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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1517 -



Le mardi, Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, nous sommes accompagnés depuis le plus profond de nos rêves par cette douce application. Résonnent au fond de cette mystérieuse forêt des chants d'oiseaux, le bruit d'une source. Il est presque six heures. Clémentine se blottit tout contre moi en gémissant. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Ce matin c'est dur de se réveiller vraiment.

Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en émergeant doucement. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre soirée de hier, en compagnie de Julie. Dehors, il pleut. << Ce temps de merde ! >> lance Clémentine en m'entraînant par la main. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Ce matin c'est un besoin impérieux.

Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles. Exercices au sol avec nos abdos. Retour au calme avec un bon stretching. Nous voilà transformés en guerriers pour la journée. Nous prenons notre douche. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux nous redescendons. Il est presque 7 h50. Vêtus de nos anoraks nous affrontons une météo toujours aussi déplorable. C'est sous le grand parapluie que nous traversons le jardin jusqu'à l'abri à bois. Il pleut des cordes.

Nous remplissons la corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps de rentrer et d'aller dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume un feu dans la cheminée. Il fait tellement sombre que les lampes à halogène éclairent toute la grande pièce. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je peins dans une sorte d'euphorie communicative.

Le mardi Clémentine termine à midi. Ce qui la rend plutôt déconneuse. La peinture de cette septième toile destinée à ma saison d'été me captive. La matinée se passe dans cette saine émulation qui nous ravit. Il est 11 h45. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Cet après-midi, nous partons pour la zone commerciale. La logistique impose d'y faire quelques courses. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans l'âtre. Elle me prend par le bras.

Nous nous lançons dans une sorte de danse tribale. Nous poussons des cris d'animaux qui n'existent pas. C'est ainsi que nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je mets les deux croustades au crabe dans le four électrique. La pâte feuilletée a bien décongelé. Je coupe, je lave les poireaux. Je les trempe dans l'eau bouillante. J'étale deux tiers de la pâte dans le grand plat à tarte. Je concocte une Béchamel.

J'y verse le poireau égoutté. Clémentine y rajoute le gruyère de Comté finement râpé. Je touille. Nous déposons le mélange sur la pâte. Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée. Clémentine joint soigneusement les bords avant de badigeonner d'un pinceau le mélange œuf, moutarde à l'ancienne, lait de soja. Je retire les deux croustades avant de mettre la Flamiche Picarde au four. Ce sera notre repas de ce soir, de demain à midi. Cette si délicieuse tourte aux poireaux du mardi.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le timing de l'après-midi. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me confie l'envie de s'offrir une petite frayeur en hypermarché. L'éventualité d'une petite exhibe ne serait pas sans nous enchanter avec cette météo maussade. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous allons dans la chambre afin de nous changer.

Clémentine porte une jupe noire, légèrement évasée aux genoux. Un chemisier crème sous son blouson de cuir noir. Ses souliers de ville à légers talons. Il ne fait pas froid. Une fraîcheur humide n'impose pas de collants. Sur sa demande, je porte un jeans propre, une chemise blanche sous ma veste noire. Mes mocassins noirs. Nous prenons la pose devant le grand miroir de l'armoire. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> fait Clémentine en s'accroupissant.

Enserrant ma jambe de ses bras, sa tête posée contre ma cuisse, Clémentine écarte les cuisses en disant : << Mon bon "Maître", voulez-vous bien sécuriser mes fantasmes de l'après-midi ? >>. Je pose ma main sur sa tête pour répondre : << N'ayez aucune inquiétude ma douce "Soumise". Vous pourrez vous livrer à toutes sorte d'exactions dans la plus parfaite sérénité ! >>. Clémentine, toujours accroupit, passe entre le miroir et moi pour frotter son visage contre ma braguette.

Je sors ma bite pour la passer sur ses joues, ses lèvres. Je l'enfonce délicatement dans sa bouche. Clémentine s'accroche à mes hanches pour se frotter contre ma cheville tout en suçant comme si sa vie en dépendait. Je retire mon sexe. Je l'aide à se redresser. Je me penche pour lui masser les genoux. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Il est à peine 13 h30. C'est parfait. Il ne pleut plus. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Tout est trempé.

Nous prenons la berline. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suçote parfois. Il y a treize kilomètres jusqu'à la zone commerciale. Nous garons la voiture sur un parking presque désert. Ça fait longtemps que nous n'étions plus venus. Je nettoie la poignée du Caddie avec du gel hydroalcoolique. Nous mettons nos gants en caoutchouc. Nous portons nos masques sanitaires en tissus et aux motifs celtes. Cela nous amuse car nous n'en portons quasiment jamais.

Je pousse le charriot. Clémentine nous entraîne dans les rayons qui nous intéressent en tenant la liste des courses. Pour ne rien oublier nous notons au fur et à mesure ce qu'il nous faut. Sur une feuille fixée sur la porte du frigo avec deux aimants. Il y a peu de clients. Nos hautes tailles, notre élégance, attirent quelques regards. Clémentine choisit soigneusement les achats. Papier cul, dentifrice, savon, lingettes et autres lessives en poudres. Les promos. Elle met le tout au fond du caddie.

Je n'ai qu'à suivre. Tout est organisé avec l'imparable logique de Clémentine. Nous faisons le plein de nouilles, de coquillettes, de spaghettis, de riz, de pilpil, de lentilles aux rayons des produits biologiques. Clémentine m'entraîne aux rayons culturels. Il n'y a presque personne. Il y a ce type en anorak. La quarantaine. Plutôt bel homme qui feuillette un magazine. Je reste à l'écart aux bandes dessinées. Clémentine pousse le charriot. Elle s'arrête à quelques mètres de l'inconnu.

Le caddie contre les bouquins pour masquer ce qu'elle fait, elle s'accroupit pour saisir un livre. Je bande déjà rien qu'à l'idée de ce que Clémentine s'apprête encore à réaliser. Sa culotte étant restée dans la voiture, masquée, portant ses lunettes noires, elle écarte ses cuisses. Elle se tourne lentement vers le type. A chaque fois qu'elle repose un livre pour en tirer un autre, Clémentine écarte davantage. Notre privilégié ne tarde pas se rendre compte de ce qui se passe sur sa gauche.

J'ai assisté à cette situation tant de fois. Clémentine, avec une virtuosité sans équivalente, se livre à une exhibition de qualité supérieure. Notre bienheureux à le même réflexe que la plupart des "proies" de Clémentine. Il s'accroupit à son tour. Il louche sous la jupe de cette sublime jeune fille tout en faisant semblant de feuilleter son Paris-Match. Deux mètres séparent les deux protagonistes. Je pourrais me branler tellement c'est bien. Clémentine exagère sa pose. Du grand Art.

Le type reste impassible. Il me tourne le dos. Depuis l'endroit où je suis, j'ai moi aussi une vue parfaite sur l'entre jambes de Clémentine. A chaque rare passage d'un client, il lui suffit de resserrer ses cuisses. De se mettre face au rayon. Notre chanceux a bien compris qu'il est le jouet d'une merveilleuse salope de toute première catégorie. Il ne tente rien. Aucune approche. Aucune parole. Clémentine se redresse à la limite de l'ankylose. Rien ne l'excite davantage que de s'amuser ainsi.

Je sais l'émotion qui l'étreint. Je sais les sensations qui l'habitent. Elle me les a tant raconté. L'inconnu s'éloigne. C'est rare que la "victime" de Clémentine s'en aille ainsi. Elle vient me rejoindre. Nous continuons nos déambulations. C'est au rayon jardinage que nous retrouvons notre "innocent". Je reste en retrait. A nouveau Clémentine pousse le charriot. Cette fois je devine un sourire sous le masque sanitaire du gars. Cet homme doit vivre là une émotion qui le dépasse probablement.

Clémentine s'accroupit à nouveau devant les sachets de graines. Nous en avons sur la liste pour notre potager. Même si cette année nous limitons nos cultures au strict minimum. Le type reste debout. Il me tourne le dos. Je suis convaincu qu'il se touche. Clémentine tourne d'ailleurs la tête pour regarder la braguette du mec. Pas de doute. Notre gaillard profite de cette situation. A la limite de la crampe, Clémentine se redresse. Le type ne tente absolument pas le contact.

Une fois encore il s'éloigne le premier. Clémentine vient me rejoindre. Nous terminons par un petit tour au rayon des vêtements. Peu de gens. C'est en passant en caisse que nous comprenons l'étrange comportement du mec. Il est accompagné d'une adolescente. C'est probablement sa fille. Elle porte de gros écouteurs sur les oreilles, l'œil bovin, elle semble faire la gueule en tenant un grand seau de pop-corn. Il nous voit. Nous quittons l'hypermarché pour aller jusqu'à la voiture.

Il est 16 h30 quand nous arrivons à la maison. A peine avons-nous rentré l'auto au garage qu'arrive la Clio rouge de Julie. Toute contente elle nous aide à rentrer les courses. Julie termine à 16 h le mardi. C'est une habitude qui se dessine. Celle de nous rejoindre. Même si ce n'est qu'une heure trente car elle nous quittera pour 18 h. Nous rangeons les courses. Clémentine raconte sa petite aventure de l'après-midi. Julie écoute en posant des questions très précises. Belle et jeune vicieuse.

Pour la voyeuse impénitente qu'elle est, Julie avoue être frustrée ne pas pouvoir nous accompagner dans nos "expéditions". Nous lui promettons quelques belles aventures. Nous voilà dans l'atelier. Il y fait bien chaud. Julie adore s'installer devant le chevalet, tenir ma palette dans sa main. Avec un pinceau elle mime l'acte de peindre. Clémentine prépare le thé et les petits gâteaux. Je sors discrètement la queue. Avec l'excitation de l'hypermarché, elle dégouline de jute.

<< Génial ! >> lance Julie qui ne peut s'empêcher de regarder. Je suis debout sur sa droite, à environ un mètre. Clémentine vient nous rejoindre. Elle est contre moi. Elle saisit mon sexe à sa base. Entre le pouce et l'index, elle l'agite en direction de Julie. Cette fois Julie mâte franchement. Elle n'ose pas fixer mon regard. Elle dit : << J'ai fait un rêve où vous étiez exactement comme ça ! C'est fou ! >>. Clémentine répond : << Du rêve à la réalité il n'y a qu'une braguette à ouvrir ! >>.

Nous en rions beaucoup. Nous dégustons le thé, les petits gâteaux. Le reste de l'après-midi de passe ainsi. Les filles évoquent leurs projets communs. Des exhibes de qualité pour Clémentine. Du voyeurisme "classe" pour Julie qui veut absolument assister aux jeux de Clémentine. Il est 18 h. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Estelle arrive à l'instant. Comme nous sommes contents d'êtres tous les quatre. Julie est tristounette de devoir nous laisser. Elle revient vendredi pour 14 h.

Un dernier coucou. Nous la regardons partir sous les premières gouttes de pluie. Nous rentrons vite. Nous voilà dans l'atelier. Estelle nous raconte son après-midi, avec sa maman, dans le bureau de l'entreprise familiale. Clémentine raconte son exhibe. Estelle aussi est extrêmement voyeuse. Nous lui promettons de grands moments. Il est 19 h. Il suffit de réchauffer la tourte aux poireaux. Clémentine fait la salade. Je suggère aux filles une soirée léchage de minous en dessert.

Bonne soirée à toutes les coquines qu'une exhibition de très haut standing a considérablement excité. Un bon léchage de chatte s'impose...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1518 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, mercredi, notre application libère cette magie presque quotidienne. Les chants d'oiseaux, le bruit d'une source. Cela ne dure que très peu de temps. Suffisamment pour nous tirer de nos profonds sommeils. Estelle est restée serrée contre moi toute la nuit. Il y a son souffle chaud dans mon cou. Clémentine vient se blottir à son tour. Il est presque six heures. Je suis entre mes deux anges. Estelle tient mon érection matinale. Clémentine me tient par les couilles.

Estelle se lève la première. Ses vêtements de gym à la main elle se précipite vers la porte. Le temps de mettre nos tenues de sport et c'est à notre tour d'aller aux toilettes. La faim aux ventres, nous dévalons les escaliers pour aller rejoindre Estelle à la cuisine. Comme cette odeur de café, de pain grillé est encore suave et délicate ce matin. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre soirée de douceurs. Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur notre après-midi.

Il est 6 h25. Nous remontons. Une heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Estelle doit nous laisser jusqu'à demain. Des bisous. Elle descend à toute vitesse en s'écriant : << A demain soir ! >>. Elle passera le jour férié de l'Ascension, 13 mai, avec ses parents, son papy et sa mamie. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons pour redescendre. Nous mettons nos anoraks. La fraîcheur est humide. Il ne pleut pas.

Il y a même de courtes apparitions du soleil. Il est 7 h50. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Sous l'abri à bois, nous remplissons la corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il ne faut pas s'attarder. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette.

La peinture de cette septième scène de genre destinée à ma saison d'été me procure bien des émois. Je peins dans une totale sérénité. La matinée se passe dans cette ambiance studieuse que nous apprécions tant. C'est une journée qui ressemble à beaucoup d'autres. Clémentine me confie souvent qu'il y a quelque chose d'éminemment rassurant dans ces routines. Il est 11 h55 quand elle vient me rejoindre en sautillant. Des bisous. Elle rajoute deux bûches sur les braises incandescentes.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste de la Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui fait nos délices. Je prépare une pâte à crêpe. Je fais rissoler les crevettes décongelées dans le bas du réfrigérateur. Ce sera pour nos beignets de crevettes ce soir. J'en garde quelques unes auxquelles je rajoute ail, échalote, champignons. Nous mangeons de bon appétit tout en discutant de nos projets de vacances.

Nous sommes fermement décidés à passer nos deux mois en Ecosse. Juillet et aout. Il n'y aura certainement pas d'autres choix que de passer par la case vaccination. Mais si c'est le prix à payer, nous le ferons. C'est notre ami docteur qui assure ce rendez-vous le lundi 21 juin. Nous irons avec Estelle et ses parents. Car eux aussi veulent absolument passer deux semaines en Irlande. Clémentine a prévu un plan B. Dans l'impossibilité ce sera le Jura. La Vendée. Les Côtes d'Armor.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me confie son désir de s'offrir les plus belles folies pour ces vacances. << Je vais mettre la barre très haut. La barre de quelques messieurs bien évidemment ! >> lance t-elle. Nous en rions comme des fous. L'aventure de hier après-midi a considérablement consolidé ce souhait. Rien ne l'excite davantage que de pratiquer l'exhibe. Cette tendance s'accentue d'ailleurs fortement. Elle me raconte qu'elle en rêve de plus en plus souvent.

Nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de sortir, nous dévalons les escaliers. Nous sortons. Il fait beau. Même s'il ne fait pas réellement chaud, c'est très agréable. Clémentine me tient la main pour m'entraîner vers la rivière. A présent, tout est bien vert. Pourtant ce printemps n'est pas tout à fait comme les autres. Il est froid, parfois très humide. Nous longeons la rivière sur l'étroit sentier. Il y a les canards, les poules d'eau, les colverts.

Clémentine glisse sa main dans ma braguette pour en extraire le locataire. J'ai la bite molle dans sa main. Elle m'embrasse avec tant de douceur que j'en ai le vertige. Je caresse son visage du bout de mes doigts. << Je t'aime Julien. Tu m'offres les plus belles années de ma vie. Je t'aime ! >> murmure t-elle entre deux baisers fougueux. Je bande mou. Même s'il y avait quelqu'un de l'autre côté de la rivière, les feuillages nous laissent invisibles. Nous savourons ces instants magiques.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à revenir. Est-ce délibéré ? Toujours est-il que nous croisons de plus en plus souvent et à cette heure notre voisin qui descend nourrir les canards. Monsieur Bertrand est toujours souriant. Un retraité affable. Mais également un sacré vicelard. Nous bavardons un peu. Mr Bertrand est un rusé coquin. A présent c'est l'installation de la nouvelle cuisine de notre maison d'amis qui suscite son intérêt. Ce n'est évidemment qu'un nouveau prétexte.

Clémentine propose de lui faire visiter ce vendredi, dès 13 h30. << Je vous attends avec le café ! >> précise t-elle. Moi, en parfait stratège, je rajoute : << Je ne pourrai pas vous rejoindre. J'ai tant de travail qui m'attend ! >>. Monsieur Bertrand ne trahit aucune émotion. Nous savons que tout au fond de lui, le vieux salaud jubile. Il va pouvoir se retrouver seul avec Clémentine. Nous devons rentrer. Nous saluons notre voisin pour remonter le chemin. Il est presque 14 h.

Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en pensant à ce vieux fourbe de Louis Bertrand. Il va encore beaucoup nous amuser lors de ce rendez-vous avec Clémentine. L'après-midi se passe ainsi. J'entends les conversations de Clémentine avec son groupe d'étudiants, les professeurs. Il est 17 h quand elle vient me rejoindre en dansant comme une ballerine tout autour de la grande pièce.

<< Demain, j'ai pas école ! >> chante t-elle en imitant quelques improbables cantatrices du Bel Canto. Accroupie sur ma gauche, sa main sous ma blouse, Clémentine joue avec ma queue en observant mon travail. Elle a encore ses notes à mettre au propre et quelques pages à lire. La voilà confortablement installée dans le vieux canapé de velours carmin. J'aime l'entendre parler à voix haute. Ou à chantonner comme c'est le cas maintenant. Je peins dans la joie et l'allégresse.

Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. J'ai la bite qui pend. Je rejoins Clémentine. Elle s'allonge sur le dos. Sa tête posée sur ma cuisse, elle ferme les yeux pour apprécier pleinement cet instant de grâce. Je lisse ses cheveux. Je scrute ce visage fin aux traits si réguliers. Comme elle est belle encore ce soir. Surtout abandonnée à ce retour au calme qui agit comme une véritable thérapie. << Juste toi et moi. Je t'ai pour moi toute seule ! >> chuchote t-elle.

Elle frotte sa joue contre ma queue. Je glisse ma main dans son jeans, dans sa culotte. << Mmmhhh ! Docteur Julien, vos traitements sont miraculeux ! >> murmure t-elle en se pâmant de plaisir. Je dis : << Pour vendredi à 13 h30, il faut absolument que nous aménagions mon placard ! >>. Clémentine ouvre les yeux en éclatant de rire. Elle lance : << Des petits gâteaux, une tasse de café ? >>. Nous en rigolons comme des bossus. La faim commence à se faire sentir.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me parlant de ce fameux "rendez-vous" de vendredi. << Que va t-il encore me réserver le bougre ? >> interroge t-elle en mimant une masturbation masculine. Je fais chauffer l'huile. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Clémentine râpe du Parmesan. Je trempe chaque queue de crevettes dans la pâte à crêpe. Je les plonge dans l'huile bouillante. Clémentine adore les récupérer avec l'écumoire.

J'égoutte les coquillettes que je passe au beurre salée avec de l'ail et de l'oignon, dans la poêle. Nous mettons les assiettes et les couverts. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous. Lorsque Clémentine pose ses lèvres sur les miennes, elle enfonce rapidement sa langue dans ma bouche. J'adore. Ça me fout la trique ! Nous mangeons de bon appétit. Les beignets de crevettes avec des coquillettes poêlées. C'est tellement simple. C'est tellement bon. Surtout avec du Parmesan.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me parle de ses cours. Ces deux mémoires qu'elle doit préparer et présenter pour le vendredi 25 juin. Ce sont toujours des interrogations, des craintes et des stratégies qu'il faut mettre en application. Nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Nous sortons. La fraîcheur du soir est assez surprenante pour un 12 mai. Nous redescendons jusqu'à la rivière. Il est 19 h30. Nous avons nos sweats.

Nous parcourons les trois kilomètres jusqu'au vieux lavoir. A l'abri des feuillages il n'y a pas de vent. C'est presque doux. J'ai la bite à l'air. Clémentine se penche souvent pour y déposer une bise. Elle me la tient en me confiant ses petits secrets de fille. Je glisse quelquefois ma main dans sa culotte, son jeans déboutonné. Nous nous caressons en faisant mille projets pour nos vacances. Avec l'intensité de ses études, Clémentine attend les mois de juillet et d'aout avec impatience.

<< Que nous préparent encore ces enfoirés ? Parce que ça semble trop beau ! Subitement tout va mieux. Cela cache probablement les saloperies qu'ils nous réservent pour cet automne. Un variant tibétain par exemple ! >> lance Clémentine. C'est vrai qu'il faut rester méfiants. << Avec les élections présidentielles l'année prochaine, ils n'ont pas intérêt à trop faire chier des gens qui risquent de leurs faire payer très cher une gestion calamiteuse et des errances hallucinantes ! >> rajoute Clémentine.

J'écoute toujours beaucoup plus que je ne parle. Cette conscience aigüe des évènements suscite mon admiration. Que pourrais-je bien rajouter ! Debout derrière moi, Clémentine agite mon sexe en direction des canards. Elle me masturbe sous l'œil indifférent des poules d'eau et des colverts. << J'aime te branler ! Ça me fait de l'entraînement pour mon rendez-vous de vendredi ! >> fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Le crépuscule arrive lentement. La nature est superbe ce soir.

Il est 21 h30 quand nous sommes de retour. Il fait presque nuit. La lune encore bien ronde éclaire le paysage de sa lumière argentée. Nous voilà au salon. Clémentine a jeté son jeans et sa culotte dans le fauteuil. J'ai posé les miens sur l'accoudoir. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Entre les jambes de Clémentine. Mon visage entre ses cuisses. Je fouille les plis et les replis de ses lèvres charnues du bout de mes lèvres. Je recueille les coulures visqueuses avec délice.

Je suce son clitoris géant. J'enfonce un doigt. Clémentine me tient par les oreilles en gémissant. Elle m'attire sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. C'est par petites contractions de nos muscles fessiers que nous "communiquons". Les sensations les plus intimes nous envahissent. J'aime écouter ce que dit Clémentine dans ces moments très particuliers. C'est toujours hyper excitant. Soit elle évoque les choses à venir, soit les choses déjà vécues.

Nous nous berçons. Je sais quand il faut démarrer. Je la baise alors comme un hussard. Je reviens au calme. Nous repartons pour un tour. Nous nous embrassons. Nos mentons sont trempés de salives. Je sais ce qui va se passer. Clémentine me repousse délicatement avant de se lâcher dans un jet de pisse. Hurlant de plaisir, elle ne peut absolument pas se contrôler. Je viens lui bouffer la chatte en plein orgasme. J'adore tout ce que je me prends dans la bouche. Dans la tronche. Il faudra encore passer la serpillère...

Bonne soirée à toutes les coquines qui ne peuvent pas jouir "proprement" sans se répandre pour le plus grand bonheur de leur lécheur...

Julien



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Toujours que Clémentine et moi pour un jour férié

Hier matin, jeudi, de l'ascension, il est près de neuf heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. C'est surtout l'insurmontable envie de pisser qui est la cause de notre émergence dans le réel. << Comme c'était bon hier soir ! >> murmure Clémentine en me chevauchant pour se frotter sur mon érection matinale. Impossible de lutter contre l'impérieux besoin. Nous nous levons d'un bond pour nous précipiter aux chiottes. Nous enfilons nos tenues de sport.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine s'occupe du café en me racontant ses rêves. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un bruit sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de douces folies. Nous mangeons de bon appétit. Dehors, il fait gris, moche et sinistre. Il ne pleut pas. Clémentine propose de tenter le jogging. Ça commence à nous peser cette météo pitoyable.

Nous enfilons nos K-ways. Nous sortons. Le thermomètre extérieur indique 14°. On se croirait en plein hiver si tout n'était vert. Quelques mouvements d'échauffement. Nous montons à petites foulées jusqu'au portail. C'est sur le bord de l'étroite route communale que nous courons. Nous ne croisons absolument personne sur les trois kilomètres qui mènent au haras. Il y quelques autos garées dans la cour. Nous allons jusqu'à la clairière en bord de route. Là où il y a les bancs.

C'est là que nous pratiquons nos pompes, nos exercices au sol et nos abdos. Même en courant d'un bon rythme, nous n'arrivons pas à nous réchauffer vraiment. La fraîcheur est humide et pénétrante. Il est 10 h30 quand nous revenons après un agréable running. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Nous allons directement à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. La pâte feuilletée a décongelé depuis hier soir dans le frigo.

Je l'étale dans deux grands plats à tartes aux bords hauts. Je lave et je coupe une dizaine de belles tomates biens grasses. En tranches régulières. Je fais pareil avec des champignons de Paris. Un bel avocat juste mûr à point. De l'ail, de l'échalote. Clémentine râpe du gruyère de Comté. Je prépare un flanc avec de l'œuf, de la crème fraîche, un yaourt, du lait de soja et de la moutarde à l'ancienne. Nous disposons les tranches en spirales régulières sur les fonds de tartes. Minutieux.

Clémentine verse le flanc sur les deux tartes. J'y rajoute le gruyère. Des graines de sésame grillé, de la chapelure. Clémentine dépose sur chacune les onze cerneaux de noix. Nous mettons dans le four électrique. Cuisson à 180° pour faire mijoter longuement. Ce sera pour ce soir et demain à midi. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Pour midi, je dispose le reste de coquillettes et des beignets de crevettes de hier dans un plat en terre cuite. Je recouvre de gruyère et de chapelure.

Il n'est que 11 h30. Tout est prêt. Avec le gratin de coquillettes qu'il suffira de placer dans le four à bois, je poêle deux dos de cabillaud. Ail, oignon. Je couvre d'un couvercle après y avoir rajouter de fines tranches de courgette. Nous mettons nos anoraks pour sortir un peu. Le ciel semble s'éclaircir. << Pourvu qu'on puisse partir en promenade cet après-midi ! >> fait Clémentine en m'entraînant par la main. Nous descendons jusqu'à la rivière. Le sol rocheux est encore humide.

Nous longeons le cours d'eau. Les canards, les poules d'eau, les colvert nous accompagnent en poussant leurs petits cris habituels. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. << Dommage que cette météo de merde ne me permette pas de donner toute la mesure de mes envies ! >> dit elle. Nous éclatons de rire. J'ai la bite dans sa main. Tout en m'embrassant avec fougue, elle me la tord délicatement dans tous les sens. << J'aime quand nous sommes tous les deux ! >> fait elle.

Moi aussi je glisse ma main dans son jeans qu'elle déboutonne. J'ai un accès parfait à sa culotte. Je dénoue les poils, je coiffe cette touffe dense. Je passe mon doigt entre les lèvres charnues de sa vulve. C'est chaud, c'est accueillant. Son clitoris géant que je tiens entre mon pouce et mon index. Ce qui procure à Clémentine les plus douces sensations. Quand je m'en empare, elle a toujours un réflexe. Un spasme. << Un délicat frisson ! >> précise t-elle avant de fouiller ma bouche de sa langue.

Il y a un soudain rayon de soleil. C'est comme un cadeau. << Enfin ! On sait qu'il existe là-haut, sous les nuages ! >> s'écrie Clémentine qui m'entraîne par la queue. Il commence à faire faim. Il faut redoubler de prudence. Je dois être prêt à remballer de toute urgence. Il n'est pas rare que nous tombions sur monsieur Bertrand. Notre voisin aime aller nourrir ses amis canards vers ces heures. Personne. Nous remontons le chemin mais j'ai remballé tout de même. Clémentine a refermé son jeans.

Il est 12 h15. Je mets le gratin de coquillettes dans le four à bois hyper chaud. Nous mettons les assiettes, les couverts. Clémentine remue la salade. Je jette un coup d'œil dans le four électrique. Les tartes à la tomate sont magnifiques. Dorées à point. Le four est réglé par thermostat. Inutile de s'en occuper. Clémentine sort le gratin de coquillettes. J'ai réchauffé la poêle contenant les dos de cabillaud sur la cuisinière à bois. Nous mangeons de bon appétit. C'est simple et tellement bon.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me fait part de ses inquiétudes. Quand aux deux mémoires qu'il faut rendre à la fin de ce troisième trimestre. Quand à nos vacances en Ecosse juillet et aout. Je la rassure. Pour ses études, tout se passera comme d'habitude, au mieux. Quand à notre séjour en Ecosse il est encore sujet à quelques interrogations. Nous ne nous vaccinerons qu'au dernier moment et si le départ est possible. Bien évidemment.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous restons vêtus ainsi. Il suffit de passer un sweat sur nos épaisses chemises à carreaux. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos K-ways. Dans le petit sac à dos, la bouteille thermos contenant le thé bouillant. Des barres de céréales. Nous sortons. Il y a de beaux coins de ciel bleu. Les nuages nombreux sont principalement blancs. Nous sortons la voiture de Clémentine du garage.

Il faut que cette voiture roule. Mais c'est moi qui suis prié de conduire. Ce que je fais doucement en direction du bourg. Il y a un peu d'animation dans les rues. Nous prenons la petite route qui mène à la chapelle gothique. Nous garons l'auto le long du muret. Il n'y a pas de vent. Je mets le sac sur le dos. Nous voilà partis. Nous traversons l'étroite route déserte pour prendre le chemin des carrières. Nous croisons quelques rares promeneurs. Principalement de petits groupes de marcheurs.

J'ai souvent la bite à l'air. Et c'est là, au détour du sentier, que nous tombons nez à nez avec une jeune fille. Elle semble avoir quelques soucis avec son vélo tous terrains. Elle tente de tirer des feuilles et des ronces prises entre les pignons et la chaîne. J'ai juste le temps de remballer. A t-elle vu quand même ? Elle a un sourire amusé. Nous lui proposons de l'aider. En effet, il y a plein de ronces. << Je suis passée par le sentier puis par les sous bois ! >> explique t-elle. Je soulève son vélo.

Elle tire les ronces pendant que Clémentine fait tourner le pédalier. << A trois c'est beaucoup plus simple ! >> fait elle. La jeune fille paraît soulagée. Voilà tout en ordre. Elle passe les vitesses. Ça fonctionne parfaitement. Nous bavardons un peu. En couple, surtout avec une jeune fille du même âge, les contacts et les rencontres sont beaucoup plus faciles. Elle a 23 ans. Elle est assistante médicale. Libre en ce jour férié. Elle nous raconte quelques amusantes anecdotes sur son activité professionnelle.

<< Je suis en stage. Je prépare un doctorat de pharmacie mais en cours du soir et en alternance. Ça me plaît ! >> précise t-elle. Clémentine parle de ses études de sciences appliquées. Je reste très évasif quand à mes activités. << Magnifique ! Mon père fait de la peinture en amateur. Je connais bien cet univers ! >> lance la jeune fille. << Audrey ! >> dit elle pour se présenter. Nous nous présentons également. Le courant semble bien passer entre les deux filles. Avec moi aussi.

Audrey croyait que j'étais le père de Clémentine. Elle semble soudain comme admirative. Clémentine, serrée contre moi, précise : << C'est mon père, c'est mon ami, c'est mon complice, c'est l'homme avec qui je partage ma vie ! >>. Audrey me fixe soudain avec un étrange regard avant de s'écrier : << Génial ! Le rêve ! >>. Clémentine échange ses coordonnées téléphoniques. << Passez donc, nous habitons dans la grande demeure à tourelle à trois kilomètres du bourg ! >> lance Clémentine.

<< Le manoir ? Génial ! On voit la tourelle depuis la route ! Je passe quand je vais en ville ! >> s'écrie Audrey avant de rajouter : << Promis, je viens vous visiter ! >>. Nous nous saluons. Nous reprenons notre promenade. << Sexy et sympa ! >> me fait Clémentine en glissant sa main dans ma braguette. Je confirme : << Sexy et sympa ! >>. Nous arrivons aux carrières. Aujourd'hui pas de D'jeunes pour faire de la varappe. Personne. Clémentine m'entraîne par le Zob dans les rochers.

<< Je veux contrôler l'effet que te font les rencontres ! >> me dit elle en s'accroupissant devant moi. Je suis appuyé contre une des grosses pierres abandonnées au milieu de la carrière. Je regarde bien autour de nous. Pas un bruit. Je me fais tailler une superbe pipe. Toutes les deux trois minutes Clémentine cesse pour se redresser. Je lui caresse le visage en écoutant ses impressions. Il y a des marcheurs. Nous entendons les voix se diriger par ici. J'ai le temps de remballer peinard.

Nous montons le long du sentier qui contourne les carrières en altitude. Nous longeons le ravin avec prudence. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet lorsqu'il y a un bruit. Quelle n'est pas notre surprise. C'est Audrey. Elle s'arrête. Surprise, elle met un pied à terre. << Oh, excusez-moi ! >> fait elle un peu gênée. Clémentine, sans se défaire de son stoïcisme habituel en de telles circonstances, secoue les dernières gouttes en disant : << Quand il faut, il faut. Ça n'attend pas ! >>.

Audrey éclate de rire. Je remballe tout de même. Nous nous remettons à bavarder. << Belle rencontre, non ? >> demande Clémentine serrée contre moi. << Oui ! Insolite aussi ! >> répond Audrey. << Pas de petit ami ? >> demande Clémentine. << Rupture il y a deux mois ! >> répond Audrey. << Oh pardon ! >> s'exclame Clémentine. << Non, non, pas de soucis, c'est une initiative personnelle ! >> fait encore la jeune fille. Nous partageons le thé bouillant. Les barres de céréales.

C'est un peu dur de repartir après une demi heure à rester assis sur des rochers à discuter. Nous nous promettons de nous revoir. Audrey nous accompagne un bout de sentier en poussant sa bicyclette. C'est une belle jeune fille aux cheveux auburns en natte. Quelques taches de rousseur très élégantes sur son visage aux traits fin. Des yeux noisettes. De taille moyenne, elle arrive à l'oreille de Clémentine. A mon épaule. Visiblement, le courant passe vraiment très bien. Nous voilà aux carrières.

Nous nous saluons. Audrey remonte sur sa bicyclette. Sa tenue sportive et colorée, en lycra, moule un corps svelte et plutôt athlétique. Nous la regardons filer en accélérant. Elle se retourne pour nous adresser un dernier coucou. Nous reprenons le chemin qui fait la grande boucle. << Tes impressions ? >> me demande Clémentine qui joue avec ma queue lors d'une pause. Je ne sais quoi dire. Je ne sais jamais me faire une opinion dès la première rencontre. Par contre Clémentine a une intuition.

<< Une belle petite coquine ! Peut-être même délicieusement salope ! >> me fait elle avant d'éclater de rire. Il est 18 h45 quand nous revenons à la voiture. Le ciel recommence à se couvrir. A devenir menaçant même. Estelle doit arriver pour 19 h. Juste le temps de rentrer. Je roule doucement. Clémentine me suce sur les quatre kilomètres. Je caresse ses cheveux en lui donnant mes impressions. Estelle est déjà là. Nous rentrons. Estelle est à la cuisine à dresser la table.

Elle se précipite. Toute contente. Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous raconte sa journée avec ses parents, son papy et sa mamie. Ils sont partis en randonnée. Clémentine raconte notre rencontre avec Audrey. << Put-Hein, faites gaffes tous les deux, je suis hyper jalouse ! >> lance Estelle qui vient s'assoir sur mes genoux. Nous éclatons de rire. Je dis : << Je vais te rassurer par un bon léchage de minou après la vaisselle ! >>. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Clémentine, considérablement excitée aussi, les filles m'entraînent au salon. Nous sommes rapidement juste en chemises à carreaux et en chaussettes. Je suis à genoux sur les épais coussins. Je passe d'une chatte à l'autre avant qu'Estelle ne m'attire sur elle. Je la pénètre délicatement. Elle se met à bouger comme elle aime. << Raconte moi cette Audrey, vieux cochon ! >> dit elle. Clémentine se masturbe en regardant et en écoutant.

Bonne soirée de retrouvailles à toutes les coquines qui aiment faire le bilan de leur journée. Une bite bien enfoncée. Et bien dure...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1520 -



Dommage qu'Estelle soit obligée de nous quitter

Hier matin, vendredi, il est presque neuf heures quand je suis tiré de mon sommeil par le souffle chaud d'Estelle contre mon visage. Elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection matinale. Elle se serre contre moi comme si sa vie en dépendait. Cela réveille Clémentine qui vient se blottir. Elle choppe mes couilles. A mon tour je glisse mes mains dans les culottes. Je suis entre mes deux anges dans une situation qui, hélas, ne dure pas. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>.

Ses vêtements de sport à la main, elle se précipite vers la porte. Vêtus de nos tenues de gym, c'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous dévalons les escalier pour rejoindre Estelle à la cuisine. L'odeur du café. L'odeur du pain grillé. Il n'en faut pas davantage pour être morts de faim. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant la "baise party" de hier soir. Nous mangeons de bon appétit en nous félicitant de nos "ardeurs au combat". Nous en rions comme des fous. C'est tellement drôle.

