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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 929 -



Un plan d'enfer et bien vicelard

Hier matin, mardi, c'est le Prélude en Do Majeur de J.S. Bach qui nous tire avec de la cruauté de nos profonds sommeils.
< T'es fou Bachos ! > s'écrie Clémentine en roulant sur moi pour éteindre le réveil posé sur la table de nuit de mon côté.
Quelques papouilles. Déjà 6 h. Nous nous précipitons aux chiottes. Clémentine termine à midi. Ce qui la rend euphorique.
Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous prenons un copieux petit déjeuner et nous mangeons de bon appétit.
Clémentine me raconte l'objet de son rêve. Un truc formidable qu'elle veut absolument réaliser. Et j'écoute plutôt amusé.

Nous remontons pour nous livrer à notre heure de gymnastique intense. Jogging sur tapis roulants. Charge additionnelles.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Il fait étrangement doux. Presque chaud.
Clémentine me rejoint vêtue de son jeans, d'un simple T-shirt sous sa veste en cuir noir, de ses bottines à légers talons.
Un dernier bisou. Un dernier coucou. Je la regarde s'en aller. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit et notre vaisselle.
Il est 8 h15 lorsque je suis assis devant mon chevalet, dans l'atelier, à préparer ma palette avec le plus grand soin. Bien.

Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Je pense au rêve de Clémentine.
C'est un truc parfaitement réalisable. Je suis abimé dans ces pensées lorsqu'il y a la musique idiote de mon smartphone.
Je rage. Qui donc peut m'emmerder dans un moment aussi intense. Je décroche. Quelle surprise. C'est Julie. Il est 10 h.
< Merci pour hier soir. Je ne vous remercie jamais assez. J'ai pensé à votre invitation au haras. Samedi ? > me fait elle.
Je suis très étonné. Je ne sais quoi répondre. Elle continue : < Et si vous êtes toujours d'accord pour m'y emmener ! >

Je la rassure. J'en suis ravi. Nous n'avons encore rien décidé pour samedi. Je lui promets de la tenir informée. Superbe.
Nous bavardons encore un peu. Julie est entre deux cours. Sa rentrée universitaire s'est très bien passée. C'est parfait.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Ainsi cette jeune fille de 20 ans, coquine, a enfin pris une décision. C'est bien.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Dehors, le ciel est bleu. Il y a du soleil. Je fais réchauffer le reste de gratin.
Il reste également de la sauce. Il me suffit de préparer une pâte à pain, de couper les morceaux de poireaux. Les cuire.

Il est 12 h20. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous et m'embrasse.
Clémentine s'occupe de la salade de tomates et de son assaisonnement. Elle me raconte sa matinée. Le cours de maths.
Je concocte une belle Béchamel. Tout ce qu'il faut pour la Flamiche Picarde de ce soir est prêt. Notre tarte aux poireaux.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Je raconte le rapide coup de téléphone de Julie. Et cette proposition.
< Tôt ou tard elle allait céder à l'envie folle de passer à la vitesse supérieure ! > fait Clémentine. J'écoute son analyse.

< C'est une timide vicieuse dont les désirs la font bouillir intérieurement. La vraie salope en devenir ! > dit Clémentine.
Je sais pouvoir me fier à son flair infaillible. Quel que soit le domaine où son flair s'exerce. Nous en rions de bon cœur.
Clémentine propose de profiter de ce climat exceptionnel pour aller randonner cet après-midi. L'excellente suggestion.
La vaisselle. Nous montons nous changer, nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain.
Clémentine porte une de ses jupettes sport, un T-shirt, ses baskets. Je suis en short, T-shirt et baskets. Tout est prêt.

Elle est accroupie à ma gauche, sa tête appuyée sur ma jambe qu'elle serre dans ses bras, Cuisses largement écartées.
< Merci "Maître" pour cette vie heureuse et pleine d'insouciance. Je vous en suis reconnaissante ! > me fait Clémentine.
Je pose ma main sur sa tête pour murmurer : < Merci délicieuse "Soumise" pour la vie exaltante que vous m'offrez ! >
Clémentine se déplace pour se mettre devant moi. Elle frotte son visage sur ma braguette. Je pense soudain à son rêve.
Je sors ma bite pour la passer délicatement sur son visage. Elle en gémit de bonheur. Je la laisse sucer un peu. Divin !

Je la force à cesser en l'aidant à se relever. Je la tiens fermement par ses cheveux attachés en catogan. Nous voilà prêts.
Nous dévalons les escaliers, pressés de nous offrir encore davantage de liberté. Il fait si bon dehors. Nous voilà en route.
Dans le petit sac à dos que je porte, nos K-ways, bien inutiles, deux pommes, la bouteille d'eau et la paire de jumelles.
Nous descendons jusqu'à la rivière dont les eaux ont repris leur niveau normal. J'ai la bite à l'air et nous rions beaucoup.
Clémentine revient sur son rêve. Il y est question d'une pochette en cuir. Cette vieille pochette qu'elle a depuis 10 ans.

Dans cette pochette, nous y glisserons quelques photos de Clémentine, le visage couvert de foutre. Et trempé de pisse.
Nous en possédons quelques unes de qualité professionnelle. Clémentine ne fait jamais les choses à moitié, en amateur.
Cette pochette fermée par sa tirette, serait "oublié" dans un endroit stratégique. Destinée à être trouvée par un homme.
Le plus délicat dans ce projet, c'est de trouver la situation idoine. Le protagoniste idéal. Nous y pensons. Il faudra ruser.
L'imagination fertile et débordante de Clémentine fonctionne à plein. < C'est à cause de la photo d'Estelle ! > me dit elle.

Cette photo trouvée par sa mère où le visage d'Estelle couvert de foutre et de pisse est d'une éclatante vérité. Superbe.
Clémentine me soumet ses premières stratégies. Oublier la pochette, d'accord, mais dans quels endroits en particulier.
Un guichet de banque. Un salon de thé. Il faut pouvoir la récupérer. Il faut donc bien cibler la "victime" de ce petit jeu.
Nous nous arrêtons au bord du ruisseau, à 300 mètres des bâtiments du haras. < Voilà l'endroit ! > s'écrie Clémentine.
Nous sommes dissimulés derrière les ruines de la cabane. Nous observons la caravane de Mr Gérard. Il n'y a personne.

Je me branle en écoutant les développements de Clémentine. Elle propose de tester le "plan pochette" ici, au haras.
< Il y a Kim Son, il y a bien sûr Mr Gérard, il y a Pierre le mari de Mme Walter ! Autant de coups d'essais ! > fait elle.
Je n'y avais pas pensé. Clémentine s'accroupit pour observer ma masturbation. Tout en parlant elle hume mes odeurs.
J'écoute les détails de ce plan pochette qui deviennent de plus en plus clairs, de plus en plus évidents. Un super projet.
< Pourquoi n'y avons nous pas pensé avant ! > rajoute t-elle encore avant de se mettre à sucer comme une assoiffée.

Je lui dis : < Tu sais que c'est aussi excitant de savoir que cette pochette est trouvée par un homme qu'une femme ! >
< J'y pense ! > répond Clémentine qui cesse de pomper pour se redresser. < On va trier les photos ! > fait elle encore.
Nous avons en archive quelques clichés d'une rare qualité. Il suffit d'en sélectionner la crème. On fera ça ce soir. Bien.
Nous continuons notre balade avec de nombreux arrêts. Clémentine, hyper excitée, m'offre de son jus de fille. Délice.
A genoux, le visage entre ses cuisses, à chaque fois qu'elle peut s'assoir, je lui offre un léchage de minou. C'est miam.

Il est 18 h30 lorsque nous revenons à la maison. Estelle est déjà là. Elle a commencé à préparer le repas. Plein de bises.
Elle nous raconte son après-midi dans le bureau de l'entreprise familiale. Nous lui racontons notre randonnée bucolique.
La tarte aux poireaux est au four. La table est mise. La salade de carottes est prête. Nous passons au salon. C'est super.
Vautrés tous les trois dans le canapé, Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite, nous parlons du rêve de Clémentine.
< Génial ! > fait Estelle en jouant avec ma queue qu'elle tord dans tous les sens tout en bavardant. Je bande mou. Ouf.

< C'est un plan que j'ai fait avec mon parrain ! > nous apprend Estelle. Des photos où elle se masturbait qu'il a trouvé.
< Je l'avais évidemment fait exprès ! Pas dans une pochette mais dans mon portefeuille ! > rajoute encore Estelle. Rire.
Nous découvrons, fascinés, l'étendu du vice dont fait preuve Estelle. < Tu n'en as jamais parlé ! > rétorque Clémentine.
< Je trouvais ça sans intérêt. Et vous ne me l'avez jamais demandé ! > répond Estelle en me sortant les couilles. Ouille.
La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit en causant photo.

Nous traînons à table. Parfois, je me lève pour venir agiter ma bite tout près du visage d'Estelle qui reste méfiante. Joie.
Elle ne redoute toujours qu'une chose. Que je lui pisse dans l'assiette. Je la rassure. Elle adore tout le reste. C'est super.
Je lui frotte le sexe sur la joue. Elle mange en se laissant caresser le visage par ma queue de plus en plus gluante. Bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine nous entraîne au salon. Estelle m'y tire par la queue. Et je bande dur.
Du tiroir du bas, derrière le bureau, Clémentine tire la boîte en métal fermée d'un cadenas à chiffres. Tout est caché là.

Ce sont des photos privées que personne ne verra jamais. Destinées à un usage privé. Le coup de la pochette en est un.
Clémentine les pose sur le bureau. < Wouah ! Je me rappelle de certaines ! > lance Estelle qui en possède aussi. D'elle.
Il y a là de véritables chef-d'œuvre. D'authentiques œuvres d'art pornographique. Le visage de Clémentine est sublime.
Ce sont surtout celles où son visage est maculé de foutre. C'est formidable. Nous sommes devant l'embarras du choix.
Clémentine en choisi trois. Les plus explicites. Des gros plans où on la reconnaît malgré les coulures de spermes. Bien.

Il y en a deux où l'on distingue l'extrémité de mon Zob. En bas, à droite. Des photos standards de 15 x 10 cm. Parfaites.
Estelle me branle doucement. J'ai passé une main dans son jeans, au fond de sa culotte. Elle est trempée. C'est superbe.
< Je veux m'amuser à ça aussi, on se fait ça à deux ! > s'écrie Estelle. Elle propose d'emmener des photos ce jeudi soir.
Les clichés sont sélectionnés. Nous y rajouterons ceux d'Estelle. < On va se faire un de ces plans ! > s'écrie Clémentine.
Je leur propose un léchage de minou. Excitées comme elle sont, je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Fabuleux.

Estelle retire ses fringues à toute vitesse pour rejoindre Clémentine déjà vautrée au fond du canapé, cuisses écartées.
A genoux sur l'épais coussin, le visage entre ses cuisses, je commence par Estelle dont les odeurs fortes me révulsent.
Toutes les deux se masturbent. Je passe de l'une à l'autre. Parfois, l'une qui s'écrie : < J'ai une idée pour les photos ! >
J'écoute tout en me régalant de cyprine. J'en récupère jusque dans la raie des culs. Estelle connait un orgasme délirant.
Celui de Clémentine est un feu d'arti fesse. Déjà 22 h15. Estelle doit rentrer. Au lit, Clémentine me taille une pipe. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui imaginent de nouveaux "plans" bien vicelards pour s'éclater encore davantage…

Julien - (Qui écoute les idées qu'émet Clémentine avant de s'endormir serrée contre lui) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 930 -



Etonnante soirée de surprises au haras

Hier matin, mercredi, c'est la Symphonie Pastorale de Beethoven qui nous arrache sans pitié de nos profonds sommeils.
< Ta gueule Bite-au-vent ! > fait Clémentine qui se roule sur moi pour éteindre le réveil sur ma table de nuit, mon côté.
Quelques effusions de tendresse puis nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, nous descendons à la cuisine.
Notre copieux petit déjeuner est un régal. Nous mangeons d'excellent appétit tout en évoquant notre histoire de photo.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles. Abdos.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous son parapluie. Dur.
Elle est vêtue de son jeans, pull de coton fin et noir sous sa veste en cuir. Ses bottines. Un dernier bisous. Il est 7 h45.
Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit, la vaisselle et je vais dans l'atelier. Joie.
Il est 8 h15 lorsque je suis installé devant mon chevalet. Je termine ce matin le troisième portrait de commande. Super.
Je prépare ma palette en chantonnant. Je peins dans une joie extraordinaire. La matinée passe à une vitesse folle. Bien.

Il est midi. Je vais à la cuisine. Je déplie la pâte feuilletée qui a décongelé. J'émince le pavé de saumon décongelé aussi.
Je concocte une béchamel. Je fais revenir le saumon avec de l'ail, de l'oignon, du persil, de la ciboulette. Et du gruyère.
Le feuilleté de saumon est au four. J'ai gardé un peu de Béchamel comme sauce avec mon riz et mon filet de cabillaud.
Le feuilleté de saumon destiné à notre repas de ce soir avec Juliette. Je mange de bon appétit, écoutant Stéphane Bern.
La vaisselle. Je range la cuisine. Je retourne dans l'atelier. J'attaque ma quatrième œuvre de commande. Portrait No 4.

Je peins avec un confort d'esprit qui me permet d'évoluer dans un univers parallèle et des plus agréable. C'est sublime.
Il est 16 h30 lorsque Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son sac sur le canapé et se précipite dans mes bras. Joie.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le restaurant universitaire et les cours.
Clémentine a encore du travail. Assise devant l'ordinateur, elle met ses notes de la journée au propre. Silence religieux.
Nous aimons tant ces séances de travail, absorbés dans nos labeurs. Parfois, l'un rejoint l'autre pour lui faire des bisous.

Il est 18 h30 lorsque Clémentine s'écrie : < Stop ! J'en ai marre ! >. Nous rangeons nos affaires. Dehors il fait sombre.
La pluie n'a pas cessé de toute la journée. Nous montons nous changer. Jupe kilt pour Clémentine. Pull fin, veste noire.
Ses souliers à légers talons. Sur sa demande je suis en jeans, chemise blanche sous ma veste noire. Mocassins en daim.
Accroupie, les cuisses largement écartées, serré contre ma jambe sur laquelle elle pose sa tête, Clémentine m'observe.
Nous sommes devant le miroir de l'armoire. < Mon "Maître" me pardonnera t-il les écarts de ce soir ? > demande t-elle.

Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Ma douce "Soumise", je vous y encourage. Je vous les recommande ! >
Clémentine frotte son visage sur ma braguette. Je sors ma bite pour la lui passer sur ses joues, son front et ses lèvres.
En gémissant de plaisir, Clémentine me suce un peu. Je la force à cesser en la tenant par ses cheveux pour la redresser.
Nous dévalons les escaliers en riant de nos rôles du "Maître" et de sa "Soumise". Nous voilà en voiture. La pluie tombe.
Clémentine joue avec ma queue. Sur ses genoux, le Tupperware contenant le feuilleté de saumon. Sur trois kilomètres.

Je gare la voiture dans la cour déserte. Il est 19 h. Nous sortons de l'auto à l'abri sous le grand parapluie. Il fait frais.
Cet automne vient réellement d'arriver. Nous entrons dans notre écurie préférée. Il y a des chevaux dans tous les box.
Nous entendons du bruit au fond. C'est une machine. Nous caressons quelques bêtes qui nous regardent passer. Bien.
C'est un petit groupe électrogène qui ronronne. Kim Son, le jeune palefrenier surgit subitement avec une grosse boîte.
Nous nous saluons. Il est encore en plein travail. Nous ne le dérangeons pas. Il nous laisse rapidement à nos errances.

Nous allons près de la porte arrière. Par la petite fenêtre nous voyons au dehors. La nuit qui tombe assez rapidement.
< Bonsoir ! > fait la voix de Mr Gérard derrière nous. Il pose une grosse boîte en carton. Nous nous serrons la main.
< Je suis venu donner un coup de main ! > fait il en nous racontant quelques détails. C'est évidemment un prétexte.
C'est Juliette qui, sur ma demande, s'est débrouillée pour que le vieux satyre soit présent ce soir. Une belle attention.
Juliette qui arrive d'ailleurs vêtue de sa tenue d'écuyère. Elle nous serre la main. Très rapidement elle s'adresse à moi.

Tout cela est d'une simplicité déconcertante. Elle m'entraîne à sa suite avec un prétexte dérisoire et si futile. Amusant.
Nous laissons Clémentine et Gérard bavarder. Juliette m'invite à entrer dans le box adjacent au local bureau habituel.
Là, par le trou parfaitement rond dans la cloison nous distinguons la lumière allumée dans la pièce. Des bruits de voix.
Juliette s'accroupit la première, me fait signe de la rejoindre. Elle me laisse observer par l'orifice. Nous voilà voyeurs.
Je vois Clémentine assise sur la chaise, le dossier entre ses cuisses largement écartées. Mr Gérard est assis au bureau.

< L'avantage de nos habitudes, c'est que ça commence fort ! > me chuchote Juliette à l'oreille, me poussant pour voir.
Je passe ma main sous ses longs cheveux pour lui caresser la nuque. Elle me murmure : < Regardez ! >. Je me penche.
Gérard, debout devant la chaise, a sorti sa bite minuscule et molle. Il extrait ses grosses couilles de sa braguette. Fort.
Il présente ses attributs à Clémentine qui observe en se reculant, tenant le dossier de la chaise. Comme sur ses gardes.
Juliette me pousse pour regarder à son tour. Cette fois, de mon autre main, je remonte sur sa cuisse jusqu'à son sexe.

Son pantalon d'écuyère est aussi moulant qu'un collant. J'ai donc un accès facile à son sexe que je masse délicatement.
Je peux même faire rouler les lèvres de son sexe sous mes doigts au travers du tissu. Et Juliette écarte bien ses cuisses.
Je regarde à nouveau. Cette fois Juliette glisse sa main dans ma braguette ouverte. Et je bande déjà comme un salaud.
Mr Gérard tient Clémentine par la nuque. Il lui frotte la bite sur le visage. Elle ne tente pas de se soustraire à l'étreinte.
Elle ouvre enfin la bouche pour gober le sexe minuscule du vieux satyre. Son menton contre ses énormes couilles. Bien.

Juliette me pousse pour regarder. Cette fois, je glisse ma main dans son pantalon. Je sors ma bite dur comme du métal.
Juliette me la tient d'une main ferme. Je regarde à nouveau. Clémentine, les yeux fermés et une expression de bonheur.
Elle suce. C'est un spectacle étonnant. Mr Gérard, parfaitement immobile, lui caresse la tête. Une pipe magistrale. Bien.
Juliette est passée derrière moi. Nous sommes tous deux à genoux sur cette vieille couverture pliée. Juliette me branle.
Je mâte par le trou. Clémentine qui tousse en tentant de déglutir. La quantité de foutre du salopard est impressionnante.

De son doigt, il récupère ce qui dégorge sur le menton de Clémentine pour le lui mettre en bouche. C'est assez délirant.
Juliette me masturbe en douceur tout en me chuchotant des confidences. < J'aime tant être avec vous, toutes seule ! >
Je suis un peu gêné d'entendre quelques révélations qui ne laissent aucun doute quand à ses sentiments pour moi. Dur.
Je l'invite à regarder à son tour. Je lui enfonce un doigt. Elle a un léger frémissent. Je lui masse le clitoris. C'est sublime.
Juliette se met à bouger du bassin de façon régulière. Collée à la cloison, l'œil contre le trou, genoux largement écartés.

La chaleur animale de cette merveilleuse jeune femme est un véritable cadeau des dieux. Je lui dépose de petites bises.
J'ai mon visage tout près du sien. Je le scrute. Je passe mon index sur les lèvres de sa bouche. Le mouvement accélère.
Juliette se masturbe sur mon doigt qui s'enfonce, caresse son clitoris, s'enfonce à nouveau. Je regarde à mon tour. Joie.
Clémentine, de la jute sur tout le bas du visage, est toute entière à sa pipe. Elle raffole tant de la bite de ce vieux salaud.
Je distingue même vaguement de lointains gémissements. Juliette, à nouveau derrière moi, me masturbe en murmurant.

Ce n'est pas la première fois que nous retrouvons cette situation. Mais c'est la première fois que Juliette se confie tant.
Comme le suppose Clémentine depuis le début, Juliette n'est pas seulement amoureuse, mais elle m'aime. J'ai la trouille.
Non seulement parce qu'une femme qui aime est dangereuse mais également parce que je culpabilise soudain. C'est dur.
Quand je ne peux pas partager les moments intenses avec Clémentine, elle me manque cruellement. C'est elle que j'aime.
Je regarde à nouveau. Gérard retire régulièrement sa toute petite bite molle de la bouche de Clémentine. Il y a de la jute.

De longs filaments gluants, visqueux relient la bouche de Clémentine au sexe du vieux satyre. Un jet de pisse. Le salaud.
Clémentine se détourne juste à temps. Il la choppe fermement pour la lui enfoncer dans la bouche. Elle suce. C'est fou.
Elle tente à plusieurs reprises de se retirer mais ce vieux dégueulasse la tient fermement. J'imagine ce qu'elle doit avaler.
Comme par jeu Gérard la lâche soudain. Clémentine l'attrape par le tissu de son pantalon, aux hanches. Sucer plus fort.
Dans un cri, elle détourne la tête pour cracher le trop plein. Elle tousse. Elle est penchée sur sa droite. Le vieux la lâche.

Tout cela est tellement excitant que Juliette et moi nous alternons le voyeurisme toutes les dix secondes. C'est trop fou.
Clémentine s'est levée. Gérard lui essuie le bas du visage avec un mouchoir en papier. Il y a du foutre sur le haut du pull.
Je l'entends distinctement demander : < Ça ta plu ma grande ? Tu refais samedi, tu veux bien, je t'attends là, salope ! >
A ma grande surprise, Clémentine s'approche pour coller sa bouche sur celle du vieux dégueu. Ils s'embrassent. Ignoble.
< Elle aime les vieux pervers votre compagne ! > me chuchote Juliette en repoussant délicatement ma main exploratrice.

Clémentine et Gérard sortent du local bureau. Ils savent évidemment que Juliette et moi avons tout vu. Tout regardé. Joie.
< Venez ! > me fait Juliette. Nous sortons rejoindre le couple. Clémentine se serre contre moi m'écartant de Juliette. Fort.
Gérard, sans gêne, lui dit : < Tu reviens sucer samedi ma grande ! > devant moi, il secoue sa queue qui dégouline encore.
< Avec plaisir ! > répond Clémentine blottie contre moi. Juliette fait : < Moi, ce sera la bite à Julien ! >. Des éclats de rire.
Gérard nous salue et se dépêche de filer. Juliette nous invite à la suivre. Un bon repas qui nous attend. Il est déjà 20 h30.

Nous mangeons de bon appétit. Juliette me félicite pour la qualité du feuilleté de saumon. Clémentine qui me fait du pied.
Elle confie ses impressions à Juliette qui lui pose tout un tas de questions sur la bite à Gérard. < C'est ma bite ! > fait elle.
Juliette rajoute : < Ça fait 9 ans que je m'en régale sans m'en lasser. Je vous la prête Clémentine, n'en abusez pas trop ! >
Nous rigolons comme des bossus. Il est 22 h. Nous faisons la vaisselle. Nous promettons de revenir samedi soir. Superbe.
Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Elle glisse sa main dans ma braguette, sans gêne, devant Clémentine. Rires.

< Je vais me la goinfrer un de ces soirs ! > fait elle. Clémentine lui retire la main en disant : < Et avec ma permission ! >
Nous rions de bon cœur. Je glisse ma main entre les cuisses de Juliette pour la palper vulgairement. Je dis : < Salope ! >
< C'est un compliment que j'apprécie ! > fait la jeune femme. Clémentine me prend le bras pour m'entraîner dans l'auto.
Sur le chemin du retour elle me confie à quel point elle s'est régalée ce soir. La bite du vieux, le feuilleté de saumon. Rire.
Au lit, nous baisons. Immobiles. Comme nous aimons. Clémentine me confie être amoureuse de la bite du vieux salopard.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment sucer de vieilles bites, minuscules, toute molle, juteuses et pisseuses…

Julien - (Qui écoute les confidences de Clémentine. Elle avoue être pressée de sucer ce vieux saligaud samedi soir) -

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Les pizzas du jeudi soir

Hier matin, jeudi, c'est le Boléro de Ravel qui nous arrache cruellement de nos profonds sommeils. Il n'est que 5 h55.
< Salaud de Ravel ! > s'écrie Clémentine, roulant sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Et il fait froid.
Cette fois, pas de doute, les premiers frimas d'automne font leurs apparitions. Nous prenons un copieux petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en dissertant sur ce constat, c'est la fin de l'été. Nous remontons. L'entraînement.

Pour notre jogging sur tapis roulants, nous visionnons un de nos films tournés en Ecosse. C'est magnifique. C'est beau.
Abdos et charges additionnelles avant de prendre une douche après une heure d'activités intenses. Il est 7 h30. Super.
La douche. Je descends. Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous son parapluie. Et la fraîcheur est vive.
Vêtue de son jeans, sweat sous sa veste en cuir, bottines. Un dernier bisou. Je la regarde partir avec un dernier coucou.
Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet.

Je prépare ma palette, chantonnant "Le grand Café" de Charles Trenet. Je peins rapidement dans l'euphorie délirante.
Me voilà entièrement livré à ma passion dévorante. Je travaille à mon quatrième portrait de commande. Timing parfait.
Il est aux environs de 10 h15 lorsque la stupide musique de mon smartphone le fait vibrer dans la poche de ma blouse.
Je rage. Je m'en saisis en pestant. C'est Juliette. Nous causons sur mode "haut parleur", ce qui nous permet de bosser.
Après les civilités d'usage, Juliette en arrive rapidement à ce qui la tourmente. Ce qui s'est encore passé hier soir. Sexe.

Nous en rions de bon cœur lorsque je le lui fais remarquer. Juliette a énormément apprécié notre proximité de voyeurs.
< J'en ai encore fait un rêve déformé mais tellement plaisant ! > m'avoue t-elle. J'écoute beaucoup plus que je ne parle.
C'est amusant d'entendre une jeune femme faire des aveux passionnés, délurés, si excitants. A tel point que j'en bande.
Juliette insiste pour nous voir ce Week-end. Samedi soir serait l'idéal. J'évoque la possibilité de lui présenter une "amie".
Rien n'est encore défini. J'attends la confirmation de Julie, notre jeune "visiteuse" du lundi soir. Juliette en semble ravie.

Nous bavardons ainsi une bonne vingtaine de minutes. Nous nous saluons. Nous nous voyons samedi soir. C'est informel.
Je continue mon labeur avec une érection presque douloureuse. J'adore peindre tout en bandant. Je suis encore meilleur.
Il est rapidement midi. J'aurai terminé ce quatrième portrait pour 16 h. Je vais à la cuisine. Dehors, c'est la pluie. Beurk.
Je lave les feuilles d'une grosse laitue pendant que gonfle le riz complet. Je fais une belle pâte à pain. Avec du Parmesan.
C'est judicieux d'y rajouter du Parmesan finement râpé car cela donne à la pâte un goût divin. Je concocte une garniture.

Tomates fraîches que je fais rissoler avec de l'ail, de l'oignon, du persil, de la ciboulette et les dés d'un avocat bien mûr.
Je coupe le feu. Je récupère un peu de cette préparation comme sauce avec mon riz. Je mange de bon appétit. La radio.
Les informations tronquées et déplorables me gonflent rapidement. Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Déjà 13 h05.
La pâte à pain repose sous un linge. La garniture repose sous un couvercle. Le nécessaire des pizzas de ce soir est prêt.
Me voilà assis devant mon chevalet pour ma seconde séance de la journée. La musique idiote de mon smartphone. Zut.

Quelle agréable surprise, c'est Julie. Il est 15 h. Elle est entre deux cours. Elle n'a que quelques minutes. Elle paraît ravie.
Julie me confirme sa venue samedi. Elle sera chez nous pour 19 h30. C'est parfait. Nous nous saluons avant de raccrocher.
Même si cet appel n'a duré qu'une petite minute, il me comble de joie et me procure une érection fort sympathique. Bien.
Je termine cette quatrième toile de commande pour 16 h10. Je la pose sur le second chevalet afin de l'y laisser sécher là.
Je pose la cinquième toile dont le dessin préparatoire est déjà réalisé. Une œuvre de commande. Le port de Douarnenez.

Il est 16 h30 lorsque Clémentine entre à toute vitesse dans l'atelier, jetant son sac sur le canapé : < Je t'aime ! > dit elle.
Assisse sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Restaurant universitaire, les cours. Bon.
J'écoute avec beaucoup d'intérêt. C'est mon seul lien avec le monde extérieur. Je lui raconte les deux coups de téléphone.
Clémentine a encore du travail. Assise devant l'ordinateur, elle met ses notes au propre. Rien de mieux pour mémoriser.
Elle me confie sa joie. Son excitation comparable à la mienne. Ce samedi soir sera peut-être source d'étonnantes choses.

Il est 18 h15 lorsqu'Estelle arrive à toute vitesse dans l'atelier pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux. Bisous.
Elle n'y reste pas car elle veut comparer ses notes avec celles de Clémentine. Les voilà toutes les deux devant l'ordinateur.
Nous travaillons encore jusqu'à 18 h45. Estelle s'écrie ! < Mais comme j'en ai marre ! >. Clémentine rajoute : < Stop ! >
Nous rangeons nos affaires. Nous allons à la cuisine. Estelle travaille encore un peu la pâte à pain, ses mains enfarinées.
Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà prête. Je réchauffe la garniture. Estelle évoque sa baise avec le parrain.

Nous rigolons toujours comme des bossus de cette histoire de matelas gonflable au fond du garage sur lequel elle nique.
< Hier soir, qu'est-ce qu'il m'a encore mis ce salaud ! > fait Estelle. < Tu l'a sucé ? > demande Clémentine. Eclats de rire.
< Non ! Il n'est pas trop pipe ! Il préfère aller à la mine ! > répond Estelle. Nous en rions de bon cœur. Les pizzas au four.
Nous allons au salon. Vautrés dans le canapé, tous les trois, Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite, nous causons.
Je raconte les deux appels. Celui de Juliette ce matin, celui de Julie cet après-midi. Estelle joue avec ma bite en écoutant.

Heureusement que je bande mou car cette coquine me la tord dans tous les sens. Clémentine a sa tête sur mon épaule.
Estelle me pose quelques questions sur ce qui s'est passé aux écuries hier soir. Clémentine lui a déjà donné sa version.
< Pas de doute, la mère maquerelle est amoureuse de toi ! > conclue Estelle. < Ça me fait chier ! > rajoute Clémentine.
Je les rassure toutes les deux. Rien, absolument rien, ne viendra obscurcir notre lumineuse histoire d'amour à trois. Rien.
Les deux filles se serrent encore plus fort contre moi. Elles me couvrent le visage de bisous. C'est tellement merveilleux.

< Mes parents nous invitent à manger, dimanche, pour midi ! Et maman insiste ! > fait Estelle. Nous trouvons ça parfait.
Je propose d'emmener le dessert. Une belle tarte aux pommes. Estelle me tient la queue fermement. Je bande bien fort.
< C'est ma maman qui te fait cet effet là ? > fait encore Estelle d'un ton espiègle mutine. Je réponds : < Non c'est toi ! >
Clémentine, non sans peine, m'extrait les couilles. < C'est plus joli avec les couilles ! > dit elle. Nous rions de bon cœur.
Je dis : < Que diriez vous, toutes les deux, après les pizzas, de vous faire lécher les minous ? >. Et elles éclatent de rire.

< Moi, j'ai envie que tu me la mettes un peu. J'adore comparer la baise avec mon parrain et avec toi ! > me fait Estelle.
< T'es la dernière des salopes ! > lui répond Clémentine en se penchant pour prendre ma bite en bouche. Je bande dur.
Estelle me tient par les couilles qu'elle masse délicatement tout en tenant mon Zob que pompe Clémentine. C'est génial.
La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Estelle qui ne me lâche pas un instant la queue.
La table est mise. Estelle me dit : < Ne vas pas te brûler la bite, je sors les pizzas du four ! >. Clémentine saisit le Zob.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. La conversation s'axe rapidement sur la soirée qui nous attend samedi.
Les spéculations les plus saugrenues. Les évocations de situations déjà vécues. Tout cela participe de nous exciter. Super.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. < Tu as promis ! > me fait Estelle en me tirant par la queue.
Elle m'entraîne au salon. Clémentine retire son jeans et sa culotte. Elle s'installe dans le fauteuil. C'est le signal habituel.
Une jambe posée sur chaque accoudoir, les cuisses écartées, Clémentine commence sa masturbation en nous observant.

Estelle retire son jeans et sa culotte. Elle se vautre au fond du canapé. Je suis à genoux et mon visage entre ses cuisses.
Je hume longuement les odeurs de sa journée de fille. Son hygiène volontairement négligée lorsqu'elle vient à la maison.
Je dois surmonter une répulsion qui m'indispose jusqu'au dégoût. Mais l'effort vaut la peine. Elle se met à quatre pattes.
Elle me présente son cul. Je lui écarte les fesses pour lécher sa raie. Quelle horreur. J'entends Clémentine gémir. Plaisir.
Estelle se retourne. Je lui bouffe la chatte. J'enfonce ma langue, je pompe tout ce que je peux, je suce son petit clitoris.

Mon dégoût à fait place à une véritable dégustation. Les gémissements des deux filles sont un concerto stéréophonique.
C'est absolument divin. La plus belle des musiques. Je dirige l'orchestre d'une langue experte en passant à Clémentine.
Estelle, couchée sur le côté me suce pendant que je me régale de la chatte de Clémentine. Encore une soirée mélomane.
Estelle se couche sur l'épais tapis en me tirant par la bite. Elle m'attire sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions.
Elle passe ses jambes et ses bras autour de moi pour se suspendre. Je reste en appui sur mes bras. Elle bouge très vite.

Je l'entends souffler de plus en plus fort. Haletante elle s'arrête à plusieurs reprises. Je fais la "machine à coudre". Bien.
< Il te baise comme ça ton parrain ? > lui demande Clémentine qui est venue nous rejoindre en se masturbant parterre.
Estelle, entre deux souffles, s'écrie : < C'est un baiseur fou ! >. Clémentine me fait un clin d'œil. C'est un grand moment.
Elle choppe mes couilles de sa main libre. Estelle fouille ma bouche de sa langue, gémissante comme si c'était sa survie.
Son orgasme est cataclysmique. Elle reste comme tétanisée, accrochée à moi comme si sa vie en dépendait. C'est beau.

Nous restons couchés tous les trois sur le tapis. Il est déjà 22 h. Pas question de prendre le risque de s'endormir. Difficile.
Clémentine a cessé de se branler. Nous nous gardons pour le lit, tout à l'heure. Nous nous rhabillons. Il faut se reprendre.
Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Une séparation difficile. Nous nous revoyons samedi. Elle se serre contre nous.
Nous la regardons partir sous notre parapluie. Nous nous dépêchons de rentrer. Au lit, Clémentine m'attire sur elle. Baise.
Elle me confie à quel point c'est excitant de me voir baiser avec Estelle. En précisant < Seulement Estelle ! >. Orgasmes.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment baiser sur l'épais tapis du salon sous le regard d'une belle masturbatrice…

Julien - (Qui fait jouir Clémentine avec un cunnilingus après la pénétration. Proposant de remettre la pipe à demain) -

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Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 932 -



Une petite surprise à Julie

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons juste avant que ne résonne la musique. J'éteins de justesse l'appareil. A temps.
Clémentine me chevauche. Le vendredi, elle termine à midi. C'est donc dans une certaine effervescence qu'elle se réveille.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Mort de faim nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Parfait.
Nous préparons un copieux petit déjeuner dans l'euphorie d'un très proche début de Week-end. Et c'est tous les vendredis.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. C'est bon.

La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue de son jeans, veste et bottines.
Il est 7 h45. Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Un dernier coucou. Je rentre très vite.
Je fais le lit, la vaisselle avant d'aller dans l'atelier. Il est 8 h15. Me voilà enfin confortablement assis devant mon chevalet.
Je prépare ma palette en chantonnant. Je peins dans une extraordinaire sérénité. C'est la cinquième œuvre de commande.
Livré corps et âme à ma passion, je module longuement mes cris les plus surréalistes. Encore une séance exaltante. Joie.

La matinée passe à une vitesse folle. Il est midi. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je fais une sauce.
Une de ces sauces au Roquefort dont nous raffolons. Aujourd'hui avec des champignons et du cabillaud si finement émincé.
Déjà 12 h20. Clémentine arrive. Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre de bises.
Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Les cours, les profs, Estelle qui se réjouie pour le Week-end.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte.

Dehors, le ciel est gris, bas et menaçant. Fraîcheur. Le thermomètre extérieur indique 12°. Pas de doute, c'est l'automne.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Amusant.
Clémentine, avec la brosse à dents, de la crème dentifrice aux coins des lèvres, imite une fellation lascive et langoureuse.
Je suis derrière elle. Je murmure : < C'est la bite à qui ? >. Nous rions de bon cœur. Clémentine répond : < Inconnue ! >
Elle m'entraîne dans la chambre, me fait tomber sur le lit, s'allonge à côté de moi, me sort la bite tout en m'embrassant.

Sa tête posée sur mon ventre, elle joue avec ma queue qu'elle observe tout en me donnant ses impressions sur sa qualité.
J'écoute en lui caressant la tête. J'évoque la bite à Gérard. Très rapidement elle en vient aux comparaisons. C'est superbe.
Une fois encore elle évoque le goût de la bite de ce vieux salaud. Ce sexe minuscule, toujours mou, qui dégorge de foutre.
< Je ne sais pas lorsqu'il éjacule. Il y en a tout le temps. C'est génial. Au début c'est d'un goût dégueu ! > fait Clémentine.
Elle fait : < Je commence à apprécier vraiment au bout de cinq minutes. Ça vient sans arrêt. Je peux sucer des heures ! >

Clémentine se met à téter. Je la sens rapidement se prendre au jeu. Je lui caresse la nuque. Je lui parle du vieux salopard.
Elle confirme souvent mes questions par des < Mmhh ! > sans vraiment répondre mais en gémissant de manière positive.
Je bande comme un priapique en phase terminale. Je me fais tailler là une pipe des familles. Je pose la question qui tue.
< Quelle est la meilleure bite que tu n'ais jamais sucer ? >. Clémentine cesse de sucer pour me répondre : < Gérard ! >
Elle rajoute : < C'est grâce à toi que je peux tant me régaler avec sa queue ! Merci Julien pour ta complicité ! >. Super !

Pour permettre de reposer sa mâchoire, je la tire régulièrement par les cheveux pour qu'elle blottisse sa tête contre moi.
Elle y retourne après m'avoir chuchoté des douceurs. Je murmure : < Demain soir, cadeau, tu auras la bite à Gérard ! >
Clémentine redescend sucer en gloussant de plaisir. Je propose de cesser, de nous garder pour les éventualités de ce soir.
Je dis : < Et si nous allions au restaurant de l'étang, ce soir, faire une surprise à Julie ? >. Clémentine s'écrie : < Oui ! >
Nous restons encore un moment blottis pour échanger nos impressions. Il est 14 h45. Nous descendons en riant. Super.

Nous voilà dans l'atelier. Cette météo nous permet de travailler sans frustration. Clémentine a encore du boulot. Parfait.
Nous adorons ces séances de concentrations silencieuses entrecoupées de pauses bisous. C'est un autre grand moment.
Il fait plutôt sombre. Je peins avec la lumière de la lampe à halogène. Clémentine est devant l'ordinateur. C'est superbe.
L'après-midi se passe ainsi. Je vais terminer cette cinquième toile pour lundi soir au plus tard. Un format F-6, (41 x 33).
< J'ai fini ! Je suis à jour ! > s'écrie Clémentine derrière moi. Il est 18 h. Nous rangeons nos affaires. Le travail accompli.

Nous en profitons pour aller découvrir la boîte mail. Surprise. Il y a un message des Wong, d'Edimbourg. Extraordinaire.
Ils nous confirment leurs présences à Paris. Du 22 octobre au 24 octobre. Deux jours. Ils nous proposent de nous revoir.
Ils seront à l'hôtel près de la place de Clichy. Je connais. Pigalle est à dix minutes de marche. C'est absolument génial.
Je réponds. Je confirme notre présence. < Pourquoi ne pas louer une chambre dans le même hôtel ? > dit Clémentine.
Je trouve la suggestion géniale. Immédiatement après l'envoi du mail, je téléphone à l'hôtel pour réserver une chambre.

Je réserve quatre jours et trois nuits. Et depuis le temps que je veux faire découvrir Paris à Clémentine qui saute de joie.
< Je t'aime Julien. Et tout est toujours si simple avec toi ! > me fait elle en me sautant au cou pour me couvrir de bisous.
Nous irons sur Paris avec le train lundi matin, 21 octobre. Je fais immédiatement une réservation SNCF. Un aller et retour.
Clémentine ne me lâche plus. Assise sur mes genoux elle regarde tout ce qui s'affiche sur l'écran de l'ordinateur. Super.
Nous éteignons. Nous quittons l'atelier. Nous montons à l'étage pour nous changer. Clémentine est euphorique. Le plaisir.

Sur sa demande, je porte mon ensemble en velours marron. Chemise blanche sous la veste. Manteau marron, écharpe.
Clémentine porte une de ses jupes kilt à carreaux rouges. Des bas, porte-jarretelles, un chemisier crème, la veste noire.
< Regarde comme on beaux tous les deux ! > me fait elle en m'entraînant devant le miroir de l'armoire. Couple élégant.
Finalement Clémentine met un pull de coton fin, bleu nuit sous son imperméable mastic. Elle est absolument magnifique.
Accroupie, les cuisses largement écartées, sa tête contre ma cuisse, elle fait : < Je vous aime "Maître". Et à la folie ! >.

Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Sans vous, adorable "Soumise", la vie n'aurait pas la même saveur ! >
Clémentine frotte son visage contre ma braguette. Je sors le Zob pour le lui passer sur le visage. Elle se met à suçoter.
Je la force à cesser en la tenant par ses cheveux. Nous dévalons les escaliers en riant de nos jeux de rôles. C'est exquis.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite en évoquant Mr Wong, sa femme Ly-Yang, notre séjour à Paris. Joie.
Je dis : < Tu vas pouvoir te régaler d'un Nem "Made in Scotland" ! >. Clémentine me fait : < Miam ! J'adore aussi ! >

Je me fais sucer une bonne partie des 12 km qui nous mènent au restaurant de l'étang. Il est 19 h30. Peu de voitures.
Le crépuscule précède une nuit noire et fraîche. Nous montons les marches. Nous entrons. Peu de monde dans la salle.
Julie, toute surprise mais toute heureuse, vient nous accueillir. Sa tante nous fait un sourire depuis le comptoir. Bien.
Nous allons la saluer. Julie vêtue de sa tenue de serveuse. Jupe noire et chemisier blanc, son petit tablier de soubrette.
Nous nous installons à la table qui nous est réservée, juste près de l'escalier qui descend aux toilettes. La commande.

Avec le peu de clients, Julie a le temps de bavarder un peu. Elle nous raconte sa semaine en fac, ses études, son plaisir.
Elle nous avoue se réjouir pour demain soir. Elle nous rejoint à la maison pour 19 h30. C'est parfait. Nous irons au haras.
Julie va enfin découvrir ce petit coin de plaisir dont nous lui vantons les mérites depuis le printemps. Notre petit monde.
C'est devant un énorme plateau de fruits de mer que nous faisons des projets pour l'avenir proche. Notre séjour à Paris.
Julie vient régulièrement bavarder un peu avec nous. Je lui demande : < Vous auriez des toilettes, je dois me branler ! >

J'aime la voir rire. Surtout que Clémentine rajoute : < Ça urge ! >. Julie m'invite à la suivre. Nous descendons l'escalier.
Elle me précède. Elle m'accompagne dans les WC homme. J'ouvre immédiatement ma braguette. Je sors ma bite molle.
Julie murmure : < J'adore quand vous faites ça ! J'y pense tous les jours ! >. Je dis : < Demain t'en verras d'autres ! >
< J'ai un peu peur ! > répond t-elle. Je la rassure : < Il ne pourra rien t'arriver, je ne te quitte pas des yeux ! > >. Rire.
Je tiens ma bite à sa base, entre le pouce et l'index. Je la fais tournoyer devant la jeune fille. Elle a un sourire adorable.

Je vise l'urinoir à environ un mètre. Je pisse. Julie reste près de la porte. Elle observe avec attention et tout en souriant.
Elle murmure : < J'adore ! >. Je dis : < Je sais. A partir de demain, je prends ton "éducation" en main ! >. Elle sourit.
< Avec plaisir monsieur le professeur ! > répond t-elle avant de rajouter : < Il faut que je remonte. A tout de suite ! >
Avant de quitter les chiottes elle fait : < Ma tante sait que je fais ma vicieuse. Elle va encore avoir des insinuations ! >
Je bande comme le dernier des salauds. Je remonte. Je raconte à Clémentine qui se touche discrètement sous la table.

Elle me murmure qu'un des deux mecs assis à table là-bas, avec leurs compagnes, est entrain de la mâter en discutant.
Je dis : < C'est génial ! Nous avons tous deux notre dose de vice ! >. Clémentine prend ma main, dit : < Je t'aime ! >
Les deux couples sont à l'addition. Hélas, ils s'en vont. Pas de test des chiottes pour Clémentine qui aime cette pratique.
L'addition. Il est 21 h30. Nous descendons aux toilettes. Clémentine me suce. Julie qui nous rejoint, découvre la scène.
Elle reste comme sidérée dans l'encadrement de la porte. Je lui dis : < Tu veux la goûter en vitesse ? >. Julie me sourit.

Clémentine cesse pour lui tendre ma queue en disant : < Elle est à point. Juste ce qu'il faut ! >. Elle l'agite doucement.
Julie semble hésiter. Je la sens ivre du désir de tenter cette expérience. Je lui fais un clin d'œil en disant : < Viens ! >
Julie, confuse, ne sait quoi dire, quoi faire. Clémentine la tire de cet embarras en disant : < Goûtez un de ces jours ! >
Nous remontons tous les trois. Julie nous raccompagne jusque sur le haut des marches dans le froid de la nuit. Super.
Nous nous saluons. < A demain ! >. Clémentine n'arrête pas de sucer jusqu'à la maison. Au lit, baise sublime. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment descendre dans les toilettes des restaurants pour voir les mecs pisser…

Julien - (Qui écoute les confidences de Clémentine. Elle se réjouie de bouffer bientôt du Nem à Paris) -

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Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 933 -



Un samedi pluvieux de début octobre

Hier matin, samedi, je suis réveillé par des bisous que l'on me dépose délicatement partout sur le visage. C'est si doux.
J'ouvre les yeux. Le sourire de Clémentine qui me chuchote des < Je t'aime ! >. Je la prends contre moi. La tendresse.
Nous nous offrons quelques merveilleux instants et avant que l'impérieux besoin de pisser ne nous impose les chiottes.
Il est 7 h45. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine pour y préparer un bon petit déjeuner. Super.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un vague programme de la journée. Dehors, il pleut. Il fait moche. Gris.

La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, c'est frustrant.
Nous aurions préféré aller pratiquer notre running à l'extérieur. Abdos, charges additionnelles. Et bien quand même.
La douche. Nous nous habillons. Il ne fait pas froid. Clémentine porte son porte-jarretelles sous sa jupe kilt. Super.
Un chemisier crème sous sa veste de cuir noir. Ses souliers de ville à légers talons. Ses bas noirs. Elle est splendide.
Sur sa demande, je porte un pantalon marron à pinces et à plis, une chemise crème sous ma veste noire. Mocassins.

Accroupie sur ma gauche, sa tête posée sur ma jambe qu'elle serre dans ses bras, Clémentine me fixe. Implorante.
Les cuisses largement écartées, devant le miroir de l'armoire, elle dit : < Mon bon "Maître", comme je vous aime ! >
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Ma délicieuse "Soumise", vous enchantez mon existence, ma vie ! >
Clémentine frotte son visage sur ma braguette. Je sors ma bite pour la passer délicatement sur les joues, les lèvres.
Je la laisse suçoter un peu avant de la saisir par ses cheveux afin de la forcer à se relever. Je lui masse les genoux.

Nous dévalons l'escalier en riant beaucoup de ce jeu du "Maître" et de la "Soumise". C'est devenu un véritable rituel.
Il ne pleut plus. Je roule doucement. Clémentine qui joue avec ma bite. Trois petits kilomètres jusqu'au bourg voisin.
Je gare la voiture. Il y a du monde. Je prends les cabas. C'est jour de marché. C'est un de nos plaisirs du Week-end.
Nous faisons provision de fromages, d'œufs, de beurre, de yaourts et de crème fraîche chez notre artisan habituel.
Nous faisons provision de légumes et de fruit chez nos petits producteurs locaux. Nous revenons à la voiture. Parfait.

Les produits frais dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Les fruits et les légumes dans le coffre. Tout est ok.
Nous repartons en direction de la zone commerciale. Une quinzaine de kilomètres où Clémentine me parle de sexe.
Tout en jouant avec le mien, elle évoque celui de Mr Wong que nous allons bientôt revoir pour notre séjour à Paris.
Nous nous réjouissons pour voir ce couple de vietnamien devenus des amis. Et Clémentine m'avoue son impatience.
Je dis : < Tu vas pouvoir savourer un beau nem et te faire baiser comme tu aimes ! >. Clémentine me branle. Rire.

Nous arrivons sur le parking de l'hypermarché. Il n'y a pas trop de voitures. Même si le ciel reste gris, il ne pleut pas.
Je pousse le caddie. Clémentine tient la liste des courses. Elle m'entraîne dans les rayons. Avec le peu de gens, facile.
Nous faisons provision de tout le nécessaire à la logistique d'une vie domestique. Produits d'entretien et de toilettes.
Des conserves. Des céréales. Pour la plupart dans le rayon "Bio" très bien fourni. Pâtes, riz, Millet, lentilles, biscottes.
Clémentine aimerait bien s'offrir sa petite frayeur habituelle. Elle m'entraîne au rayon culturel. Nous le connaissons…

Il y a quelques couples mais pas d'homme seul à feuilleter des magazines. Nous tournons plusieurs fois pour vérifier.
Nous avons le temps. Personne. Clémentine nous entraîne au rayon des vêtements homme. Enfin. Un jeune gaillard.
C'est un asiatique en survêtement. Style sportif. Il regarde les tenues de sport. Je reste en début de rayon. Parfait.
Clémentine pousse le chariot pour le coller contre les chemises. A deux mètre de Bruce Lee, elle s'accroupit. Super.
Le chariot derrière elle fait écran. Elle peut donc se livrer à son activité préférée ici, le rayon des vêtements homme.

Notre Jackie Chan se rend rapidement compte de ce qui se passe. Clémentine est d'une discrétion totale. Virtuose.
Les rares clients qui passent n'y prêtent aucune attention particulière. Clémentine s'offre son frisson exhibitionniste.
Je bande comme un salaud. C'est toujours si excitant de la voir faire son numéro devant un parfait inconnu. Super.
Notre garçon a le réflexe habituel de tous les messieurs confrontés à une telle situation. Il s'accroupit là à son tour.
Il prends une paire de baskets pour faire semblant de les scruter sous tous les angles. Alors qu'il mâte la jeune fille.

De l'endroit où je me trouve, en tête de gondole, je ne distingue que très vaguement. Et quand Clémentine se tourne.
L'absence de culotte, un porte-jarretelle, des bas, de quoi affoler tout quidam lambda confronté à une telle situation.
Notre Bruce Lee ne fait pas exception. Souple comme un félin, il se permet quelques positions qui permettent de voir.
Il ne s'en prive pas. Tout en restant distant. Il ne tente aucune approche. C'est tout juste s'il ne fait pas le grand écart.
C'est fameux. Clémentine peut évidemment donner dans une discrète mais surprenante surenchère. Ruse et stratégie.

Merdre ! Voilà une ravissante jeune fille toute aussi asiatique que notre voyeur. Pas de doute. C'est sa compagne. Dur.
Clémentine, étant pour la paix des ménages, se redresse précipitamment en tenant une paire de chaussettes. La ruse.
Ce qui n'empêche pas que la jeune asiatique lui lance un regard aussi foudroyant qu'un coup de karaté. Je suis amusé.
Elle entraîne son compagnon par le bras. Ils s'en vont. Clémentine vient me rejoindre pour me donner ses impressions.
Je la félicite pour son show qui était aussi parfait que d'habitude. Je la remercie de nous offrir tant de petits bonheurs.

Il nous reste à faire nos achats à la poissonnerie. Avec le peu de clients, nous n'attendons pas longtemps. C'est super.
Filets de cabillaud, de flétan, de lieu noir, des langoustines, des pavés de saumon, les moules. Nous passons en caisse.
Nous déambulons dans la galerie commerciale. Nous nous faisons accoster par une jeune lycéenne vendant des tulipes.
< C'est pour financer la lutte contre la mucoviscidose ! > fait elle. Nous en prenons un bouquet. Des roses également.
Nous découvrons les menus proposés à la cafétéria. < Viens, on se fait à manger à la maison ! > chuchote Clémentine.

Il est un peu plus de midi trente lorsque nous revenons à la maison. Nous rangeons les courses. Nous nous changeons.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Une superbe scarole. Je fais bouillir l'eau pour les moules.
Je verse les haricots verts et les patates congelés directement dans le Wok. On n'a pas envie de s'emmerder. On a faim.
Le repas est délicieux. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons longuement à table. Week-end.
Dehors, il s'est remis à pleuvoir. Cette météo épouvantable ne laisse pas beaucoup d'improvisation. C'est si lamentable.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine me propose de faire le ménage en ce début d'après-midi. C'est bien.
Comme nous sommes invités demain, dimanche, au repas de midi chez les parents d'Estelle nous pourrons glandouiller.
Je trouve la suggestion parfaite. Il est 14 h. < Mais on reste ensemble pour tout faire ! > fait Clémentine en se serrant.
< On ne se quitte pas d'un mètre ! Obligatoire ! > rajoute t-elle en passant sa main dans ma braguette ouverte. Super.
Je passe ma main dans son jeans. Nous nous embrassons avec tant de passion qu'il y a la salive partout qui dégouline.

Nous commençons par la cuisine, les chiottes du bas, le hall d'entrée, le salon. Nous nous appliquons. Pauses bisous.
Nous montons à l'étage. Nous faisons la salle de bain, les chiottes du haut, la chambre à coucher et la pièce de gym.
Clémentine propose de ne changer les draps du lit que demain matin. Ce sera la seule tâche. Nous pourrons traîner.
Il est 16 h. Tout est nickel. Nous terminons par l'atelier. Aspirateur, chiffon, plumeau et serpillère. Efficacité, méthode.
Il est 16 h30. Clémentine s'installe devant l'ordinateur. Je m'installe devant mon chevalet. La petite séance de travail.

Il est 18 h lorsque la musique parfaitement stupide de mon smartphone ne fasse vibrer l'appareil posé sur la table.
Clémentine s'en saisit. < Julie ! > me fait elle avant de commencer une rapide conversation. J'entends les échanges.
< Julie nous rejoint directement au haras pour 19 h30 ou 20 h ! > m'explique Clémentine après avoir raccroché. Joie.
Il est 18 h30 lorsqu'Estelle arrive à toute vitesse pour nous faire la bise, s'assoir sur mes genoux, tout nous raconter.
Sa journée au bureau de l'entreprise familiale. Sa maman qui lui demande de nous rappeler notre invitation à midi.

Estelle et Clémentine sont devant l'ordinateur à surfer sur le site de l'université. Je termine un dessin préparatoire.
Nous avons mis à profit cet après-midi pluvieux, maussade, pour avancer dans nos travaux. Sentiment de sérénité.
Il est 19 h. Nous montons nous changer. Les filles sont fébriles. Impatientes de retourner sur le lieu de nos péchés.
Nous en rigolons comme des bossus en évoquant tous les possibles qui peuvent nous attendre au haras. Amusant.
Estelle a emmené des vêtements de change qu'elle sort de son sac de sport. Les filles s'habillent à l'identique. Bon.

Les voilà toutes les deux en jupes kilt à carreaux rouges, chemisier blanc sous un pull de fin coton bleu nuit. Belles.
Des souliers noirs, fermés, à légers talons. Elles ressemblent à deux étudiantes anglaises. Une veste blaser noire.
Sur la demande de Clémentine je porte un pantalon de flanelle noire. Une chemise blanche sous un pull col en "V".
Ma veste noire. Mes souliers de ville noirs. Nous voilà devant le miroir de l'armoire à faire les clowns. En rigolant.
Le rituel du "Maître" et de ses "Soumises". Estelle garde sa culotte. Elles sont toutes les deux en porte-jarretelles.

Julie nous rejoint au haras

Nous arrivons au haras pour 19 h30. Je gare la voiture dans la cour. Il fait presque nuit. La pluie tombe. C'est sinistre.
Il n'y a que la voiture de Mr Gérard. De la lumière dans le nouveau bâtiment. Je remballe ma bite. Estelle me la tient.
Clémentine nous abrite sous notre grand parapluie. Il ne fait pas vraiment froid et il n'y a pas de vent. C'est le silence.
Nous traversons la cour d'un pas rapide. Nous entrons dans l'écurie. Les chevaux sont dans leurs box. Et ils observent.
Nous caressons leurs cous, leurs têtes qui dépassent. Juliette arrive. Elle a un grand sourire. Si contente de nous voir.

Nous nous serrons les mains. Juliette nous invite à la suivre. Vêtue de sa tenue d'écuyère habituelle. Une veste noire.
Nous entrons dans la salle du fond. Il y a Mr Gérard en pleine conversation avec Evelyne. Il n'y a qu'eux. Grand sourire.
Nous nous saluons. Mr Gérard est vêtu d'un pantalon d'épais velours brun, une chemise à carreaux , son épaisse veste.
Evelyne est vêtue de son jeans, d'un pull et de baskets. Juliette nous propose du thé, du café des petits gâteaux secs.
Nous préférons un jus de mangue. Nous voilà assis tous les six. Nous écoutons Mr Gérard évoquer quelques anecdotes.

Juliette nous explique qu'il n'y aura que nous ce soir. Personne n'a réussi à se libérer de ses obligations. Dommage.
Estelle, à ma droite, me fait du pied sous la table. Clémentine à ma gauche me tient le bras. Toute serrée contre moi.
Nous écoutons. Gérard n'a pas son pareil pour amuser l'auditoire par de bons mots. Juliette qui semble très fatiguée.
Une voiture. Nous entendons les pneus crisser sur le gravier de la cour. Juliette se lève pour aller voir. Il est 20 h15.
Elle revient accompagnée de Julie. Julie est toute contente de nous voir. Elle serre les mains de Gérard et d'Evelyne.

Les présentations. Julie, extrêmement timide et réservée ne parle pas beaucoup. Elle est assise à côté de Clémentine.
Juliette vient s'assoir près de nous. Monsieur Gérard et Evelyne restent assis dans le canapé. Juliette propose la visite.
Julie toute ravie accepte volontiers de découvrir le haras. Clémentine préfère rester en compagnie d'Evelyne et Gérard.
Estelle me tient par le bras. Nous suivons Juliette et Julie. Nous écoutons en silence. Estelle n'arrête pas de me palper.
Juliette et Julie font mine de ne pas s'en apercevoir. Julie qui me regarde à plusieurs reprises d'une curieuse manière.

Je comprends. Elle se demande ce que fait Estelle avec moi sans Clémentine. Même si elle sait, elle reste bien étonnée.
Julie est vêtue d'un jeans, un sweat sous son anorak, des bottines noires à léger talons. Juliette s'arrête pour expliquer.
Estelle m'entraîne dans l'obscurité du petit couloir. Nous sommes dans la partie la plus ancienne. Les anciennes écuries.
Elle se serre contre moi pour m'embrasser comme si sa vie en dépendait. Tient. Voilà Evelyne qui vient nous rejoindre.
Elle veut me dire quelque chose. La présence d'Estelle semble la gêner. Je lui dis : < Vous pouvez tout me raconter ! >

< Votre compagne, Clémentine, est entrain de tailler une pipe au vioque ! Ce salaud se fait encore sucer ! > me dit elle.
Estelle se serre encore plus fort contre moi. Elle lui répond : < Oui ! C'est bien ! Pourquoi vous ne restez pas avec ? >
Evelyne semble contrariée. < Ça me fait chier de me faire doubler par une autre ! > nous fait elle encore en grimaçant.
Elle rajoute : < Je ne suis pas jalouse de Clémentine. Je suis jalouse de la bite ! >. Nous éclatons de rire, Estelle et moi.
< Vous trouvez ça drôle, vous ? Pas moi !> dit Encore Evelyne en s'asseyant sur une caisse, tête en appui sur les mains.

Nous ne connaissons que très peu Evelyne. Sa réaction nous étonne un peu. Estelle qui s'accroupit entre Evelyne et moi.
Estelle lance : < Mais vous êtes toute folle de la petite bite molle et ridicule de ce vieil incontinent retraité, ma parole ! >
Nous rions tous les trois de bon cœur. Juliette arrive accompagnée de Julie : < Que faites vous dans le noir ? > fait elle.
Estelle raconte ce qui se passe. < Qu'est-ce que je devrai dire, moi ! Vous me le videz toutes ! > lance Juliette en riant.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Juliette fait encore : < Il y a juste Julie qui ne sait pas encore ce que c'est ! >

Je vois le regard de Julie briller dans l'obscurité. Elle nous observe tous les trois sans comprendre de quoi nous parlons.
Juliette lui explique. Nous lui en avons déjà parlé. Ce qui étonne Julie c'est le naturel avec lequel tout cela se passe ici.
C'est vrai qu'il y a de quoi se poser des questions. Julie nous fait : < Mais je n'ai pas envie de faire ça à ce type, moi ! >
Estelle lui répond : < Parce que tu n'y a pas encore goûté ! >. Juliette rajoute : < L'essayer, c'est l'adopter ! >. Rires.
Je fais : < Clémentine en a d'ailleurs développé une véritable addiction. La preuve, elle est entrain de la lui bouffer ! >

Estelle me sort la bite. Il fait noir. On ne voit pas bien. Je bande mou. Elle m'entraîne par la queue jusque à la lumière.
Juliette me fait un clin d'œil en disant à Julie : < Quand c'est pas l'une, c'est l'autre ! >. Julie qui observe, consternée.
< Venez ! On va mâter ! > fait Juliette. Nous la suivons tous les trois. Julie n'arrête pas de se retourner pour regarder.
Visiblement, elle n'en revient pas. Elle ne s'attendait pas à de telles désinvoltures. Elle me fixe à chaque arrêt. Sympa.
Nous suivons Juliette dans le petit local technique où nous tenons tout juste à quatre. Elle pousse le banc contre le mur.

Nous montons tous les quatre dessus pour regarder par l'étroit et long soupirail. J'ai la bite à l'air devant quatre meufs.
Le carreau n'est pas très propre. La salle n'est éclairée que de quatre grosses bougies. Gérard, vautré dans le canapé.
Clémentine, couchée à côté de lui, est entrain de lui tailler une pipe. Je la regarde. Impossible de voir ses expressions.
Cela me frustre. C'est ce que je préfère. Voir les expressions sur son visage lorsqu'elle fait ça à un autre type. Superbe.
Estelle ne me lâche pas la bite. Je bande dur. Elle me branle. J'hallucine. Juliette a posé son bras sur l'épaule de Julie.

Nous connaissons les penchants de Juliette. Elle a déjà essayé avec Clémentine comme avec Juliette. Mais sans succès.
Estelle et Clémentine sont totalement hétérosexuelles. A mon grand regret. J'aimerai bien les mâter se gouiner. Hélas.
Notre surprise est totale. Estelle et moi nous regardons Juliette entrain de rouler une pelle à Julie. C'est donc ça. Julie !
Elle ne nous en a jamais parlé. Son attirance pour les filles. En l'occurrence là, pour une femme qui a l'âge de sa mère.
< Viens ! > me fait Estelle. Nous descendons du banc. Elle m'entraîne dans le petit couloir. Nous rejoignons Mr Gérard.

Gérard ouvre les yeux, redresse la tête pour nous regarder rentrer. Il lève le pouce pour manifester sa satisfaction. Joie.
Clémentine cesse de sucer. Elle relève la tête pour nous regarder. Elle me fait un délicieux sourire en levant son pouce !
Estelle me chuchote : < Baise moi Julien. Me laisse pas comme ça. Je ne veux rien d'autre ! >. Elle se met sur la table.
Elle soulève sa jupe kilt. Elle écarte sa culotte pour m'inviter à la pénétrer en écartant ses cuisses les pieds sur la table.
Je m'avance. Je frotte ma bite contre sa chatte. Elle me guide. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Et elle se serre.

Estelle passe ses bras autour de mon cou, m'entoure de ses jambes. Un dernier coup de reins et je suis en elle. A fond.
Tout en bougeant, Estelle me chuchote des douceurs. Nous mâtons. Clémentine suce sans même faire attention à nous.
Elle se masturbe d'une main. Gérard ne porte plus que sa chemise. Ses énormes couilles. On ne voit pas sa petite bite.
Elle est entièrement dans la bouche de Clémentine. < Juliette est entrain de se faire Julie ! On va voir ? > fait Estelle.
Je la soulève. Je marche ainsi avec Estelle accrochée à moi. J'ai la bite bien fourrée. Nous ressortons de la petite salle.

< Attends ! > me fait Estelle. Je me retire. Je la dépose au sol. Elle ouvre la porte. Le spectacle est grandiose. Super.
Là, sur une couverture posée à même le sol, Juliette et Julie sont entrain de se bouffer la chatte. C'est hallucinant. Fou.
Elles ne font même pas attention à nous. Elles gémissent. C'est un magnifique "69" de derrière les fagots. La léchouille.
< Viens ! Ne dérangeons pas et j'aime pas voir ça ! > me fait Estelle en m'entraînant par la queue. Elle ferme la porte.
Elle me grimpe à nouveau dessus. J'ai les lombaires douloureuses. Je la pénètre. Elle se met à bouger à toute vitesse.

Nous rejoignons Clémentine et Gérard. Rien n'a changé. Clémentine suce en gémissant. Gérard boit du jus de mangue.
< A la vôtre ! Si j'avais 20 ans de moins, je sauterai ta pute comme tu baises la salope, là ! > nous lance t-il. Vulgaire.
Il rajoute : < Regarde là un peu, ta femme, elle n'en n'a jamais assez ! J'en ai honte pour elle. Hein, petite salope ! >
Il appui sur la nuque de Clémentine. Sa bite minuscule est déjà entièrement dans la bouche de Clémentine qui glousse.
Nous percevons distinctement le gargouillis bulleux. J'imagine bien le mélange que le vieux salopard offre à Clémentine.

Je baise Estelle comme un salaud. Je fais la machine à coudre. Estelle se masturbe en même temps. Elle se met à crier.
Son orgasme l'emporte dans un vertigineux plaisir. Elle me lâche pour tomber en arrière. Elle me repousse doucement.
Je me retire délicatement. J'ai la bite qui dégouline de nos mélanges. Estelle se redresse. Elle descend de table. Branle.
Elle m'entraîne par le Zob. Me fait tomber dans un des deux fauteuils. Elle se met à genoux sur un des gros coussins.
Elle se met à sucer. Je suis à trois mètres de Gérard, de Clémentine. Il a les yeux fermés, la tête renversée en arrière.

Je me fais tailler une pipe des familles. Clémentine cesse de sucer assez régulièrement pour tenter de déglutir le foutre.
J'en vois couler sur les roubignoless. Il y en a plein qui dégouline sur le canapé. Clémentine me fait d'adorables sourires.
Soudain, la porte s'ouvre. Juliette et Julie qui se tiennent par la main. Elles s'installent à la table pour se servir de l'eau.
Julie me fait un délicieux sourire. Je sens la reconnaissance qui l'anime toute entière. Pareille pour Juliette. C'est super.
Sans doute le début d'une belle histoire entre Juliette et Julie. Elles se tiennent par la main. En se chuchotant des trucs.

Gérard repousse Clémentine en la tenant fermement par ses cheveux. < J'en peu plus ma grande ! > fait-il en se levant.
Clémentine s'essuie la bouche. Je repousse délicatement Estelle. Nous nous levons également. Il est 22 h30. Et épuisés.
< On rentre ? > nous fait Clémentine. Juliette se lève pour nous raccompagner. Julie se précipite pour prendre sa main.
Nous nous séparons à la voiture. < Julie dors ici ce soir ! Vous venez mercredi soir, n'oubliez pas ! > nous fait Juliette.
Nous sommes épuisés. Au lit, Estelle s'endort la première. Clémentine me raconte sa pipe. Enchantée, ravie, heureuse.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent se faire baiser, tailler des pipes et se retrouver dans un climat vicelard…

Julien - (Qui écoute les confidences de Clémentine qui s'endort serrée fort. Mais où est passée Evelyne au haras ? ) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 934 -



Le repas de midi chez les parents d'Estelle

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures, des rires étouffés, des bisous sur le visage. On me tient le Zob.
Je bande toujours comme un priapique en phase terminale lorsque je me réveille. C'est pour la plus grande joie d'Estelle.
J'ouvre les yeux. Le visage de Clémentine qui me fait un adorable sourire en murmurant : < Je t'aime ! >. Elle se blottit.
Estelle tient mon érection de sa poigne de fer tout en me faisant des bisous dans le cou, me chuchotant : < Moi aussi ! >
Je passe mes bras sous leurs nuques pour les serrer toutes les deux contre moi. Nous luttons contre le besoin de pisser.

C'est Estelle qui se lève toujours la première pour se précipiter aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Cela nous amuse.
Clémentine me chevauche en riant pour me chuchoter : < Merci pour hier soir. C'était si bon ! >. Estelle revient en slip.
Elle passe son pyjama de soie mauve et nous fait : < Je descends préparer le petit déj ! >. C'est à notre tour. Chiottes.
Nous dévalons les escaliers pour aller rejoindre Estelle à la cuisine. Il est presque 9 h. Dehors, il pleut. Il fait si moche.
Cette délicieuse odeur où se mêlent celle du café, de la brioche et celle du pain grillé achève de nous mettre en appétit.

Il est rare que nous dormions si tard. Nous mangeons tout en bavardant et en riant beaucoup. Nous parlons de hier soir.
Estelle qui fait à Clémentine : < J'aime quand tu es occupée, je peux rester avec Julien ! >. Nous en rions de bon cœur.
Clémentine répond : < Et moi j'aime quand tu t'occupes de Julien, ainsi personne ne le fait à ta place ! >. Une combine.
Cela ne fait que très peu de temps que j'ai découvert cette stratégie typiquement féminine. Et elle m'enchante. Sublime.
Nous traînons à table. Comme nous avons fait le ménage hier après-midi, ce dimanche matin c'est plutôt peinard. Cool.

Estelle qui me fait : < Comme c'était bien hier soir. J'adore quand on baise tous les deux ! >. Je dis : < J'adore aussi ! >
Les filles sont assises sur mes genoux. Tout en bavardant elles picorent les miettes sur la table. Elles évoquent la soirée.
Clémentine rajoute : < Mr Gérard m'a proposé une balade dans sa voiture. Une pipe pendant qu'il roule et commente ! >
< Tu vas y aller ? > demande Estelle. < Si Julien est d'accord, ça ne me déplairait pas ! > répond Clémentine. J'insiste.
Je précise même : < Le plus tôt possible sera le mieux. Pourquoi pas en fin d'après-midi ? Il suffit de lui téléphoner ! >

Il y a un instant de silence. < Salope comme tu es, vas-y ! > lui fait Estelle. < Je vais réfléchir ! > lui répond Clémentine.
Elle me consulte du regard. Je dis : < Une petite balade en auto ! >. Clémentine passe ses bras autour de mon cou. Bise.
La vaisselle. Il est 10 h. Le dimanche, pas d'entraînement, pas de douche, nous restons à macérer dans nos jus. Sympa.
Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Mettre de l'eau sur le visage.
Nous allons faire le lit. Nous nous habillons avant d'ouvrir les fenêtres en grand pour aérer. La fraîcheur est désagréable.

Nous descendons au salon. Clémentine allume l'ordinateur. Les filles surfent sur le site de l'université. Rien de nouveau.
Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran. Elles sont en pleines révisions mathématiques depuis le 16 septembre.
Les fractales. Je ne me souviens plus très bien de ma période universitaire. Les math me laissent d'agréables souvenirs.
Nous allons visiter nos boîtes mail respectives. Estelle a un courriel de son parrain. Elle nous le fait lire. Un sacré coquin.
Nous avons deux courriels. Celui des Wong qui sont tous contents de savoir que nous serons dans le même hôtel à Paris.

Celui de Juliette qui nous remercie déjà pour cette soirée et la rencontre avec Julie qui est toujours encore chez elle. Joie.
Estelle ponctue : < C'est peut-être le début d'une belle histoire d'amour entre Juliette et Julie ! Elle sont amoureuses ! >
< Pas l'ombre d'un doute, ça a même été un véritable coup de foudre ! > rajoute Clémentine. Nous en rions de bon cœur.
Estelle et Clémentine sont à nouveau assises sur mes genoux. < Site de cul ! > fait Estelle en cliquant sur un lien précis.
< C'est là que je vais pour m'offrir mes petits plaisirs secrets ! > fait elle lorsque la page s'ouvre. Et que des mecs mûrs.

Clémentine et Estelle ont en commun d'aimer les mecs dans la cinquantaine. < Les plus cochons ! > précisent t-elles.
< N'est-ce pas Julien ? > fait elle encore en passant sa main dans ma braguette. < Mais tu bandes ! > lance t-elle. Rire.
Elle m'extrait la bite. < C'est le site de cul ou c'est nous ? > demande Clémentine. Je réponds : < C'est la situation ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Estelle se lève, se met à genoux à côté de la chaise. Elle se met à humer mon Zob.
< Mmhh ! Monsieur Schlingo sent de la bite comme dans les grands jours ! > dit elle en me décalottant très légèrement.

C'est vrai que l'odeur de thon mayonnaise nous monte immédiatement aux narines. Clémentine se lève pour s'accroupir.
Je les regarde renifler ma bite et je les écoute donner leurs impressions. C'est amusant. Très excitant aussi. Estelle suce.
Elles se refilent le Zob. C'est un concerto stéréophonique de petits rires, de petits cris de ravissement, de gémissements.
Je commente ce que je ressens. C'est divin. J'ai l'impression de tremper ma queue dans des bols de purée tiède. Super.
Je regarde l'heure à la pendule Westminster. Il est 11 h15. Je les force à se redresser en les relevant par leurs cheveux.

Il est temps de se préparer si nous voulons être chez les parents d'Estelle pour midi. Nous montons à toute allure. Joie.
Les filles mettent un pantalon noir à pinces et à plis. Identique. Un chemisier blanc. Une veste noire. Des souliers noirs.
Comme deux sœurs jumelles. La ressemblance devient d'ailleurs troublante. Je porte un costume noir, chemise, cravate.
Nous sommes tous les trois devant le miroir de l'armoire. Clémentine accroupie à ma gauche. Estelle à ma droite. Rire.
Leurs têtes posées contre mes cuisses qu'elles enserrent de leurs bras. < Merci "Maître" ! > font Clémentine et Estelle.

Je pose mes mains sur leurs tête en disant : < Merci d'enchanter mon existence, délicieuses "Soumises" ! >. Rigolade.
Nous dévalons les escaliers à toute vitesse. Tous les trois sous l'immense parapluie jusqu'au garage. Je sors la bagnole.
Trois petits kilomètres où je me fais branler par les coquines assises toutes les deux sur le siège passager. Et je bande.
Nous arrivons. Le portail est ouvert. Je descends doucement pour venir me garer devant la porte du garage. C'est bien.
Nous passons par la porte de la cave pour éviter de se faire mouiller. J'ai le Tupperware contenant la tarte aux pommes.

C'est Michèle, la maman d'Estelle qui vient nous ouvrir. < Mais comme vous êtes élégants ! > nous fait elle en souriant.
Michèle est vêtue d'un tailleur noir, très stricte, chemisier blanc. Voilà Yvan, le papa d'Estelle. Pantalon noir et chemise.
Nous sommes invités à passer au salon. C'est le traiteur qui vient de livrer le repas et dix minutes avant notre arrivée.
Nous voilà assis tous les cinq devant des fruits de mer absolument délicieux. Nous bavardons. Nous parlons du travail.
L'entreprise familiale en plein essor qui fait la fierté des parents d'Estelle. Les études brillantes d'Estelle et les résultats.

J'évoque ma production picturale. Je parle de ce petit tableau que je vais réaliser spécialement pour eux et pour Noël.
C'est quand même la moindre des choses, je baise leur fille à tout bout de champs. Cette pensée me fait sourire. Bien.
Il pleut. Nous n'avons donc aucun scrupule. Nous traînons à table. Michèle me lance quelquefois de si curieux regards.
Par en dessous, terriblement suggestifs si pas carrément vicelards. Je suis le plus âgé assis à cette table. Ça fait drôle.
Je ne sais pas si c'est Clémentine ou Estelle qui me fait du pied sous la table. Sans doute les deux. J'écoute. C'est bien.

