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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1027 -



Retour à nos douces habitudes

Hier matin, mardi, il est 5 h55 lorsque le concerto de flûte de Mozart nous tire violemment de nos profonds sommeils.
< Flûte alors ! > lance Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Quelques papouilles. Nous filons directement aux toilettes. Nous mettons nos tenues sport. Nous descendons. Cuisine.
Nous préparons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons l'Ecosse.
Le mardi, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend joyeuse et facétieuse. Nous remontons pour nous livrer à la gym.

Une heure d'entraînement intense. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et les abdos avant notre douche.
Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il fait très froid.
Dernier bisou. Il est 7 h45. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin dans le jour naissant. Dernier coucou.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Il est 8 h15. Et c'est le bonheur.
Assis devant mon chevalet, je prépare ma palette en chantant "Le grand Café" de Charles Trenet. Le jour qui s'est levé.

Je peins dans une sorte d'euphorie qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. C'est prodigieux. Tout avance bien.
Cette dixième toile destinée à ma saison d'été sera probablement terminée jeudi en fin de matinée. Et je m'y applique.
Comme toujours, quand je me livre ainsi, sans retenue, corps et âme à ma passion, je ne vois pas les heures passer.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes.
Je lave deux endives. Je prépare une belle pâte à pain. Le coupe le poireau en petits morceaux que je lave et fais cuire.

Il est 12 h20. Clémentine qui rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visages de bisous.
Tout en préparant l'assaisonnement de la salade, Clémentine me raconte sa matinée. Je concocte une Béchamel. Bien.
J'égoutte les coquillettes. J'égoutte le poireau. Je le verse dans la Béchamel avec du gruyère grossièrement râpé. Bon.
Le nécessaire pour la tarte au poireau est prêt. Cette Flamiche Picarde qui fait le délice de nos mardis soirs. C'est miam.
Je récupère un peu de Béchamel. Je verse sur les crevettes qui terminent de revenir dans la poêle avec l'ail et l'oignon.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre soirée de hier, la présence de Julie et mon comportement de satyre.
Nous en rions de bon cœur. Clémentine qui se réjouie pour notre projet. Jouer à la "serveuse" avec Julie au restaurant.
Nous traînons à table. Dehors il fait beau. La température reste froide. Le thermomètre extérieur n'indique que 6°. Dur.
Assise sur mes genoux et tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine revient sur quelques aventures écossaises.
Elle me confie que les mois qui nous séparent de notre prochain séjour en Ecosse sont comme autant d'épreuves. Bien.

Cet été encore, nous avons en projet de passer quelques jours à faire les îles du Nord en bateau. Je vais m'en occuper.
Louer un van pour parcourir quelqules fantastiques paysages. Je vais régler tous ces détails courant du mois de janvier.
< Tout est tellement facile avec toi, Julien ! > me fait Clémentine, ses bras autour de mon cou. Nous faisons la vaisselle.
Nous mettons nos anoraks. Nous faisons le tour de la propriété. Les rayons du soleil offrent tout de même de la douceur.
Serrée contre moi, Clémentine m'entraîne jusqu'à la rivière. Les eaux ont atteint le niveau maximum. Des eaux claires.

Clémentine me sort le Zob. Nous marchons ainsi. J'ai la bite à l'air. C'est un peu frisquet. Avec le froid elle reste molle.
Clémentine me la prends souvent dans sa main, disant : < Il faut la réchauffer. Elle doit encore énormément servir ! >
Nous en rions de bon cœur. Nous parcourons ainsi les trois kilomètres qui mènent aux bâtiments du haras là-bas. Joie.
Nous traversons le pont de pierres, la petite route pour longer le ruisseau. Trois cent mètres à l'arrière des bâtiments.
La caravane à monsieur Gérard. L'endroit est désert. Nous montons jusqu'à l'ancienne voie ferrée. Une si belle balade.

Nous croisons un cavalier. Il nous salue. Nous revenons par le même chemin. Et cette fois nous croisons une cavalière.
Les pans de mon anorak masquent parfaitement la bite et les couilles que Clémentine m'a extrait du pantalon. Sympa.
Mes organes génitaux, enserrés par ma braguette, sont en contact avec les boutons froids. Clémentine me "réchauffe".
Accroupie, derrière les planches de la cabane en ruine, elle me taille une pipe des familles avec cette passion habituelle.
Nous rentrons doucement en bavardant. Clémentine reproduit la scène à plusieurs reprises. Le bout de la bite est froid.

Il est 15 h45 lorsque nous revenons à la maison. Nous allons dans l'atelier. Clémentine a encore du travail. Moi aussi.
Nous voilà dans cette ambiance studieuse et silencieuse que nous apprécions tant. Parfois Clémentine chante un peu.
L'un se lève pour rejoindre l'autre, lui faire des bisous, lui chuchoter des douceurs, des cochonneries. C'est très doux.
Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour. Elle se précipite en s'écriant : < Enfin ! >. Elle s'assoit sur mes genoux. Bisous.
Les filles se sont vues ce matin en cours. Estelle nous raconte son après-midi au bureau de l'entreprise familiale. Bien.

Sa maman qui nous remercie pour ces moments passés ensemble, dimanche. < Mes parents apprécient ! > dit Estelle.
Et nous aussi. Estelle rejoint Clémentine. Elles comparent l'avancée de leurs travaux. Soudain, un vrai fracas à l'étage.
< Bonsoir Christine ! > s'écrient les filles en même temps pour saluer l'arrivée du fantôme de mon ancienne compagne.
Ce soir, c'est un véritable vacarme au dessus de nos têtes. Nous rangeons nos affaires en tentant de localiser le bruit.
Cela ne dure qu'une dizaine de minutes. C'est comme si quelqu'un baissait le son. Les manifestations s'éloignent. Dur.

Nous restons devant la cheminée à regarder la danse des dernières flammes. Les filles allongées, têtes sur mes cuisses.
Je leurs caresse les cheveux. Elles évoquent nos vacances. < J'ai commencé le montage du film ! > fait Estelle. Super.
Elle rajoute, si tout va bien, on se le mâte samedi soir. Ça vous tente une soirée "cinéma" d'art et d'essai ? >. Rigolade.
< Et comment ! > lance Clémentine avant de rajouter : < Mais demain soir tu baises avec ton parrain dans sa cave ! >
Nous rigolons comme des bossus. Il est 19 h. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. La préparation rapide.

Clémentine s'occupe de la salade. Une belle laitue. Estelle travaille la pâte à pain. Je réchauffe la garniture. C'est bien.
< Sors ta bite que je l'enduise de farine ! > fait Estelle en agitant ses longs doigts fins plein de farine. Je sors le Zob.
< Oh mais dis donc, tous les poils on repoussés. Il va falloir procéder à une épilation dimanche matin ! > lance t-elle.
Estelle m'enduit consciencieusement la bite et les couilles d'une généreuse couche de farine humide. Un éclat de rire.
Je verse la Béchamel sur la pâte étalée dans le plat. Estelle y dépose l'autre fine couche de pâte fine. En couvercle.

Je mets la table. La tarte au poireau est au four. Clémentine et Estelle m'entraînent au salon en riant toutes les deux.
Elles s'emparent chacune d'un des épais coussins du canapé pour les jeter au milieu de la pièce. S'y mettre à genoux.
Elles scrutent une fois encore "l'œuvre" d'Estelle. Ma bite et mes couilles blanchies de farine craquelante. C'est drôle.
Estelle me lèche les couilles. Bien dodues et piquantes à cause de la farine. Clémentine qui me lèche la bite enfarinée.
Je leurs caresse la tête. Elles ne tardent pas à se refiler ma queue dont elles tètent le prépuce avec avidité en rigolant.

Ces léchouilles sont devenues un véritable rituel les mardis et les jeudis soirs. A cause de la tarte au poireau. La pizza.
Cela se prolonge par une pipe des plus exquises. Je murmure : < Ce soir, je vous bouffe la chatte à toutes les deux ! >
< Sans farine ? > fait Estelle, espiègle et mutine. < Tu nous mets de la farine la prochaine fois ! > rajoute Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Je force les filles à se redresser pour les entraîner par les cheveux jusqu'au canapé. Bien.
Assises, côte à côte, elles continuent à se refiler ma queue toute luisante que je frotte sur leurs délicats visages d'ange.

J'essaie d'être le plus vicelard possible. J'y mets toute la vulgarité possible. Elles apprécient. Concert de gémissements.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. C'est un repas succulent. Miam.
A plusieurs reprises Estelle se lève pour mimer son habituelle masturbation masculine avec toute la vulgarité possible.
Je me lève à chaque fois pour agiter la bite dans sa direction. Clémentine s'étouffe de rire. Il y a l'ambiance habituelle.
Nous traînons à table. Les filles assises sur mes genoux. < Tu me baises ce soir monsieur Julien ! > murmure Estelle.

< Oh oui ! Vous me faites du spectacle ! > s'écrie Clémentine. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Tout est parfait.
Les filles, impatientes, m'entraînent au salon. Elles retirent leurs jeans et leurs culottes. Elles n'arrêtent plus de rire.
Clémentine s'installe dans le fauteuil. Jambe droite sur l'accoudoir de droite. Jambe gauche sur l'accoudoir de gauche.
Elle se touche déjà. Estelle m'offre son minou, vautrée sur le canapé. Je suis à genoux sur le coussin. Je hume. Miam.
L'odeur forte. C'est à la fois répugnant et excitant. Estelle saisi mes oreilles. Elle colle son sexe sur mon visage. Super.

Elle se frotte sur ma gueule. J'entends Clémentine gémir. Estelle est rarement aussi entreprenante. Je suce son clitoris.
Il est minuscule mais je sens qu'il est bien dur. Je bouffe la crème qui s'écoule de sa vulve bouillante. C'est un dessert.
Elle m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. < Tu es toujours si attentionné, c'est bon ! > fait elle.
D'un coup de reins, elle s'enfile presque toute la longueur de mon sexe aussi dur qu'un bout de bois. Elle bouge si vite.
Clémentine se masturbe. Rien ne l'excite davantage ce soir encore que de nous voir baiser. Et j'entends sa respiration.

Je soulève Estelle pour lui faire faire le tour du salon. Elle reste enfilée sur ma tige. Elle se secoue en poussant des cris.
Je la dépose sur le bureau pour faire la "machine à coudre". Je la baise à la hussarde. J'entends les cris de Clémentine.
Je la regarde, là-bas, vautrée dans son fauteuil à nous observer. Je soulève à nouveau Estelle. Petite tournée du salon.
Je passe devant Clémentine. Son visage est trempé de sueur. Elle se branle avec tant d'ardeur, tant de passion. Belle.
Je me couche sur Estelle dans le canapé. Elle me tient par le cou, les épaules, elle m'embrasse avec fougue. On baise.

Estelle qui se masturbe en même temps que je la pénètre. Ce n'est pas toujours très confortable et impossible debout.
Son orgasme est nucléaire. < Je t'aime Julien, je t'aime ! > s'écrie t-elle sans aucune retenue, s'accrochant à moi fort.
J'entends soudain le cri que pousse Clémentine. Son orgasme est tout aussi puissant. Elle en pisse. Et il y en a partout.
Elle est assise dans une marre de pisse. Le cuir du fauteuil n'absorbe pas. < Cette salope ! Regarde là ! > lance Estelle.
C'est toujours amusant de voir Clémentine filer aux toilettes, ruisselante de pisse, pour aller chercher la serpillère. Rire.

Serrés tous les deux, nous regardons Clémentine nettoyer le sol. Essorer la serpillère dans le seau. Nous commentons.
< Vous êtes salauds tous les deux, c'est pas drôle. Je n'arrive pas à contrôler ! > fait Clémentine. Nous la rejoignons.
Le rituel des pissous. Je lèche les filles après les derniers pipis. Elles me sucent après le mien. Il est déjà 22 h15. Dur.
Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. La séparation est difficile. Assise dans l'auto, vitre ouverte, je la fais pomper.
Je lui éjacule dans la bouche. Nous la regardons partir. Au lit, Clémentine me raconte la qualité de son orgasme. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent êtres emportées pour une visite guidée à travers un grand salon...

Julien - (Qui confie à Clémentine à quel point c'est bon de baiser avec Estelle avant de lui juter dans la bouche) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1028 -



Juliette emmène la galette

Hier matin, mercredi, c'est le concerto pour harpe de Mozart qui nous tire de nos profonds sommeils. Et avec douceur.
< Pas ça ! > s'écrie Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit. Dur.
Il est 5 h55. Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Habillés de nos tenues de sport, nous descendons.
Nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous remontons. L'entraînement.
Une heure de gym intense. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et nos abdos achèvent de nous réveiller.

La douche. Je descends le premier. Il fait moins froid. Je sors la petite auto de Clémentine. Elle est chaudement vêtue.
Il est 7 h45. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Et le jour qui se lève.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Je fais du feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et les pinceaux.
Assis devant mon chevalet, je peins dans un enthousiasme délirant. Et je pousse d'ailleurs les cris les plus surréalistes.
Il est aux environs de 10 h05 quand la stupide musique de mon smartphone le fait vibrer dans la poche de ma blouse.

Je m'en empare en pestant. La joie fait rapidement place à ma rogne. C'est Juliette. Le ton est enjoué, joyeux, super.
Juliette me confirme sa venue, ce soir, pour le repas. Elle insiste pour emmener le dessert. < Une galette surprise ! >
Impossible d'en savoir davantage. La jeune femme désire nous en faire la surprise. Nous en rions de bon cœur. Bien.
Nous bavardons en mode "haut-parleur" ce qui nous permet de travailler en même temps. Juliette étant dans l'écurie.
Une conversation joyeuse où se mêlent les anecdotes concernant les fêtes, le haras, la sexualité débridée, les projets.

Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins avec une érection magistrale en pensant à cette femme étonnante.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du riz complet, bio.
Je lave les feuilles d'une belle laitue. Pour maintenant et pour ce soir. J'étale la pâte feuilleté dans le grand plat rond.
Je fais cuire le brocolis auquel je rajoute du gruyère, du filet de colin finement émincé et rissolé. Une belle Béchamel.
Je mets la tarte au four. Je récupère un peu de garniture comme sauce avec mon riz. Je mange en écoutant la radio.

Les informations sont aujourd'hui déroutantes et quelque peu décousues. La vaisselle. Je range la cuisine. C'est parfait.
Je mets mon anorak. Je vais faire quelques pas dehors. Il y a du soleil. La fraîcheur est très supportable. Presque doux.
Je fais le tour de la propriété. Je rentre. Il est 13 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Ma seconde séance. Superbe.
Il est 16 h30 lorsque Clémentine rentre de cours. Elle jette son sac sur le canapé pour se précipiter vers moi. Contente.
J'anticipe toujours. Je pose la palette et les pinceaux sur la petite desserte à ma droite. Clémentine me fait des bisous.

Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. C'est bien.
Clémentine a encore du travail. La voilà installée devant l'ordinateur à mettre au propre ses notes du jour. Méticuleuse.
Il est 18 h30 lorsque le bruit sourd résonne à l'étage. < Bonsoir Christine ! > fait Clémentine pour saluer notre fantôme.
Ce soir, ce ne sont que des bruits de pas. De longues errances. Tout cesse au bout d'une dizaine de minutes. C'est fou.
Nous rangeons nos affaires. Nous regardons la danse des flammes dans la cheminée. Moment de détente appréciable.

Allongée, sa tête sur ma cuisse, Clémentine me raconte sa conversation avec Estelle à midi, au restaurant universitaire.
Je lui caresse la tête, le cou, les joues. Je lui raconte la conversation téléphonique avec Juliette qui arrive pour 19 h30.
Nous apprécions ce retour au calme. Il est 19 h. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Je réchauffe la tarte. Bon.
Il n'y a que l'assaisonnement de la salade à faire. Nous coupons l'ail, l'échalote, le persil et la ciboulette. Champignons.
Nous allons au salon afin d'y dresser la table. < Tu seras hyper salaud ce soir, hein, Juliette aime ça ! > fait Clémentine.

Je sors ma queue que je fais tournoyer en la tenant à sa base. Je dis : < Comme ça ? >. Clémentine éclate de rire. Joie.
< Exactement ! > lance t-elle en s'accroupissant pour en humer les effluves parfumées de ma journée d'homme. Pouah.
La table est mise. Seule la lueur des trois grosses bougies du chandelier éclaire cette partie de la grande pièce. Superbe.
Cette ambiance mystérieuse que nous apprécions et qui participe du bien être de nos invitées. Trois coups de sonnette.
Clémentine se précipite pour aller ouvrir. Je me sens un peu con avec la bite à l'air. Je bande mou. Je veux la remballer.

< Mais surtout pas ! > fait Juliette en entrant dans pièce et qui surprend mes hésitations. Elle s'avance toute souriante.
Nous nous serrons la main. La jeune femme est vêtue d'un ensemble tailleur noir. Jupe, chemisier, veste, bottes noires.
Ses longs cheveux noirs qui flottent sur ses épaules. Cette étrange ressemblance avec Michèle, la maman d'Estelle. Fou.
Clémentine propose de faire le service. Elle tient dans ses mains la boîte en carton contenant la galette de Juliette. Bon.
< Et si nous faisions tout à trois ? > propose Juliette qui retire sa veste pour la poser sur le canapé. Bonne suggestion.

La sonnerie du four tombe à propos. C'est parfait. Clémentine et Juliette découvrent le repas que j'ai concocté. La joie.
Juliette s'empare du saladier, je prends le plat à tarte. Clémentine nous précède. Nous sommes heureux de nous revoir.
< Cela fait quand même près de trois semaines ! > précise Juliette qui fixe soudain ma biroute avec un grand sérieux.
Je le saisis à sa base entre le pouce et l'index. Je le fais tournoyer. Nous rigolons comme des bossus en nous asseyant.
Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte ses réveillons. Le Noël avec sa maman, sa sœur, son beau-frère.

Le réveillon du 31 au haras avec toute la bande et quelques propriétaires de chevaux. L'ambiance et la bonne humeur.
Nous racontons notre séjour à Edimbourg. Juliette a en projet d'aller un jour en Ecosse. Et nous la lui recommandons.
Bien évidemment, nous n'évoquons ni nos frasques, ni les films que nous avons tourné. Juste nos petits plans exhibe.
Juliette, terriblement voyeuse, nous pose toujours quelques questions bien vicieuses concernant telle ou telle situation.
Clémentine se fait un plaisir d'entrer dans les détails. < C'est génial votre relation à trois, avec Estelle ! > fait Juliette.

Nous confirmons. Tout en mangeant, je me lève plusieurs fois pour agiter ma queue dans la direction de Juliette. Rires.
Juliette nous confie ses petites aventures durant les deux semaines des fêtes. Plein de cavaliers à cause des vacances.
Ce furent des journées intenses. Gérard est venu à quatre reprises pour lui offrir sa bite minuscule. La nuit du 31. Pipe.
< Ce vieux salaud ! Le jour où il ne viendra plus, ça va drôlement me manquer ! > rajoute Juliette, mimant la fellation.
Clémentine répond : < A moi aussi ! >. Nous en rions de bon cœur. Juliette et Clémentine échangent leurs impressions.

La bite de ce retraité vicelard reste pour celles qui la goutent, le nec plus ultra. C'est du moins ce qui en ressort. Rire.
J'aime les entendre comparer les moments où elles sucent ce vieux salopard de Gérard. Elles ne tarissent pas d'éloges.
A tel point que Juliette propose à Clémentine d'arranger un petit plan informel pour un de ces prochains samedis soirs.
Elle nous tiendra informés. Nous débarrassons la table. Juliette propose de faire la vaisselle ensemble avant le dessert.
Je plonge. Les filles essuient tout en évoquant quelques situations bien salaces que nous avons déjà vécu tous les trois.

On me saisit la bite par derrière. Je crois que c'est Clémentine. Hors j'entends sa voix depuis le buffet. Et c'est Juliette.
Mon sang ne fait qu'un tour. Mais quel tour. Les initiatives de la jeune femme sont extrêmement rares. C'est fabuleux.
Je bande d'un coup. Juliette serre mon sexe d'une poigne de fer. < Je sens battre votre cœur pour moi ! > fait Juliette.
Nous éclatons de rire. En effet, tenir un Zob dans la main permet de sentir les battements de cœur de son propriétaire.
Je rince l'évier. Juliette me tient ainsi depuis quelques minutes. Sans bouger. Juste ma queue dans sa main. Immobile.

Sur la table, il y a la galette de Juliette. Elle me lâche pour s'en emparer. < On va pour le dessert ? > nous lance t-elle.
Elle nous précède. Clémentine s'empare à son tour de ma queue dure comme du bois d'arbre. Elle me fait un clin d'œil.
< C'est une galette que j'ai fait pour nous, hier soir, après la pipe offerte à Mr Gérard ! > fait Juliette. Nous l'admirons.
C'est une galette des rois tout à fait traditionnelle. Une pâte feuilleté dorée et fort appétissante. Nous voilà bien assis.
Clémentine est priée de couper les parts. < Celui qui a la fève émet un souhait ! > fait Juliette avec un sourire coquin.

Nous dégustons une galette à la frangipane d'une exquise finesse. Nous félicitons Juliette pour ses talents de pâtissière.
< Je n'ai fait que suivre scrupuleusement la recette de ma mère ! > précise Juliette. C'est Clémentine qui trouve la fève.
Elle la sort de sa bouche après l'avoir consciencieusement sucé. Nous éclatons de rire. C'est un petit Zob en porcelaine.
< Commandé sur un site coquin qui propose les articles les plus insolites ! Charmant n'est-ce pas ? > demande Juliette.
Nous nous passons le petit objet qui est la reproduction parfaite d'un sexe masculin en semi érection et d'environ 4 cm.

Des couilles bien dodues, une bite courbée. Les proportions idéales. < Clémentine, votre souhait ? > demande Juliette.
Clémentine réfléchie un instant avant de répondre : < Vous voir tailler une vraie pipe à Julien ! >. Il y a un long silence.
Juliette ne l'a pas senti venir, celle-là. Elle est un peu prise à son propre jeu. Je ne dis rien. Je reste terriblement gêné.
< Là, maintenant ? > demande Juliette. < Non, pas forcément, mais décidons d'un soir bien précis ! > fait Clémentine.
Elle rajoute : < Une soirée pipe. Je veux regarder sans participer ! >. Juliette qui sait Clémentine aussi vicieuse qu'elle.

Clémentine demande : < Quel était votre souhait si vous aviez trouvé la fève ? >. Juliette répond : < C'est un secret ! >
Elle rajoute : < Je vous le révèlerai lors de la soirée pipe ! >. Clémentine me demande : < Et toi Julien ? >. Je réfléchi.
Je précise : < Moi aussi, je le révèle à la soirée pipe ! >. Nous en rigolons tous les trois comme des bossus. C'est génial.
Juliette récupère sa fève. Clémentine porte la couronne en papier dorée. < La reine des salopes ! > fait elle en rigolant.
< J'aurai tant aimé avoir ce titre ce soir ! > lance Juliette. Nous sommes pliés de rire. Je dis : < Moi, roi des salauds ! >

< Docteur Honoris Causa de la bite à l'air ! > rajoute Juliette. Nous rions comme des fous. Il est déjà 22 h. C'est l'heure.
Juliette se lève tôt. Nous aussi. C'est frustrant. Il faut songer à nous séparer. Je propose à Juliette un tour aux toilettes.
< Je vous la tiens alors ! > lance Juliette qui se lève. Clémentine nous précède. Je suis debout devant la cuvette. Super.
A ma gauche Juliette qui me tient le sexe des deux mains pour en diriger le jet. A ma droite Clémentine qui s'accroupit.
Je pisse de plusieurs jets puissants. Je bande comme un salaud. Juliette me la tord vers le bas. C'est limite douloureux.

Je dois pisser depuis trois bonnes heures. Parfois je parviens à le faire même en bandant dur comme fer. C'est le cas.
Juliette, bien vicelarde, dirige ma queue vers le visage de Clémentine entre les derniers jets. Clémentine se met à sucer.
Je passe mon bras autour des hanches de Juliette. Je la serre contre moi. Elle se laisse faire. Surprise. Elle m'embrasse.
Ce baiser, au goût exquis de frangipane, avec cette sublime bourgeoise de 43 ans, pendant que Clémentine suce est fou.
Je bande encore plus fort dans la bouche de ma compagne. Juliette m'embrasse avec tant de fougue. J'en ai le vertige.

Je sais que Juliette est une femme amoureuse. Elle lâche la bite pour me caresser le visage d'une douceur étonnante.
Cette jeune femme si secrète, si distante de toute sensualité, en apparence, se livre ce soir dans un élan de tendresse.
Elle fouille ma bouche de sa langue avide. C'est tellement intense, pour elle comme pour moi, que nous en bavons. Fou.
J'éjacule dans la bouche de Clémentine toute étonnée. Juliette, comme pour reprendre ses esprits, s'éloigne. Brusque.
Son naturel revient au galop. Et pour la directrice d'un haras, c'est le mot juste. Nous la raccompagnons à sa voiture.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment trouver la fève dans la galette des rois. Surtout des fèves de ce style...

Julien - (Qui écoute les félicitations de Clémentine, serrée contre lui, dans ce lit si douillet après le cunnilingus) -

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Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1029 -



L'anniversaire des 3 ans de vie commune

Hier matin, jeudi, c'est le Boléro de Ravel qui nous arrache, et avec une certaine violence, de nos profonds sommeils.
< Quel con ! > s'écrie Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
< Je déteste le Boléro de Ravel ! > rajoute t-elle avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Il est 6 h. Bien.
Vêtus de nos tenues de gym, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Préparer le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit. < Bon anniversaire ! > me fait Clémentine en s'asseyant sur mes genoux. Je l'écoute.

Les hommes ont souvent des problèmes de mémoire avec les dates d'anniversaire. Je ne fais pas exception à la règle.
Cela fait trois ans, le 9 janvier, que nous nous sommes installés ensemble. Clémentine est venue vivre avec moi. Joie.
Nous faisons "Tchin-Tchin" avec nos bols de café comme nous le ferions avec des verres de Champagne. Plein de bises.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.
Je propose de fêter cet anniversaire ce vendredi soir, au restaurant de l'étang. Je préviens Julie ce matin et je réserve.

< Oh oui. Je t'aime ! > répond Clémentine. La douche. Je descends le premier pour aller sortir sa petite auto. Superbe.
Il ne fait pas froid. Et c'est comme un matin de mars. Clémentine me rejoint toutefois chaudement vêtue quand même.
Il est 7 h45. Un dernier bisou. Je regarde disparaître la voiture en haut du chemin. Un dernier coucou. Je rentre. Super.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis assis devant le chevalet.
Il est 8 h15. Je prépare ma palette en chantant "Le grand chêne" de Georges Brassens. D'excellentes dispositions. Joie.

Je peins animé d'une sorte d'euphorie communicative offerte par Clémentine tellement contente pour notre restaurant.
Je pousse de véritables cris d'animaux en rut. Des animaux qui n'existent pas. C'est une séance absolument fabuleuse.
Il est aux environs de 10 h quand l'imbécile musique de mon smartphone le fait vibrer au fond de la poche de la blouse.
Je le saisis en maugréant. Surprise. C'est Juliette. Après les civilités d'usage, la jeune femme en arrive à la soirée, hier.
< C'était génial, vraiment. Je passe tant de bons moments avec vous deux ! > me fait elle à quelques reprises. Super.

Nous bavardons en mode "haut-parleur". Ce qui nous permet de travailler en même temps. Je lui confie la réciproque.
Clémentine et moi, nous apprécions beaucoup ses visites, sa présence et nos petites connivences. Comme un privilège.
Nous causons ainsi une bonne vingtaine de minutes. Juliette propose de réaliser notre "soirée pipe" samedi 18 janvier.
Je lui promets d'en parler à Clémentine. Nous nous saluons avant de raccrocher, tous les deux assez excités. C'est bon.
Je peins avec une érection tellement contrariée que je suis obligé de sortir la bite pour être à l'aise. Je bande bien dur.

Il est 11 h45. Je dépose la dernière pointe de Jaune de Cadmium sur la surface de la toile que j'achève comme prévu.
Je la dépose sur le second chevalet afin de la laisser sécher quelques jours. J'installe une nouvelle toile sur le chevalet.
La onzième toile destinée à ma saison d'été. Une seconde scène de genre à trois personnages. Le timing parfait. Bien.
Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je fais la pâte à pain.
Le rituel des pizzas qui font les délices de nos jeudis soirs. Je prépare la garniture. Tomates, ail, oignon, champignons.

Rien n'est plus rapide que la confection d'une belle pâte à pain avec de la farine complète. J'y rajoute du Parmesan fin.
Cela rend l'ensemble encore plus onctueux. Dans la garniture je rajoute du persil et de la ciboulette. Le tout à la poêle.
Je récupère un peu de garniture comme sauce avec mes coquillettes. Je fais rissoler un filet de cabillaud. C'est si rapide.
Il est 12 h45. J'envoie un message à Julie pour confirmer notre venue vendredi soir, réserver une table. Tout est réglé.
Je mange de bon appétit. Mon smartphone qui vibre avant de chanter. Je le saisis. Surprise, c'est Julie. Toute contente.

Julie ne s'attarde pas. Elle n'a que très peu de temps. Elle quitte le restaurant universitaire pour aller en documentation.
Notre meilleur table est réservée pour vendredi soir, 19 h30. C'est parfait. Je lui souhaite un bon après-midi. Raccroche.
La pâte à pain repose sous son linge dans le saladier. La garniture repose sous son couvercle dans la casserole. Parfait.
La vaisselle. Je range la cuisine. Je mets mon anorak pour aller faire quelques pas au dehors. Il fait étrangement doux.
C'est véritablement une journée de mars en plein début janvier. Je fais le tour de la propriété. Un ciel lumineux. Super.

Je rentre. Me voilà assis devant le chevalet. Le dessin préparatoire, la couche d'impression déjà réalisés. Gain de temps.
Je peins animé des mêmes émotions que ce matin. C'est tout simplement formidable. 16 h30. Et Clémentine qui revient.
J'anticipe. Je pose ma palette et mes pinceaux sur la petite desserte. Elle se précipite pour me couvrir le visage de bises.
Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée, les profs, les cours, le menu du restaurant universitaire. Bon.
Je lui raconte l'appel de Juliette et sa proposition du samedi 18 janvier. Notre soirée pipe. Puis je raconte l'appel à Julie.

< Tu vas enfin te faire tailler une vraie pipe par cette authentique salope ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Même si cela est déjà arrivé quelquefois dans des circonstances bien précises, il n'y a jamais eu de soirée "consacrée".
< Je vais m'offrir du spectacle ! > rajoute encore Clémentine. Elle a encore du travail. La voilà installée devant son ordi.
Nous travaillons ainsi jusqu'à 18 h15. Estelle qui arrive à son tour. Elle se précipite pour me couvrir le visages de bises.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte sa soirée baise avec son parrain, hier, à la cave.

Nous en rions de bon cœur . < Il m'a tiré comme un salaud. On a faillit se faire surprendre par marraine ! > dit Estelle.
Comme souvent, elle a été obligée de filer par la porte arrière de la cave, par l'escalier du charbon comme elle l'appelle.
Il est 18 h30. Un bruit d'une puissance inouï résonne à l'étage. < Bonsoir Christine ! > font les filles et en même temps.
Le fantôme de mon ancienne compagne vient se manifester une nouvelle fois. Cela dure une bonne dizaine de minutes.
Nous écoutons sans rien dire en rangeant nos affaires. Nous voilà installés sur le tapis devant la cheminée. C'est super.

Les filles sont allongées, leurs têtes posées sur mes cuisses. Je leurs caresse les cheveux. C'est un moment de sérénité.
Nous restons ainsi jusqu'à 19 h. La faim est si cruelle. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Serrés tous les trois.
Nous découvrons la surprise. C'est la galette des rois posée au milieu de la table. < C'est de ma maman ! > dit Estelle.
Nous sommes touchés par tant d'attention. C'est une galette à la compote de pommes faite et offerte par Michèle. Joie.
Estelle travaille la pâte pour la rendre plus onctueuse encore. Clémentine prépare la salade d'endives. Assaisonnement.

Je réchauffe la garniture. Je râpe du gruyère de Comté. < La bite ! > fait Estelle en agitant ses doigts plein de farine.
Je présente mon sexe, mes couilles. Estelle m'enduit consciencieusement les organes génitaux. Une copieuse couche.
Elle me fait plein de bises, disant : < Tu te laisses toujours faire, je t'aime ! >. Clémentine fait : < C'est mon mec ! >
Nous en rions de bon cœur. Les pizzas sont au four. La table est mise. Les filles m'entraînent au salon. Un autre rituel.
A genoux sur les coussins, au milieu de la grande pièce, les filles mâtent la farine qui craquelle sur la bite, les couilles.

Elles me demandent mes impressions. Je leurs explique qu'en séchant, tout comme de l'argile, la farine tire et picote.
Estelle, d'un mouvement de tête, se penche pour me lécher les couilles. < Dimanche matin, je te les épile ! > dit elle.
Clémentine, d'un mouvement de tête semblable, se met à téter l'extrémité enfarinée de mon prépuce collé à la pâte.
Je leurs caresse les cheveux. J'aime les entendre rire, gémir et s'amuser de ce qu'elles sont entrain de faire. Coquines.
Je me fais rapidement tailler une pipe des familles. A tour de rôle, elle se refilent ma queue. Je bande. Un vrai salaud.

< Celui qui a la fève, ce soir, passe un sale quart d'heure ! > lance Estelle, la bouche pleine de foutre épais et visqueux.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant et en rigolant.
Nous traînons à table. La vaisselle. Clémentine propose de prendre la galette au salon. Nous y emmenons les assiettes.
Vautrés dans le canapé, Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite, nous savourons la galette. C'est un délice. Miam.
Je dis : < Tu remercies ta maman. Elle fait super bien la pâtisserie ! >. Estelle me tord la bite et dit : < Ce sera fait ! >

< C'est moi ! > s'écrie Clémentine. Une fois encore, c'est elle qui tombe sur la fève. Sans se faire le moindre mal. Rire.
Estelle se lève, saisis la couronne de papier doré pour la poser sur la tête de Clémentine. Nous applaudissons. Superbe.
< Et mon sale quart d'heure ! > demande Clémentine, ingénue et innocente. Je la saisis par sa natte. Je la fais se lever.
Je dis à Estelle : < Ramène nous les menottes, les cordelettes ! >. Estelle se précipite derrière le bureau. Tiroir du bas.
Je place une chaise au milieu de la pièce. Je dis : < Enlevez vos vêtements, ma chère reine ! >. Clémentine se désape.

Clémentine, qui n'a plus que sa chemise à carreaux, ses chaussettes, est assise sur la chaise, dossier entre les cuisses.
Estelle lui fixe les chevilles aux pieds de la chaise. Je fixe les menottes aux poignets de Clémentine, entre les barreaux.
Je m'assure qu'elle est bien installée. Qu'elle ne puisse pas bouger. Estelle dit : < Votre sale quart d'heure ma reine ! >
Je m'approche. Debout devant Clémentine, Estelle serrée derrière moi, je lui passe la bite sur le visage. Elle en gémit.
< Enfin ! > murmure t-elle. Estelle se saisis de ma queue qu'elle frotte sur la gueule de Clémentine. Je sens le souffle.

Estelle est aussi excitée que Clémentine. Que moi. J'entends sa respiration près de mon oreille. Je bande mou. Sympa.
Ça doit bien faire trois heures que je n'ai pas pissé. Je me recule d'un bon mètre. Estelle qui comprend immédiatement.
Je vise. Clémentine nous observe tous les deux. < Tu es belle avec ta couronne, ma reine ! > dit elle en s'approchant.
Debout derrière Clémentine, elle lui maintient la tête des deux mains. Clémentine comprend également. Je pisse. Fort.
Le jet vient s'écraser sur le visage de Clémentine. Estelle la tient fermement. Clémentine, trempée de pisse, suffoque.

Je me rapproche. Je lui mets une gifle. Ce ne sont jamais des actes de violence. Cela fait partie du rôle demandé. Bien.
Estelle ne lâche pas la prise. J'observe les expressions de son visage. Nous la savons hyper vicieuse. Ce soir ça se voit.
Je me penche pour cracher à la gueule de Clémentine. Je me redresse en lui disant : < Ouvrez la bouche ma reine ! >
< Ouvre ! > rajoute Estelle en se penchant pour bien vérifier. Je pisse dans la bouche de la fille que j'aime. Merveilleux.
Je dis : < Bon anniversaire ma reine. Ça fait trois ans que nous sommes ensemble. Et je vous aime comme un fou ! >

< C'est beau ! C'est une merveilleuse déclaration d'amour. Et moi ? > lance Estelle qui lâche Clémentine pour se serrer.
J'enfonce la bite dans la bouche de Clémentine qui suce comme si sa vie en dépendait. Estelle m'embrasse avec fougue.
Les gémissements de Clémentine sont tellement intenses, témoignent d'un tel bonheur que j'ai envie de la mâter. Belle.
Estelle et moi nous l'observons. Clémentine, les joues creusées par l'effort, suce. Les yeux fermés. Ruisselante de pisse.
C'est tellement délicieux. C'est tellement beau. Je n'arrête plus de prononcer les mêmes mots : < Je t'aime. Je t'aime ! >

Estelle reste immobile. Elle contemple ce spectacle. Silencieuse. Ses bras autour de mon cou. Elle dit les mêmes mots.
J'éjacule dans la bouche de Clémentine qui pousse un cri de ravissement. Elle se frotte sur la chaise depuis un moment.
Je me penche pour glisser ma main entre ses cuisses. Il y a carrément une flaque sur la chaise. Cyprine gluante. Crème.
< Détachez moi, mon "Maître", s'il vous plaît, je vais avoir des crampes ! > me supplie Clémentine, avalant mon foutre.
Estelle se dépêche de lui détacher les pieds. Je détache les menottes. Et il y a de la pisse partout parterre. C'est dégueu.

Clémentine s'étire. < Je me fais vieille ! > dit elle. Nous éclatons de rire. Je l'entraîne aux toilettes pour qu'elle se sèche.
Je l'essuie avec une des serviettes pliées sur l'étagère. Estelle me tient la queue, profitant de la situation. Bien vicelarde.
Il faudra utiliser le sèche cheveux tout à l'heure. Estelle, accroupie, n'arrête plus de pomper. Je m'occupe de Clémentine.
Il est 22 h. Il faut cesser. Je force Estelle à se redresser. Elle me dit : < Tu me fais pareil un de ces soirs ? S'il te plaît ! >
Je promets. Je passe la serpillère au salon. Clémentine se masturbe. Estelle me touche par derrière. Il va être l'heure...

Bonne soirée à toutes les coquines qui rêvent d'être la reine d'un soir pour être traitées comme des princesses...

Julien - ( Qui offre à Clémentine un orgasme fou avec un cunnilingus délirant. Dans la douceur des draps parfumés) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1030 -



Fêter l'anniversaire au restaurant, chez Julie

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par plein de bisous qu'on me dépose délicatement sur les joues, le bout du nez.
Clémentine déteste être seule. Une fois sortie du sommeil, je dois la rejoindre. J'ouvre les yeux. C'est un peu difficile.
Le visage bienveillant de Clémentine au dessus du mien. J'éteins notre réveil avant que ne résonne la musique. 5 h55.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym nous descendons à la cuisine.
Pour Clémentine, le week-end commence le vendredi à midi. Ce qui la rend euphorique et facétieuse. J'adore. Génial.

Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous mangeons de bon appétit. Nous remontons pour la gymnastique.
Une heure d'une intensité maximale. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. C'est un vrai bonheur.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint bien chaudement vêtue.
Il ne fait pas vraiment froid. Un dernier bisou. Clémentine me palpe la braguette avant de monter dans la voiture. Joie.
Un dernier coucou. Je la regarde s'en aller. Je me dépêche de rentrer pour aller faire notre lit et la vaisselle. C'est bien.

Je vais dans l'atelier. J'allume un beau feu dans la cheminée. Assis devant mon chevalet, je prépare ma palette. 8 h15.
Je peins dans cette folle euphorie communiquée par Clémentine à qui je pense presque toute la matinée. Je l'aime tant.
Je pense à ce que nous avons encore vécu hier soir, Clémentine Estelle et moi. Je suis couvert de frissons si excitants.
La peinture de cette onzième toile destinée à ma saison d'été m'accapare totalement. Mes plaisirs sont doubles, triples.
Je pousse des cris surréalistes. Je module longuement. Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée.

Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du pilpil . Je lave du choux fleur que je fais bouillir. Je pane les deux filets de colin.
Je les fais revenir à la poêle. Il est 12 h20. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. < Week-end ! > fait elle.
Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Je la fais tournoyer. < Je suis si contente ! > rajoute t-elle. Bonheur.
Clémentine s'occupe de la salade de carottes et de l'assaisonnement en me racontant sa matinée. Et le repas est prêt.
Nous mangeons de bon appétit en faisant un très vague programme du reste de la journée. Ce soir, le restaurant. Joie.

Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns.
Clémentine propose une bonne promenade. Profiter de ce soleil et de cette étonnante douceur pour un début janvier.
Nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks. < Garde ta bite à disposition ! > me fait elle en me la sortant.
Nous sortons. Nous descendons jusqu'à la rivière. Pas un souffle de vent. Les eaux sont à leur maximum, bien claires.
Souvent, Clémentine se serre contre moi, prend ma bite avec force tout en m'embrassant. Je lui raconte ma matinée.

Je pense à elle tout le temps. Je dis : < Je t'aime comme un fou mais je suis aussi tout le temps amoureux de toi ! >
Quand l'émotion étreint Clémentine, ses yeux sont humides et brillants. Et elle est si belle. Trois ans de vie commune.
Nous fêterons cet anniversaire ce soir. Nous nous réjouissons. Nous sautillons comme des gamins facétieux, espiègles.
Nous arrivons en vue des bâtiments du haras. Par association d'idée, nous évoquons Juliette. Nous rions de bon cœur.
Je dis : < Pour l'anniversaire de nos trois ans de vie commune, je t'offrirai volontiers la bite à Gérard en friandise ! >

Nous en rigolons comme des bossus. Nous traversons la petite route déserte. Le pont de pierres. Là, longer le ruisseau.
Nous sommes à trois cent mètres des écuries. Il y a la caravane de Gérard. L'endroit est totalement désert. C'est triste.
Derrière les ruines du cabanon, Clémentine s'accroupit une nouvelle fois. Elle m'attire à elle par les hanches. Elle hume.
Je décalotte légèrement le bout de mon sexe. < Mmhh ! > fait Clémentine en collant presque son nez sur mon prépuce.
Je la regarde téter en lui murmurant mes impressions quand à la soirée de hier. < Il était temps, "Maître" ! > fait elle.

Je me fais tailler une pipe des familles. Nous sommes sous les rayons d'un soleil qui offre bien de la douceur. C'est bon.
Je la force à se redresser. Je m'accroupis à mon tour pour lui masser les jambes et ses genoux. Elle me caresse la tête.
Je me redresse. Elle ouvre sa bouche pour me montrer ce qu'elle y garde pour le savourer le plus longtemps possible.
Du foutre gluant et épais qui fait des bulles, s'étire en filaments visqueux. C'est très excitant. Je le lui dis à chaque fois.
Nous prenons le même chemin pour rentrer. Il est presque 16 h quand nous revenons à la maison. La fraîcheur humide.

Clémentine a encore un peu de travail. De l'ordre à mettre dans ses notes. Nous voilà dans l'atelier. Et un autre plaisir.
Il est 18 h lorsque nous rangeons nos affaires. Ces deux petites heures nous ont permis de bien avancer. C'est parfait.
La nuit est tombée. Nous sommes sur l'épais tapis devant la cheminée à admirer la danse des dernières flammes. Bien.
Clémentine est allongée, sa tête sur ma cuisse. Je l'écoute me parler de l'Ecosse. Je lui caresse les cheveux. C'est doux.
Soudain, à l'étage, un bruit sec, violent. Le fantôme de mon ancienne compagne vient nous visiter une fois encore. Dur.

Cela ne dure pas plus d'une dizaine de minutes dans un vacarme infernal. < Elle fait fort ce soir ! > lance Clémentine.
Nous restons ainsi jusqu'à 19 h. Nous quittons l'atelier pour monter nous changer. Clémentine choisit ma tenue. Joie.
Sur sa demande je porte mon pantalon à plis et à pinces. Noir. Une chemise blanche sous mon pull au col en "V". Noir.
Mes souliers de ville. Clémentine porte une de ses jupes kilt, un chemisier crème sous un pull bleu nuit. Souliers ville.
Elle m'entraîne devant le miroir : < Regarde comme on est beaux tous les deux ! > me fait elle en me sortant le sexe.

Accroupie à ma droite, sa tête contre ma jambe, ses cuisses largement écartées, elle me fixe. < "Maître " ! > fait elle.
Même si tout cela n'est qu'un jeu, que je suis un "Maître" pour rire, je dis : < Ma "Soumise" ! > caressant ses cheveux.
Ses bas noirs, retenus par son porte-jarretelle, offre une vue splendide sur son sexe velu. Et cette touffe si étonnante.
Je lui frotte la bite sur le visage. Je la laisse pomper un peu avant de l'aider à se relever. Nous dévalons les escaliers.
Dans la voiture, je roule doucement. Clémentine qui n'arrête pas de sucer sur les 13 km qui nous séparent du restau.

Parfois, quand elle se redresse pour reprendre son souffle, éviter les courbatures, je passe ma main entre ses cuisses.
Je gare la bagnole sur le parking. Il y a peu de véhicules. Nous flânons un peu autour du petit étang en nous touchant.
Il commence à faire faim. Nous entrons dans l'établissement. Julie, toute contente et souriante qui vient nous accueillir.
Elle nous invite à la suivre. Nous allons saluer Anne-Marie, sa tante et propriétaire, derrière son comptoir. Nos vœux.
Il y a très peu de clients. Comme Julie l'a précisé. Peu de monde en janvier. Nous voilà installés à notre table préférée.

Julie a donc le temps de bavarder un peu. Nous passons commande de nos plateaux de fruits de mer. Morts de faim.
C'est au tour d'Anne-Marie de venir bavarder avec nous. Cette belle bourgeoise de 40 ans nous raconte les réveillons.
Le soir de Noël et le soir du 31. < L'an prochain, je ferme ! Ce sera Noël en famille. Le 31 chez des amis ! > fait elle.
Anne-Marie en arrive rapidement à notre projet du mardi 21 janvier. Soirée où Clémentine va jouer à la serveuse ici.
< Je vous donne quelques recommandations simples et élémentaires. Soyez la plus discrète possible ! > rajoute t-elle.

Clémentine la rassure. Anne-Marie ne s'imagine pas un seul instant à quel point Clémentine est une véritable virtuose.
Je précise : < Ma compagne est l'exhibe personnifiée ! >. Nous éclatons d'un rire discret mais sincère. Julie qui revient.
Elle ramène nos plats. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Il y a un des mecs des deux couples qui mâte.
Clémentine me fait savoir que l'homme fixe son entrejambes sous la table. Avec insistance tout en parlant. C'est super.
Je pose le smartphone penché contre la serviette. Sur l'écran noir, comme sur un rétroviseur, je peux observer le mec.

Ils sont deux couples. La trentaine. Plutôt élégants. En effet, un des deux types mâte avec insistance sous notre table.
Clémentine me chuchote ce qu'elle fait. Croisant et décroisant ses jambes avec excès. Impossible de pas voir la chatte.
Je murmure : < Fais lui le teste des chiottes ! >. Clémentine se lève et se dirige vers l'escalier qui descend au sous sol.
Il ne se passe même pas une minute. Le type se lève pour prendre la même direction. J'allume mon téléphone. Je vois.
Clémentine a allumé le sien sur mode caméra. Je peux donc suivre les évènements en temps réel. Intervenir au besoin.

Anne-Marie, depuis le comptoir, me fait un curieux sourire. Un clin d'œil. Julie me rejoint. Je lui montre le smartphone.
On y voit Clémentine, dans les toilettes homme, entrain de bavarder avec un mec qui lui montre une bite bien grosse.
< Put-Hein, le truc ! > chuchote Julie qui se penche pour mieux regarder. Anne-Marie qui a compris vient mâter aussi.
Même si Clémentine a affaire une fois encore à un véritable satyre, ce dernier reste d'une courtoisie exemplaire. Bien.
Rien d'inquiétant dans son attitude. On peut même voir Clémentine rire. Le mec agite sa queue dans sa direction. Joie.

C'est très excitant d'êtres penchés tous les trois sur l'écran de mon téléphone à regarder cette situation bien vicelarde.
Je peux même entendre le souffle des deux respirations tout près de mes oreilles. Là, Anne-Marie découvre Clémentine.
Elle comprend à qui elle a affaire. < J'étais la même coquine à son âge ! > fait elle. < Et toujours encore ! > lui dit Julie.
Clémentine quitte les toilettes. Trente secondes et elle vient me rejoindre. Je la félicite pour sa "démonstration" d'exibe.
Je lui raconte qu'avec Julie et Anne-Marie, nous avons observé ce qui se déroulait là, aux chiottes sous nos yeux ébahis.

Je descends à mon tour. Je fais un clin d'œil à Anne-Marie avant de prendre l'escalier. Je suis seul dans les WC homme.
Je suis debout devant un des deux urinoirs. Il y a du foutre. Le mec s'est branlé et n'a même pas rincé. Vrai saligaud.
Un pas rapide dans l'escalier. C'est Julie. Elle reste dans l'encadrement de la porte. Moi aussi je filme pour Clémentine.
Je me tourne pour agiter mon sexe en direction de Julie. Elle s'avance. Elle me connaît bien à présent. Elle saisit le Zob.
Elle me le tord en disant : < Je viens lundi soir. J'adore les lundis soirs. J'aime les mecs vicieux ! > dit elle en branlant.

Elle remonte précipitamment. Elle est au boulot. Je me branle et en faisant un coucou en direction de mon smartphone.
Un nouveau bruit de pas. Je me tourne pour masquer mon activité. La porte s'ouvre. Dans le reflet du carrelage, je vois.
Je me retourne mon montrer ma bite dure comme un chêne à Anne-Marie. Elle reste souriante et silencieuse. Immobile.
< Je vous ai regardé sur le téléphone de Clémentine ! Vous faites dans le genre que j'aime ! > murmure t-elle. Superbe.
Je sais que Clémentine observe la scène. Je sais qu'elle adore quand je me comporte en vicelard avec une autre. Génial.

Anne-Marie non plus ne s'attarde pas. Même s'il y a peu de clients, il y a le personnel des cuisines, les additions. Gaffe.
Je remonte rejoindre Clémentine. Les deux couples sont partis. Il ne reste plus que deux autres tables. L'addition. 22 h.
Julie nous raccompagne. Je lui montre ma bite dans l'obscurité. Cette fois elle s'en saisit. < A lundi soir ! > nous dit elle.
Dans la voiture, en nous touchant, nous revenons sur nos frasques. Pour un anniversaire, c'est réussi ! > dit Clémentine.
Au lit, nous faisons l'amour comme des fous. Je termine Clémentine par un cunnilingus de cinglé. Un orgasme délirant...

Bonne soirée d'anniversaire dans les toilettes homme du restaurant à toutes les coquines exhibitionnistes et voyeuses...

Julien - (Qui aime entendre Clémentine lui donner ses impressions après la baise et juste avant de s'endormir) -

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Soirée cinéma façon Estelle, Clémentine et Julien

Hier matin, samedi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est 8 h. Quelques papouilles. Plein de bisous.
Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Bon.
Nous préparons un bon petit déjeuner que nous savourons en faisant le programme de la journée. Dehors il fait frais.
Le thermomètre extérieur indique 4°. Par contre le jour se lève sur un ciel lumineux. Clémentine propose un jogging.
Depuis le temps que nous avons envie de courir sur les chemins. Nous mangeons de bon appétit. Sans traîner. Bien.

La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways pour sortir. Quelques mouvements d'échauffement et nous nous voilà à courir.
Le sol est sec. Il n'y a pas de vent. La fraîcheur est très supportable. C'est un superbe moment d'exercice, de détente.
Une heure d'un running des plus agréables et nous sommes de retour pour prendre notre douche. Nous nous vêtons.
Jeans, chemises à carreaux sous nos sweats. Nous redescendons avec la glacière que je branche sur l'allume cigare.
Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. 3 km et nous arrivons au bourg. Jour de marché.

Il y a du monde. Nous faisons provisions de fruits et de légumes. Nous faisons grande consommation d'oranges. Bien.
Nous faisons provisions de fromages, de beurre, d'œufs, de yaourts, de crème fraîche chez notre artisan habituel. Bon.
De retour à la bagnole, nous rangeons les produits frais dans la glacière. Puis direction la zone commerciale à 15 km.
Tout en jouant avec ma queue, qu'elle suçote un peu, Clémentine fait le bilan de cette semaine passé. De nos soirées.
Je me gare sur le parking. Je pousse le caddie. Clémentine qui tient la liste des courses, nous entraîne dans les rayons.

Il faut louvoyer entre les chariots. Il serait vain de tenter un plan exhibe avec tout ce monde. Et c'est un peu frustrant.
Je propose à Clémentine de nous offrir une "expédition" exhibe mardi prochain, en après-midi puisqu'elle n'a pas cours.
< Je prépare tout ça ! > me fait elle en m'entraînant vers le rayon culturel. Il n'y a aucune réelle opportunité de jouer.
Il y a bien ce jeune gars, là-bas, qui feuillette des magazines. Je reste en retrait. Clémentine s'approche avec le caddie.
Je suis au rayon des bandes dessinées. Je mâte. Clémentine, à l'abri du chariot qui fait écran, tente un truc très sympa.

Tout en feuilletant une revue, elle se touche discrètement, à environ un mètre du jeune type qui s'en rend vite compte.
Lui par contre n'est pas très discret. Et il regarde à plusieurs reprises sa voisine de droite qui se tripote l'entre jambes.
Il ne tente rien mais il risque fort d'attraper un torticolis. Avec tout ce monde, c'est la chose faisable. Pas très glamour.
Clémentine cesse rapidement. A quoi bon. Elle me rejoint, nous partons pour le rayon des vêtements hommes. Inutile.
Là aussi il y a trop de clients. Il nous reste à terminer nos courses au rayon poissonnerie où nous faisons la queue. Dur.

Nous faisons provisions de colin, de cabillaud, de langoustines, de moules, pavés de saumon. D'excellentes salicornes.
Nous passons en caisse. Il y a le jeune mec des magazines à la caisse en face. Il nous observe discrètement. Des gens.
Là, très vite, d'un geste sûr, je pose ma main sur le bas de la braguette de Clémentine en fixant le jeune homme. Bien.
Clémentine, que je n'ai pas prévenu, a ce mouvement réflexe que j'adore chez les filles surprises. Elle comprend. Rires.
Nous déambulons dans la galerie commerciale. C'est les soldes. Ce qui explique une fois encore l'affluence et le succès.

Dans la boutique chaussures, Clémentine me suggère les belles bottines. Marron clair. Il y a du 45. C'est parfait. Super.
Il y a également du 42. Ce sont des bottines totalement mixtes. Nous les essayons. Là, il se présente un superbe plan.
Il y a un homme qui choisi sa paire de souliers. Clémentine va s'accroupir à proximité. Elle se touche d'une main agile.
Là aussi le mec en prend rapidement conscience. Cette belle et grande jeune fille brune qui regarde le rayon d'en bas.
Les filles vicieuses se repèrent par tous les vicieux. C'est la loi du genre. Quelquefois même par d'autres. Très sympa.

J'essaie les godasses. Je marche un peu. J'observe du coin de l'œil ce que fait Clémentine. Je vois le mec qui baratine.
Carrément. Il ne perd pas de temps le bougre. Il doit avoir la quarantaine, vêtu d'un pantalon noir, d'un anorak crème.
Il est de la taille de la jeune fille qu'il semble draguer comme un "mort de faim". Les pires. Ce que déteste Clémentine.
Je la vois s'éloigner. Mais je vois aussi notre emmerdeur patenté marcher derrière elle. Il attaque sévère l'enfoiré. Rire.
Pour mettre un terme à ce qui devient très pénible, Clémentine vient tout simplement me rejoindre. Et le mec se casse.

Ce comportement de primate a tendance à disparaître mais il subsiste quand même encore quelques vrais emmerdeurs.
Nous passons en caisse. Nous voilà avec deux paires de bottines neuves, 40 % moins chères. 170 €. Prix cadeau. Bien.
Nous retournons à la voiture. Nous voilà en route pour rentrer. Je roule doucement. Clémentine joue avec la bite molle.
Nous rigolons comme des bossus à la comparaison des deux "V.P", (Victimes Potentielles) rencontrées ce matin. Exhibe.
Il est un peu plus de midi lorsque nous arrivons à la maison. Il y a du soleil. La relative douceur de ses rayons. Super.

Nous rangeons les courses. Nous montons nous changer. Excités comme nous sommes mais aussi morts de faim. Joie.
Nous dévalons les escaliers. Clémentine s'occupe de la salade. Une belle laitue. Je prépare le bouillon pour les moules.
Dans le wok, je verse les haricots verts et les petits pois encore congelés. On ne va pas se faire chier le samedi à midi.
Tout est rapide. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Clémentine propose une bonne randonnée l'après-midi.
La suggestion me ravi. Nous ne traînons pas. La vaisselle et puis ranger la cuisine. Nous montons nous laver les dents.

Il suffit de chausser les godasses de marche, les légères, d'enfiler l'anorak et nous voilà en chemin. Avec la bite à l'air.
Nous descendons jusqu'à la rivière. Notre circuit habituel. C'est tellement beau et agréable. Il fait même presque doux.
Nous jouons nos rôles préférés. Alternant l'exhibitionnisme et le voyeurisme. Nous ne nous en lassons pas. Formidable.
Quoi de plus motivant pour entretenir une libido que les jeux érotiques. Surtout ceux qui nous correspondent tellement.
J'interprète tour à tour le satyre qui jaillit de derrière un tronc d'arbre, agitant sa queue, que le voyeur surpris. Super.

Notre randonnée est absolument sublime. C'est presque comme un après-midi de début de printemps au mois de mars.
Est-ce réellement le dérèglement climatique ? Mystère et bite à l'air. Nous faisons notre circuit de quatre heures. Génial.
Nos lampes frontales autour de la tête nous arrivons à la nuit. La lumière de la lune. Tout qui prend un aspect magique.
Il est 18 h quand nous arrivons. Estelle est déjà là. Sa voiture est garée à côté du garage. Il y a la lumière à la cuisine.
Dès que nous passons la porte, Estelle vient nous faire la bise dans le hall d'entrée. Elle se serre contre moi avec force.

Par jeu, Clémentine s'interpose en disant : < Je t'en prie, c'est mon mec à moi ! >. Nous en rions toujours de bon cœur.
Estelle nous entraîne à la cuisine. Elle a commencé à éplucher les légumes pour la potée. Patates, carottes, navet, céleri.
Nous aidons immédiatement. Estelle nous raconte sa journée au bureau de l'entreprise familiale, avec sa maman. Super.
Je pane trois filets de colin. Je les trempe d'abord dans l'œuf puis dans chapelure mélangée à du gruyère finement râpé.
Je les dore à la pôle. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Les feuilles de laitue déjà lavées à midi. Parfait.

Nous préparons de la potée en grande quantité. Pour demain, à midi, il n'y aura qu'à réchauffer. On va pas s'emmerder.
Estelle, de la poche de sa chemise, tire la petite boîte en plastique transparent qui contient ses cartes SD. Et elle l'agite.
< Devinez ce qu'on se mâte ce soir ! > lance t-elle. < Génial ! Tu as fais le montage. C'est super ! > s'écrie Clémentine.
< C'était simple j'ai juste supprimé quelques longueurs inutiles. Tu as bien filmé. une heure d'images ! > répond Estelle.
< Je vais tout préparer au salon ! Viens ! > fait Clémentine en m'entraînant hors de la cuisine. Estelle met la table. Bien.

Nous poussons la table sur roulettes sur laquelle est posé le téléviseur. Clémentine allume l'ordinateur. Le câble HDMI.
Elle fait un essai. Tout fonctionne parfaitement. Estelle qui vient nous rejoindre en mimant une masturbation masculine.
< On va s'éclater comme des bêtes, je vous jure. Quand j'ai vu la qualité de ce que nous avons réalisé ! > lance Estelle.
Elle tend la carte SD à Clémentine qui l'introduit dans l'ordi. Un test. Parfait. Nous nous précipitons à la cuisine. La faim.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle nous raconte le montage très rapide. Elle y a passé une heure.

Nos samedis soirs ont toujours une saveur particulière. Nous restons ensemble jusqu'à dimanche soir. C'est le bonheur.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Nous sommes émoustillés. Super.
Nous voilà vautrés dans le canapé. Clémentine à ma gauche qui tient la télécommande, Estelle à ma droite qui se serre.
Clémentine appuie sur "Start". L'image apparaît. Fondu. Le château d'Edimbourg. La rue commerçante de Morningside.
C'est génial. Immédiatement une émotion nous saisit. L'ambiance de nos vacances de cet hiver. La brume. C'est génial.

Le générique défile. Estelle nous a donné les pseudos habituels. Nous en rions de bon cœur. Et c'est très professionnel.
A l'écran, l'intérieur des toilettes en sous sol sur la petite place à Morningside. On reconnaît tout. Que d'émotion ! Joie.
On me voit descendre l'escalier. Une jeune fille se coiffe devant le miroir. Elle s'est trompée de toilettes. WC Homme !
Je suis debout devant un des urinoirs. La fille se retourne pour m'adresser la parole. Puis elle se rapproche pour mâter.
A l'image, nous jouons tous deux nos rôles à la perfection Ce n'est pas difficile, il nous suffit d'être naturels. On excelle.

Je me fais tailler une pipe. Clémentine a filmé tout cela consciencieusement. Je me souviens quand elle tournait autour.
Il y a une teinte sépia. Une ambiance glauque. Malgré tout, filmées en 4K, les images sont d'une extraordinaire netteté.
J'ai sorti ma queue. Estelle me la tient de sa main gauche tout ayant glissé l'autre dans son jeans déboutonné. Branle.
Clémentine aussi a commencé à se masturber. Ces images sont si intenses, si suggestives et si terriblement excitantes.
L'épisode suivant se passe dans les toilettes du parc de Roslin. Clémentine planquée dans un des cabinets. Un inconnu.

C'est cette fameuse fois où Estelle a eu affaire à un véritable inconnu qui se branlait tout en causant avec elle. Sublime.
Estelle a flouté le visage du mec. Il et important de respecter l'anonymat des individus. On ne sait jamais. C'est parfait.
Je me souviens, j'étais à l'extérieur et j'observais la scène derrière un soupirail aux vitres sales. Et c'était très excitant.
Clémentine fait un arrêt sur image. Nous sommes tous les trois haletants et entrain de nous masturber devant ce film.
Nous éclatons de rire. < C'est ce que nous avons fait de mieux dans l'improvisation ! > fait Estelle. Nous sommes OK !

La troisième partie se déroule à nouveau dans les toilettes de Morningside. Et j'y interprète le rôle d'un pisseur solitaire.
Estelle y interprète la fille qui s'est trompée de toilettes. Scénario habituel avec situations torrides, bien salaces. Super.
Puis c'est le port de pêche de Queensferry. L'inconnu qui rôde entre les caisses. Un exhibitionniste de première bourre.
Le vrai. Il se branle devant Estelle qui joue à la promeneuse. Là aussi Clémentine a fait du super boulot avec la caméra.
Une situation qui dure une bonne dizaine de minutes. Estelle a flouté la gueule du salopard. Son froc et slip descendus.

Nous nous souvenons bien. Nous découvrons l'incroyable talent d'Estelle pour pousser le branleur dans ses limites. Joie.
On la voit discuter avec le mec qui se branle de plus en plus frénétiquement. Clémentine a zoomé. On voit en gros plan.
Les expressions du visage d'Estelle qui prend un plaisir fou à se retrouver dans cette situation. Arrêt sur image. Ralenti.
Nous nous masturbons tous les trois devant ces images extraordinaires. Je félicite Estelle pour ses aptitudes d'actrice.
< Oh ! Je ne jouais pas davantage que dans les vraies situations que j'ai déjà vécu ! > répond t-elle. Elle nous raconte.

C'est un film que nous pourrons revoir quantité de fois. C'est tellement intense. Clémentine appuie sur "Start". C'est Ok.
La quatrième séquence est tout aussi fabuleuse. C'est à Leith, le port de plaisance. Le "camionneur" vicelard. C'est bien.
Cachés tous les trois sur un quai de chargement de camion, on mâte le gros moustachu sur son engin de levage. Génial.
Estelle qui joue à la jeune fille qui "rôde". Le mec qui se met à la draguer de manière salace. Tout revient en mémoire.
C'est immortalisé là, sur ces images. Le camionneur qui sort une énorme queue pour l'agiter devant la jeune fille. Super.

Ce qui nous fait rigoler comme des bossus c'est quand il s'approche d'Estelle, froc, slip descendus, démarche de canard.
Estelle qui démarre une course de vitesse. C'est un film magistral. Puis c'est la séquence aux WC du salon de thé. Bien.
Je joue au pisseur. Estelle joue la fille qui se trompe de toilettes. Urinoirs, pipe et tout ce qu'elle apprécie. Superbe plan.
La cinquième séquence est consacrée aux toilettes au fond du square de Neuhaven. Ce sont les bons endroits en hiver.
Une fois encore Estelle accroupie à côté de l'urinoir et près de ma bite. Cette jeune femme qui arrive soudain. Fameux.

Je ne m'en souvenais plus. Cette inconnue nous découvre ainsi. Sans la moindre surprise. Comme si c'était naturel. Fou.
Elle nous surprend ainsi, tous les trois. Clémentine qui filme, Estelle qui s'apprête à sucer. La femme nous salue. Polie.
Elle entre dans un des cabinets. Clémentine ne filme plus. Nous nous souvenons avoir quitté les lieux assez rapidement.
La sixième et dernière séquence est palpitante. Nous nous masturbons tous les trois comme des fous à regarder ce film.
C'est tellement insolite. C'est tellement vicelard. C'est phénoménal d'originalité. Nous voilà de retour à Morningside. WC.

C'est la fois où Estelle est descendue rejoindre cet inconnu qui rôdait sur la place, là, dans le brouillard. Le vrai pervers.
Il est remonté. Nous en avons profité pour descendre à notre tour, Clémentine et moi, planqués dans un des cabinets.
Le mec qui revient. Positionné devant un des urinoirs. Estelle qui joue à la rôdeuse. Elle se lave les mains aux lavabos.
Le type qui s'approche, bite à la main. Nous nous souvenons de cette situation assez périlleuse. Il y avait un vrai risque.
On me voit intervenir. Le type qui remballe sa queue avant de s'en aller précipitamment. Il a pissé partout. Sol trempé.

Le générique de fin. Nous restons tous les trois comme hébétés. Ce n'est pas seulement la masturbation, c'est l'émotion.
Nous savons dès à présent que nous filmerons toutes nos prochaines aventures de vacances dans la mesure du possible.
Nous sommes considérablement excités. Nous laissons tout pour monter à toute vitesse. Pressés de nous aimer en haut.
Au lit, entre Clémentine et Estelle qui se masturbent contre mes hanches, j'écoute leurs impressions. Elles aiment tant.
Je leurs offre un cunnilingus avant de les pénétrer à tour de rôle. Elles veulent sucer. Je veux les lécher. La fougue folle.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment visionner les films de leurs vacances. Revivre des instants magiques...

Julien - (Qui offre aux deux filles un de leurs plus merveilleux orgasmes dans un concerto de cris et de rugissements) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1032 -



Un dimanche de récupération

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par les mouvements masturbatoires que font les filles contre moi.
Elles ont passé leurs cuisses sous mes reins les autres sur mon ventre. Clémentine et Estelle se frottent ainsi très fort.
Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite. Elles en rient toutes les deux, heureuses de cette nouvelle facétie. Joie.
Sans même ouvrir les yeux, mes bras autour de leurs nuques, je les rapproche encore plus en disant : < Coquines ! >
Il est 8 h30. C'est ainsi que commence cette nouvelle journée. Elles me chuchotent des douceurs, me font des bisous.

Estelle se lève la première en s'écriant : < Pipi ! >. Elle se précipite aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant.
Son visage au dessus du mien, penchée en avant pour me dire des < Je t'aime ! > et me faire des bises en mitraille.
Estelle revient, s'habille, nous fait une bise à chacun et dévale les escaliers en disant : < Je prépare notre p'tit déj ! >
C'est à notre tour d'aller pisser. Nous nous habillons avant de descendre rejoindre Estelle à la cuisine. Plein de bisous.
Cette délicieuse odeur de pain grillé, de café et de brioche, Estelle qui sautille autour de la table. Un matin si heureux.

Dehors, il fait lumineux. Le thermomètre extérieur indique 6°. Le thermomètre intérieur indique 20°. Tout est parfait.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre soirée cinéma de hier. Ce nouveau film est un prodige de vice.
Tout ce que nous aimons y figure dans un montage d'une grande réussite. Nous avons passé une soirée extraordinaire.
Quoi de meilleur pour trois vicelards qu'un film vicelard. Surtout quand ce film a été réalisé par les 3 mêmes vicelards.
Nous en rions de bon cœur. < Et on peut se le revoir quelquefois, il recèle tant de petits détails salaces ! > fait Estelle.

Il est vrai que malgré le grand nombre d'arrêts sur images, nous sommes très loin d'avoir vu toutes les petites choses.
Le dimanche, pas de gym, pas d'entraînement et pas de jogging. Une partie de la matinée est consacrée au "ménage".
Estelle se propose à passer l'aspirateur partout et à faire la poussière au salon. Clémentine s'occupe de notre chambre.
Je lave, passe la serpillère. Nous faisons la vaisselle. Je commence par nettoyer la cuisine. Clémentine monte à l'étage.
J'entends Estelle chantonner depuis le salon. Je lave les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages. Bien.

Je m'apprête à monter quand Estelle me barre l'accès à l'escalier. Nue. Juste avec ses espadrilles. Elle mime la branle.
< Il faut vous acquitter de votre droit de passage, monsieur ! > me fait elle en s'accroupissant sur la seconde marche.
Ni une, ni deux, je la choppe par ses cheveux pour l'entraîner fermement dans le salon pour la pousser dans le canapé.
Elle écarte ses cuisses. Je me couche sur elle. J'introduis avec d'infinies précautions le bout de mon sexe dans la fille.
Je bande dur. Cette coquine est déjà bien humide. C'est la conversation du petit déjeuner et sa probable masturbation.

Elle se mordille la lèvre inférieure. Je n'insiste pas. Je me retire. Elle veut me retenir. Je la force à se redresser. La pipe.
Je la tiens fermement par les oreilles en me masturbant dans sa bouche. Je demande : < Ai-je accès à mon passage ? >
Estelle est à genoux. Elle gémit de plaisir. Mon initiative la ravi. Je la force à cesser. Je dis : < Habille toi, on monte ! >
Nous rejoignons Clémentine qui achève de faire le lit. Je ramasse le tas de draps sales pour l'emmener à la salle de bain.
Clémentine vient me rejoindre. Je lui raconte la pipe d'Estelle en bas au salon, juste cinq minutes. Nous éclatons de rire.

< J'en veux aussi ! > me fait elle en s'accroupissant à côté du bidet. Je lui offre ma biroute dont le bout dégouline déjà.
Je la tiens par les oreilles pour me masturber dans sa bouche. Je dis : < J'ai fait pareil à Estelle ! >. Clémentine pompe.
Je la force à se redresser. < Quand je commence, j'ai du mal à m'arrêter ! > me fait elle en ouvrant sa bouche. Foutre.
Je lave le bac à douche et le bidet. Clémentine fait les miroirs et le lavabo. Nous n'arrêtons pas de nous palper. Bisous.
Nous entendons Estelle chanter. Aspirateur. Clémentine descend avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes à l'étage.

Estelle vient me rejoindre. Silencieuse. Sur la pointe des pieds. Je suis à genoux devant la cuvette des Chiottes à frotter.
Elle s'accroupit derrière moi, calant son sexe contre mes reins pour me tenir la queue. Inutile de la ranger à chaque fois.
Elle me chuchote des douceurs, des cochonneries et me prévient : < C'est ta journée mon pauvre, la fête à ta queue ! >
Je tire la chasse. J'enlève mes gants en caoutchouc. Je me redresse en même temps qu'Estelle. Je me retourne. Baiser.
Nous nous embrassons comme des fous. Nous fouillons nos bouches au goût de brioche. De la salive dégouline. Fougue.

J'entraîne Estelle par la main. Nous dévalons les escaliers pour rejoindre Clémentine à la cave, à la buanderie. Sourire.
Nous aidons à trier le linge de couleurs. Estelle insiste pour préparer le repas. Elle nous laisse pour monter à la cuisine.
Je raconte à Clémentine l'habituel rituel des chiottes à l'étage. < Comme ça ? > dit Clémentine. Nous nous embrassons.
J'ai continuellement la queue à l'air. Je dois faire attention de ne pas tâcher les braguettes des filles serrées contre moi.
Je n'y parviens pas vraiment. Surtout qu'elles prennent tant de plaisir à se frotter sur cette queue dure et à disposition.

Nous vidons la première machine pour suspendre les draps. < J'entre dans une période à pipes ! > m'avoue Clémentine.
Je lui propose de commencer cette période par la bite à Gérard, peut-être celle du palefrenier Kim Son, nem vietnamien.
< Quand ? > demande Clémentine qui s'accroupit pour me tailler une pipe. Je dis : < Quand tu veux ! >. Elle me suce.
Je lui caresse la tête en parlant de Kim Son, de sa petite biroute très sympa qu'elle a déjà goûté par le trou dans le mur.
< Mmhh ! > me fait elle. J'évoque la petite bite molle de Mr Gérard qui reste sa préférée. < Mmhh ! > fait elle encore.

Je la force à se redresser en murmurant : < Et toutes les autres qui n'attendent que ta bouche gourmande et avide ! >
< Je t'aime mon amour ! > me chuchote t-elle en m'entraînant par la main. Nous montons rejoindre Estelle à la cuisine.
Il est midi tapante. Estelle est entrain de mettre la table. La sonnerie du four. Je remue la potée qui réchauffe. Parfait.
Un feuilleté de saumon accompagné de la potée aux légumes et d'une salade d'endives. Nous félicitons Estelle. Génial.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études, les cours et le programme universitaire de la semaine.

Nous traînons un peu à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents. Salle de bain.
Nous faisons évidemment nos pitreries habituelles. Les filles mimant une pipe avec les brosses à dents. De la mousse.
Je demande : < Vous sucez qui ? >. Estelle répond : < Un certain Julien ! >. Clémentine répond : < Oh un inconnu ! >
Nous nous rinçons la bouche, penchés tous les trois au dessus du lavabo en rigolant comme des bossus. Il est 13 h30.
Nous dévalons les escaliers. Clémentine a proposé une petite randonnée avec visite au haras sur le retour. C'est super.

Nous enfilons nos anoraks. Nous pouvons les laisser ouverts en marchant. Il fait presque doux. L'étrange début janvier.
Je suis prié de garder ma queue à l'air, à disposition des coquines qui me la tripotent tout le temps et tout en marchant.
Nous descendons jusqu'à la rivière. Quelques arrêts où je me fais sucer par l'une pendant que l'autre m'embrasse. Bon.
Je ne cesse de glisser mes mains dans les culottes. Le fond bien humide. C'est dimanche, nous macérons dans nos jus.
Nous arrivons au pont en pierres. Là-bas, de l'autre côté de la route, les bâtiments du haras. < On y va ? > dit Estelle.

Nous prenons la route. Il y a des voitures garées tout le long sur une centaine de mètres. Une animation du dimanche.
Juliette organise presque tous les dimanches une animation au haras. Basée sur un thème précis. Et c'est souvent plein.
Cet après-midi, c'est encore un succès. Nous traversons la cour pleine de bagnoles. Il y a des groupes de gens. Super.
Nous attirons quelques regards. Nos hautes tailles. Les deux jeunes filles qui tiennent par le bras un homme d'âge mûr.
Nous nous en amusons toujours beaucoup. Nous entrons dans le grand bâtiment qui abrite le manège à chevaux. Joie.

Les gradins sur la gauche sont plein à craquer. Il y a là au moins une centaine de personnes. Des écuyères, cavalières.
Ce sont principalement des jeunes femmes et des jeunes filles qui montent les chevaux qui galopent sur la petite piste.
< Gérard ! > nous fait Clémentine qui montre du doigt le palefrenier retraité qui bavarde avec Juliette et d'autres gens.
Nous montons l'escalier. Nous n'avons pas envie de rester. Nous aimons marcher dans la campagne. Et juste une visite.
Le temps de nous faire voir par Juliette qui est toujours ravie de nous savoir dans les environs lors des animations. Joie.

Nous nous faisons donc bien voir. Nous nous faisons des coucous de loin. Juliette est bien trop occupée. L'organisation.
Nous redescendons. Mr Gérard nous a vu. Lui aussi nous fait un grand signe de la main. Nous continuons notre balade.
Nous croisons quelques cavaliers. Il y a des promeneurs qui profitent de ce bel après-midi. Je dois planquer ma queue.
Nous faisons notre boucle des trois heures. Déjà 18 h30 quand nous sommes de retour. La lumière argentée de la lune.
Le froid est vif avec l'arrivée de la nuit. Nous voilà bien au chaud et morts de faim. Clémentine propose des spaghettis.

Nous préparons notre repas sans cesser de nous toucher entre les cuisses, de nous faire des bisous, de nous chuchoter.
Je confie aux filles mon impatience de goûter à leurs chattes. Le dimanche, pas de douche, excitation folle, sexes sales.
Je rajoute de la crème fraîche sur les crevettes dans la poêle. Clémentine remue la salade. Estelle égoutte les spaghettis.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de ce week-end finissant. Nous traînons à table. C'est si agréable.
Assises sur mes genoux, les filles évoquent le film de hier soir. Nous nous proposons de le revoir un de ces soirs. Super.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle me dit : < Attend qu'on t'appelle, reste bien là ! >. Elles filent au salon.
< Le dessert est prêt ! >. C'est la voix d'Estelle. Je vais au salon. Les deux coquines sont toutes nues dans le canapé.
Il y a même les deux coussins au sol. Elles sont toutes les deux vautrées, les cuisses largement écartées. Magnifiques.
Je n'ai plus qu'à me mettre à genoux. Elles se masturbent. Je commence par le sexe d'Estelle. L'odeur épouvantable.
Je dis : < J'ai l'impression d'être dans les chiottes du haras ! >. Nous rigolons comme des bossus. Je me bouffe du jus.