Le thermomètre extérieur indique 16°. Nous décidons de tenter le jogging. Il y a des séquences ensoleillées. Nous enfilons nos K-Ways. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur. C'est parti. Estelle donne le rythme. Nous descendons jusqu'à la rivière pour courir sur le sentier qui la longe. Trois kilomètres jusqu'au vieux lavoir. Nous traversons la route. Là-bas, les bâtiments du haras. Déjà quelques voitures dans la cour. Un kilomètre jusqu'à la clairière.

Nos pompes, nos abdos, nos exercices au sol que nous effectuons sur les bancs en bois. Nous revenons par le même itinéraire. Il est 10 h30 quand nous arrivons. Estelle prend sa douche la première car elle devra nous quitter jusqu'à demain. Aider sa maman au bureau de l'entreprise familiale. Nous faisons la chambre, le lit. Estelle nous rejoint un peu tristounette. << C'est une des dernières fois. La secrétaire fait le pont. Maman a besoin de moi ! >> explique t-elle. Des bisous avant de filer.

Nous prenons notre douche. Nous nous habillons de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Il est 11 h. Nous mettons nos anoraks pour ressortir. Il ferait presque doux si ce vent ne soufflait pas aussi fort. Clémentine m'entraîne dans la maison d'amis. Nous y allumons les convecteurs électriques. Les batteries des panneaux photo-voltaïques sont au maximum. Le fabricant préconise de les faire fonctionner régulièrement. Surtout dans les premiers temps. Voilà une excellente occasion.

Clémentine a rendez-vous ici avec notre voisin. Monsieur Bertrand viendra la rejoindre pour 13 h30. J'ouvre le placard où je me cache habituellement. Je fais de la place en poussant les balais, les seaux. Je mets les serpillères au sol pour y faire le moins de bruit possible. Clémentine s'y enferme "pour voir". Je l'entends rire et parler depuis l'intérieur. L'isolation phonique est assez probante. L'essai est une fois encore concluant. Je n'ai pas à m'inquiéter. C'est un placard de 70 sur 70 cm.

Les convecteurs électriques fonctionnent rapidement. Même s'ils ne chauffent pas les murs, ils chauffent l'air ambiant. Il fera doux et bon d'ici une heure au grand maximum. Clémentine dispose des tasses, la boîte de gâteaux sur la table basse entre les deux canapés. La mise en scène et les accessoires sont prêts. Parfait. Nous quittons pour rentrer. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la seconde tarte à la tomate. Elle est énorme. Il en restera ce soir. Je mets les assiettes, les couverts.

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant le rendez-vous avec monsieur Bertrand. Clémentine est impatiente de se retrouver en situation. Nous trainons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur notre rencontre de hier. Audrey et son vélo tous chemins. << Je suis pressée de savoir si elle est une membre du "Club des dépravées" ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous débarrassons avant de faire la vaisselle.

Clémentine prépare le café qu'elle verse dans la bouteille thermos. Pour le rendez-vous qui se rapproche. Nous montons nous laver les dents. Clémentine se change. Elle porte la même jupe noire que la dernière fois. Un chemisier crème. Ses souliers de ville à légers talons. Elle retire sa culotte. Accroupie devant le miroir de l'armoire, elle dit : << C'est comme quand j'étais adolescente, je vérifie toujours jusqu'où je peux aller ! >>. Elle reste avec les cuisses très écartées. Sa tête contre ma cuisse.

Il est 13 h15. Nous redescendons. Un dernier bisou. Je sors le premier pour traverser le jardin. Il fait bien chaud dans la maison d'amis. J'entre dans mon placard. Il y a une grille d'aération d'une dizaine de centimètres. Je vois parfaitement toute la pièce. Je n'attends pas longtemps. Voilà Clémentine avec la thermos. << Bisou ! >> fait elle en tapotant la porte. J'ouvre. Elle m'empoigne la braguette en disant : << Dernier entraînement ! >>. Elle fouille ma bouche de sa langue. Je bande très vite.

Il faut cesser, refermer. Juste lorsque les trois coups se font entendre contre la porte d'entrée. Clémentine va ouvrir. Elle revient suivie de notre voisin. Il porte un pantalon en velours marron. Un sweat brun. Des mocassins. Clémentine l'invite à s'installer. Il me tourne le dos. Clémentine est assise face à lui. De ma cachette j'ai la vue la plus parfaite. J'entends également toute la conversation. Le bougre est très loin de se douter que je suis dans la combine. Tant mieux. C'est tellement plus excitant.

Clémentine, les cuisses légèrement écartées, sert le café dans les tasses. Monsieur Bertrand évoque les trois locations déjà prévues en juillet. Trois couples sans progénitures qui vont passer chacun une dizaine de jours dans le gîte tout neuf aménagé au dessus du garage. << Cela va arrondir un peu ma retraite ! >> lance Mr Bertrand. Au fur et à mesure de la conversation, Clémentine écarte ses cuisses davantage. Comme la dernière fois, la vue sur sa touffe démentielle est splendide.

Monsieur Bertrand en arrive rapidement à la véritable raison de sa visite. << Vous avez déjà vu un anneau à sexe ? >> demande t-il en se levant. Le vieux saligaud avait déjà sa bite à l'air. Je ne pouvais pas la voir. Là, de profil, je découvre sa petite "viennoise" et ses couilles. Le tout est enserré dans un anneau noir. << Plastique alimentaire ! >> lance t-il. Ils éclatent de rire tous les deux. Clémentine tend son bras, se penche pour saisir les roubignoles de notre drôle. Elle soupèse longuement.

Monsieur Bertrand, les mains sur les hanches se laisse palper sans dire un mot. << Pourquoi un tel garrot ? >> demande Clémentine. << Pour endiguer le flot de mes émotions quand je suis en votre compagnie ! >> répond notre retraité. Soudain il saisit le poignet de Clémentine. Il contourne la table basse. Il choppe Clémentine par son catogan. Elle oppose une résistance de principe. Le vieux salaud attire ainsi sa tête vers son sexe. Clémentine se fait plaquer la joue contre la bite.

<< C'est comme ça que tu aimes, hein, petite salope ! >> dit il soudain. Il frotte son sexe sur le visage de Clémentine qui le tient par son pantalon. Il tente de lui enfoncer la bite dans la bouche en disant : << Mais tu vas la bouffer oui ! >>. Clémentine joue évidemment de la situation. Ses penchants pour la soumission trouvent ici tous leur sel. Le bougre la tient fermement. Il est cambré sur ses genoux fléchis. << Non ! Espèce de salaud ! >> crie t-elle en jouant à la perfection.

Elle finit par repousser l'indélicat qui s'effondre à ses côtés dans le canapé. Elle dit : << C'est quand moi je veux ! Pas vous ! >>. Monsieur Bertrand reste d'un calme olympien. Il lance : << Tu me le feras savoir, hein, belle salope ! Tu me fais mourir de désir. Je suis fou de pipe tu sais ! >>. Clémentine se saisit de sa bite pour répondre : << Moi aussi Louis, mais pas comme ça ! >>. Mr Bertrand, soudain confus rajoute : << Excusez moi Clémentine ! Je ne recommencerai pas ! >>.

<< Mais si, au contraire, mais lorsque je vous en donnerai l'autorisation ! >> répond Clémentine en jouant avec l'anneau. Des deux mains, penchée sur le côté, elle le fait tourner. << C'est génial ! Ça glisse ! >> dit elle en récupérant la coulure de foutre. C'est une petite queue, exactement comme une saucisse viennoise. Même couleur. Même aspect lisse. << Sept centimètres ? >> demande Clémentine. << Huit exactement ! >> répond Mr Bertrand vautré. Un bras autour de l'épaule de Clémentine.

<< Deux et demi d'épaisseur ! >> rajoute notre vicelard. Clémentine le masturbe doucement. Juste entre le pouce et l'index. Elle regarde souvent discrètement vers la porte du placard. Avant de poser une question où de répondre, elle me lance un discret et rapide clin d'œil. Je me branle. C'est merveilleux. C'est adorable. Elle masturbe ce vieux pervers tout en bavardant avec lui. A présent assise tout contre lui. << Tu n'as pas envie de sucer un peu ? >> demande notre vieux saligaud. Insistant.

<< Si ! Et comment. Mais si j'attends la prochaine fois, ce sera encore meilleur, Louis ! >> répond Clémentine en n'arrêtant plus de récupérer toute la jute qui s'écoule sur les couilles, le tissu du bas de la braguette. Notre voisin est le vicieux idéal. Tout ce qu'apprécie Clémentine. Je comprends qu'elle veuille faire durer. Il est 14 h30. Monsieur Bertrand se lève en disant : << Il faut que j'y aille, il y a la belle-mère à la maison. On se revoit bientôt ? >>. Clémentine ne lâche pas sa queue.

En l'accompagnant jusqu'à la porte elle dit : << Je vous fais signe, Louis. Rappelez-vous, le chiffon jaune à la fenêtre ! >>. Le voisin tente de l'embrasser. Clémentine esquive en le repoussant doucement. << Pas de ça Louis. Juste ça ! >> dit elle en reprenant sa queue qu'elle tire avec force pour le mettre dehors. Elle vient me rejoindre en s'essuyant les mains. Elle me montre tout le foutre dans le mouchoir. << Tu as vu ? Tu as entendu ? >> me demande t-elle en m'entraînant à l'étage.

Clémentine se lave les mains en me confiant à quel point elle avait envie de sucer cette "viennoise" si appétissante. Si juteuse. << La prochaine fois, je me bouffe la saucisse de cette vieille ordure ! >> dit elle. Nous éclatons de rire. Nous rangeons et faisons la vaisselle. Clémentine propose de rester très prudent. Elle va sortir la première, traverser le jardin. Ainsi, si ce vieux fourbe est planqué, il ne nous verra pas sortir ensemble. Je monte à l'étage pour scruter les environs.

La maison de Mr Bertrand est en contrebas, à un peu plus de 300 m. Malgré le feuillage des arbres, je discerne son jardin. Pas de soucis. Je le vois là-bas entrain de sortir la voiture du garage. Je peux rejoindre Clémentine. Elle est entrain de se toucher dans le hall d'entrée. << Viens ! >> me fait elle en m'entraînant à mon tour par la queue. Au salon, à genoux sur un des épais coussin, je lui bouffe la chatte. C'est trempé. L'abondance de cyprine est considérable. Je la baise un peu.

Clémentine et moi, nous ne voulons surtout pas aller jusqu'à l'orgasme. Nous voulons nous garder excités jusqu'au soir. Elle insiste toutefois pour me sucer un peu. Elle cesse toutes les deux trois minutes pour me confier ses impressions. Ce qu'elle a encore vécu avec le voisin la comble de joie. Elle répond à mes questions en gloussant de plaisir. Je lui confie à quel point je suis impatient de la voir avec la "viennoise" de Louis dans la bouche. << Sa mayonnaise ! >> dit elle en retournant à sa pipe.

Il est 16 h. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine s'en saisit. << Julie ! >>. Nous nous précipitons pour aller accueillir notre douce amie. Je la débarrasse de la grande boîte isotherme qui contient nos feuillantines au crabe pour ce soir. Nous l'invitons à nous suivre dans l'atelier. Julie s'installe dans le fauteuil à bascule. Clémentine et moi, vautrés dans le vieux canapé, nous écoutons Julie nous raconter ses livraisons. Les préparatifs pour la réouverture prochaine du restaurant.

Elle devra nous laisser pour 18 h. Clémentine raconte sa petite aventure du début de l'après-midi. Julie, voyeuse incorrigible, propose d'organiser le prochain plan avec sa présence. Je dis : << Il y a de la place pour être à deux dans le placard ! >>. Clémentine rajoute : << Julie, un grand moment d'être enfermée avec Julien dans un placard, non ? >>. Julie, soudain toute rouge, baisse les yeux. Nous éclatons de rire tous les trois. Nous évoquons notre rencontre avec Audrey, hier, en balade.

Bonne soirée à toutes les coquines que les émotions sexuelles et les situations ambigües excitent au point de d'en avoir des crampes...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1521 -



Un samedi sous une météo médiocre

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand je suis tiré de mon sommeil par le léger froissement des draps. C'est tout contre mon oreille. Je perçois également un léger mouvement du matelas. Clémentine sait quand je ne dors plus. Ma respiration change. Inutile de faire semblant de dormir. Elle vient tout contre moi en chuchotant : << Bonjour mon amour. J'ai fait un rêve très cochon ! >>. Elle se frotte contre ma hanche en l'enserrant de ses cuisses. Elle se masturbe.

Je couvre son visage de bisous en murmurant : << Tu me racontes ce rêve devant de bonnes tartines de miel et de confiture ! >>. Clémentine m'entraîne par mon érection matinale jusqu'aux toilettes. Vêtus de nos tenues de sport, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Dehors il fait toujours aussi moche. Il y a encore eu de la pluie toute la nuit.

Le thermomètre extérieur indique à peine 14°. Nous sommes le 15 mai. C'est tout simplement ignoble. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le vague programme du jour. Avec cette météo, le choix est très limité. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte son rêve. Il y est question de notre voisin. D'un grenier. D'une bite dégueulasse. Nous en rions comme des fous. C'est un peu la conséquence de ce qui s'est passé hier, dans la réalité, avec monsieur Bertrand.

Il est 8 h30. Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. Dehors il s'est remis pleuvoir. Nous pratiquons notre jogging sur les tapis roulants. Pour nous divertir, nous mettons une vidéo de nos vacances en Ecosse. C'est en courant que nous redécouvrons avec plaisir les environs d'Edimbourg. Les charges additionnelles. Les exercices au sol, les abdos. Tout cela dans une intensité maximale. Un doux retour au calme avec un stretching. Toujours un peu contraignant après l'action.

Nous prenons notre douche. C'est vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux que nous redescendons pour enfiler nos anoraks. Depuis l'interphone, j'ai ouvert le portail. Il est dix heures. Voilà la première camionnette qui vient nous livrer. La même jeune femme tire du hayon arrière de son véhicule deux cageots. L'un contient nos fruits, nos légumes. L'autre contient nos fromages, nos yaourts, nos œufs, le beurre et les yaourts. Même commande pour samedi prochain. Nous nous saluons.

Voilà déjà la seconde camionnette. Madame Marthe, la boulangère nous donne également un cageot. Il contient nos deux grosses miches de pain complet et bio. Notre brioche au pudding qui est immense cette fois. Nos quatre pâtes feuilletées. Deux croissants. << C'est cadeau de la maison ! >> lance la dame dont le masque sanitaire est accroché au volant. Même commande pour samedi prochain. Nous nous saluons. Nous descendons à la cave par derrière avec les trois cageots. J'ai le lourd.

Nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères dans le cellier. Nous mettons une des miches dans le congélateur avec les pâtes feuilletées. Nous remontons pour ranger les produits frais au réfrigérateur. Il est 10 h30 et tout est OK. Clémentine suggère de commencer le ménage à l'étage. Pendant que Clémentine change les draps, je fais la salle de bain. Avec la serpillère, il me suffit de suivre Clémentine qui passe l'aspirateur. Nous terminons par les chiottes. Il est déjà 11 h30.

Tout est nickel à l'étage. Odeurs où se mêlent celles du chlore, de la javel et des huiles essentielles de magnolia. Le diffuseur d'arôme en propulse les effluves dans la chambre. Nous faisons la poussière au salon. Clémentine passe l'aspirateur. Je nettoie les chiottes du bas. Il commence à faire faim. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour y plonger les moules même pas décongelées. Je verse les haricots verts et les petits pois eux aussi encore congelés dans le wok.

C'est samedi. Il est midi largement passé. On ne se fait jamais chier pour le repas du midi. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le rêve de Clémentine. Sur la masturbation bien réelle qu'elle a prodigué à notre voisin hier. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point elle a apprécié le comportement vicieux de Mr Bertrand. Lorsqu'il lui a frotté sa bite sur la gueule en la maintenant par ses cheveux.

Authentique soumise, Clémentine aime ces situations. Me sachant caché pour sécuriser ce qui se déroule, elle sait pouvoir se lâcher en totale confiance. Hier encore, elle ne s'en est pas privée. J'écoute plutôt amusé ses prochaines stratégies : << Je veux sucer ce vieux salaud. Mais il faut que ce soit la situation la plus glauque possible ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je sais pouvoir faire confiance en son imagination débordante. Ce ne sont pas les sources d'inspiration qui manquent.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous en profitons pour nettoyer la cuisine. Clémentine passe l'aspirateur un peu partout. Je suis derrière à passer la serpillère. Il est 13 h45. Tout est propre. Le diffuseur d'arômes répand en bas les effluves de jasmin depuis le salon. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. << Cette semaine, nous avons eu deux soirées rien qu'à nous. Tu sais que ça me manque de plus en plus d'être seule avec toi ! >> me confie Clémentine.

A peine a t-elle prononcé ces mots que la voix d'Estelle dans l'escalier se fait entendre : << Coucou les gens qu'ils sont où ? >>. Elle jette son grand sac de sport pour se précipiter vers nous. Oubliés les mots de Clémentine, nous nous faisons des bisous en nous serrant tous les trois. Je soulève Estelle. Ses jambes enserrent mes reins. Elle me couvre le visage de bises. J'administre le même traitement à Clémentine. << Mmhh ! Ça sent bon ! Vous avez déjà fait tout le ménage ! >> lance Estelle.

Nous descendons à toute vitesse. Il ne pleut plus. Nous mettons nos anoraks pour aller prendre la température. Le ciel est uniformément gris et bas. C'est à désespérer de voir un jour l'été. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Tout est trempé. Il ne pleut plus. Nous entrons dans la maison d'amis. Il y fait encore bien chaud. Nous y avons laissé fonctionner les convecteurs électriques. Les batteries sont presque pleines. Nous nous affalons dans les canapé.

Clémentine raconte ce qui s'est passé hier. Estelle écoute avec attention. Elle pose des questions précises. Clémentine se fait un réel plaisir d'y répondre. Elle revit ainsi cette situation. Je décris ma vision des choses depuis mon placard. << Je veux m'y cacher avec toi pour mâter ! >> lance Estelle. << Julie veut accompagner Julien également. Vous serez trois ! >> dit Clémentine. Nous éclatons de rire. Clémentine confie à quel point ces confrontations avec un vieux vicelard lui ont manqué.

Les aventures vécues il y plus d'un an et demi, au haras, avec Mr Gérard, restent dans sa mémoires. Ce vieux retraité vicieux et pervers lui a offert bien d'agréables moments. Là, de pouvoir retrouver ces situations, avec un autre vieux saligaud, ne peut que la ravir. Surtout quand ce vieux vicieux habite à un peu plus de trois cent mètres. << Je n'ai qu'à me servir ! >> rajoute Clémentine. Estelle répond : << Et comme nous quittons la France pour l'Ecosse d'ici trois ans, autant en profiter ! >>.

<< Tu as tout compris ! >> dit Estelle. J'écoute les stratégies et les ruses que veulent appliquer mes deux anges. Estelle n'est pas insensible non plus aux perversions de Mr Bertrand, le "chouan", comme elle le surnomme. Nous en rions de bon cœur. Notre voisin aime à parler de ses ancêtres chouans ayant défendu la Bretagne contre l'envahisseur français. Ce sont des récits épiques. Clémentine propose de prendre le thé ici. Estelle monte préparer les tasses et la théière.

Clémentine glisse sa main dans ma braguette pour en extraire ma bite. Avec cette conversation, je bande mou. Estelle redescend avec le plateau. Elle découvre la scène. << Génial ! >>. Elle s'installe sur le canapé d'en face. La petite table basse nous sépare. Avec les tasses de thé fumant. Elle dit : << Maman m'a encore parlé de toi. Elle ne sait pas que je sais tout. Elle n'évoque pas un seul instant le fait que tu lui as montré ta bite deux fois ! J'adore quand elle me cache des choses ! >>.

Nous en rions de bon cœur. Estelle continue : << Dimanche 23 mai, vous êtes invités au repas de midi. Papa et maman fêtent toujours leurs anniversaires en même temps. Ils sont nés à trois jours d'intervalles. Tu es prié de faire ton vicelard ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine fait : << Je fais un petit emballage cadeau avec un ruban autour de la queue de Julien ? >>. Estelle, écroulée de rire, rajoute : << Autour des couilles aussi, maman ne les a encore jamais vu ! >>.

Nous nous amusons follement. Comme toujours quand nous évoquons nos dépravations, nos frasques sexuelles et nos vies dissolues. Mes deux anges passent en revues nos souvenirs les plus fous. Le lecteur qui suit nos aventures depuis le début sait parfaitement de quoi elles sont faites. << Le "Club des dépravés" du petit monde de Clémentine et de Julien ! >> lance Estelle. Nous devisons ainsi depuis plus d'une heure. J'ai la bite dans la main de Clémentine qui me branle quand je bande.

<< Louis ! >> s'écrie soudain Estelle en se levant pour se précipiter à la fenêtre. Nous la rejoignons. Notre voisin descend vers la rivière. Son petit sachet dans une main, son parapluie dans l'autre. << On lui prépare un "plan" ? >> lance Estelle. Je dis : << Bon ! Je vais encore passer du temps dans le placard ! >>. Nous éclatons de rire quand Estelle fait : << Cette fois, je suis avec toi ! >>. Clémentine se met à envisager la suite de cette improvisation. Il faut ruser. Faire vite.

Nous restons planqués derrière les épaisses tentures de cette fenêtre. Nous attendons le retour de monsieur Bertrand. << Le voilà ! >> fait Estelle. Il n'est encore qu'à environ cent mètres. << Viens ! >> dit Estelle en me saisissant la queue. Elle m'entraîne dans le placard. Clémentine ouvre la seconde fenêtre juste au moment ou arrive Louis. << Bonjour Clémentine ! Du ménage ? >> demande t-il. Il rajoute : << Je peux entrer deux minutes ? >>. Clémentine l'invite à venir au sec.

Dans notre cachette, Estelle et moi nous regardons à tour de rôle par la grille d'aération. Une ouverture ronde d'environ dix centimètres. Estelle est serrée contre moi. Ma bite dans la main. Nous contrôlons nos respirations. Il n'est pas question de faire le moindre bruit. Voilà monsieur Bertrand qui entre. Clémentine le débarrasse de son parapluie dégoulinant qu'elle laisse dans l'encadrement de la porte. Aujourd'hui, Clémentine est vêtue de son jeans, de sa chemise à carreaux.

<< Je n'ai qu'une dizaine de minutes. Nous partons en ville cet après-midi avec ma femme et ma belle-mère ! >> lance monsieur Bertrand en s'installant dans le canapé. Cette fois, je le vois de face. Le salaud se palpe la braguette en discutant. Clémentine nous tourne le dos. Nous entendons parfaitement la conversation. Le souffle chaud d'Estelle dans mon cou quand c'est à mon tour de mâter, ma bite dans sa main chaude, le spectacle, tout cela participe d'un moment d'une grande émotion.

<< Je peux ? >> demande Louis en descendant la tirette de sa braguette. << Faites donc ! J'apprécie beaucoup ! >> répond Clémentine. Louis extrait péniblement, en fouillant au fond de son slip, un pénis qui évoque une saucisse viennoise. C'est presque la parfaite réplique de cette spécialité charcutière. La couleur déjà. L'aspect lisse et uniforme. Nous savons depuis hier que le sexe minuscule de notre voisin mesure sept centimètres pour un diamètre de deux centimètres et demi.

Il le tient à sa base entre le pouce et l'index. Nous ne l'avons jamais vu décalotté. Il y a le silence. Un peu comme si monsieur Bertrand savourait sa présentation. Il a un air sérieux. Il porte encore bien son âge cet après-midi. Ses 66 ans de retraité paisible et en excellente santé. Clémentine observe sans dire un mot. << Tu me suces un de ces jours, Clémentine, s'il te plaît ? >> lance soudain l'exhibitionniste. Clémentine éclate de rire avant de répondre : << On verra ! >>.

Réponse toute féminine qui fait sourire monsieur Bertrand. Il agite sa bite en rajoutant : << Regarde, je bande. Ça fait presque quatre ans que tu me fais bander ! >>. Nous ne voyons strictement aucune différence entre son état "normal" et cette soit disant érection. Clémentine se lève. Elle vient s'assoir à la droite de Louis. Elle prend sa queue entre le pouce et l'index en disant : << Mais elle est à peine dure ! >>. Monsieur Bertrand éclate de rire avant de répondre : << Mais pleine de jus ! >>.

Estelle, serrée contre moi, se touche. Elle se frotte silencieusement contre moi. Je bande dans sa main. Elle me branle doucement. Nous regardons à tour de rôle. Quand c'est moi qui mâte, ses lèvres chaudes font ventouses dans mon cou. C'est un merveilleux moment. Je glisse ma main dans sa culotte. C'est trempé. Ça me coule sur les doigts que je n'arrive pas à enfoncer. A cause de la position. Nous écoutons. Nous regardons. Il y a de quoi passer un des plus merveilleux moments.

Monsieur Bertrand tient Clémentine par l'épaule. Il lui vante les mérites de sa queue. << Vous auriez vu ça, comme je m'en servais quand j'avais vingt ans ! >> dit-il. Notre voisin alterne le vouvoiement et le tutoiement en s'adressant à Clémentine. Clémentine qui est à présent tout contre ce vieux salaud dont elle branle doucement la tige. Il y a du jus qui jaillit soudain. Cette espèce de purée grumeleuse noyée dans une sorte de mayonnaise. << Répugnant ! >> murmure Estelle à mon oreille.

Je regarde. Le foutre ne coule pas seulement sur le bas du tissu de la braguette de Louis, mais sur les doigts de Clémentine. << Ça coule vite chez vous ! Ça coule toujours autant ? >> demande t-elle. << Tout le temps ! >> répond le vieux satyre. Il ne tente rien cet après-midi. Il a compris que c'est Clémentine qui reste la maîtresse du jeu. Qui dirige les opérations. C'est donc en parfait gentleman qu'il reste immobile. << Il va vraiment falloir que je vous abandonne ! >> dit il.

Clémentine s'essuie les doigts avec une serviette en papier. Avec une autre, elle essuie la bite ruisselante du vieux salaud. Elle se lève en même temps que lui. Monsieur Bertrand arrive à l'oreille de Clémentine qui le dépasse en le toisant : << Vous êtes un vrai pervers, Louis ! Comme je les aime ! >> lui dit Clémentine en le raccompagnant jusqu'à la porte. Elle lui tend son parapluie en rajoutant : << Venez donc vous branler un de ces jours et que cela reste un secret total ! >>.

<< Promis ! Comptez sur moi ! Pas un mot à personne. C'est trop bien ! >> fait encore le retraité avant de prendre congé. Estelle et moi nous sortons enfin de notre cachette. Il y a fait tellement chaud que nous sommes en sueur. << Félicitations ! >> lance Estelle à Clémentine qui s'accroupit pour scruter mon sexe. Il dégouline certainement autant que celui de Louis. << Mais de ses vingt centimètres homologués ! >> lance Estelle qui la tend à Clémentine en l'agitant.

Je dis : << Pour trois centimètres et demi de diamètre seulement ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine se met à sucer en me tenant par les hanches. Je glisse ma main dans la culotte d'Estelle qui m'embrasse passionnément. Je caresse les cheveux de Clémentine de ma main libre. Elle adore quand je la passe dans sa nuque, sous son menton. Je l'aide à se redresser avant l'ankylose. C'est au tour d'Estelle. Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche avant de déglutir avec difficulté.

Je la félicite à mon tour pour sa prestation : << Clémentine, ça m'a manqué autant que toi ! De te voir faire la salope avec un autre, reste le spectacle le plus excitant qui soit ! >>. Elle m'embrasse avec fougue. Estelle cesse de sucer pour se redresser en disant : << C'est vrai que tu fais fort ! Moi aussi j'adore te regarder ! >>. Je distribue des bisous à mes deux anges serrées contre moi. Nous venons encore de vivre un moment exaltant. Totalement imprévu. C'était fantastique.

Il est presque 16 h. Nous n'avons pas vu le temps passer. Nous reprenons nos esprits devant trois tasses de thé. Des petits gâteaux secs. Il y a les deux serviettes en papier sur le rebord de la cheminée. Estelle se lève. Entre le pouce et l'index elle saisit celui qui a servi à essuyer la bite de monsieur Bertrand. Elle le défroisse délicatement. A contre jour, devant la fenêtre, elle scrute. Elle hume. Regarde à nouveau. Clémentine me tient la queue. Nous observons ce que fait Estelle.

Du bout de l'index, elle nous montre les taches. << De la vraie mayo ! Sans déconner, regardez ! >> fait elle en venant nous rejoindre pour nous montrer. << T'es dégueulasse ! >> lui lance Clémentine. Je fais la grimace. Estelle retourne à la cheminée pour y jeter la serviette en papier trempée de foutre, de jute et de coulis de couilles. Elle dit : << Oh mais vous ne savez pas ce qui est bon vous autres ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Il est presque 17 h quand nous fermons les radiateurs.

Nous quittons la maison d'amis pour traverser le jardin sous une pluie battante. Il tombe véritablement des cordes. C'est épouvantable. Nous voilà tous les trois dans l'atelier. Estelle allume un bon feu dans la cheminée. Clémentine est assise sur mes genoux. << J'ai l'odeur de la bite de ce vieux salaud dans le nez ! >> fait Clémentine. << Moi, j'ai l'odeur du foutre qu'il a laissé dans la serviette ! >> rajoute Estelle. Nous éclatons de rire. Mes deux anges sont assises sur mes genoux.

Nous regardons le tableau que je suis entrain de réaliser. Cette septième toile destinée à ma saison d'été. Les deux personnages féminins auront les traits d'Estelle et de Clémentine. Le personnage masculin aura les miens. Par association d'idées, Estelle en vient à parler du petit tableau que je lui ai offert la semaine dernière. Elle l'a accroché dans sa chambre. << Je le retourne parfois pour le renifler. Moi seule sait que l'arrière est maculé de ton sperme qui a séché ! >> dit elle en mimant une pipe.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << Ce soir, je te bouffe la bite Julien ! >> me fait Estelle. << Et moi je me branle en vous mâtant ! >> rajoute Clémentine. Nous sommes tous les trois assis à table. Nous épluchons les pommes de terre, les carottes, le navet, le céleri, l'ail et les deux gros oignons. Nous en faisons en grande quantité. Cette potée de légumes assurera nos trois repas du week-end. En accompagnement délicieux de nos fruits de mer.

Clémentine prépare une belle salade d'endives. Estelle remue les légumes dans la vieille cocote en fonte noire. Cuisson traditionnelle sur la cuisinière à bois. Je fais rissoler des calmars avec de l'ail, de l'échalote, des champignons. Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur le comportement de monsieur Bertrand. Les projets que font les deux coquines à propos de sa petite "viennoise à la bave d'escargot". Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles rient de leurs "plans".

Nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Elles retirent leurs jeans, leurs culottes. M'arrachent les miens. Tout est balancé en tas à côté du canapé. Clémentine s'installe dans le fauteuil. Cuisse gauche sur l'accoudoir gauche. Cuisse droite sur l'accoudoir droit. Elle se touche déjà. Estelle se couche sur le côté, à ma gauche. Sa tête contre mon ventre. Elle me tient la bite. Je bande mou. Je vais me faire tailler une super pipe en caressant sa chatte.

Bonne soirée à toutes les coquines qui s'apprêtent à se faire bouffer la chatte, sucer de la queue en évoquant un vieux pervers vicieux...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1522 -



La météo épouvantable de ce dimanche

Hier matin, dimanche, il est près de neuf heures quand je suis tiré de mon sommeil par le mouvement masturbatoire d'Estelle. Toute la nuit elle est encore restée serrée contre moi comme une naufragée à sa branche. Là, à présent, elle se frotte contre ma hanche. Une cuisse sous mes reins, l'autre sur mon ventre. Appuyant sur ma vessie. Son souffle chaud contre mon visage. Ce qui réveille Clémentine qui vient se blottir en faisant exactement le même mouvement.

Je suis entre mes deux anges. C'est absolument féérique. Distribution de bisous. << Comme c'était bon hier soir ! >> murmure Estelle en s'étirant. << C'était divin ! >> rajoute Clémentine qui gémit déjà de bonheur dans mes bras. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Ses vêtements à la main, elle se précipite vers la porte. Nous nous habillons de nos jeans, de nos chemises à carreaux. C'est à notre tour d'aller pisser. Ce matin, ça urge drôlement.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Elle me saute au cou dans l'odeur du café, du pain grillé, de la brioche au pudding. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. J'administre le même traitement à Clémentine. Nous restons fidèles à tous nos petits rituels. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant nos douces folies de hier soir. La "lèche party". La "pipe party". La "baise party".

Nous mangeons de bon appétit en riant de nos frasques sexuelles. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles reviennent sur l'aventure de Clémentine avec le voisin. << Quel salaud ! >> lance Estelle. << Comme je les aime ! >> rajoute Clémentine. Pliée de rire, elle dit encore : << Celui-là, je vais le faire mariner dans son jus. J'aurai de quoi déguster ! >>. Estelle émet l'hypothèse de tendre un autre piège aujourd'hui.

Le dimanche, pas d'entraînement, pas de jogging. Le ménage a été fait hier. Nous pouvons donc évoluer dans une douce quiétude. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Vêtus tous les trois de la même façon, nous enfilons nos anoraks. Nous sortons. Il ne pleut pas mais tout est trempé. Le ciel reste gris, bas et sinistre. << A gerber ! >> lance Estelle accrochée à mon bras. Je suis entre mes deux anges. Nous descendons vers la rivière. Nous flânons le long du cours d'eau.

Nous nous arrêtons souvent pour nous faire des bisous, éclater de rire, nous embrasser. Il ne fait pas froid. J'ai rapidement la bite dans la main d'Estelle ou dans celle de Clémentine. Les coquines déboutonnent leurs jeans afin que je puisse glisser mes mains dans les culottes. Nous évoquons nos vies de privilégiés. Cette relation à trois qui est devenu au fil du temps une chose parfaitement normale. Nous avons encore le gout de la brioche en nous embrassant. Pudding. Pâte d'amande.

Nous arrivons au vieux lavoir. Assis sous l'auvent, sur le muret du bassin vide, les filles parlent de leurs études. J'écoute silencieusement. C'est toujours très intéressant. D'autres ruses, d'autres stratégies qui vont trouver leurs applications dans les prochaines semaines. Estelle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Clémentine qui m'a sorti les couilles me les tient, accroupie derrière moi, sa main entre mes cuisses. Estelle adore la sensation de "tuyau d'arrosage".

Dès la dernière giclée, Clémentine se contorsionne pour venir sucer, accroupie entre le muret et moi. Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. C'est au tour des filles. Je tiens un mouchoir en papier dans chaque main. Posé contre leurs nuques. Elles sont toutes les deux accroupies, culottes et jeans aux genoux. Elles font leurs pipis en riant. Je me penche pour enfoncer un index dans chaque trou du cul. Cela provoque des jets plus puissants. Surtout chez Clémentine.

Je les torche toutes les deux soigneusement. Je fais renifler le doigt qui était dans son cul en disant à Estelle : << Tu pourrais te laver le cul plus soigneusement après ta chiure du matin ! >>. Nous éclatons de rire quand elle répond : << C'est pour une histoire merdique ! >>. Nous prenons le sens du retour. Il y a parfois quelques gouttes de pluie. Rien d'inquiétant. Il est 11 h45 quand nous prenons le chemin qui monte. Je remballe ma queue. Nous tombons sur monsieur Bertrand.

Notre voisin va nourrir les canards qui l'attendent plus bas. Nous bavardons un peu. Le bougre est un rusé voyou. Il ne se doute pas un seul instant que nous savons tout. Rien dans son attitude ne trahit d'ailleurs le moindre malaise. Nous jouons les ignorants. C'est Clémentine qui propose de passer prendre le café vers 13 h30 dans la maison d'amis. << Volontiers Clémentine, mais je n'aurai qu'un petit quart d'heure. Nous partons avec ma femme et ma belle-mère ! >> répond le rusé retraité vicieux.

Nous nous saluons. << A tout à l'heure ! >> lui lance Clémentine en se retournant. Je surprends son discret mouvement masturbatoire de la main droite. Elle me fait un clin d'œil. << Tu es la reine des salopes ! >> lui fait Estelle. << Merci du compliment ! >> dit Clémentine. Rires. Morts de faim, nous allons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare les pavés de saumon en papillotes. Sur le dessus hyper chaud de la cuisinière à bois. Je réchauffe la potée de légumes.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant le voisin. Nous sommes impatients de revivre une de ces situations dont nous raffolons. Estelle et moi cachés dans le placard. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles mettent au point le "plan". Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Par une des deux fenêtres nous voyons les toits de la maison des Bertrand, là-bas, à plus de 300 mètres.