Clémentine et Estelle restent au salon avec Yvan. J'aide à débarrasser. A la cuisine je fais : < J'utilise vos toilettes ! >
Michèle me fait discrètement, son regard en coin : < Ça ira tout seul ? >. Je suis terriblement confus. Je ne dis rien.
Que pourrais-je bien dire ! Aux WC, je bande comme le dernier des salauds. Cette femme ne me laisse pas indifférent.
Cela me gêne considérablement. C'est quand même la mère d'Estelle. Même si elle sait à quoi s'en tenir sur la relation.
J'aimerai m'enfuir par la fenêtre pour ne pas à être confronté à son nouveau regard. Je retourne directement au salon.

Clémentine tapote le canapé pour me faire signe de venir la rejoindre. Estelle reste assise à côté de son papa adoré.
Michèle s'assoit dans le fauteuil. Sur la table basse, le thé et les tranches de tarte aux pommes. Nous rions beaucoup.
Les parents d'Estelle évoquent le projets de vacances pour l'année prochaine. Deux semaines en Irlande. C'est super.
Peut-être une semaine supplémentaire en Ecosse. A cause de nous. Nous pourrons nous voir là-bas. Très bon projet.
Je surprends à plusieurs reprises le regard de Michèle se poser sur ma braguette. C'est furtif. Discret. Et c'est gênant.

Clémentine qui remarque tout, fait bouger son doigt dans ma main. Elle presse son pied contre le mien. Elle a compris.
Je bande. Mais nom d'une pipe, je bande comme un salaud. J'ai l'impression que tout le monde le voit. Le sait. Merdre.
Je reprends rapidement le contrôle de ma libido. Je contracte mes muscles fessier pour faire bouger mon énorme bosse.
Michèle semble quelquefois comme hypnotisée par ce que je bricole sous le tissu tendu de ma braguette. Je suis discret.
Estelle, sur les genoux de son papa, n'arrête pas de rire avec lui. Clémentine est serrée contre moi. Michèle nous parle.

Nous visitons un peu les locaux de l'entreprise. Les deux petits bâtiments sont adjacents. Estelle a du mal à se contrôler.
Elle m'effleure parfois la braguette. Je la gronde discrètement ou je fais une grimace. Clémentine reste tout près de moi.
Il est 16 h lorsque nous prenons congé. J'invite les parents d'Estelle. Dimanche 20 octobre, veille du départ pour Paris.
C'est parfait. Dans la voiture, Je raconte ce qui s'est passé. Les échanges de regards ambigus avec sa mère. Eclat de rire.
< Pas maman ! Sans déconner ! Pas maman Julien ! > me fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus. C'est trop drôle.

Une fois à la maison, nous n'avons plus envie de sortir. Tant pis pour la balade dans la petite Morris Cooper de Mr Gérard.
De toute façon, Clémentine a la même. Nous montons immédiatement nous changer. Il est 17 h. Nous voilà bien installés.
Vautrés dans le canapé. Clémentine à ma gauche qui palpe mes couilles bouillantes. Estelle à ma droite qui tord mon Zob.
Nous rions de bon cœur à l'évocation de mon ressenti quand à l'attitude de la maman d'Estelle. Tout ça m'a un peu gêné.
< Regardez le, ce quinquagénaire qui se fait des jeunettes. Il est tout timide devant une femme de 46 ans ! > dit Estelle.

C'est vrai. Je dois l'avouer. Je n'en mène pas large. Je promets toutefois à Estelle d'en rester là. De ne jamais déconner.
Clémentine me fait : < Même pas si elle veut se faire tirer le portrait de la même façon que sa fille ? >. Je reste pantois.
Estelle rajoute : < Le visage de maman, recouvert du foutre de Julien ! Non ! Ce n'est tout simplement pas possible ! >
Nous rigolons comme des bossus. Je propose aux filles un bon léchage de minou. Et pas besoin de le proposer deux fois.
Je passe le restant de l'après-midi à me bouffer de la chatte, à me faire sucer. Tout cela nous a considérablement excité.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment déguster des spaghettis après s'être fait bouffer le minou. Avec orgasme…

Julien - (Qui doit consoler Estelle lors de son départ à 22 h. Avant de faire l'amour avec Clémentine au lit) -

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Julie nous en dit davantage

Hier matin, lundi, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonne la musique. Il est 5 h55. C'est difficile. Dur.
J'éteins immédiatement le réveil posé de mon côté sur la table de nuit. Clémentine se serre en gémissant. Des papouilles.
Nous ne nous attardons pas. Poussés par l'impérieux besoin de pisser nous nous précipitons aux toilettes. Rituel matinal.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine pour y préparer notre copieux petit déjeuner. Ça va vite.
Nous mangeons de bon appétit en nous donnant nos impressions sur ce Week-end plein d'étonnantes surprises. En riant.

C'est d'autant plus agréable que le lundi matin il reste toujours de la brioche. Nous remontons pour nous livrer à la gym.
Une heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles dans un enthousiasme de première.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous son parapluie. Frais.
Elle est vêtue de son jeans, sweat sous sa veste en cuir, ses bottines. Un dernier bisou. 7 h45. Et je la regarde s'en aller.
Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit et la vaisselle. La routine quotidienne. Je vais dans l'atelier. Je suis pressé d'y être.

Il est 8 h15. Me voilà installé devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Je continue ce matin mon port de Douarnenez.
Je peins animé d'un sentiment d'intense satisfaction. J'aurai terminé cette toile pour ce soir. Cinquième commande. Bien.
Il est aux environs de 10 h lorsque l'absurde musique de mon smartphone le fait vibrer au fond de la poche de ma blouse.
C'est en pestant que je l'allume. C'est Juliette. C'est en mode "haut parleur" que nous conversons, cela permet de bosser.
Après les civilités d'usage, Juliette en arrive rapidement au cul. Elle me remercie de lui avoir fait rencontrer Julie. Parfait.

Comme le supputait Clémentine, entre Juliette et Julie, ce fut une sorte de coup de foudre. Et une révélation réciproque.
Elles sont d'ailleurs restée ensemble jusqu'au dimanche midi. J'écoute plutôt que je parle. C'est intéressant et amusant.
Nous sommes invités mercredi soir. Juliette a tant de travail au haras qu'il lui est impossible de venir manger chez nous.
Ce n'est que partie remise. Ce sera à nouveau possible à partir de novembre. Nous bavardons ainsi vingt minutes. Joie.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins en pensant à cette étonnante jeune femme. Julie vient manger ce soir.

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Si cette fraîcheur continue, demain, j'allume la chaudière à la cave. C'est sûr.
Je lave les feuilles d'une belle laitue. Pour midi et pour ce soir. J'épluche des patates pour le gratin Dauphinois de ce soir.
Je concocte une Béchamel, champignons, saumon émincé, gruyère de Comté. Pour midi et pour ce soir. C'est très rapide.
Le gratin est au four. J'ai gardé des pommes de terre que je fais rissoler. Je mange de bon appétit en écoutant les infos.
L'actualité est encore déplorable, les responsables tellement lamentables, c'est au-dessus de mes forces, j'éteins la radio.

La vaisselle. Je range la cuisine. Il est presque 13 h. Je retourne dans l'atelier. Je fais du feu dans la cheminée. Première.
C'est la première flambée de la saison. Du papier journal froissé. Du petit bois bien sec et des morceaux plus gros. Hêtre.
Je rajoute rapidement deux bonnes bûches. Nous nous faisons livrer 10 stères de bois mercredi. Et il y aura le fioul aussi.
J'ai toujours vingt stères d'avance. Cela permet au bois de sécher en profondeur. Sa puissance de chauffe en est décuplée.
Je peins dans un sentiment de profonde sérénité. Les craquements dans l'âtre, les premières odeurs du feu de bois. Bien.

Il est 16 h30 lorsque Clémentine rentre de cours. Elle se précipite dans l'atelier pour me rejoindre, s'écriant : < Julien ! >
Assise sur mes genoux elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. L'ambiance.
J'écoute avec intérêt. Durant la pause de midi, Estelle et Clémentine mangent ensemble. Avant la salle de documentation.
Clémentine a du travail. Elle est assise devant l'ordinateur. Je lui raconte la conversation téléphonique avec Juliette. Rires.
< C'est donc bien ça ! Mme Juliette est en liaison avec Mlle Julie qui pourrait être sa fille ! >. Nous en rions de bon cœur.

L'ambiance qu'offre une cheminée est toujours remarquable. Clémentine vient souvent s'accroupir pour voir les flammes.
Je termine ma toile pour 18 h30. Je la pose sur le second chevalet. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Tout est nickel.
Clémentine range ses affaires. Nous voilà assis tous les deux sur l'épais tapis devant la cheminée à observer le feu. Beau.
Il y a soudain un bruit sec à l'étage. < Christine ! > s'écrie Clémentine. L'atelier juste éclairé par les flammes. Spectral !
Pas de doute. Le fantôme de mon ancienne compagne est revenu passer l'hiver dans cette maison qu'elle aimait tant. Joie.

Clémentine se blottit contre moi. Nous n'avons pas peur. C'est une habitude depuis tant d'années. C'est juste très insolite.
Le bruit de pas de quelqu'un qui erre à l'étage. Des portes qui se ferment. Cela ne dure que quelques minutes. C'est bien.
Les pas s'éloignent. Tout cesse. Il est 19 h. Nous quittons l'atelier pour nous rendre à la cuisine. Je réchauffe les patates.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Nous dressons la table au salon. Il fait un peu frais ici.
Nous descendons à la cave pour allumer la chaudière. Cette fois, c'est bien parti. La saison commence. C'est un peu dur.

Nous remontons. Dans l'escalier, Clémentine me bloque. < Droit de passage ! > fait elle avec sa main dans ma braguette.
Elle m'embrasse avant que je n'ai le temps de dire quoi que ce soit. Elle sort ma bite de mon slip d'un mouvement doux.
Me voilà avec la queue à l'air. Toute molle, entre le pouce et l'index de Clémentine qui me tire ainsi comme par une laisse.
Tout est prêt. Les radiateurs font entendre leurs gargouillis. Ce qui indique que tout fonctionne. La perfection. C'est parfait.
Il ne tarde d'ailleurs pas à se répandre une douceur bienvenue. Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. 19 h30.

Elle revient suivie de Julie toute contente, toute radieuse et affichant un immense sourire. Elle me tend la main. Heureuse.
Elle découvre ma bite pendante et molle avec une sorte de ravissement rare. C'est la première fois qu'elle a cette attitude.
Habituellement elle joue l'offusquée avec un formidable talent de comédienne. Elle est vêtue de son jeans, sweat, anorak.
Clémentine la débarrasse. C'est la première fois que je vois cette jeune fille de 20 ans aussi rayonnante. C'est surprenant.
< Amoureuse ? > lui fait Clémentine toute aussi ravie que moi. < Amoureuse ! > répond Julie. Nous éclatons de rire. Joie.

Je propose aux filles de faire le service. Elles s'installent toutes les deux au salon. < Il fait déjà bien chaud ici ! > fait Julie.
Depuis la cuisine j'entends rire, bavarder mais sans comprendre les propos qui s'échangent. Je sors le gratin du four. Bien.
Je remue la salade. Je touille la sauce. L'odeur fait mourir de faim. Je me branle pour offrir une belle queue à l'admiration.
J'arrive au salon avec le grand plat en terre cuite ovale. < Miam ! > me font les filles en reluquant ma formidable érection.
J'ai la queue comme le démonte pneu d'un camion. Je bande hyper dur, super fort. De quoi éveiller la libidos des coquines.

Je retourne cherche la sauce et la salade. Clémentine qui vient me rejoindre. < Donne moi ça ! > fait elle s'accroupissant.
< Put-Hein comme tu l'as dure ce soir mon salaud ! > me fait elle avant de la gober pour me la sucer un peu. C'est super.
Je regarde. Julie dans l'encadrement de la porte. < Vous prenez l'apéro ? > demande t-elle d'un ton espiègle. Nous rions.
Je tiens Clémentine par ses cheveux pour l'aider à se relever d'un bond. Je dis à Julie : < Tu prendras un apéro aussi ? >
Elle ne dit rien. Retrouvant ainsi son attitude habituelle devant mon comportement de satyre. Nous filons au salon. Vite.

Le repas est évidemment délicieux. C'est vrai que la douceur est bien plus agréable dans notre maison avec le chauffage.
Nous bavardons. Julie en vient rapidement à sa rencontre avec Juliette. < Quelle femme, je l'apprécie. Génial ! > dit elle.
Nous devinons la passion naissante. Tant chez Julie que chez Juliette. Elles se voient toutes les deux ce jeudi après-midi.
Julie n'a pas cours les jeudis après-midi. Elle ira donc rejoindre Juliette pour l'aider un peu au haras. Découvertes. Bien.
Durant ce délicieux repas, je me lève à plusieurs reprises pour agiter mon sexe tout mou en direction des filles. De Julie.

< Je ne reste pas insensible aux bites pour autant ! > fait soudain Julie et avec un aplomb qui a de quoi nous surprendre.
Décidément, les filles m'étonneront toujours. Cette simple affirmation me fait bander d'une soudaineté impressionnante.
Je me branle avec toute la vulgarité possible. Julie, silencieuse, a posé son couteau et sa fourchette pour observer. Super.
< Vous êtes l'homme le plus vicieux que je connaisse, Julien ! > me lance Julie avec un ton plein de reconnaissance. Bon.
< C'est une des raisons pour laquelle je partage sa vie ! > répond Clémentine. Nous continuons notre repas en discutant.

Julie évoque ses études. Lettres Modernes. C'est passionnant de l'écouter raconter des anecdotes de la faculté. Les profs.
Julie se confie rarement autant. Nous découvrons de nouvelles choses. Et surtout en ce qui concerne son job de serveuse.
Elle avoue avoir commencé à descendre dans les toilettes homme à l'adolescence. < J'aime les regarder pisser ! > dit elle.
Je le sais d'autant mieux que nous nous sommes connus ainsi, dans les toilettes du restaurant chez sa tante, au sous sol.
< Vous vous souvenez la première fois ? > me demande t-elle. Je dis : < Je me souviens de chaque fois, c'est énorme ! >

< Quand le restaurant ferme, le soir, je redescends pour aller me remettre en situation. Les revivre ! > nous avoue Julie.
Nous la savons vicieuse. Mais à ce point. Je la félicite. Je dis : < Combien de mecs tu es allée voir ? >. Elle éclate de rire.
< Alors là ! Il y en a un paquet ! Je me rappelle juste des plus vicieux ! > répond t-elle. < Raconte ! > lance Clémentine.
Je débarrasse tout en écoutant les étonnantes révélations de Julie qui a cessé de jouer à la fille timide, réservée. Parfait.
< Put-Hein ça doit être génial de faire ce boulot pour aller mâter ! > fait Clémentine à plusieurs reprises. Nous rions bien.

C'est là que Julie a la proposition qui tue : < Et si vous faisiez la serveuse un vendredi soir, avec moi, pour s'amuser ? >
Nous restons tous les trois silencieux. Que voilà un super plan ! Clémentine se mordille la lèvre inférieure et me regarde.
Je dis : < Voilà un truc à faire. Absolument ! >. Clémentine demande à Julie : < Et votre tante ? Elle réagis comment ? >
< Oh, pas de soucis elle me connaît. C'est une sacrée coquine, si vous saviez ! Mais je suis liée par le secret ! > dit Julie.
Nous nous regardons. Décidément, nous sommes nés sous la bonne étoile. Il y a du vice partout. Il suffit de bien fouiller.

La soirée se termine par cette vaisselle que nous faisons tous les trois en riant beaucoup. J'ai le Zob à l'air. Je bande mou.
Les filles mettent au point la stratégie. Clémentine n'a plus qu'une envie. Jouer à la serveuse, un vendredi, au restaurant.
En fait, c'est d'une organisation très simple. < Il faut juste mettre ma tante dans la combine. Pas difficile ! > lance Julie.
Il est 22 h15 lorsque nous raccompagnons Julie à sa voiture sous le parapluie. Nous nous revoyons vendredi soir. Certain.
Au lit, nous faisons l'amour. Clémentine avoue son impatience de vivre cette nouvelle expérience. Les chiottes du restau.

Bonne soirée à toutes les coquines qui frissonnent à l'idée de vivre une nouvelle expérience dans une complicité totale…

Julien - (Toujours émerveillé d'écouter les fantasmes de Clémentine. Surtout en lui offrant un cunnilingus délirant) -

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Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 936 -



Un mardi après-midi à randonner

Hier matin, c'est le Concerto pour Harpe de Mozart qui nous tire avec une certaine violence de nos profonds sommeils.
< Pas ça, Momo ! > s'écrie Clémentine en roulant sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Quelques papouilles et elle m'entraîne par mon érection jusqu'aux toilettes où nous pissons dans une véritable volupté.
Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il est 6 h. Nous préparons notre petit déjeuner. C'est bien.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la visite de Julie hier soir. Nous remontons. Une heure d'entraînement.

Jogging sur tapis roulants. Abdos. Charges additionnelles avant la douche qui conclue cet intense moment de bonheur.
Je descends pour aller sortir l'auto à Clémentine. Il fait plus doux. Il ne pleut pas. Déjà presque 7 h45. Le jour se lève.
Un dernier bisou. Elle monte dans la voiture vêtue de son jeans, de son sweat sous sa veste en cuir. Elle revient à midi.
Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou et je rentre. Je fais le lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il est déjà 8 h15.
Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare la palette. J'attaque ce matin la seconde toile. Port de Douarnenez No 2.

Je peins dans un grand recueillement car cette photo en noir et blanc des années 30 qui me sert de modèle est sublime.
C'est une œuvre de commande destinée à un plaisancier venant amarrer son bateau à Tréboul tous les ans. C'est parfait.
Je pousse rapidement les cris les plus surréalistes que je module longuement. Je manifeste ainsi l'exubérance de ma joie.
Il faut me voir exécuter la danse du guerrier Sioux autour de mon chevalet à chaque coup de pinceau plus sublime. Bien.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Dehors le ciel est gris mais plus lumineux que les autres jours. Sans menace.

Je lave les feuilles d'une grosse salade. Je fais bouillir l'eau de nos coquillettes. Je prépare une belle pâte à pain. 12 h20.
Clémentine arrive à toute vitesse. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Toute contente.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade tout en racontant sa matinée. J'égoutte les morceaux de poireaux.
Je récupère un peu de Béchamel comme sauce avec nos coquillettes. Clémentine fait rissoler les filets de flétan à la poêle.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine propose de partir en randonnée cet après-midi. En profiter.

Je trouve cette suggestion excellente. Depuis quelques jours, nous ne sortons pas beaucoup avec cette météo exécrable.
Tout ce qu'il faut pour la Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui fait les délices de nos mardis soirs, est déjà prêt.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Poilade.
Clémentine, de la pâte dentifrice aux coins des lèvres, mime une fellation avec sa brosse à dent. Une bosse dans sa joue.
Je lui demande : < C'est qui aujourd'hui ? >. Elle se rince la bouche en disant : < L'inconnu de cet après-midi ! >. Rires.

Nous nous changeons. Nous voilà prêt. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers à toute vitesse en poussant des cris.
Clémentine adore imiter les miens qu'elle module tout aussi longuement. Nous voilà au grand air. Il fait plutôt agréable.
Les K-ways restent dans le petit sac à dos que je porte. Nous sommes en jeans, sweat-shirt et chaussures de marche.
Clémentine m'entraîne en me tenant la main. Elle est tellement contente. Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière.
Le niveau de l'eau a atteint son paroxysme. Nous longeons le cour d'eau en nous arrêtant souvent pour nous embrasser.

Il fait doux. Je peux marcher braguette ouverte et bite à l'air. Clémentine se penche souvent pour y déposer des bisous.
Je glisse souvent ma main dans son jeans. L'accès à son sexe est ardu. Je déboutonne parfois la braguette de son 501.
Nous arrivons au pont de pierre. Nous traversons la petite route. Là-bas, sur notre gauche, les bâtiments du haras. Joie.
Nous longeons le ruisseau pour remonter jusqu'aux ruines du vieux moulin. Le sol est détrempé par endroit. De la boue.
Nous avons nos grosses godasses. Nous évitons les flaques et les endroits critiques. Cette balade est des plus géniales.

Nous ne croisons personne. Nous marchons d'un pont pas. Nous avons choisi la boucle de quatre heures. C'est superbe.
Pas question de s'assoir sur le sol humide. Par contre, il est parfois possible de prendre appui sur un muret, un rocher.
C'est assez ardu de lécher le sexe de Clémentine lorsque son jeans et sa culotte sont à ses chevilles. Mais j'y parviens.
Là, derrière la maison abandonnée du garde barrière, Clémentine retire carrément son jeans et sa culotte. Juste le bas.
A genoux dans le cabanon en ruine je peux lui offrir sa caresse préférée. < Je t'aime Julien ! > murmure t-elle. Souffle.

Le risque est une composante de nos plaisirs extérieurs. Sans celui-ci, nos jeux auraient beaucoup moins de piquant.
Clémentine est assise sur le vieil établi. En appui sur ses coudes. Je suis assis sur une vieille chaise. Je lui bouffe le sexe.
J'adore sentir frissonner l'intérieur de ses cuisses contre mes joues. J'adore l'entendre gémir. J'adore gouter ses saveurs.
C'est encore un véritable régal. Le caractère d'improvisation totale rajoute encore au piment de la situation. Plaisir. Joie.
Clémentine contrôle parfaitement sa jouissance. Elle me repousse. Deux fois. Juste avant les moments critiques. Parfait.

Je la laisse sucer un peu, lors des arrêts sur le chemin du retour. Elle a de la jute. J'entends les gémissements. Glouglou.
Il est 18 h30 lorsque nous sommes de retour. Estelle qui est déjà là. Elle se précipite pour nous accueillir. Toute contente.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'interpose par jeu. C'est si amusant.
Nous aidons Estelle à la préparation. Elle a déjà fait l'assaisonnement de la salade. Elle travaille un peu la pâte. Superbe.
Je réchauffe la garniture. Béchamel contenant le poireau. Clémentine râpe une quantité industrielle de gruyère de Comté.

Estelle nous raconte son après-midi au bureau de l'entreprise familiale. Les confidences de sa mère quand à ce dimanche.
< Tu fais gaffe avec ma mère, sel te pli, c'est une femme mariée et elle parle de toi en terme élogieux. Salaud ! > dit elle.
Nous rigolons comme des bossus. Estelle, les mains enfarinées, me choppe la bite. Je bande mou. Elle me l'enfarine. Rire.
< Ce sera mon petit encas au salon ! > fait elle encore avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche pour la fouiller. Douce.
La Flamiche Picarde est au four. La table est mise. Nous passons au salon. La farine a séché et elle commence à craqueler.

Estelle jette un des épais coussins du canapé au sol, au milieu de la grande pièce. Elle a ses mains croisées sur sa tête.
La bouche grande ouverte, elle me fixe. Clémentine m'entraîne par les hanches pour bien me positionner devant Estelle.
Je bande mou. Ce qui fait craqueler la farine autour du Zob. Je laisse le lecteur imaginer les picotements qui en résultent.
Clémentine s'accroupit pour m'extraire les couilles. D'un simple geste adroit de l'index qu'elle glisse dessous. Virtuosité.
Estelle me lèche. Elle me nettoie la queue avec soin. Mes épanchements de liquide séminal participent de la lubrification.

Me voilà avec la bite aussi propre que celle d'un nouveau né, toutes proportions gardée évidemment. C'est un peu gluant.
Estelle, les yeux fermés, bien droite, les mains croisées sur la tête suce comme une bienheureuse. Comme elle est belle.
Clémentine, son visage tout près de celui de ma pipeuse pour admirer de près, a glissé une main dans sa culotte. Branle.
Elle est tombée à genoux. Elles partagent toutes les deux le même coussin. Elles se refilent à présent ma bite juteuse.
Une fois encore c'est un concerto en pipe majeure, stéréophonique, de gargouillis bulleux et de gémissements. Fabuleux.

La sonnerie du four. Elle vient soulager mes lombaires qui, à cause de la position dite "du sucé debout", est douloureuse.
Les filles se lèvent d'un bond. Mortes de faim, elles m'entraînent en riant par les bras jusqu'à la cuisine. Le Zob qui coule.
Je le remballe avant de m'assoir. < Ne va pas te brûler la bite, c'est moi qui sort la tarte ! > me fait Estelle. J'obéis. Bien.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent leurs études. J'écoute. C'est toujours passionnant.
Nous traînons à table. Je propose aux filles un bon léchage de minou dans la grande tradition de la maison. Avec douceur.

Je ne suis évidemment pas obligé de le proposer deux fois. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle choppe le Zob.
Elles m'entraînent toutes les deux au salon. Elles retirent les fringues à une vitesse sidérante, les balançent n'importe où.
A quatre pattes, sur le tapis, les bras croisés sur le canapé, elles présentent leurs culs. Je me mets à genoux. C'est bon.
Je hume longuement la raie d'Estelle. Il me faut surmonter la répulsion. Son manque d'hygiène volontaire est repoussant.
Elle le fait exprès. Je lui nettoie consciencieusement le trou de balle ou ont macérés ses jus de filles toute la journée. Bon.

Je passe à celui de Clémentine où a coulé la cyprine de ses excitations de l'après-midi. Estelle se vautre dans le canapé.
Je met mon visage entre ses cuisses pour passer à la dégustation de son sexe. Clémentine s'installe à son tour. Superbe.
Le goût des jus d'Estelle, âcre, n'est pas sans évoquer celui de l'amande amère. Celui de Clémentine plus acidulé. Doux.
Je passe de l'une à l'autre. Je me régale dans un concerto stéréophonique de gémissements, petits cris de ravissement.
L'orgasme d'Estelle est dithyrambique. Elle se recroqueville sur elle-même, ses mains entre ses cuisses. Plaisir immense.

Je suce le clitoris géant de Clémentine. Estelle s'est couchée entre le canapé et moi pour me tailler une pipe. C'est géant.
Clémentine, comme affolée, me repousse délicatement. Juste à temps pour se précipiter aux toilettes tout en pissant déjà.
Nous l'entendons hurler de plaisir. Encore un orgasme délirant. Estelle me propose de la rejoindre. En évitant les flaques.
Clémentine, assise sur la cuvette, les mains entre ses cuisses, la tête posée en arrière sur le réservoir, reprend son souffle.
Elle se lève. Je me mets à genoux pour lécher tout ce que je peux. Pomper. Sucer. Je suis glouton. Animal. C'est délicieux.

Estelle pisse à son tour. Je lui administre le même traitement. Je suis étonné par cette quantité de mouille. C'est si rare.
Clémentine passe la serpillère pour nettoyer ses égarements. Nous voilà au salon à nous rhabiller. Car il est déjà 22 h15.
Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Séparation difficile. Elle revient jeudi. Et demain elle baise avec parrain.
Je la laisse sucer encore un peu par la vitre baissée de l'auto . Nous la regardons partir, ses yeux cernés. Elle est si belle.
Au lit, Clémentine me taille une pipe des familles. Elle s'arrête plusieurs fois pour me confier des secrets. Je jute. Dodo…

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font nettoyer le cul avant de se faire bouffer la chatte. Parfois en pissant…

Julien - (Qui éjacule dans la bouche de Clémentine. Puis en l'attirant dans ses bras pour s'endormir contre elle) -

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Les confidences de Juliette

Hier matin, mercredi, c'est la Cantate No 147 de Bach qui nous arrache avec une certaine féérie de nos profonds sommeils.
< Vas-y molo Bach ! > s'écrie Clémentine en roulant sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Il est 6 h.
Nous préparons notre copieux petit déjeuner en forçant sur la compote de pommes. Nous mangeons de bon appétit. Super.
Nous remontons pour nous offrir notre heure de gym. Jogging sur tapis roulants. Abdos. Charges additionnelles. Avec joie.

La douche. Je descends pour aller sortir la voiture de Clémentine qui me rejoint vêtue de son jeans, pull, veste et bottines.
Un dernier bisou. Il fait plutôt doux. Un dernier coucou. Je la regarde s'en aller. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit.
Je fais la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il est 8 h15 lorsque je suis assis devant mon chevalet à préparer ma palette. Joie.
Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait rapidement pousser les cris les plus surréalistes. Cris que je module.
Comme toujours, lorsque je me livre corps et âme à ma passion, qui est accessoirement mon boulot, le temps passe vite.

Il est donc rapidement midi lorsque je vais à la cuisine. La tarte aux noix, le dessert de ce soir chez Juliette a décongelé.
Je fais gonfler du riz pendant que je râpe les carottes de ma salade. Je pane un filet de lieu noir. Je le fais frire à la poêle.
Je mange de bon appétit tout en tentant d'écouter les informations aujourd'hui proprement scandaleuses. C'est révoltant.
J'éteins la radio car je déteste qu'on me prenne pour un con. Dehors, il y a d'agréables séquences ensoleillées. C'est bon.
La vaisselle. Je sors pour faire quelques pas dans une étonnante douceur. Par contre, il faut rester sur les dallages. L'eau.

Il est à peine 13 h lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Cette toile sera finie demain.
C'est avec ce constat rassurant que je manipule mes pinceaux dans une gaité proche de l'euphorie. Port de Douarnenez.
Il est 16 h30 lorsque Clémentine rentre. Elle balance son sac dans le canapé pour se précipiter, pour me couvrir de bises.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Le restaurant universitaire, les cours, les profs, les histoires d'Estelle.
Clémentine a encore du travail. Mettre au propre les notes prises aujourd'hui. La voilà assise devant l'ordinateur. Parfait.

Nous aimons ces séances de travail silencieuses, concentrées, entrecoupées d'instants où l'un se lève pour aller à l'autre.
Nous travaillons ainsi jusqu'aux environs de 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Clémentine qui m'entraîne par la main.
Nous montons à l'étage pour nous changer. Le crépuscule ne va pas tarder à faire place à la nuit. Nous nous embrassons.
Clémentine me fait tomber sur le lit. Nous sommes tous deux en slip, en sweat et en chaussettes. Douceur et tendresse.
Sa tête posée sur mes abdominaux, Clémentine joue avec ma bite qu'elle observe tout en me confiant quelques secrets.

Elle me confie se réjouir pour notre séjour à Paris. Nous partons avec le train, le lundi 21 octobre en début d'après-midi.
Elle m'avoue se réjouir pour revoir Mr Wong et sa compagne Ly-Yang. Nous serons d'ailleurs dans le même hôtel. Super.
< Le côté pratique qui nous fera gagner du temps ! > me fait Clémentine en humant le Zob qu'elle décalotte légèrement.
L'odeur de thon mayonnaise me monte aux narines. < Mmhh ! > me dit Clémentine avant de fouiller sous mon prépuce.
J'aime sentir sa langue lutter contre la peau fripée pour tenter de s'y glisser. Et j'aime la sentir tourner autour du gland.

Il est déjà 19 h. Il faut s'habiller. Nous nous relevons. < Ça met en appétit ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Clémentine porte un pantalon noir à plis, un chemisier blanc sous sa veste de cuir noir. Ses souliers noirs à légers talons.
Sur sa demande, je porte un pantalon de flanelle noire, à plis, une chemise blanche sous une veste grise. Mocassins gris.
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > me dit Clémentine en m'entraînant devant le miroir pour se serrer fort.
Accroupie à ma gauche, sa tête posée sur ma cuisse, serrant ma jambe dans ses bras, Clémentine, implorante, me fixe.

< Je vous aime mon doux "Maître" ! > murmure t-elle. Je pose ma main sur sa tête pour dire : < Douce "Soumise" ! >
Clémentine frotte son visage sur ma braguette. Je sors ma bite pour la frotter sur les lèvres de sa bouche. Elle suçote.
Je la saisis par ses cheveux pour la forcer à se relever. Nous dévalons les escaliers en riant de nos jeux. La "soumise".
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Trois kilomètres et nous arrivons au haras pour 19 h30. Parfait.
Il y a juste la voiture de Juliette. Il y a encore de la lumière dans le nouveau bâtiment. Nous traversons la cour. Super.

Juliette depuis son balcon, nous fait : < Je descends ! >. J'ai le grand Tupperware contenant la tarte aux noix. C'est bon.
Juliette m'en débarrasse et nous invite à la suivre. Ce soir, elle porte une jupe noir, un pull noir et des escarpins à talons.
Elle nous précède. Clémentine me fait du coude en me montrant le superbe cul de Juliette, je tente de voir sous la jupe.
Nous arrivons dans le couloir. Juliette nous débarrasse de nos vestes et nous invite à prendre place dans le canapé. Bien.
Assise en face de nous dans un des deux fauteuils, la jeune femme nous raconte ses journées assez harassantes. Haras.

La pension pour chevaux va bientôt être au complet. Plus de 85 chevaux trouveront là le gîte et la nourriture pour l'hiver.
Ce qui implique un suivi administratif, vétérinaire et logistique permanent. Kim Son et Evelyne, les palefreniers y veillent.
Juliette, tout en parlant reste droite. Le port de tête altier. Elle ne croise jamais les jambes et joue de ses genoux. Bien.
Je ne distingue rien sous sa jupe lorsque ses genoux s'écartent légèrement comme pour m'inviter à y regarder. Superbe.
J'ai la braguette ouverte. Comme d'habitude. Elle bâille légèrement. Je bande. Ce qui fait une grosse bosse sous le tissu.

Clémentine me tient la main ou le bras. Son pied contre le mien bouge quelquefois comme pour me faire comprendre.
Nous sommes tous deux devenus de véritables télépathes. Nous pensons la même chose au même moment. C'est bien.
Juliette, en parfaite virtuose, sait jouer de ses genoux qu'elle écarte quelquefois davantage. Et c'est tellement sublime.
La sonnerie du four. Juliette nous invite à prendre place à table. Je lui propose de l'aider à ramener les plats. J'ai envie.
Clémentine m'entraîne par le bras. < Tu restes avec moi. Je veux l'avoir à l'œil ! > me chuchote Clémentine au salon.

< Par contre, sors ta bite sous la table et sois un vrai vicelard ! > me chuchote t-elle juste avant que Juliette ne revienne.
C'est une tourte aux fruits de mer. L'odeur est déjà tout un poème. Des avocats en entrée. Une salade de tomates. Miam.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Juliette évoque son histoire naissante avec Julie. Nous écoutons. Bien.
Les deux femmes se téléphonent tous les jours, se font des courriels tous les jours. Juliette est bisexuelle. Jardin secret.
< Je suis aux anges ! Je suce la bite à Gérard, je baise avec Pierre et j'ai une nouvelle "copine" ! > nous dit Juliette. Joie.

Parfois, je pose ma fourchette pour passer mon bras sous la table. Je me branle de manière ostentatoire, en exagérant.
J'écoute les questions que posent Clémentine. Les réponses qu'apportent Juliette qui ne cesse de mâter le mouvement.
J'ai le bras automatique sous la table. < Et j'ai un superbe vicelard dans mon cercle de relation ! > rajoute Juliette. Rire.
Je dis : < Le superbe vicelard doit utiliser vos toilettes ! >. Je me lève. Je bande comme un vrai salaud. Démonte pneu.
Juliette insiste pour débarrasser la table seule. Nous restons assis. Clémentine me chuchote : < Emmène là aux WC ! >

Elle revient avec la tarte aux noix. Nous prenons le dessert vautrés dans le canapé. Juliette bien droite dans le fauteuil.
J'ai la bite à l'air, bien droite. C'est toujours très excitant. Surtout devant cette magnifique bourgeoise, notre belle amie.
Depuis plus de deux ans, nous avons tissé une véritable amitié doublée d'une complicité à toute épreuve. C'est sublime.
Clémentine saisit ma queue et fait à Juliette : < La bite à Gérard, la bite à Pierre, la chatte à Julie et la bite à Julien ! >
< C'est vrai ! La bite à Julien ! > lance Juliette en mimant une masturbation masculine avec toute la vulgarité possible.

Je me lève. Clémentine continue de me tenir le sexe à sa base qu'elle agite devant Juliette en disant : < A savourer ! >
Je propose aux filles de nous rendre aux toilettes. Je dois pisser depuis deux heures. C'est à la limite de la douleur. Aïe.
Clémentine ne me lâche pas la queue. Juliette nous précède. Je suis devant la cuvette. Juliette à ma gauche. Elle mâte.
Clémentine à ma droite qui force mon érection vers le bas. Je tente de me concentrer. En bandant ce n'est pas simple.
Nous nous sommes déjà retrouvés à plusieurs reprises dans cette situation. Mais c'est à chaque fois nouveau. Sublime.

C'est un peu douloureux d'avoir une érection contrariée vers le bas. Clémentine qui me la maintient d'une poigne de fer.
Juliette, les mains sur ses genoux, est penchée pour observer. C'est hyper excitant. Clémentine le sait. Et elle me branle.
Je passe ma main sous les cheveux de Juliette pour appuyer sur sa nuque. < Pas de ça ! > dit elle, repoussant ma main.
Elle s'accroupit. Son visage est à une cinquantaine de centimètres de ma queue raide, dure, congestionnée. Ouille. Aïe.
Quand je bande, après de gros efforts, en ayant une irrépressible envie de pisser, le jet est tout fin, sans force. Ça gicle.

Nous sommes tous les trois en apnée, observant ce petit jet ridicule. Nous retenons nos respirations. Concentrés. Silence.
Il y a juste le bruit du jet qui s'écrase dans l'eau de la cuvette. Juliette se rapproche pour me voir, surtout pour m'exciter.
Son visage est tout près. Elle est obligée de loucher pour concentrer son regard. Je sens son souffle chaud sur ma queue.
Clémentine s'est accroupit également. Je pose mes mains sur leurs têtes, sur la nuque. Juliette ne dit plus rien. C'est bon.
Je pisse. C'est long puisque le débit contrarié est fin. Je suis tellement excité qu'il y a une goute de liquide séminal. Bien.

Cette goutte de foutre reste en suspend juste sous le filet de pisse. Juliette qui le montre à Clémentine du bout du doigt.
Je termine enfin de pisser. A présent la goutte de foutre qui commence à pendre vers le bas. Une stalactite opalescente.
Clémentine dirige l'extrémité de ma queue vers le visage de Juliette. Je la sens hésiter. A deux doigts de sucer. Superbe.
Comme pour lutter contre ce démon qui la taraude, Juliette se redresse. Clémentine suce la goutte. Courte pipe rapide.
Il est déjà 22 h. Nous bavardons encore un peu au salon. Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. C'était sublime.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment regarder les mecs pisser, tenus par la queue par la compagne complice…

Julien - (Qui fait l'amour à Clémentine avant de lui offrir un cunnilingus délirant. Elle s'endort comme un ange) -

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Un jeudi des plus agréables

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons tous deux juste avant la musique. J'éteins immédiatement le réveil. C'est parfait.
Il est 5 h55. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser dans une véritable volupté. Délice.
Morts de faim, en riant, nous dévalons l'escalier à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la soirée de hier, chez Juliette. Son attitude, mon comportement. Joie.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Charges additionnelles, abdos, jogging sur tapis roulants.

La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint vêtue comme à son habitude à l'automne.
Jeans, sweat, veste en cuir et ses bottines. Il fait plutôt doux. Le jour se lève. Il est 7 h45. Un dernier bisou. Un coucou.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit, notre vaisselle. Superbe.
Je vais dans l'atelier. Il est 8 h15. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Parfait.
Je peins dans cette étrange volupté qui me nimbe depuis le réveil. Je termine ce matin la sixième toile de commande.

Il est aux environs de 9 h lorsque résonnent les trois coups de sonnette. C'est le livreur de mazout. Il connaît l'endroit.
Je le laisse s'occuper. Il ouvre le portail et descend en marche arrière jusqu'à côté de la cave. Je fais ajuster le niveau.
Il y a toujours deux hivers en réserve dans la cuve. Je retourne à ma toile. J'entends le camion repartir. C'est parfait.
Nom d'une pipe. Trois nouveaux coups de sonnette. Cette fois, c'est pour la livraison des dix stères de bois. C'est bien.
Il y a toujours deux hivers en réserve. Je fais l'appoint. Voilà dix autres stères déjà coupés en 33 cm. Bois de hêtre.

J'entends le tracteur s'en aller. Le bois est livré et rangé sous l'auvent derrière le garage. A l'abri de la pluie et du vent.
Jamais deux sans trois coups de sonnette. Il est aux environs de 11 h. Mais sacré nom d'une pipe, qui peut bien venir.
Quelle n'est pas ma surprise, c'est Juliette en tenue d'écuyère. Son cheval est attaché à sa longe là-bas au lampadaire.
< Bonjour Julien. Je fais un rapide coucou ! > me fait elle en serrant longuement ma main, faisant bouger son index.
Je ne lui propose pas de rentrer. Il fait si doux. Juliette me remercie pour hier soir. Ces mercredis soirs sont si précieux.

Nous évoquons ce petit monde où nous évoluons pour notre plus grande satisfaction. Comme une sorte de microcosme.
Nous en avons déjà fait le constat souvent. Il s'est développé entre nos personnes des liens d'amitiés qui sont si forts.
Juliette ne s'attarde pas. Je la regarde monter, grâcieuse et souple sur son cheval qu'elle dirige d'une maîtrise totale.
Je la regarde descendre vers la rivière. Elle s'arrête à une cinquantaine de mètres, se retourne et mime une branlette.
Elle continue. Je sors ma bite. Je bande mou. Elle se retourne une nouvelle fois. J'agite le Zob mou dans sa direction.

Juliette reste immobile. Son cheval regarde également dans ma direction. Délit d'exhibitionnisme devant animal. Rires.
Juliette me fait un coucou. Elle m'observe ainsi un petit moment, silencieuse. Levant le pouce de sa main droite. Super.
Cette fois, elle doit vraiment y aller. Elle se retourne une dernière fois avant de disparaître derrière les bosquets. Bien.
J'en profite pour jeter un coup d'œil à l'abri à bois. Tout est rangé avec soin. Il y a là de quoi se chauffer quatre hivers.
Je peins encore jusqu'à midi en pensant à Juliette. Adorable bourgeoise. Elle serait la femme idéale. Salope et sublime.

Comme prévu, je termine là mon second port de Douarnenez. Je dépose la toile sur l'autre chevalet afin qu'elle y sèche.
Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du millet doré. Je prépare une salade de carottes. Je fais une belle grosse pâte à pain.
J'y incorpore du parmesan finement râpé. Je concocte la garniture. Tomates fraîches, ail, oignon, persil, ciboulette. Sel.
Ce sera pour nos pizzas. Un autre de nos rituels qui cause notre joie gastronomique du jeudi soir. Tout va très vite. Bien.
Je récupère un peu de sauce que je verse sur le millet doré. J'y rajoute des crevettes rissolées à la poêle. C'est délicieux.

Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les navrantes et pitoyables informations. J'éteins la radio, c'est trop nul.
La vaisselle. Je range la cuisine. La pâte à pain repose sous un linge dans le saladier. Et la garniture sous son couvercle.
Il est presque 13 h. Me voilà assis devant mon chevalet. J'attaque la septième œuvre de commande. Un paysage. Bien.
C'est un commanditaire qui désire la représentation d'un paysage de sa jeunesse. On y voit une ferme, un moulin. Bois.
Je peins dans la même délicieuse volupté qui continue de me nimber d'un doux sentiment de totale plénitude. Sublime.

Il est déjà 16 h30. Clémentine qui entre dans l'atelier en jetant son sac sur le canapé. < Je t'aime Julien ! > s'écrie t-elle.
Elle se précipite pour me couvrir le visage de bisous, s'assoir sur mes genoux et passer ses bras autour de mon cou. Joie.
Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire, les cours, les profs, le travail qui l'attend encore.
Assise devant l'ordinateur, elle met ses notes au propre. Excellente façon de tout revoir et d'en mémoriser l'essentiel. Bon.
Nous aimons ces moments de concentrations intenses, silencieuses. Je lui raconte la visite de Juliette. Le comportement.

Comme souvent, Clémentine conclue dans un soupir : < Si je n'existais pas, elle vivrait ici. Seulement j'existe. Hélas ! >
Nous en rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Et ce n'est pas demain que je cède ma place ! Tu es à moi ! >
Je dis : < J'aime "appartenir" à cette merveilleuse jeune fille qui partage ma vie depuis presque trois ans. Je l'adore ! >
Clémentine se lève pour venir s'assoir sur mes genoux. < On est tellement bien tous les deux, hein ? > chuchote t-elle.
Pétri d'émotions, je pose ma palette et mes pinceaux pour la serrer dans mes bras. On s'embrasse comme des fous. Fou.

Il est 16 h15. Estelle arrive à son tour. Elle nous découvre ainsi. < Et moi ! Je ne suis pas là et on m'oublie ! > fait elle.
Elle s'assoit sur mon autre jambe. Je leurs caresse la nuque. Et elles vont comparer l'avancée de leur travaux respectifs.
Il est 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. La nuit commence à tomber.
Clémentine s'occupe de la salade verte et de son assaisonnement. Estelle travaille la pâte à pain qu'elle triture bien fort.
Je réchauffe la garniture avant de mettre la table. Estelle raconte sa baise avec son parrain, hier soir, et dans le garage.

C'est toujours amusant d'écouter cette extraordinaire histoire. Le parrain qui gonfle le matelas pneumatique. C'est drôle.
Installé parterre et au fond du garage, pendant l'absence de la marraine, le parrain baise comme un dingue avec Estelle.
< Tu as sucé ? > lui demande Clémentine. < Non ! Il aime pas trop, il préfère lécher un peu puis me niquer ! > fait elle.
Nous en rions de bon cœur. Les pizzas sont au four. Nous voilà vautrés dans le canapé, au salon. Et je suis entre les filles.
Tout en bavardant, Estelle me tord la bite dans tous les sens. Ce soir, je n'ai pas eu droit à l'enfarinage de Zob habituel.

< Je peux comparer avec Julien ce soir ? > demande Estelle à Clémentine qui répond : < Tu deviens la vraie baiseuse ! >
Elle fait évidemment référence à son parrain, grand niqueur devant l'éternel et qui l'honore depuis l'adolescence. Salaud.
Estelle se lève. Retire ses jeans, sa culotte et ses bottines. Elle s'assoit sur le bureau, jambes relevées, ses pieds posés.
Elle se touche en me faisant le plus adorable des sourires. Avec un clin d'œil, elle me fait ! < Il n'y a plus qu'à baiser ! >
< Mais tu deviens la pire des baiseuses ma parole ! > s'écrie Clémentine qui se lève, me saisis par la queue pour la tirer.

Estelle se masturbe. Clémentine me positionne entre les cuisses largement écartées d'Estelle. Elle y frotte ma bite dure.
< Mmhhh ! Comme c'est bon ! > murmure Estelle alors que Clémentine introduit délicatement mon Zob dans sa chatte.
Me voilà avec la moitié de la queue bien enfoncée dans le sexe d'Estelle qui m'observe avec malice. Un moment de grâce.
D'un coup de reins, sans prévenir, par surprise, elle s'empale complètement tout en passant ses bras autour de mon cou.
Ses jambes autour de mes reins. Clémentine me tient par les épaules. Elle me fait des bisous sur la joue en regardant.

Je soulève Estelle pour la promener ainsi dans tout le salon. Je fais le tour de la grande pièce. Clémentine nous observe.
Elle est vautrée dans le canapé à se masturber en regardant notre promenade. Mes lombaires sont douloureuses. Ouille.
La sonnerie du four. Clémentine se lève. Je transporte Estelle à la cuisine en restant bien enfoncé. Je me dégage. Doux.
Clémentine met quatre feuilles de papier Sopalin sur la chaise d'Estelle en disant : < Pour la mouille ! >. Nous rigolons.
Nous mangeons de bon appétit. A moitié à poil, Estelle se plaint de la fraîcheur. Je vais récupérer sa culotte, son jeans.

Nous traînons à table en riant beaucoup de toutes nos frasques. Estelle évoque la fois où elles étaient à poil dans le van.
Je me souviens. C'était en Ecosse. Je conduisais. Clémentine et Estelle faisait les pitres à poil dans le camping car. Drôle.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle me tient fermement par la bite. Elle m'entraîne au salon. Elle veut encore.
Nous recommençons sur le bureau. Clémentine se masturbe en tournant autour de nous pour mâter sous tous les angles.
Lorsqu'Estelle est couchée sur le bureau, mes lombaires sont moins douloureuses. Je peux faire la "machine à coudre".

Je la baise comme une vraie fripouille selon l'expression de Clémentine qui est assise sur le bord du bureau à se branler.
Estelle me donne ses impressions entre deux petits cris, entre deux râles de jouissance. < C'est comme avec parrain ! >
< C'est pas mieux ? > demande Clémentine. Estelle me repousse délicatement. Elle reprend son souffle. Sa respiration.
Je m'assois sur la chaise, mon visage entre ses cuisses pour la terminer d'un cunnilingus qui la fait hurler en "possédée".
Clémentine est à genoux sur l'épais coussin, à droite de la chaise pour me tailler une pipe. Estelle connaît un truc dingue.

Il est 22 h. Nous devons reprendre nos esprits. Je m'occuperai de Clémentine au lit. Nous accompagnons Estelle aux WC.
Je la tiens par la nuque, bien droite. Elle fait son pissou. Je glisse ma main par derrière pour lui enfoncer le doigt. Chatte.
Elle se met à gémir de nouveau. < Arrête ! C'est trop bon ça ! Tu me fais ça ce Week-end ! > s'écrie t-elle. Je la torche.
Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. La séparation est difficile. Assise dans l'auto, la vitre baissée, elle suce un peu.
Nous la regardons partir. Au lit, je fais la même chose à Clémentine. Son orgasme est cataclysmique. Elle se serre. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui raffolent de se faire niquer sur le bureau ou promenées dans la pièce. Baisées…

Julien - (Qui offre à Clémentine un cunnilingus goûteux après une baise délicate où elle peut confier ses secrets) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 939 -



Le vendredi Clémentine termine à midi

Hier matin, c'est le Prélude Lohengrin de Richard Wagner qui nous arrache militairement, de nos profonds sommeils. Dur.
< Hëil Wagner ! > s'écrie Clémentine qui roule sur moi pour éteindre le réveil posé de mon coté sur ma table de nuit. 6 h.
Nous nous précipitons aux chiottes pour pisser dans une volupté rare. Morts de faim, nous descendons jusqu'à la cuisine.
Nous y préparons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine est euphorique. C'est vendredi.
Le vendredi elle termine à midi. C'est le début du Week-end. Nous remontons pour notre heure d'entraînement. Superbe.

La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue comme tous les jours. Douceur.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Un dernier coucou. Je rentre. Je fais le lit, vaisselle.
Je vais dans l'atelier. Il est 8 h15 lorsque je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette en chantonnant. Bien.
Je peins dans la même euphorie communicative. Cadeau de Clémentine en cette matinée ensoleillée et au climat si doux.
Abstrait dans ma peinture figurative, je ne vois pas la matinée s'écouler à une vitesse folle. Il est rapidement midi. Super.

Je vais à la cuisine. Je lave les feuilles d'une belle scarole pendant que gonfle le pilpil de blé. Je fais une sauce Roquefort.
Il est 12 h20. Clémentine arrive. Elle me saute dans les bras. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Douceur.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade en me racontant sa matinée. Je fais rissoler deux filets de flétan.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine propose de partir à bicyclette cet après-midi. C'est super.
Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Ambiance.

Clémentine porte une de ses jupettes sport. Un sweat-shirt léger. Je suis en short lycra et en sweat. Il fait drôlement bon.
Dans le petit sac à dos que je porte, nos K-way, nos leggings, deux pommes, barres de céréale et la bouteille d'eau. Bien.
Nous dévalons les escaliers, impatients de filer. Je vérifie le gonflage des pneus. 4,5 bars devant et derrière. C'est parfait.
Il est 13 h lorsque nous descendons le chemin jusqu'au petit pont qui traverse la rivière. 500 m et voilà la piste cyclable.
Nous croisons quelques rares cyclistes. Il fait chaud au soleil. Quelle agréable initiative. Nous pédalons d'un bon rythme.

Arrêt au cabanon de l'écluse. Je me planque dans les fourrés à l'angle du cabanon. Clémentine qui traverse la passerelle.
Là, de l'autre côté de l'écluse, entre deux bosquets, elle peut guetter. Nous nous faisons des grimaces, gestes obscènes.
Une dizaine de minutes s'écoulent. Aucun cycliste solitaire. C'est dommage, Clémentine aimerait une belle petite exhibe.
Nous reprenons notre route. 25 km de pur bonheur. Il est 14 h30 lorsque nous arrivons au petit port de plaisance. Super.
Il y a peu de monde. Les joueurs de pétanques. Les bateaux sont presque tous bâchés. Quelques cyclistes, promeneurs.

Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie close. Nous traversons la petite route pour aller à la supérette.
Peu de clients. Nous bavardons un peu avec la gérante. La dame nous apprend que dimanche il y a une marche populaire.
L'arrivée se fera sur le port dès 15 h. Il y a plusieurs circuits. Familial, convivial et sportif. Avec ce temps ce sera parfait.
Nous achetons nos cônes glacés que nous dégustons en flânant. < Regarde, un mec tout seul ! > murmure Clémentine.
Nous sommes assis sur le muret. Nous regardons ce type qui semble rôder entre les bagnoles sur le parking. Touriste ?

Il en a l'allure. Bermuda rouge, chemise hawaïenne, baskets. Un sac en muselière sur le côté. La quarantaine. Casquette.
< Viens, on anticipe ! > me fait Clémentine m'entraînant par la main vers le bâtiment des sanitaires, chiottes publiques.
L'endroit est désert. La partie réservée aux plaisanciers est fermée à clef. Nous entrons dans la partie publique. Déserte.
Nous guettons par la porte entrebâillée. < Il vient par là. C'est imparable ! > chuchote Clémentine. Et il faut être rapides.
J'entre dans un des quatre cabinets. Et toujours le même. Je m'enferme. Je monte sur le couvercle rabattu de la cuvette.

Là, sur la pointe des pieds, je peux tout voir par dessus la cloison carrelée. Clémentine est debout devant un des urinoirs.
Sa culotte aux genoux, sa jupette maintenue par les coudes, elle écarte les lèvres de son sexe, cambrée devant l'urinoir.
C'est dans cette position, les cheveux cachant son visage, lunettes noirs sur les yeux, que Clémentine se fait surprendre.
L'inconnu marque un arrêt. Il semble sidéré puis rapidement amusé. Je le comprends. Tomber sur ce divin spectacle. Bon.
Il contourne la jeune fille qui le dépasse d'une bonne demi tête comme pour rester à distance. Il va aux lavabos. Silence.

Je retiens ma respiration. Je sors ma queue. C'est trop bon. Cela fait plusieurs jours que cette situation n'est plus arrivée.
Le type observe cette jeune fille immobile qui se concentre sur ce qu'elle fait sans lui prêter la moindre attention. Dingue.
Il se retourne pour lui adresser la parole. Avec un fort accent hollandais, il demande : < Vous pouvez me renseigner ? >
C'est évidemment un prétexte un peu maladroit pour tenter la conversation. L'homme semble plutôt timide. Très réservé.
Clémentine, sans changer de position, se cambrant encore un peu plus sur ses genoux fléchis, tourne la tête. Le silence.

C'est hyper excitant. Le mec se touche la braguette. Clémentine répond enfin : < Je ne suis pas du coin ! >. Mensonge.
Notre touriste ouvre sa braguette. Il en extrait une bite droite, d'un bon calibre, à la peau pâle. Il se la tient à sa base.
L'inconnu dit encore : < C'est génial ce que vous faites ! >. Clémentine tourne à nouveau la tête dans sa direction. Bien.
Le type agite sa bite bien raide. Il continue : < J'aime beaucoup les françaises ! >. Clémentine ne répond pas. Que dire ?
Cette fois, notre heureux privilégié se déplace. Toujours distant, il vient se positionner devant le dernier urinoir. Super.

Je me branle en gardant un total silence. Surtout que le mec regarde assez souvent partout autour de lui. La prudence.
Se douterait il de quelque chose ? Je le vois de dos. Je devine au mouvement de son bras droit qu'il se masturbe. Bien.
Deux urinoirs séparent les deux protagonistes de cette merveilleuse scène que nous offre Clémentine. C'est divin. Fou.
Le type ne dit plus rien. J'hallucine. Clémentine se masturbe. Elle me tourne le dos. Les deux se branlent. C'est dingue.
Nous sommes trois à nous masturber dans un silence total. Le mec éjacule probablement. Le corps secoué de spasmes.

Il appui sur le petit bouton. Comme gêné il se reboutonne pour filer à toute allure. Un gentleman et qui n'a rien tenté.
Les préférés de Clémentine qui cesse pour me dire : < C'était génial ! Viens vite ! >. Je sors du cabinet, bite bandante.
Clémentine s'accroupit pour me sucer avec une gourmandise qui fait plaisir à voir. Je la laisse pomper un bon moment.
Le mec qui revient. Il nous surprend ainsi. Il vient de comprendre. Il reste dans l'encadrement de la porte avant de filer.
Clémentine se redresse, les fourmis dans les jambes. Nous sortons des toilettes. Le type est là-bas assis sur le muret.

Il évite de regarder dans notre direction. Il est déjà 16 h. Nous ne nous attardons pas. Il fait encore très beau et chaud.
Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable. Il y a peu de monde, nous pouvons rouler côte à côte. Nous pouvons causer.
Clémentine me donne ses impressions. Hyper excitée par cette nouvelle aventure. Elle me confie l'avoir attendu. Enfin.
Je propose d'aller manger au restaurant de l'étang, ce soir, d'aller tenir un peu compagnie à Julie. Et Clémentine hésite.
Il est 18 h lorsque nous sommes de retour. Clémentine préfère rester à la maison. Je n'insiste pas. Nous restons dehors.

Nous profitons de la douceur de cette fin d'après-midi en faisant le tour de la propriété. Clémentine serrée contre moi.
Voilà Max, le Doberman géant des Bertrand, nos plus proches voisins à trois cent mètres. Il nous fait la fête. Heureux.
Ce chien, sous ses apparences de fauve, est très affectueux. Nous le caressons tout en lui parlant. Il est très intelligent.
Il ne s'attarde pas et continue sa ronde. Il se retourne pour nous lancer un dernier regard et descend vers sa maison.
La faim commence à se faire sentir. Nous rentrons avec le crépuscule qui tombe rapidement. Nous préparons le repas.

Nous épluchons des patates que je fais rissoler pendant que Clémentine prépare une salade de tomates. En bavardant.
Cette superbe exhibe dans les chiottes nous a bien émoustillé. Clémentine est contente que nous soyons seuls. Super.
Elle me confie souvent que cela lui manque. De véritables moments d'intimité, juste nous deux. Je comprend très bien.
Je lui dis souvent : < Tant de gens se sentent bien en notre compagnie. Il faut en profiter. C'est un véritable cadeau ! >
Il serait dommage, à 22 ans, que Clémentine reste isolée avec un homme d'âge mûr dans une grande demeure. Dur !

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme du Week-end. S'il fait beau, bicyclette, un maximum.
L'hiver sera bien assez long. Autant profiter d'une météo exceptionnelle. Après tout, nous ne sommes que le 12 octobre.
Nous traînons à table. La vaisselle. Il est 20 h. Clémentine m'entraîne au salon. Elle se vautre dans le canapé. La jupette.
A genoux sur l'épais coussin, je hume longuement les odeurs de sa journée de fille. Elle a retiré sa culotte. Ça sent bon.
Je m'enivre des effluves parfumées de son sexe avant de me mettre à y goûter dans un concerto de gémissements. Bien.

Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe humide. Avec l'excitation de l'après-midi, de quoi se régaler.
Ce goût légèrement acidulé, délicatement vinaigré. Je nettoie tout ça avec soin. Consciencieusement. Je m'applique. Joie.
Un concerto pour une voix. Un concerto qui va crescendo lorsque je me mette à suçoter le clitoris géant de Clémentine.
Elle me repousse délicatement à chaque fois que la situation devient critique. Je récupère alors la cyprine qui dégouline.
Il en coule jusque dans la raie du cul. Une fille de 22 ans qui a transpiré, qui s'est masturbé, offre les plus divines saveurs.

Bonne soirée à toutes les coquines qui raffolent de se faire nettoyer le croupion avant de se faire baiser avec amour…

Julien - (Qui offre à Clémentine un orgasme d'anthologie qui ne restera pas dans ses anales, car jamais de sodomie) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 940 -



Un samedi plein de surprises vicelardes

Hier matin, samedi, il est 8 h lorsque nous nous réveillons quasiment en même temps. Il fait chaud avec la couverture.
< On se croirait en juillet ! > me fait Clémentine qui me chevauche pour me faire plein de bisous. Quelques papouilles.
L'impérieux besoin de pisser met rapidement un terme aux effusions de tendresse. Nous nous précipitons aux chiottes.
Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine vêtus de nos tenues sport. Nous prenons le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le programme de la matinée. Le reste du Week-end sera improvisé.

La vaisselle. Il est 8 h30. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffements et nous voilà partis pour notre jogging.
Nous pouvons enfin apprécier l'exercice au grand air. Il fait beau. Il y a du soleil. Il fait doux. Le sol n'est pas détrempé.
Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour pour prendre une douche. C'est un instant magique.
Nous nous habillons. Clémentine, ravie, peut encore mettre des jupes. Celle de ce matin est dans un fin velours carmin.
Un simple T-shirt sous une veste légère. Ses souliers de villes à légers talons. Je suis en jeans, chemise blanche. Super.

Clémentine, accroupie sur ma gauche, devant le miroir de l'armoire, sa tête contre ma jambe, a son regard implorant.
Les cuisses largement écartées, sans culotte, elle me dit : < Je vous aime mon doux "Maître". Soyez sévère avec moi. >
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime tant ma délicieuse "Soumise". Et je vais faire au mieux ! >
Clémentine frotte sa tête contre ma braguette. Je sors ma bite pour la lui frotter sur le visage. Un flot de gémissements.
Je la laisse sucer un peu avant de la saisir par ses cheveux pour l'aider à se relever. Nous dévalons l'escalier en rigolant.

Ce rituel du "Maître" et de sa "Soumise" nous amuse toujours tant. Nous voilà au garage. Je sors la bagnole. C'est bien.
La glacière est branchée sur l'allume cigare. Nous voilà en route pour aller faire notre marché au bourg voisin. Les 3 km.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite qu'elle suce parfois. Je gare l'auto sur le parking. Il y a un monde fou.
Je porte les cabas. Clémentine nous entraîne dans l'allée principale. Nous adorons cette ambiance. Il fait presque chaud.
Nous attirons l'attention. Nos hautes tailles. Cette jeune fille au bras d'un homme d'âge mûr à qui elle fait plein de bises.

Nous faisons provision d'œufs, de yaourts, de crème fraîche, de beurre, de nos fromages préférés. Surtout du Roquefort.
Nous faisons provision de légumes. De fruits. Nous ne traînons pas. Les produits frais dans la glacière et en route. Bien.
Direction la zone commerciale de la ville voisine. 15 km. J'ai la main droite entre les cuisses de Clémentine. C'est super.
Elle dispose toujours un mouchoir en papier déplié sous sa raie culière afin de préserver l'intérieur du tissu de sa jupette.
Cela nous fait toujours beaucoup rire mais Clémentine mouille très vite et abondamment. Je gare l'auto sur le parking.

Je pousse le caddie. Clémentine m'entraîne dans l'hypermarché. Elle tient la liste des courses. Il y a beaucoup de monde.
Nous sommes tous deux considérablement excités. Le soleil, une ambiance d'été, de vacances, l'envie de faire des trucs.
Aussi, souvent, et avec la discrétion dont elle est coutumière, Clémentine effleure ma braguette. Je bande en vrai salaud.
Moi aussi, avec toute la ruse possible, je palpe discrètement son sexe a travers le fin velours de sa jupe. Put-Hein, génial.
Clémentine me montre les articles qu'elle choisi avant de les poser au fond du chariot. Nous traînons un peu. C'est cool.

< Il me faut une V.P. ce matin ! > (une victime potentielle) marmonne Clémentine en nous entraînant au rayon culturel.
Il y a bien trop de gens pour tenter un plan exhibe. < Tu n'as encore rien vu d'une fille décidée ! > me fait Clémentine.
Je sais à quoi m'en tenir. Lorsqu'elle a pris une décision, rien ne lui résiste. Même si je la prie de redoubler de prudence.
Je reste à l'écart à feuilleter un Black et Mortimer au rayon des bandes dessinées. Il y a bien cet homme solitaire, là-bas.
Il est grand, en jeans, chemises à carreaux rouges, casquette, des baskets. Il feuillette des magazines, rayon football.

Clémentine pousse le chariot contre les revues à environ un mètre du mec. Cela la protège de la vue. Et elle s'accroupit.
Le gaillard ne tarde pas à se rendre compte de ce qui se passe. Cette superbe jeune fille, là, qui scrute les rayons du bas.
Surtout qu'à chaque fois qu'elle remet un magazine en rayon, son jeu de jambes permet une vue impressionnante. Joie.
Cette fois, il ne vient pas à l'esprit de notre voyeur involontaire de s'accroupir également. Dommage. Il y aurait à mâter.
Clémentine, bien "allumée", reste toutefois parfaitement "total contrôle". Les filles ont cet avantage. Toujours le contrôle.

Ce qui rend celles qui ont des tendances exhibitionnistes délicieusement salopes. Clémentine en est un parfait spécimen.
Je la regarde. Je suis admiratif. Je bande comme un salaud. Hélas, notre amateur de football n'est pas seul au magasin.
Une jeune femme vient le rejoindre. Elle ne se doute de rien. Clémentine se redresse, tenant un magazine. Elle s'en va.
Juste après avoir dépasser le couple, elle jette le magazine dans leur chariot. Je me marre. Elle fait le coup très souvent.
Un rapide tour d'inspection au rayon des vêtements homme. Aucune réelle opportunité de qualité. Cabines d'essayages.

C'est frustrant mais il faut se faire une raison. Nous terminons nos courses au rayon poissonnerie. Là, il faut être patient.
Nous faisons provision de fruits de mer, filets de lieu noir, de flétan, de cabillaud. Pavés de saumon. Quelques crustacés.
Nous passons en caisse. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Nous lisons les menus proposés à la cafétéria.
< On rentre ! On a tout ce qu'il faut ! > fait Clémentine en m'entraînant par le bras. Et cet après-midi, virée à bicyclette.
Sur la route du retour, je caresse le sexe trempé de Clémentine qui me chuchote ses impressions. Et parfois gémissante.

Il est un peu plus de midi lorsque nous sommes de retour. Nous rangeons les courses. Nous montons nous changer. Bien.
C'est en tenues vélo que nous redescendons préparer la bouffe. Je verse les haricots verts congelés direct dans le Wok.
Les moules sont dans l'eau bouillante. Clémentine termine l'assaisonnement d'une salade de tomates. Tout va très vite.
Nous mangeons de bon appétit lorsque la musique imbécile de mon smartphone résonne sur le frigo. Put-Hein, c'est qui.
Clémentine s'en empare. C'est Estelle. Avec ce soleil, pas question de rester au bureau, elle vient nous rejoindre. Vélo.

La vaisselle. Il est presque 13 h. Voilà Estelle. Nous la voyons sortir son vélo de la voiture d'entreprise. Son sac de sport.
Elle est déjà en tenue. Elle nous rejoint. Monte avec nous à la salle de bain. Nous nous lavons les dents. Pressés de filer.
Estelle n'arrête pas de me faire des bisous, de me palper le sexe au travers du lycra noir de mon short. Elle est contente.
Nous dévalons l'escalier. Nous voilà à descendre le chemin qui mène à la rivière. 500 mètres. Voilà enfin la piste cyclable.
Il fait chaud. C'est une superbe journée d'été un 12 octobre. Nous pédalons contre le léger vent d'Ouest. Il y a des gens.

Arrêt au cabanon de l'écluse. Il y a trop de passage pour se livrer à notre jeux favori. Par contre nous faisons un autre.
Je surveille. Clémentine et Estelle, accroupies en plein milieu de la route, font leur pissou. Cela les fait frissonner. Joie.
Le risque de se faire surprendre. Les éclats de rire, tout cela participe d'un instant d'enchantement. Je fais le guet. Bon.
Il faut faire vite. Il y a un groupe de cyclistes qui se pointe. Je les torche avec un mouchoir en papier. Et juste à temps.
C'est rigolo de voir les cyclistes rouler dans les coulures de pisse qui traversent la route. Nous reprenons notre chemin.

Estelle a fait une photo des pissous. Nous en rigolons comme des bossus. Nous arrivons au port de plaisance à 14 h30.
Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie. Il y a du monde. Les joueurs de pétanque, des promeneurs.
Nous traversons la petite route pour aller à la supérette. Acheter nos cônes glacés. Il y a quelques clients. C'est samedi.
Il y a un couple qui n'arrête pas de nous observer discrètement. Surtout le mec. Notre trio qui semble les impressionner.
Dans un des rayons, alors que le type est seul, Clémentine et Estelle ont le même réflexe. Elles me palpe la braguette.

Le mec doit halluciner. Il n'a pas trop le temps d'exprimer sa surprise car sa femme le rejoint. Nous nous amusons bien.
A la caisse, entre Clémentine et Estelle, je regarde discrètement vers le couple. Ils sont entrain de payer à l'autre caisse.
Je pose ma main droite sur la jupette de Clémentine, ma main gauche sur le short d'Estelle. A l'endroit de leurs chattes.
Le type doit halluciner une nouvelle fois. C'est rapide. C'est fugace. C'est discret. Mais c'est impressionnant. Inoubliable.
Nous flânons en dégustant nos cônes glacés. Mais pas question d'aller s'encanailler aux bâtiments des toilettes publiques.

Le samedi après-midi, c'est le lieux de rendez-vous des D'jeunes du bourg voisin. Ce n'est pas grave, il y a d'autres coins.
Clémentine, débordante d'imagination, ne manque pas de ressources. Il y a le parking, la capitainerie, le vieux cimetière.
< Regarde ! Là-bas, le mec de hier. Le hollandais ! > me dit soudain Clémentine. En effet, c'est le même touriste. Sympa.
Nous avons raconté notre petite aventure à Estelle qui propose un plan d'enfer. < Et s'il me voyait aussi ? Avec Julien ? >
Nous comprenons immédiatement. C'est super vicelard. Nous nous précipitons vers les arbres et les bancs près du muret.

Clémentine et moi restons planqués près des bagnoles. Derrière une camionnette. Estelle qui s'installe sur un des bancs.
Par chance, l'endroit est désert. Le hollandais arrive. Il marche en lisant une brochure touristique. Il voit cette jeune fille.
Estelle fait semblant de consulter son smartphone d'une main. De l'autre elle se touche discrètement. C'est le super plan.
Le type doit se dire que cet endroit est le paradis des filles exhibitionnistes. Clémentine hier, Estelle aujourd'hui. Veinard.
Il s'assoit sur le même banc. Il est silencieux. Estelle fait mine de ne pas s'en rendre compte, absorbée par le téléphone.

Clémentine a passé une main sous sa jupette et me chuchote : < J'adore voir ça. C'est génial ! >. J'ai sorti ma biroute.
Nous nous masturbons tous les deux en observant cette scène. Nous sommes planqués à une trentaine de mètres. Joie.
Nous savons qu'Estelle n'est pas exhibitionniste. Aussi nous admirons son potentiel à interpréter ce rôle à la perfection.
Le type lui adresse enfin la parole. Nous n'entendons rien des propos échangés. Le mec pose sa musette sur ses genoux.
< Put-Hein ! Le salaud a sorti sa bite. J'ai rien vu. Regarde ! > murmure Clémentine. Je sors la paire de jumelles du sac.

C'est vrai. Nous n'avons pas vu le type sortir sa queue. Mais elle est bien dressée, dissimulée des regards par sa musette.
< Ce type fait partie du "Club". C'est un "spécialiste" ! > me fait Clémentine en s'emparant de la paire de jumelles. Bien.
Nous voyons Estelle, hyper gênée, qui répond timidement au mec. Elle a cessé de jouer. Elle a les bras croisés et discute.
Le mec se branle discrètement. L'embarras d'Estelle est tel qu'elle se lève. Elle s'en va sans un mot. Le type ne tente rien.
Nous la rejoignons de l'autre côté du parking. < Put-Hein, c'est trop ! > nous fait elle. Je glisse ma main dans son short.

Je lui montre mes doigts trempés. Je dis : < Tu as apprécié quand même ! >. Nous éclatons de rire. Je lui montre le Zob.
Clémentine lui demande : < C'est pareil ? >. Estelle répond : < Un peu plus droite ! Salaud ! >. Nous rions de bon cœur.
Mais ce n'est pas terminé. C'est sans compter sur le plan des deux adorables vicieuses. Nous sommes planqués à mâter.
Le type vient par là en longeant le mur. Clémentine se met en retrait. Estelle s'accroupit devant moi. Je sors la bite dure.
Estelle me tient par les hanches. Elle se met à me sucer comme si sa vie en dépendait. Le mec tombe sur ce spectacle.

Il me reconnaît immédiatement. Il croit probablement devenir cinglé. Je le regarde. Il hallucine complètement le pauvre.
Il m'a vu me faire sucer par Clémentine hier. Il me voit me faire sucer par Estelle aujourd'hui. Il a un sourire hyper gêné.
Il ne s'arrête pas. Il continue son chemin. C'est sans compter sur ce qui l'attend plus loin. Clémentine entrain de pisser.
Accroupie entre deux bagnoles, Clémentine lui offre le coup de grâce. Ce mec ramènera des souvenirs délirants de France.
Estelle s'est redressée. Elle me tient la queue. Serrée contre moi, nous observons les réactions de cette pauvre "victime".

A l'instant même où nous nous faisons surprendre à notre tour par le couple de la supérette. Ils restent comme stupéfaits.
Le monde est petit, certes, mais à ce point. Ils ne s'arrêtent pas mais ils ont bien vu ma bite dans la main d'Estelle. Fou !
Clémentine vient nous rejoindre. Nous méritons bien un second cône glacé. Nous avons vécu là de très grands moments.
Il est 17 h. Il y a 25 km à faire. Il faut penser à rentrer. Poussés par le vent d'Ouest le retour est facile. Sans aucun effort.
Il est 18 h30 lorsque nous sommes de retour. Morts de faim. Estelle propose le gratin de coquillettes. Superbe suggestion.

Clémentine s'occupe de la salade verte et de son assaisonnement. Je concocte une sauce au Roquefort. Tout est si rapide.
Nous mangeons de bon appétit. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine bien vulgaire.
Je me lève souvent pour agiter ma queue molle dans sa direction. Nous sommes pressés de nous retrouver au salon. Bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles m'entraînent au salon. Estelle me tient la bite. Et Clémentine mes couilles.
Estelle retire son short et sa culotte qu'elle jette en l'air. Clémentine retire sa jupette, sa culotte qu'elle balance tout pareil.

Je suis à genoux sur l'épais coussin. Mon visage entre les cuisses d'Estelle. Elles se masturbent toutes les deux. Sympa.
Je passe d'une chatte à l'autre. Déguster le sexe de jeunes filles de 22 ans qui ont transpiré, mouillé, une pure merveille.
Je nettoie les raies du cul avec autant de célérité que les vulves, les lèvres de leurs chattes gluantes. C'est monstrueux.
Nous gémissons tous les trois d'un indicible bonheur. L'orgasme d'Estelle est foudroyant. Celui de Clémentine tout autant.
Je me fais sucer avant de les pénétrer un peu toutes les deux. Nous nous suçons après nos pissous. Nous montons. Dodo.

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui aiment improviser en supérette, en parking et en chiottes publiques…

Julien - (Qui s'endort entre les deux coquines. Estelle ronfle déjà légèrement. Clémentine lui chuchote des secrets) -

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Un magnifique dimanche

Hier matin, dimanche, on me couvre le visage de bisous. On me chuchote des douceurs. C'est en stéréophonie. Sublime.
On tient mon érection matinale à pleine main. J'ouvre les yeux. A ma gauche Clémentine. A ma droite Estelle. Merveilleux.
Je passe mes bras sous leur nuque pour les serrer fort contre moi. Il est à peine 8 h30. C'est un de ces instants fabuleux.
Nous l'apprécions tous les trois à sa très juste valeur. Nous savons l'indicible privilège que nous offre l'existence. Superbe.
Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes et s'écriant : < Pipi ! >. Clémentine me chevauche, chuchotant.

Estelle revient. < Je descends préparer le petit déj ! > fait elle avant de dévaler l'escalier. C'est à notre tour d'aller pisser.
Morts de faim nous descendons rejoindre Estelle à la cuisine. Cette délicieuse odeur de brioche, de café et de pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme de cette journée. Il fait déjà beau et il fait doux.
Nous traînons à table en évoquant notre aventure de hier, au port de plaisance. Nous en rions beaucoup. C'était si drôle.
Le dimanche, pas d'entraînement. Une partie de la matinée est consacrée au ménage. Estelle passe l'aspirateur partout.