< Tout homme de 53 ans qui n'a pas goûté du jus d'une fille de 22 ans, a raté sa vie ! > me chuchote Estelle. Rigolade.
Je lèche la raie culière ou coule de la cyprine. Je nettoie consciencieusement sous un concert de gémissements lascifs.
Je passe d'une chatte à l'autre. Ce soir encore je peux comparer les subtiles différences de goût. C'est sublime. Régal.
Je suce le clitoris géant de Clémentine. Je suce le tout petit clito d'Estelle. Je savoure ces jus de filles avec délectation.
Elles ne cessent de se masturber. Clémentine, préventive, a préparé la cuvette bleue à côté du canapé. Papier Sopalin.

Estelle m'attire sur elle. Je m'introduis délicatement. D'un coup de reins, elle s'enfile presque toute la longueur du Zob.
Elle n'arrête pas de se branler en même temps. Tout comme Clémentine que je pénètre à son tour. C'est un super plan.
Je passe de l'une à l'autre, la bite ruisselante de leurs jus. Je cesse parfois pour les lécher. Il y a l'abondance de cyprine.
Le cri que pousse Estelle est étonnant. Les mains entre ses cuisses, comme si elle avait mal, elle se tourne sur le côté.
Clémentine se saisit rapidement de la bassine. Je la tiens. Elle se lâche dans un orgasme pisseux en hurlant de plaisir.

Ça gicle tout de même un peu et ça m'éclabousse le visage. Je me précipite pour sucer, lécher, récupérer le mélange.
Clémentine, gémissant en haletant, tente de me repousser sans réelle conviction. J'entends pisser à ma gauche. Rire.
Estelle, accroupie au dessus de la cuvette qui est entrain d'achever de la remplir. Je passe ma main entre ses cuisses.
Je glisse mes doigts sur sa vulve trempée. Je laisse Clémentine s'essuyer avec le sopalin pour lécher le sexe d'Estelle.
Je sus un fou de cunnilingus, un fou du léchage de minous, mais là, je ne sais plus où donner de la bouche. Merveille.

Nous reprenons nos esprits couchés sur l'épais tapis. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite. Elles me tripotent.
La tête sur mon ventre, Estelle commence à me sucer pendant que Clémentine m'embrasse. Puis c'est à son tour. Pipe.
Je ne sais même pas dans quelle bouche j'éjacule tellement je suis perdu dans les méandres d'un plaisir divin. La folie.
Les filles se serrent contre moi. Elles me chuchotent de folles douceurs. Il est 22 h. Il faut songer à ce qui nous attend.
Nous raccompagnons Estelle à son auto. La séparation est d'une cruauté qui nous mouille les yeux. Elle revient mardi.

Bonne semaine à toutes les coquines qui se réjouissent déjà pour les soirées à venir. Dont une soirée "cinéma"...

Julien - (Qui sent battre le cœur de Clémentine contre le sien, au fond du lit, pendant qu'elle lui confie ses ressentis) -

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Les rituels et la visite du lundi soir

Hier matin, lundi, c'est une valse de Chopin qui nous tire de nos profonds sommeils et avec une certaine délicatesse.
< Il est dingue ! > s'écrie Clémentine allongée sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers.
Morts de faim, nous préparons notre petit déjeuner. Le lundi, il reste de la brioche et nous mangeons de bon appétit.
Nous faisons un rapide bilan de notre week-end. De nos deux soirées de douces folies. Nous évoquons ce lundi soir.

Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles, les abdos. Intenses.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il y a du froid.
Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Il est 7 h45. Je me dépêche de rentrer me mettre au chaud.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette. 8 h15.
Je suis assis devant mon chevalet. La peinture de cette onzième toile destinée à ma saison d'été est un vrai bonheur.

Je peins dans une sorte d'euphorie qui me fait pousser les cris les plus surréalistes que je module longuement. Super.
Lorsque je me consacre ainsi, corps et âme à mes passions, c'est un véritable bouleversement des sens. Vertigineux.
Je suis entrain de pousser un de ces cris en faisant la danse du guerrier Sioux que résonne mon smartphone. Le con.
Il est aux environs de 10 h. Je décroche. Surprise. C'est Julie qui m'appelle depuis les toilettes de la faculté de Lettres.
Elle n'a que quelques instants entre deux cours. Julie me confirme sa venue ce soir, me confie à quel point c'est bien.

C'est toujours frustrant de ne pas pouvoir bavarder davantage. Nous nous saluons avant de raccrocher. C'est superbe.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je lave le choux fleurs. Une salade.
Je râpe du gruyère. Je concocte un mélange d'œuf et de crème fraîche. J'égoutte le choux fleur qui a cuit légèrement.
Je le dispose dans un plat en terre cuite. J'y verse le mélange. Je rajoute le gruyère. Du sésame grillé et la chapelure.
Je mets au four. Le riz complet a gonflé. Je fais revenir un filet de colin. J'ai gardé un peu de mélange que je rajoute.

Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les informations. Encore de belles conneries orientée, calibrées, ridicules.
C'est au dessus de mes forces. Je préfère éteindre. La vaisselle. Je range la cuisine. Je prépare la table au salon. Super.
J'enfile mon anorak pour aller faire quelques pas au dehors. Toujours cette étrange douceur toute relative. Et si bizarre.
Je fais le tour de la propriété. Je rentre. Me voilà dans l'atelier, confortablement installé devant mon chevalet. Bonheur.
Je peins animé de la même euphorie que ce matin. Mes cris sont encore plus délirants et véritablement extraordinaires.

Il est rapidement 16 h30. L'heure du retour de Clémentine qui se précipite vers moi en jetant son sac dans le canapé.
J'anticipe toujours. Je pose ma palette et mes pinceaux sur la petite desserte à ma droite. Clémentine est si contente.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. Sympa.
Ces 45 minutes qu'elle passe avec Estelle dans le grand réfectoire à manger en bavardant. J'écoute avec intérêt. Bien.
Clémentine a encore du travail. Mon euphorie est si communicative. Nous voilà rapidement à pousser les mêmes cris.

Parfois, l'un se lève pour venir faire des bisous à l'autre. Nous adorons ces séances de travail. Cette émulation si drôle.
Il est 18 h30 lorsqu'un bruit sourd au dessus de nos tête brise le silence. Le fantôme de mon ancienne compagne. Dur.
< Bonsoir Christine ! > faisons nous en même temps. C'est le signal. Nous rangeons nos affaires en écoutant les bruits.
Durant 10 minutes c'est un florilège de claquements de portes, de courses poursuites, de ces meubles que l'on déplace.
Tout s'arrête aussi subitement. Nous voilà installés sur l'épais tapis devant la cheminée. Le magnifique spectacle. Bien.

Clémentine allongée, sa tête sur ma cuisse, me confie s'être masturbée dans la voiture en rentrant. Mais je suis inquiet.
< Je te promets, je fais très attention. Je roule doucement. Je ne croise pas beaucoup de voitures ! > me fait elle. Rire.
Ce n'est pas toujours rassurant mais je sais pouvoir lui faire confiance. Je lance : < Fais attention, je tiens tant à toi ! >
< Promis ! > me répond t-elle en se tournant pour glisser son visage devant ma braguette béante. Elle y glisse sa main.
< Et tu sais que quand je me masturbe dans la voiture, c'est souvent en pensant à toi, à "elle" ! > rajoute Clémentine.

Je sors ma bite toute molle. Elle pend lamentablement. Clémentine la saisit entre le pouce et l'index pour me la renifler.
< Mmhh ! > murmure t-elle en se la passant sur le visage. Sur ses lèvres et avant de glisser sa langue sous le prépuce.
Je bande mou. Cette langue qui fouille entre la peau fripée et le gland n'est pas sans évoquer un petit animal. Amusant.
Clémentine me tète avec délicatesse. Je lui caresse la tête, les joues, la nuque, lui chuchotant quantité de < Je t'aime >
Il est presque 19 h. Je lui propose de remettre ça à plus tard, d'aller à la cuisine pour nous occuper du repas. C'est dur.

Nous quittons l'atelier. Clémentine s'occupe de la salade. L'assaisonnement de la laitue dont j'ai lavé les feuilles à midi.
Je réchauffe le gratin de choux-Fleurs que découvre Clémentine en s'écriant : < Miam, génial ! >. Je pane du cabillaud.
Trois beaux filets que je trempe d'abord dans l'œuf puis dans la chapelure avant de les faire revenir à la poêle. Oignon.
Clémentine est doublement ravie de découvrir que la table au salon est déjà mise. Elle allume les trois grosses bougies.
L'atmosphère de mystère. < Sois bien salaud ce soir. Pas seulement pour Julie, mais pour moi ! > me fait Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. Je lui glisse la main dans la culotte en lui chuchotant : < Toi aussi ce soir. Bien salope ! >
Nous nous embrassons comme des fous. Trois coups de sonnette. Je bande comme le dernier des salauds. Et bien dur.
C'est la première fois que j'accueille Julie avec une telle érection. Elle entre dans la pièce avec un sourire de bonheur.
Ce soir, Julie est vêtue d'un jeans, d'un sweat et de bottines. Ses long cheveux noirs qui flottent sur les épaules. Belle.
Elle porte ses lunettes. La jeune étudiante de vingt ans dans toute sa magnificence. Nous nous serrons la main. Bises.

Julie évite absolument de regarder le démonte pneu de camion qui dépasse de ma braguette et pointé vers le plafond.
J'aime cette fausse pudeur des jeunes filles joueuses. Et Julie y excelle avec habilité. Clémentine me fait un clin d'œil.
Julie a emmené un grand sac. < Je peux me changer quelque part ? > nous demande t-elle. Clémentine l'entraîne. WC.
Nos toilettes du bas sont spacieuses. C'est une petite pièce. Un lavabo, une petite armoire, une chaise et un étendoir.
Clémentine vient me rejoindre. Elle se saisit de ma queue. < Que nous prépare t-elle ? > fait elle en me masturbant.

La sonnerie du four. Nous allons à la cuisine. Je sors le gratin de choux-fleurs du four. Il y a un couvercle sur la poêle.
Clémentine remue la salade. Dans l'encadrement de la porte, Julie. Vêtue de sa tenue de serveuse. Vraiment superbe.
Nous la voyons ainsi les vendredis soirs au restaurant. Bas noirs. Souliers noirs à légers talons. Jupe noire et évasée.
Le chemisier blanc. Ce petit tablier de dentelles. Nous en restons bouches bées. Julie est tout simplement magnifique.
< Ce soir, je fais le service ! > fait elle avant de rajouter à l'attention de Clémentine : < Observez bien les détails ! >

Julie nous invite à la suivre. Tout comme elle le fait lorsque nous arrivons au restaurant. Sa silhouette fragile de dos.
Nous voilà assis à table. Julie tourne deux fois autour de la table. Nous l'observons en silence. C'est tellement insolite.
Cette extraordinaire surprise est fabuleuse. Je me branle sous la table. Julie vient près de moi et se penche pour voir.
Les mains posées sur ses genoux, penchée en avant, elle observe ma masturbation. Nous retenons notre souffle. Fou.
Julie m'a très rarement excité autant. Elle se redresse pour quitter la pièce en roulant de son super cul. Epoustouflant.

< C'est génial ! > me chuchote Clémentine qui a glissé une main dans sa braguette déboutonnée. Nous nous branlons.
Julie revient avec le gratin. Cette aisance professionnelle. Elle retourne chercher la poêle. Puis le saladier. C'est dingue.
Elle reste debout, les mains croisées sur sa jupe, à hauteur de son sexe. Elle nous observe, silencieuse. Quelle vicieuse.
Nous en sommes admiratifs. < Venez, asseyez vous ! > fait Clémentine. Julie s'installe à ma gauche. Elle est contente.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Julie évoque cette "soirée serveuse" en prévision, mardi 21 janvier.

Un autre des fantasmes que veut vivre et réaliser Clémentine. Jouer à la serveuse. Julie raconte quelques anecdotes.
Les vicieux qui viennent quelquefois manger là. Qui reviennent aussi. La serveuse est une si discrète petite vicelarde.
Je dis : < Tu participes au succès du restaurant de ta tante ! >. Nous en rigolons comme des bossus. C'est une réalité.
Quoi de plus agréable pour certains messieurs d'avoir la visite de la serveuse, au sous-sol, dans les toilettes homme !
Julie ne manque pas de prétextes. Entrant une fois avec un seau. Une autre fois avec un balai brosse, une serpillère.

C'est d'ailleurs comme ça que nous nous sommes connus, il y a plus de deux ans. Julie qui n'avait que 18 ans et demi.
La voilà assise avec nous, à 20 ans et demi, à pouvoir vivre la plus parfaite complicité avec un couple. Quoi de mieux.
Ce repas est délicieux. Julie propose à Clémentine de se vêtir de la même façon lundi prochain. L'ultime entraînement.
Ce sera ici, à la maison. Nous nous réjouissons pour ce nouveau projet. Nous écoutons Julie nous raconter des choses.
Lorsque nous réaliserons ce fantasme pour de bon, en situation, je serai en salle avec Estelle. Et des clients normaux.

Nous assisterons donc, aux premières loges, Estelle et moi, aux agissements de Clémentine et de Julie. Le grand show.
Je pose quelquefois ma fourchette pour me lever. Cela fait bien une heure que je bande comme un vrai salaud. Super.
J'agite ma queue dans la direction de Julie. Je la tiens à sa base, entre le pouce et l'index. Elle regarde en silence. Joie.
Clémentine à ma droite, Julie à ma gauche, leurs visages à une soixantaine de centimètres de cette belle bite. Super.
Dans la complicité qui nous unie, c'est un grand moment. Julie nous confie que c'est une thérapie dans son existence.

Elle doit concilier ses études en Lettres Modernes et son travail de serveuse en soirée. C'est parfois épuisant. Difficile.
Les lundis soirs en notre compagnie constituent des moments de sérénité, de calme, de plaisir, de sexualité débridée.
Julie insiste pour débarrasser. Tout comme elle le fait au restaurant. Nous la rejoignons à la cuisine pour la vaisselle.
Julie insiste pour essuyer. Je fais la plonge. Les filles virevoltent dans la cuisine en agitant les torchons. C'est superbe.
Clémentine, derrière moi, me saisit la queue qui pend à présent mollement. < Regarde ! > fait elle. Je tourne la tête.

Là, dans l'encadrement de la porte, Julie, accroupie, les cuisses largement écartées, fait mine de plier le torchon. Joie.
C'est la toute première fois que la jeune fille se livre aussi ouvertement à une instant d'exhibition. C'est magistral. Bien.
Elle lève soudain la tête pour nous dire : < Depuis quelques temps, j'imite Clémentine. Des messieurs aiment ! >. Rire.
Nous découvrons émerveillés que de voyeuse, Julie passe Exhibitionniste. Clémentine lui dit : < J'ai de supers plans ! >
Nous n'en disons pas plus. Il est bien trop tôt pour lui avouer nos penchants dissolus. Nos expéditions, nos prestations.

Julie se redresse. < Je dois me coucher tôt. Demain matin j'ai un oral ! > fait Julie qui retourne vers les WC se changer.
Clémentine, blottie contre moi, me chuchote ses impressions, ses ressentis. Ce qui s'est passé ce soir est annonciateur.
C'est certain. C'est une nouvelle étape dans cette étonnante amitié avec la jeune fille. Elle revient vêtue comme avant.
Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. J'ai la bite à la main. Julie nous remercie pour cette si merveilleuse soirée.
Nous aussi, nous restons sous le charme de ses initiatives. Nous viendrons peut-être vendredi prochain, au restaurant.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment jouer à la serveuse. A la soubrette ingénue, espiègle et vicieuse...

Julien - (Qui offre à Clémentine un cunnilingus délirant, une pénétration délicate, un léchage de chatte orgasmique) -

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Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1034 -



Mardi, Clémentine termine à midi

Hier matin, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonnent les premières notes de la Traviata. Ignoble.
< Ouf ! On l'a échappé belle ! > lance Clémentine qui me chevauche pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Je lui dis : < J'ai soudain comme un poids sur l'estomac. Elle me couvre le visage de bisous et m'entraîne aux chiottes.
C'est mardi. L'idée de terminer à midi rend souvent Clémentine euphorique et déconneuse. C'est communicatif. Rires.
Vêtus de nos tenues de gym, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Préparer le petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre soirée de hier. L'étonnante attitude de Julie. C'est passionnant.
Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles, nos abdos.
La douche. Je descends le premier. Il y a la fraîcheur matinale qu'il y a en mars. Nous sommes le 14 janvier. Bizarre.
Clémentine est vêtue de son jeans, d'un sweat noir sous son blouson de cuir noir, ses bottines et une simple écharpe.
Un dernier bisou. Elle me palpe la braguette en disant : < A tout de suite ! >. Je la regarde s'en aller. Dernier coucou.

Il est 7 h45 dans le jour naissant. Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. C'est bien.
J'allume un bon feu dans la cheminée. Il est 8 h15. Je prépare ma palette. Je suis assis devant mon chevalet. Parfait.
Je peins dans cette euphorie perpétuelle des mardis matins. La peinture de la onzième toile de ma saison d'été. Super.
C'est une scène de genre à trois personnages que je situe comme toujours dans le siècle d'or. Le XVII ème Hollandais.
Comme toujours les traits des visages féminins sont ceux de Clémentine et d'Estelle que je réalise d'après les photos.

C'est un pur plaisir de reproduire leurs visages avec un soin minutieux, armé de ma loupe frontale qui grossit deux fois.
Elles sont enchantées de servir de modèles. Je pense donc à mes deux amours durant ces instants d'extases picturales.
Il est aux environs de 10 h lorsque la stupide musique de mon smartphone m'arrache de mes introspections positives.
Joie. C'est Julie qui m'appelle depuis les toilettes de la faculté des Lettres entre deux cours. Juste deux petites minutes.
Encore enthousiasmée par notre soirée de hier, elle veut m'en témoigner ses ressentis et surtout nous remercier. Super.

Je la conforte dans l'idée que ce sentiment est amplement partagé par Clémentine et moi. La conversation de ce matin.
Nous en rions de bon cœur. Nous nous reverrons peut-être vendredi soir au restaurant. Sinon lundi prochain en soirée.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins en pensant à cette jeune étudiante si délicieusement délurée. Sublime.
Je bande comme un vrai salaud. Cette onzième toile sera probablement terminée mercredi soir. Je m'y applique. Parfait.
Comme toujours lorsque je m'abstrait ainsi dans ma peinture figurative, je ne vois pas passer le temps. Il est déjà midi.

Deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau de nos coquillettes. Je coupe les poireaux. Fin.
Je jette les morceaux dans l'eau bouillante. Je prépare une pâte à pain. J'égoutte les poireaux. Je fais la Béchamel. Bon.
Il est 12 h20. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Joie.
Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Et quelques amusantes anecdotes de sa vie d'étudiante.
Le rituel de la Flamiche Picarde. Cette tarte aux poireaux qui fait le délice de nos mardis soirs depuis presque trois ans.

Je récupère un peu de Béchamel contenant du poireau et du gruyère en accompagnement de nos coquillettes. Un régal.
Surtout avec les deux filets de lieu noir que j'ai fait rissoler avec de l'ail et de l'échalote dans la poêle. Dorés à souhait.
Nous mangeons de bon appétit. Je raconte la rapide conversation téléphonique avec Julie qui nous a tant étonné hier.
Dehors, il fait la même météo. Une fraîcheur très agréable. Clémentine propose une promenade. La bonne suggestion.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. La pâte à pain repose sous un linge. Le saladier. La garniture sous le couvercle.

Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine mime une pipe.
Nous rigolons comme des bossus en nous rinçant la bouche. Nous sommes pressés de filer. Profiter de ce climat. Bien.
Il est 13 h15. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous pouvons garder nos anoraks ouverts. J'ai la bite à l'air. Super.
Clémentine me la tient tout en m'embrassant tous les dix mètres. C'est si bon d'être ensemble tous les deux. Bonheur.
Nous évoquons les projets à venir. < Juliette te doit une pipe ! Le coup de la fève dans la galette ! > lance Clémentine.

Je n'y pensais déjà plus. < Mardi prochain je joue à la serveuse en soirée ! > continue Clémentine. Des choses sympas.
Ce sont des prévisions très excitantes en perspective. Nous longeons la rivière en jouant aux exhibitionnistes, voyeurs.
Tout à tour nous interprétons l'un ou l'autre. La relative douceur du climat qui permet quelques excitantes déclinaisons.
Clémentine a un accès facile à mon sexe. Elle peut se régaler de mes épanchements. Pour moi c'est plus difficile. Rires.
Descendre son jeans et sa culotte, c'est assez inconfortable. Et il faut faire le contorsionniste pour avoir accès au sexe.

Aussi, c'est ma main qui s'égare souvent dans la culotte de Clémentine. Il suffit de garder le jean déboutonné. Simple.
Nous faisons le parcours des deux heures. Nous avons tous deux du travail qui nous attend. Il est 16 h. De retour. Bon.
Assis tous les deux devant nos postes de travail, dans l'atelier, nous voilà concentrés sur nos labeurs. Nous adorons ça.
Clémentine imite les cris surréalistes que je pousse en peignant. < Essaye celui-là ! > me dit elle en créant un nouveau.
C'est dans cette ambiance de joie qu'arrive Estelle. Il est 18 h15. Elle se précipite pour me couvrir le visage de bisous.

Assise sur mes genoux, Estelle raconte son après-midi au bureau dans l'entreprise familiale. Elle se sont vues ce matin.
Les filles comparent leurs travaux sur l'ordinateur. Soudain, à l'étage, ce bruit sourd, profond et inquiétant qui résonne.
< Bonsoir Christine ! > font Clémentine et Estelle pour saluer l'arrivée du fantôme de mon ancienne compagne. Bruits.
Ce soir ce sont encore des meubles que l'ont déplace. Mais lesquels ? Des courses poursuites. Entre qui et qui ? Potins.
Cela ne dure qu'une dizaine de minutes où nous rangeons nos affaires. Estelle vient scruter son visage sur mon tableau.

< Tu nous fais belle ! > dit elle. Clémentine s'approche. Elles observent leurs portraits en silence. Admiratives. Superbe.
Nous voilà installés devant la cheminée. Les filles allongées sur l'épais tapis, leurs têtes posées sur mes cuisses. Silence.
Ce moment de retour au calme est devenu un autre de nos rituels. C'est magique. Juste le craquement du bois de hêtre.
Estelle glisse sa main dans ma braguette. Elles se tournent toutes les deux, les visages tout près des boutons de métal.
Estelle, d'une main agile, m'extrait la bite. Elles s'avancent encore pour en renifler les parfums de ma journée d'homme.

Il est 19 h. Morts de faim nous nous précipitons à la cuisine. Estelle travaille la pâte à pain pour la rendre si onctueuse.
Clémentine s'occupe de la salade d'endives et de son assaisonnement. Je réchauffe la garniture. Nous bavardons. Rire.
Je dis : < Ce soir, c'est moi qui vous enduit les minous de farine ! >. Elles éclatent toutes les deux de rire. C'est joyeux.
Estelle retire son jeans et sa culotte. Je prends un peu de farine humide et lui enduit la moule copieusement. Amusant.
Je fais pareil à Clémentine. Il faut voir cette "œuvre d'art". C'est surréaliste. La Flamiche est au four. La table est mise.

Les filles m'entraînent au salon. Vautrées dans le canapé, les cuisses écartées elle sont pliées de rires devant le miroir.
Je leurs montre l'aspect des minous en tenant le petit miroir des cabinets. Je prends le smartphone. Je fais des photos.
Nous en rigolons comme des bossus. Des photos de chattes poilues enduites de farine séchée. C'est trop drôle. Rires.
Les coquines se touchent le clitoris. < Ça pique ! > fait Estelle. < C'est désagréable ! > rajoute Clémentine. Nous rions.
Je commence par le sexe d'Estelle. C'est une étrange sensation. La farine sèche est grumeleuse. Ça fond sur la langue.

Curieux mélange avec la "crème" jaunâtre et l'arrière goût vinaigré accumulés au cours de la journée. Une odeur fauve.
Je passe au sexe de Clémentine. Son clitoris géant palpite sous ma succion et sous les caresses du bout de ma langue.
Voilà une nouvelle expérience des plus insolites. Les filles se retrouvent avec les sexes totalement nettoyés. Coulants.
Elles se masturbent. J'aime voir le délicat mouvement des doigts d'Estelle juste devant mes yeux quand je lèche. Bon.
J'aime voir Clémentine tenir son clitoris géant entre son pouce et l'index. Elle se le malaxe doucement en gémissant.

Soyons prudents. Les orgasmes ne sont pas loin. Heureusement que la sonnerie du four nous tire de nos cochonneries.
Les filles me tendent leurs mains. Je les aide à se relever et nous nous précipitons à la cuisine. Une tarte si délicieuse.
Clémentine et Estelle sont assises sur les deux couches de papier Sopalin qui protègent les coussins de chaises. Super.
Nous traînons à table. Lorsqu'elles viennent s'assoir sur mes genoux, je découvre les tâches qui maculent les papiers.
< Des œuvres abstraites ! > dit Estelle. < Des créations contemporaines ! > rajoute Clémentine. Nous éclatons de rire.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je déplie les feuilles de papier pour montrer les absorptions de cyprine. Crème.
Nous rigolons comme des bossus quand Estelle lance : < Tu les exposes dans ta galerie cet été ! 1 OOO € la pièce ! >
< C'est pas cher pour de si belles créations "culières" ! > rajoute Clémentine tout en me prenant les feuilles des mains.
Elle les emmène aux toilettes. Les filles font leurs pissous. Je les tiens par la nuque à tour de rôle. Je les lèche chacune.
Estelle me tient la bite pour en diriger le jet. Clémentine me soupèse les couilles. Elle s'accroupissent pour me pomper.

Je les force à se redresser en les tirant doucement par leurs cheveux attachés. Je les entraîne au salon. Sur le canapé.
Je reprends mon léchage de chatte. Estelle m'attire sur elle. Les deux coquines se masturbent en gémissant. Si belles.
Je passe d'une moule à l'autre. Que ce soit avec la bouche ou avec la bite, c'est prodigieux. Ça dégouline de partout.
J'adore les faire basculer en arrière en les tenant par les chevilles. Je leurs lèche le cul, ce qui dégouline dans la raie.
L'orgasme d'Estelle est nucléaire. Elle crie. J'aime quand elle se tourne sur le côté, ses cuisses serrées sur ses mains.

L'orgasme de Clémentine est cataclysmique. Le même réflexe. Et elles se tournent toutes les deux le dos. Haletantes.
C'est fantastique. Le temps qu'elles reprennent leurs esprits, elles s'assoient à nouveau, mains entre les cuisses. Bien.
Je leurs frotte la bite sur le visage. Je l'enfonce dans les bouches gourmandes, avides. Je passe de l'une à l'autre. Joie.
J'éjacule consciencieusement, concentré sur ce que je jute dans les bouches. Je tâche de partager équitablement. Bon.
Il est 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Séparation difficile. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment les soirées hautement gastronomiques. Les plats à base de farines "Bio"...

Julien - (Qui écoute les dernières émotions de Clémentine blottie contre lui avant de sombrer dans le sommeil) -

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Quelle agréable soirée avec Juliette

Hier matin, c'est la Rhapsodie Hongroise de Franz Liszt qui nous arrache avec cruauté de nos profonds sommeils. Dur.
< Salaud ! > s'écrie Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nouille.
Nous en rions de bon cœur avant de nous précipiter aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, nous descendons vite.
Morts de faim, nous préparons notre petit déjeuner sans cesser de déconner. Nous mangeons de bon appétit en riant.
Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, nos abdos.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Il ne fait pas froid. Juste la fraîcheur.
Il est 7 h45. Clémentine me rejoint vêtue comme hier. Jeans, sweat, blouson de cuir, écharpe, ses bottines. Superbe.
Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit et la vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette, assis devant mon chevalet. 8 h15.
Je peins dans l'enthousiasme délirant qui fait un peu suite à l'hilarité matinale communiquée par la joie de Clémentine.

Cette onzième toile, destinée à ma saison d'été, une scène de genre à trois personnages, verra son épilogue ce soir.
J'adore terminer une œuvre car c'est dans ces derniers moments que je peux me surpasser dans l'ivresse des détails.
Ma loupe frontale me permet de réaliser les plus infimes finitions avec l'un de mes plus fins pinceaux à quelques poils.
Le lecteur qui connaît mon Blog sait la qualité de mon travail puisque j'y expose quelques réalisations récentes. Fines.
Il est aux environs de 10 h lorsque la musique imbécile de mon smartphone le fait vibrer dans la poche de ma blouse.

Pestant, rageant, éructant, je m'en saisis pour me calmer aussitôt. C'est Juliette. Nos civilités d'usage. Nos politesses.
Juliette me rappelle que nous sommes attendus ce soir pour 19 h30. Je la rassure, c'est au programme. Aucun oubli.
Je confie même qu'à la joie de cette idée, depuis ce matin, Clémentine et moi étions animés d'une effervescence rare.
Rapidement Juliette en arrive au sujet qui nous passionne tous les trois. Le sexe. Mais le sexe, de préférence débridé.
< Je vous suis redevable, cher Julien, je n'oublie pas ! > me fait encore la jeune femme. Nous en rions de bon cœur.

Nous bavardons ainsi une bonne demi heure et sur mode "haut-parleur". Ce qui permet de vaquer à nos occupations.
Une vingtaine de minutes où j'écoute beaucoup plus que je ne parle. Nous nous saluons avant de raccrocher. Parfait.
Je peins en poussant les cris les plus surréalistes. Je bande comme un salaud. Je pense à Juliette. Je pense à ce soir.
Il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Gruyère râpé.
Je concocte une sauce au Roquefort. Je fais revenir à la poêle un filet de colin avec de l'ail, de l'oignon et la ciboulette.

C'est rapide. Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les informations. Après Stéphane Bern, c'est une torture.
J'éteins la radio avant de devoir subir ces mensonges formatés, calibrés et pleins de mépris pour ceux qui y croient.
La vaisselle. Je range la cuisine. Je descend à la cave, au cellier afin de sortir une tarte aux pommes du congélateur.
Ce sera notre dessert de ce soir. J'enfile mon anorak pour aller faire quelques pas au dehors. Une étonnante douceur.
Je fais le tour de la propriété. Il y a du soleil, quelques voiles de nuages. Cela pourrait être une journée de la mi mars.

Je rentre. Il est presque 13 h. Je retourne dans l'atelier. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Super.
Je peins animé des mêmes pulsions dévorantes que ce matin. Le temps file à une vitesse effarante. Il est déjà 16 h 30.
Clémentine rentre de cours à l'instant même où je dépose la dernière touche de bleu de cobalt sur la surface de la toile.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Les profs, l'avancée du travail.
Le menu du restaurant universitaire. J'écoute tout cela avec beaucoup d'intérêt. C'est un peu mon lien avec l'extérieur.

Clémentine a encore ses notes de la journée à mettre au propre. La voilà assise devant son ordinateur. Elle me parle.
Je dépose la toile terminée sur le second chevalet afin de l'y laisser sécher quelques jours. Je prends la nouvelle toile.
Le dessin préparatoire est déjà réalisé. Quel gain de temps. Je me félicite de l'avoir fait à la fin du mois de septembre.
Je raconte l'appel téléphonique de ce matin. Nous nous réjouissons tous deux pour cette nouvelle soirée chez Juliette.
Il est 18 h30. Un bruit sourd, profond et caverneux résonne au-dessus de nos têtes. L'arrivée du fantôme de Christine.

Ce soir encore c'est un florilège de tout ce que nous connaissons et subissons presque tous les soirs. C'est assez dingue.
< Elle ne fait pas vraiment dans la dentelle ce soir ! > fait Clémentine. Nous rangeons nos affaires. Ça dure dix minutes.
Nous voilà installés sur l'épais tapis à regarder la danse des dernières flamme dans la cheminée. Un moment si intense.
Clémentine, allongée, sa tête sur ma cuisse, glisse sa main dans ma braguette. Je lui caresse la tête. C'est passionnant.
Nous sommes tous deux télépathes. Pas toujours besoin de se parler pour se comprendre. Et surtout dans ce domaine.

Clémentine hume les odeurs de ma journée d'homme, tenant ma queue entre le pouce et l'index devant son nez. Miam.
Elle me tète la peau du prépuce qu'elle maintient tirée entre ses lèvres. Je peux sentir sa langue exploratrice. Sublime.
Il faut cesser car il est presque 19 h. Le temps de monter nous changer. Nos pantalons noirs à plis, à pinces. Elégants.
Nos chemises blanches sous nos pulls noir au col en 'V". Nos souliers noirs de ville. Habillés pareils à l'identique. Super.
Nous prenons la pose devant le miroir de l'armoire. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Et nos manteaux noirs.

Nous prenons la voiture de Clémentine. Mais c'est moi qui suis prié de conduire. Je roule doucement. Trois kilomètres.
J'entre dans la cour du haras. Il y a encore de la lumière dans les bâtiments. Nous entrons dans notre écurie préférée.
Il y a Kim Son, le jeune palefrenier vietnamien qui nourrit les chevaux. Il nous voit. Il a un grand sourire, fait un signe.
Nous ne le dérangeons pas. Evelyne, la jeune palefrenière arrive à son tour en conduisant le charriot élévateur. Du foin.
Nous les laissons travailler. Nous sortons au moment où Juliette entre dans l'écurie. Nous nous serrons la main. Plaisir.

Juliette donne les dernières recommandations à ses deux employés avant de nous rejoindre, nous invitant à la suivre.
Elle est vêtue de sa tenue d'écuyère habituelle. Terriblement sexy. Je récupère le tupperware et la tarte aux pommes.
Nous montons dans ses appartements. Nous enlevons nos manteaux. Juliette nous invite à prendre place. Son canapé.
La sonnerie du four ne tarde pas. Nous passons à table. De délicieuses tartelettes aux fruits de mer. A la pâte feuilleté.
Nous savourons. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Rapidement, la jeune femme en arrive à la galette.

Cette fève qui reste le dénominateur commun autour duquel se forme notre nouveau projet. Juliette et le projet "pipe".
Mais quand ? La jeune femme veut prendre tout son temps. Il n'est évidemment pas question de précipiter les choses.
En parfaits hédonistes, nous péférons tous les trois inscrire nos penchants libidineux dans les plus divins raffinements.
Je sors ma bite. Je le fais discrètement pendant que Juliette cherche les légumes à la cuisine. Clémentine me masturbe.
La main sous la table. Juliette revient. Elle découvre la scène. Toujours admirative devant nos complicités amoureuses.

C'est Clémentine qui propose ce vendredi soir. Pourquoi ne pas nous voir chez nous ou ici, pour 20 h et réaliser le truc.
< Ici, ce vendredi soir, pour 20 h ! J'invite Mr Gérard, ça vous tente Clémentine ? > répond Juliette à notre proposition.
< Et comment ! D'une pierre deux coups ! > lance Clémentine ravie. < Pierre ? Vous préférez Pierre ? > s'écrie Juliette.
< Non pas du tout ! > lance Clémentine. Nous en rions tous les trois de bon cœur. Je me lève pour montrer ma queue.
< Ce sera avec plaisir, vendredi soir ! > me lance Juliette en me fixant de son œil sévère et inquisiteur. Tout est réglé.

Juliette évoque les détails les plus élémentaires. Nous nous verrons tous les quatre dans la petite salle du bâtiment C.
C'est ce petit salon très confortable où nous assistons quelquefois aux fêtes, aux anniversaires et aux réceptions. Bien.
J'écoute avec beaucoup d'intérêt la conversation de Juliette et de Clémentine. Elle parle de la bite minuscule de Gérard.
Ce vieux salaud retraité, incontinent, vicieux, exhibitionniste, impuissant et pisseur. C'est une source intarissable. Rire.
< Intarissable au propre comme au figuré ! > précise Juliette. Nous le savons bien. Cela fait le bonheur de Clémentine.

Nous débarrassons la table. Nous insistons pour faire la vaisselle avant la tarte aux pommes. Juliette plonge. On essuie.
J'agite à plusieurs reprises ma bite. Debout dans l'encadrement de la porte, je tiens mon sexe à sa base, pouce et index.
Je dis : < Je profite de vos accueillantes toilettes, Juliette ! >. Elle dit : < J'arrive ! >. Clémentine me prend par la main.
Nous attendons que Juliette termine de rincer l'évier. Elle se précipite. Nous voilà tous les trois dans ses toilettes. Super.
Je suis debout devant la cuvette. Juliette à ma gauche, penchée en avant. Clémentine à ma droite qui tient le Zob mou.

Cela fait bien deux heures que je dois pisser. Je bande mou. Je peux donc me lâcher dans la plus totale volupté. Un jet.
Clémentine dirige les opérations sous le regard attentif de Juliette qui, les mains posées sur ses genoux, observe. Bien.
Parfois, entre deux jets, Clémentine dirige ma queue vers le visage de Juliette qui a un mouvement de recul. Le réflexe.
Elle nous dit : < Excellente entrée en matière pour vendredi soir ! >. Nous en rions de bon cœur. Je pisse par petits jets.
Je passe ma main autour des hanches de Juliette penchée en avant entrain de mâter de très près. Et elle se laisse faire.

Clémentine s'accroupit en même temps que les jets se tarissent. Elle récupère les derniers épanchements. C'est délicat.
Juliette, son visage au-dessus de celui de Clémentine, observe avec attention. Je la tiens toujours par la hanche. Serrée.
Je dis : < Vendredi soir, vous pourrez y goûter à votre tour Juliette ! >. Elle se redresse et fait : < Mais sans la pisse ! >
Clémentine cesse de sucer pour dire : < C'est pourtant délicieux avec les premières montées du jus de couilles. Miam ! >
< Je sais ! Je ne m'en prive pas avec Gérard et souvent trois fois par semaine ! > répond Juliette qui repousse ma main.

Juliette se redresse. Elle pose sa main sur ma nuque en disant : < Tu n'as pas intérêt à me faire ça ce vendredi soir ! >
Clémentine se redresse. Nous sommes toujours impressionnés par le regard perçant de Juliette dans ces moments là.
Une brune, avec des yeux bleus, un regard souvent sévère, maîtresse femme et autoritaire, ça impressionne beaucoup.
Juliette sort des WC. Nous la suivons. Nous savourons la tarte aux pommes. Juliette nous félicite et demande la recette.
Nous traînons à table. Il est 22 h. Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Nous nous serrons la main. A vendredi.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver aux chiottes avec un couple dont le mec est un vrai vicelard...

Julien - (Qui écoute Clémentine le féliciter pour son attitude. Tout en se faisant lécher le minou)-

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Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1036 -



Un jeudi plein de petites douceurs

Hier matin, jeudi, c'est le concerto pour clarinette de Mozart qui nous arrache cruellement de nos profonds sommeils.
< L'enculé ! > s'écrie Clémentine qui me chevauche pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nouille.
C'est vrai que c'est très pénible d'être agressé ainsi par de la clarinette de bon matin. Nous nous précipitons aux WC.
Vêtus de nos tenues de gym, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Préparer le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre soirée de hier chez Juliette. La soirée de vendredi qui va venir.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles, abdos.
La douche. Je descends pour aller préparer la petite auto de Clémentine que je fais chauffer dans la fraîcheur matinale.
Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Il fait un peu plus froid que les matins précédents. Bonnet, gants et écharpe.
Un dernier bisou. Je la regarde partir dans le jour naissant. Un dernier coucou. Il est 7 h45. Je me dépêche de rentrer.
Je fais notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette. 8 h15.

Je suis assis devant mon chevalet. La peinture de cette douzième toile destinée à ma saison d'été m'accapare très vite.
Je peins dans la sérénité du brave qui va au combat. Ce qui ne m'empêche pas de pousser les cris les plus surréalistes.
Il faut me voir faire la danse du guerrier Sioux autour de mon chevalet à chaque coup de pinceau plus sublime encore.
Il est aux environs de 10 h quand l'idiote musique de mon smartphone le fait vibrer au fond de la poche de ma blouse.
Je m'en saisis en maugréant. C'est Juliette. Après les civilités d'usage, la jeune femme en arrive directement au sexe.

Encore sous le charme de notre agréable soirée, Juliette me confirme que tout est organisé pour demain, vendredi soir.
Il y aura monsieur Gérard, Juliette, Clémentine et moi. Dans la petite salle de réception au fond des nouvelles écuries.
Les festivités débutent à 20 h. C'est parfait. Juliette est d'une extrême courtoisie. Quelques allusions plutôt vicelardes.
Mais toujours avec cette finesse d'esprit qui la caractérise. Nous bavardons en mode "haut-parleur". C'est très sympa.
Une vingtaine de minutes. Nous nous saluons avant de raccrocher. Je pense à cette bourgeoise délurée. Et je bande.

C'est donc avec une érection qui me contraint à sortir ma biroute sous la blouse que je continue ma séance de peinture.
Il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du pilpil de blé. C'est très rapide.
Je prépare une pâte à pain. Les pizzas du jeudi soir. Un autre rituel fort plaisant. Je fais la garniture. Tomates fraîches.
Ail, oignons, persil, ciboulette, champignons. J'en récupère un peu comme sauce avec le pilpil de blé. C'est un vrai régal.
Je mange de bon appétit tout en tentant d'écouter les informations. C'est au-dessus de mes forces. J'éteins cette radio.

La vaisselle. La pâte repose sous son linge dans le saladier. La garniture repose sous son couvercle dans la casserole.
J'enfile mon anorak pour aller faire quelques pas dehors. Il y a du soleil. Il fait presque doux. Nous sommes en janvier.
Il est 13 h quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans le même état d'esprit.
Cette seconde séance est aussi productive que la première. Je ne vois pas le temps passer. Livré à ma passion. Super.
Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son sac sur le canapé avant de se précipiter vers moi. Impatiente.

J'anticipe toujours. Juste avant, je pose ma palette et mes pinceaux sur la petite desserte à ma droite. C'est si simple.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. C'est toujours si passionnant.
Le menu du restaurant universitaire. De la purée avec du poisson pané. Comme à la maison mais en moins bon. Rires.
Clémentine doit mettre ses notes au propre. Elle est rapidement installée devant son ordinateur dont elle fait un éloge.
Ce MacBook Air que je lui ai offert pour Noël et dont elle me vante les mérites. Je raconte l'appel de Juliette ce matin.

< Génial ! > s'écrie Clémentine lorsque j'entre dans les détails révélés par Juliette. Il y a toujours une surprise au haras.
C'est la déduction que nous en faisons souvent. Quelle sera celle de ce vendredi soir, demain ? Mystère et pipe juteuse !
Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour. Je dois anticiper une seconde fois en posant ma palette et mes pinceaux. Super.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa baise avec parrain, hier soir, en cachettee à la cave et à côté de la chaudière.
Estelle et Clémentine mangent ensemble au restaurant universitaire, à midi. Elles se racontent tout, élaborent des trucs.

< Parrain me propose de m'emmener à une soirée "Sex-Toy" animé par la dame du sex-shop en ville ! > lance Estelle.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < C'est comme pour les soirées Tupperware, démonstrations ! >
Clémentine demande : < Et tu vas aller t'emmerder dans ce genre de soirée à chier ? Sans déconner, c'est à pleurer ! >
< Certainement pas ! J'en ai rien à foutre des sex-toys ! Et j'ai le mien ! > fait elle en passant sa main sous ma blouse.
Nous rions de bon cœur quand Clémentine rajoute : < Non, c'est celui de mon mec que je mets à disposition ! >. Rires.

Les filles sont installées devant l'ordinateur à comparer l'avancée de leurs travaux quand un bruit fort résonne à l'étage.
< Bonsoir Christine ! > font Clémentine et Estelle en même temps pour saluer l'arrivée du fantôme. Il est 18 h30. Précis.
Nous rangeons nos affaires. Les manifestations paranormales durent une dizaine de minutes. Ce soir, c'est plus discret.
Nous voilà sur l'épais tapis devant la cheminée. Les filles sont allongées, leurs têtes sur mes cuisses. Nous chuchotons.
Estelle revient sur cette histoire de sex-shop, de soirée sex-toy. Elle n'a vraiment nulle envie d'accepter cette invitation.

< Et si je viens avec ? > lance Clémentine. < Non ! On ne va pas se gâcher une soirée. C'est mieux ici ! > lui dit Estelle.
J'écoute les filles disserter sur les propositions du parrain d'Estelle. Clémentine qui veut absolument "essayer" le parrain.
< J'organise tout ça ! > précise encore Estelle. Baiser avec le parrain d'Estelle est un autre de nos projets. C'est sympa.
Il faut juste organiser le "plan". C'est toujours le mercredi soir. Soir où sa marraine s'absente une heure et demi. Rapide.
Il faut donc tout prévoir dans le moindre détail. Il arrive quelquefois que la marraine rentre plus tôt. Il faut s'enfuir. Dur.

Toutes ces histoires nous amusent beaucoup. Il est 19 h. Morts de faim nous quittons l'atelier pour la cuisine. C'est bien.
Estelle travaille la pâte à pain. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la garniture. Nous n'arrêtons pas de rigoler.
Je dis : < Ce soir, une fois encore, c'est moi qui vous enfarine les minous ! >. Nous éclatons de rire. J'agite mes poignes.
< Pas question ! Chacun son tour ! > fait Estelle en agitant ses longs doigts fins plein de farine. < Ta queue ! > fait elle.
Je sors ma bite et mes couilles pour venir les présenter devant Estelle qui me les enduit copieusement de farine humide.

< Le mardi soir, c'est nos chattes, le jeudi soir, c'est ta bite ! > lance Estelle qui admire son enduction. Clémentine rit.
Me voilà une fois encore avec les organes génitaux enduits de farine. Ça sèche toujours très vite en craquelant. Picote.
Les pizzas sont au four. La table est mise. Les filles m'entraînent au salon. Le rituel de la dégustation. Coussins au sol.
A genoux, me tenant par les hanches, Estelle et Clémentine observent l'aspect qu'offre la farine sèche. C'est surréaliste.
< Ça fait "antiquité grecque" ! > fait Estelle. Je leurs donne mes impressions. En séchant, la farine tire et picote. Drôle.

Estelle se lève, s'en va à toute vitesse pour revenir avec son smartphone. Elle prend des photos en gros plan, en riant.
Nous regardons le résultat. Si on ne sait pas ce que c'est, on ne comprend pas immédiatement. C'est insolite et rigolo.
Estelle me lèche les couilles. Clémentine suçote le prépuce. C'est dur et sec. Il faut faire fondre la farine avec la salive.
Je leurs caresse la tête en observant ce curieux spectacle. Les deux coquines qui en raffolent. Ça les fait tellement rire.
C'est merveilleux de les voir s'amuser ainsi. < C'est mieux qu'une soirée sex-toy non ? > lance Estelle. On est d'accord.

Surtout que ni Estelle, ni Clémentine n'éprouvent une attirance particulière pour le plastique ou encore le caoutchouc.
Visiter un sex-shop n'est pas non plus à l'ordre du jour. Nous trouvons ça tellement ridicule. < Pitoyable ! > dit Estelle.
Les filles se refilent ma bite. Mes organes génitaux sont à nouveau exempts de toute poudre. Bite et couilles propres.
La sonnerie du four. J'aide les filles à se redresser. Et elles m'entraînent à la cuisine. Estelle me tient par la bite dure.
Nous mangeons de bon appétit. La conversation reste axée sur le projet de baise avec le parrain à Estelle. C'est super.

Clémentine, rusée et stratège, propose d'attirer parrain en dehors de la maison. Trouver un prétexte, trouver l'endroit.
Estelle précise qu'elle pense à un plan de ce genre. < Mais où ! Je me casse la tête pour trouver l'endroit ! > fait elle.
Le plus difficile n'est pas de trouver un prétexte pour attirer le parrain à l'extérieur. Mais de trouver l'endroit ou baiser.
Je dis bêtement : < A l'hôtel ! Deux heures, un après-midi ! >. Les filles m'observent. < Parrain bosse ! > fait Estelle.
Elle rajoute : < Il n'est libre que le soir et le week-end mais ma marraine l'accapare pour plein de trucs. Il bricole ! >

Clémentine conclue : < On va bien trouver la bonne formule ! >. Je rajoute : < Attendons les premiers beaux jours ! >
Clémentine dit : < Je ne pourrai jamais attendre aussi longtemps pour baiser avec ce mec ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous traînons à table. Les filles sont assises sur mes genoux. Nous rions beaucoup de nos frasques. Passées et à venir.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles m'entraînent au salon. < On reprend où on a laissé ! > me fait Estelle.
Les voilà assises sur le bord du canapé à se refiler la bite qu'elles sucent comme si leurs vies en dépendaient. Superbe.

Je leurs propose un bon léchage de minou, éventuellement la petite pénétration qui situe les choses et retour au cunni.
< Ce soir, on s'occupe de ton cas ! Tu as besoin d'un traitement de choc ! Tu manques de punch ! > me lance Estelle.
Je leurs caresse la tête. Mes lombaires deviennent douloureuses. La position, debout et cambrée, n'est pas si favorable.
Je me fais tailler une pipe des familles. C'est adorable de les voir, chacune, attendant son tour pour savourer de la jute.
Clémentine est la première à glisser sa main dans sa braguette défaite. Puis c'est au tour d'Estelle. Elles se masturbent.

Je me retire. Je prends l'initiative de me mettre à genoux. Et je fais < Venez, toutes les deux, enlevez vos fringues ! >
Inutile de le dire deux fois. Elles retirent leurs jeans et leurs culottes. Et je commence toujours par la chatte d'Estelle.
Il faut surmonter ma répulsion. Odeur de fille négligée. Je m'habitue vite. C'est rapidement gouteux. Miam. Ça suinte.
J'adore voir la mouille, la crème qui colle négligemment sur les lèvres charnues du sexe de Clémentine. C'est sublime.
Le sexe d'Estelle reste cette fente qu'il faut écarter pour accéder aux lèvres. C'est un autre étonnement. Il y a du jus.

Je passe d'une chatte à l'autre. La crème me colle jusque sur le menton. Je bouffe comme un goinfre. Et c'est si miam.
Les filles me guident par les oreilles. Estelle se frotte la moule sur ma gueule. Je suis enivré jusqu'au vertige. Délicieux.
Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre. Les filles se masturbent sans arrêt. Que je les lèche, que je les pénètre. Fameux.
Je passe d'une chatte à l'autre. Avec la bouche, avec la bite. L'orgasme d'Estelle est grandiose. Clémentine également.
Elles insistent pour me pomper à nouveau. J'éjacule en distribuant soigneusement la purée. Il est déjà 22 h. C'est dur !

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font lécher, pénétrer, avec un égal bonheur, en gémissant jusqu'à l'orgasme...

Julien - (Qui aime sentir les battements du cœur de Clémentine, serrée contre lui, au fond des draps avant le dodo) -

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Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1037 -



Une soirée crêpe très particulière

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous que l'on me dépose sur les joues et dans le cou.
J'ouvre les yeux. Au dessus du mien, le visage bienveillant de Clémentine déjà réveillée. Je la prends contre moi. Fort.
Clémentine ne supporte pas d'être seule. J'éteins le réveil avant que ne résonne la musique. Il est presque 5 h55. Dur.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues gym nous descendons.
A la cuisine, nous préparons un copieux petit déjeuner. Nous savourons dans l'euphorie communicative de Clémentine.

Le vendredi, Clémentine termine à midi. C'est le début du week-end. Avec notre projet de ce soir, elle est déconneuse.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine ne peut cacher sa joie. Cela la rend même fébrile. Elle en sautille partout.
Nous montons nous offrir notre entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Intensité max.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous le parapluie. Il fait assez doux.
Un dernier bisou. Elle me palpe la braguette. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin dans le jour naissant.

Un dernier coucou. Il est 7 h45. Je me dépêche de rentrer au sec. Je fais notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier.
J'allume un beau feu dans la cheminée. Je prépare ma palette en chantant "L'orage" de Georges Brassens. C'est super.
Je suis assis devant mon chevalet. Il est 8 h15. La peinture de la douzième toile de ma saison d'été, m'enivre de joie.
Je peins dans un enthousiasme délirant en poussant les cris les plus surréalistes que je module longuement. Superbe.
Comme toujours, lorsque je me livre ainsi corps et âme à ma passion, je ne vois plus les heures passer. C'est prenant.

Aussi, il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des pâtes.
J'y verse les nouilles chinoises. Je prépare une sauce au Roquefort avec de fines lamelles d'aubergines et de courgettes.
Il est midi vingt quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou en s'écriant : < Je t'aime comme une folle ! >
Je la soulève pour la faire tourner dans les airs. Elle me couvre le visage de bisous passionnés. C'est magique. Sublime.
Clémentine s'occupe de la salade d'endives en me racontant sa matinée. Je fais rissoler deux filets de colin. Ail, oignon.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons notre soirée avec Estelle hier soir. Nos folies douces.
Clémentine et Estelle se sont vues ce matin en cours. < Estelle me charge de te bisouter la bite > fait Clémentine. Rire.
C'est vendredi. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux Clémentine parle de cette soirée qui nous attend au haras.
Nous y sommes attendus pour 20 h. Des réjouissances en perspective. La bouche à Juliette. La bite à Gérard. Superbe.
< Ça fait plus d'un mois que je n'ai plus goûté à la queue de ce vieux salaud ! > me fait Clémentine, en éclatant de rire.

Une fois encore je propose à Clémentine de passer le voir en rentrant de cours. Et sans moi à ses côtés, elle s'y refuse.
Je précise : < Tu te prives de bien des émotions, de bien des plaisirs ! >. Elle répond : < Je ne me prive pas de toi ! >
Nous en rions de bon cœur. Nous en venons à notre autre projet. Clémentine aimerait baiser avec le parrain d'Estelle.
Finalement, il y a de fortes probabilités pour que cela se passe un mercredi soir, dans la cave du parrain, avec Estelle.
< On filme en cachette. Je te montre ! J'ai trop besoin de te savoir caché quelque part à me voir ! > lance Clémentine.

Je comprends parfaitement ce processus mental. Et rien n'excite davantage Clémentine que de me savoir à proximité.
La vaisselle. Je prépare une pâte à crêpe pour le repas de ce soir. C'est la chandeleur avant l'heure. Une réjouissance.
Nous rangeons la cuisine. La pâte à crêpe est bien meilleure lorsqu'elle a reposé quelques heures sous un linge. Bien.
Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine mime la pipe.
Je dis : < Inutile de demander à qui tu fais cette pipe ! >. Clémentine fait attention de ne pas avaler et se met à rire.

Nous nous rinçons la bouche en rigolant comme des bossus. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Devant le miroir.
Accroupie sur ma gauche, serrant ma jambe, sa tête posée sur ma cuisse, elle chuchote : < Je vous aime "Maître" ! >
Je pose ma main sur sa tête pour murmurer : < Je vous aime, ma délicieuse "Soumise" ! >. Elle se place devant moi.
Elle frotte son visage sur ma braguette. Je sors ma bite. < La vie serait bien triste sans vous, "Maître" ! > me fait elle.
Je frotte mon sexe sur son visage en disant : < Sans vous, les jours seraient des enchainements d'ennuis profonds ! >

Clémentine, d'un élégant mouvement de tête, gobe l'extrémité de ma queue toute molle entre ses lèvres pour la téter.
C'est toujours émouvant car ses gémissements me ravissent autant que l'indicible sensation. C'est une véritable pipe.
Je nous positionne afin que Clémentine puisse s'observer dans le miroir de l'armoire. Elle adore s'auto érotiser. Super.
Dans le miroir elle se regarde. Elle me fixe. Ses joues creusées par la succion. Elle me lèche. Elle me fait un clin d'œil.
Je dis : < Chère "Soumise", voilà qui vous fait le plus parfait entraînement pour ce soir ! >. Elle en glousse de plaisir.

Je sors ma queue de sa bouche avide et gloutonne pour la frapper délicatement sur son visage d'ange. Elle en gémit.
< Je vous aime, mon "Maître". Vous êtes toute ma vie ! > me fait elle en recevant les coups de queues. Elle est belle.
J'ai toujours un sentiment de culpabilité quand nous interprétons nos rôles du "Maître", de la "Soumise". C'est un jeu.
Je n'ai absolument pas l'âme d'un "Maître". Alors que Clémentine a une profonde et authentique nature de "Soumise".
Je fais donc de mon mieux pour satisfaire ce besoin. Elle tombe à genoux, me tient par les hanches pour me pomper.

Régulièrement, pour lui laisser reposer la mâchoire, je retire mon sexe de sa bouche. Ça gicle et dégouline de foutre.
En fait, c'est un mélange de liquide séminal épais, gluant et visqueux avec sa salive. Je lui administre une bonne gifle.
Ce ne sont jamais des actes de violence. J'en serai bien incapable. Mais cela participe du rôle qui m'est demandé. Dur.
C'est la fille que j'aime. Que ne ferais je pas pour lui être agréable ? Pour satisfaire sa demande la plus secrète. Joie.
Je la force à cesser en disant : < Gardons nous pour ce soir, ma douce "Soumise" ! >. Je l'aide à se redresser. Parfait.

Je m'accroupis à mon tour pour lui masser les genoux, les jambes. < Vous êtes si attentionné, "Maître" ! > me dit elle.
Je me redresse pour la soulever et la faire tournoyer. < Je t'aime mon amour ! Si tu savais ! > s'écrie t-elle. Merveille.
Nous dévalons les escaliers. Il est 14 h30. Nous avons du travail. Avec cette météo, quoi faire d'autre ? C'est superbe.
Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur. Elle a un travail personnel à fournir très bientôt.
Je suis assis devant mon chevalet. Nous adorons ces séquences d'émulation. Parfois, l'un se lève pour rejoindre l'autre.

Clémentine imite mes cris d'animaux qui n'existent pas. Elle m'en apprend de nouveaux. Me fait répéter. Encore une fois.
Nous en rions de bon cœur en nous rejoignant pour nous faire plein de bisous. Nous sommes heureux jusqu'aux larmes.
Nous travaillons ainsi une grande partie de l'après-midi. Il est 18 h15 lorsque Clémentine vient s'assoir sur mes genoux.
Elle me lit à haute voix des extraits du texte qu'elle vient de conclure. J'écoute. C'est tellement bien rédigé. Un exemple.
J'adore l'entendre déclamer son texte comme le ferait une actrice de théâtre. C'est extraordinaire. Clémentine à un don.

< J'ai fait du théâtre, au lycée, quand j'étais adolescente ! > me dit elle souvent lorsque je lui fais remarquer son talent.
Un bruit sourd et profond, semblant venir des enfers résonne soudain au-dessus de nos têtes. C'est l'heure du fantôme.
< Bonsoir Christine ! > lance Clémentine à haute voix. Comme pour lui répondre, une porte claque sèchement. Puissant.
Nous rangeons nos affaires. Tout cesse au bout de dix minutes. Nous voilà installés sur l'épais tapis devant la cheminée.
Clémentine, allongée, sa tête sur ma cuisse, évoque les vacances de Pâques. Je propose un séjour dans les Alpes. Super.

< J'aimerai retourner dans le Jura. C'étaient nos premières vacances ensemble. Tu te souviens ? > me murmure t-elle.
C'était aux vacances de Pâques 2017. Nous vivions ensemble depuis trois mois. Comme le temps passe vite. C'est cruel.
Nous dissertons sur cette éventualité. Il y a tant de choses à voir dans le Jura. La région est belle, les paysages si variés.
Je lui promets de tout préparer. L'hébergement, la location de la voiture, les billets d'avion. Mes talents d'organisateurs.
Il est 19 h. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade.

Je remue la pâte à crêpe onctueuse et d'aspect bien appétissant. Je fais les crêpes les unes après les autres. C'est bien.
< Gagné ! > lance Clémentine à chaque fois que je fais sauter la crêpe pour la récupérer dans la poêle. Coup de chance.
Nous mangeons de bon appétit. Une crêpe au gruyère finement râpé. Une crêpe au Parmesan finement râpé. Roquefort.
Puis ce sont les crêpes sucrées. Nous aimons le mélange, un tiers miel, un tiers purée d'amandes, un tiers sésame grillé.
Je recommande ce délice à tous les gourmands. C'est tellement bon. C'est hautement calorique, mais nutritif. Un miam.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.
Nous nous changeons. Clémentine préfère mettre un pantalon. < Je n'ai pas envie de mains baladeuses ! > me dit elle.
Nous en rions de bon cœur. Nous nous habillons tous les deux à l'identique. Pantalons noirs à plis. La chemise blanche.
Nous mettons un sweat noir. Nos souliers de villes noirs. Nous prenons la pose devant le miroir de l'armoire. C'est bien.
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > fait Clémentine en se serrant contre moi. < Sors ta bite ! > fait elle.

Sur un pantalon noir, une bite qui pend mollement de toute son inertie et de tout son poids est du plus bel effet. Sympa.
Clémentine me la saisit entre le pouce et l'index, juste à sa base, pour la secouer, l'agiter et la faire tournoyer. Virtuose.
< Je me damnerais pour votre queue "Maître" ! > me dit elle. Je dis : < Vous le feriez pour d'autres queues ma chère ! >
Nous en rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Particulièrement pour celle qui m'attend ce soir ! >
Elle se serre contre moi pour murmurer : < Merci Julien pour toutes ces expérience que je peux vivre avec toi ! >. Bises.

Clémentine s'accroupit. Elle pose ses mains sur mes hanches. D'un élégant mouvement de tête elle gobe la bite molle.
Je lui caresse la tête en faisant très attention de ne pas la décoiffer. Ce soir, elle a les cheveux flottant sur ses épaules.
J'ai un léger mouvement masturbatoire dans sa bouche. Je la tiens par les oreilles. J'enfonce bien la queue. Elle pompe.
Je dis : < Je me réjouis pour te regarder ce soir. Tu vas encore te surpasser ! >. Elle me dit : < J'en meure d'envie ! >
La petite bite toute minuscule et molle de Mr Gérard reste sa gourmandise sexuelle préférée. Elle m'en parle souvent.

Depuis qu'elle a goûté aux saveurs de la queue de ce vieux salopard, c'est devenu sont élément de comparaison. Rires.
C'est sa référence absolue à chaque nouvelle bite qu'elle suce. Je l'encourage vivement à en sucer le plus possible. Bon.
Parfois, nous nous amusons à compter tous les mecs que Clémentine a déjà sucé. Au début, c'était pour me faire plaisir.
J'ai ce fantasme de voir ma compagne tailler une pipe à un parfait inconnu. Au début, pour elle, ce n'était pas évident.
Depuis une année, c'est devenu son fantasme aussi. Même si elle le fait avec beaucoup de réserve, d'hésitations. Joie.

Il est 19 h40. Nous voilà en route pour le haras. Je roule doucement. Il pleut. Il fait nuit noire. Une fraîcheur humide.
Clémentine me prend la main pour la poser sous son manteau, sur sa poitrine. < J'ai la trouille ! > me confie t-elle.
J'arrête la voiture sur le bord de la route. Je demande : < Tu préfères qu'on rentre ? Qu'on retourne à la maison ? >
< Oh non ! Je suis morte de trouille mais aussi morte d'excitation ! > me fait elle. Nous rigolons comme des bossus.
Je redémarre. Clémentine me tiens la bite comme un talisman protecteur. < Mon Doudou ! > murmure t-elle. Rires.

Nous arrivons au haras pour 19 h55. Nous aimons beaucoup arriver en avance. Il y a quelque chose de rassurant. Bien.
Il pleut. La nuit est noire. Dans la cour, la voiture de Juliette. La voiture de Gérard. Une voiture là-bas, garée à l’écart.
Certainement celle d’Evelyne ou bien de Kim Son, les palefreniers. Car il y a encore de la lumière dans les bâtiments.
A l’abri de notre parapluie, nous traversons la cour d’un pas rapide pour entrer dans la nouvelle construction. Silence.
Nous caressons la tête et le cou des chevaux dans leurs box qui nous regardent passer. Il y a de la lumière là, au fond.

Une raie de lumière sous la porte. Nous approchons. Nous percevons des voix. Mais sans comprendre la conversation.
Des rires. Nous reconnaissons les voix de Juliette et de monsieur Gérard. Nous frappons à la porte. Trois petits coups.
Juliette qui vient nous ouvrir. Son large sourire. < Bonsoir. Venez, entrez ! > fait elle en nous serrant les mains. Super.
Vautré dans le canapé, Gérard, une tasse de café à la main, se lève pour nous saluer à son tour. Il semble très heureux.
Il tapote sur le canapé pour inviter Clémentine à s’assoir à ses côtés. Je m’assois dans un des deux fauteuils de velours.

Nous choisissons un thé au jasmin. Juliette, debout devant la bouilloire nous raconte sa journée. L’ambiance de travail.
Nous dégustons nos thé. Monsieur Gérard nous raconte quelques anecdotes amusantes. Palefrenier à la retraite. Sympa.
Il évoque ses vacances. Son désir d’aller en Italie, visiter Venise. Son vieux rêve. Et il ponctue ses phrases de drôleries.
Juliette est assise dans le fauteuil voisin du mien. Nous bavardons ainsi. Rapidement les conversations qui s’orientent.
Gérard parle avec Clémentine. Juliette parle avec moi. Chaque couple étant exclusivement concerné par ses échanges.

< Je vais aux toilettes, Clémentine. Vous m’y accompagnez ? > fait Gérard en se levant. < Volontiers ! > répond t-elle.
Clémentine se lève. Gérard lui arrive à l’épaule. Elle prend l’initiative d’aller vers la porte. Gérard la suit en souriant.
Il nous adresse un clin d’œil avant de fermer la porte derrière eux. Juliette me regarde longuement. Silencieuse. Super.
Je me lève. < Vous voulez qu’on aille mâter un peu ? > me fait Juliette en se levant également en mimant une branlette.
J’aime sa vulgarité. Cette magnifique bourgeoise de 43 ans m’attire tellement. Ce qui fait souvent si peur à Clémentine.

Elle n’a toutefois aucun souci à se faire. Je suis d’une fidélité absolue. Avec Clémentine, je ne manque jamais de rien.
< Venez ! > me fait Juliette en me prenant par la main. Sa main si chaude. Nous sortons. < Ils sont aux WC ! > dit elle.
Juliette m’entraîne dans le petit local technique. Elle ouvre le minuscule placard électrique. Deux trous dans la parois.
Je me penche pour regarder. L’ouverture permet de voir dans la partie homme des toilettes. Juste au dessus de l’urinoir.
Ils sont là. Clémentine s’est accroupit. Son visage à une cinquantaine de centimètres de la queue minuscule de Gérard.

Gérard a son pantalon d’épais velours et son slip aux genoux. Son ventre poilu qui pend lamentablement sur la queue.
Il a les mains sur ses hanches. Il lâche de petits jets de pisse. Parfois il caresse le visage de Clémentine avec douceur.
Juliette me repousse délicatement pour regarder à son tour. Cela me frustre car j’adore tellement regarder Clémentine.
Je la tiens par les hanches. Elle se laisse faire. C’est rare. Elle se redresse pour me laisser voir. Je me penche. Superbe.
Gérard agite sa queue minuscule qu’il tient entre le pouce et l’index. Il la dirige vers Clémentine qui ouvre la bouche.

J’hallucine. Le vieux salaud lui pisse dans la bouche. Juste un jet. Net et précis. Je la vois déglutir en tenant sa bouche.
Gérard la saisit par la nuque pour attirer la tête de Clémentine. IL lui enfonce sa bite dans la bouche, jusqu’aux couilles.
Sa queue mesure six centimètres. Estelle et Clémentine l’avait un soir mesuré en riant. Ses couilles sont énormes. Rire.
Gérard reste immobile. Ses grosses couilles contre le menton de Clémentine dont il maintient la tête de ses deux mains.
Les joues creusées par sa succion, Clémentine, les yeux fermés, un air d’extase sur son visage qui suce jusqu’au vertige.

Juliette me pousse à nouveau. < Venez Julien ! Nous avons à faire ! > me fait elle en me saisissant le poignet fermement.
Nous sortons du local technique pour retourner dans le petit salon. Je suis terriblement frustré. J’aimerai voir Clémentine.
Juliette me pousse dans le canapé. < A moi ! > fait elle en se mettant à genoux sur l’épais coussin qu’elle dépose au sol.
J’ouvre ma braguette. Je bande comme un vrai salaud. Je soulage enfin ma queue tordue au fond de mon slip. C’est bien.
Juliette pose ses mains sur mes cuisses. Elle me fixe de son regard inquisiteur. Je veux caresser son visage. Elle repousse.

< Vous ne me touchez pas ! > murmure t-elle d’une voix autoritaire. Je saisis ma queue entre le pouce et l’index. Parfait.
Je tord ma bite pour en présenter l’extrémité devant le visage de Juliette. Elle s’approche pour la glisser dans sa bouche.
Ce n’est pas la première fois que mon sexe est dans la bouche de cette magnifique jeune femme. Il y a là des précédents.
Mais c’est la toute première fois que cela se passe dans une situation aussi délibérée. J’ai envie d’aller voir aux toilettes.
Juliette me suce. Je suis saisis d’un délicieux vertige. C’est tellement bon. J’ai envie de lui caresser la tête. Être délicat.

Je ne tente rien. Juliette me taille une vraie pipe. Elle garde les yeux fermés. Je sa sens savourer. Et je l’entends déglutir.
Comme elles sont belles quand elles font ça. Si elles savaient. Elles n’arrêteraient plus. Soudain, la porte s’ouvre. Super.
Clémentine, tenue par les cheveux, courbée en avant, marchant avec difficulté, suis Gérard qui l’entraîne avec fermeté.
Il jette un des coussins au sol. Juliette cesse de sucer. Nous regardons ce que font Gérard et Clémentine qui me regarde.
Elle a le visage trempé. Des cheveux qui collent sur ses joues et sur son front. Le haut du sweat complètement mouillé.

Gérard s’assoit dans le canapé, à ma droite. Et un bon mètre nous sépare. C’est préférable. Nous sommes hétérosexuels.
Clémentine se met à genoux. Elle me lance un regard de défi. Une sorte de sévérité dans le regard qui m’excite à fond.
Gérard la prend par la tignasse en disant : < Viens, c’est là que ça se passe ! > fait il. Sa queue dégouline de jus visqueux.
Clémentine se met à sucer comme si sa vie en dépendait. Juliette s’y remet également. Elle garde ses yeux fermés. Pipe.
Concentrée sur sa fellation, il n’y a pas le moindre doute, la jeune femme se régale comme je ne l’ai jamais vu se régaler.

Clémentine fait exactement la même chose avec la différence qu’elle se laisse caresser la tête, le visage et vulgairement.
Gérard s’adresse à moi en disant : < Tu as de la chance d’avoir un tel aspirateur. C’est une vraie ventouse. Une salope ! >
J’entends Clémentine glousser en écoutant les éloges du vieux salopard. Juliette suce silencieusement. C’est super bien.
Je demande à Gérard : < Il fat quand même que tu m’expliques. Il paraît que tu n’éjacules jamais, comment tu fais ? >
Gérard éclate de rire avant de me répondre : < Mais si vieux ! Je n’arrête pas. Je me vide perpétuellement les couilles ! >

Le vieux saligaud explique son fonctionnement. Il ne bande plus depuis plus de 20 ans. Par contre il est très « liquide ».
< Mmhhh ! > fait Clémentine pour confirmer les affirmations de Gérard. Juliette reste silencieuse, elle suce concentrée.
Soudain elle cesse pour demander à Clémentine : < Vous voulez qu’on se les permute ? > . < Non ! > lance Clémentine.
Elle prononce ce < non avec une telle conviction que cela me trouble. Je ne cesse de la regarder sucer le vieux saligaud.
Sa bite minuscule, molle et incroyablement juteuse dans la bouche, il lui en coule partout, sur le menton et dans son cou.

J’éjacule dans la bouche de Juliette. Je le fais en sournois, sans prévenir. A ma grande surprise, Juliette continue à sucer.
Pas une seule fois elle n’a ouvert les yeux pour me fixer. Elle rest restée concentrée sur sa sublime fellation. Gourmande.
Par contre, elle croise ses doigts entre les miens comme la femme amoureuse qu’elle est. Et elle les serre plusieurs fois.
Comme si elle voulait me faire comprendre quelque chose. Je comprends parfaitement. Je sais ses sentiments pour moi.
Par contre, Clémentine ne cesse de fixer Gérard. Comme une fille amoureuse. Elle lui fait souvent de doux clins d’œil.

Tout cela m’excite. Surtout que Juliette semble bien partie pour un second tour. Elle cesse de sucer toutes les 5 minutes.
En reposant sa mâchoire, sans ouvrir les yeux, se contentant de passer sa langue le long de ma queue. Une langue douce.
< Tu lui a juté dans la gueule à la patronne ? > me demande Gérard. Je réponds : < Oui, elle semble apprécier à donf ! >
< Cher Julien, nous avons affaire à deux pompeuses de toute première catégorie. La patronne est une vraie bluffeuse ! >
Je suis très gêné par ce discours qui me procure un certain malaise. Je déteste cette forme de vulgarité inutile et gratuite.

Juliette ne cesse plus de serrer ses doigts entre les miens. Parfois avec tant de force. Je suis pétri d’émotion. C’est si bon.
Je la regarde savourer. Lorsqu’elle cesse de pomper pour sucer la peau de mon prépuce. C’est comme pour bien essorer.
Quand Clémentine cesse de bouffer la queue du vieux, il y a carrément de la jute qui gicle. C’est dégueulasse. Du foutre.
< On retourne aux chiottes ma puce ? > demande t-il à Clémentine qui secoue la tête positivement en disant : < Oui ! >
< Viens ! > fait il en saisissant fermement Clémentine par sa tignasse en se levant. Elle se redresse, dégoulinante de jus.

Avant de quitter la pièce, elle me lance ce regard de défi qui me rend fou d’amour et de désir. Je suis seul avec Juliette.
La jeune femme cesse de me sucer. Elle me fixe enfin. Elle dit : < Toi et moi, nous terminerons ensemble. C’est sûr ! >
< Je suis si bien quand tu es près de moi ! >. Je pose ma main sur sa bouche pour répondre : < Stop ! On arrête à ça ! >
Juliette n’insiste pas. A quoi bon, ses certitudes femmes animent tous ses élans passionnés. C’est une pipe amoureuse.
La porte s’ouvre. A nouveau, Clémentine, penchée en avant, tenue fermement par ses cheveux tente de suivre Gérard.

Elle a les larmes aux yeux. Son visage est trempé de pisse. Et il y a du foutre qui colle partout sur le haut de son sweat.
Gérard lui met une gifle en disant : < Tu reviendra sucer ton vieux chéri, ma puce ? >. < Oh oui ! > répond Clémentine.
J’éjacule une seconde fois dans la bouche de Juliette. Cette fois, enfin je l’entends gémir. Elle serre mes doigts très fort.
Clémentine tente de se soustraire à l’étreinte du vieux salaud. Il la tient par la braguette et lui masse la chatte. Salopard.
Je sais ce qui se passe. Comme toujours, après le plaisir avec un autre, elle a envie de s’enfuir. Je me redresse. Parfait.

Clémentine s’arrache des mains baladeuses du vieux saligaud pour venir se serrer contre moi. Juliette comprend aussi.
Gérard remonte son slip et son pantalon. Il se jette dans le canapé. < Tu étais géniale ma puce ! > dit il à Clémentine.
Juliette nous raccompagne jusqu’à la voiture. Clémentine, la tête couverte de son bonnet, qui grelotte sous son écharpe.
< Nous sommes quittes ! > me fait Juliette en me serrant la main. Je lui fais un clin d’œil. Nous entrons dans la voiture.
Il est presque 23 h quand nous sommes au lit. < C’était merveilleux ! > me confie Clémentine. Je réponds : < Oh oui ! >

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver dans des plans bien glauque avec de vieux pervers vicieux...

Julien - (Qui a vécu ce soir des émotions particulières. Les sentiments de Juliette sont à présent révélés et bien clairs) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1038 -



Estelle veut goûter à nouveau à la queue de Gérard

Hier matin, samedi, je suis réveillé par plein de bisous sur les joues, le front, le nez. J'ouvre les yeux. L'émotion pure.
Au dessus du mien, le visage bienveillant de Clémentine qui ne supporte pas d'être réveillée sans que je le sois aussi.
Je la serre contre moi. C'est tellement adorable. Elle me chevauche en riant. Il est 8 h. Le jour se lève à peine. Triste.
Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Cuisine.
Nous y préparons un solide petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de la matinée.

Il faudra faire les courses. Les rituels du marché au bourg voisin et du supermarché dans la zone commerciale voisine.
Nous ne traînons pas. La vaisselle. Le sol détrempé n'invite pas au running. Aussi nous remontons nous entraîner. Dur.
Jogging sur tapis roulants devant un de nos films ramenés d'Ecosse. Charges additionnelles, abdos et stretching. Bien.
La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux sous nos gros pulls. Bottines. Nos écharpes et nos gants.
Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette toute en évoquant notre soirée de hier chez Juliette.

< Merci Julien de me permettre de vivre toutes ces expériences, toutes ces émotions ! Je t'aime ! > me dit Clémentine.
Elle fait évidemment allusion à la pipe qu'elle a taillé à Gérard, hier soir, pendant que Juliette me faisait pareil. Super.
Nous en rions de bon cœur. Je gare la voiture. Malgré le froid qui est de retour, il y a du monde pour faire son marché.
Nous faisons provisions de fruits et de légumes chez nos petits producteurs locaux. Principalement des produits "Bio".
Nous faisons provisions de nos fromages, de beurre, d'œufs, de yaourts, de crème fraîche chez notre artisan fromager.

Emmitouflés dans nos anoraks, nous ne traînons pas. Les produits frais dans la glacière. En route pour le supermarché.
Quinze kilomètres ou je raconte la pipe que ma fait Juliette, la manifestation des sentiments de la jeune femme. Super.
Clémentine joue avec ma queue. Les sentiments de Juliette pour ma personne n'inquiètent plus trop Clémentine. Bien.
J'aime Clémentine. C'est la fille qui partage ma vie. Je n'ai aucune envie de remettre ces certitudes en question. Parfait.
Je gare la voiture sur le parking. Je pousse le caddie. Clémentine, la liste des courses en main, nous entraîne. Des gens.

