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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1223 -



A la découverte d'une si belle région

Hier matin, mardi, je suis réveillé par les gémissements que fait Clémentine encore dans un demi sommeil. Elle vient se blottir contre moi en murmurant des propos incompréhensibles. Je la serre contre moi pour lui couvrir le visage de bisous. C'est très agréable d'être de retour dans cet appartement. On y dort bien. Le lit est confortable. il est 8 h. Dehors le ciel est bleu. Il y a du soleil. Quelques dernières papouilles et nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Le rituel pisseux qui nous soulage d'un besoin pressant.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous allons à la cuisine. Clémentine s'occupe du café. Je presse nos quatre oranges. Nous prenons un super petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme de la journée. La vaisselle. Nous descendons par l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans l'agréable fraîcheur matinale. C'est parti pour un running d'une heure. Nous avons bien défini le parcours idéal. C'est un réel plaisir dans cette campagne verdoyante.

Il est un peu plus de 9 h30 quand nous revenons. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jupette plissée, T-shirt pour Clémentine. Bermuda, T-shirt pour moi. Nos baskets. Nous glissons les pommes, les barres de céréales et la bouteille d'eau dans le petit sac à dos. Nous voilà dans l'auto. Je roule doucement. Direction la Pointe du Grouin. Clémentine joue avec ma queue. Il y a une vingtaine de kilomètres sur une départementale où la circulation est fluide. Nous passons dans le petit bourg de Saint Coulomb.

Il serait dommage de ne pas y faire un petit arrêt. Ne serait ce que pour y acheter des baguettes de pain et du fromage. Saint-Coulomb est une bourgade charmante. Typique et accueillante. Des maisons fleuries aux murs de pierres. Nous ne nous attardons pas. Il est 10 h45 quand nous arrivons à la Pointe du Grouin. C'est magnifique. Nous garons la voiture sur le parking obligatoire à quelques centaines de mètres de l'éperon rocheux. C'est le départ du sentier côtier. On voit le Mont là-bas dans la baie de Saint-Michel.

Nous admirons un paysage extraordinaire. Quelle chance avec ce soleil, ce ciel dégagé. La vue se porte au loin. Il y a déjà pas mal de monde. Nous prenons le sentier douanier en direction de Cancale. Nous restons en haut des falaises. Plus bas il y a des anses, des pentes vertigineuses couvertes de lichen. L'anse du Verger. Là-bas, sur son îlot, le Fort Dugesclin. La pointe du Meinga. La plage des Chevrets. Là-bas l'île Besnard. C'est là que nous quittons le sentier des douaniers pour descendre la pente douce.

Nous ne croisons que quelques marcheurs. Il faut se sentir en jambes pour parcourir les 7 km de la Pointe du Grouin jusqu'à Cancale. Ce petit arrêt nous permet de casser la croûte. C'est sur une sorte de promontoire rocheux que nous nous installons à même le lichen. Il n'y a pas beaucoup d'ombre. Il faut ruser. Je déplie les deux K-ways que je suspends sur les branchages de quelques arbustes. C'est parfait. Nous préparons nos sandwichs. Harengs fumés, gruyère sur du pain complet. Là-bas, sur la plage pas mal de monde.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine se plaint des bretelles et de la fermeture arrière de son soutien-gorge. Je lui passe de la crème apaisante. Il n'y plus qu'aujourd'hui à le porter. Les deux premiers jours de ses règles. Elle glisse sa main dans la braguette ouverte de mon bermuda. J'ai rapidement la queue fièrement dressée vers l'azur des cieux. Un bite bien dure que Clémentine serre d'une poigne vigoureuse. << Si je trébuche sur le sentier, je sais à quelle canne me retenir ! >> fait elle. Nous en rions de bon cœur.

Nous terminons notre repas par une pomme succulente. Nous découvrons le texto d'Estelle. Mon gage du jour est de me balader partout avec la braguette ouverte. Ici, pas de connexion. La réponse se fera attendre même si nous écrivons : << Bien reçu, bisous ! >>. Nous remontons sur le sentier douanier. Le soleil tape. Une véritable journée d'été. Nous arrivons en vue de Cancale. Il y des mimosas partout. Le sentier devient chemin et descend en pente douce vers un un grand bourg magnifique. Des maisons de pierres.

Il y a deux bourgs séparés par des terrains verdoyants, des arbres feuillus. Nous arrivons sur le quai qui surplombe la plage. Il y a du monde. Mais beaucoup moins qu'à Saint-Malo. La brise de la mer vient apporter un peu de douceur car la chaleur est forte. J'ai la braguette ouverte. Je dois vérifier sans arrêt qu'elle ne baille pas. Je rabats mon T-shirt le plus bas possible. Nous pénétrons dans les rues commerçantes. Là-bas, sur sa colline, l'église Saint-Méen. Nous décidons de consacrer la journée de jeudi à visiter le bourg.

La fontaine des laveuses d'huitres. Une belle réalisation, insolite et toute en bronze. Clémentine prend quelques photos. Nous avisons la terrasse d'un salon de thé. La plupart des tables sont vides. Une bonne coupe glacée ne serait pas de refus. Nous voilà confortablement installés dans des fauteuils extérieurs. Il y a deux couples de touristes un peu plus loin. Une jeune femme qui écrit. Personne d'autre. Je dois dissimuler ma braguette qui baille car la jeune serveuse pourrait s'en rendre compte. << Laisse ! >> fait Clémentine.

Lorsque la jeune fille revient avec nos glaces, je laisse ostensiblement ma braguette ouverte bien en vue. J'aime la sensation que cela créé chez la regardante. Elle s'en rend évidemment compte. Comme nous sommes en couple, que la fille qui m'accompagne doit avoir son âge, il n'y a aucun malaise. Au contraire, une certaine complicité semble se créer. J'ai déjà remarqué ce phénomène de très nombreuses fois. En couple tout est beaucoup plus facile. Y compris dans le domaine des jeux à caractères sexuels.

Nous savourons des glaces prodigieusement bonnes. A chaque fois que la jeune serveuse passe à proximité, j'expose ma braguette grande ouverte. Son regard amusé en dit long sur le plaisir qu'elle en tire. C'est quand Clémentine y glisse sa main en demandant où se trouve les toilettes que la jeune fille nous invite à la suivre.Nous passons derrière une sorte de pergola. << Les toilettes de la cour ! >> fait la jeune serveuse en montrant une porte double style saloon Far-West. Nous y entrons. Tout est propre et soigné.

Clémentine m'entraîne dans la partie homme. Là, s'accroupissant à côté de l'urinoir, elle me sort la queue. << J'aime quand tu es vicelard avec d'autres filles. Mais seulement quand je suis là ! >> me fait elle avant de se mettre à téter. La porte est restée grande ouverte. Je reste aux aguets. Pas un bruit. Je me fais sucer. Je caresse la tête à Clémentine. C'est là que mon attention est attirée. Mon sixième sens. La jeune serveuse est dans l'encadrement de la porte. Elle tient un seau et un balai brosse. Un prétexte. C'est certain.

Elle me fait un sourire désarmant en lançant : << Oh pardon, excusez moi ! >>. Juste avant qu'elle ne reparte, je m'empresse de répondre : << Mais vous êtes toute excusée. Venez, faite ce que vous avez à faire ! >>. La jeune fille semble hésiter. Elle ne peut détacher son regard de ce qu'elle voit. Clémentine se redresse Elle garde mon sexe en main pour le diriger vers l'urinoir. Elle dit : << On fait toujours tout ensemble ! >>. La jeune serveuse se contente de répondre : << Je reviens tout à l'heure ! >>. Elle file très vite.

Je bande comme le dernier des salauds. Ce qui se passe dans les toilettes est du domaine de l'intime. Nous n'avons pas à nous sentir gênés. Quoi de plus naturel que d'y avoir les parties génitales exposées. Par contre, impossible de pisser. Clémentine y parvient facilement. Nous ressortons. Nous voilà installés à table. Nos coupes vides. Je demande l'addition. La jeune fille, toujours aussi souriante, ne peut cacher son trouble. C'est adorable. Clémentine lui fait : << On revient jeudi, si ça vous tente ! >>. La serveuse ne répond pas.

Nous repartons à la découverte de Cancale. Le Manoir de Bellevue. Le Manoir de Bricourt. L'église Saint-Méen. Nous y entrons. Je dois sans cesse tirer sur mon T-shirt pour dissimuler ma braguette ouverte. Ce qui s'est passé dans les toilettes du salon de thé m'a considérablement excité. Aussi, à chaque occasion Clémentine y glisse sa main. Même ici, dans ce lieu de culte. C'est trop bon. Le presbytère dont on peut visiter le petit jardin. L'adorable petite rue Surcouf. Il y a là de belles demeures bourgeoise. Vers la baie du Mont Saint-Michel.

Nous poussons jusqu'à la Pointe du Hock. Un sentier magnifique y mène. Il y a là quelques recoins où Clémentine n'hésite pas à me sortir le sexe. Je bande mou. De faire "l'hélicoptère" en ce lieu à risques me procure les plus délicieuses inquiétudes. Nous risquons de nous faire surprendre à tout instant. Je me tourne toujours juste à temps. J'aimerais bien retourner faire le vicelard au salon de thé. Je le dis à Clémentine qui répond : << Attendons Jeudi. Laissons la serveuse macérer dans le souvenir de ce qu'elle a vu ! >>.

Cancale est une petite agglomération qui mérite qu'on lui consacre un après-midi de visites et de découvertes. Nous nous promettons d'y revenir jeudi. La Pointe du Hock est un véritable balcon sur la baie du Mont Saint-Michel. Aussi, il y a plein de touristes. Nous restons à l'écart. La distanciation sociale que certains semblent avoir oublié. La Pointe des Crolles. C'est ici le point zéro du sentier de Bretagne. Le fameux GR34 qui totalise plus de 1 650 km jusqu'au Morbihan. Nous terminons par la jetée qui se prolonge dans la mer.

C'est la Cale de la Fenêtre. On y voit le parc à huitres. Nous reprenons la pente douce qui mène au sentier douanier. Il est 17 h30. Il y a sept kilomètres jusqu'à la Pointe du Grouin. Nous marchons d'un bon pas. Clémentine me sort souvent le sexe. Je marche ainsi sur des centaines de mètres avec la bite flottant librement à l'air du large. A chaque fois que nous croisons des marcheurs, il me suffit de remballer. Sans aucun risque de me faire surprendre. Il est presque 19 h quand nous revenons à la voiture.

Nous avons pris la soin de réserver une table dans le restaurant de hier soir. Nous y sommes attendus pour 20 h30. Nous arrivons un peu avant l'heure prévue. Il faut attendre. Nous flânons dans la ruelle adjacente. Cette soirée est tellement douce. Il a fait chaud toute la journée. Là-bas, le soleil descend vers l'horizon. La mer a des reflets d'or. C'est merveilleux. Nous voilà attablés devant des fruits de mer délicieux. Nous traînons à table en évoquant notre aventure au salon de thé de Cancale. La jeune serveuse.

Nous quittons le restaurant vers 22 h. Nous retournons à la voiture en marchant doucement. Il est 22 h45 quand nous revenons à l'appartement. Au lit, je suce le clitoris géant de Clémentine qui se pâme de plaisir en se tortillant. Son orgasme est tellurique. Elle veut encore me sucer un peu. Recueillir les jus de mes excitations du jour. Elle a de quoi se régaler. Je lui propose toutefois de remettre l'éjaculation à demain. Clémentine se serre contre moi en murmurant des douceurs. Nous plongeons rapidement.

Bonnes découvertes à toutes les coquines qui aiment glisser la main dans la braguette toujours ouverte de leurs mecs...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1224 -



La visite du Mont Saint-Michel

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par plein de bisous. Des douceurs murmurées à mon oreille. On saisit même mon érection matinale à pleine main. Lorsque Clémentine est réveillée, elle ne supporte pas de rester toute seule très longtemps. Je la serre contre moi. Je suis encore dans un demi sommeil. C'est adorable. Nous restons encore un peu à lutter contre l'impérieux besoin de pisser. N'en pouvant plus, en riant, nous nous levons d'un bond pour nous précipiter aux toilettes. Les pipis libérateurs.

Il est 8 h. Dehors il fait beau. Le ciel est bleu. Le soleil fait son show. De quoi conserver de l'optimisme pour la journée à venir. Clémentine s'occupe du café. Je presse nos quatre oranges. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le programme de la journée. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de notre journée de hier. La vaisselle. Déjà vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons l'escalier de service pour nous retrouver dans l'agréable fraîcheur matinale. Quelques mouvements d'échauffement.

C'est parti pour une heure d'un running gratifiant et revigorant. Nous revenons pour 9 h20. La douche. Nous nous habillons. Jupette plissée, T-shirt pour Clémentine. Bermuda, T-shirt pour moi. Nos baskets. Clémentine est doublement contente. Elle peut enfin vivre sans soutien-gorge. Le troisième jour de ses règles voit la fin de ses désagréments. Elle en sautille tout autour de moi. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. Pressés de filer nous dévalons l'escalier de service.

Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales et bouteille d'eau. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Nous prenons la direction du Mont Saint-Michel. La circulation est dense sur la nationale. Il y a environ 60 km. Nous évoquons l'Ecosse. L'éventualité de nous y rendre pour le mois d'aout, jusqu'au jeudi 10 septembre. La rentrée universitaire en Sciences se fai cette année le lundi 14 septembre. Nous nous réservons la décision ultime après notre séjour en Bretagne du Nord.

Nous passons Saint-Jean des Guérets, Dol-de-Bretagne, Pontorson et enfin Beauvoir. Petite ville qui porte bien son nom car un peu plus loin la vue sur le Mont Saint-Michel est digne des plus belles cartes postales. C'est sur le parking No 5 que je gare la voiture. Avec la réservation des billets, il y a toute les informations. Il suffit de se laisser guider. Ne pas oublier de prendre le ticket à la borne. La navette nous attend. C'est un bus flambant neuf. Nous enfilons nos masques sanitaires. Nous y montons.

Depuis le début des vacances, il y a un phénomène curieux. Pas un seul touriste américain ou Anglo-Saxon. Pour raison de crise sanitaire, cet été, ils ne sont pas là. Dix minutes sur la route qui mène aux pieds de la citadelle. Le pont passerelle. Le "Passeur" nous dépose devant l'entrée. Tout ici est monumentale. Clémentine reste serrée contre moi. Nous nous tenons tout à gauche sur une des marches de l'escalier. Nous pouvons retirer nos masques sanitaires. Nous entrons dans la cité. Le village médiéval.

Nous prenons à gauche du Pont-Levis. La Grand Rue. C'est l'artère principale du village. Il n'y a pas trop de monde. Il est assez simple de préserver sa distanciation sociale. Les gens sont étrangement recueillis. Silencieux. Les échanges se font en murmurant. C'est très curieux. Discrètement Clémentine palpe ma braguette. Il y a plein de recoins ou s'embrasser sans déranger le passant. Nous entrons dans le bureau d'information touristique. Il y a des sièges. Des bornes de connexions Wifi. Nous avons le Mac à Clémentine.

Nous découvrons le message de Julie qui nous annonce une septième vente. Le message d'Estelle qui nous raconte ses journées dans le bureau de l'entreprise familiale. Nous répondons en joignant un selfie pris devant le Pont-Levis. Nous prenons une brochure. Nous voilà à flâner dans le village. Dans les petites pochettes contenant nos billets, il y a l'ordre des visites à suivre. Nous commençons pas l'abbaye. C'est un parcours d'escaliers qui semblent sans fin. Nous montons vers les sommets. Les murs d'une vraie forteresse.

L'air du large passe en courant d'air. La fraîcheur soudaine incite à se vêtir d'un coupe vent. Il y a là 1 300 ans d'histoire. C'est prodigieux. Clémentine se serre souvent contre moi pour me confier à quel point elle est impressionnée. Contente de découvrir ce lieu unique au monde. Une des sept merveilles. Pour appuyer son propos, elle palpe ma braguette. Il y a du monde. Nous sommes toutefois d'une discrétion totale. Clémentine me fait remarquer ce couple. L'homme doit avoir mon âge. La fille celui de Clémentine.

Eux aussi ont l'air de complotistes, se murmurant à l'oreille, se tenant par la main. Ils passent tout près de nous. Nous échangeons un sourire. La fille est belle. Ils sont moins grands que nous mais tout aussi athlétiques et tout aussi naturellement élégants. L'abbaye se situe sur plusieurs niveaux. C'est impressionnant. D'autant plus que nous sommes au sommet d'une montagne au milieu de nulle part. La mer autour de nous. En bas, tel des fourmis, les bus, les gens. Cela donne le tournis, le vertige. C'est vertigineux.

Nous visitons le sanctuaire, le déambulatoire, la vie monastique est toujours encore une réalité ici. Il y a d'étroits escaliers de pierres comme en haut d'une cathédrale. Le vent du large, le cri des mouettes, la hauteur vertigineuse. Et si soudain tout s'écroulait ? C'est sur ses impressions que nous parcourons le dédale du labyrinthe monastique. Tout ici a des proportions défiant la raison. Comment le génie humain a t-il pu exploiter chaque centimètre carré de cet éperon rocheux posé au milieu de cette baie ? Fantastique.

Lorsque nous sommes confrontés au merveilleux, Clémentine et moi, nous en ressentons de l'excitation. Tant pis pour les considérations philosophiques ou religieuses. A chaque fois que c'est possible Clémentine me palpe la braguette. Je glisse même ma main sous sa jupette pour la passer entre ses cuisses. Par derrière, comme elle aime. Les sursauts de son corps sont une merveille supplémentaire. La taille de l'église gothique tient de la basilique. Alors que nous sommes à plusieurs centaines de mètres d'altitude.

Nous n'osons plus regarder en bas. Nous sommes sujets au vertige. En ce lieu le vertige prend une dimension angoissante. Pour conjurer cette sensation, il nous reste à nous tripoter discrètement. C'est une thérapie efficace. Nous flânons longuement d'une salle monumentale à une autre. Il y a des visites guidées. Nous écoutons les explications. Là-bas, le couple de tout à l'heure. En le voyant nous prenons toute la mesure de ce qui doit émaner du nôtre. Un homme d'âge mûr tenu au bras par une superbe jeune fille.

La faim commence à se faire cruellement sentir. Dans notre réservation est inclut la réservation au restaurant. Nous redescendons. Ouf, nous voilà de retour dans le village. C'est à "La Mère Poulard" que nous attend notre table. Distanciation oblige il y règne une intimité toute relative. Le cadre est médiéval. Partout les murs de pierres, une haute cheminée. Le personnel masqué est aux petits soins et débordé. Nous prenons la spécialité de la maison. La fameuse soupe des pèlerins. Un must. Déjà nourrissante.

Un plateau de fruits de mer de toute première qualité. L'agence à laquelle je me suis adressé pour les réservations fait excellemment bien les choses. Le prix est en conséquence. Du très haut de gamme et de réputation mondiale. Nous mangeons de bon appétit. Une petite visite aux toilettes, ensemble tous les deux. Je me fais sucer quelques minutes dans les toilettes d'une institution culinaire française. Un fleuron touristique. C'est grandiose. Je suce un peu le clitoris géant de Clémentine. Il y a du passage aux chiottes.

L'addition. Nous ne traînons pas. Il y a encore tant de choses à voir. Nous flânons dans les rues du villages. C'est un défilé de boutiques. De commerces divers. Souvenirs, cartes postales, fringues. Du ridicule au plus classieux. Devant l'église paroissiale du village il y a un des musées qui nous intéresse. L'Archéoscope. Il retrace l'histoire géologique du Mont. Dans le cadre de ses études scientifiques, Clémentine parcours les salles animée d'une passion qui me ravit. On y découvre les étapes de construction.

Puis c'est le Logis Thifaine. Une demeure seigneuriale du XIVème. C'est impressionnant. C'est ici qu'a vécu Bertrand du Guesclin, connétable de France et son épouse Tiphaine de Raguenel, grande voyante et sans doute un peu sorcière. Il y a là tout le mobilier d'époque, les tentures. Je peux discrètement passer ma main sous la jupette de Clémentine tout près de l'armure de Bertrand. C'est fou comme les gens étaient petits au moyen-âge. Ce type devait mesurer 1,60 m. Tout mouillé et au garrot. Sa femme 1,50 m.

Nous parcourons les rues du village. Nous nous chargeons de toutes ces images, de toutes ces sensations, de toutes ces impressions. Il est 19 h. Nous reprenons la navette. Pour un peu plus de 350 euros nous avons passé là une journée véritablement émouvante. Une fois dans la voiture, nous reprenons la route encore tout enivrés de nos ressentis. C'était formidable. Il est 21 h quand nous entrons dans "Le Cap Horn". Ce restaurant où nous avons réservé une table. Un superbe restaurant gastronomique. Saint-Malo.

Nous y prenons un repas royal. Nous évoquons notre journée au Mont Saint-Michel. Nous nous promettons d'y retourner un jour. D'y réserver deux nuits d'hôtel afin de nous imprégner de tout la magie des lieux. Une petite visite aux toilettes. Nos rituels pisseux et cette délicieuse pipe que me prodigue Clémentine. Nous sommes enfermés dans un des cabinets des WC homme. Quelques minutes et nous revenons nous attabler pour le dessert. Seconde visite sous le regard amusé de quelques clients qui nous ont repéré.

Nous flânons encore un peu dans la vieille cité Corsaire. Avec le crépuscule qui s'annonce se créé une sorte de prolongement à l'enchantement du Mont. Les mêmes dentelles de pierres. Les mêmes élans gothiques des monuments. Clémentine me sort la bite dans le creux d'une porte cochère. Je lui palpe le sexe au travers de sa culotte de coton. Nous nous embrassons comme des fous. La passion nous anime encore malgré l'immense fatigue qui nous gagne. Nous retournons au parking extérieur. On rentre.

Comme c'est bon de retrouver cet appartement sympathique. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Au lit, je suce le clitoris de Clémentine. Elle se tortille de plaisir et de bonheur en me caressant la tête, en me tenant par les oreilles. Ses gémissements sont la dernière musique qui accompagne notre agonie des sens. Gagnés par l'épuisement. Son orgasme reste toutefois le dernier sursaut d'énergie. Je propose de remettre la pipe à demain. Clémentine s'endort dans mes bras.

Bonne visite d'un des plus beaux endroits du monde à toutes les coquines qui aiment palper la braguette de leur mec un peu partout...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1225 -



Le séjour en région de Saint-Malo est superbe

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est presque 8h. Dehors il fait aussi beau et ensoleillé que hier. De quoi commencer la journée dans un optimisme délirant. Nous nous étirons longuement tout en gémissant. C'est à celui qui poussera le mugissement le plus bovin. Nous rigolons comme des bossus à l'idée que nous pourrions êtres entendus par les propriétaires vivant en dessous. Mais la demeure est grande et spacieuse. Quelques dernières papouilles avant de nous précipiter aux toilettes.

Morts de faim, nous allons à la cuisine en slips et T-shirt de nuit. Clémentine fat le café. Je presse nos quatre oranges. Le grille pain éjecte ses tranches dans un claquement sec, deux par deux. Nous prenons un petit déjeuner riche tout en faisant le vague programme du jour. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de la magnifique journée de hier. La visite du Mont Saint-Michel nous laisse une impression de grandiose, de monumental et d'irréel. Une forteresse de pierres sur une montagne au milieu de nulle part.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous enfilons nos tenues de jogging. Nous dévalons les escaliers. Quelques mouvements d'échauffement dans l'agréable fraîcheur matinale. Nous voilà partis pour un running d'une heure le long de notre parcours habituel. Nul doute. La journée va encore être belle. Il est 9 h20 quand nous revenons pour prendre notre douche. Nous nous habillons. Jupette plissée et légère, T-shirt pour Clémentine. Bermuda, T-shirt pour moi. Nos baskets. Notre petit sac dos toujours avec nous.

Pressés de filer nous dévalons l'escalier de service. Nous échangeons quelques mots avec Mr Jacques déjà occupé à son jardin. Il est enchanté de notre présence et par le fait que nous apprécions l'appartement. Nous prenons la voiture pour nous rendre à proximité du Grand Bé. C'est à partir de là que nous allons randonner. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Elle me confie que ses "petits machins de fille" ont terminé de la tourmenter. Je lui promets de l'honorer ce soir. Nous rions de bon cœur.

Il est 10 h20 quand nous garons la voiture sur le parking obligatoire. En plein cagnard. Tant pis. Il faudra faire fonctionner la climatisation au retour. Je garde ma braguette ouverte. Discrètement en tirant bien sur mon T-shirt. Clémentine veut pouvoir y glisser la main quand bon lui semble. Dans la voiture elle retire sa culotte qu'elle glisse dans le petit sac à dos que je porte. Avec les pommes, les barres de céréales et la bouteille d'eau. Elle m'entraîne par la main. Le Grand Bé est situé au bout de la plage de Bon Secours.

Un panneau renseigne le promeneur quand aux marées. Il faut être prudent. Régulièrement des touristes se font surprendre par les eaux. Nous prenons le chemin qui monte au sommet de la colline rocheuse. Là se trouve la tombe de Chateaubriand. Il y a du monde. Nous enfilons nos masques sanitaires pour approcher le monument. La vue sur Saint-Malo et la baie est à couper le souffle. Nous ne nous attardons pas. Nous redescendons pour prendre le sentier côtier qui monte au dessus des falaises.

J'ai souvent la bite qui flotte à l'air du large. Lorsque nous croisons quelques marcheurs, Clémentine se serre contre moi pour me montrer les bateaux. Ce qui dissimule ma queue. Nous nous amusons bien de ces situations cocasses. Nous avons prévu de quoi faire des sandwichs. Il est un peu plus de midi quand nous arrivons aux "Roches Sculptées". C'est impressionnant. Il y là quantité de visages sculptés dans la pierre. Dans un granit qui paraît incroyablement dur et dense. Encore une œuvre colossale.

C'est là, à l'ombre des amas rocheux, que nous trouvons un emplacement sympa. Assis sur une dalle naturelle, nous préparons nos sandwichs. Je coupe les deux baguettes dans leurs longueurs. J'étale le pâté végétale aux champignons et aux olives. Clémentine y dépose des rondelles de tomates. Cette marche et ses découvertes nous ont ouvert l'appétit. Il n'y a pas trop de gens. Notre petit endroit discret est préservé. Il y a un type qui fait des photos. Il s'apprête à passer sur l'étroit sentier escarpé à une vingtaine de mètres.

Clémentine se redresse. Elle s'accroupit juste au bord de la roche. Je me me mets à quatre pattes pour venir voir en bas. Le mec passe à une dizaine de mètres en contrebas. Il lève la tête. Il aperçoit cette superbe jeune fille qui regarde l'horizon en exhibant les dessous de sa jupette. Clémentine fait évidemment comme si elle ne rendait pas compte de cette présence. Je suis à plat ventre. Juste le haut de ma tête qui dépasse. Le type ne m'a pas vu. Il hèle la jeune fille au dessus. << Bonjour ! Belle journée ! >> lance t-il.

Clémentine ne répond pas. Je lui passe les jumelles. Elle les prend pour regarder l'horizon. Je vois le mec étudier la topographie des lieux. C'est certain, il va monter jusque là. Nous avons affaire à un emmerdeur. C'est sûr. Il contourne l'amas rocheux . Le voilà qui marche avec prudence, sautillant d'un rocher à l'autre. Il me voit. Il fait mine de prendre une photo avant de repartir à toutes jambes. Nous en rigolons comme des bossus. Avec nous, les "boulets", les emmerdeurs et les dragueurs voient leurs stratégies réduites à néant.

Clémentine s'allonge sur le dos. Nos K-ways servent souvent d'oreillers. Très pratiques. Je peux lui sucer le clitoris un petit moment. Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. Nous aimons nous garder excités pour la journée entière. Nous reprenons notre randonnée. Une trentaine de minutes et nous arrivons à Notre Dame des Flots. Une petite chapelle qui surplombe les falaises de Rothéneuf. << On se croirait en Ecosse ! > me fait Clémentine. Toute la région de Saint-Malo évoque l'Ecosse sans les montagnes.. Nous prenons des photos.

Il y a un vieux monsieur assis devant son chevalet. Nous nous approchons. Il ne nous prête aucune attention. Il peint la plage du Val que l'on voit en contrebas. Son coup de pinceau est habile. C'est l'école des impressionnistes. Même si nous ne sommes pas attirés par le genre, c'est intéressant de le voir appliquer ses peintures par petites touches régulières et parfaitement maîtrisées. Nous reprenons le sentier douanier pour revenir sur nos pas. Nous voulons encore retourner à Cancale. Le salon de thé. La jeune serveuse.

Nous revenons à la voiture pour 16 h. Il faut rouler avec la climatisation. L'habitacle est une véritable étuve. Les grosses berlines Allemandes de la série "S" sont équipées des systèmes les plus performants. Nous apprécions d'en disposer avec de telles conditions. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Il est 16 h30 quand nous arrivons à Cancale. Magnifique petite bourgade typique. Nous retrouvons avec plaisir les maisons de pierres qui bordent les quais. << C'est très écossais ! >> fait Clémentine.

Je gare l'auto à l'entrée de l'agglomération. Nous flânons un peu dans les rues pittoresques. Nous réservons une table dans le restaurant "Côté Mer". C'est un établissement gastronomique où l'accueil donne immédiatement envie de s'installer. Même à 17 h. C'est avec l'assurance d'avoir tout prévu que nous retournons dans le bourg. Il n'y a pas trop de monde. La brise de mer apporte une douce fraîcheur. Le cri des mouettes au dessus de nos têtes. Voilà le salon de thé où nous étions avant hier. Juste un couple à la terrasse.

Nous nous installons. La terrasse est sur le côté. C'est l'entrée d'une cour fleurie. Les murs de pierres en délimitent la périphérie. Il y a des parasols. La jeune serveuse nous reconnaît. C'est avec un grand sourire qu'elle vient nous saluer. << Je vous apporte la carte ! >> nous fait elle. << Fais bailler ta braguette. Offrons lui un petit plaisir. Elle doit se faire chier ici toute la journée ! >> me murmure Clémentine. La jeune fille revient avec la carte. Elle la dépose devant Clémentine. Elle fixe ma braguette béante avec beaucoup d'intérêt.

<< Je vous laisse choisir ! >> lance la serveuse avant de repartir d'un air amusé. Pas de doute. Elle apprécie notre petit cadeau visuel. << Sors ta bite ! Aucun risque. C'est une membre du "Club" ! >> chuchote Clémentine. J'hésite. Je sais pouvoir me fier à l'infaillible instinct de Clémentine. Mais c'est toujours délicat. Je regarde partout autour de nous. Il y a juste ce couple là-bas. Deux vieilles ladies sont venues s'installer. Personne ne fait attention à nous. Je sors ma queue. Je bande mou. Elle est mouillée au bout. Brillante.

Clémentine sent bien mon appréhension, mes craintes. Aussi, allongeant le bras, se penchant sur le côté, elle saisit mon sexe. La jeune serveuse revient. Elle tombe sur la scène. Elle nous demande : << Vous avez fait votre choix ? >>. Nous passons commande. Je bande comme un salaud. J'ai envie de féliciter la jeune fille qui reste stoïque. Sont regard a beaucoup de mal à se détacher de la superbe érection qu'elle admire là. Je contracte mes muscles fessiers pour faire bouger ma bite raide comme un piquet.

C'est effectivement une membre du "Club". Elle reste debout à nous faire un descriptif des glaces choisies. J'aime les jeunes salopes. Pas de doute. En voilà un merveilleux spécimen. Il faudra revenir avec Estelle. La serveuse s'en retourne. Je me branle discrètement en donnant mes impressions à Clémentine. << Je te l'avais dit. Elle est du "Club" ! > murmure t-elle. C'est génial. Je me branle peinard. Personne n'est tourné vers nous. La serveuse revient avec les coupes glacées. Je n'arrête pas ma masturbation discrète.

Mon geste lent et régulier attire l'attention de la jeune fille. Elle me fixe d'un curieux regard. C'est hyper excitant. << Si vous avez besoin de quelque chose, n'hésitez pas ! >> nous fait elle en nous quittant difficilement. Nous sentons bien qu'elle aimerait rester avec nous. S'assoir à notre table. Je lui fais un clin d'œil en accélérant légèrement le mouvement. Les glaces sont succulentes. Je bande mou. Je dois faire attention. Ne pas tacher mon bermuda car les épanchements de liquide séminal sont abondants. L'excitation.

A chaque fois que la jeune fille passe, je lui adresse un sourire. Elle semble très complice. Faussement gênée. Clémentine lui fait signe d'approcher. << Vos toilettes sont disponibles ? >> demande t-elle. << Bien sûr. Vous voulez que je vous accompagne ? >> répond la jeune fille. Je saisis ma queue à sa base entre le pouce et l'index pour l'agiter en direction de la serveuse. Je remballe. Nous nous levons pour la suivre. Cette fois, elle entre carrément dans les toilettes homme avec nous. Visiblement très intéressée.

Ces situations sont beaucoup plus simples quand on est en couple. Surtout que la jeune fille doit avoir l'âge de Clémentine. Cela créé une évidente complicité. Je me branle en disant : << J'aime me faire tailler une pipe dans toutes les toilettes des restaurants où nous consommons ! >>. La jeune fille semble à la fois amusée et intriguée. Elle observe. Clémentine lui demande : << Vous taillez ? >>. La jeune fille éclate de rire mais sans répondre. Elle reste à regarder Clémentine s'accroupir pour se mettre à sucer.

Je dis : << C'est une des toutes meilleures suceuses ! >>. La jeune fille remet son masque sanitaire. Elle s'apprête à nous laisser. Elle se retourne pour dire : << Il faut que je retourne bosser ! >>. Je lui fais un clin d'œil. Clémentine se régale de mes épanchements de plus en plus abondants. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Nous adorons tous deux ces situations. C'est hyper excitant de tomber sur une "complice" du même "Club". Nous cessons. Nous retournons nous installer. La serveuse revient.

Elle semble à présent très gênée. Curieux revirement d'attitude. Nous payons. Je laisse un généreux pourboire. Nous nous levons. Clémentine fait à l'adresse de la jeune fille : << On revient samedi ! Vous serez là ? >>. La serveuse répond : << Avec plaisir ! Et comment ! >>. Nous la laissons. Nous flânons sur les quais. Le port de la Houle. Le bord de la Cancalaise. Il y a des maisons à colombages au centre ville. La faim commence à se faire sentir. Il est presque 20 h. Nous rejoignons notre restaurant.

Attablés devant de somptueux plateaux de fruits de mer, nous évoquons notre aventure au salon de thé. C'est génial de se masturber discrètement devant une jeune fille que cela passionne. Ces situations excitent considérablement Clémentine. Nous faisons deux tours aux toilettes. Je m'y fais sucer à chaque fois quelques minutes. Je reste sur la délicieuse impression du salon de thé. Nous y retournons samedi avec Estelle. C'est sous le regard interrogateur de quelques clients que nous revenons à chaque fois nous assoir.

Nous traînons à table. La douceur du soir nous invite à flâner encore le long des quais et sur le port. Nous nous embrassons comme des fous. Nous nous tripotons discrètement dans tous les coins. << C'est génial d'être un couple de dépravés ! >> me murmure Clémentine accroupie entre deux autos pour me tailler une pipe. Nous revenons à la voiture. Il est presque 23 h quand nous revenons à l'appartement. Au lit, nous baisons comme des malades. J'offre à Clémentine un cunnilingus qui la fait hurler.

Bonne balade à toutes les coquines qui apprécient les situations vicelardes. Les trucs biens glauques et hyper excitants...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episose 1226 -



Nous revenons chercher Estelle

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par le mouvement masturbatoire que fait Clémentine contre ma hanche. Encore dans un demi sommeil elle bouge ainsi en gémissant doucement. Ce réveil merveilleux me fait fondre de bonheur. Doucement je passe mon bras sous sa nuque pour la serrer contre moi. Elle passe une jambe sous mes reins, l'autre sur mon ventre pour se frotter en me faisant des bisous. Nous restons ainsi le plus longtemps possible. La masturbation de Clémentine fait suite au rêve érotique qu'elle me raconte.

Il est 8 h. L'envie de pisser est bien trop forte pour que nous puissions continuer à lui offrir une résistance quelconque. Nous nous levons d'un bond pour nous précipiter aux toilettes. Dehors, le ciel est nuageux. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous allons à la cuisine. Clémentine s'occupe du café. Je presse nos oranges. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de la journée. Nous faisons également le bilan de celle de hier. La jeune serveuse.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous dévalons l'escalier de service. Nous voilà dans la fraîcheur matinale. Quelques mouvements d'échauffement et c'est parti pour un running d'une heure le long de notre parcours habituel. Il y a de rapides séquences d'ensoleillement. Elles sont courtes. Nous revenons pour 9 h30. La douche. Nous nous habillons. Jupette plissée, T-shirt pour Clémentine. Bermuda, T-shirt pour moi. Nos baskets. Nous interrogeons notre boîte mail. Deux courriels. Julie et Estelle.

Julie vient de réaliser une huitième vente. Je la félicite en joignant une photo prise hier dans les rues de Cancale. Estelle nous informe que son impatience est à son comble. Qu'elle a l'impérieux besoin de se retrouver avec nous sous peine de "pétage de plomb". Nous répondons. Nous serons là pour 13 h aujourd'hui. Il est 10 h. Nous avons 250 km à faire pour la chercher. Nous en profitons pour faire quelques courses au marché du bourg. Des fruits en abondance. Pressés de filer, nous dévalons l'escalier de service.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. La circulation est dense. Clémentine revient sur notre aventure, hier, au salon de thé. Elle est impatiente de faire découvrir l'endroit à Estelle. Lui faire découvrir cette agréable jeune fille qui fait le service. Elle nous rappelle un peu Julie. Nous garons la voiture toute les heures. Nous aimons bien nous dégourdir les jambes. Et c'est agréable de s'engager dans un chemin pour nous caresser un peu. Nous embrasser à pleine bouche comme nous adorons le faire.

Lorsque je conduis, Clémentine se penche quelquefois pour me sucer. << J'ai envie de sucer si tu savais ! >> me confie t-elle. Avec la crise sanitaire il n'est évidemment pas question de le faire à un inconnu. Ce serait de la démence. Mais cette situation de pandémie frustre considérablement Clémentine. Elle revient sur son rêve cochon de cette nuit. Un endroit glauque avec un livreur de pizzas. Nous éclatons de rire à l'évocation de ce livreur qui devient facteur puis vendeur au marché. Que des trucs surréalistes.

Il est midi trente quand nous arrivons au bourg. La météo n'est pas celle des derniers jours. Les nuages semblent gagner la partie. Je gare la voiture sur le parking. Nous allons acheter des oranges, nos deux miches de pain complet et Bio. Notre brioche au pudding. Nous prenons deux barquettes de frites avec des beignets de crevettes. Nous mangeons assis sur un banc près de l'auto. Il est temps d'aller récupérer Estelle. Nous sommes chez elle pour 13 h15. Ce sont Michèle et Yvan qui nous accueillent. Ses adorables parents.

Estelle arrive avec son sac de sport qu'elle enfourne dans le coffre. Nous saluons ses parents. Estelle est assise à l'arrière. Je roule doucement. Estelle me caresse les joues, le cou, en nous racontant sa semaine au bureau de l'entreprise familiale. << Plus que quatre jours et c'est les vacances ! >> lance t-elle. Nous la félicitons pour son courage, sa volonté et sa pugnacité. << Ta bite me manque Julien, j'en ai encore rêvé cette nuit ! >> fait elle. << Salope ! >> répond Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.

A chaque arrêt, Estelle se serre contre moi. << On refait des tests mardi avec papa et maman. Vous les faites avec nous ? >> dit Estelle. << Excellente idée avant nos départs. Deux valent mieux qu'un ! >> répond Clémentine. Les relations sociales du papa d'Estelle permettent de grandes facilités. Estelle fait immédiatement un texto à sa maman pour lui confirmer nos présences mardi après-midi. Il nous faudra prendre une décision dans les tous prochains jours. Partir en Ecosse ou partir dans les Alpes de Haute Savoie.

Il est 16 h45 quand nous revenons à Saint-Malo. Nous allons directement garer la voiture sur un des parkings extérieurs et obligatoires. Estelle sautille autour de nous. Toute contente d'être de retour. Les culottes des filles sont restées dans la voiture. Toutes les deux en jupettes sont considérablement excitées. Clémentine a raconté nos frasques de la semaine. Estelle est impatiente de rencontrer la jeune serveuse du salon de thé. << Tu montres ta bite aux filles quand je ne suis pas là ! Vieux salaud ! >> s'écrie t-elle.

Nous en rigolons comme des bossus lorsque je précise : << Seulement sur les conseils de Clémentine ! >>. Nous voilà rue Saint-Vincent. Nous nous offrons des cônes glacés. Nous les savourons en nous dirigeant vers le port. Le ciel s'est couvert. Il y a l'ambiance particulière des bords de mer par temps gris. Nous adorons. Le cri des mouettes s'accentue encore. Nous admirons les bateaux qui passent par la grande écluse. C'est impressionnant. Estelle, discrètement, ne cesse de me palper la braguette. Elle reste serrée contre moi.

Nous avons nos petits recoins sur les quais. Clémentine nous y entraîne. Là, derrière les piles de palettes et de caisses en osier, Estelle peut se régaler des jus de ma bite. Clémentine fait le guet. Quand la situation est sûre, elle vient m'embrasser passionnément. Estelle me taille une véritable pipe des familles. Nous restons planqués là une bonne vingtaine de minutes. Il faut cesser, voilà des touristes "explorateurs". J'essuie les coins de la bouche d'Estelle avec un mouchoir en papier. Je lui murmure : << Suceuse ! >>.

Cette fois c'est le restaurant des "Sept Mers" où nous réservons une table pour la soirée. Rassurés, nous pouvons continuer nos déambulations lubriques. Estelle nous confie être relancée par son parrain. Il aimerait bien recommencer à baiser avec elle les mercredis soir dès la rentrée. Il a passé ses tests, tout va bien. Clémentine lui conseille d'attendre que toute cette crise sanitaire soit terminée. Estelle en est aux mêmes conclusions. Pourtant, elle aussi aimerait beaucoup vivre ses pulsions de jeune fille.

J'aime les entendre évoquer leurs désirs et leurs fantasmes de jeunes filles de 23 ans. Clémentine aimerait se retrouver dans le déluge de foutre de plusieurs mecs. Depuis nos expériences au haras lors des soirées organisées par Juliette, l'hiver dernier, l'envie est devenue de plus en plus forte. Clémentine apprécierait énormément d'être livrée à quelques bons vicelards. Sucer un inconnu quelque part, dans un coin. Estelle l'en dissuade. La part de risque est trop grande. La pandémie est loin d'être jugulée. Elles sont prudentes.

C'est sur ces considérations que nous montons sur les remparts qui dominent le port. Nous sommes tous les trois considérablement excités. Estelle n'arrête plus de prendre tous les risques en me touchant partout. Je suis obligé de la sermonner. Nous en rions de bon cœur. Nous redescendons vers le port. Il y a une boutique dont la vitrine nous attire à chaque fois que nous passons devant. C'est une mercerie traditionnelle bretonne. Les plus belles dentelles, les plus belles coiffes de Bretagne. De magnifiques tissus.

Il y a des masques sanitaires absolument superbes. Des tissus exquis. Des motifs celtes. Nous décidons d'en acheter. Si les masques deviennent obligatoires dans l'espace public, il sera "tendance" d'en porter des "chics". La dame nous apprend que ces masques sont confectionnés en Bretagne par des brodeuses. Nous prenons les trois plus beaux modèles. Semblables. Rouges à motifs noirs et or. De toutes beautés. Des motifs Celtes, entrelacement de figures et de courbes d'une ravissante complexité. Superbes.

<< Leurs dessins sont en parfaite harmonie avec nos bijoux ! >> fait Clémentine. C'est vrai que les bagues en argent qui parent ses doigts rappellent les motifs des masques. Pareil pour Estelle. Nous flânons encore un peu. Il y a l'entrée d'une cour. Nous y passons souvent. Clémentine nous y entraîne. Elle reste à faire le guet. Il y a des recoins sympas. Je sors ma bite. Elle est gluante. Elle colle au fond de mon slibard. Estelle s'accroupit en poussant un râle de plaisir. Je lui frotte la queue sur le visage. Plein de jute épaisse.

Merde. Une camionnette. J'ai juste le temps de remballer. Estelle se redresse. Nous passons derrière les poubelles en restant courbés. Nous rejoignons Clémentine. C'était tellement rapide. Impossible de nous prévenir. << Mais tu as la gueule plein de foutre ! >> fait Clémentine à Estelle. << Je me maquille façon jus de couilles ! >> répond Estelle. Nous en rions de bon cœur. Elle précise qu'elle veut aller au restaurant "maquillée" comme ça. << Moi aussi ! >> lance Clémentine. Il faut se trouver un coin.

Nous retournons sur le port. C'est là, derrière les palettes que je macule le visage de Clémentine de foutre gluant. En séchant cela fait des coulures mâtes. Estelle en a partout. Sur les joues, sous la narine, collées à côté du nez. Un œil exercé peut s'en rendre compte. En séchant ça chatouille et ça gratte. Mais une fois sec, on oublie. Je me fais sucer. Quand c'est Estelle, c'est Clémentine qui fait le guet. Quand c'est Clémentine, c'est Estelle qui surveille. Il est temps d'y aller. J'ai les couilles en ébullition.

Il est 20 h15 quand nous entrons dans le restaurant. Nous portons nos masques. Notre table nous attend dans un cadre charmant. Les "Sept Mers" est un établissement gastronomique. C'est un cadre moderne. Les tables y sont rondes. Recouvertes de nappes délicatement ourlées. C'est lumineux. Nous sommes installés près d'une des baies vitrées. La vue y est magnifique. Le personnel masqué est aux petits soins. Il y a du monde. C'est un endroit très classe. Sa clientèle également. Nous sommes morts de faim.

Bien sûr, nous pratiquons ici une fois encore nos jeux de restaurant. Je me rends aux toilettes d'abord avec Clémentine qui m'y entraîne par la main. Puis avec Estelle qui fait pareil. Le foutre qu'elles ont sur la gueule est devenu quasiment invisible. Elle s'en remettent donc toutes les deux du frais. Je me fais sucer dans un des cabinets fermé à clef. Entre le plateau de fruits de mer absolument délicieux et le dessert, seconde visite. Quelques regards par en dessous de certains clients nous amusent beaucoup.

L'épaisse coulure blanchâtre et bulleuse que Clémentine laisse au coin de sa bouche, s'écoule doucement sur son menton. En sortant des toilettes, impossible de ne pas remarquer ce détail. A condition de bien observer. Ce que semble faire ce couple qui nous épie depuis un moment. La nature de nos relations ne laisse aucun doute. Les filles me tiennent les mains à table. Tout en bavardant. La longueur des nappes ne permettent aucune exhibition. Même discrètes. Le repas aux "Sept Mer" est une véritable avalanche de douceurs.

Il est 21 h30 quand nous sommes à flâner, un peu lourds, sur les quais. Nous envisageons le programme de demain. Si la météo le permet, nous faisons découvrir le sentier côtier à Estelle. Une randonnée de la Pointe du Grouin à Cancale serait magique à trois. Avec coupes glacées au salon de thé. << Et bite à l'air devant la serveuse ! >> précise Estelle en glissant sa main dans ma braguette ouverte. Nous retournons à la voiture. Il est 22 h30 quand nous sommes de retour à l'appartement. Estelle gambade sur le lit.

Nous sommes tellement contents de nous retrouver tous les trois. Nous faisons les clowns devant le miroir de la salle de bain. Mes deux anges, couchées sur le dos, sur le lit, leurs jambes relevées, m'offrent leurs chattes succulentes. Je suis à genoux à côté du lit. Je passe de l'une à l'autre. Quand je ne suce pas leurs clitoris, elles se masturbent en haletant de plaisir. Estelle m'attire sur elle. Je la baise en hussard. Comme elle aime. Je passe à Clémentine pour un moment de calme. Leurs orgasmes sont dithyrambiques...

Bonne virée à travers les ruelles de la Cité Corsaire à toutes les coquines qui savent profiter de chaque opportunités pour le tripotage...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1227 -



Un délicieux samedi bien vicelard pour tous les trois

Hier matin, samedi, je suis réveillé par les mouvements que fait Estelle. Toute cette nuit encore, elle est restée blottie contre moi. Là, encore dans un demi sommeil, elle saisit mon érection matinale en gémissant d'aise. Ce qui éveille Clémentine qui vient se blottir à son tour. Je suis entre mes deux anges. Il est 8 h. Dehors le ciel est couvert, sombre et menaçant. Nous nous chuchotons des douceurs et des cochonneries. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter aux toilettes. Clémentine passe sa tête sous les draps.

La fellation matinale, dépourvue de réelle excitation sexuelle, procure toujours d'étranges sensations. Cela ne met pas à l'aise. Ça ne dure qu'un instant. Le temps qu'Estelle revienne en disant d'un ton plaintif : << J'ai mes "petits machins" de fille ! >>. Nous sommes le 25 du mois. Estelle aussi est réglée comme une horloge. Elle se précipite à la cuisine. Nous nous rendons aux toilettes. Morts de faim, en slips et en T-shirt, nous rejoignons Estelle. Les odeurs où se mêlent celles du café, de la brioche et du pain grillé.

Nous prenons notre petit déjeuner en déplorant cette météo désolante. Nous mangeons toutefois de bon appétit tout en bavardant. << J'ai mes "petits machins" mais j'ai envie d'être vicieuse aujourd'hui vous n'imaginez pas ! >> nous confie Estelle. << Et moi donc ! >> surenchérit Clémentine. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous hésitons en mettant nos tenues de sport. Tant pis, nous prenons le risque d'un jogging. Nous enfilons nos K-ways. Nous descendons l'escalier de service.

Quelques mouvements d'échauffement dans la réelle fraîcheur matinale. Mr Jacques, le propriétaire, déjà dans son jardin nous salue. Il nous met en garde. << Il va pleuvoir ! >>. Nous en sommes convaincus aussi. C'est d'un rythme rapide que nous partons pour notre running. Une petite heure où nous revenons sous les premières gouttes. Juste à temps. La douche. Nous nous habillons. Jupettes plissées et sweats pour les filles. Bermuda et sweat pour moi. Nos baskets. Avec la pluie, il faut prendre la voiture.

Munis du parapluie géant, nous roulons vers la ville à deux kilomètres. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. Estelle assise à l'arrière, les pieds relevés sur la banquette, cuisses écartées, me fixe effrontément dans le rétroviseur. << La salope de Saint-Malo ! >> me fait elle. Nous rions de bon cœur. Estelle porte une culotte de coton blanc. Sa touffe en dépasse jusqu'entre les fesses. C'est majestueux. Je gare la voiture sur un des parking extérieurs et obligatoires. Nous voilà sous notre parapluie. Il pleut.

Nous flânons dans la rue Saint-Vincent. Il y a moins de monde que d'habitude. << C'est génial aussi sous la pluie ! >> lance Clémentine. C'est vrai. La Cité Corsaire prend une toute autre dimension, ses pierres et ses pavés luisants sous la pluie. A chaque fois que c'est possible, Estelle me palpe la braguette. << J'ai un peu mal au ventre. J'ai le droit de toucher. Ça me fait oublier ! >> me dit elle avec un air tristounet. << T'as souvent mal au ventre, je trouve ! >> lui fait Clémentine. Je la touche discrètement.

Je palpe son entrejambes au travers le tissus de sa jupe. Je propose de nous trouver un petit restau traditionnel pour midi. << On ne pense qu'à la bouffe ! >> lance Estelle. << Mais c'est tellement bon ! >> répond Clémentine. Nous entrons dans la cathédrale Saint-Vincent. Avec cette météo, il y fait sombre. Ce côté magique qui nous enchante. Malgré le temps gris, la rosace en vitrail reste une merveille. Estelle me touche. Je la sermonne. Rien à faire. Elle insiste. C'est évidemment d'une discrétion totale.

Nous n'avons que faire de tous dogmes religieux ou autres, mais je trouve qu'un lieu de culte, quelque soit sa nature, mérite un certain respect. Qu'un tel lieu focalise des croyances, des espoirs ou des chimères irrationnelles. Il doit être préservé. J'ai beau le répéter, Estelle prend un malin plaisir à persévérer dans le "tripotage en lieux sacrés". << J'y peux rien, ça m'excite ! >> me chuchote t-elle. Nous prenons quelques photos. Il y a des visiteurs. J'hallucine. Les deux coquines sont accroupies entre deux confessionnaux.

<< Photo please ! >> fait Estelle en me tendant son téléphone. Je les photographie toutes les deux, côte à côte, cuisses largement écartées. On distingue magnifiquement les culottes blanches fluorescentes dans l'obscurité. Nous en rions de bon cœur. C'est au "Cargo Culte" que nous réservons une table pour treize heures. Un petit restau sympa. A l'intérieur, on a l'impression d'être dans une sorte de brocante. C'est absolument génial. Nous continuons à flâner un peu sous notre parapluie géant.

Je tiens le parapluie. A ma droite Estelle qui se tient à mon bras. A ma gauche Clémentine qui me tient par le bras. Cela attire bien évidemment quelques regards curieux. Suis je le père ? Suis je l'ami ? Suis je l'amant ? Nous nous amusons encore beaucoup de cette situation. Surtout qu'à de nombreuses occasions, les filles me déposent des bisous sur les joues. Nous apprécions de déambuler sous la pluie. Il n'y a pas de vent. Nous sommes bien abrités. Nous refaisons la Maison du Corsaire. C'est ouvert à la visite non stop.

Il y a du monde. Nous enfilons les beaux masques que nous avons acheté hier. C'est du dernier chic de se balader masqué avec goût et classe. Nous en rions de bon cœur quand Estelle murmure : << On peut êtres encore plus salopes dissimulées derrière nos masques ! >>. Et la coquine ne se gêne pas pour nous en faire une démonstration en s'accroupissant rapidement entre deux tourniquets du hall d'entrée. Clémentine et moi, nous faisons écran. Personne n'a le temps de voir la rapide exhibition d'Estelle.

La demeure du Corsaire est un imposant hôtel particulier. Les visites sont guidées. Il y a là plus de cinquante pièces meublées avec le mobilier d'époque. Construite en 1725 cette demeure respire le passé prestigieux de la vie aristocratique sous le roi Louis XV. La maison était propriété de Auguste Magon de la Lande, corsaire du roi. Nous suivons le groupe de visiteurs. Les explications sont passionnantes. Estelle ne cesse de me toucher discrètement. J'hallucine. Elle se touche aussi. Nous sommes en queue de cortège.

Nous adorons ces situations très excitantes. Il faut toutefois rester d'une grande vigilance. Nos hautes tailles attirent l'attention. Et quelques regards interrogateurs. C'est un guide plein d'humour qui conduit la visite. Elle dure 45 minutes. Morts de faim, nous voilà sous notre immense parapluie à marcher très vite vers la rue Broussais. Un endroit typique. Nous sommes accueillis par un personnel masqué et fort aimable. Le "Cargo Culte" est un de ses restaurants conviviaux qui donne envie de s'y installer tranquillement.

Presque toutes les tables sont occupées. Sauf la nôtre qui nous attend là, près de la baie vitrée. La distanciation sociale permet une certaine intimité. Ici, pas de chichis, par de manières, c'est un café où l'on aime le bien vivre. Nous prenons des assiettes assorties. Crêpes, crustacés fumés, tomates, laitues, une sauce au beurre et au gruyère. C'est un véritable petit bonheur. Un vrai régal. Il y a des étagères avec de vieux bouquins, des jeux de société, des objets hétéroclites. Comme dans une brocante.

Il y a même un vieux canapé de velours. C'est absolument charmant. Nous traînons à table. Je visite les toilettes en compagnie de Clémentine. Une petite pipe enfermés dans un des cabinets. Puis c'est avec Estelle. Seconde visite juste avant le dessert. Quelques regards soudain libidineux qui nous amusent beaucoup. L'addition. Estelle propose d'aller sur Cancale. Elle aimerait beaucoup découvrir cette petite ville. Et tout particulièrement ce salon de thé et sa serveuse dont nous lui vantons les extravagantes situations.

Nous flânons encore un peu dans le centre de la Cité Corsaire. Avec la pluie les pavés sont luisants. Il y a cette ambiance si particulière des cités de bord de mer. Ces villes closes entourées de rassurants remparts. Un univers clos. C'est magique. Surtout sous la pluie. Il ne fait pas froid. Nous retournons à la voiture. Il y a une vingtaine de kilomètres sur une nationale peu circulante par cette météo. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle s'exhibe à l'arrière en me faisant des sourires lubriques et des clins d'œil.

Nous arrivons. Il est 15 h. La pluie tombe avec régularité. Une pluie fine sous un ciel uniformément gris. << Un ciel d'Ecosse ! >> précise Clémentine. Cancale est un incontournable de la Côte d'Emeraude. Avec cette météo, impossible de voir le Mont Saint-Michel. Les maisons de pierres alignées sur les quais sont une invitation à la promenade. Je gare la bagnole à l'extérieur de la commune. C'est sous notre large parapluie que nous entrons dans la rue principale. Avec ce temps, il n'y a pas d'affluence touristique.

Le port de la Houle se parcourt agréablement, quel que soit le climat. Estelle n'arrête pas de me toucher. De moins en moins discrètement. Avec le peu de gens, elle devient de plus en plus téméraire. Heureusement que Clémentine a le réflexe de nous dissimuler aux regards. Nous parcourons le centre du village. C'est mignon comme tout. La petite église en hauteur permet de voir au loin. Son architecture est belle. Un néo gothique récent et particulier. Nous y pénétrons. Je demande à Estelle un peu de retenue.

Peine perdue. A chaque occasion, elle me palpe. De plus en plus effrontément. Jusqu'à cette vulgarité dont elle est coutumière. J'adore ce paradoxe. Une jeune fille sublime, à l'allure réservée, discrète, qui sait se comporter comme une authentique dépravée. C'est absolument génial. Que faire devant tant de résolutions ? Se laisser faire ! Tout simplement. Ce que je me résigne une fois encore à pratiquer. Nous en rions d'ailleurs de bon cœur. << J'ai le droit ! J'ai mal au ventre ! >> se contente de répéter Estelle à chaque fois.

Nous retournons sur les quais. Nous nous offrons nos cônes glacés. Nous les savourons sous le parapluie. Là, entre deux camionnettes de livraisons, juste au pied du phare, je sors ma bite. << Génial ! >> s'écrie Estelle qui prend une photo. Je suis debout, Clémentine à mon bras, je tiens le parapluie. Je bande mou. Il faut toutefois rester vigilants. Estelle fait quelques photos. Clémentine met ses lunettes noires. Elle me tient la queue. Puis c'est au tour d'Estelle. Sans lunettes noires. Clémentine prend quelques clichés.

Il est 16 h45. Nous allons au salon de thé. C'est le cœur battant que j'entre dans la petite salle derrière Clémentine, Estelle à mon bras. Il n'y a presque personne. La jeune serveuse nous aperçoit. Toute souriante derrière son masque elle vient nous accueillir. Assis à une table du fond, nous retirons nos masques sanitaires. La jeune serveuse ne peut cacher son étonnement. Cette fois nous sommes à trois. J'ai la braguette qui baille. Cette jeune fille doit se poser bien des questions. Ainsi nous sommes trois véritables vicieux !

Nous prenons la commande. Trois coupes glacées et trois jus de mangue. C'est probablement la patronne, là-bas, derrière le comptoir qui range les pâtisseries. << Nous fermons à 17 h30 ! >> nous fait la jeune serveuse en apportant nos coupes glacées. J'ai la bite à l'air. Je bande magnifiquement. A ma droite Estelle. A ma gauche Clémentine. Nous observons avec attention l'effet que cela produit sur la jeune fille. Elle semble extrêmement gênée. La présence de deux autres fille doit toutefois la rassurer. Et l'émoustiller...

Nous savons pouvoir compter sur la totale discrétion de la jeune fille. Pas un mot à la patronne. Cela fait quand même la troisième fois qu'elle assiste à une exhibition de tout premier ordre en moins d'une semaine. Clémentine lui fait signe. Je me masturbe discrètement. La serveuse rapplique à toute vitesse. Ce qui nous conforte dans la certitude qu'elle prend un plaisir fou à la situation. << Vos toilettes intérieures ? >> demande Clémentine. << Venez, je vous montre ! >> fait la serveuse en l'invitant à la suivre.

Clémentine et moi nous nous levons. Les WC intérieurs sont d'une propreté exemplaire. Décorés rétro. La serveuse ouvre la porte des WC homme. Nous y entrons. Elle reste dans l'encadrement de la porte. Un peu comme hypnotisée par ce qui se passe. Je lui présente ma queue. Je la tiens à sa base. Je l'agite. Clémentine s'accroupit. La serveuse file sans demander son reste. Je me fais sucer un peu en donnant mes impressions à Clémentine. Nous rejoignons rapidement Estelle. La serveuse nettoie les tables.

C'est quand je me lève, mais avec Estelle cette fois, que la serveuse marque un temps d'arrêt. Sa surprise est évidemment totale. Je lui fais un clin d'œil. Nous laissons la porte des WC homme grande ouverte. Il n'y a plus que nous dans le salon de thé. La serveuse arrive. Complètement déstabilisée, consternée par le spectacle, elle reste bouché bée, les bras ballants. Je me fais sucer par deux filles. C'est certainement au-delà même de tout ce qu'elle pouvait probablement imaginer. Un trio de véritables pervers.

Une fois encore la serveuse file à toute vitesse. Nous rejoignons Clémentine. Nous bavardons discrètement mais avec animation. La jeune fille tout en passant le balai ne cesse de regarder vers notre table. Nul doute que ce qu'elle a vu aujourd'hui restera dans sa mémoire à tout jamais. Je demande l'addition. La jeune fille arrive. Une fois encore, j'ai la queue à l'air. C'est Estelle qui me la tient. Clémentine passe la carte visa sur l'appareil. Paiement sans contact. La serveuse baisse son masque pour m'adresser un merveilleux sourire.

Clémentine lui fait : << On vous laisse notre carte, si un jour vous passez par chez nous ! >>. La jeune fille ne sait quoi dire. Totalement confuse et en proie à un trouble évident. Elle saisit la carte. Nous la laissons. Je lui laisse un somptueux pourboire. Un billet de 50 euros qui achève de la consterner. La jeune fille nous accompagne jusqu'à la porte. Réunissant probablement tout son courage, elle prononce : << C'était génial ! Merci ! >>. Clémentine lui fait : << On espère vous voir. Il y a de la place à la maison ! >>.

Estelle nous donne son impression. << Une membre du Club ! >> dit elle. Clémentine rajoute : << Une membre en devenir ! >>. Je conclue en précisant : << Si elle vient à la maison, elle sera intronisée "Membre d'honneur" ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. << T'es le roi des salauds Julien ! Montrer ta bite à une fille dans un salon de thé ! Put-Hein, j'ai envie de te tailler une pipe ! >> lance Estelle. << On se calme, c'est mon roi des salauds à moi ! >> répond Clémentine. Nous éclatons de rire.

Il est 18 h30. La pluie a cessé. C'est au "Cancalais" que nous réservons une table pour la soirée. La vue sur le port y est superbe. Nous flânons encore un peu dans les rues presque désertes du village. Un coup de klaxon. Un second. Clémentine s'écrie : << La serveuse ! >>. Là, au volant de sa petite Clio rouge, la jeune fille du salon de thé. Elle s'arrête pour nous souhaiter bonne soirée. Je lui propose de manger avec nous. Nous sentons bien son hésitation. Elle a une envie folle d'accepter. Elle fixe ma braguette.

<< J'ai mon petit copain qui vient me cherche ce soir. Je serais bien venue ! >> fait elle avec un air de dépit. << Venez passer quelques jours à la maison. Nous vous accueillerons avec plaisir ! >> lui dit Clémentine. << Sans le petit copain évidemment ! >> rajoute Estelle. << Bien évidemment ! >> lance la jeune fille. Nous avons à présent la certitude qu'une nouvelle complicité vient de se créer. La jeune fille nous dit encore : << Moi c'est Elodie ! Je suis obligée d'y aller ! A bientôt j'espère ! >>. Nous la regardons s'en aller.

Nous échangeons nos impressions quand à Elodie. << Une superbe salope en devenir, certain ! >> fait Estelle. << Si elle ne l'est pas déjà ! >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Il est 19 h30 quand nous entrons dans la "Cancalaise". Personnel masqué et d'une amabilité admirable. Notre table nous attend. C'est devant des plateaux de fruits de mers que nous bavardons en murmurant. Le rituel des visites aux toilettes. Une fois avec Clémentine. Une fois avec Estelle. Une seconde fois. La pipe aux chiottes.

Il est 21 h30 quand nous déambulons un peu lourds sur les quais du Port de la Houle. La fatigue se fait sentir. Nous retournons à la voiture. Estelle insiste pour s'installer parterre, entre les pieds de Clémentine. Je roule doucement. Les filles me tiennent la queue. Clémentine se penche parfois pour la sucer. Estelle se redresse sur les genoux pour faire de même. Ce n'est absolument pas confortable. Il est 22 h30 quand nous sommes de retour. Au lit Estelle veut absolument me sucer. Je suce Clémentine pendant ce temps.

Bonne virée à toutes les coquines qui aiment provoquer des situations cocasses à l'intention de jeunes filles d'apparence "innocentes"...

Julien

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Il faut songer à quitter la région de Saint-Malo

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par Estelle qui me chuchote des << Je t'aime ! >> tout en me tenant par mon érection matinale et en me couvrant le visage de bisous. Tout cela ne tarde pas à réveiller Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Je me réveille au paradis. Il est 8 h30. Nous jouons à lutter contre l'impérieux besoin naturel. Estelle, n'en pouvant plus, se lève d'un bond pour se précipiter aux toilettes. Clémentine glisse sa tête sous les draps. Quelques secondes de fellation.

Estelle revient pour aller à la cuisine. C'est à notre tour. Nous pissons dans une volupté libératrice. Nous rejoignons Estelle dans les douces odeurs de café, de brioche et de pain grillé. Le dimanche pas de sport. Nous traînons donc à table en faisant le programme de la journée. Nous mangeons de bon appétit. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de mes hanches, les filles évoquent l'Ecosse. Les recrudescences de cas de contamination. Les imbéciles égoïstes ne prenant aucune précaution.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous nous habillons. Jupettes plissées, sweats pour les filles. Bermuda, T-shirt pour moi. Nos baskets. Pressés d'aller profiter de cette dernière journée à Saint-Malo, nous dévalons les escaliers. Dehors, il y a des alternances de séquences ensoleillées et de moments couverts. Ces derniers semblent d'ailleurs l'emporter. Mr Jacques, le propriétaire est entrain de fixer une remorque à sa voiture. Il nous salue, tout content de nous voir. Nous bavardons un peu.

Si nous le désirons, il est tout à fait possible de revenir pour un séjour en août. Clémentine saisit la balle au bond en demandant : << Du dimanche 16 août au dimanche 30 août par exemple ? >>. Monsieur Jacques, tout heureux de cette possibilité, s'écrie : << Mais c'est parfait ! Je ne loue pas en général ! >>. Je ne sais quoi dire. Je suis décontenancé par l'initiative à Clémentine. Estelle me regarde toute étonnée. << On revient vous voir avant de partir en fin d'après-midi ! >> fait encore Clémentine.

Nous prenons le chemin pour la ville. Clémentine nous explique son attitude. Avec les mesures sanitaires de plus en plus drastiques mises en place, tout spécialement en Angleterre, nous allons changer nos fusils d'épaule. J'aime lorsque Clémentine prend les choses en main, quand elle prend des décisions et des initiatives. Nous n'avons jamais à nous en plaindre. Je l'écoute sans poser de questions. Estelle est toute aussi silencieuse. Clémentine développe judicieusement son argumentaire. C'est d'une telle évidence.

Nous arrivons en ville par la Porte Saint-Vincent. Il est 10 h. Il y a déjà du monde sur la Place Chateaubriand. Nous nous tenons par la main. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite. Clémentine termine son exposé en disant : << Deux semaines dans ce chalet d'altitude dans les Alpes de Haute-Savoie et deux semaines ici, à explorer la région de Saint-Malo ! Toutes les facilités d'hébergements sont réunies pour nous ! >>. Que rajouter à ces évidences. << Le destin décide pour nous ! >> fait Estelle, fataliste.

C'est à cet instant que vibre mon téléphone. Clémentine le sort de ma poche. << Julie ! >> fait elle avant de discuter sur mode haut parleur. Nous apprenons que Julie vient de faire sa neuvième vente. Il y a déjà quatre commandes fermes avec acomptes. Je laisse Clémentine conclure la conversation. Je me contente de lancer un : << Bonjour Julie et félicitations ! >. Nous passerons peut-être la voir avant de partir dans les Alpes vendredi 31 juillet. J'aime que Clémentine prenne les bonnes décisions.

Nous marchons doucement dans la rue Saint-Vincent. Plutôt que de manger dans un restaurant à midi, les filles proposent un casse-croûte sur le port. Elles veulent profiter de cette dernière journée à Saint-Malo. Nous enfilons les masques sanitaires très élégants que nous avons acheté avant hier. Nous entrons dans notre boulangerie artisanale. Nous y prenons trois baguettes. Des croissants à la pâte d'amande pour demain matin. Ce sera un petit déjeuner festif. Deux pour Estelle. Quatre pour nous. Ils sont beaux.

Dans l'épicerie voisine nous prenons des filets de hareng fumé sous vide, des tomates et du pâté végétal. Nous voilà parés. Nous montons sur les remparts pour les parcourir jusqu'au port. Il est difficile de respecter les mesures de distanciations. Aussi, nous marchons d'un pas rapide. Nous descendons sur le port. En même temps que le ciel se découvre. Estelle me palpe la braguette. Nous sommes tous les trois habités d'une sorte de profonde sérénité. Les initiatives prises par Clémentine ce matin nous comblent d'aise.

<< Plus besoin d'y penser, plus besoin de tergiverser, plus besoin de nous poser les sempiternelles mêmes questions ! C'est mieux, vous ne trouvez pas ? >> lance Clémentine. Nous la félicitons pour cette suite de décisions. Elle nous entraîne dans notre recoin préféré. L'empilement des palettes et des caisses en osier. Là, dans l'endroit le plus reculé du port. Elle me sort la queue. Estelle glousse de plaisir avant de dire : << Maîtresse Clémentine prend les choses en mains ! >> . Nous en rions de bon cœur.

Je me retrouve donc rapidement avec la bite à l'air. C'est Estelle qui fait le guet. C'est Clémentine qui s'accroupit pour me sucer avec passion. Je lui caresse la tête sans cesser de lui murmurer des douceurs. Lui dire à quel point ses initiatives du matin me ravissent et m'apaisent. << Et moi ? >> nous fait Estelle. Clémentine lui tend ma bite en disant : << Vient ! >>. Clémentine se redresse. Elle prend la position stratégique d'Estelle pour faire le guet. Estelle se met à pomper passionnément.

Les filles alternent trois fois. Il y a des touristes. Il faut cesser. Je remballe juste à temps. La position debout, légèrement cambrée sur les genoux fléchis, me cause quelques douleurs aux lombaires. Je dis : << Je n'ai plus 20 ans ! >>. Estelle rajoute : << Tu n'en as plus 30 ni 40 non plus ! >>. Nous éclatons de rire quand Clémentine conclue : << Je préfère les 50 ! C'est meilleur au goût ! >>. Nous observons le défilé des bateaux qui se suivent pour franchir la gigantesque écluse. C'est toujours très impressionnant.

Il est presque midi. C'est sur un des bancs qui surplombent la jetée que nous nous installons pour préparer nos sandwichs. Du sac à dos je tire la bouteille d'eau gazeuse. Je coupe les baguettes dans leurs longueurs. Estelle y étale le pâté végétale. Clémentine y dépose les filets de hareng fumé. Je termine par de fines rondelles de tomates. Que c'est délicieux. Nous mangeons de bon appétit tout en observant l'animation du port. << On est presque comme en Ecosse ici ! >> fait Clémentine à plusieurs reprises.

C'est vrai que nous y retrouvons de cette atmosphère de bord de mer. De cette ambiance particulière faite de tourisme et de travailleurs maritimes. Cette effervescence d'activités humaines spécifiques à ces lieux. Précisons que le port de Saint-Malo est pittoresque. Quand il y a un touriste solitaire, Clémentine, tout en savourant son sandwich, écarte légèrement les cuisses. Elle nous donne ses impressions et commente l'attitude du quidam. Estelle l'imite. Je suis assis entre les deux coquines. Je m'amuse bien.

Nous traînons encore un peu sur les quais avant de suivre le chemin qui mène à la Cité d'Alet. Ces escaliers qui n'en finissent plus. A l'idée de revenir ici à la seconde quinzaine d'août, nous nous réjouissons. Estelle sautille autour de nous en s'écriant : << Tous les trois, ensemble, pour des tas d'aventures. Tout un mois ! >>. Clémentine nous entraîne en accélérant le pas. Il y a une quinzaine de minutes depuis Saint-Malo jusqu'à la Cité d'Alet. C'est toujours la même émotion en arrivant ici. Le ciel se couvre.

Ce chemin magnifique entouré d'arbres. La vue sur le port des Bas Sablons, la vue sur la jetée de Saint-Malo. Nous sommes soudain envahis d'un sentiment de totale plénitude. Nous croisons des promeneurs. Il faut donc ruser. Nous attirons bien des regards en nous serrant l'un contre l'autre. Ce n'est pas seulement pour le bonheur et le plaisir, mais aussi pour cacher ma bite à la vue des passants. S'ils savaient que mon sexe en érection se dresse fièrement de ma braguette ouverte vers le ciel à nouveau dégagé !

Nous rions beaucoup de nos facéties. Je glisse mes mains sous les jupettes des filles. J'adore passer mes doigts entre leurs cuisses. Sentir la douceur du coton de leurs culottes. Je remballe enfin. Les filles me tiennent par les hanches. Je les tiens par les épaules. C'est ainsi que nous entrons dans la rue principale du bourg. Nos hautes tailles, nos différences d'âges, notre attitude, tout cella fait se tourner bien des têtes. Nous nous en amusons beaucoup. Nous nous offrons des cônes glacés. Vanille et pistache.

Nous sommes tous les trois considérablement excités. Toutes ces décisions, toutes les certitudes qui en découlent, nos caresses, nous voilà enivrés de nos sens. Estelle m'embrasse pendant que Clémentine se serre contre mon dos. Puis c'est au tour de Clémentine. De quoi susciter bien des troubles, des émois et des questions chez quelques touristes qui nous surprennent ainsi. Nous avons de la chance. Il fait doux. La météo est de notre côté. Nous n'avons pas souffert de la canicule une seule fois cet été.

Il faut songer à retourner à Saint-Malo. Il est déjà 16 h30. Nous avons plus de deux heures de voiture à faire. << Il n'y a pas 250 km jusqu'à chez nous, j'ai regardé sur Google. Ça fait exactement 202 km ! Si on prend la nationale, 197 km ! >> lance Estelle. Nous en rions de bon cœur. Il est 17 h quand nous revenons sur la Place Chateaubriand. Nous prenons le chemin qui mène à l'appartement. Nous y arrivons pour 17 h30. Nous avons déjà préparé nos affaires. Tout est parfaitement en ordre.

Nous descendons voir Mr Jacques. C'est sa femme qui vient nous recevoir. Elle a toujours ce curieux regard malicieux en me fixant de ses yeux clairs. Ce quinquagénaire accompagné de deux jeunes filles suscite bien des interrogations. Nous la suivons jusqu'au salon. Monsieur Jacques nous invite à nous assoir. Nous prenons le thé. Nous concluons notre "affaire". Nous reprendrons possession de l'appartement le dimanche 16 aout jusqu'au lundi 31 aout. Je fais le chèque. 500 euros. C'est vraiment cadeau.

<< Nous ne louons pas. Les touristes, ce n'est pas notre truc ! Mais vous êtes Bretons, on ne vous entends jamais ! Pour nous autres retraités, c'est l'idéal ! >> lance Mr Jacques. Nous bavardons un peu devant des crêpes dentelles sèches. Il est 18 h quand nous prenons congé. Nous gardons la distanciation. Sans nous serrer la main. Le couple nous accompagne jusqu'à la voiture. << La voiture de mes rêves ! >> lance Mr Jacques en admirant notre grosse berline Allemande. << Série "S" en plus ! >> fait il.

Avant de partir je lui promets de l'emmener pour l'essayer à notre retour le 16 août. Un dernier coucou. << Nous nous sommes fait de nouvelles relations ! >> lance Clémentine quand nous prenons la route. La circulation est fluide. Je roule doucement. Avec la queue dans la main de Clémentine. Les mains d'Estelle dans mon cou. Nous nous arrêtons toutes les heures. Autant de prétextes pour nous caresser, nous toucher. Je me fais sucer derrière l'auto au bord des départementales que nous préférons emprunter.

Il est 20 h30 quand nous arrivons à la maison. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Nous sommes contents de nous retrouver chez nous. Estelle prépare une belle omelette aux trois fromages. Gruyère de Comté, Parmesan et Roquefort. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan du week-end. Nous traînons à table. La vaisselle. Au salon, Estelle me taille une superbe pipe pendant que je lèche Clémentine. Que je suce son clitoris. Que je me régale des jus de sa journée de fille.

Il est 22 h30. Je viens d'éjaculer dans la bouche d'Estelle. Comme elle ne cesse de se masturber durant toute la fellation, elle s'offre un orgasme de toute première qualité. Celui de Clémentine est tout aussi superbe. Nous ramenons Estelle chez elle. Elle commence à 8 h demain matin. Elle reviendra en soirée. Séparation difficile. Nous filons. Au lit, Clémentine me confie ses impressions. Quand aux sages décisions qu'elle a prise. Quand à nos projets de vacances. Nous plongeons dans un profond sommeil.