Clémentine nous entraîne dans la chambre. Elle se change. Cette fois, elle porte une de ses jupes kilt à carreaux rouges. Un chemisier crème sous un pull bleu nuit. Ses bas fixés à son porte-jarretelles. Pas de culotte. Estelle et moi, nous sommes assis sur le lit. Nous regardons. Accroupie devant le miroir de l'armoire, les cuisses largement écartées, Clémentine nous observe. Nous applaudissons. Comme elle est belle. Hyper sexy. << Hyper salope ! >> rajoute Estelle qui tient mon érection.

Nous descendons. Il n'est que 13 h15. Nous mettons les anoraks. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Nous entrons dans la maison d'amis. Il y fait encore bien agréable. Clémentine monte allumer les convecteurs électriques à leur maximum. Matériel performant. Estelle n'arrête pas de se frotter à moi, de me tenir le sexe. Excitée par ce qui se prépare. La perspective d'être tout contre moi dans le placard où nous entrons. Clémentine referme soigneusement la porte.

Estelle déboutonne son jeans. Elle prend ma main pour la glisser dans sa culotte. Elle me tient la bite. Clémentine nous fait : << Pas trop à l'étroit les voyeurs ? >>. Estelle répond : << Non, c'est parfait, on fait "copains copines" ont se tient les machines ! >>. Nous rions aux éclats. Trois coups contre la porte. << Chut ! >> fait Clémentine qui se précipite pour aller ouvrir. Monsieur Bertrand entre en saluant une nouvelle fois Clémentine. << Vous êtes superbe ! >> lui dit il.

Le salaud a la bite qui pend de sa braguette. Sa minuscule saucisse viennoise. << Vous ne perdez pas de temps ! >> lance Clémentine. << Je n'en ai pas beaucoup ! >> répond notre voisin. Tout en contournant Clémentine pour aller vers la cheminée, il se retourne soudain. Il passe sa main sous la jupe de Clémentine surprise par ce geste. << Adorable salope ! Tu aimes être seule avec Louis, hein ? >> lance le vieux salaud en palpant le sexe de Clémentine. Elle n'a pas le temps de réagir.

L'effet de surprise passé, Clémentine se cambre sur ses genoux fléchis. Elle dépasse Mr Bertrand d'une demi tête. Elle le toise sévèrement tout en se laissant tripoter. Il est fort probable que le vieux pervers lui fasse un doigt. De sa main libre, il saisit sa tignasse sans ménagement en disant : << Je vais te dresser un de ces jours, grande salope ! Tu vas voir à qui tu as affaire ! >>. Clémentine, qui va de surprise en surprise, regarde vers la porte du placard. Estelle et moi, nous mâtons.

Clémentine saisit la bite du vieux salaud en lançant : << Et vous, vous allez voir à qui vous avez affaire ! >>. Le voisin répond : << Oh mais je sais à quelle genre de salope j'ai affaire, ne t'inquiète pas ma grande. On va beaucoup s'amuser ! >>. Mr Bertrand masturbe Clémentine. La tête renversée en arrière, cambrée sur ses jambes, les pieds largement écartés, elle se laisse faire, les yeux fermés. << Je vais même te la mettre un de ces jours. Te baiser comme tu le mérites ! >> rajoute le pervers.

Clémentine, le corps agité de spasmes, ne dit plus rien. Elle se contente de lâcher de petits cris, de gémir. Elle a lâché la bite du vieux salaud pour se tenir à ses épaules. Elle se fait masturber de plus en plus vite. Je n'ai jamais vu Clémentine jouir aussi vite. Dans un cri, elle se dégage. Elle pisse. Mr Bertrand n'a pas le temps de réagir. Le voilà avec les godasses trempées. Il se recule en s'écriant : << Mais tu es une vraie truie, une vraie salope ! >>. Il s'essuie les doigts à son pantalon.

Clémentine se tient au canapé des deux mains. Une jambe croisée sur l'autre. Elle se mordille la lèvre inférieure. Les yeux larmoyants. << Il faut absolument que j'y aille ! Fais moi signe un de ces prochains jours. On ne va pas en rester là ! >> fait monsieur Bertrand en contournant la flaque de pisse sur le sol. Il se dirige vers la porte. << Salope ! >> fait il encore avant d'ouvrir. << Merci Louis ! >> lui lance Clémentine. << Adorable pisseuse ! >> dit il encore en sortant.

Nous sortons de notre cachette. << Tu as réellement jouis ? >> demande Estelle. << Comment voulais-tu que je fasse autrement. Tu as vu ce qu'il m'a fait ce salopard ! >> répond Clémentine. Je la félicite. Il ne reste plus qu'à passer la serpillère. Clémentine s'en occupe. Nous préparons le thé et les petits gâteaux. Clémentine a ramené de quoi se changer. Elle retire ses bas et ses souliers trempés. La voilà en jeans et en baskets. Nous sommes vautrés tous les trois sur le même canapé.

Je suis entre mes deux anges. Clémentine nous confie dans le détail chacune des émotions vécues. Estelle raconte notre comportement dans le placard. Estelle et moi nous nous sommes masturbés comme des fous. Nous nous battions presque pour observer chacun à notre tour par la grille d'aération. << C'est à refaire ! >> lance Estelle. << Absolument ! >> rajoute Clémentine qui se blottit contre moi. Estelle joue avec mon érection dégoulinante. Elle se lève pour s'accroupir entre mes jambes.

Je me fais sucer. Clémentine nous raconte. Je lui pose des questions précises. Mr Bertrand l'a effectivement doigté. << Un doigt, puis deux ! >> précise Clémentine. Je la félicite pour la rapidité de son orgasme. << C'était tellement inattendu, tellement intense, je ne pouvais rien faire. Alors j'ai jouis ! >> dit elle avant d'éclater de rire. Estelle me taille une pipe des familles tout en se masturbant. Elle s'emmène dans un orgasme d'une intensité rare. Je remets mon éjaculation à ce soir.

Il pleut lorsque nous quittons la maison d'amis pour rentrer. Nous allons dans l'atelier. Estelle y reprend ses esprits en allumant un bon feu dans la cheminée. Clémentine reste tout contre moi. << Tu n'es pas fâché ? >> me demande t-elle. Je la rassure. Bien au contraire. De la voir dans de telles dépravations me comble d'un immense plaisir. Clémentine culpabilise toujours un peu. << Cette vieille éducation judéo-chrétienne sans doute ! >> finit elle par lâcher. Nous rigolons tous les trois comme des bossus.

L'après-midi se passe ainsi. Les filles sont assises devant l'ordinateur à préparer leurs cours en ligne. Tout reprend demain matin. Moi, je fais un peu d'ordre et de classement dans mes cartons à dessin. Il me reste trois toiles à réaliser pour ma saison d'été. Cette année, le timing est un peu plus serré que les précédentes. Il y aura 24 tableaux à présenter dans ma galerie d'Art. Huit natures mortes, huit paysages et huit scènes de genre. Le panel habituel que je propose aux amateurs.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont se faire lécher la chatte, nettoyer la moule, se faire ramoner et jouir une nouvelle fois...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1523 -



Les cours en ligne reprennent à 8 h05

Hier matin, lundi, nous sommes tirés de nos profonds sommeils par notre douce et magique application. Cette mystérieuse forêt où résonnent les chants d'oiseaux et le bruit d'une source. Il est presque six heures. Estelle qui est restée accrochée à moi toute la nuit se serre encore plus fort en saisissant mon érection matinale. Clémentine qui vient se blottir. L'enchantement paradisiaque. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Estelle se lève la première : << Pipi ! >>.

Sa tenue de sport à la main, elle se précipite vers la porte. Vêtus de nos habits de gym, c'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous descendons à toute vitesse pour rejoindre Estelle à la cuisine. Il reste toujours de la brioche le lundi matin. Réchauffée au micro-onde, son odeur vient se confondre avec celles du café et du pain grillé. Estelle vient se serrer fort en disant : << C'était divin hier soir ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre soirée de douceurs.

Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup des attitudes de notre voisin. << Monsieur Bertrand, le chouan ! >> comme l'appelle Estelle. << Monsieur vicelard, surtout ! >> rajoute Clémentine. Nous éclatons de rire. Il est 6 h25. Estelle devra nous laisser immédiatement après l'entraînement. Elle reviendra demain soir. Nous montons pour nous offrir notre heure de gymnastique. Il fait bien trop moche pour aller courir à l'extérieur. Maudite fraîcheur humide.

Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles. Estelle adore faire du vélo d'intérieur. Nos exercices au sol, prétextes à des déconnades encore ce matin. Abdos. Retour au calme avec un stretching légèrement contraignant. Estelle récupère son sac de sport, nous fait des bisous avant de filer en dévalant l'escalier. Nous prenons notre douche. Nous revêtons nos jeans, nos chemises à carreau. Nous descendons pour mettre nos anoraks. Nous sortons sous un ciel gris, sinistre. L'horreur.

Il est presque 7 h50. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Sous l'abri à bois nous remplissons la corbeille d'une dizaine de bûches. Jamais, de tous mes souvenirs, il n'a été nécessaire de chauffer aussi longtemps. Ça va faire sept mois que nous chauffons. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps de rentrer sous de nouvelles gouttes de pluie. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Télé travail.

J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. J'attaque ce matin les visages des deux personnages féminins. Ils auront les traits d'Estelle et de Clémentine. La peinture de cette septième scène de genre destinée à ma saison d'été me captive. Je peins dans un enthousiasme extatique. Clémentine vient souvent me rejoindre. Rapidement et furtivement. Pour me déposer un bisou sous le catogan.

<< C'est cool ce matin et c'est un peu le bordel avec les cours ! >> murmure t-elle. La matinée se passe ainsi. Clémentine vient me rejoindre en sautillant autour de moi. Elle met deux bûches dans la cheminée. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée : << C'était le merdier ! >>. Je réchauffe le reste de potée de légumes à laquelle je rajoute du riz complet gonflé à l'eau. Je panne deux beaux filets de colin. A la poêle.

J'y rajoute une aubergine coupée finement afin d'en tirer le jus. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur ses petites aventures avec notre retraité de voisin. << T'as vu ce salaud. Il a carrément passé sa main sous ma jupe, hier ! Alors que je n'avais encore rien fait ! >> dit elle en me couvrant le visage de bisous. Je réponds : << Il t'a même offert un super orgasme ! >>. Nous en rions de bon cœur.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Depuis quelques temps nous avons le réflexe d'aller regarder par la fenêtre qui donne sur la propriété des Bertrand. Là-bas, en contrebas, à plus de 300 mètres, on ne voit que les toits, les quatre hautes cheminées de briques rouges. Je glisse ma main entre les cuisses de Clémentine en chuchotant : << Moi aussi je vais te masturber comme ça ! >>. Clémentine s'écrie : << Tu ne le fais pas assez souvent ! >>.

Nous redescendons pour enfiler nos anoraks. Nous sortons dans la fraîcheur humide de cette nouvelle journée pourrie. Il ne pleut pas. Il y a un vent fort. Il y a des millions de pétales de fleurs blanches tombées des arbres. << On dirait de la neige ! >> fait Clémentine qui m'entraîne par le bras. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous prenons le sentier qui la longe. Il est rocailleux. Pas de boue sur les bottes en caoutchouc. Clémentine marche devant moi en me tenant par la main. Arrêts bisous.

A chaque fois elle glisse sa main dans ma braguette ouverte. Je bande mou dans sa main quand elle arrive à l'introduire dans mon slip. Nous nous embrassons alors avec passion. J'ai ma main dans son jeans déboutonné. Je fouille le fond de sa culotte pour y introduire délicatement un doigt. La position n'est jamais pratique. Le poignet n'a pas la mobilité souhaitée dans cette situation. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à remonter. Il y a les premières gouttes de pluie.

Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur. En mettant ses écouteurs sur ses oreilles, elle dit : << J'espère que ce sera plus sérieux cet après-midi ! >>. Je lui dépose un dernier bisou dans la nuque en faisant ventouses de mes lèvres. Je suis installé devant mon chevalet. Me voilà livré à ma passion, corps et âme. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. L'après-midi se passe ainsi. Il est 17 h quand Clémentine vient virevolter autour de moi.

Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, elle tripote mon Zob en découvrant une fois encore son portrait et celui d'Estelle. << C'est génial. Tu nous donnes à chaque tableau une expression différente ! >> fait elle en jouant avec ma queue. Je pose ma palette et mes pinceaux sur la desserte. Je saisis Clémentine par son catogan. J'écarte les pans de ma blouse. J'attire sa tête. Je frotte son visage sur ma queue en disant : << Il a raison Mr Bertrand, tu es une adorable salope ! >>.

<< La tienne uniquement. Tous les autres se font des illusions. Je t'aime Julien. Tu me comprends si bien ! >> lance Clémentine à quatre pattes entre les pieds du chevalet et les miens. J'appuie sur sa nuque pour lui enfoncer un maximum de bite dans la bouche. << Mmmhh ! Mmhhh ! >> gémit elle, folle de plaisir. Je n'ai que trop rarement ces initiatives. C'est difficile d'avoir de telles attitudes avec la fille que j'aime. Pourtant, ces comportements de vicelard ont toute sa préférence.

Clémentine a encore du travail. Il lui faut mettre au propre les notes prises cet après-midi. Je l'aide à se redresser. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Les filaments visqueux qui réunissent sa langue à son palais. << Je t'aime ! Je vous aime mon doux "Maître" ! >> dit elle en s'installant confortablement dans le vieux canapé de l'atelier. Sa tablette sur les cuisses, son calepin posé sur un des coussins. Je peins en l'écoutant chantonner ou me raconter ses cours de l'après-midi.

Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je suis fier de mon travail. En seulement huit heures j'ai peins les trois visages avec une minutie toujours plus méticuleuse. Je retire ma loupe frontale, ma blouse. La bite pendante, je viens rejoindre Clémentine. Elle se couche sur le dos, sa tête sur mes cuisses, ma queue contre sa joue. << Mmhh ! >> murmure t-elle en fermant les yeux pour ce moment de retour au calme. Je lisse ses cheveux en la regardant. Comme elle est belle !.

Nous attendons l'arrivée de Julie. J'ai ouvert le portail depuis l'interphone. Elle vient nous livrer nos tourtes aux fruits de mer et passer la soirée avec nous. Clémentine suçote ma bite en disant : << Soit bien vicieux avec moi ce soir. On fait du spectacle à Julie. J'aime la savoir dans l'embarras. J'adore quand elle fait sa voyeuse gênée et timide ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je promets de me montrer à la hauteur de la situation. La musique imbécile de mon téléphone.

Clémentine s'en saisit car elle l'a posé sur l'accoudoir du canapé. << Julie ! >> s'écrie t-elle. Nous nous levons d'un bond pour quitter l'atelier. Nous accueillons notre amie livreuse comme il se doit. Des bisous. Je la débarrasse de la grande boîte isotherme qui contient nos repas de ce soir et de demain midi. Julie est toute contente de nous revoir. Elle nous tient les mains à tous les deux. << J'adore mon papy et ma mamie le dimanche. Mais vous me manquez malgré tout ! >> dit elle.

Clémentine l'entraîne dans l'atelier. Julie, assise devant mon chevalet, admire ma toile en devenir. << C'est extraordinaire. On dirait des photos. On ne discerne jamais le moindre coup de pinceau. C'est proprement diabolique ! >> lance t-elle. Clémentine pose ses mains sur ses épaules pour répondre : << C'est diabolique, Julie ! >>. Seuls Clémentine et moi nous savons ce que cela sous entend. << Le pacte Faustien ? >> demande Julie. << Mieux ! >> répond Clémentine. Nous rions.

La faim commence à se faire sentir. Il est 18 h45. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant les salades. Julie tire les trois belles tourtes aux fruits de mer encore hyper chaudes de la boîte. Je mets les assiettes et les couverts. Il n'y a qu'à passer à table. Les deux feuillantines au crabe, pour demain, sont posées sur le buffet. Une fois froides, nous les mettrons dans le bas du réfrigérateur. Nous mangeons de bon appétit.

Julie nous raconte son week-end. Ses livraisons de repas en soirée : << J'arrête dans doute définitivement. Dès mercredi soir, je reprends mon activité de serveuse au restau ! Anne-Marie est fébrile. Impatiente de retrouver nos clients. Ce sera en terrasse. Elle a tout prévu ! >>. Clémentine raconte ses petites aventures avec Mr Bertrand, notre voisin lubrique. Julie écoute attentivement. Elle pose toutes sortes de question précises. Je découvre une fois encore à quel point elle est vicieuse.

Je me lève. Je sors ma bite. Je la tiens à sa base entre le pouce et l'index. Je l'agite en direction de Julie pour ponctuer le récit de Clémentine. Julie fuit mes regards insistants. Par contre elle observe mon sexe avec l'attention d'une entomologiste. Je passe derrière Clémentine pour lui frotter la bite dans la nuque. Je me penche pour caresser la pointe de ses seins minuscules. Je passe ma bite sur ses joues. Je la saisis par son catogan pour orienter son visage. J'y frotte ma queue.

Julie pose sa fourchette. Consternée elle regarde. Elle écoute Clémentine continuer à bavarder comme si tout cela était parfaitement normal. Je me penche pour murmurer à son oreille : << Tu as vu ? Je tiens mes promesses ! >>. Clémentine me prend le poignet pour dire : << Je t'aime Julien ! >>. Devant ce moment d'intimité amoureuse, Julie est toute gênée. Elle dit : << Si je dérange, je vais aux toilettes ! >>. Nous éclatons tous les trois d'un rire franc et sonore. Julie sait faire preuve d'humour.

Je surprends plusieurs fois son regard sur mon sexe. Un regard devenu concupiscent. Clémentine, à qui rien n'échappe, demande : << Tu voudrais le même traitement ? Docteur Julien est un thérapeute hors pair ! >>. Julie éclate de rire en rajoutant : << Hors du commun ! >>. Je me lève. Je contourne la table. Je me positionne à gauche de Julie. Elle reste sur ses gardes. Penchée sur sa droite, comme méfiante, elle observe. Je passe ma main sous ses cheveux pour saisir délicatement sa nuque.

Il y a une constante chez cette jeune fille. Elle semble apeurée mais se laisse faire avec une docilité étonnante. Elle ne résiste aucunement. Je lui passe la bite sur la joue. Elle oppose une légère résistance. Je dis : << Julie, un de ces jours il vous faudra tout de même gouter à mon jus de couilles ! >>. Julie se détourne avant de se lever. Pour la rassurer je m'éloigne. Je viens frotter mon sexe sur le visage de Clémentine. << Vous êtes encore plus vicieux que votre voisin ! >> lance Julie.

Nous en rigolons comme des bossus. Julie devra nous quitter pour 22 h. L'attestation de son employeur, sa tante, impose d'être de retour pour 22 h30. Comme souvent, Julie débarrasse la table. Clémentine me taille une pipe. Juste une ou deux minutes. Nous rejoignons Julie qui plonge. Nous essuyons. Julie nous confie à quel point ces moments heureux resteront dans sa mémoire à tout jamais. << C'est ma façon de participer. Juste être là, avec vous, dans la complicité ! >> lance t-elle.

Je ne peux m'empêcher de passer derrière elle. Je pose mes mains sur ses hanches. Elle a un petit sursaut de surprise. Je murmure à son oreille : << J'aime les voyeuses. J'aime les petites vicieuses. J'aime votre présence dans la maison et près de nous ! >>. Je ne laisse pas à Julie le temps de répondre. Je pose mes mains sur ses épaules pour rajouter : << De savoir que vous allez bientôt retrouver le bonheur de la galerie d'Art me comble de joie ! Merci d'exister Julie ! >>. Elle pousse un soupir.

Elle tourne la tête pour m'adresser le plus merveilleux des sourires. Clémentine est serrée derrière moi. Ma queue dans sa main libre, à me la palper. Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine frotte ma bite contre les fesses de Julie qui en prend soudain conscience. Nous éclatons de rire. Il faut raccompagner Julie jusqu'à sa voiture. Sous l'immense parapluie malmené par le vent. La séparation est difficile. Julie revient demain, de 16 h30 à 18 h. Un dernier bisou. Nous rentrons vite.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver avec une amie intime, voyeuse, vicieuse et terriblement attachante...

Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1524 -



Le mardi, Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, du plus profond de nos sommeils, surgissent les chants de ces mystérieux oiseaux. Résonne aussi au fond de cette étrange forêt le bruit de cette source mystérieuse. Tout cela ne dure qu'une trentaine de seconde. Il est presque six heures. Clémentine vient se blottir tout contre moi en gémissant. << C'était merveilleux comme tu m'as aimé hier soir et au lit ! >> murmure t-elle en se frottant doucement sur mon érection matinale. L'impérieux besoin naturel exerce sa loi. Pipi.

Nos fringues de sport à la main, nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Ça nous fait toujours très étrange quand Estelle n'est pas avec nous. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges. Je pèle nos Kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. Après le départ de Julie, excités, nous avons fait l'amour longuement.

Nous mangeons de bon appétit en déconnant. Le mardi, Clémentine termine à midi. Ce qui a tendance à la rendre plutôt euphorique. C'est communicatif. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Dehors il fait tellement moche que nous préférons ne pas prendre le risque d'un running. Nous donnons donc la préférence au jogging sur les tapis roulants. Charges additionnelles, exercices au sol, abdos. Un agréable retour au calme, prétexte à de la déconnade. La douche.

Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous descendons pour enfiler nos anoraks. Nous sortons dans l'habituelle fraîcheur matinale. Le ciel est bas, tourmenté. Tout est trempé. << Mais c'est quoi cette météo de merde ! >> s'écrie Clémentine en m'entraînant par la main jusqu'à l'abri à bois. Nous y remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps de rentrer. Clémentine est assise devant l'ordinateur, écouteurs sur les oreilles.

J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin avec cette euphorie qui ne me quitte plus. Je peins en chantonnant doucement pour ne pas déranger. La peinture de cette septième scène de genre destinée à ma saison d'été me passionne plus que de raison. Si tout se passe bien, cette toile sera terminée demain soir. La matinée se déroule ainsi, dans une émulation positive. Il est 11 h50. Clémentine vient me rejoindre.

Elle met deux bûches sur les braises. Elle m'entraîne dans cette danse tribale que nous pratiquons les jours de grosse déconne. Sautillant l'un en face de l'autre, poussant des cris d'animaux qui n'existent pas, nous tournons en rond. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je mets les deux feuillantines au crabe dans le four à bois hyper chaud. La pâte feuilletée a décongelé. J'en étale les deux tiers dans le grand plat à tarte aux bords hauts. Je lave, coupe le poireau.

Je le jette dans l'eau bouillante. Je concocte la Béchamel. J'égoutte le poireau. Je le verse dans la Béchamel. Clémentine y rajoute le gruyère de Comté qu'elle vient de râper. Je mélange avec poivre, sel, noix de muscade, paprika et une pointe de safran. J'étale le tout sur la pâte feuilletée. Je recouvre du dernier tiers de pâte. Clémentine en joint les bords avec le pouce et l'index. Elle badigeonne sur le dessus le mélange œuf, moutarde à l'ancienne, l'ait de soja. Des graines de sésame grillé. Au four.

Au four électrique pour que la Flamiche Picarde mijote longuement à 180°. Cette tourte aux poireaux fera les délices de notre repas de ce soir. De celui de demain à midi. Je sors les feuillantines au crabe du four à bois. Elles sont fumantes et dorées. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Julie. Son comportement. Jeune fille vicieuse, membre du "Club" des dépravées, tellement attachante. Elle revient à 16 h30 jusqu'à 18 h. De quoi se réjouir. Sa présence est source de sérénité. De plénitude.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa matinée. Elle a encore du travail personnel cet après-midi. Cette épouvantable météo est finalement idéale pour s'y consacrer. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos clowneries habituelles. Pressés de sortir, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Il ne pleut pas. Il y a quelques rares éclaircies. Nous descendons vers la rivière.

Le vent est moins violent aujourd'hui. Les eaux sont à leur maximum. Il y en a déjà sur des parties du sentier. Nous sommes chaussés de nos bottes en caoutchouc. Clémentine revient sur notre soirée à faire l'amour. Nous nous embrassons tous les dix pas en nous caressant le visage. << C'est tous les jours plus beau ! >> dit elle en glissant sa main dans ma braguette ouverte. Je glisse ma main dans son jeans déboutonné. L'accès dans le fond de la culotte y est simplifié. C'est d'une douceur inouïe.

Nous marchons parfois dans dix centimètres d'eau. Impossible de voir où commence le sentier, où finie la rivière. Il faut donc être prudent. Nous revenons en flânant. En remontant vers la maison, nous tombons sur monsieur Bertrand. Clémentine est convaincue que notre voisin fait exprès de nous rencontrer. Cela nous amuse beaucoup. Nous bavardons. Pas une seule fois le vieux fourbe ne laisse trahir la moindre émotion. C'est comme s'il n'avait jamais montré sa bite, ni tripoté Clémentine. Vieux salaud.

Il s'en va nourrir les canards. C'est Clémentine qui lui offre de quoi se réjouir. << Vous venez boire le café vendredi, pour 13 h30 dans la maison d'amis ? >> demande t-elle. Le retraité ne se le fait pas proposer deux fois. << Avec plaisir Clémentine. Mais vous savez, je n'ai jamais beaucoup de temps. On est jamais aussi occupé qu'en étant à la retraite ! >> s'écrie t-il. Je m'empresse de préciser : << Vous m'excuserez Louis, mais je ne pourrai pas être avec vous. J'ai ma saison à préparer ! >>. Je le vois se réjouir.

Nous le saluons pour le laisser. Nous rentrons au chaud. Nous allons dans l'atelier. Il est à peine 14 h30. Installée dans le vieux canapé, Clémentine, son Ipad sur les genoux, est rapidement concentrée sur ses écrits. Je suis assis devant mon chevalet. Je reprends ma peinture. Il y a un côté informel. Presque récréatif à nous retrouver là sans y êtres obligés vraiment. C'est appréciable. Parfois, Clémentine me fait la lecture à haute voix. Me faisant partager les premières phrases d'entrée en matière.

J'aime peindre en l'écoutant. C'est encore plus captivant quand ce sont des travaux personnels. Il est 16 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. J'ai la bite qui pend de ma braguette ouverte. Clémentine se redresse d'un bond pour venir me rejoindre alors que je dépose une bûche dans l'âtre. << Tu seras caché dans le placard, vendredi ? >> me demande t-elle. Je réponds : << Bien sûr ! Je veux t'admirer dans tes exactions ! >>. Nous en rions de bon cœur. De vraies réjouissances.

Nous nous embrassons avec passion. A tel point que nos mentons sont trempés de bave. << Il faut qu'on apprenne à s'embrasser proprement tu crois ? >> demande Clémentine. Je dis : << Non, comportons nous comme à table, en goinfres ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine m'entraîne dans une valse en chantant << Je vous aime ! >> dans toutes les tonalités. Maria Calas rien que pour moi. La Diva de mes jours et de mes nuits. << La Castafiore du Capitaine Haddock ! >> lance Clémentine.

J'ai ouvert le portail depuis l'interphone. Julie ne va pas tarder. Il est 16 h25 quand la musique imbécile de mon téléphone nous prévient de son arrivée. << Reste là, branle toi ! Je reviens ! >> me fait Clémentine. Elle se précipite vers la porte. Je me couche dans le canapé. Sur le côté. Allongé, la tête entre les coussins, je me branle pour de bon. C'est hyper bon. Je bande comme un vrai salaud. Julie entre dans l'atelier. Elle s'arrête comme pétrifiée de stupeur. << Bonjour ! Je dérange ? >> dit elle.

Je me redresse pour répondre : << Pas du tout. Je pensais justement à vous ! >>. Julie éclate de rire. << Je vois ! Je vous fais cet effet là ? >> demande t-elle encore. Je la prends par ses épaules pour lui déposer un bisou sur le front. Je dis : << En fonction de la situation, vous me faites tous les effets ! >>. Clémentine passe derrière moi. Elle me tient par mon érection. Julie s'assoit devant mon chevalet. Elle contemple le tableau. << Je suis impatiente de m'occuper de la galerie ! >> dit elle.

Clémentine est debout derrière elle, ses mains sur ses épaules. Je suis accroupis à gauche de Julie. J'attends ses questions. Elle est toujours en quête d'informations. Ce seront autant de détails pour ses futurs argumentaires. Je dis : << Vous savez Julie, d'une certaine manière, vous entretenez ma flamme. Sans vos dispositions à tenir ma galerie d'Art, je cesserais de l'exploiter ! >>. Julie, pleine de reconnaissance, m'adresse un délicieux sourire avant de répondre : << Vous me comblez de joie ! >>.

J'entre volontiers dans des explications. Julie pose des questions très précises. Nous prenons le thé. Des petits gâteaux secs. Julie est assise dans le fauteuil à bascule. Clémentine à côté de moi dans le canapé. Du bruit. Voilà Estelle qui arrive. Elle se précipite. Julie est tellement contente. Estelle également. C'est merveilleux de se retrouver tous les quatre. Je suis entre Estelle et Clémentine. Bien évidemment, tout en bavardant, Estelle joue avec ma queue qu'elle tord dans tous les sens.

Clémentine évoque le rendez-vous de vendredi avec le voisin. << Put-Hein ! Mais je ne pourrai pas être là ! Vous êtes salauds ! >> lance Estelle. << Moi, je peux être là ! >> fait Julie d'une voix timide. Clémentine demande : << Prête à te retrouver enfermée dans un placard avec Julien ? >>. Julie me fait un délicieux sourire avant de répondre : << Si Julien est d'accord ! >>. Nous rions aux éclats quand Estelle rajoute : << Non ! Julien n'est jamais d'accord pour ce genre de plan ! >>. Rigolades !

Julie doit reprendre ses livraisons de repas pour 18 h30. C'est le dernier soir. Demain, avec la réouverture des restaurants, elle pourra reprendre son job de serveuse. Elle se réjouit. << Tu vas enfin pouvoir faire ta voyeuse dans les chiottes des mecs ! >> lui lance Estelle. << Oui, enfin ! >> répond Julie en se levant. Nous la raccompagnons jusqu'à son auto. Clémentine dit : << On t'attend. Vendredi, tu manges avec nous ? >>. Julie, toute contente répond : << J'emmène le repas pour midi alors ! >>.

Un dernier coucou. Nous rentrons vite au chaud. Estelle se serre contre moi. Elle me saisit fermement la braguette d'une poigne de fer en disant : << S'il se passe quelque chose dans ce placard, vendredi, avec Julie, je t'arrache les couilles avec les dents ! >>. Nous rions comme des fous. Il commence à faire faim. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle réchauffe la tourte aux poireaux. Je mets les assiettes et les couverts. Les filles parlent de leurs études. Des deux mémoires auxquels elles travaillent.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges reviennent sur les dates à retenir. Dimanche nous sommes invités pour l'anniversaire des parents d'Estelle. Le dimanche 30 mai, c'est la fête des mères. Estelle nous quittera en fin de matinée pour revenir en début d'après-midi. Je propose aux deux coquines un léchage de minous après la vaisselle. Inutile de préciser que nous faisons soudain la vaisselle dans une sorte de précipitation fébrile. Je vais encore me régaler toute la soirée.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont se faire bouffer la chatte, sucer le clitoris, jouir dans des conditions hyper jouissives...

Julien



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Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1525 -



Clémentine aime aussi être seule avec moi

Hier matin, mercredi, l'application "forêt" nous tire de nos profonds sommeils avec sa délicatesse habituelle. Qu'il est doux d'être réveillé par les chants d'oiseaux, le bruit d'une source qui résonnent dans les bois. Estelle se serre encore plus fort en se frottant. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges, dans un enchantement paradisiaque. Il est presque six heures. Estelle se lève d'un bond : << Pipi ! >> fait elle en empoignant ses vêtements de sport pour se précipiter vers la porte.

Nous nous habillons des mêmes tenues. C'est à notre tour. Pipi. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé. Je l'aide à faire reprendre le feu dans la cuisinière à bois. Elle reste accrochée à moi. Je lui confie à quel point c'est bien d'arriver dans la cuisine le matin et de la voir. << Je t'aime Julien ! >> fait elle en me couvrant le visage de bisous. C'est par jeu que Clémentine s'interpose. Distribution de câlins, de bisous.

Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant nos folies de hier soir. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur quelques moments et détails précis. Quand je suce les clitoris. Quand je les pénètre délicatement. Ou encore quand elles me vident de mes substances avec leurs bouches gourmandes. << On refait dès que possible ! >>. Telle est la conclusion d'Estelle. << Comme d'hab ! >> fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Il est 6 h25. Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement.

Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles. Exercices au sol, abdos. Un retour au calme bien conduit avec un stretching sérieux. Après des bisous, Estelle dévale les escaliers. Elle revient demain soir. << Soyez sages ! >> lance t-elle en courant. Nous prenons notre douche. Nous revêtons nos jeans, nos chemises à carreaux. Pressés de sortir un peu nous descendons à toute vitesse. Nous enfilons nos anoraks. Nous sortons. Rien a changé. La météo pitoyable impose une fraîcheur humide.

Il est presque 7 h50. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps d'aller sous l'abri à bois. Nous y remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Nous sommes le 19 mai et il faut chauffer comme en novembre. Nous nous dépêchons de rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume le feu dans la cheminée. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette.

Je peins dans une béatitude "religieuse". La matinée se déroule ainsi dans une peinture "mystique". Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle rajoute deux bûches sur les braises ardentes. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste de tourte aux poireaux. Pendant que je fais rissoler des queues de crevettes décongelées, je prépare une pâte à crêpe. Ce sera pour les beignets de ce soir. C'est rapide et tellement bon. Un autre de nos rituels.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me parle de son rendez-vous de vendredi. Nous en rions beaucoup. Je serai encore caché dans le placard à regarder et à sécuriser la présence du voisin. << Tu seras en compagnie de Julie cette fois ! Tu imagines un peu dans quel état d'esprit elle aborde cette idée ! >> lance Clémentine. Je n'y pensais plus. << Un grand moment d'intimité bien vicieuse ! >> rajoute Clémentine.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. La pâte à crêpe repose dans un saladier, sous un linge. Les queues de crevettes reposent dans la poêle sous un couvercle. Nous montons nous laver les dents. Nos pitreries habituelles devant le miroir où Clémentine mime une fellation. << Je viens de sucer Mr Bertrand ! >> dit elle en s'essuyant la bouche après s'être rincée. Elle se serre contre moi en frottant son bassin contre le mien. << Avec votre autorisation, mon doux "Maître" ! >> murmure t-elle.

Je chuchote : << Avec ma bénédiction, ma douce "Soumise" ! >>. Nous redescendons pour enfiler nos anoraks. Nous sortons. C'est un moment d'accalmie. Il ne pleut pas mais tout est trempé. Nous descendons vers la rivière chaussés de nos bottes en caoutchouc. Impossible d'emprunter le sentier. Tout le bas du chemin est une continuité de la rivière. Comme un petit étang sur lequel s'amusent les canards, les poules d'eau et les colverts. Ils nous font un accueil sonore en cancanant de plus belle.

Nous prenons le sentier de droite. Beaucoup plus escarpé, il est aussi plus dangereux. Parsemé de roches glissantes. Il faut marcher prudemment. Clémentine se serre souvent contre moi pour me confier des secrets de fille. Les émotions que lui procure la perspective de se retrouver vendredi, à 13 h30 en compagnie de notre voisin. Mr Bertrand le chouan. Vieux satyre retraité qui ne rêve que d'une chose, se faire tailler une pipe par une jeune fille de 24 ans. Clémentine va le faire languir quelques temps.

Nous en rions de bon cœur. Tout ça me fait bander. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte en disant : << Tu es le plus merveilleux complice qu'une femme peut avoir. Merci Julien. Tu fais de moi la fille la plus heureuse au monde ! >>. Nous nous embrassons avec passion. Soudain, du bruit. Ce sont des grêlons qui tombent. Des boules de glace de la taille d'un petit pois. << Mais quelle horreur ! >> s'écrie Clémentine en m'entraînant par la main. Les cours en ligne reprennent à 14 h05.

Nous rentrons. << Tu vas voir, on va tomber sur Mr Bertrand ! Sûre ! >> fait Clémentine lorsque nous quittons le bord de la rivière pour monter le chemin. L'intuition féminine. Effectivement, son petite sachet à la main, notre voisin s'en vient nourrir les canards. Nous bavardons. << N'oubliez pas Louis, on se voit vendredi à 13 h30 ! >> lui lance Clémentine lorsque nous le saluons pour le laisser. Nous rentrons sous une pluie de grêlons qui reprend. C'est fou. Nous voilà dans l'atelier.

Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Plongés dans nos travaux respectifs nous passons un après-midi studieux. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. Accroupie sur ma gauche, sa main sous ma blouse, elle joue avec ma queue. Elle observe ma peinture. Silencieuse. Elle a encore ses notes à mettre au propre. La voilà installée dans le vieux canapé, son Ipad sur les cuisses. Elle me raconte parfois.

