de téléphone de Juliette. Les détails.

< C'est le second soir que nous sommes seuls cette semaine. Si tu savais comme j'apprécie ! > me confie Clémentine.
Je partage le même sentiment. Assise sur mes genoux, Clémentine me donne ses impressions et partage ses ressentis.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne au salon. Elle m'embrasse. Fougue.
Elle me pousse dans le canapé. Elle pose l'épais coussin au sol avant de s'y mettre à genoux. Elle me sort la bite molle.
< J'ai retrouvé le goût. J'ai retrouvé l'odorat. Plus malade du tout ! Je vais procéder là à l'ultime vérification ! > fait elle.

Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle extrait mes couilles d'un mouvement de levier de l'index. Virtuose. Très efficace.
Je la regarde humer longuement les odeurs de ma journée d'homme. < J'en meure d'envie ! Si tu savais ! > fait elle.
Elle tient la peau de mon prépuce tout fripé pour me décalotter légèrement. Juste le méat qui apparait. Bout du gland.
Immédiatement l'odeur nous monte au nez. < Miam ! Du parmezob ! > lance Clémentine en me montrant les granules.
Elle passe sa langue pour tenter de la glisser sous la peau. Faire le tour du gland pour en récupérer le maximum. Bien.

< J'aime votre production artisanale de haute qualité. C'est de l'A.O.C. à n'en point douter ! > fait encore Clémentine.
Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine adore tirer le prépuce entre ses lèvres serrées. Elle tète ainsi. Super.
Très rapidement elle enfonce davantage de bite en bouche pour se mettre à la pomper. Les joues creusées par l'effort.
Comme elle est belle. Il y a juste la lumière des bougies pour éclairer les traits de son visage d'ange. C'est merveilleux.
Parfois elle ouvre les yeux pour me fixer. Elle cesse pour me confier ses impressions. Son goût qui est revenu. Parfait.

Pour lui permettre de reposer sa mâchoire, je retire souvent ma queue dégoulinante de foutre. Je murmure des trucs.
Nous aimons échanger durant l'acte sexuel. Et de quelque nature qu'il soit. C'est à la fois passionnant et très excitant.
< Ce soir, c'est à moi. Je ne le fais pas assez souvent. C'est toujours toi qui me "mange" ! > me dit encore Clémentine.
Elle sait que j'adore lui bouffer la chatte. Autant qu'elle aime me tailler une pipe. Le "69" laisse une certaine frustration.
Nous avons constaté qu'à se concentrer sur le plaisir de l'autre, nous passons d'une certaine manière à côté du nôtre.

Alors que de s'occuper exclusivement du sexe de l'autre est beaucoup plus gratifiant. Nous fonctionnons à l'identique.
Nous apprécions les rapports buccaux génitaux. Nous sommes de véritables cérébraux. Et c'est ce que nous préférons.
Ce soir, Clémentine me gratifie d'une pipe des familles qu'elle savoure avec un énorme plaisir. Elle se bouffe du foutre.
Ses gémissements, ses profonds râles d'extases et ses petits cris sont une véritable symphonie. Je lui caresse la tête.
J'éjacule. Sous les effets de l'indicible caresse, je balance une purée consistante, épaisse, visqueuse. Grande quantité.

Clémentine tente de déglutir. Il y en a tellement. Elle ne veut surtout pas cesser de sucer tout en tentant d'avaler. Dur.
Elle ouvre les yeux. Elle est en larmes. Elle me fixe avec cet air de reconnaissance affectueuse qui me fait fondre. Joie.
Je lui murmure des < Je t'aime ! >. Clémentine est déjà à repartir pour un second tour. Vider le "fond de cuve". Miam.
Je lui propose de monter nous coucher. Il est 21 h45. Nous nous lavons les dents avant de nous mettre au lit. Sublime.
C'est à moi de lui offrir un cunnilingus qui la fait fondre de plaisir. Son orgasme est grandiose. Nous plongeons. Dodo ...

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se régaler d'une bonne pipe juteuse après un repas copieux...

Julien - (Qui sent battre le cœur de Clémentine. Il ralenti doucement après l'affolement de l'orgasme. Elle s'endort) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 994 -



Estelle est tellement contente avec nous

Hier matin, jeudi, c'est une Valse de Vienne de Johan Strauss qui nous arrache violemment de nos profonds sommeils.
< Levi's Strauss ! > fait Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Il est 5 h55. Quelques bisous en riant déjà et nous nous précipitons aux toilettes. Dans la volupté des pipis matinaux.
Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine pour y préparer nos petits déjeuner. Pain grillé et confiote.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous sommes vêtus de nos tenues de gym. Dehors il fait nuit noire.

Nous montons nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et nos abdos.
La douche. Je descends pour sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue car le froid est cinglant. Vif.
Il est 7 h45. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller dans le jour naissant. Un dernier coucou. Le givre recouvre tout.
Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Parfait.
Il est 8 h15. Me voilà installé devant mon chevalet. Je prépare ma palette en chantonnant. La séance s'annonce bien.

Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser les plus invraisemblables cris. Les plus surréalistes aussi.
La perspective de terminer cette cinquième toile destinée à ma saison 2020 demain, m'enchante et me rassure. Joie.
Une fois encore je suis en avance sur un timing que personne ne m'impose et que je m'invente pour me motiver. Bon.
Comme toujours, quand je me livre ainsi corps et âme à ma passion, qui est aussi mon boulot, le temps passe si vite.
Il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du pilpil de blé. Eau bouillante.

Je prépare la pâte à pain pour le rituel des pizzas du jeudi soir. Je rajoute le Parmesan finement râpé à la farine. Super.
Je travaille la pâte en la pétrissant énergiquement. Je concocte la garniture. Tomates, ail, oignon, persil et la ciboulette.
Je pane un filet de lieu noir que je fais rissoler à la poêle. Je récupère un peu de garniture comme sauce avec le pilpil.
Je mange de bon appétit tout en écoutant les informations. C'est jour de grève générale. C'est impressionnant. Sympa.
La vaisselle. Je range la cuisine. La pâte repose sous un linge. La garniture repose sous un couvercle. Prêt pour ce soir.

Je mets mon anorak, mon bonnet et mes gants pour aller prendre la température. Il fait encore plus froid aujourd'hui.
Tout est blanc de givre. Le ciel est bleu pâle. Il y a le soleil. Il y a un impressionnant envol de corneilles. Plus de cent.
Tels des corbeaux, leurs cousins, les corneilles, oiseaux noirs font plusieurs passages et en poussant des cris sinistres.
Je fais le tour de la propriété. Le thermomètre extérieur indique moins 3°. C'est un froid sec et vivifiant. Appréciable.
Je rentre. Il est 13 h15. Me voilà assis devant mon chevalet dans la quiétude et le profond silence de mon atelier. Joie.

Je peins animé des même sensations que ce matin. Il est 16 h30 lorsque Clémentine rentre de cours. Elle se précipite.
Assise sur mes genoux, bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Bon.
Clémentine a encore du travail. Assise devant l'ordinateur, elle met ses notes du jour au propre. Tout en chantonnant.
Parfois, l'un se lève pour venir faire des bises à l'autre. Lui murmurer des douceurs, des cochonneries. De la tendresse.
Il est 18 h15 quand Estelle arrive à son tour. Elle se précipite. Assise sur mes genoux, elle nous raconte sa soirée, hier.

Nous en rigolons comme des bossus. < Mon parrain m'a niqué plus d'une heure. On a failli se faire prendre ! > fait elle.
Sa marraine qui consacre ses mercredis soirs à une association caritative rentre parfois plus tôt que prévu. Improviste.
Dans ces cas là, Estelle quitte la cave par la porte de derrière, contourne la maison par les bosquets jusqu'à sa voiture.
< Je le fais souvent avec les fringues mal fermés. Ça caille. Dix minutes de bagnole et je suis chez moi ! > fait Estelle.
Ils baisent à la cave. A côté de la chaudière. Sur un matelas gonflable. Cette histoire nous fait tant rigoler. C'est super.

Estelle raconte ses aventures avec tant d'humour. C'est génial. Soudain, au-dessus de nos têtes, un bruit sourd. Violent.
Le fantôme de mon ancienne compagne, toujours aussi ponctuel, se manifeste à l'étage. Nous voilà soudain si silencieux.
C'est toujours impressionnant. Pour conjurer cette sensation de malaise, Clémentine et moi nous rangeons nos affaires.
Estelle commente en chuchotant. < Là. Là maintenant ! > fait elle en suivant les pas que nous entendons. Le doigt levé.
Comme souvent, tout cela dure une dizaine de minutes et pour cesser aussi soudainement. Nous éteignons les lumières.

Nous sommes assis devant la cheminée. Seule la lueur des dernières flammes éclaire la grande pièce. Ambiance. Magie.
Il y a juste encore le crépitement du feu. Clémentine est couchée sur le tapis, sa tête sur ma cuisse. Ses cheveux épars.
Estelle est contre moi. Je caresse délicatement le visage de Clémentine. Estelle qui a glissé sa main dans ma braguette.
< Ce soir, je t'enduis la bite et les couilles de farine ! > fait elle. < C'est original ! > dit Clémentine. Nous en rions bien.
Parler bouffe achève d'aiguiser nos faims. Nous nous précipitons à la cuisine. Il est 19 h. Chacun est à sa tâche. Parfait.

Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Estelle travaille la pâte. Je réchauffe la garniture. < Sors la bite ! > dit elle.
Elle agite ses longs doigts pleins de farine. J'extrais mes organes génitaux. Je m'approche. Estelle me l'enduit de farine.
Me voilà avec la bite et les couilles soigneusement enduites d'une couche de farine humide et qui sèche très rapidement.
Comme Estelle m'a soigneusement rasé les couilles et la base du Zob dimanche, la couche généreuse est plus opulente.
Les pizzas sont au four. La table est mise. Les filles m'entraînent au salon. Estelle prend son smartphone. Des photos.

Estelle prend des photos en gros plan de mes attributs virils dont l'enduit de farine commence à craqueler en picotant.
< Bande ! > demande t-elle. Les mains sur les hanches, je contracte mes muscles fessiers pour faire bouger la queue.
Clémentine, accroupie sur ma gauche, passe sa main entre mes cuisses. Cela participe d'une douce excitation. Parfait.
Je bande mou. Suffisamment pour faire craqueler l'enduit qui se fissure. Cela évoque les paysages du Sahel. Rigolade.
Estelle donne l'appareil à Clémentine en disant : < Tiens, prends des photos, je pose ! >. Elle est déjà à genoux. Bien.

Sa tête posée contre ma hanche, son visage contre mes organes génitaux, Estelle prend la pose. Clémentine s'amuse.
Elle prend une bonne dizaine de photos. Estelle qui lèche. Estelle avec juste le bout en bouche. C'est formidable. Rires.
Elles sont toutes les deux assises sur le canapé. Je suis debout. Les filles se refilent ma bite dont elles lèchent la farine.
Je regarde les photos. Je bande. Le nettoyage de queue la rend rapidement toute luisante et exempte de toute farine.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine en rigolant comme des bossus. Nous mangeons de bon appétit.

Les filles se passent le téléphone pour regarder les photos. Estelle adore se voir dans des situations hautement pornos.
Cela lui donne envie de refaire un "film" un de ces soirs. < Avant les vacances de Noël ! > propose t-elle. Beau projet.
< Et si on se faisait ce film en Ecosse ? > lance Clémentine. < Un autre là-bas ! > répond Estelle, facétieuse, espiègle.
< Les poils repoussent. Ça pique déjà un peu le bout de la langue ! > rajoute Estelle qui se lève pour mimer la branle.
Clémentine, tout en mimant une fellation, fait encore : < Il faut faire une épilation à la cire, ça dure plus longtemps ! >

Nous en rions de bon cœur. Il n'est évidemment pas question d'appliquer de la cire chaude sur des parties si sensibles.
Mais l'idée est toutefois très amusante. Nous traînons à table. Les filles évoquent la possibilité de faire ce film en Ecosse.
C'est très facilement réalisable. Je dis à Estelle : < Il faut que tu nous concoctes un scénario original et très sympa ! >
< Oh, j'ai quelques idées ! Je vais tout mettre par écrit et vous le soumettre pour la semaine prochaine ! > lance Estelle.
Nous savons pouvoir lui faire confiance. Son imagination est un puis sans fond quand il s'agit de films pornos. Balaise.

Nous traînons à table. Estelle et Clémentine assises sur mes genoux. Elles jouent avec ma queue et mes couilles lisses.
Elles passent en revue les sept films que nous avons déjà réalisé tous les trois. Leurs fantasmes de faire l'actrice porno.
La photo d'Estelle, le visage maculé de foutre et de pisse que sa mère à trouvé il y a quelques mois. Nous en rions bien.
< C'était hard ! > s'écrie Estelle en éclatant de rire avant de rajouter : < Et maman n'en fait plus la moindre allusion ! >
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle n'arrête pas de me palper le Zob. Les couilles que je porte ce soir dodues.

Accroupies, elles se refilent ma queue. Je leurs propose de passer au salon. < Tu nous y emmènes ? > fait Clémentine.
Elles se redressent, me tendent leurs cheveux que je saisi pour les entraîner toutes les deux hors de la cuisine. Fermeté.
< On a besoin d'êtres sérieusement reprises en main ! > me fait Clémentine qui enlève son jeans et sa culotte. Parfait.
< Et recadrées ! > rajoute Estelle qui me fait tomber au fond du canapé avant de se mettre à genoux sur l'épais coussin.
Clémentine, vautrée dans le fauteuil, jambe gauche sur l'accoudoir de gauche, la jambe droite sur l'accoudoir de droite.

Elle me fait un clin d'œil tout en se masturbant. Estelle se met à me sucer comme si sa vie en dépendait. Avec passion.
Je demande : < Tu as sucé ton parrain hier soir, dans cave ? >. Estelle cesse sa pipe pour dire : < Non, il aime pas ! >
Je pose quelques questions du même ordre. A chaque fois Estelle cesse de sucer pour me répondre. C'est vraiment bon.
Clémentine, que tout cela excite considérablement, nous écoute, nous observe et scrute les expressions de mon visage.
Nous passons la soirée ainsi. J'éjacule dans la bouche gourmande d'Estelle. Clémentine vit un orgasme fabuleux. 22 h.

Nous reprenons rapidement nos esprits. Nous allons tous les trois aux toilettes. Le rituel des pipis à trois. Obligatoires.
Je bouffe les chattes baveuses des coquines après leurs pissous. Les saveurs de Clémentine sont enivrantes. Délicates.
Les saveurs d'Estelle demandent de surmonter une certaine révulsion. Fille négligée. Mais c'est surprenant. Petit miam.
Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Il fait un froid glacial. La séparation est difficile. Vivement samedi. Joie.
Au lit, Clémentine me confie à quel point elle apprécie de se masturber en me regardant faire le salaud avec une autre.

Bonne soirée à toutes les coquines qui raffolent de se masturber en regardant leur copine entrain de sucer leur mec...

Julien - (Qui écoute avec amusement les dernières révélations de Clémentine qui s'endort tout contre lui) -

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Le week-end tant attendu par Clémentine

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par plein de bisous. Des douceurs que l'on susurre à mon oreilles. Des papouilles.
J'ouvre l'œil. Dans la pénombre le visage bienveillant de Clémentine au-dessus du mien. Elle s'allonge sur moi. Bisous.
C'est pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit. Et juste avant que ne résonne la musique. 5 h55.
Nous nous précipitons aux toilettes. Le vendredi, Clémentine termine à midi. Ce qui explique cette euphorie matinale.
Vêtus de nos tenues sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine pour y préparer notre petit déjeuner. Rapide.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. J'admire la bonne humeur et l'optimisme de Clémentine le vendredi.
Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et nos abdos.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Bien.
Même si ce matin il fait un peu moins froid, le bonnet et les gants restent des accessoires bien agréables à porter. Joie.
Un dernier bisou. Clémentine me palpe la braguette. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Petit coucou.

Il est 7 h45. Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit et la vaisselle avant d'aller dans l'atelier. Ce matin je suis si pressé.
Je vais terminer la cinquième toile destinée à ma saison 2020. J'allume un bon feu dans la cheminée. Il prend très vite.
Je suis assis devant mon chevalet à préparer ma palette en chantonnant "Le grand Chêne" de Georges Brassens. Super.
Je peins dans une divine sérénité. C'est un enchantement qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Magnifiques.
A chaque coup de pinceau plus sublime, je me lève pour faire la danse du guerrier Sioux autour de mon chevalet. Bien.

Il est rapidement 11 h45. Je dépose la dernière touche de bleu de Cobalt sur la surface de mon tableau achevé. Super.
Je mets la toile finie sur le second chevalet afin de l'y laisser sécher quelques jours. J'en pose une nouvelle devant moi.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je vais à la cuisine. Je creuse les courgettes.
J'émince finement un gros filet de cabillaud que je fais frire avec de l'ail, de l'oignon et des champignons dans la poêle.
Je prépare une sauce au fromage. Il est 12 h20. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour me sauter au cou.

Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. < Je t'aime. C'est week-end ! > s'écrie t-elle.
Clémentine s'occupe de la salade. Je farci les courgettes que je mets au four. Je fais gonfler du millet doré. C'est bien.
Je mets la table. Clémentine me raconte sa matinée. A partir de lundi, elle va travailler à son mémoire. Plus de maths.
C'est une sorte de compte rendu, sur dix pages, qui résume ce premier trimestre. Sanctionné par une note. Superbe.
Clémentine m'entraîne dans le hall. Nous mettons nos anoraks. Nous sortons. Il fait presque agréable. Il ne gèle plus.

Il n'y a plus de ce givre blanc qui recouvrait le paysage. Nous faisons le tour de la propriété. Le sol est encore bien sec.
Clémentine reste serrée contre moi, me tenant par le bras, elle m'emmène jusqu'à la roseraie. Nous y entrons. Fameux.
Grace au double vitrage et aux timides rayons du soleil, il y fait très agréable. Clémentine me sort le Zob. Une surprise.
< Ce week-end je vais être salope et tu ne t'attends pas à ce qui t'attend ! > fait elle. Nous rigolons comme des bossus.
Je bande mou. Clémentine s'accroupit pour humer les odeurs de ma matinée d'homme. Elle me tient la queue à la base.

En l'agitant sous son nez, elle fait : < C'est ma meilleure copine, j'y pense tous les jours ! >. Nous rions de bon cœur.
Clémentine se la passe sur le visage. Les yeux fermés en gémissants d'aise. Je la tiens par ses oreilles. Des caresses.
Je l'aide à se relever. Nous retournons vers la maison. Nous rentrons juste au moment ou résonne la sonnerie du four.
Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de l'après-midi. Clémentine qui a du travail à terminer.
Elle veut en finir avec les dernières notes prises ce matin. Mettre tout au propre. En finir avec un trimestre de maths.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa masturbation en roulant, à midi, en rentrant.
< Je fais attention. Je vais doucement. Il n'y a jamais personne sur la petite route. Rassure toi ! > rajoute t-elle. Bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.
Je glisse ma main dans son jeans, dans sa culotte pour constater une certaine moiteur. Et c'est gluant entre les lèvres.
Je me lèche les doigts. Les reliquats et les saveurs de sa masturbation. Nous en rions de bon cœur. Nous descendons.

Nous voilà dans l'atelier. < L'endroit me manque quand je n'y suis pas. Je m'y réfugie en pensée ! > fait Clémentine.
Assise devant l'ordinateur elle met au propre ses notes de la matinée. Je réalise un nouveau dessin préparatoire. Bien.
C'est toujours à partir du calque d'une ancienne création. Je change simplement quelques éléments. Ruse et stratégie.
Cette formule me permet un gain de temps considérable. Nous travaillons ainsi jusqu'à 16 h. Tout est terminé. Parfait.
Nous montons nous changer. Nous mettons des jeans propres, chemises blanches sous nos pulls noirs. Et nos bottines.

Nous sommes pressés de filer. Nous dévalons les escaliers. Nous mettons nos manteaux, nos chapeaux feutre. Pareil.
Nous prenons la berline. Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. Il y a quinze kilomètres.
Je propose de téléphoner au restaurant de l'étang afin d'y réserver une table pour 19 h 45. Clémentine s'en charge.
Clémentine, facétieuse, pour garder l'anonymat prend un accent anglais. C'est Anne-Marie à l'autre bout de la ligne.
Voilà qui est fait. Notre table nous attend. Nous arrivons en ville. Je gare la voiture dans notre petite rue habituelle.

C'est à dix minutes du centre. Nous marchons vite. Nous voilà dans le dédale des allées du marché de Noël. Du monde.
La nuit qui commence à tomber rapidement. Il est déjà 17 h15. Nous nous offrons une gaufre. Nous flânons. La joie.
Nos hautes tailles. Notre élégance. Notre différence d'âge. Tout cela attire souvent quelques regards. Surtout féminins.
Cet homme d'âge mûr tenu au bras par une jeune fille. Est-ce son père ? Son ami ? Son amant ? Autant de questions.
Parfois, quand le regard est insistant, Clémentine me fait des bises. Cela situe bien les choses pour les curieuses. Rire.

Je propose un tour sur la grande roue. Malgré notre peur viscérale du vertige. Clémentine accepte. Elle se serre si fort.
Nous voilà dans la nacelle. C'est comme si nous quittions le sol. C'est rapidement vertigineux. Surtout que ça s'arrête.
Nous gardons tous les deux les yeux fermés. Nous sommes à soixante mètres du sol. Diamètre affiché de la roue. Dur.
Enfin tout s'ébranle. Un second tour. Un troisième tout lentement. C'est du sadisme. Nous ne sommes pas masochistes.
< Enfin ! Le plancher des vaches ! > fait Clémentine lorsque l'attraction est terminée. Nous en titubons presque. Drôle.

Nous quittons le marché de Noël pour faire quelques grands magasins. Il ya un monde fou partout. Ambiance de fêtes.
La FNAC. H&M, C&A, le centre commercial au milieu de la ville. Quelques boutiques. La faim commence à se faire sentir.
A chaque fois que c'est possible, avec cette totale discrétion virtuose dont elle est coutumière, Clémentine me touche.
Je me balade donc au bras d'une splendide jeune fille avec une érection qui contraint ma queue tordue au fond du slip.
C'est désagréable. < Viens, je te la mets en place ! > me fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur. C'est impossible.

Il est 19 h15. Nous marchons doucement vers la voiture. Il faut quitter le centre. Le froid est moins intense. Humidité.
Je roule doucement. Clémentine extrait ma queue dont le méat coule pour me la tenir bien raide. Elle suce un peu. Bon.
< Il faut bien nettoyer ce qui suinte. Méat coule pas ! > fait elle en se redressant. Nous en rigolons comme des bossus.
Je gare la voiture sur le parking. Il y a déjà plein d'autos. Nous marchons un peu autour de l'étang. Il n'est que 19 h45.
C'est Julie qui vient nous accueillir. Toute contente et surprise de nous voir. Clémentine a réservé sous le nom de Smith.

Nous la suivons. Cette fois c'est une autre table. Anne-Marie, sa tante vient nous saluer. < C'était vous ! > s'écrie t-elle.
Nous en rions de bon cœur. J'explique que nous adorons faire des surprises aux gens que nous apprécions. C'est super.
< Merci de m'y inclure ! > dit Anne-Marie. Elle nous laisse pour retourner derrière le comptoir. Julie prend la commande.
La salle est pleine. < Les comités d'entreprises réquisitionnent toutes les tables ! > explique Julie plutôt débordée. Bien.
Nous prenons nos habituels plateaux de fruits de mer. Avec ce monde inutile d'espérer un plan exhibe. Ce serait inutile.

Nous mangeons de bon appétit. Là aussi, nous attirons quelques regards interrogateurs ou curieux. On s'en amuse bien.
Julie n'a pas le temps de venir discuter. Anne-Marie, derrière le comptoir, n'arrête plus de préparer desserts et digestifs.
Je traverse la salle pour descendre les escaliers en espérant que mon regard vers Julie saura lui faire comprendre. Bien.
Je suis aux toilettes. Je me branle un peu devant un des deux urinoirs muraux. Peut-être que Julie y fera un rapide saut.
J'entends des pas qui descendent à toute vitesse les escaliers. Je cesse la branlette. Je bande comme un taureau en rut.

La porte s'ouvre, je me tourne légèrement pour planquer mon chibre turgescent. C'est Anne-Marie. Elle reste à la porte.
< On remet notre projet à janvier. Sinon, c'est totalement impossible ! > me fait elle avant de filer. Je remballe la bite.
Je remonte. Je raconte à Clémentine qui me dit : < Oui, je l'ai vu descendre précipitamment ! Janvier, c'est parfait ! >
Nous traînons à table. Julie est obligée de refuser plein de gens n'ayant pas réservé. L'addition. Il est 21 h30. Superbe.
Julie nous raccompagne malgré tout. Sans pouvoir s'attarder. Elle vient manger à la maison lundi soir. Je sors ma bite.

Avant de nous quitter, dans l'obscurité, je lui montre la queue que j'agite dans sa direction. Il y a des gens qui arrivent.
Nous filons. Dans la voiture Clémentine joue avec la bite qu'elle suce parfois. La suggestion concernant janvier est bien.
Il est 22 h lorsque nous arrivons à la maison. Au lit, j'offre à Clémentine un bon cunnilingus en préliminaire d'une baise.
Nous faisons l'amour comme nous aimons. L'un dans l'autre, sans bouger, à nous raconter des douceurs. Cochonneries.
Je termine Clémentine par un léchage de minou qui la rend folle. Serrée contre moi, elle s'endort si voluptueusement.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment tripoter discrètement de la bite. En ville, dans les magasins. Les rues...

Julien - (Qui propose toujours à Clémentine après l'avoir fait jouir, de remettre à pipe à demain. C'est génial) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 996 -



Quiétude, calme et sérénité du week-end

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon profond sommeil par plein de bisous que l'on dépose sur mon visage. Si doux.
J'ouvre l'œil. Au dessus de moi le sourire radieux de Clémentine qui s'allonge sur moi pour me murmurer des choses.
Il est à peine 8 h. Nous restons ainsi à lutter contre nos envies naturelles à nous faire des câlins et quantité de bisous.
N'en pouvant plus, nous nous précipitons aux chiottes pour y pisser voluptueusement. C'est tellement libérateur. Bon.
Vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous y préparons notre petit déjeuner.

Clémentine suggère un running en extérieur. Nous mangeons de bon appétit en envisageant bien la température. 4°.
La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets et nos gants. Nous voilà dans la fraîcheur matinale. Pas de vent.
Quelques mouvements d'échauffement. Nous descendons à petite foulée jusqu'à la rivière. C'est rapidement superbe.
Nous courons d'un rythme, soutenu et régulier. Quel bonheur. Pouvoir enfin courir dehors. C'est incomparable. Bien.
Une heure d'un jogging des plus agréables. Une bonne douche. Nous nous habillons. Les mêmes habits que hier soir.

En jeans, chemises blanches, pulls noirs, nos bottines, nos manteaux, nos écharpes et nos chapeaux feutre. Superbe.
Clémentine nous entraîne devant le miroir de l'armoire. Nous prenons des poses en riant comme des fous. C'est beau.
Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Nous prenons la berline. Je roule doucement. Déjà 10 h. La matinée grise.
Clémentine, qui a glissé sa main dans ma braguette, me propose une randonnée cet après-midi. Et je trouve ça génial.
Trois bornes et nous arrivons au bourg pour y faire notre marché. Il y a toujours du monde. Je porte les cabas. Parfait.

Nous faisons provisions de fruits et de légumes chez nos maraîchers habituels. Des oranges, des pommes et des kiwis.
Nous faisons provisions de yaourts, de fromages, d'œufs, crème fraîche et beurre chez notre artisan fromager habituel.
De retour à la voiture il suffit de mettre les produits frais dans la glacière. En route pour la zone commerciale. 15 km.
Je roule à présent avec la bite à l'air. Clémentine adore jouer avec tout en bavardant et tout en commentant la route.
Je gare la voiture sur le parking de l'hypermarché. Il reste des places. Là aussi ça semble être un véritable rush. Gens.

Je pousse le caddie. Clémentine nous entraîne dans les rayon. Elle tient la liste des courses à la main. Méthode efficace.
C'est la liste des courses fixée sur la porte du frigo ou nous annotons tous les jours ce qu'il ne faudra pas oublier. Bien.
C'est l'effervescence du mois de décembre. Il faut louvoyer entre les charriots, ruser, forcer parfois, bref, s'emmerder !
Inutile de songer à s'offrir un plan exhibe. Ce serait parfaitement impossible, sinon ridicule. Il faut s'en faire une raison.
Nos hautes silhouettes élégantes attirent inévitablement l'attention. Cette jeune fille est-elle accompagnée de son père ?

Comme toujours, nous nous amusons beaucoup de quelques regards inquisiteurs. Celui plein de curiosité des femmes.
Celui assez libidineux et envieux de certains hommes. Avec ses bottines et son chapeau, Clémentine culmine à 1,90m.
Moi j'avoisine 1,95m. Difficile de passer inaperçu. Surtout que Clémentine aime me faire des bises dans ces situations.
Nous passons en caisse. Il faut attendre et patienter. Nous en profitons pour faire le programme du reste de la journée.
Nous flânons dans la galerie commerciale. Il y a une opération caritative. Nous donnons des céréales achetées pour ça.

Nous découvrons les menus proposés par la cafétéria. Mais avec le monde qui attend son tour, nous préférons rentrer.
Je roule doucement. Clémentine qui joue avec ma bite molle me confie ses impressions quand à cette nouvelle journée.
Il est 12 h30 lorsque nous revenons à la maison. Nous montons nous changer. Nous rangeons nos courses. C'est rapide.
Clémentine s'occupe de la laitue. Je prépare le bouillon pour les moules. Les haricots verts encore congelés dans le Wok.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres.

Vêtus pour la promenade, une fois encore pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Le ciel reste gris mais lumineux.
Clémentine m'entraîne par la main et d'un bon pas. C'est absolument génial de mettre à profit ce temps pour la balade.
Au bord de la rivière, nous reprenons nos petits rôles. L'exhibitionniste ou le voyeur selon le désir de Clémentine. Super.
Il ne fait pas froid. Nous ne sommes donc pas incommodés. Clémentine peut se faire surprendre, jeans, slip descendus.
Je peux me faire surprendre entrain de m'astiquer la tige tout en pissant. Et nous nous amusons follement de ces jeux.

Nous passons à 300 m derrière le haras. Avec les jumelles, Clémentine scrute soigneusement la caravane à Mr Gérard.
Bien évidement, il n'y a personne. Par contre dans la cour il y a quantité de voitures. Des gens et nombre de cavaliers.
C'est samedi. Les propriétaires de chevaux viennent les monter. Immense majorité de jeunes filles, belles bourgeoises.
Nous marchons d'un bon pas jusqu'à l'ancienne voie ferrée. Nous croisons quelques écuyères qui nous saluent. Sourire.
Bien évidemment, il est hors de question de se faire surprendre par des adolescentes. Nous jouons prudemment. Bien.

Dans le petit sac à dos que je porte, en plus de la paire de jumelles, il y a des pommes, nos lampes frontales. Céréales.
Nous faisons la boucle des 4 h. Arrêt à la maison abandonnée du garde barrière. Visite au petit cabanon à l'arrière. Joie.
Assise sur un de nos K-ways, Clémentine installée sur l'établi, jeans et culottes aux chevilles, peut se faire lécher. Miam.
Je suis assis sur une des vieilles chaises. Mon visage entre ses cuisses, je me régale de ses sucs gluants et si abondants.
C'est mon "4 h". Clémentine me guide par les oreilles lorsqu'elle se redresse. Sinon, elle reste en appui sur ses coudes.

Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. C'est juste le "casse-croûte" avant de continuer notre randonnée. C'est super bon.
Clémentine me demande de permuter. C'est à elle d'être assise sur la chaise et moi sur l'établi. C'est la pipe des familles.
Il faut tout de même penser à continuer notre chemin. Ça fait bien vingt minutes qu'on se bouffe les sexes. Des goinfres.
Nous reprenons notre chemin. Il est presque 17 h. Voilà le crépuscule qui s'annonce. Nous marchons vite. C'est si génial.
Il faut fixer nos lampes frontales autour des bonnets. Eviter de se regarder pour ne pas s'éblouir. C'est si drôle. Amusant.

Il est 18 h30 quand nous revenons. Depuis le sentier nous apercevons les lumières allumées dans la maison. C'est Estelle.
Nous rentrons. Il fait bien chaud. Estelle se précipite pour nous faire la bise. Elle me saute au cou. Je la soulève. Superbe.
Elle me couvre le visage de bisous lorsqu'un bruit sourd résonne au-dessus de nos têtes. Le fantôme de Christine. Visite.
Estelle était entrain d'égoutter les spaghettis quand nous sommes arrivés. Nous restons silencieux, à écouter. Et plus rien.
Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Je prépare une sauce au Roquefort. Les bruits reprennent. Forts.

Pour conjurer le léger malaise que provoquent ces manifestations étranges, nous racontons notre balade à Estelle. Rires.
< Moi, j'étais en ville avec maman. On a fait le marché de Noël et les courses, on s'est bien amusées ! > nous dit Estelle.
Nous dressons la table au salon. Soirée de fête rien que pour nous trois. Spaghettis gratinés et filets de colin à la panure.
Le tout agrémenté d'une sauce au Roquefort et accompagné d'une salade verte. Nous mangeons de bon appétit. Superbe.
A l'étage, les phénomènes paranormaux ont cessé. Nous n'en parlons plus. Juste la lueur des trois bougies du chandelier.

Les filles évoquent leurs études. La stratégie à adopter. Préparer le mémoire de dix pages qui finit ce premier trimestre.
Ruses toutes féminines qui m'enchantent. Nous traînons à table. A ma gauche Clémentine. A ma droite Estelle. Superbe.
Parfois, Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine avec toute cette vulgarité dont elle est coutumière. Joie.
Parfois, Clémentine se lève pour faire pareil. Je n'ai plus qu'à me lever et à secouer ma bite pour de bon. Trois vicelards.
Nous rions de bon cœur. Estelle revient sur ce très vague projet de film porno que nous voulons réaliser en Ecosse. Rire.

< On peut se faire des plans toilettes publiques, recoins, descentes de parking, arrêt de bus. Exhibes ! > précise Estelle.
Il n'est bien évidemment pas question de copuler en extérieur, en hiver et dans l'humidité froide de notre Ecosse chérie.
Estelle semble avoir cogité pas mal sur le sujet. Elle nous étonne par la précision de certaines situations. C'est sublime.
Elle propose de réaliser différentes séquences, pas forcément le même jour, en des lieux différents. Toujours au dehors.
Principalement basés sur l'exhibition et le voyeurisme, ces petits film seront montés et réunis en un seul à notre retour.

Nous savons pouvoir faire confiance à Estelle. Elle va encore nous faire un truc hyper professionnel. Générique, musique.
< A notre retour, dès le second week-end, nous nous offrons une soirée "cinéma" consacrée à l'Ecosse ! > lance Estelle.
Nous trouvons l'idée grandiose. < Un porno souvenir, en quelque sorte ! > conclue Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Je trouve ce projet absolument génial, divin et d'une originalité absolue. Les filles survolent les détails techniques. Super.
C'est Clémentine qui filmera la quasi totalité des scènes en extérieurs. Estelle et moi, nous serons les acteurs principaux.

< Je veux de l'hyper vicelard, de l'hyper salace et de l'hyper excitant ! > rajoute Estelle. Nous l'écoutons soigneusement.
Chacun de ses propos détaille avec précision les scènes et les situations qu'elle désire immortaliser. Film privé bien sûr !
Moi, cela ne m'ennuie pas du tout d'être vu à visage découvert. Estelle non plus puisque c'est son film, sa propriété. Bon.
Alors que Clémentine est assez réticente. Nous traînons à table. Je débarrasse. Je vais préparer les coupes glacées. Bien.
Depuis la cuisine, j'entends les éclats de rire. Les < Ohhh ! >, les < Salope ! >, ou encore les < Génial ! >. C'est le film.

Nous bavardons ainsi en riant. Chacun émettant une nouvelle idée. Les plus saugrenues sont élimées sans tergiverser.
Je propose un bon léchage de minou après la vaisselle. Je devine qu'avec l'excitation de la discussion, il y a de la jute.
Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. A la cuisine. La vaisselle. Nous n'arrêtons pas de nous toucher. Superbe.
Les filles m'entraînent par le bras au salon. Elles arrachent littéralement leurs fringues et les miens. Ambiance festive.
A quatre pattes sur l'épais, les coudes en appuis sur le canapé, Estelle et Clémentine m'offrent leurs culs si somptueux.

Je me mets à quatre pattes également. J'aime commencer par le plus difficile. Le cul à Estelle. Fille négligée. Odeurs.
Estelle m'avoue souvent qu'elle reste négligée les jours où elle vient nous rejoindre en soirée. C'est rien que pour moi.
Je suis touché par tant d'attention. Pourtant, ce soir encore, je dois surmonter la puanteur et le goût fade de son cul.
J'ai des poils plein la bouche. Les deux coquines se masturbent. Je passe au cul de Clémentine. Goût différent. Miam.
Je passe ainsi de l'une à l'autre, en écartant leurs fesses pour bien leurs nettoyer la raie. J'ai le visage trempé. Salive.

Les filles se vautrent dans le canapé. Elles me présentent leurs chattes divinement poilues, le haut des cuisses velus.
Je me bouffe du jus de fille dans un concert de gémissements. C'est merveilleux. Elles se masturbent en même temps.
Je récupère le jus qui coule dans la raie culière. Elles se tiennent sous les genoux pour bien me présenter leurs sexes.
C'est quand je suce les clitoris que la tonalité de la musique monte en contre Ut. Surtout Estelle en véritable soprano.
Impossible de lutter contre l'orgasme qui couvre son corps de frissons. Fou. Elle en hurle de plaisir. Un final grandiose.

C'est la Coda la plus sensationnelle de cette symphonie. Recroquevillée sur elle-même, Estelle doit reprend ses esprits.
C'est au tour de Clémentine. Estelle se lève. Elle quitte la pièce en courant. Elle revient avec la cuvette. Plastique bleu.
Juste à temps. L'orgasme pisseux de Clémentine, véritable fille fontaine, est ce soir phénoménal. Incroyable hurlement.
Elle peut se lâcher. Je tiens la bassine. Il en gicle très peu à côté. Principalement sur mon visage. Estelle se touche. Bon.
< A toi, mon salaud ! > me fait elle en se mettant à plat ventre, tête relevée, pour me pomper le Zob. De quoi pomper.

Je récupère et je suce les derniers épanchements de Clémentine. J'adore le mélange pisse et cyprine. La mouille. Miam.
Estelle me suce comme si sa vie en dépendait. Je recommence à offrir un indicible plaisir à Clémentine. Le second tour.
Estelle, tout en me suçant, couchée sur le côté, se masturbe. Elle aussi s'offre un second tour. Et tout ça est si intense.
Je bouffe la chatte de Clémentine qui m'appuie sur la tête. Elle se frotte sur ma gueule. La rage. C'est gigantesque. Fou.
Son second orgasme n'est pas pisseux. Mais quel "sommet". C'est comme des cris de douleurs. C'est fabuleux. Dingue.

Je propose à Estelle de s'installer dans le canapé. Je vais lui offrir un second orgasme. C'est Clémentine qui me pompe.
Le second orgasme d'Estelle est ponctué de véritables rugissements. Et ces deux salopes se lâchent comme rarement.
Cela fait plaisir à voir. Je sors ma bite de la bouche de Clémentine. Je la fais s'assoir à côté d'Estelle. Je me lève aussi.
Là, je frotte ma bite sur leurs visages. Je mets une gifle à Estelle. Une gifle à Clémentine. Sans aucune violence. Jeu.
J'éjacule comme le dernier des salopards. D'abord dans la bouche à Clémentine. Puis dans la bouche d'Estelle. Super.

Bonne soirée à toutes les coquines que le projet de tourner un film porno excite jusqu'à en faire couler leurs sexes...

Julien - (Couché entre Estelle qui s'endort déjà et Clémentine qui lui caresse le visage, écoute ses derniers secrets) -

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Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 997 -



Quel agréable dimanche

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par les mouvements que fait Estelle contre moi. Elle reste serrée toute la nuit.
Elle vient de saisir mon érection matinale, pose sa bouche sur la peau de mon cou pour sucer. Comme une ventouse.
Je murmure : < Tu me fais un suçon ? >. Elle soupire en répondant : < Je t'aime ! >. Tout cela réveille Clémentine.
Je suis au milieu des filles. Clémentine passe une jambe sur mon ventre et l'autre sous mes reins pour se masturber.
Je les serre contre moi. C'est un moment de tendresse intense. Un de nos enchantements paradisiaques. Merveilleux.

Estelle se lève la première en s'écriant : < Pipi ! >. Clémentine continue sa masturbation pleine de tendresse, douce.
Estelle revient, enfile son pyjama en faisant : < Je descends préparer le petit déjeuner. Venez vite, me laissez pas ! >
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Nous y pissons chacun notre tour dans une voluptueuse libération. Soulagement.
Nous mettons nos jeans et nos chemises à carreaux avant de dévaler les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine.
Estelle me saute au cou. < Tu as la peau toute douce le matin ! > me fait elle en me palpant la braguette. Nous rions.

L'odeur du café, du pain grillé et de la brioche. Un autre enchantement de nos dimanches matins. Il est à peine 9 h10.
Le dimanche matin, pas d'entraînement. C'est "ménage". Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Superbe.
Nous traînons à table. Chacun défini ses rôles habituels. Estelle passe l'aspirateur, Clémentine s'occupe de la chambre.
Moi, je nettoie la cuisine et les chiottes. La vaisselle. Clémentine monte à l'étage. Je commence par nettoyer la cuisine.
J'entends chanter Estelle qui passe l'aspirateur. Elle improvise des mélodies et des paroles qu'elle invente. C'est super.

Je nettoie les toilettes du bas avant de passer la serpillère sur les carrelages. Je la suspends et je m'apprête à monter.
Le piège dominical se referme. Estelle, complètement nue, juste avec d'épaisses chaussettes, jaillit de derrière la porte.
Elle me saute au cou. < Il faut vous acquitter de votre droit de passage ! > fait elle en se frottant contre ma braguette.
Je la soulève. Je l'entraîne au salon. Je la dépose sur le bureau. Je sors ma bite que je frotte contre son sexe humide.
< Mmhh ! J'adore ! > soupire Estelle. J'enfonce délicatement le bout de mon sexe. Et pas davantage. Cette étroitesse.

D'un simple coup de reins, en s'accrochant à mon cou, Estelle s'enfile la totalité de ma queue. Je suis très impressionné.
Elle se met à remuer du bassin. < C'est bon de baiser avec toi le matin ! > fait elle. Soudain, la voix de Clémentine. Joie.
Elle se frotte derrière moi contre mes fesses. Je tourne la tête. Elle m'embrasse avec fougue. < Deux salauds ! > dit elle.
Cela ne dure jamais longtemps. Je me retire. Estelle reprend son souffle. Clémentine s'accroupit pour me sucer. Délicate.
Estelle se rhabille en disant : < Tu devrais m'administrer ce traitement tous les matins. Juste une petite minute ! >. Rire.

Nous montons tous les trois. Estelle passe l'aspirateur à l'étage. Tout en chantant. Nous nettoyons la salle de bain. Bien.
Je fais le bac à douche et le bidet. Clémentine fait les miroirs et le lavabo. Nous nous faisons plein de bisous et de câlins.
Clémentine descend avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes de l'étage. Je reste sur mes gardes. Le piège d'Estelle.
Elle arrive silencieusement. Sur la pointe des pieds. Elle veut me surprendre. C'est moi qui l'attrape par la taille. Rires.
< Coquin ! > s'écrie t-elle alors que je la force à s'accroupir. Je lui frotte la queue sur la gueule. < Mmhh ! > fait elle.

Je lui enfonce la bite. Je me masturbe dans sa bouche d'un mouvement rapide en la tenant fermement par les oreilles.
Juste quelques minutes. Je la laisse reprendre son souffle. Je la force à se redresser. Je lèche son visage et ses larmes.
Elle se serre dans mes bras en me montrant l'intérieur de sa bouche pleine de jute visqueuse difficile à déglutir. Plaisir.
Nous dévalons l'escalier pour rejoindre Clémentine à la cave, dans la buanderie. Nous aidons à trier le linge en rigolant.
Les filles évoquent leurs études. Estelle qui insiste pour préparer le repas nous laisse. Nous vidons la première machine.

La buanderie est juste sous la cuisine. Nous entendons les bruits que fait Estelle. < C'est le fantôme ! > fait Clémentine.
C'est vrai que ce n'est pas sans évoquer les bruits que fait le fantôme de mon ancienne compagne. C'est une explication.
Nous accrochons les draps. Nous montons rejoindre Estelle qui est entrain de faire l'assaisonnement de la salade. Laitue.
Nous mettons la table. Le feuilleté de saumon est au four. La potée est dans la cocotte en fonte noire. Je remue un peu.
Nous félicitons Estelle. Elle nous distribue des bises. Elle glisse sa main dans ma braguette ouverte. Je bande tout mou.

Clémentine propose d'aller prendre la température. Nous enfilons nos anoraks. Il fait beaucoup moins froid. Agréable.
Les filles me tiennent par le bras. Nous faisons le tour de la propriété. Le sol est très légèrement humide. Par la rosée.
Le projet de l'après-midi. Balade au Marché de Noël sur le port de plaisance. Les filles sautillent autour de moi. Parfait.
Nous rentrons juste quand résonne la sonnerie du four. Nous dévorons ce repas en félicitant Estelle et une fois encore.
C'est un régal. < Surtout si on a juste à mettre les pieds sous la table ! > précise Clémentine. Nous rions de bon cœur.

Il est 13 h30. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. Rigolade.
Nous nous changeons. Jeans propres, chemises blanches sous nos pulls noirs. Nos bottines. Tout pareil. Mêmes fringues.
Estelle mesure 1,80m. Clémentine mesure 1,81m. Je mesure 1,88m. Avec nos talons, cela rajoute au moins 4 cm. Bien.
Coiffés de nos chapeaux feutres, cela rajoute encore quatre centimètres. Seuls, on se rend pas compte. Mais en public.
Nos hautes tailles attirent les regards ainsi que notre élégance. Ce sont surtout ces deux jeunes filles à mon bras. L'âge.

Nous voilà en voiture. Je roule doucement. Clémentine à ma droite qui joue avec ma queue. Estelle à l'arrière qui parle.
Elle me caresse le cou et le visage tout en évoquant notre soirée de hier. Elles aiment tant se faire lécher le coquillage.
Il y a 30 km par la petite départementale. Le ciel reste gris mais lumineux. Il faut garer la voiture à 500 mètres du port.
Il y a un monde fou. Toutes les animations sur le port, à longueur d'année, sont de véritables réussites. Une fois encore.
Il faut se frayer un passage dans la foule dense. Les inconscients emmerdeurs qui s'obstinent à imposer des poussettes.

Le sourire crétinisé des papas tenant la poussette est désarmant de sottise. < Ils font pitié ! > fait Estelle en rigolant.
Comme toujours, nos hautes tailles attirent des regards intrigués. Nous sommes toujours comme des extra terrestres.
Les grands se rendent toujours compte qu'ils sont grands dans une foule. C'est pratique pour tout voir et pour avancer.
Nous nous offrons des gaufres. Nous flânons. Il ne fait pas froid. Je dois sermonner Estelle. Sa main sous mon manteau.
C'est trop gênant. Même si on ne la voit pas palper ma braguette, cela suscite un inconfort. Et je la tance plusieurs fois.

A chaque fois elle a les mêmes mots : < Mais comme tu es vilain avec moi ! >. Je répond invariablement : < Oui ! >
Nous rencontrons Mme Walter, Pierre son mari avec un couple inconnu. Nous bavardons. C'est un couple très élégant.
Nous faisons connaissance. En hiver, nous ne retirons jamais nos gants pour serrer des mains. C'est plus hygiénique.
C'est un couple de propriétaires de chevaux. Leur fille est d'ailleurs entrain de monter. Nous bavardons cinq minutes.
Nous continuons nos errances. Il y a deux manèges très rétros. Plein de familles de Simpson autour. C'est si bruyant.

Nous montons sur la jetée. Cela permet d'avoir une vue d'ensemble. Déjà 17 h. Le crépuscule arrive assez rapidement.
La pénombre envahissante met en valeur les lumières. C'est assez magique. Une décoration lumineuse très intelligente.
C'est féérique. Rien à voir avec les lumières du marché de Noël de la ville. Là, c'est selon un thème précis. Le médiéval.
C'est un enchantement supplémentaire. Il y a des lumignons qui flottent autour des bateaux. C'est réellement magique.
Nous sommes à l'écart. Il y a moins de monde. Je glisse mes mains sous les manteaux des filles pour palper les sexes.

Elles ne s'y attendaient pas du tout. < Oh mais monsieur est le salaud dont je rêve pour ce soir ! > murmure Estelle.
< Mais c'est même au-delà de nos rêves les plus fous ! > rajoute Clémentine. Et nous en rigolons comme des bossus.
Je chuchote : < Ce soir, les filles, je vais vous bouffer la chatte avant de vous baiser chacune son tour ! Un salaud ! >
< Alors on rentre ! > s'écrie Estelle. Nous en rions de bon cœur. Il y a deux couples là-bas dont les femmes mâtent.
Avec insistance, d'un regard inquisiteur. Pour enfoncer le clou, Les filles se serrent contre moi pour me faire des bises.

< Il faut parfois satisfaire la curiosité des curieuses sinon elles font de l'ulcère ! > dit Estelle en touchant ma braguette.
Les deux femmes détournent leurs regards. Comme gênées. Nous partons en les ignorants et tout en rigolant très fort.
Il est 18 h30 lorsque nous revenons à la voiture. Les filles sont toutes les deux assises sur le siège passager. Pas bien.
S'il devait y avoir un contrôle de gendarmerie, la contravention serait salée. < Et on prend le risque ! > s'écrie Estelle.
Je roule doucement. Nous croisons très peu de véhicules sur cette route. Je me fais tripoter la queue. Je bande. Et dur.

Il est 19 h quand nous sommes de retour. Morts de faim. Clémentine prépare une bonne salade de tomates fraîches.
Estelle prépare une belle omelette aux champignons. Je réchauffe la potée. Nous montons nous changer. Vieux jeans.
Le repas est délicieux. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre après-midi. Mme Walter, les deux curieuses.
Nous traînons à table. Les filles sont sereines car à partir de demain plus de fractales, de mathématiques et de peine.
Elles ont deux semaines d'un travail personnel. La rédaction d'un mémoire. Dix pages qui résument ce 1er trimestre.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles m'entraînent au salon. Elles retirent leurs jeans et leurs culottes. Bien.
C'est le rituel habituel mais toujours neuf et surprenant. A quatre pattes, elles me présentent leurs culs. Magnifiques.
Ce soir, elles le font bouger en riant. Je suis à quatre pattes. Je commence à bouffer celui d'Estelle. Put-Hein l'odeur !
Nous avons pour habitude de ne pas nous laver les dimanches. Nous macérons donc dans nos jus. C'est fort. Très fort.
Je dois surmonter un véritable écœurement en nettoyant la raie d'Estelle. Très vite cela devient excitant. Je me régale.

