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FORUM

Elle tient ma bite pour en diriger le jet contre un mur - Film

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe1

Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Nous voilà déjà en cette seconde page. Comme les choses semblent s'accélérer !
Nous repartons pour de nouvelles découvertes, de nouveaux Chef-d'œuvres.

Rappelons à tous nos amis que le sexe, sans humour, est d'une tristesse infinie.
Rappelons également que personne n'est obligé de lire ce qui ne l'intéresse pas.

Pour tous les amoureux de belles histoires et pour tous ceux qui aiment rire.
Voilà les liens qui permettent de passer d'excellents moments sur ce forum :

1 - Gégé-la-Branlette, c'est là : [www.bobvoyeur.com]
2 - Dédé-la-Lopette, c'est là : [www.bobvoyeur.com]
3 - L'auto-stoppeuse, c'est là : [www.bobvoyeur.com]
4 - Le gloryhole, c'est là : [www.bobvoyeur.com]
5 - Mes magazines pornos, c'est là : [www.bobvoyeur.com]
6 - Les flatulences, c'est là : [www.bobvoyeur.com]
7 - Les chroniques, c'est là : [www.bobvoyeur.com]
8 - Les fantasmes, c'est là : [www.bobvoyeur.com]
9 -

Bonnes découvertes...

Classe

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne, toute heureuse de découvrir cette seconde page, se sent envahie d'une profonde inspiration.
Elle se saisit de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Réalisant un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Chef-d'œuvre bucolique d'un soir d'octobre >

Notre Création murale du vendredi 21 octobre 2016, par 15°, vers 19 h17

< Chef-d'œuvre bucolique d'un soir d'octobre > - Notre bonheur du samedi -
Je clique amoureusement sur l'image pour lire ce qui est écrit dessus. Je clique passionnément...

< Quand je regarde ton avatar, je comprends l'odeur ! > me confie t-elle...
Je clique amoureusement sur l'image de mon admiratrice pour lire ce qu'elle m'écrit. Je clique amoureusement...

Classe

HISTOIRE DU SAMEDI

< Chef-d'œuvre bucolique d'un soir d'octobre >

Hier soir, vendredi, j'arrive chez Clémentine pour 18 h30. Je gare ma mobylette dans le jardin. La jeune fille est ravie.
< Viens vite, on prépare la bouffe ! > me fait-elle en m'entraînant par la queue à la cuisine. Clémentine est contente.
< Demain soir, samedi, n'oublie pas ta prestation "Chippendale" chez Audrey ! > me fait la jeune fille avec un clin d'œil
Je la rassure, j'assure ma prestation comme chaque samedi soir. Ce sera pour les 19 ans de Audray, étudiante à la Fuck
Elle invite une vingtaine de copines. Toutes étudiantes à la Fuck de Lettres de l'université voisine. Un anniversaire...

Pendant que j'épluche les patates, Clémentine prépare une omelette aux champignons et au basilic. Nous bavardons.
< Et puis, dimanche, pour 15 h, j'ai mon rendez-vous avec le vieux vicelard du musée ! > me fait encore Clémentine.
C'est vrai que ce week-end s'annonce riche en découvertes, en surprises et sans doute en émotions. Voire en sensation
Je mets le gratin de pommes de terre au four sur thermostat 8, cuisson à 300°. Rapidement l'odeur délicieuse se répand
Clémentine bat l'omelette avant de verser la préparation dans une poêle dont le revêtement interne est en Téflon noir.

< Tu as ramené une saucisse pour le dessert ? > me demande Clémentine en passant une main sous sa jupe. Elle rit.
Je déballe une superbe saucisse à manger crue. < Oh ! Comme elle belle ! Comme elle sent fort ! > me fait Clémentine
< C'est quoi qui colle au bout ? On dirait des petits morceaux de mon omelette ? > demande t-elle encore en humant.
Je lui tourne ma saucisse à manger crue sous le nez. L'odeur de la saucisse est plus forte que celle du gratin. C'est dire.
< Put-hein ! Mais c'est dégueulasse, ça pue, ça schlingue ! > fait Clémentine. Je lui révèle la vraie nature de l'omelette

Nous passons à table. Nous savourons notre gratin. L'omelette aux champignons est délicieuse. Je félicite Clémentine.
Après le repas, nous faisons la vaisselle. Ensuite, s'emparant de mon Zob luisant, Clémentine m'entraîne aux toilettes.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet dans la cuvette en plastique bleu "Made in China". Clémentine vise très juste.
Elle me secoue jusqu'aux dernières gouttes et me fait : < Il faudra également photographier ces Chef-d'œuvres un jour ! >
Puis la jeune fille passe à la dégustation de ma saucisse à manger crue. < Un régal ! > fait-elle en s'essuyant le jus...

Bonnes saucisse à manger crue à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe


Je clique amoureusement sur les images pour lire ce qui est écrit dessus. J'aime tant cliquer...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe2

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Hier, samedi, en fin d'après-midi, en revenant du Super U, ma compagne avait un besoin pressant. Le besoin de créer.
Elle se précipite sur ma braguette, sort mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Chef-d'œuvre.
Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et sobrement intitulé : < Le créateur mural nous fait une visite amicale >.

Notre Création Murale du samedi 22 octobre, par 16°, vers 19 h16

< Rêverie suave d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du dimanche -
Je clique avec passion sur l'image pour en admirer les subtilités et lire ce qui est écrit dessus.

< Salut vieux salop ! Tu vas bien ? > me demande t-elle avec un clin d'œil
Je clique avec amour sur l'image pour mieux lite ce que m'écrit ma belle admiratrice. (Elle me fait bander)...

Classe

HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue et plus belle encore parce que c'est dimanche) -

J'assure ma prestation "Chippendale" chez Audrey

Audrey fête aujourd'hui son anniversaire. Elle a 19 ans. A cet effet, elle organise une petite fête avec ses copines.
Ce sont toutes des étudiantes de la Fuck de médecine de l'université voisine. C'est Clémentine qui s'occupe de tout.
Clémentine est mon "manager" et mon agent artistique. J'arrive avec ma mobylette sur le coup de 19 h30 précises.

Audrey et Clémentine m'accueillent dans le jardin. Elles m'invitent à passer par la cave avec ma mobylette bleue.
Ce sera évidemment beaucoup plus discret. Comme tous les samedis, ce seront les WC qui feront office de loges.
Les deux jeunes filles m'accompagnent afin que je puisse me préparer. J'emmène les deux sacoches de la mobylette.

Nous voilà tous les trois. Clémentine m'aide à mettre mon costume très élégant. Je chausse mes palmes de plongée.
Audrey me fait remarquer que rien n'est plus beau sur un homme qu'un costume strict et des palmes de plongée.
Je porte toujours mes palmes de plongée sous-marine quel que soit mon déguisement. Ce sont mes portes bonheur.

Nous entendons les premières filles arriver. Il est déjà 20 h. Je commence dans cinq minutes. Audrey nous laisse.
Elle va recevoir les invitées. Clémentine me laisse aussi car elle assure la fonction de "Disc-Jockey". Professionnelle.
J'entends la musique. Il est temps d'y aller. < Show must go on > . J'arrive avec ma mobylette rutilante. Effet superbe.

Je suis déguisé en Donald ! Je suis accueilli par un tonnerre d'applaudissements. Audrey me rejoint alors sur scène.
Elle s'empare du micro. < Bonsoir ! Je vous présente le créateur mural. C'est le monsieur des saucisses ! >. Triomphe !
< La saucisse ! La saucisse ! > s'écrient toutes les filles en cœur. Je suis submergé par l'émotion. Le show commence.

J'aurais préféré être déguisé en Mickey. Mais Clémentine trouve qu'il est plus judicieux d'être déguisé en Donald.
Surtout qu'elle s'est déguisée en Hilary. Je commence par interpréter "La danse des canards" en dialecte Bavarois.
En même temps, je parcours la scène en faisant mon "Moon-Walk" dans une parfaite imitation de Michael Jackson.

"La danse des canards", Donald. Ce concept échappe un peu aux filles de l'assistance. C'est un peu trop "intello".
Ce n'est pas grave. Je continue avec le fameux "Duck-Walk" de Chuck Berry en interprétant "Johnny B. Good.
J'agite du canard WC en précisant que c'est une escroquerie publicitaire. Il n'y a pas de canard dans le canard WC.

Les filles se déchaînent. C'est un véritable délire. L'une d'entre elles monte sur scène pour me saisir par les palmes.
Une autre m'arrache ma cravate. Une autre encore m'arrache ma perruque rousse. Je suis rapidement tout nu.
Il me faut m'enfuir. Clémentine, Audrey et moi, nous nous enfermons à double tour dans les cabinets de toilettes.

J'en profite pour faire pipi. Pendant ce temps Audrey tente d'ajuster la ficelle de mon string que je porte à l'envers.
En effet, chacune le sait, je porte mon string à l'envers avec la ficelle devant. Je garde mes palmes noires de plongée.
Clémentine me fixe la grande plume rose derrière. Contre la porte, des filles hurlent : > La saucisse ! La saucisse ! >

Enfin tout se calme. Je peux revenir. Je saute sur scène et je chante "Foule sentimentale" de Alain Süshi en Chinois.
Immédiatement c'est le délire. Les filles reprennent le refrain avec moi. Une de ces furies monte sur scène en criant.
Elle m'arrache mon string doré à paillettes argentées. Je reçois une petite culotte trempée lancée depuis la salle.

Me voilà complètement à poil. Je pars en courant. Je courre en canard à cause des palmes. Je me réfugie au cabinet.
Clémentine et Audrey viennent me rejoindre. Je fais pipi pendant que Clémentine m'enfile. Elle m'enfile le collant.
C'est un collant rose du plus bel effet qui se marie bien avec ma perruque violette bouclée et mes palmes noires.

Contre la porte les filles donnent des coups en hurlant : < La saucisse ! On veut ta saucisse ! > Nous attendons.
Le calme revient enfin. Je peux y retourner pour terminer mon spectacle. Je saute sur scène. Je chante "Gaston".
"Gaston" de Nino Ferrer que j'interprète en patois Bielo-Russe du XIX ème siècle. C'est encore un vrai triomphe.

Autour de moi, tombent quantité de petites culottes. Culottes dont certaines, trempées, collent jusqu'au plafond.
Je me prends même un soutien-gorge pointure 95 c en pleine face. Ce qui m'aveugle pendant mon "Moon-Walk".
Le bordel recommence. Une fille monte sur scène et m'attrape par ma saucisse de Morteau qui pend sur le côté.

J'arrive à m'enfuir. Clémentine et Audrey me rejoignent au WC. Nous nous enfermons pour attendre le calme.
Enfin, c'est le silence. Il est temps de retourner dans l'assistance pour le rituel de la photo souvenir. Je m'ajuste.
Clémentine a fixé son appareil photo sur le trépieds. Je pose au milieu des filles. C'est très professionnel. Superbe.

Des filles me tiennent par le bras, d'autres par les chevilles, d'autres encore par mes poils pubiens. C'est émouvant.
Moi, jésuitiquement, debout au milieu, j'agite ma saucisse de Morteau dont le jus, à cause de la chaleur, dégouline.
J'en mets un peu partout. Les filles rigolent en s'essuyant les cheveux. Il est temps de mettre un terme à la soirée.

Nous voilà enfin seuls, Clémentine Audrey et moi. Il faut passer la serpillère sous les chaises, ramasser les culottes.
Audrey regarde ma saucisse de Morteau avec envie. Clémentine lui propose d'y goûter. Audrey hésite un peu, ravie.
< C'est quoi qui colle, au bout, on dirait des petits bouts d'omelette ? > me demande Audrey en reniflant la saucisse.

Je lui révèle la nature de ce qui colle au bout ! < C'est dégueu ! > fait-elle avant d'y goûter, enchantée, émerveillée.
Pendant ce temps, Clémentine agite un chèque sous mon nez et un nouveau contrat. En me faisant des clins d'œil.
< Samedi prochain, tu assures ta prestation "Chippendale" chez Clarisse ! > me fait Clémentine. J'observe Audrey.

Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog -

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

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Je clique avec fébrilité sur ces deux belles images pour découvrir ce qui est écrit dessus. Je me poile. Je me marre...

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Homme, 53 ans, France
Classe3

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Avec ce ravissement qui éclaire les traits de son visage, ma compagne aime ses inspirations du dimanche soir. Heureuse.
Elle se saisit de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle vise pour créer le Chef-d'œuvre.
Le Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et sobrement intitulé : < Le créateur mural préserve son statut social >.

Notre Création Murale du dimanche 23 octobre, par 15°, vers 19 h15

< Beauté d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -
Je clique passionnément sur l'image pour lire ce qui est écrit dessus. J'aime tant cliquer...

< Quand je regarde ton avatar, je me pince le nez ! > me dit-elle en souriant.
Je clique amoureusement sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit mon admiratrice. J'aime tant cliquer...

Classe

HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural préserve son statut social >

Hier matin, dimanche, j'arrive chez Clémentine de bonne heure. Elle me saute au cou. Je gare ma mobylette à la cave.
Nous prenons notre petit déjeuner. Clémentine rigole comme un bossu en lisant ma belle histoire du dimanche. Ravie.
Nous savourons la brioche que j'ai apporté. Puis, Clémentine m'attrape par la queue pour m'entraîner dans la chambre.
Assis sur le lit, j'assiste à une de ces séances d'essayage que j'apprécie tant. La jeune fille fait son choix rapidement.
< Cet après-midi, à 15h, pour mon rendez-vous avec le vieux vicelard du musée, je serais "classique" ! > me dit-elle...

Vêtue d'un jupe légèrement évasée, en velours brun, d'un pull sur un chemisier, la jeune fille est magnifique, élégante.
Chaussée de souliers noirs à talon hauts, la silhouette de Clémentine est encore sublimée. Je félicite son bon goût.
J'invite Clémentine au restaurant. Je téléphone et réserve. Au restaurant, la jeune fille pourra commencer à s'exciter.
< Tu as apporté une saucisse pour la fin d'après-midi ? > me demande t-elle après le dessert. Je la rassure. Bien sûr.
Nous partons pour le rendez-vous. Il est 14 h45. J'entre le premier dans le salon de thé. Je m'assois. Je prend un livre.

Je suis devant mon café. Le vieux vicelard arrive. Il est élégant. Tempes grisonnantes, il retire son manteau, s'assoit.
Il ne fait pas attention à moi. Il y a un autre couple à une table qui est absorbé dans sa conversation. C'est silencieux.
Clémentine arrive. Comme convenue, nous ne nous connaissons pas. Elle retire sa veste et s'assoit avec notre quidam.
Rapidement, je vois s'éclairer le visage de la jeune fille qui rit à plusieurs reprises. Notre vieux salop doit la faire rire.
Ils chuchotent. Clémentine semble souvent très attentive à ce que lui raconte l'inconnu. Parfois elle écoute passionnée.

Une demi-heure s'écoule. Le monsieur se lève pour se rendre aux toilettes. Clémentine me fait des clins d'œil, ravie.
Elle se lève, me dépose une bise sur le front et rejoint le type aux toilettes. Cinq bonnes minutes s'écoulent. Silence.
C'est Clémentine qui revient la première. Elle me fait un grand sourire et lève son pouce avec un nouveau clin d'œil.
Le type revient. Ils continuent tous deux leur bavardages. Après une nouvelle demi-heure, le bonhomme se lève. Il part.
Clémentine vient alors me rejoindre. La jeune serveuse du salon de thé nous observe, à la fois amusée et dubitative.

< Nous nous revoyons mardi soir. Il m'a montré sa bite aux chiottes. Superbe machin fripé ! > me confie Clémentine.
Nous rions de bon cœur. < Viens, on se trouve un coin, j'ai envie de gouter ta saucisse ! > fait-elle en m'entraînant.
Nous voilà dehors. Il pleut légèrement. Nous marchons un peu sous notre grand parapluie. Nous avisons une cour.
Nous y entrons. Je déballe une superbe saucisse. < Comme elle est belle ! C'est quoi qui colle au bout ? > fait la fille.
Je lui révèle la nature de ce qui colle au bout. < Vieux salop ! > me fait-elle en gloussant de plaisir. Il y a du jus...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe


Je clique passionnément sur les images pour bien lire ce qui est écrit dessus. J'adore cliquer...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe4

Les Chef-d'œuvre de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Passionnée par mes récits, ici, chaque jour, ma compagne s'identifie à Clémentine. Hier encore, elle riait de bon cœur.
Elle s'est emparée de mon gros Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Réalisant un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural ne fait pas de trekking au Népal >.

Notre Création Murale du lundi 24 octobre, par 16°, vers 19 H10

< Secret d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre de ce mardi matin -
Je clique avec passion sur l'image pour découvrir ce que le créateur mural y a écrit. J'adore cliquer...

< La photo de ton avatar, donne envie de goûter ! > m'avoue t-elle enfin...
Je clique avec amour sur la photo de mon admiratrice pour mieux lire ce qu'elle m'écrit. J'adore tant cliquer...

Classe

HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural ne fait pas de trekking au Népal >

Hier soir, lundi, je gare ma mobylette dans le jardin de Clémentine. La jeune fille me saute dans les bras, m'embrasse.
< Viens vite, j'ai envie de procéder à une création murale. Julie est là ! > me fait Clémentine en me tenant la queue.
La jeune fille m'entraîne derrière la cabane à outils. Julie vient à ma rencontre. Elle m'embrasse également à son tour.
< Bonsoir vieux cochon ! Je vais bien regarder comme tu réalises tes créations murales ! > me fait la jeune fille, riant.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Julie accroupie, le visage tout près, scrute la création...

Clémentine me branle un peu pendant que je pisse. Elle refile ma biroute à Julie qui s'en empare en gloussant, ravie.
Julie me secoue la bite jusqu'aux dernières gouttes. Clémentine s'empare alors de mon Zob pour le sucer en gémissant.
Les deux filles me taillent une véritable pipe de salopes. Je n'en reviens pas. Je ne m'attendais pas du tout à vivre ça.
Clémentine et Julie se redressent. < Alors, vieux salop ! Tu ne t'attendais pas à un tel accueil, hein ? > me fait Julie.
Clémentine prend quelques photos de la tache de pisse contre le mur. < C'est une belle réalisation ! > affirme t-elle...

Les deux filles m'entraînent par la queue. Nous rentrons à la cuisine. Je suis sollicité pour éplucher les pommes de terre.
Clémentine prépare la salade. Julie s'occupe à râper du fromage. Nous bavardons, nous rions tout en préparant la bouffe.
< En parlant fromage, tu as quoi comme saucisse pour le dessert , > demande Clémentine. Julie fait : < Oui, tu as ? >
Je mets le plat à gratin au four sur thermostat 6 à 250°. Je règle la minuterie sur 45 minutes. Je déballe ma saucisse.
< Wouah ! Le sauciflard ! > me fait Julie. Clémentine émet un sifflement admiratif. < On va se régaler ! > font-elles.

Nous dégustons le bon gratin de pommes de terre. Nous faisons la vaisselle. Les filles me racontent la Fuck de Lettres.
Nous passons au salon pour le dessert. Clémentine secoue ma saucisse sous le nez de Julie. Le jus gicle et dégouline.
< Put-Hein l'odeur ! C'est quoi encore l'espèce de "Vache-qui-rit" qui colle au bout, sous la peau ? > me demande Julie.
Je lui révèle la nature et l'origine de la "Vache-qui-Rit". < C'est comme d'habitude, quoi ! > fait Clémentine en goûtant.
Les filles se régalent. Il y a du jus qui coule partout.Je leur tend une serviette. < Le dessert, c'est sacré ! > me fait Julie.

Bon sauciflard à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de sauciflard) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe5

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne suit avec attention la progression de mes petites histoires quotidiennes. Mes histoires l'inspirent.
Amusée, elle s'empare de mon Zob. Elle me tient alors la bite pour en diriger le jet contre le mur. Le Chef-d'œuvre.
Le Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural sait se fier à sa bonne étoile >.

Notre Création Murale du mardi 25 octobre, par 15°, vers 19 h09

< Romantisme exacerbé d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -
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< Si ta bite était propre, ce serait sympa ! me dit-elle avec un clin d'œil.
Je clique sur l'image avec amour. Ainsi je peux miex lire ce qui est écrit dessus. J'aime tellement cliquer...

Classe

LA SUPERBE HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural sait se fier à sa bonne étoile >

Hier soir, mardi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30 J'ai à peine le temps de garer ma mobylette qu'elle m'entraîne.
Nous voilà dans la chambre à coucher. Clémentine me demande de l'aider à choisir sa tenue pour son rendez-vous.
< Je vois le vieux vicelard ce soir à 20 h ! > me fait-elle en portant son choix sur une jupe "classique". Souliers à talons.
Je lui fais remarquer qu'elle est absolument superbe, sexy, attractive et hyper bandante. Nous voilà dans la voiture.
Il est déjà 19 h30. C'est moi qui roule. Nous arrivons dans le petit parc derrière l'hôtel. Clémentine est très excitée...

Nous marchons dans les allées. Il reste vingt minutes. Nous étudions la topographie des lieux et la bonne stratégie.
Le rendez-vous est fixé pour 20 h dans le petit kiosque. Je me dissimule derrière le cabanon des toilettes ouvertes.
J'y entre pour découvrir que les deux cabinets de toilette sont ouverts. Les deux urinoirs muraux dégueulasses en place.
De ma cachette, je peux voir Clémentine se mettre en situation. Elle m'a fait part de sa forte envie de pisser. Retenue.
Il est 20 h pile. Le type arrive. Il est élégant, vêtu de son manteau. Ce sont ces chaussures brillantes qui m'amuse.

Le quidam serre la main de la jeune fille. Il s'appelle Gilbert. Il a 65 ans, il est retraité de l'éducation nationale, marié.
Depuis ma cachette je n'entends rien des propos qui s'échangent. Les deux protagonistes se mettent à marcher un peu.
Ils se dirigent dans ma direction. Rapidement, j'entre dans les toilettes. Je m'enferme dans le cabinet du fond. Propre.
Je monte sur le couvercle de la cuvette de faïence. De là, discrètement, je peux mâter, entendre et sécuriser les lieux.
Clémentine et Gilbert entrent dans les toilettes. Seule la lumière des deux lampadaires extérieurs éclaire l'endroit...

Je reste silencieux. Immobile. J'entends Gilbert raconter des choses très vicelardes. Branlettes, pipes, sodomie, pisse.
Clémentine se contente le plus souvent de rire aux éclats. Depuis la première rencontre au musée, Gilbert la fait rire.
Je regarde. Il a ouvert son manteau et se secoue doucement la bite. Clémentine se touche, une main sous sa jupe.
Gilbert raconte quelques blagues salaces. Clémentine s'accroupit en riant. Elle doit tellement pisser qu'elle se lâche.
Gilbert, bien campé sur ses jambes légèrement écartées, se place devant la jeune fille lui présentant sa queue...

Sa bite luisante est décalottée. Clémentine la renifle longuement avant d'y passer sa langue. Elle a l'air bien dégoûtée.
Le type lâche une giclée de pisse qui passe juste à côté du visage de la jeune fille en passant au-dessus de son épaule.
Gilbert cesse immédiatement et présente sa bite légèrement bandante. Clémentine, comme assoiffée se la prend. Suce.
Là, dans la faible lumière irréelle, j'assiste à cette pipe en me branlant doucement. C'est surréaliste mais très excitant.
A plusieurs reprises Gilbert sort sa queue de la bouche de la jeune fille pour lâcher un jet de pisse qui s'écrase au mur...

La situation perdure ainsi un bon quart d'heure. Clémentine est à genoux sur le béton du sol. C'est très inconfortable.
Gilbert doit éjaculer car soudain il semble vaciller, se maintenant d'une main au mur. Clémentine le tient par les hanches
Elle déglutit en gémissant de plaisir. Pour cette salope l'instant est divin. Clémentine se redresse. Gilbert se réajuste.
Elle lui tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. La tache est importante et ruisselle au sol ou elle est absorbée.
Clémentine sort un mouchoir pour s'essuyer la bouche. Ils sortent des toilettes. J'entends Clémentine dire le "prétexte".

Le prétexte est un mensonge. Elle prétend, comme nous l'avons prévu, qu'il lui faut être de retour à la maison pour 21 h
Nous voilà de retour à la voiture. < Tu as quoi comme saucisse, ça m'a ouvert l'appétit ? > me demande Clémentine.
Je déballe ma superbe saucisse Bretonne, humide et très juteuse. < Wouah ! C'est quoi qui colle au bout ? > fait-elle.
Je lui révèle la nature de ce qui colle au bout. < Vieux salop, on dirait la bite à Gilbert ! > me confie t-elle en y goûtant.
< Sa bite avait un goût dégueu. Un sperme épais et pisseux ! > me fait Clémentine en savourant ma saucisse gluante...

Bonne saucisse Bretonne à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe


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Homme, 53 ans, France
Classe6

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
La belle histoire de hier, mercredi, a légèrement émoustillé la libido de ma compagne. Cette histoire l'a un peu inspiré.
Elle s'est alors emparée de mon Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural apprécie une belle aurore boréale >.

Notre Création Murale du mercredi 26 octobre, par 14°, vers 19 h02

< Aurore boréale d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -
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< C'est quoi qui colle au bout ? > me demande t-elle, amusée, avec un sourire
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Classe

HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural apprécie une belle aurore boréale >

Hier soir mercredi j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Elle se précipite. Bises. Je gare ma mobylette sous la terrasse.
< Viens vite, on prépare la bouffe, il y a Julie qui viens passer la soirée avec nous ! > fait Clémentine en m'entraînant.
Me tenant par la bite, elle en dirige le jet contre le mur. Elle secoue jusqu'aux dernières gouttes en riant. Heureuse...
Je suis sollicité pour préparer le gratin de courgettes. Elle seront farcies au pâté de lentilles. (La recette en M.P.) Merci.
Julie arrive pour 20 h. Elle me fait "Pouët-Pouët" aux couilles tout en me faisant la bise. Nous passons à table. Régal.

Clémentine nous raconte les émotions ressenties mardi soir. Cette pipe qu'elle a taillé a Gilbert vieux vicelard du musée
Julie écoute avec attention, posant quelques questions pertinentes afin de savoir le maximum de détails bien salaces.
< Eh bien ! Tu as du te régaler, c'était bien crade, non ? > fait Julie. Clémentine confirme en disant : < A gerber ! >...
< Tu me branches avec ce vieux salop, un de ces soirs ? > demande encore Julie. < Ouais ! > lui répond Clémentine.
< Je prépare un "plan" pour la semaine prochaine. Tu vas pouvoir sucer dans des chiottes ! > rajoute Clémentine, ravie.

Nous faisons la vaisselle. La conversation tourne autour du projet "pipe" des deux filles. Je suis sollicité pour être là.
< Tu resteras dans les parages pour sécuriser les lieux, hein ? > me demande Julie passant sa main dans mon slip.
Je la rassure, je serais là. Nous passons au salon pour y prendre le dessert. Clémentine m'entraîne en me tenant le Zob.
< Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > demande Julie en se vautrant dans le canapé. Nous rions de bon cœur.
Je déballe ma splendide saucisse du Puy en Velay. < Wouah ! Comme est belle, juteuse et puante ! > me font les filles.

< C'est quoi qui colle au bout ? On dirait un reste du fromage fondu qu'il y avait sur le gratin ! > me fait Julie, humant.
Les deux filles reniflent les effluves parfumées de ma saucisse du Puy en Velay. Je leur révèle la nature du fromage...
< J'adore les vieux salops à la bite sale ! > fait Julie en grattant un peu de frome avec son doigt qu'elle porte à son nez
< Plus c'est dégueu, plus c'est délicieux ! > fait-elle encore en goûtant à ma saucisse du Puy en Velay. Elle déguste...
Je lui tends une serviette en papier pour s'essuyer le jus. < Vivement la bite du vieux vicelard aux chiottes ! > fait-elle.

Julie a quelques petites particules de fromage collées aux coins des lèvres. Clémentine les récupère pour se les bouffer.
< Put-Hein c'est bon ! > fait la jeune fille en se prenant ma saucisse du Puy en Velay. Le jus dégouline partout. Luisant.
Les filles se refilent la saucisse à tour de rôle. Chacune léchant le menton humide de l'autre pendant la dégustation...
C'est un concert de gémissements, de gloussements et de petits cris de ravissement. C'est beau de voir tant de joie.
C'est en déglutissant avec peine, en rotant, que les filles me disent : < Cette saucisse est délicieusement relevée ! >...

Bonne saucisse du Puy en Velay à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe


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Homme, 53 ans, France
Classe7

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne qui se réjouit pour la belle histoire du dimanche, s'est sentie hier soir, inondée d'une inspiration.
Elle s'est saisie de mon Zob d'une main fébrile. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural n'aime pas trop l'hiver austral >.

Notre Création Murale du jeudi 27 octobre, par 14°, vers 19 h01

< Beauté éthérée d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
Je clique avec passion sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus. La passion du clic...