Il est 17 h45. Je dépose la dernière touche de Rouge de cadmium sur la surface du tableau achevé. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. C'est avec la bite à l'air que je rejoins Clémentine. Elle se couche sur le dos, sa tête posée sur mes cuisses. Sa joue tout contre mon sexe. Les yeux fermés, Clémentine revient au calme. Je lisse ses cheveux. Nous restons ainsi un moment. C'est comme un sas d'adaptation entre deux états de conscience. Différents. Un peu le stretching de l'esprit.

Il est 18 h45. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais chauffer l'huile. Je trempe chaque queue de crevette dans la pâte à crêpe. Je la plonge dans l'huile bouillante. Clémentine adore les repêcher avec l'écumoire. J'égoutte les coquillettes que je saupoudre de Parmesan finement râpé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur son rendez-vous.

Elle évoque notre voisin et les propositions qu'il fait à Clémentine. Elle est convaincue qu'un des fantasmes du vieux pervers est de se comporter en "Maître". Clémentine, authentique "soumise" se réjouit des possibilités que cela laisse entrevoir. Je l'encourage à toutes sortes d'expériences. Depuis quatre ans. Je me sens même parfois responsable de certaines déviances, de certaines dépravations. Même si Clémentine me rassure à chaque fois en disant : << J'avais déjà tout cela en moi ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Quand nous évoquons les fantasmes de soumissions de Clémentine, nous sommes toujours considérablement excités. << Même si ça commence à me passer doucement, je suis toujours demandeuse ! >> aime t-elle à préciser. Je comprends parfaitement le message. Aussi, l'attrapant par ses cheveux, je l'entraîne fermement dans le salon. J'ordonne : << A quatre pattes ! >>. Clémentine ne se fait pas prier. Elle se met à quatre pattes.

Je la tiens par ses longs cheveux comme à la laisse. Je l'entraîne ainsi. Nous faisons le tour de la grande pièce. Avec cette météo déplorable, il y fait sombre. Clémentine lève une jambe aux coins de chaque meuble. C'est fabuleux de voir cette superbe jeune fille lever la patte. C'est hyper excitant. Je sors ma queue. Je bande comme le dernier des salauds. J'ordonne : << A genoux. Mains sur la tête ! >>. Clémentine se redresse. Bien droite, les mains croisées sur la tête, m'offrant son visage.

Je lui frotte la bite sur les joues, le nez, les lèvres, dans le cou. Je lui macule la face de liquide séminale visqueux et gluant. Je sécrète toujours beaucoup de jus quand je suis ainsi excité. Je lui enfonce doucement la turgescence dans la bouche. Les joues creusées par la succion qui la fait gémir de plaisir, Clémentine me taille une pipe des familles. Je la tiens par les oreilles. Cambré sur mes genoux fléchis j'imprime un lent mouvement masturbatoire. Ça glisse. Ça coulisse. Ça jute.

Je me retire. J'aide Clémentine à se redresser. Elle reste debout devant moi. Le regard éperdu de reconnaissance, l'expression implorante, elle attend la suite. Je m'accroupis pour lui masser les genoux. Soulager un peu ses pauvres articulations mises à mal par cette épreuve. << Je vous aime mon doux "Maître". Vous êtes plein d'attentions pour moi ! >> dit elle à plusieurs reprises. Pétri d'émotion, je me redresse pour lui caresser le visage. Debout, les mains toujours sur la tête, Clémentine gémit d'aise.

Je passe ma langue sur son visage. Je la lèche. C'est tellement bon de se livrer à cet autre plaisir. Clémentine se pâme sous ce délice. Je glisse une main entre ses cuisses. Clémentine a ce petit sursaut. Ce soubresaut suivit d'un frisson. Très féminin. Je la masturbe doucement. Elle se cambre sur ses genoux fléchis pour se laisser toucher ainsi le plus vulgairement possible. Je chuchote à son oreille : << Ma douce "Soumise", tout à l'heure, au lit, je vais vous faire l'amour comme une première fois ! >>.

Clémentine baisse ses bras pour s'accrocher à moi. Comme dans un élan nécessaire à son équilibre, elle se blottit. De la "Soumise", elle devient la fille amoureuse. Je murmure : << Au lit, je ferai de vous mon amante ! >>. Certainement prise de Vertige, Clémentine se laisse complètement aller. Je n'ai plus qu'à la soulever. Telle une jeune mariée, je l'emmène dans les escaliers. << Vous m'étourdissez de bonheur mon doux "Maître" ! >> murmure t-elle quand je la dépose au sol, dans les toilettes.

Nos rituels pisseux. Je me régale du mélange des sucs de Clémentine. Elle se régale des miens. Nous nous lavons les dents sans cesser de nous fixer dans le miroir. Nous aimons à nous scruter. Parfois nous arrivons à percer jusqu'aux secrets de nos âmes. Tête contre tête, nous nous rinçons la bouche au dessus du lavabo. Clémentine empoigne ses cheveux qu'elle noue en une natte grossière et rapide. Elle me la tend en disant : << S'il vous plaît mon doux "Maître", emmenez moi dans les tourments ! >>.

Je l'entraîne dans la chambre. Nous nous déshabillons à toute vitesse avant de plonger sous la couette, sous les draps. J'offre à Clémentine un cunnilingus qui la fait hurler de plaisir. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Nous adorons faire durer cet acte. Nous restons alors immobiles. C'est ce moment d'extase où Clémentine me confie toujours ses secrets. Ses ressentis. Ses impressions. Nous alternons les bercements et les mouvements saccadés pour revenir au calme en nous embrassant.

Je crois que je n'ai jamais fait l'amour à une femme comme je le fais à Clémentine depuis plus de quatre ans. Parfois avec plus ou moins d'intensité mais toujours avec la ferveur d'une première fois. C'est tellement émouvant de la pénétrer. Je reste en appui sur mes bras tendus pour ne pas peser de tout mon poids. Suspendue à mon cou, Clémentine s'abandonne en gémissant. Mais c'est toujours dans la bouche qu'elle veut que j'éjacule. Après lui avoir offrt un orgasme extatique.

Bonne soirée à toutes les coquines qui n'aiment pas seulement baiser comme de vraies salopes, mais qui aiment aussi faire l'amour...

Julien



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Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1526 -



Estelle aime beaucoup se voir infliger le même traitement

Hier matin, jeudi, notre application nous offre son délicat réveil. Au fond d'une profonde et mystérieuse forêt, résonnent des chants d'oiseaux, une source. Il est presque six heures. Clémentine vient se blottir contre moi en murmurant : << Je vous aime mon doux "Maître". Comme vous étiez bon avec moi hier soir ! >>. Pétri d'émotion je chuchote : << Merci ma douce "Soumise de m'offrir tant de bonheur ! >>. Quelques papouilles. Il faut se lever. Il faut absolument aller pisser.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Je dépose une bûche sur les braises de la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre soirée. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de la prochaine avec Estelle. << Si on lui raconte, elle voudra vivre la même chose ! >> précise avec raison Clémentine.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles, exercices au sol, abdos. Ce matin encore le retour au calme s'effectue avec un stretching assez contraignant. C'est difficile après l'action mais tellement nécessaire. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous redescendons. Nous mettons nos anoraks pour sortir dans la fraîcheur humide et désagréable.

Il est presque 7 h50. Nous traversons le jardin pour aller sous l'abri à bois. Nous y remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps de revenir. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume un beau feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je fais ça en chantonnant. Le plaisir est déjà intense avant de commencer.

Je m'attelle ce matin à la huitième scène de genre destinée à ma saison d'été. Je peins presque immédiatement animé d'un enthousiasme délirant. La matinée se déroule dans cette saine ambiance de travail que nous aimons beaucoup. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle place deux bûches dans l'âtre crépitant. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je réchauffe les coquillettes, les beignets de crevettes.

Il en reste suffisamment de hier soir. La pâte feuilletée a décongelé. Je l'étale dans deux grands plats à tarte aux bords hauts. Je lave et je coupe de belles tomates, une courgette, des champignons. De fines tranches que Clémentine dispose en spirale sur les fonds de tartes. Je prépare le "flanc". Je verse le mélange œufs, lait de soja, crème fraîche sur le tout. Clémentine recouvre d'une couche de gruyère de Comté. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Repas de ce soir. De demain midi.

Juste avant d'enfourner, Clémentine pose onze cerneaux de noix sur chacune des deux tartes. Cuisson à 180° dans la cuisinière électrique afin qu'elles mijotent longuement. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les coquillettes poêlées avec le reste des beignets sont un véritable régal. Nous traînons à table. Assise sur mes mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur son rendez-vous demain, 13 h30. << Notre vicieux de voisin doit se réjouir lui aussi ! >> dit elle.

Nous en rions de bon cœur. Nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de sortir un peu, nous dévalons les escaliers à toute vitesse. Nous enfilons nos anoraks. Il y a quelques séquences ensoleillées depuis la fin de la matinée. La température extérieure n'excède toutefois pas 19°. Clémentine m'entraîne vers la rivière. Au bas du chemin, il y a un véritable petit étang. Le niveau des eaux a tant monté avec les pluies incessantes. C'est impressionnant.

Nous contournons l'étendue d'eau pour prendre le sentier escarpé de droite. Avec les roches humides, couvertes d'humus, il faut redoubler de prudence. Chaussés de nos bottes en caoutchouc, il faut éviter les mousses glissantes. Il y a de nombreux arrêts bisous. Clémentine tient ma bite dans sa main chaude. J'ai glissé la mienne dans sa culotte. Nous nous embrassons comme des fous. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il ne faut plus traîner. D'autant plus que nous risquons de tomber sur le voisin.

Monsieur Bertrand n'est pas seulement un véritable vicelard mais se montre également très bavard. Il faut anticiper. Par contre, ses conversations sont toujours intéressantes. Il sait les rendre captivantes. Pourtant, cette fois, nous ne le rencontrons pas en remontant le chemin. Nous rentrons. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Encore de sublimes moments.

Il est 17 h quand Clémentine vient sautiller autour de moi en chantant : << Terminé de chez terminé ! >>. Même si ce n'est pas tout à fait vrai, Clémentine s'offre un instant de répit. Elle a encore ses notes à mettre au propre. Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, elle joue avec ma queue en regardant mon travail. Je pose la palette et les pinceaux sur la desserte. Je saisis sa nuque. Je me penche pour murmurer : << Je vous aime ma douce amie ! >>. Clémentine se met à genoux.

Sa tête posée sur ma cuisse, elle reste ainsi à se faire caresser la tête. Il faut encore donner un dernier coup de collier. La voilà installée dans le vieux canapé de l'atelier. Son Ipad sur les cuisses à écrire. Je peins en écoutant les passages qu'elle lit à voix haute. Ses écrits emplissent déjà deux pages sur les vingt à rendre fin juin. Ce ne sont encore que des brouillons mais superbement rédigés. Il est 18 h. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Je retire ma blouse. Je rejoins Clémentine.

Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, les yeux fermés, mon ange frotte sa joue contre ma queue. Je caresse son front. Je passe délicatement le bout de mes doigts sur l'ourlet de ses lèvres pulpeuses. << J'ai mes "petits machins" de fille depuis cet après-midi ! >> murmure t-elle. Je pose ma main sur son ventre légèrement congestionné. << Mais je n'ai pas mal. Pas encore ! >> rajoute t-elle. Je change de position. Je pose ma bouche sur chacun de ses tous petits seins.

Je souffle de l'air chaud au travers l'épais coton de sa chemise. Clémentine adore. C'est préventif même si cette fois, ses seins ne sont pas douloureux. << Pas encore ! >> précise t-elle. Du bruit. Voilà Estelle. Elle entre dans l'atelier en se précipitant vers nous. Des bisous. Nous restons serrés tous les trois. C'est tellement bon de se retrouver. Les filles évoquent leurs écrits. Leurs études communes permettent dans ce domaine la même proximité que partout ailleurs. J'écoute en silence.

Estelle, tout en parlant, tord mon sexe dans tous les sens. Heureusement que je bande mou. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle met les assiettes et les couverts. Je réchauffe une des deux tartes à la tomate. La tarte à la tomate est devenue le rituel du jeudi soir. Elle remplace les pizzas de jadis. Infiniment plus nourrissante d'un point de vue diététique, moins calorique, la tarte à la tomate est aussi bien meilleure.

Surtout avec nos recettes qui peuvent varier au gré de nos envies. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, les filles se racontent leurs soirées. << Hier soir j'ai passé un petit moment dans sa voiture avec mon parrain. Il voudrait qu'on recommence à baiser les mercredis soirs ! Je l'ai branlé ! >> raconte Estelle. Nous en rions de bon cœur. << Tu ne le suces toujours pas ? >> demande Clémentine, pliée de rire.

<< Il n'aime pas ça ! C'est un baiseur fou. Il préfère la mettre et ramoner comme un dément ! C'est son truc ! >> rajoute Estelle. Clémentine raconte notre soirée en amoureux. << Je veux aussi ! >> s'écrie Estelle qui me couvre le visage de bisous. << Je me branle et je vous regarde ! >> propose Clémentine. << Quand j'ai mes "petits machins" c'est toujours une "thérapie" ! >> dit elle encore. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon.

Clémentine, juste en chemise et en chaussettes, est vautrée dans son fauteuil. Estelle et moi, juste en chemises et en chaussettes, nous sommes vautrés dans le canapé. << Tu me fais comme à Clémentine, hier soir ! >> lance Estelle en me tendant sa natte. Je la saisis comme une laisse. Je me lève. J'ordonne : << A quatre pattes ! >>. Estelle, en gloussant de plaisir, ne se fait pas prier. Je l'entraîne ainsi pour faire le tour du salon. Sous le regard de Clémentine qui se masturbe.

Clémentine nous suit. Nous faisons plusieurs fois le tour de la grande pièce. Estelle aussi lève la patte à chaque coin de meuble. Je lui enfonce un doigt dans le cul. << Salaud ! >> lance t-elle. J'ordonne : << A genoux, mains sur la tête. C'est l'heure de la prière ! >>. Estelle se redresse. Nous sommes le plus souvent sur un des épais tapis. Je lui frotte la bite sur la gueule. Il y a du liquide séminal. Je le lui étale sur le visage. Je lui enfonce la bite dans la bouche. Elle tente de se soustraire à mon étreinte.

J'y parviens après une petite lutte de circonstance. << Une "dure lutte" ? >> murmure Clémentine accroupie à côté d'Estelle pour la regarder faire. Je tiens Estelle par ses oreilles pour me branler dans sa bouche. La turlute. Clémentine essuie la petite larme qui perle au coin de l'œil droit d'Estelle. Elle me montre son index mouillé. Je le lèche. Estelle me suce comme si sa vie en dépendait. De la voir se régaler ainsi m'émeut. Parfois elle manque de s'étouffer tellement j'enfonce de la queue bien profond.

Elle en tousse. Il y a du foutre qui lui dégouline des narines. Probablement avec de la morve. Je retire ma queue. Je me mets à genoux devant elle. Je lui lèche le visage. La morve. Elle en gémit en s'accrochant à mon cou. C'est ensemble que nous tombons sur le tapis. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis délicatement. D'un coup de reins, Estelle s'enfile toute la queue. En appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids, je la baise comme un fou. La "machine à coudre". Mes couilles battent le cul d'Estelle.

Clémentine, à quatre pattes, qui m'embrasse, qui me tient les couilles par derrière. Estelle qui pousse de petits cris d'animal blessé. Clémentine, à genoux, ses fesses sur ses cuisses écartées, se masturbe. Elle pousse de petits cris. Son clitoris géant entre son pouce et son index qu'elle branle comme une bite. Estelle et moi nous l'observons tout en baisant. J'ai rarement vu Estelle couverte d'autant de sueur. Nous alternons la baise sauvage et les moments de répits. Je peux retrouver mon souffle.

Clémentine se lève. Elle se précipite vers le canapé. Elle saisit la cuvette en plastique bleu. Elle a juste le temps de se vautrer maladroitement qu'elle se lâche dans un orgasme pisseux. << Regarde moi cette salope ! >> fait Estelle qui cesse de bouger pour mâter. Elle aussi se touche sans arrêt même en baisant. Elle me repousse soudain délicatement pour se rouler sur le côté, mains entre les cuisses, en proie à un orgasme "nucléaire". Je suis entre mes deux anges. Nous sommes couchés sur le tapis.

Les filles reprennent leurs esprits. Clémentine me tient la main. Estelle me tient la queue. Je lui dis : << Au lit, je t'éjacule dans la bouche ! >>. Estelle se redresse pour s'empiffrer de mon sexe après s'être écriée : << Mais pourquoi au lit ? Tu sais bien que je m'endors dès que je suis couchée contre toi ! >>. Je lui jute au fond de la gorge. Elle manque de s'étouffer en toussant. << Gourmande ! >> lui murmure Clémentine qui observe, sa tête posée sur ma cuisse. Estelle lui tend ma queue.

Clémentine se met à téter tout en se touchant à nouveau. Je pars pour un second tour. Estelle me montre l'intérieur de sa bouche. Elle tente de déglutir. Je me fais sucer par Clémentine qui pompe comme une affamée. Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. J'éjacule une seconde fois en hurlant de plaisir. Clémentine déglutit en gémissant. J'ai un doigt dans la chatte d'Estelle. Il est 22 h. Nous montons, épuisés. Les rituels pisseux. Le lavage des dents. Au lit, Estelle s'endort comme une masse.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire niquer, se faire frotter la bite sur la gueule, se faire éjaculer dans la bouche. Jouir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1527 -



Cachés dans le placard avec Julie

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. Nous sommes tirés de nos profonds sommeils par le chant des oiseaux, le bruit de la source. Cette application qui nous charme de sa mystérieuse forêt. Estelle qui est restée serrée contre moi toute la nuit glisse sa main dans mon slip. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Estelle, ses vêtements de gym à la main, se lève la première. Elle se précipite vers la porte. << Pipi ! >>. Nous nous habillons.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. C'est le second jour des "petits machins" de fille de Clémentine. Une douleur au bas ventre. Ses petits seins qui font mal. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. L'odeur de café, de pain grillé, du feu qui redémarre dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de folies. Nous mangeons de bon appétit en évoquant ce que nous avons encore vécu hier soir. "Baise Party".

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Retour au calme avec un stretching prétexte à la déconne. Les filles terminent à midi le vendredi. Ce qui les rend plutôt euphoriques. Estelle nous fait la bise avant de filer. Elle revient demain en début d'après-midi. << Ne soyez surtout pas sages ! >> lance t-elle en dévalant les escaliers. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons.

Nos jeans, nos chemises à carreaux. Je pose ma bouche sur chacun des tous petits seins de Clémentine. Je souffle de l'air chaud au travers l'épais coton. Rien ne la soulage davantage. << Ce put-hein de soutif ! >> lance t-elle. Nous descendons à toute vitesse. Nous mettons nos anoraks. Il est presque 7 h50. Nous sortons dans la fraîcheur humide. Il y a même quelques gouttes de pluie. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Nous entrons dans la maison d'amis.

Nous allumons les convecteurs électriques. Ainsi l'intérieur en sera chaud et agréable. Nous sortons pour remplir la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il faut se dépêcher. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant l'ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je lui souffle un peu d'air chaud sur la pointe de ses seins. Un dernier bisou. J'allume un bon feu dans la cheminée avant de m'installer devant mon chevalet.

Je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans cette sorte d'euphorie communiquée par Estelle et Clémentine depuis le levé. La peinture de cette huitième scène de genre destinée à ma saison d'été m'accapare totalement. La matinée se passe ainsi. Il est 11 h45. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Il est 11 h55. Clémentine vient me rejoindre. Elle m'entraîne dans une valse. Nous virevoltons dans la grande pièce. Nous mettons deux bûches dans le feu avant de quitter l'atelier.

Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je souffle un peu d'air chaud à travers sa chemise. Je réchauffe la seconde tarte à la tomate dans le four hyper chaud de la cuisinière à bois. Je poêle deux filets de colin avec des champignons, de l'ail et de l'échalote. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme du week-end. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me parle de ses "petits machins" chiants.

Nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Pour soulager la contraction de son bas ventre, elle fait quelques abdos sur le lit. Ça fonctionne toujours. Même s'il faut recommencer toutes les heures. Je lui souffle encore un peu d'air chaud. << J'adore quand tu me fais ça ! Ça me fait un bien fou ! Si tu savais ! >> murmure t-elle en me caressant la tête. Elle se change. Une jupe kilt à carreaux rouges. Chemisier crème.

Un pull bleu nuit. Ses bas fixés par le porte-jarretelles. Ses bottes de cuir noir à talons. << J'aime me mettre en pute pour aller à mes rendez-vous ! >> dit elle en s'accroupissant devant le miroir. Cuisses largement écartées. << Aujourd'hui, vu les circonstances, je garde ma culotte ! >> rajoute t-elle avant d'éclater de rire. Je suis debout derrière elle. Mes mains sur ses épaules. Je dis : << Je vous aime mademoiselle. Vous êtes la plus belle jeune fille du monde ! >>.

Clémentine se redresse, se tourne pour me prendre dans ses bras. Nous nous embrassons tendrement mais avec fougue. J'ai ouvert le portail depuis l'interphone. Julie ne va pas tarder. Clémentine m'entraîne par la main. Nous redescendons prudemment. La musique imbécile de mon téléphone sur la table de la cuisine. Clémentine s'en saisit. << Julie ! >> dit t-elle. Nous nous précipitons pour aller l'accueillir. Sous l'immense parapluie. Julie est toute contente. C'est moi qui prend la grosse boîte.

Elle contient nos croustades aux fruits de mer pour le repas de ce soir. Nous rentrons vite au chaud, au sec. Il fait une météo épouvantable. Julie nous raconte sa semaine depuis mardi dernier. Depuis l'ouverture du restaurant, elle passe ses soirées à faire la serveuse. Même avec ce temps pourri il y a du monde sur la terrasse chauffée. << Anne-Marie a retrouvé son optimisme et sa joie de vivre ! >> nous raconte t-elle. Sa tante peut enfin refaire fonctionner son établissement. C'est un succès.

Julie félicite Clémentine pour sa tenue. << Tu m'aimes en pute ? >> demande t-elle à Julie qui répond : << Tu me plais, si tu savais ! >>. Il est 13 h15. Il faut songer à y aller. C'est sous le grand parapluie que nous traversons le jardin pour aller dans la maison d'amis. Il y fait bien chaud. << Wouah ! Génial ! >> lance Julie. Clémentine dispose les tasses et la bouteille thermos contenant le thé sur la table basse. J'entraîne Julie par le bras. Je lui montre la porte du dernier des trois placards.

Je les ouvre toutes. La première contient les batteries des panneaux photo-voltaïques, le second également mais avec les instruments de mesures. C'est dans le troisième qu'il y a les balais, les seaux, les serpillères que je sors. Nous les mettons dans le coin. Il faut songer à nous cacher. Julie, pleine de cette appréhension habituelle devant l'inconnu, me regarde avec de grand yeux. Je l'invite à entrer dans le placard la première. Je la rejoins. C'est un espace restreint. 70 cm sur 70 cm.

Par terre, j'ai mis une boîte en bois. Ainsi Julie peut monter dessus pour regarder par l'ouverture ronde. Une grille d'aération d'environs 10 cm de diamètre. Il faut rester l'un contre l'autre dans l'obscurité. Rester silencieux surtout. Ne pas trahir nos présences. Trois coups contre la porte. Voilà monsieur Bertrand. Clémentine nous laisse pour aller accueillir notre voisin. J'entends le souffle de Julie. Je murmure : << Chut ! >>. Je passe mon bras autour de son épaule. Debout sur la boîte elle est à ma hauteur.

Nous regardons à tour de rôle. Clémentine est assise face à monsieur Bertrand qui nous tourne le dos. Nous entendons parfaitement la conversation. Clémentine, tout en bavardant, écarte ses cuisses. Toujours un peu plus. Nous discernons la culotte blanche. << Une culotte aujourd'hui ? >> demande le retraité. << Ben oui, j'ai mes "petits machins" ! >> répond Clémentine. Julie regarde avec attention. Elle ne me laisse pas trop la possibilité de le faire. Authentique voyeuse, son plaisir en immense. Un peu égoïste.

A présent Mr Bertrand s'est installé à côté de Clémentine. Il a sorti son sexe. Cette petite saucisse viennoise que tient Clémentine entre le pouce et l'index. Le voisin reste silencieux à écouter cette étonnante jeune fille parler de ses études. Il a passé son bras par dessus l'épaule de Clémentine qui joue avec sa queue. << Tu n'as pas envie de te régaler un peu ? >> lui demande le vieux salaud. Je vois bien que Clémentine en meurt d'envie. Tout dans son attitude trahis ce profond désir.

Mais, comme elle me l'a dit plusieurs fois, elle veut le faire languir. << Une pipe, ça se mérite quand on est un vieux pervers exhibitionniste et vicieux ! >> dit elle souvent en éclatant de rire. Ce sont d'ailleurs très exactement les mots qu'elle prononce à l'instant. Je peux sentir les frissons qui animent Julie. Elle n'a d'autre choix que d'être tout contre moi. Je la tiens presque dans mes bras afin que nous soyons confortablement installés. C'est là, à ce moment précis, que je tente l'expérience.

Je glisse ma main entre ses cuisses. Elle a un sursaut. Je pose mon autre main sur sa bouche en murmurant : << Chut ! >>. Julie n'a d'autre choix que d'obéir. Ma main entre ses cuisses bouillantes. Je palpe son jeans à l'endroit de sa vulve. Je le fais vulgairement. L'espace restreint ne lui permet pas de soustraire à mon étreinte. Elle tente bien de se distancer au maximum. Je la coince. Son désir de voir revient rapidement. Il est le plus fort. Quelle joie de la sentir se laisser enfin aller.

A présent serrée contre moi, elle se laisse tripoter en regardant par la grille d'aération. Là-bas, à une dizaine de mètres, Clémentine empêche le vieux satyre de l'embrasser tout le tenant par la queue. Juste entre le pouce et l'index. Ils rient des bons mots du vieux sacripant. Il a glissé sa main sous la jupe de Clémentine qui se laisse tripoter, les cuisses relevées. Elle est terriblement excitante ainsi offerte aux attouchements vulgaires de ce vieux salopard. Elle se laisse masturber.

J'administre le même traitement à Julie qui se laisse elle aussi complètement faire. Elle bouge doucement, au rythme de ma main. Je la saisis soudain par son menton. Je l'embrasse à pleine bouche. Elle se tourne franchement vers moi pour se serrer. Elle fouille ma bouche en se frottant contre moi. Il faut rester silencieux. Julie, en voyeuse virtuose, sait garder le silence en toute circonstance. C'est la toute première intimité que nous partageons ainsi. Je crois n'avoir jamais été aussi excité. Et elle ?

Nous entendons Mr Bertrand dire : << Clémentine, je resterais volontiers avec vous tout l'après-midi, mais je dois vous laisser. Je fais le chauffeur pour ma femme et ma belle-mère ! >>. Nous cessons de nous embrasser pour regarder à tour de rôle. J'ai glissé ma main dans le jeans et la culotte de Julie. Je peux sentir une toute petite touffe. Je lui fais un doigt. Elle me tient par le poignet. Nous regardons le voisin qui remballe sa queue. Clémentine le raccompagne jusqu'à la porte.

Le salopard glisse sa main sous sa jupe, entre ses cuisses, pour dire : << Je passe du bon temps avec toi, petite salope ! Tu me fais signe pour la prochaine, hein ? >>. Clémentine se dégage en répondant : << Moi aussi je passe du bon temps avec vous Louis ! >>. Elle esquive la bise que le vieux saligaud veut lui faire. Je retire ma main de la culotte à Julie. Clémentine vient enfin nous libérer. Elle nous découvre tous rouges, couverts de sueur. Elle comprend immédiatement en éclatant de rire.

Affalés dans les canapés, nous racontons à Clémentine se qui s'est passé. Julie est vautrée dans le canapé face au nôtre. Comme toujours, elle fuit mes regards. Toute gênée par ce qui s'est passé il y a quelques minutes. Une grande première pour elle aussi. C'est à Clémentine qu'elle donne ses impressions, qu'elle confie ses ressentis. Comme si de me les avouer pesait bien trop sur ses inhibitions de jeune fille. Je n'insiste surtout pas. Je sors ma queue pour lui montrer les montées de sève que la situation a provoqué.

Nous quittons la maison d'amis sous le parapluie et une pluie battante. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Julie est assise devant mon chevalet à contempler la toile. Clémentine est tout contre moi. << C'était génial ! >> me dit elle une nouvelle fois. Je demande : << C'est la prochaine fois que tu lui fais une pipe ? >>. Clémentine éclate de rire. Julie rajoute : << Franchement, je croyais que tu allais t'y mettre ! >>. Clémentine répond : << Tu reviens pour pour voir cette pipe ? >>.

Julie me jette un coup d'œil soudain. Comme un reproche dans son regard. Elle dit : << Oh oui, je veux assister à ça ! >>. Nous éclatons de rire. Nous nous promettons de revivre cette situation pour assister à cette grande première. Julie doit nous laisser. Il est déjà 18 h. Elle revient lundi soir. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Une fois de retour, morts de faim, nous préparons les croustades. Clémentine veut revivre la situation. Je vais interpréter le rôle du voisin après le dessert.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se mettre en situation. Jouer à des rôles hypers excitants. Sucer de la queue...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1528 -



Enfin une journée principalement ensoleillée

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand Clémentine vient se blottir contre moi. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. L'impérieux besoin naturel ne nous laisse aucun autre choix. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte les premières tranches.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre aventure de hier après-midi. Cette petite demi heure passée avec Julie, enfermés tous deux dans le placard. Nous en rions de bon cœur. J'ai raconté hier ce qui s'est passé. Clémentine me demande de lui raconter encore. Les détails. Elle a cette conclusion évidente : << Ça fait longtemps qu'elle attendait une telle opportunité. Tu verras, elle va nous proposer une récidive dès que possible ! >>. Nous mangeons de bon appétit en pensant à cette certitude.

Le thermomètre extérieur indique 15°. Clémentine propose de tenter le jogging. Nous enfilons nos K-ways. Nous sortons dans la fraîcheur matinale. Quelques exercices d'échauffement. C'est parti. Nous montons à petite foulée jusqu'au portail que nous laissons ouvert. C'est sur le bord de l'étroite route communale que nous courons. Trois kilomètres avant de passer devant le haras. Déjà plein de voitures garées dans la cour. Encore un kilomètre jusqu'à la clairière. Nos abdos et pompes sur les bancs de bois.

Il est 9 h30 quand nous sommes de retour. Nous prenons notre douche sans traîner. C'est le troisième jour de ses "petits machins" de fille. Clémentine ressent juste une légère congestion au niveau du bas ventre. Cette fois encore, ça se passe sans trop de douleurs. Nous nous habillons. Nos jeans, nos chemises à carreaux. Il faut enfiler un sweat pour ressortir. Juste au moment où la première camionnette de livraison descend. C'est la même jeune femme depuis plus d'un an. Un large sourire.

Du hayon arrière de son véhicule elle tire deux cageots. L'un contient nos fruits et nos légumes. Le second contient nos yaourts, nos petits pots de crème fraîche, les œufs, les fromages, le beurre. Même commande pour samedi prochain. Voilà la camionnette de la boulangère. Il y a une collection de masques sanitaires accrochée au rétroviseur intérieur. Madame Marthe sort de son "tube" Citroën pour nous donner le cageot contenant nos deux grosses miches, deux pâtes feuilletées, la brioche au pudding.

Même commande pour samedi prochain. Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Nous rangeons les fruits, les légumes sur les étagères dans le cellier. Une miche, les pâtes feuilletées dans le congélateur. J'en sors un paquet de moules, de haricots verts, de petits pois. Nous montons ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Il n'est que 10 h15. Clémentine propose de faire le ménage. Excellente suggestion. Nous commençons par l'étage. La chambre, la salle de bain.

A deux, c'est rapide. Nous avons un fonctionnement efficace. Il me suffit de suivre Clémentine qui passe l'aspirateur en poussant la serpillère. Après avoir fait la poussière sur les meubles. Je lave les chiottes pendant que Clémentine descend les draps sales. Je la rejoins à la cave. Dans la buanderie pour trier le linge. Nous remontons pour faire le salon, les chiottes du bas. Même formule. Aspirateur suivi de la serpillère. Il est midi. Tout est propre, clean. Nous nettoyons la cuisine après la vaisselle.

Clémentine s'occupe de la salade. Je fais le bouillon pour y plonger les moules même pas décongelées. Je verse les haricots verts et les petits pois dans le wok. Pas décongelés non plus. On s'en fout. Ça tire juste un peu plus de flotte à la cuisson. Le samedi, on ne s'emmerde pas. Le repas est délicieux quand même. Nous mangeons de bon appétit. Même si la température extérieure n'est que de 19°, le soleil brille en maître dans un ciel principalement bleu. Les nuages d'altitudes ne sont pas menaçants.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur l'attitude du voisin, hier. << Tu as vu ? Ce vieux salaud prend déjà des habitudes. Celle de mettre sa main entre mes cuisses, par exemple ! >> dit Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Je lui confie les réactions de Julie en découvrant la minuscule petite "saucisse viennoise" que présente Mr Bertrand quand il s'exhibe devant Clémentine. Elle non plus n'en n'avait jamais vu une aussi petite. Lisse et luisante.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nettoyons la cuisine. Aspirateur, serpillère. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Nous redescendons. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un petit tour sur le site de l'université. Nous ouvrons nos boîte mails. Quelle surprise, il y a un long message de Julie. Avec sa forme littéraire habituelle elle nous raconte ses impressions. Le souvenir précis de ce qu'elle a vécu avec moi dans le placard.

Julie intitule d'ailleurs cette partie de son message de cette amusante formule "Le placard à jeune fille". C'est très exactement ce que supputait Clémentine ce matin, au petit déjeuner. Julie n'a qu'une envie, recommencer. Elle va même jusqu'à me remercier pour ce bon moment passé en ma compagnie. "Une promiscuité forcée mais heureuse", précise t-elle. Julie vient nous livrer lundi soir et passera la soirée avec nous. C'est Clémentine qui compose le petit texte en réponse. Elle écrit si bien.

Du bruit. Voilà Estelle qui arrive. Elle jette son grand sac de sport devant la porte du salon. Elle se précipite en sautillant. Nous sommes tellement contents d'êtres à nouveau ensemble tous les trois. Assises sur mes genoux, les filles redécouvrent le mot de Julie et la réponse. << Espèce de salaud ! Je savais que ça finirait comme ça ! >> me fait Estelle en empoignant ma braguette avec force. Elle rajoute : << Je t'arrache les couilles avec les dents, vieux pervers qui s'enferme avec les filles dans les placards ! >>.

Calmement, elle dit encore : << Je suis jalouse. Tu vas préférer t'occuper de Julie plutôt que de moi ! >>. Je lui couvre le visage de bisous pour la rassurer en précisant : << Tu es irremplaçable. Comment peux-tu imaginer une chose pareille. C'est toi que je préfère ! >>. Estelle me fait plein de bisous. Elle demande : << Tu m'aimes alors ? >>. Je réponds : << Je t'adore ! >>. Clémentine se lève. Elle nous entraîne dans une farandole. Nous faisons le tour de la grande pièce en dansant, en chantant.

Estelle improvise des paroles que nous répétons. Un peu à la manière des comptines à l'école maternelle. Nous finissons serrés tous les trois. Il est presque 14 h. << On se fait une tentative vélo ? >> propose Clémentine. Nous sautillons de joie. Nous montons nous mettre en tenues. Leggings et sweat en lycra noir pour tous les trois. K-ways jaunes pour tous les trois. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Estelle n'a pas emmené sa bicyclette. Elle prendra donc un de nos VTT. Nous les VTC.

Je vérifie le gonflage des pneus. Je mets la pression maximale afin que ce soit facile. 5,5 bars devant et derrière. C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. Il faut contourner le petit étang qui s'est formé avec les pluies incessantes de ces derniers jours. J'ouvre le cadenas du portillons sur la passerelle. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous y croisons quantité de cyclistes, des filles en rollers, des joggeurs. Par contre, il faut pédaler contre un fort vent d'Ouest. Un vent parfois tempétueux. Dur !

Il fait presque doux malgré tout. Le soleil est généreux et ne faillit pas. Il faut fournir des efforts contre les bourrasques. Nous parcourons les 25 km jusqu'au petit port de plaisance en presque deux heures. Un record de lenteur. Il y a du monde sur les quais. Tous ces gens veulent profiter de cet ensoleillement. Avec la météo pourrie de ce mois de mai, cette journée est un luxe devenu rare. Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie dont les volets sont tirés. Il y en a plein d'autres.