Je passe au cul de Clémentine. Les "sirops" de deux jeunes filles de 22 ans sont le plus délicat nectar de jouvence. Fou.
Les voilà vautrées dans le canapé. Je suis à genoux, le visage entre les cuisses de l'une puis de l'autre. C'est un dessert.
Estelle m'attire sur elle. Je m'introduis. Quand je baise l'une, l'autre se masturbe. Un concert de gémissements. Fameux.
Estelle jouit évidemment la première. L'orgasme de Clémentine la secoue de spasmes inquiétants. On va aux chiottes.
Je les fais pisser avant de les lécher. Il est 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Je lui éjacule en bouche.

Bon marché de Noël à toutes les coquines qui aiment flâner en tripotant une braguette et en se faisant toucher...

Julien - (Qui écoute les dernières confidences de Clémentine qui s'endort contre lui, dans ses bras. Heureuse) -

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Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 998 -



Julie toute contente d'être enfin là

Hier matin, lundi, c'est le Prélude en Sol de Haendel qui nous tire avec une certaine violence de nos profonds sommeils.
< Hard Rock ! > fait Clémentine se couchant sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nouilles.
Quelques bisous en riant de nos vannes à deux balles et matinales. Nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser.
Vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous y préparons le petit déjeuner. 6 h05.
Le lundi il reste toujours de la brioche. Nous mangeons de bonne appétit tout en faisant le bilan de ce beau week-end.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.
Intensité maximale. La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Sous la pluie. Dur.
Clémentine me rejoint sous son parapluie. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Et je rentre au sec.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis assis devant le chevalet.
Je prépare ma palette en chantant "Le gorille" de Georges Brassens. Il est 8 h15 et je savoure déjà la nouvelle journée.

Je peins dans un enthousiasme délirant. Je commence aujourd'hui la sixième toile destinée à ma saison 2020. Satisfait.
Je pousse les cris les plus surréalistes. C'est Star War puis la Planète des singes. Je les module longuement. Fabuleux.
Il est aux environs de 10 h lorsque la stupide musique de mon smartphone le fait vibrer au fond de ma blouse. Je rage.
Comme toujours, dès que j'entends la voix féminine, je me calme immédiatement. Passant d'un état à l'autre. Miracle.
C'est Julie. Elle m'appelle depuis les toilettes de la fac, entre deux cours et n'a que deux petites minutes. C'est frustrant.

Julie me confirme sa venue ce soir. Elle sera là pour 19 h30. Elle se réjouie. Moi aussi. Nous nous donnons rendez-vous.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins en pensant à cette ravissante jeune fille de 20 ans, coquine et délurée.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je lave le choux-fleur et une scarole.
Ce sera pour ce soir. Je me fais gonfler du riz complet. Je pane un filet de cabillaud que je fais revenir à la poêle. Super.
Le choux-fleur est dans l'eau bouillante avec une carotte finement coupée. Je mange de bon appétit, écoutant les infos.

J'égoutte le choux-fleur. Je le dispose dans le plat en terre cuite. Je verse le mélange d'œuf, de sésame et crème fraîche.
Je place au four. Je mets mon anorak. Je prends le parapluie. Je fais quelques pas au dehors. Il ne fait plus froid. Super.
Je marche en restant sur les dalles de grès. Il pleut à verse. Je rentre. Il est 13 h. Je vais dans l'atelier. Ça me démange.
Je peins dans le même état mental que ce matin. Cris d'animaux n'existant pas. La danse du guerrier Sioux. Fantastique.
Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son sac sur le canapé pour me rejoindre. < Je t'aime ! > s'écrie t-elle.

Assise sur mes genoux, bras autour de mon cou, elle raconte sa journée. Ses cours. Le menu du restaurant universitaire.
Depuis ce matin c'est le travail sur le mémoire qui doit conclure ce premier trimestre. Finies les courbes logarithmiques.
Terminées les fractales. A présent c'est un travail d'écriture. Noté pour le Doctorat. Dix pages à remettre le 19 décembre.
Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant l'ordinateur. La danse des doigts sur son clavier. J'aime l'entendre.
Nous travaillons ainsi jusqu'à 18 h30. Un bruit sourd à l'étage. Le fantôme. Nous n'y pensons jamais. Et c'est surprenant.

Nous rangeons nos affaires tout en écoutant les errances de l'entité qui semble se promener à l'étage. Ce soir, c'est fort.
Nous avons droit à la totale. Grincements et claquements de portes. Meubles que l'on déplace. Course poursuite. Violent.
Cela ne dure qu'une dizaine de minutes. Nous sommes devant la cheminée. Clémentine allongée, sa tête sur ma cuisse.
Je lui caresse la tête. C'est le silence absolu. Seul le crépitement accompagne la danse des dernières flammes de l'âtre.
Nous apprécions ces moments de retour au calme. Notre "stretching de l'esprit" comme le dit Clémentine. C'est si exact.

Je lui caresse les cheveux. Je raconte le bref appel de Julie ce matin. < Tu te surpasses ce soir ? > demande Clémentine.
Je promets de faire au mieux. < Ne te gênes pas, elle vient principalement pour passer du bon temps ! > dit elle encore.
Je le sais bien. Je sais ce que tout cela signifie. Clémentine se retourne pour glisser sa main dans ma braguette ouverte.
Elle me fixe dans les yeux tout en palpant ma bite toute molle. < Je t'aime. Je t'aime hyper salaud ! > confie t-elle. Rire.
Il est 19 h. Nous quittons l'atelier. Clémentine découvre enchantée le repas du soir. Le gratin de choux-fleur est au four.

La salade est lavée. Il n'y a qu'à faire l'assaisonnement. Clémentine s'en charge. Je fais rissoler des crevettes à la poêle.
Avec l'ail, l'oignon, du persil, de la ciboulette. Je procède à un déglaçage en rajoutant un peu de bouillon du choux-fleur.
Il nous reste à aller préparer la table au salon. Nous aimons disposer les assiettes, les couverts, les verres. Décoration.
Seule la lueur des trois grandes bougies du chandelier éclaire cette partie de la grande pièce. Et tout respire le mystère.
On devine la bibliothèque, l'horloge Westminster, le bureau, le bahut, le rocking chair, le guéridon et ses quatre chaises.

< Sors ta bite ! > me fait Clémentine qui s'accroupit pour me l'extraire correctement. Avec les couilles cette fois. Super.
< C'est tellement plus décoratif lorsque tu as le sapin sur les boules ! > fait Clémentine. Nous rions comme des bossus.
Elle rajoute : < En temps normal, je préfère quand il y a juste la queue qui pend. Mais là, nous approchons de Noël ! >
Nous en rions de bon cœur. Même si je me sens toujours un peu ridicule avec mes attributs virils qui pendent. Rigolade.
Trois coups de sonnette. < Oh put-hein ! > s'écrie Clémentine qui se précipite pour aller ouvrir. Je regarde mes couilles.

Julie est vêtue d'un pantalon noir, très moulant, un sweat noir, des bottines. Ses longs cheveux qui flottent en liberté.
Elle porte ses lunettes. Ce qui achève de lui donner cette silhouette d'étudiante en Lettres Modernes. Elle vient, rapide.
Elle me serre la main. J'aime garder sa main dans la mienne. Cela l'intimide toujours un peu. Elle découvre ma queue.
Elle me regarde par en dessous avec ce regard terriblement suggestif qu'ont les femmes dans des moments troublants.
Clémentine, debout à côté de nous, propose de faire le service ce soir. Elle insiste. Il est presque 19 h30. C'est super.

Julie rejoint Clémentine à la cuisine pour lui proposer ses services. Clémentine propose d'aller nous installer au salon.
Julie est assise à ma gauche. Clémentine est assise à ma droite. Le gratin de choux-fleur est une délicatesse exquise.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études. Julie parle de son activité de serveuse en soirée. Dur.
Le mois de décembre, dans le domaine de la restauration, est le plus intense. Et elle nous raconte quelques anecdotes.
< Je suis spécialisée en messieurs vicieux. Je les repère facilement. Ils ont souvent un point commun ! > confie Julie.

J'aime écouter Julie et Clémentine échanger les conclusions de quelques expériences vécues. Elles apprécient. Fameux.
Nous en arrivons à notre projet commun. Clémentine qui va interpréter le rôle de la serveuse et en compagnie de Julie.
Cela ne sera pas possible avant le début de l'année prochaine. Un soir de janvier. De préférence en semaine. Un mardi.
C'est le mois le plus calme. Le mardi soir connaît la moindre fréquentation. < Il faut bien se rôder ! > fait Julie en riant.
Je me lève à plusieurs reprises pour agiter ma biroute dans la direction de Julie qui observe comme une première fois.

Cette conversation nous excite considérablement tous les trois. Les filles mettent au point certains détails importants.
Julie précise qu'elle fera l'essentiel. Que Clémentine n'aura qu'à l'imiter. < Je serai souvent au WC ! > dit Clémentine.
Nous en rigolons comme des bossus. Julie parle du local à côté des toilettes. Là où sont rangés les produits d'entretien.
< Un endroit stratégique et très intéressant ! > précise encore Julie. Cette conversation me fait bander. Un vrai salaud.
Je suis donc souvent debout, la bite au dessus de mon assiette vide, à me branler comme le dernier des vicelards. Joie.

Julie s'empare du grand verre à sangria préparé par Clémentine. C'est un grand verre ballon à la légère teinte ambrée.
Julie me le tend en disant : < N'allez pas en mettre partout ! >. Elle éclate de rire comme amusée de sa propre audace.
Je bande comme un priapique en phase terminale. C'est un vrai démonte pneu de camion que je tiens entre mes doigts.
J'entends la respiration soudain forte de Clémentine. Rien ne l'excite davantage que ces situations hautement torrides.
Je dois pisser depuis la fin de l'après-midi. Lorsque je fais le service, il m'est plus simple de débander. Pas maintenant.

Clémentine insiste pour faire tout le service. Elle débarrasse la table en nous interdisant de l'aider. Je me concentre.
Le verre à la main, je dirige ma queue raide vers le bas. < Difficile, hein ! > lance Julie. Encore plus vicieuse. Génial.
La jeune fille, le plus souvent passive et spectatrice semble ce soir animée d'un désir de participation qui m'enchante.
Je m'imagine avec les pieds dans l'eau froide, au bord d'un étang, un matin d'hiver. Cette idée m'aide à pisser. Ouf !
Je débande légèrement. Julie me prend le verre qu'elle tient à deux main sous ma bite. Je lâche un premier jet précis.

Clémentine revient avec les coupes glacées pour assister à la scène. Elle s'assoit. Son visage tout près du verre. Bien.
J'essore la peau de mon prépuce sur le bord du verre. Du foutre s'écoule lourdement sur la paroi interne. Bien baveux.
< C'est chaud ! > s'écrie Julie en tournant le verre afin que je puisse faire couler le liquide séminal sur tout l'intérieur.
Il en flotte sur la pisse. Julie et Clémentine sont penchées sur le verre pour voir les dessins que forment les coulures.
Je pisse. Plusieurs petits jets parfaitement contrôlés. Il faut manger nos glaces. Julie pose le verre à côté de sa coupe.

Le coup du verre ballon est devenu un autre de nos rituels. Celui des visites de Julie les lundis soirs. Nous apprécions.
Je surprends le regard de Clémentine qui observe le contenu du verre avec attention. Les glaces terminées, il est 22 h.
Julie ne peut pas s'attarder. Elle a cours le mardi matin à huit heures. Nous la raccompagnons sous le parapluie. Nuit.
< C'est toujours très frustrant de devoir m'en aller ! > fait Julie assise dans son auto, la vitre descendue. Frustration.
J'agite ma queue dans sa direction. < Pour nous aussi ! > répond Clémentine. Je me branle encore un peu. Salaud.

< Miam ! Merci pour cette sublime soirée. J'espère vous revoir bientôt ! > nous fait Julie, un peu triste en démarrant.
Nous la regardons s'en aller. Nous nous dépêchons de rentrer. Nous faisons la vaisselle. Clémentine me félicite. Rires.
Je la remercie pour le service. Nous montons nous laver les dents, pressés de nous retrouver au lit. Excités et joyeux.
Clémentine veut absolument sucer tout le foutre possible. Elle m'attire sur elle. Je la pénètre avec d'infinies douceurs.
Elle me confie à quel point mon comportement avec d'autres filles l'excite. Je la termine par un cunnilingus. Orgasme.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment passer la soirée chez un couple d'amis dont le mec est un vicelard...

Julien - (Qui écoute les dernières recommandations de Clémentine, serrée contre lui et qui commence à s'endormir) -

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Un mardi avec le retour du froid

Hier matin, mardi, c'est la suite No 3 de Bach qui nous arrache avec une certaine violence de nos profonds sommeils.
< Ah et Merdre ! > s'écrie Clémentine allongée sur moi pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit de mon côté.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers.
Il est 6 h05. A la cuisine nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons dans une sorte d'extase. Bon.
Nous mangeons de bon appétit. Le mardi, Clémentine termine à midi. D'où cette amusante euphorie qui l'anime déjà.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il fait très froid.
Un dernier bisou. Elle me palpe la braguette. Je la regarde partir. Dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Me voilà assis devant mon chevalet.
Je prépare ma palette en chantant "Le pornographe" de Georges Brassens. Il est 8 h15. Une belle matinée m'attend là.

Je peins dans cette euphorie communicative offerte par Clémentine. Je pousse les cris les plus surréalistes. C'est super.
C'est souvent le cri du kangourou dans les steppes du Pérou comme le dit Clémentine pour me faire rire. Je l'aime tant.
Il est aux environs de 10 h. La stupide musique de mon smartphone qui le fait vibrer au fond de la poche de ma blouse.
Je m'en saisi en pestant. C'est Julie. La jeune fille m'appelle depuis les toilettes de la fac et entre deux cours. Urgences.
Elle me remercie pour la soirée de hier. Elle a passé un merveilleux moment. Je lui confirme la réciproque. C'était super.

Julie n'a que deux minutes. Nous nous saluons avant de raccrocher. Nous nous reverrons probablement ce vendredi soir.
Je peins en pensant à cette délicieuse étudiante de 20 ans. Je pense à ce qui se passe les lundis soirs. Le coup du verre.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes.
Je fais bouillir l'eau des poireaux que je coupe en petits morceaux. Je prépare une pâte à pain. Je prépare la Béchamel.
Il est 12 h20. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Joie.

Les ingrédients de la Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui fait le délice de nos mardis soirs, sont ainsi préparés.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je récupère un peu de Béchamel comme sauce. C'est super.
Je pane deux filets de colin que je passe à la poêle. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée.
Dehors, le ciel est bleu. Le soleil reste bas. La température extérieure est de 4°. Et le sol est humide des pluies passées.
Nous traînons à table en hésitant entre une promenade et un studieux après-midi de travail. Nous prenons notre dessert.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine propose de couper la poire en deux. C'est bien.
Marcher deux petites heures et revenir bosser. Je trouve la suggestion épatante. La vaisselle et nous rangeons la cuisine.
Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous gardons nos fringues.
Il suffit de mettre les godasses de marche, d'enfiler l'anorak, le bonnet et les gants. Il est 13 h30. Nous voilà au dehors.
Nous descendons jusqu'à la rivière. Le sol est humide mais il y n'a quasiment pas de boue. Et il suffit de prendre garde.

C'est une de ces promenades où nous interprétons nos rôles en nous amusant beaucoup, heureux d'êtres sortis. Super.
Je suis tour à tour l'exhibitionniste, le voyeur. Clémentine est tour à tour l'exhibitionniste ou la voyeuse. On aime ce jeu.
Ce qui ne nous empêche pas de mettre au point le planning des vacances de Noël qui se pointent. Et d'ici deux semaines.
J'ai la bite à l'air. L'anorak ouvert. J'interprète mon rôle, dissimulé derrière un amas rocheux, attendant Clémentine. Bien.
Soudain, des voix. Je me retourne. Là, à environ trente mètres, deux jeunes cavalières. Je me cache juste à temps. Ouf.

Nous sommes à proximité du haras. Il faut être prudent. Les deux jeunes filles qui m'aperçoivent. Je joue au promeneur.
Elles me saluent, loin de se douter que sous mon anorak, j'ai la queue à l'air. Clémentine arrive. Nous saluons les filles.
Là-bas, les bâtiments du haras. Je l'ai échappé belle. Nous en rions de bon cœur. Clémentine, accroupie, suce la queue.
Je lui caresse la tête en lui murmurant des douceurs. Je l'aide à se redresser. Nous continuons notre promenade. Super.
Nous faisons la boucle de deux heures sans faire de nouvelles rencontres. Il est 16 h 15 lorsque nous sommes de retour.

Il fait bon être au chaud. Pipi et nous allons dans l'atelier. Clémentine assise devant l'ordinateur, moi devant le chevalet.
Parfois, l'un se lève pour aller rejoindre l'autre. Des bisous, des mots doux, des aveux cochons. Et dehors la nuit tombe.
Il est 18 h15. Estelle arrive. Elle se précipite. Assise sur mes genoux, elle nous raconte son après-midi. La comptabilité.
Avec sa maman, dans le bureau de l'entreprise familiale, il faut commencer à faire le bilan de l'année finissante. Boulot.
Les filles sont assises devant l'ordi à comparer l'avancée de leurs textes. Ce mémoire qu'il faut rendre le 19 décembre.

Soudain, avec cette ponctualité que nous oublions chaque soir, un bruit sourd. < Bonsoir Christine ! > s'écrient les filles.
Le fantôme de mon ancienne compagne vient faire sa visite quotidienne. Impossible de s'habituer à de tels phénomènes.
Nous rangeons nos affaires en écoutant les errances de l'entité au dessus de nos têtes. C'est impressionnant, étonnant.
Cela ne dure guère plus de dix minutes. Nous voilà devant la cheminée. Les filles allongées, têtes sur mes cuisses. Bien.
Seule la lueur des dernières flammes éclaire cette partie de la grande pièce. Nous adorons terminer nos journées ainsi.

La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour nous rendre dans la cuisine. Il est 19 h. Timing parfait.
Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Estelle travaille la pâte à pain. Je réchauffe la Béchamel. Nous bavardons.
< Sors ta bite sel te pli ! > me fait Estelle en agitant ses longs doigts fins pleins de farine. C'est le rituel du mardi soir.
Je présente ma bite et mes couilles. Estelle enduit le tout, très soigneusement avec la farine humide. Et consciencieuse.
< Oh, les poils qui repoussent ! > s'écrie t-elle. < Ça pique ? > demande Clémentine qui vient nous rejoindre pour voir.

Estelle étale la pâte dans le grand plat à tarte. J'y verse la Béchamel contenant le poireau et le gruyère fondu mélangé.
Clémentine recouvre d'un fin couvercle de pâte. Estelle badigeonne le mélange œuf, crème fraîche, graines de sésame.
Elle met la Flamiche Picarde au four. Nous mettons la table. Ma bite et mes couilles enduites de farine qui a bien séché.
< Notre petit amuse gueule ! > fait Estelle en s'accroupissant aux côtés de Clémentine pour admirer cette farine sèche.
La bite enrobée ainsi fait penser à un salami. Les couilles évoquent une sorte de pâtisserie "Patates au sucre". Poilade.

Je leurs caresse la tête. Je lisse leurs cheveux. Elles éclatent de rire en observant l'enduction farineuse. C'est très drôle.
Elles se redressent en même temps pour m'entraîner par les bras au salon. Estelle jette les deux épais coussins au sol.
Les voilà toutes les deux à genoux à lécher mes organes génitaux tout en riant aux éclats. Je suis pétri d'émotion. Joie.
Tous ces moments, ces soirées qui s'incrustent dans nos mémoires à tout jamais. De quoi nourrir l'imaginaire d'une vie.
Nous en sommes conscients. Nous en parlons souvent. Tout ce que nous vivons est toujours tellement intense. Délirant.

J'ai rapidement la bite et les couilles aussi luisantes que celles d'un nouveau né. Le poil qui repousse en plus. Amusant.
< Ça pique ! > font les filles. Je les tiens toutes les deux par leurs cheveux. Elles se refilent ma bite encore bien molle.
Mes lombaires sont douloureuses. C'est la position. Pour bien leurs offrir ma queue, j'ai tendance à me cambrer de trop.
La sonnerie du four. J'aide les filles à se lever. Estelle ne me lâche pas la bite. Nous nous précipitons à la cuisine. Faim.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle se lève plusieurs fois pour mimer sa masturbation masculine.

Je me lève à chaque fois pour agiter mon sexe dans sa direction en m'écriant : < C'est moi qui ai la vraie ! >. Rigolade.
Clémentine mime une fellation et dit à chaque fois : < C'est comme la fève dans la galette des rois, c'est pour nous ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Nous traînons à table. Je me lève pour venir me faire sucer par Estelle. C'est bon.
Je viens l'offrir à Clémentine. Nous en rions tellement que nous en oublions le dessert et la vaisselle. C'est génial ce soir.
Il est 21 h. Nous faisons la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je propose aux filles le rituel du léchage de minou. Joie.

< On préfère te sucer, te vider les burnes ! > me fait Estelle avant de me rouler une pelle d'enfer. Le goût de la tarte.
Clémentine, serrée derrière moi, me tient la bite. Estelle s'écrie : < Oh, tu as taché mon jeans avec ton jus, salaud ! >
Nous en rions de bon cœur. Les filles m'entraînent au salon. Elles retirent les fringues. Les voilà vautrées sur le canapé.
Je suis à genoux sur l'épais coussin. Je passe d'une chatte à l'autre. C'est merveilleux. Je pourrai y passer mon temps.
Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Elles se masturbent toutes les deux. C'est fabuleux.

Je passe de l'une à l'autre. J'ai la queue tellement trempée de nos substances qu'elle s'enfile toute seule dans les filles.
L'orgasme d'Estelle est nucléaire. C'est pendant que je baise avec Clémentine. Elle en hurle de plaisir. Elle est si belle.
Clémentine me repousse délicatement, se masturbe d'un geste rapide. Son orgasme est cataclysmique. Pauvre canapé.
Nous allons aux chiottes. Le rituel des pissous. Je lèche les croupions. Elles me tiennent la queue pour en diriger le jet.
Il est 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Séparation cruelle. Nous nous dépêchons de rentrer. Vite au lit.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se réjouissent à longueur de journée pour de folles soirées de délicates folies...

Julien - (Qui écoute les derniers ressentis de Clémentine qui s'endort dans ses bras, serrée contre lui) -

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Dans la quiétude de ce mercredi

Hier matin, mercredi, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonne la musique du réveil. Il est déjà 5 h55.
J'éteins l'appareil juste à temps. Nous nous blottissons fort avant de nous précipiter aux toilettes. Le pissou voluptueux.
Vêtus de nos tenues de gym nous dévalons l'escalier, morts de faim, jusqu'à la cuisine pour y préparer le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la soirée de hier. < Encore une soirée de folie ! > précise Clémentine.
Nous montons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et abdos.

Notre vie est comme celle de chacun. Composée de séquences répétitives sans grandes originalités remarquables. Bien.
C'est la douche. Je descends en premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue.
Un dernier bisou où Clémentine aime depuis quelques temps à me palper la braguette. Je la regarde partir un peu triste.
Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour me mettre au chaud. Je jour se lève à peine. Il est 7 h50. L'automne.
Je fais le lit. Je fais la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un beau feu dans la cheminée. Je prépare ma palette. Bon.

Il est 8 h15. Je peins dans un enthousiasme délirant. Cela me fait pousser les cris surréalistes les plus invraisemblables.
Je les module longuement. La peinture de cette sixième toile destinée à ma saison 2020 me procure tant de plaisir. Joie.
Il est aux environs de 10 h. La musique ridicule de mon smartphone. Je m'en saisi. C'est Juliette. Je m'en doute un peu.
La jeune femme, toute heureuse de m'avoir en ligne, me confirme sa venue ce soir. Nous nous réjouissons. C'est super.
Nous bavardons en mode "haut-parleur", ce qui nous permet de travailler en même temps. Juliette est dans son bureau.

Elle avait la crève jusqu'à ce week-end mais a assuré la bonne marche de son entreprise sans faillir. Même très fatiguée.
Nous discutons ainsi une vingtaine de minutes avant de nous saluer puis de raccrocher. Je peins là en pensant à Juliette.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je lave les brocolis. Je lave la laitue.
Je fais gonfler du millet doré. Je concocte une belle Béchamel dans laquelle je rajoute champignons et saumon coupé fin.
Je mange de bon appétit. J'égoutte le brocolis que je dispose dans le plat en terre cuite. J'y rajoute la Béchamel. Parfait.

Du gruyère râpé. Je mets au four. Je panne trois filets de cabillaud. Je les fais revenir à la poêle. C'est le repas du soir.
Un gratin de brocolis, accompagné de millet doré et de poisson pané. Je n'ai plus à y penser. Il me suffira de réchauffer.
Je mets mon anorak pour aller faire quelques pas au dehors. La fraîcheur est vive mais il fait moins froid. C'est très bien.
Il est 13 h15 lorsque je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans le même état d'enthousiasme.
Il est déjà 16 h30. Clémentine rentre de cours. Toute contente d'être de retour, elle se précipite en jetant son cartable.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. C'est beaucoup plus nuancé et peinard.
Le travail pour son mémoire demande beaucoup moins d'efforts que ces mathématiques qui ont composé ce trimestre.
Clémentine évoque les cours, quelques anecdotes amusantes concernant les profs, les menus du restaurant universitaire.
Je lui raconte la conversation téléphonique avec Juliette. Nous nous réjouissons tous deux pour la revoir. C'est si sympa.
Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant l'ordinateur. Elle me lit son texte à haute voix. Super bien rédigé.

J'écoute avec beaucoup de plaisir. Les capacités narratrices de Clémentine sont impressionnantes. C'est un vrai roman.
C'est attractif. On plonge immédiatement dans l'intrigue. Elle a déjà rédigé quatre pages sur les dix exigées. C'est bien.
Nous travaillons ainsi jusqu'à 18 h30. < Stop ! Plein les bottes ! > s'écrie t-elle en même temps qu'un gros bruit sourd.
Le fantôme de mon ancienne compagne vient nous visiter. Précis. Si ponctuel. Nous rangeons nos affaires en écoutant.
C'est la totale. Bruits de portes qui grincent, meubles que l'on traîne, pas furtifs qui semblent courir, claquements secs.

Ces phénomènes paranormaux auxquels il est impossible de s'habituer vraiment ne durent qu'une dizaine de minutes.
Nous nous installons sur le tapis, devant la cheminée, à regarder la danse des dernières flammes. C'est la seule lueur.
Clémentine, allongée, sa tête sur ma cuisse, fait : < Tu seras bien vicelard avec Juliette ce soir, j'ai besoin de vice ! >
Nous en rions de bon cœur. En lui caressant la tête, je lui promets de faire au mieux. Comme avec Julie les lundis soirs.
< Pire encore ! Comporte toi comme le dernier des dépravés. Fais moi du spectacle ! > rajoute encore Clémentine. Rire.

Il est 19 h. Nous quittons l'atelier. Clémentine découvre enchantée le repas du soir. J'allume le four. Poêle à feux doux.
Nous dressons la table au salon. Juliette est attendue pour 19 h30. Clémentine me sort la bite. < Superbe ! > fait elle.
Je suis prié de la garder à l'air. D'accueillir Juliette avec la queue qui pend. Nous montons. Je veux me changer. Parfait.
Sur la demande de Clémentine, je porte mon pantalon en cuir noir, un chemisier blanc aux manches bouffantes. Super.
< Mon mousquetaire ! Je vous aime d'Artagnan ! > me fait elle en m'entraînant devant le miroir. Je prends des poses.

Mes cheveux ont poussé. Bientôt je pourrais les attacher en catogan. Sur la demande d'Estelle et de Clémentine. Bien.
C'est vrai qu'avec mes bottes, mon pantalon de cuir et ma chemise blanche, il y a du mousquetaire dans l'air. Sympa.
< Votre épée, sir ! > fait encore Clémentine en s'accroupissant pour m'extraire la queue. Le pantalon de cuir moulant.
Comme Estelle a rasé les poils de mon sexe, ma bite semble encore plus longue. < Génial ! > s'écrie alors Clémentine.
Nous dévalons les escaliers à toute vitesse. Juste à temps. Les trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Super.

Même si je me sens un peu ridicule avec ma bite qui pend sur le cuir noir, je respire un bon coup. Les filles reviennent.
Juliette est vêtue d'un pantalon noir à pinces, d'un chemisier blanc sous un pull noir. Des souliers à hauts talons. Sexy.
Elle me serre la main. Son sourire est radieux. Elle fait mine de ne pas s'être rendue compte de mon exhibition. Super.
J'invite les filles à prendre place. Je fais le service. < Pas question ! Je ne vous lâche pas d'une couille ! > fait Juliette.
Nous éclatons de rire pour nous marrer tous les trois comme des bossus. < Guérie ! > lance Clémentine. C'est parfait.

Juliette me congratule quand à mon accoutrement. < Ça vous va bien, vous portez le cuir à merveille ! > me fait elle.
< Et alors "ça", c'est tout à fait charmant ! > rajoute la jeune femme en désignant mon sexe qui pend très mollement.
Clémentine passe derrière moi pour s'en saisir, le faire tournoyer en direction de Juliette qui observe émerveillée. Bien.
La sonnerie du four. Je sors le gratin de brocolis. Clémentine prend la poêle. Juliette s'empare du saladier. C'est super.
Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous parle du haras, l'énorme somme de travail administratif, de la logistique.

< Heureusement que monsieur Gérard vient me rendre visite les mardis et les jeudis soirs ! La pipe ! > rajoute Juliette.
< Et Pierre qui vous baise les samedis soirs ! > rajoute Clémentine. < Pas depuis trois semaines ! > dit encore Juliette.
La jeune femme nous invite à assister à l'animation équestre qu'elle organise dimanche après-midi. Course d'obstacles.
Nous promettons de faire un tour vers 16 h30. < Il y aura Gérard ! > fait Juliette à Clémentine tout en mimant une pipe.
< Ça fait longtemps ! C'est vrai ! > répond Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Je me lève pour montrer ma queue.

Je bande comme le dernier des salauds. Juliette et Clémentine sont soudain silencieuses. J'ai les mains sur les hanches.
Je contracte mes muscles fessiers afin de faire bouger mon sexe raide et dur. Sans poils et sur le cuir, il est majestueux.
Il y a une petite goutte opalescente de liquide séminal qui perle à l'extrémité. < Génial ! > dit Juliette penchée en avant.
Je fais bouger ma queue dans sa direction. Clémentine qui est en apnée, reprend sa respiration, soufflant fort. Excitée.
Je contourne la table pour venir me positionner debout à la gauche de Juliette. J'ai la queue près de son visage. Silence.

Clémentine se lève pour venir s'accroupir. Les filles ont toutes les deux le visage à une vingtaine de centimètres. Super.
Je ne cesse de faire bouger mon sexe. < Je ne m'en lasse pas ! > murmure Juliette. < Moi non plus ! > dit Clémentine.
C'est un instant extraordinaire. Je ne peux pas bander encore plus fort que je ne bande déjà. C'est presque douloureux.
Aucune des deux n'a la moindre initiative. Je saisis ma bite à sa base, entre le pouce et l'index. Et je l'agite doucement.
Je la frotte sur le visage de Clémentine qui ferme les yeux pour m'en présenter tous les angles. Juliette ne respire plus.

Je veux lui caresser la tête mais elle esquive en soufflant : < Non ! >. C'est sa réaction habituelle. Être sur la défensive.
J'enfonce ma bite dans la bouche à Clémentine. Juliette scrute. Elle prend là son plaisir de voyeuse. Elle souffle. Excitée.
Je tiens Clémentine sous le menton de la main gauche. Je lui sors la bite de la bouche pour la tendre vers Juliette. Joie.
Pourtant Juliette reste distante. < Pas ce soir ! > murmure t-elle, me fixant d'un air extrêmement sévère. Dominatrice.
J'ai la queue qui dégouline. Du foutre visqueux, épais et gluant qui reste comme une coulure pendant lamentablement.

De son index, Juliette recueille la coulure qu'elle porte à sa bouche. Les yeux fermés, elle semble savourer avec extase.
Elle se lève soudain pour se mettre à débarrasser la table. Nous l'aidons immédiatement. C'était un moment si intense.
Nous faisons la vaisselle. Je bande mou. Il y a des coulures de foutre qui maculent le cuir noir autour de ma braguette.
Juliette s'essuie les mains après la plonge. Elle s'accroupit. De l'index elle récupère les coulures. Les porte à sa bouche.
Soudain, me tenant par les hanches, elle se met à lécher le cuir. Clémentine, comme sidérée, s'accroupit pour bien voir.

Je dis : < Vous êtes la plus surprenante des salopes ! >. Juliette répond : < Vous n'imaginez même pas à quel point ! >
< Mais on s'en doute ! > lui lance Clémentine qui la regarde lécher avec une surprenante avidité. Je tente de l'enfoncer.
Pas question. Juliette esquive la queue que je veux lui frotter sur la gueule. < Pas de ça mon bonhomme ! > lance t-elle.
Je dis : < Vous êtes la plus merveilleuse vicelarde que je connaisse ! >. Elle fait : < Vous n'en avez même pas idée ! >
Il est 22 h15. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. Elle insiste une dernière fois pour dimanche. On viendra.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se rendre chez un couple dont le mec se comporte en vrai satyre...

Julien - (Qui offre un merveilleux cunnilingus à Clémentine après lui avoir fait l'amour. Un orgasme fabuleux) -

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Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 1001-



C'est un jeudi très sympa

Hier matin, jeudi, c'est la Symphonie fantastique de Hector Berlioz qui nous tire cruellement de nos profonds sommeils.
< Au fou ! > s'écrie Clémentine qui se couche sur moi afin d'éteindre le réveil posé de mon côté et sur ma table de nuit.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.
Nous préparons notre solide petit déjeuner que nous mangeons avec appétit tout en évoquant la soirée de hier. Juliette.
Vêtus de nos tenues de gym nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Intensité maximale. Superbe.

Après le jogging sur tapis roulants, les charges additionnelles, les poulies de la machine et les abdos, c'est notre douche.
Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue et il fait très froid.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin dans le jour naissant. Un dernier coucou. Un signe.
Je rentre au chaud pour faire notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Il est 8 h15.
Assis devant mon chevalet, je prépare ma palette en chantant "Le grand café" de Charles Trenet. En y mettant l'entrain.

Je peins dans une euphorie délirante qui me fait pousser des cris surréalistes que je module longuement. Tonalité Do.
Il est aux environs de 10 h lorsque vibre mon smartphone au fond de la poche de ma blouse. Musique ridicule, stupide.
C'est Juliette. La jeune femme est encore sous le charme de notre soirée de hier. Elle avoue avoir passé du bon temps.
Je lui fais part de la réciproque, lui confiant que nous en avons même parlé ce matin au petit déjeuner avec Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Juliette aimerait beaucoup nous voir dimanche à l'animation qu'elle organise au haras. Joie.

Je ne m'engage pas trop mais je lui promets que nous serons probablement là en fin d'après-midi. Cela semble la ravir.
Nous bavardons ainsi une bonne vingtaine de minutes en mode "haut-parleur". Cela permet de bosser en même temps.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins en pensant à cette belle bourgeoise de 43 ans. Superbe femme. Bien.
Je bande comme un salaud. Ce qui participe de l'inspiration picturale de ma séance. Il est rapidement midi. Je me lève.
Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Bien.

Je prépare une pâte à pain. Farine dans laquelle je rajoute du Parmesan finement râpé. De l'ail pressé, du sel du poivre.
Je fais la garniture. Tomates fraîches, ail, oignon, champignons, persil et ciboulette. Le rituel des pizzas des jeudis soirs.
Je récupère un peu de garniture comme sauce avec mes coquillettes. Le tout accompagné d'une salade de carottes. Bon.
Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les informations. C'est trop mesquin. Je préfère éteindre la radio. Sérénité.
La vaisselle. Je range la cuisine. Je mets mon anorak pour aller faire quelques pas dehors. Il fait à nouveau froid. Les 3°.

Il est 13 h15 lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. La même euphorie que ce matin.
La pâte à pain repose sous son linge. La garniture repose sous son couvercle. Pour le repas de ce soir, tout est déjà prêt.
Je termine probablement cette sixième toile destinée à la saison 2020 en fin d'après-midi. Une autre source de sérénité.
Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable sur le canapé avant de se précipiter vers moi. Bonheur.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée de cours. C'est encore très intéressant.

Clémentine a encore du travail. Assise devant l'ordinateur, elle revient sur ses notes du jour. La rédaction du mémoire.
< Déjà six pages ! Plus que quatre ! > fait elle avant de me faire la lecture de celle d'aujourd'hui. J'écoute. C'est super.
Je lui raconte la conversation téléphonique avec Juliette. Son insistance pour nous voir dimanche. Nous irons, c'est sûr.
Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour. Elle se précipite pour me couvrir le visage de bisous et s'assoir sur mes genoux.
Les filles se voient en cours et au restaurant universitaire. C'est comme si Estelle m'en faisait le rapport en soirée. Rire.

Estelle et Clémentine, assises devant l'ordinateur, comparent les textes. Il faut corriger les trop nombreuses similitudes.
Un bruit sourd à l'étage. < Bonsoir Christine ! > font les filles pour saluer l'arrivée du fantôme. Ce soir encore, le raffut.
Grincements de portes qui claquent. Meubles que l'on déplace. Les pas rapides. Nous écoutons en rangeant nos affaires.
Cela ne dure qu'une dizaine de minutes pour s'estomper aussi brusquement que c'est arrivé. C'est toujours surprenant.
Nous voilà sur le tapis devant la cheminée. Les filles allongées avec leurs têtes sur mes cuisses. Je caresse les cheveux.

Ce retour au calme après une journée dense et productive, devient un rituel obligatoire. Cela fait tant de bien. Sérénité.
Le crépitement du bois dans la cheminée. Nous restons silencieux à savourer ce moment. Recharger les batteries. Bien.
Il est 19 h. La faim se fait sentir. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Laitue.
Estelle travaille la pâte à pain. Je réchauffe la garniture. Je râpe du gruyère de Comté. < Il sort sa bite ! > lance Estelle.
Elle agite ses longs doigts fins et pleins de farine. Je sors ma bite et mes couilles. Estelle me les enduit de farine humide.

Comme tous les mardis soirs, comme tous les jeudis soir, me voilà avec une enduction de farine autour de mes parties.
Cela nous fait beaucoup rire. Un autre rituel amusant. Les pizzas sont au four. La table est mise. Nous passons au salon.
A genoux sur deux épais coussins, Estelle et Clémentine observent les fines craquelures. La farine autour de ma queue.
< Ça fait antique ! > s'écrie Estelle qui, d'un mouvement de tête, se met à téter l'extrémité de mon sexe. Avec appétit.
Clémentine me lèche les couilles. < Ça pique. Les poils repoussent ! > fait elle. Nous en rions de bon cœur. C'est drôle.

Les filles se refilent ma bite en commentant leurs impressions. J'ai la queue et les couilles luisantes, propres et nettes.
La sonnerie du four. J'aide les coquines à se relever. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit.
Estelle nous raconte sa baise de hier soir, dans la chaufferie, à la cave, avec son parrain. < Quel coup ! > fait elle. Rire.
< Il peut baiser des heures ce salaud, sans faiblir ! >. Nous rigolons comme des bossus. Nous racontons notre soirée.
Mon comportement. L'attitude de Juliette. Estelle, debout, mimant une masturbation masculine, fait : < Je veux voir ! >

< Le verre à sangria plein de pisse et de foutre ? > lui demande Clémentine qui se lève pour faire la même imitation.
Je me lève à mon tour. Nous sommes tous les trois dans cette position vulgaire. Mais moi je me masturbe pour de bon.
< Ce soir encore je veux comparer la baise de Julien avec celle de parrain ! > lance Estelle. Nous en rions de bon cœur.
< Tu compares tous les jeudis soirs. Sans nous donner tes conclusions ! > lui rétorque Clémentine en mimant la pipe.
Je dis : < Ce qui est certain, c'est que ce soir encore, je vous bouffe le minou à toutes les deux ! >. Elles rient. Plaisir.

Nous traînons à table. La vaisselle. Je plonge. Estelle qui n'arrête pas de me toucher la queue. Nous rangeons la cuisine.
Estelle m'entraîne par la bite au salon. Elle me fait tomber dans le canapé. Clémentine qui retire son jeans et sa culotte.
Elle se vautre dans le fauteuil. Jambe droite sur l'accoudoir droit. Jambe gauche sur l'accoudoir gauche. Elle se touche.
C'est le signal. Estelle retire son jeans et sa culotte. Elle se couche sur le dos à même le tapis. < Viens ! > me fait elle.
Je consulte Clémentine du regard. Elle se masturbe, me fait un clin d'œil et montre Estelle de son doigt. Je peux y aller.

Je reste en appui sur mes bras tendus. Pour ne pas peser de tout mon poids sur la fille. Estelle saisit ma bite. Ferme.
Elle se l'introduis. Je la laisse faire. Elle s'accroche à mon cou. D'un coup de reins, elle s'enfile presque toute la queue.
Je reste immobile. J'entends la respiration de Clémentine. Rien ne l'excite davantage que de me voir ainsi avec Estelle.
Estelle qui se met à bouger en gémissant. Elle est accrochée à moi comme une naufragée à sa bouée. Elle baise fort.
Je demande : < Quelles sont donc vos conclusions mademoiselle ? Julien ou parrain ? >. Elle cesse en éclatant de rire.

< Il faut que je compare encore quelques mois ! > répond t-elle. < Salope ! > lui envoie Clémentine. Nous en rigolons.
Estelle recommence à s'agiter. Cette fois je m'y mets aussi. Je fais la "machine à coudre". Et je me secoue dans la fille.
Je n'aime pas trop baiser ainsi. Estelle confie que son parrain la baise ainsi, comme un lapin, pendant plus d'une heure.
< Quel athlète ! > fait Clémentine, couverte de sueur et qui reprend son souffle entre deux apnées. Je la regarde. Belle.
Je dis : < Et si tu accompagnais Estelle un soir pour tester le parrain ? >. Estelle me repousse. < Excellent ! > dit elle.

Je me lève pour me mettre debout devant Clémentine. Je la saisis par ses cheveux. J'attire son visage. Je la maintiens.
Je lui frotte la bite sur la gueule. Elle en gémit de plaisir. Estelle vient se mettre à genoux à côté en tenant mes couilles.
Je dis à Estelle : < Il faut absolument tenter ce coup là. Tu es prête à partager ton parrain un soir avec Clémentine ? >
< On en a déjà parlé au restaurant universitaire ! > répond Estelle. Clémentine m'en a déjà parlé. Une pure hypothèse.
Estelle est derrière moi, son visage entre mes fesses à me faire le cul pendant que Clémentine me taille une super pipe.

Le coup de la baise avec le parrain d'Estelle semble beaucoup exciter Clémentine. Surtout que je reviens sur le sujet.
Je lui caresse la tête. Je dis : < Tu y vas un mercredi soir. Tu me racontes ! >. Estelle fait : < Je filme en cachette ! >
Je trouve ce projet fabuleux. Les filles cessent de sucer et de lécher pour se regarder avant d'éclater de rire. Superbe.
Ce projet devient subitement si sérieux que nous nous asseyons en tailleur sur l'épais tapis pour en discuter. Sérieux.
Les filles évoquent cette possibilité depuis quelques mois lorsqu'elles mangent ensemble au restaurant universitaire.

Elles en parlent là, franchement. < Tu serais vraiment d'accord ? > me demande Clémentine à plusieurs reprises. Bien.
Je la rassure. Je précise : < Je t'y encourage même vivement ! >. Clémentine rajoute : < Mais juste une seule fois ! >
< Tu vas y prendre goût. Tu ne t'ai jamais fais baiser comme tu le seras par un tel vrai queutard ! > rajoute Estelle.
< Intéressant ! > conclue Clémentine avant de préciser : < Mais en janvier, après les fêtes, au retour d'Ecosse ok ? >
< Je mets tous les détails au point ! > fait encore Estelle. Il est 22 h30. Nous la raccompagnons à son auto. C'est dur.

Bonne soirée à toutes les coquines que la perspective d'une nouvelle expérience passionne déjà. Nouveau partenaire...

Julien - (Qui écoute Clémentine lui avouer sa joie devant ce nouveau projet. Un bon cunni, une baise et puis dodo)-

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Un vendredi pluvieux mais sympa

Hier matin, vendredi, c'est la Rapsodie Espagnole de Ravel qui nous tire, avec une certaine violence de nos sommeils.
< Il est fou ! > s'écrie Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Il est 5 h55. Quelques bisous et Clémentine m'entraîne par mon érection matinale jusqu'aux toilettes. Je débande vite.
Vêtus de nos tenues de gym nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous préparons un copieux petit déjeuner.
Le vendredi, Clémentine termine à midi. C'est le début du week-end. Ce qui la rend euphorique et déconneuse. Super.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un très vague programme de ce week-end. Tout cela reste encore flou.
Nous montons pour nous offrir une heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, les abdos.
La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine. Elle me rejoint chaudement vêtue et sous son parapluie.
Il est 7 h45. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou de la main. Je me dépêche de rentrer au sec.
Je fais le lit. Je fais la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Et je prépare ma palette.

Je commence ce matin la septième toile destinée à ma saison 2020. Une nature morte. Il m'en faut huit. C'est parfait.
Il est 8 h20. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Impressionnants.
Il fait tellement sombre que je travaille sous la lumière artificielle de la lampe à halogène. Je suis totalement absorbé.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Super.
Je fais revenir des crevettes à la poêle avec de l'ail, de l'oignon et des champignons. Je rajoute la crème fraîche. Bien.

Il est 12 h20. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Joie.
Tout en préparant la salade Clémentine me raconte sa matinée. Je fais le coulis d'aubergine en grande quantité. Parfait.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table en évoquant la soirée de hier, avec Estelle, notre nouveau projet.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie le plaisir que lui procure ce projet.
Baiser avec le parrain à Estelle. < Juste pour voir ! > dit elle, éclatant de rire. Je l'encourage à tenter cette expérience.

Depuis qu'Estelle nous vante les mérites et les performances sexuelles de son parrain qui baise comme un lapin ! Bien.
Nous en rions de bon cœur. < Il faut juste trouver le bon plan parce que je veux te savoir à regarder ! > dit Clémentine.
C'est un de nos fantasmes communs. Clémentine adore me savoir planqué dans les environs à l'observer dans le stupre.
Je dis : < Comptons sur Estelle pour nous préparer ce plan, et elle s'y connait ! >. Nous en rigolons comme des bossus.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.

Cette conversation nous a considérablement excité. Nous sommes très impatients de connaître cette nouvelle situation.
Clémentine m'avoue s'être masturbée dans l'auto, en rentrant de cours et en pensant à ce projet. Mais elle me rassure.
< Je roule doucement. Je fais très attention. Je n'ai croisé que deux voitures sur la petite route ! > fait elle. C'est bon.
Je la saisis par la nuque pour l'entraîner dans la chambre. Je la fais tomber sur le lit. < J'adore ! > me fait Clémentine.
Je sors ma queue. Je me couche sur le côté. Je lui passe la bite sur la gueule et avant de la lui mettre dans la bouche.

Je sens Clémentine qui suce immédiatement avec avidité. Je dis : < Le parrain à Estelle déteste les pipes, tu le sais ! >
Clémentine cesse de sucer pour répondre : < Je vais lui faire amer ça ! Il va en redemander ! >. Et je n'en doute pas.
Je suis couché, en appui sur mes bras, au dessus de Clémentine. Je lui administre un véritable "face fucking". Salace.
Je lui baise littéralement la gueule. Elle me tient les hanches. Elle me suce avec passion, subissant mes coups de reins.
Je cesse. Je me couche sur le dos. Je la maintiens par la nuque sur laquelle j'appuie fortement pour la forcer à pomper.

Je lui murmure des saloperies. Je lui avoue à quel point j'ai adoré la voir sucer quelques mecs depuis qu'on se connaît.
Il y en a déjà eu quelques uns. J'ai assisté à des scènes prodigieuses. Clémentine est une véritable suceuse. Pompeuse.
C'est sa relation sexuelle préférée avec le cunnilingus. Je dis : < Ça fait longtemps que tu n'en as pas sucé un autre ! >
Je rajoute : < Et si on allait au haras, samedi soir ? On arrange le coup avec Juliette. Il y aura peut-être Mr Gérard ! >
< Ou Pierre ! > fait Clémentine en cessant de sucer. Je dis : < Lui, il te baise ! >. Clémentine dit : < Pourquoi pas ! >

J'enlève les vêtements de Clémentine qui retire les miens. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions.
Nous restons immobiles. Nous adorons baiser ainsi. J'écoute Clémentine me confier ses plus intimes secrets de fille. Bien.
Elle ressent le besoin de se faire sauter par un mec. De se retrouver dans une situation glauque et chargée de vice. Joie.
J'écoute les différents scénarios, plus surréalistes les uns que les autres. Je suggère des plans beaucoup plus réalisables.
Nous restons ainsi à baiser longuement. Les confessions de Clémentine maintiennent mon érection. Même sans bouger.

Nous aimons rester excités pour le restant de la journée. Nous n'allons donc pas jusqu'à l'orgasme. Il est déjà 15 h. Rire.
Nous nous rhabillons. Nous dévalons les escaliers en riant. Dehors il pleut à verse. Nous allons dans l'atelier. C'est sympa.
Je suis assis devant mon chevalet. Clémentine, assise devant l'ordinateur, m'appelle. Je me lève pour la rejoindre. Super.
Il y a un courriel. C'est l'agence de location, à l'aéroport d'Edimbourg. C'est la confirmation de la disponibilité d'une auto.
Coïncidence ou hasard. C'est une Golf noire. Toutes les voitures que je loue sont toujours des Golf. Et noires. C'est drôle.

Nous travaillons tous les deux avec cette délicieuse émulation. Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre. Faire des bises.
< On reste à la maison. Je n'ai plus envie de sortir ce soir ! > répond Clémentine à ma suggestion d'aller au restaurant.
Je n'insiste pas. C'est vrai qu'avec ce temps médiocre, rester à la maison n'est pas déplaisant. Tant pis pour Julie. Rires.
Il est 18 h30 lorsque le bruit sourd et violent résonne à l'étage. < Bonsoir Christine ! > fait Clémentine au fantôme. Bien.
Nous rangeons nos affaires en écoutant les plus invraisemblables bruits au dessus de nos têtes. Activités paranormales.

Cela ne dure guère plus d'une dizaine de minutes. Nous sommes installés sur l'épais tapis à admirer les flammes. Le feu.
Clémentine, couchée sur le dos, sa tête posée sur ma cuisse, me dit : < J'aime rester seule avec toi et c'est trop rare ! >
C'est vrai que nous avons une vie assez dense. Mais n'est-il pas préférable pour une jeune fille de 22 ans d'avoir une vie ?
Rien ne serait plus asséchant, plus sclérosant et plus triste de n'être tous les soirs que nous deux dans la grande maison.
C'est l'argument que je sers toujours à Clémentine qui comprend parfaitement. Avec une exception de temps en temps.

