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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
- 1 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2592 -



Seconde journée de vacances

Hier matin, lundi, il est un peu plus de huit heures trente quand je suis tiré de mon sommeil. Les pieds d'Estelle qui bougent en rythme contre les miens. Toujours en quête de cette chaleur qu'elle apprécie. Ce sont ses "impatiences" comme elle les appelle. Dès qu'elle me sait conscient, elle se serre encore plus fort en saisissant mon érection naturelle. Jouant avec ma tumescence, elle pose ses lèvres dans mon cou. J'adore ce petit effet ventouse. Tout cela finit par réveiller Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges, dans une volupté divine à laquelle il est parfaitement impossible de s'habituer. Distribution de bisous, mes mains dans les culottes. Estelle qui se redresse avant de sauter du lit en s'écriant : << Urgence absolue ! Sinon pipi au lit ! >>

Clémentine tient mon sexe en me couvrant le visage de bisous. Elle descend sous les draps. Cette toute petite fellation matinale qui ne dure même pas trente secondes. Elle revient à la surface des draps en murmurant : << C'était bien avant de dormir. Moi aussi j'aime ce que tu me fais avec ta bouche ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. C'est en slips et T-shirts de nuit que nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans les douceurs parfumées du café et du pain grillé. Je presse les toutes dernières oranges. Clémentine pèle les tous derniers kiwis. << Il faut vraiment faire les courses aujourd'hui ! >> précise Estelle alors que je beurre les tranches éjectées par le grille pain. Je propose de partir ce matin, après la douche pour aller à l'hypermarché. Pourquoi ne pas manger à la cafétéria ?

La suggestion est applaudie. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les découvertes de la randonnée de dimanche après-midi. En regardant par la fenêtre force est de constater que c'est très exactement la même météo. Le ciel est bleu. Le soleil y règne en maître. Par contre, lorsqu'elle consulte son I-phone, Estelle s'exclame : << Mes amours, tenez-vous à vos sexes, il ne fait exactement que 4° ! >>. Toujours cet étrange contraste entre une apparence printanière et un froid polaire. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, les bras autour de ma taille, de mon cou, les filles font le vague programme de la journée. En revenant des courses, en début d'après-midi, ce sera une randonnée improvisée. Nous voulons découvrir le viaduc et ses environs à quelques trois kilomètres.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. C'est le troisième jour des règles de Clémentine. Je m'applique à lui prodiguer les soins du docteur Julien. Plusieurs fois par jour. La seconde fois de cette matinée. Mes lèvres posées sur chacun de ses seins minuscules, je souffle de l'air chaud à travers le fin coton de son T-shirt de nuit. En massant délicatement le bas de son ventre. << Mmhh, docteur, vos thérapies font des miracles ! >> dit elle. Estelle rajoute : << Et dans trois jours, cher docteur, vous aurez une autre patiente à soigner ! >>. Nous nous serrons tous les trois en riant. Distribution de bisous. De plus en plus souvent mes deux anges se font des bises sur la bouche avant et après les avoir posé sur la mienne. Le paradis.

Estelle retire son pyjama. Nous revêtons nos tenues de jogging. Nous enfilons les K-ways, les bonnets, les gants. Il en faut du courage pour affronter les 4°. Nous pratiquons des mouvements d'échauffement en soufflant comme des bœufs sur la terrasse avant d'en sauter les marches. Direction le portillon arrière de la propriété à petite foulée. De la vapeur sort de nos narines, de nos bouches. Il faut lutter contre l'envie de retourner au chaud. Nous courons sur le chemin qui mène au viaduc qu'on distingue là-bas, au loin. Clémentine s'arrête soudain. << Venez on rentre, on se contente de faire de la gym ! >> propose t-elle. Sans même nous consulter, nous faisons demi tour pour retourner au chaud. Pliés de rire en reprenant nos mouvements aérobics. C'est bien plus agréable à 22°.

Exercices au sol en augmentant le nombre de flexions abdominales, de pompes, de ciseaux avants, de ciseaux arrières. Dans une certaine déconne naissante. Estelle prend sa douche la première pendant que nous recouvrons le lit. Nous la rejoignons dans la salle de bain. Qu'il est agréable de pouvoir prendre tout son temps pour chaque chose. Nous revêtons nos Levis, nos chemises à carreaux d'épais coton, nos bottines. Nous enfilons nos blousons d'épais cuir brun. Les bonnets, les gants pour sortir, pour aller jusqu'à la voiture. C'est parti. Il y a dix kilomètres jusqu'à la zone commerciale aperçue à notre arrivée samedi. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Prend ses "gouttes" à quelques reprises. << Au retour c'est à mon tour d'être devant ! >> lance Estelle.

Nous garons l'auto sur le vaste parking. Je pousse le chariot. Estelle reste à mon bras. Clémentine nous précède dans les allées des rayons avec la liste des achats. Priorité aux légumes bios et aux fruits bios. Il nous faut du pain. Le choix est large. Nous flânons dans l'immense magasin pour le découvrir. Clémentine s'offrirait bien volontiers une petite friponnerie exhibe. À tous hasards nous traînons assez longuement dans la zone culturelle. Les bouquins, les magazines. Pas de mecs seuls. Pas de "victime potentielle". Pas toujours très discrète, se plaçant entre le caddie et moi, Estelle me palpe la braguette. << J'ai envie de faire ma salope ! >> dit elle à chaque fois. << Toi aussi ? Comme c'est bizarre ! >> rajoute Clémentine. Nous pensons avoir fait le tour de l'hypermarché. Avec "tout".

Nous passons en caisse. Nous regardons les menus affichés à l'entrée de la cafétéria. << Regardez, des flam's ! >> lance Estelle. Ce sont ces spécialités allemandes ressemblant à des pizzas mais sans tomate. De larges galettes de pâte blanche sur lesquelles sont éparpillés des lardons, des oignons et de la crème fraîche. << Va pour les flam's ! >> dit Clémentine. Nous allons mettre nos achats dans le coffre de la voiture avant de revenir. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Mes deux anges évoquent le troisième trimestre qui les attend. Il faudra aller récupérer les livres présentant leurs thèses. L'imprimeur m'a fait savoir par courriel qu'ils étaient disponibles. C'est au programme de la semaine prochaine. Une soutenance de thèse est plus crédible avec un support livresque.

Nous traînons à table après avoir déguster nos "savarins" au caramel et un bon café. C'est parti, nous rentrons. Estelle assise à l'avant qui joue avec ma bite. Clémentine à l'arrière qui caresse mon cou, joue avec mes oreilles. << Suceuse ! >> dit elle à chaque fois qu'Estelle se penche sur sa gauche. Il est presque quinze heures quand nous sommes de retour. Nous rangeons les courses. Légumes dans le bas du frigo, fromages dans le haut. Nous pensons avoir les courses nécessaires pour trois à quatre jours. Les oranges, les pommes et les kiwis se conserveront très bien dans la petite armoire sur la terrasse. << J'adore te sucer quand tu roules. Il y a quelque chose de romantique ! >> me fait Estelle en passant ses bras autour de mon cou. << C'est ma référence ! >> fait Clémentine.

Nous changeons nos bottines pour les chaussures de marche. Nous enfilons nos anoraks. La température extérieure est de 12°. << Put-Hein, ça pèle, ras-le-cul ! >> lance Estelle quand nous ressortons. << Jamais dans le cul ! >> lance Clémentine. C'est en riant de bon cœur que nous nous dirigeons vers le portillon. Un bruit de moteur. Là-bas, c'est monsieur Guillaume qui arrive dans sa grosse Jeep bleue métallisée. << Attendez-moi là, planquez-vous ! >> dit Clémentine. Estelle m'entraîne par le bras pour nous dissimuler derrière l'angle de la grange. Estelle tire la paire de minuscules jumelles toujours dans le sac à dos. Nous mâtons. Pour monsieur Guillaume, Clémentine reste l'organisatrice. C'est avec elle qu'il était en contact pour la réservation, le formalités et les paiements.

Il s'adresse d'ailleurs toujours à elle comme la "directrice" de nos vacances. Rôle que nous lui laissons volontiers. Ils sont à une centaine de mètres. Monsieur Guillaume reste au volant tout en parlant avec Clémentine. Cela dure une bonne dizaine de minutes. Estelle et moi nous nous disputons la paire de jumelles. Estelle commente ce qu'elle voit, ce qu'elle suppose. Nous voyons Clémentine prendre appui des deux mains sur la portière du véhicule, se pencher pour regarder à l'intérieur. Plusieurs fois. Riant à chaque fois qu'elle se remet droite. Nous devinons parfaitement ce qui se passe. Nous le comprenons d'autant mieux quand monsieur Guillaume saute de sa Jeep. Il a sa bite à l'air. Un petit calibre mais présentant une érection dure et raide. Clémentine prend du recul en riant.

Le salaud agite sa queue en rigolant lui aussi. Clémentine tourne les talons. Elle s'éloigne. Se retourne plusieurs fois en faisant un signe amical de la main. Le salopiot fait tournoyer son Zob. "L'hélicoptère". Comme je le fais souvent moi-même. Clémentine nous rejoint. Mettant son visage dans ses mains, comme si elle se remettait de son trouble elle finit par nous dire : << On dirait la bite d'un singe. Toute poilue. La peau foncée. Vous avez vu ? >>. Nous n'avons pas vu avec l'éloignement malgré l'appareil optique qui grossit tout de même huit fois. Nous nous mettons à marcher en direction du viaduc. Clémentine nous raconte dans le détail : << Ce mec doit être velu comme un gorille. Du poil qui dépasse de partout. Il m'a proposé un tour dans sa Jeep. Un modèle importé des États Unis spécialement pour lui ! >>

Nous rions en écoutant Clémentine nous narrer son aventure. << Il t'a proposé la baise ou la pipe ? >> demande Estelle. << Non il m'a juste proposé une balade en voiture ! >>. Je l'encourage à accepter en disant : << Toi qui aime les vicelards, là, tu en tiens encore un bon, un vrai ! >>. Elle s'arrête, passe ses bras autour de mon cou. Estelle passe ses bras autour de nos épaules. Nos visages presque à se toucher, Clémentine nous fait : << Je peux vous abandonner un peu demain en fin de matinée. Juste une demi heure ? >>. Nous nous couvrons les joues et les lèvres de bisous. Estelle s'écrie : << Demain tu te fais balader en bagnole avec une bite dans la bouche ma cocotte ! >>. Nous rions aux éclats. Nous reprenons notre marche rapide pour arriver aux pieds de la gigantesque construction.

C'est un viaduc bâtit au dix neuvième siècle par la compagnie des chemins de fer. Il permet encore aujourd'hui aux nombreux trains qui circulent de franchir les cinq cent mètres d'une vallée encaissée entre deux massifs de basses collines. C'est impressionnant car les larges voûtes culminent à plus de soixante dix mètres de hauteur. Il y a un grand panneau d'informations. Des photos d'adeptes du saut en élastique. Il faut grimper le sentier pour monter jusque sur l'ouvrage mais c'est une interdiction absolue. Nous ne voulons pas prendre de risque mais nos curiosités sont aiguisés. Et nous apprécions tout particulièrement les transgressions. Il y a dix huit arches. Au milieu coule une large rivière aux eaux claires mais probablement aussi glaciales que l'atmosphère qui nous pousse à rebrousser chemin.

Il est dix huit heures quand nous revenons de notre équipée viaduc. L'endroit est un peu mystérieux. << Il faudrait revenir quand il fait beau et chaud. Il y a certainement de bons "plans" près de la rivière ! >> dit Estelle. Nous changeons de chaussures. Une table nous attend ce soir au "Lapin Chasseur". Restaurant gastronomique dans lequel Clémentine a réservé. C'est à la sortie du bourg. Nous nous y rendons à pieds. À peine trois kilomètres. << Ce sera une promenade digestive au retour ! >> lance Estelle. Les filles me tiennent par les mains. Nous arrivons pour dix neuf heures quinze. C'est un établissement deux étoiles recommandé par le Gault et Millau. Une superbe demeure de style néo gothique entouré d'un petit parc. Le personnel de très grande classe nous accueille comme si nous étions de vieilles connaissances.

Il y a du monde. Presque toutes les tables sont occupées. Celles qui ne le sont pas sont réservées. Une table nappée de blanc, de dentelle. Les murs recouverts de panneaux de chêne. De grands lustres au plafond dont les poutres sont apparentes. Il règne là une ambiance envoûtante. Nous félicitons une fois encore Clémentine pour cette nouvelle surprise. Ses qualités d'organisatrice. Nous choisissons un sanglier aux fonds d'artichauts poêlés. Une spécialité de la maison. En fait, c'est un pâté de sanglier en croûte, accompagné d'une sauce absolument délicieuse. Les fonds d'artichauts fondent dans la bouche. << C'est inouï tellement c'est bon ! >> murmure Estelle. Je ne sais pas laquelle me fait du pied sous la table. Probablement toutes les deux. Elles se font des clins d'œil. Estelle m'entraîne aux toilettes la première.

Enfermés dans un des cabinets des WC hommes, je la prends en levrette dès son pipi terminé. Avec les excitations quasi permanentes de nos journées, ça rentre assez facilement. Estelle, en appui de ses mains sur le carrelage du mur, me présente son cul cambré. Je n'ai qu'à la pénétrer. Jouant avec son clitoris. On y retourne toujours deux fois. Les deux fois avec Clémentine sont réservées à la pipe. Clémentine prend ses "gouttes". Thérapie du docteur Julien. Bien évidemment, cet homme d'âge mûr qu'accompagnent deux sublimes jeunes filles jusqu'à la porte des toilettes, ne va pas sans attirer l'attention. Des regards discrets. Envieux chez certains clients. Curieux chez certaines clientes. Les deux serveuses nous adressant d'étranges sourires à nos retours. Nos yeux cernés.

Bonne nouille à toutes les coquines qui aiment en partager le jus de cuisson sous les draps. Leurs clitoris turgescents et enfiévrés par la bouche gourmande du "docteur"...

Julien (Docteur Honoris Causa es cunnilingus)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 2 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2593 -



Troisième journée de vacances

Presque huit heures trente, hier matin, mardi. C'est un peu le même procédé qu'utilise Estelle pour me tirer du sommeil. Elle déteste être seule. Aussi, bougeant ses pieds contre les miens, toujours en quête de chaleur, dès qu'elle me sait réveillé, elle saisit ma tumescence, pose ses lèvres en ventouse sous mon oreille. C'est tellement agréable de revenir à la réalité de cette manière. Tout cela tire également Clémentine de son sommeil. Elle vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges dans une volupté extraordinaire. Surtout quand je glisse mes mains dans les culottes. Il y fait broussailleux et chaud. Mes doigts qui passent délicatement entre les lèvres de leurs intimités. J'ai déjà envie de passer sous les draps comme avant de dormir, pour lécher, sucer et m'enivrer.

Estelle se lève d'un bond. Elle se précipite vers la porte dans son pyjama de soie mauve, s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine s'empare de mon sexe qui redevient mou. Une cuisse sous mes fesses, l'autre sur sa main, elle imprime un mouvement masturbatoire de son bassin. << Je fais l'amour avec toi ce soir. Mes "petits machins" seront terminés ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. En slips et T-shirts de nuit, nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans les suaves odeurs du café, du pain grillé. Nous avons acheté une belle brioche au pudding en faisant les courses lundi. Elle trône sur la table. Je viens me placer derrière Estelle qui presse les oranges. Mes mains sur ses hanches qui remontent sur ses seins minuscules. Clémentine qui fait pareil derrière moi. Sandwich.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les attitudes de monsieur Guillaume. Son invitation d'emmener Clémentine faire un tour dans son énorme Jeep bleue métallisée. << Tu vas le faire ? >> demande Estelle. Avant de répondre Clémentine vient s'assoir sur mes cuisses, trempe sa tranche de brioche dans mon café. << Seulement si Julien veut bien ! >> dit elle. Je l'encourage. Je propose même à Estelle de les accompagner, installée sur la banquette arrière. << Tu es fou, moi je reste avec toi ! Je suis mieux avec toi, moi ! >>. s'exclame t-elle comme offusquée. Nous en rions de bon cœur. Nous traînons un peu à table. Estelle vient à son tour s'assoir sur ma cuisse libre. Nous évoquons le programme de l'après-midi. La visite du musée du Haut Moyen-Âge de Bourg-Vignes.

La vaisselle. La météo est sensiblement la même. Consultant la température sur son I-phone, Estelle annonce : << Il fait 5° aujourd'hui ! On va vers le mieux ! >>. Clémentine rajoute : << Mais on fait comme hier, on s'entraîne au chaud ! >>. Estelle enlève son pyjama à la salle de bain. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous restons en slips et T-shirts. C'est au salon, en déplaçant la table que nous pratiquons nos mouvements aérobics, nos sauts et extensions. Les exercices au sol sur les tapis en mousse. Les étirements d'une excellent stretching. Le tout dans une certaine déconnade. Estelle prend sa douche pendant que nous recouvrons le lit. Nous la rejoignons à la salle de bain, c'est à notre tour. Estelle chantonne en s'habillant.

Tous les trois en jeans, épaisses chemises à carreaux et baskets, nous passons au salon. Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Trois courriels. Un message de Juliette qui nous raconte la cérémonie d'enterrement de sa tante bien aimée. Elle reprend l'avion du retour demain, mercredi. Un mail de Lise, notre "fille de ménage" qui nous propose de passer lundi prochain en début d'après-midi. Un message de Danièle qui nous raconte un peu de l'entreprise agricole qu'elle dirige avec son mari. C'est Clémentine qui répond. Estelle se lève pour se diriger vers la porte. << Interdiction absolue d'entrer à la cuisine, je prépare le repas de midi. Surprise ! >>. Je caresse les seins minuscules de Clémentine toujours assise sur mes cuisses, me tournant le dos pour répondre aux mails.

Nous entendons Estelle chanter depuis la cuisine. Accompagnant les bruits rassurants des ustensiles qu'elle manipule. Clémentine change de position pour se mettre à califourchon, ses bras autour de mon cou. << Je ne vais pas te faire de la peine en allant faire un tour en Jeep ce matin ? >> me demande t-elle. Je la rassure. Une fois encore je tente de trouver les mots les plus justes pour décrire les sentiments que cela induit dans ma psyché. Elle mitraille mon visage de bisous en murmurant : << Je suis une vraie salope ! Tu me pardonnes ? >>. Je la réconforte en répondant : << J'aime les salopes. Si tu ne l'étais pas, je serais mort d'ennui depuis longtemps ! >>. Nous rions. Clémentine enfonce sa langue dans sa bouche pour se frotter lascivement. Mon érection est quasi immédiate.