Les joueurs de boules, fidèles pétanquistes, animent cette partie de la place. Quelle joie de voir des gens attablés à la terrasse du restaurant. Il y a des cyclistes qui se baladent en poussant leurs bicyclettes. C'est tellement agréable de retrouver une vie "normale". Il y a bien quelques masques sanitaires. Nous avons les nôtres dans le petit sac à dos que je porte. Je suis entre Clémentine et Estelle qui me tiennent par les bras, serrées contre moi. Nous attirons encore bien des regards.

Nos hautes tailles, nos tenues sexys. Nos différences d'âge. Suis-je le père de ces deux sublimes jeunes filles accrochées à moi ? Les bises qu'elles me font à chaque regard insistant, donnent une idée très précise de nos relations réelles. Du moins pour les plus observateurs. Nous traversons la route pour aller à la supérette. Nous mettons nos masques sanitaires avant d'y entrer. Il y a de la clientèle. Les premiers touristes peut-être. Toujours ces quelques regards. Parfois inquisiteurs. Parfois libidineux.

Nous bavardons un peu avec la gérante. La fréquentation a repris de plus belle. Les affaires aussi. Elle envisage l'embauche de deux jeunes étudiantes pour l'été. Nous choisissons nos glaces. Pour les hypers gourmands que nous sommes, ce sera un bac de glace à la pistache-noisette. Un bac de glace au nougat. Deux fois un litre. Deux fois 480 gr. << On a mérité ! Avec tous les efforts que ça nous a demandé ! >> lance Estelle comme pour justifier nos désirs fous de savourer nos douceurs préférées.

C'est assis au soleil, sur un des bancs, que nous dégustons nos glaces. En observant les boulistes. Parfois l'un d'entre eux regarde par ici. Clémentine, discrètement, se touche alors l'entre jambes. Vicieuse. Nous portons nos lunettes de soleil. Le voyeur ne sait pas que nous l'observons aussi. Tout en suçant nos petites cuillères à moka en laiton, nous nous donnons nos impressions. << J'ai une méchante envie d'être vicelarde ! >> chuchote Clémentine. << Tiens donc ! Comment se fesse ? >> murmure Estelle.

<< Je me baladerais bien en jupette parmi tous ces messieurs. Ce sont d'autres boules qu'ils pourraient me montrer ! >> fait encore Clémentine. << En agitant leurs cochonnets ? >> demande Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Ces glaces sont étonnamment bonnes. A tel point qu'on pourrait s'en offrir d'autres. Nous nous raisonnons. En plus, elles nous ont bien refroidi l'intérieur. C'est loin d'être une journée d'été. Il ne fait sans doute que 20°. Pas plus. Nous marchons un peu.

Inutile d'aller traîner du côté des toilettes publiques. C'est le lieu de rendez-vous des D'jeunes du bourg voisin. Par contre, nous descendons vers les sanitaires réservés aux plaisanciers. C'est fermé à clef. Il n'y a personne. Estelle glisse sa main dans mon leggings, dans mon slip. Je glisse ma main dans le sien. Dans sa culotte. Je la doigte en disant : << C'est accueillant chez toi, cet après-midi ! >>. Clémentine se frotte contre mes fesses. Je passe ma main derrière moi pour la glisser dans sa culotte.

C'est comme ça que nous nous faisons surprendre par deux cyclistes poussant leurs vélos dans la pente. C'est un couple de jeunes gens. Le garçon détourne pudiquement le regard. Alors que la fille observe copieusement. C'est le moment que choisi Estelle. Elle me sort une queue bandante pour l'agiter vers la regardante. Je suis hyper gêné. J'en ai le souffle coupé. La jeune fille éclate de rire en détournant le regard. Rejoignant son compagnon, elle lui raconte probablement ce qui vient de se passer.

Je gronde Estelle. Bien inutilement. Elle me dit : << C'est la fête ! >>. Clémentine rajoute : << Et elle n'ira pas s'en plaindre ! >>. Nous en rions de bon cœur. Surtout quand la jeune fille redescend toute seule, mais à bicyclette pour mâter une nouvelle fois. Le garçon la suit mais sans regarder dans notre direction. << Put-Hein ! Comme ça m'excite ces situations ! >> lance Estelle. << Et moi donc ! >> rajoute Clémentine. Je dis : << Et c'est moi qui suis le jouet de vos turpitudes ! >>. Rires.

Nous flânons sur les quais. Clémentine aimerait bien une petite opportunité d'exhibe. Estelle aimerait bien une opportunité de me sortir la bite. << Ce soir, tu m'emmène dans le placard, espèce de salaud ! Je veux que tu me fasses tout ce que tu as fait à Julie ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. Bien évidemment, dès que c'est possible, discrètement toutefois, j'ai la queue dans la main d'Estelle. Clémentine fait le guet. Il y a des endroits qui permettent quelques égarements pas réellement désagréables.

Nous passons devant la terrasse du restaurant. Toutes les tables sont occupées. Nous demandons à la serveuse. Elle nous apprend qu'il faut réserver sans garantie d'obtenir une place. Nous comprenons facilement l'engouement de la clientèle. Ça fait sept mois que cela n'était plus permis. Nous n'insistons pas. Même si Clémentine sait que les toilettes, au fond de la cours, présentent une configuration qui se prête à des situations d'exhibes de "haut standing" . Les murets d'un mètre qui abritent les urinoirs par exemple.

Il suffit de faire semblant de se tromper de WC. Pour une fille c'est tellement simple. De se laver les mains aux lavabos. De regarder dans les miroirs pour admirer quelques pisseurs solitaires, souriants et parfois bien vicieux. Hélas, ces toilettes ne sont accessibles que pour la clientèle. << C'est rageant ! >> lance Clémentine. Nous éclatons de rire. Estelle rajoute : << Il y a un potentiel de pisseurs pas négligeable à cette terrasse ! >>. Nous sommes pliés de rire. Nous longeons les bateaux.

Nous sortons la thermos et les gobelets du petit sac à dos. Un bon thé bouillant avec des barres de céréales ne pourra pas nous faire de mal. Surtout avant de prendre le chemin du retour. Il est presque 18 h. Comme c'est agréable de traîner ici. Il y a toujours de l'animation, des choses à voir. Cette année encore, les bateaux sont magnifiques. La saison de la plaisance va commencer. << N'oubliez pas. Demain, on mange chez mes parents. Ils fêtent leurs anniversaires ! >> nous rappelle Estelle.

Nous retournons aux vélos. Le vent nous pousse. Même s'il est légèrement retombé, il nous permet d'avancer sans fournir le moindre effort. Il est 19 h15 quand nous arrivons à la maison. Fatigués, mais contents. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle et moi, nous épluchons les patates, les carottes, le navet, le céleri, l'ail, l'oignon. Nous en faisons en grande quantité. Cette potée de légumes assurera notre repas de ce soir, celui de demain soir. Nous revenons sur nos aventures passées, vécues au port de plaisance.

Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles font le programme de la journée de demain. << Tu n'as pas intérêt à montrer ta bite à maman demain. Espèce de vieux pervers répugnant ! >> me fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle s'empresse de rajouter : << Pas avant le dessert ! >>. Nous sommes attendus pour midi. Il faudra sortir une tarte aux noix du congélateur ce soir.

Nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. << Tu es hyper sexy dans ton legging ! >> me fait Estelle en palpant ma bosse. Je glisse ma main entre ses cuisses bouillantes. Même si nous sommes épuisés, Clémentine s'installe dans le fauteuil pour se toucher en disant : << Faites moi du spectacle ! >>. Estelle se met à califourchon sur moi pour frotter son sexe contre le mien. Nous nous embrassons comme des fous. De la bave qui coule sur nos mentons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont occuper leurs dernières forces à se masturber, à se faire lécher, à sucer de la queue...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1529 -



Repas d'Annie Versaire

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par le souffle chaud d'Estelle dans mon cou. Toute la nuit elle est restée accrochée à moi. Ses pieds bougent en rythme contre les miens. Sa main se glisse dans mon slip. C'est avec mon érection matinale dans la main qu'elle murmure des mots incompréhensibles. C'est tellement adorable. Clémentine se réveille pour venir se blottir contre moi. Il est plus de neuf heures. Je suis entre mes deux anges que je serre contre moi.

Nous restons ainsi tous les trois en luttant contre l'impérieux besoin de pisser. Estelle craque toujours la première. Elle se lève pour se précipiter vers la porte. Clémentine tient mon érection matinale en me masturbant doucement. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous nous habillons de nos jeans, chemises à carreaux avant de dévaler les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes.

Tout en me couvrant le visage de bisous, elle me dit : << Comme c'était bon encore hier soir ! >>. J'administre le même traitement à Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'odeur du café, du pain grillé et de la brioche au pudding. Il y a la pâte d'amande qui est si bonne ce matin. Nous mangeons de bon appétit. Ses "petits machins" de fille sont terminés. Clémentine est soulagée pour un cycle. Cette fois, ça s'est plutôt bien passé. Pas trop de douleurs.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font le vague programme du jour. << J'ai une tante qui s'appelle Annie. Et c'est son "versaire" aujourd'hui aussi. Mais elle habite à 300 bornes ! >> lance Estelle. Nous sommes attendus à midi pour fêter ceux des parents d'Estelle. << Tu vas montrer ta bite à ma mère, espèce de vieux dégueulasse ? >> me demande t-elle. Je réponds : << Si l'occasion se présente ! >>. Clémentine rajoute : << Un cadeau ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous mettons nos anoraks pour sortir. Le thermomètre extérieur n'indique pas plus de 16°. Effectivement, nous voilà dans la désagréable fraîcheur humide. Il y a des séquences ensoleillées. Beaucoup d'épais nuages d'altitudes. Rien de menaçant. Nous descendons jusqu'à la rivière qui est sortie de son lit. Le petit étang qui s'est formé interdit l'accès au sentier de gauche. Nous prenons celui de droite. Bien plus escarpé et dangereux.

Le sol rocailleux est glissant par endroits. Il faut redoubler de prudence. Estelle marche devant. Clémentine marche derrière. Nous nous arrêtons souvent. Distribution de bisous. Sur notre gauche, les eaux tumultueuses de la rivière. Sur plus de deux kilomètres c'est un véritable torrent bruyant. Le spectacle en vaut la peine. Surtout que le courant charrie des branchages qui s'accumulent à certaines chicanes. L'idéal pour les castors qui ont refait leurs apparitions.

Nous prenons le sens inverse. Le ciel se dégage de ses nuages. Le soleil en devient le maître. Nous remontons le chemin. Il est 11 h. Estelle nous entraîne dans la maison d'amis. Elle me prend la main pour m'emmener devant la porte du troisième placard. << Fais moi la même chose ! >> dit elle en l'ouvrant. Clémentine en sort les balais, les seaux. Estelle me pousse à l'intérieur. << Le placard à fille ! >> fait elle. L'espace y est exigu. Clémentine nous observe. Estelle tout contre moi.

Je la tiens par l'épaule. C'est la seule manière d'être là à deux. Je glisse mon autre main dans son jeans. Elle contracte ses abdominaux pour me permettre l'accès dans sa culotte. Je dis : << C'est exactement ce que j'ai infligé à Julie ! >>. Estelle me fait des bisous. Je l'embrasse soudainement. Dans un gémissement, surprise par mon initiative, elle a le même réflexe d'abandon que Julie. << Génial ! >> lance Clémentine qui se touche en observant. Je dis : << Vous savez tout ! >>.

Clémentine veut essayer à son tour. Nous reproduisons la situation pour notre plus grand plaisir. Je raconte avec la plus grande précision possible l'attitude de Julie quand je lui ai infligé mes initiatives. << Tu m'étonnes qu'elle veut refaire ! >> fait Estelle en me sortant la queue. Clémentine dit encore : << La prochaine fois, sort ta queue ! >>. Je n'y avais pas pensé. Estelle rajoute : << Tu la lui frottes bien fort ! >>. Je regarde Estelle et Clémentine. Mes deux anges de vice.

Nous quittons la maison d'amis pour traverser le jardin. Il fait beau. Presque doux sous le soleil. C'est ce maudit vent qui rafraîchit l'atmosphère. Nous rentrons pour monter l'escalier à toute vitesse. Nous nous changeons. Tous les trois des jeans propres, des chemisiers blancs. Des mocassins. Estelle suggère la petite touche "classe". Un foulard de soie noire autour du cou. Nous prenons la pose devant le grand miroir de l'armoire. << Les trois mousquetaires ! >> lance Estelle.

Je suis entre mes deux anges qui sont serrées contre moi. << Comme on est beaux tous les trois ! >> fait Clémentine. Estelle empoigne ma braguette comme un paquet pour dire : << Le mec du placard me plaît énormément ! >>. Nous en rions de bon cœur. Il est 11 h40. Il est temps de filer. Nous dévalons les escaliers. Nous prenons la berline. Je roule doucement. Il n'y a que trois kilomètres jusqu'au bourg. Quatre kilomètres jusqu'à la maison d'Estelle. Il est presque midi quand nous arrivons.

Dans le grand Tupperware rond que tient Clémentine, il y a la tarte aux noix pour le dessert. C'est Yvan qui vient nous accueillir. Le papa d'Estelle est vêtu comme nous. Sans doute sur la suggestion préalable d'Estelle. Nous nous saluons. Yvan est ravi de nous voir. Il nous invite à le suivre. Nous montons par l'arrière de la maison. La grande porte vitrée de la véranda. C'est Michèle qui vient nous saluer. La maman d'Estelle est vêtue de la même façon. Nous retirons nos blousons.

Nous sommes contents de nous revoir. Michèle et Yvan sont d'une compagnie agréable. Cette fois encore la maman d'Estelle est radieuse. Elle porte ses 49 ans avec une incroyable jeunesse. La grande sœur d'Estelle. Ses longs cheveux dont elle laisse les superbes mèches grisonnantes en évidence. Je trouve ça d'une classe inouïe. Je ne peux m'empêcher de la regarder avec insistance. Elle s'en rend compte. Son sourire discret est éloquent. Michèle apprécie mes attentions.

Estelle s'en rend évidemment compte. Elle me pince les fesses. Juste au-dessus des cuisses. Là où ça fait le plus mal. Nous sommes invités à passer au salon. Nous voilà confortablement installés à la grande table. Clémentine à ma gauche, à côté d'Yvan. Estelle en face de moi. Michèle à ma droite. Estelle qui me lance des regards sévères quand je bavarde avec Michèle. Nous savourons des plateaux de fruits de mer. C'est l'œuvre du traiteur. Cet artisan du bourg est un vrai maître.

Clémentine me fait du pied sous la table. Je constate qu'Yvan se comporte aujourd'hui en séducteur. Clémentine ne le laisse pas indifférent. Estelle et Clémentine se connaissent depuis leurs treize ans. Clémentine venait passer là des journées entières. Elles se sont jurées de rester amies pour toute la vie. Michèle, Yvan et moi, nous écoutons leurs souvenirs d'adolescentes. Michèle revient sur des épisodes précis. Yvan se souvient quand il ramenait Clémentine dans sa famille d'accueil.

<< Des gens épouvantables mais qui se sont tout de même occupés de moi ! >> lance toujours Clémentine lorsque cette époque de sa vie est abordée. << Oui, tu nous racontais de ces trucs ! >> fait Yvan. Je surprends quelquefois le regard soutenu que m'adresse Michèle. Elle me dit : << Il est magnifique le petit tableau que vous avez offert à Estelle ! >>. Je lui explique la genèse de cette toile qui ne fait que 15 cm sur 10 cm. << Pourtant, c'est tellement dense ! Comme une photo ! >> fait Michèle.

Estelle, Clémentine et Yvan partagent des souvenirs. Michèle et moi parlons peinture. << Je peux monter voir ton tableau avec Julien ? >> demande Michèle à Estelle. Cette dernière me jette un regard soudain sévère. Elle répond en me faisant une grimace : << Bien sûr maman ! Tu sais où est ma chambre ! >>. Nous éclatons de rire. Michèle m'invite à la suivre. Nous gravissons l'escalier en bavardant. Nous voilà dans la chambre spacieuse et d'une propreté irréprochable d'Estelle.

Une chambre lumineuse ou tout est rangé avec soin. Nous somme debout devant le mur. << Racontez-moi ! >> demande Michèle en montrant le petit tableau. Yvan a placé la petite toile dans un cadre large. Ce qui lui convient parfaitement. C'est un curieux sentiment de me retrouver seul ici, avec cette femme. Je suis convaincu qu'elle partage la même impression. Ne serait-ce pas le prétexte de cette explication qui aurait motivé Michèle ? Les femmes sont si mystérieuses.

Tout en parlant, je me touche. Je le fais assez vulgairement. Un geste discret mais appuyé. Michèle se tourne vers moi pour dire : << J'apprécie beaucoup vos attitudes, votre compagnie et votre cran ! >>. Je ne sais quoi répondre. Elle baisse les yeux pour fixer ma main. Elle rajoute : << Vraiment, j'apprécie la compagnie d'un "artiste" ! >>. Je comprends le message. Je déboutonne ma braguette. Je bande mou. J'en extrait mon sexe que je tiens à sa base, entre le pouce et l'index.

Michèle s'éloigne à reculons. Elle veut apprécier la situation dans sa globalité. C'est à la fois hyper excitant et terriblement gênant d'être debout devant cette femme sublime. Mon sexe que j'agite mollement dans sa direction. Michèle me fixe. Elle a ce curieux sourire. Ce sourire énigmatique qui me fascine. C'est le même que celui d'Estelle. Michèle rajoute une nouvelle fois :<< J'apprécie ! >>. Je bande. Je suis pris d'un léger vertige. Ce qui n'échappe pas à Michèle. Elle s'accroupit à deux mètres devant moi.

Je m'entends dire : << Vous avez créé chez moi un nouveau fantasme. Je rêve de me faire tailler une pipe ! >>. Michèle se redresse. Elle me fait le plus délicieux des sourires avant de répondre : << Pour me maculer le visage de vos substances comme vous le faite à ma fille ? >>. Je reste estomaqué. Que rétorquer à une telle évidence. << Venez, rejoignons les autres ! >> fait encore Michèle pour mettre un terme à mon embarras. Pour mettre un terme à cette situation ubuesque.

Je remballe. Je m'apprête à suivre Michèle quand la porte s'ouvre. Estelle entre dans la chambre. Elle regarde ma braguette. Jette un regard suspicieux à sa mère qui dit : << C'est un beau tableau et Julien m'en a fait une superbe explication ! >>. Estelle me regarde en rajoutant : << Oui ! Une superbe explication ! Je m'en doute bien ! Julien explique toujours tellement bien ! >>. Je ne sais quoi dire. Nous descendons les escaliers. << Jalouse ? >> demande Michèle à Estelle qui me pince jusqu'à la douleur.

Nous entendons Yvan et Clémentine rire comme des bossus. Ces deux-là aussi s'entendent comme larrons en foire. Depuis onze ans que Clémentine vient ici. J'aide Estelle à débarrasser la table. Nous sommes tous deux à la cuisine. << Dis moi la vérité. Il s'est passé quoi dans ma chambre ? >> me demande t-elle en empoignant ma braguette. Je réponds : << J'ai montré ma queue à ta mère ! Je suis un salaud, je sais ! >>. Estelle serre encore plus fort en disant : << Une ordure oui ! >>.

Elle rajoute : << Ce soir, je t'arrache les couilles avec les dents ! >> avant de m'embrasser avec fougue. Nous cessons juste à temps. Voilà Michèle. Nous rejoignons les autres au salon. Nous savourons la tarte aux noix avec de délicieuses coupes glacées. Je suis certain d'une chose. C'est Michèle qui me fait du pied sous la table ! Nous traînons à table en bavardant et en riant beaucoup. Il est 15 h quand nous descendons le chemin qui mène à la forêt. Promenade digestive.

Estelle tient son papa par le bras. Elle ne le lâche quasiment jamais. Mais elle me surveille du coin de l'œil. Je marche à l'arrière entre Clémentine et Michèle. Il fait très agréable au soleil. Nous faisons la boucle qui passe près de la rivière, derrière le stade de sport désert. Il est 17 h30 quand nous revenons. Nous voilà dans le salon. Devant des thés fumants et des petites crêpes dentelles sèches. Je surprends plusieurs fois le regard de Michèle. Sur ma braguette aussi.

Il est 18 h30. Nous voulons prendre congé. Il est difficile de nous quitter. Michèle propose de rester pour le repas du soir. << Les restes avec des nouilles ! >> propose t-elle. Nous nous regardons. << OK ! >> lance Clémentine. Nous passons la soirée à discuter, à beaucoup rire. Je fais même un premier clin d'œil à Michèle. Un second. Je pourrais baiser avec elle tellement cette femme me subjugue. Clémentine, à qui rien n'échappe, me murmure parfois : << Salaud ! >>. Nous rions.

Nous faisons la vaisselle tous les cinq. Il est 20 h30. Cette fois, il faut y aller. Yvan et Michèle nous accompagnent jusqu'à la voiture. Cette fois, avec cette discrétion toute féminine, c'est Michèle qui me fait un rapide clin d'œil. Je surprends Yvan faire de même à Clémentine. Je sens bien qu'Estelle sent monter le courroux en elle. Nous partons. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qui dégouline. Estelle, assise à l'arrière me tient par le cou. Faisant mine de m'étrangler.

<< Si je dérange avec ma mère, il faut le dire, espèce de répugnant vieux vicelard ! >> me lance Estelle en serrant toujours plus fort. Nous arrivons à la maison. Nous sommes tous les trois très excités. Estelle se rue littéralement sur moi. Elle me fait tomber dans le canapé. A califourchon sur moi, elle frotte son sexe contre le mien. << Tu n'as pas honte de draguer maman comme ça ! Même papa s'en rend compte ! Vieux salaud va ! >> dit elle avant de fouiller ma bouche de sa langue.

<< Papa, qui au passage, juste pour dire, me drague ! >> lance Clémentine qui glisse une main dans son jeans déboutonné. Je m'écrie : << Mais c'est quoi cette famille de fous furieux ? >>. Nous éclatons tous les trois de rire. Mes deux anges m'offrent leurs cramouilles. Après en avoir longuement savourer les jus du dimanche, je les pénètre l'une après l'autre. Estelle baise comme une véritable furie. Je dis : << Ça te fais de l'effet que je vis des "trucs" avec ta mère, hein ! >>

<< Telle mère, telle fille ! >> répond Estelle juste avant de me repousser délicatement. Elle s'offre un orgasme cataclysmique. En criant, en se couchant sur le côté, les mains entre les cuisses, elle tente de ne pas devenir folle de plaisir. Peine perdue. Elle jouit comme une dingue. C'est au tour de Clémentine qui s'offre un orgasme pisseux, inondant la cuvette qu'elle tient maladroitement. Nous sommes épuisés. Rituels pisseux. Lavage des dents. Il est 22 h30. Nous voilà couchés.

Bonne soirée à toutes les coquines que les petites histoires de familles émoustillent considérablement. Jusqu'à en jouir comme des folles...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1530 -



Lundi de Pentecôte. Julie arrive en début d'après-midi

Hier matin, lundi, il est neuf heures quand Estelle me saisit par mon érection matinale. C'est probablement encore dans un demi sommeil. Car elle se met à gémir en se lovant tout contre moi. Ce qui réveille évidemment Clémentine qui vient se blottir. Elle empoigne mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. C'est ainsi, entre mes deux anges, dans un enchantement paradisiaque, que j'émerge doucement. Nous modulons longuement nos gémissements. Jusqu'à l'absurde.

Jusqu'à ce que poussée par l'irrépressible besoin naturel, Estelle se lève d'un bond. Ses vêtements de gym à la main, elle se précipite vers la porte. Nous nous habillons. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Il y a déjà l'odeur du café, du pain grillé et de la brioche qui réchauffe au micro onde. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre journée de hier. Dimanche.

<< Vieux satyre qui montre sa bite à ma maman ! >> me fait plusieurs fois Estelle. Nous mangeons de bon appétit tout en riant beaucoup. Clémentine propose un jogging. Plutôt que l'entraînement en salle car le running nous manque. Le thermomètre extérieur n'indique que 16°. Même si le ciel est gris, couvert et menaçant, il ne pleut pas. Nous enfilons nos K-ways. Nous sortons dans la fraîcheur humide. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous courrons le long de la route.

Un de nos circuits habituels. Nous ne croisons pas une seule voiture sur l'étroite route communale qui nous emmène au haras. Il y a des voitures garées dans la cour. Nous continuons jusqu'à la clairière. Nos abdos, nos pompes, nos ciseaux arrières, chacun sur un des bancs en bois. Retour à nonne foulée. C'est Estelle qui donne le rythme. Il est 10 h30 quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, au salon, Clémentine allume l'ordinateur.

Parmi les trois courriels, il y a celui de Julie. Elle nous propose de venir nous rejoindre dès le début de l'après-midi. Nous nous empressons de répondre. Julie est toujours la bienvenue. C'est son jour de repos. Nous avons commandé les repas du soir. Le prétexte de nous livrer permet à Julie de passer les lundis soirs avec nous. Estelle entre dans le salon, vêtue de son jeans, de sa chemise à carreaux. C'est à nous de monter prendre notre douche. Nous nous habillons à notre tour.

Nous rejoignons Estelle au salon. Les filles, assises sur mes genoux, surfent sur le site de l'université. Elles se concertent quand aux mesures à prendre. Les stratégies à adopter jusqu'aux vacances. Elles m'entraînent par la main. Nous mettons nos anoraks pour sortir. Ce maudit vent qui rafraîchit tout s'est remit à souffler avec force. Nous allons dans la maison d'amis. Nous y allumons les convecteurs électriques. Ainsi, cet après-midi, il fera bon, chaud et très agréable.

Dans son message Julie nous propose de reproduire quelques instants du "placard à fille". Clémentine en sort les balais, les seaux, la cuvette et les serpillères. Estelle m'y fait entrer pour se serrer contre moi dans l'espace exigu. Clémentine referme la porte. Estelle me roule une pelle en empoignant ma braguette. << Vieux satyre qui montre sa bite à ma maman ! >> dit elle une fois encore. Clémentine ouvre pour faire : << Et ta maman aime visiblement beaucoup les vieux satyres ! >>.

Nous en rigolons comme des bossus. << Il faudrait venir faire la poussière un de ces jours, regardez ! >> lance Estelle en nous montrant son index. Elle vient de le passer sur le haut de la cheminée. Ce constat nous accable. << Put-Hein de poussière ! >> dit Clémentine, fataliste et résignée. Nous éclatons de rire. La faim commence à se faire sentir. Nous ressortons. Nous contournons la dépendance pour aller jeter un coup d'œil au potager. Il y a les premières mauvaises herbes.

Cette année, nous n'avons pas trop l'âme à jardiner. Nous allons soigneusement choisir les légumes que nous y ferons pousser. Tomates, carottes, pommes de terre. Persil, ciboulette. Laitues, scaroles. C'est tout. Nous sommes tous les trois accroupis à arracher les mauvaises herbes par poignées. Avec les pluies quasiment incessantes de ces derniers jours, elles ont poussé à profusion. Nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches sous l'abri à bois. Nous rentrons.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare une belle omelette aux champignons et aux trois fromages. Je réchauffe le reste de potée de légumes. Je fais rissoler quelques gambas à la poêle. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les folies de notre soirée de hier. Les léchages de minous, les pénétrations, la fellation que m'a prodigué Clémentine au lit. Alors qu'Estelle dormait déjà. << Ce soir, c'est à mon tour ! >> lance t-elle. Je dis : << Pourquoi attendre ce soir ? >>.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles évoquent la fête des mères de dimanche prochain. Je demande : << Je viens montrer ma queue à ta maman ? >>. Estelle éclate de rire en disant : << Tu en serais bien capable, vieux satyre ! >>. Nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous redescendons en riant beaucoup.

Il est 13 h30. J'ai ouvert le portail depuis l'interphone. Depuis la fenêtre de la cuisine, nous voyons la Clio rouge de Julie descendre doucement le chemin. Nous nous précipitons pour aller l'accueillir. << C'est une membre du Club ! Faisons lui honneur ! >> lance Estelle qui m'ouvre la braguette. Clémentine me sort le Zob. C'est ainsi que nous sortons pour aller vers Julie. Elle est radieuse. Vêtue d'un jeans, d'une chemise à carreaux sous son blouson, des baskets. Ses cheveux en liberté.

Julie a ce vieux réflexe de sortir le flacon de gel hydroalcoolique de son petit sac à dos en cuir. Nous tendons nos mains. Comme elle a repris son job de serveuse dans le restaurant de sa tante, elle préfère prendre un minimum de précautions. << Pour vous préserver ! >> lance t-elle. Nous en rions de bon cœur. Je prends la grande boîte isotherme qui contient nos feuillantines au crabe pour ce soir. Clémentine prend le sachet contenant les bacs à salades. Estelle prend Julie par le bras.

Nous rentrons. Julie nous raconte ses soirées de serveuses. Anne-Marie, sa tante, a retrouvé sa joie et son optimisme. << J'ai même recommencé mon voyeurisme dans les toilettes ! >> précise Julie. Nous éclatons de rire. << Raconte ! >> lance Estelle, grande voyeuse également. Clémentine propose d'aller prendre le thé et les petits gâteaux dans la maison d'amis. << Le placard à fille ! >> rajoute t-elle. Nous préparons le café, les gâteaux sur un plateau. La thermos.

Nous traversons le jardin à toute vitesse. Nous voilà tous les quatre vautrés dans les canapés. Estelle et Julie dans celui qui nous fait face. Estelle tient les deux mains de Julie en lui demandant plein de détails précis. Les messieurs qui pissent. Julie qui entre dans les toilettes avec un seau et un balai. Qui joue la confusion avec un talent évident. Je sais de quoi elle est capable puisque c'est dans ces situations que nous nous sommes connus. Il y a plus de trois ans déjà. La délicieuse coquine.

Clémentine joue avec ma queue. Tout en bavardant, Julie y lance de fréquents coups d'œil. Estelle est avide de détails salaces. << Il y a un mec de la taille de Julien qui pissait par dessus le muret ! Je n'ai jamais vu ça ! >> lance Julie. Nous éclatons de rire. Elle rajoute : << Ce qui est moins drôle c'est que je me tape le nettoyage quand le restaurant ferme ! >>. Estelle, pliée de rire, fait : << Je veux faire comme Clémentine, je viens t'aider au service un de ces soirs ! >>. Julie dit : << Génial ! >>.

Elles mettent au point la stratégie. Il faudra néanmoins que Julie assure une petite "formation" à Estelle. Ces deux là sont entrain de devenir de parfaites complices de débauches. Estelle se lève. Elle prend la main de Julie pour l'entraîner dans le "placard à fille". << Il faudra l'écrire au pluriel dans nos récits ! >> lance Clémentine. Les voilà toutes les deux dans l'espace restreint. Clémentine se lève pour aller les y enfermer. Nous les entendons rire. Les bruits nous parviennent étouffés.

Nous constatons qu'il n'est pas vraiment nécessaire de faire trop attention quand nous y sommes cachés. C'est rassurant. Julie et Estelle répondent à nos questions. Nous faisons des tests pour constater le niveau des bruits perceptibles. Expérience édifiante. Clémentine ouvre. Julie et Estelle, dans les bras l'une de l'autre, éclatent de rire. Dans mon fantasme d'homme des cavernes, je caresse le désir de me retrouver en compagnie de gouines. Hélas, Estelle ne l'est pas du tout.

Clémentine demande à Julie : << Tu veux refaire avec Julien ? >>. Julie me regarde. Elle regarde ma queue. Je bande mou. Elle hésite longuement. Je dis : << La prochaine fois que nous ferons les voyeurs là dedans, j'aurai mon sexe à l'air, Julie ! >>. Elle entre dans le placard en lançant : << Alors je dois m'en faire une idée précise ! >>. Il est rare que Julie manifeste ainsi un tel élan. J'entre dans l'espace exigu. Clémentine veut refermer la porte. Estelle se précipite pour nous rejoindre.

A deux, c'est déjà très étroit. 70 cm sur 70 cm. Mais à trois, c'est asphyxiant. Clémentine appuie sur la porte pour la refermer. << Nous sommes comme des sardines dans une boîte ! >> fait Estelle. Je passe ma main sur les fesses de Julie. Je fais la même chose sur celles d'Estelle. Quelle n'est pas ma surprise de sentir Julie se serrer contre moi de toutes ses forces. << Eh ben dis donc, ça te plaît ! >> lui fait Estelle qui saisit ma queue. Je passe ma main entre les cuisses de Julie.

Je suis entrain de tripoter les deux coquines quand Clémentine ouvre la porte. Je bande comme le dernier des salauds. Ce n'est pas dans la main d'Estelle mais dans celle de Julie qui me lâche soudainement. Comme prise en faute. Nous sortons. Nous voilà à nouveau vautrés dans les canapés. Nous rions beaucoup. "Le placards à filles", (au pluriel), va devenir une source de plaisanteries intarissables. Clémentine propose à Julie d'organiser une nouvelle séance de voyeurisme vendredi prochain.

<< Oui ! C'est surtout pour te retrouver en situation avec ce vieux salaud de voisin ! >> lance Estelle. << Génial ! >> s'écrie Julie qui ne peut cacher sa joie. << Et moi ? Je fais quoi pendant ce temps ? >> demande Estelle. Je réponds : << Toi, tu es avec maman au bureau de l'entreprise familiale ! >>. Nous éclatons de rire. Dehors, il se met à pleuvoir. Estelle vient s'assoir à ma gauche. Julie reste assise en face de nous. Elle a de quoi satisfaire son voyeurisme. Je me fais tailler une pipe.

L'après-midi se passe ainsi. Julie s'est mise à faire la poussière. Clémentine passe l'aspirateur. Je passe la serpillère. Estelle me tient la queue sans jamais la lâcher. Toujours tout contre moi à me suivre partout. C'est la toute première fois que Julie ose soutenir mes regards plus de quelques secondes. Je mets ce changement d'attitude sur la promiscuité du "placard à filles". Il est 18 h30. Nous éteignons les convecteurs électriques en quittant la maison d'amis. Un orage éclate.

C'est sous une pluie battante que nous traversons le jardin en courant sur les dalles de grès. Nous n'avons pas prévu les parapluies. Clémentine ôte les opercules sur les bacs à salades. Julie met les quatre feuillantines au four. Estelle et moi nous mettons les assiettes et les couverts. Nous rions beaucoup en revenant sur les histoires de toilettes de restaurant sur lesquelles s'amuse Julie. Il y a toujours une petite anecdote qui lui revient en mémoire. C'est une véritable mais discrète vicieuse.

Nous le sommes tous les quatre. Le "Club" des dépravés" comme le surnomme Estelle. Nous mangeons de bon appétit. C'est un véritable délice. Nous traînons à table avec de fréquents éclats de rire. Nous alternons les histoires de culs, nos projets de vacances, ma galerie d'Art que va encore tenir Julie en juillet et en août. La soirée se passe ainsi. Je me lève souvent pour agiter ma queue vers l'une ou l'autre. C'est Clémentine qui se précipite avant Estelle pour la sucer un peu. Gagnante.

Estelle et Clémentine invitent Julie à chaque fois qu'elles ont ma bite dans la bouche : << Viens gouter ! >>. Nous sentons bien que Julie en meurt d'envie. Pourtant, elle se maîtrise. Tout en se touchant, elle se contente d'observer. La vaisselle. Il est 22 h. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Il faut toujours encore une attestation de sortie après 21 h. Julie est censée avoir livré son dernier repas de la soirée. Elle revient demain, après 16 h30 jusqu'à 18 h. Séparation difficile.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment élaborer le programme de leurs prochaines turpitudes. Le "placard à filles" en est une...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1531 -



Les cours en ligne reprennent à 8 h05

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Accompagnant nos rêves, il y a le chant des oiseaux. Le bruit d'une source. Notre application nous réveille avec sa doucheur habituelle. Estelle, qui est restée accrochée à moi toute la nuit, se serre encore plus fort en gémissant. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. L'instant est un peu difficile. Nous avons encore fait tellement de folies hier, lundi soir. Estelle se lève la première pour se précipiter vers la porte.

Nous nous habillons. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Dans la délicieuse odeur de café et de pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en nous racontant la soirée. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le "placard à filles" et les projets que nous y avons pour vendredi prochain. Ce qui nous amuse beaucoup. Il est 6 h25. Nous remontons afin de nous offrir notre heure d'entraînement.

Même si nous aimerions plutôt courir à l'extérieur, nous préférons jouer de prudence. Le temps est toujours aussi maussade. Joggings sur tapis roulants. Charges additionnelles. Exercices au sol, abdos. Nous revenons au calme avec un agréable stretching. Estelle nous fait la bise avant de filer à toute vitesse. En descendant l'escalier elle nous fait : << A ce soir ! >>. Nous prenons notre douche. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux nous redescendons à notre tour.