Bonne pipe juteuse à toutes les coquines qui aiment se masturber tout en suçant. Surtout en revenant de week-end...

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Un lundi des plus inattendus

Hier matin, lundi, il est 8 h30 quand nous nous réveillons quasiment en même temps.Clémentine, blottie contre moi, me donne ses impressions. Les faits les plus marquants vécus durant ce séjour à Saint-Malo. Ce fut pour tous les deux une véritable découverte. Quelques papouilles. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de Jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine s'occupe du café. Je presse nos quatre oranges. Ce matin nous avons de bons croissants.

Des croissants à la pâte d'amande ramenés de Saint-Malo. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le programme de la journée. Dehors, il y a cette alternance de séquences ensoleillées et de moments couverts. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque l'Ecosse. Sa profonde frustration de ne pas y aller cet été. Je la rassure, nous prendrons notre revanche. Nous faisons la vaisselle. Nous sortons.

Quelques mouvements d'échauffement et nous voilà partis. C'est un plaisir de retrouver notre parcours habituel. Une heure d'un running fort gratifiant et nous voilà de retour. La douche. Nous nous habillons. Robe d'été pour Clémentine, Bermuda et chemisette pour moi. Nous ressortons faire quelques pas jusqu'au potager. Mon téléphone se met à vibrer au fond de ma poche. Clémentine l'en tire. << Estelle ! >> lance t-elle. J'entends la conversation en mode haut parleur. C'est très intéressant et plutôt sympa.

Clémentine, sans même me consulter précise que nous serons là pour 14 h. Le directeur du laboratoire médicale est un ami et un client aux parents d'Estelle. Il propose de venir passer les tests cet après-midi. Nous aurons les résultats dès demain. Pas d'hésitation. Je trouve judicieux de procéder à ces tests une seconde fois en deux mois. C'est avec l'esprit tranquille que nous pourrons monter nous isoler dans notre chalet d'altitude durant deux semaines. C'est une expérience nouvelle. Autant la réussir.

Accroupie devant moi, à retirer quelques mauvaises herbes entre les plans de tomates, Clémentine m'offre la vue de sa culotte de coton blanc. J'aime quand elle me gratifie de ce show merveilleux. Elle me confie son désir dévorant de vivre d'exaltantes exhibitions durant notre séjour dans les Alpes de Haute-Savoie. Nous en rions de bon cœur car il n'y aura pas trop d'opportunités en montagne. << Il faudra savourer chacune d'entre elles dans toute sa préciosité ! >> fait Clémentine en écartant ses cuisses.

Nous récupérons des pommes de terre, des carottes, un bel oignon. Une des dernières scaroles. La voix de monsieur Bertrand. Notre voisin vient nous voir. Nous le remercions de s'être occupé de l'arrosage de notre potager durant notre absence. Je lui recommande de cueillir tous les fruits qu'il pourra durant nos vacances d'août. Les pommes, les prunes, les mirabelles. Clémentine garde sa position ambiguë. Mr Bertrand a déjà pu admirer ses prestations à plusieurs reprises. Il louche discrètement.

Nous lavons nos légumes au robinet extérieur, derrière la dépendance. Nous les laissons dans l'évier en pierre. Nous descendons vers la rivière. Le ciel se couvre de plus en plus. Sans toutefois devenir menaçant. Clémentine ouvre ma braguette. Elle y glisse sa main. Nous nous embrassons avec passion. Je glisse ma main sous sa robe. J'adore sentir le contact lisse et doux de sa culotte de coton sur le bout de mes doigts. J'adore passer ma main entre ses cuisses chaudes. Dénouer les poils qui dépassent de l'élastique.

Nous prenons le sentier de gauche. Il y a 300 m jusqu'à l'endroit où vivent les cygnes, les poules d'eau, les canards et les colverts. Les petits ont tous grandi. C'est impressionnant. Bientôt il y aura trois cygnes. Il perd d'ailleurs son plumage gris. Le cygne sera adulte dès la fin août, son plumage sera blanc. J'ai la bite à l'air. Clémentine s'accroupit pour l'observer avec la même attention qu'elle observe les animaux à plumes. << Je ne m'en lasse pas ! Dans les Alpes, j'en ferais mon jouet ! >> me fait elle.

Je me fais sucer un peu. J'aide Clémentine à se redresser. Je me penche pour lui masser les genoux. Nous prenons le sentier du retour. Puis le chemin. Nous récupérons les légumes. Nous passons par la cave. Nous vidons la machine pour aller suspendre le linge dans le jardin. Les draps, le linge de corps, les vêtements portés à Saint-Malo. Nous rentrons. Il est presque midi. Clémentine s'occupe de la salade. Je lave les courgettes, les aubergines et quelques patates. Je coupe. Je fais revenir les pommes de terre à la cocotte.

Je prépare un délicieux coulis avec les aubergines, les courgettes et des tomates. J'en fais en grande quantité. Pour le repas du soir, il n'y aura qu'à réchauffer. Je pane deux filets de colin. Nous mangeons de bon appétit dans la véranda. Le ciel reste à présent couvert. Nous apprécions cette ambiance car il fait doux. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine change de robe. Sandalettes. Je change de bermuda et de chemisette. Sandales.

Il est 13 h15. Nous dévalons les escaliers pour aller au salon. Clémentine allume l'ordinateur. Deux messages. Celui de Julie qui nous raconte son quotidien à la galerie d'Art. Et une surprise de taille. Un message de l'une des deux femmes que nous avions rencontré à Saint-Brieuc. Les "Mormons" comme les avait baptisé Clémentine. Nous découvrons hallucinés ce message très court et succin. << J'ai fait une belle rencontre. Merci pour votre gentillesse ! >>. Nous nous regardons consternés.

Nous éclatons soudain de rire en pouffant. << C'est surréaliste ! >> s'écrie Clémentine qui est assise sur mes genoux. Il y a une photo qui est jointe. C'est un grand bâtiment austère. Une statue de la vierge devant l'escalier monumental. << C'est un couvent ! J'en suis certaine ! >> rajoute encore Clémentine. C'est vrai que tout donne cette impression. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine fait encore : << Tu as montré ta bite à une none ! C'est prestigieux. Et elle écrit pour te remercier ! >>. Nous sommes écroulés de rire.

<< Amen ! >> lance Clémentine qui se lève d'un bond pour m'entraîner par la main. Nous devons y aller. Le laboratoire pharmaceutique est à l'entrée de la ville. Tout près de l'université. Treize petits kilomètres. Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. L'appréhension me gagne. J'ai peur de tout acte médical. L'idée de la prise de sang me couvre de frissons. Ce qui amuse beaucoup Clémentine. Elle sait que j'ai une trouille bleue des piqûres. Il est 13 h50 quand nous arrivons au laboratoire.

Estelle et ses parents sont déjà dans la salle d'attente. La distanciation sociale est respectée par des marques au sol. La jeune fille de l'accueil nous fait remplir les formulaires. Cartes vital, cartes d'identités. Nous restons à distance les uns des autres. Nous portons nos masques sanitaires. Nous bavardons. Les parents d'Estelle ont annulé leurs séjour et leur réservation en Irlande. Ils vont passer deux semaines dans le Var, chez la mamie d'Estelle. Tout va vite. Nous sommes appelés à tour de rôle.

Chaque prise de sang ne dure qu'à peine quelques instants. J'ai le vertige. Des montées de tensions. Je serre mon petit morceau de bois fétiche dans mon autre main. Je serre les dents. Je pense à autre chose. La piqûre. Aïe. << Voilà, c'est fait ! >> me fait la jeune infirmière amusée par ma peur panique. Nous nous retrouvons tous les cinq dehors. Il est à peine 14 h30. Nous bavardons encore un peu. Clémentine a soudain une de ses fulgurances d'esprit. Elle évoque notre chalet d'altitude dans les Alpes de Haute-Savoie.

Nous avions réservé pour un mois entier. Plutôt que de décevoir les propriétaires, pourquoi ne pas proposer à Michèle et à Yvan, les parents d'Estelle, de prendre les quinze jours restant ? << Génial ! >> s'écrie Estelle. Ses parents se regardent un instant. << Superbe ! >> lance Michèle. Nous mettons rapidement au point les modalités. Je me charge de tout organiser avec les propriétaires. D'anciennes connaissances et collectionneurs qui possèdent quelques unes de mes toiles. Nous nous séparons. Estelle nous rejoint ce soir.

Je propose à Clémentine de pousser jusqu'à la cité de caractère. Une petite visite surprise à Julie. Clémentine allait me le proposer. Il y a 25 km. Je roule doucement. Je regarde le petit pansement à l'intérieur de mon coude. Clémentine joue avec ma queue. Nous rions beaucoup de mes craintes passées. Nous aurons les résultats des tests dès demain en fin de matinée. Je gare la voiture sur un des deux parkings obligatoires. 300 m dans une affluence touristique dense. Nous portons nos masques malgré la chaleur. Dur.

Nous traversons la place noire de monde. La distanciation sociale est une fois encore une consigne ignorée. << Les gens sont cons ! >> lance Clémentine que ces attitudes agacent. Certes, beaucoup de touristes portent le masque, mais c'est la promiscuité qui effraie. Nous entrons dans la galerie. Julie est en pleine conversation avec un groupe de visiteurs. Tout le monde porte le masque obligatoire dans cet espace. Julie nous fait un merveilleux sourire. Comme elle semble heureuse et épanouie. C'est surprenant.

Nous écoutons les explications que donne Julie. Je suis toujours surpris de l'entendre parler de ma peinture. Personne ne se doute que je suis le peintre. L'activité de peintre a ceci de supérieure sur toutes les autres activités artistiques c'est qu'elle permet à l'artiste de rester dans le plus total anonymat. Clémentine et moi nous écoutons. C'est un peu comme une visite guidée dans un musée. Je trouve son argumentaire parfaitement passionnant. J'en redécouvre mes propres œuvres. C'est une grande émotion.

Les visiteurs finissent par quitter. Il y a une telle affluence touristique dans ce bourg médiéval que d'autres gens entrent déjà dans la galerie. Ils se lavent les mains au gel hydro-alcoolique mis à leur disposition. Julie a enfin un peu de temps à nous consacrer. Comme elle est belle. Comme elle a changé en un mois. Pleine de confiance en elle. Nous la félicitons. Je propose d'aller lui chercher un cône glacé. Clémentine reste avec elle. Je vais à la pâtisserie Bretonne sur la place. Deux énormes glaces à trois boules.

J'en prends une seconde pour Clémentine. Nous reviendrons chercher la mienne plus tard. Je reviens. Déjà à nouveau des visiteurs. Les filles savourent leurs glaces. J'écoute discrètement les commentaires que font les regardants devant mes toiles. La grande œuvre surréaliste devant la cheminée, focalise les attentions. Nous laissons Julie à ses responsabilités. Nous gardons le contact par mails et par téléphone. Julie, un peu triste de nous voir partir, nous raccompagne jusqu'à la porte. Nous reviendrons en septembre.

Nous retournons dans la pâtisserie aux spécialités Bretonnes. Ce n'est pas de refus pour Clémentine qui reprend une glace. A une seule boule cette fois. Nous les savourons en flânant. Nous allons saluer mes deux cousins qui tiennent commerces sur la place. Eux aussi sont submergés de monde. Un grand coucou de loin. Depuis l'entrée du magasin. Nous filons. Il est 18 h30 quand nous revenons à la maison. Estelle est déjà là. Elle nous fait un grand coucou depuis la fenêtre de la cuisine. Elle est toute contente.

Clémentine s'occupe de la salade. Je fais revenir des crevettes à la poêle. Estelle réchauffe le coulis d'aubergine et de courgette. Elle remue les patates. Nous rions de bon cœur de mon attitude au laboratoire médical. << Même papa a moins peur des piqûres que toi ! >> me fait Estelle en palpant ma braguette. Je laisse les filles pour aller au salon. Je téléphone aux propriétaires du chalet d'altitude. Le principe est rapidement assimilé. L'affaire est conclue. Ces gens savent me faire entière confiance.

Je leur donne les coordonnées des parents d'Estelle. Ils n'auront plus qu'à entrer en contact. Estelle vient me rejoindre. Pendant que je bavarde, elle me sort le Zob. Accroupie entre le buffet bas et moi, elle me suce. Clémentine, dans l'encadrement de la porte, se touche, une main sous sa robe. Je raccroche. Je saisis Estelle par sa natte pour la forcer à se redresser. Elle était carrément à genoux. << Papa et maman sont tellement contents de cette opportunité. Un chalet de montagne ! >> me fait Estelle.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Nous faisons le programme des prochains jours. Notre départ pour les Alpes est prévu pour jeudi 30 juillet à 8 h du matin. Il y a plus de mille kilomètres à faire sur deux jours. Traverser toute la France. La vaisselle. Au salon, je me fais tailler une pipe par Estelle qui se touche en gémissant. Je suce et je lèche Clémentine. Leurs orgasmes sont un grand moment de plaisir. Il est 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Elle revient demain.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment tailler des pipes en se masturbant...

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Une journée à se laisser vivre dans la jouissance

Hier matin, mardi, je me réveille le premier. Je profite de cette chance pour observer Clémentine dans son sommeil. Couchée sur le dos, la bouche entrouverte, un léger ronflement. Elle est dans cet état de total abandon des sens qui m'enchante. Hélas, cette fois encore son infaillible sixième sens la prévient. Elle ouvre les yeux. Tourne la tête pour constater que je la regarde. Elle me fait un merveilleux sourire. Tout en gémissant et en s'étirant, elle roule vers moi pour se blottir dans mes bras. Je fond de bonheur.

Il est 8 h. Dehors il fait beau. Nous nous offrons quelques papouilles avant de nous lever pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine s'occupe du café. Je presse nos oranges. Le grille pain éjecte ses tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner dans la véranda. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine revient sur notre séjour à Saint-Malo. Deux semaines intenses.

Nous traînons un peu à table. La vaisselle. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. C'est parti. Une heure d'un running extraordinairement agréable. Il est 9 h45 quand nous revenons. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Nous nous amusons beaucoup de la lenteur nonchalante des choses que nous entreprenons ce matin. Clémentine est vêtue d'une robe d'été. Je porte un bermuda léger et un simple T-shirt. Nos sandalettes. Nous descendons jusqu'à la buanderie.

Nous sortons le linge de la machine. Nous allons au jardin pour le suspendre. Le ciel est bleu. Quelques petits nuages d'altitude. Un soleil déjà chaud et généreux. Nous visitons notre potager. Il faut toujours retirer quelques mauvaises herbes. Clémentine, accroupie devant moi, cuisses écartées, tout en bavardant, m'offre la vue de sa culotte d'un blanc immaculé. Il est tout à fait impossible de se lasser d'un tel spectacle. Elle s'en amuse tant. Nous évoquons notre départ pour les Alpes jeudi matin.

Clémentine récupère quelques belles tomates. Je ramasse une courgette grosse et luisante. Un bel oignon. Du poireau. Nous lavons le tout au robinet du jardin. Nous les laissons dans l'évier en pierre. Nous descendons jusqu'à la rivière. Comme hier, sur le sentier qui mène aux cygnes, je me balade avec la bite à l'air. Nous faisons une visite à nos amis emplumés. Les canards sont en pleine conversation. Sous l'œil attentif des Colverts et des poules d'eau. Les trois cygnes se tiennent éloignés et mangent des herbes.

Nous prenons le sentier du retour. Nous récupérons les légumes avant de rentrer. Clémentine dresse la table dans le jardin. Le coupe les poireaux en petits morceaux. Je les fais cuire à l'auto cuiseur. La pâte feuilleté a décongelé. Clémentine prépare la salade de tomates. Je concocte une Béchamel. Je fais gonfler du riz complet. J'égoutte les poireaux que je verse dans la Béchamel. Clémentine y rajoute du gruyère de Comté. Je récupère un peu de garniture en accompagnement du riz.

Clémentine étale la garniture sur la pâte. Elle recouvre le tout d'une fine couche de pâte feuilletée. Elle badigeonne du mélange œuf et lait de soja. Je mets au four. Notre repas de ce soir est assuré. Nous allons au salon. Il est presque midi. Clémentine allume l'ordinateur. Trois messages. Celui du laboratoire d'analyse médicale qui nous confirme que tout est parfait. Le courriel de Julie qui nous remercie pour notre passage de hier. Le mail d'Estelle qui nous confirme que pour elle et ses parents tout est parfait.

Nous répondons rapidement. Nous sortons avec les plats. Nous voilà attablés à l'ombre des branchages de notre noyer séculaire. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me fait remarquer une chose étonnante. << Où sont donc passés les insectes ? >> demande t-elle. C'est vrai. Il n'y a que des papillons à virevolter autour de nous. Aucune mouche. Aucun moustique. Pas un frelon à rôder. Pas une guêpe, pas une abeille. C'est étrange. Les autres années, l'humidité avoisine les 70 %. Cet été à peine 35 à 45 %.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur notre séjour à Saint-Malo. Nous y retournerons deux semaines du lundi 17 aout au lundi 31 aout. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous nous changeons. Jupette sport et T-shirt pour Clémentine. Short et T-shirt lycra pour moi. Nos baskets. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Je vérifie la pression des pneus de nos vélos. 4,5 bars devant et derrière.

Dans le petit sac à dos que je porte, nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille d'eau, nos biens inutiles K-ways. 300 m jusqu'à la rivière. La passerelle en bois. 500 m jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Nous croisons étrangement peu de cycliste. Il faut dire que le soleil tape. Nous pouvons rouler l'un à côté de l'autre en discutant. Il est 15 h15 quand nous arrivons au petit port de plaisance. Il y a les joueurs de boules, quelques touristes. Quelques plaisanciers.

Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. Clémentine retire discrètement sa culotte. Elle l'a glisse dans le sac à dos. Nous saluons la jeune étudiante, la capitaine, dont le job d'été est d'assurer l'accueil des plaisanciers et de leurs bateaux. Nous bavardons un peu. Tout est calme. Il règne une sorte de torpeur. Comme nous ne sommes jamais là en été, nous découvrons ce qui se passe ici fin juillet. Nous traversons la route pour nous rendre à la supérette. Il n'y a que quelques clients.

Nous bavardons un peu avec la gérante toute étonnée de nous voir. Nous prenons nos cônes glacés. Nous les savourons en flânant sur les quais. Nous restons à l'ombre des platanes majestueux. Mon short en lycra n'a pas de braguette. Aussi Clémentine doit se contenter d'en palper la bosse. Parfois d'y glisser sa main par au dessus. Je glisse ma main sous sa jupette. J'aime le contact moite. Clémentine nous entraîne près des bâtiments des sanitaires. Ils sont ouverts. Il y règne une certaine fraîcheur.

Il n'y a personne. Une forte odeur de chlore. Nous ne touchons à rien. Clémentine se met en position devant un des urinoirs. Cambrée sur ses genoux fléchis, elle me dit : << Je n'ai jamais réussi à pisser debout sans m'en mettre partout ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je passe derrière elle pour lui toucher le sexe. C'est humide entre ses lèvres charnues. J'ai envie de lécher. Nous restons à nous embrasser avec fougue. << Je me ferais volontiers surprendre par un "visiteur " ! >> lance Clémentine.

Je vais à la porte ouverte pour regarder au dehors. Personne n'arrive. Clémentine se masturbe en me disant : << Combien de fois me suis -je faite surprendre ici ? Je ne les compte plus ! >>. Nous rions de bon cœur quand je rajoute : << Combien de fois étais-je caché dans le cabinet du fond pour mâter et sécuriser tes shows ! >>. Nous prenons conscience une fois encore de l'addiction que nous avons développé à nos jeux exhibitionnistes. Pourtant, cet après-midi, il faut se faire une raison, il n'y a pas l'ombre d'un solitaire.

Nous quittons le bâtiment des sanitaires réservés aux plaisanciers pour nous rendre dans celui des toilettes publiques. Même odeur de chlore. Ici non plus il n'y a personne. Nous jouons. Je fais le quidam qui entre dans les WC. Clémentine se fait surprendre accroupie entre deux urinoirs. C'est toujours un "choc" très agréable. L'émotion est double. Je m'imagine dans la peau d'un inconnu tombant sur ce spectacle. J'apprécie d'être le voyeur privilégié qui découvre cette situation. C'est une des choses les plus excitantes.

Nous interprétons là nos rôles. Nous nous vouvoyons. Nous sommes deux parfaits inconnus. Nous mimons les manœuvres d'approche. Je me retrouve rapidement avec mon short à mi cuisses. Je frotte ma bite sur le visage de Clémentine. J'esquive à chaque fois qu'elle ouvre la bouche pour me gober le sexe. Je la tiens sous le menton, par ses cheveux. Je la fais sucer avec toute la vulgarité possible. Je lui bourre la bouche jusqu'aux couilles. Mon comportement de dépravé la comble d'aise. Ses gémissements résonnent.

Nous ne nous y attendions pas. C'est la jeune fille. La capitaine du port. Elle est debout dans l'encadrement de la porte. Très certainement depuis un moment. A nous observer. Elle connaît nos penchants. Mais là elle y assiste pour la première fois de façon aussi démonstrative. C'est une vicieuse. Elle m'adresse un délicieux sourire avant de disparaître. Clémentine se redresse. Je lui masse les genoux. Nous éclatons de rire. << La voilà parfaitement informée ! >> lance Clémentine en m'entraînant au dehors.

Nous nous offrons un second cône glacé que nous dégustons en flânant près des boulistes. Il est 17 h. Nous retournons aux vélos. La capitaine fait comme si rien ne s'était passé. Nous discutons encore un peu. Elle me lance deux ou trois fois un étrange regard par en dessous. Bien vicelarde. C'est bien évidemment un message discret mais évident. Elle a apprécié ce qu'elle a vu dans les chiottes. Nous la saluons avant de prendre le chemin du retour. C'est très agréable car le vent nous pousse.

Clémentine qui a remis sa culotte car elle déteste le contact de la selle, me confie à quel point elle adore être surprise dans des situations équivoques. Autant par les femmes que par les hommes. Comme à l'aller nous croisons peu de cyclistes. Il y a un petit bateau qui avance doucement, seul sur le canal. Nous le dépassons. Clémentine stoppe à environs 300 m. L'endroit est broussailleux. Je reste planqué. Je comprends. Clémentine passe entre les bosquets pour s'accroupir au bord du canal.

Sa culotte aux genoux, elle me tourne le dos. Le bateau arrive tout doucement. L'écluse est à quelques centaines de mètres. Il y a le plaisancier à la barre. Un quinquagénaire sportif portant casquette. Il regarde la rive. Il découvre le spectacle. Sa femme est couchée dans une chaise longue. Elle dort peut-être. Notre marin d'eau douce lève la main pour saluer la jeune fille accroupie au bord de l'eau. Il y a probablement quelques belles salopes à se livrer à ce genre d'amusement. En voilà une magnifique.

Le bateau passe doucement. Le type ne peut pas ralentir. Là-bas, l'éclusier attend l'embarcation pour la faire franchir les deux niveaux du canal. Pas de chance. Clémentine lève la main tout en restant cuisses écartés. Elle répond à l'amical salut du plaisancier. Elle se redresse pour venir me rejoindre. << Vient, on file. Je lui refais le même plan un peu plus loin ! >>. La piste cyclable longe le canal. C'est l'ancien chemin de hallage. Clémentine récidive quelques kilomètres plus loin. Même situation.

Lorsque nous dépassons le bateau je reste en arrière. Le type ne se doute peut-être pas encore que je suis le complice. Clémentine doit jouer de prudence. La femme du plaisancier est entrain de plier du linge. Elle peut voir à tous moments. Pas de chance. C'est trop risqué. Nous reprenons notre route. Il est 18 h45 quand nous arrivons à la maison. La voiture d'entreprise d'Estelle est garée à côté du garage. Elle est entrain de mettre la table au jardin. Il fait tellement bon. Elle se précipite pour nous faire la bise.

Estelle sautille tout autour de nous. << Tout est prêt, il n'y a plus qu'à manger ! >>. Elle nous entraîne dans une folle farandole jusqu'à la maison. Estelle est tellement contente. Nos tests sont négatifs. Il y a de quoi être rassurés et heureux. Nous sortons avec les plats. La Flamiche Picarde, cette délicieuse tarte aux poireaux qui fait le régal de nos mardis soirs, est succulente. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte ses exhibes réussies au bord du canal. << Génial ! >> ponctue Estelle.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de mes hanches, les filles font mille projets pour notre séjour dans les Alpes. Estelle me dit : << Mes "petits machins" de fille sont terminés ! >>. Une invitation à la baise. La vaisselle. Nous allons au salon. Je me bouffe de la chatte. Celle de Clémentine est fabuleuse après ses suées, ses excitations et la bicyclette. Je passe de l'une à l'autre. J'alterne la lèche et la pénétration. J'aime ce concert de gémissements. C'est sublime.

Quand je les pénètre, Estelle et Clémentine n'arrêtent pas leurs masturbations. Elles aiment tant ça. Estelle me confie souvent que même au bureau de l'entreprise familiale, quand sa maman n'est pas présente, elle adore se toucher. << Je fais ça tout le temps depuis que j'ai 14 ans ! >> dit elle. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : << Moi 13 ! >>. J'éjacule dans la bouche d'Estelle que la pipe passionne. Orgasmes sublimes. Estelle nous quitte pour 22 h15. Elle revient demain soir.

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui aiment s'exhiber au bord du canal devant les bateaux qui passent doucement...

Julien

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1231 -



Une matinée de préparatif, un après-midi de bicyclette

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par les mouvements masturbatoires que fait Clémentine contre ma hanche. Ce sont autant ses murmures que ses mouvements qui me tirent de mon sommeil. Je passe délicatement mon bras sous sa nuque pour la serrer contre moi. << J'ai fait un rêve cochon ! >> me chuchote t-elle avant de me chevaucher pour m'en raconter la nature. Il y était question d'un type sur un bateau. Ce rêve est bien évidemment une réminiscence inconsciente de l'aventure que nous avons vécu hier après-midi.

Nous en rions de bon cœur. Clémentine m'entraîne par la main. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il est 8 h. Dehors il y a du soleil. Le ciel est principalement bleu. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges. Nous prenons notre petit déjeuner dans la véranda. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme de la journée. Ce matin, il faudra préparer nos affaires. Notre départ se fera demain matin à 8 h.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement. Il fait déjà bien agréable. C'est parti. Un running d'une heure qui nous met les idées bien en place. Nous revenons pour 9 h30. La douche. Nous nous habillons. Robe d'été pour Clémentine. Bermuda, T-shirt pour moi. Nos sandalettes. Je monte sur le tabouret afin de descendre les valises du haut de l'armoire. Un coup de chiffon. Clémentine les ouvre toutes les deux sur le lit. Commence alors la sélection des vêtements à emmener.

Clémentine me les tend. Je les plie soigneusement avant de les ranger minutieusement dans les valises. Clémentine se raisonne. Toutes ces fois où nous ne partons que quelques semaines et où elle emporte toute l'armoire. Cette fois, elle semble plus stratège. Nous ne partons que deux semaines dans les Alpes. Dans le chalet il y a tout le confort moderne. Dont une machine à laver. Deux jeans chacun. Un pantalon en velours. Deux chemises à carreaux. Des slips, des chaussettes, des shorts, des T-shirt. Des sweats.

Nous voilà parés. Clémentine y rajoute une de ses jupes kilt, un chemisier blanc, ses escarpins à talons hauts avec la petite sangle qui enserre la cheville. Elle me fait un clin d'œil en disant : << Pour les longues soirées au coin de la cheminée ! >>. Nous en rions de bon cœur. << Il faut des jeux de société en montagne ! >> rajoute t-elle encore en sortant mon pantalon en cuir et ma chemise "mousquetaire". Je n'y aurais peut-être pas pensé. Merveilleuse Clémentine : << Je t'aime ! >>.

Cette fois, les valises à roulettes sont faciles à fermer. L'une contient nos vêtements, l'autre contient nos chaussures, les habits de trekking et de sport. Baskets, godasses de marches et espadrilles. Clémentine se blottie dans mes bras. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. << Depuis toi, en trois années, j'ai vu tellement de choses, tu m'as fais découvrir tant d'endroits. Je suis si heureuse ! >> murmure t-elle entre deux baisers. Nous descendons nos valises jusqu'à la voiture.

Le coffre est spacieux. Il faudra préparer la glacière pour y mettre la nourriture que nous emmenons. Elle se branche sur l'allume cigare et assure une conservation parfaite jusqu'à moins 18°. C'est un modèle thermoélectrique d'une fiabilité absolue. Nous y mettrons des légumes et du poisson congelé. De quoi tenir quelques jours sans êtres obligés de descendre au village pour faire les courses. Nous ferons cette opération en soirée avec Estelle. Nous descendons à la cave, au cellier pour faire le choix des légumes.

Il est 11 h30. Tout est fait. Nous allons au jardin. Dans le potager nous récupérons la dernière scarole. Des tomates, quelques carottes, un navet et un oignon. Monsieur Bertrand, notre voisin, là-bas, à 300 m est occupé dans son jardin. Il nous fait un coucou de la main. Nous descendons le saluer. Comme tous les étés, durant nos absences, il se propose d'arroser notre potager. En échange de ce menu service, il se sert en fruits. Nos arbres fruitiers portent beaucoup cette année. Pommes, poires, mirabelles.

Nous le saluons pour remonter préparer notre repas. Clémentine s'occupe de la salade. Je coupe et je lave le navet, les patates, les carottes. Je fais revenir dans la cocotte en fonte. Une potée aux légumes qui assurera également le repas de ce soir. Nous dressons la table au jardin. Il fait chaud. Je fais revenir deux filets de cabillaud à la poêle. Juste avant la fin de la cuisson, je rajoute un petit pot de crème fraîche. Du gruyère de Comté finement râpé. Nous sortons avec les plats. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons un peu à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque nos vacances. Elle énumère toutes les destinations déjà réalisées en un peu plus de trois ans. << Avant toi, je passais mes vacances à faire des petits boulots. Je vivais dans une famille d'accueil détestable et je mettais tout mes projets futurs dans mes études. Tu as tout changé. Tu as fait de moi une bourgeoise. Tu as fait de moi la femme la plus heureuse du monde ! >> me fait une fois encore Clémentine.

Je me contente de répondre : << Tu as fait de moi l'homme le plus heureux du monde ! Avant toi je vivais seul dans cette grande demeure depuis plus de huit ans ! Nous y avons tous les deux trouvé notre compte ! >>. Nous débarrassons. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous nous changeons. Nos tenues vélo. Jupette et T-shirt pour Clémentine. Short et T-shirt pour moi. Nos baskets. Nous dévalons les escaliers, pressés de filer.

Il y a trois cent mètres jusqu'à la rivière. La petite passerelle en bois. Il y a cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Le soleil tape. Nous croisons très peu de cyclistes. Il est à peine 13 h45. Aucun arrêt durant les 25 km. Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h15. C'est la même ambiance que hier. Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. La capitaine est en pleine conversation avec deux couples de plaisanciers. Nous la saluons d'un simple geste.

Discrètement, Clémentine retire sa culotte qu'elle glisse dans le petit sac à dos que je porte. Nous traversons la route pour nous rendre dans la supérette. Nous enfilons nos masques sanitaires. Il y a peu de clients. Nous bavardons un peu avec la gérante. Nous prenons nos cônes glacés que nous savourons en flânant. Un petit tour aux bâtiments des sanitaires réservés aux plaisanciers et aux toilettes publiques. Ouverts. Les lieux sont déserts. Nous descendons le chemin qui longe le canal de l'autre côté de la piste cyclable.

Il y a petit bateau de plaisance qui arrive à faible vitesse. D'un blanc éclatant sous le soleil. Clémentine sort la paire de jumelles du sac à dos. Elle règle et observe. Elle commente ce qu'elle voit : << C'est un type seul. Il consulte son téléphone. Il avance doucement. S'arrête puis repart. Il arrive probablement ! >>. Clémentine rajoute : << J'organise son accueil ! >>. Nous rions de bon cœur. Je vais me dissimuler derrière les fourrés. Il y a des ruchers. Des abeilles un peu plus loin à cent mètres. Je suis méfiant.

J'ai les jumelles. Je vois parfaitement comme si j'étais à vingt mètres. Clémentine s'assure de n'être vue que du canal. Elle est accroupie entre deux bosquets. Cuisses largement écartées. Le bateau va passer à quelques mètres. Le type est à la barre. Ça y est. Il découvre le spectacle. Cette scène à laquelle j'ai déjà assisté tant de fois me cause pourtant toujours la même émotion. Je bande comme un salaud. Je sors ma bite. D'une main je tiens la paire de jumelles, de l'autre je me pignole. Il y a de quoi mâter.

Je ne comprends rien de ce qui se dit. Je suis à une centaine de mètres. Le type salue la jeune fille. Clémentine le salue également. Le marin d'eau douce freine son bateau qui s'arrête une vingtaine de mètres plus loin. Il fait marche arrière. Cette fois une conversation s'engage. Clémentine, évidemment trop heureuse de s'offrir une exhibition de très haute qualité, ne bouge pas. Notre heureux privilégié ne perd par le Nord. Il sort doucement sa queue pour la présenter à la jeune fille. A la limite de l'ankylose elle se redresse.

Le type agite un chibre de belle facture. Une bonne vingtaine de centimètres. Une queue flasque et molle qu'il tient à sa base entre le pouce et l'index. Clémentine s'accroupit une nouvelle fois. Elle me tourne le dos. Je devine toutefois qu'elle se touche. Voilà que notre marin se masturbe doucement tout en bavardant. Il bande. Put-Hein le salaud doit bien nous montrer là 25 cm de chair dure et ferme. Je reste admiratif. Il y a la capitaine du port qui vient sur sa bicyclette. Son travail est d'indiquer les emplacements aux arrivants.

Le type a tout juste le temps de remballer. Il remet les gaz. La capitaine l'invite à la suivre. Elle vient d'apercevoir Clémentine qui se redresse. Se douterait elle de ce qui vient de se passer ? J'en suis certain. Elle nous connaît. Elle est d'ailleurs très complice et d'une discrétion totale. << Le secret professionnel ! >> dit elle souvent avant d'éclater de rire. Nous retournons à la supérette pour nous offrir un second cône. Nous les savourons en flânant. Clémentine me raconte la conversation. << Un vicieux ! >> dit elle.

Il n'y a pas d'autres opportunités. Nous découvrons qu'il y avait une femme dans le bas du bateau. Bateau qui est à quai, là-bas, près du ponton. A t-elle assisté aux échanges de son mari avec la jeune exhibitionniste ? Cela restera probablement un mystère. Il est temps de prendre le chemin du retour. Nous bavardons un peu avec la capitaine. Elle nous souhaite de bonnes vacances. Nous la reverrons peut-être en septembre. Clémentine remet sa culotte. Nous voilà à pédaler poussés par le vent. C'est facile et agréable.

Il est 18 h30 quand nous arrivons à la maison. Estelle est déjà là. Elle arrose le potager. Toute contente elle nous fait la bise avant de se blottir dans mes bras. Par jeu, Clémentine s'interpose. Nous rentrons. Estelle réchauffe la potée de légumes. Clémentine fait la salade. Je fais rissoler des crevettes à la poêle. Estelle dresse la table au jardin. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de notre départ demain matin. Estelle a ramené sa valise. Les filles sont toutes contentes à l'idée de découvrir les Alpes.

Lorsque nous quitterons le chalet le samedi 15 aout, ce sera pour en donner les clefs aux parents d'Estelle qui viendront y passer deux semaines. Pour eux aussi, la montagne est une grande découverte. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine évoquent leurs études. La rentrée de septembre. Elles aimeraient toutes les deux reprendre le principe des cours en ligne depuis la maison. Ne pas s'exposer à un risque quelconque. Surtout que cette crise sanitaire est loin d'être terminée.

Nous débarrassons la table. La vaisselle. Clémentine propose de procéder aux derniers préparatifs. Nous mettrons la nourriture dans la glacière demain matin, juste avant le départ. Je vais récupérer la valise d'Estelle pour la mettre dans le coffre de la voiture avec les nôtres. Demain matin nous passerons prendre Estelle chez elle pour 8 h. Elle n'aura qu'à sauter dans l'auto. Clémentine insiste pour emmener son Macbook Air, l'ordinateur que je lui ai offert pour Noël. Elle le trouve plus facile d'utilisation. Estelle préfère le PC.

Je propose aux filles de terminer la soirée par un bon léchage de minous. Je ne suis pas obligé de le suggérer une seconde fois. Elles m'entraînent toutes les deux par la main jusqu'au salon. Avec les deux portes fenêtres ouvertes, la fraîcheur est très agréable. Un léger courant d'air. Les coquines sont vautrées dans le canapé. Chacune à une extrémité. Elles me présentent leurs chattes. Je n'ai plus qu'à me mettre à genoux sur les coussins déjà disposés au sol. Je commence toujours par la cramouille à Estelle.

Cette odeur de fille négligée. Ce goût un peu amer. J'ai mis du temps à apprécier le sexe d'Estelle. Mais depuis l'hiver dernier, j'y ai pris goût. J'ai des poils plein la bouche. Je lui fais la raie du cul. Avec les chaleurs, les suées, je récupère là des miasmes à la fois écœurants et savoureux. Je me bouffe les substances de sa journée de fille. De sa journée de bureau dans l'entreprise familiale. Quand je ne suce par leurs clitoris, les filles se masturbent. J'adore ce concert de gémissements, de petits râles de ravissements.

Je passe au sexe de Clémentine. C'est merveilleux. Ce goût acidulé, toute cette mouille qui dégouline, qui suinte. Je me régale des jus de sa journée de fille. Avec les suées sur le vélo, son exhibe au port, ses excitations, il y a là de quoi m'enchanter. Me nourrir d'un dessert exquis. Je suce. Je lèche. Je compare les gouts, les substances qui envahissent ma bouche. Je les pénètre un peu, pour le principe. Elles préfèrent toutes les deux le cunnilingus. Moi aussi. Leurs orgasmes sont cataclysmiques. C'est passionnant de les voir, de les entendre.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment offrir le jus de leur journée de fille à un lécheur expérimenté et virtuose du cunnilingus...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1232 -



Le départ pour Alpes

Hier matin, jeudi, il est 6 h30 quand résonne la rapsodie hongroise de Franz Liszt. << Put-Hein le con ! >> s'écrie Clémentine qui, encore dans un demi sommeil, se couche sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit. Cela faisait longtemps que ce n'était plus arrivé. Quelques papouilles et nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos slips et T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il fait déjà très doux. Le ciel est lumineux.

Clémentine fait le café. Je presse nos oranges. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de la journée. Ce qu'il ne faut surtout pas oublier avant de partir. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous descendons à la cave, au cellier, récupérer les poissons congelés, les légumes et les fruits. C'est rapide. En slips et T-shirt nous sortons avec le tout dans une cagette. Nous disposons le tout dans la glacière déjà branchée depuis hier soir sur l'allume cigare de la voiture.

A moins 18°, normalement, tout devrait se conserver pour traverser le pays. Nous avons décidé de prendre les autoroutes que nous détestons. Nous rentrons. Nous montons prendre une bonne douche. Nous nous habillons. Robe d'été ultra légère pour Clémentine. Short et T-shirt pour moi. Nos sandalettes. Clémentine récupère la sacoche contenant l'appareil photo, la camara et les batteries. Elle met le collier canin, la laisse et les menottes dans un sachet. << Pour promener le chien ! >> lance t-elle avec un clin d'œil.

Nous en rions de bon cœur. Nous voilà prêts. Nous fermons les volets. J'enclenche l'alarme. La maison dispose d'une domotique de pointe. Dans le petit sac à dos, les K-ways, des pommes, des barres de céréales et la bouteille de flotte. Il y en a déjà deux dans l'auto. Nous voilà partis. Trois petits kilomètres jusqu'au lotissement à proximité duquel habite Estelle. Il est 7 h50 quand nous arrivons. Le portail est grand ouvert. Yvan, le papa d'Estelle est en pleine conversation avec deux de ses employés masqués. Il y a une camionnette.

Voilà Estelle et Michèle, sa maman. Nous nous saluons. Estelle nous fait la bise. Nous nous saluons. Nous mettons au point les dernières modalités. Les parents d'Estelle viendront nous rejoindre le samedi 15 aout pour récupérer les clefs du chalet. Nous gardons la distanciation par principe puisque nos tests d'il y a deux jours sont négatifs. Estelle monte à l'arrière. Je me mets au volant. Clémentine à ma droite. Un dernier coucou à Yvan et à Michèle. C'est parti. Estelle est d'une humeur déconneuse. Tellement contente.

Je roule en écoutant les filles évoquer leurs études. La rentrée de septembre. Leur désir de reprendre les cours en lignes, le télé travail afin d'éviter d'inutiles promiscuités. Nous arrivons sur Nantes pour 9 h30. Ça roule bien. C'est jeudi. La circulation est fluide. Je mets la climatisation sur minimum car il commence à faire chaud. Clémentine imite la voix de la dame du GPS. Estelle fait des commentaires amusants. Nous prenons l'autoroute A11. Puis l'A85. Il est midi lorsque nous arrivons près de Tours.

Je quitte l'autoroute. C'est dans le ravissant petit village de Pocé-sur-Cisse que nous préparons nos sandwichs. Assis sur un banc, dans un petit square près de l'église, nous savourons en bavardant. Nous nous sommes arrêtés cinq minutes tous les cent kilomètres. Là, nous nous offrons une demi heure. Nous ne sommes pas pressés. Même si nous détestons copieusement les autoroutes, il faut dire que c'est pratique et plutôt rapide. Nous faisons quelques pas. L'église est fermée. Nous retournons à la voiture.

Estelle n'arrête pas de palper la braguette de mon short. Nous nous arrêtons à la sortie du bourg pour faire nos pissous. Je torche soigneusement les filles qui adorent que je prenne soin de leurs chattes. Estelle me tient la bite pour en diriger le jet. Clémentine me palpe les couilles. Accroupies, elle se refilent ma queue pour en déguster les dernières gouttes. Nous voilà sur l'autoroute. C'est à Vierzon que nous prenons l'autoroute A71. Il est déjà 15 H30. Nous avons bien roulé. La circulation reste fluide.

Nous assistons évidemment à quelques comportements hérétiques de la part de certains conducteurs. << Il y a des comportements qui méritent des gifles ! >> lance quelquefois Clémentine. << Des coups de matraques ! >> rajoute Estelle. Je propose à plusieurs reprises à Clémentine ou à Estelle de prendre le volant. << T'es fou, je suis en vacances ! >> me lance Estelle. << J'adore me faire conduire ! >> fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Pour ce trajet, j'ai interdit qu'on joue avec ma bite pendant que je conduis.

Ce qui n'empêche pas les coquines de se rattraper à chaque aire d'autoroute où nous nous arrêtons pour nous dégourdir les jambes. Autour de nous le paysage change. C'est beaucoup plus vallonné. Il est 18 h quand nous arrivons à Clermond Ferrand. Terme de notre journée de route. Je respecte toujours scrupuleusement les limitations de vitesse. Je suis très détendu. Nous avons tout de même parcouru près de 700 km. Je quitte l'autoroute. La première station service et je fais le plein d'essence. 15 km par la nationale 89.

C'est dans la charmante commune de La Roche-Blanche que nous attend notre hôtel. Nous y avons réservé une chambre. Nous arrivons à l'Hôtel de l'Artière pour 18 h45. Morts de faim. Nous récupérons la clef à la réception. C'est un établissement charmant. Au luxe discret. Nous prenons possession de la chambre. Nous y prenons le stricte minimum. Il y a la Wifi. Un message. Celui de Julie qui nous informe qu'elle vient de faire sa onzième vente. Nous répondons en joignant une photo de nous trois prise à l'instant.

Nous sommes pressés d'aller à la découverte de La Roche-Blanche. C'est un bourg à flanc de colline. La première chose est de nous trouver une bonne table dans un restaurant gastronomique. Nous sommes à une quinzaine de kilomètres de Clermond-Ferrand. C'est vallonné. Nous découvrons les rues d'un grand village. Le charme des vieilles maisons de pierres. Il y a des touristes. Estelle profite de chaque recoin pour glisser sa main dans mon short. Et des recoins il y en a dans cette commune au charme intemporel. Joliment fleurie.

C'est à l'Apicius que nous trouvons notre bonheur. Le personnel masqué nous reçoit avec les égards et le sourire. L'endroit est magnifique. Il y a du monde. Mais il reste quelques tables. L'établissement est réputé. Nous voilà confortablement installés à étudier la carte. Dans cette atmosphère bucolique il fait très agréable. Nous retirons nos masques sanitaires. Nous prenons le Cresson Homard aux truffes d'été. Ce n'est pas seulement délicieux, c'est divin. Nous savourons chaque bouchée comme jamais. Nous sommes morts de faim.

D'énormes coupes glacées viennent ponctuer de leurs délicatesses ce repas prodigieusement bon. Deux visites aux toilettes. Une fois avec Clémentine, une fois avec Estelle. Une récidive avant le dessert. Quelques regards discrets de certains clients. Cet homme d'âge mûr en compagnie de deux jeunes filles qui le tiennent souvent par les poignets pour lui chuchoter des choses. De quoi susciter bien des interrogations. Nous nous en amusons tant. L'addition. Nous voilà dehors, dans la douceur du soir. Il est 21 h30.

Nous flânons un peu dans les rues. Je ne suis jamais venu dans cette région. La vue sur la vallée, sur les autres collines. Là-bas, on distingue une partie probable de Clermond-Ferrand. Ville distante d'une quinzaine de kilomètres. Nous n'arrêtons pas de nous tripoter discrètement. J'adore passer mes mains entre les cuisses de mes deux anges qui restent accrochées à mon bras. C'est doux, c'est tiède. Le contact du coton lisse de leurs culottes. Il est 22 h15 quand nous revenons à l'Hôtel. Estelle prend sa douche la première.

C'est à nous. Nous sommes épuisés. Nous la rejoignons au lit. Juste un drap pour nous recouvrir car il fait lourd. La porte fenêtre grande ouverte. Estelle pose sa tête sur mon ventre. Elle tient mon sexe. Clémentine m'embrasse avec douceur et passion. Nous faisons le bilan de cette journée. Nous repartons demain à 8 h30. Direction Lyon puis Annecy. Clémentine vient rejoindre Estelle qui me suçote entre deux petites histoires. Elles se refilent ma queue. Elles se la partagent un peu. Sans réelle conviction. Nous sommes fatigués.

Je lèche d'abord Estelle. Je passe à Clémentine. Quand je ne suce pas leurs clitoris, les deux bienheureuses se masturbent. Il sera impossible d'aller jusqu'à l'orgasme. Trop crevés. Je m'allonge entre mes deux anges qui posent leurs têtes contre mes épaules. Estelle à ma droite s'endort la première. Elle tient encore ma bite toute molle. Clémentine me chuchote encore quelques ressentis, quelques impressions. Elle aime faire le bilan des choses vues et découvertes durant la journée. Elle me tient les couilles. Nous plongeons.

Bonnes découvertes à toutes les coquines qui aiment trouver de beaux endroits où l'on mange bien et où on peut se tripoter peinards...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1233 -



Second jour de voyage sous la canicule

Hier matin, vendredi, il est 7 h45 quand je suis réveillé par les bisous que me dépose Estelle sur le visage. Elle se blottie en me murmurant des douceurs. Clémentine se réveille à son tour pour venir se serrer contre moi. Nous regardons la chambre impersonnelle de l'hôtel où nous avons dormi. Je suis entre mes deux anges. Elles me donnent leurs impressions. Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes. Nous nous levons. C'est à notre tour. Nous nous habillons. Il fait lourd malgré la climatisation légère.

Nous prenons l'ascenseur jusqu'au ré de chaussée. La salle du fond. Nos petits déjeuners nous y attendent. Il y a déjà du monde. Nous avons une table près de la baie vitrée. La vue sur les collines environnantes est magnifique. Comme souvent dans les hôtels d'entrée de gamme, le pain est blanc et dégueulasse. Le café infâme. La confiture dans des petits boîtes, le beurre empaqueté par petits cubes. Nous ne nous attardons pas. C'est juste pour se remplir la panse. Nous remontons très vite prendre une bonne douche.

Nous voilà prêts. Robes d'été pour Clémentine et Estelle. Short, T-shirt pour moi. Nous nous assurons n'avoir rien oublié. En route. Je roule doucement pour rejoindre l'autoroute. C'est l'A89 qui nous mène à Lyon. La circulation est déjà dense. Le nœud routier de la région de Lyon est inextricable sans GPS. Clémentine est l'auxiliaire de conduite parfaite. Il faut quelquefois rouler au pas. Il nous faut presque deux heures pour quitter l'immense banlieue de cette ville. C'est détestable. Heureusement notre climatisation fonctionne très bien.

Il faut prendre l'A43, puis l'A41 pour arriver à Annecy vers 13 h. Il a fallu cinq heures pour parcourir un peu plus de 300 km. Nous évitons la ville pour prendre la direction de Saint Jorioz. La circulation est enfin fluide. Il commence à faire faim. Je m'arrête sur le parking du Super U. Il fait une chaleur étouffante en sortant de l'auto. Tout ce que nous détestons. Nous enfilons nos masques sanitaires. Je nettoie la poignée du charriot avec du gel hydro-alcoolique. Clémentine nous entraîne dans les rayons qui nous concernent.

C'est vendredi. Pourtant il n'y a pas trop de monde. Nous faisons provisions de pâtes complètes, de riz complet, de millet doré. Le tout dans le rayon Bio. Des galettes de maïs soufflé. Clémentine qui tient la liste des courses se montre d'une efficacité redoutable. Estelle reste à mon bras. Nous passons en caisse. Nous retournons tout ranger dans la voiture. En route. Estelle prépare les sandwichs à l'arrière. Nous nous arrêtons dans un chemin qui quitte la départementale. Nous dégustons nos sandwichs assis sur des rochers.

Nous sommes à l'ombre de grands arbres. Plus bas nous entendons couler une rivière. Nous voilà rassasiés. Il reste environs 18 km à faire. Il faut prendre la route sinueuse qui part sur la droite. Cette route communale monte rapidement. Il y a des lacets. Entre les arbres nous distinguons le lac d'Annecy. C'est un spectacle grandiose. Nous découvrons les Alpes et ses paysages féériques. Là-bas, au loin, des sommets enneigés. Nous arrivons dans le charmant petit village de Javirole. Ses maisons de pierres.

Pour préserver l'anonymat de notre lieu de vacances, à partir de maintenant chaque lieu dit le sera sous pseudonyme. Le village de Javirole en est un exemple. Nous roulons au pas. Notre grosse berline allemande noire suscite bien des curiosités. << Le porte avion ! >> comme la surnomme Estelle. Il y a encore six kilomètres jusqu'aux Vellices. Le col où il faut pratiquer un chemin sur trois cent mètres. Je roule tout doucement car le chemin est pierreux. Là, en face de nous La Jonche. C'est notre chalet. Il est 15 h.

A 1 400 m d'altitude il fait légèrement moins chaud que plus bas. << Wouah ! C'est génial ! >> font les filles en même temps. Le chalet est fait d'un étage de bois sur une assise de pierres. C'est une image de carte postale. Le chalet est construit sur une pente douce. Il y a la voiture des propriétaires. Je me gare. Nous montons l'escalier en bois. Une épaisse porte de bois. C'est Mr Lesage qui vient nous accueillir. Suivit de sa femme. Nous nous reconnaissons immédiatement. Ce sont d'anciens collectionneurs de mes toiles.

Nous nous saluons. Le couple semble un peu étonné. Cet homme d'âge mûr accompagné de deux jeunes filles. Ses filles ? Je fais les présentations. Le couple Lesage nous fait visiter la maison. A l'étage, les chambres. Une grande, une petite. Il y a tout le confort. A l'étage du bas, la salle de séjour, une grande salle de bain équipée d'une machine à laver et d'un sèche linge. Des toilettes avec un lavabo. La cuisine. A la cave, de l'outillage, du bois empilé. Et surtout ce grand bassin couvert qui alimente la petite fontaine.

Il y a la grange à côté qui sert de garage. Il y a un étage qui sert de réserve. L'endroit est magnifique. Isolé. Par le chemin, le village de Javirole est à quinze minutes. Il y a l'électricité, des panneaux solaires et la wifi fonctionne parfaitement. Ce qui nous amuse c'est ce vieux téléphone gris. Le couple Lesage nous souhaite un excellent séjour. Ils vivent à Annecy. Nous nous reverrons le 15 aout quand les parents d'Estelle viendront prendre possession des lieux. Nous descendons l'escalier avec eux jusqu'à la voiture.

Le couple roule en 4 X4 ce qui est bien plus pratique ici. Nous les saluons. Nous vidons la voiture. << C'est superbe ! >> me fait Clémentine en me prenant dans ses bras. Nous vidons nos valises pour ranger nos vêtements dans l'armoire. Notre chambre est spacieuse. La porte fenêtre donne sur un balcon. Il est à l'ombre. Nous apprécions ce nouvel instant de découverte. La vue sur la vallée est magnifique. On y voit les toits de quelques maisons de Javirole. Son église au clocher pointu. Nous redescendons.

La glacière a parfaitement fonctionné. Tout son contenu est préservé. Ici, il n'a que la congélateur du haut du réfrigérateur. Nous y disposons nos aliments. Filets de lieu noir, filets de colin, filets de cabillaud, queues de homard. Clémentine s'occupe de disposer les légumes dans le bac à légumes du fond. Estelle range les fruits dans la petite réserve fraîche à côté de la cuisine. C'est une cuisine équipée et fonctionnelle. L'intérieur du chalet est d'une modernité qui jure avec son aspect un peu rustique.

Nous voilà enfin sur place. Estelle glisse sa main dans mon short. << On a bien mérité ! >> fait elle. Nous éclatons de rire. Il est presque 17 h. Nous descendons l'escalier extérieur. Il y a le bruit du filet d'eau qui s'écoule d'un tuyau pour tomber dans un gros tronc d'arbre creusé. C'est tout à fait charmant. << Authentique et classieux ! >> lance Estelle qui y trempe sa main. << Oh put-hein comme elle est froide ! >> s'écrie t-elle en la retirant vivement. On tente. Effectivement. C'est de l'eau de montagne.

Je range la voiture dans la grange. Elle passe tout juste. Nous contournons la maison pour en faire le tour. Nous montons l'étroit sentier. C'est le pré du Valley. Là-haut, à une centaine de mètres, c'est une paroi rocheuse. Il y a des marches d'escalier sur la droite. Nous allons voir. C'est le réservoir d'eau. Nous collons nos oreilles sur le gros couvercle de fonte. << C'est la caverne des enfers là dessous ! >> lance Estelle. En effet la résonance est inquiétante. Nous continuons à gravir le sentier. Plus bas le chalet.

Estelle glisse sa main dans mon short. D'un geste adroit, en passant son index sous mes couilles, elle en extrait le locataire. Clémentine se saisit de mes couilles qu'elle soupèse en riant. Estelle me tient la bite. Je passe mes mains sous leurs robes. Nous admirons le paysage qui se déroule sous nos pieds. << Comme on va êtres biens ici pendant deux semaines ! >> fait Clémentine. << Et pour une fois, nous découvrons tout ça à trois ! Vous ne m'avez pas abandonné ! >> rajoute Estelle. Nous en rions de bon cœur.

Nous montons jusqu'à la paroi rocheuse. Il y a un sentier tortueux taillé dans la pierre. Cette paroi doit bien faire une centaine de mètres. Verticale sur sa droite. Pentue sur sa gauche. Nous sommes en sandalettes. Inutile de prendre des risques. Nous redescendons prudemment. Au bas du pré en pente, "La Jonche". Ce petit chalet où nous allons passer deux semaines. De quoi se réjouir. Il y a le sentier de grande randonnée qui passe en contre bas, à environs 300 m. Il y a parfois du passage. Des randonneurs.

Nous rentrons. La faim commence à se faire sentir. La fatigue aussi. Estelle prend sa douche la première. Clémentine allume l'ordinateur. La connexion est immédiate. Elle peut consulter notre boîte mail. Un message de Julie. Un message des parents d'Estelle. C'est à notre tour. Qu'il est bon de prendre sa douche dans un chalet d'altitude. Nous sommes exactement à 1 466 m. Il fait 22° et il est 18 h30. Le soleil tourne. La maison va bientôt être dans l'ombre de la paroi rocheuse. Nous admirons le changement d'ambiance.

Les filles portent une simple jupette et un T-shirt. Je suis en short et en T-shirt. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Je pane trois filets de cabillaud. Nous n'arrêtons pas de nous raconter des histoires drôles. Nous sommes tellement contents d'être là. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. De la fenêtre nous voyons le pré du Valley. Il y a parfois les vaches d'un agriculteur du village. Nous sommes prévenus. Assises sur mes genoux, les filles évoquent leurs études.

La vaisselle. Nous allons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Il est presque 20 h quand nous remontons le sentier chaussés de baskets. C'est bien plus pratique. Il fait doux. Assis sur l'herbe rase entre les amas rocheux, nous regardons. L'endroit pousse aux rêves. Les filles jouent avec ma queue et mes couilles. J'ai le short aux genoux. Il y a quelquefois des insectes. Cela nous amuse beaucoup. Je me mets à plat ventre pour fourrer mon visage entre les cuisses d'Estelle.

Elles n'ont pas de culotte. Je peux donc rapidement me régaler de leurs chattes toutes fraîches. << C'est génial ! >> fait Estelle qui commence à gémir en se couchant sur le dos. Je passe au sexe de Clémentine. En appui sur ses coudes elle fait : << Mon premier cunnilingus d'altitude. Nous en rions de bon cœur. << Ma première pipe de montagne ! >> rajoute Estelle qui se couche sur le côté pour glisser sa tête sous mon ventre. La position est inconfortable. Nous faisons d'autres essais de positions.

Il est 21 h30 quand nous sommes couchés, totalement épuisés. Il fait encore jour mais le crépuscule ne va pas tarder. Je lèche les minous de mes deux anges. Quand je ne suce pas leurs clitoris elles se masturbent. Je les pénètre un peu. Elles préfèrent le cunnilingus. Moi aussi. Leurs orgasmes est un concert de petits cris, de gémissements et de râles profonds. Estelle s'endort évidemment la première. Je propose à Clémentine de remettre la pipe à demain. Elle s'endort tout contre moi. Il fait agréablement frais en montagne.

Bonnes découvertes d'un chalet de montagne à toutes les coquines qui vont pouvoir s'y adonner à des jeux d'altitudes...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1234 -



Nous nous installons tranquillement dans notre chalet

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par les incessants mouvements que font les pieds d'Estelle contre les miens. Toute la nuit encore elle est restée contre moi comme une naufragée accrochée à sa branche. Elle vient de coincer Bunny Boy dans mon slip. C'est sa peluche. Son petit lapin fétiche qu'elle trimballe partout depuis 20 ans. C'est tellement adorable. Je la serre contre moi. Ce qui réveille Clémentine qui vient se blottir elle aussi. Je suis entre mes deux anges. Nous nous réveillons au paradis.

Nous observons la chambre. En face du lit, la porte fenêtre qui donne sur une vue impressionnante. << C'est Alpestre ! >> lance Estelle. Nous éclatons de rire en nous caressant. J'ai mes mains dans les culottes des filles. Elles me tiennent par le sexe. Estelle se lève la première. D'un bond. En s'écriant : << Pipi ! >>. Là, il faut descendre à toute vitesse. Pas de toilettes à l'étage. Clémentine propose de résoudre le problème avec une des petites poubelles à couvercle. Un peu comme un pot de chambre.

Nous nous levons. Nous dévalons les escaliers pour nous rendre aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur du café, l'odeur du pain grillé. Je presse nos oranges. Il est 8 h. Dehors le ciel est légèrement voilé mais lumineux. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de notre arrivée, hier. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous n'avons pas encore tous nos repaires. Il y a eu deux matinées sans jogging. Voilà un des tous prochains repaires qu'il nous faudra trouver.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents en nous faisans d'invraisemblables grimaces dans le miroir de la salle de bain. On ouvre les volets. Nous remontons à toute vitesse pour nous vêtir de nos tenues de sport. Nous sortons. Clémentine ferme la maison. Elle passe la clef attachée à une cordelette autour de son cou. Il fait très agréable. Quelques mouvements d'échauffement. Nous suivons Estelle qui a un sens de l'orientation très développé. Comme elle aime à le dire : << Je suis une fille qui sait lire les cartes routières ! >>

Nous prenons sur la gauche. Le sentier qui descend vers le GR9. C'est le sentier de grande randonnée qui passe plus bas, à un peu plus de 350 m. Il faut courir l'un derrière l'autre. Nous suivons Estelle. Elle avance d'un bon rythme. Le terrain est accidenté. Il faut rester très prudent. Ce serait stupide de se faire une entorse le premier jour. En fait, nous n'avons d'autres choix que de revenir par le même sentier. Aucune boucle possible. C'est un peu frustrant. Nous tenterons un autre itinéraire lundi matin.

Il est 10 h quand nous revenons. Ce running nous a tant manqué. Estelle prend sa douche la première. Clémentine m'entraîne devant l'ordinateur. Un message de Julie qui nous raconte sa journée à la galerie d'Art. Nous avons convenons qu'elle nous ferait un rapport journalier. Elle aime écrire et raconter. Mais la surprise, c'est le message de Juliette. Nous n'avions plus aucune nouvelle depuis plus d'un mois. Vexée que je ne lui ai pas proposé de tenir ma galerie d'Art. Selon les déductions de Clémentine.

Juliette est en Corse. Elle s'apprête à passer deux semaines dans son village de Sartène. Nous répondons aux deux courriels. Estelle vient nous rejoindre. Elle est vêtue d'une robe légère. Nous allons prendre notre douche. Dehors il y a des séquences d'ensoleillement intenses. Des moments plus nuageux sans aucune menace. Même si là-bas, au loin, derrière les sommets enneigés, les nuages semblent plus sombres. Nous nous habillons. Robe légère pour Clémentine. Short et T-shirt pour moi. Baskets.

Nous sortons. Qu'il fait bon être installé sur le banc qui fait face à la vallée. Le fin filet d'eau qui coule dans la fontaine. C'est un tuyau qui sort du mur de pierres. Un filet d'eau coule dans un tronc d'arbre couché et creusé. C'est très rustique. L'eau y est tellement fraîche que nous y avons plongé nos pommes pour la randonnée de cet après-midi. La première virée de découvertes. Les filles évoquent leurs études. Leurs désirs de reprendre les cours en ligne à la rentrée. Le télé travail reste leurs préférences.

Avec la recrudescence des cas de Covid, qui semblent à présent concerner les jeunes, toute promiscuité reste une interrogation. Même en allant sur le site de l'université, impossible de savoir si cette formule de cours en ligne sera reconduite à la rentrée. Estelle se lève. Vêtue de sa robe claire, elle se met à imiter une ballerine en improvisant une chanson : << Après tout, on s'en fout, on est en vacances ! >>. Phrase qu'elle répète plusieurs fois en virevoltant. Nous applaudissons. C'est une splendide image.

Estelle vient s'assoir sur moi à califourchon. Elle se frotte. Clémentine se lève à son tour pour virevolter elle aussi. Elle reprend les paroles de la chanson d'Estelle en rajoutant : << Et on est fou ! >>. Estelle se relève pour rejoindre Clémentine. Toute les deux, à quelques mètres du fossé qui descend en pente très raide, elles se mettent à faire un French Cancan endiablé. C'est magnifique. Soudain, sans même se consulter, elles s'accroupissent en même temps. Cuisses écartées. Belles culottes de coton blanc.

J'applaudis en m'écriant : << Bravo ! Bravo ! On more time please, it's all right ! Very great ! >>. Elles se précipitent toutes les deux pour me faire plein de bisous. << We love to please our Scottish ! >> lance Estelle. Nous en rions de bon cœur. Tant pis pour l'Ecosse où nous n'irons pas cet été. << Together is good everywhere ! >> rajoute Clémentine. Et c'est vrai. Nous sommes si bien ici. Ce séjour s'annonce un réel enchantement. Estelle nous propose de préparer le repas de midi. Une surprise qu'elle veut nous faire.

<< Je veux vous faire une surprise tous les jours ! >> nous fait encore Estelle avant de rajouter en montant l'escalier : << Interdiction d'entrer dans la cuisine avant d'y être invité ! >>. Elle disparaît dans le chalet. Clémentine m'entraîne par la main. Nous prenons le sentier qui monte sur la gauche. C'est l'endroit où se trouve le réservoir d'eau. Il capte une source en hauteur. Cette disposition permet d'assurer une pression d'eau aux robinets du chalet. C'est bien pensé. C'est bien conçu. Il y a de hauts sapins noirs.

C'est là, sur ce tapis d'épines aussi doux qu'une moquette que Clémentine me fait doucement tomber. Allongée à côté de moi, elle pose sa tête sur mon ventre. Elle sort mon sexe. Tout en me donnant ses impressions, elle joue avec ma bite. Par derrière, je glisse mes doigts entre ses fesses. << Je t'aime Julien. Je suis tellement bien avec toi ! >> me fait elle une fois encore. Je sens ses lèvres se refermer sur la peau fripée de mon prépuce. Clémentine tète délicatement. Elle biberonne en gémissant de bonheur.

Nous sommes à l'ombre. Nous sentons bien que la chaleur va encore régner aujourd'hui. Je saisis Clémentine par sa longue natte. Comme par une laisse. Je la renverse sur le dos. Je me mets sur elle. Tout en restant en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids, je frotte mon sexe contre le sien. Au travers le fin tissu de sa robe d'été et de sa culotte. Nous aimons bavarder ainsi. Nous raconter toutes les douceurs qui nous passent par la tête. Nous y mêlons rapidement quelques amusantes cochonneries.

<< Viens ! >> me chuchote Clémentine dans un souffle en retirant sa culotte. Avec d'infinies précautions, je la pénètre doucement. Centimètre par centimètre. Elle se masturbe. Me voilà enfoncé dans la fille jusqu'aux couilles. Nous aimons rester immobiles. Juste cette contraction de nos muscles fessiers. Nous sentons nos sexes l'un dans l'autre qui se contractent. C'est une sensation géniale pour nous. Parfois, nous nous mettons à nous bercer. Clémentine s'accroche à moi. Je la berce tendrement.

<< On mange ! >>. C'est la voix d'Estelle depuis le balcon de la salle de séjour. Je me retire délicatement. Clémentine garde sa culotte au bout de son index pour la faire tournoyer. << Plus de culotte aujourd'hui ! >> fait elle en m'entraînant dans le sentier qui descend du réservoir. Au bas de l'escalier condamné par une corde, il y a une ardoise. Estelle y a écrit à la craie blanche. << Le chef propose son pané de colin avec sa farandole de champignons grillés accompagnés de son rissolé de petits légumes de saison >>

Nous en rions de bon cœur. Morts de faim nous décrochons la cordelette pour monter l'escalier à toute vitesse. Estelle a tout préparé. C'est charmant. La table est mise dans la salle de séjour. L'odeur est déjà une véritable douceur. Nous voilà assis devant un succulent repas. Une salade de tomates à l'avocat. Des petits pois, des haricots verts, des patates nouvelles et surtout ces roulés de filets de colin pané qui contiennent des petits morceaux de champignons. Nous félicitons Estelle. C'est monstrueusement bon.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, autour de mes hanches, les filles font le vague programme de l'après-midi. Il y a de quoi réchauffer ce soir. On fera encore quelques patates rissolées avec les légumes. Nous sommes tous les trois dans notre bulle habituelle. L'idée même de pouvoir y rester tout un mois nous enivre de bonheur. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain.

Depuis ce matin, nous n'échangeons quasiment qu'en Anglais. Ma langue natale. Les filles aiment pratiquer souvent. Nous décidons donc de nous exprimer exclusivement dans la langue de Shakespeare jusqu'au coucher. L'Anglais faisant partie intégrante de leurs cursus universitaires, Estelle et Clémentine le maîtrisent et le parle parfaitement. Jusqu'aux termes techniques. Pour moi, c'est une aisance supplémentaire. Je pense dans ma langue natale et la traduction est un automatisme instantané avant de parler.

Estelle découvre que Clémentine ne porte plus de culotte. Immédiatement elle retire la sienne. Dans le petit sac à dos nous disposons les pommes bien fraîches retirées de la fontaine, les barres de céréales et une bouteille d'eau remplie à la source. Elle est fraîche et délicieuse. Peu minérale car douce sur la langue. Nous fermons le chalet. Clémentine porte la clef autour du cou. Nous montons le sentier qui mène à la paroi rocheuse. Nous la longeons jusqu'aux marches d'un escalier naturel. Ça monte assez raide.

Nous sommes tous les trois sujets au vertige. Et là, il y a de quoi l'avoir. Le sentier monte le long de la paroi rocheuse. Je ne regarde plus en bas. Heureusement le sentier est large d'un bon mètre. Nous rasons la paroi pour garder le maximum de distance avec le vide. Il y a environ cinq cent mètres à parcourir pour arriver dans un endroit magnifique. Ce sont des chaumes. Il y a deux sentiers qui partent d'un totem indicateur. Le sentier des roches à gauche. Le sentier des sources à droite. Nous prenons celui-ci.

Estelle glisse sa main dans mon short en disant : << J'ai mérité de caresser mon Doudou ! >>. Clémentine m'enlace par derrière pour me faire des bisous dans la nuque. Nous continuons. Le sentier semble se dérouler vers la montagne rocheuse qu'on voit là-bas. Nous marchons parmi des herbes généreuses, à la fois grasses et sèches. Il y a des fleurs d'altitude. Notamment des Lys Martagon de toute beauté. Interdiction de les cueillir. Inutile de se comporter en touristes prédateurs et irrespectueux. Quelques chalets fermés.

Nous marchons ainsi deux bonnes heures sur des chaumes vallonnées. Nous croisons quelques randonneurs. Certains sont équipés "haute montagne", alors que nous ne sommes qu'à 1 600 m, dans une nature apaisante et féérique. Quelques nuages passent. Il fait chaud. Mais c'est très supportable. Nous allons d'enchantement en enchantement. Nous découvrons la montagne et ses paysages. Il y a des vaches dans un pré. Là-bas, des chevaux. Tout cela est rassurant. C'est sauvage certes, mais juste ce qu'il faut.

Estelle et Clémentine sont accroupies devant les vaches qui s'approchent. Il y a juste une clôture. Du fil de fer barbelé. << Exhibitions sexuelles devant animaux domestiques. Ça va chercher dans les combien devant un juge ? >> lance Estelle. << Oh, si tu suces le juge, ça ira chercher dans les deux repas au restaurant ! >> fait Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. C'est là que nous prenons conscience de la présence de ces deux couples de marcheurs. Là-bas. Ils nous mâtent.

Ce sont des séniors. Visiblement très amusés de ce qu'ils viennent de voir. Estelle et Clémentine se sont redressées. << Je dois pisser ! >> dit Estelle. << Moi aussi ! >> rajoute Clémentine. Les randonneurs continuent leurs marches. Nous les regardons s'éloigner. Estelle s'accroupit la première. En appui sur ses bras, derrière elle, cambrée, elle lance un jet à plus de trois mètres en riant. A ce jeu, elle ne peut rivaliser avec Clémentine qui propulse le sien à au moins cinq mètres. Je tiens les mouchoirs en papier.

Pas question de les jeter au sol. Je torche soigneusement mes deux anges qui gémissent d'aise avant d'enfoncer les mouchoirs dans un sachet en plastique. Clémentine met ce sachet dans le petit sac à dos que je porte. Nous nous orientons grâce au soleil et aux hauts sommets enneigés que nous voyons au loin. Toutefois, pour ne prendre aucun risque, nous décidons de reprendre le même chemin pour revenir. Nous étudierons la carte demain. Ici, pas de connexion. Les téléphones restent aveugles sourds et muets.

Je peux marcher avec la bite à l'air. Les rares marcheurs que nous croisons sont visibles de loin. Il y quelques massifs forestiers. Des arbres. Principalement des hêtres aux troncs tourmentés. << Sleepy Hollow ! >> fait Estelle en caressant les branches basses de certains d'entre eux. Faisant référence a l'arbre du fameux film. Il faut reprendre le sentier vertigineux. Il faut serrer les dents et maîtriser nos appréhensions. C'est encore plus impressionnant à la descente. Il est 19 h quand nous revenons au chalet.

Comme je respire souvent mes doigts, Estelle s'empare de mon poignet pour les sentir aussi. A plusieurs reprises, durant notre randonnée, j'ai enfoncé mes doigts partout où ça rentrait. J'adore en sentir les parfums. << Ça sent la chatte et le cul ! >> me fait Estelle en passant ma main sous le nez de Clémentine. << En effet ! >> lance Clémentine. Les filles reniflent leurs doigts avant de me les faire sentir. Estelle me dit : << Les miens sentent la bite ! Tu sens ? >>. Clémentine me fait sentir les siens. Nous éclatons de rire.

Clémentine s'occupe de la salade. J'épluche des patates que je coupe en fines lamelles façon chips. Estelle réchauffe les légumes. Je fais revenir à la poêle. Une belle omelette vient accompagner ce délicieux repas. Nous sommes morts de faim. La montagne ça creuse. Surtout après une marche de cinq heures. Les filles ont pris quelques photos que nous admirons sur la tablette à Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles se refilent la tablette. Nous regardons les photos. Superbes clichés.

La vaisselle. Nous sortons faire quelques pas. Profiter du crépuscule naissant. Il fait incroyablement doux. Je glisse mes mains sous les robes des filles. J'égare mes doigts dans tous les endroits où ça glisse, où ça rentre. Elles me tiennent par la bite, par les couilles. Il est 22 h quand nous sommes dans la chambre. A genoux sur l'oreiller, la tête entre leurs cuisses, je me régale des jus de leur journée de fille. Jusqu'au vertige. C'est comme ça que je leurs offre l'orgasme du soir. Nous nous endormons comme des bienheureux.

Bonne randonnée sans culotte à toutes les coquines qui adorent se faire enfoncer des doigts dans tous les trous en marchant...

Julien

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Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1235 -



Découvertes de notre petit coin de paradis

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par les "impatiences" d'Estelle. Ces mouvement réguliers qu'elle fait avec ses pieds. Estelle reste tout contre moi toute la nuit, cela n'est plus vraiment perceptible. Je m'y suis habitué. << Bonne fête avec un jour de retard ! >> me chuchote t-elle. Elle se saisit de mon érection matinal d'une poigne ferme. Clémentine se réveille à son tour pour venir se serrer contre moi. Je suis entre mes deux anges. L'une me tient la bite. L'autre me tient les couilles. Le réveil des bienheureux au paradis.

Samedi c'était la Saint Julien. Les filles veulent me faire ma fête aujourd'hui. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << pipi ! >>. Nous l'entendons se précipiter dans l'escalier. Il est 8 h30. Clémentine me chuchote : << Bonne fête Julien ! >>. Nous descendons à notre tour. Les toilettes du chalet sont spacieuses. Elles sont équipées d'un lavabo, d'une petite étagère. Réserve de papier. Nous y avons mis deux serviettes et deux gants de toilettes. Le papier ne nous suffit pas. Nous aimons l'absolue propreté des trous de culs.

Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur de café. Du pain grillé et la brioche. La table est mise dans la salle de séjour. Nous sommes tous les trois en slip et en T-shirt. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Dehors, le ciel est couvert mais nullement menaçant. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme du jour. C'est notre seconde journée ici. Nous nous y plaisons vraiment. Nous traînons à table. Le dimanche, pas de jogging. Assises sur mes genoux, les filles parlent de l'Ecosse. Nostalgiques.

La vaisselle. Nous allons à la salle de bain pour nous laver les dents. Prétexte pour faire nos pitreries habituelles devant un des deux miroirs. Avec leurs brosses à dents elles font une bosse à l'intérieur de leurs joues. Mimer une pipe avec de la mousse aux coins des lèvres les fait rire. Je demande : << Vous sucez qui ? >>. Estelle, en parlant difficilement, fait : << Un certain Julien ! >>. Clémentine dit : << L'inconnu des montagnes ! >>. Nous éclatons de rire. Nous nous rinçons la bouche au dessus du lavabo, tête contre tête.

Nous ouvrons la porte fenêtre de la salle de séjour pour aller sur le balcon. Il fait très agréable. Pas de vent. Le regard se porte loin. Je suis entre Estelle et Clémentine. Nous admirons ce spectacle grandiose. Les coudes appuyés sur la rambarde en bois du balcon. Sous nos pieds la fontaine. Le léger clapotis du jet d'eau. Estelle se redresse pour venir se serrer derrière moi. Ses mains palpent mon slip. Elle y glisse la droite pour saisir ma queue molle et flasque. Clémentine décrit les sommets enneigés qu'on voit au loin.

Je bande mou dans la main d'Estelle. Nous montons nous habiller. Jupettes sport, T-shirt pour Estelle et Clémentine. Short, T-shirt pour moi. Nos baskets. Il est à peine 10 h. Nous faisons le lit. Nous refermons la porte fenêtre après avoir aéré. Nous dévalons les escaliers. Pressés de filer au dehors. Nous contournons le chalet par le sentier de droite. Nous montons le pré du Valley jusqu'à la paroi rocheuse. Nous la longeons sur la gauche. Le sentier descend soudain en pente abrupte. Nous marchons prudemment.

Quelques centaines de mètres et le sentier arrive sur le GR9. Le chemin de grande randonnée assez fréquenté. Nous le suivons. A droite le massif rocheux. A gauche une pente vertigineuse. Le chemin est large d'environs deux mètres. Nous pouvons marcher en nous tenant par la main. Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite. Pour nous, c'est une habitude. Pas pour les randonneurs que nous croisons qui nous saluent avec un air amusé. Nos hautes tailles, nos différences d'âges. Toujours les mêmes interrogations.