Elle se lève pour se diriger vers la porte fenêtre qui donne sur la terrasse. Le ciel est bleu. Le soleil y est déjà haut. Par contre le froid reste glacial. Je vais la rejoindre, mes bras autour de sa taille, mon visage près du sien. Nous regardons la Jeep approcher du bungalow. << J'y vais ! Je te raconte tout en revenant ! >> dit elle trop impatiente d'aller rejoindre le propriétaire. Je reste en retrait. Clémentine enfile son anorak. Comme si elle était prévenue, Estelle vient me rejoindre avec une odeur de friture. Elle se serre contre moi, nous nous tenons par la taille. Nous regardons Clémentine courir vers la Jeep. << Mais quelle salope ! Elle va carrément faire un tour avec ce type. Il est gros et moche en plus. Beurk ! >> fait elle. Clémentine s'installe à côté de monsieur Guillaume. La Jeep démarre.

À l'instant où elle disparaît vers la route, arrive une Mercedes noire. C'est probablement madame Guillaume. Je n'utilise évidemment que des pseudos afin de préserver l'anonymat de ces gens. C'est une femme élégante, belle et filiforme. Estelle se tourne pour entourer mon cou de ses bras : << Tu me fais l'amour. On est juste toi et moi. C'est tellement rare ! >> dit elle. Sans attendre ma réponse, elle m'entraîne dans la chambre. Nous retirons nos vêtements. << La bouffe est prête, il n'y aura qu'à réchauffer ! >> fait Estelle en s'allongeant à côté de moi. Elle se couche sur moi. M'embrasse. Je la fais tomber sur le côté pour m'allonger sur elle. Restant en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids, je laisse Estelle prendre les initiatives. Elle saisit mon érection pour se l'introduire.

C'est en amoureux cette fois. Pas de baise à la hussarde. Je ne connais pas Estelle langoureuse et lascive. Elle toujours si fougueuse et passionnée, que je baise à la façon d'un ours en rut. Non. Nous bougeons à peine. Nous nous berçons. Nous nous embrassons. << Je t'aime Julien. Je voudrais tellement être avec toi, toute seule, plus souvent. Je t'aime ! >>. C'est un peu comme une désespérée qu'elle murmure ces mots plusieurs fois à mon oreille. C'est vrai que c'est le paradis de faire l'amour avec elle. Parfois elle s'accroche à moi en poussant de petits gémissements. Je l'emmène doucement dans des chevauchées fantastiques. Parfois je me laisse retomber, en appui sur mes coudes, mon visage contre le sien ou dans sa nuque. Bougeant doucement. C'est merveilleux.

Cette fois, Estelle ne se masturbe pas en même temps. Gardant ses bras autour de mon cou ou me tenant par les épaules. Je discerne à peine des << Mon amour ! >> dans ses gémissements plaintifs. Pas l'ombre d'un doute, pour la toute première fois, Estelle s'emmène à l'orgasme sans me repousser délicatement pour se terminer aux doigts. Je dois avouer, un peu honteux, que pas un seul instant je ne pense à Clémentine. << Viens ! >> murmure Estelle en se tortillant, cherchant le meilleur angle pour s'abandonner dans les voluptés du plaisir. J'éjacule dans une sorte d'ivresse. C'est prodigieux. Estelle sent mes jets de sperme au plus profond de son intimité. À chacun elle a un spasme. À chacun elle pousse un petit râle. Nous avons fait l'amour plus d'une demi heure. Un vrai bonheur.

Couchés l'un contre l'autre, nous échangeons nos impressions. << C'est tellement bon de ne pas baiser mais de faire l'amour ! >> dit elle en se retournant. Elle se blottit contre moi. J'en suis pétri d'émotion. Je n'en ressens aucune culpabilité. Après tout, Clémentine se fait peut-être tringler quelque part. Il va être 11 h50. Le bruit d'un moteur. Estelle se redresse d'un bond, m'attrape la main. Nous nous précipitons à la fenêtre. La Jeep est garée à côté de la Mercedes. Il n'y a que monsieur Guillaume au volant. << Cette salope suce ! >> murmure Estelle qui reste serrée contre moi. Nous ne portons que nos chaussettes. Complètement à poil. Nous observons. Le salopard la tire probablement par sa natte pour la forcer à se redresser. Pour la forcer à cesser de sucer sa queue.

Car Clémentine se redresse soudain. Ils bavardent tranquillement. Il est difficile de voir les expressions sur les visages à cause des reflets du soleil sur le pare brise. Clémentine sort du véhicule. Elle s'éloigne en se retournant deux fois pour faire un signe amical à monsieur Guillaume toujours au volant. Il sort son bras par la vitre baissée pour pointer son pouce vers le ciel. Clémentine nous trouve tous nus, nous tenant par la taille. Elle éclate de rire. << Mais vous faites quoi comme ça, à poil, tous les deux ? >> s'exclame t-elle en retirant son anorak. Elle ramène de l'air froid du dehors. Ce qui nous fait frissonner. Nous nous habillons en vitesse. << On a fait l'amour ! >> répond Estelle. Morts de faim nous nous précipitons tous les trois à la cuisine. Surprise. Un gratin de coquillettes.

Une salade de carottes. Une sauce contenant de la viande de volaille émincée. C'est un délice. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine nous raconte, dans les plus infimes détails, ce qui s'est passé dans la Jeep bien chauffée. << Je n'ai pas arrêté de pomper ce vrai vicieux. Je me suis vraiment régalée. Encore meilleure que la bite de monsieur Bertrand ! >> lance à plusieurs reprises Clémentine. << Il t'a baisé ? >> demande Estelle. << Non. Bien sûr que non. Ce genre de pervers préfèrent se faire tailler des pipes ! >> répond Clémentine. Un tour en voiture où Clémentine a pratiquer une fellation au chauffeur plus d'une demi heure. << Il t'a juté dans la bouche ? >> demande Estelle. << Bien sûr ! Et deux fois ! >> répond Clémentine. Elle rajoute : << Un sperme affreusement dégueulasse ! >>. Nous rions des quelques impressions que partage Clémentine. Elle précise : << Il me propose la même chose demain matin, l'enfoiré ! >>

Elle s'empresse de préciser devant nos étonnements : << Mais tout ce qui venait avant fut un régal. Je crois que je ne me suis jamais régalée autant ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle raconte ce qui s'est passé entre nous. Sans trop entrer dans les détails. Clémentine me fixe d'une étrange façon. Je la sais très jalouse et très possessive. Mais depuis sept ans que nous partageons tous les trois nos pulsions sexuelles, Clémentine connait bien les comportements d'Estelle. Toutes les deux, comme des sœurs jumelles et depuis qu'elles ont douze ans. Clémentine vient s'assoir sur mes genoux. Comme pour marquer son territoire. << Toi, tu fais ta crise de jalousie. Tu es gonflée quand même ! >> lance Estelle. Nous rions aux éclats quand Clémentine répond : << Et toi tu veux piquer mon mec ! >>

La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine est déjà en bottines. Nous faisons pareil. C'est parti. C'est à pieds que nous allons jusqu'au village. Il va être 14 h30. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les bras. Clémentine est d'une incroyable douceur. Autant qu'Estelle. Le Musée du Haut Moyen-Âge s'avère d'un grand intérêt. Il n'y a que peu de visiteurs. La visite est libre. Estelle profite de chaque opportunité pour toucher, palper, ma braguette. << Tu me pardonnes ? >> me demande plusieurs fois Clémentine. C'est en riant que je la rassure. Je dis : << Je n'ai rien à pardonner. J'aime te savoir libre, coquine et brigande ! >>. Estelle rajoute : << Et si tu refais un tour en Jeep demain, je baise avec Julien ! >>

Bonne faim d'après-midi à toutes les coquines qui s'offrent une soirée au restaurant "Les vignes". Avec visites aux toilettes hommes. Avant de retrouver un bon lit bien chaud. Avant de se faire pénétrer une première fois pour l'une, une seconde fois pour l'autre. Avant de s'endormir avec le goût du foutre contre leur coquin...

Julien (coquin cocu)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 3 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2594 -



Le quatrième jour des vacances

Hier matin, mercredi, il est un peu plus de huit heures trente. C'est un peu notre horloge biologique qui régit nos durées de sommeil à chaque vacances. Estelle à ma droite, qui saisit ma tumescence dès qu'elle me sent bouger. Ses lèvres comme une ventouse dans mon cou. Je peux sentir la pointe de sa langue bouger contre ma peau. Clémentine à ma gauche qui vient se blottir. Je reviens lentement aux réalités entre mes deux anges. Glissant mes mains dans les culottes. Démêlant quelques poils plus rebelles que les autres. Passant mes doigts entre les lèvres chaudes et moites de leurs vulves. Estelle se redresse en s'écriant : << Si je ne vais pas immédiatement pisser, je fais dans les draps ! >>. Je retire mes doigts. Nous la regardons courir vers la porte dans son pyjama de soie mauve.

Clémentine qui se couche sur moi pour murmurer : << Merci pour me permettre de tels égarements. Parfois je m'en veux. Et là, carrément, je culpabilise. Je t'aime tellement fort ! >>. Elle me couvre le visage de bisous. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans les suaves odeurs matinales du café et du pain grillé. Le reste de la brioche y participe dans le four à micro ondes. Je pose mes mains sur les hanches d'Estelle entrain de presser les oranges. Je remonte sur ses seins. Clémentine venant derrière moi pour glisser ses mains dans mon slip. Nos papouilles. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos péripéties de mardi. La "promenade" en Jeep de Clémentine avec monsieur Guillaume. La visite du musée. Le restau.

Nous mangeons de bon appétit en écoutant Clémentine proposer l'itinéraire de la randonnée de l'après-midi. Ce sera le circuit des Abbés. Ainsi nommé à cause de l'Abbaye toujours occupée par une dizaine de moines agriculteurs. << D'abord tu vas sucer le gros, je pense ? >> lance Estelle. << Si Julien est d'accord ! >> dit Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux la première. Comme à chaque fois, je me fais piller mon café et mon morceau de brioche. Nous en rions de bon cœur. Estelle ne tarde pas à venir s'assoir sur ma cuisse libre. Nous traînons à table. C'est Estelle qui propose de faire notre petit film souvenir dans notre adorable petite maison en bois de style colonial. Un film porno comme à chaque fois. << Tu as le scénario ? >> demande Clémentine. Estelle se met à chanter.

Pour ne pas répondre tout de suite. Elle finit par dire : << Oui, une salope qui cocufie son mec avec un gros moustachu ! >>. Nous rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Estelle enlève son pyjama pour rester en slip et T-shirt de nuit comme nous. Au salon nous poussons la table contre le mur. Nous avons alors la place pour nos mouvements d'entraînement. Principalement aérobics. Les exercices au sol sur les tapis de mousse que nous avons eu la justesse d'esprit d'emmener avec nous. Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons le lit. Nous la rejoignons à la salle bain où elle fait un peu de rangement pendant que nous sommes sous l'eau. Nos Levis, nos chemises à carreaux.

Les baskets pour retourner au salon. Assises sur mes cuisses, me tournant le dos, elles allument l'ordinateur. Mes mains sur leurs seins minuscules. Nous n'avons pas de courriels. Les filles surfent sur le site de l'université. Il y a de nouvelles informations concernant leur section. Elles lisent à voix hautes. Je déboutonne les boutons pour passer mes mains sous les chemises. J'aime sentir leurs cœurs battre sous leurs seins. Ils semblent palpiter, vivre une vie indépendante de leurs propriétaires. C'est magnifique. << Mais tu es un coquin toi ! >> lance Estelle en se levant pour s'installer à califourchon sur ma cuisse. Clémentine fait de même. C'est une attaque en règle. Mon visage mitraillé de bisous. Estelle passe de plus en plus souvent sa langue sur ma peau. C'est neuf.

Dehors le ciel est bleu. Le soleil est omniprésent. Par contre en interrogeant son I-phone, Estelle s'exclame : << On se calme, il fait seulement 10° ! >>. Je dis : << Oh, mais nous avons donc gagné six degrés en vingt quatre heures alors ! >>. Les filles se lèvent pour m'entraîner par les mains. Nous guettons l'apparition de la Jeep. Il n'y a que la Mercedes de madame Guillaume garée à côté de la mienne. Nous pouvons les comparer. Estelle, sa main dans ma braguette, serrée sur ma droite, Clémentine serrée sur ma gauche. Je peux sentir les légers tremblements du corps de Clémentine. << J'ai toujours la trouille avant de faire des trucs avec un autre ! >> murmure t-elle. << Et pendant que tu vas les faire, moi je vais faire l'amour avec le tient ! >>. Nous en rigolons comme des bossus.

Voilà d'ailleurs la Jeep qui contourne la grande maison pour rouler lentement jusqu'aux Mercedes. Clémentine me dépose une rapide bise sur la joue avant de filer. Elle enfile son anorak alors qu'Estelle lance : << Et bonne pipe, salope ! >>. Clémentine avant de sortir répond : << Merci ! >>. Par la porte fenêtre du salon nous la regardons courir vers monsieur Guillaume qui s'affaire derrière l'imposant véhicule. << Put-Hein, l'enculé ! Regarde, il a la bite à l'air ! >> s'écrie Estelle en se blottissant contre moi. En effet, en regardant bien, ce qui dépasse de sa braguette n'est pas seulement suggéré mais bien visible. Clémentine se penche pour faire une bise au vicelard. Elle le dépasse d'une demi tête. Le salopard passe sa main entre ses cuisses. Clémentine se cambre, fléchit ses genoux.

<< Qu'est-ce qu'elle est salope ! Elle en a déjà fait son amant de vacances ! >> lance Estelle avant de me sortir le chibre. Je bande dans sa main comme le dernier des salauds. << Dès qu'ils sont partis, on va dans la chambre. Aime-moi comme mardi ! >> rajoute t-elle. Je glisse ma main dans son Levis. Elle le déboutonne pour me permettre un meilleur accès. Estelle est une authentique voyeuse. Depuis l'adolescence. Elle est là dans son élément. Là-bas, Clémentine reste debout à regarder ce que bricole monsieur Guillaume. Il tire deux pneus de vélo VTT du coffre arrière. Il invite Clémentine à le suivre dans la grange. Ils disparaissent. La porte se referme. En regardant la fumée qui sort de la cheminée nous comprenons que la grange est chauffée. C'est en réalité un atelier.

<< Viens, on va essayer de mâter ! >> me fait Estelle en me tirant par le Zob. Je suis obligé de marcher en canard, comme un con, pour la suivre. Nous enfilons nos anoraks. Nous sortons dans le froid. Estelle me prend la main pour m'entraîner vers le portillon de la propriété. Nous voilà sur le chemin qui mène au viaduc. Derrière la grange. Il y a deux petites fenêtres aux croisillons minuscules. Nous regardons par une des vitres. J'en reste pantois. C'est en effet un atelier de bricolage. Un établi, des outils accrochés au-dessus, deux vieilles armoires en bois. Et cette magnifique Jaguar E que restaure visiblement notre saligaud. On ne les voit pas. Estelle m'entraîne vers la seconde fenêtre. Ils sont là. Clémentine tient la bite du mec qui lui montre un album de photos. Où quelque chose qui y ressemble. Nous découvrons les expressions émerveillées de Clémentine. Et surtout l'autre voiture ancienne déjà restaurée. Une Ferrari.

Estelle reste serrée contre moi. Nous pouvons ainsi faire les voyeurs en nous tenant chaud. << Je t'aime Julien ! >> murmure Estelle. Il se passe quelques minutes où monsieur Guillaume semble expliquer des choses à Clémentine. Nous n'entendons hélas rien. Si ce n'est le gazouillis de quelques oiseaux dans les arbres derrière nous. C'est une Ferrari Dino, comme neuve, de ce rouge caractéristique. Nous comprenons qu'une des passions du propriétaire est de restaurer des voitures de luxe. Il pose l'album photo sur la table pleine d'outils. Il se tourne. Nous pouvons enfin voir sa queue. C'est étrange. La peau de son Zob fripé est foncée. Elle ne surgit pas seulement de sa braguette mais d'une incroyable masse de poils. Même en érection la peau semble fripée. << Jamais vu une comme ça ! >> chuchote Estelle. Clémentine, se tenant au pantalon d'épais velours brun du bricoleur, s'accroupit. Elle prend ce truc en bouche, une expression d'extase sur le visage. Un visage fourré dans les poils. C'est à la fois surréaliste et bien dégueu. Clémentine qui se gratte les joues. Chatouillée par toute cette pilosité.

Estelle et moi nous nous serrons encore plus fort. Je suis envahi de ce curieux sentiment. Inexprimable. Comme un mélange de nostalgie, de tristesse et d'excitation. Estelle me confie son ressenti. Très semblable au mien. << Regarde-moi cette salope ! >> murmure t-elle. J'ai vu Clémentine sucer des mecs à de nombreuses reprises. Mais à chaque fois j'ai l'impression qu'elle s'éclate davantage. Ce qui semble être le cas. Les yeux fermés, nous la voyons de profil. Nul doute, Clémentine est entrain de se régaler. Elle se redresse. Sans doute pour éviter l'ankylose. Monsieur Guillaume la prend par le bras. Assez fermement pour l'entraîner vers le vieux fauteuil entre le second établi et une des armoires. Clémentine s'y installe. Monsieur Guillaume se place devant elle. Présentant le Zob.

C'est hallucinant. Estelle et moi, visages collés contre la vitre, nous partageons cette vision extraordinaire. << Tu aimes faire le voyeur avec moi ? >> me demande Estelle. Ce n'est pas la première fois que nous sommes cachés tous les deux pour regarder Clémentine se livrer à une de ses passions. Je chuchote : << Ce sont les moments les plus divins et les plus intenses ! >>. Nous observons. Les vitres sont un peu sales. Il faut se concentrer. Clémentine, assise bien droite, accrochée de ses mains aux pans de la grosse veste en velours de notre salopiot, suce comme si sa vie en dépendait. Elle a souvent toute la bite en bouche. Son visage disparaît carrément dans les poils. Nous voyons les mouvement de ses joues qui se creusent. Sa gorge qui bouge lorsqu'elle avale. Il y a une mousse laiteuse tout autour de sa bouche. Ce type doit être hyper juteux. C'est très certainement le foutre qu'elle n'arrive pas à déglutir. Les expressions d'extase sur ses traits en disent long sur le moment que vit Clémentine. Le bougre saisit sa tête pour enfoncer davantage de bite. Elle en a des hauts le cœur.