Nous enfilons nos anoraks pour sortir. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Tout est trempé. Le ciel est gris mais lumineux dans cette désagréable fraîcheur matinale. Il est 7 h50. Nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches sous l'abri à bois. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps de revenir. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Le télé travail.

J'allume un bon feu dans la cheminée. Je ne me souviens pas avoir déjà chauffé un 25 mai. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. J'éprouve un grand plaisir à reprendre cette huitième scène de genre destinée à ma saison d'été. Je peins animé d'une sorte d'exaltation. La matinée se passe ainsi. Dans cette saine émulation que nous aimons tant. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans la cheminée.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. La pâte feuilletée a décongelée. J'en étale les deux tiers dans un plat à tarte. Je lave et je coupe de gros poireaux. Je les mets dans l'auto-cuiseur. Je concocte une Béchamel. J'égoutte le poireaux. J'égoutte les coquillettes. Je jette le poireau dans la Béchamel. Clémentine y rajoute le gruyère qu'elle vient de râper. De la noix de muscade.

Je recouvre le tout du dernier tiers de pâte. Clémentine en joint soigneusement les bords. Elle badigeonne du mélange œuf, lait de soja, moutarde à l'ancienne. Je mets au four pour une cuisson à 180°. La Flamiche Picarde pourra mijoter longuement. Cette tourte aux poireaux qui fera les délices de notre repas du soir. J'ai gardé un peu de garniture en accompagnement de nos coquillettes. Je dore deux dos de cabillaud à la poêle. J'y rajoute ail, échalote et champignons.

Nous mangeons de bon appétit. Même si Clémentine n'a pas cours le mardi après-midi, elle a du travail qui l'attend. Il y a deux mémoires à rendre pour le mardi 29 juin. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me dit : << C'est parfait cette météo. Je n'éprouve aucune frustration à devoir me consacrer à mon travail ! >>. Je trouve moi aussi que c'est très bien ainsi. Cette année je n'ai aucune avance sur mon timing. J'ai levé le pied dans le rythme de ma production.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de prendre un peu l'air, nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks. Il y a ce maudit vent. Il refroidit tout. Le ciel s'est sensiblement éclaircit. Clémentine, accrochée à mon bras, nous entraîne vers la rivière. Il est toujours impossible de prendre le sentier de gauche inondé par les eaux en crue. Nous montons sur l'étroite passerelle. C'est impressionnant de voir le niveau de la rivière.

Clémentine se serre contre moi. Nous nous embrassons. Nos bassins sont l'un contre l'autre. Nous savourons ces instants de douceurs. Nous prenons le sentier escarpé de droite. La rivière devient torrent. Il faut avancer prudemment. Glisser sur les roches glissantes signifie tomber dans les eaux tourmentées au risque d'être emporté par le courant. Nous flânons sur les tronçons qui le permettent. Nous prenons le sens du retour. En remontant, nous rencontrons notre voisin.

Nous bavardons. Monsieur Bertrand parle des travaux qui se déroulent chez lui. L'installation des panneaux photo-voltaïques. Clémentine en profite pour l'inviter à prendre le café vendredi. << 13 h30 ? Comme la dernière fois ? >> demande t-elle. << Oui, c'est parfait. Je n'aurai qu'une petite demi heure ! >> répond le retraité. Pas une seule fois, dans son attitude, je ne perçois le moindre malaise. Il ne sait évidemment pas que je sais tout. Je m'empresse de le rassurer un peu plus.

Je précise : << Une fois encore, Mr Bertrand, je ne pourrai pas être avec vous. J'ai tant de choses à terminer pour ma saison ! >>. Le vieux salaud joue parfaitement le jeu lui aussi. Nous le laissons aller nourrir les canards. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Je rajoute deux bûches dans l'âtre. Clémentine s'installe confortablement dans le canapé. C'est là qu'elle aime à rédiger les brouillons de ces textes. Je suis assis devant mon chevalet. Je peins dans la même exaltation que ce matin.

J'aime quand Clémentine me fait la lecture. Elle me lit les passages où elle reste hésitante. Je ne sais trop quoi dire tant tout cela me semble parfait. Il est 16 h30 quand résonne la musique imbécile de mon téléphone. Il est sur un des coussins. Clémentine s'en saisit. << Julie ! >> s'écrie t-elle avant de rajouter en se levant : << Reste à ta peinture, sors ta bite, je vais la chercher ! >>. J'extrais mon sexe que je laisse dissimulé sous ma blouse. Julie entre dans l'atelier. Toute souriante.

Je cesse de peindre pour l'inviter à prendre ma place. Julie adore être assise devant une toile en devenir. Clémentine retourne à ses écrits. Pour ne pas trop déranger, je chuchote pour répondre aux questions que murmure Julie. Je l'invite à prendre la palette. A la tenir de façon la plus naturelle. Je lui glisse un pinceau dans l'autre main. Je la mets en situation. Le poignet de la main qui tient le pinceau posé sur l'appui main. Je dis : << Posez la couleur. Juste là, sous l'étagère. Sur le mur ! >>.

Julie, hésitante, respire un grand coup. Avec d'infinies précautions, elle dépose une pointe de terre de Sienne. << Je vais tout gâcher ! >> chuchote t-elle. Je la rassure. C'est exactement la couleur que j'appliquais à cet endroit précis. Je murmure : << Vous aurez participé à cette œuvre ! >>. Julie pousse un soupir de soulagement en me tendant la palette et le pinceau. Elle découvre ma bite qui pend mollement entre les pans de ma blouse. Je l'ai ouverte à cette intention.

Je murmure : << Et ce pinceau là ? Il vous inspire ? >>. Julie ne peux s'empêcher de rire en cachant son visage dans ses mains. Clémentine nous observe du coin de l'œil. Elle se lève. << Je prépare le thé ! >> dit elle. Julie scrute ma toile en évoquant son impatience de tenir la galerie d'Art cet été. << C'est une de mes motivations les plus efficaces ! >> précise t-elle. Je dis : << Je suis heureux que vous vous en occupiez cette année encore. Sans vous, je cesserais de l'exploiter ! >>.

Nos voilà installés devant les tasses de thé fumantes. Clémentine et Julie parlent de leurs études. Julie aussi a un mémoire à rendre à la fin de ce trimestre. Un travail sur Emily Brontë. << J'adore cette auteure. Je me suis plongée dans son œuvre mais aussi dans son existence ! >> lance t-elle soudain animée de passion. Nous écoutons. C'est passionnant. Au fil de la conversation, Clémentine en arrive au rendez-vous de vendredi, 13 h30, avec monsieur Bertrand, notre voisin.

Julie me regarde comme paniquée. Je suis silencieux. Elle baisse rapidement les yeux. Clémentine lui demande : << Tu viens ? >>. Julie, sans hésiter, répond : << Oh oui ! Et comment ! >>. Clémentine rajoute : << Prête à te retrouver avec Julien dans le "placard à filles" ? >>. Julie, toujours sans hésiter, répond : << Prête ! >>. Nous restons silencieux. Julie garde les yeux baissés. Même si cette situation est terriblement embarrassante, elle est également très excitante.

La perspective de se retrouver, tout contre moi, dans l'espace exigu de ce placard où nous allons faire les voyeurs. De quoi tourmenter cette adorable jeune fille de 20 ans. Julie lance soudain : << C'était génial ! >>. Nous éclatons de rire. Julie me regarde soudain, rapidement, en disant : << Vous m'avez touché ! J'y pense tous les soirs en me couchant ! >>. Je demande : << Vous êtes fâchée ? Je vous promets de ne pas recommencer, alors ! >>. Julie s'écrie : << Non, pas du tout fâchée ! >>.

Je comprends qu'elle vient de me donner l'autorisation d'une récidive vendredi prochain. Julie rajoute : << Vous m'avez donné un orgasme vendredi dernier ! >>. Nous restons silencieux. Julie vient de prononcer ces mots avec une certaine gravité. Je saisis mon sexe. Je bande mou. Je l'agite en le tenant à sa base. Je me lève pour le diriger vers Julie. Elle me fait un délicieux et rapide sourire. Clémentine rajoute : << Tu vas encore bien t'amuser dans ce placard, Julie. Je le sens ! >>.

Julie doit nous laisser. Elle reprend son service pour 18 h30. Les mises en place sur la terrasse chauffée du restaurant de sa tante. Nous projetons de venir manger un de ces prochains soirs. << Pourquoi pas vendredi pour 19 h ? >> propose Clémentine. << Génial ! >> lance Julie en mettant son blouson. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Voilà Estelle qui arrive. Julie ne cache pas sa joie. Estelle non plus. Julie semble se rapprocher d'Estelle. Elles se tiennent toutes les deux les mains.

Un dernier coucou, nous rentrons vite nous mettre au chaud. Au sec aussi car il y a les premières gouttes de pluie. Nous retournons dans l'atelier. Estelle et Clémentine comparent les premières versions de leurs écrits. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est 18 h45. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle met les assiettes et les couverts. Je réchauffe la tourte aux poireaux. Nous mangeons de bon appétit. La Flamiche Picarde est un tel délice.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent leurs études. Il reste cinq semaines de cours. Je leurs propose d'oublier l'échéance des mémoires à rendre. Ces travaux d'écritures qui les tourmentent quelque peu. Je chuchote : << Léchage de minous ! >>. Estelle s'écrie : << J'ai mes "petits machins" de fille ! >>. Je précise que cela ne m'empêche nullement de lui sucer le clitoris. << Non, j'ai un peu mal au ventre. Et ça me gêne, tu le sais ! >>. Je n'insiste pas.

Estelle rajoute : << Par contre, si docteur Julien veut bien m'administrer son médicament et m'offrir sa thérapie, je suis prête à soigner mes douleurs ! >>. Nous éclatons de rire quand Clémentine dit : << Bref, tu veux tailler une pipe à ce brave docteur ! C'est ça ? >>. Nous rigolons comme des bossus en débarrassant pour faire la vaisselle. Estelle m'entraîne par la main jusqu'au salon. Elle me fait tomber dans le canapé. Clémentine s'installe dans le fauteuil pour nous observer. En se branlant.

Bonne soirée à toutes les coquines qui apprécient la thérapie de leur docteur préféré. A genoux, pour prendre leur médicament...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1532 -



Un mercredi, juste Clémentine et moi

Hier matin, mercredi, notre application nous réveille tout en douceur. Aucune agressivité dans le chant de ces oiseaux. Dans le bruit de cette source. Tout cela résonne au fond d'une mystérieuse forêt comme dans un comte de fée. Estelle se serre encore plus fort contre moi. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Il est presque six heures. Pas le temps d'en profiter davantage. Estelle se lève la première. Ses vêtements de gym à la main, elle se précipite vers la porte.

Nous revêtons nos tenues de sport. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Il y a déjà l'odeur du café, du pain grillé. Je l'aide à faire reprendre le feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant la superbe "pipe party" de hier soir. Estelle a passé sa soirée à me sucer sous le regard de Clémentine qui se masturbait. De nous voir dans nos trivialités reste son spectacle favori et préféré.

Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Estelle devra nous laisser tout de suite après. Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles. Exercices au sol et abdos. Retour au calme avec un stretching prétexte à la déconne. Estelle nous fait la bise avant de filer. Elle revient demain soir. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons de nos jeans, de nos chemises à carreaux pour redescendre.

Nous enfilons nos anoraks pour sortir. Il est presque 7 h50. Il fait toujours aussi moche. Il y a toujours ce maudit vent. Ce 26 mai ressemblerait presque à un 10 novembre s'il n'y avait la végétation exubérante du printemps. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Le sol est trempé. Dans l'abri à bois nous remplissons la corbeille d'une dizaine de buches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il faut se dépêcher de rentrer. Nous voilà dans l'atelier.

Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Ce matin c'est un peu spécial car il y a une vidéo conférence. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je suis dans d'excellentes dispositions d'esprit ce matin encore. Je peins dans la plus totale sérénité. La peinture de cette vingt deuxième toile destinée à ma saison d'été est source d'un étonnant plaisir. D'une passion dévorante.

La matinée se passe ainsi. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans la cheminée. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant la vidéo conférence. Une conférence proposée par un géomorphologue réputé. J'écoute avec intérêt tout en réchauffant la tourte aux poireaux. Dans une poêle je fais rissoler des queues de crevettes décongelées. Je prépare la pâte à crêpe.

Le repas du mercredi soir est désormais consacré au rituel des beignets de crevettes. La pâte à crêpe repose dans un saladier sous un linge. Les crevettes reposent dans la poêle sous un couvercle. Nous mangeons de bon appétit. La Flamiche Picarde réchauffée est toujours meilleure le lendemain. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point ça l'ennui de mettre au propre les notes prises ce matin, durant la conférence.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de sortir un peu, de nous dégourdir les jambes, nous dévalons les escaliers. Nous mettons nos anoraks. Le thermomètre extérieur indique 15°, un 26 mai, à 13 h20. Le ciel est couvert de lourds nuages gris, sinistres et menaçants. << L'horreur, dans toute son horreur ! >> lance Clémentine en m'entraînant par le bras. Nous descendons jusqu'à la rivière. Le bas du chemin est un vrai étang.

Il y a même les canards, les poules d'eau et les colverts qui semblent très heureux d'y faire les quatre cent coups. << Monsieur Bertrand n'a que 300 mètres à faire pour venir leurs apporter du vieux pain et des graines ! >> fait encore Clémentine. A peine a t-elle prononcé ces mots que la voix de notre voisin résonne derrière nous. << Bonjour ! Quel temps de chien ! En 66 ans je n'ai jamais vu un tel phénomène météorologique ! >> dit il. Nous bavardons un peu.

Clémentine lui rappelle qu'elle l'attend vendredi, à 13 h30, pour le café. << Je n'oublie pas ! C'est un plaisir. Dommage que Julien ne puisse se joindre à nous ! >> fait le vieil hypocrite. Le vieux fourbe est bien trop content de se retrouver seul avec cette jeune fille de 24 ans. Ce vieux pervers cache parfaitement sa joie. L'enfoiré. Je joue le jeu. Je ne suis pas censé être informé de ce qui se passe. Je me réjouis secrètement moi aussi. Mon plaisir sera double. Exquis et raffiné.

C'est en compagnie de Julie, caché dans l'espace exigu du "placard à filles", que je pourrai apprécier le spectacle de ses exhibitions vicelardes. Nous le saluons pour remonter en flânant. << Tu as vu le comédien ? Le menteur ? >> dit Clémentine. Nous éclatons de rire. Nous contournons la maison d'amis pour faire un tour au potager. Nous entrons dans la roseraie. << Cette année, avec ce temps, je n'ai pas l'âme jardinière ! >> fait Clémentine. Je dis : << Moi non plus, c'est décourageant ! >>.

Les cours en lignes reprennent à 14 h05. Nous remplissons la corbeille d'une dizaine de bûches avant de rentrer. Nous voilà dans la douce chaleur de l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. C'est avec un professeur que son groupe d'étudiants vont mettre les notes prises ce matin dans une forme littéraire. << Un exercice de style qui ravirait Julie ! >> murmure Clémentine lorsque je lui dépose la dernière bise sur le front.

Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. Je pense à monsieur Bertrand et à son comportement. C'est amusant de savoir qu'il ignore tout de notre complicité. L'après-midi se passe ainsi. Il est 17 h quand Clémentine vient sautiller autour de moi. Tenant des feuilles à la main, elle me lit ses écrits. Telle une actrice de théâtre elle déclame son texte. En y mettant des intonations et des inflexions ridicules qui nous font rire.

Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, Clémentine joue avec ma queue tout en observant ma peinture. << Comme tu m'as fait belle et élégante ! >> lance t-elle. J'ai consacré la journée à peindre nos trois visages. Celui de Clémentine, d'Estelle et le mien. Les trois personnages de mes scènes de genre reçoivent toujours nos traits. Pour moi aussi c'est un exercice de style aussi. Je pose la palette et les pinceau sur la desserte à ma droite. Je saisis Clémentine par la nuque.

Je sais quand elle a besoin de mes "attentions". Quand elle insiste ainsi à me tripoter, puis à se mettre à genoux pour poser sa tête sur ma cuisse. Clémentine ressent le besoin de passer à autre chose. De se changer les idées. Je lui caresse la nuque. Je passe mes doigts derrière ses oreilles. Délicatement je la tiens par son catogan. Il y a le nœud de velours carmin. J'écarte les pans de ma blouse. Je lui frotte le visage sur ma queue. Ses gémissements de contentements résonnent dans la grande pièce.

Je me lève. C'est en la tenant par son catogan que je l'entraîne. Marchant à quatre pattes, docile, Clémentine avance sur ma droite. Je lui fais faire le tour de l'atelier. A chaque pieds de table, à chaque coin de meuble, Clémentine s'arrête pour lever la patte. Je la promène ainsi en restant principalement sur le large et épais tapis devant la cheminée. Je la force à se redresser. A genoux, bien droite, les mains sur la tête, Clémentine m'offre son visage. J'y frotte ma queue molle et flasque.

Je passe mon sexe sur tous les reliefs de son visage, sur les lèvres de sa bouche. Clémentine a encore du travail. Je l'aide à se redresser en disant : << C'est un avant goût de la soirée que je te réserve ! >>. Clémentine m'entraîne dans une sorte de tango. << Je t'aime Julien. Je t'aime ! >> s'écrie t-elle en nous faisant virevolter dans toute la grande pièce. Clémentine est installée dans le canapé, son iPad sur les genoux. Je suis assis devant mon chevalet. J'aime entendre Clémentine lire à haute voix.

Il est 18 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse. Je rejoins Clémentine. Elle se couche sur le dos, sa tête posée sur mes cuisses. Les yeux fermés, elle reste silencieuse à savourer mes caresses. Je passe le bout de mes doigts sur son visage. Comme elle est belle encore ce soir dans son total abandon. Elle frotte sa joue contre ma bite en gémissant d'aise. Nous aimons ce moment de retour au calme. Ces instants agissent un peu comme une thérapie.

La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. << Demain, il y a une autre vidéo conférence. C'est une dame cette fois ! Rebelote ! >> dit elle. Je fais chauffer l'huile. Je trempe les queues de crevettes dans la pâte à crêpe. Je les plonge dans l'huile bouillante. Clémentine les récupère avec l'écumoire pour les déposer dans un grand plat. Il en restera pour demain midi. Je fais gonfler du riz complet en accompagnement.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur son rendez-vous de vendredi. Elle évoque les propositions salaces de notre voisin. Lui aussi aimerait bien lui offrir une séance "Bondage". J'encourage vivement Clémentine à accepter. Elle est encore hésitante. Dans le cas de monsieur Bertrand, elle veut y aller doucement. Faire traîner les choses. Voir jusqu'où il veut l'emmener.

Clémentine est une authentique "soumise". Même si elle me confie que ce fantasme a tendance à se calmer. << La perspective de quelques bonnes séances de "dressages" m'excitent au-delà du raisonnable. ! >> dit elle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Je la saisis à nouveau par son catogan. Sans ménagement, je l'entraîne au salon. Elle marche courbée derrière moi en prenant garde de ne pas trébucher. J'ordonne : << A genoux sur le coussin, mains sur la tête ! >>.

Clémentine s'exécute. Du tiroir du bas du bureau, je tire le collier canin, la laisse, les menottes. Clémentine en glousse de plaisir. Je noue le fin foulard de soie autour de son cou. Par dessus j'y passe le collier canin. J'y fixe la laisse. Je menotte ses poignets derrière son dos. Je l'aide à se relever. Je l'entraîne ainsi. Nous faisons le tour de la grande pièce. Je la fais passer sous le bureau. Je m'assois. J'allume l'ordinateur. Je commence à rédiger le brouillon de ce récit.

Clémentine est entrain de me tailler une pipe pendant que j'écris, que je lis à haute voix. Demain matin, il me suffira de faire un copié/collé et de cliquer sur "envoi". De partager sur les forums où nous publions. En fonction des phrases que je prononce distinctement, la succion de Clémentine change. S'accentue quand elle glousse. Diminue quand elle écoute. Cesse quand elle se met à rire. Je la tire de dessous le bureau. A genoux à ma droite, elle lit le texte sur l'écran de l'ordinateur.

Même s'il est exclu de poster la moindre photo, même sur notre Blog, rien n'empêche de décrire, dans le détail, certaines scènes. Je me lève. J'aide Clémentine à se redresser. Je la fais s'assoir dans le confortable fauteuil. Je m'installe sur le bureau. Je me fais tailler une pipe. Toutes les deux trois minutes, je sors ma bite de cette bouche engluée de foutre visqueux et épais. Tenant alors Clémentine sous le menton, j'en scrute l'intérieur. Je lui administre une gifle. De la jute en gicle.

Ce ne sont jamais des actes de violence. Jamais. J'en serais bien incapable. Mais cela fait partie du rôle. De ce qu'exige Clémentine à chaque fois que nous jouons à "Mike et Samantha". Je lui fourre la queue au fond de la gueule. Elle en tousse. Il y a du foutre qui lui coule des narines. Des larmes qui s'écoulent de ses yeux fermés. Clémentine module ses gémissements en fonction de ce que je lui inflige. Je me penche pour murmurer : << Monsieur Bertrand s'occupera de toi ainsi ! >>.

A chaque fois que j'évoque notre voisin, je sens bien que l'excitation de Clémentine monte d'un cran. Je l'aide à se redresser. Je retire ses menottes. Je masse ses poignets endoloris. Je lui retire ses baskets, jeans et culotte. C'est couchée sur le bureau, debout entre ses cuisses, que je la baise à la hussarde. Sur l'écran de l'ordinateur, il y a un film de cul. Clémentine observe en hurlant cette fille qui se fait baiser dans les mêmes conditions. Je lui offre encore ce soir un orgasme qui la fait crier.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire "allumer" dans des montées progressives d'excitations, de stimuli et de caresses...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1533 -



Je tente une nouvelle expérience

Hier matin, jeudi, il est presque six heures quand nous sommes tirés de nos profonds sommeils par le chant des oiseaux. Le bruit de la source. Cette application nous réveille tout en douceur. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. << Comme c'était bon hier soir ! >> murmure t-elle à mon oreille en saisissant mon érection matinale. L'impérieux besoin de pisser et l'obligation de nous plier à l'horaire mettent rapidement un terme à nos effusions. A nos papouilles.

Vêtus de nos tenues de sport, nous nous précipitons aux toilettes. Je saisis Clémentine par ses cheveux, comme hier soir. Ce comportement qu'elle apprécie tant. Morts de faim, c'est ainsi que nous descendons les escaliers jusqu'à la cuisine. << Je vous aime mon doux "Maître" ! >> me dit elle en se serrant dans mes bras. C'est le facteur temps qui est déterminant. Mais l'expérience est concluante. C'est la toute première fois que je la tente ainsi, dès le levé. Dès le matin.

Clémentine fait le café. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte les premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en échangeant nos impressions. Nous mangeons de bon appétit. J'écoute Clémentine me confier à quel point mon attitude matinale la comble de joie. Il est 6 h25. Après avoir hésité, nous préférons monter nous offrir une heure d'entraînement en salle. Plutôt que d'aller courir dans la désagréable fraîcheur.

Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles. Exercices au sol, abdos. Le tout avec une intensité maximale. Retour au calme avec un stretching appliqué. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Nous descendons pour mettre nos anoraks. Nous sortons. Le thermomètre extérieur indique 10°. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. A nouveau je saisis Clémentine par ses cheveux. Fermement.

Jusqu'à l'abri à bois ou nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Il est 7 h50. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Ce matin encore, ce sera une vidéo conférence. Nous avons juste le temps de rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je lui fais une dernière bise sur le front en murmurant : << Bonne matinée ma douce "Soumise" ! >>. J'allume un bon feu dans la cheminée.

Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de la huitième scène de genre destinée à ma saison d'été est passionnante. Je peins dans une sorte de satisfaction gourmande. A la pause de 10 h. Avant d'aller aux toilettes, Clémentine vient me faire plein de bisous. << I love you my sweet "Master" ! >> murmure t-elle. Comme la vidéo conférence est simultanément en français et en anglais, Clémentine reste dans cette expression linguistique.

La matinée se passe ainsi, dans une passionnante émulation. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans la cheminée. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. C'est une dame, géomorphologue anglaise, qui est intervenue ce matin. Une sommité mondiale. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je réchauffe le reste des beignets de crevettes de hier soir. La pâte feuilletée a décongelé.

Je l'étale dans deux plats à tarte aux bords hauts. Je lave et je coupe de belles tomates, une belle courgette aussi grosse qu'un concombre. Des champignons. Clémentine aime à disposer le tout en spirale sur la pâte. Je prépare un "flanc" avec deux œufs, du fromage blanc, du lait de soja et de la moutarde à l'ancienne. Je verse sur le tout. Clémentine y dépose le gruyère qu'elle vient de râper. J'égoutte les coquillettes. Nous mettons les tartes à la tomate dans le four électrique.

Cuisson à 180° afin de bien laisser mijoter. Le thermostat contrôle la cuisson. Il reste du gruyère avec les coquillettes et les beignets de crevettes. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me donne son programme de l'après-midi. Avec le professeur et son groupe d'étudiants, il faudra mettre au propre les notes prises ce matin. Ce travail commun a pour but de définir une synthèse sous forme littéraire.

<< Un travail qui ne déplairait pas à Julie ! >> dit Clémentine. Je la saisis par la nuque. Je la force à se redresser. Toute surprise par mon attitude, Clémentine ouvre de grands yeux en poussant un petit cri. Je la serre contre moi en glissant une main entre ses cuisses pour la forcer à se dresser sur la pointe des pieds. Elle maintient son équilibre en s'accrochant à mes épaules. Je fouille sa bouche d'une langue exploratrice. Je ne lui laisse pas le temps de réagir. Elle en gémit de plaisir.

Nous débarrassons la table avant de faire la vaisselle. << Mais j'adore quand tu es comme ça ! >> lance t-elle à plusieurs reprises. Je la saisis une nouvelle fois par sa tignasse pour l'entraîner dans l'escalier. Presque tirée par les cheveux, Clémentine me suit, courbée en avant. Nous montons nous laver les dents. Pressés de profiter de ce soleil et de ce ciel enfin dégagé, nous redescendons à toute vitesse. Cette fois c'est Clémentine qui m'entraîne par la main. Le thermomètre extérieur indique 19°.

Nous mettons nos anoraks. Il y a toujours encore ce maudit vent. Clémentine accrochée à mon bras nous descendons vers la rivière. L'étang qui s'est formé au bas du chemin empêche l'accès au sentier de gauche. Nous prenons le sentier escarpé de droite. Là, pas question de manquer de prudence, de vigilance. Les roches sont glissantes. Nous nous arrêtons pourtant tous les cinquante mètres pour nous embrasser comme des fous. A chaque fois je glisse ma main entre les cuisses de Clémentine.

J'essaie d'être le plus vulgaire possible. Je la tiens par la nuque pour la forcer à s'accroupir. Je sors mon sexe que je frotte sur son visage. Je n'ai encore jamais eu ce comportement depuis le levé matinal. Je veux que Clémentine aille de surprise en surprise. C'est en gloussant de plaisir qu'elle subit mes "expériences". Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il est temps de songer à retourner. Il y a monsieur Bertrand, notre voisin, qui est entrain de nourrir les canards, les poules d'eau et les colverts.

Il ne nous voit pas immédiatement. J'en profite pour saisir une nouvelle fois Clémentine par sa tignasse. Je la fais avancer à ma droite. Elle marche péniblement, penchée en avant. Elle doit faire attention où elle pose les pieds. C'est à cet instant que Mr Bertrand tourne la tête pour nous voir arriver. Il fait mine de ne pas s'apercevoir de ce qui se passe. Il faut dire que depuis presque quatre ans, il a surpris quelques situations du même ordre depuis son jardin en mâtant dans le nôtre.

Clémentine, que rien n'excite autant que de ressentir une certaine honte, une légère humiliation, reste bien droite à côté de moi. Nous saluons Mr Bertrand avec qui nous bavardons un peu. Les travaux d'installations des panneaux phot-voltaïques sont terminés. Il nous invite à passer les voir. Clémentine lui rappelle une fois encore qu'il est attendu pour le café, vendredi, à 13 h30. Clémentine qui dit : << Il faut qu'on vous laisse ! >>. Je la saisis par la nuque. Nous saluons Mr Bertrand.

<< Tu es génial ! Ça m'excite. Tu me mets dans tous mes états depuis ce matin. Je t'aime Julien ! >> me fait Clémentine en s'arrêtant soudain pour m'embrasser. Nous ouvrons les yeux pour constater que là-bas, deux cent mètres en contrebas, notre voisin n'en rate pas une miette. J'en profite pour glisser une fois de plus ma main entre les cuisses de Clémentine. Il faut y aller. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles.

Je peins avec le même sentiment de profonde satisfaction que ce matin. J'éprouve même une certaine fierté d'avoir eu enfin le comportement qu'aime tant Clémentine. Cette toile sera terminée demain en fin de matinée. L'après-midi se déroule dans une intense ambiance de travail. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. Comme hier, une feuille à la main, elle déclame son texte comme le ferait une actrice de théâtre. J'adore peindre en l'écoutant. C'est une ivresse.

Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, tout en jouant avec mon sexe, Clémentine observe ma peinture. Elle a encore du travail. Je pose ma palette et mes pinceaux sur la desserte à ma droite. Je saisis Clémentine par ses cheveux. Je me lève. C'est à quatre pattes qu'elle avance à mes côtés. Je prends soin de rester sur l'épais tapis pour ne pas martyriser ses genoux. C'est ainsi que je l'emmène vers le vieux canapé de velours carmin. Je l'y installe confortablement.

Je récupère son iPad sur la table pour le lui ramener. << Je vous aime mon doux "Maître". Vous êtes si plein d'attentions pour la "chose" que je suis ! >> fait Clémentine. Je me penche pour lui murmurer : << Je vous aime ma douce "Soumise". Sans vous la vie dans cette grande demeure serait bien monotone ! >>. Je lui dépose un bisou sur le front. Comme si elle voulait encore me retenir, Clémentine m'attrape par les poignets. Nous avons encore tous deux des choses à terminer.

Il est 18 h15. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Du bruit. Voilà Estelle qui entre dans l'atelier. Elle se précipite. << Vous ne m'avez jamais autant manqué ! >> s'écrie t-elle. Des bisous et elle vient se blottir contre moi. Nous rejoignons Clémentine dans le canapé. Elles comparent toutes les deux leurs écrits. Elles suivent les mêmes cours et sont presque en permanence en contact dans le même groupe d'étudiants. Une complicité qui dure depuis leurs 13 ans. Il y a onze ans !

Les vidéo conférences sont passionnantes. J'écoute en silence. C'est hyper intéressant. C'est le troisième jour des "petits machins" de fille d'Estelle. Plus de douleurs. << C'était chiant cette fois ! >> lance t-elle quand nous nous levons pour quitter l'atelier. A la cuisine, Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare la table. Je réchauffe une des deux tartes à la tomate. La plus grosse. << Mmmhhh ! Miam ! Je me réjouis depuis ce matin pour ce repas ! >> s'écrie Estelle.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte mon attitude depuis ce matin. << Put-Hein ! C'est toujours quand je ne suis pas là ! Je veux aussi ! >> lance t-elle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Je me lève pour sortir ma queue. Je l'agite dans sa direction. Je dis : << Je vais m'occuper de ton cas à toi aussi. Dès la fin de tes "petits machins" ! >>. Je contourne la table. Je la saisis par son catogan. Sans ménagement. Elle oppose une résistance de principe.

Trop heureuse que je lui administre un résumé de ce que je lui réserve. Je la tiens fermement pour attirer sa tête contre ma braguette. Elle lutte. Elle joue toujours si bien ce rôle que je lui connais depuis quatre ans. Je lui frotte la bite sur la gueule. Je la tiens par les oreilles. Elle tente de se débattre. Clémentine m'observe, comme admirative. Elle me fait le plus délicieux des sourires. Estelle n'est pas une authentique "soumise". Au début, c'était pour faire comme Clémentine. Elle y a pris gout.

Je tente de lui enfoncer la bite dans la bouche. Elle avale sa bouchée de tarte à la tomate. Elle m'empêche de le faire. Je n'ai d'autres choix que de lui pincer le nez. Pour pouvoir respirer, Estelle devra forcément ouvrir la bouche. C'est à cet instant que j'en profite. En sournois. En vicieux, alors qu'Estelle me saisit les poignets pour se dégager de mon étreinte. Elle me repousse. Je retourne m'assoir. Les yeux larmoyants, elle me fixe avec sévérité. Il y a même un petit air de reproche non feint.

Nous traînons à table. Je recommence deux fois. Une fois pour Clémentine qui elle ne se débat pas. Une fois pour Estelle qui appréhende l'instant où je reviens l'empoigner par la nuque. Nous prenons notre dessert. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles échangent leurs impressions. Je promets à Estelle une soirée de "dressage" qui lui sera entièrement consacrée. << Moi je filme ! >> lance Clémentine. << Génial ! >> s'écrie Estelle. Distribution de bisous.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Je saisis mes deux anges par la nuque. C'est moi qui les entraîne au salon ce soir. Clémentine me tient les couilles. Estelle me tient la bite. Lorsque j'embrasse l'une, l'autre me suce. Estelle est frustrée. Cela la gêne que je suce son clitoris quand elle a son tampon. Moi j'aime bien jouer avec la ficelle. C'est ainsi que je lui offre deux orgasmes successif. Sous le regard de Clémentine qui se masturbe dans son fauteuil. Estelle me suce. Je lèche Clémentine.

Bonne soirée à toutes les coquines qui préfèrent les jeux de bouches, l'étude des langues vivantes, plutôt que les pénétrations...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1534 -



Enfin une journée ensoleillée et de la bicyclette

Hier matin, vendredi, accompagnant nos rêves, il y a le chant de ces mystérieux oiseaux. Il est presque six heures. Le bruit de cette mystérieuse source. Nous nous réveillons. Cette application le fait avec délicatesse. Autant que celle d'Estelle qui se serre encore plus fort contre moi. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Estelle se lève d'un bond. Ses vêtements de gym à la main, elle se précipite vers la porte. Nous mettons nos tenues de sport. C'est à notre tour.

Morts de faim, dès la fin de nos rituels pisseux, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans l'odeur du café, dans celle du pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant nos folies de hier soir. Nous mangeons de bon appétit en parlant déjà de celles à venir. Nous en rions de bon cœur. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Ce matin encore, de s'y mettre demande un certain effort. Relativement facile. Réjouissances.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, exercices au sol, abdos. Dans l'intensité maximale. Puis vient le retour au calme que procure le stretching. Estelle nous fait la bise. Elle file. Elle revient demain en début d'après-midi. S'il fait beau, ce sera pour une randonnée à vélo. Nous prenons notre douche. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous descendons pour mettre nos anoraks. La fraîcheur est vive. Le ciel est totalement bleu. Il est 7 h50.

Comme elle termine à midi et que le week-end commence, Clémentine est toute euphorique. Les cours en ligne reprennent à 8 h05. Nous n'avons qu'une dizaine de minutes pour aller remplir la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Nous rentrons vite. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette.

Je peins dans cette légère euphorie offerte par Clémentine. Il est 11 h30 quand je dépose la dernière goutte de vert d'émeraude sur la surface de ma toile. Cette huitième scène de genre destinée à ma saison d'été est terminée. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je dépose l'œuvre sur le second chevalet afin qu'elle y sèche. Je dépose un autre tableau sur le support. La neuvième scène de genre. Le dessin préparatoire est déjà réalisé. La couche d'impression déjà passée.

Il est 11 h55 lorsque Clémentine vient me rejoindre. Elle m'entraîne dans une valse en chantant << Week-end ! >>. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je réchauffe la seconde tarte à la tomate. C'est rapide. Je mets les assiettes et les couverts. Clémentine me tend sa natte. Je comprends immédiatement. Je la saisis pour l'entraîner. Nous faisons le tour de la grande pièce. << Je vous aime, mon doux "Maître ! >> dit elle.

Juste avant la sonnerie du four, je fais : << Je vous aime ma douce "Soumise" ! >>. Nous nous embrassons passionnément. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme de l'après-midi. Nous partons à bicyclette. Enfin. Nous avons tant attendu la douceur du soleil. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me demande d'avoir mon comportement de "Maître" plus souvent dans les prochains temps. Je promets.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous nous changeons. Clémentine porte une de ses jupettes façon tennis. Carmin. Un sweat de coton fin, rouge. Ses baskets. Je porte un de mes shorts noirs en lycra. Un sweat identique à celui de Clémentine. Pressés d'aller au grand air, nous descendons l'escalier à toute vitesse. Nous sortons. Nous allons au garage pour en sortir nos VTC. Je vérifie le gonflage des pneus. 5,5 bars derrière et devant.

