Elle tient ma bite pour en diriger le jet contre un mur -

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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Nous voilà en présence du second chapitre de notre passionnante et belle étude encyclopédique.
Avec plus de 400 textes et récits, l'accès aux rubriques du premier chapitre devenait complexe.
Il m'a donc semblé préférable de continuer cette fantastique aventure avec une suite aérée.

Gardons présent à l'esprit que le sexe sans humour devient rapidement d'une tristesse infinie.
Bien évidemment, personne n'est obligé de lire ce qui ne l'intéresse pas. Il est simple d'ignorer.
Mes petits récits, qui ne sont que de l'écume et sans conséquences, se veulent plein de dérision.

Le premier chapitre est destiné à disparaître dans les limbes de ce forum, en page 2, puis en page 3, etc...
Il sera donc toujours possible aux lecteurs érudits, désireux de se cultiver, de retrouver ce premier chapitre.
Il suffit de cliquer sur ce lien : [www.bobvoyeur.com]

Merci aux lecteurs pour leur fidélité. Bonne découverte...



Elle tient ma bite pour en diriger le jet contre un mur

Ma compagne attend toujours le début septembre. C'est le début de sa saison préférée. Elle s'empare alors de mon Zob.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur. Elle est animée de ce désir de réaliser un chef-d'œuvre ultime.
Un de ces chef-d'œuvres que découvrons ci-dessous et intitulé : < Vision éthérée d'un premier septembre >

< Vision éthérée d'un premier septembre > - Chef-d'œuvre du Vendredi -

Pour découvrir notre merveilleux chef-d'œuvre du jour, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus...

< Sans déconner, c'est quoi, ça schlingue ? > me demande t-elle, perplexe...

HISTOIRE DU VENDREDI

< Les aventures de Clémentine >

J'arrive chez Clémentine de bon matin. Je gare ma mobylette. La jeune fille m'embrasse en m'entraînant à l'intérieur.
Là, dans le vestibule, Clémentine me met un bandeau sur les yeux. Elle me prend par la main et m'entraîne au salon.
< Descends ton short hawaïen et ton slip kangourou, s'il te plaît ! > me demande Clémentine en me pinçant les fesses.
Je m'exécute. Un tonnerre d'applaudissements honore ma prestation. Clémentine me retire le bandeau. Quelle surprise !
Là, dans le salon, il y a Julie, Solène, Eva et Clémence. Les filles sont revenues de vacances. Elle paraissent contentes.

Le short et le slip baissés sur les chevilles, les mains maintenues derrière le dos par Clémentine, je suis un peu gêné.
< Bonjour mon salop ! Tu as passé de bonnes vacances ?> fait Julie, me serrant les couilles et en me faisant la bise.
< Bonjour mon vieux cochon ! C'était bien avec Clémentine ? > fait Solène en tirant sur ma bite, tout en m'embrassant.
< Bonjour mon dresseur de saucisse préféré ! > me fait Eva en s'accroupissant pour la renifler, en profitant pour pisser.
< Bonjour vieux dégueulasse ! > me fait Clémence en me branlant un peu tout en fouillant ma bouche de sa langue.

Ces retrouvailles sont "touchantes". Me voilà bêtement ému, la larme à l'œil. Les filles sont revenues de leurs vacances.
Chacune me raconte quelques anecdotes amusantes, coquines et souvent bien vicelardes. Clémentine me tient très fort.
< Toi, tu es à moi, je te garde et je te surveille ! > me chuchote t-elle à l'oreille. J'écoute les histoires avec attention.
< On peut goûter à ta saucisse du jour ? On ne sait plus comment c'est, ni le goût qu'elle a ! >,font les filles en cœur.
Je déballe un superbe boudin noir ! Immédiatement l'odeur envahie l'espace. Avec la chaleur, il y a du jus qui dégouline.

< Put-Hein, du boudin ! > me font les filles en riant ! Clémentine agite mon boudin noir devant le nez des filles ravies.
Les filles sont accroupies et hument les effluves parfumées de mon boudin en poussant des petits cris de ravissement.
Julie goûte la première. < Put-Hein, il a encore laissé de son fromage, au bout ! > dit-elle. Puis, c'est au tour de Solène.
< Tient, voilà du boudin ! > fait-elle en savourant longuement. < Ce vieux salop a laissé de son fromage ! > fait-elle.
Eva et Clémence goûtent à leur tour. Clémentine leur tend à toutes une serviette en papier pour s'essuyer le jus épais.

Les filles ont du jus de mon boudin noir qui leur dégouline jusque sur le haut de leur T-shirt Benetton ou Ralf Lauren.
Clémentine se blottie contre moi, secouant les dernières gouttes et précise : < A présent, le créateur mural est à moi ! >
Julie, un peu déçue, demande : > On pourra venir goûter la saucisse, parfois ? > Clémentine dit : < C'est exclu, nada !>
Solène déçue fait : < C'est dommage, ses saucisses étaient goûteuses ! > Eva rajoute : < Sans évoquer le fromage !>
Clémence conclue en essuyant une larme : < C'est dommage ! De la saucisse de qualité avec un fromage artisanal ! >...

Bon boudin noir au fromage à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -





Je clique sur les belles images pour découvrir le poème merveilleux de ce début septembre...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Lorsqu'elle me sort le Zob, en me regardant par en-dessous, avec une certaine gravité, je la sais habitée de créativité.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle me secoue les dernières gouttes pour son chef-d'œuvre.
Un de ses chef-d'œuvres que nous découvrons ci-dessous : < La création murale, est-elle d'une évidence spéciale ? >

Notre Création Murale du vendredi 2 septembre, par 21°, vers 20 h35

< Douceur d'un soir de septembre > - Chef-d'œuvre du samedi -

Pour découvrir notre merveilleux chef-d'œuvre du jour, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus...

< C'est curieux ces petits bouts d'omelette, collés, au bout ! > me fait-elle...

HISTOIRE DU SAMEDI

< La création murale, est-elle d'une évidence spéciale ? >

Hier, vendredi, dans la matinée, j'arrive chez Clémentine. Je gare ma mobylette dans le jardin. Elle se précipite, ravie.
< Viens vite, nous préparons notre pique-nique d'aujourd'hui ! > fait-elle en m'entraînant par la queue dans la cuisine.
< Julie viendra nous rejoindre à la petite chapelle, tu sais, où on va parfois ! > dit Clémentine, préparant les salades.
Je prépare les sandwichs à la saucisse. Lorsque nous avons terminé, je dispose le tout dans le petit panier en osier.
J'accroche le panier au guidon de la mobylette. C'est moi qui conduis. Clémentine est assise derrière. Elle me tient.

Pendant que je roule, Clémentine a passé ses mains dans mon short hawaïen. Elle me tripote la bite et les couilles.
J'arrive à la petite chapelle. Je mets les tupperwares dans l'eau fraîche du ruisseau. Clémentine étend la nappe vichy.
< Tu as apporté quoi comme saucisse, pour l'apéro ? > me fait la jeune fille. Je déballe un splendide boudin blanc.
< Oh put-hein, du boudin, ça va être bien ! > me fait Clémentine. Nous éclatons de rire. Voilà Julie qui arrive en vélo.
< Bonjour les coquins ! > fait-elle en nous faisant la bise. Elle est vêtue d'une jupette comme Clémentine. Super sexy.

Julie me regarde en riant. Clémentine est entrain de secouer le boudin blanc qui colle un peu dans son emballage gras.
Avec cette chaleur, il y a du jus qui suinte. < C'est quoi les petits trucs jaunâtres qui collent, au bout ? > me fait Julie.
Je lui révèle la nature de ce qui colle au bout. < Toujours du fromage "maison" ! > répond Clémentine en secouant.
Julie se rapproche, se penche en avant, s'accroupit pour scruter de près et pour en renifler les effluves parfumées.
< C'est épouvantable et ça sent vraiment très fort ! > fait Julie avant d'y goûter. Clémentine exerce quelques pressions.

< La dernière fois que tu as goûté à sa saucisse, c'était début juillet, tu te souviens ? > demande Clémentine à Julie.
Julie, déglutissant avec peine, avec du jus qui lui dégouline sur le menton, dit : < Oui, c'était déjà bien dégueulasse !>
Nous rions de bon cœur. J'en profite pour faire pipi. Clémentine tient toujours le boudin qui coule, de sa main ferme.
Julie savoure en gémissant. Clémentine passe sa langue en me fixant de son regard particulier. C'est la dégustation.
< N'oublies pas ! Ce soir tu fais l'animation à la soirée "Filles" pour l'anniversaire de Séverine ! > me fait Clémentine...

Bonne dégustation à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -





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Les Chef-d'œuvres de la création murale

Chers amis

Bonjour
Il n'est pas rare qu'un petit coup de Blues vienne inspirer ma compagne. Elle s'abstrait alors dans la création murale.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur. Concentrée, virtuose, elle réalise alors une vraie merveille.
Un chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < La création murale, le dimanche matin, c'est un régal >

Notre Création Murale du samedi 3 septembre, par 21°, vers 20 h28

< Légèreté d'un soir de septembre > - Chef-d'œuvre du dimanche -

Pour découvrir ce chef-d'œuvre inestimable, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Nous sommes alors émerveillés...

< J'aimerais te regarder. J'aimerais que tu me regardes ! > me demande t-elle...

LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue et plus belle parce que c'est dimanche) -

< J'assure ma soirée "Chippendale" chez Séverine >


Clémentine a beaucoup insisté pour que j'arrive un peu en avance. < L'idéal serait 19 h30 ! > me précisa t-elle.
Je suis un homme ponctuel. J'arrive à l'heure convenue en cette fin d'après-midi de ce chaud samedi d' août.
Clémentine est accompagnée de Séverine. Les deux filles me proposent de passer ma mobylette par la cave.
Comme toujours, ce seront les WC qui feront office de loge. Là, je peux me changer, me préparer et faire pipi.
J'apporte les deux sacoches que j'ai décroché du porte-bagages de ma mobylette. Elles contiennent mes affaires.
Je me change. Séverine me passe mon costume de Président de la République. Ce sera mon premier déguisement.

Les deux filles m'observent avec attention. Admiratives et subjuguées. < C'est parfait ! > m'affirme Clémentine.
< C'est très élégant et tu le portes très bien ! > confirme même Séverine en fermant la ceinture de mon pantalon.
Me voilà prêt pour la première partie du spectacle. Il y aura une quinzaine d'étudiantes de la Fuck de médecine.
Séverine donne cette soirée pour ses amies. Elle fête ses 19 ans. C'est donc un anniversaire très important.
Les invitées arrivent. A 20 h15 toutes les filles sont présentes. Clémentine me laisse car elle fait disc-jockey.
J'entends résonner "LA MARSEILLAISE". Je me précipite. J'arrive sur ma mobylette pétaradante. Effet solennel.

Derrière, assise sur le porte-bagage, Séverine porte le masque de Julie Gayet. Un tonnerre d'applaudissements.
Sur l'estrade, Clémentine a préparé une tribune présidentielle avec le drapeau, le micro et même un parapluie.
Je grimpe sur la scène. Je porte mes palmes de plongée. Je m'approche de la tribune en faisant mon Moon-Walk.
La musique s'arrête. Clémentine s'empare du micro et commente : < Chère citoyennes, bonsoir à toutes ! >.
Clémentine me prend par l'épaule et dit : < Je vous présente le Créateur Mural, c'est le monsieur des Saucisses ! > .
C'est un véritable tonnerre d'applaudissements. Les filles crient : < La saucisse ! La saucisse ! On veut la goûter ! >.

Sur un fond musical très classique je commence mon discours présidentiel. C'est un grand moment de gravité. Solennel.
J'ai choisi de m'exprimer en Hollandais. En effet, le néerlandais permet de rester incompris partout en Europe. Super.
Je commence par une introduction historique. J'évoque des François. François 1er. Claude François ou le pape François.
Grâce à un trucage habile, ma cravate se met de travers. De la pluie commence à tomber. Mes lunettes s'embuent.
C'est sur "Si j'étais Président" de Gérard Lenormand que le spectacle commence vraiment. C'est un véritable triomphe.
Chaussé de mes palmes de plongée, parcourant la scène de gauche à droite, je chante, tout en faisant mon Moon-Walk.

Des filles se mettent à danser. L'une d'entre elles monte sur la scène. Elle veut m'arracher ma cravate de Président.
La situation dégénère. Je suis victime de mon succès. Une autre fille veut tirer sur mon pantalon de Président. Trouille.
Il suffit de quelques minutes pour me retrouver en slip kangourou, en palmes. Décoiffé. On m'a tout arraché, déchiré !
Clémentine m'entraîne vers les cabinets. Nous fermons la porte à clef. Les filles tambourinent contre l'huis. Fortement.
C'est la panique. Je me change. Pendant que je fais pipi, Séverine met la ficelle de mon string bien en place. Mouillée.
Je porte mon string doré à paillettes argentées à l'envers, avec la ficelle devant. Séverine éprouve donc des difficultés.

Dehors, tout s'est calmé. Chaussé de mes bottes en cuir noir à talons hauts, je reviens pour assurer la seconde partie.
J'attaque par "Que je t'aime" de Johnny Hallyday. Juste vêtu de mon string à l'envers, l'effet est vraiment "GLANDIOSE".
< La saucisse ! La saucisse ! On veut la saucisse ! > hurlent les filles qui veulent s'en saisir. De véritables furies. Fou !
On m'arrache mon string,. J'ai à peine le temps de sauter dans les bras de Clémentine et de Séverine. J'ai très peur.
Nous courrons aux toilettes pour nous y enfermer. Les filles tapent fort contre la porte en hurlant : < La saucisse ! >
Je me change. Séverine m'enfile mon collant rose pendant que Clémentine me fixe la grande plume derrière. Vaseline.

Je suis chaussé de mes escarpins noirs à talons hauts. Je saute sur la scène. J'attaque avec une douce romance. Belle.
Je chante "Yesterday" des Beatles tout en levant la jambe pour un French-Cancan endiablé. C'est un véritable triomphe.
Dans l'assistance, rapidement, le bordel recommence. C'est le délire, les cris, les hurlements. A nouveau la vraie folie.
Des filles m'attrapent par la grande plume et m'attirent au sol. L'une d'entre elles arrache mon collant rose. Déchiré.
< La saucisse ! La saucisse ! > hurlent-elle en la saisissant à pleine main. Il fait chaud, elle est très gluante et glisse.
< C'est quoi, au bout ? On dirait du fromage ? > me demande l'une d'elles avant de la renifler en se pinçant le nez.

Heureusement, Clémentine, mon "Manager", me tire de cette situation désespérée. Elle repousse les filles avec force.
Nous filons aux WC. < C'est quoi au bout de la saucisse ? > nous crie une de ces furies en essayant de nous rattraper.
< C'est du fromage "Président" ! > répond sèchement Séverine avant de claquer la porte au nez de la furieuse. Sauvé !
Nous attendons que le calme revienne. Je m'habille de mon costume Présidentielle. Il est temps d'y retourner. Le show.
Je termine le spectacle par un discours en dialecte Hollandais du XIX ème. Le Hollandais amusera toujours le public.
< La saucisse ! La saucisse ! > crient les filles en applaudissant. < Oh là, ça va pas recommencer ! > gueule Séverine.

Pendant que Clémentine ramasse les petites culottes et passe la serpillère sous les chaises, c'est la séance photos.
Entouré des filles qui me tiennent un peu partout, j'agite jésuitiquement ma belle saucisse de Morteau au fromage.
Le rituel dure cinq minutes. Avec la chaleur, il y a du jus de saucisse qui dégouline un peu partout. Même sur les T-shirt.
Nous voilà enfin seuls, Séverine, Clémentine et moi. Nous procédons aux dernières modalités. Le chèque. Le contrat.
< Je peux goûter la saucisse de Morteau au fromage "Président", monsieur le Président ? > me fait Séverine en riant.
La soirée se termine par une dégustation. Il est déjà minuit. Le sol est sec et les culottes mouillées à la poubelle.

< Samedi prochain tu animes la soirée chez Emeline ! J'ai signé le contrat ! > me fait Clémentine en m'embrassant.
Pendant mes prestations "Chippendales", Clémentine, en parfaite femme d'affaire, trouve de nouveaux contrats juteux.
Clémentine, mon "Agent Artistique, mon "Manager", dit : < Et je te prie de ramener une saucisse qui sent moins fort !>

Tous droits réservés - © - 2016 -

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -





Pour que la magie de cette belle histoire continue encore un peu, je clique sur les belles images ci-dessus...

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Les Chef-d'œuvres de la création murale

Chers amis

Bonjour
En ce dimanche au climat plutôt morose, ma compagne s'est exercée à la création murale. Avec mon Zob à la main.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre un mur. Entraînant ainsi sa virtuosité et créant un chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < La création murale, restera t-elle dans les annales ? >

Notre Création murale du dimanche 4 septembre, par 19°, vers 20 h30

< Parfums d'une soirée de septembre > - Le Chef-d'œuvre du lundi -

Pour découvrir ce merveilleux chef-d'œuvre, il suffit de cliquer sur son image, ci-dessus...

< C'est quoi, au bout ? Du fromage fondu ? > me demande t-elle, en souriant...

HISTOIRE DU LUNDI

< La création murale, restera t-elle dans les annales ? >

Hier matin, dimanche, j'arrive chez Clémentine de bonne heure. Il fait gris et le ciel est bas. Elle vient me recevoir.
Clémentine m'embrasse et me dit : < Tu as vu ce temps pourri ? On va chez Julie, tu veux ? >. Je gare ma mobylette.
Nous sommes assis à la cuisine. J'ai apporté des croissants. Nous prenons notre petit déjeuner. Nous bavardons un peu.
< Tu as apporté une saucisse ? Parce qu'on ne vas aller chez Julie avec les mains vides ! > me demande Clémentine.
Je la rassure. J'ai emmené du boudin. < Super ! Elle pourra dérouler du boudin ! > fait Clémentine en éclatant de rire.

< Demain, je prépare les photographies de ta prestation "Chippendale" de samedi soir ! > me fait encore Clémentine.
Nous terminons notre petit déjeuner. Il est décidé de prendre la vieille bagnole de Clémentine à cause de la météo.
Nous arrivons chez Julie. La jeune fille nous reçoit au salon. Elle est vêtue d'une jupe, d'un sweat-shirt et d'escarpins.
Clémentine a prévu la même tenue. Les deux filles sont délicieusement sexy. Elle se montrent leurs vêtements en riant.
< Tu as une cuvette ? > fait Clémentine à l'adresse de Julie qui se dépêche d'en chercher une dans sa salle de bain.

Julie me fait un clin d'œil en posant la cuvette au milieu du salon. Clémentine s'accroupit au-dessus et se met à pisser.
< Tu as de la saucisse ? > me demande Julie. Je déballe mon superbe boudin qui est enroulé sur lui-même et gluant.
< Je peux le dérouler ? Tu permets ? > me demande Julie en se mettant à genoux devant le canapé où je suis assis.
< Clémentine lâche de tous petits jets de pisse afin de faire durer notre joie de la regarder. Elle s'exhibe avec bonheur.
< Put-hein, c'est quoi l'odeur, su-BITE-ment dans mon salon ? > fait Julie en reniflant mon boudin qui se déroule seul.

< On dirait du "Chaussée-aux-Moines", au bout, le truc gluant et pâteux ! > fait Julie, raclant avec l'ongle de son index.
Julie goûte son doigt après l'avoir reniflé. Elle fait la grimace. Clémentine vient nous rejoindre. Elle passe derrière moi.
Elle secoue mon boudin afin de le dérouler complètement. Evidemment, ça gicle un peu car il y a du jus qui dégouline.
Julie se met à déguster en gémissant. < C'est goûteux, hein, petite salope ? > fait Clémentine en secouant le boudin.
Julie n'est pas partageuse. Elle s'empiffre le boudin. Je promets à Clémentine qu'elle en aura aussi, dans l'après-midi...

Bonne dégustation à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




Je clique sur ces merveilleuses images afin de découvrir le poème délicat de ce lundi un peu morose...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Nous le savons bien, depuis tout ce temps, ma compagne est une authentique artiste. Elle aime s'emparer de mon Zob.
Elle aime me tenir la bite pour en diriger le jet contre un mur. Elle apprécie de se livrer à la création de chef-d'œuvres.
Nous en découvrons un exemplaire ci-dessous : < La création murale, est-elle un chef-d'œuvre fondamental ? >

Notre Création Murale du 5 septembre, par 20°, vers 20 h28

< Caresse d'une soirée de septembre > - Le Chef-d'œuvre du mardi -

Pour découvrir ce Chef-d'œuvre, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec ce désir fou de regarder de l'Art...

< C'est épouvantable comme ça schlingue, mais c'est si bon ! > me dit-elle...

HISTOIRE DU MARDI

< La création murale, est-elle un chef-d'œuvre fondamental ? >

Hier matin, lundi, j'arrive chez Clémentine vers 8 h. A peine ai-je garé ma mobylette que la jeune fille m'entraîne. Ravie.
Elle me prend par la queue pour m'attirer dans le salon. Sur la table, je découvre les images sur l'écran de l'ordinateur.
< Regarde, ce sont les photos de ta prestation "Chippendale" de samedi soir ! > fait Clémentine en cliquant la souris.
Je vois défiler les clichés. J'invite le lecteur à découvrir la narration de cette soirée dans la belle histoire du dimanche.
Sur les photos on me voit entouré des filles présentes. Au milieu on peut m'admirer agitant ma saucisse de Montbéliard.

Je dépose les croissants sur la table. Clémentine et moi, nous prenons notre petit déjeuner. Elle est belle dans sa jupe.
< Tout à l'heure, on file chez Solène. Depuis son retour de vacances, tu lui manques un peu > me révèle Clémentine.
La jeune fille vient s'assoir sur mes genoux. Je bois mon café avec précaution. Elle me fait des bises dans le cou, ravie.
< Tu as une saucisse ? Parce qu'il n'est pas question de venir chez Solène les mains vides ! > fait encore Clémentine.
Je la rassure. J'ai emmené une superbe saucisse de Morteau. < Wouah ! Avec du fromage ? > me fait-elle en souriant...

Avec la météo plutôt menaçante, nous partons chez Solène avec la vieille bagnole de Clémentine. Elle veut que je roule.
Je suis assis au volant, circulant à toute petite vitesse. A mes côtés Clémentine avec sa main dans mon short, tripote.
Nous arrivons chez Solène. Elle est vêtue d'une jupe, d'un fin pull en coton et porte des souliers noirs à talons hauts.
Solène nous fait entrer dans le salon. Elle nous raconte ses vacances en faisant défiler des photos sur l'écran de la télé.
On peut la découvrir avec Julie, Eva et Clémence. A tour de rôle elles sucent, elles baissent ou se font lécher le minou.

< Tu te trimballes toujours avec ta saucisse au fromage ? > me demande Solène. Je déballe ma saucisse de Morteau.
Elle est luisante car elle suinte un peu de son jus à cause de la température. < Put-Hein, cette odeur ! > s'écrie Solène.
Clémentine s'empare de ma saucisse de Morteau et la secoue longuement sous le nez de Solène. Des gouttes giclent.
Rapidement, tentée et en appétit, Solène se la déguste en gémissant. Je vois du jus qui lui dégouline sur le menton.
Clémentine, qui tient toujours la saucisse, me chuchote : < Je pourrais en avoir un peu, moi aussi, cet après-midi ? >

Bonne dégustation de saucisse à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Personne n'ignore plus les velléités créatives de ma compagne. Un mardi soir doux et la voilà qui me sort mon Zob.
Elle me tient alors la bite pour en diriger le jet contre un mur. Elle réalise ainsi un de ses merveilleux Chef-d'œuvres.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous : < La création murale est une création du créateur mural >

Notre création murale du mardi 6 septembre, par 21°, vers 20 h27

< Douceur de septembre > - Le Chef-d'œuvre du Mercredi -

< L'odeur de ton fromage est immonde ! > me dit-elle avant d'y goûter...

HISTOIRE DU MERCREDI

< La création murale est une création du créateur mural >

Hier matin, mardi, j'arrive chez Clémentine à 8 h. Elle se précipite pour me sauter au cou, s'entortiller autour de moi.
J'ai à peine le temps de garer ma mobylette dans le jardin que la jeune fille m'entraîne en me prenant par la queue.
< Viens vite, on se prépare la bouffe pour aller en pique-nique. On passe récupérer Eva chez elle ! > me fait-elle.
Clémentine est vêtue de sa robe ample et légère. Elle tournoie sur elle-même pour me montrer l'absence de culotte.
Je la félicite tout en préparant nos sandwichs à la saucisse à jus. J'y dépose des petites tranches de fromage odorant.

Lorsque nous avons terminé les préparations, je mets le tout dans le panier en osier. Il est décidé de partir en auto.
Clémentine me demande de rouler. Elle joue avec ma queue bien raide. Nous passons cherchez Eva qui nous attend.
Eva est également légèrement vêtue. Eva s'assoit derrière. < C'est quoi l'odeur ? > demande Eva en se pinçant le nez.
< C'est la saucisse ! > répond Clémentine en agitant ma saucisse à jus dont le fromage coule à cause de la chaleur.
< Put-Hein ! C'est immonde, ça schlingue, beurk ! > fait Eva en m'attrapant la queue par derrière. Je roule doucement.

Nous arrivons au bord de la mer. Nous montons sur les dunes. Nous sommes assis sur nos plaids. Il fait déjà chaud.
Eva nous raconte ses vacances avec Julie, Solène et Clémence. Elle nous montre de belles photos sur son smartphone.
Sur les photos, on la voit sucer un japonais bourré qui tient la chatte à Julie en riant. Nous rions de bon cœur. Rigolo.
Clémentine se met à me tailler une pipe en gloussant de plaisir pendant que Eva continue de nous montrer des photos.
C'est le cliché où Eva suce un beau Black coiffé d'une casquette de Baseball en tenue de plongée qui nous fait rigoler.