Ce chemin est très agréable. Il reste à flanc de montagne. Il monte en pente douce pour redescendre, remonter encore. Nous nous promettons de le parcourir plus longuement un jour prochain. Me voilà avec la bite à l'air. Sortie par Estelle d'une main agile. A chaque fois que nous croisons des marcheurs, Clémentine se met contre moi. Aucun des touristes n'imaginent que j'ai mon sexe à l'air. Cela amuse beaucoup mes deux anges mais me place dans une situation d'inconfort. Nous reprenons le chemin du retour.

Cette balade nous a ouvert l'appétit. Il est 11 h45 quand nous revenons au chalet. Estelle accepte le compromis. Nous pouvons préparer le repas ensemble tous les trois. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle lave les aubergines et les courgettes. Je fais gonfler du riz complet. Je concocte une sauce au Roquefort dans laquelle je rajoute de fines lamelles de lieu noir que j'ai doré à la poêle. Tout va vite. Nous dressons la table dans la salle de séjour. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. C'est miam.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de mes hanches, les filles évoquent notre projet de l'après-midi. Descendre au village. Il y a un quart d'heure de marche par le chemin de grande randonnée. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Mêmes imitations de fellation des deux coquines. Nous restons vêtus ainsi. Dans le petit sac à dos que je porte, des pommes, des barres de céréales, la bouteille d'eau et nos K-ways.

Clémentine ferme la porte de la maison. La clef à la cordelette qui pend à son cou. Nous rejoignons le GR9 à 350 m en contrebas du chalet. La vue est splendide. La vallée. A flanc de montagne, plus bas, les premières maisons. Il est 13 h45 quand nous entrons dans le charmant village de Javirole. Il y a des touristes. La rue principale bordée de maisons de pierres traditionnelles. Au bout de la rue l'église et son clocher pointu. Nous avons enfilé nos masques sanitaires dès l'entrée dans le bourg. Nous préférons.

Le ciel est devenu plus sombre. Il y a une ambiance extraordinaire. Surprise. La supérette est ouverte. Nous y entrons. Ce n'est pas très grand. Il y a une seule caisse. Il y a un rayon légumes et fruits. Il y a le rayon des conserves et des céréales. C'est bien agencé. Estelle nous attend dans la file à la caisse. Clémentine m'entraîne aux glaces. Il y a du choix. Par contre rupture de stock. Pas de cônes glacés. Notre choix se porte sur les pots de 400 gr Häagen Dazs. Il y a nos parfums préférés. Vanille, noix de pécan.

Nous rejoignons Estelle en caisse. Grâce à ce stratagème, nous payons immédiatement. Nous voilà installés sur un banc devant l'église à déguster nos pots de glace. Pour les gourmands que nous sommes, 400 gr de glace sont une plaisanterie. Chacun, muni de sa petite cuillère à moka en laiton, déguste son pot. Il fait doux. Il y a du passage sur cette petite place pavée. Des touristes entrent dans l'église. Il y a deux couples assis sur les marches. Des gens font des photos. Nous savourons longuement nos glaces.

Nous entrons dans l'église. C'est sommaire. Deux rangées de bancs. Quelques statues liturgiques. Un hôtel recouvert d'une nappe blanche immaculée. L'endroit est lumineux. Sans réelle décoration. Une grande statue de Notre Dame des Monts, qui donne son nom à l'église. Nous lisons les informations touristiques affichées à la porte. Il existe une chapelle dédiée à Notre Dame des Monts. Elle est située sur l'itinéraire du GR9. La photo montre un lieu magnifique. Voilà le prétexte de notre prochaine randonnée.

Nous flânons un peu dans la rue principale. Il n'y a que deux autres ruelles. Pavées, typiques, parfois en escaliers, pentues. Il y a une sorte de promontoire rocheux qui ferme l'accès. Il y a juste un sentier abrupte qui monte. Encore un endroit à visiter. << Un mec seul ! >> murmure Estelle en montrant le touriste qui se pointe. Il prend des photos des maisons fleuries. Il est vêtu d'un bermuda et d'une chemisette. Une sacoche en bandoulière. Une casquette sur la tête. Un type tout mince et filiforme.

Clémentine nous entraîne sur le sentier. Nous montons sur une centaine de mètres. Un autre plateau. Il y a là une table d'orientation ronde en métal gravé. Personne. Il y a des hêtres aux tronc tourmentés, des sapins. << Planquez vous ! >> nous fait Clémentine en nous montrant le type, plus bas, qui monte doucement. Estelle m'entraîne par la main. Nous allons nous cacher derrière des rochers à une vingtaine de mètres après les arbres. Clémentine s'est accroupie entre le muret et le banc circulaire.

Voilà le touriste. Il ne fait pas immédiatement attention à la jeune fille accroupie derrière le banc en granit. Ce n'est qu'en tournant autour de la table circulaire qui doit bien faire trois mètres de diamètre qu'il découvre la scène. Il semble un peu gêné. Il se rapproche du muret qui protège ce côté du ravin. Il fait mine d'observer le paysage, son appareil photo à la main. Estelle a sorti la petite paire de jumelles du sac à dos. Elle mâte tout en commentant ce qui se passe. Je sors mon sexe. C'est trop bien.

Le type semble adresser la parole à Clémentine. De l'endroit où nous sommes, nous n'entendons rien. Clémentine relève la tête. Elle porte ses larges lunettes noires. Elle tient sa longue tresse dans la main droite, contre son sein. Les cuisses écartées. Sa culotte ainsi que celle d'Estelle, sont dans le petit sac à dos. Le type semble assez nerveux. Il quitte l'endroit, fait le tour de la table, puis revient. Clémentine s'assoit sur le banc. Une jambe relevée. Les cuisses toujours largement écartées. Un spectacle éblouissant.

Le touriste revient pour la troisième fois. Il regarde partout autour de lui. Il sort soudain sa queue. Toute fine, blanche, d'environs dix centimètres. Minuscule petite saucisse veineuse. Parfois Estelle me passe les jumelles. Nous nous masturbons tous les deux en observant. Le type est à une dizaine de mètres de Clémentine. Il se masturbe d'un geste saccadé. Pas de doute, c'est un nerveux. Il ne tente rien mais il discute beaucoup. << Un bavard ! >> chuchote Estelle, sa main droite sous sa jupette. Des bruits de voix.

C'est une famille de Simpson. Il sont cinq. Ce qui met un terme aux jeux des deux exhibitionnistes. Le type remballe à toute vitesse. Clémentine se redresse et vient nous rejoindre. Le type descend rapidement. Nous attendons cinq minutes avant de descendre à notre tour. Clémentine nous raconte la nature des échanges. C'était un touriste Allemand dont la femme et sa frangine sont restées au village. Nous flânons encore un peu. Le village de Javirole est charmant. La Mairie, l'école et même une petite salle polyvalente.

Il y a surtout ce restaurant où nous réservons une table pour 19 h30. "Au montagnard". Nous faisons bien car il n'en reste qu'une. Nous parcourons le sentier circulaire qui surplombe le village. C'est un peu comme un fer à cheval. Le spectacle est grandiose. Cela ouvre nos appétits. Crapahuter sur les sentiers escarpés donne faim. Il est 19 h30 quand nous sommes attablés dans une belle salle décorée sobrement. Des outils d'agriculture accrochés aux murs. Faux, râteaux, fléaux et autres tamis anciens.

Notre choix se porte sur une limande aux truffes accompagnée de petites pommes de terre rissolées avec de l'œuf, des oignons et de l'ail. C'est un vrai régal. La distanciation sociale est ici très bien respectée. Il y a au moins trois mètres entre chaque table. Nous y traînons en savourant l'instant. Deux visites aux toilettes. Une fois avec Estelle. Une fois avec Clémentine. Une récidive juste avant le dessert. Sous quelques regards interrogateurs. Que peut bien aller faire ce quinquagénaire avec des jeunes filles aux toilettes ?

Nous flânons encore un peu dans le crépuscule naissant. Nous avons nos lampes frontales dans le sac à dos. Aucune inquiétude. Il est 21 h30. La nuit tombe vite en montagne. C'est magique de remonter le chemin dans la nuit. Pas besoin de lampe. On voit encore bien. Il est 22 h quand nous sommes de retour. Nous nous lavons les dents. Au lit, j'offre à mes deux anges une succession de cunnilingus et de pénétrations de principe. Malgré la fatigue, les orgasmes sont magistraux. On s'endort comme des bienheureux.

Bonne promenade à toutes les coquines qui aiment rester cul nus sous leur jupette pour pouvoir profiter de chaque opportunité d'exhibe...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1236 -



Même si le temps est couvert, nous randonnons

Hier matin, lundi, je suis réveillé par les les mouvements habituels d'Estelle. La coquine se frotte contre moi en gémissant. Juste avant de m'attraper le Zob. Mon érection matinale, généreuse, se retrouve dans sa poigne ferme. Clémentine se réveille à son tour pour venir se serrer contre moi. Je suis entre mes deux anges. Il est 8 h30. Estelle se lève la première en s'écriant : << Pipi ! >>. Nous l'entendons dévaler les escalier en rajoutant : << Vite ! >>. Nous en rions de bon cœur en nous habillant. Il fait frais.

C'est à notre tour. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans cette délicieuse odeur où se mêlent celle du café, du pain grillé et du reste de brioche. Estelle monte à toute vitesse se changer. Nous voilà assis tous les trois, vêtus de nos tenues de jogging. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme de la journée. Dehors, le ciel est gris. Menaçant. Nous traînons un peu à table. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant nos habituelles pitreries devant le miroir de la salle de bain.

Nous sortons. Nous descendons l'escalier de bois pour découvrir que l'horizon est réduit. A cause des nuages aucune vue sur les sommets enneigés. Quelques mouvements d'échauffement. Il faut mettre les K-ways. La température n'excède pas 18°. C'est parti. Estelle mène la course. Nous descendons vers le GR9. Le sentier de grande randonnée est désert. Nous courons une demi heure dans un sens. Une demi heure pour revenir. Il est 10 h quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première.

Nous découvrons notre boîte mail. Un seul message. Julie qui nous annonce une onzième vente. Nous la félicitons. Estelle revient vêtue d'un jeans et d'une chemise à carreaux. C'est à notre tour. Nous nous habillons comme Estelle. Tous les trois pareils. Nous ressortons faire quelques pas jusqu'au réservoir d'eau derrière le chalet. Il y a le vol sonore de quelques oiseaux noirs. Probablement des corneilles. << Aïe ! Ouille ! >> s'écrie Estelle qui se tient le doigt. Elle a passé la main le long du tronc sur lequel nous sommes assis.

Je regarde. C'est une écharde. Un bon centimètre enfoncé sur le côté de l'index. Nous redescendons. J'entraîne Estelle à la salle de bain. Je prends un petit bout de coton. Je l'imbibe d'huile d'olive. Je frotte l'extrémité de son doigt. L'écharde est parfaitement visible sous la peau. Un trait bleu noir. << Aïe, ouille ! >> fait Estelle quand je masse délicatement pour faire remonter l'écharde. L'extrémité dépasse d'un millimètre. Je la saisis avec la pince à épiler. Je serre fort. Je tire. Je retire l'écharde.

Je frotte un bout de coton imbibé d'alcool médical à 70°. Et voilà. Clémentine est restée silencieuse, serrée contre moi durant toute "l'opération". << Mon sauveur ! >> s'écrie Estelle qui me couvre le visage de bisous. Je lui lave bien le doigt avec de l'eau savonneuse en disant : << Mademoiselle, il faudra rester aliter deux jours, toute nue et observer une médicamentation rigoureuse ! >>. Nous éclatons de rire quand Estelle rajoute : << Un traitement à base de sperme ? >>. Elle est si adorable. Son doigt soulagé.

<< Plus aucune douleur ! >> fait elle encore. Je regarde. Aucune trace. Estelle insiste pour préparer le repas de midi. Interdiction nous est faites d'entrer dans la cuisine. Nous mettons nos K-ways pour aller marcher un peu au dehors. Le ciel est menaçant pourtant il ne tombe aucune goutte de pluie. Nous montons jusqu'à la paroi rocheuse. Clémentine glisse sa main dans ma braguette en chuchotant : << Docteur Julien, je vous aime ! >>. Nous nous embrassons passionnément. Jusqu'à mouiller nos mentons de nos salives.

Il est important de préserver ces quelques instants d'intimité, juste nous deux. Clémentine me le fait remarquer à chaque fois que c'est le cas. Même si nous avons une véritable addiction à la présence d'Estelle. C'est d'ailleurs un sentiment qui nous est commun à tous les trois.
Nous longeons la paroi rocheuse sur sa droite. Jusqu'à l'étroit escalier naturel taillé dans la roche. Clémentine me fait m'assoir sur les marches. A genoux entre mes pieds écartés, elle me sort le sexe. << Mmhh ! >> fait elle en y frottant son visage.

Je me fais tailler une pipe des familles. Cette sensation d'avoir la bite dans un bol de purée tiède. Je fonds sous l'indicible caresse. Je passe délicatement ma main sous la natte de Clémentine. J'aime caresser sa nuque. Les bruits bulleux, caractéristiques d'une fellation goulue, participent du vertige qui me gagne. Soudain, montant du bas du pré, la voix d'Estelle : << On mange ! >>. Nous cessons. Nous dévalons le pré du Valley en nous tenant par la main. J'ai la bite à l'air, secouée dans tous les sens. Je bande mou.

Estelle nous ravis d'un gratin de coquillettes, accompagné d'une sauce au pistou, de trois filets de colin délicatement revenus à la poêle. Une salade de carottes. << Je veux que mon Docteur porte la bite fière et haute toute la journée ! >> me fait Estelle en découvrant ma queue qui pend. Elle se penche pour découvrir que mon sexe est juteux. Clémentine lance : << J'ai sucé. Tu sens comme ça mouille ? >>. Estelle, sans cesser de pomper fait oui de la tête en marmonnant. Je dis : << On ne parle pas la bouche pleine ! >>

Nous mangeons de bon appétit. C'est délicieux. Surtout quand on a qu'à mettre les pieds sous la table. Nous bavardons. << Quand j'ai gouté du foutre le matin, après j'en ai envie toute la journée ! >> lance Estelle entre deux bouchées. << Moi pareille ! >> rajoute Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous traînons à table. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés de filer, nous ne nous attardons pas. Nous restons habillés ainsi.

Dans le petit sac à dos, en plus des pommes, des barres de céréales, de la bouteille d'eau, je rajoute nos minis parapluies. Nous sortons. Clémentine ferme la porte avec la clef dont elle passe la cordelette autour du cou. Nous redescendons sur le sentier de grande randonnée. Il y a des marcheurs. Nous en croisons quelques uns. Des férus de randonnée comme nous. Car avec cette météo menaçante, il faut aimer ça. Cette fois, nous sommes bien décidés à découvrir la chapelle de Notre Dame des Monts. Trois heures de marches.

C'est dommage que les nuages masquent les horizons. Je marche entre mes deux anges. Nous nous tenons par la main. J'ai le plus souvent une de leurs mains dans ma braguette. Il faut êtres prudents. Nous croisons quelques randonneurs. Le plus souvent des groupes de quatre ou de six. Il y a même de ces farfelus qui pratiquent la marche norvégienne. Tenant leurs bâtons comme des skieurs de fond. Ça fait un de ces bruits sur la rocaille. Nous nous saluons. En montagne, la courtoisie est de rigueur. C'est sympathique.

Nous devinons bien des interrogations dans les regards. Cet homme d'âge mûr tenu à la main par deux jeunes filles. Sont-ce ses filles ? Certainement pas. Car lorsqu'un regard se fait plus insistant, mes deux anges me font des bisous. Nous nous amusons beaucoup de ces situations cocasses. Voilà la chapelle. Il y a quelques gouttes de pluie. Pas de vent. C'est une petite construction de pierres en granit. Bien entretenue. Il y a des pèlerins qui déposent plein de gerbes contre le muret à l'arrière. Il y a plein de plaques gravées.

Des remerciements pour des prières exhaussées, des miracles accomplis, des vies sauvées. Nous entrons dans la chapelle. C'est rustique. La statue de Notre Dame des Monts trône au milieu d'une sorte d'alcôve voutée. Estelle me tripote. Je la gronde. Même si pour nous tout cela reste abstrait, je désire respecter les lieux de cultes. Nous en rions de bon cœur. Estelle chuchote : << Docteur Julien est un mystique ? >>. Clémentine lui répond : << Docteur Julien va t'administrer son médicament ! >>. << Oh oui ! >> murmure t-elle.

Nous prenons quelques photos. La pluie a cessé. Nous prenons le chemin du retour. Il est 19 h quand nous sommes au chalet. Morts de faim. Il suffit de réchauffer le reste du gratin. Clémentine fait une salade verte. Estelle fait une belle omelette. Je râpe le gruyère. Nous mangeons de bon appétit. La fatigue se fait sentir. Nous traînons longuement à table. Assises sur mes genoux, les filles font mille projets en fonction de la météo des prochains jours. Visite d'Annecy s'il fait moche. Randonnée s'il fait beau.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant plein de clowneries devant le miroir de la salle de bain. Nous montons. Il est déjà 21 h30. Au lit, entre mes deux anges, je me fais sucer. Lorsque c'est Estelle qui suce, Clémentine m'embrasse. Quand c'est Clémentine qui suce, c'est Estelle qui m'embrasse. Puis c'est à moi d'aller m'enivrer un peu des jus de leur journée de filles. Je lèche l'une pendant que l'autre me pompe. J'éjacule un peu au hasard en tentant d'être équitable dans les deux bouches. Nos orgasmes son fou.

Bonne randonnée à toutes les coquines qui aiment marcher en fourrant la main dans la braguette de leur "Docteur"...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1237 -



Les journées de découvertes se suivent

Hier matin, mardi, je suis réveillé par tous les bisous que me fait Estelle. Elle se saisit de mon érection matinale en me chuchotant des douceurs. << Je n'ai plus mal au doigt Docteur Julien ! >> murmure t-elle. Clémentine se réveille à son tour pour venir se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges à distribuer des bisous. Estelle me fourre Bunny Boy dans le slip. Son petit lapin fétiche. << Je te le confie pendant que je vais faire pipi ! >> dit elle encore en se levant d'un bond pour se précipiter dans les escaliers.

Clémentine me chevauche en riant. Pauvre Bunny Boy. C'est à notre tour. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Les toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine dans cette délicieuse odeur de café et de pain grillé. Nous prenons un copieux petit déjeuner tout en bavardant. Il est 8 h30. Dehors il y a une alternance de séquences ensoleillées et de moments plus couverts. La météo que nous aimons. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme de la journée.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Estelle monte rapidement mettre sa tenue de Jogging. Nous sortons. La fraîcheur est plutôt vive. 16°. Quelques mouvements d'échauffement. Nous voilà partis. C'est Estelle qui impulse le rythme soutenu. Nous descendons le sentier en pente douce jusqu'au chemin du GR9. Nous croisons déjà quelques randonneurs. Une demi heure dans un sens. Une demi heure dans l'autre. Il est 10 h quand nous revenons.

Estelle prend sa douche la première. Nous ouvrons nos boîtes mails. Un courriel de Julie qui nous raconte son quotidien. Un courriel de Juliette qui nous raconte un peu de ses vacances à Sartène. Sa Corse natale. Estelle vient nous rejoindre vêtue de son jeans et chemise à carreaux. C'est à notre tour. La douche salvatrice. Nous nous habillons pareils. Nous rejoignons Estelle qui écrit à ses parents. Nous ressortons faire quelques pas dehors. Il fait meilleur. Presque 20°. Il est 10 h30. Du soleil.

Nous prenons le sentier qui descend vers le col des Vellices. Il se déroule en pente moyenne. Tout son long il y a de magnifiques fleurs de montagnes. Des lys Martagon, des campanules, des narcisses. Toute cette flore qui pousse à plus de mille mètres. Nous arrivons au col. Il y a quelques voitures garées là. Des marcheurs sont entrain de changer de chaussures. Il y a trois sentiers différents. Dont un qui mène au village de Javirole. Clémentine propose de le découvrir cet après-midi. Nous devons faire des courses.

Nous remontons. Estelle se montre de plus en plus caressante. Nous marchons en riant. Elle garde sa main dans ma braguette. << Tu aimes quand je suis salope ? >> me fait elle. Je réponds : << Oui, au point de passer mes vacances avec toi ! >>. Clémentine rajoute : << Julien s'ennuie à mourir avec les filles qui ne le sont pas ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je les prends toutes les deux contre moi. Distribution de bisous. J'ai la bite à l'air. Il est 11 h30. Estelle insiste pour préparer le repas.

Interdiction nous est faites d'entrer dans la cuisine. Nous la laissons entrer dans le chalet toute seule. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'à la paroi rocheuse. Il fait à présent bien chaud au soleil. Cet après-midi nous pourrons nous vêtir plus légèrement. J'ai la queue dans la main de Clémentine qui me confie à quel point elle est heureuse. La montagne est une nouvelle découverte. Tant pour elle que pour moi. << Je suis tellement bien que je ne pense même pas à l'Ecosse ! >> me fait elle encore.

Je bande mou. Je glisse une main dans le jeans déboutonné de Clémentine. J'adore le contact du coton de sa culotte. Nous sommes assis sur les rochers. La vue se porte au loin. Il y a un groupe de marcheurs qui montent par là. Peu de gens empruntent le sentier qui passe devant le chalet. Nous les saluons. Ils prennent le sentier escarpé qui grimpe la paroi rocheuse. Ils sont équipés en vrais montagnards, façon publicité Décathlon. Clémentine est assise entre mes jambes. Personne n'a vu ma queue.

<< On mange ! >>. C'est la voix d'Estelle depuis la fenêtre arrière du chalet, là, à 100 m plus bas. Clémentine m'entraîne par la main. Nous dévalons le pré à toute vitesse. Estelle a préparé du riz complet, une salade de tomates, des haricots verts rissolés et trois filets de colin dorés à la poêle. Nous n'avons plus qu'à nous assoir. C'est un repas délicieux. Nous félicitons Estelle qui nous dit : << C'est ma contribution et j'adore faire à manger ! >>. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. C'est exquis.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant nos singeries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous montons nous changer. Jupettes sport et sweats légers pour Estelle et Clémentine. Short et sweat léger pour moi. Nos baskets. Nous prenons deux grands sacs à dos. Nous pourrions aller faire les courses au village avec la voiture. Ce serait dommage. C'est tellement agréable de descendre par le sentier que nous avons découvert ce matin. Ici, tous les sentiers sont balisés.

J'ai souvent la queue qui pend de ma braguette ouverte. Il faut juste anticiper lorsque se pointent des marcheurs. Ils sont nombreux à monter du village. A chaque fois Clémentine se serre contre moi pour cacher mon sexe. Ce qui attire évidemment quelques regards. Surtout qu'Estelle se serre contre mon dos. Nous découvrons ce circuit. Nous passons dans une forêt de sapins. Nous marchons sur un sentier recouvert d'aiguilles tombées depuis des années. Un tapis épais et souple comme une moquette.

Clémentine nous entraîne dans une anfractuosité rocheuse. A une trentaine de mètres du sentier. Là, elle se met à genoux sur le tapis naturel. << C'est doux et frais ! >> fait elle en retirant son sac à dos. Je retire le mien pour me mettre à genoux. Estelle fait de même avant de se coucher sur le dos. << On peut même y baiser ! >> lance t-elle en retirant sa culotte. Nous éclatons de rire. Clémentine se couche à côté en retirant la sienne. Nous sommes à l'abri des regards. Mais n'importe qui peut venir.

Les filles m'invitent à me coucher entre elles. Estelle me descend le short et le slip. Le contact du tapis naturel est agréablement frais. Estelle me tient la queue. Clémentine me tient les couilles. Je glisse mes mains entre leurs cuisses. << Oh pardon ! Excusez moi ! >>. Nous sursautons. C'est un mec avec un sac à dos. Il est sans doute à la recherche d'un endroit pour soulager un besoin naturel. Il disparaît aussi vite qu'il est apparu. Nous éclatons de rire. Nous nous relevons. Inutile de prendre des risques.

Nous reprenons le sentier qui arrive au dessus du village. C'est le sentier circulaire qui surplombe Javirole. C'est magnifique. Là, sous nos pieds à quelques centaines de mètres les premières maisons. Nous descendons par le promontoire où se trouve la table d'orientation. Quelques touristes. Je remballe mon sexe juste à temps. Nous enfilons nos masques sanitaires avant d'entrer dans la rue principale. D'autres gens ont fait comme nous. Nous flânons un peu. Il y a la terrasse du restaurant.

Je propose aux filles de nous offrir des glaces. Nous l'avons bien mérité. Nous voilà attablés. Les tables sont agencées afin de respecter la distanciation sociale. Nous retirons nos masques pour savourer des cônes absolument délicieux. Glaces à la vanille et à la pistache. Une marque italienne que nous découvrons avec plaisir. L'animation de la rue est constante. On y entend beaucoup parler l'allemand, ou le suisse. On ne comprend rien de toute façon. Mais Estelle imite le côté gutturale de ces langues.

Nous faisons un petit tour dans les trois seules rues de Javirole. Estelle nous entraîne dans l'église. Il y a un violoncelliste qui s'entraîne. C'est superbe. Des touristes assis écoutent. Estelle recommence à me palper discrètement la braguette. J'ai beau répéter : << Pas ici ! >> Estelle s'en contre fout. Clémentine aussi. << On a le droit, on est en vacances et on est salopes ! >> murmure Estelle en glissant cette fois sa main dans mon short. La coquine me saisit la bite d'une poigne de fer comme pour me défier.

Nous ressortons. Je bande comme un salaud. La bosse se voit parfaitement. Je suis un peu gêné. Heureusement personne ne regarde ma protubérance. Les regards intéressés se portent sur ces deux superbes jeunes filles qui me tiennent par le bras. Nous entrons dans la supérette. Nous laissons nos sacs à dos à la caissière pour prendre un panier sur roulettes. Clémentine sort la liste des courses qu'elle tient à la main. Nous la suivons dans les rayons. Nous portons nos masques sanitaires. Il y pas mal de clients.

<< Un plan ! >> fait Clémentine. Estelle et moi restons en retrait. C'est le rayon des shampoings et produits de toilettes. Il y a un mec seul. Un jeune type avec un panier. Clémentine s'approche pour s'accroupir à deux mètres de l'inconnu. Le jeune homme découvre rapidement que la superbe jeune fille accroupie devant les paquets de mouchoirs en papier ne porte pas de culotte. Il est certain qu'une telle chatte, garnie d'une telle touffe, ne doivent pas se rencontrer tous les jours dans la vie d'un jeune homme.

Il mâte discrètement à s'en déboiter les globes oculaires. Estelle me chuchote : << La prochaine fois, c'est à mon tour ! >>. Nous rions en observant depuis le tourniquet des pinces à épiler, des peignes et des brosses. Le type vient de s'accroupir. Il regarde les paquets de lessive. Un prétexte pour mieux voir sous la jupette de Clémentine. Clémentine est très vigilante. Elle n'écarte ses cuisses que lorsqu'il n'y a personne qui passe. Le jeune homme comprend rapidement qu'il est le jouet d'une exhibitionniste.

Hélas, cette situation sextraordinaire ne dure pas. Il y a une jeune fille qui vient rejoindre le mec. Clémentine a juste le temps de se redresser. La meuf a sans doute compris. Aussi, son regard lourd de haine larvée se pose sur Clémentine lorsqu'elle entraîne son mec par le bras. Clémentine vient nous rejoindre. Nous en rigolons comme des bossus. << Rien ne vaut une petite exhibe dans l'air de la montagne pour régénérer nos cellules ! >> lance Clémentine. Nous terminons nos achats. On passe en caisse.

Nous dispatchons nos achats dans les deux sacs à dos. Ils sont bien lourds. Nous reprenons le sentier facile. << Le moins difficile ! >> précise Estelle. Il y a environ trente minutes de marche jusqu'au chalet. Estelle et Clémentine se sont refilées le sac deux fois. Je préfère. Il est 17 h30 quand nous rangeons nos courses. De quoi tenir jusqu'à samedi. Avec la chaleur, dans la montée, nous avons sué. Nous ressortons immédiatement. Pressés de profiter de ce généreux soleil et de cet endroit de rêve.

Nous voilà à gravir le sentier escarpé qui gravit la paroi rocheuse. Nous arrivons sur les chaumes. Là-bas, la forêt de hêtres aux branchages tourmentés. C'est là, dans une cachette sûre, que nous posons nos K-ways au sol. Les filles, couchées sur le dos, m'offrent les jus de leur journée. Les suées, les excitations, tout cela m'offre un sirop des plus onctueux. Je me régale de leurs délices jusqu'à l'extase. Lorsque je ne suce pas leurs clitoris, Estelle et Clémentine se masturbent. Je suis aux anges avec mes deux anges.

Estelle m'attire sur elle. Puis c'est au tour de Clémentine. Nous baisons comme des bienheureux. Nous nous racontons plein de chose en même temps. Parfois du sentier à deux cent mètres, nous entendons les voix de quelques marcheurs. Des rires. Pas question toutefois d'aller jusqu'à l'orgasme. Nous sommes fermement décidés à nous garder pour le lit. Nous jouons donc avec nos limites. Il est 19 h30 quand nous revenons au chalet. Morts de faim et plutôt fatigués. << La baise montagnarde ! >> précise Estelle.

Il suffit de réchauffer le riz. Clémentine fait une belle laitue. Estelle fait fondre du fromage à raclette dans la poêle avant d'en tartiner des tranches de pain grillé. Nous dévorons ce repas avec une faim de loup. Nous traînons à table en bavardant. Le constat des trois jours de ce séjour alpestre est fort concluant. La vaisselle. Il est 21 h30. Lavage des dents. Au lit, nous reprenons nos activités sexuelles. Je passe de l'une à l'autre. Avec la bouche. Avec la bite. J'offre à mes deux anges des orgasmes qui les achèvent. Dodo...

Bonne randonnée à toutes les coquines qui aiment s'allonger sur les tapis d'aiguilles sèches pour se faire niquer dans la joie montagnarde...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1238 -



Randonnée après randonnée, surgissent les idées...

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil pas les caresses d'Estelle. Encore probablement endormie, elle passe sa main sur mon ventre, sur mon torse avant de s'emparer de mon érection matinale en me chuchotant : << Bonjour Julien bandeur ! >>. Elle se blottie contre moi. Tout cela réveille Clémentine qui vient se serrer contre moi. Comme tous les matins je viens à la réalité de l'existence entre mes deux anges. Distribution de bisous. Estelle me tient la queue. Clémentine me tient les couilles.

Estelle se lève la première en s'écriant : << J'en peux plus, faut que j'aille pisser ! >>. Elle se précipite dans l'escalier. Animés de la même envie pressante, nous dévalons les escaliers pour descendre aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Il est 8 h30. Cette délicieuse odeur de café et de pain grillé envahie tout le bas du chalet. Nous remontons pour enfiler nos tenues de jogging. Il fait beau. Même si la température extérieure n'est encore que de 18°, la journée promet d'être belle et chaude.

Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme d'aujourd'hui. La vaisselle. Nous sortons. Nous descendons l'escalier de bois à toute vitesse. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Sous l'impulsion du rythme imprimé par Estelle. Comme hier, nous descendons le sentier sur ses 350 m. Un running des plus agréables sur le GR9. Nous y croisons déjà des randonneurs. C'est sympa tous ces amoureux de la nature en matinée.

Il est 10 h quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Nous allumons l'ordinateur pour consulter nos boîtes mails. Un seul et unique message. Julie nous informe de sa douzième vente. Il y a six commandes fermes avec acomptes versés. Je déteste les œuvres de commandes. Ce sont souvent des portraits de familles, parfois des niaiseries. Malgré les prix totalement délirants et dissuasifs, les commandes affluent. Nous répondons pour la féliciter. Julie fait de l'excellent travail.

Estelle revient vêtue de sa jupette sport et d'un T-shirt. Ses baskets. Elle interroge sa boîte mail. Nous allons prendre notre douche. Nous nous habillons. Même jupette et T-shirt pour Clémentine. Short et T-shirt pour moi. Nos baskets. Nous sortons. Il fait tellement beau au dehors. Quelle surprise. Il y a une dizaine de vaches qui arrivent. Elles sont précédées par un homme vêtu de bleu. Il vient à notre rencontre. Nous nous présentons. C'est un homme fort, presque ma taille, jovial et courtois.

L'agriculteur exploite la ferme d'altitude que l'on voit du village. Il monte ses vaches pour trois jours. Elles pourront brouter l'herbe. << Vous pourrez jouer au golf car elles vont vous tondre toute la pelouse ! >> fait l'homme en s'excusant de devoir nous laisser. Il faut qu'il redescende. Les vaches nous observent en paissant. Nous évitons de passer par le sentier au milieu du pré. Nous le contournons par le réservoir sur le sentier qui longe les sapins. Inutile de déranger ces paisibles bovins.

Estelle glisse sa main dans ma braguette. Clémentine nous entraîne jusqu'à la paroi rocheuse. De cet endroit la vue porte sur la vallée et les sommets enneigés. Je me retrouve rapidement avec la bite à l'air. Estelle me la tient fermement. << Mon Doudou est tout doux et j'aime les Doudous doux ! >> fait elle comme à chaque fois. Je glisse mes mains sous les jupettes des filles. J'adore le contact du coton lisse de leurs culottes. Nous marchons un peu pour découvrir que le sentier continue dans la forêt de sapin.

C'est un peu lugubre. A gauche la paroi rocheuse verticale. Partout autour de nous l'obscure forêt de hauts sapins noirs. Et à nouveau ce tapis d'aiguilles qui tapissent le sol. Nous jouons à cache-cache. C'est amusant. Nous sommes une fois encore victimes de notre immense bonheur. Nous nageons dans l'insouciance de nos vacances. Il est 11 h30. Nous redescendons au chalet. Estelle insiste pour préparer le repas. Interdiction d'entrer dans la cuisine avant d'y être invité. Clémentine et moi, nous restons dehors.

Clémentine m'entraîne dans la cave du chalet. Il y a un local pour bricoler. Un véritable atelier de menuisier. Un établi, des râteliers muraux où sont suspendus divers outils. Des étagères avec des boîtes contenant des vis, des joints, des burettes d'huile. Il y a un local avec le réservoir qui alimente la fontaine. Il y a un autre local avec du matériel divers et d'hiver. Des luges, ses skis, il y a même des pneus de véhicule 4 x 4. D'anciennes photos en noir en blanc du chalet dans les années 50 et 60.

<< Regarde ! >> me fait Clémentine en me montrant les anneaux métalliques accrochés à une des poutres du plafond. En montant sur une caisse, elle y passe ses poignets. Je comprends immédiatement. Je passe ma main sous sa jupette. Elle se cambre en écartant ses cuisses. Ici, c'est l'endroit idéal pour ce genre de jeux. Je sors ma queue. Je descends la culotte à Clémentine. Elle a passé ses poignets dans les anneaux. Je frotte mon sexe contre le sien. Un chalet de montagne. Quoi de plus aphrodisiaque ?

Je passe derrière Clémentine. Je passe mon sexe entre la raie de ses fesses. Nous détestons copieusement l'idée même de sodomie. Aussi, ce n'est qu'une agréable caresse. Clémentine debout sur la caisse se met sur la pointe des pieds. << J'ai envie que tu me prennes, là, maintenant ! >> me murmure t-elle dans un souffle. Nous sommes juste sous la cuisine. Nous entendons Estelle s'affairer en chantonnant. La position n'est pas confortable. Aussi, je n'introduis que l'extrémité de ma turgescence dans le sexe de Clémentine.

La position n'en permet pas davantage. L'étroitesse de Clémentine non plus. Mais c'est très excitant. Clémentine tient les anneaux. << On se fait une séance ici, tu veux ? Au premier jour de pluie ! >> me fait elle. Je lui mordille l'oreille. J'embrasse son cou. Je lèche son visage sans répondre. << On mange ! >>. C'est la voix d'Estelle en haut de l'escalier. Elle ne sait pas où nous sommes. Nous cessons. Clémentine remet sa culotte. Nous sortons de la cave. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. La table est mise.

Quelle agréable surprise. Estelle a préparé des tomates farcies d'une purée de thon, d'avocat, d'ail et d'échalote. Des petits morceaux d'olives noires et de persil. Des spaghettis accompagnés d'une sauce au Roquefort. Une scarole en salade. Nous la félicitons. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine raconte nos découvertes à la cave. << On a la caméra. On peut se faire un film. Un super souvenir de ce séjour. On se fait une soirée cinéma cet automne pour le mâter ! >> lance Estelle.

Cette suggestion nous ravis. Mais ce sera Estelle la "Soumise". Offerte attachée à un "Maître" aux anneaux de la cave. Comme pour chacune de nos réalisations "cinématographiques", ce sera Clémentine qui filmera. Cette perspective devient très rapidement notre prochain projet. De revoir ce film cet automne sera un exquis moment de bonheur, d'excitation et de souvenirs. << A faire d'urgence ! >> lance encore Estelle. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Prêts pour notre randonnée.

Dans le petit sac à dos que je porte, nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille de flotte et nos K-ways. Clémentine ferme le chalet. Elle porte la clef à sa cordelette autour de son cou. Une autre clef est cachée dans les environs. Au cas où. Nous descendons jusqu'au GR9. << C'est une vraie rue piétonne ! >> s'écrie Estelle. En effet, il y a plein de marcheurs dans les deux sens. Certains portent même le masque sanitaire en montagne. La propagande médiatique fonctionne même ici, en altitude.

Les filles me tiennent par la main. Nous marchons d'un bon pas. Cette fois nous voulons quitter le chemin de grande randonnée avant la chapelle Notre Dame des Monts. Ce sentier qui monte à droite. Il monte sur les chaumes. Le soleil tape. Il fait chaud. Pas un brin de vent. Le ciel est d'un bleu d'azur. Nous sommes à plus de 1 500 m d'altitude. Estelle revient plusieurs fois sur notre projet "cinématographique". L'idée fait son chemin. Nous allons bien étudier ce "plan" et la configuration des lieux. Demain matin.

Nous arrivons sur les chaumes. Une légère brise rafraîchissante. Il y a bien moins de marcheurs. Nous pouvons nous tripoter. Je marche avec la bite à l'air. Les filles retirent leurs culottes pour les glisser dans le sac à dos. Je glisse mes mains sous leurs jupettes. Comme c'est doux. Mes doigts s'immiscent partout où ils peuvent entrer. C'est à la fois amusant et excitant. << Mmhh, c'est bon comme ça ! >> fait Estelle en s'arrêtant pour se cambrer sur ses genoux fléchis. J'ai mon gros doigt complètement enfoncé.

Une pause. Il n'y a pas d'ombre. Ce sont des prés verdoyants et couverts de fleurs à perte de vue. Ce sont les sommets au loin qui nous rappellent que nous sommes en montagne. Nous savourons nos pommes. Nous retirons nos baskets et nos chaussettes pour laisser respirer nos pieds endoloris. Trois heures de marche. Il y en aura autant pour revenir. Nos barres de céréales sont les bienvenues pour recharger en glucides. Nous remplissons la bouteille à deux sources d'eau pure et limpide. Un délice.

Comme j'ai la bite qui flotte librement hors de la braguette de mon short, les filles doivent la dissimuler à chaque fois que nous croisons des randonneurs. C'est amusant. Risqué. Excitant. Les regards parfois envieux ou carrément libidineux de certains marcheurs en me voyant serré entre les bras des filles. S'ils savaient ! Le bout de ma bite est trempé. Je macule les jupettes des filles des épanchements incessant de mon liquide séminal abondant. Nous rions des tâches à la hauteur de leurs sexes.

Il est 19 h30 quand nous descendons le pré du Walley sous le regard des vaches couchées qui ruminent. Nous ne nous approchons pas. Estelle se met à sautiller en relevant sa jupette. << Elle n'a pas de culotte ! Elle n'a pas de culotte ! >> chante t-elle devant les bêtes. Morts de faim nous entrons dans le chalet. Il n'y a qu'à réchauffer les spaghettis. Je les prépare en gratin. Clémentine fait une salade de carottes. Estelle prépare une omelette. Je mets du miel dans les yaourts pour le dessert.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de cette exaltante randonnée. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur notre projet de film. << Venez ! On descend à la cave pour voir ! >> lance Estelle n'en pouvant plus. Clémentine propose de débarrasser et de faire la vaisselle d'abord. Il est 21 h30. La nuit tombe. Nous descendons. J'ai fixé une de nos lampes frontales autour de ma tête. Il y a de la lumière à la cave. Clémentine fait une visite guidée à l'attention d'Estelle toute émerveillée.

<< Put-Hein ! C'est génial. On dirait que l'endroit est conçu pour "ça" ! >> lance Estelle. Tout comme Clémentine ce matin, elle monte sur la caisse pour passer ses poignets dans les anneaux. Il y a plusieurs anneaux fixés aux poutres du plafond. Des chaînes, des cordes. << Put-Hein ! Il y a de quoi s'amuser ici ! >> fait encore Estelle en glissant sa main dans ma braguette. Elle est déjà entrain de faire les mises en scène. Nous rions de bon cœur à écouter les différents scénarios. Une imagination débordante.

Clémentine donne dans la surenchère technique. Elle suggère les dispositions. Les endroits d'où filmer. Les point précis où placer la caméra. J'écoute avec ravissement mes deux anges définir les choses à venir. J'admire leurs esprits d'initiatives. Leurs imaginations fertiles. Leurs capacités à se projeter dans l'avenir. Je ne pense pas un seul instant à telle ou telle possibilité. J'écoute simplement. C'est passionnant. Quel privilège d'être en compagnie de filles créatives et pleine de ressources. Je me laisse bercer de leurs "plans".

La fatigue se fait sentir. Nous avons six heures de marche dans les pattes. Nos organismes ont besoin de repos. Même si nos capacités cérébrales fonctionnent à plein régime. Les filles se blottissent contre moi. Je leurs promets d'être à la hauteur de la situation. D'être un "Maître" vicieux et pervers. De jouer mon rôle à la perfection. Elles savent pouvoir compter sur mes compétences. Même si je n'ai pas l'âme d'un "Maître", je me débrouille très bien. Et puis, à chaque film, je me perfectionne. Nous éclatons de rire.

Nous quittons la cave. Il fait nuit. Le ciel étoilé est d'une immense beauté. Il n'y a qu'en montagne qu'on peut distinguer ces millions d'étoiles avec tant d'acuité. << Un vœux " >> lance Estelle au passage d'une probable météorite. Nous marchons encore un peu autour du chalet. La fraîcheur de la nuit est dissuasive. Il ne fait plus que 14°. Nous montons. Au lit, nous nous caressons longuement. Trop fatigués pour autre chose que les cunnilingus et la fellation. Nous nous endormons bien avant l'orgasme.

Bonne randonnée à toutes les coquines qui se réjouissent de faire "l'actrice" dans une production porno, totalement privée et montagnarde...

Julien

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1239 -



Il fait beau. Il y a du soleil. Il y a du sexe...

Hier matin, jeudi, je suis réveillé par le mouvement masturbatoire qu'imprime la main d'Estelle. Elle tient mon érection matinale d'une poigne vigoureuse. Clémentine se réveille à son tour. Je suis entre mes deux anges. Il est 8 h30. Estelle se lève la première. D'un bond. Pour dévaler l'escalier jusqu'aux toilettes. Clémentine et moi nous nous habillons de nos tenues de sport. Nous descendons pour nous rendre aux toilettes. Nous avons encore un peu la tête dans le cul. Nous rejoignons Estelle à la cuisine déjà vêtue sport aussi.

Nous prenons un copieux petit déjeuner tout en bavardant et en riant. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un vague programme de la journée. Dehors il fait beau. Estelle revient sur notre projet de film porno. << J'en ai rêvé cette nuit. C'est pour ça que je me suis réveillée comme ça ! >> me fait elle. Je dis : << C'est pour ça que tu m'as réveillé en me branlant ! >>. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant nos habituelles pitreries devant le miroir de la salle de bain.

Nous sortons. La fraîcheur matinale contraste avec l'idée qu'on s'en fait depuis l'intérieur du chalet. Il fait à peine 15°. Nous somme à 1 466 m d'altitude. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Estelle nous entraîne dans un rythme rapide et soutenu. Nous descendons le sentier pour rejoindre le GR9. Nous y croisons déjà des randonneurs. C'est une véritable autoroute pédestre et de montagne. Trente minutes dans un sens. Trente minutes dans l'autre. Il est un peu plus de 10 h quand nous sommes de retour.

Estelle prend sa douche pendant que nous allumons l'ordinateur. Le message quotidien de Julie. Elle nous fait son rapport. L'affluence est record encore cette année dans la petite cité de caractère. Julie évoque les visites incessantes. L'attitude des touristes. Quelques amusantes anecdotes qui nous font rire. Estelle revient vêtue de sa jupette et d'un T-shirt. C'est à notre tour. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jupette, T-shirt pour Clémentine. Short, T-shirt pour moi. Nos baskets.

Nous sortons sur le balcon de la salle de séjour. Même à l'ombre il fait bien meilleur. Estelle recommence à me palper la braguette tout en nous confiant que le projet "cinématographique" ne cesse de la hanter. << Au premier jour de pluie ! >> fait Clémentine. << Et s'il ne pleut pas ? >> lance Estelle. Nous rions de bon cœur. << Je reviens ! >> dit Clémentine qui nous laisse. Estelle s'accroupit pour extraire mon sexe. Je bande très mou. << Bonjour mon Doudou ! >> chuchote Estelle qui parle à ma queue.

Clémentine revient avec le collier canin et la laisse. Je comprends immédiatement. Je m'en saisis pour passer le collier autour du cou d'Estelle. J'y fixe la laisse. Je donne un à coup avant de l'entraîner vers la porte. Nous descendons l'escalier ainsi. Clémentine a l'idée de faire quelques images. << Oh oui ! >> s'écrie Estelle qui retire sa jupette. Elle retire son T-shirt. Je lâche la laisse pour lui permettre de l'enlever. Clémentine revient avec la caméra. << Ça fonctionne ! >> dit elle en faisant un essai.

J'entraîne Estelle dans le pré qui monte derrière le chalet. Il y a les vaches un peu plus haut. Estelle, chaussée de ses baskets, marche derrière moi. Clémentine nous suit à une dizaine de mètres tout en filmant la scène. << Regarde ! Les vaches nous observent d'un œil bovin ! >> me fait Estelle. Nous éclatons de rire. << Ça tourne ! >> lance Clémentine. Je force Estelle à s'accroupir. Je la tiens par la laisse au plus court. Je me penche. Mon visage près du sien. Je montre la caméra du doigt. Estelle fait un coucou de la main.

Je regarde constamment partout autour de nous. Il arrive que des marcheurs empruntent le sentier qui passe devant le chalet. Je promène Estelle complètement nue autour des vaches. Nous ne voulons prendre aucun risque. Cela ne dure que cinq minutes. Nous redescendons juste à temps. Estelle se cache dans l'angle de la maison pour s'habiller. C'est un groupe d'une dizaine de randonneurs. Nous l'avons échappé de justesse. Estelle revient. Je détache le collier et la laisse. << A moi ! >> fait Clémentine.

Je fixe le collier et la laisse à son cou. Nous remontons le pré. Je promène Clémentine à la laisse. Toute ravie de l'aubaine elle me dit : << Vous négligez trop souvent cette facette de ma personnalité, "Maître ! >>. Estelle visionne les images sur l'écran de la caméra. Nous regardons tous les trois. C'est hallucinant de voir cette belle jeune fille, promenée nue, attachée à une laisse. << Ce seront les images du début du film ! >> précise Estelle. Nous trouvons l'idée excellente. Estelle propose de tourner des scènes improvisées.

Il est 11 h30. Estelle insiste pour préparer le repas. Pas question d'entrer à la cuisine sans son autorisation. Nous la regardons descendre le pré en sautillant. Elle se retourne parmi les vaches pour nous faire des coucous de la main. Retrousser sa jupette en gambadant jusqu'au chalet. Clémentine me dit, suppliante : << Promenez-moi à la laisse cet après-midi, mon bon "Maître" ! >>. Avec cette chaleur, je trouve l'idée saugrenue. Mais que ne ferais-je pas pour satisfaire aux désirs de ma "Soumise". Nous nous embrassons.

Nous longeons la paroi rocheuse. Je tiens Clémentine par la laisse. Je lui dis : << Cet après-midi, ma délicieuse "Soumise", je vous fais visiter la montagne à la laisse ! >>. Clémentine se retourne. Glousse de plaisir avant de se jeter dans mes bras pour m'embrasser passionnément. Je bande comme un salaud. Je glisse ma main sous sa jupette. Le contact doux et lisse du coton de sa culotte. Je glisse un doigt sous l'élastique. Clémentine à ce sursaut qui me comble de joie. J'adore ses petits spasmes.

Nous revenons dans le pré. Il y a deux couples de marcheurs qui photographient les vaches. << On mange ! >>. C'est la voix d'Estelle. << Emmène moi comme ça ! >> me demande Clémentine en me tendant la poignée de la laisse. Je suis très gêné de passer à une vingtaine de mètres de ces gens en tenant cette superbe jeune fille à la laisse. Je l'ai bien vu, lui, avec son bonnet en plein été. Il tente de faire quelques photos. Nous descendons vite. L'odeur de cuisine dans tout le chalet achève de nous mettre l'eau à la bouche.

Nous mangeons de bon appétit. Avec la salade de carottes, Estelle a préparé des pommes de terre rissolées. Du fromage à tartiflette coulé dessus. Trois filets de cabillaud doré. Nous la félicitons. Clémentine raconte son émotion. Être promenée à la laisse devant des inconnus. Situation hautement excitante qui la propulse au comble du plaisir. Surtout qu'une fois encore, quelque part, un inconnu possédera des photos de la scène. Clémentine dissimulée derrière l'anonymat de ses larges lunettes de soleil toutes noires.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en vitesse. Dans le petit sac à dos, nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille de flotte, nos K-ways et les culottes des filles. Pour la randonnée de l'après-midi, nous avons prévu le circuit qui passe au dessus du village de Javirole. Nous voulons voir ce fameux point de vue sur le lac d'Annecy. Clémentine monte récupérer un foulard en soie. Elle redescend en l'ayant passé à son cou. Je n'ai plus qu'à y fixer le collier canin et la laisse.

Grâce au foulard de soie, le cuir du collier ne pourra pas irriter la peau sensible de Clémentine. Nous voilà partis. Nous descendons le sentier qui mène au col des Vellices à une demi heure. Nous croisons quelques marcheurs. Ceux qui remarquent la laisse qui pend du cou de Clémentine, regardent avec un discret étonnement. Du col des Vellices, nous prenons le sentier qui tourne sur les hauteurs autour du village. Les maisons de Javirole sont nichées dans une sorte de fer à cheval rocheux.

Il y a là davantage de marcheurs. Personne ne fait vraiment attention à ce curieux accessoire fixé au cou de cette superbe jeune fille. Nous croisons rarement des solitaires. En voilà un. Un sénior athlétique. Il monte les lacets du sentier. Clémentine me tend la poignée de la laisse. Je la tiens fermement. Estelle marche devant nous. Clémentine marche derrière moi. Nous nous serrons sur le côté pour laisser le passage à l'inconnu. Le type découvre la scène. Un étonnement amusé se lit sur son visage.

Notre trio, dans cette mise en situation totalement surréaliste, à de quoi surprendre. Nous faisons une seconde rencontre. Cette fois ce sont deux jeunes femmes. La consternation fait place aux sourires lorsqu'elles s'arrêtent pour nous laisser passer. Je suis extrêmement gêné. Je ne pourrais jamais m'habituer à ce genre de chose. Une des deux jeunes femmes lance : << Eh ben ! On en voit des choses dans les Alpes ! >>. Nous ne répondons pas. Nous continuons notre chemin. Deux mecs. Certainement les maris.

Nous nous arrêtons. Estelle dit : << Priorité à ceux qui montent, comme en voiture ! >>. L'un des types lance : << Merci ! >>. Juste avant de découvrir Clémentine tenue à la laisse à côté de moi. Les deux marcheurs ne cessent de se retourner. Comme s'ils voulaient êtres certains de ne pas halluciner. Nous en rigolons comme des bossus en reprenant notre marche. Il est 16 h quand nous arrivons à la vue panoramique. Le paysage autour de nous est éblouissant. Nous sommes à 1 800 m d'altitude.

En bas, dans cette grande cuvette naturelle, nous distinguons toute la partie sud du lac d'Annecy. Estelle sort la paire de jumelles du sac à dos. C'est immensément beau. Avec ce ciel bleu, le regard se porte loin. Il y a des bateaux sur le lac. De grands yacht. Il y a là beaucoup de gens. Nous restons soigneusement à distance. Nous apprécions ce spectacle grandiose comme fascinés par l'immensité de ce paysage unique. Nous prenons le chemin du retour. Il faut prendre le même jusqu'à Javirole. Pas d'autre choix.

A nouveau, nous choisissons soigneusement les marcheurs que nous croisons. Les privilégiés qui auront la chance de découvrir notre trio dans ses exactions libidineuses. Cette superbe jeune fille tenue à la laisse. Cette autre superbe jeune fille qui me précède. Qui me tient par la main. L'effet de surprise est évidemment total. A chaque fois. C'est tellement surprenant que certains marcheurs se retournent, s'arrêtent. Il y a des couples que cela amuse. D'autres que cela semble offusquer. Mille excuses, on s'éclate...

Nous arrivons sur les hauteurs de javirole. Dans le sac à dos, il y a la petite carte du restaurant "Le Montagnard". Il est 18 h30. Je propose de téléphoner. S'enquérir de l'éventualité d'une table libre pour ce soir. Clémentine téléphone. << Génial ! >> s'écrie t-elle à deux reprises en discutant avec un interlocuteur. << Nous avons notre table pour 19 h45 ! >> lance Clémentine. Les filles sautillent autour de moi en improvisant des paroles loufoques. Les marcheurs qui nous croisent en sont amusés. Sans voir la laisse.

Nous descendons par le sentier de la table d'orientation. Nous arrivons au village. Clémentine refuse de retirer la laisse. Elle l'a tient à deux mains pour ne pas trop attirer l'attention. Nous enfilons nos masques sanitaires. Pour le principe quand nous arrivons au "Montagnard". La salle est presque pleine. La jeune serveuse nous reconnaît. Notre table nous attend. Notre choix se porte sur une terrine de saumon avec sa farandole de petits légumes. Après notre randonnée, ce repas est une délicatesse réellement exquise.

A force d'insister, Estelle et moi nous avons réussi à convaincre Clémentine de cacher la laisse sous son T-shirt. Le collier de cuir peut à la rigueur passer pour un accessoire "Punk". Deux visites aux toilettes. La première avec Clémentine que je fais sucer en véritable salaud. La seconde avec Estelle que je laisse sucer délicatement. Nous récidivons avant le dessert. Sous quelques discrets regards interrogateurs. Que va faire cet homme d'âge mûr avec ces deux jeunes filles qui l'entraînent toutes les deux aux toilettes ? A tour de rôle.

Nous traînons à table. La fatigue se fait sentir. Il est 21 h30. Nous flânons dans la rue principale pour prendre le sentier. Je fixe la lampe frontale autour de la tête. La nuit tombe. Nous marchons d'un bon pas. Au dessus de nos têtes le ciel noir constellé de milliers d'étoiles. C'est merveilleux. Il est 22 h30 quand nous arrivons au chalet. Fourbus. Au lit, j'offre à mes deux anges un cunnilingus. Estelle s'endort avant de jouir. Clémentine se blottie contre moi. << Merci "Maître" ! >> murmure t-elle avant de plonger.

Bonne randonnée à toutes les coquines qui aiment se faire promener à la laisse sur les sentiers de montagne...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1240 -



La chaleur, la montagne, les randonnées et la laisse...

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par les incessantes caresses d'Estelle. Elle pratique son jeu préféré encore dans un probable demi sommeil. Elle me tient par mon érection matinale en gémissant. Cela réveille Clémentine qui vient se serrer contre moi. Elle saisit mes couilles à pleine main. Je suis entre mes deux anges. Nous nous étirons tous les trois en modulant longuement nos gémissements. C'est tellement drôle. N'en pouvant plus, Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Je vais pisser au lit ! >>.

Il est 8 h30. Il fait beau. Nous allons sur le balcon. La fraîcheur est très agréable. Pas de doute, la journée s'annonce magnifique. Nous mettons nos tenues sport. Nous dévalons les escaliers pour aller pisser. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans cette douce odeur de café et de pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme du jour. Nous traînons un peu à table. Nos sommeils sont d'une telle profondeur et d'une telle qualité en montagne.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Estelle monte rapidement mettre sa tenue de jogging. Nous sortons. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Quelques mouvements d'échauffement. Nous voilà partis pour un running d'une heure sur le sentier de grande randonnée. Nous y croisons déjà des marcheurs. Il est 10 h quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Nous allumons l'ordinateur pour découvrir le message de Julie. Elle a réalisé hier sa treizième vente. Nous répondons pour la féliciter.

Estelle revient vêtue de sa jupette. C'est à elle de consulter sa messagerie. Nous allons prendre notre douche. Nous nous habillons. Jupette, T-shirt pour Clémentine, short, T-shirt pour moi. Nous rejoignons Estelle qui surfe sur le site de l'université. Toujours pas d'informations sur la possibilité de reprendre les cours en ligne à la rentrée fixée au lundi 14 septembre. Nous sortons faire quelques pas au dehors. Il n'est que 10 h30 et il fait déjà bien chaud. Nous contournons le chalet par le sentier du réservoir.

Les vaches broutent paisiblement dans le pré. Malgré la pente, elles restent en parfait équilibre. Là, à une cinquantaine de mètres, elles nous regardent passer tout en ruminant. Ce sont de belles vaches, musclées, au pelage taché de brun et aux cornes pointues. Nous montons jusqu'à la paroi rocheuse. Estelle me palpe la braguette en revenant sur notre projet de film. << Cet après-midi, on emmène la caméra et on se fait des séquences. Ça vous dit ? >> lance t-elle. << Ça marche ! >> fait Clémentine.

Nous marchons à l'ombre des hauts sapins noirs qui bordent la paroi rocheuse. Il faudra que nous explorions cette direction. Savoir où mène ce sentier. J'ai la bite à l'air. << Je me sens salope encore aujourd'hui ! >> fait Estelle en s'accroupissant devant moi. Clémentine se serre contre moi dans mon dos. Elle agite ma bite devant le visage d'Estelle. Je dis à Estelle : << Cet après-midi, c'est toi qui porte le collier et la laisse ! >>. Estelle se met à déposer plein de bisous sur ma queue en s'écriant : << Oh oui ! >>.

Je ne tarde pas à me retrouver avec le sexe dans la bouche d'Estelle. Je la laisse sucer un peu avant de l'aider à se redresser. C'est au tour de Clémentine. << Quand je suce le matin, après j'en ai envie toute la journée ! >> fait Estelle qui me montre l'intérieur de sa bouche. << Moi aussi ! >> rajoute Clémentine que j'aide aussi à se redresser. Nous revenons sur nos pas. Estelle insiste une fois encore. Elle veut absolument s'occuper du repas. Interdiction nous est notifié de la rejoindre à la cuisine avant l'appel.

Nous la raccompagnons jusqu'au bas de l'escalier. Il est 11 h30. Un dernier bisou. Estelle monte à toute vitesse. Clémentine m'entraîne par la main. Nous remontons le pré en contournant les vaches. Laissons ces braves bêtes brouter en paix. Nous retournons nous assoir à l'ombre des sapins au bas de la paroi rocheuse. Clémentine évoque ses cours, l'écosse et notre prochain séjour dans notre location près de Saint-Malo. Deux semaines. Nous éviterons la ville pour explorer la région. Les sentiers côtiers.

Même si le port du masque obligatoire est surtout destiné à maintenir la pression sur la population, il est inutile de nous exposer à la peur. Clémentine tient mon sexe en main. J'ai la mienne glissée sous sa jupette. Nous bavardons ainsi en profitant de la douceur de cette fin de matinée. Je bande bien dur. Clémentine évoque quelques désirs futurs. Ses fantasmes. Avec la crise sanitaire il n'est évidemment pas question de s'amuser à tailler des pipes à quelques inconnus. C'est plutôt frustrant.

<< On mange ! >>. La voix d'Estelle depuis la fenêtre de la cuisine, à l'arrière du chalet. Malgré les 150 mètres, cette voix parvient jusqu'à nous avec une étrange clarté. Effets de réverbération de la paroi rocheuse. Nous descendons. Je remballe la queue car nous croisons un groupe de marcheurs. Nous montons l'escalier. L'odeur de la bouffe nous met dans une faim de loup. La table est mise. Estelle a préparé un gratin de coquillettes. Une sauce aux anchois. Une salade de tomates avec des avocats.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous félicitons Estelle pour ce délicieux repas. Clémentine lui fait part des mesures de précaution que nous comptons prendre une fois à Saint-Malo. << J'ai l'impression que les dirigeants ne cherchent pas à lutter contre un virus mais contre les libertés ! >> conclue t-elle. Nous sommes tous les trois bien d'accord. Hors de question d'aller traîner en ville. Ce sera un séjour consacré aux randonnées sur les sentiers côtiers. La découverte de l'arrière pays.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Dans le petit sac à dos que je porte, nos pommes, les barres de céréales, la bouteille de flotte et nos K-ways. Estelle y glisse le collier canin et la laisse. Clémentine y glisse la caméra. Les filles retirent leurs culottes au bas de l'escalier pour les fourrer dans le sac. Nous descendons le sentier jusqu'au GR9. Cette fois, nous le prenons dans l'autre direction. Une descente raide. Puis ça monte.

Il est 13 h. Nous croisons nombre de randonneurs. Avec la chaleur, la montagne est un lieu prisé. << C'est un vrai boulevard aujourd'hui ! >> lance Estelle. Nous marchons d'un bon pas depuis une demi heure. Nous arrivons sur une sorte de promontoire rocheux. La vue est splendide. << Regardez, là, le sentier qui descend vers la forêt de hêtres ! On va voir ? >> propose Estelle. Nous descendons. Il y a un escalier naturel taillé dans la roche. Le sentier est abrupte. Il y a un panneau "Danger".

Là, en bas, Estelle sort le collier et la laisse. Elle me les tend. Je met le collier autour de son cou. J'y fixe la laisse. L'endroit est désert mais nous restons vigilants. Clémentine tient la caméra. Je tiens Estelle par la laisse. Je l'entraîne. Elle marche derrière moi, courbée en avant, subissant les à coups que je donne à la laisse. Clémentine filme. Quand la largeur du sentier le permet, elle nous dépasse. Elle filme ainsi la scène sous des angles différents. Il y a un couple de marcheurs. Discrétion totale.

J'ai juste le temps de me retourner. Estelle se serre contre moi. Le couple nous dépasse. Nous nous saluons. J'ai la bite à l'air. Ouf, ils ne se sont rendus compte de rien. J'entraîne Estelle derrière un amas rocheux. Il faut être prudents. Il y a un ravin. La falaise. Nous restons loin du gouffre. En bas, à plusieurs centaines de mètres, quelques bâtiments d'une exploitation agricole de montagne. Je force Estelle à se mettre à genoux sur la mousse. Clémentine filme. Je frotte ma bite sur le visage d'Estelle.

Je lui enfonce la bite dans la bouche. Je la tiens par ses cheveux et sous le menton. Je me comporte avec cette vulgarité absolue qu'elle apprécie tant. Je retire ma queue en laissant des filaments de foutre visqueux. Je me penche. Je place mon visage contre celui d'Estelle en indiquant l'objectif de la caméra avec mon doigt pointé. Clémentine filme, accroupie, les cuisses largement écartées. Je reproduis cette situation à trois reprises. Nous cessons. J'aide Estelle à se redresser. Je lui masse un peu les genoux.

Nous remontons sur le promontoire rocheux. De là nous reprenons le GR9. Nous alternons les tronçons ombragés et ceux en plein cagnard. Ça monte. Nous arrivons au lieu dit "Les pointes des Lys". La vue est magnifique. Il y a une table d'orientation. Plein de monde. Une véritable petite foule. Nous restons soigneusement à distance. Là-bas, le Mont Blanc entouré de ses sommets enneigés. C'est une image saisissante. Estelle nous fait remarquer le sentier qui descend vers une petite construction de pierres.

Nous descendons. En fait, c'est une chapelle. Il y a peu de monde. Le sentier la contourne pour s'arrêter net au bord d'une falaise. En bas, le vide effrayant. Il y a bien 500 m de falaise abrupte. Nous restons prudents. Il y a une anfractuosité. Estelle tire à nouveau le collier et la laisse du sac. Clémentine en sort la caméra. Estelle, attachée à la laisse me suit, courbée en avant, le long du sentier. Clémentine filme. A nouveau je fais mettre Estelle à genoux dans l'herbe. A droite, à 30 m, le gouffre. A gauche, la paroi rocheuse.

A nouveau je frotte ma queue sur le visage d'Estelle. A nouveau je la lui enfonce vulgairement dans la bouche. A nouveau je la retire pour mettre mon visage contre le sien. Nous sourions à la caméra. C'est tellement excitant. Clémentine filme en se touchant. Je me couche dans l'herbe. Sur le flanc. Je tire sur la laisse pour attirer Estelle. Elle n'a d'autres choix que de se coucher dans l'herbe. C'est une herbe rêche. Piquante. Ce n'est pas très agréable. J'enfonce ma bite dans la bouche d'Estelle.

Je me fais sucer ainsi, couché sur le côté. Là aussi, je force Estelle à cesser pour fixer l'objectif de la caméra. Clémentine filme sous tous les angles. Des voix. Il faut cesser. Nous nous redressons à toute vitesse. J'ai juste le temps de me tourner. C'est un groupe de marcheurs. Une bonne dizaine qui se suivent. Ils remarquent cette jeune fille qui tente de dissimuler la laisse et le collier qu'elle porte autour du cou. Estelle est toute rouge. Habitée par la honte. Elle me regarde comme affolée. Je m'empêche de rire.

Les gens sont partis. << J'ai jamais été aussi gênée de ma vie ! >> fait Estelle qui essuie sa sueur avec un mouchoir en papier. Nous regardons les images prises par Clémentine. Les prises de vue sont magnifiques. Nous n'y voyons pas seulement nos comportements de vicelards mais aussi la vue sur ces paysages sublimes. Nous remontons vers le GR9. Il est 17 h. Il faut prendre le sens du retour. Heureusement, c'est souvent de la descente. Nous sommes là à 2 100 m d'altitude. Il fait chaud.

Nous croisons plein de marcheurs. Il y en a aussi qui vont dans la même direction que nous. Il est 20 h30 quand nous revenons. Fourbus. Morts de faim. Mais enivrés d'un après-midi merveilleux. Des paysages sublimes plein la tête. Des situations vicelardes plein les souvenirs.
Clémentine prépare une laitue. Estelle prépare une belle omelette aux fromages. Je réchauffe le gratin de coquillettes. Nous dévorons un repas simple. Ce repas nous paraît le plus succulent du monde. Nous sommes fatigués.

Nous traînons à table. Nous sommes épuisés. La vaisselle. Nous allons encore faire quelques pas au dehors. La nuit est magnifique. Un ciel noir constellé de milliers d'étoiles. C'est enivrant. L'immensité de toutes les choses qui nous entourent nous fait prendre conscience de nos existences. Nous nous amusons de quelques considérations philosophiques avant de monter nous coucher. Je lèche mes deux anges. Le jus de filles est un nectar. Elles me sucent à tour de rôle. Trop fatigués nous nous endormons sans orgasmes.

Bonne randonnée alpestre dans un paysage monumental à toutes les coquines qui aiment s'y faire filmer promenées à la laisse...

Julien

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1241 -



Un samedi montagnard plein de belles surprises

Hier matin, samedi, je suis réveillé par quantité de bisous que l'on dépose délicatement sur mon visage. On me tient la bite. On me tient les couilles. Sans ouvrir les yeux je passe mes bras sous les nuques d'Estelle et de Clémentine. Je suis entre mes deux anges qui se serrent contre moi. Elles sont déjà réveillées. C'est rare toutes les deux en même temps. Il est 8 h30. Nous nous chuchotons quelques douceurs. Estelle se lève la première, elle se précipite dans l'escalier en s'écriant : << Ça urge ! Je vais me pisser dessus ! >>

Nous nous levons. Nous ouvrons la porte fenêtre pour aérer. La fraîcheur est agréable. Sur le balcon, la vue est magnifique. Nous nous habillons. Morts de faim, vêtus de nos tenues sports, nous dévalons les escaliers jusqu'aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine déjà vêtue comme nous. Cette délicieuse odeur où se mêlent celle du café et cette du pain grillé. Estelle qui vient se blottir contre moi en disant : << Merci pour hier. Pour toutes les sensations ! >>. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous.

Nous prenons un bon petit déjeuner. Nous traînons à table. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme du jour. Il faut descendre au village pour y faire les courses. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Clémentine a sorti la pâte feuilletée et deux pavés de saumon du congélateur. Nous sortons. Nous descendons l'escalier de bois. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour notre heure de jogging. Le long du GR9, ce chemin de grande randonnée déjà fréquenté par des marcheurs.

Il est 10 h quand nous sommes de retour. Estelle prend sa douche la première. Clémentine allume l'ordinateur. Nous avons le message quotidien de Julie. Là-bas, dans sa galerie d'Art elle n'a pas une minute à s'ennuyer. Elle nous raconte sa journée de hier. L'affluence. Les visiteurs incessants. Nous répondons. Estelle vient nous rejoindre. C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Nous rejoignons Estelle à la cuisine qui vient de faire une Béchamel. Laver les carottes pour la salade. Nous la félicitons.

Nous voilà prêts à descendre au village. Nous avons les grands sacs à dos. Estelle et Clémentine sont vêtues de leurs jupettes, T-shirt. Je suis en short, T-shirt. Nous descendons le sentier jusqu'au col des Vellices. Puis nous prenons la direction du village. Ça descend tout le long. 15 minutes de marche. Il y a déjà de l'affluence. Nous enfilons nos masques sanitaires avant d'entrer dans la supérette. Nous utilisons notre stratégie habituelle. Estelle nous attend dans la file à l'une des deux caisses. Il y a du monde.

Clémentine, la liste de courses à la main, nous entraîne dans les rayons qui nous concernent. Surtout les fruits et les légumes. Le beurre, les fromages. Elle me fait remarquer les prix en disant : << Ils ne se font vraiment pas chier, c'est parfois moitié plus cher qu'ailleurs ! >>. Nous n'oublions rien de la liste. Nous rejoignons Estelle en caisse. Nous dispatchons les achats dans les deux sacs à dos. C'est du lourd mais c'est pour toute la semaine à venir. Plus besoin d'y penser. Sauf peut-être le pain. On a du stock.

Estelle et Clémentine se refilent le sac à dos. Je porte le mien. Il faut marcher 30 minutes pour remonter au chalet. Et la chaleur s'amplifie. Il est 12 h30 quand nous sommes de retour. Nous rangeons nos courses pendant qu'Estelle se met directement à la préparation de la tourte au saumon. Nous avons une belle et grosse brioche. Deux grosses miches de pain dont l'une va direct au congélo. Nous mettons la table. Morts de faim, nous allons faire quelques pas au dehors en attendant la cuisson de la tourte dans le four.

Il y a un curieux grésillement qui vient des sapins qui entourent le réservoir. Nous montons voir. Nous découvrons la grande antenne relai. Nous ne l'avions pas encore vue. Cette antenne dessert probablement le village en ondes. Elle explique aussi la perfection de nos connexions Internet. Les filles se plaignent de leurs épaules un peu endolories par la charge du sac à dos. Je leurs masse à toutes les deux le haut du dos. Estelle me palpe la braguette en disant : << Docteur Julien, comme vous êtes efficace ! >>

Je me retrouve évidement très rapidement avec la bite à l'air. Clémentine fait un test avec le téléphone. << Tout fonctionne à la perfection ! >> dit elle en nous montrant l'écran. Nous redescendons. Juste au moment où résonne la sonnerie du four. Estelle en sort une tourte dorée à point. Nous savourons un repas digne des Dieux. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Nous sommes à 1 466 m d'altitude et le thermomètre extérieur indique 28°. Les fenêtres sont grandes ouvertes.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous restons habillés ainsi. Dans le petit sac à dos que je porte, nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille d'eau et nos biens inutiles K-ways. Clémentine ferme la porte du chalet. Elle passe la clef fixée à la cordelette autour de son cou. Nous voilà partis. Nous décidons l'exploration du sentier qui s'enfonce dans la forêt de sapins aux pieds de la falaise. C'est un étroit sentier. Il descend puis remonte.

Nous sommes le plus souvent à l'ombre. Estelle marche devant. Je suis au milieu. Clémentine ferme la marche. Le sentier semble contourner la falaise. Estelle se retourne souvent pour me palper la braguette. Comme nous croisons quelques marcheurs, je préfère garder la bite planquée. Je lui passe la main sous la jupette, entre ses cuisses. Tout en marchant. << Mais j'aime ça, si tu savais ! >> me fait Estelle. Je réponds : << Mais je sais ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous arrivons sur les chaumes.

Sur le panneau indicateur, à l'intersection des sentiers, il est écrit "Ferme des Alys". C'est à 45 minutes. Ils y servent des casses croûtes. des boissons et des glaces. Notre direction est donc évidente. Le sentier est entouré de prés verdoyants. C'est parfois escarpé. Il y a des vaches. Il y a des randonneurs. Nous marchons le plus souvent sous le cagnard. La bouteille d'eau est vide. Nous arrivons en vue de la ferme. C'est une exploitation agricole typique des hauteurs alpestres. Il y a du monde.

Il y a deux terrasses noires de monde. Nous avisons le muret qui sépare deux cours. Nous nous y installons. Je vais prendre la commande. La jeune femme derrière son comptoir trouve notre lieu de consommation stratégique. Je rejoins les filles. La jeune femme arrive avec nos coupes glacées. Estelle est allée remplir la bouteille d'eau. Nous savourons ces glaces délicieuses à l'ombre d'un des bâtiments de bois. Nous sommes à une bonne trentaine de mètres de la terrasse. Nous maintenons ainsi notre distanciation sociale.

Il faut constater qu'ici aussi la plupart des touristes ignorent complètement les mesures sanitaires les plus élémentaires. C'est navrant. << On risque d'en payer le prix cet automne ! >> lance Clémentine. << Nos congénères sont des crétins ! >> rajoute Estelle. Nous admirons le paysage. << Après je te fais une pipe montagnarde ! >> me fait Estelle. Nous ramenons nos coupes vides à l'intérieur munis de nos masques sanitaires. Nous filons. Nous fuyons la foule. Nous prenons le sentier qui monte.

Nous nous tripotons à chaque fois que nous sommes seuls. Le sentier rejoint les sommets rocheux. Nous y montons. C'est escarpé. Des rambardes de fer, ou de grosses chaînes assurent une sécurité minimale. Nous évitons de regarder vers le bas. C'est vertigineux et nous sommes sujets au vertige. De là haut, le spectacle est magnifique. Les sommets enneigés. On voit jusqu'à l'aiguille du midi au dessus de Chamonix. Clémentine prend des photos. Estelle me palpe discrètement la braguette. Il y a du monde.

<< T'es pas chiche de la sortir là ! >> me fait elle. Nous sommes devant le parapet de pierres qui protège du vide. Je regarde partout autour de moi. Les gens les plus proches sont à quelques mètres. Je sors ma bite. Je reste le ventre contre le parapet. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite. Elles seules peuvent voir mon sexe qui frotte contre les pierres. Estelle me le saisit. << Docteur Julien, vous êtes d'un courage exemplaire ! >> chuchote Estelle. Nous en rions de bon cœur. C'est un peu fou.

Je ne m'expose pas longtemps. C'est trop gênant d'être ainsi téméraire. Je remballe. Je dis à Estelle : << Et toi, tu es chiche de te livrer à une petite exhibe ? >>. Elle regarde partout autour de nous. C'est réellement impossible. Clémentine décroche le sac à dos de mes épaules. << A moins de faire comme ça ! >> dit elle en posant le sac au sol tout en s'accroupissant. Le sac masque sa culotte. Les cuisses écartées, Clémentine fait mine de fouiller à l'intérieur du sac. << T'es gonflée ! >> lui fait Estelle.

Il y a un type, là-bas, qui tente d'en voir davantage. Il se déplace sans quitter Clémentine des yeux. Elle l'a repéré. Aussi, d'un mouvement leste mais calculé, elle se tourne franchement vers lui. Cela ne dure qu'un bref instant. Clémentine se redresse. << Attends, je lui donne le coup de grâce ! >> murmure t-elle. Contre moi, Estelle faisant écran, Clémentine glisse une main sous sa jupette pour se toucher. Juste un instant. Le type mâte à s'en déboîter les globes oculaires. On le comprend. Heureux privilégié.

Nous quittons le lieu. Il faut descendre les marches d'un escalier taillé dans le roc. Il y a des paliers successifs. C'est bien conçu. Des gens montent, d'autres descendent. Nous voilà sur le sentier qui rejoint le GR9. Nous sommes déjà passés là au début de la semaine dernière. Là-bas, nous apercevons la chapelle, Notre Dame des Monts. Vue depuis ces hauteurs, c'est un petit cube de pierres aux tuiles luisantes sous le soleil de plomb. Il faut descendre un sentier escarpé. Céder la place à ceux qui montent.

Nous voilà enfin sur le GR9. Il est à l'ombre du plateau que nous venons de descendre. C'est agréable. Estelle remplit la bouteille d'eau à la source. Il faut descendre les marches d'un escalier. Il y a un calvaire. Un Christ en croix. Un panneau "La source des Fées". L'eau y est potable et d'une pureté incroyable. L'eau de montagne est très peu minérale. Extrêmement légère et délicate au gout. Avec cette chaleur, la bouteille d'un litre et demi se vide rapidement. Nous buvons beaucoup. Il est important de s'hydrater.