< Salut Mr Pue-d'la-Bite ! > me fait-elle avec un clin d'œil et en rigolant...
Je clique avec amour sur l'image pour découvrir ce que m'écrit mon admiratrice. L'amour du clic...

Classe

HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural n'aime pas trop l'hiver austral >

Hier soir, à 18 h30, j'arrive chez Clémentine. Elle me saute dans les bras et m'embrasse. Je gare ma mobylette bleue.
< Viens vite, ce soir nous sommes invités chez Julie ! > me fait la jeune fille en m'entraînant par la queue à l'intérieur.
Comme d'habitude, j'assiste aux essayages de vêtements. Je suis assis sur le lit de la chambre à coucher. Je regarde.
Le choix de Clémentine se porte sur un tailleur strict, un chemisier qu'elle porte avec une cravate, des souliers à talons.
< Tu aimes mon look "secrétaire de direction" ? > demande Clémentine en fixant ses bas noirs à son porte-jarretelles.

Nous voilà en route. Comme toujours c'est moi qui suis obligé de conduire. Clémentine me tripote doucement la bite.
< Enlève donc ton casque de mobylette ! > me fait la jeune fille en éclatant de rire. J'adore la faire rire. Elle est belle.
Nous arrivons chez Julie. Elle vient nous ouvrir. Elle aussi est vêtue en "secrétaire de direction". C'est très sympathique.
Nous entrons à la cuisine où le repas est déjà prêt. C'est un délicieux gratin de ravioles. L'odeur est délicate, attirante.
Julie m'attrape par la bite qu'elle tient au-dessus d'un cuvette en plastique bleu "Made in China", secouant les gouttes.

Nous passons à table. Le repas est un vrai délice. Les filles mettent au point la stratégie de leur projet pipe de mardi.
C'est mardi prochain que Clémentine prépare le "plan". J'entends des trucs étonnants, vicelards et absolument divins.
< Tu as apporté quoi comme saucisse pour le dessert ? > me demande Julie en s'accroupissant au dessus de la cuvette.
Cuisses écartées, la jeune fille lâche plusieurs jets sonores. C'est un spectacle fabuleux. Je déballe ma saucisse-mayo.
< Oh put-hein l'odeur ! Oh put-hein le frome au bout ! Dégueu ! > fait Julie en s'essuyant avec un mouchoir en papier.

Clémentine se saisie de ma saucisse-mayo pour la secouer sous le nez de Julie qui en respire les effluves parfumées.
Avec l'ongle de son doigt, elle gratte un peu de fromage. Elle renifle son doigt avant de le porter à sa bouche. Ravie.
< C'est écœurant, espèce de vieux salop ! On dirait la photo de ton avatar ! > fait Julie pendant que Clémentine goûte.
Les filles se refilent ma saucisse-mayo en gloussant de plaisir. La saucisse-mayo est très juteuse. Le jus en dégouline.
Les filles ont du jus qui leur coule partout. Je leur tends une serviette. < Comme on aime le dessert !> font-elles...

Bonne saucisse à la mayonnaise à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe8

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Toujours en quête d'inspiration, après la lecture de mon amusante histoire, ma compagne se livre à la création murale.
Elle me sort le Zob qu'elle agite en riant. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural apprécie quand tout est normal >.

Notre Création Murale du vendredi 28 octobre, par 16°, vers 19 h

< Secrets romantiques d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
Je clique avec bonheur sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus. Je clique toujours avec bonheur...

< Bonjour monsieur "Bite-qui-Pue ! > me fait-elle en me secouant la bite sale.
Je clique avec ravissement sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit mon admiratrice. Je clique toujours en étant ravi...

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HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural apprécie quand tout est normal >

Hier soir, vendredi, je gare ma mobylette dans le jardin de Clémentine. La jeune fille se précipite pour me sauter au cou
< Viens vite, on se prépare à bouffer et on va au cinoche ! > me fait Clémentine en m'entraînant par la bite à l'intérieur.
Je suis mis à contribution pour préparer la pizza. Je fais la pâte que je laisse reposer 30 minutes. Je fais la garniture...
Clémentine prépare la salade puis monte se changer rapidement. Elle reste simple, en jean, en sweat-shirt et baskets.
J'enfourne la pizza au champignons sur thermostat 6, à 250°. Clémentine se saisit de mon Zob et m'entraine aux WC.

Là, au-dessus de la cuvette en plastique bleu, "Made in China", elle me tient la bite pour en diriger le jet. Virtuose. Net.
C'est une petite cuvette que nous avons acheté en promotion au Super U avec un lot de trois articles proposés en soldes.
Clémentine secoue les dernières gouttes sans en mettre à côté. Nous entendons la sonnerie de la minuterie du four...
Nous passons à table. Elle me dit : < Tu n'oublies pas ta prestation "Chippendale", demain soir, chez Clarisse ! A 20 h >
La pizza est délicieuse. Les petits champignons sont délicatement grillés en surface, juste sous le parmesan fin, râpé.

< Mardi soir, on se fait le "plan" avec Julie. On retourne aux chiottes. J'ai téléphoné au vieux vicieux ! > fait Clémentine.
Je promets d'être là pour sécuriser les lieux. < Je sais que je peux compter sur toi ! > me fait encore la jeune fille, ravie
< Au fait, tu as apporté une saucisse pour le dessert ? > me demande Clémentine. Je déballe ma saucisse bien grasse.
< Superbe ! Je me la goûte au cinoche, avant et après ! Tu essuies un peu le fromage au bout, s'il te plaît ?> fait-elle.
Je n'ai pas le temps de racler le frome que Clémentine, accroupie, se le savoure en gémissant. < Dégueu ! > fait-elle...

Nous partons. C'est moi qui roule. Je suis au volant. < Enlève donc le casque de ta mobylette ! > me fait Clémentine.
< Tu l'as gardé pour manger. Tu vas le garder pendant le film ? > me demande Clémentine avant de me sucer un peu.
Nous arrivons au cinéma. C'est un Film "Art & Essai". La migration des peuples mongoles en sibérie orientale au XIXème
< C'est dans le cadre de mes études que je dois me taper cette sous-merde ! > justifie Clémentine en secouant ma bite
A plusieurs reprises Clémentine se savoure de la saucisse pendant le film soporifique. L'odeur est forte dans la salle...

Je film dure une heure trente. J'ai mal à mâchoire à force de bailler. Clémentine aussi, mais elle c'est la saucisse grasse
< Put-Hein, je ne me suis jamais autant emmerdée ! > me fait Clémentine dans la voiture. Je confirme la même chose.
Pendant que je roule, la jeune fille me suce la bite en gémissant de plaisir. Nous arrivons à la maison pour 22 h 30. Ouf
< Je vais goûter à ta saucisse ! > me fait-elle avant de rajouter : < Tu as vu le film malgré ton casque de mobylette ?>
Je la rassure. Le jus de ma saucisse lui dégouline partout. Elle a du frome aux coins des lèvres. Je lui tends un mouchoir

Bonne saucisse grasse à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe9

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
C'est animée par la joie de découvrir ma belle histoire du dimanche que ma compagne s'est enivrée de l'inspiration.
A tel point qu'elle s'est emparée de mon Zob. Elle m'a tenu ma bite pour en diriger le jet contre le mur. Chef-d'œuvre.
Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural assure sa prestation dominicale >.

Notre Création Murale du samedi 29 octobre, par 17°, vers 19 h01

< Rêverie lascive d'un soir d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du dimanche -
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< Ta bite est aussi sale le dimanche que les autres jours ! > me dit-elle avec un clin d'œil et avant d'y goûter.
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LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue et plus belle encore parce que c'est dimanche) -

J'assure ma prestation "Chippendale" chez Clarisse

Clarisse est une très belle jeune fille de 19 ans. Elle est étudiante à la Fuck de Médecine de l'université voisine.
Clarisse fête ses 19 ans. Pour son anniversaire, elle organise une soirée avec une vingtaine de copines de la Fuck.
C'est Clémentine, mon manager et agent artistique qui s'est encore occupée de toute la logistique. Avec panache.

J'arrive donc avec ma mobylette bleue pour 19 h30 pile. Clémentine et Clarisse m'attendent déjà dans le jardin.
Elles m'invitent à passer par la cave afin de ménager l'effet de surprise. Je descends également ma mobylette bleue.
Ce seront une fois encore les cabinets de toilettes qui feront office de loges. Je pourrais m'y changer. Me déguiser.

Clémentine et Clarisse sont avec moi dans les WC afin de m'aider à me préparer. J'enfile mon déguisement du soir.
Comme toujours, avec mon déguisement, je vais garder mes palmes de plongée sous-marine. Mes fétiches noires.
Me voilà prêt. Clarisse nous laisse pour aller accueillir les premières arrivantes. Clémentine également. Je suis seul.

J'entends le son de la cloche de Highway to Hell de AC/DC. C'est le signal. Je monte sur ma mobylette rutilante.
J'arrive. C'est un tonnerre d'applaudissements. Je saute sur la scène pour la parcourir à la façon Michael Jackson.
Je fais mon "Moon-Walk" chaussé de mes palmes et en portant mon costume Halloween. Déguisement terrifiant.

Je chante Highway to Hell en vieux dialecte bavarois du dix huitième siècle. Les filles chantent le refrain avec moi.
Je continue avec "Satisfaction" des Rolling Stones que j'interprète en patois Bielo-Russe du dix neuvième siècle.
C'est une véritable ovation. Des petites culottes commencent à pleuvoir autour de moi. Certaines sont mouillées.

Je continue le spectacle en interprétant "Le Gorille" de Georges Brassens et en Serbo-Croate du dix neuvième siècle.
Je m'accompagne au banjo en tapant de mes palmes au sol. Le délire s'empare de l'assistance. Les filles hurlent.
L'un d'entre elles, toute nue, m'attrape par la saucisse de Morteau qui pend devant mon déguisement de Halloween.

Je n'ai que le temps de m'enfuir, le pantalon aux chevilles pour aller m'enfermer aux toilettes. Clémentine vient avec.
Clarisse nous rejoint. Des filles tapent et cognent contre la porte en criant : < La saucisse ! La saucisse ! >. J'ai peur.
Enfin les choses se calment. Clarisse ajuste la ficelle de mon string que je porte à l'envers et avec la ficelle devant.

J'en profite pour faire pipi. Aussi Clarisse a toutes les peines du monde à ajuster la petite ficelle dorées à paillettes.
Clémentine nous laisse. Je me coiffe de ma perruque rasta. Je suis chaussé de mes palmes. J'ai la plume derrière.
Clarisse monte sur la scène s'empare du micro et me présente : < C'est le créateur mural, le monsieur des saucisses ! >

Dans la salle, c'est un vrai triomphe. < La saucisse ! On veut la saucisse ! > hurlent vingt jeunes filles déchaînées.
Je commence en interprétant "Gaston" de Nino Ferrer que je chante en patois Flamand du dix huitième siècle. Triomphe.
Une fille monte sur scène et m'arrache mon string. Une autre s'empare de ma saucisse de Morteau qu'elle tire fort.

Une fois encore je suis forcé de m'échapper. A cause de mes palmes de plongée, je cours en canard. C'est rigolo.
Je me change pour la dernière partie de mon show. J'enfile mon tablier de jardinier et mon masque de Hilary Clinton.
Contre la porte, se sont des coups. Des filles crient mon nom en extase. Je suis touché par une profonde émotion.

Le calme est revenue. Me voilà prêt. J'arrive juste vêtu de mon tablier de jardiner et chaussé de mes palmes noires.
J'agite une montre en parodiant la publicité pour crétin :< Si changer d'heure c'était aussi le moment de changer de slip ! >.
C'est une véritable hystérie qui s'empare de l'assistance. Une fille m'arrache mon tablier. Me voilà tout nu. A poil !

Malgré tout, je veux honorer mon contrat. Je dissimule mes attributs sexuels derrière la saucisse de Morteau qui pend.
Je chante "Douce France" de Charles Trenet en patois ardéchois du XIX ème. Je m'accompagne à l'accordéon. Fureur !
Des petites culottes trempées tombent autour de moi. Un soutien-gorge 95 C m'aveugle. J'ai juste le temps de fuir.

Clémentine, Clarisse et moi, sommes enfermés au WC en attendant que tout se calme enfin. Nous pouvons sortir.
Il est temps de sacrifier au rituel de la photo souvenir. Clémentine fixe son appareil sur le trépieds. Professionnelle.
Je suis entouré de toutes les filles. Elles sont souriantes, heureuses. C'est beau à voir et je suis submergé d'émotion.

Des filles me tiennent par les genoux. D'autres par les hanches. D'autres encore me tiennent par les poils pubiens.
Moi, debout, au milieu, j'agite jésuitiquement ma saucisse de Morteau qui, à cause des projecteurs, gicle partout.
Les filles me demandent de signer quelques unes de leurs petites culottes encore sèches. Je sort mon gros marqueur.

Il est déjà 23 h. Tout le monde s'en va. Nous restons seuls, Clémentine, Clarisse et moi. Il faut tout nettoyer. Ranger.
Clémentine ramasse et décolle les petites culottes trempées. Clarisse passe la serpillère sous les chaises humides.
Clarisse lorgne sur ma saucisse de Morteau et me demande : < C'est quoi qui colle au bout ? On dirait du gruyère !>.

Je lui révèle la nature du "gruyère". la jeune fille lève les yeux au ciel, soupirant, elle me fait : < Vieux salop va ! >.
Nous rions de bon cœur. Clarisse déguste ma saucisse de Morteau. Clémentine agite un chèque et un autre contrat.
< Samedi prochain, tu assures ta prestation "Chippendale" chez Nathalie ! > me fait-elle en dépliant un mouchoir.

Je prends le mouchoir pour le tendre à Clarisse afin qu'elle s'essuie le jus de la saucisse de Morteau qui dégouline.
Nous prenons congé. Clarisse est enchantée de sa soirée. < C'est à refaire l'an prochain, pour mes 20 ans ! > dit-elle.
Je lui retire un peu du gruyère qui lui colle encore aux coins des lèvres de la bouche avant de lui faire les trois bises.

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Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -

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Classe10

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
C'est souvent à la Saint Halloween que ma compagne, très pieuse, sent monter en elle l'excitation de l'inspiration.
Toute excitée par l'inspiration elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural a reçu son bulletin paroissial >.

Notre Création Murale du dimanche 30 octobre 2016, par 13°, vers 18 h49

< L'épilogue poétique du mois d'octobre > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -
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< Je te suce la bite si tu enlèves le frome au bout ! > me fait-elle en riant...
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HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural a reçu son bulletin paroissial >

Hier matin, dimanche, j'arrive chez Clémentine de bonne heure. Elle se précipite pour me sauter dans les bras. Bises.
Je gare ma mobylette dans le jardin. < Viens vite, on se prend notre petit-déjeuner ! > fait la jeune fille, m'entraînant.
J'ai apporté des croissants et des petits pains au chocolat. Nous sommes assis à la cuisine. Nous bavardons en riant.
< Mardi, c'est férié, j'organise le rendez-vous avec Julie et le vieux vicelard ! > me fait Clémentine en servant le café.
Nous savourons notre petit déjeuner. < Tu as quoi comme saucisse pour notre randonnée ? > me fait encore Clémentine

Je lui réponds que c'est une surprise. Clémentine se lève pour venir s'assoir sur mes genoux, mains dans ma braguette.
Nous restons ainsi longuement à discuter. Clémentine me parle de ses cours, de Julie, de ses masturbations et branles.
Nous mettons au point les détails pour le rendez-vous de mardi. Ce sera au parc, comme la dernière fois. Dans les WC.
< Tu seras bien planqué dans le chiotte du fond comme l'autre fois. Comme ça, s'il y a un souci ! > me fait Clémentine.
Je la rassure. Je vais sécuriser le lieu pendant que les deux filles font leur rencontre avec le vieux vicelard. Je serais là !

Clémentine me propose de prendre la voiture pour aller au petit port de plaisance, sur le chemin qui monte au cimetière.
La jeune fille est vêtue chaudement. Une jupe, des bas, un pull et son manteau . Je roule. Elle joue avec ma queue.
Nous arrivons au port. Il y a peu de monde. Les bateaux sont pour la plupart bâchés. Nous montons le vieux chemin.
< J'ai envie d'une bonne exhib ! > me fait la jeune fille en passant sa main sous sa jupe. Nous avisons le cimetière.
Il y a toujours quelques opportunités possibles dans un tel lieu. Nous y entrons. Là-bas, au fond, il y a un type seul.

Je reste dissimulé derrière le calvaire de l'entrée. Clémentine s'avance. Elle fait semblant de regarder, lire les plaques.
Le type l'a vu. Elle s'accroupit entre le muret et la petite fontaine. Là, je peux la voir, cuisses écartées, observant bien.
Le type se rapproche pour mâter. Clémentine, comme une vraie salope, reste sans bouger. Le type se met à parler.
Clémentine redresse la tête et bavarde le plus naturellement du monde. Le type regarde à gauche à droite. sort sa bite
Il se branle en bavardant. Clémentine ne bouge absolument pas. La situation perdure ainsi une dizaine de minutes...

Le type se rapproche. Clémentine se redresse. Pas question d'être touchée ou de courir le moindre risque. Prudence.
Elle s'en va après avoir fait un signe d'adieu. Le type, en parfait "boulet", se met à la suivre. C'est un emmerdeur.
Je sors de ma cachette pour venir vers Clémentine. Le casse-couilles, en me voyant, s'éloigne dans une allée latérale.
< Tout ça m'a ouvert l'appétit ! > ma fait la jeune fille en touchant ma braguette. Je déballe ma saucisse de la Drôme.
< Parce que la Drôme adhère ? > me demande Clémentine en s'accroupissant pour la renifler avant de la goûter. Ravie.

Bonne saucisse de la Drôme à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe11

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
La fraîcheur de cette soirée de lundi, hier, a profondément inspiré ma compagne. Elle s'est saisit de mon Zob. Création.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. La tache encore fumante la fit beaucoup rire. Le Chef-d'œuvre.
Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural passe cet après-midi à cheval >.

Notre Création Murale du lundi 31 octobre, par 12°, vers 18 h57

< Romantisme d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -
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< Dis-moi, c'est de la Vache-qui-Rit, au bout ? > me demande t-elle en riant.
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LA BELLE HISTOIRE DE CE MARDI DE TOUSSAINT

< Le créateur mural passe cet après-midi à cheval >

Hier, en début d'après-midi, j'arrive chez Clémentine. Je gare ma mobylette à la cave. La jeune fille vient m'embrasser.
< Viens vite, cet après-midi on va chez Julie pour préparer le "plan" pipe ! > me fait la jeune fille déjà prête et ravie.
Nous prenons la voiture. C'est moi qui doit conduire. Clémentine joue avec ma queue. Nous bavardons tout en rigolant.
Nous arrivons chez Julie pour 14 h30. Elle vient nous accueillir. Nous entrons au salon. Il y a du feu dans la cheminée.
Julie fait griller des châtaignes. L'odeur est très agréable et parfume toute la pièce. Le crépitement du feu est sympa.

Nous sommes vautrés dans le canapé. Clémentine joue un peu sur la guitare de Julie. Nous bavardons de tout, de rien.
Tout en grattant quelques accords, Clémentine évoque le rendez-vous de mardi. Julie écoute avec une grande attention.
La stratégie proposée m'étonne. C'est rusé. C'est issu d'un cerveau de fille. C'est donc assez génial. J'écoute en silence.
Julie passera seule dans le parc. Elle attirera l'attention du vieux vicelard. Clémentine attendra seule aux toilettes.
Ce n'est qu'après une dizaine de minutes qu'elle rejoindra Clémentine et le vieux vicelard. Julie est toute excitée...

Le plan qu'a élaboré Clémentine pour ce rendez-vous semble excellent dans son déroulement. Moi, je serais planqué.
Julie pose quelques questions bien précises. Comment est la bite du vieux, si elle pue, si elle est juteuse, s'il pisse.
Clémentine qui a déjà goûté le vieux salop lui répond point par point. Julie exprime son ravissement par petits cris.
Elle passe une main sous sa jupe pour se toucher un peu. Son excitation est trop grande. Clémentine joue toujours.
< J'ai envie de faire ma salope déjà cet après-midi ! > lance subitement Julie. Clémentine cesse "Les jeux interdits".

Je retire mon casque de mobylette pour mieux écouter ce que va encore nous proposer Clémentine qui pose la guitare.
< On se fait un "plan" parc ? Tu préfères un "plan" salon de Thé ? Ou encore un "plan" bibliothèque ? > fait Clémentine.
< Oh oui, on va à la bibliothèque municipale ! On peut se payer quelques exhib ! > fait Julie. Nous nous préparons.
C'est moi qui roule. Clémentine joue avec ma queue. < Tu as quoi comme saucisse pour le 4 h ? > me demande Julie.
Je lui précise que c'est ma surprise pour après la visite à la bibliothèque. < Miam ! > Fait Julie en me touchant la bite.

Nous arrivons à la bibliothèque. Les étudiants font le "pont". Il y en a quelques uns, mais il n'y a pas trop de monde.
Julie nous laisse pour se diriger vers le rayonnage des livres d'Arts. Clémentine et moi passons dans le rayon voisin.
Je suis sollicité pour faire "l'appât". Julie, en jupe, est accroupie. La jeune fille fait semblant de s'intéresser aux livres.
Moi, je suis revenu dans la même rayon et je regarde sur l'étagère en face. Je suis à environ 5 mètres de la jeune fille.
Quelques minutes passent lorsqu'un jeune type passe doucement en feuilletant un livre. Il tombe sur le "spectacle".

La brave garçon comprend qu'il a affaire à une jeune salope entrain de s'exhiber discrètement devant un mec, moi !
Il ne sait trop quoi faire et fait semblant de s'intéresser à un livre au bout de l'allée. Il mâte. Il louche. Il est troublé.
Julie se tourne un peu. Le trouble grandissant gagne le jeune homme. Son manque d'expérience est flagrant. Il est ému.
Julie fait semblant d'être concentrée sur la lecture de son bouquin. Elle écarte encore un peu plus ses cuisses. Superbe !
Pour notre gaillard, s'en est trop, il se rapproche et s'accroupit à son tour pour mieux mâter. Clémentine me rejoint...

Tout en faisant semblant de ne pas nous connaître, Clémentine et moi sommes assez près l'un de l'autre. C'est géant.
Notre présence empêche toutes velléités nous souhaitables et non désirées. Le type est obligé de se tenir correctement.
Julie se met à genoux, bien droite devant l'étagère. Le type est comme congestionné. Julie se lève pour s'en aller.
La jeune fille passe dans un rayon voisin. Le jeune mec ne tarde pas à la rejoindre. Nouvelle exhibition discrète de Julie.
Clémentine rapplique. Moi aussi. Nous sentons bien que notre présence gêne considérablement notre jeune voyeur...

Notre jeu reprend. Clémentine me glisse à l'oreille : < J'ai envie de me branler, tout ça m'excite ! Et toi ?>. Je confirme.
Julie s'est redressée pour venir s'installer dans un des deux fauteuils. Là, confortablement installée Julie feuillette.
Le jeune gars vient s'assoir dans le fauteuil en face. Julie recommence sa discrète exhibition. Le type est congestionné.
Clémentine et moi, accroupis dans le rayon voisin, nous observons tout ce qui se passe. Le garçon masse sa braguette.
Julie, en parfaite salope, fait semblant de rien. Clémentine, discrètement, passe une main sous sa jupe. Elle se touche.

J'ai une méchante envie de me branler aussi. Soudain, un trio de jeunes étudiants vient gâcher la fête. Ils sont bruyants
Cela met un terme à toute la magie. Les trois bougres sont devant la machine à café à rire des conneries qu'ils disent.
Julie se lève. Le jeune gars semble dépité. Il se lève également. Il tente une manœuvre d'approche et aborde Julie.
Ce n'est évidemment pas du tout ce que recherchait Julie. Il y a les mecs qui se contentent de voir et hélas les autres.
Aussi, pour mettre un terme aux élans inutiles du jeune type, Julie vient nous rejoindre. Le garçon vient de comprendre !

Nous rentrons à la maison. < J'ai envie de me déguster une bonne saucisse ! > fait Julie avec sa main sous sa jupe.
Je déballe ma superbe saucisse de Toulouse. Immédiatement, l'odeur forte remplace celle des châtaignes. Autre chose.
< Pouah ! Comme elle pue ! C'est quoi qui colle au bout ? > fait Julie pendant que Clémentine agite ma saucisse à jus.
Julie gratte un peu de ce qui colle au bout. Elle renifle son doigt avant de le goûter. < Put-hein écœurant ! > fait-elle.
Je tends un mouchoir en papier aux filles qui ont rapidement du jus de ma saucisse de Toulouse qui leur coule partout.

Bonne saucisse de Toulouse à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisse) -

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Homme, 53 ans, France
Classe12

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Ches amis

Bonjour
Hier soir, toute excitée par ma belle histoire de ce mardi férié de la Toussaint, ma compagne s'est sentie inspirée.
Elle m'a sortit le Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalisa un vrai Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural exhibe parfois ses parties génitales >

Notre Création Murale du mardi premier novembre, par 15°, vers 18 h53

< Beauté d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -
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< Ton avatar me met en appétit ! > me fait-elle avec un clin d'œil...
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LA SUBLIME HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural exhibe parfois ses parties génitales >

Hier en début d'après-midi, j'arrive chez Clémentine qui m'attend dans le jardin. Je gare ma mobylette. Elle m'embrasse.
< Viens vite, on passe chercher Julie et on file au rendez-vous avec le vieux vicelard ! > me fait-elle en m'entraînant.
Clémentine est vêtue d'une jupe, d'un manteau et chaussée de souliers à talons. C'est moi qui roule, avec prudence.
Nous arrivons chez Julie. Elle aussi est vêtue d'une jupe, d'un manteau et chaussée de souliers noirs à talons hauts.
Nous la récupérons. Direction le parc. Nous déposons Julie qui se met à marcher dans l'allée centrale. Nous garons l'auto.

Nous rejoignons Julie qui déambule derrière les fourrés. Clémentine et moi, nous allons prendre position dans les WC.
De notre cachette nous observons. L'heure du rendez-vous est proche. Le vieux vicelard arrive. Il est très élégant.
Il aperçoit Julie qui se promène. Le vieux vicelard mâte discrètement planqué derrière le kiosque. Julie est accroupie.
Nous pouvons la voir. Elle est discrète, entre deux bosquets. Elle tente de pisser ou du moins en donne les apparences.
Le spectacle est excitant. Le vieux salop contourne le kiosque et, remonte derrière les fourrés. Il a sorti sa bite molle.

Il bavarde un peu avec Julie en secouant sa queue devant la jeune fille qui se redresse pour faire mine de s'en aller.
Clémentine sort des chiottes pour contourner le petit pont. Julie a disparu. Je me planque dans le cabinet du fond.
Le vieux salopard entre dans les toilettes. Il se débraguette devant un des deux urinoirs. Clémentine arrive. Retrouvailles.
< Bonjour mademoiselle ! > fait le type en secouant sa queue en direction de Clémentine qui vient d'entrer dans les WC.
< Bonjour monsieur ! > répond la jeune fille en s'arrêtant net avant de rajouter : < Toujours à vous exhiber, hein ? >.

Je suis debout sur le couvercle de la cuvette en faïence. Silencieux. Je mâte. Clémentine et le type bavardent un peu.
Soudain, Julie arrive. < Re bonjour ! > fait-elle en serrant la main du mec. Il avale de travers. Il vient de comprendre.
< Je vous présente ma copine ! > fait Clémentine en prenant Julie par la main. Les deux filles éclatent de rire. Blague.
Clémentine s'accroupit pour lécher la bite molle du vieux salop. Julie regarde. Le type la saisit par les cheveux. Silence.
Il attire sans ménagement la jeune fille. Il tente de l'embrasser. Elle se détourne. Il la tient fermement. Elle se débat.

Clémentine suce avec appétit. Julie tente d'échapper à l'étreinte du vieux vicieux. < Petite salope ! > lui lance t-il.
Clémentine se retire brusquement pour éviter un jet de pisse. Enfin le vieux salop arrive à faire s'accroupir la jeune fille.
Clémentine la saisit par les cheveux et lui enfonce la bite du mec avec force. Julie tousse et manque de s'étouffer.
En poussant un petit cri, elle se détourne pour éviter un nouveau jet de pisse. < Vieux dégueulasse ! > s'écrie Julie.
Le type la prend par les oreilles et lui enfonce la queue au fond de la bouche. Julie tente de se retirer. Peine perdue.

Clémentine s'est redressée. Une main sous sa jupe elle se masturbe en regardant cette scène vicelarde et surréaliste.
Julie tente de se soustraire à l'étreinte. Le type, cambré sur ses jambes légèrement écartées, se branle dans sa bouche.
La jeune fille pousse des petits cris. Elle tombe à genoux. De la pisse gicle des coins de sa bouche. Elle toussote.
Julie tente de se retirer. Le vieux salop la maintient. Finalement avec de efforts considérables, elle s'arrache pour vomir.
Elle crache à côté des souliers du vieux. Clémentine, rapidement, s'accroupit à nouveau pour sucer la bite trempée.