< Tu as quoi comme saucisse ? > me demande Eva. Je lui montre ma saucisse à jus. Avec la chaleur elle suinte, colle.
< C'est quoi les petits morceaux jaunes, collés, au bout ? > demande Eva pendant que Clémentine agite la saucisse.
Avec l'ongle de son index, Eva racle un peu de la substance qui l'intrigue tant. < C'est dégueulasse ! > fait-elle, ravie.
Eva renifle, goûte, se met à savourer. Clémentine, accroupie un peu plus loin, m'offre le spectacle de quelques pissous.
Déglutissant avec peine, s'essuyant le jus sur le menton, Eva me sourit. < Tu m'en laisse un peu ? > fait clémentine...

Bonne saucisse à jus à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
C'est en me sortant le Zob d'une main ferme, que ma compagne m'entraîne au dehors. Elle me met devant un mur.
Hier soir, mercredi, me tenant la bite pour en diriger le jet contre un mur, elle réalisa un de ses chef-d'œuvres.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < La création murale, est-elle notre préférée, un régal ? >

Notre Création Murale du mercredi 7 septembre, par 22°, vers 20 h26

< Subtilité d'un soir de septembre > - Un de nos merveilleux Chef-d'œuvres -

< Tu es plutôt cradingue comme mec ! > me dit-elle avec un clin d'œil...

HISTOIRE DU JEUDI

< La création murale, est-elle notre préférée, un régal ? >

Hier matin, mercredi, j'arrive chez Clémentine vers 8 h45. Je gare ma mobylette dans le jardin. Elle vient m'embrasser.
< Viens vite, on se prépare la bouffe pour notre pique-nique ! > me fait-elle en m'entraînant par la queue à la cuisine.
Clémentine porte sa robe d'été, légère et un peu transparente. Elle tournoie sur elle-même pour me montrer sa touffe.
< Lundi, j'ai ma rentrée à la Fuck de lettres. Il faut donc qu'on en profite encore un max ! > me fait-elle en rigolant.
Je lui demande qui est ce "Max" ! Elle se frotte contre moi en me disant : < Tu va voir, mon vieux salop, qui est Max !>

Je prépare les sandwichs à la saucisse et au fromage. Clémentine prépare les salades. Nous mettons tout dans le panier.
C'est Clémentine qui conduit la mobylette à toute allure. Moi, assis derrière, je me tiens fermement à ses poils pubiens.
Nous arrivons à l'orée de la petite forêt du Nevet. Je dispose les trois tupperwares dans l'eau fraîche de la petite rivière.
Clémentine étend la nappe à petits carreaux vichy dans l'herbe. Cuisses largement écartées elle me montre sa chagatte.
J'aime regarder cette merveille touffe fournie, broussailleuse et mystérieuse. Je sais tout ce qui s'y cache dans le noir.

< Tu as quoi comme saucisse, aujourd'hui, pour l'apéro ? > me demande Clémentine, à genoux dans l'herbe. Vicelarde.
Je déballe une superbe saucisse crue. Avec la chaleur, elle coule et le jus gras colle un peu dans le tissus d'emballage.
< Put-Hein l'odeur, su-BITE-ment ! C'est immonde ! > fait la jeune fille en respirant les effluves parfumées du machin.
< Et puis ce fromage gluant qui colle au bout ! J'en ai des hauts le cœur ! > rajoute t-elle en grattant le frome du doigt.
Elle renifle longuement son doigt avant de le sucer en me fixant de son regard troublant. < Délicieux ! > fait-elle, ravie.

Je regarde Clémentine entrain de se régaler, les yeux fermés, en gémissant. C'est beau, c'est hallucinant. C'est superbe.
< Regarde, là-bas, il y a "Max" qui se balade ! > fait-elle en serrant la saucisse tout en montrant du doigt vers le sentier.
Je lève la tête. Il y a un type qui mâte discrètement derrière un Dolmen. < Attends, je lui fait mon show ! > fait la fille.
Cuisses largement écartées, tournée vers "Max", tout en savourant la saucisse crue, Clémentine se lâche en gloussant.
L'inconnu semble comme hypnotisé. Je tiens la tête de Clémentine. Elle pisse par plusieurs jets. Le type s'en va étonné.

Bonne saucisse crue à toutes, à tous et à "Max"...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne, véritable artiste, aime à se saisir de mon Zob. Surtout lorsque je dois pisser. Elle me prend par surprise.
Elle me tient alors la bite pour en diriger le jet contre un mur. Ma compagne vise juste. Elle réalise là un chef-d'œuvre.
Un chef d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < La création murale dans un jet continu et fluvial ? >

Notre création murale du jeudi 8 septembre, par 22°, vers 20 h29

< L'été indien commence en septembre > - Notre Chef-d'œuvre du Vendredi -

< Jamais tu ne la laves, vieux salop ? > me demande t-elle en se pinçant le nez...

HISTOIRE DU VENDREDI

< La création murale dans un jet continu et fluvial ? >

Hier matin, jeudi, lorsque j'arrive chez Clémentine, elle m'attend sur le perron de la véranda. Je gare ma mobylette.
< Viens vite, on se prépare la bouffe pour partir en pique-nique ! > fait-elle en m'entraînant par la queue à la cuisine.
Je prépare nos sandwichs à la saucisse fumée. J'y dépose des petits bouts de fromage fondu, du beurre et moutarde.
Clémentine, en préparant les salades, soulève sa robe légère pour me montrer sa superbe touffe, épaisse et fournie.
C'est toujours un spectacle émouvant et plein de grâce. Clémentine, en parfaite écologiste, ne débroussaille jamais...

Je dispose le tout dans le petit panier en osier que je fixe au guidon de la mobylette. Comme toujours, Clémentine roule.
Comme toujours, moi, assis derrière, je me tiens aux poils pubiens de Clémentine. La jeune fille apprécie beaucoup.
Nous arrivons dans notre clairière favorite. Je mets les Tupperwares dans l'eau fraiche du petit ruisseau. Il fait chaud.
Clémentine étend la grande nappe bleue, à carreaux Vichy, dans l'herbe. Une fois encore, je peux admirer sa touffe.
< Tu as apporté quoi comme saucisse pour nous régaler, aujourd'hui ? > me demande t-elle en mimant une branlette.

Je lui déballe ma superbe saucisse fumée. < Put-Hein l'odeur encore ! > fait Clémentine en s'approchant pour la sentir.
Elle renifle longuement avec son air écœuré habituel. Je tourne doucement la saucisse sous le nez de la jeune fille.
< C'est quoi qui colle au bout, on dirait des petits morceaux de Gruyère fondu ? > demande Clémentine en goûtant.
Là, au bout du chemin, apparaît soudain un cycliste en VTT. J'avertis Clémentine qui est entrain de déguster la saucisse.
Le type s'est arrêté et a posé le pied au sol. Il enlève son casque et ses lunettes. C'est Julie ! Je la reconnais. Blague.

< Je t'ai bien eu, hein ? > me fait Clémentine en faisant "Coucou" de la main à Julie qui vient en poussant sa bicyclette.
< J'arrive au bon moment ! > fait Julie en me faisant la bise. < On a préparé le coup pour la surprise ! > me fait Julie.
Clémentine lui tend ma saucisse fumée ruisselante de jus en la secouant. Julie s'accroupit et se met à déguster, ravie.
Les filles se passent ma saucisse en riant. Du jus leur dégouline sur le menton. Elle se passe une serviette en papier.
Toutes les deux, accroupies devant moi, écartent leus cuisses pour lâcher deux jets absolument magnifique. Glandioses !

Bonne saucisse fumée à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Un vendredi soir chaud, doux, il n'en faut pas plus pour éveiller les velléités artistiques de ma compagne. Elle irradie.
Elle s'empare alors de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur. Elle commet un chef-d'œuvre.
Le chef-d'œuvre que nous découvrons encore ci-dessous : < Le créateur mural, tout comme Dali, fait du cérébral >

Notre création murale du vendredi 8 septembre, par 21°, vers 20 h26

< Enchantement d'un soir de septembre > - Chef d'œuvre de notre samedi -

Pour admirer toute la splendeur de cette œuvre, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Si on veut...

< L'odeur, et l'aspect, me donnent la gerbe ! > m'avoue t-elle écœurée...

HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural, tout comme Dali, fait du cérébral >

J'arrive chez Clémentine vers 8 h, hier vendredi matin. Je gare ma mobylette dans le jardin. La jeune fille m'embrasse.
Elle se saisie de ma queue. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Le mur mitoyen de Marcel, le voisin.
< Viens vite, on se prépare notre pique-nique et on fout le camps ! > me fait-elle en me secouant les dernières gouttes.
A la cuisine, je prépare nos sandwichs. Je beurre le pain et j'y mets la moutarde. Je dépose délicatement la saucisse.
C'est de la saucisse à jus avec un peu de fromage. Avec la chaleur qu'il fait déjà, le fromage gluant colle au jus gras.

Nous avons terminé la préparation. Je mets le tout dans le panier en osier que j'accroche au guidon de la mobylette.
C'est Clémentine qui pilote l'engin. Je suis assis derrière elle en me tenant aux poils de sa touffe. Elle adore être tenue.
Nous arrivons au même endroit que hier. Je mets les Tupperwares dans l'eau fraîche du ruisseau. Il fait chaud et doux.
< Tu sais qu'à partir de lundi, les piques-nique, c'est fini. J'ai ma rentrée en Fuck de lettres ! > m'affirme Clémentine.
Toutes les bonnes choses ont une fin. Aussi, je la rassure en lui précisant que nous partirons en virée après ses cours.

< Tu es un amour ! > me fait Clémentine en me tenant la bite pour en diriger le jet contre le granit du grand Dolmen.
Nous rions de bon cœur. Clémentine réalise une de ces merveilleuses taches de pisse. Un authentique chef-d'œuvre.
< Tu n'oublies pas que ce soir, samedi, tu fais l'animation pour l'anniversaire de Emeline ! > me rappelle Clémentine.
Je la rassure. J'assure ma prestation "Chippendale" avec rigueur. < Tu seras déguisé en quoi ? > me demande t-elle.
< C'est un secret ! > que lui réponds en déballant ma saucisse à jus. < Put-hein elle schlingue ! > s'écrie Clémentine.

Avec la chaleur, ma saucisse à jus colle un peu dans le tissus de son emballage. Le fromage qui colle au bout s'écoule.
< C'est à gerber, espèce de vieux salop ! > me fait Clémentine en la reniflant. Je tourne ma saucisse sous ses narines.
Clémentine hume en poussant de petits gloussements de ravissement. Rapidement, en se pinçant le nez, elle goûte.
Je la regarde. Les yeux fermés, à genoux, Clémentine se régale de ma saucisse à jus. Il y a du jus qui lui dégouline.
En s'essuyant le menton, en déglutissant avec peine, Clémentine me fait : < Il a le goût de l'Osso Iraty, ton frome ! >

Bonne saucisse à jus à toutes et à tous.

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne aime les chaudes et douces soirées que proposent ces samedis de septembre. Cela éveille sa créativité.
Aussi, hier soir encore, elle m'a sorti le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur. Un chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur murale et les réjouissances dominicales >.

Notre Création Murale du samedi 10 septembre, par 23°, vers 20 H29

< Pensées d'un soir de septembre > - Chef-d'œuvre de notre Dimanche -

Pour découvrir ces pensées, il suffit de cliquer sur la merveilleuses image ci-dessus. Avec une soif de découverte...

< Depuis le temps, j'ai envie de te tailler une pipe ! > me fait-elle, ravie...

LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus belle encore et plus longue parce que c'est dimanche) -

< J'assure ma soirée "Chippendale" chez Emeline >

Comme nous en avions convenu avec Clémentine, j'arrive pour 19 h30 très précises. Je suis ponctuel et fiable.
Clémentine et Emeline m'attendent dans le jardin devant la descente de la cave. Je gare ma mobylette en bas.
Emeline, jeune étudiante de la Fuck de Lettres, fête aujourd'hui ses 19 ans. C'est donc pour elle une grande date.

Une fois encore, ce seront les WC qui serviront de loges. Je pourrais m'y changer et me préparer en toute quiétude.
De plus, les WC, chez Clémentine, sont spacieux et nous pouvons nous y mouvoir à plusieurs. Il y a deux cabinets.
Clémentine et Emeline m'entraînent afin que je puis m'apprêter. Le spectacle doit commencer pour 20 h pétantes.

Je prépare le costume de la première partie de ma prestation. C'est une belle panoplie de Rambo. Du film Rambo II.
Je me déshabille. Emeline me passe de l'huile sur le corps. Ainsi mon impressionnante musculature sera luisante.
Je suis nu. Clémentine a du mal à m'enfiler le pantalon noir qui fera saillir mes muscles des cuisses et des mollets.

Enfin, me voilà prêt. Je n'ai plus qu'à mettre mon masque de Sylvestone Staller et à enfiler mes palmes de plongée.
Clémentine fait "Disc-Jockey". Elle sort donc des toilettes pour aller mettre la musique du générique. L'indicatif.
Une quinzaine de filles sont là, composant l'assistance, impatientes et un peu agitées. Voire même tumultueuses.

C'est sur le Boléro de Ravel que j'arrive sur ma mobylette. L'effet "Rambo" est absolument fantastique. Hollywood !
Cela a immédiatement une incidence sur la libido des filles qui m'applaudissent à tout rompre. C'est de l'émotion.
Emeline monte sur scène, s'empare du micro et me présente : < C'est notre artiste, le monsieur des saucisses !>.

Dans l'assistance, à cause de ma renommée grandissante, c'est tout simplement le délire. Les filles se mettent à crier.
< La saucisse ! La saucisse ! On veut la saucisse ! >. Je commence par parcourir toute la scène de gauche à droite .
Je le fais en pratiquant mon fameux "Moon-Walk" popularisé par Michael Jackson. Tonnerre d'applaudissements.

J'interprète "Les Mots Bleus" de Christophe en dialecte Mandarin du XVI ème siècle, juste avant l'invasion chinoise.
Les filles reprennent le refrain avec moi. Avec mes palmes de plongée, je peux sauter dans mon costume de Rambo.
C'est un véritable triomphe. Des filles veulent m'attraper par mon bandana. J'esquive d'un adroit mouvement lent.

Emeline vient au bord de l'estrade et me tend les gants de boxe. Elle s'est trompé. Les gants c'est pour Rocky Balboa.
Et il est prévu que je me déguise en Rocky IV pour ma prestation "Chippendale" de samedi prochain chez Emilie.
Lorsqu'elle se rend compte de sa bévue, Emeline me tend enfin ma mitraillette à eau, en plastique, made in China.

Je continue avec "Les petits pains au chocolat" de Jo Dassin. J'interprète la chanson en dialecte tyrolien du XIXème.
Le fille chantent le refrain avec moi. C'est une véritable ovation qui s'en suit. Les filles grimpent sur la scène. Furies.
J'ai à peine le temps de m'enfuir en arrosant tout le monde avec ma mitraillete à eau. Je m'enferme dans les toilettes.

Clémentine me passe mon string doré à paillettes argentées. Comme toujours, je le porte à l'envers, ficelle devant.
Comme j'en profite pour faire pipi, Clémentine a toute les peines du monde à ajuster correctement la ficelle devant.
Emeline m'enfile mes bottes noires à talons hauts. Elle me met ma perruque rousse et la fixe avec l'élastique autour.

Me voilà prêt à attaquer la seconde partie de mon show. J'arrive sur scène en chantant "Noir c'est noir", de Johnny.
Mon string lâche soudain. La ficelle se détend. Les filles applaudissent en criant : < La saucisse ! La saucisse ! > Fou !
Quelques unes me jettent déjà leurs petites culottes. Il y a même un soutien-gorge qui s'enroule autour de ma tête.

Emeline est obligée de passer la serpillère sous les chaises. L'ambiance est déjà à son comble. C'est un vrai triomphe.
Une fille monte sur scène et m'arrache mon string. Je suis nu, juste chaussé de mes bottes et coiffé de ma perruque.
J'ai tout juste le temps de me sauver aux toilettes sous les vivas, les hurlements déchaînés et les cris passionnés...

Nous sommes réfugiées au WC. Clémentine tient la porte. De l'autre côté des filles tambourinent fortement. Folie.
Il y en a même qui donnent des coups de pieds dans la porte ! < La saucisse ! La saucisse ! > crient les filles en cœur.
Enfin, tout se calme. Je viens pour terminer la troisième partie de mon spectacle. Je grimpe sur la scène. Inquiétude.

Vêtu de mon collant mauve, chaussé de mes palmes de plongée, une grande plume rose plantée derrière, je chante.
J'interprète "ma liberté de penser" de Florent Pagny en patois bavarois du XVII ème. C'est un nouveau triomphe !
Je m'accompagne au banjo, tapant du pied pour marquer le tempo. Avec les palmes que je porte, c'est plus fort...

Des filles, ayant perdu tous sens de la mesure, me jettent leurs petites culottes trempées. Elle montent sur scène.
Je n'ai même pas le temps de terminer "Tata Yoyo" de Annie Cordy, qu'on m'arrache la plume et mes lunettes roses.
Avec Clémentine et Emeline, nous nous enfermons au WC à double tour. Enfin, dehors, les choses se calment...

Il est temps de sacrifier au rituel des photos souvenirs. Clémentine met l'appareil sur son trépieds. Tout est prêt.
Je suis debout, là, entouré des filles qui me tiennent par les hanches, les épaules et même par les poils pubiens.
J'agite jésuitiquement ma saucisse de Morteau qui, à cause de la chaleur, suinte un peu de son jus gras et visqueux.

Je signe quelques petites culottes que me tendent les filles. Certaines me tendent même leurs soutiens-gorge 95 c.
Enfin, cette épuisante soirée s'achève. Les filles partent après m'avoir embrassé et serré très fort contre leurs corps.
Nous nous retrouvons seuls, Clémentine, Emeline et moi. C'est la remise du chèque. Nous bavardons longuement.

< Pendant ta prestation, j'ai signé quelques contrats ! Samedi prochain, c'est soirée Emilie ! > me fait Clémentine.
Emeline est entrain de ramasser les dernières petites culottes qui collent aux murs, aux sièges ou contre la scène.
Clémentine, toujours avide et gourmande veut absolument goûter à la saucisse de Morteau avant qu'on parte...

Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog -

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne apprécie ces douces soirées de l'été finissant pour se livrer à la création. Elle se saisie de mon Zob.
En riant, elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur. Elle réalise un nouveau chef-d'œuvre. C'est beau !
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, et intitulé : < Le créateur mural est d'une régularité phénoménale >

Notre Création Murale du dimanche 11 septembre, par 23°, vers 20 h32

< Romantisme d'un soir de septembre > - Chef-d'œuvre de notre Lundi -

Pour découvrir ce merveilleux chef-d'œuvre du Lundi, il nous suffit de cliquer, émerveillés, sur l'image ci-dessus.

< C'est du frome sur la photo de ton avatar ? > demande t-elle...

HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural est d'une régularité phénoménale >

Hier, dimanche matin, j'arrive de très bonne heure chez Clémentine. Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève.
Elle m'embrasse. J'ai à peine le temps de garer ma mobylette que la jeune fille m'entraîne par la queue à la cuisine.
< Viens vite, c'est notre dernier jour de pique-nique ! > fait-elle, me secouant la bite au-dessus de la cuvette des WC.
Je prépare les sandwichs à la saucisse et au fromage. Je beurre le pain avec du beurre salé au sel de Guérande. Délice.
Nous mettons le tout dans le panier en osier que j'accroche au guidon de ma mobylette. C'est Clémentine qui roule...

Je suis assis derrière. Je me tiens fortement aux poils pubiens de Clémentine. Elle est tellement contente, elle chante.
Nous arrivons dans un de nos endroits préférés. Près de la vieille chapelle. Je mets les Tupperwares dans le ruisseau.
Clémentine étend la nappe à petits carreaux Vichy dans l'herbe. Accroupie, les cuisses écartées, elle lâche son pissou.
< Demain, à 8 h, j'ai ma rentrée à la Fuck de lettres ! Finis les piques-niques ! > me fait-elle un petit peu tristounette.
Je lui dépose plein de bisous sur le front et je la rassure. Elle sait que je viendrais la voir, les soirs, après ses cours.

< J'ai une envie folle de goûter la saucisse que tu as encore apporté aujourd'hui ! > fait-elle, ses mains dans mon slip.
Je déballe une de ces succulentes saucisses à frire, grasse et juteuse que l'on peut également savourer crue ou cuite.
< Comme elle est belle ! On dirait celle de la photo de ton avatar ! C'est quoi le fromage au bout ? > demande t-elle.
Je tourne longuement ma saucisse sous le nez de Clémentine qui hume, les yeux fermés, en poussant des < Miam's ! >
< L'odeur est infâme, ignoble, écœurante avec cette chaleur ! > me fait-elle encore, admirative, en la reniflant. Ravie.

Je regarde ce merveilleux spectacle. Clémentine déguste ma saucisse crue en poussant de petits cris de ravissement.
C'est beau. C'est émouvant. Je regarde le jus qui suinte aux coins de sa bouche. De petites particules de frome collent.
Clémentine déglutit avec peine. Je lui tends une serviette en papier. Elle s'essuie la bouche, le menton. C'est gluant.
Je l'aide à se redresser. Je la prends dans mes bras. Je la soulève et je la dépose délicatement sur le muret de pierres.
Je me mets à genoux et je lui lèche le minou. Avec la chaleur et l'excitation, il suinte d'un nectar absolument délicieux.

Bonne saucisse, bon minou, à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -




Je clique sur les merveilleuses images ci-dessus pour en savourer toute la substantifique moelle...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ces exceptionnelles chaleurs de septembre ne sont pas sans conséquences sur la grande créativité de ma compagne.
Hier soir encore, elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur, réalisant un chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous : < Le créateur mural réalise t-il ses œuvres d'un jet vertical ? >.

Notre Création Murale du lundi 12 septembre, par 23°, vers 20 h31

< Poésie d'un soir de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -

Pour découvrir ce merveilleux Chef-d'œuvre, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec le désir de se cultiver...

< C'est quoi qui colle au bout ? > me demande t-elle en regardant mon avatar...

HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural réalise t-il ses œuvres d'un jet vertical ? >

Hier, en fin d'après-midi, j'arrive chez Clémentine pour 18 h. La jeune fille, folle de joie, me saute dans les bras. Bises.
Elle m'embrasse longuement. Je gare ma mobylette bleue sous la terrasse de la véranda Akéna, la reine des vérandas.
< Viens vite, je suis prête, on va se promener en mobylette ! > me fait Clémentine en s'emparant de ma mobylette.
Clémentine fonce à toute allure, à plus de 40 km/h. Je suis assis derrière et je me tiens fermement à ses poils pubiens.
Nous roulons ainsi un bon quart d'heure. Clémentine s'arrête au bord de la mer. Il fait chaud. Le soleil est encore haut.

Nous sommes assis sur le sable. Clémentine évoque sa première journée. Pour sa seconde année à la Fuck de Lettres.
< Les profs sont sympathiques, les cours sont intéressants, mais j'étais pressées de te voir ! > me fait la jeune fille.
Elle a passé sa main dans mon short et joue avec ma queue. Nous sommes très discrets. Il y a des gens sur la plage.
Clémentine me raconte quelques anecdotes de sa première journée de cours. Elle sera libre le samedi et le dimanche.
Donc je lui promets d'être disponible. Je viendrais tous les jours passer les soirées avec elle. Elle en est toute contente.

< Tu as une surprise pour moi ? Une saucisse, par exemple ? > me demande Clémentine en me serrant fort les couilles.
La jeune fille se lève et m'entraîne derrière des rochers au bas des falaises. Elle me sort la queue, s'accroupit et pisse.
Je déballe ma saucisse aux lentilles mais sans les lentilles. Avec cette chaleur, le jus gras et visqueux suinte au bout.
Clémentine se rapproche et scrute la saucisse. Le fromage que je laisse toujours est fondant, collant et sent très fort.
< Put-Hein, ça schlingue, c'est dégoûtant ! On dirait un vieux Maroilles ! > fait la jeune fille avant de la goûter, ravie.

Clémentine déguste la saucisse en poussant de petits cris aigus. Soudain, là, sur la droite, surgit une jeune fille brune.
Elle cherche sans doute un endroit discret pour fair un pipi rapide. Elle nous découvre. Elle me fait un superbe sourire.
Clémentine tourne la tête sans cesser de savourer la saucisse. La jeune fille nous lance : < Excusez-moi, je fais pipi ! >
Je regarde la fille, jupe relevée, entrain de pisser. C'est toujours un spectacle émouvant et plein de poésie. Esthétisme.
Clémentine s'essuie le jus. La pisseuse s'écrie : < Mais c'est le truc de l'avatar du BRANLEUR ! On reconnait le bout ! >

Bonne saucisse aux lentilles à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




Je clique sur les somptueuses images, ci-dessus, pour les admirer et bien lire ce qui est écrit...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Hier soir, mardi, il faisait encore chaud lorsque ma compagne me sortit le Zob. Elle me le secoua en riant aux éclats.
Elle m'a tenu la bite fermement pour en diriger le jet contre un mur. Secouant les dernières gouttes. Le Chef-d'œuvre.
Le Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural sait-il partager notre idéal ? >.

Notre Création Murale du mardi 13 septembre, par 23°, vers 20 h29

< Sentiments d'un soir de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -

Pour découvrir toute la beauté de cette œuvre, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Si on veut...

< Sans déconner, c'est quoi qui colle au bout ? > me demande t'elle.
Je clique sur l'image de mon admiratrice pour découvrir ce qu'elle m'écrit avec amour.



HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural sait-il partager notre idéal ? >

Hier, mardi, j'arrive chez Clémentine en fin d'après-midi. Elle se précipite pour venir m'accueillir. Sauter dans mes bras.
A peine ai-je garé ma mobylette devant la porte du garage que Clémentine, se saisissant de ma queue, m'entraîne.
< Viens vite, on profite de la soirée à venir. Je suis prête ! > me fait la jeune fille, tournoyant pour faire voler sa robe.
Elle esquisse quelques pas de Frencsh Cancan me montrant son invraisemblable touffe, dense et fournie. La broussaille.
C'est Clémentine qui conduit la mobylette à toute allure. C'est à plus de 40 km/h que nous arrivons au bord de la mer.