Il y a toujours du monde le samedi matin. Surtout à la mauvaise saison. Il est hors de question de s'accorder des plans.
Malgré tout, par habitude, par réflexe, pour ce rituel supplémentaire, Clémentine nous entraîne au rayon des bouquins.
Il n'y a évidemment aucune réelle opportunité d'exhibe. Même en rusant. Ce matin, il n'y a pas d'homme seul qui rôde.
Il faut donc se faire une raison. Même visite au rayon des vêtements homme. Le même constat. Une impossibilité totale.
Il serait vain de tourner en ridicule des situations excitantes. Il y a bien trop de clients. Surtout des familles de Simpson.

Comme d'habitude nous terminons nos courses par le rayon poissonnerie avant de patienter en caisse. Il en faut. Dur.
Ce matin, aucun visage connu. Nous flânons encore un peu dans la galerie commerciale. Toutes les boutiques soldent.
Nous avons déjà tout ce qu'il nous faut, tout ce que nous aimons, en double. < Et même des bites ! > fait Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Nous découvrons les menus proposés par la cafétéria. < On rentre ! > me fait Clémentine.
Avec toute cette affluence, nous n'avons pas envie de manger ici. Nous retournons à l'auto. Et en route pour la maison.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite qu'elle suçote parfois quelques instants. Recueillir le liquide séminal.
Je m'arrête sur le bord de la petite route déserte. Nous sommes là à quelques centaines de mètres de l'entrée du haras.
J'appuie sur la nuque à Clémentine pour lui enfoncer toute la bite dans la bouche. Je l'entends glousser de plaisir. Joie.
Clémentine apprécie tant mes trop rares initiatives. Là je me comporte comme elle aime. Je la fais sucer en vrai salaud.
Je la tire par ses cheveux noués en queue. < Tu devrais faire ça plus souvent ! J'adore ! > me fait elle en déglutissant.

Je redémarre. Nous passons lentement devant les bâtiments du haras. Il y a déjà plein de bagnoles garées dans la cour.
Il est presque 12 h30 quand nous arrivons à la maison. Nous rangeons nos courses. Nous montons nous changer. Bien.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais le bouillon pour les moules. Et les haricots verts encore congelés dans le Wok.
Nous mangeons de bon appétit tout en dissertant sur nos projets à venir. Mardi soir, Clémentine va jouer à la serveuse.
Elle se réjouie. Un de ces prochains mercredis soirs, elle va baiser avec le parrain d'Estelle. Nous retournerons au haras.

De quoi se réjouir pour de nouvelles frasques. Nous traînons à table. Clémentine revient sur le goût de la bite à Gérard.
Hier soir, elle prétend avoir "picolé" comme rarement. < Je suis amoureuse de la bite de ce mec ! > précise t-elle. Rire.
Je lui propose de retourner le sucer le plus tôt possible. Je dis : < Tu as son numéro ! Contacte le ! C'est si simple ! >
Clémentine s'y refuse. Elle fait à chaque fois : < Si je le contacte, après, il a mon numéro aussi. Et ça, pas question ! >
Je comprends. C'est toujours Clémentine qui décide. Assise sur mes genoux elle me confie son ravissement. Les bites.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. C'est si drôle.
Clémentine imite une fellation en faisant une bosse à l'intérieur de sa joue, de la mousse aux coins des lèvres. Parfaite.
Je demande : < Tu suces la bite à qui ? >. Avec difficulté, faisant attention de ne pas avaler, elle dit : < Mr Gérard ! >
Nous nous rinçons la bouche en rigolant comme des bossus. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me pousse.
Je tombe sur le lit. Elle s'allonge à côté de moi. Elle me sort la queue, sa tête posée sur mon ventre. Elle suce direct.

Je la tiens par la nuque. Parfois, en sournois, j'appuie pour lui enfoncer plus de queue dans la gueule. Elle en glousse.
Je me comporte en vrai salaud. Je me lève. Je la tiens par les cheveux. Je la fais sucer dans toutes les positions. Dur.
Je tente les choses les plus ardues. Avec toute la vulgarité possible. Tout ce qui comble d'aise Clémentine qui adore ça.
La gueule pleine de foutre, les larmes aux yeux, je la regarde. Nous sommes assis en tailleur et l'un en face de l'autre.
< J'ai besoin de ce traitement. Tu serais d'accord que je me fasse dresser un de ces soirs par Gérard ? > me fait elle.

Je l'y encourage vivement. < Je t'aime Julien. Tu me comprends si bien ! > fait elle en s'essuyant la bouche et les yeux.
Elle rajoute : < Tu n'es pas jaloux ? Ma bite préférée est celle de ce vieux pervers ! Je l'aime trop ! Elle est si bonne ! >
Nous en rions de bon cœur. J'ai la queue qui dégouline. Je saisis Clémentine par sa tignasse pour la faire sucer encore.
Je la lui retire. Je la force à se lever. Nous prenons la pose devant le miroir de l'armoire. Je la tiens par la nuque. Ferme.
Je dis : < Regarde un peu cette gueule de salope que tu te traîne. Comment veux-tu qu'on ait pas envie de te sauter ! >

< Je sais ! Je vis avec depuis plus de 15 ans ! > me répond t-elle en s'accroupissant, sa tête contre ma cuisse. Si belle.
Je m'accroupis à ses côtés. Nous nous embrassons comme des fous en tombant sur le sol. Je suis amoureux. Elle aussi.
Nous sommes éperdument épris l'un de l'autre. Nous faisons l'amour en rugissant de plaisir. En criant des < Je t'aime >
Nous n'allons pas jusqu'à l'orgasme. Nous aimons rester excités pour le reste de la journée. Estelle nous rejoint ce soir.
Il est 15 h30. Les yeux cernés, nous dévalons les escaliers pour nous rendre dans l'atelier. Dehors, le temps menaçant.

Clémentine est assise devant son ordinateur. Je suis assis devant mon chevalet. Nous voilà abstraits dans nos travaux.
Parfois, l'un se lève pour rejoindre l'autre. Lui chuchoter des douceurs, des cochonneries et lui faire quantité de bisous.
Il est 17 h quand Estelle arrive. Elle semble folle de joie. Elle fait la bise à Clémentine avant de se précipiter vers moi.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte sa soirée de hier à bosser et sa journée pareille.
Nous lui racontons notre soirée de hier. < Génial ! > fait Estelle à chaque détail "croustillant". Et je lui raconte Juliette.

< Cette femme est amoureuse de toi Julien ! Méfie toi ! > fait Estelle à plusieurs reprises. Clémentine la rassure. Rires.
Les filles sont installées devant l'ordinateur à comparer leurs travaux respectifs. Je peins dans l'insouciance amoureuse.
Mes deux anges sont là, dans la même pièce. Je suis empli d'un sentiment d'absolu. C'est hautement inspirant. Fameux.
Il est 18 h30 quand les premiers phénomènes paranormaux se font entendre au-dessus de nos têtes. Voilà le fantôme.
Cela dure une dizaine de minutes pendant lesquelles nous rangeons nos affaires. Nous voilà assis devant la cheminée.

Les filles sont allongées sur le tapis, leurs têtes sur mes cuisses. Je leurs caresse les cheveux. Elles évoquent les cours.
Clémentine en revient à la bite de Mr Gérard. Elles comparent toutes les deux leurs expériences. Car Estelle l'a pompé.
Elle était d'ailleurs la première à y goûter il y a plus de deux ans, dans les écuries, par le trou dans le mur. Nous rions.
< J'y retournerai bien ! > fait Estelle. < On se fait une soirée "trou dans le mur" un de ces jours ? > lance Clémentine.
< Wouah j'en ai trop envie ! > s'écrie Estelle. Je propose d'arranger ce plan avec Juliette pour un de ces samedis soirs.

Il est 19 h. Morts de faim, nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Nous épluchons les patates, carottes et navets.
Le céleri, l'ail, l'oignon que nous coupons en petits morceaux. Assis tous les trois à évoquer notre nouveau projet trou.
Estelle s'occupe de la préparation de la potée de légumes. Nous en faisons en grande quantité. Pour demain midi, soir.
Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Je pane trois filets de cabillaud que je fais revenir à feux doux et à la poêle.
Nous mangeons de bon appétit. Nous mettons au point le programme de mardi soir. Clémentine va jouer à la serveuse.

Elle doit être sur place pour 18 h30. Préparer les tables avec Julie. Avec Estelle, nous ferons les "clients" en observant.
C'est un projet hautement réjouissant. Nous ne savons absolument pas ce qui va encore se passer. Et nous spéculons.
< Nous sommes en pleine fiction ! > fait souvent Estelle quand nos délires vont vers l'absurde. Mais c'est très excitant.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, les filles parlent du goût particulier de la bite à Gérard. Encore lui. Rires.
Estelle confie son désir d'y goûter à nouveau. Principalement à cause des descriptions gustatives qu'en fait Clémentine.

Nous en rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les fille m'entraînent au salon. Le canapé.
Nous nous regardons tous les trois. Nous éclatons de rire. Nous sommes télépathes. Les filles retirent leurs vêtements.
Vautrées dans le canapé, une fois de plus à me présenter leurs chattes velues, humides et tellement invitantes. Super.
Des chattes poilues, ténébreuses, maculées de mouille crémeuse, constituent toujours une sorte de mystère pour moi.
Me voilà à genoux sur un des coussins. Nous sommes tous les trois en chemises et en chaussettes. Je me bouffe le jus.

Tout en se faisant lécher et sucer le clitoris, les filles échangent leurs impressions quand aux bites déjà goûté. Il y en a.
Clémentine en a déjà sucé pas mal. A cause de moi. Estelle a été beaucoup plus raisonnable. A peine six. Nous rigolons.
Estelle est la première à m'attirer sur elle. Je la pénètre avec délicatesse. Puis c'est au tour de Clémentine. Une passion.
Tout en se faisant lécher, tout en se faisant baiser, les filles ne cessent de se masturber. Un concert de gémissements.
La bite à Gérard anime les conversations des deux coquines. J'écoute, amusé et plutôt actif. Il me vient une idée folle.

Je me retire d'Estelle. Je sors mon doigt du sexe de Clémentine.Je vais au bureau. Là je compose le numéro à Juliette.
Clémentine et Estelle, sans cesser de se branler, me regardent avec de grands yeux. J'attends. Plus de dix sonneries.
Enfin la voix de Juliette qui m'apprend qu'elle est en baise avec Pierre, le mari de Mme Walter entrain de sucer Gérard.
J'ai mis le téléphone en mode "haut-parleur". Clémentine et Estelle peuvent écouter, étouffant les rires de leurs mains.
Je lui raconte ce qui se passe ici. < Bienvenue au "Club" ! > lance Juliette. Je lui propose de nous faire un plan "trou".

Je précise : < Pour demain, en fin d'après-midi ! >. Juliette reste silencieuse. Complètement consternée par mon appel.
J'insiste. < Je vais voir. Il y a une animation au haras demain et il y a beaucoup de monde. Ce sera difficile ! > fait elle.
Inutile d'insister. Ce sera impossible. Juliette me précise tout de même : < Je vous appelle s'il y a un bon plan ! OK ? >
Je raccroche. < T'es fou ? > me fait Estelle qui m'attire sur elle. < Génial ! > fait Clémentine qui reprend sa branlette.
L'orgasme d'Estelle est un véritable festival de cris. Elle se tourne sur le côté, mains entre les cuisses, comme blessée.

L'orgasme de Clémentine est nucléaire. On a prévu le coup. Il y a la cuvette en plastique. Elle peut y pisser en hurlant.
Estelle revient doucement. Nous reprenons nos esprits en restant serrés forts. Je suis entre les filles qui me caressent.
Il est presque 22 h45. Nous sommes épuisés. < On te suce au lit, tu veux ? > chuchote Estelle, amoureuse, comblée.
Nous montons à toute vitesse en laissant nos fringues n'importe comment, épars dans le salon. Le rituel des pissous.
Au lit, bien trop fatiguée, Estelle plonge la première. Je propose de remettre ma pipe à demain. Clémentine s'endort.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à s'enivrer de vertigineux orgasmes chez leur couple d'amis préféré...

Julien - (Qui s'endort entre Clémentine à gauche et Estelle à droite avec la bite congestionnée, presque douloureuse) -

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Un dimanche soir bien pisseux

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par les mouvements lents que fait Estelle serrée contre moi, dans son sommeil.
Elle reste blottie contre moi toute la nuit. Je lui dépose des bisous sur les joues. Cela la réveille ainsi que Clémentine.
Je suis entre les filles qui se mettent à me faire des bises en rafales tout en me chuchotant des douceurs. Tendresse.
Je les serre encore plus fort contre moi. Nous sommes tellement contents de nous réveiller ensemble les dimanches.
Estelle, n'en pouvant plus, se lève la première en s'écriant : < Pipi ! >. Elle se précipite aux toilettes et sans s'habiller.

Clémentine me chevauche en riant. < Je t'aime ! > me chuchote t-elle en mitraille d'une oreille à l'autre. Des bisous.
Estelle revient, met son pyjama mauve en disant : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. Nous allons aux WC.
Nous mettons nos jeans et chemises à carreaux et nous dévalons les escaliers pressés de rejoindre Estelle à la cuisine.
Cette odeur où se mêlent café, pain grillé et brioche participe d'un bonheur fou. Il est 8 h30. Dehors il fait gris, moche.
Nous mangeons de bon appétit en faisant un très vague programme de la journée. Le dimanche c'est l'improvisation.

Pas de gym, pas de jogging, pas d'entraînement. Le seul impératif que nous nous fixons est de procéder au "ménage".
Estelle se propose de passer l'aspirateur partout. Clémentine se consacre à notre chambre, je passe la serpillère. Bien.
Nous traînons à table. < Peut-être que Juliette nous prépare un plan Gérard pour ce soir ! > lance Estelle, la coquine.
< Ce serait sympa ! > fait Clémentine en s'asseyant sur mes genoux rapidement rejointe par Estelle. Nous bavardons.
C'est vrai que cette éventualité aurait de quoi nous ravir. Surtout les filles. Tailler une pipe à ce vieux salaud, à deux.

La vaisselle. Clémentine monte s'occuper de la chambre. Je nettoie la cuisine. J'entends Estelle chanter depuis le salon.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. J'oublie le piège. Rire.
Estelle, complètement nue, assise sur la seconde marche de l'escalier, cuisses largement écartées qui fait barrage. Bien.
< On ne passe pas sans tirer son coup ! > fait Estelle en me faisant signe de l'index de la rejoindre, montrant son sexe.
C'est un de nos rituels du dimanche matin. Je m'approche. Elle me tend les mains. Je l'entraîne dans le salon. Et rapide.

Je la soulève pour la déposer sur le bureau. Je frotte mon sexe contre le sien et j'en introduis délicatement l'extrémité.
Elle passe ses bras autour de mon cou pour s'enfiler presque toute la bite d'un coup de reins. Je la soulève. Une balade.
< Regardez moi ces deux vicieux ! Derrière mon dos ! > fait Clémentine, debout dans l'encadrement de la porte. Génial.
Sa main dans son jeans déboutonné elle nous observe en se touchant. Certainement depuis un moment. Estelle qui rit.
Je reviens la déposer sur le bureau. Je me retire délicatement. < Non ! > s'écrie Estelle qui veut me retenir. Nous rions.

Je dis : < Voilà ta punition ! >. Clémentine vient s'accroupir pour me sucer un instant en disant : < Et ma punition ? >
Je la force à se relever. Je fais : < Terminons le ménage. Nous aurons tout le reste de la journée pour les punitions ! >
Estelle met sa culotte. Nous montons tous les trois à toute vitesse. Clémentine m'aide à nettoyer la salle de bain. Bises.
Nous entendons Estelle, qui s'est habillée, chanter en passant l'aspirateur. Ce sont les émotions des dimanches matins.
< J'aime te voir baiser avec Estelle comme tu aimes me regarder sucer un autre ! > me dit une fois encore Clémentine.

Nous en rions de bon cœur en fourrant nos mains dans la culotte de l'autre. Clémentine descend avec le panier à linge.
Je nettoie les chiottes de l'étage. Une fois encore, sur la pointe des pieds, dans le silence, Estelle vient me rejoindre là.
Elle se frotte contre moi, collée dans mon dos. Je tire la chasse. Je me tourne. Nous nous embrassons comme des fous.
Cambrée sur ses genoux fléchis, Estelle frotte son sexe contre le mien en disant : < Tu as fait de moi une obsédée ! >.
Je réponds : < Avais tu vraiment besoin de moi ? >. Estelle se blottie, chuchotant : < Je t'aime. Tu es mon vicieux ! >

Je l'entraîne par la main. Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cave pour rejoindre Clémentine à la buanderie. Le linge.
Nous aidons à trier les couleurs. Les filles évoquent leurs études. Estelle nous laisse pour monter préparer le repas. 11 h.
Clémentine se frotte contre moi lorsque je lui raconte l'attitude d'Estelle. < Comme ça qu'elle se frotte ? > fait elle. Rire.
Nous vidons la première machine. Nous suspendons les draps. Nous n'arrêtons pas de nous caresser, de faire des bises.
< Si seulement Juliette pouvait nous faire un plan Gérard, ce soir ! > me confie une nouvelle fois Clémentine. J'écoute.

Nous montons rejoindre Estelle à la cuisine. Je dis : < J'aimerai beaucoup que tu ais ta friandise du dimanche soir ! >
Clémentine glisse sa main dans ma braguette pour murmurer : < J'ai déjà celle-là et de quoi me régaler au cas où ! >
La table est mise. Le feuilleté de saumon est au four. Estelle est entrain de touiller la potée de légumes dans la cocotte.
Nous sommes morts de faim. Il est midi trente. La sonnerie du four. Ouf. Il était temps. Nous mangeons de bon appétit.
Avec cette météo sinistre, ce ciel gris mais pas menaçant, Clémentine propose une randonnée cet après-midi. Superbe.

Nous applaudissons cette suggestion. Nous traînons à table. Les filles font une réelle fixation sur la bite à Gérard. Rire.
Assises sur mes genoux, elles confient leurs désirs de sucer ce mec le plus tôt possible. Je lance : < On téléphone ? >
< Non ! On ne va pas faire chier Juliette. Elle a l'animation du haras. Et bien d'autres choses à penser ! > fait Estelle.
Nous abondons dans ce sens. < Laissons les choses se faire ! > conclue Clémentine. C'est la sagesse même. Tranquille.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. C'est si drôle.

Nous dévalons les escaliers. Nous sommes pressés d'aller nous dégourdir les jambes. Il faut s'habiller chaudement. 2°.
Anoraks fermés, gants, bonnets et écharpes, nous voilà à descendre vers la rivière. Les filles me tiennent par les bras.
Il fait froid. Mais la sortie en vaut la peine. Nous longeons la rivière en parlant de nos frasques. Les films déjà réalisés.
< Huit ! > précise Estelle. < A quand le prochain ? > demande Clémentine. < J'y réfléchie ! > lance Estelle. Nous rions.
Nous arrivons en vue des bâtiments du haras. Il y a plein de voitures garées. Cette animation connaît un franc succès.

Il semble très peu probable que Juliette puisse nous proposer un plan Gérard. Et avec ce monde, cela paraît impossible.
< Snif ! > fait Estelle en me palpant la queue sous l'anorak fermé. < Notre "Plan" B > fait Clémentine en faisant pareil.
Nous en rions de bon cœur. Nous longeons le ruisseau. J'ai souvent les mains dans les culottes des filles. Elles palpent.
Nous croisons quelques rares promeneurs. Nous faisons la boucle des trois heures pour revenir au haras. Et déjà 17 h.
La nuit ne va pas tarder. Il y a un monde fou. Les propriétaires de chevaux, leurs filles qui montent. Quelques garçons.

Nous montons les gradins dans l'immense bâtiment du manège. C'est bondé. Ce sont des sauts d'obstacles. Superbes.
Il est évident qu'il ne pourra y avoir aucune opportunité ce soir. Juliette nous aperçoit et elle nous fait un grand coucou.
Accaparée et sollicitée de toutes parts, elle n'a pas la possibilité de nous rejoindre. Là-bas, il y a Gérard avec des gens.
Kim Son et Eveline, les deux palefreniers s'occupent de ramener les montures qui ont participé à l'animation. Du boulot.
Il semble certain que tout plan pipe est à exclure. Nous avons nos lampes de poche. Nous préférons rentrer. Déjà 18 h.

C'est Estelle qui nous éclaire. Elle tient la lampe d'une main, la mienne de l'autre. Clémentine serrée contre moi. Fort.
Il est 18 h45 quand nous sommes de retour. Morts de faim. La fraîcheur du soir est vive. Malgré les bonnets, ça pique.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare une belle omelette aux champignons. Je réchauffe le reste de Potée.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Nous réglons nos pendules pour mardi soir. Le projet serveuse.
Il faudra être au restaurant de l'étang pour 18 h30. Aider Julie à la mise en place des tables. Estelle et moi serons là.

La seule certitude est cette réservation d'une table de huit personnes. Des commerciaux de Paris en visite en province.
Estelle et moi nous serons attablés. Comme des clients normaux. Voyeurs privilégiés. Complices. De quoi nous réjouir.
Ce projet nous excite. Même s'il ne se passe rien, il y a quelques possibilités pour Clémentine de s'amuser. Au sous sol.
Je dis à Clémentine : < Tu auras peut-être un nouvel inconnu à goûter aux toilettes ! >. Nous rions de bon cœur. Joie.
Clémentine précise : < On recharge bien nos smartphones. Comme ça on garde l'image et le contact ! >. C'est superbe.

Estelle et Clémentine, assises sur mes genoux, font des plans sur la comète. < On nage en pleine fiction ! > fait Estelle.
C'est vrai que cette nouvelle expérience, si elle s'avère riche d'évènements imprévus, risque d'être un grand moment.
Il est donc préférable de ne pas faire de plan sur la comète et de se contenter de savoir saisir les opportunités. Superbe.
< Je vais me surpasser à la moindre occasion ! > fait Clémentine. < Je te rejoins aux chiottes avec Julien ! > dit Estelle.
Je précise : < Et avec Julie ! >. Nous en rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. C'est bien.

Les filles m'entraînent au salon. < Il nous faut de l'entraînement ! > fait Estelle qui m'attire devant elle, accroupie. Rire.
Clémentine s'assoit dans le fauteuil. Sa main dans son jeans déboutonné. C'est le signal. Clémentine veut se rincer l'œil.
Je frotte ma bite sur le visage d'Estelle. Doucement. Avec délicatesse. Mais avec vulgarité aussi. Elle en gémit de plaisir.
Elle tente d'en gober l'extrémité. Et à peine a t-elle tété la peau fripée de mon prépuce que je le lui retire de la bouche.
Ce jeu plaît beaucoup à Clémentine qui se masturbe en nous observant. Je tiens Estelle par les oreilles pour la contrôler.

Je peux ainsi la guider, l'orienter. Elle se laisse faire en frissonnant de plaisir. Je la laisse sucer un peu. Je la retire. Joie.
A chaque fois que je la retire de la bouche d'Estelle, j'agite ma queue en direction de Clémentine. Toutes les 2 minutes.
Cela permet à Estelle de laisser reposer sa mâchoire, de tenter de déglutir la jute épaisse et visqueuse. Elle en demande.
Je force Estelle à se redresser. Elle est à genoux sur un des coussins. Je la fais s'assoir sur le bord du canapé. Pratique.
Là, elle est bien plus à l'aise pour se livrer à ce dont elle raffole. Je les entends gémir toutes les deux. Clémentine fort.

Estelle aussi a glissé une main dans son jeans déboutonné. Ce soir, c'est la pipe qu'elle désire. Rien d'autre. Réjouissant.
A force d'évoquer l'éventualité de sucer le vieux salaud de Gérard, les filles ont développé l'envie folle de faire une pipe.
J'agite souvent ma queue en direction de Clémentine qui se masturbe en haletant. Et elle ouvre à chaque fois la bouche.
Je la fourre rapidement dans la bouche assoiffée et gourmande d'Estelle qui n'a aucune envie de partager ce soir. Bouffe.
Je lui éjacule dans la bouche. Sournois, sans bouger. Rien ne le laisse prévoir à part peut-être l'abondance subite de jus.

Je la laisse déglutir. Je la saisis par sa tignasse pour l'entraîner aux chiottes. Clémentine se lève pour nous suivre. Vite.
Je force Estelle à s'accroupir. Elle tente de me repousser. Elle comprend ce que je veux lui faire. Je la tiens fermement.
Je lui frotte la bite sur la gueule. Je l'enfonce de force dans sa bouche. Je la maintiens avec force par les cheveux. Fort.
Je lui pisse dans la bouche. Juste un jet. Elle tente de se soustraire à mon étreinte en saisissant mes poignets. Très fort.
Clémentine, à genoux, son visage tout près, se masturbe en regardant. De la pisse qui gicle de la bouche d'Estelle. Dur.

Je la tiens fermement. Elle est obligée de déglutir ce qu'elle ne peut pas laisser couler de sa bouche pleine de ma bite.
Clémentine vient positionner son visage à côté de celui d'Estelle. Là je comprends. Je lui mets la queue dans la bouche.
Je lui lâche quelques petits jets que je contrôle parfaitement. Estelle reste prudemment à l'écart. Je la retiens toujours.
Elle lutte à chaque fois que je veux lui fourrer la queue dans la bouche. Clémentine se met à sucer. Elle a un orgasme.
Je sors ma bite pour la tendre à Estelle en disant : < Sperme ! >. Elle se précipite. Je lui éjacule dans la bouche. Joie.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver au WC avec un pisseur juteux et bien vicelard...

Julien - (Qui écoute les dernières révélations de Clémentine au lit. Elle adore mes comportements bien dégueulasses)-

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Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1040 -



Les dernières recommandations de Julie

Hier matin, Lundi, c'est la Symphonie du Nouveau Monde de Dvorak qui nous tire avec cruauté du sommeil. Difficile.
< L'enculé ! > s'écrie Clémentine s'allongeant sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Quelques papouilles. Il est 5 h55. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport, nous descendons.
Nous préparons notre petit déjeuner. Le lundi, il reste de la brioche et nous mangeons de bon appétit en bavardant.
Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles. Abdos. L'intensité.

La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint bien chaudement vêtue. Le froid.
Il est 7 h45. Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin dans le jour naissant. Un coucou.
Je rentre. Je fais le lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Ça chauffe très vite.
Assis devant mon chevalet, je prépare ma palette en chantant "Le pornographe" de Georges Brassens. Il est 8 h15.
Je peins dans une sorte d'extase mystique qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Etonnant et fantastique.

La peinture de cette douzième toile destinée à ma saison d'été est un enchantement de chaque instant. Je le savoure.
Lorsqu'un coup de pinceau est plus sublime que le précédent, mon cri est plus majestueux encore. Si belle résonance.
Je me lève alors pour entamer la danse du guerrier Sioux autour du chevalet, tomber à genoux pour biser mes mains.
Comme toujours, quand je me livre ainsi corps et âme à ma passion dévorante je ne vois pas les heures passer vite.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans notre cheminée. Je vais à la cuisine. J'y évide six grosses tomates.

Je fais revenir à la poêle le pavé de saumon finement émincé. J'y rajoute champignons, ail, oignons et la ciboulette.
Juste avant de farcir les tomates, je rajoute de la levure diététique avec de la biscotte pilée. Je rempli avec la cuillère.
J'égoutte les coquillettes que je verse dans un plat en terre cuite. Je dépose une couche de gruyère finement râpée.
Le mélange œuf, crème fraîche, graines de sésame grillé. Le tout au four. Les tomates en haut et coquillettes en bas.
Je me suis gardé un peu de garniture qui accompagne les coquillettes restantes. Je mange de bon appétit. C'est bon.

La vaisselle. Je range la cuisine. Depuis le four l'odeur est prometteuse. J'enfile mon anorak pour faire un tour dehors.
Il fait froid. C'est de saison. Le thermomètre extérieur peine à monter jusqu'à 4°. Je fais le tour de la propriété. Super.
Il est 13 h15. Me voilà à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Animé des mêmes pulsions créatrices.
Il est 16 h30. Clémentine entre dans l'atelier à toute vitesse. < Je t'aime ! > s'écrie t-elle et en se précipitant vers moi.
J'anticipe toujours. Juste avant, je pose ma palette et mes pinceaux sur la petite desserte à ma droite. Juste à temps !

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Anecdotes amusantes. Drôles.
Le menu du jour au restaurant universitaire avec Estelle. 45 minutes d'un repos bien mérité entre deux cours intenses.
Clémentine a encore du travail. Elle est rapidement installée devant son ordinateur à mettre ses notes au propre. Bien.
Clémentine a le même réflexe. Sortant d'une concentration, elle pousse le même cri que moi. C'est l'imitation parfaite.
Nous en rions de bon cœur avant de nous rejoindre pour nous faire plein de bisous. < Stop ! > s'écrie Clémentine. Fin.

Il est presque 18 h30. Encore une de nos journées bien remplies qui arrive à son terme. A l'étage, un gros bruit sourd.
Le fantôme de mon ancienne compagne est ponctuel. Ce sont dix minutes de claquements de portes, de bruits de pas.
Même si nous en avons l'habitude, partager son habitat avec une entité de l'autre monde, reste impressionnant. Secret.
< L'habitat rural plutôt que la bite à Urbain ! > fait Clémentine qui m'entraîne sur l'épais tapis, devant notre cheminée.
Allongée, sa tête sur ma cuisse, Clémentine me confie à quel point elle est impatiente de vivre l'expérience "serveuse".

Je lui caresse la tête en écoutant ses confidences. Elle s'est encore masturbée dans la voiture sur le chemin du retour.
< Malgré mes "petits machins" de filles ! > fait elle. Nous sommes le 20 du mois. Clémentine est parfaitement réglée.
Il est presque 19 h. Nous quittons l'atelier pour aller au salon où nous préparons la table. Julie qui arrive pour 19 h30.
Nous déroulons le chemin de table en lin. Nous déposons les assiettes en grès, les couverts en laiton, les verres fumés.
Clémentine fait de beaux nœuds savants dans les serviettes. C'est de toute beauté. Elle allume les trois belles bougies.

Nous allons en cuisine. Les gratins réchauffent à feux doux. L'odeur achève de nous faire mourir de faim. Prometteuse.
Nous préparons l'assaisonnement de la salade d'endives. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous, de nous toucher.
< Soit le plus salaud de tous les salauds ce soir car Julie en a sans doute autant besoin que moi ! > me dit Clémentine.
Je sors ma bite en même temps que ne résonnent les trois coups de sonnette. Clémentine se précipite pour aller ouvrir.
Julie qui a retiré son anorak, se précipite à la cuisine. Visiblement impatiente de se retrouver avec nous. C'est superbe.

Elle me tend la main. Comme à chaque fois, la jeune étudiante fait mine de ne pas avoir remarqué ma queue qui pend.
Je propose aux filles de prendre place à table. J'assure le service. < Le Vice ? > me lance Julie d'un air innocent. Rires.
J'agite ma bite qu'elle fait semblant de découvrir. < J'adore ! > rajoute t-elle en insistant pour faire le service avec moi.
La sonnerie du four. Les filles découvrent les plats. < Wouah ! > s'écrie Julie. < Génial ! > rajoute Clémentine. Superbe.
Nous prenons chacun un plat pour nous rendre au salon. Le repas est un délice. Nous mangeons de bon appétit. Miam.

Après avoir survolé rapidement leurs études, les filles évoquent l'expérience "serveuse" de Clémentine. Et demain soir.
Clémentine assure avoir déjà préparé sa tenue. Bas noirs. Jupe courte, noire et plissée. Chemisier blanc. Souliers noirs.
< Je te donnerai un petit tablier en dentelle quand tu arriveras ! > précise Julie. Nous sommes impatients de vivre cela.
La conversation est donc plutôt fébrile, pleine d'amusantes anecdotes biens vicieuses déjà vécues par Julie aux toilettes.
Car c'est aux toilettes du restaurant de sa tante, en sous-sol, que se déroulent les plans les plus fameux. C'est sublime.

Je me lève à plusieurs reprises. J'agite ma queue en direction des filles. Cette conversation est excitante et bandante.
Je dis : < Demain soir, comme je ne serai que "client" avec Estelle, je descendrai souvent aux chiottes pour mâter ! >
< S'il y a de quoi mâter ! Il n'y a qu'une seule réservation. Ce qui signifie un total de quatre, cinq tables maximum ! >
Julie connaît bien son boulot de serveuse. Anne-Marie, sa tante, dans la complicité, fera comme si elle ne savait rien.
Cette situation, délicieusement vicelarde, nous enchante. Nous serons trois dans le secret. Anne-Marie, Estelle et moi.

Quand je ne suis pas entrain d'agiter ma bite, debout, devant les filles, je me branle sous la table. Conversation géniale.
Je débarrasse. Seul à la cuisine, j'entends les filles parler et rire au salon. Je prépare les coupes glacées. Vanille, pralin.
Julie vient me rejoindre. < Je vous aide ! > fait elle en déposant les coupes sur le plateau. Clémentine qui nous observe.
Debout dans l'encadrement de la porte, elle me fait un clin d'œil. < Tu vas pisser avant ou après le dessert ? > fait elle.
< Oh, avant et après ! > répond Julie. Décidément, les choses évoluent très vite dans la psyché de cette fille de 20 ans.

Etonné, je dis : < J'y vais déjà une première fois ! >. Julie pose le plateau sur la table du salon et dit : < Je viens ! >
Je suis debout devant la cuvette de faïence. Julie à ma gauche, Clémentine à ma droite qui me tient la bite bien raide.
Impossible de pisser avec une telle érection. < Dommage ! Seconde tentative après le dessert ! > me dit Julie en riant.
Quelle étonnante jeune fille. Elle me saisit la queue pour m'entraîner hors des toilettes. Elle la lâche toutefois très vite.
Comme si sa main brûlait. Nous savourons nos coupes glacées tout en bavardant. Julie se sent si bien avec nous. Bien.

Nous nous connaissons quand même depuis plus de deux ans. Nos habitudes se sont ancrées et devenues des rituels.
Nos réflexes se sont accordés. Ce sont les plus merveilleuses complicités entre des filles et un homme. C'est sublime.
Je retourne aux toilettes. < Cette fois, c'est la bonne ? > demande Julie, penchée en avant sur ma gauche pour mâter.
Clémentine me tient la bite pour en diriger les nombreux petits jets que je contrôle à présent très bien. Je bande mou.
Je dis : < Julie, et cette pipe que tu voudrais me faire depuis si longtemps ? >. Julie se redresse et fait : < Trop tôt ! >

Clémentine lance : < Ça fait tout de même deux ans que c'est trop tôt ! >. Nous en rigolons comme des bossus. Joie.
Julie réponds : < Il faut du cran pour sucer un tel pervers ! Et vous êtes l'homme le plus vicelard que je connaisse ! >
Je fais : < Et tu m'en vois flatté, chère petite vicieuse. Douce petite perverse ! >. Julie me dit : < Merci monsieur ! >
Je ne suis pas au bout de ma surprise. Elle s'empare carrément du Zob que lui tend Clémentine. Elle s'en empare fort.
Elle guide la dernière giclée. Pour la faire jaillir, je contracte mes muscles fessiers. Un à coup dans mon sexe qui durcit.

< C'est génial ! J'adore. Vous êtes le seul homme à qui je fais ce genre de chose. Mais j'ai souvent envie ! > fait Julie.
< Quand tu descends aux chiottes du restaurant pour voir les mecs pisser ? > lui demande Clémentine. Le long silence.
< Oui ! > finit par dire Julie. Elle me lâche la queue comme si elle venait de se brûler. Fausse pudeur de jeune coquine.
Elle sort des toilettes comme soulagée. Nous comprenons qu'elle vient encore de remporter une victoire sur elle même.
Il est 22 h. Nous raccompagnons Julie à son auto. Clémentine sera là demain soir pour 18 h30. Estelle et moi à 19 h30.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se donner des frayeurs et se procurer des frissons dans les toilettes...

Julien - (Qui suce le clitoris géant de Clémentine, au lit, pour lui offrir une orgasme bien mérité. Un gros dodo)-

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Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1041 -



Le jour de l'expérience arrive ce mardi soir

Hier matin, mardi, je suis tiré du sommeil par plein de bisous juste avant que ne résonne la musique de notre réveil.
Clémentine, qui ne supporte pas d'être réveillée toute seule, me chuchote plein de douceurs. J'ouvre les yeux. Bien.
C'est tellement adorable. Je la serre contre moi. J'éteins tout de même notre réveil avant que ne résonne la musique.
Il est 5 h55. Nous filons aux toilettes. Pipi. Vêtus de nos tenues de sport nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine.
Nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous ne traînons pas trop.

Le mardi, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend considérablement euphorique. Cela se rajoute au projet du soir.
Nous remontons pour notre entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. L'intensité maxi.
La douche. Je descends pour préparer et faire chauffer la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue.
Un dernier bisou. Clémentine me palpe la braguette en disant : < Ça va être bien ce soir ! >. Je la regarde s'en aller.
Un dernier coucou. Il est 7 h45. Je me dépêche de rentrer au chaud. Il fait réellement froid. Je fais le lit et la vaisselle.

Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Assis devant mon chevalet, je prépare ma palette. 8 h15.
Je peins dans cette euphorie communicative offerte par Clémentine. Je pousse les cris les plus surréalistes. C'est bien.
Comme toujours, livré ainsi à ma passion, je ne vois pas défiler les heures. Cette douzième toile sera terminée demain.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je vais à la cuisine. Pas de repas du soir à prévoir. Très bien.
Je fais gonfler du millet doré. Je coupe une grosse aubergine et une grosse courgette. De l'ail, l'oignon et la ciboulette.

Il est midi vingt. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous.
Tout en préparant la salade de carottes, Clémentine me raconte sa matinée. Je fais cuire les légumes. Les deux filets.
Du cabillaud que je pane préalablement avant de le faire dorer à la poêle. Nous mangeons de bon appétit. C'est bon.
Nous faisons le rapide programme de l'après-midi, de la soirée. Une organisation parfaite. Sans aucune improvisation.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie son impatience. Je dis la mienne.

Nous traînons à table. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. En riant.
Nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks. Les bonnets, les gants. Nous faisons quelque pas au dehors.
Le froid est vif. Malgré les bonnets, il pique les oreilles. Nous faisons le tour de la propriété. Ce qui calme Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Nous rentrons. Il est 13 H30. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine devant son ordinateur.
Nous nous offrons une de ces séances de travail commun que nos apprécions tant. Elle a ses notes à mettre au propre.

Cette émulation permet d'avancer considérablement. Nous rivalisons de talent dans les cris que nous poussons en riant.
Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre. Lui chuchoter des douceurs, des cochonneries, lui faire plein de bisous, câlins.
Il est 17 h30. Voilà Estelle qui arrive. Toute joyeuse, elle se précipite vers moi. Les filles se sont vues ce matin en cours.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte son après-midi. L'entreprise familiale. Le bureau.
< Ce soir, on mange en amoureux, Julien ! Et on aura peut être du spectacle ! > fait elle. Clémentine range ses affaires.

< On se calme. Tu manges avec mon mec ! > rajoute Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. C'est très drôle.
Je nettoie ma palette. Je range mes affaires. Nous montons. Je dois me changer. Clémentine et Estelle restent en jeans.
Dans un petit sac de sport, Clémentine a déjà préparé les vêtements qu'elle passera au dernier moment. C'est si parfait.
Sur sa demande, je porte un jeans, une chemise blanche sous un pull bleu nuit au col en "V". C'est tout comme Estelle.
Nos bottines. Nous faisons les pitres devant le miroir de l'armoire. Nous voilà prêts. Estelle glisse sa main dans mon slip.

Nous dévalons les escaliers. Il faut y aller. Nous prenons la voiture à Clémentine. Je suis prié de conduire. Et il fait nuit.
Je roule doucement. Clémentine ne cesse de me palper, sa main dans ma braguette. Estelle à l'arrière me tient le cou.
Il y a 13 km jusqu'au restaurant de l'étang où nous arrivons à 18 h25. Nous déposons Clémentine. Elle est toute émue.
Un dernier bisou. < A tout à l'heure ! > lui fait Estelle en passant devant pour s'installer sur le siège passager. 18 h30.
Nous regardons Clémentine monter les quelques marches à toute vitesse portant son petit sac de sport. Dernier coucou.

Nous avons une heure devant nous. Je propose à Estelle d'aller flâner au centre commercial tout près. A cinq minutes.
< Moi, j'ai envie de te faire une pipe au bord de la route ! Ce soir, tu n'es rien qu'à moi ! Je t'aime ! > me confie Estelle.
Elle glisse sa main dans ma braguette. Je roule doucement. Je m'arrête sur le parking du supermarché. Et peu d'autos.
Estelle me sort la queue. C'est étrange d'être tous les deux dans la petite auto de Clémentine. Je dois me faire violence.
J'ai comme un sentiment de trahison. Alors qu'entre nous trois les choses sont parfaitement claires et définies. Stupide.

Estelle m'embrasse avec avidité. Elle se penche pour gober mon sexe qui durci rapidement. Je me fais tailler une pipe.
Le froid envahi rapidement l'habitacle de la Mini Cooper. On le sent monter par les pieds. Je propose à Estelle de cesser.
Elle se redresse, du foutre aux coins de ses lèvres brillantes. Je dis : < Viens, on va se réchauffer dans le magasin ! >
La raison et le froid remportent la victoire. Je remballe. Nous filons à toute vitesse jusqu'au supermarché. Il fait chaud.
Nous flânons dans la galerie commerciale. Estelle me tient par le bras, serrée fort contre moi, tellement contente. Joie.

C'est presque étrange de se retrouver là, un mardi soir, avec si peu de monde, Estelle contre moi. J'apprécie beaucoup.
Il y a les soldes. Toutes les boutiques proposent des prix plus attractifs les uns que les autres. Estelle n'a besoin de rien.
Il est 19 h20. Je propose d'y aller doucement. Nous sommes morts de faim. < Je veux refaire avec toi ! > lance Estelle.
C'est la toute première fois que nous sommes ainsi ensemble, dans une telle situation et aussi longtemps. C'est superbe.
Dans la voiture, tout en me tenant fermement la queue, Estelle garde sa tête sur mon épaule à me chuchoter des trucs.

Je gare l'auto sur le parking. Il y en a quelques autres. Il fait un froid de canards. Il y en a d'ailleurs quatre sur l'étang.
Nous entrons dans le restaurant. Julie vient nous accueillir. Elle est toute souriante, presque malicieuse. Elle s'amuse.
Estelle et Julie se voient très rarement. Il n'y a donc pas cette connivence entre les deux filles. Nous suivons Julie. Joie.
Notre table habituelle nous est réservée. Il y a une table de huit personnes. Quatre messieurs, quatre dames, élégants.
Il y a deux couples assis à deux tables différentes. Deux messieurs installés à une table. Et voilà Clémentine qui arrive.

Ça me fait un choc. De la voir ainsi, vêtue de sa jupe courte, noire, plissée, d'un chemisier blanc, ses bas noir, sublime.
Le petit tablier de dentelle blanche, elle apporte un grand plat à un des couples. C'est spectaculaire. C'est une merveille.
Estelle ne me lâche pas la main. Nous passons commande. Nous n'avons de yeux que pour Clémentine. Elle est superbe.
Elle a probablement amorcé un truc avec un des commerciaux assis à la grande table. Julie qui prend notre commande.
Un plateau de fruits de mer. Clémentine nous lance souvent un regard furtif, complice, amusée. Elle assure plutôt bien.

Julie apporte nos plats. < Elle a déjà fait deux visites aux toilettes. Un des mecs de la table. Un plan ! > nous fait elle.
Je vois Clémentine accroupie là-bas, entre le comptoir et le buffet ouvert. Bien calée à la vue d'un des mecs. Lequel ?
Anne-Marie, la patronne, vient nous saluer et bavarder un peu avec nous. < Tout se passe très bien ! > nous fait elle.
Même si avec ce peu de monde, la présence de deux serveuses ne se justifie absolument pas, elles assurent le "show".
Voir Clémentine ainsi, m'a rarement excité autant. J'ai du mal à la quitter des yeux. Je veux voir. Je veux comprendre.

Julie vient régulièrement s'assurer que tout va bien. < Elle assure comme une pro ! > nous confie Julie. Impressionnée.
Je sais à quel point Clémentine est performante dans les choses qu'elle aborde. Cela se vérifie une fois encore. Sublime.
Il y a un des mecs en costume qui se lève pour descendre aux toilettes. < Là, ça fait la troisième fois ! > nous fait Julie.
Clémentine descend rapidement à son tour. < Un plan ! > me chuchote Estelle. < Allumez votre téléphone ! > dit Julie.
J'allume mon smartphone. L'image n'est pas géniale. Clémentine a planqué le sien sur mode caméra. On y voit les WC.

Le type est entrain de se branler devant Clémentine debout devant le lavabo. Estelle a les écouteurs. Je la vois rigoler.
Personne ne se doute un seul instant que nous observons un film porno en temps réel. C'est absolument génial. Super.
Ce n'est pas la première fois que nous voyons Clémentine dans ce genre de situation. Mais là, c'est du grand Art. Bien.
Elle bavarde avec le type qui garde un parfait contrôle de lui-même. Il se masturbe d'un geste lent et régulier. Parfait.
Il présente sa queue à Clémentine en l'agitant. Une queue de très belle facture. Un cylindre d'au moins 18 cm. Correct.

Une bite droite, agréablement proportionnée. Un type en costume. Environs 45 ans. Presque de la taille de Clémentine.
Elle paraît hésiter. Nous ne voyons personne descendre. Il y a si peu de monde. Clémentine s'accroupit soudain. Rapide.
Le mec s'approche. Merdre. On ne voit plus ce qui se passe. On voit juste le mec debout devant le lavabo. C'est la pipe.
Je n'en peux plus. Je me lève. < Attends, je viens avec ! > me fait Estelle. Sans réelle discrétion nous descendons vite.
J'ouvre la porte des toilettes. Le mec est entrain de se faire sucer. Ils sont tous les deux surpris. Clémentine se relève.

< Excusez nous, un moment d'égarement ! > fait l'homme Il se tourne pour remballer à toute vitesse. Clémentine part.
Elle nous contourne sans un regard. < On vient pour la même chose ! > fait Estelle qui m'entraîne dans un des cabinets.
L'homme, amusé, se lave les mains. Estelle me sort la queue. Je bande comme un salaud. Je pourrais éjaculer de suite.
Accroupie, Estelle récupère les jus de mon excitation folle. Je me fais tailler la plus merveilleuse pipe de ma vie. Super.
Nous cessons. Je remballe. Nous remontons. Assis à notre table, nous terminons le dessert. Clémentine qui nous évite.

Pas une seule fois je n'arrive à croiser son regard. Par contre, elle descend une nouvelle fois. Le même mec qui se lève.
Il nous jette un rapide regard, me fait un clin d'œil et disparaît dans l'escalier. Estelle rallume mon smartphone. Super.
Hélas, plus d'image. Ça fait bien dix minutes qu'ils sont descendus. < Cette salope se bouffe de la queue ! > dit Estelle.
Je me lève. Suivi d'Estelle, je dévale les escaliers. Julie sort des toilettes homme. Elle mime une pipe et remonte vite.
J'entre une nouvelle fois. Personne. Ils sont probablement enfermés dans un des cabinets. Nous écoutons aux portes.

Aucun bruit. Estelle ouvre une des deux portes. Personne. La seconde porte est fermée de l'intérieur. C'est si frustrant.
Nous attendons une bonne dizaine de minutes. Il y a un homme qui descend pour pisser. Il nous regarde interrogateur.
Nous quittons pour monter. J'ai une sorte de rage au ventre. Nous terminons le dessert. Clémentine qui remonte enfin.
Le type arrive à son tour pour s'installer avec les autres. Ils sont à l'addition. Nous sommes Estelle et moi, les derniers.
Je demande l'addition. Clémentine est probablement partie se changer. Anne-Marie vient nous remercier. C'était super.

L'addition. Julie nous remercie pour notre présence, le plaisir fou qu'elle a vécu ce soir. < Je vous raconterai ! > dit elle.
Clémentine revient. A nouveau vêtue de son jeans, de son pull. Nous saluons Anne-Marie. Julie qui nous raccompagne.
< Tu as fais fort. Jamais je n'ai osé ! > fait Julie à Clémentine. Je roule doucement. Clémentine reste silencieuse. Super.
Il est presque 23 h. Estelle nous laisse. Nous nous dépêchons de monter. Au lit, Clémentine me raconte enfin l'aventure.
Elle me raconte la superbe pipe qu'elle a fait à ce mec. Trois fois qu'elle est descendue le sucer. Moi, j'écoute émerveillé.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment réaliser de nouvelles expériences bien crades et vicelardes en WC...

Julien - (Qui offre un suçage de clitoris à Clémentine. Elle lui confie l'excitant dégout qui l'habite encore. Orgasme) -

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Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1042 -



La visite de Juliette en soirée pour le repas

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par des mouvements masturbatoires contre ma cuisse. J'éteins le réveil. 5 h55.
Clémentine, dans un demi sommeil gémit de plaisir. Nul doute, elle se réveille d'un rêve érotique. Je la serre très fort.
Elle émerge. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport, nous descendons à la cuisine. Il fait faim.
Nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit et Clémentineme raconte la nature de son rêve.
Il y est évidemment question de ce qu'elle a vécu hier soir, avec cet inconnu, dans les chiottes du restaurant. Super.

Nous montons. L'heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Intensité maximale.
La douche. Je descends pour aller sortir, faire chauffer la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue.
Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Il fait très froid. -6°.
Je fais notre lit. Je fais la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette.
Je suis assis devant mon chevalet. Cette douzième toile, destinée à ma saison d'été, sera probablement finit pour midi.

Je peins dans un enthousiasme délirant sans cesser de penser à ce qui s'est passé hier soir. Je suis terriblement excité.
Il est aux environs de 10h. La stupide musique de mon smartphone. Je décroche. C'est Juliette qui confirme sa venue.
Elle sera là pour 19 h30. Elle me raconte quelques anecdotes concernant son entreprise. Et surtout sa sexualité. Rires.
Gérard est venu la voir hier, en fin d'après-midi. Comme tous les mardis et les jeudis. Nous rions de bon cœur. Super.
Nous restons ainsi sur mode "haut parleur" une bonne vingtaine de minutes. Ce qui permet de bosser en même temps.

Avec les aveux de Juliette, l'aventure vécue hier soir, je bande presque jusqu'à la douleur jusqu'à la fin de mon tableau.
J'y dépose la dernière touche de bleu de Lapis-Lazuli à midi pétante. Je mets deux buches dans la cheminée. C'est bon.
Je vais à la cuisine. Je lave et fais cuire du choux-fleurs. Je fais cuire les pommes de terre coupées en petits morceaux.
Je lave les feuilles d'une belle laitue. Pour midi et pour ce soir. Je concocte une belle Béchamel. Je fais gonfler mon Riz.
Je prépare le repas de ce soir, un gratin de choux-fleurs et aux pommes de terre. Je prépare mon repas de midi. Bien.

J'égoutte le choux-fleurs et les patates. Le tout dans un grand plat. Terre cuite. J'y rajoute la Béchamel. Champignons.
J'y rajoute du gruyère grossièrement râpé, de la chapelure, des graines de sésame grillé. Voilà, c'est prêt. Dans le four.
Je mange de bon appétit. Je fais la vaisselle. Il est presque 13 h. La stupide musique de mon smartphone. Je décroche.
C'est Julie. Elle m'appelle depuis le restaurant universitaire. Elle tient à me remercier pour notre aventure. C'était bien.
Je confirme qu'il en est de même pour nous. Julie me charge de faire savoir à Clémentine qu'une récidive serait super.

Elle me raconte sa version. Ce à quoi elle a assisté dans les toilettes et son admiration pour le courage de Clémentine.
Je bande à nouveau comme un priapique en phase terminale. C'est presque douloureux. Je mets mon anorak très vite.
Mon bonnet et mes gants tout en écoutant Julie. Je fais le tour de la propriété en écoutant davantage que je ne parle.
Il fait vraiment très froid. Nous causons ainsi une bonne quinzaine de minutes. Julie doit reprendre ses cours. 13 h15.
Nous nous saluons. Nous viendrons peut-être manger vendredi soir. Nous raccrochons. Je me dépêche de rentrer. Bon.

Je suis assis devant mon chevalet, face à la treizième toile de ma saison d'été dont le dessin a été fait début octobre.
Ces conversations téléphoniques m'ont quelque peu ému. Je peins donc dans une sorte d'euphorie burlesque. Joyeux.
Il est 16 h30. Clémentine rentre. J'anticipe, je pose ma palette et mes pinceaux sur la petite desserte. Juste à temps.
Clémentine se précipite. Toute excitée et heureuse en s'écriant : < Je t'aime Julien, je suis la plus heureuse ! >. Bien.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, c'est intéressant.

Elle me confie s'être masturbée dans la voiture à l'allée, ce matin, et au retour ce soir. < Je suis prudente ! > fait elle.
C'est pour me rassurer. Je sais que la petite route départementale est très peu fréquentée. Je la sermonne en rigolant.
< J'ai mes "petits machins" de fille ! > me rappelle t-elle. Je lui raconte les appels de Juliette et de Julie. C'est si drôle.
Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur à mettre ses notes du jour au propre. Du sérieux.
Ce qui ne nous empêche pas d'échanger nos impressions. Elle me raconte des détails. Ce qui s'est passé aux toilettes.

J'écoute passionnément. C'est hyper excitant. Clémentine revient à plusieurs reprises sur les détails les plus torrides.
C'est terriblement excitant pour une jeune fille délurée de 22 ans de se retrouver volontairement dans de tel "plans".
Un inconnu, élégant, quadragénaire, hyper vicelard, qui lui montre sa queue dans les toilettes. Ce désir qui l'envahit.
J'écoute religieusement. Inutile de demander des précisions. Clémentine aime décrire les plus intimes situations. Bien.
Je bande comme un vrai salaud. Je n'arrête pas de bander aujourd'hui. Ce qui fait rire aux éclats Clémentine. 18 h30.

Un bruit sourd à l'étage. L'heure du fantôme. Des manifestations qui durent dix minutes. Nous rangeons nos affaires.
Nous voilà devant la cheminée. Clémentine allongée sur le tapis, sa tête sur ma cuisse. Je caresse ses cheveux. Doux.
< Montre moi un peu l'état de ton Zob ! > me fait elle en glissant sa main dans ma braguette. < Trempé ! > fait elle.
Nous en rions de bon cœur. Elle me sort la queue. Je bande mou. Ça gicle direct. Ma biroute macère depuis ce matin.
Clémentine se couche sur le côté pour se mettre à sucer. C'est divin. Je lui chuchote des douceurs. Et je la congratule.

Je la félicite pour hier soir. Clémentine cesse souvent pour me donner d'autres précisions. Elle a tellement adoré aussi.
C'était un mec marié, directeur d'une boîte à Paris, dont la femme refuse la fellation. La première pipe depuis huit ans.
< Tu imagines ce qu'il m'a offert ! > me fait Clémentine que je force à arrêter. Il faut aller préparer le repas, la table.
Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Il est 19 h. Clémentine découvre le repas préparé. Nous allons au salon.
Nous dressons la table. Clémentine allume les trois grosses bougies du chandelier. Seule lumière de la soirée à venir.

< Tu es hyper vicieux ce soir, avec Juliette. J'en ai encore davantage besoin qu'elle ! Tu veux bien ! > dit Clémentine.
Je réponds en agitant ma queue toute molle qui dégouline : < Et je ne devrais pas avoir trop de difficultés ce soir ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine s'accroupit pour en sucer le jus. Elle en gémit de plaisir. C'est super.
Trois coups de sonnette. Il est 19 h25. Clémentine se précipite. Je me branle. Je suis tellement excité. Ça dégouline.
Juliette entre dans la grande pièce. Malgré le peu de lumière elle découvre mon activité en s'écriant < C'est génial ! >

Nous nous serrons la main. Je suis confus. Je lui présente mes excuses. < Je suis dans le même état ! > me fait elle.
Je propose aux filles de prendre place. Je m'occupe du service. < Pas question. C'est tout les trois ! > s'écrie Juliette.
Nous allons à la cuisine. Je sors le plat du four. Je coupe les feux sous la sauce aux crevettes. Chacun prend un plat.
Clémentine s'empare du saladier. Juliette s'empare de la poêle. Je prends le gratin. Nous emmenons le tout au salon.
Nous mangeons de bon appétit. Nous ne racontons rien de ce qui s'est passé hier soir. Nous écoutons Juliette. Super.

La jeune femme nous raconte la visite de Gérard hier, en fin d'après-midi. La pipe qu'elle lui a prodigué. Elle adore ça.
< Les femme qui goutent à Gérard développent une addiction ! > fait Juliette. Nous en rions de bon cœur. On connait.
Clémentine qui rajoute : < Vous nous organisez un "plan" un de ces soirs ? >. Juliette propose vendredi soir. Récidive.
Ce qui sous entend de revivre la même situation que vendredi dernier. Clémentine suce Mr Gérard et Juliette me suce.
Je me lève pour agiter ma queue. Ça éclabousse un peu. < Mais c'est merveilleusement dégueulasse ! > fait Juliette.

Clémentine se lève à toute vitesse pour s'accroupir à côté de la table. Elle gobe ma bite avec appétit. Juliette admire.
Je force Clémentine à cesser. Elle a encore du gratin dans son assiette. Nous aussi. Juliette nous regarde admirative.
Elle se doute bien que notre euphorie sexuelle a une origine qui lui échappe. Elle met cela sur nos rapports amoureux.
Si elle savait ! Mais elle n'a pas besoin de tout savoir. Et comme elle ne fréquente plus le forum depuis si longtemps.
Nous débarrassons. Hors de question de se séparer d'un mètre. Clémentine ne cesse de se pencher pour me pomper.

Cela excite considérablement Juliette. Mais cette sublime bourgeoise de 43 ans a de la ressource. Une grande maîtrise.
Ce n'est pas le genre de femme à perdre le contrôle. Ce qui la rend follement désirable. On se garde pour ce vendredi.
La vaisselle. Juliette ne cache pas son admiration pour nos élans amoureux. Clémentine est fougueuse et très excitée.
Je propose d'aller aux toilettes tous les trois avant le dessert. < Je ne réponds pas de moi ! > me fait Juliette. Rires.
Me voilà debout devant la cuvette. Juliette à ma gauche, penchée en avant, ses mains en appui sur ses genoux. Voir.

Clémentine à droite qui me tient la bite pour en diriger la multitude de petits jets que je lâche avec un contrôle total.
Entre chacun d'eux, Clémentine tend la bite vers le visage de Juliette qui a le réflexe de se reculer. On ne sait jamais.
Je recommence à bander. Il y a du liquide séminal qui s'écoule. Du foutre épais que la pisse n'entraîne pas en giclant.
Juliette a son visage presque collé sur ma queue. Clémentine, n'en pouvant plus, s'accroupit pour me tailler une pipe.
Juliette s'accroupit à son tour. Elle observe. Elle commente et confie ses impressions. Elle refuse toutefois de goûter.

Clémentine, partageuse, d'un élan altruiste, tend plusieurs fois ma bite vers Juliette qui fait non de la tête. Contrôle.
Je lui pose la main sur la tête. Elle me la retire doucement. Je saisis Clémentine par la nuque pour m'enfoncer à fond.
Les gémissements de plaisir sont une source d'excitation supplémentaire pour Juliette qui se tripote l'entre jambes.
Elle est vêtue d'un pantalon noir à pinces et à plis. D'un chemisier blanc. Des escarpins noirs à talon hauts. Sublime.
Ses cheveux noirs attachés en catogan. Je force Clémentine à cesser. Je veux me préserver pour le lit tout à l'heure.

Juliette me tend deux feuilles de papier cul. Je m'essuie le Zob. Nous retournons au salon. Le dessert nous y attend.
C'est une tarte aux abricots. Juliette fait comme nous. Plein de tartes de saison qu'elle place au congélateur. Parfait.
Nous savourons en évoquant nos frasques. Toutes ces situations hyper vicelardes que nous avons vécu tous les trois.
Souvent à quatre avec Estelle. A plusieurs avec Pierre, Gérard, Mme Walter pour ne citer que les complices habituels.
Il est 22 h. Nous raccompagnons Juliette à sa voiture dans le froid glacial. Elle nous tient informés dès demain matin.

Nous la regardons partir. En guise d'au revoir, malgré les moins 7°, j'agite ma queue pour lui faire un grand coucou.
Nous rentrons vite nous mettre au chaud. Clémentine m'entraîne à toute vitesse à l'étage pour nous laver les dents.
< Quelle salope ! Vendredi soir, tu peux être sûr qu'elle va te tailler une pipe de folie ! > me fait Clémentine. Certain.
Il y a un précédent. Nous l'avons fait vendredi dernier. Clémentine se suce le vieux Gérard, Juliette se suce le Julien.
Au lit, je suce le clitoris géant de Clémentine. Son orgasme est fabuleux. Elle insiste pour me sucer. Je jouis. Le dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent passer la soirée chez leur couple d'amis au salon ou aux chiottes...

Julien - (Qui écoute les dernières révélations de Clémentine. Elle confie sa passion pour de la bite d'inconnus) -

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Retour à nos rituels des jeudis soirs

Hier matin, jeudi,c'est une valse de Chopin qui nous arrache avec une certaine délicatesse de nos profonds sommeils.
< Bordel ! > s'écrie Clémentine en s'allongeant sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Pipi. Vêtus de nos tenues gym, nous dévalons les escaliers.
Morts de faim nous préparons notre petit déjeuner avec la tête dans le sac et nous mangeons toutefois de bon appétit.
Nous montons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.

La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il fait froid. Moins 3°.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin dans le jour naissant. Je me dépêche de rentrer.
Je fais notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'y allume un beau feu. Je m'installe devant mon chevalet. 8 h15.
Je prépare ma palette en chantant "National 7" de Charles Trenet. J'attaque la treizième toile pour cette saison d'été.
Je peins dans l'enthousiasme délirant. Je pousse mes cris surréalistes. Je tente l'impossible dans les aigus, les basses.

Comme toujours, lorsque je peins, les heures filent. Il est presque midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Bien.
Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes pendant que je prépare une pâte à pain mêlée à du Parmesan.
J'aime introduire du parmesan finement râpé à la farine complète bio. Cela la rend onctueuse, délicatement parfumée.
J'égoutte mes coquillettes. Je prépare une garniture. Tomates fraîches, champignons, ail et oignon, revenus à la poêle.
J'en récupère un peu comme sauce. Tout ce qu'il faut pour nos pizzas de ce soir est prêt. Je fais revenir le filet de colin.

Je mange de bon appétit tout en tentant d'écouter les informations formatées, calibrées et mensongères. C'est difficile.
Je n'arrive pas au bout. J'éteins la radio. Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. J'enfile mon anorak. Je vais au dehors.
Il fait froid. C'est cinglant et vif. Je fais le tour de la propriété. Je rentre. Me voilà installé devant mon chevalet. 13 h05.
C'est animé du même enthousiasme que je peins. Il est rare qu'à 15 h résonne la stupide musique de mon téléphone.
Je décroche en maugréant. Surprise, c'est Juliette. Elle a très peu de temps. C'est juste pour me dire OK vendredi soir.

Nous sommes attendus pour 19 h45. Nous serons tous les quatre. Juliette, Gérard, Clémentine et moi. C'est si sympa.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Rien qu'à l'idée de ce qui nous attend demain soir, je peins avec la bite dure.
Il est 16 h30. Clémentine rentre. J'anticipe. Je pose mon chevalet et mes pinceaux. Elle se précipite toute impatiente.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire, les cours, les profs. Superbe.
Je lui raconte l'appel de Juliette. Clémentine me couvre le visage de bisous, se lève, sautille en s'écriant : < Génial ! >

< Mes "petits machins" de fille sont terminés ! > s'empresse t-elle de me dire. Clémentine a encore du travail. Parfait.
Assise devant son ordinateur elle met au propre les notes prises en cours. Chantant et tout en improvisant des paroles.
Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour. Les filles se sont vues en cours. Estelle qui se précipite vers moi toute contente.
Assise sur mes genoux elle raconte sa baise, hier soir, avec son parrain, à la cave, sur le matelas gonflable. Chaudière.
Nous rigolons comme des bossus. C'est tellement drôle. Ils ont encore failli se faire attraper par l'arrivée de marraine.

Il est 18 h30. Un vacarme infernal résonne au-dessus de nos têtes. Ponctuelle, voilà Christine, le fantôme. Des potins.
< Elle a emmené du travail à la maison ce soir ! > lance Clémentine. Nous écoutons en rangeant nos affaires. 10 mn.
Tout cesse aussi mystérieusement que ça a commencé. Nous voilà sur l'épais tapis devant la cheminée. Moment calme.
Allongées, leurs têtes sur mes cuisses, les filles évoquent leurs études. Je caresse leurs cheveux. C'est tellement bien.
Notre projet de baise avec le parrain d'Estelle va sans doute prendre forme un de ces prochains vendredis après-midi.

En effet, la marraine va s'absenter deux vendredis après-midi. L'association caritative dont elle fait partie à un projet.
Une vente de vêtements à la salle polyvalente du bourg voisin. Ce qui permettrait à Clément et à Estelle de s'organiser.
< Depuis que tu me parles des exploits de ton parrain, je vais enfin pouvoir m'en faire une opinion ! > dit Clémentine.
Nous en rions de bon cœur tout en allant à la cuisine. Morts de faim. Presque 19 h. Clémentine s'occupe de la salade.
Estelle travaille la pâte à pain. Je réchauffe la garniture. Je fais frire à feux doux, de fines tranches d'un avocat. Super.

< Ta bite ! > fait Estelle en agitant ses doigts longs et fins plein de farine. J'approche, je présente ma bite, les couilles.
Estelle, consciencieusement, m'enduit les organes génitaux d'une copieuse couche de farine humide. Ça sèche très vite.
Clémentine s'accroupit pour bien observer le phénomène. Estelle étale la pâte. J'y verse la garniture. On répand correct.
Sur le tout, je dispose les tranches d'avocat, le gruyère, le Parmesan. Estelle met au four. Nous mettons la table. Bien.
La farine a presque complètement séché. Ça tire et ça picote, ce n'est pas très agréable. Ça donne envie de se gratter.

Les filles m'entraînent au salon. A genoux sur les coussins, au milieu de la pièce, elles scrutent attentivement la queue.
< On fait moins le fier, hein ! > me fait Estelle qui se met à me lécher les couilles. Clémentine me lèche la bite. Propre.
J'ai rapidement les organes génitaux lisses et brillants de salive. Clémentine tète la peau fripée de mon prépuce. Soin.
Les filles se refilent ma bite qu'elles sucent comme des désespérées. Je leurs caresse la tête. Lombaires douloureuses.
C'est la position. Je dis : < Ce soir, je vous bouffe les chattes comme vous n'imaginez pas ! >. Elles en gloussent. Joie.

La sonnerie du four. J'aide les coquines à se relever. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit.
Nous traînons à table. Estelle, avec sa vulgarité coutumière, se lève plusieurs fois pour mimer une branlette masculine.
< Demain soir ! > fait elle. Je l'invite à venir avec nous chez Juliette. Ce n'est pas possible. Ce qui désole un peu Estelle.
Elle consacre le vendredi soir à ses parents adorés. Nous sommes invités à fêter la Chandeleur. Dimanche deux février.
Des réjouissances en perspective. Assises sur mes genoux, les filles évoquent notre aventure de mardi dernier. Restau.

< C'est déjà du passé ! > lance Clémentine. Nous ne sommes pas nostalgique du passé. L'avenir est plus intéressant.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. < Tu n'as pas parlé de "bouffage de chatte", toi ? > me fait Estelle, se frottant.
Je les entraîne toutes les deux au salon. < Je peux comparer avec parrain ? > demande Estelle à Clémentine. Rigolade.
< Tu compares tous les jeudis ma parole ! > lui répond Clémentine en retirant son jeans, sa culotte pour les balancer.
Vautrée dans le fauteuil, cuisses écartées et posées sur les accoudoirs, Clémentine rajoute : < Je suis au spectacle ! >

C'est le signal. Rien n'excite davantage Clémentine que de nous voir baiser sur le canapé ou sur l'épais tapis. Superbe.
Estelle retire son jeans, sa culotte. Je retire le mien et mon slip. Tous les trois en chaussettes et chemises à carreaux.
Clémentine se touche. Je suis à genoux sur un des coussins. Je hume longuement le sexe odorant d'Estelle. Ça fouette.
Fille négligée, sa chatte des jeudis soirs offre des senteurs particulières. Il y a de cette crème qui a séché sur la fraîche.
J'adore voir des moules ainsi maculées de vieille foutrine accumulée durant la journée. Et chez Estelle il y en a pas mal.

Il faut aussi surmonter l'odeur âcre ou se mêlent sueur, pissous et miasmes divers. Estelle me tient bien par les oreilles.
Elle me guide. Elle s'allonge complètement en relevant ses cuisses largement écartées, pour permettre l'accès à la raie.
Je récupère tout ce qui colle entre ses fesses. C'est dégueulasse mais si terriblement excitant. Des poils plein la bouche.
Je nettoie le croupion d'Estelle avec passion. Une fois le dégout surmonté, c'est un repas de roi. Clémentine se branle.
Estelle aussi. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis doucement. J'ai toujours peur de lui faire mal. Elles sont très étroites.

Pourtant, et c'est toujours étonnant, d'un simple coup de reins, Estelle s'enfile presque toute la longueur de mon chibre.
Longueur réglementaire bien enfoncée, les couilles battantes sur la raie, je baise comme elle me demande de la baiser.
J'alterne la machine à coudre avec des moments de retour au calme. J'entends Clémentine qui gémit en se masturbant.
Estelle aussi se masturbe toujours en se faisant limer. Je lui demande : < Et alors, cette comparaison ? Concluante ? >
< Parrain me baise comme un lapin ! Toi tu me baises comme un homme ! > dit Estelle qui recommence à remuer vite.

Je me retire juste avant l'ultime. Estelle me repousse toujours délicatement juste avant son orgasme. L'instant solitaire.
J'adore la voir se recroqueviller sur elle-même, mains entre les cuisses, en poussant des petits cris d'animal qui souffre.
Clémentine haletante, qui ne cesse de se masturber, nous observe depuis près d'une heure. Elle ne va pas tarder. Bien.
Je lui présente ma queue ruisselante de mélange. Le jus d'Estelle, le mien. Je lui fais : < Je te la mets bien profond ? >
Je ne suis pas obligé de le demander deux fois. C'est rare que Clémentine veuille se faire pénétrer durant le voyeurisme.

Je m'introduis avec précaution. Sans cesser de se masturber, Clémentine se fait pénétrer en poussant un gémissement.
Estelle qui reprend ses esprits, vient me rejoindre. A genoux derrière moi, elle écarte mes fesses pour me lécher le cul.
Ça me gêne toujours considérablement. Même si je suis d'une hygiène irréprochable, cul lavé après la crotte, c'est dur.
En plus, je sue abondamment durant l'effort. Clémentine me pousse délicatement. Elle aussi aime jouir sans contrainte.
Je me retourne pour offrir ma queue trempée à Estelle qui se met à sucer comme si sa vie en dépendait. Elle se branle.

Clémentine reprend ses esprits pour se précipiter aux toilettes. Il y a déjà une traînée de pisse qui la suit. Luisant au sol.
Je force Estelle à se redresser. Nous filons rejoindre Clémentine que je lèche après son pissou. Elle en gémit de bonheur.
C'est au tour d'Estelle. Je lui fourre la queue dans la bouche. Clémentine debout derrière moi qui joue avec mes couilles.
Je lèche le croupion d'Estelle pour me régaler du mélange. Cette coquine connaît un second orgasme. Clémentine pompe.
Je lui éjacule dans la bouche. Nous reprenons nos esprits avec difficulté au salon. Il est 22 h. Il faut déjà se faire à l'idée.

Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Dans le froid glacial de la nuit. Nous montons tous les trois dans l'auto.
Le temps que l'habitacle chauffe, nous restons blottis tous les trois. C'est la voiture d'entreprise. Tous les trois derrière.
Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite, nous surmontons ainsi la tristesse de nous quitter. Et c'est tellement fort.
< Vivement le week-end ! > chuchote Estelle. < On n'arrête pas tout le week-end ! > rajoute Clémentine. On grelotte.
Nous regardons Estelle s'en aller. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Au lit, on se caresse en parlant. Douceur.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment cette relation à trois. A la fois sensuelle, sexuelle et tellement affolante...

Julien - (Qui écoute Clémentine lui confier son impatience de se goinfrer la bite à Gérard demain soir. Sa bite préférée) -

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Un vendredi de dégustations

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonne la musique. 5 h55. J'éteins le réveil.
Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues gym, nous descendons à la cuisine. Faim.
Nous préparons notre petit déjeuner dans une sorte d'euphorie grandissante. Le vendredi Clémentine termine à midi.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Puis nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement.
Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles, abdos. Avec intensité maximale. La douche. C'est un vrai bonheur.

Je descends le premier pour sortir et faire chauffer la petite auto de Clémentine qui me rejoint bien chaudement vêtue.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture s'en aller. Un dernier coucou. Il est 7 h45. Il fait légèrement moins froid. Super.
Je fais notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier pour y allumer un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette.
Assis devant mon chevalet, il est 8 h15, je peins dans la continuité de cette euphorie. Je pousse mes cris surréalistes.
Comme toujours, complètement absorbé par ma passion, je ne vois pas le temps passer. Et il est très rapidement midi.

Je mets deux bûches dans l'âtre. Je vais à la cuisine. Je fais une rapide pâte à crêpe. Je coupe l'aubergine, la courgette.
Je fais gonfler du millet doré. Il est 12 h 20. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève avec plein de bisous.
Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je trempe les rondelles de légumes dans la pâte à crêpe.
Je les fais revenir à la poêle. De délicieux beignets de courgette, d'aubergine, et deux filets de cabillaud. C'est un régal.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un vague programme de l'après-midi. Clémentine qui propose la balade.

Superbe suggestion. Il fait moins froid, le climat est sec. Nous traînons à table en évoquant la soirée qui nous attend.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. C'est rigolo.
Nous nous changeons. Vieux jeans, vielles chemises à carreaux. Vieux pulls. Grosses godasses. Nous voilà prêts. Bien.
Nous enfilons nos anoraks. Pressés de filer nous aérer un peu au grand air. Aujourd'hui, pas besoin de bonnets. Gants.
Nous descendons jusqu'à la rivière. Comme nous avons nos anoraks ouverts, l'accès à nos sexes est des plus faciles.

J'ai la bite à l'air. C'est très sympa de marcher là, au bord de la rivière. De nous arrêter pour nous câliner. Des bisous.
Nous interprétons même nos jeux préférés. Nous sommes tour à tour exhibitionnistes ou voyeurs. Et cela nous amuse.
Nous évitons même de justesse de nous faire surprendre par un groupe de marcheurs armés de bâtons qui bavardent.
La fameuse "marche Norvégienne" où les pratiquants avancent en tenant leurs bâtons. C'est très "tendance". La mode.
Le bruit des bâtons prévient de leur arrivée. Ce qui laisse le temps d'anticiper. De remonter les frocs, les culottes. Rire.

Nous passons à trois cent mètres derrière les bâtiments du haras. Plein de voitures dans la cour. Des gens et chevaux.
Nous faisons notre circuit de deux heures. Clémentine a encore du travail. Nous sommes de retour pour 16 h. Superbe.
Assis devant son ordinateur, Clémentine met ses cours à jour et prépare ceux de la semaine prochaine. Nous adorons.
Je peins. Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre. Ce qui apporte à notre séance de travail cet aspect ludique, sympa.
Il est 18 h15. Les jours rallongent. Cela devient perceptible. Tant le matin qu'en fin d'après-midi. Je nettoie ma palette.

Clémentine range ses affaires. L'esprit tranquille pour lundi, nous apprécions ce sentiment du devoir accompli. Fameux.
Installés devant la cheminée, nous nous offrons ce moment de quiétude régénérateur que nous apprécions tant. Bien.
Soudain, à l'étage, un bruit de porte qui claque. Voilà Christine, le fantôme de mon ancienne compagne. Nous écoutons.
< Elle fait fort ce soir ! > lance Clémentine. Et c'est vrai au propre comme au figuré. Cela dure une dizaine de minutes.
Tout cesse aussi mystérieusement que cela a commencé. Clémentine, allongée, sa tête sur ma cuisse, caresse ma bite.

Je passe délicatement ma main dans ses cheveux. Il est presque 19 h. Morts de faim nous quittons l'atelier. La cuisine.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais six belles crêpes avec la pâte restante. J'y dépose du gruyère finement râpé.
En accompagnement du millet que je réchauffe. Une sauce au Roquefort. Nous mangeons de bon appétit. C'est fameux.
La vaisselle. Nous montons nous changer. Jeans propres. Chemises blanches sous nos pulls bleus nuit aux cols en "V".
Nos bottines. Clémentine est animée d'une effervescence rare. Tellement impatiente de retrouver Juliette et Mr Gérard.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Il est 19 h45 lorsque je gare la voiture dans cour déserte. Bien.
Il y a encore de la lumière dans les bâtiments. Kim Son et Eveline, les palefreniers sont entrain de nourrir les chevaux.
Nous les saluons. Ils terminent leur journée. Nous les laissons bosser. Nous entrons directement aux nouvelles écuries.
Juliette est au téléphone. Elle nous fait un grand coucou. Nous n'approchons pas. Nous respectons la distance discrète.
Nous caressons quelques chevaux dont les cous et les têtes dépassent de leurs box. Juliette vient nous rejoindre. Joie.

< Gérard arrive avec un peu de retard. Venez, nous allons nous préparer une bonne tisane ! > nous propose Juliette.
Nous voilà dans la petite salle de réception, au fond du bâtiment. Bien avachis dans le canapé lorsque la porte s'ouvre.
Mr Gérard qui entre, tout sourire, pour venir nous serrer la main. Il s'excuse pour le retard. Il s'installe dans le canapé.
Juliette est assise dans le fauteuil. Clémentine entre Gérard et moi. Je me lève pour m'installer dans le second fauteuil.
Très rapidement Clémentine et Gérard se mettent à bavarder entre eux. Juliette me parle des prochaines animations.

Nous sommes invités à celle de dimanche. Nous ferons comme souvent, probablement un petit tour en fin d'après-midi.
J'observe la main de Clémentine qui vient de se fourrer dans la braguette de Gérard. Ils ne nous prêtent plus attention.
Gérard a passé son bras autour de l'épaule de Clémentine. Ils sont là, comme deux amoureux, à rire et à nous ignorer.
De voir ma compagne, cette superbe jeune fille de 22 ans, serrée contre ce vieux saligaud de 66 ans, reste si étonnant.
Ils se lèvent soudain pour quitter la pièce à toute vitesse. Gérard nous adresse un clin d'œil. < WC ! > me fait Juliette.