Il est 19 h. Nous quittons l'atelier. La maison est silencieuse. Nous adorons ce silence envoûtant. C'est plein de mystère.
Il reste des spaghettis. Il reste du coulis d'aubergine. Clémentine fait une salade d'endives. Je pane deux filets de colin.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine revient sur nos différents projets. Ces trucs très vicelards.
La réalisation de plusieurs petits films en Ecosse. Estelle en fera le montage afin d'en faire un long métrage. Bien salace.
Le projet du restaurant de l'étang, un mardi de janvier où Clémentine fera la "serveuse", un soir, en compagnie de Julie.

La baise avec le parrain d'Estelle, un mercredi soir de janvier. Il y a là de quoi se réjouir plus que de raison. C'est super.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie à quel point cette vie est exaltante.
< Sans toi, rien de tout cela ne serait possible. Ou alors d'une manière tellement différente ! > me chuchote Clémentine.
Elle rajoute : < Et sans toi, je crois que je n'oserai pas m'aventurer aussi loin dans cet univers qui est le nôtre tu sais ! >
J'écoute en silence. Je comprends parfaitement. Nous sommes tous deux des privilégiés. Nous nous sommes rencontrés.

Clémentine a 22 ans. Je vais en avoir 53. Tout cela serait impossible sans la complicité de cette différence d'âge. Certain.
Nous le savons tous deux. Et nous sommes bien décidés à en profiter encore quelques années. Clémentine le dit souvent.
Je suis à la fois l'ami intime, le père qu'elle n'a pas eu et l'amant ultime. Depuis moi, sa vie est devenue facile, agréable.
< Tout est si simple avec toi ! Je me sens si bien, si libre, si aimée et tellement comprise ! > me fait elle souvent. Super.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Ces rares soirées de solitude à deux permettent une mise à plat de nos ressentis.

Clémentine m'entraîne au salon. Du tiroir du bas du bureau elle tire la petite pochette en cuir ou se trouve deux photos.
Assise à côté de moi, elle les sort. Ce sont deux photos où le visage de Clémentine est maculé de sperme. Epais, gluant.
Ce sont des photos prises par Estelle lors d'une de nos soirées de douces folies. Et Clémentine y est belle comme le jour.
Nous avons en projet, un jour, d'oublier cette pochette dans un lieu. Qu'un homme la découvre. Qu'il trouve les photos.
Qu'il rencontre la fille des deux photos qui vient récupérer la pochette oubliée. Nous n'avons pas encore réalisé ce plan.

C'est un autre de nos projets. Une situation que veut vivre Clémentine. Il faut juste créer cette situation avec stratégie.
Cette idée nous excite. Je bande comme un salaud. La fille de la photo est là, assise à côté de moi. Et c'est éblouissant.
A genoux sur l'épais coussin, Clémentine joue avec mon sexe qu'elle décalotte pour y faire dégouliner la jute visqueuse.
Avec la baise de l'après-midi, mon sexe dégorge encore de liquide séminal. Je regarde les photos, je regarde son visage.
< Tu compares ? > me demande Clémentine avant de se mettre à sucer avec passion. Je dis : < C'est incomparable ! >

< En Ecosse, s'il te plaît, sois le "Maître" dont j'ai parfois besoin ! Je t'en prie ! > me murmure t-elle à plusieurs reprises.
Je promets d'être à la hauteur de ses attentes. Pour confirmer, je la saisis par ses cheveux et je lui administre une gifle.
Ce ne sont jamais des actes de violence dont je serai bien incapable. Mais c'est le rôle qu'exige la fille que j'aime. Super.
Je la regarde sucer. Je regarde les photos. Elles sont d'une netteté absolue. Sur l'une c'est le sperme, la pisse de Gérard.
Le cliché a été pris par Estelle aux écuries, dans le box, devant ce fameux trou dans le mur où nous nous amusons tant.

Clémentine cesse la pipe pour dire : < C'est dommage qu'il n'y ait pas de photos de chaque mec qui m'a juté dessus ! >
Nous en rions de bon cœur. Elle rajoute : < Ce serait de superbes souvenirs sur papier ! >. Elle retourne à sa fellation.
Je lui caresse les cheveux. Clémentine s'arrête souvent pour me regarder, amusée, entrain de scruter ces deux photos.
< Tu m'aimes tant que ça ? > me demande t-elle. Je réponds : < Et encore davantage que tu ne puisses le concevoir ! >
Je propose un léchage de minou. Une baise. < Au lit, après ! > répond à chaque fois Clémentine. Il est 22 h. On monte.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment savoir à quel point elles sont aimées, vénérées, adorées et désirées...

Julien - ( Qui baise avec Clémentine en écoutant ses secrets. Qui lui lèche le minou pour la faire hurler de bonheur) -

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Un samedi des plus peinards

Hier matin, samedi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est 8 h. Nous nous serrons fort. Des papouilles.
Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. La faim.
Nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un vague programme de la journée.
Il pleut. A part la logistique des courses du samedi matin, il est inutile de prévoir une activité extérieure. C'est si moche.
La vaisselle. Nous remontons nous offrir notre entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et abdos.

La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises blanches, nos sweats noirs. Bottines. Il ne fait pas froid mais humide.
Nous descendons. Nous mettons nos blousons de cuir noir. Munis de notre immense parapluie nous affrontons la pluie.
Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. < C'était bien hier soir, hein ? > me fait elle. Bises.
Trois kilomètres et nous arrivons au bourg. Malgré cette météo, il y a toujours beaucoup de gens au marché du village.
Nous faisons provisions de fruits et de légumes. Nous faisons provisions de fromages, d'œufs, yaourts, crème fraîche.

De retour à la voiture nous disposons les produits frais dans la glacière. Direction la ville et sa zone commerciale. 15 km.
Cette fois, Clémentine me sort la queue. Je bande mou. Elle joue avec ma bite tout en parlant de notre séjour en écosse.
Nous prenons l'avion lundi prochain, le 23 décembre. En cas de grève nous avons notre plan B. Voiture jusqu'à Londres.
Il y a 350 km par la route, ferry compris. Comme ce sont des compagnies anglaises, nous évitons tous soucis de grève.
Si ce cas de figure est effectif, nous prenons simplement l'avion de Londres. 850 km. Une heure trente de vol. C'est bien.

Nous arrivons. Je gare la voiture sur le parking. Je pousse le caddie. Clémentine qui nous entraîne dans le supermarché.
Tenant la liste des courses elle nous guide dans les rayons. Il y a là un monde fou. Il y a un père Noël armé d'un micro.
C'est évidemment commercial et il faut subir les histoires que raconte l'intermittent du spectacle déguisé en père Noël.
Avec cette affluence, il serait vain de tenter un plan digne d'intérêt. < C'est frustrant les fêtes ! > murmure Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. La voix du père Noël vantant les mérites de la lessive, du saucisson, du pinard, est pénible.

Nous attendons notre tour à la poissonnerie quand une voix familière résonne à nos oreilles, tout près de nous. Superbe.
C'est Julie avec sa maman. Nous bavardons un peu. Nous nous excusons de n'être pas venus hier soir. Avec cette météo.
Julie nous apprend qu'il y avait une telle affluence au restaurant qu'il aurait été impossible de bavarder. C'est donc bien.
Par contre, la jeune fille nous confirme sa venue lundi soir. Nous l'attendons pour 19 h30. Réjouissances en perspective.
Nous nous saluons. Julie rejoint sa mère qui bavarde avec un couple, là-bas, au rayon des fruits. Une agréable rencontre.

Nous passons en caisse. Attente longue et pénible. Enfin notre tour. Nous flânons un peu dans la galerie commerçante.
Il y a là un autre père Noël qui se fait photographier avec les moutards que lui confient les parents pour faire les clichés.
Nous découvrons les menus proposés par la cafétéria. Inutile d'envisager de manger ici, il y a tant de gens, de familles.
Nous retournons à la voiture. La pluie a cessé. Nous voilà en route. Il est 12 h30 lorsque nous revenons à la maison. Ouf.
Nous rangeons nos courses. Nous montons nous changer. Clémentine s'occupe de la salade. Moi du bouillon des moules.

Je verse les haricots verts et les petits pois encore congelés directement dans le Wok. C'est rapide. J'égoutte les moules.
Nous mangeons de bon appétit. Il fait sombre. C'est moche. < Dans sept jours c'est l'hiver ! > précise Clémentine. Dur.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, et tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque nos vacances.
Ces dix jours qui nous attendent en Ecosse. Un ballon d'oxygène après un trimestre de mathématiques, d'un travail ardu.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Sympa.

Clémentine, de la mousse dentifrice aux coins des lèvres, fait une bosse à l'intérieur de sa joue avec la brosse à dents.
Je demande : < Là, tu fais une pipe à qui ? >. Elle répond péniblement en faisant attention de ne pas avaler : < Toi ! >
Nous rigolons comme des bossus. Nous nous rinçons la bouche. Clémentine propose une sieste crapuleuse. C'est super.
Elle m'entraîne sur le lit, dans la chambre. Nous nous mettons tous nus sous les draps. C'est tellement rare. Nous rions.
< Voilà ! On devient un vieux couple. On baise au lit de manière conventionnelle ! > dit Clémentine en éclatant de rire.

Serrés l'un contre l'autre, c'est très agréable. Il fait même un peu trop chaud. Très rapidement nous avons le cul à l'air.
Clémentine me suce. Je la fais cesser pour sucer son clitoris géant. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis avec précaution.
Nous restons immobiles, comme nous aimons. Clémentine me murmure des cochonneries. Cela maintient mon érection.
C'est absolument génial. Les scénarios les plus fous que propose Clémentine sont terriblement excitants. Des trucs fous.
Nous bougeons en rythme pour cesser, parler à nouveau, recommencer à nous bercer et s'arrêter pour discuter encore.

Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. Nous avons en commun ce désir fort de rester excités pour le reste de la journée.
Pour ne pas risquer de nous endormir, nous nous précipitons aux toilettes en riant. Le rituel des pissous à deux. Génial.
Nous nous habillons. Dehors, la médiocrité de la météo reste la même. C'est épouvantable. Pluie, vent en rafales. Dur.
Nous redescendons. Clémentine me propose de faire le ménage pour éviter de devoir le faire demain matin, dimanche.
Excellente suggestion. Il est 15 h30. Nous faisons tout ensemble et hors de question de se séparer de plus de 2 mètres.

Nous commençons par la cuisine. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous et de nous raconter des histoires drôles.
Après la cuisine, ce sont les chiottes du bas, le hall d'entrée puis le salon. Aspirateur, plumeau, serpillère, chiffon, balai.
Nous montons à l'étage pour faire pareil. Impossible d'aérer à cause de la tempête. Odeur de chlore et de javel. Pénible.
Il est 17 h50. Tout est nickel. Clémentine me saute au cou. Je la soulève pour l'entraîner dans tout le bas de la maison.
Elle me couvre le visage de bisous. Nous faisons le tour du propriétaire pour constater comme tout est propre et rangé.

Clémentine préfère rester chez nous ce soir. Avec ce temps, d'affronter l'extérieur, est une idée exécrable. C'est décidé.
Nous allons dans l'atelier. Assise sur mes genoux, devant l'ordinateur, Clémentine surfe sur le site de l'université. Bien.
Nous allons parcourir les forums où nous publions notre belle histoire. < Notre journal intime ! > lance Clémentine. Rire.
Nous regardons quelques photos ramenées d'Ecosse. Des clichés pris cet été. Tout y est vert, le ciel bleu. Il y a le soleil.
En hiver rien de comparable. Mais l'Ecosse garde son charme particulier quelle que soit la saison. Nous nous réjouissons.

Il est 18 h15. Estelle arrive. Elle nous fait la bise. Les filles sont assises sur mes genoux. Elles commentent les photos.
Estelle devra passer les fêtes de Noël avec ses parents. Elle nous rejoint le jeudi 26 décembre. Trois jours sans nous.
Soudain, à l'étage, un bruit sourd et caverneux. Le fantôme de mon ancienne compagne. Et ce soir, c'est un vacarme.
Des meubles que l'on pousse, que l'on tire. Des portes que l'on claque. Des courses poursuites. C'est si impressionnant.
Nous nous regardons. < Elle fait le ménage ? > demande Estelle. Nous n'avons pas trop le cœur à rire. Un vrai bordel.

Cela ne dure que dix minutes. Nous restons encore à regarder nos photos souvenirs. Tous les trois, posant en Ecosse.
Dans nos tenues d'été. Estelle et Clémentine dans leurs jupettes, en T-shirt et en basket. Moi en short, en chemisette.
Souvent avec des cônes glacés à la main. Nous demandons souvent à des touristes de nous photographier. C'est bien.
Il est 19 h. La faim se fait sentir. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Super.
Estelle et moi nous épluchons les patates, le navet, le céleri, les carottes, ail, oignon que nous coupons grossièrement.

Nous en faisons en grosse quantité. Ainsi nous pourrons encore réchauffer demain. Estelle qui nous raconte sa journée.
Ses parents sont restés impressionnés par les phénomènes paranormaux auxquels ils ont assisté ici dimanche dernier.
< On ne croit à ces choses que quand y est confronté. Sinon, on se contente de prétendre des conneries ! > dit Estelle.
C'est vrai. Mais c'est une caractéristique humaine. Douter de tout tant qu'on a ni vu, ni senti, ni touché. Une constante.
Avec la potée que remue Estelle dans la cocotte, il y a le poisson que je pane. Des filets de cabillaud. De toute beauté.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles reviennent sur notre projet. Réaliser des petits films cochons durant le séjour.
Estelle propose quelques scénarios qu'elle a mis au point. C'est une vicieuse. Une cérébrale. Comme Clémentine et moi.
Elle sera l'actrice féminine. Je serai l'acteur masculin. Clémentine fera les prises de vue. Et avec sa virtuosité habituelle.
A notre retour au début janvier, Estelle fera un montage. Réunir tous ces petits films en un seul. Qualité professionnelle.
Nous savons pouvoir lui faire confiance. Autant Clémentine filme avec talent. Autant Estelle monte, assemble avec soin.

Nous avons repéré quelques endroits bien "glauques" à Morningside et à Edimbourg qui se prêtent bien à notre projet.
Notamment les toilettes souterraines sur la petite place, les toilettes au fond du petit parc peu fréquenté. Que du bon.
Le fantasme d'Estelle depuis l'adolescence, de faire l'actrice porno, trouvera encore dans ce projet un sublime exutoire.
J'écoute les filles échanger des détails techniques. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine très vulgaire.
< On compte sur tes aptitudes naturelles, Julien, il faut faire de grands numéros d'acteurs ! > rajoute Estelle. Rigolade.

< En hiver, avec la fréquentation moindre, ce sera beaucoup plus facile à réaliser ! > précise Clémentine. C'est évident.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous sommes tous les trois considérablement excités par notre projet commun.
Je propose aux filles un bon léchage de minous. Je ne suis évidemment pas obligé de le proposer une seconde fois. Bon.
Estelle m'entraîne par la queue jusqu'au salon. Les filles retirent leurs jeans, leurs culottes. Juste chemises, chaussettes.
A quatre pattes sur l'épais tapis, les coudes en appuis sur le canapé, les deux coquines agitent leurs culs et tout en riant.

Je suis à quatre pattes. Comme un clebs, je renifle les culs. Je commence à bouffer celui d'Estelle. Odeurs insoutenables.
Les filles se masturbent en même temps que je leurs fais le cul. Je me couche sur le dos et je me glisse entre les cuisses.
Elles frottent leurs chattes sur mon visage en échangeant leurs impressions. Elles se vautrent à présent dans le canapé.
A genoux sur les épais coussins, je passe d'une chatte à l'autre pour en récupérer les sucs. Cyprines abondantes. Délices.
Je lèche, je suce, je pompe, les filles semblent intarissables. Elles se masturbent en même temps. Gémissements. Super.

Estelle m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Elle se met à bouger. Cela impressionne Clémentine.
< Tu deviens une vraie baiseuse ! > fait elle à Estelle qui répond : < Je préfère quand même me faire brouter ! >. Rire.
Je passe dans Clémentine. Nous restons immobiles. Tout en se branlant, Estelle demande : < Comment vous faites ? >
Je passe de l'une à l'autre. L'orgasme d'Estelle est un remake de Tchernobyl puissance 10. Elle en hurle d'extase. Super.
Celui de Clémentine est un remake d'Hiroshima et puissance 10. Elles reprennent leurs esprits. Nous allons aux chiottes.

Le rituel d'après baise. Je lèche les fions pisseux des deux coquines qui en gémissent d'aise. J'adore les mélanges. Miam.
Estelle me tient la bite pour en diriger le jet. Elles me sucent à tour de rôle entre chacun d'eux. Je contrôle parfaitement.
J'éjacule une partie dans la bouche d'Estelle, l'autre partie dans la bouche de Clémentine. Je les termine à la pisse. Bien.
Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle bain. Nous sommes épuisés. Crevés.
Au lit, Estelle à ma droite s'endort la première. Clémentine à ma gauche murmure ses dernières impressions. Puis dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui mettent au point les derniers détails du film porno qu'elles veulent réaliser...

Julien - (Qui écoute les toutes dernières révélations de Clémentine qui s'endort à son tour. C'est merveilleux) -

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Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 1004 -



Un dimanche tout aussi tranquille

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par de délicats bisous que l'on me dépose dans le cou. Et c'est presque irréel.
On me tient subitement par mon érection matinale et naturelle. C'est Estelle. Et je la sens contre moi toute la nuit.
Cela réveille Clémentine. Je suis entre les filles. Elles se serrent contre moi comme des naufragées à leurs bouées.
Je passe mes bras sous leurs nuques. C'est la distribution de bisous. Nous nous murmurons des douceurs. Tendres.
< Ce sera bientôt comme ça tous les matins ! > chuchote Estelle qui fait allusion à nos vacances. Dans onze jours.

C'est dimanche. Pas d'entraînement, pas de jogging et pas de gymnastique. De plus, le ménage est déjà fait. Super.
Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes. Clémentine me chevauche, frottant son sexe sur le mien.
Estelle revient, enfile son pyjama bleu et nous dit : < Je descends préparer le petit déj. Venez vite, j'ai trop peur ! >
Nous rions de bon cœur. C'est à notre tour. Nous mettons nos jeans, nos chemises à carreaux et nous allons pisser.
Nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. L'odeur de café, de pain grillé et de brioche. C'est bon.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Il est 9 h. Dehors il fait gris mais il ne pleut plus. Dimanche moche.
Les filles évoquent leurs études. Cette dernière semaine qui va clore ce trimestre. Leur mémoire en voie d'achèvement.
Nous faisons un très vague programme de la journée. Nous traînons à table. Les filles reviennent sur notre soirée hier.
< C'est génial. C'est la vie rêvée pour des dépravés comme nous ! > fait Estelle en s'asseyant sur mes genoux. Rires.
< C'est au-delà de nos rêves les plus fous ! > rajoute Clémentine qui s'assoit sur mon autre jambe. Je les écoute. Joie.

Elles comparent leurs émotions devant telle ou telle situation que nous vivons tous les trois. Le stupre, la luxure. Vice.
Je les écoute échanger les anecdotes amusantes qui reflètent leurs préoccupations. Cela nous excite considérablement.
Elles ont leurs bras autour de mon cou, de ma taille. Je les tiens par les hanches. Nous parlons de notre projet. Le film.
< On se fait un truc long qui dure une bonne heure et demi. Ce sera notre soirée cinéma du début 2020 ! > dit Estelle.
< Ce sera émouvant car déjà un souvenir ! > rajoute Clémentine. La vaisselle. Nous rangeons un peu la cuisine. Bien.

Tout est propre dans la maison. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Salle de bain.
Les filles miment une fellation avec leurs brosses à dents. Je demande : < Et vous sucez qui ce matin les coquines ? >
En parlant avec peine, Estelle répond la première : < Ta queue ! >. Clémentine fait pareil en répondant : < Gérard ! >
Nous rigolons comme des bossus quand Estelle rajoute : < Moi je m'occupe exclusivement de la bite à Julien ! Miam ! >
Nous nous rinçons la bouche. Estelle s'habille. Je dis à Clémentine : < Tu suces Gérard avant l'écosse. C'est urgent ! >

Nous descendons. Nous mettons nos anoraks. Nous sortons pour aller prendre l'air. Il ne fait pas froid. Presque doux.
Les filles restent serrées contre moi, me tenant le bras. Nous descendons jusqu'à la rivière. Là, une meute de sangliers.
Ils sont à une trentaine de mètres et ne semblent pas du tout craintifs. C'est assez impressionnant. Ils sont plus de dix.
Nous restons sur nos gardes. Le niveau de la rivière a dépassé son maximum. Et impossible de marcher sur ses berges.
Nous restons sur le sentier. Estelle me sort la bite. Clémentine s'accroupit pour la scruter de près. Estelle qui fait pareil.

Elles hument mes odeurs intimes. Le dimanche nous restons dans nos jus. Sales. C'est un autre rituel. Pas de toilettes.
Je les regarde en leurs caressant la tête. Estelle me décalotte légèrement en faisant une horrible grimace. La puanteur.
Même là, à l'extérieur, sans un souffle de vent, l'odeur forte de ma queue sale me monte aux narines. Les filles hument.
< Monsieur Schlinguo ! > fait Estelle. < J'adore ! > rajoute Clémentine qui se met à téter l'extrémité pleine de fromage.
Elle se refilent la bite en tétant juste le bout. Leurs bouches chaudes et gourmandes. Je les laisse se régaler. C'est bon.

Il est 11 h. Je les force à se redresser. Je masse les jambes d'Estelle, de Clémentine. Nous prenons le chemin du retour.
Nous marchons d'un bon pas. Les sangliers ont disparu. Il est 11 h30 lorsque nous sommes de retour. Le ciel reste gris.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle réchauffe la potée. Je prépare une sauce au Roquefort et trois poissons panés.
C'est rapide. Estelle n'arrête pas de me toucher la queue. Clémentine, par jeu, lui retire la main. Nous rions aux éclats.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Je propose une balade au marché de Noël du bourg voisin. Bien.

Assises sur mes genoux, tout en terminant leurs coupes glacées, les filles proposent un tour au haras après le marché.
Je trouve la suggestion excellente. Juliette en sera ravie. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est à peine 13 h 15.
Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Imitation de pipe. Rigolade.
Cette fois, elles miment toutes les deux une fellation à un parfait inconnu. < Parfois il faut changer ! > dit Clémentine.
< Beurk ! > fait Estelle qui se saisit de ma bite en disant : < Je reviens très vite à celle de Julien ! Elle est si miam ! >

Nous nous habillons. Jeans propres, chemises blanches sous nos pulls noirs. Nos bottines. Tous les trois vêtus pareils.
Nous dévalons l'escalier. Nous enfilons nos manteaux noirs. < Tu gardes ta bite à l'air sous le manteau ! > dit Estelle.
Clémentine rajoute : < La bite et les couilles ! >. Je sors mes couilles. Mes organes génitaux en parfaite liberté. Rires.
Je roule doucement. Trois kilomètres. Clémentine joue avec mes couilles. Elles sont lisses et bien dodues. C'est super.
Nous arrivons au bourg. Le marché de Noël est composé d'une dizaine de petits chalets en bois et d'un manège rétro.

Il y a du monde. Ce petit marché de Noël ne fonctionne que les week-end. C'est tout à fait charmant. La superbe déco.
Nous flânons. D'avoir mes organes génitaux en si parfaite liberté sous mon manteau me procure une sorte d'insécurité.
Ma braguette déboutonnée fait légèrement garrot. Malgré la foule, Estelle y glisse quelquefois sa main. Et je la gronde.
Nos hautes tailles, les filles serrées contre moi, nos différences d'âges, tout cela attire encore bien des regards. Drôles.
Nous nous en amusons. Nous nous offrons des gaufres. Elles sont chaudes et si délicieuses. C'est sympa de traîner là.

Là, à côté du manège, Michèle et Yvan, les parents d'Estelle. Ils nous on vu en même temps. Tous contents. Sourires.
Nous nous saluons. Ils nous ont surpris serrés tous les trois. Ce qui ne fait que conforter leurs certitudes. C'est parfait.
Nous bavardons. Nous sommes invités dimanche prochain, à midi. Un repas de fête avant notre départ pour l'écosse.
Nous confirmons notre présence à condition d'apporter le dessert. Nous en rions de bon cœur. Estelle tient son papa.
Tout contre lui, elle me fait un clin d'œil. Ils sont élégants. J'aime la classe naturelle de Michèle, très belle bourgeoise.

Elle a souvent ce curieux regard par en dessous en me fixant. Elle veut me faire comprendre. Et je comprends si bien.
Même si Yvan ne manifeste aucun sentiment, il n'est pas dupe. Il connaît la nature des relations de sa fille avec nous.
Nous faisons un autre tour du marché tous les cinq. Estelle ne lâche pas son papa qu'elle tient par le bras. C'est beau.
Nous nous séparons. < Tu ne rentres pas trop tard. Tu as cours demain matin ! > fait Michèle à sa fille. Vieux réflexe.
Nous nous saluons. Estelle revient se serrer contre moi. Nous retournons à la voiture. Il est déjà 17 h. La nuit arrive.

Dans la voiture, assises toutes les deux sur le siège passager, les filles rient en disant : < Tu as ta bite qui mouille ! >
< Tu as gardé ta bite et tes couilles à l'air durant tout l'après-midi. Tu la sens comment ? > demande Estelle. Rigolade.
Nous arrivons au haras. Il y a encore plein de voitures dans la cours. Des attroupements. Des propriétaires de chevaux.
Il fait nuit. L'animation est terminée. Nous croisons Kim Son le palefrenier. Il nous salue d'un grand sourire. Il bosse.
Il tient deux chevaux par leurs longes. Là, Juliette qui sort du grand bâtiment où se trouve le manège. Avec des gens.

Elle nous fait un coucou de la main et un grand sourire. Nous ne voulons pas la déranger. Nous entrons dans l'écurie.
Nous croisons plein d'inconnus. De jeunes écuyères. Il y a Eveline, la seconde palefrenière. Contente de nous revoir.
Elle fait rentrer un grand cheval dans son box. Elle aussi est au travail. Nous ne la dérangeons pas. Voilà Mme Walter.
Il y a plein de monde. Nous nous contentons d'échanger des sourires avec les gens connus. Et voilà même Mr Gérard.
Il est en compagnie de quatre jeunes filles dans leurs tenues d'écuyères. Il nous fait un signe amical. L'effervescence.

Les animations qu'organise Juliette connaissent tous les dimanches un franc succès. Nous venons y assister quelquefois.
Surtout en janvier et en février. Ce sont les seuls manifestations du week-end dans un rayon de 15 km. C'est si sympa.
Nous ne nous attardons pas. Tous les gens que nous connaissons sont occupés avec les derniers visiteurs. Nous partons.
Il est 18 h30. Nous sommes de retour. < Félicitation Julien. La bite et les couilles à l'air tout l'après-midi ! > fait Estelle.
< Chapeau ! > rajoute Clémentine qui m'enlève le manteau. < Fais voir comment elle se porte ! > dit Estelle, accroupie.

Là, dans le hall d'entrée, à peine débarrassé de mon manteau, voilà que je me fais examiner le Zob par les coquines.
< Il y a du jus ! > s'écrie Estelle. < Ça a coulé ! > rajoute Clémentine. Elles se mettent à sucer, se refilant ma queue.
Je les force à cesser. Nous rigolons comme des bossus. Je les entraîne à la cuisine en les tenant par la nuque. Ferme.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Estelle émince de l'ail et de l'oignon. Si finement.
Nous montons nous changer. < Garde ta queue à l'air, on fait une inspection générale après la bouffe ! > lance Estelle.

D'avoir la bite et les couilles serrées par une braguette étroite, me procure comme une sensation de congestion. Drôle.
Nous dévalons les escaliers. La faim se fait sentir. Des crevettes rissolées à la poêle accompagnent nos spaghettis. Bon.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de notre journée. Conclusions positive et pleine d'humour. Rires.
Nous traînons à table. La vaisselle. La cuisine bien rangée. Les filles m'entraînent au salon. Elles procèdent à l'inspection.
Je me fais tailler une pipe des familles. Pas questions de léchage de minous. Elles ne veulent que ma queue. Variantes.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment terminer un dimanche tranquille en taillant une pipe, bouffer du foutre...

Julien - (Qui console Estelle devant sa voiture avec Clémentine. Séparation difficile à 22 h15. On se revoit mardi)-

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Un lundi soir avec Julie

Hier matin, lundi, ce sont "Les noces de Figaro" de Mozart qui nous tirent de nos profonds sommeils. C'est plutôt dur.
< Put-Hein Momo ! > s'écrie Clémentine allongée sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Il est 6 h. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Cuisine.
Vêtus de nos tenues de gym nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit. Il reste de la brioche.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement, jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.

La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Il ne fait pas froid. Il est 7 h45 et le jour se lève.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit, vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Déjà 8 h15. Je suis confortablement assis devant mon chevalet.
Je prépare ma palette en chantant "L'orage" de Georges Brassens. Je peins avec un enthousiasme qui frise l'euphorie.
Comme toujours, livré corps et âme à ma passion délirante, je ne vois pas les heures passer. Il est si rapidement midi.

Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je lave le choux fleur pendant que gonfle le riz complet bio.
Je lave les feuilles d'une belle laitue. Je coupe le choux fleur en petits morceaux que je fais cuire dans l'eau bouillante.
Je pane un filet de lieu noir. Je mange de bon appétit. J'égoutte le choux fleur. Je le dispose dans un plat de terre cuite.
J'y rajoute du gruyère râpé. Je verse le mélange œuf, crème fraîche. Je mets le tout au four. C'est notre repas du soir.
La vaisselle. Je range la cuisine. Il est 13 h. Me voilà installé devant mon chevalet. Je peins dans le même état d'esprit.

Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son sac sur le canapé pour se précipiter vers moi. Souriante. Joie.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, me couvrant le visage de bisous, elle raconte sa journée. Super.
Aujourd'hui, un des menus du restaurant universitaire était composé d'un gratin de pommes de terre. Galettes de soja.
Clémentine a encore du travail. Elle est assise devant son ordinateur. La rédaction de son mémoire. Encore deux pages.
Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre. Des bisous. Clémentine lit à haute voix. C'est tellement agréable d'entendre.

J'aime la sonorité de sa voix. J'aime l'articulation de ses mots. J'en oublie le sens de ce qu'elle développe. Je le lui dis.
Elle éclate de rire pour venir s'assoir sur mes genoux. Déjà 18 h15. Clémentine parle des vacances qui se rapprochent.
< Je compte les jours ! J'ai besoin de me reposer ! > me fait elle. Ce premier trimestre était dense et chargé. Terminé.
Le second trimestre risque fort d'être du même acabit. Nous rangeons nos affaires. Un bruit sourd, caverneux à l'étage.
Le fantôme de mon ancienne compagne. Nous entendons ces manifestations paranormales sans y faire trop attention.

Nous faisons surtout semblant de ne pas y prêter attention. Des grincements de portes qui claquent. Des bruits de pas.
Des meubles qu'on ripe sur le plancher. Tout ça dure environ une dizaine de minutes. Tout cesse. Les bruits s'éloignent.
Nous sommes installés sur l'épais tapis devant la cheminée. Clémentine est allongée, sa tête posée sur ma cuisse. Bien.
Je lui caresse la tête. Nous aimons tant cette silencieuse transition entre l'action et le calme. Cela fait un bien fou. Joie.
Il est 19 h. Nous quittons l'atelier. A la cuisine, Clémentine découvre le repas du soir. Nous attendons Julie pour 19 h30.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Je concocte une sauce au Roquefort avec des champignons. Parfait.
< S'il te plaît, sois le roi des vicelards ce soir. J'ai besoin de cochonneries pour me changer les idées ! > dit Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Je sors ma bite. Je l'agite devant Clémentine qui rajoute : < Et je ne peux pas m'en lasser ! >
Le gratin de choux fleur réchauffe au four. La sauce repose sous son couvercle. Nous allons au salon préparer la table.
C'est toujours un très agréable rituel. Clémentine allume les trois grosses bougies du chandelier. J'éteins le plafonnier.

Tout est prêt. Clémentine s'accroupit pour humer les odeurs intimes de ma journée d'homme. < Mmhh ! > gémit elle.
Elle me décalotte légèrement. Immédiatement les effluves parfumées de ma bite me montent aux narines. C'est fort.
Trois coups de sonnette. Clémentine se redresse pour se précipiter. J'ai la bite molle qui pend, sentiment d'insécurité.
Clémentine revient suivie de Julie. La jeune fille est tellement contente d'être avec nous. Elle se précipite en souriant.
Elle ne prête aucune attention à la queue qui pend lamentablement de ma braguette ouverte et elle me serre la main.

Julie est vêtue d'un pantalon noir, un sweat noir, ses bottines noirs. Ses cheveux noirs qui flottent sur ses épaules.
Elle porte ses lunettes. Elle fait le tour de la table pour admirer la décoration sommaire. Souriante et très détendue.
Je propose aux filles de s'installer à table. Je fais le service. < Pas question, je fais tout avec vous ! > s'écrie Julie.
C'est à la cuisine qu'elle fixe avec beaucoup d'attention la bite qui pend de ma braguette. < C'est génial ! > fait elle.
Je sors le gratin du four. < Miam ! > s'écrie Julie. Je remue la sauce. Clémentine remue la salade. Tout est préparé.

Chacun prend un plat et nous passons au salon. Julie nous confie aimer l'ambiance de mystère qui règne dans la pièce.
Je lui prends la main pour l'entraîner dans la pénombre. Nous faisons le tour de la grande pièce. Dehors, la nuit noire.
Clémentine vient nous rejoindre devant une des portes fenêtres. Nous scrutons l'extérieur. On ne voit pas grand chose.
Soudain, alors que je ne m'y attends pas du tout, on me saisit la queue. Je crois que c'est Clémentine. Non. C'est Julie.
Quel choc. Cela ne dure qu'un instant. Elle me la tient. Me la serre d'une poigne de fer, tire un peu dessus, la relâche.

Je passe ma main sous ses cheveux pour la poser sur sa nuque. Elle a un sursaut. Clémentine reste silencieuse. Mâte.
Comme pour fuir le trouble qui la gagne, Julie nous laisse pour contourner le bureau et s'installer à la table. C'est bien.
Julie est à ma gauche. Clémentine est à ma droite. Les filles évoquent leurs études. Pour Julie ce trimestre était long.
Julie doit concilier ses études de Lettres modernes et son travail de serveuse en soirée. Elle attend les vacances. Dur.
Le mois de décembre est le plus chargé en fréquentation. Le restaurant fait le plein presque tous les soirs. Un succès.

Nous mangeons de bon appétit. Julie nous fait part d'une certaine tristesse à l'idée de ne plus nous voir trois semaines.
Nous promettons de garder le contact. Nous échangeons souvent par courriels. Nous avons notre projet commun. Rire.
< Il faut que je te briffe. On ne s'improvise pas serveuse aussi facilement ! > précise Julie. Elle donne quelques détails.
< Tu fais tout comme moi. Un mardi soir de janvier, il y a peu de clients. C'est facile ! > fait Julie à Clémentine. Super.
Dans le rôle de serveuse ce sont surtout d'éventuelles opportunités vicelardes qui intéressent Clémentine. Julie raconte.

< Il y a parfois de ces vicieux ! Je m'amuse quelquefois comme une folle ! > confie une fois encore Julie. Nous rions.
Julie rajoute : < Je te montre un super plan au sous-sol, dans le petit local à côté des chiottes. De quoi t'amuser ! >
J'écoute silencieusement. C'est réellement passionnant d'entendre quelques anecdotes croustillantes vécues par Julie.
C'est une vicieuse. Une voyeuse. D'une discrétion absolue. Elle reste toutefois une jeune fille réservée et très pudique.
Ce sont les situations insolites et suggestives qui constituent l'essentiel de ses fantasmes. C'est adorable. Passionnant.

Je me lève à quelques reprises pour agiter mon sexe dans sa direction. A chaque fois elle cesse de manger pour voir.
Je demande : < Tu en as déjà vu combien des bites dans les chiottes du restau ? >. Julie répond : < Pas beaucoup ! >
Elle rajoute : < Mais je n'en ai pas vu qu'aux chiottes. Il y a des salauds qui l'ont dehors sous la table ! >. Nous rions.
< C'est surtout les commerciaux ou les camionneurs à midi, pendant les vacances. Là, il y a de quoi mâter ! > fait elle.
< Put-hein, génial ! > dit Clémentine. Julie nous a déjà raconté quelques situations plutôt torrides avec des inconnus.

Clémentine est pressée de jouer à la serveuse. Julie précise qu'il ne se passera pas forcément quelque chose. Rareté.
Les filles se proposent de le faire également un jour de vacances, à midi. Je me branle sous la table et parfois debout.
Cela nous excite tous les trois d'évoquer les possibilités qui s'offrent quelquefois. Julie nous confie adorer cette activité.
< Ce n'est pas que pour l'argent, les pourboires sont conséquents, c'est aussi pour mon plaisir de voyeuse ! > fait elle.
Nous en rigolons comme des bossus. < Et le verre à sangria ? > me demande subitement Julie. Nous l'avons oublié !

Clémentine se lève, se précipite au buffet. Elle revient avec le grand verre ballon. Elle le pose devant moi. Clin d'œil.
Je me lève. Je bande comme le dernier des salauds. Je tiens le verre sous ma queue que je contraint vers le bas. Dur.
J'essore la peau de mon prépuce. Il y a du liquide séminal qui s'écoule en grande quantité. Julie mâte avec attention.
Elle est en apnée, tout comme Clémentine. C'est comme si c'était la première fois. Concentré, je lâche un jet de pisse.
< C'est drôle, ça flotte toujours sur la pisse ! > fait Julie en reprenant sa respiration. Je lui tends le verre qu'elle prend.

Elle le place sous la lueur des bougies. Elle en fait tourner le liquide. J'adore voir cette belle jeune fille être si vicieuse.
C'est un grand moment que partage Clémentine. Julie me rend le verre. Elle me dit : < Vous êtes un vrai vicelard ! >
Elle rajoute : < Vous êtes l'homme le plus vicieux que je connaisse ! >. Clémentine répond : < Pour te servir ! >. Rire.
Je lui propose un petit jeu pour un soir de janvier. Pendant que Clémentine fait le service, je fais le client vicieux. Bien.
< Génial. Je n'osais pas vous le demander ! > fait Julie. Je me branle. Je dirige franchement ma queue vers Julie. Joie.

J'éjacule dans le verre. < Wouah ! Super ! > s'écrie t-elle en me prenant le verre. Clémentine se penche pour pomper.
Je me fais vider les couilles. Julie observe. Son regard va du contenu du verre à la pipe que me fait Clémentine. Super.
< Un jour, j'aurai ce courage ! > fait Julie en posant le verre. J'éjacule une seconde fois dans la bouche de clémentine.
Je dis : < Julie, un jour il faudra quand même que tu goûtes ! >. La jeune fille reste silencieuse. Elle me fait un sourire.
Julie insiste pour faire la vaisselle avec nous. Il est 22 h. Nous la raccompagnons à sa voiture. Séparation difficile. Dur.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment passer la soirée chez un couple d'amis dont le mec offre du spectacle...

Julien - (Qui est félicité par Clémentine serrée dans ses bras, au lit, juste avant un cunnilingus des familles) -

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Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 1006 -

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Le mardi après-midi, Clémentine n'a pas cours

Hier matin, je suis réveillé par Clémentine qui se serre fort contre moi avec un mouvement masturbatoire. Douceur.
Je la prends délicatement par la nuque pour lui couvrir le visage de bisous. J'éteins le réveil juste avant la musique.
Il est 5 h55. Nous nous précipitons aux toilettes. Les mardis, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend euphorique.
Vêtus de nos tenues de sport nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous y préparons notre petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Et nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint en souriant et toute contente.
Un dernier bisou. Il est 7 h45. Elle me palpe la braguette en me disant : < A tout de suite ! >. Je le regarde s'en aller.
Un dernier coucou et je me dépêche de rentrer. Le jour se lève. Il ne fait pas froid. Je fais notre lit puis notre vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Il est 8 h15. Me voilà enfin installé devant mon chevalet.
Je prépare ma palette. La huitième toile destinée à ma saison 2020 m'accapare rapidement tout entier. C'est superbe.

Je peins dans une sorte de volupté qui me fait pousser les plus invraisemblables cris d'animaux qui n'existent pas. Joie.
A chaque coup de pinceau plus sublime, je me lève pour faire la danse du guerrier Sioux autour de mon chevalet. Bien.
Il est très vite midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais dans la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes.
Je coupe les poireaux en petits morceaux que je plonge dans l'eau bouillante. Je fais une belle pâte à pain. Je la pétri.
Il est 12 h20. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Joie.

Je concocte une Béchamel dans laquelle je verse le poireau égoutté. Du gruyère finement râpé. Ciboulette, ail, oignon.
Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je récupère un peu de Béchamel comme sauce. Super.
Deux filets de colin que je fais rissoler à la poêle. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme du jour.
Avec cette météo, ce temps gris et ce ciel lourd, Clémentine propose une petite balade le long de notre circuit habituel.
Je trouve la suggestion plaisante. Juste deux petites heures au grand air, à nous aérer, à faire un peu d'exercice. Bien.

Nous ne traînons. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents tout en faisant les clowns.
Nous gardons nos fringues. Il suffit de mettre nos godasses de randonnée. Nous dévalons les escaliers pressés de filer.
La pâte à pain repose sous un linge dans le saladier. La garniture repose sous un couvercle dans la casserole. Superbe.
Notre repas du soir est prêt. La Flamiche Picarde. Cette tarte aux poireaux qui fait les délices de nos mardis soir. Miam.
Nous voilà au dehors. Nous gardons nos anoraks ouverts. Pas le moindre souffle de vent. Nous descendons à la rivière.

Sur la demande de Clémentine, je sors juste la bite. Cette queue qui pend lourdement et qui ballotte de ma braguette.
Clémentine évoque notre soirée, hier, avec Julie. Mon comportement. L'attitude de la jeune fille. L'attrait pour le vice.
Même si Julie se limite à des actes de voyeurisme, sa participation est de plus en plus active. Elle prend des initiatives.
< Elle te suce avant le printemps ! > fait Clémentine. Je réponds : < Mais le printemps de quelle année ? >. Silence.
Nous rions de bon cœur. Depuis deux ans que nous nous connaissons, Julie reste cette jeune fille pudique. Réservée.

Nous longeons la rivière en restant sur le sentier. Le niveau de l'eau interdit d'en parcourir les berges. C'est dommage.
Là-bas, les bâtiments du haras. Nous traversons la petite route pour les longer à environs 300 m, le long du ruisseau.
Nous sommes dissimulés derrière les planches du cabanon en ruine. Clémentine qui observe avec la paire de jumelles.
Je passe ma main dans son jeans qu'elle déboutonne pour me permettre un meilleur accès. Et j'accède dans la culotte.
Clémentine, tout en scrutant, commente ce qu'elle voit. Il n'y a personne. La caravane de Gérard, son vieux barbecue.

Je lance : < Demain soir on demande à Juliette de nous préparer un plan. Tu pourras sucer Gérard avant l'écosse ! >
< Génial ! > fait Clémentine en se frottant sur ma main exploratrice. J'enfonce délicatement la phalange de mon index.
Il y a deux cavalières qui quittent le bâtiment. Nous les regardons s'éloigner en direction de la rivière. Des jeunes filles.
Nous continuons notre promenade. A présent nous nous arrêtons souvent. Clémentine mouille de plus en plus. Sublime.
Je lui caresse le sexe. J'enfonce un doigt. Elle me confie à quel point elle se réjouie pour notre projet de film en Ecosse.

< Nous en parlons même entre deux cours à la fac, avec Estelle ! > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
Nous faisons la boucle des deux heures. C'est une super promenade. Il est 15 h30 lorsque nous revenons à la maison.
Nous enlevons les godasses. Nous allons dans l'atelier. Nous voilà rapidement à nos postes de travail. C'est un plaisir.
Clémentine, devant son ordinateur, me lit quelques phrases qu'elle remanie, à haute voix. Une déclamation théâtrale.
Je peins dans l'indicible bien être que procure une promenade et la présence de la fille que j'aime. C'est féérique. Bon.

Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour. Elle se précipite pour me couvrir de bisous. Assise sur mes genoux pour parler.
Elle aussi n'arrête plus de penser à nos vacances écossaises. Elle compte les jours. < Et même les heures ! > fait elle.
Estelle et Clémentine sont à peine assises ensemble devant l'ordi quand un bruit sourd résonne à l'étage. Le fantôme.
Comme presque tous les soirs, ce sont une dizaine de minutes accablantes. C'est comme dans un autre univers. Dur.
Des couses poursuites. Des portes qui claquent. Des meubles qu'on déplace. Bruits. Nous écoutons en nous regardant.

Ce soir, cela cesse comme si quelqu'un baissait doucement le son. C'est une étrangeté supplémentaire. Si fantastique.
Je nettoie ma palette. Clémentine range ses affaires. Nous nous installons sur l'épais tapis devant la cheminée. Super.
Les filles sont allongées. Leurs têtes posées sur mes cuisses. Je leurs caresse les joues, le cou, délicatement, douceur.
Seul le crépitement des dernières flammes. La pénombre se densifie. Nous adorons tant cette ambiance si particulière.
Il est 19 h. La faim nous gagne. < Mmhh, la Flamiche ! > s'écrie Estelle. Elle rajoute : < J'adore ton gros poireau ! >

Nous rigolons comme des bossus en nous précipitant à la cuisine. < Sors ton Zob, monsieur le peintre ! > fait Estelle.
C'est le rituel. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle travaille la pâte à pain pour la rendre encore plus onctueuse.
Je réchauffe la garniture. Estelle agite ses longs doigts fins. Je m'approche. Elle s'accroupit pour m'enduire la queue.
Elle en met une copieuse couche. Ma bite ressemble à une saucisse informe. Estelle étale la pâte en deux partie. Bon.
Une partie pour le fond qui reçoit la garniture. Une partie plus fine qui servira de couvercle à ce plat traditionnel. Bien.

La tarte est au four. La table est mise. Les filles m'entraînent au salon pour la seconde partie de notre rituel. En riant.
A genoux sur deux épais coussin, elles me tiennent les hanches. < On dirait vraiment un vieux salami ! > lance Estelle.
C'est vrai. En séchant, la farine craquelle et devient plus blanche. Voilà ma bite qui ressemble à un saucisson sec. Rire.
Ce soir, c'est seulement la queue. Clémentine sort mes couilles. Les coquines qui admirent le contraste. Bite et couilles.
< Oh ! Il faut que je m'occupe de ça, les poils qui repoussent ! > fait Estelle qui empoigne mes couilles à pleine main.

Je suis debout. Je leurs caresse la tête. Clémentine, d'un mouvement de tête, s'empare de l'extrémité du Zob. Adroite.
Elle tète juste le bout sous le regard d'Estelle qui attend son tour en me nettoyant la bite. Clémentine la lui tend. Bon.
J'ai rapidement la bite luisante. Plus aucune trace de farine. < Un jour, il faut qu'on filme la scène ! > rajoute Estelle.
Nous en rions de bon cœur. La sonnerie du four. J'aide les filles à se redresser. Nous filons à la cuisine. Des affamés.
Nous mangeons de bon appétit. Cette spécialité Picarde nous enchante tous les mardis soir. On ne s'en lasse jamais.

Nous traînons à table. Les filles parlent de notre écosse. Le fameux Hogmanay. Cette fête qui dure toute une semaine.
C'est la plus grande manifestation festive d'Europe durant la période de Noël. On y vient de partout car c'est si unique.
Cette année encore nous y serons. Il y a également notre projet de film. Nous serons dans ma famille. Chez oncle Alan.
Les filles se réjouissent pour tout ce qui nous attend encore à Edimbourg pour dix jours. Elles préfèrent l'improvisation.
Donc, nous ne ferons aucun réel programme. Tout sera en fonction de la météo, de nos envies et de nos pulsions. Bien.

Je rassure Estelle. Notre compagnie aérienne n'est pas française et il n'y a aucun risque de grève. Sinon, c'est l'auto.
D'aller en voiture jusqu'à Londres puis de prendre l'avion pour les 850 km restants. Aucun souci. Notre plan B parfait.
Estelle se lève souvent pour mimer une masturbation masculine avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. Rire.
Je me lève pour agiter ma bite dans sa direction. Clémentine me lance : < Tu seras un "Maître" sévère avec nous ? >
< Oh oui ! Tu dois nous punir tous les jours en Ecosse ! > rajoute Estelle qui vient s'assoir sur mes genoux. Des bises.

La vaisselle. Je propose un bon léchage de minous. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Elles se dessapent.
Vautrées toutes les deux dans le canapé, les jambes relevées, les cuisses écartées, elles m'adressent l'adorable sourire.
Je suis à genoux sur les épais coussins. Je passe d'un minou à l'autre. Et je me régale dans un concert de gémissements.
Elles se masturbent toutes les deux lorsque je ne suce pas leurs clitoris. L'orgasme d'Estelle est dithyrambique. Délirant.
Celui de Clémentine est cataclysmique. Elles veulent absolument me sucer à tour de rôle. Seulement il est déjà 22 h15.

Je les entraîne aux chiottes. Le dernier de nos rituels. Estelle pisse la première. Je la tiens par la nuque. Clémentine suce.
Je lèche le croupion d'Estelle. C'est au tour de Clémentine. Je la tiens par la nuque. Estelle suce. Et je lèche Clémentine.
Elles me tiennent la bite pour en diriger les jets. Accroupies, elles pompent la bite à tour de rôle entre chacun d'eux. Bon.
Nous raccompagnons Estelle. Une fois encore nos caresses sont si intenses que nous en avons oublié de baiser. Rigolade.
La séparation est difficile. Nous la regardons partir. Clémentine est pressée de me sucer. Nous voilà au lit. Trop fatigués.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à transformer une bite en vieux saucisson sec et enfariné...

Julien - (Qui propose à Clémentine bien trop épuisée, de remettre la pipe à demain. Et puis il y aura l'écosse) -

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Juliette passe le mercredi soir avec nous

Hier matin, mercredi, c'est le concerto pour clarinette de Mozart qui nous tire violemment de nos profonds sommeils.
< Le con ! > s'écrie Clémentine en s'allongeant sur moi pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit de mon côté.
Quelques bisous. Il est 5 h55. Nous nous précipitons aux toilettes avant de descendre, vêtus "gym", jusqu'à la cuisine.
Nous préparons notre petit déjeuner que nous savourons en évoquant notre soirée de hier, avec Estelle. C'est si bien.
Nous remontons pour notre heure de gym. Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles. Abdos. Intensité max !

La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Il fait toujours aussi étrangement doux.
Clémentine me rejoint détendue, vêtue de sa veste en cuir noir sur un pull. Comme en octobre. Des bises. Il est 7 h45.
Je regarde la voiture disparaitre en haut du chemin dans le jour naissant. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un beau feu dans la cheminée. Je suis assis devant le chevalet.
Il est 8 h15. Je prépare ma palette. La peinture de cette huitième toile destinée à ma saison 2020, m'absorbe très vite.