Clémentine s'occupe de la chambre. Moi je passe la serpillère. Nous faisons la vaisselle. Je commence par la cuisine. Bien.
J'entends Estelle chanter depuis le salon où elle passe l'aspirateur. C'est toujours une profonde source d'émotion. Fameux.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages. Je m'apprête à monter pour rejoindre Clémentine.
C'est compter sans le piège d'Estelle. J'y ai droit tous les dimanches. Cette fois, elle est toute nue cachée derrière la porte.
< Droit de passage ! > fait elle en jaillissant soudain pour m'attraper par le slip. Elle y glisse ses mains. Je ne peux réagir.

Estelle se blottit contre moi en me murmurant : < Je t'aime Julien ! >. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de moi.
Je bande. Mon slip est un sacré handicap. J'emmène Estelle sur le bureau sur lequel je la dépose. Et j'enlève mon slibard.
Je frotte mon sexe dur contre le sien. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Juste le bout. Elle se serre très fort. Super.
D'un coup de reins, elle s'enfile presque toute la queue pour se mettre à bouger de plus en plus vite. C'est amusant. Bon.
Je la soulève pour lui faire faire le tour du salon. Je me retire. < Oh le vilain ! > dit elle en m'entraînant par la main, riant.

Elle récupère sa culotte. Nous montons l'escalier à toute vitesse. Clémentine est entrain de terminer de changer les draps.
< Mais t'es déjà à poil ! > fait elle à Estelle qui répond : < Je me suis même déjà fait niquer ! >. Nous rions de bon cœur.
Les fenêtres sont grandes ouvertes. Il fait frais. Nous nous habillons rapidement. Je ramasse le tas de draps sales. Parfait.
Je vais à la salle de bain. Clémentine me rejoint. < Et moi ! > me fait elle. Je lui retire la culotte. Je la soulève. Ça rentre.
Nous restons sans bouger, l'un dans l'autre, dans le silence d'une émotion intense. Nous entendons Estelle chanter. Bien.

Je dépose Clémentine après m'être retiré. Je nettoie le bac à douche. Elle nettoie les miroirs et le lavabo. Nous bavardons.
Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes du haut. Le second piège d'Estelle. Rire.
Je suis à genoux devant la cuvette à récurer, les mains gantées de caoutchouc, lorsqu'on m'attrape par les couilles. Fort.
Estelle, accroupie derrière moi, se frotte contre mon dos en me chuchotant des cochonneries. Je tire la chasse. C'est bon.
Je me redresse en même temps qu'Estelle qui ne me lâche ni la bite ni les couilles. Sa langue dans ma bouche. Coquine.

Nous dévalons l'escalier pour rejoindre Clémentine à la cave. Là, dans la buanderie, nous trions le linge en bavardant.
Les filles évoquent leurs études. Il reste une semaine avant les vacances de la Toussaint. Estelle veut préparer le repas.
Elle monte. Clémentine et moi nous restons à la cave. Une machine tourne déjà. Je la prends dans mes bras. La douceur.
Je retire une fois encore sa culotte. Elle vit tout cela très amusée. Je la soulève. Je l'installe sur la machine à laver. Rire.
Je frotte mon sexe contre le sien avant de la pénétrer avec d'infinies précautions. < Je t'aime mon amour ! > me dit elle.

La machine à laver rajoute ses vibrations à nos mouvements légers. Nous appliquons la légende urbaine de la "machine".
Nous restons souvent immobile à nous murmurer des douceurs, des cochonneries. Merveilleux. Il fait frais ici, à la cave.
Nous remontons avec les draps pour aller les suspendre à l'extérieur. Le linge séché dehors sent tellement bon. Superbe.
Estelle est entrain de faire griller des sardines et des lamelles de saumon sur le barbecue électrique de la véranda. Miam.
Elle nous fait des gestes obscènes depuis la fenêtre. Nous rentrons. La table et mise. Le repas est prêt. Il est midi. Bien.

Les sardines grillées, les lamelles de saumon, les patates rissolées avec des petits pois, la salade de tomate, c'est miam.
Nous félicitons Estelle. < J'adore faire à manger. A la maison, quand je suis là, c'est moi qui fait ! > nous dit elle encore.
Nous mangeons de bon appétit en évoquant les petites baises du dimanche matin qui deviennent une nouvelle habitude.
Nous en rions beaucoup. Nous ne traînons pas. Nous sommes pressés de filer à bicyclette. La vaisselle. Et nous montons.
Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous mettons nos tenues vélo. Bien.

Il fait encore plus chaud que hier. Clémentine porte sa jupette sport, T-shirt. Estelle et moi en short. T-shirt. Nos baskets.
Dans le petit sac à dos que je porte, trois pommes, trois barres de céréale, nos K-ways, la bouteille d'eau et les jumelles.
En route belle troupe aux splendides croupes ! Nous voilà sur nos vélos à descendre le chemin vers la piste cyclable. Joie.
Il fait véritablement chaud. C'est comme l'année dernière à la même époque. Nous pédalons contre le léger vent d'Ouest.
Nous croisons quantité de cyclistes, de filles en rollers, de familles poussant des landaus. Des joggeurs. Des promeneurs.

Pas d'arrêt au cabanon de l'écluse. Il y a des gens assis. Nous continuons notre route. 25 km jusqu'au port de plaisance.
Nous y arrivons vers 14 h30. Il y a du monde. La municipalité du bourg voisin a organisé la marche populaire d'automne.
C'est encore un franc succès. Voilà une équipe qui sait dynamiser sa région, favoriser les retombées économiques. Super.
Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie. Nous allons directement à la supérette. Nos cônes glacés. Bon.
Il y a de la clientèle. Nous devons patienter aux caisses. Excellent prétexte pour se tripoter en douce, pour s'exciter. Joie.

Nous avons une combine. Clémentine et moi nous attendons en caisse. Au dernier moment Estelle vient avec les cônes.
Nous les dégustons en flânant. Les premiers arrivants de la marche populaire font leurs apparitions. Et les plus sportifs.
Les couples, les groupes et les familles arriveront plus tard. Il y a de l'animation. Un orchestre et un speaker. Ambiance.
Inutile d'aller tenter un plan exhibe aux toilettes publiques, c'est un incessant défilé familiale. Et puis il y a des D'jeunes.
Nous sommes assis sur le muret, les pieds dans le vide, serrés tous les trois comme si nous avions peur d'êtres séparés.

< J'hallucine ! Regardez ! Le même mec, là-bas ! > s'écrie Clémentine en pointant son doigt vers le touriste hollandais.
Pas de doute, c'est bien lui. Bermuda rouge, chemise hawaïenne, casquette, son sac musette sur le côté. Il déambule.
< C'est un exhibitionniste. Regardez, il cherche un "plan". Il reste à l'écart ! > rajoute Estelle. < Sûr ! > dit Clémentine.
< Venez, on va le piéger ! > rajoute Clémentine en nous entraînant. Nous la suivons. Nous contournons le kiosque. Vite.
Nous sommes à l'abri des regards. C'est derrière l'ancien entrepôt. C'est un peu crade. Peu fréquenté. L'endroit déserté.

En semaine il y a toujours des employés. Le dimanche, personne. L'endroit rêvé pour un exhibo qui cherche un "plan".
Les filles me sortent le Zob. Je me sens un peu con. Bite à l'air. Estelle fait le guet à l'angle du bâtiment. Faire attention.
< Il se pointe ! > fait elle soudain en nous rejoignant. Clémentine est déjà assise sur un parpaing à me tailler une pipe.
Estelle s'installe à ma gauche. Voilà le type. A 10 m. Il tombe une fois encore sur nos personnes, sur ce spectacle. Pipe.
Il marque un temps d'arrêt. dur. Je me demande s'il ne va pas nous jeter de l'ail, sortir un crucifix, exiger un exorcisme.

Les filles cessent. En cœur, elles font : < Bonjour monsieur ! >. Le mec tourne les talons. Ç'en est trop. Le type s'enfuit.
Nous rigolons comme des bossus quand Estelle dit : < Il a vu le diable. Et il va aller se convertir ! Direction Lourdes ! >
Nous sommes écroulés de rire. Nous allons sur le muret pour voir où il a filé à l'anglaise, notre hollandais. Plus personne.
Cette histoire nous a amusé. Mais elle nous a également bien excités. Cette aventure mérite bien des cônes glacés. Joie.
Il est 17 h30 lorsque nous prenons la route du retour. Il y a un léger pincement au cœur. Nous arrivons à 19 h. Fourbus.

C'est déjà le crépuscule et il fait encore très doux. Morts de faim, nous préparons notre repas du soir. Méthode. Efficace.
Clémentine s'occupe de la salade verte, de son assaisonnement. Je réchauffe les patates. Estelle fait une belle omelette.
Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous traînons à table. Les filles sont assises sur mes genoux. Nous rions.
Je leur propose un bon léchage de minou. Pas besoin de le dire deux fois. Nous faisons la vaisselle. Nous allons au salon.
Quel plaisir que de savourer deux chattes qui ont transpiré, qui ont mouillé, pas lavées depuis hier. Rituel du dimanche.

Les coquines sont à quatre pattes sur l'épais tapis, les coudes en appui sur le canapé. Je suis à genoux derrière. Super.
Je leur nettoie le cul. C'est délirant. L'odeur, le goût, de quoi donner le vertige. Estelle se vautre dans le canapé. Parfait.
Clémentine s'installe à côté. A présent, je leur nettoie les chattes. Je me régale. Il y a du jus, du frome et des miasmes.
Des jeunes filles de 22 ans qui ont fait de la bicyclette, qui se sont touchées, quoi de plus merveilleux pour un gourmet.
L'orgasme d'Estelle est prodigieux. Elle en crie avant de se recroqueviller sur elle-même, mains entre les cuisses serrées.

Clémentine doit pisser. C'est une constante. En parfaite femme fontaine. Elle a tout prévu. Il y a la bassine en plastique.
Elle s'en saisit en criant, le corps agité de spasmes. J'ai juste le temps de me retirer. Estelle et moi nous regardons. Fou.
Il y a de la cyprine qui dégouline, très abondante, par le vagin derrière le jet de pisse qui vient se briser dans la bassine.
Il en gicle à côté. < Mais quelle salope ! > s'écrie Estelle admirative. Il est 22 h15. Il faut reprendre nos esprits. Tristes.
Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Séparation déchirante. Au lit, je propose de remettre la pipe à demain. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se sont encore fait nettoyer la moule après une journée de baise et de vélo...

Julien - (Qui écoute les dernières confidences de Clémentine qui s'endort blottie dans ses bras. Heureuse) -

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Julie se révèle un peu plus. Tendre vicieuse...

Hier matin, lundi, nous réveillons en même temps et juste un peu avant que ne résonne la musique. J'éteins le réveil.
Quelques papouilles. Il est 5 h55. Nous nous précipitons aux toilettes. Nous descendons à toute vitesse, morts de faim.
Nous préparons notre petit déjeuner en évoquant nos aventures du Week-end. Nous mangeons de bon appétit. Miam.
Surtout que le lundi matin, il reste toujours encore un peu de brioche. Et nous remontons. Notre heure d'entraînement.
La douche. Je descends pour sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue de son jeans, T-shirt sous la veste.

Il fait étrangement doux. Il est 7 h45. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre en vitesse.
Je fais notre lit, je fais la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Il était temps.
Je prépare ma palette. Je peins dans un enthousiasme délirant. Je ne vois pas passer les heures. Il est rapidement 12 h.
Je vais à la cuisine. Je lave les feuilles d'une belle laitue. Pour midi et pour ce soir. Je fais bouillir l'eau des coquillettes.
Je concocte une délicieuse sauce au Roquefort et un filet de flétan que je fais rissoler à la poêle. Avec de l'ail et l'ognon.

Je mange de bon appétit. La pâte feuilleté, le pavé de saumon ont décongelé. Il me suffit d'émincer le poisson. Rapide.
Je fais une Béchamel. Je verse le tout sur la pâte disposée dans un moule. Je roule. Je mets au four. Je règle. Minuterie.
Le feuilleté de saumon, pour notre repas du soir, est entrain de cuire. Je retourne dans l'atelier. Je peins dans la sérénité.
Il est 16 h30 lorsque Clémentine arrive. Elle entre dans l'atelier à toute vitesse. Elle se précipite pour me faire des bises.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire, les cours, les profs. C'est bien.

Clémentine qui a encore du travail est assise devant l'ordinateur à mettre ses notes du jour au propre. C'est contraignant.
Nous adorons ces séances de concentrations communes. < Stop ! > s'écrie Clémentine. Il est 18 h45. Nous cessons. Joie.
Nous rangeons nos affaires. Dehors, le crépuscule arrive à grande vitesse. La douceur qui persiste. Nous sortons marcher.
Nous faisons le tour de la propriété. Il est 19 h15. Nous rentrons. Je réchauffe le feuilleté de saumon. Et il est magnifique.
Clémentine qui s'occupe de l'assaisonnement de la salade. Nous dressons la table au salon. Le chandelier à trois bougies.

Nous nous embrassons. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. < Tu seras salaud, ce soir ? > me fait elle.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me sort le Zob. J'ai la bite molle qui pend lamentablement. Clémentine qui s'accroupit.
Elle me la hume un peu avant d'en téter l'extrémité en gémissant. Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Bien.
Elle revient suivie de Julie toute souriante. Elle me serre la main sans même prêter attention à ma queue. Les trois bises.
Je propose aux filles d'aller au salon et de prendre place. Je vais assurer le service. Je les entends rire depuis la cuisine.

Je ramène le feuilleté de saumon. Je retourne chercher la salade. Surprise. Julie me suit discrètement, silencieuse. Ruse.
< Jeudi soir, au haras, j'ai rencontré un homme encore plus vicieux que vous ! > me lance Julie en montrant ma biroute.
< Monsieur Gérard, vous connaissez ? > rajoute t-elle. Clémentine, qui est dans l'encadrement de la porte se met à rire.
Je dis : < On ne connaît que lui ! Il t'a donné un aperçu de ses talents ? >. Julie qui répond : < Non, mais quel salaud ! >
Nous retournons au salon. Nous mangeons de bon appétit. Julie nous raconte son jeudi après-midi avec Juliette au haras.

< Il y a une proximité entre Juliette et Gérard ! > fait encore Julie. Nous confirmons. Clémentine confie quelques secrets.
Julie écoute toute ébahie de découvrir que Clémentine suce Mr Gérard. < Juliette m'a avoué le faire aussi ! > confie Julie.
Je dis : < Tu vas certainement te retrouver un jour devant l'opportunité de sucer le vieux ! > Julie me fait : < Ah non ! >
< Vous verrez, c'est un régal ! Il en a une toute petite ! > rajoute Clémentine. < Oui ! J'ai vu ! > répond Julie. Le silence.
Ainsi, ce vieux salaud lui a déjà montré sa bite. Julie nous raconte comment tout cela s'est passé. C'est vraiment vicieux.

Juliette a emmené Julie dans les écuries. C'est là que dans un box elle a vu Gérard se masturber. Couché dans la paille.
< J'ai cru halluciner ! > fait encore Julie. < Il s'est juste retourné pour me saluer en restant couché ! > rajoute t-elle.
Nous écoutons en riant beaucoup. Julie se fait d'ailleurs un plaisir de nous donner des détails bien salaces. C'est bien.
Julie a également fait la connaissance de Mme Walter, l'assistante, de Pauline la secrétaire. Kim Son et d'Evelyne. Bien.
< Je connais tout le personnel maintenant ! > fait encore Julie. Elles sont restées ensemble jusqu'aux environs de 22 h.

Cette relation amoureuse qui débute entre Juliette et Julie ne demande aucune explication. Et nous ne demandons rien.
Durant le repas, je me lève à plusieurs reprises pour agiter mon sexe en direction de Julie. Elle ne cache plus son plaisir.
Je la tutoie. Elle me vouvoie. Comme le précise Clémentine, ce code enchante la jeune fille. Nous bavardons en rigolant.
Julie pose quelques questions concernant Gérard. Je suis surpris. Ce vieux saligaud ne laisse pas les filles indifférentes.
C'est d'ailleurs assez étrange. Il est petit, trapu, les longs cheveux blancs en catogan, 66 ans, impuissant, incontinent.

Je dis : < Le jour où tu le suces, raconte nous ! >. Julie me fait : < Ce n'est pas demain la veille ! Beurk ! L'horreur ! >
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine lance : < Il ne faut pas dire Couilles, je ne boirai jamais de ton foutre ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsque Julie rétorque : < J'ai l'embarras du choix dans les chiottes du restaurant ! >
Je propose à Julie de m'accompagner aux toilettes. Surprise. Elle se lève sans se faire prier. Et elle me précède même.
Je suis debout devant la cuvette. Julie à ma gauche. Clémentine à ma droite. Je bande très mou. Clémentine la tient.

Je dois pisser depuis la fin de l'après-midi. Je ne suis pas obligé de me concentrer longuement. Je pisse. Soulagement.
Clémentine en dirige les jets. Julie, penchée en avant, observe avec l'attention d'une entomologiste. Il y a plein de jets.
Nous sommes tous les trois silencieux. Souvent en apnée. Clémentine, entre deux jets, la pointe vers le visage de Julie.
A chaque fois Julie se redresse ou s'écarte. Peur de s'en ramasser une giclette. Et Clémentine lui propose de s'en saisir.
Nouvelle surprise, Julie la récupère. Timidement, entre le pouce et l'index. Elle tient la bite à sa base. Une petite giclée.

Julie s'écrie, comme émerveillée : < On sent le jet comme dans un tuyau d'arrosage ! >. Je lâche les dernières giclées.
Julie me la secoue. Je suis étonnée car elle fait ça très bien. Elle tend mon sexe à Clémentine qui s'est accroupit. Bien.
Clémentine me suce. Julie se penche pour admirer. Elle me dit : < C'est bon après aussi ? >. Je confirme. < Miam ! >
Clémentine cesse pour la tendre à julie : < Goûte ! > lui fait elle. Julie se redresse : < Non pas ce soir ! > répond t-elle.
C'est sa réponse habituelle. Je n'insiste pas. Je lui dépose une bise sur la joue. Elle en est toute ravie, glousse de plaisir.

Avec tout ça, il est déjà 22 h. Julie a de la route à faire. Elle nous remercie pour cette nouvelle soirée. Elle apprécie tant.
Une fois encore, en la raccompagnant à la voiture, nous lui proposons de venir quand elle le souhaite. Elle est chez elle.
Nous sentons bien que cette jeune fille de 20 ans passe avec nous de délicieux moments. Nous la regardons partir. Bises.
Clémentine m'entraîne par la main. < C'est génial ! > me fait elle en évoquant l'attitude rassurée de Julie. Nouvelle amie.
Au lit, nous baisons comme nous aimons. Immobiles. Clémentine me confie ses secrets. Un cunnilingus. Orgasme. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver en compagnie d'un couple vicelard dont le mec est un satyre...

Julien - (Qui écoute les dernières confidences de Clémentine, serrée contre lui, après avoir joui comme une folle) -

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Les délices du mardi soir

Hier matin, mardi, c'est le Prélude Faune De Vaslav Nijinski qui nous arrache de nos profonds sommeils. C'est immonde.
< Taré, Vaslav ! > s'écrie Clémentine en me roulant dessus pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Le mardi, Clémentine termine à midi. Cela la rend euphorique.
C'est donc en riant déjà que nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il est 6 h. Nous préparons le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous remontons pour nous offrir notre heure de gym. L'entraînement.

La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint sous son parapluie. Jeans, Sweat et sa veste.
Il fait relativement doux mais il pleut. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer.
Je fais notre lit et notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il est 8 h15. Me voilà assis devant le chevalet. Je prépare le matos.
Ma palette, mes pinceaux. Je commence ce matin la huitième œuvre de commande. Un paysage bucolique, village au loin.
Je peins rapidement dans une douce sérénité. Je pousse les cris les plus surréalistes que je module longuement. Superbe.

Il est midi. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du riz. Je pane deux filets de lieu noir. Champignons, ail, oignon, à la poêle.
Il est 12 h20. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Je la fais tourner.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais cuire le poireau que j'ai coupé en petits morceaux. Je fais une belle pâte à pain.
Il suffit de concocter une Béchamel et le nécessaire pour la tarte aux poireaux de ce soir est prêt. Notre Flamiche Picarde.
Un autre de nos doux rituels. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Toujours si passionnant.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque le séjour à Paris.
Les vacances de la Toussaint commencent le vendredi 18 octobre. < Déjà les vacances ! > s'écrie Clémentine. C'est vrai.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Et déjà 13 h30.
Il fait bien trop moche pour prévoir une quelconque activité extérieure. Nous allons consacrer notre après-midi à bosser.
Nous dévalons l'escalier. Clémentine m'entraîne à l'atelier. Là, elle me fait tomber sur le vieux canapé qui en a tant subi.

A genoux sur le coussin, elle me sort le Zob pour le humer longuement tout en me donnant ses impressions. Le ressenti.
Je lui caresse délicatement la tête. Elle me décalotte très légèrement. Il y juste le méat qui dépasse du prépuce. Odeurs.
Je la regarde passer la langue dont elle tente d'enfoncer le bout dans l'orifice. Pour en recueillir ce qui pourrait en sortir.
Clémentine se met à téter en gloussant lorsque je lui parle de la bite à Mr Wong. C'est bientôt. Le Nem vietnamien. Bon.
Elle me confie à quel point son impatience est grande. Elle y pense tous les jours. J'évoque la bite à Mr Gérard. Rigolade.

Je suggère à Clémentine de la sucer samedi soir pour pouvoir comparer dans un laps de temps relativement réduit. Joie.
Tout en me suçant, Clémentine pousse de petits gémissement pour ponctuer mes propos. Elle cesse pour en parler. Rire.
A Paris, il n'est pas exclu de vivre une nouvelle aventure. Clémentine n'est pas contre l'idée de sucer un parfait inconnu.
Nous restons ainsi un long moment à bavarder. Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche. Tout ce qu'elle récupère.
C'est très excitant d'évoquer les fellations qu'elle prodigue à d'heureux privilégiés. Mes épanchements sont conséquents.

Même si depuis quelques mois nous baisons davantage, le cunnilingus et la fellation restent la préférence de Clémentine.
Et cela fait déjà plusieurs mois qu'elle ne s'est pas retrouvée coincée dans une situation embarrassante avec un inconnu.
Une vraie situation où la pipe est évidente et inévitable. Le fantasme de la contrainte revient au galop. Être forcée. Bien.
Je promets de l'aider à réaliser tout cela dans les prochains temps. Je la tiens sous le menton, derrière la nuque. Ferme.
Je lui chuchote des saloperies. Je l'entends glousser de bonheur. < Je t'aime ! > dit elle, retirant sa tête, bouche pleine.

Nous avons du travail. Il est déjà 14 h30. Clémentine se laisse faire. Je l'attrape par la tignasse pour la forcer à cesser.
Son regard implorant, elle me dit : < J'ai vraiment besoin d'être "choquée". C'est vital ! >. Je réponds : < Bientôt ! >
Je sais à quel point ce besoin est urgent. Je lui promets de la mettre dans des situations qui la feront délirer. Jouissance.
Nous nous levons. Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche. Elle tente de déglutir. Mon foutre est plutôt visqueux.
La voilà assise devant son ordinateur. Me voilà assis devant mon chevalet. Nous continuons à nous parler. C'est superbe.

Parfois, l'un se lève pour rejoindre l'autre. Lui glisser une douceur à l'oreille. Lui faire des bisous. Et chuchoter des trucs.
Quelquefois je frotte ma bite sur sa joue. Tout en écrivant sur le clavier, sans quitter l'écran des yeux, elle suçote un peu.
Je glisse ma main dans son sweat pour caresser la pointe de ses tous petits seins minuscules. Et je fais durcir ses tétons.
L'après-midi qui passe ainsi. Dehors, la pluie n'a pas cessé. Il faut travailler avec la lumière artificielle. Du bruit. 18 h20.
Estelle arrive. Elle se précipite. Les filles se sont vues ce matin en cours. Estelle s'assoit sur mes genoux. Toute contente.

Ses bras autour de mon cou, elle nous raconte son après-midi au bureau de l'entreprise familiale. C'est très intéressant.
Je lui rappelle que ses parents sont invités à manger ici dimanche à midi. < Ils se réjouissent ! > s'écrie Estelle. Super.
Estelle et Clémentine sont assises devant l'ordinateur. Elles comparent l'avancée de leurs travaux. Je nettoie ma palette.
Il est 18 h45. Il y a une certaine fraîcheur qui s'est installée insidieusement durant la journée. Nous la ressentons bien.
Nous rangeons nos affaires. Estelle glisse sa main dans ma braguette pour s'écrier : < Mais c'est tout mouillé, gluant ! >

Elle s'accroupit : < Fais voir. Tu t'es branlé ou t'as peins ? > fait elle en sortant le Zob. < Put-Hein ! Trempé ! > dit elle.
Clémentine qui vient s'accroupir à ses côtés pour préciser : < J'ai sucé une bonne heure, mais en début d'après-midi ! >
Nous rions de bon cœur. Je force les filles à se relever en les tenant toutes les deux fermement par les cheveux. Frais.
Je les entraîne au salon. Clémentine allume les deux radiateurs. Nous filons à la cuisine. Elle y allume les deux autres.
Nous nous mettons à la préparation du repas. Estelle travaille la pâte à pain. Clémentine s'occupe de la salade. Laitue.

Je réchauffe la Béchamel contenant le poireau. Je râpe du gruyère de Comté en quantité industrielle. Tout va très vite.
La Flamiche Picarde est au four. La table est mise. Estelle, les mains enfarinées, m'enduit la bite de pâte. C'est drôle.
Je la saisis par la nuque pour l'entraîner au salon. Clémentine nous précède et sans cesser de regarder ce que je fais.
Je dis : < Estelle, j'ai envie d'avoir un comportement de dépravé avec toi ce soir ! >. < Enfin ! > s'écrie t-elle en riant.
Je la fais s'assoir sur la chaise devant le bureau. Le dossier entre ses jambes écartées. Ses bras sur l'accoudoir. Bien.

Clémentine a glissé sa main droite dans son jeans qu'elle a déboutonné. Un de ses spectacles préférés qui commence.
Je passe ma bite gluante sur le visage d'Estelle. Les yeux fermés, gémissant d'aise, elle m'en présente tous les angles.
Je glisse longuement sur les lèvres de sa bouche. Chaque fois qu'elle l'ouvre pour tenter de la gober, j'esquive. Super.
Clémentine s'est mise à genoux sur l'épais coussin, tout en se masturbant, son visage près de la queue, elle observe.
J'enfonce doucement ma bite dans la bouche d'Estelle qui lâche un râle profond et grave. Tellement contente. Parfait.

Parfois, je la retire de sa bouche. Elle pousse un petit cri et me regarde l'enfoncer dans la bouche de Clémentine ravie.
C'est un concerto stéréophonique de gémissements en fellation majeure dont je maintiens le tempo modérato. Super.
La sonnerie du four. Même si nous sommes morts de faim, qu'il est 19 h45, il est difficile de cesser nos petits jeux. Dur.
Je saisis les coquines par leurs cheveux pour les forcer à se redresser. Je les entraîne ainsi à la cuisine. Elles gloussent.
De marcher, penchée en avant, maintenues fermement, n'est pas simple pour passer dans l'encadrement d'une porte.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine expose son profond désir de vivre des trucs vicelards.
Estelle confie qu'il en va de même dans sa psyché, pour sa libido. < J'aime tes initiatives, Julien, j'adore ! > fait elle.
Elle rajoute : < Tu n'en as pas assez ces derniers temps ! >. Nous en rions de bon cœur. Je me lève pour agiter le zob.
Je viens me mettre à gauche d'Estelle qui reste méfiante et protège son assiette. Elle a peur que j'y pisse. Vrai salaud.
Je le lui faisais souvent il y a deux ans, au début de notre relation sulfureuse. Je lui en ai gâché des Tartes, des pizzas.

Estelle mâche, vide sa bouche et me suce. Cela ne dure qu'une dizaine de seconde. Je retourne m'assoir. Nous rions.
J'adore son regard où se mêlent la réprobation, l'excitation, le désir et une certaine confusion. Clémentine veut aussi.
C'est donc vers elle que je viens une fois sur deux. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles causent.
Elles évoquent quelques unes de nos soirées vicelardes. Estelle aimerait bien faire l'actrice pour un prochain film. Rire.
Elle a une idée saugrenue. Se faire filmer en mangeant et en suçant. C'est tout à fait réalisable. C'est à étudier. Bien.

Je lui dis : < Et te faire filmer en taillant une pipe à Mr Gérard, par exemple ? Avec son accord bien évidemment ! >
Estelle reste silencieuse. Elle avale de travers. Elle répond : < J'y ai pensé. Tu serais d'accord ? >. Je confirme. Sûr.
Clémentine rajoute : < Il faudrait quand même demander son avis au principal intéressé ! >. Nous rions de bon cœur.
< Je me charge de le lui demander ! > lance Estelle. Clémentine rajoute : < Et puis Juliette va nous arranger ça ! >
Nous partons dans des délires en imaginant toutes les déclinaisons possibles. Le trou dans le mur reste la préférence.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine nous entraîne au salon. < On remet les couverts ? > nous dit elle.
Estelle s'installe sur la chaise. Clémentine retire son jeans et sa culotte. Elle s'assoit sur le tabouret bas. C'est parfait.
Elles ont toutes les deux le visage à hauteur de ma queue. Je leur offre la bite. Une minute chacune, montre en main.
Nous bavardons. Tout en me faisant sucer, j'émets des possibilités. Estelle propose des trucs insensés. Et intéressants.
Nous passons en revues toutes les possibilités. Les filles ont le désir de monter la barre très haut. D'êtres "choquées".

Nous mangeons chez Juliette demain soir. Nous connaissons déjà le sujet de la discussion. Proposer un film avec Gérard.
Je passe ma queue d'une bouche à l'autre. Elles me sucent comme si leur vie en dépendait. Elles se masturbent. Super.
Estelle connaît un orgasme fou. Je lui éjacule au fond de la bouche. Je la maintiens par les cheveux. Le "Face Fucking".
Elle en a des larmes qui s'écoulent sur ses joues. Je la lâche enfin : < Comme t'es salaud ! > s'écrie t-elle, déglutissant.
Il est 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à son auto. La séparation difficile. Au lit, je fais jouir Clémentine. Cunnilingus.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent êtres "prises en main", à sucer, à pomper, à préparer des "plans"...

Julien - (Qui écoute les dernières propositions de Clémentine. Se faire filmer à sucer un parfait inconnu) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 944 -



Mercredi soir chez Juliette, au haras

Hier matin, mercredi, nous sommes réveillés par le Concerto de Aranjuez. C'est assez cruel. C'est même lancinant. Dur.
< Et Merdre ! > s'écrie Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Quelques bises. Nous nous précipitons aux toilettes avant de descendre à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Morts de faim.
Il est 6 h. Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. C'est sympa.
Nous remontons pour nous offrir notre heure de gym. La douche. Je descends pour aller sortir la voiture de Clémentine.

Il est presque 7 h45. Elle est vêtue de son jeans, T-shirt sous sa veste de cuir et ses bottines. Il fait étrangement doux.
Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit et la vaisselle. Bien.
Je vais dans l'atelier. Il est 8 h15. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Super.
Je peins dans un enthousiasme délirant. Cette huitième œuvre de commande sera terminée vendredi pour midi. Parfait.
Comme toujours, lorsque je suis absorbé dans la tâche, je ne vois ni le temps, ni les heures passer. Il est très vite midi.

Je vais à la cuisine. La tarte aux noix que j'ai sorti du congélateur ce matin a décongelé. Ce sera le dessert pour ce soir.
Je fais gonfler le riz complet. Je fais rissoler des crevettes à la poêle. De l'ail, de l'oignon. Je rajoute de la crème fraîche.
Une bonne salade de tomates agrémente ce frugal repas. Je tente bien d'écouter les informations. Mais j'éteins la radio.
La vaisselle. Je range la cuisine. Il est 13 h lorsque je suis à nouveau assis devant mon chevalet. Seconde séance. Bien.
Il est 16 h30. Clémentine rentre. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Bises.

Elle évoque le menu du restaurant universitaire. Ses cours. Les profs. J'aime l'écouter parler. C'est toujours intéressant.
Clémentine a encore du travail. Assise devant l'ordinateur, elle met au propre les notes de la journée. C'est passionnant.
Nous travaillons encore ainsi jusqu'aux environs de 18 h45. Clémentine s'écrie : < Terminé ! >. Elle vient me rejoindre.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Elle m'entraîne à l'étage. Nous nous changeons. Il fait doux. C'est très agréable.
Nous nous changeons. Clémentine porte une de ses jupes kilt, un chemisier clair sous sa veste. Souliers à légers talons.

Sur sa demande, je suis en jeans, chemise blanche, veste noire légère et mes mocassins. Nous voilà devant le miroir.
< Regarde comme on beaux tous les deux ! > me fait Clémentine serrée contre moi, sa tête contre mon épaule. Bien.
Elle s'accroupit. Sa tête contre ma jambe qu'elle enserre de ses bras, les cuisses largement écartées, elle m'observe.
< Je vous aime, "Maître" ! > chuchote t-elle. Je pose ma main sur sa tête pour dire : < Je vous aime ma "Soumise" ! >
Elle frotte son visage contre ma braguette. Je sors ma bite pour la passer sur ses lèvres, ses joues, le nez, le front.

Je la laisse sucer un peu avant de la saisir par sa natte comme par une laisse. Je la force à se redresser. Je la tire fort.
Je l'entraîne ainsi pour descendre lentement les escaliers. Elle marche courbée en avant. Nous sommes très prudents.
< J'aime quand vous avez ces attitudes, mon "Maître". Je vous en prie, ne cessez pas ce soir ! > murmure Clémentine.
Je sais qu'elle est sérieuse. Je ne suis pas un vrai "Maître" au fond de moi. C'est dur de le jouer avec la fille que j'aime.
Il est 19 h15. Nous voilà en voiture. Je roule doucement. D'une main je tiens Clémentine par sa natte. Et elle me suce.

J'appui sur sa nuque pour bien lui enfoncer la bite. Je l'entends gémir. Pousser de petits râles de contentement. Joie.
Trois petits kilomètres. Je gare la voiture dans la cour du haras. Il n'y a plus personne. La nuit remplace le crépuscule.
Je force Clémentine à sucer encore un peu. Kim Son, le palefrenier traverse la cour en poussant une brouette. Super.
Il me fait signe de la main mais sans s'arrêter. Je force Clémentine à se redresser afin qu'elle salue le jeune homme.
Il a probablement compris. Je la fais sucer encore un peu. Voilà Evelyne, la palefrenière sur l'engin élévateur. Du foin.

Cette fois j'ouvre la porte. La jeune fille voit le spectacle. Je lui fais un signe de ma main libre. Elle me fait un sourire.
Je lève le pouce de la main droite en signe de satisfaction. Evelyne fait de même sans s'arrêter. Je bande hyper fort.
Je force Clémentine à cesser. Je ne lâche pas sa natte. Je la force à sortir du côté conducteur. Je la tiens fermement.
Je l'entraîne vers les anciennes écuries. Je la maintiens par sa natte. Il y a Kim Son. Il donne à manger aux chevaux.
Je fais : < Dis bonjour au garçon ! >. Clémentine, tenue par sa natte, lui tend la main. Kim Son a son sourire amusé.

Je passe ma main sous la jupe de Clémentine pour la palper vulgairement. Elle frissonne de tout son corps. Spasme.
Evelyne vient nous rejoindre. Elle porte ses lunettes. Ses longs cheveux auburn sont attachés. Elle nous tend la main.
Elle me fixe avec un curieux regard en observant le mouvement de ma main sous la jupe de Clémentine qui est gênée.
Juliette arrive. Elle donne encore quelques consignes à ses deux employés avant de nous inviter à la suivre. C'est bien.
Juliette porte sa tenue d'écuyère. Ses longs cheveux noirs qui pendent dans son dos, sur sa veste cintrée. Super belle.

Je n'ai pas lâché Clémentine que je maintiens toujours fermement par sa natte. Comme je le ferai d'une laisse. Parfait.
Nous récupérons le Tupperware contenant la tarte aux noix dans la voiture. Je lâche enfin Clémentine qui reste serrée.
Elle s'empare du Tupperware. Nous suivons Juliette. Nous montons les escaliers jusqu'à son appartement. Il est 19 h50.
Juliette nous invite à prendre place. Je propose de l'aider à faire le service. J'insiste. Je l'accompagne à la cuisine. Bien.
Elle se penche pour regarder par la vitre du four. Un feuilleté de saumon. Je glisse ma main entre ses cuisses. Surprise.

Elle a ce réflexe typiquement féminin. Un spasme qui la fait sursauter. Elle se laisse faire. Les mains occupées. Super.
Clémentine est dans l'encadrement de la porte. Nous sommes tous les trois considérablement excités. La coïncidence.
J'aide Juliette à apporter les plats au salon. La table est mise. Je sors ma bite avant de m'assoir. Elle dégouline de jus.
Je vais encore m'en mettre tout autour de la braguette. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. C'est bien.
Juliette nous raconte le quotidien du haras. Les derniers chevaux arrivent cette semaine. Il y aura là 85 bêtes. Rempli.

Clémentine me fait du pied sous la table. Je me lève pour agiter ma bite en direction de Juliette. Elle regarde, sévère.
Clémentine évoque notre projet. Tourner un petit film totalement privé au haras. Estelle et Clémentine suçant Gérard.
Juliette, d'abord silencieuse, nous observe tous les deux. < J'ai toujours refusé qu'on filme ici ! > dit elle. Un silence.
Elle rajoute : < J'ai déjà été sollicitée par une grosse boîte de production ! J'ai toujours dit non ! Ici, c'est le boulot ! >
Nous n'insistons pas. < Mais là, si c'est pour vous, je vais faire une exception ! > fait soudain Juliette. C'est superbe.

Nous lui expliquons très exactement le projet. Caméra fixée sur le trépieds. Filmant en "automatique". Dans le box.
Braquée sur le trou dans la cloison. Estelle et Clémentine se partageant la bite qui dépasse de l'orifice. Une fellation.
< Très "tendance" ! > fait Juliette qui nous écoute avec un sourire amusé avant de rajouter : < Je participe ou pas ? >
Il n'est bien évidemment pas question pour Juliette de se faire filmer. Par contre, elle veut bien s'occuper de la caméra.
Nous trouvons la proposition géniale. Juliette précise encore : < J'impose une contrainte. Et ce sera une surprise ! >

Je me lève. Je me masturbe. Clémentine et Juliette m'observent silencieuses. Juliette a son regard sévère habituel. Jeu.
Je lui dis : < Samedi soir, je passe mon temps à ça pendant que vous filmez, Juliette, je vous tiens compagnie ! >. Rire.
Nous fixons les dernières modalités. Estelle Clémentine et moi, nous serons là pour 19 h45. Il n'y a rien à prévoir. Bien.
Nous réaliserons ce projet dans le box. Celui à côté du local bureau. Il y a le trou dans la cloison d'un diamètre de 6 cm.
< Je prépare tout de même quelques couvertures matelassées au sol ! On ne sait jamais ! > fait encore Juliette. Parfait.

Ce qui se prépare pour samedi soir est une véritable réjouissance. Juliette ne dissimule pas sa joie. Un peu d'ambiance.
Juliette précise : < Ce sera un samedi soir où je ne me ferai pas sauter par Pierre. Il va être tristounet le baiseur fou ! >
Nous en rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Mais pourquoi vous priver ? La caméra filme toute seule ! >
< J'aime mâter. Je veux me rincer l'œil ! Je ne peux pas baiser en même temps. Deux plaisirs différents ! > nous dit elle.
Le repas terminé. Nous insistons pour faire la vaisselle tous les trois. C'est plus convivial et cela permet de bien rigoler.

Nous nous promettons de mettre la barre très haut samedi soir. De nous offrir une soirée inoubliable et exceptionnelle.
Je touche vulgairement Juliette entre les cuisses. Ce soir, elle semble particulièrement apprécier. Et elle se cambre bien.
Les pieds écartés, genoux fléchis, appuyée contre la table derrière elle, tenant le torchon vaisselle, elle se fait toucher.
J'en profite. Juliette n'est pas toujours si dévoyée. Clémentine me masturbe, debout derrière moi. Juliette qui me fixe.
Je dis : < Je n'ai pas l'autorisation, Clémentine ne veut pas, mais si je pouvais baiser avec vous, adorable salope ! >

Clémentine retire ma main de l'entrejambe de Juliette, se serre contre moi pour répondre : < Ça reste un fantasme ! >
< Dommage ! > répond Juliette. Nous éclatons de rire. Il est déjà 22 h. Tout est réglé pour samedi. Quelques détails.
< Il me faut tout de même en causer à Gérard ! > fait encore Juliette. Nous en rigolons comme des bossus. Si drôle.
Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Il fait presque doux. C'est le silence absolu. Nous nous saluons. 22 h15.
Dans la voiture, je force Clémentine à bouffer de la bite avec une vulgarité qui la fait gémir de plaisir. Elle aime tant.

A la maison, nous nous dépêchons de monter. Nous nous lavons les dents. Clémentine félicite mes comportements.
Elle me supplie d'avoir cette attitude le plus souvent possible. Cela lui manque. Je lui promets de me comporter ainsi.
Au lit. Je lui broute la chatte. Elle m'attire sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Même si elle est trempée.
Immobiles, comme nous aimons, Clémentine me confie son impatience d'être samedi. Je l'encourage à se dépasser.
Je lui offre un cunnilingus qui la fait hurler. Son orgasme est cataclysmique. Je propose de remettre la pipe à demain.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se réjouissent de ces nouvelles aventures passionnantes qui les feront vibrer…

Julien - (Qui écoute les dernières confidences de Clémentine, serrée dans ses bras et qui s'endort doucement) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 945 -



Estelle veut comparer

Hier matin, jeudi, c'est la Symphonie Pastorale de Beethoven qui nous tire de nos sommeils. Avec une certaine cruauté.
< Ah non! ! > s'écrie Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté et sur ma table de nuit.
Il est 5 h55. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim nous descendons jusqu'à la cuisine.
Nous préparons notre petit déjeuner en évoquant notre soirée, hier, chez Juliette. Nous mangeons de bon appétit. Bien.
Nous remontons pour nous offrir notre heure de gym. Abdos, jogging sur tapis roulants, charges additionnelles. Douche.

Je descends le premier. Il pleut. Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous son parapluie. Il fait plutôt doux.
Clémentine est vêtue de son jeans, un sweat sous sa veste de cuir noir, ses bottines. Un dernier bisou. Il est déjà 7 h45.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour me mettre au sec.
Je fais notre lit, notre vaisselle avant d'aller dans l'atelier. Il est 8 h15 lorsque je suis assis devant mon chevalet. Superbe.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je peins dans une euphorie qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Bien.

Je suis obligé de travailler sous la lumière artificielle. La lampe à halogène. Il est 10 h. La musique de mon smartphone.
Je le saisis. C'est Juliette. Après les civilités d'usage, elle en vient rapidement à nos sujets de prédilection. Le cul. Rires.
Juliette me remercie pour la soirée de hier. Et pour elle aussi les mercredis soirs sont devenus autant d'agréables rituels.
Nous évoquons notre projet. Il est devenu commun. Réaliser un petit film très cochon. Ce sera samedi soir. Aux écuries.
J'écoute beaucoup plus que je ne parle. Juliette est captivante. Autant par la parole que par sa présence féline. Si sexy.

Nous bavardons en mode "haut parleur" une bonne vingtaine de minutes. Ce qui nous permet de bosser en même temps.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Nous nous reverrons samedi soir. Nous serons là pour 20 h. Avec notre matériel.
Je peins avec une érection "glorieuse". J'adore peindre en bandant dur. Car c'est une source d'inspiration supplémentaire.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je lave les feuilles d'une très belle salade.
Il y en aura pour midi et pour ce soir. Je prépare une pâte à pain. Je concocte la garniture. Tomates, ail, oignon et persil.

Ce sera pour les pizzas de ce soir. Autre rituel du jeudi. Je récupère de la garniture en accompagnement des coquillettes.
Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les informations. C'est au-dessus de mes forces. J'éteins la radio. Silence.
La vaisselle. Dehors il pleut toujours. Je range la cuisine. La pâte repose sous un linge. La sauce sous un couvercle. Bien.
Il est 13 h lorsque je suis à nouveau assis devant mon chevalet. Encore plus euphorique que ce matin. Joie exubérante.
Il est 16 h30 lorsque Clémentine entre à toute vitesse dans l'atelier. < Je t'aime ! Tu m'as manqué ! > s'écrie t-elle. Joie.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Les menus du restaurant universitaire.
Les cours, les profs. Elle me confie s'être masturbée à l'aller ce matin et au retour ce soir et en conduisant prudemment.
Nous en rions de bon cœur. J'ouvre sa braguette pour glisser ma main dans sa culotte. Effectivement, c'est bien humide.
Nous avons encore tous deux du travail, il faut donc surmonter nos envies de gaudriole. Ce n'est que partie remise. Rire.
Clémentine est assise devant l'ordinateur à mettre ses notes du jour au propre. Je raconte la conversation avec Juliette.

Il est 18 h15. Voilà Estelle qui arrive à son tour. Les filles se voient en cours et mangent ensemble à midi. C'est parfait.
Estelle se précipite. Assise sur mes genoux, ses bras autour du cou, elle fait : < Clémentine m'a tout raconté. Alors ? >
Je la tiens informée. Juliette a probablement vu Mr Gérard cet après-midi. Elle m'appellera sans doute demain matin.
< Non ! C'est déjà fait. On a un mail ! > s'écrie Clémentine. Nous nous levons pour la rejoindre et découvrir le courriel.
Un message qui précise que tout est réglé. Mr Gérard est parfaitement d'accord. Tant qu'il n'est pas indentifiable. Film.

Clémentine s'empresse de répondre. Estelle reste au près d'elle pour travailler encore un peu. Je retourne à mon labeur.
Il est 19 h lorsque Clémentine fait : < Put-Hein, ras le bol aujourd'hui ! Demain, fini à midi. Ouf ! >. Les filles se lèvent.
Nous rangeons nos affaires. Morts de faim, nous filons à la cuisine. Estelle qui malaxe encore un peu la pâte onctueuse.
Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Je réchauffe la garniture et je râpe du gruyère de Comté.
Estelle, les mains enfarinées, me dit : < Sors ton Zob ! Que je te le transforme en Nem ! >. Nous en rions de bon cœur.

Je sors la bite. Estelle étale la pâte. J'y verse la garniture. Clémentine rajoute le gruyère. Estelle m'enduit la bite. Farine.
Les pizzas sont au four. La table est mise. Estelle m'entraîne par la queue au salon. Elle me fait tomber dans le canapé.
A genoux sur l'épais coussin, elle me lèche une bite enfarinée, toute molle et qui n'est pas sans évoquer un saucisson.
Clémentine est vautrée à côté de moi. Elle a glissé sa main dans sa culotte. Son jeans largement déboutonné. Super.
Elle saisit ma main gauche pour la glisser dans sa culotte. C'est mouillé. De mon autre main, je caresse la tête d'Estelle.

Tout en se faisant délicieusement caresser, Clémentine nous donne ses impressions quand à notre projet de samedi soir.
Estelle cesse souvent de pomper pour donner les siens. Cette émulation permet rapidement d'imaginer un vrai scénario.
Elles vont se partager la bite à Gérard. Toutes les deux installées, assises ou à genoux devant ce trou dans la cloison.
Nous restons ainsi à bavarder. J'écoute les filles développer les idées parfois les plus saugrenues. C'est instructif. Super.
Clémentine portera son loup noir à dentelles. Elle ne désire pas être identifiable dans le film. Estelle qui s'en contrefout.

De toutes manières c'est un film totalement privé que personne ne verra jamais. Une autre propriété d'Estelle. Collection.
< C'est mon sixième film ! > lance Estelle entre deux pompages de queue bien propre, lisse, humide et sans farine. Rire.
La sonnerie du four. Morts de faim nous cessons nos cochonneries pour nous précipiter à la cuisine. Les pizzas si belles.
Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous raconte la baise avec son parrain, hier soir, au fond du garage. C'est rigolo.
Le matelas gonflable qui crisse sous les fesses d'Estelle malgré le drap posé dessus. Parrain qui baise comme un salaud.

< Il cherche à me rouler des pelles. J'ai pas toujours envie. J'étouffe avec sa bouche sur la mienne ! > raconte Estelle.
Ce type sait se retenir souvent pendant les deux heures que ça dure. Couché sur la fille qu'il baise comme un salopard.
< Il ne parle pas. Il est parfois tout rouge et en sueur. Il se fait des films en me baisant. Il me les raconte ! > fait elle.
Estelle nous confie que son parrain ne pense qu'à ça. Elle me demande : < Je peux comparer avec toi tout à l'heure ? >
Clémentine répond : < Tu deviens une vraie baiseuse, dis donc ! >. Estelle dit : < Non, et c'est juste pour comparer ! >

Elle se lève pour mimer une masturbation masculine avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. En insistant bien.
< Julien se fera un plaisir de se prêter à cette comparaison, n'est-ce pas ? > fait Estelle en contournant la table. Rires.
Elle se penche pour me tenir la queue d'une poigne de fer. Clémentine dit : < Mais tu ne t'emmerdes plus. Mon mec ! >
Nous rigolons comme des bossus. Je me lève pour venir frotter ma bite sur le visage d'Estelle qui continue de manger.
Nous traînons à table. Les filles se réjouissent pour les saloperies qui nous attendent samedi soir, au haras. Mr Gérard.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle m'entraîne par la queue jusqu'au salon. Clémentine me tient les couilles.
Estelle me pousse dans le canapé. Elle retire son jeans et sa culotte. < Il y a à bouffer si tu veux ! > fait elle. Superbe.
Elle se couche sur l'épais tapis. Clémentine retire son jeans et sa culotte. Elle se prépare à assister à son show préféré.
Estelle, couchée sur le dos, avec juste sa chemise à carreaux et ses chaussettes, m'invite à venir d'un geste de l'index.
Je retire mon jeans et mon slip. Je rejoins Estelle. Clémentine vient se coucher à côté de nous en se masturbant déjà.

Je me bouffe la chatte d'Estelle. Il y a de quoi. Elle est considérablement excitée. Depuis quelques mois, ça dégouline.
Je passe à la chatte de Clémentine. C'est le plus indicible dessert. Passer d'une fille à l'autre pour goûter les jus. Miam.
Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Même trempée, elle reste si étroite. Je suis prudent.
Comme toujours, d'un coup de reins, elle s'enfile toute la bite dans un petit cri. Elle se met à bouger à toute vitesse.
< Vas- y ! > me chuchote t-elle. Je fais la "machine à coudre". < Parrain va parfois plus vite ! > me fait elle en criant.

Clémentine me choppe les couilles par derrière. D'une poigne de fer elle me les tient tout en se masturbant à genoux.
Estelle, ses bras autour de mon cou, reste suspendue à moi. Elle fourre sa langue dans ma bouche pour m'embrasser.
Elle me murmure ses impressions, comparant certaines séquence avec parrain. < Sa bite est plus petite ! > fait elle.
Elle rajoute : < C'est marrant ! Les mecs qui ont des petites bites, ont-ils tous de grosses couilles ? >. Eclats de rires.
< On ne verra pas celles de Gérard samedi soir puisqu'il n'y aura que sa bite à dépasser du trou ! > fait Clémentine.

A présent, Estelle s'est posée au sol. D'une main elle me caresse la nuque. De l'autre elle se masturbe. En sueur. Bien.
Je peux enfin cesser de me secouer dans la fille. Elle ne vas tarder à jouir. < J'ose pas le faire avec parrain ! > dit elle.
Clémentine n'est pas loin de la jouissance non plus. Elle demande : < Mais tu ne jouis pas avec parrain ? > Un silence.
Estelle répond : < Non, je me garde pour dans ma chambre, toute seule. C'est délirant ! Mais lui, il s'en paie deux ! >
Estelle nous raconte. Son parrain qui lui jute au fond de la chatte. Elle se torche avec du sopalin pour tout bien essorer.

Toutes ces confidences, que je connais déjà pour les avoir entendu souvent, m'impressionnent toujours. C'est amusant.
Estelle rajoute : < Ce salaud m'a déjà baisé une bonne cinquantaine de fois. Depuis l'adolescence. J'adorais déjà ça ! >
< Il m'a baisé dans le jardin, dans son lit, dans son salon, dans ses chiottes et même une fois dans la cave ! > fait elle.
Nous en rions de bon cœur. Estelle se masturbe plus vite. Soudain, dans un cri, elle se cambre là, pour jouir en hurlant.
Clémentine se précipite aux toilettes en pissant déjà pour aller se terminer au dessus de la cuvette comme d'habitude.

Nous la rejoignons pour assister à ce spectacle. Il y a de la pisse partout. De la mouille lui dégouline de la chatte. Fou.
Je suis à genoux sur le carrelage pour récupérer tout ce que je peux en pompant, en suçant. Pendant qu'Estelle suce.
Nous en sommes arrivés à un tel point, tous les trois, que tout cela se passe dans une osmose pleine d'automatismes.
C'est comme si chaque geste était répété. Nous reprenons nos esprits. Estelle pompe. Clémentine passe la serpillère.
Il est 22 h15. La séparation avec Estelle est cruelle. Assise dans sa voiture, vitre baissée, je lui éjacule dans la bouche.

Bonne soirée à toutes les coquines qui s'enivrent de vice, de turpitudes, de stupre et de luxure en pensant à samedi…

Julien - ( Qui écoute les dernières confidences de Clémentine, serrée contre lui, impatiente d'être samedi soir. Dodo) -

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Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 946 -



Le début d'un Week-end très attendu

Hier matin, vendredi, c'est "Le cœur des esclaves" de Verdi qui nous tire de façon lancinante de nos profonds sommeils.
< Nabucco ! > s'écrie Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Il est 5 h55. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Joie.
Aujourd'hui, c'est vendredi. Clémentine termine à midi et c'est le début du Week-end. Dehors il pleut mais il fait doux.
Nous préparons notre petit déjeuner dans une certaine euphorie. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants. Abdos. Charges additionnelles.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Elle me rejoint sous son parapluie. Toute contente.
Elle est vêtue comme tous les jours d'automne. Son jeans, un sweat sous sa veste en cuir et ses bottines. C'est super.
Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais la vaisselle et je fais le lit.
Je me rends dans l'atelier. Déjà 8 h15 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet à préparer ma palette.

Je peins dans la sérénité du vainqueur. Je termine cette huitième œuvre de commande ce matin. C'est le timing parfait.
Comme toujours, lorsque je me livre à ma passion dévorante, qui est aussi accessoirement mon job, tout passe si vite.
Il est rapidement 11 h45. Je dépose la dernière touche de rouge de cadmium de la pointe de mon plus fin pinceau. Bien.
Je dépose la toile sur le second chevalet afin qu'elle y sèche. Je dépose la neuvième toile dont le dessin est déjà réalisé.
Je vais à la cuisine. J'épluche les patates que je coupe en fines lamelles avant de les faire revenir dans le wok. Avec l'ail.

Je pane deux filets de cabillaud que je fais revenir à la poêle. 12 h20. Clémentine arrive pour me sauter dans les bras.
Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Elle prépare la salade de carottes et son assaisonnement. Table mise.
Tout est rapide. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Et son cours de math interminable.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque son impatience.
Son désir de vivre un Week-end intense. Nous partons lundi en fin de matinée avec le train pour Paris. Réjouissances.

Ce soir, nous allons manger au restaurant de l'Etang. Nous y verrons Julie. Demain soir nous réalisons le film au haras.
Dimanche à midi, ce sont les parents d'Estelle qui viennent manger à la maison. De quoi se réjouir. Il y aura de la joie.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Tout en riant.
Clémentine, de la mousse dentifrice aux coins des lèvres, mime une fellation lascive avec sa brosse à dents. Gloussant.
Je lui demande : < C'est qui aujourd'hui ? >. Elle répond : < Gérard ! >. Nous en rigolons comme des bossus. Super.

Nous descendons dans l'atelier. Il est judicieux de mettre à profit cette météo merdique pour avancer dans nos travaux.
Clémentine glisse sa main dans ma braguette en chuchotant : < Demain soir ! >. Elle m'embrasse avec fougue. Douce.
Elle me fait tomber dans le canapé, se met à genoux entre mes jambes, sur le coussin pour sortir ma bite toute molle.
Je la regarde humer longuement tout en évoquant le film que nous allons réaliser demain soir. Et le début des vacances.
Clémentine me décalotte légèrement. Immédiatement l'odeur nous monte aux narines. < J'adore ça ! > murmure t-elle.

Elle me tète délicatement. J'adore voir le bout de sa langue qui fouille entre la peau de mon prépuce et le gland dégueu.
Cette légère bosse qui fait penser à un petit animal qui se déplace. Clémentine qui me nettoie soigneusement le fromage.
Elle ne manque pas de me montrer l'intérieur de sa bouche. Les filaments de "fondue savoyarde", les granules de frome.
Je lui caresse la tête. Je lui chuchote : < Je me réjouie autant que toi pour demain soir. Tu vas te surpasser ? >. Silence.
Clémentine cesse de suçoter pour murmurer : < Je vais aller au-delà du raisonnable ! >. Nous rions de bon cœur. Bien.

Elle cesse pour me fixer, disant : < Tu ne baises pas avec Juliette, hein, c'est promis ! >. Elle exprime sa vieille crainte.
Je la rassure en précisant : < J'aurai bien mieux à faire. Je vais te dévorer des yeux. Je vais t'oberver sucer Gérard ! >
< Mmhh ! > fait elle, se mettant à sucer avec avidité. Je la laisse sucer un petit moment. Je propose de bosser un peu.
Nous voilà tous deux à nos postes de travail. Clémentine assise devant l'ordinateur à mettre ses notes au propre. Bien.
Je commence la peinture de ma neuvième toile de commande. Un paysage champêtre d'après de vieilles photos sépias.

Parfois, l'un se lève pour aller faire des bisous à l'autre. Voir ce qu'il fait. Lui chuchoter des douceurs, des cochonneries.
Il est rapidement 18 h. Clémentine est à jour de ces cours. Elle peut s'offrir deux semaines de vacances bien méritées.
Moi, je suis tout à fait dans les temps. Je pourrai expédier mes dix toiles à leurs commanditaires et dès la fin novembre.
Nous rangeons nos affaires. Nous montons pour nous préparer. Clémentine met une de ses jupes kilt à carreaux rouges.
Un fin pull de coton bleu nuit. Ses souliers de ville à légers talons. Sa veste blazer noire. Ses cheveux sur ses épaules.

Sur sa demande, je porte un jeans, une chemise blanche sous une veste noire, mes mocassins noirs. Une étole de soie.
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > me fait Clémentine en m'entraînant devant le miroir. En se blottissant.
Je la trouve merveilleusement belle et attractive. Je lui avoue ne pas pouvoir m'habituer à son charme fou. Magnifique.
Les traits fins de son visage sur lesquels se lisent les plus intimes émotions. Je fond. Elle s'accroupit. Tête sur la jambe.
Elle écarte ses cuisses, m'enserre la jambe de ses bras pour dire : < Je vous aime mon "Maître". Je suis folle de vous ! >

Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime, ma "Soumise". Je suis fou de vous. Vous m'émerveillez ! >
Clémentine frotte son visage contre ma braguette. Je sors ma queue pour la passer sur ses lèvres, ses joues et son nez.
Je la laisse sucer à nouveau quelques instants avant de la forcer à se redresser. Je lui masse un peu les genoux. Fourmis.
Nous descendons. Dehors il pleut. Il n'est que 18 h30 et il fait déjà presque nuit. L'horreur absolue. Début des vacances.
A l'abri sous notre immense parapluie, nous nous précipitons au garage. Il fait extraordinairement doux. C'est étonnant.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite qu'elle suce parfois. J'appuie sur sa nuque. Pour l'enfoncer au fond.
Je l'entends glousser de plaisir. Lorsqu'elle se redresse, elle a ces mots : < Offrez moi des vacances de "Soumises" ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Mettez moi le collier et la laisse pour que je ne me perde pas à Paris ! >
Je promets de faire de mon mieux. Même si je n'ai pas l'âme d'un "Maître", je l'interprète plutôt bien. Et avec scrupules.
Douze petits kilomètres et nous arrivons au restaurant de l'étang. Je gare la voiture sur le parking. Quelques bagnoles.

Julie vient nous accueillir. Nous lui faisons une surprise. Il y a plein de tables libres. La serveuse nous invite à la suivre.
C'est notre table habituelle. Julie est tellement contente. Il n'y a pas trop de clients. Elle peut bavarder un peu. Parfait.
Derrière son comptoir, la tante nous fait un signe amical de la main avant de venir nous saluer. Nous bavardons un peu.
Depuis plus de deux ans que nous venons manger, nous sommes devenus des clients réguliers. Des clients très soignés.
La tante à Julie est une femme élégante. Charmante. Dans la bonne quarantaine. Plutôt bourgeoise très raffinée. Polie.

Nous savourons nos plateaux de fruits de mer avec délice. Il y a deux couples à une table voisine. La trentaine. Beaux.
Clémentine vient de réussir à attirer le regard d'un des deux messieurs. Elle me raconte ce qu'elle fait sous notre table.
Le jeu de jambes. La culotte qui est restée dans la voiture. Comme je tourne le dos à ces gens, j'utilise mon téléphone.
En effet, dans le reflet noir de l'appareil, je peux tout voir comme dans un rétroviseur. Le mec mâte en discutant. Joie.
Julie vient régulièrement bavarder avec nous. Elle nous raconte son jeudi après-midi et soir en compagnie de Juliette.

Sous la table, cachée par la nappe, ma bite bien dure avec laquelle je joue discrètement. Julie s'en est rendue compte.
Elle me fait un clin d'œil. Je lui dis : < Vous pourriez me montrer où sont vos toilettes ? >. Alors que je le sais très bien.
< Mais volontiers cher monsieur. Suivez moi ! > fait Julie. Je remballe la queue, je me lève. Nous descendons l'escalier.
Julie me précède. Nous entrons dans les WC homme. Je sors ma bite. Je bande mou. Julie me regarde avec un sourire.
< J'en ai vu deux cette semaine. La vôtre lundi soir et celle d'un vicieux mercredi soir, ici même ! > dit elle en guettant.

J'ai la queue trempée et suintante. Les multiples pipes prodiguées par Clémentine en sont la cause. Et Julie se penche.
Elle observe tout en étant attentive à chaque bruit. Elle ne peut pas rester. Elle doit remonter assurer son service. Dur.
J'agite ma bite dans sa direction en la regardant monter les escaliers. Elle monte à reculons pour continuer à bien voir.
Elle me fait un clin d'œil. Elle mime un bisou qu'elle souffle vers moi. Je remonte. Clémentine en pleine exhibe. Super.
Je lui raconte ce qui s'est passé aux chiottes. Elle me raconte l'évolution de la situation. Les regards insistants du mec.

< Je lui fais le "test des chiottes" ! Allume ton téléphone ! > fait Clémentine en se levant. Je sors ma bite sous la table.
Clémentine allume le sien. En mode caméra. Je pourrai donc suivre en temps réel ce qui va se passer. Le type se lève.
Il descend à son tour. Je branche les écouteurs. Comme toujours le son est dégueulasse. La résonnance du carrelage.
Clémentine, pieds écartés, genoux fléchis, debout devant le dernier urinoir. Le type qui entre et qui tombe sur le show.
Clémentine a posé son smartphone contre son petit sac à main sur le rebord des lavabos. Je vois l'expression du type.

Interloqué mais pas surpris. Il a compris dès le restaurant à quel genre de salope il a affaire. Il se met devant l'urinoir.
Il sort sa queue. Je ne peux pas la voir. Il se met à converser. A cause de la résonnance je ne comprend que des bribes.
Il se branle. C'est certain. Je vois le mouvement de son bras. Il se déplace. L'urinoir du milieu. Et Clémentine méfiante.
Le mec se tourne bien en face de la fille. Clémentine a laissé retomber sa jupe et s'est redressée. Un sixième sens. Sûr.
Je remballe ma bite. Je suis prêt à descendre. Julie est venue visionner. Le mec devient assez insistant. Une menace ?

Clémentine se lave les mains. Le mec s'est rapproché. Il va avoir une main baladeuse. Je descends à toute vitesse. Bon.
J'arrive à temps. Il me voit. Il a l'air d'un vrai con avec sa bite à l'air. Il toussote, s'éloigne de Clémentine pour filer. Vite.
< Put-Hein l'enfoiré ! Ce genre de salopard me dégoûte ! > fait Clémentine en se serrant dans mes bras. Nous montons.
Le mec ne regarde plus vers notre table. Il évite absolument. Il a l'air tout penaud. < Un sale type ! > fait Clémentine.
Il est 22 h. L'addition. Nous ne verrons plus Julie avant dix jours. Nous promettons de lui faire des courriels de Paris.

Julie nous raccompagne à la porte. J'ai sorti ma queue dans l'obscurité. Nous sommes sous l'auvent, à l'abri de la pluie.
Je lui dis : < Tu veux la toucher un peu ? >. La jeune fille hésite. Clémentine chante : < Serrer la main, serrer la bite ! >
Nous rigolons comme des bossus. Julie me prend soudain la queue qu'elle serre avec une force insoupçonnée. Puissant.
Juste un instant. Nous nous faisons la bise. Dans la voiture, Clémentine me dit : < Je suis sûre que la tante se doute ! >
Le sixième sens de Clémentine est infaillible. Il est 22 h45 lorsque nous arrivons. Au lit, nous baisons comme on aime.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment écarter leurs cuisses, au restaurant, sous la table, devant des inconnus…

Julien - (Qui assure son rôle de vigile, de garde rapproché afin de permettre à Clémentine de s'offrir des frissons) -

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Comme deux actrices à Hollywood

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous que l'on dépose sur mon front, mes joues, le nez.
J'ouvre les yeux. Le visage souriant et bienveillant de Clémentine illumine mon réveil d'un caractère quasi divin. Bien.
Elle me chuchote des douceurs. Je la serre contre moi. Et nous nous offrons quelques instants d'une tendresse inouïe.
Hélas, cette forte envie de pisser met rapidement un terme à nos effusions de tendresse. Nous courons aux chiottes.
Il est 7 h30. Nous dévalons l'escalier pour nous rendre à la cuisine. Morts de faim, nous préparons le petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit. C'est le premier jour des vacances. Il règne donc une certaine euphorie. C'est fameux.
Clémentine me confie son immense plaisir à l'idée de ce qui nous attend ce Week-end et cette semaine à Paris. Super.
Nous ne traînons pas. Dehors, le jour se lève. Il pleut. C'est frustrant. Il faudra faire nos jogging sur les tapis roulants.
La vaisselle. Nous montons nous accorder notre heure d'entraînement. En courant, nous visionnons un film de l'Ecosse.
La douche. Nous nous habillons. Avec cette étonnante douceur, Clémentine peut porter des jupes sans bas ni collants.

Ce matin elle met une de ses jupes carmin en velours. Un pull de coton fin, noir, sous sa veste de cuir, cintrée, noire.
Ses souliers de ville à légers talons. Sur sa demande, je porte un jeans et une chemise blanche sous ma veste noire.
Mes mocassins noirs. Clémentine me passe l'étole de soie autour du cou et m'entraîne devant le miroir de l'armoire.
< Regarde comme on est beaux tous les deux. Je t'aime mais je suis aussi amoureuse. Prends garde ! > me fait elle.
Elle s'accroupit. Ses cuisses largement écartées. Sa tête posée contre ma jambe qu'elle enserre de ses bras. Délicate.

< Soyez un "Maître" intraitable durant ces vacances ! > me dit elle. Je pose ma main sur sa tête. Nous nous observons.
Je fais : < Vous êtes si délicieuse que je ferai de vous la plus comblée des "Soumises" ! >. Clémentine se frotte. Douce.
Son visage contre ma braguette. Je sors ma queue pour la passer sur ses lèvres. Elle la gobe en gémissant de bonheur.
Je la laisse sucer un peu avant de la saisir fermement par ses cheveux pour la forcer à se redresser. Elle se blottit fort.
Nous descendons en riant de nos rôles du "Maître" et de sa "Soumise". Cela nous amuse toujours tant. Un vrai plaisir.

Il faut s'abriter sous l'immense parapluie pour traverser le jardin. Nous voilà en route. Je roule avec extrême prudence.
Clémentine joue avec ma queue. Trois petits kilomètres et nous arrivons au bourg voisin. Je gare l'auto sur le parking.
C'est jour de marché. Et malgré la pluie, il y a du monde. Je porte les cabas. Clémentine nous abrite sous le parapluie.
Nous faisons provision de Yaourts, de nos fromages, d'œufs, de beurre et de crème fraîche chez notre artisan fromager.
Nous faisons provision de fruits, d'agrumes, de légumes, de champignons et d'avocats chez notre agriculteur habituel.

De retour à l'auto, nous disposons les produits frais dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Et le reste à l'arrière.
En route pour la zone commerciale. Quinze petits kilomètres. Clémentine me branle en évoquant la soirée "Hollywood".
Nous en rions de bon cœur. Parfois, elle se penche pour sucer. J'appui sur sa nuque pour enfoncer toute la queue dure.
Elle en glousse de plaisir en toussotant. Je me comporte selon ses désirs, en "Maître". Nous arrivons à l'hypermarché.
Je gare l'auto sur le parking. Je pousse le caddie. Clémentine nous abrite sous le parapluie et avec la liste des courses.

En déambulant dans l'allée des produits diététiques nous rencontrons Pauline et son compagnon, Frédéric. Salutations.
Pauline, secrétaire au haras, est toujours contente de nous voir. La jeune fille ne participe pas aux festivités sexuelles.
Elle semble même souvent ignorer ce qui s'y passe. Ou alors elle fait comme si tout ça n'existait pas. Nous bavardons.
Frédéric, son compagnon, est un jeune homme d'environ 25 ans. Plutôt mutique, il laisse sa compagne parler pour lui.
Nous continuons nos courses. Clémentine, excitée par les vacances et nos projets, n'est pas contre une petite exhibe.

Elle nous entraîne au rayon culturel. Il y a là bien trop de monde. Il serait vain de tenter un "plan" de mauvaise qualité.
Il faut se faire une raison. Clémentine, frustrée, nous entraîne aux rayons des vêtements homme. C'est très bien aussi.
Hélas, pas d'opportunité digne d'intérêt. Même aux cabines d'essayages. Un dernier petit tour aux rayons informatique.
Enfin un plan. C'est un jeune homme, la trentaine, en survêtement, baskets, casquette qui est accroupit aux clés USB.
Je reste à l'écart. Clémentine s'approche. Pousse le caddie contre les câbles. Ce qui la met à l'abri d'éventuels regards.

Debout, à environ un mètre du quidam, Clémentine ne tarde pas à attirer son attention. Surtout qu'elle s'accroupit là.
Je reste à l'écart. Une dizaine de mètres. Je regarde les ordinateurs. Le mec louche sous la jupe de la jeune fille. Joie.
Bien évidemment, Clémentine, en parfaite virtuose, offre à cette V.P., sa "Victime Potentielle", un show spectaculaire.
A la mesure de son talent inégalé pour s'exhiber dans la plus totale discrétion. Seule sa "cible" peut apprécier ce jeu.
Notre gaillard doit être le plus heureux des hommes. On le comprend. Se voir offrir ainsi un si merveilleux spectacle !

Il ne tente rien. Il n'engage pas la conversation. Il se contente d'être un heureux privilégié, parfaitement passif. Bien.
Je contourne le rayon pour pouvoir mâter Clémentine. Je suis de l'autre côté. J'ai une vue parfaite sur son sexe velu.
C'est fugace. Très adroit. Clémentine n'écarte les cuisses que lorsqu'elle saisit un boîtier ou qu'elle le remet en rayon.
C'est génial. Je bande comme un salaud. Ces jeux entretiennent nos libidos avec une température volcanique. Super.
Le jeune homme se lève le premier. Certainement des fourmis dans les jambes. Clémentine se redresse également.

Enfin, le garçon adresse la parole à Clémentine en lui montrant un boîtier. Drague adroite. Ils bavardent en observant.
Le jeune homme tourne l'objet plusieurs fois. Il semble en expliquer le fonctionnement avec des petits gestes précis.
Il ne s'attarde pas. En fait, ce jeune type n'a pas la drague classique. Il s'en va. Clémentine vient me rejoindre. Super.
Elle me raconte. En fait, il ne l'a pas dragué un seul instant. Il conseillait un modèle de disque dur externe. Etonnant.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine conclue par ces mots: < En tous cas, il a eu du spectacle quand même ! >

Nous terminons nos courses au rayon poissonnerie. Il faut être patients. Clémentine m'effleure la braguette. Discrète.
La musique imbécile de mon smartphone résonne au fond de la poche de ma veste. Clémentine l'en sort pour allumer.
C'est Estelle. J'entends converser Clémentine qui me confirme en raccrochant qu'Estelle viendra pour 14 h. C'est super.
Nous passons en caisse. Dur. Nous flânons encore un peu dans la galerie commerciale. Nous croisons le jeune homme.
Nous comprenons pourquoi il est resté un de ces voyeurs distants qu'affectionne tant Clémentine. Il est accompagné.

C'est une superbe jeune fille. Une splendide brune. Il nous voit. Il reconnaît Clémentine. Il nous fait un beau sourire.
A t-il tout raconté à sa compagne ? Certainement car elle regarde Clémentine d'un air amusé. C'est très discret. Bien.
< Ce sont probablement des membres du "Club" ! > murmure Clémentine. Nous retournons à la voiture. Le parapluie.
Nous voilà en route pour la maison. Je roule doucement. Clémentine me branle en me racontant ses ressentis. Exhibe.
Lorsqu'elle se penche sur sa gauche pour me sucer, j'appui sur sa nuque. Je la lui enfonce bien. Avec vulgarité. Super.

Il est un peu plus de midi lorsque nous sommes de retour. Nous rangeons les courses. Je fais bouillir l'eau des moules.
J'épluche les patates. Je fais bouillir les morceaux. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Laitue.
C'est un gratin de pommes de terre. Ce qui nous permet de remonter et de changer les draps du lit. De nous changer.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine propose notre programme.
Avec cette météo merdique, autant faire le ménage cet après-midi. Ainsi, demain matin, ce sera hyper cool. Superbe.

Nous pourrons consacrer la matinée au repas de midi. Les parents d'Estelle viennent manger. On va se surpasser. Joie.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. 13 h50. Estelle qui arrive. Elle nous fait la bise, me saute au cou. Je la soulève.
Elle me couvre le visage de bisous. Nous allons au salon. Nous voilà vautrés tous les trois dans le canapé à bavarder.
Estelle nous propose de nous aider au ménage. Elle aussi est toute fébrile à l'idée de ce qui nous attend ce soir. Haras.
Clémentine à ma gauche, me tient par la main. Estelle à ma droite joue avec ma queue qu'elle tord dans tous les sens.

Nous décidons de nous y mettre. Sinon, c'est le sexe. Je dis : < Gardez vous pour ce soir, les filles, c'est Hollywood ! >
Nous en rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle rajoute : < Et peut-être même nominée au Fesse Tival de Canne ! >
Clémentine monte s'occuper de la chambre. Je commence par nettoyer la cuisine. Et Estelle passe l'aspirateur partout.
Je l'entends chanter depuis le salon. C'est merveilleux. Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les sols.
Je m'apprête à monter lorsqu'Estelle qui me guettait me saute au cou. < Je t'aime Julien ! Vous allez me manquer ! >

Elle fait évidemment allusion à la semaine prochaine. Je la soulève pour la rassurer. Nous serons de retour au Week-end.
Nous montons l'escalier ainsi. Je porte Estelle comme une jeune mariée. Je la jette sur le lit comme un paquet de linge.
Je dis : < Cette jeune fille a le culot d'être tristounette à cause de notre absence de la semaine prochaine. Bougresse ! >
Clémentine fait : < Mais elle ne manque pas d'un certain culot cette salope ! >. Nous en rions de bon cœur. C'est génial.
Je vais à la salle de bain. Clémentine me rejoint. Nous entendons Estelle chanter en passant l'aspirateur. C'est l'émotion.

Je fais le bac à douche. Clémentine fait les miroirs et le lavabo. Nous bavardons en nous faisant plein de bisous. Bien.
Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes du haut. Estelle qui vient, discrète.
Je suis à genoux, les mains gantées à frotter l'intérieur de la cuvette. Comme toujours elle me palpe les couilles. Zob.
Elle est accroupit derrière moi, à se frotter et à me murmurer des cochonneries. Je tire la chasse. Je retire les gants.
Nous fuyons l'épouvantable odeur de chlore et de javel. Estelle m'embrasse. < Occupe toi bien de moi ! > me dit elle.