Nous croisons de nombreux marcheurs. Il y a parfois des inconscients en tongs. << Put-Hein, mais c'est une humanité de crétins ! >> lance Estelle en nous montrant cette famille chaussées de tongs qui escalade un sentier. C'est hyper dangereux. Les parents devant, les mioches qui suivent péniblement. << Ils vont faire l'escalade des Grandes Jorrasses en tongs ces cons là ! >> lance Clémentine. Nous sommes pliés de rire. Nous marchons d'un bon pas. Il fait un peu moins chaud car il y a un courant d'air. Un vent léger très agréable.

Il est 19 h30 quand nous revenons au chalet. Morts de faim. Clémentine prépare une belle laitue. Estelle réchauffe le reste de la tourte au saumon. J'épluche les patates. On les coupe en fines tranches façon chips. Je les fais revenir à la poêle. Nous dressons la table. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de cette belle journée. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent leurs études. La rentrée universitaire du lundi 14 septembre. Leurs désirs de reprendre les cours en ligne.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents avant de ressortir. Comme il fait bon. Après cette chaude journée, parfois caniculaire au soleil, nous apprécions la fraîcheur du soir. Une légère humidité. Nous montons le pré. Les vaches sont toutes couchée à ruminer. Elles nous observent. Estelle lève sa jupette, descend sa culotte à mi cuisses. << Exhibition sexuelle devant bovins ! >> lance t-elle. Nous éclatons de rire. Clémentine fait pareil. Moi aussi. Les vaches nous regardent sans cesser de mastiquer. C'est trop drôle.

Nous montons ainsi, en marchant comme des canards, jusqu'au bas de la paroi rocheuse. Les filles sont assises sur les rochers. Je leurs retire les culottes complètement. Je suis à genoux dans l'herbe. Je fourre mon visage entre les cuisses d'Estelle. Je savoure la crème onctueuse de sa journée de fille. Lorsque je ne suce pas son clitoris, Estelle se masturbe. Je passe à Clémentine. Là, avec la crème il y a le petit lait. Lorsque je ne suce pas son clitoris géant, Clémentine se masturbe. C'est génial dans le crépuscule naissant.

Je passe de l'une à l'autre. Je me régale de ces nectars onctueux et de plus en plus abondants. Du délicieux jus de filles. Je n'arrête pas de changer de chattes. Tout cela dans un concerto de gémissements. C'est divin. La nuit est totalement tombée. Toujours ce ciel d'encre, constellé d'étoiles au dessus de nos tête. L'immensité et le silence. L'orgasme d'Estelle est une pure merveille. Ses râles de plaisirs résonnent d'une étrange façon dans la montagne. L'orgasme de Clémentine est une véritable mélodie de petits cris.

<< Toi, mon vieux, je vais te sucer ! Te vider les burnes mon salaud ! >> s'écrie Estelle en se redressant pour se coucher dans l'herbe humide. Elle gobe mon sexe en poussant un petit cri de ravissement. Clémentine reprend ses esprits en regardant Estelle couchée dans l'herbe, sur le côté, entrain de me tailler une pipe des familles. Elle vient nous rejoindre pour m'embrasser passionnément. Cela a pour conséquences de m'exciter encore davantage, de produire du liquide séminal en abondance.

Je suis à genoux dans l'herbe humide, assis sur mes talons. Estelle couchée sur le côté en appui sur son coude. Je lui appui sur la nuque. Je me fais pomper comme un salaud. Estelle ne veut pas partager ce soir. Clémentine a beau chuchoter, entre deux baisers : << Et moi ! >>. Je murmure à Estelle : << Suceuse égoïste ! >>. Elle se contente de glousser sans cesser de piper. Je lui éjacule dans la bouche pendant que Clémentine fouille la mienne de sa langue exploratrice. C'est génial de jouir en montagne, dehors, la nuit.

Nous redescendons en nous tenant par la main. Les vaches couchées ne sont plus que des masses informes que nous devinons. Nous avions laissé la lumière de l'escalier allumée. Cela guide notre retour nocturne. Il est 22 h30. Nous sommes épuisés. Nous pissons dehors, dans l'herbe, au bas de l'escalier. Je torche les filles avec des mouchoirs en papiers. Nous montons à toute vitesse. Je jette les mouchoirs dans les chiottes. Nous voilà couchés. Je suis entre mes deux anges. Estelle s'endort déjà. C'est merveilleux.

Bonne randonnée à toutes les coquines qui aiment s'y adonner au tripotages de bites, aux petites exhibes discrètes et au bonheur...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1242 -



Un dimanche montagnard et juteux

Hier matin, dimanche, c'est Estelle qui me tire de mon profond sommeil. Elle pose sa jambe sur mon érection matinale en se serrant contre moi. Elle glisse son autre jambe sous mes reins. D'un mouvement lent et régulier elle se masturbe contre moi. C'est adorable. << J'ai rêvé de toi ! >> me chuchote t-elle. Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. J'ouvre les yeux. Il est presque 9 h. Il est rare que nous dormions si tard. Estelle se lève d'un bond. N'en pouvant plus elle se précipite dans l'escalier.

Clémentine m'entraîne par la main sur le balcon. Il fait beau. Il fait déjà chaud. Nous descendons en slips et T-shirt pour aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Ce matin la délicieuse odeur de la brioche vient s'ajouter à celles du café et du pain grillé. Estelle se précipite contre moi. Je la soulève. Elle me dépose plein de bisous sur le visage. Je dis : << Viens, raconte nous ton rêve ! >>. Nous mangeons de bon appétit. Ce petit déjeuner est un véritable bonheur. Tous les trois en slips et T-shirt.

Estelle nous raconte son rêve. C'est un peu décousu, surréaliste et très amusant. Nous sommes tous les deux au bas d'une falaise, suspendus dans une sorte de nacelle. Nous n'osons pas en sortir car il y a des gens et que nous sommes tous nus. S'en suivent évidemment des attitudes tendancieuses et un léchage de minou. Nous en rions de bon cœur. Estelle rajoute : << Je ne me souviens plus de tout ! >>. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font le vague programme de la journée.

Le dimanche pas de jogging. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous montons faire notre lit. Nous habiller. Jupettes, T-shirt pour les filles, short, T-shirt pour moi. Nous fermons la porte fenêtre. Nous dévalons les escaliers. Pressés de filer au dehors. Le thermomètre extérieur indique 26°. Il est 10 h. Nous sommes à 1 466 m d'altitude. La journée s'annonce chaude. Nous passons nos mains sous l'eau de la fontaine. Nous contournons le chalet pour monter le pré.

Il y a l'exploitant agricole qui est entrain de réunir ses vaches. Nous bavardons un peu. Comme il nous l'avait précisé il y a trois jours, il revient chercher ses bêtes. Il faut dire qu'elles on littéralement tondu tout le pré. L'herbe y est aussi rase qu'un tapis de golf. Nous les regardons descendre le sentier. On se sent un peu seuls sans les vaches. Nous montons jusqu'à la paroi rocheuse. La vue est magnifique. Le ciel est d'un bleu limpide. Il n'y a pas un souffle de vent. Nous nous asseyons sur les rochers pour admirer.

Estelle et Clémentine reviennent sur leurs études. Cette rentrée du 14 septembre. Il n'y a toujours encore aucune information sur la reprise des cours en ligne. Cette formule en télé-travail a toutes la préférence des filles. Elles n'ont pas envie de se retrouver en situation de risque. La crise sanitaire étant loin d'être terminée. J'écoute les différentes stratégies qu'elles souhaitent développer. Estelle se lève. Elle se met à genoux dans l'herbe, entre mes jambes. << Il y a le sexe à préserver ! >> lance t-elle.

Nous en rigolons comme des bossus. Je me retrouve rapidement avec la bite dans la main d'Estelle. Je bande mou. L'air de la montagne reste un puissant aphrodisiaque. Nous passons ici de superbes vacances. Nous adorons les randonnées, les découvertes. Nos vacances se doivent d'êtres dynamiques et actives. C'est le cas dans ce splendide petit coin de montagne. Pour une première expérience montagnarde, elle est plutôt réussie. Le dimanche, pas de douche, pas de toilettes, nous restons à macérer dans nos jus.

Aussi, lorsque nous observons les mimiques et les grimaces que fait Estelle en décalottant légèrement mon gland, nous en rions de bon cœur. << Monsieur Schlinguo, votre parmezob sent très fort ce matin ! >> fait elle en humant. Elle tente de glisser sa langue entre la peau du prépuce et celle du gland. Elle a un frisson. << Pouah ! >> fait elle encore en nous montrant le résultat de ses fouilles. Du frome sur le bout de la langue. << Mmhh ! >> fait Clémentine qui se penche pour mieux voir et pour renifler ma queue.

<< Si je commence à te sucer, je n'arrête plus de la journée ! >> lance Estelle qui se met à téter. Nous la regardons biberonner avec passion. Les yeux fermés. Concentrée sur sa succion. << Tu aimes la fondue savoyarde, je vois ! >> lui lance Clémentine. << Mmhh ! >> se contente de gémir Estelle. Je me fais tailler une superbe pipe. Clémentine m'embrasse avec fougue. Je passe ma main sous sa jupette. J'adore le contact du coton de sa culotte. Nous restons ainsi un bon quart d'heure. Estelle cesse enfin.

Elle nous montre le contenu de sa bouche. Elle tente de déglutir avec difficulté. Elle doit s'y reprendre à deux reprises. Clémentine se lève pour prendre la place d'Estelle. La pipe reprend. Estelle, assise à ma droite, me confie son bonheur : << Les vacances, on est ensemble, la montagne, nos sexes ! >>. Nous regardons Clémentine sucer. Elle aussi reste concentrée, sans ouvrir une seule fois les yeux, à gémir de plaisir en pompant l'abondant liquide séminal qui ne cesse d'affluer. Quelques gémissements de plaisir.

Je l'aide à se redresser. Elle s'installe à ma gauche. Estelle veut y retourner. Je dis : << Gardons en pour le reste de la journée. Je vous promets une abondance de jute tout l'après-midi ! >>. Nous en rions de bon cœur. J'ai mes mains dans les culottes de mes deux anges. Nous bavardons encore un peu. Il est déjà 11 h30. La faim se fait sentir. Nous descendons le pré en nous tenant par les mains. Nous croisons un groupe de marcheurs. Nous nous saluons. Leurs regards interrogateurs en dit long.

Clémentine s'occupe de la salade. Une belle laitue. Estelle fait gonfler du riz complet. Je fais dorer trois beaux filets de lieu noir. Nous faisons un coulis d'aubergine. Ail, oignon et persil. Une préparation rapide pour un repas délicieux. Nous ne traînons pas. Pressés de filer, nous faisons la vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous vidons la machine pour suspendre le linge dehors, sur le balcon de la salle de séjour. Nous restons vêtus ainsi. Dans le petit sac à dos que je porte, pommes, barres de céréales et flotte.

Nous voilà repartis. Nous remontons le pré jusqu'à la paroi rocheuse que nous longeons sur une centaine de mètres. Nous prenons le sentier raide et escarpé qui en fait l'ascension. Sans regarder en bas. Ce sentier monte sur environs trois cent mètres. Quand nous arrivons en haut, les chaumes vallonnées s'étendent devant nous. Verdoyantes. Il fait chaud. Nous voilà en plein cagnard. Il faut marcher cinq cent mètres pour se retrouver à l'ombre des hêtres aux troncs et aux branches tourmentés.

Nous croisons des randonneurs. Il faut être prudents. Surtout qu'Estelle m'a sorti la queue. Avec les pipes de ce matin, le Zob dégouline de foutre visqueux et gluant. Ça colle au fond du slip. Estelle me contourne en sautillant. << Arrêt pipe ! >> s'écrie t-elle à chaque fois avant de s'accroupir. Elle me tient aux hanches. D'un mouvement de tête elle gobe ma bite. Je me fais sucer à chaque fois. Clémentine se serre contre moi. Penchée en avant elle regarde Estelle sucer. Il y a du passage. Restons vigilants.

Nous arrivons au croisement des chemins. A droite celui qui rejoint la ferme auberge où nous étions hier. Tout droit celui qui mène au col des Lysons. C'est celui que nous choisissons. C'est aussi le plus fréquenté. Nous marchons à découvert. Le soleil tape. Nous sommes pourtant à 1 800 m. La vue porte jusqu'aux cimes du Mont Blanc et de son massif. Nous profitons de chaque petite forêt que nous traversons. Il y a même un petit lac d'altitude. Un grand étang. L'eau y est glaciale. Mais rafraîchissante.

C'est derrière un amas rocheux que je me retrouve avec le short et le slip descendus. Estelle, accroupie devant moi, maintient son équilibre en me tenant par les hanches. Nous la regardons sucer. Sa passion est admirable. Elle se régale de mon foutre avec délectation. Plus souvent qu'elle ne boit quelques gorgées d'eau à la bouteille. Je l'aide à se redresser. Je lui masse toujours un peu les genoux. Parfois, nous évitons de nous faire surprendre de justesse. Les chaumes sont très fréquentées. Un itinéraire touristique.

Nous voilà au col des Lysons. Une vue spectaculaire sur l'immensité qui nous entoure. Nous gardons la distanciation avec les nombreux marcheurs qui sont là. Nous redescendons. Il n'y a d'autre choix que de reprendre le mème chemin. Dans le sens du retour il réserve d'autres belles surprises. Je crois que je ne me suis jamais autant fais sucer que cet après-midi. Les "arrêts pipes" sont tellement nombreux que nous ne les comptons plus. Il est 19 h30 quand nous revenons au chalet. Fourbus.

Il suffit de réchauffer le reste de riz, de coulis. Clémentine fait une salade de carottes. Estelle concocte une belle omelette. Je râpe le gruyère. Demain, nous retournerons à la ferme pour y acheter du fromage de montagne. Et y savourer des coupes glacées. Nous mangeons de bon appétit. Estelle me confie à quel point elle a aimé se régaler de mes substances. << Je ne t'ai jamais vu aussi gourmande ! >> lui fait Clémentine. << Et tu n'as encore rien vu ! >> lance Estelle. Nous en rigolons comme des bossus.

La vaisselle. Nous lavons les dents. Nous ressortons. Il est presque 21 h. De vivre l'arrivée du crépuscule, ici, en montagne, est une expérience unique. La fraîcheur est agréable. Il y a une humidité rafraîchissante. Juste le bruit de l'eau qui coule dans la fontaine. Le silence est total. Nous montons le pré en nous tenant par les mains. La fatigue est un enchantement supplémentaire. << L'ivresse des sommets ! >> fait Estelle en s'accroupissant une fois encore devant moi quand nous sommes au pied de la falaise.

<< Mon dessert ! >> murmure t-elle avant de s'engouffrer une nouvelle fois ma bite trempée. Clémentine, serrée contre moi, penchée en avant, l'observe. Tout en lui chuchotant des saloperies, elle me sort les couilles. J'aime les avoir dans la main de Clémentine. Elle a une manière particulière de me les tenir. Je me fais tailler une pipe. Je pourrais tomber en arrière si Clémentine ne me tenait pas. J'aide Estelle à se redresser. Je dis : << Ma délicieuse suceuse, demain c'est à moi de vous étourdir de mes ardeurs ! >>.

Nous redescendons. La nuit est totale. Sans lune. Il faut marcher prudemment dans l'herbe rase. C'est glissant en basket. L'humidité de la nuit. Nous montons les escaliers. Clémentine ferme à clef. Nous passons aux toilettes. Je lèche mes deux coquines juste après leurs pissous. Estelle me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupies, mes deux anges se refilent ma bite pour en savourer les derniers mélanges. Au lit, elles sucent à tour de rôle. L'une m'embrasse pendant que l'autre suce. J'éjacule dans la bouche à Clémentine.

Bonne promenade à toutes les coquines qui apprécient les "arrêts pipe" pour se sustenter. Faire de petites pauses foutre avant de repartir...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1243 -



Randonnée et spécialités régionales

Hier matin, lundi, je suis réveillé de la façon devenue habituelle que m'inflige Estelle. Elle reste accrochée à moi toute la nuit comme une naufragée à sa branche. Mais là, elle se serre très fort en saisissant mon érection matinale à pleine main. Elle me fait des bisous et dépose Bunny Boy, son lapin peluche sur ma poitrine. Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir en gémissant. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Estelle, n'en pouvant plus, se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! Vite ! >>

Clémentine m'entraîne par la main sur le balcon. Il fait doux. Le ciel est gris mais lumineux. << Ce sont de belles vacances, Julien. Elles me font totalement oublier l'écosse ! >> me fait elle. Nous descendons aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Il est presque 8 h30. L'odeur du café, du pain grillé. Il reste une demi brioche. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme du jour. Estelle veut nous préparer une fondue savoyarde à sa façon.

Une recette qu'elle fait à la maison pour régaler ses parents. Nous l'écoutons disserter sur cette fondue qui a la particularité de ne pas nécessiter d'alcool. Comme nous n'en buvons pas, c'est une excellente option. La vaisselle. Nous nous nous lavons les dents. Nous remontons nous vêtir de nos tenues de sport. Nous redescendons. Il y a une douce fraîcheur au dehors. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour notre heure de running. C'est notre parcourt habituel.

Nous y croisons déjà des marcheurs. << Ce chemin de grande randonnée est un véritable boulevard ! >> lance Estelle à notre retour. Estelle qui prend sa douche la première. Nous interrogeons notre boîte mail. Le message quotidien de Julie. Elle vient de totaliser 14 ventes. Elle nous confie que les cimaises qui se vident donnent à la galerie un air un peu tristounet. Il reste dix toiles. C'est le rythme des ventes habituel. Il y a six commandes fermes avec acompte. Il reste un mois d'exploitation. Nous la félicitons.

Estelle revient vêtue de sa jupette, de son T-shirt. C'est à notre tour de filer sous la douche. Nous nous habillons. Jupette, T-shirt pour Clémentine. Short, T-shirt pour moi. Nous ressortons pour monter le pré jusqu'aux falaises. << C'est tristounet sans les vaches ! >> fait Estelle en palpant ma braguette. Elle rajoute : << Julien, dis moi, franchement, c'est pas trop dur de subir les assauts d'une obsédée de bite comme moi ? >>. Nous rigolons comme des bossus. Je passe ma main autour de ses hanches. Bisous.

Nous sommes tous les trois assis sur les rochers. La vue est magnifique. Selon l'ensoleillement ou pas, les teintes de la montagnes varient considérablement. Plus bas, le toit de notre chalet. A gauche le groupe de hauts sapins noirs tout autour du réservoir. A droite la pente et le sentier qui descend sur le GR9. Il y a des marcheurs qui passent devant le chalet pour monter vers ici. Je remballe ma queue. Les filles ajustent leurs jupettes. Tout en bavardant nous avons pour habitude de nous toucher, de nous caresser.

Il est 11 H30. La faim commence à se faire sentir. Nous raccompagnons Estelle au chalet. Défense d'entrer à la cuisine avant qu'elle ne nous appelle. Nous remontons vers le le terrain plat qui surplombe la vallée. De là, la vue sur le chemin de grande randonnée est parfaite. Il y a des groupes de randonneurs. Quelquefois précédés d'un guide. Nous n'avons encore jamais pris l'étroit sentier qui part vers la gauche pour contourner la falaise. Clémentine m'y entraîne. Il rejoint l'autre sente à environs deux cent mètres.

En glissant sa main dans la braguette ouverte de mon short, Clémentine me dit : << J'aime ces séquences où je suis seule avec toi. Je t'aime ! >>. Elle me tient la queue en rajoutant : << Aujourd'hui, c'est moi qui m'en occupe ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je serre Clémentine dans mes bras. Nous nous embrassons avec fougue. Elle s'accroupit. Me sort la queue. Je bande mou. Voilà la première apparition du soleil. Qu'il est bon de se faire sucer en saluant son retour. Prudence. Nous sommes à découvert.

C'est qu'on pourrait nous voir depuis le chemin de grande randonnée. Il passe à environ 300 m en contrebas. Et comme le précise si bien Estelle, ce matin encore c'est un vrai boulevard. J'aide Clémentine à se redresser. Je me penche pour lui masser les genoux endoloris. Je glisse ma main sous sa jupette. Le contact du doux coton de sa culotte me fait frissonner. J'adore. Nous revenons vers le pré en longeant la paroi rocheuse. << On mange ! >>. La voix d'Estelle porte étrangement depuis le chalet. C'est l'écho.

La table est mise. Le caquelon contenant la fondue posé sur un récipient contenant de l'alcool. Une flamme bleue. L'odeur est un enchantement. Dans la corbeille en osier, plein de petits morceaux de pain coupés en cube. Une salade d'endives. Je fais plein de bisous sur le front et les joues d'Estelle. Nous la remercions une fois encore de s'occuper si bien de nos estomacs. La fondue savoyarde, en haute Savoie, sur les hauteurs alpestre, est un rituel qu'il faut accomplir au moins une fois. C'est un délice.

Estelle a remplacé le vin blanc par du cidre sans alcool. Et ça donne parfaitement le change. Nous trempons nos bouts de pain. << Celui qui laisse tomber son bout de pain à un gage ! >> lance Estelle. << C'est quoi comme gage ? >> demande Clémentine. << Sucer la bite à Julien si c'est une de nous deux. Nous sucer la chatte si c'est Julien ! >> répond Estelle. Nous en rigolons comme des bossus quand Clémentine détache le bout de pain de sa fourchette pour le laisser tomber dans le caquelon.

<< Salope ! >> lance Estelle en détachant le sien. Je fais pareil. Nous éclatons de rire. Ce repas est un véritable festin. Nous traînons à table. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous restons vêtus ainsi. Dans le petit sac à dos que je porte, nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille de flotte. Clémentine ferme la porte du chalet. La clef fixée à la cordelette passée autour de son cou. Nous dévalons les escaliers de bois. Du soleil.

Il fait un peu moins chaud que les jours précédents. Nous montons jusqu'à la paroi rocheuse. Nous reprenons le sentier abrupte qui monte sur 300 m. C'est vertigineux. Impossible de s'y habituer. Nous voilà sur les chaumes. Là aussi, nous croisons pas mal de randonneurs. Un de mes gages est de marcher avec la bite à l'air. Je suis donc obligé de faire très attention. Il me suffit de me tourner quand nous croisons des gens. Mais quand il en arrive derrière nous, les filles font écran de leurs corps. Serrées contre moi.

Cet homme d'âge mûr, que serrent deux superbes jeunes filles hyper sexy en montagne à de quoi suscité bien des interrogations. Certains regards trahissent l'émoi, le trouble ou la libido exacerbé. Nous nous en amusons encore follement. Nous aimons marcher dans la forêt de hêtres. C'est plein de mystère et il y fait bien frais. Nous arrivons à la croisée des sentiers. Nous commençons à connaître l'endroit. Il y a des gens qui prennent leurs casses croûtes assis dans l'herbe. Nous prenons la direction de la ferme des Alys.

Nous ne voulons pas seulement y déguster des glaces mais y acheter du fromage des montagnes. De la fabrication "maison". Il est 16 h quand nous y arrivons. Je remballe ma queue. Dans le petit sac à dos, il y a aussi les culottes des filles. Nous faisons comme la dernière fois. Nous préservons notre distanciation. A environs trente mètres des terrasses bondées de gens, nous nous installons sur le muret. Estelle va commander. Clémentine me montre le type affairé là-bas, près du hangar. Un employé.

Elle se tourne sur le muret de façon à être face au mec qui nettoie une sorte de cuve. Un abreuvoir peut-être. Il est à quelques dizaine de mètres. Une jambe relevée, posée sur le muret, les cuisses écartées, Clémentine lui présente sa chatte. Comme je suis assis à côté, l'employé n'ose pas trop regarder ouvertement. Pour lui permettre d'en profiter pleinement, je me lève pour faire mine de m'en aller. Je vais à la rencontre d'Estelle qui revient en me tendant mon porte monnaie. Les glaces vont arriver.

J'informe Estelle des jeux d'exhibe de Clémentine. Nous allons nous assoir plus loin en jouant aux amoureux. Nous mettons nos lunettes noires de soleil. Ainsi, tout en nous embrassant, nous pouvons mâter. Le mec est un sacré coco. Nous y regardons à deux fois. Ce salaud est entrain de montrer sa bite à Clémentine. Personne ne peut s'en douter puisque l'abreuvoir dissimule ses agissements. De son index pointé, il montre la porte du hangar à Clémentine. Elle comprend le "message" comme nous. Une invitation.

La serveuse arrive avec nos coupes glacées. Nous rejoignons Clémentine. Nous dégustons nos glaces. Elles sont vraiment délicieuses. Clémentine nous dit : << Ce vicelard m'a excité. Attend, tout à l'heure je réponds à son invitation. Julien, tu surveilles. Je veux voir ce qu'il veut ce mec ! >>. Estelle lui dit : << Il veut te niquer ! T'es tellement salope à lui montrer ta chatte depuis un quart d'heure ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Les glaces terminées, Clémentine saute du muret pour aller vers le hangar.

Elle se rapproche du type pour lui adresser la parole. Le gars lui montre la terrasse bondée de monde. Puis il lui montre l'intérieur du hangar. Tout en parlant, Clémentine se touche discrètement de sa main gauche tout en agitant sa main droite. Nous comprenons. Elle mime l'urgence d'un pipi qu'elle doit faire. Le mec l'invite à le suivre. Ils contournent la barrière pour entrer dans le hangar. Nous sautons du muret pour y aller aussi. Juste nos têtes penchées, nous regardons à l'intérieur. Estelle me tient la main.

Clémentine, accroupie devant le mec qui se tient à une dizaine de mètres est probablement entrain de pisser entre un tracteur et une remorque. << Mais quelle salope ! Je n'aurais pas le courage ! >> murmure Estelle. Je suis prêt à intervenir au moindre pépin. Le gaillard ne tente rien. Il tient sa bite à la main et se contente de mâter en silence. Nous voyons enfin sa bite. << Put-Hein, le vrai sauciflard montagnard ! >> chuchote Estelle. C'est vrai que le mec possède un sacré saucisson de montagne.

Une voix de femme. Le type remballe à toute vitesse. Clémentine se redresse. C'est probablement la patronne qui vient donner quelques consignes à son employé. Clémentine reste dissimulée derrière le tracteur. Le type suit la femme qui l'entraîne. Clémentine en profite pour nous rejoindre. Nous ramenons les coupes vides à l'intérieur. Nous achetons un beau morceau de Beaufort. Au moins 500 gr. Ce gruyère traditionnel savoyard. Nous prenons une belle tome de Savoie. Le tout dans le sac à dos.

Il est temps de prendre le chemin du retour. Clémentine, considérablement excitée par son aventure, est souvent accroupie devant moi pour me sucer. Elle nous confie à quel point elle aurait aimer tailler une pipe à un tel salaud dans ce hangar. L'odeur des bêtes, du fourrage, la proximité d'un vicelard qui lui montre sa bite, du matériel agricole. Tout cela a participé à cette excitation. Lorsque je glisse ma main entre ses cuisses, je peux constater son état d'excitation. Là, dans la forêt de hêtres, je la lèche.

Couchée sur le dos, allongée sur un de nos K-ways, Clémentine se fait brouter. Estelle me suce comme une affamée. Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la fait hurler de plaisir. C'est très rarement aussi rapide. Je me redresse en tenant Estelle par sa tignasse. Je saisis Clémentine par la sienne pour la forcer à se mettre à genoux. Estelle se serre contre mon dos pour mâter. J'enfonce ma bite dans la bouche de Clémentine. Je la fais sucer avec cette vulgarité qu'elle aime tant. Une bonne dizaine de minutes.

Je lui éjacule dans la bouche en sournois. Je me vide véritablement les couilles. Estelle m'embrasse avec fougue. Je me penche pour allonger une gifle à Clémentine. Ce ne sont jamais des actes de violence. J'en suis incapable. Non, cela fait partie du rôle qui m'est demandé dans ces situations particulières. Je dis : << Le mec du hangar t'aurait juté dans la gueule de la même manière ! Il t'aurait même probablement giflé comme je viens de le faire ! >>. Clémentine se redresse, pousse Estelle et m'embrasse.

<< Demain on y retourne, tu tailles une pipe à ce mec ! >> lance Estelle à Clémentine. << S'il n'y avait pas cette saloperie de Covid, c'est bien ce que je ferais ! >> répond elle. Il est 19 h30 quand nous sommes de retour au chalet. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Estelle concocte une de ces belles omelettes dont elle a le secret. On y rajoute un peu de Beaufort pour goûter. Un peu de tome de Savoie sur du pain. C'est délicieusement miam. Produits du terroir.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles se donnent leurs impressions quand à notre aventure de l'après-midi. << Une bonne exhibe devant un bon vicelard ! Rien de tel pour me faire délirer ! >> confie Clémentine. << J'aimerais avoir ton culot ! >> lui lance Estelle. Je lui rappelle qu'elle n'en manque pas non plus quand l'occasion se présente. Elle aussi aime montrer sa chatte à des inconnus, rapidement, dans les coins et recoins. Nous en rions de bon cœur en nous remémorant des souvenirs.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous ressortons pour assister à ce crépuscule rapide qui précède la nuit. Le ciel s'est voilé. On ne distingue aucune étoile. La fraîcheur est plus vive. Il fait noir. C'est mystérieux, inquiétant presque. Une autre forme d'excitation. Il est 22 h quand nous sommes couchés. Estelle s'endort presque aussitôt. Je saisis Clémentine par ses cheveux pour la faire sucer à nouveau. << J'adore quand tu es comme ça, Julien ! Tu ne l'es pas assez souvent ! >>? Je lui jute dans la bouche...

Bonne virée à toutes les coquines qui aiment visiter les hangars de ferme d'altitude et y acheter des produits du terroir...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1244 -



Nos vacances sont sextraordinaires

Hier matin, mardi, je suis réveillé d'une bien agréable façon. Estelle me prend la main pour la fourrer dans sa culotte. Quelle extraordinaire sensation d'être tiré de mon sommeil ainsi. Elle se saisit de mon érection matinale qu'elle tient d'une poigne de fer. << J'ai encore rêvé de toi ! >> me chuchote t-elle avant de se blottir. Cela réveille Clémentine qui vient se serrer. Je suis entre mes deux anges. Estelle se lève la première. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en se précipitant vers la porte puis vers l'escalier.

Clémentine m'entraîne sur le balcon. Il est à peine 8 h15. Il fait déjà doux. Le ciel est légèrement voilé mais lumineux. Nous descendons pour aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Morts de faim. Cette délicate odeur où se mêlent celle du café et celle du pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme du jour. Nous trainons à table. Assises sur mes genoux, les filles font le bilan de cet exceptionnel séjour.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous montons nous vêtir de nos tenues de sport. Nous redescendons. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour notre heure de running. Nous voilà à courir sur le chemin de grande randonnée. Ce GR9 où circulent déjà nombre de randonneurs. Il est presque 10 h quand nous revenons au chalet. Estelle prend sa douche pendant que nous interrogeons notre boîte mail. Un courriel de Julie. Un courriel de Juliette.

Julie nous raconte le quotidien dans la galerie d'Art. Juliette nous raconte ses vacances à Sartène, en Corse. Nous répondons. Estelle vient nous rejoindre, vêtue de sa jupette, de son T-shirt. C'est à nous de prendre notre douche. Nous nous habillons. Jupette, T-shirt pour Clémentine. Short, T-shirt pour moi. Nous rejoignons Estelle qui répond à un courriel de ses parents. Ils arriverons samedi pour midi. Nous mangerons ensemble. Pressés de filer, nous ressortons pour monter le pré.

Il y a un groupe de marcheurs qui passe devant le chalet et qui monte le sentier. Nous sommes assis dans l'herbe. Il fait tellement agréable. Il n'est que 10 h45. Estelle me reprend la main. Elle fait comme au réveil. Elle me la glisse entre ses cuisses. J'adore le contact du coton de sa culotte. << Sois salaud aujourd'hui, j'ai envie de me faire toucher tout le temps ! >> me dit elle. << Combien de jour que tu n'as plus baisé ? >> fait Clémentine. Je réponds : << Ça fait bien trois jours que je ne vous ai plus pénétré ! >>

<< C'est scandaleux ! Il faut remédier à cette négligence ! >> lance Estelle en se couchant dans l'herbe. Nous en rions de bon cœur. Je suis entre mes deux anges. Nous sommes tous les trois allongés à nous tenir par la main. Notre séjour ici est tellement dense que nous rentrons souvent épuisés de nos randonnées. Nous aimons tellement ça. << Nous ne verrons pas Annecy ! >> fait encore Estelle. << Mais on s'en contrefout d'Annecy, on est venu en montagne pas en ville ! >> rajoute Clémentine.

C'est vrai. La visite d'Annecy aurait été un pis aller en cas de météo défavorable. Pour rien au monde nous n'aimerions quitter notre petit nid de montagne. J'ai mes mains dans les culottes d'Estelle et de Clémentine. Elles me tiennent la bite et les couilles. Nous aimons nous toucher en conversant. Là-bas, deux cavalières. Deux blondes sur deux magnifiques chevaux de trait. C'est un spectacle insolite. L'une d'entre elles nous fait un coucou de la main. Elles ne font que traverser le pré avant de redescendre.

Nous sommes assis à les regarder s'en aller. << Mais d'où peuvent elles venir ? >> fait Estelle. << Sans doute d'une des fermes d'altitude à voir les chevaux ! >> répond Clémentine. << Baise moi un peu ! >> fait Estelle en se couchant sur le dos. Elle n'attend pas ma réponse. Elle m'attire sur elle. J'ai la bite à l'air. Je bande bien. Estelle me tient la queue pour se l'introduire doucement. Par palier. Pour ne pas peser de tout mon poids, je reste en appui sur mes bras. Clémentine se couche sur le côté.

Je suis bien enfoncé dans la fille. Nos trois visages tous prêts les uns des autres, nous chuchotons. << Mmhh, comme c'est bon ! >> murmure Estelle. Je dis : << Cet après-midi je te la mets dans tous les endroits où c'est possible ! >>. Clémentine nous propose : << Je fais le guet. Je surveille ! >>. Des voix. Il y a des marcheurs qui montent le pré. Je me retire précipitamment. C'est très désagréable. Il est 11 h30. Nous raccompagnons Estelle jusqu'au bas de l'escalier. Interdiction d'entrer à la cuisine.

Estelle insiste pour nous faire la surprise d'un bon repas. Clémentine m'entraîne par la main. Nous contournons le chalet pour monter au réservoir. Là, sur l'épais tapis de mousse, à l'abri des regards, elle retire sa culotte, se couche sur le dos. Elle m'attire sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Clémentine se masturbe toujours en étant pénétrée. Totalement clitoridienne, la seule chose qui l'intéresse dans la pénétration, c'est de me voir au dessus d'elle. De me confier ses plus intimes ressentis.

Nous restons immobiles. Nous aimons être l'un dans l'autre sans bouger. Clémentine me parle du mec, hier, à la ferme des Alys. De son désir de plus en plus intense de sucer la bite d'un inconnu. << J'en rêve même la nuit ! >> rajoute t-elle. Nous sommes tous deux conscients qu'en ces temps de crise sanitaire, il est tout à fait exclu de se livrer à ce genre de pratique. Ce ne serait pas seulement irresponsable mais également dangereux. << Une sorte de roulette russe ! >> murmure Clémentine.

<< Même si cette saloperie de virus ne se transmet pas par le sperme, c'est la proximité qui engendre le danger de contamination. ! >> fait Clémentine. Elle rajoute : << Même si le pourcentage de porteurs sains ou pas est infime ! C'est chiant tout ça ! >>. << On mange ! >>. La voix d'Estelle par la fenêtre de la cuisine. Nous la distinguons à travers les branchages. Elle ne nous voit pas. Je me retire doucement. Je me lève. Je suis sur le haut du sentier. J'agite ma bite en direction du chalet. Je crie : << On vient ! >>.

Le con ! Je n'avais pas vu les deux couples de marcheurs. Ils sont à une cinquantaine de mètres. Je me retourne prestement. Ils m'ont certainement vu car ils éclatent de rire. Nous dévalons le sentier en riant. L'odeur de bouffe achève de nous mettre en appétit. Estelle a préparé des patates à la poêle. Nappé de Beaufort. Des filets de colin finement dorés à la poêle. Une salade de tomates. Je lui fais un bisou. Nous la félicitons pour ce repas délicieux. Nous mangeons de bon appétit.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant nos singeries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Pressés de filer, nous restons vêtus ainsi. Dans le petit sac à dos que je porte, nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille d'eau. Nous voilà partis. Nous prenons le sentier de gauche qui descend vers le GR9. Il y a ce chemin escarpé que nous voulons découvrir. Les filles sont sans culottes. Estelle sautille parfois autour de nous en nous montrant sa chatte.

Une demi heure de marche où nous croisons quantité de marcheurs. Certains groupes sont précédés de guides de montagne. << Un guide, beau gosse, bien vicieux, voilà ce qu'il nous faudrait ! >> lance Estelle. Je propose immédiatement de faire cette expérience. Les filles me regardent avec des étoiles plein les yeux. Clémentine nous fait : << Le séjour est trop court. Il faut réserver ce genre de prestations plusieurs jours en avance, non ? >>. Estelle confirme en disant : << Probablement ! >>.

Nous arrivons à l'endroit où les chemins se croisent. Nous quittons le GR9 pour monter un sentier plutôt raide. Un panneau indique "Les trois Roches". C'est un lieu dit avec un panorama. Vue jusqu'au lac d'Annecy. Le sentier monte. Assez abrupte. J'ai la bite à l'air. Ce n'est pas très agréable avec l'effort de marche ascendante. Là, sur la droite, un tumulus. Un panneau indique "Tumulus du roi". Il n'y a personne. Nous quittons le sentier pour contourner une sorte de pyramide de pierres.

<< Baise moi là ! >> lance Estelle en se couchant sur une roche plate tout près du gouffre. << Je surveille ! >> fait Clémentine en restant à l'angle de la construction. Une main sous sa jupette. Estelle m'attire sur elle. Elle me tient la queue toute molle pour la frotter contre son sexe. Je bande rapidement. Estelle s'introduit mon Zob. Comme elle aime à le faire, elle se met à s'agiter. Estelle aussi se masturbe toujours quand elle baise. Et là, je la baise en hussard. Je lui chuchote : << Petite salope ! >>

<< Pourquoi petite ? >> me fait elle avant de m'embrasser avec fougue. << Attention, des gens ! >> lance Clémentine qui nous montre le doigt qu'elle a enfoncé dans sa chatte. Je me retire. On se relève. << Wouah comme c'est bon la baise d'altitude ! >> fait Estelle. Nous reprenons le sentier. Nous saluons ce groupe d'une dizaine de marcheurs en restant à distance. Une heure de marche et nous arrivons au sommet. C'est rocheux, désertique. Juste quelques arbustes et des herbes rêches, sèches. Des gens.

La vue est magnifique. Il y a du monde. C'est une sorte de table d'orientation en pierre taillée et gravée. On voit la partie Sud du lac d'Annecy. De grandes constructions blanches. Des bateaux. C'est tout petit, au loin. Estelle sort la paire de jumelles du sac à dos. On se les passe. << Regarde, un mec seul. Il cherche un coin pour pisser ! >> nous fait Clémentine qui regarde avec les jumelles. Il y a effectivement un type qui semble rôder en contrebas. Il disparaît derrière les roches pour réapparaître.

Clémentine nous entraîne. << De n'importe quel saint homme, je fais un vil libidineux ! >> nous dit elle. Nous en rigolons comme des bossus. Nous arrivons sur le sentier qui descend. Estelle et moi, nous restons à l'écart. Depuis là-haut, les gens nous voient. Il faut donc ruser. On se planque derrière les rochers. Clémentine s'avance. Comme toujours dans ces situations, elle marche doucement avec les bras croisés. Estelle mâte avec les jumelles en commentant ce qu'elle voit. << Je ne vois pas le mec ! >> dit elle.

Par contre nous voyons Clémentine à l'arrêt entrain de discuter avec l'homme invisible. Elle mime une masturbation. Que regarde t-elle ? Avec qui bavarde t-elle ? Impossible de se rapprocher sans sortir de notre cachette. Clémentine reproduit ce geste à plusieurs reprises, parfois en riant, mais toujours avec une incroyable vulgarité. Il y a des marcheurs. Elle doit cesser. Le type se montre enfin. Il est entrain de refermer sa braguette. Il fait quelques pas avec Clémentine qu'il laisse au bout d'une vingtaine de mètres.

Clémentine vient nous rejoindre. << J'ai surpris le type entrain de pisser. J'ai engagé la conversation. C'est la première fois que je vois un inconnu se branler en pissant. Et ce salaud bandait superbement ! >> nous raconte t-elle. Nous remontons au sommet. Le type est là, en famille. Il nous ignore. On le comprend. Clémentine se touche discrètement. << J'aimerais bien lui montrer ce que je fais mais il ne regarde jamais par là ! >> dit Clémentine. << Normal, y a sa femme et ses gosses ! >> lance Estelle.

Nous redescendons. Il n'y a que ce chemin. La descente est périlleuse. C'est un véritable pierrier. Nous préférons monter. Il faut redoubler de prudence. Nous voilà de retour sur le GR9. Nous croisons nombre de randonneurs. Impossible de nous livrer à nos douces turpitudes habituelles. Il est 19 h30 quand nous arrivons au chalet. Fourbus mais morts de faim. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait un coulis de courgette. Le reste de patates réchauffe dans une cocotte. Je fais rissoler des crevettes.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de cette nouvelle aventure. Clémentine revient sur sa rencontre avec le pisseur branleur. << Une petite bite terriblement appétissante ! >> précise t-elle. << Tu devrais te sucer un mec. Pendre le risque ! >> lui fait Estelle. Clémentine me consulte du regard. Je ne sais quoi dire. Je culpabilise toujours un peu. Si Clémentine a développé le fantasme de la pipe à un inconnu, c'est à cause de moi. Les rares fois où cela s'est passé l'ont enchanté, totalement transcendé.

Elle me confie souvent, tout en baisant, ce mélange de dégout et d'excitation lorsqu'elle suce un inconnu. << Le gout de l'inconnu ! >> lance Estelle dont ce n'est pas le fantasme. Nous traînons à table. La vaisselle. Nous nous lavons les dents avant de ressortir. D'assister à la tombée de la nuit après un crépuscule est un véritable enchantement paradisiaque en montagne. Le ciel est voilé par endroit. Les milliers d'étoiles scintillent au dessus de nos têtes. Au lit, on tente la baise. Trop épuisés, nous nous endormons.

Bonne randonnée à toutes les coquines qui aiment se faire baiser dans les coins et tomber sur des pisseurs solitaires et branleurs...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1245 -



Chaque jour apporte son lot de surprises

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par plein de bisous, de chuchotements. Je suis entre mes deux anges. Estelle à ma droite qui saisit mon érection matinale à pleine main. Clémentine à ma gauche qui saisit mes couilles à pleine poigne. Je glisse mes mains dans leurs culottes. << Attention, je dois faire pipi. Et très fort ! >> fait Estelle. << Moi aussi ! >> lance Clémentine. Je dis : << Et moi donc ! >>. Nous en rions de bon cœur en nous faisant plein de papouilles. Estelle se lève d'un bon en s'écriant : << Vite ! >>.

Clémentine m'entraîne sur le balcon. Il fait toujours aussi doux. Le ciel est très légèrement voilé. Nous mettons nos tenues de jogging et nous dévalons les escaliers à toute vitesse. Les toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur du café, du pain grillé. << Remets ta main pour voir ! >> me fait Estelle qui sans attendre se saisit de mon poignet. Elle place sa main dans sa culotte. J'adore démêler les poils. La touffe abondante d'Estelle propose la toison velue d'une authentique sauvageonne. Superbe.

Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre randonnée de hier. Clémentine et sa rencontre avec le branleur pisseur. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme du jour. Il est 8 h30. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Estelle file mettre sa tenue de sport. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour un running d'un heure le long de notre parcours habituel. Nous croisons déjà plein de marcheurs sur le chemin de grande randonnée.

Il est presque dix heures quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Clémentine m'entraîne devant l'ordinateur. Un message de Julie. Elle nous raconte son quotidien. L'extraordinaire affluence touristique malgré la canicule. La galerie d'Art est souvent bondée de gens masqués. Nous répondons en joignant une photo de nous trois prise hier. Une photo ou Estelle et Clémentine me tiennent par la braguette. Moi avec les mains sous leurs jupettes. Estelle revient de sa douche. Jupette et T-shirt.

C'est à notre tour. Nous nous habillons. Jupette, T-shirt pour Clémentine. Short, T-shirt pour moi. Nous rejoignons Estelle. L'information universitaire tant attendue est enfin arrivée. Dès la rentrée, il sera possible aux étudiants qui le souhaitent de reprendre les cours en ligne. Ce sont des cris de joie. << Put-Hein, c'est génial ! >> lance Clémentine qui se blottit dans mes bras. << Super ! >> fait Estelle qui vient se serrer contre nous. Les filles me palpent la braguette. Estelle dit encore : << On va fêter ça ! >>.

Nous sortons. Le soleil fait de belles apparitions. Il va encore faire chaud. Ici, en altitude, la canicule est beaucoup plus supportable. Surtout la nuit où la température descend à 20°. Nous montons le pré pour nous assoir sur les rochers aux pieds de la falaise. C'est devenu un rituel. Il faut dire que d'ici la vue est magnifique. Nous ne savons pas quels sont ces sommets enneigés en face. C'est tellement beau que nous avons décidé de l'ignorer. Il y a des petits groupes de marcheurs qui montent le pré.

Il est difficile de s'imaginer à quel point la montagne est fréquentée en aout. Même ici, en randonnant, il nous arrive de trouver des masques sanitaires abandonnés au sol, au bord du chemin. De tels comportements d'incivilité donnent une idée du genre d'individus qui fréquentent les altitudes. Estelle n'arrête pas de me palper la braguette. Clémentine fait pareil. Elle me dit : << Je me sens hyper salope ce matin ! >>. Estelle surenchérit en précisant : << Moi aussi ! Fais gaffe à tes couilles Julien ! >>. Nous en rions de bon cœur.

Nous apprécions tellement cet endroit qu'Estelle en prend des photos. Clémentine et moi nous posons en faisant les pitres. Puis c'est au tour de Clémentine de prendre quelques clichés. Estelle et moi nous posons en faisant les clowns. Je propose de les prendre en photo toutes les deux. Même si elles ne sont absolument pas lesbiennes, hélas pour ma libido, les deux coquins miment des poses lascives et suggestives. J'aimerais beaucoup les voir se gouiner toutes les deux. Elles répondent toujours : << Beurk ! >>.

Il y a trois interdits qu'elles ne contourneront jamais. Elle me l'ont dit. La sodomie, la zoophilie et l'homosexualité. Dans mes fantasmes d'homme des cavernes, je les verrais volontiers se faire des trucs. Nous regardons la dizaine de photos réalisées. << De beaux souvenirs ! >> lance Estelle qui prend ma main pour la glisser dans sa culotte. << Touche moi toute la journée, Julien, sois vicieux, s'il te plaît ! >> dit elle encore. Il est 11 h30. Nous raccompagnons Estelle au chalet. Elle veut y préparer le repas.

Clémentine m'entraîne par la main dans la cave. Il y fait bien frais. Comme à la maison, nous y conservons nos légumes. Là, sur l'établi de l'atelier, Clémentine s'assoit. Cuisses largement écartées. << Moi aussi, j'ai besoin que tu me touches ! >> murmure t-elle en m'attirant contre elle. Je suis debout entre ses jambes. Je sors mon sexe pour le frotter contre sa culotte. Nous nous embrassons avec fougue. Jusqu'à en avoir de la salive plein nos mentons. Clémentine écarte l'élastique de sa culotte. Je la pénètre.

Nous restons immobiles. Ses bras autour de mon cou, pénétrée jusqu'aux couilles, Clémentine me confie quelques désirs. << Certains deviennent obsédant ! >> fait elle en revenant sur la pipe à un inconnu. Nous évoquons les situations où cela est déjà arrivé. Ce sont des souvenirs très forts. Des "déclencheurs" pour Clémentine qui y pense souvent. Des situations qui ne se sont produites que trois ou quatre fois. Sa bite préférée restant celle de Gérard, ce vieux retraité pervers et vicelard à toute petite bite.

Nous aimons rester ainsi l'un dans l'autre, sans bouger, à échanger nos souvenirs. Sans aucune nostalgie toutefois. Juste pour l'excitation qu'ils procurent. << On mange ! >> fait la voix d'Estelle que nous entendons depuis une demi heure s'affairer au dessus de nous. C'est adorable de l'entendre chanter. Elle improvise toujours des paroles sur des mélodies inventées. Je me retire doucement. Clémentine s'accroupit pour me sucer. Récupérer la jute qui s'écoule de mon Zob trempé. L'apéritif.

Nous montons rejoindre Estelle. Elle a préparé des ravioles de poisson avec une salade verte et des haricots verts poilés. Nous la félicitons. Ce sont des ravioles surgelés et Bio que nous avons trouvé à la supérette du village. Un véritable régal. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte ce que nous avons fait à la cave. << Moi aussi, j'ai plein de choses à te raconter ! >> lance Estelle. Nous en rions de bon cœur. Je dis : << Je vais te donner l'occasion de me les raconter cet après-midi, en randonnée ! >>

Nous ne traînons pas. Pressés de filer, nous faisons la vaisselle. Nous nous lavons les dents. Dans le petit sac à dos que je porte, nos pommes, nos barres de céréales et la bouteille d'eau. Nous voilà partis. Nous croisons une fois encore quantité de marcheurs sur le GR9. Cette partie du chemin de grande randonnée totalise 270 km à travers le massif alpestre. << Un boulevard ! >> aime à préciser Estelle que je ne cesse de toucher lorsque nous ne croisons personne. Ce qui est plutôt rare.

Nous nous amusons toujours beaucoup de ces inconscients, de ces irresponsables parfois, qui viennent parcourir les pierriers en tongs et en famille. Nous marchons depuis une heure sous le cagnard. Là, à droite, un sentier qui monte vers les parois abruptes. Nous le gravissons sur environs trois cent mètres. Personne. J'entraîne Estelle par la main en disant : << Viens, tu vas pouvoir me raconter des trucs ! >>. Estelle, ravie, me montre l'espèce de dalle rocheuse. Clémentine sort les K-ways. Ils feront office de couvertures.

L'endroit est à l'ombre. Il est stratégique. Nous pouvons voir arriver d'éventuels marcheurs. Estelle s'allonge sur le dos. Les culottes des filles sont dans le sac à dos depuis le départ. Sac à dos que je place comme oreiller sous la tête d'Estelle. Je m'allonge sur elle. Pour ne pas peser de tout mon poids, je reste en appui sur mes bras. Elle saisit ma queue bien dure pour se l'introduire doucement. Par paliers. Clémentine s'allonge à côté de nous, sa tête toute proche des nôtres. Avec Estelle impossible de rester immobile.

Nous échangeons nos impressions. Nous nous chuchotons des souvenirs. Cela excite follement Estelle qui s'agite sous moi en poussant de petits cris. Clémentine et moi nous restons attentifs. Personne ne vient. Estelle nous confie à quel point les baises du mercredi soir avec son parrain, dans sa cave, lui manquent. << Il me baise génial ! C'est un vrai salaud ! >> fait elle. Clémentine qui a également baisé avec le parrain confirme. En précisant que le goût de sa bite est plutôt dégueulasse. Très amer.

J'écoute plutôt que je ne parle. Les filles évoquent le haras, les écuries où elles ont vécu des trucs bien vicelards avec différents protagonistes. Le lecteur qui suit nos aventures depuis le début sait de quoi il en retourne. J'invite les autres à découvrir ces récits épiques au plus tôt. Il faut cesser. Il y a un groupe de randonneurs qui descend le sentier. C'est facile. On s'assoit tout simplement en attendant qu'ils passent. Estelle maintient ma main entre ses cuisses trempées. Clémentine se touche.

Dès que les marcheurs sont passés, nous reprenons nos petites activités. C'est génial de faire une sorte de bilan de toutes nos aventures. Clémentine évoque le trou parfaitement rond dans la cloison qui sépare le box du local bureau aux écuries. Estelle évoque les bites qu'elles y ont sucé. De la meilleure à la plus dégueu. Pour Clémentine la meilleure reste la queue minuscule et impuissante du vieux Gérard. Pour Estelle l'élément de comparaison reste la mienne et celle de Léon, le copain retraité de Gérard.

Les filles évoquent les fois où elles se sont fait pisser à la gueule par ces véritables salopards. Elles en ont vomis si souvent. Estelle bouge en rythme sous moi. Elle se masturbe en même temps. Elle ne parle plus. Elle souffle de plus en plus fort. Clémentine m'embrasse en se masturbant. Estelle ne peut éviter l'orgasme qui la tétanise. Je l'embrasse avec fougue. Clémentine jouit à son tour. Je me retire avec la bite dégoulinante de jus. Il y a un groupe de marcheurs qui descend. Ils parlent fort en riant.

Nous sommes assis à reprendre nos esprits. Il reste plus de deux heures de marche pour rentrer. Je lèche les croupions de mes deux anges. J'adore récupérer le jus de leurs chattes bouillantes. Et là, j'ai de quoi me sustenter. Je suce jusqu'à la dernière goutte de cyprine. Elles recommencent à se toucher en échangeant leurs impressions. Nous en rions de bon cœur. Il est temps de repartir. Nous remplissons la bouteille vide à la source aux Fées sous le Christ en croix. Le ciel se couvre de plus en plus.

Il est 19 h30 quand nous arrivons au chalet. Clémentine s'occupe de la salade d'avocats, thon et mayonnaise. Estelle prépare une sauce à la tome de Savoie, champignons. Je fais rissoler de fines tranches de pommes de terre. Une fois encore nous constatons que nous ne pourrons pas terminer tous les légumes. Nous en laisserons aux parents d'Estelle. Ils arrivent samedi à midi. Ils prendront le relai ici pour quinze jours. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de nos plaisirs de l'après-midi.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous sortons pour le merveilleux spectacle du crépuscule en montagne. La fraîcheur est vraiment agréable. L'herbe est légèrement humide. Nous montons nous assoir sur les rochers habituels. << Ça va me manquer ! >> fait Estelle. << Moi aussi, c'est tellement bien ici ! >> rajoute Clémentine. Nous nous promettons une récidive. Peut-être aux vacances de Pâques l'an prochain. Sachant qu'au mois d'avril, la montagne n'a rien à voir avec celle des mois d'été.

La nuit tombe. Il fait noir d'encre. Aucune étoile visible dans un ciel voilé. Les bruits de la nuit. Nous nous tenons par les mains en descendant le pré avec précautions. Les lumières du chalet nous guident. Aux toilettes nous nous offrons nos rituels pisseux. Nous savourons nos mélanges. Comme je n'ai pas éjaculé, je suis extrêmement juteux. Les filles se régalent en se disputant ma queue. J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Elle manque de s'étouffer avec l'abondance de mon foutre. Je retire la bite.

Je l'enfourne immédiatement dans la bouche de Clémentine afin qu'elle puisse en avoir un peu aussi. Je leurs caresse la tête. Estelle frotte son visage contre mes couilles, mes cuisses en déglutissant avec peine. Je maintiens Clémentine par la nuque pour lui débander dans la bouche. Je me concentre. Une dernière giclée de pisse qui l'a surprend. Elle pousse un petit râle de ravissement. Estelle qui comprend ce que je fais en veut aussi. Je n'ai plus rien. Nous montons nous coucher. Totalement épuisés...

Bonne randonnée à toutes les coquines qui aiment baiser en se remémorant de grands souvenirs passés. D'autres queues, d'autres jus...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1246 -



Chaque jour est une révélation

Hier matin, jeudi, je suis réveillé exactement de la même manière. Estelle qui reste accrochée à moi toute la nuit comme une naufragée à sa bouée. Elle se saisit de mon érection matinale pour me couvrir le visage de bisous tout en me chuchotant des douceurs. Ce qui réveille Clémentine. Elle vient se blottir en saisissant mes couilles. Je suis là, entre mes deux anges, à émerger doucement de mon sommeil. Une fois encore, je glisse mes mains dans leurs culottes. << J'aime la montagne. C'est une découverte ! >> fait Estelle.

Elle se lève d'un bond en s'écriant : << Si je ne vais pas pisser, je me lâche partout ! >>. Elle quitte la chambre pour dévaler les escaliers. Clémentine m'entraîne sur le balcon. Il fait doux. Comme hier, le ciel est légèrement voilé. Il est 8 h20. Durant tout ce séjour nous avons bénéficié d'une météo exceptionnelle. C'est à notre tour de descendre aux toilettes. Nous mettons nos tenues de sport. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café et de pain grillé. Elle me saute au cou pour me faire des bisous.

Par jeu, Clémentine s'interpose en disant : << Mon mec a besoin de repos ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de la journée de hier. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de celle d'aujourd'hui. Nous avons mis à profit la totalité de ce séjour pour parcourir toute cette partie de la montagne. Pourtant, il y a encore des sentiers que n'avons pas exploré. Et tout spécialement celui qui monte à partir de la "Source aux Fées". On le fera cet après-midi.

La vaisselle. Estelle monte mettre sa tenue de jogging. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous sortons. Il est 8 h50. La température extérieure est de 22°. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour notre heure de running. Estelle mène la cadence et donne le rythme. Nous croisons déjà nombre de randonneurs sur le GR9. Il est 9 h50 quand nous revenons au chalet. Estelle prend sa douche la première. Clémentine m'entraîne devant l'ordinateur.

Le message quotidien de Julie. Elle totalise seize ventes. Il ne reste plus que 10 toiles suspendues aux cimaises de la galerie. Nous répondons pour la féliciter. Julie nous remercie également pour la photo que nous lui avons envoyé hier. Estelle revient vêtue de sa jupette, de son T-shirt. Nous lui cédons la place. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Nous nous habillons. Jupette, T-shirt pour Clémentine. Short, T-shirt pour moi. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. La pâte feuilletée et le saumon ont décongelé.

<< Interdiction de rester à la cuisine ! Je prépare le repas et je vous rejoins dehors ! >> fait elle en me palpant la braguette. << Trop tard, on a vu ce que tu prépares ! >> lance Clémentine. Nous quittons la cuisine pour ressortir. Clémentine m'entraîne par la main. Nous montons le pré jusqu'aux rochers. Là, assis, nous contemplons une fois encore l'immensité qui nous entoure. De petits groupes de marcheurs passent devant le chalet pour gravir le sentier. Clémentine, en jupette, guette une éventuelle opportunité d'exhibe.

Le marcheur en queue de cortège découvre le spectacle que lui offre Clémentine. Cuisses largement écartées elle présente sa culotte blanche. Le type semble hésiter un instant. Comme je suis assis à côté de Clémentine il paraît gêné. C'est certain, il se livrerait volontiers à du voyeurisme de montagne. Nous en rions de bon cœur. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. Je bande mou. << Génial ! >> fait elle en sortant ma queue du slip, puis du short. J'ai la turgescence fièrement dressée vers le ciel lumineux.

J'aime quand Clémentine me la tient à pleine main. Nous bavardons ainsi. Là, en bas, depuis le sentier qui passe devant le chalet, les deux cavalières de hier. Deux blondes. Elles doivent avoir la trentaine. Les chevaux de trait paraissent monter la pente sans le moindre effort. Ils sont tellement robustes et musclés. Je tente de remballer la bite mais Clémentine m'en empêche. Les cavalières prennent le sentier qui longe la paroi. C'est la même que hier qui nous adresse un coucou de la main. Elle vient également de "voir".

Clémentine tort ma bite dans sa direction. Elles sont à une cinquantaine de mètres. La jeune femme nous adresse un sourire complice. L'autre nous ignore totalement. Je suis terriblement gêné. L'excitation qui s'en suit me ravit. Les cavalières disparaissent derrière les sapins. << Tu as aimé mon initiative ? >> demande Clémentine. Je confirme en riant. Clémentine rajoute encore : << C'est beaucoup plus légitime quand on est en couple. C'est sans risque. Tu as vu le sourire qu'elle nous a lancé ! >>. Je confirme.

D'autres randonneurs montent le sentier. Clémentine m'entraîne par la main. Je remballe ma queue dure et raide avec peine. Nous voilà à l'abri des regards dans les sapins qui entourent le réservoir. Clémentine s'assoit en tapotant la mousse du sol en disant : << Viens ! >>. Je m'installe à ses cotés. Elle ouvre ma braguette pour en extraire le locataire. Je m'allonge sur le dos. Je me fais tailler une pipe des familles. Pour laisser reposer sa mâchoire toutes les deux ou trois minutes, Clémentine me donne ses impressions.

<< J'aime te voir dans des situations équivoques devant d'autres femmes. Ça m'excite. Si tu savais ! >> me fait elle. Je le sais. Et nous ne nous en privons pas. Nous avons vécu cela tellement de fois et c'est pourtant toujours comme une première. Je tiens Clémentine par la nuque. Je lui murmure des choses. Je lui promets d'être le roi des vicelards toute la journée. Clémentine, tout en suçant avec passion, glousse de satisfaction. La voix d'Estelle qui monte le sentier : << Vous êtes où ? >>.

Je crie : << Ici ! Le réservoir ! >>. Estelle arrive rapidement. Elle tombe sur la scène. << Encore ! >> lance t-elle en venant s'assoir à côté de moi. << Tu m'en donnes un peu ! >> fait elle à Clémentine qui cesse pour lui tendre mon Zob dégoulinant de jute. Estelle se penche, pose sa tête sur mon ventre. Elle se met à téter avec passion. Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche. Les filament gluants et visqueux qu'elle peine à déglutir. Je lui caresse la tête en disant : << Tu es merveilleuse. Je t'aime ! >>

Estelle ne lâche plus le morceau. Clémentine a beau tenter de la pousser en murmurant : << Redonne ! >>, rien y fait. Je dis : << Estelle, égoïste, tu vas t'étouffer ! >>. Elle se redresse. Elle regarde sa montre gourmette. << C'est prêt ! >>. Morts de faim, nous nous redressons tous les trois en même temps. Nous dévalons le sentier pour monter les escaliers à toute vitesse. La table est mise. Il est midi. Estelle nous a préparé un feuilleté de saumon avec des coquillettes et une salade de tomates. Un véritable délice.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte nos petites exhibitions de ce matin. Le marcheur, la cavalière. << Génial ! >> lance Estelle. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je porte, nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille de flotte, nos K-ways et les deux culottes des filles. Clémentine porte autour du cou la cordelette à laquelle est accrochée la clef du chalet. Nous descendons le sentier jusqu'au GR9.

<< Un vrai boulevard ! >> fait Estelle. Nous croisons plein de marcheurs. C'est un peu comme s'il y en avait davantage tous les jours. Le chemin de grande randonnée est large. Il nous permet de marcher en nous tenant par les mains. C'est lorsque nous dépassons des randonneurs que nous cédons de la place. Notre trio attire encore bien des regards. Surtout des curiosités. Nous nous en amusons bien. A chaque fois que c'est possible, je glisse mes mains sous les jupettes de mes deux anges. Elles adorent.

Le soleil fait quelques apparitions. Le ciel voilé reste très lumineux. Il fait chaud. Nous arrivons au calvaire. Le christ en croix. La source aux Fées. Nous y remplissons la bouteille avant de prendre le sentier qui contourne l'ensemble. Un panonceau indique le balisage et la direction " Les pierres d'or". Le sentiers est escarpé. Il faut gravir des endroits rocheux avec prudence. Estelle me palpe la braguette à chaque arrêt. Il y a un groupe de marcheurs qui descend. Précédé d'un guide dont nous entendons les explications.

Je suis obligé de gronder Estelle. Si je la laissais faire elle me tripoterait devant la dizaine de randonneurs. Il y a un couple qui ferme la marche. C'est là, sans la prévenir, en la surprenant complètement, que je glisse ma main sous la jupette d'Estelle. Mais par devant. Avec une vulgarité qui la fait sursauter et saisir mon poignet. Estelle veut évidemment retirer ma main. Un geste de pudeur naturel. Je résiste en disant : << Ta punition ! >>. Nous continuons notre montée. << Salaud ! >> me fait Estelle.

<< Ça fait du bien ! C'est super, non ? >> lance Clémentine à l'adresse d'Estelle qui fourre sa main dans mon short en disant : << Toi, je t'en réserve une sévère ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous arrivons sur une sorte de terrasse naturelle. C'est un point de vue. Il y a des rambardes métalliques qui protègent du gouffre. Il y a quelques personnes. Nous pouvons respecter la distanciation facilement. La vue est majestueuse. Clémentine prend quelques photos. C'est véritablement grandiose.

Assis sur des rochers, nous dégustons nos pommes. Il y a un solitaire qui vient prendre quelques photos à proximité. Je suis assis entre Estelle et Clémentine. << Show must go on ! >> murmure Clémentine en écartant largement ses cuisses. Estelle chuchote : << Yeah ! It's right ! >> en faisant pareil. Les coquines offrent à la vue de cette pauvre "victime" la vue de leurs splendides chattes poilues. Le type est discret. Il semble très bien encaisser le choc. Je crois que c'est surtout ma présence qui tempère l'ambiance.

Notre touriste ne s'attarde pas. Il retourne rejoindre deux jeunes femme appuyées à la rambarde. Ils s'en vont. Le sentier continue. Nous marchons quelques minutes pour arriver sur une autre plateforme. Consolidée par des pierres. Il y a une petite maison. Au dessus des pierres brillantes qui sembles scintiller d'or. Une pancarte donne l'explication. C'est de la pyrite. << L'or des fous ! >> s'écrie Clémentine qui nous donne l'explication. Les légendes qui se rattachent à cette particularité minérale.

Il y a peu de monde. Au dessus de nos têtes la falaise vertigineuse. Le sentier monte, taillé dans la roche. Il y a un panneau d'avertissement. Inutile d'aller risquer la blessure ou la chute. Nous préférons redescendre. Il y a bien quelques inconscients, pas du tout équipés, qui montent. Deux heures de marches et nous voilà de retour à la "Source aux Fées". On remplit la bouteille une nouvelle fois. Une heure trente de marche. Il est 19 h quand nous arrivons au chalet. Fourbus mais tellement heureux.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle réchauffe le reste de coquillettes et de feuilleté de saumon. Je prépare l'assaisonnement. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de ces nouvelles découvertes. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de mes hanches, les filles échangent leurs impressions. Leurs ressentis quand à leurs exhibes et nos attitudes. << On monte d'un cran à chaque fois ! >> fait Estelle. << Mais on ne monte jamais assez haut ! >> dit Clémentine.

J'émets l'hypothèse que dans le domaine du sexe il en va comme de toutes les addictions, il en faut toujours davantage ! << Exact ! Et je n'en ai jamais assez ! >> conclue Estelle. Nous éclatons de rire. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Pressés d'aller profiter de cette nouvelle soirée extraordinaire, nous dévalons l'escalier extérieur. Le crépuscule s'annonce. Il est 21 h15. Nous voilà assis sur les rochers habituels en haut du pré. Avec ce ciel voilé, nous ne verrons pas la voûte céleste et ses milliers d'étoiles.

J'ai la bite à l'air. Estelle me la tient fermement. Clémentine me tient les couilles. Estelle, tout en nous gratifiant de quelques considérations philosophiques sur l'immensité qui nous entoure, me tord la queue dans tous les sens. Comme je bande dur elle prend évidemment un malin plaisir à me la tordre vers le bas. C'est presque douloureux. Elle le sait mais ça l'amuse. La fraîcheur du soir s'accentue. L'humidité aussi. D'avoir mes parties génitales dans les mains chaudes de mes deux anges est un bonheur supplémentaire.

Il fait nuit noire quand nous redescendons le pré prudemment. L'herbe est glissante en baskets. Nous nous retrouvons sur les fesses en riant. Le silence est total. Aussi monumental que tout ce qui nous entoure. Nos rituels pisseux. J'adore bouffer la chatte de mes coquines après les pissous. Les mélanges sont fabuleusement bons. Elles adorent les miens, accroupies à se refiler ma bite ruisselante de foutre et de pisse. Au lit, j'offre à mes deux anges une succession de cunnilingus et de pénétrations. Je me fais sucer...

Bonne randonnée à toutes les coquines qui aiment se faire tripoter, palper de la braguette et s'exhiber discrètement sur les sentiers...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1247 -



La dernière journée alpestre

Hier matin, vendredi, je suis réveillé de cette manière si agréable dont Estelle a fait une spécialité raffinée. Elle reste accrochée à moi toute la nuit comme un coquillage à son rocher. Elle n'a plus qu'à bouger doucement, en rythme. C'est donc ce mouvement masturbatoire qui me tire de mon sommeil. Elle saisit mon érection à pleine main. Cela réveille Clémentine qui vient se frotter contre moi de la même façon. En saisissant mes couilles. Je me réveille entre mes deux anges. Au paradis des hédonistes.

Depuis quelques jours, au réveil, je fourre mes mains dans leurs culottes. C'est chaud, c'est moite, c'est absolument divin. Nous nous offrons quelques papouilles avant qu'Estelle ne se lève d'un bond. Elle enfile ses fringues de sport. Nous l'entendons dévaler les escaliers en chantant : << Pipi ! Pipi ! >>. Il est 8 h20. Clémentine m'entraîne sur le balcon. C'est le même ciel voilé mais lumineux. Il règne une très agréable fraîcheur. Nous enfilons nos fringues de sport. Nous dévalons les escaliers jusqu'aux toilettes.

Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans cette délicate odeur de café et de pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant ce séjour alpestre qui se termine demain. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme du jour. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement et c'est parti pour notre heure de jogging sur le chemin de grande randonnée. Nous croisons déjà des marcheurs.

Il est presque 10 h quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Clémentine et moi nous ouvrons nos boîtes mail. Le seul et unique message de Julie auquel nous répondons en joignant une photo. Estelle vient nous rejoindre vêtue de sa jupette, T-shirt. C'est à nous d'aller sous la douche. Nous nos vêtons. Jupette, T-shirt pour Clémentine. Short, T-shirt pour moi. Nous rejoignons Estelle qui achève le courriel pour ses parents. Nous sortons. La température extérieure n'excède pas 22°.

Nous montons le pré. Nous avons pour autre rituel de venir nous assoir sur les rochers aux pieds des falaises. La vue y est tellement belle. Il est impossible de s'en lasser. Tous les jours, les teintes changent. Certaines s'accentuent. D'autres s'éteignent. Il y a des randonneurs qui passent devant le chalet. Cette fois encore j'ai la bite dans la main d'Estelle. Nous avons une astuce. Elle s'assoit sur mes genoux à chaque passage. Ce qui dissimule nos activités. Clémentine guette l'opportunité d'une petite exhibe.

Nous aimons profiter de ces matinées. La fraîcheur y est tellement agréable. Nous mettons au point notre départ de demain. Ce sera après le repas. Nous avons réservé notre chambre dans le même hôtel. Situé dans ce charmant village de La Roche-Blanche. A une quinzaine de kilomètres de Clermond-Ferrand. Nous y serons dans la soirée. Dimanche nous roulerons pour Saint-Malo. Les filles sont un peu tristounettes. Il est dur de quitter un tel endroit. Mais à Saint-Malo nous attendent quinze autres jours de bonheur.

Il est presque 11 h30. Nous descendons le pré. Nous raccompagnons Estelle jusqu'au chalet. Interdiction formelle d'entrer à la cuisine. Elle se réserve la surprise de notre repas. Clémentine m'entraîne sur le sentier qui monte au réservoir. C'est là, cachés sous les hauts sapins, que nous aimons nous installer sur la mousse et le doux tapis d'épines encore bien fraîches. Je suis couché sur le dos. Clémentine est couchée à côté de moi. Sa tête posée sur mon ventre. Tout en jouant avec ma bite, elle me raconte.

J'aime quand elle me suce quelques minutes avant de reprendre sa conversation. Je caresse sa nuque. Je passe mon index sur ses joues creusées par l'effort de succion. C'est le plus souvent dans ces circonstances que se décident les choses les plus importantes. Cette fois Clémentine évoque les cours en ligne. Dès la rentrée du 14 septembre elle pourra reprendre le télé travail. Pas de situation de promiscuité à l'université. Pas de risques. C'est rassurant. Et puis Clémentine pourra rester tous les jours avec moi.

Cette perspective nous enchante. << On mange ! >>. La voix d'Estelle qui monte le sentier. Nous allons à sa rencontre. J'ai la bite dure comme du bois bien pointée en l'air. << Put-Hein ! Mais vous n'arrêtez pas ! >> fait Estelle en saisissant mon sexe d'une poigne de fer. Nous remontons l'escalier ainsi. Estelle a préparé du riz complet, nappé de tome de Savoie, un coulis de courgettes et trois filets de cabillaud dorés à la poêle. Il n'y a qu'à mettre les pieds sous la table. Nous la félicitons pour ce délicieux repas.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. << A Saint-Malo, pareil, j'assure le repas de midi. C'est ma contribution et j'aime tant ça ! >> précise Estelle. Les filles ont juste un regret. Nous allons quitter ce chalet sans avoir tourné notre film porno. Estelle "Soumise" à la cave. Mais nous avons tourné quelques séquences lors de nos randonnées. Le souvenir sera vif. Les images des paysages en arrière plan de nos exactions sexuelles sur quelques sentiers. Ce seront d'excellentes possibilités de revoir la montagne.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous restons vêtus ainsi. Dans le petit sac à dos que je porte, les pommes, les barres de céréales, la bouteille de flotte, les K-ways. Les filles retirent leurs culottes au bas de l'escalier. Elles les fourrent dans le sac. Nous voilà partis. Nous prenons le sentier qui descend vers le village de Javirole. Nous croisons des marcheurs. Estelle n'arrête pas de me palper la braguette. Je glisse à chaque fois ma main sous sa jupette. Entre ses cuisses.

Voilà le col des Vellices. Nous prenons le sentier des corniches. Il reste en surplomb du village sur toute la boucle en fer à cheval. Les maisons de Javirole sont encaissées dans cette niche naturelle. Tout le long du sentier il y a une rambarde qui protège du vide. A environs deux cent cinquante mètres plus bas, les toits. C'est un à pic vertigineux. Quand nous croisons des randonneurs, il faut se serrer contre la paroi. C'est impressionnant. Nous prenons le sentier qui descend. Celui de la table d'orientation.

Comme il est agréable de revoir ce village une dernière fois. Il fait chaud. Même si le ciel reste voilé, la luminosité est forte. Nous enfilons nos masques sanitaires avant d'entrer dans la supérette. Estelle prend place dans la file. Clémentine m'entraîne aux produits surgelés. Il y a du monde. Cette fois nous allons faire les gourmands pour fêter cette dernière journée. Trois pots de 500 ml de nos parfums préférés. Nougat pour nous. Pistache pour Estelle. De la marque Häagen Dazs. Celle que nous privilégions.

Nous rejoignons Estelle en caisse. Juste quand c'est notre tour. Nous voilà installés sur les marches d'un escalier sur le côté de l'église. Armés de nos petites cuillères à moka en laiton, nous dégustons des glaces délicieuses. Bien froides. C'est un régal. Le plaisir est multiple. Il fait doux. Le spectacle des touristes. Ce chat qui vient nous saluer. Et goûter les petits morceaux de glace que nous lui déposons sur le granit. Un nouvel ami. Nous traînons là. Nous évoquons notre programme de demain.

Il y a un jeune garçon, peut-être vingt ans, qui passe doucement en poussant son scooter. Clémentine et Estelle ont le même réflexe. Elles écartent toutes les deux discrètement les cuisses. Je suis assis entre elles. Le jeune homme a donc droit à la vue panoramique la plus extraordinaire de sa journée. Ma présence tempère toujours les émotions des voyeurs occasionnels. Celui ci, malgré son jeune âge, n'a pas les yeux dans sa poche. Il revient même sur ses pas. Il met son scooter sur béquille et s'accroupit.

Le bougre. C'est juste un prétexte pour mâter. Il fait mine de fouiller une pochette qu'il a tiré de dessous la selle. Estelle et Clémentine lui en offre pour sa peine. Il est à environs vingt mètres. Les filles ne portent pas de culotte. Notre jeune coquin peut donc admirer un spectacle rare. Aura t-il un jour l'opportunité de tomber sur deux telles salopes ? Sur d'invraisemblables chattes aussi poilues ? C'est peu probable. Ce genre de choses n'arrive souvent qu'une fois dans une existence. Notre jeune voyeur ne se prive pas.

Il faut jouer de prudence car il y a un incessant passage. Personne ne se doute de ce qui se passe. La situation dure ainsi une bonne dizaine de minutes. Le jeune homme se redresse. Il pousse son engin pour disparaître au coin de l'église. << C'était génial ! >> lance Estelle. << Fameux ! >> rajoute Clémentine. Je félicite mes deux anges pour leurs prestations. Nous reprenons nos flâneries en évitant de nous rapprocher des passants. Nous remontons le sentier qui mène à la table d'orientation.

Nous a t-il suivi ? Toujours est-il que le jeune gars surgit soudain parmi les touristes. Il a une musette dont il tire un appareil photo. Estelle et Clémentine remettent leurs lunettes de soleil. << Tu comprends ce qu'il cherche à faire le petit salaud ! >> lance Clémentine à Estelle. Moi aussi j'ai compris. Clémentine nous entraîne dans l'escalier qui monte vers le muret de pierres. Je reste à l'écart. Le garçon s'assoit sur une des dernières marches. Son appareil à la main. Il me regarde comme s'il me consultait du regard.