< On va mâter ? > me propose Juliette en se levant, me tendant la main, en m'invitant à l'accompagner. Je me lève.
Nous sortons dans l'étroit couloir. Au fond, les toilettes. Sur la droite, le petit local technique. Et Juliette m'y entraîne.
Elle ouvre l'armoire électrique. Les deux trous discrets qui permettent d'observer ce qui se passe dans les WC homme.
Juliette se penche la première. Je la tiens par les hanches. Elle est vêtue d'un pantalon noir, d'une chemise, d'un pull.
Elle m'invite à regarder à mon tour. C'est le même spectacle hallucinant que la semaine dernière. On voit les urinoirs.

Clémentine, debout à la droite de Gérard qu'elle dépasse d'une tête, qui lui tient la bite minuscule pour diriger les jets.
Mon cœur bat la chamade. C'est tellement excitant de voir la fille que j'aime se livrer à des trucs glauques. Fantastique.
Juliette me pousse pour regarder à son tour. Cette fois, je lui passe la main entre les cuisses par derrière. Sans bouger.
Il est très rare que la jeune femme se laisse ainsi toucher. Je me penche à mon tour. Clémentine est accroupit. La pipe.
Elle est entrain de sucer le vieux salopard qui lui caresse la tête, la prend sous le menton, par la nuque, pour la guider.

Juliette me palpe par derrière. Je déboutonne ma braguette tout en observant. Elle y glisse la main. Je bande très fort.
De l'autre côté, le couple vient de quitter les chiottes. Ils sont probablement déjà sur le canapé. Juliette me sort le Zob.
Elle me tient fermement par la queue, se serre contre moi pour m'embrasser avec une fougue si rare chez cette femme.
< Mon fantasme absolu c'est de faire l'amour avec toi. Pas baiser. Non. Faire l'amour avec toi ! > me chuchote t-elle.
Je suis terriblement gêné. C'est une chose totalement interdite par Clémentine. Juliette le sait. Pas question de déroger.

Tant Juliette que moi, nous sommes des êtres respectueux de la parole donnée et de l'honneur. Fidèles en toute chose.
Aussi, pour ne pas nous laisser envahir par une tentation inutile et ridicule, nous nous précipitons dans l'étroit couloir.
Juliette m'entraîne par la queue comme par une laisse. Nous rejoignons le couple. Clémentine qui se suce la bite molle.
Couchée dans le canapé, son visage enfuit sous le ventre et les poils pubien de Gérard est entrain de lui tailler une pipe.
Juliette m'invite à m'assoir dans un des fauteuils. Je prends celui bien face du couple. Juliette est à genoux. Le coussin.

Ses bras posés sur mes cuisses écartées, son visage contre mon sexe, elle y frotte ses joues, son nez, son front. Joie.
Clémentine ne prête aucune attention à ce qui se passe autour d'elle, toute occupée à sa fellation passionnée. Dingue.
Parfois, Gérard qui la tient par la nuque, ouvre l'œil pour regarder ce qui se passe en face de lui. Juliette qui me suce.
C'est très excitant de vivre de tels moments. Il lève son pouce de la main droite, me fait un clin d'œil. Je fais de même.
Seuls les gémissements de Clémentine emplissent le silence de la pièce. Quelques gargouillis juteux pour ma suceuse.

Juliette, ses doigts croisés entre les miens, me les serre parfois très fort. Elle reste parfaitement immobile. A se régaler.
Je n'ai d'yeux que pour Clémentine dont je vois quelquefois le visage quand elle reprend son souffle. Elle est en extase.
La bouche ruisselant de jute épaisse, des filaments gluants qui relient ses lèvres à la bite minuscule et mollasse. Le jus.
J'entends les efforts que fait Juliette pour tenter de déglutir sans cesser de piper. Ne voulant pas en perdre une goutte.
Je lui éjacule dans la bouche en sournois, sans prévenir. Elle serre mes doigts entre les siens avec une force étonnante.

Les gémissements de Clémentine, ses petits cris de surprise, ses gloussements amusés reste la merveilleuse musique.
Même Juliette se retourne parfois pour regarder. Gérard, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, est au paradis.
Juliette cesse régulièrement de pomper pour laisser reposer sa mâchoire. Elle me fixe. Son regard sévère, inquisiteur.
C'est un peu comme si elle me reprochait de lui offrir une de ses plus redoutables passions. Prisonnière de son plaisir.
Pourtant, parfois, dans son regard, je perçois un peu de ce sentiment amoureux qu'elle a pour moi. Un amour sincère.

Comme elle me le dit parfois : < Lorsque tout ça sera terminé, nous finirons ensemble tous les deux. Car c'est écrit ! >
Les certitudes d'une femme dans les sentiments sont aussi redoutables que ce qu'elle entreprend pour arriver à ses fins.
Je sais bien qu'il sera impossible de m'y soustraire. Dans quelques années. Quand effectivement tout cela sera terminé.
Le réflexe habituel de Clémentine qui ne cesse pas de se masturber tout en suçant le vieux dégueulasse. Son orgasme.
Elle se redresse soudain. Se soustrait à l'étreinte affectueuse de Gérard pour se redresser. Elle s'essuie la bouche. Jus.

< On s'en va ? > me fait elle en s'approchant. J'ai l'impression qu'elle va saisir Juliette pour la bousculer. Je la pousse.
Je tiens Juliette par les épaules pour la forcer à s'éloigner afin que je puisse me lever. Clémentine rejette le mouchoir.
Gérard s'en empare comme si c'était une relique. Sa bite est dégoulinante. Juliette veut nous raccompagner. Debout.
< Terminez le, nous connaissons le chemin ! > fait Clémentine à Juliette en lui montrant la queue du vieux. On s'enfuit.
Dans la voiture Clémentine me confie à quel point c'était bon ce soir. < Miam ! > fait elle. Nous en rions de bon cœur.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment les bites de vieux. Toutes molles, minuscules mais terriblement juteuses.

Julien - (Qui écoute Clémentine lui révéler tous les secrets de la pipe qu'elle a taillé aux vieux salaud ce soir encore)-

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Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1045 -



Nos petits rituels du samedi

Hier matin, samedi, je suis réveillé par le mouvement masturbatoire de Clémentine contre ma hanche et ma cuisse.
C'est délicat. C'est adorable. Sans ouvrir les yeux, je me tourne pour la prendre dans mes bras. Elle se blottit si fort.
Quelques papouilles. Je lui propose de me raconter l'objet de ses émois devant un bon petit déjeuner. Après le pipi.
Vêtus de nos tenues de jogging, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il est 8 h. C'est super.
Nous mangeons de bon appétit. Le rêve de Clémentine, encore totalement incongru, mettait en scène Gérard. Pipe.

Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets et nos gants. Et enfin pouvoir courir.
Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale et nous voilà partis pour notre jogging. C'est si bon.
Cela nous manque tant. Nous sommes de retour pour 9 h30 après une heure d'un running des plus agréables. Super.
La douche. Nous nous habillons. Nos jeans, nos chemises blanches, nos pulls bleus nuit, nos bottines, nos manteaux.
En route pour le marché du bourg voisin. Trois kilomètres où Clémentine revient sur son rêve surréaliste. C'est rigolo.

Je gare la voiture. Il y a du monde. Une fois encore nous attirons les regards. Nos hautes tailles, nos différences d'âge.
Nous nous en amusons beaucoup. Clémentine, serrée contre moi, me fait plein de bisous sous les regards inquisiteurs.
Nous faisons provision de fruits et de légumes chez nos agriculteurs locaux. Tomates, oranges, pommes, patates, etc...
Nous faisons provision de fromages, de beurre, de yaourts, de crème fraîche et d'œufs chez notre artisan fromager.
De retour à la voiture, les produits frais rangés dans la glacière. En route pour la zone commerciale. Quinze kilomètres.

Je roule doucement. Clémentine qui joue avec ma queue. Elle revient sur celle de Gérard qu'elle a encore sucé hier soir.
< Je me régale. Merci Julien ! >. Nous rigolons comme des bossus quand je dis : < C'est Gérard qu'il faut remercier ! >
Je gare la voiture sur le parking. Je pousse le caddie. Clémentine nous entraîne dans les rayons avec la liste de courses.
Il faut louvoyer entre les chariots. Il serait vain de tenter le moindre plan exhibe avec toute cette affluence. Et frustrant.
Malgré tout, et c'est devenu un rituel, Clémentine m'entraîne aux rayon culturel, au rayon des vêtements homme. Rien.

Il faut se faire une raison. Nous terminons par le rayon poissonnerie où il faut toujours attendre un peu dans la file. Dur.
Nous faisons provision de fruits de mer, de colin, de saumon, de cabillaud. Salicorne. Nous passons en caisse. Patience.
Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Les vitrines affichent la troisième démarque des soldes, des prix bas.
Nous avons tout ce qu'il nous faut en plusieurs exemplaires et tout ce que nous aimons en double. Parfois en triple. Rire.
Les menus de la cafétéria sont alléchants mais avec tout ce monde nous préférons rentrer. Nous retournons à la voiture.

Les produits de la mer vont rejoindre les sous produits animaux dans la glacière. En route pour la maison. C'est parfait.
Il y a du soleil. Une météo clémente et presque douce qui va nous permettre une belle promenade cet après-midi. Joie.
Clémentine joue avec ma queue. < Il faut que je goute et que je compare ! > me fait elle entre petites succions. Rire.
Je dis : < Cette semaine, tu as sucé trois queues différentes. Tes conclusions ? >. Clémentine se redresse pour rigoler.
< Tu connais mes préférences. Je culpabilise toujours en pensant à celle de ce vieux dégueulasse de Gérard ! > dit elle.

Il est 12 h30 lorsque nous sommes de retour. Nous rangeons nos courses. Nous montons nous changer. Morts de faim.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais le bouillon pour les moules. Et les haricots verts encore congelés dans le wok.
Avec les petits pois que je remue avec la spatule en bois. Nous nous réjouissons pour la balade qui nous attend. Super.
Nous mangeons de bon appétit. Les moules sont excellentes. Nous ne traînons pas. Pressés de filer. La vaisselle. Bien.
Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Déjà vêtus "randonneurs".

Nous dévalons les escaliers. Nous voilà dehors. Il fait presque doux. Anoraks ouverts, braguettes ouvertes, nous filons.
Nous descendons jusqu'à la rivière. Le sol est sec. C'est très agréable de marcher. On se croirait au mois de mars. Bon.
J'ai la bite à l'air. J'ai souvent ma main dans le jeans déboutonné de Clémentine qui fait à chaque fois : < C'est bon ! >
Nos endossons nos rôles en interprétant tour à tour l'exhibitionniste ou le voyeur. De quoi rester bien excités. Génial.
< Tu crois que nos penchants vicieux déboucheront sur une pathologie ? > demande Clémentine. Nous éclatons de rire.

Nous arrivons derrière les bâtiments du haras. Comme toujours, la cour est remplie de voitures. Des groupes de gens.
Nous longeons le ruisseau pour aller jusqu'à l'ancienne voie ferrée. C'est aujourd'hui une piste cyclable peu fréquentée.
Nous y marchons main dans la main en faisant mille projets. En évoquant Juliette et ses sentiments pour moi. En riant.
< Elle n'est pas prête à vivre son fantasme de vie commune avec toi. Je suis là pour longtemps ! > s'écrie Clémentine.
Je la raisonne en précisant que dans les dix ans, "oncle Julien" se transformera inexorablement en "papy Julien". Rires.

Nous arrivons à la maison abandonnée de l'ancien garde barrière et son cabanon de jardin toujours ouvert. Personne.
Clémentine m'entraîne par la main. Elle descend son jeans et sa culotte, enlève son anorak pour s'assoir dessus. Bien.
Là, installée sur le vieil établi, en appui sur ses coudes, Clémentine m'offre son sexe à déguster. Je m'en régale. Miam.
Je suce la cyprine abondante qui suinte. Je suce son clitoris géant. Les gémissements de Clémentine m'enivre. Sublime.
Je me redresse pour lui enfoncer délicatement mon sexe dur comme une branche de chêne et nous restons immobiles.

Nous adorons rester ainsi, sans bouger, l'un dans l'autre, à nous confier nos impressions, faire le bilan, nous caresser.
Clémentine se masturbe souvent quand je suis en elle. Elle revient sur notre cas Gérard et sa petite bite d'impuissant.
< Tu me permets d'y retourner encore et bientôt ? > me fait Clémentine. Je lui dis : < Mais tu es libre comme l'air ! >
Je rajoute : < Je n'ai pas à t'autoriser quoi que ce soit ! >. Clémentine se met à bouger. Elle s'accroche à mes épaules.
< J'ai besoin de t'appartenir. J'ai besoin d'être "soumise". C'est dans mon fonctionnement ! > me dit elle. Je sais bien.

Je la soulève pour la promener dans le petit espace. Il faut faire attention aux objets épars qui traînent un peu partout.
Je reviens la déposer sur l'établi. Je me retire pour recommencer à lui bouffer le sexe. Je me régale. C'est un tel délice.
Le concerto pour gémissements majeurs, entrecoupé de petits cris, est symphonique. J'aime l'entendre crier de plaisir.
Clémentine me repousse délicatement. Nous aimons rester excités. Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. C'est mieux.
Pourtant, là encore, c'est de justesse. C'est difficile. C'est tellement bon. Nous remontons nos slips et nos jeans. 16 h.

Nous faisons le circuit des trois heures. Il est presque 18 h quand nous revenons à la nuit tombante. Estelle est déjà là.
La voiture du boulot est garée à côté du garage. Il y a de la lumière à la cuisine. Nous nous dépêchons de la rejoindre.
Elle nous fait la bise. Elle se précipite contre moi. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Je la fais tournoyer.
< Oh là ! > fait Clémentine qui s'interpose par jeu. Nous aidons Estelle à éplucher les légumes. Patates, navets, céleri.
C'est pour une grosse potée. Pour trois repas. Ce soir, demain à midi et demain soir. On ne s'emmerde pas. C'est bien.

Nous racontons nos frasques de hier soir au haras. Estelle nous raconte sa soirée avec ses parents. De quoi raconter.
< Elle était comment la bite du vieux hier soir ? > demande Estelle. Clémentine n'a pas sa pareille pour la description.
< Cette fois, il ne m'a pissé à la gueule aux chiottes. Il s'est contenté d'en mélanger à son foutre ! > fait Clémentine.
Ce vieux salaud n'est pas seulement impuissant mais également incontinent. < Mr Couches confiance ! > lance Estelle.
Nous en rigolons comme des bossus. < C'est miam ! > précise Clémentine en passant sa langue sur ses lèvres. Rires.

Je pane trois filets de cabillaud. Je les fais rissoler à feux doux dans la poêle. Clémentine fait l'assaisonnement salade.
Estelle remue les légumes dans la vieille cocotte en fonte noire. Les filles évoquent les vacances prochaines de février.
Nous les passerons ensemble. Estelle viendra tous les soirs vers 18 h15 pour repartir vers 22 h15. C'est le programme.
< Dans un peu plus de trois semaines ! > précise Clémentine. < Déjà ! > fait Estelle. Il faudra bosser pour les études.
Je mets la table. Il est 19 h15. Nous voilà installés. Nous mangeons de bon appétit. Nous rions beaucoup. C'est sympa.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles parlent du programme universitaire. Tous les choses à réaliser.
Ce second trimestre est moins tendu que le précédent. Notre vaisselle. Nous passons au salon. Vautrés dans le canapé.
Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite qui me tord la bite dans tous les sens en conversant le plus naturellement.
Je bande mou. Heureusement. J'ai la bite suintante. Les conséquences de la baise de l'après-midi. Je raconte à Estelle.
< Tu me montres comment vous avez fait ? > lance Estelle. < Mais tu ne penses plus qu'à baiser ! > lui dit Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. Estelle se lève. Se dirige vers le bureau. Retire son jeans et sa culotte. S'allonge peinarde.
Les coudes en appuis sur la surface, elle me fait : < Viens me montrer ! Sel te pli ! >. < Vas y ! > me fait Clémentine.
Je me lève. Je me cale entre les cuisses d'Estelle, je descends mon jeans et mon slip. Je frotte mon sexe contre le sien.
Clémentine est debout derrière moi. Ses bras autour de mes hanches. Estelle saisis ma bite pour se l'enfoncer. Délicate.
J'y introduis juste le bout. Elle est tellement étroite et encore peu mouillée. Estelle bouge doucement. Se met en place.

Clémentine retire son jeans et sa culotte. Elle s'installe aux côtés d'Estelle qui lui dit : < Encore ! Tu en a déjà eu ! >
Je me retire d'Estelle qui tente de me retenir. Trop tard. Je suis déjà dans Clémentine encore toute trempée. Super.
Ça rentre comme dans du beurre. Mais je reste très prudent. Je passe de l'une à l'autre. Un concerto pour petits cris.
Les filles se masturbent. Je m'enfonce dans l'une puis dans l'autre avec un égal bonheur. Elle sont comme hystériques.
Elles sont merveilleusement belles toutes les deux, le menton sur la poitrine à se faire ramoner par le ramoneur. Cris.

Ce qui est génial c'est le mélange de nos jus qui dégouline au bout de ma queue luisante et trempée. Ça rentre facile.
Les lombaires me sont un peu douloureuses. Je suis obligé de me cambrer. Quand on est grand les meubles sont bas.
Estelle connaît un orgasme cataclysmique. J'adore la voir se tourner sur le côté, ses mains entre ses cuisses en criant.
C'est comme si elle avait mal. Ce qui m'inquiète toujours considérablement. C'est pareil pour Clémentine qui en hurle.
Je reste à l'écart. Je regarde les filles qui reprennent leurs esprits. < Prends une photo de moi ! > me demande Estelle.

Je prends son téléphone de la poche de son petit sac posé à côté du canapé. Clémentine refuse d'être photographiée.
Je prends donc quelques clichés d'Estelle, le visage en sueur, les cheveux qui collent sur son visage. La fille qui a joui.
Elle se touche, écarte les lèvres de son sexe. Je m'approche pour faire quelques gros plans de la cyprine qui en coule.
Personne ne verra jamais ces photos. Juste Estelle qui adore garder des souvenirs. Et Clémentine qui file aux toilettes.
Je dis : < Ne laisse pas traîner ton téléphone à la maison ! >. Estelle fait : < Je les mets direct sur clef USB. Secret ! >

Nous rejoignons Clémentine aux toilettes. Je lèche son sexe pour me régaler du mélange. C'est au tour d'Estelle. Pipi.
Je lui fourre un doigt dans le cul. Surprise. Le jet est soudain plus violent. Je cesse. Je lui fourre la queue en bouche.
Clémentine me tient par derrière, serrée contre moi, pour regarder ce que je fais à notre "petit animal de compagnie".
< Ça fait longtemps que te ne m'as plus appelée comme ça, j'aime ! > fait Estelle entre deux succions. Je me retire.
Je lui lèche la chatte. Il est 22 h30. Nous montons à toute vitesse. Les filles veulent se partager une bonne pipe au lit.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire ramoner par le ramoneur, vautrées sur le bureau...

Julien - (Qui se fait sucer comme un bienheureux en enfonçant des doigts un peu partout. Estelle s'endort) !

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Les petits rituels d'un dimanche peinard

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par les mouvements que font les filles dans leurs sommeils. Il est environ 8 h10.
Estelle reste serrée contre moi toute la nuit. Frileuse, comme une naufragée à sa bouée. Clémentine se serre le matin.
Je passe mes bras sous les nuques pour les serrer contre moi. Comme rassurées elles gémissent de satisfaction. Joie.
< Je t'aime ! > me chuchote Clémentine dans un demi sommeil. < Moi aussi ! > me murmure Estelle qui se réveille.
C'est plein de papouilles et de douceurs. Estelle se lève en s'écriant : < Pipi !>. Elle se précipite aux toilettes. Sympa.

Clémentine me chevauche pour frotter son sexe sur le mien. < Comme c'était bon hier soir encore ! > me confie t-elle.
Estelle revient. < Merdre ! J'ai mes "trucs de filles". C'est arrivé cette nuit ! > dit elle en s'habillant avant de descendre.
Clémentine m'entraîne aux chiottes. Nous nous habillons. Nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine.
Ces délicieuses odeurs de pain grillé, de brioche et de café sont le second grand bonheur de nos dimanches matins. Bon.
Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre soirée, hier. La conclusion est la même. C'était merveilleux. Délicieux.

Nous traînons à table. Une partie de nos dimanches matins est consacré au ménage. Pas de gym, pas d'entraînement.
Estelle se charge de passer l'aspirateur partout. Clémentine s'occupe de notre chambre. Je passe la serpillère sur le sol.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine monte à l'étage. Je nettoie la cuisine. J'entends Estelle chanter avec l'aspirateur.
Je nettoie les chiottes du bas avant de passer la serpillère partout. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine en haut.
Estelle, cachée derrière la porte du salon, m'attrape par la braguette. Elle m'embrasse avec sa fougue impressionnante.

Nos bouches ont encore le gout de la brioche. C'est un délice de mélanger nos salives, de nous fouiller la bouche. Bien.
Pas de baise rituelle ce matin. Estelle a ses "petits machins" de fille. Ce qui ne l'empêche par de m'extraire la bite. Rire.
Accroupie, elle en hume les effluves parfumées au Parmesob avant de se mettre à téter avec gourmandise. Une avidité.
Je lui caresse la tête en lui murmurant des douceurs. Je la saisis par ses cheveux, sous le menton pour la faire arrêter.
Elle se redresse. Je la prends par la main. Nous montons l'escalier en courant. Clémentine est entrain de terminer le lit.

Nous lui racontons la petite pipe au salon. < Déjà l'apéro et il n'est que 9 h30 ! > lance Clémentine qui s'accroupit aussi.
Je lui passe la bite sur le visage. Elle se met à téter à son tour. Estelle me tient par la taille debout derrière moi. Douce.
Je saisis Clémentine par ses cheveux, sous la nuque, pour la forcer à se relever. Je dis : < Terminons notre ménage ! >
Je ramasse le tas de draps sales. Estelle passe l'aspirateur à l'étage. Clémentine me rejoint à la salle de bain pour laver.
Je fais le bac à douche et le bidet. Elle fait les miroirs et le lavabo. Nous n'arrêtons pas de nous faire plein de bises. Joie.

Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes de l'étage. Estelle vient m'y rejoindre.
Elle s'accroupit derrière moi pour frotter son sexe contre mes reins. C'est toujours très agréable, si chaud, si surprenant.
Je tire la chasse. Je retire mes gants en caoutchouc tout en me faisant tailler une pipe des familles par Estelle. Assoiffée.
Encore une fois, au bout de quelques minutes, je la choppe par la tignasse et sous le menton pour la forcer à se relever.
Nous dévalons les escaliers pour aller rejoindre Clémentine à la cave, dans la buanderie. Là, nous aidons à trier le linge.

C'est devenu un autre rituel. Estelle exige de s'occuper du repas de midi pendant que Clémentine et moi faisons le linge.
Le pavé de saumon et la pâte feuilleté ont décongelé. La potée de légumes est déjà prête. Elle n'aura pas trop à en faire.
Nous vidons la première machine. Nous suspendons les draps. Clémentine est très caressante, en demande de douceurs.
Je la serre très fort contre moi. Comme souvent, ses petits "extras" de la semaine la font culpabiliser un peu. Deux bites.
Mardi soir, en jouant à la serveuse au restaurant, dans les toilettes, avec un inconnu. Vendredi soir, au haras, Mr Gérard.

Nous en rions de bon cœur lorsque je dis : < Et la mienne les autres jours ! >. Clémentine s'écrie : < Donne la moi ! >
Je me fais tailler une pipe des familles entre la machine à laver et le séchoir. Les deux appareils vibrant de concert. Bon.
Cette fois, je laisse Clémentine se régaler plus longuement. Je la tiens par la nuque pour lui appuyer la tête sur la bite.
Je lui frotte la queue trempée sur la gueule. Je la force à cesser. < Le mec m'a fait pareil aux WC mardi soir ! > dit elle.
Clémentine m'a raconté tous les détails, tout le déroulement des scènes auxquelles je n'ai pas assisté. Je reproduis là.

Nous montons rejoindre Estelle qui termine de mettre la table. Le feuilleté de saumon est déjà au four. La salade faite.
Nous la félicitons. Elle se serre contre moi. < Vous avez fait des trucs à la cave ? > me demande t-elle, palpant la bite.
Clémentine répond : < Un peu de pipe, un peu de fellation et j'ai sucé ! >. Nous en rigolons comme des bossus. Super.
Dehors, le ciel est clair et lumineux. Il ne fait pas froid. Une fois encore une météo de mars à la fin du mois de janvier.
Nous mettons les anoraks pour aller faire quelques pas, prendre la température. < Cet aprême, balade ! > fait Estelle.

Le sol est sec. C'est une invitation que nous nous empresserons d'accepter. Nous faisons le tour de la propriété. Parfait.
Nous rentrons en même temps que ne résonne la sonnerie du four. Morts de faim, nous mangeons de bon appétit. Bien.
Nous ne traînons pas. Pressés de filer, nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres.
Nos grosses godasses. Nous dévalons les escalier. Les anoraks. Nous descendons à la rivière main dans la main. Super.
J'ai la bite à l'air. Entre les filles qui me la saisissent à tour de rôle, nous longeons la rivière en bavardant et en rigolant.

Les arrêts pipes sont fréquents. Comme Estelle a ses "petits machins", je ne fouille que la culotte à Clémentine. Sympa.
Je me contente de toucher le sexe à Estelle au travers le tissus de sa braguette tout de même béante. Pour bien aérer.
Ce sont les termes d'Estelle qui prétend qu'elle doit laisser respirer sa culotte lorsqu'elle a ses règles. Les éclats de rire.
Nous arrivons derrière les bâtiments du haras. Il est 14 h30. L'animation bat son plein. Il y a un monde fou. Un succès.
Nous longeons le ruisseau jusqu'à l'ancienne voie ferrée. Notre circuit habituel. La maison abandonnée et son cabanon.

Là, sur l'établi, Clémentine se fait ramoner pendant qu'Estelle joue avec mes couilles en me chuchotant des saloperies.
J'ai le jeans et le slip aux genoux. L'accès à mes couilles est facile. Estelle, accroupie, me fait même parfois le cul. Dur.
Toutes les cinq minutes je sors mon sexe de celui de Clémentine pour le lui offrir à sucer. Estelle se pourlèche du jus.
Je suce le clitoris géant de Clémentine, penché en avant, Estelle accroupie entre moi et l'établi qui suce en gémissant.
Soudain, des voix au dehors. Nous cessons. Clémentine saute de l'établi. Nous remontons nos fringues à toute vitesse.

Deux familles de promeneurs dont les chiards sont entrés dans le jardinet. Nous nous saluons. Ils nous regardent drôle.
Se douteraient ils de quelque chose ? Et alors ! On n'en a strictement rien à foutre. Nous continuons notre promenade.
Nous revenons jusqu'au haras par le sentier qui longe les prés. Pas de vaches en hiver. Dommage. C'est toujours beau.
Nous arrivons au haras pour 16 h30. Nous avons nos lampes de poche pour le retour. C'est parfait. Il y a de l'ambiance.
Nous entrons dans l'immense bâtiment du manège. Les gradins sont pleins de gens. Les cavaliers offrent leur spectacle.

C'est une fois encore une réussite. Nous voyons Juliette s'affairer au bas des gradins, allant d'un groupe à l'autre. Bien.
Très sollicitée, nous ne la dérangeons pas. Là-bas, il y a Mr Gérard qui vient toujours donner un coup de main. Retraité.
Tout le personnel des écuries est présent. Il y a là-bas Kim Son, Eveline, les deux palefreniers, Mme Walter en écuyère.
Nous regardons évoluer les chevaux. Ce sont toujours des spectacles magnifiques et de quoi s'en mettre plein les yeux.
Nous ne nous attardons pas. Si nous voulons rentrer avec la nuit, il faut y aller. C'est là que nous saluons Juliette. Joie.

Malgré les sollicitations dont elle fait l'objet, elle nous accorde une minute, nous remerciant d'êtres venus faire un tour.
Juliette aussi est vêtue de sa tenue d'écuyère. J'ai une méchante envie de glisser ma main entre ses cuisses musclées.
Nous faisons un coucou à Mr Gérard qui bavarde avec des propriétaires de chevaux. Nous quittons les lieux à 17 h30.
Nous longeons la rivière. Estelle tient la lampe de poche d'une main sans lâcher la mienne de l'autre. Clémentine aussi.
Il faut avancer avec prudence. La nuit, il y a toujours plein de bruits. Nous surprenons deux chevreuils et deux biches.

Nous restons en retrait pour les observer boire à la rivière. Une vision extraordinaire. Ils ne sont qu'à cinquante mètres.
Estelle a éteint la lampe. Serrés tous les trois, retenant nos respirations, nous admirons ce magnifique spectacle. Beau.
Les animaux ont un sixième sens. Même si nous sommes dissimulés, ils sentent une présence humaine. Et ils repartent.
Nous continuons notre chemin. Il est 18 h30 lorsque nous arrivons à la maison. Morts de faim, nous préparons le repas.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare une belle omelette. Je réchauffe le reste de potée. Tout va très vite.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs cours, la reprise de demain matin. Leurs passionnantes études.
J'écoute. C'est toujours très intéressant. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font le bilan. Superbe.
Encore un week-end paradisiaque. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous allons au salon. Vautrés dans le canapé.
Clémentine à ma gauche, serrée contre moi. Estelle à ma droite qui me tord la bite dans tous les sens tout en causant.
Je bande mou. Mais avec toutes les sollicitations de l'après-midi, il s'écoule encore du liquide séminal. Estelle aime voir.

La perle qui luit au bout du méat, limpide, opalescente, comme un diamant. Estelle se lève, se met à genoux. Sourire.
Entre mes cuisses écartées, elle observe avec attention. Clémentine est penchée en appui sur ma cuisse pour observer.
C'est elle qui d'un mouvement rapide, surprenant Estelle qui voulait le faire la première, gobe l'extrémité de ma queue.
Elles se refilent la bite, échangeant leurs impressions quant à son gout ce soir. < Le gout du dimanche ! > lance Estelle.
Comme le dimanche nous restons dans nos jus, les gouts de nos sexes sont forts. Elles se régalent du mien avec faste.

Je me fais sucer délicatement par mes deux anges. J'aime les entendre échanger leurs impressions tout en me goûtant.
Je leurs caresse les joues, la nuque, sous le menton. Je me laisse faire sans aucune initiative. Totalement passif. Super.
Je dis : < Qui qu'en veut ? >. Les filles s'écrient en même temps : < Moi ! >. Nous en rions de bon cœur. Je me relève.
Debout, je tiens ma queue à sa base entre le pouce et l'index. Je la frotte sur leurs visages d'anges. Je l'enfonce. Doux.
J'éjacule consciencieusement en distribuant correctement les parts dans un concert de petits cris de bonheur. Orgasme.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à se reposer après la promenade du dimanche, vautrées dans le canapé...

Julien - (Qui écoute les derniers secrets de Clémentine, serrée contre lui, sous les draps, après l'avoir léché un peu)-

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Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1047 -



Nous passons un agréable lundi soir

Hier matin, lundi, c'est le concerto d'Aranjuez qui nous arrache avec une certaine cruauté de nos profonds sommeils.
< L'enculé ! > s'écrie Clémentine qui s'allonge sur moi, pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Il est 5 h55. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues gym, nous descendons.
Nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en discutant. Lundi, il reste de la brioche.
Nous remontons pour notre entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Intensité maxi.

La douche. Je descends pour sortir, préparer la petite auto de Clémentine. Elle me rejoint chaudement vêtue. 7 h45.
Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit et la vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette.
Il est 8 h15. La treizième toile destinée à ma saison d'été m'accapare rapidement complètement. C'est un vrai plaisir.
Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. C'est proprement fantastique.

Il est aux environs de 10 h lorsque la stupide musique de mon smartphone le fait vibrer dans la poche de ma blouse.
C'est Julie qui m'appelle depuis les toilettes de l'université, entre deux cours, pour confirmer sa venue ce soir. 19 h30.
C'est sur cette agréable certitude que je travaille en pensant à cette délicieuse étudiante délurée de 20 ans. Coquine.
Il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler le riz complet. Je lave la laitue.
Je lave le choux-fleurs et les pommes de terre épluchées que je coupe en morceaux. Je mets le tout à l'eau bouillante.

Je concocte une sauce Béchamel dans laquelle je rajoute les crevettes et les champignons rissolés à la poêle. Parfait.
J'en récupère un peu comme accompagnement de mon riz. Mon repas de midi. Pour ce soir, le gratin de choux-fleurs.
J'égoutte les légumes. Je les dépose dans un plat en terre cuite. Du gruyère, le mélange œuf et crème fraîche dessus.
Le tout au four. Le repas de la soirée est assuré. Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les informations. Dur.
Jusqu'à récemment je croyais que c'étaient des journalistes. Naïf. Mais ce ne sont que des animateurs d'informations.

La vaisselle. Je range la cuisine. Je mets mon anorak. Je vais faire quelques pas à l'extérieur. Le ciel gris et lumineux.
Il fait presque doux. Je fais le tour de la propriété. Je rentre. Il est 13 h15 lorsque je suis à nouveau devant ma toile.
Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours. Et elle est si joyeuse.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire.
Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur à mettre au propre les notes du jour. Les cours.

< Put-Hein ! Ras le bol ! > s'écrie t-elle. Il est 18 h15. Moi aussi. Nous rangeons nos affaires en chantant, déconnant.
Nous voilà installés sur l'épais tapis devant la cheminée quand un bruit sourd, au dessus de nos têtes, brise le silence.
Il est 18 h30. L'heure des manifestations paranormales. L'heure de la visite du fantôme de mon ancienne compagne.
Cela ne dure qu'une dizaine de minutes. Bruits de pas. Meubles que l'on déplace. Portes qui grincent et qui claquent.
C'est tout l'éventail des poltergeists que connaissent bien celles et ceux qui sont confrontés aux mêmes phénomènes.

Allongée, sa tête posée sur ma cuisse, Clémentine revient sur notre week-end. C'était un enchantement paradisiaque.
Tous les trois, Clémentine, Estelle et moi, livrés au stupre, à la luxure, accessoirement à la sexualité la plus débraillée.
Nous en rions de bon cœur. < Ce soir, quand il y aura Julie, tu feras ton satyre. Fais le salaud ! > me fait Clémentine.
Je promets de faire de mon mieux. Il est 19 h. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. J'allume le four, feu doux.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement. La laitue dont les feuilles sont déjà lavées. Nous dressons la table au salon.

Intentionnellement, Clémentine sort le collier canin et la laisse du tiroir du bas du bureau. < Mets les moi ! > fait elle.
Je le fixe délicatement à son cou. J'y attache la laisse. < Ça fait longtemps que tu ne m'as plus attaché ! > me dit elle.
Je donne un à coup. Je lui fais faire le tour de la grande pièce. Clémentine allume les trois grosses bougies. Chandelier.
La clarté des bougies est la seule lumière entourant toute la grande pièce d'un profond mystère. Vieille demeure. Bien.
< Sors ta queue ! > lance Clémentine. Trois coups de sonnette. Elle se précipite. J'ai la bite qui pend lamentablement.

Julie entre dans la pièce. Toute heureuse elle me serre la main en faisant mine de ne pas voir ma braguette ouverte.
J'aime cette attitude toute féminine, faite de fausse pudeur et de fausses insouciances devant des situations tordues.
Julie est vêtue d'un jeans, un sweat bleu nuit, des bottines. Ses lunettes cerclées de noir, les cheveux noués en natte.
Elle est magnifique. Un petit bout de femme d'environ un mètre soixante dix. Toute menue et d'apparence si fragile.
Je propose aux filles de faire le service. < Pas question. Je vous aide ! > s'écrie Julie qui regarde enfin ma bite molle.

Clémentine me tend la laisse. Julie qui n'avait pas vu cet accessoire le découvre soudain avec surprise. Elle me fixe.
Je donne un à coup. Je dis à Clémentine : < Accroupie ! >. Clémentine, en "Soumise" parfaite s'accroupit. Immédiat.
Je dis : < A genoux ! >. Clémentine se met genoux. Je l'entraîne pour faire le tour de la pièce à quatre pattes. Bien.
Julie, d'abord consternée, observe maintenant la scène avec un sourire amusé. Le silence. Clémentine est à genoux.
Je lui frotte le sexe sur le visage sans cesser d'observer les expressions de Julie. C'est la première fois qu'elle voit ça.

La sonnerie du four. Je tire sur la laisse. Clémentine se redresse. < C'est génial ! > fait Julie dans un soupir. C'est vrai.
Nous allons chercher les plats à la cuisine pour les ramener au salon. Nous voilà installés à la grande table monastère.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent notre aventure de mardi dernier au restaurant.
Clémentine avait laissé son pourboire à Julie. Le jeu de la serveuse était la seul distraction désirée. Une réussite totale.
Nous en rions de bon cœur. Julie propose à Clémentine une récidive prochaine. Il suffit de prévenir une semaine avant.

Je demande : < Et Anne-Marie, ta tante, elle a réagi comment ? >. Julie me fait : < Oh, elle s'amuse bien. Salope ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine passe la poignée de la laisse autour de mon poignet. Je la tiens bien.
< Vous faites ça souvent ? > demande Julie. Clémentine évoque ses penchants de soumise sans entrer dans le détail.
Je m'empresse de préciser que je n'ai aucun penchant de "Maître". C'est uniquement pour rendre service et s'amuser.
Je dis : < Tu veux essayer la laisse, Julie ? >. La jeune fille reste silencieuse. Elle observe, dubitative, le collier canin.

< Maintenant je me souviens ! Tu le portais déjà autour du cou, au restaurant, parfois ! Là je comprends ! > fait Julie.
Je me lève. Je m'approche de Clémentine. Je frotte mon sexe sur son visage. Julie nous observe. Elle semble étonnée.
Je lui dis : < C'est quand tu veux ! >. La jeune fille me demande : < Une initiation ? >. Clémentine fait : < Mieux ! >
Julie semble profondément troublée. De se retrouver pour la première fois de sa vie devant une telle réalité. Fabuleux.
J'agite mon sexe dans sa direction pour lui dire : < Une initiation toute en douceur qui te fera grimper aux rideaux ! >

C'est amusant car Julie paraît si bouleversée. Nous la connaissons à présent suffisamment pour deviner la part de jeu.
< Je vais y réfléchir ! > répond t-elle alors que dans sa psyché, c'est déjà clair, net et précis. C'est un truc à essayer.
Je me lève. Je suis debout derrière Clémentine. Tout en fixant Julie, je retire le collier canin. Un cuir brun très élégant.
Je l'agite en direction de Julie. Je suspend le collier à ma bite raide comme un piquet. Je m'approche de la jeune fille.
A ma grande stupéfaction, elle s'en saisit pour le scruter. Et sous tous les angles avant de se le passer autour du cou.

Nous restons silencieux. Nous retenons nos respirations. Julie me tourne le dos. Je comprends immédiatement. Parfait.
Je ferme le collier canin sur son cou fin et délicat. Je saisis la laisse. Je tire avec douceur. Julie pose sa fourchette. Joie.
Elle se lève. Je l'entraîne pour faire le tour de la pièce. Je fais : < A quatre pattes ! >. Julie me regarde avec sévérité.
< Ce sera le sujet de la prochaine séance ! > me fait la jeune fille. Elle retire le collier. Elle sait à présent la sensation.
Nous débarrassons la table. Julie insiste pour que nous fassions notre vaisselle ensemble. Elle revient sur "l'initiation".

C'est à nous d'êtres étonnés. Julie revient sur ce nouveau projet qu'elle nomme "délire". Elle en parle toute la vaisselle.
Elle va même jusqu'à nous proposer de réaliser ce "délire" durant les vacances de février. Nous restons pantois. Délire.
Je demande : < Tu es sérieuse ? Tu veux vraiment essayer ? >. Julie tout en essuyant, me fait : < Je veux essayer ! >
Il y a une certaine gravité dans la voix et dans l'affirmation. Pas le moindre doute, cette jeune délurée en a le souhait.
Nous nous promettons de mettre tout cela au point. Julie nous soumettra deux ou trois dates. Il faut qu'elle soit libre.

Dans les toilettes, où elle nous accompagne pour me regarder pisser, Julie me fait : < Il y a toutefois une condition ! >
Nous écoutons. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet sous le regard attentionné de Julie penchée en avant.
< Je ne veux pas être baisée ! > lance Julie. Je la rassure. Clémentine aussi. < C'est pas notre genre ! > rajoute t-elle.
Nous éclatons tous les trois de rire. D'une ambiance lourde et pesante, nous passons aux fous rires et aux plaisanteries.
Clémentine tend ma queue à Julie en disant : < Secoue lui les dernières gouttes, il adore ! >. Julie se saisit de ma bite.

Je passe mon bras autour de ses hanches. Je monte pour lui saisir la nuque. La jeune fille se laisse faire. Découverte.
Julie découvre peut-être ce soir un fantasme nouveau, enfuit tout au fond de sa psyché. Je la tiens fermement. Rires.
Nous prenons le dessert. Les filles évoquent leurs études. Pour Julie c'est comme retrouver un calme intérieur. Super.
Il est 22 h. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Une nouvelle surprise, elle me tient la queue d'une main ferme.
Nous la regardons partir. Au lit, nous baisons comme des fous. Ce qui se prépare probablement est fabuleux. Orgasme.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ont le secret désir de se faire initier à la "soumission" par un couple vicieux...

Julien - (Qui écoute les enchantements de Clémentine à l'idée de ce qui se profile pour les vacances de février) -

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Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1048 -



La tarte aux poireaux du mardi soir

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bisous que l'on me dépose sur les joues, le cou, le nez.
< C'est l'heure ! Je t'aime ! > me susurre Clémentine à l'oreille avant de s'allonger sur moi pour éteindre notre réveil.
Il est presque 5 h55 et j'ouvre péniblement les yeux. Je la serre contre moi. C'est tellement adorable quand c'est ainsi.
Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Super.
Nous préparons un petit déjeuner que nous savourons. Le mardi, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend euphorique.

J'aime la voir si optimiste déjà le matin. Elle fait toute chose en chantonnant. En improvisant, en inventant des paroles.
Nous remontons pour l'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, les abdos. Intensité maximale.
La douche. Je descends pour aller sortir la voiture de Clémentine qui me rejoint sous sous parapluie. Il fait doux. 7 h45.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le jour s'est presque entièrement levé. C'est top.
Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon dans feu dans la cheminée.

Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet à préparer ma palette et en chantant "Le Gorille" de Georges Brassens.
Je peins dans une véritable extase en poussant les cris les plus surréalistes. Les nouveaux que m'a appris Clémentine.
Je termine probablement cette treizième toile destinée à ma saison d'été pour midi. Le timing parfait. C'est fantastique.
Il est presque midi. Je dépose la dernière goutte de terre de Sienne brûlée sur la surface de mon tableau enfin terminé.
Je dépose la toile achevée sur le second chevalet afin de l'y laisser sécher. Je pose une toile à peindre sur le chevalet.

Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine en sifflotant. Je fais bouillir l'eau salée de mes coquillettes.
Je coupe les poireaux en petits morceaux et que je lave avant de les mettre à cuire. Je concocte une belle Béchamel.
Je fais une pâte à pain. J'égoutte les poireaux que je mélange à la Béchamel. J'égoutte mes coquillettes. C'est parfait.
Je récupère un peu de Béchamel comme accompagnement. Je fais revenir deux filets de colin à la poêle. L'ail, l'oignon.
Il est 12 h30. Clémentine rentre de cours. Elle me saute dans les bras, je la soulève. Elle me fait plein de bisous. Joie.

La pâte à pain repose sous un linge dans un saladier. La Béchamel repose sous un couvercle dans sa casserole. Super.
Nous mangeons de bon appétit avec une double satisfaction. Le repas de ce soir est prêt et Clémentine est avec moi.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les anoraks. Nous prenons le parapluie. Nous faisons quelques pas au dehors.
Il fait presque doux. Le vent souffle en bourrasques. C'est réellement la météo d'un mois de mars pour un 28 janvier.
On se dépêche de rentrer. Il est 13 h15. Me voilà assis devant la quatorzième toile destinée à ma saison d'été. Super.

Le dessin préparatoire et la couche d'impression sont déjà effectués. Je n'ai plus qu'à préparer mes couleurs. Sublime.
Clémentine qui du travail est assise devant son ordinateur. Nous adorons tant ces après-midi d'émulations productives.
Parfois, l'un se lève pour rejoindre l'autre. Voir ce qu'il fait. Lui faire pleins de bisous et lui chuchoter des cochonneries.
L'après-midi se déroule ainsi. Déjà 18 h15. Estelle arrive. Les filles se sont vues ce matin. Estelle se précipite vers moi.
Assise sur mes genoux, Estelle nous raconte son après-midi. Le bureau de l'entreprise familiale. C'est toujours sympa.

Nous rangeons nos affaires. Déjà 18 h30. Un bruit sourd à l'étage. < Bonsoir Christine ! > font les filles d'une seule voix.
La visite du fantôme de mon ancienne compagne. Ce sont les phénomènes habituels. Bruits de pas, de portes, de tiroirs.
Cela dure une dizaine de minutes. Même si nous ne nous inquiétons plus, ce sont toujours des choses impressionnantes.
Nous sommes devant la cheminée. Les filles allongées sur l'épais tapis, leurs têtes sur mes cuisses à discuter des cours.
Je leurs caresse les cheveux. < Tu ne l'as pas encore sorti ce soir ! > me fait Estelle, glissant sa main dans la braguette.

Clémentine répond : < Julien attend toujours poliment que tu la lui sorte ! >. Et ce n'est évidemment qu'une boutade.
Car je vis quasiment à longueur de soirée avec la bite à l'air. Nous rions de bon cœur. Et Estelle me la tient fermement.
Elle se la passe sur le visage en disant : < J'ai mes "petits machins" de fille, dommage ! >. Elle en soupire longuement.
Clémentine lui dit : < Demain soir, pas de baise avec parrain, tu vas le sucer ? >. Nous en rigolons comme des bossus.
< Non ! Je n'y vais pas. Il déteste la pipe, le salaud. Et il rêve de m'enculer ! Je déteste encore plus ! > s'écrie Estelle.

Il est 19 h. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle travaille bien la pâte.
Je réchauffe la Béchamel contenant le poireau. Je rajoute du gruyère très finement râpé, des graines grillées de sésame.
< Ta bite ! > me fait Estelle. Je m'approche pour lui présenter mes organes génitaux. Couilles et Zob. C'est très sympa.
Estelle m'enduit copieusement la bite et les roubignoles de farine humide. C'est si tiède. Elle me fait une bise sur le nez.
La Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui fait les délices de nos mardis soirs est au four. La table est mise. Bien.

Les filles m'entraînent au salon en riant. Ce qui est devenu un nouveau rituel depuis quelques semaine nous attend là.
Assises sur le bord du canapé, me tenant toutes les deux les hanches, me palpant les fesses, elles me lèchent la bite.
Estelle s'occupe le plus souvent des couilles alors que Clémentine qui commence par le prépuce, s'occupe de la biroute.
En séchant la farine durcit. Ce qui tire et qui picote. Ce n'est pas très agréable. Ça donne envie de se gratter. Pénible.
J'ai toutefois très rapidement une bite et des couilles exemptes de farine. Les organes génitaux luisants de salive. Bon.

Je leurs caresse la tête, les joues, délicatement en les regardant se refiler la bite qu'elles dégustent en gloussant. Rire.
J'aime les entendre échanger leurs impressions quand au goût de ma queue en soirée. < Liquoreuse ! > conclue Estelle.
La position debout, ainsi cambré sur mes jambes fléchies, est douloureuse pour les lombaires. Je suis obligé de bouger.
J'imprime un mouvement masturbatoire très léger. D'abord dans la bouche d'Estelle puis dans la bouche de Clémentine.
Elles ont du foutre qui suinte aux coins des lèvres. Avec l'index je récupère pour leurs faire sucer mon doigt. C'est doux.

La sonnerie du four. Les filles me tendent les mains. Je les saisis pour les tirer. Nous nous précipitons à la cuisine. Faim.
Nous savourons une tarte aux poireaux délicieuse. C'est tellement bon. Impossible de s'en lasser, de s'en passer. Mardi.
Nous mangeons de bon appétit. A plusieurs reprises, avec sa vulgarité habituelle, Estelle se lève pour mimer une branle.
Je me lève pour agiter ma queue toute molle mais dégoulinante dans sa direction. Clémentine se lève pour me la sucer.
Le repas se déroule dans une ambiance conviviale faite de franche camaraderie sexuelle qui nous enchante et nous ravi.

Nous en rigolons comme des bossus. Lorsque nous racontons notre soirée de hier avec Julie, Estelle fait sa jalouse. Rire.
< Tu ne vas pas me remplacer par cette petite salope ! > s'écrie t-elle. Nous la rassurons. Surtout moi. Je suis très clair.
Je dis : < Personne ne peut remplacer notre petit animal de compagnie ! >. Elle se précipite et s'assoit sur mes genoux.
Ses bras autour de mon cou, Estelle fait : < Aucune chatte ne ronronne comme la mienne ! >. Nous rions de bon cœur.
Je rajoute : < Dès la fin de tes "petits machins" de fille, je change la litière ! >. Nous rigolons comme des bossus. Super.

Nous traînons à table. Clémentine propose de s'installer dans le fauteuil, de se branler et d'observer nos improvisations.
< Excellent ! > s'écrie Estelle. Nous faisons la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles m'entraînent au salon. Rires.
Clémentine retire son jeans et sa culotte. Ses jambes posées sur les accoudoirs du fauteuil, les cuisses écartées, prête !
Je saisis Estelle par sa tresse. Je la promène un peu dans la grande pièce comme si je la tenais à une laisse. Elle adore.
Rien n'excite davantage Clémentine que de me voir faire le pervers salace avec une autre. Elle se masturbe doucement.

Je force Estelle à se mettre à genoux sur un des épais coussins que je jette au sol. Je la tiens fermement par la tresse.
Je lui frotte la queue sur le visage. La respiration de Clémentine qui se fait plus haletante. Les premiers gémissements.
Je passe ma bite sur la gueule d'Estelle qui m'en présente toutes les facettes. Aussi consciencieusement que je la frotte.
Je la saisis par ses oreilles pour lui enfoncer la queue dans la bouche. Je bouge doucement pour me branler. Le vicelard.
Je regarde Clémentine, toute rouge, en sueur, qui se mordille la lèvre inférieur sans cesser de se toucher en gémissant.

Estelle a glissé une main dans son jeans. Je guide sa fellation gloutonne en la tenant sous le menton, par la nuque. Joie.
C'est un concerto pour gémissements. Parfois Clémentine se penche pour regarder de plus près. Tout en se masturbant.
Je peux lui caresser la tête. Je sors ma queue de la bouche d'Estelle pour la mettre dans la sienne. La jute éclabousse.
En passant d'une bouche à l'autre, ça gicle. Je frotte ma bite sur leurs visages d'anges. C'est un bonheur d'entendre ça.
De petits cris de ravissements. Des gloussements de surprise. Des gémissements de plaisir. Clémentine crie. L'orgasme.

A peine recroquevillée sur elle même qu'elle se saisit de la cuvette posée au sol pour se lâcher dans un puissant pissou.
C'est fantastique. Il y a de la cyprine qui s'écoule en abondance derrière le jet pour se mélanger dans la cuvette. Super.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Je l'entends déglutir avec peine. Elle connaît son orgasme et ne veut pas cesser. Pipe.
C'est merveilleux de voir son corps secoué de spasmes. Elle jouit tout en avalant l'abondance de mon foutre épais. Joie.
Clémentine s'affale dans le fauteuil en m'invitant à venir déguster sa chatte. Je pousse Estelle pour me mettre à genoux.

Je me régale du savoureux mélange que m'offre la fille que j'aime. Je suce sa vulve qui semble intarissable. C'est miam.
Estelle, couchée sur le côté, recommence à me pomper. J'ai la bite congestionnée tellement je me fais pomper et vider.
Clémentine me guide en me tenant par les oreilles. Le second orgasme est encore plus violent. Et elle en hurle de plaisir.
Il est 22 h. Je saisis Estelle par sa tresse pour la forcer à cesser, à se relever. Nous reprenons nos esprits aux toilettes.
Je lèche les filles après leurs pissous. Elles me sucent après le mien. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Difficile.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment sucer de la queue en se branlant et en se lâchant dans un jet de pisse...

Julien - (Qui écoute les dernières impressions de Clémentine. Deux orgasmes. Elle s'endort en gémissant d'aise) -

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Un agréable mercredi soir avec la visite de Juliette

Hier matin, mercredi, c'est le prélude de Bah interprété au violoncelle par Rostropovitch qui nous arrache du sommeil.
< Fait chier ! > s'écrie Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Quelques papouilles. Déjà 5 h55. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues gym, nous descendons vite.
Nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre folle soirée de hier. Bien.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous son parapluie. Dur.
Un dernier bisou. Le jour est presque entièrement levé. Il est 7 h45. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Super.
Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Parfait.
Assis devant mon chevalet je prépare ma palette. 8 h15. La peinture de la quatorzième toile destinée à ma saison d'été.
Je peins dans un état d'exaltation proche de l'extase. Je pousse les nouveaux cris surréalistes enseignés par Clémentine.

Il est aux environs de 10 h lorsque résonne la stupide musique du smartphone qui vibre dans la poche de ma blouse.
C'est Juliette. Elle nous confirme sa venue pour le repas en soirée. Elle sera là pour 19 h30. Nous bavardons un peu.
Sur mode "haut-parleur" afin de pouvoir discuter tout en travaillant. Juliette est dans son bureau. C'est très agréable.
Nous causons ainsi une bonne vingtaine de minutes. Les préoccupations sexuelles de Juliette sont source de rigolades.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je continue à peindre en pensant à cette étonnante jeune femme. Je bande.

Il est rapidement midi. Je mets deux buches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Les fruits de mer y ont décongelé.
La pâte feuilleté également. Je fais gonfler du riz complet bio. Je fais revenir les queues de langoustes et les crevettes.
Je concocte une Béchamel. J'y rajoute les fruits de mer rissolés. Je verse sur les trois fonds de tarte de pâte feuilleté.
Je recouvre d'un fin couvercle en pâte feuilleté. Trois tourtes que je mets au four avec le gratin de riz complet. Super.
Voilà le repas du soir qui est assuré. Je mange de bon appétit. J'ai gardé du riz et de la sauce. Une salade de carottes.

Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Je vais dresser la table au salon. Je mets l'anorak. Je fais quelque pas dehors.
Il pleut. A l'abri sous le parapluie je fais le tour de la propriété. Des giboulées de mars un 29 janvier. C'est surprenant.
Il est 13 h15 quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé de la même joie.
Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours. J'anticipe. Je pose ma palette et mes pinceaux sur la petite desserte. Super.
Clémentine, assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, me raconte sa journée. Les cours, les profs, Estelle.

Elle a encore du travail. La voilà installée devant son ordinateur à mettre au propre les notes prises en cours aujourd'hui.
Encore un de ces moments d'émulations créatrices que nous apprécions tant, à pousser des cris à improviser des chants.
Nous travaillons ainsi jusqu'à 18 h15. Nous rangeons nos affaires. Il est 18 h30. Les premiers bruits qui se font entendre.
L'heure de la visite du fantôme de mon ancienne compagne. Nous écoutons les étranges manifestations. Le bruits de pas.
Cela dure une bonne dizaine de minutes pour cesser aussi mystérieusement que cela a commencé. Comme tous les soirs.

Allongée sur l'épais tapis devant la cheminée, sa tête posée sur ma cuisse, Clémentine me parle de ses cours. Projets.
Ce second trimestre est beaucoup plus cool. Par contre, après les vacances de Carnaval, il faudra préparer un mémoire.
Se replonger dans les textes, dans la narration en vue d'un nouvel oral avant les vacances de Pâques. Du boulot à venir.
Je lui caresse les cheveux. J'écoute. Clémentine glisse sa main dans ma braguette pour jouer avec ma queue, la sortir.
Je bande très mou. < Tu seras le roi des satyres ce soir, avec Juliette ? > demande Clémentine. Nous éclatons de rires.

Je réponds : < Je ne fais que ça avec nos visiteuses ! >. Clémentine me fait : < Mais elles viennent pour ça tu sais ! >
Nous rions de bon cœur. Bien évidemment nous savons qu'elles viennent également pour être en agréable compagnie.
Il est 19 h. Nous quittons l'atelier. Nous avoilà à la cuisine. Je réchauffe le four. Clémentine découvre ce que j'ai préparé.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Bon.
Elle découvre également que la table est déjà mise au salon. < Je t'aime ! > me fait elle avant de m'embrasser. Super.

Il ne reste plus qu'à monter afin que je me change. C'est rapide. Clémentine choisi un jeans propre, une chemise crème.
Me voilà bien habillé. Nous descendons à toute vitesse. < Bite à l'air devant les dames ! > me lance Clémentine en riant.
Je sors mon sexe en même temps que ne résonnent les trois coups de sonnette. Clémentine se précipite pour aller ouvrir.
Je suis dans le salon. J'allume les trois grosses bougies. Juliette entre dans la pièce. Elle est souriante, heureuse. Si belle.
Vêtue de sa tenue d'écuyère sous son manteau noir que lui prend Clémentine pour la débarrasser. Elle me serre la main.

J'aime ces réactions toutes féminines, faites de fausses pudeurs devant les situations équivoques. C'est merveilleux. Bon.
Tout en faisant le tour de la table, pas une seule fois Juliette ne regarde la bite qui pend lamentablement de la braguette.
Pourtant elle nous parle. Clémentine propose de faire le service. < On fait ça tous les trois ! > s'écrie Juliette. C'est bien.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Je sors les tourtes et le gratin de riz du four. Le tout si bien doré.
< Mmhh ! Je suis morte de faim ! > s'écrie Juliette. Elle regarde enfin mon Zob. Elle dit : < Ne vous brûlez pas ! >. Rire.

Je pose les trois tourtes sur un grand plateau. Juliette prend le gratin de riz sur un autre plateau. Clémentine le saladier.
Nous emmenons le tout au salon. Nous voilà confortablement installés là. Clémentine à ma droite, Juliette à ma gauche.
Nous savourons un repas délicieux. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent vendredi soir.
Juliette nous propose une nouvelle soirée pipe au haras, juste nous quatre, elle, Gérard, Clémentine et moi. C'est sympa.
Clémentine propose d'y réfléchir. En fait, c'est tout réfléchi. Elle me fait du pied sous la table. C'est son fonctionnement.

C'est toujours mieux, dans ce domaine, de ne pas dire oui tout de suite. Juliette fonctionne de la même manière. Parfait.
C'est un fonctionnement typiquement féminin. Je ne dis rien. Je me contente de me lever. J'agite ma biroute toute molle.
Juliette me fait : < Je développe une nouvelle addiction, méfiez vous Julien ! >. Nous rions de bon cœur. Je me branle.
Je bande mou. Clémentine et Juliette, tout en mangeant, observe le mouvement régulier de mes doigts sur le prépuce.
Je décalotte juste un peu. La peau violacée du gland. L'orifice de mon méat ou perle la goute épaisse de liquide séminal.

Je présente ma bite à Juliette, à quelque centimètres de son visage qu'elle avance au maximum pour en humer l'odeur.
Ça fouette. Je sens les effluves parfumées du Parmezob me monter au nez. Clémentine avance son visage pour sentir.
< Odeur de mec ! J'adore quand ça sent fort ! > fait Juliette. < Moi j'adore ! > rajoute Clémentine. Je décalotte à fond.
L'aspect grumeleux du fromage de bite collé sous le gland, rajouté à l'odeur épouvantable sont repoussants. Schlingue.
Je suis terriblement gêné. J'en ai presque honte. Clémentine exige que je ne me décalotte pas sous la douche. Fromage.

Juliette a un mouvement d'écœurement. < A ce point là, ça devrait être taxé ! > fait elle. Nous éclatons de rire. Super.
Elle s'empresse toutefois de rajouter : < Vous me gardez ça bien au chaud pour vendredi ! > Nous en rions de bon cœur.
< Je m'en occupe ! > fait Clémentine. Je "referme". < J'aime voir ça ! > fait encore Juliette. Je bande comme un salaud.
Juliette insiste pour que nous fassions la vaisselle tous les trois. C'est un prétexte pour beaucoup nous amuser. Bien rire.
Juliette a ramené le dessert. Une tarte aux prunes. C'est un régal que nous savourons vautrés dans le canapé. C'est bon.

Clémentine assise à ma gauche, Juliette installée à ma droite. Nous dégustons en riant beaucoup. C'est si sympathique.
Les filles évoquent le vendredi soir qui nous attend. < Je vais me goinfrer la bite à Gérard ! > fait Clémentine en riant.
< Moi, je vais me régaler de celle de Julien ! > rajoute Juliette. Je secoue ma queue toute molle en disant : < Prête ! >
J'invite Juliette. Je dois pisser. Et les toilettes à trois sont devenues un rituel avec toutes nos visiteuses bien vicelardes.
Debout devant la cuvette des chiottes, Juliette à ma gauche, Clémentine à ma droite, j'attends mains sur les hanches.

Ça fait bien deux heures que je dois lisbroquer. Clémentine saisit mon sexe pour le tendre à Juliette qui reste hésitante.
< Tenez là, c'est à votre tour ! > fait elle à Juliette qui s'en empare enfin, le tenant à sa base entre le pouce et l'index.
C'est toujours émouvant les doigts d'une femme qui dirige le jet. Je pisse par petits jets parfaitement contrôlés. Précis.
Juliette, en parfaite virtuose nous raconte qu'elle fait ça à Mr Gérard ainsi qu'à Pierre le mari de Mme Walter. Souvent.
< Moi je le fais tout le temps, matin et soir ! > répond Clémentine. Je commence à bander dur. Les jets sont plus fins.

Juliette contraint ma queue vers le bas. Les connaisseuses savent que c'est presque douloureux pour le mec. Amusées.
Elle me la tord fermement vers le bas. En véritable vicieuse elle s'y prend même à deux mains. Clémentine se masturbe.
Rien ne l'excite davantage que ce genre de situation. Je passe mes bras autour de leurs tailles. Elles se serrent bien fort.
Juliette ne lâche plus mon sexe qu'elle tient à présent d'une poigne ferme en me la tordant dans tous les sens. Vicieuse.
< Une fois que j'en tiens une, je me la garde ! > fait Juliette. Nous en rigolons comme des bossus. Elle se met à branler.

Nous sortons des toilettes. Clémentine a glissé sa main dans son jeans. Juliette me tient par la bite comme une laisse.
Ce n'est qu'une fois dans le hall d'entrée, avant de mettre son manteau qu'elle me lâche enfin le Zob avec un clin d'œil.
Elle renifle sa main. Elle fait la grimace. < Vivement que j'y goute ! > fait elle en sortant. Nous la raccompagnons. Joie.
Nous sommes à l'abri sous notre immense parapluie. Assise dans sa voiture, Juliette me reprend la queue en la serrant.
< A vendredi ! > fait elle. Nous la regardons partir. Au lit, nous baisons comme des fous. Cunnilingus, fellation et dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment visiter un couple d'amis et tenir la bite du mec aux chiottes...

Julien - (Qui offre à Clémentine un cunnilingus d'enfer avant de lui éjaculer dans la bouche) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1050 -



Les pizzas du jeudi soir, moules enfarinées...

Hier matin, jeudi, c'est le Rondo Veneziano qui nous tire avec une certaine élégance de nos profonds sommeils. Chic.
< Ils gonflent ! > fait Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Quelques papouilles. Il est 5 h55. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, nous descendons.
Morts de faim, nous préparons notre copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. C'est bien.
Nous remontons pour notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Intensité.

La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint dans une certaine douceur. Sympa.
Cette étrange douceur persiste. Il est 7 h45. Il fait presque jour à présent. Notre dernier bisou. Je la regarde s'en aller.
Un dernier coucou. Je rentre. Je fais le lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Joie.
Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette tout en chantant "l'orage" de Georges Brassens.
Je peins dans un enthousiasme débordant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. J'exulte et c'est fantastique.

La peinture de cette quatorzième toile destinée à ma saison d'été m'accapare. Une scène de genre. Trois personnages.
Ce que je préfère. Bien évidemment, une fois encore, les personnages féminins ont les traits d'Estelle, de Clémentine.
Ce qui me permet d'exceller dans les détails les plus infimes, la loupe frontale fixée autour de la tête. C'est prodigieux.
Comme toujours, livré ainsi corps et âme à ma passion, je ne vois pas les heures passer. Il est presque midi. C'est bon.
Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau pour y faire gonfler du pilpil de blé bio.

Je fais revenir un filet de cabillaud pendant que je prépare la pâte à pizza pour ce soir. Je concocte la garniture. Parfait.
Tomates fraîches, ail, oignon, champignons. J'en récupère un peu comme sauce avec le pilpil de blé. Accompagnement.
La pâte à pizza repose sous son linge dans le saladier. La garniture repose sous son couvercle dans une casserole. Bon.
Je mange de bon appétit, tentant d'écouter le flot des information formatées, calibrées. S'en est trop. J'éteins la radio.
La vaisselle. Je mets mon anorak pour aller faire quelques pas dehors. Il fait presque doux. Un ciel gris mais lumineux.

Je fais le tour de la propriété. Je rentre. Il est 13 h15. Me voilà à nouveau confortablement installé devant mon chevalet.
Je peins animé des mêmes pulsons créatrices que ce matin. Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours et toute contente.
Je pose ma palette et mes pinceaux pour lui permettre de s'assoir sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Bisous.
Clémentine me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. Une journée à écrire vite.
< On n'arrête pas de gratter en ce moment ! > me confie t-elle. Elle a encore la mise au propre de ses notes à réaliser.

La voilà assise devant son ordinateur. Il est 18 h15. Ponctuelle et réglée comme une horloge, Estelle arrive surexcitée.
Elle se précipite pour me couvrir le visage de bisous. Assises sur mes genoux elle me raconte la baise avec parrain, hier.
< J'y suis allée quand même puisque mes "petits machins" de filles étaient terminés depuis le matin ! > nous fait -elle.
Nous en rions de bon cœur. Clémentine rajoute : < Et ce soir tu veux donc tout naturellement comparer avec Julien ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Soudain, à l'étage, un bruit sourd, caverneux qui résonne étrangement. Film gore.

< Bonsoir Christine ! > font les filles pour saluer l'arrivée du fantôme de mon ancienne compagne. Ce soir, ça déménage.
Bruits de meubles que l'on ripe. Portes qui grincent, qui claquent. Courses poursuites. Bref, la totale d'un film d'horreur.
Cela dure une dizaine de minutes. Nous en profitons pour ranger nos affaires. Ce soir, Estelle est particulière caressante.
Entreprenante. < Je suis excitée comme une puce, c'est jeudi et on est ensemble ! > fait elle en sautillant autour de moi.
Nous voilà installés sur l'épais tapis devant la cheminée. Les filles sont allongées avec leurs têtes posées sur mes cuisses.

Je leurs caresse les cheveux en écoutant leurs échanges quand aux cours, aux études, les stratégies développées. Super.
Estelle glisse une main dans ma braguette. Elle en extrait le Zob qui pend lamentablement contre sa joue. Elle s'y frotte.
Clémentine s'est mise sur le ventre pour regarder. Je dis : < Ce soir, c'est moi qui vous enduis les chattes de farine ! >
< Génial ! > s'écrie Estelle en décalottant légèrement mon sexe. < Pouah ! Mr Pue-du-Zob ! > fait Estelle en le reniflant.
Clémentine précise : < C'est la production de fromage pour demain soir. La fondue savoyarde pour Juliette ! La fête ! >

< Je suis jalouse ! J'en ai marre ! > s'écrie Estelle. Nous en rions de bon cœur. Il est 19 h. Nous quittons l'atelier. Faim.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Estelle pétrit la pâte afin de la rendre plus onctueuse. Bien.
Je réchauffe la garniture. J'y rajoute du Roquefort. Nous aimons improviser. De pizzas elles n'en ont que le nom. Parfait.
Je dis : < Mes demoiselles, vos chattes, s'il vous plaît ! >. J'agite mes mains pleines de farine humide. Elles regardent.
Toutes les deux retirent leurs jeans et leurs culottes. Elles s'assoient sur la table, cuisses largement écartées. C'est bon.

En appui sur les coudes, elles me présentent les sexes extraordinairement poilus. C'est de toute beauté. Vraies chattes.
J'enduis consciencieusement chaque chatte d'une copieuse couche de farine. Elles ont un réflexe de plaisir. La caresse.
J'insiste évidemment un peu sur les clitoris. Ce qui les fait gémir de plaisir. Je me réjouis pour lécher et nettoyer après.
Elles se redressent. Je prends chacune par la taille pour les poser au sol. Les tabliers retombent. Je caresse les fesses.
Clémentine étale la garniture sur les fonds de pâtes. J'y rajoute du gruyère finement râpé, les grains grillés de sésame.

Au four. Les filles, impatientes à l'idée de ce qui les attends, m'entraînent par la main au salon. Elle se vautrent. Canapé.
Je suis à genoux sur un des épais coussins. Les filles qui sont avachies, jambes relevées qu'elles tiennent par les mollets.
Les cuisses largement écartées. J'ai un accès direct aux chattes velues dont la farine à séché. < Ça pique ! > dit Estelle.
Je commence par le fion d'Estelle. En priorité, il faut nettoyer les clitoris afin qu'elles puissent se branler. Je m'applique.
Estelle, libérée la première peut se toucher. Je nettoie consciencieusement le clitoris géant de Clémentine. C'est parfait.

Je passe d'une chatte à l'autre. Elles en sont tellement excitées qu'il y a de la cyprine jusqu'en dans les raies culières.
L'odeur épouvantable de fille négligée d'Estelle m'enivre autant que les goûts de ses muqueuses. Poils plein la bouche.
J'adore fourrer mon visage dans ces touffes qui me chatouillent. Odeurs fortes de leur journée de fille. C'est un régal.
J'ai de la foutrine partout sur la gueule. Estelle me tient par les oreilles pour frotter son sexe sur mon visage. Génial.
< Tu me baise après ? > me suplie t-elle à deux reprises. < Moi je regarde ! > fait Clémentine. La sonnerie du four.

Elles me tendent leurs mains. < On commence à se faire vieilles ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur en filant.
Sur les chaises de la cuisine, afin de protéger les coussins, les coquines disposent des feuilles de papier Sopalin. Parfait.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant nos folies, nos passions dévoyées, nos envolées lyriques et sexuelles.
Autant de prétextes pour rigoler comme des bossus. Estelle se lève pour imiter des masturbations masculines. En riant.
Je me lève pour agiter mon sexe mou dans sa direction. Ces situations, tant de fois répétées, sont neuves à chaque fois.

< Nous sommes un trio de vicelards patentés ! > fait Estelle. < Les trois mousquetaires du vice ! > rajoute Clémentine.
Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles échangent leurs impressions quand aux différentes bites. Rire.
C'est évidemment celle de Mr Gérard qui remporte tous les suffrages. Je leurs touches les chattes dégoulinantes. Miam.
J'enfonce les doigts avec une facilité déconcertante dans tous les trous. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Superbe.
Les filles, impatientes, m'entraînent en sautillant au salon. Elles se vautrent sur le canapé. Je reprends ma place au sol.

Je me bouffe de la chatte. Je me régale de jus de fille. C'est divin. J'ai le visage trempé de mouille. C'est merveilleux.
Estelle m'attire sur elle. Sans cesser de se masturber, elle s'enfonce ma queue. D'un coup de rein, elle s'enfile le tout.
Clémentine sans cesser de se masturber, les yeux humides de plaisir, se lève pour passer derrière moi, à genoux. Bon.
Je baise avec Estelle selon notre formule habituelle. J'alterne la "machine à coudre" avec des séquences plus calmes.
Clémentine me fait le cul, la raie. Je l'entends gémir, respirer fort. Elle est encore hyper excitée. Elle revient s'assoir.

Je quitte le sexe d'Estelle pour celui de Clémentine. Estelle qui se masturbe en poussant de petits cris d'animal blessé.
Je passe ainsi de l'une à l'autre. Ce qui est devenu une douce habitude se transforme doucement en nécessité absolue.
Nous n'envisageons même plus de passer nos soirées autrement. C'est tellement bon. Juste nous trois. De vrais fous.
Estelle jouit comme une folle. J'adore lorsqu'elle se recroqueville sur le côté, ses mains entre ses cuisses. Merveilleuse.
Comme en souffrance, elle reprend son souffle, sa respiration normale et enfin ses esprits. Je caresse son visage. Doux.

Clémentine jouit à son tour en me repoussant doucement. J'ai juste le temps de saisir la cuvette et de la placer. Ouf !
Elle se lâche dans un orgasme pisseux qu'elle ne contrôle pas. Même Estelle, à genoux, qui me tient le sexe, regarde.
Il y a de quoi regarder. C'est toujours spectaculaire. Clémentine peut enfin retomber en arrière, ses sens libérés. Joie.
Son orgasme était encore cataclysmique. < Je vais en mourir ! > fait elle. < Belle mort ! > rajoute Estelle. Nous rions.
Je dis : < Le plus tard possible quand même. Tout ça n'est que le début de nos aventures ! >. Nous rions de bon cœur.

Estelle, toujours à genoux, passe devant moi, pour me sucer en poussant de petits cris de ravissement. Elle se touche.
Clémentine reprend ses esprits. Je lui montre le contenu de la cuvette. < Wouah ! > fait elle, admirative et en rigolant.
Ma bite, dans la bouche d'Estelle, me procure de tels délices que je suis obligé de me tenir à sa tête. J'en ai le vertige.
Clémentine se lève. Elle prend la cuvette pour la placer entre ses cuisses afin que tout finisse de s'écouler. C'est super.
Les dernières gouttes de cyprine qui tombent dans la pisse encore écumante et bouillante. Estelle regarde en suçant.

Je passe ma main entre ses cuisses. Je glisse mes doigts. Ça rentre tout seul dans les deux trous. C'est doux et chaud.
Clémentine se cambre sur ses genoux fléchis en se tenant à mon poignet. Du jus qui me dégouline sur la main. Génial.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle qui me tient par les hanches en poussant de petits cris d'enchantement paradisiaque.
Elle me vide les couilles comme si sa vie en dépendait. Je sens les frissons de Clémentine qui secouent ses fesses. Joie.
Je force Estelle à se redresser. Je montre l'heure. Il est 22 h. Elles m'entraînent aux toilettes. Le dernier rituel pisseux.

Je tiens Estelle par la nuque. Elle est assise. elle pisse dans un soulagement qui la fait soupirer d'aise. Foutre en bouche.
Clémentine me tient par les couilles. Je me penche pour enfoncer un doigt dans le cul d'Estelle. Et elle en pisse plus fort.
J'adore lui mettre le doigt dans le sexe quand elle pisse. Ça brise le jet. Et cela secoue son corps en l'amusant beaucoup.
C'est à moi. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Elles se refilent ma bite entre chaque giclées pour la sucer.
Nous raccompagnons Estelle jusqu'à son auto. Séparation douloureuse. Nous la regardons partir. Au lit, petites douceurs.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer une journée de fille par une bouche gourmande...

Julien - (Qui écoute les dernières révélations de Clémentine, serrée contre lui, avant de plonger dans le sommeil)-

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Notre "abonnement pipe" du vendredi soir

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par le souffle chaud de Clémentine contre mon visage, son mouvement régulier.
La coquine se masturbe contre ma hanche. Elle passe une jambe sur mon ventre, l'autre sous mes reins. La branlette.
Il est presque 5 h55. J'ai juste le temps d'éteindre le réveil avant que ne résonne la musique. Il faut se lever. Bisous.
Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Faim.
Nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit. Le vendredi, Clémentine finit à midi. L'euphorie.

Clémentine est donc doublement excitée. A l'idée de la soirée qui nous attend au haras, et le début du Week-end. Bon.
Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Intensité max.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue d'un jeans, sweat, veste cuir.
Ses bottines. Il fait presque doux. Décidément, le dérèglement climatique produit d'étranges particularités. C'est drôle.
Un dernier bisou. Il est 7 h45. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Un dernier coucou. Je jour est levé.

Je rentre. Je fais notre lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Et ce serait inutile.
Une agréable habitude. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Il est 8 h15. Je suis déjà impatient.
Je termine ce matin cette quatorzième toile destinée à ma saison d'été. De quoi me réjouir dans une douce euphorie.
Je peins dans une ambiance particulière communiquée par Clémentine à qui je pense presque tout le temps. Sublime.
Il est aux environs de 10 h lorsque la stupide musique de mon smartphone ne résonne au fond de ma poche. Blouse.

C'est Julie. Elle m'appelle depuis les toilettes de la Faculté de Lettres, entre deux cours. Et elle n'a que peu de temps.
Julie est un peu triste quand je lui annonce que nous passerons la soirée au haras. Elle aurait aimé nous voir elle aussi.
C'est partie remise pour lundi prochain pour le repas du soir. Un autre de nos "abonnements" comme le dit Clémentine.
Julie a entretenu une relation éphémère avec Juliette il y a quelques mois. Même si c'est fini, les rapports restent bons.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins en pensant à cette agréable étudiante délurée. Jeune fille de 20 ans.

Il est 11 h45. Je dépose la dernière touche de blanc de titane sur la surface de ma nouvelle œuvre que je termine là.
Je la pose sur le second chevalet afin de l'y laisser sécher. Je pose une nouvelle toile sur mon chevalet de travail. Bon.
Le dessin préparatoire a été réalisé fin septembre. Sage précaution qui me fait gagner un temps précieux. C'est super.
Une scène de genre à trois personnages que je situe comme toujours dans le siècle d'or hollandais. Le XVIIème siècle.
Je mets deux bûches dans l'âtre. Je vais à la cuisine. Je lave les brocolis que je fais bouillir avec des pommes de terre.

Le tout coupé finement. Il est 12 h30. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite dans mes bras. Je la fais tourner.
Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'occupe de la salade d'endives en me racontant sa matinée. Superbe.
Elle s'est arrêtée à la station pour faire le plein. Il y avait un coquin à la pompe voisine. Un mec qui se touchait. Rire.
Un jeune type très discret mais très vicieux. Il se contentait de se palper la braguette en lançant des regards salaces.
< Je me suis touchée en rentrant. Rassure toi Julien, je roule doucement ! > me fait Clémentine. Je la sais prudente.