Je la fais monter sur mon dos. J'imite le hennissement d'un cheval et nous descendons rejoindre Clémentine à la cave.
Nous voilà à trier le linge tous les trois. Estelle viendra passer des soirées toute seule ici durant notre absence. Sympa.
< Je serai en compagnie du fantôme de Christine ! Pas d'inquiétude ! > rajoute t-elle en riant. Une machine qui tourne.
Nous traînons dans la buanderie. Les filles évoquent leurs études. Si contentes d'êtres à jour dans toutes les matières.
Il faut laver tout le linge afin qu'il sèche. Nous partons lundi en fin de matinée. Nous avons le train pour Paris à 12 h30.

Nous suspendons le linge au fur et à mesure. Nous remontons pour nous offrir la collation de 17 h. Thé, petits gâteaux.
Pour l'Ecossais que je suis, le rituel du thé de 17 h est tout aussi important que pour un Britannique. Les filles en rient.
Nous traînons. Je propose aux filles un bon léchage de minous afin de les mettre bien en forme pour ce soir. La libido.
Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Les voilà à quatre pattes, sans jeans, sans culotte à me présenter le cul.
Un régal que de commencer à nettoyer la raie des fesses. Elles se vautrent rapidement sur le canapé. Je suis à genoux.

Je passe d'une chatte à l'autre. C'est divin. Elle se masturbent toutes les deux quand je ne suce pas le clitoris. Génial.
Je récupère du jus de fille. Depuis quelques mois, Estelle secrète de la cyprine en quantité plus importante. C'est miam.
Il faut ruser. Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. Elles doivent rester hyper excitées pour le tournage du film, ce soir.
C'est limite. Surtout Estelle qui se domine difficilement lorsqu'elle dégouline autant. Je me redresse. Je dis : < Stop ! >
< Salaud ! > s'écrie Estelle qui se précipite pour sucer ma queue la première. Clémentine la rejoint. Je les laisse sucer.

Elle sont toutes les deux assises sur le bord du canapé. Je suis debout à passer de l'une à l'autre à les laisser pomper.
Il est 18 h. Je propose d'aller réchauffer le gratin de patates. Je les force à cesser. Je leurs enfonce le doigt à chacune.
C'est trempé. Ça rentre tout seul. Nous allons à la cuisine ainsi. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle de l'omelette.
Je réchauffe le gratin. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons un peu. La vaisselle. Il faut monter nous préparer.
Les filles sont vêtues comme des jumelles. Jupe kilt, chemisier blanc, veste. Je suis en jeans. 19 h45. Et il faut partir.

Soirée de tournage

Nous arrivons dans la cour du haras pour 19 h50. Il y a la voiture de Juliette, celle de Mr Gérard et celle de Mme Walter.
Que peut-elle bien faire ici ? Elle n'est pas impliquée dans notre projet. Clémentine me lâche la queue. Il pleut très fort.
Estelle me lâche les couilles. Nous sommes considérablement excités. Dans les toutes meilleures dispositions. C'est bon.
Nous sommes à l'abri sous notre immense parapluie. Il fait nuit. Il y a de la lumière dans les anciennes écuries. Juste là.
Je prends la mallette contenant la caméra numérique, les accessoires et le trépieds. Clémentine et Estelle se blottissent.

Nous traversons la cour pour entrer dans le bâtiment. Nous entendons des voix connues au fond de l'allée, dans le local.
Les chevaux nous regardent. Ils ont leurs têtes au bout de leurs cous qui dépassent des portillons ouverts de leurs box.
Nous en caressons quelques uns. Estelle se cambre, les pieds écartés, lève sa jupe et dit à l'un d'eux : < Qui veut ? >
Juste au moment où Juliette sort du local bureau. Nous éclatons de rire. < Avec les chevaux maintenant ? > dit Juliette.
Nous rigolons comme des bossus. Il n'est évidemment pas question d'aller vers de tels égarements. Très peu pour nous.

Juliette nous invite à la suivre. Nous entrons tous les quatre dans le local bureau. Il y a Mme Walter. Belle et souriante.
Heureuse de nous voir, elle se lève de la banquette. Elle nous serre la main. Elle est vêtue comme Juliette. En écuyère.
Ce qui nous interpelle c'est l'installation assez particulière. Il y a une grande plaque de contreplaqué qui monte si haut.
Mais ce qui nous surprend c'est le second trou dans la cloison qui sépare le local bureau du box voisin. Seul sans bête.
< C'est quoi ? > demande Estelle. Juliette l'invite à se pencher pour regarder en disant : < Ça, mais c'est la surprise ! >

Clémentine se serre contre moi. Nous commençons à comprendre. Juliette nous explique le pourquoi du contre-plaqué.
< Ainsi, avec cette séparation, l'intimité de chaque protagoniste est préservée ! Le reste est top "secret" ! > dit Juliette.
Estelle se redresse. Nous nous regardons. < On va installer la caméra ? > nous fait Juliette en m'entraînant par le bras.
Nous pénétrons dans le box vide. Le cheval a été déplacé provisoirement. Au sol il y a quatre couvertures matelassées.
Pas de paille. Tout est propre. Il y a un seau, une cuvette en métal ainsi que deux rouleaux de papier sopalin posés là.

Sur un tabouret il y une bouteille d'eau gazeuse, deux pommes, des gobelets. Juliette a bien préparé les accessoires.
Clémentine fixe la caméra sur son trépieds. Les deux batteries, d'une autonomie d'une heure chacune, sont vérifiées.
Estelle sort la petite boîte qui contient la carte SD 8 GB. Ce qui permet plus d'une heure de film. Amplement suffisant.
Clémentine, passionnée par le côté technique des choses fait plusieurs essais. Sur l'écran de la caméra l'image est ok.
Estelle se met dans le champs. Juliette, Mme Walter et moi, nous restons silencieux à observer. Tout fonctionne bien.

< Monsieur Gérard est venu faire l'installation hier. Il a percé le second trou qui sera bouché dès lundi ! > fait Juliette.
< Il a bossé deux bonnes heures ! > rajoute encore Mme Walter. < C'est ok ! On peut commencer ! > dit Clémentine.
Nous la regardons tous les quatre. Pas vraiment étonnés. Mais quand même amusés. Clémentine rajoute : < Yeah ! >
Nous bénéficions de conditions climatiques particulières. Même s'il pleut, le climat est doux. Plus de 23° dans l'écurie.
Clémentine explique le maniement extrêmement simple de la caméra. On/Off - Start - Zoom - Luminosité. Très facile.

Juliette fait quelques essais. C'est d'une simplicité déconcertante. La jeune femme est plutôt douée. Tout est parfait.
Nous entendons du bruit dans le local bureau. Des voix masculines. Plutôt des murmures. Et ils sont au moins deux.
Je regarde Juliette qui me fait un clin d'œil. Mme Walter déplie la chaise longue que je n'avais pas vu. Là dans le coin.
Elle s'y installe. Estelle et Clémentine se regarde. < Moteur ! > lance Juliette assise sur le tabouret. Je reste debout.
Estelle et Clémentine s'approchent du trou habituel. Celui avec les coulures de foutre sec. Et ça fout la gerbe à voir.

Estelle s'accroupit alors que Clémentine se met à genoux. Elles regardent par le trou. Il est lumineux et éblouissant.
Elles ne sont pas installées là plus d'une minute que la toute petite queue de Gérard pointe à peine de l'orifice. Molle.
Le rayon lumineux a disparu puisque le trou est maintenant occulté par l'individu derrière la cloison. Profond silence.
Je me penche. Mon visage tout près de celui de Juliette. Je regarde l'image d'une netteté parfaite. Filmée en 4 K pro.
Les filles hument longuement la bite. Nous sommes à moins d'un mètre. L'odeur de sandwich au thon nous parvient.

Je vois Estelle avoir un haut le cœur. Elle détourne la tête en se pinçant le nez. Elles chuchotent leurs impressions.
Le prépuce fripé de Gérard brille sous l'unique ampoule sur le mur en face. La bite suinte, semble grasse et huilée.
Estelle se met à genoux. Les filles sont bien droites devant le trou. Elles se tiennent à la cloison. Elles hument. Dur.
Juliette saisit la poignée réservée à cet usage pour déplacer la caméra. Elle la déplace doucement autour des filles.
Juliette peut ainsi filmer les deux filles sous tous les angles. Je la suis silencieusement. L'image est parfaite. Super.

Le système stabilisateur permet de garder une image nette et précise même durant les mouvements de la caméra.
Estelle se met à lécher. Clémentine, qui a mis son loup de dentelles noires relève le tissu pour en libérer la bouche.
Il est impossible de saisir la bite minuscule de Gérard. Les filles doivent donc se contenter d'un jeu de langue. Joie.
C'est Estelle qui se met à sucer la première. Les grosses couilles de Gérard ne passent pas dans l'orifice. Trop larges.
Juliette fait un plan rapproché en zoomant doucement. La classe. Je garde mon visage près du sien pour observer.

J'en oublie Mme Walter qui regarde dans l'obscurité. a chaque fois que je lui jette un coup d'œil, elle me fait un sourire.
C'est Clémentine qui suce à présent. Le visage collé contre la cloison. Estelle se touche. Elle attend son tour. C'est bien.
Elles se refilent la bite à tour de rôle. Clémentine a glissé une main sous sa jupe. Les deux suceuses qui se masturbent.
Juliette est très mobile. Elle anticipe. Je découvre là une jeune femme extrêmement douée. Les images sont superbes.
Délicatement, elle dévisse le trépieds sans cesser de filmer. Je la débarrasse. Mme Walter me prend le trépieds. Parfait.

Estelle et Clémentine, tellement passionnée par cette pipe se régalent en gémissants sans même faire attention à nous.
Elles se murmurent leurs impressions. De la bave leur coule de la bouche. Juliette fait d'excellents gros plans. C'est bon.
Soudain Estelle détourne son visage. Le salaud est entrain de lui pisser dans la bouche. Clémentine se précipite. Suce.
Elle aussi détourne son visage en toussant, avec des hoquets, de la jute qui dégouline. Elles en ont plein sur la chemise.
Estelle s'est remise à sucer alors que Clémentine, courbée, penchée sur le côté lutte contre l'envie de dégueuler. Beurk.

Soudain, là, du second trou, à environ 70 cm, une autre bite. Je reste sidéré. La bite à qui ? Je suis sûr que c'est Pierre.
Pierre, le mari de Mme Walter est de tous les coups les plus glauques. Complice de Juliette qu'il baise les samedis soirs.
Je passe ma main sous les cheveux de Juliette pour la poser sur sa nuque. Elle se laisse faire. Elle en semble satisfaite.
Je regarde Mme Walter, stoïque, qui observe tout cela, penchée en avant, ses coudes sur ses genoux et tenant sa tête.
Je tends mon bras pour lui passer ma main sur la joue. Elle me saisi le poignet pour y frotter son visage. Douceur. Bon.

Estelle tapote sur l'épaule de Clémentine pour lui montrer l'autre bite. Une bite longue et moyennement épaisse. Super.
Clémentine se redresse. Elle essuie sa bouche dégoulinant de foutre et de pisse pour contourner Estelle qui suce à fond.
Clémentine à quatre pattes, vient se mettre à genoux devant cette bite qu'elle observe avec suspicion. Avec étonnement.
Juliette rapproche la caméra. Il y a deux trous. Il y a deux bites. Il y a deux filles. C'est un peu plus difficile à filmer. Dur.
Je n'ai pas envie de lâcher la nuque à Juliette que je masse avec une certaine vulgarité. Elle est trop concentrée. Super.

Clémentine se met à sucer cette bite inconnue. Je lâche Juliette pour m'approcher de Clémentine. Je veux voir de près.
Juliette me fait signe de m'écarter. Elle filme les expressions du visage de Clémentine. Quelle merveilleuse pompeuse !
C'est la fille que j'aime, là, à même pas un mètre, qui suce un parfait inconnu avec une fébrilité passionnée. Elle pompe.
Ses deux mains à plat sur la cloison, à hauteur de son visage, elle a souvent toute la longueur de la bite dans la bouche.
Elle gémit. Elle s'éclate tellement qu'elle en oublie de se masturber. Juliette se penche avec la caméra. Que fait -elle là ?

Même Estelle cesse de sucer pour regarder. Juliette pointe son doigt. Clémentine à genoux, cuisses écartées pisse. Fou !
Il y en a sur les couvertures. Juliette murmure : < Cette salope s'offre des orgasmes à répétition, j'en suis certaine ! >
Mme Walter s'est redressée pour s'accroupir derrière Clémentine. Mâter cet étonnant spectacle. Une suceuse, pisseuse.
Clémentine détourne soudain la tête pour se faire arroser d'un jet de pisse. Un jet bref mais copieux. Estelle se précipite.
Les filles s'échangent les bites. Je ne les ai jamais vu aussi assoiffées. C'est réellement très impressionnant. "Glandiose".

Je n'en peux plus. Je sors ma bite. Je bande comme un priapique en phase terminale. Un démonte pneu de camion. 35 t.
Mme Walter ne me laisse pas le temps de me branler. A quatre pattes elle se précipite pour me tailler une pipe étonnante.
Je passe ma main sous les cheveux de Juliette. Je lui palpe à nouveau la nuque avec vulgarité. Et cette fois, elle apprécie.
Les filles détournent plusieurs fois leurs visages. De l'autre côté de la cloison, les deux saligauds leurs pissent à la gueule.
Clémentine et Estelle s'échangent les bites. Pas une minute sans passer de l'une à l'autre. Elles sont trempées. Ça coule.

Clémentine se masturbe. Elle est à genoux sur l'épaisse couverture mouillée. Estelle a soudain un orgasme. En suçant !
Je ne les ai jamais vu au comble de l'excitation comme elles le sont ce soir. Mme Walter récupère les sucs de l'excitation.
Je crois que je n'ai jamais eu de tels épanchements de liquide séminal. Comment fait Juliette pour rester si concentrée ?
Cette femme est une véritable vicelarde, perverse et salope. Mais à ce point. J'étais loin de m'en douter. C'est fabuleux.
Clémentine a perdu son masque depuis un moment. Elles sont toutes les deux méconnaissables. Comme sous la douche.

Clémentine pompe comme si sa vie en dépendait. Estelle suce comme si c'était vitale. Pierre éjacule probablement. Sûr.
Dans un râle, grave et sonore, Clémentine est collée contre la cloison. Elles ont sucé toutes les deux et près d'une heure.
Elles sucent en restant immobiles et concentrées. Elles gloussent et gémissent de plaisir. Un concert de "Mmhh", "Miam".
Pierre a certaine retiré sa bite de la bouche de Clémentine qui s'écarte du trou en tentant de déglutir. C'est dégueulasse.
Elle a le visage maculé de foutre, de pisse. Elle a des hauts le cœur. Elle est obligée de se tenir au mur, saisie de vertige.

Des hoquets. Va t-elle vomir. Mme Walter cesse de me sucer pour prendre la cuvette qu'elle pose sous le visage de la fille.
Estelle suce. Elle aussi est à la limite du dégoût. Il faut dire que Gérard est une véritable fontaine à foutre, à jus et à pisse.
Elle cesse. La bite à Gérard disparaît. A nouveau un trou lumineux. Pas l'autre. Le signal sonore de la caméra. Carte pleine.
Clémentine, toute pâle s'essuie le visage. Elle semble comme absente. J'éjacule dans la bouche de Mme Walter. Sournois.
Juliette fait : < Vous avez été géniales les filles. Je n'ai jamais assisté à un plan pareil. Félicitations ! >. Estelle qui vomit.

Dans la cuvette, du gratin de patate qui macère dans de la pisse et des tonnes de foutre gluant. Le foutre de deux mecs.
Mme Walter me serre dans ses bras en murmurant : < Merci Julien ! >. Je dépose une bise sur son front. Superbe Dame.
Comme toujours, après de telles situations, de telles excitations, Clémentine n'a qu'une envie, partir en courant. Très vite.
Je rassure Juliette. Nous lui ferons des courriels de Paris. Je remballe la caméra. Estelle me tient comme une naufragée.
Clémentine se serre contre moi. Elles ont toutes les deux la tremblote. Nous filons tout en saluant Juliette et Mme Walter.

Dans la voiture, Clémentine et Estelle sont assises sur le siège passager. Il est presque 23 h. Je démarre. Il pleut si fort.
Là-bas, dans l'encadrement de la grande porte de l'écurie quatre silhouettes. Mr Gérard, Juliette, Mme Walter et Pierre.
Les filles détournent la tête. Elles n'ont pas envie de saluer ces deux salopards qui se sont vidés dans et sur leurs gueules.
Je roule doucement. Estelle tient la petite boite contenant la carte SD. Elle dit : < On se le mâte samedi prochain ! Ok ? >
Clémentine lui fait : < Une soirée cinéma d'Art et d'essai. Pour notre retour de Paris ! Excellent ! >. Nous sommes épuisés.

Bonne soirée à toutes les coquines dont le fantasme est de se faire filmer à sucer des bites qui pendent d'un trou…

Julien - ( Qui écoute les dernières révélations de Clémentine à sa gauche. Estelle dormant déjà à sa droite) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 948 -



Un dimanche "confortable" et sympathique

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des murmures, plein de bisous que l'on me dépose sur le visage.
Clémentine à ma gauche qui met sa tête contre mon cou. Estelle à ma droite qui se blottit comme une naufragée. Bien.
Je passe mes bras sous leurs nuques pour les serrer. Elles se comportent comme si elles avaient besoin d'un réconfort.
Je comprends. Elles sont encore sous l'émotion de ce qui s'est passé hier soir. < Je t'aime Julien ! > me fait Clémentine.
< Je t'aime Julien ! > me fait Estelle. Je leurs dépose à toutes les deux des bises en mitraille. Nous restons ainsi blottis.

L'impérieux besoin naturel mais un terme à ces effusions de tendresse. Estelle se lève pour se précipiter aux toilettes.
Clémentine me chevauche en murmurant : < Merci Julien pour hier soir ! >. Je suis pétri d'émotion. Estelle qui revient.
< Je descends préparer le petit déj ! Me laissez pas toute seule ! > fait elle, mettant son pyjama et avant de descendre.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux WC. Nous dévalons l'escalier pour rejoindre Estelle à la cuisine. Déjà 8 h30.
Dehors, il pleut, il fait moche. L'odeur du pain grillé, du café et de la brioche est également un réconfort. Morts de faim.

Estelle se précipite dans mes bras. Je la soulève. Elle me dépose plein de bisous sur le visage. Clémentine s'interpose.
Ce jeu nous amuse toujours beaucoup. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous avons fait le ménage hier.
Nous pouvons traîner à table aussi longtemps que nous le désirons. Les filles évoquent la soirée de hier. Déroulement.
< C'était tellement dégueu ! > fait Estelle. < Et si ce n'était pas Pierre mais un autre mec ? > rajoute Clémentine. Dur.
C'est soudain le silence. Estelle fait : < C'est vrai ! Avec Juliette on peut s'attendre à tout. Elle était salope hier soir ! >

Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine fait : < Elle est tout le temps salope. C'est une perverse. Une vicelarde ! >
Doucement, une certaine excitation gagne les filles qui évoquent maintenant le goût des bites, le foutre, la pisse. Rire.
Lorsque nous sommes rentrés, hier soir, elles se sont encore lavées toutes les deux les cheveux que je leurs ai séché.
Elles étaient toutes les deux silencieuses. Encore sous le coup de ce qu'elles avaient vécu. Une sensation de souillure.
Ce matin tout cela fait doucement place à ce qui devient déjà un souvenir. Elles évoque la bite molle de Gérard. Beurk.

Elles comparent les deux queues qu'elles se sont refilées durant presque une heure. Les deux queues bien dégueulasses.
Celle de Gérard restant la préférée des deux coquines. L'autre, si c'était réellement celle de Pierre, beaucoup plus raide.
< Celle de Gérard, je peux la reconnaître au goût. Comme celle de Julien ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
< Moi aussi ! > rajoute Estelle, venant s'assoir sur mes genoux, murmurant : < Tu me la donne un peu aujourd'hui ? >
Clémentine vient s'assoir sur mon autre jambe. < Miam ! > fait elle. Elles ont leurs bras autour de mon cou. Je les serre.

La vaisselle. Nous nous mettons à la préparation du repas de midi. La pâte feuilleté a décongelé sur le radiateur. Super.
Le pavé de saumon également. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Salle de bain.
Les filles, de la mousse dentifrice aux coins des lèvres, imitent une fellation bien lascive avec les brosses à dents. Rires.
Je demande : < Vous sucez qui ? >. Elles me font en même temps : < Toi ! >. Nous rigolons comme des bossus. Bien.
Nous nous habillons. Nous allons faire le lit. Nous aérons, ouvrant grandes les deux fenêtres. Il pleut, mais il fait doux.

Nous nous serrons fort tous les trois. Comme si nous étions accrochés à un radeau en pleine tempête. Plein de bisous.
Estelle a glissé sa main dans ma braguette. Clémentine me palpe les couilles par derrière. Je les serre fort contre moi.
Je glisse mes mains dans leurs jeans pour tenter de mettre mon doigt dans la raie de leurs culs. C'est trop serré. Rires.
Nous dévalons les escaliers en nous tenant par la main. Clémentine lave les feuilles d'une belle scarole. De la méthode.
Estelle étale la pâte feuilletée dans un moule à cake. J'émince le pavé de saumon que je fais rissoler avec ail et oignon.

Estelle a concocté une belle Béchamel. Clémentine termine l'assaisonnement de la salade. Le feuilleté est déjà au four.
Nous dressons la table au salon en rigolant beaucoup. < Tu ne dragues pas maman hein, promis ! > me lance Estelle.
Je promets. Nous étendons le chemin de table en lin écru. Je dispose les assiettes en grès et les couverts en laiton.
Des verres ballons dans lesquels Clémentine place les serviettes savamment nouées. Estelle dispose les coupelles. Joie.
< Papa sera là, maman sera ici, Julien en bout de table, Clémentine à gauche, moi à droite ! > fait Estelle. C'est super.

Nous voilà vautrés dans le canapé. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite qui joue avec ma queue en bavardant.
De la poche de sa chemise à carreaux, elle sort la petite boîte contenant la carte SD. < Tout est là ! > fait elle, l'agitant.
Elle rajoute : < Je mets un générique de début, une petite musique et on se mâte le film samedi prochain. ! >. Super !
< Il n'y a pas vraiment de montage à faire ! > fait Clémentine. Je confirme. J'ai vu Juliette filmer. Adroite et passionnée.
Je me lève. J'agite ma bite vers les deux coquines. Elles s'assoient sur le bord du canapé en ouvrant grande la bouche.

Je leurs passe la queue molle sur les lèvres en évitant qu'elles puissent la gober. J'esquive. Ce qui les fait beaucoup rire.
Nous jouons un peu. Je crie < Gagné ! > quand l'une arrive à l'attraper du bout des lèvres. Il est 11 h30. Il faut cesser.
Nous allons à la cuisine. Nous décidons de rester tous les trois vêtus de nos jeans et de nos chemises à carreaux. Bien.
Je prépare trois moitiés d'avocat. Clémentine y rajoute la mayonnaise allégée au lait de soja. Estelle les crevettes. Joie.
Nous emmenons cette entrée au salon avec la salade. 11 h50. La sonnerie du four. Et trois coups de sonnette. Wouah !

Estelle se précipite pour aller recevoir ses parents. Clémentine se serre contre moi en me chuchotant : < Je t'aime ! >
Estelle revient suivie de ses parents. Sa maman est élégante dans son pantalon à plis et à pinces noir. Chemisier clair.
Une veste fine et noire. Des souliers noirs, fermés et à hauts talons. Son papa vêtu d'un jeans, d'une chemise blanche.
Une veste noire. Des bottines noires. Nous nous serrons les mains. Clémentine emmène tout le monde au salon. Bien.
Je propose de faire le service, de m'occuper de tout. Nous voilà tous les cinq confortablement installés à la table. Joie.

Les filles n'arrêtent pas de me faire du pieds sous la table. La maman d'Estelle est assise en bout de table, face à moi.
A plusieurs reprises je surprends son regard. C'est beaucoup plus incisif que les fois précédentes. Elle anime le débat.
C'est une magnifique jeune femme, pleine d'humour, très intelligente, dont la conversation est fort intéressante. Super.
Le papa est plus silencieux. Il semble souvent en admiration des paroles de sa compagne. Nous écoutons avec intérêt.
Nous passons là un grand moment. Nous nous connaissons mieux. Il est donc plus simple de se livrer davantage. Bien.

Nous parlons des études des filles. Estelle fait la fierté de ses parents depuis la petite école. Toujours première partout.
Comme Clémentine, elle décroche son bac à 16 ans avec mention "très bien". Entrée en fac à 17 ans. De quoi être fier.
Cette particularité a d'ailleurs participé à rapprocher les deux filles qui se sont senties un peu seules à l'université. Sûr.
Les parents d'Estelle évoquent leur entreprise florissante. L'embauche de deux nouveaux employés pour la fin d'année.
Je parle de mon activité de peintre. Je pourrai prendre ma "retraite". Je ne peins plus que par passion. En "dilettante".

Je débarrasse la table. Surprise. La maman d'Estelle vient me rejoindre à la cuisine. Elle me fait : < Votre atelier ? >
Elle est face à moi. De la taille d'Estelle. 1,85 m avec ses talons hauts. Et c'est fou comme elle ressemble à sa fille !
Elle me regarde par en dessous en rajoutant : < Estelle m'a dit que c'était "secret". C'est vrai. On peut pas visiter ? >
La toile en chantier est recouverte d'un linge. Je ne montre jamais une toile en cour de réalisation. Nous pouvons aller.
Estelle, Clémentine et le papa insistent pour faire la vaisselle. Activité ludique. J'invite la maman d'Estelle à me suivre.

< C'est magique ! > fait elle en pénétrant dans la grande pièce. Elle observe le carrelage marron clair, les murs ocres.
< Pourquoi ces teintes ? > me demande t-elle. Je lui explique qu'elles permettent une réverbération de lumière neutre.
Mon atelier étant orienté Nord Est, la luminosité reste la même la plus grande partie de la journée. Elle regarde dehors.
La grande baie vitrée qui donne sur la campagne. < Vous passez vos journées ici ! C'est génial ! > fait elle. Je confirme.
Elle a souvent ce regard par en dessous, inquisiteur mais également lourd de sous entendus. Je le sais bien. Je le sens.

Elle s'installe dans le vieux canapé. Elle observe la grande cheminée. Elle fixe ma braguette à plusieurs reprises. Gêne.
Son regard devient d'ailleurs insistant au point que je regarde à mon tour pour voir si elle n'est pas déboutonnée. Dur.
Une bosse. Je bande. Je suis terriblement gêné. Cette belle bourgeoise semble s'amuser à me mettre dans l'embarras.
Les silences sont lourds. Equivoques. Heureusement Estelle suivie de son papa, arrivent accompagnée de Clémentine.
< C'est ici que vous travaillez tous les trois ? > demande t-il. Clémentine qui fait le guide en montrant, en expliquant.

Nous passons un bon moment dans l'atelier. L'endroit est chaleureux. Un climat "médiéval" comme le précise Michèle.
Yvan va la rejoindre pour s'installer à ses côtés sur le canapé. Estelle vient s'assoir sur les genoux de son papa. Super.
Clémentine s'installe sur mes genoux dans le fauteuil. Nous bavardons. Je parle peinture. Ils observent un tableau.
Je leur rappelle qu'ils auront un petit tableau pour les fêtes de fin d'année. Ce qui semble les combler d'une joie vive.
A nouveau, discrète mais incisive, Michèle me fixe de son regard inquisiteur. Ce qui n'échappe pas à Clémentine. Bien.

Il est 15 h30 lorsque nous revenons au salon. Moins lourds, nous pouvons prendre notre dessert. Des coupes glacées.
Je les prépare à la cuisine. J'entends rire et discuter depuis le salon. Surprise. Michèle revient. Elle déballe les gâteaux.
Cette femme ne me laisse pas indifférent. Je ne la laisse pas indifférente. Tout cela me gêne. C'est la maman d'Estelle.
Surtout qu'elle me lance des regards par en dessous, terriblement évocateurs si pas démonstratifs. J'ai la vraie trique.
Michèle, de l'autre côté de la table, tout en posant les coupes glacées sur le plateau, regarde ma braguette. Insistante.

Comme un gamin, j'ai la sueur qui me picote le bout du nez. Nous retournons au salon. Nous dégustons notre dessert.
Avec cette météo pitoyable, il n'y a rien d'autre à faire qu'à passer ce dimanche après-midi à traîner à la maison. Bien.
Il est 17 h lorsque Michèle et Yvan prennent congé. Nous les raccompagnons sous le grand parapluie. Nous les saluons.
Je sens les intentions qu'elle y met lorsqu'une femme me serre la main. Celles de Michèle sont identifiables. C'est fort.
Nous les regardons partir dans mon ancienne berline allemande dont ils sont satisfaits. Le rêve de la grosse Mercedes.

Au salon, Estelle se précipite, me saisit la braguette à pleine main pour s'écrier : < Salaud ! Tu est un vrai salaud ! >
Elle continue : < J'ai tout vu. Et tu laisses maman en dehors de ça ! >. Elle éclate de rire et dit : < Elle est mariée ! >
Clémentine glisse sa main dans ma braguette en disant : < Contrôlons ! >. Elles sont accroupies à mâter ma queue.
< Regarde ! Ce salaud est trempé ! > fait Estelle. Elles me regardent toutes les deux d'un air sévère. J'ai la bite dure.
Je me fais rapidement tailler une pipe des familles. Clémentine qui m'apprend qu'elle à ses "petits machins de filles".

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont pouvoir se régaler d'une bite bien juteuse. La bite d'une "victime"...

Julien - (Qui passe une soirée à se justifier, à se faire sucer et à beaucoup rire avec Clémentine et Estelle) -

Classe



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C'est le jour du départ

Hier matin, lundi, je suis réveillé par des câlins d'une exquise douceur. Clémentine se frotte contre moi. Plein de bisous.
< Bonjour mon amour ! > me chuchote t-elle. Pétri d'émotion, je la serre fort contre moi. Quelques douces papouilles.
L'envie de pisser nous oblige à nous précipiter aux chiottes en riant. Il est 8 h30. Et nous descendons jusqu'à la cuisine.
Nous préparons notre petit déjeuner. Le lundi, il reste toujours de la brioche. Nous mangeons de bon appétit. Superbe.
Nous évoquons nos aventures du Week-end. Je la félicite une fois encore pour sa prestation de samedi soir avec Estelle.

Nous en rions de bon cœur. Clémentine me confie à quel point son ressenti est souvent le même. Je l'écoute avec soin.
Elle me décrit l'écœurement qui la gagne sur le moment, doublée d'une excitation grandissante. Et c'est si dégueulasse.
Pourtant, deux jours après, elle serait prête à revivre les mêmes émotions. Dans les mêmes situations. C'est si curieux.
Nous rigolons comme des bossus lorsque je lui propose de retourner au haras ce matin, avant de partir pour Paris. Joie.
Nous traînons à table. Le ménage est fait. Tout est propre. Dehors, il pleut. Pourtant il y a toujours cette douceur. Bien.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Mimer la pipe.
Nous nous offrons notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, abdos et charges additionnelles. C'est super.
La douche. Nous nous habillons. Nous faisons notre lit. Je descends une des valises à roulettes du dessus de l'armoire.
C'est un séjour bref. Nous serons partis jusqu'à vendredi. Il est donc inutile de se charger inutilement. Trie des fringues.
Deux jeans, deux sweat, quatre paires de chaussettes, quatre slips, deux T-shirts chacun. Deux jupes pour Clémentine.

Une paire de souliers de ville et une paire de baskets chacun. Sa veste en cuir, mon blouson de cuir. Ça devrait suffire.
Avec nos affaires de toilettes et des serviettes, la valise moyenne est rapidement pleine. Je dois raisonner Clémentine.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle range tout ce qu'elle voulait encore emmener. Nous ne partons pas deux semaines.
Depuis hier, Clémentine a ses "petits machins de fille". < C'est dommage, j'aurai bien baisé avec Mr Wong ! > fait elle.
Je dis : < C'est partie remise pour les fêtes de fin d'année que nous passerons à Edimbourg ! >. Nous éclatons de rire.

Clémentine s'accroupit devant moi, frottant son visage sur ma braguette. Tout en nous observant dans le grand miroir.
< Vous serez un "Maître" intransigeant durant ce séjour, n'est-ce pas ? > susurre t-elle en sortant ma queue. Douce.
Je lui passe la bite sur les lèvres, les joues et le nez en lui disant : < Je ferai au mieux, ma merveilleuse "Soumise" ! >
Clémentine se met à genoux, me tient par les hanches et se met à me sucer comme si sa vie en dépendait. Fabuleuse.
Je lui caresse la tête. Je lui murmure des douceurs que je mêle à des cochonneries. Je l'entends gémir, glousser de joie.

Je la saisis par sa natte comme par une laisse que je tiens au plus court pour la forcer à se redresser. Elle me regarde.
< Je ne vous suce pas assez bien, mon "Maître" ? > demande t-elle. Je réponds : < Si ! Chère "Soumise", trop bien ! >
Je prends la valise. Nous descendons l'escalier. A la cuisine nous préparons nos sandwichs. Baguettes, beurre, fromage.
C'est Estelle qui nous emmène à la gare. Elle vient pour 11 h45. Il est déjà 11 h. Nous sommes prêts. Tout est parfait.
Nous passons au salon pour allumer l'ordinateur. Il y a trois courriels. Celui de Juliette. Celui de Julie et celui d'Estelle.

Juliette nous remercie pour la merveilleuse soirée de samedi et nous souhaite un excellent séjour dans la capitale. Joie.
Julie nous avoue sa frustration de ne pas nous voir lundi soir et nous souhaite également de bonnes vacances à Paris.
Estelle nous confirme sa venue ce matin pour nous emmener à la gare. Nous répondons avec des mots gentils. Super.
Nous mettons les deux mini parapluies dans le petit sac à dos que je porte partout avec nous. Nos K-ways également.
Il est 11 h40. Voilà Estelle qui a quitté le bureau de l'entreprise familiale une heure avant. Elle nous fait la bise. Douce.

Elle se blottit contre moi pour dire : < Vous allez me manquer ! C'est dur sans vous ! >. Je la rassure. Juste trois jours.
Je lui dis : < Mercredi soir tu baises avec parrain ! >. Nous rions de bon cœur quand elle dit : < C'est un bon coup ! >
Nous faisons un rapide tour de la maison. Tout est en ordre. Estelle viendra passer la soirée de mardi ici et toute seule.
Elle fera de même jeudi soir. Nous fermons les volets. Nous voilà partis. C'est la voiture d'entreprise. Il faut se serrer.
Je suis assis à l'arrière, sur le sol. Clémentine sur le siège passager. Estelle roule prudemment sous la pluie battante.

Je lui passe les mains dans le cou, je lui caresse la nuque. < Tu me couvres de frissons ! Coquin ! > fait elle. Un frisson.
Il y a quinze kilomètres jusqu'à la gare. Clémentine tient les billets dans sa main. Estelle gare la voiture sur le parking.
Elle me tient par le bras. Je tire la valise. Clémentine nous abrite sous l'immense parapluie. Il y a du monde sur le quai.
< Espérons qu'ils ne vont pas vous faire chier avec une grève surprise ces enfoirés ! Ils sont spécialistes ! > dit Estelle.
A priori tous les trains circulent. Nous attendons le nôtre. Les filles serrées contre moi. Nous nous faisons plein de bises.

Ce qui attire bien évidemment bien des regards. Nos hautes tailles. Cet homme d'âge mûr avec deux jeunes filles.
Le train arrive. Estelle nous fait la bise. Elle me palpe la braguette sans gêne et me dit : < Soigne la bien. Promets ! >
Clémentine la rassure : < Je vais la soigner avec toutes les attentions requises ! >. Nous prenons place dans le TGV.
Nous voyageons toujours en première classe. La promiscuité y est plus agréable. Le train s'ébranle. Il est déjà 12 h30.
Nous faisons un dernier coucou à Estelle qui est debout sur le quai. En jeans, anorak et bottines. Un peu tristounette.

Il y a peu de monde en première classe. Les banquettes voisines sont désertes. Nous mangeons nos sandwichs. Miam.
L'eau gazeuse est parfaite. Voilà la contrôleuse. Une belle jeune femme en uniforme. Et un voyage qui va durer 3 h45.
Nous arrivons gare Montparnasse pour 16 h30. Nous prenons un taxi. Clémentine a ses règles. Et une légère migraine.
Cela passe très rapidement. C'est à cause du train. Notre hôtel est tout près de la place de Clichy. Chambre réservée.
Comme tous les provinciaux qui découvrent Paris la première fois, Clémentine a les yeux écarquiller pour tout mâter.

Le taxi se gare devant l'établissement. Je connais bien cet hôtel depuis plus de 20 ans. Chaque visite à Paris, c'est ici.
La jeune fille de la réception a un sourire magnifique. Nous prenons la clef. Notre chambre est au dernier étage. Bien.
L'ascenseur. C'est une chambre spacieuse. Toilettes et salle de bain. Hyper propres et nickel. Nous prenons nos aises.
Nous déballons immédiatement la valise pour ranger nos affaires dans l'armoire. Clémentine m'entraîne sur le balcon.
Il pleut. < Les toits de Paris ! C'est comme dans les films ! > fait elle en se serrant contre moi. Je la sens si heureuse.

Impatiente de parcourir les rues, Clémentine m'entraîne vers la porte. Nous voilà dans l'ascenseur. Dehors il fait doux.
Nous remontons la Place du Docteur Lobligeois jusqu'à la place de Clichy et sa statue. Sous notre immense parapluie.
< Les gens sont les mêmes que partout ailleurs ! > fait Clémentine sans me lâcher le bras. Nous en rions de bon cœur.
Nous remontons l'avenue jusqu'à la hauteur de Pigalle. 18 h30. Il commence à faire sombre. Les premières lumières.
Nous passons devant le Moulin Rouge. < C'est donc ça ! > fait Clémentine qui m'entraîne tous près pour mieux mâter.

L'avenue Pigalle est très loin de l'idée graveleuse que s'en font beaucoup de provinciaux. C'est une légende urbaine.
Il y a du monde. Jour et nuit. Enormément de touristes. Nous déambulons. Clémentine prend plein de photos. Bien.
< C'est génial de voir tout ça pour de vrai ! > fait elle à plusieurs reprises. Nous prenons à gauche, la rue Lepic. Joie.
Les magasins de vêtements alternent avec les boutiques de souvenirs et les restaurants rapides. C'est si folklorique.
La rue monte vers Montmartre. Nous voilà devant le Moulin de la Galette. Clémentine observe cet endroit mythique.

Nous regardons les menus proposés. Inutile d'espérer trouver une place. Elles sont toutes réservées. Soirée spectacle.
Nous montons jusqu'à Montmartre. Avec les lumières, malgré la pluie, Clémentine est émerveillée. La place du Tertre.
Il y a encore tous les peintres qui exposent. Certains peignent encore. Il y a tous ces personnages interlopes. Rôdeurs.
La faim commence à se faire sentir. Il y a l'embarras du choix. Nous choisissons. Des places au "Cabanon de la butte".
Il est 20 h. Nous voilà confortablement installés dans une salle bondée. Beaucoup d'asiatiques. Et c'est assez bruyant.

Nous traînons à table. Même si les restaurants ont pour objectif de faire du chiffre, personne ne nous presse de partir.
L'addition. Nous flânons encore. Clémentine découvre émerveillée la Basilique du Sacré-Cœur. Une illumination de fête.
A cette heure, elle ne se visite plus. Il y a du monde. C'est une mer de parapluie. C'est surréaliste mais très agréable.
Clémentine fait plein de photos. Elle nous filme. Je la filme. La fatigue commence à se faire sentir. Dur. Il faut repartir.
Il y a encore une bonne heure de marche pour revenir à l'hôtel. Je propose un taxi. Clémentine préfère marcher. Bien.

Il est 23 h30 lorsque nous sommes de retour à l'hôtel. Fourbus. Clémentine se tient à moi dans l'ascenseur en bâillant.
La salle de bain. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Nous y jetons nos dernières forces. Vite, au plumard.
J'offre à Clémentine un cunnilingus exclusivement centré sur son clitoris géant. J'adore le décalotter du bout des lèvres.
Il y a toujours de douces petites surprises appétissantes. Clémentine en gémit de plaisir. Elle me guide par les oreilles.
Son orgasme est "timide". C'est la fatigue. Nous nous serrons fort. Je sens battre son cœur. Elle "plonge" si vite. Dodo.

Bonne soirée à Montmartre à toutes les coquines qui découvre un véritable "village" dans la ville. Oubliant le sexe…

Julien - (Qui s'est tout de même souvent fait palper discrètement la braguette exceptionnellement fermée sur Pigalle) -

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Paris. Arrivée des Wong en soirée

Hier matin, mardi, Nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est 8 h. Clémentine me couvre le visage de bises.
Quelques papouilles en découvrant cette chambre d'hôtel à la charmante décoration. C'est très XIXème. De toute beauté.
Nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser dans une sorte d'extase avant de nous habiller. Morts de faim. Superbe.
Dans l'ascenseur Clémentine me palpe la braguette en me chuchotant : < Merci Julien pour ces nouvelles aventures ! >
Les petits déjeuners sont servis jusqu'à 9 h. Il y a déjà du monde dans la salle. Nous avons ramené notre pain bio. Bien.

Le café est correct. La confiture est bonne. Le miel est excellent. Le beurre parfait. Nous savourons en bavardant. Joie.
Il y a un couple d'Anglais assis à la table voisine. La quarantaine. Je suis écossais, je comprends parfaitement. Et tout.
Clémentine qui parle et comprend l'Anglais à la perfection commente en chuchotant. Nous rigolons comme des bossus.
Nous ne nous attardons pas. Nous remontons pour nous livrer à notre heure de gymnastique. Aérobic et abdos. Super.
La douche. Nous nous habillons. Il ne pleut pas et il fait relativement doux. Il est 10 h15. Température extérieure 19 °.

Clémentine porte sa jupe de velours carmin évasée aux genoux. T-shirt brun sous la veste noire. Ses souliers de ville.
Je suis en jeans, T-shirt beige sous mon blouson de cuir noir. Mes mocassins. Nous descendons la rue de Clichy. Super.
Nous marchons d'un bon pas pendant un bon quart d'heure. Nous arrivons place de l'Opéra. La splendide bâtisse. Belle.
Clémentine prend des photos. Toute heureuse de voir tout cela pour de vrai. Nous descendons. Et direction le Louvres.
De marcher ainsi nous ouvre l'appétit. En face de nous le Louvres. Là-bas la Seine. A droite, rue de Rivoli. Ses arcades.

Nous flânons. Clémentine veut entrer dans le hall de l'hôtel Meurisse. C'est là que Salvador Dali avait une suite privée.
Lorsque le peintre était à Paris, il vivait et recevait ses courtisans ici, dans les salons ouverts au public. Et prestigieux.
Nous regardons la carte proposée au restaurant Alain Ducasse. Il est 12 h15. Pourquoi ne pas manger gastronomique.
Il y a des tables libres dans la luxueuse salle. Même si nous ne sommes pas vêtus très "chics", nous nous y installons.
Personne ne fait d'ailleurs attention à nous. Le personnel ne fait aucune réflexion. Nous sommes à l'aise partout. Rire.

Des fruits de mer, servis dans une vaisselle incroyablement "classe" viennent soulager notre faim à dévorer un ours vif.
Clémentine filme discrètement l'endroit. < On a l'impression de manger dans le château de Versailles ! > fait elle. Rire.
Les coupes glacées monumentales achèvent de nous rassasier. Je prie Clémentine de ne tenter aucune "expérience" ici.
Nous traînons à table. L'addition est à la hauteur de l'endroit. "Monarchique" comme le souligne Clémentine. C'est bien.
Le Musée du Louvres est fermé le mardi. Nous y reviendrons demain. Nous voulons admirer la galerie des Hollandais.

Nous avons les billets et il y a là quelques toiles de maîtres du XVIIème hollandais. Vermeer, Gerard Dou et Jan Steen.
Il est 14 h lorsque nous flânons, un peu lourd, devant la pyramide du Louvres. Un ouvrage de verre si impressionnant.
Nous traversons le pont du Carrousel qui quitte les Tuileries. Nous voilà sur la rive droite. Le grand boulevard. Superbe.
Nous découvrons les multiples bouquinistes qui proposent parfois des choses anciennes. Clémentine feuillette. Curieuse.
Il y a là des éditions anciennes, souvent uniques. Pas toujours de grande valeur mais anecdotiques. Et c'est intéressant.

Là, entre un kiosque et une de ces caisses fixées au muret, Clémentine s'accroupit pour fouiller dans le petit sac à dos.
Je n'avais pas vu le quidam vêtu d'un manteau noir, élégant, coiffé d'un chapeau noir. Le mec mâtait depuis un moment.
Clémentine, discrète et virtuose, lui offre un de ses spectacles fugaces mais diantrement évocateurs. Je reste en retrait.
A Paris, les filles exhibitionnistes, même si elles ne courent pas les rues, ne sont pas rares. Et il y a là de quoi s'amuser.
Le quidam s'accroupit pour mâter les disques vinyles dans la grande caisse. Un prétexte pour mâter sous la jupe. Bien.

Clémentine lui offre un rapide mais superbe show. Il y a un des vieux bouquinistes qui l'a probablement lui repéré aussi.
Elle s'en rend rapidement compte. Virtuose, elle joue donc sur deux registres. C'est fabuleux. Je bande comme un salaud.
A la limite de l'ankylose, elle se redresse, les fourmis dans les jambes. Le monsieur est un parfait gentleman. Il s'en va.
Clémentine me rejoint plus loin. Elle pose ma main sur sa poitrine, me fait sentir les battements de son cœur. Si excitée.
Nous déambulons ainsi toute l'après-midi sur les quais de Seine. Il faut remonter. Prendre le chemin du retour. Déjà 18 h.

Nous sommes fourbus en revenant à l'hôtel. Les Wong sont arrivés dans l'après-midi. Nous avons rendez-vous à 20 h ici.
Ils sont confortablement installés dans le hall. Ly-Yang est d'une élégance exquise. Mr Wong est en costume clair. Supers.
Ils sont tout heureux de nous revoir. C'est insolite de se rencontrer à Paris. Loin d'Edimbourg et de Morningside. Fameux.
Nous avons prévu de manger ensemble. Ils ont réservé dans le restaurant où ils descendent lors de leurs séjours à Paris.
C'est le Wepler. Un établissement dont le côté "rétro" attire une clientèle soucieuse d'authenticité folklorique parisienne.

Nous marchons ensemble. Nous remontons la rue jusqu'à la place de Clichy. Il y a du monde. Les rues sont très animées.
La vie parisienne s'apprête à devenir nocturne. Nous prenons place. C'est un "bistrot" charmant, très XIXème. Magnifique.
Le personnel est en tablier. Les fresques murales évoquent la Coupole. Le mobilier est délicieusement kitch et très "rétro".
Rapidement, Ly-Yang discute avec moi tandis que Mr Wong bavarde avec Clémentine. Ly-yang me paraît encore plus belle.
Une beauté asiatique, minuscule, dans son tailleur noir, chemisier blanc, fine cravate noire. Elle est absolument splendide.

Nous parlons évidemment en Anglais. Personne ne nous comprend. A part d'éventuels britanniques qui seraient voisins.
Mr Wong propose à Clémentine un petit tour aux toilettes qu'il recommande chaudement. Aussi rétro que le restaurant.
Nous en rions de bon cœur. Je reste seul avec Ly-Yang qui pose sa main sur la mienne. Elle dit : < Je suis contente ! >
Elle rajoute : < Après c'est à notre tour ! >. Nous rions de bon cœur. Mr Wong et Clémentine reviennent. Ils racontent.
Ils se sont enfermés dans un des cabinets des WC homme. Furtif, rapide, juste pour se mettre en "appétit". C'est génial.

Ly-Yang m'entraîne par la main. Nous allons aux toilettes. Nous entrons évidemment dans la partie homme. C'est cool.
Là, enfermés dans un des cabinets, je sors ma bite. Ly-Yang qui s'accroupie immédiatement pour se mettre à me sucer.
Je caresse ses longs cheveux raides et noirs. Je passe ma main sous son menton. Je frotte ma bite sur sa gueule. Bien.
Cette magnifique petite poupée vietnamienne est tellement contente de retrouver mon sexe qu'elle en gémit sans gêne.
Je la force à cesser. Elle se cambre au-dessus de la cuvette, retroussant sa jupe. Descend sa culotte pour pisser. Belle.

Elle ne lâche pas ma queue raide et dure comme le bois. Je la torche soigneusement. Nous retournons au restaurant.
Nous racontons ce qui s'est passé. Mr Wong semble aussi passionné que ne l'est Clémentine. Le dessert et l'addition.
Nous marchons d'un bon pas. Pressés de nous retrouver seuls tous les quatre. Les Wong ont une chambre au second.
C'est une chambre semblable à la nôtre. Clémentine s'assoit sur le lit. Ly-yang s'installe à ses côtés. Elles nous fixent.
Mr Wong sort sa queue le premier pour s'avancer devant Clémentine. Je l'imite pour bien me mettre devant Ly-Yang.

Nous nous tapons dans la main avant de frotter nos queues sur le visage de nos délicieuses salopes. C'est magnifique.
Je regarde les expressions du visage de Clémentine. Elle s'est tant réjouie pour Paris et pour cette bite vietnamienne.
Ly-Yang semble dans le même état d'esprit. Les deux coquines sucent en gémissant de bonheur. C'est l'abandon total.
Ly-Yang, les joues creusées par l'effort, ouvre quelquefois les yeux pour fixer son mari avec un air de défi, provocante.
Clémentine fait de même, me fixant. C'est passionnant. Outre l'indicible sensation il y a la puissance de ce spectacle.

Mr Wong, encore plus vicieux que moi, donne ses impressions à haute voix, commentant les succions de Clémentine.
Je parle des miennes. Les deux coquines gloussent en écoutant nos comparaisons salaces. Cela les amuse beaucoup.
Parfois l'une s'arrête pour éclater de rire en donnant ses impressions de suceuses. Du foutre plein la bouche. Sublime.
Mr Wong raconte des anecdotes salaces. Nous apprenons que Ly-Yang n'a jamais baisé avec un autre. C'est étrange.
Il s'empresse de rajouter qu'elle en a par contre sucé quelques uns. Ce n'est qu'avec moi qu'elle aimerait baiser. Bon.

Je me penche pour poser des questions à ma merveilleuse pompeuse. Des trucs orduriers, bien vicelards. Elle en rit.
Elle cesse pour me répondre. Même Clémentine cesse pour rire, le foutre de Wong aux commissures des lèvres. Bien.
Nous nous allongeons tous deux sur le lit. Les filles couchées sur le côté, leurs têtes sur nos ventres à se régaler. Bon.
Mr Wong prévient qu'il va éjaculer une première fois. Je le regarde appuyer sur la tête à Clémentine qui tente d'avaler.
Trop heureuse de se faire juter au fond de la gorge, elle repart pour un second tour dans un profond râle de bonheur.

Je tiens Ly-Yang par la nuque et sous le menton. Je lui fais : < Tu en veux aussi toi ? >. Elle gémit positivement. Jus.
J'éjacule en sournois. Immobile, sans prévenir comme je le fais toujours. Une vieille habitude qui remonte à fort loin.
Nous repartons pour un second tour après le traditionnel "fond de cuve". Wong se redresse, tenant bien sa suceuse.
Il l'entraîne aux toilettes. Pas de doute, il va lui offrir la sauce de son Nem. Je demande à Ly-Yang si elle veut aussi.
Un nouveau gloussement affirmatif. Je l'entraîne à la salle de bain. J'entends les cris de plaisirs de Clémentine. Bien.

Je pisse dans la bouche de Ly-yang. De nombreux petits jets que je contrôle parfaitement. J'entends les cris du WC.
Wong vient nous rejoindre en tenant Clémentine par ses cheveux trempé, le visage ruisselant de pisse et de sperme.
Clémentine a ses règles. C'est dommage. J'aurai bien proposé qu'elle passe la nuit avec Wong. Et moi avec Ly-Yang.
Les filles sucent jusqu'à nous vider. De pisse et de foutre. Il est 23 h. Nous sommes tous les quatre épuisés. Crevés.
Nous nous séparons. Nous prenons une rapide douche. Je sèche les cheveux de Clémentine. Au lit, je bouffe du clito.

Bonne soirée de retrouvailles à toutes les coquines qui peuvent reprendre leurs dégustations de Nem en sauce.

Julien - (Qui écoute les derniers ressentis de Clémentine serrée contre lui. Elle s'est offert un moment magique) -

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Une journée de découverte et une soirée de vice

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous que l'on dépose délicatement dans on cou. Doux.
J'ouvre les yeux pour voir le visage délicat et souriant de Clémentine. Elle passe une jambe sous mon dos. Bien calée.
L'autre sur mon ventre pour se mette à se frotter contre ma hanche de manière lascive en me chuchotant des choses.
< J'ai fait un rêve érotique ! > murmure t-elle. Il est 8 h. Tout cela ne dure pas. L'impérieux besoin naturel de pisser.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nous nous habillons rapidement pour prendre l'ascenseur. Bien.

Dans l'ascenseur, Clémentine reste serrée contre moi en palpant ma braguette. Je porte le sachet avec notre pain bio.
Il y a déjà plein de monde dans le réfectoire de l'hôtel. Nous prenons notre petit déjeuner à une table retirée. Parfait.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine d'une voix douce me raconte son rêve érotique. Il y est question de Wong.
< Et il réussi le tour de force d'être moins vicieux que dans la réalité ! > fait elle. Nous en rigolons comme des bossus.
Nous ne traînons pas. Nous remontons. Pas de jogging mais notre entraînement aérobic intense, nos abdos. Adaptés.

Une heure de gymnastique. La douche. Dehors. Nous allons sur le balcon prendre la température. Il y a de la fraîcheur.
Nous nous habillons. Jeans, sweats, veste en cuir, blouson de cuir. Nos baskets. Et nous voilà parés pour nos aventures.
Dans le petit sac à dos que je trimbale toujours partout, des fruits, des barres de céréale, nos mini parapluies. De l'eau.
Nous reprenons la rue de Clichy. Nous redescendons jusqu'à la Place de l'Opéra. Nous prenons vers le Trocadéro. Bien.
45 minutes de marches plus tard nous voilà sous la Tour Effel. Clémentine prend des photos. Je la filme à faire la clown.

Nous flânons sur la place. J'ai les billets pour monter sur la Tour. Ce sera l'activité de demain. Nous n'avons que 3 jours.
Il faut donc visiter les monuments et lieux les plus emblématiques de la capitale. J'avais tout prévu en amont. Surprise.
< Avec toi, tout est toujours si simple. Je t'aime Julien ! > me fait Clémentine qui reste serrée contre moi en marchant.
Il commence à faire faim. Il est déjà 11 h45. Je connais un excellent restaurant à la cuisine traditionnelle. Le "Wilson".
Il y a du monde sur la place. C'est une véritable journée d'automne. Un thermomètre extérieur indique à peine les 14°.

Par mesure de précaution, je propose d'aller réserver une table dans ce restaurant. Et le "Wilson" est un super endroit.
Des chaises dont le tissus aux carreaux rouges est particulier le long de tables couvertes de nappes blanches. Parfait.
Il y a de la place. La salle est presque pleine. Beaucoup d'asiatiques. Des gens plutôt élégants. Un personnel charmant.
Nous voilà assis confortablement. A notre gauche un couple d'américains. Séniors. A gauche c'est un couple de chinois.
Nous dévorons des tartelettes aux champignons, aux crevettes et au thon avec une faim de loup. Dessert fait de glace.

L'addition. Les prix sont raisonnables. Nous ne traînons pas. Direction la rue de Rivoli qu'il faudra remonter tout le long.
Nous arrivons au Louvres. Clémentine prend ma main pour la poser sur sa poitrine sous sa veste. Battements de cœur.
C'est pour elle une grande émotion de découvrir ces endroits mythiques. J'ai les billets. Envoyés il y a déjà vingt jours.
Pas besoin de se mettre dans la longue file. A peine quelques minutes et nous voilà dans le grand hall d'accueil. Super.
Je prie Clémentine de ne tenter aucun "plan", aucune "expérience". Il y a des caméras sophistiquées partout. Gaffe !

De plus il y a une surveillance étroite car le plan "Vigipirate" fonctionne ici de 9 h à 18 h. Ouverture non stop. Attention.
La visite n'est pas guidée. Nous nous orientons grâce à la brochure que tient Clémentine. C'est elle notre guide. Super.
Nous allons directement au département des peintres Hollandais et Flamands du XVIIème. Le très fameux "siècle d'or".
< On s'en fout de la Joconde, de Léonard de Vinci comme de nos premier Tampax ! > fait Clémentine en m'entraînant.
Nous rions de bon cœur de cette affirmation pleine de vérité. Nous voilà dans une des salles. Que des merveilles. Joie.

Nous restons scotchés devant des toiles majestueuses. "Le Charlatan" de Gérard Dou. C'est fabuleux. "Le peseur d'or".
Des marines somptueuses qui n'ont rien à envier à celles du Rijksmuseum d'Amsterdam. Et nous restons émerveillés.
Tous les grands maîtres hollandais sont représentés. Il y a une partie réservée aux toiles de Rembrandt. C'est superbe.
Même si nous aimons moins, ses toiles restent tout de même de grands chefs-d'œuvre. Nous en avons plein les yeux.
Nous traînons là plus de trois heures. Et nous n'avons vu qu'une infime partie du musée. C'est réellement passionnant.

Chez les Français, toujours de la même période, nous admirons les tableaux de Nicolas Poussin. De Hyacinthe Rigaud.
Il y a les bouquets merveilleux de Jean-Michel Picard. Puis nous évitons tout ce qui est au-delà de la fin du XVIIIème.
Pour nous, le dernier grand peintre reste Jean Dominique Ingres. 18 h. Le musée ferme ses portes. Il faut déjà quitter.
Nous prenons le chemin de l'hôtel en marchant d'un bon pas. Les galeries Lafayette font "nocturne". Nous allons voir.
Le boulevard Haussmann est très fréquenté. Il faut se frayer un passage parmi les nombreux badauds et les touristes.

Il est 20 h30 lorsque nous rejoignons les Wong à notre hôtel. Ly-Yang, toujours d'une élégance folle me serre la main.
Wong, vêtu d'un ensemble noir serre la main de Clémentine. Ce soir, c'est nous qui les invitons. Morts de faim. Bien.
Nous descendons la rue des Batignolles. Wong nous conseille "La Giocconda". La restauration traditionnelle Italienne.
Les plats de fruits de mer y sont parait-il remarquables. Trois cent mètres. Le square des Batignolles. C'est si rapide.
Nous voilà installé dans un endroit raffiné. C'est très agréable. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.

Tout comme hier, Clémentine et Wong se mettent à rire de leurs petites histoires coquines. Je discute avec Ly-Yang.
Les Wong nous racontent leur journée. Les cousins vivant à Paris. Leur départ pour Hambourg demain matin. Avion.
Ils passeront deux jours chez d'autres cousins en Allemagne avant de rentrer sur Edimbourg dimanche. C'est parfait.
Wong propose à Clémentine une "mise en bouche" dans les toilettes. Ils s'y rendent rapidement. Ly-Yang me sourit.
Elle pose sa main sur mon poignet. Elle me félicite pour hier soir. Elle veut le même comportement ce soir. Superbe.

Clémentine et Mr Wong reviennent. Ils nous racontent. Petite pipe dans un des cabinets. Ly-Yang qui m'y entraîne.
Nous nous enfermons dans un des cabinets. Je sors ma bite qu'elle est déjà accroupie, bouche ouverte. C'est bien.
Je lui frotte la queue sur la gueule. C'est émouvant de faire ça à une merveilleuse petite poupée vietnamienne. Bon.
Je la regarde sucer avec tant de concentration, si fort, j'en ai le vertige. Et c'est tellement délicieux. Bouche tendre.
Nous rejoignons Wong et Clémentine. L'addition. Nous sommes pressés de rentrer à l'hôtel. Nous marchons si vite.

Une fois encore ce sera dans leur chambre. A peine fermons nous la porte à clefs que les filles s'assoient sur le lit.
Penchées en avant, les coudes posés sur leurs cuisses, toutes les deux nous invitent à leurs présenter nos queues.
Wong est debout devant Clémentine. Je suis debout devant Ly-Yang. Nous leurs frottons nos queues sur le visage.
A nouveau, tout en me suçant, Ly-Yang fixe son mari avec cet air de défi qui m'excite prodigieusement. C'est fort.
Clémentine, tout en suçant Wong fait de même. Wong et moi nous nous tapons la main. C'est reparti pour un tour.

Comme hier soir, Wong commente ses impressions. Il tient Clémentine par les cheveux pour me montrer sa bouche.
< Regarde un peu cette gueule de salope. Nous sommes les hommes les plus heureux ! > me fait il. Les filles rient.
Je fais de même en tenant Ly-yang. Elles ont toutes les deux du foutre aux commissures des lèvres. C'est excitant.
Les mentons mouillés par la bave de nos bites que nous frottons sur leurs gueules en échangeant nos impressions.
Nos attitudes amusent beaucoup les filles qui en gloussent. Clémentine a glissé une main dans son jeans en suçant.

Wong la tire par les cheveux pour lui retirer la bite de la gueule. Il lui allonge une gifle en disant : < Little slut ! >
Il enfonce sa queue jusqu'à la garde. Sa bite a la dimension d'un Nem. Ce n'est donc pas trop pénible. C'est super.
Clémentine est tombée à genoux. Elle tient Wong par ses hanches. Il a descendu son pantalon. Une nouvelle gifle.
Moi, je caresse le visage de Ly-Yang que je regarde se régaler. Wong tient Clémentine par ses cheveux. Fermement.
Il la fait marcher à quatre patte autour de la table. Elle me regarde d'un air de défi. Wong lui met la bite en bouche.

A plusieurs reprises Wong retire sa bite de la bouche de Clémentine pour me montrer son visage. < Salope ! > dit il.
Ly-Yang m'entraîne sur le lit. Je m'allonge. Elle est couchée à côté de moi, sa tête sur mon ventre pour bien me sucer.
Je lui mets un doigt par derrière. Elle me retire la main. Elle se redresse pour chuchoter : < La bite, pas le doigt ! >
Il n'est évidemment pas question de la baiser. Clémentine me l'interdit. Je la regarde livrée à ce salopard. Vrai salaud.
Il tient toujours fermement Clémentine par ses cheveux pour en faire le jouet de tous ces caprices. Elle se laisse faire.

Je l'admire. C'est la fille que j'aime. Elle se livre sans restriction à ce pervers qui lui fait bouffer sa bite en vrai salaud.
Une fois à genoux. Une fois assis sur la chaise. Une fois debout. Ce vicelard tente toutes les positions. C'est un show.
Même Ly-Yang cesse parfois de sucer pour voir pourquoi Clémentine glousse, pousse de petits cris en gémissant tant.
Ce salaud l'emmène aux chiottes. Il me fait un clin d'œil. J'entends rapidement les petits cris de Clémentine. Je sais.
Je demande à Ly-Yang : < Tu veux de la pisse aussi ? >. Elle cesse de sucer pour répondre : < Tout ce que tu veux ! >

J'entends Clémentine. J'entends les gifles sonores qu'elle se ramasse aux chiottes. Ils reviennent. Elles est trempée.
Il la fait mettre à genoux. Il la tient en me montrant sa gueule trempée de pisse. Et les cheveux qui collent partout.
Il enfonce sa bite en criant. Le salaud éjacule. Il tient bien la fille qui toussote. Elle tente de se retirer. Et rien à faire.
Wong lâche enfin Clémentine qui se lève pour courir aux toilettes. Je l'entends cracher, tousser. Dégueuler peut-être.
Elle revient. Toute pâle. Une serviette sur la tête. < Viens ! > me crie t-elle. Je me lève d'un bond. Elle veut s'enfuir.

Comme toujours, après le plaisir, ce qu'elle vient encore de vivre, Clémentine n'a qu'un désir. Se retrouver avec moi.
Nous quittons les Wong. Nous nous verrons demain matin au petit déjeuner. Nous montons dans notre chambre. Vite.
Clémentine se lave les cheveux. Je les lui sèche. Elle a repris ses esprits et me donne ses impressions. < Génial ! >
Une fois encore Clémentine s'est retrouvée livrée aux exactions d'un véritable pervers. Elle en raffole. Elle adore ça.
Au lit, je lui offre un suçage de clitoris qui lui procure un orgasme délirant. La totale. Remettons le miens à demain…

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent être livrées aux jeux d'un véritable vicelard, pervers et jouisseur…

Julien - (Qui écoute les dernières impressions de Clémentine qui s'endort serrée contre lui. Paris, c'est superbe) -

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Un matin vicieux avant une journée touristique

Hier matin, jeudi, je suis réveillé par un léger froissement régulier des draps. Le matelas bouge. Presque imperceptible.
Clémentine sait lorsque je me réveille. Ma respiration change. Aussi, elle cesse de se masturber et se serre contre moi.
< J'ai fait un rêve cochon ! > me chuchote t-elle. Je lui propose de me le raconter durant notre virée touristique du jour.
Nous nous précipitons aux toilettes. Il est presque 8 h. Nous nous habillons. Clémentine est toute excitée. C'est génial.
Dans l'ascenseur, elle me palpe la braguette en me faisant plein de bises. < Merci pour hier soir ! > me murmure t-elle.

Je dis : < C'est Mr Wong qu'il faut remercier ! >. Nous rigolons comme des bossus. Nous sommes morts de faim. Bien.
Les Wong sont déjà installés à une des tables du fond dans le réfectoire de l'hôtel. Ils nous font un grand sourire. Joie.
Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Wong évoque la soirée de hier. Il félicite Clémentine, sa façon d'être.
Clémentine me fait du pied sous la table. Ly-Yang me jette de petits coups d'œil évocateurs. Elle sont si belles ce matin.
Dans le flot de la discussion, nous apprenons qu'ils ont leur avion à onze heures ce matin. Qu'ils ont une heure de libre.

< Pourquoi ne pas s'éclater avant de nous séparer jusqu'à Noël ? > fait Wong à Clémentine en mimant une pipe. Rires.
Clémentine me jette un rapide coup d'œil. J'ai un signe de tête affirmatif. En plus, ses règles sont terminées. C'est bien.
Je dis à Wong : < Si tu te démerdes bien, tu vas même pouvoir la sauter ! >. Clémentine pose sa tête sur mon épaule.
Ly-Yang pose sa main sur la mienne. < On monte ! > fait Wong en se levant. Clémentine se lève en m'entraînant. Joie.
Nous voilà dans l'ascenseur. Wong passe sa main entre les cuisses de Clémentine qui se laisse tripoter, tenant ma main.

Je passe ma main sous la jupe de Ly-Yang. Elle ne porte rien. Je découvre une chatte humide et terriblement invitante.
Nous entrons dans la chambre des Wong. Ly-Yang demande à Clémentine : < Je peux baiser avec ton mec ? >. Silence.
Wong n'attend pas la réponse de Clémentine qu'il soulève pour la jeter sur le lit. Elle délasse ses baskets. Tout va vite.
Wong lui retire son jeans, sa culotte et son T-shirt. Elle est totalement nue. Il se déshabille avec une rapidité sidérante.
Il bande comme un taureau. Sa petite bite identique à un Nem. Ly-Yang s'est mise à genoux devant moi. Je sors le Zob.

Wong enfile un préservatif jaune. Il se couche sur Clémentine qu'il pénètre doucement mais de façon très adroite. Précis.
Je peux admirer ce merveilleux spectacle matinal. Ma compagne adorée qui se fait sauter par un véritable salopard. Bon.
Elle a passé ses jambes autour des hanches de Wong. Il est bien plus petit qu'elle. Elle se suspend à son cou pour bouger.
Clémentine ne baise jamais comme ça avec moi. Elle me fait penser à Estelle. Ly-Yang me suce. Je suis dans le fauteuil.
C'est absolument fabuleux de commencer la journée comme ça. Interdiction de baiser avec ma magnifique vietnamienne.

Cela ne me frustre pas le moins du monde. J'ai toujours préféré me faire sucer que de baiser. Je suis donc là au paradis.
Clémentine aussi. Je la vois tenter d'esquiver la bouche de Wong. Il essaie de lui rouler un patin. Elle joue. C'est superbe.
Je bande comme un priapique en phase terminale. J'entends les gargouillis de mon foutre dans la bouche de ma suceuse.
Ly-Yang me pompe comme si sa vie en dépendait. C'est fabuleux. Là-bas, sur le lit. Clémentine se fait sauter. C'est beau.
Wong est arrivé à ses fins, l'enfoiré. Le voilà qui bouffe littéralement la bouche de Clémentine qui gémit de plaisir. Super.

La gymnastique, ce matin n'a strictement rien à voir avec celle des autres jours. Mais toute aussi gratifiante, fameuse.
Ly-Yang se masturbe d'une main et me caresse le visage de l'autre. Cette femme est d'une douceur exquise. Orientale.
Une série de râles. Des cris. Wong est entrain de jouir comme le dernier des pervers, enfoncé à fond dans la fille. Bien.
Clémentine le repousse. Il se couche sur le dos. Elle lui retire la capote qu'elle vide entièrement dans sa bouche. Fou.
Même lui observe Clémentine sucer l'intérieur de la capote qu'elle a retourné. < Incredible slut ! > s'écrie Wong. Rires.

Je force Ly-Yang à cesser sa pipe avide. Je veux garder mon foutre pour Clémentine. Et pour plus tard dans la journée.
Clémentine s'habille. Nous saluons les Wong. Ils doivent se préparer. Leur taxi arrive dans trente minutes. Il est 9 h30.
Dans l'ascenseur, serrée contre moi, Clémentine me donne ses impressions. C'était si génial de se faire baiser ce matin.
Elle me confie ne pas avoir été jusqu'à l'orgasme. Je lui avoue ne pas avoir éjaculé. Nous prenons notre douche. Super.
Nous nous lavons les dents. Je me rase. Nous nous habillons. Il fait le même temps que hier. Le ciel gris mais lumineux.

Nous reprenons les mêmes rues que hier pour descendre jusqu'à la place de l'Opéra. Puis direction le Trocadéro. Parfait.
Nous marchons vite. Cet exercice compense largement l'absence d'entraînement du matin. Et nous ne culpabilisons pas.
J'ai les billets. Il faut se mettre dans la file de droite. L'ascenseur nous monte au premier étage de la Tour Effel. Vertige.
Clémentine et moi, nous sommes sujets au vertige. Nous restons serrés fort. Nous évitons de regarder vers le bas. Dur.
Notre truc c'est de regarder au loin. La vue sur Paris est fantastique. Clémentine prend des photos. Il y a un monde fou.

L'ascenseur pour le second étage. Je prie Clémentine, en lui chuchotant dans l'oreille, de ne pas être trop salope. Rires.
Il y a des caméras partout. Ce qui ne l'empêche évidemment pas de se blottir contre moi pour me toucher la braguette.
Nous attirons inévitablement l'attention. Cet homme d'âge mûr contre lequel se frotte une jeune fille. Nos hautes tailles.
Troisième étage. Clémentine m'avoue avoir la nausée à cause du vertige. Et c'est vrai que c'est vertigineux. 350 mètres.
Le malaise me gagne à mon tour. C'est con. Nous le savons. Mais impossible de lutter. Nous ne nous attardons pas. Dur.

Les ascenseurs de la Tour Effel sont comme des trains. Il y a un horaire. C'est toutes les dix minutes aujourd'hui. Attente.
Une fois de retour sur le plancher des vaches, nous connaissons un soulagement mêlé à un sentiment de honte. Minable.
Moi qui voulait manger dans le restaurant de la Tour Effel ! Nous rions de bon cœur tout contents d'être en bas. Poilade.
Il est 13 h30. Nous sommes morts de faim. Il y a "Les Huitres et le Saumon du Passy". Restaurant près de l'esplanade.
Il y a de la place. C'est un établissement spécialisé en fruits de mer. Inutile de dire que nous y faisons un repas de roi.

La salle n'est pas pleine. C'est un endroit très élégant, luxueux et le personnel exemplaire. Des gens souriants. Magique.
Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes. Nous nous enfermons dans un des cabinets des WC homme. C'est bon.
Je la tiens. Elle ne s'assoit jamais pour pisser dans les chiottes publiques. Je lui lèche la chatte en parfait contorsionniste.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet avant de s'accroupir pour me la téter. Je lui caresse la tête. Elle pompe. Délice.
Comme toujours, nous abusons. Nous y restons une bonne dizaine de minutes. Quelques regards troubles en ressortant.

Nous sommes tous deux hyper excités. Il faut dire que la journée a commencé très fort. Et nous traînons un peu à table.
Les coupes glacées sont à la hauteur du prestige de l'établissement. Royales. Sublimes. L'addition. Nous voilà au dehors.
Nous longeons la Seine. Le Musée d'Orsay. Le quai Branly. 30 minutes d'une marche rapide et voilà St Germain des prés.
Tout le quartier garde un certain folklore du temps jadis. Clémentine m'entraîne souvent dans un recoin pour me tripoter.
Elle m'embrasse avec tant de fougue que nos mentons suintent de nos salives. Ça me fait toujours hyper bander. Super.

"L'heure Gourmande". Ce salon de Thé est une véritable invitation à la gourmandise. Pourquoi ne pas y sacrifier ? Parfait.
Il est 16 h30. La baise de la matinée, les émotions de la Tour Effel, les cochonneries dans les chiottes, méritent une glace.
Il y a du monde. Je demande à Clémentine de rester d'une extrême prudence et d'une certaine réserve. Un éclat de rire.
< Mais je t'aime ! Je m'en fout des regards. Je suis tellement heureuse ! > fait Clémentine en s'asseyant sur mes genoux.
Là, devant les clients amusés, Clémentine est assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, à me faire des bisous.

Cela devient passionnant pour les spectateurs quand elle se lève pour m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Rires.
C'est tout de même gênant. Surtout pour moi. Pareil. Enfermés dans un des cabinets du WC homme, ce sont nos rituels.
Cette fois, ce sont quinze bonnes minutes. Nous sommes à Paris. Il y a pas mal de petits malins qui viennent là aux WC.
Nous les devinons écouter aux portes. Nous en avons la confirmations en ressortant du cabinet. Deux "écouteurs". Rire.
Nous nous lavons les mains. Les deux mecs sans gêne qui se paluchent au dessus des urinoirs. Typiquement parisiens !

Il est 17 h30. C'est notre dernière soirée à Paris. Clémentine voudrait remonter sur Montmartre. Je propose un taxi. Bien.
Il est 18 h lorsque le chauffeur nous dépose au pied de la butte. A hauteur du Moulin de la Galette. Et devant l'antiquaire.
Nous marchons d'un pas rapide. Pour éviter les désagréments, nous réservons une table au "Perroquet Vert". C'est super.
Deux places à une petite table à côté de la fenêtre, pour 20 h30. Rassurés, nous pouvons flâner tant que nous le voulons.
Il y a une fille qui nous accoste. Elle propose de dessiner notre portrait. Je sais que c'est souvent "clandestin" et interdit.

Clémentine et moi, nous aimons vivre dans une transgression permanente. En voilà une autre possibilité. Nous acceptons.
Pour que la jeune fille puisse prendre son temps, je propose de faire ça à l'écart. Sous un des porches, comme trois potes.
Ainsi elle peut travailler dans de bonnes conditions. Nous posons à l'abri des regards. Clémentine me touche. C'est super.
La jeune fille dessine, amusée et plutôt complice. Dix minutes d'un trait virtuose et nous voilà superbement représentés.
Je lui laisse ma carte. Je lui donne un pourboire royal. Elle a gagné sa journée sur ce coup. Et éperdue de reconnaissance.

Elle se présente. "Sophie". Elle découvre que je suis peintre. Sur mon smartphone je lui montre quelques toiles. Créations.
Sophie est étudiante aux Beaux-Arts et rêve d'épouser une carrière de peintre. Nous sympathisons. Elle est belle en plus.
Petite. Brune. Menue. Pleine de charme et de candeur, 21 ans, elle accoste les touristes avec retenue. Dans la discrétion.
Clémentine lui dit : < Venez donc passer quelques jours chez nous durant vos vacances. Il y a là un atelier de peintre ! >
Sophie nous laisse ses coordonnées. Avec le billet de 100 euros que je viens de lui donner, elle peut s'arrêter de dessiner.