Je lui fais un clin d'œil en levant le pouce de la main droite. Il sait que je suis complice. Il faut faire vite à chaque fois. Les filles font preuve de ruse et de stratégie. Quand l'une fait le guet en dissimulant la scène, l'autre s'accroupit pour montrer sa chatte. Le garçon n'arrête pas de faire des photos. C'est hyper excitant. C'est surtout virtuose. Je m'approche du jeune gars pour demander : << Ça va comme vous voulez ? >>. Il me regarde amusé en disant : << Ce sont vos filles monsieur ? >>. Je réponds : << Oui ! >>

Sans être gêné le moins du monde il me fait : << Elles sont géniales. Superbes ! >>. Je dis : << Je leurs dirais ! >>. Il y a trop de monde. Un groupe monte d'ailleurs par ici. Les filles cessent. Le jeune homme se lève et s'en va. Je le rattrape. Clémentine et Estelle nous rejoignent. << On peut voir les photos ? >> demande Clémentine. Le garçon toujours très cool nous montre la dizaine de clichés qu'il a pris. Estelle le félicite. Je dis : << Vous voulez boire un verre avec nous ? >>. Cette fois il semble perplexe. Hésitant.

Il décline notre offre. Cette fois le garçon semble très embarrassé. Je n'insiste pas. Il est soudain tout timide devant ces deux filles aussi grandes que lui. Il nous salue poliment avant de dévaler les escaliers. Nous éclatons de rire quand Estelle lance : << C'était peut-être un agent de la brigade des mœurs ! >>. Bien évidemment l'anonymat des filles est totalement préservé. Impossible de les reconnaitre sur les clichés. Clémentine fait : << Il est surtout pressé d'aller se branler en mâtant le fruit de son travail ! >>

C'est fort probable. Le pauvre garçon s'est retrouvé devant des émotions qu'il mettra plusieurs jours à intégrer dans sa psyché. Nous remontons le sentier jusqu'aux falaises. Nous prenons celui qui mène au col des Vellices. Il y a plein de voitures garées là. Nous remontons vers le chalet. Nous y arrivons pour 19 h30. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Estelle prépare une belle omelette. Je réchauffe le riz sur lequel je dépose des tranches de Beaufort. Nous mangeons de bon appétit. Les émotions ça creuse.

Les filles évoquent cette passionnante aventure de l'après-midi. << Encore un mec qui nous a en photo ! >> fait Estelle. << Encore des coulées de sperme en abondance ! >> rajoute Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous ressortons. Pressés d'aller profiter une dernière fois de ce crépuscule alpestre de toute beauté. Assis sur les rochers, en haut du pré, nous admirons le paysage. La nuit est une fois encore sans étoiles. Le ciel reste obstinément voilé.

Une fois encore, en descendant, chaussés de nos baskets, nous glissons dans l'herbe mouillée. Nous pourrions nous laisser glisser sur les fesses jusqu'au chalet à cent mètres. Nous en rions comme des fous. Nos rituels pisseux se font au bas de l'escalier. Je me lèche les croupions. Avec l'excitation, les filles ont mouillé toute l'après-midi. Je me régale. Je continue au lit. C'est un festin. Quand je lèche l'une, l'autre me suce. Estelle jouit la première. C'est au tour de Clémentine. Nous plongeons dans le sommeil...

Bonne séance photo totalement improvisée à toutes les coquines qui aiment créer des situations hautement excitantes...

Julien

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1248 -



C'est le jour du départ

Hier matin, samedi, je suis réveillé par plein de bisous. Je suis entre mes deux anges. Aux premiers frémissement de mes paupières, Estelle se saisit de mon érection matinale qu'elle serre à pleine main. Clémentine empoigne mes couilles fermes et dodues. Elles me chuchotent toutes les deux des douceurs. Je murmure : << Mais comment vais-je survivre à tant de bonheur ? >>. Je glisse mes mains dans leurs culottes. Il est 8 h30. Estelle se lève la première. Sa tenue de sport dans les mains elle dévale l'escalier.

C'est un rituel. Clémentine m'entraîne sur le balcon. Le ciel est voilé mais lumineux. La fraîcheur est très agréable. Nous enfilons nos tenues de jogging avant de dévaler les escaliers. Les toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur du café, du pain grillé et des croissants au four. Hier, au village, nous avons acheté du pain et des croissants. Nous prenons un copieux petit déjeuner en faisant le programme de la matinée. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de la journée de hier. Un bilan bien agréable.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement au bas de l'escalier. C'est parti. Estelle impulse un rythme soutenu dès que nous sommes sur le GR9. Il y a déjà pas mal de marcheurs. Une heure d'un running des plus gratifiants. Nous voilà de retour. Estelle prend sa douche pendant que Clémentine et moi nous consultons nos boîtes mails. Surprise. Un message de Juliette qui s'apprête à passer sa dernière semaine en Corse, chez elle à Sartène. Un message de Julie.

Il y a surtout ce courriel insolite. C'est une de ces deux jeunes femmes que nous avons croisé à Saint-Brieuc au début du mois de juillet. Je lui avais montré ma bite. Les suppositions de Clémentine s'avèrent une fois encore exactes. La jeune femme sera avec sa "Directrice de Conscience" à Saint-Malo le lundi 24 aout. Elle prononcera ses vœux le 7 septembre. << Tu vois, c'est une none en devenir à qui t'as montré ta queue ! Et ce message est clair. Elle en veut une dernière fois ! >> lance Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. Estelle revient vêtue de sa jupette, de son T-shirt. << Je me suis pesé. J'ai maigri avec tout ce qu'on fait tous les jours. Plus que 58 kg pour 1,80m ! >> lance t-elle avec un air alarmé. Nous la laissons à l'ordinateur pour aller prendre notre douche. Nus, nous nous pesons également. << Put-Hein, c'est vrai ! >>. Pour 1,81m Clémentine n'affiche plus que 58 kg. A mon tour. 82 kg pour 1,88m. << On va pouvoir bouffer comme des bovins ! >> lance Clémentine que cela inquiète aussi.

Nous rejoignons Estelle. Elle est au téléphone avec sa maman. Ses parents sont en route pour nous rejoindre à midi. Clémentine en jupette, T-shirt, moi en short et T-shirt. Il est 10 h15. La dernière pâte feuilletée ainsi que le dernier gros pavé de saumon décongèlent rapidement. Estelle tient absolument à préparer le repas de midi. Interdiction de rester à la cuisine. Clémentine m'entraîne par la main. Nous ressortons. Nous montons le pré jusqu'aux pieds des falaises. Des marcheurs passent devant le chalet.

<< Julien , j'ai passé un merveilleux séjour ici. Tu m'as fait découvrir tant de choses. Cette fois ce sont les Alpes ! >> me fait Clémentine en glissant sa main dans ma braguette. Je dis : << Moi aussi j'ai découvert les Alpes. Je ne connaissais que les montagnes de mon Ecosse ! >>. Je me retrouve rapidement avec la bite à l'air. << Je t'aime Julien, je t'aime si fort ! >> chuchote encore Clémentine. Je suis pétri d'émotion en passant mon bras autour de ses hanches. Je murmure : << Moi aussi. Comme un fou ! >>.

Je glisse ma main sous sa jupette. Le doux contact du coton de sa culotte me fait frissonner. << Viens ! >> me fait elle en m'entraînant par la main. Nous prenons le sentier qui longe la falaise. Nous voilà à l'abri de tous regards. Ce samedi 15 aout, jour férié, semble marquer une recrudescence du nombre de randonneurs. Clémentine me fait m'assoir sur la mousse fraîche. Elle s'installe à côté de moi. Elle sort à nouveau mon Zob. Elle me pousse afin que je tombe sur le dos. Elle pose sa tête sur mon ventre.

Je me fais immédiatement téter avec passion. Je caresse ses cheveux, sa nuque, sa joue creusée par l'effort de succion. Toutes les deux ou trois minutes Clémentine cesse, se redresse pour venir me raconter des choses. Après avoir ainsi reposé sa mâchoire elle retourne à sa pipe. Lorsqu'elle suce, c'est moi qui lui raconte des choses. Nous aimons pratiquer ainsi. Lorsque je lui prodigue mes cunnilingus, nous faisons souvent pareil. << A Saint-Malo, je vais être une vraie salope. Sois un vrai salaud ! >> murmure Clémentine.

Je me fais sucer ainsi trois bon quart d'heure entrecoupés d'échanges, de projets et de nouvelles envies de folies. Il y a quelquefois des bruits de voix. Des gens passent sur le sentier en contrebas à une vingtaine de mètres. Nous sommes en surplomb, totalement hors de vue. Il n'est pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. Nous aimons tous deux nous garder bien "allumés" jusqu'au soir. Il est 11 h30. Nous redescendons le pré en marchant prudemment. L'herbe est glissante et nous sommes en baskets.

Nous montons l'escalier. Nous entendons Estelle chantonner en s'affairant à la cuisine. << On peut entrer ? >> lance Clémentine en toquant à la porte. << Non, mais vous pouvez mettre la table, tout est préparé ! >> répond Estelle. Nous dressons la grande table de la salle de séjour. C'est une table monastère semblable à la nôtre mais en plus rustique. Celle ci doit doit bien mesurer cinq mètres de long. Il y a un banc de chaque côté. Nous plaçons soigneusement les couverts. Nous montons préparer nos affaires.

C'est rapide. Nous avons déjà rangé et plié nos vêtements inutiles dans les valises depuis quelques jours. Estelle a déjà bouclé la sienne. Les draps sales sont pliés. Il suffit de les glisser dans le sac plastique. Ils seront lavés à l'appartement qui nous attend à Saint-Malo. Un bruit de moteur qui s'arrête. Des claquements de portières. Nous allons sur le balcon. Mon ancienne voiture. Michèle et Yvan, les parents d'Estelle viennent d'arriver. Heureux de découvrir le cadre enchanteur où ils vont passer deux semaines.

Nous descendons avec nos valises et le sac. Estelle tient son papa par la main pour lui faire visiter le bas du chalet. Nous saluons Michèle et Yvan. Ils sont contents de nous voir et si contents de découvrir cet endroit. Pour eux également la découverte des Alpes est une grande première. Pour nous autres Bretons, c'est à la fois grandiose, insolite et étonnant. Nous laissons Estelle aider ses parents à monter leurs affaires. Clémentine m'embrasse avec fougue en me disant : << Comme je suis heureuse ! >>

Estelle insiste pour s'occuper de tout. En parfaite maîtresse de maison. Ils montent tous les trois à l'étage. Estelle fait la visite du haut du chalet. "Interdiction d'entrer à la cuisine" est écrit au stylo sur un papier scotché à la porte. Nous respectons. Mais nous sentons bien l'odeur caractéristique du feuilleté de saumon. Estelle et ses parents descendent. << On est morts de faim ! >> fait Yvan. Estelle nous invite à prendre place. Nous voilà assis en face de Michèle et d'Yvan. Nous bavardons. Ils racontent le voyage. L'hôtel.

Estelle arrive avec les plats. << C'est comme à la maison. Estelle nous gâte ! >> lance Michèle. Nous la félicitons pour ce repas délicieux. Nous mangeons de bon appétit. Estelle préside, assise en bout de table. Elle anime ce festin comme elle le fait à la maison. En reine. Nous évoquons les ballades à faire, les sentiers à découvrir, la supérette ouverte tous les jours au village. Les points de vues qu'il ne faut surtout pas manquer. Clémentine me fait du pied sous la table. Michèle et Yvan vont faire plein de petits films.

Nous traînons à table. Je débarrasse avec Clémentine. Afin de laisser Estelle avec ses parents. Un peu d'intimité avant de partir. La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous laissons une maison d'une propreté exemplaire. Voilà le couple Lesage, les propriétaires du chalet qui arrivent à leur tour. Eux aussi sont contents de nous revoir. Ils font la connaissance des parents d'Estelle. Yvan règle les modalités de la location. Clémentine et Estelle sont à la salle de bain. Michèle vient me rejoindre à la cuisine.

<< Votre relation à trois, c'était comment en altitude ? >> me demande t-elle à brûle pourpoint. Je suis tellement décontenancé par cette question que je ne sais quoi répondre. Michèle rajoute encore : << Rassurez vous, lorsque j'avais l'âge d'Estelle, moi aussi j'avais une préférence marquée pour les hommes beaucoup plus âgés ! Hélas, je n'ai pas eu son culot et cette opportunité ! >>. Je reste silencieux. Je crois que j'ai rarement été aussi gêné. Michèle prend d'ailleurs un malin plaisir à en rajouter une louche.

<< Estelle aime les explications détaillées. Elle me fait souvent un rapport succin de vos week-end ! >> fait elle encore. Je reste toujours aussi silencieux. Michèle continue : << Elle est entre d'excellentes mains. Et je vous remercie de la préserver des conneries de jeunesse par cette relation qui a fini par me rassurer ! >>. Je reste pantois. Je ne sais absolument pas quoi répondre. Michèle, en appui sur le buffet, les bras croisés, s'amuse visiblement beaucoup de mon embarras. Je baise quand même sa fille. Merde !

Pour m'achever totalement, juste avant de quitter la cuisine pour rejoindre son mari et les propriétaires, Michèle, le regard terriblement suggestif, me lance : << Et j'ai exactement les mêmes préférences qu'Estelle ! >>. Elle me fait un clin d'œil avant de disparaître. Heureusement que Clémentine vient me rejoindre. Je suis en proie à une sorte de vertige. Je raconte à Clémentine. Elle me fait : << Ce serait génial de te faire sucer par la mère d'Estelle ! >>. Je m'écrie : << T'es folle ! Jamais ! >>

Nous rigolons comme des bossus. Nous rejoignons les autres dans la salle de séjour. Tout le monde est installé devant des tasses de cafés, des petits gâteaux secs. Nous bavardons. Je surprends plusieurs fois le regard de Michèle. Elle semble très "inspirée". C'est une superbe bourgeoise. La grande sœur d'Estelle en quelque sorte. Je suis bien embarrassé. Clémentine me fait du pied sous la table. Ou est-ce Estelle ? Il est 15 h30. Nous avons plus de 300 km à faire. Il est temps de prendre congé.

Je sors la voiture de la grange. Elle n'a pas servi depuis deux semaines. Un peu de poussière sur la carrosserie noire. Clémentine et moi nous mettons nos affaires dans le coffre. Madame et monsieur Lesage s'apprêtent à partir également. Ils sont montés avec leurs gros 4 x 4 de marque Allemande. << Un vrai camion ! >> murmure Clémentine. Michèle, Yvan et Estelle descendent. Estelle reste tout contre son papa. Michèle me regarde à la dérobée. Certainement contente de l'émoi qu'elle m'a causé. Telle mère, telle fille.

Estelle monte à l'arrière. Clémentine monte à l'avant. Je suis au volant. Nous nous faisons les derniers coucous. Je roule au pas toute la descente. Ce sont trois cent mètres sur un chemin pierreux jusqu'au col des Vellices. Nous voilà partis. Il faut descendre la route sinueuse aux nombreux lacets jusqu'à Saint-Jorioz puis jusqu'à Annecy. Contourner la ville pour rejoindre l'A41 jusqu'à Chamberry. L'A43 jusqu'à Lyon. Puis l'A89 jusqu'à Clermond-Ferrand. C'est à Lyon que l'épreuve est la plus terrible.

Je raconte à Estelle la conversation de sa mère, à la cuisine, au chalet. << Je te préviens, si tu dragues encore ma mère, je t'arrache les yeux ! >> me fait elle. Elle rajoute : << Et si tu te fais sucer par maman, je te coupe les couilles ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. La climatisation de la voiture fonctionne à plein. Assise sur le siège arrière, les pieds relevés sur la banquette, Estelle me montre sa chatte. A chaque fois que je regarde dans le rétroviseur, j'ai ce merveilleux spectacle. << Salaud ! >> dit elle.

Clémentine se retourne souvent pour mâter. Le nœud autoroutier de la banlieue Lyonnaise est un véritable labyrinthe. Même la voix de la dame du GPS semble prononcer des mots hésitants. << Quelle énergie pour créer un réseau routier aussi inextricable ! >> lance Clémentine qui est une excellente coéquipière. Il est 20 h quand nous arrivons à La Roche-Blanche. Ce charmant petit village à une vingtaine de kilomètres de Clermond-Ferrand. Notre hôtel nous y attend. Notre chambre No 11.

Nous avons réservé une table à l'Apicius. Ce restaurant gastronomique qui nous a enchanté à l'allée il y a deux semaines. C'est la même table. Nous sommes encore plus fatigués de cette route que d'une randonnée. 4 h pour parcourir 300 km et par l'autoroute. Certes, c'est un jour férié, un 15 aout, mais quand même. De délicieuses terrines de homards accompagnées de leurs farandoles de légumes nous font rapidement oublier nos épreuves. Les énormes coupes glacées nous achèvent complètement.

Nous flânons un peu dans les rues du village. Nous les avions déjà apprécié la dernière fois. Estelle n'arrête pas de me tripoter la braguette. Je dois la gronder car elle s'en fout complètement des promeneurs que nous croisons. << Tu es un salaud, tu incites ma mère à la débauche ! >> se contente t-elle de répondre à chacune de mes tentatives de rappel à l'ordre. Là, entre deux camionnettes garées près de l'hôtel, je me retrouve avec la bite dans la main d'Estelle qui me la tord dans tous les sens en me faisant la morale.

Nous rentrons à l'hôtel épuisés. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nos rituels pisseux. Estelle étudie la qualité de ma queue. << Je suis certaine que la jute qui coule entre deux jets de pisse c'est à cause de l'excitation suscitée par maman. Espèce de vieux salaud ! Tu vas voir ce que je te réserve à Saint-Malo, vieux vicieux pervers ! >> me fait elle. Au lit, trop fatigués pour nous livrer à nos petites agapes habituelles, nous nous endormons serrés l'un contre l'autre.

Bon retour de vacances alpestres à toutes les coquines qui vont vers des vacances bretonnes. Animées de la même libido passionnée...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1249 -



Une journée de voiture à traverser la France

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par les mouvements d'Estelle. Tout en gémissant elle s'étire contre moi. Clémentine se réveille à son tour. Nous nous étirons tous les trois en modulant longuement nos gémissements. C'est un jeu qui nous amuse bien. Il est 8 h. Nous ouvrons les yeux pour regarder cette chambre impersonnelle. Estelle se lève la première en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine me chevauche en riant. C'est à notre tour. Nous nous habillons. Jupettes, T-hirt pour les filles. Bermuda, T-shirt pour moi.

Clémentine récupère les deux baguettes de pain complet que nous avons ramené. Estelle sort le pot de confiture. Nous prenons un rapide petit déjeuner dans la chambre. Inutile de s'exposer dans le réfectoire de l'hôtel. Nous ne traînons pas. Nous nous lavons les dents. Nous descendons par les escaliers plutôt que par l'ascenseur. Nous portons nos masques sanitaires. Je remets la clef à la jeune fille de la réception. Nous voilà dans la voiture. Nous quittons le parking souterrain de l'hôtel. Il est 8 h30. Il fait beau.

Nous quittons La Roche-Blanche pour rejoindre l'A71. Clémentine à ma droite répète ce que dit la dame du GPS. Estelle, assise à l'arrière imte la voix de la dame. A chaque fois que je regarde dans le rétroviseur, je vois Estelle, pieds relevés sur la banquette, cuisses largement écartées, à me présenter le blanc immaculé de sa culotte en coton. Clémentine se retourne souvent pour admirer le spectacle. Estelle lance : << Au premier arrêt pipi, je la retire ! >>. Nous en rions de bon cœur. << Moi aussi ! >> fait Clémentine.

La circulation est plutôt fluide. Ça roule bien. Le ciel se voile mais reste lumineux. Nous quittons les derniers massifs montagneux. Je m'arrête pour faire le plein d'essence. Nous nous dégourdissons un peu les jambes. Il est décidé de s'arrêter toutes les heures une dizaine de minutes. J'en profite pour laver la bagnole. Clémentine nous entraîne derrière les bosquets de lauriers. Il y a là quelques camions garés.
Les filles s'accroupissent. Les pipis. Je tiens les mouchoirs en papier. Je fais le guet. Personne.

Je torche soigneusement les pisseuses. C'est à mon tour. Estelle me tient la bite pour en diriger le jet. << Tu veux me la tenir aussi ? >>. C'est la voix d'un camionneur que nous n'avions pas vu. Probablement allongé dans la cabine de son camion. L'accent méridional, la casquette vissée sur la tête, le type est penché à sa vitre baissée. << Non merci ! >> lance Clémentine. Je remballe. Juste avant de contourner les bosquets, les filles retirent leurs culottes en même temps. Le mec siffle d'admiration.

Nous voilà repartis. Je respecte toujours les limitations de vitesse. Ça roule bien. Clémentine joue avec ma queue tout en évoquant ce séjour alpestre. Estelle, assise à l'arrière, m'offre la vue de sa superbe chatte à chaque fois que je regarde dans le rétroviseur réglé pour bien voir. Trois arrêts plus tard, sur les aires d'autoroute réservés à cet effet, il est midi quand nous arrivons à Bourges. Nous quittons l'autoroute. Je roule quelques kilomètres sur une nationale quasi déserte. Les premières maisons de Bourges.

Estelle avise un restaurant. "La Gargouille". Je gare l'auto sur le parking. Nous sautillons un peu sur place. C'est toujours très agréable de s'arrêter fréquemment. Nous entrons dans l'établissement. Peu de monde. Un personnel masqué. Notre table est près de la baie vitrée. La nappe empêche l'exhibe sous la table. Car juste en face de Clémentine, à quelques mètres, il y a deux couples dont les mecs ne cessent de mâter par chez nous. Il faut dire que nous attirons l'attention. Cet homme d'âge mûr accompagné de deux jeunes filles.

Nous nous régalons d'une terrine de saumon accompagnée de crudités et de pommes de terre délicatement rissolées. Première visite aux toilettes. Estelle m'y entraîne par la main. Petite pipe de cabinet. Puis c'est au tour de Clémentine. Quelques autres clients, le regard amusé, mâtent discrètement. Seconde visite, dans le même ordre juste avant le dessert. Cette fois, enfermés dans un des cabinets des WC homme, nous entendons un "visiteur". Sans doute attisé par la curiosité il tente d'ouvrir la porte. Je me fais sucer.

L'addition. Nous voilà repartis. Je rejoint l'autoroute. Nous quittons l'A71 pour l'A85. Vierzon, Romorantin. Là-bas, magnifique, le château de Chenonceaux. L'A70. Il est 15 h30 lorsque nous arrivons à proximité de Tours. On voit la ville depuis l'autoroute. Le ciel se voile encore davantage. Nos arrêts sur les aires d'autoroute nous permettent de nous dérouiller un peu. Estelle en profite pour me tripoter. Il y a toujours un moyen discret de pisser dans un coin. Il y a parfois de drôles de zèbres sur les aires d'autoroutes.

Il est 16 h30 quand nous arrivons au Mans. Nous avons beaucoup de chance. Ça roule super bien. Laval, Rennes. Il est 19 h30 quand nous arrivons à Saint-Malo. Je sens les kilomètres dans les bras. Je roule doucement pour entrer dans la propriété. Monsieur Jacques est là. Tout souriant, heureux de nous revoir, il nous salue. Sa femme vient le rejoindre. Notre appartement nous attend au premier étage de leur grande demeure. Nous montons nos valises. Le temps est à l'orage. Le ciel sombre et menaçant.

Nous sommes fatigués. Clémentine défait nos valises. Estelle sort les produits frais de la glacière pour les ranger au frigo. Je téléphone à quelques restaurants. C'est au "Cap Horn" que nous attend notre table pour 21 h. Nous y avons déjà mangé lors de notre premier séjour. Les filles sont hyper contentes de retrouver cet appartement. << Retour à la civilisation ! >> lance Estelle qui glisse sa main dans ma braguette. Clémentine me couvre le visage de bisous. Nous sommes morts de faim.

Nous achevons de faire notre lit. Nous baillons tous les trois sans arrêt. Nous nous regardons dans le grand miroir de l'armoire. Je suis entre mes deux anges qui restent blotties contre moi. Il y a trois bornes jusqu'à la ville. Un dernier effort. Nous prenons tout de même l'auto. Je roule doucement. Clémentine me tient la queue. J'ai ma main droite sous sa jupette. Il faut garer la bagnole à l'extérieur de la ville close. Heureusement. Quelle joie de retrouver la Cité Corsaire. Notre charmant restaurant nous attend.

Nous portons nos masques sanitaires. Il y a moins de monde dans les rues qu'au début juillet. La météo menaçante y est pour beaucoup. Quelques gouttes de pluie. Quelques coups de tonnerre au loin. Le personnel masqué du "Cap Horn" nous accueille. Notre table nous attend. C'est un établissement gastronomique. L'élégance et la classe. Nous voilà installés devant des queues de homards grillées accompagnées de salicornes, de crudité et de fruits de mer. Par la baie vitrée la vue sur la mer, la plage de la Hoguette.

Là aussi, nous rions de nos bâillements incessants. La distanciation sociale est bien respectée en ce lieu. Une clientèle discrète. Nous apprécions les restaurants gastronomiques pour la sélection naturelle qui s'y opère. Une clientèle beaucoup plus classe. Une ambiance feutrée. Comme toujours, nos petites visites à deux aux toilettes. Une première fois avec Estelle. Une seconde fois avec Clémentine. Nous récidivons avant le dessert. Nous nous amusons de ces quelques regards plein de curiosité.

Nous traînons à table. L'addition. Nous flânons encore un peu sur le Boulevard Hébert. Les Thermes de Saint-Malo. Nous connaissons moins bien. Il y a des gouttes de pluie. Nous n'avons pas nos parapluies. Nous retournons à la voiture. T-shirts mouillés. Je roule doucement. Il est 22 H45 quand nous sommes de retour à l'appartement. Nous nous lavons les dents. Nous nous couchons totalement épuisés. Je suis entre mes deux anges. Elles ont leurs têtes sur mes épaules. Elles évoquent notre séjour alpestre.

Estelle me tient la queue. Toute molle dans sa main. Clémentine me tient les couilles. Bien dodues dans sa main. J'aime les entendre raconter. J'aime le souffle de leurs respirations sur ma poitrine. J'ai mes bras autour de leurs épaules. Estelle s'endort la première. Clémentine me confie ses dernières impressions. Ses derniers ressentis. Estelle émet de doux ronflements. Ce qui nous amuse toujours beaucoup. Parfois un gémissement. Comme si elle entendait nos chuchotements. C'est merveilleux.

Bon retour sur le lieu des prochaines vacances à toutes les coquines qui apprécient de s'endormir en tenant une bite et des couilles...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1250 -



Nous voilà de retour à Saint-Malo

Hier matin, lundi, c'est Clémentine qui vient se glisser tout contre moi. Je suis entre mes deux anges. Estelle dort encore à poings fermés. << Je t'aime. Comme je suis bien avec toi, partout, tout le temps ! >> me chuchote t-elle. Je la serre. J'écoute ses douceurs. Il est tellement rare qu'elle soit réveillée la première. Estelle commence à bouger. Elle émet des gémissements pour ponctuer chacune de mes phrases. Comme si elles lui étaient destinée. Nous en rions de bon cœur. << Moi aussi je t'aime ! >> murmure t-elle.

Il est à peine 8 h. Nous revoilà dans la chambre à coucher de ce grand appartement, au premier étage d'une grande demeure. Dehors, le ciel est gris. Estelle se lève d'un bond. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en se précipitant aux toilettes. Clémentine se frotte contre moi en me murmurant des douceurs. Estelle revient, enfile sa tenue de jogging et file à la cuisine. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Nous enfilons nos tenues sport. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur du café et du pain grillé.

<< Pas fameux là dehors ! >> fait elle en se blottissant dans mes bras. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de notre séjour dans les Alpes. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de la journée. En priorité, il faut faire des courses. Nous avons laissé les restes de légumes, de féculents et de fruits aux parents d'Estelle. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous descendons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la douceur matinale.

Nous retrouvons facilement nos repères. Le même parcours. Estelle mène la danse en imprimant un rythme soutenu. Nous sommes de retour vers 9 h45 après un bien agréable running dans la campagne avoisinante. Estelle prend sa douche la première. Clémentine allume l'ordinateur. << Merde ! Il faut faire la mise à jour Catalina ! >> s'écrie t-elle en ouvrant nos boîtes mails. Le seul et unique message de Julie. Elle nous raconte son quotidien dans la galerie d'Art. La fréquentation qui baisse.

Estelle vient nous rejoindre vêtue de sa jupette et de son t-Shirt. C'est à notre tour de prendre notre douche. Nous nous habillons. Jupette, T-shirt pour Clémentine, Bermuda et T-shirt pour moi. Tous les trois les mêmes teintes. Nous rejoignons Estelle qui surfe sur le site de l'université. Nous voilà prêts à partir. Clémentine appui sur redémarrage. Nous laissons le MacBook Air pour descendre l'escalier. Le ciel est aussi menaçant que durant notre jogging. Direction Intermarché. Le centre commercial "La découverte".

Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans la braguette de mon bermuda. Estelle assise à l'arrière me caresse le cou. Il n'y a que quelques kilomètres jusqu'au centre commercial. Je gare la voiture sur le grand parking. Nous nettoyons la poignée du Caddie avec du gel hydroalcoolique. Nous avons nos gants Mappa. Estelle reste à mon bras. Je pousse le chariot. Clémentine nous entraîne dans les rayons. Elle tient la liste des courses. Il y a du monde. Mais nous sommes très loin des grosses affluences.

Estelle profite de chaque occasion pour palper discrètement ma braguette. << Je me sens salope aujourd'hui ! >> me fait elle. Je lui dis : << Seulement aujourd'hui ? >>. Nous suivons Clémentine. Les allées sont larges. Les rayons bien achalandés. La section des produits Bio bien fournie. Nous portons nos masques sanitaires. Aux rayon des légumes il y a une bonne femme qui touche tous les concombres avant de faire son choix. << T'as bien déposé tes microbes partout ? >> lui lance Clémentine.

La meuf ne répond pas et s'en va précipitamment. << Dégueulasse ! >> lui lance Estelle. Il ne faut pas se faire d'illusion, tout ce que nous achetons en magasin a déjà été touché, retouché, soupesé des dizaines de fois. Aussi nous lavons toujours tout en rentrant. Nous passons même une éponge humide imbibée de produit vaisselle sur les paquets et emballages. Les porcs qui nous entourent sont légions. Clémentine a le réflexe "exhibe". Elle nous entraîne au rayon culture et aux rayons des vêtements homme.

Hélas, ni dans l'un, ni dans l'autre il n'y a la moindre opportunité de s'offrir la moindre petite frayeur. Estelle ne cesse de me toucher. Deux fois nous sommes surpris ainsi. Le regard libidineux d'un mec. Le regard consterné d'une meuf. Cela nous amuse beaucoup. Nous passons en caisse. Nous avons tout ce qu'il faut pour une semaine. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. La boulangerie propose de beaux pains biologiques. Des miches aux noix et aux amandes. Nous prenons même une brioche tressée.

Nous reprenons la route du retour. Il est 11 h45 quand nous revenons. Il y a quelques gouttes de pluie. Nous rangeons nos courses après avoir tout lavé et nettoyé. Les produits de la mer dans le congélateur. Estelle insiste pour préparer le repas. Interdiction de rester à la cuisine. De toute manière, on sait ce qu'elle nous concocte. Un dernier bisou. Nous retournons dans la salle de séjour. La mise à jour Catalina s'est effectuée. Clémentine trouve que son ordinateur fonctionne encore mieux. Je suis plutôt PC que Mac.

Nous allons sur le balcon. Là-bas, à l'Ouest, au dessus de la mer, le ciel s'assombrit encore davantage. Clémentine m'entraîne devant l'ordinateur. Nous regardons les destinations les plus proches. Quoi visiter si l'après-midi est pluvieux. Son choix se porte sur le Cap Fréhel. Vu les photos, c'est en endroit magnifique. Comme nous les aimons. << C'est prêt ! >> fait Estelle qui vient nous rejoindre. Morts de faim nous la suivons à la cuisine. Miam. L'odeur est alléchante. Des ravioles de crevettes avec des nouilles.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. La salade est délicieuse. Une frisée bien grasse avec des olives noires à la grecque dénoyautées. Nous félicitons Estelle pour cette délicate attention. << C'est ma contribution ! >> fait elle assise sur mes genoux. Clémentine propose le programme de l'après-midi. Enthousiasme et applaudissements. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres. Je prépare le petit sac à dos que nous trimballons partout. Il contient aussi nos papiers.

Des pommes, des barres de céréales, la bouteille d'eau, les minis parapluies, les K-ways. Nous voilà prêts. Il est 13 h 30. Nous dévalons les escaliers prêts à filer. Le ciel est gris et bas. Mais il ne pleut pas. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. Je passe souvent ma main droite sous sa jupette, entre ses cuisses. Le Cap Fréhel est à environ 45 minutes à l'Ouest de Saint-Malo. La circulation est fluide. Le gros rush touristique se situe toujours entre le 14 juillet et le 15 aout. Là, c'est beaucoup plus calme.

Je gare la voiture sur le parking du Fort de la Latte. Il y a peu de véhicules garés là. Le vent est assez puissant. Il vient du large. Attention aux jupettes. Les filles gardent leurs culottes. Nous en rions de bon cœur. Je remballe mon sexe. Je prends le petit sac à dos. Nous descendons sur le sentier côtier qui mène au Cap Fréhel depuis le Fort. C'est magnifique. Nous sommes au bord des falaises. A nos pieds l'océan. Le cri des mouettes. Le bruit du ressac. C'est impressionnant. Un autre plaisir après les Alpes.

Nous marchons sur le GR34, ce sentier de grande randonnée qui parcourt toutes les côtes bretonnes. Nous croisons quelques marcheurs. Estelle passe la paire de jumelle à son cou. Elle aime regarder les gros bateaux qui croisent au large. Elle s'arrête souvent pour commenter. Clémentine et moi nous nous caressons. Nous nous embrassons. << Et moi ! Je sens le pâté ? >> nous fait Estelle qui en veut aussi. Elle me palpe la braguette avec cette vulgarité dont elle est coutumière. J'adore les filles vicieuses.

Ici, ce sont des bruyères sauvages qui recouvrent les falaises. Le phare en granit est une construction réellement imposante. Clémentine prend des photos. Avec ce ciel d'un gris de plomb, le contraste est saisissant. C'est là, entre le muret et les rochers qu'Estelle me sort le Zob. << Tu croyais t'en tirer à bon compte, hein ! >> fait elle en me le tenant d'une poigne de fer. Deux couples de randonneurs se pointent. Impossible de ne pas comprendre ce qui se passe. Surtout qu'ils marchent à une dizaine de mètres.

Un des messieurs se retourne plusieurs fois, rapidement, pour se rendre compte qu'il ne rêve pas. Je gronde Estelle qui n'en a rien à secouer. A part ma bite qu'elle agite vers l'océan. Nous contournons le phare. J'ai obligation de garder ma braguette ouverte. << Regardez, on se croirait en Ecosse ! >> lance Clémentine. C'est vrai. La même impression d'immensité. Et avec cette météo, la même ambiance. Le vent a cessé de souffler. C'est un endroit majestueux. Nous nous en mettons plein les yeux.

Nous parcourons toute la pointe du Cap. Une bonne dizaine de kilomètres. La fatigue, conséquence de notre voyage de hier, se fait ressentir. Le village de Cancale. C'est certainement la saison des huitres car des panonceaux en vantent la consommation. Je propose de nous en offrir une dégustation en soirée. De réserver une table dans un restaurant. << On revient demain ! >> suggère Clémentine. Estelle rajoute : << Oui, on est trop crevés, on mange à l'appartement ! >>. J'écoute toujours les filles.

Nous reprenons le sentier en sens inverse. C'est grandiose. Lorsque nous marchons seuls, je me retrouve avec la bite à l'air. << Les couilles aussi on besoin de l'iode marin ! >> lance Estelle. J'ai donc mes organes génitaux que se balancent au rythme de mon pas. Estelle s'accroupit pour me la renifler. << Mmhh ! J'aime l'air marin sur les glands ! >> lance t-elle. Je la saisis à chaque fois par sa natte pour la lui frotter sur la gueule. << J'aime les salauds des falaises ! >> fait elle encore avant de suçoter.

Nous revenons à la voiture. Il est aux environs de 18 h. C'est tellement beau que nous nous promettons de revenir demain. Cette fois nous irons jusqu'à Dinard par le GR34. Je roule doucement. La route suit la côte sur sa plus grande distance. Clémentine me tient la queue. Estelle me caresse les joues. Elle voudrait passer devant. S'assoir au sol, entre les pieds à Clémentine, comme elle aime parfois le faire. Je trouve que ce n'est pas prudent. Je ne connais pas bien cette petite route. On ne sait jamais.

Par contre je m'arrête en descendant dans un chemin creux. Il va vers l'océan. Il y a une charrette qui en barre l'accès. Je sors de l'auto pour passer à l'arrière. Je saisis Estelle par ses cheveux. Ma réaction l'étonne agréablement. Clémentine nous observe en se touchant. Je force Estelle à me tailler une pipe. Je prononce plusieurs fois ces mots qui la font glousser de plaisir. << Du jus de salaud des falaises pour une jeune salope affamée ! >>. Je lui enfonce la bite jusqu'au fond de la gorge. Bien vulgaire.

Il y a un tracteur qui se pointe. Il veut s'engager dans le chemin. Sans doute pour récupérer la charrette. Un coup de klaxon. Je remballe. Je sors pour revenir au volant. Dans le rétroviseur Estelle me montre l'intérieur de sa bouche. Plein de foutre gluant. Nous quittons le chemin en saluant l'agriculteur sur son tracteur. Il est 19 h30 quand nous arrivons à l'appartement. Nous sentons bien qu'il nous faut une bonne nuit de sommeil. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait dorer trois filets de colin.

Je réchauffe les nouilles. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan des découvertes de l'après-midi. Le projet d'y retourner demain nous anime déjà. Nous traînons à table. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Les filles m'entraînent dans la chambre. << Mon dessert ! >> lance Estelle. Elle me fait basculer sur le lit. Pressée de retourner à sa fellation juteuse. Clémentine s'installe sur mon visage. Je peux me régaler de son huitre onctueuse. Estelle me taille une pipe des familles. Les filles permutent.

L'orgasme d'Estelle est d'une puissance rare. Je suis toujours inquiet de la voir se tourner sur le côté, les mains entre ses cuisses comme si elle avait mal. L'orgasme de Clémentine est tout aussi passionnant. Nous terminons par nos rituels pisseux. Aux toilettes. Je tiens mes deux anges pour les faire pisser. Je lèche les croupions avec délectation. Estelle, à genoux, suce les derniers reliquats de pisse où se mêle l'abondance de mon liquide séminal. Je leurs éjacule dans la bouche en essayant d'être équitable.

Bonne balade sur les falaises à toutes les coquines qui aiment y tenir une queue, sucer du foutre en écoutant les mouettes...

Julien

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Une météo plutôt médiocre pour une ambiance survoltée

Hier matin, mardi, je suis réveillé par les incessants mouvements que fait Estelle dans son sommeil. C'est toujours amusant car elle se serre immédiatement contre moi en saisissant mon érection matinale. Là, elle se frotte lascivement contre moi en murmurant : << J'aime mon salaud des falaises ! J'en ai encore rêvé cette nuit ! >. Je glisse ma main dans sa culotte. Tout cela réveille Clémentine qui vient de blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Il est 8 h30. Nous savourons l'instant.

Estelle se lève d'un bond. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en se précipitant aux toilettes. Clémentine m'entraîne par la main sur le balcon. La fraîcheur est surprenante. La pluie est tombée cette nuit. Le ciel est sombre. Estelle vient nous rejoindre. Nous restons blottis en slips et en T-shirt. Là-bas, au loin les maisons de Saint-Malo. Nous enfilons nos tenues de jogging. Estelle prépare notre petit déjeuner. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur de café, de pain grillé.

Nous avons acheté hier une belle brioche tressée. Au pudding et nappée de sucre roux. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un très vague programme de la journée. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous descendons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. Le thermomètre extérieur indique 16°. Nous voilà partis. C'est le même parcours. Estelle de sa bonne foulée, donne un rythme soutenu.

Il est 10 h quand nous revenons d'un running des plus agréables. Estelle prend sa douche la première. Clémentine allume l'ordinateur. Le message de Julie qui nous annonce deux ventes, hier après-midi, coup sur coup. Elle m'a fait dix huit ventes. Nous la félicitons. Elle totalise également 8 commandes avec acomptes. Nous sommes impatients de la revoir. Estelle vient nous rejoindre, vêtue de sa jupette, de son T-shirt. Nous allons prendre notre douche. Nous nous habillons. Jupette et T-shirt pour Clémentine.

Je passe le plus clair de mes vacances en short. Ce matin je suis en bermuda, T-shirt. Nous portons tous les jours, et tous les trois, les mêmes teintes. Aujourd'hui en bas kaki et en hauts ocres. Estelle termine le courriel adressé à ses parents. << Ils se plaisent dans le chalet ! >> fait elle en nous montrant des photos. Nous avons un pincement au cœur en découvrant l'endroit où nous avons passé deux superbes semaines. Nous nous sentons très en forme. Nous avons bien récupéré de notre journée d'auto.

Nous préparons nos sandwichs. Nous adorons manger sur le pouce dans quelques improvisations touristiques. Dans le petit sac à dos que je porte, nous rajoutons des pommes, des barres de céréales, la bouteille d'eau, nos minis parapluies et les K-ways. Nous dévalons les escaliers pressés de filer. Nous rencontrons monsieur Jacques qui s'apprête à partir en ville. Il nous propose de nous y déposer. Nous déclinons son offre. Nous adorons le chemin qui traverse la campagne. Nous sous saluons.

Nous marchons d'un bon pas dans l'air vivifiant qui vient de la mer. Les filles me tiennent par la main. Il y a trois bornes jusqu'à la ville. Nous enfilons nos masques sanitaires avant d'arriver sur la place Chateaubriand. Il y a bien moins de monde qu'au début juillet. Nous retrouvons avec plaisir notre chère rue Saint-Vincent. Il doit y avoir des mesures sanitaires strictes car tout le monde porte un masque. Heureusement qu'il ne fait pas chaud. Le port du masque reste supportable.

Estelle profite de nos arrêts devant des vitrines pour me palper discrètement la braguette. Je suis entre mes deux anges. Personne ne peut voir ce qui se trame. Je lui demande de rester très secrète. Il y a du monde. En allant vers les fortifications, l'affluence touristique se densifie. Nous préférons ne pas nous y engager. Il est difficile d'y respecter les distanciations sociales. Même si pour nous tout cela n'est que mascarade, nous préférons jouer de prudence et éviter de nous exposer.

Nous prenons la direction du port. Nous gardons le souvenir de quelques belles aventures vécues là. Nous flânons sur les quais. Ce qui captive l'attention c'est l'impressionnante écluse qui permet aux bateaux d'entrer dans le port. D'en sortir aussi. Estelle m'a ouvert la braguette. C'est invisible sous mon T-shirt. La température est limite. C'est là, près du mur de la jetée, entre des piles de palettes hautes de quelques mètres, qu'Estelle me sort la queue. << J'aime les salauds du port ! >> me dit elle.

Clémentine a ce réflexe de faire le guet. Estelle, accroupie, ajuste mes couilles sur l'élastique du slip. Elle me propose de garder mon appareil génital à l'extérieur en le recouvrant de mon T-shirt. Je m'y refuse. La bosse est bien trop proéminente. Et en marchant le T-shirt se relève inexorablement. Je bande mou. Je la saisis par son catogan. Je la tiens fermement. Je lui passe la bite sur la gueule. Clémentine, à quelques mètres, qui surveille, se touche en nous regardant. Elle aussi adore le "salaud du port".

<< Le porc du port ! J'aime ! >> fait encore Estelle juste avant d'ouvrir la bouche. Je lui enfonce la queue. Je la tiens fermement. J'imprime un mouvement masturbatoire des hanches. Je me branle ainsi dans la bouche d'Estelle qui suce comme si sa vie en dépendait. << Gaffe, du monde ! >> lance Clémentine. Je force Estelle à se redresser. Je la serre contre moi pour cacher ma bite et mes couilles. Ce sont deux couples de touristes qui viennent prendre des photos du phare qu'on voit là-bas. Joli point de vue d'ici.

Je remballe discrètement. Estelle m'entraîne par la main. Nous marchons vers les bancs disposés le long du quai supérieur. Nous voilà installés face à la mer et aux bateaus. << Regarde ! >> me fait Estelle en me montrant les deux taches sombres qui maculent sa jupette. De mon foutre. Je lui présente mes excuses. Estelle éclate de rire. << Mais c'est bien de laisser des traces de tes exactions biteuse ! >> rajoute t-elle encore. Clémentine sort nos sandwichs du sac. Ils sont encore meilleurs à température.

Nous regardons passer les badauds masqués. C'est une vision surréaliste et d'un autre monde. Des humains masqués partout. Nous dégustons nos sandwichs. Nous traînons avec un plaisir raffiné. Nous jetons nos feuilles d'aluminium froissé et nos serviettes dans une poubelle. Nous prenons la direction de la plage. Le ciel reste couvert. Il y a bien parfois quelques gouttes de pluie. Mais rien de conséquent. Nous arrivons à la cale de Rochebonne. Il y a une jeune femme à côté d'une calèche.

Nous nous consultons du regard. Sans même une parole nous nous dirigeons vers le cheval de trait. La jeune femme propose une balade en calèche. Une heure le long d'un circuit magnifique. Nous payons. Nous montons nous installer sur la banquette. Il y a un couple de sénior accompagné d'une jeune fille qui s'installe sur la seconde banquette. C'est parti. Je suis assis entre mes deux anges. Elles me tiennent par le bras. La jeune fille nous regarde à la dérobée. Plus intéressée par nous que par le paysage.

Nous passons par la plage du Sillon. La cochère commente les choses remarquables que nous voyons. Le vieux monsieur n'arrête pas de poser des questions. L'air du large est vivifiant. Il s'engouffre quelquefois dans la calèche avec vigueur. C'est génial. Clémentine me chuchote : << Tu as vu comme elle mâte ! Fais ton vicieux ! >>. En effet, je surprends souvent le regard de la jeune fille. Estelle me murmure à son tour : << C'est le moment de faire ton salaud des plages ! >>. Nous rions de bon cœur.

Pour bien appuyer sa proposition, Estelle me palpe rapidement mais vulgairement la braguette. Je bande dur. La jeune fille détourne pudiquement son regard avant d'observer à nouveau. Elle ne peut détacher son regard de la bosse. Je pose ma main dessus. Je peux deviner le trouble qui gagne la jeune inconnue. Dix huit ou dix neuf ans peut-être. Je comprime la bosse d'un mouvement de main. Je le fais plusieurs fois. La jeune fille, comme hypnotisée ne peut cesser de regarder. En douce.

Nous arrivons en vue du Fort National. Ses murailles se détachent sur le ciel d'un gris de plomb. Clémentine fait quelques photos. Estelle pose sa main sur ma cuisse. J'imagine l'état d'esprit de cette jeune touriste. Un mec bien vicelard accompagné de deux jeunes filles qui ne le sont pas moins. Nous restons discrets. Le couple de séniors s'est installé de façon à nous tourner le dos. Seule la jeune inconnue nous fait face. Pas l'ombre d'un doute, elle ne veut rien rater de ce magnifique paysage. Et du spectacle.

Son regard dissimulé derrière ses longs cheveux reste braqué sur ma braguette. Estelle y a posé sa main. Elle la serre pour bien palper le paquet. Je sens bien que la jeune touriste a une furieuse envie de se toucher. Elle n'arrête pas de bouger ses jambes. Nous devinons sa fébrilité. Clémentine me fait des bises. Estelle me fait des bises. Elle ouvre ma braguette pour y glisser sa main. S'en est trop pour la jeune touriste qui se lève pour nous tourner le dos. Estelle me branle. Clémentine me fait des bisous.

La jeune inconnu vient de se saisir de son téléphone pour faire des photos. Un prétexte pour se lever et s'assoir face à nous. Elle a certainement pris son courage à deux mains. J'ai la bite à l'air. Dans la main d'Estelle. La jeune touriste nous adresse enfin un timide sourire. Ce qui se passe dans cette calèche, à l'insu des autres occupants, restera à tout jamais dans sa mémoire. Elle est à environ deux mètres devant nous. Estelle passe le relai à Clémentine qui se saisit de ma queue dure comme de la pierre.

Elle tient ma bite à sa base pour l'agiter devant la jeune inconnu. Il faut toutefois rester prudent. La jeune fille ne regarde plus ce magnifique paysage qui s'offre partout autour de nous. La calèche s'arrête à son point d'arrivée. Je remballe. Nous remercions la dame pour la promenade. Le couple de sénior accompagné de leur probable "petite fille" nous salue avant de prendre la direction inverse. La jeune touriste se retourne souvent. Nous lui adressons tous les trois un grand coucou. Comme à une amie.

Elle s'arrête pour nous faire un grand signe de la main. Je me touche la braguette. Ils disparaissent au coin d'une des maisons de pierres. << Félicitations, Tu as fais fort ! >> me fait Estelle. << Cette petite salope aussi ! >> rajoute Clémentine. Là, derrière la camionnette garée, je passe mes mains sous les jupettes de mes deux anges. J'adore le contact du coton de leurs culottes. La douceur de la peau de velours entre leurs cuisses. << J'ai une méchante envie de sucer ta bite de pervers ! >> me fait Estelle.

<< Et moi aussi ! >> rajoute Clémentine. Il est temps de s'offrir une bonne glace. Notre supérette préférée, "Carrefour City" rue Sainte Barbe propose les pots de Häagen Dazs dont nous sommes friands. Nous les dégustons assis sur un muret. Je propose de nous mettre en quête d'un bon restaurant afin d'y réserver une table pour ce soir. << Non, on mange à la maison ! >> lance Estelle. << Oui, on est trop excitées ! >> rajoute Clémentine. C'est vrai que cette aventure en calèche nous a considérablement "allumé".

De toute façon, la pluie recommence à tomber. De fines gouttes mais persistantes. A l'abri sous nos minis parapluies, nous prenons le chemin du retour. Il est 19 h quand nous sommes de retour à l'appartement. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle concocte une belle omelette aux champignons. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous, de nous tripoter. Les filles reviennent sur les expressions d'extases de la jeune inconnue dans la calèche. Admirable jeune vicieuse.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Dehors la pluie s'est mise à tomber de manière continue. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nos rituels pisseux aux toilettes. Au lit, j'alterne de suaves cunnilingus et quelques pénétrations de principes. Quand je lèche l'une, l'autre me suce. Nous n'arrêtons pas d'échanger nos impressions et nos souvenirs de l'intérieur la calèche. L'orgasme d'Estelle est nucléaire. L'orgasme de Clémentine est cataclysmique. Nous retournons pisser. J'éjacule dans la bouche d'Estelle.

Bonne promenade en calèche à toutes les coquines qui aiment à profiter de chaque opportunité de s'amuser à des jeux vicieux...

Julien

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Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1252 -



Une météo épouvantable

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par les mouvements de pieds d'Estelle qui "pédale" tout en dormant. Ce sont ses "impatiences" comme elle les appelle. Comme elle reste tout contre moi la nuit je me suis habitué à ces moments d'agitations nocturnes. Je lui dépose un délicat bisou sur la joue. Elle se saisit presque instantanément de mon érection matinale. Clémentine sort de son sommeil pour venir se blottir en gémissant. Je suis entre mes deux anges. Nous nous amusons à moduler longuement nos gémissements.

Après s'être étirée, Estelle se lève d'un bond. Elle enfile ses vêtements de sport. Elle se précipite aux toilettes. Il est 8 h30. Clémentine m'entraîne devant la porte fenêtre du balcon. Il fait sombre, il pleut. Cette nuit il y a probablement eu de la tempête car il y a des branches cassées éparses au sol. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur du café et du pain grillé. Il reste de la brioche. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le vague programme du jour. Notre plan B.

Nous traînons à table. Il serait vain de vouloir aller courir sous cette pluie battante. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant nos habituelles pitreries devant le miroir de la salle de bain. Ce matin, c'est la gymnastique qui va remplacer notre running. Stretching, aérobic et abdominaux. Autant de prétextes aux éclats de rire. Quoi que nous le fassions le plus sérieusement du monde. Nous avons l'impression d'être à la maison et en plein hiver. Il fait vraiment très sombre au dehors. C'est rageant, frustrant.

Presque une heure à nous agiter. Les pompes, les groupés maximum, les relevés de bustes, ces exercices au sol qui font un bien fou et mettent en forme. Estelle prend sa douche la première. Clémentine allume l'ordinateur. Un message de Julie. La troisième phase des vacances d'été a amorcé son ralentissement. L'affluence a considérablement ralenti. Nous répondons en joignant une photo de nous trois prise hier sur la cale de Rochebonne en revenant de notre balade en calèche. Très bon souvenir.

Estelle vient nous rejoindre, vêtue d'un jeans et d'un sweat. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Nous nous habillons comme Estelle, jeans et sweats. Elle est entrain de surfer sur le site de l'université. Il y a quelques informations concernant les mesures d'hygiène et de prévention. Port du masque obligatoire en cours. Les filles ont décidé de reprendre les cours en ligne. Le télé travail permettant d'éviter toute promiscuité, tout risque. Clémentine se réjouie. Nous serons ensemble toutes les journées.

Avec cette météo, inutile d'aller flâner sur les chemins ce matin. Là-bas, au dessus de la mer, le ciel semble s'éclaircir. Attendons. Nous en profitons pour faire une machine. Une petite lessive. Estelle vient souvent glisser sa main entre mes cuisses par derrière. Clémentine me caresse la braguette. C'est distribution de bisous toutes les deux minutes. On est tellement bien ensemble tous les trois. Pour les filles c'est la configuration parfaite. Pour moi cela l'est devenu depuis plus de deux ans. C'est charmant.

Il est 11 h15. Trois coups contre la porte. Je vais ouvrir. C'est monsieur Jacques. Je l'invite à entrer. Il décline mon offre. Il est venu nous inviter pour le repas de midi. Les filles nous rejoignent sur le pas de la porte. Nous nous regardons. Clémentine lance : << OK, mais nous viendrons les mains vides, nous n'avions pas prévu ! >>. Monsieur Jacques la rassure : << Ça nous ferait plaisir. Et à ma femme beaucoup ! >>. Nous acceptons. Nous serons là pour midi. Monsieur Jacques nous laisse pour redescendre.

Nous vidons la machine pour suspendre le linge sur l'étendoir au dessus de la baignoire. Nous dissertons sur cette invitation. Estelle est un peu frustrée. Elle qui adore préparer à manger avait prévu un menu. Mais l'idée de mettre les pieds sous la table n'est pas déplaisante. Nous faisons notre lit. Nous préparons le petit sac à dos pour cet après-midi. Nous restons vêtus ainsi, tous les trois à l'identique. Estelle m'ouvre la braguette en disant : << Cet après-midi, je veux la savoir ouverte tout le temps ! >>.

Il est un peu avant midi. Nous toquons à la porte arrière de la maison. Monsieur Jacques vient nous ouvrir. Il nous invite à le suivre. La demeure est grande. La salle à manger porte bien son nom de "salle". Tout est décoré avec goût. Voilà madame qui vient nous saluer. Estelle, Clémentine et moi nous nous passons le flacon de gel hydroalcoolique. Madame nous invite à passer à table. Nous voilà tous les cinq installés devant un gratin de légumes de saison << Et du jardin ! >> lance monsieur Jacques.

Il y a des tomates farcies au thon. Ils savent que nous ne mangeons pas de chairs animales. Uniquement des produits de la mer. Il y a des crêpes. Nous mangeons en bavardant. Comme souvent, en présence d'un couple, c'est madame qui pose quelques questions adroites sur la nature de notre relation à trois. Cet homme d'âge mûr, accompagné de deux jeunes filles ne laisse jamais indifférent. Nous restons évasifs. Les filles se contentent souvent de souligner ou de ponctuer une affirmation. C'est adroit et subtil.

Notre vie privée ne regarde personne dans la vraie vie. Nous n'avons de compte à rendre à personne. Aussi, nous restons dans le flou, le vague. Nous vivons une passionnante relation à trois. Point barre. Nous traînons un peu. Monsieur Jacques nous parle de son ancienne profession de chef d'entreprise. Il est à la retraite depuis peu. Une retraite anticipée qu'il a choisi pour pouvoir profiter d'une existence paisible. Il est 13 h30 quand nous prenons congé. Nous montons nous laver les dents.

La pluie a enfin cessé. Le ciel est un peu plus lumineux. Les choses semblent même aller en s'améliorant. Pressés de filer, nous enfilons nos K-ways. La température extérieure n'excède pas 18°. Nous voilà en route. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. A l'arrière, Estelle dit : << Je crois que cette invitation était surtout le fait de madame. La curiosité qui l'anime quand à notre relation ! >>. Clémentine lance : << C'est certain, on l'a vu venir avec ses gros sabots la vieille ! >>. Nous rions de bon cœur.

Je me gare sur le parking extérieur. C'est au bas de la cité d'Alet. Nous y gardons de bons souvenirs. Même si le ciel reste gris, il ne pleut plus. Le vent reste fort. Les filles se sont faites des tresses. De longues nattes qui flottent sur le milieu de leurs dos. C'est très agréable de passer mes mains sur leurs nuques. Sous mon sweat et mon K-ways, j'ai la braguette déboutonnée. Estelle se serre souvent contre moi, cessant notre marche, pour y fourrer sa main. << C'est chaud là dedans ! >> lance t-elle à chaque fois.

Nous flânons dans les rues. Il n'y a pas grand monde. Nous enfilons nos masques sanitaires avant d'entrer dans les boutiques. Il y a ce salon de thé où nous étions déjà venu début juillet. Nous savons que les glaces y sont excellentes. Il y a cette grande boutique de souvenirs. C'est aussi la librairie, le bazar. C'est là, derrière un tourniquet qu'Estelle me sort discrètement la bite. Nous avons bien vérifié. Pas de caméra de surveillance. Par contre des miroirs fixés dans les coins aux plafonds. Prudence.

C'est toujours un sentiment d'insécurité qui me gagne lorsque mes deux anges m'imposent la bite à l'air. Surtout dans un magasin ou une boutique. Il y a des touristes. Nous ressortons. Ce qui est un charme supplémentaire, ce sont ces chemins et ces escaliers interminables qui entourent la cité. Nous aimons les parcourir. Avec la terre stabilisée, on ne risque pas de se salir les baskets. Il y a peu de promeneurs. Le vent souffle. Là, dans un espace reculé, Estelle s'accroupit devant moi. Relève mon K-ways.

Elle frotte son visage contre ma queue. Clémentine reste sur le chemin pour faire le guet. Je me fais sucer un peu. Puis c'est au tour de Clémentine de venir prendre sa collation. Je bande plutôt mou. J'ai toujours la trouille que nous soyons observés. Il y a plus vicieux que nous à se promener. Nous cessons pour remonter jusqu'au mémorial. Quelle surprise. La jeune fille de hier, l'inconnue de la calèche. Elle est avec le même couple de séniors. Probablement ses grands parents. Elle a un sourire en nous reconnaissant.

Le couple nous reconnait également. Nous nous saluons. Il y a quelques autres touristes. Ce sont des gens réservés et peu bavards. Ce qui nous plaît beaucoup. La jeune fille louche discrètement vers nous. Il est certain que ce qu'elle a vécu hier ne l'a pas laissé indifférente. Nous continuons notre balade. Il y a quelquefois des gouttes de pluie. Rien d'inquiétant. Cela cesse très vite. Il serait inutile d'ouvrir un parapluie ici sous peine de le voir détruit par une rafale de vent. Nous comptons sur les capuchons de nos K-ways.

Nous descendons vers le port. Il y a peu de touristes. Nous flânons un peu sur les quais. Curieusement le vent ne vient pas de la mer mais de l'intérieur des terres. Il est 16 h45. Nous remontons à la cité. C'est l'heure de nos glaces. Nous voilà installés à une table, au fond du salon de thé. C'est la même jeune serveuse qu'au début juillet. Elle nous reconnaît avec un grand sourire. Il n'y a pas trop de monde, elle peut discuter un peu. Elle nous raconte la saison, l'affluence record entre le 14 juillet et le 15 aout.

Là, une nouvelle surprise. Le couple de séniors accompagné de leur probable "petite fille" entre dans le salon de Thé. Ils s'installent à une table voisine. La jeune inconnue s'assoit bien face à moi. Clémentine me fait du pied sous la table. << Tu as compris le "plan" ? >> me chuchote t-elle. Estelle pose sa main sur la mienne pour murmurer : << Je crois qu'elle aime les situations ambigües ! >>. Les filles me tiennent par la main. La jeune inconnue observe discrètement tout en bavardant avec ses grands parents.

Elle semble comme fascinée de comprendre la nature de notre relation. Estelle et Clémentine ont probablement sensiblement le même âge. De quoi troubler n'importe quelle jeune fille de "bonne famille". << Sors ta bite ! >> murmure Clémentine. Je regarde partout autour de nous. Si je le fais, personne d'autre que la jeune inconnue ne pourra s'en apercevoir. L'idée est très excitante. Je dois surmonter ma gêne, ma trouille et quelques inhibitions bien naturelles. De plus, je ne désire prendre aucun risque.

<< Si tu ne la sors pas, c'est moi qui te la sors ! >> chuchote Estelle. Elle rajoute : << Je te préviens, je passe sous la table ! >>. J'ai le cœur qui bat la chamade. << Viens ! >> me fait Clémentine qui se lève pour m'entraîner aux toilettes. Là-bas, derrière son comptoir, la jeune serveuse me lance un regard amusé. Elle nous a déjà surpris au début juillet. Nous nous enfermons dans un des cabinets des WC homme. Je me fais tailler une pipe. Quelques minutes. Clémentine pisse. Nous revenons.

C'est à Estelle de se lever pour m'entraîner à son tour. La jeune inconnue semble fascinée par notre manège. Aux toilettes, même rituel avec Estelle. Nous revenons nous assoir. Je suis hyper excité. Je n'ai qu'à extraire ma queue bien dure de ma braguette déboutonnée. La jeune inconnue découvre la "chose". Impossible de ne pas voir ce sexe turgescent et luisant de bave, de foutre et de salive. Je devine son embarras. La lueur qui brille dans ses yeux est la chose la plus passionnante de cette nouvelle journée.

Je lui adresse un sourire. Elle baisse les yeux avec l'esquisse d'un sourire timide qu'elle tente de dissimuler. Il lui faut assurer la conversation avec ses grands parents. De l'index je lui montre la porte des toilettes. Clémentine me dit : << Vas y, on tente le coup ! Tu nous racontes ! >>. Je remballe. Je me lève. Je vais aux toilettes. Pourtant, contre toute attente, j'y reste seul. C'est Estelle qui vient m'y rejoindre. << Ils sont partis ! >> m'apprend t-elle. Nous rejoignons Clémentine. L'addition.

Nous flânons encore un peu dans les rues. Il pleut quelques gouttes. Nous retournons à la voiture. Les filles préfèrent rentrer. << On se fait à bouffer à l'appart ! >> propose Estelle qui veut préparer le repas prévu pour midi. Il est 19 h30 quand nous sommes de retour. Comme c'est agréable de se retrouver bien au chaud, à l'abri du vent qui n'a pas cessé. << Interdiction de venir à la cuisine ! >> fait Estelle. Clémentine m'entraîne devant l'ordinateur. Elle me sort une queue dégoulinante de foutre. J'étais tellement excité.

Clémentine surfe sur le site de l'université. Nous interrogeons nos boîtes mails. Rien. Elle passe sous la table. << J'aime sucer sous les tables ! >> fait elle en gobant mon sexe. Le gargouillis bulleux d'une pipe prodiguée à une bite juteuse. C'est merveilleux. << C'est prêt ! >> fait Estelle en sortant de la cuisine. Elle découvre la scène. << Et moi ! Je prendrais mon digestif ! >> lance t-elle. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine se redresse, du foutre aux coins de la bouche. Nous allons à la cuisine.

Estelle a préparé un coulis d'aubergine avec des petits pois et des haricots verts. Trois filets de cabillaud panés. Nous nous régalons. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Mes deux anges me félicitent pour le show que j'ai assuré au salon de thé. Nous traînons à table. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. 21 h. Nos rituels pisseux. Au lit, les filles se refilent ma bite en évoquant le comportement de la jeune inconnue. Le comportement de la serveuse. J'offre à mes deux anges un merveilleux cunnilingus...

Bonne virée sous la pluie dans la petite cité à toutes les coquines que les situations vicelardes passionnent...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1253 -



Enfin, le retour du soleil

Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon sommeil par l'extraordinaire douceur des mains de mes deux anges. Elles me couvrent le visage de bisous dès que je frémis des paupières. Estelle à ma droite se saisit de mon érection matinale en me chuchotant des cochonneries. Clémentine à ma gauche empoigne mes couilles pour me murmurer des douceurs. Je glisse mes mains dans les culottes. Clémentine retient mon poignet en disant : << Attention, j'ai mes "petits machins" de fille ! >>. C'était juste à temps.

Il est 8 h. Dehors le ciel est voilé. Estelle se lève d'un bond. Elle enfile sa tenue de sport avant de se précipiter aux toilettes. Clémentine m'entraîne devant la porte fenêtre du balcon. Nous enfilons nos tenues de jogging. Nous allons aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Morts de faim. Cette odeur où se mêlent celle du café et celle du pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine a un peu mal au ventre et aux seins. Ses règles.

Nous traînons à table en faisant le vague programme de la journée. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous descendons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Le sol est mouillé. Détrempé par endroit. Il faut donc courir en évitant les endroits boueux. C'est Estelle qui impulse un rythme soutenu. Notre parcours habituel. Il y a même quelques gouttes de pluie. Il est 9 h30 quand nous revenons à l'appartement.

Estelle prend sa douche la première. Clémentine allume l'ordinateur. Nous interrogeons nos boîtes mails. Juste le message de Julie. Julie qui nous raconte qu'il n'y a plus que neuf toiles suspendues aux cimaises de la galerie. Dont seules six sont à vendre. Les trois autres laissées là par leurs acquéreur avec courtoisies pour emplir les murs. Nous répondons. Estelle revient de sa douche vêtue de son jeans et de son sweat. C'est à notre tour de filer sous la douche. Nous nous habillons. Comme Estelle. A l'identique.

Nous la rejoignons devant l'ordinateur. Elle achève le courriel pour ses parents. Au dehors, le ciel devient de plus en plus lumineux. Clémentine se plaint des démangeaisons que provoquent les bretelles de son soutien gorge. Elle n'en porte que les deux premiers jours de ses règles mais cela lui est insupportable. Je lui passe une crème apaisante tout en massant délicatement ses épaules et son dos. Nous descendons pour aller marcher un peu sur le chemin. La température extérieure est de 22°.

Voilà les premières apparitions du soleil. << Il était temps ! >> fait Estelle en glissant sa main dans ma braguette. Un de ces jours il faudra explorer cette partie des terres. Ce chemin qui s'avance vers la forêt là-bas. C'est la campagne. Estelle, déjà considérablement "allumée" me sort le sexe. Il y a la route là-bas, à trois cent mètres. Je la prie de rester discrète. Nous en rions de bon cœur. Nous prenons le sens du retour. Il est 11 h30. Estelle nous interdit l'accès à la cuisine. Elle veut nous faire une surprise.

Clémentine et moi, nous sommes sur le balcon. Nous pouvons entendre Estelle chantonner depuis la cuisine. Clémentine est assise sur mes genoux. Elle me confie à quel point elle est heureuse de pouvoir reprendre les cours en ligne. Le télé travail a toute sa préférence. Surtout en ces périodes de crise sanitaire. Nous serons ensemble toute la journée dans l'atelier. Elle devant son ordinateur. Moi devant mon chevalet. Bien évidemment une certaine ambiance de la faculté va lui manquer. Ambiance étudiante.

<< C'est prêt ! Vous pouvez venir ! >> fait Estelle en nous rejoignant. Morts de faim nous la suivons à la cuisine. Nous n'avons qu'à mettre les pieds sous la table. Aujourd'hui ce sont de fines tranches de pommes de terre rissolées accompagnées de haricots verts et de filets de queues de langoustines grillées. Nous la félicitons. C'est simple mais tellement bon. Nous terminons la tome de Savoie ramenée des Alpes. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous nous changeons. Jupettes pour les filles, bermuda pour moi.

Il fait beau. Nous sommes pressés de filer. Dans le petit sac à dos, nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille d'eau et nos K-ways. En route pour le Cap Grouin. Nous voulons faire découvrir cette randonnée à Estelle. Nous l'avions faites au début juillet. Je roule doucement. Clémentine tient ma queue. Estelle, assise à l'arrière me caresse le cou en nous racontant le séjour de ses parents dans le chalet. Nous dépassons Saint-Coulomb. La départementale D355 est peu fréquentée. Il y a vingt minutes d'auto.

Je gare la voiture sur le parking. Il y a beaucoup moins de véhicules qu'au début juillet. Je porte le sac à dos. Estelle ne me lâche pas la main. Clémentine passe devant. Nous sommes sur le GR34, le sentier de grande randonnée qui longe toutes les côtes bretonnes. A nos pieds, les falaises. Au dessus de nos têtes le cri des mouettes. Plus bas, le bruit du ressac contre les rochers. Le sentier des douaniers nous mène à la pointe du Grouin. La vue est belle. On peut voir le Mont Saint-Michel au loin.

Je suis entre mes deux anges. Nous nous passons la paire de jumelles. Il y a des marcheurs. Je demande à Estelle de rester discrète. Je ne veux pas me retrouver en érection, la bite à l'air. Surtout qu'elle prend le malin plaisir habituel à me tripoter, à glisser sa main dans ma braguette. Mon T-shirt cache ma braguette ouverte. Nous longeons les falaises. C'est vertigineux. Nous nous amusons de nos frayeurs. Bien évidemment, malgré mes requêtes incessantes, je marche avec la bite à l'air.

A chaque fois que nous croisons du monde, Estelle se blottit dans mes bras pour cacher mon sexe. Je suis souvent en sandwich entre mes deux anges. Sous les regards intrigués, curieux ou carrément amusés des marcheurs. Cet homme d'âge mûr, serré entre ces deux jeunes filles a de quoi susciter bien des interrogations. Nous nous amusons beaucoup de ces situations. A notre droite, là-bas les maisons. A notre gauche les falaises. Nous descendons doucement. Il y a de petites plages. Quelques baigneurs courageux.

C'est là, entre les rochers que nous trouvons un endroit charmant. Nous pouvons y déguster nos pommes et boire un peu d'eau. Estelle retire sa culotte. Elle se couche sur le rocher. << Tu me baises un peu ! Ça fait longtemps ! >> me dit elle. Clémentine éclate de rire en disant : << Oui, depuis hier soir au lit ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. La musique ridicule de mon téléphone. Clémentine s'en saisit. C'est "Le Surcouf" qui me confirme par SMS la réservation de notre table pour 19 h30.

Je suis debout entre les jambes d'Estelle. Je les tiens relevées par les chevilles. Je frotte mon sexe contre le sien. C'est juste à la bonne hauteur. Clémentine passe derrière moi pour me tenir les couilles. Estelle saisit mon Zob pour se l'introduire doucement. Nous entendons régulièrement des voix ou des éclats de rire. Le sentier ne passe pas loin. On ne peut pas nous voir dans cette crique. Estelle se met à bouger en rythme. Elle aime quand je la baise à la hussarde. Je pratique donc "la machine à coudre".

Régulièrement Clémentine se dirige vers l'étroit passage qui mène ici. Elle fait le guet. Je soulève Estelle. Je reste bien enfoncé. Je la promène entre la rocaille. Il y a du sable blanc et fin au sol. Estelle, ses jambes autour de mes hanches, ses bras autour de mon cou, gémit de plaisir en se laissant trimballer. Niquée jusqu'aux couilles. Clémentine que ce spectacle ravit se touche en nous observant. Son plaisir quelque peu gâché par les bretelles et la fixation de son soutien gorge. Nous baisons comme des fous.

Une bonne demi heure de nique plus tard, reprenant nos esprits et notre souffle, nous dégustons les barres de céréales en faisant le bilan de cette méga baise des rochers. J'aime scruter le visage d'Estelle pendant la baise et surtout après. Ses yeux humides. Une petit larme s'écoule toujours de son œil gauche. << Tu me fais jouir comme une salope Julien ! >> me fait elle à plusieurs reprises. Nous reprenons notre randonnée. Estelle se touche souvent en disant : << J'ai la chatte congestionnée ! Tu bourres comme un salaud ! >>.

Il est 16 h30 quand nous arrivons à Cancale. La vue sur cette petite ville est majestueuse. Nous descendons le sentier. << On se croirait en Ecosse ! >> lance Estelle. Effectivement ces maisons de pierres qui bordent les quais rappellent l'écosse. Ce sont deux communes séparées par des prés et de la forêt. Il fait beau. Il fait chaud. Nous longeons le quai jusqu'à cette longue jetée qui entre dans la mer. << J'ai encore envie ! >> me fait Estelle en glissant sa main dans ma braguette. Il y a des touristes.

Nous retrouvons avec plaisir le port de la Houle. Nous nous promettons de revenir demain. Cette fois avec la voiture. Nous voulons absolument découvrir chaque recoin de cette charmante petite ville côtière. Il y a beaucoup moins de gens qu'au début juillet. Il y a cette magnifique église à l'architecture splendide, là-bas sur sa colline. Il y a les rues du bourg, ses magasins, ses vitrines. Même si nous portons nos masques sanitaires dans les rues animées, c'est très supportable. Nous en rions en nous regardant.

<< Moi, je vais pratiquer une ouverture dans mon masque. Au niveau de la bouche ! >> nous fait Clémentine en retirant la main d'Estelle une fois de plus enfoncée dans ma braguette. Nous nous offrons des petits pots de glace Häagen Dazs. C'est devenu une habitude. Il y en a plus que sur un cône glacé. Nous les savourons assis sur un muret au port de la Houle. C'est merveilleux. Pas un souffle de vent. Un ciel principalement bleu. Une douceur paradisiaque. Estelle qui ne porte pas de culotte.

Nous flânons jusqu'aux environs de 19 h15. Le "Surcouf" est un restaurant gastronomique. Sa décoration intérieure est luxueuse. Bien pensée. Son personnel accueillant et vraiment aux petits soins d'une clientèle de qualité. Situé sur le quai Gambetta. La vue y est magnifique. C'est devant de sublime plateaux de fruits de mer que nous assistons à l'arrivée du soir. Les couleurs ocres se déclinent en d'infinies teintes dorées. Avec le soleil descendant il y a une ambiance magique. C'est tout simplement extraordinaire.

Deux visites aux toilettes. Enfermés avec Estelle dans un des cabinets WC homme, je me fais sucer. Puis c'est avec Clémentine. Seconde visite avant le dessert. Quelques regards interrogateurs. Cet homme d'âge mûr, tenu aux poignets, aux mains par deux superbes jeunes filles à de quoi susciter les fantasmes les plus inavouables. L'addition. Il faut refaire le sentier douanier dans l'autre sens. C'est à la nuit tombante que nous arrivons à la voiture. Il y a des D'jeunes qui font la fête devant un camping car.

Il est 22 h15 quand nous sommes de retour à l'appartement. On se lave les dents. Nos rituels pisseux. Je passe un peu de pommade sur les peaux irritées de Clémentine. La trace du fermoir et des bretelles de son soutien gorge. C'est une torture deux jours par mois. Au lit, les filles se refilent ma queue. Estelle, complètement épuisée, s'endort la première, la tête encore posée sur mon ventre. Je l'attire délicatement contre mon épaule. J'éjacule dans la bouche de Clémentine qui en gémit de bonheur. Le grand plongeon. Dodo...

Bonne virée à toutes les coquines qui aiment se faire niquer entre les rochers de quelques criques isolées avant un bon restau...

Julien

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Une autre belle journée

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par le "pédalage" d'Estelle. Le mouvements de ses pieds. Toute la nuit elle reste serrée contre moi. Je passe mon bras sous sa nuque pour la blottir fort. Elle en gémit de bonheur. Cela réveille Clémentine qui vient se mettre tout contre moi. Je suis entre mes deux anges. Estelle tient mon érection matinale. Clémentine tient mes couilles. Je passe mes mains dans leurs culottes. Nous nous étirons en modulant longuement nos gémissements qui deviennent des mélodies improvisées.

Il est 8 h15. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Elle se précipite aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Estelle revient, enfile sa tenue de jogging avant de filer à la cuisine. C'est à notre tour d'aller pisser. Nous enfilons nos tenues sport. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur de pain grillé et de café achève de nous mettre en appétit. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme de la journée. Les filles ont le profond désir de retourner à Cancale.

Dehors, le ciel est voilé mais très lumineux. Le thermomètre extérieur indique 19°. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement. Nous nous élançons le long de notre parcours habituel. Nous suivons Estelle qui impulse un rythme soutenu. Les sols ont séché. A peine quelques endroits à éviter. Il est 9 h45 quand nous revenons d'une heure d'un running des plus gratifiants. Voilà même le soleil.

Estelle prend sa douche la première. Clémentine, assise sur mes genoux, allume l'ordinateur. Nous avons deux messages. Celui de Juliette qui nous raconte quelques anecdotes de ses vacances en Corse. Chez elle à Sartène. Elle revient dimanche. Le courriel de Julie qui nous annonce une dix neuvième vente. Nous répondons en joignant une photo de nous trois prise hier à Cancale. Estelle revient vêtue de sa jupette, d'un T-shirt. C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. C'est tellement agréable.

Nous rejoignons Estelle. Habillés comme elle. Aujourd'hui tous les trois le bas kaki, le haut ocre. Nos baskets. J'ai passé une crème apaisante sur les épaules et le dos de Clémentine. Son soutient gorge a encore causé des irritations. Il est 10 h30. Je propose de nous faire des sandwichs pour midi. De filer dès à présent sur Cancale. Une petite marche sur le sentier des douaniers n'est pas exclue. Les filles m'entraînent dans une farandole tout autour de la table. Nous préparons le petit sac à dos.