Elle qui adore sucer des inconnus est encore dans son élément. << Mais quelle salope ! >> murmure à plusieurs reprises Estelle. Je chuchote : << J'aime la compagnie des salopes. Je m'ennuie tellement avec celles qui ne le sont pas ! >>. Clémentine se retire soudain. Elle évite de justesse les trois extraordinaires saccades que projette l'érection de monsieur Guillaume. Clémentine qui d'habitude aime se faire éjaculer dans la bouche, se retire cette fois. Elle reste comme à guetter que la dernière giclée soit expulsée. Monsieur Guillaume, les mains sur celles de Clémentine regarde ce spectacle avec bonhommie. Il se penche pour parler. Clémentine lève la tête, lui adresse un merveilleux sourire en faisant un mouvement positif. Elle reprend le sexe à présent mou dans la bouche. Je connais bien ce réflexe qu'elle a avec moi. Vider le "fond de cuve". Va t-elle repartir pour un second tour ? Brusquement monsieur Guillaume se retire. Affolé.

Nous comprenons. C'est sa femme qui entre dans l'atelier. Il est tourné vers l'établi en saisissant prestement une grosse clef à molette. Madame Guillaume tient une vieille lanterne à la main qu'elle vient déposer sur la table. Sans un regard pour Clémentine. L'a t-elle vu ? C'est soudain très étrange. La dame s'en va aussi vite qu'elle est venue. Clémentine se lève. Elle se précipite vers la porte en s'essuyant la bouche. Monsieur Guillaume ferme sa braguette avant d'aller examiner la lanterne posée sur la table. Nous rejoignons Clémentine dans la maison. << Raconte ! >> s'écrie Estelle. Clémentine n'ose pas me regarder. J'adore ce comportement. Je m'empresse de la prendre par les épaules pour dire : << Tu as été fantastique. Merveilleuse ! >>. Estelle rajoute : << Et la plus salope des salopes ! >>. Il va être 11 h45. Je propose de prendre la voiture pour aller manger au village. << Non ! On se passe du bon temps ici ! >> lance Clémentine.

Bonne journée à toutes les coquines qui aiment préparer le repas de midi avant de partir en randonnée. Passer la soirée dans un bon restaurant gastronomique. Raconter leurs petites histoires autour d'une table nappée de blanc devant une délicieuse spécialité. Avant de se faire lécher et pénétrer sous la couette...

Julien (voyeur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
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Notre cinquième jour de vacances

Ce jeudi matin est en tous points identique à ceux qui l'ont précédé depuis quelques jours. Il est un peu plus de huit heures trente quand je suis définitivement arraché à mon sommeil. Estelle, dans cet élan matinal dont elle est coutumière, se serre encore plus fort contre moi. Saisissant mon érection qu'elle qualifie de "biologique". Posant ses lèvres sous mon oreille. Titillant la peau de mon cou du bout de sa langue. Je dois reconnaître qu'il y a pire comme réveil matin. J'en gémis d'aise. Clémentine se tourne pour venir se blottir. Je passe mes bras autour de leurs épaules. Me faisant masser les parties génitales en riant. Nous nous amusons bien quand Estelle se lève d'un bond. << Je vais pisser, sinon c'est la cata ! >>. C'est un spectacle de la voir se précipiter vers la porte en courant.

Clémentine se couche sur moi, se frotte lascivement en murmurant : << Merci Julien pour m'autoriser toutes mes folies ! >>. Elle fait allusion aux pipes qu'elle taille au propriétaire de notre gîte. Je m'empresse de la rassurer : << Je n'ai absolument rien à t'autoriser. Tu es un être libre. Et j'aime te savoir dévergondée, licencieuse et vicieuse. Tu es le sel de ma libido ! >>. Nous rigolons comme des bossus en nous précipitant à notre tour aux toilettes. << Tu es mon poète ! << murmure t-elle en tenant ma bite pour en diriger les jets. Ces suaves odeurs de café, de pain grillé en rejoignant Estelle dans la cuisine. Le rituel. Mes mains sur ses hanches. Clémentine se place derrière moi. Estelle pèle les kiwis alors que je caresse ses seins minuscules. << J'ai mes "petits machins" docteur. Il faudra mettre en pratique vos qualités de thérapeute. Un peu bobo ! >> murmure t-elle.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de mercredi. La fellation prodiguée à monsieur Guillaume. Notre randonnée de l'après-midi. La soirée au restaurant. Nous mangeons de bon appétit en écoutant Estelle nous décrire les sensations qui tourmentent ses viscères. Une sorte de douleur sourde. << J'ai pris mes médocs mais c'est bien chiant quand même ! >> précise t-elle en venant s'assoir sur mes genoux. Je promets d'endosser le personnage du docteur en préconisant des "gouttes". C'est en riant que Clémentine vient s'installer sur ma cuisse libre. Les filles, terminant leurs tartines au miel, font le vague programme de l'après-midi. Ce sera la visite du musée du meuble ancien. À la sortie du village. Nous qui adorons faire les brocantes ! Ce sont des réjouissances qui s'annoncent.

Nous traînons à table. << Tu as déjà un "plan" de prévu avec le "gros" ? >> demande Estelle. Clémentine répond : << Oui, à onze heures. Il m'emmène faire un tour dans la Jeep. Mais il n'est pas vraiment "gros". Juste un peu enveloppé ! >>. Nous rions de bon cœur. La vaisselle. Dans la salle de bain, devant le miroir, en nous lavant les dents, ce sont les clowneries habituelles. Concours de grimaces, imitation de pipes et autres tirages de langues. Dans le salon, après avoir déplacé la table, posé les tapis de mousse, nous nous offrons le second plaisir de la journée. Il fait toujours aussi beau mais la température glaciale reste à 8°. Pas le courage d'aller courir. Exercices aérobics, exercices au sol. Estelle aussi trouve un grand soulagement dans la pratique des flexions abdominales. Parfait.

Elle ne prend pas de douche pour se contenter d'une toilette au lavabo pendant que nous y sommes. Très souvent, sous l'eau, ses douleurs s'accentuent. Nous recouvrons le lit habillés de nos 501, de nos épais sweats, nos baskets. Assises sur mes cuisses, mes deux anges allument l'ordinateur. Nous n'avons qu'un seul courriel. Juliette est rentrée de Corse pour retrouver son haras. Elle nous raconte son séjour par quelques phrases descriptives et adroites. Joignant une photo où nous la découvrons en tenue de deuil. Extraordinairement sexy ainsi vêtue de noir entre des inconnus. Membres de sa famille. Je caresse délicatement les seins d'Estelle. Leurs extrémités sont dures. Elle se lève. Clémentine change de position pour s'installer à califourchon. Je pose ma bouche sur le sweat d'Estelle.

Au travers de l'épais coton, je souffle de l'air chaud. << Mmhh, docteur, ça soulage ! >> dit elle. En déboutonnant son 501 elle rajoute : << Ici aussi docteur sel vous pli ! >>. Je dois me pencher pour poser ma bouche sur le coton de sa culotte. Pour me permettre une meilleure position, Clémentine se lève. Je souffle de l'air chaud. Sous les gémissements d'aise de ma "patiente". Je cesse pour masser délicatement son bas ventre. Je me redresse. Nous revenons surfer sur le site de l'université. Pas de nouvelles informations. Un petit tour sur les messageries des différents forums où nous publions nos aventures. << Regardez, il y a un mec qui a ouvert un sujet nous concernant ! >> lance Estelle. << Peut-être un admirateur ! >> dit Clémentine. << Ou un troll fouteur de merde ! >> s'exclame Estelle.

Nous en rions de bon cœur. Debout devant la porte fenêtre de la terrasse, nous regardons ce magnifique jardin qui entoure la propriété. Je tiens mes deux anges par la taille. La main d'Estelle dans ma braguette. Celle de Clémentine sur mon épaule. << Tiens, voilà la bonne femme ! >> s'écrie soudain Estelle. En effet, la grosse berline Allemande vient se garer à côté de la nôtre. Madame Guillaume est une belle femme, élégante et pleine d'une classe aristocratique. Nous la regardons contourner sa voiture pour ouvrir le coffre arrière. Il y a un fin lévrier blanc qui arrive en courant. La femme tire de grands sacs de l'auto. J'ai envie d'aller l'aider, excellent façon de faire la connaissance de cette personne distante et mystérieuse. Elle n'a jamais cherché à savoir qui étaient les vacanciers.

<< Non, pas question. Tu es notre prisonnier. Interdiction d'aller draguer de la bourge ! >> lance Estelle en sortant ma bite. Nous n'avons pas le temps de disserter plus longuement sur mes pulsions galantes. Voilà l'énorme Jeep bleue métallisée qui arrive pour se garer à proximité du bungalow. << Je file ! >> fait Clémentine en déposant une bise sur ma bouche. << Je vous raconterai ! >> dit elle en enfilant son anorak. << Bonne pipe ! >> lui lance Estelle en se blottissant contre moi. Par la fenêtre nous regardons Clémentine courir vers la voiture dans laquelle elle monte. Nous voyons monsieur Guillaume passer son bras autour de son épaule. Ils bavardent un peu avant que Clémentine ne disparaisse en se penchant sur sa gauche. << Mais quelle salope ! >> s'écrie alors Estelle.

Le véhicule fait un demi cercle pour repartir vers la sortie de la grande propriété. Estelle m'embrasse longuement. << Je t'ai rien que pour moi Julien. Finalement, les escapades de Clémentine ont du bon ! >> dit elle. Je l'entraîne vers la chambre. Je la fais tomber sur le lit en disant : << Je vais m'occuper de toi ! >>. Trop heureuse à l'idée de ce qui l'attend, Estelle retire ses baskets, son Levis, sa culotte. Couchée sur le dos elle s'exclame : << Viens vite ! >>. Je m'allonge à ses côtés. Une nouvelle fois je soulage l'extrémité de ses seins douloureux en soufflant de l'air chaud. Elle se touche. Ma main rejoint la sienne. Je tire un peu sur la courte ficelle blanche que je découvre dans la broussaille. << Arrête ! >> murmure t-elle en riant. Je me redresse, me déplace. À plat ventre.

Mon visage entre ses cuisses qu'elle resserre sur mes joues. Je suce son clitoris. C'est merveilleux de le sentir durcir entre mes lèvres ventouses. C'est également merveilleux de sentir tout le corps d'Estelle se relâcher, se détendre complètement. Ses gémissements. Ses profonds soupirs. Lorsqu'elle reprend son souffle après de longues apnées. Elle caresse ma tête. Me tient par les oreilles. Passe ses doigts sur mes tempes pour les masser. Les frissons de l'intérieur de ses cuisses contre mes joues. C'est un bonheur vertigineux et partagé. Je sais quand il faut cesser pour prolonger la fête. Estelle, en parfaite symbiose, respire une grande bouffée d'air avant de s'abandonner une nouvelle fois à la volupté indicible de mes caresses linguales et buccales. Un premier orgasme. Très agité.

J'adore quand elle tortille du bassin sous l'effet du choc physiologique. De petits râles qu'elle émet entre deux soupirs. Elle veut me repousser délicatement pour pouvoir s'allonger sur le côté comme elle aime à le faire après avoir joui. Mais je place presque immédiatement ma bouche sur son bouton de plaisir. Comme émerveillée, Estelle lâche un cri en se laissant tourmenter une seconde fois. << Je t'aime. C'est tellement bon tout ce que tu me fais ! >> murmure t-elle entre deux gémissements lascifs. Pas un seul instant je ne pense à Clémentine. De m'occuper de sa "jumelle" me comble d'un étonnant sentiment de plénitude. Le second orgasme d'Estelle la fait hurler. Cambrée, me tenant la tête, agitant le bassin, comme une désespérée elle tente de me repousser. Je me laisse guider.

Couchée sur le côté, dans mes bras, ses mains entre ses cuisses, comme en proie à une intense douleur, Estelle se lâche totalement. Nous n'avons pas la notion du temps qui s'est écoulé. Toujours est-il que c'est la situation dans laquelle nous retrouve Clémentine. Elle saute sur le lit. J'esquive ses tentatives de me faire des bises. Elle sait qu'après avoir sucé une autre bite, ces élans provoquent chez moi un certain dégoût. Ce qui la fait rire. Estelle qui s'était endormie, s'écrie : << Raconte ! >>. Clémentine s'assoit en tailleur sur le lit, prend un air coquin pour répondre : << Pipe en voiture. Roulant dans la nature ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine s'empresse de rajouter : << Et là, j'arrête parce que je n'ai pas envie de baiser avec ce porc ! Il insistait durant toute la promenade ! >>

<< Je me méfie parce que le prochain coup je crois bien qu'il ne me demandera pas mon avis l'enfoiré ! >> conclue t-elle. Nous sommes morts de faim. Nous n'avons rien préparé. Je propose d'aller au fastfood de la station essence. Estelle s"habille en disant : << Non ! On se fait des croûtes aux anchois. C'est vite fait et délicieux ! >>. Nous courons pour aller à la cuisine. Estelle coupe les longues tranches dans la miche "paysanne". Clémentine fait l'assaisonnement du concombre. J'ouvre les deux boîtes d'anchois. Je les allonge sur les tranches de pain beurrées. De fines lamelles de gruyère dessus. Le tout au four à micro ondes. Nous mangeons de bon appétit en nous racontant nos déviances, nos exactions et nos émotions. Clémentine insiste. Il n'y aura pas de quatrième fois avec le type.

Malgré ma recommandation de se faire "tirer" juste pour le "fun". Visiblement ça ne s'est pas très bien passé dans la voiture. << Il n'arrêtait pas de me tenir par la nuque, à m'étouffer avec sa bite au fond de ma gorge, à m'insulter. Brutal et finalement très con ! >> s'exclame Clémentine. << Moi, le docteur Julien m'a soigné de tous mes maux ! >> lance Estelle qui vient s'installer sur mes genoux. << Vous deux, ça commence à m'inquiéter. Je ne vous lâche plus d'une bite ! >> dit Clémentine en venant s'assoir à son tour. Nous traînons à table. Pour ce soir, Clémentine nous a réservé une table au Restaurant du Château. Conseillé par le guide Michelin. Il faudra toutefois parcourir dix sept kilomètres en fin d'après-midi. La vaisselle. Lavage de dents en déconnant un maximum. Pliés de rire.

Nous chaussons nos bottines. Il fait un peu meilleur avec 18°. Nous remplaçons les anoraks par les blousons d'épais cuir brun. C'est parti. Le musée du meuble ancien est à la sortie du village en direction de la zone commerciale. Nous en profiterons pour aller faire des courses à l'hypermarché. Logistique oblige. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, caresse mes joues en disant : << Vos thérapies son drôlement efficaces docteur. Je n'ai toutefois pas encore pris mes gouttes ! >>. Nous rions quand Clémentine rajoute : << Tu m'aurais accompagné ce matin dans la Jeep, tu aurais eu droit à tout le flacon ! >>. La visite de ce musée insolite reste un grand moment de découverte. Très peu de visiteurs. Estelle qui ne cesse de palper ma bosse. Clémentine qui cherche refuge dans mes bras en prétextant une certaine culpabilité. Même au musée je souffle discrètement de l'air chaud sur les seins tous durs d'Estelle.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui s'offrent un délicieux repas dans un établissement gastronomique. Qui s'offrent chacune deux visites dans les toilettes hommes en compagnie du "docteur". Avant de se blottir contre lui, sous les draps, pour retrouver le réconfort d'une bonne nuit de sommeil...

Docteur Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
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Notre sixième jour de vacances

Ses pieds bougeant un peu "mécaniquement" contre les miens. Sans doute en recherche de chaleur. Estelle reste le plus souvent serrée contre moi toute la nuit. Ses lèvres qui se posent dans mon cou. La pointe de sa langue qui titille ma peau. Sa main qui saisit ma tumescence. Son soupir de satisfaction lorsque je me réveille. Hier matin, vendredi, ce sont les enchantements de notre début de journée. Il va être huit heures trente. Clémentine, tirée de son sommeil malgré les agissements silencieux d'Estelle, vient se blottir contre moi. Nous savourons ce moment merveilleux. Cette renaissance. << Pipi ! >> s'écrie soudain Estelle, lâchant ma turgescence pour se lever. Se précipiter dans son pyjama de soie mauve vers la porte. Clémentine qui m'attire sur elle, ses bras me serrant fort.

<< Je ne le ferai plus ! >> dit elle. Elle fait rapidement allusion à ce qui s'est passé trois jours consécutifs avec le propriétaire de notre gîte. J'écoute le dégout qui en résulte. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Dehors il fait moins lumineux que les jours précédents. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans les effluves parfumées du café, du pain grillé. Sur la table trône la grosse brioche au pudding achetée à l'hypermarché. Mes mains sur ses hanches, Estelle nous dit : << Il fait moins beau mais il fait aussi moins froid. 12° ! >>. Je caresse délicatement ses tous petits seins en évitant de frôler ses extrémités douloureuses. C'est le second jour de ses règles. Dans l'ensemble ça se passe plutôt bien. Les soins du "docteur" participent de sa qualité de vie. J'adore le doux contact de la soie.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de jeudi. Le tour "pipe" en Jeep de Clémentine, le cunnilingus offert à Estelle. La visite du musée du meuble ancien. La soirée au restaurant. << À midi je fais les lasagnes ! On a été bien inspiré d'en prendre ! >> lance Estelle. Nous mangeons de bon appétit en écoutant Clémentine nous exposer les options de randonnées de l'après-midi. En espérant bien évidemment que la météo ne vire pas au "drame". Ce sera la visite des ruines du château que nous avons aperçu depuis les fenêtres du restaurant du château. Beau programme parce que la région est vallonnée et ses découvertes sont attractives. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évoquent leurs études.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Avec cette température plus douce, il est décidé d'aller courir. Nous nous mettons en tenues de jogging. Je pose pour la seconde fois ce matin ma bouche sur chacun des seins d'Estelle. Tout en massant le plus délicatement possible son bas ventre, je souffle de l'air chaud à travers le lycra de son sweat. << Mmmhhh, docteur. C'est si bon ! >> murmure t-elle en palpant ma bosse. Les bras de Clémentine autour de ma taille, collée dans mon dos. Nous enfilons les K-ways. Bonnets, gants. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous courons en direction du viaduc. Il y a là un endroit où nous pouvons faire une halte afin de pratiquer nos abdos. Surtout Estelle que les flexions abdominales soulagent. L'herbe moussue est humide.