Nous l'invitons au restaurant. Elle accepte avec une joie qu'elle dissimule mal. Etudiante provinciale à Paris. Les "galères".
Nous passons la soirée avec Sophie qui nous entraîne dans les ruelles. Nous faisons ainsi connaissance. C'est surprenant.
Lorsqu'on est en couple avec une jeune fille de 22 ans, il est très simple de faire la connaissance d'autres filles de cet âge.
Je sais évidemment saisir les opportunités. Et surtout avec la complicité de Clémentine qui a toujours une arrière pensée.
Elle me chuchote d'ailleurs celle de ce soir. Trois à l'hôtel. Hélas, Sophie partage une colocation avec une autre étudiante.

Nous passons la soirée devant un repas délicieux. Nous recommandons le "perroquet Vert" pour la qualité de sa cuisine.
La qualité de son accueil. Montmartre est un véritable village isolé au sommet de sa butte. En plein Paris. C'est si génial.
Il est 23 h lorsque nous laissons Sophie rejoindre sa "copine". Rendez-vous est pris. Et elle viendra passer un Week-end.
La jeune fille a évidemment compris quel genre de couple nous formons. Cela semble beaucoup l'intéresser. Et l'épater !
Nous rentrons en taxi. Trop crevés. Au lit, nous tentons des trucs. Epuisés. Clémentine s'endort contre moi. Murmures.

Bonne soirée à Montmartre à toutes les coquines qui aiment se faire "croquer" le portrait par une petite vicieuse…

Julien - (Qui écoute les dernières révélations de Clémentine. < Sophie est probablement une petite vicieuse ! > Dodo) -

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Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 953 -



Nous avons notre train à 14 h. Le retour…

Hier matin, vendredi, je suis réveillé de la même façon. Un léger froissement régulier des draps. Le matelas qui tremble.
Clémentine cesse de se masturber pour se blottir contre moi en chuchotant : < J'ai encore fait un rêve très cochon ! >
Nous rions de bon cœur en nous offrant plein de papouilles. L'envie de pisser est telle que nous allons au WC en courant.
Morts de faim, nous nous habillons à toute vitesse. Dans l'ascenseur, Clémentine me palpe la braguette. Serrée très fort.
C'est la fin de notre pain bio. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. A notre table un couple d'Allemands. Joie.

Il est 8 h30 lorsque nous sommes à nouveau dans notre chambre à pratiquer notre aérobic, nos abdos en intensité maxi.
Le jogging nous manque cruellement mais c'est un peu compliqué de courir dans ce quartier du 17ème arrondissement.
La douche. Il fait plutôt doux. Il y a une alternance de soleil et de nuages. C'est très sympathique. Nous nous habillons.
Nous préparons notre valise. Nous avons notre train à 14 h. Un plan B si nous devions êtres pris en otages par la SNCF.
L'avion. Il y a des places. Et les billets de dernières minutes ne sont pas un problème. Notre valise à la réception. Super.

Nous remontons la rue des Batignolles jusqu'à la Place de Clichy. Nous errons un peu sur le boulevard. C'est très sympa.
Il y a du monde. Il y a presque une atmosphère printanière. Nous remontons jusqu'à Pigalle. La rue de Douai. Animation.
Dans un des nombreux magasins de musique Clémentine me fait : < Regarde la même guitare que la tienne ! >. Parfait.
C'est effectivement le même modèle américain. Mêmes incrustations de nacre et d'abalone. Mais beaucoup plus récente.
Nous redescendons en marchant d'un bon pas. Il est midi. La faim se fait sentir. Et il y a des restaurants Place de Clichy.

Nous reprenons des plateaux de fruits de mer, spécialités du Wepler, le restaurant où nous avons mangé avec les Wong.
Le cadre y est des plus charmants. Le personnel des plus accueillant et souriant. Clémentine me raconte son rêve. Joie.
Il y est question d'une rencontre avec un inconnu dans un couloir sombre. Un rêve qui fait référence au vieux souvenir.
Un truc qu'elle a vécu dans son adolescence dans le couloir du gymnase où elle s'entraînait. C'est un souvenir amusant.
Un exhibitionniste bien vicelard qu'elle avait surpris à se masturber par la porte ouverte du vestiaire. Un "habitué". Rire.

La salle est presque pleine. Clémentine m'entraîne aux toilettes sous quelques regards inquisiteurs. La différence d'âge.
Nous nous enfermons dans un des cabinets des WC homme. < C'est dans celui-là avec Wong ! > murmure Clémentine.
Je la tient pour pisser. Elle me tient la bite pour en diriger le jet. Elle me raconte comment elle a sucé Wong ici même.
Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle reproduit la scène pour bien m'expliquer. C'est excitant de la savoir là avec Wong.
Nous passons bien dix minutes dans ce cabinet. Nous entendons des bruits de chasse d'eau. D'autres clients qui pissent.

Nous sommes à dix minutes de l'hôtel. L'addition. Il est 13 h15. Il faut y aller. Nous marchons très vite. A l'hôtel. 13 h25.
Nous récupérons notre valise à roulettes. Nous bavardons un peu avec la belle jeune fille de la réception. Voilà notre taxi.
Il est 13 h35. Nous arrivons gare Montparnasse pour 13 h55. Tour de force dont sont coutumiers les chauffeurs parisiens.
Nous voilà sur le quai No 3. Notre TGV est là. Il y a du monde. Nous avons de la chance. Notre train circule. Rassurant.
Il y a toujours beaucoup plus de place en première classe où nous choisissons notre banquette. Et c'est parfait. 14 h10.

Le train s'ébranle. Clémentine me confie sa joie de rentrer. < C'était bien Paris. Mais je n'y reviendrai plus ! > me dit elle.
< Trop grand. Trop de monde. Pas toujours propre. Bruyant. Trottinettes dangereuses sur les trottoirs ! > fait elle encore.
Nous en rions beaucoup. Le voyage se déroule parfaitement. J'ai posé mon blouson sur mes genoux. J'ai la queue à l'air.
Clémentine me branle en me racontant des choses très excitantes. Je dois l'empêcher de sucer. Peut-être des caméras.
Il est 17 h45 lorsque nous arrivons à la gare. Estelle nous attend sur le quai. Elle se précipite. Elle nous a vu la première.

Elle nous fait plein de bises. Nous sommes si contents de nous revoir. Êtres ensemble tous les trois. Nous restons serrés.
Nous voilà dans la voiture d'entreprise. Je suis assis parterre à l'arrière sur une couverture. Estelle roule avec prudence.
Clémentine raconte notre séjour. Nos péripéties avec les Wong. Le village de Montmartre. Endroit préféré de Clémentine.
Je caresse le cou, la nuque, les joues d'Estelle. Parfois elle lâche le volant d'une main pour me prendre la main. Délicate.
Il est 18 h30. Nous arrivons chez nous. Tous les volets sont ouverts. Estelle est venue aérer dès 16 h. Préparer la bouffe.

La table est mise au salon. Je prends Estelle dans mes bras pour la remercier de toutes ses délicates attentions. Bisous.
Nous montons nous changer. Estelle est déjà en jupe. Clémentine met la jupe légère qu'elle avait emmené à Paris. Belle.
Je mets un jeans propre, une chemisette. Les filles sont en T-shirt. Il fait si bon dans la maison. Radiateurs en hors gèle.
Estelle glisse sa main dans ma braguette pour m'entraîner devant le miroir de l'armoire. < Je dois comparer ! > dit elle.
Elle rajoute : < Mercredi soir j'ai baisé avec parrain. Et je dois comparer une fois encore ! >. Nous en rions de bon cœur.

Clémentine à ma droite. Estelle à ma gauche. Me voilà avec la queue et les couilles à l'air devant le miroir. C'est si drôle.
< Rassurez vous, j'ai mes "petits machins de filles depuis ce matin ! > fait encore Estelle en s'accroupissant. La coquine.
Clémentine soupèse mes couilles. Estelle me suce du bout des lèvres. Clémentine m'embrasse. Je bande. Un vrai salaud.
Je saisi Estelle par sa natte. Je la tiens au plus court. Je la force à se redresser. Je la tiens comme par une laisse. Elle rit.
Clémentine se penche pour sucer un peu à son tour. Je la force à cesser. Je les entraîne toutes les deux dans l'escalier.

Estelle insiste pour faire le service : < Installez vous. C'est une surprise ! > nous lance t-elle, nous entraînant au salon.
Clémentine me confie à quel point elle est heureuse d'être de retour. Il y a encore une semaine de vacances. Sublime.
Estelle revient. Elle dépose une superbe gratin de pommes de terre sur la table. Fumant. C'est donc ça qui sentait bon.
Elle retourne chercher la salade de carottes, une sauce. Une sauce au Roquefort dans laquelle elle a mis des crevettes.
Ce repas nous paraît le plus divin des festins. Nous félicitons Estelle. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.

Estelle nous raconte sa semaine au bureau de l'entreprise familiale. La baise avec parrain mercredi soir dans le garage.
< J'ai fait le montage du film pour demain soir. Tenez vous prêts. Et c'est du sévère ! > fait elle sans donner de détails.
Ce film d'une heure que nous avons réalisé samedi dernier au haras. < Et Juliette filme bien ! > rajoute encore Estelle.
Nous écoutons le principe appliqué par Estelle. Un générique de début, une musique de fond. Le film. Générique de fin.
Nous savons pouvoir lui faire confiance. Et c'est "pro". Nous nous réjouissons pour cette séance de cinéma demain soir.

Nous traînons à table. Les filles sont assises sur mes genoux. Nous rions beaucoup des frasques de Clémentine. Wong.
< T'es la dernière des salopes avec les mecs les plus vicelards ! > fait Estelle pour ponctuer quelques anecdotes. Rires.
Il est 20 h. Je propose aux filles un superbe léchage de minou après la vaisselle. < Mais j'ai mes règles ! > fait Estelle.
Je précise que cela n'empêche pas un bon suçage de clitoris. < C'est moi qui te suce ce soir ! > Répond t-elle. Poilade.
< Avec ma permission ! > rajoute Clémentine. < J'ai mérité ! > lui lance Estelle. Nous en rigolons comme des bossus.

Nous débarrassons. Nous faisons la vaisselle. < Sois salaud avec moi ce soir ! > me supplie Estelle à quelques reprises.
Nous rangeons la cuisine. Estelle m'entraîne au salon par la bite. Clémentine me tient par les couilles. Dur de marcher.
Estelle tire la chaise au milieu de la grande pièce. Elle s'installe, le dossier entre ses cuisses écartées. C'est magnifique.
Je me penche pour regarder. Elle porte une culotte blanche. < J'ai mes "trucs" ! > dit elle, m'attirant à elle par le Zob.
Clémentine prend une autre chaise pour s'installer de la même façon. Elles sont toutes les deux assises sur les chaises.

Je passe de l'une à l'autre pour leurs frotter la bite sur le visage. Elles sont tellement ravies. Elles en gloussent de plaisir.
Je frotte la bite sur les lèvres d'Estelle. Puis sur celles de Clémentine. Elles sont merveilleusement belles toutes les deux.
J'esquive à chaque fois leurs tentatives de me gober le sexe de leurs bouches avides, gourmandes et impatientes. Super.
Je les regarde sucer amoureusement. Je passe d'une bouche à l'autre. Mes lombaires sont douloureuses. Position debout.
C'est un concerto de gémissements, de petits cris, de gloussements. Les filles se regardent sucer. Echanges de ressentis.

J'adore les entendre partager leurs impressions. Sur le goût de mon liquide séminale, sur la quantité, même sa qualité.
Elles se montrent ce qu'elles gardent en bouche. C'est divin. Je bande comme un priapique en phase terminale. Juteux !
Parfois, je me retire. Je me penche pour passer une main sous une jupe. Clémentine est trempée. Estelle a une culotte.
Je les tiens toutes les deux sous le menton, par la nuque ou par les cheveux. Je me comporte en soudard. En hussard.
Pour leur plus grand plaisir. Je me contrôle toujours parfaitement. Mais là, c'est tellement excitant. Je redouble d'efforts.

Lorsque Clémentine suce, c'est Estelle qui raconte une anecdote bien vicelarde. Quand c'est Estelle, Clémentine raconte.
Elles en ont des choses à raconter. Et elles adorent le faire. C'est une sorte d'auto érotisme. Une émulation dans le vice.
Je dois m'assoir. Mes lombaires me font trop souffrir. Les coquines viennent se mettre à genoux sur des coussins. Parfait.
Je suis vautré dans le canapé. Elles me pompent à tour de rôle. Clémentine s'est assise à côté de moi. Estelle est au sol.
La fatigue commence à se faire sentir. Je propose aux filles de monter. Estelle me rappelle qu'elle doit rentrer pour 22 h.

< Je bosse demain matin ! Je reviens en début d'après-midi ! > précise t-elle. Nous sommes un peu frustrés. Dommage.
Il est déjà 22 h15. Je force Estelle à cesser. Elle a la bouche pleine de foutre qu'elle tente de déglutir avec peine. Gluant.
Nous la raccompagnons jusqu'à son auto. La séparation est difficile mais nous pensons à ce qui nous attend demain soir.
Assise dans l'auto, la vitre baissée, Estelle suce encore un peu. Clémentine me tient les couilles. < Tu peux ! > fait elle.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle qui me vide avec gloutonnerie. Nous la regardons partir. Au lit, un cunni à Clémentine.

Bonne soirée de retrouvailles à toutes les coquines qui aiment retrouver la bite bien juteuse de leur complice préféré…

Julien - (Qui offre un somptueux orgasme à Clémentine. Elle se serre contre lui avant de s'endormir heureuse) -

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Un samedi avec une soirée cinéma. "Art & Essai"

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par quantité de délicats bisous qu'on me dépose partout sur le visage.
J'ouvre les yeux. Clémentine souriante et si bienveillante me chuchote des douceurs. Je la serre contre moi et très fort.
Quelques instants d'une tendresse inouïe et nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser voluptueusement. Super.
Il est 8 h. Dehors il y a du soleil. Le thermomètre extérieur indique 13°. Nous mettons nos tenues sport. Enfin cavaler.
Nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. J'ouvre le buffet pour y prendre les biscottes lorsque je découvre le cadeau.

Sans nous le dire, Estelle nous a fait une bien agréable surprise. Il y a des croissants et des pains feuilletés au chocolat.
Il suffit de les mettre au four cinq minutes pour qu'ils retrouvent leurs saveurs. Clémentine fait le café. Je mets la table.
Nous nous faisons plein de bisous. < Je t'aime, Julien, prudence. Je suis amoureuse aujourd'hui ! > me fait Clémentine.
Je la soulève pour la faire tournoyer dans les airs. Elle me couvre le visage de bises, ses jambes m'enlaçant les hanches.
Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de notre séjour à Paris. C'est déjà du passé. C'est bien chez nous.

Nous mangeons de bon appétit. Les croissants ainsi que les petits pains au chocolat sont le plus merveilleux des miam.
La vaisselle. Nous mettons nos K-ways. Nous voilà à l'extérieur. La fraîcheur et quelques mouvements d'échauffements.
Nous voilà à faire ce jogging tant attendu sur un sol sec dans cette campagne qui a commencé à nous manquer à Paris.
Une heure d'un running des plus agréable et nous voilà de retour. La douche. Nous nous habillons. Il est presque 10 h.
Clémentine porte la jupe carmin qu'elle avait à Paris. Un T-shirt blanc sous sa veste de cuir noir. Et ses souliers de ville.

Sur sa demande, je porte un jeans, une chemise blanche sous ma veste noire. Mes mocassins. Devant le miroir. Bien.
Clémentine s'accroupit à ma gauche, les cuisses largement écartées, sa tête contre ma jambe qu'elle enserre des bras.
< Mon doux "Maître", vous faites de moi la femme la plus heureuse de tout l'univers ! > me fait elle, regard implorant.
Je pose ma main sur sa tête pour dire : < Douce "Soumise", vous faites de moi l'homme le plus heureux du monde ! >
Clémentine frotte ses lèvres contre ma braguette. Je sors ma bite pour la passer sur son visage. Doux gémissements.

Je la laisse sucer un peu avant de la saisir par ses cheveux, délicatement, pour l'aider à se redresser. C'est fantastique.
Nous dévalons les escaliers en riant de ce rituel du "Maître" et de la "Soumise". Et cela nous amuse toujours tellement.
Nous voilà en route pour le bourg voisin et son marché où nous aimons faire provisions de légumes et de produits frais.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite en évoquant celle de Mr Wong qu'elle compare à un délicieux Nem.
Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < J'aime tout particulièrement les différentes sauces, les jus ! >. Rire.

Je gare la voiture. Il fait bien plus doux que ce matin. Nous avons trop chaud avec nos vestes. Je porte les cabas. Bien.
Il y a du monde. Nous faisons provisions de yaourts, de beurre, de fromages, de crème fraîche et d'œufs. C'est parfait.
Quelques mots avec notre artisan fromager habituel. Nous faisons provision de légumes, de fruits. Agriculteur habituel.
Retour à la voiture. Nous rangeons les produits frais dans la glacière branchée sur l'allume cigare et le reste à l'arrière.
Direction la zone commerciale à quinze petits kilomètres. Je roule peinard. Clémentine joue avec ma bite en bavardant.

Je passe ma main droite sous sa jupe pour palper le coton blanc de sa culotte. C'est tout doux et surtout si chaud. Joie.
Je gare l'auto sur le parking. Déjà du monde. Je pousse le caddie. Clémentine nous entraîne, tenant la liste des courses.
La logistique impose de ne rien oublier. Il reste une semaine de vacances. Il faut tout prévoir. Conserves, céréales, etc.
Clémentine, dont la culotte est restée dans la voiture, s'offrirait bien une petite exhibe des familles. Un plan "coquin".
Elle nous entraîne au rayon culturel. Il y a là bien trop de gens pour une exhibe de qualité. Pas d'homme seul ce matin.

Nous parcourons pourtant les allées deux fois. Clémentine qui fonctionne "au radar", scrute avec une grande attention.
Il faut se rendre à l'évidence. Pas de "plan" ici. Clémentine nous entraîne au rayon des vêtements homme. Pas de plan.
< Nothing ! > murmure Clémentine en scrutant le couloir des cabines d'essayage. Là aussi, il faut se faire une raison.
Nous terminons nos courses par la poissonnerie. Nous passons en caisse. Et nous flânons dans la galerie commerciale.
Je propose à Clémentine de me faire un show ! < Génial ! Tu es ma proie ! > me fait elle en s'éloignant à toute vitesse.

Je ne sais pas où elle est allée. Je pousse le caddie nonchalamment. Soudain, là, à gauche, le magasin de chaussures.
Clémentine est là, accroupie à faire mine de regarder un soulier. Elle a les cuisses largement écartées. C'est si sublime.
C'est rien que pour moi. Une exhibition habile. Je joue à l'inconnu. Ça me fait bander terrible. Nous le faisons souvent.
Il y a un type qui arrive. Un mec coiffé d'une casquette, en survêtement, la trentaine. Il tombe sur le spectacle. Super.
Clémentine, trop heureuse de s'offrir un frisson, ne bouge pas. C'est téméraire. Et elle joue avec un risque très calculé.

Le type croit certainement que je suis un voyeur comme lui. Il passe une première fois. Il passe une seconde fois. Bien.
Il s'arrête. Je reste à l'écart. Je fais mine de lire le ticket de caisse. Le bougre mâte à s'en déboîter les globes oculaires.
Il y a d'autres gens qui passent. Mais personne ne fait attention à cette grande jeune fille accroupie dans les godasses.
Il y a une jeune femme qui rejoint notre voyeur. Elle ne se rend compte de rien et l'entraîne par le bras. Show terminé.
Clémentine se redresse pour venir me rejoindre. < Je n'ai pas enlevé ma culotte pour rien ! > dit elle en m'entraînant.

Nous mettons les achats dans le coffre. Nous voilà en route. J'ai la main entre les cuisses de la fille que j'aime. Super.
Elle me tient la queue d'une main ferme. Nous sommes de retour pour 12 h30. Nous rangeons les courses. C'est bien.
Je prépare le bouillon pour les moules. Clémentine s'occupe de la laitue et de son assaisonnement. Je dresse la table.
Dans le Wok, je verse des haricots verts et des petits pois congelés. C'est une cuisson rapide. Les moules sont à l'eau.
Nous montons nous changer. Nous mettre en jeans et T-shirt. On est tellement plus à l'aise. On se tripote aux chiottes.

J'adore me mettre en appétit en léchant le sexe de Clémentine après son pissou et lorsqu'elle est excitée. C'est miam.
Elle adore me sucer juste après la pisse. Récupérer le mélange lorsque je suis excité. Nous sommes de vrais cochons.
Morts de faim nous dévalons les escaliers. L'odeur à la cuisine achève de nous torturer. Nous mangeons de bon appétit.
Nous traînons à table. Clémentine propose une randonnée cet après-midi. Je trouve la suggestion remarquable. Super.
Il y a du soleil, il fait beau. Cette nuit c'est le changement d'heure. Profitons de cette dernière longue journée. Parfait.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. En rigolant.
Comme elle le fait si souvent, du dentifrice aux coins de la bouche, Clémentine imite une pipe avec la brosse à dents.
Je demande : < Et là, tu suces qui ? >. Elle éclate de rire en me faisant : < Oh, certainement encore un inconnu ! >.
Nous rions de bon cœur. Nous voilà prêts. Il est 13 h45. Mon smartphone qui sonne. Clémentine le tire de ma poche.
C'est Estelle. Elle a du boulot au bureau de l'entreprise familiale. Elle ne viendra qu'aux environs de 18 h30. C'est dur.

Dans le petit sac à dos que je porte il y a deux pommes, la bouteille d'eau, des barres de céréale, nos deux K-ways.
C'est parti. Nous descendons jusqu'à la rivière que nous longeons sur trois kilomètres. Jusqu'à la hauteur du haras.
C'est notre parcours habituel. Un autre de nos rituels. Clémentine me suggère de jouer l'exhibitionniste. C'est bien.
Durant notre promenade je me cache donc à plusieurs reprises derrière des arbres, des buissons, des rochers. Joie.
Je jaillis comme un diable de sa boîte pour jouer à l'inconnu qui demande son chemin à cette ravissante jeune fille.

Clémentine joue son rôle à la perfection. Elle interprète la jeune fille choquée, effrayée ou au contraire très amusée.
C'est absolument génial. Souvent notre "sketch" se termine par une courte mais si délicieuse petite fellation sauvage.
Clémentine me confie une fois encore que jamais, dans la réalité, elle ne pourrait faire "ça" à un inconnu. Impossible.
Pourtant c'est mon vieux fantasme d'homme préhistorique. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine m'imite.
Elle mime des masturbations masculines avec une vulgarité que n'aurait pas à lui envier Estelle, grande "spécialiste".

Nous faisons la grande boucle. Quatre heures de marche. Il fait aussi doux qu'un jour de printemps. Nous profitons.
Il est 18 h30 lorsque nous revenons. Estelle est déjà là. La voiture d'entreprise est garée devant la porte du garage.
Elle nous voit depuis la fenêtre de la cuisine. Elle se précipite. Elle nous fait la bise et me saute au cou. Si contente.
Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de mes reins pour me couvrir le visage de bises. Clémentine s'interpose.
Cette façon de se comporter est un jeu. C'est devenu un autre de nos rituels. Nous faisons là le tour de la propriété.

Je sors ma bite pour montrer ce que nous avons fait durant notre promenade de l'après-midi. Estelle adore y jouer.
Elles interprètent toutes les deux des ingénues en promenade tombant sur un exhibitionniste. Un satyre bien vicieux.
Derrière la roseraie. Derrière le garage. Près du potager. Devant un des bassins. Dans la descente de la cave. Super.
Je me fais suçoter par l'une, par l'autre. Je les touche. Nous nous serrons tous les trois, tellement heureux d'êtres là.
Il commence à faire faim. Estelle a commencé à doser des spaghettis et à disposer des ingrédients pour une sauce.

Clémentine s'occupe de l'assaisonnement pour les feuilles de laitue qui reste de midi. Estelle s'occupe de notre sauce.
Je fais bouillir les spaghettis. Je râpe une quantité industrielle de gruyère de Comté et de Parmesan. Nous bavardons.
< Ce soir, c'est cinéma "Art & Essai" ! > fait Estelle en agitant la petite boîte en plastique contenant la clef USB. Rire.
< Attention, ce n'est pas du Chabrol, ni du Visconti, c'est très nettement supérieur ! > rajoute t-elle, éclatant de rire.
Nous sommes évidemment impatients de découvrir ce "chef-d'œuvre". Nous en rigolons comme des bossus. Trop bon.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous remercions Estelle pour les croissants et les pains au chocolat.
< J'aime vous faire des surprises quand vous revenez. C'est ma plus grande joie. Et vous me manquez tant ! > dit elle.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Demain matin, pas de ménage à faire. Tout est encore propre, nickel, en ordre.
Clémentine se précipite au salon. Elle dispose le téléviseur devant le canapé. Elle allume. Estelle lui donne la clef USB.
Relié à l'ordinateur par le câble HDMI, Clémentine y introduit la clef. Elle allume. Immédiatement l'image. Un paysage.

< Je fais gaffe maintenant. Maman qui sait ma passion pour les photos ! Je mets des leurres ! > nous explique Estelle.
Nous nous installons dans le canapé. Sur la petite table basse, des gâteaux secs, la théière fumante. Encas au cas où.
Clémentine tient la télécommande. Estelle glisse sa main dans ma braguette. < J'ai mes règles ! > dit elle, tristounette.
Nous en rions de bon cœur lorsque Clémentine lui fait : < Au moins tu seras moins nympho ce soir. Il reste la pipe ! >
Voilà le générique. En fondu enchaîné apparaissent les bâtiments du haras, les entrées des écuries. Quelques chevaux.

Je félicite Estelle pour se montage avec d'anciennes photos prises ces deux dernières années. C'est absolument parfait.
Le film est d'une netteté incomparable. Du 4 K "pro". Tout cesse. Il y a de la musique classique un peu pompeuse. Joie.
Le générique qui défile nous fait beaucoup rire. Estelle a donné des pseudos rigolos à tous les protagonistes. Amusant.
Clémentine devient "Rosie". Estelle est "Betty". La bite à Gérard est "Brenda" et l'autre est "Mr X". Et c'est trop rigolo.
Nous rigolons comme des bossus. Le film commence. Malgré l'obscurité, l'image est d'une netteté exemplaire. Parfaite.

A l'image, Clémentine à droite, Estelle à gauche. Elles regardent toutes les deux ce petit trou lumineux d'environ 6 cm.
Il éclaire leurs visage. Clémentine a dissimulé le sien derrière un loup en dentelles noires. C'est du plus bel effet. Noble.
Juliette a filmé tout cela avec une virtuosité remarquable. C'est hyper professionnel. Aucun tremblement. C'est parfait.
La bite à Gérard pointe soudain à l'orifice, masquant la lumière. C'est Estelle qui approche sa bouche la première. Bien.
Le sexe à Mr Gérard est tellement minuscule qu'il dépasse à peine de la cloison qui doit faire deux centimètres. Si mou.

La peau fripée du prépuce est luisante. Elle semble même huileuse. On entend Estelle qui demande : < C'est quoi ? >
Clémentine qui répond : < Je sais pas ! Goutte ! >. Je bande. Estelle m'extrait la bite du jeans. Je suis mieux. A l'aise.
Clémentine fait les premiers arrêts sur image. Ce que nous voyons à l'écran est tellement vicelard. Elle se touche déjà.
Estelle aussi a glissé une main dans sa culotte en disant : < Je me suis déjà tellement branlée durant le montage ! >
Clémentine appuie sur "Start". Le film reprend. A l'image on voit les deux filles se refiler la bite molle et bien juteuse.

Juliette a fait des gros plans qui permettent d'apprécier. On voit du jus ruisseller à chaque fois qu'elles se la passent.
Gérard a un tel débit de foutre qu'il est impossible aux filles de sucer proprement sans en mettre partout. C'est génial.
Soudain, de l'autre trou, jaillit le sexe de "Mr X". Là, c'est de la saucisse de Morteau. Une belle bite de 18 cm. Et dure.
C'est Estelle qui s'y précipite la première. Je me souviens que c'est à ce moment que je caressais la nuque de Juliette.
Je me souviens que c'est à cet instant que Mme Walter s'est approchée, s'est mise à genoux pour commencer à sucer.

Clémentine fait plusieurs arrêts sur image. Nous nous masturbons tous les trois en observant. Détails extraordinaires.
A l'écran, Estelle qui contourne Clémentine. Elles s'échangent les queues. Celles de "Mr X" qui commencent à suinter.
Juliette, remarquable virtuose de la caméra, a filmé chaque détails avec un soin minutieux. S'attardant sur le sperme.
On le voit dégouliner sur le menton des filles. Soudain, le premier jet de pisse. Ce salopard de Gérard. Si fantastique.
On voit Estelle se détourner trop tard. Avec la bouche qui ruisselle de pisse. Clémentine qui se précipite pour en avoir.

Clémentine fait un nouvel arrêt sur image. < Je suis tellement salope ! > murmure t-elle en s'admirant dans le film.
C'est leur fantasme à toutes les deux. Déjà adolescentes. Faire l'actrice dans un film pornographique. Jouer à ce jeu.
Il a fallu attendre d'êtres des jeunes filles de 20 ans pour qu'elle passent à l'acte. Dans des films qui resteront privés.
Personne ne verra jamais ces images. Clémentine appuie sur "Start". Le film reprend. On la voit s'en ramasser plein.
Les filles, les bouches dégoulinantes de pisse vont d'une bite à l'autre. Je bande comme un fou. Et c'est douloureux.

C'est absolument prodigieux. D'être assis là, entre les deux filles que je vois à l'écran. Mais c'est inimaginable. Fou !
Nous en sommes tous les trois conscients. La vie nous offre le plus merveilleux des privilèges. Si belles complicités.
Nous sommes souvent en apnée. C'est tellement excitant. Nous reprenons nos souffles en même temps. C'est fou !
Parfois nous nous regardons. Nous sommes obligés de nous serrer fort pour rester dans la réalité. Et c'est si dingue.
A l'écran, on voit les filles se faire pisser au visage par les deux bites. C'est tellement dégueulasse. C'est admirable.

Il y a le grand final. Estelle qui est entrain de dégueuler sur la couverture pliée au sol. Clémentine qui la maintient.
Clémentine qui se fait éjaculer dans la bouche par "Mr X". Une telle quantité qu'il en gicle partout. L'autre qui pisse.
Clémentine qui à son tour est prise de hauts le cœur qui la font dégueuler contre la cloison de bois qui en ruisselle.
Je me souviens que moi aussi, à ce moment précis, j'éjaculais dans la bouche de Mme Walter. C'était si prodigieux.
Je tenais Juliette par la nuque que je pétrissais de mes doigts. Le film s'arrête ainsi. Nous restons comme épuisés.

Estelle a soudain un orgasme qui la fait hurler en se cambrant dans le canapé. Clémentine se masturbe. C'est fou.
Je découvre consterné que les épanchements de ma bite ont maculé tout le haut de mon jeans. Je pourrai juter là !
Clémentine connaît un orgasme extraordinaire. A l'écran il y a le mot "Faim". Dernière plaisanterie d'Estelle. Rires.
Je me lève. Je me branle comme un dingue. Frénétique. Estelle approche son visage. Je lui éjacule dans la bouche.
Nous reprenons nos esprits. Epuisés nous montons en laissant tout comme ça. Pipi. Au lit. Nous plongeons direct…

Bonne soirée de cinéma "Art & Essai" à toutes les coquines qui aiment se voir dans des films pornos persos…

Julien - (Qui écoute les dernières confidences de Clémentine alors qu'Estelle dort déjà. Clémentine veut refaire) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 955 -



Un dimanche de calme dans le stupre habituel

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par les mouvements que fait Estelle serrée contre moi toute la nuit. Une habitude.
Comme une naufragée se tenant à sa bouée, Estelle reste blottie tout contre moi. Ça me réveille souvent plusieurs fois.
Cette fois cela réveille également Clémentine. Il est 9 h. Nous dormons rarement aussi tard. Les filles me font des bises.
Nous restons serrés très fort. Contents de nous retrouver dans notre univers. Tous les trois. C'est un véritable bonheur.
Nous nous chuchotons des douceurs. Nous luttons aussi longtemps que nous le pouvons contre l'impérieux besoin. Pipi.

Comme toujours, C'est Estelle qui craque la première. Elle bondit du lit en s'écriant : < Pipi ! >. Elle se précipite au WC.
Clémentine me chevauche pour me couvrir le visage de bises. < Je t'aime ! > murmure t-elle en mitraille à mon oreille.
Estelle revient, met son pyjama mauve. < Je descends préparer le petit déj, venez vite ! > fait elle avant de filer rapide.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes où nous pissons tous deux dans une délicieuse volupté libératrice.
Nous mettons nos jeans et nos chemises à carreaux avant de dévaler l'escalier pour rejoindre Estelle à la cuisine. Super.

Cette délicate odeur de pain grillé, de café et de brioche fait la joie de nos dimanches matins à trois. C'est merveilleux.
Estelle me saute au cou. Je la soulève. Elle m'enserre de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. C'est sublime.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la soirée, le film et tout ce qui en a découlé. C'était magique, excitant.
Les filles dont le fantasme ultime depuis l'adolescence est de jouer à l'actrice dans un film pornographique sont si ravies.
< Celui de hier soir, est un petit must ! > fait Estelle. < C'est le plus vicelard de ceux qu'on a fait ! > répond Clémentine.

Je dois admettre que la dimension perverse de cette réalisation dépasse les précédentes par son caractère salace. Vice.
Deux bites qui dépassent d'une cloison dans une semi obscurité, deux filles qui s'en régalent jusqu'à en dégueuler. Bien.
< Si je ne dois en garder qu'un, ce sera celui là ! > rajoute encore Estelle. Nous en rions de bon cœur. Film fantastique.
< Alors celui-là, on peut se le mâter encore une fois sous peu ! > conclue Clémentine sous nos applaudissements. Rire.
Nous traînons à table. Ce matin le rituel du ménage est inutile. Tout est encore propre, rangé et net. Un rituel en moins.

Dehors, le ciel est gris mais lumineux. Aucune menace de pluie. La température extérieure est de 18°. Ce qui est parfait.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous rions bien.
Du dentifrice aux coins des lèvres, les filles imitent une fellation. La brosse à dents faisant "bosse" à l'intérieur de la joue.
Nous en rions beaucoup. Je demande : < Ce sont les bites à qui ce matin ? >. Estelle répond : < Moi, c'est la tienne ! >
< Moi aussi ! > rajoute Clémentine. Je sors ma queue. Je l'agite en direction des filles. Je fais : < Elle vous remercie ! >

Estelle se précipite, s'accroupie et se met à la sucer avec passion. < Déjà ! > s'écrie Clémentine qui s'accroupie. Rires.
Elles se refilent ma bite. Je bande mou. < Pouah ! La bite à Mr Schlingo ce matin ! > s'écrie Estelle avec une grimace.
Elle se redresse, ouvre la bouche pour me la faire sentir. C'est vrai. Ça schlingue la queue sale. Clémentine se redresse.
< J'adore ! > fait elle en me faisant sentir également. Nous en rigolons comme des bossus. Le dimanche on reste sales.
Nous macérons dans nos jus. Ainsi, lors de nos petites collations occasionnelles, il y a de quoi savourer le goût naturel.

J'entraîne les filles dans la chambre en les tenant par la nuque. Nous fermons les fenêtres avant de faire le lit. C'est bien.
Estelle s'y allonge, tapote de sa main à côté d'elle, disant : < Je ne dors avec vous que la nuit de samedi à dimanche ! >
C'est vrai. Et j'avoue : < Parfois, ça nous manque. Heureusement qu'il y a les vacances où nous partons tous les trois ! >
Ces prochaines vacances seront aux fêtes de fin d'année, à Edimbourg. Estelle nous rejoindra en avion. Le 26 décembre.
Nous y restons jusqu'au vendredi 3 janvier. < Ce sera génial ! > s'écrie Estelle, qui m'attrape et me fait tomber sur le lit.

Elle me chevauche en riant, frottant son sexe sur le mien. Clémentine assise qui nous regarde. < Les vicieux ! > dit elle.
Je lui caresse le visage. Elle vient se blottir contre moi. Nous regardons et écoutons Estelle toujours assise sur mon sexe.
Nous rions beaucoup des absurdités que nous échangeons encore. Il est 11 h15. Nous décidons du repas de midi. Bien.
Nous descendons prudemment. Les filles me tiennent par le bras. Le pavé de saumon a décongelé. C'est parfait. Super.
Clémentine s'occupe de la salade de tomates et de son assaisonnement. Estelle émince le saumon et les champignons.

La pâte feuilletée décongelée également. Je l'étale dans le moule à cake. Je fais une belle Béchamel. La farine complète.
Les filles évoquent leurs études. Elles ont encore une semaine de vacances. Estelle viendra tous les soirs sauf mercredi.
< Le mercredi, j'ai baise avec parrain au fond de son garage. Il a même prévu un radiateur électrique ! > s'écrie Estelle.
Nous en rigolons comme des bossus. < D'autres ont piscine, toi tu as baise ! > fait Clémentine. Nous en éclatons de rire.
Le feuilleté de saumon est au four. La table est mise. Il y aura le reste des spaghettis de hier en accompagnement. Bien.

Nous sortons nous dégourdir les jambes dans le jardin. Il fait très agréable. Clémentine suggère une rando cet aprème.
Nous applaudissons à cette proposition. < Il faudra se méfier, ces cons ont enlevé une heure ! > fait Estelle. C'est vrai.
< C'est pour ça que nous avons tant dormi ! > s'écrie Estelle. < Surtout parce qu'on s'est branlé ! > corrige Clémentine.
Nous avons passé plus de deux heures et demi à nous masturber comme de vrais dingues hier soir, en regardant le film.
< Regarde mes cernes ! > me fait Clémentine. < Et les miennes ! > rajoute Estelle. Je dis : < Regardez les miennes ! >

Nous faisons le tour de la propriété. Des feuilles jonchent le sol. L'entreprise paysagiste intervient le lundi 18 novembre.
Depuis la roseraie, comme nous avons ouvert la fenêtre de la cuisine, nous percevons la sonnerie du four. Tout est prêt.
Nous nous précipitons, morts de faim. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de cet après-midi.
Il serait dommage de ne pas mettre à profit la douceur de ce climat et ce ciel gris et lumineux que nous adorons. Super.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents. Nous gardons nos vieux jeans et des sweats.

Chaussés de nos baskets, nous voilà à descendre vers la rivière. C'est notre itinéraire habituel. Un autre de nos rituels.
Dans le petit sac à dos que je porte, trois pommes, des barres de céréale, la bouteille d'eau, nos K-ways. Au cas où.
Nous longeons la rivière. Le sol est humide par endroits. Il suffit de les éviter. Les filles me proposent le jeu du satyre.
Je me dissimule derrière des troncs d'arbres, derrière des roches, des buissons, je me branle et je surgis soudain. Joie.
Elles interprètent à la perfection deux ingénues, innocentes, qui se promènent. Lorsque jaillit le "vilain monsieur". Rire.

Nous faisons le circuit de quatre heures. Il est déjà 14 h30. Nous passons à environ 300 mètres, là, derrière les écuries.
Il y a toujours la caravane de monsieur Gérard. Mais il n'y a personne derrière les bâtiments. Nous longeons le ruisseau.
Je reproduis l'activité du satyre en me cachant dans les ruines de la cabane. Les filles arrivent. Me voient me masturber.
Elles restent immobiles à observer. C'est génial parce que nous jouons à la perfection les parfaits inconnus. Je bande dur.
Il faut préciser que ce jeu est hyper bandant. C'est encore plus excitant pour les trois complices que nous sommes. Bien.

Cela se termine le plus souvent en pipe que vient me prodiguer la plus rapide des deux coquines. C'est charmant. Super.
Nous reproduisons ces situations tout le long du parcours. Il faut donc choisir l'option du circuit de trois heures. Poilade.
Il est 18 h30 lorsque nous arrivons dans la nuit. Il fait sombre. Nous n'avions pas prévu qu'elle tombe si vite. 27 octobre.
Morts de faim, nous mettons le reste de feuilleté de saumon à réchauffer avec du riz complet que je fais gonfler. C'est ok.
Clémentine fait une salade de carottes. Estelle met la table. Nous évoquons la semaine de vacances qui nous reste. Joie.

Même si Estelle va passer ses journées à aider au bureau de l'entreprise familiale, elle viendra à partir de 17 h30 / 18 h.
Nous lui promettons de n'avoir aucun projet de départ. Clémentine aime profiter de la maison autant que des vacances.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. < On se regarde le film ce soir ? > demande Estelle. Son air ingénue.
< Tu déconnes ! On va encore se branler toute la soirée. Demain on sera hyper crevés ! > fait Clémentine. Eclat de rire.
Pourtant, la tentation d'une récidive est tellement puissante que nous savons déjà. Nous allons y sacrifier. Inéluctable.

C'est d'ailleurs tellement évident que nous faisons la vaisselle et que nous rangeons la cuisine à toute vitesse. Rigolade.
Nous nous précipitons au salon. Tout est encore en place. Cette fois nous retirons nos jeans et nos slips. Il fait si doux.
Estelle sort la clef USB de la petite boîte qu'elle a toujours sur elle. Elle la tend à Clémentine qui l'introduit dans l'ordi.
Nous voilà vautrés dans le canapé. Clémentine manipule la télécommande. Je bande déjà comme un salaud. Superbe.
Le générique surréaliste concocté par Estelle. La musique de fond, Mozart, complètement décalée. C'est délirant. Joie.

A présent que nous savons ce que nous allons voir, c'est encore bien plus excitant. Clémentine fait des arrêts sur images.
Bien évidemment sur les scènes les plus épiques. Scènes plutôt nombreuses. Ce qui s'est passé là est tellement intense.
Clémentine à ma gauche, se touche d'une main, manipule la télécommande de l'autre. Estelle à ma droite se masturbe.
De sa main libre elle me tient fermement la queue en me disant : < Toi ! Interdit de te branler ! C'est moi qui le fait ! >
La coquine est tellement occupée à se masturber qu'elle en oublie de me branler. C'est charmant et cela m'amuse tant.

La soirée se passe ainsi. J'invite le lecteur à bien relire le récit de hier pour en saisir toute la substantifique moelle. Joie.
Nous sommes épuisés bien avant un quelconque orgasme. Je propose à Estelle de passer la nuit avec nous. Elle hésite.
< C'est trop dur le matin ! > fait elle profondément frustrée de devoir rentrer. Nous comprenons. Il est déjà 22 h15. Dur.
Estelle récupère la clef USB. Nous la raccompagnons jusqu'à son auto. La séparation est presque douloureuse. Difficile.
Au lit, avec Clémentine, nous nous offrons une partie de cul démentielle. Excités par le film. Nous sommes crevés. Dodo.

Bon dimanche à toutes les coquines qui aiment les jeux cochons durant la balade et mâter des films pornos le soir…

Julien - (Qui s'est régalé du croupion de Clémentine. Intarissable source à cyprine. Il lui a juté au fond de la gorge) -

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Un lundi à la divine perfection

Hier matin, lundi, je suis réveillé par ce léger froissement de draps si caractéristique. Légers tremblements du matelas.
Clémentine sait que je viens de me réveiller. Ma respiration change. Elle cesse de se masturber et se serre contre moi.
< J'ai fait un rêve très cochon ! > chuchote t-elle en se blottissant. Je lui caresse le visage. Elle me fait plein des bises.
Il est 8 h30. Je lui propose de me raconter son rêve à la cuisine devant un bon petit déjeuner. L'impérieux besoin. Pipi.
Morts de faim nous dévalons l'escalier. Je presse quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Et il reste de la brioche.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors il pleut. Il fait sombre. C'est sinistre. Une température de 8°.
Clémentine me raconte la cause de son tourment érotique. Il y était question de Gérard, du trou dans le mur. De pipes.
Nous rions de bon cœur lorsque je ponctue certains passages par cette phrase laconique : < Et c'est comme en vrai ! >
Assise sur mes genoux, Clémentine me donne un luxe de détails salaces. Les trucs qui la font le plus souvent dégueuler.
Nous en rigolons comme des bossus car cette fois son rêve se déroulait carrément dans le salon de Juliette. Un orifice...

La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure de gymnastique. Le jogging sur les tapis roulants. Les abdos.
Les charges additionnelles. Tout cela dans la bonne humeur et afin de palier à la frustration de ne pouvoir courir dehors.
Une heure d'un entraînement très agréable. La douche. Nous nous habillons. Clémentine a allumé les radiateurs. Frais.
Nous allons dans l'atelier. Clémentine allume l'ordinateur. Il y a deux courriels. Nous découvrons le message de Juliette.
Et, surprise, celui de Sophie, la jeune artiste rencontrée à Montmartre. Juliette qui nous rappelle l'invitation demain soir.

Sophie qui nous remercie pour la soirée de jeudi. Elle dessine tous les après-midi des portraits de touristes. Clandestine.
Le portrait qu'elle a fait de nous est sur le bureau du salon. Je vais l'encadrer sous verre. Et il est tellement ressemblant.
Nous répondons. Nous confirmons à Juliette notre présence pour le repas rituel du mercredi soir. Nous y serons à 19 h45
Nous rappelons à Sophie qu'elle est la bienvenue si elle désire venir passer quelques jours chez nous, loin de Paris. Bien.
Clémentine surfe un peu sur le site de l'université. Il y a quelques informations sans réels intérêts. Je regarde ma toile.

Ce petit paysage d'un format F6, (41 x 33 cm). Cette neuvième œuvre de commande. J'y travaillerai à nouveau demain.
Nous traînons rarement. Le désœuvrement étant pour nous une notion totalement étrangère. Il y a toujours à faire. Bon.
Assise sur mes genoux, Clémentine scrute cette toile en voie d'achèvement. Elle commente la composition de l'ensemble.
Je réalise ce tableau d'après une ancienne photographie en noir et blanc remise par le commanditaire. Photo années 30.
La stupide musique de mon smartphone qui résonne depuis la table. Clémentine qui se précipite. C'est Julie, la serveuse.

Julie s'excuse. Elle confirme qu'elle ne pourra pas venir en soirée. Il y a un anniversaire dans sa famille. Une petite fête.
Nous nous reverrons au plus tard lundi prochain. Nous mettons nos anoraks. Nous sortons sous une pluie battante. Dur.
A l'abri sous notre immense parapluie nous parcourons cette partie de la propriété. Nous restons sur les dalles de grès.
C'est une météo épouvantable. Les feuilles jonchent le sol trempé sur lequel elles s'agglutinent et collent. Il y a du vent.
C'est une véritable journée d'automne dans ce qu'elle a de plus détestable. Nous sortons l'auto du garage. Il est 11 h30

Cet après-midi, Clémentine a rendez-vous. Son gynéco. Je l'accompagne car nous irons faire quelques courses en ville.
Nous rentrons. Clémentine s'occupe de la salade. Une laitue dont elle lave les feuilles pour midi et pour ce soir. Parfait.
J'épluche les patates, les carottes, l'ail, l'oignons. Je coupe le tout en petits morceaux grossiers avec un peu de choux.
Ce sera la première potée de la saison. Nous en faisons également pour le repas de ce soir. Il suffira de tout réchauffer.
Je pane deux filets de cabillaud. Je les passe d'abord dans l'œuf puis dans la chapelure. Je fais dorer à la poêle. Doux.

Clémentine se blottit souvent contre moi. Comme avant chaque visite chez le gynécologue, aucune excitation. Poilade.
J'ai malgré tout la queue à l'air sous le tablier. J'ai pour obligation d'avoir toujours ma braguette ouverte à la maison.
Je remue la potée. Clémentine remue la salade. Nous mettons la table. Il est 12 h15. Nous mangeons de bon appétit.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns.
Clémentine se rince la chatte à l'eau tiède, assise sur le bidet. < Propre pour le gynéco ! > fait elle en éclatant de rire.

Nous nous habillons "ville". Mais ville sous la pluie. Il fait plutôt frais. La température ne dépasse pas 10°. Lamentable.
Clémentine et moi portons un jeans identique. Nos éternels 501. Une chemise blanche sous un pull bleu nuit. Jumeaux.
Nos souliers de villes. Noirs et presque semblables "Parabout". Nos blousons de cuir noir. Nos écharpes de laine noire.
Clémentine m'entraîne devant le miroir. < Regarde comme on est beaux tous les deux. Même avec ce temps pourri ! >
Pas question d'interpréter nos rôles du "Maître" et de la "Soumise". Clémentine désire éviter les sécrétions de cyprine.

Nous en rigolons comme des bossus. Il est 13 h45. Le rendez-vous est à 14 h30. Le timing parfait. Nous descendons.
Je roule prudemment. Rendez-vous chez le gynéco. Ce qui n'empêche nullement Clémentine de jouer avec ma queue.
Douze petits kilomètres. Nous arrivons en ville. La circulation est fluide. Je gare la voiture dans la ruelle du praticien.
Il faut s'abriter sous le parapluie. Nous sonnons. Nous montons à l'étage. Nous voilà dans la salle d'attente. 14 h25.
Il y a deux autres femmes. Je suis le seul homme. Le docteur qui entre dans la salle d'attente. Il invite Clémentine.

Je prends un magasine féminin. Le "Figaro Madame". Je feuillette. La visite ne dure pas plus de 20 minutes. C'est fini.
Nous descendons l'escalier. Clémentine m'attrape par la braguette, se serre contre moi et fait : < Tout va très bien ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Et je vais même pouvoir me surpasser ! >. Elle m'embrasse.
Nous sommes à dix minutes du centre. Nous laissons l'auto. Nous marchons vite. Il y a là très peu de monde le lundi.
Nous montons à la FNAC. Maintenant que la visite et l'examen sont terminés, Clémentine peut à nouveau "mouiller".

Nous en rions de bon cœur. Peut-être y aura t-il là une petite opportunité d'exhibe discrète. Il y a si peu de badauds.
Il y a des hommes seuls, des femmes seules. Mais aucune réelles opportunités de qualité. Malgré ruses et stratégies.
Personne ne fait vraiment attention à nous. A clémentine. Même lorsque je reste en retrait. Elle pourtant si attractive.
Une belle et grande jeune fille, en jeans serrés, en blouson de cuir noir, ses longs cheveux noirs qui flottent en liberté.
< C'est à désespérer de tout ! > me chuchote Clémentine en effleurant discrètement ma braguette devant un rayon.

Nous errons dans la grande librairie. Nous descendons aux rayons des disques, de l'informatique et de la téléphonie.
Il y a Darty qui s'est associé à la FNAC. Nous visitons les rayons de machines à café, les mixeurs et robots ménagers.
Rien de passionnant par ce morose lundi après-midi où tout semble fonctionner au ralenti. Nous quittons. Il est 17 h.
Nous retournons à la voiture. Dans l'auto, je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Je la touche un peu.
Il est 18 h lorsque nous sommes de retour. Nous n'avons pas de meilleur remède à la morosité que le sexe. Parfait.

Il fait bien chaud dans la maison. Nous montons nous changer. Du bruit en bas. C'est Estelle qui arrive. C'est super.
On l'appelle. Estelle qui monte à toute vitesse. Nous sommes en slips à faire les pitres devant le miroir de l'armoire.
Estelle, assise sur le lit, nous raconte sa journée de bureau dans l'entreprise familiale. Nous racontons l'après-midi.
Clémentine s'assoit dans la chaise à bascule. Là, vautrée dans le rockingchair elle prends la position "gynéco". Rire.
< Docteur, voulez-vous bien contrôler ce sexe qui embelli mon existence, me procure de doux frissons ! > dit elle.

Je me mets à genoux, la tête entre les cuisses écartées de Clémentine pour humer, scruter, faire un "frotti". Rires.
< J'aurai les résultats quand ? > demande encore Clémentine en appuyant ma bouche sur son clito géant. Poilade.
Estelle, accroupie derrière moi, a glissé sa main dans mon slip. < Voilà une visite plaisante ! > dit elle en massant.
Je suce le clito géant de Clémentine qui me tient par les oreilles pour me guider et bien appuyer sur ma tête. Fort.
C'est génial. Estelle s'est glissée entre le rockingchair et moi. Elle a sorti ma bite qu'elle suce avec avidité. Sublime.

Nous restons ainsi un long moment. Clémentine esquive un premier orgasme en me repoussant délicatement. Super.
Je propose d'aller nous préparer à manger. Je suggère une bonne "chattes party" au dessert. Un léchage de minous.
Nous mettons nos vieux jeans de maison. Nous dévalons les escaliers sans nous lâcher. Nous nous serrons très fort.
Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Estelle prépare l'omelette. Je réchauffe la potée. Bien.
Tout va vite. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons les séances de cinéma du Week-end.

Nous traînons à table. Les filles, assises sur mes genoux évoquent cette semaine de vacances qui les attend encore.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles m'attrapent par le bras pour m'entraîner au salon. Je les comprends.
Elles retirent leurs jeans et leurs culottes. Les voilà à quatre pattes sur l'épais tapis, les bras en appui sur le canapé.
Elles me présentent leurs culs sublimes. Je suis à quatre pattes. Comme un clébard, je viens renifler la raie du cul.
Celle de Clémentine sent la fille négligée. C'est remarquable. Cela ne me dérange plus vraiment. Ça schlingue fort.

Je surmonte quand même une légère nausée en lui nettoyant le cul. Ses muqueuses ont mouillé ses poils. Ça colle.
Le goût est acide. C'est assez gerbeux. C'est aussi très rapidement excitant. Je passe au cul si clean de Clémentine.
Je me couche sur le dos afin de pouvoir glisser mon visage entre leurs cuisses. Elle se frottent sur ma tronche. Fou.
Elles se masturbent tout en m'imposant un "facesitting" de derrière les fagots. J'ai le visage trempé de jus de filles.
Ça picote en séchant. Elles se lèvent pour se vautrer dans le canapé. Cuisses écartées, elles m'offrent leurs chattes.

Je me régale comme un bienheureux. J'ai nettoyé la chatte d'Estelle. Elle doit éviter le plaisir qui la submerge. Dur.
La seule façon c'est de m'attirer sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. C'est l'effet contraire. C'est pire.
Je me retire. Je pénètre Clémentine. Je passe de l'une à l'autre. Estelle connaît un orgasme qui la fait hurler de joie.
Je la lèche encore un peu. Il est déjà 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à son auto sous le parapluie. C'est dur !
Au lit, j'offre à Clémentine un merveilleux cunnilingus. Son orgasme est tout aussi merveilleux. Epuisés. C'est dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire nettoyer le cul et la chatte par un gentleman attentionné...

Julien - (Qui écoute les dernières impressions de Clémentine. Blottie contre lui, en s'endormant doucement) -

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Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 957 -



C'est si bien d'être en vacances et à la maison

Hier matin, je me réveille le premier. Sur ma gauche clémentine qui dort encore. Sur le dos, sa bouche entrouverte.
Comme elle est belle dans ce total abandon. Je partage sa vie. Mon privilège me pétri d'émotion. Léger ronflement.
Son infaillible sixième sens vient de la prévenir. Elle ouvre les yeux. Elle me surprend à l'observer. A l'admirer. Joie.
Elle se serre contre moi en murmurant : < Je t'aime Julien. Je suis bien avec toi ! >. Je couvre son visage de bises.
Nous luttons contre l'irrépressible envie de pisser. Il est 8 h15. Dehors, il pleut. Nous nous précipitons aux toilettes.

Morts de faim, nous mettons nos tenues de sport avant de dévaler les escaliers jusqu'à la cuisine. Il fait un peu frais.
Les radiateurs fonctionnent sur thermostat. Nous préparons notre petit déjeuner. C'est le second mardi de vacances.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme de la journée. Avec cette météo, c'est facile.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure de gym. Les charges additionnelles.
Le jogging sur tapis roulant, nos abdos. En courant, nous visionnons un film tourné en Ecosse. Et près d'Edimbourg.

La douche. Nous mettons nos vieux jeans et nos chemises à carreaux. Nos espadrilles catalanes, semelles de cordes.
Nous descendons. Clémentine m'entraîne par la main dans l'atelier. Nous allumons l'ordinateur. Un message. Estelle.
Elle est au bureau de l'entreprise familiale. Elle nous remercie pour la soirée de hier et se réjouie pour celle qui vient.
Nous répondons en joignant une photo prise à l'instant. Nous y faisons une horrible grimace façon Halloween. Rires.
Clémentine se rend sur le site de l'université. Le programme de la seconde partie de ce premier trimestre s'y affiche.

Il est 10 h. Nous mettons à profit cette météo déplorable pour travailler un peu. Clémentine va prendre de l'avance.
Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Ce petit paysage de commande à terminer. La toile No 9.
Si je peins encore trois heures cet après-midi, cette neuvième œuvre de commande sera terminée. Il en reste une.
Nous adorons ces séances de labeur silencieux ponctuées de cris surréalistes que nous poussons en cœur, en riant.
Clémentine imite les miens. Nous les modulons longuement. C'est tellement drôle que nous nous rejoignons. Bises.

La matinée passe ainsi. Il fait tellement sombre qu'il faut travailler sous les lumières artificielles. C'est vraiment dur.
Il est midi. Clémentine m'entraîne par la main à la cuisine. Elle s'occupe de la salade de tomates, l'assaisonnement.
Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je coupe le poireau en petits morceaux que je fais bouillir. La belle pâte à pain.
Ce sera pour la tarte aux poireaux qui fait la joie de nos mardis soirs. Cette délicieuse Flamiche Picarde. Un bonheur.
Je récupère un peu de Béchamel en sauce d'accompagnement de nos coquillettes. Clémentine qui râpe le Parmesan.

Quelques gambas décongelés directement dans la poêle et nous savourons un simple mais exquis repas. C'est super.
Nous mangeons de bon appétit tout en discutant. Nous évoquons notre séjour à Paris. C'est déjà la semaine dernière.
Nous rions de bon cœur de nos frasques avec le couple Wong. Clémentine un peu jalouse qui parle de Ly-Yang. Rires.
Je lui confie une fois encore comme il est doux de se faire pomper le nœud par cette délicieuse poupée vietnamienne.
< C'est meilleur qu'avec moi ? > me demande à chaque fois Clémentine. Je la rassure : < Avec toi, c'est précieux ! >

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir. Rire.
Clémentine, du dentifrice aux coins des lèvres, mime une fellation en faisant une bosse dans sa joue avec la brosse.
Je demande : < C'est la bite à qui ? >. Elle prononce avec peine : < Wong ! >. Nous en rigolons comme des bossus.
Nous dévalons l'escalier. Clémentine glisse sa main dans ma braguette toujours ouverte. Elle m'entraîne à la cuisine.
La pâte à pain repose sous son linge dans le saladier. Et la Béchamel contenant le poireau repose sous son couvercle.

Me tirant par la bite comme par une laisse, Clémentine m'entraîne à l'atelier. Il est 13 h30. < Je compare ! > fait elle.
Elle me fait tomber dans notre vieux canapé qui en a tellement subi. Elle se met à genoux sur un des vieux coussins.
Je bande mou. Ses mains posées à plat sur mes cuisses elle respire les effluves parfumées de ma matinée d'homme.
Je lui passe la queue sur le visage en lui murmurant des cochonneries. J'évoque la bite à Mr Wong. La bite de Gérard.
Elles ont toutes les deux la préférence de Clémentine qui possède quelques beaux éléments de comparaisons. Super.

Je la regarde téter le bout de mon prépuce. Elle me fixe de son air de défi habituel. Me fait un clin d'œil bien vicieux.
Je lui caresse la tête. Nous restons ainsi un petit moment. Je bande comme un priapique en phase terminale. Super.
Je retire ma bite gluante de la bouche de Clémentine à plusieurs reprises. Elle peut ainsi reposer sa mâchoire. Bien.
J'adore voir les longs filaments visqueux qui relient ma bite à sa bouche avide. J'aime la voir tenter de déglutir. Belle.
Je propose de retourner travailler un peu. Je lui dis : < On se garde pour ce soir, tu veux ? >. Elle est toute contente.

Je dispose du petit bois sur du papier froissé dans la cheminée. Clémentine craque une allumette. C'est une flambée.
Je rajoute du bois plus gros, des branches. Le feu prend rapidement. Je rajoute deux grosses bûches. Bois de hêtre.
Nous voilà devant nos postes de travail. Le craquement du bois, son odeur, tout cela participe de cet enchantement.
Parfois, l'un se lève pour rejoindre l'autre. Voir ce qu'il fait. Lui chuchoter des douceurs, des cochonneries. Des bises.
Je termine la toile pour 17 h30. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Je pose la dernière toile sur le chevalet. Bien.

Dès demain je peux m'atteler à cette dixième et dernière commande. Elles seront expédiées pour la fin novembre.
Il est 18 h15. Estelle arrive. Elle nous fait la bise, me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous.
Nous voilà tous les trios assis sur l'épais tapis devant la cheminée. Nous regardons la danse des flammes. Si belles.
Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite, nous apprécions silencieusement ce moment magique. Quelques bises.
Soudain, à l'étage, un bruit sec. Une porte qui claque. < Christine ! > s'écrient les filles en même temps. C'est vrai.

Comme tous les ans à la même période le fantôme de mon ancienne compagne s'apprête à passer l'hiver avec nous.
Nous écoutons. Nous n'avons plus réellement peur. Par contre, ces bruits étranges nous impressionnent. Le mystère.
Des bruits de pas. Quelqu'un semble vaquer à d'étranges occupations au dessus de nos tête. Cela dure dix minutes.
Un dernier claquement de porte. Des pas qui s'éloignent. Tout est terminé. Nous reprenons une respiration normale.
< Ça fout quand même un peu la trouille, non ? > fait Estelle. < Certes ! > répond Clémentine. Elles se serrent fort.

Je plaisante en disant : < Moi, ces phénomènes de hantise, ça me donne faim. Pas vous ? >. Les filles se relèvent.
< Si ! > s'écrient elles en même temps. Estelle glisse sa main dans ma braguette pour en extraire la queue molle.
< Mais t'es mouillé, mon salaud ! > me fait elle en regardant ses doigts gluants. Clémentine raconte sa pipe. Rires.
Estelle s'accroupit immédiatement pour sucer avec gourmandise. Je la laisse pomper un peu. Clémentine l'observe.
Je la force à cesser en disant : < Si tu n'es pas sage, j'appelle le fantôme ! >. Il y a soudain un gros bruit à l'étage.

Nous filons à la cuisine. Estelle travaille un peu la pâte à pain avant de l'étendre dans le grand plat à tarte. Parfait.
Clémentine prépare une salade verte et l'assaisonnement. Je réchauffe la garniture. Je râpe du gruyère de Comté.
Estelle, les mains enfarinées, m'enduit la bite toute molle de ce mélange pâteux. < Pour après ! > dit elle en riant.
La Flamiche Picarde est au four. La table est mise. Les filles m'entraînent au salon. J'ai le Zob mou plein de farine.
< Viens là, mets toi ici ! > s'écrie Estelle qui se met à genoux sur l'épais coussin posé au milieu de la grande pièce.

En séchant, la farine craquelle. Surtout lorsque je me mets à bander. Ça évoque véritablement un nem. Un salami.
< Regarde, c'est génial ! > dit encore Estelle, agitant la saucisse sous le regard de Clémentine penchée pour voir.
Estelle adore me nettoyer la bite enfarinée. Sous le regard amusé de Clémentine qui m'extrait les couilles du doigt.
Ce petit mouvement de levier, qu'imprime son index pour faire jaillir mes roubignolles. Estelle me lèche la queue.
Elle fait : < Jeudi soir, pour les pizzas, je t'enduis aussi les couilles de farine ! >. Nous rigolons comme des bossus.

Clémentine qui est allée chercher un autre coussin se met à genoux aux côtés d'Estelle. Elles se refilent le chibre.
J'ai la queue qui brille. Comme celle d'un nouveau né. C'est propre, luisant, clair et net. Estelle a fait du bon boulot.
Les lombaires douloureuses, je me fais tailler une pipe des familles. La sonnerie du four me soulage. Et il fait faim.
Les filles se redressent. Clémentine me saisit la main. Estelle me saisit le Zob. Nous filons à la cuisine. C'est super.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle confie le projet d'un nouveau film. Un truc bien glauque.

Nous écoutons, consternés mais ravis, le développement de ce nouveau fantasme délirant. C'est encore assez flou.
Estelle, "Soumise", emmenée de force devant le trou dans le mur. Clémentine en "maîtresse" de cérémonie. Rires.
< Il y a Juliette qui fait ça fort bien ! > précise Clémentine qui veut également s'amuser au trou. Nous en rigolons.
Je suggère qu'elles soient "Soumises" toutes les deux. Juliette filme. J'interprète le rôle du "Maître". C'est superbe.
< Tu serais d'accord ? > dit Estelle, s'asseyant sur mes genoux. Clémentine dit : < On en parle à Juliette demain ! >

Nous traînons à table. Les filles semblent enchantées, ravies, par ce nouveau défi. Deux "Soumises". Un "Maître".
Je propose de parfaire ce scénario au salon, durant un bon léchage de minou. C'est une source d'inspiration idéale.
Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Et les filles m'entraînent au salon.
Elles retirent leurs jeans et leurs culottes avant que je n'ai le temps de réaliser. Elles me présentent d'abord le cul.
A quatre pattes, je nettoie consciencieusement les raies en passant de l'une à l'autre. Chez Estelle c'est dégoûtant.

Une fois les culs trempés de salive et bien nettoyés, les filles se vautrent sur le canapé. Je passe de l'une à l'autre.
Le visage entre leurs cuisses je me bouffe de la chatte jusqu'au vertige. Estelle, fille négligée, coule de plus en plus.
Les jus de jeunes filles de 22 ans sont un véritable nectar de jouvence. Je rajeunis de 10 ans ce soir encore. Miam.
Estelle connaît un orgasme fabuleux. Elle se masturbe depuis une demi heure. Il faut reprendre ses esprits. 22 h15.
La séparation est difficile. Je termine Clémentine au lit. Cunnilingus, baise, re cunnilingus. Orgasme délirant. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui raffolent de se faire nettoyer le cul et la chatte par un expert en nettoyage…

Julien - (Qui écoute les dernières révélations de Clémentine. Elle vient de jouir comme une dingue. Serrée fort) -

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La soirée d'Halloween chez Juliette

Hier matin, mercredi, une fois encore, je suis le premier à me réveiller. Je reste immobile. Je tente de donner le change.
Je peux ainsi regarder Clémentine qui dort encore. Couchée sur le dos, la bouche légèrement entrouverte. Ronflements.
Hélas, son infaillible sixième sens ne fait pas de moi ce voyeur privilégié très longtemps. Elle se réveille, ouvre les yeux.
Clémentine se serre contre moi. < Tu es réveillé depuis longtemps ? > chuchote t-elle. Je lui couvre le visage de bisous.
Quelques délicieuses papouilles et nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser voluptueusement. Il est 8 h tapante.

Nous revêtons nos tenues de sport avant de dévaler l'escalier jusqu'à la cuisine. Dehors la météo toujours aussi moche.
Il pleut. Le ciel est sombre, bas et sinistre. Ce qui ne nous empêche nullement de nous préparer un bon petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme d'une journée sans activités extérieures. Bien.
Nous traînons à table. < Ce soir Estelle a baise avec parrain comme d'autres ont piscine avec tonton ! > dit Clémentine.
Nous en rigolons comme des bossus. Elle rajoute : < Et avec ce froid, il y aura le radiateur électrique dans le garage ! >

Nous rions de bon cœur à imaginer Estelle entrain de niquer sur le matelas gonflable au fond du garage de son parrain.
La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants. Et devant un film.
Les charges additionnelles et les abdos. C'est frustrant de ne pouvoir courir au dehors. Mais c'est sympa quand même.
La douche. Nous nous habillons. Nos vieux jeans de maison, nos chemises à carreaux. Nous descendons dans l'atelier.
Il est presque 10 h. J'allume un bon feu dans la cheminée. Clémentine est assise devant l'ordinateur. Déjà à son boulot.

Je suis assis devant mon chevalet. Je commence ce matin la peinture de ma dixième œuvre de commande. Un plaisir.
Nous travaillons dans ce silence que nous brisons parfois des cris surréalistes que nous modulons longuement en riant.
Souvent, l'un se lève pour rejoindre l'autre. Lui murmurer des douceurs, des cochonneries, lui faire des bises ou câlins.
Il est rapidement midi. Morts de faim, nous allons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade, de l'assaisonnement.
La tarte aux pommes sortie du congélateur ce matin est à point. Elle sera notre dessert de ce soir, chez Juliette. Super.

Je fais gonfler du pilpil de blé. Je fais rissoler des crevettes à la poêle avec de l'ail, de l'oignon, quelques champignons.
Je rajoute de la crème fraîche. Je coupe le feu, je mets un couvercle. Je râpe du Parmesan avec du gruyère de Comté.
Tout est rapide. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors, aucun changement. Il fait moche. Il pleut.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque la rentrée de ce lundi.
Elle apprécie d'avoir déjà pris de l'avance. Nous avons tous deux le même fonctionnement. On aime êtres en avance.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.
Clémentine, du dentifrice aux coins des lèvres, s'adonne à ce nouveau rituel qui consiste à imiter une fellation. Sympa.
Elle fait une bosse à l'intérieur de sa joue avec la brosse. Je demande : < C'est la bite à qui aujourd'hui ? >. Rinçage.
< Mr Gérard ! > répond t-elle en glissant sa main encore humide dans ma braguette. Nous rigolons comme des bossus.
Clémentine se blottit dans mes bras pour me confier à quel point elle est heureuse. < Je t'aime Julien ! > me fait elle.

Je déboutonne son jeans afin de pouvoir y glisser ma main. Elle se cambre, écarte ses pieds pour permettre un accès.
J'adore cette touffe dense et fournie. Cette forêt dans laquelle règne toujours une humidité tropicale. C'est si agréable.
Je glisse mes doigts sur les lèvres charnues de son sexe. Je touche son clitoris géant. Une méchante envie de le sucer.
J'entraîne Clémentine dans la chambre. Elle m'attire en me faisant tomber sur le lit. Elle retire son jeans et sa culotte.
Les pieds posés sur le lit et ses cuisses largement écartées, elle est allongée sur le dos. Je suis à genoux sur l'oreiller.

Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe du bout de ma langue exploratrice. C'est divin. Sublime.
Clémentine me saisit par les oreilles pour me guider. Je décalotte son clitoris du bout de mes lèvres. Il est turgescent.
Les gémissements de Clémentine sont le plus parfait des indicateurs de plaisir. Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme.
Nous aimons tous deux rester excités pour le reste de la journée. Nous jouons donc avec les limites. Un jeu gratifiant.
Je suis prudent, à l'écoute, toujours aux aguets. Clémentine me repousse délicatement, murmurant : < Attention ! >

L'étape ultime. Je me redresse. Elle m'attire au près d'elle. Elle me couvre le visage de bisous. < Miam ! > me dit elle.
Il est presque 14 h lorsque nous retournons dans l'atelier. Il y fait presque trop chaud. Cette odeur dans la cheminée.
Nous voilà confortablement installés à nos postes de travail. Avec des pauses bisous-câlins comme ce matin. Douceur.
J'avance bien. Cette dixième toile de commande sera terminée vendredi à midi au plus tard. Petit paysage romantique.
Il est 18 h. < Ras le bol ! > s'écrie Clémentine qui range ses classeurs. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Parfait.

Nous nous asseyons sur l'épais tapis devant la cheminée pour admirer la danse des flammes dans l'âtre. C'est si beau.
Il est 18 h30. Soudain, à l'étage, un claquement sec. < Christine ! > lance Clémentine couchée, sa tête sur ma cuisse.
Nous écoutons. Le fantôme de mon ancienne compagne déambule là haut, sans but, manifestant sa présence étrange.
Nous retenons nos respirations. Nous tentons de localiser le parcours de l'entité. Une sorte d'errance dans les couloirs.
Cela dure une dizaine de minutes. Nous sommes souvent en apnée. Même si nous en avons l'habitude, c'est si bizzare.

Les pas semblent se dissoudre. S'éloigner en s'étouffant. Le silence. < Elle fête Halloween ! > me lance Clémentine.
Nous en rions. Plutôt nerveusement. Cela fait plus de dix ans que cela perdure. Toujours à la même période. Dingue.
Nous n'osons pas monter à l'étage. Pourtant nous devons nous changer. Nous sommes attendus chez Juliette à 20 h.
Nous n'entendons plus rien. Nous quittons l'atelier. Nous allumons toutes les lumières. Nous montons avec courage.
Il n'y a aucune raison d'avoir peur. Comme le répète Clémentine : < Les vivants sont plus à craindre que les morts ! >

Nous nous habillons. Avec cette météo, pas question de faire un concours d'élégance. Des jeans propres et sweats.
Nos bottines. Nous prenons la pose devant le miroir de l'armoire. < On est beaux tous les deux ! > fait Clémentine.
Nous mettons nos blousons de cuir noir. Une écharpe bleu nuit. Nous sommes vêtus à l'identique. De vrais jumeaux.
Nous dévalons les escaliers. Il est déjà 19 h30. Nous prenons l'auto de Clémentine qui exige que je conduise. Bien.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. < Sois salaud chez Juliette ! Elle adore les vicieux ! > dit elle.

Je gare la voiture dans la cour déserte. Il y a encore la lumière dans l'ancienne écurie. Sans doute les palefreniers.
En effet, nous voyons les silhouettes de Kim Son et d'Evelyne. Ils sont occupés à nourrir les chevaux. Leur boulot.
A l'abri sous notre parapluie, nous traversons la cour. Je tiens le grand Tupperware contenant la tarte aux pommes.
Juliette vient à notre rencontre au bas de l'escalier. Elle est toute contente. Nous nous serrons les mains. 19 h45.
Juliette nous invite à la suivre. Ce soir elle est vêtue d'une jupe noire, droite, d'un chemisier crème et de bas noirs.

Nous voilà dans ses appartements, au dessus des bureaux de son entreprise. Elle nous débarrasse de nos blousons.
La table du salon est déjà mise. Nous voilà vautrés, Clémentine et moi, dans le confortable canapé. C'est agréable.
Juliette est assise dans le fauteuil en face de nous. Sur la table basse qui nous sépare, des olives, des toasts, chips.
Juliette est assise bien droite. Elle garde les jambes parallèles. Les genoux l'un contre l'autre. Nous bavardons. Joie.
J'ai le regard insistant. Je fixe ses genoux. Juliette fixe ma braguette. Clémentine me tient par la main. C'est super.

Juliette, délicieusement perverse, incorrigible vicieuse, écarte quelquefois à peine ses genoux. C'est du grand art.
Je devine le porte jarretelle. C'est fugace. Rapide. Frustrant. Elle le sait. Cela nous amuse beaucoup. C'est si bien.
Je bande. La bosse dans mon pantalon, contrariée par mon slip est presque douloureuse. Je la fais bouger. Super.
Les femmes paraissent souvent subjuguées par cette bosse qui bouge dans un pantalon masculin. Si passionnant.
Pas toutes évidemment. Mais celles qui aiment la vie, ouvertes aux petits plaisirs de l'existence. Et les optimistes.

Nous bavardons ainsi en attendant que les tartelettes aux fruits de mer réchauffent dans le four. L'odeur est miam.
Nous évoquons le film réalisé dans le box. Je félicite Juliette pour ses talents derrière la caméra. Car c'est à refaire.
Clémentine lui expose le nouveau souhait d'Estelle. êtres livrées toutes les deux, attachées à un trou dans le mur.
Juliette éclate de rire en disant : < Décidément, ce trou remporte un succès fou. Bonne idée de l'avoir ouvert ! >
Nous connaissons la génèse de cet orifice parfaitement rond, de 6 cm de Ø qui sépare le box du local bureau. Bon.

La sonnerie du four. Juliette se lève. Je lui propose de l'aider à ramener les plats. Elle insiste pour que je reste là.
Nous prenons place à la table. Clémentine à ma droite. Juliette à ma gauche. Nous savourons un délicieux repas.
La conversation reste axée sur ce trou dans le mur. Sur le nouveau projet. "Soumises" attachées devant la cloison.
Juliette adore le rôle de la "Maîtresse". Elle y excelle car c'est dans sa nature profonde. Elle se propose pour le jeu.
Clémentine précise à deux reprises : < Je préfère que ce soit Julien ! >. Juliette n'insiste pas. Elle fera la caméra.

Juliette nous propose de réaliser ce nouveau projet dès samedi soir. < Je m'occupe de tout ! On part pour 20 h ! >
Nous écoutons cette femme étonnante, chef d'entreprise, aux capacités organisationnelles "professionnelles". Joie.
Elle s'occupera donc à nouveau de filmer les scènes. Je serai le "Maître". Clémentine et Estelle seront "Soumises".
Il y aura deux bites dépassant de deux trous. < Pourquoi pas une troisième ? La bite "Surprise" ? > lance Juliette.
Clémentine me consulte du regard en posant sa main sur la mienne. Je réponds : < Oui en effet, pourquoi pas ! >

< Et cette fois, je prépare des bassines pour le vomis ! > fait encore Juliette. Nous en rigolons comme des bossus.
Le repas se déroule ainsi. Nous ajustons les dernières mises au point. Nous serons là samedi pour 19 h45. Parfait.
Je propose à Juliette de m'accompagner aux toilettes. Elle me précède. Debout à ma gauche, penchée, elle mâte.
Clémentine à ma droite, me tient la bite pour en diriger le jet. Elle pointe plusieurs fois la queue vers Juliette. Bien.
Juliette a ce réflexe naturel à chaque fois. Elle a un mouvement de recul. Ne pas se faire pisser à la gueule. Super.