Des pommes, des barres de céréales, la bouteille d'eau et les K-ways. C'est parti. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, me caresse le cou en nous racontant le séjour de ses parents dans le chalet. Ils ont du beau temps. Ils passent un magnifique séjour. La circulation est fluide. Nous prenons la route de la côte. Je gare la voiture sur le grand parking à l'entrée du bourg. Il y a du monde. La vue sur la baie du Mont Saint-Michel est claire et dégagée. C'est superbe.

Il est 11 h15. Nous marchons vers le village. Le port de la Houle. Quelle joie d'être de retour ici. Il y a dégustation d'huitres sur le port. Il y a quantité de parcs ostréicoles à Cancale. Pourquoi ne pas réserver une table en terrasse à l'un des restaurants ? << Ce soir ! >> lance Estelle. << Oui, faisons nos sandwichs ! >> rajoute Clémentine. Nous flânons un peu sur les quais. L'architecture des maisons en pierres d'un côté, le paysage à couper le souffle sur la baie du Mont Saint-Michel de l'autre. C'est grandiose.

Depuis notre arrivée en ville, Estelle n'arrête pas de se coller contre moi pour palper discrètement ma braguette. << Mais ouvre moi ce truc, il faut laisser respirer la "bête" ! >> me fait elle. Je ne veux pas me balader avec la braguette ouverte. C'est toujours un peu angoissant. Surtout avec Estelle qui y glisse tout le temps sa main. Nous en rions de bon cœur. Nous enfilons nos masques sanitaires pour entrer dans une boulangerie. Nous y choisissons trois belles baguettes de pain complet, bio et aux graines.

Dans la supérette nous choisissons des tomates, du pâté végétale et un petit flacon de cornichons. Il suffit de se trouver un bon coin pour y préparer nos sandwichs. Nous avisons un banc un peu plus loin que la jetée. Avec ce soleil, la côte a des couleurs vertes. On comprend pourquoi elle est appelée "la côte d'émeraude". Je coupe les baguettes dans le sens de la longueur. Estelle y étale le pâté aux olives noires. Clémentine y dépose les rondelles de tomates et les cornichons. Nous sommes morts de faim.

Il y a un léger vent. Nous mangeons de bon appétit tout en regardant le somptueux paysage. Derrière nous et à droite le bourdonnement des activités du port. Devant nous l'immensité. A notre gauche la plage. Nous faisons le bilan de cette première semaine à Saint-Malo. Nous traînons un peu. Nous nous sentons lourds après ce délicieux repas. Ce sont des petites baguettes de 200 gr. Mais ça cale. Nous reprenons la direction du port. Cette fois nous voulons découvrir les ruelles. Tout voir. Tout est si beau.

Gardons l'esprit pratique. C'est à la "Mère Champlain" que nous réservons une table pour la soirée. Nous faisons bien car il n'en reste plus que deux. C'est un restaurant gastronomique. Une décoration de caractère. La vue sur la baie est majestueuse. Rassurés pour le repas du soir, nous divaguons dans les ruelles parallèles. De biens belles découvertes. Le centre du bourg est charmant. Typique. Il y a cette église un peu surélevée. Son architecture est magnifique. Nous y sommes entrés au début juillet.

Nous y entraînons Estelle qui découvre émerveillée. Il y a moins de touristes. Nous enfilons tout de même nos masques sanitaires. Je défends à Estelle de tripoter ma braguette en ce lieu de culte. Bien évidemment elle ne semble pas comprendre mes recommandations. En parcourant les recoins intérieurs de l'édifice, elle ne cesse de me palper discrètement. Elle dit à chaque fois : << Je ne comprends pas ce que vous me dites monsieur. Et j'aime vivre dans la transgression ! >>. Nous en rions de bon cœur.

La fraîcheur est très agréable. Il y a des jeunes gens qui arrivent avec des étuis. Ils contiennent probablement des instruments de musique. C'est sur une affiche que nous découvrons qu'il y a un concert prochainement. Ces musiciens viennent probablement répéter. Nous voilà de retour au soleil. Nous flânons dans le bourg. Il y a des constructions contemporaines. D'autres plus traditionnelles. Rien qui choque. C'est un voisinage heureux. Estelle glisse sa main dans ma braguette en disant : << Je suis excitée ! >>.

Il y a ce petit square. Des arbres centenaires. Quelques bancs à l'ombre des frondaisons. Clémentine nous y entraîne. Il y a peu de promeneurs. Je suis assis entre mes deux anges. Estelle consulte le guide touristique sur sa tablette. Clémentine après s'être assurée qu'il n'y a personne dans les environs immédiats, me sort la queue. << Elle a le droit et pas moi ! >> lance Estelle. << Oui, parce que c'est mon homme à moi que je ne fais que prêter ! >> répond Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Des pipis discrets.

Je saisis Clémentine par la nuque. Je lui dépose un bisou sur la joue. Je regarde partout autour de nous. Je me lève. Je frotte ma bite sur son visage. Ravie de mon audace et de mon initiative, elle tente de gober mon sexe. Je bande mou. Estelle cesse de consulter sa tablette. << Put-Hein, génial ! >> fait elle en faisant le guet. J'enfonce ma bite dans la bouche de Clémentine. Je la tiens sous le menton et par la nuque. Je la fais sucer. Je demande à Estelle : << Raconte moi ta dernière baise avec ton parrain ! >>

Estelle éclate de rire. La dernière fois qu'elle a baisé avec son parrain, c'était en février, avant qu'on nous impose toute cette histoire de pandémie. << Ça me manque parfois parce que c'est un baiseur fou ! >> répond Estelle. Je me fais tailler une pipe des familles. Là, debout devant ce banc où sont assises Estelle et Clémentine. C'est assez génial. << Attention, du monde ! >> lance quelquefois Estelle qui surveille tout en me racontant la cave de son parrain. Il me suffit de me retirer, de cacher ma queue. De revenir.

<< Et moi ! Je peux en avoir un peu ? >> demande Estelle. Je réponds : << Non, c'est ta punition pour me mettre dans l'embarras en me tripotant partout ! >>. Nous rions de bon cœur. Tout en suçant, Clémentine glousse de plaisir. A chaque fois que je retire ma bite, il y a de longs filaments gluants. << Mmhh ! J'en veux aussi ! >> lance Estelle. Je la lui tends enfin. Elle se précipite pour téter. Pour biberonner avec gourmandise. Mes deux suceuses ont de quoi se régaler. Je commence à avoir les lombaires douloureuses.

Cette fois, c'est toute une famille nombreuse qui entre dans le square. Pas de doute, nous allons êtres envahis de chiards gueulards. Il y a même un gros clébard. Je remballe. Nous quittons les lieux. Nous retournons sur le port. La rue Bellevue qui porte bien son nom. C'est là, dans "Carrefour City", la supérette, que nous achetons nos pots de glace Häagen Dazs. 400 ml de pistache, de vanille et de pralin. Chacun son pot. Nous retournons nous installer sur un muret pour les déguster. C'est un vrai délice.

Nous traînons. Le troisième flacon de gel hydroalcoolique est déjà à moitié vide. Il faut dire que nous nous lavons les mains très souvent. Surtout après les courses. Tout le monde touche à tout. Autant prendre un minimum de précaution. A nouveau, tout en flânant, Estelle recommence à me toucher. Vulgairement, comme elle aime. Comme nous aimons. Je fais pareil. Je la mets quelquefois dans l'embarras. Ma main sous sa jupette, entre ses cuisses devant des touristes solitaires. << Salaud ! >> dit elle à chaque fois.

Il est 19 h30. Nous allons au bout du quai. Le restaurant fait le coin. C'est une grande bâtisse ancienne. Un hôtel de luxe. Le personnel masqué est fort accueillant. Notre table nous attend. Devant une des baies vitrées. La vue est époustouflante. La Mère Champlain est un restaurant haut de gamme. Nous y savourons des crustacés préparés selon des recettes "secrètes" mais délicieuses. Les huitres fraîches, ouvertes devant nous par un expert. C'est le vertige des sens. Une véritable extase.

Première visite aux toilettes. D'abord avec Estelle. Puis avec Clémentine. Il y a ces deux couples qui nous observent depuis un bon moment. Discrètement, à la dérobée. Cet homme d'âge mûr que les deux jeunes filles qui l'accompagnent, tiennent souvent par la main. De quoi susciter bien des interrogations. Nos visites aux toilettes doivent constituer une attraction supplémentaires pour ses voyeurs discrets. Et probablement libidineux. Nous ne sommes absolument pas "échangistes". Tant pis pour leurs libidos.

Seconde visite aux toilettes d'une propreté irréprochable avant le dessert. Nous traînons à table. Nous aimons nous chuchoter des cochonneries le ventre plein. L'addition. Nous flânons encore un peu dans le crépuscule naissant. Nous retournons à la voiture, il est 22 h. Je me trimballe depuis une demi heure avec la bite à l'air. L'obscurité naissante est complice. Mon T-shirt que je dois rabattre sans arrêt également. Là, entre deux voitures, je me fais sucer par Clémentine. Là, entre deux autres par Estelle.

Je roule doucement. Malgré mon interdiction, Estelle est assise au sol, entre les pieds de Clémentine qui me suce avec avidité. Estelle me tient la bite. S'il y a un contrôle de gendarmerie, on est bon pour une prune. A trois devant, on n'y coupe pas. Nous arrivons toutefois sans problème à l'appartement. Nous nous lavons les dents. Nos rituels pisseux où je me régale des nectars d'Estelle et des dernières gouttes de Clémentine. Au lit, malgré la fatigue, elles se disputent ma queue. Je me fais sucer comme un bienheureux...

Bonne balade sur le port à toutes les coquines qui aiment se faire tripoter et glisser leurs mains dans une braguette ouverte...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1255 -



Petite visite et découvertes à Dinard

Hier matin, samedi, je suis réveillé par les chuchotements d'Estelle. Son visage tout près de mon oreille, sans doute encore dans un demi sommeil, elle marmonne des choses incompréhensibles. Juste avant de s'emparer de mon érection matinale. D'une poigne de fer. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine se réveille à son tour. Elle empoigne mes couilles en se serrant contre moi. Je suis entre mes deux anges. Nous nous étirons en modulant longuement nos gémissements. Cela nous amuse déjà.

Estelle se lève d'un bond. << Si je ne vais pas pisser immédiatement, je fais pipi au lit ! >> lance t-elle en enfilant sa tenue de jogging. Elle se précipite aux toilettes. Clémentine m'entraîne devant la porte fenêtre du balcon. Le ciel est couvert. Il ne pleut pas. Estelle vient nous rejoindre. << Il faisait plus beau dans les Alpes ! >> fait elle avant de filer à la cuisine. Nous allons aux toilettes. Clémentine se réjouie, c'est le troisième jour de ses règles. Plus besoin de porter un soutien gorge. Plus d'irritations.

Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café et de pain grillé qui est un des premiers enchantements de la journée. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme de la journée. Il faudra faire des courses. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant des singeries devant le miroir de la salle de bain. Vêtus tous les trois de nos tenues de jogging, nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. Nous voilà partis.

Une heure d'un running des plus agréables et nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Je redescends avec la glacière afin de la brancher sur l'allume cigare de la voiture. Il faut environ 30 minutes pour qu'elle descende à -18°. Je rejoins Clémentine devant l'ordinateur. Nous avons le message quotidien de Julie. Elle nous raconte quelques amusantes anecdotes vécues dans la galerie d'Art. Elle écrit bien. C'est très agréable à lire. Nous répondons en joignant une photo de nous trois prise hier à Cancale.

Estelle vient nous rejoindre vêtue de sa jupette et de son sweat. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Nous nous habillons. Jupette et sweat pour Clémentine. Bermuda et sweat pour moi. Tous les trois avec les mêmes teintes. Il est 10 h15. Estelle termine d'éplucher les patates, les carottes et un navet. C'est pour la potée de légumes du repas de midi. Clémentine y rajoute l'ail et l'oignon que nous venons d'émincer en parlant de la liste des courses. Il faut rajouter des trucs. Nous descendons.

La température extérieure n'excède pas 20°. Il y a un léger vent. Le ciel est menaçant. Je roule doucement. Il y a quatre kilomètre jusqu'au centre Leclerc. Clémentine joue avec ma queue. Je gare l'auto sur le parking. Il y a du monde. Je remballe la bite. Nous sortons de la voiture. Je nettoie la poignée du caddie avec du gel hydroalcoolique. Nous enfilons nos gants mappa. Nous mettons nos masques sanitaires. Clémentine tient la liste des courses. Nous la suivons dans les rayons. Estelle reste accrochée à mon bras.

Comme nous avons soigneusement noté chaque jour ce qu'il faut, la suite des achats se passe avec méthode. Nous ne nous attardons pas. Quelques légumes, beaucoup de fruits. Quelques céréales, pâtes, riz. Le rayon de la poissonnerie où il faut attendre un peu. Estelle me palpe discrètement la braguette. Elle est serrée contre moi, Clémentine fait écran. Nous terminons par deux pâtes feuilletées, une brioche au pudding et deux grosses miches de pain bio. Nous passons en caisse. Nous retournons à l'auto.

Les produit frais dans la glacière. Poissons, fromages, crème fraîche, beurre, œufs et yaourts. Il y a quelques fines gouttes de pluie qui parsèment le pare-brise. Il est 11 h50 quand nous sommes de retour. Nous rangeons les courses. La potée de légume embaume toute la cuisine. Clémentine fait une rapide salade de tomates. Estelle dresse la table. Je fais revenir des gambas à la poêle. J'y rajoute un petit pot de crème fraîche juste avant la fin de la cuisson. Nous passons à table. Morts de faim.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent la rentrée universitaire, lundi 14 septembre. C'est depuis la maison, avec la formule du télé-travail, qu'elles reprendrons leurs cours en ligne. J'écoute les stratégies qu'elles mettent en œuvres. J'adore les écouter préparer leurs ruses toutes féminines et diablement efficaces. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Dans le petit sac à dos qu'on trimballe partout, trois pommes, des barres de céréales, nos minis parapluies et nos K-ways.

Nous voilà en route. Je prends la départementale 168. La route du barrage de la Rance. Il y a environ quinze kilomètres jusqu'à Dinard. La circulation est fluide. Clémentine tient ma queue raide comme un piquet. Cet après-midi Estelle veut faire plein de photos sexy pour agrémenter son "Journal secret". Et surtout pour en faire un montage. Un de ces petits films qu'elle aime à réaliser pour agrémenter sa libido de jeune fille. Ses fantasmes de coquine délurée. Se mettre en scène dans des situations suggestives.

Hier ont commencé les grandes marées. C'est impressionnant de voir la mer monter jusque là. La banlieue de Dinard est parsemée de villas "belle époque". Il y a un luxe évident qui s'en dégage. Je quitte la route principale dès que possible pour m'engager dans les rues parallèles. Nous aimons les voies parallèles. Nous arrivons près du centre. Je gare l'auto dans une rue. Nous en prenons le nom. Nous partons à l'aventure. Le ciel reste menaçant. Il y a même quelques rares gouttes de pluie. Juste un instant.

Nul doute, cette petite station balnéaire mérite un second après-midi de visite. Le centre ville est très aéré. L'architecture moderne y voisine avec l'architecture plus traditionnelle. Nous découvrons Saint Enogat, la place du Calvaire. Il y a des touristes. C'est loin d'être l'affluence. La saison va doucement vers sa fin. Nous apprécions les remarquables parterres fleuris. C'est magnifique. Nous nous engageons dans une des rues commerçantes. Nous faisons les vitrines. Estelle ne cesse de me palper la braguette.

Ma braguette est discrètement ouverte. Mon sweat en dissimule l'accès. Estelle y glisse sa main à chaque fois qu'elle se plaque contre moi pour me faire un bisou. Clémentine prend quelques photos des choses les plus étonnantes. Là, sur le haut des quatre marches, dans l'encadrement d'une porte gothique, Estelle s'accroupit. Cuisses largement écartées. Clémentine la prend en photo. << Viens ! >> me fait Estelle. Je gravis les marches. Je me positionne derrière elle. Je la tiens par ses cheveux.

Clémentine fait une photo. Juste à temps car il y a un groupe de touristes. Nous reproduisons cette pose à trois autres reprises dans la même ruelle. Là, derrière l'église Notre-Dame, il y a deux camionnettes garées côte à côte. Estelle nous y entraîne. Accroupie, cuisses largement écartées, elle pose en souriant. << Viens ! >> répète t-elle. Je viens me placer derrière elle. Je la tiens par les cheveux. Je me penche. Mon visage tout près du sien. Je montre l'objectif de mon doigt. Clémentine photographie.

Il n'y a personne. Nous sommes invisibles. Je sors ma bite. Je pose aux côtés d'Estelle toute souriante, son visage contre ma cuisse. Elle se redresse. Elle pose avec ma queue dans la main. Je passe ma main sous sa jupette, par derrière. Estelle descend sa culotte juste au dessus des genoux. Les jambes et les pieds écartés afin qu'elle ne glisse pas sur ses chevilles. Je la fais se retourner afin qu'elle présente son superbe cul devant l'objectif. J'y enfonce le doigt. Estelle fixe l'objectif effrontément.

Des voix. Nous avons juste le temps de nous réajuster. Deux couples de touristes. Nous continuons nos déambulations. Considérablement excités par nos jeux, nous cherchons d'autres coins pour d'autres photos. Le centre historique de Dinard est magique. Une ambiance médiévale. Sans doute à cause des maisons à colombages. La tour de l'horloge. Un autre bijou de pierres et de bois. Avec ce ciel gris de plomb, tout a un aspect fantastique. C'est une ville éminemment romantique. De toute beauté.

En parcourant les rues typiques, il y a deux mots qui viennent à l'esprit. Préciosité et élégance. C'est l'heure des glaces. C'est dans le centre commercial Saint-Alexandre que se trouve la supérette "Market". C'est aussi là que nous trouvons nos parfums préférés. Toujours de notre marque préférée. Häagen Dazs. Nous enfilons nos masques sanitaires avant d'y entrer. Il y a pas mal de clients. Nous adorons l'odeur des fruits et des légumes dans ces rayons. Dans tous les supermarchés. Nous y flânons un peu.

Il y a un petit square. Le parc du port Breton. Assis sur un banc, nous savourons nos pots de 400 ml. C'est exquis. Nous nous promettons de revenir demain. Il faut au moins un second après-midi pour en voir le maximum. Nous avons envie de faire le bord de mer, le port de Dinard, ses sentiers côtiers le long des rochers, au bas des splendides villas d'une autre époque. Les filles font leurs pipis derrière le banc, dans les fourrés. Je les torche soigneusement avant de jeter les mouchoirs dans une poubelle.

Clémentine prend quelques photos. Je suis derrière Estelle accroupie, cuisses largement écartées, la culotte aux chevilles. Je la tiens par la nuque. J'ai la bite à l'air. Je bande mou. Je tiens Estelle par ses cheveux en frottant ma queue contre sa joue. Toute souriante elle pose pour quelques photos. La bite dans la bouche, regardant malicieusement l'objectif elle dresse le pouce de sa main droite comme pour dire : << Génial ! >>. Bien évidemment, l'occasion est trop belle. Elle en profite pour me tailler une pipe.

Clémentine tourne autour de nous pour faire plusieurs photos sous des angles différents. Je retire ma bite. Je me branle. Clémentine met sur position caméra. Je fais mettre Estelle à genoux dans l'herbe. Il faut faire attention. Il y a parfois des gens qui passent de l'autre côté des bosquets. J'éjacule au visage d'Estelle. L'abondance de mon foutre est toujours conséquente. Elle a de la jute épaisse et gluante qui lui colle sur toute la gueule. Visage maculé de sperme. Clémentine fait des photos. Je tiens Estelle par ses cheveux.

Mon visage penché près du sien, je lui montre l'objectif qu'elle fixe. Estelle prend différentes expressions. Grave, souriante, triste, malicieuse, vicieuse. Son fantasme de faire l'actrice porno trouve encore là matière à d'extraordinaires expressions. Clémentine lui montre les photos. Elle propose à Estelle de la filmer, marchant dans les allées du parc avec du foutre plein la gueule. Il y en a dans ses cheveux. Estelle se redresse. Elle hésite. Regarde partout autour d'elle. << Allons y ! >> lance t-elle en sortant des fourrés.

Je marche à ses côtés. Clémentine marche à reculons devant nous. Nous croisons quelques promeneurs amusés. Certains découvrent la scène. Médusés. Consternés ou alors étonnés. Rares sont ceux qui comprennent réellement. Le foutre commence à se diluer, à couler. Pour ne pas risquer d'en avoir sur le haut du sweat, j'essuie avec un mouchoir en papier. Nous sommes tous les trois hyper excités. Clémentine me dit : << Fais moi ça aussi, dès que tu as les couilles à nouveau pleines. S'il te plaît ! >>

Je promets de faire au mieux. Avant de quitter le parc, j'entraîne les filles dans les fourrés, derrière un banc. Je me branle comme un salaud. Je dis à Clémentine : << Viens, présente moi ta gueule ! >>. Je m'apprête à juter une seconde fois quand des voix toutes proches se font entendre. J'ai juste le temps de cesser, de me tourner pour cacher ma queue. Ce sont des D'jeunes qui font les cons. Ouf ! Nous l'avons échappé belle. Je propose de remettre cette expérience à demain. Ici même, dans le parc.

Il est 19 h. Il commence à faire faim. Nous avons flâné toute l'après-midi dans le centre historique, fait quelques boutiques. C'est au restaurant "La passerelle au clair de lune" que nous trouvons une table accueillante. C'est un établissement gastronomique. La décoration y est luxueuse. Son personnel extraordinairement sympathique. Nous y savourons des spécialités de la mer préparées selon la tradition de la maison. Ce n'est pas seulement succulent, c'est divin. Deux visites aux toilettes.

Une première fois avec Estelle qui se régale des reliquats de mes mélanges dans un des cabinets des toilettes homme. Une seconde fois, quelques minutes plus tard avec Clémentine. A chaque fois quelques regards interrogateurs de certains clients. Nous récidivons avant le dessert. Il y a ce type là-bas, assis avec sa femme et sa fille. Il aimerait bien venir voir ce que nous faisons aux chiottes. Son regard libidineux en dit long. Il y a cette jeune femme là-bas, attablée avec son mari, qui n'arrête pas de nous mâter en douce.

L'addition. Nous flânons encore un peu le long de la mer. Nous sommes impatients de revenir visiter ces endroits dès demain. Nous retournons à la voiture. Je roule doucement. Une fois encore, malgré mon interdiction, Estelle est assise au sol, entre les pieds de Clémentine, pour me tenir la queue. Elle me félicite pour mes initiatives durant nos séances photos. Il est 22 h45 quand nous sommes de retour. Nous sommes épuisés. Au lit, je me fais sucer un peu. Trop fatigués, nous nous endormons. C'est divin...

Bonne virée dans les parcs à toutes les coquines qui aiment s'y faire photographier dans les situations les plus vicelardes...

Julien

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Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1256 -



Randonnée sur le sentier des douaniers

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bisous déposés sur mon visage. Des murmures. Ce sont mes deux anges qui se blottissent contre moi, déjà réveillées. Clémentine empoigne mes couilles. Estelle saisit mon érection matinale. Je n'ouvre pas encore les yeux qu'elles se frottent toutes les deux contre moi. C'est un enchantement paradisiaque. J'ouvre enfin les yeux. Il est presque neuf heures. C'est tellement rare que nous dormions aussi longtemps. Dehors il fait beau. C'est divin.

Estelle se lève la première en s'écriant : << Pissou ! >>. Clémentine me chevauche en me faisant plein de bisous. << Je t'aime Julien ! >> me fait elle entre deux mitrailles de baisers. Estelle revient, me fait un bisou avant de se précipiter à la cuisine en sautillant. Clémentine m'entraîne aux toilettes. << Mes "petits machins de filles" sont terminés ! >> lance t-elle toute joyeuse. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Il y a la brioche qui trône au milieu de la table. L'odeur de café et de pain grillé.

Morts de faim nous prenons un petit déjeuner royal. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant de vagues projets pour la journée. Ce qui est certain c'est que cette météo va nous permettre de randonner. Le dimanche, pas de gym, pas de jogging. Pas de douche non plus. Nous aimons mariner dans nos jus. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de mes hanches, les filles dissertent sur notre virée de hier, à Dinard. Les photos cochonnes que nous avons fait dans parc.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous nous habillons. Jupettes, T-shirt pour les filles, bermuda, T-shirt pour moi. Nous faisons les clowns devant le miroir de l'armoire. Nous préparons notre petit sac à dos. Des pommes, des barres de céréales, la bouteille d'eau, nos K-ways. Nous emmenons également trois boîtes de pâté végétal Gerblé. Nous achèterons du pain dans la boulangerie habituelle. Il est 10 h30 quand nous dévalons l'escalier de service. Voilà le chemin qui mène à Saint-Malo.

Le sol est encore humide par endroit. Il y a quelques nuages. Le soleil règne en maître. Nous marchons d'un bon pas. Trois kilomètres jusqu'à Saint-Malo. Nous enfilons nos masques sanitaires sur la Place Chateaubriand déjà animée de touristes. La rue Saint-Vincent où nous achetons trois baguettes de pain complet et Bio. Nous montons sur les remparts. C'est de là que nous prenons le sentier des douaniers. Le GR34 qui va nous mener jusqu'à Dinard. 12 km de pur bonheur sous une météo parfaite.

Nous retirons nos masques sanitaires en longeant la plage. Il y a quelques courageux qui se baignent. Nous quittons la plage pour monter vers la cité d'Alet. Le sentier de grande Randonnée longe la Rance sur tout son long. Quelle joie de revoir la cité d'Alet. Là, le long de l'interminable escalier-sentier, Estelle retire sa culotte pour la glisser dans le petit sac à dos que je porte. Clémentine préfère la garder encore un peu. Ses règles sont terminées mais prudence. La température est de 22°. Un peu de brise.

Estelle s'arrête souvent, se met devant moi pour bloquer la marche. Prétexte pour palper ma braguette discrètement ouverte. Je passe ma main sous sa jupette. Entre ses cuisses à la douceur du velours. Chaudes. Voilà le port de Saint-Servan. C'est un port de mouillage principalement destiné à la plaisance. Nous croisons nombre de marcheurs. Il faut donc jouer de prudence dans nos égarements libidineux.
C'est là, en contrebas du barrage de la Rance que nous prenons le sentier pour descendre à la mer.

Il y a une sorte de crique étroite. Il y a des gens un peu plus loin, pieds dans l'eau. Il est 12 h30. Morts de faim, c'est là que nous préparons nos sandwichs. Je coupe les trois baguettes dans le sens de leurs longueurs puis en deux. Estelle y tartine le pâté. Clémentine y dépose de fines rondelles de tomates. Nous mangeons de bon appétit. C'est divin d'être là. Même si au dessus de nos têtes à une centaine de mètres il y a le bruit des voitures. Nous ne traînons pas. Il y a d'autres marcheurs qui descendent.

Nous remontons sur le barrage. Nous traversons les installations marémotrices en suivant la digue piétonne. Là, entre deux plots de béton, à l'abri des regards, Estelle me sort la queue. Clémentine fait le guet. Estelle se frotte sur mon sexe. Je bande rapidement. Je la soulève. Je la pénètre légèrement. << Wouah, comme c'est bon ! >> fait elle. << Des gens ! >> lance Clémentine. Je me retire. Je dépose Estelle au sol. Juste le temps de me tourner pour dissimuler ma queue. Estelle réajuste sa jupette.

Au bout du barrage, nous prenons la petite ruelle à droite. Le sentier reprend au bout d'environ trois cent mètres. A nouveau Estelle me tripote. Clémentine passe souvent sa main entre mes cuisses par l'arrière. Pour me palper les couilles. Mes deux anges sont aujourd'hui de véritables petits démons. Voilà l'anse du Pissot. La vue est magnifique. On voit toute la côte de la Rance. Là-bas, la Tour Solidor. Clémentine prend quelques photos. J'ai la bite à l'air dans les rochers. Estelle me masturbe.

Debout derrière moi, elle me branle avec sa vulgarité coutumière. << J'ai envie de faire les choses les plus insensées ! >> lance t-elle. Nous en rions de bon cœur. Le sentier est étroit. Il faut se serrer à chaque fois que nous croisons des marcheurs. Pour donner quelques frayeurs à Estelle, lorsque c'est un homme seul, je passe ma main sous sa jupette. Je dis à chaque fois : << Ta punition ! >>. Elle répond chaque fois : << Salaud ! >>. Nous contournons la Pointe de la Vicomté puis la Pointe de la Jument.

La mer scintille de mille feux sous le soleil. La Côte d'Emeraude porte bien son nom. Les roches du côté Saint-Malo paraissent vertes. Quelle agréable surprise. Le sentier monte sur des fortifications. Nous sommes sur un ancien chemin de ronde. Là, plus loin, les falaises boisées. << Il y a certainement un sentier qui descend ! >> fait Clémentine. Effectivement, un peu plus loin il y a un sentier. Un panneau "Attention Danger, risque de chute". Il faut être très prudent. C'est très raide. Des marches taillées dans la roche.

C'est une véritable vue panoramique sur toute l'autre rive de la Rance. Clémentine ouvre la marche qui devient périlleuse par endroit. Là, plus bas, à une cinquantaine de mères, la mer. Il y a une avancée. Des arbres poussent ici, accrochés à des rocailles. Ce sont principalement des pins maritimes. Mais il y a aussi quelques hêtres et des acacias. Il y a des fougères. Là, une sorte de plateau de trois mètres sur trois. Légèrement en pente. Personne ne semble s'aventurer par ici. Surtout pas des familles.

Nous sommes à l'ombre. La vue est magnifique. Le cri des mouettes. Là-bas de l'autre côté de la Rance, le Port de Saint Servan. A environs cinq kilomètres. Nous sommes allongés tous les trois. Nos K-ways en guise d'oreillers. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent les mains. Nous observons la danse de quelques nuages. Nous faisons le bilan de ces vacances loin de l'Ecosse. C'était tellement intense que même Clémentine ne regrette plus rien. Sauf peut-être Edimbourg qui lui manque beaucoup.

Me voilà avec la bite à l'air. C'est Estelle qui me la tient de sa poigne de fer. Tout en bavardant, elle me la tord dans tous les sens. Surtout vers le bas parce qu'elle sait que c'est inconfortable. Toutes les deux détestent les positions du Kamasutra. Seule la position du missionnaire a nos faveurs. Pourtant Estelle se redresse. Elle lève une jambe pour me chevaucher. Elle s'enfile l'extrémité de mon sexe. << Aïe ! >> fait elle en tentant de surmonter. Elle n'insiste pas. Elle se contente de frotter son sexe contre le mien.

Clémentine me tient les couilles. Elle m'embrasse avec fougue. Estelle, en appui sur ses bras, me chevauche en se masturbant de son mouvement régulier. Elle cesse pour se coucher à côté de moi. C'est au tour de Clémentine de faire pareil. Elle garde sa culotte par précaution. Il y a effectivement une auréole rose. C'est la toute fin de ses règles. Je me redresse. Je dis : << Venez, je vous fais l'amour à toutes les deux ! C'est qui la première ? >>. Estelle s'allonge en s'écriant : << Moi ! >>.

En appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids, je suis au dessus d'Estelle. C'est Clémentine qui positionne mon sexe à l'entrée de celui d'Estelle. Je la pénètre doucement, avec d'infinies précautions. Clémentine vient mettre son visage tout près des nôtres. Nous aimons baiser comme ça. En échangeant nos impressions. Estelle évoque nos photos cochonnes de hier dans le parc. Elle fera un montage avec les petits films fait dans les Alpes. Une soirée cinéma pour le début octobre.

J'alterne la "machine à coudre" et la berceuse. Nos souffles se mélangent. Clémentine m'embrasse avec fougue. Puis c'est Estelle. J'aimerais les voir s'embrasser toutes les deux. Elles s'y refusent. L'homosexualité leurs étant un concept insupportable. Dommage. Des voix. Merde. << Put-Hein, il y en a qui sont capables de venir nous emmerder jusque là ! >> s'écrie Estelle. Je me retire. Nous nous asseyons tous les trois. Ce sont deux couples qui explorent les environs. Nos présences ne les dérangent pas.

<< Les enfoirés ! Sans gêne et sans complexe ! >> rajoute Estelle. En effet ces emmerdeurs s'installent tranquillement un peu plus loin pour prendre leurs casses croûtes. Nous quittons l'endroit pour remonter sur le chemin de ronde. Ça redescend. Voilà la Plage du Prieuré. Il y a du monde. Parasols, serviettes, châteaux de sable et les hurlements de chiards qui vont avec. Nous retrouvons le sentier cinq cent mètres plus loin. C'est la "Promenade du Clair de Lune". Une végétation dense et luxuriante.

Il est déjà 17 h. Nous arrivons près d'un embarcadère. Il est possible de rejoindre Saint-Malo en bateau. Nous hésitons. Il y a le restaurant gastronomique "Au Clair de Lune" pas très loin. Nous y avons déjà mangé. Nous hésitons. La dernière vedette traverse la Rance à 19 h30. Le bus des mers. Il est donc exclu de rester là sous peine de marcher de nuit sur 12 km et de rentrer vers minuit. Je suggère de prendre un taxi après le restaurant. Pourquoi s'emmerder ! Les filles préfèrent marcher. Moi aussi.

Nous reprenons donc le même parcours en sens inverse. Pour nous récompenser de cette randonnée, nous réservons une table au "Cap Horn". Ce restaurant gastronomique à Saint-Malo où nous nous sommes déjà régalés. C'est Estelle qui téléphone. Notre table nous y attend pour 20 h. Nous nous mettons en route. De nombreux arrêts à nous tripoter. Je ne compte plus le nombre de fois où je manque de me faire surprendre avec la bite à l'air. C'est Estelle ou Clémentine qui se serrent contre moi pour la cacher.

Avec la soirée qui arrive, les couleurs prennent un ton ocre. Toute la rive du côté Saint-Malo tourne à l'or. C'est magnifique. Il est 19 h45 quand nous sommes de retour à Saint-Malo. La fatigue se fait sentir. Les spécialités de la mer du "Cap Horn" nous enchantent une nouvelle fois. Morts de faim nous nous régalons. Quelques regards interrogateurs ou libidineux lors de nos visites à deux aux toilettes. Nous traînons à table. L'addition. Il y a encore 3 km jusqu'à l'appartement. Au lit, on tente des trucs. On s'endort...

Bonne randonnée à toutes les coquines qui aiment les multiples arrêts tripotage et baise dans les criques au bas des rochers...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1257 -



Un rendez-vous informel à Saint-Brieuc

Hier matin, lundi, je suis réveillé par les incessants "pédalages" d'Estelle qui tout en dormant encore remue ses pieds en rythme. Même si je m'y suis habitué, c'est toujours étonnant. Insolite. Qu'est-ce qui peut donc causer ce curieux phénomène ? Elle ne tarde pas à se blottir contre moi. Elle aussi dotée de ce sixième sens qui l'averti de mon réveil. Elle se saisit de mon érection matinale. Tout cela tire Clémentine de son sommeil. Je suis entre mes deux anges. Il est 8 h15. Nous nous amusons à moduler nos gémissements.

Estelle se lève d'un bond en s'écriant << Je dois pisser ! >>. Elle se précipite aux toilettes. Clémentine se saisit de mon érection matinale pour m'entraîner devant le porte fenêtre. Le ciel est voilé mais lumineux. Estelle revient et met sa tenue jogging. Un bisou et elle file à la cuisine. Nous allons aux toilettes. Nous enfilons nos tenues sports. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans cette délicieuse odeur de café, de pain grillé et de brioche. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme du jour.

Nous avons prévu d'aller passer l'après-midi à Saint-Brieuc. Nous y avons un rendez tout à fait informel avec une inconnue. Nous ne savons ni où ni quand. C'est amusant. << C'est la none à qui t'as montré ta queue au mois de juillet ? >> demande Estelle. Clémentine répond : << Oui, deux jours de suite, en nous croisant. Elle a beaucoup apprécié ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous dévalons l'escalier de service.

Quelques mouvements d'échauffement dans l'étonnante fraîcheur matinale. C'est parti. Estelle impulse un rythme soutenu. C'est notre parcours habituel. Une heure d'un running des plus agréables. Il est 9 h50 quand nous sommes de retour. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois messages. Celui de Juliette qui nous annonce son retour de Corse. Celui de Julie qui nous annonce deux ventes. Cela fait 21 toiles de vendues. Il en reste trois.

Le message de la jeune femme. Cette aspirante bonne sœur qui s'encanaille probablement une dernière fois avant de prononcer ses vœux. << On aura tout vu ! >> fait Clémentine en lisant à haute voix. La jeune femme sera accompagnée comme la dernière fois de sa "Directrice de conscience". Elles seront dans les environs de la cathédrale Saint-Etienne et la rue Saint-Guillaume entre 15 h et 16 h. Estelle revient vêtue de sa jupette et d'un sweat. C'est à nous d'aller prendre notre douche.

Nous nous habillons. Jupette, sweat pour Clémentine. Bermuda, sweat pour moi. La pâte feuilletée et le pavé de saumon ont déjà presque complètement décongelé. Estelle nous prépare une surprise qui n'en n'est plus vraiment une. Il nous est interdit d'entrer à la cuisine. Nous la laissons pour descendre l'escalier et faire quelques pas. Il y a monsieur Jacques entrain d'accrocher une remorque à son auto. Nous bavardons un peu. Nous lui rappelons à quel point nous sommes bien dans cet appartement.

Nous marchons doucement sur le chemin qui longe l'enclos des chevaux. Estelle vient nous rejoindre en sautillant. << C'est au four ! >> s'écrie t-elle. Nous flânons un peu. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par le bras. Un coup de klaxon depuis la route à deux cent mètres. C'est monsieur Jacques qui nous salue de la main. Là-bas, à l'Ouest, au dessus de la mer, le ciel s'obscurcit. De lourds nuages menaçants semblent s'accumuler. Il y a un léger vent qui se lève. La température est de 19°.

Il est 11 h45 quand nous revenons. L'odeur du feuilleté de saumon embaume toute la cuisine. La salade de carottes est prête, la table est mise. Je soulève Estelle pour la faire tournoyer dans les airs. Elle me couvre le visage de bisous. Nous mangeons de bon appétit. Félicitations Estelle, c'est délicieux. << Je te suis redevable Julien. Toutes ces vacances ! >> lance t-elle. Je dis : << Ah non, tu ne vas pas revenir avec cette vieille rengaine. C'est moi qui te suis redevable d'être en notre compagnie ! >>

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de mes hanches, les filles font le bilan des jours déjà passés. De superbes séjours. Dans les Alpes puis dans la région de Saint-Malo. Plein de souvenirs. << Et ce n'est pas fini ! >> précise Clémentine. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous nous changeons. Nous mettons nos jeans, nos sweats épais. Dans le petit sac à dos que nous trimballons partout, nos minis parapluies.

Le temps se gâte. Nous voilà en route. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. << Tu le conditionnes pour le rendez-vous ? >> demande Estelle, espiègle et mutine à Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Il y a quelques gouttes de pluie. C'est par intermittence. Le ciel s'obscurcit encore. Je prends la Nationale 176. Le GPS nous guide. Estelle, assise à l'arrière, caresse mes joues, mon cou. Les filles évoquent leurs études. La "rentrée" universitaire du lundi 14 septembre. Elles sont prêtes.

Il y a un peu plus de 90 km qui séparent Saint-Malo de Saint-Brieuc. Ça roule plutôt bien. La circulation est fluide. Nous gardons un excellent souvenir de cette ville. Saint-Brieuc a un charme très british. Le centre ville médiéval. Des architectures gothiques. Les ruelles pavées de larges dalles. Les maisons à colombages. Les boutiques traditionnelles. Nous racontons à Estelle les balades que nous y avons fait. Nos frasques. Les petites exhibes de très bonne qualité pratiquées par Clémentine. Le cadre enchanteur.

Il est presque 14 h quand nous arrivons. Je gare la voiture dans les faubourgs. A un petit quart d'heure du centre. Il faut mettre les K-ways et ouvrir les parapluies. La pluie est fine et continue. Le ciel est d'un gris uniforme. Quand nous arrivons dans le centre c'est un réel plaisir. Nous retrouvons l'endroit avec un vif plaisir. La pluie rajoute encore au caractère romantique du lieu. Estelle plie son parapluie pour se serrer sous le mien. Il y a peu de monde. C'est amusant de voir les silhouettes se refléter sur les pavés mouillés.

Nous voilà dans la rue Saint-Guillaume. C'est magnifique d'y faire du lèche vitrine. Nous remontons toute la rue jusqu'au centre commercial "Les Champs". C'est un complexe immense. C'est étonnant. Nous flânons. Estelle, bien évidemment, profite de chaque opportunité. Elle palpe ma braguette. Lorsque nous sommes à l'écart, elle le fait avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. Il y une hall de fruits et de légumes. Nous adorons flâner dans ces endroits. L'odeur nous enivre. On en profite.

Les fruits et les légumes sont la composante de notre alimentation. D'en respirer les senteurs nous rappelle notre potager. Il est aux environs de 15 h. Clémentine nous entraîne au dehors. Il ne pleut plus. Le ciel est lumineux. Nous nous dirigeons vers la cathédrale Saint Etienne dont on voit le clocher massif. C'est un superbe édifice gothique. Le sol est trempé. Les pavés luisants. Il y a plein de bancs vides sur la place. Là, sur la droite, il y a une sorte d'abri. Des panneaux d'affichage. Un tableau d'orientation.

Estelle n'arrête pas de me tripoter. Clémentine me fait part de son excitation. Elle adore quand je fais mon vicieux avec une autre fille. Rien ne l'excite davantage que d'assister aux réactions, aux développements des situations. Nous entrons dans la cathédrale. Il y fait sombre. C'est une ambiance étrange et mystérieuse. Il y a des bougies allumées devant des statues. Sans doute le fruit de quelques dévotions. Il y a des visiteurs. Je tiens Estelle par les deux mains. Pour éviter qu'elle ne me tripote. Elle insiste, la diablesse.

<< Regarde ! >> me chuchote Clémentine. Il y a les deux jeunes femmes assises devant un reliquaire. Elles semblent profondément recueillies. Nous les reconnaissons bien. Estelle murmure : << C'est donc elles ! C'est laquelle qui a vu ta queue ? >>. Clémentine répond : << Celle de droite, la plus jeune ! >>. Nous nous avançons comme des touristes. Clémentine prend des photos. Malgré les nuages au dehors, les vitraux sont extraordinairement lumineux et colorés. Voilà, ça y est, nous sommes "repérés".

La jeune femme me lance un bref regard. Une esquisse de sourire avant de baisser la tête. Elle n'est pas vraiment belle au sens où on l'entend en général. Et certainement pas selon les canons de la mode. Ses cheveux attachés en chignon, son visage osseux, son air grave et soucieux. Cette esquisse de sourire vient d'illuminer ses traits. L'autre jeune femme ne jette même pas un regard autour d'elle. C'est la "Directrice de conscience". Déjà none et chargée de préparer l'autre à la prononciation des vœux.

Elles doivent avoir une dizaine d'années d'écart. Clémentine lui donne 35 ans. A l'autre 45 ans. Elle relève la tête une seconde fois. Elle me lance un regard. Je lis le plaisir de me revoir. L'autre est entrain de marmonner un truc en feuilletant un livre. Probablement un des missels posés en bout de bancs. << C'est dommage de se consacrer à des chimères irrationnelles alors que la vie est grouillante de plaisirs ! >> chuchote Estelle. Nous rions de bon cœur, mais discrètement. Estelle en profite sournoisement.

A l'instant où la jeune femme relève la tête, Estelle palpe ma braguette. Clémentine passe ses bras autour de ma taille pour cacher la scène à la vue éventuelle d'autres visiteurs. Cette fois, le regard amusé de la jeune femme semble adoucir la sévérité de son visage. Elle est presque jolie. Estelle insiste. C'est bien vicieux et destiné aux regards de la jeune prieuse. Je lui adresse un sourire. Enfin elle m'adresse le sien. Un vrai et beau sourire. << Elle vient de surmonter un truc ! >> murmure Clémentine.

Il faut imaginer l'état d'esprit d'une jeune femme découvrant cette scène. Un homme d'âge mûr, entre deux superbes jeunes filles qui restent accrochées à lui. Dont l'une palpe sa braguette. La jeune femme voit Estelle pour la première fois. Elle fait soudain un signe de croix avant de baisser la tête. Nous quittons la cathédrale. Inutile de prendre des risques. Nous sommes tous les trois considérablement excités. La pluie s'est remise à tomber. Sous le parapluie, Clémentine nous entraîne vers l'abri des panneaux d'affichage.

Nous y sommes seuls. C'est un toit en bois, aux poutres apparentes. Il y a quelques tables et des bancs. Un vieux monsieur empile des chaises. Nous lisons le tableau d'orientation. Estelle a carrément glissé sa main dans ma braguette. << Sors ta queue, je veux me réchauffer les mains ! >> me fait elle. Nous restons serrés tous les trois. Distribution de bisous. Là, derrière nous, à une dizaine de mètres, les deux femmes lisent les panneaux d'affichage. Estelle m'a sorti la bite. Je bande mou.

La jeune femme fait mine de lire alors que l'autre, ayant mis ses lunettes, lit réellement. Je me tourne rapidement dans la direction de la jeune novice. Estelle me tient la queue entre le pouce et l'index. A sa base. Elle l'agite en direction de la regardante. Le vieux monsieur ne se doute de rien. La jeune femme détourne les yeux. Regarde à nouveau. Cesse. Recommence. Nous devinons le trouble délicieux qui l'envahi. Tout cela à l'insu de sa "Directrice de conscience" concentrée sur sa lecture. Je bande.

Clémentine saisit ma queue à pleine main. Elle me masturbe. Nous sommes tous les trois face à cette jeune femme dont le trouble, et le plaisir, sont apparents. C'est rapide. Deux fois. Juste quelques secondes. Il faut faire gaffe. L'autre femme a cessé sa lecture pour entraîner la voyeuse. Même si elle nous a reconnu, elle fait mine de ne pas nous voir. Emprisonnée dans son couvent jusqu'à l'intérieur de sa tête. Même au dehors. << Les religions sont réellement de dangereuses prisons mentales ! >> murmure Estelle dépitée.

Nous regardons les deux femmes s'éloigner. Notre "complice" se retourne une dernière fois. Un léger et discret signe de la main. C'est fini. Cette jeune femme part vers son destin. << Put-Hein ! Je préfère être à ma place qu'à la sienne ! >> lance Estelle en sautillant tout autour de nous. C'est l'heure de nos glaces. C'est dans un salon de thé que nous nous régalons d'immenses coupes glacées. Nous rions de notre farce. Je propose de réserver une table dans un restaurant. Les filles préfèrent rentrer. Du feuilleté de saumon à réchauffer.

Nous nous promettons de revenir à Saint-Brieuc dès demain. Quelle que soit la météo. Visiter et revoir à trois cette fois. Il est 18 h30 quand nous revenons à la voiture sous nos parapluies. Je roule doucement. Estelle est passée devant. Comme toujours, assise au sol, entre les jambes de Clémentine. Pour me tenir les couilles pendant que Clémentine me suce par intermittence. Il est 19 h45 quand nous sommes de retour. Clémentine fait une salade verte. Estelle réchauffe le feuilleté. Je dresse la table.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre étrange aventure de l'après-midi. C'était davantage insolite qu'excitant. Du moins au début. << Nous avons fait notre bonne action au près de cette femme ! >> lance Estelle. << Nous sommes altruistes et généreux ! >> rajoute Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Au lit, j'alterne les cunnilingus et les pénétrations. Nous nous offrons du plaisir jusqu'à en hurler de bonheur. Nos orgasmes son "religieux" puisque les filles s'écrient : << Oh mon Dieu ! >>...

Bonne virée à Saint-Brieuc à toutes les coquines qui sont enchantées de tripoter une bite dans un cadre enchanteur de conte de Fées...

Julien

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1258 -



Changement de programme

Hier matin, mardi, je suis réveillé par les chuchotements d'Estelle à mon oreille. Ce sont des douceurs mêlées de propos incompréhensibles. C'est très agréable d'être réveillé ainsi en éprouvant le besoin de rire. Elle vient se blottir très fort tout contre moi en saisissant mon érection matinale. Tout cela réveille Clémentine qui vient se serrer. Je suis entre mes deux anges. Elles me couvrent le visage de bisous. Il est 8 h15. Dehors le ciel est voilé mais lumineux. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>.

Clémentine m'entraîne devant la porte fenêtre. Nous regardons à l'extérieur. Elle me tient la queue. Estelle revient, enfile sa tenue de jogging, me fait un bisou avant de filer à la cuisine. C'est à nous d'aller aux toilettes. Nous enfilons nos tenues sports. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans cette délicieuse odeur de café et de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme du jour. Avec la météo qui s'annonce plutôt sympa, nous décidons d'une randonnée.

Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de mes hanches, les filles proposent la promenade de Rothéneuf. Nous n'avons pas encore parcouru cette partie du littoral. Des réjouissances en perspective. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant nos habituelles clowneries devant le miroir de la salle de bain. Nous descendons l'escalier de service. Quelques mouvement d'échauffement dans l'étonnante fraîcheur matinale. Il ne fait pas plus de 16°. Estelle impose le rythme de notre jogging.

Nous sommes de retour pour 9 h50. Cette heure de running a encore été fort plaisante. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Deux courriels. Celui de Julie qui nous raconte sa journée dans la galerie d'Art. Celui de la jeune femme revu hier. Elle nous remercie chaleureusement pour ce qui s'est passé hier. Même si elle utilise un pseudo et une adresse mail "Aloïsa@laposte", tout cela correspond bien au personnage et à l'idée que nous nous en faisons.

Estelle nous rejoint vêtue de sa jupette kaki, de son T-shirt ocre. C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Nous nous habillons. Jupette kaki, T-shirt ocre pour Clémentine. Bermuda kaki, T-shirt ocre pour moi. Estelle termine d'écrire le message pour ses parents. Il est 10 h30. Nous descendons pour une promenade dans la belle campagne environnante. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par le bras. Elles évoquent notre retour dimanche soir. Estelle recommence le boulot lundi matin.

<< Au bureau, je vais aider maman. Elle déborde de travail. Il faut préparer le bilan comptable pour début octobre ! >> précise Estelle qui aide à l'entreprise familiale. Ce retour à la réalité n'est pas sans éveiller une certaine tristesse. << Cet après-midi, tu as la braguette ouverte toute la promenade ! >> lance encore Estelle en palpant mon sexe au travers le tissus de mon bermuda. << Comme pour toutes les promenades ! >> rajoute Clémentine avant de m'embrasser. Nous en rions de bon cœur.

Il est 11 h30 quand nous revenons. Nous épluchons les pommes de terre, les carottes, l'oignon, l'ail et le navet. Le tout à l'auto-cuiseur. Nous adorons la potée de légumes. Clémentine prépare une belle salade d'endives. Je fais rissoler trois filets de cabillaud. J'y rajoute une pointe de moutarde à l'ancienne. Je rajoute un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Estelle, tout en dressant la table, ne cesse de glisser sa main entre mes cuisses par derrière. Elle pénètre facilement dans mon bermuda.

Nous mangeons de bon appétit. Nous avons fait beaucoup de potée. Ce soir, il suffira de réchauffer. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Le petit sac à dos que nous trimballons partout est prêt. Il contient nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille d'eau et nos K-ways. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Il fait doux. Le thermomètre extérieur indique 23°. Nous marchons d'un bon pas en direction de Saint-Malo.

Trois bornes. Les filles me tiennent par la main. Rothéneuf, rattaché à la commune de Paramé, est un quartier de Saint-Malo que nous contournons par la plage du Sillon. Il y a du monde. La promenade commence par la Plage du Pont. Il y a plein de maisons de villégiature. La vue sur Saint-Malo et ses remparts y est remarquable. Les gens que nous croisons ne se doute pas un seul instant que sous mon T-shirt, cette bosse est celle de mon sexe. C'est Estelle qui me l'a sorti. << Un gage ! >> précise t-elle.

A chaque fois que nous marchons seuls le long de la plage, elle fourre sa main sous mon T-shirt. Nous arrivons à l'entrée du GR34, le sentier de grande randonnée qui fait la totalité du littoral breton. Depuis le sentier des douaniers la vue sur la côte d'émeraude est magnifique. Elle porte bien son nom avec ses déclinaisons de verts. Le soleil fait de belles et longues apparitions. Quelle bonne idée de faire cette virée plutôt que de retourner à Saint-Brieuc. Nous marchons une heure. Le sentier monte le long des falaises.

Voilà la Pointe de la Varde. C'est un panorama unique sur la baie de Saint-Malo. On y aperçoit plusieurs forts. La mer a ici réellement la couleur de l'émeraude la plus pure. Il y a les anciens murs du Fort d'Arboulé. Un petit labyrinthe où nous entraîne Estelle. Durant la dernière guerre les allemands ont rajouté des blockhaus et des bunkers. << Je te suce dans les bunkers jusqu'à te vider les couilles ! >> me fait Estelle en saisissant mon sexe de sa poigne ferme et énergique. Nous en rions de bunker.

Il faut tout de même rester prudents. Nous ne sommes pas seuls. Pourtant là, à l'entrée d'une cavité souterraine, Estelle s'accroupit devant moi. Ses mains sur mes hanches, elle frotte son visage sur ma bite. Clémentine, debout derrière moi, saisit ma queue pour l'offrir à la gourmandise d'Estelle. Il faut bien regarder partout. Nous pourrions nous faire surprendre à chaque instant. Cela participe au plaisir de mes deux anges. Cela me met dans un embarras profond. Surtout qu'Estelle me taille à présent une pipe.

Ce qui devait forcément arriver, arrive. Un couple de promeneurs tombe sur la scène. Je me tourne pour planquer ma bite. Estelle reste accroupie. Clémentine masque nos activités en faisant écran de son corps. Le couple ne s'attarde pas. On les entend éclater de rire un peu plus loin. Je force Estelle à se redresser. << Tu vas me punir ? >> me fait elle de sa voix mutine et de son regard espiègle. Je dis : << Oui, tu mérites une bonne punition ! >>. Estelle répond : << Une pipe par exemple ? >>.

Nous éclatons de rire. Nous continuons nos découvertes. Nous quittons la Pointe de la Varde. Le sentier longe le bord des falaises. A une trentaine de mètres plus bas, le ressac de la mer. Au dessus de nos têtes le cri des mouettes. Nous marchons l'un derrière l'autre. A chaque fois que nous croisons des randonneurs, il faut se serrer contre la roche. Nous arrivons aux rochers sculptés de l'Abbé Fourré. Un ecclésiastique un peu sourd dingue qui a sculpté pendant 14 ans plus de 300 rochers.

Le site est payant. 2,50 euros. Mais ça vaut vraiment le coup d'œil. Il y a des panneaux d'informations qui racontent la genèse de cette œuvre unique. Estelle, bien évidemment admire tout cela en palpant ma braguette. Je la prie à plusieurs reprises de rester discrète. Nous voilà installés sur des rochers, en hauteur, à déguster nos pommes. Il est 16 h30. Nous prenons le sentier qui retourne sur Rothéneuf. Il quitte le littoral accidenté pour sinuer entre des enclos, des prés. Il y a des vaches, des chevaux.

Nous suivons les panonceaux. Nous voulons visiter le manoir de Limoëlou. Splendide demeure en pierres ocres. Nous remontons l'adorable petite rue David Macdonald Stewart. << On se croirait en écosse ! >> lance Estelle qui me tient par le bras. C'est vrai que tout ici rappelle le coin d'Aberdeen. Un tableau d'informations touristiques précise que c'est le Manoir Jacques Cartier. Le découvreur du Canada. Estelle glisse sa main sous monT-shirt pour accéder à ma braguette ouverte. C'est discret, mais quand même !

Le manoir a été entièrement restauré. Il est équipé et chaque pièce est meublée comme en 1545. La visite est libre. Ce qui nous permet d'errer dans cette magnifique demeure. Clémentine prend quelques photos. Lorsque nous sommes seuls dans une pièce, Estelle se serre contre moi, une main sous mon T-shirt. Nous posons pour les clichés que prend Clémentine. Il faut ruser car il y a pas mal de visiteurs. Estelle qui aime le risque prend même des positions très suggestives en tournant le dos aux visiteurs.

C'est très excitant de la voir accroupie juste quelques secondes le temps de poser. De la voir relever sa jupette pour montrer sa culotte. Là, près du bassin dans la cour du corps de ferme, Estelle pose avec la culotte descendue. Elle l'a remonte juste à temps car il y a un groupe de visiteurs. Clémentine veut faire pareil. Elle met ses lunettes noires et coiffe ses cheveux pour masquer son visage. Je les photographie toutes les deux, culotte descendues au dessus du genoux, pieds écartés afin qu'elles ne glissent pas plus bas.

Elles fixent toutes les deux l'objectif. Estelle se montre de plus en plus téméraire. Accroupies à côté de Clémentine qui lui pose la main sur la tête. Des photos hyper vicelardes ou posent deux hyper vicelardes. C'est génial. Il faut ruser, faire très vite, anticiper. C'est un jeu où nous sommes passés virtuoses. C'est à moi de poser à côté de Clémentine qui me tient la bite. Put-Hein, les risques que nous prenons ! Estelle prend les photos, dirige les opérations. Sur les photos, derrière nous, il y a plein d'inconnus.

Après avoir pris tous ces risques, il est grand temps de retourner dans le bourg. Nous y avons repéré une supérette. Nous nous offrons nos pots de glace. 400 ml chacun que nous dégustons assis sur les marches de la petite église. J'ai vécu des moments tellement intenses dans l'enceinte de ce manoir que j'en ai la bite dégoulinante. Elle colle au fond de mon slip. C'est désagréable. Estelle touche évidemment pour vérifier mes dires. << Put-Hein, sur le retour je vais te sucer comme jamais ! >> lance t-elle.

Nous flânons encore un peu dans le bourg avant de prendre la direction de Saint-Malo. Rothéneuf est un peu le faubourg de Saint-Malo. Nous y arrivons par les adorables petites ruelles aux maisons fleuries. La fatigue se fait sentir. Il est déjà 19 h. Je propose aux filles de nous trouver un bon restaurant. La potée de légumes qui nous attend sera l'excellent repas de demain midi. Elles se consultent du regard. << Non, viens, on rentre ! On se fait des saloperies à l'appart ! >> lance Estelle. << Super ! >> rajoute Clémentine.

Il est 19 h45 quand nous sommes de retour. Nous bavardons un peu avec monsieur Jacques qui sort les courses du coffre arrière de son auto. Nous montons. Clémentine prépare une salade de carottes, Estelle concocte une belle omelette. Je réchauffe la potée tout en dressant la table. Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le bilan de cet après-midi de surprises et de vices. La vaisselle. Nous regardons les photos prises dans le manoir. Sur l'écran du MacBook Air de Clémentine. En haute définition.

La plupart des clichés sont extraordinaires. Ça sent le vice et la turpitude. Bien évidement ces photos exclusivement privées, que personne à part nous ne verra jamais, serviront à quelques futurs montages d'Estelle. Il y aura quelques belles soirées cinéma au mois d'octobre. Tout cela nous excite. Je me trouve un peu ridicule avec la bite à l'air dans la cour d'un ancien manoir. Je n'en reviens pas de tous les risques que nous avons pris. Il y a des gens derrière nous, souvent à moins de dix mètres. C'est dingue.

Considérablement excités, nous pratiquons nos rituels pisseux. Ça coule et dégouline chez les filles autant que chez moi. Nous nous lavons les dents en faisant nos singeries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Au lit, je lèche les chattes, je suce les clitoris. Quand je bouffe la moule de l'une, l'autre me taille une pipe. L'orgasme d'Estelle est un concerto de gémissements. L'orgasme de Clémentine est une symphonie de râles. J'éjacule dans les bouches des deux coquines en tentant de répartir équitablement. Dodo...

Bonne randonnée à toutes les coquines qui aiment à poser pour des photos "osées" dans les lieux touristiques mais typiques...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1259 -



Encore une si belle journée

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par les tous petits gémissements que murmure Estelle à mon oreille. Cette nuit encore elle est restée serrée contre moi comme une naufragée à son radeau. Je ne sais pas si elle dort encore. Je ne bouge pas. Il est 8 h. Clémentine se réveille à son tour pour venir se blottir. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. J'en reçois plein. J'en donne plein. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter aux toilettes. Clémentine me chevauche en me chuchotant des douceurs.

Estelle revient. << J'ai mes "petits machins" ! >> fait elle en enfilant sa tenue de jogging. C'est à notre tour d'aller pisser. Nous mettons nos tenues sports. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Elle se plaint de légères crampes dans le bas ventre. L'odeur du café et de pain grillé achève de nous affamer. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le vague programme de la journée. Dehors il fait beau. Une invitation à la randonnée. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain.

Pressés d'aller courir, nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. C'est parti pour une heure de running le long de notre parcours quotidien. Estelle impulse un rythme soutenu. Il est 9 h30 quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. En fond d'écran il y a une des photos que nous avons prise hier en visitant le manoir de Jacques Cartier. On y voit Estelle et Clémentine, culottes descendues.

Il y le message de Julie qui nous raconte sa journée dans la galerie. Quelques anecdotes amusantes concernant certains visiteurs. Estelle vient nous rejoindre vêtue de sa jupette et de son T-shirt. C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Nous nous habillons. Jupette pour Clémentine, bermuda pour moi. Aujourd'hui, dans les tons carmins. Tous les trois à l'identique. Nous voilà prêts à partir. Dans le petit sac à dos que nous trimballons partout, nos pommes, nos barres de céréales, la flotte et nos K-ways.

Il est à peine 10 h15 quand nous roulons tranquillement. Je prends la direction du barrage de la Rance. En route pour le Cap Fréhel. Il y a environ une heure de voiture. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, les pieds relevés sur la banquette, me montre sa culotte. A chaque fois que je regarde dans le rétroviseur, je vois son sourire espiègle ou son clin d'œil. Nous nous arrêtons à Matignon. Une bourgade au bord de la mer. Nous sommes passés dans les Côtes d'Armor. Le soleil règne en maître.

Nous ne flânons pas vraiment. Mais c'est très agréable de découvrir cette petite agglomération. Nous enfilons nos masques sanitaires avant d'entrer dans la boulangerie. Nous y choisissons trois belles baguettes. Six croissants pour demain matin. Il nous reste des boîtes de pâté végétal. Quelques cornichons dans le flacon. De quoi préparer nos sandwichs pour midi. Nous repartons. Direction le Cap Fréhel. Nous voulons faire découvrir cet endroit à Estelle qui se plaint de légères crampes au bas ventre. Ses règles.

Il est 11 h15 quand je gare l'auto sur le parking sous le phare. Il y a du monde. L'endroit n'est pas sans évoquer la Pointe du Raz. Je porte le petit sac à dos et le sachet contenant nos baguettes. Nous prenons le GR34 en direction du Fort de la Latte. Le sentier de grande randonnée longe le haut des falaises. << Ça rappelle l'Irlande, l'an dernier. Tu ne trouves pas ? >> me fait Clémentine. C'est vrai. C'est un peu comme en arrivant à la "Chaussée des géants". Ces impressionnantes colonnes de basalte noir.

Estelle me palpe la braguette. A chaque fois que nous croisons des groupes de marcheurs, je lui demande de cesser. Je sais qu'elle aime me mettre dans l'embarras. Aussi, j'ai trouvé la parade idéale. Je me tourne tout simplement. Clémentine se serre contre moi. Cet homme d'âge mûr, serré entre deux jeunes filles, attire bien des curiosités. Nous nous en amusons. Nous marchons depuis une heure. Là-bas, au loin, sur son promontoire rocheux, le Fort de la Latte. Nous avisons un amas rocheux pour nous y installer.

Morts de faim, nous préparons nos sandwichs. Nous sommes assis en tailleur sur une sorte de plateau rocheux. Environs trois mètres sur trois. Il n'y a pas un souffle de vent. Quelques voiles nuageux ne cachent jamais un généreux soleil. Nous mangeons de bon appétit. Estelle me caresse le bras en disant : << Estelle bobo ! >>. Elle fait allusion à ses "petits machins". << Un jour de retard ! >> rajoute t-elle. << C'est à cause des photos hier ! >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.

Nous traînons un peu. Je suis entre mes deux anges. Nous sommes couchés sur le dos. Nos K-ways servent d'oreillers. Nous faisons le bilan de notre séjour dans cette région magnifique. J'ai la bite dans la main d'Estelle. Elle adore jouer avec son Doudou. J'ai ma main dans la culotte de Clémentine. L'autre main posée sur le ventre douloureux d'Estelle. Elle prétend que ça la soulage. Nous restons ainsi une petite demi-heure. Nous remballons. Nous repartons. Il y de splendides bruyères sauvages à perte de vue.

Quand nous nous retournons nous pouvons voir l'imposant phare de granit. C'est notre point de repère. Il y a un sentier abrupte qui descend vers une crique. Un panneau indique que la descente est dangereuse. Estelle nous y entraîne. Nous nous tenons par la main. L'un derrière l'autre. A nos pieds la fureur des vagues qui viennent se briser sur les rochers. Au dessus de nos têtes l'incessant cri des mouettes. Le sentier fait un coude. C'est une sorte de plateforme. Estelle s'accroupit devant moi.

Clémentine me sort la bite. Debout derrière moi, elle la présente à Estelle qui ouvre la bouche. Clémentine lui enfonce mon sexe dans la bouche. Estelle garde son équilibre en me tenant par les hanches. J'ai le vertige au bord de ce précipice. Un vertige encore accentué par la fellation que me prodigue Estelle. Clémentine la lui retire de la bouche en disant : << Il faut partager ! >>. Elle prend la place d'Estelle qui vient se serrer contre mon dos pour regarder Clémentine sucer. Elle me chuchote des cochonneries.

Nous cessons. Je bande mou. Nous décidons de ne pas prendre de risque. En descendant le sentier devient de plus en plus périlleux. Nous remontons. Il y a un groupe de randonneurs. La jeune femme qui ferme la marche tient une paire de jumelles. Elle m'adresse un curieux sourire. Ce qui n'échappe pas à mes deux anges. Clémentine me fait : << C'est certain, cette meuf nous observait à la jumelle ! >>. Estelle rajoute : << Sûre ! T'as vu le sourire vicelard qu'elle t'a fait ? >>. Nous en rions de bon cœur.

Estelle se serre contre moi en s'écriant : << Tu sais que le foutre est un excellent anesthésiant ! Je n'ai plus mal ! >>. Nous éclatons de rire. << C'est pour ça que je suce tout le temps ! >> lance Clémentine. Nous arrivons sous les murailles du Fort de la Latte. C'est une extraordinaire construction militaire. C'est comme un château fort construit au dessus des falaises. << C'est carrément l'écosse ! >> fait Estelle. Clémentine prend quelques photos. Estelle descend sa culotte pour poser. Nous rions.

Debout sur le sentier, les pieds écartés pour éviter que sa culotte ne glisse sur ses chevilles, Estelle pose de manière tout à fait naturelle. Avec le Fort de la Latte en arrière plan. Nous ne pouvons pas traîner car il y a du passage. << A toi ! >> me fait Estelle. Je regarde dans toutes les directions. J'ai le temps. Les touristes qui arrivent sont encore à deux cent mètres. Je sors ma bite. Les mains sur les hanches, je permets à Estelle de faire quelques clichés. << Super ! >> fait elle entre chacun d'eux.

Clémentine dissimule son visage par ses cheveux, met ses lunettes noires. Cachée derrière cet anonymat, elle pose en tenant ma queue. Il faut ruser. D'autres touristes arrivent depuis les fortifications. Nous continuons notre chemin. Le Fort se visite. Nous avons le choix entre la visite guidée et la visite libre. Un des guides est un jeune homme. << Put-Hein comme il est mignon ! >> lance Estelle. Je propose aux filles une visites guidée. << Il est "craquant" ! >> rajoute Clémentine. Pas d'hésitation.

Nous enfilons nos masques sanitaires pour prendre nos billets dans le pavillon d'accueil. Nous suivons notre guide. C'est probablement un étudiant qui fait son job d'été. Il parle d'une voix posée. Nous sommes dans un groupe d'une dizaine de personnes. Un peu à l'écart pour respecter la distanciation. Le jeu exhibitionniste de Clémentine commence. Accroupie entre Estelle et moi Clémentine offre à la vue du jeune homme sa culotte d'un blanc immaculé. Le guide reste de marbre. Très professionnel.

Clémentine reproduit la situation à chaque arrêt. Nous montons sur les remparts. Il y a de nombreux escaliers qu'il faut gravir ou redescendre. Clémentine est une virtuose de l'exhibe. Le bienheureux sait en profiter avec une discrétion totale. C'est à Estelle de tester le self contrôle du garçon. Il sait bien qu'il a affaire à deux véritables salopes. Je suis un peu gêné car tout en donnant ses explications au groupe de visiteur, il me consulte souvent du regard. Estelle ou Clémentine, à l'arrière du groupe, accroupies.

La visite dure une heure. Nous revenons au point de départ. Discrètement, je tends un billet de 20 euros au jeune homme pour le remercier de la visite. Ce pourboire royal le fait pousser un << Oh merci ! Ça vous a tant plu ? >>. Clémentine lui répond : << J'aime lorsque les guides ont de bons arguments ! >>. Estelle rajoute : << Et quand ils sont mignons ! >>. Le garçon éclate de rire. On le sent un peu timide, gêné. << Vous faites d'autres visites guidées ? >> demande encore Estelle, espiègle et mutine.

Le jeune homme doit nous laisser. Un autre groupe l'attend déjà. Nous le saluons. Il semble soulagé de nous quitter car l'excitation doit l'avoir submergé, le pauvre. << Attends mon gaillard, c'est pas fini ! >> fait Clémentine en nous entraînant vers la canonnière. Là, accroupie entre les gros boulets en fonte, faisant mine de fouiller dans le sac à dos, elle est prête. Cuisses largement écartées. Cachée à la vue des touristes. Le guide arrive suivi par le groupe d'une dizaine de visiteurs. Il se rend rapidement compte du "piège".

Il ne cesse de regarder par là tout en argumentant. C'est le même texte appris par cœur. Clémentine doit ruser. Son exhibition ne s'adresse qu'au guide. Il faut cesser. Un autre groupe pénètre dans cette partie de la cour. Nous quittons le château. << Génial ! >> fait Estelle en sautillant sur le sentier. << Super ! >> rajoute Clémentine. Estelle s'écrie : << C'est mieux quand c'est un beau mec qui mâte ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous prenons le GR34 dans le sens inverse. Il est déjà 17 h.

Nous marchons d'un bon pas. J'ai souvent la bite à l'air. J'ai souvent ma main sous la jupette des filles. Dans la culotte de Clémentine qui mouille considérablement. Estelle préfère que je caresse son ventre douloureux. Nous arrivons à l'amas rocheux où nous avons mangé. Clémentine nous y entraîne. Je sais l'excitation qui l'anime. Couché sur le dos, elle se fait lécher. Je suce son clitoris géant avec délectation. Estelle se touche tout en me suçant. Il faut cesser. Des voix, des rires. Nous nous arrêtons juste à temps.

Ce sont deux familles de Simpson. Nous reprenons le sentier. Il est 19 h quand nous arrivons à la voiture. Le soleil descend sur la mer. Nous roulons doucement. Estelle assise à l'arrière se touche tout en évoquant notre aventure au Fort de la Latte. Clémentine me tient la queue de la main gauche et se touche de la main droite. C'est génial de rouler doucement comme ça. Nous avons repéré un petit restaurant à Matignon. Chance. Il y a des tables libres. Trois succulents plateaux de fruits de mer. Un délice.

Deux visites aux toilettes. Une fois avec Estelle. Une fois avec Clémentine. Une seconde séance juste avant le dessert. Quelques regards intrigués. Comme d'habitude. L'addition. Il est 22 h30 quand nous sommes de retour à l'appartement. Au lit, j'offre un cunnilingus de folie à mes deux anges. Je dois me contenter de sucer le clitoris d'Estelle. Il y a la petite ficelle blanche plus bas. Quand je lèche et suce Clémentine, Estelle me suce sans cesser de se masturber. Nos orgasmes sont vertigineux. Nous plongeons...

Bonne visite du Fort à toutes les coquines qui aiment s'exhiber discrètement, avec virtuosité devant le jeune guide beau comme un dieu...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1260 -



Une matinée radieuse, un après-midi maussade

Hier matin, jeudi, Estelle, se saisissant de mon érection matinale, me tire de mon sommeil en me chuchotant des douceurs. Encore dans un demi sommeil j'écoute sans vraiment tout comprendre. C'est toujours tellement adorable. Clémentine se réveille à son tour pour venir se serrer contre moi. Je suis entre mes deux anges. L'une me tient fermement la bite, l'autre empoigne mes couilles d'une poigne vigoureuse. Distribution de bisous. Serré entre les filles. Il est 8 h15. Dehors le ciel est lumineux.

Estelle se lève d'un bond. Comme à son habitude elle se précipite aux toilettes en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine se love contre moi pour me murmurer des : << Je t'aime. J'ai passé de merveilleuses vacances. Merci Julien ! >>. Je lui confirme la réciproque. Estelle revient pour enfiler sa tenue de jogging. Elle file à la cuisine. C'est à notre tour. Nos pissous. Nous mettons nos tenues sports. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur du café, l'odeur du pain grillé. Sur la table les croissants achetés hier.

Nous mangeons de bon appétit en relatant notre randonnée au Cap Fréhel, la visite du Fort de la Latte. Le jeune guide. Les discrètes exhibitions d'Estelle et de Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le très vague programme d'aujourd'hui. << J'aimerais bien un autre plan exhibe ! >> lance Estelle. Je la félicite en disant : << De la voyeuse que tu es, tu glisses doucement vers l'exhibitionniste qui sommeille en toi ! >>. Clémentine rajoute : << Les deux sont souvent liés ! >>

Nous en rions de bon cœur. Nous traînons un peu à table. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous dévalons l'escalier de service pour nous retrouver dans la fraîcheur matinale. A peine 17°. Quelques mouvements d'échauffement. Estelle nous entraîne dans un rythme soutenu pour un running d'une heure. C'est notre parcours habituel. Là-bas, au dessus de la mer, de lourds nuages menaçants semblent se diriger vers nous.

Il est 9 h50 quand nous sommes de retour. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux Clémentine allume l'ordinateur. Nous avons un message de Julie. Elle nous annonce la vingt deuxième vente. Il reste deux toiles à vendre, trois en exposition. Julie nous confie son énorme tristesse de voir se profiler la fin de la saison. Un message de Juliette. Elle a repris ses activités au haras. Son entreprise fonctionnant au ralenti en été. Nous répondons aux deux courriels. Estelle vient nous rejoindre.

C'est à nous d'aller prendre notre douche. Nous nous habillons. Mêmes teintes kakis qu'Estelle. Jupette, T-shirt pour Clémentine. Bermuda, T-shirt pour moi. Nous rejoignons Estelle qui surfe sur le site de l'université. << Enfin le programme du trimestre ! >> fait elle à Clémentine qui regarde. Les étudiants qui le souhaitent sont invités à prendre leurs cours en ligne, en télé-travail depuis chez eux. Sinon c'est port du masque obligatoire dans les amphis. Les filles ont fait leurs choix depuis longtemps. Télé travail.

Il est 10 h30. Nous descendons l'escalier pour notre promenade. Pas de doute, nous allons vers un après-midi couvert. Voir pluvieux. Le ciel s'emplit de nuages. Il fait toutefois très doux. 22°. Nous prenons le chemin qui longe les prés. Derrière leurs clôtures les vaches nous regardent passer. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par le bras. Pour son second jour de "petits machins", Estelle n'a plus de crampes au bas ventre. << Quel soulagement à chaque fois, le second jour ! >> dit elle.

Nous traversons la route pour parcourir le chemin qui mène à la ferme qu'on aperçoit entre les arbres. La campagne dans les environs de Saint-Malo est aussi belle que le bord de mer. C'est une exploitation agricole de belle taille. Nous ne nous attardons pas. Nous revenons sur nos pas. Estelle nous promet une belle surprise pour le repas de midi. Il est 11 h35 quand nous sommes de retour. Le ciel est devenu gris et bas. Là-bas, au loin, les premières maisons de Saint-Malo sont encore éclairées par le soleil. Superbe image.

Interdiction nous est faite d'entrer dans la cuisine. Nous sommes devant l'ordinateur. Nous entendons Estelle chanter tout en préparant le repas. Nous savons que la pâte feuilletée et que les moules ont décongelé. On se doute un peu de ce qui nous attend. La faim commence d'ailleurs à se faire sentir. Clémentine fait défiler les photos prises ces derniers jours. En mode diaporama. Il y a beaucoup de photos très coquines. Certaines plus suggestives encore. On n'identifie pas une seule fois Clémentine.

Par contre Estelle est parfaitement reconnaissable. Ces photos que personne ne verra jamais sont toutes remarquables. Notre Nikon D5 est une merveille. Nous l'avons acheté juste après le confinement. Les clichés sont d'une qualité inimaginable. Chaque détail est d'une netteté impressionnante. << Regarde, on pourrait compter les poils de nos chattes ! >> fait Clémentine en zoomant. Même au maximum l'image ne pixelise pas. C'est assez bluffant. << On mange les vicieux ! >> fait Estelle en nous rejoignant pour mâter.

Morts de faim, nous suivons Estelle à la cuisine. Quelle surprise. C'est un feuilleté aux moules dans leur Béchamel. Accompagné d'une laitue et de petits pois rissolés. Nous félicitons Estelle pour ce divin repas. C'est un vrai régal. Nous mangeons de bon appétit. Dehors le ciel s'obscurcit encore. Il fait sombre comme en hiver. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles dissertent sur notre plan B de l'après-midi. << S'il n'y avait pas cette saloperie de Covid, on se ferait des musées ! >> lance Estelle.