Julie, toute rouge, en sueur, essaie de déglutir avec peine. Elle observe Clémentine entrain de se régaler. Elle scrute.
Le type attrape à nouveau Julie qui tente une nouvelle fois de se soustraire. Il lui passe la bite trempée sur la gueule.
Elle garde la bouche fermée. Enfin elle ouvre. Le type y enfonce sa bite. Il lâche un nouveau jet. Julie est écœurée.
Il la tient fermement. Clémentine lèche le visage de Julie. Le vieux salop doit éjaculer car soudain c'est le silence.
Julie, immobile, avale en gémissant. Le type ne la lâche pas. Enfin Julie semble se régaler. Le type la lâche. Elle suce.

Julie se redresse. Elle sort un mouchoir en papier de sa poche pour s'essuyer. Le haut du manteau, les cheveux trempés.
Elle sort rapidement. Clémentine se fait choper à son tour. Le vieux lui roule une pelle en lui touchant la chatte. Débats.
Clémentine, beaucoup plus adroite, se soustrait à l'étreinte du vieux salop. Elle sort des toilettes pour rejoindre Julie.
Les deux filles s'éloignent rapidement. Le vieux vicelard sort des chiottes en se réajustant. Je sors de ma cachette.
Je retourne à la voiture. J'entends les filles qui m'appellent en sortant des fourrés. Nous démarrons en trombe. C'est fini

< C'était dégueu ! Quelle vieille ordure ce type ! > fait Julie. < A refaire, Non ?> fait Clémentine. < Non !> dit Julie.
< Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > me demande Clémentine. < Non merci, pas pour moi ! > s'écrie Julie.
Je déballe ma superbe saucisse Bretonne. < Wouah ! > fait Clémentine. Nous déposons Julie chez elle. Nous rentrons.
Arrivés à la maison, Clémentine me demande : < C'était bien depuis ta cachette ? > Je la rassure, c'était sublime.
Clémentine se régale de ma saucisse Bretonne avec un appétit rare. Il y a du jus qui dégouline avec le fromage gluant.

Bonne masturbation à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Véritable vicelard) -

Classe


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Homme, 53 ans, France
Classe13

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Hier soir, avec cette étonnante régularité, ma compagne m'a sortit le Zob. Elle me la secoué en riant. Une inspiration.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un véritable Chef-d'œuvre. Dans la fraicheur du soir.
Un Chef-d'œuvre que nous voyons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural ne s'est jamais fait sucer par Chantal >

Notre Création Murale du mercredi novembre, par 11°, vers 18 h45

< Poésie élégiaque d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -
Je clique avec intérêt sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus. C'est mon amour du clic...

< Ta bite pue et est sale ! > m'affirme t-elle en me secouant la queue...
Je clique avec impatience sur l'image de ma belle admiratrice pour mieux lire ce qu'elle m'écrit. Mon amour du clic...

Classe

HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural ne s'est jamais fait sucer par Chantal >

Hier soir, mercredi, j'arrive chez Clémentine pour 18 h30. Elle me saute dans les bras pour m'embrasser longuement.
Je gare ma mobylette à la cave. < Viens vite, on se prépare un véritable cassoulet Toulousain ! > me fait la jeune fille.
Elle m'entraîne par le Zob qu'elle tient fermement pour diriger le jet dans la cuvette en plastique bleu "Made in China".
Après en avoir bien secoué les dernières gouttes, Clémentine me tire par la bite jusqu'à la cuisine. Tout est prêt.
< On va faire vite ! Tiens ouvre donc la boîte ! > me fait la jeune fille en me tendant un ouvre-boîte "Facom" chromé.

Moi qui croyais préparer un vrai plat gastronomique qui fait honneur à cette spécialité Toulousaine, me voilà déçu.
< Fait pas cette tête, on va pas s'emmerder à faire la bouffe ce soir. Il y a Julie qui vient manger ! > me dit Clémentine.
Je verse le contenu de la boîte dans une casserole Téflon. Je mets sur feux doux et je prépare la salade aux endives.
< Tu n'enlèves pas ton casque de mobylette ? > me demande Clémentine en glissant ses mains dans mon slip. Riant.
Il y a trois coups de sonnettes. Clémentine va voir et revient avec Julie. La jeune fille est toute heureuse de me voir.

Nous passons à table. Le cassoulet Toulousain en boîte, c'est plutôt dégueulasse, mais nous avons faim. Dégustation.
Julie nous montre les boutons qu'elle a autour de la bouche : < La pipe, ça donne des boutons ! > nous affirme t-elle.
< La pipe au vieux vicelard, hier, dans les chiottes du parc, ma écœuré pour un moment ! > fait Julie en se servant.
Nous faisons la vaisselle. < Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait Clémentine. Je mets le tablier.
Nous passons au salon pour le dessert. < Tu as apporté quoi comme saucisse ? > me demande Clémentine en rigolant.

Je déballe une superbe saucisse de Francfort. < Put- hein, mais elle schlingue ta saucisse ! > sécrie Julie, dégoûtée.
< C'est quoi l'espèce de "Vache-qui-Pue" qui colle au bout ? > demande Clémentine, scrutant ma saucisse de Francfort.
< Moi, j'en veux pas, je fais "régime" et je suis à la diète ! > fait Julie en se détournant. Clémentine se met à goûter.
< Moi, je vais me sucer le vieux encore une fois, un de ces jours ! > fait Clémentine en savourant la saucisse juteuse.
Je tends un mouchoir en papier à la jeune fille. Elle s'essuie le jus et nous fait : < Après Toulouse, voilà Francfort !>...

Bonne saucisse de Francfort à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe14

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
C'est dans l'attente impatiente du week-end que hier soir, jeudi, ma compagne s'est sentie envahie d'inspiration.
Elle m'a alors sorti le Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalisa un vrai Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural possède un beau service en cristal >

Notre Création Murale du jeudi 3 novembre, par 11°, vers 18 h30

< Rêverie d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
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< Je t'offre une savonnette pour Noël ! > me fait-elle avec un clin d'œil...
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HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural possède un beau service en cristal >

J'arrive chez Clémentine vers 18 h30, hier soir. La jeune fille m'entraîne en me tirant par la queue jusque dans le salon.
J'ai à peine le temps de garer ma mobylette que Clémentine me dit : < Viens vite, on est invité chez Julie pour 20 h ! >
Nous montons à la chambre à coucher. Clémentine fait de l'essayage. Je suis assis sur le lit et je regarde, admiratif.
< Tu n'oublies pas, samedi soir tu as ta prestation "Chippendale" chez Nathalie, 19 ans ! > me rappelle Clémentine.
Je la rassure. J'ai déjà tout préparé. Clémentine choisit une jupe noire, un pull noir et des souliers noirs à talons hauts.

Je suis obligé de rouler. Dans la voiture, Clémentine m'a sorti la bite pour jouer avec. Nous bavardons. Nous rigolons.
Nous arrivons chez Julie pour 20 h. La jeune fille vient nous ouvrir. Elle est vêtue un peu comme Clémentine. Sexy...
Il y a une agréable odeur. Julie a préparé une fougasse aux olives. Accompagnée d'une salade, elle sera délicieuse.
Nous passons presque immédiatement à table. C'est un régal. J'en reprends deux fois. Nous évoquons les cours.
Clémentine et Julie sont en première année de la Fuck de Lettres de l'université voisine. Les anecdotes sont amusantes.

< La semaine prochaine, je m'offre un "plan pipe" avec le vieux salop ! > fait Clémentine. < Beurk ! > répond Julie.
Elle rajoute : < J'ai encore le goût dégueulasse de sa bite, de son mélange pisse-foutre ! >. Elle semble écœurée.
Clémentine, qui apprécie justement les trucs dégueux, précise : < Moi j'ai adoré. J'aime les vieux salopards dégueux ! >
Nous passons au salon. Le dessert. < Tu as apporté quoi comme saucisse ? > demande Julie. Je déballe ma saucisse.
< Wouah ! Une saucisse de Morteau ! C'est quoi qui colle au bout ? > demande encore Julie. Je lui en révèle la nature.

Julie racle avec l'ongle de son doigt. Elle le renifle et le goûte. < C'est un peu comme du Gouda ! > fait la jeune fille.
Clémentine agite ma saucisse de morteau sous le nez de Julie qui se détourne en faisant la grimace. Elle regarde.
Clémentine savoure ma saucisse en gémissant. Julie me fait : < Je peux pas ! Je suis encore écœurée du vieux vicieux >
Je comprends son dégoût. Clémentine se régale. Du jus lui suinte aux coins des lèvres. Julie lui tend un mouchoir blanc.
< Lotus, de la bouche à l'anus ! > fait Julie. < Kleenex, de la bouxhe au sexe ! > lui répond Clémentine. Nous rions...

Bonne saucisse de Morteau à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe15

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Ma compagne est très souvent animée par son inspiration créative le vendredi soir, vers 18 h45, au début novembre.
Ce fut le cas hier soir. Elle m'a sortit le Zob. Me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur. Un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural aime beaucoup les harmonies vocales >

Notre Création Murale du vendredi 4 novembre, par 14°, vers 18 h45

< Beauté irréelle d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -
Je clique passionnément sur l'image pour lire ce qui est écrit dessus. Ma passion pour le clic sans doute...

< Quand je regarde ton avatar, j'ai un haut le cœur ! > me dit-elle en riant...
Je clique amoureusement sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice. Mon amour du clic, sans doute...

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HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural aime beaucoup les harmonies vocales >

Hier soir, vers 18 h30, j'arrive chez Clémentine. Je gare ma mobylette à la cave. Elle me saute dans les bras. Des bises.
< Viens vite, on va au chaud et on se prépare une bonne bouffe ! > fait Clémentine en m'entraînant, me tenant le Zob.
Nous voilà au WC. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet dans la cuvette en plastique bleu "Made in China".
La jeune fille me secoue bien la queue jusqu'aux dernières gouttes. Clémentine fait toujours ça avec beaucoup de soins.
Me tirant par la queue comme par une laisse, elle m'entraîne à la cuisine. Je suis sollicité pour éplucher les patates...

Nous préparons un gratin de pommes de terres façon "Tartiflette". Clémentine, pendant ce temps, prépare la salade.
Je dépose les carrés de Reblochon, les rondelles d'oignons et les lardons. Je verse la crème fraîche et je mets au four.
Clémentine me chatouille les couilles en passant sa main sous mon tablier de jardinier. Elle me fait < Pouët-Pouët ! >
Nous rions de bon cœur. < Tu as ta prestations "Chippendale", chez Nathalie, demain soir, samedi ! > fait Clémentine.

Rapidement la délicieuse odeur de la Tartiflette envahit l'espace. Cela nous ouvre l'appétit. Nous préparons la table.
< Tu as quoi comme saucisse, pour le dessert ? > me demande Clémentine. Je déballe une superbe saucisse blanche.
La jeune fille s'accroupit pour admirer ma saucisse blanche. Elle en hume longuement les effluves parfumées. Elle aime.
< C'est quoi qui colle au bout ? On dirait du Reblochon fondu ! Comme sur la photo de ton avatar ! > fait Clémentine.
Je lui révèle la nature du Reblochon en lui secouant la saucisse blanche sous le nez. Nous rigolons comme des bossus.

Il est temps de passer à table. Nous dégustons la Tartiflette avec bonheur. C'est un vrai régal. Spécialité savoyarde.
Après le repas Clémentine comme affamée, se précipite sur ma saucisse blanche qui colle un peu dans son emballage.
Clémentine lèche le jus de la saucisse blanche avant d'y goûter avec une certaine avidité. Je suis submergé d'émotion.
Je suis toujours si heureux lorsque mon dessert est savouré avec tant de bonheur. La jeune fille pousse de petits cris.
Je lui tends une serviette pour s'essuyer. < Tu ne veux pas enlever ton casque de mobylette ? > demande Clémentine.

Bonne saucisse blanche à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe16

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
C'est sous la pluie de ce triste samedi soir que ma compagne m'a confié se réjouir pour la belle histoire du dimanche.
Elle m'a sorti le Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Réalisant le Chef-d'œuvre. Si heureuse.
Ce Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural est souvent en quête du Graal >.

Notre Création Murale du samedi 5 novembre 2016, par 16° et vers 18 h42

< Soir poétique de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du dimanche -
Je clique, bouleversé d'émotion, sur l'image pour lire ce qui est écrit. Amoureux d'Art, je suis un bouleversé du clic...

< Il y a du frome au bout même le dimanche ? > demande t-elle en riant, et juste avant d'y goûter en gémissant...
Je clique, ébranlé de curiosité saine, pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice. Je suis un ébranlé du clic...

Classe

LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue et plus belle encore parce que c'est dimanche > -

J'assure ma prestation "Chippendale" chez Nathalie

C'est Clémentine qui m'a encore trouvé cette opportunité de spectacle. Je vais pouvoir assurer ma prestation.
Clémentine est mon manager. Mais elle est également mon "Agent Artistique". On fait tout à part égale. 50 / 50.
Ma prestation de ce soir sera donnée à l'occasion des 19 ans de Nathalie, jeune étudiante à la Fuck de Médecine.

Il y aura aussi plus d'une vingtaine de jeunes filles, toutes également étudiantes dans la même Fuck de Médecine.
J'arrive à 19 h30. Clémentine et Nathalie sont déjà dans le jardin à m'attendre. Elles m'invitent à passer par la cave.
Je descends avec ma mobylette. J'enlève les sacoches. Nous montons aux toilettes qui feront office de loges...

Je me prépare. Maquillage, faux nez et costumes de scène. Clémentine m'aide à enfiler mes palmes de plongée.
Nathalie me passe le chapeau et la perruque. Puis les filles me laissent pour aller accueillir les premières invitées.
Il est 20 h. Le show commence à 20 h15 très précise. Je n'ai que le temps de peaufiner tous les derniers détails.

Clémentine joue également le rôle de "Disc-Jockey". J'entends la musique symphonique "La Valse de l'Empereur".
C'est l'heure. C'est le signal. J'entre dans la salle sur ma mobylette que j'ai habilement maquillé en cheval blanc.
Je monte sur scène. Je suis déguisé en Napoléon Bonaparte. Je suis accueillis par un tonnerre d'applaudissements.

Je suis chaussé de mes palmes de plongée sous-marine. Avec le costume de Napoléon Bonaparte, c'est sublime.
J'attaque avec "Tata Yoyo" de Annie Cordy que j'interprète en dialecte Slovène du XIX ème siècle. C'est le triomphe.
Je parcours la scène de gauche à droite et de droite à gauche en faisant mon "Moon-Walk" façon Michael Jackson.

C'est une véritable ovation qui est ponctuée de cris hystériques. Nathalie monte sur scène et s'empare du micro.
Elle me présente en me prenant par la main : < Bonsoir les filles. C'est le créateur mural, le monsieur des saucisses ! >
< La saucisse ! La saucisse ! > hurlent les filles déchaînées en me lançant quelques petites culottes déjà mouillées.

Je continue avec "Aline" de Christophe que je chante en patois Tyrolien et avec l'accent marseillais. Le délire !
Une fille monte sur scène pour tenter de m'arracher la saucisse de Morteau qui pend devant mon pantalon gris.
Je suis obligé de me sauver sous la protection de Clémentine et de Nathalie. Nous nous enfermons aux toilettes.

Dehors, contre la porte, les filles cognent en hurlant : < La saucisse ! La saucisse ! > Nous attendons le calme.
Je mets mon string doré à paillettes argentées que je porte toujours à l'envers avec la ficelle devant. C'est très beau.
Nathalie tente à grand peine d'ajuster la ficelle devant pendant que je fais pipi. Chacune comprendra que c'est dur.

Enfin le silence est revenue. Me voilà à présent vêtu pour la seconde partie de mon spectacle. Je suis très élégant.
Je porte mon string, une grande plume fixée derrière. Je porte une perruque rousse. Je suis chaussé de mes palmes.
J'y retourne et je chante "Libertine" de Mylène Farmer en dialecte Corse du XVII ème. Les filles chantent avec moi.

Presque immédiatement, après le premier refrain, une fille grimpe sur scène et m'arrache mon string. Me voilà nu.
Heureusement que la saucisse de Morteau qui pend devant mes parties génitales me permet de continuer le show.
Une autre monte sur scène et m'arrache la plume qu'elle agite comme un trophée. Je suis obligé de me sauver...

Nous voilà à nouveau enfermés à double tour dans les WC avec Clémentine et Nathalie. J'en profite pour faire pipi.
J'enfile mes bas mauves que je fixe à mon porte-jarretelles rose. Je garde mes palmes de plongée. J'ajuste la saucisse.
La présence rassurante de ma saucisse de Morteau qui pend devant mon porte-jarretelle est une garantie certaine.

J'arrive sur scène pour la troisième et dernière partie de ma prestation. J'attaque par "Gaston" de Nino Ferrer.
J'interprète cette chanson en patois Auvergnat contemporain sous un déluge d'applaudissements. C'est la gloire.
Des petites culottes trempées sont lancées depuis l'assistance. Je me ramasse même un tampon qui me colle au nez.

Un soutien-gorge 95 c lancé par une admiratrice me fait trébucher car je suis aveuglé par le sous-vêtement humide.
Une fille tente de m'arracher ma saucisse de Morteau. Je termine "Help" des Beatles en patois Bavarois du XIX ème.
Je suis obligé de me sauver. A cause de mes palmes de plongée, je cours en canard. C'est un peu du "Benny Hill".

Nous sommes enfermés dans les cabinets avec Clémentine et Nathalie. Nous attendons que le calme revienne.
Au bout d'un quart-d'heure, il est temps de retourner pour sacrifier au rituel des photos souvenirs. C'est émouvant.
Clémentine fixe son appareil sur son support. Je suis entouré de toutes les filles en agitant ma saucisse de Morteau.

Des filles me tiennent par le cou. D'autres me tiennent par les coudes. D'autres encore par mes poils pubiens.
Nous sourions. Je fais un peu le clown. A cause de la chaleur, le jus de ma saucisse de Morteau dégouline partout.
Les filles s'en ramassent sur leurs vêtements ou encore dans les cheveux. Nous rions tous de très bon cœur...

Enfin la soirée se termine. Nous voilà seuls, Clémentine, Nathalie et moi. Il faut ramasser et décoller les culottes.
Il faut passer la serpillère sous les chaises. Nathalie lorgne sur ma saucisse de Morteau avec une certaine avidité.
< Je peux la goûter ? > me demande t-elle avant de rajouter : < C'est quoi qui colle au bout ? Du fromage fondu ? >

Je lui révèle la nature du "fromage fondu" ! Nathalie lève les yeux au ciel et hausse les épaules en soupirant. Ravie.
Pendant qu'elle déguste la saucisse de Morteau, Clémentine me montre un chèque et agite un nouveau contrat.
< Samedi prochain, tu assures ta prestation "Chippendale" chez Sylvia ! Ses 19 ans ! > me chuchote t-elle à l'oreille.

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Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -

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Je peux ainsi lire, émerveillé et enchanté, ce qui est écrit dessus. Je suis fébrile du clic...
Homme, 53 ans, France
Classe17

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Un dimanche soir un peu gris, froid, tristounet et voilà ma compagne qui se sent investie d'une inspiration créatrice.
Elle se saisit de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un vrai Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural roule doucement en zone rurale >

Notre Création Murale du dimanche 6 novembre, par 11°, vers 18 h38

< Vision bucolique d'un dimanche de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du lundi...
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< Salut vieux salop, comme va ta bite ? > me demande t-elle en rigolant...
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HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural roule doucement en zone rurale >

Hier matin, dimanche, j'arrive chez Clémentine vers 8 h. J'ai apporté des petits pains au chocolat dont je connais le prix.
A peine ai-je garé ma mobylette que la jeune fille se précipite dans mes bras pour m'embrasser longuement. Contente.
< Viens vite, j'ai préparé les photos de ta prestation "Chippendale" de hier soir, samedi ! > me fait-elle en m'entraînant
Je déballe les petits pains au chocolat à 1,20 euro pièce. Clémentine a préparé le café. Elle y rajoute de la chicoré.
Sur l'écran de l'ordinateur, je vois défiler les clichés de ma prestation.Ils sont tous réussis. Photos belles, artistiques...

< Cet après-midi, on va au centre hippique, il y a Julie qui monte à cheval pour le concours "Galop III".> fait Clémentine
Je trouve l'idée plutôt sympathique. Nous savourons le petit-déjeuner. Nous passons la matinée à faire un petit ménage
A midi, je prépare une pizza aux quatre fromages et aux champignons. Clémentine prépare une salade d'endive-avocat.
< Tu as quoi comme saucisse pour les 4 heures ? > me demande Clémentine pendant que nous faisons la vaisselle.
< C'est une petite surprise ! > que je lui réponds. Nous rions de bon cœur. Nous partons pour 14 h. C'est moi qui roule.

Nous arrivons au centre hippique pour le début du concours. Il y a quantité de spectateurs. Principalement des parents.
Nous prenons place dans les gradins du manège intérieur. L'ambiance est plutôt sympathique. Il y a de la musique.
La première cavalière fait son apparition et propose un époustouflant numéro de voltige, de saut et de figures superbes.
C'est au tour de Julie en cinquième position. Je peux reconnaître la silhouette fine, gracile et cette cambrure de reins.
La jeune fille, en parfaite virtuose, offre à l'assistance une prestation sans faille. C'est du grand art. Applaudissements.

Le spectacle continue. Soudain, le portable de Clémentine se met à sonner. < C'est Julie ! > me fait la jeune fille, ravie.
< Elle nous attend aux chiottes du personnel, derrière le box No3 ! > me glisse Clémentine à l'oreille. Nous nous levons.
Nous arrivons derrière le box No 3. L'endroit est désert. Nous entrons dans les chiottes. L'odeur est forte. Julie est là.
Elle est vêtue de ses habits d'équitation. Comme elle est belle et sexy. Sa veste, son pantalon moulant, ses bottes !
Elle se précipite pour nous faire la bise. Elle me fait "Pouët-Pouët" aux couilles comme elle le fait lorsqu'elle est ravie.

< Je voudrais goûter un peu de saucisse ! > me fait Julie avec un clin d'œil appuyé et superbement vicelard, évocateur.
Je déballe une splendide saucisse crue, luisante et juteuse. < C'est quoi qui colle au bout ? > demande Julie en humant
Je lui explique la nature de ce qui colle au bout. < Vieux salop ! > se contente t-elle de dire. Clémentine y goûte déjà.
Les deux filles se refilent la saucisse à tour de rôle tout en bavardant. Clémentine évoque sa prochaine pipe au vieux.
< Pouah ! Tu me dégoûtes ! > lui fait Julie avec du jus de la saucisse qui lui dégouline aux commissures des lèvres...

Clémentine nous apprend qu'elle a organisé le "Plan Pipe" pour mardi soir, aux chiottes du parc habituel. Julie écoute.
Je tends un mouchoir en papier aux filles afin qu'elles puissent essuyer le jus de la saucisse qui dégouline de partout.
Clémentine se redresse et me demande : < Tu viens sécuriser ma pipe au vieux, mardi soir, hein ? >. Je la rassure.
Julie termine sa dégustation, déglutit avec peine et se redresse à son tour. < Je peux venir mâter ? > demande t-elle.
Julie me propose de venir se planquer avec moi dans le WC du fond pour regarder Clémentine sucer le vieux vicelard...

Bonne saucisse crue, luisante et juteuse à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe


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Homme, 53 ans, France
Classe18

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Bonjour
Lorsqu'elle sent monter en elle le flot irrépressible de l'inspiration, ma compagne inspire profondément. Yeux fermés.
Elle s'empare alors de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural aime le silence des cathédrales >.

Notre Création Murale du lundi 7 novembre, par 8°, vers 18 h30

< Romance d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -
Je clique avec passion pour découvrir ce qui est écrit sur l'image du Chef-d'œuvre. Ma passion du clic...

< Salut Mr Pue d'la bite > me fait-elle en me chatouillant les couilles...
Je clique avec amour pour mieux lire ce que m'écrit mon admiratrice. Mon amour du clic...

Classe

HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural aime le silence des cathédrales >

Hier soir, vers 18 h30, j'arrive chez Clémentine. Je gare ma mobylette à la cave. La jeune fille m'embrasse longuement.
< Viens vite, on se met au chaud et on se prépare une bonne bouffe ! > me fait Clémentine en m'entraînant par le Zob.
Elle m'attire au toilettes. Là, debout au-dessus de la cuvette en plastique bleu "Made in China", elle me tient la bite.
Clémentine en dirige le jet d'une main virtuose. Elle secoue jusqu'aux dernières gouttes. Nous rigolons de bon cœur.
Puis la jeune fille m'entraîne à la cuisine. Je suis sollicité pour évider les tomates pour les farcir et les mettre au four.

< Demain soir, on passe chercher Julie et on file à mon rendez-vous pour 20 h ! > me fait Clémentine. Je lui confirme.
< Je vais me sucer le vieux vicelard ! > rajoute encore la jeune fille tout en râpant les carottes pour la salade du repas.
Je mets les tomates farcies au pâté de lentilles dans le four, thermostat sur 6, à 275°. Il faudra 45 minutes de cuisson.
< Pour le dessert, tu as apporté quoi comme saucisse ? > me demande Clémentine en mettant ses mains dans mon slip
Je déballe une belle et odorante saucisse de Montbéliard. < Wouah ! C'est ma préféré ! > s'écrie Clémentine heureuse.

Nous passons à table. Pendant tout le repas la jeune fille évoque l'aventure qu'elle s'apprête à vivre demain soir, mardi.
< Je vais lui tailler une de ces pipes, il ne va pas s'en remettre ! > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
Il y a le téléphone qui sonne. C'est Julie. Clémentine me tend le combiné et me sort les couilles. < C'est pour toi ! >.
Julie me rappelle qu'elle veut se planquer avec moi pour mâter Clémentine. Je lui confirme que nous seront dans les WC
Je raccroche après une tonne de bisous auditifs. Clémentine, un peu jalouse, me tire par la queue jusqu'au salon. Ravie.

< Déballe-moi donc ta saucisse de Montbéliard, que je déguste mon dessert ! > fait Clémentine à genoux sur le coussin
Je lui offre le dessert. < C'est quoi la substance gerbeuse qui colle au bout ? > me demande la jeune fille en reniflant.
Je lui révèle la nature de la "substance" qui colle. < Beurk ! On dirait la photo de ton avatar, vieux salop ! > fait-elle.
Je regarde Clémentine, les yeux fermés, poussant de petits cris de ravissement en dégustant ma spécialités charcutière.
Pour qu'elle puisse s'essuyer le jus qui lui dégouline partout, je lui tend un mouchoir en papier. < Merci ! > s'écrit t-elle.

En se redressant, Clémentine me remercie pour les saveurs sublimes que j'ai su donner à ma préparation. Je suis flatté.
< C'est une excellente entrée en matière tout en étant le dessert le plus délicat que je connaisse ! > m'affirme la fille.
Clémentine s'essuie longuement la bouche en tentant de déglutir le jus épais et gras de ma saucisse de Montbéliard.
< Le frome, au bout, même s'il donne ce petit goût relevé, je ne m'y ferais jamais vraiment ! > me fait la jeune fille.
Je lui rappelle qu'elle aura sans doute de la vieille fondue savoyarde demain soir, avec le vieux. < Superbe ! > fait-elle.

Bonne saucisse de Montbéliard à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe19

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Ma compagne n'aime pas ces fraîches soirées d'automne. Pour se consoler, il lui faut s'adonner à la création.
Elle se saisit de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant le Chef-d'œuvre.
Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural se projette parfois dans l'astral >.

Notre Création Murale du mardi 8 novembre, par 9°, vers 18 h28

< Dramaturgie d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -
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< Vieux porc, va, avec ta bite qui pue ! > me fait-elle en riant et avant d'y goûter...
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Classe

HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural se projette parfois dans l'astral >

Hier soir, j'arrive chez Clémentine à 18 h30 précise. La jeune fille m'attend au volant de sa voiture. Elle me fait signe.
Je gare ma mobylette pour la rejoindre. < Viens vite nous passons chercher Julie avant mon rendez-vous ! > me dit-elle.
Je suis sollicité pour rouler. Clémentine me fait : < J'ai mon rendez-vous avec le vieux vicelard à 20 h, aux chiottes ! >.
Nous arrivons chez Julie pour 19 h. Elle est déjà prête. Je donne un petit coup de klaxon. Elle se précipite vers l'auto.
Les deux filles se sont vêtues chaudement. < Tu as apporté une saucisse pour après ? > me demande Clémentine...