Je mets le brocolis et les patates dans un plat. J'y pose du gruyère sur lequel je verse le mélange crème fraîche, œuf.
Au four. Nous mettons la table. Je glisse ma main dans la culotte de Clémentine qui en glousse de contentement. Joie.
C'est mouillé. J'adore. J'ai immédiatement envie de lui bouffer le minou. Je l'entraîne aux toilettes. Son pissou. Parfait.
A genoux, je me régale des dernières gouttes et de l'abondante cyprine dont l'écoulement est causée par l'excitation.
Clémentine me guide par les oreilles. < Je t'aime, je t'aime, je t'aime ! > me fait elle en mitraille. Je suce, je pompe.

Son clitoris géant coulisse entre mes lèvres. Clémentine pourrait en jouir. Elle me repousse délicatement. C'est mieux.
Nous aimons tous deux rester excités pour le reste de la journée. Surtout que nous attend une soirée des plus sympas.
J'emmène Clémentine dans le hall d'entrée. Nous enfilons nos anoraks pour aller faire quelques pas au dehors. Super.
Nous pourrions rester en sweat tellement le climat est doux. 31 janvier. C'est fou. Nous faisons le tour de la propriété.
Clémentine propose une bonne promenade pour l'après-midi. Superbe suggestion. Nous rentrons. La sonnerie du four.

Le gratin de brocolis et de pommes de terre, accompagné d'une salade d'endives et de crevettes rissolées en un délice.
Nous mangeons de bon appétit. Il y en aura pour ce soir. Et il suffira de réchauffer. Clémentine assise sur mes genoux.
Elle me confie son impatience. Revoir Gérard. Pouvoir goûter sa bite préférée. Se retrouver en situation bien vicelarde.
Toutes ces choses qui enchantent sa libido. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. Rire.
Nous mettons nos vieux jeans, chemises à carreaux et grosses godasses. Nous dévalons les escaliers, pressés de filer.

Il est 13 h30. Les anoraks ouverts, nous descendons vers la rivière en nous tenant par la main. Braguettes ouvertes.
Je glisse ma main dans celle de Clémentine qui s'arrête à chaque fois pour me permettre de bien fouiller, de palper.
C'est chaud, c'est humide. Je m'en lèche les doigts. Ce qui amuse beaucoup Clémentine qui me sort la queue molle.
Nous longeons la rivière. Il y a deux cavalières de l'autre côté. Nous ne les avons pas vu. Elles non plus. Tant mieux.
J'ai juste le temps de me tourner de trois quart pour cacher mon sexe. Nous saluons les écuyères. Deux jeunes filles.

Clémentine me tient par la queue comme par la laisse pour m'entraîner derrière les amas rocheux, derrière les troncs.
Là, accroupie, elle peut me sucer avec passion. Je lui caresse la tête. Je lui chuchote des cochonneries. Elle se régale.
Nous arrivons derrière les bâtiments du haras, là-bas à environ 300 mètres. Plein de voitures dans la cour. Cavaliers.
Dans les ruines du vieux cabanon, Clémentine peut descendre son jeans et sa culotte pour me permettre de la lécher.
Accroupi, le visage entre ses cuisses, j'ai un accès assez difficile. Clémentine se cambre sur ses genoux fléchis. Bien.

Je peux sucer, lécher comme un glouton. J'entends les gémissements de Clémentine qui chuchote des cochonneries.
C'est chacun son tour, à chaque fois que c'est possible, durant toute la promenade. La boucle des trois heures. Génial.
Nous avons risqué de nous faire prendre deux fois. Avec une météo si clémente, il y a des promeneurs, des cavaliers.
Nous sommes devenus les rois de l'esquive. Nous savons improviser à la moindre alerte. Mais parfois c'est très juste.
Il est 18 h15 quand nous sommes de retour à la maison. La nuit est tombée. Clémentine qui tient la lampe de poche.

Nous mettons immédiatement le four en route pour réchauffer la bouffe. Clémentine s'occupe de la salade de carottes.
Je concocte une sauce au Roquefort. Je pane deux filets de cabillaud. Nous mettons la table. Presque 19 h. C'est prêt.
Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous ne traînons pas. Nous montons nous changer, nous laver les dents.
Nous portons tous deux exactement les mêmes habits. Nous adorons. Jeans propres, chemises blanches et pulls noirs.
Nos bottines. Nous dévalons les escaliers. Nos blousons de cuir noir. Je roule doucement. Il est 19 h20. 3 kilomètres.

L'abonnement pipe du vendredi soir

Je gare la voiture dans la cour. Il fait nuit noire. Il fait toujours si étrangement doux. Il y a encore deux voitures.
Celles de Juliette. Celle de Mr Gérard. Il est 19 h30. Il y a encore de la lumière dans les trois bâtiments. Boulot.
Nous traversons la cour. Quelle surprise. Là, Eveline la palefrenière qui balaie l’allée centrale de l’écurie. La joie.
Elle est toute souriante. Nous la saluons. Nous bavardons un peu. La jeune fille semble bien fatiguée. Sa journée.
Nous la laissons pour nous diriger vers la porte du fond. Un rayon de lumière. Une conversation. Il y a des rires.

Je frappe. Trois coups. Juliette qui vient nous ouvrir. Comme la dernière fois, Mr Gérard est vautrédans le canapé.
Il se lève pour nous serrer la main. Clémentine s’installe à ses côté, vautrée elle aussi dans le canapé confortable.
Je m’assois dans le fauteuil en face, à côté de celui qu’occupe Juliette. Nous causons. Retrouvailles sympathiques.
Juliette nous raconte les dernières péripéties de son entreprise. Plusieurs passages du vétérinaire. Dur. Obligation.
Le suivi des chevaux en pension nécessite des contrôles strictes et réguliers qu’il faut consigner. Boulot. Chiant.

Très rapidement, Clémentine se met à discuter qu’avec Mr Gérard. Ils se mettent même à se chuchoter ensemble.
Je la vois rire. Juliette me fait un premier clin d’œil en me montrant le couple. Je découvre le détail qui la fait rire.
Mr Gérard a la braguette qui bâille. Bien évidemment, ce vieux vicelard avait préparé son coup. L'expert "salaud".
Clémentine, qui s’en ait rendu compte bien avant moi, y glisse sa main exploratrice. Elle fouille. Sympa. Vicelarde.
Je bande. J’adore voir la fille que j’aime prendre des initiatives vicieuses avec d’autres mecs. Cela me rend dingue.

Ils ne font même plus attention à nous. Comme deux amoureux heureux de se retrouver. C’est assez épique. Bon.
Clémentine n’est pas seulement vautrée au fond du canapé mais également contre ce vieux salopard qui la tripote.
Une cuisse relevée sur la jambe de Mr Gérard qui lui touche les seins sans la moindre réserve. Sacré vieux pervers.
Voilà que Clémentine lui sort le Zob. Cette bite minuscule dont le prépuce fripé pend longuement devant sa queue.
Elle lui tient le prépuce entre le pouce et l’index pour le malaxer doucement. Juliette et moi, nous regardons. Joie.

J’hallucine. Voilà qu’ils s’embrassent. Je regarde Clémentine rouler une pelle à ce vieux dégueulasse. C'est dingue.
Juliette qui se lève pour venir s’installer sur l’accoudoir de mon fauteuil. Elle passe son bras autour de mon épaule.
Je passe ma main entre ses cuisses chaudes. Mon coude contre son sexe. Nous regardons ce spectacle ahurissant.
Une jeune fille de 22 ans, enlacée dans les bras d’un retraité de 66 ans qui a sa bite à l’air. Bien molle et flagada.
Tout en l’embrassant avec fougue, Clémentine ne cesse de malaxer son prépuce. Cette longue peau qu'elle étire.

Je bande tellement fort que ma queue, tordue au fond de mon slip est presque douloureuse. Pénible. C'est gênant.
J’ouvre ma braguette. Juliette, son bras autour de mou cou, me saisit par la nuque en me serrant fort. Mais douce.
Je sors ma bite. Enfin soulagé. < Wouah ! > fait Juliette qui se penche pour l’attraper fermement. Elle me la serre.
Elle me tient la queue avec force. < J’aime sentir les battements du cœur par la bite ! > murmure t-elle. Charmant.
Clémentine cesse de fouiller la bouche du vieux pour se pencher. Elle se met à téter la bite minuscule, toute molle.

Juliette me branle. Nous regardons tous les deux ce spectacle étonnant. Gérard la tête renversée en arrière. Super.
Nul doute. L’indicible caresse que lui prodigue Clémentine provoque son petit effet. Il a du plaisir le vieux salopard.
Il tient Clémentine par ses cheveux. Parfois il appuie. Parfois il la tire. Il y a de la jute qui en gicle déjà. C'est fou.
Juliette s’approche de mon oreille pour me murmurer : < Moi je lui ai fait ça hier à ce vieux salopard ! Un régal ! >
Je lui demande : < Combien de fois cette semaine ? >. Juliette répond : < C'est le mardi et le jeudi. Toujours ! >

Je lui chuchote : < Et demain soir, comme tous les samedis soirs , vous vous faites baisez par Pierre ! >. Silence.
< Oui. Ce n’est pas tous les samedis soirs, mais un sur deux ! >. Clémentine cesse de sucer, rigolant. Elle entend.
< On vous dérange pas trop ? > nous demande t-elle. < Gérard se lève : < Viens on va aux chiottes ! > lui fait il.
Il entraîne Clémentine par la tignasse sans le moindre égard, d’une poigne ferme. Comme si c'était sa chose. Bon.
Elle se laisse faire en marchant penchée en avant les mains derrière le dos, comme si elles étaient attachées. Joie.

Juliette se lève. Elle me chevauche. Elle pose sa bouche sur la mienne. Elle y enfonce sa langue pour m'embrasser.
Je culpabilise. Clémentine n’est pas là. J’aimerai voir ce qu’elle fait avec le vieux aux chiottes. Salope. Elle m'excite.
Juliette m’embrasse avec une fougue qui me donne le vertige, en gémissant, en se serrant contre moi. C'est dingue.
C’est un élan amoureux qui n’a strictement rien de sexuel. Cela m’effraie. Clémentine à raison. Juliette amoureuse.
Je touche les seins de Juliette. Un dans chaque main. Je caresse avec douceur. Elle en gémit d'aise. De beaux seins.

Cela me change drôlement des tous petits seins de Clémentine. Et il y a un soutien gorge. C’est super. Je la palpe.
Je n’ai pas l’habitude. Juliette apprécie énormément. Peut-être davantage qu’entre ses cuisses. Génial. Je malaxe.
< Viens, on va voir ! > me fait elle en se relevant. Elle m’entraîne par la main comme ma vraie complice. Etrange.
J’éprouve une curieuse sensation. C’est un instant magique. Cette femme pourrait me rendre fou d’elle. Prudence.
Clémentine a bien raison de se méfier. Mais je suis d’une fidélité absolue. C’est elle que j’aime. Et fort. Je la suis.

Nous entrons carrément dans les toilettes. Clémentine entrain de se faire pisser dans la bouche. C'est un jet fluide.
Elle est accroupit devant ce vieux dégueulasse. Elle le tient par ses hanches. Il la tient par les cheveux. Il se lâche.
Clémentine déglutit chaque petit jet que Gérard contrôle à la perfection, sans même tenir sa bite molle. Grand art.
Je suis debout devant l’urinoir voisin. Juliette contre moi qui me tient fermement la queue. Elle me masturbe. Bon.
C’est terriblement excitant. Clémentine, entre chaque jet, suce comme si sa vie en dépendait. Véritable pompage.

C’est à la fois écœurant et excitant de voir la fille que j’aime entrain de se vautrer dans un tel vice. Une "vidange".
Soudain, sans prévenir, Gérard qui tient Clémentine par les cheveux oriente sa tête vers ma queue. Geste brusque.
< Tiens, suce un peu ton mec, grande salope ! > fait il à Clémentine en poussant sa tête vers ma queue. Brusque.
Juliette la lui fourre dans la bouche. Clémentine tente de résister. < T’aime pas la bite de ton mec ? > fait Gérard.
Juliette me lâche pour me contourner. Elle s’accroupit devant Gérard qu’elle se met à sucer avec avidité. Salope !

< Tiens, chope là, avant qu’elle ne se barre. Elle préfère la mienne, désolé mon vieux ! > me fait encore Mr Gérard.
Je saisis Clémentine que je suis obligé de forcer. C’est une sensation très étrange. Clémentine résiste. C'est drôle.
Je lui sors la queue de la bouche. Immédiatement elle se tourne vers Gérard. Elle repousse Juliette. C'est amusant.
< Je viens me bouffer cette queue ! Celle de Julien ,je l’ai quand je veux ! Donne ça ! > s’écrie Clémentine. Super.
Je ne l’ai jamais vu aussi enragée, aussi impatiente, aussi gourmande. Amoureuse de la queue d'un vieux salaud.

< On échange alors ! > fait Juliette qui me fait un clin d’œil. < Dégage ! > lui répond Clémentine. Vulgarité rare.
Nous sommes tous les deux devant les deux urinoirs, à nous faire sucer et en bloquant les têtes des filles. Super.
Leurs nuques contre le bord des cuvettes, les cheveux qui flottent dans le liquide du fond, sur les pastilles bleues.
< Tu es géniale ma puce ! > murmure Gérard à Clémentine qui en gémit comme une fille amoureuse. La suceuse.
Il se passe soudain cette chose habituelle. Clémentine se met à tousser, l’envie de dégueuler. Elle cesse très vite.

Elle échappe à l’étreinte de Gérard qui veut l’attraper, mais trop tard. Elle se redresse pour filer très rapidement.
< Viens ! > me fait elle dans l’encadrement de la porte. Je balance une gifle à Juliette et je me précipite. Salaud.
Nous filons à toute vitesse. Clémentine s’arrête à côté de l’auto pour dégueuler dans des râles profonds. Sonores.
Je la tiens par les épaules. Elle se redresse, toute pâle et livide. < C’est affreux ! > me dit elle tout en vomissant.
Ce sont de véritables gerbes de pisse et de foutre. D’incroyables quantités qu’elle s’est bouffé. De la jute et pisse.

Je roule doucement. < Ça brûle ! > fait Clémentine avant de mordre dans la pomme que j’ai prévu. C'est mieux.
Elle en a les larmes aux yeux, toute pâle, pour me dire : < Mais je me suis éclatée comme une dingue, Julien ! >
< Rien est aussi bon que ces soirées et la queue de ce sale mec ! > rajoute t-elle. C’est un bien curieux paradoxe.
Je ne comprends pas vraiment. C’est un de ces mystères féminins. Faire des trucs dégueulasse avec plaisir. Folie.
Au lit, Clémentine ne cesse de me remercier pour cette vie exaltante. Toutes ces expériences si délirantes. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment s'occuper des vieux et leurs prodiguer des soins de corps intimes...

Julien - (Qui écoute les ressentis de Clémentine, épuisée, mais tellement heureuse d'avoir plongé dans le vice)

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Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1052 -



Un samedi de récupération. Peinard. Tranquille...

Hier matin, samedi, je suis réveillé par plein de bisous sur les joues, le nez, le front. On me tient par mon érection.
J'ouvre les yeux comme un bienheureux. Au dessus du mien le visage bienveillant de Clémentine. Le souffle chaud.
Je la serre contre moi. Nous nous nous chuchotons des douceurs. Presque 8 h. Nous luttons contre l'envie de pisser.
Combat perdu d'avance. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym nous descendons manger.
Nous préparons un copieux petit déjeuner. C'est samedi matin, pas besoin de se presser. Pas de timing précis. Bon.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de la soirée de hier. < Je veux arrêter ! > me fait Clémentine.
< Lever le pied quelques temps. Je ne veux pas que ça devienne une habitude, pas d'abonnement ! > rajoute t-elle.
Je comprends. < Je t'aime. J'ai envie de m'occuper de ta queue ! > fait elle encore. Nous rigolons comme des bossus.
< Et il y a fort à faire ! > conclue t-elle, assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Plein de bises. Sublime.
La vaisselle. Clémentine propose de tenter le jogging malgré un sol probablement détrempé. Va pour le jogging. Bien.

Nous enfilons nos K-ways. Toujours cette surprenante douceur. Quelques mouvements d'échauffement. Et c'est parti.
Il suffit d'éviter les endroits trop boueux. Quel bonheur de pouvoir courir à l'extérieur plutôt que sur un tapis roulant.
Une heure d'un running enchanteur et nous voilà de retour. La douche. Nous pouvons traîner un peu. Et on s'habille.
Nos jeans, nos chemises blanches sous nos pulls bleus nuit au col en "V". Nos bottines. Habillés tout pareil. Superbe.
Nous aimons ça. Nous dévalons les escaliers pressés d'aller faire nos courses. Une obligation transformé en autre jeu.

Je roule doucement. Clémentine a glissé sa main dans ma braguette. < Je vais m'occuper d'elle d'abord ! > me dit elle.
Sa tête posée sur mon épaule. Trois kilomètres. Nous arrivons au bourg. Je gare la voiture. Le ciel est gris et lumineux.
Je prends les cabas contenant les sacs. Clémentine reste serrée contre moi. Et nous attirons là encore bien des regards.
Cette jeune fille au bras d'un homme d'âge mûr. Nos hautes tailles. Nos tenues élégantes et identiques. Cela nous plaît.
Il y a toujours du monde. C'est jour de marché sur la place du village. Et cette extraordinaire douceur printanière. Fou.

Nous faisons provisions de fruits, de légumes chez nos petits producteurs locaux. Nous échangeons quelques bons mots.
Nous faisons provisions de yaourts, de nos fromages, de beurre, d'œufs et de crème fraiche chez notre artisan fromager.
Nous ramenons nos sacs bourrés à craquer à l'auto. Nous rangeons les produits frais dans la glacière. Le reste au coffre.
En route pour la zone commerciale à quinze kilomètres. < Je t'aime et je suis amoureuse de toi ! > me fait Clémentine.
Elle me sort la biroute pour jouer avec tout en restant penchée contre moi presque toute la route. Je roule prudemment.

Je gare l'auto sur le parking. Il y a une place juste à côté de l'abri à chariots. Clémentine se met à me tailler une pipe.
Il y a des gens qui passent, qui ramènent ou qui cherchent un chariot. Notre grosse berline allemande attire l'attention.
J'ai l'impression que tout le monde nous regarde. Je force Clémentine à se redresser. Il y a un mec qui mâte derrière.
< Pauvre type ! > fait Clémentine en s'essuyant le coin des lèvres avec un mouchoir en papier. Nous sortons de l'auto.
Je pousse le caddie. Clémentine, la liste des courses à la main, nous entraîne dans les rayons qui nous concernent. Bon.

Clémentine compare les prix, me montre ses choix avant de les poser au fond du chariot. Nous prenons notre temps.
Nous croisons à deux reprises le voyeur de tout à l'heure. < Tu as vu la tête de con qu'il a celui-là ! > fait Clémentine.
C'est vrai que l'individu, sans classe, sans élégance, arbore un sourire stupide à chaque fois qu'il regarde Clémentine.
< Tout à fait le genre de crétin à afficher la bite sur une photo d'avatar ! > rajoute Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Il y a bien trop de monde pour tenter un plan exhibe. Par acquis de conscience, nous faisons quand même un petit tour.

Le rayon des bouquins. Aucune opportunité. Le rayon informatique. Pareil. Le rayon des vêtements homme. C'est pareil.
Encore une fois il y a le crétin voyeur et son sourire hilare d'halluciné notoire. < Qu'est-ce qu'il veut ? > fait Clémentine.
Je dis : < Il nous a mâté tout à l'heure dans la bagnole, alors il s'imagine des trucs ! > < Un @#$%& ! > dit Clémentine.
Nous terminons au rayon poissonnerie. Nous passons en caisse. Nous flânons dans la galerie commerciale. Fin de soldes.
< Put-Hein j'y crois pas ! Regarde, l'enfoiré voyeur ! > lance Clémentine. C'est vrai que cet imbécile nous suit à la trace.

< Attend ! Je vais lui faire un plan ! > murmure Clémentine qui s'éloigne pour entrer dans une boutique de chaussures.
Je reste devant la vitrine avec le charriot. Incroyable, le @#$%& entre dans le magasin. Il va direct draguer Clémentine.
C'est dingue. Il existe de tels @#$%& ! Je me marre. Clémentine s'adresse à une des vendeuses en désignant le type.
La jeune femme va direct chez le zouave. Il a subitement l'air encore plus con. Il file à toute vitesse pour dégager enfin.
Clémentine revient. < Je m'en suis débarrassée vite fait. Harceleur de mes fesses ! > me dit telle. Nous éclatons de rire.

Nous rangeons nos affaires dans la voiture. Je roule doucement. Clémentine alterne les branlettes et les pipettes. Super.
Il est déjà 12 h30. Nous voilà à la maison. Nous rangeons nos courses. Je fais bouillir l'eau. Nous montons nous changer.
Clémentine s'occupe de la salade. Je jette les moules dans le bouillon. Je verse les haricots verts congelés dans le wok.
C'est toujours très rapide la bouffe du samedi midi. C'est délicieux également. Nous mangeons de bon appétit. C'est bon.
Clémentine propose une petite randonnée cet après-midi. Excellente suggestion. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine.

Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous mettons nos godasses.
Nous dévalons les escaliers, pressés de filer au grand air, profiter de cette incroyable météo. Il fait presque doux. Génial.
Nous descendons vers la rivière. Comme hier nos anoraks ouverts, nos braguettes ouvertes. On peut se toucher peinard.
J'ai rapidement le Zob et les couilles à l'air. La braguette fait garrot. Les boutons du 501 restent froids. Très désagréable.
Mais les mains de Clémentine réchauffent rapidement mes organes génitaux. Elle soupèse mes couilles, branle la queue.

J'ai souvent ma main dans sa culotte. Nous faisons de nombreux arrêts. Nous nous embrassons comme des dingues.
La salive qui coule sur nos mentons a tendance à se refroidir. C'est un prétexte pour recommencer encore. Amoureux.
Nous passons derrière les bâtiments du haras, là-bas, à trois cent mètres. Pleins de voitures, de cavaliers dans la cour.
Nous continuons. Nous faisons la boucle des deux heures. Avec les arrêts bisous, sucettes, c'est un parcourt plus long.
Il est 16 h30 quand nous revenons. Nous allons direct dans l'atelier. Clémentine a quelques préparations pour ce lundi.
J'en profite pour vérifier le parfait séchage de ma dernière toile. Tout ce passe très bien. Je scrute mon travail en cours.

Il est 17 h. Estelle arrive. Elle nous fait la bise. Elle sautille dans toute la pièce avant de me couvrir de bises. Contente.
< J’attends le week-end depuis le jeudi soir ! > s’écrie t-elle en s’asseyant sur mes genoux, bras autour de mon cou.
Estelle nous raconte sa journée. Le bureau de l’entreprise familiale. J’admire son courage, sa volonté et son caractère.
Elle nous rappelle que demain, dimanche, à midi, nous sommes invités chez elle. Déguster les crêpes de la Chandeleur.
< Maman fait les meilleures crêpes du monde ! Au sarrasin, et au blé noir. Nous allons nous régaler ! > rajoute Estelle.

Les filles sont assises devant l’ordinateur. Elles comparent l’avancée de leurs travaux respectifs. Les stratégies et ruses.
J’écoute silencieusement. J’aime écouter leurs échanges. Leurs études sont réellement intéressantes. C’est si captivant.
Il est 18 h15. Nous rangeons nos affaires. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Estelle vient admirer ma peinture. Joie.
< Tu m’apprends à peindre un jour ? > me fait elle en glissant sa main dans ma braguette. < J’ai le pinceau ! > dit elle.
Je me retrouve rapidement avec le sexe à l’air quand soudain, à l’étage, résonnent les premiers bruits étranges. Et fort.

< Mais bonsoir Christine ! > font les filles en même temps pour saluer la visite du fantôme de mon ancienne compagne.
< Contente de d’entendre ! > fait encore Estelle en me tenant fermement la bite. Clémentine vient nous rejoindre. Bien.
Nous nous installons sur l’épais tapis devant la cheminée. Les filles sont allongées et leurs têtes posées sur mes cuisses.
Je leurs caresse les cheveux, délicatement les joues. Je les écoute se raconter leurs petites aventures de filles vicieuses.
Estelle fait : < Baiser avec parrain, c’est peut-être possible vendredi prochain, entre 15 h et 16 h30. Si ça va pour toi ! >

< Marraine s’absente pour aller chercher du matériel avec des gens de l’association caritative ! > rajoute encore Estelle.
< Génial ! Tu es d’accord Julien ? > s’écrie Clémentine toute contente. Je dis : < Mais plutôt deux fois qu’une. Bien ! >
Elles se frottent le visage sur ma queue toute molle à tour de rôle. < On filme en cachette pour Julien ! > rajoute Estelle.
Je trouve l’idée très sympathique. < Un film pour samedi prochain ! Soirée cinéma ! > dit Estelle. C’est un superbe plan.
Je précise : < Pour moi ce sera comme la découverte d’un film porno où joue mes deux anges ! >. Les filles de relèvent.

Il est presque 19 h. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l’atelier pour nous rendre à la cuisine. C’est bon.
Clémentine s’occupe de la salade de tomates. Je réchauffe le gratin de choux-fleur. Estelle nous prépare une omelette.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles organisent le plan baise de vendredi prochain. C’est génial.
< Et tu vas sucer le vieux Gérard en soirée ? > demande Estelle à Clémentine. < Non, j’ai ma dose ! > fait Clémentine.
Elle raconte à Estelle les détails de notre soirée au haras. La pipe bien dégueulasse avec Mr Gérard. Le sperme, la pisse.

< Moi, j’y retournerai bien. Sucer la bite de ce vieux saligaud ! > s’écrie Estelle. Et nous en rigolons comme des bossus.
Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Avec toute la vulgarité coutumière. Poilade.
Je me lève pour agiter ma bite dans sa direction. < On baise ce soir ? > me fait elle. Je regarde Clémentine qui me mâte.
< Moi, je m’installe dans le fauteuil et je vous regarde ! > fait elle en se levant pour s’accroupir devant moi, me pomper.
Je dis : < Estelle, ce soir, on ne baise pas seulement comme les derniers des salauds, mais je vous bouffe les chattes ! >

< Miam ! > fait Estelle qui contourne la table pour venir s’accroupir à côté de Clémentine. Elles se refilent ma biroute.
Je leurs caresse la tête. Nous avons encore le dessert à prendre. Je force les filles à se relever. Nous débarrassons. Bien.
Nous préparons les coupes glacées. Vanille, pistache, pralin et nougat. Quatre énormes boules chacun. De vrais délices.
Assises sur mes genoux, tout en savourant leurs glaces, les filles évoquent à nouveau le projet de baise avec le parrain.
Clémentine va enfin découvrir le matelas gonflable, la façon de baiser du parrain d’Estelle et sa bite tordue. Rigolade.

Estelle en a tellement parlé. Clémentine se réjouie. < Il baise a cru ! Tu préfères la capote ? > demande Estelle en riant.
< Oui ! Toujours avec des inconnus ! La capote ! > répond Clémentine. < Sauf quand tu les suces ! > fait encore Estelle.
Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles m’entraînent au salon par la bite, couilles.
Elles me font tomber dans le canapé avant de se mettre toutes les deux à genoux sur les deux épais coussins posés au sol.
A nouveau, elles se passent ma queue molle et dégoulinante pour se la goinfrer en gémissant de plaisir. Je bande un peu.

Clémentine se redresse pour retirer son jeans et sa culotte. Elle s’installe dans le fauteuil, les cuisses sur les accoudoirs.
Je tiens Estelle par ses cheveux pour bien lui enfoncer la queue dans la bouche. Je bande comme le dernier des salauds.
Je la force à cesser. Elle retire son jeans et sa culotte couchée sur le dos. Elle écarte ses cuisses sur l’épais tapis. Si belle.
Je me positionne sur elle. Pour ne pas peser de tout mon corps, je reste en appui sur mes bras. Je m’introduis doucement.
D’un coup de reins, Estelle s’enfile presque toute la longueur. Elle le fait systématiquement depuis plusieurs mois. Joie.

Je veux rester sans bouger. Comme j’aime à le faire avec Clémentine. Impossible. Estelle se met à bouger si rapidement.
J’alterne donc la « machine à coudre » avec des mouvements plus lents. Estelle reste accrochée à moi. Bras à mon cou.
Je la baise en y mettant toute l’énergie possible. Je dois toutefois me contrôler à plusieurs reprises. Je ne veux pas juter.
J’entends Clémentine gémir. Je tourne la tête pour la regarder. Elle se masturbe. Elle se lève pour observer de plus près.
A genoux, tout en continuant à se masturber, elle met son visage tout près des nôtres. Pour écouter nos chuchotements.

Estelle, suspendue à mon cou, n'arrête pas de bouger doucement, de m'embrasser de me chuchoter des douceurs. Joie.
Clémentine vient y rajouter les siennes. Dans mon fantasme d'homme préhistorique, j'aimerai les voir s'embrasser. Bon.
Hélas, ni Clémentine, ni Estelle n'ont le moindre penchant homosexuel. Pas de relations saphiques en vue. C'est tant pis.
A chaque fois que je suggère cette idée lesbienne, ça les bloque un peu. < Pas de ça entre nous ! > fait Clémentine. Rire.
Estelle est retombée sur le dos. Je fatigue dans les bras. Je me couche sur les coudes. Je sens sa main. Elle se masturbe.

Je propose à Clémentine de prendre la place d'Estelle. Mais elle préfère se masturber en nous mâtant. Dans le fauteuil.
Estelle me repousse délicatement en s'écriant : < Je viens ! >. Elle se recroqueville sur le côté, mains entre les cuisses.
C'est comme si elle avait soudain mal. Quelques spasmes agitent son corps. Je lui caresse la tête. Délicatement. Doux.
Les yeux fermés, se mordillant la lèvres inférieure, elle reprend doucement ses esprits. Clémentine penchée et qui mâte.
J'ai la bite dégoulinante de jus. S'en est trop pour Clémentine qui se lève. Elle se met à quatre pattes, me sucer. Super.

Estelle s'est assise en tailleur. Elle me caresse le visage pendant que je me fais sucer par Clémentine qui se masturbe.
Estelle se met à quatre pattes. Son sexe juste au dessus de mon visage. Je me mets à sucer, à lécher et c'est si divin.
Elle frotte son sexe sur ma gueule mais sans appuyer, contrôlant parfaitement ce qu'elle fait. Clémentine qui me suce.
C'est vraiment un grand moment de dégustation. Pas de doute, Estelle va s'offrir un second tour de manège. Et rapide.
Une nouvelle fois elle se retire pour se coucher sur le côté, complètement enivrée de jouissance. Clémentine qui cesse.

Je me couche sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles comme nous aimons. Sublime.
Nous nous murmurons des douceurs. Nous ignorons complètement Estelle qui ne l'entend pas de cette oreille. Sympa.
Elle s'approche. Son visage tout près des nôtres pour se mêler à la conversation. Et ce sont des moments merveilleux.
Notre relation, tous les trois, a pris une telle dimension, depuis presque trois ans, que nous n'avons plus aucun secret.
Clémentine me repousse délicatement. Comme Estelle, elle préfère jouir en se masturbant. Dans un orgasme fulgurant.

Estelle se met à me sucer pour récupérer l'abondant mélange. Tout ce qui dégorge de ma bite. Tout le jus des couilles.
Je lui éjacule dans la bouche. Elle en pousse des cris de ravissement. Nous terminons par notre séance pissou au WC.
Là, je peux lécher les croupions des deux coquines, me régaler de leurs délicieux mélanges. Elles se refilent ma queue.
Nous sommes épuisés. Nous montons à l'étage. Nous nous lavons les dents, faisant les clowns. Sans réelle conviction.
Au lit, Estelle s'endort la première, à ma droite, blottie contre moi. Clémentine, à ma gauche, me confie sa joie. Dodo...

Bonne soirée à toutes les coquines qui ne se lassent pas de toutes ces cochonneries, de toutes ces saloperies à trois...

Julien - (Qui s'endort entre ses deux anges, la queue et les couilles congestionnées par tant de sollicitations) -

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Un dimanche des plus sympathiques

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par les mouvements incessants que fait Estelle en dormant encore.
Toute la nuit elle reste blottie contre moi. Là, c'est certainement son rêve qui la fait frissonner. Je la serre contre moi.
< Je t'aime ! > me chuchote t-elle dans son demi sommeil. Ce qui réveille Clémentine à sont tour. Elle vient se blottir.
< Je t'aime ! > me chuchote t-elle. Je suis entre mes deux anges, mes bras autour de leurs nuques, blotties, serrées.
Estelle me tient par mon érection matinale. < Wouah, comme elle est dure ! > murmure t-elle. Clémentine qui touche.

Il est 8 h30. Dehors il pleut. Il fait désespérément moche. Estelle se lève la première en s'écriant < Pipi ! >. Un bisou.
Nous la regardons filer aux toilettes à toute allure. Clémentine qui me chevauche pour frotter son sexe contre le mien.
< Ça rentrerait tout seul ! > me fait elle en riant. Estelle revient. < Je descends préparer le petit déjeuner ! > fait elle.
Déjà vêtue de son jeans et de sa chemise à carreaux elle dévale les escaliers. Et c'est à notre tour d'aller aux toilettes.
Nous nous habillons. Pareils. Jeans, chemises à carreaux. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Là elle me saute au cou.

Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'interpose par jeu. Odeur de pain grillé, brioche et café.
Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos folies de hier soir. < C'est tellement bien tous les trois ! > fait Estelle.
< J'adore rester à la maison et faire des "trucs" ! > rajoute Clémentine. Nous traînons à table. Dimanche, pas de gym.
Nous consacrons une partie de la matinée à un autre rituel que nous apprécions tout autant. Faire le ménage. Sympa.
Estelle se charge de passer l'aspirateur partout. Clémentine s'occupe de notre chambre. Je nettoie, passe la serpillère.

Je commence par la cuisine. Clémentine est montée. J'entends Estelle chantonner en passant l'aspirateur au salon. Bon.
Nous adorons ces matinées que nous trouvons trop rares, qu'une seule fois par semaine. Je nettoie les chiottes du bas.
Je passe la serpillère. Je m'apprête à monter pour rejoindre Clémentine. Et je sais qu'Estelle prépare un probable piège.
Je sors ma bite. Je vais vers l'escalier. Gagné. Estelle, nue, juste avec ses chaussettes, qui jaillit là de derrière la porte.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle entoure ma taille de ses jambes pour frotter son sexe contre le mien. Superbe.

Je bande comme un salaud. Estelle qui s'enfile tout naturellement avec une facilité déconcertante. Elle est déjà trempée.
Elle reste immobile. Son sexe, tout comme le mien, encore congestionné par nos folies de hier soir, exige du repos. Joie.
Je l'entraîne dans le salon. Je la pose sur le bureau. Je me retire. < J'ai un peu bobo ! > me fait elle. Je lui lèche le clito.
< Mmhh ! Vous vous occupez bien de vos patientes docteur Julien ! > fait elle en me caressant la tête. Je me redresse.
Je l'aide à se relever. Elle s'habille. Nous nous précipitons dans l'escalier pour rejoindre Clémentine qui change les draps.

Je ramasse les draps sales pour aller à la salle de bain. Clémentine m'y rejoint. Nous entendons Estelle qui chantonne.
Je lave le bac à douche et le bidet. Clémentine s'occupe des miroirs et du lavabo. On n'arrête pas de se faire des bisous.
Clémentine glisse sa main dans ma braguette et dit : < Je ne veux plus sucer que la tienne dans les prochains temps ! >
Nous en rions de bon cœur. Nous nous embrassons comme des fous. Clémentine descend avec le panier à linge remplit.
Je nettoie les chiottes de l'étage. Je sais qu'Estelle va me rejoindre pour le second piège. La voilà serrée contre mon dos.

J'aime la sentir, blottie contre moi, à se frotter l'entre jambes contre le bas de mes reins et ses bras autour de mon cou.
Je termine de nettoyer. Je retire mes gants de caoutchouc, je me redresse, je tire la chasse, je me retourne. Le plaisir.
Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Tout comme avec Clémentine nous avons encore le goût de brioche.
Nous descendons pour rejoindre Clémentine à la cave, dans la buanderie. Nous aidons à trier le linge. Il est déjà 10 h50.
Estelle nous laisse. Depuis quelques mois, la cuisine est devenue son domaine. Elle aime y préparer notre repas. Super.

Clémentine revient sur ce qui s'est passé vendredi soir au haras. < Je suis écœurée quand j'y pense ! Beurk ! > fait elle.
< Il faut que je me calme. Que je me consacre à la bite de l'homme que j'aime ! > rajoute encore Clémentine. J'écoute.
Visiblement, trop c'est trop. Et cette saturation la travaille. Je propose de nous accorder du temps. D'attendre la nature.
< Tu me comprends si bien Julien ! > fait Clémentine qui se blottit contre moi. Je lui dépose plein de bisous sur le front.
Nous suspendons les draps déjà lavés. Une nouvelle machine tourne déjà. Nous remontons rejoindre Estelle à la cuisine.

Le feuilleté de saumon est déjà au four. Estelle remue la potée dans la vieille cocote en fonte noire. Elle est si contente.
< Aux vacances de février, je viens vivre ici. Je pars le matin et je reviens le soir ! > lance Estelle. Je dis : < Génial ! >
C'est pour notre repas de ce soir. Nous sommes attendus pour midi chez les parents d'Estelle. Crêpes de la Chandeleur.
Il est 11 h30. Nous montons nous changer. Jeans propres, chemises blanches sous nos pulls bleu nuit et nos bottines.
Nous prenons la pose devant le miroir de l'armoire. Il faut y aller. Trois petits kilomètres. Je roule doucement. Parfait.

C'est le papa d'Estelle qui vient nous accueillir sous un grand parapluie. Je gare l'auto dans la descente vers le garage.
Yvan est vêtu d'un simple jeans et d'un pull en coton gris. Nous le suivons. La maman d'Estelle nous accueille au salon.
Michèle aussi est vêtue d'un simple jeans et d'un sweat beige. Nous nous serrons la main. Un vrai plaisir de nous revoir.
Nous avons emmené une tarte aux pommes pour le dessert. C'est le papa d'Estelle qui fait les crêpes. Nous l'admirons.
< Pas une seule crêpe au plafond ! Mon papa est le meilleur crêpier du monde ! > fait Estelle en se serrant contre Yvan.

Nous sommes invités à prendre place au salon. Il y a une pile de crêpes sur un plateau réchauffé par les bougies plates.
Nous commençons par les crêpes aux fromages. C'est un délice. Nous bavardons en riant beaucoup. C'est un vrai plaisir.
Je surprends quelquefois le regard de Michèle. La maman d'Estelle a un regard particulièrement perçant. Et elle en joue.
Je suis certain que c'est Estelle, assise à côté de son papa, qui me fait du pied sous la table. Elle me regarde. Et sévère.
< Ne drague pas ma mère ! > m'a t-elle encore précisé deux fois dans la voiture. Il n'en est évidemment pas question !

Michèle est la copie conforme de sa fille avec un merveilleux vécu supplémentaire sur son superbe visage. Hyper belle.
J'adore les bourgeoises au début de leur quarantaine radieuse et épanouie. Tout comme Juliette, Michèle reste sublime.
Les crêpes sucrées achèvent de nous régaler. Miel, purée d'amandes. Arrosées d'un cidre doux et sucré. C'est un festin.
Nous sommes bien lourds. Michèle propose d'attendre un peu avant le dessert. Avec ce temps merdique, pas de balade.
Estelle insiste pour nous emmener dans sa chambre dès la vaisselle terminée. Clémentine et moi, nous suivons. L'étage.

Nous voilà tous les trois dans la chambre d'Estelle. Une chambre de jeune fille. Bien rangée. Une odeur de jasmin. Bien.
Sur le lit, "Bunny Boy" sont lapin fétiche tout gris, tout sale qu'elle n'emmène plus systématiquement partout avec elle.
Il a fait l'Ecosse à chaque fois et il est avec nous pour la plupart des week-end. Posé sur la table nuit. C'est si charmant.
< T'es un salaud ! Je t'ai vu. Tu dragues maman ! > me fait Estelle en me faisant tomber sur le lit. Clémentine s'assoit.
Je m'écrie : < Je t'assure ! Je ne fais rien ! >. Nous en rions de bon cœur. Estelle couchée sur moi. Et de tout son poids.

Nous restons un peu allongés, tous les trois. Nous sommes attendus pour le dessert. Michèle agite la clochette en bas.
< Venez ! > fait Estelle en nous entraînant par la main. Je suis terriblement gêné. Des cinq, je suis le plus âgé. Merdre.
Une fois encore, au bas de l'escalier, Michèle a ce curieux regard. Je culpabilise. Elle sait bien évidemment nos relations.
Même si Michèle et Yvan ne font jamais aucune allusion, ils savent très bien la nature de notre relation. Cela est gênant.
Même si Estelle m'affirme qu'à la maison, au bureau avec sa maman, il n'y a jamais de questions ni d'allusions perfides.

Nous savourons la tarte aux pommes en bavardant. Nous traînons à table jusqu'aux environs de 15 h30. On est lourds.
Une petite balade sous les parapluies en faisant le tour du lotissement. Estelle reste contre son papa en tenant son bras.
Nous évitons toute effusion déplacée. Clémentine me tient par le bras ou la main. Michèle anime la conversation. Super.
Une femme dont la culture générale est étonnante. Nous pourrions l'écouter des heures. Une femme intelligente. Plaisir.
Il est 17 h lorsque nous prenons congé. Nous nous serrons la main. Michèle me la serre particulièrement fort. Gênant.

J'ai envie de faire bouger mon doigt dans sa main comme je le fais avec la plupart des femmes que je connais un peu.
Je ne le fais pas. Par respect pour Yvan. Par respect pour Estelle. Par dignité. Pourtant, je sens que ce serait bienvenu.
Un test peut-être. Dans la voiture, Estelle et Clémentine sont assises toutes les deux sur le siège passager. Elles rient.
Estelle revient sur mon attitude. Le sixième sens féminin. Nul homme n'y échappe. Elle me dit : < Tu es un salaud ! >
Nous rigolons comme des bossus. Il est 17 h30 quand nous sommes de retour à la maison. Il pleut. Il fait moche. Dur.

Nous montons nous changer. Tous les trois en slip à faire du trampoline sur ce pauvre lit qui n'en demandait pas tant.
< Fais voir ta queue ! Je suis sûre que tu mouilles! > s'écrie Estelle, tombant à genoux en me descendant le slip. Rires.
< Regarde ce vicieux ! Ça a coulé toute l'après-midi ! > fait elle à Clémentine qui tombe à genoux pour regarder aussi.
C'est vrai. J'ai le sexe qui a bavé. Je ne suis jamais indifférent en compagnie de belles femmes. Trois, cet après-midi !
< Put-Hein ! Ce salaud mouille à cause de ma mère ! > s'écrie Estelle. Clémentine, d'un mouvement de tête, me suce.

Elles se refilent ma bite qu'elles sucent toutes les deux comme si leurs vies en dépendaient. Je leurs caresse les visages.
Je dis à Estelle : < La maman me fait bander et la fille me suce ! >. Estelle cesse pour répondre : < Tu es un salaud ! >
Je force les filles à se relever. Nous faisons une farandole autour du lit. Nous nous habillons pour redescendre. 18 h45.
Estelle allume le four. Nous réchauffons la potée. Clémentine s'occupe de la salade. Nous mangeons peu, de bon appétit.
Nous traînons à table en riant beaucoup. Il est bien évidemment question de l'attitude que je n'ai pas eu, fantasmatique.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. La fatigue se fait sentir. Un dimanche à ne rien faire sinon à bouffer. Amusant !
Au salon, vautrés dans le canapé, nous évoquons les vacances de février. C'est dans deux semaines. Et deux semaines.
Estelle viendra s'installer ici. Elle partira bosser au bureau de l'entreprise familiale le matin et reviendra pour 15 h. Bien.
Ainsi les filles pourront préparer leurs cours, réviser et travailler au mémoire qu'il faudra présenter à la fin du trimestre.
Il est 22 h. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Séparation difficile. Au lit, Clémentine me suce avec passion. Dodo.

Bonne semaine à toutes les coquines qui se réjouissent déjà pour toutes les délicieuses surprises qui les attendent...

Julien - (Qui écoute Clémentine lui confier des secrets à chaque fois qu'elle cesse de lui bouffer la queue. Au lit) -

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Et c'est reparti pour une semaine sympa

Hier matin, lundi, c'est la Traviata de Verdi, interprétée par Pavarotti qui nous tire de nos profonds sommeils. Cruel.
< Pavazobi ! > s'écrie Clémentine, allongée sur moi pour éteindre le réveil posé à côté de moi, sur ma table de nuit.
Il est 5 h55. < Ah la vache ! L'enfoiré ! > fait encore Clémentine en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. Pipi.
Vêtus de nos tenues de gym, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Préparer le petit déjeuner.
Le lundi, il reste toujours de la brioche au pudding. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. C'est très bien.

Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Intensité max.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous le parapluie. Un dernier bisou.
Déjà 7 h45. Il fait extraordinairement doux. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin avec un dernier coucou.
Je me dépêche de rentrer au sec. Je fais le lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier pour allumer un bon feu dans cheminée.
Ce serait bien inutile mais j'aime la douceur et cela empêche l'humidité. Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet.

Je prépare ma palette. J'attaque ce matin la peinture de la quinzième toile destinée à ma saison d'été. Scène de genre.
J'aime ces intérieurs hollandais du XVIIème où je situe le plus souvent une anecdote à trois personnages. Un bonheur.
Comme ce sont le plus souvent deux personnages féminins avec un personnage masculin, Clémentine nous y reconnaît.
Elle prétend que c'est une sorte de psychanalyse. Nous en rions toujours de bon cœur. C'est encore le cas avec celle-là.
Je peins dans une sorte d'extase mystique qui me fait pousser les plus extraordinaires cris surréalistes que je module.

Il est aux environs de 10 h quand mon smartphone se met à vibrer au fond de la poche de ma blouse. Stupide musique.
C'est Julie. Comme à chaque fois elle m'appelle depuis les toilettes de la Faculté des Lettres entre deux cours. C'est bon.
Julie me confirme sa venue pour le repas de ce soir. Elle me confie qu'elle est impatiente. Une semaine c'est trop long !
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins en pensant maintenant à cette jeune étudiante délurée et de vingt ans.
Je bande. Ce qui participe de l'extase que me procure cette séance de peinture. Le temps passe. Il est rapidement midi.

Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je prépare une pâte à crêpe en grande quantité. La période.
Je fais gonfler du riz complet. Je coupe deux aubergines, deux courgettes en fines tranches que je fais revenir à la poêle.
Trempées dans la pâte puis dans l'huile bouillante, il en ressort de merveilleux beignets de légumes. C'est très amusant.
J'en fais plein pour maintenant et pour ce soir. Avec le riz et les beignets, je fais frire un filet de colin. J'en adore l'odeur.
Je mange de bon appétit tout en tentant d'écouter les informations. Le corona virus à chassé la retraite à points. Délire.

C'est au dessus de mes forces de subir ces manipulations. J'éteins la radio. Ça va tout de suite beaucoup mieux. Super.
La vaisselle. Je range la cuisine. La pâte à crêpe repose sous un linge dans un saladier. Les beignets sous un couvercle.
Je mets mon anorak. Je prends le parapluie. Je vais faire quelques pas à l'extérieur. Il pleut. Il fait si doux. Surprenant.
Je fais le tour de la propriété en restant sur les dalles de grès. Il y a deux écureuils. C'est signe d'un printemps précoce.
Il faut juste souhaiter qu'il ne soit pas pluvieux. Je rentre. Me voilà assis devant mon chevalet. Il est à peine 13 h. Bien.

Je peins animé de la même exaltation que ce matin. A chaque coup de pinceau plus sublime que l'autre, je me relève.
J'entame la danse du guerrier Sioux autour du chevalet. J'embrasse mes doigts, remerciant le destin de me privilégier.
Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours. J'anticipe. Je pose ma palette et mes pinceaux sur la desserte à ma droite.
Clémentine se précipite pour me couvrir le visage de bisous. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Bien.
Ses bras autour de mon cou elle évoque ses cours, les profs, les menus du restaurant universitaire. J'écoute passionné.

Clémentine doit mettre au propre les notes prises aujourd'hui. Elle en a crampe au poignet. Nous en rions de bon cœur.
Assise devant son ordinateur elle s'applique. Parfois en chantonnant. Parfois en m'enseignant un nouveau cri surréaliste.
Il faut nous entendre moduler longuement nos cris d'animaux qui n'existent pas. Et nous en rigolons comme des bossus.
Nous travaillons ainsi jusqu'à 18 h15. Nous rangeons nos affaires. Je raconte l'appel de Julie ce matin. Les réjouissances.
< Tu seras le dernier des voyous ce soir, promets moi, j'ai besoin d'émotions, de frissonner ! > s'écrie Clémentine. Rire.

Nous sommes vautrés dans le vieux canapé de l'atelier. Clémentine allongée, sa tête posée sur ma cuisse. Une détente.
Il est 18 h30. Un bruit sourd à l'étage. Le fantôme de mon ancienne compagne. Nous écoutons les errances. Pas feutrés.
Les portes qui grincent avant de claquer. On a beau avoir l'habitude de vivre avec un fantôme, c'est si impressionnant.
Tout cela ne dure qu'une dizaine de minutes. Clémentine me confie son profond désir de se consacrer à notre histoire.
Elle ne veut plus se perdre dans des situations tordues et glauques pendant quelques temps. Et je comprends très bien.

J'écoute, caressant ses cheveux, passant délicatement mes doigts sur son visage. Sa main glissée dans ma braguette.
Nous restons ainsi à disserter sur nos existences. Clémentine qui m'enchante de ses pensées, de ses développements.
Notre histoire, à deux ou à trois est tellement riche et dense que Clémentine trouve inutile de s'offrir d'autres "extras".
Il faut donc s'attendre à une accalmie de folies durant les prochaines semaines. Attendons que le désir revienne. Rires.
Clémentine, couchée sur le côté, frotte son visage sur mon sexe. Je bande mou. Il est presque 19 h. Tout est déjà prêt.

Nous quittons l'atelier pour nous rendre à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Carottes et tomates. Un avocat.
Je réchauffe les beignets de légumes. Je remue la pâte à crêpe et je commence à les préparer. Je fais dans deux poêles.
C'est plus rapide. Nous dressons la table au salon. Clémentine allume les trois grosses bougies du chandelier. Très beau.
Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite pour aller ouvrir. Julie arrive dans la grande pièce. J'ai la queue à l'air.
Comme à chaque fois, la jeune fille fait mine de n'y prêter aucune attention. J'adore ce réflexe féminin. Tellement bon.

Nous nous serrons la main. Julie est si contente. Lorsque nous lui apprenons qu'il y a des crêpes, elle est folle de joie.
Julie est vêtue d'un jeans, un pull, des bottines. Ses lunettes, ses longs cheveux qui flottent dans son dos. Super belle.
Elle insiste pour nous aider. Si heureuse de se retrouver avec nous. A la cuisine elle fait semblant de découvrir le zob.
C'est émouvant. Ce regard de compassion qu'elle me lance avant de murmurer : < C'est adorable ! >. C'est bien vrai.
Julie s'empare du plat maintenu au chaud sur lequel s'entassent les crêpes déjà prêtes. Clémentine du saladier. Super.

Je suis les filles avec les beignets de légumes. < J'adore les crêpes. Je pourrai en manger tous les jours ! > lance Julie.
Dans notre région il est de tradition d'en déguster au moins une fois par semaine. Nous nous promettons d'y sacrifier.
D'abord les crêpes salées. Au gruyère, au Parmesan, au Roquefort. C'est vertigineusement bon. Julie raconte le restau.
Il y a peu de monde en cette période de l'année. Pas d'opportunité notable. Nous en rions beaucoup. Je me lève parfois.
Je tiens ma bite molle à sa base pour la faire tournoyer, pour l'agiter en direction de Julie qui cesse de manger et mâte.

Nous mangeons de bon appétit. Julie revient sur l'expérience "serveuse" vécue avec Clémentine. C'était hyper excitant.
Clémentine décline toutefois l'offre de récidiver prochainement. < Je veux me calmer quelques temps ! > lance t-elle.
Je me masturbe sous la table. Julie me regarde d'un air espiègle. Elle sait parfaitement ce que je n'arrête pas de faire.
Elle ne s'en lasse pas. Le privilège de vivre avec une jeune fille de 22 ans rend plus facile d'en rencontrer d'autres. Joie.
A cet âge, elles sont curieuses. Assoiffées de découvertes. Excitées à l'idée de vivre des situations affriolantes. Super.

C'est ce que vit Julie ce soir encore. Lorsque je l'invite à m'accompagner aux toilettes, elle se lève d'un bond. Enchantée.
Julie à ma gauche, penchée en avant, ses mains en appui sur ses genoux, Clémentine à ma droite qui me tient la queue.
Je bande. Clémentine est donc obligée de me la contraindre vers le bas. Julie ne veut rien rater de cet étrange spectacle.
J'arrive enfin à lâcher un fin filet de pisse. Julie approche encore davantage son visage. Clémentine dirige les jets légers.
Quand Julie se redresse pour chuchoter < Espèce de vieux pervers ! >, je remarque les verres embués de ses lunettes.

La coquine mâte de si près que la vapeur de pisse embue les verres de ses lunettes. Je passe mon bras sur ses épaules.
Je passe mes bras autour des hanches de Clémentine et de Julie. Elles sont penchées en avant à scruter avec attention.
Je bande un peu plus mou. Ce qui me permet de pisser avec plus d'aisance. J'entends les filles reprendre leurs souffles.
Même si cette situation se reproduit souvent, elle reste un point d'attractions pour toutes les coquines les plus délurées.
Entre chaque jet, Clémentine redresse ma bite pour la proposer à Julie. Comme une invitation à la savourer. Déguster.

A chaque fois Julie a ce réflexe bien normal de s'éloigner, méfiante et prudente. Je dis : < Tu y goûtes quand Julie ? >
< Dans pas longtemps ! Il faut juste que je surmonte la répulsion que provoque votre comportement ! > répond t-elle.
Nous éclatons de rire lorsqu'elle rajoute : < Comportement que j'apprécie beaucoup ! Vous êtes tellement vicelard ! >
Clémentine s'accroupit pour se régaler des derniers épanchements. Julie s'accroupit à son tour pour mâter de plus près.
Je leurs caresse les cheveux. Je tiens Julie par la nuque. Je sens une certaine résistance. La trouille sans doute. Douce.

Clémentine se redresse la première. Puis c'est Julie. Nous retournons aux crêpes sucrées. Miel, sirop d'érable, confiote.
Julie cherche depuis quelques temps une formule qui lui permettrait de passer plus de temps en nos compagnies. Joie.
Je lui propose de venir passer un week-end avec Estelle, Clémentine et moi. Elle pourra vivre d'intenses émotions. Sûr.
Hélas, son travail de serveuse l'en empêche. Nous lui faisons confiance. C'est une fille. Elle trouvera bien une solution.
Il est 22 h quand nous la raccompagnons sous le parapluie jusqu'à son auto. Timidement, elle tient ma bite un instant.

Assise dans son auto, vitre descendue, Julie nous remercie pour la merveilleuse soirée. On est lourds après les crêpes.
J'ai la bite qui pend dans l'habitacle de la voiture. Clémentine l'agite à quelques centimètres du visage de Julie. Tentée.
Nous voyons bien qu'elle se fait violence. Elle a tellement envie d'y goûter. Et ses inhibitions de fille qui l'en empêchent.
C'est parfaitement légitime. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. J'agite ma bite sous le parapluie. Elle s'en va.
Au lit, j'offre à Clémentine un sublime cunnilingus. Je la pénètre. Je recommence. Son orgasme est fabuleux. Le dodo...

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment savourer de délicieuses crêpes chez un couple d'amis bien vicelards...

Julien - (Qui écoute les confidences de Clémentine, serrée contre lui, sous les draps en jouant avec sa queue) -

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Pas de tarte au poireau mais encore des crêpes ce mardi soir

Hier matin, mardi, je suis réveillé par des bisous qu'on me dépose sur les joues, le nez, on me tient par mon érection.
< Bonjour mon amour ! > fait Clémentine dont le visage bienveillant au dessus du mien enchante mon réveil. Super.
Je la serre fort contre moi au point d'en oublier le réveil. Sa musique se met à résonner. Clémentine s'allonge sur moi.
Elle éteint l'appareil posé à côté de moi sur ma table de nuit. 5 h55. Nous nous précipitons aux toilettes. Et en vitesse.
Vêtus de nos tenues de gym et morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Préparer le petit déjeuner.

Le mardi Clémentine termine à midi. Ce qui a tendance à la rendre quelque peu euphorique. Ça me fait beaucoup rire.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre soirée de hier, avec Julie. Les crêpes, les chiottes, les attitudes.
< Ce soir, avec Estelle, on reproduit. Même les crêpes ! > fait Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Super.
Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Intensité max.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous le parapluie dans la douceur.

Un dernier bisou. Il est 7 h45. Elle glisse sa main dans mon jeans en disant : < En rentrant, je m'en occupe ! >. Rires.
Un dernier coucou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer me mettre au sec.
Je fais le lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Me voilà assis devant mon chevalet.
Je prépare ma palette en chantant "Le Pornographe" de Georges Brassens. Je peins dans la continuité de cette humeur.
Cette euphorie communicative impulsée par Clémentine si déconneuse les mardis et vendredis matins. Son optimisme.

La peinture de cette quinzième toile destinée à ma saison d'été me procure des joies infinies. Multiples petits détails.
Il est aux environs de 10 h. Voilà mon smartphone qui vibre au fond de la poche de ma blouse. La musique imbécile.
C'est Julie qui m'appelle depuis les toilettes de l'université, entre deux cours. C'est toujours rapide et tellement drôle.
Julie me remercie infiniment pour la soirée de hier. Nous lui manquons déjà. Je la rassure. Pour nous aussi c'était bon.
Nous viendrons peut-être manger vendredi soir. Nous nous saluons. Elle n'a que quelques minutes. Nous raccrochons.

Je continue à peindre en pensant à cette agréable jeune fille délurée et si gentille. Je bande comme un salaud. Sympa.
Il est presque midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Il fait presque trop chaud. A cause de la douceur du climat.
Je prépare deux nouvelles pâtes à crêpes. Une au blé noir. Une au sarrasin. 12 h25. Et Clémentine qui rentre de cours.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Je la fais tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. Elle est tellement contente.
Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Sa masturbation à l'allée, au retour au volant de l'auto.

Elle s'empresse de me rassurer : < Je roule doucement. Je suis d'une grande prudence ! > me fait elle en me palpant.
Sa main dans ma braguette elle rajoute : < C'est à cause de cette chose ! >. Nous en rions de bon cœur. C'est la joie.
J'égoutte les coquillettes. Avec notre sauce au Roquefort, je fais rissoler des queues de langoustines encore congelées.
Les pâtes à crêpes pour ce soir reposent sous leurs linges dans deux saladiers. Nous mangeons de bon appétit. Miam.
Je raconte l'appel téléphonique de Julie ce matin. La possibilité d'aller manger au restaurant vendredi soir pour la voir.

< C'est génial ! Vendredi après-midi, j'ai baise avec le parrain d'Estelle. Elle a tout organisé ! > lance Clémentine. Rire.
Le programme de vendredi est déjà monté. C'est parfait. J'encourage Clémentine à redoubler d'initiative pour vendredi.
< Estelle va tout filmer en cachette. On se mâte ça samedi soir ! Tu vas pouvoir me voir à l'œuvre ! > fait Clémentine.
Je sais pouvoir faire confiance aux deux coquines. Je dis : < Ça va encore être un week-end génial ! >. L'éclat de rire.
< Ils le sont tellement nos week-end ! Mais après ce coup avec ce mec, je me calme un moment ! > lance Clémentine.

Nous traînons à table. Dehors le temps est exécrable. Vent, pluie, bourrasques. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine.
Nous enfilons nos anoraks pour aller faire quelques pas sous l'immense parapluie. Le vent va le détruire. Il faut rentrer.
Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine mime la pipe.
Je dis : < Tu suces qui ? >. En se rinçant la bouche, elle répond : < J'essaie celle du parrain, il n'aime pas trop ça ! >
Nous éclatons de rire lorsqu'elle rajoute : < Je vais lui faire aimer ! >. Clémentine me fait tomber sur le lit. Nous rions.

Sa tête posée sur mon ventre, elle joue avec ma bite en me racontant celles des autres qu'elle a déjà sucé. Souvenirs.
Clémentine a ses préférences. Dans l'ordre, elle cite Gérard, Mr Wong et la mienne. Nous rigolons comme des bossus.
< Et je vais passer les prochaines semaines à m'occuper exclusivement de la tienne ! > fait elle, se mettant à la téter.
Je la tiens par la nuque. J'appuie doucement. J'aime l'entendre gémir de plaisir à chacune de mes initiatives. Si super.
Je me fais tailler une véritable pipe des familles. Toutes les cinq minutes, pour reposer sa mâchoire, je pousse sa tête.

Nous restons ainsi une bonne heure. Clémentine sirote avec tant de plaisir. elle me confie ses impressions, les saveurs.
Nous fonctionnons tous deux pareils. Nous aimons rester excités pour le reste de la journée. Il y aura Estelle en soirée.
Nous cessons. C'est un peu frustrant mais ça maintient l'excitation. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier.
Clémentine est assise devant son ordinateur. Je suis assis devant mon chevalet. Nous voilà plongés dans nos passions.
Parfois, l'un se lève pour aller faire des bisous à l'autre, lui chuchoter des douceurs, des cochonneries. C'est si sublime.

Il est 18 h quand Estelle arrive à son tour. Les filles se sont vues ce matin en cours. Estelle se précipite vers moi. Joie.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle nous explique toute son organisation de vendredi après-midi.
Elle se charge de cacher la mini caméra à la cave. C'est la Gopro à son papa. Une carte SD. Images en 4K, qualité pro.
La caméra filmera toute la "baise party" entre Estelle, son parrain et Clémentine. Nous regarderons le film samedi soir.
Je bande comme le dernier des salauds. Estelle et Clémentine comparent l'avancée de leurs travaux. Je sors ma queue.

Je nettoie ma palette et mes pinceaux. 18 h30. Un bruit sourd venant de l'étage, au dessus de nos têtes. Le fantôme.
Nous rangeons nos affaires sans dire un mot, écoutant les bruits étranges et caverneux. Ils cessent après 10 minutes.
J'agite ma bite devant les filles. Estelle me pousse dans le canapé. < Tu es prié d'avoir cette attitude tout le temps ! >
Ce sont les paroles qu'elle prononce en se mettant à genoux sur l'épais coussin. Clémentine s'assoit à côté pour mâter.
Je me fais sucer. C'est la seconde fois de la journée. C'est encore meilleur. Estelle n'est pas partageuse ce soir. Rires.

Clémentine m'embrasse avec une fougue passionnée. Nous avons les mentons trempés de salive. C'est tellement bon.
Nous entendons les gargouillis bulleux qu'émet la fellation gloutonne d'Estelle qui pousse de petits cris de ravissement.
Je lui caresse la tête. Je dois commencer à me contrôler. Je veux me garder pour le reste de la soirée, après le repas.
Il est presque 19 h. Morts de faim nous quittons l'atelier. < J'ai déjà bien bouffé ! > me fait Estelle, ouvrant la bouche.
Elle me montre tout ce qu'elle n'a pas encore réussi à avaler. Mon foutre est épais et visqueux. Le régal de mes anges.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle insiste pour faire les crêpes. Par deux dans deux poêles. Sarrasin et blé noir.
Je râpe le gruyère et le Parmesan. Je prépare les sauces à partir d'une mayonnaise très simple. Ail, oignon, ciboulette.
Sur la table, dans de petites écuelles, c'est mignon. Les crêpes s'empilent. Pas une seule ne colle au plafond, ne tombe.
Je félicite Estelle qui les lance de plus en plus haut pour les faire retomber dans les poêles. Nous mettons la table. Bien.
Il reste un fond de pâte à crêpe. Je dis : < Estelle, enlève ton jeans et ta culotte ! >. Elle comprend immédiatement.

Assise sur la desserte entre le réfrigérateur et le buffet, elle repousse le panier en rotin qui contient les quelques fruits.
Clémentine vient regarder. J'enduis consciencieusement le croupion d'Estelle de pâte à crêpes. < C'est froid ! > dit elle.
Voilà toute sa chatte enduite de pâte. Ça commence d'ailleurs déjà à sécher. < Comme je vais faire ? > dit Estelle. Rire.
Clémentine déroule du papier Sopalin dont elle pose deux feuilles sur la chaise. < Voilà c'est très simple ! > lui dit elle.
Je soulève Estelle qui saute de la petite table en entamant une danse du ventre lascive. Et nous en rions de bon cœur.

Nous applaudissons. Estelle passe ainsi en revue toutes les danses qu'elle connaît. Du flamenco, au tango puis au Rock.
Nous rigolons comme des bossus. Mon émotion est à son comble. J'ai les larmes aux yeux. C'est tellement merveilleux.
Elles n'imaginent pas un seul instant, les deux coquines, les joies qu'elles procurent à mon vieux cœur quinquagénaire.
Nous voilà assis. Nous mangeons de bon appétit. Troisième jour consécutif de crêpes. Impossible de s'en lasser. Miam.
Les crêpes salées au gruyère, au Parmesan, sur lequel nous versons une cuillerée de sauce, sont de véritables délices.

Une simple mayonnaise dispatchée dans de petits bols à laquelle j'ai rajouté de l'ail pressé, de l'oignon pressé, épices.
Dans l'une du curcuma, du curry et du sel de Guérande. Dans une autre, des graines grillées de sésame et du paprika.
Nous bavardons en savourant. Les filles évoquent ce qui les attend vendredi après-midi. Le parrain est informé. Super.
Ce vieux saligaud de 46 ans va s'envoyer deux jeunes filles de 22 ans au lieu d'une seule. Et j'imagine son impatience.
Nous traînons à table. La vaisselle. < Viens prendre ton dessert vieux cochon ! > fait Estelle qui m'entraîne au salon.

Vautrée dans le canapé, elle m'expose sa chatte enduite de pâte à crêpe qui n'a pas réellement séché. Je suis à genoux.
Clémentine est accroupit a côté de moi pour bien observer. Je me mets à bouffer la pâte à crêpe et à lécher la chagatte.
Le goût de la pâte prédomine pendant cinq bonnes minutes. Les filles, retenant leurs respirations observent mes lèches.
Je m'applique. J'ai de la pâte sur tout le bas du visage. Estelle se penche pour lécher. Nous rigolons comme des bossus.
Clémentine se touche. Estelle aussi. Je retourne à mon cunnilingus. Estelle gémit comme une bienheureuse. Merveille.

Elle m'attire sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Clémentine retire son jeans et sa culotte. Vautrée à côté.
Je passe de l'une à l'autre. Ça rentre comme dans du beurre. C'est un concerto de gémissements, de petits cris. Génial.
Estelle connaît un orgasme foudroyant. C'est toujours elle la première à jouir, se recroquevillant, mains entre les cuisses.
C'est au tour de Clémentine. Nous terminons par le rituel des pissous aux toilettes où je me régale des jus de fille. Pipis.
Je me fais sucer. Je distribue généreusement mon jus de couilles en partageant. Nous raccompagnons Estelle à son auto.

Bonne soirée crêpes à toutes les coquines qui le apprécient à la crème de bite et au jus de couilles. "Chandeleuses"...

Julien - (Au lit, serrée contre moi, Clémentine me donne ses impressions quand à cette soirée crêpes) -

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Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1056 -



Un mercredi soir avec Juliette, mais sans crêpes

Hier matin, mercredi, c'est la Symphonie No 5 de Beethoven qui nous tire avec violence de nos profonds sommeils.
< Sadique ! > fait Clémentine qui se couche sur moi pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit de mon côté.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym nous descendons. Cuisine.
Nous préparons notre petite déjeuner que nous savourons en évoquant notre soirée de folie, hier soir avec Estelle.
Nous remontons. L'heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos, intensité maxi.

La douche. Je descends pour aller préparer la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le froid.
Un dernier bisou. Il est 7 h45. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de renter au chaud. Bien.
Je fais le lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Ce matin c'est judicieux d'allumer un bon feu dans la cheminée. Joie.
Il est 8 h15. Je suis assis devant le chevalet à préparer ma palette, chantant "Le grand chêne" de Georges Brassens.
Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. C'est fantastique. Superbe.

Il est aux environs de 10 h. Je me saisis du smartphone qui vibre au fond de la poche de ma blouse. C'est Juliette.
Après les civilités d'usage, la jeune femme confirme sa venue pour le repas du soir. Et encore de grands moments.
Nous bavardons en mode "haut parleur" ce qui nous permet de continuer nos activités. Juliette est dans son bureau.
Une vingtaine de minutes où j'écoute plutôt que je ne parle. Juliette aime confier ses petites actualités, ses histoires.
Cela tourne autour du sexe. La pipe qu'elle a prodigué à ce vieux salaud de Gérard hier, en fin d'après-midi. Sympa.

Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins en pensant à cette étonnante chef d'entreprise, femme si vicelarde.
Je bande pour le restant de la séance. Il est presque midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine.
Je lave le choux fleurs, j'épluche les patates, je fais cuire. Pendant ce temps j'émince du saumon. De l'ail, de l'oignon.
J'égoutte le choux fleurs et les pommes de terre coupés en morceaux. Je mets dans un plat. Je recouvre de gruyère.
De la chapelure. Au four. Je fais revenir l'émincé de saumon, les champignons à la poêle. Je concocte une Béchamel.

J'en récupère un peu avec le millet doré que j'ai fait gonfler. Je mange de bon appétit et en écoutant les informations.
C'est navrant, désolant, pessimiste, affligeant, au dessus de mes forces. J'éteins la radio. Je fais la vaisselle. C'est bon.
Je suis serein. Pour ce soir, le repas est déjà prêt, gratin de choux fleurs aux pommes de terre avec saumon en sauce.
Je mets mon anorak pour aller faire quelques pas à l'extérieur. Il fait bien plus froid que les jours précédents. L'hiver.
C'est très agréable. Je fais le tour de la propriété. Je regarde gambader deux écureuils. Je rentre me mettre au chaud.

Il est 13 h15. Me voilà à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans le même état d'esprit.
L'après-midi passe si vite. Il est 16 h30. Clémentine revient de cours. J'anticipe. Je pose ma palette et mes pinceaux.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire.
< On n'arrête pas de gratter en ce moment ! > me confie t-elle en massant son poignet. Je lui raconte Juliette. Rires.
Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant l'ordinateur à mettre au propre les notes prises aujourd'hui. Dur.

Nous travaillons ainsi jusqu'à 18 h15. Nous rangeons nos affaires. Il est 18 h30 lorsque se manifeste le fantôme. Bruits.
< Elle y va fort, ce soir ! > fait Clémentine. Nous écoutons blottis l'un contre l'autre. Cela ne dure que dix minutes. Fort.
Clémentine, allongée sur l'épais tapis, sa tête sur ma cuisse, me raconte son impatience d'être vendredi. La baise party.
Estelle et Clémentine se voient en cours, mangent ensemble à midi. Elles peuvent donc mettre au point leurs stratégies.
J'écoute amusé. < Après, je me calme un bon moment. Je me consacre exclusivement à toi. J'en ai besoin ! > fait elle.

Je l'encourage toutefois vivement à profiter de toutes les opportunités qui se présentent. Je lui rappelle qu'elle à 22 ans.
Il faut faire maintenant ce qu'elle ne fera certainement plus, passée la trentaine. Je lui caresse la tête. Sa main explore.
J'ai rapidement la bite à l'air. Clémentine aime tant y frotter son visage, en humer les parfums de ma journée d'homme.
Je suis allongé. Clémentine, la tête sur mon ventre, goutte à ma queue avec sa passion habituelle. La pipe des familles.
Il est presque 19 h. Nous quittons l'atelier. < Tu es le roi des salauds avec Juliette ce soir ! > me fait Clémentine. Rires.

Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade. Une belle laitue dont j'ai déjà lavé les feuilles à midi. C'est bien.
Je réchauffe le gratin de choux fleurs aux pommes de terre ainsi que la sauce au saumon et aux champignons. Parfait.
Nous dressons la table au salon. Clémentine allume les trois grosses bougies du chandelier. Tout est prêt. C'est si beau.
J'ai la bite à l'air. Quand ce n'est pas Clémentine qui me la touche, c'est moi qui l'agite dans tous les sens. C'est super.
Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Juliette entre dans la pièce. Elle est souriante et tellement contente.

Nous nous serrons la main. Je félicite la jeune femme pour sa tenue d'écuyère sous le manteau que prend Clémentine.
Cette silhouette de rêve, ses longs cheveux noués dans une natte qui lui tombe au milieu du dos. Elle est magnifique.
J'adore cette attitude féminine qui consiste à ne pas prêter la moindre attention à mon sexe qui pend de ma braguette.
Pas un seul instant elle ne baisse les yeux pour regarder. Comme si tout cela était parfaitement normal. Et c'est génial.
< On fait tout ensemble. De l'entrée jusqu'à la vaisselle ! > fait la jeune femme en nous suivant jusqu'à la cuisine. Joie.

< Miam ! > fait Juliette en découvrant notre repas du soir. Elle daigne enfin prêter une attention à la queue bien molle.
Elle me fixe soudain de son regard perçant. Ses yeux bleus clairs son comme les phares d'un camion la nuit. Sublimes.
Ce soir ses yeux sont presque aussi clairs que ceux de Clémentine. Je le leurs fais remarquer. Elles comparent en riant.
Toutes les deux, brunes, au teint mat, aux cheveux presque noirs, sont sublimes. Elles évoquent mères et filles. Génial.
J'en prends conscience encore ce soir, Juliette pourrait être la mère que n'a jamais eu Clémentine. Et c'est très étrange.

Je sors le plat du four. Clémentine remue la salade. Juliette prend la poêle contenant la garniture. Nous allons au salon.
Juste avant de m'assoir, j'agite ma queue en direction de Juliette. Je la fais tournoyer comme un lasso. C'est amusant.
Juliette, assise à ma gauche, Clémentine assise à ma droite, nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Délicat.
Juliette nous raconte ses soirées crêpes. Nous lui racontons les nôtres. Et sans entrer dans les détails les plus cocasses.
Nous rions beaucoup. Clémentine en arrive à sa décision. Elle ne désire pas d'un "abonnement pipe" les vendredis soirs.

< Oh ! Comme c'est dommage ! Je commençais à y prendre goût ! > lance Juliette qui ne cache pas sa déception. Dur.
Elle se tourne vers moi pour rajouter : < Elle va me manquer ! >. Juliette mime une pipe avec une rare vulgarité. Rire.
Je dis : < Quand Clémentine a pris une décision, il est impossible d'aller à l'encontre ! >. Nous rions de bon cœur. Bien.
Clémentine précise : < Je veux me consacrer à mon homme j'aime beaucoup sa queue aussi ! >. Juliette rit aux éclats.
< Comme je vous comprends. C'est vrai qu'elle est délicieuse et toute aussi passionnante ! >. Je me lève pour l'agiter.

Nous en rigolons comme des bossus. Cette conversation est si excitante. Chaque fois que je me lève, je me masturbe.
< Je pourrai l'avoir de temps en temps ? > demande Juliette à Clémentine. Nous éclatons de rire. Queue qui dégouline.
Clémentine se saisit d'un verre pour le placer sous mon sexe qu'elle tient de son autre main. Elle en récupère la goutte.
La coulure de liquide séminale s'écoule lourdement sur la paroi jusqu'au fond du verre. La seconde coulée bien épaisse.
Le silence est si lourd. Nous retenons nos respirations. Clémentine tend le verre à Juliette qui s'en empare prestement.

A la lumière des bougies, Juliette fait tourner le verre pour en scruter le contenu. C'est un moment émouvant, excitant.
< Du bon jus de couilles ! > fait Juliette en mettant le verre sous ma queue. Je suis debout. Les filles qui sont assises.
Elles observent. Je me branle avec conviction. D'un geste lent et précis. Juste la peau de mon prépuce que je coulisse.
A chaque fois, l'extrémité du méat se pointe. < On ne s'en lasse pas ! > murmure Juliette. < Génial ! > dit Clémentine.
Juliette récupère les épanchements avec une grande attention. Elle fait tourner le verre pour en maculer la paroi. Bien.

C'est le silence complet. Juliette nous montre le résultat de sa "cueillette". Le fond du verre se garni de foutre visqueux.
Il y a des coulures sur tout l'intérieur du verre. < J'adore jouer à ça ! > dit encore Juliette, concentrée sur ce qu'elle fait.
Clémentine a passé son bras autour de mes hanches. Elle observe ma masturbation, silencieuse, toute aussi concentrée.
Je pourrai éjaculer. C'est tellement grisant d'être là, à me branler doucement, devant deux spectatrices de qualité. Joie.
Juliette n'arrête plus de frotter le bord du verre sous mon prépuce. Entre le pouce et l'index, je l'essore soigneusement.

Je me concentre depuis quelques minutes. Je dois pisser depuis la visite du fantôme. Je bande un peu plus mou. Parfait.
Je lâche une première giclée. Cela surprend Juliette qui tient le verre à deux mains afin qu'aucune goutte ne gicle à côté.
Elle est penchée pour voir. Le foutre du fond se met à flotter sur la pisse. La moitié du verre est plein. Curieux mélange.
< J'hésite toujours entre un verre à moitié plein ou à moitié vide. Je ne fais pas le distinguo ! > fait Juliette en rigolant.
< Il faut y gouter ! > lui lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Juliette tend le verre à Clémentine qui le prend.

Le portant à ses lèvres, elle en boit une toute petite gorgée. Juliette reste comme consternée. Je me masturbe plus fort.
Et Juliette est en présence de plus salope qu'elle ce soir. Clémentine fait tourner le mélange dans sa bouche en la fixant.
Elle lui tend à nouveau le verre. J'hallucine. Voilà que Juliette s'en prend une petite lampée pour faire pareil. Le mélange.
Elles se regardent, malicieuses, terriblement vicelardes et déglutissent en même temps. Juliette a une grimace. Dégout.
D'un mouvement de tête, en poussant un râle, elle déglutit une seconde fois. Elles ouvrent leurs bouches. Des filaments.