C'est le même endroit que lundi soir. La mer est haute. Il y a encore des baigneurs. < C'est beau ! > fait Clémentine.
Elle a sa main dans mon short hawaïen. Nous sommes assis sur les rochers au bas des falaises. Il fait encore chaud.
J'ai passé ma main sous la robe de Clémentine. Je fouille dans son épaisse toison pubienne. C'est humide et ça pique.
J'enfonce juste le bout de mon médius. < Tu as emmené de la saucisse ? > me demande Clémentine en me branlant.
Je déballe une splendide saucisse grillée par le soleil. < Wouah ! Comme elle est belle et grosse ! > fait la jeune fille.

< C'est quoi qui colle, au bout ? On dirait de la Vache qui rit ! > fait Clémentine en se penchant sur le côté pour humer.
Elle reste ainsi longuement à renifler la saucisse grillée. Je lui révèle la véritable nature du fromage qui colle au bout.
< Depuis le temps que tu nous fais le même coup ! Pourtant, chaque jour, c'est une surprise ! > me fait-elle en goûtant.
Si on observe attentivement la photo de mon avatar, on découvre, émerveillé, à quoi ça ressemble. Il n'y a pas l'odeur.
Clémentine pousse de petits gémissements en savourant la saucisse grillée. Elle pousse de petits cris de ravissement...

Clémentine déguste ainsi longuement. Avec la chaleur, on peut voir le jus qui lui dégouline partout autour de la bouche.
Il y a un couple qui passe et qui nous fait un "coucou" de la main. La femme me fait un clin d'œil, le type lève le pouce.
Clémentine déglutit avec peine. Ravie. Je lui essuie la bouche avec un mouchoir en papier. Il y a des bouts de fromage.
Clémentine me raconte sa seconde journée de cours à la Fuck de Lettres ou elle entame sa seconde année d'études.
Je me lève, je me mets à genoux et je lèche le minou humide de Clémentine. Elle glousse à nouveau d'un plaisir fou...

Bonne saucisse grillée à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -




Je clique sur les deux fabuleuses images ci-dessus pour les admirer et rêver longuement...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne a une préférence pour les mercredis soirs chauds et doux. Elle aime alors à s'emparer de mon Zob.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Dans le désir jamais assouvi de réaliser un chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous : < Le créateur murale réalise t-il son œuvre par un jet latéral ? >

Notre Création Murale du Mercredi 14 septembre, par 23°, vers 20 h31

< Romantisme fou d'un soir de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -

Pour découvrir cette œuvre extraordinaire, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Si on désire se cultiver...

< Tu es un vieux salop ! > me fait-elle en observant la photo de mon avatar...
Si nous voulons découvrir ce que m'écrit mon admiratrice, il suffit de cliquer sur sa belle image...



HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur murale réalise t-il son œuvre par un jet latéral ? >

Hier, en fin d'après-midi, en arrivant chez Clémentine, j'ai la surprise de la découvrir toute nue. Je gare ma mobylette.
Il est 18 h. La jeune fille est allongée sur sa chaise longue dans sa véranda Akéna, la reine des vérandas. Elle se lève.
Clémentine m'embrasse et me fait : < Viens vite, je passe une robe et on file à la mer ! >. Nous voilà déjà en route.
C'est Clémentine qui conduit la mobylette. Je suis assis à l'arrière et je me tiens fermement à ses longs poils pubiens.
Nous arrivons au même endroits que hier. Clémentine m'entraîne par la main. Nous sommes assis sur les rochers...

C'est la marée haute. Des baigneurs nagent, s'amusent ou font des châteaux de sable. Il fait très chaud. Il fait doux.
Clémentine porte son bikini très étroit. Le triangle de tissus jaune ne peut pas contenir l'épaisse et dense touffe noire.
Il en dépasse sur les côtés et vers le nombril. C'est absolument superbe. Elle le sait et en joue à la perfection. Idéal.
Je porte mon string de bain. Comme je bande sans arrêt comme un véritable salop, mes couilles dépassent un peu.
J'ai la bite qui dépasse vers le haut. C'est absolument superbe. Clémentine est admirative et me fait "Pouet-Pouet"...

< Tu as quoi comme saucisse pour grignoter un peu ce soir ? > me demande Clémentine me serrant la queue. Discrète.
Je lui déballe une de ces saucisses à jus qui, avec cette chaleur, dégouline de partout. Du fromage colle dans le jus.
Clémentine me raconte sa journée de cours à la Fuck de Lettres. < C'est quoi l'espèce de crème au bout ?> me fait-elle.
Je lui révèle la nature de la "crème" épaisse et visqueuse qui macule l'extrémité de la saucisse à jus. Elle en est ravie.
Clémentine, émerveillée, m'entraîne derrière les rochers. < Je veux goûter à cette horreur ! > me fait-elle en reniflant...

Une jeune femme promène son chien et tombe sur le spectacle. Clémentine en pleine dégustation. Elle observe, riant.
< Bonjour ! > Excusez-moi, je ne fais que passer ! > nous fait la promeneuse, visiblement ravie de ce qu'elle découvre.
Je lève le pouce de la main droite et je réponds : < Mais il n'y a aucun mal, tout le plaisir est pour nous ! >. Elle rit.
Clémentine, couchée sur le côté, entrain de savourer la saucisse a du jus qui lui dégouline de partout. Il y a du fromage.
En regardant Clémentine déglutir avec difficulté, la promeneus nous lance : < Bon apprétit, ça doit être un vrai régal !>.

Bonne saucisse à jus à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -




Je clique sur les superbes images ci-dessus pour les admirer, émerveillé et de bien lire ce qui est écrit...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne reste souvent longuement concentrée, mon Zob dans la main, devant ce mur encore vierge de toute pisse.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur. Ma compagne réalise ainsi un de ces nouveaux Chef-d'œuvres.
Un chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous : < Le créateur mural est-il adepte de l'éjaculation faciale ? >.

Notre Création Murale du jeudi 15 septembre, par 20°, vers 20 h25

< Sentimentalisme d'un soir de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
Pour admirer et pour lire ce qui est écrit, le lecteur est invité à cliquer sur la merveilleuse image ci-dessus...

< C'est assez gerbeux à regarder sur ton avatar ! > m'affirme-telle en souriant...
Pour découvrir ce que m'affirme mon admiratrice fidèle, (et très jolie), il suffit de cliquer sur sa splendide image...



HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural est-il adepte de l'éjaculation faciale ? >

Clémentine est à la fenêtre. Je vois sa silhouette en arrivant. Je gare ma mobylette dans le jardin. Il ne fait pas beau.
La jeune fille vient en courant et me saute dans les bras. < viens vite, on se fait une soirée branle ! > me fait-elle.
Clémentine m'entraîne dans le salon. < J'ai invité Solène et Julie, elles viennent ce soir vers 21 h > m'apprend t-elle.
Clémentine me propose de préparer quelques toasts et quelques en-cas. Il est déjà 19 h30. Dehors le temps est gris.
< Le créateur mural est-il adepte de l'éjaculation faciale ? > me demande clémentine mettant ses mains dans mon slip.

Je lui chuchote la réponse à l'oreille. < Tu aimes te faire sucer, hein, vieux salop ? > me demande Clémentine en riant.
Je beurre quelques toasts. Clémentine prépare une petite salade de fruits. Je dispose des petites rondelles de saucisse.
Pour 20 h tout est prêt. Il ne nous reste plus qu'à nous installer dans le canapé et de bavarder un peu en attendant.
< N'oublies pas, demain soir, samedi, tu assures l'animation chez Emilie, pour ses 19 ans ! > me rappelle Clémentine.
Je la rassure, je n'ai pas oublié. Je suis d'ailleurs à me réjouir pour cette nouvelle prestation "Chippendale". Soirée folle.

Il est 21 h, deux coups de sonnette. Clémentine se lève et va ouvrir. Dans le salon, arrivent Julie et Solène. Belles.
Julie est vêtue d'un tailleur noir qui lui donne un look "Secrétaire". Solène est en jupe plissée. Clémentine est en robe.
Les trois filles sont absolument superbes, sexy et attractives. Nous nous faisons la bise. Julie et Solène m'embrassent.
Julie s'accroupit devant moi. Il lui est difficle d'écarter les cuisses à cause de l'étroitesse de sa jupe droite. C'est beau.
Clémentine me sort la bite. Solène s'assoit dans le fauteuil devant moi, cuisses écartées. Nous commençons la branle.

J'aime ces soirées masturbations. Nous nous masturbons tous les quatre en bavardant et en riant. Ambiance sympa.
< Tu as une saucisse ? > me demande Clémentine. Je déballe ma superbe saucisse fumée. Il y a du fromage au bout.
< C'est dégoûtant ! > fait Julie. < C'est dégueulasse ! > fait Solène. < C'est comme d'habitude ! > rajoute Clémentine.
L'odeur envahit tout le salon. Julie se pince le nez pour venir renifler la saucisse. Solène y goûte déjà. Les filles rient.
Elles ont rapidement du jus qui dégouline partout. Il y a même du frome qui colle. Clémentine me fait : < Réussite ! >.

Bonne saucisse fumée à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




Je clique sur les superbes mages ci-dessus pour découvrir ce qui y est écrit. J'en suis émerveillé...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne apprécie les vendredis soirs. Le début du week-end est toujours, pour elle, une source d'inspiration.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Avec cet ardent désir de Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural observe t-il un concept général ? >

Notre Création Murale du vendredi 16 septembre, par 19°, vers 20 h21

< Une fragrance d'un soir de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -
Pour découvrir cette formidable création mural, il suffit de cliquer ci-dessus, sur sa merveilleuse image. Si on veut...

< Espèce de vieux dégoûtant ! C'est quoi, au bout ? > me demande t-elle...
Pour découvrir ce que m'affirme ma délicieuse admiratrice, il suffit de cliquer sur la splendide image ci-dessus...



HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural observe t-il un concept général ? >

Hier soir, vendredi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Après avoir garé ma mobylette dans le jardin, ele m'embrasse.
< Viens vite, on prépare le scénario de ta soirée "Chippendale" de demain soir, samedi, chez Emilie. Nous discutons.
Clémentine porte un legging noir qui dessine parfaitement toutes ses formes délicates et fragiles. Elle est très sexy.
J'assure ma prestation "Chippendale" ce soir et nous avons absolument tout prévu. Je raconterais tout cela dimanche.
Clémentine me propose de passer chez Julie qui nous invite à manger pour 21 h. La jeune fille se change. Jupe plissée.

Clémentine fait de l'essayage. Je suis assis sur le lit de la chambre à coucher. Elle essaie des trucs devant le miroir.
J'ai du mal à la conseiller. Tous ses vêtements lui vont si bien. Finalement ce sera une jupe classique et un chemisier.
Chaussée d'escarpins noirs, à talons hauts et fermés, la jeune fille est absolument superbe. Une silhouette attractive.
Nous redescendons à la cuisine. J'ai apporté un gratin de courgettes qu'il nous suffit de réchauffer au four, à 200 degrés.
Nous nous régalons en plaisantant. < Tu apportes quoi comme saucisse chez Julie ? > me demande Clémentine en riant.

Je lui dis que ma saucisse sera une surprise. Une surprise qui saura enchanter Julie et son goût prononcé pour le juteux.
< Tu es un amour ! > me fait Clémentine en s'asseyant sur mes genoux. Elle m'embrasse longuement. Je bande fort...
Il est 8 h30, il nous faut nous préparer à partir. Avec cette météo menaçante, il est décidé de prendre la vieille voiture.
Clémentine me demande de rouler. Je roule avec la bite à l'air. La jeune fille joue avec et pafois en suce l'extrémité.
Nous arrivons chez Julie. Elle nous fait entrer. Elle est hyper sexy. Bas noirs, vêtue façon "secrétaire". Je bande toujours.

Nous sommes assis au salon, sur le canapé. Je déballe ma saucisse. < Oh ! Une saucisse Viennoise ! > s'écrie Julie.
Clémentine s'accroupit pour pisser dans une cuvette en plastique bleue "Made in China". Julie renifle ma saucisse, ravie.
< C'est quoi, au bout, on dirait des petits bouts d'omelette collés ? > me demande Julie avant de goûter en gémissant.
< Tu n'as qu'à regarder son avatar, pour comprendre ! > fait Clémentine. Julie s'essuie le jus et déglutit avec peine.
< Nous le connaissons bien, notre vieux salop ! > conclue Julie en s'emparant de ma bite juteuse que secoue Clémentine.

Bonne saucisse viennoise à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -




Je clique sur les fabuleuses images ci-dessus pour en découvrir toute la substantifique moelle et lire ce qui est écrit...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Un samedi soir un peu gris, avant de recevoir nos amis et voilà ma compagne qui s'empare de mon Zizi. C'est le pipi.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Visant juste, elle réalise un chef-d'œuvre. Elle secoue bien.
Nous découvrons ce chef-d'œuvre ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural nous offre sa belle histoire dominicale >.

Notre Création Murale du samedi 17 septembre, (déjà), par 19°, vers 20 h17

< Paysage d'automne dans le Morvan > - Notre Chef-d'œuvre du dimanche...
Pour apprécier toute la beauté de ce merveilleux Chef-d'œuvre il suffit de cliquer sur son image, ci-dessus. Si on veut...

< J'ai scruté la photo de ton avatar. J'aime ! > m'affirme t-elle avec un clin d'œil
Elle est attachane et délicieuse, cette admiratrice. En fait, je les aime toutes...



LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus belle encore et plus longue, parce que c'est dimanche) -

< J'assure ma prestation "Chippendale" chez Emily >

Comme convenu par contrat, j'arrive chez Clémentine pour 19 h30 très précise. Elle m'attend dans le jardin.
Clémentine me présente Emily. Emily fête aujourd'hui ses 19 ans et a invité une quinzaine de ses copines.
Ce sont toutes de jeunes étudiantes de la Fuck de Droit. Emily m'invite à passer ma mobylette par la cave.

Comme à chaque fois, ce seront les WC qui feront office de loges. Je pourrais m'y changer et m'y déguiser.
Je décroche les deux sacoches de ma mobylette et j'emmène le tout aux cabinets de toilettes. Je me prépare.
Emily et Clémentine m'aident à me déshabiller et à me vêtir de mon déguisement pour la première partie du show.

Je fais quelques essais de voix. Je me regarde dans le miroir. Emily ajuste ma ceinture. J'en profite pour faire pipi.
Clémentine me reproche souvent de laisser quelques gouttes sur la lunette des toilettes. Je fais donc très attention.
Me voilà prêt. Nous entendons les premières invitées qui arrivent. Clémentine va accueillir toutes les étudiantes.

Clémentine assure également la fonction de "Disc-Jockey". J'entends donc la musique du générique de Rocky III.
Fier, assis tout droit sur ma mobylette, j'arrive dans l'assistance déguisé en Rocky Balboa. L'effet est phénoménal.
Je porte le masque de Sylvestone Staller. Les filles de l'assistance applaudissent à tout rompre. Je monte sur scène.

Pour créer un effet supplémentaire, vêtu de ma tenue de boxeur, je porte mes palmes de plongée. C'est magnifique.
Je commence par "La poupée qui fait non" de Michel Polnareff. Je fais mon "Moon-Walk" façon Michael Jackson.
Je parcours ainsi la scène de gauche à droite, puis de droite à gauche sous un tonnerre d'applaudissements. Délire.

Je continue en mimant un match de boxe en chantant "Les coups" de Johnny Hallyday. C'est une véritable ovation.
On ne m'entend même plus chanter. Les filles crient, hurlent et se déchaînent. Des petites culottes volent sur scène.
Une des filles monte sur scène et tente de m'arracher mon short. J'arrive à esquiver d'un uppercut du gauche. Sec.

Emily monte sur scène, s'empare du micro et me présente : < Bonjour les filles ! C'est Maître Robert ! >. Triomphe.
Ma réputation est à présent bien établie. Les filles se mettent à crier : < La saucisse ! La saucisse ! >. C'est la gloire.
Je continue avec "L'Aziza" de Daniel Balavoine que j'interprète en dialecte tyrolien du XVII ème siècle. GLANDIOSE.

Les filles montent sur scène. Une d'entre elles m'arrache mes gants de boxe. Une autre m'arrache mes palmes noires.
Je comprends que la situation dégénère. Je me précipite au WC avec Emily et Clémentine. Enfermés à double tour.
Derrière la porte, des filles tambourinent en hurlant : < La saucisse ! La saucisse ! On veut la saucisse du BRANLEUR ! >.

Enfin, au bout de dix minutes, les choses se calment. Emily m'aide à enfiler mon string doré à paillettes argentées.
Chacun sait maintenant que je porte toujours mon string à l'envers, avec la ficelle devant. C'est beaucoup plus beau.
Comme j'en profite pour faire pipi, Emily a toutes les difficultés possibles pour ajuster la ficelle devant. C'est dur.

Je reviens sur scène pour interpréter "Les yeux révolver" de Marc Lavoine. Je suis vêtu de mon string et des palmes.
Une grande plume rose, bien fixée derrière, s'agite jusque dans ma nuque, pendant que je danse. Et ça me chatouille.
Je chante en dialecte Bavarois du XIX ème siècle. Les filles reprennent le refrain avec moi. C'est un véritable succès.

Rapidement le bordel recommence. Emily est obligée de passer la serpillère sous les chaises. Des culottes volent.
Un soutien-gorge, lancé par la grande bimbo blonde du fond, vient s'enrouler autour de mon cou. C'est du 95 c !
Des petites culottes trempées collent déjà aux projecteurs et sur les haut-parleurs. Des filles grimpent sur scène.

Une fois encore, je suis obligé de prendre mes jambes à mon cou. Je perds un de mes escarpins noir à talon haut.
Une fille m'arrache mon string. Je m'enferme à nouveau aux cabinets avec Emily et Clémentine. Dehors ça gueule !
< La saucisse ! La saucisse ! On veut la saucisse ! > font ces furies en donnant des coups de pieds contre la porte.

Pendant que j'en profite pour faire pipi, Emily m'enfile. Elle m'enfile mon collant mauve. Je mets ma perruque.
Lorsque tout s'est calmé, je reviens pour terminer ma prestation. Je chante "Libertine" de Mylène Farmer avec soin.
Je chante en dialecte autrichien du XVIII ème. C'est un nouveau triomphe. Les filles redeviennent hystériques...

A nouveau, je suis obligé de fuir. Une fille m'arrache mon collant. Je suis tout nu avec ma perruque bouclée, rousse.
A cause de mes palmes de plongée j'ai du mal à courir. Avec Clémentine et Emily, nous nous enfermons aux WC.
La situation revient au calme après un véritable déchaînement de toutes mes admiratrices. Je suis une vraie "Star".

Nous revenons pour le rituel des photos souvenirs. Je pose jésuitiquement au milieu des filles qui m'enlacent.
J'agite ma saucisse de Morteau. Des filles me tiennent par les épaules, par les hanches ou par les poils pubiens.
A cause de la chaleur, la saucisse de Morteau dégouline de jus. En la secouant, j'en mets donc partout. J'éclabousse.

C'est Clémentine qui fait les photographies grâce à son appareil sophistiqué fixé sur un trépieds. C'est "Pro".
Lorsque les filles commencent à partir, je découvre que certaines ont du jus de la saucisse jusque sur les cheveux.
C'est bien connu, la saucisse de Morteau, lorsqu'il fait chaud, est plutôt juteuse. Elle a tendance à dégouliner...

Nous nous retrouvons seuls, Clémentine, Emily et moi. Il faut passer la serpillère sous les chaises, partout au sol.
Il faut ramasser les petites culottes trempées qui collent jusqu'au plafond. C'est un spectacle émouvant et beau.
< Samedi prochain, tu assures ta prestation chez Florence ! > me fait Clémentine en agitant le contrat signé...

Emily fait le chèque que Clémentine met immédiatement dans sa poche en me faisant un clin d'œil. Le business.
Clémentine est mon Agent artistique et n'a pas son pareil pour dégoter des contrats "juteux" et biens nombreux.
A ce propos, Emily, avant que nous partions, aimerait beaucoup savourer ma saucisse de Morteau au fromage.

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Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -




Mon déguisement de Rocky et ma mobylette bleue...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
C'est par une soirée pluvieuse de ce dimanche de septembre que ma compagne s'empara fermement de mon gros Zob.
Tenant ma bite elle en dirigea le jet contre le mur. Secouant les dernières gouttes en visant, elle réalisa un chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le Créateur mural nous offre t-il une semaine géniale ? >.

Notre Création Murale du dimanche 18 septembre, par 17°, vers 29 h12

< Sentiments diffus d'un soir de septembre > - Notre chef-d'œuvre du lundi -

Pour découvrir ce merveilleux chef-d'œuvre, il nous suffit de cliquer sur la magnifique image ci-dessus. Si on aime...

< J'observe la photo de ton avatar. t'es dégueu ! > me fait-elle avec un clin d'œil...
Pour découvrir ce que m'affirme ma délicieuse admiratrice, je clique sur son image...



HISTOIRE DU LUNDI

< Le Créateur mural nous offre t-il une semaine géniale ? >

Hier, dimanche, j'arrive chez Clémentine vers 9 h du matin. Elle est toute heureuse et me saute dans les bras. Bises.
J'ai à peine le temps de mettre ma mobylette sous la véranda Akéna, la reine des vérandas, que Clémentine m'entraîne.
< Viens vite, avec cette maudite pluie, on va se mettre à l'abri ! > dit-elle. Je mets mon casque trempé dans l'entrée.
Clémentine se saisit de ma bite pour en diriger le jet dans la bassine en plastique bleu "Made in China". Elle vise juste.
< Demain, j'aurais préparé les photos de ta prestation "Chippendale" de samedi soir ! > dit-elle, secouant les gouttes.

Clémentine est vêtue en "dimanche". Une belle robe carmin de fin velours. Des bas noirs et des souliers à talons hauts.
Je suis assis dans le canapé du salon. En fond sonore, Clémentine a mis du Mozart. Elle évolue dans la pièce, ravie.
Je l'observe tournoyer sur elle-même en chantant avec le disque. Je découvre son porte-jarretelle noir et très joli. Sexy.
Comme la jeune fille ne porte pas de culotte, sa formidable touffe épaisse dense et noire, virevolte en toute liberté.
Le spectacle est divin. Parfois Clémentine s'accroupit devant moi, un coude sur son genoux, son menton sur la main.

Elle se redresse pour recommencer un peu plus loin, scrutant mon regard et mes attitudes. C'est tout simplement génial.
Clémentine s'empare de la bassine en plastique bleu "Made in China" dans laquelle elle m'a fait pisser à mon arrivée.
Elle s'accroupit juste au-dessus. La jeune fille se concentre longuement. Ce n'est pas simple de pisser devant quelqu'un.
Enfin, au bout d'un petit moment, la jeune fille lâche un premier jet. Avec un bruit bulleux, il vient se briser dans ma pisse.
< On commence fort, pour un lundi, hein, mon salop ? > me fait Clémentine en lâchant plusieurs jets nets et précis...

< Tu as apporté de la saucisse ? > me demande Clémentine en se redressant. Je la torche avec un mouchoir en papier.
Je déballe ma saucisse Belge. < Oh ! Une saucisse au choux ! > s'écrie Clémentine en tombant à genoux sur un coussin.
Longuement la jeune fille renifle ma saucisse de Bruxelles. < Elle sent fort ! > dit-elle. En effet, ça schlingue sévère.
Clémentine avant d'y goûter me fait encore : < Le fromage, au bout, c'est celui de la photo de ton avatar, vieux salop ? >.
Je confirme que c'est bien le même. Déglutissant avec peine, la jeune fille me dit : < Je vais me régaler de ta fondue ! >.

Bonne saucisse au choux à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




Je clique, émerveillé, sur les sublimes images ci-dessus. Ainsi je peux les admirer et bien lice ce qui est écrit...

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Les Chef-d'œuvres du la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne apprécie ces lundis soirs automnaux. Elle est envahie d'inspirations créatives. Elle me sort le Zob.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Il faut la voir heureuse, réalisant un vrai chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural procède t-il avec un jet horizontal ? >

Notre création murale du lundi 19 septembre, par 18°, vers 20 h18

< Chant bucolique d'un soir de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -
Pour admirer toute la beauté de cette œuvre, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Si on aime cliquer...

< La photo de ton avatar ? C'est toi ? > me demande t-elle avec un clin d'œil...
Pour bien lire ce que m'écrit mon admiratrice, il suffit de cliquer sur sa belle image. Toujours si on aime cliquer...



HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural procède t-il avec un jet horizontal ? >

Hier soir, lundi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. La jeune fille vient juste de rendrer de cours. Elle m'embrasse.
Je gare ma mobylette devant la porte du garage. < Viens vite, j'ai préparé les photos de samedi soir ! > me fait-elle.
Nous entrons dans le salon. Clémentine est vêtue d'un pantalon noir à pinces, d'un chemisier crème et de souliers noirs.
Sa haute et fine silhouette est sublimée par ses longs cheveux noués en une longue natte qui lui tombe dans le dos.
Elle s'assoit à mes côtés sur le canapé. Nous regardons défiler les photographies en mode diaporama sur l'ordinateur.

Tous les clichés sont d'une extraordinaire beauté. On me voit déguisé en Rocky, avec mes palmes de plongée, dansant.
On me découvre entouré des filles de la soirée. Certaines me tiennent par les hanches par les épaules les poils pubiens.
< Tu es beau dans ce déguisement ! Tu seras déguisé en quoi, samedi soir, chez Florence ? > me demande Clémentine.
Je lui réponds que c'est une surprise que je tiens absolument à lui faire. < Tu es un amour ! > me fait-elle encore, riant.
< Tu manges avec moi, j'ai pas envie de rester seule ce soir, avec ce temps maussade ! > fait-elle en m'embrassant...