Il est 22 h. Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture sous le parapluie. Nous avons passé une superbe soirée.
< Dès novembre, je pourrai honorer vos invitations. C'est moi qui reviendrai les mercredis soirs ! > nous fait elle.
Nous nous serrons les mains. C'est Juliette qui fait bouger son index dans la paume de la mienne. Super vicelarde.
Rapidement, sans prévenir, je pose ma main sur sa jupe, à l'endroit de son sexe pour appuyer vulgairement. Joie.
Nous sommes de retour pour 22 h15. Au lit nous nous offrons une sublime partie de cul. Orgasmes délirants. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se réjouissent de tourner dans un prochain film. Le rôle de "soumises"...

Julien - (Qui offre à Clémentine un cunnilingus d'enfer pour cette soirée d'Halloween. Un orgasme diabolique) -

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Quelques improvisations d'un jeudi de vacances

Hier matin, je suis réveillé par des bisous. J'en reçois sur le front, les joues et même sur le bout de nez. Douceur infinie.
J'ouvre les yeux. Le visage radieux de Clémentine. Elle murmure : < Je t'aime Julien. Je t'ai regardé dormir ! >. Douce.
Je la serre fort contre moi. Nous luttons le plus longtemps possible contre l'impérieuse envie de pisser. Il est 8 h. Super.
Clémentine qui m'entraîne par la main aux toilettes. Nous mettons nos tenues de sport avant de descendre à la cuisine.
Dehors, il fait moche. Il pleut. Nous préparons notre petit déjeuner et nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.

Nous prenons tout notre temps. La vaisselle. Nous remontons nous livrer à notre heure d'entraînement. La gymnastique.
C'est frustrant de devoir courir sur des tapis roulants. Nous le faisons devant un de nos films tournés en Ecosse. Sympa.
Charges additionnelles et abdos. Stretching pour conclure et nous voilà sous la douche. Nous nous habillons. C'est rapide.
Nos vieux jeans de maison. Chemises à carreaux. Nous descendons directement dans l'atelier. Il fait moins froid que hier.
Pas de feu dans la cheminée. Juste dans le petit poêle rond Godin. Clémentine s'installe devant l'ordinateur en chantant.

Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Il est 10 h. Deux petites heures de travail qui vont nous ravir.
Il est midi dix. Morts de faim nous nous rendons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement.
Je fais gonfler du riz complet. Je prépare une pâte à pain. La garniture pour les pizzas de ce soir. L'autre rituel des jeudis.
Je récupère un peu de garniture comme sauce avec le riz. Je pane les filets de colin. Clémentine râpe du gruyère Comté.
Nous mangeons de bon appétit. Il ne pleut plus. Le ciel reste toutefois gris et bas. Clémentine suggère une improvisation.

Pourquoi ne pas nous armer de nos parapluies, aller en ville. Se changer un peu les idées. Je trouve la suggestion idéale.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie avoir la "bougeotte". Moi c'est pareil.
< Et si on allait au port de plaisance en voiture ? > me propose t-elle après quelques autres possibilités. Une bonne idée.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Et c'est si drôle.
Nous mettons des jeans propres. Des sweats sous nos blousons en cuir. Bottines. Echarpes. Nous voilà prêts à l'aventure.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Par la départementale il y a une trentaine de kilomètres. C'est bon.
Nous ne croisons quasiment aucune voiture jusqu'au bourg. Je gare l'auto sur le parking. C'est étrange sous un ciel gris.
Nous venons toujours ici à bicyclette lorsqu'il fait beau. Là, avec cette météo, c'est plutôt lugubre. Il n'y a personne. Dur.
Il ne pleut pas. Nous flânons un peu sur les quais. Avec cette météo, il n'y a aucune envie de cône glacé. Nous en rions.
Clémentine m'entraîne vers le bâtiment des toilettes publiques. C'est fermé. Il en va de même pour les sanitaires privés.

Nous faisons le tour du port. C'est sympa quand même d'être sorti. Je remercie Clémentine pour cette impulsion. Super.
Nous arrivons à la hauteur du bar salon de thé. Je suggère un bon chocolat chaud. < Génial ! > s'écrie Clémentine. Joie.
Nous montons les quatre marches. Nous entrons. Il n'y a quasiment personne et la jeune serveuse passe même le balai.
Nous voilà installés devant de grosses tasses de chocolat bien fumant. Ça fait du bien. Clémentine dit : < Sors la bite ! >
Je la regarde. Je dis : < Mais pourquoi donc ? >. Elle me répond : < Pour moi ! >. Nous en rions de bon cœur. Sublime.

J'ai la queue à l'air sous la table. Avec la nappe, cela ne se voit pas. Il y a un couple de séniors là-bas à la table du fond.
Il y a un type attablé près de la porte qui lit un journal. Il y a deux dames qui prennent leurs collations. C'est silencieux.
< On se fait un "plan" chiottes. Tu joues à l'inconnu. Tu veux ? > me murmure Clémentine. Tout cela amuse beaucoup.
Elle se lève pour aller aux toilettes. J'attends une petite minute. Le temps de la laisser préparer sa mise en scène. Bien.
Merdre. C'est le type seul qui s'y rend avant que je n'ai le temps de me lever. J'imagine cette surprise pour Clémentine.

Un signal sonore de mon smartphone m'indique un texto. Je regarde. Juste un point d'exclamation s'affiche sur l'écran.
J'allume. Je regarde. L'image est floue. Le son est médiocre. Je vois juste des formes. Celles de Clémentine et du mec.
J'entends une conversation sans distinguer le moindre mot. Cela dure environ cinq minutes. Clémentine revient. Rires.
Elle me raconte. Elle s'attendait à me voir entrer dans les toilettes homme. C'est le type qui entre. Il la surprend. Show.
Accroupie entre les deux urinoirs, son sac posé sur un mouchoir en papier déplié, faisant semblant de chercher un truc.

Ce coup ci, c'était l'impro totale ! Je ne m'y attendais pas ! > chuchote t-elle. Voilà l'inconnu qui revient des toilettes.
Il reste très distant. A peine un regard en coin. < Un vicieux. Il m'a montré sa queue. Petite mais robuste ! > fait elle.
Clémentine raconte la nature de la conversation avec le mec dans les chiottes. < Il m'a proposé de le sucer un peu ! >
Je dis : < Quoi de plus naturel cette proposition reste un grand classique de ces instants surprenants ! >. Nous rions.
< Il pointe sa bite vers moi pour l'agiter en insistant lourdement ! Je me redresse. Nous bavardons ! > dit Clémentine.

Sous la table, je bande comme le dernier des salauds. Je dis : < Tu devrais retourner. Test des chiottes ! Il va venir ! >
Clémentine se lève sans répondre pour y retourner. Je mâte discrètement le mec. Visiblement ça le démange. Il hésite.
Finalement il n'ose pas. Ma présence très certainement. Il doit se douter de ce qui se trame. De notre complicité. Piège.
Dommage pour lui. Clémentine revient, souriante. < Un exhibitionniste timide ! > fait elle en éclatant de rire. Superbe.
Le type se lève et s'en va. Il est déjà 16 h30. L'addition. Nous bavardons un peu avec la jeune serveuse. Sympathique.

Juste avant de partir, la jeune fille nous dit : < Vous devriez tenter les toilettes extérieures au fond de la cour ! >. Rire.
Nous les connaissons. Ce sont les anciens WC. Ils servent à la belle saison lorsqu'il y a la terrasse. Gens en abondance.
Nous ne savons quoi répondre. La jeune fille a un sourire énigmatique. Nous la saluons et nous sortons. Il pleut un peu.
< Elles se font chier quand il n'y a personne. Elles deviennent vicieuses si elles ne le sont pas déjà ! > fait Clémentine.
Nous en rigolons comme des bossus. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce parfois. Super.

< Ça nous réussi plutôt bien l'improvisation ! > conclue Clémentine. Il faut bien l'admettre. Deux vicieux comme nous.
Je gare la voiture devant la chapelle. Tout est désert. Il fait sombre. La nuit commence à tomber. Il est 17 h. C'est dur.
Clémentine me taille une pipe des familles. Par moment, je lui appui sur la nuque pour en enfoncer un maximum. Joie.
Je l'entends tenter d'avaler l'impressionnante quantité de liquide séminal que je secrète. Depuis le bar je suis si excité.
Je la saisi quelquefois par ses cheveux pour la forcer à se regarder dans le miroir de courtoisie du pare soleil rabaissé.

Je dis : < Regarde un peu cette gueule de salope. Tu imagines tous ces mecs qui te surprennent dans les chiottes ! >
Clémentine ouvre la bouche. Il y a plein de foutre gluant. Elle répond avec difficulté : < J'aime tant ces surprises ! >
Nous le savons bien. Je la félicite en lui enfonçant ma bite bien au fond de la gueule. Elle en gémit de bonheur. Super.
Il est 18 h15 lorsque nous revenons à la maison. Estelle est déjà là. Il y a sa voiture. Je me suis fais sucer en roulant.
Je suis à la limite de l'éjaculation. Il était temps. Clémentine se serre fort contre moi dans le garage. Elle s'accroupit.

Il n'est pas question de recommencer. Je l'entraîne au dehors. J'ouvre le parapluie. Nous courons jusqu'à la maison.
Estelle nous fait la bise. Elle me saute au cou. Je la soulève. Clémentine s'interpose par jeu. Et ça nous amuse tant.
Estelle a commencé la bouffe. Nous l'aidons immédiatement. Elle nous raconte sa journée dans l'entreprise familiale.
Clémentine lui raconte sa rencontre dans les toilettes du bar. La curieuse remarque de la jeune serveuse. Nous rions.
Les pizzas sont au four. Nous passons au salon. < Fais voir un peu dans quel état est ta bite ! > me fait Estelle. Rire.

Je suis vautré dans le canapé. Clémentine à ma gauche, contre moi. Nous regardons Estelle qui écarte ma braguette.
Elle se met à genoux sur l'épais coussin. < Put-Hein ! > mais t'es dégoulinant mon salaud ! > s'écrie t-elle en mâtant.
Elle nous raconte sa baise, hier soir, au fond du garage avec son parrain. Le matelas gonflable. Le radiateur électrique.
< Qu'est-ce qu'il m'a encore mis le salaud ! Il m'a baisé une bonne heure. Comme un lapin ! > fait elle. Eclat de rire.
Estelle se met à sucer. Trop heureuse de récupérer tout le jus de mon excitation. Nous entendons les gargouillis. Jus.

Clémentine m'embrasse avec avidité. Elle a glissé une main dans sa culotte. Je caresse la tête d'Estelle. Ses cheveux.
Elle suce comme si sa vie en dépendait. Clémentine lui raconte notre soirée chez Juliette hier. Le projet qui se prépare.
Le "Maitre" et ses deux "Soumises" entrainées de force et attachées devant deux trous d'où pendent des queues sales.
< Enfin, de force, je ne crois pas ! > fait Estelle en cessant un instant de me sucer. Nous rigolons comme des bossus.
La sonnerie du four. Nous cessons. Clémentine m'attrape par la bite pour m'entraîner. Estelle me tient par les couilles.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent ce nouveau projet de film. Elles sont toutes excitées par cette idée.
< Le coup de la bite "inconnue" ! C'est génial ! > fait Estelle en mimant une pipe tout en tenant sa fourchette. Poilade.
Clémentine rajoute : < Encore un plan bien vicelard à Juliette ! >. Je dis : < Qui sera le propriétaire de cette queue ? >
< On préfère ne pas le savoir. Ça gâcherait l'effet de surprise ! > rajoute Estelle qui se lève pour mimer une branlette.
Clémentine se lève pour faire pareil. Je me lève à mon tour. Nous mimons tous les trois une masturbation masculine.

Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle me choppe les couilles pour m'entraîner au salon.
< Je veux comparer avec parrain ! C'est le nouveau rituel du jeudi soir ! > me fait elle. Clémentine me prend la queue.
< Avec mon autorisation ! > dit elle en l'agitant vers le visage d'Estelle déjà à genoux sur l'épais coussin. Elle me suce.
Clémentine s'installe en face, dans le fauteuil après avoir retiré son jeans et sa culotte. C'est notre signal. Le spectacle.
Estelle se redresse, retire son jeans et sa culotte. Elle s'allonge sur l'épais tapis en m'attirant sur elle. Cuisses écartées.

Je veux la pénétrer avec les précautions d'usage. Avec un coup de reins, elle s'enfile toute la bite en gémissant. Joie.
< Tu deviens une vraie baiseuse ! > fait Clémentine qui se masturbe. < Non, je compare avec parrain ! > dit Estelle.
Je me dresse en appui sur les bras. Estelle se suspend à moi. Elle se met à se secouer en m'embrassant avec fougue.
Je prends le relai lorsqu'elle cesse. La "machine à coudre". Estelle se pose au sol. Elle se masturbe en même temps.
Son orgasme est fou. Demain, c'est jour férié. Elle nous annonce qu'elle reste avec nous jusqu'à dimanche. Bonheur.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment comparer deux coups de bites. Deux bonnes baises à la hussarde…

Julien - (Au lit, entre Clémentine et Estelle qui dort déjà, écoute les derniers secrets de Clémentine) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 960 -



Improvisation totale d'un vendredi pluvieux

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par les mouvements que fait Estelle qui reste blottie contre moi la nuit entière.
Elle se frotte en gémissant. Ce qui réveille également Clémentine. Je passe délicatement mes bras sous leur nuque.
Je leurs chuchote des douceurs. Elles me couvrent toutes les deux le visage de bisous. C'est émouvant. Magnifique.
Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite qui se lève la première en s'écriant : < Pipi ! > se précipitant aux WC.
Il est 8 h30. Dehors, la météo reste inchangée. Il pleut. Le ciel est sombre et sinistre. Estelle revient faire un câlin.

Elle enfile la tenue de gym qu'elle tire du sac de sport qu'elle emmène toujours lorsqu'elle vient passer le Week-end.
< Je vais préparer le petit déj ! Me laissez pas toute seule ! > nous fait elle avant de dévaler les escaliers en vitesse.
Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim nous descendons rejoindre Estelle à la cuisine. Elle se blottit fort.
Nous sommes tellement contents d'êtres ensemble. Ces vacances prennent une dimension supplémentaire. Super.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Que faire avec une météo aussi médiocre un jour férié ? Chiant.

Nous traînons déjà à table tous les trois vêtus de nos tenues de sport. Il fait beaucoup plus doux que les jours passés.
La vaisselle. Nous montons. Pendant que nous courons sur les tapis roulants, Estelle fait ses abdos. Et puis c'est à elle.
Nous alternons. Une heure de gym avec une intensité maximale. Estelle prend sa douche la première. On fait notre lit.
Puis c'est à notre tour. Nous nous habillons. Tous les trois en jeans, chemises à carreaux et espadrilles. Des "triplés" !
Nous faisons un peu les clowns devant le miroir de l'armoire. Les filles qui s'accroupissent, me tenant par les jambes.

Je pose mes mains sur leur tête. Clémentine à gauche, Estelle à droite qui dit : < Soyez sévère mon bon "Maître" ! >
< Nous avons besoin d'êtres éduquées et d'apprendre les bonnes manières, mon bon "Maître" ! > rajoute Clémentine.
Je réponds : < Mes délicieuses "Soumises" verront leur éducation prendre tous son sens ce samedi soir au haras ! >
Clémentine frotte sa tête contre ma braguette. Estelle tente de faire pareil. Je sors ma bite. Elles en gloussent de joie.
Je frotte ma bite sur leurs visages. Elles tentent toutes les deux de la gober. Mais j'esquive juste au dernier moment.

Finalement je les laisse sucer à tour de rôle. Un peu chacune avant de les saisir par leurs nattes comme par la laisse.
Je les force à se redresser. Elles se blottissent. Nous nous observons dans le miroir. Silencieux. C'est excitant. Super.
Nous descendons. Ce rituel du "Maître" et de ses "Soumises" nous amuse toujours tant. Nous y avons pris goût. Bien.
Nous allons dans l'atelier. Il est bon de mettre cette météo déplorable à profit pour avancer un peu dans nos travaux.
Les filles sont devant l'ordinateur, assises à la table, un classeur ouvert. Je suis installé devant mon chevalet. Parfait.

Je peins dans une sérénité totale. J'entends les filles échanger des informations quand à leurs recherches. C'est bien.
Parfois l'une se lève pour venir me rejoindre, me faire des bisous, me chuchoter des trucs. Parfois c'est moi qui y vais.
Il est rapidement midi. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. La laitue.
Estelle passe les trois filets de cabillaud dans l'œuf puis dans la chapelure avant de les faire revenir à la poêle. Parfait.
J'épluche les patates que je coupe en fines tranches pour les faire rissoler. C'est rapide. Nous mettons la table. Super.

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant le projet de film qui nous attend samedi soir au haras. Pornographie.
Clémentine précise que la pornographie n'est rien d'autre qu'un acte de prostitution filmé. Ce qui n'est pas notre cas.
< Nous pourrions qualifier cette réalisation de film cochon ! Tout simplement ! > rajoute t-elle encore. Nous en rions.
< C'est le huitième film cochon que nous réalisons. Mais là ils prennent une dimension nouvelle ! > fait encore Estelle.
C'est vrai qu'à présent, nous ne nous mettons plus en scène ici, à la maison, tous les trois, mais dehors avec d'autres.

Leurs fantasmes de faire l'actrice porno trouve donc une nouvelle expression dans des réalisations plus sophistiquées.
Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, terminant leurs yaourts au miel, les filles échangent leurs impressions.
Elles se réjouissent tout en étant possédées par un sentiment de trouille. < C'est si excitant ! > font elles ensemble.
Je les tiens par la taille. Elles me tiennent par le cou. Nous nous faisons plein de bisous. Je les écoute parler du haras.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir. Rires.

Toutes les deux font une bosse à l'intérieur de leurs joues avec la brosse à dents pour mimer des pipes très vulgaires.
Je demande : < Vous sucez qui ? >. Estelle articule avec peine, la bouche pleine de dentifrice : < La bite inconnue ! >
Nous en rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < De la bite de vicelards ! >. Le rinçage de bouche.
Estelle glisse sa main dans ma braguette pour me sortir la bite en m'entraînant aux toilettes. < Le pissou ! > fait elle.
Je suis debout devant la cuvette. Estelle à ma droite me tient la bite pour en diriger le jet. Clémentine à gauche mâte.

Estelle secoue les dernières gouttes. Clémentine déjà accroupie avance son visage. Estelle lui tend la queue mollasse.
Clémentine suce les derniers reliquats. Estelle s'accroupit à son tour. Elles se refilent ma biroute encore dégoulinante.
Je leurs caresse la tête. Je les saisi par leurs nattes comme par une laisse. Je dis : < A quatre pattes ! >. Elles rient.
Les voilà toutes les deux promenées à quatre pattes dans le couloir de l'étage. Elles lèvent la pattes contre les coins.
Je lance : < Il vous faut un minimum d'entraînement pour demain. On attend des prodiges de votre part. Salopes ! >

J'ordonne : < A genoux ! >. Elles se redressent toutes les deux. Je glisse mes mains entre leurs cuisses. Un réflexe.
C'est bouillant. Je glisse une main dans leurs jeans et dans leurs culottes. Clémentine est humide. Estelle très peu.
Je me redresse. Je frotte ma queue sur leurs visages. Elles en gémissent comme deux bienheureuses. C'est sublime.
Je bande mou. Il y a les premières sécrétions de liquide séminale. Il y a un épanchement plus conséquent. Coulure.
Je tiens Estelle sous son menton. Je lui bascule doucement la tête en arrière. Clémentine observe ce que je prépare.

Je place ma queue juste au-dessus de sa bouche. J'appui sur le prépuce pour faire tomber la coulure dans sa bouche.
C'est une longue coulée gluante, opalescente, claire et transparente. J'entends le souffle de Clémentine que ça excite.
La coulure s'écoule dans la bouche d'Estelle. Ça lui coule directement au fond de la gorge. Je fais pareil à Clémentine.
C'est hyper excitant. Je bande comme le dernier des salauds. Je les laisse sucer à tour de rôle. De la jute abondante.
Je les force à se relever en disant : < Vous êtes parfaites pour demain soir. Félicitations les coquines. Du grand art ! >

Je glisse mes mains dans les culottes. Elles sont toutes les deux mouillées. C'est superbe. Je leurs montre mes doigts.
Je me les lèche. Je dis : < Demain soir, pendant que vous bouffez de la bite, je vous lèche les minous ! >. Elles rient.
< Ce serait trop génial ! > me fait Estelle en me tenant fermement la queue qu'elle tord dans tous les sens. C'est bon.
< Ce serait même divin ! > rajoute encore Clémentine qui me montre l'intérieur maculé de foutre de sa bouche. Joie.
Nous descendons. Nous retournons dans l'atelier. C'est génial de retrouver nos postes de travail en étant très excités.

L'après-midi se passe ainsi. Les filles ont pris beaucoup d'avance pour leurs cours à venir. Je termine ma petite toile.
Il est 18 h. Nous rangeons nos affaires quand un bruit sourd se fait entendre à l'étage. < Christine ! > font les filles.
Le fantôme de mon ancienne compagne vient errer dans cette maison qu'elle aimait tant. Nous écoutons. Silencieux.
Même si nous avons moins peur, ce sont toujours des manifestations si impressionnantes. Mais jamais inquiétantes.
Au dessus de nos têtes l'entité fait entendre le bruit de ses errances. Portes qui claquent. Des pas qui sont traînants.

Nous sommes tous les trois serrés fort. Nous écoutons. Cela dure une dizaine de minutes pour cesser. C'est terminé.
< Elle a fait sa petite visite quotidienne ! > murmure Estelle. < Elle doit se régaler à nous mâter ! > fait Clémentine.
Je dis : < Tout ce que je pratiquais avec elle, je le fais avec vous ! Elle doit être ravie ! >. Nous en rions de bon cœur.
Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les patates. C'est très rapide.
Clémentine fait l'assaisonnement pour le reste de laitue. Estelle fait une belle omelette pleine de gruyère de Comté.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent le fantôme. Estelle raconte quelques anecdotes.
< Chaque fois que je suis toute seule dans la maison, je me sens observée ! >. Nous avons souvent le même ressenti.
Nous traînons à table. Je propose aux filles un bon léchage de minou pour l'après dessert. Et que voilà une belle idée.
< Moi, je préfère une bonne séance éducative comme en début d'après-midi ! > fait Clémentine. < Oui ! > dit Estelle.
< Tu nous fais une bonne séance d'éducation ? Tu veux ? > fait Estelle qui vient s'assoir sur mes genoux. Nous rions.

Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. < Et ce soir je ne suis pas obligé de partir ! > dit Estelle.
Je les saisi toutes les deux par leurs nattes. Je dis : < A quatre pattes, c'est la promenade pipi, nous allons au WC ! >
Je les emmène toutes les deux au cabinet. Estelle fait son pissou la première. Je la lèche consciencieusement après.
C'est au tour de Clémentine. Je les tiens bien droites, assises, afin qu'elles puissent pisser à l'aise. Je la lèche aussi.
Je les entraîne, toujours à quatre pattes jusqu'au salon. Je dispose deux chaises au milieu de la pièce. Tout est prêt.

Je dis : < Vous enlevez vos jeans et vos culottes ! >. Je ne suis pas obligé de le répéter. Elles sont tellement pressées.
Les voilà assises toutes les deux, cuisses écartées, le dossier entre les jambes et les coudes en appui sur les dossiers.
Je passe de l'une à l'autre pour frotter ma bite sur leurs gueules. Je suis très excité. Je leurs macule le visage de jute.
A nouveau j'essore ma bite au dessus de chaque bouche ouverte. Chacune observe ce qui coule dans l'autre bouche.
Cela nous couvre de délicieux frissons. Je me penche pour caresser les chattes trempées. Elles se frottent doucement.

Je les fais se lever afin qu'elles s'assoient sur les chaises normalement. Je me mets à genoux d'abord devant Estelle.
Je lui bouffe la chatte. Elles se masturbent toutes les deux. Je passe à Clémentine. Je me relève pour les faire sucer.
Nous passons ainsi un grand moment d'extase. Estelle connaît un orgasme qu'elle qualifie d'extraordinaire. Dressage.
Celui de Clémentine se déroule aux chiottes car elle pisse en même temps. Il est 22 h30. Nous montons nous coucher.
Les filles me sucent avec avidité. Estelle fini par s'endormir la première. J'éjacule dans la bouche de Clémentine. Dodo.

Bonne journée fériée à toutes les coquines qui en profitent pour faire leurs dernières révisions avant le "tournage"...

Julien - (Qui s'est encore régalé de jus de filles avant de se faire longuement vider les couilles) -

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Annulation de dernier moment

Hier matin, samedi, je suis réveillé par des bisous, des chuchotements et on me tient par mon érection matinale. Fort.
J'ouvre les yeux. Je suis entre les deux coquines qui me murmurent des douceurs. Je les serre contre moi. C'est si bon.
Il est 8 h. Estelle se lève la première pour se précipiter à toute vitesse aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Le besoin.
Clémentine me chevauche en riant. Me condamnant à la double peine. Son poids sur ma vessie et sa tendresse. Bien.
Estelle revient, enfile sa tenue de sport. C'est à notre tour. WC. Nous mettons nos tenues de gym et nous descendons.

Estelle qui me palpe à nouveau le sexe, l'odeur du café et du pain grillé, participent de ce nouvel enchantement. Joie.
Nous prenons un copieux petit déjeuner que nous savourons de bon appétit, tout en faisant le programme de ce jour.
Dehors il pleut. Le ciel est gris, bas, sinistre. La musique imbécile de mon smartphone. Clémentine se lève et l'attrape.
C'est Juliette. Nous devinons la raison de l'appel. Pour une raison inconnue le projet de film est remis au 10 novembre.
Clémentine raccroche, nous explique : < Pierre, le mari de madame Walter est alité, le rhume, la grippe peut-être ! >

< On aurait pu faire sans lui ! > lance Estelle qui se réjouissait pour la réalisation de ce nouveau film. Clémentine rit.
< Et Juliette n'est pas très bien non plus ! > rajoute encore Clémentine. Je lance : < On est bien à trois également ! >
Les filles s'assoient sur mes genoux. Elles ne sont pas déçues longtemps. Nous ne manquons pas d'initiatives. Parfait.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Entraînement.
Notre heure de gymnastique. Charges additionnelles, abdos et joggings sur les tapis roulants. Estelle prend sa douche.

Puis c'est à nous. Nous nous habillons. Nous sommes vêtus tous les trois exactement de la même façon. Nous adorons.
Jeans, sweats bleus et nos bottines. Il fait étrangement doux. Nous enfilons nos blousons et nous descendons très vite.
A l'abri sous l'immense parapluie nous traversons le jardin jusqu'au garage. Notre glacière branchée sur l'allume cigare.
Je roule doucement. Trois petits kilomètres jusqu'au bourg voisin pour y faire notre marché. Clémentine me sort le Zob.
Estelle, assise à l'arrière me caresse la nuque. Je gare la voiture. Estelle veut porter les cabas. J'ouvre notre parapluie.

Malgré la pluie, il y a toujours du monde. Nous attirons bien des regards sous notre parapluie. Nos hautes tailles déjà.
Cet homme d'âge mûr que tiennent par le bras deux belles jeunes filles. Cela nous amuse toujours beaucoup. Sympa.
Nous faisons provision d'œufs, de beurre, de yaourts, de fromages et de la crème fraîche chez notre artisan fromager.
Nous faisons provision de fruits et de légumes chez notre agriculteur local. Quelques bons mots avec chacun. Sympa.
Nous retournons à la voiture. Nous rangeons les produits frais dans la glacière. Et direction la ville. Quinze kilomètres.

Clémentine joue avec ma queue. Estelle est penchée en avant pour regarder par dessus nos épaules, assise à l'arrière.
Les filles reviennent sur la frustration que suscite l'annulation de la soirée pour laquelle elles se réjouissaient tellement.
Je dis : < Nous n'avons qu'à nous refaire un film perso ! >. Estelle s'écrie : < Oh oui ! Un truc bien cochon, vicieux ! >
Clémentine qui ne manque jamais d'imagination propose une soirée "Maître" et "Soumises". Nous rions de bon cœur.
Même si nous avons déjà exploité l'idée à quelques reprises, la perspective de faire un autre film "porno" nous amuse.

Je gare la voiture sur le parking. Estelle veut pousser le caddie. Clémentine me tient par la main. Nous marchons vite.
Clémentine, pleine de sagesse, propose de laisser les choses se faire jusqu'à ce soir, de se laisser aller à l'inspiration.
Nous parcourons les rayons qui nous concernent. Clémentine tient la liste des courses. Nous la suivons en bavardant.
Estelle, discrète, effleure souvent ma braguette. Clémentine fait la même chose avec plus de prudence encore. Super.
Il y a des rayons dépourvus de caméras de surveillance. A trois, il est simple de faire diversion en se serrant bien fort.

Dans le rayon des lessives, je coince Clémentine contre les cartons pour lui glisser la main entre les cuisses. Vulgaire.
< J'adore quand tu fais ta crapule, Julien, j'adore ça ! > fait elle. < Moi aussi ! > rajoute Estelle, main à ma braguette.
Cette façon de faire les courses, toute personnelle, ne manque pas d'éveiller nos pulsions les plus triviales. C'est bien.
Clémentine nous entraîne au rayon culturel. < Mais t'es en jeans ! Tu ne peux pas montrer ta chatte ! > lui fait Estelle.
Nous en rigolons comme des bossus lorsque Clémentine lance : < Non mais il y a d'autres façon de faire la salope ! >

Pour appuyer son propos et bien nous faire comprendre, elle se touche, palpe sa braguette d'un geste rapide et précis.
Estelle et moi, nous restons à l'écart aux bandes dessinées. Nous observons Clémentine avancer en poussant le caddie.
Il n'y a pas de réelles opportunités. Il n'y a que des couples ou alors ce vieux monsieur là-bas qui feuillette une revue.
Clémentine fait deux tours. Estelle reste souvent serrée contre moi, me tenant par le bras ou par la taille. Amoureuse.
Nous regardons les errances de Clémentine qui aimerait beaucoup un bon plan vicelard. Se toucher près d'un solitaire.

Un peu dépitée elle nous rejoint. Il faut se faire une raison. C'est une journée sans. Clémentine nous entraîne plus loin.
Nous voilà au rayon des vêtements homme. < Je viens avec maman le mercredi vers 17 h30, c'est bien ! > dit Estelle.
Elle nous confie qu'il est beaucoup plus simple de s'offrir des plans vicelards le mercredi en fin d'après-midi. Superbe.
< Et tu en profites ? > demande Clémentine. < Je suis avec ma mère ! > répond Estelle. Nous rions de bon cœur. Joie.
Nous terminons par la poissonnerie. Il faut attendre dans la file. Nous en profitons pour nous livrer à nos jeux coquins.

Nous passons en caisses. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Il y a une opération promotionnelle. Gens.
Nous allons lire les menus proposés par la cafétéria. Avec ce temps pourri, pourquoi ne pas manger ici. Je le propose.
Je précise : < On mets les trucs dans la glacière. On se fait les moules ce soir. Et ce sera rapide. >. Les filles hésitent.
Il y a des familles de Simpson, des gens bruyants, des chiards qui courent dans tous les sens. Ça ne donne pas envie.
Je dis : < Et si on allait manger au restaurant de l'étang, faire une surprise à Julie ? >. Nouvelles hésitations des filles.

Je n'insiste plus. Clémentine et Estelle préfèrent rentrer. < J'ai envie d'être juste nous trois ! > dit Estelle en se serrant.
< Moi pareil ! > fait Clémentine. Nous allons à la voiture. Je roule avec prudence. La pluie ne cesse de tomber. Chiante.
Je me fais branler par Clémentine qui me suce parfois. J'arrête la bagnole en pleine cambrousse et le long d'un chemin.
Estelle escalade le dossier du siège pour venir nous rejoindre devant. Elle s'installe au sol entre les pieds de Clémentine.
Le levier de vitesse constitue le seul handicap. Elles sucent à tour de rôle. C'est surréaliste avec le bruit de la pluie. Dur.

Nous repartons. Estelle reste assise parterre. Elle me tient la queue. Clémentine me suce. Il est 12 h45. Nous arrivons.
Nous rangeons les courses. Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement. Estelle épluche les patates. Bien.
J'épluche les carottes. Je prépare le bouillon pour y plonger les moules. Estelle remue la potée dans la vieille cocotte.
Nous préparons tout cela en émettant des idées de films pour ce soir. Nous en avons déjà réalisé cinq du même genre.
< Je veux un truc bien glauque et vicelard ! > précise Estelle. Nous avons pris goût à des films dans d'autres endroits.

Le film réalisé au haras, avec les bites qui dépassaient des trous dans le mur, reste un vrai must. Elles veulent refaire.
< On peut faire un trou dans un mur de la cave ! > lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Trop drôle.
Le repas est prêt. Une belle potée en accompagnement des moules à la crème. C'est un délice. Nous traînons à table.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant plusieurs projets. Lundi c'est la rentrée. Les filles veulent s'éclater. Joie.
Je propose de les promener nues, attachées à la laisse, dans toute la maison, de filmer les scènes. Un bon "dressage".

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.
Nous déplorons cette météo merdique. Elle nous empêche de sortir notre sexualité déviante au grand air. Frustrations.
Les filles font des bosses à l'intérieur de leurs joues avec les brosses à dents pour imiter des fellations bien vulgaires.
Je demande : < Vous sucez qui ? >. Estelle répond la première : < Toi ! >. Clémentine fait : < Moi aussi ! >. Rigolade.
Je glisse mes mains entre leurs cuisses, par derrière, en disant : < Et moi, je vous lèche les minous ! >. On se rince.

Il est 14 h. Nous descendons au salon. La musique imbécile de mon smartphone. Clémentine se précipite pour le saisir.
C'est Juliette. Estelle est vautrée à côté de moi dans le canapé. Nous comprenons rapidement qu'il est question de cul.
En raccrochant, Clémentine nous fait : < Le film est programmé pour le Week-end prochain. Samedi ou dimanche soir.
Nous nous consultons. Lundi en huit, ce sera le jour férié du 11 novembre. Et pourquoi ne pas tourner dimanche soir ?
Estelle précise : < Si on tourne samedi soir, on peut déjà se le mâter dimanche soir. Soirée cinéma ! >. C'est pas con !

Clémentine rappelle Juliette. L'affaire est rapidement conclue. Nous tournerons samedi prochain. C'est ok. Et çà roule.
Nous sommes vautrés tous les trois dans le canapé. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite qui me tient le Zob.
Nous savons très bien que si nous commençons à faire des saloperies maintenant, il y aura moins d'inspiration ce soir.
Je propose toutefois un bon léchage de minou avant d'aller nous occuper un peu dans l'atelier. Des applaudissements.
Je me lève. Les filles retirent leurs jeans et leurs culottes. Juste en sweats et en chaussettes. Je met le coussin au sol.

Elles aiment toutes les deux lorsque je commence par leurs lécher la raie. Elles me présentent donc leurs culs. Divin.
A quatre pattes, les coudes en appui sur le canapé, elles se font bouffer le cul. Je suis à quatre pattes. Je m'applique.
Je me pourlèche. Il y a du jus de muqueuse et sans doute de la sueur qui ont coulé avec nos cochonneries du matin.
Les poils qui collent, que je démêle avec la langue tout en suçant. J'en ai des vertiges. Elles écartent bien les fesses.
J'ai des poils plein la bouche. < C'est l'automne, on les perd ! > dit Estelle en se tournant pour me voir les recracher.

Après cet encas, les coquines se relèvent pour se vautrer dans le canapé. J'ai mon visage entre leurs cuisses. Miam.
Je passe d'une chatte suintante à l'autre avec un égal bonheur. C'est un concert de gémissements, de gloussements.
Elles se masturbent. Parfois j'ouvre les yeux en suçant un clito. Elles se laissent lécher avec les yeux fermés. Régal.
Attention. Prudence. Les orgasmes guettent. Elles veulent rester excitées pour le reste de la journée. Et je fais gaffe.
Je cesse. Je me redresse. Elles reprennent leurs esprits sans cesser de se masser la chatte. De la mouille sur le cuir.

Je les aide à se relever en les tirant par leurs mains qu'elles me tendent. A l'endroit où elles étaient assises, du jus.
Je me mets à genoux pour aller lécher, récupérer ce jus de fille qui dégouline sur le cuir du canapé. Elles observent.
De me voir ainsi tout récupérer les excite. Estelle se met à genoux pour m'attraper les couilles par derrière, le Zob.
< C'est beau de te voir faire ça ! > me chuchote t-elle. Clémentine se met à genoux, se penche pour tenter la pipe.
Il faut qu'elle se glisse entre le canapé et moi. Elle y arrive. Estelle la lui agite dans la bouche. Je nettoie le canapé.

Je me redresse. Je les force à le faire aussi. Je dis : < Faites vous des nattes pour la soirée. Ce sera vos laisses ! >
Je passe mes mains entre leurs cuisses trempées. Je leurs enfonce un doigt. Elles se cambrent. Tellement contentes.
Je cesse pour aller récupérer un paquet de mouchoirs en papier sur le bureau. Je les torche en leurs montrant. Jus.
Elles hument les papiers froissés en riant. Nous nous rhabillons. Nous allons dans l'atelier. Il est déjà 15 h30. Super.
Les filles sont assises devant l'ordi. Elles surfent sur le site de l'université. Les programmes. Un vif intérêt soudain.

Je procède au dessin préparatoire d'une de mes futures toiles. Ce sera la première scène de genre de la saison. Bon.
Une scène d'intérieur à trois personnages dont je fais le calque à partir d'une de mes anciennes créations. Pratique.
Ça fait quelques années que je ne me fais plus chier. Je prends d'anciennes compositions que je transforme un peu.
C'est un gain de temps. Je me lasse de préparer depuis près de 20 ans, 25 tableaux tous les ans. Tous les ans pareil.
Je n'en ai plus besoin. Je veux me consacrer exclusivement à des œuvres de commande. Pour entretenir ma passion.

Nous travaillons ainsi dans cette ambiance studieuse que nous apprécions tant. Parfois l'un va rejoindre les autres.
C'est Estelle qui vient voir ce que fais. Me fait des bisous. C'est Clémentine qui vient me rejoindre. Plein de bisous.
C'est moi qui passe derrière elles pour leurs masser la nuque et leurs chuchoter des douceurs, des cochonneries.
Je commence par les cheveux de Clémentine que je tresse pour en faire une belle et longue natte. C'est superbe.
Je passe à Estelle. Je suis devenu maître dans l'art de le faire. Je l'ai fait plus de 20 ans à mon ancienne compagne.

< Tu es un amour ! > me fait Estelle tout en continuant de taper sur le clavier. < Je t'aime ! > me fait Clémentine.
Il est 18 h30. C'est le bruit sourd à l'étage qui nous fait prendre conscience de l'heure. Dehors il fait déjà bien noir.
< Christine ! > s'écrient les filles en même temps. Voilà les premières manifestations du fantôme de ma compagne.
Tous les sens aux aguets, nous écoutons. Nous tentons de localiser le parcours de l'entité qui marche si lentement.
Estelle pointe son doigt au plafond pour indiquer les errances du fantôme. Cela ne dure guère plus de dix minutes.

C'est toujours impressionnant. Il est impossible de s'habituer vraiment à des phénomènes paranormaux. Occultes.
< Tu dois faire le rituel un de ces soirs ! > me fait Clémentine. Je la rassure, je le ferai à la date anniversaire. Le 5.
C'est un 5 novembre qu'elle m'a quitté, il y a presque dix ans. Et depuis je marque cette date d'un rituel particulier.
< Les fantômes, ça donne faim ! > lance Estelle. Nous éclatons de rire en nous levant. Nous rangeons nos affaires.
Les filles m'attrapent par les bras, m'entraînent à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade, de l'assaisonnement.

Estelle prépare une belle omelette aux champignons. Je réchauffe la potée. Je râpe du gruyère de Comté. Quantité.
C'est rapide. Il n'y a plus aucun bruit à l'étage. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons longuement à table.
Assises sur mes genoux, tout en savourant leurs yaourts au miel, les filles confient une certaine fatigue. Moi aussi.
Avec sa sagesse habituelle, Clémentine propose de remettre notre projet de film à samedi prochain et aux écuries.
< Tu es dans le vrai. On est tellement crevés qu'on ne ferait pas de belles choses ! > rajoute Estelle. Je compatis.

< Par contre j'ai la clef USB. On peut se mâter une de nos anciennes productions ! > rajoute encore Estelle. Bien.
Notre vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine nous entraîne au salon. C'est vite fait d'allumer les appareils.
Estelle propose de mâter le tout premier film que nous avons réalisé, il y a plus de deux ans. "Estelle au grenier".
Nous voilà vautrés tous les trois dans le canapé. Clémentine manipule la télécommande. Estelle me tient la queue.
A l'écran, un des génériques très amusants, musicaux, dont Estelle a le secret. On s'attend à tout sauf à du porno.

C'est le premier film tourné ensemble. Estelle qui nous faisait découvrir un peu d'elle. Ses fantasmes de "Soumise".
Je me souviens. Clémentine filmait la scène. C'était au grenier. Estelle attachée par les mains aux poutres. Ligotée.
J'y pense à chaque fois que je regarde le plafond de la pièce où nous nous entraînons. Il y a une tache au plafond.
Estelle avait pissé. Ça avait coulé entre les lames du vieux plancher. Cela s'était imprégné par capillarité. Le plâtre.
Je bande en revoyant ces images. Il y a deux ans, Estelle avait 20 ans. En deux ans les jeunes filles changent vite.

A l'écran elle paraît encore juvénile, presque nubile. < Alors que t'étais déjà une sacrée salope ! > lance Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. C'est hyper excitant de revoir ce film. Que de souvenirs. Les filles se masturbent. Super.
Je leurs propose de les lécher, de les sucer pendant qu'elles redécouvrent ces images. Que n'ai-je proposé là ! Joie.
Elles retirent à nouveau leurs jeans, leurs culottes, s'installent confortablement. Je suis à genoux sur l'épais coussin.
Je recommande cette activité hautement gastronomique à tous les lecteurs désireux de s'offrir des nectars princiers.

Sucer, pomper, lécher et avaler du jus de filles pendant qu'elles se masturbent entrain de regarder leurs exploits !
C'est une vraie découverte. Autant pour elles que pour moi. De telles quantité de cyprine. Et une telle abondance.
Je suis au paradis. Je me régale dans un concerto de gémissements. C'est féérique. Je n'ai jamais bander autant.
Parfois je cesse pour regarder l'écran. Elles font des arrêts sur images. J'y vois ma queue dans la bouche d'Estelle.
Je ne me souvenais plus de l'intensité de la tension érotique que procure de telles images. Depuis samedi dernier.

La libido des filles, fortement stimulée par mes caresses, semble atteindre des sommets jamais atteints. Fabuleux.
Parfois l'une d'entre elle, entre deux souffles, deux gémissements, commentent une image particulière. Je regarde.
Je découvre ce qui les fait dégouliner davantage. Il en coule tant que je ne passe pas assez vite de l'une à l'autre.
Estelle ne peut réfréner l'orgasme nucléaire qui la tétanise. Elle va me pisser à la gueule en hurlant. Je me retire.
Juste à temps. Estelle recroquevillée sur elle-même. Clémentine se lève, se précipite aux toilettes, tout en pissant.

Je m'empresse d'aller la rejoindre suivi par Estelle. Nous admirons l'orgasme dithyrambique de Clémentine. Ça gicle.
Deux filles fontaines ! C'est assez remarquable. Même si chez Estelle c'est quand même très rare. C'est magnifique.
Je prends du papier cul pour les torcher toutes les deux. Clémentine reprend vite ses esprits. Elle passe la serpillère.
Nous retournons sur le canapé. A l'écran, le mot "Faim". Dernier gag d'Estelle qui a fait cet extraordinaire montage.
Déjà 23 h. Nous sommes crevés. Nous montons nous coucher. Estelle s'endort la première. Clémentine suce un peu.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire lécher en se regardant dans un film porno personnel…

Julien - (Qui propose à Clémentine de s'endormir. De remettre la pipe à demain. Elle se blottit contre lui. Dodo) -

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Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 962 -



Les improvisations d'un dimanche pluvieux

Hier matin, dimanche, je suis réveillé de la même façon. Entre les deux coquines qui me couvrent le visage de bisous.
Tout en me chuchotant des douceurs, me tenant par mon érection matinale et même en se frottant contre moi. Super.
Je passe mes bras sous leurs nuques pour les serrer. C'est tellement bon que je n'ai même pas encore ouvert les yeux.
Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite, toutes les deux leurs visages contre mon visage. J'ouvre enfin les yeux.
Il est 8 h30. Dehors il pleut. Et il fait tellement moche que je referme les yeux pour me blottir contre mes deux anges.

Cet enchantement paradisiaque ne dure pas. Estelle, ne peut plus lutter contre son irrépressible envie de pisser. Dur.
Elle se lève d'un bond en s'écriant : < Pipi ! >. Nous la regardons se précipiter à toute vitesse vers les toilettes. Belle.
Elle revient, enfile son pyjama de soie rose en disant : < Je descends préparer le petit déj ! Rejoignez moi vite. ! >
C'est à notre tour. Le pissou. Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine vêtus de nos t-shirts de nuit, de nos slips.
Estelle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Me couvrir le visages de bisous. Douce.

L'odeur de café, de pain grillé et de brioche est un étourdissement des sens auxquels s'ajoute toute cette tendresse.
Nous prenons notre petit déjeuner en savourant chaque bouchée. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Nous traînons à table. C'est dimanche. Pas de gym, pas de jogging, pas d'entraînement. C'est consacré au farniente.
Par contre le dimanche matin est consacré au "ménage". Et c'est un autre de nos rituels auquel nous aimons sacrifier.
Estelle s'occupe de l'aspirateur qu'elle passe partout. Clémentine s'occupe de la chambre à l'étage. Moi, la serpillère.

La vaisselle. Clémentine monte à l'étage. Je commence par la cuisine. J'entends Estelle chanter en passant l'aspirateur.
C'est toujours source d'une émotion profonde. Indicible. Ce chant qui résonne dans mon cœur autant qu'à mes oreilles.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les sols. Je m'apprête à monter. Je sais qu'Estelle m'attend là.
Le piège qu'elle me réserve ce dimanche matin est redoutable. Toute nue, cachée derrière la porte au bas de l'escalier.
Elle me saute au cou, chuchotant : < Le droit de passage, monsieur ! >. C'est tellement adorable. Un vrai brise cœur.

Pétri d'émotion je la soulève. Elle m'enserre la taille de ses jambes. < Baise moi Julien ! > murmure t-elle. Je bande.
Je la porte ainsi jusque dans le salon. Là, je la dépose sur le bureau. Je frotte mon sexe contre le sien. Longuement.
Derrière moi la voix de Clémentine : < Je vous y prends encore, tous les deux. Vicieux. A baiser derrière mon dos ! >
Elle me passe les bras autour du cou, serrée contre mon dos. Je pénètre Estelle qui s'enfile le Zob d'un coup de reins.
Estelle se met rapidement à bouger en rythme. < Put-Hein ! Comme c'est bon le matin ! > s'écrie t-elle en remuant.

Clémentine retire sa culotte, s'installe sur le bureau, écarte ses cuisses, fait : < Et moi, "Maître", je peux en avoir ? >
Je me retire du sexe d'Estelle pour m'introduire avec d'infinies précautions dans celui de Clémentine. C'est démentiel.
Je passe de l'une à l'autre. Décidément, les jours de pluie nous inspirent. Et nous restons ainsi une bonne demi heure.
Les filles se masturbent toujours lorsque je les lèche ou que je les pénètre. Elles doivent donc lutter contre l'orgasme.
Je reste particulièrement vigilant. Aux aguets. Prêt à me retirer au moindre indice. Ce qui est le cas à l'instant. Dur.

Clémentine, haletante, reprend ses esprits juste avant que je ne quitte le sexe d'Estelle in extremis. Elle est haletante.
Elles se redressent pour se blottir toutes les deux contre moi. Nos corps sont encore bouillants de tout ce plaisir. Joie.
Nous montons les escaliers en riant. Dans la chambre il faut fermer le fenêtre, s'habiller. Jeans, chemises à carreaux.
Je ramasse le tas de draps sales pour l'emmener à la salle de bain. Estelle passe l'aspirateur à l'étage et en chantant.
Clémentine me rejoint à la salle de bain. Je fais le bac à douche, le bidet. Elle fait les miroirs et le lavabo. Des bisous.

< Je sais que cette partie de ma vie est la plus belle de toute mon existence ! > fait elle en se blottissant contre moi.
J'écoute en silence tous ces mots qui me pétrissent d'émotion. Nous avons tous deux la perception aiguë de la fatalité.
Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes du haut. Et c'est le piège d'Estelle.
Comme à chaque fois elle arrive derrière moi en silence, s'accroupie pour me saisir la braguette. Moi je suis à genoux !
Les mains gantées, entrain de passer l'éponge dans la cuvette des WC il est impossible de me défendre. Je suis victime.

Curieusement, à l'oreille, elle me chuchote sensiblement les mêmes mots que Clémentine. < Je suis la plus heureuse ! >
C'est vrai que je le suis aussi. Notre relation à trois est si extraordinaire, c'est un tel privilège, impossible à comprendre.
Nous en sommes les victimes. C'est tellement magnifique. C'est un tel bonheur. Un retour de bâton qui risque d'être dur.
Je tire la chasse. Je fais monter Estelle sur mon dos. J'imite le hennissement du cheval, nous descendons prudemment.
Nous rejoignons Clémentine à la cave. Dans la buanderie. Nous trions le linge. Les filles évoquent la rentrée de demain.

Estelle tient à préparer l'intégralité du repas. Aussi elle nous laisse pour monter à la cuisine. Elle tient à faire la surprise.
Nous devinons puisque le pavé de saumon et la pâte feuilletée ont probablement décongelé depuis ce matin. C'est bien.
Clémentine me confie son bonheur intense. La crainte stupide qui l'envahie parfois à l'idée qu'un jour tout sera terminé.
Je la rassure. En ce qui me concerne ce n'est pas prêt d'arriver. Nous en rions de bon cœur. Nous nous embrassons fort.
Une seconde machine tourne déjà. Nous suspendons les draps. Nous n'arrêtons pas de nous témoigner tant de douceur.

Nous remontons rejoindre Estelle qui me saute au cou. La table est mise. La salade de tomates est prête. C'est magique.
Le feuilleté de saumon est au four. Il ne reste plus qu'à patienter avec un appétit d'ogre. 12 h15. Nous passons au salon.
Vautrés dans le canapé, nous évoquons notre soirée cinéma improvisée de hier soir. Je félicite Estelle. Qualités d'actrice.
Je félicite Clémentine. Ses qualités à la prise de vue derrière la caméra. Je suis entre les filles. Nous rions de bon cœur.
J'ai la bite à l'air. Gluante. Mon liquide séminal qui se mêle à la cyprine des deux coquines. Tout ça est entrain se sécher.

La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Ce repas est un véritable délice. Nous félicitons Estelle. Super.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons longuement à table. Dehors, le temps est lamentable.
Assises sur mes genoux, en terminant leurs coupes glacées, les filles parlent de leur programme universitaire. Demain.
J'écoute en silence. J'admire les ruses et les stratégies toutes féminines mais tellement rigoureuses qu'elles appliquent.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je propose un bon léchage de minou au salon avant toute chose. C'est si miam.

Je ne suis pas obligé de le suggérer deux fois. Voilà les coquines qui m'entraînent au salon. Elles retirent les fringues.
A quatre pattes sur l'épais tapis, les coudes en appui sur le canapé, elles me présente les culs. Je suis à quatre pattes.
Le dimanche, nous restons toujours à macérer dans nos jus, sans prendre de douche. C'est donc un véritable dessert.
Je surmonte avec difficulté la répugnance que suscite l'odeur et l'aspect de la raie du cul d'Estelle. Ses poils qui collent.
Mais cet écœurement participe très vite de l'indicible plaisir que procure ce nettoyage de filles négligées. C'est miam.

Je leurs bouffe la chatte. Je les pénètre à tour de rôle. Je recommence. Une bonne partie de cet après-midi pluvieux.
Les orgasmes sont inévitables. Elles ont encore pissé partout. Il faut passer la serpillère sur le parquet vitrifié. Rires.
Il est 16 h30 lorsque nous sommes dans l'atelier. Et il faut reprendre tous nos esprits pour tenter de nous concentrer.
Nous travaillons un peu. Jusqu'aux environs de 18 h30. Les manifestations du fantôme de Christine se font entendre.
Nous écoutons, blottis tous les trois. Nous rangeons nos affaires. Les filles ont tout préparé pour demain. Moi aussi.

Le repas du soir. Du riz complet en accompagnement des restes du feuilleté de saumon. Nous traînons à table. Bon.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Une certaine tristesse chez Estelle qui va devoir nous quitter. Il est déjà 22 h.
Après quatre jours ensemble, c'est à nouveau une séparation difficile. Nous nous revoyons mardi soir. Plein de bises.
Nous rentrons. Au lit, Clémentine me confie ses derniers ressentis, ses derniers secrets. Elle veut me pomper un peu.
Je la laisse sucer en lui murmurant mes impressions, mon amour fou pour elle. Je lui éjacule dans la bouche. Dodo…

Bon dimanche à toutes les coquines qui mettent à profit cette météo détestable pour réviser leurs désirs de sexe…

Julien - (Qui a passé beaucoup de temps à ramoner les deux anges. A leurs nettoyer le cul, la chatte. Merveille)

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La rentrée

Hier matin, lundi, c'est la Symphonie Pastorale de Beethoven qui nous arrache avec violence de nos profonds sommeils.
< Ludwig ! Salaud ! > s'écrie Clémentine qui roule sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Il est 5 h55. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. La tête encore dans le cul, nos tenues de sport.
Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine pour y préparer le petit déjeuner. Et le lundi il reste toujours de la brioche.
Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous avons un peu perdu l'habitude de nous lever si tôt. C'est donc hard.

Dans ce cas là, une seule solution, mettre les bouchées doubles à l'entraînement. Nous montons. Pressés d'en découdre.
Joggings sur tapis roulants, charges additionnelles et les abdos achèvent de faire de nous des guerriers pour la journée.
La douche. Je descends le premier sous la pluie pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Elle me rejoint rapidement.
Vêtue de son jeans, d'un sweat sous son blouson de cuir, ses bottines. A l'abri de son parapluie. Le temps pourri continu.
Un dernier bisou. Il est 7 h45. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Un dernier coucou. Je rentre à l'abri.

Je fais notre lit, la vaisselle avant d'aller dans l'atelier. Me voilà assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Bien.
Je termine aujourd'hui cette damnée dixième œuvre de commande. Il est 8 h15. Je peins dans un enthousiasme serein.
Comme toujours, lorsque je suis ainsi livré à ma passion, je ne vois plus défiler les heures. Ce qui est encore le cas ici.
Il est aux environs de 10 h quand la musique imbécile de mon smartphone me tire de ma concentration. Je peste. Rage.
Je le tire du fond de la poche de ma blouse. Je me calme rapidement. C'est Julie. Elle m'appelle entre deux cours. Bien.

La jeune fille me confirme sa venue, ce soir, pour partager notre repas. Elle m'avoue se réjouir. Nous lui manquons tant.
Je la rassure. Nous nous réjouissons également pour la revoir. Cela fait tout de même deux semaines depuis l'autre fois.
La conversation est courte. Julie ne dispose que de quelques minutes. Nous nous saluons avant de raccrocher. C'est bon.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je lave les feuilles d'une belle scarole. Egalement pour notre repas de ce soir.
J'épluche les patates que je découpe en fines lamelles. Immédiatement dans l'eau bouillante pour les saisir. C'est parfait.

J'émince finement du colin, de l'ail, de l'oignon et des champignons. Persil, ciboulette. Je fais revenir à la poêle. Super.
Dans le plat en terre cuite, je dispose les pommes de terre égouttées. Je recouvre de tranches de Gouda, gruyère râpé.
J'y verse le mélange œuf crème fraîche, sel, poivre, curcuma. Je mets au four. Je fais une Béchamel. Noix de muscade.
J'en récupère un peu comme sauce avec le riz complet qui a gonflé. Je mange de bon appétit. Le repas du soir est prêt.
Je tente d'écouter les informations. C'est au-dessus de mes forces. Ces mensonges, ces turpitudes pourraient me nuire.

La vaisselle. Le gratin est au four réglé de manière à ce que je ne sois plus obligé d'intervenir. Et il suffira de réchauffer.
Il est 13 h lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je rajoute une bûche dans le Godin.
Le crépitement du bois, son odeur, sa douce chaleur, participent d'une ambiance d'automne qui m'enchante. C'est bien.
Je peins avec le même enthousiasme serein que durant la séance matinale. Je pousse les cris les plus surréalistes. Joie.
Il est rapidement 16 h30. Clémentine entre dans la l'atelier à toute vitesse. Elle jette son cartable dans le vieux canapé.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, en me couvrant le visage de bisous, elle me raconte sa journée.
Les profs. Les cours. Le menu du restaurant universitaire. J'écoute avec intérêt. C'est le lien avec le monde extérieur.
Clémentine a encore du travail. La voilà assise à la table, devant l'ordi, à mettre au propre toutes les notes de ce jour.
Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre. Lui faire des bises. Lui marmonner des cochonneries à l'oreille. C'est super.
Je lui raconte l'appel de Julie. < Tu seras le roi des vicelards ce soir. Ça lui manque tellement ! > fait Clémentine. Rire.

< Ras les bottes ! > s'écrie Clémentine derrière moi. 18 h30. Nous rangeons nos affaires. Je nettoie palette, pinceaux.
Soudain, au dessus de nos tête, un bruit sourd. Un peu comme une bassine métallique qui serait frottée sur le parquet.
< Christine ! Bonsoir ! > lance Clémentine d'une voix distincte. Le bruit cesse. Quelques instants. Une porte qui claque.
Des bruits de pas. Nous sommes blottis l'un contre l'autre. Et nous tentons de localiser les déplacements du fantôme.
Cela ne dure guère plus de dix minutes. Ce soir c'est particulièrement intense. Nous sommes assis sur le vieux canapé.

Dehors il fait nuit noire. Il pleut toujours. La fraîcheur est plus marquée. Les radiateurs dans la maison fonctionnent.
Nous restons ainsi un petit moment à nous chuchoter des douceurs. Clémentine joue avec ma queue toute mollasse.
Elle me rappelle encore une fois que Julie vient pour ça. La jeune fille adore les situations vicieuses. C'est impératif.
Nous mettons au point quelques stratégies qui permettent d'élever d'un cran nos petits jeux exhibitionnistes du soir.
Je promets de faire au mieux. Il me faut contenter Clémentine et ravir Juliette de quelques comportements salaces.

Nous en rions de bon cœur. Il est 19 h. Clémentine m'entraîne par le Zob jusqu'à la cuisine. Elle découvre la surprise.
Le gratin de pommes de terre qui est au four. Il suffit de réchauffer. Clémentine qui fait l'assaisonnement de la salade.
Je l'aide à couper l'ail et l'oignon. Je touille la garniture dans sa poêle. Spatule en bois. A feux doux. Odeurs superbes.
Nous dressons la table au salon. Les trois bougies du chandelier seront la seule source de lumière. Ambiance érotique.
Clémentine s'accroupit pour humer ma bite. Elle pend toute molle de ma braguette ouverte. Elle me décalotte un peu.

Immédiatement l'odeur de Parmezob nous monte aux narines. Clémentine tète quelques instants en gémissant. Miam.
Il est 19 h30. Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite pour aller ouvrir. Elle revient suivie de Julie. Souriante.
La jeune fille ne peut cacher sa joie. Nous nous serrons la main. Julie est vêtue de son jeans, sweat, bottines, lunettes.
Ses longs cheveux noirs noués en catogan. Avec ses bottines à légers talons, elle est un peu plus grande. Elle est belle.
Elle ne prête aucune attention au Zob qui pend de ma braguette. Dans l'obscurité, elle ne l'a sans doute pas encore vu.

Je propose aux filles de s'installer à table. J'assure le service. Julie apprécie d'autant plus que c'est son job en soirée.
Le gratin de pommes de terre est de toute beauté. Doré à point. La garniture présente la légère croûte sur le dessus.
J'entends les filles bavarder sans comprendre la nature de leurs propos. Sans doute des anecdotes d'étudiantes. Bien.
Je me branle. Je ne tarde pas à bander comme un vrai salaud. J'apporte le gratin au salon sous les applaudissements.
< Wouah ! > fait Julie. Je ne sais pas si c'est pour le gratin ou pour la bite. Je retourne chercher la garniture. Erection.

La bite tendue, pointée vers le haut, je rapplique avec la garniture. < Wouah ! Génial ! > s'écrie Julie. Je ne sais pas.
Je retourne cherche le saladier. Je reviens. < Vous êtes un "Maître Queue", un vrai cordon bleu ! > lance Julie. Rires.
Je reste debout de l'autre côté de la table. Bien en face de la jeune fille. J'agite ma queue dans sa direction. Sympa.
Je dis : < Bon appétit Julie. Nous sommes heureux de t'avoir à notre table ! >. Clémentine rajoute : < C'est divin ! >
Nous mangeons de bon appétit. Julie évoque son après-midi de jeudi avec Juliette au haras. Son après-midi de libre.

L'ambiance des écuries lui plaît tant. Nous connaissons la nature de sa relation avec Juliette. Nous n'en parlons pas.
Durant le repas, je tiens souvent ma fourchette de la main gauche. Ma main droite sous la table. Je me palpe le Zob.
J'entretiens une érection humide et dégoulinante. Je me branle. C'est délicieux. Julie qui m'observe avec un sourire.
Parfois je me lève pour venir près d'elle. Cette fois-ci, j'ai la queue tout près de son visage et par dessus son épaule.
Julie n'a aucun reflexe. Elle sait n'avoir rien à craindre. Et cette certitude participe du merveilleux moment qu'elle vit.

Clémentine me fait quelquefois un clin d'œil. Elle apprécie tellement lorsque j'ai de tels comportements avec d'autres.
Je débarrasse. Je ramène les coupes glacées. < Pourquoi une quatrième et vide ? > demande Julie, observant le Zob.
Je réponds : < C'est pour me branler. Y pisser aussi ! Tu n'aimes pas prendre le dessert devant un bon spectacle ? >
Julie éclate de rire avant de dire : < Vous êtes l'homme le plus vicieux que je connaisse ! >. Nous savourons la glace.
Je me lève. Je saisis la coupe glacée vide. Je suis debout en face de Julie. La table nous sépare. Les filles en apnées.

Je pose ma queue légèrement molle et juteuse sur le bord de la coupe. Du liquide séminal en dégouline. Opalescent.
Je lâche une première giclée de pisse. Il y a du foutre qui s'écoule en même temps mais qui reste sur le bord du verre.
J'entends les respirations des filles. Clémentine est aussi excitée que Julie. Un nouveau petit jet. Je vise juste et bien.
Aucune goutte à côté. Julie, le menton en appui sur ses mains, coudes posés sur la table, observe cette scène. Belle.
Je remarque la légère buée sur les verres de ses lunettes qu'elle retire. < Vous êtes un vrai salaud ! > me fait elle.

Je fais : < Mais pour vous servir mademoiselle. Vous ne venez ici que pour en prendre votre dose hebdomadaire ! >
< C'est vrai ! Merci monsieur ! > répond Juliette en remettant ses lunettes. Je me branle comme un vrai salopard.
Impossible de continuer à pisser. Je pose la coupe sur la table, bien au milieu. Quelle surprise. Julien qui s'en saisis.
Elle l'agite pour en faire tourner le liquide doré sous la lumière des bougies. < Il y a le sperme qui flotte ! > dit elle.
Elle soulève la coupe pour la regarder sous tous ses angles. C'est hyper excitant. Clémentine qui me tient la queue.

Nous traînons à table. Nous dissertons sur nos soirées vicelardes. Les émotions qu'elles suscitent chez la jeune fille.
Julie nous raconte quelques anecdotes. Lorsqu'elle fait le service en soirée, dans le restaurant de sa tante. Superbe.
Elle s'amuse à créer des situations équivoques dans les toilettes du sous sol, quand un mec descend pour y pisser.
J'écoute en me branlant. Elle aime raconter. Il est 22 h. Il faut y aller. Nous la raccompagnons sous notre parapluie.
Au plus tard lundi prochain. Sinon vendredi soir au restau. Au lit, Clémentine me félicite. < Tu as été hyper génial ! >

Bonne soirée à toutes les coquines qui aime se rendre à des soirées chez des couples. Pour y mâter des saloperies...

Julien - (Qui se fait sucer au lit. Clémentine raffole des jus d'exhibitionniste occasionnel devant une invitée) -

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La Flamiche Picarde du mardi soir

Hier matin, mardi, c'est le Requiem de Verdi qui nous tire de nos profonds sommeils avec une certaine délicatesse. Bien.
< Mmhh ! Verdi ! > murmure Clémentine en se lovant sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table nuit.
Il est 5 h55. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Clémentine qui n'a pas cours le mardi après-midi.
Elle est animée d'une euphorie qui m'amuse beaucoup. Nous enfilons nos tenues de gym avant de dévaler les escaliers.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons avec un appétit d'ogres. Et nous bavardons en mangeant.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles. Abdos.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous son grand parapluie.
Vêtue de son jeans, son sweat, son blouson de cuir noir, chaussée de ses bottines. Elle me met la main à la braguette.
< Je t'aime Julien et je serai de retour pour midi vingt ! Je t'aime ! > me fait elle avant de monter dans la voiture. Bon.
Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit, la vaisselle avant d'aller dans l'atelier.

Il est 8 h15. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare ma palette et mes pinceaux. C'est parfait.
Je commence ce matin la petite toile de format F4 ( 33 x 24 cm) destinée aux parents d'Estelle. Cadeau pour les fêtes.
C'est un paysage d'après une photo que j'ai prise lors d'une de nos randonnées en Ecosse. Un endroit romantique. Bien.
Je peins dans un enthousiasme délirant. Animé et habité. C'est magnifique. La matinée passe à une vitesse vertigineuse.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je coupe le poireau en petits morceaux.

Je les jette dans l'eau bouillante, salée. Je concocte une Béchamel. Je râpe une quantité industrielle de gruyère Comté.
Il est 12 h20. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage avec plein de bisous. Joie.
Elle s'occupe de la salade et de l'assaisonnement tout en me racontant sa matinée. Les cours, les profs. Si intéressante.
J'égoutte les poireaux, les coquillettes. Je récupère un peu de Béchamel en accompagnement de mes coquillettes. Bon.
Je verse les morceaux de poireaux dans la Béchamel. Pour ce soir. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Super.

Je fais une belle pâte à pain. Je la laisse reposer sous son linge dans un saladier. La Béchamel sous son couvercle. Bien.
Le nécessaire pour la Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui fait le bonheur de nos mardis soirs, est prêt. Super.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.
Clémentine est tellement contente d'être à la maison. Elle se serre contre moi à chaque occasion. Presque tout le temps.
Je l'entraîne dans la chambre. Je la fais tomber sur le lit. Je lui retire son jeans et sa culotte. Je la touche vulgairement.

< J'adore quand tu fais comme ça ! > me chuchote t-elle avant de m'embrasser avec fougue. Je lui fais un doigt. Doux.
Je la bascule sur le dos. Je descends mon visage entre ses cuisses. Je m'enivre de ses odeurs de filles, de ses saveurs.
Je suis couché sur le ventre. Il me suffit de me hisser pour me positionner délicatement sur elle. J'ouvre mon pantalon.
Je bande comme un salaud en rut. Je la pénètre toutefois avec d'infinies précautions. < Mais comme j'aime ! > dit elle.
Nous restons ainsi, immobile, comme nous aimons, à nous confier nos secrets. Et parfois nous nous berçons en rythme.

Lorsque nous sommes ainsi livrés à notre passion pour les confidences, nous ne voyons pas passer le temps. C'est bon.
Clémentine se masturbe. Je la baise doucement. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids.
L'orgasme ne va pas tarder. Nous voulons absolument restés excités le restant de la journée. Je me retire. Doucement.
Je me lève. Clémentine me tend ses mains. Je l'aide à se remettre sur pieds. Je la soulève. < C'est si bon ! > fait elle.
Nous descendons. Clémentine a du boulot. Mettre au propre ses notes de la matinée. Préparer le sujet pour la semaine.

Nous voilà dans l'atelier. Il est 14 h. Clémentine devant son ordinateur. Moi devant mon chevalet. Le poêle ronronne.
Nous adorons ces séances de travail commun. Seul le crépitement du feu et le souffle de nos respirations. C'est bien.
Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre. Lui faire des bisous. Passer sa main entre ses cuisses. Et murmurer un truc.
Il est 18 h15 lorsqu'Estelle arrive. Elle entre à toute vitesse pour se précipiter vers moi. Elles se sont vues ce matin.
Assises sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte son après-midi dans l'entreprise familiale.

Elle ne tarde pas à rejoindre Clémentine pour comparer leurs travaux respectifs. Soudain, à l'étage, un bruit de porte.
Aucune porte ne grince dans la maison. Jamais. Sauf quand c'est le fantôme de mon ancienne compagne qui les ouvre.
< Bonsoir Christine ! > font Clémentine et Estelle en cœur. Nous restons tous les trois serrés les uns contre les autres.
Ces manifestations durent une bonne dizaine de minutes. Impossible de localier la provenance des pas lourds. Bizarre.
Tout cesse aussi brusquement que cela a commencé. Il est 18 h40. Nous rangeons nos affaires silencieusement. Bien.

Morts de faim malgré tout, nous allons à la cuisine. Estelle qui travaille encore un peu la pâte pour la rendre onctueuse.
Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue. Je réchauffe la Béchamel. Estelle, les mains enfarinées, étale la pâte.
Je verse la garniture. < Sors ta bite ! > me fait elle en agitant ses doigts. Je comprends. Elle veut me l'enduire de pâte.
La Flamiche Picarde est au four. La table est mise. Estelle m'entraîne au salon. Clémentine nous suit en riant. L'apéro !
Accroupie au milieu de la pièce, Estelle me lèche la bite pleine de farine sèche. Je bande mou. Et c'est comme un Nem.

Cette délicatesse est devenue une habitude à chaque fois qu'Estelle malaxe de la pâte. Elle adore m'enduire la queue.
Quand ça sèche l'aspect évoque une sorte de salami. Quand je bande, l'enduit craquelle comme un vieux plâtre. Rire.
Clémentine nous rejoint avec deux coussins. Elles s'y mettent toutes les deux à genoux pour bien me nettoyer la bite.
Elles se refilent ma queue qui est rapidement propre puis luisante de salive. De liquide séminal sans doute. Ça excite.
Je les laisse sucer. Je murmure : < J'ai quelque chose d'important à faire ce soir ! Venez, on va dans le souterrain ! >

Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Elles se lèvent toutes les deux d'un bond. Je vais au bureau. Un des tiroirs.
Je récupère la boîte en bois. Nous descendons à la cave. J'ouvre la porte du souterrain qui va jusqu'au garage. 30 m.
Comme la propriété à été construite au XIXème sur une ancienne commanderie Templière, il y a des galeries partout.
Le garage a tété construit dans les années 50 sur les fondations d'une ancienne chapelle. Il reste de vieilles reliques.
Clémentine ouvre la marche en tenant la lampe de poche. Le souterrain est sec, voûté. C'est toujours impressionnant.

Là, au milieu de la galerie, il y a sur la gauche, une entrée condamnée. Cela forme une profonde niche. Il y a un socle.
J'ouvre la boîte pour en sortir trois bougies noires, un napperon de dentelles noires et deux bagues d'argent. J'allume.
Clémentine et Estelle sont derrière moi. Il n'y a plus que la lueur des bougies. Tout a un aspect fantastique. Sublime.
Ces deux bagues ont appartenu à mon ancienne compagne emportée un 5 novembre. Et tous les ans je fais ce rituel.
Je prononce l'incantation que je lis dans le grimoire ouvert. Un courant d'air glacial et violent. Les bougies s'éteignent.

Les filles se serrent contre moi. Ce n'est jamais rassurant mais je me suis engagé à le faire pour apaiser le fantôme.
Cela paraît évidemment ridicule. Mais ça ne l'est pas du tout. Clémentine allume la lampe de poche. Je range le tout.
Nous remontons à toute vitesse. Il fait un froid glacial. Nous sommes poursuivis par le courant d'air venu de nul part.
Je referme la lourde porte du souterrain à clef. Nous remontons en vitesse. La sonnerie du four. L'occulte donne faim.
Nous mangeons de bon appétit. Pour conjurer les étranges impressions qui nous habitent encore, nous plaisantons.

Nous trainons à table. Une fois encore Clémentine me demande de l'initier à la magie. Depuis trois ans je m'y refuse.
< Moi j'aimerai bien apprendre, devenir une sorcière ! > fait Estelle en s'asseyant sur mes genoux. J'ai le Zob à l'air.
< Ce ne serait plus seulement le "Maitre" et ses deux "Soumises", mais ses deux "Sorcières" ! > rajoute Clémentine.
Nous en rigolons comme des bossus. Je m'en tire par une pirouette : < On verra ! >. < On sera sages ! > dit Estelle.
Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles m'entraînent au salon. J'ai la bite à l'air.

Estelle retire son jeans et sa culotte. Elle s'allonge sur l'épais tapis devant le canapé. < Tu me prends ? > me fait elle.
Je consulte Clémentine du regard. Elle est aussi étonnée que moi. Elle dit à Estelle : < T'es accro à la baise, salope ! >
< Il faut que j'ai un élément de comparaison pour demain soir, je baise avec parrain au fond du garage ! > fait elle.
Clémentine m'enlève mon jeans, mon slip. Elle m'entraîne sur Estelle. Elle me chuchote : < Baise là cette salope ! >
Clémentine reste à genoux. Elle me tient les couilles par derrière tout en se masturbant. Je m'introduis dans Estelle.

Quand je baise, je reste toujours en appui sur mes bras. J'évite ainsi de peser de tout mon poids. La fille peut bouger.
Estelle se suspend à mon cou. Elle se met à se secouer comme une démente. < C'est si bon ça Julien ! > s'écrie t-elle.
Clémentine approche son visage des nôtres pour observer nos expressions. Cela la passionne, l'excite tellement. Bon.
J'alterne les moments où je fais la "machine à coudre" et les moments de calme. Estelle, retombée au sol, se touche.
Son orgasme est cataclysmique. Elle se recroqueville, les mains entre les cuisses. Je lance à Clémentine : < Viens ! >

Clémentine prend la place d'Estelle. Je la fourre de la même façon. Estelle, couchée à côté, son visage près des nôtres.
Nous adorons nous chuchoter des trucs tous les trois. En baisant c'est encore meilleur. Clémentine se masturbe si fort.
Son orgasme n'a rien à envier à celui d'Estelle. Je me dresse. Je suis à genoux. Estelle et Clémentine se refilent le Zob.
Je ne sais même pas dans quelle bouche j'éjacule. Dans les deux. C'est sûr. Je tombe sur le dos. C'est tellement bon.
Nous reprenons nos esprits. Nous allons tous les trois aux toilettes. Estelle pisse d'abord. Je la lèche. Je récupère tout.

C'est au tour de Clémentine. J'adore les lécher pour les nettoyer lorsqu'elles ont pissé. Il y a toujours la petite goutte.
C'est miam avec les sécrétions de cyprine. Un mélange crémeux, légèrement acidulé. C'est mon petit dessert dingue.
Estelle me tient la bite pour en diriger le jet. Elles se refilent ma bite juteuse. Un concert de gémissements. Grandiose.
Nous pourrions recommencer nos saloperies. Mais il est déjà 22 h. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. La pluie.
La séparation est difficile. Au lit, Clémentine se love contre moi, me murmure ses derniers secrets. Et nous plongeons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vivent des choses étonnantes, passionnantes, affolantes, avant de jouir…

Julien - (Qui s'acquitte de ses devoirs envers le fantôme comme envers Estelle et Clémentine. A coup de Zob) -

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Un mercredi soir chez Juliette

Hier matin, mercredi, c'est le concerto pour Mandoline de Vivaldi qui nous arrache de nos profonds sommeil. C'est cruel.
< De la mandoline ! > s'écrie Clémentine qui roule sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Il est 5 h55. Quelques papouilles. Il faut se lever. C'est avec la tête dans le cul que nous allons aux chiottes pour pisser.
Nos tenues de gym. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous y préparons notre petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant nos baises de hier soir. < Baise à la chaîne ! > dit Clémentine en riant.