Je peins dans une effervescence sereine. Cette nature morte sera terminée pour demain soir. Vendredi matin maximum.
Comme toujours, lorsque je me livre ainsi sans retenue, corps et âme à ma passion dévorante, les heures défilent vite.
Il est midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. La pâte feuilleté, le saumon ont décongelé. Bien.
Je lave les feuilles d'une belle laitue pendant que gonfle le pilpil de blé. Je fais un coulis d'aubergine et de courgette. Ail.
La Béchamel est prête à recevoir l'émincé de saumon que je viens de faire revenir à la poêle. Je mélange avec gruyère.

La pâte feuilleté disposée dans un moule à cake, j'y verse la garniture. Je roule la pâte. Des dessins avec la fourchette.
Je badigeonne du mélange œuf et crème fraîche. Je mets au four. Notre repas du soir est assuré. Pas besoin d'y penser.
Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les informations. C'est au dessus de mes forces. J'éteins la radio. Merdre.
La vaisselle. Je range la cuisine. Le coulis de courgette, d'aubergine en accompagnement du feuilleté, sous le couvercle.
Je vais dresser la table au salon. Je mets mon anorak pour aller faire quelques pas au dehors. Il fait encore plus doux.

Je récupère des petites branches de sapin. Je les mets en décoration avec de vieilles boules de Noël de verre. Colorées.
Je dispose le tout sur l'extrémité de la table, sous le chandelier. Il est 13 h15 lorsque je suis installé devant le chevalet.
Je peins avec une extraordinaire sensation de plénitude. A nouveau, me voilà abstrait dans ma peinture figurative. Joie.
Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours. J'anticipe toujours dès les premiers bruits. Je pose ma palette, mes pinceaux.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Le lien avec le monde extérieur.

J'écoute toujours avec une certaine avidité. Il y a souvent d'amusantes anecdotes sur les profs et sur d'autres étudiants.
Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur. La rédaction de la dernière page de son mémoire.
J'aime l'entendre lire à haute voix ses écrits. Elle parcourt la grande pièce en tenant sa feuille et en lisant. Un spectacle.
C'est un peu comme un auteur qui fait une déclamation théâtrale. J'applaudis. Nous rigolons comme des bossus. Super.
Il est 18 h30 lorsque le bruit sourd et caverneux se fait entendre à l'étage. C'est le fantôme de mon ancienne compagne.

< Bonsoir Christine ! > fait Clémentine d'une voix puissante. Il y a un claquement sec. Des bruits de courses poursuites.
< Ma parole, mais elles sont plusieurs là haut ! > s'écrie Clémentine. Nous rangeons nos affaires tout en écoutant. Bien.
Cela dure une bonne dizaine de minutes pour cesser tout aussi brusquement. Nous sommes assis devant la cheminée.
Clémentine, allongée, sa tête posée sur ma cuisse. Je lui caresse les cheveux. < Estelle se fait sauter ce soir ! > dit elle.
Nous en rions de bon cœur. Nous imaginons la situation. Le matelas gonflable à côté de la chaudière, la cave, le parrain.

Je dis : < Tu vas y passer aussi. Estelle te prépare le coup pour un soir de janvier. Le second trimestre sera chaud" ! >
< Tout ce que nous avons en projet m'excite à chaque fois que j'y pense. Et j'y pense souvent ! > rajoute Clémentine.
Nous éclatons de rire. Clémentine fait encore : < Et nous aurons notre dose ce soir. Sois bien vicelard avec Juliette ! >
Il est 19 h. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine découvre enchantée le repas de ce soir. Superbe.
J'allume le four à feu doux pour réchauffer le feuilleté de saumon. Je fais réchauffer le coulis d'aubergine, de courgette.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Nous passons au salon. Clémentine qui découvre la déco.
< Comme c'est beau ! > s'écrie t-elle. Je lui raconte l'histoire de ces vieilles boules de Noël. Lourdes et d'un verre épais.
Certaines sont fumées. D'autres sont ambrées. A l'intérieur il y a de fins flocons blancs. Sans doute du coton. "Vintage".
Elles datent des années 30. Ce genre de boules qui étaient très à la mode. Clémentine allume les trois grosses bougies.
C'est la seule source de lumière. Tout prend un aspect fantastique. Ambiance "Harry Potter" comme précise Clémentine.

Nous montons nous changer. Clémentine garde son jeans mais enfile juste un chemisier blanc. Je m'habille à l'identique.
Jeans propre, chemise blanche. Nos bottines marrons. Clémentine me sort la queue. Elle pend toute molle toute flasque.
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > me fait elle en m'attirant devant le miroir de l'armoire. Je me branle.
< N'arrête pas ce soir. Cette salope aime te voir faire ça ! > rajoute Clémentine en m'entraînant dans l'escalier. 19 h25.
A peine sommes nous en bas que résonnent les trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Je me masturbe. Bien.

Clémentine revient suivie de Juliette. Elle me fait un grand sourire en s'approchant, sa main tendue, sans mâter le Zob.
Je suis appuyé contre le bureau. Je bande comme un salaud. Juliette me tient la main et baisse les yeux pour observer.
< C'est royal encore ce soir ! > fait la jeune femme en me faisant un clin d'œil. Clémentine me saisit le Zob fermement.
Elle l'agite en direction de Juliette : < Julien met toujours son sapin sur ses boules à Noël ! >. Nous rions de bon cœur.
J'invite les filles à prendre place. J'assure le service. < Pas question. On reste à trois ! > fait Juliette qui retire sa veste.

Elle est vêtue d'un pantalon noir à plis et à pinces. D'un chemisier blanc aux manches bouffantes. Des souliers à talons.
Ses longs cheveux noirs en liberté achèvent de donner à sa silhouette fine et athlétique cette allure sexy et si sublime.
Nous la suivons à la cuisine. J'admire cette démarche. Elle roule du cul tout spécialement pour nous. C'est fantastique.
La sonnerie du four. < N'allez pas risquer de vous brûler. Laissez moi faire ! > fait Juliette tout en ouvrant le four. Bien.
Clémentine me tient la queue à sa base. Juste entre le pouce et l'index. Elle l'agite. Je saisis le plat à coulis. C'est super.

Nous voilà assis devant un repas succulent. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant. Nous rions beaucoup.
La conversation en arrive rapidement à nos préoccupations sexuelles. J'expose notre désir de nous retrouver au haras.
Clémentine évoque son profond désir de passer un bon moment avec Gérard avant notre départ pour l'Ecosse. Parfait.
Juliette propose un samedi soir bien lubrique. Pierre, le mari de Mme Walter, Estelle, Gérard, Clémentine et moi. Super.
< J'organise une petite fête de Noël. Emmenez vos boules, votre sapin, Julien ! > lance Juliette. Nous éclatons de rire.

Je me lève à plusieurs reprises pour agiter mon sexe en direction de Juliette. Elle regarde le mouvement de mon bras.
Clémentine me fait : < Tu veux montrer à la dame ce que tu fais dans le grand verre ballon ? >. Je reste estomaqué.
< J'ai déjà assisté à ce spectacle. Ça me donne l'idée d'organiser un concours de branlette ! > dit Juliette en se levant.
Elle est là, à ma gauche, cambrée sur ses genoux fléchis à mimer une masturbation masculine avec grande vulgarité.
Elle rajoute : < J'organise ça pour un samedi soir de janvier. Concours de branle avec ces messieurs ! >. Nous rions.

< Je peux inviter Pierre, Léon, Christian l'agriculteur, et bien sûr Julien. Nous les filles, on les encourage ! > fait elle.
< Génial ! > fait Clémentine. Je bande comme le dernier des salauds. Cette idée est tout à fait passionnante. Superbe.
Nous débarrassons la table. Juliette insiste pour faire la vaisselle avec nous. Elle ne cesse d'évoquer ce nouveau projet.
Concours de branlettes sous les encouragements des filles assises et passives qui n'auront qu'à applaudir le vainqueur.
Je n'ai jamais participé à une telle épreuve "Olym-Pipe" mais l'idée est séduisante. Juliette sait nous étonner. Coquine.

Nos coupes glacées sont le plus exquis dessert. Je propose à Juliette de m'accompagner aux toilettes. Elle se lève vite.
< On y va ! > s'écrie t-elle alors que je suis encore assis. Clémentine m'entraîne par le bras. Elles sont si impatientes.
Clémentine, à ma droite, me tient la bite pour en diriger les jets. Juliette à ma gauche, se penche pour mâter de près.
< Tenez là ! > lui fait Clémentine qui lui dirige la bite vers le visage entre chaque jet. Juliette se redresse et la saisit.
C'est la toute première fois qu'elle me tient la queue pour en diriger les jets. Je bande très fort. Le jet devient tout fin.

< Je vous recommande un thé bien chaud après la glace ! > lui fait Clémentine, accroupie, suçant entre chaque jet.
< Merci. J'ai encore goûté hier soir. Gérard est venu me rendre visite ! > répond Juliette en guidant les jets de pisse.
Je me fais tailler une véritable pipe des familles par Clémentine. Juliette ne lâche pas ma queue, penchée pour voir.
Je la tiens par sa hanche. Elle se laisse faire. Elle se redresse souvent pour observer mes expressions. L'air si sévère.
< Vous êtes un vrai jouisseur, doublé d'un vrai vicelard ! J'adore ! > me chuchote Juliette en serrant ma bite. Et fort.

Nous restons ainsi un bon quart d'heure. Juliette décline à chaque fois les invitations à partager que fait Clémentine.
Juliette se contente de faire ce qu'elle préfère. Regarder. Accessoirement me tenir la queue entre le pouce et l'index.
Je force Clémentine à se redresser. Je me penche pour lui masser les genoux. < Toujours prévenant ! > fait Juliette.
Elle me lâche enfin la bite après une dernière torsion assez douloureuse en disant : < Salopard va ! >. Nous sortons.
Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. Nous promettons d'êtres là pour 20 h samedi soir. Et nous rentrons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment passer la soirée chez un couple et guider les jets de pisse du mec...

Julien - (Félicité par Clémentine avec qui il fait l'amour, au lit, avant de s'endormir avec celle qu'il aime contre lui) -

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Estelle, Clémentine et moi. Le stupre et la luxure...

Hier matin, jeudi, c'est le prélude en Do de J.S. Bach qui nous tire avec une certaine douceur de nos profonds sommeils.
< Et il est fou ! > s'écrie Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Il est 5 H55. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser dans la plus parfaite des voluptés.
Vêtus de nos tenues de gym, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Préparer notre petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons l'attitude de Juliette hier soir. Et mon comportement.

Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Joggings sur tapis roulants. Charges additionnelles. Abdos. Intensité max.
La douche. Je descends le premier. Il y a toujours cette étrange douceur au dehors. Je sors la petite auto de Clémentine.
Il est 7 h45. Elle vient me rejoindre. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer.
Je fais le lit. Je fais la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. Je suis installé devant le chevalet.
Je prépare ma palette en chantant "Le grand Chêne" de Georges Brassens. Et je peins dans un enthousiasme débordant.

Il est aux environs de 10 h. La musique absurde de mon smartphone. Je m'en saisis en râlant. Un plaisir. C'est Juliette.
Après les civilités d'usage, Juliette en arrive rapidement au sujet de son appel. Nous discutons en mode "haut parleur".
Ainsi, tout en devisant, nous pouvons tous deux continuer à travailler. La jeune femme me remercie pour notre soirée.
< J'apprécie énormément chacune de vos initiatives. Même si je ne participe pas à toutes vos sollicitations ! > fait elle.
Je comprends ce que Juliette sous entend. Nous sommes attendus samedi soir pour une fête de Noël intime au haras.

Nous conversons durant une bonne vingtaine de minutes. Juliette me fera un courriel pour préciser les derniers détails.
Je sais pouvoir compter sur elle. En tant que chef d'entreprise, ses capacités à l'organisation sont souvent si épatantes.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je pense à Juliette. Je peins avec une érection qui participe de mon inspiration.
Il est presque midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Du choux.
Je prépare une pâte à pain et la garniture pour les pizzas. Cet autre rituel qui fait le délice de nos jeudis soirs. Superbe.

Avec mon riz et le choux je fais rissoler un filet de colin que j'ai préalablement pané. Je mange de bon appétit. Parfait.
La vaisselle. Je range la cuisine. La pâte repose sous un linge. La garniture repose sous un couvercle dans sa casserole.
Je mets l'anorak. Et je sors. Il fait presque doux. Surtout pour la saison. Nous sommes à deux jours du début de l'hiver.
Un sol humide. Il y a un envol de corneilles. Dans un bruit assourdissant, les gros oiseaux noirs quittent les arbres nus.
Je fais le tour de la propriété. Il est 13 h15 quand je suis à nouveau confortablement assis devant mon chevalet. Super.

Je peins animé du même ressenti que ce matin. Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours. < Je t'aime ! > s'écrie t-elle.
Elle jette son sac sur le canapé pour se précipiter. J'anticipe. Je pose ma palette et mes pinceaux sur la petite desserte.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, me couvrant le visage de bisous, Clémentine raconte sa journée.
Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. Elle met ce soir la dernière main au mémoire à rendre demain.
< J'ai fini. J'en ai vraiment marre de ce trimestre. Plus que demain matin et ce sont les vacances ! > fait elle, contente.

Clémentine est assise devant l'ordinateur. Elle se lève souvent pour circuler dans la grande pièce, une feuille à la main.
Elle lit à haute voix. Je la félicite pour la rédaction de ces dix pages. C'est un trésor d'astuces pour développer une idée.
Le résumé d'un trimestre de cours ne nécessite sans doute par dix pages. Mais c'est la règle du jeu. Ce sera noté. Bien.
Je raconte la nature de notre conversation avec Juliette ce matin. < Cette salope va encore faire fort ! > dit Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Je dépose la dernière touche de bleu de cobalt sur la surface de ma toile. Elle est terminée.

Nous rangeons nos affaires. Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour. Elle se précipite pour me faire plein de bisous. Joie.
Elle sautille tout autour de la grande pièce en chantant < C'est demain les vacances, on termine à midi ! Plein le cul ! >
< Ah non ! Surtout jamais dans le cul. C'est un trou à chier ! > s'écrie Clémentine qui rejoint Estelle dans sa farandole.
Je me joins aux filles. Nous nous tenons par la main pour danser tout autour de la pièce. Improviser une chanson. Rire.
Soudain, à l'étage, un violent bruit sourd. < Ah non ! Pas elle ! > s'écrie Estelle. Nous cessons de danser pour écouter.

< Bonsoir Christine ! > font les filles en même temps pour saluer la visite du fantôme de mon ancienne compagne. Dur.
Nous restons serrés tous les trois. La manifestation paranormale ne dure le plus souvent qu'une dizaine de minutes. Ouf.
Tout cesse. Les filles sont allongées sur l'épais tapis devant la cheminée. Leurs têtes posées sur mes cuisses. Tendresse.
Estelle et Clémentine évoquent la fin de ce trimestre. La remise de leurs écrits demain matin. Ce mémoire de dix pages.
Les vacances commencent à midi. Tout cela participe d'une certaine euphorie bien compréhensible qui nous amuse bien.

Il est 19 h. Nous allons à la cuisine. < Julien, ce n'est pas la bite au cirage, mais à la farine ce soir encore ! > fait Estelle.
Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle travaille la pâte pour la rendre onctueuse.
Je réchauffe la garniture. Nous parlons de la soirée de samedi. Cette fête de Noël organisée par Juliette. C'est prévisible.
Nous savons très bien l'axe autour duquel ces festivités se dérouleront. Et la vraie fête aura lieu dimanche aux écuries.
< Samedi, c'est vice à tous les étages ! > conclue Clémentine. Estelle m'enduit la queue et les couilles de farine épaisse.

C'est toujours avant de mettre les pizzas au four. La table est mise. Les filles m'entraînent au salon. Une autre farandole.
Assises dans le canapé, Estelle et Clémentine me tiennent par les hanches. Elles scrutent ma bite, la farine qui craquelle.
< Regarde, ça fait désert du Sahel sur les couilles ! > fait Estelle. < On dirait une sculpture antique ! > lance Clémentine.
Nous en rigolons comme des bossus. Les filles me demandent l'effet que ça fait en séchant. Et j'explique les picotements.
< Dimanche, je t'épile de nouveau les couilles et la base de la queue parce que ça pique fort ! > me fait Estelle en riant.

Les filles me lèchent la bite, les couilles jusqu'à les rendre nettes de toute farine. Mes organes génitaux en sont luisants.
Elles se refilent la queue qu'elles sucent à tour de rôle. Quand l'une pompe, l'autre donne ses impressions. Passionnant.
Je leurs caresse la tête. Je les regarde sucer à tour de rôle. C'est tellement émouvant. Leur visage d'ange. C'est sublime.
La sonnerie du four. Je les saisis par les cheveux. Elles se lèvent en même temps. J'ai la queue qui dégouline. Du foutre.
Je les entraîne ainsi à la cuisine en les forçant à marcher courbées en avant, derrière moi, maintenues par les tignasses.

Je les entends glousser de plaisir. < Tu es prié d'avoir ce comportement toute les vacances ! > me demande Clémentine.
< Oh oui ! Sel te pli ! > rajoute Estelle qui sort les pizzas du four. Clémentine remue la salade. Je m'essuie la bite. Le jus.
< Donne moi ça ! > fait Estelle qui s'accroupit pour me pomper la grosse goutte épaisse qui pend au bout du Zob. Foutre.
Nous mangeons de bon appétit. Estelle qui nous raconte sa baise, hier soir, à la cave, dans la chaufferie avec son parrain.
< On commence à détruire le matelas gonflable par en dessous. Les frottements qui usent prématurément ! > dit Estelle.

Nous rigolons comme des bossus à écouter Estelle. Elle rappelle à Clémentine qu'elle prépare le coup. Plan baise à trois.
< Ce sera vers la mi janvier ! > précise t-elle. Clémentine qui se réjouie. Depuis le temps qu'elle veut essayer le parrain.
Estelle se lève souvent pour mimer une masturbation masculine. < Après, je compare parrain et Julien ! > lance Estelle.
< Moi, je vous regarde ! > fait Clémentine qui se lève pour se toucher. Je me lève pour agiter ma queue vers les filles.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il y a déjà une ambiance de fêtes, de vacances. Superbe.

J'entraîne les filles au salon tout comme je les ai emmené à la cuisine. Tenues par les cheveux et marchant courbées.
Clémentine et Estelle retirent les jeans et les culottes. Clémentine se jette dans le fauteuil, cuisses largement écartées.
Elle se touche déjà. Estelle se vautre dans le canapé, jambes relevées, cuisses écartées. Je suis à genoux sur le coussin.
Je lui bouffe la chatte. Estelle m'attire rapidement sur elle. Je m'introduis doucement. Un coup de reins et elle se l'enfile.
Comme toujours, Estelle se met rapidement à accélérer. < Put-tein comme j'aime ça ! > fait elle, me tenant par le cou.

Je regarde Clémentine. Elle est déjà toute rouge. Le mouvement circulaire du bout de ses doigts sur son clitoris géant.
J'ai envie de lécher la sueur qui perle sur son visage. Rien ne l'excite davantage que de nous voir baiser, Estelle et moi.
J'alterne la "machine à coudre" avec les moments de calme. Avec Estelle qui bouge beaucoup, poussant des petits cris.
Estelle se masturbe toujours en même temps. Elle est toute rouge et en sueur. Je lui lèche le visage. Elle adore tant ça.
< Je t'aime Julien ! > s'écrie t-elle. Derrière moi, Clémentine qui dit la même chose. Je les aime toutes les deux si fort.

Estelle a soudain un spasme. Elle s'accroche à moi comme une naufragée à sa bouée. Et en hurlant de plaisir, elle jouit.
Elle me repousse doucement. Je me retire avec précaution. Estelle est tellement étroite. J'y suis très serré. Un fourreau.
< Viens ! > me fait elle en se levant et en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. < Pipi ! > dit elle en s'asseyant.
Clémentine vient nous rejoindre. Accroupie dans l'encadrement de la porte, en chaussette et en chemise elle se branle.
Je tiens Estelle par la nuque. Je glisse mon autre main entre ses cuisses. C'est gluant. Je me mets vite à genoux. Miam.

Bouffer de la chatte gluante, le mélange pisse et foutrine. Un régal. Estelle va certainement partir pour un second tour.
C'est tellement bon. Elle est assise toute en avant, sur le bord des toilettes. Elle m'offre son sexe bouillant, dégoulinant.
Derrière moi, un cri. C'est Clémentine qui jouit en pissant partout. Elle a le réflexe de diriger ses jets anarchiques. Ouf.
Elle pisse contre le carrelage et sur la poubelle sous l'évier. Les chaussettes dans la flaque. Estelle pousse un second cri.
C'est merveilleux. La compagnie de ces deux jouisseuses me comble d'une extase si profonde que j'en ai des vertiges.

Clémentine reprend ses esprits. Nous restons dans les WC. Elle passe la serpillère puis retire ses chaussettes trempées.
< Ça promet pour l'écosse ! > fait Estelle. < Ouai, je les sens bien ces vacances ! > rajoute Clémentine. Eclats de rires.
Il est 22 h15. Nous mettons les anoraks et les godasses pour raccompagner Estelle à sa voiture. Séparation difficile. Dur.
Assise dans son auto, la vitre baissée, Estelle se contente de gémir affirmativement à mes questions tout en me suçant.
Nous nous revoyons samedi soir pour la "fête". Je lui éjacule dans la bouche. Nous la regardons partir. Vite. Au lit. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font baiser pour comparer deux bonnes queues et se font bouffer la chatte...

Julien - (Couché contre Clémentine qui lui confie ses derniers secrets. Plein de bisous. Les réjouissances commencent) -

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Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 1009 -



Vendredi à midi, le début de ces nouvelles vacances

Hier matin, vendredi, c'est la suite pour piano de Debussy qui nous arrache avec violence de nos profonds sommeils.
< Ah non pas lui ! > fait Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Quelques bisous. Clémentine, déjà très déconneuse, euphorique à cause des vacances, m'entraîne par la queue au WC.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers en riant jusqu'à la cuisine. Il n'est que 6 h05.
Nous préparons un solide petit déjeuner que nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le vague programme du jour.

Nous remontons. L'heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles. Les abdos. Forte intensité.
La douche. Je descends sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous le parapluie. Il ne fait pas froid. Superbe.
Un dernier bisou. Clémentine glisse la main dans mon slip. < A tout de suite mon amour ! > dit elle, entrant dans l'auto.
Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Il est 7 h45. Le jour commence à se lever. Je me dépêche de rentrer au sec.
Je fais notre lit, notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Il est 8 h15. De la réflexion.

Il serait vain de commencer une toile à la veille des vacances. Je suis largement dans les clous. Déjà huit œuvres prêtes.
Par contre il n'est jamais vain de procéder aux dessins préparatoires. C'est prendre une confortable avance. C'est parfait.
J'aime dessiner. Je le fais moins depuis presque trois ans que Clémentine est entrée dans ma vie. C'est toujours si bien.
Après huit natures mortes, il y a huit scènes de genre. Je commence la première en reproduisant une ancienne création.
Je conserve soigneusement les calques de tous les dessins de mes réalisations passées. Ce qui me permet de les refaire.

Je change toutefois quantité de petits détails afin d'en faire une œuvre originale. C'est un travail de routine fort plaisant.
Il est aux environs de 10 h lorsque la stupide musique de mon smartphone le fait vibrer au fond de ma blouse. Merdre !
J'ai rapidement le sourire. C'est Juliette. Plutôt que de me faire un courriel comme convenu, elle préfère m'avoir en live.
Après les civilités usuelles, la jeune femme en arrive rapidement au sujet de son appel. Notre fête de Noël intime. Sexe.
Il y aura Mr Gérard, Pierre, le mari de Mme Walter, Juliette, Estelle et moi. Personne ne peut se libérer si près des fêtes.

Personnellement, je m'en moque un peu. L'essentiel étant que Clémentine puisse s'offrir la bite minuscule à Mr Gérard.
< Je comprends. Moi je me fais probablement tirer par Pierre ! > fait Juliette. Je m'en moque aussi, je suis avec Estelle.
Nous en rions de bon cœur. Ce sera effectivement une petite soirée sympathique et intimiste mais festive quand même.
Nous bavardons ainsi en mode "haut-parleur" une vingtaine de minutes. Je converse sans cesser de calquer mon dessin.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je bande comme un salaud. Tellement fort que je sors ma queue sous la blouse.

Il est presque midi. Je viens de réaliser deux dessins préparatoires. Deux scènes de genre à trois personnages. Parfait.
Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je lave le choux fleur et les brocolis. Je prépare une sauce.
Il est 12 h20. Clémentine rentre de cours. < Je t'aime ! > s'écrie t-elle en se précipitant pour me sauter au cou. Super.
Je la soulève. < Les vacances, mon amour ! > fait elle en me couvrant le visage de bisous. Elle me raconte sa matinée.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais rissoler des crevettes, de l'ail, des champignons, des oignons, de la ciboulette.

J'égoutte le choux fleurs et les brocolis. J'en ai fait en grande quantité pour réchauffer ce soir. Je les mets dans un plat.
Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère de Comté finement râpé. Des graines grillées de sésame, poivre, épices.
Je dispose au four. Je verse la crème fraîche dans la poêle avant de mettre un couvercle et d'éteindre le feu. C'est bien.
La table est mise. Nous allons au salon. Un gratin exige toujours un peu de patience. Dehors la pluie tombe, incessante.
Vautrés dans le canapé, nous nous touchons le sexe, braguettes déboutonnées en évoquant ce dernier week-end. Bon.

Il y aura peu de courses à faire. Nous partons lundi pour l'écosse. Nous ferons le ménage samedi après-midi. Superbe.
Nous préparons nos bagages dimanche matin avant d'aller manger chez les parents d'Estelle. Voilà un bon programme.
Je raconte l'appel téléphonique de Juliette ce matin. < Génial ! > lance Clémentine toute contente à l'idée de la soirée.
< Je t'aime Julien. Je suis tellement heureuse avec toi. Tu es mon merveilleux complice ! > me murmure Clémentine.
Je lui caresse délicatement le sexe déjà si trempé. < Je me suis masturbée dans l'auto, en rentrant ! > m'avoue t-elle.

Pour me rassurer, Clémentine s'empresse toujours de rajouter : < Mais je roule doucement. Et la route est déserte ! >
Nous en rions de bon cœur. Nous sommes debout devant une des portes fenêtres du salon à regarder tomber la pluie.
Clémentine évoque l'écosse. Son impatience de se retrouver à Edimbourg. Morningside, ma famille, l'insouciance. Joie.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Ce repas est réellement divin.
Nous traînons à table. Clémentine fait l'inventaire de ce qu'il ne faut surtout pas oublier. La caméra, les batteries. Bon.

Ce projet de réaliser un film pornographique qui regroupe différentes séquences filmées différents jours est un bonheur.
Estelle veut nous mettre en scène dans des situations équivoques et ambiguës. Clémentine procède aux prises de vues.
Je n'ai qu'à faire l'acteur. C'est un projet très excitant. Il est peut-être supérieur à tous ceux que nous avons déjà filmé.
Surtout qu'on se laisse des plages d'improvisations en fonction de ce qui se passe. C'est absolument génial. Si excitant.
Tout cela fait monter la mayonnaise de nos désirs. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Et pour ce soir, on réchauffe.

Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine imite une pipe.
Je dis : < Tu suces qui ? >. Clémentine prononce avec peine : < Gérard ! >. Nous en rigolons comme des bossus. Super.
Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit. < Je dois m'entraîner ! > fait elle, éclatant de rire.
Sa tête posée sur mon ventre, parfaitement immobile, Clémentine décalotte légèrement ma bite pour en humer l'odeur.
< Mmhh ! Miam ! > murmure t-elle avant de se mettre à téter avec avidité et passion. Je lui caresse la tête. Tendresse.

Je lui chuchote des cochonneries. J'évoque ce qui nous attend probablement demain soir au haras. Soirée à trois couples.
Juliette qui va baiser avec Pierre. Clémentine qui va s'offrir la bite à Gérard. Estelle et moi qui serons occupés à des trucs.
Ce qui s'annonce est génial. Clémentine glousse. Je la fais arrêter la pipe après quelques minutes. Reposer sa mâchoire.
Ce sont plusieurs séquences de repos et de pipe qui se succèdent ainsi. Clémentine se régale. Concert de gémissements.
Une fille qui suce passionnément c'est encore plus divin. Pourtant, il n'est pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. Ah non.

Nous aimons tous deux rester excités comme de beaux diables pour le restant de la journée. Il y a d'autres occasions.
Il est 15 h. Nous redescendons. Nous allons dans l'atelier. Clémentine fait les classements, les rangements de ses cours.
Je procède à un troisième dessin préparatoire. Une scène de genre à trois personnages. Je situe l' anecdote au XVIIème.
Nous passons ainsi un nouvel après-midi de bonheur. Parfois l'un rejoint l'autre pour lui faire des bisous, faire des trucs.
Clémentine se saisit de mon Zob qu'elle exige avoir toujours à portée de main. Je glisse ma main dans sa culotte. Bien.

C'est une journée fructueuse puisque je réalise quatre dessins préparatoires. Clémentine est à jour dans ses préparatifs.
Nous pouvons rester sereins devant l'échéance de la prochaine rentrée, en janvier. C'est un confort de pensée. Sublime.
Il est 18 h30. Un bruit sourd à l'étage. Le fantôme de mon ancienne compagne. < Bonsoir Christine ! > fait Clémentine.
Comme pour lui répondre, un claquement sec. Nous nous blottissons pour écouter sans bouger. C'est si impressionnant.
Et cela ne dure qu'une dizaine de minutes. Nous rangeons nos affaires. Je passe l'aspirateur. Clémentine range la table.

Nous quittons un atelier propre et bien ordonné. Nous aurons plaisir à le retrouver à la rentrée. Nous allons à la cuisine.
Je réchauffe le gratin de choux fleurs et de brocolis. Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Je réchauffe la sauce.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Dehors il fait nuit noire. Il pleut sans discontinuer. C'est moche.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 20 h30. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres. Amusant.
La fatigue se fait sentir. C'est toujours curieux cette fatigue les jours où il ne se passe pas grand chose. Jours de repos.

< On commence à décompresser ! > précise Clémentine pour expliquer le phénomène. Elle m'entraîne dans la chambre.
Nous nous mettons au lit. < Comme des petits vieux ! > fait Clémentine qui me chevauche en riant. Nos sexes mouillés.
Clémentine se frotte sur moi tout en restant en appui sur ses bras. Elle me fixe. Ses longs cheveux qui pendent. Si belle.
Je me retrouve rapidement avec mon sexe dans le sien. Nous restons immobiles. Comme nous aimons. Nos respirations.
Cette position est rapidement un peu contraignante, voire douloureuse pour Clémentine. Nous nous retournons. Prudent.

Je reste en appui sur mes bras. Clémentine se suspend à mon cou. < Emmène moi loin ! > murmure t-elle. Je la berce.
Nous alternons de doux mouvements de bassin. Je ne m'enfonce pas tout à fait. Je reste aux aguets. Là, je comprends.
Nous sommes le 20 du mois. Clémentine qui me repousse délicatement. Elle se lève pour se précipiter à la salle de bain.
Elle revient pour me montrer la petite ficelle blanche qui pend dans sa touffe. Je regarde les draps. Oh put-hein. Rires !
Il faut les changer. Nous rigolons comme des bossus. Ce qui ne m'empêche pas de sucer son clitoris géant. Orgasme ...

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font sucer le clitoris jusqu'à l'orgasme, le premier jour de leurs règles...

Julien - (Qui offre à Clémentine un suçage de clitoris qui la fait hurler de bonheur. Clémentine qui exige la pipe) -

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Un samedi qui restera dans les souvenirs

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous déposés délicatement sur mon visage. Magnifique.
< Je t'aime, Julien. Tu te rends compte, c'est les vacances. On va être ensemble tout le temps ! > susurre Clémentine.
Il est à peine 8 h. Je la serre fort contre moi. Elle me chevauche en riant avant de rajouter : < Et je suis si contente ! >
Impossible de lutter plus longtemps contre l'irrépressible besoin de pisser. Nous nous précipitons aux chiottes. Pissous.
Morts de faim, vêtus de nos tenues sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Dehors il pleut. Il fait si moche.

Nous préparons un petit déjeuner. Nous le savourons en mangeant de bon appétit. Nous faisons le programme du jour.
C'est très vague et encore informel. Comme nous partons lundi, il faut sélectionner nos derniers achats. Et faire un tri.
Nous avons notre avion à 11 h45. Arrivée à Londres 12 h30. Changement pour Edimbourg où nous arrivons pour 16 h.
Clémentine est folle de joie à l'énoncée de ces horaires. La vaisselle. Nous montons nous offrir l'heure d'entraînement.
Une heure d'une intensité maximale. Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles et abdos. C'est un réel plaisir.

La douche. Nous nous habillons. Avec cette maudite pluie, il y a une douceur de climat étrange pour un début d'hiver.
Jeans, chemises blanches sous nos pulls bleu nuit. Nos bottines. Nos blousons de cuir. Nous prenons la pose en riant.
Debout devant le miroir de l'armoire, Clémentine dit : < Regarde comme on est beaux tous les deux, pour l'écosse ! >
Nous dévalons les escaliers. A l'abri sous notre grand parapluie nous traversons le jardin jusqu'au garage. Il pleut fort.
Je roule doucement. Clémentine a glissé sa main dans ma braguette déboutonnée. Elle me raconte des cochonneries.

Treize kilomètres et nous arrivons à la zone commerciale. Je gare l'auto sur un parking bondé. Il y a là un monde fou.
Je pousse le caddie. Clémentine m'entraîne dans les rayons qui nous concernent. Crème dentifrice, tampons "minis".
Nous prenons quelques pommes, quelques oranges. Des clémentines et des Kiwis. Une belle salade, de belles tomates.
Des courgettes rondes à farcir. Des pommes de terre. Au rayon poissonnerie des moules et des langoustines fraîches.
Il nous faut assurer trois repas. Celui de midi, celui de ce soir et celui de demain soir. Deux petits déjeuners. Superbe.

Avec cette affluence il serait vain et tout à fait ridicule de tenter une exhibe. Ce serait merdique. Clémentine en rigole.
Comme animés d'un réflexe un peu stupide, nous faisons quand même un tour aux rayons des bouquins, des fringues.
Il n'est évidemment pas question pour Clémentine de tenter quoi que ce soit. Même au rayon informatique. Frustrant.
Nous passons en caisse. Il en faut de la patience ce matin. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Des gens.
Il y a des pompiers en grandes tenues qui proposent des calendriers en agitant une de ces grosses tirelires métalliques.

< J'aime beaucoup les pompiers. J'adore les pompiers ! > fait Clémentine à un jeune soldat du feu bénévole qui sourit.
Il ne sait trop quoi dire. Nous avons déjà notre calendrier 2020. Je glisse quand même une pièce dans sa tirelire noire.
Nous déambulons. Aucun visage connu. Mais une affluence record. Il y a un père Noël qui se fait photographier. Sympa.
Nous parcourons les menus proposés par la cafétéria. Il n'est que 11 h30. Presque toutes les tables sont déjà occupées.
Nous retournons à la voiture. Nous avons fait l'impasse sur le marché du bourg. Il nous reste du fromage, des yaourts.

Il est midi trente. Nous arrivons à la maison. Nous rangeons les courses. Nous montons nous changer. Nous avons faim.
Clémentine s'occupe de la salade verte dont elle lave les feuilles pour maintenant et pour ce soir. Je fais bouillir de l'eau.
J'y verse les moules avec de l'ail, de l'oignon et du persil. Dans le wok, je mets les haricots verts encore congelés. Bien.
Tout va vite. Nous mangeons de bon appétit en faisant l'inventaire de tout ce qu'il ne faut pas oublier pour notre départ.
Nous prévoyons également ce qu'il nous faut pour notre retour. On fera simple. Coquillettes, sauce au Roquefort. Super.

Nous revenons pour le vendredi 3 janvier. Nous ferons nos courses habituelles le samedi matin. De la brioche congelé.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine confie aimer cette saveur élégiaque d'un départ imminent.
Nous partageons ce même sentiment. Nous allons savourer chaque seconde qui nous sépare de l'heure d'envol. Super.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.
Il est 14 h. Méthodiques, nous avons programmé chaque phase de ce qu'il faut encore réaliser. Après-midi de ménage.

Nous faisons tout ensemble. Clémentine fait le hall d'entrée, tri des vêtements accrochés aux portes manteaux. Parfait.
Je lave les chiottes du bas. Clémentine passe l'aspirateur dans tout le bas. Je passe la serpillère partout. Plein de bises.
Nous montons à l'étage. Les draps ont été changés hier soir. Clémentine passe l'aspirateur partout en chantant. Super.
Je nettoie les chiottes du haut. Nous nettoyons la salle de bain. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous. C'est bon.
Je passe la serpillère partout. Il est 16 h30. Toute la maison est d'une propreté exemplaire. Comme tous les week-end.

Quelle surprise. Voilà Estelle. Elle se précipite pour nous faire la bise et se serrer dans mes bras. Je la soulève très haut.
Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'interpose par jeu. Nous allons au salon. Les filles évoquent les études.
Elles font le bilan de ce premier trimestre. Clémentine à ma droite, Estelle à ma gauche, vautrés dans le canapé. Super.
Tout en bavardant, Estelle me sort la bite qu'elle tient à pleine main. Et en discutant, elle me la tord dans tous les sens.
Heureusement que je bande mou parce que c'est quelquefois à la limite de la douleur lorsqu'elle me la tord vers le bas.

Clémentine se lève pour aller derrière le bureau. Du tiroir du bas elle sort la boîte contenant la caméra, les accessoires.
Estelle la rejoint en me tirant par la queue comme par une laisse. Elles examinent les batteries, le chargeur, cartes SD.
Tout est parfait. Estelle qui précise que toutes les prises de vue seront réalisées exclusivement sur ses cartes SD à elle.
Il est essentiel de préserver. Ces films seront à usage privé. Personne à part nous n'en verra jamais la moindre image.
Estelle emmène quatre cartes de 8 GO. De quoi stocker quatre bonnes heures d'images. Il faudra réduire au montage.

Une des passions de Clémentine est la prise de vue. Photographier, filmer. Elle est une virtuose et sait anticiper. Super.
Une des passions d'Estelle est le montage. Elle n'a pas sa pareille pour réaliser de vrais films carrément professionnels.
Générique de début et de fin. Musique appropriée. Fondus enchaînés de toute beauté. Jusqu'aux teintes et aux couleurs.
Il faut s'attendre à quelque chose de fantastique. Ce sera pour une de nos soirées "cinéma d'art et d'essai" de janvier.
Nous en rions de bon cœur. Autant de souvenirs lubriques et bien vicelards de nos vacances qui seront immortalisés là.

< Mais tu bandes mon salaud ! > s'écrie Estelle qui n'a pas lâché mon Zob. Elle me le tord dans tous les sens. Douleurs.
< Ne sois pas brutal avec mon homme ! > lui fait Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Je serre Clémentine.
Estelle s'accroupit pour humer l'extrémité de mon sexe qu'elle décalotte juste au bout. < Mr Schlinguo ! > s'écrie t-elle.
Je lui caresse la tête d'une main tandis que je caresse le visage de Clémentine de l'autre. Estelle ne tarde pas à pomper.
Je dis : < Gardons nos ardeurs pour ce soir ! >. Clémentine s'accroupit à son tour en disant : < La dernière révision ! >

Elles se refilent ma bite qu'elles sucent avec une avidité passionnée. Je les force à cesser pour les aider à se redresser.
Il est presque 18 h. Nous allons à l'atelier. Clémentine veut faire l'emballage du cadeau pour les parents d'Estelle. Bien.
Cette petite toile de format 6P (41 x 27 cm) que j'ai peins spécialement pour les parents d'Estelle. A remettre aux fêtes.
Estelle me dit : < Ils vont êtres contents, tu n'imagines pas. Ils adorent ta peinture. Et là ils vont avoir un "original" ! >
Clémentine procède avec soin. Estelle avec une paire de ciseaux coupe le ruban de satin. Elle fait des torsades. Habile.

L'emballage cadeau est magnifique. Un papier ancien dont j'ai encore plusieurs rouleaux. Papier kraft à motifs pastels.
C'est du plus bel effet. Je ne signe jamais les toiles que j'offre. Je me contente d'y apposer mes initiales au dos. Mieux.
La faim commence à se faire sentir. Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine prépare l'assaisonnement. La salade.
Estelle fait cuire les petits pois et patates dans le wok. Je fais bouillir les langoustines. Estelle prépare une mayonnaise.
C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres. Rire.

Nous nous habillons tous les trois pareils. Jeans, sweat et bottines. Avec cette météo pas de chichis. Il est déjà 19 h30.
Nous voilà en route. Les filles sont assises toutes les deux sur le siège passager. Ce n'est pas bien. C'est même interdit.
Je gare la voiture dans la cour du haras. Il n'y a que les voitures de Mr Gérard, de Juliette et de Mme Walter. Il fait nuit.
Nous restons à l'abri du grand parapluie pour courir jusqu'au nouveau bâtiment. Et il y a de la lumière dans les écuries.
Nous entendons bavarder. Une raie de lumière sous la porte. Nous caressons quelques chevaux dont les têtes dépassent.

Juliette a probablement entendu notre arrivée car elle sort du local du fond pour venir à notre rencontre. Si souriante.
La jeune femme est vêtue d'une jupe noire, d'un chemisier blanc sous un pull noir, des bas noirs et des bottes à talons.
Ses longs cheveux noirs en libertés qui flottent sur ses épaules. Bourgeoise hyper classe, terriblement séduisante. Sexy.
Elle nous serre la main et nous invite à la suivre. A la table il y a Mr Gérard, Pierre et Mme Walter. Ils se lèvent. Plaisir.
Nous nous serrons les mains. Sur la table, de la salade de fruits, des jus de fruits et des petits gâteaux. Une petite fête.

Nous prenons place. Nous bavardons. Nous rions des derniers avatars des uns et des autres. C'est toujours si amusant.
Je découvre rapidement que ce vieux salaud de Gérard est entrain de tripoter les cuisses de Clémentine sous la table.
Ils se lèvent d'ailleurs, verres à la main, pour aller s'assoir dans le canapé. Estelle me tient la main sans la lâcher. Joie.
Mme Walter regarde Pierre, son mari, avec les yeux de l'authentique "soumise" qu'elle est. Pleine d'admiration. Curieux.
Pierre qui se lève pour inviter Juliette à le suivre. Nous assistons là aux prémices d'une soirée qui s'annonce "chaude".

Nous nous connaissons tous très bien. Nous avons déjà tant de fois vécu des choses torrides et terriblement excitantes.
Estelle reste assise sur mes genoux. Mme Walter a rejoint son mari qui bavarde avec Juliette assise, le cul sur la table.
Elle regarde souvent dans ma direction. Un peu comme si ce qu'elle faisait s'adressait à moi. C'est toujours si étrange.
Estelle me chuchote : < Regarde l'autre vieux schnock, il a déjà sa braguette ouverte ! >. En effet, Gérard l'a ouverte.
J'ai le souffle court. Clémentine y glisse sa main tout en riant. Ils se chuchotent des choses que nous ne percevons pas.

Estelle se serre contre moi pour me murmurer : < Tu restes avec moi, hein ! Tu ne t'occupes que de moi, s'il te plaît ! >
Je suis soudain empli d'une profonde émotion. Je la serre contre moi. Elle m'embrasse avec passion. C'est si émouvant.
Pierre tient les chevilles relevées de Juliette qui est en appui sur ses coudes, couchée sur la table. Lui aussi, bite à l'air.
J'hallucine. Clémentine, allongée de tout son long sur le canapé, son visage contre la braguette de Gérard. Que fait elle ?
Pas l'ombre d'un doute, elle suce. < Regarde ces trois salopes ! > me chuchote Estelle. Il y a de quoi regarder. C'est fou.

Mme Walter, assise, son visage près des hanches de son mari qui vient de pénétrer Juliette. Elle se fait baiser. Coquine.
Juliette adore se faire tringler sur une table, sur un bureau. Même si c'est inconfortable. Elle me le raconte au téléphone.
Parfois, Pierre, sort sa queue du sexe de Juliette pour l'offrir à sa femme. Mme Walter suce alors avec une passion folle.
Elle est assise, penchée en avant, les mains posées sur ses genoux, à attendre que son mari cesse de baiser, pour sucer.
Estelle et moi, nous restons à table. Estelle assise sur mes genoux mais ses jambes autour de mes hanches. Des bisous.

C'est génial de s'embrasser en frottant nos sexes enfermés dans nos jeans. J'apprécie énormément. Estelle tout autant.
C'est hyper excitant de rester stoïque à observer ce qui se passe dans la pièce. Clémentine est immobile. Une fellation.
Je ne peux toujours pas voir ce qu'elle fait exactement. Mais je m'en doute. Elle est entrain de se régaler de cette bite.
La bite toute minuscule, impuissante et incontinente de ce vieux salaud qui a fêté ses 66 ans le 22 septembre dernier.
Il caresse la tête de Clémentine en lui murmurant des choses. Estelle fait : < J'aimerai bien savoir ce qu'il raconte ! >

Je lui dis : < Va les rejoindre. Tu prends un peu la place de Clémentine et tu reviens me raconter ! >. Estelle se serre.
< T'es fou ! Je suis trop contente de t'avoir pour moi toute seule. Je te garde ! > me murmure t-elle en m'embrassant.
Je lui touche ses tous petits seins dont les bouts sont tous durs. < Je t'aime ! > me chuchote t-elle en se frottant fort.
Là-bas, Pierre baise Juliette comme un véritable étalon. Il maintient ses chevilles relevées et ses cuisses bien écartées.
Il la fourre comme un véritable obsédé. Parfois il se retire pour faire sucer sa femme qui attend. Passive et si patiente.

< Tu me fais l'amour ? > me murmure Estelle en se redressant. Elle ouvre son jeans qu'elle retire ainsi que sa culotte.
Elle s'installe sur la table. Comme Juliette. Je descends mon jeans et mon slip. Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle.
Elle se l'introduit. Comme toujours dans ces premiers instants où je suis à peine enfoncé, elle se met à bouger très vite.
< On échange ? > me lance Pierre qui lève son pouce comme pour nous féliciter de nous y mettre enfin. Estelle se serre.
< Pas question ! > lance t-elle d'un ton sec. < Ah mademoiselle est exclusive ! > rajoute Pierre qui fait sucer sa femme.

Même si elle redresse la tête par intervalles réguliers pour laisser reposer sa mâchoire, Clémentine garde cette position.
Allongée sur le canapé, sans jeter le moindre regard à ce qui se passe autour d'elle, toute entière à sa dégustation. Jus.
Je baise avec Estelle. Elle a passé ses jambes autour de mes hanches. Ses bras autour de mon cou. Je la soulève. Bien.
Je l'entraîne faire le tour de la pièce. Juliette me fait des clins d'œil assez réguliers. Là elle lève son pouce, me souriant.
Je peux enfin voir ce que fait Clémentine. La braguette de Gérard est maculée de jute. Comme le visage de Clémentine.

Je n'en ai jamais vu autant. Ça colle partout. Ça fait des filaments visqueux. Clémentine ne peux même pas tout bouffer.
Elle en a plein le pull, plein la bouche. Elle relève la tête pour me fixer avec un air de défi. Comme c'est excitant. Belle.
Clémentine replonge dans la braguette de ce vieux salaud qui me dit : < Une vraie ventouse ta salope. Une virtuose ! >
Gérard rajoute encore à l'attention d'Estelle : < Tu veux permuter un peu avec ta copine ? >. Estelle s'écrie : < Non! >
Elle me chuchote à l'oreille : < Je n'ai pas envie de sucer ce vieux schnock ce soir. Que toi ! >. Nous allons vers Juliette.

< Vous pourriez me baiser un peu, Julien, depuis plus de deux ans, vous ne m'avez jamais honoré ! > me fait Juliette.
C'est Estelle qui lui répond : < Parce que Julien ne baise pas les vieilles salopes qui se font ramoner sur des tables ! >
Pierre, tout en se secouant dans Juliette lance : < Rien ne vaut une bonne vieille salope aussi belle et sexy, tu sais ! >
Nous retournons regarder Clémentine, le visage toujours enfui dans la braguette du vieux saligaud. Il fait un clin d'œil.
Je dépose Estelle sur la table. Elle se masturbe d'une main tout en gardant l'autre bras autour de mon cou. On mâte.

Cela fait probablement deux heures que Clémentine suce ce vieux salaud. Et avec des pauses toutes les cinq minutes.
C'est durant l'une de ces pauses que Pierre qui vient de défourailler, s'approche rapidement du canapé. C'est très vite.
Il chope Clémentine par les cheveux pour lui enfoncer la bite dans la bouche. Elle n'a pas le temps d'esquiver. Salaud.
Elle tente de se dégager mais Gérard la maintient fermement. Pierre doit certainement éjaculer. Clémentine qui crie.
Elle n'a d'autre alternative que d'avaler car les deux salopards la tiennent fermement. Elle peut juste bouger les pieds.

Juliette s'est relevée. Elle ajuste sa jupe en se tenant le sexe à travers le tissu. Comme si elle avait mal. C'est la baise.
Mme Walter s'approche de son mari. Elle le regarde donner les derniers coups de queue dans la bouche de Clémentine.
Il se retire pour la lui fourrer dans le bec. Mme Walter est carrément à genoux pour sucer les reliquats de foutre. Jute.
Clémentine en a profité pour se relever et fuir le canapé. Elle s'essuie la bouche en venant nous rejoindre. Elle se serre.
< Venez, on s'arrache, ça va dégénérer ! > fait elle. En effet, là, Pierre est entrain de pisser sur le visage de sa femme.

Je remonte mon froc. Estelle s'empare de son jeans et de sa culotte. Nous quittons la pièce précipitamment. Il est 23 h.
Estelle se rhabille en vitesse à la porte des écuries. Juliette vient nous rejoindre. < Merci pour cette soirée ! > fait elle.
Nous nous serrons les mains. Nous garderons le contact par courriel. Nous nous souhaitons de bonnes fêtes. A bientôt.
Dans la voiture, Clémentine achève d'essuyer son pull et ses cheveux maculés de foutre. Nous restons silencieux. Bien.
Ce n'est qu'au lit, alors qu'Estelle dort déjà, que Clémentine me confie à quel point c'était superbe. Le plongeons. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment sucer de la vieille bite juteuse. La bite d'un impuissant et incontinent...

Julien - (Qui écoute les dernières révélations de Clémentine. Elle avoue s'être régalée comme rarement) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 1011 -



Le dernier dimanche avant notre départ pour l'écosse

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par plein de bisous que l'on me dépose partout sur le visage et sur ma poitrine.
Estelle, qui reste serrée contre moi comme une naufragée à sa bouée toute la nuit se saisit de mon érection matinale.
Clémentine se frotte contre moi d'un mouvement masturbatoire. C'est tellement merveilleux, je reste les yeux fermés.
Je passe mes bras sous leurs nuques et je les serre encore plus fort. < Plus merveilleux on meurt ! > chuchote Estelle.
< C'est vrai, c'est tellement bien ! > rajoute Clémentine. Ce sont les bisous en mitraillettes. Et il n'est encore que 9 h.