Je lui promets de venir passer toutes les soirées à venir avec elle. Clémentine toute contente m'entraîne par la queue.
Elle m'emmène aux toilettes. Là, au-dessus de la cuvette de faïence, elle me tient la bite pour en diriger le jet en riant.
Clémentine me la secoue bien pour faire tomber les dernières gouttes. La jeune fille s'accroupit pour bien voir le truc.
< Tu as apporté quoi comme saucisse, ce soir, en entrée ? > me demande la jeune fille en se redressant. Elle est ravie.
Clémentine me tire par le Zob pour revenir au salon. Je déballe ma superbe saucisse du Doubs. Une saucisse fumée...

Clémentine s'accroupit à nouveau pour humer les effluves parfumées de ma saucisse du Doubs. Je la tourne sous le nez.
Elle renifle. < C'est de la Vache qui rit, qui colle au bout, comme sur la photo de ton avatar ? > demande Clémentine.
Je lui confirme que c'est bien la même substance. < Put-Hein l'odeur su-BITE-ment dans le salon ! > fait Clémentine.
Rapidement, en poussant un petit cri de ravissement, la jeune fille goûte à ma saucisse du Doubs. Elle se régale, ravie.
Je lui essuie le jus qui lui coule autour de la bouche. < C'est un véritable régal ce petit goût fumé ! > fait Clémentine...

Bonne saucisse du Doubs à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisse) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Le mardi soir est souvent le jour de l'inspiration pour ma compagne. Elle se saisie de mon Zob d'une main créative.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Riant aux éclats, secouant les gouttes, c'est le chef-d'œuvre.
Le chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural est à bicyclette le long du canal >.

Notre Création Murale du mardi 20 septembre, par 18°, vers 20 h17

< Poésie romantique de septembre > - Notre chef-d'œuvre du mercredi -

Pour admirer ce chef-d'œuvre, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Si on aime cliquer sur sa souris...

< J'ai la gerbe en découvrant la photo de ton avatar ! > me fait-elle en riant...
Pour découvrir ce que m'affirme mon admiratrice, il suffit de cliquer sur sa belle image. Si on aime cliquer...



HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural est à bicyclette le long du canal >

Hier soir, mardi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Elle se précipite pour me sauter dans les bras. Elle m'embrasse.
Je n'ai même pas le temps de garer ma mobylette que Clémentine se saisie de ma queue pour m'entraîner à l'intérieur.
< Viens vite, ce soir on se fait la piste cyclable le long du canal ! > me fait la jeune fille toute heureuse de m'embrasser.
C'est vrai qu'il fait doux et plutôt agréable. Clémentine est vêtue d'une jupette, de baskets et porte un sweat moulant.
D'une des sacoches de ma mobylette je sors mon short de cycliste en lycra, mon sweat de cycliste et mes baskets noirs.

Nous sommes entrain de rouler sur la petite piste cyclable spécialement aménagée par le Conseil Général il y a un an.
Le soleil offre un peu de chaleur. Le ciel est bleu. Nous croisons quelques autres adeptes de la bicyclette. C'est sympa.
< Attends, tu vas voir, je vais nous nous faire un super "plan" exhib ! > me fait Clémentine en s'arrêtant devant l'écluse.
Elle m'invite à me mettre derrière le cabanon. Je me planque. Je regarde Clémentine traverser la passerelle en souriant.
De l'autre côté du canal, entre deux bosquets, Clémentine observe la piste cyclable. Elle regarde à gauche et à droite...

L'attente ne dure que quelques minutes. Il y a un cycliste qui se pointe venant de droite. Clémentine s'accroupit vite.
Le type regarde machinalement sur sa gauche. Il voit la jeune fille, cuisses écartées. Il a une hésitation. Il s'arrête.
Il regarde. Entre la fille et lui, il y a le canal. Clémentine est donc inaccessible. Le type lui lance : < Bonsoir Mlle ! >.
Il appui son propos en levant le pouce de la main droite. Félicitation. Clémentine ne bouge pas. Elle savoure l'instant.
Notre spectateur, ravi, remonte sur sa selle et, tout doucement, s'en va. Clémentine, redressée, disparaît dans le bois.

La jeune fille revient me rejoindre. Elle m'observe entrain de me branler et me fait : < C'était comment, ça t'a plu ? >.
< Tu as emmené une saucisse pour nous régaler ce soir ? > me demande t-elle, espiègle et mutine. Elle tient ma bite.
Je lui déballe ma splendide saucisse de Montbéliard. < Put-Hein, c'est une saucisse fumée au fromage ! > me fait-elle.
< On dirait la photo de ton avatar, espèce de veux salop ! > me dit-elle encore en la reniflant avant de la goûter, ravie.
Je lui essuie le jus de la saucisse de Montbéliard. Clémentine me dit : < Un vrai régal ! Mais quelle odeur, mon salop !>

Bonne saucisse de Montbéliard à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




Je clique sur les belles images ci-dessus pour les admirer et lire ce qui y écrit. Si j'aime toujours autant cliquer...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne attend les mercredis soirs avec une grande impatience. Mais lorsqu'ils arrivent, elle se met à créer.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise enfin son Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural évite souvent le contact froid du métal >

Notre Création Murale du mercredi 21 septembre, par 20°, vers 20 h11

< Chants bucoliques d'un soir de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -

Pour découvrir ce nouveau Chef-d'œuvre, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Si on apprécie de cliquer...

< J'observe la photo de ton avatar ! T'es un vieux crade ! > me dit-elle en riant...
Pour découvrir ce que m'écrit mon admiratrice, je clique une nouvelle fois sur son image. Si j'aime cliquer...



HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural évite souvent le contact froid du métal >

Hier soir, mercredi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Elle vient de rentrer de cours. Elle saute dans mes bras, ravie.
Je gare ma mobylette sous la véranda Akéna, (la reine des vérandas), Clémentine m'entraîne à l'intérieur. A la cuisine.
< Viens vite, on fiche le camps en vélo comme hier ! > me fait la jeune fille en se changeant. Sa petite jupe plissée.
< Ce sont les derniers soirs où on peut se payer du bon temps en bicyclette ! > fait clémentine chaussant ses baskets.
Je sors mon short de cycliste en lycra. Celui que j'avais acheté en promo chez Décathlon, début mai. Nous voilà prêts.

Nous roulons sur la piste cyclable le long du canal. Il fait beau. Il fait doux. Nous croisons quantité d'autres cyclistes.
Clémentine pédale en jupette sous laquelle, bien évidemment, elle ne porte pas de culottes. Son sweat est moulant.
< Attends, on se fait un "plan" exhib près du port de plaisance ! > me fait la jeune fille. Nous y arriverons très bientôt.
Nous y voilà. Nous mettons nos vélos sur béquilles près de la capitainerie. Nous marchons un peu le long des quais.
Plein de bateaux sont amarrés là. Des plaisanciers s'affairent sur les ponts de leurs embarcations. C'est la fin de saison.

Nous arrivons aux cabanons. L'un d'entre eux attire l'attention de Clémentine. Ce sont les toilettes et douches du port.
La porte est entre-baillée. Nous y pénétrons discrètement. Je m'enferme dans un des cabinets. Je monte sur la cuvette.
De là, au-dessus de la porte, je peux voir l'espace entier. Clémentine guette à la porte. La situation dure dix minutes.
Nous bavardons. Soudain Clémentine se précipite pour se positionner au-dessus d'un des trois urinoirs. Jupe relevée.
Un type arrive. Quinquagénaire, coiffé d'une casquette de marin, il "tombe" sur le merveilleux spectacle. Il est troublé.

< Bonjour mademoiselle ! > fait-il en déglutissant avec peine. Il retrouve néanmoins rapidement ses esprits le bougre.
Il ouvre sa braguette, sort sa queue et tente de pisser. Il bande comme un vrai salop. Clémentine garde sa position.
Le type commence à bavarder en se masturbant doucement, secouant sa bite de biais en direction de la jeune fille.
Il se rapproche. Il est temps que j'intervienne. En toussotant, je sors de ma cachette. Le type, emmerdé, cesse tout.
Clémentine me prend par la main et lance au type médusé : < Au revoir monsieur, bonne soirée ! >. Dehors nous rions.

< Tu as quoi comme saucisse, parce que cette aventure m'a ouvert l'appétit ! > fait Clémentine, se serrant contre moi.
Je l'entraîne derrière la haie de cyprès et je lui déballe une splendide saucisse de Toulouse. Clémentine est émerveillée.
< Wouah ! Tout ça pour moi ! C'est quoi, ce qui colle au bout ? On dirait la photo de ton avatar ? > me demande t-elle.
Je lui révèle la nature de ce qui colle au bout de la saucisse. Clémentine s'accroupit et déguste en gloussant de plaisir.
Elle savoure. Là, su-BITE-ment déboule le quinquagénaire des chiottes. < On se gêne plus ! > lui fait Clémentine, ravie.

Bonne saucisse de Toulouse à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




Je clique sur les deux merveilleuses images ci-dessus pour bien lire ce qui y est écrit et pour les admirer. J'aime cliquer...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
C'est souvent le jeudi soir que ma compagne connaît un pic de créativité irrépressible. Elle s'empare alors de mon Zob.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle secoue jusqu'aux dernières gouttes. Le Chef-d'œuvre.
Le Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous : < Le créateur mural cuisine uniquement dans des poêles Téfal >.

Notre Création Murale du jeudi 22 septembre, par 19°, vers 20 h13

< Subtilité automnale de septembre > - Notre chef-d'œuvre du vendredi -

Pour admirer ce chef-d'œuvre, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec l'amour du cliquage qui nous caractérise...

< Put-Hein, je regarde ton avatar ! T'es cradingue, mec ! > dit-elle en rigolant...
On peut également cliquer sur l'image de mon admiratrice, si on aime cliquer...



HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural cuisine uniquement dans des poêles Téfal >

Hier soir, jeudi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Elle vient de rentrer de cours. Elle se précipite et m'embrasse.
Je gare ma mobylette à la cave. < Viens vite, on retourne faire du vélo ! > dit-elle en m'entraînant pour nous changer.
Je mets mon short de cycliste en Lycra. Clémentine porte sa jupette plissée et son sweat. Elle est hyper sexy. Superbe.
Nous voilà entrain de rouler sur la piste cyclable. Il fait doux et le soleil commence à descendre sur l'horizon. Automne.
< Je vais nous faire un de ces "plans" exhib dont j'ai le secret ! > me fait clémentine en me dévoilant sa touffe noire.

Nous arrivons au petit PORC de plaisance. Chaque jour, il y a plus de bateaux. C'est l'automne. Les plaisanciers garent.
Sur le ponts des navires, les propriétaires s'affairent. Il faut tout bien mettre en ordre pour la mauvaise saison à venir.
Nous mettons nos bicyclettes sur béquille près de la capitainerie. Main dans la main, nous nous promenons sur la jetée.
Clémentine scrute avec beaucoup d'attention. Elle cherche l'opportunité qui lui permettra de vivre quelques émotions.
Nous prenons le sentier qui monte sur les falaises. Nous arrivons près de la vieille chapelle. Il y a là-bas un promeneur.

Le type promène son caniche tondu de frais. Nous passons derrière le muret de l'enclos. Clémentine se met en situation.
Je reste dissimulé derrière l'angle du petit calvaire typiquement bretonnant à côté de la chapelle. L'inconnu arrive enfin.
Il dépasse le muret. Là, il tombe sur ce tableau épique. Clémentine, accroupit, cuisses largement écartées, jupe relevée.
Le promeneur de chien doit avoir la quarantaine. Plutôt grand, il doit avoir ma taille. Il s'arrête et fait : < Bonsoir Mlle !>
Clémentine redresse la tête et, avec son aplomb habituel, répond. La scène dure quelques instants. Mais quels instants !

Le type se remet à marcher tiré par son chien. Il revient sur ses pas. Clémentine arrive à lâcher quelques jets précis. Nets.
Il entreprend une conversation, évoquant la météo, le climat et sa bite qu'il sort de son pantalon. Il s'avance. Il vient.
Je sors de ma cachette pour rejoindre Clémentine. Elle se redresse. Le type s'excuse et s'en va. Nous rions de bon cœur.
< Tu as quoi comme saucisse ? Cette aventure m'a ouvert l'appétit ! > me fait Clémentine avec les mains dans mon short.
Je déballe ma splendide saucisse de Besançon. < Wouah ! Superbe ! C'est quoi comme fromage, au bout ? > me fait-elle.

Bonne saucisse de Besançon à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisse) -




Je clique sur les merveilleuses images ci-dessus pour les admirer. J'en profite pour lire ce qui y est écrit. J'adore cliquer...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne, lorsqu'elle s'empare de mon Zob, le vendredi soir, est animée d'un désir de créer absolument délirant.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Secouant jusqu'aux dernières gouttes, elle fait un chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural ne fait pas de bicyclette en sandales >.

Notre Création Murale du vendredi 23 septembre, par 20°, vers 20 h19

< Rêveries automnales de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -

Pour admirer ce Chef-d'œuvre, il suffit de cliquer sur l'image merveilleuse ci-dessus. Surtout si on aime cliquer...

< Ton avatar ? C'est vraiment du fromage, au bout ? > demande t-elle en riant...
Pour bien lire ce que m'écrit mon admiratrice, il suffit là aussi de cliquer sur l'image ci-dessus. Si on aime cliquer...



HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural ne fait pas de bicyclette en sandales >

Hier soir, vendredi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h. Elle vient de rentrer de cours. Elle me saute dans les bras. Bises.
Je gare ma mobylette dans le jardin. < Viens vite, on se fait une virée à bicyclette ! > fait la jeune fille, m'entraînant.
J'enfile mon short en lycra. Clémentine est déjà en jupette. Nous sommes prêts à partir. Nous descendons à la cave.
Là, Clémentine se saisie de ma bite pour en diriger le jet dans une cuvette en plastique bleu "Made in China". Neuve.
C'est une cuvette que nous avons acheté en promotion au Super U, en juillet. C'était un lot. 3 cuvettes pour 4,70 euros.

Nous voilà entrain de pédaler sur la piste cyclable le long du canal. Il fait doux et très agréable. Il y a plein de cyclistes.
< Tu vas voir, je vais encore t'étonner avec un de mes "plans" exhib ! > me fait Clémentine en me montrant sa touffe.
Nous roulons ainsi, devisant et bavardant sur une dizaine de kilomètres. La jeune fille parle du plaisir de ses études.
Soudain elle s'arrête près de la passerelle. < Toi, tu restes là, moi, je traverse. Je vais entre les bosquets ! > dit-elle.
Je me planque derrière le petit cabanon de l'écluse. Clémentine va se positionner entre deux fourrés. Elle observe...

Un cycliste ne tarde pas à pointer le bout de son pneu. Il pédale avec une nonchalance. Il tombe sur le spectacle. Show.
Il voit la jeune fille, cuisses écartées, accroupit, tête baissée entrain de regarder son entre jambes. Il s'arrête et mâte.
Il balance son éternel : < Bonsoir mademoiselle ! >. Clémentine relève la tête. Elle reste immobile et répond poliment.
Le cyliste regarde à gauche, regarde à droite. Il sort sa queue et la secoue en direction de la pisseuse. Il bande fort.
Le type doit avoir la trentaine. Il lance : < On fait connaissance ? >. Clémentine répond :< Non, il y a mon copain ! >...

Cette formule imparable permet à la jeune fille de ne jamais être emmerdée par des boulets, des chiants. Je me pointe.
Le quidam remballe sa bite, gêné, remonte sur son vélo et s'en va en toussotant. Clémentine et moi rions de bon cœur.
< Tout ça a ouvert mon appétit. Tu as apporté une saucisse ? > demande t-elle en fouillant dans mon short en lycra noir.
Je déballe une splendide saucisse de Morteau. < Put-Hein, génial. Il y a le même fromage au bout ! > fait Clémentine.
Elle renifle et goûte : < N'oublie pas ta prestation "Chippendale, ce soir, chez Florence ! > fait-elle en s'essuyant le jus...

Bonne saucisse de Morteau à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




Je clique sur les fantastiques images ci-dessus. Parce que j'adore cliquer. Mais aussi pour pouvoir admirer et lire ce qui est écrit...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne aime à me sortir le Zob. Tout spécialement le samedi soir. Elle ne s'en est pas privé. Et hier soir encore.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise ainsi un de ces Chef-d'œuvres qui nous enchantent.
Un Chef-d'œuvre que retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural, sportif, est un artiste plutôt matinal >.

Notre Création Murale du samedi 24 septembre, par 18°, vers 20 h11

< Enchantement d'un soir de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du dimanche -

Pour savourer cette merveilleuse création murale, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Nous sommes émerveillés...

< Je vais encore savourer ton histoire du dimanche ! > me fait-elle...
Pour apprécier les affirmations de ma délicieuse admiratrice, il suffit de cliquer sur sa belle image. C'est sublime...



LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus belle et plus longue encore, parce que c'est dimanche) -

J'assure ma prestation "Chippendale" chez Florence

C'est devenu une constante. C'est devenu une habitude. C'est devenu un rituel. C'est écrit dans le contrat. Garantie.
Comme tous les samedis soirs, j'assure une de mes prestations "Chippendale". Ce soir, c'est chez Florence. Etudiante.
J'arrive donc pour 19 h30 précise. Je gare ma mobylette dans le jardin. Clémentine et Florence m'accueillent. La bise.

Florence est une jeune étudiante de la Fuck de Droit. Elle fête ce soir ses 19 ans. A cet effet, elle organise une soirée.
Florence a invité une vingtaine de filles. Ses amies. Toutes étudiantes, comme elle, à la Fuck de Droit. Universitaires.
Florence est toute contente de faire ma connaissance. Elle me connait de réputation à cause de mes prestations.

Une fois encore, ce seront les WC qui serviront de loges. Je pourrais m'y changer, me préparer et même faire pipi.
Je décroche les sacoches de ma mobylette. Ces sacoches sont précieuses. Elles contiennent tout mon matériel.
Je suis donc dans les toilettes, accompagné de Clémentine et de Florence. Clémentine est ma précieuse "manager".

Il est 20 h. La soirée débute à 20 h15. Toutes les filles sont déjà là. Nous pouvons entendre les bavardages, les rires.
Clémentine fait également "Disc-Jockey". Elle nous quitte pour aller mettre la musique de l'indicatif. C'est le début.
J'arrive sur ma mobylette rutilante, brillante et nettoyée. Comme j'ai percé le pot, elle fait le bruit d'une Harley.

Je monte sur scène dans une salve d'applaudissements. Florence me rejoint et s'empare du micro. Elle me présente.
< Bonsoir les filles. Nous accueillons ce soir le créateur mural. C'est le monsieur des saucisses ! > fait-elle en souriant.
< La saucisse ! La saucisse ! On veut la saucisse ! > s'écrient les filles qui connaissent ma réputation de Chippendale.

Je suis déguisé en Joconde de Léonard de Vinci. C'est un déguisement absolument divin, esthétique et très raffiné.
Je suis chaussé de mes habituelles palmes de plongée. J'attaque avec "Les copains d'abord" de Georges Brassens.
Pour surprendre l'auditoire, et afin de ne pas imiter, je chante cette chanson en patois Bavarois du XVIIème siècle.

Je reste avec l'aspect figé de La Joconde. C'est difficile. Mon maquillage a tendance à dégouliner. Les projecteurs.
Je parcours la scène de gauche à droite et de droite à gauche avec un parfait "Moon-Walk" façon Michael Jackson.
Une véritable ovation ponctue ma prestation. J'enchaîne avec "Oh Gaby" de Alain Bashung en patois auvergnat.

Une fois encore, le délire s'empare de l'assemblée. Des filles se mettent à hurler, à crier. Des petites culottes volent.
Un soutien gorge 90 b vient s'enrouler autour de mon cou. Je continue avec "Le Téléphon" de Nino Ferrer. Délire.
J'interprète cette chanson en dialecte Serbo-Croate du début du XXème siècle. Un tonnerre d'applaudissements.

Une fille monte sur scène et veut s'emparer de ma tunique. Mon masque de La Joconde tombe au sol. Je suffoque.
Une autre veut m'arracher mon slip. Heureusement que je n'en porte pas. Je m'enfuis m'enfermer aux cabinets.
Clémentine et Florence nous enferment à clef. Dehors, les filles frappent contre la porte. C'est inquiétant. La gloire.

J'en profite pour faire pipi. Florence tente en même temps d'ajuster la ficelle de mon string que je porte à l'envers.
La ficelle devant permet une plus ample gestuelle mais cause du souci à Florence qui tente de l'ajuster. De l'aligner.
Clémentine me fixe la grande plume rose derrière. Je garde mes palmes de plongée. C'est l'heure d'y retourner...

J'arrive. Je monte sur scène. Je suis vêtu de mon string doré à paillettes argentées que je porte à l'envers. C'est beau.
J'effectue un nouveau "Moon-Walk" tout le long de la scène. Avec mes palmes de plongée noires c'est assez délicat.
J'attaque avec "Femme libérée" de Cookie Dingler que je chante en dialecte Autrichien du XVIIIème siècle. Dur !

A nouveau, le bordel recommence. Des petites culottes trempées viennent s'étaler et coller partout sur la scène.
Il y en a même qui collent aux murs. Une fille monte sur scène et tire sur la ficelle de mon string. La ficelle craque !
Je suis à poil avec la plume qui flotte. J'ai toutes les peines du monde à m'enfuir chaussé de mes palmes de plongée.

Clémentine, Florence et moi, nous sommes à nouveau enfermés à double tour dans les toilettes. Je me prépare.
Pour la dernière partie de ma prestation, je mets ma panoplie de naturiste parisien. C'est du plus bel effet. Saillant.
Je reviens pour la fin. Je grimpe sur scène. < La saucisse ! La saucisse ! > hurlent les filles. C'est l'hystérie. Vraiment.

J'ai à peine le temps de chanter "Tata Yoyo" d'Annie Cordy, m'accompagnant au banjo, que le bordel recommence.
Pourtant je chante en dialecte Mandarin du XVIème siècle. Rien y fait. Des filles montent pour m'attraper les poils.
Ma panoplie de naturiste se déchire. Une fois encore, c'est tout nu que je courre m'enfermer au WC. Ouf, sauvé !

Clémentine et Florence m'aide à retirer mes palmes de plongée pendant que je fais pipi. La soirée fut un triomphe.
Je reviens pour le rituel de la photo souvenir. Les filles sont toutes là. Le calme est revenu. Il y a un recueillement.
Des filles me tiennent par les épaules, les hanches, les poils pubiens. J'agite jésuitiquement ma saucisse de Morteau.

Une fois seuls, tous les trois, Clémentine, Florence et moi, c'est le rituel de la dégustation. Après remise du chèque.
Florence veut absolument goûter à la saucisse de Morteau. Elle apprécie les salaisons et le goût légèrement fumé.
< C'est quoi, au bout ? On dirait de la "Vache qui rit ? > me demande t-elle, ravie mais avec une curiosité amusée.

Clémentine ramasse les petites culottes mouillées qui collent un peu partout, oubliées par les filles après le show.
Florence passe la serpillère sous les chaises. Je reste sur une intense satisfaction de réussite après cette soirée.
< Samedi prochain, tu assures ta prestation "Chippendale" chez Amandine ! > me fait Clémentine, ma "manager"...

Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog -

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -


Je clique sur les belles images ci-dessus. Je peux ainsi les admirer longuement. Je peux aussi lire ce qui est écrit dessus. Je ne m'en lasse pas.
Et puis j'aime tellement la belle histoire du dimanche que je veux que la magie continue encore un peu. C'est tout simplement superbe...
Même si l'histoire du dimanche est plus longue que celles des autres jours, elle est toujours encore trop courte...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne s'amuse tant à lire mes petites histoires, ici, sur ce fabuleux forum, que cela éveille son inspiration.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise notre Chef-d'œuvre du jour.
Ce Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural a longtemps chanté dans une chorale >

Notre Création Murale du dimanche 25 septembre, par 21°, vers 20 h21

< Saveur élégiaque d'un soir de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -

Pour découvrir le descriptif de notre Chef-d'œuvre de ce lundi, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Le plaisir du click...

< La photo de ton avatar peut rebuter, tu sais ! > me dit-elle avec un clin d'œil...
Pour découvrir ce que m'écrit ma délicieuse admiratrice, il suffit de cliquer sur son image, ci-dessus. L'amour du click...



HISTOIRE DU LUNDI - (Plus longue parce que je me suis levé très tôt) -

< Le créateur mural a longtemps chanté dans une chorale >

Hier matin, en ce dimanche ensoleillé, j'arrive chez Clémentine vers 9 h. La jeune fille me saute au cou et m'embrasse.
Je n'ai même pas le temps de garer ma mobylette bleue qu'elle m'entraîne, me tenant par la queue, derrière la maison.
Là, Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle secoue jusqu'aux dernières gouttes. Avec soin.
< Regarde un peu ce chef-d'œuvre ! C'est de toute beauté, non ? > me demande t-elle en prenant une photographie.
Elle me fait voir l'écran de son smartphone. C'est vrai que c'est une magnifique réussite. Elle m'entraîne dans la cuisine.

< Aujourd'hui, avec cette véritable journée de juillet, et en fin septembre, on va pique-niquer ! > me fait Clémentine.
Je prépare les sandwichs à la saucisse fumée. Je beurre les tranches et j'étale de la moutarde. La saucisse sent fort.
Clémentine prépare les salades. Nous voilà prêts. Clémentine m'emmène dans la chambre pour faire de l'essayage.
Je suis assis sur le lit et je regarde. La jeune fille essaie quelques robes d'été. Elle aime bien avoir mes appréciations.
Comme je suis d'une patience infinie, que j'adore assister à ses essayages, je tente de la conseiller. C'est très sympa.

J'ai des goûts de chiottes et, en fait, j'aime tout. Aussi, finalement, le choix, c'est Clémentine qui le fait. Elle fait bien.
Elle porte une robe en lin écru nouée à la taille d'une cordelette. Elle est chaussée de souliers de style "mocassin".
Un léger gilet de coton vient vêtir son buste fin et délicat. Comme elle est belle ! Pour partir, elle porte des collants.
Il est 11 h du matin. Bien évidemment ce n'est plus l'été. Il fait agréable sans faire vraiment chaud. Nous voilà partis.
C'est Clémentine qui conduit la mobylette à toute allure. Nous devons friser les 45 km/h. Folie. Je suis assis derrière.