Il est dix heures quinze quand nous revenons. Estelle évite la douche lors de ses jours réglés. Pendant qu'elle se toilette au lavabo, nous la prenons en l'écoutant chantonner. Tous les trois, habillés de nos Levis, de nos épais sweats de coton bleu, chaussés de nos baskets, passons au salon. Assises sur mes genoux elles allument l'ordinateur. Elles surfent sur le site universitaire avant de visiter nos boîtes mails. Estelle a deux courriels. Nous la laissons y répondre. Clémentine, me tenant par la taille, serrée contre moi, nous regardons la grande propriété, le jardin soigné. Tout est propre, entretenu. Soudain, l'énorme Jeep vient se garer à côté de notre voiture. Monsieur Guillaume reste au volant. Avec les reflets dans le parebrise, impossible d'en voir davantage. Clémentine frissonne soudain.

<< Lui, il peut toujours attendre ! >> me fait elle en se serrant encore davantage. << Il a ton adresse mail et ton téléphone puisque vous avez échangé pour la réservation ! >> lance Estelle qui continue d'écrire ses réponses. << Je mets son adresse mail dans les spams, je bloque son numéro de téléphone. Ce n'est pas plus difficile que ça ! >> répond Clémentine. << C'est de ta faute aussi. Tu suces ce mec trois jours de suite. Il développe une addiction. C'est un vrai goujat. Et là tu prends enfin des mesures ! >> fait Estelle. Sur ces mots, voilà monsieur Guillaume qui sort de son véhicule. Il se dirige vers le bungalow. Je repousse doucement Clémentine en disant : << Pas d'inquiétude, je vais mettre les choses au clair ! >>. Comme rassurée, Clémentine me fait une bise sur la bouche.

Trois coups contre la porte. J'ouvre. Monsieur Guillaume, qui doit m'arriver aux épaules, ne s'attendait certainement pas à me voir. << Bonjour. Excusez-moi, elle est là Clémentine ! >> demande t-il, débonnaire. Comme si c'était tout à fait normal. Je m'avance. Pas vraiment menaçant mais en le toisant de mon mètre quatre vingt huit je réponds : << Oui, elle est là mais ne désire absolument pas voir qui que ce soit ! >>. Monsieur Guillaume reste un instant silencieux. Évalue ma stature, comprend très certainement. Il tourne les talons en concluant : << Bonne journée. Vous lui transmettrez mes attentions particulières ! >>. Je referme la porte. << C'est génial d'avoir un garde du corps ! Un Terminator ! >> lance Estelle qui me saute au cou. << Merci Julien ! >> s'écrie Clémentine.

La Jeep a disparu. Clémentine fait l'assaisonnement des tomates. Estelle place la lasagne dans le four à micro ondes. Je mets les assiettes les couverts. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les évènements récents. << Je crois qu'il a compris. Avec l'accueil et le ton, pas de doute qu'il ne reviendra plus ! >> précise Estelle. Les lasagnes en barquette alu, même "bios", ne constituent pas spécialement un repas diététique. Mais c'est tellement bon. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Dans le petit sac à dos, des pommes, des barres de céréales, la thermos de thé bouillant. La minuscule paire de jumelles. C'est parti. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou en nous racontant les échanges de mails avec ses parents, sa mamie.

Il y a dix sept kilomètres jusqu'au restaurant du château. C'est le départ de notre périple pédestre. Nous en profitons pour y réserver une table pour la soirée. La température est de 18°. Un vrai contraste avec celles des jours précédents. Le chemin nous emporte dans des paysages magnifiques. Puis c'est un sentier à flancs de collines. Nous croisons quelques rares promeneurs. Pour offrir ses gouttes à Estelle, dans le cadre de ses soins, je marche avec la bite à l'air. De nombreux arrêts thérapeutiques où je souffle de l'air chaud sur ses seins. Même si elle a pris ses médicaments anti douleurs, son second jour est un peux moins agréable. Des crampes inattendues la surprennent en plein effort. Les ruines du château son bien moins imposantes que l'impression qu'elles donnent depuis le bas.

Il y a l'entrée d'un donjon dont il ne subsiste que la base. C'est là que j'offre à Estelle un cunnilingus thérapeutique. Couchée en haut des marches, elle est dans la position idéale. Je suis en contrebas, dans une situation bien moins confortable. Je peux sucer son clitoris que j'adore sentir durcir contre ma langue. Je me fais sucer par Clémentine. Installée elle aussi dans une position inconfortable. Mais il est question des soins à prodiguer à ma "patiente". Il y a bien des voix dans le lointain. Personne ne passe les éboulis du donjon pour s'aventurer par là. Estelle peut donc aller jusqu'à l'orgasme. Un véritable réconfort selon son affirmation. Elle remet la jambe de son pantalon, le remonte en même temps que sa culotte en disant : << Docteur, vous êtes le médecin du clitoris ! >>

Nous en rions aux éclats. En s'essuyant la bouche dont elle me montre le contenu, Clémentine reste silencieuse. Elle adore laisser mon foutre se mélanger longuement à sa salive avant d'avaler. Estelle s'isole un court instant pour changer son tampon. Clémentine déglutit enfin en s'accrochant à mon cou. << C'est ton foutre que j'aime ! >> chuchote t-elle. Nous reprenons le sentier qui redescend. C'est une boucle qui rallonge la randonnée. C'est tellement beau. Surtout que nous suivons le cour d'une rivière sur quelques kilomètres. Quelques "arrêts gouttes". Un arrêt pipi. Je remballe lorsque nous arrivons sur le parking du restaurant. Nous changeons de godasses. La même table nappée de blanc nous attend. Nous mangeons de bon appétit. Deux visites aux toilettes hommes avec chacune de mes anges.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font brouter sous les draps. Qui s'endorment avec le gout du sperme. Blotties contre le docteur qu'elles emmènent partout avec elles...

Docteur Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
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Notre septième jour de vacances

Il est un peu plus de huit heures, hier matin, samedi. Estelle à ma droite qui joue de ses pieds contre les miens. Qui pose sa tête contre mon épaule en gémissant tout doucement. Clémentine à ma gauche qui vient se serrer contre moi. Estelle saisit mon érection matinale et tout à fait naturelle. Clémentine qui passe une cuisse sous mes fesses, l'autre sur la main occupée d'Estelle. Elle imprime un mouvement masturbatoire contre ma jambe. Ses lèvres sur ma joue. Je suis entre mes deux anges, dans une volupté sublime. Nous partageons les mêmes émotions au réveil. Je glisse mes mains dans les culottes. Je démêle quelques poils. Je passe délicatement mes index entre les lèvres de leurs intimités. Celles de Clémentine charnues et chaudes. Celles d'Estelle, toutes fines.

Estelle qui se redresse, me lâche, se lève comme mue sur ressort. << Pipi du matin évite les gros pépins ! >> s'écrie t-elle en se précipitant vers la porte. Clémentine se couche sur. moi. J'adore. Elle fait ça tous les matins depuis le début de nos vacances. << Je vous aime monsieur ! >> murmure t-elle en recommençant à se frotter. Mon érection faiblit car elle n'est que physiologique. Aucunement la conséquence d'une excitation quelconque. Nous devons pisser. C'est à notre tour que nous allons aux toilettes. La météo est identique à celle de hier mais avec un ciel plus menaçant. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Les suaves parfums du café, du pain grillé et de la moitié de la brioche restante dans le four à micro ondes. Estelle termine de presser les grosses oranges à jus.

Mes mains d'abord sur ses hanches, mes lèvres dans sa nuque, je remonte juste sous ses seins minuscules pour les caresser délicatement. Clémentine serrée contre mon dos, ses mains dans mon slip. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la randonnée du château de vendredi après-midi. La soirée au restaurant à savourer des noix de Saint Jacques grillées à la crème d'asperge et aux légumes en gelées. << J'ai rarement mangé quelque chose d'aussi bon ! >> lance Estelle. << J'en ai encore les saveurs en bouche ! >> rajoute Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de l'après-midi. Ce sera la découverte des sentiers des chevreuils. Ainsi nommé car il y a là une réserve d'animaux sauvages. Entretenue par une association du patrimoine.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges évoquent leurs études. Impatientes de se retrouver devant le dernier gros défi de leurs vies universitaire. Le Doctorat de sciences. Je les écoute. Leurs stratégies suscitent mon admiration. Pour rien au monde je ne me mêlerais à cette conversation sérieuse. Nous avons tout notre temps et il est agréable d'en apprécier chaque instant. La vaisselle. En consultant son I-phone, Estelle précise : << Attention, on se tient à la bite de Julien, la température extérieure n'est que de 8° ! >>. Nous rions. Nous hésitons. Une fois encore nous ne sommes pas très courageux. Le jogging dans le froid humide est désagréable et ne nous motive pas. Ce sera aérobic et gymnastique dans la chaleur. 22°.

La vaisselle. Lavage de dents en nous adonnant à nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Estelle retire son pyjama. Elle reste comme nous, en T-shirt et slip de nuit. C'est le troisième jour de ses "ragnagnas". Je procède donc pour la seconde fois de la matinée aux soins du docteur. Ma bouche posée sur chacun de ses seins pour souffler de l'air chaud à travers le fin coton. Ma main dans son slip à masser délicatement son bas ventre. Par petits mouvements circulaires. Exerçant de légères pressions à chaque cycle. << Mmhh, docteur, comme c'est bon ! >> murmure t-elle lascivement en se laissant aller. Clémentine tenant ma bite toute molle en me regardant insuffler de l'air chaud sur la poitrine de ma patiente. Nous passons au salon. Nous poussons la table contre le mur.

Les sauts et flexions des mouvements aérobics. En faisant les clowns. Les exercices au sol sur les tapis de mousse. Des séries de pompes qui remplacent avantageusement les développés couchés à la barre. Clémentine tente de battre son record. Huit séries de vingt. À genoux, Estelle et moi l'encourageons en comptant à haute voix. Clémentine qui se couche sur le dos essoufflée. Je me place sur elle, en appui sur mes bras pour refaire une série de dix, un bisou sur sa bouche à chaque fois. Estelle tripotant ma bosse. Les étirements d'un bon stretching viennent conclure cette séance intense de quarante cinq minutes. Pas de douche pour Estelle qui préfère faire sa toilette au lavabo quand elle a ses "petits machins". Clémentine et moi sous l'eau à pousser des cris pour répondre à ceux d'Estelle. << Bienvenue à l'asile. Il reste des camisoles ! >> lance t-elle en nous essuyant avec la grande serviette de bain. Pleins de bisous sur nos lèvres.

Vêtus de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux, nous passons au salon. Assises sur mes genoux, me tournant le dos, elles allument l'ordinateur. Quatre courriels ce matin. Le premier de ma famille d'Édimbourg. Les choses se compliquent encore pour oncle Alan. Tante Amy craint fort qu'il ne rentre plus à la maison. Le second mail émane de Juliette qui nous raconte ses journées au haras. Plus que quarante deux chevaux en pension. Comme chaque année il faut harceler les propriétaires qui "oublient" de les récupérer. Faire la chasse aux impayés. Juliette nous rappelle qu'un Gloryhole est prévu et qu'elle attend le "feu vert" de Clémentine. Le message de Danièle qui confirme nos commandes qu'elle viendra livrer mercredi et samedi prochains. Se réjouissant au passage.

Enfin le dernier courriel de Lise qui confirme sa visite lundi après-midi pour quatorze heures. Je caresse leurs seins en les écoutant lire à hautes voix les réponses. << Elle fait des fautes d'inattention Danièle ! >> dit Estelle. << Comme tout le monde ! >> précise Clémentine. Nous éteignons l'ordinateur pour mettre nos anoraks. Le ciel semble s'éclaircir un peu. Levant la menace qui pesait depuis ce matin. Nous sortons dans la fraîcheur humide. Les pluies de la nuit ont tout détrempé. Nous quittons la propriété par le portillon pour prendre le chemin qui mène au viaduc. Les filles reviennent sur le troisième trimestre qui les attend. Estelle s'arrête à plusieurs reprises pour glisser sa main froide dans ma braguette. Par attention elle palpe ma bosse à travers le coton de mon boxer.

<< Interdiction d'entrer dans la cuisine ! >> dit elle quand nous sommes de retour. Clémentine m'entraîne sur le lit. C'est une ambiance rassurante et élégiaque d'entendre chanter Estelle depuis la cuisine. D'entendre les ustensiles qu'elle manipule. Clémentine me couche sur le dos, extrait mon Zob, pose sa tête sur son ventre. Tout en jouant avec mon sexe, elle me confie ses ressentis. Ce qui s'est passé avec monsieur Guillaume semble la perturber. << Surtout le troisième jour quand il s'est montré odieux avec moi ! >> précise t-elle. J'écoute. Quand elle prend mon érection naissante en bouche, c'est à mon tour de partager mes impressions. Je la rassure. Je suggère d'oublier le troisième jour pour ne garder en mémoire que les deux premières fois. Je l'entends glousser de contentement. Fellation délicate. Juteuse.

C'est dans ces conditions idéales pour une super pipe qu'Estelle vient nous rejoindre : << C'est prêt ! On mange. Mais je ne voudrais pas déranger ! >> dit elle en sautant sur le lit pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Je force Clémentine à cesser en la tirant par sa natte. Nous nous redressons tous les trois. Morts de faim nous courons à la cuisine. Une délicieuse odeur de patates rôties. Une belle surprise. Estelle à poêlé les pommes de terre précuites. Six gros nems au crabe. Accompagnés d'une salade de carottes. Nous couvrons son visage de bisous en la remerciant. Elle attrape ma bite en disant : << Mon nem pour cet après-midi ! >>. Nous en rions de bon cœur quand Clémentine rajoute : << Il sent le crabe mais il n'est pas au crabe. Au thon peut-être ! >>. Rires. Nous voilà installés.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine, organisatrice de nos séjours, nous apprend qu'elle a réservé cette dernière soirée du séjour à Bourg-Vignes au restaurant du "Lapin Chasseur". Nous y avons mangé le second soir de notre séjour. Un établissement gastronomique de tout premier ordre recommandé par le Gault & Millau. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges reviennent sur la randonnée prévue cet après-midi. La réserve naturelle est à quelques kilomètres du village. Si nous avons de la chance nous pourrons y apercevoir les animaux de nos forêts. Sangliers, biches, chevreuils. Peut-être même quelques cervidés plus farouches. La vaisselle. Nous nous lavons les dents dans les déconnades habituelles. Rires.

Il va être treize heures trente. La température extérieure est de 18°. Le ciel reste couvert mais lumineux. C'est parti. Je roule doucement sur la dizaine de kilomètres. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce parfois. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou, mes joues en évoquant la proposition de Juliette. Le Gloryhole de fin de vacances, vendredi prochain 3 mai. Cette fois elle tient à participer mais en précisant qu'elle ne s'occupera exclusivement que du "docteur Julien". Ce qui arrange bien Clémentine. Elle préfère me savoir entre les mains d'Estelle qu'à la merci de Juliette. Juliette étant la seule femme pouvant rendre Clémentine réellement jalouse. Je gare la voiture sur le parking. Ce sont deux grandes maisons toutes en bois. Une sorte d'office du tourisme et un restaurant.

C'est une association de protection de la nature qui gère le lieu. En coordination avec la municipalité et un restaurateur privé. L'endroit n'est pas sans évoquer un "ranch" façon "Far west" Hollywoodien. << Clint Estwood ou Clint Westwood ? >> lance Estelle facétieuse en voulant m'empêcher de reboutonner ma braguette. J'y parviens après une dure lutte. Il y a là d'autres véhicules. Du monde. Des groupes de randonneurs. De grands panneaux expliquent le pourquoi du comment depuis la création du site. Nous entrons dans le bureau d'accueil. Il y a pleins de gens. Assis autour des tables basses et rondes. Il y a quantité de brochures à la disposition des visiteurs. Deux ravissantes hôtesses derrière des comptoirs. Notre entrée ne passe pas inaperçue. Comme à chaque fois ou presque. Cet homme d'âge mûr, tenu aux bras par deux sublimes jeunes filles. Nos hautes tailles. La complicité qui émane sans cesse de notre trio insolite.

Il y a plusieurs itinéraires proposés. Notre choix se porte sur celui des cascades. Nous feuilletons une des brochures. Il y a de superbes photographies. << Ah oui, celui-là ! >> font Estelle et Clémentine en même temps. C'est parti. Je porte le petit sac à dos. Il contient des pommes, des barres de céréales, la minuscule paire de jumelles, la thermos de thé bouillant. Nous contournons les bâtiments. Il y a deux magnifiques chalets à l'arrière. Nous prenons le chemin de droite. Il longe la rivière. Nous ne sommes pas les seuls à profiter des enchantements du lieu. D'abord une forêt de résineux dont les aiguilles tombées au sol depuis des décennies forment un épais tapis. On y marche comme sur de la moquette. Il y a des ponts en bois qui traversent la rivière. Tous les cent mètres un autre.

Chacun porte le nom d'un héros de la table ronde. Le pont Lancelot. Le pont Merlin. Le pont Viviane. Nous nous prenons en photos sur chacun d'eux. Malgré les promeneurs, Estelle pose sa main sur ma braguette sur chacun des clichés. Je suis entre mes deux anges. Les I-phones posés sur la rambarde du pont qui nous fait face. Avec le principe du retardateur de 10 secondes. Ce qui nous permet de prendre les pauses. << Put-Hein sort ta bite ! Il n'y a personne ! >> lance Estelle sur le pont Arthur. Je regarde dans toutes les direction. Nos anoraks sont ouverts. Estelle n'attend ni ma réponse ni ma coopération. Elle m'extrait le Zob.
Entre Clémentine accroupie à ma droite, sa tête contre ma hanche et Estelle debout sur ma gauche qui tient mon chibre qui ne bande qu'à moitié. Prudence. Clic.