Nous luttons le plus longtemps possible contre l'irrépressible besoin naturel. C'est Estelle qui se lève en criant < Pipi ! >
Elle enfile son pyjama mauve à toute vitesse avant de filer jusqu'aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Joie.
< Merci pour hier soir. Je t'aime Julien. Tu me fais des cadeaux de Noël tous les jours ! > me murmure t-elle à l'oreille.
Estelle revient. < Je descends préparer le petit déjeuner, venez vite, j'ai peur toute seule ! > fait elle, dévalant l'escalier.
Nous nous précipitons aux chiottes pour y pisser dans une volupté divine. Nous mettons nos jeans, chemises à carreaux.

Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Magique. Elle me saute au cou. Je la soulève. Estelle me couvre le visage de bisous.
Cette odeur ou se mêlent celles de la brioche, du café et du pain grillé achève d'ouvrir nos appétits d'ours. C'est fameux.
Dehors il pleut. Il fait moche. Sombre. < On s'en fout, c'est les vacances ! > lance Clémentine essayant de se persuader.
Il est rare que nous prenions notre petit déjeuner aussi tard. Notre ménage est déjà fait. La maison est propre et rangée.
Nous traînons à table en mangeant de bon appétit. Les filles évoquent notre soirée de hier, au haras. Un grand moment.

Lorsqu'elle a ses "petits machins" de fille, Clémentine se sent fatiguée, quelques douleurs au fond du ventre, seins durs.
Pourtant, elle a vécu cette nouvelle expérience comme une sorte de thérapie. Le sperme de Gérard en médication. Rire.
Même si c'est totalement farfelu, cette longue fellation qu'elle a prodigué à ce vieux salaud lui a permis d'occulter. Bien.
Clémentine nous raconte. Le flot continu de liquide séminal. Les caresses du vieux saligaud. Les choses qu'il murmure.
L'arrivée inopinée de Pierre qui la chope par les cheveux pour lui enfoncer la bite dans la bouche et y éjaculer en traître.

Estelle, assise sur mes genoux, pose quelques questions très amusantes. Le goût des spermes. Si Gérard pisse un peu.
< Je sais pas. Comme c'est un flot continu, impossible de savoir ce que c'est. Le goût est le même ! > fait Clémentine.
< Et vous, c'était bon ? > demande Clémentine à son tour en s'asseyant sur mon autre jambe. Estelle lui raconte. Joie.
Nous avons baisé. J'ai baladé Estelle suspendue à moi à plusieurs reprises dans la pièce. Et nous avons fait les voyeurs.
< C'était tellement bon, tellement intense, que nous ne sommes même pas allés jusqu'à l'orgasme ! > précise Estelle.

Nous en rions de bon cœur. Clémentine rajoute : < La journée ne fait que commencer ! >. Nous nous faisons des bises.
La vaisselle que nous rangeons. 10 h30. Nous montons pour nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir.
Je monte sur la chaise pour descendre les deux valises à roulettes. Là, ouvertes sur le lit, elles reçoivent nos vêtements.
Clémentine choisi les habits dans l'armoire. Un vêtement à elle, un vêtement à moi. Estelle les range dans les valoches.
Nous ne partons que 12 jours. Estelle le fait remarquer à Clémentine qui a tendance à prendre des habits pour un mois.

Clémentine sait se réfréner. Finalement tout entrera dans la grande valise. Il faut juste être très méthodique. Stratège.
Dans la petite valise, ce sont nos chaussures. Estelle avoue avoir déjà préparé sa valise chez elle. Presque toute prête.
Elle nous rejoint le jeudi 26 décembre. Nous la cherchons à l'aéroport. C'est elle qui nous emmène à l'aéroport demain.
Les fringues sont soigneusement pliées. Estelle fait de l'excellent travail. La valise est grande ouverte. La vision parfaite.
Clémentine ne veut pas la refermer au cas où il lui viendrait une idée. Comme pour toutes les filles, une peur d'oublier.

Il est déjà 11 h30. Nous sommes attendus chez les parents d'Estelle à midi. Nous nous changeons. Tous les trois pareils.
Des jeans propres. Des chemises blanches sous nos pulls noirs aux cols en "V". Nos bottines marrons. Echarpes en soie.
Nous prenons des poses devant le miroir de l'armoire. Estelle me sort la bite. Je suis entre les deux coquines. On rigole.
< Tu ne dragues pas ma mère, Julien, pas maman sel te pli ! > fait Estelle d'un air faussement implorant. Eclats de rire.
Je suis prié de garder la queue à l'air. Nous descendons vite. Clémentine prend le sachet contenant l'emballage cadeau.

Nous enfilons nos blousons de cuir noir. Le grand parapluie. Nous traversons le jardin en courant sur les dalles de grès.
Je roule doucement. Les filles prennent l'habitude de s'assoir toutes les deux sur le siège passager. Ce n'est pas bien !
S'il y a les gendarmes, c'est une prune. Mais il n'y a jamais de gendarmes sur cette petite route rarement fréquentée.
Il est 11 h50. Je gare la voiture dans la descente du garage, devant la porte. Je remballe la bite. Et nous voilà arrivés.
C'est Yvan, le papa d'Estelle qui nous reçoit sur le haut de l'escalier, sous l'auvent. Il est vêtu comme nous. Superbe.

Michèle, la maman d'Estelle vient nous accueillir. Les parents d'Estelle font partie de notre tissu social depuis huit mois.
Je suis malgré tout toujours un peu gêné. Ils sont tous deux plus jeune que moi. Ils savent la nature de notre relation.
Je baise tout de même leur fille qui vient passer une partie de ses week-end avec nous. Je vis avec une fille de 22 ans.
Ce sont des gens très ouverts. Pas du tout coincés dans les prisons mentales de la morale. Je m'en rend encore compte.
Nous sommes invités à nous débarrasser de nos blousons, de nous installer à table. Clémentine tient le paquet cadeau.

Elle le remet à Yvan. Michèle est vêtue d'une jupe noire, d'un chemisier blanc, ses longs cheveux noirs sur ses épaules.
Elle ressemble tellement à Estelle, sa fille. C'est une fois encore très bluffant. Elle fait penser à Juliette. Et c'est étrange.
Nous sommes tous les cinq confortablement installés autour de la table. Le salon est spacieux. L'espace y est lumineux.
< Demain après-midi, je fais le sapin avec maman ! > fait Estelle qui s'assoit souvent sur les genoux de son papa. Joie.
Cette proximité complice est un enchantement. Estelle est une fille adorée. Comblée par des parents aimants. Sublime.

Nous mangeons de bon appétit. J'écoute beaucoup plus que je ne parle. Clémentine me fait du pied sous la table. Super.
Michèle a quelquefois cet étrange regard par en dessous, légèrement inquisiteur, des femmes qui veulent en savoir plus.
Clémentine n'aime pas trop parler de son passé. Et elle évite d'entrer dans les détails qui réveillent d'anciennes douleurs.
De toute manière, Estelle a déjà tout raconté. Nous traînons à table. Nous insistons pour débarrasser et faire la vaisselle.
Cette ambiance nous ravie tous les cinq. Yvan, trop impatient, n'en pouvant plus, ouvre délicatement le paquet cadeau.

Les parents d'Estelle sont tous deux silencieux à regarder cette petite toile qu'ils découvrent avec émerveillement. Joie.
< C'est la tour du moulin ! > s'écrie Michèle. J'ai représenté un lieu très connu, très prisé et légendaire de cette région.
La tour du moulin évoque un donjon à flanc de colline. Volontairement je situe la scène dans une ambiance romantique.
Un peu à la manière de l'école de Barbizon. Un ciel bleu ou évoluent de lourds nuages. De la verdure partout. Baroque.
< On dirait un vieux tableau ! C'est absolument génial ! > s'exclame Yvan. Michèle referme soigneusement l'emballage.

< On le met sous le sapin, avec les autres cadeaux ! > fait Michèle qui s'avance pour me faire trois bises. Je suis gêné.
Surtout qu'elle pose ses mains sur mes épaules. Yvan et Michèle sont tous deux de hautes tailles. Et c'est plus pratique.
Estelle me pince discrètement le bras. Discrètement mais très fort. Elle me chuchote : < Pas ma mère ! Pas maman ! >
Avant le dessert, Estelle nous entraîne, Clémentine et moi, dans sa chambre. Cette chambre de jeune fille si ordonnée.
Sur le lit, Bunny Boy, son petit lapin fétiche, tout sale. Il viendra en écosse comme il vient souvent avec Estelle partout.

< Donne moi ta bite à sucer un peu, vieux salaud qui drague ma mère ! > fait Estelle en me déboutonnant. Embarras.
Je dis : < T'es folle, si quelqu'un monte ! >. Estelle s'accroupit en disant : < T'inquiète, ici c'est mon univers ! >. Pipe.
Cela ne dure que quelques minutes. Clémentine et Estelle se refilent ma bite. Je bande mou à cause de l'appréhension.
Je les force à se relever. Estelle ouvre sa bouche devant mon nez en demandant : < Odeur de foutre ? >. Je la rassure.
Nous dévalons les escaliers pour rejoindre Yvan et Michèle. Ils sont comme des amoureux, assis sur le canapé à parler.

Nous prenons le dessert. Nous traînons à table en bavardant. Que faire d'autre avec cette météo épouvantable ? Vent.
Il est 16 h. Les parents d'Estelle insistent pour nous faire visiter les locaux de leur entreprise. C'est adjacent. Parapluie.
Nous découvrons enfin ce fameux bureau. Là où Estelle passe son temps avec sa maman lorsqu'elle n'est pas en cours.
C'est spacieux, très lumineux, très moderne. Yvan nous fait visiter les locaux. C'est une entreprise florissante. Une PME.
Les parents d'Estelle sont fiers. C'est le fruit de nombreuses années d'efforts. Une réussite. Et Estelle me pince souvent.

A chaque fois que je m'attarde, que je bavarde avec sa mère, elle me pince les fesses. C'est cruel et douloureux. Rires.
Nous prenons le thé. Il est déjà 17 h. Nous déclinons l'invitation de rester pour le repas du soir. C'est nous qui invitons.
C'est au tour des parents d'Estelle de décliner. Nous prenons congés. Estelle reste avec nous jusqu'à demain. C'est bien.
Dans la voiture, Estelle m'ouvre la braguette. < Tu ne dois pas draguer maman ! > fait elle en me tordant la queue fort.
Nous rigolons comme des bossus. Il fait nuit. Il pleut. Nous nous dépêchons de rentrer. 18 h15. Nous nous changeons.

Les filles sont assises en slip sur le bord du lit. Elles m'attirent devant elle. Elles se refilent mon Zob. Je bande tout mou.
Quand l'une suce, l'autre me donne ses impressions. Je donne les miennes. Je remercie Estelle pour ce bel après-midi.
Nous avons passé un bon moment. J'apprécie beaucoup Yvan et Michèle. Ce sont des gens réellement charmants. Super.
Nous restons ainsi lorsqu'un énorme bruit résonne dans le couloir. C'est tout près. C'est le fantôme. Très impressionnant.
Nous ne sommes jamais à l'étage quand les phénomènes se produisent. Nous nous dépêchons de nous habiller, de filer.

Un courant d'air glacé, venant de nul part, nous accompagne dans tout l'escalier en spirale. C'est effrayant. Une trouille.
En bas, tout cesse. < Elle est fâchée, Christine, ce soir ! > fait Estelle. Nous allons à la cuisine. Préparer la bouffe. Bien.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle évide les courgettes rondes à farcir. Je prépare la farce. Poisson, champignons.
Tout est au four. Il y aura du riz complet en accompagnement. Nous sommes vautrés dans le canapé au salon. A rigoler.
Estelle, tout en bavardant, me tord le Zob dans tous les sens. Nous mettons au point notre programme de demain matin.

Estelle nous emmène à l'aéroport pour 11 h. Il faut partir à 10 h. Il y a 45 km. Il faut anticiper tout impondérable. Parfait.
Nous avons notre avion à 11 h45. La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit.
Nous traînons à table. Estelle promet de ne pas être triste jusqu'à jeudi. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. C'est bien.
Il est 21 h. Nous montons nous laver les dents. Nous avons envie de faire des saloperies. Nous nous mettons au lit. Joie.
Le tampax de Clémentine ne m'empêche pas de lui sucer le clitoris pendant qu'Estelle me suce. Je la baise un peu. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment s'amuser au lit. A trois. Avant de s'endormir après un orgasme délicieux...

Julien - (Qui baise avec Estelle tout en suçant le clitoris géant de Clémentine. Nos orgasmes sont apaisants et délirants) -

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Le départ pour l'Ecosse

Hier matin, lundi, je suis réveillé par quantité de bisous que l'on me dépose sur le front, les joues et le bout du nez.
On me tient fermement par mon érection matinale et naturelle. On me murmure de douces choses en stéréophonie.
J'ouvre les yeux. Au-dessus de moi les visages bienveillants de Clémentine à ma gauche, d'Estelle à ma droite. Bien.
< Bonjour Mon amour ! > chuchote Clémentine. < Bonjour mon amour ! > chuchote Estelle mais sans imiter. Super.
Je les serre toutes les deux contre moi. Ces matins à trois sont d'une telle intensité. Nous savons en partager la joie.

Il est 8 h15. Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Clémentine se frotte.
< Comme je suis contente. Je voudrai arrêter le temps ! > me fait Clémentine. Estelle revient pour s'habiller. Rapide.
< Je descends tout préparer ! > fait elle en dévalant les escaliers. Nous allons aux aux chiottes pour y pisser en riant.
Nous nous habillons. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur de brioche, de café et de pain grillé. Autre bonheur.
Nous sommes tous les trois vêtus de nos tenues de gym. Dehors, il pleut. Il fait toujours aussi moche. Epouvantable.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Cette année Estelle est si contente de passer Noël avec sa famille.
Les années passées elle nous faisait un tel cirque. Il faut dire qu'il n'y a que trois jours à rester séparés. C'est parfait.
Nous ne traînons pas trop. La vaisselle. Nous essuyons et rangeons. Nous montons nous laver les dents. C'est super.
Nous nous offrons notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et abdos. Sublime.
Estelle prend sa douche la première. < Mes "petits machins" sont terminés ! > m'annonce Clémentine toute contente.

Nous sommes devant l'ordinateur. Deux courriels. Celui de Juliette qui nous souhaite d'excellentes vacances en Ecosse.
Le courriel de Julie qui nous souhaite un joyeux Noël, un très bon séjour à Edimbourg. Nous répondons. Estelle revient.
Elle est vêtue de ses jeans, sa chemise à carreaux, ses bottines. Nous remontons prendre notre douche. Très agréable.
Nous nous habillons. Pour le voyage, jeans, chemises à carreaux, sweat et bottines. Je descends la grosse valise. Bien.
Clémentine descend avec la petite. Il est 10 h lorsque nous quittons la maison. C'est Estelle qui nous emmène. Super.

La voiture d'entreprise n'est pas très confortable pour le troisième passager. Je suis assis à l'arrière sur une couverture.
J'écoute les filles évoquer leurs études. Elles se projettent déjà dans la rentrée. Le lundi 6 janvier. Ruses et stratégies.
Il est 10 h45 lorsque nous arrivons à l'aéroport. 45 km sans soucis sur une grande partie de la départementale déserte.
Clémentine m'attrape par la main pour m'aider à m'extraire par l'arrière de l'auto. Je récupère les valises. Il pleut fort.
Estelle nous abrite sous l'immense parapluie. Nous allons directement dans le hall de départ. Il y a pas mal de monde.

Les grèves n'ont ici aucune répercussion. Nous voyageons avec une compagnie anglaise. Notre avion partira à 11 h30.
Nous sommes attablés devant des infusions. Nous regardons les arrivées et les départs, par delà l'immense baie vitrée.
Estelle me tient la main et je peux sentir les frissons de ses émotions. A l'approche du départ, elle devient tristounette.
Je passe ma main sous ses cheveux pour lui caresser la nuque. D'autres passagers observent discrètement notre trio.
Suis-je le père, l'ami ou l'amant ? Autant de questions qui resteront sans réponses. Nous donnons quelques indications.

Il est 11 h10. Les passagers en direction de Londres sont priés de se rendre sur le lieu d'embarcation. Il y une navette.
Estelle ne peut cacher ses larmes. Je la console. < Même pas trois jours ! > lui fait Clémentine en lui faisant un bisou.
Nous nous séparons. Nous prenons place dans le petit autocar. Les silhouettes deviennent de plus en plus petites. Fini.
Nous voilà installés à nos places. Clémentine refuse d'être assise à côté du hublot. Nous permutons nos places en riant.
< Je n'arriverai jamais à m'y faire ! > murmure Clémentine qui a une peur bleue de l'avion. Je la rassure. Aucun souci.

Les voyages en avion sont les plus sûrs qui soient. Tant statistiquement que dans leurs réalités. Il n'arrive jamais rien.
Clémentine a masqué ses yeux avec les caches noirs. Elle garde la tête basculée en arrière toute la durée du décollage.
Pourtant le voyage se déroule sans encombre. Ce qui est normal puisque nous ne l'avons pas emmené avec nous. Bien.
L'aéroport de Londres. Les horaires sont parfaitement respectés. Il est 13 h lorsque nous posons le pied au sol. Parfait.
Notre correspondance pour Edimbourg nous attend dans quinze minutes. Le temps d'aller en navette au pied de l'avion.

Il pleut. Rien n'est plus laid qu'un aéroport sous la pluie. Notre avion décolle. Même rituel du masque noir sur les yeux.
Clémentine s'endort. Les 850 km jusqu'à Edimbourg se passent durant un vol sans histoire. L'avion qui se pose à 17 h.
Clémentine, un peu sonnée ouvre de grand yeux. L'aéroport d'Edimbourg est semblable à tous les aéroports du monde.
Nous tirons nos valises à roulettes. Les contrôles d'usage. Il y a un nombre impressionnant de policiers. Préventif. Bien.
Nous voilà à l'agence de location. C'est effectivement une Golf noire. Peut-être la même que l'an dernier. On s'en fout.

Il pleut. La température extérieure est de 8°. C'est exactement la même météo que chez nous. Je roule prudemment.
Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'à Edimbourg. Il y a 20 km jusqu'à Morningside. La circulation est plutôt dense.
Clémentine glisse sa main dans ma braguette. Malgré cette météo pitoyable elle est tellement contente d'être arrivée.
< C'est chez moi ici. J'ai toujours cette impression de rentrer à la maison ! > me fait elle. Je comprends. Et je partage.
Nous arrivons à Morningside, ce quartier sur les hauteurs de la ville. Quartier résidentiel, silencieux et retiré du monde.

J'entre lentement dans la propriété. Les hautes grilles sont ouvertes. Je longe les platanes sur une centaine de mètres.
Là, sur le perron, oncle Alan et sa femme. Ils sont tellement contents de nous revoir. Et ils en ont les larmes aux yeux.
Nous nous serrons les mains. Nous récupérons les valises. Il fait nuit. La pluie est diluvienne. Il est déjà 18 h. Parfait.
Nous montons directement à l'étage prendre possession de nos appartements. Clémentine se jette sur le lit. Heureuse.
< Enfin de retour. Je pense à cet instant depuis notre départ au début septembre ! > s'écrie t-elle. Je vais la rejoindre.

Rien n'a changé. Je viens ici depuis plus de 20 ans. La fatigue du voyage se fait sentir. Il faut s'activer. Il faut bouger.
Nous défaisons les valises. Je passe les vêtements à Clémentine. Elle les dispose soigneusement dans l'armoire. Bien.
La boîte contenant la caméra et ses accessoires posée comme une relique sacrée sur la table de nuit. Gestes prudents.
Nous en rions de bon cœur. Clémentine monte sur une chaise, s'empare d'un vase long posé sur le dessus du buffet.
Elle en retire une petite enveloppe. C'est une de ses bagues. < Je l'ai laissé là en partant. Superbe ! > s'écrie t-elle.
Elle l'a met à son doigt. Retire l'autre pour la mettre dans l'enveloppe. < Celle-là reste là jusqu'en juin ! > me dit elle.

Clémentine a toujours plein de petits rituels de ce genre. Je trouve ça adorable. < Actes magiques ! > précise t-elle.
Elle se blottit contre moi. < Merci pour tous ces bonheurs, Julien. Et je suis la plus heureuse ! > me murmure t-elle.
Nous restons un petit moment ainsi, silencieux, à nous bercer doucement. Nous sentons battre nos cœurs. C'est bon.
Nous sommes attendus pour le repas du soir à 19 h30. Il est 19 h. Nous nous déshabillons pour nous changer. Bien.
Clémentine me fait tomber sur le lit en slip. Elle me chevauche en riant. < Je vais être la plus salope ! > me dit elle.

Je dis : < J'aime la compagnie des salopes. Je m'ennuie tant avec celles qui ne le sont pas ! >. Nous éclatons de rire.
Je lui retire sa culotte. Je mets ma tête entre ses cuisses qu'elle écarte en poussant un soupir de bonheur. C'est bon.
Je lui bouffe la chatte. Elle en gémit de plaisir tout en me guidant. Clémentine adore me tenir par les oreilles. Super.
Je lui suce le clitoris. Il ne m'a jamais semblé aussi grand. Comme la première phalange du pouce. Si impressionnant.
< Tu vas me faire jouir. Arrête. Je suis trop heureuse et trop fatiguée pour lutter ! > fait Clémentine qui me repousse.

Trop tard. Dans un véritable rugissement, Clémentine se recroqueville dans mes bras, mains entre ses cuisses. Dur.
Il ne faut surtout pas s'endormir. Il est déjà 19 h20. Le temps de passer nos pantalons à plis, nos chemises blanches.
De la flotte sur la gueule. Se coiffer. Le tout en un temps record. Nous descendons pour 19 h35. Presque ponctuels.
Le repas du soir est un plaisir de se retrouver tous les quatre. Nous bavardons. Les plats sont succulents. Homards.
Nous traînons à table. Nous avons pris la décision de ne parler qu'anglais durant tout le séjour. Même dans l'intimité.

Nous le faisons très souvent à la maison. L'anglais étant ma première langue je m'exprime mieux. Et c'est si simple.
La langue française est ardue. Une des plus difficiles. Surtout par son écrit. Ce qui explique mes nombreuses fautes.
Clémentine maîtrise parfaitement et s'exprime comme si c'était sa langue natale. Et sans l'amusant accent français.
Nous traînons à table jusqu'aux environs de 22 h. Demain soir, nous sommes invités au repas de Noël. C'est superbe.
Il y aura mon cousin et sa compagne. Tante Maggie et son mari. Ma cousine et son compagnon. Les réjouissances.

Nous prenons congé. Nous sommes fourbus. Il est 22 h30. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Rires.
< Tu dois te comporter en "Maître", Julien. J'en ai besoin. Et vraiment ! Tu veux bien ? > me demande Clémentine.
Je la saisis par ses cheveux pour l'attirer vers moi. Nous sommes devant le miroir. Et je promets de faire au mieux.
Je l'entraîne dans la chambre. Je l'aide à se déshabiller. Malgré la fatigue, je lui passe la bite sur la gueule. Vulgos.
Je la fais sucer. J'essaie d'être bien vicelard. Le cœur y est. Mais plus l'énergie. Nous nous endormons serrés forts.

Bon début de vacances à toutes les coquines qui aiment retrouver leurs repaires. Et qui aiment se faire lécher...

Julien - (Qui écoute les derniers secrets de Clémentine. Elle s'endort dans ses bras. Au fond d'un grand lit) -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Coeur
Wednesday 25 December 2019 08:07

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 1013 -



De retour à Edimbourg, nous prenons nos marques

Hier matin, mardi, je suis réveillé par le mouvement presque imperceptible du matelas et par un discret froissement.
Clémentine sait lorsque je me réveille. Ma respiration change. Moi, je ne m'en rends pas compte. C'est instinctif. Dur.
Clémentine cesse de se masturber pour se blottir contre moi en murmurant : < J'ai fait un rêve très cochon ! >. Bise.
Nous nous serrons fort. Elle passe une jambe sous mes reins, l'autre sur mon ventre pour reprendre sa masturbation.
Cela ne dure pas. Notre envie de pisser remporte la victoire. Je dis : < Tu me racontes ce rêve au petit déjeuner ! >

Nous nous précipitons aux toilettes. Il est 8 h30. Dehors un ciel sombre. En Ecosse, durant l'hiver, c'est le crépuscule.
Par contre le sol semble trempé. Jogging ou pas jogging ? Nous décidons de manger d'abord. L'inspiration qui viendra.
Nous avons emmené du pain, de la confiture, du miel et du café. De quoi assurer ce premier sommaire petit déjeuner.
Nous traînons à table. Pas de véritable programme en ce jour. Par contre Clémentine est pressée d'aller flâner en ville.
Nous allons sur le petit balcon. La fraîcheur est vive. A peine s'il fait 6°. Clémentine propose un jogging. C'est parfait.

La vaisselle. Nous nous habillons. Nos leggings, nos sweats, nos K-ways, bonnets, gants. Nous descendons par derrière.
Quelques mouvements d'échauffement. Nous sommes tellement contents de pouvoir enfin aller courir au grand air. Joie.
C'est notre itinéraire habituel quand nous sommes à Edimbourg. Nous le retrouvons avec plaisir. C'est un vrai bonheur.
Le sol est détrempé par endroits. Il suffit d'éviter les coins boueux. Nous courons principalement sur le macadam. Bien.
Sur le retour nous nous arrêtons au sommet de la colline pour admirer la ville qui s'étale sous nos pieds. Les lumières.

Nous avons quitté l'Ecosse au début septembre, encore en été. Nous la retrouvons au tout début de l'hiver. C'est super.
Il est 10 h lorsque nous revenons. La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises épaisses, sweat, bottines, blousons.
Nous voilà en voiture. < Mais comment tu fais ! > s'exclame Clémentine. Je roule à gauche. Tout est inversé dans l'auto.
C'est toujours une adaptation rapide. Nous sommes ici en Grande Bretagne. Même indépendante, l'Ecosse en fait partie.
Clémentine glisse sa main dans ma braguette. Elle revient sur le rêve érotique qu'elle a fait cette nuit. Un truc délirant.

Il y est question de Mr Gérard, d'un vieux bateau et de chevaux. C'est totalement surréaliste. Mais l'intrigue si érotique.
Nous en rigolons comme des bossus. Nous arrivons en ville. Ici aussi nous avons notre petit plan pour garer la voiture.
Dix minutes du centre. Il y a des séquences moins sombres qui alternent avec des moments couverts. Pas de menace.
Clémentine est tellement heureuse d'être de retour dans ce pays et dans cette ville qu'elle aime tant. C'est "chez elle".
Elle m'entraîne. Nous marchons vite. Nous voilà sur High Street. Un des grands boulevards de la ville. Il y a du monde.

< Enfin de retour chez moi ! > fait Clémentine qui se serre contre moi. St Giles Cathedral. Royal Mile Market. Le centre.
Nous flânons dans le dédale des ruelles de Real Mary King's Close. Ses boutiques, ses restaurants, son ambiance. Bien.
Il y a notre restaurant préféré. Celui ou le personnel officie en tenue folklorique. Kilt et chemise blanche. Filles, garçons.
J'invite Clémentine à y réserver une table pour 13 h. Excellente initiative car il n'en reste que quelques unes. C'est bien.
Il est 11 h45. Nous remontons dans Edinburgh Old Town. C'est le centre historique. Il y a beaucoup de touristes. Super.

Les préparatifs du Hogmanay ont commencé. C'est la plus grande fête d'hiver en Europe. On y vient même d'Amérique.
Des employés communaux sont entrain d'installer les estrades qui accueilleront les groupes sous de petits chapiteaux.
Nous nous promettons d'assister à la retraite aux flambeaux, le 30 décembre. Il faut réserver pour les bonnes places.
Nous nous en occuperons cet après-midi. A un des offices de tourisme sur Princes Street. Il fait presque doux. Parfait.
Clémentine m'attire dans tous les coins et recoins pour me palper la braguette, m'embrasser avec fougue. Si heureuse.

Tout cela nous excite considérablement. < Sois salaud ! > me chuchote Clémentine à plusieurs reprises. Il y a des gens.
Mais là, derrière une camionnette, entre un kiosque aux volets clos, un panneaux d'affichage publicitaire, je sors le Zob.
Clémentine s'éloigne pour faire le tour du kiosque. Elle joue à la touriste tombant sur un exhibitionniste. Je fais attention.
J'agite ma bite molle. Je regarde partout autour de moi. Il faut que ce soit rapide et discret. Comme une situation réelle.
Clémentine passe sa main entre ses cuisses. Elle reste à cinq, six mètres. Elle interprète la fille offusquée à la perfection.

Je reste sur mes gardes. Inutile d'imposer nos petits jeux à des gens qui n'ont rien demandé de tel. Adroit et virtuose.
C'est hyper excitant. Nous jouons souvent à ce jeu de rôles durant nos promenades. Je bande rapidement. Vrai satyre.
Clémentine joue à la touriste. Elle se rapproche. Me demande la direction de la Cathédrale Saint Gilles. Je la renseigne.
J'agite ma queue. Je me branle. La totale. J'invite la fille à l'accompagner pour lui montrer le chemin. Elle accepte. Bien.
Je remballe mon sexe. Juste à temps. Il y a deux couples qui se pointent. Ils ne se doutent de rien. Et nous continuons.

< J'ai une méchante envie de te sucer ! > me fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous sommes hyper excités.
La faim se fait également sentir. Nous prenons les ruelles qui nous ramènent à Edinburgh Old Town. Alexandre's place.
Il est presque 13 h. Le restaurant est bondé. Notre table nous attend. Une toute petite table pour deux. Et on la connaît.
Il serait vain de tenter quoi que ce soit. Il nous reste notre autre petit jeu. D'aller aux toilettes ensemble. Nous tripoter.
Nous nous régalons de langoustes fumées. De petits légumes cuits à l'eau. Nous admirons les valses du personnel. Joie.

Nous connaissons bien les toilettes de ce restaurant. La configuration est propice à quelques initiatives exhibitionnistes.
Notamment les toilettes homme. Deux urinoirs fixés à un un muret en plein milieu du petit espace. On peut contourner.
L'été dernier, Clémentine y a fait quelques "rencontres" assez salaces. Une fille qui se "trompe" de toilettes, ça "inspire".
Elle se lève pour s'y rendre. Elle emmène son téléphone. Nos téléphones sont ouverts. Mode "caméra" pour Clémentine.
Assis seul, je regarde l'écran de mon smartphone. L'image est rapidement fixe. Je vois bien. Clémentine se positionne.

Elle s'est évidemment trompée de toilettes. Elle se lave les mains. Elle me fait des grimaces, elle mime des branlettes.
Il y a un type qui va aux toilettes. J'ai le cœur qui bat la chamade. Je scrute l'écran. Le même mec y apparaît soudain.
Il découvre cette grande jeune fille qui est aux lavabos. L'occasion est trop belle et fait le larron. Il est devant l'urinoir.
Clémentine mâte ce qui se passe dans le miroir. Son téléphone appuyé contre le petit sac à main calé contre le rebord.
Le type pisse probablement. Il ne cesse de tourner la tête pour regarder la fille. Je ne vois pas ce qu'il fait. Il y a le mur.

Un autre mec traverse la salle du restaurant. Lui aussi se rend aux chiottes. Sur l'écran, je le vois entrer à son tour. WC.
Cela met un terme à la situation. Clémentine récupère ses affaires et quitte les toilettes. Elle revient me rejoindre. Rires.
< Le mec se branlait discrètement. Je n'ai pas vu son Zob. Mais j'en suis sûre ! > fait elle en racontant plein de détails.
Nous en rigolons comme des bossus. Les coupes glacées sont délicieuses. Une seconde visite de Clémentine aux chiottes.
Cette fois, malgré une attente de cinq minutes au moins, personne. Le type de tout à l'heure n'a sans doute pas capté.

L'addition. Nous retournons flâner. Nous remontons High Street jusqu'à Market Street. Puis c'est Princes Street Gardens.
En hiver, la végétation est plutôt rare. Les arbres et la plupart des bosquets sont nus. Aucune réelle opportunité de jeux.
Pourtant nous arrivons avec ruse, à interpréter les rôles de la voyeuse et de l'exhibitionniste. Chacun son tour. Superbe.
Nous retournons sur Princes Street. C'est dans un des offices de tourisme que nous réservons nos entrées et nos places.
Le Hogmanay nous verra aux premières loges. Nous réservons dans le même restaurant pour deux soirs de suite. Parfait.

L'entrée de la Scottish National Gallery. Nous voulons y revoir les toiles de la collection Hollandaise du XVIIème siècle.
Il faut patienter. Il y a beaucoup de touristes. Les accents américains sont les plus nombreux. Beaucoup de néerlandais.
Munis de nos précieux "Liberty Pass" nous retournons déambuler. Il est 16 h. Nous nous offrons un bon chocolat chaud.
Nous sommes déjà venus dans ce salon de thé. Là aussi, Clémentine s'est bien amusée l'été dernier, dans les toilettes.
Pourtant, malgré une petite salle presque pleine, aucun "plan". Nous nous y rendons tous les deux. Et bien trop excités.

Enfermés dans un des deux cabinets, nous procédons à nos rituels pisseux. Je tiens Clémentine qui ne s'assoit jamais.
Dans les WC publics nous n'avons contact avec rien. Nous tenons tout avec un mouchoir en papier. Petit flacon de gel.
Avec des prouesses de contorsionniste, j'arrive à lécher le fion de Clémentine après son pissou. Pour moi, c'est simple.
Nous rions de bon cœur de ce temps que nous passons là. On entend les allées et venues des messieurs dans les WC.
Nous retournons nous assoir. L'addition. Nous voilà au dehors. Le crépuscule se renforce doucement. La nuit va venir.

Il est temps de retourner à la voiture. Nous sommes attendus pour le réveillon de Noël et à 19 h30. Il est déjà 18 h15.
Sur la route du retour, cinq petits kilomètres, Clémentine me branle. Je l'empêche de sucer afin qu'elle regarde partout.
Il est 18 h45. Nous sommes dans notre appartement. En nous changeant nous entendons arriver les premières autos.
Pantalons noirs à pinces et à plis. Souliers noirs. Chemises blanches. Tous les deux avec un nœud papillon. C'est drôle.
C'est une idée à Clémentine. Il est 19 h30. Nous descendons le grand escalier. Les invités sont là. Et toute ma famille.

Nous sommes tellement heureux de nous revoir. Ce sont des effusions de joie. Clémentine qui fait partie de la famille.
Elle a été adoptée très vite. Tout le monde est content de la revoir. Surtout mon cousin. Pourtant sa femme est belle.
Il y a une semaine, j'ai fait parvenir les colis contenant les cadeaux. Je reconnais les paquets devant la cheminée. Bon.
Sous le sapin, il y en a plein également. Nous voilà à table. C'est un traiteur qui a livré l'ensemble des plats. Superbe.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine est rapidement le centre de toutes les conversations. Jeune fille de 22 ans.

Nous rions beaucoup. Tante Maggie a toujours d'amusantes anecdotes. La ville de St Andrew est inspirante. Rigolade.
Clémentine me fait du pied sous la table. Elle n'arrête pas de rire. Elle est adorable. Je l'aime comme un dingue. Joie.
Nous ouvrons les cadeaux. Ce sont des instants de découvertes. De remerciements et de bises. Et c'est très émouvant.
Tout le monde dort ici ce soir. Petit déjeuner commun demain matin. Il est 23 h30. Nous voilà dans notre salle de bain.
Fatigués mais tellement heureux. Clémentine est euphorique. Au lit, je lui offre un sublime cunnilingus. Elle s'endort...

Bonne promenade sur le lieu des vacances à toutes les coquines qui aiment y retrouver leurs petites habitudes...

Julien - (Qui écoute les dernières confidences de Clémentine. Elle s'endort contre lui. Cousin Steve est un dragueur) -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Coeur
Thursday 26 December 2019 08:10

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 1014 -



Notre seconde journée à Edimbourg

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par plein de bisous qu'on me dépose sur les joues, dans le cou, le front et le nez.
Clémentine déteste rester seule. J'ouvre péniblement les yeux tous collants. Il y a le visage bienveillant de Clémentine.
< Je t'aime, Julien ! > me murmure t-elle. Je la serre contre moi. Nous nous offrons plein de papouilles, plein de bises.
Il est 8 h. Nous observons notre nouvel univers. Cette chambre au plafond haut. Les moulures. La maison du XIX ème.
Impossible de tenir plus longtemps. Nous nous précipitons aux toilettes. Nous mettons les jeans et chemises blanches.

Nous sommes attendus pour le petit déjeuner commun. Nous descendons. Tout le monde est déjà dans le grand salon.
Tout le monde a dormi là. Tante Maggie et son mari, de Saint Andrew. Cousin Steve et sa femme. Cousine et son mari.
Nous prenons un copieux petit déjeuner. Nous bavardons en riant beaucoup. Le second repas de famille. Très convivial.
Nous mangeons de bon appétit. Cousine Betty, son mari ainsi que Cousin Steve, sa femme repartent en fin de matinée.
Nous ne serons plus que six à midi. Nous traînons à table. Il est 9 h lorsque nous remontons pour nous changer. Enfin.

Nous mettons nos tenues de sport. Même temps que hier. En hiver, en Ecosse, le jour ne se lève jamais complètement.
Nous descendons par l'escalier de service. Nous voilà dans la fraîcheur. Quelques mouvements d'échauffement. Super.
Nous courons d'un bon rythme. Notre circuit devenu habituel à chaque séjour ici. Arrêt au sommet de la colline. Si beau.
Les lumières du "Roquefort Gothique" comme l'a surnommé Clémentine évoquent des cartes de vœux de la fin d'année.
Nous croisons quelques rares joggeurs. Il est 10 h15. Nous voilà de retour. Nous prenons notre douche. C'est très bien.

Nous nous habillons. A midi, on fait simple. Plus de protocole. Nous mettons nos jeans, chemises blanches sous le pull.
Nous descendons. Ce sont les au revoir. Nous laissons mon cousin, sa femme, ma cousine, son mari. Tout est terminé.
Nous nous reverrons l'été prochain. Nous prenons l'auto. Nous descendons la rue jusqu'à Morningside. Faire les courses.
Voilà Christ Church sur notre gauche. Un cars de tourismes garé devant l'église gothique. Le petit square qui est fermé.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Je gare l'auto dans la rue parallèle à l'artère commerçante. Bien.

L'Ecosse, comme toute la Grande Bretagne, est un pays Calviniste. Noël n'a pas la même importance. Magasins ouverts.
Nous sommes contents de retrouver l'atmosphère "villageoise" de ce quartier excentré, là, sur les hauteurs d'Edimbourg.
Il ne fait pas froid. Il y du monde. Quelques touristes. Poumon économique de l'Ecosse. Nous flânons, main dans la main.
Je porte les deux sacs. Cabas souples en épaisse toile de lin. Nous ne disposons que d'une petite heure. Faire les courses.
Nous passons devant le fast food vietnamien. Depuis la rue nous pouvons distinguer la file de clients devant le comptoir.

Nous y entrons. Monsieur Wong est là, à servir les clients. Il y a la jeune fille de l'été dernier. Elle fait sa mise en place.
Elle nous aperçoit la première. C'est la nièce de Wong. Elle a un sourire désarmant et vient nous serrer la main. Super.
Monsieur Wong vient à son tour. Il est hilare tellement il est content de nous revoir. Nous nous serrons la main. Parfait.
La jeune fille est allée chercher Ly-Yang. La femme de Wong arrive à toute vitesse des cuisines. Elle aussi, si souriante.
Wong est retourné servir les clients. Nous arrivons en pleine bourre. C'est le rush de fin de matinée. Très peu de temps.

Suffisamment pour que Ly-Yang, merveilleuse petite poupée vietnamienne, nous invite à venir partager le repas samedi.
Nous sommes attendus pour 19 h30, samedi. Nous promettons d'êtres là, tous les trois, avec Estelle. Des réjouissances.
Nous achetons six nems, des beignets de crabe et de crevette traditionnels. Nous insistons pour payer. C'est important.
Clémentine et moi, nous partons du même principe. Ce qu'on ne paie pas fini un jour par coûter très cher. The business.
Nous voilà dans la rue. Nous la remontons jusqu'au petit supermarché. Nous y faisons provisions de fruits et de crudités.

Devant une des armoires à surgelés, Clémentine me fait remarquer ce garçon, touriste asiatique, qui ne cesse de mâter.
Même si Clémentine le dépasse d'une bonne tête, le jeune homme la regarde avec insistance. Je l'observe discrètement.
Je suis toujours autant flatté que Clémentine dans de telles situations. Clémentine est tellement belle et attractive. Joie.
Le jeune garçon fait probablement partie de ce groupe de touristes asiatiques que nous avons croisé devant le magasin.
Rien d'envisageable. Trop de clients. Nous arrivons à une des quatre caisses. A celle d'en face, le jeune garçon. Parfait.

Discrètement, je pose ma main sur la braguette de Clémentine. Je la passe entre ses cuisses. Un mouvement vulgaire.
C'est rapide. Clémentine s'oriente afin que le geste reste invisible. Seul notre V.P. (Victime Potentielle), peut nous voir.
Il semble comme halluciné. Je récidive une seconde fois. Mais ce coup ci, la jeune caissière me voit le faire. Un sourire.
Croit-elle que ce geste s'adresse à elle ? Nous nous plaisons à le croire aussi. Je refais même une troisième fois. Vicieux.
Nous voilà au dehors. Je porte les sacs. Clémentine tient juste une des poignées. Nous arrivons au magasin de journaux.

C'est le grand magasin qui fait boutique souvenir, dépôt de pain, bar tabac et magasin de journaux. Il y a plein de gens.
Nous sommes tous deux considérablement excités. Un autre de nos petits plans bien vicelards serait le bienvenu. Super.
C'est derrière les deux grands tourniquets des cartes postales que le hasard qui fait si bien les choses, nous offre le plan.
Le même garçon. Il sont bien une vingtaine de touristes asiatiques à choisir des souvenirs dans la boutique. Des cartes.
Le garçon n'est pas seul. Il y a deux jeunes filles avec lui qui choisissent des cartes. Et c'est une excellente opportunité.

Là, c'est beaucoup plus facile. A nouveau je passe ma main entre les cuisses de Clémentine. Cette fois je palpe, vulgaire.
Le jeune garçon regarde. Son regard va de celui de Clémentine au mien. Il semble envahi d'un trouble profond. Malaise.
Une des deux jeunes filles vient de s'apercevoir. Elle aussi a ce regard d'étonnement. Je lui souri. Elle me rend le sourire.
Quoi de plus excitant pour n'importe quel touriste venant de loin que d'être confronté à une telle situation "périlleuse" ?
J'insiste. Je passe mon autre main sous les pans du blouson ouvert de Clémentine. Pour lui palper ses seins minuscules.

La jeune fille me fixe d'un regard hyper suggestif. Elle envie la fille qui m'accompagne. Elle a compris notre jeu. Super.
Pour le mec, c'est un peu plus long et complexe. Normal. Cerveau masculin. Clémentine voit la fille mâter. C'est génial.
A son tour elle pose sa main sur l'énorme bosse qui déforme ma braguette. Mon érection contrainte par mes vêtements.
Pour le garçon, s'en est probablement trop. L'autre fille doit être sa compagne. Elle l'entraîne. Reste juste la jeune fille.
Je lui fais un clin d'œil. Je me fait tripoter la braguette avec une vulgarité rare. Elle reste à regarder, comme paralysée.

Il faut cesser car d'autres touristes du même groupe arrivent derrière les tourniquets. Dommage. Frustrant. Douloureux.
Nous voilà au dehors. < Génial ! J'adore ! > fait Clémentine en s'emparant d'un des sacs. Nous filons à la voiture. Vite.
Dans l'auto, Clémentine me sort la queue. Enfin libérée de sa contrainte, ma bite dure comme le bois, peut s'épanouir.
< Tu mouilles ! J'adore ! > me fait Clémentine qui se penche sur sa gauche pour me sucer jusqu'à la propriété. Sublime.
Il est presque midi. Nous avons fait nos courses. Pain complet au noix, aux amandes. Notre préféré. Oranges, pommes.

Nous montons pour ranger nos courses. Nous sommes hyper excités. Il faut dominer nos pulsions. Nous savons le faire.
Rester excités toute la journée, nous y sommes passés maîtres. Nous nous dépêchons de redescendre. Et tout est prêt.
Nous voilà assis à la grande table. Juste Oncle Alan, sa femme, Tante Maggie, son mari et nous. Un repas protocolaire.
Clémentine ne cesse de me faire du pied sous la table. Nous mangeons de bon appétit. Il y a encore des restes de hier.
Nous traînons à table. Tante Maggie et son mari reprennent la route pour 15 h en direction de Saint Andrew. Et 85 km.

Nous restons ensemble jusqu'à leur départ. Nous nous reverrons l'été prochain. Nous les accompagnons au dehors. Joie.
Nous partons à notre tour. Nous retournons sur Edimbourg. Trop pressés d'aller vers de nouvelles aventures. C'est bien.
Comme toujours, je roule avec la bite dans la main de Clémentine. Excité comme je le suis, elle suce les épanchements.
Et ça dégouline. Je gare la voiture dans la même ruelle, à quinze minutes du centre. La même animation. Plein de gens.
Quel que soit la saison, cette ville merveilleuse, accueille un nombre considérable de visiteurs. C'est un pôle d'attraction.

Ces repas de familles ont la particularité de rendre les estomacs lourds et pesants. De marcher un peu fait du bien. Joie.
Nous n'avons plus qu'une envie, reproduire la situation de ce matin à la première occasion. Quitte à provoquer ce plan.
Nous pouvons le réaliser dans la boutique d'un antiquaire où nous venons régulièrement à chaque séjour. Nous aimons.
Cette fois, c'est un couple très élégant qui flâne dans le magasin. Un véritable cabinet de curiosités façon Harry Potter.
L'inconnu est parfois seul devant un meuble, un objet. Sa femme plus loin faisant pareil. Voilà une opportunité. Super.

Cette fois, je pelote carrément la braguette de Clémentine. Le type s'en aperçoit très vite. Il fait semblant de rien. Bon.
Je fourre carrément ma main dans le jeans de Clémentine qui contracte fort son ventre pour bien me permettre l'accès.
Merdre. L'antiquaire vient de nous surprendre. Il a un léger toussotement en nous croisant. On cesse. Un flagrant délire.
Nous en rions de bon cœur. En partant, l'antiquaire nous fait un large sourire et nous dit : < I hope to see you again ! >
Nous promettons de revenir. Dans la rue, Clémentine me dit : < On revient avec Estelle, j'ai envie de m'amuser ici ! >

Même si nous adorons êtres seuls tous les deux, la présence d'Estelle nous manque quelquefois. Trois mousquetaires.
Nous flânons dans le dédale des ruelles du centre. Nous adorons monter et descendre les marches des rues piétonnes.
Nous nous offrons un bon chocolat chaud dans un nouveau salon de thé. Un endroit typique que nous découvrons. Bon.
Bien évidemment, Clémentine va explorer les toilettes. Elle revient après avoir pris quelques photos. Plein de souvenirs.
Nous devons avoir plus d'une centaine de photos de chiottes prises au hasard de nos pérégrinations. C'est assez génial.

Pas question de se faire un plan ici. Il y a bien trop de monde. Nous retournons aux toilettes ensemble. Une expédition.
Enfermés dans un des deux cabinets, côté homme, nous nous livrons à notre passion pisseuse. Et il faut être stratège.
Mes talents de contorsionniste s'affinent. Accroupi, je lèche le croupion de Clémentine. La nuque fait rapidement mal.
C'est plus facile pour Clémentine qui me tient le Zob pour en diriger les petits jets. Accroupie, à me sucer entre chacun.
Nous pouvons entendre les allées et venues de l'autre côté de la porte. Les tentatives d'entrer. C'est occupé messieurs.

Il est 18 h45. Nous réservons une table dans un petit établissement recommandé sur Oxford Street. Et un lieu typique.
Il faudra être là pour 20 h. Il fait nuit. C'est le quartier d'un des trois marchés de Noël. C'est fabuleux. Belle découverte.
La décoration est extraordinaire. Toutes les lumières sont de teinte sépia. L'ambiance Harry Potter. C'est vraiment beau.
Nous traînons. Il faut se frayer le passage. C'est parfois de la prouesse tant l'endroit est fréquenté. Et plein de policiers.
La faim commence à cruellement se faire sentir. Nous résistons aux tentations. Les gaufres, les bâtons de Noël. Sucre.

Nous retournons au restaurant. Notre petite table ronde nous y attend. Une nappe blanche brodée de fil d'or. Sublime.
La petite salle est bondée. Inutile d'imaginer un plan quelconque. Deux visites aux chiottes. Petit rituel pisseu. Photos.
Nous traînons à table. Il y a une jeune femme qui joue des airs celtiques à la harpe. Style Lorrena McKennitt. Divine !
Il est 23 h quand nous sommes de retour. Fatigués. Repus. Epuisés. Fourbus mais avec un désir qui brûle nos ventres.
Au lit, on tente bien des trucs. C'est juste le cunnilingus et la fellation qui restent des valeurs sûres. Le grand plongeon.

Bonne journée de découvertes à toutes les coquines qui aiment la visite de nouvelles toilettes pour y faire des trucs...

Julien - (Qui écoute les derniers murmures de Clémentine. Elle s'endort paisiblement, serrée dans ses bras) -

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Homme, 53 ans, France
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Nous allons chercher Estelle à l'aéroport

Hier matin, jeudi, une fois encore, je suis tiré de mon sommeil par quantité de douceurs, de bisous, de < Je t'aime ! >
J'ouvre les yeux. Au dessus du mien le visage bienveillant de mon ange. Clémentine qui déteste rester réveillée seule.
Des papouilles. Déjà 8 h. Nous nous précipitons aux toilettes. L'euphorie de Clémentine est rapidement communicative.
Nous mettons nos tenues de gym. Nous préparons notre petit déjeuner. Nous cherchons Estelle pour 11 h45. Bonheur.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le programme du jour est des plus simples. Et nous ne traînons pas.

En même temps que nous parlons d'elle, il y a la musique imbécile de mon smartphone. Clémentine s'en empare vite.
C'est Estelle. Elle s'apprête à monter dans l'avion. C'est génial. Clémentine met en mode "haut parleur". C'est superbe.
Nous bavardons tous les trois. La vaisselle. Nous descendons par l'escalier de service. Et il y a le même climat que hier.
Quelques mouvements d'échauffement et nous voilà partis pour un running. Nous sommes si contents. Ambiance. Joie.
Nous allons retrouver Estelle d'ici une poignée d'heures. < Les trois mousquetaires ! > comme le précise Clémentine.

Nous courons sur le circuit habituel. Notre petit arrêt au sommet de la colline pour admirer Edimbourg et ses lumières.
Il est 9 h30 quand nous revenons. Il y a la femme de mon oncle qui s'apprête à partir. Nous bavardons deux minutes.
Nous sommes invités, tous les trois, dimanche à midi. Eux aussi se réjouissent pour revoir Estelle. Nous montons vite.
La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux sous les sweats. Bottines. Nous allumons l'ordi. Des mails.
Un courriel de Juliette qui nous raconte un peu de son Noël avec sa maman et son frère. Un courriel de Julie. Superbe.