J'ai passé mes mains sous la robe de Clémentine. Pendant qu'elle roule je me tiens fermement à ses poils pubiens.
Nous arrivons au bord de la mer. Je mets les tupperwares dans l'eau du ruisseau. Clémentine étend la nappe au sol.
La jeune fille retire ses collants. < Attends, je vais nous faire un de ces "plans" exhib comme je les aime !> me dit-elle.
Je garde mon casque de mobylette sur la tête ce qui fait beaucoup rire Clémentine : < Tu fais "Daft Punk ? > fait-elle.
Clémentine me prend par la main et m'entraîne entre deux dunes. De là nous avons un œil sur nos affaires et ailleurs.

Là, sur le sentier qui longe le pré aux ânes, arrive un promeneur de chien. Il tient un clebs d'une laideur redoutable.
En fait, c'est le chien qui promène son maître. Clémentine se positionne entre deux palissades de bambou. Concentrée.
Elle a les cuisses écartées, la robe relevée. Je suis caché derrière le cabanon. Le promeneur arrive. J'ai le cœur battant.
Le quidam "tombe" sur le spectacle. Il est à dix mètres de la fille. Il doit avoir la quarantaine bedonnante et dégarnie.
Après un instant de stupeur, d'étonnement, le propriétaire du chien, fait : < Bonjour mademoiselle, tout va bien ? >...

Clémentine, vivant ce moment en en savourant chaque seconde, relève la tête. Sans bouger, tentant le jet de pisse.
Elle n'y arrive pas. < Bonjour ! > se contente t-elle de répondre. Le type semble être un gentleman. Il reste à l'écart.
Cette situation, hautement excitante perdure ainsi une bonne minute. Le type mâte. Silencieux, parfaitement immobile.
Rien à faire, l'excitation intense que doit vivre la jeune fille l'empêche de pisser. L'excitation risque de devenir ridicule.
Aussi, juste avant ce phénomène psychologique évident, Clémentine se redresse. Le spectacle est vraiment terminé.

Le type est resté debout à mâter pendant quelques minutes. Sans rien dire. Sans bouger. Cela a déstabilisé Clémentine.
< Au revoir monsieur et bonne journée ! > fait-elle en tournant les talons. < Au revoir ! > lui fait l'inconnu, immobile.
J'ai rarement assisté à une situation aussi insolite. Clémentine fait une boucle et vient me rejoindre un peu dubitative.
< Tu as vu ? Rien ! Même pas qu'il m'a montré sa bite ! Rien, nada !> me fait Clémentine en tapotant sur mon casque.
Nous retournons à nos affaires. < Tu as apporté une saucisse pour l'appéro ? > me demande Clémentine en rigolant...

Je déballe ma superbe saucisse du Périgord. Une de ces saucisses à jus qui fait le bonheur de tout véritable gourmet.
Je la tourne longuement sous le nez de Clémentine qui renifle avec une grande concentration. Elle hume avec soin.
Les effluves parfumées de ma saucisse doivent embaumer à plusieurs mètres à la ronde. En effet il y a des mouches.
< Wouah ! Comme elle schlingue ! C'est quoi ce qui colle au bout ? On dirait la photo de ton avatar ! > fait Clémentine.
Je lui révèle la nature de ce qui colle au bout. < Tu es un vrai salop ! > fait-elle en y goûtant, gémissant de bonheur...

Bonne saucisse du Périgord à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses à jus)




Je clique sur ces deux merveilleuses images pour les admirer et pour lire ce qui est écrit dessus. J'adore cliquer...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Lorsqu'elle a encore découvert mon histoire, hier, ma compagne s'est retrouvée littéralement soulevée d'inspiration.
Elle m'a sorti le Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Toute heureuse de son Chef-d'œuvre.
Ce Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural fait souvent le plein chez Total >

Notre Création Murale du lundi 26 septembre, par 20°, vers 20 h07

< Romance bucolique d'un soir de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -
Pour admirer ce Chef-d'œuvre dans toute sa splendeur, il suffit de cliquer, avec amour, sur l'image ci-dessus.

< J'ai beau me forcer, ton avatar me fout la gerbe ! > me dit-elle en rigolant...

Pour bien lire ce que m'écrit ma belle admiratrice, je clique, avec amour, sur l'image ci-dessus.



HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural fait souvent le plein chez Total >

Hier soir, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. La jeune fille vient de rentrer de cours. Elle me saute dans les bras.
Je gare ma mobylette dans le jardin. < Viens vite, on fait à manger et on file passer la soirée chez Julie ! > dit-elle.
Nous préparons un gratin de coquillettes "Bio" avec une poêlée de champignons. Et une salade d'endives en entrée.
Pour faire rire Clémentine, je prépare le repas en gardant mon casque de mobylette. Elle n'arrête pas de rigoler. Belle.
Nous mangeons vers 19 h30. Appétit. Clémentine monte se changer pendant que je fais la vaisselle. Avec le casque...

Nous prenons la vieille Toyota Yaris à Clémentine. Elle est vêtue d'une jupe, d'un pull fin et chaussée de souliers noirs.
Je roule. < Put-Hein, mais enlève ton casque ! J'ai l'impression d'être avec le chanteur de Daft Punk ! > me fait-elle.
Pendant que je roule, Clémentine me secoue doucement la tige sur laquelle elle tire parfois en riant. Je bande très fort.
Nous arrivons chez Julie. Cette dernière vient nous ouvrir. Elle est également vêtue de façon très élégante et très sexy.
La jeune fille nous fait entrer au salon. < Le casque ? C'est pour faire genre ? > me demande Julie en m'embrassant.

< Tu as apporté quoi comme saucisse ? > me demande discrètement Clémentine pendant que Julie prépare les gâteaux.
Je déballe ma superbe saucisse fumée. Immédiatement l'odeur envahit tout le salon. La saucisse colle un peu, grasse.
Nous entendons Julie qui fait, depuis la cuisine : < C'est quoi qui pue comme ça ? > Clémentine et moi rions en cœur.
Julie arrive avec la théière fumante. < Put-Hein, c'est encore ta saucisse qui schlingue ! > fait-elle en venant renifler.
< Et c'est quoi, encore, qui est collé au bout ? C'est la nouvelle photo de ton avatar ? > demande Julie en scrutant bien.

Je lui révèle la nature de ce qui colle au bout. Clémentine lui fait : < C'est comme d'habitude, du fromage "maison" ! >
Julie, à genoux sur un coussin, devant le canapé où je suis vautré, déguste ma saucisse fumée en gloussant de plaisir.
< Tu m'en laisseras un peu , > demande clémentine qui se masturbe doucement. Je retire le casque de ma mobylette.
Clémentine le prend, se lève, s'accroupit au-dessus, pisse dans mon casque. < Comme ça tu ne le mets plus ! > dit-elle.
J'essuie le jus de ma saucisse fumée qui coule autour de la bouche de Julie qui fait : < De la vraie fondue savoyarde ! >

Bonne saucisse fumée à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




Je clique, avec amour, pour découvrir les belles images ci-dessus.Je peux également lire ce qui y est écrit...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Comme chaque matin, lorsqu'elle découvre mon histoire, ma compagne sent l'inspiration artistique monter en elle.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un nouveau Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural apprécie les spécialités du Cantal >

Notre Création Murale du mardi 27 septembre, par 21°, vers 20 h10

< Sentiment diffus d'un soir de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -

Pour découvrir ce qui est écrit sur la belle image ci-dessus, il suffit de cliquer. Avec l'amour du click...

< J'observe la photo de ton avatar, Mr Bite-qui-pue ! > me fait-elle en riant.

Pour découvrir ce que m'écrit mon admiratrice, il suffit de cliquer sur sa belle image, ci-dessus. Avec l'amour du click...



HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural apprécie les spécialités du Cantal >

Hier soir, je gare ma mobylette dans le jardin de Clémentine. Il est 18 h30. La jeune fille vient de rentrer de cours.
Elle se précipite pour me sauter dans les bras et pour m'embrasser. < Viens vite, on va faire du vélo ! > s'écrit-elle.
Nous rentrons pour nous mettre en tenue. Il fait encore très agréable, le ciel est bleu. Je mets mon short noir en lycra.
Clémentine revêt son legging noir et un sweat léger. Elle est absolument divine. Sexy. Elle me fait voir l'entre-jambes.
Je découvre avec stupeur que par une habile découpe dans le tissus, soigneusement recousu, on voit les lèvres du sexe.

Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable le long du canal. Nous bavardons. Clémentine me raconte sa journée de cours.
< Put-Hein, mais enlève ton casque de mobylette ! Espèce de Daft Punk ! > me fait la jeune fille en éclatant de rire.
J'aime faire rire les filles. C'est tellement plus agréable que de les voir faire la gueule. Ce qui est quand même souvent.
< Je vais encore nous offrir un de mes "plans" exhib ! > me dit encore Clémentine en s'arrêtant près de la passerelle.
Nous avons fait une dizaine de kilomètres. Nous sommes arrêtés à l'écluse du cabanon. Clémentine traverse le canal.

Je suis planqué derrière le cabanon. En face, de l'autre côté du canal, je vois la jeune fille se mettre en situation exhib.
Dissimulée entre deux bosquets, elle guette l'arrivée d'un quidam. Ce dernier arrive rapidement. C'est un jeune cycliste.
Il pédale assez vite. Machinalement il regarde sur sa gauche. Il "tombe" sur le magnifique spectacle. Une fille accroupie.
Il s'arrête. Par le trou de son legging, Clémentine lâche un super jet qui vient se jeter plus bas dans l'eau du cana!.
Le jeune type regarde comme consterné. La scène dure une bonne minute. Curieusement le cycliste démarre et disparaît.

Clémentine un peu surprise vient me rejoindre. Le soleil disparaît lui aussi derrière les arbres. Il est temps de revenir.
< Tu as quoi comme saucisse pour nous régaler, ce soir ? > me demande Clémentine, passant ses mains dans mon slip.
Je lui déballe ma splendide saucisse à beurrer. Même dehors, ici, l'odeur est très forte. Il y a même déjà des mouches.
< Put-Hein, viens, on se dépêche de rentrer, j'ai envie d'y goûter ! > fait Clémentine en la reniflant longuement, ravie.
Nous avons fait le chemin de retour à toute vitesse. A la maison, Clémentine s'est régalée de ma saucisse au beurre...

< C'est quoi qui colle au bout ? On dirait des petits bouts d'omelette ? > me demande Clémentine en humant fortement.
< Je lui révèle la nature et la composition des petits bouts d'omelette ! > Clémentine gratte un peu de la substance.
Elle en a sous l'ongle. < C'est la même substance que sur la photo de ton avatar ? > demande t-elle avant de goûter .
J'observe la jeune fille qui, les yeux fermés, savoure ma saucisse au beurre en poussant de petits gémissements ravis.
Du jus qui lui coule autour de la bouche, elle s'essuie avec un mouchoir en papier. < Un délice !> s'écrit-elle encore...

Bonne saucisse au beurre à toutes et à tous...

Le créateur mural - Eleveur de saucisses) -




Je clique sur les belles images ci-dessus. Pour les admirer mais aussi pour lire ce qui est écrit. Avec la passion du click.

28

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne, pliée de rire chaque matin en lisant mon histoire, sent monter en elle une inspiration irrépressible.
Elle sort alors mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un nouveau Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural, lorsqu'il se brûle, ça lui fait mal >

Notre Création Murale du mercredi 28 septembre, par 20°, vers 20 h07

< Douceur d'un été Indien de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -

Pour lire le descriptif, il suffit de cliquer sur la merveilleuse image ci-dessus. Avec l'amour du click...

< Mr Bite-qui-Pue, ça schlingue encore, aujourd'hui ! > me dit-elle en riant...

Pour bien lire ce que m'écrit ma belle admiratrice, je clique sur sa merveilleuse image. Avec l'amour du click...



HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural, lorsqu'il se brûle, ça lui fait mal >

Hier soir, je gare ma mobylette dans le jardin de Clémentine vers 18 h30. Immédiatement la jeune fille m'embrasse.
Viens vite, on fiche le camps, on va faire de la bicyclette ! > me fait-elle en m'entraînant par la queue à la cuisine.
J'enfile mon short noir en lycra. Clémentine porte son legging noir. Nous gonflons les vélos tous chemins. 4,5 bars.
Nous voilà en route. Nous pédalons sur la piste cyclable le long du canal. Il fait encore doux et le ciel est encore bleu.
< Put-Hein mais enlève ton casque de mobylette quand tu es en vélo ! > me fait Clémentine en s'arrêtant pour rigoler.

< Je vais encore nous faire un "plan" exhib, tu vas voir ! > fait la jeune fille. Nous arrivons au petit port de plaisance.
Nous garons nos bicyclettes derrière la capitainerie du port. Nous nous promenons main dans la main. Il y a du monde.
Sur le pont de leurs bateaux les estivants mettent tout en ordre avant l'arrivée de l'automne. Il y a des promeneurs.
Nous arrivons aux toilettes douches qui sont exclusivement réservés aux plaisanciers. Nous y entrons discrètement.
Clémentine porte son legging ultra moulant dont la petite ouverture laisse dépasser les lèvres de son sexe et les poils.

Je m'enferme dans le dernier cabinet. Je monte sur le couvercle rabattu de la cuvette. De là-haut je peux tout voir.
Clémentine guette par la porte entre-baillée. Il y a un type qui vient. La jeune fille s'accroupit à côté du dernier urinoir.
Le type, un mec a l'air jovial n'en croit pas ses yeux. < Bonsoir mademoiselle, ça gaze ? > lui fait-il en sortant son zob.
Tranquille, il se met à pisser tout en parlant de la météo. Clémentine tente de pisser sans y arriver mais bavarde, ravie.
Tout cela dure deux ou trois minutes. Le mec se reboutonne et s'en va. < Ma femme m'attend ! > dit-il en sortant.

Je rejoins Clémentine. < Tu as apporté une saucisse ? > me fait-elle en glissant ses mains dans mon short Hawaïen.
Je l'entraîne dans le cabinet. Je déballe ma splendide saucisse viennoise enroulée sur elle-même. L'odeur envahit le WC
< Wouah, comme elle est longue ! Elle pue !> fait Clémentine en la déroulant pour en humer les effluves parfumées.
< C'est quoi qui colle au bout, Mr Bite-qui-pue ? > demande la jeune fille en goûtant. Du jus lui dégouline sur le menton.
Je lui essuie la bouche. Je lui révèle le fromage au bout. Elle fait : < Mr Bite-qui-pue, vous n'êtes qu'un porc au port !>

Bonne saucisse Viennoise à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




Je clique sur les merveilleuses images pour les admirer et lire ce qui est écrit dessus. Par amour du click...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne, pliée de rire à cause de mon histoire quotidienne, se sent envahie par une irrépressible inspiration.
Elle se saisie de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural n'ouvre pas son parachute ventral >

Notre Création Murale du jeudi 29 septembre, par 20°, vers 19 h56

< Charme fou d'un soir de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -

Pour découvrir cette merveille, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Surtout si on est passionné de click...

< Mr Bite-qui-pue, tu es un peu crade comme mec ! > me fait-elle en souriant...

Pour bien lire ce que m'écrit ma belle admiratrice, une fois encore je clique sur sa belle image. Passionné par le click...



HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural n'ouvre pas son parachute ventral >

Hier soir, jeudi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Je gare ma mobylette sous l'auvent de la porte du garage au fond.
Clémentine vient de rentrer de cours. Elle se précipite, me saute dans les bras et m'embrasse. Je la soulève et la serre.
< Viens vite, on profite de cette magnifique soirée pour partir en bicyclette ! > fait-elle en m'entraînant par la queue.
Nous nous changeons en vitesse. Nous voilà tous les deux à pédaler sur la piste cyclable. Nous pédalons doucement.
Il fait encore doux et très agréable. < Je vais encore faire une petite exhib, ce soir, tu vas voir ! > me fait la jeune fille.

Nous arrivons près du pont qui surplombe la petite route qui mène au bourg de Barge-les-Ecluses. Nous le contournons.
Nous déposons nos vélos contre le tronc d'un grand arbre centenaire. Clémentine porte une jupe, des collants, très sexy.
Je me planque derrière les bosquets. Parterre il y a des noix. J'en profite pour en savourer quelques unes. Je surveille.
Clémentine, de l'autre côté du canal, se met en position. Elle guette entre deux épais fourrés. Un cycliste arrive au loin.
Clémentine a retiré ses collants. Accroupie, la jupe relevée, elle se fait surprendre par le type qui s'arrête et regarde...

< Bonsoir mademoiselle ! > fait le voyeur. Clémentine, comme toujours, reste sans bouger, relève simplement la tête.
Je déguste ma noix en regardant cet étonnant spectacle. Le cycliste est debout à côté de son vélo. Il a sorti sa bite.
Notre bougre se branle et commence à discuter. Il est absorbé dans son occupation. Arrive un groupe de cyclistes.
Ils sont un peloton d'une dizaine de "coureurs" façon "Tour de France". Ils tombent sur le mec entrain de se palucher.
Notre drôle est complètement surpris. Il a son short aux genoux. Tout le monde se marre. Clémentine s'est relevée...

Après m'avoir rejoint, nous regardons partir le quidam en rigolant comme des bossus. < Tu as une saucisse ? > fait-elle.
Je déballe une splendide saucisse à la crème. Elle colle un peu dans le tissus de son emballage. L'odeur est très forte.
< C'est quoi, qui colle au bout ? On dirait du "Chaussée-aux-Moines" ! > fait clémentine en grattant un peu du fromage.
Accroupie, elle renifle ma saucisse à la crème. Il y a plein de mouches sans doute attirées par les effluves parfumées.
Clémentine se régale en poussant des gémissements. Je chasse les mouches de la main. Il y a du jus qui dégouline...

Sa dégustation terminée, Clémentine se redresse. Je lui essuie la bouche avec un mouchoir en papier. Elle est contente.
< Elle éait délicieuse, délicate et savoureuse. Viens vite on reprend le chemin du retour avant la nuit ! > me dit-elle.
Je lui fait remarquer qu'elle a des petits bouts de "Chaussée-aux-Moines" qui collent autour de la bouche et sur le pull.
Nous reprenons le chemin du retour en pédalant avec énergie. Nous sommes dépassés par le cycliste de tout à l'heure.
< Petite salope ! > fait-il en nous dépassant. < Merci. Tout le plaisir était pour moi ! > lui répond Clémentine en riant...


Bonne saucisse à la crème à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
C'est en riant aux éclats, en lisant mon histoire, que ma compagne s'empare de mon Zob. C'est une inspiration soudaine.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Secouant jusqu'aux dernières gouttes, c'est le Chef-d'œuvre.
Le Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous : < Le créateur mural passe parfois devant sa maison natale >

Notre Création Murale du vendredi 30 septembre, par 20°, vers 20 h01

< Inspiration d'un soir de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -

Pour lire ce qui est écrit sur la merveilleuse image ci-dessus, il suffit de cliquer. Avec l'amour du click...

< Tu vas gratter le fromage au bout ? > me demande t-elle avec un clin d'œil...

On peut également cliquer sur l'image de mon admiratrice, si on a la passion du click et de la découverte...



HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural passe parfois devant sa maison natale >

Hier soir, vendredi, vers 18 h30, j'arrive chez clémentine qui vient de rentrer. Elle se précipite pour m'embrasser. Bises.
< Viens vite, on se prépare pour aller chez Julie. On passe la soirée chez elle. On se fait des grillades ! > me fait-elle.
Clémentine m'entraîne par la queue dans la chambre à coucher. Elle procède à de l'essayage. Je suis assis sur le lit.
Je la regarde se changer. Clémentine me demande mon avis sur tel ou tel vêtement. Tout lui va si bien que j'ai du mal.
Finalement son choix se porte sur une jupe kilt à carreaux rouges. Un chemisier blanc sous un fin pull de coton bleu.

Clémentine est magnifique. Sa silhouette n'est pas sans évoquer un uniforme d'étudiante anglaise. Elle est hyper sexy.
< Tu n'oublies pas d'emmener une saucisse pour le dessert ! > me fait Clémentine, me secouant la bite en rigolant.
Nous prenons la vieille Toyota Yaris et nous nous mettons en route. Clémentine me demande de conduire. Elle aime ça.
Ainsi la coquine peut me tripoter le Zob pendant que je conduis. Nous arrivons chez Julie pour 20 h. Elle nous attendait.
Elle se précipite pour nous embrasser à tour de rôle. Julie me fait pouêt-pouêt à la braguette, disant : < Tu bandes ?>

Julie nous fait entrer à la cuisine. Nous dégustons un gratin de pâtes avec un accompagnement de champignons poêlés.
Ensuite, nous passons au salon. Une soirée "Branle". Julie est vêtue de la même manière que Clémentine, étudiante.
Julie m'attrape par la queue. Elle me tient la bite au-dessus d'une cuvette en plastique bleu "Made in China". Je pisse.
Clémentine me fait, en se doigtant : < N'oublie pas, demain soir tu assures la soirée "Chippendale" chez Amandine ! >
Je la rassure pendant que Julie me secoue les dernières gouttes qui viennent tomber dans la cuvette. Je serais présent.

< Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > fait Julie en s'essuyant les doigts. Je déballe une saucisse au choux.
Immédiatement l'odeur envahit le salon. < Put-hein, ça pue ! C'est quoi l'espèce de beurre crémeux au bout ?> fait-elle.
Je lui révèle la nature du beurre crémeux. < Décidément, tu restes un vieux salop ! > me fait clémentine en reniflant.
Julie, après avoir longuement humé les effluves parfumées de ma saucisse au choux, se met à la déguster en gloussant.
< C'est bon, mon choux ? > fait clémentine en se masturbant. Le jus de ma saucisse au choux dégouline de partout...

Bonne saucisse au choux à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




Je clique sur les merveilleuses images ci-dessus. Par passion du click et aussi par soif de découverte...

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Les Chef d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne se réjouit toujours pour la belle histoire du dimanche. Cela l'inspire déjà dès le samedi soir. Créatrice.
Elle se saisie de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un autre chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural aime Belmondo dans "Le Marginal" >

Notre Création Murale du samedi premier octobre, par 17°, vers 19 h53

< Poésie d'un soir d'octobre > - Notre chef-d'œuvre du dimanche -

Pour bien lire ce qui est écrit sur la merveilleuse image ci-dessus, il suffit de cliquer dessus. Avec passion...

Clémentine adore rouler sur ma mobylette. Elle roule sans casque...

Pour admirer cette magnifique photographie, il suffit de cliquer dessus. Avec passion...



LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue et plus belle encore parce que c'est dimanche) -

< Le créateur mural aime Belmondo dans "Le Marginal" >

Amandine est jeune étudiante à la Fuck de médecine. Elle fête ses 19 ans ce soir, samedi. C'est son anniversaire.
A cet effet Amandine a invité une vingtaine de ses copines également étudiantes de la même Fuck de médecine.
C'est Clémentine qui se charge de l'organisation. Clémentine est mon agent artistique, également mon manager.

J'arrive pour 19 h30. Je suis accueilli par Amandine et Clémentine qui m'attendent toutes les deux dans le jardin.
Clémentine m'invite à descendre ma mobylette à la cave. Ce sera plus discret pour le spectacle qui débute à 20 h.
Une fois encore, ce seront les WC qui serviront de loges. Je pourrais m'y changer, me préparer et même faire pipi.

Amandine et Clémentine sont avec moi aux toilettes. Elles m'aident à enfiler mon premier costume de la soirée.
Nous entendons les invitées arriver. Clémentine, en plus d'être mon manager, fait également le "Disc-Jockey".
Amandine et Clémentine me laissent terminer ma préparation pour aller accueillir les convives dans la salle.

J'entends la musique du générique. C'est la musique du film "Indiana Jones". Je monte sur ma mobylette rutilante.
Déguisé en Indiana Jones, claquant de mon fouet au sol , je fais une entrée triomphale. L'effet de surprise est total.
Je monte sur la scène. Clémentine braque un projecteur sur moi. Amandine monte me rejoindre et prend le micro.

< Bonsoir les filles. Je vous demande de faire un triomphe à notre ami, le créateur mural ! > fait Amandine en riant.
Elle rajoute en essayant de couvrir les applaudissements : < C'est le créateur mural, le monsieur des saucisses ! >
< La saucisse ! La saucisse ! On veut voir la saucisse ! > hurlent les filles dans un vacarme assourdissant. Ambiance.

Je commence mon show par "Le Gorille" de Georges Brassens que j'interprète en dialecte autrichien du XIX ème.
Les filles reprennent le refrain avec moi. Je parcours la scène en faisant mon "Moon-Walk" façon Michael Jackson.
Mon costume de Indiana Jones me serre un peu. Je porte mes habituelles palmes de plongée sous-marine noires.

Je conclue par "Maladie d'amour" de la Compagnie Créole et que j'interprète en patois Bielo-Russe du XVII ème .
C'est un succès. Deux filles montent sur scène pour tenter de m'embrasser sur la bouche avec la langue. J'esquive.
Une autre grimpe sur scène et m'attrape par la saucisse de Morteau qui pend dans son holster comme un révolver.

J'ai tout juste le temps de me sauver avec Amandine et Clémentine. Nous nous enfermons à clef dans les cabinets.
Contre la porte, les filles frappent de toutes leurs forces : < La saucisse ! On veut la saucisse ! > hurlent-elles encore.
Pour préparer la seconde partie du show Amandine tente d'ajuster la ficelle de mon string pendant que je fais pipi.

Comme je porte toujours mon string doré à l'envers, avec la ficelle devant, Amandine a toutes les peines du monde.
Me voilà prêt. Clémentine m'a fixé la grande plume rose derrière. Je mets ma perruque bouclée et rousse sur la tête.
Je saute sur scène et je commence pas "Aline" de Christophe en faisait une danse du ventre lascive et évocatrice.