Je remballe in extremis car voilà des marcheurs. Je ferme mon anorak en catastrophe sans pouvoir ranger ma biroute. Les filles qui rient aux éclats de mon embarras. Voilà la première cascade. Tout le site est agencé à la manière d'un parc d'attractions. << On n'a pas encore vue d'animaux mais on a vu ta bite ! >> lance Estelle. C'est en rigolant comme des bossus que nous gravissons le large escalier à gauche de la cascade. Elle fait bien cinq mètres de haut. Avec les pluies du printemps c'est carrément les chutes du Niagara. Une passerelle donnant le vertige les surplombe. Trop de gens pour faire les photos "bite à l'air" qu'aimerait tant Estelle. Nous continuons ce périple en allant de découvertes en découvertes. Bien évidemment avec la fréquentation aucun animal sauvage ne se montre.

La seconde cascade. Plus haute encore que la précédente car le chemin monte. Il faut imaginer une profonde forêt qui nous entoure. Interdite d'accès car nous ne pouvons quitter le sentier balisé. C'est un peu frustrant. C'est un tour de force à chaque fois que de réaliser nos selfies "bite à l'air" devant les endroits les plus remarquables. Sur certaines photos je réussi le tour de force de bander comme le dernier des salauds entre mes deux anges qui me tiennent par la taille. Nous sourions à l'objectif avec le plus parfait naturel. Mais c'est toujours dans la précipitation car il faut faire vite. Entre deux passages. Combien de fois ne manquons-nous pas de nous faire "attraper". Pour le plus grand plaisir de mes deux coquines qui rient de leurs facéties. Troisième cascades. Magnifique.

C'est une boucle de huit kilomètres, d'une durée de trois heures. La descente étant évidemment plus rapide. Mais parsemée de panneaux explicatifs. Y sont décrits la faune et la flore qui existe en ce lieu préservé. Il y a un totem comprenant une dizaine de petits panneaux indicateurs. C'est là, maintenue par les poignets passés derrière moi, par Clémentine derrière le poteau, qu'Estelle me tient la queue qu'elle exhibe fièrement comme un trophée. Les deux I-phones réglés sur retardateur 10 secondes. Il y a deux couples qui surgissent soudain. Ils tombent évidemment sur la scène. Ils éclatent de rire après un instant de stupeur. Je dois être tout rouge, en sueur, tellement je suis terrorisé. Estelle, Clémentine et les quatre inconnus rient de concert dans la forêt qui résonne.

Je me tire en remballant. Comme un voleur. Cavalant dans la descente du sentier. << Attends-nous ! >> crie Estelle. Qui vient me rejoindre en courant. Clémentine arrive à son tour, pliée de rire, pour dire : << Ils se marrent encore là-haut ! >>. Estelle passe un mouchoir en papier sur mon visage trempé de sueur. << Ça va peut-être leurs donner des idées ! >> me dit elle avec un calme olympien. Elle palpe ma bosse en rajoutant : << Mon salaud ! >>. Il est dix sept heures quand nous revenons au "ranch". Le parking s'est un peu vidé. Installés à une table ronde à l'intérieur du restaurant, nous savourons nos coupes glacées. Très agréables accompagnées d'un bon chocolat chaud. Il y a du monde. L'endroit est très "cow-boy". Comme à l'intérieur d'un "Saloon". Hollywood.

Nous regardons la vingtaine de photos prises. Seize où je présente un chibre tantôt en érection, tantôt "tuyau d'arrosage". Clémentine a même fait un cliché où l'on voit Estelle me tenir la bite pour en diriger les jets. << Pourquoi tu n'as pas filmé ? >> demande Estelle. << Parce que en même temps je surveillais les alentours ! >> répond Clémentine. Une visite aux toilettes hommes. D'abord avec Estelle pour lui administrer les soins du docteur Julien. Souffle chaud sur les seins. Les "gouttes" qu'elle savoure en gémissant alors que je suis obligé de murmurer : << Chut ! >>. Puis avec Clémentine qui elle aussi se régale de mes épanchements de liquide séminal. Les chiottes ne sont pas très propres. Cela s'explique probablement par le passage. Il y a un monde fou dans ce grand parc.

Il est dix neuf heures quand nous garons la voiture devant la grande demeure du "Lapin Chasseur". Grande bâtisse du dix neuvième siècle entourée de son parc "à la Française". Attablés à une table qui donne sur les jardins, nappée de blanc et de dentelles, nous savourons des truffades accompagnées de légumes confis dans leurs crèmes persillées. De petites lamelles grillées, qui sont probablement des fonds d'artichauts, nous font tomber de nos chaises tellement c'est bon. Première visite dans les toilettes hommes avec Estelle. La thérapie du docteur. Avec cette fois suçage de clitoris. L'endroit est d'une propreté exemplaire. Seconde visite avec Clémentine. Cette fois moi aussi je suce son clitoris géant avant de nettoyer son intimité de ma bouche avide. Nous traînons à table.

Bonne nouille à toutes les coquines qui, une fois sous les draps, en dégustent le jus en se gargarisant de foutre. Se faisant sucer le clitoris avant de retourner à l'égouttage de la nouille. Puis de s'endormir dans les plus indicibles voluptés...

Julien (thérapeute spécialisé)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
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Le jour du retour

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par une Estelle considérablement exubérante. Tout son corps contre le mien, comme cherchant un refuge, ou à se réchauffer. Ses lèvres qui se posent sur ma joue. Elle se frotte contre ma cuisse. Attrapant ma tumescence d'une poigne ferme. C'est comme un choc d'être réveillé ainsi. Ce qui réveille également Clémentine qui vient se blottir. Je suis littéralement pris en sandwich entre mes deux anges qui se frottent contre mes cuisses en gémissant. Estelle a de quoi être euphorique, ces "petits machins", qui ont duré un peu plus longtemps, sont à présent terminés. Pour vingt huit jours. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. En riant aux éclats. C'est dimanche, pas de gymnastiques, pas d'entraînements sportifs.

Dans un dernier cri, Estelle se lève pour courir à toute vitesse vers la porte. << Pipi ! >> s'exclame t-elle. Nous percevons depuis les toilettes la puissance de son jet alors qu'elle chantonne. Clémentine, couchée sur moi, continue à frotter son sexe sur le mien en disant : << Tu sais que je n'éprouve aucune tristesse à partir. C'était une superbe semaine. Et il nous en reste une autre ! >>. C'est à notre tour d'aller pisser. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Modulant ses chants comme une diva. Les suaves odeurs du café, du pain grillé et des croissants dans le four à micro ondes. Mes mains sur ses hanches pendant qu'elle pèle les kiwis. Mes mains qui remontent sur ses petits seins que je peux à nouveau caresser sans craindre de provoquer une quelconque douleur. Clémentine contre mon dos, qui se frotte. Sa main dans mon slip.

Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de cette semaine. << C'était à la fois étrange, insolite et plein de surprises ! >> précise Estelle. << La météo assez particulière n'y est pas étrangère ! >> précise Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Préparer les valises, réunir nos affaires, faire le ménage. Il y a un peu plus de trois heures trente de route. Un dimanche ça roule certainement moins bien. Nous comptons quitter Bourg-Vignes vers quatorze heures. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les différentes randonnées réalisées ici. Les attitudes grivoises du propriétaire des lieux. Tout est réglé, payé, aucune raison de revoir ce type. << S'il ne vient pas nous saluer, nous partons sans un au revoir ! >> dit Clémentine.

<< Mais oui, on ne doit rien à personne ! On fout le camps et puis basta ! >> rajoute Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes anges inventorient dans l'ordre les tâches à effectuer. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous commençons pas préparer les valises. Celle d'Estelle et la nôtre grandes ouvertes posées sur le lit dont nous avons retiré les draps. Ils sont dans la machine à laver. Clémentine nous passe les vêtements que nous plions soigneusement avant de les ranger. Pareil pour les godasses dans les sacs de sport. Nous réunissons les affaires de toilettes dans la salle bain. Le ciel est gris, couvert et très menaçant. Les pluies de la nuit ont tout détrempé. La température n'est que de 14°. Il faut affronter la fraîcheur.

Nos bagages dans le coffre arrière de la voiture, nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Pour le ménage, distribution des rôles. Je suis délégué à l'aspirateur. Estelle déléguée à la salle de bain. Clémentine aux serpillères. Comme souvent Estelle invente les paroles loufoques d'une chanson. Sur un air de comptine d'école maternelle, elle lance la première phrase que nous répétons en cœur. En riant aux éclats quand les paroles de "la maison en carton" deviennent "le mec en caleçon". Plein d'interventions bisous de l'un ou de l'autre. L'intérieur du bungalow doit faire soixante mètres carrés. Le nettoyage et la mise en ordre n'excède pas une heure. Nous terminons par la cuisine. Estelle, mimant une masturbation masculine, s'exclame : << Maintenant, et jusqu'à ce soir, la bite à l'air ! >>

Nous sommes vêtus de nos 501, de nos sweats d'épais coton. Nous quittons la cuisine. La maison est aussi nickel que nous l'avons trouvé à notre arrivée samedi dernier. Clémentine, accroupie devant moi, fourre sa main dans ma braguette. Elle en extrait le locataire pour l'agiter sous le nez d'Estelle qui s'accroupit à ses côté. Odeurs de bite. Le dimanche à part un coup de gant de toilette après les "grosses commissions" pas de douche. Nous avons en commun d'apprécier nos odeurs corporelles, naturelles. Elles agissent sur nos sens à la manière de phéromones. C'est merveilleux de voir mes deux anges humer ma queue, en renifler des effluves qui montent jusqu'à mes narines. Elles rient en échangeant leurs impressions, leurs comparaisons. Ce matin par exemple ma bite sent le thon mayonnaise. Pliés de rires.

Elles se redressent avant l'ankylose. << Bonjour monsieur Schlinguo ! >> me fait Estelle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Mon érection est alors quasi instantanée. Clémentine qui déboutonne son Levis, attrape mon poignet pour fourrer ma main dans sa culotte en disant : << C'est mieux ! >>. Estelle fait de même. Elles tiennent mon Zob alors que je fouille les culottes. J'aimerais bien y aller fourrer mon nez. Parce que chez les filles aussi, les fonds de culottes des dimanches, méritent une attention particulière. Nous sommes serrés tous les trois à nous toucher, à nous faire des bises. De plus en plus souvent, et depuis quelques temps, Estelle et Clémentine se font des bises sur la bouche. Soudain, trois coups contre la porte fenêtre du salon. C'est madame Guillaume. C'est elle qui toque.

Depuis combien de temps est-elle là à nous mâter ? Mystère. Son sourire en dit long. Je me tourne pour cacher mon érection. Estelle la garde en main. Clémentine va ouvrir. Madame Guillaume, que nous n'avons fait qu'entrevoir durant notre séjour, s'avère une femme pleine d'humour. D'une élégance étonnante même pour un dimanche matin. Je remballe, je referme les boutons de ma braguette. Estelle me tient la main, nous rejoignons le duo. << Bonjour ! >> répète cette magnifique bourgeoise. Nous nous serrons les mains. Le regard qu'elle pose sur ma braguette confirme mes doutes. La dame a assisté à nos câlins du matin. << Vous avez passé un bon séjour ? Ça vous a plu ? >> s'empresse t-elle de demander. Nous la rassurons, l'endroit et l'hébergement sont magnifiques. Elle semble satisfaite.

À notre grand étonnement, madame Guillaume rajoute : << Vous excuserez le comportement parfois outrancier de mon mari. C'est un ours. Il m'a parlé de vous ! >>. En prononçant ces derniers mots, la dame s'adresse directement à Clémentine. Elle conclue : << Avec moi, c'est terminé depuis longtemps. Donc je tolère ses petits écarts de conduites ! >>. Nous restons abasourdis devant ces révélations. Madame Guillaume fixe ma braguette d'un air rêveur avant de dire : << Je suis très partageuse ! >>. Sans nous laisser le temps de trouver la répartie, madame Guillaume se dirige vers la porte. Elle se retourne pour nous souhaiter un bon retour. Après son départ, nous la regardons traverser la propriété pour retourner dans sa grande demeure. << Belle salope ! >> s'exclame alors Estelle.

<< Tu n'aurais pas remballé ton Zob qu'elle aurait été ravie ! >> rajoute t-elle. Nous avons réservé une table aux "Vignes", cet établissement recommandé par le guide Michelin, pour midi trente. Nous gardons le souvenir d'un somptueux repas lors de notre troisième soirée à Bourg-Vignes. À la sortie du village. J'ai à nouveau la bite à l'air. La température extérieure est à 18°. Nous faisons le tour du bungalow en restant sur la terrasse qui l'entoure. Clémentine et Estelle me tenant par les bras. C'est Clémentine qui s'accroupit. Saisissant mon chibre, elle l'agite vers Estelle qui s'accroupit à son tour. Elles se refilent ma bite qu'elles sucent à tour de rôle. Juste quelques instants avant de se redresser. Me laissant avec un début d'érection humide. La bite mouillée procure une sensation de froid.

Il va être l'heure de quitter la petite maison en bois. De quitter cet étrange havre de paix. Je roule doucement en traversant la propriété. Là-bas, madame Guillaume tenant un grand lévrier gris au bout d'une laisse. Chaussée de bottes en caoutchouc, d'une pantalon noir dont le bas y est enfilé, une veste de pluie, elle s'écarte pour nous laisser franchir le portail. Je m'arrête. Clémentine qui joue avec ma queue, se penche pour saluer la dame une dernière fois. Cette dernière se penche également. Par la vitre baissée, elle découvre le spectacle. Le regard qu'elle m'adresse en disant : << Bonne route ! >> en dit autant que tout un roman. J'accélère. << Arrête-toi ! >> lance soudain Clémentine. Assise à l'arrière, Estelle caresse mon cou en disant : << Sors et montre lui bien ta bite ! >>

Je me contente d'ouvrir la portière. Madame Guillaume a du mal à retenir son chien pressé d'aller en promenade. Aussi, c'est en tirant sur la laisse, dans une sorte de lutte, qu'elle nous observe en souriant. Clémentine agite ma bite. Penchée vers la portière ouverte, elle s'écrie : << Dommage qu'on ne savait pas ! >>. À notre plus grand étonnement, la dame répond : << Oui, vraiment dommage ! >>. Estelle descend la vitre arrière pour rajouter : << Vous avez nos coordonnées. Se priver c'est se faire du mal ! >>. C'est à présent madame Guillaume qui reste pantoise. Clémentine me branle, tend ma queue vers la dame en disant : << Et là où il y a de la gêne il n'y a pas de plaisir ! >>. Je conclue : << Nous avons nous aussi une maison d'amis. Nous pouvons recevoir ! >>

Je referme la portière. J'estime que cette belle bourgeoise en sait bien assez. Je roule doucement en direction du village. En me faisant tailler une pipe. Estelle, frustrée, à l'arrière, s'écrie : << Pour rentrer après le restaurant, c'est chacune son tour assises devant une demi heure ! >>. Nous en rions aux éclats. Le repas aux "Vignes" nous laisse une fois encore une de ces impressions de frôler le divin. Il n'y a pas trop de clients. Aussi les deux petites visites aux toilettes hommes d'abord avec Estelle puis avec Clémentine, se déroulent dans les meilleures conditions. J'adore les regards complices de ces jeunes serveuses qui semblent parfaitement comprendre ce que nous allons faire à deux dans les cabinets. Celle d'aujourd'hui paraît même envieuse. L'addition après le dessert et le café.

C'est parti. Je roule doucement. C'est Estelle qui joue avec ma queue. Qui alterne pipes et branles. Clémentine vérifie que cela ne dépasse pas la demi heure. J'arrête la voiture au bord de la route. C'est elle qui monte à l'avant. Il faut faire vite car la pluie est de la partie. Les arrêts pipis toutes les heures. Avant de permuter. La circulation est fluide. Nous roulons bien. Il est dix huit heures trente quand nous arrivons à la maison. C'est un autre plaisir que de retrouver son chez soi. Nous avons pour règle de défaire immédiatement les valises, de tout ranger. Clémentine prépare l'assaisonnement du concombre ramené de Bourg-Vignes. Estelle fait cuire les coquillettes, je poêle trois belles escalopes de dinde. Encore congelées elles partent d'abord en flotte. La fatigue se fait sentir.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont se faire nettoyer les minous. Avant de finir de vider les couilles de leur coquin, sous les draps. Puis une plongée dans les profondeurs insondable d'un sommeil heureux...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine , Julien et Estelle
Tuesday 30 April 2024 07:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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L'agréable visite de Lise

Hier matin, lundi, il est huit heures trente. Je suis tiré de mon sommeil par les agissements d'Estelle. La coquine saisit ma tumescence d'une poigne ferme. C'est un réveil véritablement insolite. Serrée contre moi à me chuchoter les premières douceurs de la journée. Ce qui tire également Clémentine de sa nuit. Elle vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Tenu par les couilles et par la queue. Nous en rions. Clémentine tente de dire quelques mots mais elle trébuche sur chacun d'eux. C'est une succession d'éclats de rire. Estelle se lève d'un bond pour courir vers la porte. Urgence absolue si elle ne veut pas que cela se termine par le drame d'un pipi au lit. Clémentine s'allonge sur moi. Se frotte lascivement. Elle a retrouvé ses facultés pour me dire : << Je vous aime monsieur ! >>

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Même à la salle de bain où nous revêtons nos tenues sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans les effluves odorantes du café, du pain grillé. Le rituel tactile que je lui inflige la fait roucouler de plaisir. Alors qu'elle presse les oranges, mes mains montent de ses hanches sur ses seins. Clémentine, ses mains autour de ma taille, ses lèvres dans ma nuque. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de nos vacances à Bourg-Vignes. Quand Estelle aborde les "pipes au gros", Clémentine propose de ne plus en parler. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de la journée. Dehors le ciel est lumineux. La température extérieure est de 12°.

Toujours ce vrai plaisir que de pouvoir traîner à table. Les filles assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, parlant de leurs études. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous y laissons Estelle qui se change pour aller recouvrir le lit, fermer la porte fenêtre. Pressés d'aller courir, nous redescendons à toute vitesse en nous tenant les mains. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur humide. C'est parti pour un jogging d'une heure qui nous emmène le long de la rivière. Il est dix heures quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première pendant que nous réunissons nos vêtements. C'est à notre tour. Qu'il est plaisant de pouvoir prendre tout notre temps.