Nous répondons en joignant deux photos prises à l'instant, Clémentine assise sur mes genoux, nos bonnets sur la tête.
Nous enfilons nos blousons. Les bonnets, c'était juste pour faire les pitres car il ne fait absolument pas froid. A peine 9°.
Il est 10 h15. Nous descendons. La voiture. Je propose à Clémentine de tenter de rouler à gauche. De s'habituer un peu.
Elle accepte mais seulement jusqu'au bas de la rue. < Pour voir ! >. Bien évidemment, tout se passe plutôt bien. Facile.
Tout est inversé. Le volant et les commandes sont à droite. < J'ai envie de jouer avec ta queue ! > s'écrie t-elle. L'arrêt.

Nous changeons de place devant Christ Church. < Je préfère me faire conduire ! > dit Clémentine. Je prends le volant.
Nous descendons jusqu'au bas de Morningside. A gauche, vers Edimbourg qu'il faut contourner. La direction d'Ingliston.
Il y a une vingtaine de kilomètres jusqu'à Edinburgh Airport. La circulation est dense. Nous avons de la marge horaire.
Nous aimons anticiper. Je roule avec la bite à l'air. Une certaine euphorie nous gagne. Nous arrivons pour 11 h20. Bien.
Je gare l'auto sur le grand parking. Nous allons dans le hall d'arrivée. Nous faisons les cent pas le long de la baie vitrée.

Nous interrogeons les grand panneaux où s'affichent les départs et les arrivées. Cet avion sera ponctuel. Réjouissance.
Il est 11 h45 lorsque l'appareil se pose. Il s'immobilise. La navette récupère les passagers qui descendent la passerelle.
Le bus s'arrête à trente mètres. Nous sortons pour accueillir Estelle. Souriante, radieuse, contente de nous revoir. Belle.
Je prends sa valise. Nous nous serrons tous les trois. Nous avons les cœurs qui battent la chamade. Nous filons à l'auto.
Hors de question de s'assoir tous les trois à l'avant comme nous le faisons de plus en plus souvent chez nous. C'est dur.

Une golf permet un peu plus d'intimité qu'une grosse berline allemande. Estelle à l'arrière, ses bras autour de mon cou.
Elle nous raconte les fêtes de Noël dans sa famille. Ses parents, sa tante, son oncle et sa stupide cousine. C'était bien.
Je propose de nous faire un petit restaurant. Estelle préfère retrouver l'appartement. C'est "chez elle" également. Rire.
< Je suis pressée de jouer avec, moi aussi ! > fait Estelle assise à l'arrière qui regarde Clémentine me masturber. Joie.
La circulation est très dense. Il faut presque 45 minutes pour remonter sur Morningside où nous revenons pour 12 h50.

Clémentine s'occupe de la salade et son assaisonnement. Je fais revenir les nems, les beignets. Haricots verts au Wok.
Estelle défait sa valise et range soigneusement ses vêtements. Depuis la porte ouverte, elle fait la clown sur le plumard.
On la voit sauter en slip et en chaussette sur le lit en s'écriant : < Les aventures des trois compères qui reprennent ! >
Elle est adorable. Je vais la rejoindre. Elle saute dans mes bras. Je la fais tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous.
Clémentine nous rejoint. Serrée derrière moi, elle me caresse la braguette pour m'en extraire la queue. C'est émouvant.

Estelle passe un jeans et une chemise à carreaux. Nous sommes habillés tous les trois à l'identique. Il fait faim. Cuisine.
Nous mangeons de bon appétit. Nous nous racontons nos Noël. Estelle qui a ses "petits machins" de fille. Le 25 du mois.
< Pas de baise avec parrain alors ! > fait Clémentine. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Le repas délicieux.
Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent nos petits "plans" et nos projets pour janvier. Super.
La vaisselle. Ranger la cuisine. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir dans la salle de bain.

Nous voilà prêts à filer sur Edimbourg. Estelle est pressée de retrouver la ville qu'elle aime au point de vouloir y vivre.
Elles ont toutes les deux le projet de s'installer en Ecosse dès la fin de leurs études, une fois leurs doctorats en poche.
Je sais que ce ne sont pas des utopies, des idées en l'air. Elles en parlent souvent avec le plus grand sérieux. Superbe.
Pour Clémentine, cela ne pose aucun problème. J'ai la double nationalité. En tant qu'écossais, il me suffit de l'épouser.
Même si ce n'est peut-être qu'un mariage de convenance. Pour Estelle ce sera sans doute beaucoup plus difficile. A voir.

Je roule doucement. Clémentine me masse la turbe. Estelle, assise à l'arrière, me caresse le cou, les joues, des bisous.
Je gare la bagnole dans la ruelle habituelle, à quinze minutes du centre. Nous marchons vite. Voilà High Street. Super.
Estelle est si contente de se retrouver là qu'elle sautille autour de nous et sous le regard amusé de quelques passants.
Elles me tiennent toutes les deux par le bras. Je défends à Estelle de me tripoter la braguette et de façon trop évidente.
Nous flânons. C'est tellement bien de se promener dans le centre médiéval de cette ville étonnante et si enchanteresse.

Le dédale des ruelles d'Old Town. C'est un vrai bonheur. Il est impossible de s'en lasser. De plus il y fait presque doux.
Nous passons devant la boutique de l'antiquaire ou Clémentine a fait un peu d'exhibe hier. On raconte à Estelle. Super.
Bien évidemment, Estelle veut y aller < Pour voir ! >. Nous entrons dans le magasin. Le type nous reconnaît. Le sourire.
Il est étonné de nous voir à trois. Nos hautes tailles, les différences d'âge flagrantes. Suis-je le père ? L'amant ? L'ami ?
Nous bavardons un peu. L'antiquaire est un monsieur très sérieux, la soixantaine. De taille moyenne. Il y a des clients.

Nous ne nous attardons pas. Avant de partir, discrètement, je touche Clémentine. Ma main entre ses cuisses. Surprise.
Je fais la même chose à Estelle. Elles fixent toutes les deux l'homme qui n'en revient pas. Nous promettons de revenir.
Dehors, nous rions comme des fous de notre bonne farce. Estelle lance à Clémentine : < Toi qui aime sucer du vieux ! >
< Tu me refais ça partout, sel te pli ! > me fait Estelle qui me bloque pour me rouler une pelle, bloquant toute la ruelle.
Bien évidemment, le regard des passants qui nous contournent est à la fois amusé et interrogateur. Un père et sa fille ?

Nous nous amusons tant de ces situations équivoques, troublantes et ambiguës que nous les reproduisons plusieurs fois.
Si ce n'est pas Clémentine qui fouille ma bouche de sa langue exploratrice, c'est Estelle. Elles ont décidé de surenchérir.
Je suis un peu la victime pas toujours consentante des choses les plus invraisemblables. Je dois faire preuve de fermeté.
Surtout avec Estelle que son exubérance ne retient plus. Nous sommes tout de même dans un pays calviniste. Retenue.
Nous rions souvent de bon cœur de ces situations loufoques, surréalistes et parfois vicelardes. Estelle, commence fort !

Les festivités du Hogmanay se préparent. Partout des employés communaux dressent de petits chapiteaux. Des scènes.
Les choses se précisent. Des jeunes gens portant le badge, distribuent le programme des festivités. Nous avons le billet.
Il est 19 h30. Nous sommes confortablement installés autour d'une table dans notre restaurant préféré. Typique et local.
Le personnel y officie en tenues folkloriques écossaises. Garçons et filles en kilt, chemises blanches. Service impeccable.
Trois plateaux de fruits de mer. La salle est bondée. Il y a un couple de musiciens. Probablement des étudiants. Superbe.

Nous traînons à table. Clémentine m'entraîne aux toilettes pour nos agapes habituelles. Puis c'est au tour d'Estelle. Joie.
Bien sûr, ces deux jeunes filles qui entraînent à tour de rôle un homme d'âge mûr par la main aux chiottes, cela étonne.
A tel point que la seconde fois, j'en suis terriblement gêné. Elles n'en ont strictement rien à foutre, les bougresses. Rires.
Même le personnel nous lance des regards amusés. Ces jeunes serveuses aimeraient êtres à la place des deux coquines.
C'est du moins ce que prétendent Estelle et Clémentine. Nous traînons à table considérablement excités. L'addition. 22 h.

Nous retournons à la voiture en flânant. Dans la voiture, Estelle a droit à prendre le siège passager. Qu'avons nous fait !
Je me fais tailler une pipe gourmande jusqu'à la propriété. Une fois dans l'appartement. Course à la salle de bain. WC.
Au lit, je passe de la chatte baveuse de Clémentine au tout petit clitoris d'Estelle que je suce à la faire gémir de bonheur.
Son orgasme est titanesque. Elle s'endort contre nous alors que je suis enfoncé dans Clémentine. Nous sommes épuisés.
Je la termine par un cunnilingus qui ne réveille même pas Estelle si fatiguée. Je propose de remettre la pipe à demain ...

Bonne balade bien vicelarde à toutes les coquines contentes de retrouver le couple avec qui elles s'éclatent à donf...

Julien - (Qui s'attend à être rapidement sur les rotules durant ce séjour écossais avec ses deux complices jouisseuses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 1016 -



Petits repérages et prises de vue par une journée pluvieuse

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par le mouvement masturbatoire d'Estelle serrée contre moi. Elle est serrée fort.
Elle se frotte contre ma hanche en me chuchotant des < Je t'aime ! >. Et cela réveille rapidement Clémentine. Bisous.
< Mais c'est mon mec ! > murmure t-elle en se mettant à se masturber également contre moi. Je suis entre les filles.
Je passe mes bras sous leurs nuques. Elles ne font pas semblant. Coquines. L'une me tient la bite, l'autre les couilles.
C'est merveilleux de sentir leurs souffles dans mon cou, sur mon visage. Je leurs murmure des douceurs. J'encourage.

De naturelle, mon érection devient sexuelle. Fort heureusement, Une envie de pisser vient mettre un terme à tout ça.
Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Clémentine dit : < C'est si bon ! >
Estelle revient nous faire deux bises avant d'enfiler son pyjama et de filer à la cuisine. Nous allons pisser à notre tour.
Il est 8 h. Dehors il pleut. Le ciel est aussi sombre qu'à 17 h30 l'après-midi. Et cela restera ainsi toute la journée. Dur.
Nous rejoignons Estelle à la cuisine. La bonne odeur de pain grillé, de café. Nous mangeons de bon appétit en parlant.

Cette météo médiocre est frustrante. Nous ne pourrons pas aller courir. Il faudra faire notre gymnastique à l'intérieur.
Nous traînons à table en faisant le vague programme du jour. Ce matin, virée à Morningside. Et en bagnole. Tant pis.
Repas de midi ici. Puis Edimbourg l'après-midi. Le rituel de la visite de notre musée préféré. La galerie des hollandais.
La vaisselle. Nous voilà tous les trois à faire les clowns devant le miroir de la salle de bain. Rire. Nous faisons notre lit.
En slip, tous les trois, nous faisons notre aérobic, nos abdominaux, exercices au sol pour finir par le stretching. Super.

Une heure avec intensité maximale. Parfois entrecoupée de commentaires salaces, de rigolades et d'encouragements.
Estelle prend sa douche la première. Je me rase. Clémentine adore être serrée derrière moi pour me regarder le faire.
C'est à notre tour. Estelle, déjà vêtue de son jeans, de sa chemise à carreaux est devant l'ordinateur. C'est le nouveau.
Le MacBook Air que j'ai emmené discrètement pour l'offrir à Clémentine pour son Noël. L'ancien ramait. PC déconnant.
Estelle a toujours préféré Mac à Windows. Nous nous habillons pour rejoindre Estelle. Deux courriels. Juliette et Julie.

Nous répondons en joignant deux photos prises à l'instant. Estelle et Clémentine assises sur mes genoux tenant la bite.
On ne la voit pas, dissimulée par leurs deux mains. Mais on comprend immédiatement. Nos sourires salaces et vicieux.
Il est presque dix heures. Nous prenons le parapluie. Nous dévalons les escaliers de service. Il pleut. Véritable crachin.
Je roule doucement. Clémentine me tient la queue. Estelle à l'arrière, me caresse le visage, murmurant des saloperies.
Dans le petits sac imperméable, tenue en bandoulière par Clémentine, la caméra et les accessoires. Premiers repérages.

Quand on dépasse la rue commerçante de Morningside, on arrive aux anciennes friches industrielles abandonnées. Bien.
Toutes les grilles en interdisent l'accès. Dommage car plein d'endroits glauques étaient fréquentés par toute une faune.
Je gare la bagnole en bas. Il faut traverser une venelle. Dix mètres entre des murs de vieilles briques rouges. Le porche.
L'endroit est sinistre. Surtout sous cette pluie fine et brumeuse. Nous traversons. Nous voilà sur la petite place déserte.
Il y a le bâtiment victorien de briques rouges. Les volets sont tirés. Personne. Et là, juste en face des grilles, un escalier.

Ce sont d'anciennes toilettes publiques que nous avons découverte l'été dernier. C'est là que Clémentine a sucé Logan.
Le jeune employé communal, timide et introverti. Un amusant souvenir. Le lecteur qui suit nos aventures s'en souvient.
Nous descendons la vingtaine de marches. L'endroit est désert. Cette résonance particulière des murs, des sols carrelés.
C'est l'endroit rêvé pour tourner les premières images de notre futur film. C'est rapide. Nous avons tout scénarisé. Bien.
Clémentine allume la caméra. Estelle y introduit sa carte SD 8 GO. Je remonte quelques marches. Nous sommes prêts.

Je ne sais pas ce qui m'attend. Après avoir repéré l'endroit, nous laissons libre cours à l'improvisation et à l'imagination.
Clémentine se tourne vers moi en disant : < Moteur ! >. Je descends l'escalier sans regarder l'objectif. Avec un naturel.
Clémentine, tout en me filmant, me précède. Elle entre en marche arrière dans la petite salle. L'adaptation à la lumière.
J'entre à mon tour. Estelle se coiffe dans le reflet du carrelage mural au-dessus d'un des deux vieux lavabos en faïence.
Tout est vieux mais entretenu. En cette saison, il y a probablement peu de gens à descendre ici. C'est parfait pour nous.

Nous interprétons chacun nos rôles. Avec un naturel, avec une perfection rares. Je me positionne devant un des urinoirs.
Je sors mon Zob. Clémentine me contourne pour faire quelques zooms, quelques gros plans. C'est hyper excitant. Super.
Je bande mou. Il y a le silence pesant inhérent à ce genre de situation. Estelle se retourne plusieurs fois pour bien mâter.
Je me masturbe. Elle joue à la perfection. La jeune fille à la fois offusquée et terriblement gênée. Et elle sait bien le faire.
Elle a interprété ce rôle jusqu'à nous y faire croire durant les six premiers mois du début de notre relation il y a deux ans.

Je me masturbe. Estelle se tourne franchement vers moi. Clémentine filme la scène. J'agite ma queue dans sa direction.
Nous interprétons là une véritable scène d'exhibitionnisme et de voyeurisme. C'est extraordinairement dense et excitant.
Je lâche un jet de pisse vers la jeune fille. Elle a un mouvement de recul. Elle reste sur ses gardes pour me contourner.
Elle s'approche. Légèrement penchée en avant pour observer ma masturbation entrecoupée de jets de pisse si puissants.
Clémentine est accroupit à quelques mètres pour bien filmer ce qui se passe. L'expression de nos visages surtout. Super.

Estelle se rapproche. Elle s'accroupit. Clémentine se rapproche également. Le visage d'Estelle à faible distance de la bite.
Je me fais tailler une pipe. Un bruit de pas dans l'escalier. Quelqu'un descend. Nous avons juste le temps de tout arrêter.
C'est un couple. Ils nous saluent. Un peu surpris de nous découvrir tous les trois dans les toilettes homme. Il font pareil.
Nous ne nous attardons pas. Nous remontons à toute vitesse. < Génial ! > font les filles en même temps. C'est bien vrai.
Sous le parapluie, nous regardons l'écran de la caméra. C'est au delà de nos espérances les plus folles. Superbes images.

Les teintes paraissent sépia à cause du faible éclairage. L'ambiance glauque transpire à l'écran. On voit tout en détails.
C'est filmé en 4 K, qualité professionnelle. Du très bon boulot. Nous félicitons Clémentine. Nous retournons à la voiture.
Cette première séance nous a considérablement excité. Dans la voiture, nous regardons encore une fois l'ensemble. Bon.
La séquence dure exactement 7 minutes. Il nous faut deux heures. Nous nous touchons en admirant ce superbe travail.
Je roule doucement avec la bite dans la main de Clémentine. Estelle à l'arrière qui n'arrête pas de visionner les images.

Nous nous arrêtons dans la rue parallèle à l'artère commerçante. Il faut récupérer notre pain aux noix commandé hier.
Cela calme un peu de rester dans la file. La boulangerie est pleine de monde. C'est un pain aux noix et aux amandes.
Il est plus de midi quand nous revenons à l'appartement. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait bouillir la flotte.
Je prépare une sauce aux crevettes. Estelle s'occupe de la cuisson des coquillettes. Nous évoquons notre premier film.
< Je voudrais bien qu'il y ait de vrais imprévus. Avec des inconnus par exemple ! > précise Estelle. C'est très faisable.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Rire.
Nous adorons tous les trois rester excités tout le temps. Aussi, nous évitons de donner la liberté à nos libidos débridées.
Nous dévalons les escaliers pour filer en bagnole sur Edimbourg. Clémentine garde précieusement la caméra avec elle.
Nous sommes décidés à filmer toutes les opportunités qui se présentent. Ne rien rater d'une possibilité quelconque. Bon.
Je gare la voiture dans la ruelle habituelle. Nous marchons vite, bien à l'abri de notre immense parapluie. Et serrés fort.

Nous voilà sur High Street que nous remontons jusqu'à Princes Garden. La National Gallery of Scotland. Notre musée.
Munis de nos "Liberty Pass", nous passons rapidement le portique sans êtres obligés d'attendre aux caisses. C'est bien.
La galerie des Hollandais. Le siècle d'Or. Ce XVII ème siècle qui fut à l'origine de toute la peinture contemporaine. Joie.
Il y a un monde fou. Il y a évidemment des caméras partout. Impossible de donner libre cours à nos instincts vicieux.
Je dois même tenir fermement la main baladeuse d'Estelle. Les filles ne me lâchent pas les mains. Amoureuses. Super.

Nos hautes tailles, ces deux jeunes filles lascives serrées contre un homme d'âge mûr. Tout cela attire bien des regards.
Cela nous amuse. Les filles aiment donner dans la surenchère. Parfois dans la provocation quant le regard est insistant.
Nous redécouvrons avec plaisir toutes ces œuvres qui nous laissent pantois. Ce petit tableau de Gérard Dou. Fabuleux.
Il y a une loupe attachée à une chaînette. L'huile sur bois est protégée d'une vitre sans reflet. Cela permet de l'admirer.
Ce personnage assis, vêtu d'une cape d'un bleu irréel. Ce violon posé sur la table en face de lui. Tous les infimes détails.

Il y a des œuvres de Jan Steen, de Pieter de Hook, Adriaen Brouwer et même deux Jacob Van Ruisdael. Si fantastiques.
< On dirait des tableaux que tu peins ! > me fait souvent Estelle qui scrute de tout près. Nous sommes admiratifs. Bien.
Nous traînons là. Tant de beauté excitent d'autres sens de nos psychés. Nous en oublions notre aventure matinale. Rire.
Il est 17 h lorsque nous sommes sous notre parapluie à déambuler sur Princes Street pour rejoindre le centre médiéval.
Il y a plein de gens partout. Les touristes bien sûr, mais des autochtones également car c'est vendredi. Fin de semaine.

Nous réservons dans notre restaurant habituel. On y mange tellement bien et nous sacrifions à une certaine facilité. Joie.
Clémentine porte la petite sacoche contenant la caméra et ses accessoires. C'est bien inutile car il n'y a aucune occasion.
Nous savourons nos langoustes fumées accompagnées de petites pommes de terres. C'est un vrai bonheur. Salle comble.
Deux visites aux toilettes dont la seconde tous les trois. Enfermés dans un des cabinets des toilettes homme. C'est étroit.
Nous flânons encore un peu dans les rues. La pluie ne cesse pas. Déjà 22 h45 quand nous arrivons à l'appartement. Bien.

Nous nous lavons les dents en faisant les pitres dans la salle de bain. Estelle imite les tics d'un des musiciens du restau.
Elles me tiennent le "paquet" en riant. < Toi, tu as de la chance que j'ai mes "petits machins" de filles ! > me dit Estelle.
Je glisse mes mains dans la douce chaleur de leurs culottes pour les entraîner ainsi, par les chattes, jusqu'à la chambre.
Je suis couché entre les deux coquines qui se refilent ma bite dégoulinante mais assez mollasse. Je caresse les clitoris.
Je lèche celui d'Estelle. Je pénètre Clémentine. Je suis rapidement à passer d'un clitoris à l'autre. A bouffer de la moule.

Bonne "expédition" à toutes les coquines qui adorent faire l'actrice ou filmer, pour mettre en scène leurs fantasmes...

Julien - ( Qui écoute les dernières révélation de Clémentine. Serrée dans ses bras. Estelle dormant déjà) -

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Encore une belle opportunité "cinématographique"

Hier matin, samedi, je suis réveillé par Estelle qui se frotte contre moi. Elle est encore dans un semi sommeil et rêve.
C'est adorable de l'entendre gémir dans mon cou. Clémentine se réveille pour se blottir. Je les serre contre moi. Fort.
Il est 8 h. Plein de papouilles, de bisous. Estelle me tient fermement par mon érection matinale. Et me branle un peu.
Clémentine me choppe les couilles. Je passe ma main dans les culottes. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite.
Estelle se lève la première en s'écriant : < Pipi ! >. Elle se précipite aux toilettes. Clémentine me chevauche, se frotte.

Estelle revient pour filer à la cuisine. C'est à notre tour. Nous rejoignons Estelle dans l'odeur de pain grillé et de café.
Nous prenons un copieux petit déjeuner. Tel le patriarche, je beurre les tranches que me tendent les filles. C'est bien.
Nous mangeons de bon appétit tout en élaborant le très vague programme de la journée. Libre cours à l'improvisation.
Les filles aimeraient beaucoup se replonger dans l'ambiance de mystère du village de Roslin, de sa chapelle gothique.
C'est à une quinzaine de kilomètres au sud d'Edimbourg. Je trouve la suggestion tout à fait excellente. Superbe virée.

Dehors, il ne pleut plus. Le thermomètre extérieur indique une baisse notoire de la température. A peine 2°. Il fait froid.
Ce n'est pas pour nous déplaire. Il fait gris et il y a une brume très dense. Avec les arbres nus, une ambiance spectrale.
Nous traînons un peu à table. La vaisselle. Estelle propose de tenter le jogging. Une excellente idée. Nous nous vêtons.
Leggings, sweats, bonnets, gants, K-ways. Nous descendons par l'escalier de service. Dehors, il fait effectivement froid.
Quelques mouvements d'échauffement et nous voilà partis pour un running d'une heure. Estelle qui impulse le rythme.

Nous croisons quelques joggeurs. Nous marquons notre arrêt au sommet de la colline pour admirer les lueurs de la ville.
Sous ces latitudes, le jour ne se lève jamais complètement durant les mois d'hiver. Et Edimbourg scintille de mille feux.
Il est 9 h30 quand nous sommes de retour. Estelle prend sa douche la première. Nous allumons l'ordi. Il y a deux mails.
Celui de Juliette qui nous raconte un peu du quotidien de son entreprise, le haras, les chevaux. Quelques cochonneries.
Le courriel de Julie qui nous raconte ses soirées de serveuse dans le restaurant de sa tante. Elle va bosser le soir de l'an.

Nous répondons. Estelle revient en disant : < Mes "petits machins" de fille sont terminés ! >. C'est à notre tour. Douche.
Nous nous habillons. Comme toujours nous portons tous les trois exactement les mêmes vêtements. Code de ralliement.
Il est 10 h15. Je propose de préparer des sandwichs et de partir pour notre village de Roslin le plus rapidement possible.
Applaudissement. Nous trouverons bien un endroit chauffé où prendre notre repas de midi. Improvisation totale. Super.
Je dis : < Plutôt que de s'emmerder, on achète des baguettes et ce qu'il faut sur place ! Si c'est chiant, le restaurant ! >

Nous mettons nos pulls, nos anoraks, nos écharpes, gants et bonnets. Dans le petit sac, la caméra et ses accessoires.
C'est Clémentine qui veut le garder en bandoulière. Nous descendons. Nous voilà en route. Je roule très prudemment.
Le brouillard est épais. Nous descendons vers la région voisine du Midlothian. La circulation est fluide. Phares allumés.
Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, me caresse les joues, penchée pour regarder ma bite molle.
Nous arrivons au village de Roslin. Les maisons médiévales. Les rues pavées. Je gare la bagnole à l'extérieur. Parking.

C'est extraordinaire de flâner dans les ruelles. Il y a malgré tout des gens. L'endroit est célèbre dans le monde entier.
C'est ici que Dan Brown situe l'énigme de son fameux Da Vinci Code. Même en hiver, les touristes sont très nombreux.
Je prends l'initiative de réserver une table dans un des restaurants. Pour 13 h. Nous avons de la chance. Et c'est super.
Plutôt que d'improviser ou de devoir manger dans le froid. Les filles me couvrent le visage de bisous. Toutes contentes.
Nous montons le sentier balisé qui serpente sur le flanc de la colline de la Collégiale. Nous croisons plein de touristes.

La chapelle est là, silhouette hallucinante, fantomatique, se détachant dans la brume. Mais de la taille d'une petit église.
Sa structure qui date de la période du Gothique flamboyant, n'a rien de celle d'une chapelle. D'une élégance folle. Belle.
Il y règne cette ambiance magique et mystérieuse. Il y a là tous les symboles de la Franc-Maçonnerie depuis sa création.
C'est étrange dans un lieu de culte. Mais nous sommes dans un pays Calviniste. Ici, la religion, reste le protestantisme.
En hiver, les lumières sont merveilleuses. Bougies partout. Je défends formellement à Estelle de toucher ma braguette.

Des hommes sont entrain de dérouler des tapis sur les escaliers de pierres. Nous nous informons. Spectacle de la soirée.
Il y aura une chorale. Et nous pourrons même assister à une ultime répétition en fin d'après-midi. Nous ne serons plus là.
La décoration pour les fêtes de fin d'année est une prouesse de finesse et de bon goût. Et les responsables ont fait fort.
Il règne même un certaine chaleur. Pour le spectacle du soir, la chaudière tourne déjà à plein rendement. C'est superbe.
Nous flânons. Clémentine prend quantité de photos. Estelle reste collée contre moi. Nous en rions de bon cœur. Sympa.

Il est 12 h30. Le temps de descendre le sentier, de suivre le chemin jusqu'au village, il est 13 h. Nous arrivons au restau.
C'est l'endroit typique par excellence. Aucune faute de goût. Tout reste dans l'esprit médiéval. Nous y avons déjà mangé.
Les murs de pierres. Les armures métalliques. Le personnel en tenue. La salle est évidemment bondée. C'est l'affluence.
Nous savourons nos plateaux de fruits de mer confortablement installés à une table sous la fenêtre. Des visites aux WC.
La première avec Clémentine. La seconde avec Estelle et juste après le dessert, tous les trois. Quelques regards étonnés.

Enfermés dans un des cabinets des toilettes hommes, nous pratiquons nos rituels pisseux dans la joie, la bonne humeur.
C'est très excitant. Il est 14 h30 lorsque nous reprenons le chemin de la Colline de la Collégiale. Le square sur la droite.
< On y fait un tour ! > propose Clémentine. Nous entrons par la grande porte dont les hautes grilles sont ouvertes. Bien.
Seuls les bosquets de lauriers, de cyprès et de thuyas restent bien verts, denses. Nous en parcourons les petits sentiers.
Là, dans la brume, des silhouettes de touristes. Nous ne sommes pas les seuls à aimer explorer les environs. C'est super.

Nous sommes déjà venus là en été. A chaque visite de la chapelle. Il y a des hautes statues mythologiques. Fontaines.
Là, une silhouette solitaire. Clémentine nous entraîne derrière le socle d'une statue. Planqués, nous observons. Un mec.
< J'y vais ! > murmure Estelle. Clémentine sort la caméra de sa sacoche. Tout fonctionne. Avec le brouillard c'est hard.
Nous regardons Estelle avancer le long du sentier qui fait le tour d'une fontaine ronde et basse. Sans eau par ce temps.
Et on ne distingue plus que sa silhouette à une vingtaine de mètres. < Saloperie de brouillard ! > chuchote Clémentine.

Il faut se rendre à l'évidence. Impossible de filmer quoi que ce soit. Nous suivons Estelle. Nous connaissons bien le lieu.
Il y a des toilettes publiques au fond du parc. Sont-elles accessibles en cette saison. Nous suivons la silhouette. Estelle.
Nous nous retrouvons tous les trois sous l'auvent de la porte côté homme. Nous y entrons. Un simple néon qui éclaire.
Personne. La configuration des lieux semble étudier pour permettre quelques belles situation avec un peu d'imagination.
Les filles n'en manquent pas. Surtout Estelle. Comme elle dit souvent : < A une vicieuse, rien d'impossible ! >. Parfait.

Clémentine se met dans un des cabinets dont elle laisse la porte à peine entrebâillée. Pour passer l'objectif de caméra.
De là, elle peut filmer. Je sors des toilettes. Estelle reste à l'intérieur. Je m'apprête à interpréter mon rôle. Vrai satyre.
Je reste silencieux, près de la porte. Je veux entendre le signal que lance Clémentine. Merdre. Il y a un mec qui arrive.
Il ne me voit même pas. Il entre dans les chiottes. Je contourne le petit bâtiment. Il y a des fenêtres en hauteur. Bien.
Mais comment pouvoir regarder. J'avise un socle de béton. Je monte dessus. Sur la pointe des pieds je peux regarder.

Estelle est entrain de bavarder avec un type qui lui montre sa queue. J'en ai le souffle court. Elle n'est pas très à l'aise.
Là, ce n'est pas d'un jeu dont il s'agit mais d'une situation réelle. Je suis prêt à me précipiter et à intervenir au cas où.
La vitre est dégueulasse. Je ne vois pas bien. Je distingue. Estelle, près de la porte. Le type qui agite sa bite vers elle.
Je sais que Clémentine est entrain de filmer tout ça en cachette. Elle ne doit pas être très rassurée non plus. Bien fait.
Cela m'amuse considérablement de savoir ces deux coquines dans l'embarras. Après tout, elles aiment tant ces trucs !

En cas de véritable danger, il leurs serait simple de fuir à toute vitesse vers la porte. L'individu ne semble pas agressif.
Il est plutôt fluet dans son anorak bleu. Plus petit qu'Estelle. Le voilà qui se cambre sur ses genoux fléchis. Une branle.
Il y a va le bougre. Ce genre d'occasion ne court pas les toilettes publiques. Une jeune fille dans des toilettes hommes.
Notre exhibitionniste se livre à un grand numéro. L'occasion est trop bonne. Surtout que la fille semble ravie d'être là.
Je bande. Je regarde partout autour de moi. J'entends parfois des voix. Je ne vois rien dans la brume. C'est assez fou.

Notre salopiot ne se doute pas un instant que sa magnifique prestation est filmée. Je me marre. On verra ça plus tard.
La situation perdure ainsi une bonne dizaine de minutes. Mais que peut bien raconter ce brave homme ? C'est si drôle.
Je le saurai tout à l'heure, lorsque nous visionnerons le film. C'est assez génial. Notre gaillard se branle en vrai salaud.
Il doit probablement éjaculer. Je le vois agité d'un spasme. Il se tient au mur à sa gauche. Son orgasme doit être fou.
Mais quelle n'est pas ma surprise. Clémentine qui sort de sa cachette. Elle a rangé la caméra. Le type se tient au mur.

Elles bavardent toutes les deux avec cet individu qui remballe prestement sa biroute. Il semble un peu perdu. Affolé.
Elles lui barrent la porte puisqu'elles sont debout devant lui, à quelques deux mètres et le dépassant d'une demi tête.
Il n'en mène pas large. Il tente l'esquive en indiquant la montre à son poignet. Comme si quelqu'un devait l'attendre.
Les filles s'écartent pour le laisser passer. Clémentine lui lance quelques mots. Et j'aimerai bien pouvoir écouter aussi.
Notre branleur de chiottes publiques s'en va comme pressé. Les filles se mettent à rire, pliées, tordues. Je les rejoins.

Estelle me raconte la nature des propos échangés. Les multiples contradictions du mec qui lui racontait n'importe quoi.
Se prétendant tour à tour touriste, employé de la commune puis responsable de l'entretien du parc. En se masturbant.
Nous rigolons comme des bossus. < J'ai tout filmé. Tu vas entendre ! > me fait Clémentine. Nous remontons la colline.
Il est 16 h. Nous voilà dans la chapelle. Encore davantage de monde. Il fait presque chaud à l'intérieur de l'édifice. Bon.
Les membres de la chorale chauffent leurs voix. Les musiciens qui accordent leurs instruments. Une superbe ambiance.

Nous hésitons entre rester au village, manger une nouvelle fois au restaurant et revenir assister au spectacle. On parle.
C'est Clémentine qui fait preuve de raison. Rentrons manger à l'appartement et revenons pour la soirée. C'est superbe.
Nous retournons à la voiture. Estelle, assise à l'arrière, nous commente le film qu'elle regarde sur l'écran de la caméra.
Nous rions de bon cœur. Je suis pressé de voir ça. Il est 18 h quand nous sommes de retour. Nous préparons la bouffe.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait gonfler du riz complet. Je fais revenir les derniers beignets dans la poêle.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous sommes pressés de retourner au village de Roslin.
< Et tu vas le faire ? > demande Estelle à Clémentine. Clémentine a proposé au type des chiottes de se revoir demain.
J'encourage Clémentine. Sucer un inconnu aussi vicieux est un fantasme que nous partageons. Elle a le désir de tenter.
Estelle avale de travers. < Beurk ! > fait elle. Nous reviendrons demain pour 16 h. Clémentine a fixé rencard à ce mec.
Avec Estelle, nous étudions bien la configuration des chiottes. Comment assister à cette pipe en restant planqué ? Dur.

Il est 20 h. Nous voilà installé sur un des bancs, au troisième rang. Le spectacle va commencer. Il fait à présent chaud.
Je suis entre Clémentine et Estelle. Nous assistons à un concert magnifique. C'est le cœur des chanteurs d'Edimbourg.
C'est hyper professionnel. De toute beauté. Du Bach, du Haendel et du Brahms. C'est fabuleux. Clémentine enregistre.
Hélas, cela ne dure que 90 minutes. Tout ça passe bien trop vite. Nous reprenons la route du retour. Je me fais branler.
Au lit, je passe de l'une à l'autre. Je les baise toutes les deux. Je les termine au cunnilingus. Estelle roupille la première.

Bonne expédition à toutes les coquines qui apprécient de vivre de séduisantes aventures dans les endroits glauques...

Julien - (Qui écoute les révélations de Clémentine en l'encourageant à tailler une pipe à cet inconnu dès demain) -

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Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 1018 -



Un dimanche écossais des plus inattendus

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par les mouvements que fait Estelle dans son sommeil serrée tout contre moi.
Cela précède en général son réveil. Invariablement elle me saisit par mon érection naturelle avant de faire des bises.
Ce qui fini par réveiller Clémentine à son tour. Je suis entre les deux filles. Je passe alors mes bras sous les nuques.
Je les serre affectueusement contre moi. Je n'ai pas encore ouvert l'œil. Lorsque je le fais, j'ai les adorables visages.
Nous nous murmurons les premières douceurs. Les premières cochonneries. Estelle me masturbe un peu. C'est bien.

Il est 8 h30. C'est dimanche. Pas de gymnastique, pas de jogging, juste le farniente de notre copieux petit déjeuner.
Estelle se précipite la première aux toilettes avant de filer à la cuisine. C'est à notre tour d'aller pisser dans la volupté.
Nous rejoignons Estelle dans l'odeur de café, de brioche et de pain grillé. Je presse nos six oranges. Douces vitamines.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme du jour. Mais surtout le bilan de la journée de hier.
Après réflexion Clémentine ne désire plus retourner à Roslin. Après tout, il y aura bien d'autres inconnus à sucer. Rire.

Par contre Estelle suggère l'adorable village de South Queensferry. C'est à 20 km à l'Ouest d'Edimbourg. C'est si beau.
Certes, même si nous sommes au début de l'hiver, les cités écossaises gardent tous leurs charmes. Et même d'autres.
Dehors, c'est exactement le même climat que celui de hier. De la brume. Une température de 2°. Il fait froid, très sec.
Nous apprécions. Nous traînons à table. Nous sommes invités pour le repas de midi. Nous sommes invités pour ce soir.
Il n'y a pas à penser à la logistique ni à la préparation. Nous nous laisserons vivre toute cette nouvelle journée. Parfait.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Imitations de pipes.
Les filles, de la mousse aux coins des lèvres, font une bosse à l'intérieur de leurs joues tout en gémissants. Nous rions.
Je demande : < Vous sucez qui ce matin ? >. En faisant attention de ne pas déglutir, elles font en cœur : < Julien ! >
Nous en rions de bon cœur. Je passe ma main dans les culottes. C'est chaud. Un peu moite entre les lèvres des sexes.
Le dimanche nous restons à macérer dans nos jus. Pas de douche. C'est un rituel qui nous permet de nous "savourer".

Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux, gros pulls, écharpes, bonnets, gants et nos anoraks. On a bien chaud.
Nous descendons par l'escalier de service. Une fois encore, nous préférons aller sur Morningside avec l'auto. Trop moche.
Mais avec cette météo et le peu de jours à Edimbourg, nous n'avons pas trop de scrupules à circuler en voiture. Tant pis.
Je roule avec grande prudence. Par endroit le brouillard est tellement dense qu'on voit à peine devant l'auto. Les phares.
Nous dépassons Christ Church, l'avenue commerçante, la friche industrielle pour garer la voiture dans la petite ruelle.

Nous traversons l'étroite venelle pour nous retrouver sur la place déserte. On devine à peine la silhouette des maisons.
Les filles insistent pour retourner dans les toilettes publiques en sous-sol. L'endroit est si "glauque". Il inspire aux vices.
Nous dévalons l'escalier tous les trois. Bien évidemment, l'endroit est désert. Il est 10 h du matin et un froid de canard.
< Il y a forcément plus vicieux que nous ou au moins autant qui se balade en quête d'un "plan" ! > fait Estelle. Certain.
< Il faut juste que le hasard fasse bien les choses ! > rajoute Clémentine. Estelle propose d'interpréter nos rôles. Bien.

Cette fois, c'est moi qui interprète le pisseur solitaire devant un des urinoirs muraux. Clémentine filme la scène. Parfait.
< Moteur ! > s'écrie t-elle. Je sors ma biroute. Voilà Estelle qui interprète le rôle de la fille qui s'est trompée de toilettes.
< Oh pardon ! Excusez moi ! J'ai du me tromper ! > fait l'ingénue en s'approchant pour se pencher et regarder de près.
Clémentine tourne autour de nous en filmant. Je pisse. La vieille faïence jaunie est tellement froide. Le nuage de vapeur.
< Pouah ! > ne peut s'empêcher de faire Estelle en se pinçant le nez. Les odeurs d'urines envahissent la salle carrelée.

Je bande mou. Seul un néon éclaire la petite salle. Estelle, accroupie entre deux urinoirs, qui observe ma bite fumante.
Je l'agite mollement en direction de son visage. Elle s'approche pour humer en faisant une horrible grimace. Schlingue.
En plus de l'odeur de Parmezob qui nous monte aux narines, il y a également celle de la vapeur de pisse. C'est à gerber.
Pourtant, là, sous l'objectif de la caméra, Estelle se met à me tailler une pipe des familles en me tenant par les hanches.
Même Clémentine, qui filme en plan serré, pousse un gloussement d'étonnement. Je lui caresse la tête. Estelle qui suce.

Nous percevons des voix. Plusieurs. Féminines et masculines. Il doivent être nombreux. Des rires et des éclats de voix.
Estelle se redresse rapidement. Clémentine éteint la caméra. Je remballe ma queue. Un groupe d'une dizaine qui vient.
Ils sont habillés en randonneurs, sac à dos, hommes et femmes arrivent dans le même espace. Ils nous saluent. Polis.
Tous ces gens sont très loin de se douter de ce qu'ils viennent de manquer. Nous quittons les lieux pour remonter vite.
Nous rigolons comme des bossus. < C'est dans la boîte ! > s'écrie Clémentine en tapotant sur la sacoche de la caméra.

Estelle reste serrée conte moi. Elle dit : < J'adore le goût de tes dimanches matins, Julien, j'en veux encore ! >. Rires.
Nous retournons à la voiture. Clémentine me fait monter à l'arrière. Entre les deux filles, je me retrouve la bite à l'air.
Estelle et Clémentine se refilent ma bite. Je saisis la sacoche. Je sors la caméra. Je filme les coquines. Méconnaissables.
Vu l'angle où je filme mes deux adorables suceuses, il est impossible de les reconnaître. Je rassure Clémentine. Parfait.
C'est divin de se faire pomper, bien au chaud, à l'arrière d'une Golf de location et dans une ruelle envahie de brouillard.

Je ne filme qu'une petite minute. Juste pour l'anecdote. Le souvenir. Nous restons ainsi une bonne demi heure. Génial.
Le froid envahit doucement l'habitacle. Je passe derrière le volant. Clémentine à ma droite. Estelle assise à l'arrière. Go.
Nous sommes attendus pour midi. La femme de mon oncle nous a sans doute préparé une surprise culinaire délicieuse.
Nous arrivons à l'appartement. Il est 11 h50. Nous restons vêtus ainsi. Tant pis. Ce sont les vacances et c'est la famille.
Nous descendons par l'escalier intérieur. Oncle Alan et sa femme ne peuvent cacher leur joie. Revoir Estelle. Superbe.

Depuis trois ans, Clémentine fait partie de la famille. Mais depuis deux ans, Estelle y a fait son entrée également. Bien.
Nous voilà tous les cinq installés devant des crustacés grillés, des petits légumes rissolés. C'est absolument divin. Miam.
Nous mangeons en bavardant. Les filles évoquent leurs études. Leurs désirs de venir s'installer en écosse, à Edimbourg.
Oncle Alan a gardé un tissu relationnel important. Notamment des amis dans l'immobilier. Cela aide considérablement.
Nous en avons déjà parlé. Tout cela reste encore au stade velléitaire. Un projet. Mais ce désir est sérieux. Très profond.

L'éventualité de vendre la propriété en France, d'acheter à Edimbourg, ne pose strictement aucun problème. Si simple.
Nous préférons garder cette conversation pour les deux années à venir. Le dessert est un délice. Nous prenons congés.
Il est 14 h. Nous voilà sur l'A90 en direction de Queensferry. La circulation est fluide. Le brouillard qui s'est un peu levé.
Il y a environ 25 km. Je gare la voiture à l'entrée du bourg. Je remballe ma queue. Le village est toujours si accueillant.
Il y a quelques touristes. Nous flânons en direction du port. Nous y avons vécu quelques aventures bien salaces cet été.

Dans les villages portuaires, même en hiver, se concentrent toutes les activités. Il y a du monde. Une ambiance sympa.
Nous allons rôder du côté des quais de débarquement. Nous faisons bien. Clémentine nous montre ce type solitaire, là.
Il semble rôder également. Vêtu d'un anorak noir, jeans usé, de grosses bottes, il longe les amoncellement de caisses.
< Un plan ! > fait Clémentine qui sort la caméra de sa sacoche. < Je vais aux nouvelles ! > dit Estelle en nous quittant.
Le brouillard s'est en partie levé. Cela n'offre pas la meilleure visibilité mais permet la possibilité de filmer quand même.

Nous sommes abonnés aux pervers de toute nature. En voilà encore un. Très beau spécimen. Il aperçoit Estelle. Super.
La vision d'une jeune fille solitaire, qui flâne ainsi, dans un environnement insolite, éveille des pulsions exhibitionnistes.
Du moins chez les exhibitionnistes. Ce qui est encore le cas ici et maintenant. Clémentine et moi restons bien planqués.
Clémentine filme. Elle zoome. Je suis accroupis à ses côtés. Je peux ainsi voir les images à l'écran. Qualité pro. En 4K.
Là-bas, Estelle se fait aborder. Le type a probablement la queue à la main. Il est à quelques mètres de la fille à l'arrêt.

Nous sommes tous les trois des cérébraux. Ce qui nous captive avant tout, c'est la psychologie des personnages. Bien.
Clémentine zoome sur les visages des deux protagonistes. Estelle n'est pas obligés de surjouer. La situation excitante.
L'individu est vulgaire. Grossier. Aucune finesse d'approche. Il se branle comme un véritable obsédé. C'est assez fou.
Estelle reste stoïque. Calme et détendue. Elle peut avoir cette attitude en nous sachant prêts à intervenir. C'est parfait.
Aussi, ce comportement décuple les ardeurs masturbatrices de notre salaud qui se branle comme si sa vie en dépendait.

Nous ne comprenons pas les propos qui s'échangent. Estelle mime une pipe avec un signe de négation de la tête. Bien.
Nous comprenons que le branleur lui propose de le sucer. Estelle, bien salope, recommence plusieurs fois son imitation.
Cela fait monter la pression testiculaire de notre salopiot. Malgré le froid, là entre les caisses, il descend son pantalon.
C'est cocasse. Estelle ne s'approche pas. Elle reste à quelques mètres. Mais très allumeuse, elle ne cesse de mimer. Dur.
Nous comprenons. Elle joue son rôle préféré. Celui de la fille timide, qui aimerait mais qui n'ose pas. Superbe numéro !

Il y a un couple qui arrive. Ils tombent sur le spectacle. C'est Estelle qui les voit la première. Le mec, froc aux genoux.
Il n'a pas l'air d'un con. Il vient de se faire surprendre en pleine exhibition par un couple qui ne s'arrête pas. Très gêné.
Notre branleur prend ses jambes à son cou, tout en tenant son pantalon, il file à l'anglaise. Estelle vient nous rejoindre.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle nous raconte les propositions du mec. < Put-Hein le vicelard ! > dit Estelle.
Estelle est voyeuse. Ces situations, surtout en se sachant "sécurisée", restent sa préférence absolue. Elle peut s'amuser.

Nous traînons dans les ruelles de ce magnifique village médiéval. Il y a une animation particulière. C'est presque festif.
Clémentine tapote sur la sacoche qu'elle tient en bandoulière. < Deux films aujourd'hui ! > lance t-elle à Estelle. Parfait.
Nous retournons à la voiture. Il est 18 h30. Le brouillard est redevenu dense. Malgré les phares, on y voit rien. Prudent.
Je roule excessivement doucement. Il nous faut plus d'une heure pour arriver à Morningside ou nous sommes attendus.
Monsieur Wong et sa compagne Ly-Yang, nous font un accueil très chaleureux. Eux aussi sont heureux de revoir Estelle.

Nous voilà installés à la table habituelle, réservée aux amis, dissimulée à la vue par deux immenses paravents japonais.
C'est un repas de fête. Spécialités vietnamiennes délicieuses. Wong, toujours aussi vicelard, qui se lève régulièrement.
Il montre sa queue qui ressemble étrangement à un des nems qu'il vend. Il agite son sexe devant Clémentine et Estelle.
Ly-Yang me fait quelques clins d'œil appuyés. La jeune serveuse manque à chaque fois de voir son oncle faire le salaud.
Cet homme a un talent fou pour esquiver à la dernière seconde. Nous en rions beaucoup. Les filles applaudissent. Joie.

Pourtant, avec le bruit de la clientèle nombreuse, derrière les paravents, il manque l'intimité nécessaire à de vrais jeux.
Ly-Yang qui en est bien consciente nous invite mercredi soir. Nous passerons la soirée dans leur appartement à l'étage.
Wong, fidèle à lui-même, invite Clémentine à l'accompagner aux toilettes. Elle ne se fait pas prier. Elle se lève très vite.
Nous les regardons passer la porte des WC. < Ils vont dans le réduit, au fond du couloir ! > précise Ly-Yang. C'est bien.
La bite de Wong, avec celle de Gérard, reste une de ses préférées. Ly-Yang me propose une pipe. Estelle se serre fort.

< Il est avec moi. Pas ce soir ! > lui répond Estelle. Je mettrai volontiers ma bite dans la bouche de cette belle poupée.
Ses lèvres rouges et luisantes sont une véritable invitation à la débauche. Ce merveilleux petit visage de poupée. Miam.
Estelle s'assoit sur mes genoux. Chasse gardée. Elle se lève, me prend la main pour m'entraîner aux toilettes. Au fond.
Nous allons au fond du couloir. Estelle ouvre la porte. Clémentine qui est couchée sur une couverture entrain de baiser.
Elle est couchée sur le dos. Wong allongé sur elle. Clémentine nous regarde entrer. Elle me fait un sourire très coquin.

Wong la termine en la baisant de plus en plus vite. Clémentine se masturbe en même temps. Ils ont leurs orgasmes.
Wong, en se retirant, sort de la capote qui reste enfoncée dans la chatte à Clémentine. Elle la retire avec précautions.
Elle en fait couler le contenu dans sa bouche en me fixant avec un air de défi. Cela excite terriblement Estelle. Et moi.
Comme toujours, quand c'est terminé avec un autre, Clémentine n'a qu'un désir, se sauver le plus vite possible. Bien.
Nous la suivons. Nous promettons d'êtres là mercredi soir, pour 19 h30. Nous filons en suivant Clémentine. Très vite.

Dans la voiture, Clémentine nous raconte le déroulement des "festivités". D'abord aux toilettes à sucer monsieur Wong.
Puis au réduit ou il avait préparé deux épaisses couvertures parterre. < Il me baise comme dieu, ce salaud ! > dit elle.
Clémentine rajoute : < J'adore baiser avec ce mec. Tu devrais te le faire, Estelle ! >. Estelle s'écrie : < Non merci ! >
Nous arrivons à la maison. < J'ai la chatte toute congestionnée ! > nous fait Clémentine. Au lit, Estelle me suce si fort.
Je la baise en suçant le clitoris géant de Clémentine. Elle a deux orgasmes ce soir. Celui d'Estelle l'achève totalement.

Bonne journée d'aventures, de vices et de découvertes à toutes les coquines qui en raffolent...

Julien - (Qui écoute les confidences de Clémentine. Pressée de retrouver Wong mercredi soir. Estelle qui dort déjà)-

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Récidive dans le bonheur et le plaisir

Hier matin, lundi, je suis réveillé exactement de la même manière. Estelle, serrée contre moi et qui se met à bouger.
Elle aussi se réveille. Elle m'attrape le Zob. Ma dure érection matinale. Elle me fait des bisous dans un demi sommeil.
Cela réveille Clémentine qui se blottit contre moi en gémissant. Je suis entre mes deux anges. Je leurs fais des bises.
Nous restons ainsi jusqu'à prendre pleinement conscience de cette nouvelle journée qui s'annonce. L'envie de pisser.
Estelle s'y précipite la première avant de filer à la cuisine en culotte. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Volupté.