Puis je chante "Les Champs Elysées" de Jo Dassin en Dialecte slovène du XVIII éme et avec un accent marseillais.
Je m'accompagne au banjo en frappant de mes palmes au sol. C'est absolument "GLANDIOSE". Une vraie ovation.
Une fille monte sur scène et m'arrache mon string. Me voilà tout nu. Je saute pour aller me réfugier aux toilettes.

Contre la porte, les coups redoublent. Amandine m'enfile doucement. Elle m'enfile mon collant mauve à pois bleus.
Clémentine me secoue d'un mouvement régulier. Elle me secoue les paillettes dorées qui recouvrent ma chevelure.
Me voilà prêt pour aller terminer ma prestation. Je suis vêtu d'un smoking noir, chaussé de mes palmes de plongée.

Je grimpe sur scène et j'interprète "Sex-Machine" de James Brown en dialecte Tyrolien de la fin du XIX ème. Succès.
Les filles applaudissent à tout rompre. L'une d'entre elles tente d'attraper ma saucisse de Morteau qui pend devant.
J'esquive et je termine par "Tata Yoyo" de Annie Cordy que je chante en patois Serbo-Croate de la fin du XVII ème.

C'est dans une apothéose de culottes mouillées, jetées sur scène, que je tente d'échapper à la meute hurlante.
Je m'enfuis. Une petite culotte trempée colle sur mon front et dégouline sur la veste de mon beau smoking.
Amandine, Clémentine et moi, nous nous enfermons au WC pour attendre que les choses se calment enfin.

Un quart d'heure passe. Le silence est revenue. C'est le rituel de la photo souvenir. Clémentine a son super appareil.
Je pose au milieu des filles qui me tiennent par la taille, les épaules, les poils pubiens, les cuisses, les bras et le cou.
J'agite jésuitiquement ma saucisse de Morteau qui, à cause de la chaleur des projecteurs, gicle un peu partout...

Des filles me prient de faire quelques autographes en me tendant leurs petites culottes et un marqueur indélébile.
Je signe à tour de bras pendant que Clémentine et Amandine passent la serpillère sous les chaises de la salle.
Il faut décoller les culottes mouillées qui collent un peu partout. Il y en a même une, noire, qui colle au plafond.

Nous voilà enfin seuls, Amandine, Clémentine et moi. Je suis fatigué mais satisfait. Clémentine récupère le chèque.
Amandine aimerait bien goûter à ma saucisse de Morteau qu'elle regarde avec envie depuis le début de la soirée.
< C'est quoi, qui colle au bout ? On dirait du "Chaussé-aux-Moines" ? > me demande t-elle en humant la saucisse.

Nous passons ainsi la fin de la soirée à bavarder. Amandine savoure sa saucisse en gloussant de plaisir. Heureuse.
Clémentine me fait : < Samedi prochain, petit coquin, tu assures une prestation "Chippendale" chez Juliette ! >
Tout en disant cela elle agite le contrat sous mon nez. Amandine s'essuie la bouche avec un mouchoir en papier...

Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog -

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -





Pour s'émerveiller de ces belles images et pour que le plaisir continue encore un peu, je clique dessus. Avec passion...


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Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/10/16 08:36 par Oncle-Julien.

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne est pliée de rire avec la belle histoire du dimanche. Cette belle histoire inspire toutes ces créations.
Elle me sort le Zob, impatiente. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. C'est un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural monte des pneus à structure radiale >

Notre Création Murale du dimanche 2 octobre, par 19°, vers 19 h 52

< Douce romance d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -

Pour découvrir ce merveilleux Chef-d'œuvre, et ce qui est écrit dessus, il suffit de cliquer sur l'image. Avec passion...

< La vision de la photo de ton avatar, est une vision d'horreur ! > me fait-elle...

Pour bien lire ce que m'écrit ma belle admiratrice, je clique sur sa merveilleuse image. Avec passion...



HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural monte des pneus à structure radiale >

Hier, dimanche matin, j'arrive chez Clémentine vers 9 h. Elle vient m'ouvrir, m'embrasse et m'entraîne à l'intérieur.
J'ai garé ma mobylette sous l'auvent du garage, la météo est plutôt menaçante. Clémentine me propose des croissants.
< Regarde, j'ai préparé le diaporama des photos de ta prestation "Chippendale" de samedi soir ! > me fait la jeune fille.
Je suis vautré dans le canapé. Je regarde défiler les photos de la soirée. Elle sont toutes absolument superbes. Belles.
On peut me voir, entouré d'une vingtaine de filles qui me serrent, me tiennent, m'enlacent. J'ai ma saucisse de Morteau.

Clémentine revient. Elle est vêtue d'une jupe stricte noire et évasée. Elle porte un pull noir sur un chemisier blanc.
La jeune fille est chaussé de souliers noirs, fermés et à talons. Elle porte des bas. Elle me montre son porte-jarretelles.
< Est-ce que ça te dit qu'on parte en expédition "exhib" ce matin ? > me demande Clémentine en s'accroupissant, ravie.
Elle me fixe de ses yeux noisettes, cuisses écartées, ne portant pas de culotte, me dévoilant sa superbe touffe fournie.
J'admire ce merveilleux spectacle. < Tu emmènes une saucisse pour l'apéro ? > me demande t-elle en se redressant.

Nous voilà en route. C'est moi qui doit conduire l'auto. Clémentine joue avec ma queue. Nous allons au centre du bourg.
Nous entrons dans le salon de thé. Il y a peu de monde. Nous choisissons une table au fond, entre l'aquarium et le mur.
Clémentine est assise face à la petite salle. Moi, je suis face au mur. Je regarde dans l'écran éteint de mon smartphone.
Nous prenons deux verveines. Un monsieur, sans doute quinquagénaire, élégant et discret s'assoit à une table vide.
Me servant de l'écran de mon smartphone comme d'un rétroviseur, je peux l'observer tout à loisir. Clémentine est prête.

En chuchotant, Clémentine me raconte ce qu'elle est entrain de faire. Elle a les cuisses bien écartées sous la table.
Je vois le type entrain de mâter en faisant semblant de lire son journal. Clémentine se touche discrètement. Il regarde.
Il y a un couple qui discute à une autre table. Clémentine me chuchote que la jeune femme a du repérer ce qu'elle fait.
Je scrute l'écran de mon smartphone. Je peux constater que le quinquagénaire regarde franchement en notre direction.
< Attends, je vais lui donner le coup de grâce ! > fait Clémentine en se levant doucement pour se rendre aux toilettes.

Le type se lève au bout d'un petit instant. Il va aux toilettes. Il se passe environ cinq minutes. Clémentine revint, ravie.
Elle me fait un clin d'œil. < Il m'a montré sa bite. On a bavardé. Un vrai salop ! Génial ! > me fait la jeune fille, riant.
Le type revient s'asseoir. Clémentine le fixe à plusieurs reprise en lui adressant de discrets sourires. Elle me raconte.
La jeune fille s'est fait surprendre accroupie entre deux urinoirs, faisant semblant de fouiller dans son petit sac à main.
Le mec s'est installé devant l'un des urinoirs pour se branler tout en bavardant. Il était tellement excité qu'il a éjaculé.

Il a donné sa carte de visite à Clémentine. La jeune fille me propose de partir. Nous allons manger. Après-midi "Julie".
< Tu as quoi comme saucisse ? > demande Clémentine dans la voiture. Je déballe ma splendide saucisse Albigeoise.
< Put-Hein, mais c'est quoi qui colle au bout ? On dirait des petits morceaux d'omelette ! > fait-elle en la reniflant.
Le type du salon de thé passe à côté de la voiture. Il me fait un signe de félicitation en levant son pouce. Je lui souri.
Clémentine déguste longuement ma saucisse. Elle se redresse et me dit : < Emmène-là chez Julie, cet après-midi ! >

Bonne saucisse Albigeoise à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisse) -




Je clique sur les merveilleuses images pour les admirer et lire ce qui est écrit dessus. Avec passion...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Comme chaque jour, lorsqu'elle découvre mon histoire matinale, ici, sur ce fabuleux forum, ma compagne est inspirée.
Elle s'empare de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un vrai Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural ne trouve pas Youporn très génial >.

Notre Création Murale du lundi 3 octobre, par 19°, vers 19 h59

< Rêverie d'un doux soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -

Pour découvrir ce Chef-d'œuvre, lire ce qui est écrit dessus, je clique sur son image, ci-dessus. Avec passion...

< Quand je regarde la photo de ton avatar, j'ai la nausée ! > me fait-elle, ravie.

Pour découvrir ce me m'écrit mon admiratrice, je clique sur son image. Avec passion...



HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural ne trouve pas Youporn très génial >

Hier soir, lundi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Elle vient de rentrer de cours. Je gare ma mobylette dans le jardin.
Clémentine me saute dans les bras et m'embrasse. Elle fouille ma bouche de sa langue avide et exploratrice. Superbe.
< Viens vite, on prépare le repas du soir, Julie vient nous visiter vers 20 h ! > me fait-elle en se saisissant de mon Zob.
Au-dessus de la cuvette en plastique bleu, "Made in China" , qui est au sol dans l'entrée, elle me tient la bite, elle vise.
Je lâche plusieurs jets nets et précis qui giclent un peu à côté, sur la serpillère. Le bruit que fait le jet nous fait rigoler.

Nous préparons une pizza 4 saisons accompagnée d'une salade verte. Je prépare la pâte qui devra reposer 45 minutes.
Pendant ce temps Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue. Je fais cuire les tomates, les champignons, oignon.
Je coupe des rondelles de chorizo. < Au fait, tu as apporté une saucisse pour le dessert ? > me demande Clémentine.
Je lui déballe ma superbe saucisse de Nice. Clémentine se penche pour voir et dit : < Wouah, Brice, elle est de Nice ! >
Nous rions de bon cœur avant que la jeune fille ne découvre et renifle le fromage qui colle au bout. L'odeur est ignoble.

Julie arrive pour 20 h. Elle est vêtue d'une jupe, d'une veste blaser sur un chemisier. < C'est quoi l'odeur ? > fait Julie.
< C'est la saucisse de notre ami ! > répond Clémentine en s'essuyant la bouche car elle y a goûté un peu. Julie rigole.
Nous passons à table. Clémentine a ouvert la fenêtre pour aérer un peu. Il fait doux. Nous savourons la pizza 4 saisons.
Pour le dessert, nous passons au salon. Clémentine secoue ma saucisse de Nice sous le nez de Julie qui renifle, ravie.
< On dirait un vieux gouda fondu qui colle au bout, sur la peau de la saucisse. Une spécialité de Nice ? > demande Julie.

Julie savoure ma saucisse de Nice en poussant de petits gloussements. < Tu m'en laissera un peu ? > fait Clémentine.
Julie n'est pas prêteuse. C'est là son moindre défaut. Clémentine s'accroupit au-dessus de la cuvette en plastique bleu.
Elle se lâche par plusieurs petits jets. Julie, tout en dégustant, observe la scène. La jeune fille a du jus qui dégouline.
Ma saucisse qui suinte est entrain de couler. Je regarde Clémentine qui se masturbe un peu au-dessus de la cuvette.
De la cyprine dégouline dans la pisse. Julie s'essuie la bouche avec un mouchoir en papier. < Gustatif ! > s'écrie t-elle.

Clémentine se redresse. Avec le même mouchoir en papier que lui tend Julie, elle s'essuit l'entre jambes avec soin.
Cambrée sur ses talons hauts Clémentine me propose de goûter à son minou que je trouve appétissant et goûteux.
Je m'approche, je tombe à genoux et je lui broute la chatte. Pendant ce temps, Julie, couchée au sol, sur le côté, suce.
Nous passons ainsi une très agréable soirée que je pourrais qualifier ici de "gastronomique" et "CUL turelle". Sympa.
Il est rapidement 23 h. Nous nous séparons. Il y a de la mouille partout parterre sur le parquet bien ciré du salon...

Bonne saucisse de Nice à toutes, à tous et même à Brice...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




Pour admirer les belles images et lire ce qui est écrit, je clique dessus. Avec passion...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne prend beaucoup de plaisir à lire mes histoires, chaque jour. Cela inspire ses créations. Elle me sort le Zob.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Secouant jusqu'aux dernières gouttes, c'est le Chef-d'œuvre.
Le Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous : < Le créateur mural a une montre avec le bracelet en métal >

Notre Création Murale du mardi 4 octobre, par 19°, vers 19 h57

< Romantisme d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -

Pour admirer ce Chef-d'œuvre et lire ce qui est écrit, je clique sur l'image ci-dessus. Avec passion...

< J'te dis pas l'odeur, vieux salop ! > me dit-elle avec un clin d'œil...

Pour admirer mon admiratrice et lire ce qu'elle m'écrit, je clique sur l'image ci-dessus. Avec passion...



HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural a une montre avec le bracelet en métal >

Hier soir, mardi, je gare ma mobylette dans son jardin. Clémentine se précipite, me saute dans les bras, m'embrasse.
< Viens vite, on va se promener au port de plaisance ! > fait la jeune fille en m'entraînant par la queue dans le garage.
Là, contre le mur, elle me tient la bite pour en diriger le jet. Secouant jusqu'aux dernières gouttes pour le Chef-d'œuvre.
Nous prenons la vieille Toyota Yaris. C'est moi qui doit rouler. Clémentine joue avec mon Zob. Nous arrivons au port.
Clémentine est vêtue de façon très classique. Jupe bleue et sombre. Pull. Veste blaser. Souliers noirs à légers talons.

Nous nous promenons main dans la main. Le soleil descend sur l'horizon. Le ciel présente des couleurs fantastiques.
Il y a quelques promeneurs. Les plaisanciers mettent la dernière main à leurs bateaux qui resteront à quai tout l'hiver.
Nous marchons jusqu'au muret du vieux cimetière. < Planque-toi là, je vais me livrer à une exhib ! > fait Clémentine.
Je me dissimule de l'autre côté du mur. Clémentine se positionne entre le cabanon et les bosquets de lauriers brun.
Je la regarde. Je l'admire. Comme elle est belle. Comme elle est sexy. Très attractive. Arrive un promeneur de chien.

Clémentine est accroupit. Ses cuisses écartées. Une fois encore le spectacle est remarquable. L'inconnu s'arrête là.
Il "tombe" sur cette scène. Son chien essaie bien de le tirer. Lui, visiblement, il tirerait bien autre chose. Pas un chat.
< Bonsoir mademoiselle ! > fait le quinquagénaire ventru, les yeux écarquillés et avec l'air halluciné. Pas de réponse.
Comme toujours, Clémentine savoure l'instant en faisant durer. Enfin elle redresse la tête pour répondre en souriant.
Le mec se rapproche. Pas de doute, c'est le "boulet", un autre emmerdeur. Je sors de ma cachette. Le quidam s'en va.

La nuit commence à tomber. < Tu as quoi comme saucisse, tout ça m'a donné faim ! > demande Clémentine ravie.
Je déballe ma superbe saucisse Bordelaise. < Wouah ! Comme elle est belle. C'est quoi qui colle au bout ? > fait-elle.
Je lui fais tourner la saucisse sous le nez en lui révèlant la nature de ce qui colle au bout. < Un porc au port ! > dit-elle.
La jeune fille m'entraîne derrière le muret. Là, accroupit, elle déguste ma saucisse Bordelaise en gémissant de plaisir.
< Elle est dégueu, elle pue, mais qu'est-ce que c'est bon ! > me fait clémentine en s'essuyant le jus avec un mouchoir.

Bonne saucisse Bordelaise à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




Pour admirer ces merveilleuses images et lire ce qui est écrit, je clique dessus. Avec passion...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
C'est pliée de rire, à cause de mon histoire matinale, que ma compagne se sent saisie par une profonde inspiration.
Elle s'empare alors de mon Zob. Elle tient ma bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural est souvent en tenue médiévale >

Notre Création Murale du mercredi 5 octobre, par 16°, vers 19 h50

< Romance poétique d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -

Pour découvrir ce qui est écrit sur cette merveilleuse image, je clique dessus. Avec passion...

< L'odeur doit être épouvantable ! > me dit-elle avant d'y goûter en gloussant...

Pour bien lire ce que m'avoue mon admiratrice, je clique sur sa belle photographie. Avec passion...



HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural est souvent en tenue médiévale >

J'arrive chez Clémentine hier soir vers 18 h30. La jeune fille me saute au cou, m'embrasse et se saisie de ma mobylette.
< Attends, je fais un petit tour, ça fait longtemps que je ne l'ai plus piloté ! > fait-elle en montant dessus pour rouler.
Comme j'ai percé le pot d'échappement, je me rends compte du bruit infernal de mon terrible engin. Des voisins mâtent.
Clémentine est en robe. Elle revient avec les jambes écartées pour me montrer qu'elle porte des collants et une culotte.
Elle gare la mobylette dans le jardin. Elle se saisie de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur.

< Viens vite, on va se préparer la bouffe ! > me fait Clémentine, m'entraînant à la cuisine en me tenant par la queue.
Je propose de préparer un gratin de pâtes avec une sauce aux champignons. < Super ! Je fais le dessert ! > me fait-elle.
Clémentine me raconte ses cours à la Fuck de Lettres. Elle me parle de Julie, de Eva, de Clémence ou encore de Valérie.
< N'oublie pas, samedi soir tu assures la soirée "Chippendale" chez Juliette ! > me rappelle Clémentine en se frottant.
< Le jus de tes nouilles me coule le long des coudes ! > me fait-elle avant de rajouter : < Essaie de le dire très vite ! >

Le repas est prêt. Soudain, trois coups de sonnette. Clémentine va ouvrir. C'est Julie. < Surprise ! > fait la jeune fille.
Julie m'embrasse se saisie de mes couilles en me faisant < pouët-pouët >. Nous rigolons tous les trois. Ambiance !
Nous savourons notre gratin de pâtes. La sauce est délicieuse. Julie est à quatre pattes sous la table. Nous rions fort.
< Et bien, la soirée commence fort ! > fait Clémentine en imitant les aboiements d'un petit chien. Fou rire, amusement.
< Tu as quoi comme saucisse, pour le dessert ? > me demande Clémentine. Je déballe mon super saucisson sec. Beau !

< C'est quoi l'espèce de Gouda gluant qui colle au bout ? > demande Julie < Put-Hein comme ça pue ! > dit Clémentine.
Je révèle la nature du Gouda gluant qui colle au bout. < C'est un reste du gratin ? > fait Julie en reniflant le saucisson.
Clémentine y goûte longuement. Julie me fixe avec un air écœuré. < Comme ça schlingue ! > me fait-elle. Elle goûte.
Les filles se passent mon saucisson sec qui, à présent, est bien propre, nettoyé et luisant. Il y a du jus gras qui suinte.
Julie s'essuie la bouche avec le mouchoir en papier que lui tend Clémentine. < Tu es un vieux salop ! > me disent-elle...

Bon saucisson sec à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisse) -




Pour lire ce qui est écrit sur les fabuleuses images, je clique dessus. Avec passion...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne, tout en rigolant, lit mon histoire matinale. Elle est soudain animée de cet impérieux besoin de créer.
Elle me sort alors le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise le vrai Chef-d'œuvre.
Le Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural, chez lui, le soir, se balade à poil >

Notre Création Murale du jeudi 6 octobre 2016, par 14°, vers 19 h47

< Inspiration d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -

Pour lire ce qui est écrit sur cette merveilleuse image, je clique dessus. Passionnément...

< La photo de ton avatar, c'est vraiment du fromage ? > me demande t-elle...
Pour bien lire ce que m'écrit ma belle admiratrice, je clique sur sa merveilleuse image. Passionnément...



HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural, chez lui, le soir, se balade à poil >

Hier soir, jeudi, j'arrive chez Clémentine à l'heure habituelle. Il est 18 h30. Elle se précipite pour m'embrasser. Ravie.
Je gare ma mobylette sous le perron. < Viens vite, on est invité chez Julie ! > me fait Clémentine en m'entraînant.
Je suis assis sur le lit à regarder Clémentne qui fait un peu d'essayage. Elle porte son choix sur un tailleur classique.
< Je fais un chignon, pour faire "secrétaire" ! Qu'est-ce que t'en pense ? > me demande la jeune fille. Je trouve ça bien.
Nous prenons la voiture. Je roule. Clémentine joue avec mon Zob. Nous arrivons chez Julie pour 20 h. Elle nous reçoit.

Pendant que nous savourons le gratin Dauphinois, Julie et Clémentine évoquent les spécialités régionales, charcutières.
< A ce propos, après le repas, je propose une dégustation de saucisse au salon ! > fait Julie en me faisant un clin d'œil.
< Tu as apporté quoi comme saucisse, ce soir ? > me demande Clémentine. Je déballe un beau salami de Carcassonne.
< Oh put-hein, l'engin ! > s'écrie Julie. < Oh put-hein l'odeur ! > ponctue Clémentine. Les filles se penchent pour sentir.
< C'est quoi qui colle au bout ? > me fait Julie en humant les effluves parfumées de mon salami de Carcassonne. Ravie.

Julie va à la salle de bain. Elle ramène la bassine en plastique bleu "Made in China". Clémentine s'empare de ma queue.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet dans la bassine. Julie, Clémentine et moi, nous rigolons comme des bossus.
Clémentine secoue les dernières gouttes. Julie retourne admirer mon salami de Carcassonne. Avec le doigt elle gratte.
Elle récupère un peu de fromage sous l'ongle de son index. Elle sent son doigt puis elle goûte en faisant la grimace.
< Pouah ! C'est à gerber ! On dirait la photo de ton avatar, espèce de vieux salop ! > fait encore Julie avant de goûter.

Pendant que Julie déguste mon salami de Carcassonne, Clémentine continue à secouer ma bite. Le Zob qui dégouline.
Julie a plein de jus de mon salami de Carcassonne qui lui coule autour de la bouche. Je lui tend un mouchoir en papier.
< LOTUS, de la bouche à l'anus ! > fait Clémentine. < KLEENEX, de la bouche au sexe ! > répond Julie. Nous rigolons.
Clémentine insiste pour goûter un peu de mon salami de Carcassonne. < J'ai tout bouffé le frome ! > lui fait Julie, riant.
< Ce n'est pas grave ! J'en aurais la prochaine fois ! > fait Clémentine en s'empiffrant le salamoque bien juteux et gras.

Bon salami de Carcassonne à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




Je clique sur les fabuleuses images pour lire ce qui est écrit dessus. Je le fais avec une passion fébrile et impatiente...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Lorsqu'elle découvre mon histoire quotidienne, ici, sur ce fabuleux forum, ma compagne se sent inspirée, créative.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un merveilleux Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural se siffle parfois une bière artisanale >

Notre Création Murale du vendredi 7 octobre, par 15°, vers 19 h51

< Sentiment diffus d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -

Pour lire ce qui est écrit sur l'image, avec passion, je clique dessus.

< La photo de ton avatar ? Tu n'as pas honte ? > me demande t-elle en souriant

Pour lire ce que m'écrit mon admiratrice, avec passion, je clique sur son image.



HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural se siffle parfois une bière artisanale >

Hier soir, vers 18 h30, j'arrive chez Clémentine. La jeune fille m'embrasse. Ravie. Je gare ma mobylette dans le jardin.
< Viens vite, on sort ce soir. On va au restaurant ! > me fait la jeune fille en m'entraînant dans la chambre à coucher.
Là, assis sur le lit, j'assiste à l'essayage. < Tu n'oublies pas, demain soir, samedi, tu fais "Chippendale" ! > me dit-elle.
Clémentine porte son choix sur une belle jupe en velours bleu marine. Une belle jupe évasée, classique, très élégante.
Un pull de coton fin. Elle se chausse de soulies noirs à légers talons. Des bas maintenus par un porte-jarretelles noir.

< Tu as emmené une saucisse pour le dessert ? > me demande Clémentine avec ses mains dans mon slip. Je la rassure.
Je termine de passer un costume "Prince de Galles" qui me va à ravir. < J'aime les mecs en costards ! > dit Clémentine.
Nous voilà en route. C'est moi qui doit rouler. Clémentine m'a sorti la bite avec laquelle elle joue tout en bavardant.
Nous arrivons au petit port de plaisance. Il y a là un petit restaurant très sympathique, pas cher proposant des délices.
Notre choix se porte sur une table retirée, entre un gigantesque yuka et un grand aquarium. Nous découvrons la carte.

Nous dégustons un plateau de fruits de mer. C'est un régal. Nous bavardons. Clémentine me raconte des anecdotes.
Elle me raconte que, sous la table, elle a les cuisses largement écartées. Il y a un couple derière moi. Le mec regarde.
Clémentine adore ces situations ambigües. Elle me raconte que le client bavarde avec sa femme tout en mâtant la touffe.
Clémentine se lève et va aux toilettes. Il se passe trente secondes, le type se lève pour y aller également. Cinq minutes.
Clémentine revient et me raconte. Branlette du mec, elle qui s'exhibe un peu. Des échanges rapides. Carte de visite...

De retour à la voiture, Clémentine me demande de déballer mon saucisson. < C'est un saucisson "Pur Porc". Elle aime.
< Put-Hein l'odeur ! > me fait la jeune fille en se penchant pour en renifler les effluves parfumées. Je le fais tourner.
< C'est quoi la substance crémeuse, qui colle au bout ? > me demande Clémentine avant d'y goûter. Je lui dit la vérité.
< Tu es un vrai cochon avec ton saucisson de porc ! > me fait-elle en savourant. Je sens qu'il y a du jus qui dégouline.
Je tends un mouchoir en papier à Clémentine qui s'essuie la bouche, disant : < Dans le porc tout est bon ! Même au port !>

Bon saucisson de porc à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisson) -




Je clique avec passion sur les deux merveilleuses images ci-dessus. Ainsi je peux découvrir ce qui est écrit...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis - ENFIN DIMANCHE

Bonjour
Ma compagne si heureuse de découvrir mon histoire du dimanche, me demande de lui donner le lien de mes récits.
Pour lui faire plaisir, tout au bas de ce nouveau post, je lui donne les liens de tous mes sujets ouverts sur Bob Voyeur.
Elle est si contente qu'elle me sort la bite pour en diriger le jet contre le mur. Inspirée, elle fait un vrai Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous, intitulé : < Le créateur murale se balade chez lui en costume royal >

Notre Création Murale du samedi 9 octobre, par 17°, vers 19 h43

< Inspiration poétique d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du dimanche...