Nous dévalons les escaliers pour passer au salon. Assises sur mes cuisses, me tournant le dos, mes deux anges consultent nos boîtes mails. Je caresse délicatement leurs petits seins fermes. Estelle lit à haute voix la teneur du message de Juliette qui s'excuse de ne pouvoir venir manger mercredi soir. Par contre elle revient sur l'éventualité d'un Gloryhole vendredi en soirée. Précisant qu'il faut la réponse impérativement demain soir, mardi, au plus tard. Pour pouvoir réunir tout le monde et préparer les choses dans leurs moindres détails. << Qu'est-ce qu'on fait ? >> demande Estelle. << Je n'ai plus envie, le "gros" de Bourg-Vignes m'a un peu dégouté pour quelques temps ! >> répond Clémentine. Elles écrivent la réponse négative immédiatement. En se relisant à haute voix. En riant.

C'est quand elles surfent sur le site universitaire qu'elles découvrent enfin les informations tant attendues. Le programme du troisième et dernier trimestre. Les épreuves du Doctorat commencent le 16 mai. Réunions en bureau, examen des candidatures, présentation des thèses entre le 21 mai et 23 mai. Appréciation du jury jusqu'au 14 juin. Tirage au sort d'un sujet à développer le 17 juin. J'aime toujours les écouter. Mais là elles sont tellement contentes. Ces informations tant attendues sont enfin arrivées. S'en suit une exubérance agitée. Toutes les deux se lèvent. M'entraînent par les mains dans une farandole folle dans toute la grande pièce. Puis une danse tribale où elles poussent des cris gutturaux. Nous sommes pliés de rire. Elles me font tomber dans le canapé. Jetant les coussins au sol.

À genoux, elles déboutonnent mon 501. Estelle y fourre sa main pour en extraire le locataire. Elles hument mon chibre. << Dommage ça sent le gel douche ! >> s'écrie Estelle qui passe sa langue sur la peau fripée du prépuce. << Ça sent toujours meilleur en soirée ! >> s'exclame Clémentine. Je me fais sucer. C'est dans la continuité d'une certaine euphorie qu'elles se refilent mon Zob. Mon érection leurs offre bientôt la raideur du bois de chêne. Je caresse leurs nuques. Je les tiens toutes les deux par leurs nattes. Je tire sur l'une afin qu'elle laisse sa place à l'autre. Nous en rions. Il commence à faire faim. Elles se redressent toutes les deux. << J'aime prendre l'apéro avec de bonnes nouvelles ! >> lance Estelle. Rires. Elles me saisissent par les mains pour me tirer. Je me lève à mon tour.

Clémentine fait l'assaisonnement des tomates ramenées de Bourg-Vignes. Estelle fait gonfler du riz complet. Je fais rissoler trois filets de flétan encore congelés. Le poisson part en flotte dans la poêle. C'est rapide. Il est prévu d'aller faire des courses en fin d'après-midi car avec le jour férié du premier mai, il n'y aura pas de livraisons. Impossible de tenir jusqu'à samedi prochain. Surtout en fruits et en légumes. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour cette seconde semaine de vacances. Clémentine suggère de nous laisser inspirer au jour le jour par l'improvisation la plus totale. Principe admis sous nos applaudissements. Nous traînons à table. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer des masturbations masculines avec toute la vulgarité dont elle est coutumière.

<< Tu montres ta bite à Lise tout à l'heure ? >> demande t-elle. Clémentine rajoute : << Elle vient aussi pour "elle" ! >>. Nous rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en déconnant un maximum. La température extérieure est montée à 20°. De nombreuses séquences d'ensoleillement. Nous descendons jusqu'à la rivière. << S'il fait beau comme ça demain, on se barre à vélos ! >> lance Clémentine. Nous applaudissons la suggestion. Bite à l'air, entre mes deux anges que je tiens par la taille, nous regardons les canards, les colverts et les poules d'eau virevolter à la surface de l'onde bien agitée. Il faut remonter. Je remballe au cas où notre voisin descendrait lui aussi pour aller nourrir nos amis à plumes. Il va être quatorze heures.

Le portail est ouvert. La petite Fiat 500 rouge descend lentement les pavés autobloquants. Lise se gare devant la porte du garage. C'est la première fois que nous la voyons en jupe. Baskets. sweat. Très relax. C'est la troisième fois que Lise rencontre Estelle. Elles se font la bise. Plus timide et réservée envers moi, Lise me tend la main. Nous rentrons en riant. Les filles entre elles ont toujours un tas de choses à se raconter. Aussi, pendant qu'elles s'installent au salon, je prépare le thé, les petits gâteaux. Me parviennent des rires, des éclats de voix. Je prends mon temps. J'attends un peu. Je déboutonne mon Levis. Je mets les tasses, la théière, le sucre et les petits gâteaux secs sur le grand plateau. Je vais jusque dans le hall d'entrée pour vérifier ma tenue devant le grand miroir.

J'entre dans le salon. Lise est assise dans le fauteuil. Clémentine et Estelle dans le canapé. Elles s'écartent. Estelle tapote la place qui m'est ainsi réservée. Je dispose le contenu du plateau sur la table basse avant de venir m'installer entre mes deux anges. Lise ne quitte pas ma braguette béante des yeux. Estelle y fourre sa main en riant. Elle demande à Lise : << Ce vieux cochon te la fait voir tous les samedis matins je parie ! >>. Lise éclate de rire en répondant : << Exact ! >>. Estelle rajoute : << Et bien on va faire comme un samedi matin ! >>. Tout en extrayant mon chibre mou qu'elle agite vers Lise en rajoutant : << Et tu apprécies ? >>. Il y a un moment de silence. Lise me fixe dans la yeux avec un étrange regard. Il y a de la sévérité ou du reproche mais aussi de l'amusement.

Je ne tarde pas à bander comme le dernier des salauds. Malgré moi je me retrouve être le centre d'intérêt. La conversation reprend. Lise est en première année de BTS commerce. Dix neuf ans depuis décembre. C'est avec passion qu'elle parle de ses études. Après l'obtention de son BTS, Lise à le souhait de faire deux années supplémentaires afin d'obtenir son diplôme d'ingénieur marketing. Estelle joue avec ma queue comme si c'était l'activité la plus naturelle au monde durant une discussion sérieuse. Estelle adore me ma tordre dans tous les sens. Je bande un peu plus mou. Heureusement. Ça fait moins mal. Clémentine raconte nos vacances récentes. Nos projets pour l'Écosse cet été. Son désir d'enseigner dans une grande université d'Édimbourg. Lise fixe la main tortionnaire d'Estelle.

Plonge son regard dans le mien. Je devine qu'elle aimerait me poser tout un tas de questions. Clémentine s'en doute également. Aussi, elle lui tend la perche. Alors qu'Estelle lui tend mon Zob. << Tu viens manger un de ces soirs ? >> demande Clémentine. << Oui, t'amuser un peu avec nous ! >> rajoute Estelle en agitant mon érection. Lise fixe la coulure. Le liquide séminal qui s'écoule sur les doigts d'Estelle. Estelle montre ses doigts gluants qu'elle porte à sa bouche. Lise ouvre soudain de grands yeux. Comme interloquée. Un long silence. Je sens des frissons dans la cuisse de Clémentine, contre la mienne. Lise finit par répondre : << Je peux venir manger jeudi soir si ça va pour vous ! >>. Clémentine s'écrie : << Excellent ! >>. Estelle rajoute : << On va t'introniser dans notre Club ! >>

<< Je vois ! >> répond Lise. Lise qui doit nous laisser pour quinze heures trente. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Installée au volant, la vitre baissée, elle nous dit : << J'ai passé un bon moment. À jeudi soir alors ! >>. Estelle agite ma queue. Nous regardons Lise faire sa manœuvre de demi tour. En remontant, elle nous fait un grand coucou. Nous restons au soleil, assis sur les rochers autour du bassin. << Si on se démerde bien, on en fera une membre du club ! >> lance Estelle sans cesser de jouer avec ma bite. Ça va faire deux heures sans la lâcher. Nous en rions de bon cœur. Il va être seize heures. Nous sortons l'auto du garage. Nous restons vêtus de nos Levis, de nos sweats. Nous changeons simplement les baskets contre des bottines. Il faut faire les courses.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines qui vont continuer à s'amuser follement en hypermarché, en cafétéria avant une soirée "baise sur bureau" qui soldera la première journée de retour de vacances.

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine , Julien et Estelle
Wednesday 1 May 2024 07:58

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 9 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2600 -



Une magnifique journée

Il est aux environs de neuf heures, hier matin, mardi. Une bonne nuit d'un sommeil nécessaire. Comme le murmure Estelle en se serrant plus fort encore contre moi : << Tu n'as plus vingt ans. Il faut que je te ménage. À trois ! >>. Je ne suis même pas encore totalement conscient que me voilà à rire. Mon érection dans la poigne ferme de la coquine. Clémentine se réveille à son tour pour venir se blottir. << Pourquoi vous riez comme des petits fous ? >> murmure t-elle en s'y reprenant à trois fois. Nous rigolons comme des bossus en nous faisant plein de bisous. Je suis entre mes deux anges, mes bras autour de leurs épaules. << Ça précipite mon envie de faire pipi de rigoler comme ça ! >> s'écrie Estelle qui saute du lit comme si celui-ci était la proie des flammes. En courant vers la porte.

Clémentine, allongée sur moi, ses lèvres dans mon cou, frotte son sexe sur le mien en gémissant. Nous ne sommes pas du matin et l'envie de pisser devient intolérable. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud dans la maison. Les radiateurs fonctionnent encore à plein en ce 30 avril. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine flottent les suaves odeurs du café, du pain grillé. Au milieu de la table trône la brioche au pudding achetée durant nos courses de fin d'après-midi, lundi. Estelle presse les oranges. Mes mains sur ses seins. Mes lèvres dans sa nuque. Clémentine serrée derrière moi, ses mains dans mon slip contre les fesses d'Estelle. << J'aime les débuts de nos journées ! >> murmure Clémentine. << Moi aussi ! >> rajoute Estelle. Je pèle les kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la visite de Lise. Ses attitudes, ses comportements. En prévision de sa visite de jeudi soir, Estelle propose une Flamiche Picarde. Cette délicieuse tourte aux poireaux qui fait nos délices et celui de nos invités. << Avec ta bite à l'air sous la table ! >> lance t-elle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Dans son pyjama de soie mauve. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la sortie vélos de cet après-midi. C'est qu'il fait tellement beau aujourd'hui encore. Le ciel est quasiment bleu. Le soleil y règne en maître absolu. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évoquent les livres de leurs thèses qu'il faudra aller récupérer chez l'imprimeur. Jeudi.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en déconnant. Estelle, dans des pantomimes grotesques, danse lascivement en retirant son pyjama. Nous revêtons nos tenues de running. La température extérieure n'est toutefois encore que de 14°. Nous redescendons à toute vitesse pour enfiler les K-ways. Le ciel bleu, le soleil, ne sont que la parodie d'un matin d'été. Une fois sortis nous déchantons très vite. Il faut accélérer nos mouvements d'échauffement pour mettre nos corps en conditions. Nous courons le long de la rivière. Notre itinéraire préféré. Il est dix heures trente quand Estelle est sous la douche à chantonner. Nous recouvrons le vit et revenons avec les vêtements. C'est à notre tour. Habillés tous les trois à l'identique, Levis, sweats, baskets, nous redescendons au salon.

Assises sur mes genoux, me tournant le dos, mes deux anges allument l'ordinateur. Seule Estelle a deux mails. Celui de ses parents. Celui de Gauvain son "amoureux" transis. Pendant qu'elles lisent à hautes voix, cherchant l'inspiration des réponses, je caresse leurs seins minuscules. Mes mains sous les sweats. Clémentine et Estelle surfent longuement sur le site de l'université. Là c'est du sérieux. Ce changement d'attitude est toujours étonnant. Il est onze heures. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement d'une belle laitue. Elle en lave les feuilles également pour ce soir. Estelle fait gonfler du riz complet. Je fais rissoler trois belles escalopes de dinde avec des champignons. Estelle concocte une sauce au Roquefort dont les parfums envahissent la cuisine.

Nous mangeons de bon appétit alors qu'il n'est pas tout à fait midi. Pressés de nous enfuir à bicyclettes. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous changer. La température extérieure étant à présent de 22°, Estelle et Clémentine porte jupettes, T-shirts. Je suis en short et T-shirt. Dans le petit sac à dos que je porte, pommes, barres de céréales, les K-ways pour le retour. Avec nos bouteilles d'eau à la main, nous traversons le jardin en courant. Je vérifie le gonflage des pneus. La tension des chaînes. Parfait. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois dont j'ouvre le cadenas à quatre chiffres. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons poussés par un léger vent de Nord Est. Nous l'aurons de face au retour.

Il y a nombre de cyclistes. Des groupes, des couples, des solitaires. Des filles en rollers. Des promeneurs. Nous pouvons rouler côte à côte en bavardant. Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse après dix kilomètres. Il y a là des gens. Les filles se gardent pour les quinze kilomètres restant. Ce qui laisse quelques possibilités exhibes une fois arrivé au port de plaisance. Il est à peine 14 h15 quand nous arrivons. Il y a toujours de l'animation sur les quais. L'endroit est si charmant. Nous fermons les bicyclettes à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie aux volets clos. Rapidement, Estelle et Clémentine retirent leurs culottes pour les fourrer dans la pochette avant du sac que je porte sur le dos. Je glisse mes mains sous les jupettes. << Salaud ! >> lance Estelle. C'est tellement doux.

Nous flânons sur les quais. Dimanche prochain il y aura le premier vide grenier de la saison. Nous nous promettons d'y venir faire un tour. Pas toujours discrète, Estelle palpe ma bosse. Parfois même, elle glisse sa main dans mon short par une des cuisses. Penchée en avant à fouiller mon slip. << On va recommencer à nous donner des gages ! >> fait elle. En prévision de la fête du muguet, demain premier Mai, il y a des commerçants qui préparent leurs stands, leurs caravanes en guise de magasins. Il y a de l'activité. Des groupes de cyclistes poussant leurs vélos. Des familles. Les joueurs de pétanques à l'ombre des platanes. C'est que le soleil tape. Il y a près de 27° sous ses chauds rayons. Là, entre deux tréteaux et un petit chapiteau, Clémentine s'accroupit soudain. Nous faisons le guet.

Nous comprenons rapidement sa précipitation. Il y a un cycliste habillé façon "Tour de France" assis sur le muret. Il ne nous a pas vu. Par contre il regarde cette sublime jeune fille accroupie, dans une indécence folle, cuisses largement écartées. Lui faisant face, à une vingtaine de mètres, Clémentine nous tourne le dos. << Quelle salope. Je n'avais pas vu ce mec ! >> murmure Estelle. Il y deux hommes qui sortent du chapiteau en tenant des chaises. Heureusement qu'ils ne regardent par sur leur droite. Pour faire diversion, Estelle passe son bras autour de ma taille pour se serrer. Cet homme d'âge mûr, qu'enlace cette jeune fille, attirent immédiatement leurs attentions amusées. Là-bas, une longue coulée de pisse depuis l'entre jambes de Clémentine dégouline vers le cycliste voyeur.

Les deux hommes se dirigent vers la camionnette stationnée plus loin. << Ouf, ils n'ont rien vu ! >> chuchote Estelle soulagée en palpant la bosse qui déforme mon short. C'est que je bande comme le dernier des salauds. L'extraordinaire prestation de Clémentine nous enchante. C'est toujours très intense quand elle relève la tête pour fixer son voyeur, immobile, pour le faire profiter le plus longtemps possible du spectacle. Cette fois encore tout se passe bien. C'est un gentleman. Pas un de ces "morts de faim" pénibles et ennuyeux. Estelle et moi, pour donner le change, nous jouons aux amoureux en faisant semblant de nous douter de rien. À la limite de l'ankylose, voulant échapper à la crampe qui guette, Clémentine se redresse enfin. Le cycliste ne prononce pas un mot. Mutique.

Nous continuons notre balade. Une autre "victime potentielle" serait la bienvenue. Nous connaissons chaque recoin des quais. Des fourrés autour des bâtiments des sanitaires. Celui réservé aux plaisanciers est fermé. Celui réservé au public voit un défilé permanent de toutes sortes d'individus. Sa proximité immédiate est le lieu de rendez-vous des "D'jeunes" en scooters du bourg voisin. Nous descendons le long du canal. Un pêcheur tous les cinquante mètres. Les pêcheurs constituent le public idéal pour une exhibition féminine. Clémentine n'a qu'à choisir sa "proie". En la personne de ce sexagénaire jovial à grosses moustaches. Ce qui nous amuse toujours c'est cet équipement paramilitaire que possèdent certains pêcheurs vêtus de véritables tenues de camouflages. Façon tenues d'assauts. Pour attraper de petits poissons inoffensifs !

Celui-ci est vautré dans un fauteuil à surveiller les quatre cannes fixées sur des supports. Sous un large parasol évidemment kaki et de "camouflage". << Celui-là, il est pour moi ! >> murmure Clémentine en passant une main sous sa jupette. Estelle fait de même en disant : << J'emmène Julien là-bas, dans les bosquets. On n'est pas loin. Au moindre blême tu appelles ! >>. Clémentine s'exclame : << Vous allez baiser dans l'herbe ? >>. Estelle répond : << Non sur les K-ways dépliés ! >>. Elle m'entraîne par la main. Cinquante mètres jusqu'aux buissons. Il faut faire gaffe car il y déjà des ronces. Cachés, nous observons la manœuvre d'approche de Clémentine. Les bras croisés, marchant doucement, sans un regard pour le pêcheur à grosses moustaches, elle attire son attention.

<< Mais quelle salope ! >> lance Estelle en dépliant deux K-ways. Elle tire la minuscule paire de jumelles du sac à dos. Alors qu'elle observe Clémentine, je pose mes mains sur ses hanches. Comme je le fais le matin. Je remonte sur ses seins. Derrière elle, mes lèvres frôlant sa nuque. Je murmure : << J'ai envie de faire l'amour avec toi ! >>. Elle se retourne, laisse tomber la paire de jumelles dans l'herbe haute qui nous entoure. << C'est vrai ? Moi j'ai envie tout le temps avec toi ! >> dit elle dans un souffle. Là-bas, à une cinquantaine de mètres, Clémentine assise au bord de l'eau. Elle attend probablement le passage d'un cycliste solitaire sur la piste cyclable, de l'autre côté du canal. Estelle aménage soigneusement notre couche. Piétinant les herbes hautes pour pouvoir voir les environs.