Nous rejoignons Estelle dans l'agréable odeur de café, de brioche et de pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de notre journée de hier. Les petits films. Le restaurant et les Wong.
Nous en rions de bon cœur. Clémentine revient sur quelques détails salaces lorsqu'elle était aux toilettes avec Wong.
< Tu remets ça mercredi soir ? > demande Estelle. Clémentine me consulte du regard. Je dis : < Je recommande ! >
Il est 8 h30. La vaisselle. Il fait exactement la même météo que hier. Un temps froid et sec. Nos tenues de joggings.

Nous descendons par l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement bien nécessaires. Et nous voilà partis.
C'est Estelle qui mène la course. Notre parcours habituel. Avec arrêt au sommet de la colline pour admirer les lumières.
Edimbourg, "Roquefort Gothique", scintille de mille feux. Il est 9 h45 quand nous revenons après un agréable running.
Estelle prend sa douche la première. Clémentine m'entraîne devant l'ordinateur qu'elle allume. Nous avons deux mails.
Juliette qui raconte les préparatifs du réveillon de Nouvel an. Julie qui nous confie devoir travailler au restaurant le 31.

Nous répondons. Estelle revient vêtue de son jeans, sa chemise à carreaux. Et nous prenons notre douche à notre tour.
Nous nous habillons toujours tous les trois identiques. Nous rejoignons Estelle devant l'ordinateur. Courriel aux parents.
Nous descendons. La brume est moins épaisse. Je roule très doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette.
Estelle à l'arrière, me caresse le cou en me chuchotant des trucs. Nous prenons la direction de Leith. Port de plaisance.
Je gare la voiture sur le parking en face du Royal Yacht Britannia. Il y a quantité de bateaux recouverts de bâches. Bien.

C'est le début d'un des sentiers de randonnée qui longe la mer jusqu'à Portobello Beach. Il n'est pas question d' y aller.
Ce qui nous intéresse c'est la configuration du port de plaisance qui offre quelques possibilités d'y faire un nouveau film.
Nous avons repéré les lieux à plusieurs reprises lors de nos escapades en été. Nous sommes chaudement vêtus. Super.
Nous longeons les quais. Il y a quelques promeneurs, des touristes où des habitants. L'activité du port est au point mort.
Nous passons derrière un des bâtiments qui abritent les ateliers. Il y a un gros camion, cul contre un des quais. Silence.

Nous dépassons la construction. Un bruit de moteur. Nous n'avons rien à faire là. Nous nous cachons. Il y a des palettes.
Un engin de levage. C'est un type avec une grosse moustache, un bonnet de laine, un anorak bleu. Il conduit le véhicule.
Il ne nous voit pas. C'est probablement le chauffeur du camion. < Ce sont parfois des vicieux ! > murmure Estelle. Rires.
< Un plan ! > fait elle encore. Nous montons les quelques marches. Nous voilà toujours cachés mais sur le quai. Parfait.
Par une des fenêtres on a une vue parfaite sur l'intérieur d'un hangar. Le type manipule une caisse. Il n'y a que lui. Bon.

< J'y vais ! Je veux voir à qui nous avons affaire ! > fait elle en partant le long des fenêtres pour s'y faire remarquer.
Clémentine sort la caméra de la sacoche qu'elle tient en bandoulière. < Hé ho ! > fait une voix masculine. Forte, grave.
C'est le mec. Il vient d'apercevoir cette grande jeune fille dont les longs cheveux flottent sous son bonnet. C'est parfait.
Le type a les mains sur les hanches. Il est à quelques mètres d'Estelle. Il engage la conversation. Impossible d'entendre.
Ils sont à l'autre bout du quai, à une cinquantaine de mètres. Estelle doit lui raconter un truc bien vicelard. L'allumeuse.

Tout en bavardant elle indique la montre à son poignet, elle montre les environs de son doigt pointé et mime une pipe.
Nous comprenons immédiatement. La coquine invente le scénario d'un rendez-vous ici, avec un garçon qui ne vient pas.
L'inconnu écoute en riant. Il indique sa braguette de son index pointé. Estelle éclate de rire. Il lui fait signe de le suivre.
Estelle hésite. Elle sait que nous sommes là, prêts à intervenir. Elle pénètre dans le hangar. On voit par la fenêtre. Bien.
Le mec se retourne subitement, ouvre sa braguette, sort une bite assez impressionnante. Il l'agite mollement. Vicelard.

Il reste à distance. Au moins à cinq mètres de la jeune fille qui reste sur ses gardes, prête à s'enfuir en cas de menace.
Hors, il n'y a aucune menace. Le mec se contente de parler, d'avoir parfois un sourire libidineux, de bander doucement.
< Une super queue ! Put-Hein ! > me chuchote Clémentine qui filme. Je mâte l'écran. Image un peu floue. Vitres sales.
Voilà que notre homme se masturbe avec un aplomb étonnant. Estelle semble répondre aux questions tout en mâtant.
Voyeuse comme elle est, elle fait évidemment durer la situation. Le mec fait un pas dans sa direction, descend son froc.

Ces situations se reproduisent souvent. Et quelle autres attitudes pour un homme qui rencontre une jeune fille vicieuse ?
Toute menace disparaît. Avec son pantalon et son slip sur les genoux, comment pourrait il cavaler après quelqu'un ? Nul.
Cette certitude pousse évidemment Estelle à allumer le type un peu plus. Elle se touche. Une main entre ses cuisses. Dur.
Notre pauvre victime accélère son mouvement masturbatoire. C'est un geste frénétique. Estelle se masturbe pour de bon.
Nous la connaissons suffisamment pour savoir qu'elle ne veut pas manquer une telle opportunité. L'homme se rapproche.

Démarche ridicule, pieds joints, il avance comme un canard. Estelle n'insiste pas. Elle salue le type en s'inclinant et part.
Elle sort du hangar. Dans l'encadrement de la grande porte, elle se retourne pour faire un dernier signe. Avant de courir.
Elle nous rejoint. Nous nous dépêchons de filer en contournant le bâtiment. Rejoindre la bagnole. Ni vu, ni connu. Parfait.
Je roule prudemment. Estelle nous raconte la nature des propos échangés. < Un vicieux sympa qui parle de sa femme ! >
Nous rigolons comme des bossus à l'énumération des propositions faites par l'inconnu. Toujours les mêmes propositions.

Il est 12 h05 lorsque nous sommes de retour à l'appartement. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle des spaghettis.
Je prépare un accompagnement de crevettes rissolées à la crème fraîche et au gruyère. Les filles évoquent la matinée.
< Un autre film ! > fait Clémentine. < C'est génial ! On va avoir de ces souvenirs ! > dit Estelle. Nous rions de bon cœur.
Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. Nous sommes pressés de retourner à Edimbourg. Il est déjà 13 h.
Nous reprenons l'auto. Notre aventure au port de Leith, nous a considérablement excités. Estelle aimerait une récidive.

Nous flânons sur High Street, Princes Street, dans Old Town. Il y a bien des toilettes publiques, mais le risque est grand.
Il y a d'abord trop de touristes partout, les opportunités réelles sont plutôt rares. Il faut se faire une raison. Frustration.
Nous en rigolons comme des bossus. Nous sommes chaudement vêtus. Nous faisons les grands magasins. De la balade.
Partout dans les rues les préparatifs des festivités du Hogmanay battent leur plein. Déjà plein de lumignons aux fenêtres.
Nous nous offrons un chocolat chaud dans un salon de thé. Une autre découverte. Découverte des chiottes aussi. A trois.

C'est Estelle qui propose de réaliser un petit film ici, dans ces toilettes très classes. Clémentine sort la caméra. Position.
J'interprète le rôle du type qui vient pisser et qui tombe sur une jeune fille dans les toilettes homme. Estelle fait l'actrice.
Même si c'est une autre déclinaison de la même situation, c'est toujours très excitant. Mais que fait cette jeune fille ici ?
Clémentine filme. Je suis au dessus de l'unique urinoir. Je bande mou. J'agite ma bite en pissant. Je discute avec la fille.
Elle me tourne autour. Penchée au dessus de l'urinoir avant de s'accroupir à côté. Je lui offre sa friandise qu'elle goûte.

Du bruit. Il y a des gens qui se pointent. On remballe nos accessoires très vite. Juste à temps. Deux clients qui arrivent.
Ils nous regardent avec étonnement. Nous quittons les chiottes. Ils étaient assis avec les deux femmes qui bavardent là.
L'addition. Nous flânons jusqu'au soir. Nous prenons la précaution de réserver une table. Et dans un nouveau restaurant.
C'est magique de se promener dans le labyrinthe des ruelles de la ville médiévale. Le vieil Edimbourg reste si mystérieux.
Estelle profite de chaque occasion pour me palper vulgairement la braguette. Je fais de même. Les coquines apprécient.

Ce restaurant que nous découvrons pour la première fois propose des tartes aux fruits de mer. Cela évoque des tourtes.
De petites galettes à la pâte feuilleté. On goutte à quelques spécialités inconnues. C'est un délice. On saura se souvenir.
Trois visites aux WC. La salle est bondée. Première visite avec Estelle. Seconde visite avec Clémentine. Puis nous trois.
On manque de se faire surprendre chaque fois. Un homme d'âge mûr, une jeune fille dans les chiottes. De quoi étonner.
Nous traînons à table. On hésite sur le dessert car on a tellement bouffé. Trois coupes glacées. La glace passe toujours.

Il est 22 h30 quand nous revenons à l'appartement. Nous nous lavons les dents. Les filles me font toucher leurs sexes.
C'est pour que je constate à quel point les deux couines ont encore mouillé aujourd'hui. Je suis pressé de goûter à ça.
Au lit, je passe d'une chatte gluante à l'autre. C'est un régal. Je me fais sucer par celle que je ne lèche pas. Vice versa.
Je m'introduis dans les filles avec une volupté rare. Elles se branlent en même temps. Je leurs offre de ces orgasmes !
Estelle s'endort la première. J'aime bien rester sans éjaculer. Clémentine en veut quand même. Je la raisonne. Pompier.

Bonnes découvertes à toutes les coquines qui aiment partir à l'aventure. Y faire des rencontres. Vivre des situations...

Julien - (Qui écoute les dernières révélations de Clémentine qui tente d'avaler l'impressionnante quantité de foutre) -

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Le hogmanay, festivités annuelles à Edimbourg

Hier matin, mardi, je suis réveillé de la même manière que les jours précédents. Mais serait-ce là un nouveau rituel ?
Toujours est-il que je me fais branler doucement par Estelle qui n'est pas encore vraiment réveillée serrée contre moi.
Cette fois, c'est moi qui me tourne pour lui couvrir le visage de bisous. Elle en gémit de bonheur. Elle se blottit si fort.
Cela réveille également Clémentine qui se serre contre moi. Je me mets sur le dos. Je suis entre les filles. Merveilleux.
Nous nous murmurons les premières douceurs de la journée. Les premières cochonneries aussi. C'est tellement doux.

Estelle se lève pour se précipiter aux chiottes. Elle en revient pour filer à la cuisine. Clémentine qui m'entraîne aux WC.
Nous rejoignons Estelle dans les envoûtantes effluves de café et de pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner. Joie.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme de cette nouvelle journée d'improvisations notoires.
Nous faisons surtout le bilan de celle de hier. Nos aventures au port de plaisance de Leith. Le camionneur vicieux. Rire.
Il est 8 h30. Dehors, le brouillard a disparu. Le ciel est dégagé. Le thermomètre extérieur indique moins 3°. Il fait froid.

La vaisselle. Nous nous habillons de nos vêtements de sport. K-way, bonnets et gants. Nous descendons par l'arrière.
Quelques mouvements d'échauffement qui sont salutaires. Il fait vraiment très froid et il y a un vent qui refroidit tout.
Estelle donne le rythme. Notre circuit habituel. Nous croisons quelques joggeurs. Arrêt au sommet de la colline. Beau.
La vue est parfaite. A l'horizon, au nord, les montagnes des Highlands. A l'ouest la mer. Au sud les collines Midlothian.
Nous ne traînons pas. Il est 9 h45 quand nous sommes de retour. Estelle qui prend sa douche la première. Je me rase.

Comme toujours, en vacances, Clémentine que cela érotise, reste avec moi à la salle de bain pour me caresser le dos.
C'est à notre tour. Nous nous habillons. Nous rejoignons Estelle devant l'ordinateur. Il y a deux mails. Juliette et Julie.
Juliette nous raconte son quotidien. Julie nous raconte le sien. Nous répondons en joignant deux selfies pris à l'instant.
Nous voilà vêtus de nos anoraks. Bonnets et gants. Nous prenons la voiture. Direction Newhaven, à côté de Leith. Bon.
C'est le village côtier de l'autre côté du port de plaisance où nous étions hier. C'est un petit endroit charmant. Typique.

Je peux rouler sans appréhension. Il n'y a plus de brouillard. La circulation est fluide. Clémentine joue avec ma biroute.
A l'arrière Estelle me caresse le cou, les joues. Je gare la bagnole sur le parking du port. Là-bas, les bâtiments de hier.
Newhaven, à 5 km au nord d'Edimbourg, est un petit bourg très fréquenté. C'est un lieu de promenade idéal. Superbe.
Il y a d'ailleurs pas mal de monde. Il est 10 h20. Le froid est vif. Encore accentué par un vent de nord qui souffle fort.
Pourtant, à l'abri des maisons de granit aux tuiles d'ardoises, il est bon de flâner à l'abri du vent. Et plein de touristes.

Chaudement vêtus, c'est même très agréable. Au fond du square désert, il y a des toilettes publiques. Une exploration.
Il y a deux portes. Celle de gauche réservée aux femmes, celle de droite réservée aux hommes. Nous entrons à droite.
C'est vétuste mais propre. En parlant, il y a de la vapeur devant nos bouches. Deux urinoirs muraux. Quatre cabinets.
L'endroit idéal pour tourner un de nos films cochons. Clémentine tient la caméra. Estelle s'apprête à faire son numéro.
La jeune fille qui s'est trompée de toilettes. Une fois encore j'interprète le rôle du pisseur qui découvre cette jeune fille.

< Moteur ! > fait Clémentine. J'entre une seconde fois dans la petite salle carrelée. Je tombe sur cette jeune fille. Belle.
Que fait-elle là, accroupie entre les deux urinoirs à fouiller dans son sac posé sur ses cuisses ? Je reste immobile. Mâte.
Je sors ma queue. Clémentine se déplace tout en filmant sous tous les angles. Je me positionne au dessus d'un urinoir.
Estelle relève la tête, son visage à une cinquantaine de centimètres de mon sexe. C'est hyper excitant. Comme souvent.
Nous avons déjà vécu cette scène tant de fois. Pourtant c'est à chacune une grande première. Estelle a de la ressource.

Elle cesse de fouiller son sac pour observer ma bite. Je pisse. Une fois encore dans un nuage de vapeur odorante. Sale.
Quelle surprise. Nous ne l'avons pas entendu. Il y a une femme qui vient d'entrer. Une grande blonde, la quarantaine.
Elle ne paraît pas du tout étonnée. Elle nous salue. Elle est vêtue d'un anorak, jeans, bottes. Elle entre dans un cabinet.
Cette femme vient de nous surprendre en plein "tournage". Cet homme d'âge mûr en compagnie de deux jeunes filles.
Nous nous regardons en mordillant nos lèvres pour ne pas éclater de rire. On entend la jeune femme pisser. Petits jets.

Nous écoutons. Ce sont plusieurs jets sonores. Le bruit dans l'eau du fond de la cuvette. C'est surréaliste. Et excitant.
Cette femme ne peut le faire qu'exprès. Clémentine nous chuchote : < On lui prépare un "plan" ! >. En position. Rire.
Je suis debout, la bite à l'air. A ma gauche Estelle, à ma droite Clémentine. Elles sont accroupies. Un comité d'accueil.
Nous entendons la chasse d'eau. La porte s'ouvre. La jeune femme tombe sur ce spectacle. Elle a un sourire étrange.
Elle ne s'attarde pas. Pas un mot. Elle ressort aussi discrètement qu'elle est arrivée. < Une "rôdeuse" ! > fait Estelle.

Nous nous précipitons à la porte. La jeune femme vient de rejoindre un couple et un homme qui devaient attendre là.
Clémentine a filmé toute la scène sans nous le dire. La caméra posée sur le rebord d'un des lavabos. Bonne initiative.
Il y a des voix. Il vaut mieux quitter l'endroit. Cette fois c'est un groupe de touristes qui viennent aux toilettes. On file.
Nous rigolons comme des bossus de cette étonnante aventure. < C'est dans la boîte ! > fait Clémentine. C'est parfait.
Nous retournons flâner dans les rues du village. Dans une boulangerie nous achetons trois torches au marron. Super.

Ce sera notre dessert. Nous retournons à la voiture. Cette rencontre dans les chiottes nous a considérablement excité.
Ce n'est pas tous les jours qu'une jeune femme entre dans les toilettes hommes pour y pisser de façon sonore, exprès.
< Car tout cela était volontaire et délibéré ! > précise Clémentine. < Une membre du "Club" ! > rajoute Estelle. Rires.
Il est 12 h30 lorsque nous sommes de retour à l'appartement. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait les pâtes.
Je concocte une sauce Béchamel dans laquelle je rajoute du gruyère râpé. Trois nems à la poêle. Nous avons très faim.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre aventure. La psychologie de la dame venue pisser dans les WC mec.
< C'est une vicelarde ! > conclue Estelle. < C'est certain ! > lance Estelle. Nous ne traînons pas. La vaisselle. C'est bon.
Nous sommes pressés de filer sur Edimbourg. Avec ce froid vif, nous restons habillés chaudement. Tant pis pour le look.
Il est 14 h lorsque nous arrivons à Edimbourg. Impossible d'entrer dans la ville. Il y a des barrières partout. Précaution.
La ville est piétonne. Pour les festivités le périmètre est sécurisé. On dirait des check points. Il y a des policiers partout.

Nous laissons la voiture à vingt minutes du centre. L'ambiance de kermesse est présente. Nous marchons rapidement.
De plus en plus de gens. On vient de toute l'Europe pour assister au Hogmanay. Et ça en vaut la peine. Malgré le froid.
Le centre ville est décoré. Des sapins dans de gros pots. En écosse tout se recycle. Ce pays est la pointe de l'écologie.
Il y a des lumignons déjà allumés à toutes les fenêtres. De petits chapiteaux sont tous chauffés. On ne peut y pénétrer.
C'est là qu'il y aura tous les musiciens, les groupes et les spectateurs qui pourront aller d'un chapiteau à un autre. Joie.

Nous aimons déambuler dans le dédale des ruelles de la vieille ville. On y monte, on y descend de nombreux escaliers.
C'est noir de monde. Il est tout à fait exclu d'avoir nos comportements habituels. Pourtant on aimerait bien se tripoter.
Aussi, tous les recoins qui se présentent nous permettent de nous serrer, de nous embrasser, de nous tripoter un peu.
Nous avisons un salon de thé que nous ne connaissons pas encore. A l'arrière d'une grande boulangerie. Une invitation.
C'est devant de grandes tasses de chocolats chauds et fumants que nous nous passons la caméra pour mâter ce matin.

Bien évidemment, les deux salles du salon de thé sont bondées de clients. Impossible d'avoir un comportement coquin.
Il y a des allées et venues continues des salles aux toilettes. < Même pas la peine ! > fait Estelle. On tente malgré tout.
Estelle m'entraîne par la main. Nous entrons dans les toilettes homme. Enfermés dans un des cabinets, rituels pisseux.
On entend les pisseurs aller et venir. Des gens tentent d'ouvrir la porte fermée. C'est occupé. On se touche, on se lèche.
Nous rejoignons Clémentine. C'est avec elle que nous retournons. Même rituel. On aime trop ça. Pourquoi s'en priver ?

Nous flânons dans le labyrinthe du vieil Edimbourg. La nuit tombe vite. L'ambiance, de festive, devient magique. Super.
Tous les lumignons aux fenêtres donnent un côté irréel. Il y a des guirlandes. On se croirait dans un film d'Harry Potter.
Nous en oublions même le froid sous nos bonnets, nos écharpes, nos moufles. L'an passé il faisait beaucoup moins froid.
Nous avons nos places réservées dans un des meilleurs restaurants de la ville. "Hewat's on the Mile". Hyper classieux.
La faim commence à se faire sentir. Avec ce froid, cette sensation est encore accentuée. Nos organismes en ont besoin.

L'heure du repas arrive enfin. Il est 19 h30. Nous entrons dans une des deux grandes salles. L'accueil est royal. Super.
Des tables de quatre places. Très "vielle écosse". Des nappes blanches. Toutes les tables sont presque occupées. Bien.
Malgré tout, il règne ici une certaine intimité. Préservée par un faible éclairage. Tout le monde murmure ou chuchote.
Le personnel est aux petits soins. C'est de la cuisine traditionnelle. Nous prenons du homard fumé aux petits légumes.
C'est divin. L'endroit très prisé et hyper cher est sélectif. Mais peu importe le prix. C'est d'une telle qualité. Tranquille.

Première visite aux toilettes avec Estelle. Les chiottes sont d'une classe extrême. On a peur de les utiliser. C'est propre.
Enfermés dans un des cabinets, côté messieurs, nous procédons à nos ablutions habituelles. Je me fais sucer. Sublime.
Sous quelques regards suspicieux d'un serveur nous rejoignons Clémentine. Et dix minutes plus tard nous y retournons.
Même rituel. Je me bouffe de la chatte. Je me fais sucer. Nous rejoignons Estelle. Et ce regards suspicieux du serveur.
Avant le dessert, nous y retournons. Mais cette fois tous les trois. C'est divin. En sortant du cabinet, le même serveur.

C'est une jeune type, 25 ans environs. Il se lave les mains. Il nous lance un curieux regard, se dépêche d'aller en salle.
< Celui là, il se doute de quelque chose ! > précise Estelle. < Il est mignon ! > rajoute Clémentine. Je propose un plan.
Pourquoi ne pas allumer ce mec et l'attirer aux toilettes. Entre deux tables, il peut certainement s'accorder un plan WC.
Clémentine commence son numéro séduction. Fixer le jeune homme avec insistance. Discrète, elle montre les chiottes.
Le jeune homme comprend probablement. Ils sont trois serveurs, trois serveuses. Et les deux salles pleines à craquer.

< C'est bon, j'ai amorcé le truc ! > fait Clémentine en se levant pour se diriger vers la porte des toilettes. C'est super.
Elle a emmené son smartphone. En mode caméra. Nous pourrons apprécier la prestation à son retour. Estelle me tient.
< Regarde, c'est bon ! > me chuchote t-elle. En effet, le jeune serveur se dirige rapidement vers les chiottes. Génial.
Une bonne dizaine de minutes. Voilà le serveur qui revient précipitamment. Clémentine qui nous rejoint toute contente.
< Tenez ! J'ai tout filmé ! > murmure t-elle. Nous nous passons le smartphone. Sur le film, Clémentine taille une pipe.

< T'es une vraie salope ! > lui fait Estelle. Sur les images on voit Clémentine accroupie dans les chiottes devant le mec.
Elle lui taille une véritable pipe. Cela ne dure que cinq minutes. Le type bouge. Un mouvement régulier dans sa bouche.
Clémentine qui se fait éjaculer dans la bouche. On la voit nettement surprise, tentant d'avaler la quantité de jute. Bien.
Les joues gonflées par l'abondance de sperme. La déglutition difficile. Ses mains sur les hanches du type qui doit partir.
Je félicite Clémentine. Enfin, au bout de presque trois ans, elle est capable d'initiatives spectaculaires. Je la congratule.

< Quel goût celui-là ? > demande Estelle. < Le goût du plaisir intense ! > répond Clémentine. < Salope ! > fait Estelle.
Clémentine me saisit la main. < Merci Julien ! >. Je suis pétri d'émotion. Je dis : < J'aime quand tu deviens femme ! >
Je propose à Estelle de tenter le même coup. < Non merci ! > dit elle sèchement en saisissant mon autre main. 21 h30.
Nous savourons un dessert royal. Des boules de glace enfermées dans une fine pâte feuilleté. Et c'est absolument divin.
Il est 22 h. Nous quittons l'endroit. Durant tout le reste de son service, le jeune serveur nous a évité. Comme indisposé.

Nous flânons dans les ruelles noires de monde. Hélas, avec ce froid glacial, il n'y a pas de musiciens aux coins des rues.
C'est bien dommage. Nous pénétrons dans tous les chapiteaux qui se présentent. C'est plein de gens. Et de musiciens.
Impossible de tout voir. C'est très frustrant. Tous les ans c'est le même phénomène. Cette nuit devrait durer deux jours.
Il est presque minuit. Le cérémonial. Il y a des jeunes filles portant des gilets fluorescents qui distribuent des flambeaux.
Nous en avons un pour trois. Nous rejoignons les cohortes des participants. Nous marchons lentement agitant la torche.

Ces flambeaux s'éteignent assez rapidement. Le nôtre au bout d'une dizaine de minutes. Nous voilà dans la farandole.
Nous nous tenons par la main fermement. Hors de question de se lâcher. Nos moufles dans les poches de nos anoraks.
Nous voilà entraînés dans une danse épique au son de la cornemuse. C'est génial. Et c'est comme les années passées.
Il est une heure du matin. Essouflés et fatigués, nous quittons le centre. Les filles sont plus crevées que l'an passé. Dur.
Il est deux heures du matin lorsque nous sommes au lit. Estelle à ma droite qui s'endort déjà. Clémentine à ma gauche.

Bonne soirée de réveillon à toutes les coquines qui se sont offerte la bite d'un serveur dans les chiottes du restaurant...

Julien - (Qui écoute les dernières confidences de Clémentine. Sucer ce jeune inconnu l'a passionné. Très excitant) -

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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette", Gérard et tous les autres, ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. La "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique vingtième deuxième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien

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Douces aventures pour ce jour de l'an

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par les mouvements que fait Estelle serrée contre moi. Et elle dort probablement.
Clémentine vient se blottir aussi. < Je t'aime ! > me murmure t-elle. Je lui couvre le visage de bisous. De la tendresse.
On m'attrape soudain par mon érection matinale. Estelle vient de sortir de son sommeil. Elle se serre encore plus fort.
Elle me fait plein de bisou. Il est 9 h. Nous dormons rarement aussi tard. Estelle n'en pouvant plus se précipite aux WC.
Clémentine me confie quelque ressentis concernant ce qu'elle a fait hier soir, dans les toilettes avec ce jeune serveur.

Toujours cette culpabilité qu'il me faut aider à évacuer. Je la rassure en la félicitant une fois encore. Estelle qui revient.
Elle nous fait à chacun une bise avant de filer à la cuisine. C'est à notre tour d'aller pisser. Nous rejoignons Estelle. Joie.
Cette délicieuse odeur de café et de pain grillé. Je presse nos six oranges. C'est notre premier petit déjeuner de l'année.
< Bon anniversaire ! > me font les filles en même temps. J'avais oublié que c'était aujourd'hui. Elle me font des bisous.
Me voilà avec un petit paquet à côté de ma tasse de café. Je l'ouvre. C'est un flacon d'ambre dissous, marque BLOCKX.

Quand j'en ai parlé au mois de novembre, ce n'est pas tombé dans l'oreille d'une sourde. Clémentine a de la mémoire.
C'est Estelle qui s'est chargée de commander ce flacon de 10 gr directement chez BLOCKX. Le fabricant en Belgique.
Un tel flacon me dure une dizaine d'années. Quelques gouttes dans l'huile de lin cuite sont un des meilleurs médiums.
Je leurs fait plein de bisous. J'aime les cadeaux utiles. Et là, je suis comblé. Nous mangeons de bon appétit en parlant.
Les filles reviennent sur la soirée de hier. Ce Hogmanay que nous apprécions tant. La retraite aux flambeaux. Les rires.

La vaisselle. Nous enfilons nos vêtements de sport. K-ways, bonnets, les gants. Nous descendons l'escalier de service.
Quelques mouvements d'échauffement et nous voilà à courir le long de notre parcours quotidien. Le ciel qui s'est voilé.
Il fait froid mais il n'y a plus ce vent glacial. Nous croisons nombre de joggeurs "courageux" pour un jour de l'an. Bien.
Arrêt au sommet de la colline pour admirer le scintillement des lumières d'Edimbourg dans son atmosphère hivernale.
Nous revenons après une heure d'un running des plus gratifiants. Estelle prend la douche la première. Et déjà 10 h30.

Je me rase. Pour Clémentine, c'est la chose masculine la plus érotique qui soit. Elle reste toujours près de moi, à voir.
Elle en profite pour se démêler les cheveux, se coiffer. C'est à notre tour de prendre notre douche. Nous nous vêtons.
Habillés tous les trois de nos jeans, de nos chemises à carreaux. A l'identique. Nous faisons les pitres devant le miroir.
Nous prenons l'auto pour descendre jusqu'à Morningside. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue molle.
Estelle, assise à l'arrière, me caresse le cou, les joues. J'adore sentir ses mains qui me procurent de délicieux frissons.

Nous descendons jusqu'après la friche industrielle abandonnée. Nous n'avons qu'une toute petit heure. Je gare l'auto.
La petite ruelle. Il faut traverser la venelle. Nous voilà sur la place déserte. C'est jour férié pour l'administration. Bon.
Les bâtiments de briques rouges présentent des volets clos. Nous descendons l'escalier des toilettes publiques. Super.
Personne. < On se fait un film ? > lance Estelle. Clémentine sort la caméra de la sacoche. La vérification. Fonctionnelle.
Cette fois Estelle désire interpréter le rôle de la "rôdeuse" vicieuse qui suit un mec aux chiottes. Nous remontons. Joie.

Nous retournons devant la venelle à environ trente mètres. < Regardez ! > fait Clémentine. Il y a un type qui se pointe.
Il ne nous voit pas. Il se dirige vers l'escalier. Il ne descend pas. Il semble inspecter les lieux. Il s'en va et d'un pas lent.
Clémentine dit : < Ces mecs reviennent souvent. Ce type cherche quelque chose . Je descends. Attendez 5 minutes ! >
Nous la regardons filer à toute vitesse. Estelle se serre contre moi pour me palper la braguette et m'embrasser. Douce.
< Là, le type ! > chuchote t-elle. < Je l'attire ! Tu sécurises le "plan" ! > rajoute t-elle en sortant de la venelle. Sympa.

Estelle marche d'un pas lent en regardant partout autour d'elle sauf évidemment en direction du mec. Elle joue si bien.
Elle descend l'escalier. Je vois le mec s'en aller à nouveau. Je me précipite pour descendre aux chiottes. On se planque.
Je reste avec Clémentine dans un des cabinets. La porte légèrement entre baillée. Cela permet de filmer discrètement.
Estelle reste devant un des deux lavabos. Elle tient un mouchoir en papier pour n'avoir aucun contact avec les robinets.
Soudain, un bruit de pas. Quelqu'un descend. C'est le mec. Clémentine filme. Nous retenons nos respirations. Silence.

Nous voyons l'inconnu étonné. Il semble hésiter. Quelle option choisir ? Estelle se retourne. Elle lance un good morning.
Le type est poli. Il ouvre son manteau. Il se positionne devant un des deux urinoirs. Il opte là pour la meilleure attitude.
Il n'y a strictement rien d'anormale à sortir sa bite dans des toilettes. Même s'il s'y trouve une jeune fille. WC homme.
Il nous tourne le dos. Il ne se doute pas de notre présence. Son esprit est occupé à élaborer rapidement une "formule".
Estelle se retourne à deux reprises. Exprès, elle fait durer les choses. L'inconnu commence à comprendre. C'est exprès.

Notre pisseur prend t-il cette attitude pour une invitation ? Toujours est-il qui parle enfin. Un fort accent des Highlands.
Il demande d'abord l'heure. Evidemment. C'est un grand "classique". Estelle la lui donne. Puis il demande une direction.
Estelle informe notre homme qu'elle ne connaît pas bien la région. Notre coquin se tourne doucement pour se dévoiler.
De notre cachette on ne voit rien. Mais il est fort probable qu'Estelle, depuis le lavabo, puisse voir le sexe de l'inconnu.
Quelle surprise. On voit un jet de pisse qui jailli du manteau ouvert. Il est puissant et vient se briser aux pieds d'Estelle.

C'est surprenant. Il y a plusieurs jets. Le bonhomme discute comme si tout cela était parfaitement normal. Estelle mâte.
Même si Estelle est voyeuse, ces situations restent tout de même très surprenantes. Elle y excelle et sait les provoquer.
Notre pisseur s'enhardit. Le voilà qui s'approche avec une démarche un peu ridicule puisqu'il se tient la bite en pissant.
Le jet se met à faiblir. Il est temps pour Estelle d'être sur ses gardes. Le mec devient entreprenant. Il est à deux mètres.
Je suis prêt à intervenir. Estelle doit contourner le type pour tenter de sortir des toilettes. Et il fait barrage de son corps.

Pas de doute. Le danger est réel. Je sors de ma planque en toussant. Le type est surpris. Il se tourne, planque sa queue.
Il est très gêné. Il a presque ma taille. Il évalue rapidement la situation. Je vais aux lavabos. Le type s'en va rapidement.
Nous montons rejoindre Estelle cachée dans la venelle. < C'est dans la boîte ! > fait Clémentine en tapotant la sacoche.
Estelle me saute au cou en s'écriant : < Merci Julien, tu m'as sauvé ! Tu es mon héros ! >. Et nous en rions de bon cœur.
< C'est mon mec aussi ! > fait Clémentine en s'interposant. Nous en rigolons comme des bossus. Il est temps de rentrer.

Il est presque midi quand nous sommes de retour. Nous sommes attendus pour le repas du premier de l'an. Et les vœux.
Nous voilà confortablement installés autour de la grande table du salon. Oncle Alan, sa femme, Clémentine, Estelle, moi.
Nous savourons un copieux repas livré par un traiteur. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. C'est délicieux.
Oncle Alan, retraité fortuné, nous raconte quelques amusantes anecdotes de son ancienne profession d'antiquaire. Rires.
Même si nous connaissons la plupart des histoires par cœur, elles sont toujours très drôles. Ce repas est succulent. Miam.

Nous traînons à table jusqu'aux environs de 14 h. Après le dessert, nous allons faire quelques pas dans la propriété. Joie.
Promenade digestive. Il fait moins froid que les jours précédents. Nous prenons congé vers 15 h. Pressés de filer en ville.
Il est 15 h30 quand je gare la voiture à vingt minutes du centre historique. Toujours le périmètre sécurisé. Le Hogmanay.
La fête va durer jusqu'à vendredi. Nous flânons dans Old Town. L'ambiance y est aussi festive que hier. Plein de touristes.
Malgré ce jour férié, beaucoup de commerces sont ouverts. Nous nous offrons des chocolats chauds dans un salon de thé.

Nous avons nos places réservées dans un bon restaurant. < Peut-être qu'il y aura un beau serveur vicieux ! > fait Estelle.
< Ah non, pas ce soir ! > répond Clémentine. Nous éclatons de rire. Première visite aux toilettes entraîné par Clémentine.
Enfermés dans un des cabinets, on fait des trucs sympas. Seconde visite avec Estelle. Récidive. Et dernière visite à trois.
Je me fais sucer. Je doigte les filles. Nous sommes considérablement excités. Nous ressortons. Quelques regards amusés.
Que peut bien faire cet homme d'âge mûr avec deux jeunes filles dans les chiottes. A trois reprises, avec chacune d'elles ?

Ces situations nous procurent les plus amusantes réflexions. Nous en rions beaucoup. Surtout qu'elles me font des bisous.
Nous traînons dans ce salon de thé dont nous découvrons l'existence aujourd'hui. Il y en a tellement à Edimbourg. Le thé.
Nous déambulons dans le labyrinthe des ruelles du centre historique. Il y a de la musique sous certains chapiteaux. Super.
Il fait nuit. Partout les lumignons sur le rebord des fenêtres. Des guirlandes de tissus. Nous adorons ces ambiances. Joie.
La faim commence à nous tirailler les estomacs. Il est déjà 19 h30. Une table nous attend dans un restaurant à découvrir.

Salle comble devant une scène où se produit un quatuor de jeunes musiciens en smokings. Deux filles et deux garçons.
Le répertoire folklorique écossais interprété avec des instruments très classiques. Violons, violoncelle et harpe. Sublime.
Trois visites aux toilettes. Nos rituels. Cela entretien nos libidos délurées. Nos excitations débridées. En toute discrétion.
Nous traînons à table. Il est 22 h. L'addition. La fatigue commence à se faire sentir. Il y a 30 minutes jusqu'à la voiture.
Nous marchons vite en nous serrant. Il fait froid. Nous croisons plein de monde. Beaucoup de gens font pareil. Rentrer.

Il est 23 h quand nous sommes au lit. Les filles se refilent un peu ma bite. Cela manque de conviction car c'est la fatigue.
Estelle s'endort la première. Clémentine m'attire sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Nous voilà immobiles.
Nous adorons rester l'un dans l'autre, sans bouger, à nous chuchoter le bilan de la journée. Nous rentrons vendredi. Dur.
C'est amusant d'entendre Estelle gémir dans son sommeil, serrée contre nous. Nous sommes trop épuisés pour continuer.
Nous détestons les orgasmes bâclés. Je me retire. Je suis entre Estelle et Clémentine. Toutes les deux serrées. Plongeons.

Bon jour de l'an à toutes les coquines qui repartent pour une nouvelle année de vice, d'exhibe et de voyeurisme...

Julien - (Qui sent battre deux cœurs à ses côtés. Dernières sensations avant de rejoindre les filles dans le sommeil) -

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Notre dernière journée à Edimbourg

Hier matin, jeudi, Je suis réveillé par le mouvement régulier que fait Estelle contre ma hanche. Estelle se masturbe.
Cela m'amuse car elle est probablement à le faire dans un demi sommeil. Je lui dépose un baiser délicat sur le front.
Elle est tellement belle, semble tellement fragile. Clémentine que tout cela vient de réveiller se blottit fort contre moi.
Nous restons ainsi à lutter contre l'impérieuse envie de pisser. Nous nous chuchotons des douceurs. Et on me branle.
Estelle lâche ma bite pour se précipiter aux toilettes. Clémentine me chevauche pour frotter son sexe contre le mien.

Estelle revient. Elle fait une bise et file à la cuisine en culotte. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux chiottes.
Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Cette délicieuse odeur de café et de pain grillé ouvre nos faims de loups affamés.
Nous prenons notre petit déjeuner avec une certaine gravité. C'est notre dernier jour à Edimbourg et avant la fin juin.
Nous mangeons toutefois de bon appétit tout en faisant notre vague programme de cette dernière journée écossaise.
Ce soir, nous sommes invités chez les Wong. C'est la seule certitude. Il est 8 h30. Dehors, il pleut. Un climat moche.

Pas de Jogging. Il faut se contenter de notre gymnastique. Aérobic, abdos, exercices au sol. Intensité maximale. Bien.
Une heure d'entraînement. Estelle prend sa douche la première. Je ma rase en compagnie de Clémentine qui se coiffe.
C'est à notre tour. Nous nous habillons. Nous restons tous près tous les trois, c'est comme pour conjurer cette fatalité.
Demain, vendredi, jour du départ. Nous avons notre avion à 14 h30. Avec une météo si triste, notre moral l'est aussi.
Il faut se secouer. Il est 10 h30. Nous mettons nos anoraks. Notre grand parapluie. Nous dévalons l'escalier de service.

Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. Estelle assise à l'arrière me caresse les joues. Joie.
Je gare la voiture sur le parking du port de plaisance de Leith, 5 km au Nord d'Edimbourg. Avec cette grisaille, moche.
Pourtant, c'est une des dernières images que nous voulons imprimer dans nos mémoires. Nous marchons sous la pluie.
A l'abri de notre immense parapluie noir, serrés tous les trois, nous avançons doucement. Il n'y a pas de vent. Parfait.
Le port est désert et de toute manière nous n'avons pas le cœur à nous lancer dans une de nos aventures libidineuses.

Nous flânons jusqu'au bout de la jetée. Nous faisons le tour du phare. Au loin, de gros bateaux sur la mer toute grise.
< Après nos penchants romantiques, il faudra quand même retourner à nos penchants naturels ! > s'écrie Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. C'est comme si cette phrase était le sésame nécessaire pour sortir de notre torpeur. Bien.
Malgré la pluie, je ferme le parapluie et les filles m'entraînent dans une course effrénée jusqu'aux premiers bâtiments.
Nous rentrons dans l'auto. Nous venons de retrouver vigueur et dynamisme. C'est l'avenir qui est important. C'est bon.

Nous nous arrêtons à Morningside. Pour demain matin, nous voulons de la brioche. Nous prenons un pain aux amandes.
Nous en aurons pour le week-end. Il se conserve très bien et supportera parfaitement 1 000 km dans les airs. Superbe.
Nous faisons un tour dans le grand magasin à l'angle de la rue. Cet espace qui fait librairie, journaux, souvenirs. Et bar.
Il y a toujours du monde ici. Evidemment, un petit "plan" exhibe serait le bienvenu. Une sorte de catalyseur d'énergies.
C'est derrière les deux tourniquets, les présentoirs à cartes postales, dans le coin le plus discret, qu'il y a des occasions.

Pour bien nous allumer. Nous nous touchons. Estelle me palpe la braguette. Je palpe celle de Clémentine. Pas de visites.
Hélas, personne ne vient choisir des cartes postales. Les touristes se font plus rares. C'est la fin des festivités qui arrive.
Nous restons là à guetter une opportunité. Pas un quidam. Il faut se faire une raison. Nous irons en ville cet après-midi.
Nous rentrons. Il est un peu plus de midi. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait gonfler du riz. Je fais une sauce.
C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. C'est bien.

La pluie tombe avec une régularité désespérante. Mais il ne fait pas froid. Nous voilà en route pour le centre Edimbourg.
On peut à nouveau circuler. Je gare la bagnole dans la ruelle habituelle, à vingt minutes de la vieille ville. C'est si facile.
Nous marchons vite. < C'est bien de rentrer aussi ! > fait Clémentine qui se serre contre moi devant un grand magasin.
< Et puis on est plus forts à trois mousquetaires ! > rajoute Estelle. Je distribue des bisous. < On s'aime ! > fait Estelle.
Nous flânons sur les trois étages de cette grande enseigne britannique. L'étage des fringues, des articles ménagers. Bon.

Nous n'avons pas le cœur à la visite d'un musée, du château. Comme s'il était préférable de s'abstraire dans le médiocre.
Il est 17 h. Nous découvrons un nouveau salon de thé. Cette fois pour y déguster d'énormes coupes glacées. C'est super.
Il y a du monde. Première visite aux toilettes avec Estelle. Seconde visite avec Clémentine. Troisième visite tous les trois.
Enfermés dans un des cabinets, nous nous offrons un peu de plaisir. < C'est excellent pour ce qu'on a ! > fait Clémentine.
Nous en rigolons comme des bossus. Je les doigte. Elles me suce entre deux jets de pisse guidés par des mains expertes.

On s'en fout des regards interrogateurs ou suspicieux qui se posent sur nous à chaque fois que nous revenons des WC.
Ce qui importe c'est nous. Notre plaisir. Ce dernier jour à Edimbourg. Cette façon de conjurer une légère tristesse. Joie.
Nous déambulons dans le dédale du centre historique. Beaucoup de passages sont couverts de verrières. On est au sec.
Il est 19 h15. Nous retournons à la voiture. Il est 19 h45 quand nous arrivons à l'arrière du Fast Food. Le rendez-vous.
Comme si elle nous guettait Ly-Yang vient nous recevoir par la porte qui donne dans la cour. Elle est souriante. Si belle.

Nous la suivons en passant par les cuisines. Les deux cuisiniers sont affairés et ne nous prêtent aucune attention. Bien.
Ly-Yang, merveilleuse petite poupée vietnamienne, est vêtue d'une chemisier rouge en satin luisant et d'une jupe noire.
Des bas noirs. Des escarpins noirs à hauts talons. Ses longs cheveux de jais qui flottent jusqu'au milieu du dos. Sublime.
Nous montons à l'étage. Monsieur Wong est assis devant un bureau éclairé par une lampe tamisée. Et il se lève très vite.
Il nous salue. Ly-Yang nous invite à la suivre. Nous entrons dans le salon. Nous connaissons bien cet appartement privé.

La table est mise. Il y a la jeune et ravissante nièce de Mr Wong qui arrive avec un grand plateau. Elle fait un sourire.
Elle aussi est contente de nous revoir. Elle n'a pas le temps de s'attarder. Elle ne fait que monter les plats. C'est bien.
Je suis assis en bout de table. A ma droite Ly-Yang à gauche Estelle. En face de moi Mr Wong. A sa droite Clémentine.
Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons notre séjour à Paris durant les vacances passées de la Toussaint. Joie.
Le lecteur qui suit nos aventures se souvient que nous étions dans le même hôtel. Nous y avons passé du bon temps.

Estelle, qui n'était pas avec nous, connaît cette histoire par ce que nous lui en avons raconté. Elle découvre là du neuf.
Chacun ayant toujours une vision et une perception différentes du même évènement. Elle me tient souvent par la main.
Je ne sais pas qui me fait du pied sous la table. Mr Wong se lève. On ne l'avait pas vu faire. Il a sa braguette ouverte.
Sa petite bite, l'exacte réplique d'un de ces nems qu'il vend, en dépasse. Il l'agite sous le visage de Clémentine. Super.
Je passe ma main sous la table pour la poser sur la cuisse à Ly-Yang. Estelle s'en rend rapidement compte. Je tripote.

Comme si j'étais son mec, Estelle m'attrape par le bras pour m'attirer vers elle. < Je suis jalouse, tu le sais ! > dit elle.
Ce qui ne m'empêche pas de glisser la main entre les cuisses de Ly-Yang. Clémentine est en admiration devant le nem.
Estelle m'empêche de me rapprocher de Ly-Yang. Cette dernière a écarté ses cuisses pour me permettre un bon accès.
Je découvre l'absence de culotte. Cette touffe lisse. Cette vulve moite aux lèvres charnues et accueillantes. C'est génial.
< Arrête ! > me fait Estelle qui se lève pour s'assoir sur mes genoux. La jeune serveuse vient débarrasser. C'est parfait.

Le dessert. Estelle à nouveau assise sur sa chaise ne me lâche pas la main. Elle mange de sa main gauche. Difficultés.
Clémentine et Wong ne prêtent plus aucune attention à notre trio. Estelle reste un véritable "garde du corps". Jalouse.
Mr Wong se lève. Clémentine le suit. Ils vont vers la porte de la chambre qu'ils referment derrière eux. Nous regardons.
< Ils vont baiser ! On fait pareil ? > fait Ly-Yang. Estelle se lève, s'assoit sur mes genoux, ses bras autour de mon cou.
Chasse gardée. Visiblement, Estelle n'a aucune envie de me partager. Ly-Yang qui s'accroupit à côté de notre chaise.

Je lance à Estelle : < Permet moi quand même de me faire sucer un peu, Ly-Yang aime tellement ça ! S'il te plaît ! >
< Si je peux faire avec ! > répond Estelle qui se lève pour s'accroupir de l'autre côté. Je me lève. Je sors ma biroute.
Je leurs caresse la tête. J'avise le divan et les coussins, là-bas, dans l'obscurité de la grande pièce éclairée de bougies.
Je les entraîne par les cheveux et à quatre pattes. Je mets les coussins au sol. Ly-Yang, Estelle s'y mettent à genoux.
Je passe ma bite sur les visages. Estelle n'est décidément pas partageuse. Je sens bien qu'elle tolère à peine Ly-Yang.

C'est Estelle qui a presque tout le temps mon sexe dans la bouche. Elle ne la prête à Ly-Yang que parce que je la force.
La jeune serveuse remonte pour débarrasser la table. Elle nous observe. Elle me lance un merveilleux sourire. Superbe.
Je lui fais un clin d'œil. Je mime une pipe, poing fermé devant ma bouche en lui faisant signe de nous rejoindre. Invite.
Hélas, ce n'est certainement pas prévu au programme car Ly-Yang prononce quelques mots en vietnamien. La fille part.
Estelle ne cesse plus de me sucer. En parfaite égoïste. Je force Ly-Yang à se redresser. Je la serre contre moi. Très fort.

Estelle mord soudain le bout de la tige. Doucement mais pour bien me faire comprendre. Je lui caresse la tête. Douceur.
Je passe mon autre main, par derrière, en me penchant sur le côté, entre les cuisses de Ly-Yang. C'est trempé. Génial.
J'enfonce un doigt que je fais tourner. J'enfonce un second. Ly-Yang en gémit de plaisir. Enfin je m'occupe de sa chatte.
Estelle me suce comme si sa vie en dépendait. Je sens bien qu'elle cherche à me détourner de ce que je fais à Ly-Yang.
Je viens de comprendre. Et comme un message télépathique. Pendant que Clémentine se fait sauter, Estelle me garde.

Les deux coquines ont cette complicité qui vient de m'apparaître clairement. C'est une entente tacite. tellement efficace.
J'ai envie de prendre Estelle contre moi, de l'embrasser comme un fou. C'est donc ça. Les coquines. Elles sont adorables.
Je fais tomber Ly-Yang sur le divan. Je force Estelle à se redresser. Je la pousse sur le divan. Je dis : < A poil salope ! >
Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Sous le regard consterné de Ly-Yang, je pénètre Estelle à qui je fais l'amour.
Ly-Yang, à quatre pattes, me fait le cul. Nous n'avons jamais baisé comme ça, Estelle et moi. Et comme des amoureux.

< Je t'aime ! > ne cesse t-elle de me murmurer en me serrant contre elle. On s'en fout un peu de Ly-Yang. On s'occupe.
Depuis la chambre d'à côté, nous entendons soudain des cris de jouissances. < Viens, on va voir ! > me fait Estelle. Rire.
Elle m'entraîne par la main. Ly-Yang trottine derrière nous. Estelle ouvre discrètement la porte. Il y a un autre mec aussi.
Ils sont à trois. Wong qui baise Clémentine en levrette. Clémentine suce un type que je n'ai jamais vu. Jeune asiatique.
Je n'en reviens pas. C'est donc ça les cris. < Je ne pourrai pas te faire ça si j'étais ta compagne ! > me chuchote Estelle.

Ces deux salauds baisent ma compagne à tour de rôle. Et elle y prend visiblement un plaisir fou. Je regarde, halluciné.
< Viens ! > me fait Estelle tout en refermant la porte. Je suis un peu frustré. Ly-Yang nous laisse pour rejoindre Wong.
Estelle m'attire sur elle. < Ils vont se faire une partie "carrée". Nous on va s'aimer ! > murmure t-elle en m'embrassant.
Je suis hyper excité. C'est la toute première fois que nous faisons véritablement l'amour Estelle et moi. Pas de la baise.
Nous restons ainsi à nous aimer une bonne demi-heure. Parfois nous parviennent des cris de filles depuis cette chambre.