Il est à peine 13 h que Julie dans sa Clio rouge descend doucement pour se garer devant le garage. Elle est radieuse. Toute contente de nous voir. Aujourd'hui elle porte une jupe jeans. Un sweat mauve. Ses longs cheveux presque noirs brillent sous le soleil. Je l'aide à tirer son vélo du hayon arrière. J'y fixe la roue avant détachée pour le transport. << Je suis libre. J'ai pris congé. Je peux rester avec vous jusqu'à demain onze heures ! >> s'écrie t-elle en sortant la caisse contenant le repas commandé.

Nous avons notre petit "plan" qui nous attend avant de partir. Clémentine a fixé rendez-vous à monsieur Bertrand. Il est déjà 13 h30. Nous entrons dans la maison d'amis. Je félicite Julie pour sa tenue. Elle paraît encore plus menue en jupe. Presque maigre. Il faut dire qu'elle se dépense sans compter entre ses études et son job de serveuse. Clémentine dispose les deux tasses. Le sucrier et la bouteille thermos contenant le café encore chaud de ce matin. Juste à bonne température.

Il va être l'heure. J'entre dans le placard le premier. Julie me fait un timide sourire avant de m'y rejoindre. Il faut se serrer dans l'espace exigu. Clémentine referme la porte. Julie est debout sur la boîte en bois, tout contre moi. Nous pouvons observer à tour de rôle par la grille d'aération d'une dizaine de centimètres de diamètre. Nous n'attendons pas longtemps. Clémentine va ouvrir. Suivie de notre voisin elle l'invite à prendre place dans le canapé face au sien. Nous retenons nos respirations.

Le vieux salaud n'est dans la maison que depuis une minute qu'il a déjà la main sous la jupette de Clémentine. Elle a un réflexe pour dégager sa main en s'écriant : << Louis, je vous en prie. Il y a le café. Vous voulez des petits gâteaux ! >>. Le bougre répond : << Non , je préfère de la moule ! >>. Le ton est donné. Je tiens Julie par la taille. Je sens sa main se glisser autour de mes hanches. Pour conserver nos équilibres, nous n'avons que cette solution. Mr Bertrand a retiré sa main.

Il sort sa bite. Ce sexe minuscule en tout point semblable à une petite saucisse viennoise. La couleur, l'aspect, la forme. Je monte doucement ma main pour la poser sur le sein de Julie. Je la sens se lâcher. Comme me la dit Clémentine, Julie n'attendait que ce moment. Nous regardons par l'orifice, chacun son tour. Clémentine saisit la "viennoise" de Mr Bertrand. Par contre, une fois encore, elle esquive sa tentative de l'embrasser. << Pas de ça Louis ! >> lui dit elle. Fermement.

Le salaud lui glisse une fois encore la main entre les cuisses. << Tu as une culotte aujourd'hui ! >> lance t-il. << Oui, je déteste faire de la bicyclette sans culotte ! >> répond t-elle. Mr Bertrand s'installe à côté de Clémentine dans le canapé qui nous fait face. Il n'arrête pas de la tripoter. Elle lui masse la turbe. << Julien est entrain de se changer. Nous allons partir avec notre amie Julie ! >> fait Clémentine. << Elle fait partie de votre "Club" cette Julie. Elle est bien jeune ! >> dit Mr Bertrand.

J'ai glissé mon autre main sous la jupe de Julie. Quelle n'est pas ma surprise de découvrir qu'elle ne porte pas de culotte. Dès que je passe mon index sur son sexe je découvre qu'il est gluant. J'y enfonce mon doigt. Julie se lâche complètement. Elle s'abandonne dans mes bras. Je pose ma main sur sa bouche en murmurant : << Chut ! >>. Je doigte délicatement Julie. Elle est couverte de frissons. De spasmes. Elle ne regarde plus que parcimonieusement par la grille d'aération. Moi je mâte.

Julie imprime un mouvement masturbatoire sur ma main. Elle pèse de tout son poids sur mon poignet. Je la branle. Sa respiration haletante pourrait nous trahir. Je serre ma main sur sa bouche. Elle doit connaître un orgasme car elle a un mouvement de tout le corps. Je suis obligé de la soutenir. Mr Bertrand s'est levé. Clémentine ne lui a pas lâché le Zob un seul instant. Le salaud n'a pas cessé de la doigter lui aussi. Elle est debout devant lui, cambrée sur ses genoux fléchis. Un air d'extase sur ses traits.

Notre voisin est obligé de s'en aller. << Je fais le chauffeur pour ma femme et ma belle-mère ! Merci pour le café ! >> fait Mr Bertrand avant de retirer sa main. Clémentine lui lâche la bite. << On se voit pour un café, vendredi prochain ? >> demande t-elle. << Avec plaisir Clémentine ! >> répond t-il avant de quitter la maison. Clémentine vient nous ouvrir. Julie est dans mes bras. Elle sort la première. Elle est toute gênée. Elle fuit mon regard. << C'était bon ? >> demande Clémentine.

Julie répond par un sourire. Son regard baissé qui trahit son profond désarroi devant cette situation embarrassante. L'après jouissance. << Venez, on file ! >> lance Clémentine. Je montre mes doigts à Julie en disant : << Vous avez coulé dessus. Félicitation ! >>. Elle ne répond pas. Trop gênée. Mais je la sais tellement heureuse. Nous sortons. C'est au robinet extérieur que nous nous rinçons les mains avec un gros savon de Marseille tout desséché. Nous voilà sur nos bicyclettes.

Nous descendons les 300 mètres jusqu'à la rivière. Nous franchissons la passerelle dont j'ouvre le cadenas du portillon. Nous parcourons les 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Quel plaisir d'être enfin là, sous le soleil. Il n'est que 14 h15. Nous pédalons poussés par un léger vent de Nord Est. Nous l'aurons de face au retour. Nous croisons de nombreux cyclistes. Des filles en rollers. Dix kilomètres jusqu'au cabanon de l'écluse où nous nous arrêtons. Julie tire sa culotte de son petit sac à dos.

Elle contourne le cabanon pour aller faire son pissou. Cachée. Pudique. Alors que Clémentine descend la sienne, s'accroupit au milieu de la piste pour se lâcher dans son abondance habituelle. Je fais le guet, un mouchoir en papier à la main. Je la torche soigneusement. Juste à temps car il y a un trio de séniors qui pédalent à toute vitesse. Julie est restée dissimulée à nous observer. Nous repartons. Nous pouvons souvent rouler côte à côte tout en bavardant. Les filles évoquent leurs études.

Il est 15 h45 quand nous arrivons au port de plaisance. Il y a une ambiance festive. Plein de monde. Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie. Du petit sac à dos que je porte, Clémentine tire nos masques sanitaires. Elle y met sa culotte qu'elle vient de retirer. Nous traversons la route pour nous rendre à la supérette. Il y a du monde. Il faut ruser. Julie se met dans la file à l'une des deux caisses. Nous portons nos masques sanitaires. Clémentine m'entraîne aux congélateurs.

Julie adore la glace au nougat. Nous aussi. Mais la pistache sait nous ravir. Nous prenons donc deux bacs de 900 ml. De la marque Adélie, ces glaces sont délicieuses. On les trouve sous l'enseigne "Intermarché". Je recommande sans faire de publicité. Juste parce qu'elles sont savoureuses. Nous rejoignons Julie à la caisse. Bonne stratégie qui nous évite d'attendre notre tour. Il suffit de payer. Nous voilà au soleil. Il fait presque chaud. C'est tellement agréable. Nous sommes assis sur le muret.

Les pieds dans le vide, nous savourons nos délicieuses glaces. Un coup de cuillère à moka dans le bac pistache, un coup de cuillère dans le bac nougat. Julie nous confie sa joie de rester avec nous jusqu'à demain. Discrètement, je fais dépasser ma bite de mon short sur ma cuisse. Julie s'en rend rapidement compte. Clémentine en tient le bout entre son pouce et son index. Quelle surprise. Julie me la prend dans sa poigne. Je bande rapidement comme le dernier des salauds.

Clémentine dit : << Quand Julien bande comme ça, obligé de le faire discrètement, ça m'excite comme une folle ! >>. Julie rajoute : << Moi aussi, ça m'excite. Tout ce que nous vivons m'excite ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous traînons en flânant sur le quai. Il y a un bateau qui fait des manœuvres. Nous descendons jusqu'aux bâtiments des sanitaires réservés aux plaisanciers. Fermés. Nous longeons le canal le long du sentier. Il y a plein de pêcheurs. Trop de monde pour une exhibe.

Clémentine aimerait beaucoup faire son "numéro" devant un de ces pêcheurs. Ne prenons aucun risque. Dans les fourrés, sous le regard de Julie, Clémentine me taille une pipe. Elle invite Julie à venir savourer ma queue. Julie décline l'invitation avec un simple sourire. Je lui caresse la nuque. Elle adore quand je passe ma main sous ses cheveux. Comme dans le placard. Par contre elle retire ma main doucement lorsque je la glisse une nouvelle fois sous sa jupe. J'aide Clémentine à se redresser.

Pas question d'aller jusqu'à l'éjaculation. Ce sera pour ce soir, après le repas. Il est 18 h. Nous prenons le sens du retour. Il faut enfiler les K-ways. La fraîcheur va s'accentuer jusqu'à la maison où nous arrivons pour 19 h30. Morts de faim. Nous réchauffons les croustades de fruits de mer ramenés par Julie. Nous traînons à table. Au salon, nous offrons aux regards de Julie, une de nos séances du "Maître" et de sa "Soumise". Elle se masturbe de contentement. Son canapé-lit l'attend à l'étage.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment rendre visite à leurs couples d'amis. Qui aiment assister à leurs jeux, à leurs turpitudes...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1535 -



Julie est si heureuse en notre compagnie

Hier matin, samedi, il est 7 h45 quand Clémentine vient se blottir contre moi. << C'était si bon hier soir ! >> murmure t-elle à mon oreille en passant sa jambe sous mes fesses, posant l'autre sur mon pubis. Elle se frotte doucement dans un léger mouvement masturbatoire. J'ouvre les yeux. Julie se réveille elle aussi, là-bas, dans son canapé lit. Clémentine m'entraîne par la main. Avant de nous diriger vers la porte nous faisons un détour pour aller déposer un bisou sur le front de Julie.

Après nos rituels pisseux, morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Julie descend à son tour pour venir nous rejoindre dans la cuisine. Vêtue de son jeans, de son sweat. Elle est toute contente, reconnaissante d'être restée avec nous depuis hier après-midi. Le grille pain éjecte les premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant la soirée de hier.

Nous mangeons de bon appétit. Julie a assisté, toute la soirée, à une de nos séances du "Maître" et de sa "Soumise". Incorrigible voyeuse, elle a pris un plaisir fou à regarder nos jeux. << Tu ne viens pas courir avec nous ? >> demande Clémentine. Julie préfère rester. Elle répond : << J'ai beaucoup de mal à garder le peu de poids que j'ai. Si je m'entraîne plus de trois fois par semaine, je vais encore maigrir davantage ! >>. Nous n'insistons pas devant une telle évidence.

<< Par contre, j'insiste pour faire le ménage. S'il vous plaît ! >> lance Julie. Nous la regardons avec étonnement. Elle s'empresse de rajouter : << Pas pour l'argent ! >>. Nous éclatons de rire. Je précise : << Si ce n'est pas pour l'argent, alors vous ne pouvez pas faire le ménage chez nous ! >>. Nous sommes pliés de rire. Il est presque 8 h. Nous enfilons nos K-ways pour sortir. La fraîcheur est vive mais qu'est-ce qu'il fait beau. La journée promet d'être magnifique. Enfin !

Nous laissons Julie à son ménage. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous montons jusqu'au portail que nous laissons grand ouvert pour les livraisons. Nous courons sur l'étroite route communale sans croiser de voiture. Trois kilomètres jusqu'au haras. Un kilomètre jusqu'à la clairière où nous faisons nos abdos, nos pompes et nos exercices au sol sur les bancs. Nous revenons pour 9 h après un superbe jogging. Nous entendons Julie manœuvrer l'aspirateur depuis la salle de bain.

Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous dévalons les escaliers. Assise sur mes genoux, au salon, Clémentine allume l'ordinateur. Un message de ma famille en Ecosse. Oncle Alan m'informe que pour des raisons sanitaires, le pays n'est toujours pas ouvert au tourisme étranger. Que seuls les ressortissants écossais peuvent entrer. Ayant la double nationalité, je peux rentrer dans mon pays quand je le souhaite. Avec les garanties nécessaires. Vacciné. Testé.

Par contre, Clémentine ne pourrait pas m'accompagner. << Mais quand auront-ils fini de nous faire chier avec leurs conneries ! >> s'exclame Clémentine. Sa position est claire. Si l'Ecosse nous est interdite cet été encore, pas de vaccination. Je ne dis rien. De toutes manières, Clémentine a prévu trois plans B. Le Jura, les Alpes, la Vendée. Nos réservations sont effectives. Les arrhes déjà versés. Les arrhes, contrairement aux acomptes, se remboursent obligatoirement. C'est la loi.

Clémentine qui sait s'y prendre, a négocié tout cela avec les différents loueurs privés. Une fois encore j'admire son sens des affaires. Il y a un message de Juliette qui nous donne quelques nouvelles du haras. Il ne reste plus qu'une trentaine de chevaux. Elle attend avec impatience la fin de cet absurde couvre feu qui impose d'être chez soi à partir de 21 h. Dès qu'il sera levé, nous serons invité à un repas. C'est vrai que nous sommes impatients de nous revoir. De passer un peu de temps ensemble.

Julie entre dans le salon en tirant le chariot aspirateur. Elle a son adorable sourire. << En haut, tout est fait. J'ai descendu les draps à la cave, dans la buanderie. La machine tourne ! >> nous fait elle. Nous éteignons l'ordinateur. En quittant le salon pour la laisser nettoyer, nous lui déposons un bisou sur le front. Dans une enveloppe, discrètement, j'ai eu le temps de glisser un billet de 50 euros. Le thermomètre extérieur indique 18°. Il est presque 10 h. Nous sortons en chemises. C'est supportable.

L'absence de ce maudit vent qui a soufflé ces derniers jours, rend le climat agréable. Au soleil il fait déjà si bon. Voilà la camionnettes qui descend le chemin. C'est la même jeune femme qui vient nous livrer nos fruits et nos légumes. Elle porte son masque sanitaire fixé à son poignet. << Vous voulez que je le mette ? >> demande t-elle. Clémentine répond : << Surtout pas ! Pas ici ! Nous sommes dans un espace de liberté ! >>. La jeune femme se met à rire en sortant les deux cageots.

L'un contient nos fruits, nos légumes. L'autre contient nos fromages, nos yaourts, nos œufs, le beurre, nos petits pots de crème fraîche. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la jeune femme qui s'en retourne à ses livraisons. Voilà la camionnette de la boulangère. Madame Marthe porte son masque sanitaire attaché à son coude. Il y en a toute une collection qui pend au rétroviseur intérieur. Nous récupérons nos deux grosses miches de pain complet, nos pâtes feuilletées, notre brioche au pudding.

Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la dame qui s'en va. Nous descendons à la cave pour ranger les fruits et les légumes dans le cellier. Une miche et les pâtes feuilletées dans le congélateur. Nous remontons. Nous rangeons les produits laitiers dans le réfrigérateur. Tout est hyper propre. Julie vient probablement de terminer de nettoyer la cuisine. Je me réserve le nettoyage des toilettes. Celles de l'étage. Celles du bas. Quelle n'est pas notre surprise. Julie les a nettoyé quand même.

Elle est probablement entrain de terminer de faire la poussière dans notre salle d'entraînement. Les machines sont sources d'électricité statique. Ce qui attire beaucoup de poussière. Sur les tapis roulants de jogging, le vélo indoor, les poulies et autres agrès. Il n'est que dix heures trente. Nous ressortons au soleil. Nous voilà assis sur les rochers au bord du bassin. L'eau y est limpide. << J'espère que le beau temps arrive enfin. Qu'on puisse à nouveau manger dehors ! >> dit Clémentine.

Voilà Julie qui vient nous rejoindre. << Terminé ! Vous avez une maison toute propre ! J'adore faire ça ! >> dit elle en venant s'assoir près de Clémentine qui lui lance : << On préfère quand tu es avec nous. Tu n'es pas notre boniche ! >>. Julie éclate de rire avant de répondre : << Je sais bien. A partir de la rentrée de septembre, je viendrai tous les samedi matin m'occuper du ménage. Comme convenu ! >>. Je félicite Julie pour sa diligence, son efficacité et sa fidélité. Il fait presque chaud au soleil.

Julie reprend son service à midi. C'est sa tante et l'autre serveuse qui assurent la mise en place. Seule la terrasse est accessible. 60 places judicieusement disposées. << Anne-Marie refuse tous les jours des dizaines de réservations ! Elle est contente, l'argent entre à nouveau. Parce que les aides promises par l'état ne sont que des leurres ! >> explique Julie. Nous bavardons ainsi en profitant de la douceur du climat. Julie revient lundi soir. Pour nous livrer mais aussi pour passer la soirée avec nous.

Il est 11 h30. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. << C'était génial ! Je suis si bien ici, avec vous. Vous allez me manquer jusqu'à lundi ! >> fait elle en s'asseyant dans son auto. Je lui tends l'enveloppe. je précise : << Ce n'est pas du "black", c'est le remboursement d'une dette. On est bien d'accord ? >>. Julie éclate de rire avant de répondre : << C'est moi qui ai la dette de tant de joie avec vous ! >>. Je lui dépose un dernier bisou sur le front. Nous la regardons partir. Tristounette.

Nous rentrons. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour y jeter les moules encore congelées. On s'en fout. C'est samedi. Dans le wok, je vide les sachets de haricots verts et de petits pois. Pas décongelés non plus. On s'en contre fout. Le samedi, on ne se fait pas chier. C'est rapide. Il est midi passé et nous voilà déjà assis à table. Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons Julie, sa personnalité, ses attitudes. Je raconte à Clémentine le placard. L'orgasme que je lui ai offert hier.

<< Tu vas voir. Un jour, elle te demandera de la faire jouir à l'extérieur du placard. Il faut juste qu'elle surmonte ses inhibitions. Sa timidité ! >> lance Clémentine. J'en suis certain aussi. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine fait le vague programme de l'après-midi. Virée vélo. << Je veux un plan exhibe ! Au moins un et au minimum ! >> fait elle. Nous en rions de bon cœur. Nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents.

<< Coucou les gens ! Qu'ils sont où ? >>. C'est la voix d'Estelle depuis l'escalier. Elle vient nous rejoindre. Des bisous. Nous sommes si contents d'êtres à nouveau réunis tous les trois. Pressés de filer, nous passons dans la chambre pour nous changer. Clémentine raconte nos aventures avec Julie, le placard, l'orgasme, monsieur Bertrand et ses mains baladeuses. Nos jeux du "Maître" et de sa "Soumise" devant Julie émerveillée, hier soir. Estelle nous raconte ses parents, les courses à l'hypermarché.

Elle rajoute : << La formation de la nouvelle secrétaire termine lundi 31 mai, à 18 h. Sa période d'essai aussi. C'est concluant. Mes parents sont contents de l'avoir embauché. Moi, je vais me retrouver libre ! >>. Clémentine porte sa jupette carmin façon tennis. Son T-shirt rouge. Estelle et moi nous sommes en short lycra noirs. T-shirt bruns. Nous faisons les clowns devant le grand miroir de l'armoire. Nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, les K-ways, les barres de céréales, trois pommes.

J'aide Estelle à sortir son vélo de la voiture d'entreprise. << Papa a tout vérifié ! >> dit elle. C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. La passerelle en bois. Plus de dix mètres au dessus des eaux tumultueuses. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons poussés par un léger vent d'Est. Nous l'aurons de face au retour. Nous croisons un grand nombre de cyclistes. Avec cette belle météo, tous les amateurs de vélo veulent en profiter. Il y a des filles en rollers. Le plus souvent par deux.

Il y a de plus en plus de trottinettes électriques. Parfois de ces fous furieux qui constituent les nouveaux dangers en louvoyant entre les cyclistes. << De vrais crétins qui se croient dans un jeu vidéo! >> lance Estelle furibarde. Les éternels imbéciles qui promènent leurs chiens, sans les attacher à la laisse, sur la piste cyclable. << Il faut s'y faire, nous vivons dans une société où les cons sont rois ! >> lance Clémentine. Il faut donc souvent rester prudents en croisant de petits groupes de gens.

Inutile de s'arrêter au cabanon de l'écluse. Les filles gardent leurs pissous pour plus tard. Il est 15 h30 quand nous arrivons au port de plaisance. Nous venons de parcourir 25 km en évitant toutes les chicanes d'une affluence record. Je crois que nous n'avons jamais croisé tant de gens sur cette piste cyclable. Les gendarmes y font une ronde permanent. A la chasse aux petits salopards qui viennent faire du rodéo en scooter sur la piste cyclable. Un autre fléau en plein essor. Le monde des cons...

Il y a de l'animation sur les quais. Les joueurs de boules. Les premiers touristes. Les plaisanciers sur le pont de leurs bateaux. Nous fermons nos bicyclettes derrière la capitainerie. Clémentine retire discrètement sa culotte qu'elle met dans le sac à dos que je porte. Elle en tire nos masques sanitaires. Nous les enfilons avant d'entrer dans la supérette. Il y a beaucoup de clients. Tout comme Julie hier, Estelle prend place dans la file à une des deux caisses. Clémentine m'entraîne vers les congélateurs.

Deux bacs de glace. Adélie. Le premier au nougat. Le second à la pistache. Deux fois 900 ml. Deux fois 480 gr. Ce n'est pas de trop pour des gourmands. Nous rejoignons Estelle. Cette formule permet de ne pas avoir à attendre trop longtemps. Les glaces n'ont pas non plus le temps de fondre. C'est assis sur le même muret que hier, les pieds dans le vide, que nous savourons nos crèmes glacées. Armés de nos petites cuillères à moka dorées. Le mélange des deux parfums est tout simplement sublime.

Nous regardons les quais. L'animation qui y règne. C'est à nouveau sous un chaud soleil que nous pouvons apprécier cette belle journée. Nous jetons les bacs vides dans une des poubelles. Clémentine nous entraîne vers les bâtiments des sanitaires. << Une petite exhibe bien sentie ne serait pas pour me déplaire ! >> dit elle en se serrant contre moi. Les sanitaires réservés aux plaisanciers, sont ouverts. Nous y entrons. Personne. Clémentine se met debout devant un des urinoirs muraux.

Elle fait semblant d'y pisser comme un homme. Estelle reste serrée contre moi. Nous regardons. Clémentine, quelle que soit la situation, reste toujours hyper sexy. Là, elle est carrément hyper excitante. Estelle me lâche pour se mettre dans la même position devant un des autres urinoirs. Je regarde partout autour de nous. << Celui-là, il est libre ! >> me fait Estelle en m'invitant. Je sors mon Zob. Je suis entre mes deux anges. Je dois pisser. Je bande mou. Je lâche de petits jets sonores.

Estelle vient s'accroupir pour regarder de plus près. Clémentine se penche pour mieux voir. << Oh pardon ! Excusez moi ! >>. C'est la voix d'un type que nous n'avons absolument pas entendu venir. Chaussé d'espadrilles aux semelles de cordes. Estelle se redresse. Je cesse de pisser. Nous n'avons strictement rien à faire dans cet endroit réservé aux plaisanciers. Surtout pas les deux filles dans ces toilettes hommes. Le type toussote, un peu gêné, il entre dans un des cabinets. Nous quittons les lieux.

Nous rigolons comme des bossus en descendant le sentier qui longe le canal. Il y a plein de pêcheurs. Impossible de s'offrir un frisson exhibitionniste pour Clémentine. << Venez, on monte rôder dans le vieux cimetière ! >> propose Clémentine. Nous repassons devant les sanitaires. << Attendez-moi là, j'ai comme un pressentiment ! >> fait encore Clémentine qui entre dans les toilettes hommes. Estelle m'entraîne pour mâter par la porte entre baillée. << Le mec est toujours là ! >> murmure t-elle.

En effet. Dès qu'il voit Clémentine revenir, le mec debout devant les urinoirs se tourne. Il montre franchement sa queue à Clémentine. Mutique, il se contente d'agiter une impressionnante érection. << Il était entrain de se branler ! Sûre ! >> chuchote Estelle. Nous entendons le mec s'adresser à Clémentine : << Tu te trompes souvent de chiottes mademoiselle ? T'es sur quel bateau ? Je t'ai jamais vu traîner par là ! >>. Le mec est d'une incroyable vulgarité. Pas seulement son attitude mais également son phrasé.

C'est avec un accent parisien presque caricaturale que le quidam rajoute : << Tu viens voir de la bite ? >>. Clémentine, abasourdie, ne sait quoi répondre. Un tel franc parlé, un tel aplomb à de quoi laisser sans voix ! Notre énergumène se branle de plus en plus rapidement. Il lance : << Tu aimes la bite ? Tu veux sucer un peu ? Ils sont où tes potes de tout à l'heure ? Ils baisent ? >>. Clémentine ne répond pas. Elle préfère se diriger vers la porte. C'est vrai que le mec a une attitude menaçante.

Clémentine vient nous rejoindre. En tournant son index sur sa tempe, elle nous dit : << J'ai déjà vu des givrés, mais alors des comme ça ! >>. Nous éclatons de rire. << Un cinglé ! >> rajoute Estelle. Nous traversons la route. Nous traversons le parking de la supérette. Nous montons le chemin qui mène au vieux cimetière. Au sommet de la colline. C'est un point de vue remarquable et très prisé des promeneurs. On y admire les environs jusqu'à plusieurs kilomètres. Le bourg, son clocher, sa Mairie, la salle polyvalente.

Il y a du monde pour profiter du spectacle. Il sera difficile pour Clémentine de se livrer à une exhibition de qualité. Elle est virtuose. Elle va nous étonner. Estelle, discrètement, n'arrête pas de me tripoter la bosse. Je bande mou mais la forme est proéminente. Ça me gêne toujours un peu quand nous croisons des gens. Surtout les familles auxquelles il est inutile d'offrir ce genre de choses. Clémentine nous entraîne à l'intérieur du cimetière. Personne n'est plus enterré ici depuis plus de 50 ans.

Il y a des caveaux de familles, des tombes gothiques, des statues d'anges, des crucifix. C'est un labyrinthe où nous nous sommes déjà beaucoup amusé. Le lecteur qui suit nos aventures se souvient de bien des "exploits" réalisés en ce lieu. Les cimetières nous excitent. Ils permettent des variations, des déclinaisons, des jeux, des risques et des situations suggestives. Comme celle que s'apprête à reproduire Clémentine. Il y a un type qui prend des photos. Il est seul avec un petit chien.

Clémentine contourne le caveau familiale. Elle s'accroupit entre le mur et une pierre tombale surélevée. Estelle et moi, nous restons planqués derrière le caveau. Les sculptures gothiques en dentelles permettent d'observer sans êtres vus. Le photographe découvre soudain cette superbe jeune fille accroupie. Entrain de pisser peut-être. Clémentine comme à chacune de ses exhibes, a défait ses cheveux. Elle porte ses larges lunettes noires de soleil. Un anonymat parfait. C'est absolument génial.

Notre heureux veinard a une vue parfaite sur l'entre jambes de la jeune fille. Il ne dit rien. Il reste à moitié dissimulé derrière un ange de pierre de taille humaine. Il mâte. << Un esthète ! >> chuchote Estelle à mon oreille. Nous sommes à environ vingt mètres de la scène. Clémentine nous tourne le dos. Impossible de voir si elle pisse vraiment. Le petit salaud. Discrètement, en gardant son calme, notre gaillard fait des photos. L'angle est tout simplement de tout premier ordre. Qualitatif.

Clémentine s'est probablement aperçue de ce que fait l'inconnu. Car elle écarte les cuisses au maximum. Nous entendons bien des éclats de voix dans le lointain. Mais personne ne vient par là. Notre photographe doit avoir pris un bonne vingtaine de clichés. Il mitraille sans arrêt. << Il est en mode "caméra", c'est sûr. Il filme ! >> murmure Estelle à mon oreille. Elle tient mon érection en ayant glissé sa main dans mon short. Je glisse ma main dans le sien. Nous nous branlons l'un l'autre.

Il y a soudain une vois féminine. C'est une jeune femme. << Macha ! Viens ! >> fait elle au petit chien qui renifle les tombes. C'est la compagne du photographe. Clémentine s'est redressée pour filer à toute vitesse. Elle vient nous rejoindre. Quelle n'est pas notre surprise. Le type est entrain de montrer l'écran de son appareil photo à la jeune femme. << Des membres du "Club" ! >> chuchote Estelle. La jeune femme regarde dans toutes les directions. Personne. Elle pose sa main sur la braguette de son homme.

Ils s'éloignent en appelant leur petit chien qui les suit en trottinant. Ils disparaissent rapidement entre les statues. Je bande comme le dernier des salauds. Estelle mouille comme rarement. Je glisse ma main libre entre les cuisses de Clémentine. C'est trempé. Quand les chattes de mes deux anges sont dans cet état, je n'ai qu'une envie, m'en régaler. Leurs bouffer les minous. Nous cherchons un coin. Nous connaissons très bien les lieux. Il y a des caveaux de familles vides et ouverts.

C'est dans notre préféré que Clémentine et Estelle, vautrées sur le banc de pierre, m'offre leurs sexes. Je suis à genoux sur le petit sac à dos. Je passe de l'une à l'autre. C'est un délice. Du jus de fille capturé "live", encore frais, dégoulinant de chattes ruisselantes. Elles essaient de ne pas gémir. Tous leurs sens aux aguets elles écoutent. Toujours ces éclats de voix dans le lointain. J'ai bloqué les deux portes avec une grosse pierre. S'il arrive quelqu'un, nous aurons le temps de nous ressaisir.

Quand je ne suce pas leurs jus, les filles stimulent leurs clitoris. Quand je suce leurs clitoris, elles ont des contorsions. C'est dans une convulsion, en mordant sa lèvre inférieure, qu'Estelle est victime d'un orgasme nucléaire. Probablement de 8 sur l'échelle de Richter. C'est sans pouvoir éviter un cri que Clémentine est victime d'un orgasme cataclysmique. 8 sur l'échelle de Richter. J'ai le bas du visage trempé de jus de filles. J'en ai le gout dans toute la bouche. Je me masturbe tellement c'est bon.

Estelle reprend ses esprits la première. Clémentine, secouée de spasme, se lâche dans des jets de pisse. Elle se tient des deux mains contre les murs, accroupie dans le coin. Nous restons un long moment, haletants, à revenir à la normale. << Put-Hein, comme c'était bon ! >> dit Estelle. Clémentine me tend un mouchoir en papier afin que je la torche. Je lui montre les substances qui maculent le mouchoir. Nous le reniflons tous les trois en riant. Des voix se rapprochent. Nous nous ajustons.

C'est deux jeunes filles qui tentent d'ouvrir les deux portes. Il y a d'autres jeunes. Nous sortons pour filer entre les tombes. Nous redescendons le chemin. Comme il fait beau et chaud. C'est incroyable. Enfin une journée d'été. Nous nous offrons des cônes glacés. Nous les avons bien mérités. Nous retournons aux vélos. Il est 19 h45 quand nous sommes de retour. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle et moi nous épluchons les patates, les carottes, le navet, le céleri. Pour la potée de légumes.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir un "dessert" bien mérité après une escapade jouissive et orgasmique...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1536 -



La fête des mères

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon profond sommeil par le souffle chaud d'Estelle dans mon cou. Je sais depuis peu que c'est sa façon de me réveiller. Toute la nuit elle est restée accrochée à moi, épousant chacun de mes mouvements. C'est adorable. Clémentine vient se blottir contre moi. Il est neuf heures du matin et je suis entre mes deux anges. Estelle tient mon érection matinale. Clémentine tient mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. Moment d'extase.

Estelle se lève d'un bond. Elle se précipite vers la porte en s'écriant : << Pipi ! Vite ! >>. Nous nous habillons de nos jeans, chemises à carreaux. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Il y a déjà cette délicieuse odeur où se mêlent celles du café, du pain grillé, de la brioche. Estelle me saute au cou. << C'était divin hier ! >>. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. C'est au tour de Clémentine.

Nous prenons notre délicieux petit déjeuner en évoquant notre périple de hier. Le léchage de minous au cimetière. Le léchage de minous de hier soir. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de la journée. Estelle nous laissera à 11 h30 pour rejoindre ses parents. La fête des mères. Elle reviendra pour 14 h. Nous repartirons alors à bicyclettes pour de nouvelles aventures. Nous traînons à table. Le dimanche pas d'entraînement. Le ménage a été fait hier.

Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, les filles reviennent sur nos folles soirées. << C'est ça qui nous crève ! >> fait Estelle. Nous en rions de bon cœur. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Le thermomètre extérieur indique 20°. Il est 10 h du matin. Nous sortons. Comme il fait beau ! Nous avions perdu l'habitude de voir un ciel entièrement bleu. Ce mois de mai a été tellement pourri. En plus il fait presque déjà chaud.

Je suis entre mes deux anges qui m'entraînent par la main. Nous descendons jusqu'à la rivière. La décrue s'annonce. Il est toujours impossible de prendre le sentier de gauche noyé sous les eaux. Nous prenons celui de droite. Il est dangereux. Nous avançons doucement. Ce n'est qu'au bout de 500 mètres que les choses s'arrangent. Estelle déboutonne mon jeans. Elle glisse sa main dans ma braguette béante. Elle fouille un peu dans mon slip pour en extraire une bite molle.

Clémentine, d'un doigt agile qu'elle glisse dessous, me sort les couilles. C'est ainsi que nous continuons à marcher avec prudence toutefois. Estelle m'embrasse. Clémentine joue avec ma bite. Puis c'est Clémentine qui m'embrasse. Estelle joue avec ma bite. Nous nous amusons beaucoup. Moi aussi j'ai glissé mes mains dans les culottes. << Nous n'arrêtons plus ! C'est trop génial ! >> lance Estelle quand nous arrivons sur le petit plateau rocheux. Nous nous mettons à faire les pitres.

Dans une danse triviale, nous poussons des cris d'animaux qui n'existent pas. Nous sommes tellement heureux. Si nous prenons l'étroit sentier de droite, nous rejoignons la route communale. Ce que propose Estelle. Il y a environs 500 mètres. Nous longeons la lisière de la forêt. Nous restons sur le bord de la route. Je préfère remballer mon sexe. Il est 11 h30 quand nous sommes de retour. Estelle monte dans sa voiture d'entreprise. Un dernier bisou. Nous la regardons partir.

Nous rentrons. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la potée de légumes. Il y en aura encore pour le repas de ce soir. J'émince les deux pavés de saumon qui ont décongelés. Je les fais dorer à la poêle avant d'y rajouter ail, échalote, champignons. Un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Clémentine coupe de fines tranches de Morbier. Nous adorons faire fondre ce fromage sur les légumes chauds. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous, de nous embrasser. De nous serrer.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur nos relations avec Julie. Ses attitudes, ses comportements. Clémentine aimerait beaucoup franchir un cap avant les vacances. Il y a toujours encore ce projet de film "Bondage" non réalisé. Julie en parle quelquefois. C'est à cause de cette maudite météo que le projet a sans cesse été repoussé. Il sera peut-être possible de passer enfin à sa réalisation avec les beaux jours.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous mettre en tenues vélo. Clémentine porte la même jupette carmin que hier. Un T-shirt brun. Je suis en short lycra noir, en T-shirt rouge. Nous faisons les clowns devant le grand miroir de l'armoire. Clémentine se frotte contre ma cuisse en m'embrassant avec fougue. << Je t'aime Julien, c'est tellement bon tous les deux ! >> dit elle à plusieurs reprises avant de m'embrasser à nouveau.

Je bande. Ce qui provoque une grosse bosse dans mon short moulant. Clémentine la tient d'une poigne ferme. Elle s'accroupit pour la prendre entre ses lèvres. Je tiens sa tête par ses oreilles. Je l'aide à se redresser. Nous dévalons les escaliers en riant. << Tant de bonheur sera interdit par la loi. Les gens auront obligation d'être tristes, malheureux et vaccinés ! >> lance Clémentine en me sautant au cou. Rire. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Me couvre le visage de bisous.

Nous sortons. Il fait chaud. Le thermomètre extérieur indique 26°. << S'il fait ce temps demain, on mange dehors ! >> propose Clémentine. Il y a nos trois vélos posés contre le mur, sous l'auvent du garage. Je vérifie les gonflages. Ça n'a pas changé depuis hier. Nous restons assis sur les rochers au bord du bassin. Les eaux en sont claires. Il y a les premiers nénuphars. Il y aura bientôt les premières grenouilles. D'où viennent elles ? Mystère. Il est 13 h45 quand Estelle revient.