Je la rassure, j'ai apporté une saucisse du Doubs. Nous arrivons au parc vers 19 h45. Nous avons le temps. Il fait froid.
Je gare la voiture dans une rue adjacente. Nous entrons dans le parc absolument désert. Nous allons vers les toilettes.
Là, nous entrons pour voir. Il n'y a personne. La faible lueur qui éclaire le lieu provient du vieux réverbère extérieur.
Julie et moi entrons dans le cabinet du fond. Nous montons tous les deux sur le couvercle de la cuvette du WC. Planque.
Clémentine est ressortie pour aller se dissimuler dans les fourrés. Il est 20 h. Le vieux salop arrive. Il est très élégant.

Julie et moi, silencieux, enfermés dans le chiotte du fond, nous mâtons. Sur la porte j'ai collé un panneau. Hors service.
Le vieux vicieux ouvre sa braguette et se positionne au-dessus de l'urinoir du fond. Nous l'observons tenter de bander.
Clémentine entre à son tour. Elle "tombe" sur le vieux qui secoue la bite. < Bonsoir ! > se font les deux protagonistes.
Clémentine, bien salope, fait la bise au mec. Il la choppe par la nuque pour lui rouler une pelle. Clémentine se frotte.
La jeune fille et le type s'embrassent longuement. Julie me fait une bise, toute ravie de pouvoir faire la voyeuse...

Rapidement maintenant, Clémentine s'accroupit. Nous pouvons voir la bite dégoûtante et luisante devant son visage.
Nous l'observons renifler. Il y a des grumeaux de smegma, cette substance granuleuse qui colle sous la peau du prépuce
Clémentine semble dégoûtée. Elle se redresse : < Je ne peux pas ! > fait-elle avec un air écœuré. Le type la tient bien.
Il la saisit par la nuque pour la forcer à redescendre. En poussant un petit cri de dégoût voilà Clémentine accroupie.
Julie et moi retenons notre souffle. Depuis notre cachette nous pouvons sentir l'odeur de la bite du vieux. C'est ignoble.

Clémentine se retrouve avec la bite du vieux dans la bouche. Il l'a bloqué entre les deux urinoirs. Elle tombe à genoux.
La jeune fille a tant attendu ce moment. Elle s'est tant réjouie pour vivre ces instants. Nous pouvons l'entendre gémir.
J'ai sorti ma queue et je me branle doucement. Julie a sa main dans son pantalon et se masturbe également en silence.
La pipe dure un bon quart-d'heure. Le vieux n'a pas vraiment bandé une seule fois. Pourtant de la jute dégouline partout
Clémentine se pourlèche. Elle pousse de petits gloussements de ravissement. Le type éjacule certainement dans un râle

Clémentine pousse un cri grave et sonore. Nous pouvons la voir déglutir en tentant de se dégager. Le vieux la maintien.
Soudain, il y a de la pisse qui gicle de partout. Même des narines de Clémentine qui arrive à se dégager en toussant.
Avec le froid, les jets de pisse semblent fumer. La vapeur monte. Clémentine se redresse. Son bonnet noir est trempé.
Elle se précipite hors des chiottes. Le vieux salop se réajuste et sort à son tour. Clémentine est allée se planquer.
Julie et moi nous sortons deux minutes plus tard. Nous nous dirigeons vers la voiture. Clémentine surgit des fourrés...

Dans la voiture, j'allume le plafonnier. Clémentine a des grumeaux qui lui collent partout sur le menton. C'est dégeu.
< Put-Hein qu'est-ce qu'il m'a mis, le salopard ! > fait la jeune fille en s'essuyant avec un mouchoir en papier. Ravie.
L'odeur de sa bouche évoque cette odeur de sandwich au thon. < Pas de saucisse pour moi ce soir ! > fait Clémentine.
C'est Julie qui se régale de ma splendide saucisse du Doubs. Une sauciise très juteuse qui coule rapidement partout.
Julie se redresse, plein de frome aux coins des lèvres et me fait : < Toi aussi, tu es un vieux salop dans ton genre ! >

Bonne saucisse du Doubs à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe20

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ma compagne est frileuse. Un petit coup de fraîcheur et la voilà à grelotter dans mes bras. Je la réchauffe avec amour.
Reconnaissante, elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. C'est un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural, sous la couche, chante du France Gall >.

Notre Création Murale du mercredi 9 novembre, par 8°, vers 18 h15

< Sentimentalisme d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -
Je clique amoureusement sur l'image de ce Chef-d'œuvre pour lire ce qui est écrit dessus. L'amour du clic...

< Ton avatar, c'est une pub pour la fondue ? > me demande t-elle en riant...
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Classe

HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural, sous la couche, chante du France Gall >

Hier soir, mercredi, je gare ma mobylette dans le jardin de Clémentine vers 18 h30. Elle vient m'embrasser, heureuse.
< Viens vite, on prépare la bouffe. Il y a Julie qui vient manger pour 20 h ! > me fait Clémentine en m'entraînant. Ravie.
Me tenant la bite au-dessus de la cuvette en plastique bleu "Made in China", Clémentine en dirige le jet. Visant juste.
Elle me secoue les dernières gouttes longuement. Nous rigolons comme des bossus. Puis nous allons à la cuisine...
Je suis sollicité pour préparer des spaghettis à la Bolognaise. Je fais bouillir la flotte que j'ai préalablement bien salée.

< Ne te brûle pas la bite en préparant les pâtes ! > me fait Clémentine en me passant le tablier. Je le noue à la taille.
Je prépare les boulettes de viande finement hachée. J'écrase deux grosses tomates. J'épluche et j'émince de l'oignon.
Un peu d'ail, (un ail, des aulx), du persil et de la ciboulette. Clémentine prépare une salade verte. Nous bavardons.
Clémentine évoque la pipe dégueulasse qu'elle a fait au vieux salop hier soir, dans les chiottes du parc. Cela lui a plu.
< J'ai encore le goût écœurant de son fromage râpé ! Mais plus c'est crade, plus ça m'excite ! > me fait Clémentine...

Trois coups de sonnette. C'est Julie. Je vais lui ouvrir. Elle me saute dans les bras pour m'embrasser longuement.
Clémentine, un peu jalouse, nous lance : < Hé ! Julie, Tu veux pas lui tailler une pipe aussi ? > < Si, après ! > dit Julie.
Nous rions de bon cœur. Nous mangeons avec appétit. Julie demande : < Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ?>
Je me lève en mâchant mes spaghettis et je déballe une superbe saucisse de Toulouse ! L'odeur envahit la cuisine.
< Pouah ! On dirait la photo de ton avatar ! Tu est un vieux saligaud ! > me fait Julie en se levant pour venir la renifler.

Julie, marquant sa préférence, m'entraîne et me positionne devant son assiette. Elle secoue ma saucisse au-dessus.
Clémentine, les yeux brillants de vice, observe ce que fait Julie. Moi, en vrai salopard, je laisse dégouliner la saucisse.
Julie déguste ses spaghettis ainsi assaisonnés en gloussant de plaisir. < Fais-moi goûter ! > demande Clémentine.
Les filles se refilent ma saucisse de Toulouse, déglutissant avec peine. Un fourchette de spaghetti, une lampée de jus.
Je leur tend une serviette en papier pour qu'elles puissent s'essuyer le jus. < Tu es un Maître-Queue ! > me fait Julie...

Bonne saucisse de Toulouse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe21

Les chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
La veille d'un jour férié, ma compagne se sent toujours investie d'une vraie mission créatrice. Un élan irrépressible.
Aussi sec, elle s'empare de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. C'est le Chef-d'œuvre.
Le Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural n'est entraîné dans aucune spirale >

Notre Création Murale du jeudi 10 novembre, par 9°, vers 18 h17

< Charmes d'un soir de septembre > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
Animé de ma passion de découverte, je clique sur l'image pour lire ce qui est écrit dessus. Je clique avec le doigt...

< La photo de ton avatar est "gluante" ! > s'écrie t-elle en rigolant...
Animé de mon amour de la découverte, je clique sur l'image pour mieux lire ce qui est écrit dessus. Avec le doigt...

Classe

HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural n'est entraîné dans aucune spirale >

Hier soir, sous une pluie battante, j'arrive chez Clémentine pour 18 h30. Elle se précipite pour me sauter dans les bras.
J'ai à peine le temps de garer ma mobylette que la jeune fille m'entraîne par la queue derrière le cabanon du jardin.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Telle une lance à incendie, elle procède en véritable virtuose.
Le résultat est époustouflant. Clémentine secoue soigneusement les dernières gouttes car elle sait les conséquences.
< La dernière goutte, c'est toujours pour le slip ! > m'affirme t-elle en m'entraînant à la cuisine. Nous rions de bon cœur

Je suis sollicité pour préparer un gratin de courgettes assaisonné d'une sauce au basilic. Clémentine prépare la salade.
< Tu n'oublies pas ta prestation "Chippendale", samedi soir, chez Sylvia, hein ? > me rappelle Clémentine péremptoire.
Je la rassure. Je serais présent. < Show must go on ! > que je lui réponds. Elle me fait "Pouët-Pouët" aux couilles.
Je dispose les courgettes dans un plat au four. Je mets sur thermostat 6, cuisson à 270° sur une durée de 45 minutes.
< Ne te brule pas la bite avec le four ! > me fait Clémentine en me tendant un tablier. Je le noue autour de la taille.

< Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > me demande la jeune fille en me faisant un clin d'œil, l'air coquine.
Je lui déballe une de ces splendides saucisses de Besançon qui fait la fierté de tous franc-comtois, fin gastronome.
< Wouah ! Et ils aiment, les franc-comtois, quand ça sent aussi fort ? > demande Clémentine en s'accroupissant, ravie.
La jeune fille hume longuement les effluves parfumées de ma saucisse de Besançon. Elle gratte un peu de la substance
< C'est quoi qui colle au bout ? On dirait du Morbier ou encore de la cancoillotte ! > demande Clémentine interrogative.

Je lui révèle la nature du "fromage". Clémentine, prenant son air d'écœurement habituel et de circonstance se met à rire
< On dirait la photo de ton avatar, vieux dégoûtant, va ! Mais tu sais comme j'aime ça, hein ! > me fait-elle en goûtant.
Nous passons à table. Avant le dessert, il est préférable de déguster un bon repas. C'est un vrai régal, une réussite.
Clémentine, ne pouvant plus attendre, se précipite sous la table et s'empare de son dessert en poussant de petits cris.
Je prépare une serviette en papier afin qu'elle puisse s'essuyer le jus qui lui coule sur le menton. < Délicat ! > dit-elle...

Bonne saucisse de Besançon à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisse) -

Classe


Agité par mon désir fou de découverte, je clique sur les belles images pour mieux lire ce qui écrit dessus. Ave l'index...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe22

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Il n'est pas rare que le vendredi soir soit le théatre des pulsions créatives de ma compagne. Surtout un jour férié.
Hier soir, elle me sort le Zob. Si ! Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural se comporte comme un Sardanapale >.

Notre Création Murale du vendredi 11 novembre, par 10°, vers 18 h28

< Attraction d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -
C'est avec amour que je clique sur l'image pour lire ce qui est écrit dessus. Mon amour du clic...

< J'ai la nausé en voyant ton avatar ! > me dit-elle avec un clin d'œil...
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HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural se comporte comme un Sardanapale >

< C'est quoi un Sardanapale ? > me demande Clémentine ravie lorsque j'arrive chez elle, hier matin, de bonne heure.
En garant ma mobylette, je l'invite à consulter un dictionnaire ou encore d'interroger Google. La jeune fille m'embrasse.
< Viens vite, mon Sardanapale, on se prend notre petit déjeuner ! > me fait Clémentine en m'entraînant par la queue.
En plus de ma saucisse surprise, j'ai apporté des croissants et des petits brioches au beurre. Nous dégustons, heureux.
Accompagnant un thé au jasmin fumant, les petites brioches fourrées au miel sont un véritable délices. Nous savourons.

< N'oublie pas ta prestation "Chippendale", samedi soir, chez Sylvia, pour ses 19 ans ! > me rappelle encore Clémentine.
Je lui fait remarquer qu'elle me met devant cette évidence tous les jours depuis mercredi. Nous rions comme des bossus
< Cet après-midi, Julie vient nous visiter pour 14 h. Tu as quoi comme saucisse ? > me demande la jeune fille curieuse.
Je lui déballe une superbe saucisse à jus qui suinte dans son gras. Clémentine, émerveillée, pousse un cri d'admiration.
< Elle va encore se régaler Julie ! > lance Clémentine, se penchant pour renifler les effluves parfumées de ma saucisse.

Nous passons la matinée à faire un peu de ménage. Clémentine fait les carreaux, moi je passe l'aspirateur. Ambiance !
A midi nous préparons des tomates farcies. < Tu vas enfin retirer ton casque de mobylette ? > demande Clémentine.
Je préfère le garder car je trouve que la plastique rouge me va bien un vendredi 11 novembre, jour férié. Nous rigolons...
< Ne te brûle pas la bite en ouvrant la porte du four ! > fait la jeune fille en me tendant des maniques en silicones.
Je les enfile pour sortir les tomates gratinées. Nous nous régalons de ce plat accompagné d'une salade aux avocats...

A 14 h arrive Julie. Elle est chaudement vêtue. Nous avons allumé un feu dans la cheminée du salon. C'est très agréable
J'ai mis un disque en fond sonore. C'est donc sur la musique de Ludwig Van Bitauvent que nous bavardons en rigolant.
< Je me fais un plan "pipe" au vieux salop, pour la semaine prochaine ! > nous apprend Clémentine. Julie est écœurée.
< Pouah ! C'est dégueulasse ! Mais comment tu peux faire ça ! > fait Julie en découvrant ma saucisse que je déballe.
Les deux filles se pincent le nez en observant ma saucisse à jus qui colle un peu dans le tissu de son emballage mouillé

Je tourne lentement la saucisse sous le nez des deux coquines en disant : < Sentez-moi ça ! C'est pas goûteux, hein ?>
Julie se penche pour en humer les odeurs fortes qui envahissent toute la pièce. < C'est quoi au bout ? > demande Julie
< Depuis le temps, tu devrais t'en douter ! > fait Clémentine en grattant un peu de ce qui colle au bout. C'est pâteux.
< On dirait du "Chaussée-aux-Moines" ! > s'écrie Julie en goûtant le doigt que lui tend Clémentine. Elle semble ravie.
Julie me fait un clin d'œil avant de se mettre à genoux devant le canapé où nous sommes vautrés. La saucisse coule...

C'est toujours un immense plaisir de voir une jeune fille se régaler d'une saucisse à jus en guise de dessert. Spectacle !
Clémentine aussi est très admirative en regardant Julie se régaler en poussant de petits gémissements de ravissement.
Il y a du jus de la saucisse à jus qui dégouline un peu sur le velours carmin du coussin. Clémentine prend un mouchoir.
Julie, dans sa dégustation, ne se rend pas compte qu'il y a du jus qui lui coule dans le cou, sous le col de son chemisier.
Julie, déglutissant avec peine, se redressant, nous fait : < Je peux venir à la soirée "Chippendale", samedi soir ? >...

Bonne saucisse à jus à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe23

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis

Ma compagne me témoigne chaque samedi son enchantement admiratif. Elle sait qu'il y a la belle histoire du dimanche.
Elle s'empare de mon Zob. Ravie. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural aime les rimes en "AL", comme final >

Notre Création Murale du samedi 12 novembre 2016, par 10°, vers 18 h11

< Episode d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du dimanche -
Avec mon émerveillement habituel et quotidien, je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus.

< Que penses-tu de mon avatar ? > me demande t-elle. Nous rions de bon cœur...
Avec mon enchantement habituel et quasi divin, je clique sur l'image pour découvrir la blague que me fait Clémentine...

Classe

LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue et plus belle encore parce que c'est dimanche) -

J'assure ma prestation "Chippendale" chez Sylvia

J'arrive avec ma mobylette bleue pour 19 h30. Sylvia et Clémentine m'attendent dans le jardin. On se fait trois bises.
Les deux jeunes filles me demandent de passer par la cave afin de ménager l'effet de surprise. Tout débute à 20 h !
Sylvia fête ses 19 ans. Etudiante à la Fuck de Droit de l'université voisine, elle organise une soirée avec Annie Versaire.

A cet effet Sylvia a invité une trentaine de copines, toutes étudiantes à la Fuck de Droit. Il va y avoir de l'ambiance.
Une fois encore, ce seront les WC qui serviront de loges afin de pouvoir me changer, me préparer et me déguiser.
Sylvia, Clémentine et moi, nous sommes dans les toilettes. Je suis entrain de revêtir le premier costume de mon show.

Nous entendons les premières arrivantes. Sylvia nous laisse pour aller les accueillir. Il est bientôt l'heure d'y aller.
Clémentine me laisse à son tour. Comme elle assure la fonction de "Disc-Jockey", il lui faut préparer les festivités.
J'entends la "Sonate au clair de lune" ! C'est le signal. J'arrive sur ma mobylette bleue, nettoyée, rutilante et si belle.

Je suis déguisé en Ludwig Van Beethoven. C'est du plus bel effet. Je grimpe sur scène en m'emparant de mon banjo.
Sylvia vient pour me rejoindre. Dans le micro elle me présente : < C'est le Créateur Mural, le monsieur des saucisses ! >
C'est une tonnerre d'applaudissements. < La saucisse ! La saucisse ! > hurlent 30 filles déchaînées et très amusées.

Je suis chaussé de mes palmes de plongée sous-marine, ce qui est de toute beauté avec mon costume du XVIII ème.
Tout en parcourant la scène, faisant mon "Moon-Walk" façon Michael Jackson, j'attaque "Tata Yoyo" de Annie Cordy.
Je chante cette merveilleuse chanson en patois Slovène du XIX ème siècle, le succès est immédiat et fulgurant...

Je m'accompagne au banjo en tapant de ma palme droite au sol. L'effet de percussion est véritablement étonnant.
Attaché à la ceinture, ma saucisse de Morteau s'agite dans tous les sens. < La saucisse ! > hurlent les filles en cœur.
L'une d'entre elles grimpe sur scène et tente de me l'arracher. Elle est gluante et ses mains glissent sur la saucisse...

Je continue avec "Suzanne" de Léonard Cohen, l'inventeur de la chanson pour dépressif convulsif. C'est une ovation.
Je chante cette chanson en dialecte mandarin du XVII ème siècle tout en faisant un french cancan endiablé. La folie !
Les filles reprennent le refrain avec moi. Deux d'entre elles montent sur scène et m'arrachent mon pantalon en criant.

Je dois m'enfuir. Sylvia, Clémentine et moi, nous nous enfermons à double tour dans les cabinets. J'ai un peu peur.
Dehors des filles cognent contre la porte en criant : < La saucisse ! La saucisse ! > Nous attendons le calme. Silence.
Sylvia m'aide à ajuster la ficelle de mon string qui est devant car je le porte à l'envers. Elle a du mal car je fais pipi.

Toujours chaussé de mes palmes, vêtu de mon string doré, une plume rose plantée derrière, je reviens pour la suite.
Je saute sur scène pour chanter "Les cornichons" de Nino Ferrer. J'interprète ce grand classique avec l'accent russe
C'est phénoménal. A tel point que quantité de petites culottes viennent s'éparpiller autour de moi, partout au sol...

Ma saucisse de Morteau qui pend et qui ballote sous mon ventre fait beaucoup d'effet. Les hurlements s'intensifient.
< La saucisse ! La saucisse ! > hurlent toute l'assistance en proie à une véritable hystérie collective. J'ai la trouille.
Une fille monte sur scène. Elle m'arrache mon string ! Heureusement la saucisse de Morteau cache mes attributs virils.

Je dois m'enfuir. A cause de mes palmes de plongée, je courre en canard. C'est pitoyable. Je m'enferme aux toilettes.
Sylvia et Clémentine me rejoignent en passant par la fenêtre. Contre la porte, les filles cognent à coups de pieds.
Je mets mon masque de Hillary Clinton pour assurer la dernière partie de mon spectacle. Avec les palmes noires. String.

Je m'assure que ma saucisse de Morteau reste bien fixée et j'y retourne. Je monte sur scène avec mon banjo attaché.
Je chante "Petit Papa Noël" de Tino Rossi en patois tyrolien du XIX ème siècle et avec l'accent marseillais. Le délire !
Deux filles me plaquent au sol et m'arrachent mon pantalon, ma redingote et mon chapeau melon. Me voilà à poil...

Je n'ai que le temps d'aller me réfugier tout nu au WC. Heureusement que la saucisse de Morteau cache mon sexe.
Nous attendons le calme après la tempête. Il est temps de retourner pour sacrifier au rituel de la photo souvenir.
Clémentine fait les clichés. Je suis entouré des 30 jeunes filles souriantes, heureuses, épanouies et enchantées...

L'une me tient par les coudes. L'autre me tient par les oreilles. Une autre me tient par les poils pubiens. Nous posons.
Je suis là, debout, agitant jésuitiquement ma saucisse de Morteau qui, à cause de la chaleur, gicle sur tout le monde.
La soirée se termine. Nous nous retrouvons enfin seuls, Sylvia, Clémentine et moi. C'est l'heure des comptes. Bilan.

< J'aimerais beaucoup goûter à ta saucisse de Morteau ! > me fait Sylvia avec un clin d'œil appuyé et son air coquin.
< C'est quoi qui colle au bout ? On dirait un vieux Maroilles ? > me demande t-elle en la reniflant longuement. Ravie.
Pendant que Sylvia se livre à sa dégustation, Clémentine agite un chèque et un contrat sous mon nez ! Toute contente.

< Samedi prochain, tu assures ta soirée "Chippendale" chez Aurélia, elle fête ses 19 ans ! > me précise Clémentine.
Il faut ramasser les culottes qui, cette fois-ci, sont toutes remarquablement sèches, à défaut d'êtres toutes propres.
Sous les chaises, cette fois-ci aussi, c'est resté sec ! Rien de dégueulasse à signaler. C'est très "Comme-il-Faut"...

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Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

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Pour que mon enthousiasme et ma joie perdurent encore un peu, je clique sur les belles images ci-dessus.
Mon enchantement et mon ravissement sont à leurs combles. C'est tout simplement prodigieux. "GLANDIOSE" !
Je sais que le reste de la journée, quoi qu'il arrive, restera plein d'agréables sensations. De bons moments...

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Homme, 53 ans, France
Classe24

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Un dimanche au ciel gris, lourd, bas et il n'en faut pas moins pour que ma compagne se sente possédée d'inspiration.
Elle s'empare alors de mon Zob, me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant en riant, un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural, à l'armée, avait le grade de caporal >.

Notre Création Murale du dimanche 13 novembre, par 7°, vers 18 h01

< Sentiments diffus d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -
Je clique avec ma passion habituelle sur l'image pour lire ce qui est écrit dessus. Je clique avec le doigt...

< Ton avatar commence à me plaire ! > me dit-elle avec un clin d'œil, en riant.
Je clique avec mon amour habituel du clic pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice. Je clique avec le doigt...

HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural, à l'armée, avait le grade de caporal >

Hier matin, dimanche, j'arrive chez Clémentine de bonne heure. Elle me saute dans les bras et m'embrasse. Heureuse.
J'ai à peine le temps de garer ma mobylette que la jeune fille s'empare de mon Zob pour m'entraîner dans la maison.
Au-dessus de la cuvette en plastique bleu, elle me tient la bite pour en diriger le jet, secouant les dernières gouttes.
C'est une cuvette de taille moyenne, "Made in China" que nous avons acheté au Super U dans un lot de trois cuvettes.
Nous rigolons tous les deux comme des bossus. J'ai apporté des croissants et de la brioche pour le petit déjeuner.

Clémentine fait défiler les photo de ma prestation "Chippendale" de samedi soir. Nous admirons cela devant nos cafés.
< Elles sont toutes superbes ! Hein ? > me fait la jeune fille en beurrant une tranche de brioche avant d'étaler le miel.
< Julie vient manger avec nous à midi ! Tu as apporté quoi comme saucisse ? > me demande Clémentine avec un clin d'œil
Je veux garder l'effet de surprise et je précise que c'est encore un secret. < Tu es un cachottier ! > me fait la jeune fille
Nous rions de bon cœur en dégustant nos croissants. Après le petit déjeuner nous décidons de faire un peu de ménage.

Julie arrive pour midi. Je me propose pour préparer les pizzas aux champignons. Clémentine veut préparer les salades.
Julie est assise à la cuisine. Elle nous raconte des histoires rigolotes. Clémentine nous apprend son rendez-vous "Pipe".
< Je vois le vieux salop mardi soir, aux chiotte du parc, comme d'habitude ! > affirme Clémentine en versant le vinaigre
< Pouah ! Dégueu ! Mais comment tu peux faire ça à un vieil incontinent avec du smegma ? > demande Julie écœurée.
< J'aime le côté dégueu des pipes aux vieux et surtout dans des chiottes ! > lui répond Clémentine avec un clin d'œil.

Après le repas, nous passons au salon pour le dessert. < Tu as quoi comme saucisse ? > me demande Julie en riant.
Je déballe une superbe saucisse de Morteau. < Mais c'est celle de samedi soir ! > s'écrie Clémentine en la secouant.
< C'est quoi qui colle au bout, on dirait des petits bouts de Gouda fondu ! > fait Julie en humant les effluves parfumées
Je lui révèle la nature véritable des petits bouts de Gouda fondu. < C'est pire que la bite du vieux ! > fait encore Julie.
Avec l'ongle du doigt, Julie récupère un peu de la substance. Elle renifle longuement son doigt en faisant la grimace.

Clémentine tient la saucisse pour la tourner doucement sous le nez de Julie qui goûte son doigt, les yeux fermés, ravie.
Rapidement Julie goûte à ma saucisse de Morteau. Il y a du jus gras qui suinte. Clémentine me montre ses doigts.
Ils sont luisants et gluants. J'enlève enfin mon casque de mobylette car il commence à faire chaud dans le grand salon.
Julie, tout en déglutissant avec peine, s'empare du mouchoir en papier que lui tend Clémentine. Elle s'essuie la bouche.
< Je viens avec vous mardi soir ! > fait Julie. Je précise que nous serons cachés dans le WC du fond pour mâter la pipe.

Bonne saucisse de Morteau à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe25

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ma compagne attend déjà le printemps. Animée par un énorme ras-le-bol, elle se jette à corps perdu dans la création.
Hier soir, un peu déprimée, elle a sorti mon Zob. Elle m'a tenu la bite pour un diriger le jet contre le mur. Chef-d'œuvre.
Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural se préserve de tout état grippal > .

Notre Création Murale du lundi 14 novembre, par 4°, vers 18h 01

< Nostalgie d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -
Je clique avec passion pour lire ce qui est écrit sur l'image du Chef-d'œuvre ci-dessus. Ma passion du clic...

< Encore une journée avec ta bite sale ? > me fait-elle avec un clin d'œil...
Je clique avec amour sur son image pour mieux lire ce que m'écrit mon admiratrice. Mon amour du clic...

HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural se préserve de tout état grippal >

Hier soir, lundi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Je gare ma mobylette dans le jardin. Clémentine m'embrasse.
< Viens vite, Julie vient manger pour 20 h. On se prépare la bouffe ! > me fait la jeune fille en m'entraînant par le Zob.
Je suis sollicité pour préparer la fougasse aux olives. Clémentine s'occupe des salades. Avocats, endives et carottes.
La jeune fille me raconte sa journée de cours à la Fuck de Lettres dans l'université voisine. Des anecdotes amusantes.
Tout est prêt pour 20 h. Julie arrive, ponctuelle comme à son habitude. Nous passons immédiatement à table. Bouffe.

< Demain soir, mardi, je suce le vieux salop aux chiottes du parc ! > fait Clémentine en se servant une part de fougasse
< Beurk ! Comment tu peux faire une chose pareille ? J'en garde un souvenir dégueulasse ! > fait Julie prenant la salade
< J'adore les situations "glauques", les bites dégueulasses et les vieux vicelards ! > répond Clémentine en versant l'eau.
Les filles échangent leurs impressions, évoquent leurs pipes respectives et leurs expériences. J'écoute avec intérêt.
< Moi, je viens me planquer avec toi dans le WC du fond ! Je veux encore mâter ça ! > me lance Julie avec un clin d'œil.

Nous faisons la vaisselle. < Tu vas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! Prends le tablier !> me fait Clémentine.
Nous passons au salon pour le dessert. < Tu nous as emmené le dessert ? > demande Julie, se vautrant dans le canapé
Je déballe une splendide saucisse Nantaise. Immédiatement l'odeur du port de Nantes envahit toute la pièce. Schlingue.
< Put-Hein, mais ça sent la marée ! Ce ne serait pas l'odeur d'un PORC de Nantes plutôt ? > fait Julie assez écœurée.
< Et puis c'est quoi qui colle au bout ? Du fromage de Nantes ? > fait encore Julie en raclant du frome avec son index.

Julie porte son index à son nez et le passe sous le nez de Clémentine. Les filles s'écrient en cœur : < Pouah gerbeux !>
< Laisse-moi goûter la premiière, ça me fait de l'entraînement pour demain soir ! > lance Clémentine tombant à genoux.
Julie secoue ma saucisse Nantaise pendant que Clémentine y goûte en gloussant de plaisir. Nous rions de bon cœur...
< J'en veux aussi moi ! > s'écrie Julie en retirant ma saucisse Nantaise de la bouche dégoulinante de jus de Clémentine.
Je prépare les mouchoirs en papier pour que les filles puissent s'essuyer. J'enlève mon casque de mobylette. Ambiance.