Couchée sur le dos, les cuisses largement écartées, elle m'invite à venir. J'hésite. Je regarde partout autour de nous. L'endroit est à l'abri des regards éventuels. Je retire mon short, mon slip. En appui sur mes bras, pour ne pas peser de tout mon poids, je me positionne. Estelle saisit mon érection pour la frotter contre son sexe. Je sens la mouille qui va permettre une pénétration douce et langoureuse. Comme nous aimons. L'endroit est parfait. Je redresse simplement la tête et je vois Clémentine de dos. Estelle s'introduit mon érection. << Mmhhh, je t'aime Julien. C'est toi que j'aime ! >> murmure t-elle en s'accrochant à mon cou. Passant ses jambes autour de ma taille pour s'accrocher. Elle enfonce sa langue dans ma bouche pour un baiser passionné. Je bouge doucement. Je la berce.

Accrochée à moi, perdant toute notion de l'environnement, Estelle se laisse aller à son plaisir. Quand elle est suspendue ainsi à moi, elle ne peut pas toucher son clitoris, elle ne peut pas se masturber en même temps. Je découvre que la pénétration lui procure de délicates sensations malgré tout. Je n'ai qu'à lever les yeux pour surveiller ce qui se déroule au bord du canal. Clémentine, à présent accroupie, se tenant au tronc de l'acacia sur sa gauche. Elle guette. Je comprends. Il y a un cycliste qui l'a repéré. Il fait semblant de s'intéresser à la roue arrière de sa bicyclette. Alors qu'il mâte très probablement. Le pêcheur moustachu, que je vois de dos, semble s'être endormi. Le bougre. Il ne sait pas ce qu'il rate. C'est très excitant de faire l'amour en visionnant une scène exhibitionniste de qualité.

Impossible de voir si Clémentine pisse. Mais sa position est celle de la pisseuse de plein air. Il y a d'autres cyclistes. Clémentine doit donc ruser. Elle se tourne rapidement à droite ou à gauche pour se faire discrète. Une bonne dizaine de minutes où elle se redresse quelques instants avant de s'accroupir à nouveau. Je sais à quel point elle s'amuse. Authentique exhibitionniste s'adonnant à sa passion. À son Art. Estelle chuchote : << Raconte-moi, qu'est-ce qu'elle fait ? >>. tout en la berçant d'une lent mouvement régulier de mon bassin, je murmure : << Elle montre sa chatte ! >>. Quand je suis en elle et qu'Estelle rit, les sensations sont sublimes. Le cycliste a disparu. Il ne se passe pas grand chose. Clémentine est à nouveau assise dans l'herbe à chasser des insectes. Estelle m'embrasse.

Soudain, là, sur la droite, malgré que ce soit un vélo de course ou de compétition, arrive le cycliste. Le bougre est allé jusqu'au port pour faire une boucle et revenir jusqu'ici. Je reste vigilant. Estelle se décroche. Je me retire en lui expliquant ce qui se passe. Elle se met à plat ventre à côté de moi. Je remets mon slip et mon short. Prêt à intervenir si les choses devaient tourner au vinaigre. Clémentine a sans doute affaire à un de ces emmerdeurs, bien chiants, ne pouvant se contenter de regarder. Il pose son vélo au sol pour se rapprocher de la fille en se touchant. << Put-Hein l'enculé ! >> murmure Estelle. Je me redresse, sur les genoux, prêt à bondir. Le pêcheur semble dormir à poings fermés à une cinquantaine de mètres. Le cycliste se montre entreprenant. Le pénible. Le pot de colle.

Clémentine se redresse, l'évite en le contournant. C'est l'enfoiré dans toute sa médiocrité crasse. Clémentine nous cherche désespérément des yeux. Je bondis. Dès qu'il me voit, l'enculé se précipite vers son vélo. Il me jauge. Mon mètre quatre vingt huit de culturiste doit beaucoup l'impressionner. Je n'ai jamais vu un mec monter sur un vélo aussi vite. Il pédale comme un dément sur le chemin caillouteux. On dirait Louis de Funès dans une comédie burlesque. Estelle vient nous rejoindre. Nous échangeons nos impressions. Nous avons probablement réveillé le pêcheur qui nous contemple comme des apparitions. Nous récupérons nos affaires pour revenir sur le port. La supérette est ouverte. Nous les avons bien mérité nos crèmes glacées préférées Ben & Jerry's. Quelle plaisir de se régaler. Assis sur des bancs, à l'ombre des platanes, à regarder la partie de pétanque.

Bonne fin d'après-midi et bon retour à toutes les coquines qui ont eu, chacune, leurs émotions préférées. Avant de retrouver celles qui les attendent après le repas du soir, léchées, sucées et pénétrées par leur "garde du corps", à la bite raide comme un piquet...

Julien (garde du corps)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine , Julien et Estelle
Thursday 2 May 2024 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 10 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2601 -



La virée vélo du premier Mai

Hier matin, mercredi, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Estelle, accrochée à moi toute la nuit comme une naufragée à son radeau. C'est elle mon réveil matin lorsque nous sommes ensemble. Quand elle saisit ma tumescence. Quand elle bouge ses pieds contre les miens. Qu'elle pose ses lèvres sous mon oreille. Qu'elle titille la peau de mon cou du bout de sa langue. Quel plus agréable retour à la réalité que ce moment là ? Tout cela tire Clémentine de son sommeil. Elle vient se blottir. Toutes les deux impriment alors un mouvement masturbatoire contre mes cuisses, mes hanches. Je suis entre mes deux anges. Qu'il est agréable de glisser mes mains dans les culottes. De démêler quelques poils. De passer mes doigts sur leurs intimités moites et douces.

Estelle se lève d'un bond. Comme tous les jours, dans l'urgence de son besoin naturel, elle se précipite vers la porte. Clémentine se couche sur moi. Mitraille mon visage de bisous en murmurant quantité de << Je t'aime ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Il fait tellement beau en regardant par les fenêtres de la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine flottent les douces odeurs du café, du pain grillé, du reste de brioche dans le four à micro ondes. Je pèle les kiwis, Clémentine presse les oranges. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de mardi après-midi. << C'était génial ! >> lance Estelle. << Parce que tu as baisé avec Julien ! >> fait Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. Surtout quand Estelle rajoute : << Oui, mais en admirant ton exhibe ! >>. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la sortie vélo de ce mercredi férié. Nous partirons le plus tôt possible après le repas de midi. De traîner à table est une des composantes de nos journées de vacances. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font le programme de demain, jeudi. En soirée viendra Lise. L'après-midi il faudra récupérer les livres chez l'imprimeur. << Pourvu qu'on ne rate pas un belle sortie à bicyclettes ! >> s'exclame Estelle. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Pendant qu'Estelle se change, nous recouvrons le lit. En nous tenant par les mains, nous redescendons à toute vitesse. Nous sortons. Surprise.

La température extérieure est de 16° alors qu'il n'est que 9 h45. Le ciel est Bleu. Le soleil y est haut. Quelques mouvements d'échauffement. Nous effectuons notre jogging le long de la rivière. Dix heures quarante cinq quand nous revenons. Estelle prend sa douche pendant que nous préparons nos vêtements. C'est à notre tour. Habillés de nos Levis, de nos sweats, nous dévalons les escalier pour aller au salon. Le rituel de l'ordinateur. Me tournant le dos, assises sur mes cuisses, mes deux anges consultent nos boîtes mails. Pas de courriels. Un rapide petit tour sur le site de l'université. Mes mains sous leurs sweats à caresser leurs seins. Aucune nouvelle information. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement des tomates. Estelle s'occupe des spaghettis.

Je poêle les six nems au crabe et à la crevette. C'est du "vite fait". Mais nous sommes tellement pressés de filer. Nous mangeons de bon appétit en parlant déjà de nos vacances d'été. Cette chère Écosse que les filles sont impatientes de retrouver. << Tous les jours un gage. Et avec preuve photographique ! >> lance Estelle. Nous en rions car ce sont autant de bon souvenirs à venir. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents dans la plus totale déconnade. Habituelle. Nous voilà en tenues. Estelle et Clémentine en jupettes sports. T-shirts. Je porte un de ces shorts en lycra noir qu'affectionnent mes deux anges. Shorts moulants, épousant bien les formes, permettant d'avoir un accès direct à la bosse. T-shirt. Nous descendons en nous tenant par les mains. Il faut préparer le sac à dos.

Pommes, barres de céréales, Jumelles, K-ways pour le soir. C'est parti. Enfin. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Comme mardi, un léger vent de Nord Est facilite notre avancée. La température est de 24°. Toute la région semble s'être donnée rendez-vous à bicyclettes sur cette petite route. Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse. C'est un endroit fort prisé par les groupes de cyclistes. Il y a l'ombre des acacias, de la maison en bois. C'est encore d'une seule traite que nous parcourons les vingt cinq kilomètres qui nous séparent du port de plaisance. Nous y arrivons pour 14 h30. C'est aujourd'hui la fête du muguet. Comme pour chaque animation organisée par la municipalité voisine c'est encore un franc succès.

Les vélos fermés à cadenas derrière la capitainerie, Estelle et Clémentine retirent rapidement leurs culottes pour les mettre dans la pochette avant du sac que je porte. Il faut très vite s'imposer un bain de foule. Entre les vendeurs à la sauvette qui propose des brins de muguets cueillis dans la matinée, les stands de jeux ou encore les caravanes aux ballons multicolores proposant même des merguez, nous louvoyons. Il faut parfois patienter pour se frayer un passage. Il n'est évidemment pas question pour Clémentine de se livrer à une de ses exhibes de haut vol dont elle est friande. Par contre, profitant des diverses attractions, pas toujours très discrète, Estelle pose sa main sur ma bosse. D'une série de poignes fermes elle s'amuse. Je parviens à passer ma main baladeuse sous sa jupette.

Juste devant la caravane d'un vendeur de barbe à papa et de pommes d'amour. Il règne là une authentique ambiance de kermesse. Il y a même un orchestre de bal dont la musique nous parvient depuis le chapiteau. C'est en nous glissant à l'arrière, entre le mur et la bâche, que nous pouvons nous adonner à nos attouchements. Je caresse l'intimité de mes deux anges en même temps. Elles me font des bises. La situation ne peut se prolonger. Il y a des gens partout. Et même dans les endroits que nous croyons isolés. Nous flânons jusqu'au bout de la jetée. Toutes les tables des deux terrasses du bar restaurant sont occupées. Il y a même des gens assis sur le muret qui attendent que des chaises se libèrent. Beaucoup de couples flânent. Brins de muguet à la main, ils se promènent nonchalamment.

Nous remontons le large escalier qui mène sur la route que nous traversons pour nous rendre à la supérette. C'est la "kermesse" à l'intérieur également. Ça décourage même le plus patient des amateurs de crèmes glacées. << Venez, on s'arrache. On ne va pas perdre une demi heure là dedans ! >> lance Clémentine. Nous n'avons jamais vu autant de clients dans ce magasin. Peut-être aurons-nous de la chance à une des caravanes proposant des glaces. Toujours est-il que cette légère frustration aiguise un autre appétit. Celui de nous toucher. Nous retournons sur le chemin qui longe le canal. Un pêcheur tous les trente mètres. La grosse artillerie. Tentes paramilitaires, gros véhicules, pêcheurs en tenues de combats. Les poissons n'ont qu'à bien se tenir. C'est assez surréaliste.

<< Ils partent peut-être faire la guerre en Ukraine ! >> lance Estelle. Nous voilà enfin au calme. Derrière les bosquets qui délimitent les champs à la terre fraîchement labourée. Installés sur les K-ways dépliés, nous savourons nos pommes. Estelle et Clémentine, assises en tailleur, le pan de la jupette dissimulant leurs intimités, proposent une partie de cul à l'ombre. Je trouve l'idée charmante. Baiser dans la nature reste une activité bucolique de tout premier ordre. En ce qui nous concerne toutefois. Elles s'allongent. En appui sur les coudes, me faisant face, elles écartent leurs cuisses. << Tu commences par la quelle ? >> me demande Estelle. << On tire au sort avant de "tirer" ! >> lance Clémentine. Elle commence à compter en nous désignant de son index : << Amstramgram ! >>

<< Pic et pic et collégram ! >> rajoute Estelle en caressant son clitoris. << Tu triches ! >> s'exclame Estelle quand Clémentine termine sa comptine en pointant son index sur son sexe. Nous rions aux éclats. Je me penche. Délicatement j'enfonce mes doigts. D'abord jusqu'à la première phalange que je fais tourner. Puis ensuite jusqu'à la seconde. En appui sur leurs coudes, elles m'observent toutes les deux avec cet air étonné. C'est adorable. Je dis : << La première qui mouille vraiment, sera pénétrée ! >>. Elle se mettent à rire en bougeant leurs bassins. C'est par Clémentine que je commence. J'enlève short et slip. En appui sur mes bras, pour ne pas peser de tout mon poids, je la pénètre avec d'infinies précautions. Estelle se redresse pour m'attraper les couilles. Elle me chuchote des trucs.

Je tente de la doigter. À genoux à côté de moi, me palpant les roubignoles, elle m'offre son intimité. J'y fais bouger doucement deux doigts. << J'adore quand tu me fouilles ! >> murmure t-elle. << J'adore quand tu es en moi ! >> chuchote Clémentine. Je ne sais plus où donner de la tête. Estelle reste toutefois vigilante à observer les environs. Nous ne sommes qu'à une centaine de mètres des premiers pêcheurs. Parfois l'un ou l'autre vient pisser dans les fourrés. Nous nous planquons en nous plaquant au sol. << Vous avez vu la grosse bite de ce mec ? >> demande Estelle une fois l'alerte passée. Nous en rions de bon cœur. << Et moi ? >> finit pas demander Estelle. Je me retire de Clémentine pour m'introduire dans Estelle. Clémentine qui ne cesse elle aussi de se masturber fait le guet.

Des papillons blancs virevoltent autour de nous. Mais il y a également des insectes plus intrusifs. Au bout d'une heure, nous n'arrêtons plus de les chasser, de nous gratter. << Put-Hein mais quelle merde ! >> s'écrie Estelle qui n'en peu plus de ses démangeaisons. Nous sommes tous les trois debout à nous gratter. Stop. Nous replions les K-ways pour repartir. C'est là, en longeant les bosquets que nous tombons sur un inconnu. Le bougre était planqué pour mâter. Il fait semblant de consulter son téléphone quand Estelle lui demande : << C'était Bien ? Ça vous a plu ? >>. Le jeune type, confus, se contente de ricaner stupidement. Nous voilà de retour sur les quais. Il est dix sept heures et il y a toujours autant de monde. Nous flânons encore un peu. Il va bientôt être l'heure.

C'est une fin d'après-midi d'été. Le vent a tourné. Il nous pousse. En regardant les cieux derrière nous, nous découvrons les nuages qui s'amoncellent. Nul doute qu'il y aura un changement climatique en soirée. Il est dix neuf heures quand nous sommes de retour. Avec les démangeaisons d'insectes, une douche s'impose. Tous les trois à déconner. Tous nus. Ça fait un bien fou en même temps que ça soulage. Clémentine fais l'assaisonnement du gros concombre. Estelle réchauffe les spaghettis à la poêle dans du beurre. Je concocte une sauce au Roquefort. Je râpe du Parmesan. Juste en slips et en T-shirts nous mangeons de bon appétit. Nous donnons une suite à l'épisode "baise" de l'après-midi. Sans les mouches. Malgré une fatigue récurrente qui tempère quelques peu nos Jeux OlymPipes.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aime vivre un épisode 2 dans la plus divine des voluptés. Avant de s'enlacer autour de leur coquin pour s'endormir serrées contre lui. Le goût de son sperme dans la bouche...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 11 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2602 -



Le programme du jeudi

Chaque jour de ces vacances, nous nous réveillons et nous nous levons un peu plus tard. C'est du moins notre impression. Hier matin, jeudi, par exemple, il est un peu plus de neuf heures quand Estelle me tire du sommeil. Son jeu de jambes. Sa poigne ferme tenant mon érection, ses lèvres telles des ventouses dans mon cou. Clémentine venant se blottir contre moi. Entre mes deux anges que j'entoure de mes bras je reviens doucement à la conscience. Distribution de bisous. Nous nous étirons en modulant nos gémissements. Estelle qui se lève d'un bond pour se précipiter dans son pyjama de soie mauve vers la porte. S'écriant << Pipi ! >>. Clémentine qui s'allonge sur moi, frottant son sexe sur le mien. Me chuchotant des douceurs. C'est ainsi que débute cette nouvelle histoire de nos vies.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Les radiateurs fonctionnent toujours encore pour un deux Mai. Nous revêtons nos tenues de jogging dans la salle de bain. En regardant par les fenêtres il faut faire un effort pour se convaincre que c'est le début du mois de mai. Le ciel est couvert. Des nuages bas présentent toutes les déclinaisons des gris les plus sinistres. Il ne pleut toutefois pas. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Les suaves odeurs du café, du pain grillé. Alors qu'elle presse les oranges, je viens me positionner derrière elle. Mes mains d'abord sur ses hanches, qui remontent sur ses seins. Il n'y a pas seulement le contact de la soie mais le plaisir des formes. Mes lèvres dans sa nuque. Titillant sa peau du bout de ma langue. Clémentine se blottit.

Délicieusement perturbée, Estelle pèle les kiwis en gémissant de bonheur. Clémentine, ses mains dans mon legging de lycra noir. Nous prenons tout de même un copieux petit déjeuner en revenant sur notre virée vélo jusqu'à la fête du muguet sur le port. Estelle me rappelle les douces sensations vécues malgré les mouches, lorsque nous faisions l'amour sur les K-ways. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour. Cet après-midi il faudra aller récupérer les livres de leurs thèses chez l'imprimeur. Puis ce soir Lise viendra manger à la maison. << Tu es prié de nous offrir une prestation de qualité, à toutes les trois ! >> me lance Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Avec toute cette vulgarité dont elle est coutumière.