Pour découvrir ce qui est écrit sur l'image, je clique avec passion dessus. J'aime tellement cliquer et me culturer...

< J'adore ton histoire du dimanche, Mr Bite-qui-Pue" ! > me dit-elle
Pour découvrir ce que m'écrit pas délicieuse admiratrice, je clique avec passion sur sa belle image. J'aime tant cliquer...



LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue et plus belle encore parce que c'est dimanche) -


Comme précisé dans le contrat signé entre Clémentine et Juliette, j'arrive à 19 h30 avec ma mobylette bleue.
Clémentine et Juliette sont dans le jardin. Elles m'attendent. Je suis invité à mettre ma mobylette bleue à la cave.
Comme chaque samedi soir, ce seront encore une fois les WC qui me serviront de loges pour me préparer.

Ce soir, c'est l'anniversaire de Juliette. Etudiante à la Fuck de droit, Juliette fête ses 19 ans avec ses copines.
A cet effet, elle a organisé cette festivité en invitant une vingtaine d'étudiantes de la Fuck de droit, comme elle.
C'est Clémentine, mon agent artistique et mon manager qui a supervisé l'ensemble des préparatifs et les détails.

Nous sommes tous les trois, Clémentine, Juliette et moi, dans les WC. Je m'habille avec mon premier costume.
Clémentine m'aide à chausser mes palmes de plongée sous-marine que je porte systématiquement et à chaque fois.
Au dehors, nous entendons venir les premières arrivantes. Juliette, en hôtesse, nous laisse pour aller les accueillir.

Clémentine, elle aussi m'abandonne car elle assure le rôle de "Disc-Jockey". Je termine de me coiffer, me poudrer.
Il est 20 h. J'arrive. Je suis déguisé en "Roi Soleil", le grand Louis XIV. Je grimpe sur scène. Je fais des courbettes.
Juliette me rejoint. Elle s'empare du micro pour me présenter. Il y a déjà de très nombreux applaudissements.

< Bonsoir les filles. Je vous présente le créateur mural, le monsieur des saucisses ! > fait Juliette me tenant par la main.
Dans la salle, c'est l'effervescence. < La saucisse ! La saucisse ! On veut la saucisse ! On la veut ! > hurlent les filles.
Je commence en interprétant "Les petits pains au chocolat" de Jo Dassin que je chante en dialecte Autrichien.

Je parcours la scène de gauche à droite et de droite à gauche en faisant mon "Moon-Walk" façon Michael Jackson.
Dans l'assemblée, c'est le délire. Les filles chantent le refrain avec moi. J'attaque avec "Gaston" de Nino Ferrer.
J'ai beaucoup de mal à effectuer un pas de danse correct chaussé de mes palmes de plongée sous-marine. C'est dur.

Des filles montent sur scène. C'est la pagaille. Une d'entre elles s'empare de ma perruque de "Roi Soleil", Louis XIV.
Une autre essaie de m'arracher ma cape d'hermine. Je saute de scène. Fuir. Clémentine et Juliette m'accompagnent.
Des filles tambourinent contre la porte en beuglant : < Ta saucisse, on veut ta saucisse Louis machin truc, vite ! >

Enfin les choses se calment. Pendant que je fais pipi, Juliette tente d'ajuster la ficelle de mon string doré à paillettes.
Le lecteur qui suit avec passion mes prestations sait que je porte mon string doré à l'envers avec la ficelle devant.
Aussi, Juliette a toutes les peines du monde pour mettre la ficelle bien droite. Clémentine tente de l'aider un peu.

Je sors pour attaquer la seconde partie de mon spectacle. Je suis déguisé en docteur Arnold AlbertSchweitzer.
Je ne porte qu'une blouse blanche sur mon string doré. Chaussé de mes palmes de plongée c'est du plus bel effet.
J'attaque avec "Maladie d'amour" de la Compagnie Créole que je chante en Mandarin ancien du XVI ème siècle.

Rapidement la pagaille recommence. Mon succès est tel que nombre de petites culottes tombent autour de moi.
Je reçois même un soutien-gorge 95 b qui m'empêche de voir. Une fille monte sur scène et m'arrache ma blouse.
Une autre m'arrache mon string. Me voilà complètement à poil juste chaussé de mes palmes noires de plongée.

Il me faut fuir. Clémentine, Juliette et moi, nous nous enfermons dans les WC à double tour. Je fais enfin pipi.
Clémentine m'enfile. Elle m'enfile mes collants roses et me fixe la grande plume mauve derrière, en l'enfonçant.
Je garde toujours mes palmes de plongée. Ce sont un peu mes portes-bonheur, mes fétiches, mes amulettes sacrées.

Des filles cognent de toutes leurs forces contre la porte. < On veut ta saucisse ! > hurlent-elles de concert. Furies.
Enfin, cela semble se calmer un peu. J'y retourne pour terminer le show. Je grimpe sur scène avec un pas de danse.
J'attaque avec "Tata Yoyo" de Annie Cordy que je chante en dialecte Finlandais du XVII ème siècle. C'est formidable.

Hélas, c'est sans compter avec l'excitation considérable qui gagne l'assemblée. Une fois encore je suis obligé de fuir.
Une fille m'a arraché mes collants. Une autre agite fièrement mon string comme un trophée. Nous nous enfermons.
Clémentine, Juliette et moi, nous attendons une demi-heure au moins avant que tout redevienne normal. Silence.

Il est temps d'y retourner pour le rituel de la photo souvenir. Clémentine fixe son appareil photo sur le trépieds.
Les filles m'entourent. Elles me tiennent pas les hanches, d'autres par les épaules ou encore par les poils pubiens.
Moi, au milieu, j'agite jésuitiquement ma superbe saucisse de Morteau dont le jus, à cause des projecteurs, gicle.

Nous voilà enfin seuls, Clémentine, Juliette et moi. Juliette ramasse les petites culottes trempées qui traînent au sol.
Certaines, trempées collent sous les chaises ou il faut passer la serpillère. Clémentine agite un nouveau contrat.
< Samedi prochain, tu assures la soirée chez Céline, pour ses 19 ans ! > me fait-elle avec un clin d'œil et le chèque.

Quand tout est en ordre, vers minuit, Juliette regarde ma saucisse de Morteau avec envie. Du jus gras en suinte.
< C'est quoi, qui colle au bout ? On dirait du "Chaussée-aux-Moines ? > me demande t-elle en la reniflant à plein nez.
Je lui révèle la nature exacte du "Chaussée-aux-Moine. < Vieux salop ! > s'écrie t-elle avant de se régaler, ravie...

Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog -

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses)




Pour que la fête continue encore un peu, je clique avec passion sur les deux merveilleuses images ci-dessus.



LES AUTRES HISTOIRES :

1 - Les aventures de Gégé-la-Branlette c'est là : [www.bobvoyeur.com]
2 - Les aventures de Dédé-la-Lopette c'est là : [www.bobvoyeur.com]--
3 - L'auto-stoppeuse c'est là : [www.bobvoyeur.com]
4 - Le Gloryhole c'est là : [www.bobvoyeur.com]--
5 - Mes magazines porno c'est là : [www.bobvoyeur.com]--
6 - Les flatulences dans le couple c'est là : [www.bobvoyeur.com]--
7 - Les chronique du Zob Masqué c'est là : [www.bobvoyeur.com]
8 - Les fantasmes de Josiane c'est là : [www.bobvoyeur.com]

Bonnes découvertes...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Amusée par la lecture de mon histoire matinale, ma compagne s'empare de mon Zob pour réaliser une création murale.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Inspirée, elle réalise ainsi un merveilleux Chef-d'œuvre. Ravie.
Nous découvrons ce Chef-d'œuvre ci dessous, intitulé : < Le créateur mural, à sept heures, fait sa gym matinale >.

Notre création murale du dimanche 9 octobre, par 16°, vers 19 h28

< Inspiration d'une soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -

Pour pouvoir lire ce qui est écrit, dans les toutes meilleures conditions, je clique avec passion sur l'image ci-dessus.

< C'est l'odeur qui peut incommoder en goûtant ! > m'affirme t-elle avec un clin d'œil
Pour bien lire ce que m'affirme mon admiratrice, je clique avec passion sur son image.



LA SUPERBE HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural, à sept heures, fait sa gym matinale >

J'arrive chez Clémentine hier matin, dimanche, pour 9 h. Je gare ma mobylette sous l'auvent de la cabane à outils.
< Viens-vite, on se prend notre petit-déjeuner en regardant les photos de ta prestation "Chippendale" ! > me fait-elle.
J'ai apporté des croissants et de la brioche. < J'espère que tu n'as pas oublié la saucisse ! > me fait encore Clémentine.
Nous prenons notre petit-déjeuner au salon. Sur l'écran de la télévision, nous regardons défiler de magnifiques photos.
On me voit dans mon show. On me voit entouré de filles. On me voit agiter ma saucisse de Morteau. C'est une réussite.

< Dis-donc, espèce de Louis XIV de carnaval, tu as un "plan" cul pour aujourd'hui ? > me demande Clémentine, souriant.
La jeune fille me teste car les "plans" cul, c'est elle qui les propose. < Cet après-midi, on va au Musée ! > me dit-elle.
En effet, le Musée de l'hôtel de ville est ouvert tous les jours, sauf le mardi. < Je vais y faire ma salope ! > fait-elle.
Nous passons la matinée à faire un peu de ménage. A midi, je prépare un gratin d'aubergines farcies. Un bon moment.
Après le repas, Clémentine m'entraîne par la queue dans la chambre à coucher. Elle va faire de l'essayage pour le Musée

Nous partons pour 14 h. Clémentine est vêtue d'une jupe noire, d'un pull de coton noir. Elle a passé une imper mastic.
Chaussée de souliers noirs fermés à légers talons, elle laisse ses longs cheveux flotter en toute liberté. Nous arrivons.
Il n'y a personne. La jeune fille de l'accueil fait un peu la gueule car elle bosse le dimanche. Clémentine a un bon mot.
Nous montons à l'étage. Nous commençons la visite. Nous regardons les vitrines sans vraiment les voir. Nous guettons.
Nous parcourons la salle séparément. Ainsi, s'il y a un visiteur, il pourra être dans l'illusion de croiser une fille seule.

Clémentine, entre deux vitrines, s'accroupit pour me faire admirer sa touffe. Son porte-jarretelles noir tend ses bas.
Enfin, il y a un monsieur qui arrive. Un peu genre "professeur" à l'ancienne. Il tombe sur la jeune fille qui est accroupit.
Elle fait semblant de fouiller dans son sac à main. Le type s'arrête un peu plus loin. Il passe derrière une des vitrines.
Là, il mâte, la bave aux lèvres. Clémentine, ravie de l'aubaine, en rajoute une louche. Elle fait durer le moment. Super.
Moi, depuis l'autre bout de la salle, je surveille l'escalier. Le "professeur" ne m'a pas vu. Je reste silencieux, immobile.

Clémentine, en parfaite salope, sort un plug anal de son sac à main. Elle le fait tourner. Il est en caoutchouc noir, mat.
Elle le mouille de sa salive et se l'introduit doucement. C'est un petit plug. Le type semble consterné. Comme halluciné
Clémentine se redresse et reprend sa visite en marchant tout doucement. Elle s'arrête, se cambre et ajuste son plug.
La jeune fille reproduit cette attitude à quelques reprises. L'inconnu suit tout cela avec un œil plein d'attention. Intérêt.
Enfin, il aborde la jeune fille. Entre temps il m'a vu, me croyant simple visiteur. Je reste indifférent à ce qui se passe...

Je vois Clémentine chuchoter avec le quidam. Je n'entends rien. Parfois, en riant, elle mime une masturbation masculine
Elle doit évoquer la branlette. Le type est amusé et participe en riant également. Elle montre la braguette de son doigt.
C'est moi qui suit halluciné. L'inconnu regarde dans toutes les directions. Je suis accroupis derrière une des vitrines.
Le type sort sa bite et la montre à Clémentine. Elle regarde longuement. Le type est mal à l'aise. Quelqu'un peut venir.
La jeune fille récupère une carte de visite que lui tend le quidam. Elle prend congé. C'est un gentleman. Il ne tente rien.

Nous voilà dans la voiture. < Ce vieux vicelard, je veux absolument le revoir ! > fait Clémentine en montrant la carte.
< Tu as ta saucisse ? > me demande t-elle. Je déballe un splendide saucisson savoyard. Un saucisson d'Annecy. Beau.
Immédiatement l'odeur envahit l'habitacle. < Put-hein l'odeur ! C'est quoi le fromage du jour ? > demande Clémentine
Je lui tourne le saucisson sous le nez. Elle en hume longuement les effluves parfumées. Elle s'approche et y goûte, ravie
Du jus dégouline. Je lui tend un mouchoir en papier. < Viens, on rentre, je suis hyper excitée ! > me fait clémentine...

Bon saucisson d'Annecy à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucissons) -




Je clique avec passion sur les images pour lire ce qui est écrit dessus...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Excitée, amusée par mes histoires quotidiennes, ma compagne sent monter en elle cette inspiration qui la transcende.
Elle me sort alors le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise ainsi son Chef-d'œuvre.
Ce Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural a une préférence pour l'eau minérale >

Notre Création Murale du lundi 10 octobre, par 17°, vers 19 h31

< Romantisme éthéré d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -
Pour découvrir ce qui est écrit sur la sublime image, je clique dessus avec une passion débordante. J'aime tant cliquer...

< Jamais tu la brosses, Mr Bite-qui-pue ? > me demande t-elle avec un clin d'œil
Pour découvrir ce que m'affirme ma délicieuse admiratrice, je clique sur sa sublime image avec une passion débordante...



HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural a une préférence pour l'eau minérale >

Hier soir, vers 18 h30, je gare ma mobylette dans le jardin. Clémentine qui vient de rentrer de cours, me saute dessus.
Elle m'embrasse, se frotte contre moi. Je la soulève. Je la fait tourner. Clémentine est tellement contente de me voir.
< Viens vite, on se prépare la bouffe ! > me fait-elle en m'entraînant par le Zob derrière le cabanon à outils du jardin.
Là, d'une main ferme, assurée, elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Réalisant ainsi, un chef-d'œuvre.
Nous entrons à la cuisine. J'épluche les patates pendant que la jeune fille prépare la salade. Ce sera un gratin au four.

< Tu sais, le vieux salop du Musée, dimanche , j'aimerais bien me mettre en situation un de ces soirs ! > me fait-elle.
Je lui propose de préparer un "plan" dont elle a le secret. < Tu vois, un soir, un rencard bien vicelard ! > précise t-elle.
Je la rassure de ma présence discrète, voire secrète. < Ouais, il faut que tu sois tout près mais planqué ! > dit-elle.
Nous mettons le gratin dauphinois au four. Clémentine, ses mains dans mon pantalon, joue avec mes couilles humides.
< Je vais préparer un super "plan" avec ce mec ! > me fait Clémentine en me sortant la bite. Nous rions de bon cœur.

< Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > me demande la jeune fille en reniflant la saucisse de Metz. Odeur.
< Put-Hein comme elle pue ! > me fait-elle en humant les effluves parfumées de mon sauciflard. Elle se redresse, ravie.
Nous passons à table. L'odeur de ma saucisse de Metz est plus forte que celle du gratin dauphinois. Une odeur forte.
Nous dégustons notre repas. Nous bavardons. Clémentine me parle de ses cours à la Fuck de droits, elle évoque Julie.
< Cette petite salope aimerait bien goûter du vieux ! > affirme Clémentine en me faisant quelques clins d'œil appuyés.

Nous passons aux toilettes. Clémentine veut absolument y prendre son dessert. Je suis debout devant la cuvette. WC.
Accroupie, Clémentine hume les parfums de ma saucisse de Metz que je fais tourner longuement sous son nez humide.
< C'est quoi la substance qui colle au bout ? On dirait un vieux Reblochon fondu ? > me demande Clémentine ravie.
Je lui révèle la nature du Reblochon fondu. < Vieux saligaud ! > fait la jeune fille en goûtant. J'en profite pour pisser.
Clémentine a rapidement du jus de ma saucisse de Metz qui lui coule partout. Je lui tends une feuille de papier toilette.

Bonne saucisse de Metz à toutes et à tous...

Le créateur Mural - (Spécialiste es-saucisses)




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne lit, relit mes histoires quotidiennes. Cela l'amuse à tel point qu'elle sent monter en elle une inspiration.
Elle se saisie de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un beau Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural ne porte pas de slip sous son futal >

Notre Création Murale du mardi 11 octobre 2016, par 15°, vers 19 h32

< Charme bucolique d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -
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< Dis-moi quand tu laves enfin le bout de ta bite ! > dit-elle avec un clin d'œil

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HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural ne porte pas de slip sous son futal >

J'arrive chez Clémentine, hier soir, mardi, pour 18 h30. La jeune fille se précipite pour me sauter dans les bras. Bisous.
Je gare ma mobylette sous l'auvent du garage. < Viens vite, nous sommes invtés chez Julie ! > me fait Clémentine.
Nous prenons la vieille Toyota Yaris. C'est moi qui doit rouler. Clémentine joue avec ma bite qu'elle tient dans sa main.
< Tu peux enlever le casque de ta mobylette, s'il te plaît ? On dirait un cosmonaute ! > demande la jeune fille en riant.
Nous arrivons chez Julie qui nous reçoit sur le pas de la porte. Julie nous fait entrer à la cuisine où ça sent très bon.

Julie m'embrasse. Elle en profite pour me faire "Pouët-Pouët" aux couilles en me disant : < Enlève donc ton casque ! >
Julie a préparé un gratin de coquillettes avec une sauce au pistou. Nous nous régalons en bavardant, en riant. Superbe.
Clémentine me propose de faire une flambée dans la cheminée du salon. Nous y faisons griller des châtaignes. Un régal
< Tu as apporté une saucisse pour le dessert ? > demande Clémentine en s'accroupissant pour pisser dans une cuvette.
Je déballe ma superbe saucisse de Morteau. Les filles se précipitent pour en respirer les parfums. L'odeur caractéristique

< C'est quoi l'espèce de beurre jaune qui colle au bout ? On dirait de la fondue savoyarde ! > me fait Julie en reniflant.
Je lui révèle la véritable nature de la fondue savoyarde. < Vieux dégueulasse, va !> me fait Julie avant de goûter, ravie.
Les filles savourent ma saucisse de Morteau en gloussant de plaisir. < Avec les noix, c'est délicieux ! > fait Clémentine.
Julie s'essuie le jus de ma saucisse de Morteau qui lui dégouline partout. < C'est goûteux ! > fait-elle en déglutissant.

Clémentine déglutie à son tour, et avec peine. Elle évoque le vieux vicelard du Musée, rencontré dimanche après-midi.
Julie écoute avec attention. < Put-Hein, j'aimerais bien me sucer un vieux ! > fait-elle en passant sa main dans le slip.
< On va se préparer un super "plan". J'ai ses coordonnées ! > fait Clémentine en se mettant sa main dans le pantalon.
Les deux filles, tout en se touchant, envisagent une stratégie. Il est décidé de voir le vieux vicelard chacune séparément.
Je suis sollicité, dans les deux cas, pour sécuriser les environs durant les situations que veulent créer les deux salopes.

Bonne saucisse de Morteau à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne s'est encore amusée de mes petites histoires quotidiennes. Ces hisoires qui, chaque jour, l'inspirent.
Inspirée, elle se saisie de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural n'a que faire des femmes fatales >.

Notre Création Murale du mercredi 12 octobre, par 15+, vers 19 h21

< Poésie crépusculaire d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -
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< Je n'arrive pas à m'y faire, à ton fromage ! > me dit-elle en secouant mon Zob
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HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural n'a que faire des femmes fatales >

Hier soir, mercredi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Elle me saute dans les bras pour m'embrasser longuement.
Je gare ma mobylette dans la descente de la cave. < Viens vite, on se fait une soirée frome après la bouffe ! > dit-elle.
Elle m'entraîne par la queue. Elle me tient la bite pour en diriger le jet dans une bassine en plastique "Made in China".
Nous entrons à la cuisine pour y préparer une délicieuse fougasse aux olives. Je prépare la pâte et Clémentine le reste.
J'observe la magnifique touffe de la jeune fille qu'elle me montre en relevant sa jupe kilt. Elle me semble plus touffue.

Je mets la fougasse au four. Clémentine n'arrête pas de me secouer la bite en chantonnant. J'aime la voir si heureuse.
< C'est bientôt Halloween ! On va se faire un super "plan" sorcier et sorcière ! > fait Clémentine, secouant mes couilles
Nous savourons notre fougasse avec délice. Clémentine a préparé une salade verte. C'est un régal. Nous bavardons.
< Pour la semaine prochaine, je prépare le "plan" avec le vieux vicelard du Musée. ! > fait Clémentine avec un clin d'œil.
Je sais que ça va encore être du sévère. Nous passons au salon pour le dessert. Nous avons bien mangé. Je rote, pète.

< Tu as quoi comme saucisse pour ce soir ? > demande la jeune fille, une main sous sa jupe. Je déballe ma saucisse.
< Wouah ! Une vraie saucisse grenobloise ! C'est quoi qui colle au bout ? > me fait la jeune fille en s'accroupissant.
< On dirait un vieux Maroilles dont la date de péremption est dépassée depuis six mois ! > me fait-elle en la reniflant.
Nous rions de bon cœur. Je lui révèle la nature du vieux Maroilles. < Vieux salop ! > me fait Clémentine en goûtant.
Elle gratte un peu de Maroilles avec l'ongle de l'index et en hume les senteurs fortes. Soudain, trois coups de sonnette.

Du fromage aux coins des lèvres, Clémentine se redresse pour aller voir. Elle revient avec Julie qui vient me faire la bise
< J'arrive au bon moment, hein ! > dit Julie, me faisant "Pouët-Pouët" aux couilles. Elle rajoute : < Put-Hein l'odeur !>.
C'est vrai que les effluves fortement parfumées de ma saucisse grenobloise envahissent tout le salon. Une puanteur.
Les deux filles, en riant, se refilent ma saucisse grenobloise. Chacune en savoure longuement le vieux Maroilles gluant.
La dégustation dure ainsi toute la soirée. Je tends des mouchoirs en papier aux filles pour qu'elle s'essuient le jus gras.

Bonne saucisse grenobloise à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Rien n'enchante plus ma compagne que de me sortir le Zob, de me tenir la bite et d'en diriger le jet contre le mur.
Elle s'amuse, en riant, pleine d'entrain, de bonne humeur. Et une fille qui sait rire, c'est tellement agréable.
Nous découvrons son Chef-d'œuvre ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural a souvent la tête dans les étoiles >

Notre Création Murale du jeudi 13 octobre, par 17°, vers 19 h32

< Rêve élégiaque d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
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< C'est quoi le fromage du jour ? > me demande mon admiratrice en riant...
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HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural a souvent la tête dans les étoiles >

J'arrive chez Clémentine hier soir, jeudi, vers 18 h30. La jeune fille vient de rentrer de cours. Je gare ma mobylette.
Clémentine me saute dans les bras, m'embrasse et s'empare de mon zob pour m'entraîner à l'intérieur, toute contente.
< Viens vite, on va se préparer une superbe bouffe ! > me fait-elle en m'entraînant aux toilettes. Elle me secoue le Zob.
Elle me tient fermement la bite pour en diriger le jet dans la cuvette en plastique bleu "Made in China". En virtuose.
C'est une cuvette que nous avons acquise au Super U lors d'une promotion. Trois cuvettes gigognes pour 6,65 euros.

Je pisse peinard. Clémentine, en me secouant les dernières gouttes, me raconte sa journée de cours à la Fuck de droit.
Nous allons à la cuisine. Je suis sollicité pour éplucher les patates. Pendant ce temps, Clémentine prépare la salade.
< Tu n'oublies pas, demain soir, samedi, tu assures ta prestation "Chippendale" chez Céline ! > me rappelle Clémentine
Je la rassure, je n'oublie absolument pas. Je découpe les patates en rondelles épaisses. Je verse de l'œuf battu dessus.
Je saupoudre de lamelles de Reblochon et je dépose le tout au four pour une cuisson à feu moyen thermostat 6, à 250°.

< Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > me demande Clémentine avec ses mains dans mon slip kangourou.
Je déballe une splendide saucisse de Biot ! < Biot, la ville du verre bullé ! Quelle bonne idée ! > s'écrie la jeune fille.
< C'est quoi qui colle au bout de ta saucisse de Biot ? On dirait le reste de Reblochon fondu ? > me demande Clémentine
Je lui révèle la nature du "Reblochon". < Espèce de vieux dégoûtant ! > fait-elle en reniflant les senteurs de la saucisse.
Clémentine racle un peu de "Reblochon" avec l'ongle de l'index. Elle porte le doigt à son nez puis à sa bouche, l'air ravie.

Je lui propose d'attendre le dessert par savourer ma saucisse de Biot. < Oui ! Passons à table, vieux salop ! > fait-elle.
Nous savourons le gratin accompagné de salade. Nous bavardons. Nous rions. Nous évoquons mes histoires sur le forum
< Tous les matins, de bonne heure, tu nous enchantes de tes histoires ! C'est superbe et original ! > me dit clémentine.
Bien sûr, je suis flatté. Mais je précise que j'y prends grand plaisir. < Je m'en doute bien, vieux cochon ! > me fait-elle.
Nous faisons la vaisselle. < Ne te brûle pas la bite avec l'eau chaude ! > me fait Clémentine en me passant un tablier.