< Elle est délicieuse ta saucisse Nantaise ! > fait Clémentine en déglutissant avec peine. Julie continue sa dégustation.
< Tu l'a trouvé où, cette spécialité Nantaise ? > demande Julie entre deux saveurs. Clémentine récupère du jus coulant.
J'explique que c'était une promotion sur les spécialités régionales au Super U. Au rayon charcuterie fine. Des saucisses.
Les filles se régalent de mes explications autant que de la saucisse. Julie a des bouts de frome autour de la bouche.
Clémentine les récupère en la léchant délicatement. J'aime voir les filles se régaler. Le plus beau spectacle du monde...

Bonne saucisse Nantaise à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe26

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Les soirées sont fraîches. La nuit tombe de plus en plus tôt. Ma compagne attend le printemps en créant.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre photographié ci-dessous : < Le créateur mural vers onze heure a une petite fringale >.

Notre Création Murale du mardi 15 novembre, par 6°, vers 17 h59

< Merveille d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -
Je clique sur l'image pour lire ce qui est écrit dessus. Clic à gauche...

< Put-Hein si l'odeur est pareille que la photo ! > me dit-elle avec un clin-d'œil.
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HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural vers onze heure a une petite fringale >

J'arrive chez Clémentine, hier soir, vers 18 h30. Elle me saute dans les bras et m'embrasse. Je gare la mobylette.
< Viens vite, on va se faire une bonne bouffe et après on va à une conférence ! > me fait Clémentine en m'entraînant.
Je prépare du riz créole. Clémentine prépare les crudités. < La conférence commence à 21 h ! > précise la jeune fille.
< C'est une conférence sur la philatélie sous-marine donnée à la Fuck de Lettres ! > précise Clémentine en coupant l'ail.
Nous passons à table pour 20 h. Nous dégustons notre repas. Clémentine fait très attention à ses vêtements propres.

A 20 h40, nous sommes dans la voiture. C'est moi qui roule. Clémentine m'a sorti la queue qu'elle agite en riant.
< Tu as emmené une saucisse pour le retour ? > me demande la jeune fille avant de se pencher pour me sucer la bite.
Je la rassure en lui précisant que ce sera la surprise de la fin de soirée. Nous arrivons à la Fuck de Lettres à l'Université.
Je gare la Toyota Yaris. Il y a déjà du monde. Quelle n'est pas ma surprise de voir le vieux vicelard. Il salue Clémentine.
C'est donc à cause de la conférence que le rendez-vous aux chiottes du parc a été repoussé à demain soir, mercredi.

Nous nous installons dans la salle de l'amphithéatre. Il y a du monde. Nous écoutons l'histoire de la philatélie marine.
Le conférencier ponctue ses propos de diapositives qui passent derrière lui, sur l'écran. Tout le monde somnole en cœur.
Le vieux salop se lève et s'en va. < Il va aux chiottes ! Viens, on y va aussi ! > me fait Clémentine en m'entraînant.
Nous montons à l'étage. Nous rentrons discrètement dans les toilettes. Je file m'enfermer dans un des cabinets. Silence
Le vieux sort d'un des WC. Clémentine lui fait la bise. < A demain ! > lui fait-elle en regardant la bite qu'il lui montre.

Nous en avons ras-le-cul de la conférence. < J'étais obligé d'y aller dans le cadre de mes études ! > me fait Clémentine.
Nous roulons jusqu'à la maison. < Je suis pressée de goûter à ta saucisse ! > me fait la jeune fille. Je gare la voiture.
Une fois au salon, je déballe une splendide saucisse Quimpéroise. L'odeur est forte. Les effluves marines de l'océan.
< Put-Hein l'odeur ! On dirait le port du Guilvinec à marée basse un jour de canicule ! > me fait la jeune fille en humant
< C'est quoi l'immonde substance granuleuse qui colle au bout de ta saucisse Quimpéroise ? > me demande Clémentine

Je tourne longuement la saucisse sous le nez de la jeune fille qui pousse de petits gémissements de ravissement.
Avec l'ongle de son doigt, elle racle un peu de la substance et me lance : < C'est un vieux "Chaussée-aux-Moines ? >
Je lui révèle la nature du "Chaussé-aux-Moines". < Vieux dégueulasse ! > fait la jeune fille en goûtant la saucisse.
Je lui tends un mouchoir en papier afin de s'essuyer. En effet, le jus de la saucisse Quimpéroise dégouline partout.
Clémentine, après une demi-heure de dégustation, tout en déglutissant avec peine, me dit : < Vive la Bretagne ! >...

Bonne saucisse Quimpéroise à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe27

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Il y a une constante chez ma compagne. Une de plus car elle est très constante. C'est son esprit de créativité.
Hier soir, par exemple, elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Chef-d'œuvre !
Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural se préserve de toute infection virale >.

Notre Création Murale du mercredi 16 novembre, par 8°, vers 17 h58

< Fraîcheur d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -
Je clique évidemment sur l'image pour lire ce qui est écrit dessus. Je suis émerveillé par ce clic...

< Bonjour monsieur "Pue-du-Zob ! > me fait-elle en éclatant de rire...
Je clique bien entendu sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice. Je suis enchanté par ce clic...

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LA MERVEILLEUSE HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural se préserve de toute infection virale >

Hier soir, mercredi, j'arrive chez Clémentine pour 18 h30. Elle m'attrape par la queue pour m'entraîner à la voiture.
< Viens vite, on file récupérer Julie et on va à mon rendez-vous avec le vieux salop ! > me fait Clémentine heureuse.
J'ai donc à peine le temps de garer ma mobylette que me voilà au volant de la Toyota Yaris. Clémentine me sort le Zob.
Nous arrivons chez Julie pour 19 h. Elle nous fait entrer. La jeune fille a préparé des coquillettes avec une sauce pistou.
Saupoudré de parmesan, c'est un régal. Nous évoquons notre stratégie. Clémentine semble excitée comme rarement...

Nous arrivons au parc pour 19 h45. Nous sommes tous les trois chaudement vêtus. Pas de tenues sexy pour les filles.
Julie et moi nous allons nous enfermer dans le cabinet du fond. Debouts sur le couvercle de la cuvette de vieille faïence.
Clémentine est dans les fourrés, dehors, cachée dans l'attente de l'arrivée du vieux vicelard. Ce dernier arrive à l'heure.
Nous le voyons entrer dans les toilettes. Il ouvre son manteau, se débraguette et secoue doucement sa bite toute molle
Il guette la porte, debout au-dessus de l'urinoir du fond. Clémentine arrive à son tour. < Bonsoir > font les deux amis.

Clémentine se positionne à côté du vieux cochon. Il se font la bise. Julie me chuchotte : < Regarde sa bite dégueu ! >.
C'est vrai que l'espèce de "Vache-qui-rit" qui colle au bout donne la gerbe. < C'est du smegma ! > me chuchote Julie.
Le type attrape Clémentine par la nuque pour l'embrasser. La jeune fille se laisse faire. Ils s'embrassent ainsi longuement.
Le vieux salop force la jeune fille à s'accroupir. C'est tout ce déroulement qui excite considérablement Clémentine, ravie.
Elle me raconte souvent les sensations que cela lui procure. Sachant qu'il ne peut rien lui arriver grâce à ma présence...

Le vieux salop enfonce sa bite dans la bouche de la jeune fille. Comme souvent, elle a un mouvement de recul. Lutte.
L'odeur dégoûtante de la bite du vieux a envahi toute les chiottes. C'est à gerber. On imagine facilement l'écœurement.
Clémentine, tombée à genoux, coincée dans le coin entre l'urinoir et le lavabo n'a d'autre choix que de pomper la bite.
Le type la bloque sans bouger. Nous pouvons entendre quelques gémissements de la part de Clémentine qui déguste.
Clémentine, avec peine, comme toujours, arrive à se dégager de l'étreinte pour éviter un jet de pisse. Elle crache au sol.

Le vieux salop la maintien par les cheveux. Nous voyons de la vapeur monter à cause du froid. L'odeur de pisse chaude.
Clémentine repousse avec force le salop qui la bloque. La pipe continue. Les gloussements alternent avec de petits cris.
Le vieux doit éjaculer car les deux protagonistes restent parfaitement immobiles. Nous entendons Clémentine déglutir.
Elle se redresse d'un mouvement sec. La voilà debout. La lumière du réverbère extérieur fait luire son visage trempé.
Elle se dégage complètement de l'étreinte du vieux salop et s'échappe par la porte. Le vieux ferme sa braguette et sort.

Julie et moi, nous sortons à notre tour. Nous allons rapidement à la voiture. Des fourrés jaillit Clémentine grelottante.
Elle a du foutre et du frome collés autour de la bouche. Je démarre la voiture. Nous rentrons chez Julie très rapidement.
Arrivé à la maison, Clémentine prend une douche, se change. Pendant ce temps, Julie me demande < Et ta saucisse ? >
Je déballe une superbe saucisse Bordelaise. < Wouah ! De la saucisse "Alain" ! > fait Julie. Nous rions de bon cœur.
< C'est quoi qui colle au bout ? On dirait la même chose qu'au bout de la bite du vieux ! > fait Julie en la reniflant.
Je lui révèle la nature de ce qui colle au bout. < Vieux salace ! > me dit Julie avant de goûter ma saucisse Bordelaise.

Pendant sa dégustation arrive Clémentine qui nous surprend. < Alors ? On se régale ? > fait-elle à l'attention de Julie.
Cette dernière, déglutissant avec peine, lui répond : < Oh oui ! Et la sienne est une véritable source d'un bon nectar !>
Clémentine nous raconte ses impressions. Elle semble écœurée par ce qu'elle a encore vécu dans les chiottes du parc.
Pourtant c'est cette situation, le dégoût que cela lui procure, qui l'excitent au plus haut point. Elle nous raconte les détails
Je tends un mouchoir en papier à Julie afin qu'elle puisse essuyer le jus de ma saucisse Bordelaise qui lui dégouline...

Bonne saucisse Bordelaise à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe28

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
C'est dans un élan créatif incessant que ma compagne pratique la fuite en avant. Elle voudrait déjà être au printemps.
Elle s'empare de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, se projetant dans un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural n'a pas été opéré des amygdales >.

Notre Création Murale du Jeudi 17 novembre, par 9°, vers 17 h57

< Réalisme d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
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< Bonjour monsieur "Pue-d'la-Bite" ! > me fait-elle avec un clin d'œil. Juste avant d'y goûter en poussant de petits cris de ravissement. J'aime cette petite coquine. Et elle le sait...
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HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural n'a pas été opéré des amygdales >

Hier soir, jeudi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. La jeune fille m'embrasse, toute contente de me revoir. Bises.
Je gare ma mobylette à la cave. Clémentine m'entraîne par le Zob pour m'emmener derrière le cabanon du jardin.
Là, elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un somptueux Chef-d'œuvre. La tache sublime.
< Viens, on va se préparer la bouffe ! > me fait-elle après m'avoir secoué les dernière gouttes pour arroser les orties.
Nous sommes à la cuisine. Clémentine, pourtant toujours si douce et tendre, l'est ce soir encore davantage. Bonheur.

< Tu n'oublies pas ta prestation "Chippendale" chez Aurélia, samedi soir ! > fait Clémentine en me tendant un tablier.
< Tiens, ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait-elle pendant que je prépare la sauce des spaghettis.
Je la rassure pour ma prestation de samedi soir. Clémentine évoque sa pipe au vieux, hier soir, aux chiottes du parc.
< J'ai encore le goût du frome de sa bite ! Dégueulasse ! > me raconte Clémentine, passant sa langue sur ses lèvres.
< Pourtant, c'est cet écœurement et ce dégoût qui me pousseront à y retourner dès la semaine prochaine ! > fait-elle.

Je sais depuis longtemps que les filles ont un fonctionnement parfois surprenant, souvent étonnant et même insolite.
Aussi, je l'encourage à tenter toutes les expériences possibles. C'est à 19 ans qu'il faut les faire. Pas à 40, que je dis.
Clémentine, devant mes affirmations, se blottit dans mes bras en me disant : < Toi au moins, tu me comprends ! >...
Je mets les spaghettis dans un plat à gratin. Je saupoudre de parmesan. Clémentine termine la préparation des salades
< Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > me demande t-elle avec ses mains dans mon slip. Elle m'embrasse.

Je déballe une magnifique saucisse parisienne. < Oh my GODE ! Comme elle est belle, comme elle pue aussi ! > dit-elle
Nous rigolons tous les deux comme des bossus. < C'est quoi le truc gluant qui colle au bout ? > demande la jeune fille.
< On dirait du parmesan fondu ! Ou la photo de ton avatar ! > fait-elle en s'accroupissant pour en humer les parfums.
Nous passons à table. Après le repas nous faisons la vaisselle puis nous passons au salon. Clémentine prend le dessert.
Elle savoure la saucisse en gémissant de plaisir. Je lui essuie le jus qui lui dégouline. < Tu es un amour ! > me fait-elle

Bonne saucisse parisienne à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe29

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ma compagne aime se projeter dans la création. Chaque occasion, chaque opportunité sont mises à profit. C'est beau.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant Chef-d'œuvre après Chef-d'œuvre.
Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous : < Le créateur mural porte un bijoux d'argent. Une mygale >

Notre Création Murale du vendredi 18 novembre, par 10°, vers 17 h56

< Emotion d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -
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< La photo de ton avatar, me fout la gerbe ! > me dit-elle en riant et juste avant de se pencher pour y goûter.
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HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural porte un bijoux d'argent. Une mygale >

Hier soir, vendredi, j'arrive chez Clémentine pour 18 h30. La jeune fille me reçoit avec une joie démesurée. Bisous.
J'ai à peine le temps de garer ma mobylette qu'elle m'entraîne par la queue à la cuisine pour préparer la bouffe du soir.
< Viens vite, Julie mange avec nous, on prépare des ravioles au saumon ! > me fait la jeune fille en me secouant le Zob.
< Et n'oublie pas ta prestation "Chippendale" de demain soir, samedi, chez Aurélia ! > précise t-elle encore en souriant.
Je la rassure. Je serais là. Je déroule la pâte en petits carreaux pour y placer la purée de saumon avec l'ail et l'oignon.

Clémentine prépare une salade d'avocat avec des crevettes. < On va se régaler ! > fait Clémentine en m'embrassant.
Je prépare chaque raviole que je dispose dans un plat en pyrex. Je dépose au four. Thermostat sur 7, cuisson à 275°.
Julie arrive pour 20 H. Tout en me faisant "Pouët-Pouët" aux couilles, la jeune fille m'embrasse. Elle est toute contente.
< Qu'est-ce que ça sent bon ! Tu as de la saucisse pour le dessert ? > me demande Julie avec ses mains dans mon slip.
Je lui déballe une superbe saucisse au beurre. < Put-Hein ça schlingue. C'est quoi le frome au bout ? > demande t-elle.

Je lui révèle la nature du frome. < Vieux salop ! > s'écrie t-elle, s'accroupissant pour en renifler les effluves parfumées.
Nous passons à table. Le repas est prestigieux, délicat et absolument divin. Bon ! On bouffe jusqu'aux limites du coma.
Après la vaisselle, nous passons au salon. Le dessert. < L'effet de surprise est passé, je sais la saucisse ! > dit Julie.
Nous rions de bon cœur. < J'adore les histoires de Dédé-la-Lopette, ici sur le forum ! > fait Julie en scrutant la saucisse.
Après un moment d'hésitation, Julie se met à goûter. Clémentine, l'air dégoûté, regarde en me faisant des clins d'œil.

< Moi, j'aime aussi les aventures de Gégé-la-Branlette, ici, sur le forum ! > répond Clémentine, me palpant les couilles.
Les deux filles se refilent la saucisse au beurre. Elle ont des particules de beurre qui leur collent autour des lèvres.
Je prépare des serviettes en papier afin qu'elles puissent s'essuyer la bouche de temps à autre. Nous rigolons beaucoup.
Julie se redresse. Déglutissant avec peine elle me chuchote à l'oreille : < Tu es un vrai salopard ! J'adore et tu le sais >
Je lui dépose une bise sur le front en retirant un peu de beurre qui lui dégouline sur le bout du nez. Les filles sont ravies

Bonne saucisse au beurre à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe30

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
C'est heureuse que ma compagne m'a sorti le Zob hier soir en s'écriant : < Vivement la belle histoire du dimanche ! >.
Puis, elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur en précisant : < J'aime tant rigoler avec tes histoires ! >.
Nous découvrons le résultat sur l'image ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural aime l'idée d'une monarchie royale >.

Notre Création Murale du samedi 19 novembre, par 7°, vers 17 h 54

< Romance d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du dimanche -
Bien évidemment je m'empresse de cliquer sur l'image afin de découvrir ce qui est écrit dessus. Soif de découverte...

< Bonjour Mr "Pue-du-Zob" ! > me fait-elle en m'attrapant par les couilles...
C'est avec impatience que je clique sur l'image afin de mieux lire ce que m'écrit mon admiratrice. L'amour du clic...

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LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue et plus belle encore parce que c'est dimanche) -

J'assure ma prestation "Chippendale" chez Aurélia

C'était prévu. Je devais arriver pour 19 h30. Je suis précis, à l'heure et j'honore toujours mes rendez-vous.
J'arrive avec ma mobylette. Aurélia et Clémentine m'attendent dans le jardin. Elles me font quantité de bises.
Les deux jeunes filles, toutes contentes de me voir, m'invitent à passer par la cave pour ménager ma surprise.

Comme pour toutes mes prestations "Chippendales", ce sont les WC qui feront office de loges. Pour me préparer.
Là, dans le calme, je peux me changer, me maquiller et mettre mes tenues de scène. Accompagné des deux filles.
J'ai mes sacoches qui contiennent le nécessaire. Nous nous enfermons dans les cabinets. Je mets mon costume.

Aurélia nous laisse pour aller accueillir les premières arrivantes. Elle seront une trentaine d'étudiantes de 20 ans.
Aurélia, étudiante, fête ses 19 ans. A cette occasion elle organise cette soirée avec ses copines de la Fuck de Droit.
En première année de la Fuck de Droit de l'université voisine, les filles aiment rire, se détendre et s'amuser un peu.

Clémentine me laisse à son tour. Elle assure la fonction de "Disc-Jockey". Elle s'en va donc s'occuper de la musique.
Il est 20 H. J'arrive sur la musique de STAR WAR ! Chevauchant ma mobylette bleue. Déguisé en soldat de l'Empire.
Cette fameuse armure d'une blancheur immaculée, portée avec mes palmes de plongée sous-marine, me va à ravir.

Je saute sur scène. Tout en faisant mon Moon-Walk façon Michael Jackson, je me mets à chanter avec mon banjo.
J'interprète "La poupée qui fait non" de Michel Polnareff en dialecte autrichien du XVII ème siècle. Un triomphe !
Aurélia monte me rejoindre sur scène en essayant de calmer l'hystérie qui gagne l'assemblée. Chose difficile. Dure.

Aurélia s'empare du micro et dit : < Bonsoir les filles ! Je vous présente le Créateur Mural, le monsieur des saucisses ! >
Un tonnerre d'applaudissements. Je suis saisi d'émotion. Cela peut se voir sous mon masque de soldat de l'Empire.
Je continue avec "Il jouait du piano debout" de France Gall que j'interprète en patois Bavarois du XIX ème siècle.

Une fille monte sur scène pour tenter de m'arracher la saucisse de Morteau qui pend devant, sous mon ventre.
J'arrive à esquiver d'un coup de sabre laser mais une autre m'arrache le bas de mon armure de soldat de l'Empire.
Je n'ai d'autre choix que de m'enfuir, courant en canard, à cause de mes palmes de plongée sous-marine et noires.

Avec Aurélia et Clémentine, nous nous enfermons à double tour dans le cabinet de toilette. Nous entendons hurler.
Des filles tapent contre la porte en criant : < La saucisse ! La saucisse ! >. Je suis inquiet. Nous attendons le calme.
J'en profite pour faire pipi pendant qu'Aurélia ajuste la ficelle de mon string qui est devant car je le porte à l'envers.

Je suis simplement vêtu de mon string doré, chaussé de mes palmes de plongée et coiffé d'un chapeau melon.
Je grimpe sur scène pour chanter "I'll be watching you" de Police que j'interprète en dialecte tyrolien du XIX ème.
Dans l'assistance, c'est le délire. Une fille monte sur scène . Elle tente d'arracher ma saucisse de Morteau qui pend.

Une autre réussi à arracher mon string. Me voilà dans une fâcheuse posture devant trente filles déchaînées. Peur !
Heureusement que la saucisse de Morteau qui pend sous mes abdominaux saillants cache mes attributs virils.
Je suis obligé de fuir pour m'enfermer au WC avec Aurélia et Clémentine. J'en profite pour faire pipi. Il fait chaud.

J'enfile mon collant mauve pendant que Clémentine fixe la grande plume rose derrière, dans le slip kangourou.
Aurélia tente d'ajuster mes palmes noires de plongée pendant que je me coiffe de ma perruque rousse et bouclée.
Des filles cognent contre la porte en criant : < La saucisse ! La saucisse ! >. Nous attendons le retour du calme...

Je retourne pour assurer la dernière partie de mon spectacle. Je saute sur scène avec ma belle agilité d'athlète.
Je chante "Libertine" de Mylène Farmer en patois Bielo-Russe du XVIII ème. Les filles chantent le refrain avec moi.
A nouveau, une fille monte, tente de m'arracher la saucisse de Morteau qui pend. Heureusement qu'elle est gluante.

Une autre m'arrache mon collant. Elle l'agite comme un trophée. Je reçois des petites culottes lancées par des filles.
Aurélia est déjà obligée de passer la serpillère sous les chaises. Je suis aveuglé par un soutien-gorge "95 c" humide.
Me voilà cul nu. La saucisse de Morteau dissimule avec peine ma virilité. Je suis obligé de m'enfuir avec mes palmes.

Nous nous enfermons aux toilettes. Je me change. J'ai une culotte trempée collée sur ma perruque rousse, bouclée.
Nous attendons le retour au calme. Nous sortons pour sacrifier au rituel de la photo souvenir. Tout est silencieux.
Je pose au milieu des filles en agitant ma saucisse de Morteau qui suinte à cause de la chaleur des projecteurs...

Une fille me tient amoureusement par les épaules. Une autre me tient passionnément par les cuisses et les hanches.
Une autre me tient les coudes. Une autre encore me tient par les poils pubiens. Une autre rigole en me chatouillant.
Après les photos, c'est le rituel des autographes. Des filles me tendent leurs petites culottes pour que je les signe...

La soirée se termine enfin. Nous voilà seuls, Aurélia, Clémentine et moi. Nous sommes satisfaits de cette réussite.
< Je peux goûter à ta saucisse de Morteau ? > me demande Aurélia pendant que Clémentine me montre le chèque.
< C'est quoi qui colle au bout ? C'est de la "Vache-qui-Rit" ! > demande Aurélia en humant les effluves parfumées.

Je lui révèle la nature de la "Vache-qui-Rit" pendant que Clémentine agite un nouveau contrat, toute contente.
< Samedi prochain, tu assures ta prestation "Chippendale" chez Marinette ! > me fait Clémentine, mon manager.
Je tends un mouchoir en papier à Aurélia qui a du jus de la saucisse de Morteau qui dégouline. C'est la chaleur...

Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog -

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe


Pour que la fête continue encore un peu à m'enchanter, je clique sur les merveilleuses images. Je peux mieux lire.
J'aime tant ces belles histoires du dimanche, que je voudrais être dimanche tous les jours. J'aime rire de bon cœur.
J'avoue toutefois rigoler comme un bossu tous les autres jours de la semaine avec toutes les histoires de saucisses.

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Homme, 53 ans, France
Classe31

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Un dimanche soir un peu gris, frais et voilà ma compagne désireuse de s'oublier dans la création. Elle aime créer.
Elle s'empare alors de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Créant un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural, en auto, n'appuie pas sur la pédale >

Notre Création Murale du dimanche 20 novembre 2016, par 12°, vers 17 h30

< Vision élégiaque d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus. Je suis émerveillé par mon clic...

< Salut, Mr "Pue-du-Zob" ! > me fait-elle avec un clin d'œil, avant de goûter...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit mon admiratrice. Je suis enchanté par mon clic...

Classe

HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural, en auto, n'appuie pas sur la pédale >

Hier matin, dimanche, je gare ma mobylette dans le jardin de Clémentine. Elle me saute dans les bras et m'embrasse.
< Viens vite, on prend notre petit déjeuner et on va passer la journée chez Julie ! > me dit Clémentine en m'entraînant.
Me tirant par la queue elle me fait : < Tu as une saucisse pour cet après-midi ? >. Je la rassure. Elle fait chauffer l'eau.
Je déballe les croissants et les petits pains au chocolat. Clémentine est ravie. Nous sommes assis à table à déguster.
< Tu vas garder ton casque de mobylette tout le dimanche ? > demande la jeune fille. Nous rions comme des bossus.

Après le petit déjeuner, nous faisons un peu de ménage. Puis Clémentine me montre les photos de la soirée de samedi.
Elles sont toutes superbes, comme d'habitude. Il est 11 h du matin. Nous prenons la voiture. Nous partons chez Julie.
C'est moi qui roule. Clémentine joue avec mon Zob en me parlant de son prochain rendez-vous avec le vieux, au parc.
Nous arrivons chez Julie. Elle nous fait entrer. Mes compétences de cuisinier sont mises à contribution. Je vais cuisiner.
Nous préparons des tomates farcies à l'émincé de poulet accompagné de petits champignons. Cela sera gratiné au four.

Pendant le repas, Clémentine nous raconte son prochain plan pipe. Julie, comme toujours prend un air bien écœurée.
Nous apprenons qu'une amie à Julie vient passer une petite heure cet après-midi. Les filles me font part de leur "plan".
< Tu es dans le jardin. On fait semblant de ne pas te connaître, et tu nous montre ta bite ! > me fait Julie en souriant.
< Ah ouai ! Super ! > rajoute Clémentine. Vers 14 h je suis prié d'aller me positionner entre le cabanon et les bosquets.
Depuis ma cachette je vois arriver une belle jeune fille. De longs cheveux noirs qui flottent en liberté sur ses épaules.

Je surveille attentivement le signal. Julie vient sur le balcon et lève son pouce. Je sors ma bite et je me branle un peu.
Les trois filles sont sur le balcon. Elles m'observent. Ce plan est absolument génial. Quelques minutes se passent ainsi.
Les filles entrent. Julie vient pour me dire : < Estelle croit que tu es un inconnu, un exhibo dans le jardin ! > Nous rions.
Elle me laisse pour rejoindre ses copines. Les filles viennent dans la véranda. La vue sur le jardin est encore meilleure.
J'ai le pantalon aux genoux, cambré, jambes légèrement écartées et je me branle. Les filles me mâtent dix minutes.

Julie ouvre le battant de la porte et crie : < Vous avez bientôt fini, oui ! Allez faire ça ailleurs ! >. Les filles mâtent.
Je joue le jeu, je remonte mon pantalon. Je laisse pendre ma queue de la braguette et je fais mine de quitter le jardin.
Je suis dans la voiture. Estelle, la jeune fille s'en va. Je la regarde monter dans sa petite Clio blanche. Elle démarre.
Je rejoins Clémentine et Julie. < Tu étais parfait ! > me fait Julie. Clémentine rajoute : < Estelle était étonnée, ravie. >
Il est donc prévu une suite au "plan branle" pour jeudi soir. On invite Estelle. Je refais l'exhibitionniste sous la fenêtre.

Il est déjà 16 h. Julie, mettant ses mains dans mon slip, me fait : < Tu as apporté une saucisse ? >. Je la rassure.
< Wouah ! Tu as la bite trempée ! C'est ta branlette dans le jardin qui t'a mis dans cet état ? > fait la jeune fille, riant.
Je déballe une splendide saucisse hollandaise. < Beurk ! C'est quoi le fromage qui colle au bout ? > me demande Julie.
Je lui révèle que c'est un fromage de fabrication artisanale. Julie se penche pour renifler les parfums de la saucisse.
Clémentine, pressée d'y goûter s'accroupit. Les filles se régalent. Je prépare des serviettes pour essuyer le jus qui coule

Bonne saucisse hollandaise à toutes et à tous...

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Je clique sur les merveilleuses images pour mieux les apprécier, pour mieux lire. Je suis émerveillé par mon clic...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe32

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Si nous observons ce nouveau Chef-d'œuvre, nous découvrons que ma compagne est une virtuose et grande artiste.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Chaque jour c'est le vrai Chef-d'œuvre.
Le Chef-d'œuvre qui nous est offert ci-dessous et qui est intitulé : < Le créateur mural pratique le jet transversal >.