Nous traînons à table. La température extérieure n'est que de 9°. Il faut réunir notre courage si nous voulons aller courir dans le froid. C'est sous l'impulsion de Clémentine que nous décidons d'affronter les conditions météorologiques. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Déconnades. Pendant qu'Estelle se vêt de sa tenue sport, nous faisons le lit. Nous dévalons les escaliers pour enfiler les K-ways. C'est une gifle en sortant. De quoi décourager un esquimau. Des mouvements d'échauffement nécessaires avant de partir pour un jogging le long de la rivière. Il est onze heures quand nous revenons. Estelle sous la douche la première pendant que nous préparons nos vêtements. Tous les trois, habillés de nos 501, de nos épais sweats, au salon, assis devant l'ordinateur. Consultations.

Pas de nouveau courriel. Mes deux anges surfent sur le site universitaire. Me tournant le dos, assises sur mes cuisses, mes mains sous leurs sweats, je caresse leurs seins minuscules. Bien décidé à nous offrir un repas plus diététique que ces derniers jours, nous passons à la cuisine. Pour ce soir, ce sera une Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux que nous voulons faire découvrir à notre invitée. Pour la préparation, chacun a son rôle. Rôles que distribue Clémentine. Pour le repas de midi ce sera des pommes de terre poêlées que j'épluche, lave et coupe en petits dés. Avec des escalopes de dindes émincées et crème de champignons. Je râpe le gruyère. Estelle égoutte les poireaux coupés. J'écoute les filles évoquer ce troisième et dernier trimestre qui achèvera leurs études.

La Flamiche Picarde est au four. Tout est prêt pour ce soir. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la personnalité de Lise. Depuis novembre qu'elle vient faire notre ménage tous les samedis matins, nous commençons à percevoir quelques traits de caractère spécifiques. Estelle veut absolument s'assurer si cette jeune fille de dix neuf ans est "membre du même "club". Nous en rions aux éclats. En se levant elle réitère sa demande en précisant : << Tu nous fais du spectacle ce soir. Je veux voir ses réactions ! >>. Clémentine rajoute : << Elle est déjà voyeuse, ça c'est certain, elle admire les exhibes de Julien depuis la fenêtre de la cuisine les samedis matins ! >>. Pliés de rire, nous évoquons quelques souvenirs précis. Surtout les plus cocasses. Quand je montre ma queue à notre chère Danièle durant ses livraisons.

Nous traînons à table avant de faire la vaisselle. À la salle de bain, dans nos pitreries, pendant que nous nous lavons les dents, Estelle ne cesse de palper ma braguette ouverte. Nous nous changeons. Levis, chemises blanches sous nos pulls bleus nuits aux cols en "V". Bottines noires. Écharpes de soie crème. Nos blousons de cuir noir. Dans le hall d'entrée, devant le grand miroir de la penderie, nous prenons des poses. Des poses alternant le ridicule avec le "glamour" des magazines de modes. Nous adorons l'élégance raffinée. Par mesure de précaution, il vaut mieux se munir du grand parapluie. C'est parti. Je roule doucement. Nous n'avons pas un timing précis. Nous avons prévenu de notre arrivée en début d'après-midi. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière, Estelle caresse mes joues, mon cou, ma nuque.

L'entreprise est situé dans la zone commerciale. Quinze kilomètres de bagnole. À proximité de l'hypermarché. Je gare la voiture sur le parking de l'imprimerie. Deux grands bâtiments en "L". Je referme ma braguette avant de sortir de l'auto. Nous retrouvons avec joie l'ambiance des bureaux d'accueil. La jeune fille nous reçoit avec le sourire. Cet homme d'âge mûr, entre ces deux jeunes filles sublimes, tous les trois de hautes tailles, suscitent toujours un effet très particulier sur les gens que nous rencontrons. Il en va encore de même de l'employée qui nous invite à la suivre. Il y a deux cartons qui nous attendent sur une table. Ce sont nos commandes. Un cartons contenant vingt exemplaires de la thèse de Clémentine. Un carton contenant vingt exemplaires de la thèse d'Estelle. Un exemplaire de chaque posé dessus.

J'aime voir l'enchantement se dessiner sur les traits de leurs visages. Elles feuillettent leurs livres. À leurs insu j'ai demandé à l'imprimeur une couverture brochée avec le titre en relief. C'est du plus bel effet. Avec la soutenance de thèse, de présenter des ouvrages d'une telle qualité à un jury, impressionne forcément. Elles restent sans voix. Ce sont des livres d'une centaine de pages. J'ai voulu le meilleur papier, le meilleur grammage. Ce sont véritablement des ouvrages de grand luxe. Leurs prénoms et leurs noms en lettres d'or se détachant sur fond bleu nuit. Clémentine me saute au cou. << C'est magnifique ! >> s'écrie t-elle devant la dame médusée puis amusée par tant d'expressivité. C'est au tour d'Estelle qui s'exclame : << Tu nous avais pas dit que ce serait si beau ! >>. Les cartons sont assez lourds.

La jeune femme propose d'appeler un employé pour les emmener jusqu'à notre voiture. Tout est payé. Aucune autre formalité que de signer l'accusé de réception et le formulaire pour le dépôt légal. Un ouvrage part directement à la bibliothèque nationale. Le jeune garçon pose délicatement les cartons dans le coffre arrière. Nous repartons. Dans la voiture, mes deux anges mitraillent mon visages de bisous. J'ai la braguette à nouveau ouverte, la bite dans la main de Clémentine. Je roule doucement. Les filles feuillettent et regardent leurs créations littéraires. << Ce sera comme un talisman pour le reste de nos vies. Ce livre restera comme un souvenir pour le restant de mes jours ! >> lance Clémentine. << Pour moi aussi ! Et quand je vais le montrer à mes parents ! >> rajoute Estelle. Je gare l'auto sur le parking de l'hypermarché. Les premières gouttes de pluie. Pas besoin de chariot. Nous nous contenterons d'un panier à roulettes.

Nous n'avons pas réellement besoin de faire des achats. Avec cette météo pitoyable, c'est sympathique de flâner dans ce grand espace. Il y a peu de monde. Clémentine aimerait beaucoup s'offrir les doux frissons d'une exhibe de qualité. Aussi nous traînons longuement dans les rayons permettant de telles opportunités. Les bouquins, les magazines, l'informatique, les vêtements hommes. Hélas, il n'y a aucun solitaire à traîner dans les allées. Estelle, pas toujours très discrète, me palpe la bosse. Elle se place devant moi, un bras autour de mon cou, l'autre main tripotant ma braguette fermée. Elle enfonce même sa langue dans ma bouche pour provoquer l'érection qui déforme mon Levis. Ce qui attire et interpelle évidemment les clients qui tombent sur la scène. Nous en rions.

Le passage en caisse avec quelques articles. Sopalin, lessives pour les couleurs et autres crèmes de cirage. Bombes anti moustiques. Nous flânons longuement dans l'immense galerie commerciale. Un bon chocolat chaud dans l'un des deux salons de thé. Avec une tranche de tarte aux pommes. Il est dix huit heures quand nous sommes de retour. Le temps de ranger nos achats, de préparer la table, de réchauffer. Estelle, accroupie, qui sort mon Zob. Clémentine qui s'accroupit à ses côtés. Toutes les deux à rire des odeurs de ma queue toute molle. Je les tiens par leurs nattes comme par une laisse. Je tire un peu dessus. Quelques à coups, quand elle sucent à tour de rôle. Il n'est pas tout à fait dix neuf heures quant arrive Lise. C'est Estelle qui va l'accueillir dans le hall d'entrée.

La mise en scène est simple. Je suis au salon entrain de me branler. Clémentine à la cuisine à surveiller la cuisson. Estelle vient me rejoindre, suivie de Lise. Ce soir vêtue d'un pantalon de velours noir, très moulant, de baskets noirs, d'un pull noir. Ses cheveux courts, auburns, ses légères tâches de rousseur, sa peau a pris le soleil. Légèrement dorée. Elle est magnifique. Elle entre dans le salon sans se rendre immédiatement compte de ce qui s'y passe. Clémentine vient nous rejoindre. C'est une des rares fois où Lise veut me faire la bise, sa main tendue. Je me tourne lorsqu'elle dit : << Bonsoir Julien ! >>. Elle découvre mon érection. Elle la connait parfaitement mais il y a toujours ce petit réflexe de recul. Typiquement féminin. J'adore. << Décidément ! >> s'exclame t-elle en riant.

Elle se contente alors de me serrer la main. Nous quittons le salon pour la cuisine. Les effluves parfumées de la Flamiche Picarde ont envahi l'espace. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. J'écoute les filles parler de leurs études, de leurs désirs de réussites. << Tu ne nous fais pas ton numéro ? >> me demande soudain Estelle. Clémentine rajoute : << Oui, nous avons une invitée de classe ! >>. Lise me fixe. Elle devient toute rouge. Baisse les yeux comme terriblement gênée. Je me lève. Je fouille mon slip pour en extraire une queue semi molle. Ce fameux "tuyau d'arrosage" comme le surnomme Estelle. Je l'agite en direction de chacune des filles. Clémentine m'adresse un clin d'œil. Estelle également. J'adore leurs regards vicelards. Lise sourit timidement. En sueur.

<< Ce sont nos soirées du "Club" ! >> explique Estelle. << Tu aimes ? >> demande Clémentine. Lise retrouve le contrôle et répond : << Mais c'est tout le temps alors ? Ce n'est pas que les samedis matins quand je viens faire le ménage ? >>. Nous rions tous les quatre aux éclats. Lise devra nous laisser pour 21 h30. Demain matin elle va au marché avec sa maman. Elle reviendra samedi matin pour le ménage. << J'aime cette maison. J'aime ses occupants. J'y passe du bon temps et je n'ai pas l'impression de venir bosser ! >> rajoute encore la jeune fille. Alors que je me lève pour la troisième fois en faisant l'hélicoptère. Il y a une ambiance de fraîcheur. De nouveauté. Lise découvre notre relation à trois. Pose quelques questions sur les rapports amoureux que cela induit. Clémentine explique. Lise reste souvent bouché bée, ravie, enchantée. Découvrant les extravagances qu'induit le triolisme. Elle pose alors souvent son regard vif sur moi.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines ravies d'introniser "membre d'honneur" une nouvelle adhérente du "Club". Une nouvelle membre ravie elle aussi de faire partie de ce cercle très fermé. Une nouvelle membre qui promet de nous parler bientôt de ses penchants secrets...

Julien (membre et trésorier du "Club")



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Clémentine , Julien et Estelle
Saturday 4 May 2024 07:10

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 12 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2603 -



Une belle randonnée

Il n'est pas loin de huit heures trente, hier matin, vendredi. Estelle sait me surprendre avec d'amusantes variantes. Elle me réveille cette fois sans le moindre scrupule, en saisissant ma tumescence. Comme presque tous les jours pour me réveiller. Mais cette fois, encore dans mon sommeil, elle me masturbe. C'est une bien étrange sensation que de se faire branler en dormant encore. C'est probablement sa bouche qui se referme sur mon érection matinale et tout à fait naturelle. Tout cela réveille Clémentine qui, en venant se blottir contre moi, découvre la situation burlesque. Estelle revient à la surface en posant sa tête sur ma poitrine. Continuant à me masturber. Elle cesse aussi soudainement. Se redresse. Se lève pour courir vers la porte, me laissant totalement pantois. Consterné.

Clémentine s'allonge sur moi. Mitraillant mon visage de bisous. << Demain, c'est moi qui te réveille comme ça ! >> chuchote t-elle. C'est en riant que nous allons aux toilettes à notre tour. Dans la salle de bain, en revêtant nos tenues de gymnastique, Clémentine chantonne : << Pipe du matin ! >>. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Les suaves odeurs du café, du pain grillé flottent dans les airs. Sur la table les croissants au chocolat achetés à la boulangerie du centre commercial. J'aime caresser la soie du pyjama mauve d'Estelle quand elle est occupée à presser les oranges. De ses hanches monter sur ses seins. Mes lèvres dans sa nuque. Juste à la racine de ses cheveux. Pendant que Clémentine, derrière moi, ses mains dans mon legging, fouille mon slip.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre après-midi de jeudi. La récupération des bouquins chez l'imprimeur. Les flâneries à l'hypermarché. Nous mangeons de bon appétit en évoluant la possibilité de faire un jogging malgré un ciel menaçant présentant toutes les déclinaisons d'un gris sinistre. De plus le sol est humide des pluies de la nuit. Nous traînons à table en essayant de nous motiver. La température extérieure étant de 9°. Finalement le courage l'emporte. Ce sera un running mais en restant sur le bord de l'étroite route communale. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Dans la plus totale déconnade. Pendant qu'Estelle se change, nous faisons le lit. Nous redescendons pour enfiler les K-ways. Des mouvements d'échauffement dans la fraîcheur humide.

Nous montons à petites foulées jusqu'au portail. C'est parti. Accélérant le rythme pour suive Estelle qui mène la course. Il est un peu plus dix heures quand nous revenons. La douche. Vêtus de nos 501, de nos chemises à carreaux, de nos baskets, nous voilà au salon. Assises sur mes cuisses, allumant l'ordinateur, mes deux anges commencent par consulter le site de l'université. Mes mains caressant leurs petits seins. C'est devenu un autre de nos rituels matinaux. Pas de courriel aujourd'hui encore. Estelle se lève la première pour aller s'installer dans le canapé. Clémentine m'entraîne par la main pour la rejoindre. Je suis entre mes deux anges. Nous regardons les photos du séjour à Bourg-Vignes. De bons souvenirs. À son insu, Estelle a pris quelques photos de monsieur Guillaume.

<< Tu te rends compte, tu as sucé ce gros porc ! >> lance Estelle. << Arrête, je ne savais pas encore ! >> répond Clémentine. Nous rions des frasques de Clémentine qui conclue : << J'ai ma dose pour quelques temps ! >>. Tout en prononçant ces mots elle fourre sa main dans ma braguette. Celles d'Estelle étant occupées avec l'I-phone. << Copieuse ! >> dit elle à Clémentine qui m'extrait le Zob. << Je mâte ! >> s'exclame Estelle en se levant pour s'assoir dans le fauteuil qui fait face. Déboutonnant son Levis pour glisser sa main dans sa culotte. La cuisse droite sur l'accoudoir de droite, la gauche sur l'accoudoir de gauche. Je ne tarde pas à bander dans la bouche de Clémentine. Je caresse sa nuque. Parfois je saisis sa natte pour secouer sa tête. Parfois même j'appuie sur son cou.

Estelle, grande voyeuse, se délecte du spectacle. Pendant que je me fais tailler une pipe des familles, Estelle énumère en comptant sur ses doigts, le nombre de fois où nous étions cachés elle et moi, pour regarder Clémentine sucer des inconnus. Je suis impressionné quand elle attaque la dizaine suivante. Tout nous revient en mémoire. Tout en suçant Clémentine glousse en riant. Il va être onze heures quarante. La faim commence à se faire sentir. Je force Clémentine à cesser. Elle se redresse, me montre ce qu'elle va garder le plus longtemps possible en bouche avant d'avaler. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine, toujours silencieuse, remuant doucement la mâchoire, fait l'assaisonnement d'une salade de carottes. Estelle réchauffe la dernière part de tourte aux poireaux.

Je fais gonfler du riz complet. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la visite de Lise jeudi soir. Son "intronisation" au "Club". Estelle évoque les attitudes de la jeune fille. Sa façon de loucher sur ma queue. << Tu ne fais pas vraiment attention Julien, tu es trop occupé à te branler. Mais je peux te garantir qu'elle photographie chaque instant pour en faire un nouveau souvenir ! >> m'explique Estelle. Clémentine développe en décrivant des scènes précises. << C'est très fort, quand tu te lèves, pendant qu'on mange pour faire tourner ta queue ! >> dit elle. Estelle rajoute : << Au début, quand tu faisais ça devant moi, j'étais hyper gênée autant que troublée ! Tu t'en souviens ? >>. Nous avons tant de souvenirs de cette nature en commun. Nous aimons souvent en parler.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, thermos de thé bouillant. Nous montons nous laver les dents dans la plus parfaite déconnade. Nous restons habillés des mêmes vêtements. Pressés de filer nous redescendons à toute vitesse. Il y a quatre kilomètres jusqu'à la chapelle désacralisée où nous garons la voiture. Je remballe ma bite car d'autres randonneurs se préparent à côté de leurs autos. Nous changeons de chaussures. Clémentine propose de manger au restaurant du bourg. C'est paradoxal. Ce bourg n'est qu'à quelques trois kilomètres, et nous n'avons mangé dans son unique restaurant qu'une seule fois, il y a six ans. Nous en gardons un bon souvenir. C'est parti. Nous pouvons marcher avec les anoraks ouverts. 18°.

Avec la pente, rapidement en surchauffe, nous les retirons pour les nouer avec leur manches autour de nos tailles. Ce qui est parfait en ce qui me concerne, je peux garder la bite à l'air, dissimulée sous le nœud. Pour le plus grand plaisir de mes deux anges. Surtout celui d'Estelle qui peut ainsi s'amuser avec le Zob tout le long des chemins et des sentiers. Le ciel est moins menaçant et à même tendance à s'éclaircir. Nous arrivons aux anciennes tuileries. Il y a des promeneurs. La végétation est devenue exubérante. Il faut faire attention aux ronces pour entrer dans le seul bâtiment des fours. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets contre un des murs de briques rouges. Clémentine téléphone au "Renard", le restaurant du bourg pour y réserver une table. << Parfait ! >> fait elle.

Dans la descente, second arrêt pipi pour les filles. Accroupi derrière elles, mes index enfoncés dans les trous du cul, mes deux anges pissent en riant. << Enculeur de filles ! >> lance Estelle. Le doigt dans le cul a pour effet de décupler la puissance des jets. Clémentine doit certainement s'approcher de ses records. Je les torche soigneusement. Nous rions de nos petits jeux. Je me fais même sucer au détour du sentier au-dessus de la falaise des anciennes carrières. Il est dix huit heures quarante cinq quand nous revenons à la voiture. Changement de godasses. Exactement dix neuf heures quand nous stationnons sur le parking du "Renard". D'autres bagnoles. Il n'y a toutefois pas trop de monde. Attablés à déguster du sangler aux gnocchis, nous revenons sur les moments forts de notre randonnées. Deux visites aux toilettes hommes. D'abord avec Estelle que je pénètre en levrette dans un des cabinets, puis avec Clémentine qui suce.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment revenir d'un bon restaurant pour se glisser sous les draps, se faire sucer et lécher le minou entre deux petites pénétrations de principes. Avant de s'endormir contre leur coquin, le gout de son jus de couilles dans la bouche...

Julien (le coquin au jus de couilles)



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