La porte s'ouvre enfin. Clémentine, les yeux en larmes, couverte de sueur, le visage maculé de foutre, cheveux collants.
< On s'en va ! > nous fait elle. On cesse. On s'habille. Wong, l'inconnu et Ly-Yang viennent nous saluer. Nous partons.
Dans la voiture, Clémentine nous confie avoir vécu un des plus grands moments de sa vie. Et une nouvelle découverte.
Au lit, Estelle s'endort la première. Serrée contre moi, Clémentine me raconte sa première partouze sans moi. Le plaisir.
Je la félicite. Elle peut enfin baiser sans ma présence. Je la rassure. Je suis ravi. Elle s'endort à son tour. Sereine. Dodo.

Bonne partouze à toutes les coquines qui aiment sucer en se faisant baiser. Bonne partie de cul et bonnes jouissances...

Julien - (Qui découvre ce soir, une nouvelle facette de cette étonnante relation à trois. Avec Estelle et Clémentine) -

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Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1023 -



Le retour en avion depuis l'Ecosse

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon profond sommeil par le mouvement masturbatoire de Clémentine. Régulier.
Cette fois cela réveille même Estelle couchée à ma droite. Elle est encore restée serrée fort contre moi toute la nuit.
< J'ai fait un rêve très cochon ! > murmure Clémentine. < Moi je me souviens plus ! > chuchote Estelle. Nous rions.
Je passe mes bras sous leurs nuques pour les serrer fort contre moi. Nous restons ainsi à nous offrir de la tendresse.
< Tu nous racontes ton rêve au petit déjeuner ! > fait Estelle qui se lève pour se précipiter aux toilettes en chantant.

Estelle revient. Elle nous fait une bise à chacun avant de filer à cuisine. Clémentine m'entraîne aux chiottes par le Zob.
< J'ai honte de ce que j'ai encore fait hier soir avec ces deux mecs. Je ne veux plus te tromper ! > me murmure t-elle.
Je la rassure : < Mais tu ne me trompes pas puisque tu me dis tout. Que c'est moi qui t'encourage à la dépravation ! >
Nous en rions de bon cœur en rejoignant Estelle dans cette délicieuse odeur de café, de pain grillé et de brioche. Miam.
Nous mangeons de bon appétit. Il est 8 h30. Dehors il pleut. < Pas de chance pour ses vacances ! > fait encore Estelle.

Pourtant, tout s'est déroulé comme nous le souhaitions. Rester sur Edimbourg. Improviser. Et même tourner nos films.
Il y a neuf petits films à monter pour n'en faire qu'un seul en gardant les parties les plus intéressantes et plus intenses.
Estelle se réjouie pour cette réalisation passionnante. Nous ferons notre soirée cinéma peut-être déjà samedi prochain.
Nous traînons à table. Les filles, assises sur mes genoux, évoquent la rentrée. Le second trimestre qui commence lundi.
La vaisselle. Avec cette météo déplorable il faut se résigner à pratiquer notre gymnastique à l'intérieur. C'est bien aussi.

Aérobic, abdos, exercices au sol. Le tout avec une intensité maximale. Dans une ambiance assez déconnante. Superbe.
Une heure d'entraînement. Estelle prend sa douche la première. Je me rase. Clémentine se démêle les cheveux. Parfait.
C'est à notre tour. Nous nous habillons. Le linge suspendu hier a séché. Nous défaisons les draps et direct en machine.
Nous préparons nos valises. Clémentine nous raconte son rêve. Il y est question de Wong qui devient Gérard. Rigolade.
Nous rigolons comme des bossus quand Clémentine rajoute : < C'est comme les trains, un salaud en cache un autre ! >

Les valises sont prêtes. Celle d'Estelle. Les nôtres. Tout est dans le couloir. Nous passons l'aspirateur et nous nettoyons.
Nous sommes attendus en bas pour le repas de midi. Notre dernier repas en famille.Les filles se serrent contre moi. Fort.
< On est si bien tous les trois ! > lance Estelle. < Probablement la plus belle période de nos vies ! > rajoute Clémentine.
J'en suis convaincu également. Nous nous surprenons à être heureux de rentrer. Nous faisons même une farandole. Rire.
Tout est nickel. Nous laissons un appartement aussi propre en partant que nous l'avons trouvé à notre arrivée. Superbe.

Les deux coquines m'entraînent aux toilettes. < Le monsieur va faire son pissou gentiment avec les filles ! > fait Estelle.
Nous rions de bon cœur. Je les tiens à tour de rôle par la nuque. D'abord Clémentine a qui j'enfonce un doigt dans le cul.
< Le jet est plus puissant quand on est enculée ! > s'écrie t-elle. Au tour d'Estelle à qui j'administre le même traitement.
Je les lèche. Je me régale des dernières gouttes. La pisse de Clémentine un peu moins amère que celle d'Estelle. Super.
C'est à mon tour. Estelle me tient la bite pour en diriger les multiples petits jets que je m'amuse à produire. Jets précis.

Clémentine me tient sous les couilles qu'elle soupèse. Elles s'accroupissent toutes les deux pour la téter à tour de rôle.
Entre chaque jet, elles attendent leur tour. C'est merveilleux. Je bande mou. Il y du liquide séminal qui monte. Du jus.
Nous restons ainsi un petit moment. Je demande à Clémentine comment était le goût de la bite de cet inconnu hier soir.
< Miam ! J'aime la cuisine vietnamienne ! > répond Clémentine avant de sucer. < Surtout les sauces ! > rajoute Estelle.
Nous en rions de bon cœur. Il va être l'heure de descendre. Je bande comme un priapique en phase terminale. Bien dur.

Nous faisons encore un peu les clowns devant le miroir de la salle de bain. Un peu de flotte sur la gueule. On s'ajuste.
Il est midi. Nous descendons l'escalier. Oncle Alan et sa compagne, tellement contents de partager notre dernier repas.
Des tartelettes aux fruits de mer avec des patates douces, des brocolis, accompagnés d'une salade de salicornes. Bon.
Nous bavardons. Nous rions beaucoup. Nous nous reverrons à la fin du mois de juin pour deux nouveaux mois. Super.
Cette année encore nous passerons juillet, aout et le début septembre dans l'appartement. Nous mettons tout au point.

Nous ne pouvons pas trop nous attarder. Nous avons notre avion à 14 h35. Il est 13 h15. Nous prenons congé. Parfait.
Nous remontons récupérer nos bagages. Je donne discrètement une enveloppe à la compagne de mon oncle. C'est bon.
Nous voilà en route. La circulation est fluide. Une vingtaine de kilomètres jusqu'à l'aéroport. Nous y arrivons pour 14 h.
Le temps de ramener la voiture à l'agence de location après avoir fait le plein d'essence et de récupérer la caution. Ok.
Il ne nous reste plus qu'à attendre dans l'immense hall. Il y a du monde. Notre avion est à l'heure. Nous voilà en bus.

La navette nous dépose au pied de l'escalier. Une hôtesse nous dirige vers nos places réservées là en première classe.
Estelle est à côté du hublot. Je suis au milieu. Clémentine à ma gauche avec son masque noir sur les yeux. Nous rions.
L'avion s'ébranle. Il décolle. Estelle me tient la main fortement, jusqu'à la crispation. Clémentine fait pareil. La trouille.
Pourtant, ce voyage jusqu'à Londres se déroule sans encombre. Surtout que nous ne l'avons pas emmené avec nous.
Changement à l'aéroport de Londres où nous avons notre correspondance vingt minutes après. Nouvel avion. Le rituel.

Nous atterrissons en France à 17 h45. Tout s'est bien passé. Les parents d'Estelle qui nous attendent à l'aéroport. Bien.
Ils sont évidemment tout heureux de revoir leur fille adorée. De nous revoir. Nous les remercions pour cette attention.
Ils ont insisté bien avant notre départ et dès la mi décembre pour qu'il en soit ainsi. Nous leurs ramenons un souvenir.
Je suis assis entre les filles à l'arrière de mon ancienne voiture. C'est la grosse berline allemande qu'ils m'ont racheté.
Yvan qui conduit. Michèle nous raconte le réveillon du 31 avec un couple d'amis, l'oncle, la tante, la cousine d'Estelle.

Il est 18 h. Les parents d'Estelle nous déposent devant la grille. Ils déclinent l'invitation de manger avec nous ce soir.
Estelle veut évidemment rester avec nous. Pas question de se quitter avant dimanche soir. Je leurs propose dimanche.
Pourquoi ne pas partager un bon repas ce dimanche à midi. Yvan et Michèle, ravis, acceptent immédiatement. Parfait.
Nous les regardons s'en aller. Clémentine sort la grosse clef pour l'introduire dans la serrure du portail. On est arrivé.
Il faut allumer les radiateurs. Ils chauffent vite. Nous montons nos valises. Celle d'Estelle est partie avec ses parents.

On a tout prévu à Edimbourg. Elle n'a gardé qu'un jeans, une chemise, deux culottes, chaussettes, trousse de toilettes.
Les filles m'entraînent dans une farandole folle. < On est encore ensemble ! > chante Estelle, improvisant une mélodie.
< C'est bien aussi d'être à la maison ! > chante Clémentine. Nous reprenons en cœur. Il commence à faire bien chaud.
Nous défaisons les valises. Nous détestons laisser traîner les choses. Tout doit être ordonné, rangé. C'est notre "TOC".
Trouble obsessionnel compulsif tout à fait assumé et qui nous fait beaucoup rire. Surtout Estelle qui fonctionne pareille.

Il commence à faire faim. Nous faisons nos pissous là haut en sacrifiant à notre rituel habituel. Lécher nos sexes après.
Nous dévalons les escaliers pour nous rendre à la cuisine. Il fait bien chaud partout. Il est presque 19 h et c'est parfait.
Clémentine s'occupe d'une salade improvisée faite d'une boîte de maïs et d'une boîte macédoine. Estelle fait les pâtes.
Je concocte une sauce. Une boîte de crevettes que je fais rissoler à la poêle avec des champignons en boîte également.
Nous ferons nos courses demain matin, samedi. Nous sommes pressés de retourner à notre diététique habituelle. Joie.

Même si c'est une bouffe assez merdique, industrielle et dévitalisée, pleine de conservateurs, le repas est sympa. Bien.
Nous traînons à table. Nous faisons le bilan. Douze jours en Ecosse. Bilan positif. Nous y avons réalisé nos fantasmes.
< J'ai la chatte encore toute congestionnée ! > fait Clémentine. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine.
< Moi, hier soir, j'ai fait l'amour avec Julien toute la soirée ! > rajoute Estelle. < Petits profiteurs ! > lance Clémentine.
Je dis : < Il faut que je vous parle à toutes les deux ! >. Les filles s'assoient sur mes genoux. Bras autour de mon cou.

Je m'adresse à Clémentine : < Ainsi, tu charges Estelle, depuis plus de deux ans à me détourner des autres femmes ! >
Je continue : < Tu missionnes Estelle afin qu'elle m'occupe, qu'elle m'accapare et que je ne baise pas avec une autre ! >
< C'est exactement ça. Mais tu es un homme. Il t'a fallu plus de deux ans pour comprendre ! > s'écrie Estelle. Poilade.
< Tu m'en veux ? > demande Clémentine d'une toute petite voix avant de rajouter : < Je t'aime et je suis si jalouse ! >
Nous en rions de bon cœur. Cette stratégie de filles m'amuse. C'est vrai que je n'avais pas capté. Mon cerveau de mec.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle dresse la liste des courses demain. Je passe ma main entre ses cuisses.
< Mmhhh ! > murmure t-elle tout en écrivant. Clémentine me sort la bite et les couilles. Nous relisons la liste. C'est ok.
Nous passons au salon. Nous voilà vautrés tous les trois dans le canapé. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite.
Tout en bavardant les filles jouent avec mes organes génitaux. Estelle me tord la queue dans tous les sens. C'est mou.
Clémentine me malaxe les couilles. La fatigue commence à se faire sentir. Je me lève. J'agite mon sexe sous leurs nez.

Elles se refilent ma bite qu'elles sucent passionnément. Chacune veut la pomper plus longtemps tellement il y a de jus.
Je leurs frotte la queue sur la gueule en leurs racontant des saloperies. Je demande à Clémentine de parler de hier soir.
< J'ai encore la chatte congestionnée ! > dit elle. < Ils t'ont enculé aussi ? > demande Estelle. Clémentine se met à rire.
< Certainement pas ! > répond Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Estelle et Clémentine qui détestent la sodomie.
Je leurs propose un léchage de minou. < Et si on continuait au lit ? > propose Clémentine. Nous nous précipitons. Rires.

Bon retour à toutes les coquines qui retrouvent leurs petites habitudes, leurs petits rituels et le cadre de leurs jeux...

Julien - (Qui pendant qu'il lèche Clémentine, se fait sucer par Estelle. et VICE versa. Trois orgasmes. Et le dodo) -

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Un samedi à la maison

Hier matin, samedi, je suis réveillé par les mouvements que fait Estelle contre moi. Et toute la nuit serrée contre moi.
J'ouvre les yeux. Elle a sa tête dans mon cou et me tient comme une désespérée. Je lui fais quelques bisous. Douceur.
Cela réveille Clémentine qui vient se blottir contre moi de l'autre côté. < J'en veux aussi ! > murmure t-elle, endormie.
Elles sont tellement adorables. Je distribue des bisous. Estelle me tient par mon érection matinale. Il est 8 h. Superbe.
Clémentine me choppe les couilles. Je passe ma main dans les culottes. C'est chaud, moite, ça donne envie de lécher.

L'impérieuse envie de pisser ne nous permet pas de prolonger nos caresses. Estelle se lève la première. Les toilettes.
Clémentine passe sa tête sous les draps pour me sucer. C'est une grande première, le matin, dès le réveil. Une pipe.
Estelle revient, enfile son lyccra, me voit seul dans le lit et m'interroge du regard. Je montre la bosse sous les draps.
Elle éclate de rire. Elle soulève la couverture pour découvrir le spectacle. < T'es au p'tit déj ? > fait elle à Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. J'entraîne Clémentine par ses cheveux jusqu'aux chiottes. Estelle est descendue. Cuisine.

Nous mettons nos tenues sport. Nous dévalons l'escalier pour rejoindre Estelle. L'odeur du café, du pain grillé, brioche.
< J'aime commencer ma journée comme ça ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. Je la soulève. Des bisous.
Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le vague programme de la journée. Nous mangeons de bon appétit. Bien.
La liste des courses est établie. Nous révisons rapidement. Dehors, le ciel est clair. Nous avions perdu l'habitude. Joie.
La vaisselle. Nous mettons nos K-ways, bonnets et gants. Quelques mouvements d'échauffement dans le froid matinal.

C'est une fois encore Estelle qui impulse le rythme du jogging. Nous courrons sur un sol humide. Il faut éviter la boue.
Une heure d'un running qui nous a remis les idées en place. 8 h30. La maison. Et Estelle prend sa douche la première.
Je me rase pendant que Clémentine se démêle les cheveux. Puis c'est à notre tour. Nous nous habillons à l'identique.
Tous les trois en jeans, chemises à carreaux, bottines. Pulls. Anoraks, écharpes et les gants. Nous voilà en route. Joie.
Je roule doucement. Clémentine, sa main glissée dans ma braguette nous donne ses impressions sur sa pipe du matin.

Nous en rigolons comme des bossus quand Estelle répond : < Moi, ce sera la pipe du soir. Mais si je tiens jusque là ! >
Trois kilomètres. Nous arrivons au bourg. Je gare la bagnole sur le parking. Je porte les cabas. Estelle ne me lâche pas.
Il y a du monde au marché. Une fois encore nous attirons quelques regards. Nous faisons provisions de légumes, fruits.
Il nous faut de tout. Tomates, carottes, navets, patates, céleri, poireaux, laitue, ail, oignons, pommes oranges et kiwis.
Nous faisons provisions de fromages, de yaourts, de beurre, d'œufs, de crème fraîche. Les sacs qui sont hypers lourds.

Nous retournons à la voiture. Les produits frais rangés dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Le reste au coffre.
En route pour la zone commerciale à quinze kilomètres. Estelle, Clémentine qui malgré mon refus, sont assises devant.
Je roule avec la bite à l'air. Je dis : < Vous vous rendez-compte s'il y a un contrôle de gendarmerie ? C'est la prune ! >
< Les Gendarmes ? Mais ils sont bien au chaud dans leur gendarmerie à se raconter des blagues de cul ! > fait Estelle.
Nous en rions de bon cœur. Ce qui ne m'empêche pas de rouler en redoublant d'attention et de prudence. Les coquines.

Nous arrivons sur le parking de l'hypermarché. Un monde fou. Je bande comme le dernier des salauds. Il faut remballer.
Je pousse le caddie avec Estelle. Clémentine nous entraîne dans les rayons qui nous concernent en tenant la liste. Bien.
Là aussi, il faut un peu de tout. Là aussi, nous attirons quelques regards. Nos hautes tailles, la différence d'âge. Intrigue.
Nous nous amusons. Lorsque les regards se font plus insistants, les filles me déposent simplement des bises sur la joue.
Il n'est même pas envisageable de nous offrir quelques plans exhibes. Il y a l'affluence folle. Les caddies se bousculent.

Nous passons en caisse. Il y au moins cinq charriots devant nous. Pleins à ras bord. Il faut s'armer de patience. Chiant.
Que faire pour trois vicelards en virées ? Se toucher discrètement comme pour autant de défis et de challenge. Le jeu.
Estelle, en parfaite virtuose me palpe la braguette. Quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui fait écran. C'est du plaisir.
Je suis certain que nos agissements ne passent pas inaperçus pour certaines gens. Il y a de curieux regards aux caisses.
C'est enfin notre tour. Nous flânons dans la galerie commerciale. Les décorations de fêtes ont disparu. C'est tant mieux.

Nous lisons les menus proposés par la cafétéria. Je propose aux filles de ne pas nous faire chier et de bouffer là à midi.
Elles se consultent du regard. Sans un autre mot, elles ont cette réponse lapidaire : < On a tout, on rentre manger ! >
Nous disposons nos achats dans le coffre, avec les fruits et les légumes. Les filles s'assoient à nouveau siège passager.
Je roule en multipliant les regards partout. Certes, même si la petite route est le plus souvent déserte, il y a du risque.
Ouf. Nous arrivons à la maison sans mauvaise rencontre. Il est 12 h30. Nous rangeons les courses. On prépare le repas.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait revenir les haricots verts et les petits pois encore congelés dans le Wok.
Je prépare le bouillon des moules. Nous n'arrêtons plus de nous toucher. Mains entre les cuisses, bisous sur les seins.
Nous mangeons de bon appétit. < C'est bien aussi d'être à la maison ! > fait Clémentine. < C'est génial ! > dit Estelle.
Nous traînons à table. Nous élaborons le menu de demain à midi. Les parents d'Estelle viennent manger à la maison.
< On fait simple. Je propose une potée avec un feuilleté de saumon. Je prépare tout ! > s'écrie Estelle. Réjouissances.

Nous allons consacrer une partie de l'après-midi à faire des tartes aux pommes à mettre au congélateur. C'est parfait.
Nous avons acheté de la pâte feuilleté "Bio" pour la galette des rois. On va en faire plusieurs aussi. Super programme.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous préparons les pommes, et tout ce qu'il faut sur la table. Préparatifs. Bien.
Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Et imitations de fellations.
Je demande aux filles : < Vous sucez qui, là, présentement ? >. Estelle s'écrie : < Un certain Julien qui adore ça ! >

< Un vieux cochon à la toute petite bite toute molle. Devinez qui ! > lance Clémentine. Nous nous écrions : < Gégé ! >
Nous rigolons comme des bossus. Nous dévalons les escaliers, pressés d'aller faire nos tartes et nos galettes. Superbe.
Exceptionnellement, nous avons acheté des pâtes toutes faites. Il suffit de laver les pommes, de les éplucher. Couper.
Nous bavardons. Les filles évoquent leur rentrée de lundi. Elles se réjouissent, impatientes d'en découdre. Les études.
Il est possible de mettre deux tartes dans le four à chaque fois. Les effluves parfumées emplissent la cuisine. Sublime.

J'ouvre une grande boîte de purée d'amandes. Ce n'est pas de la pâte mais de la purée. C'est infiniment meilleur. Miam.
Je fais la frangipane. Estelle et Clémentine me regardent faire pour bien tout capter. < Mr le pâtissier ! > me dit Estelle.
Faire le cuisinier est beaucoup plus facile que de faire le pâtissier. Avec la cuisine on peut improviser. Pas la pâtisserie.
La pâtisserie demande de la rigueur, de l'attention et de la méticulosité. Il faut soigneusement suivre les recettes. Bien.
Il est 17 h30. Nous avons réalisé six tartes aux pommes pour nos futurs desserts. Quatre galettes à la frangipane. Joie.

Il a fallu ruser. Agencer les grilles du four sur trois étages. Mais le résultat en vaut largement la peine. Réussite totale.
Nous sommes tous les trois accroupis devant la vitre du four pour admirer la cuisson des derniers gâteaux. C'est beau.
Sur la table refroidissent nos chef-d'œuvres. Serrés tous les trois, nous admirons nos réussites. On se tripote en riant.
La nuit est tombée. La cuisine sent les tartes, les galettes. Ça donne envie de s'empiffrer. Tant de bonnes choses. Joie.
Nous sortons la dernière fournée. C'est la galette des rois pour le dessert de demain. Estelle l'a décoré. Une merveille.

Avec la pâte elle a confectionné des feuilles, des branches. Elle y a rajouté la fève de l'an dernier. On recycle toujours.
Dans l'élan, nous préparons le feuilleté de saumon pour demain. Je fais la Béchamel. Estelle émince le saumon. Très fin.
Il suffit de le faire revenir à la poêle avec des champignons, de l'ail, de l'échalote, du persil et de la ciboulette. Muscade.
Le feuilleté de saumon est au four. Nous descendons les tartes froides au cellier, à la cave, rangées dans le congélateur.
Il est presque 19 h. Notre repas du soir sera des plus simples. Des spaghettis, sauce au Roquefort et des champignons.

Clémentine prépare une salade d'endives. Nous mangeons de bon appétit. Voilà une journée bien remplie. C'est super.
Nous traînons à table. Les filles, assises sur mes genoux, me tiennent par les hanches, par le cou. Nous rions beaucoup.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Mêmes pitreries devant le miroir. Et imitations de pipes bien vulgaires.
Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine suce "Gégé", Estelle suce Julien. Nous nous rinçons la bouche en riant.
Nous dévalons les escaliers pour gagner le salon. Vautrés dans le canapé nous sentons monter la fatigue. C'est normal.

Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite qui me sort une queue toute molle. < Oh ! Elle est fatiguée ! > fait Estelle.
Elle se charge rapidement de la faire durcir un peu. Elle me sort les couilles. Clémentine s'en empare pour les soupeser.
< On peut pas les laisser comme ça, les pauvres ! > murmure Estelle. Je glisse mes mains dans les culottes. C'est bien.
Je leurs propose un léchage de minou. J'en ai envie depuis ce matin. Elles se lèvent d'un bond pour enlever les habits.
Vautrées dans le canapé, elles m'offrent de merveilleuses chattes humides. Je suis à genoux sur un des coussins. Joie.

Je passe d'une chatte à l'autre. Le goût âcre de celle d'Estelle. Le goût plus mielleux de celle de Clémentine. Un régal.
De plus en plus souvent, Estelle ne se contente plus de se faire brouter le minou, elle veut aussi se faire pénétrer. Bon.
Sous le regard de Clémentine qui se masturbe, je pénètre Estelle. Ce spectacle excite Clémentine. Estelle se masturbe.
La stimulation clitoridienne et pénétrée jusqu'aux couilles, permettent à Estelle d'atteindre le summum de plaisir. Joie.
Je pénètre Clémentine. Nous sommes fatigués. Nulle prouesse pour faire "genre". On baise "basique" et en "primates".

L'orgasme d'Estelle, cataclysmique, achève de l'épuiser. Elle s'écroule en hurlant, mains entre les cuisses. Jouisseuse.
L'orgasme de Clémentine, nucléaire, achève de l'étourdir complètement. Nous reprenons nos esprits. Il faut faire pipi.
Je les emmène aux chiottes. D'abord Estelle que je tiens par la nuque en lui enfonçant un doigt dans le cul. Pas trop !
Je la lèche. Au tour de Clémentine. Même traitement. Avec le doigt dans le cul, Clémentine produit un jet si puissant.
Estelle me suce pendant que je lèche les dernières gouttes de Clémentine. Nous montons nous mettre au lit. Crevés.

Bon après-midi à faire des tartes à toutes les coquines qui aiment se faire tripoter en pétrissant la pâte à la cuisine...

Julien - (Qui écoute les ronflements d'Estelle serrée contre lui en écoutant les derniers secrets de Clémentine) -

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Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1025 -



Un beau dimanche

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures, des rires étouffés. On me tient fermement par mon érection.
On me couvre soudain le visage de bisous. J'ouvre péniblement les yeux pour découvrir mes deux anges, tout sourire.
< Bonjour Julien ! > me font elles en même temps. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite. Je les serre très fort.
C'est tellement merveilleux. Nous en sommes conscients. Cela fait quatorze jours que nous dormons ensemble. Super.
Nous nous faisons plein de douceur. C'est dimanche. Pas de gym. La maison est propre. Pas de ménage. Du farniente.

La cruelle envie de pisser ne tarde pas à nous tarauder. Estelle, n'en pouvant plus, se lève la première. Les toilettes.
Clémentine passe sa tête sous les draps pour se mettre à me sucer. Franchement et directement. C'est si surprenant.
C'est la seconde matinée qu'elle fait ça dès le matin. Nouveau rituel ? Estelle revient, met son pyjama de soie mauve.
Elle nous fait un bisou avant de dévaler les escaliers. Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'aux chiottes. Les pipis.
Nous nous habillons avant de descendre pour rejoindre Estelle à la cuisine. Ces odeurs de café, pain grillé, de brioche.

Il est presque 9 h. C'est rare que nous dormions si tard. Nous prenons un délicieux petit déjeuner. C'est un vrai délice.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors il fait beau. Le soleil. Un ciel bleu. Une température fraîche.
Nous traînons à table en évoquant nos vacances en Ecosse. Tout cela paraît déjà lointain. C'est une étrange sensation.
Pourtant nous sommes rentrés avant hier. Vendredi. Les filles, assises sur mes genoux, évoquent la rentrée de demain.
Dernières ruses. Dernières résolutions. J'aime écouter les stratégies toutes féminines. Je les tiens par les hanches. Joie.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. C'est si drôle.
Estelle s'habille. Nous sommes tous les trois en jeans, en chemises à carreaux avec nos espadrilles semelles de cordes.
Nous faisons notre lit. Estelle passe souvent derrière moi pour me palper la braguette. < Pouet-Pouet ! > fait elle. Rire.
Nous sommes tous les trois debout devant le miroir de l'armoire. Nous prenons des poses. Prétexte à déconner encore.
Clémentine accroupie à ma gauche. Estelle accroupie à ma droite. Elle me tiennent par la jambe. Nous nous observons.

Leurs têtes appuyées contre mes cuisses. Je caresse délicatement les cheveux. < Je vous aime "Maître" ! > fait Estelle.
< Je vous aime "Maître" ! > dit Clémentine. Je dis : < Je vous aime mes délicieuses "Soumises" ! >. Elles se retournent.
Toutes les deux frottent leur sexe contre mes chevilles. < Prenez moi en main "Maître" ! > chuchote Clémentine. Douce.
< Vous ne nous avez pas "éduqué" durant notre séjour écossais ! Nous avons besoin de l'être ! > rajoute encore Estelle.
Je sors mon Zob. Nous nous observons dans le miroir. < Ça mériterait d'être filmé ! > fait Estelle qui se redresse si vite.

Elle s'empare de son smartphone. L'allume, le met en mode caméra et le dépose sur le tabouret placé devant le miroir.
Estelle reprend sa position. Nous fixons le téléphone en souriant. Estelle, à quatre pattes, va l'éteindre avant de revenir.
Elles se masturbent contre mes chevilles. Je leurs frotte la bite sur la gueule. Elles gémissent de plaisir et de bonheur.
Je bande mou. Clémentine arrive enfin à gober ma queue d'un mouvement de tête adroit. Et puis c'est au tour d'Estelle.
Je bande comme le dernier des salauds. Je passe de l'une à l'autre. Il y a du liquide séminal. Et c'est tellement excitant.

Elles tombent à genoux en même temps pour se masturber vraiment, contre ma cheville, sans cesser de sucer. Sublime.
Mes lombaires commencent à me faire légèrement souffrir. Je suis debout, légèrement cambré, sur mes genoux fléchis.
Sur mes chevilles je peux sentir la chaleur de leurs entrejambes bouillants. C'est une sensation merveilleuse. Délicate.
Je les tiens fermement par les nuques. Je saisis leurs cheveux pour les forcer à se redresser. Du foutre plein la bouche.
Elles se blottissent contre moi. Nous nous serrons si fort. Nous restons ainsi un long moment à savourer notre privilège.

Elles me tiennent toutes les deux la queue qui est redevenue molle. Il est 11 h. Nous descendons En restant serrés fort.
Clémentine prépare la salade. Estelle et moi, nous épluchons les patates, les carottes, les navets. Ce sera pour la potée.
Le feuilleté de saumon, déjà préparé depuis hier est au four. Feux très doux. Nous coupons les légumes en petits carrés.
Dans la vieille cocote en fonte noire. Avec de l'ail, de l'oignon, du persil, de la ciboulette. Estelle qui remue délicatement.
Je passe derrière chacune pour leurs glisser la main entre les cuisses. J'adore ce petit réflexe. Le petit spasme du corps.

Nous mettons la table au salon. Estelle déroule le chemin de table en lin. Nous disposons les assiettes de grès. Couverts.
Les verres. Clémentine fait des nœuds savants à chaque serviette. Estelle agence les fourchettes et couteaux. Symétrie.
Nous décidons de rester vêtus ainsi. Nous nous faisons plein de bisous en nous disant plein de douceurs. Même un câlin.
Tout est prêt. Nous allons sur le perron du salon. Le soleil est presque chaud. La température extérieure n'excède pas 8°
Ce soleil nous a manqué durant ces deux dernières semaines. Nous rentrons. La douce chaleur de la maison. C'est bien.

Trois coups de sonnette. Estelle se précipite en s'écriant : < Papa et maman ! >. Elle revient suivie de ses parents. Joie.
Nous nous serrons la main. Nous sommes contents de nous revoir. Michèle et Yvan sont vêtus comme nous. Jeans, pull.
Le papa d'Estelle a ma taille. Nous sommes tous deux athlétiques. La maman a la même taille qu'Estelle. Entre grands !
Clémentine, en parfaite maîtresse de maison, invite tout le monde à prendre place. Elle exige de faire le service. Plaisir.
Yvan est assis en face de moi. Michèle à sa gauche, Estelle à sa droite. Clémentine est à ma droite et à côté de Michèle.

Nous savourons un repas simple mais tellement délicieux. Nous bavardons. Les parents d'Estelle nous parlent vacances.
Cet été, ils iront passer deux semaines en Irlande du Nord. Là où nous étions l'an dernier. Et nous donnons des conseils.
Ils seront logés dans un hôtel. Ils passeront deux jours en Ecosse. Nous nous verrons là-haut. Ça fera tout drôle. Super.
Clémentine me fait du pied sous la table. Michèle me lance quelquefois d'étranges regards. Je baise quand même sa fille.
Nous évoquons le travail. L'entreprise des parents d'Estelle, florissante. Deux nouvelles embauches prévues. C'est bien.

Ils ont accroché ma toile dans leur salon. Ils m'avouent la joie qu'ils éprouvent à chaque fois qu'ils la regardent. Cadeau.
Nous racontons notre récent séjour à Edimbourg. Le Hogmanay. L'appartement que nous y occupons là dans ma famille.
La météo assez éprouvante cette fois. Michèle et Yvan visiteront l'an prochain. Ils doivent partager leurs vacances. Rire.
Deux semaines en vadrouille. Deux semaines dans le Var dans la famille de Michèle. Chez la mamie d'Estelle. Protocole.
Nous traînons à table. Clémentine insiste pour s'occuper de tout. Les parents d'Estelle sont tellement à l'aise avec nous.

Ils font à présent partie de notre tissu social. Ils sont devenus des amis. Cela me gêne un peu. Je baise leur fille. Salaud.
Il n'y a jamais la moindre allusion. Il n'y a jamais rien d'équivoque. Estelle garde un comportement parfaitement normal.
Trop heureuse d'être en compagnie de ses parents tout en restant près de Clémentine et moi. Privilège, bonheur absolus.
Nous faisons tout de même la vaisselle tous les cinq. Sur l'insistance de Michèle. Estelle plonge. Nous essuyons. Superbe.
C'est la valse des torchons vaisselle. Tout est posé sur la table de la cuisine. Puis il suffit de ramener la vaisselle au salon.

Il est 15 h. Nous allons marcher un peu au dehors. Nous faisons le tour de la propriété. Estelle reste proche de son papa.
C'est bien de la voir ainsi, tenant son papa par le bras. Comme elle le fait avec moi. Je suis pétri d'émotion. C'est si beau.
Nous profitons de ce soleil généreux qui réchauffe un peu ce premier dimanche de janvier. Et nous sommes bien habillés.
Je marche à l'avant, entre Michèle et Clémentine. Nous prenons de l'avance. Michèle fait preuve de beaucoup de finesse.
Des traits d'esprit. De l'humour. Elle ressemble tellement à sa fille. Troublant. Une idée de ce que sera Estelle d'ici 20 ans.

Il est 16 h. Nous sommes installés au salon. Des tasses de thé au jasmin et des petits gâteaux secs ramenés d'Ecosse.
C'est très agréable lorsque les invités se sentent bien. Nous rions beaucoup. Et depuis des mois le "courant" passe bien.
Pas de doute, nous sommes devenus de nouveaux amis. Il est 17 h. Michèle et Yvan prennent congés. Dur de se quitter.
Nous les raccompagnons. Le soleil est bas sur l'horizon. Le froid est vif. Nous nous saluons. Nous les regardons s'en aller.
Estelle se blottit contre moi. Comme elle fait si souvent avec son papa. Je comprends beaucoup mieux toute sa douceur.

Nous rentrons vite. La nuit tombe. Nous débarrassons la petite table basse. < Les affaires reprennent ! > me dit Estelle.
< Ce que je ne peux pas faire avec papa ! > rajoute t-elle en me déboutonnant la braguette. Nous en rions de bon cœur.
Nous lavons les tasses. Estelle me tient la bite, derrière moi, pour me dire : < C'est bien, tu n'as pas dragué maman ! >
Nous rigolons comme des bossus car il n'a jamais été question d'une telle attitude. Clémentine lui dit : < Ton sosie ! >
C'est vrai que cette ressemblance mère fille est impressionnante. < On croit que c'est ma grande sœur ! > lance Estelle.

Nous sommes vautrés dans le canapé. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite qui tord ma bite dans tous les sens.
Nous faisons le bilan de ce beau dimanche. Festif et si plein d'agréables moments. Je glisse mes mains dans les culottes.
C'est chaud, moite. Le dimanche, nous ne prenons pas de douche. Nous restons dans nos 'jus". Cette idée fait frissonner.
Je propose un léchage de chattes après le repas. Je précise, en leurs faisant renifler mes doigts : < Et il faut nettoyer ! >
Nous en rions de bon cœur. Il est 18 h30. Soudain, à l'étage, un bruit sourd. Sonore. < Le fantôme ! > s'écrient les filles.

Nous écoutons. Cela dure une dizaine de minutes. Bruits de pas et les claquements de portes. Quelqu'un erre à l'étage.
C'est habituel mais depuis plus de deux semaines nous l'avions oublié. Tout cesse. Les filles m'entraînent par la queue.
Nous sommes aux toilettes. Le rituel du pissou avant le repas du soir. On se lèche les dernières gouttes. On en raffole.
Je me fais sucer un peu. Je suis pressé de bouffer ces chattes dont je viens de goûter les saveurs. Il y a de la "crème".
Clémentine s'occupe de la salade de tomate. Je réchauffe le reste de potée. Estelle fait une belle omelette. Champignon.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles parlent de la rentrée. Il faudra revenir à une existence plus ou moins normale.
Estelle va faire le montage de notre prochain film. Des réjouissances en perspective. Nous traînons à table. C'est miam.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous filons au salon. Les filles retirent leurs jeans et culottes. Et à quatre pattes.
Moi aussi à genoux, je leurs fais le cul. Je bouffe. Je lèche. Je suce. C'est enivrant sous les gémissements des coquines.
Je distribue deux orgasmes trop rapide. Il est 22 h. Nous ramenons Estelle. Séparation difficile. Cruelle. Et à mardi soir !

Bonne journée à toutes les coquines qui retrouvent aujourd'hui leurs universités, leurs bureaux ou leurs amants...

Julien - (Qui écoute les derniers ressentis de Clémentine qui s'endort, serrée contre lui, dans un lit bien douillet) -

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La rentrée de ce second trimestre

Hier matin, lundi, il est 5 h55, lorsque la 5ème de Beethoven nous arrache cruellement de nos profonds sommeils. Dur.
< Oh Put-Hein ! > s'écrie Clémentine en s'allongeant sur moi pour éteindre la musique sur ma table de nuit. Et lourde.
Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Les 5 premières minutes, on est un peu comme des zombis.
Nous revêtons nos tenues de gym avant de dévaler les escaliers jusqu'à la cuisine pour y préparer notre petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine se réjouie. Pressée d'en découdre. D'affronter ses cours.

Nous remontons afin de nous offrir notre heure de gym. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et les abdos.
Intensité maximale avant la douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine. C'est parfait.
Elle me rejoint chaudement vêtue. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Dernier coucou. Je me dépêche de rentrer.
Je fais notre lit et notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un beau feu dans la cheminée. L'endroit est accueillant.
Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette en chantant "Harvest Moon" de Neil Young. Il est déjà 8 h20.

J'attaque ce matin la dixième toile destinée à ma saison d'été. La seconde scène de genre à trois personnages. Superbe.
Je peins dans un enthousiasme proprement délirant. Livré corps et âme à ma passion dévorante je plonge dans la joie.
C'est toujours au bout de quelques temps sans peinture que je prends conscience à quel point elle me manque. Sympa.
Je pousse les cris les plus surréalistes que je module longuement. C'est fantastique. Dehors, le jour se lève. Il fait clair.
Il y a même le soleil dans le froid glacial. Il est aux environs de 10 h quand résonne la musique imbécile du smartphone.

Je le tire du fond de la poche de ma blouse assez contrarié. C'est Julie. Quelle joie de l'entendre. Elle n'a qu'une minute.
Elle m'appelle des toilettes de l'université, entre deux cours, pour me confirmer sa venue ce soir pour partager le repas.
Je lui avoue que nous aussi, cela nous remplira de joie. Nous nous saluons avant de raccrocher. De quoi se réjouir. Bon.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je fais cuire de beaux brocolis lavés.
Je lave une grosse endive pour la salade. La pâte feuilleté sortie du congélateur ce matin a décongelé. C'est pour ce soir.

Je concocte une sauce au gruyère dans laquelle je rajoute le brocolis égoutté. Je verse sur la pâte étalée dans un moule.
J'enroule la pâte comme un cake. Je mets au four. Cuisson 45mn, thermostat sur 5. Le riz pour midi a gonflé. Bien cuit.
Je rajoute un peu de sauce aux brocolis et je mange de bon appétit en essayant d'écouter des informations inquiétantes.
La vaisselle. Je mets mon anoraks pour aller faire quelques pas dehors. Le fond de l'air est frais et le fond de l'air effraie.
Les nouvelles entendues à la radio ne sont pas rassurantes pour le monde. Je ne m'attarde pas dans l'introspection. 13 h.

Je rentre. Je vais dans l'atelier. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la parfaite sérénité.
Cette seconde séance m'entends pousser mes cris d'animaux qui n'existent pas. Et avec la même vigueur que ce matin.
Abstrait dans ma peinture figurative, je ne perçois plus le temps qui passe. Aussi, il est très rapidement 16 h30. Super.
Clémentine rentre de cours. J'anticipe. Je pose ma palette et mes pinceaux sur la desserte à ma droite. Je fais bien. Joie.
Clémentine se précipite en s'écriant : < Je t'aime ! >. Elle s'assoit sur mes genoux, m'enserre de ses bras autour du cou.

Clémentine me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire et les confidences d'Estelle.
Elles passent toutes les deux les 45mn du repas ensemble. J'écoute avec soin. C'est mon lien avec le monde extérieur.
Clémentine a encore du travail. La voilà installée devant l'ordinateur entourée de ses fiches. Nous travaillons en silence.
Nous adorons ces moments de concentrations communes. Parfois l'un se lève pour venir faire des bisous à l'autre. Joie.
< Put-Hein, ce soir, ras-le-bol ! > s'écrie soudain Clémentine derrière moi. Il est presque 18 h30. Il est temps d'arrêter.

En même temps que nous rangeons nos affaires, résonnent les premiers bruits étranges à l'étage. C'est notre fantôme.
Ce soir, ce sont des grincements de portes qu'on ouvre et qu'on referme à de multiples reprises. Des errances pénibles.
Tout cesse aussi mystérieusement que cela a commencé au bout d'une dizaine de minutes. C'est toujours très étrange.
Nous restons devant la cheminée à regarder la danse des dernières flammes. Clémentine allongée, tête sur ma cuisse.
Je lui caresse les cheveux. Elle revient sur la partouze de jeudi soir, chez les Wong, à Edimbourg. Et un certain malaise.

Clémentine m'a déjà raconté en détail ce qui s'est passé avec le couple Wong et un parfait inconnu. Elle aime en parler.
Je la rassure. En ce qui me concerne, de savoir qu'elle profite de ses 22 ans pour s'offrir tous les plaisirs, m'enchante.
Pourtant, malgré l'intense excitation de ces moments très particuliers, Clémentine me confie vouloir se calmer un peu.
< C'est tellement intense. C'est source de certaines confusions intimes. Je dois faire le net dans ma tête ! > me dit elle.
Elle sait pouvoir compter sur moi pour l'y aider. Clémentine préfère en rester à ce qu'elle aime vraiment. Les fellations.

Il est 19 h. Nous quittons l'atelier. Clémentine reste serrée contre moi. Elle me dit : < Je veux juste sucer Mr Gérard ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine qui découvre le repas de ce soir en poussant un cri d'émerveillement.
Notre feuilleté de brocolis est au four. Il suffit de réchauffer le reste de riz, de préparer la salade et son assaisonnement.
C'est rapide. Nous mettons la table au salon. Clémentine allume les trois grosses bougies du chandelier. Seule lumière.
< Sors ta queue. J'ai besoin de spectacle ce soir. Sois encore plus salaud que d'habitude. Julie vient pour ça ! > dit elle.

Clémentine s'accroupit pour m'extraire la bite. Elle en hume les effluves parfumées de ma journée d'homme. Ça fouette.
A peine s'est-elle redressée que résonnent les trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. J'ai la queue toute molle.
Clémentine revient suivie de Julie toute contente d'être avec nous. Elle se précipite. Nous nous serrons la main. Superbe.
Ce soir, Julie a un élan. Nous nous faisons même la bise. Pudique, elle fait mine de ne pas avoir remarqué ce qui pend là.
J'adore quand les filles ont cette attitude complice. Julie a ses longs cheveux noués en une natte très élégante. Brillante.

Elle est vêtue d'un jeans, d'un pull et de bottines. Elle porte ses lunettes. Son look d'étudiante en Lettres Modernes. OK.
Je propose aux filles de s'installer. Je fais le service. < Pas question. Je ne vous lâche pas d'une semelle ! > me fait elle.
Elle pose enfin ses yeux sur la bite qui pend lamentablement de ma braguette. Je bande mou. Elle a un adorable sourire.
Ce regard par en dessous, avec un sourire suggestif, qu'ont les filles coquines dans des situations troublantes, excitantes.
Nous allons à la cuisine en même temps que résonne la sonnerie du four. Julie découvre notre repas. < Miam ! > dit elle.

< N'allez pas vous brûler ! > lance t-elle encore en montrant mon sexe de son index pointé. Nous en rions de bon cœur.
C'est Clémentine qui sort le feuilleté du four. L'odeur achève de nous faire mourir de faim. Julie remue la salade. Sympa.
Nous emmenons les plats au salon. Clémentine va au buffet pour en ramener le grand verre ballon pour le poser. Super.
Julie s'en saisis. Elle le dépose près de son assiette. Elle me fait un clin d'œil hyper vicelard. Clémentine me fait du pied.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Julie nous raconte les deux réveillons passés à bosser au restaurant.

Celui de Noël était très particulier. C'est une association qui avait réservé toutes les tables pour soixante huit personnes.
L'ouverture à Noël reste exceptionnelle. Mais nécessité fait loi. Le réveillon du 31 a fait le plein complet. Et 72 personnes.
< Nous étions à quatre serveuses. Des "extras". C'était hard ! > fait Julie. Quelques anecdotes croustillantes, amusantes.
< J'ai eu mon vicieux à Noël ! J'en ai eu deux le 31 au soir. Dont un qui n'avait aucune retenue. Un "maître ! > fait Julie.
Le type qui lui a montré sa bite dans l'escalier qui descend aux toilettes. Puis carrément dans le restaurant discrètement.

Mais avec la quantité de travail, la course continue, il était bien évidemment hors de question d'entrer dans un des jeux.
Nous racontons nos aventures écossaises. Nous évitons de parler des films que nous y avons réalisé. Ou de la partouze.
Par contre Clémentine raconte nos petites frasques exhibitionnistes. Julie qui n'est que voyeuse, s'amuse de ces choses.
Ce qui ne l'empêche pas de poser des questions. Les situations salaces ne sont pas sans susciter ses plus vifs intérêts.
Julie en arrive à notre projet. Clémentine veut tenter l'expérience de la "serveuse". Un soir, au restaurant, et avec Julie.

Je me lève pour agiter mon sexe dans la direction de Julie tout en écoutant les explications qu'elle fourni à Clémentine.
Le mois de janvier connaît la plus faible fréquentation de l'année. Surtout en début de semaine. Le mardi et le mercredi.
< Le mardi 21 janvier, nous avons une réservation. Huit personnes. Des commerciaux venant de Paris ! > lance Julie.
Elle rajoute : < Les mecs en costumes cravates font parfois preuve d'un raffinement vicelard tout à fait exceptionnel ! >
Elle s'y connait. Julie propose donc cette date à Clémentine pour tenter sa toute première expérience. C'est génial. Bien.

Tout en parlant, Julie observe mon comportement. Elle fait : < Le mec du 31, faisait ça au restau, sous sa serviette ! >
Clémentine est évidemment ravie. A tel point qu'elle avoue son excitation à Julie. Nous en rigolons comme des bossus.
Julie propose tout de même un premier moment d'essai. < On ne s'improvise pas serveuse ! C'est exigeant ! > fait elle.
Elle propose donc de venir tôt dans la soirée afin de saisir les rudiments du métier et de pouvoir jouer le mieux possible.
Nous fixons l'heure. Je propose de venir pour 18 h30. < C'est l'heure où je fais la mise en place ! > précise encore Julie.

La date et l'heure sont arrêtées. Clémentine ne peut cacher son trouble, son excitation et son enthousiasme. Génial.
Julie se saisis du grand verre ballon. C'est un verre à sangria de teinte ambrée. Du verre bullé de Biot. Très élégant.
Elle me fixe pour la première fois avec insistance d'un étrange regard. Cette conversation l'a excité considérablement.
Je contourne la table sous le regard des deux filles. Clémentine se lève pour s'accroupir aux côtés de Julie. J'approche.
Je suis debout sur la droite de Julie qui place le verre qu'elle tient des deux mains, sous ma braguette. Je bande mou.

Nous retenons tous les trois nos respirations. En apnée. Julie reprend son souffle de façon sonore. Très excitée. Joie.
J'entends Clémentine pousser un profond soupir en reprenant sa respiration. Je me concentre fort et avant l'érection.
Je lâche un jet de pisse. Julie rapproche bien le verre afin qu'aucune goutte ne gicle à côté. Un second jet. Net. Précis.
Julie fait tourner le verre délicatement. Il y a du liquide séminal qui perle à l'orifice de mon méat. Visqueux et gluant.
Julie frotte la paroi interne du verre contre mon prépuce pour en faire couler le jus. Juste le bout est décalotté. Super.

Son visage tout près du verre, Julie observe en retenant sa respiration. Elle reprend sa respiration. Le souffle court.
Je lui présente la bite que je tiens à sa base entre le pouce et l'index. Je bande à présent bien dur. Le démonte pneu.
Julie n'aurait qu'à se rapprocher d'une trentaine de centimètres pour pouvoir en profiter. Je la sens hésiter. Tentation.
Depuis le temps que je lui propose de gouter enfin à mon sexe. Clémentine observe mon sexe avec envie. Désireuse.
Je décalotte mon gland. L'odeur est forte. Les petites particules grumeleuses qui macèrent dans de le jus opalescent.

Julie a un mouvement de recul. Je la vois faire une grimace. Elle consulte Clémentine du regard. Et elles s'observent.
L'odeur est forte. Je décalotte complètement le Zob. Et ce qui colle à la base du gland évoque une fondue savoyarde.
Julie lève la tête pour m'interroger du regard. Je lui dis : < Goute ! C'est du Parmezob ! >. Elle fixe ma queue. Dure.
< Je peux pas ! > fait la jeune fille dans un soupir. Pourtant, elle frotte à nouveau la paroi interne du verre. Fromage.
Elle recueille minutieusement toute la crème en faisant tourner le verre. C'est une vicieuse. Nous le savons. Superbe.

La coquine m'a nettoyé toute la base du gland. Le fromage est collé sur tout le périmètre du haut du verre. Fromage.
Julie tend le verre à Clémentine qui se met à le lécher, à bouffer, jusqu'à le rendre propre. Sans faire couler la pisse.
C'est impressionnant de voir Julie scruter avec l'attention d'une entomologiste. Je lui présente une nouvelle fois le Zob.
Visiblement, même si je vois bien qu'elle en meure d'envie, la jeune fille ne peut surmonter ses inhibitions. Timidité.
Je n'insiste pas puisque Clémentine s'empare de ma queue pour la sucer comme si sa vie en dépendait. Julie observe.

J'éjacule. Clémentine montre l'intérieur de sa bouche à Julie. Je lui dis : < Tu vois, ça pourrait être pour toi, Julie ! >
Elle me fait un sourire contrarié avant de me répondre : < J'ose pas ! Il faut m'aider ! > Je demande : < Te forcer ? >
Elle ne répond pas mais je crois que je viens de comprendre. Une fois encore, Clémentine à vu juste. C'est ça le truc.
Nous débarrassons. Julie insiste pour faire la vaisselle avec nous. Il est 22 h15. Nous la raccompagnons à sa voiture.
< Merci ! C'était génial ! > nous fait elle en entrant dans l'auto. Nous la regardons partir. Nous montons nous coucher.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver chez leur couple d'amis dont le mec est un vrai salopard...

Julien - (Qui écoute les dernières recommandations de Clémentine. La pipe, ce sera après l'expérience du restau. Sûr !)

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