Notre Création Murale du lundi 21 novembre, par 11°, vers 17 h29

< Vision crépusculaire d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -
Je clique sur l'image pour pouvoir lire ce qui est écrit dessus.

< Bonjour Mr Pue-d'la-Bite ! > me fait-elle en rigolant comme un bossu...

HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural pratique le jet transversal >

J'arrive hier soir, lundi, chez Clémentine, vers 18 h30. Elle me saute dans les bras pour m'embrasser, heureuse et ravie.
J'ai à peine le temps de garer ma mobylette qu'elle se saisit de ma queue pour m'entraîner derrière le cabanon de jardin
Là, elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. D'une main ferme elle secoue jusqu'aux dernières gouttes.
Puis, toujours en me tenant par le Zob comme par une laisse, elle m'entraîne à la cuisine. < La bouffe ! > me fait-elle.
Je suis sollicité pour préparer un gratin de courgettes. Clémentine prépare une salade d'endives aux petits champignons.

< J'ai organisé le rendez-vous avec le vieux salop, demain soir, mardi, pour 20 h ! Tu sécurises les chiottes ! > dit-elle.
Je la rassure, je serais caché avec Julie dans le cabinet du fond. Rassurée, la jeune fille me secoue les couilles en riant.
< Et jeudi soir, tu seras récompensé par le "plan" que Julie et moi on te prépare avec Estelle ! > me rappelle-elle, ravie.
A cette simple idée ma curiosité est aiguisé. Suscitant une excitation. Que vont encore me préparer les deux salopes ?
Nous passons à table pour 20 h. Le repas est délicieux. Nous ne prenons pas de poids. Entraînement quotidien. Intensif

Après le repas, nous faisons notre vaisselle. < Tiens, ne te brûle pas la bite avec l'eau chaude ! > me fait Clémentine.
Elle me tend le tablier avant de rajouter : < Tu n'enlèves pas ton casque de mobylette ? >. Nous rions de bon cœur...
< Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > me demande encore la jeune fille avant de m'embrasser avec fougue.
Elle m'entraîne au salon. Là, je déballe une magnifique saucisse à la crème. L'effet de surprise enchante la jeune fille.
< Put-Hein l'odeur ! C'est de la crème sèche qui colle au bout de ta saucisse à la crème ? > demande t-elle en humant.

Clémentine gratte un peu de la crème qui colle au bout avec l'ongle de son index qu'elle porte à son nez, à sa bouche.
Je lui révèle la nature de la crème. < Tu es aussi crade que le vieux vicieux des chiottes ! > me fait-elle s'accroupissant.
Elle passe sa langue sur l'extrémité de la saucisse à la crème. Les yeux fermés, gémissant de plaisir, elle déguste, ravie
Cette image rassurante, bucolique, n'est pas sans évoquer nos pique-niques de cet été, lorsque nous partions à la plage
Il y a jus qui lui coule partout. Je lui tend un mouchoir en papier. < Tu es un amour ! > fait-elle, déglutissant avec peine

Bonne saucisse à la crème à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe


Je clique sur les merveilleuses images. Surtout pour découvrir le poème qui est écrit sur celle de gauche...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe33

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ma compagne, inspirée par ces tristes soirées d'automne s'évade dans la création. Elle s'oublie dans le Chef-d'œuvre.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Réalisant ce fameux Chef-d'œuvre.
Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural sort souvent le poisson de son bocal >.

Notre Création Murale du mardi 22 novembre, par 10°, vers 17 h 27

< Charmes discrets d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -
Je clique évidemment sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus.

< Bonjour mon grand fromager ! > me fait-elle en rigolant comme un bossu...
Je clique bien sûr sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice.

Classe

LA SUPERBE HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural sort souvent le poisson de son bocal >

Hier soir, mardi, j'arrive chez Clémentine pour 18 h30. La jeune fille m'embrasse et m'entraîne par la queue, pressée.
< Viens vite, il faut que nous passions chercher Julie pour 19 h. J'ai mon rendez-vous à 20 h ! > me fait Clementine.
J'ai donc à peine le temps de garer ma mobylette à la cave. Nous préparons trois sandwichs et nous voilà en voiture.
Nous arrivons chez Julie pour l'heure prévue. Nous sommes tous les trois vêtus chaudement. Nous voilà en route.
Nous arrivons dans les environs du parc, désert et peu éclairé. Il est 19 h45. Nous venons de savourer nos sandwichs.

Julie et moi, nous allons directement dans les toilettes. L'endroit est désert. Seul le révèbère extérieur éclaire un peu.
Nous nous enfermons dans le cabinet du fond. Debout sur le couvercle rabattu de la cuvette, nous avons une bonne vue.
Pour 20 h, le vieux salop arrive, il ouvre son manteau, ouvre sa braguette et se positionne devant le dernier urinoir.
Il se secoue un peu la queue. L'odeur caractéristique de la bite sale envahi immédiatement les lieux. Puanteur rare.
Clémentine arrive. Elle s'approche. Ils se disent : < Bonsoir ! > Le vieux salace la saisit par la nuque pour l'embrasser.

Les deux protagonistes s'embrassent longuement. Depuis notre cachette, Julie et moi, percevons des gémissements.
Il est clair, dans ce lieu sombre, que Clémentine se livre à un de ses plus grands plaisirs. Un moment glauque, vicelard.
Le vieux salop lui appuie sur la nuque de façon à forcer la jeune fille à s'accroupir. Il l'a maintient bien et dans le coin.
Nous voyons son sexe mollasson aller et venir dans la bouche de Clémentine. Nous l'entendons respirer fortement.
La jeune fille est encore plus excitée que les fois précédentes. Julie me chuchote à l'oreille : < Comment peut-elle ? >.

Nous percevons le bruit d'un jet caractéristique qui vient se briser à plusieurs reprises contre le carrelage mural. Sonore.
A chaque fois que ce bruit résonne, Clémentine s'arrache à l'étreinte du type pour tousser et cracher. C'est surréaliste.
Cette pipe se décline sur environ un quart d'heure. Le vieux salop doit sans doute éjaculer car il lâche un râle modulé.
Clémentine est immobile. Elle tente de repousser le vieux salace. Nous pouvons entendre la jeune fille déglutir, ravie.
Clémentine se redresse et, comme les deux dernières fois, part prestement d'un pas rapide. Elle se dégage et file vite.

Le vieux salop se réajuste et s'en va en chantonnant. Julie et moi nous sortons. Nous arrivons à la voiture. Il fait froid.
Clémentine sort des bosquets en grelotant. Une mèche de cheveux collées contre sa joue mouillée. Nous démarrons.
< Tu as quoi comme saucisse pour changer le goût ? > me demande Julie. < Merci ! Pas pour moi ! > fait Clémentine.
Tout en roulant, je déballe une splendide saucisse au choux. < Oh put-hein, j'en peux plus ! > s'écrie Clémentine, riant.
C'est vrai que l'odeur est forte. Il faut ouvrir un peu la fenêtre. Nous arrivons chez Julie. <Venez, entrez ! > dit-elle.

Nous prenons place sur le canapé, Julie et moi, pendant que Clémentine prend une douche. Julie renifle la saucisse.
< J'adore la saucisse aux choux ! C'est une saucisse Belge, non ? > me demande Julie en humant les parfums suaves.
< C'est quoi, la substance pâteuse qui colle au bout ? C'est du fromage Belge aussi ? > me demande Julie en rigolant.
Je lui révèle la nature et l'origine de la substance pâteuse. < T'es aussi dégueu que le vieux des chiottes ! > dit Julie.
La jeune fille goûte ma saucisse aux choux. Du jus coule. Clémentine revient et tend des mouchoirs en papier. Lotus.

Bonne saucisse aux choux à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe


Je clique, émerveillé, sur les sublimes images. Ce qui me permet de bien lire ce qui est écrit dessus.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe34

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ma compagne n'aime pas les soirées fraîches de l'automne. Frileuse, elle est chaudement vêtue. Elle est créative.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un vrai Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural apprécie l'idée d'identité régionale >

Notre Création Murale du mercredi 23 novembre, par 9°, vers 17 h26

< Beauté d'un soir d'automne > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -
Je clique qur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus...

< Bonjour, Mr "Zob-Sale" > me fait-elle, me secouant les couilles en riant...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice...

Classe

HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural apprécie l'idée d'identité régionale >

J'arrive chez Clémentine à 18 h30, hier soir, mercredi. Je gare ma mobylette dans la cave. La jeune fille m'embrasse.
< Viens vite, on se prépare une superbe bouffe. J'ai hyper faim ! > me fait-elle en m'entraînant dans la maison chaude.
Je suis sollicité pour préparer une pizza "4 saisons". Champignons, fromages, lardons et Chorizo. Je fais la pâte à pain.
< Demain soir, Julie et moi, on prépare un "plan" d'enfer. On va faire un petit piège à Estelle ! > me fait Clémentine.
La jeune fille prépare la salade d'avocats. Je laisse reposer la pâte pendant une demi-heure, recouverte d'un chiffon...

< Julie, Estelle et moi, on ira dans le jardin. Tu seras derrière le cabanon, dans le sentier ! > m'explique Clémentine.
< Tu seras entrain de te branler ! On fera semblant de ne pas te connaître et nous ferons connaissance ! > rajoute t-elle.
C'est typiquement un "plan" de filles. Un stratagème, une stratégie. J'aime les "plans" qu'organisent toujours les filles.
Je roule la pâte. J'y étale les ingrédiens. Je mets au four sur thermostat 7, à 300°. Rapidement l'odeur devient bonne.
< Tu as apporté quoi comme saucisse pour le dessert ? > me demande encore Clémentine en me tendant les assiettes.

Bien sûr, je garde le secret sur la saucisse que j'ai apporté. La sonnerie du four nous prévient que la pizza est prête.
Nous passons à table. < Tu vas encore garder ton casque de mobylette toute la soirée ? > me demande Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. Nous dégustons le repas. La pizza géante, accompagnée de salade est savoureuse.
< J'ai encore le goût dégueulasse de la bite du vieux salop, hier soir, au parc ! > me fait la jeune fille, l'air écœuré.
< Je recommence mardi prochain ! > rajoute t-elle en me faisant un clin d'œil. < J'aime trop ça ! > fait-elle encore...

Nous faisons la vaisselle. Puis, nous passons au salon. < Et le dessert ? > fait Clémentine, ses mains dans mon slip.
Je déballe une splendide saucisse Lilloise. Immédiatement l'odeur envahit la pièce. Clémentine se pince le nez en riant.
< Pouah ! C'est immonde ! C'est quoi la substance jaunâtre qui colle au bout ? > demande la jeune fille en reniflant.
Je lui révèle la nature de la substance jaunâtre. < Quelle horreur ! On dirait la bite du vieux salop ! > fait-elle, ravie.
Je lui tend un mouchoir en papier pour s'essuyer le jus. Clémentine savoure la saucisse Lilloise en gloussant de plaisir...

Bonne saucisse Lilloise à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eléveur de saucisses) -

Classe


Je clique sur les belles images pour bien lire ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe35

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Hier soir encore, poussée par cet irrépressible désir de création, ma compagne m'a entraîné au dehors, dans le froid.
Elle m'a sorti le Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, révélant son génie par un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural aime l'idée d'un confort total >.

Notre Création Murale du jeudi 24 novembre, par 7°, vers 17 h25

< Joie intime d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit sur la photo du Chef-d'œuvre.

< Bonjour Mr Schlinguo ! > me fait-elle en me secouant la tige et en riant...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice.

Classe

LA TROUBLANTE HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural aime l'idée d'un confort total >

Hier soir, j'arrive chez Clémentine pour 18 h30. La jeune fille s'empare de mon Zob et m'entraîne à l'intérieur. Bises.
J'ai à peine le temps de garer ma mobylette que Clémentine m'embrasse avec sa fougue amoureuse habituelle. Beau !
< Dépêchons nous de préparer le repas du soir, Julie arrive pour 20 h ! > fait Clémentine. Je prépare les patates "Bintje"
Clémentine prépare les salades et me fait encore : < Estelle arrive pour 20 h15 ! >. Le repas sera prêt. Je la rassure.
Je fais rissoler les petites pommes de terre. Je râpe le gruyère. < Enlève ton casque de mobylette ! > fait Clémentine.

Julie arrive à l'heure. Elle me tire sur la queue en m'embrassant et me dit : < Alors ? Prêt pour le "plan" exhibition ? >.
L'odeur du repas est superbe. Je me prépare en m'habillant. Il est 20 h10, je vais me mettre en place dans le jardin.
Je me positionne derrière le cabanon, sur le petit sentier qui sépare les haies des jardins du lotissement. Il fait nuit.
Je scrute entre les feuilles mortes du bosquet. Je vois arriver Estelle. Il ne me reste plus qu'à attendre. Je me branle.
Je suis chaudement vêtu. Il se passe environ dix minutes. Les trois filles viennent dans ma direction, le long du sentier.

< Put-Hein, il y a le mec de l'autre soir ! > s'écrie Julie. Clémentine et Julie font parfaitement semblant d'êtres surprises
Estelle par contre l'est réellement. < Bonsoir monsieur ! Alors, c'est une habitude ? > me demande Clémentine en riant.
Je salue les filles. Estelle reste en retrait, étonnée par l'aplomb dont font preuve Clémentine et Julie. Elle m'observe.
< Vous vous branlez souvent dans les jardins, les soirs d'automne ? > fait Julie avec un clin-d'œil. Je confirme en riant.
Je me branle doucement. Clémentine et Julie bavardent avec moi. < Vous mangez avec nous ? > demande Clémentine.

Estelle regarde ses deux copines avec une certaine stupeur ! < Le Branleur vient manger avec nous ! > fait encore Julie.
Je suis invité à suivre les filles. Je fais semblant de découvrir la maison. Je suis d'une extrême politesse. Homme galant
Nous prenons place autour de la table de la cuisine. Je me présente et les filles se présentent. Estelle est silencieuse.
< Dites-voir, Le Branleur, vous avez une idée de dessert, au salon, tout à l'heure ? > me demande encore Clémentine.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine nous invite tous au salon. Estelle, toujours très timide, me regarde étrangement.

< Et ce dessert ? C'est pour quand ? > insiste Clémentine. Je déballe une splendide saucisse de Caen. L'odeur est forte.
Estelle détourne les yeux en rougissant. < Wouah ! Et c'est quoi le fromage gluant qui colle au bout ? > fait Clémentine
Estelle semble consternée, elle se lève et fait : < Il faut que j'y aille ! >. Clémentine lui fait : < Dommage pour toi ! >
Julie sans même me regarder s'en va accompagnée de Julie qui la reconduit à la porte. Clémentine éclate de rire. Joie !
Julie revient. Nous rigolons comme des bossus, tous les trois. Les filles semblent contentes de leur blague à Estelle...

Julie se penche pour renifler les effluves parfumées de ma saucisse de Caen. Clémentine en gratte un peu le fromage.
En riant, Julie dit : < C'est sans doute le fromage et l'odeur immonde qui ont fait fuir Estelle ! Sa première saucisse ! >
Nous rigolons de bon cœur, heureux de notre farce. Julie est entrain de savourer la saucisse de Caen en gémissant.
Je prépare deux mouchoirs en papier afin que les deux coquines puissent s'essuyer le jus qui leur dégouline partout.
J'enlève enfin mon casque de mobylette. Clémentine, en déglutissant avec peine, me fait : < Tu as été parfait ! >...

Bonne saucisse de Caen à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe


Je clique sur les merveilleuses images pour mieux lire ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe36

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Toute émoustillée par la perspective de la belle histoire du dimanche, à venir demain, ma compagne est inspirée.
Hier soir, elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural a passé son Bac en fin de terminale >.

Notre Création Murale du vendredi 25 novembre, par 7°, vers 17 h20

< Enchantement d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus. Je suis émerveillé par cette découverte...

< Tu as encore la bite sale, aujourd'hui ! > me dit-elle avec un clin d'œil...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit mon admiratrice. Je suis enchanté par cette lecture aisée...

HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural a passé son Bac en fin de terminale >

Hier soir, vendredi, j'arrive chez Clémentine pour 18 h30. La jeune fille vient m'accueillir avec sa chaleur habituelle.
J'ai à peine le temps de garer ma mobylette à la cave qu'elle m'entraîne par la queue aux toilettes en m'embrassant.
< Viens vite, j'ai envie de te faire pisser dans la cuvette en plastique bleu "Made in China" ! > me fait-elle, impatiente.
C'est une cuvette bleue que nous avons acheté au Super U, en promotion, dans un lot de trois. Une bonne affaire.
Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets avec une certaine virtuosité. Elle secoue jusqu'aux dernières gouttes

Nous allons à la cuisine. Je suis sollicité pour la préparation de la flamiche picarde. Cette délicieuse tarte aux poireaux.
< Et le poireau, ça te connait, mon salop ! > me fait la jeune fille en me secouant le poireau. Nous rions de bon cœur.
Clémentine, pendant ce temps, prépare une salade d'endives avec de tous petits champignons délicatement rissolés.
< Tu n'oublies pas, demain soir, samedi, tu as ta prestation "Chippendale" chez Marinette ! > fait encore Clémentine.
Je la rassure. J'ai déjà tout préparé. < Tu seras déguisé en quoi ? > me demande t-elle. < C'est secret ! > que je dis...

Nous passons à table pour 20 h. Nous nous régalons de ce repas. Nous bavardons. Nous évoquons nos saloperies.
< J'ai rendez-vous avec le vieux salop, mardi soir, aux chiottes ! > me fait Clémentine en prenant ma main, ravie.
< Et, avec Julie, on te prépare un "plan" avec la présence de la jeune Estelle qui fête ses 19 ans bientôt ! > dit-elle.
Je suis toujours émerveillé par toutes les initiatives de mes deux complices, Julie et Clémentine. C'est merveilleux.
Tout cela n'aura qu'un temps. Avec la grande différence d'âge, nous devons en profiter au maximum. Un enchantement.

< Tu as apporté quoi comme saucisse pour le dessert ? > me demande Clémentine après la vaisselle. Elle m'embrasse.
Nous passons au salon. Je déballe une splendide saucisse Albigeoise. < Albi, c'est beau ! > me fait Clémentine, riant.
< I'll be back ! > me fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. < Put-Hein, comme elle pue ! > rajoute t-elle.
< C'est quoi l'ignoble crème jaunâtre qui colle encore au bout, espèce de vieux salop ? > demande Clémentine, ravie.
Je lui révèle la nature de l'ignoble crème jaunâtre. Avant d'y goûter, l'air écœuré, elle en hume les effluves parfumées.

Clémentine est toute occupée à sa dégustation. Les yeux fermés, poussant de petits cris de ravissements. C'est beau.
Parfois, elle fait tourner la saucisse Albigeoise pour en renifler les odeurs suaves. Il y a de longs filaments de fromage.
Gloussant de plaisir, Clémentine savoure la saucisse Albigeoise avec une certaine préciosité. Une sorte de dévotion.
Déglutissant avec peine, le regard plein de reconnaissance, la jeune fille me confie : < C'est tellement délicat et bon !>
Je lui tend un mouchoir en papier pour qu'elle puisse s'essuyer le jus qui dégouline. J'enlève mon casque de mobylette.

Bonne saucisse Albigeoise à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Je clique sur les images pour découvrir ce qui est écrit dessus. Je suis émerveillé par ma découverte. Mon cœur bât fort.

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Homme, 53 ans, France
Classe37

Les Chef-d'œuvre de la Création Murale

Chers amis
Le samedi soir a toute la préférence créative de ma compagne qui sent monter en elle une inspiration artistique.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle comment un réel Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural préfère les filles qui avalent >.

Notre Création Murale du dimanche 27 novembre, par 7°, vers 17 h29

< Création d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du dimanche -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus. Ce simple clic m'émerveille...

< J'aimerais découvrir ton fameux Blog ! > me dit-elle avec insistance...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit mon admiratrice...

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LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue et plus belle encore parce que c'est dimanche) -

J'assure ma prestation "Chippendale" chez Marinette

Pilotant ma mobylette à toute allure, à plus de 40 km/h, j'arrive chez Clémentine à l'heure prévue. Il est 19 h30.
Clémentine et Marinette m'attendent dans le jardin. Je suis invité à passer par la cave pour l'effet de surprise.
Marinette fête ses 19 ans. Elle est étudiante à la Fuck de Médecine de l'université voisine. Un grand anniversaire.

A cette occasion unique, Marinette a invité une trentaine de ses copines, toutes étudiantes dans la même université.
Comme à chaque fois, ce sont les toilettes qui serviront de loges pour me changer, me maquiller et me préparer.
Clémentine, Marinette et moi sommes au WC ou les deux filles m'aident à me déguiser de mon costume du soir.

Nous entendons arriver les premières invitées. Marinette nous laisse pour aller les accueillir et attribuer les places.
Clémentine assure la fonction de "Disc-Jockey". Elle m'abandonne rapidement pour aller mettre la musique. Sono à fond.
Il est 20 h. J'entends résonner la musique. C'est le signal. Il est temps d'y aller. Je monte sur ma mobylette rutilante.

J'arrive dans l'assemblée. Je saute sur la scène. Je suis déguisé en saucisse de Morteau. C'est un véritable triomphe.
Je suis chaussé de mes palmes de plongée et je fais mon fameux "Moon-Walk" copié sur celui de Michael Jackson.
J'attaque avec "Annie aime les sucettes" de France Gall que j'interprète en dialecte Autrichien du XIX ème siècle.

Un tonnerre d'applaudissement vient ponctuer cette chanson. Je continue avec "Le Sud" de Nino Ferrer. Succès !
Je chante "Le Sud" en patois Bavarois du XVIII ème siècle et avec l'accent Marseillais. Un tonnerre d'applaudissements.
Une fille, en furie, monte sur scène pour tenter de m'arracher mon masque de Johnny Depp, période "Chocolaterie".

Autour de la taille, j'ai fixé une chaînette en or à laquelle pend une superbe saucisse de Morteau. C'est splendide.
Une autre fille, comme possédée, monte sur scène et m'arrache le bas de mon déguisement. Me voilà le cul à l'air.
Heureusement que la saucisse de Morteau cache mes attributs virils. Je dois m'enfuir en courant. Les filles hurlent.

Clémentine et Marinette sont enfermées avec moi dans les WC. Derrière la porte, des filles frappent à la porte.
Marinette tente d'ajuster la ficelle de mon string doré que je porte à l'envers avec la ficelle devant. Je fais pipi.
Nous imaginons sans peine la difficulté que rencontre la jeune fille. Je garde mes palmes de plongée sous-marine.

Il est temps d'y retourner. Marinette monte sur scène, s'empare du micro pour me présenter. C'est une ovation.
< Bonsoir les filles. Je vous présente Maître Le créateur mural. Le monsieur des saucisses. Il en met partout sur Internet ! >
Les filles applaudissent en hurlant : < La saucisse ! La saucisse ! >. Je suis pétri d'émotion et j'essuie une larme.

J'attaque avec "Les marionnettes" de Christophe que j'interprète en patois Serbo-Croate du XIX ème siècle. Un succès.
Puis j'enchaîne avec "Les Dalton" de Jo Dassin que je chante en dialecte Bielo-Russe du XVII ème siècle. Une ovation.
Une fille monte sur scène et m'arrache mon string qu'elle agite comme un trophée. Me voilà encore une fois tout nu.

Je m'enfuis à toute vitesse, un peu handicapé à cause de mes palmes de plongée. Nous nous enfermons aux WC.
Clémentine m'enfile le collant rose et me fixe la grande plume mauve derrière. Marinette ajuste ma perruque rousse.
Je fixe une splendide saucisse de Morteau juste sous mes superbes abdominaux saillants style "tablette de chocolat".

Il est temps d'y retourner. Je grimpe sur scène pour interpréter "Tata Yoyo" de Annie Cordy. C'est encore une ovation.
Surtout que je chante cette chanson en dialecte Tyrolien du début du XX ème siècle. Les filles chantent avec moi.
Une d'entre elles monte sur scène pour m'arracher mon collant. Me voilà une fois de plus le cul nu. Je reste stoïque.

Comme la saucisse de Morteau qui pend devant mon sexe cache ma virilité, je peux continuer avec concentration.
Je chante "Let It Be" des Beatles en Mandarin ancien du XVI ème siècle. Des petites culottes sont jetées sur scènes.
Je reçois même un soutien-gorge "95 c" qui m'aveugle. Une petite culotte trempée me fouette le visage. C'est dur.

Une fille grimpe sur scène et tente de m'arracher ma saucisse de Morteau. Heureusement la saucisse est gluante.
Je n'ai que le temps de m'enfuir. Nous sommes enfermés dans les cabinets, Clémentine, Marinette et moi. Ambiance.
J'en profite pour faire pipi. Nous attendons que le calme revienne. Il est temps d'aller faire les photos souvenirs.

Je pose en smoking noir au milieu des filles dans une parodie de James Bond, tenant ma saucisse de Morteau.
Des filles me tiennent par les hanches. D'autres par les genoux. D'autres encore par mes poils pubiens bien coiffés.
A cause de la chaleur des projecteurs, la saucisse de Morteau a tendance à gicler de son jus un peu partout...

C'est le rituel de la signature des autographes. Des filles me tendent leurs petites culottes afin que je les signe.
La soirée est finie. Tout le monde s'en va doucement. Nous restons seuls, Clémentine, Marinette et moi. Fatigués.
Marinette passe la serpillère sous les chaises et ramasse les petites culottes dont certaines collent aux murs.

< Je peux goûter à cette superbe saucisse de Morteau ? > me demande Marinette avec un regard plein de convoitise.
< C'est quoi l'espèce de vieux Maroilles gluant qui colle au bout ? > me demande la jeune fille en humant l'odeur.
Je lui révèle la véritable nature artisanale du fromage. < Vieux salop ! > fait-elle en gloussant de plaisir. Ravie.

Pendant que Marinette déguste la saucisse de Morteau, Clémentine agite sous mon nez un chèque et un contrat.
< Regarde, vieux sale, samedi prochain tu assures l'anniversaire de Viviane pour ses 19 ans ! > me dit-elle en riant.
Je tend une serviette en papier à Marinette car il y a du jus qui dégouline. Le jus de la saucisse de Morteau est gras...

Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog -

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Pour que la fête continue encore un peu, je clique sur les merveilleuses images. Ainsi, je peux mieux lire ce qui est écrit dessus. Je suis émerveillé...

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Homme, 53 ans, France
Classe38

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Un dimanche soir, dehors, dans la fraîcheur, méditative et concentrée, telle est ma compagne en cette fin d'automne.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un nouveau Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural a souvent un comportement trivial >.

Notre Création Murale du dimanche 27 novembre, par 6°, vers 17 h 23

< Charmes secrets d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus. J'adore cliquer...

< Tu as encore du frome au bout ? > me demande t-elle avec un clin d'œil...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit mon admiratrice. J'aime cliquer...

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HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural a souvent un comportement trivial >

Hier matin, dimanche, j'arrive chez Clémentine de très bonne heure. Je gare ma mobylette dans le jardin. Personne !
J'entre doucement dans la maison en tenant mon cornet contenant la brioche et les croissants. C'est un étrange silence.
J'entre à la cuisine. Je dépose mon paquet sur la table. Je vais voir au salon. Quelle n'est par ma surprise dans la pièce.
Clémentine, cuisses écartées, un gode bien enfoncé dans le cul, est entrain de se masturber en gémissant. C'est beau.
Elle est tellement absorbée dans son activité manuelle, qu'elle ne m'entend pas. Je lui dépose une bise sur le front...

Clémentine, presque effrayée, ouvre soudain les yeux. Elle se redresse vite pour me sauter au cou. Toute heureuse.
< Je croyais que tu viendrais d'ici une demi-heure ! > me fait-elle en se levant et descendant sa robe. Elle est belle.
Clémentine m'attrape par le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet dans la cuvette bleue "Made in China".
Après m'avoir secoué les dernières gouttes, la jeune fille s'accroupit à son tour pour y lâcher plusieurs jets sonores.
Puis elle m'entraîne à la cuisine. Elle a toujours son plug anal enfoncé dans le cul. Elle prépare le nécessaire à café.