Nous préférons rester d'une prudence de Sioux. Ne pas nous exposer. Nous avons vu tellement de comportements aberrants cet été. Même si pour nous tout cela n'est qu'une mascarade, nous préférons garder nos distances. Dans le doute, on s'abstient. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille d'eau, nos K-ways et les minis parapluies.

En route pour Saint-Malo. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Il y a juste trois kilomètres jusqu'au parking extérieur de la ville. Avec le risque de pluie, inutile de s'exposer. Je gare l'auto. Je suis prié de garder ma braguette ouverte. Cela ne se voit pas sous le T-shirt. La saison touristique touche à sa fin. Il y a beaucoup moins d'autos. Beaucoup moins de visiteurs. Nous enfilons nos masques sanitaires avant d'arriver sur la place Chateaubriand. Nous retrouvons la ville avec plaisir.

Nous remontons la rue Saint-Vincent. Il y a quelques gouttes de pluie. Nous montons sur les remparts en direction de la Cité d'Alet. En prenant le sentier nous pouvons enfin retirer nos masques. Là, en montant l'interminable escalier sentier, nous faisons notre arrêt habituel. Un autre sentier descend vers la plage. << Un mec seul ! >> lance Estelle en montrant le type assis sur un rocher, les pieds dans le vide. << Un super plan ! >> fait Clémentine qui nous invite à rester là, sur les hauteurs.

Elle retire sa culotte qu'elle glisse dans le sac à dos que je porte. Nous la regardons descendre. Elle contourne l'amas rocheux. Nous la perdons de vue. Estelle m'entraîne par la main. Nous montons légèrement pour nous avancer prudemment sur le haut des rochers. Il y a des herbes piquantes. Du houx. Là-bas, en contre bas, Clémentine accroupie entrain de consulter son téléphone. En apparence. Car en réalité elle s'exhibe discrètement devant le mec assis à une trentaine de mètres, plus haut.

Le voyeur involontaire se transforme rapidement en regardant volontaire. Il mâte partout autour de lui. Nous restons planqués au dessus, à une cinquantaine de mètres. Estelle sort la paire de jumelles du sac à dos. En murmurant, elle commente ce qu'elle regarde. Parfois, elle me refile les jumelles. Estelle retrouve sa passion de voyeuse. Elle n'est pas prêteuse et garde la paire de jumelles pour mâter. Le type se lève. Il contourne le rocher pour descendre quelques pas. << Il a sorti sa bite ! >> chuchote Estelle.

Une fois encore nous observons ce manège. Clémentine s'exhibant devant un exhibitionniste. C'est la réaction de beaucoup d'hommes confrontés à ce spectacle extraordinaire. Rare. Clémentine se redresse, a la limite de la crampe. Elle change de position. Cambrée sur ses genoux fléchis, elle se touche. En fait, il est impossible de savoir si elle fait semblant de se torcher après un pissou ou si elle se masturbe. C'est très excitant. Surtout qu'elle reprend sa position initiale. Accroupie. Tournée vers la mer.

Le type descend le sentier. Il ne se dirige pas vers la jeune fille. Il descend pour se retrouver plus bas. Estelle m'entraîne. Nous remontons encore un peu pour voir ce qui se passe en bas. Le type se masturbe en fixant la jeune fille à une vingtaine de mètres au dessus de lui. Il ne tente rien. Il se contente de se masturber en se sachant vu. Clémentine nous tourne le dos. Les cuisses largement écartées, elle se touche probablement. << Quelle salope ! >> murmure Estelle. Je dis : << Quelle merveilleuse salope ! >>

La situation perdure. A plusieurs reprises Clémentine se redresse. A la limite de l'ankylose. Sans cesser de se toucher. Le mec se branle comme un salaud. << Superbe bite, regarde ! >> fait Estelle en me donnant enfin les jumelles. Elle glisse sa main dans ma braguette. << Toi aussi, tu bandes comme un salaud ! >> me fait elle en me sortant la queue. Debout derrière moi, pendant que j'observe, Estelle me branle. Nous en oublions d'êtres prudents. Heureusement il n'y a personne.

Estelle reprend la paire de jumelles. Je me branle en écoutant ses commentaires. << Elle pisse comme une vache, regarde ! >> chuchote Estelle sans toutefois me passer les jumelles. Je regarde un peu frustré sans distinguer autre chose que la silhouette de Clémentine. << Le mec éjacule ! Put-Hein, la quantité de foutre ! Encore plus que toi ! >> lance Estelle. Je ne vois rien puisqu'elle garde ostensiblement la paire de jumelles pour ne rien rater du spectacle. Je vois juste le mec se planquer. C'est fini.

Clémentine se redresse. Elle reste un moment debout, cambrée sur ses genoux fléchis, pieds largement écartés. Elle laisse probablement s'écouler les dernières gouttes. Elle monte nous rejoindre. Je lui tends un mouchoir en papier. << Put-Hein, c'était encore génial ! >> fait elle en se torchant. Elle nous montre le mouchoir. Il y a aussi de la cyprine. Excitée comme elle l'est dans ces situations, Clémentine mouille toujours abondamment. Elle remet sa culotte. Je la félicite pour sa prestation. << Super ! >> ponctue Estelle.

Là-bas, sur la plage, nous voyons le mec s'éloigner. << Un superbe engin ! >> fait encore Clémentine. Nous reprenons notre marche. Retrouver la petite cité d'Alet est un plaisir. Même sous quelques gouttes de pluie. Le vent nous empêche d'ouvrir nos parapluies. Ils seraient irrémédiablement détruits. Nous flânons malgré tout dans les rues très peu animées. Vêtus de nos K-ways. Nous retournons sur Saint-Malo. Nous savourons nos cônes glacés sous une fine pluie. Le fameux "crachin" de la Côte d'émeraude.

Nous passons devant "Le bar du coin". C'est cet endroit improbable que nous avons découvert au mois de juillet. C'est un endroit assez loufoque. La décoration y est aussi surréaliste qu'insolite. Nous voilà assis à une table en retrait. Il y a peu de monde. Nous prenons des jus de kiwi. Il faut imaginer un bistrot à l'intérieur duquel une balançoire voisine avec des panneaux de signalisation de l'ancien temps, des poupées dignes d'un film d'horreur. << Creepy ! >> lance Estelle. << Scary ! >> rajoute Clémentine.

La musique est toute aussi décalée. De la valse musette. Le personnel masqué est très distant. Nous ne nous attardons pas. L'endroit n'est finalement pas si sympa. Nous traînons dans les ruelles. La pluie a cessé. Le seul musée ouvert à proximité est le "39/45". La visite n'est pas guidée. Il n'y a que très peu de visiteurs. Nous gardons nos masques sanitaires obligatoires dans presque toute la ville. << Excellent pour montrer son cul et sa chatte sans montrer sa gueule ! >> lance Estelle qui me touche vulgairement.

Nous visitons un musée très intéressant qui n'évoque pas seulement la guerre. La vie des gens de l'époque y est représentée. Des reconstitutions d'intérieurs de gens défavorisés, de bourgeois. De gens du peuple. Tout cela est magnifiquement mis en scène. Nous traînons un peu. Clémentine aimerait bien un autre plan exhibe. Hélas, les rares visiteurs sont en couple. Il est 18 h quand nous revenons sous une pluie battante jusqu'à la voiture. Pas de restaurant. Les filles préfèrent rentrer.

Il reste du feuilleté. Clémentine fait une salade de tomates. Estelle réchauffe et met la table. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Nous n'arrêtons pas de nous toucher. Je glisse mes mains sous les jupettes, entre les cuisses. Estelle sort mon Zob. Nous mangeons de bon appétit. Dehors il fait sombre. Il pleut. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent notre aventure de l'après-midi. Au lit, j'offre un magnifique cunnilingus à Clémentine. Je suce le clitoris à Estelle. Orgasmes romantiques et dodo...

Bonne petite exhibe à toutes les coquines qui adorent pisser devant des inconnus qui gardent leurs distances tout en se branlant...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1261 -



Il faut composer avec une météo maussade

Hier matin, vendredi, je me réveille le premier. Sans doute à cause des gémissements et des mouvements réguliers que fait Estelle. Toute la nuit elle reste serrée contre moi. Il est rare que je puisse la regarder dormir. Elle aussi a un sixième sens qui la prévient. A peine ai-je pris conscience, ouvert les yeux qu'elle me saisit par mon érection matinale. Clémentine se réveille à son tour pour venir se blottir tout contre moi. Je suis entre mes deux anges. Nous nous étirons longuement en modulant nos gémissements.

<< Je dois pisser ! >> s'écrie Estelle en se levant précipitamment. Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'à la porte fenêtre. Le ciel est voilé mais lumineux. Il y a des amas nuageux qui viennent probablement par ici. << Même météo que hier ! >> fait elle avec un peu de dépit dans l'intonation. Estelle revient, enfile sa tenue de jogging et file à la cuisine. Nous nous précipitons aux toilettes. Nous enfilons nos tenues sports. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur de café, de pain grillé.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle nous confie que la fin de ces vacances va beaucoup l'attrister. << Ce sont encore quantité de choses qui ne seront plus que des souvenirs ! >> fait elle avec de l'amertume dans la voix. Clémentine aussi a ce sentiment. Je tente de consoler un peu de leurs sentiments en précisant : << Nous sommes encore là jusqu'à dimanche. Puis nous partirons pour de nouvelles aventures ! Il y a plein d'autres souvenirs à construire. Ils nous attendent déjà ! >>.

Assises sur mes genoux, les filles évoquent leurs programmes de la semaine à venir. Estelle va aider ses parents dans l'entreprise familiale. Clémentine sera au près de moi. Estelle viendra nous rejoindre en soirée jusqu'à la rentrée universitaire du lundi 14 septembre. Il est 8 h30. Nous traînons encore un peu à table. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant des singeries devant le miroir de la salle de bain. Nous sentons bien que le cœur d'Estelle n'y est pas vraiment. J'essaie de la divertir un peu.

Nous descendons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. Ce matin, il ne fait que 16°. C'est limite. Estelle nous entraîne dans un running soutenu. Le sol est détrempé par endroit. Il faut faire attention aux boues et aux flaques. Une heure sur notre parcours habituel. Nous voilà de retour. Il est 10 h. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un seul message. Celui de Julie qui témoigne d'une certaine tristesse aussi.

Nous répondons en promettant de venir la voir dès lundi. Estelle vient nous rejoindre vêtue d'un jeans et d'un sweat. C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Nous nous habillons, jeans et sweat. A l'identique. Nous rejoignons Estelle qui termine le courriel pour ses parents. << Viens ! Prends moi dans tes bras. J'ai besoin de réconfort ! >> me fait elle en se levant pour se blottir contre moi. << Mais tu en as besoin toutes les dix minutes ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur.

Nous trions le linge qui reste à laver. Sous vêtements, chaussettes, jupettes, T-shirt. Nous faisons une machine. Estelle commence à réunir quelques affaires. Je dis : << Il y a encore deux journées et demi. Pas de précipitations ! >>. Estelle revient se serrer en soupirant : << Tu as raison. Je cherche surtout à conjurer ce sentiment de tristesse ! >>. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine précise : << Et presque tous nos vêtements sont encore pliés dans l'armoire ! >>

Nous redescendons l'escalier de service. Il fait beaucoup moins doux que les autres jours. C'est presque une journée d'automne. Il y a monsieur Jacques qui est entrain de sortir son auto du garage. Il nous voit. Nous bavardons un peu. Nous marchons sur le chemin qui longe la route à deux cent mètres. Il y a peu de circulation. Estelle et Clémentine me tiennent par le bras. A nouveau le ciel se couvre inexorablement. << C'est déprimant en plus ! >> lance Estelle. Elle me palpe la braguette.

<< Ce serait beaucoup plus déprimant de devoir quitter Saint-Malo sous le soleil ! >> fait Clémentine. C'est comme si elle venait de prononcer une formule magique. Lâchant mon bras, Estelle se met à sautiller autour de nous. Elle vient de retrouver son optimisme habituel. < Mais c'est vrai ! Merde ! Après tout la vie continue ! >> chante t-elle en improvisant une mélodie. Nous arrivons à l'enclos des chevaux. Ils nous regardent, s'approchent. Nous sommes l'attraction de leur matinée. Ils sont cinq.

<< Exhibition devant chevaux ! C'est répréhensible ! >> lance Estelle qui ouvre ma braguette pour en extraire le locataire. Tenant mon Zob à sa base, entre le pouce et l'index, Estelle le fait tournoyer comme un lasso. << L'hélicoptère ! >> fait elle en direction des chevaux. Clémentine glisse sa main par derrière, entre mes cuisses pour tenter de palper mes couilles. Elle dit : << Eux aussi vont êtres tristounets quand nous serons partis ! >>. La faim commence à se faire sentir. Il est quand même déjà 11 h30.

Nous rentrons sous un ciel qui s'assombrit. Défense d'entrer à la cuisine. Estelle veut nous faire la surprise du repas. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit. De ma braguette restée ouverte elle extrait mon sexe. Elle pose sa tête sur mon ventre pour jouer avec. Ce sont toujours des moments où Clémentine me confie ses états d'âme. J'écoute en lui caressant la tête. << On est si bien ensemble. Je suis beaucoup plus effrayée par l'avenir que par notre départ dimanche ! >> murmure t-elle.

Je lui dis : << Mais pourquoi être effrayée. Nous sommes en pleine forme, tout va bien, nous sommes à l'abri de tout ! Reste confiante ! >>. Clémentine se met à téter mon prépuce en gémissant. Rassurée et tranquillisée. Je suis entrain de me faire tailler une authentique pipe des familles lorsque Estelle entre dans la chambre. << C'est prêt ! A table ! >>. Elle s'assoit sur le lit. << J'en veux un peu. J'ai besoin de mon médicament ! >> fait elle. Clémentine lui tend ma queue luisante de foutre gluant.

Estelle se met à sucer comme si sa vie en dépendait. << Ivrogne ! >> lui fait Clémentine qui la lui retire de la bouche. Estelle se lève d'un bond : << On mange ! >> s'écrie t-elle en nous entraînant à la cuisine. Une salade de carottes, des pommes de terre en chips qui dorent à la poêle. Une sauce au Roquefort et des crevettes qui rissolent. L'odeur nous fait craquer. Nous félicitons Estelle. Nous mangeons de bon appétit. Ce repas est une fois encore proprement divin. De l'improvisation succulente.

Nous traînons à table. Il fait aussi sombre qu'une fin novembre au dehors. Il ne pleut pas. C'est plutôt orageux. Tout cela risque d'éclater d'un moment à l'autre. Assises sur mes genoux, les filles font le vague programme de l'après-midi. Il n'y a pas beaucoup de choix avec cette météo menaçante. Ce sera la ville. << Pourquoi ne pas retourner à Dinard par la route du barrage ? >> propose Clémentine. << Ou le port de Saint-Malo. On emmène nos parapluie de toute manière ! >> rajoute Estelle.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Estelle a retrouvé son enthousiasme. Nous restons vêtus de nos jeans, de nos sweats. Dans le petit sac à dos que nous trimbalons partout, nos pommes, nos barres de céréales, nos K-ways et nos mini parapluies. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers à toute allure. La voiture. Je roule doucement. Clémentine me sort une queue encore dégoulinante de foutre. << Mmhh ! Ça met en appétit ! >> dit elle.

Les filles ont décidé d'aller flâner sur le port. Je gare la voiture sur le parking sous la tour Solidor. Il y a peu de monde. Très peu d'animation dans le petit port de plaisance. Il y a des alternances de nuages sombres, menaçants et de séquences plus dégagées. Sous mon sweat que je dois souvent tirer vers le bas, je garde ma braguette ouverte. Les filles veulent y avoir un accès permanent. Surtout Estelle qui aime à caresser son "Doudou". Là, entre deux camionnettes, je sors ma bite pour l'agiter dans sa direction.

Il faut faire gaffe. Estelle s'accroupit rapidement. La voilà avec ma queue en bouche. Je la laisse sucer quelques instants. Les yeux fermés, toute à sa dégustation, Estelle peut s'offrir son apéritif en toute quiétude. Nous faisons le guet. Je lui retire la queue de la bouche. Je la saisis par ses cheveux. Je dis : << Viens. On se fera d'autres poses bite ! >>. Les filles me tiennent par le bras. Nos hautes tailles, nos différences d'âge et nos attitudes attirent quelques regards. Nous sommes une attraction supplémentaire.

Nous parcourons les rues du quartier. C'est beaucoup moins animées que ces derniers jours. Il y a quelques opportunités d'offrir ma bite à la gourmandise d'Estelle. C'est le dernier jour de ses règles. C'est l'avant dernier jour de notre séjour ici. Autant de prétextes qu'elle met en avant pour légitimer les pipes qu'elle me taille dans les coins. Il faut ruser. C'est assez génial de braver les dangers et de prendre quelques risques. << Je me sens salope si tu savais ! >> me fait elle à chaque fois qu'elle se redresse. Je sais...

Nous avisons ce petit salon de thé. Nous enfilons nos masques sanitaires pour parcourir les rues où il est obligatoire. C'est le cas de celle-ci. << Avec les émissions de CO2 que cela inflige, nous serons tous beaucoup plus malades de nos émanations que de n'importe quoi d'autre ! >> lance Clémentine. Nous revenons dans Saint-Malo intra-muros. Nous sommes loin d'avoir admiré tous les secrets architecturaux de la ville. La maison des poètes et des écrivains en est un exemple. C'est une cour entourée de hautes maisons de pierres.

La visite est gratuite. Nous pénétrons dans un espace silencieux. C'est un lieu d'évènements et de rencontres. Il y a probablement une manifestation culturelle pour ce soir. Des jeunes gens sont entrain d'installer des chaises devant une scène. Il y a deux couples de visiteurs. Clémentine attire mon attention sur le regard libidineux d'un des mecs. La quarantaine. Il semble beaucoup plus intéressé par les deux filles qui m'accompagnent que par le reste. << Les chiottes ! >> chuchote Clémentine.

Les toilettes sont situées dans une sorte de hall. Deux portes. Homme, femme. Bien évidement Clémentine se trompe de porte. Ce qui n'échappe pas au type qui vient d'arriver dans le hall avec sa femme et l'autre couple. Estelle murmure : << Les paris sont ouverts. Combien de secondes avant qu'il ne rejoigne Clémentine ! >>. Elle a parfaitement raison. Le mec se dirige vers la porte des toilettes homme. Il y entre. Nous donnerions cher pour aller voir ce qui s'y passe. Sous nos masques sanitaires.

A notre grande surprise, alors que nous sommes entrain de lire un panneau d'informations, Clémentine vient nous rejoindre. << Put-Hein le vicelard ! Il m'a carrément proposé de me baiser dans les chiottes, là, en vitesse ! >>. nous rions aux éclats. << Rigolez pas, il bloquait la porte et n'était pas du genre à attendre une réponse. Un enfoiré ! >> rajoute encore Clémentine. Nous quittons la maison des poètes et des écrivains pour remonter vers le musée d'histoire de la ville. Nous n'y entrons pas.

Nous flânons longuement dans les rues accueillantes du centre de la Cité Corsaire. Désireux de nous remplir de toutes ces images, de toutes ces émotions. Nous réservons une table au "Cap Horn", ce restaurant gastronomique qui nous enchante à chaque visite. Pour ce soir 19 h30. Nous retournons à la Tour Solidor. Il y a ce petit salon de thé où nous savourons nos coupes glacées. Peu de clients. Il n'y a pas encore eu une seule goutte de pluie malgré la menace permanente d'un ciel orageux et tourmenté.

Deux petites visites aux toilettes. Je m'y fais sucer par Estelle. Je m'y fais sucer par Clémentine. Quelques regards interrogateurs lorsque nous nous y rendons. Quelques regards curieux lorsque nous en revenons. Deux expéditions avec chacune. De quoi susciter le mystère. Nous nous baladons jusqu'au soir. C'est devant des plateaux de fruits de mer du "Cap Horn" que nous faisons le bilan de nos vacances. Le bilan de cet après-midi. Ici aussi, deux expéditions aux toilettes avec chacune de mes coquines.

Nous traînons à table. J'ai la bite qui colle au fond de mon slip. Elle baigne dans son jus. C'est assez désagréable. Pourtant les filles me la pompe bien à chaque visite aux chiottes. Nous flânons encore un peu pour retourner à la voiture. Il est 22 h quand nous revenons à l'appartement. Les rituels pisseux, le lavage des dents. Au lit, je me fais sucer comme un bienheureux. J'offre un cunnilingus à Clémentine pendant qu'Estelle se pourlèche du jus de mes couilles. Je lui éjacule dans la bouche en sournois. Sans prévenir.

Bonne balade à toutes les coquines qui aiment prendre quelques risques en suçant dans les coins et les recoins...

Julien

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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1262 -



Est-ce la fin du règne de l'été ?

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil avec cette façon si particulière qu'a Estelle. De se saisir de mon érection matinale tout en se blottissant contre moi. En me chuchotant des douceurs et des cochonneries à l'oreille. Puis, lorsqu'elle me sent tressaillir, elle me couvre le visage de bisous. Tout cela réveille Clémentine qui vient se serrer en empoignant mes couilles à pleine main. Je suis entre mes deux anges. Je glisse mes mains dans les culottes. La position n'est pas très confortable et ça me tord les bras.

Nous restons ainsi à lutter contre l'envie de pisser. Estelle perd ce combat quotidien la première. Elle se lève d'un bond pour s'élancer vers les toilettes en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine passe sa cuisse gauche sur mon ventre, sa cuisse droite sous mes fesses. Elle imprime un mouvement masturbatoire à ses hanches en murmurant : << J'entame la thérapie du retour ! Il me faut vos soins docteur Julien ! >>. Estelle revient, enfile sa tenue de jogging, me fait un bisou et se précipite à la cuisine.

C'est à notre tour. Nous mettons nos tenues sports avant de rejoindre Estelle à la cuisine. Il est 8 h30. Dehors le ciel est couvert mais lumineux par endroit. L'odeur du café et du pain grillé est un autre enchantement de cette nouvelle journée. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Les filles me tendent leurs tranches de pain. Tel un patriarche biblique, mais sans la barbe, j'étale beurre, miel ou confiture selon les choix. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme de la journée.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles proposent de retourner sur Dinard. Je trouve la suggestion excellente. La vaisselle. Ce matin, la fraîcheur impose le K-way. Nous descendons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour un running le long de notre parcours habituel. Le sol est détrempé par endroit. A tel point qu'il faut quelquefois quitter le chemin pour courir sur le bord de la route. Heureusement qu'il y a très peu de circulation sur cette petite route communale.

Il est 10 h quand nous revenons. Il y a un mot sur la porte. Monsieur Jacques nous invite à venir manger demain, dimanche, à midi. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un seul message. Julie qui nous raconte sa journée dans la galerie d'Art. Elle déprime un peu car la fin de la saison lui paraît bien triste. Avec cette météo les touristes sont bien moins nombreux. Elle nous raconte que mon oncle est encore venu la draguer un peu hier. C'est amusant.

Estelle vient nous rejoindre. Elle prend notre place. Nous allons prendre notre douche. Nous nous habillons. Nous revenons vers Estelle. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans et de nos sweats. Mêmes couleurs. Il est 10 h30. Nous redescendons. Monsieur Jacques est dans son potager. Nous allons le saluer. Nous acceptons l'invitation au repas pour demain. Cela nous arrange bien. Nous pourrons préparer nos affaires, faire le ménage et partir dans le milieu de l'après-midi. Le timing parfait.

Le ciel semble se couvrir davantage. Les nuages viennent de la mer. A coup sûr ce sera la même météo que hier. Nous allons saluer nos amis les chevaux. Ils viennent nous faire la fête. Clémentine a prévu cinq carottes. Une pour chacun. Pour un cheval, la carotte est une véritable friandise. C'est surtout la carotte qu'ils viennent chercher. Chacun se régale à tour de rôle. Estelle me palpe la braguette en disant : << Moi, je préfère la bite ! >>. Clémentine lance : << Moi aussi ! Surtout le jus ! >>.

Nous en rions de bon cœur. Nous aimons parcourir le chemin qui passe entre les prés et les champs. Là-bas, au loin, les premières maisons de Saint-Malo. Il est 11 h30 quand nous revenons à l'appartement. Défense d'entrer dans la cuisine, Estelle veut nous faire une surprise. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Cette fois, c'est moi qui la fait tomber sur le lit. Je lui retire jeans et culotte. A genoux à côté du plumard, le visage entre les cuisses de Clémentine, je me régale de son sexe. C'est exquis.

Je passe le bout de ma langue entre les plis et les replis des lèvres de sa vulve. J'adore quand arrivent les toutes premières coulures de cyprine. Je suce son clitoris géant. Ce qui a pour effet de secréter encore davantage de jus. Clémentine me caresse la tête, me tient par les oreilles. Ses gémissements me comblent de bonheur. << Merci docteur Julien. Je sens que je vais appréhender ce retour de vacances dans les toutes meilleures conditions ! >> me fait elle en m'attirant sur elle. Nous nous embrassons.

Je la pénètre avec d'infinies précautions. Ce n'est pas tellement pour baiser mais pour éviter l'orgasme qui guette. << On mange, les vicieux ! >> fait Estelle en entrant dans la chambre. Elle m'attrape par les couilles en disant : << Tu me fais pareil cet après-midi ! >>. Je me retire délicatement. Clémentine s'essuie avec un mouchoir en papier. Elle remet sa culotte et son jeans. Nous suivons Estelle à la cuisine. Une salade verte. Trois avocats avec de la purée de crevette. Mais quelles merveilles.

Trois tomates farcies au thon. Du riz complet. Une sauce au curry. Nous félicitons Estelle. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous ne traînons pas. Nous nous lavons les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous restons vêtus ainsi. Clémentine réserve une table dans ce restaurant gastronomique dont nous gardons un excellent souvenir. "La passerelle du Clair de Lune". Nos places nous attendent ce soir pour 20 h. C'est parfait. Nous dévalons l'escalier.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière me caresse le cou en nous racontant le courriel de ses parents. Eux aussi s'apprêtent au retour. Ils quittent le chalet des Alpes à l'heure où nous roulons pour Dinard. Ils ont toute la France à traverser. Il y a une quinzaine de kilomètres qui séparent Saint-Malo de Dinard. Nous passons évidemment par la route du barrage. La circulation est très fluide. Je gare la bagnole dans la même ruelle que la dernière fois.

Le ciel est couvert. Pourtant, il n'est pas réellement menaçant. La température ne dépasse pas les 18°. Aussi nous enfilons nos K-ways. Il est difficile de ne pas tomber sous le charme de cette petite ville Bretonne. Pour un artiste, c'est un enchantement de chaque instant. Une dizaine de minutes de marche et nous voilà dans les rues piétonnes du centre. Il y a du monde. Nous portons tous nos masques sanitaires. Le noms des rues sont ceux de personnages célèbres. Parfois prestigieux.

Discrètement, toujours avec cette vulgarité qui nous émerveille, Estelle me palpe la braguette. Les filles restent serrées contre moi. Cette dernière journée de vacances les rend un peu tristounettes. Lorsque des regards intrigués se portent sur nos hautes tailles et nos attitudes, les filles enfoncent le clou en me couvrant le visage de bisous. Suis-je le papa ? Suis-je l'ami ? Suis-je l'amant ? Mais un peu de tout cela chère madame qui nous regardez à vous en déboîter les globes oculaires. Cela nous amuse tant.

Dans une boulangerie typique, nous achetons une belle miche de pain complet. Bio. Aux noix et aux amandes. Une belle brioche tressée à la pâte d'amande et au sucre roux. Il y a des pépites de pralin dessus. Ce sera pour demain matin. Le tout dans le petit sac à dos que je porte. Cet après-midi il ne contient que la minuscule paire de jumelles. Nous quittons le centre pour nous rendre sur le sentier côtier. C'est un magnifique chemin goudronné, parfois pavé, qui passe entre les somptueuses villas du bord de mer.

C'est réellement féérique. Ces fameux "châteaux de bord de mer" sont de véritables prouesses architecturales. Le sentier côtier longe les basses falaises et les criques. La magie des lieux est encore sublimée par cette météo étrange. Parfois il faut reprendre des rues. Comme cette rue Malouine absolument unique. Il y a de nombreux jardins qui descendent en pentes douces vers la mer. Il y a d'ailleurs un panonceau qui précise "Dinard. La ville jardin du bord de mer". C'est remarquable.

Clémentine aussi me touche de plus en plus fréquemment. Lorsque nous croisons des touristes, des promeneurs, nous n'avons que le temps de reprendre une attitude "standard". C'est toujours in extremis. Parfois nous nous faisons surprendre quand même. J'ai la braguette ouverte. Je suis obligé de me plaindre à chaque fois que l'une ou l'autre veut me sortir la queue. Nous quittons la promenade du Moulinet pour celle du "Clair de Lune". Ces parcours s'enchainent sur une dizaine de kilomètres.

Quelle chance il ne tombe pas la moindre goutte de pluie. Nous voilà sur la promenade Malouine. C'est un enchaînement de jardins magnifiques. De détours et de recoins à la végétation méditerranéenne. Les paysages sont d'une beauté impressionnante. Je me promets que lorsque je serais vieux je viendrais poser mon chevalet ici pour peindre jusqu'à l'ivresse. Même si je suis un peintre d'atelier, je nourris depuis longtemps le désir de peindre en extérieur. Clémentine m'y encourage. Estelle me tripote.

C'est Estelle qui nous entraîne. Nous quittons le sentier pour descendre un escalier. Les marches sont parfois taillées dans la roche ou en pierres cimentées. C'est marée basse. La vue sur la baie de Saint-Malo est extraordinaire. Là, derrière des rochers, il y a plein de petits coins pour s'isoler. Nous ne sommes pas seuls. Nous dérangeons quelquefois l'intimité d'un couple. Souvent des D'jeunes. Estelle m'ouvre le pantalon. Elle le tire. Me voilà en slip avec le jeans sur les mollets. Je me sens très con.

<< Tu as promis ! >> dit elle. Même si je n'ai rien promis du tout, je comprends. Estelle enlève son jeans et sa culotte. Elle s'étale sur un rocher. << Mes "petits machins de fille" sont finis depuis hier et tu ne m'as pas encore niqué ! >> lance t-elle en écartant ses cuisses, pieds relevés sur le rocher. En chaussettes. Clémentine saisis ma queue. Elle m'entraîne entre les jambes d'Estelle. Elle frotte mon sexe encore mou contre celui d'Estelle. J'adore cette sensation. Je bande rapidement comme le dernier des salauds.

Clémentine m'introduit le bout de la bite dans la chatte d'Estelle. Elle nous laisse pour faire le guet à l'entrée du coin où nous sommes. Je dois me pencher un peu car depuis le sentier, là-haut, à une centaine de mètres, on pourrait nous voir. D'un coup de reins, Estelle s'enfile la bite jusqu'aux couilles. Comme elle est très étroite, elle se mordille la lèvre inférieur en gémissant pour surmonter la douleur. Elle se met à s'agiter. Je reste immobile. Debout. C'est juste la bonne hauteur. Estelle se touche en même temps.

<< Du peuple ! >> lance Clémentine qui cesse de se masturber pour nous rejoindre. Je me retire in extremis. Ce sont deux couples de séniors bardés d'appareils photos et de caméras. Estelle se fait surprendre en culotte. Elle n'a même pas encore enfilé son jeans. Pas de soucis. En bord de mer il est normal d'être sans pantalon dans une crique déserte. Nous remontons l'escalier. Nous revenons vers la ville. Il est 17 h30. Nous nous offrons des pots de glaces. Häagen Dazs. Pralin, pistache et vanille.

Nous savourons nos glaces assis sur la margelle d'un puis grillagé. Il n'y a plus de vent. Nous regardons les touristes déambuler. Ils se dirigent tous vers le sentier côtier. Je vérifie si la brioche n'est pas écrasée ou abîmée dans le sac. Tout est parfait. Nous traînons dans le centre. Nous descendons sur la plage de l'écluse. C'est comme dans l'ancien temps. Il y a plein de cabanons alignés pour permettre aux baigneuses de se changer. C'est surtout conservé à titre anecdotique et historique. Un peu de folklore.

Nous montons sur la digue qui sépare de l'autre plage. D'ici la vue sur la Cité Corsaire et les forts de la baie est fantastique. Clémentine fait des photos. Estelle a glissé sa main dans ma braguette. C'est discret puisque nous sommes tous les trois le plus souvent serrés les uns contre les autres. Nous nous promettons de revenir ici avec nos bicyclettes pour faire la "voie verte". Cette piste cyclable qui va de Dinard à Dinan. C'est un peu frustrant de ne pas pouvoir la faire demain par exemple.

Il est 19 h45. Il est temps de nous rendre à notre restaurant. Surtout que la faim se fait sentir avec une certaine cruauté. "La Passerelle du Clair de Lune" nous accueille comme la dernière fois. Le personnel masqué est d'une gentillesse exemplaire. Même masquée, la serveuse aux yeux souriants, pétillante de joie, nous invite à la suivre jusqu'à la table que nous avons réservé. La vue sur la mer est superbe. Nous sommes juste devant la baie vitrée. Il n'y a pas trop de monde. Une ambiance feutrée.

Je recommande absolument ce lieu très cosy à tous les amateurs de cuisines raffinées. Les spécialités de la mer y sont préparées selon des recettes extraordinaires. Tout à Dinard est fait pour ravir les sens. Nous dégustons du homard, des langoustines accompagnées de petits légumes confits. C'est délicieux. Nous laissons fondre chaque bouchée sans mâcher. Nous nous regardons pour scruter nos expressions de ravissement. De la grande cuisine. Un grand Chef. Nous assistons également à l'arrivée du crépuscule.

Une première visite aux toilettes. Une fois avec Estelle, une fois avec Clémentine. L'endroit est d'une telle propreté qu'on pourrait y manger. Je me fais sucer enfermé dans un des cabinets des toilettes homme. Estelle se régale. Clémentine s'enivre de liquide séminal. Une seconde visite juste avant le dessert. Mais que va faire cet homme d'âge mûr en compagnie des filles dans les WC ? C'est cette interrogation que nous devinons dans quelques regards curieux. Nous allons y pratiquer nos rituels pipeux chère madame !

L'addition. Je laisse un pourboire royal à la jeune serveuse. Elle nous raccompagne jusqu'à la porte. C'est vraiment un endroit d'une classe extraordinaire. Bravo. Nous retournons à la voiture en flânant. Là, en pleine rue, entre deux bagnoles, Estelle me taille une pipe pendant que Clémentine fait le guet. Puis c'est à son tour. Un sifflement d'admiration. Nous n'avions pas vu ce type à sa fenêtre. Il doit mâter depuis un moment. Nous filons en éclatant de rire. Le mec lance : << Et moi ? >>. Nous disparaissons dans la nuit.

Je roule doucement. Une fois encore après les palabres habituels, Estelle est assise au sol entre les pieds de Clémentine qui me suce par intermittences. Estelle me tient la queue. S'il y a un contrôle, c'est la "prune" assurée. Mais il n'y a pas de contrôle. Il est 22 h30 quand nous arrivons à l'appartement. Nos rituels pisseux. Nos lavages de dents. Au lit j'alterne les cunnilingus et les pénétrations. Je vais de l'une à l'autre. Quand je m'occupe de l'une l'autre me suce. Les orgasmes sont cataclysmiques. Nucléaires. Dodo...

Bonnes découvertes d'un endroit enchanteur à toutes les coquines qui aiment s'encanailler dans les criques et les rochers...

Julien

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Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1263 -



Hier matin, dimanche, je suis réveillé par quantité de bisous que l'on me dépose sur le visage. La voix d'Estelle qui me chuchote : << Julien, je suis trop triste, je n'arrive plus à dormir ! >>. Tout en saisissant mon érection matinale, elle se blottit contre moi. Clémentine se réveille à son tour. Elle vient se serrer contre moi. Je suis entre mes deux anges. Il est presque 9 h. << J'ai fait un horrible cauchemar ! >> nous fait Estelle avant de se lever d'un bond pour se précipiter aux toilettes en s'écriant : << Pipi d'abord ! >>.

Clémentine me confie le curieux sentiment qui l'envahit. La tristesse de quitter cet endroit et la joie de retrouver la maison. Estelle revient, nous fait un bisou avant de filer à la cuisine. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle. Nous sommes tous les trois en slips et en T-shirt de nuit. L'odeur de café, de pain grillé et de brioche achève de nous mettre en appétit. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Estelle nous raconte son cauchemar. Nous y sommes entourés de la mer sur des rochers.

Nous traînons à table. Le dimanche pas de jogging. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de mes hanches, les filles font le vague programme de la journée. Tout est réglé comme du papier à musique. Nous avons tout notre temps. Dehors, le ciel est couvert et lumineux mais il ne pleut pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous restons en sous-vêtements même si la température est un peu limite. Nous allons nous agiter.

Clémentine monte sur le tabouret pour descendre les deux valises de l'armoire. Celle d'Estelle et la nôtre. Clémentine sort nos vêtements de l'armoire. << Tout ce nous emmenons toujours en vacances et que nous ne mettons jamais ! >> lance t-elle. Je dispose soigneusement nos habits dans la valise. Estelle fait pareil dans la sienne. << Les godasses c'est la même chose ! Tout ce qu'on s'emmerde à emmener et qu'on ne met pas ! >> lance encore Clémentine. Je les glisse dans le grand sac de sport.

Je vais à la salle de bain récupérer le linge qui a séché sur l'étendoir. Nous réunissons nos affaires de toilettes. Nous laissons juste nos brosses à dents, le dentifrice et les gobelets. Estelle passe l'aspirateur en chantonnant. Nous défaisons le lit. Nous plions nos draps sales. Dans le sac de sport avec les godasses. On ne s'emmerde pas. Clémentine lave la salle de bain. Je lave la cuisine. Tout est aussi propre et rangé que lorsque nous sommes arrivés il y déjà deux semaines. << Comme ça passe vite ! >> fait Clémentine.

Nous enfilons nos jeans, nos sweats, tous les trois vêtus de la même façon. Nos baskets. Il est 11 h. Nous dévalons les escaliers en mettant nos K-ways. Le ciel s'obscurcit. La température extérieure n'excède pas 16°. << Déjà, question météo, on ne regrettera rien ! >> lance Estelle en me palpant la braguette. Nous prenons le chemin qui va vers les prés. Les filles me tiennent par le bras. La tristesse du dernier jour fait doucement place à la joie de reprendre la route et de rentrer.

Nos amis les chevaux viennent nous saluer. Il ne reste plus que deux carottes qu'il faut partager entre les cinq chevaux. C'est leur friandise. Pendant qu'ils savourent, nous leurs caressons la tête. << On va leurs manquer ! >> fait Estelle. << Les carottes surtout ! >> rajoute Clémentine. Nous en rions de bon cœur. De lourds nuages noirs s'amoncellent au dessus de l'horizon. << Question météo, rien à regretter ! >> répète Estelle qui vient se blottir contre moi. Nous marchons doucement en direction de l'appartement.

Il est 11 h45. Nous montons récupérer nos valises. Nous mettons le tout dans le coffre de la voiture. Monsieur Jacques vient nous saluer. Il nous propose de le suivre. Nous sommes invités au repas de midi. Sa femme nous reçoit avec un immense sourire. Une femme discrète et réservée que nous avons rarement croisé. Nous voilà installés tous les cinq autour de la grande table ronde de la salle à manger. Nous mangeons de bon appétit. Des artichauts, des langoustines, des moules et des légumes de leur jardin.

Nous tenons à remercier les propriétaires pour l'appartement qu'ils nous ont loué. Ce fut une rencontre sous le signe de la chance au début juillet. Nous garderons le contact car nous envisageons de revenir passer une semaine à la Toussaint. Approfondir les découvertes à Dinard.
Nous traînons à table. Clémentine me fait du pied sous la table. Les filles évoquent leurs études. La femme a monsieur Jacques se montre quelquefois curieuse quand à notre relation à trois. Nous restons volontairement évasifs.

Il est presque 13 h30 quand nous prenons congé. Nous montons pour nous laver les dents en faisant nos singeries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Estelle se lance dans une imitation de la femme à Jacques. Nous en rigolons comme des bossus lorsqu'elle répète des phrases qui nous ont amusé durant le repas. Nous faisons le tour de l'appartement pour un dernier contrôle. Estelle me pousse dans le fauteuil. Elle se met à genoux entre mes jambes. << Dernière pipe à l'appartement ! >> fait elle.

Clémentine s'accroupit à ma droite. Estelle me déboutonne la braguette. Elle fouille pour en sortir une bitte flasque, moite et chaude. Le dimanche, nous aimons à macérer dans nos jus. Pas de douche. Pas de toilettes. Aussi, elle décalotte le prépuce pour mettre le méat à l'air. Approchant son visage, Estelle hume longuement. << Sniffe ! >> fait elle à Clémentine en lui tendant mon sexe mou. Clémentine approche son visage pour sentir. << J'adore les dimanches rien que pour l'odeur de bite ! >> lance Estelle.

Nous en rigolons comme des bossus. Estelle me décalotte un peu plus. En se déroulant légèrement, la peau du prépuce dévoile les petites particules de fromage qui y collent. Il y en a sur le gland. Les filles reniflent en faisant d'horribles grimaces. << Pourtant c'est tellement bon ! >> fait Estelle avant de glisser la langue. Elle tente de faire pénétrer le bout de sa langue dans la petite ouverture. Je les tiens toutes les deux par la nuque. Elles me montrent toutes les deux ce qu'elles récupèrent à tour de rôle.

L'odeur de ma queue pas propre me monte au nez. Elle rappelle le sandwich au thon. Mais du thon dont la date de péremption serait dépassée depuis longtemps. Estelle se met à téter délicatement. Quelques instants. C'est au tour de Clémentine qui se met à genoux également. Quand l'une me suce, l'autre me fait des sourires, des clins d'œil ou me montre l'intérieur de sa bouche. J'aime les regarder sucer. Comme les filles sont belles quand elles font ça ! Si elles savaient elles le feraient tout le temps...

C'est étrange de se retrouver tous les trois dans cet appartement redevenu impersonnel. Nous avons l'étrange sentiment que nous n'y laisserons rien. En tous cas, ce n'est pas de cette façon que nous meublerions les pièces. Je me fais tailler une pipe des familles. J'ai l'impression de glisser ma bite dans des bols de purée tiède. Je leurs donne mes impressions. Celle qui cesse de sucer me donne les siennes. Nous adorons tous les trois les rapports génitaux buccaux. Surtout Clémentine qui en raffole.

Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. Nous aimons tous les trois nous garder excités pour le reste de la journée. Je regarde la quantité impressionnante de foutre qu'elles tirent des mes couilles bouillonnantes. Elles ouvrent bien la bouche pour me montrer le fruit de leurs efforts. C'est un concerto pour gémissements en pipe majeure. C'est tellement bon. Parfois, tout en me pompant comme si sa vie en dépendait, Estelle me fixe de son regard libidineux. Clémentine suce avec les yeux fermés. En gémissant de plaisir.

Je m'amuse toujours de voir les longs filaments de jute qui relient ma queue à leurs bouches lorsqu'elles cessent de pomper. Elles en ont même qui coule sur le menton. Je ne suis pas avare de liquide séminal. Et j'ai toujours été très juteux. Je les empêche de continuer. C'est trop bon. Ça fait une heure que ça dure. Leurs têtes posées sur mes cuisses, elles restent silencieuses. Je caresse leurs cheveux. Je leurs chuchote des douceurs. Elles me tiennent les cuisses en écoutant.

La meilleure thérapie pour conjurer la tristesse de la fin du séjour. Nous nous levons. Nous ne laissons aucune trace de notre passage. Il règne maintenant entre nous la saveur élégiaque d'un départ imminent. Il est 15 h30. Nous descendons. Il y a quelques gouttes de pluie. Monsieur Jacques et sa femme nous accompagnent jusqu'à la voiture. Je rends les clefs. Nous remercions le couple pour son accueil et le confort de cette location. Nous montons dans la voiture. Un dernier coucou de la main. C'est parti...

Je roule doucement. Clémentine, assise à ma droite glisse sa main dans ma braguette. Estelle, assise à l'arrière me caresse le cou, les joues. << Au revoir Saint-Malo ! >> lance t-elle en se retournant une dernière fois. La circulation est fluide. Nous portons notre choix sur les petites départementales. C'est plus long mais c'est tellement plus agréable. Personne ne nous attend. Nous ne sommes pas pressés. Et cette formule agit un peu comme une période de décompression. Toute tristesse nous a déjà quitté.

Je m'arrête toute les heures. Nous faisons quelques pas. Les filles me tiennent par le bras. Je nous abrite sous le grand parapluie lorsqu'il y a de la pluie. Estelle me touche. << J'aime te sucer. Quand je commence, je n'ai plus envie d'arrêter ! >> dit elle. << Moi c'est pareil ! Je pourrais passer ma journée avec ta bite dans la bouche ! >> fait Clémentine. Je rajoute : << Et moi j'adore vous bouffer la chatte ! C'est mon plat préféré ! >>. Nous en rions de bon cœur. Distribution de bisous.

Nous reprenons la route. Par les nationales, il y a 203 km. D'après Estelle. Par les départementales Clémentine estime les 240 km. Peu importe. Il est 17 h45 quand nous arrivons à la maison. Clémentine sort la zappe du vide poche pour ouvrir le portail. << C'est bien d'arriver dans un autre endroit de bonheur ! >> lance Estelle. << Je suis toujours contente de rentrer ! >> rajoute Clémentine. Je descends les cent mètres du chemin le plus lentement possible. Voilà la maison. Tout est en ordre.

La végétation a poussé. L'entreprise paysagiste n'interviendra que le lundi 14 septembre. Jour de la rentrée universitaire d'Estelle et de Clémentine. Je gare l'auto à côté du garage. Nous sortons la valise et le grand sac de sport. La valise d'Estelle reste dans le coffre puisque nous la ramènerons chez elle vers 22 h30. Clémentine ouvre la porte. C'est toujours un moment solennel. << Mmhh ça sent bon ! >> fait elle en entrant la première. Cette odeur de jasmin reste persistante. Des essences naturelles.

Estelle se met à sautiller. << Comme c'est bien d'être là ! J'aime tellement cette maison ! >> fait elle. Clémentine se serre contre moi. Nous restons silencieux à regarder Estelle virevolter dans tout le hall. << Venez, je vous prépare le thé ! >> lance t-elle. Nous la suivons à la cuisine. Tout est propre, nickel, comme le jour où nous sommes partis. Il y a un mois. C'est avec une certaine émotion que nous retrouvons notre demeure. Nous parcourons toutes les pièces. Un tour au salon. Un tour à l'atelier.

Dans mon atelier il y a ces odeurs d'huiles de lin, d'huiles d'œillette. L'odeur particulière de l'ambre dissous que j'utilise comme médium à peindre. Les filles adorent cet endroit encore plus que moi. Estelle sautille dans la grande pièce. Clémentine reste serrée contre moi. Dehors, il se met à pleuvoir. Le ciel est sombre. Les deux grandes baies vitrées donnent sur une campagne verte et mouillée. Nous retournons au salon. Estelle nous serre le thé. Des petits gâteaux secs. Nous avons ramené de la brioche.

Vautrés dans le canapé, nous restons tous les trois silencieux. Nous dégustons les gâteaux, le thé au jasmin. Je suis entre mes deux anges. Que la vie est belle. Ce retour est d'une douceur qui a chassé toute tristesse résiduelle. Nous restons serrés tous les trois. Estelle revient sur les moments les plus forts de nos séjours. Celui des Alpes, celui de Saint-Malo. << Que de souvenirs qu'il nous faudra trier et ranger ! >> lance Clémentine. << Et toutes les photos. Tous les films ! >> rajoute encore Estelle.

<< Les films ! >> dit Estelle plusieurs fois en glissant sa main dans ma braguette. Elle fait encore : << Je prépare un montage d'enfer ! On se fait une séance cinéma samedi 12 septembre. Dernier week-end avant la reprise des cours ! Ça vous tente ? >>. Bien évidemment que cela nous tente. Estelle me sort la queue. Tout en exposant sa façon de procéder, elle me tord la bite dans tous les sens. Surtout vers le bas quand je commence à bander. Avec la pipe du début d'après-midi, il y du jus qui dégouline très vite.

La faim commence à se faire sentir. Les ventres vides émettent des gargouillis qui nous font rire. Il est 19 h. Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Les dernières tomates que nous avons ramené de Saint-Malo. Estelle concocte une belle omelette avec les derniers œufs. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. C'est rapide. Nous mettons la table. Je râpe le reste du gruyère de Comté. Nous mangeons de bon appétit. Estelle reprend le boulot au bureau de l'entreprise familiale demain matin à 8 h.

Avec Clémentine nous irons rendre visite à Julie et faire les courses. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles dissertent sur nos activités des jours à venir. Estelle nous rejoindra tous les soirs pour 18 h30. La vaisselle. Nous retournons au salon. Je veux me bouffer un peu de chatte avant de ramener Estelle. Les voilà toutes les deux, culs nus, vautrées dans le canapé. Me voilà à genoux sur le coussin. Je passe de l'une à l'autre. Orgasme délirant d'Estelle. Nous la ramenons pour 22 h15. Gros chagrin...

Bonne rentrée de vacances à toutes les coquines qui vont retrouver leurs petites habitudes et la quiétude de leurs "petits nids"...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1264 -



Le retour à la vie quotidienne se fait en douceur

Hier matin, lundi, je suis tiré de mon sommeil par l'extraordinaire douceur avec laquelle Clémentine glisse sa main dans mon slip. Elle s'empare de mon érection matinale tout en venant se blottir contre moi. << Je t'aime Julien. Je t'ai enfin pour moi toute seule ! >> chuchote t-elle. Nous en parlions quelquefois durant nos séjours dans les Alpes ou en Ille-et-Vilaine. J'ouvre les yeux. Je lui couvre le visage de bisous. Je murmure : << Moi aussi, c'est devenu une nécessité. Je t'aime Clémentine ! >>

Il est 8 h30. Dehors le ciel est gris, il fait moche et sombre. Nous luttons contre l'envie de pisser. Nous nous levons d'un bond pour nous précipiter aux toilettes. Nous enfilons nos tenues sports. Il fait encore bien chaud dans la maison. Les vieux murs épais sont le plus parfait des isolants thermiques. Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine prépare le café. Je presse nos quatre oranges. Le grille pain éjecte ses tranches dans un claquement sec. Il reste de la brioche ramenée de Dinard.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme du jour. Même si nous avons ramené des trucs de Saint-Malo, il faudra remplir le réfrigérateur. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me confie à quel point elle est contente que nous soyons seuls. << Juste toi et moi ! Ça me manquait ! >> dit elle. Je partage ce sentiment. Nous adorons la compagnie d'Estelle, notre "petit animal de compagnie". Mais nous apprécions beaucoup notre solitude à deux. Et puis c'est devenu vital.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Clémentine sautille dans toute la salle de bain. << Je t'aime ! Je t'aime ! >> chante t-elle, la bouche parfois pleine de pâte dentifrice dont il faudra racheter un tube. Avec ce sol détrempé, ce risque de pluie, nous préférons nous livrer à la gym à l'intérieur. Aérobic, charges additionnelles, abdo. Une heure d'entraînement dans une intensité maximale. La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux, espadrilles catalanes à semelles de cordes.

Nous descendons. Clémentine m'entraîne par la main. << Je suis contente d'être à la maison, si tu savais ! >> fait elle en me serrant dans ses bras. C'est une fille amoureuse qui me prend par la main pour m'emmener au salon. Assise sur mes genoux, elle allume l'ordinateur. Nous avons trois messages. Celui de Juliette qui nous souhaite "bonne reprise". Celui d'Estelle qui nous raconte sa reprise ce matin, au bureau de l'entreprise familiale. Le courriel de Julie qui nous raconte son dimanche à la galerie.

Nous répondons à chacun. Nous prévenons Julie que nous serons là cet après-midi. Après 14 hH30. Clémentine fait une rapide visite sur le site de l'université. << Tout baigne ! >> fait elle. Les étudiants qui le souhaitent sont invités à reprendre les cours en ligne. Ils sont même encouragés à le faire au vu des nouvelles mesures de prévention. << Le virus qui s'est abattu sur l'humanité semble plutôt être celui du fascisme ! >> lance t-elle en rajoutant : << Bande de conspirationnistes ! >>. Nous en rions. Mais nerveusement.

Nous récupérons notre grande valise et le sac de sport. Nous remontons ranger nos affaires. Trier le linge à laver. Dehors, il pleut par intermittence. Ce sont des pluies fortes. Une météo maussade. Nous descendons à la cave. Dans la buanderie. Les draps sales à la machine avec le "blanc". Clémentine se serre contre moi. Elle déboutonne ma braguette. << Aujourd'hui, c'est braguette ouverte. Mais exclusivement pour moi ! >> murmure t-elle en s'accroupissant pour me sortir le sexe.

Je le lui frotte sur le visage en disant : << Je t'aime. C'est à toi que j'ai envie de faire ça tout le temps ! >>. Clémentine se redresse en murmurant : << Mais fais le. Tout le temps. Sans réfléchir ! >>. Nous nous embrassons comme des fous. Nous en avons de la bave sur nos mentons rendus glissants. Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine s'en saisit. Je l'empêche de s'accroupir à nouveau. Je dis : << Sachons nous garder hyper excités. Si tu fais ça maintenant, je serais totalement crazy ! >>.

Nous remontons. Il est déjà 11 h. Nos affaires sont rangés. Nous allons dans l'atelier. Comme c'est bon d'êtres là, dans cette grande pièce où nous passons le plus clair de notre temps. Clémentine y a remis son ordinateur sur la table de travail. Elle est installée dans la vieille chaise à bascule. Je suis derrière elle à la faire bouger doucement. Un mouvement de balançoire. J'ai la bite qui pend de ma braguette. Clémentine me la tient souvent en me déposant un bisou. << Je peux la sucer après le repas ? >> dit elle.

Nous en rions de bon cœur. La faim commence d'ailleurs à se faire sentir. Dans toute sa douce cruauté. Nous allons dans le hall. Nous chaussons nos bottes en caoutchouc. Nous enfilons nos vestes de pluie. Sous le grand parapluie nous sortons. La première visite au potager. Il y a une abondance de tomates. Clémentine choisit les quatre plus grosses, plus belles et plus rouges. Je cueille une scarole. Il en reste quatre sympas. Les autres sont flétries, cuites par le soleil. Nous rentrons vite.

Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du riz complet. Je fais une sauce au Roquefort. Il ne reste que des crevettes en boîte. Je les fais rissoler avec de l'ail, de l'oignon et du persil. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine fait la liste des courses. Il ne faut rien oublier. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous changeons de vêtements. Clémentine porte un pantalon à plis et à pinces, noir. Un chemisier blanc sous une veste noire cintrée.

Ses escarpins noirs à talons. << Enfin je retrouve un peu de féminité ! >> fait elle en éclatant de rire. Je porte un pantalon noir, à plis, une chemise blanche, une veste légère, des souliers de ville. Nous prenons des poses devant le miroir de l'armoire. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> me fait elle en s'accroupissant à ma droite. Ses bras autour de ma jambe, sa tête contre ma cuisse, Clémentine me dit : << Je vous aime mon bon "Maître". Si vous pouviez être sévère dans les prochains jours ! >>.

Je lui caresse la tête. Je promets d'interpréter ce rôle le mieux possible. Je la force à se redresser. Nous descendons. C'est sous le grand parapluie que nous allons jusqu'à la voiture. Je branche la glacière sur l'allume cigare. Nous posons les cabas sur le siège arrière. Nous voilà en route. Il y a environs 45 km jusqu'à la petite cité de caractère. Je roule doucement sous une pluie battante et régulière. Clémentine joue avec ma queue. Parfois elle se laisse glisser sur sa gauche pour me la sucer délicatement.

Il est 14 h30 quand je gare l'auto sur le parking obligatoire. Nous enfilons nos masques sanitaires. Il y a 300 m jusqu'à la grande place pavée. Il y a peu de monde. Nous entrons dans notre galerie. Julie a un sourire merveilleux, une expression lumineuse. Elle est tellement contente de nous revoir. Lumineuse. C'est le terme le plus approprié. C'est fou ce qu'une jeune fille de 20 ans peut changer en quelques semaines. Elle s'est visiblement épanouie en tenant la galerie d'Art. C'est tellement flagrant.

Les murs sont vides. Il reste sept toiles aux cimaises. Deux invendues et cinq tableaux appartenant déjà à des collectionneurs qui viendront les chercher dans les tous prochains jours. Julie a tout organisé. Nous la félicitons. << Je crois que j'ai trouvé ma voie si j'échoue dans mes études ! >> lance t-elle avant d'éclater de rire. Je dis : << Prête pour l'année prochaine ? On remet ça ? >>. Julie s'écrie : << Oh oui ! C'est trop bien ! >>. Nous prenons le thé. Nous sommes tous les trois assis à la petite table ronde.

Je regarde la petite salle. Ça a quand même autrement plus de gueule quand c'est une présence féminine qui assure l'état des locaux. Avec mon vieil oncle c'était un peu plus "rupestre". Mon oncle qui passait régulièrement une fois par semaine pour voir si tout se allait bien. << C'est un sacré dragueur. Mais tellement sympa ! >> précise Julie. Nous en rions de bon cœur. Julie insiste pour garder la galerie jusqu'à mercredi. Elle insiste également pour s'occuper de tout avant la fermeture.

Nous passerons mercredi après-midi pour récupérer les invendues. Julie a sa rentrée le lundi 7 septembre. Etudiante en faculté de Lettres Modernes, elle vient de passer sa licence. Elle aussi a opté pour les cours en ligne. Le télé travail. Je lui propose de venir manger à la maison le jour de son choix. << Mercredi soir, quand j'aurais tout bouclé ? >> lance t-elle avec une assurance que nous ne lui connaissions pas. Visiblement cette responsabilité de galeriste durant deux mois auront changé la demoiselle.

Nous la quittons vers 16 h. Il y a quelques visiteurs. Nous remettons nos masques pour retourner à la voiture. Direction le centre commercial. Il y a une vingtaine de kilomètres. Clémentine me donne ses impressions. Nous restons admiratifs quand aux compétences de Julie. Je ne sais pas encore si je continue d'exploiter ma galerie d'Art. Je n'en n'ai plus besoin. Depuis quelques années je suis devant cette alternative. Je pourrais me contenter d'y exposer quelques œuvres dans la vitrine. Avec un No de téléphone.

Je gare l'auto sur le parking de l'hypermarché. Il y a peu de monde le lundi après-midi. Je nettoie la poignée du caddie avec du gel hydroalcoolique. Nous enfilons nos fins gants de caoutchouc. C'est parti. Nous attirons quelques regards. Nos hautes tailles, notre différence d'âge et notre élégance. A chaque regard plus insistant, Clémentine me fait un bisou. Pour bien situer les choses. Elle nous entraîne dans les rayons en tenant la liste des courses. Mon téléphone se met à vibrer au fond de la poche de ma veste.

Clémentine l'en retire. << Estelle ! >> me dit elle. Je fais l'inventaire de ce que nous avons déjà dans le charriot. Je crois comprendre qu'Estelle ne pourra pas nous rejoindre ce soir. Clémentine me tend le téléphone. Estelle, la voix toute tristounette, nous annonce qu'elle préfère rester avec ses parents ce soir. Sa maman n'a pas trop le moral. Leur séjour dans les Alpes était tellement merveilleux que le retour à la réalité laisse quelques séquelles. Je la rassure. Nous penserons à elle très fort ce soir.

Nous passons en caisse. Nous rangeons les produits frais dans la glacière. Le reste dans les cabas. Nous reprenons la route. Tout en me tenant la bite, Clémentine me confie : << Ce soir, tu es tout à moi. Je suis toute à toi ! >>. Je saisis son poignet. Elle croise ses doigts entre les miens. Elle me fait plein de bisous. Il est 18 h45 quand nous revenons à la maison. Il faut ranger les courses. A la cave nous sortons le linge de la machine pour le suspendre. Nous montons nous changer à toute vitesse.

Clémentine porte une robe ample et des ballerines. Je suis en jeans et en T-shirt. Nous voilà à l'aise. Clémentine prépare la salade. Cette belle scarole récupérée au potager. Je réchauffe le reste de riz. Je prépare le bouillon pour les moules. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie cette curieuse impression. Je la partage. Les vacances nous semblent soudain déjà lointaines. Curieux phénomène.

La vaisselle. Nous sommes étrangement fatigués. << C'est l'intensité du retour ! >> analyse Clémentine qui nous entraîne par la main. Nous montons. Nous nous lavons les dents. Nos rituels pisseux. Il est 21 h et nous voilà au lit. Il fait nuit. J'offre à Clémentine un premier cunnilingus qui la fait gémir de bonheur. Elle me suce. J'ai encore la bite dégoulinante de foutre suite a la pipe des cabinets. Je pénètre Clémentine avec d'infinies précautions. Elle se masturbe toujours quand je suis en elle.

Absolument pas vaginale, en parfaite clitoridienne, la pénétration n'est que le prétexte à me savoir en elle. Nous restons immobiles à nous confier nos secrets. Parfois nous nous berçons. Je me retire pour la lécher et la sucer à nouveau. La position de "69" ne nous éclate pas vraiment. Chacun préfère s'occuper de l'autre sans contraintes. J'offre à Clémentine un orgasme fabuleux. Je lui propose de remettre mon éjaculation à demain. << Non ! Maintenant ! >> fait elle en déglutissant le sperme que je lui offre.

Bon retour à la vie de tous les jours à toutes les coquines qui aiment se retrouver dans leurs petites habitudes...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1265 -



Nous voilà réinstallés dans la quiétude de notre quotidien

Hier matin, mardi, je suis réveillé par les petits gémissements que fait Clémentine. Elle dort encore. Couchée sur le dos, toute proche. La bouche légèrement ouverte. Ses paupières bougent parfois. Il est 8 h30. Il est si rare que je puise la regarder dormir. C'est un de mes petits bonheurs. Hélas, cette fois encore tout cela est de courte durée. Son infaillible sixième sens la prévient. Elle se tourne pour venir se blottir contre moi en murmurant : << Je t'aime. Ça fait longtemps que tu me regardes ? >>.

C'est tellement merveilleux que je fond. Je lui couvre le visage de bisous. Elle saisit mon érection matinale à pleine main. Je glisse ma main dans sa culotte. Impossible de lutter plus longtemps contre l'impérieux besoin de pisser. Nous nous levons d'un bond pour nous précipiter aux chiottes. Le prosaïque l'emporte sur le romantique. Nous mettons nos tenues de jogging. Morts de faim nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. << Comme c'est bien d'être à la maison ! >> s'écrie Clémentine en me faisant un bisou.

Clémentine fait le café. Je presse nos quatre oranges. Le grille pain éjecte ses tranches dans un claquement sec. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Dehors, le ciel est gris. Le sol est humide. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous n'avons aucun projet précis pour aujourd'hui. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie son désir de s'encanailler un peu. Je propose la possibilité la plus facile. Une virée en voiture.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous laisserons l'inspiration nous gagner. Pressés d'aller courir, nous dévalons l'escalier. La température extérieure n'excède pas 16°. Quelques mouvements d'échauffement et c'est parti. Nous retrouvons avec plaisir un de nos parcours habituels. Il faut éviter les endroits les plus boueux. C'est un réel enchantement. Nous revenons à 10 h30 après un running des plus plaisants. La douche. Nous nous habillons. Jeans et chemises à carreaux. Espadrilles.

Au salon, assise sur mes genoux devant le bureau, Clémentine allume l'ordinateur. Deux courriels. Celui de Julie qui nous raconte sa journée. Son plaisir de nous avoir enfin revu hier après-midi. Elle commence aujourd'hui le rangement et le nettoyage. Elle confirme sa venue demain soir. Elle se propose de ramener les deux invendus pour nous éviter de nous déplacer. Le message d'Estelle qui nous raconte sa soirée de hier en compagnie de ses parents. Sa maman tristounette. Petite déprime.

Aussi, elle préfère rester à la maison. En précisant que c'est elle qui va faire une déprime de ne pas nous rejoindre. Nous répondons aux deux mails. Clémentine retourne sur le site de l'université. Tout est clair, précis. Les choses sérieuses reprennent bien le lundi 14 septembre dès huit heures. Elle se réjouit. Nous chaussons nos baskets. Nous retournons dehors. Il fait un peu meilleur et le ciel semble se dégager. Un premier septembre automnale alors que nous sommes encore en plein été.

Il y a monsieur Bertrand, là-bas dans son jardin. Nous descendons les 300 m en longeant la haie de cyprès et de houe. Notre voisin est tout content de nous revoir. Nous bavardons avec plaisir. Il nous raconte quelques anecdotes. Les Bertrand ne partent jamais en vacances. Seule madame Bertrand fait des séjours de quelques jours chez sa vieille mère. Nous le remercions pour l'arrosage de notre potager. << Je me suis payé en fruits. Vous avez tellement de pommes, de poires et mirabelles ! >> fait il.

La faim commence à se faire sentir. Il est 11 h45. Nous saluons notre voisin. Nous remontons. Nous cueillions quelques tomates. Un beau concombre. Je récupère une grosse aubergine, une belle courgette. Nous rentrons. Clémentine s'occupe de la salade, tomates et concombre. Je fais gonfler du millet doré. Je prépare un coulis d'aubergine et de courgette. Je pane deux filets de colin que je fais dorer à la poêle. J'en prépare beaucoup. Ainsi ce soir, il n'y aura qu'à réchauffer. Un autre confort d'esprit...

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie sa joie d'être seule avec moi. Estelle dont nous adorons pourtant beaucoup la compagnie ne viendra nous rejoindre que vendredi soir. Elle se consacre à ses parents. Comme le soleil est revenu, je propose une randonnée à bicyclette. Notre première depuis plus de deux mois. Elle me saute au cou en disant : << Je venais d'avoir la même idée ! >>.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous nous changeons. Même si la température extérieure n'excède pas 23°, nous pouvons parfaitement nous habiller pour la circonstance. Jupette, T-shirt pour Clémentine. Short, T-shirt pour moi. Nos baskets. Dans le petit sac à dos nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille d'eau, nos K-ways, nos leggings. Il faut prévoir des vêtements chauds pour le retour. Nous sortons. Au garage, je vérifie la pression des pneus. 4,5 bars derrière. 4,5 bars devant.

Nous voilà partis. 300m jusqu'à la rivière. La passerelle en bois, 500 m jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons poussés par un léger vent de Nord Est qui rafraîchit l'atmosphère. Il faudra lutter contre lui au retour. Nous croisons peu de cyclistes. Le soleil est généreux. A peine quelques nuages d'altitude. Dix kilomètres et nous arrivons au cabanon de l'écluse. Il y a deux agents VNF qui permettent à un bateau de plaisance de franchir l'écluse. Nous nous arrêtons pour regarder les manœuvres.

C'est un couple de plaisanciers. Des séniors. Il y a un homme plus jeune qui sort de la cabine. Clémentine me fait du coude en murmurant : << Une "victime potentielle" ! >> Personne ne fait attention à nous. Je reste en retrait en tenant la bicyclette à Clémentine. Elle est accroupie entre deux bosquets de genêts. Tout au bord de l'écluse qui se rempli. Le bateau monte. Voilà le jeune homme qui revient sur le pont. Juste devant cette superbe jeune fille accroupie à environs deux mètres de lui.

Je fais semblant de consulter mon téléphone. En fait, je filme discrètement la scène. Il s'adresse à Clémentine qui ne bouge pas. Cuisses écartées devant cet inconnu souriant. Le bateau monte inexorablement. Le type, sans gêne, se penche en avant pour bien observer. Je suis à une vingtaine de mètres. Je ne sais pas si Clémentine pisse. Toujours est-il que le gaillard est maintenant accroupit à son tour pour continuer à mâter sous la jupette sport de Clémentine. Elle se redresse rapidement.

Un des agents VNF arrive pour vérifier si le niveau d'eau est adéquate. Clémentine vient me rejoindre. Nous repartons. Elle me donne ses impressions. Nous en rions de bon cœur. Comme il y a peu de monde, nous pouvons parcourir les 25 km côte à côte jusqu'au port de plaisance. Nous y arrivons pour 15 h30. Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie du port. Ce n'est plus la jeune étudiante qui s'occupe du port mais un gros barbu jovial. Nous le saluons poliment.

Nous traversons la route pour nous rendre à la supérette. Peu de monde. Nous bavardons un peu avec la gérante toute contente de nous revoir. Elle nous raconte la saison. Il y a le second vide-grenier de l'année le dimanche 13 septembre. La fête aux noix le dimanche 20 septembre. Nous prenons nos cônes glacés. Nous les dégustons en flânant sur les quais. Il y a les joueurs de boules. Des gens attablés à la terrasse du café restaurant. Quelques rares touristes. Des plaisanciers sur leurs bateaux.

Clémentine m'entraîne vers les bâtiments des sanitaires. << Je m'offrirais volontiers un autre petit frisson ! >> me fait elle. Encore bien "allumée" par son exhibe de l'écluse. Il n'y a personne. Les toilettes réservées aux plaisanciers sont ouvertes. Nous y pénétrons discrètement. Nous n'avons rien à faire ici. Car plus loin il y a les toilettes publiques. L'odeur de chlore est forte. Il faut préciser que l'endroit est d'une propreté clinique. Clémentine s'accroupit devant moi. Elle me sort la queue.

Je n'aime pas trop les situations à risques lorsque je n'en maîtrise pas la globalité. Clémentine tète légèrement mon prépuce fripé et humide. Il faut cesser. Des voix féminines. Une voix masculine. C'est le gros barbu et deux femmes. Des plaisanciers. Ils nous découvrent entrain de nous laver les mains. Le capitaine nous lance : << Vous avez les toilettes publiques juste plus loin ! >>. Nous comprenons le message. Nous sortons. Que fait ce mec ici avec deux femmes ? Nous en rions de bon cœur.

Clémentine me fait : << Attends, je vais donner une leçon de courtoisie à ce type ! Planque toi ! >>. Je me cache entre le mur et les bosquets. Je dois faire attention. Au sol il y a plein de détritus. De la boîte de bière écrasée, aux préservatifs dégueulasses sans évoquer les masques sanitaires abandonnés. Je vois Clémentine penchée en avant entre deux bosquets. Le capitaine sort des chiottes pour longer le sentier qui remonte. Clémentine s'accroupit. La culotte au genoux. Elle me tourne le dos.

Le barbu arrive à sa hauteur. Il découvre le spectacle. << Décidément, je te vois partout toi ! >> lance t-il à Clémentine comme si c'était une vieille amie. Ce manque d'élégance, ce manque de politesse en fait le rustre que déteste Clémentine. Elle ne répond pas. Ses lunettes noires, ses cheveux qui pendent sur son visage préservent son anonymat. Le type rajoute : << Ne va pas me pisser sur les godasses ! Il est où ton père ? >>. Il est fort probable qu'il m'ait pris pour le père ce cette superbe jeune fille.

Le mec regarde dans toutes les directions. Personne. Je suis bien caché à une vingtaine de mètres. Les fourrés sont denses. Il se palpe vulgairement la braguette. Il est à environs deux mètres devant Clémentine qui se redresse enfin. A la limite de l'ankylose. << Tu veux du papier pour te torcher ? >> fait encore le grossier personnage. Il rajoute : << Et celle-là, tu la veux ? >> en se palpant la braguette avec une vulgarité rare. Clémentine ne répond pas et s'éloigne. Le type se marre comme un con.

Nous nous rejoignons aux bicyclettes. Cette fois, comme Clémentine est accompagnée, le malotru se contente d'un regard moqueur tout en bavardant avec un couple de plaisanciers. Il est tout aussi goguenard et vulgaire avec les gens. Il lâche une grossièreté entre chaque phrase. Un juron. Nous repartons. Il faut pédaler contre ce maudit vent de Nord Est. Nous faisons quelques kilomètres. Nous nous arrêtons. Nous enfilons nos leggings et nos K-ways. Nous pédalons avec force. C'est sympa quand même.

Il est 18 h45 quand nous revenons à la maison. Avec l'air froid, nous avons les yeux plein de larmes. Nous décrochons le linge avant de rentrer. Qu'il fait bon à l'intérieur de la maison. Nous montons nous changer. Longue robe ample et espadrilles pour Clémentine. Bermuda et chemisette pour moi. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le millet doré. Je réchauffe le reste de coulis. Quelques crevettes rissolées à la poêle. C'est un repas simple mais délicieux.

Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur nos aventures de l'après-midi. La grossièreté du capitaine. << Attends, celui-là va morfler ! Je suis certaine que la prochaine fois il me montre sa queue ! Il était à deux doigts de le faire dans les fourrés ! >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. << J'adore les vicelards et celui-là me semble un spécimen des plus représentatifs ! >> fait elle encore. J'écoute les stratégies possibles. Nous en éclatons de rire.

Nous traînons à table. La vaisselle. Nous retournons au salon. Clémentine veut télécharger les photos prises durant notre séjour dans les Alpes. Nous les revoyons avec plaisir. Il y a exactement 88 photos. Toutes absolument magnifiques. Nous revoyons le chalet avec un pincement au cœur. Nos poses à trois, avec Estelle. Les photos pornos c'est Estelle qui les a toutes gardé afin d'en faire un montage. Assise sur mes genoux, Clémentine classe et répertorie les clichés en créant un nouveau dossier. "Alpes 2020".

Il est 21 h30. La fatigue commence à nous gagner. Nous montons nous laver les dents. Clémentine mime une pipe. Une bosse à l'intérieur de ses joues, de la mousse aux coins des lèvres. << Je demande : << Tu suces qui ? >>. Nous nous rinçons la bouche. Elle me répond : << Le gros porc du port ! >>. Rires. Elle m'entraîne au lit. Je lui offre un cunnilingus. Elle m'offre une fellation. Nous faisons l'amour. Nous nous racontons nos secrets. J'offre un orgasme à Clémentine. Avec un adroit suçage de clitoris. Dodo...

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui aiment pratiquer l'exhibe "vélo" sur les pistes cyclables peu fréquentées...

Julien

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Le train-train quotidien est si sympathique

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par un léger froissement des draps. Un léger mouvement du matelas. Clémentine sait lorsque je ne dors plus. Ma respiration change. Inutile de faire semblant de dormir pour écouter ce qu'elle fait. Elle vient se serrer contre moi. Elle glisse une jambe sous mes reins, pose l'autre sur mon ventre. << J'ai fait un rêve très cochon ! >> murmure t-elle en continuant son mouvement masturbatoire. Je lui dépose plein de bisous sur le visage. Ma main dans sa culotte.

L'envie de pisser étant la plus forte, c'est par mon érection matinale que Clémentine m'entraîne aux toilettes. Nous enfilons nos tenues de jogging. Leggings et sweats en lycra noir. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Il est 8 h30. Dehors il y a du soleil. La température extérieure n'excède toutefois pas 14°. Clémentine fait le café. Le grille pain éjecte les tranches avec un claquement sec. Je presse nos quatre oranges. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Clémentine me raconte son rêve érotique.

Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup. Dans son rêve, il y avait le capitaine du port de plaisance. Ce rustre doté d'une vulgarité à nulle autre pareille. Le véritable et authentique grossier personnage. Nous le reverrons probablement cet après-midi puisque nous avons en projet une virée vélo. La vaisselle. Nous nous lavons rapidement les dents. Nous descendons en courant. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. C'est parti. Notre parcours habituel et quotidien.

Nous avons revêtu nos K-ways pour la circonstance car il fait carrément froid. Il est 10 h quand nous revenons après une heure d'un running hautement gratifiant. L'atmosphère se réchauffe vite. La douche. Nous nous habillons. Jeans et chemises à carreaux. Nous redescendons au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Le message de Julie qui nous confirme sa venue ce soir pour 19 h30. Le message d'Estelle qui nous confie à quel point nous lui manquons. Nous répondons aux deux courriels.

Un rapide petit tour sur le site de l'université. Un rapide petit tour sur ce forum pour constater le nombre vertigineux de vues. Nous en profitons pour mettre en ligne notre récit du jours. Nous découvrons les messages privés dont certains sont d'une drôlerie qui nous amuse. Nous sortons. La température extérieure est à présent de 19°. Il est 11 h. Un petit tour au potager. Je crois que nous n'avons jamais eu autant de tomates. Elles sont grosses et la plupart bien rouges. Il y a deux énormes citrouilles.

Clémentine soupèse et cueille les tomates les plus mûres. Je récupère un des tous derniers choux-fleurs. Quelques pommes de terre. Clémentine revient sur notre séjour dans les Alpes. Un séjour qui lui laisse d'agréables souvenirs. << C'était beau. Tout ce que j'ai déjà vu et découvert grâce à toi Julien ! Sans toi, j'aurais passé mon été dans un petit boulot de vacances et je vivrais dans un studio meublé. J'y pense souvent tu sais ! >> me fait elle. Je ne sais jamais quoi dire. Et que répondre à ça ?

Nous lavons les tomates au robinet extérieur. Nous laissons les légumes dans l'évier en pierre. Clémentine me prend la main pour m'entraîner sur le chemin qui descend à la rivière. Il est presque sec. L'eau est à son plus haut niveau. Nous nous embrassons longuement et plusieurs fois. Clémentine se frotte. Elle glisse sa main dans ma braguette ouverte. Me voilà avec la bite à l'air. Je bande mou. Clémentine me la tient pour me tirer comme par une laisse. Nous longeons la rivière sur quelques mètres.