Comme pour mettre un terme à ce qui devient trop excitant, Juliette se lève en disant : < On débarrasse ? Vaisselle ? >
Nous débarrassons la table. Comme convenu, nous faisons tout ensemble. Juliette n'arrête plus de disserter sur le gout.
< On peut se faire des soirées dégustations, tous les mercredis ! > lance t-elle en éclatant de rire. Excellente suggestion.
Il est 22 h. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Nous passerons sans doute au haras pour l'animation, dimanche.
Au lit, nous faisons l'amour comme des fous. Clémentine me félicite. De nouvelles perspectives gustatives s'annoncent.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment déguster un bon digestif après un délicieux repas. Un digestif sirupeux...

Julien - (Qui offre à Clémentine un orgasme de tout premier ordre en proposant de remettre la pipe à demain) -

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Nous retournons aux valeurs sûres. Les pizzas...

Hier matin, jeudi, c'est le concerto pour flûte de Haendel qui nous arrache avec cruauté de nos profonds sommeils.
< Flûte alors ! > fait Clémentine qui s'allonge sur moi afin d'éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Revêtus de nos tenues de gym nous descendons à la cuisine.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre soirée de hier.
Nous remontons. L'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charge additionnelles, abdos. D'une intensité maximale.

La douche. Je descends pour aller préparer la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il fait froid.
Un dernier bisou. Il est 7 h45. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit, vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette.
Il est 8 h15. Je peins dans une sorte d'exaltation qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Tellement superbes.
C'est aux environs de 10 h que mon smartphone se met à vibrer au fond de la poche de ma Blouse. Je m'en empare.

C'est Juliette. Quelle agréable surprise. Après les civilités d'usage, la jeune femme en arrive à notre soirée de hier. Joie.
Cela lui a terriblement plu. Elle m'en témoigne ce matin avec une joie qui m'émeut. J'aime tant faire plaisir aux femmes.
Nous en rions de bon cœur. Nous bavardons ainsi sur mode "haut parleur" une bonne vingtaine de minutes. C'est super.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins avec une érection qui participe d'une exaltation démultipliée. Sublime.
Il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau de mes coquillettes. Bien.

Je prépare une belle pâte à pain ainsi qu'une garniture pour les pizzas de ce soir. Notre plaisir et rituel des jeudis soirs.
Je récupère un peu de garniture comme sauce avec les coquillettes. Une salade de carottes. Je mange de bon appétit.
Je tente bien d'écouter les informations mensongères mais c'est au dessus de mes possibilités. J'éteins la radio. Mieux.
La vaisselle. Je range la cuisine. J'enfile l'anorak pour aller faire quelques pas au dehors. La fraîcheur est vive. Le soleil.
Je fais le tour de la propriété. La pâte à pain repose sous un linge. La garniture repose sous un couvercle. C'est parfait.

Je rentre. Il est 13 h15 quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet à peindre dans l'extase.
Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle raconte ses profs.
J'aime l'écouter. Aujourd'hui, un des menus du restaurant universitaire était constitué de cabillaud et de haricots verts.
Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur à mettre au propre ses notes prises aujourd'hui.
Je lui raconte l'appel téléphonique de Juliette et son regret de ne pas nous voir vendredi soir. Son habitude était prise.

< Tant pis. Elle a la bite à Gérard et un samedi sur deux la bite à Pierre ! > lance Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour. Elles se sont vues en cours et ont mangé ensemble au restaurant universitaire.
Estelle, assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, nous raconte sa baise avec son parrain hier soir à la cave.
Nous en rigolons comme des bossus. Estelle évoque surtout la stratégie qu'elle va appliquer pour la baise de vendredi.
La caméra sera planquée dans un des casiers. Avec une Gopro, impossible de filmer en plan serré. Que du plan large.

Par contre l'image en 4K de qualité hautement professionnelle permet une netteté incroyable. Une carte SD de 16 GB.
De quoi enregistrer deux heures de baise. < Mais cela ne dure jamais autant ! Marraine revient vite ! > précise Estelle.
Nous n'arrêtons pas de rire aux éclats. C'est tellement rigolo cette histoire de baise à la cave, sur un matelas gonflable.
Clémentine se réjouit pour cette nouvelle expérience. Depuis le temps qu'Estelle vante les mérites de son parrain. Rire.
Clémentine va pouvoir "l'essayer" à son tour. La seule ombre au tableau sera mon absence. Impossible d'être présent.

Mais nous regarderons le film samedi soir pour une de nos séances cinéma "Lard et essais". Un autre grand moment.
Nous nous réjouissons. Pour Estelle et Clémentine, les réjouissances sont doubles. C'est merveilleux. Et je me réjouis.
Dernière mise au point. Clémentine rejoint Estelle chez elle pour 14 h45. Il faut être chez parrain pour 15 h. Précises.
Marraine ne s'absente qu'une heure et demi au maximum. Il ne faudrait pas se faire choper. Deux salopes à la cave !
Nous rigolons comme des bossus. C'est la toute première fois que Clémentine se fera sauter sans que je sois présent.

Il est 18 h30. Il y soudain un vacarme d'enfer au dessus de nos têtes. Le fantôme de mon ancienne compagne. Potins.
C'est tout le florilège d'une manifestation paranormale habituelle. < Christine les passe toutes en revue ! > fait Estelle.
En effet, nous avons droit à tout pendant une dizaine de minutes où nous rangeons nos affaires. Cela cesse enfin. Ouf.
Allongées sur l'épais tapis devant la cheminée, leurs têtes sur mes cuisses, les filles mettent au point l'ultime stratégie.
Quand les filles organisent un truc aussi intense qu'une "baise party", c'est fait avec le détail d'un miniaturiste japonais.

Estelle me sort le Zob. Je bande mou. Mais avec l'excitation des conversations, mes épanchements de liquide séminal.
Il en dégorge sur les tissus de mon vieux jeans. Estelle s'en rend compte la première. < Miam ! > fait elle en le suçant.
Clémentine la repousse en riant. < J'en veux aussi ! > fait elle en se mettant à téter à son tour. Je caresse leurs têtes.
C'est émouvant de les voir ainsi, couchées sur le côté à se partager ma queue. Je commence à bander dur. Bite tordue.
Je glisse mes mains dans les culottes. J'ai un très bon accès aux fesses. Un peu moins aux sexes. Mais ça mouille bien.

< On se fait des saloperies ce soir ! > s'exclame Estelle qui se redresse la première. Clémentine pompe encore un peu.
< Qu'entends tu par "saloperies" ? > demande t-elle à Estelle, se redressant. Nous éclatons de rire. Il est presque 19 h.
Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade d'endives, de son assaisonnement.
Estelle malaxe la pâte à pain afin de la rendre plus onctueuse encore. Je réchauffe la garniture. Organisation, méthode.
Je dis : < C'est moi qui vous met de la farine sur les chattes ce soir ! >. Estelle retire immédiatement son jeans. Rires.

Clémentine fait pareil. Les voilà toutes les deux assises sur le bord de la table de la cuisine à me présenter leurs sexes.
Je les enduis soigneusement de farine humide. Il y en a plein les poils. Jusque dans la raie culière autour du trou du cul.
J'enduis avec application. Je reviens plusieurs fois sur mon ouvrage. C'est très excitant pour les coquines qui rient. Bien.
La farine sèche toujours très vite. Seulement en séchant elle se rétracte. Ce qui provoque un tiraillement, picotements.
Les pizzas sont au four. La salade est prête. La table est dressée. Les filles m'entraînent au salon afin d'êtres soulagées.

Toutes les deux, assises sur le bord du bureau, en appui sur leurs coudes, m'offrent de succulentes chattes à nettoyer.
La cyprine qui coule tâche la farine sèche. C'est humide juste à l'entrée de la vulve. Surtout chez Clémentine. Sublime.
C'est un peu comme une culotte grise qui serait mouillée juste à l'entrée du vagin. C'est de toute beauté. C'est super.
Estelle me prie de faire des photos en gros plans. Je prends son smartphone pour faire quelques clichés. Je m'applique.
< Fais voir ! > dit Estelle qui regarde l'écran et le résultat de mes prises de vue. En effet, on voit bien. Qualité au Top.

Assis sur la chaise, je commence pas nettoyer le croupion d'Estelle. L'odeur de la farine est neutre. Pas celle du minou.
Les odeurs fortes de fille négligée, le goût âcre de ses muqueuses intimes, tout cela me procure de merveilleux frissons.
Je passe au croupion de Clémentine que je savoure avec les mêmes émotions. Les deux coquines se masturbent. Super.
J'enfonce l'index dans les trous de balle en même temps que je sirote les jus de filles. C'est monstrueusement excitant.
Heureusement la sonnerie du four vient tempérer nos ardeurs. Les filles sautent du bureau. Elles m'entraînent en riant.

Pendant qu'Estelle sort les pizzas du four, que Clémentine remue la salade, je dispose sur nos chaises du papier Sopalin.
Ce afin de protéger les coussins. Les filles mouillent et moi aussi. Autant préserver le tissu des coussins de chaises. Rire.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent leurs études avant de revenir sur la "baise party".
Nous en rions de bon cœur. < Il ne faut rien oublier. Il faut penser à tout ! > précise Estelle qui mime une masturbation.
< Dommage que tu ne puisses pas te cacher pour mâter ! > me fait Estelle. < Ça gâche mon plaisir ! > dit Clémentine.

Je les rassure. Je pourrai constater et admirer mes deux actrices préférées lors de notre soirée cinéma "Lard et essais".
< Je n'aurai pas le temps de faire un vrai montage ! > rajoute encore Estelle. Filmé en plan large ce n'est pas très utile.
Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles échangent leurs ressentis quand à nos multiples aventures. Joie.
J'enfonce mes doigts dans tous les trous avec une grande facilité. < Pas là ! > me font elle quand je les mets dans le cul.
Nous détestons tous les trois l'idée même de sodomie. < Un endroit à chier ! > fait Clémentine. < Vrai ! > lance Estelle.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je propose aux filles de reprendre les choses où nous les avons laissé. Superbe.
Les voilà toutes les deux vautrées sur le bureau où j'ai disposé les coussins. En appui sur les coudes. Je lèche. Je suce.
Ce sont de véritables rasades de jus de filles. Elles se masturbent lorsque je ne suce pas leurs clitoris. C'est si délicieux.
Je me lève. Je m'introduis avec d'infinies précautions dans Estelle qui se redresse pour se pendre à mon cou. La baise.
Je la promène dans toute la pièce sous le regard de Clémentine qui se masturbe. Puis c'est au tour de Clémentine. Joie.

Je passe de l'une à l'autre. Je leurs offre à chacune quelques tours de manège. C'est absolument divin. Un ravissement.
Mes lombaires sont de plus en plus douloureuses. Ce qui a un effet délétère sur la qualité de mon érection. Il faut ruser.
Estelle hurle de plaisir dans un orgasme qui la tétanise. Son corps couvert de spasmes, de frissons. Vautrée sur le tapis.
J'offre à Clémentine un orgasme tout aussi tellurique. Estelle, à quatre pattes, reprend difficilement ses esprits. Sympa.
Clémentine m'embrasse avec avidité. Elle m'entraîne aux toilettes dans la précipitation. A peine assise elle pisse. Et fort.

Estelle vient nous rejoindre. Pendant que je me régale des jus de Clémentine, à genoux devant la cuvette, elle me suce.
C'est à son tour. Elle pisse en gémissant de soulagement pendant que Clémentine suce. Je me régale des jus d'Estelle.
Je les entraîne au salon en les tenant par la nuque, fermement, comme elles aiment. Elles en gloussent de satisfaction.
Il faut s'habiller. Il va être l'heure. Demain matin, il y a école. Et presque 22 h. Les voilà assises sur le bord du canapé.
Elles se refilent la bite qu'elles sucent animées d'un enthousiasme gastronomique digne d'un Chef étoilé. Paul Beau cul.

J'éjacule en tentant de bien répartir. Et j'essaie de distribuer équitablement. Petite giclée à l'une. Petite giclée à l'autre.
Elles se rassasient en poussant de petits cris de ravissement. Je caresse les têtes de mes deux anges. Elles sont belles.
Je les force à cesser. Les coquines partiraient volontiers pour un second tour. Je leurs permets un dernier fond de cuve.
Nous raccompagnons Estelle à son auto. Il fait un froid intense. La séparation est difficile. Nous rentrons vite. Au chaud.
Au lit, serrée contre moi, Clémentine me confie son impatiente. Cette "baise party" de demain avec le parrain d'Estelle.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire nettoyer la chatte avant de se faire promener bien pénétrées...

Julien - (J'écoute les confidences de Clémentine qui, tout en jouant avec ma queue, m'avoue son envie d'expériences) -

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Le parrain d'Estelle

Hier matin, je suis tiré de mon sommeil par les doux mouvements masturbatoires de Clémentine contre ma hanche.
J'ouvre les yeux. < Je t'aime ! > me chuchote t-elle. La coquine me réveille de cette manière juste avant la musique.
J'éteins l'appareil. Les vendredis, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend très euphorique et propice à la déconne.
Il est 5 h55. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym nous dévalons les escaliers. La cuisine.
Nous y préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre soirée à faire les fous.

Nous montons. L'heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Puissance, intensité.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il fait très froid.
Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit et la vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Et avec cette fraîcheur cela se justifie à nouveau très bien.
Je prépare ma palette. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme délirant.

L'euphorie communicative de Clémentine enchante ma matinée à tel point que je pousse mes cris les plus surréalistes.
Cris que je module longuement. La matinée passe ainsi. Il est 11 h05 lorsque je dépose la dernière touche sur ma toile.
La quinzième œuvre, destinée à ma saison d'été est achevée. Je la déplace sur le second chevalet afin qu'elle y sèche.
Je pose la seizième toile dont le dessin préparatoire est déjà réalisé à sa place. Une autre scène de genre. C'est super.
Je mets deux bûches dans l'âtre. Je vais au salon. Je téléphone au restaurant de l'étang afin d'y réserver deux places.

J'ai Anne-Marie en ligne. Elle me reconnaît. Nous bavardons un peu. La patronne du restaurant est toute contente. Joie.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je téléphone à monsieur Gilbert, à Morteau afin d'y réserver notre séjour. Bien.
C'est une vieille connaissance. J'ai occupé sa location à plusieurs reprises déjà. Une semaine, aux vacances de Pâques.
Je lui avais fait un courriel dès le début janvier. Clémentine a le souhait de retourner passer une semaine dans le Jura.
C'était le lieu de nos premières vacances, il y a trois ans. Et le lecteur qui suit nos aventures s'en rappelle certainement.

Nous bavardons un peu. L'appartement, aménagé dans les combles, nous attend dès le lundi 13 avril jusqu'au 19 avril.
C'est parfait. Un acompte qui formalise la réservation est déjà effectué en ligne, à l'instant. Nous nous saluons. Parfait.
Je vais à la cuisine. Il est presque midi. Je fais gonfler le riz complet. Je coupe de l'aubergine, de la courgette, tomates.
Je fais cuire. Il est 12 h20. Clémentine rentre de cours. Elle me saute dans les bras pour me couvrir le visage de bisous.
Je la soulève pour la faire tourner. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je pane les poissons.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine chuchote.
< J'ai honte de ce que je vais encore te faire cet après-midi ! Et je suis morte de trouille ! > me confie t-elle, anxieuse.
Je la rassure : < C'est génial ! Tu vas enfin pouvoir vérifier les performances du parrain d'Estelle. Si tout ça est vrai ! >
< Je t'aime Julien. Tu me comprends si bien. Je me sens tellement libre et si heureuse ! Si tu savais ! > fait elle encore.
Que ne ferais je pas pour la fille que j'aime. Je lui raconte les coups de téléphone de la matinée. Tout est réglé. Parfait.

< Tout est toujours si simple avec toi. Tu fais de moi la fille la plus comblée du monde ! > s'écrie Clémentine, radieuse.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. De l'ambiance.
Clémentine m'entraîne dans la chambre. < Tu m'aides à choisir quoi mettre pour cet après-midi ! > me demande t-elle.
Je ne sais trop quoi conseiller. Je dis : < Au contraire, choisis, surprends moi ! >. Clémentine ouvre l'armoire en grand.
Ce sera une de ses jupes kilt à carreaux rouges. Un chemisier blanc sous un pull bleu nuit au col en "V". Porte-jarretelle.

Des bas noirs. Ses bottes de cuir noir à hauts talons. Je suis assis dans la chaise à bascule. Je la regarde se vêtir. Belle.
Accroupie devant le miroir, Clémentine prend des poses. Elle me dit : < J'étudie jusqu'où je peux exagérer l'attitude ! >
Nous en rions de si bon cœur. Clémentine est terriblement sexy. Je la félicite. Je bande comme le dernier des salauds.
Clémentine ne porte pas de culotte. C'est dans cette tenue très classe et hautement suggestive qu'elle ira au rencard.
< Comment tu me trouves ? > me demande t-elle en venant s'accroupir entre mes jambes écartées. Je sors ma queue.

Je la félicite. Je la congratule. Je dis : < Tu es si terriblement sexy ! Une salope de rêve. Je t'aime comme un dingue ! >
Clémentine, les mains posées sur mes cuisses, se met à téter ma bite comme si sa vie en dépendait. Elle est si superbe.
Je la fais cesser. Je la tiens délicatement par les oreilles pour la redresser en même temps que moi. Il est déjà 14 h05.
< Tu m'autorises ? Je peux ? > me fait elle encore une fois. Je fais : < Je n'ai rien à t'autoriser. Tu es une fille libre ! >
< Tu es si génial. C'est toi que j'aime tu sais ! Sans toi, rien de tout ça ne serait possible. Ou autrement ! > me dit elle.

Je l'entraîne devant le miroir en la tenant fermement pas la nuque, la main sous ses cheveux flottant sur ses épaules.
Je dis : < Regarde un peu la gueule de salope que tu te trimballes. Le parrain d'Estelle va te niquer comme un fou ! >
< J'espère bien ! Je me donne pas toute cette peine pour qu'il me raconte un conte de Perrault ! > dit elle, se touchant.
Nous rigolons comme des bossus. Elle m'embrasse passionnément. Nous descendons les escaliers. Elle met le manteau.
Je l'accompagne jusqu'à sa voiture. Un dernier bisou. Dans l'auto, juste avant de partir, elle mime une pipe. Clin d'œil.

Clémentine doit être chez Estelle pour 14 h30. Rendez-vous chez le parrain pour 14 h45. C'est à un quart d'heure d'ici.
Je rentre me mettre au chaud. Me voilà assis devant mon chevalet. Je commence la peinture de la seizième toile. Bien.
Il faut me voir faire la danse du guerrier Sioux autour de mon chevalet à chaque coup de pinceau encore plus sublime.
Je peins dans une volupté phénoménale. Je pense à ce qui se passe probablement dans la cave du parrain. C'est super.
Il est rapidement 18 h. Clémentine revient. Elle se précipite. Assise sur mes genoux, les bras autour de mon cou. Bises.

Je remarque ses bas qui ont filé. Elle a l'air réellement épuisée. La fille qui a jouit jusqu'à en perdre la notion des choses.
< Estelle n'a pas menti ! Qu'est-ce qu'il m'a mis ! J'en ai la chatte toute explosée. Congestionnée ! > me fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur. < Merci Julien, je t'aime. Maintenant, je veux me calmer quelques temps. Juste toi ! > dit elle.
Elle me raconte grosso merdo le déroulement des évènements. Estelle a tout filmé en cachette. Tout s'est si bien passé.
< Tu verras samedi soir. J'ai pensé à toi, à tes recommandations. Je me suis fais défoncer comme une salope ! > dit elle.

Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine trousse sa jupe pour me montrer son sexe. Grosses lèvres charnues.
Je touche délicatement. < Aïe ! > fait elle avec un réflexe. < Avec capote ! > me précise t-elle en la sortant de son sac.
Clémentine garde les capotes pleines de foutre des quelques mecs qui l'on déjà tiré. Il y en a trois dans la table de nuit.
< Pour la collection ! > fait elle en agitant son trophée. Une capote contenant une invraisemblable quantité de sperme.
Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Nous quittons l'atelier pour monter. Clémentine a besoin de prendre une douche.

< Viens me laver ! > me fait elle en m'entraînant. Je prends une douche avec elle. Je la lave soigneusement. Elle adore.
Nous traînons longuement sous la douche. < J'ai réussi à le sucer un peu, mais c'est pas son truc ! > lance Clémentine.
< Tu verras tout ça dans le film, samedi soir et tu vas t'éclater ! > me chuchote t-elle en serrant ma queue hyper dure.
Nous nous séchons. Nous nous habillons. < Je suis tellement crevée que je pourrai me coucher ! > me fait Clémentine.
Il est 19 h15. Nous voilà en route pour le restaurant de l'étang. Clémentine a revêtu les mêmes habits, avec bas neufs.

Je roule doucement. Elle joue avec ma queue qu'elle suce parfois. Clémentine me raconte quelques détails. Super baise.
Nous arrivons. Je gare l'auto sur le parking. Il y a peu de monde. Nous montons les marches. Julie vient nous accueillir.
Elle est tellement contente de nous voir. Elle nous invite à la suivre. Notre table habituelle nous attend. Super moment.
Anne-Marie vient nous serrer la main. Nous bavardons un peu. Dans la salle il y a une dizaine de clients. Des couples.
< Pour la saint Valentin, c'est presque complet ! Je vous garde une table ? > fait Anne-Marie. Nous préférons réfléchir.

Nous prenons la commande. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine paraît épuisée. Elle a baisé plus d'une heure.
< Je me suis fais baiser ! > précise t-elle. Nous en rions de bon cœur. Julie vient quelquefois bavarder avec nous. Joie.
Je lui propose de me rejoindre aux toilettes. < Génial ! >murmure t-elle. Il y a peu de clients. Cela permet de s'amuser.
Clémentine me fait : < Sois vicelard. Raconte moi. J'ai besoin de belles histoires ! >. Je me lève. Je descends l'escalier.
Anne-Marie vient de me faire un clin d'œil. Je suis debout devant un des deux urinoirs muraux. Je me branle. C'est bon.

J'entends les pas rapides qui descendent l'escalier. Je me tourne. La porte s'ouvre. Julie dans l'encadrement de la porte.
Je lui présente mon chibre. Je bande comme un priapique en phase terminale. < Wouah ! > murmure t-elle, admirative.
Je dis : < Viens gouter ! >. Julie reste hésitante. Comme chaque fois je la sens lutter contre cette immense tentation.
Je rajoute : < J'en ai autant envie que toi ! >. Julie me fait un sourire plein de compassion avant de dire : < Bientôt ! >
Je rajoute : < Ça fait bien une année que tu répètes la même chose ! >. Nous éclatons de rire. Il faut qu'elle remonte.

Elle s'en va. Je me branle encore un peu. C'est trop bon. J'entends des pas. Je me tourne. Je fais semblant de pisser.
Dans le reflet du carrelage, je vois la porte s'ouvrir. La silhouette d'Anne-Marie. < Et toujours occupé ! > lance t-elle.
Anne-Marie aussi reste dans l'encadrement de la porte. Je me tourne pour lui présenter ma queue. Je bande bien fort.
La jeune femme observe silencieusement. < Je comprends ma nièce. Je vais descendre plus souvent ! > me fait elle.
Je dis : < Mais volontiers chère madame. Que ne ferais je pas pour vous être agréable ! >. Elle fait : < Salaud va ! >

< Vous devriez avoir honte de faire ça devant des jeunes filles de 20 ans ! > lance t-elle d'un ton sec, regard sévère.
Je me branle. Je réponds : < C'est vrai, je devrais me contenter de le faire devant leurs tantes, de belles salopes ! >
Anne-Marie éclate de rire en disant : < Nous sommes sur la même longueur d'ondes je vois ! >. Elle fait un clin d'œil.
Elle imite ma masturbation en se cambrant sur ses genoux fléchis. < Je remonte faire mes additions ! > me fait elle.
Je remonte. Je raconte tout à Clémentine qui bavarde avec Julie. Il est presque 21 h30. Clémentine s'endort à table.

Bonne soirée à toute les coquines qui aiment fréquenter les toilettes en sous sol des restaurants pour mâter...

Julien - (J'écoute les dernières confidences de Clémentine, totalement épuisée, qui s'endort dans mes bras) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1059 -



La soirée cinéma. Titre du film : "Clémentine"

Hier matin, il est presque 8 h lorsque je suis réveillé par un léger mouvement du matelas. Le froissement des draps.
Clémentine sait quand je me réveille. Ma respiration qui change. Comme en culpabilisant, elle cesse de se masturber.
< J'ai fait un rêve très cochon ! > me chuchote t-elle dans le creux de l'oreille en se blottissant contre moi. Très fort.
Je fais : < Viens, tu me racontes tout ça devant un bon petit déjeuner ! >. Nous nous précipitons aux toilettes. Pipi.
Vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Superbe.

Clémentine me raconte son rêve. Elle a revécu certaines situations avec le parrain d'Estelle qui devenait Mr Gérard.
Nous rions de bon cœur de ces séquences oniriques et totalement surréalistes. La vaisselle. Il est 8 h20. Il fait beau.
Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets et nos gants. Il fait froid. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti.
C'est divin de courir en extérieur. Infiniment préférable à nos tapis roulants. Une heure d'un running des plus supers.
La douche. Nous nous habillons. Jeans et chemises claires sous nos pulls aux cols en "V". Vêtus tous les deux pareils.

Nous partons pour le bourg voisin. Faire notre marché est un plaisir que nous apprécions et quelle que soit la saison.
Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe. Je gare la voiture sur le parking. Je prends les cabas et les sacs.
Nous faisons provisions de légumes et de fruits chez nos petits producteurs locaux. Issus de l'agriculture bio. Certifiée.
Nous faisons provisions de fromages, de beurre, d'œufs, de yaourts, de crème fraîche chez notre artisan habituel. Bio.
De retour à l'auto, nous disposons les produits frais dans la glacière, les fruits et légumes dans des cageots. Le coffre.

En route pour la zone commerciale. 15 km où je me fais toucher, sucer et branler délicatement. Je roule prudemment.
Je gare l'auto sur le parking de l'hypermarché. Il y a du monde. Il fait beaucoup plus doux. Le ciel est bleu et du soleil.
Je pousse le caddie. Clémentine, la liste des courses à la main, nous entraîne dans les rayons. Nous faisons nos achats.
< J'ai encore la chatte toute congestionnée ! > me fait Clémentine à plusieurs reprises depuis ce matin. Allusion baise.
Nous en rions de bon cœur lorsque je réponds : < Elle a besoin de repos ! >. Malgré tout, Clémentine est bien excitée.

Nous traînons dans les rayons culturels. Il n'y a pourtant aucune opportunité d'exhibe. Il y a bien trop de monde. Rien.
Nous circulons dans les rayons des vêtements homme. Là non plus, aucune possibilité de s'amuser un peu. Du monde.
Nous terminons par la poissonnerie pour y faire provisions de poissons, de crustacés, des fruits de mer. De la patience.
Le rayon des produits de la mer est toujours le plus encombré. Nous attendons notre tour en nous chuchotant des trucs.
Nous passons en caisse. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Nos rituel habituels. Et les soldes sont finies.

Il est 12 h30 quand nous revenons à la maison. Nous montons nous changer. Tenues balades pour l'après-midi. Bien.
Nous rangeons nos courses. Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement. Je prépare les moules. Bouillon.
Dans le wok, je remue les haricots verts et les petits pois encore congelés. Le samedi, c'est toujours "bouffe rapidos".
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine m'avoue ne pouvoir s'empêcher de culpabiliser à cause de ses aventures.
< Je veux me consacrer à toi. Tu es ce que j'ai de plus précieux ! > me dit elle pour conclure chacune de ses phrases.

Je la rassure une fois encore. Tout cela doit être abordé d'une manière logique et d'une façon ludique. Pas d'inquiétude.
Je précise une nouvelle fois : < Tu as 22 ans. Tu dois profiter de ta jeunesse. Tout cela doit être plaisant et amusant ! >
< Tu comprends toujours si bien les choses. Je suis si heureuse avec toi. Je t'aime ! > fait elle assise sur mes genoux.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.
Pressés de filer, de nous retrouver au grand air, nous mettons nos grosses godasses de marches pour dévaler l'escalier.

Il est 13 h30. Main dans la main, nous descendons jusqu'à la rivière. Les anoraks ouverts et les braguettes ouvertes.
Là, sur le sentier qui longe le cour d'eau, je peux sortir ma queue. J'ai souvent la main dans la culotte de Clémentine.
Mon sexe dans la main chaude de Clémentine permet toutes les fantaisies amoureuses. Toutes les déclinaisons. Bien.
Souvent accroupie, Clémentine aime à me sucer quelques instants. Nous reprenons notre marche. Son sexe sensible.
Je le touche à peine. Ses muqueuses et ses lèvres charnues sont encore très sensibles. Le parrain est un baiseur fou.

Nous faisons la boucle des quatre heures. Nombreux arrêts à nous embrasser. Clémentine qui est totalement rassurée.
Avec cette fraîcheur, je bande mou. Ce qui favorise les coulées de liquide séminal. De quoi se régaler pour Clémentine.
Nous revenons avec la nuit. Il est presque 18 h. Estelle est déjà là. Il y a sa voiture et de la lumière à la cuisine. Super.
Nous rentrons au chaud. Estelle est entrain d'éplucher les légumes pour la potée du week-end. Elle se précipite. Bisous.
Nous voilà tous les trois à éplucher des pommes de terre, des navets, du céleri, des carottes en bavardant. C'est super.

Estelle nous raconte sa journée au bureau, dans l'entreprise familiale. Elle en arrive rapidement à la baise du vendredi.
Les filles échangent leurs impressions. < Tu vois, je n'avais pas menti, ce mec est un chaud de la pointe ! > dit Estelle.
Nous en rigolons comme des bossus. Estelle me fait : < Tu verras tout ça ce soir ! >. Clémentine sort la carte SD. Bien.
C'est elle qui l'a conservé comme une relique, tout le temps sur elle, dans sa petite boîte plate en plastique transparent.
Elle l'agite, disant : < J'ai des frissons rien qu'à y penser. Moi aussi je vais tout découvrir ! >. Nous rions de bon cœur.

Clémentine s'occupe de la salade d'avocat avec de la salicorne. Estelle remue les légumes dans la cocote en fonte noire.
Je panne trois filets de cabillaud que je fais dorer à la poêle. Feu doux. Nous mettons la table. Nous voilà assis. Superbe.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine revient sur son sexe encore sensible. Ce fut une épreuve.
< Même Pierre ne m'a pas baisé avec un tel acharnement ! > fait Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Vrai.
< Moi, il me baise comme ça tous les mercredis soir. J'en ai la chatte éclatée. Mais j'ai l'habitude ! > fait encore Estelle.

< Et ce salaud rêve de m'enculer ! Tu imagines un peu le cul qu'il me ferait ! Il n'en sera jamais question ! > dit Estelle.
Estelle et Clémentine détestent la sodomie. L'idée même les révulse. Je partage tout à fait ce ressenti. Endroit à chier.
Nous faisons la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il y a de la potée pour le repas de midi et du soir, demain. Super.
Les filles, impatientes, m'entraînent au salon. Clémentine s'occupe des branchements. Estelle et moi déplaçons la télé.
Nous voilà tous les trois vautrés dans le canapé. En face, le meuble télé. Sur la petite table basse, des gâteux, du thé.

Clémentine à ma gauche, qui tient la télécommande. Estelle à ma droite qui tient ma bite. L'écran s'allume. C'est le film.
Je découvre enfin la cave du parrain, tant de fois décrite par Estelle. C'est plutôt bien éclairé. La pièce paraît très étroite.
A droite la chaudière rouge. A gauche des casiers contenant divers objets. Deux bonbonnes de gaz, des jerricanes bleus.
Au sol un matelas gonflable. Estelle m'explique comment elle a fait. Elle est descendue la première et à caché la caméra.
Derrière des godasses. On distingue bien le radiateur électrique entre le mur du fond et le matelas. C'est habile et rusé.

< C'est la caméra Gopro de papa. Il l'a fixe sur son casque quand il fait du VTT ! > précise Estelle. L'image est si nette.
Comme ce genre de caméra de sport filme en plan large, nous avons une vue d'ensemble. Nous y voyons Estelle seule.
Elle fait le pitre. Du bruit. Des voix. Je découvre enfin le fameux parrain. C'est un type de taille moyenne, avec du gras.
Je vois Clémentine qui arrive. Parrain aura ici le pseudo de "Jeannot". Il a l'air d'être un bon vicelard. Les yeux porcins.
< Je me demande à chaque fois comment je peux baiser avec ce porc ! > lance Estelle. < C'est vrai ! > fait Clémentine.

Jeannot glisse carrément sa main entre les cuisses de Clémentine, sous sa jupe kilt. L'image est d'une précision dingue.
C'est ahurissant de netteté. Jeannot touche les seins de Clémentine de son autre main. Il doit la masturber de l'autre.
Clémentine commente les images. A l'écran, on voit Estelle s'assoir sur la caisse en bois à côté du radiateur électrique.
< Moi, je suis là où il fait le plus chaud ! > fait elle en tordant ma bite dans tous les sens. Je bande comme un salaud.
De voir Clémentine se faire tripoter par un véritable vicelard, me met dans tous mes états. Et c'est tellement excitant.

Il saisit Clémentine par les épaules pour la forcer à se mettre à genoux sur le matelas. On l'entend crisser. Synthétique.
Jeannot ouvre sa braguette. Il en sort un véritable démonte pneu de camion. Impressionnant. Un sexe tordu à gauche.
Il a un prépuce qui pend sur le gland dont on discerne la forme. Jeannot qui frotte son sexe sur le visage de Clémentine.
On voit l'expression de dégoût sur les traits de Clémentine maintenue par les cheveux d'une poigne de fer. Il en profite.
Estelle qui précise : < Il me fait rarement ça, il est braqué sur la pénétration. Un vrai sauvage ! > Nous éclatons de rire.

En effet, on le voit renverser Clémentine. Il descend son froc. Son slip. Il enlève ses fringues. Il fait ça à toute vitesse.
Il ne semble savoir dire qu'une chose : < Tu es une belle salope. Je vais te défoncer la chatte ! >. Il le répète encore.
A l'image, Estelle, toujours assise sur sa caisse, penchée en avant, regarde. Jeannot enfile une capote. Geste virtuose.
Il pénètre Clémentine qui a un mouvement de recul. < Il m'a fait mal l'enfoiré ! Sans égard ! > nous confie Clémentine.
Jeannot, en appuis sur ses bras musculeux s'enfonce complètement dans la fille. Il se met à bouger, il accélère. Baiseur.

< La machine à coudre ! Il en connaît un rayon notre couturier ! > fait Estelle. Nous observons l'image en silence. Fou.
< Put-Hein ! L'enfoiré ! > lance Clémentine en faisant un arrêt sur image. On la voit grimacer. Jeannot grimace aussi !
Pourtant, assez rapidement, on voit bien que Clémentine se livre, se donne et s'offre. Elle se fait baiser vraiment. Joie.
Elle passe même ses jambes autour des hanches du baiseur pour accompagner ses mouvements. Mêmes mouvements.
Je dis : < C'était comment à ce moment là ? >. Clémentine, baissant les yeux, fuyant mon regard, répond < Génial ! >

On le voit bien à l'image. Elle prend son pied. C'est hallucinant parce que ce salopard accélère encore. Un marathonien.
C'est incroyable. On dirait un acteur de film porno des pays de l'Est. Aucune classe. Aucune élégance. Rien que la baise.
La sonorité par contre n'est pas au niveau de l'image. On entend pourtant bien Clémentine hurler de plaisir. C'est super.
Estelle fait des grimaces en direction de la caméra. Cela nous fait rire. Elle a glissé une main dans son jeans. Branlette.
Je demande : < Tu t'es fait du bien ? >. Estelle tout en me tordant la queue me répond : < Et comment. Si tu savais ! >

La position du missionnaire semble être la préférée de Jeannot-la-baizouille. Cela dure un bon quart d'heure. C'est fou.
Et ce type qui n'arrête pas en poussant des rugissements de sauvage. Clémentine suspendue à lui qui bouge en rythme.
Jeannot se couche carrément sur la fille. Il cesse enfin. Il allonge son bras pour toucher le genoux d'Estelle qui s'avance.
Il peut ainsi lui toucher le sexe au travers de son jeans. Il la tripote comme un pervers avant de recommencer à bouger.
Cette fois pourtant, il se retire. Sans le moindre ménagement il force Clémentine à se relever, se mettre à quatre pattes.

< Non ! > s'écrie Clémentine. < T'inquiète pas, je vais pas te prendre par le "petit" ! > lance le pervers. C'est délirant.
Clémentine commente ce qui se déroule sous nos yeux, à l'écran. < Il me pénétre en levrette. Je déteste ça aussi ! >
Je le sais bien. Clémentine n'apprécie que le "missionnaire". Tout le reste lui est douloureux. Elle se fait pourtant niquer.
Cette fois, le visage orienté vers l'objectif de la caméra, Clémentine se fait baiser comme un animal. Le visage ensuqué.
On voit la sueur lui dégouliner sur le menton. Le type la baise avec la même fougue. Un robot. Une machine. C'est fou.

Je lance à Estelle : < C'est donc ça que tu subis tous les mercredis soirs ! >. Estelle me rassure : < Non, il est cool ! >
Elle rajoute : < Là il se fait une nouvelle. Alors ça le galvanise. Il veut juste montrer de quoi il est capable ! Il frime ! >
Nous regardons ces images hallucinantes. Jeannot-la-baizouille se tire cette jeune fille comme un véritable forcené. Dur.
Le visage de Clémentine est face à l'objectif de la caméra dissimulée. Elle n'arrête pas de se mordiller la lèvre inférieure.
Assise à ma gauche, elle me chuchote : < Tu comprends bien pourquoi j'ai besoin de me calmer une longue période ! >

En effet, je comprends. Le mec se retire. Il bascule la fille sur le dos. Il se couche sur elle, la pénètre sans ménagement.
Il n'arrête pas de dire : < Tu aimes te faire sauter, hein ma belle ! T'es encore plus salope que l'autre qui se branle ! >
Il fait évidemment allusion à Estelle qui est à genoux sur le bord du matelas, sa main dans sa culotte, l'autre sur le mec.
Estelle qui, dans le film, n'arrête pas de lancer des regards complices à la caméra. De nombreux clins d'œil bien vicieux.
Les deux merveilleuses salopes que je vois à l'écran sont assises là, à mes côtés. Cette sensation est unique au monde.

Aucun être humain ne peut imaginer un seul instant ce que cela procure d'être à la fois dans le virtuel et dans la réalité.
Je le vis une nouvelle fois ce soir. Et cette indicible émotion est partagée par Clémentine à ma gauche et Estelle à droite.
Elles se touchent toutes les deux. Nous nous masturbons tous les trois en mâtant. Clémentine fait des arrêts sur images.
Nous arrivons à la fin du film. Jeannot-la-baizouille qui se retire. Il vient d'éjaculer. Sa capote est toute pleine de foutre.
C'est la capote que Clémentine a ramené, qui est dans sa table de nuit en haut avec trois autres trophées, trois reliques.

Le film s'arrête brutalement. < J'ai pas eu le temps de couper normalement ! > fait Estelle comme pour s'excuser. Rire.
< De toute façon, il n'y avait plus rien à voir, on s'est sauvée toutes les deux avant que marraine n'arrive ! > dit Estelle.
Clémentine nous fait : < Bon, j'ai assisté à une scandaleuse partie de cul dont je suis la protagoniste. J'efface tout ça ! >
Clémentine ne désire pas laisser de traces virtuelles. Elle prends toujours soin d'effacer les images. La sage précaution.
< Dommage ! > fait Estelle qui garde toujours ses "souvenirs" pour les temps futurs. L'effacement est très rapide. Fait !

Nous sommes tous les trois dans un état d'excitation rare. Pour Clémentine hors de question de baiser quelques jours.
< J'ai la chatte complètement explosée ! Vous avez vu la bite de taureau de ce type ! > lance Clémentine en rigolant.
< Moi, j'ai pris l'habitude. Mais il ne me baise pas aussi fort ! > rajoute Estelle qui se met à califourchon sur moi. Rire.
Nous sommes épuisés. Je propose aux filles de nous terminer au plumard. Nous montons à toute vitesse. Très excités.
Au lit, je baise Estelle tout en léchant Clémentine. Je me fais sucer. Je lèche les minous. Les orgasmes sont démentiels.

Bonne soirée cinéma à toutes les coquines qui aiment revoir leurs prestations. Qui aiment s'admirer dans le plaisir...

Julien - (Je m'occupe merveilleusement bien du croupion de Clémentine. Je le lèche. Le meilleur médicament) -

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Un dimanche à se remettre les idées en place

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par les incessants mouvements que fait Estelle dans son sommeil.
Je lui couvre le visage de bisous. Ce qui la fait gémir de plaisir. Ce qui réveille également Clémentine qui se serre fort.
Je suis entre mes deux anges. Il n'est que 8 h30. Elles me chuchotent des douceurs, me font plein de bisous. Sublime.
Estelle me tient par mon érection naturelle. Clémentine me soupèse les couilles qu'elle tente de contenir dans sa main.
Nous restons ainsi dans cette volupté des sens jusqu'à ce que l'envie de pisser force Estelle à se lever la première. Dur.

< Pipi ! > s'écrie t-elle en se précipitant vers les toilettes. Clémentine me chevauche, frottant son sexe contre le mien.
< J'ai encore un peu bobo ! > me confie t-elle avant d'éclater de rire quand je réponds : < Repos de chatte total ! >
Estelle revient. Elle s'habille. < Je vais préparer le petit déj, venez vite ! > nous dit elle avant de dévaler les escaliers.
Nos pissous. Nous nous habillons. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Cette odeur de pain grillé, de brioche, de café.
Estelle me saute au cou. Je la soulève. A nouveau elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'interpose par jeu.

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre soirée cinéma de hier soir. Nos effusions de tendresse. Le sexe.
< Dommage que tu ais effacé le film, on aurait pu le revoir ! > lance Estelle à Clémentine. Je comprends bien pourquoi.
< Pas question de prendre le moindre risque. Ce qui est privé doit rester privé ! > répond t-elle à Estelle. Rien ne reste.
Nous traînons à table. Le dimanche, aucun entraînement. Par contre nous consacrons un peu d'énergie au ménage. Bon.
Estelle se propose de passer l'aspirateur partout. Clémentine s'occupe de notre chambre. Moi je passe la serpillère. Joie.

La vaisselle. Clémentine monte. Je nettoie la cuisine. J'entends chanter Estelle depuis le salon. Le bruit de l'aspirateur.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère partout. Je m'apprête à monter pour rejoindre Clémentine. Je sais.
Estelle me prépare son petit piège dominical. Entièrement nue et juste ses chaussettes, elle surgit de derrière la porte.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de mes reins. Je vais la poser sur le haut du bureau.
Je sors ma bite pour la frotter contre son sexe. Elle me la prend pour se l'introduire délicatement en me fixant. Sévère.

< Tu me baises pas assez en ce moment ! Regarde où sa nous mène ! > fait elle. Nous éclatons de rire. Je m'introduis.
Estelle, d'un coup de reins, s'enfile presque toute la longueur. Elle m'attrape par le cou. Elle se met à bouger très vite.
Je la soulève. Je l'entraîne dans toute la pièce pour en faire le tour. < C'est génial avec mon tour operator ! > dit elle.
Mes lombaires douloureuses me rappellent à la prudence la plus élémentaire. Je n'ai plus 20 ans. Estelle en a 22. Rires.
Je la dépose sur le bureau. Je me retire. < Oh ! Pourquoi ! > s'écrie t-elle. Je dis : < Parce qu'on monte ! >. Elle saute.

Elle se rhabille en vitesse. Je la tiens par la nuque, fermement, sans la lâcher. Elle me prend la main. Nous remontons.
Clémentine est entrain de terminer de faire le lit. Je ramasse les draps sales pour les emmener à la salle de bain. Bien.
Clémentine vient me rejoindre. Je lui raconte la petite baise avec Estelle, le tour du salon. < Je t'aime ! > me fait elle.
Je lave le bac à douche et le bidet. Clémentine s'occupe des miroirs, du lavabo. Nous n'arrêtons pas de nous embrasser.
Faisant allusion à ce que j'ai vu dans le film, hier soir, Clémentine me demande : < Tu penses quoi de moi, dis moi ! >

Je réponds : < Que tu es la plus merveilleuse salope dont un homme normalement constitué peut rêver. Je t'aime ! >
Elle se blottie contre moi. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de mes hanches. Elle fouille ma bouche. Superbe.
Nous nous embrassons avec tant de fougue que nous en avons les mentons trempés de salive. Ça dégouline. C'est bon.
Clémentine saisit le panier à linge. Avant de me quitter pour descendre, elle murmure : < Je vais m'occuper de toi ! >.
Je nettoie les chiottes. J'entends le ronronnement continu de l'aspirateur et la chanson d'Estelle qui improvise du texte.

Elle me rejoint. Elle se serre contre moi pour m'embrasser à nouveau. Nous avons tous les trois le goût de la brioche.
Je la serre fort. Elle me prend la main pour m'entraîner. Nous dévalons les escaliers pour rejoindre Clémentine. Cave.
Dans la buanderie où une machine tourne déjà, nous aidons à trier le linge. Les filles évoquent leurs études. Superbe.
Estelle, qui insiste pour s'occuper du repas de midi, nous laisse pour remonter à la cuisine. Nous suspendons les draps.
Clémentine me confie à quel point elle ressent le besoin de calmer ses ardeurs, de se consacrer à nous. Si important.

J'écoute. Je ne sais trop quoi dire. Ce besoin semble viscéral. Je promets d'être à l'écoute, disponible et toujours prêt
< Je sais, mon amour ! Parfois j'ai besoin de me ressourcer. Et avec toi tout est toujours si simpe ! > murmure t-elle.
Nous bavardons ainsi en nous embrassant souvent. < Juste toi, moi et Estelle ! > fait Clémentine à plusieurs reprises.
< Notre "trio infernal" ! > fait encore Clémentine. Nous remontons rejoindre Estelle à la cuisine. Elle est occupée. Joie.
Le feuilleté de saumon est déjà au four. Elle remue la potée. Clémentine s'occupe de la salade. Je dresse notre table.

Dehors, il fait gris mais le ciel reste lumineux. Cet après-midi, nous partons en balade. Une petite randonnée sympa.
Nous enfilons nos anoraks pour aller faire quelques pas. Prendre la température. Il fait à nouveau étrangement doux.
Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite, me tenant par le bras, nous faisons le tour de la propriété. C'est super.
Voilà Max, le Doberman géant des voisins les plus proches. Les Bertrand dont on distingue le toit de la maison là-bas.
Le chien est affectueux et nous fait la fête. Debout sur ses pattes arrières il a presque ma taille 1,88m. Grande bête.

Nous rentrons. La sonnerie du four. Morts de faim nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons. Et nous rions bien.
Les filles évoquent les vacances scolaires qui commencent samedi prochain, le 15 février. Deux semaines à rester cool.
Il est décidé qu'Estelle viendra nous rejoindre tous les soirs après le bureau pour travailler avec Clémentine aux cours.
Parfois, selon son humeur, ses désirs, elle passera la nuit avec nous pour nous quitter au petit matin. Parents prévenus.
Nous rions de bon cœur quand Estelle lance : < Papa et maman savent très bien la nature de nos relations ! >. Parfait.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Odeur javel.
Nous mettons nos grosses godasses de marche. Nous dévalons les escaliers, pressés de filer au grand air. C'est génial.
Les filles me tiennent par le bras. Nous descendons vers la rivière. Nos anoraks ouverts. Nos braguettes ouvertes. Rire.
J'ai souvent mes mains dans les culottes. Me voilà avec la bite et les couilles au grand air. La braguette qui fait garrot.
Avec cette douceur, les mains baladeuses des coquines, j'ai les organes génitaux bien au chaud. Nous rions beaucoup.

Nous longeons la rivière sur les trois kilomètres jusqu'aux pont de pierre. La route. Les bâtiments du haras. Du monde.
L'animation organisée par Juliette est encore un succès. A voir le nombre de voitures garées le long de la route. Super.
Nous longeons le ruisseau. Là-bas, on distingue les attroupements, les cavaliers. Nous continuons notre agréable virée.
C'est dimanche. Le sol est sec. Il fait doux. Une invitation à la promenade. Et nous croisons quelques familles. Balade.
Je referme mon anorak à chaque fois. Personne ne pourrait se douter que j'ai la bite et les couilles qui s'aèrent. Super.

Nous croisons des cavalières. Nous nous saluons. Un hommes et deux filles, ça inspire confiance. Ce sont des sourires.
Nous manquons bien de nous faire surprendre quelquefois. Nous n'entendons pas les sabots des chevaux dans l'herbe.
Nous faisons la boucle des trois heures. Nous revenons par le haras. Il est 17 h. L'animation touche à sa fin. Du monde.
Nous entrons dans l'immense bâtiment du manège. Les gradins, à gauche sont presque pleins. Des cavaliers, chevaux.
Juliette est à bavarder là-bas avec un groupe d'écuyères. Elle nous aperçoit. Un grand coucou de la main. C'est parfait.

Nous ne voulons pas déranger. Nous voulons surtout rentrer avant la nuit. Il y a monsieur Gérard là-bas avec des gens.
Nous croisons Madame Walter toute contente de nous revoir. Elle ne peut dissimuler sa joie. Nous nous serrons la main.
C'est elle qui bouge son doigt dans ma main. C'est comme pour témoigner de son plaisir. Je fais pareil. C'est un "code".
Nous n'avons pas le temps de bavarder beaucoup. D'autres jeunes cavalières viennent à sa rencontre. Nous la laissons.
Le ciel s'est dégagé. Avec la pleine lune, nous y voyons parfaitement et sans lampe. C'est une ambiance magique. Bien.

Avec la fraîcheur du soir, les anoraks sont fermés. Les braguettes aussi. Nous accélérons le pas. Nous marchons vite.
Il est 18 h30 quand nous sommes de retour. Morts de faim. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la potée.
Estelle prépare une belle omelette aux trois fromages. Roquefort, Parmesan et gruyère de Comté. Et il fait bien chaud.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table en faisant le bilan de ce nouveau week-end.
Assises sur mes genoux, les filles font mille projets pour les vacances de Carnaval. La préparation du mémoire. Super.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous allons au salon. Vautrés dans le canapé, je propose un léchage de chattes.
Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Les coquines arrachent littéralement leurs jeans et les culottes en riant.
Le dimanche, nous macérons toujours dans nos jus. Pas de savon. Avec la promenade, il va y avoir de belles surprises.
Elles sont toutes les deux couchées dans le canapé. Je suis à genoux sur l'épais coussin. Je hume les parfums du jour.
Je commence par le sexe d'Estelle. L'odeur de fille négligée me révulse jusqu'à la nausée. J'écarte les poils pour mâter.

Il y a de la foutrine sèche. C'est comme un crachat qui barre la fente. J'avance le visage, je passe la langue. Un frisson.
Le goût me répugne autant que les effluves parfumées. Pourtant, le miracle se reproduit. Tout cela m'excite rapidement.
Je nettoie consciencieusement le minou d'Estelle. Lorsque je ne suce pas le clitoris, elle se masturbe tout en gémissant.
Je passe au sexe de Clémentine. Autres odeurs, autres goûts. Beaucoup plus d'épanchements. La foutrine bien humide.
Les coquines se masturbent. Elles m'avouent souvent que ce sont leurs façons préférées de s'offrir du plaisir. Sublime !

Je passe de l'une à l'autre. Clémentine m'avoue la persistance d'une grande sensibilité. A cause de Jeannot, le parrain.
Quand j'ai découvert, en regardant le film hier soir, la façon dont ce salaud a baisé Clémentine, je peux la comprendre.
Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre. On baise comme des malades. Clémentine se masturbe en nous observant. Bien.
Pas question de pénétrer Clémentine. Ce serait peut-être encore pénible. Douloureux sans doute. Et elle est si étroite.
Je me retire. Estelle qui se masturbe en même temps que je la baise, connaît un orgasme délirant. Cris et hurlements.

C'est toujours si merveilleux. Ce sentiment de satisfaction qui m'envahit. Je me sens un peu responsable et concerné.
Recroquevillée, couchée sur le côté, les mains entre ses cuisses Estelle qui reprend ses esprits. Je bouffe Clémentine.
Pas folle la guêpe, elle a préparé la cuvette à côté du canapé. Elle l'attrape juste à temps. Elle se lâche en gémissant.
Le jet est toujours si puissant qu'il m'éclabousse. Je n'ai jamais ni le réflexe ni le temps de m'éloigner. J'aime mâter.
Déjà 22 h15. Il faut raccompagner Estelle à son auto. Séparation cruelle. Ça va être dur demain matin. Nous rentrons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire nettoyer les chattes après 24 h à macérer dans leurs jus...

Julien - (J'écoute les derniers ressentis de Clémentine serrée contre moi, sous les draps. Elle s'endort heureuse) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1061 -



Julie me tient la bite pour en diriger le jet. Une première...

Hier matin, lundi, c'est le concerto pour piano No 5 de Mozart qui nous tire cruellement de nos profonds sommeils.
< Le con ! > s'écrie Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit, de mon côté.
Ce matin, c'est particulièrement difficile. < On exagère le soir ! > fait Clémentine en m'entraînant par la main. WC.
Vêtus de nos tenues de gym et morts de faim, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Préparer le petit déjeuner.
Le lundi il reste de la brioche. Nous mangeons de bon appétit, tout en bavardant et avec la tête encore dans le cul.

Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. L'intensité.
Cela nous remet les idées bien en place et nous transforme en guerriers pour la journée. Le plus dur est fait. Douche.
Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous le parapluie. Vraie tempête.
Il fait un temps épouvantable. Il pleut des hallebardes. Et impossible de préserver un parapluie avec les bourrasques.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer.

Je suis complètement trempé. Je monte me changer une seconde fois. Je fais le lit. Je redescends. Je fais la vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Il fait plutôt doux. Ce ne serait pas vraiment nécessaire.
Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette en chantant "National 7" de Charles Trenet. Il est déjà 8 h15.
Cette seizième toile destinée à ma saison d'été m'accapare très rapidement. Scène de genre à trois personnages. Bien.
Je peins dans un enthousiasme débridé qui me fait pousser les plus invraisemblables cris surréalistes. C'est magnifique.

Il est aux environs de 10 h. Mon smartphone se met à vibrer au fond de la poche de ma blouse. Cette stupide musique.
En maugréant, je m'en saisis. Joie. C'est Julie. Elle m'appelle depuis les toilettes de la Faculté, entre deux cours, rapide.
Toute contente de m'avoir en ligne la jeune fille me confirme sa venue ce soir, malgré le temps, pour 19 h30. C'est bon.
Notre conversation ne peut durer que quelques minutes. Nous nous saluons avant de raccrocher. Cela me rend joyeux.
Je peins en bandant. Je pense à cette étonnante étudiante délurée qui, du haut de ses 20 ans, sait m'enchanter. Super.

Il est presque midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Et Bio.
Je lave le choux-fleurs que je coupe en petits morceaux avec du brocolis et des pommes de terre. Je fais cuire à l'eau.
Ce sera pour le gratin de choux-fleurs de ce soir. Je prépare une sauce au Roquefort avec des queues de langoustines.
J'en récupère un peu en accompagnement de mon riz. J'égoutte les légumes. Je les dispose dans un grand plat carré.
Il y en aura même pour demain midi. Je recouvre de gruyère de Comté râpé, mélange crème fraîche œuf, chapelure.

Voilà. Le tout est au four. Je déguste mon riz avec un peu de brocolis et ma délicieuse sauce au Roquefort. C'est super.
J'écoute les informations. Le coronavirus qui a chassé la retraite à points. Un monstre du Loch Ness en chasse un autre.
C'est au-dessus de mes forces, j'éteins la radio. Je mange toutefois de très bon appétit. La vaisselle. Je range la cuisine.
Inutile de vouloir mettre le pied dehors, c'est une véritable tempête. Je serai trempé en quelques secondes. Dommage.
Je vais dans l'atelier. Il est 13 h. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet à me livrer à ma passion. Bien.

Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours. Elle ouvre la porte : < Je t'aime, je monte me changer tu viens ! > fait elle.
Toutes affaires cessantes, je me lève pour la rejoindre. Elle est trempée. Nous en rigolons comme des bossus. Douche.
Je suis assis sur le lit. Tout en mettant des vêtements secs, Clémentine me raconte sa journée. Les cours et les profs.
Le menu du restaurant universitaire. Clémentine a encore du travail. Nous dévalons les escaliers à toute vitesse. Bien.
< Et ma foufoune va mieux ! > me fait elle en sautant dans mes bras. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bises.

Nous en rions de bon cœur. Nous voilà assis à nos postes de travail. Les vêtements sèchent devant la cheminée. Bien.
Clémentine me lit souvent à haute voix les extraits du texte qu'elle rédige et qu'il lui faut remettre pour vendredi matin.
Parfois, tout comme un acteur shaekspearien, tenant son papier à la main, Clémentine déambule, déclamant son texte.
Je la congratule. Comme elle écrit bien. Si elle n'était pas passionnée par les sciences, quelle grande littéraire elle ferait.
Il est 18 h15. Nous rangeons nos affaires. Les vêtements mouillés sont presque secs. Ce sera pour demain matin. Bien.

Soudain, au dessus de nos têtes, un bruit sourd, profond, caverneux. Le fantôme de mon ancienne compagne. L'heure.
Nous sommes installés sur l'épais tapis devant la cheminée. Nous écoutons. Le vacarme habituel. La dizaine de minutes.
Couchée sur le dos, sa tête posée sur ma cuisse, Clémentine me confie son profond désir de s'assagir quelques temps.
Par contre, elle aimerait beaucoup que je me comporte en "Maître". En tant qu'authentique "Soumise", c'est un besoin.
Je promets de faire au mieux. Je lui caresse le visage délicatement. < J'ai besoin d'être "prise en main" ! > me dit elle.

Même si je n'ai absolument pas l'âme ni la nature d'un vrai "Maître", je sais donner le change et faire tout le nécessaire.
Il est presque 19 h. Nous quittons l'atelier avec les vêtements secs. A la cuisine, Clémentine découvre le repas du soir.
Toute contente elle se serre fort contre moi. < Miam ! > murmure t-elle en frottant sa braguette contre la mienne. Rire.
Je réchauffe le gratin de choux-fleurs et la sauce au Roquefort. Nous dressons la table au salon. On entend la tempête.
Clémentine, tout en allumant les trois grosses bougies du chandelier, me dit : < Sors ton Zob, Julie ne va pas tarder ! >

A peine ai-je sorti ma queue bien mollasse que résonnent les trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. 19 h30.
Julie est vêtue de son jeans, un sweat, ses bottines ses cheveux noués en natte, ses lunettes sur le nez et si contente.
Comme toujours, avec cette manière toute féminine d'ignorer les choses, elle ne prête aucune attention à ma biroute.
Elle me serre la main. Pour ne pas être trempée, Julie a un truc imparable. Une cape de marin. Etanche, enveloppante.
Je propose aux filles de s'installer. Je fais le service. < Pas question ! C'est tous les trois ou rien ! > me fait Julie. Bon.

Nous allons à la cuisine. < N'allez pas vous brûlez, c'est moi qui sort le plat du four ! > fait elle en découvrant le gratin.
< Mmhhh ! J'aime tant ça ! > ne peut-elle s'empêcher de dire en fixant ma bite avant de me faire un clin d'œil appuyé.
< De quoi parles tu ? > lui demande Clémentine qui a tout vu. Nous éclatons de rire en emmenant nos plats au salon.
Nous mangeons de bon appétit. Un gratin de choux-fleurs accompagné d'une sauce fromage et queues de langoustines.
De quoi ravir les moins gourmets. Julie nous raconte quelques anecdotes croustillantes concernant son job de serveuse.

< Il y avait des réservations samedi soir et dimanche à midi. Il y avait un client salaud ! Un vicieux ! > s'écrie t-elle.
Un mec qui réussi le tour de force d'avoir la bite bien exposée sous la table. Juste pour la serveuse. Le mec en couple.
< Ils étaient à deux couples. Il est descendu aux toilettes deux fois ! Même ma tante est allée mâter ! > rajoute Julie.
Nous en rions de bon cœur. Clémentine fait : < Si même Anne-Marie descend voir c'est qu'il y a de quoi voir ! >. Rire.
< Le mec s'est carrément mis à poil ! Je n'ai jamais vu ça ! Il savait que je rôdais dans les sous-sol ! > raconte Julie.

Nous écoutons sidérés cet incroyable récit. < Il y a de sacrés vicelards quand même ! > s'écrie Julie. Nous écoutons.
Je me branle. Je me lève pour agiter ma bite dans sa direction. Clémentine demande : < Et sa bite, elle était bien ? >
Julie éclate de rire en précisant : < Monté comme un âne ! >. Nous rigolons comme des bossus. C'est épique et drôle.
Je dis : < Il faudra que je tente ce coup là, me foutre à poil dans les chiottes quand tu descends ! >. Julie s'étrangle.
< Pas cap ! > s'écrie t-elle comme pour me lancer un défi. C'est vrai que je n'en aurai probablement pas le culot. Fou !

A chaque fois que je me lève, la queue bien raide que j'agite dans sa direction, Julie cesse de manger pour l'admirer.
< J'aime trop ça ! > dit elle encore. < Moi aussi, j'en raffole ! > ponctue Clémentine. Je dis : < Il faut y gouter alors ! >
Je précise : < Tu sais Julie, nous apprécions beaucoup ta présence. Pipe ou pas pipe. Personnellement , je m'en fout ! >
Comme soulagée, Julie me fait le plus délicieux des sourires. Elle sait à présent avec certitude qu'elle n'est pas obligée.
Depuis presque deux ans la coquine nous faisait languir avec des < La prochaine fois ! > ou encore des < Bientôt ! >

En fait, nous ne nous languissions pas. Ce n'était qu'un jeu de séduction habituel. Cela ne se produira peut-être jamais.
Julie se lève. elle contourne la table. Se hisse sur la pointe des pieds. Je me baisse. Elle me dépose une bise sur la joue.
C'est adorable. Elle se sait maintenant libre de toute contrainte. Pas de vague promesse à devoir honorer. C'est du futile.
< Par contre, j'adore venir partout avec vous pour voir ! > précise tout de même Julie. Nous rigolons comme des bossus.
< Aux chiottes, par exemple ? > lui lance Clémentine. < Surtout aux chiottes ! > répond Julie. Nous rions de bon cœur.

Nous débarrassons. Nous faisons la vaisselle tous les trois sur l'insistance de Julie qui ne cesse de mâter ma bite molle.
Je dis : < Julie, j'ai envie de pisser ! >. Elle me répond : < Allons y ! >. Clémentine nous précède. Nous voilà aux WC.
Julie à ma gauche, penchée en avant, ses mains sur ses genoux, pour voir. Clémentine à ma droite qui tient ma queue.
< Tu veux t'amuser un peu ? > lance t-elle à Julie en lui présentant ma biroute. Cette fois, sans hésiter, Julie s'en saisit.
C'est la première fois qu'elle le fait aussi spontanément, aussi franchement. Je la félicite. Et plus aucune appréhension.

Julie me tient la bite pour en diriger le jet. C'est émouvant. Elle a le même réflexe qu'avait Estelle tout au début. Bien.
< On sent quand ça passe ! > fait elle. Je lâche de petits jets. Ce qui accentue encore la sensation. Petites secousses.
Je sens bien que Julie est encore timide. Elle n'ose pas la serrer. Elle se contente de la tenir. Et un peu maladroitement.
Par contre, elle dirige parfaitement le jet. Pas une goutte à côté. Je la félicite tout en caressant délicatement sa nuque.
Je sens bien à quel point cela la ravi. Julie ne peut dissimuler son enchantement. Je fais durer pour qu'elle en profite.

Elle secoue les dernières gouttes. Je lui saisis la main. Je lui explique et je lui montre comment bien essorer le prépuce.
Faire tomber la dernière perle dorée. Elle s'est accroupit pour mieux contrôler cette première expérience. C'est fameux.
Clémentine, accroupie à droite, avance son visage en disant : < Regarde, c'est le meilleur moment ! >. Elle me pompe.
Julie, avec un ravissement qu'elle ne cache plus, observe en retenant sa respiration. Clémentine qui lui tend la queue.
Je sens l'intense hésitation de la jeune fille. Elle en meure d'envie. Je respecte ses inhibitions. Je l'aide à se redresser.

Bonne soirée à toutes les coquines qui raffolent des jeux de cabinets, à trois, avec leur couple d'amis préféré...

Julien - (Clémentine me taille la plus délicieuse des pipes sous les draps. Je lui raconte mes impressions "Julie") -

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La douce quiétude du mardi

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon sommeil par les bisous que dépose Clémentine sur mon visage. De la douceur.
J'ouvre les yeux. Le mardi Clémentine termine à midi. Cela la rend tellement joyeuse qu'elle se réveille avant l'heure.
Elle se couche sur moi pour éteindre le réveil avant que ne résonne la musique. Il est 5 h55. L'impérieux besoin. Pipi.
Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues gym, nous dévalons les escaliers. La cuisine.
Nous y préparons un petit déjeuner que nous savourons en bavardant. Nous remontons. Notre heure d'entraînement.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Le tout avec l'intensité maximale. C'est toujours un plaisir.
La douche. Je descends pour aller préparer la petite auto de Clémentine. Il y a encore du vent et le sol est détrempé.
Il ne fait pas froid. Un dernier bisou. Je regarde Clémentine s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Me voilà devant mon chevalet.
Je prépare ma palette en chantant "Le grand Café" de Charles Trenet. Il est 8 h15. Je plonge rapidement dans la joie.

Je peins dans une sorte d'euphorie communicative offerte ce matin par Clémentine. En poussant mes cris surréalistes.
La peinture de cette seizième toile destinée à ma saison d'été me plonge dans ma passion corps et âme. C'est sublime.
Je ne vois pas passer les heures. Il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je vais à la cuisine en chantant.
Dehors, il fait très moche. Quelques giboulées, quelques rafales de vent. Je réchauffe le reste de gratin de choux-fleurs.
Je pane deux filets de colin. Il est 12 h20. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle tourne.

Clémentine me couvre le visage de bisous avant de se mettre à la préparation d'une bonne salade. Cette belle scarole.
J'égoutte les poireaux. Je fais une belle Béchamel dans laquelle je rajoute le poireau cuit et du gruyère de Comté. Bon.
La pâte à pain est faite. Le nécessaire pour la Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui fait le délice de nos mardis.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Les cours, les profs. Il y a d'amusantes anecdotes.
Nous traînons à table. Avec cette météo il n'est évidemment pas question d'aller randonner. Ce qui est assez déplaisant.

Assise sur mes genoux, Clémentine me confie son impatience d'être déjà vendredi. Le début des vacances de carnaval.
Deux semaines à pouvoir se reposer de la première partie d'un trimestre relativement chargé. Nous faisons des projets.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir. Si drôle.
Clémentine mime une pipe. Avec sa brosse à dents, une bosse à l'intérieur de sa joue. La mousse aux coins des lèvres.
Je demande : < Tu suces qui aujourd'hui ? >. Clémentine répond en rigolant : < Je reviens aux fondamentaux ! >. Joie.

Nous nous rinçons la bouche. Clémentine rajoute : < La bite au vieux Gérard. Au moins il ne me baise pas ce salaud ! >
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine fait évidemment allusion à Jeannot-la-baizouille, le parrain d'Estelle. Rire.
< Tu sais qu'on a fait tout ce qu'on a dit au début décembre ! > fait encore Clémentine en me poussant sur le plumard.
C'est vrai. Nous sommes allés au bout de tous les fantasmes prévus. Clémentine me sort le Zob. Couchée à côté de moi.
Sa tête posée sur mon ventre, elle me suce délicatement. D'abord du bout des lèvres comme pour goûter une pâtisserie.

Je me fais rapidement tailler une pipe des familles. Pour reposer sa mâchoire, Clémentine cesse souvent pour discuter.
J'aime l'entendre me donner ses impressions, évoquer des aventures passées ou encore m'exposer des fantasmes fous.
Nous restons ainsi une bonne demi heure. Clémentine a encore du travail. Moi aussi. Gardons nous pour ce soir. Super.
Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Il est à peine 14 h15. Et nous voilà installés à nos postes de travail.
Dehors, il fait toujours aussi moche. Parfois, l'un se lève pour venir rejoindre l'autre. Lui faire des bisous, dire des trucs.

Il est 18 h15. Estelle arrive. Les filles se sont vues en cours ce matin. Estelle se précipite vers moi. Plein de bisous. Joie.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte son après-midi au bureau. L'entreprise familiale.
Elle aussi se réjouie pour ces vacances proches. Les filles ont déjà fait le planning et un vague emploi du temps. Parfait.
Estelle viendra tous les après-midi pour 15 H15. Elle repartira le soir pour 22 h15. C'est tellement bien d'êtres les trois.
Bien évidemment, si c'est trop bien, l'option de passer la nuit ensemble n'est pas exclue. Et nous en rions de bon cœur.

Soudain, venant de l'étage, un bruit sourd, caverneux. C'est l'heure de la visite du fantôme de mon ancienne compagne.
< Bonsoir Christine ! > font les filles en même temps. Nous rangeons nos affaires. Estelle qui tente de localiser les bruits.
Cela ne dure qu'une dizaine de minutes. Nous voilà installés sur l'épais tapis devant la cheminée. Les dernières flammes.
Allongées, leurs têtes posées sur mes cuisses, elles évoquent leurs cours. Ce mémoire qu'il faut remettre vendredi matin.
J'écoute. Je suis toujours admiratif devant les ruses et les stratégies féminines. Je leurs caresse les cheveux, les visages.

Estelle fourre sa main dans ma braguette. < Mais tu mouilles, salaud ! > s'écrie t-elle. C'est à cause de la pipe à 13 h45.
< J'en veux aussi ! > fait elle en se tournant pour m'extraire le Zob. Je propose de remettre ses explorations à plus tard.
Il est presque 19 h. La faim se fait sentir. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Estelle m'y entraîne par la queue.
< Ce soir, bite à la farine, vieux mouilleur ! > dit Estelle avant de s'accroupir pour y donner quelques coups de langues.
< Attends, pendant ces vacances, je vais te vider les couilles tous le jours ! > rajoute t-elle en sautillant dans la cuisine.

< Je te rappelle à tout hasard, que c'est mon mec ! > fait Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Farandole.
Clémentine s'occupe de la salade. L'assaisonnement des feuilles de scarole déjà lavées. Estelle travaille la pâte. Malaxe.
Je réchauffe la garniture. < Votre bite de vieux vicieux pervers, sel vous pli ! > lance Estelle en agitant ses longs doigts.
Je lui présente la queue. Clémentine, serrée derrière moi, me tient le sexe afin qu'Estelle puisse bien l'enduire de farine.
Me voilà avec une chose qui n'est pas sans évoquer un nem. Les filles observent le fruit de leurs efforts en se félicitant.

La tarte aux poireaux est au four. La salade est prête. La table est mise. Les coquines m'entraînent au salon. Le rituel.
Assises sur le bord du canapé, me tenant par les hanches, me pelotant les fesses, Les filles me nettoie le Zob. Propre.
Plus de farine. Elles se refilent ma queue qu'elle pompent comme des assoiffées. Je leurs caresse les visages. Douceur.
Même si mes lombaires commencent à être douloureuses, je m'applique à passer d'une bouche à l'autre pour partager.
C'est un concerto de < Mmhh ! > et de <Miam ! >. Elles sont si belles. Les filles sont si belles quand elles font ça. Bon.

Je leurs promets une soirée "léchage de minous" après le repas. Je ne suis pas obligé de réitérer la proposition. Super.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. La Flamiche Picarde n'a jamais été si bonne. C'est un bon festin.
Les filles reviennent sur le très vague programme des vacances à venir. Elles promettent de se surpasser sexuellement.
Je dis : < Vous aurez beaucoup de mal à hisser la barre encore plus haut ! >. Elles éclatent de rire. Estelle me rejoint.
< Tu veux sans doute parler de cette "barre" ! > fait elle, penchée, sa main sous la table pour me choper la bite. Rires.

Le repas se passe dans cette ambiance habituelle. Estelle, debout, qui mime la masturbation masculine avec vulgarité.
Clémentine qui mime des pipes avec la même vulgarité. Moi qui me lève, vulgarité suprême, agitant la bite toute molle.
Nous nous promettons de nous surpasser dans le stupre et la luxure. Que ces vacances de février seront épiques. Sexe.
Estelle propose même de tourner un nouveau film. Sur le thème de la soumission. Des trucs bien graveleux, bien sales.
Assises sur mes genoux, les filles donnent dans une surenchère délirante. Des choses impossibles à réaliser. Nous rions.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles m'entraînent au salon, pressées de se faire bouffer la chatte. C'est bien.
Elle enlèvent leurs jeans, leurs culottes. Combien de fois ne les ai-je pas vu vautrées, culs nus, dans ce pauvre canapé !
Les jambes relevées, qu'elles tiennent sous leurs genoux, elles m'invitent à venir prendre mon dessert. C'est somptueux.
A genoux sur les épais coussins, je commence toujours par le croupion d'Estelle. Epouvantables odeurs de fille négligée.
Surtout qu'elle me choppe par les oreilles pour frotter son sexe sur mon visage. J'étouffe. Je suffoque. Mais je me régale.

Il me faut surmonter la révulsion. Cette cochonne prépare ses mardis soirs en ne se lavant pas le fion depuis hier. Sale.
Mais pour un fanatique du cunnilingus comme moi, c'est un véritable festin. Ça fond dans la bouche. Ça pique la langue.
Je passe au croupion de Clémentine. C'est crémeux à souhait. Je fais les raies de cul que je nettoie consciencieusement.
J'adore le goût de la cyprine mêlée à celui de la sueur, avec des petits trucs grumeleux dedans qui coule entre les fesses.
Mon visage trempé de mouille les amuse toujours beaucoup. Estelle et Clémentine se masturbent en gémissant. Super.

Lorsque je ne suce pas leurs clitoris, les filles se touchent en miaulant de plaisir. Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre.
Avec elle, inutile de vouloir savourer l'instant en restant immobile. C'est direct la danse de saint Guy. Et la "javanaise".
Clémentine se préserve encore. La pénétration, ce n'est pas son truc et avec ce que lui a fait subir Jeannot, du "repos".
Je baise donc exclusivement avec Estelle trop heureuse de m'avoir pour elle. La coquine s'en donne à cul rabattu. Bon.
Clémentine, debout derrière moi, me tient les couilles d'une main tout en se branlant de l'autre. Me chuchote des trucs.

Estelle me repousse délicatement. Elle se met à éructer, à pousser de petits cris d'animaux blessé. Elle à son orgasme.
C'est beau une jeune fille de 22 ans qui jouit ainsi, vautrée au fond d'un canapé en cuir noir de bovin normand certifié.
Elle se recroqueville, tombant sur le côté, ses mains entre ses cuisses. Elle s'est encore envoyée en l'air. Elle est belle.
Je me tourne pour saisir Clémentine par le sexe. Je la fais retomber dans le canapé. Je suis à genoux entre ses cuisses.
Il y a la cuvette en plastique posée au sol. C'est moi qui m'en saisis. Clémentine me repousse pour se lâcher en hurlant.

Ces deux grandes salopes sont couchées côte à côte, se tournant le dos. Elles tentent de reprendre leurs esprits. Bien.
Je regarde le contenu de la cuvette. Clémentine a encore considérablement pissé en jouissant. Et il y a du jus qui coule.
Là, dégoulinant sur leurs cuisses, un merveilleux filet de cyprine. Je me précipite pour lécher. Je passe de l'une à l'autre.
Toutes étonnées de me voir recommencer, elles se tournent pour m'offrir leurs chattes baveuses. Put-Hein je me régale.
Ces vacances de février s'annoncent fabuleuses. Il est 22 h15. Estelle doit partir. Difficile. Au lit, je bouffe du croupion...

Bonne soirée à toutes les coquines qu'une bonne "lèche party" anime des meilleurs sentiments pour les vacances...

Julien - (J'offre à Clémentine un second orgasme. Ce qui l'achève complètement. Eperdue de plaisir dans mes bras) -

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Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1063 -



Une "saint Valentouze" plutôt qu'une saint Valentin

Hier matin, mercredi, c'est une valse de Chopin qui nous tire avec une certaine tendresse de nos profonds sommeils.
< Ah non ! > s'écrie Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Quelques papouilles. Il est 5 h55. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport, nous descendons.
Nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre soirée, hier. Nos folies.
Nous remontons. L'heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. L'intensité maxi.

La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Elle me rejoint sous son parapluie. Il fait doux.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture s'en aller. 7 h45. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au sec. Super.
Je fais notre lit et notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. Ce serait inutile mais j'allume un beau feu dans la cheminée.
Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette en chantant "L'orage" de Georges Brassens.
La peinture de cette seizième toile destinée à ma saison d'été me procure les plus indicibles émotions. C'est sublime.

Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. C'est prodigieux. Fantastique.
Il est aux environs de 10 h lorsque les vibrations et la musique imbécile résonnent au fond de la poche de ma blouse.
Je m'en saisis. C'est Juliette. Nous bavardons en mode "haut parleur". Ce qui me permet de travailler en même temps.
Juliette me confirme sa venue ce soir. Elle sera là pour 19 h30. Elle se réjouie. La conversation dure un quart d'heure.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je pense à cette étonnante jeune femme durant tout le reste de cette séance.

Il est presque midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Le saumon et la pâte ont décongelé.
C'est une belle pâte feuilleté que nous achetons au marché chez notre boulangère. Farine complète et Bio. La qualité.
Je n'ai qu'à faire gonfler du millet doré pendant que j'émince finement le saumon, l'ail, l'échalote, rissolés à la poêle.
Je verse le tout dans la Béchamel. J'étale la pâte feuilleté dans un moule à cake. J'y verse la garniture puis j'enroule.
Je badigeonne du mélange œuf et huile d'olive. Je mets au four. J'ai récupéré de la garniture comme sauce du millet.

Je mange de bon appétit tout en tentant d'écouter les informations. C'est encore bien sinistre, pessimiste et inquiétant.
En tous cas, c'est au dessus de mes possibilités. J'éteins la radio. Dehors il pleut. C'est toujours aussi moche. Médiocre.
Je mélange le millet restant avec du gruyère de Comté. Je dispose dans un plat. Je recouvre du mélange crème fraîche.
Au four, avec le feuilleté de saumon. Le repas du soir est déjà prêt. Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. C'est parfait.
Je dresse la table au salon. J'admire ma préparation. Il est 13 h. Je peux retourner serein à mon travail. Tout est prêt.

Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Cette seizième toile sera probablement terminée demain à midi.
Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours. J'anticipe sa précipitation. Je pose ma palette mes pinceaux sur la desserte.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire.
Clémentine a encore du travail. La voilà installée devant son ordinateur à mettre au propre ses notes du jour. Parfait.
Il est 18 h15 lorsqu'elle s'écrie : < Stop pour aujourd'hui ! >. Nous rangeons nos affaires. Clémentine me lit son texte.

Elle tourne autour de moi, tenant sa feuille de papier à la main pour déclamer ses écrits. J'applaudis la performance.
Soudain, au dessus de nos têtes, un bruit sourd, profond et caverneux. Il résonne très longuement. Lugubre, sinistre.
Le fantôme de mon ancienne compagne s'invite avec cette ponctualité quotidienne. Un florilège des bruits habituels.
Cela dure une dizaine de minutes. Même si nous en avons l'habitude, ces phénomènes restent impressionnants. Dur.
Nos sommes installés sur l'épais tapis, devant la cheminée. Clémentine qui est allongée, sa tête posée sur ma cuisse.

Ce moment de retour au calme agit un peu comme un sas entre deux séquences. Je caresse ses cheveux délicatement.
Clémentine parle des vacances de février. Il y aura du travail. Des préparations. La seconde partie du second trimestre.
J'écoute. J'adore les formulations des stratégies qui seront mises en application et je la sais passionnée par ses études.
De plus, tout cela se déroulera dans une émulation constructive. Estelle viendra nous rejoindre tous les jours. Superbe.
Il est presque 19 h. Nous quittons l'atelier. < Sors ton Zob. Ce soir beaucoup plus pour moi ! > me lance Clémentine.

J'extrais ma queue toute molle pour la laisser pendre de ma braguette béante. < Les couilles aussi ! > rajoute t-elle.
Nous en rions de bon cœur. < Ce n'est pas seulement pour Juliette ce soir, mais surtout pour moi ! > fait elle encore.
Clémentine découvre que tout est déjà prêt. Je réchauffe le four. Elle n'a qu'à préparer l'assaisonnement de la salade.
De belles endives avec de belles tomates. J'aide à émincer l'ail, l'oignon et la ciboulette. Nous n'arrêtons pas de rire.
Clémentine se saisit plusieurs fois de mon "paquet" en chuchotant : < Je vais partir à sa redécouverte, tu vas voir ! >

Nous passons au salon. Clémentine allume les trois grosses bougies du chandelier. Car c'est toujours la seule lumière.
La grande pièce reste plongée dans cette ambiance de mystère que nous apprécions. Les recoins plein d'ombre. Bien.
Accroupie à humer les odeurs de ma journée d'homme, Clémentine décalotte légèrement mon sexe. Odeur Parmezob.
Du bout de la langue, elle adore fouiller sous le prépuce. J'aime voir cette petite bosse glisser sous la peau. C'est bon.
< Mmhh ! > fait elle en tétant pour savourer ce qu'elle recueille par son exploration linguale. Je caresse ses cheveux.

Je bande. Trois coups de sonnette. < Reste comme ça ! > lance Clémentine qui se précipite pour aller ouvrir. 19 h30.
Juliette entre dans la pièce. Son sourire est radieux. Elle est tellement contente d'être de retour. La quiétude des lieux.
Comme toujours, avec cette attitude toute féminine, Juliette me serre la main en ignorant totalement ma queue dure.
Nous faisons bouger notre index dans la paume de nos mains. Ce code très excitant nous amuse. Il est aussi certitude.
La certitude d'être sur la même fréquence, la même longueur d'onde. J'invite les filles à s'installer. J'assure le service.

< Je viens là pour être en votre compagnie. Je m'en réjouie toute la semaine. On fait tout ensemble ! > s'écrie Juliette.
Je comprends. Je bande comme un salaud. Les mains sur les hanches, je contracte les muscles fessiers. Le Zob bouge.
Cette contraction régulière fait bouger la queue qui semble animée d'une vie qui lui est propre. Comme indépendante.
Enfin Juliette fait semblant de découvrir mon "cadeau". < Elle a l'air contente de me voir, elle aussi ! > me fait elle.
Clémentine s'en saisit à la base, entre le pouce et l'index. Elle se penche pour faire : < Dis un bonjour à la dame ! >

Nous en rions tous les trois de bon cœur. Nous allons à la cuisine. Juliette et Clémentine découvrent mes préparations.
< Wouah ! Mon plat préféré ! > lance Juliette. < Génial ! > fait Clémentine en se serrant contre moi pour m'embrasser.
Je sors les plats du four. Avec des maniques, Clémentine s'empare du feuilleté de saumon, Juliette prend le millet doré.
Je prends le saladier. Nous retournons au salon. Juliette est à ma gauche. Clémentine est à ma droite. Repas délicieux.
Nous mangeons de bon appétit. < Ni à table, ni au lit, on ne porte respect. C'est un proverbe Corse ! > s'écrie Juliette.

Nous en rigolons comme des bossus. Juliette, originaire de Sartène en Corse du sud, qui ne manque jamais d'en parler.
Depuis le temps qu'elle nous invite à y passer au moins deux semaines. Sa sœur y possède un petit domaine. Superbe.
Hélas, en été, nous sommes chez moi, en Ecosse. Nous bavardons. Je me lève quelquefois pour agiter ma queue molle.
< Vendredi, 14 février, pour la saint Valentin, on se fait une petite fête au haras. Je vous y invite ! > nous fait Juliette.
Clémentine me saisit la queue alors que je suis à nouveau debout là, à me donner en spectacle entre deux fourchetées.

< Ce ne serait pas plutôt une fête du genre "saint Valentouze" ? > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
< Oui, c'est un peu ça ! Une "saint Valentouze". Il y aura Mme Walter, Pierre son mari, Gérard, Eveline ! > dit Juliette.
Juliette nous confie que Eveline, la jeune palefrenière, est un peu devenue la "mascotte sexuelle" de Gérard, de Pierre.
Cela fait déjà un an et demi que la jeune fille travaille au haras. Tout comme Kim Son, son collègue. Ambiance sympa.
Quand je demande à Juliette si elle s'envoie souvent la queue du jeune palefrenier, elle reste évasive, se met à rigoler.

Nous savons bien que oui. Nous en rions avec elle et de bon cœur. Je me branle avec assiduité sous la table. C'est bon.
Juliette me fait quelquefois un clin d'œil complice et malicieux. < Alors, vous y venez à la "saint Valentouze" > fait elle.
< Non, nous ne pourrons pas êtres des vôtres ! > lance Clémentine pour décliner l'invitation. Sans même me consulter.
Par contre, elle me fait du pied sous la table. Je comprends. Clémentine m'a dit qu'elle voulait cesser quelques temps.
Se consacrer à notre couple. Ne plus se disperser dans d'autres aventures. Et au moins jusqu'aux vacances de Pâques.

Juliette, même si elle ne cache pas sa légère déception, n'insiste pas. Je dis : < Vous nous raconterez mercredi soir ! >
< Promis ! S'il y a quelque chose à raconter ! Parce que tout le monde semble bien calme ces temps ci ! > fait Juliette.
Nous éclatons de rire. Nous débarrassons. Juliette insiste pour faire la vaisselle avec nous. Je l'invite à m'accompagner.
Je dois pisser depuis la fin de l'après-midi. Je me garde toujours pour la "cérémonie", le beau rituel des toilettes à trois.
Debout devant la cuvettes des WC, Juliette à ma gauche, Clémentine à ma droite qui me tient la bite pour diriger le jet.

< On ne s'en lasse pas ! > fait Juliette, penchée en avant, ses mains en appui sur ses genoux. A scruter la bite de près.
C'est très excitant le visage d'une belle bourgeoise de 43 ans à quelques centimètres de ma bite. C'est même fascinant.
Entre chaque petit jet, Clémentine oriente l'extrémité de mon sexe vers le visage de Juliette. Toujours un léger réflexe.
Elle sait pourtant n'avoir rien à craindre. Je suis un gentleman pisseur tout ce qu'il y a de plus convenable. Respectueux.
Il est 22 h15. Nous raccompagnons Juliette à sa voiture. Sous l'immense parapluie. < Bonne "saint Valentouze". Partie.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ne se lassent pas du spectacle d'une queue pisseuse dont le jet est dirigé...

Julien - (J'offre à Clémentine un doux cunnilingus. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Je la termine au cunni) -

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Les pizzas de la Saint Valentouze

Hier matin, jeudi, c'est la 5ème de Beethoven interprétée par un groupe folklorique austro hongrois qui nous réveille.
< De la merde ! > s'écrie Clémentine, couchée sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
< Mais c'est quoi cette daube ! > fait elle encore en m'entraînant par la bite jusqu'aux chiottes pour y pisser peinards.
Vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. 6 h. Nous préparons notre petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre soirée de hier en compagnie de Juliette. C'était bien vicelard.

Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Intensité max.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous son parapluie. Dur.
Cette météo déplorable ne semble plus finir. Il fait doux. Il pleut. Il y a de fortes rafales de vent. C'est mars en février.
Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au sec. Je fais le lit, la vaisselle.
Je vais dans l'atelier. Je fais un feu dans la cheminée. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Super.

Je peins dans une sorte d'exaltation qui me fait pousser les cris les plus surréalistes que je module longuement. Beaux.
Cette seizième toile destinée à ma saison d'été sera terminée en fin de matinée. C'est vraiment le timing parfait. Super.
Il est 11 h30 quand je dépose la dernière touche de Terre de Sienne brûlée sur la surface de ma scène de genre. Parfait.
Je dépose la toile sur le second chevalet. Je prends une autre dont le dessin préparatoire est déjà réalisé depuis octobre.
Je me félicite d'avoir réalisé tous les dessins dès le début de l'automne l'an dernier. C'est un gain de temps appréciable.

Je mets deux bûches dans l'âtre. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je fais une belle pâte à pain.
Ce sera pour nos pizzas du soir. Je prépare la garniture. Tomates, ail, l'oignon, champignons, persil, ciboulette. Parfait.
Je récupère un peu de garniture en accompagnement des coquillettes que j'égoutte. Une rapide salade d'endives. Bien.
La pâte repose dans un saladier sous son linge. La garniture repose sous un couvercle dans sa casserole. Tout est prêt.
Je mange de bon appétit tout en tentant d'écouter les informations. C'est l'habituel florilège sinistre, lugubre, attristant.

Même si tout cela répond à la volonté délibérée de maintenir un pessimisme c'est au dessus de mes forces. Et j'éteins.
La vaisselle. Je range la cuisine. Je regarde dehors. Les bourrasques de vent, la pluie qui frappe contre les carreaux.
Je retourne dans l'atelier. Il est 13 h. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Devant la nouvelle toile.
Je peins avec la même exaltation que ce matin. Il faut m'entendre moduler longuement mes cris les plus surréalistes.
J'exerce ma danse du guerrier Sioux tout autour du chevalet à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent.

Il est 16 h30. Clémentine qui rentre de cours. Je dépose ma palette et mes pinceaux sur la petite desserte à ma droite.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Les menus du restaurant universitaire.
Déposant plein de bisous en mitrailles sur mon visage, elle me confie quelques amusantes anecdotes quand aux profs.
Clémentine a encore du travail. La voilà installée devant l'ordinateur à mettre les dernières touches au texte de demain.
Ce mémoire qu'il faut remettre vendredi matin. Elle travaille en chantonnant. Tellement contente, les vacances demain.

Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour. Les filles se sont vues en cours et au restaurant universitaire. Elle se précipite.
Assise sur mes genoux, elle me raconte la baise party avec son parrain, hier soir, dans sa cave et le matelas gonflable.
Je dis : < Il t'a baisé comme il a baisé Clémentine vendredi dernier ? >. Estelle éclate de rire. < Moins fort ! > dit elle.
Nous rions de bon cœur. Je nettoie ma palette et mes pinceaux pendant qu'Estelle sautille dans toute la pièce en riant.
L'effervescence à l'idée des vacances scolaires qui commencent demain, gagne également Clémentine. Et elles dansent.

Soudain, au dessus de nos têtes, un bruit sourd. Violent. Voilà la visite du fantôme. Je rejoins les filles dans leur ronde.
Tout en écoutant les manifestations habituelles à l'étage, qui ne durent que dix minutes, nous faisons notre farandole.
< On n'en a rien à foutre ! Tralala ! > font les filles en improvisant des paroles aussi surréalistes que mes cris. Sympa.
Installés sur l'épais tapis, les filles allongées sur le dos, leurs têtes posées sur mes cuisses, c'est notre retour au calme.
Ça aussi c'est devenu un rituel nécessaire. Les filles évoquent l'emploi du temps des vacances. Je caresse leurs visages.

Estelle glisse sa main dans ma braguette. Je ne tarde pas à me retrouver avec la bite qui pend contre sa joue. Sympa.
Elle se couche sur le côté. Elle se met à humer les effluves parfumées de ma journée d'homme. Elle décalotte un peu.
L'odeur me monte aux narines. < Bonsoir Mr Schlingo ! > dit Estelle sous le regard amusé de Clémentine qui se tourne.
Elles reniflent toutes les deux en échangeant leurs impressions. Les comparaisons avec l'odeur des écuries sont drôles.
C'est vrai qu'une bite sale qu'on décalotte peut dégager une odeur de cheval. Et les deux coquines aiment les écuries.

Nous en rions de bon cœur. Estelle se met à téter la première. Je l'observe "biberonner" avec passion. Juste le prépuce.
Elles ne tardent pas à se refiler la bite qu'elles se mettent à savourer en gémissant. Mes deux anges sont à se sustenter.
Il est presque 19 h. Je les force à cesser. Nous nous aidons à nous lever. < Comme des vieux ! > lance Estelle en riant.
Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Je précise : < Ce soir, je vous enduis les minous de farine ! >. Rires.
Estelle travaille la pâte pour la rendre plus onctueuse encore. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. C'est parfait.

Je réchauffe la garniture. Je râpe une grosses quantité de Parmesan. Les coquines retirent leurs jeans et leurs culottes.
Assises sur le bord de la table, cuisses largement écartées, je leurs enduis la chatte de farine mouillée. Une bonne dose.
Je tartine. Je titille un peu les clitoris. < Mmhh ! > fait Estelle. < Encore ! > surenchérit Clémentine. J'enfonce le doigt.
Juste le bout de la première phalange de chaque index que je fais bouger délicatement. < Salaud ! > font elles en cœur.
Les pizzas sont au four. Nous mettons notre table. Les filles n'arrêtent pas de faire les clowns. L'approche des vacances.

Pressées de se faire nettoyer les chattes, elles m'entraînent au salon. Toutes les deux bien vautrées au fond du canapé.
Les jambes relevées qu'elles tiennent sous leurs genoux, les cuisses largement écartées, elles m'offrent leurs croupions.
Je suis à genoux sur l'épais coussin. La farine a séché sauf entre les lèvres. Je commence par la chatte à Estelle. Miam.
J'ai des poils plein la bouche. L'odeur et le goût de fille négligée sont la garniture de mon "entrée". C'est gustatif. Super.
Je passe au sexe de Clémentine. Je fouille consciencieusement la peau fripée de ses lèvres charnues. Nettoyage des plis.

Les coquines se masturbent lorsque je ne suce par leurs clitoris. J'ai des poils plein la bouche. Je fais les raies des culs.
C'est à la fois excitant, passionnant et émouvant de savoir que je suis le responsable de tant de plaisir. Des petits cris.
Que ne ferais je pas pour permettre à mes deux anges de se sentir les plus heureuses. C'est un privilège exquis. Miam.
La sonnerie du four. Les filles me tendent leurs main. < Au secours ! > dit Estelle. Je les aide à se lever. Morts de faim.
Nous nous précipitons à la cuisine. J'étale immédiatement des feuilles de papier absorbant sur les coussins des chaises.

Deux couches. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Et en riant beaucoup. Mille et un projets de vacances.
Estelle, avec la vulgarité dont elle est coutumière ponctue des phrases debout, en mimant une masturbation masculine.
Elle conclue chaque fois en s'enfonçant un doigt qu'elle ressort humide pour me le montrer. Je contourne la table. Bien.
Je lèche ce doigt. Clémentine se met à faire pareil. < La bouffe va refroidir ! > lance Estelle. Nous en rions de bon cœur.
Pas l'ombre d'un doute, cette ambiance festive laisse augurer des vacances animées et prometteuses. Belle perspective.

Nous traînons à table. Je me lève. Je me mets à quatre pattes. Là, sous la table, j'ai le visage entre les cuisses d'Estelle.
Je passe à Clémentine. Je les entends rire. Comparer les sensations. Me féliciter pour mon initiative nouvelle. C'est beau.
Je pourrai passer ma soirée à bouffer de la moule juteuse. Clémentine m'attrape par les oreilles. < Viens ! > me fait elle.
Elle me force à me redresser. < Tu es génial ! > me lance Estelle. Elles rient. J'ai le bas de mon visage plein de foutrine.
Estelle se lève, prend une feuille de papier absorbant pour m'essuyer le menton, les joues. Clémentine me tient la queue.

< Ça commence fort ! > fait Estelle. < Et ce n'est qu'un début ! > rajoute Clémentine. Nous débarrassons la table. Bien.
La vaisselle. Je regarde les feuilles de papier Sopalin sur lesquels les filles étaient assises. Froissées et maculées de jute.
Je les agite. < Des Picasso ! > lance Estelle. < Mais en mieux ! > rajoute Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
Je bande mou mais il y a les épanchements de liquide séminal qui ont maculé le tissu autour de ma braguette. Cuisses.
Les filles m'entraînent au salon. < Cette fois tu passes à la casserole ! > s'écrie Estelle qui me fait tomber sur le canapé.

Clémentine s'installe dans le fauteuil. Ses cuisses écartées et posées sur les accoudoirs. Elle se masturbe. Un clin d'œil.
Estelle, à genoux sur l'épais coussin, me taille une véritable pipe des familles. Clémentine se branle en gémissant. Bien.
Estelle se redresse. Elle se met à califourchon sur moi. Ce n'est pas très confortable mais mon sexe rentre dans le sien.
Ça coulisse. A cause de la position Estelle risque la crampe. Je lui propose de s'allonger sur le dos. Je m'occupe du reste.
Elle se lève. Moi aussi. Elle se couche. Je m'allonge sur elle. Je dis : < Hier soir c'était parrain et ce soir c'est Julien ! >

Nous baisons comme d'authentiques passionnés de baise. Je regarde Clémentine toute rouge et en sueur qui se touche.
C'est son spectacle favori. Estelle, tout en se faisant niquer comme une bienheureuse, se touche. Elle s'agite en criant.
Elle me repousse délicatement juste avant de jouir comme une démente. Et en poussant de petits cris d'animal blessé.
C'est au tour de Clémentine qui a prévu la cuvette dans laquelle elle peut se lâcher en hurlant de plaisir. C'est splendide.
Nous raccompagnons Estelle à son auto. Séparation difficile. Au lit, je me fais tailler une pipe gargantuesque. Puis dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui prennent goût à se faire enduire de farine avant de se faire nettoyer le croupion...

Julien - (Je me fais tailler une superbe pipe. Clémentine qui avale en gémissant de bonheur. Elle s'endort heureuse) -

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Un vendredi délicatement festif

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon profond sommeil par plein de bisous en mitraille sur mes joues, mon front.
Quand Clémentine ne dort plus, elle déteste restée en éveil seule. Il faut donc qu'elle me réveille. Et c'est adorable.
J'ouvre les yeux. Au dessus du mien, son visage bienveillant. J'éteins notre réveil avant que ne résonne la musique.
Quelques papouilles. Clémentine, toute fébrile à l'idée des vacances, m'entraîne par mon érection matinale aux WC.
Vêtus de nos tenues de gym, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Préparer le petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant, une fois encore, notre soirée de folie, hier, en compagnie d'Estelle.
Nous remontons. L'heure de l'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Intensité maxi.
La douche. Je descends en premier pour aller préparer la petite auto de Clémentine qui me rejoint. elle est souriante.
Un dernier bisou. Elle glisse sa main dans mon jeans. < A tout de suite ! > me fait elle. Je la regarde partir. Coucou.
Il fait plutôt doux. Je rentre. Je fais notre lit, notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée.

C'est bien inutile et il risque même de faire trop chaud. Quel curieux mois de février avec ses aberrations climatiques.
Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Il est 8 h15. Je prépare ma palette en chantonnant du Brassens.
Je peins avec cette euphorie communicative que m'a offert Clémentine depuis le réveil. C'est tout simplement sublime.
Je pousse mes cris habituels et les nouveaux que m'a appris Clémentine. Cris surréalistes que je module longuement.
La peinture de cette seizième toile destinée à ma saison d'été demande des prodiges d'ingéniosités. C'est fantastique.

Il est très précisément 10 h quand le smartphone se met à vibrer au fond de la poche de ma blouse. Musique stupide.
Je m'en saisis en maugréant. C'est Julie qui m'appelle depuis la faculté de Lettres, dans les toilettes, entre deux cours.
Elle n'a que quelques minutes. < Je vous ai gardé une table pour ce soir, au cas où ! > m'apprend t-elle. C'est super.
Même si nous n'avons encore rien décidé avec Clémentine, je m'avance. Je m'engage à rappeler en cas d'annulation.
Julie aimerait tant nous voir. Je lui promets d'en parler à Clémentine. Si je ne rappelle pas c'est bon. Elle est contente.

Nous nous saluons avant de raccrocher. Mes pensées pour cette agréable et belle étudiante de 20 ans, me font bander.
Que de souvenirs communs depuis plus de deux ans. Il est presque midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Bien.
Je vais à la cuisine. J'épluche une grosse courgette, une grosse aubergine et quatre belles pommes de terre. Ail, oignon.
Je coupe en petits morceaux. Je fais revenir à feux doux, dans le wok avec un peu d'eau. Clémentine rentre de cours.
Il est 12 h20. Elle se précipite vers moi en s'écriant < C'est vacances ! >. Je la soulève pour la faire tournoyer en l'air.

Elle me couvre le visage de bisous en passant ses jambes autour de mes hanches. Merveilleuse effusion de tendresse.
Clémentine s'occupe de la salade tout en me racontant sa matinée. La remise de son mémoire, les félicitations du prof.
Je fais revenir des queues de langoustines à la poêle. Tout va très vite. Nous mangeons de bon appétit tout en parlant.
Je raconte l'appel téléphonique de Julie et de son initiative. Elle nous a réservé une table. Clémentine dit : < Génial ! >
Même si pour nous deux la saint Valentin c'est tous les jours, pourquoi ne pas sacrifier à cette tradition. Nous en rions.

Nous traînons à table. Nous avons tout notre temps. Assise sur mes genoux, Clémentine fait le bilan de ce trimestre.
Sa seconde partie, jusqu'aux vacances de Pâques, s'avère particulièrement chargés. Beaucoup de recherches à faire.
Un travail personnel qu'il faudra remettre vendredi 10 avril. Clémentine mettra à profit les vacances pour commencer.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. C'est si drôle.
Clémentine propose une bonne promenade cet après-midi. Même si le sol est détrempé, on met les grosses godasses.

Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks. Il fait tellement doux qu'on les laisse ouverts.
Tout comme ma braguette que Clémentine déboutonne consciencieusement pour en extraire la queue molle, humide.
< C'est à cause de Julie ? > me dit elle en me montrant ses doigts mouillés des épanchements de mon liquide séminal.
Nous rions de bon cœur quand je lui raconte mon érection persistante après l'appel de Julie. C'est à chaque fois. Rires.
Nous descendons vers la rivière, main dans la main. Là, nous nous embrassons comme des malades en bavant. Super.

Nous longeons la rivière. Il faut être attentif. Ne pas poser les pieds n'importe où. Et surtout éviter les endroits boueux.
Le niveau des eaux est à son maximum. Avec les pluies incessantes de ces derniers jours la rivière a atteint ses limites.
Ce qui ne nous empêche nullement d'interpréter nos rôles. Tour à tour voyeurs ou exhibitionnistes selon nos fantaisies.
Lorsque je fais le voyeur, Clémentine se cache derrière un arbre. J'arrive. Je la surprend entrain de faire pipi. Semblant.
Lorsque je fais l'exhibitionniste, je suis caché derrière un arbre et je jaillis soudain, bite à l'air, en parfait satyre. Super.

Nous adorons jouer ainsi. Ces jeux de rôles ne nous lassent jamais. Cela participe d'ailleurs de nos libidos de dépravés.
Une jeune fille de 22 ans ne se lasse pas de ce genre de choses. C'est l'âge des découvertes perpétuelles et constantes.
Clémentine n'en a pas vraiment conscience. Je sais qu'un jour, dans quelques années, elle passera à autre chose. Bien.
Mais ce jour semble encore bien lointain quand je la regarde jouer à la voyeuse, à l'exhibitionniste. C'est tellement bon.
Nous faisons la boucle des quatre heures. Notre parcours de randonnée habituelle. Et lui non plus ne nous lasse jamais.

Nous faisons une petite halte dans l'abri de jardin de la maison abandonnée de l'ancien garde barrière. C'est si sympa.
Là, assise sur l'établi et l'anorak, le jeans et la culotte descendus, elle peut enfin m'offrir son sexe à déguster. Miam.
Assis sur une vielle chaise, mon visage entre ses cuisses, je peux savourer jusqu'au vertige. C'est un vrai festin de roi.
Clémentine retire ses fringues. Je me relève. Je frotte mon sexe contre le sien. Je la pénètre avec d'infinies précautions.
Nous restons immobiles. Nous adorons nous bercer en nous confiant quantité de choses. Tendresses et cochonneries.

Si nous voulons rentrer avec la nuit tombante, il faut y aller. Clémentine sautille autour de moi. < Je t'aime ! > dit elle.
Les jours rallongent considérablement. Il est 18 h 15 quand nous arrivons à la maison. La nuit n'est pas encore totale.
C'était une superbe promenade. Nous en raffolons. Surtout que nous l'agrémentons de quelques fantaisies agréables.
Nous montons. Nous nous changeons. Clémentine porte une de ses jupes kilt à carreaux rouges, son chemisier crème.
Son pull bleu nuit au col en "V". Ses bas noirs fixés à son porte-jarretelle. Ses escarpins noirs, fermés, à talons hauts.

< Pas de culotte, il fait doux, il n'y a pas de mouches en hiver ! > dit elle, s'accroupissant devant le miroir de l'armoire.
J'adore la voir ainsi, cuisses largement écartées, à s'observer. Clémentine adore l'image qu'elle renvoie. Auto érotisme.
Sur sa demande, je porte un pantalon à plis gris, la chemise blanche, une cravate sous ma veste noire. Souliers de ville.
Clémentine adore me déboutonner le col de la chemise et dénouer savamment mon nœud de cravate. Elle procède bien.
Accroupie, sa tête sur ma cuisse, me tenant par la jambe, Clémentine chuchote : < Je vous aime "Maître" ! > Deux fois.

Je pose ma main sur sa tête pour murmurer : < Je vous aime, ma délicieuse "Soumise" ! >. Elle me sort la bite molle.
Se déplaçant toujours accroupie pour se positionner devant moi, elle frotte son visage contre ma queue en gémissant.
Je la tiens par ses oreilles comme pour la guider. Je la laisse téter un peu avant de l'aider à se redresser. Il est 19 h15.
Nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos manteaux noirs. Nous voilà en route. Je roule doucement. Route déserte.
Clémentine joue avec ma queue. Pour éviter de tâcher mon pantalon, elle m'essuie la bite quand elle ne me la suce pas.

Treize kilomètres. Je gare la voiture sur le parking. Nous n'avons jamais vu autant de véhicules stationnés ici. La fête.
Nous entrons. Julie vient nous accueillir. Toute contente de nous revoir. Elle fait le service. Et elle est la seule serveuse.
Anne-Marie, sa tante, sert en salle avec elle. Elle vient nous saluer. Elle aussi est toute contente de nous revoir. Super.
Toutes les tables sont occupées. Principalement des couples. Le 14 février, la saint Valentin. Nous suivons Julie. Parfait.
Notre table habituelle nous attend. Nous faisons évidemment notre petit effet. Notre élégance et nos différences d'âge.

Cet homme, est-il le père, l'amant ou l'ami de cette superbe jeune fille ? Ce sont toutes ces questions que l'on devine.
Pour bien situer les choses, Clémentine que la situation amuse toujours, me prend la main. Nous passons commande.
Il serait vain de tenter un "plan" quelconque. La salle est pleine et le restaurant de l'étang connaît une effervescence.
Nous dégustons un gigantesque plateau de fruits de mer. Notre randonnée de l'après-midi a bien ouvert nos appétits.
Avec ce monde, les allées et venues dans les escaliers qui mènent aux toilettes sont presque incessantes. Et ça défile.

Ni Clémentine ni moi, ne tentons un "plan". Julie n'aurait pas le temps de descendre. Anne-Marie non plus. Dommage.
Par contre, le repas est succulent. Il faut refuser des gens qui n'ont pas réservé. Ce restaurant marche d'enfer. Super.
Comme le précise Anne-Marie, la patronne : < Je n'ai pas besoin, ni l'envie d'avoir une "étoile" au guide Michelin ! >
C'est vrai, à quoi bon ? L'endroit est réputé et Anne-Marie a déjà décliné deux fois les propositions de se voir étoilée.
Il est 22 h. Le dessert a achevé de nous bourrer comme rarement. D'autres gens commencent à partir. Notre addition.

Julie nous raccompagne au dehors. J'écarte les pans de mon manteau pour lui faire apprécier ma belle queue qui pend.
C'est une heureuse initiative qui permet à la jeune fille de s'en saisir dans la plus totale discrétion. Elle me la tient fort.
Sa main est chaude. < Je suis en vacances. Deux semaines. Je fais le service en soirée. Je suis disponible ! > fait elle.
Nous promettons d'organiser un "truc" avec Estelle. < Génial ! > s'écrie Julie avant de retourner à son travail. 22 h15.
A lit, j'offre à Clémentine un cunnilingus de princesse. Nous baisons un peu. Elle me suce. Je la termine en léchouille.

Bonne soirée à toutes les coquines qui n'ont pas cessé de fêter la saint Valentouze toute cette sainte semaine...

Julien - (Clémentine s'endort dans mes bras. Je sens son cœur battre contre le mien. Rythme lent et régulier) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1066 -



Un samedi ensoleillé

Hier matin, samedi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est 8 h. Nous avons dormi si Profondément.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de joggings, nous descendons. Joie.
C'est d'autant plus festif que dehors il fait beau. Nous préparons notre petit déjeuner. Clémentine chantonne. Bisous.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine est euphorique à l'idée de ces deux semaines de libre.
La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways. Nous sortons. La fraîcheur est très supportable. Ce soleil est un enchantement.

Quelques mouvements d'échauffement et nous voilà a courir. Quel plaisir de pouvoir enfin faire notre jogging dehors.
Le sol est toutefois encore bien humide. Par endroit il faut éviter les flaques ou la boue. Mais tout cela est très gérable.
Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour. La douche. Nous nous habillons. Avec nonchalance.
Nous avons tout notre temps. Nous portons tous les deux les mêmes vêtements. Nous adorons. Jeans, sweat, bottines.
Nos blousons. Nous voilà en route pour aller faire notre marché au bourg voisin. Trois petits kilomètres. Route déserte.

Je roule doucement. Clémentine, qui a glissé sa main dans ma braguette, me propose une balade à vélo cet après-midi.
Superbe suggestion. Je gare la voiture. Il y a du monde. Il faut trouver une place. Refermer ma braguette en rigolant.
Nous faisons provisions de fruits et de légumes bio chez nos producteurs locaux. Nous avons un bon mot avec chacun.
Nous faisons les provisions de fromages, de beurre, de crème fraîche, de yaourts et d'œufs chez notre artisan fromager.
De retour à l'auto nous rangeons les produits frais dans la glacière. Le reste dans le coffre, ordonné dans des cagettes.

En route pour la zone commercial à une quinzaine de kilomètres. Cette fois, Clémentine joue avec ma queue bien molle.
Parfois, penchée sur la gauche, elle suce un peu. Je lui appui sournoisement sur la nuque. Ce qui la fait glousser de joie.
Je gare la voiture sur le parking de l'hypermarché. Je pousse le caddie. Clémentine nous entraîne dans les rayons. Bien.
Tenant la liste des courses, comparant les prix, les promotions, Clémentine nous conduit parfaitement et avec efficacité.
J'aime voir sa silhouette se précipiter vers un rayon. Cet espace qu'il y a entre ses cuisses me fascine toujours. Sublime.

Il faut louvoyer. C'est un embouteillage de chariots. Personnes ne respecte la priorité à droite. C'est une anarchie totale.
Cela nous amuse beaucoup. < Dire que certains ont se comportement sur la route ! > lance Clémentine en m'entraînant.
Une petite exhibe sympa serait la bienvenue. Hélas, avec cette affluence, l'idée même reste saugrenue. Trop de monde.
Pourtant, par acquis de conscience, par habitude aussi, Clémentine nous emmène aux rayons culturel. Au rayon fringues.
Aucune réelle opportunité intéressante ne se présente. Nous terminons par la poissonnerie. Provisions de produits "mer".

Nous passons en caisse. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Il y a une ambiance printanière. C'est dingue.
Les gens sont vêtus plutôt légèrement. Les vestes, les blousons , parfois les jupes ont refait leur sortie. Et c'est superbe.
Nous découvrons les menus proposés à la cafétéria. Nous retournons à la voiture. En route. Il fait à présent doux et bon.
Il est 12 h30. Nous arrivons à la maison. Nous rangeons nos courses. Je fais bouillir la flotte du bouillon pour les moules.
Nous montons nous changer. Leggings et sweats en lycra. Baskets. Prêts à filer à bicyclette après le repas. On descend.

Clémentine s'occupe de notre salade. Je fais cuire les haricots verts et les petits pois encore congelés direct dans le Wok.
Je mets l'ail, l'oignon, la ciboulette et le persil dans l'eau bouillante en même temps que les moules. Cuisson très rapide.
Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je prépare notre sac à dos.
Ce petit sac que nous trimballons partout en virée. J'y mets deux pommes, des barres de céréales et une bouteille d'eau.
Un sweat de change. Nous voilà dehors. Une vraie journée de printemps. Je vérifie le gonflage des pneus. 4,5 bars. Bon.

Quelle extraordinaire sensation que de partir pour notre première promenade à vélo de l'année. Un 15 février. C'est fou.
Nous descendons le chemin. Nous traversons le pont. Trois cent mètres et nous voilà sur la piste cyclable. Un vrai plaisir.
Nous ne sommes pas les seuls à vouloir profiter de cet après-midi exceptionnel. Nous croisons plein de cyclistes. Super.
Des promeneurs, des couples, des familles, des cons avec des chiens non tenus en laisse et même des joggeurs. Parfait.
Nous pédalons d'un bon rythme contre un léger vent d'Ouest qui nous poussera au retour. C'est vraiment génial. Plaisir.

L'arrêt pipi devant le cabanon de l'écluse. Le premier de l'année. Personne ni derrière ni devant. Je tiens les bicyclettes.
Clémentine, leggings et culotte aux genoux, cuisses largement écartées, fait un beau pipi au milieu de la piste cyclable.
Je surveille. La coulée de pisse traverse toute la petite route. C'est charmant. Je la torche délicatement. C'est très bien.
Je jette le mouchoir en papier dans la poubelle à côté du cabanon. Il faut faire vite. Voilà des cyclistes. Tout un groupe.
C'est si rigolo de les voir rouler sur la coulée de pisse tels des coureurs du tour de France franchissant la ligne d'arrivée.

Inutile de tenter une petite exhibe. Voilà un autre groupe. < Ils roulent en troupeau ! > lance Clémentine. C'est si drôle.
Nous reprenons notre route. 25 km. Nous arrivons au petit port de plaisance. Il y a de l'animation. Première de l'année.
Il y a même déjà les joueurs de boules. Nous fermons les vélos à cadenas pour flâner un peu. Nous allons à la supérette.
Nous nous offrons deux cônes glacés à la pistache. Ça aussi c'est une grande première de l'année. Et presque si étrange.
Nous savourons à la fois nos glaces et l'instant. Clémentine nous emmène vers le bâtiment des sanitaires. Les toilettes.

C'est samedi. Les fourrés, les bosquets sont le lieu de réunion des jeunes du bourg. Inutile d'espérer un plan exhibe ici.
Nous longeons le muret pour monter sur la jetée. De là, la vue sur l'ensemble du port est parfaite. Les bateaux bâchés.
Clémentine fourre sa main dans mon leggings en chuchotant : < J'ai envie de faire ma salope ! Si tu savais. Wouah ! >
Je dis : < Je sais ! >. Nous en rigolons comme des bossus. Personne dans les environs immédiats, je sors ma queue.
Je fais : < Bon appétit mademoiselle et n'en mettez pas à côté ! >. Clémentine regarde dans toutes les directions. Vite.

Impossible de s'amuser. Ce ne serait pas discret. De plus, là-bas, il y a des bagnoles. On préfère se bouger. Se balader.
Nous retournons à la supérette. Cette fois la gérante est là. Toute contente de nous revoir. Et nous bavardons un peu.
Nous apprenons qu'il y a la cavalcade de Carnaval qui viendra jusqu'ici demain pour la clôture des festivités. C'est bien.
Si la météo persiste, nous reviendrons à bicyclette avec Estelle. Nous l'appelons pour lui demander d'emmener le vélo.
Elle est au bureau de l'entreprise familiale. Elle sera avec nous ce soir. Et nous ne la dérangeons pas plus longuement.

Nous n'arrêtons pas de nous tripoter. Je prends quelques risques. J'ai plusieurs fois la bite dans la main de Clémentine.
Il faut ruser. Soit se tourner en vitesse. Soit remballer de justesse. Nous adorons ces jeux. C'est excitant. On récidive.
Il est 16 h30. Il faut songer à repartir. Les vélos sont équipés. Lumière blanche à l'avant, jaune à l'arrière. C'est bien.
Nous sommes ravis d'avoir revu cet endroit que nous fréquentons avec assiduité aux beaux jours. Là, avec de l'avance.
Sur le retour, le vent nous pousse. Il faut enfiler les K-ways, mettre nos bonnets et les gants. Cruel rappel à la réalité.

Le soleil se couche doucement derrière nous. Nos ombres, projetées loin devant nous s'allongent à n'en plus finir. Bien.
Clémentine prend quelques photos tout en roulant. La luminosité est réellement magique. "Chaude" malgré la fraîcheur.
Il est 18 h30. Nous arrivons avec la nuit. Les lampes fonctionnent très bien. Estelle est déjà là. La lumière à la cuisine.
Sa voiture garée à côté du garage. Nous rentrons vite nous mettre au chaud. Estelle qui me saute au cou. Je la soulève.
Elle me couvre le visage de bises. Par jeu, Clémentine s'interpose. Elle a droit à sa bise aussi. Nous rions de bon cœur.

Nous aidons immédiatement Estelle à éplucher les pommes de terre, les navets, les carottes, le céleri pour notre potée.
Le rituel de la potée de légumes du week-end. Il y en a pour trois repas. Ce soir, demain midi et demain soir. Parfait.
Nous montons rapidement nous changer. Estelle, assise sur le lit, nous raconte sa journée. Le bureau, la comptabilité.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle remue les légumes dans la vieille cocotte en fonte noire. Je panne du poisson.
Trois filets de cabillaud que je fais préalablement dorer à la poêle avant de les enduire d'œuf et de chapelure. La poêle.

Nous mangeons de bon appétit. Nous sommes tellement contents de nous retrouver tous les trois ensemble. Ambiance.
Estelle se relève très souvent pour mimer une masturbation masculine avec toute la vulgarité dont elle est coutumière.
Même lorsque la conversation n'a strictement rien de sexuel. Ce qui nous fait rigoler comme des bossus. Je sors le Zob.
Je me lève à chaque fois pour agiter ma queue en même temps qu'elle fait son imitation. Clémentine qui nous observe.
< Je suis chez les fous, dans le pavillons des déviants sexuels ! > lance t-elle avant de mimer une fellation bien lascive.

< Et dire que ça va être tous les soirs des deux semaines de vacances à venir ! > rajoute encore Estelle. L'éclat de rire.
Nous traînons à table. Que c'est bon de prendre son temps dans l'insouciance d'un début de vacances. Nous savourons.
Je propose aux filles un léchage de minou tout à fait exceptionnel. Et pour fêter ces deux semaines qui nous attendent.
Je ne suis pas obligé de proposer deux fois. Notre vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles m'entraînent au salon.
Impatientes, elles retirent leurs jeans et leurs culottes. Chemises à carreaux et chaussettes, vautrées dans le canapé.

Je suis à genoux sur l'épais coussin. Je commence par humer le sexe bien odorant d'Estelle. L'odeur de fille négligée.
Après un instant de répulsion, je m'enivre rapidement de ses effluves parfumées. Je mets le nez dans sa touffe. Joie.
Ça me chatouille. Je passe à celle de Clémentine. Avec la bicyclette, les sécrétions, les effluves sont si passionnantes.
Elles se masturbent toutes les deux en me regardant passer de l'une à l'autre et juste pour leurs renifler les croupions.
C'est passionnant de comparer les odeurs avant de comparer les goûts. Avec le sexe d'Estelle je sais ce qui m'attend.

Ce soir, Estelle est particulièrement filamenteuse. C'est de la cyprine fraîche qui se mêle aux coulures plus anciennes.
Ce qui a collé au fond de sa culotte toute la journée et qui s'accroche encore aux poils autour de la fente étroite. Miam.
Je lui suce le clitoris. Son tout petit bouton à peine perceptible sous la langue mais qui la fait gémir d'un indicible émoi.
Je passe au croupion de Clémentine. Là, c'est de la crème épaisse avec du sirop gluant. Ça me fait super bander. Joie.
Rien ne peut m'exciter davantage que ces dégustations de filles, le soir, après un copieux repas. C'est le délire gustatif.

Estelle me guide en me tenant par les oreilles. Elle aime se frotter contre mon visage. De me voir plein de sa mouille.
Clémentine aussi me tient par les oreilles mais c'est plutôt comme pour contrôler. C'est merveilleux. C'est miam. Bon.
Estelle m'attire sur elle. Je m'introduis avec précautions. Immédiatement, d'un coup de reins, elle s'enfile toute la bite.
Elle se met à bouger comme une démente. Et à tel point que Clémentine, tout en se masturbant, me regarde inquiète.
Je me retire. Je pénètre Clémentine. Même quand je suis bien enfoncé dans les filles, elles continuent de se masturber.

Je passe ainsi de l'une à l'autre. C'est un enchantement paradisiaque. Nous sommes tous les trois épuisés. C'est si cool.
Estelle connaît un orgasme qui la terrasse au point qu'elle se renverse sur le côté, mains entre les cuisses en gémissant.
Clémentine connaît un orgasme qui la tétanise au point qu'elle se glisse au sol, pour se coucher sur l'épais tapis. Super.
Nous nous précipitons aux toilettes. Je me lèche les mélanges des deux coquines. Nous montons nous coucher. Fatigués.
Les filles se refilent ma bite. Je propose de remettre mon orgasme à demain. Rien ne presse. Estelle plonge la première.

Bonne soirée à toutes les coquines que le cunnilingus passionne et galvanise au point d'en vouloir après la potée...

Julien - (Je suis entre Estelle à ma droite qui ronfle et Clémentine à ma gauche qui s'endort serrée contre moi) -

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Une seconde sortie vélo mais à trois

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures, des rires étouffés, on me tient par mon érection matinale.
On se frotte contre mes hanches. Les deux coquines me font la fête. Estelle à ma droite et Clémentine à ma gauche.
Se sont de véritables masturbations auxquelles se livrent mes deux anges. C'est tellement drôle et amusant. Super.
Je passe mes bras sous leurs nuques pour les serrer plus fort encore. C'est un concerto de < Je t'aime >. En stéréo.
Estelle se lève en s'écriant : < Pipi ! >. Nous la regardons se précipiter aux toilettes. Clémentine me chevauche. Joie.

Il est déjà 8 h30. Il est extrêmement rare que nous restions au lit aussi tard. Mais c'est dimanche. Pas d'entraînement.
Estelle revient pour s'habiller. Une bise. < Je descends faire le petit déjeuner ! > fait elle avant de dévaler les escaliers.
C'est à notre tour. Clémentine m'entraîne par la bite jusqu'aux chiottes. Nous nous habillons vite pour rejoindre Estelle.
Cette délicieuse odeur de pain grillé, de café et de brioche reste la marque olfactive des dimanches matins. Merveille.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre soirée de folies, hier. Nous en rions de bon cœur. C'est si bien.

Nous traînons à table. Dehors il y a du soleil. La journée s'annonce exceptionnelle. Comme prévue. De quoi se réjouir.
Estelle se propose de passer l'aspirateur partout. Clémentine s'occupe de la chambre. Je nettoie, je passe la serpillère.
C'est notre rituel du dimanche matin. Nous y sacrifions dans un formidable enthousiasme. La vaisselle en chantonnant.
Clémentine remonte. Estelle s'empare de l'aspirateur dans le placard. Je commence par nettoyer la cuisine. Poussière.
J'entends chantonner Estelle depuis le salon. Ce matin encore elle improvise, invente paroles et musique. Merveilleux.

Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère partout. Je m'apprête à monter pour rejoindre Clémentine. Piège.
Estelle guettait mon passage. Comme elle fait tous les dimanches matins. Elle jaillit toute nue, en chaussettes. Rires.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de mes hanches. < Tu me baises un peu ? > dit elle.
Je l'entraîne au salon. Je la dépose sur le bureau. Je sors ma biroute. Je frotte mon sexe contre le sien. Elle en gémit.
Ça aussi c'est devenu le rituel du dimanche matin. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Elle m'attrape par le cou.

Je la promène ainsi dans toute la pièce. Nous nous embrassons passionnément. Le goût de la brioche mêlé à la salive.
Je la ramène pour la déposer sur le bureau. Je me retire. < Oh comme tu es vilain ! Déjà ! > s'écrie t-elle. Nous rions.
Je lui tends ses vêtements en disant : < Viens, on va rejoindre Clémentine ! >. C'est elle qui m'entraîne par la queue.
< Déjà ! > s'écrie Clémentine qui est entrain de terminer de faire le lit et en nous voyant entrer dans la chambre ainsi.
Nous racontons le petit tour du salon. < Vous êtes deux vicieux. Il faut toujours êtres à trois vicieux ! > nous fait elle.

Elle s'approche pour prendre ma queue. < Voilà. Là c'est mieux ! > dit elle alors que je passe ma main dans sa culotte.
J'ai une main dans chaque culotte. Je cesse. Je ramasse les draps sales. Je vais à la salle de bain. Clémentine me suit.
Je nettoie le bac à douche et le bidet. Clémentine s'occupe des miroirs et du lavabo. On s'embrasse tout le temps. Joie.
Nous entendons Estelle chantonner en passant l'aspirateur. Clémentine s'empare du panier à linge. Elle va descendre.
< Viens vite ! > me fait elle avant de descendre les escaliers. Je nettoie les chiottes à l'étage. A genoux devant le WC.

C'est toujours ce moment que choisis Estelle pour venir s'accroupir derrière moi et frotter son sexe contre mes reins.
Ses bras autour de mon cou à me chuchoter des douceurs et des cochonneries. C'est divin. Je tire la chasse. Le bruit.
Je retire mes gants de caoutchouc. Nous nous redressons ensemble. Nous nous embrassons à nouveau. C'est sublime.
Je prends Estelle par la main. Je l'entraîne dans les escaliers. Nous rejoignons Clémentine à la cave dans la buanderie.
Nous aidons à trier le linge. Les filles évoquent leurs cours. Ce qu'il faudra préparer durant ces vacances. C'est super.

Estelle nous laisse. Depuis quelques mois elle insiste pour nous faire la surprise d'un bon repas. Un dernier bisou. Joie.
Clémentine me confie à quel point elle est heureuse. Et ce temps qui passe trop vite. Ce bonheur de partager nos vies.
Nous suspendons les draps avant de mettre une nouvelle tournée de linge dans la machine. Et nous nous embrassons.
Clémentine me tient la queue fermement. < Je ne veux plus qu'elle pendant un bon moment ! > dit elle. Je la regarde.
Je dis : < Même pas celle de Mr Gérard de temps en temps ? >. Clémentine qui s'accroupit en disant : < Même pas ! >

Je me fais tailler une pipe. Sous les effets de l'indicible caresse, je suis obligé de me tenir aux oreilles de Clémentine.
Je propose d'en garder pour le reste de la journée et de monter rejoindre Estelle. Je force Clémentine à se redresser.
< Je t'aime Julien ! > me fait elle en m'entraînant par la queue dans l'escalier. Estelle est dans la véranda. Il fait beau.
Là, sur le barbecue électrique, il y a les pavés de saumon préparés en papillotes. Ça faisait longtemps. On la félicite.
< Monsieur "Bite à l'air" ! Monsieur salaud ! > fait Estelle en voyant ma queue bien dure dans la main de Clémentine.

Nous rigolons comme des bossus. La table est mise. Clémentine s'occupe de notre salade d'endives. Je remue la potée.
Il est presque midi. Le thermomètre extérieur indique 18° pour un 16 février. C'est de la sciences fiction. Nous sortons.
Pas besoin d'anoraks. Nous sommes en chemises à carreaux. Nous faisons quelques pas jusqu'au garage. Il fait super.
Je sors le vélo d'Estelle de sa voiture d'entreprise. < Papa a vérifié le gonflage ! > fait elle. Effectivement, c'est parfait.
Nous rentrons. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Ranger la cuisine.

Nous montons pour nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Il faut nous changer.
Nous voilà tous les trois à prendre des poses de culturistes devant le miroir de l'armoire. Vêtus de nos habits en lycra.
Nos leggings noirs, nos sweats moulants en lycra noir. < Arner Schwarzenegold ! > lance Clémentine. C'est trop rigolo.
< Sylverstone Staller ! > rajoute Estelle. Je suis entre les deux coquines . Nous rigolons comme des bossus. C'est bon.
Nous dévalons les escaliers. Pressés de filer. Il est à peine 13 h. Nous voilà sur nos bicyclettes. Une seconde escapade.

La première virée à trois. Dans le petit sac à dos que je porte, des pommes, des barres de céréales, l'eau, les K-ways.
Nos bonnets, nos gants. Nous traversons le petit pont sur la rivière. Trois cent mètres et c'est la piste cyclable. Super.
Nous ne sommes pas les seuls à profiter de cette météo exceptionnelle. Il fait 24° au soleil et c'est complètement fou.
Nous croisons quantité de cyclistes, de promeneurs, de familles, de couples avec des landaus, des joggeurs. Fameux.
Nous pédalons d'un bon rythme. Arrêt au cabanon de l'écluse. Notre rituel des pissous. Je tiens les vélos des coquines.

Il faut faire très vite. Accroupies au milieu de la petite route, leggings et culottes aux genoux, les coquines font un pipi.
Je m'écrie : < Des gens ! >. En effet, là-bas, pédalant à bonne vitesse, un groupe de cyclistes. Elles se redressent. Dur.
Sans même pouvoir s'essuyer. Nous attendons que les cyclistes passent dans les coulées de pisse. Cela nous fait rire.
Les filles reprennent. < Je me suis pissé dans la culotte ! > lance Estelle. < Moi aussi ! > rajoute Clémentine. Rigolade.
Je les torche soigneusement. Nous voilà repartis. Il est 14 h30 quand nous arrivons au port de plaisance. Plein de gens.

Il y a des stands de frites, de glaces, de pâtisserie. L'arrivée de la cavalcade est prévue à 16 h30. Avec les festivités.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie du port. On pourrait se mettre en short tellement il fait bon.
Nous flânons un peu avant de traverser la route pour nous rendre à la supérette. Il y a un monde fou partout. Dingue.
La municipalité du bourg voisin fait si bien les choses. Nous achetons les cônes glacés que nous savourons en flânant.
Chaque fois que c'est possible, discrètement, l'une ou l'autre me palpe rapidement le paquet. C'est toujours virtuose.

J'ai le "paquet" bien apparent dans mon leggings. Moi aussi, souvent, discrètement, je palpe les chattes bien moulés.
Nous faisons un petit tour près des bâtiments des sanitaires plaisanciers. Fermés. Près des toilettes publiques. Gens.
Inutile d'espérer un plan cochon en cet endroit. C'est un incessant va et vient. Dommage. Il faut revenir en semaine.
Nous avons déjà vécu tant de passionnantes situations ici depuis plus de deux ans. Vivement les beaux jours. Super.
Dans les fourrés, je sors ma queue. Estelle s'accroupit la première. Clémentine fait le guet. Je me fais tailler une pipe.

Puis c'est au tour de Clémentine. Nous restons là une bonne dizaine de minutes. Les filles sucent à tour de rôle. Super.
J'ai la main dans la culotte humide de celle qui fait le guet pendant que l'autre me taille une pipe. Un moment fabuleux.
Il faut être prudent car l'endroit est aussi fréquenté par les jeunes du bourg. Nous préférons cesser pour aller au port.
On s'offre un cornet de glace à l'un des stands. Voilà le premier char. Ce sont des parodies caricaturales de politiciens.
On reconnaît bien. Pluie de confettis que nous emmèneront probablement jusque dans notre lit. La musique délirante.

Il est facile, dans une foule qui admire le passage des chars de Carnaval de se toucher discrètement les sexes. Risque.
Le risque participe évidemment de l'excitation de l'instant. Et nous ne nous en privons pas. Je bande comme un salaud.
Il y a une dizaine de chars. Entre chacun des fanfares loufoques, des groupes de gens déguisés. C'est très drôle. Joie.
Il est 17 h. Nous préférons partir. La nuit tombe complètement pour 18 h30. Même si nous sommes équipés. Prudents.
Il faut enfiler les k-ways. Mettre les gants et les bonnets. La fraîcheur du soir contraste fortement avec celle du jour.

Nous pédalons d'un bon rythme, poussés par un léger vent très sympathique. Nous croisons encore du monde. Super.
Il est 18 h30 et il fait nuit. Nous arrivons à la maison. Première chose, pisser un bon coup, tous les trois tout en riant.
Je torche soigneusement mes deux coquines qui me tiennent toutes les deux la queue pour en diriger le jet avec soin.
Morts de faim, nous préparons notre repas. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare une omelette au gruyère.
Je réchauffe la potée. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant tout en riant beaucoup. Nous traînons à table.

Je propose un bon léchage de minou pour la soirée. Avec le vélo, les épanchements de muqueuses, de quoi me régaler.
Je ne suis pas obligé de le proposer une seconde fois. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles qui m'entraînent.
Elles retirent leurs leggings et leurs culottes pour se vautrer dans le canapé. Je suis à genoux, visage entre les cuisses.
Je commence évidemment par la chatte d'Estelle. Mais ce soir, il y a là de quoi régaler le plus gourmand des gourmets.
Des filles qui ont sué, frotté leurs chattes sur la selle d'un vélo, qui se sont un peu pissées dans la culotte, c'est génial.

Je passe de l'une à l'autre. Je suis enivré de bonheur. Les filles se masturbent lorsque je ne suce pas leur clitoris. Bon.
Je les pénètre. Nous reproduisons la soirée de hier. Je passe de l'une à l'autre. Nous sommes bien plus épuisés que hier.
Estelle jouit la première. Puis c'est au tour de Clémentine. Le rituel des pipis à trois. Je lèche les derniers reliquats. Bon.
Pas question de rentrer pour Estelle malgré mes recommandations. < T'es fou ! C'est les vacances ! > me lance t-elle.
Nous montons nous coucher. Les filles se refilent ma bite. Il est à peine 21 h45. Estelle s'endort la première. Ronflante.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire lécher le minou après une virée à vélo et un pipi raté...

Julien - (Je ne me lasse pas des confidences que me fait Clémentine tout en s'endormant serrée contre moi) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1068 -



Clémentine, Estelle, Julie et moi

Hier matin, lundi, je suis réveillé par les incessants mouvements que fait Estelle serrée fort contre moi toute la nuit.
Je lui dépose un délicat bisou sur le front. Elle se frotte contre ma hanche en gémissant d'aise. Elle me tient le Zob.
Tout cela réveille Clémentine qui vient se serrer sur ma gauche. C'est la distribution des bisous en mitraille. Si doux.
Il est 8 h. Je dis à Estelle : < Tu devrais être au bureau à cette heure ! >. Elle me chevauche en riant. Plein de bises.
< J'ai prévenu à la maison. Ces vacances sont essentielles pour moi ! > répond Estelle qui se lève en criant < Pipi ! >

Clémentine me chevauche à son tour. Elle frotte son sexe sur le mien. Estelle qui revient et revêt sa tenue de jogging.
< Je rentre après la douche et là je descends préparer le petit déjeuner ! > lance t-elle avant de dévaler les escaliers.
Clémentine m'entraîne par mon érection matinale jusqu'aux toilettes. Vêtus de nos tenues de sport nous descendons.
L'odeur du café, du pain grillé, de la brioche, Estelle qui sautille de joie dans la cuisine sont un véritable petit bonheur.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de ce premier week-end de vacances. Dehors, le temps est gris.

La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways. La fraîcheur est plus marquée que hier. Quelques mouvements d'échauffement.
Nous voilà partis pour un jogging vivifiant. C'est Estelle qui impulse un rythme soutenu. Il y a quelques gouttes. Pluie.
Nous revenons à la maison pour 9 h30 après une heure d'un running des plus agréables. Estelle prend sa douche seule.
Clémentine m'entraîne au salon devant l'ordinateur. Deux courriels. Celui de Julie qui confirme sa venue ce soir. 19 h30.
Celui de monsieur Gilbert, à Morteau qui confirme avoir reçu le chèque d'acompte pour notre réservation du 13 avril.

Estelle arrive au salon. Elle est obligée de filer. Un dernier bisou. < Je reviens pour 17 h ! Soyez sages ! > nous dit elle.
Nous montons prendre notre douche. Nous nous habillons. Nous allons dans l'atelier. C'est un réflexe qui nous amuse.
Assise devant son ordinateur, Clémentine surfe sur le site de l'université. Je me mets à la réalisation d'un dessin. Toile.
Je vais mettre à profit les prochains jours pour réaliser quelques dessins préparatoires pour les futurs paysages. Super.
C'est un gain de temps appréciable. Clémentine me raconte la nature des informations. Ses futurs travaux personnels.

Il est rapidement midi. J'ai presque terminé le dessin d'un paysage au moulin. D'après une photo que j'ai prise pas loin.
Clémentine m'entraîne à la cuisine. Nous décidons du repas de midi et de ce soir. A midi, millet doré avec poisson pané.
Pour ce soir, gratin de choux-fleurs avec beignets de courgettes et de crevettes. Nous nous y mettons en chantonnant.
Clémentine s'occupe de la salade. Je lave le choux-fleurs et les courgettes. Je prépare la pâte à crêpe pour les beignets.
Je pane deux filets de colins. Nous bavardons. Nous apprécions énormément ce nouveau rythme. Ce sont les vacances.

Le gratin de choux-fleurs est au four. La pâte à beignets est prête. Le millet doré a bien gonflé. Les poissons à la poêle.
Clémentine a déjà lavé les feuilles de la grosse laitue. Il y en a pour maintenant et pour ce soir. Et nous voilà sereins.
Nous mangeons de bon appétit en riant. Ce sera insolite d'êtres tous les quatre ce soir. Clémentine, Estelle, Julie, moi.
Je dis : < L'occasion d'être triplement salaud ! >. Nous en rigolons comme des bossus. On va improviser plein de trucs.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me confie son intense besoin de vivre quelques soumissions.

Je lui promets de me montrer imaginatif durant ces deux semaines. Même si je n'ai pas l'âme d'un "Maître", je le joue.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine m'entraîne dans la chambre et me pousse sur le plumard.
Je suis couché sur le dos. Clémentine, sa tête sur mon épaule me parle de nous tout en me sortant la queue bien dure.
< Oh ! C'est rare que tu bandes aussi vite à la sieste ! > fait elle en glissant sa tête sur mon ventre. J'entends humer.
< Mmhh ! > gémit elle en me décalottant légèrement. J'ai interdiction de me décalotter sous la douche, l'odeur forte.

Je sens la langue de Clémentine s'immiscer entre la peau du prépuce et celle du gland. Elle ne tarde pas à biberonner.
Je lui caresse la tête, les cheveux, la nuque, en chuchotant plein de cochonneries. Je lui promets le collier et la laisse.
Nous restons ainsi un long moment. Toutes les deux minutes, Clémentine cesse de sucer pour me poser des questions.
Je réponds. La conversation tourne autour de situations de soumissions, de dominations. Les fantasmes de Clémentine.
Je propose de nous garder pour ce soir. J'ai la bite baveuse. Clémentine n'arrête plus de sucer. Même dans les escaliers.

Nous voilà dans l'atelier. 15 h. Clémentine dresse le canevas autour duquel va s'axer ses travaux de recherches. Super.
Je reprends mon dessin préparatoire. Parfois, l'un se lève pour venir rejoindre l'autre. Lui faire des bisous et chuchoter.
Il est 17 h15. Estelle revient. Toute contente. Elle fait d'abord la bise à Clémentine avant de se précipiter vers moi. Joie.
Assise sur mes genoux, elle nous raconte sa journée au bureau de l'entreprise familiale. Elle bosse aussi pour les cours.
Elles ne tardent pas à comparer leurs premières approches. J'ai réussi à produire deux dessins pour mes futures toiles.

< Je reste peut-être avec vous cette nuit. J'ai prévenu maman, les prochains jours seront anarchiques ! > lance Estelle.
Je dis : < Pas question ! Tu rentres. Tu te comportes en fille raisonnable. Tu as 22 ans. Tu es grande ! >. Elle se marre.
< Oui monsieur ! > fait elle en venant glisser sa main dans ma braguette ouverte. Elle s'écrie : < Mais tu es mouillé ! >
Nous lui racontons la sieste de début d'après-midi et la petite fellation juteuse. < J'en veux aussi ! > s'écrie t-elle. Rire.
Elle m'extrait le Zob d'un mouvement très adroit, levier avec son index. Clémentine éclate de rire. < Salope ! > dit elle.

Accroupie devant moi, entre mes jambes écartées, juste devant le chevalet, la coquine se met à me pomper la queue.
Elle a de quoi se régaler. Je bande mou. Ce qui favorise les montées de liquide séminal. Le bruit bulleux et gargouillis.
Je taille mes crayons pendant qu'Estelle taille une pipe. Clémentine, devant son ordinateur nous raconte ce qu'elle voit.
C'est surréaliste d'entendre le programme universitaire de la seconde partie de ce trimestre qui les attend. La fellation.
Je force Estelle à cesser. Je dois ranger mes affaires. Les fourmis dans les jambes, elle se masse les genoux en riant.

Il est 18 h30. Aujourd'hui, il n'y a pas de feu dans la cheminée. Par contre, au dessus de nos têtes, un bruit très sourd.
< Bonsoir Christine ! > font les filles pour saluer la visite du fantôme de mon ancienne compagne. Le florilège habituel.
Bruits en tous genres qui durent une bonne dizaine de minutes. Estelle prends ma blouse de peintre et se couvre avec.
< Bouhhh ! > fait elle en imitant un fantôme. Un fantôme branleur car elle avance en mimant une branlette masculine.
Nous en rions de bon cœur lorsque Clémentine lance : < Avec Christine, ce soir, on sera cinq ! >. Nous éclatons de rire.

Nous restons vautrés dans le vieux canapé de l'atelier à converser. Je suis entre les deux anges à écouter leurs paroles.
Ruses et stratégies d'étudiantes pour la rentrée future. Estelle joue avec ma queue qu'elle tord dans tous les sens. Dur.
< Regarde ce cochon, ça lui dégouline de la queue ! > fait elle en montrant mon prépuce plissé tout dégoulinant de jus.
Clémentine se penche pour sucer. C'est au tour d'Estelle. Les coquines qui me pompent tout en parlant de leurs études.
Il est presque 19 h. Je propose d'aller préparer la table et de nous occuper du repas. Julie arrive pour 19 h30. Superbe.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Estelle trempe les rondelles de courgette dans la pâte à crêpe. Bon.
Je m'occupe de la sauce au Roquefort qui accompagnera le gratin de choux-fleurs qui réchauffe peinard dans son four.
Les beignets de courgette, de crevettes s'amoncellent vite en quantité. Clémentine m'entraîne au salon. Mettre la table.
Nous entendons Estelle chantonner à la cuisine. Elle improvise des paroles obscènes sur des musiques inventées. Rires.
Voilà. Tout est prêt. Il est 19 h30. Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite pour aller ouvrir. Estelle me touche.

Julie entre dans la pièce. Vêtue de ses jeans, d'un sweat et de ses bottines. Entre Clémentine est Estelle elle est menue.
Julie leurs arrive à mi tête. Elles sont là, toutes les trois, debout. Je les regarde. C'est comme si j'hallucinais. Si belles.
Il y a mon instinct de vieux primate néandertalien qui me fait bouillir les couilles et dresser la tige. Elles s'en doutent.
Je propose de faire le service. Les filles refusent. < On fait tout ensemble ! > dit Estelle. < Vraiment tout ? > fait Julie.
Nous en rions tous les quatre de bon cœur. Nous allons à la cuisine. Estelle me coince dans le couloir pour me toucher.

< Je te préviens. Je suis jalouse. Si tu fais des trucs avec cette fille, je te noue les couilles aux barbelés! > me fait elle.
Nous rejoignons Julie et Clémentine. Julie sort le plat du four en faisant : < Miam ! Mon plat préféré ! >. C'est superbe.
Clémentine prend le saladier. Estelle le plat à beignets. Je prends la coupe contenant la sauce. Nous voilà bien installés.
Ce repas est évidemment un véritable délice sous tous les points de vues. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.
Les filles évoquent leurs études. Je ne sais pas qui me fait du pied sous la table. Sans doute Clémentine et Estelle. Sûr.

Je sors ma bite sous la table. Je me paluche. Elles s'en rendent compte en même temps toutes les trois. C'est sublime.
C'est triplement excitant. D'affronter les regards perçants de Julie, d'Estelle, de Clémentine est un très grand moment.
Un mélange de honte et d'excitation. < Tu ne fais pas ton show ? > me demande Estelle tout en mimant une branlette.
Je me lève. C'est trop bon. Je suis couvert de frissons. Je n'ai jamais ressenti une telle honte. Une telle émotion. Fou !
Je me branle devant trois jeune filles. Même si Clémentine est ma compagne, Estelle notre complice, ça me fait bander.

Put-Hein, je pourrai éjaculer comme un salaud. Ce comportement de hussard ne laisse pas les filles indifférentes. Joie.
Elles applaudissent au bout de quelques instants à chaque fois que je me lève pour agiter ma queue dans leur direction.
C'est Estelle qui craque la première. Elle se lève pour venir s'accroupir entre la table et moi. Et elle pompe en assoiffée.
Julie me fixe dans les yeux. C'est la première fois qu'elle arrive à le faire aussi longtemps. Un regard sévère et excitant.
Clémentine regarde ce que fait Estelle. Un de ses spectacles préférés. Cela ne dure que quelques minutes. C'est dingue.

La situation se reproduit à quelques reprises. A chaque fois c'est Estelle qui se précipite. Julie me fixe avec obsession.
Nous débarrassons. Nous faisons la vaisselle. < Tu nous emmènes aux cabinets ? > me fait Estelle. J'ai la bite à l'air.
C'est Clémentine qui m'y entraîne par la queue. Je regarde Julie. Toute rouge. Comme couverte de honte. Joue t-elle ?
Je ne crois pas. La situation est tellement excitante pour tous les quatre. Trois jeunes filles avec un homme qui pisse.
Un homme qui pourrait être leur père. Clémentine passe ma queue à Estelle. Elle me font pisser à tour de rôle. Super.

Julie n'ose pas s'en saisir. Je la comprends. La présence des deux autres filles la gêne considérablement. Elle a honte.
De se savoir observée la gêne énormément. Elle sait bien que Clémentine et Estelle veulent voir ses réactions. Super.
S'en est trop quand Estelle et Clémentine se mettent à siroter les derniers épanchements en se refilant ma bite. Bien.
Julie n'a qu'une envie. Se sauver. Je le vois bien. Pourtant la situation l'excite. Elle a l'envie folle de participer. Certain.
Pour surmonter cette envie folle, Julie préfère sortir des toilettes. Je force Estelle et Clémentine à cesser. C'est si bon.

Je dis : < Un peu de tenue mes délicieuses dépravées, nous avons une invitée ! >. Nous en rions de bon cœur. Drôle.
L'invitée nous attend dans le couloir. Elle a mis son blouson et tient son parapluie. Nous la comprenons parfaitement.
Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture sous une pluie battante. Je dis : < Reviens un après-midi ! >. Le silence.
< Je vous fais un mail. C'était trop génial ! > dit elle en démarrant. < Tu m'étonnes que c'était génial ! > lance Estelle.
Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. < C'était génial ! > fait elle en démarrant. Nous rentrons vite bien au sec.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent se retrouver dans des situations embarrassantes et si excitantes...

Julien - (Au lit, j'offre à Clémentine un cunnilingus d'enfer. Elle m'offre une fellation d'enfer. Orgasmes délirants) -

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Classe - 49 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1069 -



Les vacances, le repos et un nouveau projet

Hier matin, mardi, je suis réveillé par l'agréable mouvement masturbatoire que fait Clémentine contre ma hanche.
Une jambe qu'elle glisse sous mes reins, l'autre qu'elle pose sur mon ventre, elle se frotte tout en gémissant. Bien.
J'adore être tiré de mon sommeil par une initiative aussi délicate. < Je t'aime ! > me chuchote t-elle. Et je la serre.
Il est à peine 8 h. Quelques papouilles et Clémentine m'entraîne par mon érection matinale jusqu'aux toilettes. Pipi.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de Jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Notre petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre soirée, hier, la présence de Julie, nos attitudes. Ma branlette.
Nous en rions de bon cœur. < C'est un précédent. Elle souhaite probablement déjà une récidive ! > fait Clémentine.
La vaisselle. Dehors le ciel est gris. Lourd et menaçant. Tant pis, nous enfilons nos K-ways. Nous tentons le jogging.
En effet, la fraîcheur est bien plus vive que les jours précédents. Quelques mouvements d'échauffement, c'est parti.
Nous courons d'un bon rythme le long de notre circuit habituel. Pas une seule goutte de pluie malgré un ciel douteux.

Il est 9 h30 quand nous revenons après un running des plus agréables. La douche. Nous traînons, prenons le temps.
Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux, nos espadrilles catalanes aux semelles de corde et il est déjà 10 h.
Nous allons dans l'atelier. Assise devant son ordinateur, Clémentine fait ses premières recherches. Prépare ses cours.
La seconde moité de ce second trimestre, et jusqu'aux vacances de pâques, s'annonce fournie en travaux personnels.
Je suis devant mon chevalet. Je réalise un troisième dessin préparatoire. Pour la série des dix paysages qu'il me faut.

Cette année, pour ma saison d'été, j'aurai une bonne trentaine de toiles à présenter dans ma galerie d'Art. Superbe.
Nous travaillons ainsi, parfois en chantant et poussant des cris surréalistes. Clémentine m'en apprend des nouveaux.
Parfois en nous levant pour nous faire des câlins, des bisous, nous chuchoter des douceurs et des cochonneries. Joie.
Il est rapidement midi. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Des endives.
Je coupe deux gros poireaux en petits morceaux que je fais cuire avec de l'ail et de l'oignon dans de l'eau bouillante.

Je prépare une belle pâtes à pain. Clémentine coupe une courgette, une aubergine. Je fais gonfler notre pilpil de blé.
Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute du gruyère de Comté et les morceaux de poireaux bien égouttés.
J'en récupère un peu comme sauce avec le pilpil de blé. Clémentine fait revenir la courgette et l'aubergine à la poêle.
Elle rajoute des crevettes. La pâte à pain repose sous un linge. La Béchamel repose sous un couvercle. Repas du soir.
Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Clémentine propose une promenade pour l'après-midi. La superbe idée.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me parle de son rêve.
< Je n'arrête pas de faire des rêves cochons depuis quelques temps. Cette nuit c'était bien glauque encore ! > dit elle.
Une vague histoire de camionneur branleur au port de plaisance. < Je me suis réveillée trop tôt ! > rajoute t-elle. Rire.
Nous en avons déjà vécu bien des choses au port de plaisance. Ce rêve synthétise quelques unes d'entre elles. Sympa.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. C'est si drôle.

Clémentine mime une pipe. Une bosse à l'intérieur de sa joue avec la brosse à dents. La mousse aux coins des lèvres.
Je demande : < Et là, tu suces qui ? >. Clémentine lance : < Le camionneur du rêve de cette nuit. Un gros vicieux ! >
Nous rigolons comme des bossus en nous rinçant la bouche. Nous enfilons nos grosses godasses de marche. C'est bon.
< Tu es prié d'être aussi vicieux que le camionneur durant toute la balade ! > dit Clémentine en ouvrant ma braguette.
Elle m'en extrait une queue molle mais bien pendante. Pour s'en faire une idée il suffit d'aller visiter ma galerie photos.

Clémentine m'entraîne devant le miroir de l'armoire. Accroupie à ma gauche, sa tête en appui sur ma cuisse. Si belle.
Serrant ma jambe dans ses bras, elle me fait : < Mon bon "Maître", j'ai besoin d'être soumise à votre bon vouloir ! >
Je pose ma main sur sa tête pour dire : < Ma délicieuse "Soumise", je vais m'occuper de votre cas dès maintenant ! >
Elle se déplace tout en se mettant à genoux entre le miroir et moi. Elle frotte son visage contre le Zob toujours mou.
Je la saisis par les oreilles. Je vais la guider. Tout en gémissant de bonheur, Clémentine se met à me tailler une pipe.

Je la force à se redresser. Les lèvres humides de mon liquide séminal, elle ouvre la bouche pour me montrer le foutre.
Elle déglutit avant de me chuchoter : < Je vous aime bon "Maître" ! >. Nous dévalons les escaliers en riant de ce jeu.
Nous enfilons nos anoraks. Cet après-midi, il faut les fermer, mettre les bonnets et les gants. Nous avons bien chaud.
Main dans la main, nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Sous mon anorak pend la bite. Clémentine la touche.
A chaque arrêt où nous nous embrassons, elle glisse sa main sous mon anorak pour me palper la queue avec vivacité.

Nous longeons la rivière. Trois kilomètres pour arriver en vue des bâtiments du haras. Il y a plein de voitures garées.
Ce sont les vacances de février. Les cavaliers que nous croisons sont principalement des jeunes filles. Lycéennes. Bon.
Nous restons d'une grande prudence dans nos attitudes de dépravés notoires. Inutile de tenter le diable. Être discret.
Nous faisons la boucle des trois heures. Une superbe balade. Le ciel reste gris. Pas une seule goutte de pluie pourtant.
Il est 17 h 30 lorsque nous revenons à la maison. Estelle est déjà là. Il y a sa voiture garée à côté du garage. Parfait.

Nous rentrons. Elle nous fait la bise avant de me sauter au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Joie.
Estelle est entrain de réchauffer la garniture pour la tarte au poireau. Cette Flamiche Picarde qui enchante nos mardis.
Nous allons tous les trois dans l'atelier. Les filles comparent l'avancée de leurs travaux. Je regarde mon dessin. Parfait.
Je prépare de la peinture acrylique que je délaie dans un peu d'eau. C'est de la terre de Sienne brûlée. Transparente.
Clémentine adore procéder à cette opération. Passer la couche d'impression sur le dessin réalisé au crayon. Superbe.

Tout est prêt. Avec le spalter, ce large pinceau, Clémentine applique les couches sous les yeux étonnés d'Estelle. Bien.
< Je peux ? > demande t-elle à Clémentine qui lui donne le pinceau. < Génial ! > s'écrie Estelle qui procède avec soin.
Lorsque la couche d'acrylique sèche, par transparence, apparaît le dessin préparatoire. La peinture se fige rapidement.
Elles se refilent le spalter pour appliquer une seconde couche. Il en faut trois. < Me voilà artiste ! > lance Estelle. Rire.
Ces couches d'impression permettent d'harmoniser toutes les couches supérieures de peintures à l'huile futures. Bien.

Il est 18 h30. Un bruit sourd, caverneux au dessus de nos têtes. Le fantôme de mon ancienne compagne. Un vacarme.
< Elle fait fort ce soir la Christine ! > fait Estelle qui termine la troisième couche. Cela ne dure que dix minutes. Bruits.
Les trois toiles ainsi traitées reposent à présent bien à plat. Elles seront complètement sèches d'ici cinq minutes. Parfait.
< J'ai mérité une friandise ! > dit Estelle qui glisse sa main dans ma braguette. < C'est encore mouillé ! > s'écrie t-elle.
Clémentine lui en explique la raison. Les multiples petits arrêts pipe et branlette durant nos promenades. Estelle palpe.

Elle me montre ses doigts mouillés de foutre avant de les porter à sa bouche pour les sucer en me fixant effrontément.
Clémentine me sort la queue pour l'agiter vers Estelle. < Ta friandise ! > dit elle. Estelle qui s'accroupit immédiatement.
< Mmhh ! > murmure t-elle en tétant le prépuce fripé pour en extraire tout le contenu. Clémentine me sort les couilles.
Je force Estelle à se redresser en disant : < Allons préparer la bouffe et manger ! Tu en auras plein pour le dessert ! >
Nous quittons l'atelier. Clémentine me tient fermement par les couilles. Je les porte bien dodues ce soir. Et bien pleines.

Estelle travaille un peu la pâte à pain pour la rendre plus onctueuse. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Bien.
Je mets la table. < Ta bite et des couilles, sel te pli, monsieur ! > me lance Estelle en agitant ses longs doigts enfarinés.
Mains sur les hanches, je lui présente mes organes génitaux qu'elle enduit de farine humide. Le rituel des mardis soirs.
Celui des jeudis également puisqu'il y a les pizzas. Notre tarte aux poireaux est au four. Les filles m'entraînent au salon.
Assises sur le bord du canapé, me tenant par les fesses, les hanches, les deux coquines me lèchent soigneusement. Joie.