< Tu as été parfait, samedi soir. Regarde, j'ai les photos sur l'ordi ! > me fait Clémentine en faisant défiler les clichés.
Nous prenons notre petit déjeuner en regardant les photos. Elles sont toutes superbes. Puis, nous faisons le ménage.
< Julie viens passer le dimanche avec nous. Elle arrive à midi. Tu as quoi comme saucisse ? > me demande Clémentine.
Je déballe un superbe Saucisson de Carcassonne. < Wouah ! Comme il est beau ! Mais put-hein l'odeur ! > me fait-elle.
< Je crois que le fromage au bout est de Carcassonne également ! C'est du "Brebis" ? > me demande t-elle en reniflant

< Elle va être contente du dessert que tu vas encore nous offrir ! > rajoute Clémentine en me passant l'aspirateur bleu.
Vers onze heures nous préparons le repas. J'épluche les pommes de terre "Bintjes" que je fais rissoler dans une poêle.
C'est une poêle Téfal que nous avons acheté au Super U lors d'une promotion à la fin de l'été. 30 euros les trois poêles.
Clémentine prépare la salade de tomates et de carottes. Julie arrive pour midi. Elle nous embrasse toute contente.
Mettant ses mains dans mon slip, Julie me fait "Pouët-Pouët" aux couilles en disant : < Tu as la saucisse du dessert ?>

Nous mangeons avec appétit. Clémentine nous apprend qu'elle organise un "plan pipe" pour mardi soir, avec le vieux.
< C'est les pipes au vieux salop qui te donnent tes boutons autour de la bouche ! Beurk ! > fait Julie en me souriant.
< Oui la pipe donne des boutons autour de la bouche mais c'est tellement bon ! > répond Clémentine avec un clin d'œil.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine nous montre le Plug toujours bien enfoncé dans le cul. < Wouah ! > fait Julie.
< Tu veux que je t'en prête un ? > demande Clémentine. Nous passons au salon pour le dessert. Les filles sont ravies.

< Non ! J'aime pas trop avoir un truc dans le cul ! A part une bite de temps en temps ! > fait Julie en riant de bon cœur.
Je déballe mon saucisson de Carcassonne. Julie est émerveillée. < Il suinte de jus, dis-donc ! > fait Julie en gloussant.
Clémentine racle un peu du frome qu'il y a au bout et le fait respirer à Julie en disant : < Renifle-moi ce "Brebis" ! >...
Les filles se régalent en se passant la saucisse de Carcassonne en poussant de petits cris de ravissement. Le jus coule.
Je tends des mouchoirs en papier aux deux filles afin qu'elles puissent s'essuyer. < Tu es un amour ! > me fait Julie...

Bon saucisson de Carcassonne à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisse) -

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Homme, 53 ans, France
Classe39

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Chacun sait que les soirs de fraîcheurs sont propices à la création. Surtout lorsqu'on est une jeune femme créative.
La mienne se saisit de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural aime la musique orchestrale >.

Notre Création Murale du lundi 28 novembre, par moins 3°, vers 17 h19

< Fraîcheur d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -
Je clique sur l'image pour découvrir, émerveillé, ce qui est écrit dessus. C'est mon amour du clic...

< L'odeur de ta bite doit refouler ! > me fait-elle avant d'y goûter en riant...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit mon admiratrice. C'est ma passion du clic...

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HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural aime la musique orchestrale >

J'arrive chez Clémentine, hier soir, lundi, vers 18 h30. La jeune fille me saute dans les bras pour m'embrasser. Joie.
J'ai à peine le temps de garer ma mobylette à la cave que Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'à la cuisine.
Je suis sollicité pour préparer la pizza aux 4 fromages. Je prépare la pâte que je laisse reposer 30 minutes au chaud.
Pendant ce temps, Clémentine et moi nous préparons l'assaisonnement et la salade. Je roule la pâte avec le rouleau.
< Tu as quoi comme saucisse pour le dessert, après, au salon ? > me demande la jeune fille, ses mains dans mon slip.

Je déballe une de ces superbes saucisses fumées que l'on trouve le plus souvent en Franche-Comté. L'odeur est puissante.
< Put-Hein l'odeur ! C'est quoi la substance crémeuse qui colle au bout ? > me demande t-elle en se pinçant le nez.
Je lui révèle la nature artisanale de la substance crémeuse. < Mais quel porc tu fais, espèce de vieux salop ! > fait-elle.
Nous passons à table. Nous savourons la pizza accompagnée d'une délicieuse salade verte aux petits croûtons grillés.
< Demain soir j'ai mon rendez-vous pipe. Je vois le vieux salop aux chiottes du parc. Tu seras là, hein ? > me fait-elle.

Je la rassure. < Nous passerons prendre Julie avant et vous vous cacherez comme d'habitude ! > rajoute Clémentine.
Je lui confirme que tout se passera selon son souhait. Nous faisons la vaisselle. Clémentine est d'humeur joyeuse.
< Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait la jeune fille en me tendant un tablier que je noue à la taille.
< Et puis tu pourrais enlever ton casque de mobylette quand tu es avec moi ! > lance t-elle. Nous rions de bon cœur.
Nous passons au salon. Clémentine déballe la saucisse fumée. Immédiatement l'odeur envahit toute la pièce. C'est fort.

Clémentine, penchée sur la saucisse, en renifle longuement les effluves parfumées. Elle en gratte un peu de substance.
Portant son doigt sous son nez, la jeune fille prend un air écœuré avant le goûter en poussant un gémissement de joie.
< Cette saucisse est un peu un entraînement pour demain soir ! > me fait Clémentine en savourant la saucisse fumée.
Je vois le jus de la saucisse fumée qui lui coule sur le menton aussi je préfère lui tendre un mouchoir en papier. Kleenex.
< Tu es un amour ! Toujours si plein d'attention ! Tu es adorable ! > me fait Clémentine en déglutissant avec peine...

Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus. Nous terminons la soirée par une partie d'Echec.

Bonne saucisse fumée à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe


Je clique sur les merveilleuses images pour découvrir, enchanté, ce qui est écrit dessus. Mon attirance pour le clic...

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Homme, 53 ans, France
Classe40

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ma compagne, chaudement vêtue, portant ses moufles, son bonnet et son manteau a tenu à m'entraîner dehors.
Elle m'a sorti le Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Animée par le désir du Chef-d'œuvre.
Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural réalise aussi des œuvres sur toile >.

Notre Création Murale du mardi 29 novembre, par moins 3°, vers 17 h27

< Beauté d'un soir de novembre > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -
Je clique sur l'image pour découvrir, enchanté, ce qui est écrit dessus. J'aime le clic...

< Tu as encore du frome au bout ? > me dit-elle en me faisant un clin d'œil...
Je clique sur l'image, émerveillé, pour mieux lire ce que m'écrit mon admiratrice. J'adore le clic...

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LA MERVEILLEUSE HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural réalise aussi des œuvres sur toile >

Hier soir, mercredi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Je gare ma mobylette à la cave. La jeune fille est à sa fenêtre.
Je rentre. Quelle surprise, Julie est déjà là. Les deux filles se précipitent sur moi pour m'embrasser toutes contentes.
Je suis sollicité pour préparer les spaghettis à la carbonara. < Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > fait Julie.
Je mets le tablier et je prépare les lardons, la crème et je râpe le parmesan. Clémentine épluche les belles carottes bio.
Julie concocte l'assaisonnement en me mettant parfois la main dans le slip pour me faire "pouët-pouët" aux couilles...

Nous pouvons passer à table pour 19 h15. Nous mangeons de bon appétit en nous régalant de ce repas délicieux. Ravis.
Nous pouvons donc partir dès 19 h40 pour nous rendre au rendez-vous de Clémentine qui voit son vieux vicieux au parc.
Nous arrivons sur les lieux pour 19 h50. Juste le temps de nous mettre en situation. Julie et moi planqués dans le WC.
Nous sommes debout sur le couvercle de la cuvette des WC du fond. Par-dessus le mur nous pouvons regarder à l'aise.
Le vieux salop arrive pour 20 h05. Il est élégant. Ouvre son manteau, se débraguette, la bite au-dessus de l'urinoir.

Clémentine arrive. Il fait très froid. Ce n'est pas drôle. Elle s'approche. Les deux protagoniste se saluent d'un < Bonsoir >.
Le vieux salop attrape Clémentine par sa tresse qui dépasse de son bonnet pour l'attirer à elle. Il lui roule une pelle.
Ils s'embrassent cinq bonnes minutes. Clémentine, debout à côté du vieux vicelard lui tient la bite pour en diriger le jet.
Avec le froid la vapeur de pisse diffuse son arôme infâme dans l'espace réduit des vieilles chiottes pauvrement éclairées.
Le vieux lâche plusieurs jets. Julie me glisse à l'oreille : < Tu sens l'odeur fétide de sa bite ! Il ne la lave jamais ? >...

Tenant toujours la jeune fille par sa tresse comme par une laisse, le vieux salopard la force à s'accroupir dans le coin.
Bloquée là, entre l'urinoir et le mur, Clémentine se retrouve avec la bite dégueulasse et puante du vieux dans la bouche.
Nous entendons les gémissements de la jeune fille. Julie me chuchote à l'oreille : < Mais comment peut-elle faire ça !>
Le vieux enfonce la totalité de sa bite dans la bouche de Clémentine. Heureusement qu'il ne bande pas. Elle s'étouffe.
Avec peine, en toussant, Clémentine arrive parfois à se soustraire de sa contrainte pour cracher le jus ignoble du vieux.

Ce vieux salop se met parfois à bouger avec régularité, se masturbant dans la bouche de Clémentine qui gémit un peu.
Souvent, le soir, Clémentine m'avoue à quel point elle apprécie ces situations de contraintes, soumise et aux ordres.
Là encore la jeune fille peut vivre son fantasme dans toutes ses dimensions. Nous l'entendons pousser de petits cris.
A plusieurs reprises Clémentine arrive à se soustraire de l'étreinte du vieux pervers juste à temps pour éviter la pisse.
Pisse fumante qui vient se briser sur le carrelage du mur. Le type soudain se cabre, bloque la jeune fille, il éjacule...

Clémentine reste un long moment à déglutir en poussant de petits gloussements de ravissement. Puis elle se redresse.
Sans ménagement, elle repousse le vieux salop pour quitter les chiottes. Le type essaie bien de la retenir encore un peu
Clémentine va rapidement se cacher dans les fourrés du parc. Le vieux salop pisse un dernier coup avant de partir aussi.
Julie et moi quittons notre cachette pour retourner à la voiture. Clémentine surgit de sa cachette en s'essuyant le visage
< Put-Hein l'enfoiré, qu'est-ce qu'il m'a encore envoyé ! > nous lance Clémentine en s'asseyant à l'arrière de la voiture.

Nous rentrons à la maison. Clémentine file à la salle de bain pour prendre sa douche. Julie m'embrasse et me branle.
< Tu as apporté une saucisse pour nous régaler pour le dessert ? > demande Julie de son air ingénu, espiègle et mutin.
Je déballe une merveilleuse saucisse Auvergnate qui macère dans son jus gluant, collant contre le tissus de l'emballage
< Pouah ! C'est gerbeux ! L'odeur rappelle celle des chiottes, espèce de vieux porc ! > me fait Julie en reniflant, ravie.
< C'est du fromage Auvergnat, la pâte gluante qui colle au bout ? > fait encore Julie récupérant du frome avec le doigt.

Julie porte l'index à son nez pour en humer les effluves parfumées avant d'en goûter les saveurs, prenant un air écœuré.
La jeune fille se met à goûter la saucisse Auvergnate avec les mêmes petits gloussements que Clémentine aux chiottes.
Clémentine qui revient de sa douche juste à cet instant en s'écriant : < Eh bien ! On ne se refuse rien ! On se régale ! >
Julie, pas du tout égoïste, lui tend la saucisse. < Non merci, j'ai eu ma dose ! > fait Clémentine avec une grimace.
Clémentine tend une serviette en papier à Julie qui déglutit avec peine. La jeune fille a du jus qui lui coule dans le cou.

Je retire enfin mon casque de mobylette. < Ah ! C'est toi ! > fait Julie. Nous rigolons comme des bossus. De bon cœur...

Bonne saucisse Auvergnate à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe41

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ma compagne, très frileuse, surtout par ces grandes fraîcheurs, s'abstrait dans la création. Chaudement vêtue toutefois.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. C'est le Chef-d'œuvre dans le froid du soir.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural pisse contre le mur d'un jet frontal >.

Notre Création Murale du mercredi 30 novembre, par moins 4°, vers 17 h21

< Dans la fraîcheur du soir > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -
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< Tu as quoi comme frome, au bout ? > me demande t-elle avant d'y goûter...
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HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural pisse contre le mur d'un jet frontal >

Hier soir, mercredi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Je gare ma mobylette à la cave. La jeune fille m'accueille.
< Viens vite te mettre au chaud et enlève donc ton casque de mobylette ! > me fait-elle en m'entraînant par la queue.
Clémentine m'embrasse longuement. < On baise un peu ce soir, ça fait longtemps qu'on a plus niqué ! > fait la fille.
Je lui promet de la "monter" comme le vrai salop que je suis. Nous allons préparer une tartiflette avec de la raclette.
J'épluche les patates, Clémentine prépare les tranches de fromage à raclette. Nous disposons le tout dans un plat...

J'enfourne sur thermostat 7, à 300° pour 45 minutes. Nous préparons la salade d'endives aux petites olives noires.
Des olives préparées à la grecque que je dénoyaute soigneusement. L'odeur de la tartiflette émane et exhale du four.
< Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > demande Clémentine avec ses mains dans mon slip. Me chatouillant.
Je lui déballe une splendide saucisse Lilloise. La jeune fille, émerveillée, se penche pour humer les effluves parfumées.
< Elle pue ! C'est quoi encore l'espèce de "Vache-qui-rit" qui colle au bout ? > fait-elle, écœurée. < Secret ! > que je dis.

Nous passons à table. Nous dégustons la tartiflette arrosée d'un petit vin rouge "des familles". Un Bordeaux de 1998.
< Demain soir, jeudi, avec Julie, on te prépare un "plan" bien vicelard avec Estelle ! > fait Clémentine avec un clin d'œil.
Nous faisons la vaisselle. < Ne te brule pas la bite avec l'eau chaude ! > me fait la jeune fille. Je mets mon tablier.
Nous passons au salon. Clémentine, lascive, m'embrasse langoureusement. Elle s'assoit sur le bureau, cuisses écartées.
La vision de cette superbe touffe, abondante et si fournie, me donne immédiatement l'envie d'aller y fourrer mon nez.

Le lèche un peu ce bosquet magnifique en imaginant les guirlandes de Noël que nous pourrons bientôt y suspendre.
Clémentine se saisit de mes cheveux pour me redresser. < Pas de léchage de minou mais de la baise ! > fait la fille.
Je suis debout entre les cuisses de la jeune fille que je pénètre doucement, avec d'infinies précautions. Elle gémit.
Comme la baise ce n'est pas trop notre "truc", nous maîtrisons parfaitement le processus de la pénétration. Lentement.
Je reste immobile, tenant les chevilles de Clémentine qui se berce doucement en gémissant de plaisir. Elle se touche.

Nous restons ainsi une bonne demi-heure. Je suis dans la jeune fille. Je bouge très peu. Elle me raconte ses saloperies.
Elle se masturbe. Le mouvement s'accélère sur son bouton de plaisir. Dans un râle longuement modulé, elle jouit. Ravie
Elle me repousse doucement pour se lever, s'accroupir devant moi. < Je vais goûter cette saucisse Lilloise ! > dit-elle.
Il y a du jus qui suinte et qui coule. Je lui essuie la bouche à plusieurs reprises. Elle a des bouts de frome qui collent.
Ravie, Clémentine déglutit avec difficulté. < C'est divin ! > me fait-elle entre deux léchages de "Vache-qui-rit" gluant...

Elle se redresse et m'embrasse. J'enlève mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus. De bon cœur.

Bonne saucisse Lilloise à toutes et à tous...

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Homme, 53 ans, France
Classe42

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Chaudement vêtus, ma compagne et moi, nous sortons en soirée sur sa demande. Elle aime tant créer dans le froid.
Hier soir, elle m'a encore sorti le Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Un vrai Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural fantasme sur la femme de Néandertal >

Notre Création Murale du jeudi premier décembre, par moins 2°, vers 17 h19

< Poésie d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
Je clique sur l'image pour être émerveillé par ce que je peux lire dessus. Mon amour du clic...

< Dis-moi quand tu te lave la bite ! > me dit-elle avec un clin d'œil...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit mon admiratrice. Ma passion du clic...

Classe

L'EXCITANTE HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural fantasme sur la femme de Néandertal >

Hier soir, jeudi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. La jeune fille se précipite dans mes bras pour m'embrasser.
J'ai à peine le temps de garer ma mobylette à la cave que Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'à la cuisine.
< Julie et Estelle arrivent pour 20 h. Viens, on prépare la bouffe ! > me fait la jeune fille en me tendant le tablier.
Je prépare les tomates et la farce. Clémentine prépare la salade. La jeune fille m'informe de la stratégie mise au point.
< Avant que les filles n'arrivent tu te planques aux chiottes ! > fait Clémentine avant de rajouter : < Une surprise ! >

J'enfourne les tomates farcies avec le thermostat sur 7, cuisson à 280° durant 40 minutes. Il est rapidement 19 h55.
Trois coups de sonnette. < File ! Va te planquer aux chiottes ! > me lance Clémentine. Je vais donc me cacher au WC.
J'entends les filles arriver. Je peux distinguer quelques bribes de paroles sans pouvoir les situer dans une conversation.
Comme me l'a demandé Clémentine, j'ai le pantalon aux genoux et je me branle doucement. J'ai un bouquin bien porno.
La situation n'est toutefois pas très confortable. J'ai passé l'âge des branlettes aux chiottes. Je préfère les canapés.

Je suis entrain de me tirer sur la tige, pour utiliser la formule de Fabrice Luccini, lorsque la porte des toilettes s'ouvre.
C'est Estelle ! < Put-Hein ! Il y a le branleur aux toilettes ! > s'écrie t-elle en prenant les jambes à son cou, consternée.
Julie et Clémentine arrivent en riant. < Put-Hein ! Pourquoi vous m'avez fait ce "plan" là ? > demande Estelle, revenant.
Julie m'attrape par la queue que le liquide séminale qui s'échappe de son extrémité rend gluante. < Viens ! > fait-elle.
Elle m'entraîne à la cuisine. Clémentine a rajouté une assiette et les couverts. Estelle est debout ne sachant que faire.

< Je ne reste pas ! > fait Estelle décidément très embarrassée par ma présence. Clémentine et Julie insistent un peu.
< Mais il ne mord pas Le-Branleur, il se branle c'est tout ! Il s'en branle également ! Et de tout ! > fait Julie en rigolant.
< Si tu enlèves ton casque de mobylette tu seras plus rassurant, aussi ! > me fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Nous sommes assis, tous les quatre à déguster ce délicieux repas. J'adresse la parole plusieurs fois à Estelle. Silence.
Visiblement mal à l'aise et un peu gênée, Estelle me répond par de petites phrases courtes, claires, assez sèchement.

Clémentine et Julie ont beau plaisanter, Estelle reste relativement distante. Il est difficile de la dérider. Parfois un rire.
< Tu as apporté une saucisse pour le dessert ? > me demande Clémentine. Je rassure les filles, j'ai emmené la surprise.
Après le repas, nous faisons la vaisselle. < Mets ton tabler, ne va pas te brûler la bite avec l'eau chaude ! > fait Julie.
Estelle, toujours comme hallucinée, observe ma queue qui pend de ma braguette. Je noue le tablier autour de la taille.
Toujours dans le soucis de détendre un peu Estelle, je ne bavarde qu'avec elle, lui posant des questions sur ses études.

Nous passons au salon. < Tu nous offres le dessert ? > fait Clémentine s'asseyant à mes côté dans le canapé profond.
Estelle est assise dans le fauteuil de gauche. Julie est assise sur un coussin entre mes jambes. Il fait bien chaud.
Je déballe un splendide saucisson sec. Avec la chaleur, chacune sait que le saucisson sec suinte rapidement son jus.
< Pouah l'odeur ! > fait Clémentine. < C'est quoi l'espèce de "Chaussée-aux-Moines" qui colle au bout ? > fait Julie.
Estelle, pudique et très réservée, une fois encore détourne la tête après avoir levé les yeux au plafond. Il y a le silence.

Clémentine se saisit du saucisson sec pour le secouer doucement dans la direction de la silencieuse Estelle qui regarde.
Une certaine curiosité, mêlée à une surprise certaine peuvent se lire sur les traits délicats de son visage d'étudiante.
< Tu fêtes tes 19 ans quand ? > demande Julie à Estelle tout en reniflant le saucisson sec dont le jus dégouline au sol.
Estelle, souriante, répond : < Dans deux semaines ! >. Clémentine précise : < Je t'organise une soirée "Chippendale".>
L'affaire est conclue. J'assure ma prestation "Chippendale" dans deux semaines. Clémentine est mon manager. Efficace.

Julie gratte un peu de fromage qu'il y a au bout du saucisson sec et passe son doigt sous le nez de la belle Estelle.
La jeune fille détourne la tête d'un air écœuré. < C'est ignoble ! > fait-elle dans un frisson. Nous rions comme des fous.
Clémentine se penche pour humer les effluves parfumées du saucisson sec. Julie commence à y goûter en gémissant.
Clémentine et Julie se refile le saucisson sec qu'elles dégustent en poussant de petits cris de ravissements. C'est beau.
Je fixe Estelle dans les yeux. La jeune fille, terriblement gênée, n'ose pas soutenir mon regard. Je devine sa curiosité.

Clémentine et Julie font tourner le saucisson sec sous leurs narines en poussant quelques petits gloussement amusés.
Estelle, assise très droite, observe avec le plus grand sérieux. Je tends des mouchoirs en papier aux deux jeunes filles.
Clémentine a du jus du saucisson qui coule partout autour de la bouche. Julie a du jus qui lui dégouline dans le cou.
Clémentine, déglutissant avec peine, me regarde avec les yeux plein de reconnaissance pour me dire : < Un régal ! >.
Julie, faisant un clin d'œil à Estelle, avalant difficilement, me fait : < Un délice ! >? Nous rigolons comme des bossus.

Je retire mon casque de mobylette. Estelle me regarde comme si j'étais un extraterrestre. Je lui fais un grand sourire...

Bon saucisson sec à toutes les Estelle, les Clémentine et les Julie...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucissons secs) -

Classe


Je clique sur les merveilleuses images pour lire ce qui est écrit dessus. Je suis émerveillé par mon geste...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe43

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Se réjouissant pour le week-end à venir, ma compagne, sautillant de joie, chaudement vêtue, m'a entraîné au dehors.
C'était hier soir qu'elle m'a sorti le Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural préfère les petites départementales >.

Notre Création Murale du vendredi 2 décembre, par moins 3°, vers 17 h18

< Poésie d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus.

< Ton avatar ? C'est de la "Vache-qui-Rit" ? > me fait-elle avant d'y goûter...
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Classe

HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural préfère les petites départementales >

Hier soir, vendredi, je gare ma mobylette dans le jardin de Clémentine. La jeune fille me saute au cou pour m'embrasser
< Viens vite, on prépare la bouffe, il y a Julie qui arrive pour 20 h ! > me fait Clémentine en m'entraînant par la queue.
Je suis sollicité pour préparer les lasagnes. Je suis prié de mettre mon tablier. < Ne te brûle pas la bite ! > me fait-elle.
Je fais bouillir la flotte. Pendant ce temps je prépare la sauce. Clémentine prépare une salade de carottes et à l'avocat.
< Tu as apporté une saucisse pour le dessert ? > demande Clémentine en me massant la queue humide de vapeur d'eau

< C'est mon petit secret ! > que je lui répond en passant mes doigts dans sa superbe touffe qui est encore plus fournie.
Lorsque c'est terminé, je dispose tout dans un plat en Pyrex que je mets au four, thermostat sur 7, à 280°, 40 minutes.
Julie arrive à l'heure précise. Elle me saute au cou, m'embrasse, me tire la queue et me fait "pouët-pouët" aux couilles.
Nous passons à table. Nous évoquons Estelle et ses attitudes réservées de jeune fille timide. Nous rions de bon cœur.
Clémentine nous informe du "plan pipe" qu'elle prépare avec le vieux vicelard dans les chiottes du parc mardi prochain...

< Beurk ! Mais comment tu peux faire "ça" à un vieux salop incontinent ! > s'exclame Julie en prenant un air écœuré.
< Je suis une vraie salope et j'adore les "trucs" glauques ! Que veux-tu ! > répond Clémentine nous faisant un clin d'œil
Nous rigolons comme des bossus. Après le repas, nous faisons la vaisselle. C'est moi qui plonge, j'adore faire la plonge.
< Remets ton tablier ! Ne va pas te brûler la bite ! > me fait Clémentine en essuyant la première assiette en faïence.
Des assiettes en faïence peinte que nous avons acheté en promotion au Super U dans un lot de six grandes. 17 euros.

Nous passons au salon. < Et le dessert ? > me fait Julie à genoux sur le coussin devant le canapé où je suis vautré.
Je déballe un superbe saucisson de Bordeaux. < Wouah, C'est un saucisson au frome, put-hein ça schlingue ! > fait Julie.
< On dirait de la "Vache-qui-Rit", la substance gluante qui colle au bout ! > rajoute Clémentine en reniflant le saucisson
Je lui révèle la nature de la substance gluante. < Vieux salop ! > lance Clémentine en dégustant le sauciflard parfumé.
Je tends un mouchoir en papier aux deux filles afin qu'elles puissent s'essuyer le jus qui leur dégouline dans le cou...

< Tu es un amour ! > me fait Clémentine en déglutissant avec peine. Julie se régale en gémissant de bonheur. Ravie.
Tout en humant délicatement les effluves parfumées de mon saucisson de Bordeaux, Julie me fait : < C'est un régal ! >
Les filles se refilent le saucisson qu'elles savourent en poussant de petits cris de ravissements. C'est divin. "Glandiose".
< N'oublie pas, demain soir, samedi, tu assures ta prestation "Chippendale" chez Viviane ! > me rappelle Clémentine.
Je la rassure en essuyant le jus qui lui coule autour de la bouche. Julie, avalant avec difficulté me fait : < Un délice ! >

Je retire mon casque de mobylette ce qui fait toujours beaucoup marrer les filles. Clémentine me secoue la bite en riant.

Bon saucisson de Bordeaux à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisson) -

Classe


Homme, 53 ans, France
Classe44

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Mon adorable compagne, à l'idée de la belle histoire du dimanche, devient fébrile, impatiente et avide de créativité.
Hier soir, par exemple, elle m'a sorti le Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural demande le silence dans la salle >.

Notre Création Murale du samedi 3 décembre 2016, par moins 2°, vers 17 h18

< Romantisme d'un soir de décembre > - Notre Chef d'œuvre du dimanche -
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< J'attends le dimanche pour la belle histoire ! > me fait-elle, ravie...
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Classe

LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue et plus belle encore parce que c'est dimanche) -

J'assure ma prestation "Chippendale" chez Viviane

Il est 19 h30. J'arrive chez Clémentine qui m'attend avec Viviane dans le jardin. Je suis prié de passer par la cave.
Je descends avec ma mobylette. Comme à chaque fois, le samedi soir, ce seront les WC qui feront office de loges.
Je pourrais m'y changer, me maquiller et me préparer. Clémentine et Viviane m'aident à passer mon beau costume.

Mardi 6 décembre, c'est la Saint Nicolas. Même en dehors de toutes idées dogmatiques, la Saint Nicolas ça se fête.
Viviane, jeune étudiante à la Fuck de Lettres de l'université voisine, fête ses 19 ans. Elle a invité toutes ses copines.
Il y aura une vingtaine de jeunes étudiantes pour assister au merveilleux spectacle "Chippendale" que je présente.

Les premières invitées arrivent. Viviane nous laisse pour aller les accueillir. Clémentine m'aide à me déguiser.
Comme Clémentine assure la fonction de "Disc-Jockey", elle m'abandonne à son tour pour assurer la musique.
Il est 20 h. Je dois y aller. Je monte sur ma mobylette rutilante dont j'ai percé le pot d'échappement pour faire du bruit.

Je suis déguisé en Saint Nicolas. Je grimpe sur la scène. Je fais mon "Moon-Walk " à la manière de Michael Jackson.
Comme je suis chaussé de mes palmes de plongée sous-marine, chacune imagine facilement le degré de virtuosité.
Je chante "Petit Papa Noël" de Tino Rossi en dialecte Sicilien du XIX ème siècle avec un fort accent Autrichien.

Dans l'assistance c'est immédiatement le délire. Dans un tonnerre d'applaudissements Viviane monte me rejoindre.
Elle s'empare du micro pour me présenter : < Bonsoir les filles. C'est Le Branleur. Le monsieur des saucisses ! >.
Les filles, frappant dans leurs mains en rythme, se mettent à scander : < La saucisse ! La saucisse ! >. Je suis ému.

Devant mon costume de Saint Nicolas, juste sous mes abdominaux, pend une magnifique saucisse de Morteau.
Aussi, lorsque je fais un french Cancan digne du Crazy-Horse, cette saucisse de Morteau s'agite dans tous les sens.
Je continue avec "Et moi, et moi et moi" de Jacques Dutronc que j'interprète en patois du canton de Genève. Suisse.

Une gigantesque ovation vient ponctuer ma prestation. Une fille monte sur scène et m'arrache mon manteau rouge.
Je suis en porte-jarretelles et en bas rouge. Heureusement que la saucisse de Morteau masque mes attributs virils.
Je peux continuer en chantant "La Bohême" de Charles Aznavour que j'interprète en dialecte Tyrolien du XIX ème.