Nous remontons. Je remballe la queue. Il arrive souvent que monsieur Bertrand, notre voisin descende lui aussi à la rivière. Nous récupérons les légumes. Nous rentrons. Clémentine prépare la salade de tomates. Je lave le choux-fleurs. J'épluche les patates. Je mets le tout à l'auto-cuiseur. Je râpe du gruyère de Comté en quantité industrielle. Un pot de crème fraîche que je mélange à un œuf. Du poivre, du sel, du curcuma, de l'ail pressé. Je mets la table. Clémentine passe les légumes à la passoire.

Je mets le tout dans deux plats en terre cuite. Un petit, un grand. Je recouvre de gruyère. J'y verse le mélange œuf crème fraîche. Je recouvre de chapelure, de graines de sésame grillé. Au four. Le petit plat pour notre repas de midi. Le grand pour notre repas du soir avec Julie. Nous ressortons faire quelques pas dans la propriété. L'entreprise paysagiste interviendra lundi 14 septembre. Il y les haies à tailler, les pelouses à tondre, les premières feuilles mortes jonchent déjà le sol. L'automne se pointe.

Nous allons dans la serre. Il y a fait chaud. La roseraie est agréablement odorante. Clémentine s'accroupit devant moi. Elle tire mon sexe de la braguette. Du bout de sa langue elle tente de fouiller l'extrémité de mon prépuce tout fripé. Je lui caresse la tête en lui chuchotant des douceurs. Elle se met à téter délicatement. Les joues creusées, les yeux fermés en gémissant de bonheur. Je la fais se relever. Je lui masse un peu les genoux. Clémentine m'entraîne vers la maison. Nous rentrons. Morts de faim.

Je fais rapidement dorer deux filets de colin à la poêle. La sonnerie du four. Nous mangeons de bon appétit. Ce gratin de choux-fleurs est encore un véritable délice. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me dit : << Tu seras vicieux ce soir avec la présence de Julie. J'adore tellement te voir faire le vicelard devant une autre fille ! >>. Je réponds qu'il est peut-être préférable d'en rester à un repas "professionnel". De ne pas brusquer les choses.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous mettons nos tenues vélos. Jupette sport et T-shirt pour Clémentine. Short et T-shirt pour moi. Nos baskets. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. J'enfile nos leggings et nos K-ways dans le petit sac à dos. Avec les pommes, les barres de céréales. La bouteille d'eau. Nous voilà sur nos bicyclettes. 300 m jusqu'à la rivière, l'étroit pont de bois. 500 m jusqu'à la piste cyclable. Pas grand monde.

Il y a ce même vent de Nord-Est qui nous pousse. Nous l'aurons de face en rentrant. Il y a 25 km jusqu'au port de plaisance. Nous croisons peut-être une dizaine de cyclistes. Principalement des séniors sportifs. Des retraités actifs. Pas d'arrêt au cabanon de l'écluse car il y a des travaux. Des employés de VNF s'affairent avec de grandes perches. Il y a un petite grue. Il est 15 h lorsque nous arrivons au port. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Le rustre est là, coiffé d'une casquette.

Il est occupé avec des plaisanciers. Nous l'ignorons pour traverser la route. Nous allons à la supérette. Nous y bavardons un peu avec la gérante avant de choisir nos cônes glacés. Nous les dégustons en flânant sur les quais. Il y a les joueurs de boules. Il y a des clients attablés à la terrasse du café restaurant. Le kiosque à souvenirs est ouvert. Quelques personnes portent leur masque sanitaires. Nous retirons les nôtres en sortant de la supérette. Il fait bon. Presque chaud. Malgré ce léger vent.

<< Viens, on va se payer la tête de l'autre enfoiré ! >> me fait Clémentine en m'entraînant vers les bâtiments des sanitaires. Je reste à l'écart. Je contourne la capitainerie en passant sur la route. Clémentine passe devant le cabanon. Elle s'arrête. Je vais plus loin. Je descends vers les toilettes publiques. Personne. De là, planqué dans les fourrés, je vois Clémentine bavarder avec le gros barbus. Le capitaine, tout en causant, se palpe la braguette avec un sans gêne et une vulgarité rares. Le type rigole souvent.

Il rigole d'ailleurs de ses propres conneries. D'ici, je n'entends rien. Clémentine le laisse pour se diriger vers les toilettes publiques. Je sors des fourrés. Elle me voit. Elle vient se serrer dans mes bras pour me raconter les histoires échangées avec le rustre. << Il me propose carrément de le sucer ! >> m'apprend t-elle. Nous en rigolons comme des bossus. << Je suis certaine qu'il va se pointer. Viens te planquer dans les chiottes ! >> me fait elle en m'entraînant par la main. Il n'y a personne.

Je m'enferme dans un des quatre cabinets. Debout sur le couvercle rabattu, je peux voir par dessus la cloison carrelée. Clémentine fait le guet à la porte en se touchant. << Le voilà ! Au moindre problème tu viens ! >> me fait Clémentine en allant se laver les mains à l'un des deux lavabos. Tout est d'une propreté remarquable. Voilà le mec. L'enfoiré sors directement sa queue. Il se met devant un des quatre urinoirs muraux. Cette fois je peux entendre la conversation. Un odieux personnage.

Je vois enfin sa bite. Un calibre. Une bonne vingtaine de centimètres. Il la tient à sa base pour l'agiter. << Allez, viens, une bonne pipe c'est bon pour ce que tu as ! >> fait il à Clémentine. Elle joue à la perfection la jeune fille embarrassée. Importunée. Le type n'entreprend rien. Son attitude n'est pas menaçante. C'est juste un ignoble salopard. Il insiste. Sa bite est plissée, luisante, au teint mat. Il va souvent à la porte pour vérifier si personne ne vient. Il fait sa proposition à plusieurs reprises.

Clémentine finit par lui répondre enfin. Le regard fuyant, elle dit : << S'il n'y avait pas le Covid, je serais tentée ! >>. Le mec s'esclaffe. << J'ai passé mon test la semaine dernière pour avoir ce boulot. Je suis suis là jusqu'à la fermeture du port à la fin septembre ! >> lance t-il. << Tu veux voir le résultat sur le papier ? Je vais te le chercher à la maison ! >> fait il encore. Clémentine qui ne cesse de regarder cette queue avec des yeux envieux répond : << Je veux bien. Je reviens demain pour voir ! >>

<< A la bonne heure, voilà que tu deviens raisonnable. Au premier instant où je t'ai vu, je savais que tu étais une adorable petite salope ! >> lance le barbu en remballant sa queue. Avant de quitter l'endroit, il fait encore : << Je t'attends demain, ici, pour 15 h30. Sois à l'heure, tu va te régaler comme jamais ! >>. Il sort précipitamment pour retourner assurer sa permanence. Je rejoins Clémentine qui me fait : << J'ai envie de le sucer ! Qu'est-ce que je fais ? >>. Je ne sais quoi répondre.

Je sors ma queue. J'imite le mec en agitant ma queue. Clémentine éclate de rire avant de s'accroupir. Je me fais sucer en lui caressant la tête. Je l'aide à se redresser. Elle me dit : << Je ne sais pas quoi faire. Je reste méfiante. Avec cette crise sanitaire ce n'est peut-être pas raisonnable ! >>. Je suis en accord avec cette méfiance. Il y a toujours un risque. Je dis : << Viens, rentrons, la nuit portera conseil ! >>. Nous passons derrière la capitainerie. Nous entendons le barbu bavarder avec des plaisanciers.

Nous voilà sur nos bicyclettes. Il faut pédaler contre ce maudit vent de Nord-Est. Nous avons revêtu nos leggings et nos K-ways. Il est 19 h quand nous sommes de retour. J'allume immédiatement le four pour réchauffer le gratin. Nous montons nous changer. Jeans, sweat. Nous dévalons les escalier. Clémentine prépare une salade de tomates. Je dresse la table au salon. Je fais une rapide sauce au Roquefort. Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Elle revient suivie de Julie. Radieuse et souriante.

Pas de bise. La distanciation. Julie est tellement contente d'être là. Elle a l'air tellement épanouie. Ce n'est plus la même jeune fille un peu tristounette que nous avons connu. Elle me ramène les deux toiles invendues. Elle est vêtue comme nous. Jeans et sweat. Je surprends quelquefois son regard fixé sur ma braguette. Braguette fermée pour la circonstance. Ce vieux réflexe m'enchante. Nous passons à table. Je propose aux filles de faire le service. Nous mangeons de bon appétit. Julie nous raconte sa saison.

Cette expérience de galeriste l'a enchanté. << C'est la plus belle expérience de ma vie ! >> fait elle à plusieurs reprises. A chaque fois que je me lève, elle fixe ma braguette. Parfois avec insistance avant de me faire le plus délicieux des sourires. Même si ce n'était pas du tout dans ses attributions, Julie a nettoyé toute la galerie. Tout est nickel. Nous savons pouvoir lui faire confiance. Nous écoutons avec beaucoup d'intérêt ses anecdotes. Elle a vécu des choses amusantes, parfois étonnantes cet été.

Mon oncle qui venait la voir une fois par semaine. Qui la draguait un peu avec courtoisie. Plutôt par jeu. L'attitude de certains touristes. << Il y a parfois des vicieux ! >> lance t-elle en nous racontant ce type qui est revenu deux fois dans l'après-midi pour se toucher discrètement. Nous en rions de bon cœur. Julie a sa rentrée lundi prochain 7 septembre. Des cours en ligne depuis chez elle. Nous lui proposons de venir manger à la maison. << Oh oui ! >> s'écrie t-elle toute contente.

Nous passons la soirée à rire et à bavarder. Il est 22 h15 quand nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Je lui tends une enveloppe. << Mais, monsieur Julien ! >> fait elle. Je dis : << Une jeune étudiante a toujours des besoins ! >>. Elle a le réflexe de vouloir me faire la bise et s'abstient juste à temps. Je dis : << Vos virements ont été bien effectués ? >>. Elle répond : << Oh oui ! >>. Nous la regardons s'en aller. Nous montons à toute vitesse. Au lit, nous faisons l'amour. Orgasmes nucléaires. Dodo...

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui aiment être draguées dans les chiottes par de vrais vicelards qui se branlent...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe

Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette" et tous les autres, ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. La "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique vingt septième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1267 -



Une belle journée d'été en ce début septembre

Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon sommeil par les mouvements masturbatoires que fait Clémentine serrée tout contre moi. Dès que je suis réveillé, elle passe une jambes sous mes reins, pose l'autre sur mon ventre pour se frotter d'un mouvement lent et régulier. << Mmhh, comme c'est bon ! >> murmure t-elle. Je lui couvre le visage de bisous. Nous nous étirons longuement en modulant nos gémissements. Cela nous amuse toujours tant. << J'ai encore rêvé du porc du port ! >> lance Clémentine.

Nous en rigolons comme des bossus en nous précipitant aux toilettes. Il est 8 h30. Il fait beau. Nous enfilons nos tenues de jogging. Sweat et leggings noirs en lycra. Nos baskets. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos quatre oranges. Les tranches sont éjectées du grille pain avec un claquement sec. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en faisant le bilan de la journée de hier. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte son rêve. Il y était question du gros barbu vulgaire. Encore une histoire totalement surréaliste, improbable où ce salopard était couvert de pustules. << Un avertissement ! >> me fait Clémentine. J'écoute cet étonnant développement. La conclusion est sans appel. Il n'est pas question de tailler une pipe à un inconnu avant que la crise sanitaire ne soit plus qu'un souvenir entré dans l'histoire. Message onirique plein de bon sens.

Je ne peux qu'adhérer à ce principe. Toute autre attitude relèverait de l'inconscience, de l'hérésie voir de la bêtise la plus crasse. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de nous livrer à notre running quotidien, nous dévalons les escaliers à toute vitesse pour sortir. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. C'est parti. Nous courons d'un bon rythme le long d'un de nos parcours habituels et préférés. Il est 10 h quand nous revenons. La douche.

Nous nous habillons de nos tenues vélos. Ce sera un gain de temps. Jupette sport, T-shirt pour Clémentine. Short, T-shirt pour moi. Nous descendons au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un message d'Estelle qui nous confie son impatience de venir nous rejoindre. Elle viendra samedi pour 13 h30. Un message de Julie qui nous confie à quel point elle a apprécié la soirée de hier. Elle se réjouie pour le repas de lundi soir. Nous répondons aux deux courriels en joignant un selfie.

Nous sortons. La douceur se transforme doucement en chaleur. A tel point que Clémentine propose de prendre notre repas dehors. Sous le noyer séculaire gorgé de noix. Nous allons au potager. Accroupie devant moi, m'offrant la vue de la blancheur immaculée de sa culotte, Clémentine cueille quatre belles tomates. Je retire quelques mauvaises herbes d'entre les haricots verts. Je dis : << Clémentine, je t'aime, si tu savais comme j'apprécie de vivre avec une authentique exhibitionniste ! >>.

Elle me fait le plus délicieux des sourires en écartant ses cuisses. Je trouve ce spectacle le plus élégant qui soit. La féminité dans toute sa splendeur. Bien évidemment vus sous l'angle de nos déviances communes. Je mets le potiron dans le panier en osier. Clémentine y rajoute les tomates. Nous cueillons des haricots. Nous lavons le tout au robinet extérieur. Nous laissons les légumes dans l'évier en pierre. Clémentine nous entraîne sur le chemin qui descend à la rivière. Elle me tient la main.

Sur le sentier qui longe le cour d'eau, elle se met à sautiller. Sa jupette qui virevolte. Je trouve ça d'un érotisme divin. Elle s'accroupit devant moi. Se redresse. Sautille à nouveau. S'accroupit encore. C'est magnifique. C'est prodigieux. Les 23 ans de Clémentine sont un cadeau des Dieux. Sa jeunesse, sa joie de vivre, son dynamisme, son optimisme. La compagne idéale d'un homme de 53 ans. Je sors mon sexe. Je le tiens à sa base. J'observe la danse de Clémentine qui tourne sur elle même avec grâce.

<< Je t'aime Julien ! J'aime quand tu me montres ta bite ! J'aime les mecs qui montrent leur queue ! >> me fait elle en glissant sa main droite sous sa jupette. Dans sa culotte. Juste avant de s'accroupir une nouvelle fois. Je m'approche. Debout entre ses cuisses écartées, je lui frotte la bite sur la gueule. Elle s'accroche à mes hanches pour se frotter contre ma jambe gauche. Elle ouvre la bouche pour gober mon sexe. Je bande mou. Immédiatement l'envoûtante douceur de l'indicible caresse me donne le vertige.

Clémentine tombe à genoux dans l'herbe. Elle me suce avec tant de passion. Nous restons ainsi un petit moment. Mes lombaires sont un peu douloureuses. La position debout, souvent cambré sur mes genoux fléchis. J'aide Clémentine à se relever. Elle m'embrasse avec tant de fougue. Nos salives se mélangent au foutre. Nous en avons rapidement les mentons trempés. Nous remontons en nous racontant plein de choses. Nous récupérons les légumes avant de rentrer. Clémentine s'occupe de la salade.

J'écosse rapidement les haricots. Je les jette dans l'eau bouillante. Je fais rissoler deux filets de cabillaud que je tartine de moutarde à l'ancienne en fin de cuisson. Le potiron coupé en petit morceaux dans l'auto-cuiseur. On en fera un gratin demain. Nous dressons la table au jardin. Qu'il fait bon de manger dehors. Nous traînons à table. << J'ai envie de me couvrir de frissons cet après-midi ! >> me confie Clémentine assise sur mes genoux. Nous nous réjouissons de pouvoir filer à bicyclettes.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous dévalons les escaliers. J'attrape le petit sac à dos contenant nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille d'eau, nos leggings et nos K-ways. C'est parti. 300 m jusqu'à la rivière. Le petit pont en bois. 500 m jusqu'à la piste cyclable. Cette fois nous pédalons contre un vent d'Ouest. Nous préférons car il nous poussera au retour. Nous croisons quelques cyclistes. Des joggeurs. Il y a 25 km jusqu'au port de plaisance. Le soleil est haut dans un ciel d'azur.

Il y a toujours encore des travaux au cabanon de l'écluse. Impossible de s'y arrêter pour nos rituels exhibitionnistes. Il y a des employés des VNF. Par contre, il y a un bateau de plaisance qui arrive sur le canal. Clémentine s'arrête. << Peut-être un plan avant l'écluse ! >> fait elle. Je m'arrête. Clémentine se place entre deux fourrés. Elle tient son vélo. Elle guette l'arrivée du bateau blanc. Il y a un mec à la barre. Deux femmes assises à l'avant. Un drapeau breton qui flotte au vent. L'occasion rêvée.

Je reste caché derrière les bosquets. Je fais le guet. Clémentine s'accroupit. Le bateau passe doucement. Dès que Clémentine est hors de vue des deux femmes, elle écarte largement ses cuisses. Le plaisancier s'en rend compte immédiatement. Il fait un discret signe de la main. Cette vision divine ne dure que quelques secondes. Déjà le bateau s'éloigne. Nous reprenons la route. Il est 15 h15 quand nous arrivons au port de plaisance. Il y a un peu de monde. Les joueurs de boules, des touristes.

Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Clémentine retire sa culotte qu'elle glisse dans le petit sac à dos que je porte. Nous entendons la voix du gros dégueulasse. Il est au téléphone. Nous passons rapidement devant la porte ouverte sans même regarder à l'intérieur. Nous traversons la route. Nous mettons nos masques sanitaires avant d'entrer dans la supérette. Il y a davantage de clients que hier. Nous saluons la gérante occupée à sa caisse. Nous allons au rayon des surgelés.

Il y a un jeune type qui tire sa corbeille rouge à roulettes. Probablement un plaisancier qui fait ses courses. Même si Clémentine est considérablement "allumée" par ses irrépressibles pulsions exhibitionnistes, elle garde toujours une maîtrise totale de ses actes. Je reste à l'écart. Clémentine s'avance vers un des congélateurs vitrés, s'accroupit devant pour regarder l'étagère du bas. Le jeune homme regarde des produits sur le rayonnage voisin. Il ne tarde pas à découvrir le spectacle qui lui est offert.

Sans culotte, les cuisses largement écartées, tournée de trois quart vers le mec, Clémentine lui montre sa chatte. Je vois la réaction du type. Il déglutit avec peine. Il louche plusieurs fois à s'en déboîter les globes oculaires. Il n'a probablement jamais vu une chatte aussi poilue. Il y a d'autres clients qui circulent. Il faut donc redoubler de prudence. Dans la vitre, Clémentine peut voir derrière elle. Pour la virtuose qu'elle est devenue au fil des ans, tout cela n'est plus qu'un jeu. Elle y prend tant de plaisir.

A la limite de l'ankylose, Clémentine doit se redresser. Elle change simplement de congélateur après avoir marché un peu. Elle fait le tour du rayon légumes pour revenir se positionner au même endroit. Nul doute, le jeune homme a pris conscience du genre de fille à qui il a affaire. Il ne s'approche pas. Par contre il reluque avec une ferveur religieuse. Il y a de quoi. Je sais le plaisir qui anime Clémentine. Personne ne se doute de ce qui se trame ici. Il y a une jeune femme qui vient rejoindre notre voyeur involontaire.

Cela met évidemment fin à ces instants magiques. Clémentine vient me rejoindre avec deux pots de glace Häagen Dazs. Pralin, vanille, pistache. Nous passons en caisse. Nous traversons la route pour retourner sur les quais. Là, assis sur un muret, à l'ombre des platanes centenaires, nous dégustons les 400 ml de nos pots de glaces. Un véritable délice. Quelle surprise. Le couple de la supérette. La jeune femme est-elle dans le secret ? Toujours est-il que les deux inconnus nous mâtent avec insistance.

Nous ne sommes absolument pas un couple échangiste. Les rencontres ne nous intéressent pas. Et certainement pas avec des hommes seuls. Mais là, à l'instant précis, Clémentine écarte légèrement ses cuisses en murmurant : << C'est un couple complice. Comme nous ! >>. Je peux me fier à l'instinct de Clémentine. Il est infaillible. C'est d'autant plus vrai que les deux voyeurs repassent une seconde fois. Clémentine plante sa cuillère dans la glace. Elle porte sa main sur ma braguette.

C'est à l'instant précis où la jeune femme regarde dans notre direction. Ils sont à une vingtaine de mètres. La jeune femme passe son bras autour des épaules de son compagnon. Elle lui glisse quelque chose à l'oreille. Ils s'éloignent pour disparaître là-bas, près de la terrasse du café restaurant pleine de gens attablés. << Pas de doute. Nous avons fait preuve de salubrité publique. Nous les avons bien "allumé" ! >> lance Clémentine. Nous flânons le long de la jetée. Il y les manœuvres de quelques bateau.

Nous revenons à nos vélos. Le gros barbu est en pleine conversation avec deux couples de plaisanciers. Nous ne regardons pas une seule fois dans sa direction. Nous avons pris la décision de l'ignorer. Clémentine remet sa culotte. Nous détachons nos bicyclettes. Nous les poussons jusqu'à la sortie du port. Il fait encore très agréable. Il est 18 h15. Le vent nous pousse. Nous pédalons sans effort. Nous croisons peu de cyclistes. Par contre beaucoup nous dépassent. Habillés en coureurs du Tour de France.

Il est 19 h30 quand nous revenons à la maison. Nous avons juste enfilé nos K-ways. La fraîcheur humide du soir se fait ressentir. Nous rentrons vite. La douce chaleur dans la maison. Quel bonheur. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste de haricots verts. Je fais rissoler de fines tranches de pommes de terre. Façon chips. Avec deux filets de colin grillés sur le barbecue électrique, ce repas est un autre délice. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons longuement à table.

Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur ses exhibes de l'après-midi. << Demain, je mets les bouchées doubles et je monte la barre d'un cran ! Je veux profiter de ces journées où je peux me trimballer en jupette ! >> me confie t-elle. Nous en rions de bon cœur. Je la félicite pour ses prestations de l'après-midi. Elle me couvre le visage de bisous en rajoutant : << Sans ta présence sécurisante, tout cela serait impossible. Grâce à toi je peux vraiment me "donner" à fond. Merci Julien ! >>.

La vaisselle. Nous mettons nos K-ways pour aller faire un dernier tour. Le crépuscule cède sa place à une nuit claire. La lune est pleine. Tout prend un aspect magique. Les feuilles des arbres brillent d'un éclat argenté. C'est de toute beauté. Par contre la fraîcheur humide est vive. Il est presque 21 h30. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. Je glisse la mienne sous sa jupette, entre ses cuisses bouillantes. Cela achève de nous exciter considérablement. Je promets à Clémentine un cunnilingus de haute qualité.

Nous nous lavons les dents en faisant des pitreries devant le miroir de la salle de bain. Nous procédons à nos rituels pisseux. Je tiens Clémentine par la nuque pendant qu'elle pisse. Je me mets à genoux pour sucer et lécher les dernières gouttes. Avec ses excitations de l'après-midi, les mélanges sont subtils et goûteux. C'est le nectar le plus enivrant que je connaisse. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Moi aussi avec mes excitations du jour, je lui offre les plus suaves mélanges.

Au lit, j'offre à Clémentine une alternance de cunnilingus et de de douces pénétrations. Elle me suce un peu. Et nous recommençons. Nous baisons comme nous aimons. Immobiles. A nous chuchoter nos ressentis. J'aime quand Clémentine me confie ses secrets. Son désir de plus en plus fort de retrouver une situation "normale" et sans crise. Sucer la bite d'un inconnu. Ce fantasme n'en prend que davantage de reliefs encore. Je lui offre un orgasme de catégorie A. Je lui éjacule dans la bouche. Nous plongeons...

Bonne virée à bicyclettes à toutes les coquines qui savent saisir les opportunités qui se présentent pour de discrètes exhibitions...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1268 -



Une journée ensoleillée. Une vraie journée d'été...

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par le souffle chaud de Clémentine dans mon cou. Cela a quelque chose d'animal qui n'est pas sans m'exciter. Dès les premiers frémissements de mes paupières, elle me couvre le visage de bisous en murmurant : << Tu es beau quand tu dors ! >>. Je suis soudain pétri d'émotion. Peut-être même un peu gêné. Ainsi moi aussi je me fais parfois épier dans mon sommeil. Je la serre contre moi. Clémentine se saisit de mon érection matinale. << Je t'aime ! >> fait elle.

Je glisse ma main dans sa culotte. Nous aimerions beaucoup rester comme ça ce matin. Il est 8 h30. Dehors il y a un soleil magnifique dans un ciel parfaitement bleu. Inutile de lutter plus longtemps. Nous nous levons d'un bond pour aller pisser. Nous revêtons nos tenues de jogging. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos quatre oranges. Je beurre les tranches que vient d'éjecter le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme de la journée. Une large part laissée à l'improvisation. A l'inspiration du moment. Nous traînons un peu à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque nos aventures de hier. << Je veux faire plus fort aujourd'hui ! >> conclue t-elle. Nous en rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement dans la douceur de ce matin de septembre.

Nous voilà à courir le long de notre parcours préféré. Le sol est sec. La campagne à l'entour est verte. Le ciel d'azur. C'est exaltant. Il est dix heures lorsque nous sommes de retour pour prendre une bonne douche. Nous nous habillons de nos tenues vélo. Nous descendons au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Le message d'Estelle qui nous raconte un peu de ses journées au bureau de l'entreprise familiale. Quelle surprise, un message de Juliette qui nous raconte sa rentrée.

Nous répondons rapidement. Nous ressortons pour aller au jardin. Le potager regorge encore de légumes. Clémentine, accroupie devant moi, cueille des tomates. Ses cuisses largement écartées, elle m'offre la vue de sa culotte de coton blanc. << Je m'entraîne pour cet après-midi ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. Je cueille un concombre. Une aubergine. Nous lavons le tout au robinet extérieur. Nous laissons les légumes dans l'évier de pierre. Clémentine m'entraîne par la main vers le chemin.

Nous descendons jusqu'à la rivière. Sa main dans mon short, Clémentine parle de Juliette. Nous avons peu de nouvelles. << Elle fait encore un peu la gueule parce que tu ne lui as pas proposé de tenir ta galerie cet été ! >>. J'ai bien compris. Clémentine rajoute encore : << Elle ne l'aurait pas fait, mais c'était juste pour le principe. Elle a été vexée que tu le proposes à Julie ! >>. J'écoute ce développement. Nous en avons déjà parlé dans les Alpes. A 53 ans, la psychologie féminine m'échappe encore quelquefois.

Nous longeons la rivière. Il y a les canards, les poules d'eau et les colverts. Je glisse souvent ma main entre les cuisses chaudes de Clémentine. J'aime me promener sous sa jupette. Nous remontons. Nous récupérons les légumes. Nous rentrons. Clémentine s'occupe de la salade de concombre et de tomate. Je verse le potiron cuit hier dans un plat en terre cuite. Je recouvre de gruyère de Comté râpé. Un peu de crème fraîche avec un œuf mélangé. De la chapelure. Je dispose au four.

Comme hier, nous dressons la table sous le noyer. Nous aimons manger dehors. Je fais griller deux filets de colin sur le barbecue électrique. Nous suspendons du linge. Le linge qui sèche dehors prend une texture et une odeur incomparables. La sonnerie du four. Il est pile midi. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Clémentine parle de nos séjours dans les Alpes et à Saint-Malo. Nos rencontres insolites. Nos aventures épiques. << J'en ai oublié l'écosse et ses merveilles ! Provisoirement ! >> lance t-elle.

Nous traînons un peu à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque sa rentrée, lundi 14 septembre. En fait de rentrée universitaire, ce seront les cours en ligne et le télé travail depuis la maison. << On sera ensemble tout le temps ! >> fait encore Clémentine. Bien des réjouissances en perspective. Nous débarrassons. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers.

Je récupère le petit sac à dos. Il contient nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille de flotte et nos inutiles K-ways. Il fait tellement chaud. Le thermomètre extérieur indique 28°. Nous voilà sur nos vélos. 300 m jusqu'à la rivière. Le petit pont en bois. 500 m jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Nous croisons nombres de cyclistes. C'est vendredi, premier après-midi du week-end qui commence. Il y a 25 km jusqu'au port de plaisance. Nous ne nous lassons pas de ce circuit.

Pas d'arrêt au cabanon de l'écluse car il y a des travaux en cour. Une bétonnière qui tourne. Deux employés des VNF. Deux ouvriers d'entreprise. Il y a probablement un colmatage de fuite. Il est 15 h15 quand nous arrivons au port. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Le capitaine est sur le pas de la porte entrain de tirer sur un cigare. Nous l'ignorons. Il nous voit et rentre dans son cabanon sans un mot. Il a certainement compris que nous ne désirions pas le contact. Tant mieux.

Il y a des touristes. Il y a des gens à la terrasse du café restaurant. Ambiance d'été avec les parasols. Il y a les joueurs de boules. Clémentine retire discrètement sa culotte pour la glisser dans le sac à dos. Nous traversons la route. Nous enfilons nos masques sanitaires avant d'entrer dans la supérette. Des clients. Nous échangeons quelques mots avec la gérante. Nous choisissons les parfums de nos glaces. Deux pots Häagen Dazs de 400 ml. Pour les gourmands que nous sommes. Vanille pistache.

Nous savourons nos glaces assis sur un des bancs libres sous les platanes centenaires. Nous regardons les boulistes jouer à la pétanque. Il sont une dizaine. Il y a des promeneurs qui s'arrêtent pour regarder. Des conversations. Il y a surtout ce bouliste qui mâte régulièrement dans notre direction. Clémentine me le fait remarquer en rajoutant : << Voilà la première "victime" de l'après-midi ! >>. Elle écarte légèrement ses cuisses. A part le mec, personne ne nous porte la moindre attention.

Je fais semblant de regarder ailleurs. Nous portons tous les deux nos lunettes noires de soleil. On peut loucher derrière nos verres fumés. Clémentine, adroite et virtuose, lève une jambe pour poser le pieds sur le banc. J'imagine très bien ce que peut voir le type. Ce qui ne l'empêche nullement de tirer ses boules avec concentration. Clémentine que cela "allume" toujours assez rapidement se lève. Elle se dirige vers le kiosque d'affichage et le tronc du platane qui nous protège du soleil.

Là, accroupie, discrète, elle imite à la perfection la fille entrain de pisser. Sans gêne mais tout de même secrète. Notre bouliste se met à l'écart du groupe. Comme s'il voulait étudier l'ensemble du jeu sous un autre angle. En fait, c'est surtout pour mâter la jeune fille qui pisse, là-bas, à une trentaine de mètres. Une telle salope reste quand même un spectacle rare qui mérite d'être apprécié. Clémentine se redresse à deux reprises. Il y a des couples de touristes. Il faut rester vigilante. Du grand art.

Elle vient me rejoindre en disant : << Trop risqué ! Mais ça fait du bien ! >>. Nous en rions de bon cœur. Inutile de s'attarder. Il y a probablement d'autres opportunités. Clémentine nous entraîne vers les bâtiments des sanitaires. Nous avons oublié que lorsqu'il n'y a pas école, l'endroit est le lieu de rendez-vous des D'jeunes du bourg. Nous contournons les toilettes publiques pour longer le canal. C'est un chemin étroit entouré d'arbustes. A gauche des arbres. A droites des fourrés au bord de l'eau.

L'endroit idéal pour préparer de bons plans exhibes. En voilà justement un. C'est un petit bateau blanc qui glisse doucement sur l'onde. Il est à une centaine de mètres. Clémentine me palpe le sexe à travers le tissu du short, me fait une bise et dit : << Reste planqué. Je vais nous offrir un méga show ! >>. Je la regarde se glisser entre deux bosquets. Je reste planqué derrière un des troncs d'arbres. Vue parfaite. Clémentine, accroupie, me tourne le dos. Le bateau va arriver à sa hauteur.

Le marin d'eau douce qui pilote le bateau semble seul à bord. La quarantaine sportive, vêtu de blanc, il est concentré sur sa conduite. Il s'apprête à entrer dans le port, là-bas à trois cent mètres. C'est là qu'il découvre, sur sa droite, cette superbe jeune fille visiblement entrain de faire son besoin. Comme le bateau avance tout doucement, notre bienheureux a toute latitude pour admirer le spectacle. Clémentine, bien droite, la tête relevée, fixe probablement le brave homme. Il a un grand sourire.

Il fait un signe amical de sa main droite. Clémentine lève la sienne pour le saluer. En même temps, elle écarte ses cuisses au maximum. Le type comprend sans doute, à cet instant précis, qu'il n'est que le jouet d'une authentique exhibitionniste. La plus parfaite des vicieuses qui le gratifie là d'un moment unique. Je ne vois pas si Clémentine pisse. Mais je vois le type mâter à en attraper un torticolis. C'est fou. Il ralenti. Coupe probablement les gaz. Il ne voit plus Clémentine qui se redresse pour changer d'endroit.

Elle parcourt une trentaine de mètres pour revenir s'accroupir devant le bateau immobilisé. Je reste planqué. Cette fois notre homme engage la conversation. Il propose à Clémentine de monter à bord. De faire connaissance devant un jus de fruit. Clémentine décline son offre mais bavarde tout en restant en position pisseuse. Je bande comme un salaud. J'adore me branler en observant les jeux de Clémentine. A la limite de la crampe, de l'ankylose, elle se redresse enfin en se massant les genoux.

Elle continue à discuter. Je ne comprends pas tout. Clémentine bavarde avec sa main droite sous sa jupette. Légèrement cambrée sur ses genoux fléchis. Je ne sais pas comment fait cet homme pour ne pas se branler aussi. Bravo mon gars ! En tous cas je sais que Clémentine ne fait pas semblant. Elle se masturbe vraiment. Elle aime tant ça devant des inconnus tout en restant inaccessible. Il y a un autre bateau qui arrive. Il faut cesser. En fait, c'est la compagne de notre bienheureux. Klaxon.

C'est une jeune femme magnifique à la barre de son petit bateau blanc. Le même que celui du plaisancier voyeur. Il a une grimace de dépit. Il hausse les épaules. Il faut cesser. Clémentine le salue discrètement de la main. Elle reste invisible aux yeux de la jeune femme qui arrive. Les bateaux sont à l'arrêt, côte à côte. L'homme et la femme discutent. Ils envisagent certainement d'entrer dans le port. Clémentine vient me rejoindre. Elle me surprend bite à la main, à genoux, en extase, entrain de me branler.

Je me redresse. Elle s'accroupit pour me sucer. Je la félicite pour ce moment énorme. Je l'aide à se relever. Nous retournons à nos bicyclettes. Le couple est entrain de se mettre à quai. Le capitaine guide la manœuvre. Il est déjà 17 h. Clémentine prend ma main pour la glisser sous sa jupette. Je veux absolument bouffer cette chatte. Nous retournons sur le chemin de halage en poussant nos vélos. Je déballe les K-ways. Je les dispose sur l'herbe à l'abri des regards. Clémentine s'allonge sur le dos.

Couché à plat ventre, mon visage entre ses cuisses je savoure les fruits de son excitation folle. Il y a carrément de petites éjaculations lorsque Clémentine se lâche dans un orgasme qu'elle ne peut réfréner. Elle reprend ses esprits dans mes bras. << Il était beau ce mec. Tu as vu comme il était sympa ? Il ne m'a même pas présenté sa queue ! >> murmure t-elle en se couchant sur le côté pour me sucer à nouveau. Je la laisse se régaler du fruit de mes branlettes. Moi aussi je suis hyper excité.

Il est 18 h. Nous reprenons la piste cyclable. C'est très facile de pédaler avec ce vent d'Ouest qui nous pousse. Nous pouvons rouler côte à côte en bavardant. Il est 19 h30 quand nous arrivons à la maison. Clémentine fait une salade de tomates. Je réchauffe le reste de gratin de potiron. Une sauce aux crevettes. Il fait encore si doux que nous mangeons dans la véranda. Les grandes baies vitrées ouvertes. Nous traînons à table. La fatigue se fait sentir. Clémentine est assise sur mes genoux. Le crépuscule.

Ce qui s'est passé cet après-midi restera dans nos souvenirs. << Encore une exhibe réussie ! >> fait Clémentine. Je rajoute : << Et de grande qualité ce coup-ci ! >>. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous allons marcher un peu dans la nuit claire. Il est 22 h. Nous nous lavons les dents. Nos rituels pisseux. Je me régale des sucs du sexe de Clémentine. Des coulées de jus de fille encore bien généreuses. Au lit, elle veut absolument me sucer. M'emmener au bout d'une pipe sublime. Je me laisse faire. Dodo...

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui apprécient de bonnes exhibes réussies devant de beaux "capitaines"...

Julien

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1269 -



Un samedi sous un beau soleil

Hier matin, samedi, je suis réveillé par le mouvement masturbatoire que fait Clémentine qui se frotte contre moi. Encore dans un demi sommeil je la serre encore plus fort qu'elle ne l'est déjà. << J'ai fait un rêve cochon ! >> chuchote t-elle à mon oreille avant de me chevaucher. << Et tu y étais délicieusement salaud ! >> rajoute t-elle en frottant son sexe sur mon érection matinale. Elle se penche pour me couvrir le visage de bisous. Nous ne sommes pas du matin. Et l'envie de pisser est contraignante.

N'en pouvant plus, en riant, nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Nos rituels pisseux prennent ce matin un relief particulier. J'ai du mal à pisser en bandant. Clémentine me tient la bite qu'elle contraint vers le bas. Quel soulagement quand j'y arrive enfin. Nous mettons nos tenues de jogging. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il est 8 h30. Il fait beau. Clémentine fait le café. Je presse nos quatre oranges. Le claquement sec du grille pain qui éjecte ses tranches.

Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de la journée de hier. Les exhibes réussies de clémentine dans l'après-midi. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me raconte son rêve. Cette fois c'est moi qui y tenais le premier rôle. Une histoire surréaliste et improbable. Au sommet d'une grue, dans un chantier. Clémentine l'analyse comme une réminiscence inconsciente du chantier de l'écluse devant lequel nous passons tous les après-midi sur la piste cyclable.

Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous sortons. Il fait aussi doux qu'un matin de juillet. Quelques mouvements d'échauffement. Nous voilà partis pour un running d'une heure. Le long d'un de nos parcours habituels. Il est 10 h quand nous revenons. La douche. Nous nous habillons. Jupe légère au dessus du genoux et chemisier pour Clémentine. Bermuda et chemisette pour moi. Nous ressortons avec la glacière que je branche sur l'allume cigare. Les cabas à l'arrière.

La logistique impose de remplir le réfrigérateur. Nous voilà en route. Treize petits kilomètres jusqu'à la zone commerciale. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Je gare la voiture sur un parking à moitié plein. Il y a du monde. Nous nettoyons la poignée du caddie avec du gel hydroalcoolique. Nous enfilons nos masques sanitaires et nos fins gants de caoutchouc. Clémentine qui tient la liste des courses nous entraîne dans les rayons qui nous concernent. C'est rapide et efficace.

Il faut louvoyer entre les charriots. De nombreux refus de priorités aux carrefours des rayons. Nous ne traînons pas. Par acquis de conscience, très vite, Clémentine nous entraîne au rayon culturel. Il y a trop de gens aux journaux, aux bouquins, pour tenter un plan de qualité. Nous faisons un tour aux vêtements homme. Pareil. Il y a même des parents avec des chiards bruyants. Nous terminons par la poissonnerie où il faut toujours patienter dans la file. En respectant la distanciation.

Nous passons en caisse. Nous allons directement à l'auto. Les produits frais et les produits de la mer dans la glacière. Le reste dans les cabas sur le siège arrière. En route. Nous devons encore chercher le pain à la boulangerie du bourg. Je roule avec la bite à l'air. Tenue fermement par Clémentine qui me confie être déjà bien "allumée". Je gare la voiture dans la ruelle. C'est jour de marché. Il faut attendre dans la file devant la boulangerie. Enfin c'est notre tour. Deux grosses miches et une brioche au pudding.

Nous rentrons. A partir de samedi prochain, nous nous ferons livrer à la maison. On ne va recommencer à s'emmerder avec toutes ces mascarades. Il est midi trente quand nous revenons à la maison. Nous rangeons les courses. Nous nous changeons. Nos tenues vélo. Clémentine s'occupe de la salade de choux. Je fais bouillir l'eau du bouillon pour y verser les moules et l'eau des coquillettes. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine s'en saisit. << Estelle ! >> lance t-elle.

En mode haut parleur, j'entends la conversation. Estelle s'excuse mais elle ne viendra que ce soir après 18 h30. Elle nous expliquera ce qui se passe. Pas de soucis. Nous mangeons de bon appétit dans la véranda. Les baies vitrées grandes ouvertes. Nous traînons un peu à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point elle apprécie de se retrouver jour après jour, seule avec moi. Je dois avouer qu'il en va de même pour moi. Même si nous adorons Estelle.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Dans le petit sac à dos, nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille d'eau et nos K-ways. C'est parti. 300 m jusqu'à la rivière. Le petit pont en bois. 500 m jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons une fois encore contre un léger vent d'Ouest. C'est bien car il nous poussera au retour. Il y a 25 km jusqu'au port de plaisance. Nous passons devant le chantier désert de l'écluse. Nous rions de bon cœur en évoquant le rêve de Clémentine. Il n'y a pas de grue...

Il est 15 h30 quand nous arrivons au port. Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. C'est samedi, les volets sont tirés. Le cabanon est clos. Le gros barbus dégueulasse est absent. Clémentine retire sa culotte qu'elle glisse dans le sac à dos que je porte. Il y a du monde sur les quais. Encore des touristes. Les joueurs de boules. Nous traversons la route pour aller à la supérette. Nous enfilons nos masques sanitaires. Il y a pas mal de clients. Nous choisissons nos pots de glace.

Nos parfums préférés. Vanille pistache. Deux pots de 400 ml Häagen Dazs. Nous les dégustons assis sur le même banc que hier. A l'ombre du feuillage des platanes centenaires. Nous regardons les boulistes. Le voyeur de hier n'est pas là. << Dommage ! Je lui aurais volontiers donner le coup de grâce ! >> fait Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Par contre il y a ce touriste solitaire qui semble un peu perdu qui passe et qui repasse avec une brochure touristique à la main.

Il cherche probablement quelque chose. L'endroit n'est pourtant pas classé "site historique". Rien de folklorique. Rien de typique. Il nous regarde à plusieurs reprises. Prétexte idéale pour Clémentine qui écarte légèrement les cuisses à chaque fois. Le type vient vers nous. << Excusez moi, le cimetière médiéval ? >> nous demande t-il. Clémentine lève une jambe pour poser le pied sur le banc. Elle montre le bâtiment de la supérette, le calvaire et le chemin qui monte vers le sommet de la colline.

Le gars est un peu gêné. Surtout que Clémentine vient de poser son autre pied à côté de ma cuisse. Il est impossible de ne pas voir son sexe. Ses cuisses étant largement écartées. Notre touriste en perd peut-être un peu ses moyens. Il bafouille en nous remerciant. Il se dirige vers la route. Nous n'avions pas vu ce type en solex qui est à l'arrêt là-bas, à une vingtaine de mètres. Ce n'est pas la partie de pétanque qu'il mâte. Mais l'attitude de la superbe jeune fille assise à côté de moi. Cuisses écartées.

Il est d'ailleurs le seul à pouvoir distinguer. Car le sac à dos posé sur le banc que Clémentine fait mine de fouiller cache sa chatte. C'est un quinquagénaire. Jeans, T-shirt, baskets et casquette. Que peut-il bien faire là à part mâter vers ici. Assez sans gêne. << Attends, celui-là, il va en avoir pour son argent ! >> murmure Clémentine qui se lève. Elle contourne le banc pour aller s'accroupir comme hier, entre le kiosque d'affichage et le tronc du platane. Position pisseuse. Le mec m'ignore et mâte.

Il avance en poussant son solex. Un solex noir. Une pièce de collection. Il contourne les joueurs de boules pour venir vers le kiosque. Je porte mes lunettes noires. Comme Clémentine. Je peux donc loucher en direction du voyeur sans être repéré. Je fais mine de consulter mon téléphone. Le type est à une dizaine de mètres de Clémentine. Dissimulé derrière le kiosque, l'inconnu se rince l'œil. Et il y a de quoi. Clémentine s'est carrément positionnée face à lui. Elle redresse sa tête. Bien droite. Fière.

Il y a des touristes. Mais personne ne passe entre le muret et le kiosque. J'utilise l'écran noir de mon téléphone comme un rétroviseur. Je peux voir ce qui se passe derrière moi. Je ne sais pas si Clémentine pisse devant ce mec. Toujours est-il que le bienheureux se palpe discrètement la braguette. Probablement excité par le spectacle qui s'offre à lui. Comme je le comprends le brave homme. La situation à haut risque ne lui permet pas de sortir sa bite. Mais il se la palpe vulgairement avec passion.

Il met son solex sur béquilles. Il s'approche. Je reste près à intervenir. Il s'arrête à quelques mètres de la fille qui se redresse précipitamment. Je n'entends pas ce qu'il lui dit. Mais vu son comportement salace, ce sont certainement des propositions. Il montre les bâtiments des toilettes publiques, là-bas, à 300 m. Clémentine passe une main sous sa jupette sport. Elle se met à converser avec le type. J'imagine l'état d'excitation du quidam devant l'attitude de cette superbe jeune fille.

Il semble insister. Clémentine a plusieurs mouvements négatifs de la tête. Le mec se cambre sur ses genoux fléchis en se tripotant la braguette. Au plus grand mépris d'être vu. Pas de doute, il supporte probablement très mal l'épreuve qui lui est infligée. Il semble même trépigner. Un capricieux. Il se montre presque agressif dans son attitude. Il faut qu'il se calme le bonhomme, il risque d'être repéré. Il semble perdre le contrôle. Clémentine le plante là. Elle déteste en arriver à ces extrémités.

Le type se met à la suivre. Le collant. L'emmerdeur. Le chiant. Tout ce que déteste Clémentine. Le type comprend que c'est moi que la jeune fille vient rejoindre. Il tourne les talons. Nous le regardons monter sur son solex qu'il pousse pour le faire démarrer. Il s'en va, son moteur pétaradant. << Pauvre type ! Au propre comme au figuré ! >> lance Clémentine. Nous éclatons de rire. Surtout que l'individu vient d'éviter une poubelle de justesse dans sa précipitation. Nous rigolons comme des bossus.

<< C'était Mister Bean ! >> fait encore Clémentine en m'entraînant par la main. Nous flânons encore un peu sur les quais. Nous retournons aux bicyclettes. Clémentine remet sa culotte. Nous reprenons la piste cyclable. Il y a peu de cyclistes. Nous pouvons parcourir les 25 km en roulant côte à côte presque tout le temps. De plus, le vent nous pousse. Plaisir total. Il est 18 h45 quand nous arrivons à la maison. La voiture d'entreprise d'Estelle est garée à côté du garage. Elle nous voit depuis la fenêtre.

A peine sommes nous dans le hall d'entrée qu'Estelle se précipite pour nous faire la bise. Elle me saute dans les bras en s'écriant : << Enfin ! >>. Je la soulève. Je l'emmène ainsi, ses jambes autour de mes hanches jusqu'à la cuisine. Elle est entrain de préparer le repas. Un gratin de pommes de terre qui est déjà au four. Des filets de limandes qui grillent sur le barbecue électrique dans la véranda. << Je suis là depuis 17 h30 ! J'étais tellement impatiente ! >> s'écrie t-elle. Nous sommes si heureux de nous revoir.

La table est déjà mise. La sonnerie du four. Estelle nous prie de nous assoir. Elle veut faire le service. Nous voilà tous les trois installés devant un délicieux repas. Estelle nous raconte sa semaine. Elle aide sa maman au bureau de l'entreprise familiale. Il y a le bilan comptable à préparer pour début octobre. Il y aura l'inventaire annuel et obligatoire. De plus son père ouvre une succursale dans le département voisin, à 35 km. Ce qui implique un redoublement d'activité. Embauche de personnel.

<< Vivement la rentrée universitaire. J'attends le lundi 14 septembre avec impatience ! Retrouver la solitude de ma chambre ! >> lance Estelle. Estelle aussi a choisi le télé travail et les cours en ligne. Pas de risque inutile, pas de promiscuité. Tant pis pour l'ambiance étudiante de la faculté des sciences. Estelle a donc passé une semaine éprouvante. << De plus maman fait sa déprime annuelle de retour de vacances ! Je fais assistante sociale ! >> rajoute encore Estelle. Nous en rions de bon cœur.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, les bras autour de mon cou, de mes hanches, les filles évoquent la rentrée universitaire. Elles se réjouissent. Leurs études sont passionnantes. J'écoute car c'est tellement intéressant. La vaisselle. Estelle plonge. Clémentine et moi nous essuyons. << J'ai commencé le montage de notre prochain film ! On a fait fort avec les photos prises dans les Alpes ! >> fait Estelle en mimant une masturbation masculine. Nous allons au salon. Nous nous vautrons dans le canapé.

Je suis assis entre mes deux anges. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite. Elle glisse sa main dans mon short en disant : << Elle m'a manqué si tu savais. Heureusement que je l'ai en film et en photos ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. << Je peux l'avoir ce soir ? >> demande encore Estelle en regardant Clémentine. Clémentine répond : << Si tu demandes poliment et à genoux ! >>. Nous éclatons de rire. Estelle ne se fait pas prier. Elle se lève, jette l'épais coussin au sol, se met à genoux dessus.

Je me lève. Je sors ma bite. Je la lui frotte sur le visage. Elle en gémit de bonheur en glissant une main dans son bermuda. Clémentine glisse une main sous sa jupette, dans sa culotte. De me voir faire le vicelard avec une autre fille reste une des sources de plaisir les plus intense pour Clémentine. Rien ne l'excite davantage dans ces situations. Estelle tente de gober mon sexe. J'esquive au dernier moment pour faire durer la joie. Je fini par la laisser se saisir de mon sexe avec ses lèvres gourmandes.

Je me fais rapidement tailler une pipe des familles. Clémentine, tout en se masturbant, raconte à Estelle nos aventures de la semaine. Comme Estelle ne veut plus venir sur le forum depuis longtemps, elle écoute tout en suçant avec passion. Elle glousse de plaisir. Elle gémit de bonheur. Elle pousse de petits râles de ravissement en tentant de déglutir l'abondance de mon liquide séminal. J'ai l'impression d'avoir la bite dans un bol de purée tiède. J'avais oublié en quelques jours la façon de pomper d'Estelle.

Les lombaires me sont douloureuses dans cette position debout, cambré sur mes genoux fléchis. L'indicible caresse ne me fait pas oublier cette pénibilité. Je me redresse. Je saisi Estelle par ses cheveux pour la forcer à marcher à quatre pattes sur le tapis. << Génial ! >> s'écrie t-elle en relevant la tête pour me fixer d'un regard plein de reconnaissance. Je lui dis : << Nous allons rattraper le temps perdu ! >>. Estelle se redresse sur ses genoux, bien droite, en posant ses mains sur la tête. Elle me fixe en sueur.

<< Pas cette semaine parce qu'il faut vraiment que je seconde mon papa. Maman est débordée de travail ! Mais à la rentrée. Julien, s'il te plaît, fais moi délirer comme une folle ! >> s'écrie Estelle. Je suis pétri d'émotion. Clémentine vient se mettre à genoux à côté d'Estelle. Je me penche pour lui faire plein de bisous. Estelle se remet à me pomper avec fougue. Elle suce comme si sa vie en dépendait. C'est merveilleux. Clémentine se lève. Elle m'embrasse. Elle tient mon poignet. Je la touche.

J'éjacule dans la bouche d'Estelle. En sournois. Comme d'habitude. Parfaitement immobile et sans prévenir. Elle me tient par les hanches en poussant des râles de bonheur. Clémentine se penche pour la regarder déglutir avec peine. << Petite salope, suceuse de bite, avaleuse de foutre ! >> lui chuchote t-elle. Sans répondre, sans cesser de pomper, Estelle repart pour un second tour. Je n'en peux plus. J'ai trop mal dans le bas du dos. Je la saisi par ses cheveux pour la forcer à se relever. Je l'entraîne aux toilettes.

Nos rituels pisseux. Je me régale des jus de mes deux anges. Elles en dégoulinent de plaisir. Estelle ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse là. Son bermuda et sa culotte descendus, se tenant au lavabo, le corps frissonnant, agitée de spasme. Poussant de petits cris d'extase. Clémentine s'offre un orgasme masturbatoire qui la fait hurler de plaisir. Nous montons. Nous sommes tous les trois épuisés.
Au lit, blottie contre moi, Estelle s'endort pendant que Clémentine suce. Je lui éjacule dans la bouche...

Bonne retrouvaille à toutes les coquines qui retrouvent leur couple de pervers vicieux. La bite pisseuse et juteuse d'un vicelard...

Julien

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1270 -



Un dimanche des plus agréables

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par les mouvements masturbatoires que fait Estelle blottie contre moi. Toute la nuit elle est restée serrée contre moi. Là elle se frotte. Dès qu'elle me sait réveillé Estelle me couvre le visage de bisous. Elle me tient par mon érection matinale. Tout cela fini par réveiller Clémentine qui vient tout contre moi. Je suis entre mes deux anges. C'est un moment intense. Magique. Une situation qui a duré une grande partie de l'été. Qui pourtant me semble être la première.

Dehors, le ciel est gris et couvert. Nous restons ainsi à nous étirer, à nous murmurer des douceurs. N'en pouvant plus, Estelle se lève d'un bond. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en se précipitant aux toilettes. Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'à la fenêtre. Il ne pleut pas. Même si le ciel s'avère menaçant. Une véritable matinée d'automne. Il est 8 h30. Estelle revient, enfile son bermuda et sa chemisette. << Venez vite, je descends préparer le petit déj ! >> lance t-elle en me faisant une bise avant de descendre.

C'est à notre tour. Nos rituels pisseux. Nous nous habillons. Jupette, chemisette pour Clémentine. Bermuda, chemisette pour moi. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. L'odeur du café. L'odeur de la brioche. L'odeur du pain grillé. Un autre enchantement. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit en écoutant Estelle nous raconter sa semaine. Elle aussi écoute Clémentine narrer nos aventures. Nos virées à bicyclettes.

Nous traînons à table. Le dimanche pas d'entraînement, pas de jogging, pas de gymnastique. Juste un peu de ménage en matinée. Estelle aime participer. Elle se propose de renouer avec nos vieilles habitudes. Elle aime passer l'aspirateur et faire la poussière. Passer le plumeau. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de mes hanches, les filles évoquent leurs études. Les stratégies à mettre en œuvre pour la rentrée universitaire. Ce sera depuis la maison. Des cours en ligne. Du télé travail.

La vaisselle. Clémentine me fait un bisou avant de monter faire la chambre. Estelle me palpe la braguette, me fait un bisou avant d'aller récupérer l'aspirateur. Je commence par nettoyer la cuisine. Tout est toujours très propre. Aussi les choses sont rapides. Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère. J'entends Estelle chanter. Quel bonheur. Je suis pétri d'émotion. Si tout cela pouvait durer éternellement. Et surtout encore de nombreuses années. Un étrange sentiment m'étreint.

Je suspends la serpillère sur l'étendoir dans les toilettes. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. J'avais totalement oublié le piège du dimanche matin. Ce piège que me tend Estelle. Toute nue, elle guette mon arrivée au bas de l'escalier pour me sauter dans les bras. C'est tellement adorable. Je la soulève. Je pourrais pleurer de joie en revivant une fois encore cette situation. Estelle passe ses jambes autour de ma taille. Elle m'embrasse avec tant de fougue. Nos bouches ont encore le goût de la brioche.

Je la dépose sur le bureau. Je frotte mon sexe contre son sexe. Estelle s'en saisit pour en introduire l'extrémité dans le sien. << Je t'aime Julien ! >> fait elle en s'accrochant à moi pour se mettre à bouger. D'un coup de reins elle s'enfonce presque toute la longueur. Je la soulève. Je l'emmène promener ainsi dans toute la grande pièce. << Mais comme c'est bon ! >> fait elle. Je reviens la déposer sur le bureau. Je me retire délicatement. Estelle se rhabille. Je l'entraîne par la main.

Nous gravissons l'escalier. Nous rejoignons Clémentine dans la chambre. Les deux fenêtres sont grandes ouvertes. Je ramasse les draps sales pour les emmener à la salle de bain. Clémentine vient m'y rejoindre. Je fais le bac à douche, le bidet. Clémentine fait les miroirs et le lavabo. Nous entendons Estelle chanter en passant l'aspirateur. Je raconte à Clémentine notre petit rituel "baise" au salon. Nous nous embrassons avec passion. << C'est étrange, je suis un peu jalouse ! >> chuchote Clémentine.

Elle descend avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes du haut. Je passe la serpillère. Estelle vient me rejoindre. Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cave. Nous rejoignons Clémentine dans la buanderie. Une machine tourne déjà. Nous aidons à trier le linge par couleurs. Les filles évoquent nos vacances. Le séjour dans les Alpes. Ce chalet d'altitude où nous avons passé deux semaines magnifiques. Dans un tout autre cadre de vie. Entourés de hauts sommets enneigés. Que de souvenirs.

Estelle nous laisse. Elle veut absolument préparer le repas de midi. Clémentine vient se serrer contre moi. Nous nous embrassons longuement. Nos mentons sont trempés de salive. Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine frotte son sexe contre cette bosse bien dure. Je la soulève pour l'assoir sur la machine à laver. Je sors ma queue. Je la frotte contre la chatte à Clémentine. J'en introduis juste l'extrémité. Nous restons immobiles à nous confier nos ressentis. Encore du bonheur.

<< Il y a encore une semaine de vacances ! C'est merveilleux ! >> susurre Clémentine entre deux baisers passionnés. Je me retire. Nous vidons la machine. Avec cette météo menaçante il est préférable de suspendre le linge dans la buanderie. Nous remontons par l'escalier extérieur qui donne sur la pelouse derrière la maison. Il fait doux. Le ciel reste obstinément couvert. Nous contournons la maison. Clémentine m'entraîne au potager. Estelle nous fait de grands signes depuis la fenêtre.

Il est 11 h45. Nous rentrons. La table est mise. Tout est prêt. Nous n'avons qu'à mettre les pieds sous la table. Estelle a préparé des pavés de saumon en papillotes avec de la potée de légumes. Une sauce au Roquefort et aux champignons. Le tout accompagné d'une salade de tomates. Nous la félicitons pour la qualité de ce repas délicieux. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Nous envisageons quelques activités pour l'après-midi. Prendre le risque de partir à vélo. Ou partir à pieds.

Je propose de prendre la voiture et d'aller randonner dans les collines. << Super ! >> font elles en même temps. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Il y a partout l'odeur de chlore et de javel. Nous nous changeons. Jupettes, T-shirt pour les filles. Bermuda T-shirt pour moi. Nous dévalons les escaliers. Pressés de filer. Je récupère le petit sac à dos. Nos pommes, nos barres de céréales, la flotte, les minis parapluies et nos K-ways.

Nous voilà en route. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, me caresse les joues. Elle nous raconte la semaine de boulot qui l'attend au bureau de l'entreprise familiale. << Vivement la rentrée que je me repose ! >> lance t-elle. Nous en rions de bon cœur. Nous arrivons sur le parking devant le restaurant des collines. Il y a du monde. Nous prenons le sentier qui monte à droite du restaurant. Il est en pente douce. Estelle marche devant. Clémentine derrière moi.

Parfois le chemin est assez large pour marcher côte à côte en suivant Estelle. Elle se retourne souvent. Nous croisons pas mal de marcheurs. Principalement des petits groupes. Là, plus bas, dans la vallée, les eaux sombres du lac où se reflète un ciel gris. J'ai la bite à l'air. Par prudence, à chaque fois que nous croisons des gens, je me retourne pour regarder le paysage. Estelle n'arrête pas de me la prendre dans la main. Là, entre les arbres, elle s'accroupit pour me la sucer. Sans préliminaires.

Clémentine fait le guet. << A mon tour ! >> dit elle en prenant la place d'Estelle un peu surprise de l'initiative. Nous reproduisons la situation à trois reprises jusqu'aux ruines du château. Nous comprenons pourquoi il y a tant de monde. Il y a une manifestation culturelle dans l'enceinte du château. Une troupe de théâtre est sur une scène basse. Un des acteurs déclame. Ils sont vêtus de costumes médiévaux. Le public est parsemé. La distanciation et le port du masque sont respectés même ici.

Nous restons à l'écart. Il faut enfiler son masque sanitaire pour entrer dans l'enceinte de la forteresse par le pont levis. Nous préférons rester à l'extérieur. << Rien à foutre de leur pièce de théâtre ! Rien à branler ! >> lance Estelle. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine précise : << Si. Il y a du foutre et à branler ! >>. En prononçant ces mots, elle pose sa main sur ma braguette. << Venez, on se trouve un coin pour vérifier tout ça ! >> s'écrie Estelle en nous entraînant.

Nous contournons les hautes murailles du côté le plus abrupte. Il y a évidemment des gens partout. Nous montons l'étroit sentier qui mène à la table d'orientation. Il y a là quelques endroits discrets. Il faut juste longer le muret sur la sente qui descend. C'est raide. Là, il y a ce petit coin retiré. Une sorte d'amas rocheux d'accès difficile. Nous nous installons. Nous grignotons nos pommes. Je suis couché sur le dos. La tête sur le K-ways en boule. Clémentine s'allonge à ma gauche. Estelle à ma droite.

Qu'il fait bon d'être là. Le ciel semble même s'éclaircir légèrement. Estelle me tient la bite. Clémentine me tient les couilles. Nous savourons cet instant en silence. Estelle se redresse la première pour poser sa tête sur mon ventre. << Je reviens mardi soir. J'ai peur qu'une semaine entière sans se voir nous mette "hors phase" tous les trois ! >> fait Estelle avant de se mettre à téter mon prépuce. Clémentine se redresse pour poser sa tête à son tour sur mon ventre. Elle dit : << Inquiétudes inutiles ! >>.

Mes deux anges se refilent ma bite qu'elles sucent en discutant. Je leurs caresse la tête, les cheveux, la nuque. J'écoute leurs échanges. Je murmure : << Tout ce que nous risquons c'est de devenir trois inséparables ! >>. Estelle se redresse pour dire : << Je viens d'ailleurs même vivre avec vous ! >>. Nous éclatons de rire. Tout est parfaitement défini pour l'automne. Estelle vient le mardi soir, le jeudi soir et le week-end. Comme nous le faisons depuis trois ans. Je passe mes mains dans leurs culottes.

Elles sont toutes les deux couchées sur le dos. Je suis à genoux. Je leurs caresse le sexe. Je démêle les poils. Le dimanche pas de douche. Nous aimons macérer dans nos jus. Sans même se concerter, les filles retirent leurs culottes en même temps. Je ne tarde pas à avoir ma tête entre les cuisses d'Estelle. C'est un délice de lécher cette chatte. Je pénètre ses lèvres de ma langue. Le goût de son sexe est fort. J'ai appris à l'aimer. Je suce son clitoris dès qu'elle cesse de se masturber. Des gémissements.

Je passe au sexe de Clémentine. Pareil. Je passe de l'une à l'autre dans une ivresse des sens qui nous fait oublier que nous pourrions nous faire surprendre. Ce qui est justement le cas lorsque j'en prends conscience. << Oh pardon ! >> fait une voix féminine. << Oh, excusez nous ! >> rajoute une voix masculine. Nous nous redressons dans un réflexe de panique. C'est un couple qui s'enfuit déjà sur le sentier. Nous éclatons de rire. Clémentine essuie la bave qui macule le bas de mon visage.

Nous nous réajustons. Il est déjà 17 h15. Il y a une heure trente de marche jusqu'à la voiture. Nous reprenons le sentier. << Put-Hein comme c'était bon cette léchouille ! >> lance Estelle à plusieurs reprises en glissant une main sous sa jupette pour se toucher. Clémentine fait pareil. Moi aussi. Il est 18 h45 quand nous arrivons à l'auto sous quelques gouttes de pluie. Une pluie qui ne dure pas. Je roule doucement. Il y a 25 km jusqu'à la maison où nous arrivons pour 19 h20. Nous sommes morts de faim.

Clémentine fait une rapide salade de carottes. Estelle concocte une belle omelette. Je réchauffe la potée de légumes. Je mets la table. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos folies de l'après-midi. Je propose à mes deux anges de reprendre après le repas. Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font le plan de la semaine. Estelle revient mardi soir. Elle insiste pour s'occuper du repas. Elle adore faire la cuisine. Préparer des surprises.

La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Une fois encore, sans même se concerter, elles retirent leurs culottes. Vautrées dans le canapé, elles me présentent leurs chattes. A genoux sur les épais coussins, je passe de l'une à l'autre. Quel délice. Je savoure leurs cramouilles avec un appétit d'ogre. Lorsqu'elles ne se masturbent pas, je suce leurs clitoris. Estelle connaît un orgasme fabuleux. C'est au tour de Clémentine de hurler de plaisir. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Séparation difficile. 22 h30.

Bonne randonnée à toutes les coquines qui aiment se faire brouter le minou dans de petits coins retirés. Sur les rochers...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1271 -



Une belle journée. Une soirée avec Julie...

Hier matin, lundi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est 8 h30. Dehors il fait beau. Il y a du soleil. Nous restons blottis le plus longtemps possible en luttant contre l'impérieuse envie de pisser. Clémentine me confie ses ressentis quand à notre week-end, la présence d'Estelle. Notre agréable randonnée de hier. Mon érection matinale dans la main, Clémentine finit par m'entraîner aux toilettes. Nous enfilons nos tenues de jogging. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café. Je presse nos quatre oranges. Le lundi matin il reste toujours de la brioche. Je la réchauffe légèrement au four. Le grille pain éjecte les tranches avec un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le très vague programme de la journée. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la venue de Julie ce soir. Elle nous le confirmera encore par mail ce matin. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux Clémentine me parle de la rentrée universitaire.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement dans la douceur de ce matin de fin d'été. C'est parti pour un running d'une heure. Nous courons le long de notre parcours préféré. Il y a de plus en plus de feuilles qui jonchent le sol. Avec l'arrivée de l'automne le paysage se met déjà à changer doucement. Le roux et le jaune s'installe dans le vert des feuillages. Il est 10 h quand nous revenons. La douche. Nous nous habillons de nos tenues vélo.

Clémentine m'entraîne au salon. Assise sur mes genoux, elle allume l'ordinateur. Le message d'Estelle qui nous écrit depuis le bureau de l'entreprise familiale. Elle s'impatiente d'être demain. Le courriel de Julie qui nous confirme sa venue ce soir pour 19 h15. Nous répondons. Clémentine surfe un peu sur le site de l'université. Aucune nouvelle information. Le programme du premier trimestre reste le même depuis le début aout. Nous ressortons. C'est une belle journée qui s'annonce. De la douceur.

Nous allons dans le potager. Clémentine cueille de belles tomates. Je récupère un potimarron. Deux beaux poireaux. Accroupie devant moi, ses cuisses largement écartées, Clémentine me fait profiter de la blancheur immaculée de sa culotte en coton. Elle me dit : << Il faut que je m'exerce pour cet après-midi ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous lavons les légumes au robinet extérieur. Nous les laissons dans l'évier de pierre. Clémentine m'entraîne sur le chemin qui descend à la rivière.

Quelle surprise. Il y a monsieur Bertrand notre voisin. Il est venu apporter du vieux pain aux canards, aux colverts et aux poules d'eau. Nous bavardons un peu. C'est toujours des moments très sympathiques. Nous remontons tous les trois pour nous séparer en haut de sa propriété. A cent mètres devant la nôtre. Nous récupérons les légumes. Nous rentrons. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je coupe les poireaux en petits morceaux. Direct dans l'auto cuiseur.

La pâte feuilletée a bien décongelé depuis ce matin. J'en étale la plus grande partie dans un grand moule à tarte. Je concocte une Béchamel. J'y verse le poireaux égoutté. J'y rajoute le gruyère que vient de râper Clémentine. Je recouvre du reste de pâte. Comme un couvercle que je badigeonne d'un mélange œuf, lait de soja. Au four. Je mets le potimarron coupé dans l'auto cuiseur. Ce sera pour demain. Nous dressons la table dans la véranda. Clémentine se serre contre moi.

<< Je t'aime Julien. Comme la vie est belle ! >> susurre t-elle avant de m'embrasser avec fougue. Je glisse ma main sous sa jupette sport. J'adore le contact lisse de sa culotte en coton. J'adore la douceur de sa peau entre ses cuisses. Tout en m'embrassant, Clémentine se cambre sur ses genoux fléchis. Je passe mes doigts sur la bosse que fait son clitoris géant. Presque immédiatement je ressens les frissons qui agite son corps. De petits spasmes. Des gémissements. C'est merveilleux.

Clémentine glisse une main dans mon short. Je bande mou. Nous nous touchons. Nous nous palpons. << Je vais être hyper salope cet après-midi ! >> murmure Clémentine en s'accroupissant. Elle descend mon short et mon slip sur mes genoux. Elle frotte son visage contre mon érection naissante. Je caresse ses cheveux en lui chuchotant des douceurs. D'un mouvement de tête gracieux et précis, Clémentine gobe l'extrémité de mon sexe. Elle tète la peau fripée de mon prépuce. Je sens sa langue.

La sonnerie du four. Je l'aide à se redresser. << Mmhh ! >> fait elle. Je remonte mon slip et mon short. Je sors la Flamiche Picarde du four. Cette tarte aux poireaux que nous apprécions tant. Le repas de ce soir est déjà prêt. Il y a un reste de Béchamel dans lequel j'ai rajouté des crevettes rissolées. En accompagnement du riz qui a gonflé. J'y rajoute de la purée de potimarron. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents.

Pressés de filer, nous récupérons le petit sac à dos. Il contient nos pommes, nos barres de céréales, la flotte et nos K-ways. Clémentine y glisse nos leggings à cause de la probable fraîcheur du retour en soirée. Nous voilà partis. 300 m jusqu'à la rivière. Le petit pont en bois. 500 m jusqu'à la piste cyclable. Un léger vent de Nord Est nous pousse. Il faudra lutter contre lui et sa fraîcheur ce soir. Nous croisons quelques cyclistes. Il y a 25 km jusqu'au port de plaisance. Nous les faisons d'une seule traite.

Il y a toujours encore des travaux au cabanon de l'écluse. Il est 14 h45 quand nous arrivons. Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie. Nous entendons le capitaine parler au téléphone. Une conversation d'une vulgarité qui nous fait éclater de rire. Clémentine retire rapidement sa culotte qu'elle glisse dans le sac à dos. Nous traversons la route. Nous enfilons nos masques sanitaires avant d'entrer dans la supérette. Il y a peu de clients. Nous bavardons avec la gérante.

Depuis quelques temps, nous préférons prendre des pots de glace de 400ml. Häagen Dazs. Les parfums en sont exquis. Dans une petite pochette du sac à dos, il y a trois petites cuillères à moka. Parfait pour déguster des glaces n'importe où. Nous voilà assis sur notre banc habituel sous les platanes. Nous regardons les joueurs de boules. Le voyeur de la dernière fois n'est pas de la partie. Personne ne nous prête la moindre attention. Nous commençons par reconnaître quelques habitués de la pétanque.

Il y a peu de touristes. Quelques uns sont attablés à la terrasse du café restaurant. Clémentine pose le sac à dos sur ses cuisses. << Touche moi, j'ai envie que tu me touches comme à la maison ! >> murmure t-elle. Le sac dissimule ma main exploratrice. Je démêle les poils. Je glisse mon index entre ses lèvres charnues. Je remonte jusqu'au clitoris. Je le tiens délicatement entre le pouce et l'index. << Oui. Comme ça. C'est si bon ! >> chuchote Clémentine déjà en extase. Ce bouton de plaisir est un déclencheur.

Il faut cesser car un groupe de marcheur se dirige vers nous. Une dizaine de séniors qui pratiquent la marche norvégienne. Ils marchent avec des bâtons. Ce qui fait un raffut infernal sur les dalles de béton. Clémentine m'entraîne par la main. Nous contournons la capitainerie pour passer derrière les bâtiments des sanitaires. Nous descendons sur le chemin de halage qui longe cette portion du canal. Nous allons derrière les fourrés. Clémentine déplie les deux K-ways. Nous nous en servons comme de couvertures.

Allongée sur le dos, me caressant la tête, Clémentine se fait brouter en gémissant. Je me régale de son abondante cyprine. Je suce son clitoris géant. De la taille de la première phalange de mon pouce. C'est extraordinaire. Nous évitons l'orgasme à trois reprises. Nous aimons nous garder excités toute la journée. Clémentine, couchée sur le côté, me suce avec passion tout en continuant à se masturber. Je la tiens par les cheveux. Elle est en appui sur son coude. Il y a parfois des bruits de voix.

Nous cessons. Nous sommes étourdis de plaisir. Nous reprenons nos esprits assis en tailleur. Nous plions les K-ways. Dans le sac. Nous retournons vers le port. Il n'y a pas la moindre opportunité d'exhibe. Ce qui frustre un peu Clémentine. << Allumée comme je le suis, j'aimerais bien m'offrir un voyeur innocent ! Une victime ! >> me fait elle. Nous en rigolons comme des bossus. Nous flânons encore un peu sur les quais à la recherche de cette "victime" éventuelle. Cet après-midi, rien...

Il est presque 17 h. Nous retournons aux vélos. Nous arrivons juste au moment où le capitaine ferme sa boutique. << Le gros dégueulasse ! Attends, reste en retrait, je veux voir ! >> me fait Clémentine. Je passe par derrière. Le type voit arriver Clémentine. Il se palpe immédiatement la braguette. Je ne comprends pas ce qu'il dit. Je suis trop loin. Clémentine s'arrête. Elle échange quelques mots. Le mec n'arrête pas de se tripoter vulgairement. Il en rajoute le salopard. La grossièreté personnifiée.

Clémentine le laisse pour contourner le cabanon. Nous nous rejoignons aux bicyclettes. Le mec arrive avec la bite à l'air. Il ne s'attendait pas à me voir. Il se retourne brusquement. Hyper gêné d'avoir été surpris. Il ne dit rien et disparait très vite. Nous éclatons de rire. En route. Nous pédalons contre ce maudit vent de Nord Est. Il faut s'arrêter pour enfiler nos leggings et nos K-ways. Nous croisons encore pas mal de cyclistes. Il est 18 h45 quand nous arrivons à la maison. Fourbus. Les yeux larmoyants à cause du vent froid.

Nous montons nous changer. Il fait bien chaud dans la maison. Clémentine revêt une robe qui lui descend sur les mollets. Des ballerines. Sur sa demande je porte un pantalon de toile claire, une chemisette crème et mes mocassins de même couleur. Nous redescendons. Clémentine s'occupe de la salade de concombre. Je réchauffe la tarte aux poireaux. Je dresse la table au salon. Nous nous faisons plein de bisous. << Tu seras le salaud que j'aime avec Julie ce soir ? >> me demande Clémentine.

Nous rions de bon cœur. Je réponds : << Attendons de voir l'attitude de Julie. S'il y a de la "demande" ! Je ne veux pas l'incommoder ! >>. En même temps que je prononce ces paroles, retentissent trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Elle revient suivie de Julie. Comme elle est belle. Décidément ces deux mois à tenir une galerie d'Art ont considérablement métamorphosé cette jeune fille de vingt ans. Elle est vêtue d'un pantalon clair, d'une veste cintrée sur un chemisier clair. Des baskets.

Elle a un immense et magnifique sourire. << On peut se faire la bise. J'ai eu les résultat de ma prise de sang. Je suis comme au premier jour de ma vie ! >> lance t-elle. C'est une boutade. Tout comme nous, Julie est très prudente. Nous jouons la distanciation. Nous en rions de bon cœur. J'invite les filles à prendre place. Je propose d'assurer le service. << Je veux aider. Je suis tellement contente d'être là ! >> lance Julie. Nous allons à la cuisine en même temps que résonne la sonnerie du four.

Je surprends le regard de Julie. Elle vient de s'assurer que ma braguette est bien fermée. Elle me lance un regard par en dessous. Je viens de comprendre le message. J'ai cessé d'être "l'employeur" pour redevenir l'homme. Clémentine à qui rien n'échappe me fait un discret clin d'œil. Nous emmenons les plats au salon. La Flamiche Picarde est délicieuse. << Je me régale quand je viens ! >> fait encore Julie. Elle nous raconte sa rentrée. Elle a commencé ses cours en ligne aujourd'hui.

Julie aussi a donné sa préférence au télé travail. Même si l'ambiance de la faculté des Lettres Modernes lui manque, elle préfère jouer la prudence. Clémentine oriente la conversation en racontant quelques unes de nos aventures. Julie écoute. Nous retrouvons la jeune fille du mois de juin. << Vous m'emmenez avec vous un de ces jours. Je voudrais bien assister à vos petits jeux ! >> fait elle. Elle précise qu'elle est libre le mercredi après-midi. Nous nous regardons tous les trois en silence.

<< S'il fait beau mercredi, vous m'emmenez ? >> lance Julie. << C'est génial ! >> s'écrie Clémentine. Jusqu'au dessert, Julie pose quelques questions précises. Julie est une voyeuse authentique. Elle se réjouie à l'idée de nous accompagner pour une virée exhibitionniste. Rendez-vous est pris pour mercredi. Elle vient nous rejoindre avec sa bicyclette dans le coffre. Pour 13 h30. << C'est génial ! >> s'écrie une fois encore Clémentine qui n'arrête pas de me faire du pied sous la table.

Je n'entreprends toutefois rien. Je crois que Julie m'en est reconnaissante. Lorsque Clémentine raconte quelques anecdotes, Julie imite un court instant une masturbation masculine en demandant des précisions. C'est très excitant. Nous passons une merveilleuse soirée. Il est 22 h quand nous raccompagnons Julie à sa voiture. Assise sans son auto, elle fixe plusieurs fois ma braguette. Elle voit bien la bosse. Je bande comme un salaud. Au lit, Clémentine insiste pour me tailler une pipe. J'éjacule en bienheureux...

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment raconter quelques unes de leurs aventures à une autre coquine...

Julien

Classe



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