J'ai rapidement la bite et les couilles parfaitement nettoyées et luisantes. Elles se refilent la bite qu'elle sucent en riant.
Je leurs caresse la tête, le visage. J'aime passer mes doigts sur leurs joues creusées par l'effort de succion. Super pipe.
Parfois, j'appuie sur une nuque un peu plus fort pour bien enfoncer la queue dans la bouche de ma pompeuse. Superbe.
C'est évidemment un concerto de gémissements, de petits cris de ravissement entrecoupés de rire et de mots cochons.
La sonnerie du four. J'aide les filles à se relever en tirant sur les mains qu'elles me tendent. Nous précipiter à la cuisine.

Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant. Estelle se lève souvent pour mimer une masturbation masculine.
Je me lève pour agiter ma queue dans sa direction. Ça aussi, ça fait partie de nos rituels. C'est tellement merveilleux.
Estelle nous parle de son parrain. Elle ne le verra pas demain soir. Elle préfère venir passer la soirée avec nous. Super.
Il y aura probablement Juliette. < On va la tester comme on a fait avec Julie, hier soir ! > dit Estelle, mimant la branle.
< J'ai une idée de film aussi ! > rajoute t-elle. Il est en effet question de tourner très bientôt un de nos films cochons.

< Et si on demandait à Julie de faire la "figurante" dans le prochain ? > lance encore Estelle. Nous rions de bon cœur.
Ce n'est pas si con. Estelle développe son idée. Trois filles, une salle de classe et un professeur. Nous nous regardons.
Clémentine fait : < Il ne faut pas seulement convaincre Julie, mais il faut trouver la salle de classe ! >. Nous rigolons.
< Le professeur, on l'a ! > lance Estelle en me désignant. Elle rajoute : < Pour la salle de cours, il y a l'atelier, non ? >
Je vois où elle veut en venir. < On a deux bancs d'école à la cave ! > fait encore Clémentine. Vrai. Sous une bâche.

Nous traînons à table en évoquant toutes sortes de déclinaisons plus loufoques et surréalistes les unes que les autres.
La vaisselle. Ranger la cuisine. < Venez, on va à la cave pour voir les bancs ! > fait Clémentine. Nous la suivons. Rire.
C'est dans une des salles, entre de vieilles caisses, des étagères, sous une bâche que sont entreposés les vieux bancs.
Christine, mon ancienne compagne était enseignante. C'est elle, il y a dix ans, qui a récupéré ces deux bancs d'école.
Je retire la bâche. Ce sont deux bancs d'école à l'ancienne. Des tables fixées à deux bancs. Deux places pour chacun.

< C'est génial ! C'est carrément parfait ! > lance Estelle admirative. Il y a les trous des encriers et des graffitis gravés.
Nous avions à l'époque, en projet, de les remettre en état, de les utiliser en éléments de décors pour des plantes. Bien.
Lorsque Christine est décédée, ce projet est resté à l'abandon. Je n'en avais rien à cirer et je les ai totalement oublié.
Je remets les bâches. < On propose ce plan à Julie quand elle revient ! > conclue Estelle. Je trouve ce projet superbe.
< Et si c'est Juliette qui faisait la professeur ? > lance Clémentine quand nous remontons. < Génial ! > s'écrie Estelle.

Au salon, vautrés dans le canapé, j'écoute les filles mettre au point tout un tas de scénarios parfaitement surréalistes.
Pourtant, tout cela semble logique, s'inscrit dans le domaine des possibles. Même si nous ne le faisions qu'entre nous.
Très rapidement ce projet prend forme. Nous nous promettons d'en parler à Julie et à Juliette demain soir. C'est super.
Je suis assis entre les filles qui me sucent à tour de rôle. Celle qui ne suce pas développe une nouvelle vision du projet.
Je me lève. J'éjacule dans les bouches grandes ouvertes pour bien partager. Il est 22 h. Je convainc Estelle de rentrer.

Bonne soirée à toutes les coquines qui voient se profiler un nouveau projet cinématographique encore plus fou...

Julien - (J'écoute Clémentine me raconter en détails sa façon de voir ce projet pendant que je la lèche) -

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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette", Gérard et tous les autres, ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. La "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique vingtième troisième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien

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Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1070 -



Clémentine, Estelle, Juliette et moi

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par quantité de bisous qu'on me dépose délicatement sur les joues, le front, nez.
J'ouvre les yeux. En même temps que Clémentine se serre très fort contre moi, toute contente de m'avoir réveillé. 8 h.
Quelques papouilles et elle m'entraîne par mon érection matinale jusqu'aux toilettes. Le rituel des pisssous matinaux.
Vêtus de nos tenues jogging, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Préparer le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant ce nouveau projet de film porno que souhaite réaliser Estelle. Super.

La vaisselle. Nous enfilons nos K-way. Les bonnets et les gants. La fraîcheur matinale est plutôt vive. Il est déjà 8 h30.
Quelques mouvements d'échauffement et nous voilà partis. Nous courons d'un bon rythme soutenu. Un ciel lumineux.
Il est 9 h30 lorsque nous revenons après un running des plus gratifiants. La douche. Nous nous babillons. C'est parfait.
Clémentine nous entraîne au salon. Elle allume l'ordinateur. Deux courriels. Un message de Juliette. Elle sera là ce soir.
Un message de Julie qui propose de passer le vendredi après-midi avec nous. Elle pourra être là pour 14 h jusqu'à 18 h.

Nous répondons. < Très sympa ! Tu vois, Julie n'a qu'une envie, une récidive avec nous trois ! > me lance Clémentine.
Clémentine surfe un peu sur le site de l'université. Elle découvre avec joie les résultats du mémoire remis vendredi 14.
< Superbes notes ! > s'écrie t-elle. Nous allons dans l'atelier. Cette fois, j'allume le petit poêle rond Godin. C'est super.
Clémentine, assise devant son ordinateur, se met à ses recherches. Je suis installé devant mon chevalet. Nous adorons.
Encore une de ces séances de travail ensemble. Le petit poêle chauffe très vite. Les craquements du bois si agréables.

Je procède au dessin préparatoire d'une quatrième toile. Un paysage. Et d'après une photo prise en Ecosse l'an dernier.
La reste de la matinée se déroule ainsi. Il est presque midi. J'ai terminé. Clémentine ne laisse rien en suspend. Parfait.
Je mets deux bûches dans le petit poêle. Ce qui le remplit complètement. Il est plutôt gourmand avec le tirage ouvert.
Je le ferme. L'atelier est bien chaud. Nous allons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Pour midi. Pour ce soir.
La pâte feuilleté et le saumon ont décongelé. Je fais gonfler du riz complet. J'émince finement le saumon, ail et oignon.

Je concocte une belle Béchamel. Je rajoute des champignons dans la poêlée de saumon. Et je fais rissoler à feux doux.
Je verse le tout dans la Béchamel. La pâte feuilleté est déposée dans un moule à cake. Je verse la sauce puis j'enroule.
Je badigeonne d'un mélange d'œuf et d'huile d'olive. Notre feuilleté de saumon pour ce soir est au four. Petits légumes.
J'ai pris soin de garder un peu de Béchamel en accompagnement de notre riz. Nous mangeons de bon appétit. Délicat.
Clémentine suggère une bonne balade cet après-midi. Cette fois nous irons vers le bourg voisin, un autre circuit sympa.

La vaisselle. Nous allons au salon afin d'y dresser la table pour ce soir. On laisse un petit mot pour Estelle sur le frigo.
Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine imite une pipe.
Cela nous amuse toujours beaucoup. Surtout lorsque je demande : < A qui ? >. Qu'elle me répond : < A toi, et fort ! >
Nous en rions de bon cœur. Nous mettons les grosses godasses. Nous dévalons les escaliers, pressés de filer, marcher.
Nos anoraks sont bien fermés. La fraîcheur reste vive mais c'est très loin d'être celle d'une météo d'un mois de février.

Nos braguettes ouvertes sous nos anoraks fermés nous permettent d'y glisser la main et de la mettre bien au chaud.
Nous remontons le chemin jusque sur la petite route qu'il faut longer sur environs trois cent mètres jusqu'au chemin.
Nous passons devant la propriété de nos plus proches voisins, les Bertrand. On distingue les toits derrière les sapins.
Nous prenons le chemin. Clémentine retire son gant pour fourrer sa main dans ma braguette. < Je t'aime ! > dit elle.
Nous faisons ainsi de nombreux arrêts pour nous embrasser, nous toucher. Pour moi l'accès est moins évident. Rires.

Nous contournons le bourg par le sentier des vaches. Aucune vache en hiver. Et il y a la ruine du vieux moulin là-bas.
Je prends quelques photos sous cet angle. Source d'inspiration pour des toiles futures. Clémentine m'a sorti la queue.
Comme elle me tient la queue dans la main, je ne sens pas le froid. Serrée derrière moi, elle me branle en chuchotant.
Nous faisons la boucle qui passe par la grande exploitation agricole de monsieur Bernard. Un copain à Gérard. Vicelard.
Nous rions de bon cœur en nous souvenant de la surprise que nous avait réservé Juliette en invitant ce véritable porc.

< Vilaine bite, sale goût et plutôt pervers ! > fait Clémentine qui se souvient du trou dans le mur et de cette "surprise".
Il est 17 h30 quand nous revenons à la maison. Estelle est déjà là. La voiture d'entreprise est garée à côté du garage.
Elle nous fait la bise. Elle se serre contre moi. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Et elle est si heureuse.
Par jeu, Clémentine s'interpose. Estelle est entrain de préparer les légumes d'accompagnement. Nous l'aidons de suite.
J'écosse les haricots, Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Estelle épluche les patates. Super.

Les filles évoquent leurs travaux de recherches. Elles iront comparer tout à l'heure sur l'ordi. J'écoute. C'est intéressant.
Tout est rapidement prêt. Je fais rissoler les pommes de terre finement coupées en chips. Estelle réchauffe les haricots.
Le repas de ce soir sera encore un régal. Juliette ramène une tarte aux abricots pour le dessert. Une tarte faite maison.
Nous retournons dans l'atelier. Il est 18 h30. En même temps que résonnent les premières manifestations du fantôme.
Cela dure dix minutes. Portes qui grincent, qui claquent, meubles qu'on déplace, bruits de pas furtifs, rapides. Délirant.

Les filles sont assises devant l'ordinateur. Je suis debout derrière elles. Je caresse leurs nuques, je lisse leurs cheveux.
< C'est bon ce que tu nous fais ! > murmure Estelle tout en restant concentrée sur les graphiques affichés sur l'écran.
Clémentine commente à haute voix. Je comprends mieux ces abstractions mathématiques, ces équations, ces courbes.
Il est 19 h. Nous quittons l'atelier pour retourner à la cuisine. J'allume le four afin de réchauffer le feuilleté de saumon.
Les légumes ont cuit. Ils reposent hors feux sous leurs couvercles. Nous sommes morts de faim. Nous allons au salon.

Il vaut mieux fuir la cuisine pour ne pas se mettre à goûter et à grignoter. Estelle m'entraîne sur le canapé. Bite à l'air.
Je suis assis entre les deux filles. Estelle revient sur le projet encore hautement fantaisiste de notre prochain film. Rire.
Tout en parlant, elle me tord la bite dans tous les sens. Surtout vers le bas quand je bande. Et pour bien m'indisposer.
La coquine le sait. J'écoute les échanges nébuleux des filles qui commencent à faire le tri entre le réalisable et le reste.
Nous éclatons souvent de rire. En fait, il faut opter pour ce qui reste rationnel. Et ce sera déjà largement extraordinaire.

Je suis debout. C'est pour échapper à la torture que m'inflige Estelle qui pourtant continue à me tordre la queue dure.
Trois coups de sonnette. Clémentine se lève pour aller ouvrir. Estelle s'avance et se met à me tailler une pipe de folie.
Juliette, vêtue de sa tenue d'écuyère, car elle n'a pas eu le temps de se changer, entre pour découvrir ce spectacle.
< Je vois ! Je vois ce qui se passe ici ! Bonsoir les vicieux ! > fait elle en s'avançant pour nous serre la main. Sublime.
Je me fais tailler une pipe tout en serrant la main de Juliette. Clémentine qui regarde la scène en riant. C'est de l'Art !

Je force Estelle à cesser. Je la tiens par ses cheveux, je me penche pour faire : < Dis bonjour à la dame, essuie toi ! >
Estelle se redresse, se lève, dépasse Juliette d'une demi tête pour lui serrer la main en disant : < Bonsoir madame ! >
Je me retrouve avec trois merveilleuses créatures. Plus dévergondées l'une que l'autre, la bite à l'air. Et majestueuse.
Je propose de faire le service. < Pas question ! > lance Juliette trop heureuse de se retrouver en si joyeuse compagnie.
Nous allons tous les quatre à la cuisine chercher les plats. < Miam ! Tout ce que j'aime ! > fait Juliette. Mais nous aussi.

Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte les dernières actualités au haras. L'animation organisée dimanche.
Rapidement Estelle en vient à notre projet. Ce film pornographique dont l'action serait la salle de cours, ses étudiantes.
< Génial ! > lance Juliette à chaque explications d'Estelle. Je me branle sous la table. Juliette me fixe de son regard dur.
< Je veux bien m'occuper de la caméra comme la dernière fois, mais je ne veux pas apparaître dans le film ! > dit elle.
Estelle qui a prévu ce genre de réponse, précise : < Filmée de dos, comme Clémentine, juste pour faire la figuration ! >

< On met la caméra sur "automatique" et on reste assises, de dos, pas identifiables ! > précise Clémentine. J'écoute.
Juliette semble ravie de cette vision des choses. < Tourner dans un film porno, sans être reconnue. Mon fantasme ! >
Les filles parlent des modalités. La mise en pratique. Il est préférable de tourner un après-midi pour la lumière. Mieux.
< C'est Ok pour moi ! > s'écrie Juliette convaincue par les arguments d'Estelle qui rajoute : < J'élabore un scénario ! >
Nous savons lui faire confiance. Il suffira de convaincre Julie vendredi après-midi. Ainsi, il y aura quatre filles en cours.

Nous rions de bon cœur à l'idée de réaliser un tel projet. < Tu nous fais ton show ! > me chuchote Clémentine. Rires.
Je me lève. Avec toutes ces discussions, je bande évidemment comme le dernier des salauds. Je me branle. Sublime.
J'agite ma bite vers chacune. Je la tiens à sa base entre le pouce et l'index. < Put-Hein de machin ! > s'écrie Juliette.
Je ne suis pourtant pas doté d'un organe très exceptionnel. Mais mes 18 cm bien droits, turgescents, impressionnent.
Les filles éclatent de rire en applaudissant. Je suis toujours en proie à un sentiment de honte, de gêne et d'excitation.

Se comporter ainsi, devant deux jeunes filles de 22 ans et d'une belle bourgeoise de 43 ans, provoque ces sentiments.
C'est pourtant tellement bon que je pourrai éjaculer comme un dément dans toutes les directions en hurlant de plaisir.
Je me contrôle. C'est trop bien. La soirée se passe ainsi. Le dessert est fameux. Nous faisons la vaisselle en riant bien.
Juliette nous promet de nous faire un courriel très rapidement. Elle veut s'organiser pour vendredi, semaine prochaine.
C'est parfait pour nous. Estelle veut organiser le décors dans l'atelier. Tout se met doucement en place. C'est superbe.

Nous raccompagnons Juliette à sa voiture. Nos anoraks car il fait un froid sec. Il est 22 h. Nous nous serrons les mains.
Juliette fait bouger son index dans la paume de ma main. Je fais pareil. Un code entre vicieux. Nous la regardons partir.
Estelle veut passer la nuit avec nous. < Je suis trop excitée ! Cette salope est d'accord ! C'est génial ! > s'écrie t-elle !
Je la convaincs de rentrer. Elle doit être au bureau de l'entreprise familiale pour 8 h. < A neuf heures ! > corrige t-elle.
Je dis : < Bon, viens ! >. Elle sautille de joie. Au lit, je fais des cunnilingus, je me fais sucer, je baise. Orgasmes fous.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à mettre au point le déroulement de leurs prochaines folies...

Julien - (Je passe de l'une à l'autre. Nous préférons faire nos trucs au salon plutôt que dans un lit. On se meut mieux) -

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Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1071 -



La soirée pizza

Hier matin, jeudi, je suis réveillé par les incessants mouvements que fait Estelle serrée toute la nuit contre moi. Fort.
Cette nuit, elle n'a pas cessé de "pédaler". Ces pieds bougeant sans arrêt. Je lui dépose un bisou sur le front, la joue.
Elle se blottit encore davantage en gémissant. Clémentine se réveille à son tour pour venir se serrer contre moi. Fort.
Il est presque 8 h. Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Quelques bises.
Elle revient pour se vêtir de la tenue sport que lui prête Clémentine. < Je descends préparer le petit déj ! > fait elle.

C'est à notre tour. Les pipis du matin. Nous mettons nos tenues jogging. Morts de faim, nous descendons à la cuisine.
L'odeur de pain grillé, le café, Estelle, de quoi nous enchanter. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Rire.
Nous évoquons notre soirée, hier, la présence de Juliette, notre projet de film pornographique. Tout semble être bien.
La vaisselle. Dehors le ciel est lumineux. Nous enfilons nos K-way. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti.
Nous courons d'un bon rythme. Estelle impulse le tempo sans jamais accélérer ou ralentir. Nous n'avons qu'à la suivre.

Il est 9 h30 lorsque nous revenons après un running des plus agréables. Estelle prend sa douche la première. Parfait.
Clémentine m'entraîne devant l'ordinateur, au salon. Nous découvrons le message de Julie. Elle vient demain. Super.
Elle sera là pour 14 h et repartira pour 18 h. Nous répondons. Estelle revient. Elle doit filer car elle travaille ce matin.
Des bisous. Elle revient en fin d'après-midi. Nous montons prendre notre douche. Nous nous habillons. Il est déjà 10 h.
Nous faisons notre lit. Nous descendons. Nous allons dans l'atelier. Clémentine est assise devant l'ordinateur. Boulot.

Je suis installé devant mon chevalet. Je procède à un nouveau dessin préparatoire. Une autre toile. La série paysage.
Le restant de la matinée passe ainsi, dans l'émulation des efforts communs. Deux heures de pur plaisir. C'est superbe.
Il est midi. La douceur revenue, avec ce climat, il y a juste le radiateur qui fonctionne. Voilà le soleil qui arrive dehors.
Nous allons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je fais une pâte à pain.
Pour le rituel des pizzas du jeudi soir. Je prépare la garniture. Tomates, champignons, ail, oignon, persil et ciboulette.

La pâte repose sous un linge. La garniture repose sous un couvercle. Le repas du soir est assuré. Je mets notre table.
J'ai récupéré un peu de garniture en accompagnement de nos coquillettes. Clémentine a râpé le gruyère, le Parmesan.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous parlons de notre prochain séjour, en avril, dans le Jura. Bien.
Une semaine dans notre location à la sortie de Morteau. Nous y avons déjà passé une semaine il y a trois ans. Sympa.
Clémentine se réjouie de retrouver cette région dont elle garde le plus merveilleux souvenir. Ses premières vacances.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine évoque la seconde partie du second trimestre qui l'attend.
< Il me faudra donner un bon coup de collier ! > précise t-elle. Et six semaines consacrées à un travail de recherche.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rire.
Clémentine imite une fellation en me fixant par en dessous. La brosse à dents faisant une bosse à l'intérieur de la joue.
Je demande : < Et là tu suces qui ? >. Clémentine, de la mousse au coin des lèvres, répond : < Un parfait inconnu ! >

Nous rions de bon cœur tout en nous rinçant la bouche au dessus du lavabo. Clémentine m'entraîne dans la chambre.
Elle me pousse sur le lit. Elle s'allonge à côté de moi pour me sortir le sexe de la braguette toujours ouverte. Superbe.
< Mon inconnu ! > fait elle en m'embrassant avec fougue. Je bande. Sa tête posée sur mon ventre elle renifle la bite.
Je lui caresse la nuque que je saisis pour appuyer lorsqu'elle se met à téter. Et je me fais tailler une pipe des familles.
Toutes les deux minutes, Clémentine cesse pour me donner son ressenti, me poser une question, pour m'embrasser.

Cela dure une bonne demi heure. Nous aimons tous deux rester excités pour le reste de la journée. C'est très excitant.
Ce soir il y aura Estelle. Clémentine se blottit contre moi. Nous restons encore un petit moment à nous raconter. Bises.
Clémentine suggère un balade. Profiter de cette météo exceptionnelle. Nous descendons. Il est à peine 14 h. Superbe.
Les grosses godasses. Nous enfilons les anoraks que nous laissons ouverts. Il fait à nouveau tellement agréable. Bien.
Nous descendons jusqu'à la rivière que nous longeons main dans la main avec de nombreux arrêts bisous et tripotage.

Nous jouons à nos jeux de rôles. Tour à tour exhibitionnistes, tour à tour voyeurs, mais toujours en parfaits vicieux.
Ce sont toutefois des jeux amoureux autant que vicelards. Toute notre histoire est faite de ces étranges paradoxes.
Nous arrivons en vue des bâtiments du haras. Nous traversons le petit pont de pierres, la petite route. Il fait soleil.
Il y a de nombreuses voitures garées là-bas, dans la cour. On y voit des gens et des chevaux. Les vacances scolaires.
Nous croisons quelques jeunes cavalières que nous saluons. Je planque toujours ma queue juste à temps. Prudence.

Nous faisons la boucle des trois heures. En faisant un pissou, Clémentine s'écrie : < Mes "petits machins" de fille ! >
Réglée comme une horloge, Clémentine entre tous les 20 du mois dans son cycle. < Plus de baise, la pipe! > dit elle.
Nous en rigolons comme des bossus. Il est 17 h30 quand nous revenons à la maison. Estelle est déjà là, sa voiture.
Elle nous fait la bise et me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine qui s'interpose.
C'est toujours par jeu qu'elle prononce la même phrase laconique : < Je te rappelle que c'est mon mec. Je le prête ! >

Estelle est entrain de faire l'assaisonnement de la salade. Clémentine prépare un thé au jasmin. Je prépare les tasses.
Le tout sur un plateau. Nous allons tous les trois dans l'atelier. Les filles veulent comparer l'avancée de leurs travaux.
J'en profite pour délayer un peu de peinture acrylique, terre de Sienne brûlée dans un petit récipient d'eau. C'est bien.
Comme j'ai deux dessins préparatoires déjà réalisés, je peux y appliquer la couche d'impression. Trois couches diluées.
C'est une peinture transparente qui permet l'harmonie des futures couches supérieures à l'huile qui y seront déposées.

Clémentine adore faire ça. Elles viennent toutes les deux me rejoindre. Elles se passent le pinceau large. Un spalter.
Ce sont trois couches croisées. Elles font ça très bien. Je suis assis en tailleur. Et elles sont toutes les deux à genoux.
L'acrylique est une émulsion de pigments dans une résine d'acrylate. Chaque couche sèche rapidement. Rendu parfait.
Je félicite les filles. Il est 18 h30. Au dessus de nos têtes, un bruit sourd. C'est l'heure de la visite du fantôme. Précis.
< Bonsoir Christine ! > font Estelle et Clémentine. Nous écoutons le florilège des bruits habituels. Un vacarme d'enfer.

Estelle, tout en ayant glissé sa main dans ma braguette, commente les manifestations paranormales qui résonnent.
Cela ne dure que dix minutes. < Et c'est mouillé ! > fait Estelle en me montrant ses doigts gluants de liquide séminal.
< C'est à cause moi cet après-midi ! > fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Estelle m'extrait une queue molle.
Elle adore jouer avec la peau fripée de mon prépuce. Surtout lorsque qu'il est trempé. Elle masse avec pouce et index.
< Ce soir je te la bouffe mon salaud, je vais t'apprendre à te balader avec la bite à l'air ! > s'écrie Estelle. Nous rions.

Les filles retournent devant l'ordinateur. Debout derrière elles, j'écoute les explications de Clémentine en les caressant.
J'aime passer mes mains sous leurs cheveux pour caresser leurs nuques. Elles adorent que je lisse leurs cheveux. Joie.
Il est presque 19 h. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Estelle travaille la pâte à pain. Je réchauffe la sauce.
Clémentine râpe du gruyère, du Parmesan. Nous n'arrêtons par de rire. Clémentine a un peu mal au ventre, aux seins.
C'est toujours ainsi le premier jour de son cycle. Estelle étale la pâte. Je verse la garniture. Clémentine la répand bien.

Les pizzas sont au four. La table est mise. J'ai échappé à la bite enduite de farine. Les filles m'entraînent au salon. Joie.
Nous sommes à nouveau vautrés dans le canapé. Tout en bavardant, Estelle me tord la bite dans tous les sens. Sympa.
< Je suis là demain pour 14 h ! > précise t-elle. Nous serons tous les trois en compagnie de Julie. Belles réjouissances.
< Il faudra lui parler de notre projet de film porno et surtout la convaincre ! > confie Estelle. Nous la savons persuasive.
< Il faudra utiliser les mêmes arguments qu'avec Juliette ! > lance t-elle encore. Clémentine dit : < C'est pas gagné ! >

Les filles évoquent ce projet. Je bande dans la main d'Estelle qui aime bien contrarier la queue vers le bas. Douloureux.
Heureusement que la sonnerie du four résonne depuis la cuisine. Morts de faim nous nous précipitons. L'odeur délicate.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent leurs études. Puis elles reviennent à notre projet.
< Je veux à tous prix réaliser ce film ! > précise Estelle. J'écoute amusé les différentes déclinaisons envisagées. Délires.
Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles échangent leurs impressions quand à Julie qui revient demain.

< On va bien s'amuser. On va la choquer. Elle joue si bien la fille gênée ! > fait Clémentine. Nous connaissons ses jeux.
< Oui, une excellente actrice ! > rajoute Estelle. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles m'entraînent au salon.
Clémentine s'installe dans le fauteuil. C'est le "signal". Le "code". Estelle me saisis par la queue. Me pousse. Le canapé.
A genoux entre mes jambes écartées, sous le regard de Clémentine, Estelle se met à me sucer avec passion. Fougue.
Je lui caresse les cheveux. Je passe mes doigts sur ses joues creusées par l'effort de succion. J'appuie sur sa nuque.

Clémentine a glissé une main dans son jean déboutonné. Toute rouge, excitée, elle observe son spectacle préféré. Joie.
Elle me fait un clin d'œil. Elle se masturbe. Estelle cesse de sucer. Retire son jeans, sa culotte et se couche sur le tapis.
< Viens ! > me supplie t-elle. Je me lève pour me coucher sur elle. Je m'introduis délicatement. On baise en vrais fous.
J'entends les gémissements de Clémentine qui se masturbe en nous observant. Estelle qui connaît un orgasme délirant.
C'est au tour de Clémentine de jouir. Je me lève pour lui enfoncer la bite dans la bouche. Elle en gémit de plaisir. Jute.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se réjouissent déjà à l'idée de réaliser de futurs projets bien vicelards...

Julien - (J'écoute Clémentine me chuchoter des douceurs, serrée contre moi, sous les draps) -

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Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1072 -



Un journée pleine de surprises

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil de la plus merveilleuse des manières. C'est tout simplement divin.
Clémentine suce mon érection matinale. Ce n'est pas vraiment agréable, c'est au delà. Mais une délicieuse sensation.
Je lui caresse la tête sous le draps pour la forcer à remonter se blottir contre moi en lui chuchotant des douceurs. Joie.
Il est presque 8 h. < J'ai fait un rêve érotique ! > me murmure t-elle avant de m'entraîner par la queue aux toilettes.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine y préparer le petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me raconte son rêve. Et il y est question de Mr Gérard.
< Ce vieux cochon revient souvent dans mes rêves érotiques ! > fait encore Clémentine. Nous en rions de bon cœur.
Je dis : < C'est un signe, sa bite qui t'attend ! >. Clémentine s'empresse de dire : < Et elle va attendre longtemps ! >
La vaisselle. Nous enfilons nos K-way, nos bonnets et nos gants. Quelques mouvements d'échauffement. Il fait frais.
Nous voilà partis d'un rythme soutenu. C'est tellement bien de courir au dehors le matin plutôt que sur tapis roulants.

Il est 9 h30 lorsque nous sommes de retour après un running des plus gratifiants. La douche puis nous nous habillons.
Nous faisons notre lit. Nous redescendons. Clémentine m'entraîne dans l'atelier, devant son ordinateur. Deux courriels.
Un message de Juliette qui nous explique que finalement elle ne fera pas la "figurante" dans notre film. Après réflexion.
Ne désirant pas prendre le moindre risque, la jeune femme rajoute qu'elle se désiste en nous présentant ses excuses.
Nous répondons. Ce n'est pas grave. Le message de Julie qui confirme sa venue cette après-midi pour 13 h45 précise.

< Je m'y attendais un peu ! > me dit Clémentine à propos de Juliette. Nous n'en parlons plus. Je m'installe au chevalet.
Chacun assis à son poste de travail, nous restons concentrés sur nos tâches. Clémentine se penche sur ses recherches.
Je commence un nouveau dessin préparatoire d'après une photo que j'ai prise durant une de nos randonnées. Superbe.
Clémentine chantonne quelquefois. Il n'y a que le petit poêle Godin et le radiateur qui fonctionnent. C'est très agréable.
Il est presque midi. Clémentine cesse pour venir me rejoindre. J'arrête. Nous mettons deux bûches dans le poêle rond.

< C'est bien de travailler un peu tous les jours, j'avance bien dans mes préparations ! > me confie Clémentine. Parfait.
A la cuisine, Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du millet doré. Je lave, je coupe l'aubergine en tranches.
Je fais de même avec la courgette. Je fais revenir le tout dans le wok. A la poêle je fais rissoler deux filets de cabillaud.
J'en prépare une bonne quantité. Ainsi, ce soir, il suffira de réchauffer. Clémentine met la table. La préparation rapide.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors, de lumineux, le ciel s'est presque entièrement dégagé. Bon.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. C'est si drôle.
Lorsque Clémentine imite une fellation avec sa brosse à dents, je fais : < C'est la bite à ce vieux cochon de Gérard ? >
< Non c'est la tienne. Pendant quelques temps, je ne veux m'occuper que d'elle ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Nous nous rinçons la bouche au dessus du lavabo avant de nous embrasser comme des fous et je soulève Clémentine.
Ses jambes autour de mes hanches, je la promène dans toute la salle de bain. C'est une ancienne pièce très spacieuse.

Nous redescendons en restant serrés fort. Nous enfilons nos anoraks. Cette fraîcheur reste vive à cause d'un léger vent.
Nous faisons quelques pas. Clémentine propose une bonne balade. La voiture de Julie qui descend doucement le chemin.
Elle nous voit. Elle nous fait un coucou. C'est étrange de la voir en plein jour et en début d'après-midi. C'est très sympa.
Julie est vêtue d'un jeans, un sweat noir sous un anorak noir. Ses bottines. Ses longs cheveux presque noirs en liberté.
Elle se précipite, toute contente de nous voir. Poignée de main et bises. Nous bavardons un peu en marchant. C'est bon.

Nous faisons visiter la propriété à Julie qui découvre enchantée la roseraie. Là-bas, voilà la voiture d'entreprise. Estelle.
Nous lui faisons de grands signes. Elle arrive presque en courant. Une bise à chacune avant de me sauter dans les bras.
Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Julie regarde étonnée. Elle connaît la nature de nos relations. Parfait.
Même si elle semble une fois encore en découvrir les manifestations. Nous marchons un peu tous les quatre. Superbe.
Les filles évoquent leurs vacances universitaires. Ces congés qu'elles mettent à profit pour travailler, réviser, préparer.

Clémentine propose une bonne balade. < Je change de godasses ! > fait Julie. < Moi aussi ! > lance Estelle. Nous aussi.
Le sol est bien sec. Julie cherche ses baskets dans sa voiture. Estelle a plein d'affaire ici. Dont des godasses de marche.
Il est 14 h15. Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. < Tu n'as pas sorti la bite Julien, malade ? > s'écrie Estelle.
Sous le regard consterné de Julie, j'ouvre mon anorak, ma braguette, j'en extrait une bite molle et pendante. Et sèche.
Estelle passe derrière moi pour la saisir à sa base entre le pouce et l'index. Elle l'agite vers Julie et Clémentine. Silence.

< Voilà, c'est mieux ! > fait encore Estelle. Clémentine s'en saisit à son tour. C'est bien d'avoir la queue bien au chaud.
Je referme l'anorak. Julie ne peut dissimuler son trouble à l'idée que près d'elle se promène un mec, braguette ouverte.
Nous longeons la rivière. Estelle passe souvent sa main sous mon anorak. Puis c'est au tour de Clémentine. C'est super.
Julie reste dubitative en observant nos rituels. Estelle l'invite à toucher. < Je préfère voir. > répond la jeune étudiante.
Nous savons qu'elle est avant tout voyeuse. La vraie voyeuse dont le plaisir est avant tout de regarder, de mâter, voir.

J'ouvre donc souvent mon anorak pour lui montrer ma queue bien raide malgré la fraîcheur. Elle me sourit timidement.
Nous arrivons près des bâtiments du haras. Clémentine apprend la décision de Juliette à Estelle. < Certaine ! > dit elle.
< Je le savais ! > rajoute encore Estelle pas du tout déçue. Elle en profite pour exposer notre projet cinématographique.
< Il y a donc une place vacante ! > fait Estelle à l'attention de Julie qui s'empresse de répondre : < Non, vraiment ! >
Julie nous explique que ce n'est absolument pas un fantasme de faire l'actrice dans un film porno, même visage caché.

Estelle n'insiste pas. Clémentine me prend la main. Nous longeons le ruisseau. Estelle n'arrête pas de toucher ma bite.
Clémentine propose de montrer un de nos jeux de rôles à Julie. Je suis chargé de faire l'exhibitionniste, satyre du bois.
Je reste en retrait. Dissimulé derrière les planches du cabanon en ruine. Les filles reviennent sur leurs pas. C'est génial.
Je me branle comme le dernier des vicelards. Elles me surprennent ainsi, toutes les trois. Elles s'arrêtent, m'observent.
Ce sentiment ou se mêlent la gêne, la honte et l'excitation m'envahit complètement. Elles restent silencieuses. Génial.

Dans ces moments là, je comprends très parfaitement les émotions que vit Clémentine dans sa passion exhibitionniste.
Le nombre de fois où elle s'est fait surprendre par des inconnus lors de nos virées, quand je reste caché pour sécuriser.
C'est une émotion intense. J'en ai le vertige. Même si tout cela reste un jeu, une complicité, c'est passionnant. Excitant.
Julie regarde. Bouche ouverte, comme consternée, entre Estelle et Clémentine. J'ai le cœur qui bat la chamade. Super.
Estelle se précipite soudain pour s'accroupir devant moi, me tailler une superbe pipe. Je vacille. J'en ai le vertige. Bien.

Nous continuons notre promenade. Julie nous apprend que cet été, le restaurant sera fermé deux mois pour Travaux.
< Il faut réaliser des travaux de mises aux normes. Ma tante peut enfin prendre des vacances ! > nous explique Julie.
Elle rajoute d'un ton grave : < Et moi, je me retrouve sans boulot durant les vacances . Il faut que je cherche. Dur ! >
Julie est étudiante. Le besoin d'argent est vitale. La bourse ne suffit pas et ses parents ne sont pas fortunés. Difficile.
Nous faisons la boucle des trois heures. Julie retrouve toutefois rapidement son optimisme et sa bonne humeur. Bien.

Il est 17 h quand nous sommes de retour. Clémentine propose un thé avant le départ de Julie qui accepte avec plaisir.
Nous voilà vautrés dans le canapé, Julie à ma droite, Estelle à ma gauche, Clémentine en face assise dans le fauteuil.
Estelle joue avec ma bite. Julie, peut-être par jeu, évite absolument de regarder. Ce qui amuse beaucoup Clémentine.
Julie doit y aller. La mise en place dans le restaurant de sa tante. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Difficile.
Nous avons passé un si délicieux après-midi. Julie nous en remercie. Elle propose une récidive la semaine prochaine.

Rendez-vous lundi soir pour un bon repas. Un dernier coucou. Nous la regardons partir. Estelle agite ma bite en riant.
Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Nous retournons au salon. Estelle semble un peu déçue à cause du projet.
< On fera un truc très bien juste à trois. Rassure toi ce sera parfait ! > lui fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur.
Estelle joue avec ma queue. Je bande mou. Estelle révise rapidement sa façon de voir la réalisation de son fantasme.
< On va se faire un film très sympa ! Demain soir, ça vous chante ? > lance t-elle. < Wouai ! > faisons nous en cœur.

La faim se fait sentir. Nous filons à la cuisine. Il suffit de réchauffer. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade.
Je prépare une sauce aux crevettes. Estelle touille les légumes qu'elle mélange avec le millet. Tout va très vite. Super.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons le bilan de la journée, l'attitude de Julie et sa réponse.
Nous traînons à table. Les filles mettent au point les détails de notre réalisation de demain soir. Ce sera encore si drôle.
Il faudra monter les bancs d'école de la cave. Estelle ramène un tableau noir qui sert dans l'entreprise familiale. Super.

Nous ferons un vague décors, style salle de classe dans l'atelier. Les filles seront vêtues style "lyçéennes". Passionnant.
Je vais endosser le rôle du professeur. Clémentine ne veut pas non plus être reconnue. Elle restera filmée de dos. Bien.
Estelle se réjouie de ce nouveau projet. < Tu es prié de donner toute ta mesure ! > me fait elle, assise sur mes genoux.
L'idée même me fait bander comme le dernier des salauds. Je promets d'être à la hauteur de la situation. Prof pervers.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. La fatigue se fait sentir. Trois branleurs parlant du film.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment mettre au point le vague scénario d'une nouvelle réalisation porno...

Julien - (Nous raccompagnons Estelle à son auto. Au lit, je suce le clitoris géant de Clémentine. Son orgasme est fou) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1073 -



Il faut savoir remettre au lendemain

Hier matin, samedi, nous nous réveillons quasiment en même temps dans une délicieuse effusion de tendresse. Super.
Il est presque 8 h. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser dans un beau soulagement.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Préparer le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la visite de Julie et notre après-midi. La promenade libidineuse, hier.
La vaisselle. Nous enfilons nos K-way, nos bonnets et nos gants pour sortir avec quelques mouvements d'échauffement.

Nous voilà à courir dans la fraîcheur matinale d'une campagne encore hivernale. Un rythme soutenu. C'est si agréable.
Une heure d'un running des plus gratifiants et nous voilà de retour pour prendre notre douche. Et nous ne traînons pas.
Le samedi matin, c'est le rituel des courses. La logistique impose un rigueur que nous apprécions. Nous nous habillons.
Jeans, chemises claires sous nos pulls bleus nuits au col en "V". Nos bottines et nos blousons de cuir noir. Une écharpe.
Nous voilà en route. Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. 3 km. Voilà le bourg. Superbe.

Il y a toujours du monde. Le samedi, c'est jour de marché. Nous adorons venir y faire nos achats. C'est tellement bien.
Nous faisons provisions de fruits et de légumes chez nos agriculteurs locaux. Produits issus de l'agriculture biologique.
Nous faisons provisions de fromages, de yaourts, de beurre, de crème fraîche et d'œufs chez notre artisan fromager.
Nous revenons à la voiture. Nous rangeons les produits frais dans la glacière. En route pour la ville, zone commerciale.
Je roule doucement. 15 km. Cette fois, Clémentine me sort la bite. < Méfie toi, je suis amoureuse ! > murmure t-elle.

Je gare l'auto sur le parking de l'hypermarché. Je remballe la queue. Impossible de laisser la braguette ouverte. Rires.
Je pousse le caddie. Clémentine qui tient la liste des courses nous entraîne dans les rayons. Il y a du monde. C'est dur.
Il faut louvoyer entre les chariots. Nombreux refus de priorité. Des gamins traversent les rayons hors des clous. Gaffe.
Même s'il serait vain, voire ridicule, de tenter un plan exhibe, Clémentine nous entraîne aux rayons culturels. Bouquins.
Il y a plein de gens. Elle n'a pas dit son dernier mot puisque Clémentine m'entraîne au rayon des vêtements. Identique.

Il faut se faire une raison. Pourtant Clémentine en meure d'envie. Cela fait trop longtemps qu'elle ne s'est pas amusée.
< Put-Hein ! Une bonne petite exhibe me ferait le plus grand bien ! > me chuchote t-elle au rayon poissonnerie. Rires.
Nous passons en caisse. Il y a un type à l'autre caisse qui n'arrête pas de mâter. Clémentine est plutôt attractive. Sexy.
Tout en sortant les articles du chariot, que je dispose sur le tapis roulant, discret, je touche la braguette de Clémentine.
Je refais une seconde fois en fixant bien le mec. Il doit halluciner. Surtout que Clémentine vient de s'en rendre compte.

Elle vient de découvrir le regard insistant de ce quadragénaire portant casquette, son anorak matelassé, si quelconque.
Cette fois, pour bien enfoncer le clou, elle glisse sa main entre ses cuisses. C'est discret. Cela ne s'adresse qu'au type.
Le quidam semble assez gêné. Ne sachant quoi faire. Nous déambulons dans la galerie commerciale. C'est très sympa.
Nous lisons les menus proposés par la cafétéria. Nous retournons à la voiture. Nous voilà en route. J'ai la queue à l'air.
Clémentine me donne son ressenti. Elle adore mes initiatives. Surtout quand je la touche vulgairement devant un mec.

Il est midi trente lorsque nous sommes de retour. Nous rangeons les courses. Nous montons nous changer. C'est bien.
Nous redescendons. Clémentine s'occupe de la salade. Je n'ai qu'à jeter les moules dans l'eau bouillante avec l'oignon.
Je verse les haricots verts et les petits pois encore congelés dans le wok. Les samedis à midi, on ne s'emmerde jamais.
Une salade d'endives. Je mets la table. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors, le ciel est lumineux.
Clémentine propose une bonne balade pour l'après-midi. J'applaudis à cette suggestion. Nous ne traînons pas. Parfait.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. C'est si drôle.
Nous chaussons nos grosses godasses de marche. Pressés de fuir, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cave. Superbe.
Nous débâchons les deux tables d'école. Elles ne sont pas lourdes. Des tables fixées à leurs bancs. Deux places étroites.
Nous montons chacune pour les mettre dans l'atelier. Deux allés et retours. C'est fait en dix minutes. C'est pour ce soir.
Nous voilà dehors. Main dans la main, nous descendons jusqu'à la rivière. Par association d'idée nous pensons à Julie.

Ce sont les endroits où nous parlions de choses précises, où nous faisions nos jeux de rôles devant Julie qui l'évoquent.
Ce vent apporte cette désagréable fraîcheur. Heureusement que tout le long de la rivière sur 3 km, c'est encaissé. Bien.
J'ai la bite à l'air. Sur la demande de clémentine, nous jouons à l'exhibitionniste et à la promeneuse. Coquine voyeuse.
Nous adorons nous adonner à ces jeux de rôles. Tour à tour voyeurs ou exhibitionnistes. Car cela nous met en situation.
Dissimulé derrière un arbre, un amas rocheux, je me branle pour surgir lorsque la "promeneuse" passe. C'est fabuleux.

Dans notre couple rien n'entretient davantage nos libidos débridées que ces jeux. C'est la psychologie des personnages.
On a beau partager sa vie avec l'être que l'on croit connaître comme soi-même on est toujours étonné. C'est si excitant.
Le regard de Clémentine lorsque je jaillis ainsi, comme le satyre de la mythologie, queue à la main. C'est bouleversant.
Je demande l'heure. Je demande ma direction. Clémentine interprète si bien le rôle de la jeune ingénue gênée et timide.
En fait, comme elle me l'avoue souvent au lit, lors de nos ébats, elle n'a qu'à laisser parler sa nature profonde. 22 ans.

Toute notre promenade reste axée sur ces situations que nous aimons à reproduire ad libitum. Cet après-midi que moi.
Nous faisons la boucle des trois heures. Il est presque 18 h quand nous revenons avec l'arrivée du premier crépuscule.
Estelle est déjà là. La voiture d'entreprise est garée à côté du garage. Il y a de la lumière à la cuisine. Il fait plutôt frais.
Estelle se précipite pour nous faire la bise. Avant que je ne puisse enlever mes grosses godasses, elle saute à mon cou.
Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de mes hanches pour me couvrir le visage de bisous. C'est toujours si bien.

Clémentine s'interpose par jeu. Estelle est entrain d'éplucher les légumes pour notre potée du week-end. Nous l'aidons.
Nous épluchons les pommes de terre, les navets, le céleri, les carottes, l'ail, l'oignon, un peu de choux vert. Avec l'ail.
Nous bavardons. Les filles évoquent leurs études, cette première semaine de vacances qui s'achève avec le Week-end.
Estelle nous raconte sa journée au bureau de l'entreprise familiale. Je propose d'inviter ses parents un dimanche midi.
< Oh, ils vont êtres contents. Ils adorent la maison, l'ambiance et vous faîtes partie de leurs tissu social ! > dit Estelle.

Nous coupons les légumes en petits morceaux grossiers après les avoir passé sous l'eau. Et il y a une grosse quantité.
Ainsi nous en aurons pour ce soir, demain à midi et demain soir. Les week-end, on ne s'emmerde pas non plus. Parfait.
Estelle remue les légumes dans la vieille cocotte en fonte noire. Je pane trois beaux filets de cabillaud qui sont énormes.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Une belle scarole. Tout en riant beaucoup de nos frasques.
Estelle propose de remettre le projet de film à demain après-midi. Il est préférable cette fois de tourner en plein jour.

< Ce sont les meilleures images. Je veux absolument un truc parfait. Il en va de mes masturbations futures ! > dit elle.
Nous en rigolons comme des bossus. Elle rajoute : < Et puis les prévisions météos vont nous confiner à l'intérieur ! >
Clémentine lui apprend que nous avons déjà monté les tables et les bancs d'école. Qu'ils sont dans l'atelier. C'est bien.
< Génial ! > s'écrie Estelle qui rajoute : < J'ai ramené le tableau noir. C'est celui qu'utilise papa pour les briefings ! >
Je propose d'aller le chercher dans la bagnole. S'il pleut demain, ce sera moins agréable. Nous ressortons tous les trois.

C'est un grand tableau noir d'environ deux mètres sur un mètre. Il est à l'arrière de la voiture d'entreprise. On le retire.
Il n'est pas lourd. Clémentine et moi nous le prenons. Nous rentrons pour aller le déposer dans l'atelier. C'est si parfait.
Estelle ramène le trépieds sur lequel le tableau est fixé de trois vis "papillons". < On fait la mise en place ? > dit Estelle.
< Après la bouffe ! > fait Clémentine. Nous retournons à la cuisine. Morts de faim. Tout est prêt. L'odeur appétissante.
Nous mangeons de bon appétit. Estelle qui se lève plusieurs fois pour mimer la masturbation masculine avec vulgarité.

< Tu es prié d'interpréter demain le professeur le plus pervers et vicieux de l'enseignement natio-mâle ! > lance Estelle.
Nous en rigolons comme des bossus. Je promets de faire de mon mieux. Mais que ne ferais je pas pour satisfaire Estelle.
Sa passion pour la réalisation, le montage de nos films lui procure tant de joie. Sans même évoquer ses masturbations.
Nous traînons à table. Moi aussi, chaque fois, en réponse aux attitudes d'Estelle je me lève pour agiter ma queue molle.
Assises sur mes genoux, les filles discutent de scénario proposé par Estelle. Pour notre film pornographique de demain.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous retournons dans l'atelier. Estelle étudie le meilleur angle des prises de vue.
Clémentine fixe la caméra sur son trépieds. Elle fonctionnera en automatique. Les deux batteries sont chargées. Super.
Elle fait un essai. C'est parfait. Nous poussons le vieux canapé pour placer le tableau noir presque contre le mur. Bien.
A environ deux mètres, nous disposons les deux tables. Cela ressemble vraiment à une salle classe à l'ancienne. Super.
Les filles prennent place. Je suis derrière, à environ cinq mètres. Je regarde selon l'angle de la caméra. C'est fabuleux.

Toutes les deux me tournent le dos. Cela évoque un peu ces vieux films pornos des glorieuses années 70. Color Climax.
Je viens me placer entre les tables et le tableau noir. < C'est génial ! > s'écrie Estelle. < Super ! > rajoute Clémentine.
Elles sont pressées de réaliser ce nouveau projet. Je propose de ne créer aucune situation. Gardons nous pour demain.
Nous restons un moment au fond de l'atelier pour regarder notre mise en scène. L'atelier est une grande pièce. Parfait.
Estelle va se positionner devant le tableau noir. A nouveau elle mime une masturbation masculine. Toute la vulgarité.

< Demain, tu nous fais le plus merveilleux numéro d'acteur, sel te pli, Julien ! > me lance elle, mimant une branlette.
< Fais nous délirer ! Professeur "libido" > rajoute Clémentine, glissant sa main dans ma braguette. Je promets. Rires.
Nous quittons l'atelier pour aller au salon. La fatigue commence à se faire sentir. Nous sommes vautrés sur le canapé.
Clémentine à ma gauche, sa tête sur mon épaule, Estelle à ma droite, serrée fort qui joue avec ma queue qu'elle tord.
Les filles mettent au point tous les détails. Elle sont encore plus impatientes que moi. Estelle veut être choquée. Rire.

Il est 22 h30. Je propose de monter nous coucher. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant notre miroir.
Les filles miment des pipes, de la mousse aux coins des lèvres en sautillant autour de moi. Nous en rions de bon cœur.
Au lit, Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche, couchés sur le dos, nous parlons encore de demain. Je les touche.
Je titille les clitoris du bout des doigts. Elles posent leurs têtes sur mon ventre. Elles se refilent ma bite toute mouillée.
Estelle s'endort la première. Clémentine me termine. Je lui éjacule dans la bouche en sournois, comme elle aime. Dodo.

Bonne soirée de préparatifs à toutes les coquines qui se réjouissent de faire les actrices dans une production privée...

Julien - (J'écoute les dernières révélations de Clémentine, serrée contre moi. Aussi fort qu'Estelle qui ronfle déjà) -

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Un dimanche qui restera dans nos souvenirs

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par les mouvements que fait Estelle serrée contre moi toute la nuit. Très câline.
Je la serre contre moi. D'un geste précis, presque machinal, elle se saisit de mon érection matinale pour la serrer fort.
Cela réveille Clémentine qui vient se blottir contre moi. Elle me saisit les couilles. Je suis entre mes deux anges. Bien.
Nous restons ainsi à nous chuchoter des douceurs. Je distribue des bisous. Estelle se lève la première et dit < Pipi ! >
Clémentine me chevauche en riant. J'aime lorsqu'elle frotte son sexe sur le mien. Je bande tous les matins en salaud.

Estelle revient, s'habille, nous fait un bisou et se précipite dans l'escalier en disant : < Je prépare le petit déjeuner ! >
Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'aux toilettes. Nous pissons dans la plus parfaite des volupté. Et on s'habille.
Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Cette odeur des dimanches matins. Où se mêlent brioche, pain grillé et café. Bien.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors il fait un temps exécrable. La pluie, les rafales de vent. Dur.
Nous traînons à table. Le dimanche, pas d'entraînement. Une partie de la matinée est consacrée au ménage. On aime.

Assises sur mes genoux, les filles évoquent notre projet de film cet après-midi. Elles sont impatientes et le manifestent.
Clémentine précise encore une fois qu'elle ne veut pas être identifiable dans le film. < Pas de sex tape ! > lance t-elle.
Estelle la rassure, c'est une réalisation privée. Nous savons très bien qu'à part nous, personne ne verra jamais ce film.
La vaisselle. Clémentine monte s'occuper de notre chambre. Estelle s'occupe de passer l'aspirateur partout. WC, salon.
Je commence par nettoyer la cuisine. J'adore entendre Estelle chantonner en passant l'aspirateur. C'est un vrai plaisir.

Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. Il y a le piège. Estelle.
En effet, cachée derrière la porte, toute nue, juste avec ses chaussettes, elle jaillit au bas de l'escalier pour m'attraper.
< Il faut vous acquitter de votre droit de passage professeur "Libido" ! > me fait elle en se blottissant contre moi. Bises.
Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de mes hanches pour m'embrasser avec fougue. Je l'entraîne au salon. Joie.
Je l'installe sur le bureau. En appui sur ses coudes, elle écarte très largement les cuisses. Je frotte mon sexe sur le sien.

Estelle saisit ma queue pour s'en introduire juste l'extrémité. Je m'y enfonce avec d'infinies précautions. Elle en gémit.
Je bouge doucement. Elle se mordille la lèvre inférieure, le menton contre sa poitrine, les yeux fermés. Et sans bouger.
C'est très rare qu'Estelle reste ainsi immobile. Je bouge doucement de façon régulière. Elle ouvre les yeux. Un sourire.
< Il faut que j'apprenne à apprécier ta douceur tout en restant calme ! Comme le fait Clémentine> me chuchote t-elle.
Clémentine dont la voix résonne à mes oreilles en même temps que ses bras m'entourent. < Les baiseurs ! > fait elle.

Estelle ouvre à nouveau les yeux pour constater la présence de Clémentine. < C'est divin sans bouger ! > lui fait elle.
< Oui, mais je te rappelle à tout hasard que tu es entrain de faire ça avec mon mec que je te prête ! > dit Clémentine.
Je me retire. < Non ! > s'écrie Estelle. Je fais : < Mais c'est la punition pour ta conduite ! >. Nous rions de bon cœur.
Clémentine s'accroupit pour me sucer. Elle aime tant récupérer mes jus. Il y a celui d'Estelle aussi, elle le connaît bien.
Estelle s'habille. Je force Clémentine à cesser. Nous remontons tous les trois. Les filles m'entraînent par la main. Rires.

Clémentine m'emmène à la salle de bain. Je fais la douche et le bidet. Elle s'occupe des miroirs, du lavabo. C'est bien.
Nous n'arrêtons pas de nous toucher, de nous embrasser. Nous entendons Estelle chanter en passant l'aspirateur. Joie.
Clémentine descend avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes du haut. Estelle vient me rejoindre, silencieuse. Bise.
Accroupie derrière moi, tout en se frottant contre mes reins, elle chuchote : < Apprends moi à baiser sans bouger ! >
Je tire la chasse. Je retire mes gants. Nous nous redressons en même temps. Je me tourne pour la serrer contre moi.

Elle se frotte, m'embrasse. C'est tellement bon que nous en avons de la salive qui mouille nos mentons. Goût brioché.
Je l'entraîne par la main. Nous descendons pour rejoindre Clémentine à la cave, dans la buanderie. Nous trions le linge.
Les filles évoquent cette seconde semaine de vacances qui nous attend. Estelle remonte pour aller s'occuper du repas.
C'est un autre de ses plaisirs du dimanche matin, nous préparer la surprise d'un bon repas. Et Clémentine m'embrasse.
Nous aussi, nous nous fouillons les bouches de nos langues avides en maculant nos mentons de salive. Goût brioché.

Nous suspendons les draps déjà lavés. Le reste du linge passe dans le séchoir. Nous montons rejoindre Estelle. Super.
Dans la véranda, elle tourne les papillotes. Des pavés de saumon. Clémentine s'occupe de la salade, l'assaisonnement.
Je remue la potée qui réchauffe dans la vieille cocotte de fonte noire. Je mets la table. Dehors, il pleut, il vente. Moche.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous sommes tous les trois considérablement excités. C'est sublime.
Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font le programme. Le déroulement des choses à faire. Le film.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.
< Vous êtes prié d'avoir un comportement de pervers pour notre film, professeur "Libido" ! > me fait Estelle deux fois.
Nous en rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < J'adore les pervers ! >. Nous allons dans la chambre. Rires.
Clémentine me conseille. Sur sa demande, je porte un pantalon noir à plis et à pinces. Chemise blanche et ma cravate.
Mes souliers noirs de ville. Les filles choisissent leurs vêtements. Jupes kilt, chemisiers blancs, pulls bleus, col en "V".

Nous prenons la pose devant le miroir de l'armoire. Les filles restent serrées contre moi. Elle s'accroupissent en riant.
Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite. Leurs tête contre mes cuisses, leurs bras enserrent mes jambes. Douces.
< Notre "Maître" sera également notre professeur cet après-midi ? > fait Estelle, passant une main entre mes cuisses.
< Nous avons besoin d'êtres bien éduquées ! > rajoute Clémentine. Je pose les mains sur leurs têtes pour les caresser.
Je dis : < Mes adorables soumises vont prendre un cour magistrale ! >. Elles frottent leurs visages sur ma braguette.

Nous retournons à la salle de bain. Clémentine lisse mes cheveux à l'ancienne. La raie sur le côté. Ils ont bien poussé.
Les filles se font des couettes. Elles sont adorables. Si jeunes, à 22 ans, il est tout à fait possible de jouer la lycéenne.
Je mets ma main sur leurs nuques en disant : < Regardez moi un peu les gueules de salopes que vous avez encore ! >
Les filles éclatent de rire. Estelle me fait : < Merci professeur "Libido", c'est pour mieux vous plaire ! >. Plein de bises.
Je descends le premier. Je laisse deux coquines drôlement excitées. < Attends nous ! > crie Estelle en haut. Sublime.

Malgré la pluie, un ciel bas, en allumant les lumières halogènes que j’utilise pour peindre, la luminosité est excellente.
Je suis seul dans l’atelier. Sur la demande des filles, je me suis vêtu d’un pantalon noir à plis, d’une chemise blanche.
Une cravate. Mes souliers noirs. J’ai lissé les cheveux. Je porte même des lunettes aux cercles noires. Verres neutres.
Je fais le tour de cette grande pièce que je connais si bien pour y passer mes journées. Pourtant elle semble si neuve.
Clémentine arrive la première. Pour une surprise, c’est une surprise. Des couettes. Son chemisier blanc et sa jupe kilt.

Elle me saute au cou. < Bonjour professeur libido ! > me fait elle en me palpant la braguette. Elle se frotte contre moi.
Nous nous embrassons avec fougue. Estelle arrive à son tour. Elle a attaché ses cheveux en catogan, même vêtement.
< Bonjour professeur Libido ! > me lance t-elle à son tour. Ce film s’intitulera « Professeur Libido ». Nous en rigolons.
Clémentine vérifie une fois encore le fonctionnement de la caméra. Estelle vérifie celui de son appareil photo. Parfait.
Son appareil photo posé sur la desserte à droite. Il permet de filmer sous un autre angle. Pus rapproché en gros plan.

Je suis chargé de lancer la caméra. Il est 14 h15. J’ai le cœur qui bat la chamade. Les filles m’avouent la même chose.
J’appuie sur le bouton rouge. Je fais : < Moteur ! >. Les filles sont assises, tournant le dos à la caméra. Je zoome. Bon.
Je contourne la caméra, les tables. Je me positionne entre le tableau, les tables. Il me faut là surmonter plein de trucs.
Ce n’est pas simple. Le regard des filles silencieuses. Le regard de la caméra. Je prends une craie. Je dessine une bite.
Les couilles, la bite toute molle qui pend dessus. Estelle lève le doigt : < C’est quoi monsieur ? > me fait elle, ingénue.

Je demande à Clémentine qui se lève en se touchant : < C’est une bite monsieur ! > répond t-elle en se masturbant.
Je dis : < Mademoiselle, ici, c’est une salle de classe pas un branlodrôme ! Mettez vous à genoux à côté du tableau ! >
Je continue : < Mains sur la tête ! >. Clémentine contourne la table prenant soin de garder son visage tourné. Caché.
Je dessine une seconde bite. Cette fois fièrement dressée vers le haut. Estelle demande : < Mais c’est quoi donc ? >
Clémentine, à genoux, les mains sur la tête, s’écrie : < C’est un vicieux, il dessine des bites ! >. Je lui mets une gifle.

Elle ne s’y attendait pas du tout. J’avais prévenu les filles. Je serai très surprenant dans le rôle du professeur "Libido".
Je dis à Clémentine : < Vous pouvez retourner vous assoir à votre place mademoiselle ! >. Clémentine se lève. Bien.
Estelle pointe son doigt vers ma braguette, demande : < On peut voir la vraie monsieur , >. Clémentine fait < Oui ! >
Je passe derrière le tableau. < Qu’est-ce qu’il fait ? > demande Estelle. < Il se branle peut-être ! > lance Clémentine.
Je revient devant le tableau. J’ai la bite qui pend sur les couilles. Les couilles bien dodues, la braguette qui fait garrot .

Je pose mes mains sur mes hanches pour bien présenter mes organes génitaux aux filles. Le silence est pesant. Lourd.
Elles éclatent soudain de rire. Clémentine réussit le tour de force de ne jamais présenter son profil à la caméra. Super.
Estelle allonge le bras. Je m’avance. Elle le passe délicatement sur la queue, le passe dessous pour la faire tressauter.
J’entends Clémentine glousser. Elle ne peut s’en empêcher. Elle adore tellement ça. Elles vivent là un super fantasme.
Combien de fois ne me racontent elles pas avoir ce fantasme durant les cours, en faculté et avec certains professeurs.

Estelle croise les bras sur la table, penchée en avant. Je m’avance pour prendre appui de mes cuisses contre sa table.
Clémentine se lève pour quitter le champs de la caméra. Elle va allumer l’appareil photo d’Estelle . C’est très discret.
Il y a seize minutes d’autonomie. Une seconde batterie chargée déjà prête. Clémentine vient s’accroupir à mes côtés.
Son visage toujours invisible à la caméra. Elle ne désire pas être reconnue. Estelle, au contraire, fait ce film pour ça.
Son fantasme d’adolescente, faire l’actrice dans des films pornos, trouve là toute sa sublime réalisation. C’est parfait.

Clémentine doit ruser. Il y a un autre objectif qui filme la scène. J’ai ma bite molle toute proche du visage d’Estelle.
Je dois pisser depuis le repas de midi. Je n’ai rien dit aux filles. Cela fera partie de ce que je leurs réserve. Coquines.
Estelle scrute la bite. Soudain, sans prévenir, je lâche un jet. De la pisse bien chaude, toute jaune et bien odorante.
Elle n’a pas le temps d’éviter d’en prendre plein la gueule en s’écriant : < Salaud ! >. Clémentine se met à pomper.
Aucun des deux objectifs ne peut filmer son visage, elle a détaché ses cheveux. Je mets une gifle à Estelle qui crie.

Je lui envoie un second jet en pleine gueule. Je me fais insulter. Elle ne s’y attendait pas. Clémentine suce, se régale.
Je tiens fermement Estelle par sa tignasse afin qu’elle ne puisse pas se lever. Et je lui pisse plusieurs fois au visage.
Les cheveux trempés, ruisselants de pisse elle tente de se soustraire à mon étreinte. Elle se ramasse une gifle. Vlan.
Ce ne sont jamais des actes de violence. Cela fait partie du jeu qui m’est demandé dans le rôle du professeur pervers.
Je tiens les deux filles par leurs tignasses. J’enfonce la bite dans chaque bouche en les insultant. Deux vraies salopes.

Je force Estelle à se lever, à contourner la table pour la faire s’accroupir devant moi. Je n’ai jamais été aussi ferme.
Estelle me suce comme si sa vie en dépendait. Je sors régulièrement la queue des bouches pour pisser. Vrai pervers.
Je distribue quelques gifles sonores. Le visage trempé d’Estelle éclabousse celui de Clémentine que j’entends gémir.
Elle se touche. Je viens de le découvrir. Je traîne Estelle autour des tables. A genoux, elle tente de suivre sans chuter.
Je la tiens par ses oreilles. Je me masturbe dans sa bouche en bougeant le bassin. J’accélère. Je ralentis. Je l’insulte.

Clémentine se relève. Elle se touche. Elle se masturbe, tournant le dos aux deux objectifs. Avec ruse, avec stratégie.
Ses cheveux dissimulent son visage. Ce qui lui permet à présent de se mouvoir avec beaucoup plus de liberté. Bien.
Je n’ai jamais été aussi autoritaire, macho avec Estelle. Je me vide bien la vessie. Dans l’action, je bande plutôt mou.
Je lui frotte la queue sur le visage. Je la retiens par ses cheveux pour bien présenter son visage aux deux objectifs.
Elle en crie. Elle ne joue pas. Tout est sincère. Clémentine est hyper excitée. Ce que j’inflige à Estelle la passionne.

Elle ne peut s’empêcher de s’approcher de moi pour chuchoter à mon oreille : < Fais moi pareil Julien s’il te plaît ! >
Cela ne s’entendra peut-être pas dans le film. Les cris d’Estelle risquent d’étouffer ces paroles. Je lui mets une gifle.
Elle est à genoux, ruisselante de pisse, tenue fermement. Elle se débat. Comme si elle dansait sur ses genoux. Dur !
Je la tire fermement. Je la tiens devant l’objectif de la caméra. Je lui éjacule à la gueule. Je lui mets une bonne gifle.
Je la force à regarder la caméra. Je penche mon visage tout prêt du sien pour lancer : < Mademoiselle est servie ! >

Clémentine vient nous rejoindre, ayant repousser ses cheveux, elle se penche. Son visage tout près de celui d’Estelle.
Elle murmure : < Mademoiselle doit être ravie ! >. Estelle, que je maintiens fermement, semble là morte de honte.
Clémentine se met à lui lécher le visage. Je me lève pour lui frotter la queue sur la gueule. Elle reste immobile. Joie.
Elle allonge son bras pour éteindre la caméra. Je l’en empêche pour lui pisser une nouvelle fois à la tronche. Chaud.
Clémentine la tient fermement par la nuque et moi par ses cheveux. Et impossible d’échapper à ce que je lui inflige.

Le bip de la caméra. Elle s’éteint toute seule. Estelle qui tombe à quatre pattes en toussant, en éructant, en crachant.
Nous la laissons reprendre ses esprits. J’essuie mes mains trempées sur le visage et dans les cheveux de Clémentine.
Elle se serre contre moi pour dire : < Je veux que tu me fasses la même chose. Je t’en prie, cette semaine encore ! >
Je promets de faire de mon mieux. Estelle se relève. < Je sais que tu es un pervers, mais à ce point là ! > me dit elle.
Clémentine répond : < Nous sommes trois pervers. Les trois mousquetaires du vice ! >. Nous en rions de bon cœur.

Estelle va prendre une des serviettes que nous avions préparé. Elle s’essuie en soupirant et en respirant fortement.
Elle me dit : < Je t’aime Julien ! Si tu savais ce que j’ai vécu là. Ce n’était encore jamais arrivé aussi fort ! Merci ! >
< C’est à mon tour cette semaine, mais sans caméra ! > répond Clémentine. < Je veux être avec ! > lance Estelle.
Il faut passer la serpillère partout au sol. Sécher la table où était assise Estelle. Un bon quart d’heure d’occupation.
< Je fais le montage le plus tôt possible et on se mâte ça au plus tôt ! > lance Estelle. < Génial ! > fait Clémentine.

Nous remontons. Estelle prend sa douche la première. Clémentine, une serviette sur la tête reste serrée contre moi.
Nous sommes assis sur le bord de la baignoire. Estelle chante. Elle sort pour se sécher les cheveux et se les brosser.
C'est à nous. Clémentine exige que je prenne toujours la douche avec elle. < Mon TOC ! > me confie t-elle souvent.
Ce trouble obsessionnel compulsif n'a rien pour me déplaire. Clémentine adore que je lui frotte le dos, que je la lave.
Estelle s'est rhabillée. Jeans, chemise à carreaux. Les yeux terriblement cernés d'une jeune fille qui a jouit. Si belle.

Nous ressentons la fatigue. Mes lombaires sont un peu douloureuses. C'est la position du "professeur" d'université.
Nous rigolons comme des bossus quand Estelle lance : < Nous ne regarderons plus nos profs de la même façon ! >
< C'est vrai c'était génial ! Merci Julien ! > rajoute Clémentine. < Oh oui, mille mercis Julien ! > surenchérit Estelle.
Tout cela nous a donné faim. Clémentine qui retrouve son sens pratique propose de redescendre les bancs à la cave.
Deux allés retours, nous disposons les bâches. Il faut ramener le tableau noir dans la voiture d'entreprise à Estelle.

A l'abri du grand parapluie que tient Clémentine, Estelle et moi glissons le tableau dans l'arrière du véhicule. Parfait.
La nuit est tombée. Nous sommes morts de faim. Nous rentrons. < Cette nuit , je reste avec vous ! > lance Estelle.
Inutile de tenter de la dissuader. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la potée. Estelle prépare l'omelette.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de notre journée. Estelle nous montre la carte SD. Notre film.
< On se le mâte samedi soir prochain ! Soirée cinéma ! > dit elle en agitant doucement la boîte. C'est un super plan.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font mille projets pour cette seconde semaine de vacances.
Estelle veut rester passer toutes les nuits avec nous. Comme elle bosse dans le bureau de l'entreprise familiale. Dur.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous nous sentons lourds et fatigués. Nous voilà vautrés dans le canapé. Joie.
Je suis entre mes deux anges. Elles ont posé leurs têtes sur mes épaules. Estelle s'endort la première. Un classique.
Il est 21 h30. Nous montons nous coucher. Je porte Estelle complètement "achevées". Au lit, concert de ronflements.

Bon dimanche après-midi à toutes les coquines qui aiment à mettre en images leurs fantasmes les plus inavouables...

Julien - (Je suis entre Estelle serrée contre moi à ma droite et Clémentine dans mes bras à gauche. Derniers bisous) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1075 -



Julie se sent si bien en notre compagnie

Hier matin, lundi, il est presque 8 h quand Estelle me réveille, se saisissant à pleine main de mon érection matinale.
Elle se frotte contre ma hanche en me faisant pleins de bisous. Cela réveille Clémentine qui se serre tout contre moi.
Je distribue des bisous. Nous nous chuchotons des douceurs. Estelle se lève la première tout en s'écriant : < Pipi ! >
Clémentine me chevauche en riant. Elle aime frotter son sexe sur ma turgescence en murmurant des cochonneries.
Estelle revient. Vêtue de sa tenue sport elle dévale les escaliers en disant : < Venez vite ! >. C'est à notre tour. Pipi.

Vêtus de nos tenues sport, nous rejoignons Estelle à la cuisine. Délicieuses odeurs de café, de pain grillé, de brioche.
Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos aventures de hier après-midi. La réalisation du film pornographique.
< Tu as été merveilleux, professeur "Libido" ! > me fait Estelle assise sur mes genoux, m'enlaçant fort dans ses bras.
La vaisselle. Nous enfilons nos K-way. Nous sortons. Le ciel est gris mais lumineux. Nos mouvements d'échauffement.
Estelle impulse un rythme soutenu. Nous revenons après une heure d'un running extraordinairement gratifiant. Super.

Estelle prend sa douche la première. Clémentine m'entraîne devant l'ordinateur au salon. Il y a un seul courriel. Julie.
Elle nous confirme sa venue pour le repas et surtout pour passer la soirée avec nous. Nous répondons, contents aussi.
Estelle revient. Vêtue de ses jeans, de sa chemise à carreaux, ses bottines. Elle doit partir. Elle reviendra pour 17 h30.
Nous montons prendre notre douche. < Mes "petits machins" de fille sont terminés depuis hier soir ! > me lance t-elle.
Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux, espadrilles. Nous descendons pour aller dans l'atelier. Il fait si doux.

Assise devant son ordinateur, Clémentine se plonge dans ses travaux de recherches et de notations en chantonnant.
Je suis installé devant mon chevalet. Je m'applique au dessin préparatoire d'une future toile de la série des paysages.
Pour cette saison d'été je présente trente toiles dans ma galerie. Habituellement il n'y en a que vingt quatre au plus.
Il est presque midi. Nous quittons l'atelier. Nous lavons, coupons et épluchons tous les légumes pour le gratin du soir.
Un gratin de choux fleurs. Clémentine lave les feuilles d'une belle laitue. Je fais cuire les légumes. La cocotte minute.

Je fais rissoler les crevettes avec l'ail, l'oignon et les champignons dans la poêle. J'y rajoute la crème fraîche. Gruyère.
J'égoutte les légumes. Je verse dans un plat en terre cuite. Je recouvre de gruyère de Comté râpé. Je le mets au four.
Nous avons gardé des légumes. Avec cette sauce aux crevettes, nous nous régalons. Nous mangeons de bon appétit.
Clémentine propose une bonne balade pour l'après-midi. Excellente idée. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Rapide.
Nous montons nous laver les dents, faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous enfilons les godasses.

Pressés de filer au grand air, nous dévalons l'escalier pour enfiler nos anoraks. Le thermomètre extérieur indique 18°.
Nous descendons jusqu'à la rivière, nos anoraks ouverts. Nos braguettes ouvertes. Main dans la main tout en parlant.
Nous revenons sur notre réalisation de hier après-midi. < Tu me fais comme tu as fais à Estelle ? > lance Clémentine.
Je lui glisse la main dans la culotte. Je promets de lui réserver une bonne surprise avant la fin des vacances. Rigolade.
Nous longeons la rivière. J'ai la bite qui pend sur les couilles. Clémentine me soupèse souvent le paquet. C'est génial.

Nous faisons la boucle des trois heures. Il est 17 h45 quand nous sommes de retour après de multiples arrêts coquins.
Estelle est déjà là. Quand nous entrons dans la maison, elle est entrain de dresser la table au salon. Elle se précipite.
Elle fait une rapide bise à Clémentine avant de me sauter au cou en s'écriant : < Professeur "Libido", un cours vite ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Elle soupèse mes organes génitaux, rajoutant : < Mon exhibitionniste adoré ! >
Clémentine s'interpose par jeu. < C'est le mien à moi, je le mets à disposition ! > dit elle. Nous en rions de bon cœur.

Nous aidons Estelle. Sur le chemin de table en lin écru, nous y déposons les assiettes en grès et les couverts en laiton.
Estelle n'arrête pas de me soupeser la bite et couilles. < J'aime ton paquet, Professeur "Libido" ! > me fait elle en riant.
Nous allons dans l'atelier. Les filles sont devant l'ordinateur, plongées dans leurs recherches. Je suis devant le chevalet.
Je termine le dessin préparatoire commencé ce matin. Il est 18 h30 lorsque le fantôme manifeste sa présence en haut.
Le florilège habituel de grincements de porte, de claquements, de courses poursuites et de meubles que l'on déplace.

Cela ne dure que dix minutes. Estelle vient me rejoindre. Elle veut passer les couches d'impression sur les deux toiles.
Tous les deux à quatre pattes, je la regarde étaler la première couche de terre de Sienne brûlée avec le pinceau large.
Clémentine vient nous rejoindre. Assise en tailleur elle regarde Estelle faire en me tenant les organes génitaux. Sympa.
Les trois couches d'acrylique sont rapidement posées. Cette peinture sèche étonnement vite. Voilà, c'est terminé. Bien.
Nous nous lavons les mains au lavabo de l'atelier en faisant des grimaces dans le miroir. Estelle me saisit la bite molle.

< Il va faire son pissou, le professeur "Libido" ! > fait elle. Clémentine répond : < Non, il va le garder pour le show ! >
En effet, sur la table au salon, Clémentine a préparé le grand verre à sangria. Le verre ballon ambré et à bulle de Biot.
Nous en rions de bon cœur. Il est 19 h. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement.
Estelle réchauffe la sauce aux crevettes en y rajoutant de l'eau et du Parmesan. Je réchauffe notre gratin de légumes.
Nous n'arrêtons pas de nous toucher. Je glisse ma main dans les culottes humides et pleines d'épaisses touffes moites.

Trois coups de sonnette. Il n'est que 19 h20. Julie est en avance. Clémentine se précipite pour aller ouvrir. C'est super.
Estelle s'accroupit rapidement devant moi. Mains sur mes hanches, elle se met à pomper comme si sa vie en dépendait.
Julie entre dans la cuisine et tombe sur ce spectacle. Elle reste un instant silencieuse, comme consternée. C'est sincère.
Elle avance pour me serrer la main en ignorant totalement ce que fait Estelle que je force à se redresser. Je bande mou.
Je propose aux filles d'aller s'installer au salon. Je m'occupe de tout. < Pas question ! > s'écrie Julie. Nous comprenons.

Les mains sur les hanches, je présente mes organes génitaux à Julie qui fait toujours mine de ne pas se rendre compte.
J'adore ce comportement typiquement féminin. C'est adorable. Estelle passe derrière moi. Elle saisit bien mon "paquet".
Clémentine fait : < Bienvenue au "Club" ! >. Julie essaie de garder son sérieux. Nous éclatons tous les quatre de rires.
La sonnerie du four. Chacun prend un plat. Nous allons au salon en file indienne. Et nous voilà confortablement installés.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Julie revient sur son épineux problème. Trouver un boulot pour l'été.

Le restaurant sera fermé deux mois pour travaux. Anne-Marie, sa tante, prend enfin des vacances après 16 ans sans !
Estelle raconte notre réalisation pornographique de hier. < C'était comment ? > demande Julie soudain très intéressée.
< Génial ! > répond Clémentine. Estelle propose à Julie d'assister à cette projection, samedi, pour notre soirée cinéma.
C'est impossible puisque Julie travaille samedi soir. Serveuse au restaurant de l'étang. Elle a un profond soupir. Dépit.
< Et si on se fait une deuxième soirée cinéma lundi prochain , > lance Estelle. < Oh oui ! > s'écrie Julie toute contente.

L'affaire est conclue. Nous ferons une seconde soirée cinéma lundi prochain. Tout en écoutant les filles, je me masturbe.
La main sous la table, je me branle en écoutant les coquines faire le programme. Il y a cours le mardi matin. C'est hard.
La soirée cinéma commencera donc à 19 h30. Et le repas pour 19 h. Je m'occupe de tout. Cette fois elles sont d'accords.
Je me lève quelquefois pour agiter mon sexe dans la direction des filles. Clémentine à ma droite. Estelle, Julie à gauche.
Julie est très attirée par les filles. Elle a entretenu une relation de quelques semaines avec Juliette. Un souvenir mitigé.

Estelle et Clémentine ne sont absolument pas lesbiennes. A mon grand regret. J'aimerai bien qu'elles soient lesbiennes.
Estelle sent bien qu'elle ne laisse pas Julie indifférente. Je vois bien que cela la gêne un peu. Elle se met de l'autre côté.
Assise à côté de Clémentine, elle continue d'évoquer notre prochain lundi soir. La vaisselle. Nous faisons tout ensemble.
Il est 22 h15. Nous raccompagnons Julie à sa voiture. Nous raccompagnons Estelle à la sienne. Les séparations difficiles.
Au lit, j'offre à Clémentine un cunnilingus et une pénétration qui la font gémir de plaisir. Je la termine en suçage de clito.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment préparer les festivités à venir. Surtout avec une jeune ingénue coquine...

Julien - (J'écoute les dernières confidences de Clémentine qui s'endort serrée contre moi, dans la douceur des draps) -

Classe



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