Nous remontons. Une heure de gym avec intensité maximale. Charges additionnelles, abdos, jogging sur tapis roulants.
On n'a encore rien trouvé de mieux pour s'affuter afin d'affronter une journée. Nous voilà bien réveillés. Des guerriers.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Frais.
Jeans, pull, blouson, écharpe, gants, bottines et bonnet. Il est 7 h45. Un dernier bisou. Elle palpe ma braguette. Douce.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin dans le jour naissant. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer.

Je fais le lit et notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il est 8 h15. Me voilà enfin confortablement assis devant le chevalet.
Je prépare ma palette. Je peins dans une sorte d'euphorie créatrice qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Joie.
Il est aux environ de 10 h lorsque la musique imbécile de mon smartphone le fait vibrer au fond de la poche. Ma blouse.
Je peste, je rage, je fulmine. Qui donc peut me sortir ainsi de mes réflexions créatrices. Je me calme vite. C'est Juliette.
Après les civilités d'usage, Juliette en vient rapidement au sujet qui la préoccupe. Le sexe. Nous sommes invités ce soir.

A partir de la semaine prochaine, Juliette pourra enfin venir manger chez nous le mercredi soir. Elle s'en réjouie. Super.
Le haras, son entreprise ayant retrouvée sa vitesse de croisière, lui offre un peu de répit. Il y a les 85 chevaux requis.
Nous évoquons notre projet de film pour samedi soir. Comme ce sera encore un Week-end prolongé, il y aura le temps.
Nous bavardons. Mode "haut parleur", ce qui nous permet de travailler. Une conversation qui dure 20 minutes. Sympa.
Nous raccrochons. Je n'arrête plus de penser à cette jeune femme. Et j'ai une érection qui participe de mon inspiration.

Il est midi. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du pilpil de blé. Je prépare la salade de tomates. Je pane un filet de colin.
Je le trempe dans l'œuf, dans la chapelure avant de le faire revenir à la poêle. C'est une préparation rapide. Un délice.
Je mange de bon appétit. Je tente d'écouter les informations. C'est scandaleux et révoltant. Je préfère éteindre la radio.
La vaisselle. Je range la cuisine. Je suis pressé de retourner à ma passion. Il est 12 h45 quand je suis devant le chevalet.
Cette seconde séance est aussi gratifiante que la première. Ce tableau sera terminé ce soir. Dehors, il y a enfin du soleil.

Déjà 16 h30 lorsque Clémentine entre à toute vitesse dans l'atelier. Elle se précipite en balançant son sac sur le canapé.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les profs, les cours, le menu du restaurant universitaire. C'est bien.
Clémentine qui a encore du travail s'installe devant l'ordinateur. Nous voilà dans cette émulation silencieuse. On adore.
< Put-Hein, mais là, j'en ai marre ! > s'écrie soudain Clémentine. Il est 18 h30. Je dépose mon dernier coup de pinceau.
Nous rangeons nos affaires en même temps que se font entendre les premières manifestations du fantôme à l'étage.

La nuit est tombée. Nous restons assis dans le vieux canapé. Il y a juste la lumière de la petite lampe de bureau. Bien.
Nous restons blottis l'un contre l'autre, silencieux, en écoutant l'activité paranormale à l'étage. Cela dure dix minutes.
Tout cesse. Clémentine me sort la bite. Nous en rions de bon cœur. < Les fantômes, ça me chauffe ! > dit Clémentine.
Nous restons encore un peu à bavarder. Je lui raconte la conversation téléphonique avec Juliette. Le projet pour samedi.
Clémentine m'entraîne par le Zob. Nous montons pour nous changer. Nous mettons des jeans propres, chemises, pulls.

Nous aimons nous vêtir de la même façon. Nos bottines. Blousons de cuir noir. Clémentine m'entraîne devant le miroir.
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > dit elle en se serrant contre moi. Elle pose sa main sur ma braguette.
< Ce soir, tu seras le dernier des salauds chez Juliette, d'accord ? > rajoute t-elle encore, me sortant une queue molle.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine l'agite et la fait tournoyer. Nous nous observons. C'est si amusant.
Nous redescendons. La tarte aux pommes est dans son tupperware. Nous prenons la voiture de Clémentine. Je conduis.

Il est 19 h30 lorsque nous arrivons au haras. Il y a encore deux voitures dans la cour. De la lumière dans les bâtiments.
Nous adorons l'odeur des chevaux dans les écuries. L'ambiance. Nous voilà dans l'ancien bâtiment. C'est notre préféré.
Il y a Kim Son, le jeune palefrenier assis sur le chariot élévateur à manier une énorme meule de foin. Il nous fait signe.
Nous le regardons faire. Evelyne, sa collègue arrive à son tour avec une brouette emplie de granules et d'avoine. Super.
Nous nous saluons. Nous bavardons un peu lorsque Juliette arrive à son tour. Toute souriante de nous voir. C'est parfait.

Juliette donne les dernières instructions à ses deux employés avant de nous inviter à la suivre. Nous traversons la cour.
Juliette est vêtue de sa tenue d'écuyère habituelle. Elle est hyper sexy. Ses longs cheveux noirs en tresse. Longue natte.
Nous montons dans ses appartements. Nous sommes priés de prendre place dans le canapé, et devant des cacahuètes.
Assise dans le fauteuil, face à nous, Juliette nous raconte ses journées. La pension pour chevaux a fait le plein. Superbe.
Elle peut enfin souffler un peu. Juliette est assise bien droite. Les cuisses légèrement écartées. Le pantalon d'équitation.

Ce pantalon est aussi moulant qu'un collant. On distingue donc parfaitement les formes les plus intimes. C'est sublime.
La couture qui passe exactement entre les lèvres charnues de son sexe. Deux petits renflements de chaque côté. Génial.
Je regarde effrontément pour bien faire comprendre à la dame que cette vision me passionne. Je bande. Un vrai salaud.
Clémentine me tient la main, son pied contre le mien qu'elle fait bouger. Elle a vu aussi. J'ai la bosse dans la braguette.
En contractant mes muscles fessiers, je la fais bouger de façon régulière. Juliette la remarque rapidement. C'est exquis.

Tout en bavardant, nous fixons le sexe de l'autre. Cela excite considérablement Clémentine qui ne sent pas exclue. Joie.
Juliette se lève. Nous sommes invités à passer à table. Je propose à la jeune femme de l'aider à ramener les plats. Non.
Sous la table, j'ouvre ma braguette. J'en sors la queue avec difficulté. Je bande tellement fort. Véritable démonte pneu.
Juliette revient avec les plats. Des petites tartelettes au crabe, au saumon et aux crevettes. L'odeur enivre. C'est si bon.
Je me lève en disant : < Vous ne voulez vraiment pas que je vous aide Juliette ? >. Elle découvre ma bite bien dressée.

J'adore cet air sévère que prend Juliette avant de me faire un sourire terriblement vicelard. < Venez ! > me lance t-elle.
Clémentine se lève pour me suivre. A la cuisine Juliette remue la salade. Je décapsule une bouteille de jus de fruit. Kiwi.
Juliette, comme par défi, se campe bien devant moi, le saladier à la main pour me dire : < J'adore vos interventions ! >
J'avance ma main. Je la pose sur son pubis. Je descends entre ses cuisses. A travers le tissus je sens toutes les formes.
Juliette se laisse faire. Elle écarte les pieds, se cambre afin de me permettre le meilleur accès. Clémentine est penchée.

Je palpe vulgairement la vulve de Juliette. Clémentine s'est accroupie pour observer. Je me branle de mon autre main.
< Venez, les plats vont refroidir ! > fait Juliette en se dégageant pour nous inviter à la suivre. Clémentine tient le Zob.
< Ce sont d'excellentes mises en situations pour samedi soir ! > dit encore Juliette, s'asseyant. Installée à ma droite.
Nous mangeons de bon appétit. Nous réglons quelques derniers détails concernant la réalisation de notre film samedi.
Juliette sera à la caméra. Elle y excelle. J'interprèterai le rôle du "Maître" qui emmène ses deux "Soumises". Dressage.

Juliette précise qu'il n'y aura plus qu'un seul trou à partager pour les deux filles. Mais deux bites et une "surprise". Rire.
< Une troisième bite. C'est ça n'est-ce pas ? > demande Clémentine. < Une surprise ! > répond laconiquement Juliette.
Parfois je me lève. Tous ces détails me font bander comme un priapique en phase terminale. J'agite le Zob. Je le secoue.
Je me branle vulgairement en posant quelques questions à Juliette. Elle se fait un malin plaisir à se pencher pour mâter.
Juliette se lève. Elle passe sa main entre ses cuisses. Clémentine fait de même. Nous nous observons en silence. Apnée.

Juliette se tourne vers Clémentine : < Si vous pouviez autoriser Julien à baiser avec moi, ce serait un grand moment ! >
< Pas question ! > répond Clémentine en s'asseyant. Je fais pareil. Inutile de revenir sur ce principe. Cette interdiction.
Clémentine fait : < Juste une bonne pipe un de ces soirs ! >. Juliette mime une fellation en disant : < Avec plaisir ! >
Je me lève. J'extrait péniblement mes couilles de la braguette. < Génial, c'est comme ça que je les aime ! > dit Juliette.
Je me branle. C'est hyper bon. Il y a du liquide séminal qui perle au bout de mon méat. Il ne va pas tarder à s'écouler.

< Samedi soir, je te suce mon bonhomme, jusqu'à t'en faire perdre conscience ! > s'écrie Juliette, se levant à nouveau.
Elle se touche à présent sans la moindre inhibition. Clémentine se lève pour glisser une main dans sa culotte. Se branle.
Juliette fait la même chose. C'est surréaliste. Nous sommes debout là autour de la table à nous masturber tous les trois.
Je finis par cesser. Je commence à débarrasser la table. Les filles admirent mon self control. Juliette lance : < Génial ! >
Si elle savait à quel point je suis obligé de me faire violence pour jouer à mon jeu préféré. Exciter les filles. Une attitude.

Rien n'excite davantage une femme qu'un homme qui maîtrise chacune de ses pulsions. Qui est capable de se contrôler.
La tarte aux pommes est délicieuse. Nous traînons à table. Nous nous sommes calmés. Et inutile d'aller à la frustration.
Juliette nous raccompagne dans la fraîcheur vive jusqu'à la voiture. Je la surprends. Je la touche vulgairement. Le sexe.
Elle me palpe la braguette. Nous nous revoyons samedi soir pour 19 h30. La réalisation du fantasme cinématographique.
Sur la route du retour, Clémentine me félicite pour mon attitude de ce soir. Elle me branle. < Je t'aime Julien ! > dit elle.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver avec leur mec en compagnie d'une délicieuse salope…

Julien - (Qui offre à Clémentine un cunnilingus qui la fait hurler. Il écoute ses derniers secrets. Elle est blottie) -

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Un jeudi des plus "classique"

Hier matin, jeudi, c'est le Concerto pour flûte de Mozart qui nous tire de nos profonds sommeils. Une certaine cruauté.
< Une flûtiste ! > fait Clémentine qui se couche sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Quelques papouilles. Il est 5 h55. Il faut se lever. Nous nous précipitons aux chiottes pour pisser dans la volupté pure.
Nous enfilons nos tenues sport. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Dehors c'est la fraîcheur.
Nous préparons un petit déjeuner que nous savourons en bavardant. Nous évoquons notre soirée, hier, chez Juliette.

Nous remontons pour nous offrir notre heure de gym. Charges additionnelles, jogging sur tapis roulants et les abdos.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Elle me rejoint et chaudement vêtue.
Ses jeans, un pull, son blouson de cuir et ses bottines. Il ne pleut pas. Un dernier bisou. Je la regarde partir. 7 h45.
Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il est 8 h15. C'est bon.
Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Je commence ce matin la première toile de la saison 2020.

Je peins dans une véritable euphorie. Cette joie me fait pousser les cris les plus surréalistes. C'est une super séance.
Il est aux environs de 10 h lorsque la musique imbécile de mon smartphone m'arrache de mes réflexions créatrices.
C'est en rageant que je le récupère au fond de la poche de la blouse. Je retrouve rapidement le calme. C'est Juliette.
Après les civilités d'usage, la jeune femme revient sur notre soirée, hier. Et nous bavardons sur mode "haut parleur".
Juliette a beaucoup apprécié. Elle se réjouie pour notre projet de film, samedi. Il n'y aura pas d'empêchement. Super.

Juliette me confie à quel point elle apprécie ces soirées avec Clémentine et moi. Mon comportement de vrai satyre.
Elle revient sur quelques moments précis. Aucun de nous ne garde le même souvenir d'un même détail. C'est drôle.
Cette discussion passionnante, et très excitante, dure une bonne vingtaine de minutes. Nous nous saluons. Terminé.
Je peins à présent avec une érection qui participe de mon inspiration. J'étale la peinture de fond de la nature morte.
Je ne vois pas défiler les heures. Il est rapidement midi. C'est mon horloge biologique qui m'en averti. Mort de faim.

Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je lave les feuilles d'une belle laitue. Je fais la pâte à pain.
Le rituel des pizzas du jeudi soir. Je concocte une garniture. Tomates fraîches, ail, oignon, champignons, ciboulette.
Je récupère un peu de cette garniture comme sauce avec mes coquillettes. Je râpe du Parmesan. Tout est déjà prêt.
Je mange de bon appétit. Je tente d'écouter les infos à la radio. C'est au dessus de mes forces. Tant de médiocrités.
La vaisselle. Je range la cuisine. La pâte à pain repose sous son linge. La garniture repose sous son couvercle. Bien.

Il est 13 h lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet à moduler longuement mes cris.
Cette seconde séance est aussi sublime que celle de ce matin. Mon enivrante passion me fait oublier le temps. Joie.
Il est 16 h30 lorsque Clémentine rentre. Elle se précipite vers moi en jetant son sac sur le canapé. C'est l'habitude.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours. Les profs. Le menu du restaurant universitaire. Bon.
J'écoute toujours avec beaucoup d'attention. C'est un peu mon seul lien avec le monde extérieur. C'est intéressant.

Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant l'ordinateur à mettre au propre les notes du jour. Préparation.
Nous aimons ces longs moments de concentration. Juste nos respirations. Et les craquements du bois dans le poêle.
Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour. Tout cela est devenu tellement habituel et pourtant nous enchante tant. Joie.
C'est sécurisant. C'est notre zone de confort. Cette existence où toute chose est devenu une part de nos existences.
Estelle, assise sur mes genoux, nous raconte sa soirée "Baise" avec parrain au fond du garage. Radiateur électrique.

Nous en rions de bon cœur. C'est tellement drôle. < Ce soir, je compare ! > fait elle tout en me palpant la braguette.
< Avec ma permission. C'est quand même mon mec à moi ! > répond Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
Les filles comparent l'avancée de leur préparations. Les cours qui sont principalement axés sur les mathématiques.
Il est 18 h45. Un bruit sourd résonne au dessus de nos têtes. < Christine ! > font les filles en entendant le fantôme.
Nous rangeons nos affaires. Nous restons serrés tous les trois pour écouter les bruits à l'étage. De longues errances.

Tout cela ne dure le plus souvent qu'une dizaine de minutes. Ce soir, les manifestations sont plutôt discrètes. Bien.
Tout cesse. Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine qui s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà lavée.
Estelle travaille la pâte afin de la rendre plus onctueuse encore. Je réchauffe la garniture, rajoutant des ingrédients.
Ces crevettes délicatement rissolées à la poêle. Estelle, les mains enfarinées, fait : < Julien, donne moi ton Zob ! >
Cela aussi est devenu part entière de nos habitudes. Elle adore m'enduire la bite de farine. Et surtout la lécher après.

Les pizzas sont au four. J'ai la queue enduite de farine. Ce qui n'est pas sans évoquer un salami ou encore un Nem.
Clémentine nous entraîne au salon. Estelle me dit : < Mardi prochain, je t'enduis les couilles aussi. Les joyeuses ! >
Assise sur la chaise qu'elle a placé au milieu du salon, elle me tient par les hanches pour observer sa "décoration".
Clémentine, penchée à côté, regarde. Estelle, d'un mouvement de tête, me gobe l'extrémité du Zob. Pour le suçoter.
< Fais moi goûter ! > lance Clémentine en s'accroupissant. Les deux coquines se refilent ma bite rapidement propre.

Je leurs caresse la tête. Je passe mes doigts dans leurs cheveux. Elles apprécient en gloussant. Et je mouille un peu.
Les premiers épanchements de liquide séminal régalent les filles qui se pourlèchent de foutre gluant, épais, visqueux.
< Je peux baiser avec Julien ce soir ? C'est juste pour comparer avec parrain ! > fait Estelle à Clémentine qui rigole.
< Mais tu compares avant. Tu compares après ! Tu ne t'emmerdes plus ! > dit Clémentine en me sortant les couilles.
Mes organes génitaux ainsi comprimés à l'extérieur de la braguette font l'objet de toutes les attentions des coquines.

C'est adorable de les voir sucer. Toujours le même enthousiasme. Sans jamais s'en lasser. Je trouve ça formidable.
Lorsque ma bite passe d'une bouche à l'autre, je peux voir le filament de foutre baveux qui s'écoule sur le menton.
C'est visuellement très excitant. Au-delà même de l'indicible sensation d'une fellation délicate, prodiguée avec soin.
La sonnerie du four. Les filles se relèvent d'un bond. Elles m'entraînent par les bras jusqu'à la cuisine. Il fait faim.
Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre projet de film, samedi soir, au haras. Nous parlons de la soirée.

Estelle aime bien écouter les détails que relate Clémentine. Les attitudes et les comportements de Juliette. Superbe.
Nous lui apprenons que Juliette reviendra manger à la maison les prochains mercredis soirs. De quoi raconter aussi.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle et Clémentine m'entraînent par le bras au salon.
Je dis : < Léchage de minous obligatoire à toutes les deux ! >. Estelle lance : < Avant la baise ou après la baise ? >
Je la prends par la taille pour répondre : < Coquine va ! Avant et après, comme toujours ! >. Elles se déshabillent.

Toutes les deux, vautrées dans le canapé, m'offrent leurs chattes. Je suis à genoux sur l'épais coussin. Je les lèche.
Le goût et l'odeur d'Estelle, ce soir, sont particulièrement forts. Je dois surmonter une répulsion. Juste un moment.
Je me régale très vite du jus des deux filles qui se masturbent lorsque je ne suce pas leurs clitoris. Elles gémissent.
C'est un merveilleux concerto pour gémissements en plaisirs majeurs. Avec quelques pointes dans les aigus. Super.
Je me lève. Estelle qui m'attire sur elle. Clémentine se met à genoux. Elle m'enfonce la bite dans la chatte d'Estelle.

Estelle se met à bouger. Clémentine me tient fermement les couilles. Elle se touche. Me fait le cul. Je suis trempé.
Je me retire. < Non ! > s'écrie Estelle. Et je m'introduis avec précautions dans Clémentine qui ne s'y attendait pas.
Clémentine aime rester immobile. Moi aussi. Estelle se couche à côté de nous sur le tapis. Son visage près du mien.
Nous adorons chuchoter ainsi, tous les trois. Nous murmurer les choses les plus intimes. Nos secrets et nos désirs.
Estelle se masturbe tout en me tenant les couilles. < A moi ! > s'écrie t-elle en se couchant sur le dos. L'invitation.

Je sors de Clémentine pour rentrer dans Estelle. C'est Clémentine qui approche son visage des nôtres. Murmures.
C'est tellement excitant. Mais cela joue également sur le registre des émotions. Romantique. Une manière à nous.
Je passe ainsi de l'une à l'autre. J'ai la bite congestionnée. Je bande tellement fort. Estelle s'offre un orgasme fou.
Se recroquevillant sur elle même comme si elle avait mal, ses mains entre ses cuisses. Clémentine me repousse.
Elle se lève et m'entraîne aux toilettes. Son orgasme s'annonce tellement violent qu'elle préfère anticiper la pisse.

Je la baise debout. Ses jambes enserrant ma taille. Estelle est venue nous rejoindre. Assise, elle fait déjà son pipi.
Je lui caresse la tête. J'entends les jets qu'elle interrompt volontairement pour nous amuser. Je pose Clémentine.
Elle a juste le temps de prendre la place d'Estelle en se masturbant qu'elle pisse sans véritable contrôle. A côté.
Cela gicle un peu n'importe comment. Estelle fait : < Cette salope, à son âge ne sait pas pisser proprement ! >
Nous en rions de bon cœur. J'ai la queue dégoulinante de foutre. Je l'enfonce dans la bouche de Clémentine. Joie.

Estelle s'accroupit en ouvrant grand la bouche. Elle me fixe d'un regard implorant. J'éjacule au fond de sa bouche.
Je l'enfonce dans la bouche de Clémentine afin qu'elle puisse en avoir aussi. Estelle tient la bite pour diriger le jet.
Je pisse. Les filles, accroupies de chaque côté pompent à tour de rôle. Mes lombaires me font mal. Il est 22 h15.
Clémentine passe la serpillère en riant de ses frasques. Estelle ne me lâche pas la queue. Il faut cesser. L'heure !
Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Séparation difficile. Au lit, Clémentine me confie son bonheur immense.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire lécher, se faire baiser et sucer de la queue juteuse...

Julien - (Qui écoute les derniers secrets de Clémentine, au lit, serrée fort contre lui, lui tenant encore la bite) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 967 -



Vendredi, premier jour d'un week-end prolongé

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonnent les premières notes de musique. Ouf.
Il est presque 5 h55. Clémentine se blottie fort contre moi avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Les pipis.
Nous enfilons nos tenues de sport avant de dévaler l'escalier jusqu'à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner. Bon.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine termine sa semaine à midi. Cela la rend euphorique. Bien.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure de gym. Charges additionnelles, jogging sur tapis roulants et nos abdos.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Frais.
Elle me palpe la braguette en me confiant à quel point son impatience de commencer le week-end est grande. Superbe.
Un dernier bisou. Il est 7 h45. Je la regarde partir. Un dernier coucou et je me dépêche de rentrer dans le jour naissant.
Je fais notre lit, notre vaisselle avant d'aller dans l'atelier. Il est 8 h15. Je suis confortablement assis devant le chevalet.
Je prépare ma palette pour commencer à peindre, moi aussi, animé d'une sorte d'euphorie. Et avec des cris surréalistes.

C'est la première toile destinée à ma saison 2020. Il me faudra 24 toiles. J'ai déjà le dessin préparatoire pour 10. Super.
Dix toiles déjà prête à êtres peintes. De quoi commencer ce labeur avec une sérénité totale. Et je travaille en chantant.
Comme toujours, lorsque je suis plongé dans l'introspection créative, je ne vois pas les heures passer. C'est fantastique.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler le millet doré. Je trempe les deux filets de colin dans de l'œuf.
Puis je les passe dans un mélange de chapelure et de gruyère de Comté finement râpé. Je les fais rissoler dans la poêle.

Je fais revenir de l'ail, de l'oignon, du persil, quelques champignons noirs et de la ciboulette. Voilà Clémentine qui rentre.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine qui s'occupe de la salade de tomates.
Elle me raconte sa matinée. Les cours, les profs. J'écoute avec intérêt. Surtout qu'il y a quelques anecdotes amusantes.
Nous mangeons de bon appétit. Dehors le ciel est gris mais lumineux. Le sol a séché. Pourquoi ne pas aller nous balader.
Clémentine suggère une bonne virée dans les collines pour l'après-midi. Nous changer les idées. Une superbe suggestion.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir et rigolant.
Nous mettons nos vieux jeans de randonnées. Chemises à carreaux sous nos sweats. Je prépare le petit sac à dos. Bien.
Pommes, barres de céréales, bouteille d'eau. Nous voilà partis. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite molle.
Il y a 25 km par la départementale. Nous ne croisons que quelques voitures. Nous arrivons sur le parking du restaurant.
Il y a quelques randonneurs qui se préparent. D'autres qui reviennent. Nous prenons le sentier qui monte vers les ruines.

Sous l'épaisse veste kaki, j'ai la bite à l'air. Ce qui permet à Clémentine de s'amuser avec durant nos nombreux arrêts.
Nous ne croisons pas beaucoup de marcheurs. Mais nous restons vigilants. A chaque fois nous risquons d'êtres surpris.
Nous marchons sur le sentier pierreux qui mène aux ruines du château. En bas le lac. Ses eaux noires reflètent le ciel.
Il est 16 h quand nous arrivons au bout d'une heure trente de marche rapide. L'exercice, le grand air nous manquaient.
Si nous voulons êtres de retour à la voiture avant la nuit, nous ne pouvons pas nous attarder dans ce lieu si magique.

Il y a un groupe de marcheurs, là-bas. Un couple qui parcours la partie accessible et autorisée des remparts. Le vertige.
Il n'y a aucune opportunité d'exhibe pour Clémentine qui aimerait un bon petit "plan" sympa. Pas de marcheur solitaire.
Nous prenons quelques photos. L'atmosphère si particulière des vieux châteaux sous la grisaille mérite quelques clichés.
Nous prenons le chemin du retour. Nous marchons vite. Il est pile 18 h30 lorsque nous arrivons à la voiture. Il fait nuit.
Nous changeons de jeans dans la fraîcheur du soir. En faisant vite. Des sweats propres. D'autres godasses. C'est parfait.

Nous avons décidé d'aller manger au restaurant de l'étang. De faire une surprise à Julie. Et il y a presque 40 kilomètres.
C'est très agréable. Clémentine joue avec ma queue, parlant de notre projet de film demain soir, au haras et de Juliette.
C'est un projet très excitant. Je passe ma main dans son jeans déboutonné. Je roule prudemment. La route est déserte.
Il est 19 h15 lorsque je gare la voiture sur le parking du restaurant de l'étang. Nous sommes bien émoustillés. Superbe.
Nous faisons le tour de l'étang. C'est faiblement éclairé par deux lampadaires de style rétro. Du genre "lampes à gaz".

Quelle n'est pas la surprise de Julie quand elle nous voit entrer dans la salle. Elle se précipite, souriante. Nous saluer.
Il n'y a que quelques tables qui sont déjà occupées. Julie nous invite à la suivre jusqu'à notre table habituelle. Superbe.
Ce soir, sa tante, propriétaire de ce restaurant de caractère, vient nous saluer à son tour. Nous sommes de bon clients.
Nous bavardons un peu tous les quatre. La tante à Julie, quadragénaire et belle bourgeoise, ne manque pas d'humour.
Nous passons notre commande. Il y a deux groupes de dix personnes qui sont attendus pour 20 h. Il y aura du monde.

Les plateaux de fruits de mer sont gargantuesques. Nous nous régalons. L'appétit ouvert par notre après-midi. Superbe.
Julie vient régulièrement discuter avec nous. Les filles évoquent leurs études. Julie ne pourra pas venir manger ce lundi.
C'est un jour férié. Le 11 novembre. Et le restaurant sera exceptionnellement ouvert pour cause de réservation. Parfait.
Entre deux arrivées de clients, Julie qui vient voir si nous n'avons besoin de rien me fait : < Je vous montre les WC ? >
Je comprends immédiatement l'invitation. Je me lève pour suivre la jeune fille. Clémentine me fait un clin d'œil. Sourire.

Nous descendons l'escalier. Julie me précède. Elle entre dans les toilettes homme la première. Elle me montre l'urinoir.
Je sors mon Zob. Je bande mou. < Comme ça va me manquer lundi soir ! Si vous saviez comme j'aime ça ! > dit Julie.
J'agite ma bite dans sa direction. Elle est là à deux mètres pour pouvoir admirer ce spectacle dont elle m'avoue raffoler.
Curieux endroit pour enfin me confier cette révélation. Je fais : < Moi, je ne rêve que d'une chose. Te la faire goûter ! >
< J'y pense de plus en plus souvent, vous savez. Il m'est même arrivée d'en rêver la nuit ! > rajoute encore Julie. Joie.

< Je dois remonter ! On refait encore après, vous voulez bien ? Et c'est moi qui fait signe quand ça ira ! > rajoute elle.
Un peu étonné par tant d'initiatives, je la regarde filer. Je monte rejoindre Clémentine pour tout lui raconter. Superbe.
< Les choses se confirment. On va y arriver ! > chuchote Clémentine qui me montre un des client qui la mâte, là-bas.
Ce sont deux couples. La quarantaine. Plutôt élégants. Je propose à Clémentine de faire le "test des chiottes". Pour voir.
Elle se lève. Je la regarde se diriger vers l'escalier. Le mec ne tarde pas à se lever. Il s'apprête à descendre à son tour.

Julie qui a tout vu m'adresse un clin d'œil. Je regarde vers sa tante derrière le comptoir qui prépare des coupes glacées.
Elle m'adresse un curieux regard. Pas le moindre doute, cette femme n'est pas dupe. Elle est peut-être même informée.
Cinq minutes se passent. Clémentine revient pour me raconter. Elle s'est fait surprendre dans les toilettes homme. Bon.
Debout devant un des urinoirs, jeans et culotte baissés. Le type est resté distant mais s'est montré très séducteur. Rire.
Propositions de se revoir. Il n'a même pas sorti son sexe. Il s'est contenté de draguer et Clémentine s'est vite rhabillée.

Le voilà d'ailleurs qui remonte pour aller s'assoir à sa table. Julie me montre les escaliers de son index pointé. Geste vif.
Je me lève. Je descends. Je sors ma bite devant un des urinoirs. Je me masturbe. J'attends en retenant ma respiration.
J'entends des pas rapides dans l'escalier. La porte s'ouvre. Julie qui revient : < Vous êtes un couple génial ! > fait elle.
J'agite ma bite dans sa direction pour répondre : < Mais toi, tu es une fille géniale. Si tu savais comme je t'apprécie ! >
Julie vient me rejoindre. A côté de moi, elle observe ma masturbation. Elle ne peut rester que quelques instants. Dur !

Je reste encore à me branler un peu. Je bande comme le dernier des salauds. Ces situations avec les filles sont géniales.
Les pas rapides se font entendre à nouveau. Je suis convaincu que c'est Julie qui revient. Put-Hein, non. C'est sa tante.
Elle me surprend ainsi. Je remballe. Je suis soudain couvert de sueur. Sans doute rouge comme une tomate trop mûre.
Je remballe lorsqu'elle me dit : < Quoi de plus naturel que de l'avoir à la main dans des toilettes, n'est-ce pas ? >. Dur.
Elle disparaît rapidement. Je remonte pour tout raconter à Clémentine. Le restaurant est rempli. Je demande l'addition.

Julie nous raccompagne. Sa tante vient nous saluer. Elle me regarde à la dérobée avec un curieux regard par en dessous.
Ce regard inquisiteur et vicelard de certaines femmes dans des circonstances toutes particulières. Pour faire comprendre.
Je fais bouger mon index dans sa main lorsqu'elle me la serre. Quelle surprise. Elle fait de même. Le message est passé.
Dans la voiture, je confie toutes mes émotions à Clémentine en revenant sur l'épisode des toilettes. La tante qui regarde.
< Il y a de fortes probabilités que cette salope fasse partie du Club" ! > fait Clémentine avant de se pencher pour sucer.

Nous parcourons la dizaine de kilomètres à évoquer ces nouvelles aventures communes, leurs protagonistes différents.
Nous sommes considérablement excités. A la maison, nous nous lavons les dents en nous tripotant d'une main. Dingue.
Nous sommes pressés de nous retrouver au lit. Ce soir encore, nous avons beaucoup de choses à nous y raconter. Joie.
Nous nous offrons un rapide "69" avant que que je ne pénètre Clémentine avec d'infinies précautions. C'est merveilleux.
Immobiles, nous nous confions nos ressentis. Je la termine par un cunnilingus. Orgasme délirant. Pipe juteuse et dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui apprécient les situations ambiguës, un peu glauques, terriblement excitantes...

Julien - (Qui écoute les impressions que murmure Clémentine blottie contre lui avant de s'endormir) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - Episode 968 -



Même sans sodomie, ce samedi restera dans les annales

Hier matin, samedi, je me réveille le premier. Quelle joie. Je peux regarder Clémentine qui dort encore profondément.
Elle est allongée sur le dos, la bouche entrouverte. Ce sont ses très légers ronflements qui m'ont tiré de mon sommeil.
Mon voyeurisme sentimentale ne dure hélas pas plus d'une petite minute. Le sixième sens de Clémentine est infaillible.
Elle ouvre les yeux. < Tu me regardes depuis longtemps, mon amour ? > fait elle avant de se serrer contre moi. Fort.
Je suis pétri d'émotion. Il est impossible de s'habituer à tant de bonheur. Je lui couvre le visage de bisous. Merveilleux.

Nous tentons bien de lutter contre cet irrépressible besoin naturel. Il est 8 h. Nous nous précipitons jusqu'aux toilettes.
Nous enfilons nos tenues de gym. Nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine pour y préparer un copieux petit déjeuner.
Dehors, le ciel est gris mais lumineux. Nous mangeons de bon appétit tout en parlant. Clémentine propose un jogging.
La vaisselle. Trop heureux de pouvoir enfin courir à l'extérieur, nous chaussons nos baskets, nous mettons les K-ways.
Il fait presque froid. Quelques mouvements d'échauffement et nous descendons d'une bonne foulée vers la rivière. Bon.

Nous prenons garde de ne pas courir dans les feuilles pour éviter l'accident. Nous restons sur le chemin. Le sol est sec.
Une heure d'un running régénérateur sur notre parcours habituel et nous voilà de retour pour 9 h30. La bonne douche.
Nous nous habillons. Jeans, sweats sous nos blousons de cuir noir. Nos bottines. Nous voilà en route dans notre auto.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. 3 km et nous arrivons au bourg pour y faire notre marché. Superbe.
Il y a toujours du monde ici. Quel que soit le temps ou la saison. C'est un des grands divertissements de nos semaines.

Nous faisons provision d'œufs, de yaourts, de fromages, de beurre, de crème fraîche au près de notre artisan habituel.
Nous faisons provision de fruits et de légumes chez notre producteur local habituel. Et quelques bons mots avec chacun.
Retour à la voiture. Les produits frais dans la glacière branchée sur l'allume cigare. En route pour le centre commercial.
15 km. Clémentine joue avec le Zob tout en évoquant notre projet du soir. Le haras. Juliette. Le film. Trou dans le mur.
Nous en rions de bon cœur. Je gare l'auto sur le parking. Je pousse le caddie. Clémentine nous entraîne dans les rayons.

Elle tient la liste des courses et nous emmène dans les allées qui nous concernent. Produits d'entretien. Parapharmacie.
Il y a du monde. C'est samedi matin. Quelques bruyantes familles de Simpson. Et il y a des refus de priorité de chariots.
Même si elle n'est pas en jupe à cause du froid, Clémentine a d'autres possibilités de pratiquer quelques petites exhibes.
Rusée et stratège, il lui est très simple de se livrer à quelques attouchements discrets et d'être observée par un voyeur.
Nous faisons un tour au rayon culturel. Nous sommes le 9 novembre. Déjà commence les décorations de Noël. Absurde.

Il n'y a hélas aucune opportunité. Pour la simple raison qu'il n'y a aucun homme seul. Il y a trop de monde. C'est risqué.
Un peu par dépit. Un peu par frustration, Clémentine nous entraîne au rayon des vêtements homme. Et aux essayages.
Les cabines sont littéralement prises d'assauts par les clientes désireuses de renouveler leur garde robe d'hiver. Sympa.
Ce qui ne laisse donc également aucune possibilité à Clémentine de s'offrir un petit frisson bien vicieux avec un inconnu.
Nous attendons notre tour à la poissonnerie. Nous y prenons langoustines, filets de cabillaud, de flétan, de colin. Moules.

Nous passons en caisse. Il faut être patient. Une emmerdeuse fait chier tout le monde avec un vêtement non étiqueté.
Ce qui met Clémentine en fureur. Elle me chuchote : < Qu'elle dégage. Tu vas voir elle va payer avec de la monnaie ! >
Je la calme en lui murmurant des commentaires amusants. Enfin le problème est résolu. Et la dame paie avec sa carte.
Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Il y a là une opération caritative. Des jeunes filles vendent des fleurs.
Nous lisons les menus proposés à la cafétéria. Clémentine préfère rentrer. Nous prenons la route du retour. Ensoleillée.

Il est 12 h30 lorsque nous sommes de retour. Nous rangeons les courses. Nous montons nous changer. Il fait très faim.
Clémentine s'occupe de la salade de carottes et de son assaisonnement. Je fais bouillir l'eau pour y plonger les moules.
En accompagnement, je balance les haricots verts et les petits pois encore congelés directement dans le Wok. Cuisson.
Tout va très vite. Clémentine passe souvent sa main entre mes cuisses, dans ma braguette ouverte pour m'embrasser.
Je passe la mienne entre ses cuisses pour palper son sexe au travers le tissu de son jeans. Nous mettons la table. Joie.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme de l'après-midi. Nous sommes à jour de nos tâches.
Clémentine propose une bonne balade dans la campagne. Je trouve la suggestion de circonstance. Notre boulot est fait.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me confie son impatience d'être ce soir. C'est tellement bien.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. C'est amusant.
Nous gardons nos fringues "maison". Il suffit de chausser nos godasses de marche. Nos vestes kakis doublées, écharpes.

Il est 13 h45 lorsque nous descendons, main dans la main jusqu'à la rivière pour la longer. Clémentine se serre souvent.
Elle me demande de jouer au satyre. Je me cache donc parfois derrière un arbre pour jaillir soudain avec la queue à l'air.
Clémentine, qui ne manque pas d'entraînements réels, joue à la perfection la jeune fille ingénue, innocente qui se balade.
C'est un jeu très excitant que je recommande vivement. Rien de tel pour réveiller une libido pantouflarde, très fainéante.
Je bande comme un salaud à chaque apparition puisque je me branle en attendant la "promeneuse". C'est génial. Super.

Clémentine joue à la"pisseuse" qui se fait surprendre par un promeneur. Et là aussi c'est absolument dément et excitant.
Cette superbe jeune fille qui partage ma vie depuis presque trois ans m'apparaît toujours là, comme une inconnue. Bien.
La bite à la main, l'agitant dans sa direction, je réponds aux questions vicieuses de cette adorable "apparition". Sublime.
Nous parcourons ainsi notre circuit de promenade habituel sous un ciel redevenu gris mais lumineux. Et il fait plus doux.
La nuit est tombée lorsque nous revenons à la maison. Il est 18 h15. Estelle qui est déjà là. Il y a la voiture d'entreprise.

Elle nous fait la bise. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Elle a commencé le repas.
Clémentine s'occupe de la salade verte. J'aide Estelle à émincer finement l'ail et l'oignon. Une sauce aux champignons.
En accompagnement d'un gratin de spaghettis déjà au four. Nous la remerciions pour cet égard. C'est tellement sympa.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles sont fébriles. Elles ne cessent d'évoquer ce qui nous attend ce soir. C'est bien.
Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres. Nous nous changeons. Joie.

Même si Juliette a probablement installé le radiateur électrique dans le box, il est hors de question d'être vêtue de jupe.
C'est donc en jeans, en chemises à carreaux, en baskets que nous prenons des poses devant le miroir de l'armoire. Bon.
Nous sommes attendus pour 19 h30. Il est déjà 19 h10. Nous dévalons les escaliers. J'entraîne les filles au salon et vite.
Du tiroir du bas du bureau, je prends le collier canin et la laisse que je fixe au cou de Clémentine qui en gémit de plaisir.
Je donne un à coup sur la laisse. < Ça faisait longtemps que tu n'avais pas fait ça ! > me dit Clémentine en se serrant.

< Dommage qu'il n'y en ait pas deux ! > lance Estelle dépitée. Je la saisi par ses cheveux. Je dis : < Toi comme ça ! >
Nous sortons. Même dans la voiture, en conduisant doucement sur les 3 km qui séparent du haras, je tiens la laisse.
Je gare l'auto dans la cour. Il y quelques voitures. Il y a de la lumière dans l'ancienne écurie. C'est là que ça se passe !
Je tiens Clémentine à la laisse et Estelle par sa tignasse. Clémentine tient à la main la petite valise contenant la caméra.
Juliette vient à notre rencontre. Elle nous a entendu arriver. Elle est vêtue d'un jeans, d'un sweat. Ce qui est très rare.

Elle nous serre la main. Elle est toute contente et souriante. Elle aussi s'est réjouie toute la semaine pour cette soirée.
Nous percevons des voix masculines dans le local bureau. Raie de lumière sous la porte. Juliette nous invite à la suivre.
Nous entrons dans le box. Pas de cheval. Comme la dernière fois, d'épaisses couvertures matelassées posées parterre.
Clémentine, toujours tenue en laisse, pose la petite valise au sol. Elle l'ouvre, pour en extraire le trépieds et la caméra.
Elle fixe le tout. Il fait bien chaud dans le box avec le radiateur électrique. Estelle sort la boîte qui contient la carte SD.

Derrière la cloison, nous percevons des rires étouffés. Les mecs qui sont là derrière se font discrets. Juliette est fébrile.
Par l'unique trou dans la cloison, d'environ 6 cm de diamètre, jailli un rayon de lumière. Tout est très vite fonctionnel.
La caméra fonctionne. L'image en 4K de qualité professionnelle est parfaite. Sans grain et malgré le peu de luminosité.
Madame Walter entre dans le box. Elle aussi est vêtue de jeans et d'un pull. C'est rare de voir ces femmes vêtues ainsi.
Juliette s'assoit à même le sol, en tailleur sur une des couvertures pliées. Madame Walter qui s'assoit contre la cloison.

Estelle et Clémentine, comme inquiètes, restent serrées contre moi. Elles me tiennent par les hanches. Il est 19 h50.
Juliette donne trois coups contre la cloison en s'écriant : < Moteur ! >. C'est le silence. J'entraîne Clémentine. Laisse.
Je la force à se mettre à genoux devant le trou parfaitement rond et lumineux. La minuscule bite de Gérard qui pointe.
Nous la reconnaissons immédiatement. Elle est tellement petite qu'elle dépasse à peine de l'orifice. Un silence absolu.
Je passe la poignée de la laisse dans le trou. Immédiatement quelqu'un s'en saisit de l'autre côté. Clémentine coincée.

Je m'éloigne pour rejoindre Estelle et Juliette derrière la caméra. Je me penche. L'image est d'une netteté étonnante.
Je vois Clémentine, avec une grimace, qui tente d'éloigner sa tête de la cloison vers laquelle quelqu'un la tire de force.
Elle se retrouve rapidement, nez écrasé contre la cloison, visage collé contre les planches. Elle suce la queue à Gérard.
Je tends le bras pour lui appuyer sur la nuque. Elle n'a d'autre choix que de sucer. Rapidement il y a du jus qui suinte.
Il lui en coule le long du menton. Je lâche probablement en même temps que le mec qui tient la laisse de l'autre côté.

Clémentine parvient à se dégager. Le temps de tousser, de cracher, penchant la tête sur sa droite. Filmée en plan serré.
Je sors ma bite. J'appuie sur la nuque de Juliette comme la dernière fois. Elle se laisse faire tout en contrôlant la caméra.
Estelle se mets à genoux sur la couverture à côté de Juliette. Elle se met à me sucer. A quelques centimètres de Juliette.
Il y a une autre bite qui apparaît soudain. Nous reconnaissons immédiatement celle de Pierre, mari de madame Walter.
Elle est immédiatement identifiable grâce à ce gros grain de "beauté" à la base de la tige, au dessus des couilles. Super.

C'est une queue bandante. Humide. La peau fripée du prépuce est trempée. Quelqu'un tire sur la laisse de l'autre côté.
A nouveau, Clémentine n'a d'autre choix que de frotter son visage contre cette bite qui mesure bien ses 18 cm. Dure.
Le type la retire, s'en saisit pour la pointer bien droite. Clémentine se la prend en bouche pour sucer comme assoiffée.
Nous pouvons l'entendre gémir. Je sors ma bite de la bouche d'Estelle. Je me penche pour lui murmurer à l'oreille. Joie.
Je chuchote : < Après, c'est à toi ! >. Mme Walter vient se mettre à genoux à côté d'Estelle. Juliette mâte, concentrée.

Estelle et Mme Walter se refilent ma queue. Je caresse la nuque de Juliette qui reste parfaitement stoïque. C'est fameux.
Elle contrôle à la fois les zoom de caméra et observe ce qui se passe à côté d'elle. Moi je regarde ce que fait Clémentine.
Maintenue au plus court par celui qui tient la laisse de l'autre côté, Clémentine suce. Je lis la joie intense sur son visage.
Ses gémissements, ses petits cris, ne laissent aucun doute sur l'indicible plaisir qu'elle est entrain de vivre. Merveilleux.
Elle est un peu relâchée. C'est la queue à Gérard qui pointe le bout de son prépuce. A nouveau elle est attirée fortement.

Un râle de dégoût suivi d'un cri. Elle parvient à se dégager, la bouche ruisselante de pisse. L'autre bite qui revient. Jus.
Celle là aussi lui lance un jet puissant. C'est dégueulasse. Clémentine tousse, crache, tente de se dégager. C'est violent.
Tout son corps secoué de hauts le cœur, elle tente de se dégager de cette étreinte. Impossible. Voilà le retour de Gérard.
Mme Walter et Estelle ont cessé de me pomper pour assister à ce fantastique spectacle. Clémentine à nouveau relâchée.
Juliette donne trois petits coups contre la cloison. Une bite inconnue fait son apparition. Cette fois, s'en est trop. Dingue.

C'est une queue molle, au prépuce incroyablement long. Elle pend contre la cloison. Clémentine, dégoûtée tente de fuir.
Impossible. Le salopard qui tient la laisse de l'autre côté ne lui en laisse pas la possibilité. Son visage collé contre le Zob.
Clémentine, la bouche encore ruisselant de foutre, de pisse tente l'ultime combat. Inutile de lutter. Elle ouvre la bouche.
Elle suce cette queue inconnue avec un air de dégoût. L'érection est lente mais impressionnante. Queue surprenante.
Les joues creusées par l'effort, de la pisse, du foutre jusque sur le pull, Clémentine pompe avec les yeux ouverts. Jute.

Juliette relève la tête pour me chuchoter : < Elle apprécie la "surprise" ! >. Estelle murmure : < C'est la bite à qui ? >
< T'inquiète, tu vas la goûter tout à l'heure ! > fait Juliette. Estelle se redresse, se serre contre moi pour se réfugier.
< Pas question ! > me murmure t-elle à l'oreille. Le propriétaire de cette queue doit probablement éjaculer. Ça gicle.
Clémentine, fermement maintenue, n'arrive pas à se dégager. Et elle bave tout le sperme mais en avale probablement.
Nous observons tous les quatre en silence. Il est certain que dans le film on entendra nos respirations et nos souffles.

La bite disparaît. C'est à nouveau celle de Gérard. Ce salaud pisse. Clémentine en tousse. Elle a les larmes qui coulent.
La bite à Gérard disparait. Voilà celle de Pierre. Clémentine a des hauts le cœur. Elle va vomir, c'est certain. Elle tousse.
Pierre éjacule. Elle se prend tout le foutre en pleine gueule. S'en est trop. Je saisi la laisse. Je tire. Surprise. Récupérée.
Je récupère la poignée. Clémentine se met à vomir dans la bassine que lui tend Mme Walter. Le petit Bip de la caméra.
Tout ça a duré exactement 55 minutes. < Coupez ! > s'écrie Juliette. Je découvre son visage en sueur. Je comprends.

Juliette retire la main de son jeans. Je n'avais pas vu qu'elle se masturbait. Sans doute depuis le début des opérations.
Je rejoins Clémentine pour la prendre tendrement par l'épaule. Elle est en sanglots. Son regard est amoureux, intense.
Comme toujours, après un tel moment, Clémentine n'a qu'une envie. Fuir. Estelle a tout remballé dans la petite valise.
Nous partons précipitamment. Je m'excuse auprès de Juliette et de Mme Walter. Nous filons à toute allure. La voiture.
Là-bas, dans l'encadrement lumineux de la porte des écuries, cinq silhouettes. Et une que nous ne reconnaissons pas.

C'est un petit mec, à peine plus grand que Mr Gérard. Tous les cinq nous font coucou de la main. Je démarre. J'accélère.
Estelle essuie le visage de Clémentine. Elles sont toutes les deux assises sur le siège passager. Et je roule prudemment.
Clémentine, silencieuse, son visage à nouveau sec, prend ma main. Nous arrivons à la maison. Douche pour Clémentine.
Je lui sèche les cheveux pendant qu'Estelle me suce. Au lit, nous écoutons Clémentine nous donner ses impressions. Joie.
< On se regarde ça demain soir. Sans montage ! > fait Estelle qui s'endort la première. Clémentine me confie son plaisir.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire filmer dans l'obscurité d'un endroit glauque pour y faire l'actrice...

Julien - (Qui découvre avec joie, l'intense émotion que cette nouvelle expérience a procuré à Clémentine) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - Episode 969 -



Un dimanche de randonnée avec soirée "cinéma"

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par Estelle qui reste serrée contre moi toute la nuit. Tout comme une naufragée.
Elle m'enlace tendrement pour me faire plein de bises. Ce qui fini par réveiller Clémentine qui se blottie fort contre moi.
Je suis entre les filles qui s'accrochent à moi avec un désir de tendresse. Il est 9 h. Nous dormons rarement aussi tard.
Le dimanche, pas d'entraînement. Nous nous chuchotons plein de douceurs en nous couvrant de papouilles. C'est bien.
Estelle me tient fermement par mon érection matinale. Elle me la lâche, se lève et se précipite aux toilettes. < Pipi ! >

Elle revient pour enfiler son pyjama de soie mauve en disant : < Je descends préparer le petit déjeuner. Venez vite ! >
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux chiottes. Nous dévalons l'escalier pour rejoindre Estelle à la cuisine. Bises.
Dehors, il fait froid et sec. L'odeur de café, de brioche et de pain grillé nous invite à savourer le premier repas du jour.
Nous mangeons de bon appétit tout en discutant. Les filles évitent soigneusement d'évoquer ce qui s'est passé hier soir.
Je comprends. C'est encore si récent. Le dimanche matin nous sacrifions tous les trois au "ménage". L'activité ludique.

Estelle se propose de passer l'aspirateur partout. Clémentine monte faire la chambre. Je commence par nettoyer en bas.
Je fais la cuisine, les chiottes, je passe la serpillère partout. J'entends Estelle chanter depuis le salon. C'est si émouvant.
Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. C'est compter sans le piège du dimanche matin que me tend Estelle. Rires.
Toute nue, elle jaillit soudain de derrière la porte pour se blottir contre moi, glisser sa main dans mon slip et me tripoter.
< Il faut vous acquitter du droit de passage monsieur ! > me chuchote t-elle, m'entraînant par le Zob jusqu'au bureau.

Elle s'installe, écarte ses cuisses, frotte mon sexe contre le sien. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Juste le bout.
Elle m'attrape par le cou, d'un coup de reins s'enfile presque toute la bite. Je la soulève. Je lui fais faire le tour du salon.
Ainsi, elle bouge beaucoup moins. Elle est obligée de rester passive. Par contre mes lombaires deviennent douloureuses.
Je retourne la déposer sur le bureau pour me retirer délicatement. Je la prends par la main. Je l'entraîne dans l'escalier.
Nous rejoignons Clémentine qui termine de changer les draps. Il fait froid dans la chambre. Toutes les fenêtres ouvertes.

Je raconte la nature de mon "droit de passage" à Clémentine qui dit à Estelle : < Voilà une douanière salope et zélée ! >
Nous en rions de bon cœur. Je ramasse le tas de draps sales pour les emmener à la salle de bain. Clémentine me rejoint.
Je fais le bac à douche et le bidet. Clémentine fait les miroirs et le lavabo. Nous nous faisons plein de bisous. L'affection.
< C'était génial hier soir ! Merci Julien de me permettre toutes ces découvertes ! > me fait soudain Clémentine. Silence.
Je dis : < Pourtant tu étais écœurée à en vomir ! >. Clémentine me dit : < C'est cet écœurement qui m'excite le plus ! >

Je comprends parfaitement ce curieux phénomène. J'y suis moi-même confronté à chaque fois que je lèche Estelle. Dur.
Mais c'est devenu une douce habitude qui participe de mon plaisir. Lécher une fille volontairement négligée, bien dégueu.
Nous en rigolons comme des bossus. Nous entendons Estelle chanter en passant l'aspirateur. C'est un tel enchantement.
Clémentine descend avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes du haut. A genoux, les mains gantées dans la cuvette.
Le second piège d'Estelle se referme. Elle arrive silencieuse derrière moi, s'accroupit, se frotte contre mes reins. Salope.

Nous sommes déjà vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Ce qui ne l'empêche pas de glisser sa main au Zob.
Dans ma braguette qu'elle fouille en me murmurant des cochonneries à l'oreille. Elle est tellement sensuelle et si tendre !
Je tire la chasse. Nous nous redressons. Nous quittons rapidement les lieux. L'odeur de javel, de chlore est épouvantable.
Nous dévalons l'escalier, riants pour rejoindre Clémentine. La cave. La buanderie. Nous aidons à trier le linge de couleurs.
Estelle insiste pour préparer l'ensemble du repas de midi. Comme demain le lundi est férié, elle reste avec nous la nuit.

Estelle nous laisse pour aller à la cuisine. Il est déjà 11 h30. Clémentine revient sur la soirée de hier. Trou dans le mur.
Elle me confie à quel point cette configuration toute particulière peut s'avérer excitante pour une fille. Bites d'inconnus.
J'écoute. Elle développe son ressenti avec tant de clarté que sa narration ne tarde pas à m'exciter. Et tout comme elle.
De se remémorer ces instants fabuleux, si intensément vicieux, ne la laisse pas indifférente. < Je veux recommencer ! >
Elle dit cela, se blottissant dans mes bras avant de rajouter : < C'est grâce à toi que je peux vivre toutes ces choses ! >

Je réponds : < Ce soir, nous allons pouvoir t'admirer dans le film ! >. Clémentine qui murmure : < J'ai honte tu sais ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Un moment de honte participe de mon plaisir d'une façon prodigieuse ! >
Je le sais bien. Je connais parfaitement le fonctionnement psychique de ma délicieuse compagne. J'ai appris tout cela.
Nous suspendons les draps. Une seconde machine tourne. Nous remontons rejoindre Estelle. L'odeur nous enivre. Miam.
Le feuilleté de saumon est au four. Il sera accompagné d'une belle salade verte, d'une potée qui rissole dans la cocotte.

Nous lui couvrons le visage de bisous pour la remercier, la féliciter. < Tu m'as tout appris Julien. J'adore tout préparer ! >
Nous mettons nos anoraks pour aller prendre la température extérieure. Il fait frisquet. Le froid pique un peu les oreilles.
< Cet après-midi, on se fait une rando ! > propose Clémentine. Estelle sautille autour de nous, disant : < Ce soir film ! >
Nous rigolons comme des bossus. Nous faisons le tour de la propriété. Le sol est couvert d'un épais tapis de feuilles. Bien.
L'entreprise paysagère intervient lundi prochain. 18 novembre. Les deux employés auront du boulot. Une bonne journée.

Nous rentrons au moment ou résonne la sonnerie du four. La table est mise. Nous mangeons de bon appétit en discutant.
Les filles évoquent leurs études. Une dernière ligne droite jusqu'aux vacances de fin d'année. Toute consacrée aux math.
Nous traînons à table. Les filles, assises sur mes genoux mettent au point quelques stratégies féminines pour les cours.
Cette capacité qu'ont les femmes d'avoir des pensées multi directionnelles. D'affronter plusieurs choses en même temps.
J'écoute en silence, admiratif et plein d'attention. Elles me tiennent par le cou, les hanches et me font parfois des bisous.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.
Nous gardons les mêmes fringues. Il suffit de mettre les godasses de marche. Nous voilà prêts. Nous dévalons l'escalier.
Nos anoraks. Nous descendons vers la rivière en nous tenant par la main. Clémentine à gauche, Estelle à droite. Super.
Nous longeons la rivière dont le niveau est à son maximum. Les filles me demandent de jouer à l'exhibitionniste. Sympa.
Je me cache donc derrière un arbre, un buisson ou encore un amas rocheux pour me branler, jaillir là comme un satyre.

Les filles jouent les ingénues, les innocentes, avec une telle qualité d'actrices que je me demande si c'est bien elles. Joie.
Ce jeux nous excite considérablement. Malgré le froid, l'une où l'autre joue à la "pisseuse" qui se fait surprendre. Génial !
Avec leur aide, et de multiples contorsions, je peux leur lécher le minou avant qu'elles ne remontent leurs jeans. Le froid.
Je me fais sucer. C'est encore plus délicieux de se faire pomper le Zob dans la fraîcheur. L'intérieur des bouches si chaud.
Nous faisons la boucle de 4 h. Nous croisons un groupe de marcheurs armés de bâtons. Fameuse "marche norvégienne".

Nous croisons un couple de cavaliers. Un peu plus loin, dans le crépuscule naissant, nous croisons une jeune cavalière.
A chaque fois, je rabat mon anorak pour cacher la braguette béante. Si ce n'est pas la bite qui pointe vers le ciel gris.
Il est 18 h30 lorsque nous revenons dans la nuit noire, froide. Clémentine nous éclaire avec la grosse lampe. C'est bien.
Morts de faim, nous nous mettons immédiatement à la préparation de la bouffe. Clémentine qui fait un assaisonnement.
Je réchauffe la potée sans cesser de touiller pour décoller du fond de la vieille cocotte en fonte. Estelle fait une omelette.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous revenons sur les épisode bien salaces de la randonnée. Riants.
Les pissous fumant nous amusent toujours beaucoup. Nous avons failli nous faire surprendre par le couple de cavaliers.
Moi, entre les filles qui me tenaient la bite pour en diriger le jet dans une des dernières flaque d'eau. Vapeur "fumante".
Nous traînons à table. Nous avons tout notre temps. Estelle reste avec nous jusqu'à demain soir. De quoi êtres heureux.
La vaisselle. Noue rangeons la cuisine. Estelle, toute pressée de regarder le film réalisé hier soir, nous entraîne au salon.

Tout est déjà préparé. Il suffit d'introduire la carte SD dans l'ordinateur relié à la télé par le câble HDMI. Et c'est parfait.
Nous sommes vautrés dans le canapé. Devant nous le grand écran. Clémentine à ma gauche manipule la télécommande.
Estelle à ma droite, manipule mon Zob qu'elle tient à la façon d'un levier de vitesse dans une voiture. Et nous attendons.
Voilà le film qui commence. Cette fois, il n'y a pas de montage. C'est le film tel qu'il a été tourné. Dans la semi obscurité.
Cette ambiance glauque rajoute encore au côté crade de l'ensemble. On me voit emmener Clémentine par la laisse. Bien.

Je la fais mettre à genoux devant le petit trou parfaitement rond de la cloison. On ne reconnaît pas vraiment Clémentine.
C'est la toute première fois qu'elle tourne sans porter son loup à dentelles noires. Juliette a encore fait un si bon boulot.
La bite de Gérard qui occulte soudain la lumière éclatante du trou. J'appuie sur la nuque à Clémentine. Un film sublime.
D'avoir Clémentine à ma gauche, pour de vrai, de la voir à l'écran sucer la bite d'un autre, est la chose la plus excitante.
Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine fait des arrêts sur image. C'est fameux. Elles se touchent. Branlette.

< T'es vraiment la reine des salopes ! > fait Estelle à Clémentine qui répond : < La prochaine fois c'est toi qui suce ! >
< Je veux bien, on le propose à Juliette ! > dit Estelle. Clémentine rajoute : < Elle va éclater de joie, c'est son "truc" ! >
En effet, Juliette, grande voyeuse, adore filmer des jeunes filles dans des situations de dépravations ultimes. Elle adore.
Je propose aux filles de leurs lécher le minou pendant qu'elles mâtent le film. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois.
Elles arrachent leurs fringues pour me présenter leurs chattes. Des gouttelettes dans les poils. Reliquats de l'après-midi.

Je suis à genoux sur un des deux épais coussins posés au sol. Je commence par Clémentine. Je pompe carrément. Fort.
Du jus de fille me coule dans la bouche. C'est un vrai délice. Surtout qu'elle se masturbe, tient son clitoris géant. Beau.
Serré entre son pouce et son index, c'est comme si elle m'offrait son clitoris aussi gros que la phalange de mon pouce.
Je le suce. Ces petits cris sont merveilleux. Son excitation est à son comble. Elle me repousse à plusieurs reprises. Jus.
Clémentine joue avec son plaisir en évitant chaque orgasme juste au dernier moment. Je passe à Estelle. C'est miam.

Je crois que je n'ai jamais bu autant de cyprine que ce soir. Les filles mâtent le film en se masturbant. Je lèche. Vertige.
Je me branle tout en passant d'une coquine à l'autre. C'est un concert de gémissements. Je me redresse parfois. Génial.
Je viens leurs lécher le visage. Récupérer toute la sueur. Estelle pousse un véritable hurlement avant de tomber au sol.
Elle se roule sur le tapis, les mains entre ses cuisses, comme si elle était dans la douleur la plus intense. C'est fabuleux.
L'orgasme de Clémentine est tout aussi inquiétant. Et le film n'en est qu'à sa moitié. Elles sont couchées au sol. Silence.

Je reste immobile. Un peu inquiet quand même. J'approche mon visage de chacune pour en percevoir le souffle chaud.
Elles reprennent leurs esprits, riants. < Put-hein ! Je viens de découvrir la signification du mot orgasme ! > fait Estelle.
< Moi aussi ! > rajoute Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Nous mâtons la télé. Le film tourne pour rien.
Nous sommes tellement épuisés. Les filles veulent m'offrir un orgasme. Je leur propose de remettre tout cela à demain.
Au lit, Estelle s'endort la première. Clémentine me confie à quel point elle aime se voir. Je le sais. Elle se blottie. Dodo...

Bonne soirée "cinéma" à toutes les coquines qui découvrent le bonheur de se faire lécher la chatte devant un porno...

Julien - (Qui écoute les dernières confidences de Clémentine qui veut récidiver. Les doux ronflements d'Estelle) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 970 -



Un lundi férié avec des surprises

Hier matin, lundi, je suis une nouvelle fois réveillé par les assauts d'Estelle qui s'accroche à moi toute la nuit. Il est 9 h.
Blottie contre moi comme une naufragée à sa bouée elle s'empare de mon érection matinale d'une main ferme. Sympa.
Cette attitude réveille rapidement Clémentine qui se blottit également. Je suis serré entre les filles. Plein de bises. Bien.
Nous dormons de plus en plus tard. Il faut préciser que nous nous couchons le plus souvent dans un état d'épuisement.
Estelle se lève la première en s'écriant : < Pipi ! >. Clémentine me chevauche pour frotter son sexe sur mon érection.

Estelle revient, enfile son pyjama de soie mauve en disant : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. Puis elle file.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim nous dévalons l'escalier pour rejoindre Estelle.
Elle me saute au cou. < C'était génial hier soir ! > fait elle. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Contente.
Par jeu, Clémentine s'interpose en disant : < Une nouvelle découverte ! Se faire lécher en regardant un film porno ! >
Estelle rajoute : < Et pas n'importe lequel. Une production à nous. Personnelle. Privée ! >. Nous en rions de bon cœur.

Le lundi, il reste toujours de la brioche. Le pain grillé et le café embaument toute la cuisine. Un petit déjeuner délicieux.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant nos découvertes du week-end. Clémentine qui a sucé un vrai inconnu.
Sans même voir son visage, au travers le trou dans une cloison. Un cunnilingus devant une de nos réalisations pornos.
Estelle demande : < Il avait du goût le sperme de ce mec ? >. Clémentine répond : < Assez quelconque, sirupeux ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Elle rajoute : < Juteux, fluide, avec l'arrière goût évoquant l'huitre d'Oléron ! >

Dehors, le ciel est gris et bas. Clémentine propose de nous offrir un jogging à l'extérieur. Profiter d'un sol sec. Superbe.
La vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir et pour mettre nos tenues.
Nos leggings, nos sweats, nos baskets, nos K-ways, les gants et les bonnets. Nous dévalons l'escalier, pressés de courir.
Quelques mouvements d'échauffement et nous descendons vers la rivière d'une bonne foulée. Estelle donne le rythme.
Une heure d'un running des plus agréables. Nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Nous consultons l'ordi.

Il y a deux courriels. Le premier de Julie qui nous confie sa frustration de ne pouvoir venir partager la soirée avec nous.
Le second de Juliette qui nous propose de passer au haras cet après-midi. Car elle aurait une surprise pour Clémentine.
Estelle revient vêtue de son jeans et de sa chemise à carreaux. C'est à notre tour. Nous montons prendre notre douche.
Clémentine s'interroge. Elle avance tout un tas d'hypothèses. Que peut bien lui réserver Juliette. La reine des surprises.
Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous rejoignons Estelle, assise devant l'ordi. Sur le site universitaire.

Nous répondons aux deux messages. Nous informons Juliette que nous serons au haras en fin d'après-midi, vers 18 h.
Il est presque 11 h10. Nous envisageons plusieurs repas possibles. Estelle suggère un bon gratin de pommes de terre.
< Encore des patates ! Miam ! > lance Clémentine. Les filles surfent un peu sur le site de l'université. Les programmes.
Je descends à la cave, au cellier pour y chercher les pommes de terre. J'en profite pour remonter tout le linge déjà sec.
Je pose la grande bassine en plastique pleine à ras-bord au bas de l'escalier. Les filles me rejoignent à la cuisine. Bien.

Clémentine s'occupe de la salade de carottes, de l'assaisonnement. Estelle et moi, nous épluchons les pomme de terre.
Les filles évoquent leurs études. Il reste six semaines de cours avant les vacances de fin d'année. Avant l'Ecosse. Bien.
Le gratin est au four. La table est mise. Les trois filets de colin panés sont sous le couvercle dans la poêle, le feu éteint.
Nous allons faire quelques pas au dehors. Les filles me tiennent le bras. Nous évoluons dans un épais tapis de feuilles.
Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte et dit : < A votre avis, la surprise de Juliette ? C'est cul ? Le sexe ? >

Nous en rions de bon cœur quand Clémentine répond : < Avec Juliette c'est peut-être les deux, avec elle on sait pas ! >
Estelle fini par m'extraire la bite. Avec la fraîcheur, elle reste molle et flasque. Les filles s'éloignent pour bien l'observer.
< Sors tes couilles ! Fais nous la totale ! > s'écrie Estelle qui mime une masturbation masculine avec toute sa vulgarité.
Je me balade donc avec mes organes génitaux à l'air. Il faut toutefois rester prudents. Les voisins sont parfois dehors.
Nous rentrons. Pile poil en même temps que ne tinte la sonnerie du four. Nous mangeons de bon appétit en discutant.

Nous traînons à table. Clémentine propose une nouvelle randonnée cet après-midi puis de terminer par le haras. Super.
Bonne suggestion que nous applaudissons. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents.
Nous restons vêtus identiques. Juste les godasses de marche. Nous dévalons les escaliers pressés d'aller au grand air.
Nos anoraks. Nous prenons le circuit habituel de nos promenades dans l'autre sens. Nous montons vers les ruines. Bien.
A nouveau, sur la demande insistante des filles, j'interprète le rôle de l'exhibitionniste. Elles en raffolent. C'est si drôle.

Je joue au satyre dans les ruines du vieux moulin. Dans l'enclos de la vieille chapelle désacralisée. Près du dolmen. Joie.
Les filles jouent aux innocentes, ingénues vicieuses qui se font surprendre à tour de rôle entrain de pisser. Avec passion.
Je leurs lèche le minou à chaque fois. Elles me sucent presque à chaque "apparition" du personnage de l'exhibitionniste.
Nous croisons un peu plus de promeneurs que hier. Il faut donc faire gaffe. Il est déjà 17 h30. La nuit ne va pas tarder.
Nous descendons le sentier qui longe le ruisseau pour arriver au haras. Il y a des voitures dans la cour. Deux cavaliers.

Juliette est en pleine conversation avec deux couples de propriétaires de chevaux. Elle nous fait un petit signe de la main.
Nous entrons dans les anciennes écuries. Nous caressons quelques chevaux dont les cous dépassent de leurs box. Super.
Juliette vient nous rejoindre. Nous nous serrons la main. Elle dit à Clémentine : < Alors ? Bien remise de samedi soir ? >
Clémentine la rassure. < Venez, je veux vous présenter quelqu'un ! > fait elle. Nous commençons à comprendre. Sympa.
Dans le local bureau, bien au chaud grâce au radiateur électrique, Gérard en pleine discussion avec un inconnu. Surprise.

< Je vous présente Mr Christian. C'est l'exploitant agricole qui me livre le fourrage pour les chevaux ! > fait Juliette. Bien.
Nous nous serrons les mains. Juliette rajoute : < Mr Christian était la "surprise" de samedi soir ! >. Il y a un long silence.
Clémentine est toute rouge. Elle n'a qu'une envie. Filer. C'est bien un "plan" à Juliette de la mettre dans l'embarras. Dur.
< Asseyez vous donc, il reste du café dans la thermos et il y a des petits salés ! > fait Mr Christian. Nous préférons partir.
< Timide ? > lance encore l'exploitant agricole qui se lève pour nous raccompagner jusqu'à la porte. Il est de petite taille.

Vêtu d'un pantalon de velours, d'une grosse veste en toile, chaussé de hautes bottes en caoutchouc. Un homme jovial.
Juliette me fait un clin d'œil. Estelle ne me lâche pas la main. Clémentine me tient par le bras. Nous saluons ces gens.
Mr Christian lance à l'intention de Clémentine : < Dis, tu semblais beaucoup moins timide samedi soir, ma grande ! >
Clémentine ne répond pas. Sans même un coup d'œil pour ce type un peu grossier, elle nous entraîne rapidement. Dur.
Dans la cour, Juliette nous donne quelques informations. Mr Christian, marié, fait secrètement partie du "Club". Discret.

< Vous faites des "trucs" avec lui aussi ? > lui demande Estelle. < Parfois, une petite turlute ! > répond Juliette. Silence.
Nous nous regardons tous les quatre. Juliette rajoute : < J'ai un prix pour le fourrage. Plusieurs tonnes tous les ans ! >
Nous éclatons de rire. Juliette dit à Clémentine : < Mr Christian me charge de vous dire qu'il aimerait vous voir seule ! >
Clémentine me consulte du regard. Je fais un signe positif de la tête. Je dis : < Pourquoi pas. Tu as aimé son sperme ! >
Juliette ne laisse pas répondre Clémentine qui reste dubitative en rajoutant : < J'organise tout ça et je vous informe ! >

Nous promettons d'y réfléchir. Nous saluons Juliette avant de quitter le haras. Clémentine sort la grosse lampe du sac.
Nous marchons dans la nuit froide. Clémentine nous éclaire. Les filles évaluent la nouvelle proposition de Juliette. Rires.
< Quelle salope ! C'est une vraie mère maquerelle ! > fait Estelle à plusieurs reprises. Nous rigolons comme des bossus.
Il est 19 h lorsque nous sommes de retour. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare une belle omelette. Super.
Je réchauffe le gratin. Je râpe du gruyère de Comté. La conversation reste axée sur cette nouvelle proposition. Juliette.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons longuement à table. Les filles se proposent un délai de réflexion. Normal.
Pourtant la tentation est grande. Tant pour Estelle que pour Clémentine. Estelle lance : < Si tu le suces, tu le connais ! >
Je dis : < Quoi de mieux pour faire la connaissance d'un mec que tu as déjà sucé dans des circonstances aussi folles ? >
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je propose aux filles de s'éclaircir les idées en leurs léchant la chatte. Elles rient.
< Génial ! > lance Estelle. < Super ! > fait Clémentine. Les filles m'entraînent au salon. Elles arrachent leurs fringues.

Me voilà comme d'habitude, à genoux derrière les filles à quatre pattes, à lécher les culs qu'elles me présentent. Miam.
Je me mets sur le dos pour glisser mon visage entre les cuisses. Elles se frottent le sexe sur ma gueule. C'est sublime.
Sucer le sexe de filles qui ont été excitées tout un après-midi et qui ont fait trois heures d'exercices, est un vrai régal.
L'orgasme d'Estelle est délirant. Celui de Clémentine est pareil. Déjà 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à son auto.
La séparation est cruelle. Je la laisse sucer un peu par la fenêtre de son auto ouverte. Nous la regardons partir. Si dur !

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font nettoyer la chatte après une journée pleine de rebondissements...

Julien - (Qui écoute Clémentine lui avouer que l'idée d'un rendez-vous avec Mr Christian n'est pas déplaisante. Dodo) -

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Classe - 49 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 971 -



Juliette vient manger à la maison

Hier matin, mercredi, c'est le Prélude en Mi mineur de Frédéric Chopin qui nous arrache de nos profonds sommeils.
< Silence ! > s'écrie Clémentine qui se couche sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Il est 5 h55. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Nous mettons nos tenues gym. Morts de faim.
Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner un peu au radar la tête dans le cul.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Bien.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Froid.
La température extérieure étant de 4°, c'est bonnet, écharpe et gants. Déjà 7 h45. Un dernier bisou en frissonnant. Dur.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin dans le jour naissant. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette.
Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes que je module longuement. Bon.

C'est la première toile destinée à ma saison 2020. Une nature morte. Format 6F, (41 x 33 cm). Elle sera terminée jeudi.
Il faut me voir tourner autour de mon chevalet en faisant la danse du guerrier Sioux à chaque coup de pinceau sublime.
Il faut me voir tomber à genoux pour m'extasier devant les touches de peinture plus extraordinaires que les précédentes.
Comme toujours, lorsque je me livre à de telles passions dévorantes, je ne vois pas défiler les heures. Et il est déjà midi.
Je vais à la cuisine. Je lave les feuilles d'une belle scarole. La pâte feuilleté ainsi que le saumon ont décongelé. C'est bon.

Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je fais une Béchamel. J'y mets le saumon finement émincé et saisis dans la poêle.
J'y rajoute les champignons, l'ail et l'oignon que j'ai fais rissoler légèrement. Noix de muscade, sel, curcuma et épices.
Je déplie la pâte que je dispose dans un moule à cake. J'y verse la Béchamel. J'enroule le tout. Je mets au four. Parfait.
J'ai récupéré de la Béchamel comme sauce avec mes coquillettes. Je me régale d'un repas délicieux. Et de bon appétit.
Je tente bien d'écouter les informations. Mais après Stéphane Bern, c'est tellement médiocre que j'éteins la radio. Bien.

Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Le feuilleté de saumon est au four. Je vais au salon préparer la table pour ce soir.
J'étale le chemin de table en lin écru. J'y dispose les assiettes en grès, les couverts laitonnés, les verres et les serviettes.
J'aime les plier savamment d'un nœud très élégant. Pour le repas de ce soir, et la venue de Juliette, tout est prêt. Nickel.
Il est 13 h lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Le ronronnement du poêle. Le Godin.
A partir de demain, je rallume la cheminée. Je peins avec le même enthousiasme délirant que ce matin. C'est fabuleux.

Il est 16 h30 lorsque Clémentine rentre de cours. < Je t'aime Julien ! > s'écrie t-elle en se précipitant vers moi. Fébrile.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée et le menu du restaurant universitaire.
J'écoute toujours avec beaucoup d'attention. Ce n'est pas seulement mon contact avec le monde extérieur, c'est super.
Clémentine a un réel talent de narratrice. Elle transforme les détails les plus insignifiants en démonstrations magistrales.
La future professeur de faculté se devine déjà. J'écoute en silence. C'est comme la plus agréable des chansons. Musique.

Clémentine a encore du travail. La voilà devant son ordinateur à mettre au propre ses notes du jour. Concentrée. Super.
Nous adorons ces moments d'émulation silencieuse où résonnent les craquements du bois dans le feu, nos respirations.
< Put-Hein, ras le bol ! > s'écrie Clémentine. Il est déjà 18 h30. Nous rangeons nos affaires. Soudain du bruit à l'étage.
< Bonsoir Christine ! > fait Clémentine à haute voix pour saluer le fantôme de mon ancienne compagne. Le bruit sourd.
Nous restons tous deux blottis à tenter de localiser le bruit des pas au dessus de nos têtes. Comme une sorte d'errance.

Ces manifestations de l'au delà ne durent en général qu'une dizaine de minutes. Elles sont toujours si impressionnantes.
Nous sommes tous deux vautrés dans le vieux canapé de l'atelier, tous nos sens aux aguets. Ce soir c'est très bruyant.
Clémentine a glissé sa main dans ma braguette. De palper son "Fétiche Talisman", lui permet de relativiser facilement.
Nous en rions rapidement de bon cœur. Les bruits cessent. J'ai la bite à l'air. Toute molle. La préférence de Clémentine.
Déjà 19 h. Nous éteignons les lumières pour monter à l'étage. Nous nous changeons, faisant les clowns devant le miroir.