Nous passons au salon. Clémentine, avec une petite cuillère en acier inoxydable "Stainless still", racle le "Reblochon".
Elle savoure la substance qu'elle récupère sur la tranche du couvert. < C'est dégueu ton histoire ! > fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Je lui rappelle qu'il faut amuser le lecteur. Clémentine déguste à présent à cru ma saucisse.
< Il y a toutes les senteurs de l'arrière pays Niçois dans ta saucisse de Biot ! > me fait la jeune fille en gémissant.
Je lui fais remarquer qu'il manque tout de même le chant des cigales. Nous rigolons comme des bossus. Il y a du jus.

Clémentine avale avec peine. Elle a du jus de ma saucisse de Biot qui lui dégouline partout. Jusque sur le haut du pull.
Je lui tends un mouchoir en papier. Clémentine s'essuie et me fait : < Un régal ta saucisse de Biot au fromage fondu !>.
< Demain soir, pour ta prestation "Chippendale", tu seras déguisé en quoi ? > me demande Clémentine en déglutissant.
Je lui fais remarquer que c'est mon petit secret hebdomadaire. < On va encore bien se marrer ! > me fait la jeune fille.
< Vivement Dimanche et ta belle histoire ! > conclue Clémentine en s'accroupissant au-dessus de la cuvette pour pisser

Bonne saucisse de Biot à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
C'est en riant comme des bossus, que ma compagne et moi, nous sommes debout devant le mur. Elle tient mon Zob.
Oui ! Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un Chef-d'œuvre. Nous rions de bon cœur.
Nous découvrons ce Chef-d'œuvre ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural n'aime pas trop la chaleur tropicale >

Notre Création Murale du vendredi 14 octobre, par 16°, vers 19 h20

< Charme suave d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -
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< J'attends ta belle histoire du dimanche ! > me dit-elle avec un clin d'œil...
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HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural n'aime pas trop la chaleur tropicale >

Hier, vendredi, j'arrive chez Clémentine en soirée. La jeune fille m'embrasse longuement. Elle s'empare de ma queue.
J'ai à peine le temps de poser ma mobylette qu'elle m'entraîne dans la cuisine. < Viens, on se fait la bouffe ! > dit-elle.
Je suis sollicité pour faire chauffer l'eau et y mettre les pâtes. Il est question de préparer un bon gratin de coquillettes.
Pendant ce temps Clémentine prépare une belle sauce Bolognaise. Nous bavardons. La jeune fille me parle de ses cours.
< Demain soir, tu as prestation "Chippendale" chez Céline, tu n'oublies pas, hein ? > me demande Clémentine en riant.

Je la rassure, tout est prêt. Je serais là pour 19 h30 pour assurer comme chaque samedi soir. Je raconterais dimanche.
< Oh oui ! Vivement ta belle histoire du dimanche ! > fait Clémentine en touillant la sauce. Je mets les pâtes au four.
Nous évoquons nos aventures passées et à venir. Clémentine me promet que la semaine prochaine j'aurais une surprise.
< Je veux vivre un "plan" avec le vieux salop du musée ! Je téléphone dimanche soir ! Tu veux ? > me dit Clémentine.
Je l'encourage en disant : < Les "plans" cul les plus fous il faut les vivre à 20 ans. Pas à 50 ! Profite ! > Elle m'embrasse

Nous passons à table. Le gratin de coquillettes, saupoudré de Parmesan accompagné de la sauce est bon et délicieux.
< Tu a quoi comme saucisse pour le dessert ? > me demande Clémentine. Je déballe une splendide saucisse juteuse.
< Wouah ! Une saucisse à jus ! Ce sont mes préférées avec la saucisse de Morteau ! >fait la jeune fille sous la table.
< C'est quoi le truc gluant, crémeux et qui pue, collé au bout ? On dirait du fromage Pont-L'évêque ! > fait Clémentine.
Je lui révèle la nature exacte du fromage. < Tu es mon vieux salop préféré ! > me fait la jeune fille avec un clin d'œil.

Clémentine passe ma saucisse à jus sur le gratin de coquillettes dans son assiette. Elle y frotte le fromage. C'est chaud
< Je vais me régaler ! > fait-elle encore en goûtant ma saucisse juteuse. C'est admirable de la voir prendre des deux.
Une fourchette de pâtes, un coup de saucisse, une fourchette de pâtes, un coup de saucisse. Nous rions de bon cœur.
Après ce délicieux repas, Clémentine m'invite à passer au salon pour y déguster son dessert. Ma saucisse à jus sent fort
Il y a des reliquats de coquillettes au gratin au bout. < Et ça nous change un peu ! > fait Clémentine savourant et ravie

Bonne saucisse à jus à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne, folle de joie à l'idée de découvrir la belle histoire du dimanche se sent envahie d'une inspiration divine.
Elle se saisit de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un vrai Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural se déplace en combinaison spatiale >

Notre Création Murale du samedi 15 octobre, par 19°, vers 19 h19

< Merveille d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du dimanche -
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< La pipe au fromage ? > me demande t-elle avec un clin d'œil...
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LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue et plus belle encore parce que c'est dimanche) -

J'assure ma prestation "Chippendale" chez Céline

Il est 19 h30 très précise. Comme convenu, j'arrive à l'heure pile. Clémentine et Céline m'attendent dans le jardin.
Clémentine m'invite à descendre ma mobylette par la cave. Ce sera beaucoup plus discret. Tout commence à 20 h.
Comme pour chacune de mes prestations, ce seront les WC qui feront office de loges où je pourrais me préparer.

Je me dépêche de me déguiser. Céline fête ses 19 ans. Elle organise cette soirée pour son anniversaire. Superbe !
Céline est étudiante à la Fuck de médecine. Elle a invité une quinzaine de copines. Toutes également étudiantes.
Me voilà prêt à commencer. Clémentine et Céline me laissent pour aller accueillir les premières arrivantes. La fête.

J'arrive sur ma mobylette maquillée en vaisseau spatial. Je me suis déguisé en cosmonaute de la NASA. Magnifique.
C'est un tonnerre d'applaudissements. Je grimpe sur scène. Je suis chaussé de mes palmes de plongée sous-marine.
Je parcours la scène façon Michael Jackson en faisant un "Moon-Walk". C'est tout à fait approprié au thème lunaire.

Je commence par la chanson "On the moon" de Franck Sinatra que je chante en dialecte Bavarois du XIXème siècle.
Dans l'assistance, c'est le délire. J'enchaîne avec "Vanina" de Dave que j'interprète en patois moldave du XVIIème.
Une fille monte sur scène et m'arrache mon masque lunaire. Une petite culotte mouillée tombe à mes côtés au sol.

Sentant venir le danger, Clémentine et Céline m'entraînent aux cabinets. Nous nous y enfermons à double tour.
Des filles cognent contre la porte. Je me change. J'en profite pour faire pipi. Je mets mon string doré à paillettes.
Comme je le porte à l'envers, avec la ficelle devant, Céline a toutes les peines du monde à me l'ajuster correctement.

Céline, que ses copines appellent Céline Fion, monte sur scène, s'empare du micro et me présente. J'arrive de suite.
< Bonsoir les filles ! C'est le créateur mural, le monsieur des saucisses ! > Je suis ovationné comme rarement. La gloire.
< La saucisse ! La saucisse ! On veut bouffer la saucisse ! > hurlent les filles déchaînées, hystériques et très excitées.

Je suis vêtu de mon string, chaussé de mes palmes noires de plongée sous-marine. J'agite une saucisse de Morteau.
Je fais mon "Moon-Walk" tout en chantant " Bambino" de Dalida que j'imite à la perfection et jusqu'au strabisme.
Puis j'interprète "Champs Elysees" de Jo Dassin, strabique également. Je chante en dialecte Scandinave du XIXème.

Dans l'assistance c'est la folie. Je reçois nombre de petites culottes. Certaines toutes mouillées collent partout.
Je suis aveuglé par un soutien-gorge taille 96 b. Une fille monte sur scène et m'arrache mon string. Me voilà à poil.
J'ai à peine le temps de sauter de scène. Je courre en canard à cause de mes palmes de plongée jusqu'aux toilettes.

Clémentine et Céline sont là à me protéger. Dehors les filles cognent contre la porte en hurlant : < La saucisse ! >
J'en profite pour faire pipi pendant que Céline m'enfile mon short hawaïen pour la dernière partie du spectacle.
Je reviens pour interpréter "Casser les noix" de Patrick Bruel que je chante en dialecte Hongrois du XVIème...

S'en est trop pour toutes ces filles surexcitées. L'une d'entre elles monte sur scène et m'arrache la palme gauche.
Je perds l'équilibre. Mon banjo se fracasse au sol. Une autre m'arrache mon short hawaïen. Me voilà à nouveau nu.
Il me faut m'enfuir une nouvelle fois. Direction les WC avec Céline et Clémentine. Nous nous enfermons à clef.

Nous attendons que le calme revienne enfin. C'est le moment du rituel de la photo souvenir. Nous revenons.
Clémentine a installé son superbe appareil professionnel sur un trépieds. Je suis debout au milieu des filles.
L'une me tient par les épaules. L'autre me tient par les hanches. Une autre encore me tient par les poils pubiens.

Moi, au milieu, j'agite jésuitiquement ma saucisse de Morteau qui, à cause des projecteurs, a tendance à gicler.
J'en mets évidemment partout. Des filles en ont plein les cheveux, sur les vêtements et même sur leurs chaussures.
Je signe quelques petites culottes encore sèches que me tendent mes nombreuses admiratrices. C'est la gloire...

Nous voilà enfin seuls, Clémentine, Céline et moi. Nous ramassons les petites culottes trempées qui collent partout.
Il y en a même une collée sur le lustre du salon. Il faut également passer la serpillère sous les chaises. Il y a l'odeur !
Céline insiste pour goûter à ma saucisse de Morteau. Je la déballe à nouveau. Elle colle un peu dans son emballage.

< C'est quoi qui colle au bout, on dirait un fromage "Pont-L'évêque" ? > me demande Céline en grattant avec le doigt.
Je lui révèle la nature du "Pont-l'évêque". < Mais c'est dégueu ! > s'écrie t-elle avant de renifler son doigt et goûter.
Pendant que Céline se livre à sa dégustation, Clémentine agite un chèque et un contrat en gloussant de plaisir.

< Samedi prochain, tu assures ta prestation "Chippendale" chez Audrey ! Elle fête ses 19 ans ! > me fait Clémentine.
Je passe une serviette en papier à Céline qui s'est mis du jus de la saucisse de Morteau un peu partout, ça dégouline.
Tout le monde a passé une excellente soirée. Clémentine, mon "manager" et Agent Artistique est contente et ravie.

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Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne, pliée de rire, lit mes histoires avec bonheur. Mes petites anecdotes qui participent à son inspiration.
Elle me sort alors le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Une fois de plus c'est le Chef-d'œuvre.
Ce Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural ne fait pas de voyages dans l'astral >

Notre Création Murale du dimanche 16 octobre, par 19°, vers 19 h18

< Beauté d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -
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< Vieux salop, avec ta bite au fromage ! > me fait-elle en la goûtant...
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HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural ne fait pas de voyages dans l'astral >

Hier matin, dimanche, j'arrive chez Clémentine de bonne heure. Je gare ma mobylette dans le jardin. Il fait beau et doux
Clémentine se précipite, me saute dans les bras et m'embrasse longuement. Elle sort mon Zob pour m'entraîner, ravie.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Clémentine me secoue la queue jusqu'aux dernières gouttes.
< Viens vite, j'ai préparé le diaporama des photos de ta prestation "Chippendale" de samedi soir ! > me fait Clémentine
Elle m'entraîne au coin ordinateur. Je sors les croissants pour notre petit-déjeuner. Clémentine ramène le café et le pain

Là, sur l'écran, nous regardons défiler les superbes photographies de la soirée. On peut m'y admirer entouré des filles.
L'une me tient par les hanches, l'autre par les épaules, une autre encore par les poils pubiens. C'est émouvant et beau.
Moi, au milieu, debout, j'agite jésuitiquement ma saucisse de Morteau. < Encore une réussite ! > me fait Clémentine.
< Au fait, tu as emmené une saucisse aujourd'hui, pour notre randonnée à vélo ? > me demande t-elle soudain sérieuse
Je déballe un splendide saucisson de porc. < Put-Hein comme il est beau ! > Je le remballe très vite à cause de l'odeur.

Nous passons la matinée à faire un peu de ménage. Nous nous promenons un peu près de la rivière derrière la maison.
Nous préparons notre repas de midi. A treize heures, sous un soleil carrément chaud et haut nous partons à bicyclette.
En roulant, Clémentine me raconte ses cours à la Fuck de Lettres. Elle évoque le projet "Bite de vieux" de la semaine.
< Je prépare ce "plan" pour mercredi soir. Tu seras là, hein, planqué ? > me demande Clémentine, grave. Je la rassure.
Nous arrivons au port de plaisance. < Un saucisson de porc au port ? > me fait Clémentine en cadenassant nos vélos.

Nous passons derrière le muret du vieux cimetière au-dessus du port. Clémentine déballe mon saucisson sec de porc.
Immédiatement l'odeur est puissante. Elle nous monte au nez. < C'est quoi le fromage qui colle au bout ?> me dit-elle
Je lui révèle la nature du fromage. < C'est ça. Un porc avec un saucisson de porc qui se balade au port ! > me fait-elle.
Nous rions de bon cœur. Clémentine, à genoux dans l'herbe, renifle les effluves parfumées de mon saucisson sec de porc.
Rapidement, il y a du jus. Je tends un mouchoir en papier à la jeune fille qui rote en me disant : < Un vrai bonheur ! >

Bon saucisson de porc à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucissons) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
L'automne, les feuilles qui jonchent le sol, les premières fraîcheurs, il n'en faut pas plus pour inspirer ma compagne.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un Chef-d'œuvre d'automne.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous : < Le créateur mural se balade avec le bout de la bite sale >

Notre Création Murale du lundi 17 octobre, par 16°, vers 19 h18

< Enchantement d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -
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< Salut pue-d'la-bite ! > me fait-elle avec un clin d'œil en la reniflant...
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HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural se balade avec le bout de la bite sale >

Hier soir, lundi, j'arrive chez Clémentine sous la pluie. Je gare ma mobylette à la cave. Clémentine apporte le parapluie.
< Viens vite, on se met à l'abri ! > fait la jeune fille en se saisissant de mon Zob pour en diriger le jet contre le mur.
Clémentine me secoue la bite jusqu'aux dernières gouttes. < Viens, on se prépare la bouffe ! > me fait-elle à la cuisine.
Je fais cuire les lentilles avec de l'ail et de l'oignon, (un ail, des aulx). Je vais préparer un pâté de lentilles pour la farce
Il est décidé de nous faire des tomates farcies. Clémentine prépare la salade. Nous bavardons, elle évoque ses cours...

< Tout à l'heure, je téléphone au vieux vicelard du musée ! > fait Clémentine en rajoutant : < Un rencard dimanche ! >.
Clémentine a en prévision de revoir l'exhibitionniste qui lui a montré sa bite au musée, dimanche dernier. Lire l'histoire.
Nous dégustons notre repas du soir. Nous faisons la vaisselle. Nous prenons notre dessert au salon. Yaourts au miel.
Clémentine joue avec ma bite en faisant le numéro de téléphone du vieux vicelard qu'elle lit sur la carte qu'il lui a donné
< Allo ? Bonsoir. C'est bien Monsieur Lamolle ? C'est Clémentine, la fille du musée ! > fait la jeune fille en me souriant.

J'écoute ce que raconte Clémentine. Elle me fait des clins d'œil. Monsieur Lamolle doit la faire rire car elle se marre bien
< C'est d'accord, 15 h au salon de Thé "La Biscouille". A dimanche monsieur Lamolle ! > fait Clémentine en raccrochant.
Elle m'observe longuement, souriante. Elle me dit : < Voilà, le "plan" est en route. Je vois ce vicelard dimanche ! >.
< Rendez-vous dans le salon de thé à côté du musée de l'Hôtel de ville dimanche prochain, pour 15 h ! > me fait-elle.
< Tu as apporté une saucisse ? Ce projet me met en appétit. Je me sent hyper salope ! > me fait encore la jeune fille.

Je déballe mon superbe saucisson Corse. < Comme elle est belle ! Tous les parfums de l'Île de beauté ! > me fait-elle.
C'est quoi qui colle au bout ? On dirait un Sartinesu, ce fameux fromage Corse ? > demande Clémentine en reniflant.
Je lui révèle la nature du fromage. < T'es mon vieux salop préféré ! > fait Clémentine en grattant un peu de fromage.
Elle porte le doigt à son nez puis à sa bouche. < Tout le charme des collines de Sartène ! C'est merveilleux ! > fait-elle.
Elle goûte en gémissant. Il y a du jus qui dégouline. Je lui essuie la bouche. < Viva Corsica ! > me fait-elle en rotant...

Bon saucisson Corse à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucissons) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Le retour de la fraîcheur, en soirée, inspire ma compagne. Vêtue de son manteau noir, elle s'empare de mon Zob.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. En riant, d'un élan virtuose, elle réalise un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural prépare sa saison hivernale >.

Notre Création Murale du mardi 18 octobre, par 16°, vers 19 h17

< Charme éthéré d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -
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< Bonjour Mr Pue-d'la-bite, ça schlinge encore ! > me dit-elle au téléphone
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HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural prépare sa saison hivernale >

Hier soir, mercredi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. La jeune fille prend ma mobylette pour la descendre à la cave.
< Viens vite, on est invités chez Julie ! > fait-elle en s'emparant de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet.
Je pisse longuement contre le mur. Clémentine réalise un magnifique dessin. Puis elle prend quelques photographies.
La jeune fille m'entraîne par la queue après m'avoir secoué les dernières gouttes. Nous voilà dans la chambre à coucher.
Assis sur le lit, j'assiste à l'essayage de vêtements. Avec la fraîcheur de la soirée, priorité au habits chauds et doux...

Nous restons ainsi une demi-heure à bavarder. Clémentine évoque sa journée de cours à la Fuck de Lettres. Rigolades.
Finalement, le choix de la jeune fille se porte sur une jupe marron, évasée, un chemisier recouvert d'un pull noir. Laine.
Chaussée de souliers noirs à légers talons. Des bas noirs fixés par un porte-jarretelles noir. Ce soir elle porte une culotte
Nous voilà en route. C'est moi qui conduit. Clémentine joue un peu avec ma bite. Nous rions de bon cœur. Sympathique.
Nous arrivons chez Julie qui nous accueille sur le perron de la véranda. Elle nous embrasse, toute contente de nous voir.

Julie s'empare de ma bite qu'elle tient au-dessus d'une cuvette bleue, en plastique "Made in China". Je tente de pisser.
Puis Julie nous emmène à la cuisine où règne une délicieuse odeur. Julie fait une flamiche Picarde. Tarte aux poireaux.
Nous dégustons ce repas. < Tu as apporté une saucisse pour le dessert ? > me demande Julie, me faisant un clin d'œil.
Je déballe mon splendide salami Turinois. Immédiatement l'odeur envahit la cuisine. < C'est épouvantable ! > font-elles.
Les filles se bouchent le nez. < C'est quoi le frome qui colle au bout ? On dirait un camembert "Président" > disent-elles

Je leur révèle la nature du fromage "Président". < Vieux cochon, va !> fait Julie en reniflant mon salami Turinois, ravie.
Je suis assis sur la table de la cuisine, pieds sur la chaise. Julie s'est assise sur cette chaise et scrute mon salami sec.
Clémentine s'assoit à côté. Les deux filles hument longuement les effluves parfumées de mon salami Turinois. Odeur.
Julie goûte en gémissant. Parfois, en s'essuyant le jus, elle passe mon salami à Clémentine qui savoure en gloussant.
C'est beau, plein d'émotion. < Raconte-nous la différence entre un salami, un saucisson et une saucisse ? > fait Julie...

Bon salami Turinois à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de salamis) -




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Les Chef-d'œuvres de la création murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne, tout en rigolant comme un bossu en lisant mes petites histoires, se saisit de mon Zob, fébrile et pressée.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. A cause de sa rigolade, elle en met partout. Un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural aime la bonne bouffe en général >

Notre Création Murale du mercredi 19 octobre 2016, par 16°, vers 19 h19

< Délices mystérieuses d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -
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< Mr Schlinguo, va bite la laver ! > me fait-elle. Nous rions de bon cœur...
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HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural aime la bonne bouffe en général >

Hier soir, mercredi, j'arrive chez Clémentine pour 18 h30. Je gare ma mobylette dans le garage. Personne ne m'accueille.
Je toque à la porte. J'entends une voix qui me fait : <Entrez ! >. J'entre. Clémentine est assise sur une chaise à l'envers
Elle est en jupe, le dossier entre les jambes, ce qui l'oblige à garder les cuisses largement écartées. Elle est magnifique
< Bonjour. Je suis tellement excitée en pensant à mon rendez-vous de dimanche que je m'amuse d'un rien ! > fait-elle.
Les bras croisées sur le dossier, Clémentine ouvre sa bouche et me tire la langue en faisant un clin d'œil. Elle est belle !

Je m'approche pour lui faire plein de bisous sur le front, sur les joues et même sur le bout de son nez. Elle m'attrape.
Elle m'attire à elle en m'embrassant avec fougue. Sa langue fouille ma bouche. C'est tellement surprenant qu'on bave.
Finalement au bout de dix bonnes minutes, nous cessons. Clémentine se lève. < Viens, on fait la bouffe ! >me dit-elle.
J'épluche les patates. Clémentine prépare les œufs, les champignons, l'ail et l'oignon. Nous rigolons comme des bossus.
Nous préparons un gratin de pommes de terre accompagné d'une omelette et d'une salade d'endives. Nous avons faim.

Pendant notre repas, Clémentine évoque à nouveau le rendez-vous prévu à 15 h, dimanche, dans le salon de thé. Ravie.
< Je vais m'allumer ce vieux vicelard ! Je vais voir jusqu'où il va aller ! > me confie la jeune fille en prenant de la salade
Nous parlons un peu de ses cours à la Fuck de Lettres, de son amie Julie et de la fête de Halloween à venir. Citrouilles.
Nous faisons notre vaisselle. Clémentine une main sous sa jupe, fait : < Tu me baises un peu après ? > Je la rassure.
J'essuie la table. Je rejoins Clémentine au salon. La jeune fille est couchée sur le canapé, jambes relevées et écartées.

< Viens vite, j'en ai trop envie ! > Je sors ma bite, la lui frotte un peu sur la chatoune. Elle m'attrape et s'enfile le Zob.
On baise comme des salops. On fait durer. < Tu as quoi comme saucisse pour après ? > me chuchote t-elle à l'oreille.
J'évoque une saucisse à jus ! < Oui ! Ta saucisse juteuse ! Je l'aime celle-là ! > Je me retire après le second orgasme.
Clémentine, pressée de déguster, se saisit de ma saucisse à jus. < C'est quoi le truc gluant qui colle au bout ?> dit-elle
Je lui révèle la natue du truc gluant. < Salop ! > fait-elle, la bouche ruisselante de jus de saucisse. Il y a des mouchoirs

Bonne saucisse à jus à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ele me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle est animée d'une pulsion créative.
Ma compagne est le plus souvent inspirée en soirée. Cet impérieux besoin quotidien de créer un vrai Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural protège ses parties génitales >

Notre Création Murale du jeudi 20 octobre, par 16°, vers 19 h17

< Douceur bucolique d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
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< Dis-donc, ton avatar, c'est plutôt dégueu !> me fait-elle avec un clin d'œil...
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HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural protège ses parties génitales >

Hier soir, jeudi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Je n'ai que le temps de garer ma mobylette qu'elle m'embrasse.
< Viens vite, on se prépare une pizza au chorizo avant l'arrivée de Julie ! > me fait-elle en m'entraînant dans la cuisine.
Je prépare la pâte. Clémentine prépare la garniture. Nous bavardons. La jeune fille est contente d'être près du week-end
< N'oublie pas, samedi soir tu as ta prestation "Chippendale" chez Audrey ! >. Je la rassure. Je serais fidèle au poste.
< Fais voir le chorizo que tu as apporté ? > me demande Clémentine. Je déballe une splendide saucisse espagnole...

< Comme elle sent fort, dis-donc ! >. Je fais tourner ma saucisse espagnole sous le nez de la jeune fille qui est ravie.
Nous mettons la pizza au four. Je prépare les avocats et Clémentine ouvre la boîte de thon blanc au naturel. La mayo.
L'odeur de ma saucisse espagnole est plus forte que l'odeur de la pizza. C'est fou. < C'est dégueu ! > fait Clémentine.
Trois coups de sonnette. C'est Julie. Elle est vêtue de façon très classique. Jupe, pull et blouson. Souliers à talons hauts
< C'est quoi qui schlingue aussi fort ? > demande Julie en regardant ma saucisse espagnole avec une grande attention.

Nous passons à table. La pizza est délicieuse. Clémentine et Julie me félicite. Nous passons aux avocats thon-mayo.
< Tu arrives à manger en gardant ton casque de mobylette ? > me demande encore Julie en m'observant, dubitative.
Clémentine nous propose de goûter à la saucisse Espagnole au salon. Nous faisons d'abord la vaisselle. Nous bavardons
< Ne te brûle pas la bite avec l'eau chaude ! > me fait Julie avec un clin d'œil. Je la mets à l'abri derrière mon tablier.
Nous passons au salon. Julie déballe ma saucisse Espagnole. < Pouah ! C'est quoi au bout ? > me demande t-elle.

< On dirait un vieux Manchego, ce délicieux fromage espagnol ! > me fait Julie en raclant un peu avec l'ongle du doigt.
Elle renifle son index avant de le porter à sa bouche ! < Put-Hein, mais tu es un vrai porc ! > me fait encore Julie, ravie.
< Et dans le porc tout est bon ! > ponctue Clémentine en s'engouffrant la saucisse espagnole. Les filles se la passent.
Rapidement, il y a du jus de la saucisse qui dégouline. Julie, des particules de Manchego aux coins des lèvres, glousse.
Je tends des mouchoirs en papier aux deux filles afin qu'elles s'essuient. < Et viva l'Espagna ! > s'écrient-elles, ravies...

Bonne saucisse Espagnole à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -




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