Une autre fille grimpe sur scène et tente d'arracher ma saucisse de Morteau. Avec la chaleur, elle est gluante, glisse.
Je suis obligé de m'enfuir. Clémentine, Viviane et moi, nous nous enfermons à double tour dans les cabinets. J'ai peur.
Des filles excitées frappent contre la porte en hurlant : < La saucisse ! La saucisse ! >. Nous attendons le calme...

Viviane essaie d'ajuster la ficelle de mon string doré que je porte à l'envers avec cette même ficelle située devant.
Comme j'en profite pour faire pipi, la jeune fille a toutes les peines du monde à procéder à cet ajustement délicat.
Il est temps d'y retourner. Je grimpe sur scène. Je ne suis vêtu que de mon string et chaussé de mes palmes noires.

J'attaque avec "Gaston y'a le téléphon" de Nino Ferrer que je chante en patois bavarois du XIX ème siècle. Succès !
Un nouveau tonnerre d'applaudissements résonne dans le salon de Clémentine, faisant trembler jusqu'au plafond.
Une fille monte sur scène pour m'arracher mon string qu'elle agite comme un trophée. Me voilà complètement nu.

Heureusement que la saucisse de Morteau cache mes parties génitales, la morale est sauve. Je peux continuer.
Je chante "Week-end à Rome" de Etienne Daho que j'interprète en mandarin ancien du XVI ème siècle chinois.
Les filles chantent le refrain avec moi. Une d'entre elles tire sur ma saucisse de Morteau qui lui glisse des mains.

Je n'ai que le temps de m'enfuir. Clémentine, Viviane et moi, nous sommes à nouveau enfermés dans les cabinets.
Je fais pipi pendant que Viviane ajuste la saucisse de Morteau devant mon collant mauve que m'enfile Clémentine.
Je mets ma perruque rousse et bouclée. Il est temps d'y retourner. Je grimpe sur scène sous une véritable ovation.

Toujours chaussé de mes palmes, je chante "Le gorille" de Georges Brassens en m'accompagnant au banjo. Viva !
J'interprète cette chanson en dialecte Auvergnat du début du XX ème siècle et en prenant l'accent Marseillais.
Mon succès est tel que deux filles montent sur scène et m'arrachent mon collant et la grande plume rose fixée derrière.

Quelques petites culottes viennent tomber autour de moi sur la scène. Il y a même un soutien gorge "95 c". Humide.
Je n'ai que le temps de m'enfuir une nouvelle fois. Nous voilà à nouveau enfermés dans les toilettes, bien à l'abri.
Il est temps d'y retourner pour sacrifier à la tradition des photos souvenirs. Je suis toujours vêtu en Saint Nicolas.

Je pose au milieu des filles en agitant jésuitiquement ma saucisse de Morteau. Avec cette chaleur, elle dégouline.
Des filles me tiennent par la mitre. D'autres me tiennent par la crosse. D'autres me tiennent par mes poils pubiens.
Clémentine fait une trentaine de photographies. Les filles sont ravies, souriantes et Viviane se met même à déconner...

Il est maintenant temps de sacrifier au rituel des autographes. Des filles me tendent leurs culottes pour que je les signe.
Avec mon gros marqueur, je signe les petites culottes. Des filles me demandent même de signer sur leur peau fine.
Avec mon marqueur, couleur "chair", je signe tout ce que les filles me tendent. Je signe à tour de bras. La crampe !

Enfin, tout le monde s'en va. C'est la fin. Clémentine, Viviane et moi, nous sommes à présent seuls à faire le bilan.
C'est une incontestable réussite. Viviane, timidement, me fait : < Je peux goûter la saucisse de Morteau ? J'aime ! >
Je lui tend la saucisse de Morteau dont elle hume longuement les effluves parfumées en gloussant de plaisir. Joie.

< C'est quoi la substance jaunâtre qui colle au bout ? On dirait du fromage à raclette fondu ? > demande Viviane.
Je lui révèle la nature artisanale de la substance jaunâtre. < Vieux cochon ! > me fait la jeune fille avant d'y goûter.
Pendant ce temps, Clémentine agite un chèque et un nouveau contrat sous mon nez. Elle me fait des clins d'œil.

< Samedi prochain, tu assures ta prestation "Chippendale" chez Carine ! > me fait Clémentine toute contente.
Je tends une serviette en papier à Viviane afin qu'elle puisse s'essuyer le jus de la saucisse de Morteau qui dégouline.
< Tu es un amour ! > me fait-elle en déglutissant avec quelques difficultés. Nous rigolons comme des bossus.

Il est temps de faire un peu de ménage. Il faut ramasser les petites culottes dont certaines collent même aux murs.
Il faut passer la serpillère sous les chaises. Viviane, émue, nous félicite pour l'organisation de cette superbe soirée.
Clémentine et moi, enfin seuls, nous pouvons finir les petits toasts aux anchois qui restent sur la table du fond...

Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog -

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -


Pour que la fête continue encore un peu je clique sur les deux merveilleuses images. Je peux mieux lire ce qui écrit dessus. Je suis enchanté par mon clic...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe45

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ces soirées d'un froid persistant permettent à ma compagne de s'abstraire dans une créativité effrénée et régulière.
Hier soir encore, elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Un grand Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural ne supporte pas l'idée de nu intégral >

Notre Création Murale du dimanche 4 décembre, par moins 4°, vers 17 h17

< Enchantement d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -
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< Vieux salop. Avec ta bite qui pue, va ! > me fait-elle avant d'y goûter...
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Classe

HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural ne supporte pas l'idée de nu intégral >

Clémentine et moi nous avons passé la nuit de samedi à dimanche ensemble. Hier matin, j'ouvre un œil. Il est 8 h30.
Je regarde sur ma gauche. Clémentine, la bouche ouverte, ronfle doucement, couchée sur le dos. Je me lève doucement.
< Tu vas où ? > me demande t-elle. Je la regarde, elle a les yeux fermés. Je lui dépose une bise sur le front. Elle rit.
< Je vais aller chercher les croissants ! > que je lui réponds. Je suis debout à me gratter les couilles. Je lâche un proute
< Tu reviens vite, hein ! > me fait Clémentine en se retournant pour continuer à dormir. Je m'habille et je descends...

Je prends ma mobylette pour filer à la boulangerie du bourg. < Et cette soirée "Chippendale" ? > me fait la boulangère.
Madame Marthe, la boulangère met les quatre croissants et les quatre chocolatines dans un cornet en papier kraft.
Je reviens. Clémentine est à la cuisine enroulée dans son plaid. < Viens vite, j'ai faim ! > me fait-elle en m'embrassant.
< Cet après-midi, nous sommes invités chez Julie. On va se promener au marché de Noël ! > me fait la jeune fille.
Nous dégustons notre petit-déjeuner. Nous passons la matinée à faire un peu de ménage. Puis on prépare le repas...

Je fais bouillir de l'eau pour cuire les coquillettes bio qui seront accompagnées d'une sauce au pistou avec du parmesan.
Clémentine prépare la salade. < Tu emmènes une saucisse pour notre retour en fin d'après-midi ? > me demande t-elle.
Je la rassure. Nous passons à table. Le repas est simple mais délicieux. Nous prenons notre douche et nous partons.
Nous arrivons chez Julie pour 14 h. Julie me saute au cou, se frotte contre moi et m'embrasse. Elle est toute heureuse.
Nous voilà en route pour le marché de Noël. Nous sommes chaudement vêtu. Julie met souvent sa main dans mon slip.

Nous sommes de retour pour 17 h30. < Et notre petite collation ? > me fait Clémentine en s'accroupissant devant moi.
< Oui ! Notre petit "goûté" ! > appuie Julie en me faisant un clin d'œil. Je déballe un splendide saucisson de Annecy.
< Put-Hein, ça fouette ! > fait Julie en se pinçant le nez. < C'est du "Six-de-Savoie", le frome au bout ? > dit-elle.
Je lui révèle la nature du frome. < Grand sale ! > me fait-elle avant d'y goûter. Clémentine se contente de renifler, ravie
Les deux filles se refilent mon saucisson de Annecy en gloussant de plaisir. Du jus dégouline de partout. C'est beau...

Je retire enfin mon casque de mobylette et je tends un mouchoir en papier aux deux filles qui déglutissent avec peine.
< Tu me fais l'amour, un peu, là, sur le canapé ? > me demande Julie qui me semble soudain bien excitée. Nous rions.
< Jeudi soir, on te prépare un super "plan" avec Estelle ! > me précise encore Julie avant de m'attirer tout contre elle.
Nous baisons tranquillement sous les caresses de Clémentine qui aime enfoncer sa langue exploratrice dans ma bouche.
Comme toujours, je fais durer la baise avec une maîtrise totale de mon sexe. Julie connait quelques orgasmes sympas.

Je demande à Clémentine si elle en veut aussi un peu. < Non, u es gentil, tu me la mise toute la nuit ! > me fait-elle.
Nous rigolons comme des bossus. Nous décidons de partager le repas du soir tous les trois. Je prépare des lentilles.
Je fais gratiner les lentilles avec du gruyère et des œufs. < Je peux te tailler une pipe, après ? > me demande Julie.
Clémentine nous observe en disant : < Et bien dis-donc ! Tu es allumée aujourd'hui ! > fait-elle. Nous rions de bon cœur
Après le repas, Julie me taille une pipe des familles qui fait plaisir à voir. Clémentine m'embrasse goulument. Superbe !

Bon saucisson de Annecy à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucissons) -


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe46

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ma compagne, frileuse, mais toujours chaudement vêtue, m'attire, en soirée, dehors. Poussée par sa créativité.
Hier soir encore, elle m'a sorti le Zob. Elle m'a tenue la bite pour en diriger le jet contre le mur. Le Chef-d'œuvre.
Le Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural, le matin, aime lire son journal >.

Notre Création Murale du lundi 5 décembre, par moins 5°, vers 17 h16

< Enchantement d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -
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< Heureusement la photo de ton avatar n'a pas d'odeur ! > me fait-elle en riant
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Classe

HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural, le matin, aime lire son journal >

Hier soir, lundi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Je gare ma mobylette à la cave. La jeune fille me saute au cou.
< Viens vite préparer les pizzas, il y a Julie qui vient pour 20 h ! > fait-elle en m'entraînant par la queue à la cuisine.
Je prépare la pâte. pour changer, j'y rajoute un peu de gruyère râpé. Je laisse reposer dans un saladier bien couvert.
Pendant ce temps, Clémentine prépare la salade et moi je prépare la garniture. Champignons, lardons et tomates.
J'enfourne avec le thermostat sur 7, à 280°, pour une cuisson de 30 minutes. Rapidement, la bonne odeur est enivrante.

A 20 h précise, voilà Julie. Elle m'embrasse en me tirant par la queue jusqu'aux chiottes pour en diriger le jet au fond.
Julie me secoue les dernières gouttes. Nous rigolons comme des bossus avec Clémentine qui me chatouille les couilles.
Nous passons à table. < Demain mardi, je suce mon vieux salop aux chiottes du parc ! > nous apprend Clémentine.
< T'es vraiment salope ! > fait Julie en passant sa main dans mon slip pour me faire "pouët-pouët" aux roubignoles.
< Je sais, mais c'est mon vice le plus avouable ! La pipe aux vicelards en milieu "glauque" ! > fait Clémentine en riant.

< Tu as apporté une saucisse pour le dessert ? > me demande Julie en passant sous la table pour renifler ma queue.
< Je la rassure. Il y aura bien de la saucisse pour le dessert. Nous faisons la vaisselle. Clémentine me tend le tablier.
< Tiens mets ça, ne va pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > me fait-elle. Nous rions tous les trois de bon cœur.
Nous passons au salon. < Le dessert ! > ordonne Julie, à genoux sur le coussin devant le canapé où je suis vautré.
Je déballe une magnifique saucisse du Gard. Immédiatement l'odeur forte envahit toute la pièce. Julie se pince le nez.

< Pouh ! Comme elle pue ! C'est quoi la substance jaunâtre qui colle au bout ? > demande Julie en touchant du doigt.
Elle hume son doigt avant de le faire goûter à Clémentine qui a un frisson de dégoût. < Ah le porc ! > font les filles.
Julie, yeux fermés, gloussant de plaisir, savoure ma saucisse du Gard pendant que je révèle la nature de la substance.
< C'est pareil tous les jours, espèce de vieux salop ! > fait Clémentine en savourant à son tour en gémissant, ravie.
Je tends des mouchoirs en papier aux deux filles pour qu'elles s'essuient le jus. < Tu es un amour ! > me fait Julie.

Je retire mon casque de mobylette. Clémentine nous montre les photos de ma prestation "Chippendale". Superbes !
< Depuis le temps que je veux venir pour te voir dans tes spectacles ! > me fait Julie en me secouant la bite en riant.
< Chaque samedi soir notre Branleur nous gratifie d'une prestation qu'il relate le dimanche matin ! > fait Clémentine.
< Oh oui ! Je lis cette histoire tous les dimanches matins en rigolant comme une folle ! > répond Julie en me suçant.
Clémentine m'embrasse. Je propose une partouze aux deux filles. < Pas ce soir chérie, j'ai mal à la tête ! > fait Julie.

Nous rigolons comme des petits fous. Un peu comme des poules découvrant un gode dans le clapier d'une lapine...

Bonne saucisse du Gard à toutes et à tous...

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe47

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ma compagne attend avec impatience que le printemps revienne. <Encore trois mois !> dit-elle chaudement vêtue.
Hier soir, elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre.
Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural n'a pas de surcharge pondérale >.

Notre Création Murale du mardi 6 décembre, par moins 6°, vers 17 h16

< Merveille d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -
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< Ton avatar me met en appétit ! > me fait-elle. Nous rions de bon cœur...
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Classe

LA MERVEILLEUSE HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural n'a pas de surcharge pondérale >

Hier soir, vers 18 h30, j'arrive chez Clémentine qui me saute au cou et m'embrasse. Je gare ma mobylette à la cave.
< Viens vite. On mange et on file chercher Julie pour mon rendez-vous au parc ! > me fait Clémentine en m'entraînant.
Je beurre de grosses tranches de pain complet. J'y étale des filets d'anchois. J'y dépose de fines tranches de gouda.
Je mets le tout au four, thermostat sur 6, environ 250°, pendant 20 minutes. Pendant ce temps on fait une salade.
Nous passons à table pour 19 h10. A 19 h 25. Nous voilà en route pour aller chercher Julie. Nous la récupérons à 19 h40.

Nous arrivons au parc pour 19 h50. Nous nous dépêchons de prendre nos postions respectives. Julie et moi aux toilettes.
Nous sommes chaudement vêtus car il fait un froid à ne pas mettre un esquimau dehors. Julie et moi enfermés aux WC.
Pour 20 h, le vieux salop arrive. Depuis notre cachette, Julie et moi, debout sur le couvercle du chiotte, nous mâtons.
Il ouvre son manteau. Il sort sa bite. Il est debout devant le dernier urinoir. Clémentine arrive. < Bonsoir ! > se font-ils.
Le vieux vicelard saisit Clémentine par la nuque pour l'attirer à lui. Ils s'embrassent. Elle faillit en perdre son bonnet...

Le vieux salace appui sur les épaules de Clémentine pour la forcer à s'accroupir. Elle est coincée dans le coin. Silence.
Le type doit lui mettre la bite dans la bouche parce qu'il est cambré contre le visage de la jeune fille qu'il maintient.
< Comment peut-elle ? Tu sens l'odeur de sa queue ? > me chuchote Julie. Nous retenons notre respiration. Silencieux.
Nous discernons nettement les gémissements de Clémentine. Elle est coincée dans le coin, entre l'urinoir et le mur.
Le type imprime quelquefois un mouvement de hanches régulier, tout en se masturbant dans la bouche de la jeune fille.

Soudain Clémentine pousse un petit cri et arrive à se soustraire à l'étreinte du vieux salop. Elle évite le jet de pisse.
Nous entendons bien et de façon distincte, plusieurs jets qui viennent se briser sur le carrelage froid du mur. Odeur !
Avec le froid, la vapeur de pisse envahit rapidement l'espace faiblement éclairé par le réverbère extérieur. C'est gerbeux.
< Et dire qu'elle adore ça, cette salope ! > me chuchote Julie. Nous observons. Le vieux vicelard se fait sucer en râlant.
A plusieurs reprises Clémentine arrive à s'arracher à l'étreinte du type pour tousser et cracher au sol. Dégueulasse...

Les choses durent ainsi un bon quart d'heure. Le vieux salop est soudain immobile. Il pousse une série de râles sonores.
Nous entendons Clémentine tenter de déglutir avec peine en poussant de petits cris aigus. < Salope ! > chuchote Julie.
Clémentine se redresse. Tout en ajustant son bonnet, elle contourne le vieux salop pour se précipiter au dehors. Vite.
Le vieux vicieux range son matériel, ferme son manteau et s'en va en chantonnant. Julie et moi nous pouvons sortir.
Nous arrivons près de la voiture. Clémentine sort des fourrés en grelottant. Je démarre et nous filons vers la maison.

Arrivés chez Clémentine. Elle nous abandonne pour aller se doucher. < Tu as quoi comme saucisse ? > demande Julie.
Je déballe un splendide saucisson sec finement épicé. < Wouah ! Comme il sent fort ! > fait Julie en reniflant le truc.
< C'est quoi qui colle au bout ? On dirait un vieux Maroilles ? > demande encore Julie en humant les effluves parfumées
Je lui révèle la véritable nature artisanale du "Maroilles" ! < Put-Hein ! C'est pire que la bite du vieux ! > me fait Julie.
Julie, en gloussant, les yeux fermés, plein de "Maroilles" aux coins de la bouche, goûte le saucisson sec bien épicé...

Clémentine revient de sa douche. < C'est ça qui pue jusqu'en haut, à la salle bain ? > demande t-elle en s'asseyant.
< Tu veux goûter ? > lui demande Julie en secouant mon saucisson sec dans sa direction. Ce qui fait gicler du jus.
< Non merci, j'ai ma dose ! Mais fais gaffe, tu es entrain d'éclabousser les coussins du canapé ! > répond Clémentine.
Julie a du mal à déglutir car le saucisson sec, avec la chaleur, n'est plus du tout sec. Je lui tends un mouchoir en papier.
J'enlève mon casque de mobylette. Clémentine m'embrasse. Je suis un peu écœuré sachant ce qu'elle avait en bouche...

Bon saucisson sec à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - Eleveur de saucissons) -


Je clique sur les deux merveilleuses images pour bien lire ce qui est écrit dessus. C'est ma passion de découverte...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe48

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Bonnet, gants, manteaux, collants en laine, bottes, ma compagne est emmitouflée pour m'entraîner au dehors.
Elle se saisit de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Réalisant un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural entretient sa ceinture abdominale >.

Notre Création Murale du mercredi 7 décembre, par moins 6°, vers 17 h15

< Vision d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écit dessus.

< Tu n'as pas honte, une bite sale pareille ? > me fait-elle en riant...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit la belle dame...

Classe

HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural entretient sa ceinture abdominale >

Hier soir, mercredi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. La jeune fille me saute au cou pour m'embrasser. Heureuse.
Je gare ma mobylette à la cave. < Viens vite, on va au chaud et on se prépare une bonne bouffe ! > me fait Clémentine.
Elle se saisit de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur du garage. Réalisant un Chef-d'œuvre.
Chef-d'œuvre que nous pouvons découvrir ci-dessus intitulé : < Le créateur mural entretient sa ceinture abdominale >.
Clémentine secoue jusqu'aux dernières gouttes. Puis comme en tirant à la laisse, elle me tire par la queue à la cuisine.

Je suis sollicité pour éplucher les patates. Il est question de nous régaler d'un bon gratin dauphinois façon tartiflette.
Pendant ce temps, Clémentine prépare la salade d'endives aux petits champignons grillés. Je dispose tout dans le plat.
Sur les pommes de terre coupées en lamelles, j'étale des tranches de fromage. Un délicieux Comté qui sent très fort.
< L'odeur n'est pas sans évoquer la substance que tu laisses au bout des saucisses que tu apportes ! > dit Clémentine.
< A ce propos, tu as apporté une saucisse pour le dessert ? > rajoute la jeune fille, mettant ses mains dans mon silp.

Je la rassure, elle aura son dessert. < Demain soir, Jeudi, on te fait un "Plan Estelle" ! > rajoute encore Clémentine.
Je n'en saurais pas davantage mais le clin d'œil de la jeune fille en me secouant la queue laisse présager de l'excellent.
La cuisson du gratin, thermostat sur 7, à plus de 300°, fait régner une odeur qui met en appétit. Tout est prêt. A table.
Nous savourons ce repas en bavardant. Clémentine évoque sa pipe au vieux dans les chiottes du parc, hier mardi soir.
Nous rions de bon cœur. Clémentine adore la "pipe en milieu glauque" comme elle appelle ses fellations sauvages.

Nous faisons la vaisselle. < Mets le tablier. Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait Clémentine en riant.
Nous passons au salon. Je déballe un splendide saucisson aux noix. < Wouah ! Des noix ! > fait Clémentine en humant.
< Put-Hein l'odeur ! C'est quoi qui colle jusque sur les noix ? > demande la jeune fille en grattant un peu de substance.
Reniflant son doigt avant d'y goûter, elle me fait : < C'est pire que tout, vieux salop, va ! >. Elle savoure en gloussant.
Je lui tends un mouchoir en papier pour s'essuyer le jus du saucisson qui coule sur les noix. Elle déglutit avec peine.

Je retire le casque de ma mobylette. Nous rigolons comme des bossus. < Tu es un amour ! > me fait la jeune fille, ravie.

Bon saucisson aux noix à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucissons) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe49

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ma compagne en a plus qu'assez de ces journées froides. Vêtues chaudement, hier soir, elle m'entraîne au dehors.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un nouveau Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural pratique l'Art rupestre et pariétal >.

Notre Création Murale du jeudi 8 décembre, par moins 1°, vers 17 h14

< Enchantement d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
Je clique sur l'image pour lire ce qui est écrit dessus. Je suis émerveillé par cette découverte...

< Salut, vieux cochon ! > me fait-elle avant de goûter le fromage au bout...
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Classe

L'AMUSANTE HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural pratique l'Art rupestre et pariétal >

Hier soir, jeudi, j'arrive chez Clémentine pour 18 h30. La jeune fille m'embrasse et m'entraîne en me tirant la queue.
< Viens vite, on prépare à bouffer, il y a Julie qui vient avec Estelle à 20 h ! > me fait Clémentine en secouant ma bite.
J'ai à peine le temps de garer ma mobylette que me voilà sollicité pour rouler la pâte de la flamiche Picarde prévue.
Je fais cuire les poireaux. Je prépare la béchamel. Je coupe l'ail, l'oignon et les champignons. J'étale et je mets au four.
Thermostat sur 7, à plus de 300°, je règle sur 40 minutes. Pendant ce temps, Clémentine a préparé une salade verte.

< Va vite te planquer avec la bite à l'air dans les chiottes ! > fait Clémentine lorsque résonnent les coups de sonnette.
Je vais aux toilettes, je descends mon pantalon, je prends un magazine pornographique et je me mets à me branler.
J'entends Julie et Clémentine rire. Estelle, toujours discrète semble rester silencieuse. La situation est plutôt cocasse.
Bien évidemment, avant de passer à table, Julie, dans la combine, vient me retrouver. Elle m'embrasse, toute contente.
< Bonjour mon Branleur préféré ! > me fait-elle en me secouant la queue, faisant gicler un peu de jute sur la lunette.

Julie file en me faisant : < A tout de suite, on t'attend après la blague ! >. Avec un clin d'œil, elle disparaît. Je bande.
C'est au tour de Clémentine de venir me voir. Tout en pissant elle me suce un peu la jute qui dégouline. Elle est ravie.
< Tu viens vite hein, ça sent bon à la cuisine ! > dit-elle avant de filer à son tour en s'essuyant le coin de la bouche.
Arrive Estelle pour son pipi d'avant repas. La jeune fille ouvre la porte. < Encore le Branleur ! > s'écrie t-elle en partant.
< Vous êtes salopes de me faire la même blague à chaque fois ! > fait Estelle. Je me remonte mon pantalon et j'arrive.

Estelle est entrain de mettre son manteau en disant : < J'en ai marre de voir se type se branler dans tes chiottes ! >.
Julie tente de la raisonner. Clémentine lui présente ses excuses. Moi je remballe même ma bite et ferme ma braguette.
Finalement Estelle change d'avis. Elle me jette un sévère regard et me fait : < Tu arrêtes tes saloperies, d'accord ? >.
Je lui promets de ne pas recommencer ce soir. Nous passons à table. Nous bavardons. Estelle refuse de parler avec moi.
Pas une seule fois, durant tout le repas, Estelle ne m'a adressé la parole ou même répondu à mes questions sérieuses.

Après le repas, nous faisons la vaisselle. < Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > me demande Clémentine.
Je la fais patienter. Ce n'est que lorsque nous sommes installés au salon que je déballe un superbe salami "nature".
Estelle, aussi sec que mon saucisson, se lève en s'écriant : < Put-Hein ! J'en ai marre, je me casse ! >. Elle est fâchée.
Une nouvelle fois Julie et Clémentine tente de raisonner la jeune fille en montrant mon superbe salami "nature" et sec.
< Regarde, il y a même de la "Vache-qui-rit" qui colle au bout ! > répond sèchement Estelle, se dirigeant vers la porte.

Clémentine, accroupit devant moi, renifle mon salami "nature et fait : < Tu as tort, Estelle, c'est un vrai régal ! >.
Julie secoue mon salami "nature" dans la direction de la belle Estelle en rajoutant : < C'est un véritable délice ! >.
Estelle, sans doute consciente d'être légèrement ridicule, s'assoit dans le canapé, disant : < Mais moi, j'en veux pas !>
Clémentine savoure mon salami "nature" en gloussant. Julie le lui prend pour le déguster à son tour. Il y a du jus.
Je fais un clin d'œil à Estelle qui m'adresse enfin une esquisse de sourire en baissant rapidement les yeux. Très gênée.

J'enlève enfin mon casque de mobylette. Nous rions comme des bossus. Estelle tend des mouchoirs en papier aux filles...

Bons salami "nature" à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de salamis) -

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Homme, 53 ans, France
Classe50

Les chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ma compagne a toujours peur lorsque le forum de BobVoyeur est fermé. Elle pense qu'il est arrivé le pire. Angoisse.
Aussi, elle s'empare de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Réalisant le Chef-d'œuvre.
Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous, et intitulé : < Le créateur mural aime beaucoup la vie rurale >.

Notre Création Murale du samedi 10 décembre par 2°, vers 17 h13

< Rêverie d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -
Je clique sur la belle image pour lire ce qui est écrit dessus...

< Vieux salop ! > me fait-elle en m'ouvrant la braguette pour goûter...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit la belle dame...

Classe

HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural aime beaucoup la vie rurale >


Hier soir, vendredi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Elle me saute au cou et m'embrasse.
< Viens vite, on se prépare la bouffe. Il y a Julie qui vient manger pour 20 h ! > me fait-elle.
J'ai à peine le temps de garer ma mobylette que la jeune fille m'entraîne par la queue en riant.
Je prépare des spaghettis à la bolognaise. < Ne te brûle pas la queue ! > me fait Clémentine.
Je mets le tablier qu'elle me tend. Clémentine, pendant que je sais la sauce, prépare la salade.

Julie arrive pour l'heure prévue. Elle est toujours précise. Nous pouvons donc passer à table.
< Tu n'oublies pas ta prestation chippendale chez Carine, demain soir ! > me lance Clémentine.
Je la rassure, tout est prêt. Nous dégustons notre repas. Nous évoquons la soirée de samedi.
< Tu as apporté une sausisse pour le dessert ? > me demande Julie en passant sous la table.
Je lui propose d'attendre que nous passions au salon, après la vaisselle. Elle se redresse.

Nous faisons la vaisselle. < Tu me baise un de ce soirs ? > me demande Julie avec un clin d'œil.
Je lui promet de la niquer comme un vrai salop dès qu'elle me le demandera. Clémentine rigole.
Nous passons au salon. Je déballe un splendide saucisson sec aux oignons. L'odeur est très forte.
< Put-Hein, ça schlingue ! Tu n'as pas honte de trainer un truc pareil ? > me demande Julie, ravie.
Elle goûte avec un ait écœuré. Dégoûtée, elle se redresse en me fait : < Tu es un porc ! >...

Rapidement, il y a du jus qui dégouline du saucisson aux oignons. Je prends des mouchoirs en papier.
Je le tends à la jeune fille qui déglutit avec difficulté, passant la saucisse à Clémentine qui glousse.
Les deus filles se savourent le saucisson aux oignons à tour de rôle en poussant de petits cris de joie.
J'enlève mon casque de mobylette. Les deux filles ont du jus qui leur dégouline jusque dans le cou.
Nous rigolons comme des bossus. < Tu es un amour ! > me fait Julie, roulant une pelle à Clémentine.

Bon saucisson sec aux oignons à toutes et à tous.

Le créateur mural - (Dersseur de saucissons) -

Classe


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