Clémentine porte un pantalon noir. Très élégant. A plis, à pinces. Un chemisier blanc. Des souliers à talons hauts. Noirs.
Sur sa demande, je porte un pantalon de flanelle claire, chemise blanche, les mocassins en daim. J'adore lui faire plaisir.
Elle m'entraîne devant le miroir. < Regarde comme on est beaux tous les deux ! > me fait elle en me sortant la biroute.
Elle se place derrière moi, me tient la queue, l'agite et me dit : < Ce soir, tu es prié d'être un vrai satyre avec Juliette ! >
Je promets de faire de mon mieux. < Cette salope vient là pour ça. Donne lui ce qu'elle vient chercher ! > rajoute t-elle.

Clémentine me masturbe. Je bande. Elle m'entraîne dans l'escalier en me tirant comme par une laisse. J'adore. Superbe.
Clémentine découvre que tout est déjà prêt au salon. Elle allume les trois grandes bougies du chandelier. Pas de lumière.
L'ambiance dans le salon, avec la grande bibliothèque et les boiseries, n'est pas sans évoquer un intérieur "Harry Potter".
Clémentine découvre la nature du repas. Ce sera encore un de nos fameux feuilletés de saumon. Délice des exceptions.
Accroupie devant le four où réchauffe le repas, Clémentine m'observe. J'agite ma bite tout près de son visage. Elle suce.

19 h30. Trois coups de sonnette. Clémentine se redresse en s'écriant : < Aïe ! Les crampes ! >. Je me branle. Je bande.
Clémentine revient suivie de Juliette. Ce soir elle est vêtue d'un ensemble noir. Pantalon, veste, chemisier blanc. Super.
Elle me surprend dans la cuisine en pleine branlette. La jeune femme éclate de rire. Elle me tend la main. C'est sublime.
< Pour une première de la saison, vous faites très fort ! Bravo ! > dit elle tout en faisant bouger son doigt dans ma main.
Je propose aux filles d'aller s'installer au salon. Je vais assurer le service. Clémentine qui entraîne Juliette. C'est parfait.

J'apporte les plats, ma la bite fièrement dressée. Sous les applaudissements de Clémentine, de Juliette. Spectacle divin.
Juliette me fait des compliments. Non seulement pour la qualité du repas, mais pour mon comportement de vrai satyre.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent ce qui s'est encore passé samedi soir au haras. Le film. Mr Christian.
Nous en apprenons un peu plus. Mr Christian, exploitant agricole fourni le fourrage pour les chevaux en pension l'hiver.
Depuis dix ans c'est lui qui apporte à l'automne plusieurs tonnes de ces énormes bottes de foin que nous y apercevons.

Juliette rajoute : < C'est un brave homme. Quinquagénaire. Il a droit à sa pipe tous les ans. Il me fait un bon prix ! >
Nous en rions de bon cœur. Elle continue : < A ce propos, si vous le désirez, je vous prépare un "plan" samedi soir ! >
Elle s'adresse à Clémentine : < Vous vous retrouvez en tête à tête avec lui, devant un café, des petits gâteaux. Ok ? >
Clémentine me consulte du regard. Elle reste silencieuse. Je l'encourage : < Tu lui fais une pipe. Tu as aimé sa bite ! >
Juliette précise : < Il adore se faire sucer en roulant dans son utilitaire à travers ses hectares de champs et de prés ! >

Clémentine reste dubitative. Nous la regardons en silence. Je me lève pour agiter ma bite dans sa direction. Je bande.
< Pourquoi pas ! > finit elle par dire. Nous éclatons de rire quand Juliette s'écrie : < A la bonne heure ! >. C'est drôle.
Je précise : < Je reste avec Estelle pendant que tu fais un tour en 4 x 4 avec Mr Christian ! >. Clémentine me regarde.
< Vous faites connaissance samedi soir. Vous faites un tour en bagnole dimanche ! > rajoute Juliette. Je me masturbe.
Je demande : < Comme vous le fournissez en jeunes filles, Mr Christian va encore baisser le prix de son fourrage ? >

< J'adore vos conclusions pertinentes ! > conclue Juliette. Nous en rigolons comme des bossus. C'est sans doute vrai.
Debout devant Juliette, je prends un des verres ballon sur la table monastère qui nous sépare. Je le mets sous le Zob.
Il y a des coulures de foutre qui coulent à l'intérieur. Juliette, voyeuse, se penche pour bien observer. Je lâche un jet.
C'est ma grande spécialité de pisser par petits jets dans des verres ballons devant des jeunes femmes des jeunes filles.
Je le fais devant Estelle, devant Julie, devant Clémentine et devant Juliette ce soir. C'est un spectacle insolite. Parfait.

Entre chaque jet, j'essore bien ma bite en frottant le prépuce contre le bord du verre. Le foutre flotte sur la pisse jaune.
Lorsque le verre est à moitié plein, je le tends toujours à la personne. Juliette s'en saisit pour le lever et bien le scruter.
Elle agite le verre pour en faire tourner le liquide sous la lumière des bougies. < J'adore les vicelards ! > soupire t-elle.
< Vous êtes bien entourée Juliette. Vous en avez partout autour de vous et où que vous alliez ! > lui lance Clémentine.
< J'ai été mariée huit ans à un mec indifférent. Depuis dix ans je me rattrape ! > fait Juliette. Nous éclatons de rire.

< Je suis abonnée aux vicieux ! J'ai ma carte ! > répond Juliette. Nous éclatons de rire. Elle renifle l'intérieur du verre.
Je me branle comme le dernier des salauds sous le regard de Clémentine et de Juliette qui observent silencieusement.
C'est un très grand moment. Je débarrasse. Le dessert. Je fais le satyre à plusieurs reprises. Le verre est plein de pisse.
Il est 22 h15. Nous raccompagnons Juliette dans la nuit glaciale jusqu'à sa voiture. Nous nous voyons samedi soir. Joie.
Au lit, Clémentine me félicite pour mon attitude. Je lui offre un cunnilingus magistrale. Elle me taille une pipe. Le dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment êtres invitées chez un couple dont le mec pisse dans des verres ballons...

Julien - (Qui écoute l'impatience de Clémentine pressée d'être samedi soir. De faire la connaissance d'un autre salaud) -

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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette", Gérard et tous les autres, ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. La "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique vingtième et unième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien


Homme, 53 ans, France
Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 972 -



Un mercredi de tendresse, d'affection et de mouille

Hier matin, mercredi, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonne la musique. C'est de justesse. 5 h55.
J'éteins immédiatement le réveil. Quelques Bisous. Nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser voluptueusement.
Nous revêtons nos tenues de sport avant de dévaler les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous y préparons le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée de hier. La présence de Juliette. Exceptionnelle un mardi. Super.
< Ce soir, nous serons enfin seuls tous les deux. Tu sais, parfois ça me manque ! > fait Clémentine tout en mangeant.

Nous remontons pour nous offrir notre heure de gym. Charges additionnelles. Jogging sur les tapis roulants. Les abdos.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue dans le froid vif.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Un dernier coucou. Et je me dépêche de rentrer.
Je fais notre lit, notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il est 8 h15. Je suis assis confortablement devant mon chevalet.
Je prépare ma palette. Je peins rapidement dans une sorte d'euphorie stimulante et en me livrant à ma divine passion.

Il est aux environs de 10 h lorsque l'imbécile musique de mon smartphone résonne au fond de la poche de ma blouse.
En rageant je le saisis. C'est Juliette. Après les civilités d'usage, la jeune femme en arrive rapidement à sa motivation.
Elle me remercie pour la soirée de hier. Ce délicieux repas et mon comportement de satyre qui l'a ravi toute la soirée.
Nous en rions de bon cœur. Juliette nous invite samedi soir. Il y aura une soirée d'anniversaire. Ce serait très sympa.
De plus, Clémentine pourrait faire plus ample connaissance avec Mr Christian. Même s'isoler un peu avec lui. Silence.

Je préfère ne pas m'engager pour Clémentine mais je promets de lui en parler. Nous bavardons en mode haut parleur.
Ce qui nous permet de parler tout en travaillant. La conversation dure une vingtaine de minutes. Et c'est sympathique.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins avec une puissante érection. Je pense à Juliette. Femme étonnante.
Il est rapidement midi. Je rajoute deux buches dans le petit poêle rond de l'atelier. Il y fait chaud. Je vais à la cuisine.
Je prépare la salade de tomates pendant que gonfle le riz complet. Je pane un beau filet de cabillaud. Rissolé. Poêlé.

Je mange de bon appétit en tentant d'écouter ces maudites informations formatées et calibrées pour les sots, les naïfs.
C'est au dessus de mes forces. J'éteins la radio. La vaisselle. Je range la cuisine. Je retourne dans l'atelier. Déjà 12 h45.
Cette seconde séance est encore plus magique que la première. Dehors le ciel reste gris et bas mais sans pluie. J'adore.
Il est 16 h30 lorsque Clémentine rentre de cours. Elle jette son sac dans le canapé et se précipite vers moi si heureuse.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire.

Clémentine a encore du travail. Assise devant l'ordinateur elle met ses notes du jour au propre. Cette semaine spéciale.
Avec ce lundi qui était férié, elle avait exceptionnellement cours hier après-midi. Ce qui est rare le mardi. Chamboulée.
Nous aimons ces séances de travail l'un près de l'autre. Le crépitement du feu dans le Godin. C'est d'un romantisme fou.
Parfois, l'un se lève pour venir voir ce que fait l'autre. Lui faire des bisous. Lui chuchoter des trucs. C'est sublime. Si bon.
Il est 18 h30 lorsque les premiers bruits sourds se font entendre à l'étage. C'est le fantôme de mon ancienne compagne.

< Bonsoir Christine ! > fait Clémentine à haute voix. Comme pour lui répondre il y a le grincement d'une porte en haut.
En temps normal, aucune porte ne grince dans la maison. Ce sont d'épaisses et lourdes porte anciennes en chêne. Dur.
Clémentine vient me rejoindre. Assise sur mes genoux. Nous écoutons. Nous tentons de localiser tous les bruits sourds.
Ce sont de longues errances. Tout cela dure une dizaine de minutes. C'est impressionnant. Nous rangeons nos affaires.
< De partager sa maison avec une entité de l'au-delà, ça donne faim ! > lance Clémentine pour conjurer son inquiétude.

Nous en rions de bon cœur. Nous quittons l'atelier pour nous rendre à la cuisine. Clémentine s'occupe de notre salade.
Je réchauffe le riz. J'y rajoute quelques crevettes rissolées à la poêle avec de l'ail, de l'oignon et de la ciboulette. Bien.
Je passe deux gros gambas dans l'œuf puis dans la chapelure mêlée à du gruyère finement râpé. Je passe à la poêle.
Cette panure est rapide. Nous mangeons de bon appétit. Je raconte la conversation téléphonique avec Juliette ce matin.
< J'ai bien réfléchi. Je ne veux rien commencer avec un autre type. Il y a déjà Gérard. Ça me suffit ! > fait Clémentine.

Elle développe un argumentaire plein de bon sens et de raison. Après ses explications, je comprends parfaitement. Bien.
Je dis : < Il suffit de faire un courriel à Juliette et de lui dire "non" ! >. Clémentine dit : < Ce que nous ferons ce soir ! >
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine me confie d'amusantes choses.
Elle se masturbe souvent au volant de sa voiture sur la petite route déserte pour aller en cours ou pour en revenir. Rire.
< Parfois c'est tellement fort que j'ai envie de m'arrêter au bord de la route. Mais je suis pressée de rentrer ! > fait elle.

Nous rigolons comme des bossus. Je propose de contrôler son fond de culotte pour constater tout ça après la vaisselle.
< Oh oui ! Procède à un contrôle rigoureux et sévère ! > rajoute t-elle en passant ses bras autour de mon cou. Projet.
Nous faisons la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Sans prévenir, je saisis Clémentine par sa natte comme une laisse.
Je l'entraîne ainsi, courbée en avant, marchant avec difficulté, faire le tour du salon. Pour parcourir cette grande pièce.
Nous en faisons le tour deux fois. Clémentine en glousse de plaisir. Elle apprécie tellement ce genre d'initiative. Super.

< Vous n'êtes passez sévère avec moi, mon bon "Maître" ! > fait elle dans un souffle lorsque je la fais mettre à genoux.
Je lui frotte la bite sur le visage. Je dis : < Ce soir, je vous bouffe la chatte, je vous baise, ma délicieuse "Soumise" ! >
A chaque fois que Clémentine veut gober ma queue, je l'en empêche en esquivant d'une manière sournoise et vicelarde.
Je lui mets une gifle. Ce ne sont jamais des actes de violence. Cela fait partie du rôle qui m'est demandé. Être "Maître".
Même si je n'en ai pas l'âme, je m'acquitte de ce personnage avec un soin maniaque et rigoureux. Ça frôle la perfection.

Clémentine, en authentique "Soumise" y trouve son compte. Elle m'invite simplement à interpréter ce rôle bien souvent.
Je la tiens par sa natte. Comme par une laisse. Au plus court. Je lui passe la bite sur la gueule en murmurant des trucs.
Un mélange de douceurs, de cochonneries, de tendresse, de saloperies d'une rare vulgarité. Clémentine en gémit d'aise.
Je la force à se relever. Je me penche pour lui masser un peu les genoux. Je l'entraîne. Je la fais tomber dans le canapé.
Je lui retire son jeans et sa culotte. A genoux sur l'épais coussin, le visage entre ses cuisses, je m'enivre de ses parfums.

Je passe ma langue dans les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. Tout est trempé. Elle s'est bien branlée.
Je la félicite. Elle me raconte les causes de ses tourments masturbatoires sur la route du retour en rentrant des cours.
C'est l'exhibitionniste qu'elle a entraperçu deux fois au même endroit en prenant de l'essence à la station. Un salopard.
La première fois, il y a quelques semaines, le mec lui montre sa queue en prenant de l'essence à la pompe voisine. Dur.
La semaine dernière le même type la lui montre depuis l'angle arrière qui mène aux chiottes. Juste entre les bosquets.

Je suce son clitoris géant en écoutant cette histoire. Clémentine excelle dans la narration. C'est hyper excitant d'écouter.
Elle me repousse délicatement à deux reprises pour éviter l'orgasme qui pointe. Elle m'attire sur elle. Tout aussi délicate.
Je m'introduis avec d'infinies précautions. Je murmure à son oreille : < La prochaine fois tu tailles une pipe à ce mec ! >
Clémentine passe ses bras autour de moi. Elle chuchote : < T'es fou, si je devais sucer tous les salauds que je croise ! >
Nous en rions de bon cœur. Mes fantasmes masculins l'amusent toujours beaucoup. Et elle trouve ça tellement odieux.

J'aime tant l'écouter me raconter ses aventures ou me donner ses impressions que je lui pose plein de questions. Super.
Clémentine adore ça. Y répondre fait partie de son divin plaisir. Elle me donne les plus infimes détails de situations hard.
Les filles ont une chance extraordinaire. Elles sont souvent confrontées à des situations "tendancieuses". C'est superbe.
Alors que nous les mecs, nous sommes le plus souvent obligés de créer ces situations. De tenter de les provoquer. Dur.
Nous baisons ainsi longuement. Alternant les moments d'immobilité et la "machine à coudre". Ça fait monter la passion.

Clémentine me raconte cet autre type, employé d'une entreprise de travaux public, qui lui a montré sa queue à la fac.
Un matin, alors qu'elle était allée aux toilettes, depuis la fenêtre ouverte, repérée par le mec, elle le regardait. Branle.
Le type, juste en face, agitait sa bite dans sa direction entre une camionnette et une chenillette de chantier. Le salaud.
Elle me raconte la façon dont elle l'a "allumé". Sa main dans sa braguette ouverte, Clémentine mâtait en se touchant.
C'est absolument génial. C'est terriblement excitant. Clémentine adore partager ses aventures de filles. C'est sublime.

Je suis enfoncé. Sans bouger. Clémentine se masturbe en même temps. Je pose des questions. Elle répond. Excitant.
Elle me repousse une nouvelle fois. Délicatement. Je la saisis par sa natte pour la forcer à se redresser. Elle en gémit.
< Je t'aime comme une folle Julien. Si tu savais ! > s'écrie t-elle alors que je frotte ma bite dégoulinant sur sa gueule.
Je la lui enfonce dans la bouche. Je me penche pour murmurer : < Moi aussi je t'aime, comme un fou ! >. Elle pompe.
Je me fais tailler une pipe des familles. Clémentine suce comme si sa vie en dépendait. Je touche sa chatte trempée.

Il y a de la mouille sur tout le cuir du canapé. Clémentine est assise dans une véritable flaque de mouille. C'est super.
Je me retire. Je me mets à genoux. Je la repousse doucement pour lécher le cuir. Et tout récupérer avant de la lécher.
Cette fois, impossible d'échapper à l'orgasme cataclysmique qui la fait crier en me pissant à la gueule. Je suis trempé.
< Pardon Julien ! > s'écrie t-elle avant de s'effondrer, mains entre les cuisses pour reprendre ses esprits. Je la saisis.
Je lui fourre la bite dans la bouche pour y éjaculer en hurlant. Il faut passer la serpillère. Me sécher les cheveux. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment faire des révélations en se faisant baiser comme de vraies salopes...

Julien - (Qui écoute les derniers secrets de Clémentine qui s'endort doucement, serrée contre lui. Heureuse) -

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Un jeudi de douceur, de plaisir et de mouille

Hier matin, jeudi, c'est la cantate No 147 de J.S. Bach qui nous arrache avec délicatesse de nos si profonds sommeils.
< Cool Bach ! > s'écrie Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Quelques papouilles. Il est 5 h55. Nous nous précipitons aux toilettes. Puis nous mettons nos tenues de gymnastique.
Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Morts de faim, nous y préparons notre petit déjeuner. Il fait assez frais.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous remontons pour nous offrir notre heure de gymnastique. Joie.

La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint emmitouflée de vêtements chauds.
Il fait froid. Ça picote les oreilles. Un dernier bisou. Il est 7 h45. Je la regarde partir avec un dernier coucou. Je rentre.
Je fais notre lit et notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Il démarre rapidement.
Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette et mes pinceaux avec une certaine impatience.
Je peins dans une joie glorieuse qui me fait rapidement pousser les cris les plus surréalistes. Cris modulés longuement.

Je termine ce matin cette première toile destinée à ma saison 2020. Il est aux environs de 10 h. C'est mon smartphone.
Mais qui donc peut bien me faire chier ainsi dans ma sublime séance d'introspection créatrice ? Je le sors de ma poche.
C'est Julie. La jeune fille m'appelle entre deux cours. Elle n'a que quelques minutes. Elle est dans les toilettes de la fac.
Nous en rions de bon cœur. Elle me confirme sa venue lundi soir. < C'est trop dur une semaine sans ! > m'avoue t-elle.
Je confirme que nous serons très heureux de l'accueillir pour un bon repas et une de nos charmantes soirées. C'est bien.

Nous nous saluons. Je lui souhaite un bon week-end. Je peins tout en pensant à cette étonnante et si étrange jeune fille.
Comme le dit Clémentine, cette coquine ne vient pas seulement pour le plaisir d'être avec nous mais pour mes attitudes.
Cette pensée me procure une douce érection qui participe de mon inspiration. Il est rapidement midi. J'arrête de peindre.
Je mets deux bûches dans la cheminée et je vais à la cuisine. C'est jeudi. Le rituel des pizzas du jeudi soir. C'est superbe.
Je lave les feuilles d'une laitue. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare une belle pâte à pain. Je la travaille bien.

Je concocte une garniture. Tomates, champignons, ail, oignon, persil et ciboulette que je fais frémir dans le wok. Parfait.
J'y rajoute un peu d'eau des coquillettes que je viens d'égoutter. Le repas de ce soir est prêt. Je mange de bon appétit.
Je tente bien d'écouter les informations mais après Stéphane Bern, c'est tellement déplorable que j'éteins la radio. Dur.
La vaisselle. Je range la cuisine. La pâte à pain repose sous un linge. La garniture repose sous un couvercle. C'est nickel.
Je retourne dans l'atelier. Il est 13 h. Dehors, le ciel est gris et bas. La température extérieure n'excède pas 4°. L'hiver.

Je peins dans cette même joie fébrile. Je termine cette nouvelle nature morte pour 14 h. Je commence la seconde toile.
C'est une autre nature morte. Il est rapidement 16 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette le cartable sur le canapé.
Elle se précipite vers moi. J'anticipe toujours. Je pose ma palette, mes pinceaux sur la petite desserte de droite. Super.
Assise sur mes genoux, les bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Les cours, les profs, l'ambiance.
Le menu du restaurant universitaire du jeudi. Il y a toujours du riz et du poisson. Clémentine a encore du travail à finir.

Assise devant l'ordinateur, elle met au propre ses notes de la journée. Le crépitement du feu dans cheminée. C'est bien.
Je lui raconte le coup de téléphone de Julie. Son impatience de passer la soirée de lundi en notre compagnie. C'est bien.
< Elle est surtout pressée de te voir à l'œuvre, ta bite à la main ! > dit Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.
Il est 18 h30 lorsque Estelle arrive à son tour. Elle jaillit littéralement dans l'atelier comme une tornade. Elle se précipite.
< Hurricane ! > s'écrie t-elle en s'asseyant sur mes genoux tout en imitant le bruit d'un ouragan. Et elle est si heureuse.

Les filles sont rapidement assises côte à côte devant l'ordinateur pour comparer leurs travaux. J'aime les écouter parler.
Soudain, au dessus de nos têtes, un bruit sourd. Le grincement d'une porte. Des pas légers très furtifs. Il y a quelqu'un.
< Bonsoir Christine ! > font Clémentine et Estelle pour saluer l'arrivée du fantôme de mon ancienne compagne. Silence.
Nous arrêtons de travailler en écoutant les longues errances de l'entité qui se déplace à l'étage. Nous rangeons le tout.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Nous sommes tous les trois assis en tailleur sur l'épais tapis devant la cheminée.

Nous écoutons en nous tenant par les bras. Je suis entre les filles. Ce sont toujours d'étranges manifestations. Bruits.
Ce soir, c'est particulièrement sonore. Tout fini par cesser. Nous admirons la danse des dernières flammes dans l'âtre.
Il est 19 h. Poussés par la faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Estelle travaille un peu la pâte à pain onctueuse.
Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Je réchauffe la garniture. Je râpe du gruyère. Parmesan.
< Sors ton Zob monsieur le peintre ! > me fait Estelle en remuant ses mains enfarinées. Elle adore me l'enduire. Rire.

Comme tous les jeudis soirs, je me retrouve avec la bite enfarinée. Ce qui n'est pas sans évoquer un très beau salami.
Les filles rient aux éclats lorsque je secoue le bassin pour faire tournoyer ma queue. Estelle étale la pâte sur les plats.
Je verse la garniture. Elle dispose le gruyère et le parmesan sur le tout. Voilà les trois énormes pizzas au four. Superbe.
Nous dressons la table. Les filles m'entraînent au salon en me tenant par les bras. Estelle jette deux coussins parterre.
Elles s'y mettent toutes les deux à genoux. Elles me tiennent. L'une par les hanches. L'autre par les cuisses pour mâter.

Estelle, d'un mouvement de tête, gobe juste l'extrémité du "salami" en gloussant de plaisir.Clémentine se met à lécher.
Je leurs caresse la tête en leurs chuchotant des douceurs. Elles sont extraordinairement belles et excitantes. Le paradis.
Elles se refilent rapidement mon chibre pour le rendre propre et luisant. Je les félicite. Je me fais tailler une super pipe.
Je dis : < Tout à l'heure, après le repas, je vous bouffe la chatte à toutes les deux. Et toi, Estelle je te baise en brute ! >
Estelle cesse de me bouffer les couilles pour répondre : < Oh oui ! Baise moi comme une véritable crapule. Je t'aime ! >

La sonnerie du four. Les filles se redressent en même temps. Estelle m'attrape par la queue pour me tirer par la laisse.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant et en riant beaucoup. Estelle nous raconte sa baise avec son parrain.
Malgré le radiateur électrique, il fait froid au fond du garage, sur le matelas gonflable. Il va falloir baiser à la cave. Dur.
Nous en rigolons comme des bossus. < Ce salaud m'a baisé comme un fou hier soir. Il a tenu une heure ! > fait Estelle.
< C'est moins que d'habitude ! > fait Clémentine. Nous éclatons de rire. < Marraine rentrait plus tôt ! > répond Estelle.

Nous traînons à table. < Je préfère la pipe et baiser avec toi ! > fait Estelle assise sur ma jambe gauche. Je la caresse.
Clémentine, assise sur ma jambe droite, rajoute : < Ce sont autant de prétextes pour comparer Julien et ton parrain ! >
Nous rions de bon cœur. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. J'ai la bite et les couilles qui "flottent" de ma braguette.
Les filles m'entraînent au salon. < Tu as promis ! > lance Estelle qui retire son jeans et sa culotte la première. Superbe.
Les deux coquines, à quatre pattes, leurs coudes en appui sur le canapé, me présentent les culs. Je me mets à genoux.

Je surmonte ma répulsion en reniflant et je commence par le cul d'Estelle. Fille volontairement négligée. C'est si miam.
Je passe au cul de Clémentine. Elles adorent se faire nettoyer le cul en guise de préliminaires. Je m'applique avec soin.
< Avec Julien, on n'est pas obligée de se laver avant d'aller au lit ! C'est bien propre ! > lance Estelle en se redressant.
Les voilà toutes les deux vautrées dans le canapé. Je passe d'une chatte à l'autre. Le goût âcre d'Estelle est oppressant.
Je lui nettoie le sexe dont la cyprine devient de plus en plus abondante avec le temps. Il s'en écoule de belles quantités.

Je suçote son petit clitoris tout dur. Je passe au sexe de Clémentine en gardant du jus d'Estelle dans la bouche. Miam.
J'apprécie ce succulent mélange. Elles se masturbent toutes les deux lorsque je ne suce pas leurs clitoris turgescents.
C'est dans un concert de gémissements, de petits cris de ravissements que je prends mon dessert. Un dessert princier.
Estelle m'attire sur elle. < Viens ! Je veux comparer avec parrain ! > fait elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions.
Estelle est tellement étroite que j'ai toujours la trouille de lui faire mal. D'un coup de reins, elle s'enfile toute la biroute.

Impossible de rester immobile dans la fille. Estelle ne cesse de se secouer sur ma queue dure comme du fer. Elle baise.
< Mmhh ! C'est bon ! > murmure t-elle comme si elle pensait à haute voix. < Baiseuse ! > lui fait Clémentine. Sublime.
Clémentine se masturbe tout autant qu'Estelle. Elles adorent se stimuler en même temps que ma profonde pénétration.
Je passe à Clémentine. Là c'est autre chose. Nous adorons tous deux rester sans bouger. Juste sa main sur son clitoris.
Je reviens dans Estelle. Je retourne dans Clémentine. Je ne sais plus où donner de la queue. Nous gardons le contrôle.

Estelle connaît un orgasme cataclysmique qui la laisse comme assommée. Couchée sur le côté, mains entre les cuisses.
Comme si elle avait mal. Je suis dans Clémentine. Nous regardons Estelle. Nous sommes toujours un peu inquiets. Fort.
Estelle se redresse enfin pour approcher son visage des nôtres. < Avec parrain, je ne vais jamais jusque là ! > fait elle.
Clémentine connaît un orgasme "nucléaire". C'est Nagasaki et Hiroshima dans une même explosion. Elle se met à crier.
Je suis toujours très impressionné par l'attitude de Clémentine lorsqu'elle connaît de tels moments de relâchement total.

Même si elle a pris la précaution d'aller pisser avant, Clémentine ne peut réfréner son impérieuse envie. Elle se précipite.
Estelle m'entraîne par la queue. Nous la suivons aux toilettes. Nous évitons de marcher dans les flaques de pisse au sol.
Je suis accroupi, le visage entre ses cuisses. Elle lâche sa dernière giclée en gémissant de plaisir. Estelle à genoux, suce.
Je lèche le sexe de Clémentine pour me régaler de ce délicieux mélange de foutrine et de pisse. Clémentine en glousse.
Elle va s'offrir un second orgasme. Elle se crispe sous l'effet de ma succion sur son clitoris géant encore plus volumineux.

J'éjacule dans la bouche d'Estelle. J'adore entendre le profond râle sonore qu'elle émet lorsque je lui rempli la bouche.
Clémentine me tiens par les oreilles. Assise en avant, le dos contre le réservoir d'eau, j'ai juste accès à sa chatte. Miam.
Un second orgasme la tétanise. Elle n'en peut plus. Je l'entends respirer pour reprendre son souffle. Estelle me bouffe.
Nous reprenons nos esprits, là, assis tous les trois autour de la cuvette des WC, nous rions. Il faut passer la serpillère.
Nous nous habillons. Il est 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Séparation cruelle. Nous rentrons vite...

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font bouffer la chattes, baiser et qui s'offrent des orgasmes dithyrambiques...

Julien - (Qui écoute les dernières impressions de Clémentine, couchée contre lui, avant de s'endormir heureuse) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 974 -



Vendredi à midi, début du week-end

Hier matin, vendredi, dans une sorte de fébrilité, Clémentine me réveille en me couvrant le visage de bisous.Douce.
Il n'est pas 5 h55. J'ouvre les yeux. J'adore voir son visage bienveillant penché au-dessus du mien. C'est merveilleux.
J'éteins le réveil juste avant que ne résonnent les premières notes de musique. < Je t'aime ! > murmure Clémentine.
Je la serre fort. Nous nous précipitons aux toilettes. Nous mettons nos fringues de sport et nous descendons. Cuisine.
Nous préparons un solide petit déjeuner que nous savourons de bon appétit tout en évoquant notre soirée de baise.

Hier soir encore, avec Estelle, tous les trois, nous nous sommes livrés à nos passions pour le sexe, le stupre, la luxure.
Nous en rions de bon cœur. Nous montons pour nous livrer à une autre passion. L'entraînement physique. Déjà 6 h30.
Une heure de gym avec intensité maximale. Charges additionnelles, Joggings sur tapis roulants et abdos. C'est super.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint bien chaudement vêtue.
Ce matin encore il fait un froid de canard. Clémentine termine à midi. C'est le début du week-end. La cause de sa joie.

Il est 7 h45. Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin dans le jour naissant. Dernier coucou.
Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée.
Il est 8 h15. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare ma palette et mes pinceaux en chantant.
Je peins dans une sorte de volupté mentale qui rend chaque instant délicieux. La seconde toile destinée à la saison 2020.
Comme toujours, lorsque je me livre ainsi à ma passion la plus dévorante, les heures défilent à mon insu. Ça passe vite.

Aussi, il est rapidement midi sans que je n'ai eu perception du temps. C'est mon horloge biologique. Je me lève. Et vite.
Je rajoute deux buches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du millet doré. Je pane deux filets de colin.
Je les trempe d'abord dans l'œuf, puis dans la chapelure mélangée à du gruyère de Comté finement râpé. C'est parfait.
Je les fais rissoler à la poêle. 12 h15. Clémentine qui rentre de cours. Elle me saute au cou en s'écriant : < Je t'aime ! >
Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. Elle s'occupe de la salade, de l'assaisonnement.

Tout en râpant les carottes, Clémentine me raconte sa matinée. Mathématiques, fractales et professeurs qui déconnent.
Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors il fait froid. Le ciel reste gris, bas.
Clémentine propose une randonnée. Un après-midi au grand air. Je trouve la suggestion fort plaisante. Très bonne idée.
Nous faisons la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. En rigolant.
Nous mettons d'autres jeans. Des sweats. Nos godasses de marche. Clémentine m'entraîne devant le miroir de l'armoire.

Accroupie à ma gauche, serrant ma jambe dans ses bras, sa tête contre ma cuisse, elle dit : < Je vous aime "Maître" ! >
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime, délicieuse "Soumise" ! >. Son regard qui se fait implorant.
Elle se place devant moi pour frotter son visage contre ma braguette ouverte. Je sors ma bite et mes couilles. Molasses.
Clémentine y frotte son visage en gémissant. < Mmhh, c'est bien chaud, tout doux ! > murmure t-elle en extase. Rires.
Je la laisse sucer un peu avant de la forcer à se relever. Je me penche pour lui masser les genoux ankylosés. Elle aime.

Nous dévalons les escaliers en riant de nos rôles du "Maître" et de sa "Soumise". Nous sommes pressés de nous enfuir.
Clémentine m'entraîne au salon. Elle passe derrière le bureau. Du tiroir du bas elle tire la laisse, le collier canin en cuir.
Elle me les tend en disant : < Mon "Maître" aurait-il la bonté de me promener à la laisse cet après-midi ? >. Je le fixe.
J'y attache la laisse. Je donne quelques à coups et j'entraîne Clémentine dans le hall d'entrée. Nous enfilons les anoraks.
Nous voilà au dehors. Il fait moins froid que ce matin. Dans le petit sac à dos que je porte, les bonnets et les gants. Bon.

Nous descendons jusqu'à la rivière. Les eaux claires et tumultueuses menacent de déborder. C'est assez impressionnant.
Clémentine reste serrée contre moi. J'oublie rapidement la laisse qui pend à son cou. J'écoute tout ce qu'elle me raconte.
C'est toujours si riche en anecdotes. Si intéressant. J'ai la bite et les couilles à l'air sous mon anorak fermé. C'est parfait.
A tout moment, lorsqu'elle en ressent l'envie, Clémentine peut en disposer. Elle y glisse souvent la main pour me palper.
C'est génial. Cette main délicate qui explore mes parties génitales flottants dans la fraîcheur. Et parfois elle s'y accroupit.

Nous longeons la rivière sur les trois kilomètres qui nous séparent du haras derrière lequel nous passons. 300 mètres.
Nous longeons le ruisseau en scrutant l'arrière des bâtiments. Il y a toujours encore la caravane de Mr Gérard. Matos.
Nous restons sur le sentier jusqu'à l'ancienne voie ferrée transformée en piste cyclable. Déserte en cette saison. Hiver.
Je tiens Clémentine à la laisse. Je marche devant elle en la tirant derrière moi. C'est le jeu. Clémentine en raffole. Joie.
Nous n'avons pas vu la cavalière qui arrive. Elle surgit de l'autre côté de la piste, des talus. Et quelle surprise. Juliette !

Nous savons que la jeune femme, excellente cavalière, occupe chaque moment de libre à monter un de ses chevaux.
Nous nous saluons. Elle semble irradier de plaisir de nous rencontrer ainsi, au détour d'un de ses itinéraires. Superbe.
< Le "Maître" promène sa "Soumise" ? > demande t-elle en glissant une de ses mains entre ses cuisses. Bien vicieuse.
< Pour le plus grand plaisir de sa "Soumise"! > lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. Juliette descend de cheval.
Nous nous serrons la main. Nous bavardons. J'ouvre mon anorak pour montrer mes parties génitales à Juliette, ravie.

Nous nous excusons une fois encore de ne pas donner suite à la proposition de Juliette. Rien avec monsieur Christian.
Clémentine ne le désire pas. Par contre elle confirme le "suivi" avec monsieur Gérard dont la bite reste sa préférence.
< Je comprends ! C'est pareil pour moi ! > fait encore Juliette. Nous sommes toutefois invités à passer ce dimanche.
Ce sera la première animation de la saison.Un passage en revue des 85 chevaux en pensions au haras. C'est superbe.
Il y aura les propriétaires ainsi que celles et ceux qui montent leurs chevaux. Nous promettons de venir faire un tour.

Je tiens Clémentine à la laisse. Elle me tient par les couilles. Juliette semble fascinée par cet émouvant spectacle. Joie.
Juliette s'avance. Elle me saisit le Zob qu'elle serre puissamment. Clémentine se serre, marquant ainsi son "territoire".
Juliette n'insiste pas. Elle remonte sur son cheval. Nous nous saluons. La jeune femme mime une branlette masculine.
< A dimanche alors ! Je penserai à vous demain soir à l'anniversaire ! >. Nous la regardons s'éloigner sur sa monture.
Elle se retourne deux fois pour nous faire un dernier coucou de la main. Je me branle à chaque fois en agitant ma bite.

Nous terminons notre randonnée dans une campagne silencieuse sans faire d'autres rencontres. En évoquant Juliette.
Cette étonnante jeune femme que nous avons rencontré de la même façon, Clémentine tenue à la laisse, il y a 2 ans.
Clémentine tire la lampe de poche du sac à dos. La nuit tombe. Noire et sans lune. Elle éclaire notre chemin. Superbe.
Il est 18 h30 lorsque nous revenons à la maison. Je propose de nous changer et d'aller nous offrir un bon restaurant.
Clémentine préfère rester bien au chaud, à la maison. < Je suis tellement bien toute seule avec toi ! > chuchote t-elle.

Je retire sa laisse. Le collier de cuir qui a irrité la peau de son cou. Nous montons. J'y étale une crème adoucissante.
< Tu es tellement attentionné avec moi, Julien ! Je t'aime comme une folle mais je suis aussi amoureuse ! > fait elle.
Je la serre fort contre moi. Nous nous embrassons avec fougue. Ça nous excite toujours considérablement. C'est bien.
Ces quatre heures de marche au grand air, ont ouvert un appétit féroce. Nous descendons. J'ai la braguette ouverte.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du riz complet. Je fais rissoler des crevettes à la poêle. Ail, échalote.

Juste à la fin de la cuisson, avant de couper le feu, je verse un petit pot de crème fraîche. Je mets le couvercle. Bien.
Nous mettons la table. Je glisse ma main dans le jeans déboutonné de Clémentine à plusieurs reprises. Elle adore ça.
C'est mouillé. C'est gluant. Cyprine. J'ai envie de goûter. Rien ne m'excite davantage que de penser à ce sexe gluant.
J'imagine déjà les lèvres charnues de sa vulve palpitante. Son clitoris géant. Je le lui chuchote à l'oreille. Elle se serre.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons longuement à table en évoquant quelques frasques.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. J'ai tout le temps la main dans la culotte de Clémentine. Elle aime tellement ça.
C'est elle qui m'entraîne par la bite au salon. Curieusement, ce soir, il n'y a aucune manifestations paranormales. Dur.
< Christine serait elle partie en week-end ? > dit Clémentine en retirant son jeans, sa culotte. Vautrée dans le canapé.
Je suis à genoux sur l'épais coussin. Mon visage entre ses cuisses. Je hume les parfums de sa journée de fille. Un régal.
Je passe ma langue dans les plis et les replis des lèvres charnues et fripées de son sexe mouillé. Ça dégouline très vite.

Pendant que je suce cet étonnant clitoris, il y a de la cyprine qui s'écoule. Il y en a jusque dans la raie du cul. Les poils.
J'adore aller lui bouffer le cul. Je n'arrête pas de sortir des poils de ma bouche. Mais j'adore tellement les sucer d'abord.
Clémentine veut absolument faire durer un tel plaisir. Elle me repousse délicatement toujours juste à temps. Esquiver !
Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme tout de suite. Elle m'attire sur elle. Et je m'y introduis avec d'infinies précautions.
Nous restons immobiles. Clémentine adore me murmurer ses petits secrets de fille. Ses impressions. Ses révélations.

J'adore lui poser des questions. Elle prend tant de plaisir à y répondre avec un luxe de détails salaces, vicelards. Super.
Cette fois encore, il est question de Gérard, de sa bite minuscule et juteuse. Je lui propose d'aller la sucer samedi soir.
< Je peux ? > me demande t-elle par jeu. Elle sait très bien que mon fantasme est de la regarder sucer d'autres bites.
Nous alternons la baise rythmée avec les séquences d'immobilisme. C'est tellement excitant de baiser comme ça. Joie.
Je suggère de faire un courriel à Juliette ce soir, pour lui annoncer notre décision de venir à l'anniversaire demain soir.

< L'anniversaire à qui, au fait ? > demande Clémentine suspendue à moi comme une naufragée à sa bouée. Mystère.
Nous n'avons même pas demandé à Juliette. Ça nous fait un peu chier de nous retrouver avec d'autres gens demain.
Je propose d'organiser un truc rapide. Une bonne pipe dans la bagnole par exemple. Nous partons pour cette formule.
< Attends, plus simple ! > fait Clémentine, saisissant mon smartphone. Un court texto à Juliette qui répond très vite.
Nous avons la réponse dans la minute. Nous montons nous terminer au lit avec une certitude. Demain, pipe à Gérard.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire lécher et se faire baiser en racontant leurs petits secrets...

Julien - (Qui offre à Clémentine un orgasme délirant. Un cunnilingus qui achève de nous épuiser de bonheur) -

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Classe - 4 - Tous droits réservés - © - Episode 975 -



Un samedi des plus agréables

Hier matin, samedi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est 8 h. Nous nous blottissons fort. Des bisous.
Nous tentons bien inutilement de lutter contre l'impérieuse envie de pisser. Nous nous précipitons rapidement aux WC.
Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine vêtus de nos tenues de jogging. Dehors, il fait un ciel gris.
La température extérieure est de 4°. A l'intérieur il fait 20°. Nous préparons notre copieux petit déjeuner. Le pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre superbe soirée de hier. La baise magistrale et les câlins délicats.

La vaisselle. Clémentine est à se réjouir. Malgré le froid nous allons tout de même nous offrir le plaisir d'un bon jogging.
Nous mettons nos K-ways. Les bonnets. Les gants. Quelques mouvements d'échauffement et nous voilà à courir. Super.
C'est notre circuit habituel. Le sol est relativement humide par endroit. Il faut juste éviter la boue qu'il y a parfois. Bien.
Il est 9 h30 lorsque nous revenons. La douche. Nous nous habillons. Jeans, sweats, bottines, blousons, écharpes, gants.
Nous voilà en route pour aller faire notre marché au bourg voisin. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue.

Il n'y a que trois kilomètres. Je gare notre voiture sur le parking. Je prends les cabas. Clémentine accrochée à mon bras.
Nous faisons nos provisions de beurre, de yaourts, de fromages, d'œufs et de crème fraîche chez notre artisan fromager.
Nous faisons nos provisions de fruits et de légumes chez nos petits producteurs locaux. Un bon mot avec chacun. Super.
De retour à la voiture, nous rangeons les produits frais dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Elle est bien pleine.
En route pour la zone commerciale. Quinze kilomètres. Clémentine me confie ses ressentis quand à hier. Me masturbant.

Je gare l'auto sur le parking. Je pousse le caddie. Clémentine tient la liste des courses. Elle m'entraîne dans les rayons.
Il y a toutes ces pénibles décorations de Noël. Plus de cinq semaines avant cette échéances de fin d'année. Les boules.
Il y a d'ailleurs un monde fou. Inutile de tenter un plan exhibe. Ce serait trop risqué et beaucoup trop frustrant. Inutile.
Clémentine m'entraîne tout de même aux rayons des livres. Il y a tous les stands de cadeaux pour les fêtes. Décorés.
Il y en a pour tous les goûts. Nous feuilletons quelques albums photos. Des livres de recettes. Des livres d'arts. Choix.

Clémentine nous entraîne aux rayons des vêtements homme. Là non plus ne se présente aucune opportunité. Des gens.
Il serait vain, ridicule de tenter quoi que ce soit. Ni même un petit attouchement qui ne resterait pas discret longtemps.
Il faut donc s'en faire une raison. Clémentine, pas réellement frustrée, nous entraîne à la poissonnerie. Il faut patienter.
Nous faisons nos provisions de filets de colin, de cabillaud, de lieu noir, de langoustines, de moules. De belles salicornes.
Nous passons en caisse. Là aussi il nous faut patienter. Nous y passons enfin. Nous flânons dans la galerie commerciale.

Le petit salon de thé est plein à craquer. Même à la pharmacie il faut patienter pour nos granules homéopathiques. Dur.
Oscillococcinum, Thymuline, Influenzinum et sérum de Yersin en granules de chez Boiron. Et ce sont nos vaccins à nous.
Nous découvrons les menus proposés à la cafétéria. Clémentine préfère rentrer. Nous retournons à la voiture. Fraîcheur.
Je prends de l'essence. Là aussi, il faut s'armer de patience. C'est l'immersion totale dans la beaufitude la plus rigolote.
Nous prenons la route du retour. Clémentine me tient la queue pour me raconter l'exhibitionniste de la station essence.

Elle l'a déjà vu deux fois. Toujours le même. Le parfait cliché. La parfaite caricature. Vêtu d'un imperméable et élégant.
< Bite très moyenne mais comme "l'apparition" est tellement rapide je n'ai pas le temps de voir ! > précise Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Nous arrivons à la maison pour 12 h30. Nous rangeons les courses. Nous nous changeons.
Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour y faire cuire les moules. Ail, oignons, persil, la ciboulette.
Dans le wok, je verse directement les haricots verts, les petits pois encore congelés. On ne se fait jamais chier avec ça.

Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous, de passer la main entre les cuisses de l'autre. Tout cela est très excitant.
Nous mangeons de bon appétit. Nous envisageons une nouvelle randonnée cet après-midi. C'est la météo idéale. Bien.
Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns.
Nous gardons les mêmes fringues de maison. Vieux jeans, chemises à carreaux sous le pull et les godasses de marche.
< Tu me balades à la laisse ? > fait Clémentine qui veille à ce que ma braguette reste bien ouverte. Boutons en métal.

Nous descendons à toute vitesse. Pressés d'aller marcher au grand air. Clémentine m'entraîne au salon. Le collier canin.
Je le lui passe autour du cou. Sur la fine écharpe de soie qui évitera l'irritation. J'y fixe la laisse. Anneau et mousqueton.
Je donne un à coup. C'est parfait. < Je vous aime, mon bon "Maître" ! > me fait Clémentine avant de m'embrasser fort.
Tant de fougue me procure toujours une magnifique érection. Je la montre à Clémentine qui s'accroupit pour la pomper.
Je la laisse sucer un peu avant de tirer sur la laisse que je tiens au plus court. Je la force à se redresser. Et nous filons.

Nous oublions rapidement la laisse qui pend sur l'anorak de Clémentine. Nous préférons nous tenir par la main. Super.
Nous descendons vers la rivière. Sur les demandes de Clémentine, j'interprète le rôle de l'exhibitionniste de campagne.
Ce satyre caché derrière les troncs d'arbres, qui jaillit des fourrés pour agiter son sexe devant les promeneuses. Rires.
Clémentine en raffole. Tout autant qu'elle joue à la perfection le rôle de la pisseuse si surprise avec sa culotte baissée.
C'est exquis. Nous nous amusons comme des fous à ces jeux. Il n'y a jamais personne sur ce parcours. On peut jouer.

Nous montons le long du ruisseau qui passe à trois cent mètres derrière les bâtiments du haras. La caravane à Gérard.
Clémentine qui me confie qu'elle n'a pas du tout envie d'aller à l'anniversaire ce soir au haras. < Rien à foutre et toi ? >
Nous en rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Même du foutre de Gérard ! >. Nous restons sur le sentier.
C'est notre parcours habituel. C'est tellement agréable qu'il est impossible de s'en lasser. Surtout à l'automne. Si beau.
Nous montons jusqu'à l'ancienne voie ferrée que nous longeons jusqu'à la maison abandonnée du garde barrière. 5 km.

Il y a là le cabanon de jardin ouvert. Nous y pratiquons quelquefois cunnilingus et fellations dans la plus totale sérénité.
Il fait frais. Cela ne nous empêche nullement de poser un K-way sur le vieil établi. Clémentine peut s'y assoir le cul nu.
Assis sur l'autre K-way posé sur la vieille chaise, je peux lui lécher la moule tranquillement. Et c'est absolument exquis.
Clémentine me guide par les oreilles en me racontant quelques amusantes anecdotes concernant son adolescence. Joie.
J'adore. Même si je connais toutes ses histoires. Je lui demande de m'en raconter encore certaines. Avec des précisions.

Ses escapades à bicyclette pour aller faire du voyeurisme. Pour aller y pratiquer ses premières et discrètes exhibitions.
Cela nous excite tous les deux. Je me pourlèche de l'abondante cyprine onctueuse et généreuse. Clémentine apprécie.
Nous évitons son orgasme à deux reprises. < A toi ! > me dit elle en se levant afin de remonter son jeans et sa culotte.
Me voilà assis sur l'établi, la bite fièrement dressée. Clémentine assise sur la chaise. C'est à elle de se régaler. Le jus.
Je la tiens par ses oreilles. Je lui raconte quelques anecdotes du passé. Je lui rappelle des situations vécues en Ecosse.

C'est certainement la chose la plus excitante pour un couple. L'un suce l'autre en écoutant les histoires qu'il lui raconte.
Il ne faut pas oublier l'heure. Nous allons encore nous faire surprendre par la nuit. Nous sommes de retour pour 18 h15.
Estelle est déjà là. Elle nous fait la bise. Elle se serre contre moi. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Joie.
Nous l'aidons à la préparation du repas. Estelle aussi est contente de rester à la maison. De nous consacrer à nous trois.
Un gratin de spaghettis. La salade verte. Une sauce au Roquefort avec des champignons. Et il n'en faut pas davantage.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous traînons à table en nous racontant quelques unes de nos aventures.
Nous avons tant de souvenirs communs. Bien évidemment, ces histoires nous excitent considérablement. C'est fameux.
Nous avons tant de souvenirs. < Ce seront autant de déclencheurs pour toute notre vie ! > précise Estelle. C'est super.
Assises sur mes genoux, les filles évoquent ce qui s'est passé plusieurs fois au haras. Parfois à la limite de la partouze.
Avec un luxe de détails, chacune raconte sa vision d'un moment précis. C'est très excitant. C'est absolument divin. Joie.

Je propose de nous offrir une soirée "léchage de chattes". < Baise ? > s'écrie Estelle. Nous faisons la vaisselle. Parfait.
Nous passons au salon. < Et si on se mâtait le film du trou dans le mur ? Pendant que Julien nous lèche ! > fait Estelle
Je trouve l'idée géniale. Le film avec Clémentine seule. Le film sur la clef USB enfermée dans le coffre fort du bureau.
< Génial ! > s'écrie Clémentine qui fait le code sur la mollette. Estelle prépare la télé qu'elle avance devant le canapé.
Je mets les deux épais coussins au sol. Les filles retirent leurs jeans, leurs culottes avant de se vautrer dans le canapé.

Je retire mon jeans et mon slip. Nous voilà tous les trois en chemises à carreaux et avec nos chaussettes. C'est rigolo.
Clémentine tient la télécommande. Le film commence. C'est le dernier ou Clémentine suce la fameuse bite "inconnue".
Nous savons que c'est celle de Mr Christian. Je suis à genoux. Le visage entre les cuisses d'Estelle. Elle tient ma tête.
J'entends le film sans le voir. Je dois surmonter la répulsion qui m'étreint. L'odeur de fille négligée d'Estelle. Immonde.
Je ne m'y ferai jamais. Pourtant, après quelques minutes, c'est un véritable régal. Le goût âcre devient plus onctueux.

Je passe à Clémentine qui se masturbe en s'observant dans le film. Là, c'est une coulée continue de cyprine. Fabuleux.
Déjà avec les excitations de l'après-midi, il y avait de quoi se régaler. Mais là, c'est une source inaltérable. Magnifique.
Je passe de l'une à l'autre. Je les entends commenter ce qu'elles voient à l'écran. Parfois je me retourne pour regarder.
Je me souviens très bien de chaque instant. Clémentine fait des arrêts sur image. Des retours en arrière. C'est superbe.
Je l'entends tousser dans le film. Je sais que ce sont les séquences où elle se prend les giclées de pisse. Les premières.

Estelle et Clémentine se masturbent toujours lorsque je les lèche. Elles cessent pour me permettre de sucer les clitos.
Deux jeunes filles de 22 ans, qui mouillent de concert, offrent le plus merveilleux festin à un salopard quinquagénaire.
Je sais que je garderai à tout jamais ces profondes émotions gravées en moi. Mon dernier souffle y sera consacré. Sûr.
Estelle connait un orgasme devenu impossible à réfréner. Elle se recroqueville sur elle-même en gémissant de plaisir.
Les mains entre ses cuisses, comme si elle avait mal. Elle reprend ses esprits, se lève pour se précipiter aux toilettes.

Clémentine m'entraîne par la main à sa suite. Nous arrivons juste à temps. Je suis à genoux à même carrelage. Pisse.
Je me régale des derniers épanchements où se mêlent les dernières coulées de cyprine. Ne pas en perdre une goutte.
Je m'applique sous le regard de Clémentine qui m'observe en se masturbant. Son visage tout près du miens. Génial.
Estelle repart pour un second tour. C'est trop bon. C'est rare qu'elle s'offre ce luxe. Mais la situation est si excitante.
Tous les trois aux chiottes. < Laisse moi m'assoir ! > fait Clémentine à Estelle qui lui cède sa place pour mâter aussi.

Clémentine se met à pisser par petits jets puissants. Elle se touche entre chacun d'eux en gémissant. C'est fabuleux.
Estelle me tient la queue. Elle me branle. Clémentine a soudain un orgasme qui la fait hurler de bonheur. Démentiel.
< Ce soir, tu ne t'es pas fait pisser à la gueule ! > me fait Estelle en me branlant de plus en plus vite. C'est délicieux.
Je lèche Clémentine. Je récupère tout ce que je peux. Il m'en ruisselle sur le menton, dans le cou. Chemise trempée.
Je me redresse. Estelle me suce comme si sa vie en dépendait. Clémentine m'embrasse, me fouille la bouche. Super.

Je force Estelle à cesser. J'entraîne les deux filles en les tenant par la nuque jusqu'au salon. Le film tourne toujours.
Nous sommes tous les trois épuisés. < Je peux te finir ? Sel te pli ! > me fait Estelle qui s'accroupit à nouveau. Dur.
Je propose de monter pour nous "finir" au lit. Je suis couché entre Clémentine et Estelle. Elles sucent à tour de rôle.
Estelle, comme toujours, s'endort. Je la serre contre moi. Elle se laisse installer en gémissant. Plus consciente. Rire.
Je propose à Clémentine de remettre cette pipe à demain. Nous sommes tellement crevés. Nous plongeons très vite.

Bonne soirée à toutes les coquines qui raffolent de se faire lécher en mâtant un film porno personnel. C'est si bon...

Julien - ( Qui avec sa mâchoire un peu ankylosée, peut encore embrasser Clémentine avant qu'elle ne s'endorme) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 976 -



Un dimanche plus peinard, tu meurs...

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures, des rires étouffés et on me tient par mon érection matinale.
Estelle, qui reste serrée contre moi toute la nuit, comme une naufragée à sa bouée, à ma droite, me tient par la bite.
Clémentine, à ma gauche, me tient les couilles. Elles me couvrent toutes les deux le visages de bisous. Folle douceur.
Je passe mes bras sous leurs nuques. Elles me murmurent de ces tendresses qu'elles mêlent de cochonneries. Drôles.
Il est à peine 8 h30. Nous luttons contre l'insidieuse envie de pisser qui nous gagne. Estelle se lève pour se précipiter.

Elle revient pour enfiler son pyjama de soie mauve. < Je descends préparer le petit déj ! > fait elle avec plein de bisous.
C'est à notre tour. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. La délicieuse odeur. Bon.
Les effluves parfumées de la brioche, du pain grillé et du café achèvent d'ouvrir nos monstrueux appétits d'ogres. Miam.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la soirée léchouille qui nous a épuisé hier. < A refaire ! > lance Estelle.
< Et comment ! En ce moment c'est ma préférence ! > rajoute Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Super.

Nous trainons à table. Dehors, il fait gris, moche et sombre. Le dimanche, pas d'entraînement, pas de jogging, ni gym.
Chacun a sa tâche bien définie. Estelle passe l'aspirateur partout. Clémentine fait la chambre. Je passe la serpillère.
La vaisselle. Je commence à nettoyer la cuisine. Mon bonheur est absolue. Et j'entends chanter Estelle depuis le salon.
Je nettoie les chiottes du bas. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. Estelle, toute nue, me saute au cou. Piège.
Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de ma taille, ses bras autour de ma nuque. < Tu ne m'as pas baisé hier ! >

Je l'emmène pour l'assoir sur le bureau. Elle saisit mon sexe pour le frotter contre le sien. Elle se l'enfonce doucement.
D'un coup de reins, passant ses bras autour de mon cou pour s'accrocher à moi, elle s'enfile presque toute la longueur.
Comme toujours, Estelle se met à bouger rapidement et en rythme. C'est assez fou. Je reste immobile et je la regarde.
Elle est si belle dans cet effort insensé de bon matin pour arracher un peu de plaisir supplémentaire à la vie. Fabuleuse.
Je me retire. < Me laisse pas ! > fait elle. Je la prends sur le dos. Je ramasse son pyjama et sa culotte. Nous montons.

Je jette Estelle comme un paquet de linge sur le lit, disant à Clémentine : < Cette jeune fille vient de se faire baiser ! >
Il fait froid dans la chambre car les deux fenêtres sont ouvertes. Nous nous habillons en vitesse tout comme Clémentine.
Jeans et chemises à carreaux. Les espadrilles. Je ramasse le tas de draps sales pour l'emmener à la salle bain. Parfait.
Clémentine vient me rejoindre. Je fais le bac à douche et le bidet. Clémentine fait les miroirs et le lavabo. Nous aimons.
Nous pouvons entendre Estelle chanter en passant l'aspirateur. Nous avons la perception très aiguë de notre privilège.

Nous nous faisons plein de bisous. Parfois nous cessons tout pour nous embrasser comme des amoureux dans un parc.
< J'aime ce que tu nous fais en ce moment devant nos films pornos. C'est génial Julien ! Se faire lécher ! > me fait elle.
Clémentine sait à quel point je partage son attirance pour les rapports génitaux buccaux. Tout spécialement les nôtres.
Je dis : < Tu n'as qu'un mot à dire, un geste précis à avoir, et je me fais un plaisir de te lécher jusqu'à ton orgasme ! >
< Mmhh ! Je t'aime Julien ! > murmure t-elle avant de m'embrasser avec fougue pour fouiller ma bouche de sa langue.

Clémentine descend avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes de l'étage. Estelle qui arrive silencieusement. Secrète.
Je devrai m'en douter puisque je n'entends plus l'aspirateur. Je suis à genoux avec les mains gantées devant la cuvette.
Accroupie derrière moi, se frottant contre mes reins, elle me choppe la braguette pour y glisser sa main droite. Coquine.
Je ne peux pas me "défendre". Je me redresse, je retire mes gants en caoutchouc pour tirer la chasse. Odeur de chlore.
Je me retourne pour la prendre dans mes bras. Elle m'embrasse avec passion. Il y a encore le goût de la brioche. Miam.

Nous dévalons l'escalier pour aller rejoindre Clémentine à la cave. Dans la buanderie. Nous aidons à trier le linge. Super.
Une machine avec les draps tourne déjà. Estelle insiste pour nous faire la surprise du repas de midi. Elle va à la cuisine.
Nous nous murmurons des douceurs. Je passe souvent derrière Clémentine pour caresser son cou, bisous dans la nuque.
Sans la prévenir. Je lui ouvre soudain le jeans pour le lui enlever ainsi que sa culotte. < Que fais-tu ? > demande t-elle.
Je la soulève pour l'assoir sur le sèche linge. Il est bien tiède. Je m'assois sur le tabouret. Mon visage entre ses cuisses.

< Mmhh ! Tu es fou. Je vais fondre ! > fait elle dans un souffle suivi d'un profond soupir de plaisir. Je suce son clitoris.
Elle me guide par les oreilles. Il ne fait pas très chaud à la cave. Aussi, nous ne nous attardons pas. Clémentine se lève.
Nous vidons la machine pour suspendre les draps. Nous mettons le linge noir dans la machine. Nous quittons l'endroit.
Nous rejoignons Estelle à la cuisine qui est entrain de remuer la potée. Le feuilleté de saumon étant déjà au four. Super.
Clémentine s'occupe de la salade. J'émince finement de l'ail et de l'oignon pour l'assaisonnement. Nous bavardons. Rire.

La table est mise. Nous enfilons nos anoraks pour aller prendre la température. Il fait frais. Moins que les autres jours.
Nous faisons le tour de la propriété. Le sol est jonché de toutes les feuilles des arbres à présent nus. Spectacle sinistre.
L'entreprise paysagère intervient demain. Il y en aura pour une journée de travail. Ils sont deux employés. C'est super.
Nous restons serrés tous les trois. Nous rentrons. La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Morts de faim.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine propose d'aller jusqu'au haras à pieds. Une promenade digestive de qualité.

Nous applaudissons à cette suggestion. Nous traînons à table. Les filles assises sur mes genoux évoquent leurs études.
Il reste cinq semaines de cours avant les vacances de Noël. J'écoute les ruses et les stratégies toutes féminines. Super.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns à la salle de bain. Rires.
Les filles, de la mousse de dentifrice aux coins des lèvres, imitent des fellations avec la brosse à dents. Les clins d'œil.
Je fais : < La bite à qui aujourd'hui >. Elle répondent avec peine, essayant de ne pas avaler de dentifrice. < Gérard ! >

Je demande : < Mais pourquoi toujours celle de Gérard ? >. Estelle répond : < Parce qu'elle mousse autant ! >. Rires.
Nous gardons nos mêmes vêtements. Trop fainéants pour nous changer. < Et puis avec ce temps ! > fait Clémentine.
< On est propres ! > rajoute Estelle. Je réponds : < Sauf les chattes qui restent toujours dans leur jus le dimanche ! >
Nous en rions de bon cœur lorsque Estelle dit encore : < Tu nous les nettoie ce soir ? >. Je réponds : < Avec soin ! >
Nous dévalons les escaliers, si pressés d'aller au grand air. Dans le petit sac à dos que je porte, deux lampes de poche.

Nous faisons notre circuit habituel dans l'autre sens. En remontant le chemin jusqu'aux ruines du vieux moulin. Parfait.
Nous bavardons en riant beaucoup. J'ai la bite et les couilles à l'air sous mon anorak fermé. Parfois je l'ouvre pour rire.
Les filles s'en saisissent à chaque fois. < C'est mon "doudou" ! > s'écrie Estelle. < Mon "joujou" ! > s'écrie Clémentine.
Je les tiens toutes les deux par les nuques lorsqu'elles se penchent pour y déposer des bisous ou pour suçoter un peu.
Nous faisons notre boucle de trois heures. Avec arrêt au cabanon de jardin. La maison abandonnée du garde barrière.

Là, assises toutes les deux sur l'établi, le jeans et la culotte aux chevilles, les deux coquines se font lécher en vitesse.
Il fait bien trop froid pour s'attarder. Je suis penché en avant, le visage entre les cuisses que j'écarte. Et c'est difficile.
En effet, les chevilles entravées par leurs jeans et leurs culottes ne permettent pas au filles de prendre leur aise. Dur.
Tant mieux car il y a des promeneurs du dimanche. Un groupe d'une dizaine de personnes. Et on arrête juste à temps.
Nous continuons notre balade. Il est 17 h30 lorsque nous arrivons au haras. Il y a plein de voitures et plein de monde.

Cette première animation de la saison, organisée par Juliette, connait son succès habituel. Présentation des chevaux.
Nous allons directement dans le grand bâtiment du manège. Malgré le froid, les gradins sont presque remplis. Super.
Nous montons les escaliers. Là-bas, on aperçoit madame Walter. Monsieur Gérard. Les cavaliers défilent. Nombreux.
Les festivités s'achèvent puisque les cavaliers dirigent les montures vers la sortie. Direction les écuries. Du spectacle.
Sous un tonnerre d'applaudissements qui n'en fini plus de résonner, le manège se vide assez rapidement. C'est beau.

Inutile d'espérer bavarder avec Juliette que nous voyons là-bas, occupée avec une dizaine de propriétaires de chevaux.
Pareil pour madame Walter qui fait de grands gestes en entraînant deux jeunes écuyères à sa suite. Leurs occupations.
Nous descendons les marches. Nous croisons Kim Son, le jeune palefrenier. Il n'a pas le temps de faire la causette. Dur.
Nous laissons tous ces gens à leurs occupations. Il fait nuit. Juliette nous a aperçu. Un petit coucou de la main. Parfait.
Nous sortons de la cour, traversons la route, le petit pont de pierres. Nous longeons la rivière. Eclairés par nos lampes.

C'est génial de marcher dans la nuit noir. Il fait froid. Juste la lumières des lampes que tiennent Estelle et Clémentine.
Trois kilomètres magiques. Il est déjà 19 h lorsque nous sommes de retour. Morts de faim. Nous préparons notre repas.
Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la potée. Estelle prépare une belle omelette. Encore un moment de joie.
Nous faisons de chaque instant de notre vie à deux ou à trois, une véritable tranche d'un indicible bonheur. On profite.
Nous mangeons de bon appétit en racontant cet après-midi. Juliette, madame Walter, Gérard, le cabanon abandonné.

Nous traînons à table. A plusieurs reprises, Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Je montre ma bite.
Clémentine mime la fellation. Et nous sommes pressés d'aller faire nos habituelles saloperies du dimanche soir au salon.
La vaisselle. Au salon, vautrées dans le canapé, les filles se font lécher la moule. C'est un vrai délice. Je m'en pourlèche.
Pas lavées depuis hier, un après-midi d'exercice, il n'en faut pas plus pour épicer des sexes de jeunes filles. C'est miam.
Les orgasmes sont terrifiants. 22 h15. Estelle doit partir. Séparation difficile. Au lit je me fais sucer par Clémentine. Jus.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment le nettoyage de moules du dimanche soir. Comme la toilette des petites...

Julien - (Qui promet à Estelle de lui faire l'amour comme le dernier des salauds, à son retour, mardi soir) -

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Julie vient passer la soirée à la maison

Hier matin, lundi, c'est la Valse No 7 de Frédéric Chopin qui nous arrache violemment de nos profonds sommeils. Dur.
< Merdre ! > s'écrie Clémentine qui se couche sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Il est 5 h55. Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser dans la plus totale volupté. Superbe.
Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine pour y préparer le petit déjeuner. Et il reste de la brioche.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant ce week-end et nos frasques. Nous remontons. Notre entraînement.

Jogging sur tapis roulants, Charges additionnelles et abdos dans une heure d'intensité maximale. De quoi se réveiller.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Son parapluie.
La fraîcheur matinale est encore plus désagréable sous une pluie fine et froide. Quelques derniers bisous. Il est 7 h45.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je monte faire le lit.
Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il y a le bruit d'un camion. Je regarde par une des baies vitrées.

Voilà l'entreprise paysagiste. Les deux employés sont entrain de descendre un petit tracteur de la benne du véhicule.
J'allume un bon feu dans la cheminée. Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Super.
Je peins dans un enthousiasme délirant. De dehors me parviennent les bruits des machines. Et c'est très supportable.
Il est aux environs de dix heures lorsque la stupide musique de mon smartphone le fait vibrer au fond de ma blouse.
Je fourre la main dans la poche pour m'en saisir en fulminant. Je retrouve très vite le sourire. C'est la voix de Juliette.

Nous bavardons en mode "haut-parleur". Ce qui me permet de continuer à peindre tout en discutant. C'est si agréable.
Juliette me remercie pour notre passage au haras, hier. Cela lui fait toujours tant plaisir de nous y voir lors des shows.
Nous nous faisons d'ailleurs un point d'honneur d'assister, même si ce n'est qu'une demi heure, aux animations. Haras.
Juliette en arrive rapidement au sexe. Elle me confie sa déception quand à l'attitude de Clémentine envers Christian.
Je lui propose d'en parler directement avec elle, précisant que Clémentine ne tient pas à s'éparpiller dans les relations.

Je passe à autre chose afin de couper court à cette conversation. J'évoque Julie qui vient manger ce soir à la maison.
Les deux femmes ont une relation intime qui commence à s'étioler légèrement. Au grand dépit de Juliette. Dommage.
< Je suis trop entière. Peut-être trop exigeante ! > conclue Juliette pour mettre un terme à cet échange sentimental.
Nous bavardons une vingtaine de minutes avant de nous saluer. Je lui rappelle que nous l'attendons ce mercredi soir.
Juliette qui se réjouie de partager ce prochain repas avec nous. Nous raccrochons. Je peins en pensant à cette femme.

Il est rapidement midi. Le temps passe toujours si vite lorsque je me livre corps et âme à ma passion pour la peinture.
Je vais à la cuisine. Je lave les feuilles de la scarole. Pour midi et pour ce soir. Je fais gonfler du riz complet. C'est bien.
La pâte feuilleté a décongelé. Je fais rissoler des crevettes à la poêle. Ail, oignon, champignons, persil et la ciboulette.
Je concocte une Béchamel. J'y rajoute le contenu de la poêle. Je fais six tartelettes. Des feuilletés pour le repas du soir.
Je récupère un peu de Béchamel comme sauce avec mon riz. Je mange de bon appétit. Les six tartelettes sont au four.

La vaisselle. Je range la cuisine. Je vais au salon afin d'y dresser la table. Les assiettes en grès, les couverts laitonnés.
Sur le chemin de table en lin écru, je dispose les verres contenant les serviettes savamment nouées. En tissu et papier.
Le chandelier à trois branches. Les grosses bougies prêtes à être allumées. Tout est bien prêt. Je retourne dans l'atelier.
Il est 13 h. Dehors, le bruit des machines a repris. Je vois un des employés au sommet d'une échelle double. Il élague.
J'admire ces hommes courageux, travaillant dans des conditions difficiles, dans le vent, la pluie et le froid si éprouvant.

Je peins dans les mêmes conditions mentales que ce matin. Poussant les plus invraisemblables cris les plus surréalistes.
On ne risque pas de m'entendre. Mais c'est amusant. Il est 16 h30 lorsque Clémentine rentre de cours en se précipitant.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les profs. Les cours. Le menu du restaurant universitaire. J'écoute.
C'est passionnant. Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant l'ordinateur à mettre au propre ses notes. Bon.
Il est 18 h. Plus aucun bruit. Les employés partis. L'entreprise paysagiste n'intervient plus avant le printemps prochain.

Il est 18 h30 lorsque les premiers bruits étranges se font entendre à l'étage. Le fantôme de mon ancienne compagne.
< Bonsoir Christine ! > lance Clémentine à haute voix. Un claquement sec suivi de grincements de portes. Pas furtifs.
Nous rangeons nos affaires en écoutant. Nous nous asseyons devant la cheminée en admirant la danse des flammes.
Les bruits cessent aussi étrangement qu'ils ont commencé ce soir. S'éloignant lentement et pour faire place au silence.
Clémentine, sa tête posée sur mon épaule me confie ses impressions. Je raconte la discussion téléphonique. Juliette.

< Je mettrai les choses au point quand à Christian, mercredi soir. Je n'ai pas envie de commencer un truc ! > dit elle.
Je comprends parfaitement. < Ce qui n'exclue pas des jeux comme le trou dans le mur par exemple ! > rajoute t-elle.
Nous en rions de bon cœur. La faim commence à se faire sentir. Il est presque 19 h. Nous quittons l'atelier. La cuisine.
Clémentine découvre, ravie, les tartelettes que je réchauffe à feux doux. Il n'y a qu'à faire l'assaisonnement de salade.
< Tu seras bien vicieux ce soir, hein, j'ai besoin de spectacle et de me changer les idées ! > me murmure Clémentine.

Nous passons au salon. Je dépose le saladier sur la table. Clémentine allume les trois bougies. Ce sera la seule lumière.
Cette ambiance, pleine de mystère, nous enchante. Partout autour de nous la pénombre. L'atmosphère fantomatique.
Clémentine s'accroupit pour glisser sa main dans ma braguette. Elle en extrait ma bite molle, flasque et bien pendante.
< Les couilles aussi ce soir ! > fait elle encore en allant fouiller du doigt au fond du slip. Un adroit mouvement de levier.
Me voilà avec mes organes génitaux à l'air. < Génial ! > s'écrie Clémentine qui les serre à la base en faisant un anneau.

< J'ai une idée, viens, on va décorer tout ça ! > me dit elle en me tirant par la bite jusqu'à la cuisine. L'odeur du four.
Du panier sur le dessus du frigo, Clémentine prend un des rubans de satin. Le rouge. Elle me le passe autour du Zob.
Elle y fait un beau nœud. C'est du plus bel effet. Elle m'entraîne aux toilettes. Et devant le miroir au dessus du lavabo.
Nous rigolons comme des bossus. < Ça fait cadeau de Noël ! > fait encore Clémentine entre deux éclats de rire. Joie.
Trois coups de sonnette. < Julie ! > s'écrie Clémentine qui se précipite pour aller accueillir notre jeune amie. Superbe.

Julie est vêtue d'un jeans, d'un pull, de ses bottines. Elle a laissé ses cheveux noirs flotter sur ses épaules et lunettes.
Elle me fait le plus adorable des sourires avant de me tendre la main en découvrant cette "décoration" pour les fêtes.
Julie éclate de rire. < C'est pour moi ? > demande t-elle. Je lui réponds : < Le cadeau. Tu peux déballer le paquet ! >
Nous rigolons comme des bossus. Je propose aux filles de s'installer au salon. Je fais le service. Julie qui veut m'aider.
Elle insiste. Je découvre rapidement que c'est surtout pour voir ma bite et mes couilles enrubannées d'un satin rouge.

Clémentine sort les tartelettes du four. Dorées à point. Il y a le riz complet gratiné de fromage en accompagnement .
Nous passons au salon. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Julie qui évoque son histoire avec Juliette.
< C'est une histoire finissante. C'était bien. Mais cette femme est très possessive et si jalouse ! > nous apprend Julie.
Nous détestons nous mêler de ce qui ne nous regarde pas. Aussi, rapidement, Clémentine oriente notre conversation.
Je me lève pour agiter ma bite en direction de Julie qui observe comme fascinée. Je bande comme un véritable salaud.

Je me saisi du verre ballon de Julie pour essorer mon prépuce. Ce qui fait dégouliner du liquide séminal sur les parois.
Je tord ma queue vers le bas. Les filles m'observent silencieusement. Je me branle pour fabriquer un peu de jus. Bien.
< Vous êtes l'homme le plus vicieux que je connaisse. Pourtant j'en vois parfois le soir ! > lance Julie. Etrange sourire.
Julie nous raconte une de ses anecdotes "croustillantes" vécues dans les chiottes du restaurant de sa tante, et cet été.
La jeune fille, lorsqu'elle fait son job de serveuse, qui aime s'offrir des séquences de voyeurisme dans les WC homme.

Nous écoutons toujours avec beaucoup d'intérêt. Surtout Clémentine qui va tenter cette expérience. Faire la serveuse.
Les deux coquines en parlent de plus en plus souvent. Il faut juste la complicité de sa tante qui est très bien informée.
Cette expérience aura lieu un vendredi soir. Clémentine pourra s'amuser. Elle raffole de ces situations et de ces jeux.
Le repas du soir se déroule dans une bonne humeur qui nous enchante. Ce projet de "serveuse" se fera très bientôt.
C'est la période où les comités d'entreprise organisent des repas pour le personnel. Il y a souvent de bonnes occases.

< C'est souvent là qu'il y a les mecs les plus vicelards ! > nous apprend Julie. Clémentine écoute, pose des questions.
Je la vois toute excitée à l'idée de jouer à la serveuse. De vivre de nouvelles expériences extraordinaires et vicelardes.
Julie donne quelques indications précises sur la configurations du sous-sol. Les toilettes femme et les toilettes homme.
Le local des produits d'entretien au fond du petit couloir. La chaufferie. Cave où il y a la chaudière, la cuve à mazout.
< Je te montrerai la prochaine fois ! > fait Julie à Clémentine. Je propose de venir manger vendredi prochain. Le soir.

Ce nouveau "plan" qui s'annonce paraît très excitant. Je n'arrête pas de me masturber et de m'épancher dans le verre.
Julie nous avoue se réjouir. Je propose de mettre Estelle dans le coup. Ainsi je ne serai pas seul à table. Superbe idée.
Je me réjouie pour voir Clémentine vêtue en serveuse. Mini jupe noire. Chemisier blanc. Un petit tablier de dentelles.
< Il faut que je trouve à ta taille. Tu as bien 15 cm de plus que moi ! > fait Julie à Clémentine qui la rassure très vite.
< Je vais me débrouiller. J'ai des vêtements. Il me faut juste le petit tablier de dentelles blanches ! > fait Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. Julie insiste pour faire la vaisselle avec nous. Elle m'accompagne aux toilettes pour mâter.
Debout à ma gauche, penchée en avant, son visage tout près de ma bite, elle me regarde pisser. Clémentine me tient.
Il y a du foutre qui coule entre chaque giclée. Julie m'avoue adorer voir ça. Bientôt 22 h15. Julie doit songer à rentrer.
Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture sous le parapluie. J'agite ma bite. Julie tire sur le ruban qui se dénoue. Rire.
Nous promettons de venir manger vendredi. Mettre au point les derniers détails et pour visiter le sous-sol. C'est parfait.

Bonne soirée à toutes les coquines qui s'apprêtent à tenter une nouvelle expérience en jouant un nouveau rôle...

Julien - ( Qui écoute les réjouissances de Clémentine pendant qu'il lui offre un cunnilingus au lit. C'est grandiose) -

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