Déjà vêtue de sa tenue vélo. Elle sautille. << Vous avez le bonjour de papa et de maman ! >> lance t-elle en nous racontant le repas, le vacherin glacé et l'ambiance festive. << Il y avait mon papy et ma mamie ! >> rajoute encore Estelle. Un dernier pipi des filles pendant que je prépare le petit sac à dos. C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. La passerelle. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons comme hier, poussés par un vent d'Est légèrement frais.

Nous croisons plein de cyclistes, de joggeurs, de filles en rollers, de familles qui se baladent. Il y a les premiers bateaux de plaisance dans les écluses du canal. Il est 15 h15 quand nous arrivons au port de plaisance. Un monde fou. Les joueurs de boules, des touristes. Il y a des jeunes qui jouent de la guitare. Un concert improvisé. Les gens sont assis en cercle. Il y a le respect d'une certaine distanciation. D'autres encore portent un masque sanitaire. C'est beau de voir la vie reprendre.

Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie fermée. Clémentine enlève discrètement sa culotte pour la fourrer dans le sac à dos. Elle en retire nos masques sanitaires. Nous les portons pour entrer dans la supérette. Nous y achetons nos bacs de glaces. Aujourd'hui vanille de Macadamia avec nougat. Nous plongeons nos petites cuillères à moka dorées pour en savourer les douceurs. Assis comme hier, sur le muret, les pieds dans le vide. Il fait chaud. Le ciel est bleu.

Nous jetons les bacs vides dans une des poubelles. Bien "allumés" nous partons à la recherche d'une première "aventure". Avec ce monde, il serait vain de tenter un "plan". C'est donc résignés que nous prenons le chemin qui monte au vieux cimetière. Du sommet de la colline, la vue est magnifique. Il y a surtout parfois de belles opportunités d'exhibes. Il y a des familles. Il y a des groupes de promeneurs. Pas de "solitaires" pouvant devenir la "proie" de nos jeux. Nous flânons à l'ombre des platanes.

Estelle me tripote discrètement. Je passe ma main entre ses cuisses chaudes. Elle aussi porte un short lycra, moulant. Nous n'arrêtons pas de nous toucher. De nous faire des bisous. Nous nous faisons quelquefois surprendre par des promeneurs. Des regards interrogateurs. Suis-je le père, l'ami, l'amant de ces deux sublimes jeunes filles blotties contre moi ? Autant de questions que nous devinons sur les visages étonnés. Cela nous amuse beaucoup. C'est devenu une habitude. Partout où nous allons.

Il n'y a aucune opportunité. Il y a bien trop de passages. Même dans le cimetière devenu le terrain de jeu des gamins. Nous redescendons. Nous flânons encore un peu sur les quais avant de retourner aux bicyclettes. Il est 18 h quand nous prenons le chemin du retour. Il faut pédaler contre un vent frais. Nous enfilons nos K-ways. Ce qui gâche un peu la fête. Il est 19 h20 quand nous arrivons à la maison. Fourbus, morts de faim. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare une belle omelette.

Je l'aide à couper les champignons, à râper le gruyère de Comté. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre après-midi plutôt sage et distrayant. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur nos projets de film. Le premier avec Julie dans l'esprit "Bondage". Le second dans l'esprit équestre avec Estelle. Si les beaux jours persistent et se maintiennent enfin, nous pourrons réaliser tout cela en juin. << Avant les vacances ! >> s'écrie Estelle.

Nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Elles retirent short, jupette et culottes. Vautrées dans le canapé, les jambes relevées, en riant, elles m'offrent leurs chattes. Le dimanche, pas de douche. Après un après-midi à vélo, il y a là de quoi régaler un honnête homme. Je m'offre donc des "fondues savoyardes" qui affolent mes sens. Estelle m'attire sur elle. Je les pénètre à tour de rôle. Plusieurs fois. Nous sommes fatigués. Mais c'est tellement sublime.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font lécher, pénétrer, après une virée vélo et avant d'avoir des orgasmes telluriques...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1537 -



Le lundi matin, il y a école...

Hier matin, lundi, notre application nous réveille de ses étonnantes douceurs habituelles. Je ne saurais trop la recommander. De mystérieux chants d'oiseaux. le bruit d'une mystérieuse source. Tout cela résonne au fond d'une mystérieuse forêt. Un peu comme dans un film d'animation de Walt Disney. Il est presque six heures. Estelle se serre encore plus fort en se frottant. Clémentine vient se blottir. Comme si elles venaient toutes les deux chercher les dernières onces de sommeil.

Je suis entre mes deux anges dont l'un ne tarde pas à se lever d'un bond. Estelle, ses vêtements de sport à la main, se précipite vers la porte. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Vêtus nous aussi de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Le lundi matin, il reste toujours de la brioche. Son odeur au micro ondes se mêle à celles du café, du pain grillé. Estelle me fait plein de bisous. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos "performances" du week-end. Rires.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Estelle devra nous laisser immédiatement après le jogging. Il est 6 h25. Nous enfilons nos K-ways. Nous attendons Estelle dehors. Elle est montée chercher son sac de sport qu'elle met dans sa voiture. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. A cause de l'eau qui inonde encore le sentier, nous montons jusqu'au portail. Nous courons sur le bord de l'étroite route communale parfaitement déserte à cette heure matinale.

Une heure d'un running des plus agréables. Nous voilà de retour. Des bisous. Estelle entre dans sa voiture pour filer. Elle revient demain soir. Nous prenons notre douche. Pressés de sortir encore un peu, vêtus de nos jeans, chemises à carreaux, nous faisons quelques pas dans le jardin. Le ciel est bleu. Même s'il ne fait encore que 16°, la journée s'annonce magnifique. Il est 7 h50. Les cours en ligne commencent à 8 h05. << Le lundi matin, il y a école ! >> fait Clémentine. Nous rentrons.

Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque aujourd'hui, une de mes toiles à trois personnages. Alliant ainsi le paysage et la scène de genre. Je peins dans cette émotion passionnelle propre au lundi matin. Deux jours sans manier le pinceaux créés des sensations jubilatoires. Clémentine passe cette matinée à beaucoup écrire. A se relire.

Il est 11 h55 quand elle vient me rejoindre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je réchauffe le reste de potée de légumes. Dans une poêle, je fais rissoler deux dos de cabillaud. Je concocte une sauce au Roquefort dans laquelle je rajoute ail, échalote et champignons. Deux tranches de Saint-Nectaire que je dépose sur les patates chaudes. C'est un repas simple mais tellement délicieux. Nous mangeons de bon appétit.

Nous ne traînons pas. Pressés de sortir, nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous dévalons les escaliers. Il fait chaud au soleil. Malgré ce léger vent d'Est. Clémentine m'entraîne par la main. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous pouvons contourner la marre qui subsiste en montant les marches de la passerelle. Nous longeons le cours d'eau en flânant. A l'abri sous le feuillage.

Clémentine évoque nos projets de films. Il y a celui que veut réaliser Julie. Ce fantasme "Bondage" aux anciennes tuileries. Il y a celui que veut réaliser Estelle "Exhibition équestre". Il suffit de se faire prêter un cheval par Juliette qui se fera probablement un plaisir de venir s'amuser avec nous. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. En palpant mon Zob, elle me raconte son impatience de filmer ces scènes. Manipuler la caméra est une de ses passions. Et elle le fait superbement.

C'est avec la bite à l'air que j'avance derrière Clémentine qui marche devant en tenant ma main. Elle se retourne souvent pour m'embrasser, me déposer un bisou. Cette belle journée n'est pas sans nous frustrer. Ce serait un merveilleux après-midi de bicyclette. Je glisse ma main dans le jeans déboutonné de Clémentine. L'accès à sa chatte est plus facile par la culotte. J'adore ces petits réflexes féminins quand je caresse puis quand je palpe les lèvres charnues de son sexe. De petits spasmes.

Nous nous masturbons doucement en nous embrassant lascivement. C'est délicieux. Au point que nous en avons les mentons trempés. Il faut reprendre le sens inverse. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Cet après-midi encore ils seront consacrés aux travaux d'écritures. << Viens, on rentre. Tu vas voir, on va tomber sur Louis ! >> fait Clémentine en m'entraînant par la queue. Une fois encore ses prévisions s'avèrent exactes. Nous tombons sur monsieur Bertrand qui nourrit les canards.

Nous savons maintenant que notre voisin fait exprès de nous rencontrer aux mêmes heures, au même endroit. Ce qui se passe avec ma compagne aiguise sa libido de retraité. Nous bavardons. Bien évidemment, le vieux fourbe ne fait pas la moindre allusion sexuelle. << On se voit vendredi pour le café ! >> lance Clémentine quand nous le laissons. << Avec plaisir ! >> répond le vieux vicieux pervers. En montant vers notre demeure, nous en rions de bon cœur. << Le vieux salaud ! >> dit Clémentine.

Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Prête à son télé travail. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes émotions que ce matin. Dans un sentiment de totale sérénité. Nous sommes le 31 mai et mon stock de toile est constitué. Clémentine relit ses écris à voix haute. J'adore travailler en l'écoutant. Quelques changements sémantiques offrent des tournures de phrases différentes. C'est passionnant de l'entendre créer.

Parfois il y a une conversation avec un étudiant de son groupe. Avec le professeur. Je n'entends qu'elle. Je recompose la conversation mentalement. J'aime ces séances d'émulations constructives. Il est 17 h quand Clémentine vient sautiller autour de moi. << Ras-le-bol ! J'ai beaucoup avancé dans mes préparations ! >> chante t-elle sur un air d'opéra connu. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Il fait trop beau pour ne pas avoir envie d'en profiter. Nous quittons l'atelier pour sortir au jardin.

<< Demain, à midi, s'il fait aussi beau, nous mangeons dehors ! >> propose t-elle en m'entraînant par la main jusqu'au garage. Nous sortons les chaises et la table en fer forgé blanc. La balancelle que nous installons près du bassin. Quelle n'est pas notre surprise en voyant descendre la Clio rouge de Julie. En avance. Elle sort de son auto pour se précipiter vers nous. Elle est radieuse. En jupe jeans, en T-shirt et en baskets. Ses cheveux presque noirs qui brillent sous le soleil attachés en une longue natte.

Des bisous. Nous voilà installés dans la balancelle. Julie est à gauche de Clémentine assise entre elle et moi. Toujours cette timidité naturelle que je trouve adorable. Julie aussi prépare un mémoire à rendre fin juin. Un mémoire sur les auteurs français du XIX ème. Les filles parlent de leurs études. J'écoute. C'est Julie qui arrive la première sur le sujet du film qu'elle veut réaliser avant les vacances. Clémentine propose de le tourner vendredi prochain. Avec ces chaleurs, l'endroit sera bien tempéré.

Les bâtiments abandonnés des anciennes tuileries. << Même s'il fait moins beau, ce sera parfaitement faisable ! >> lance Julie. Je suis étonné par cet enthousiasme. Ce projet lui tient à cœur. C'est un fantasme qui remonte à son adolescence. C'est à dire il y a deux, trois ans. J'écoute les filles mettre au point la logistique. Il faut peu de choses. Julie hésite encore sur sa tenue. Clémentine conseille d'emmener plusieurs jupes, robes, souliers. << On composera selon notre inspiration ! >> dit elle.

Nous passons la fin de l'après-midi assis là. Je vais chercher des boissons à température ambiante. Jus de mangue dont nous raffolons et que nous avons fait découvrir à Julie l'automne dernier. Le projet prend forme. Julie vient nous rejoindre vendredi en début d'après-midi. Elle restera avec nous jusqu'au samedi matin. << Je prends "libre". J'ai envie de lever le pied ! >> dit elle faisant allusion à son job de serveuse en soirée. << Anne-Marie a embauché une autre fille ! >> rajoute Julie.

Nous partirons donc avec la voiture, le matériel et l'équipement à 13 h. Direction les anciennes tuileries. Ce sont de véritables réjouissances. << Tu es toute tremblante ! >> lance Clémentine en prenant les mains de Julie dans les siennes. << C'est l'émotion. De savoir dans quoi je me mets encore ! >> répond Julie. << L'excitation aussi ! Non ? >> demande Clémentine. Julie baisse la tête, toute timide, sans oser répondre. Il est presque 19 h. La fraîcheur du soir arrive subrepticement.

Nous quittons la balancelle pour aller à la voiture de Julie. J'y récupère la grande boîte isotherme qui contient nos repas. Nous avons commandé des feuillantines de fruits de mer. Clémentine prend le grand cornet en papier qui contient les bacs à salades. Je paie immédiatement par carte "sans contact". Morts de faim, nous nous dépêchons de rentrer. Les feuillantines sont encore chaudes. Clémentine retire les opercules sur les bacs à salades. Carottes, salicornes, betteraves. Miam.

Nous mangeons de bon appétit. Julie, assise en face de moi, fuit mes regards. C'est toujours ainsi. Je sais que ce n'est pas un jeu. Je trouve ça tellement charmant. Je respecte tout à fait sa pudeur de jeune fille de vingt ans. Julie est un être paradoxal. Capable d'entrer dans les toilettes hommes du restaurant de sa tante pour voir des messieurs pisser. D'y vivre volontairement des situations embarrassantes. Et pourtant d'être victime d'une inhibition presque maladive. Cela nous amuse beaucoup.

Je me lève à plusieurs reprises pour agiter ma bite molle dans sa direction. Clémentine évoque le placard dans lequel Julie s'enferme avec moi pour mâter. Pour se faire tripoter dans l'obscurité pendant nos séances de voyeurisme. Julie nous confie à quel point c'est "magique" pour elle. Je lui promets d'autres moments d'une intensité toute aussi déstabilisante. Elle n'ose pas soutenir mon regard, par contre elle ne cache plus sa satisfaction devant mes comportements exhibitionnistes.

Nous passons une grande partie de la soirée ainsi. Je parle peu. Je préfère écouter les filles évoquer les différents projets à venir. Julie a quelques fantasmes hypers vicelards qui nous étonnent. Elle se livre peu à peu. Elle se révèle doucement. De pouvoir se confier à une autre fille est comme un soulagement. Nous le sentons bien. Une sorte de "thérapie". Il en ressort que Julie révèle une profonde personnalité. Soumise, désireuse de vivre des situations déstabilisantes. Voire "choquantes".

C'est elle qui utilise les termes de "choc sensuelle", de "choc émotionnel" ou encore de "choc cérébral". Mais en insistant toujours que ce n'est que la situation qui suscite son intérêt. Il ne sera pas question de pénétrations ou de rapports sexuels. Les choses sont claires. Julie sait pouvoir nous faire une totale confiance. Même avec les yeux bandés. Ce qu'elle aimerait beaucoup vivre en étant attachée. Tout cela annonce bien des réjouissances. << Je vais annuler le café avec Louis ce vendredi ! >> lance Clémentine.

Nous éclatons de rire lorsque Julie dit : << Il n'y a qu'à l'emmener avec nous ! >>. Ce n'est bien évidemment qu'une plaisanterie. L'attestation de Julie impose qu'elle soit rentrée pour 22 h30. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Elle revient demain, entre 16 h30 et 18 h. << J'ai trop envie ! >> dit elle. J'agite ma bite dans l'habitacle de son auto. Je pisse contre la portière. Julie, penchée par la vitre ouverte observe. Un dernier bisou sur le front. Un dernier coucou. Nous la regardons partir.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se réjouissent. Les coquines qui rêvent de réaliser un fantasme cinématographique secret et privé...

Julien



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Une agréable et inattendue surprise

Hier matin, mardi, il est presque six heures. L'application "forêt" nous tire de nos profonds sommeils. C'est agréable de se faire réveiller ainsi. Le chant des oiseaux et le bruit d'une source qui résonnent dans une forêt magique. Clémentine vient se blottir contre moi en se frottant. Quelques papouilles. Il faut se lever. Nous enfilons nos tenues de sport. Nous allons aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Il y fait bon et agréable. Pas besoin de chauffer.

Clémentine fait le café. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. C'est dans un claquement sec que le grille pain éjecte ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre soirée de hier, en compagnie de Julie. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme du jour. Comme Clémentine termine à midi le mardi, avec cette belle journée qui s'annonce, cet après-midi ce sera une virée vélo. Il est 6 h25. Nous enfilons nos K-ways.

Quelques mouvements dans une fraîcheur matinale devenue agréable. Par contre, il faut courir sur la route. Nous montons jusqu'au portail. Clémentine propose de traverser l'étroite route communale pour faire notre jogging en forêt. Excellente initiative. Le sol y est sec. Ce circuit est fort plaisant. Il est 7 h30 quand nous revenons après un running des plus gratifiants. Nous prenons notre douche. Il est 7 h50 quand nous ressortons encore un peu. Les cours en ligne commencent à 8 h05.

Le soleil va se montrer maître de ce ciel bleu. Comme tous les mardis matins, Clémentine est d'humeur déconneuse. Une euphorie qui devient rapidement commune. Il faut rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Rapidement la peinture de cette vingt cinquième toile destinée à ma saison d'été m'accapare complètement.

Je peins dans une sorte d'euphorie qui me fait chantonner en murmurant. Hors de question de risquer de déranger Clémentine. La matinée se passe dans une saine ambiance de travail. Il est 11 h45. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Nous pratiquons cette danse tribale en poussant des cris d'animaux qui n'existent pas. C'est ainsi que nous quittons l'atelier pour la cuisine. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin.

Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je coupe et je lave deux gros poireaux que je fais cuire. J'étale les deux tiers de la pâte feuilletée dans le grand plat à tarte. Je concocte une Béchamel. J'y jette le poireau égoutté. Clémentine y rajoute le gruyère de Comté qu'elle vient de râper. Elle égoutte les coquillettes. Je verse la garniture sur la pâte étalée. Je recouvre du dernier tiers de pâte. Clémentine badigeonne du mélange œuf, lait de soja, moutarde à l'ancienne.

Cuisson au four à 180° pour laisser mijoter. Ce sera notre repas de ce soir. J'ai gardé un peu de Béchamel en accompagnement des coquillettes. Avec deux filets de colin poêlés, ce repas simple est un régal. Nous mangeons de bon appétit. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se précipite pour le saisir sur le buffet. << Julie ! >> fait elle. En mode haut parleur j'entends Julie proposer de nous rejoindre dès 14 h pour venir faire du vélo avec nous. Superbe !

Nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en déconnant devant le miroir de la salle de bain. << J'ai envie de faire ma salope cet après-midi ! >> s'écrie Clémentine. Nous rions. Nous sommes dans la chambre à nous changer. Clémentine porte une de ses jupettes sport carmin. Un T-shirt bordeaux. Je suis en short lycra noir, en T-shirt rouge. Nous prenons des poses ridicules devant le grand miroir de l'armoire. Nous nous montrons nos abdominaux.

Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, trois pommes, des barres de céréales, la bouteille d'eau. Il n'est que 13 h45. Voilà la Clio rouge qui descend doucement le chemin. Julie est toute contente de nous revoir. Nous aussi. Elle est vêtue d'un short lycra noir, d'un T-shirt blanc. Je l'aide à extraire son VTC du coffre arrière. Je remonte la roue avant démontée pour le transport. Julie nous fait la bise. << Je n'ai pas cours cet après-midi. Je ne bosse que ce soir à 19 h ! >> précise t-elle.

Nous voilà partis. 300 mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Il y a toujours ce vent d'Est qui nous pousse. Nous l'aurons de face en revenant. Nous croisons quelques cyclistes. Nous pédalons sous un chaud soleil d'été. Le contraste avec la fraîcheur des jours précédents est étonnant. Arrêt au cabanon de l'écluse. Clémentine aimerait beaucoup montrer à Julie ce qu'elle aime pratiquer ici. Elle traverse la passerelle métallique de l'écluse.

Julie et moi nous nous dissimulons à l'angle du cabanon, derrière les fourrés. Nous pouvons voir Clémentine accroupie entre deux bosquets de genêts en fleurs. Comme dans le placard, je saisis Julie par sa taille. Soudain couverte de frissons elle se laisse faire. Nous attendons. Il ne passe personne. Nous ne perdons jamais de temps. Autant continuer notre route. Pas d'exhibe pour Clémentine. Il est 15 h20 quand nous arrivons au port de plaisance. 25 km des plus agréables. Il y a toujours de l'animation sur les quais.

Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie ouverte. Clémentine enlève rapidement sa culotte qu'elle fourre dans le sac à dos que je porte. Cette année c'est une jeune fille qui tient le rôle du capitaine. Probablement une étudiante qui fait là son job d'été. Elle est occupée à bavarder avec deux couples de plaisanciers. Nous traversons la route en enfilant nos masques sanitaires. Nous entrons dans la supérette. Il y a quelques clients. Nous bavardons un peu avec la gérante.

Nous allons aux armoires congélateurs pour en tirer un bac de glace au nougat, un bac de glace à la pistache. Nous passons en caisse. Nous voilà assis sur un des bancs sous les platanes. Nous regardons les joueurs de boules en savourant nos crèmes glacées. Julie est aussi gourmande que nous. Il y a ce cycliste vêtu en coureur du tour de France qui vient par là. Il pousse son vélo de compétition. Il doit avoir la cinquantaine. Il s'arrête pour interroger son téléphone. Un type grand et frêle.

Clémentine me pousse du coude en disant : << Une victime potentielle ! >>. Je comprends immédiatement. En montant une de ses jambes, elle pose le pied droit sur le banc. Les cuisses écartées. Le cycliste regarde partout autour de lui. Il doit chercher sa route. Il regarde par ici. Impossible de ne pas voir cette sublime jeune fille, à ma gauche, dont la chatte est hyper visible. Clémentine est entre Julie et moi. Julie vient de se rendre compte de ce que fait Clémentine.

<< Génial ! >> fait elle dans un souffle et à voix basse. Nous portons tous les trois nos lunettes de soleil. Nous pouvons donc loucher à loisir. Le type détourne la tête pudiquement. Il n'est qu'à une vingtaine de mètres. Il regarde à nouveau. Il s'éloigne. Ce que nous n'avions pas vu c'est ce joueur de boule qui lui a tout vu. Clémentine adore les "doublettes" mais de préférence parfaitement contrôlées. Elle monte l'autre pied sur le banc. Cette position obscène n'échappe pas à notre bouliste voyeur.

Considérablement "allumée" par cette superbe exhibition, Clémentine se lève. << Venez, on se cherche un "plan" ! >> fait elle en nous entraînant. << Ce qui est génial avec vous, c'est qu'il se passe toujours un "truc" ! >> lance Julie. << On sait les provoquer ! >> précise Clémentine. Nous passons devant les bâtiments des sanitaires. Les toilettes publiques sont ouvertes. Tout est toujours d'une propreté exemplaire ici. Nous y entrons. Julie découvre l'endroit pour la seconde fois.

<< Rien n'est plus excitant que des chiottes publiques ! >> dit elle en prenant Clémentine par le bras. Nous nous observons dans un des grands miroirs. Clémentine va regarder par la porte entrouverte. << Là-bas, le cycliste ! >> lance t-elle. Nous allons voir. Il pousse son vélo. Il vient par ici. Il ne semble pas vouloir entrer dans les toilettes. Il continue pour s'assoir sur un des gros rochers alignés le long du chemin qui descend vers le canal. Il scrute à nouveau l'écran de son téléphone.

<< Restez planqués là, je vais faire un tour ! >> murmure Clémentine. Elle sort. Elle contourne le kiosque des affiches. Elle avance doucement, les bras croisés. Elle descend. Elle passe devant le type qui la reconnaît probablement. Il lui adresse un sourire avec un signe de tête. Clémentine continue sa descente. Une vingtaine de mètres plus bas, elle s'engage dans les frondaisons. Là, sous les pins, à peine dissimulée par les fourrés, elle s'accroupit. Depuis notre cachette, nous la voyons bien.

A nouveau je tiens Julie par sa taille. Je sais maintenant qu'elle apprécie tout particulièrement. Nous regardons. Le type se lève. Penchée en avant, laissant sa bicyclette contre le rocher, il descend pour mieux voir. Il regarde partout autour de lui. C'est un moment intense. Par bonheur il n'y a strictement personne dans les environs. Nous ne savons pas si Clémentine pisse. Toujours est-il que la position suscite la curiosité de notre coureur du tour de France. Il est debout à quelques mètres de Clémentine.

Je glisse ma main entre les cuisses de Julie qui se cambre sur ses genoux fléchis afin de me faciliter l'accès à son entre jambes. Là-bas, le type se palpe la bosse. Comment pourrait-il rester insensible à ce spectacle ? Cette sublime exhibitionniste qui ne fait visiblement son "show" que pour lui. Je touche Julie assez vulgairement. De ma main libre, je saisis son menton. Je lui enfonce ma langue dans la bouche. En poussant un gémissement de surprise, elle s'abandonne totalement contre moi.

Là-bas, Clémentine s'est redressée. En effet, le quidam se rapproche. Il est évidemment hors de question de courir le moindre risque. Je reste prêt à intervenir. Clémentine contourne les bosquets pour remonter sur le chemin. Le type veut certainement le contact car il se dépêche de la rejoindre, lui bloquant ainsi le passage. Je dis à Julie en la lâchant : << Désolé, mais il faut que j'y aille ! >>. Je me précipite. Le cycliste me voit arriver. Il cesse de se toucher pour filer à toute vitesse vers son vélo.

Julie vient nous rejoindre. << Encore un vrai con incapable de dominer ses pulsions de primates ! >> lance Clémentine que ces individus révulsent. << C'est vrai qu'il s'est comporté comme un con. Il serait resté à discuter, il s'offrait un moment de plaisir unique ! >> rajoute Julie qui connaît bien ces attitudes de mecs primaires. Nous remontons vers les quais. Curieusement, cette fois, Julie reste près de moi. Nous racontons à Clémentine ce qui s'est encore passé dans les toilettes en mâtant.

Il est presque 16 h45. Il faut songer à prendre le chemin du retour. Nous voilà sur nos vélos à pédaler contre un vent agréablement rafraîchissant. Il faut fournir un effort continu. Il est 18 h15 quand nous revenons. Julie n'a que le temps de se changer. Je place sa bicyclette, roue avant démontée, dans le coffre de son auto. << Je prépare un scénario pour vendredi après-midi ! >> précise t-elle en s'installant au volant de son auto. Un dernier bisou. Un dernier coucou.

Voilà Estelle qui arrive. Les deux filles se font un grand signe de la main en se croisant. Estelle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. J'administre toujours le même traitement à Clémentine. C'est trop bien. Nous restons au jardin, assis dans la balancelle. Je suis entre mes deux anges. Clémentine raconte son aventure au port. << Le porc du port ! >> dit Estelle en écoutant cette nouvelle histoire. Je raconte ce que je faisais avec Julie pendant ce temps aux chiottes.

<< Salaud ! Je suis jalouse ! Tu n'as pas intérêt à recommencer. Je t'arrache les couilles avec les dents ! >> dit elle en tordant ma bite dans tous les sens. Elle s'empresse de rajouter : << Quand je ne suis pas avec ! >>. Nous éclatons de rire. Je la rassure en murmurant : << Tu restes ma préférée ! >>. Clémentine lui passe la main sur la joue en disant : << A moi aussi ! >>. Distribution de bisous à mes deux anges. Il est 19 h. La faim se fait sentir. Je propose un léchage de minous ce soir après le repas.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle met les assiettes et les couverts. Je réchauffe la Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui va faire le premier délice de cette soirée. Estelle n'arrête pas de me tripoter. << Je veux gouter ta bite après le dessert. J'adore le gout qu'elle a quand tu as fait des efforts physiques ! >> dit elle. << Tu vas te régaler ! >> lui fait Clémentine. Nous mangeons de bon appétit. Moi aussi je vais me régaler du sexe de Clémentine. Avec le vélo et ce qu'elle a vécu, ce sera de la "fondue savoyarde".

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont savourer de la queue, se faire lécher le minou, s'offrir une soirée de stupre et de luxure...

Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1539 -



Julie, impatiente, nous fait des courriels

Hier matin, mercredi, réveillés par le chant de ces mystérieux oiseaux, par le bruit de cette mystérieuse source, nous nous blottissons l'un contre l'autre. Je suis entre mes deux anges. Clémentine se frotte doucement, dans un mouvement masturbatoire, tout en gémissant. Cette application nous offre une sortie de sommeil en douceur. Quelques papouilles. Estelle se précipite aux toilettes la première. Vêtus de nos tenues de sport, c'est à notre tour d'aller pisser.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. L'odeur de café, de pain grillé, quelle plaisir ! Elle me fait des bisous. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. Nous mangeons de bon appétit tout en riant de nos frasques. De nos passions devenues sans limites pour la sexualité à trois. Il est 6 h25. Nous enfilons nos K-ways. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale.

Nous descendons jusqu'à la rivière car le sentier y est à nouveau praticable. Nous courrons d'un rythme soutenu. Estelle dirige le running en étant devant. Il est 7 h30 quand nous revenons après un jogging des plus gratifiants. Estelle s'en va immédiatement. Elle reviendra demain soir. Nous prenons notre douche. Pressés de sortir encore un peu, nous descendons à toute vitesse, habillés de nos jeans, T-shirt. Le ciel est bleu. Il y a du soleil. Cette succession de belles journées est un enchantement.

Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous ne nous attardons pas. C'est frustrant mais il faut rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette vingt cinquième toile destinée à ma saison d'été est un plaisir supplémentaire. Je peins dans une sorte d'enthousiasme extatique. J'en bave. Je dois même m'essuyer le coin de mes lèvres.

Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Nous avons décidé de manger dehors. Avec ce soleil, cette douceur, ne pas le faire serait stupide. Nous sortons avec les assiettes, les couverts, la nappe. C'est rapide de disposer le tout sur la table en fer. Nous rentrons vite. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la tourte aux poireaux. Je prépare une pâte à crêpe pendant que rissolent les queues de crevettes à peine décongelées.

Ce sera pour nos beignets de crevette de ce soir. Nous sortons avec les plats. Qu'il est doux de manger dehors. Enfin. Il y a bien quelques nuages d'altitude, mais rien d'inquiétant. Sous le noyer, à l'ombre de son généreux feuillage, nous savourons le reste de Flamiche Picarde en bavardant. Nous trainons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me parle de Julie. << Deux rapides courriels ce matin ! >> dit elle. J'écoute avec attention. Clémentine rajoute : << Elle est impatiente ! >>.

Quel que soit la météo, c'est vendredi après-midi que nous réaliserons le film. Le fantasme de "soumission" à Julie qu'elle va enfin pouvoir immortaliser par l'image. Nous aussi, nous sommes impatients de vivre ce grand moment. Nous débarrassons. Nous rentrons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de retourner au grand air, nous dévalons les escaliers. Clémentine m'entraîne par la main. Nous descendons vers la rivière. Qu'il fait bon y flâner.

Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. En me sortant la bite, elle me dit : << Mon doux "Maître", vous avez une rude séance de "dressage" qui vous attend vendredi après-midi ! >>. Elle m'embrasse. Je réponds : << Sachant que vous serez là pour m'assister, ma douce "Soumise", les choses seront beaucoup plus simples à gérer ! >>. Je glisse ma main dans la culotte de Clémentine qui déboutonne son jeans. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut rentrer.

<< Tu vas voir, on va tomber sur le vieux ! >> fait Clémentine. N'a t-elle pas prononcé ces paroles depuis quelques secondes qu'au détour du sentier, nous rencontrons monsieur Bertrand. Nous sommes convaincus que notre voisin fait exprès d'être là lorsque nous y sommes. Nous bavardons un peu. Clémentine s'excuse de remettre le rendez-vous "café" de vendredi à une prochaine fois. << Ce n'est pas grave Clémentine. J'ai pris goût à ces petits moments ! >> fait le retraité.

Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. Dehors, subrepticement, les séquences nuageuses se font plus nombreuses. Nul doute, la météo change. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. Nous abandonnons tout pour sortir encore un peu. Le ciel est voilé mais lumineux. Nous adorons cette ambiance. << C'est mai en juin ! >> lance Clémentine.

Nous montons les 100 mètres jusqu'au portail. Nous traversons la route pour prendre le chemin dans la forêt. Clémentine me tient par la main. << Encore deux courriels de Julie cet après-midi ! >> dit elle en me les montrant sur son téléphone. Ce sont de petits mots brefs. Julie avoue compter les heures. Elle confie également ses appréhensions, ses craintes de ne pas être à la hauteur de ses désirs. Ses peurs d'être ridicule. Clémentine propose de nous assoir sur la grosse pierre et de répondre.

Elle compose les phrases. Elle me consulte. Je les trouve parfaites. Je n'ai rien à rajouter. C'est en lisant chaque mot à voix haute que Clémentine écrit la réponse. Nous rassurons Julie. Nous partageons les mêmes interrogations. Clic sur envoi. Le long message est partit. Nous sortons de la forêt pour longer les prés. Il y a des vaches. Elles nous regardent passer. Clémentine m'entraîne dans un pogo effréné devant les ruminants qui s'approchent de la clôture. Nous rions aux éclats.

Nous avons encore du travail. Il faut songer à rentrer. Il est 18 h. Je peins en ouvrant bien les oreilles. J'écoute Clémentine me lire à haute voix, les écrits réalisés cet après-midi. Elle parcourt la grande pièce, sa tablette à la main. Telle une actrice de théâtre, elle déclame son texte. Je ne dis rien. Mais à mon attitude plutôt ravie et encourageante, Clémentine est rassurée. Elle s'assoit dans le canapé, corrige quelques tournures, se lève, se met à parler à nouveau tout en marchant.

Il est 18 h45. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Avec ce sentiment du devoir accomplit, nous sautillons comme des fous autour de la table. Clémentine s'occupe de la salade en revenant sur ses écrits. C'est important car il y a deux mémoires à présenter fin juin. Des travaux qui compteront pour le Doctorat d'ici trois ans. Je fais chauffer l'huile. Je trempe chaque queue de crevettes dans la pâte à crêpe avant de la plonger dans l'huile bouillante.

<< Je vais à la pêche ! >> fait Clémentine en récupérant les beignets qui flottent à la surface. Elle manie l'écumoire avec dextérité. J'égoutte les spaghettis. Je râpe du Parmesan. Nous savourons ce repas très simple comme s'il était celui d'un roi et d'une reine. Nous traînons à table. Dehors le ciel s'assombrit toujours davantage. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque nos vacances à venir. Pour cette année encore, le séjour en Ecosse semble compromis.

Un soudain éclair suivit d'un coup de tonnerre assourdissant. L'orage éclate avec une violence inattendue. Nous nous précipitons dans la véranda pour admirer ce phénomène. Les éclairs zèbrent le ciel emplit de lourds nuages noirs. Les coups de tonnerres sont de plus en plus violents. Il ne pleut pas. << Viens, on s'offre des frayeurs ! >> me fait Clémentine en m'entraînant par la main. Nous sortons. Les bourrasques de vent nous obligent à nous tenir l'un contre l'autre.

Nous traversons le jardin. Il y a quelques gouttes de pluie. Nous sentons monter en nous ces peurs ancestrales devant une nature qui se déchaîne. Elle est belle Clémentine, les cheveux flottant dans la tempête qui se lève. Je m'éloigne pour la regarder. Debout, à contre jour à chaque éclair. Elle est comme un fantôme. J'ai soudain une peur qui me fait frissonner. J'ai vécu de tels moments avec Christine mon ancienne compagne disparue. Il y a longtemps. Je ne peux réfréner l'angoisse qui me gagne.

Clémentine avance doucement. Son corps ondule. Je la regarde marcher. Sa silhouette de profil semble irréelle sous les éclairs de plus en plus nombreux. Je ne peux m'empêcher de hurler dans l'obscurité grandissante : << Clémentine, je t'aime ! >>. Elle ne dit rien. Elle aussi vit probablement là un instant extraordinaire. De ces images qui marqueront nos souvenirs à tout jamais. Comme si le ciel s'ouvrait soudain, c'est un paquet d'eau qui nous tombe dessus. En riant, nous courrons vers la maison.

Trempés en quelques instants, nous restons sous l'auvent de la porte d'entrée. En haut des escaliers, pour contempler ce spectacle. Serrés l'un contre l'autre, nous avons soudain froid. Nous luttons. C'est trop intense, trop beau. L'orage s'éloigne pourtant rapidement. Le ciel s'éclaircit à nouveau. C'est comme si nous revenions d'un voyage dans le temps. D'un autre monde. << Il y a un autre monde. Et il existe dans le nôtre ! >> lance Clémentine qui m'entraîne à l'intérieur.

Nous retirons nos vêtements trempés. C'est en slip et en culotte que nous faisons la vaisselle. Nous nous touchons, nous nous caressons. Je n'ai plus qu'une envie, offrir à Clémentine une soirée de plaisir. Elle me confie la même envie. Nous nous précipitons au salon. Dehors il fait à nouveau bien clair. Il est 20 h30. Nous regardons par une des deux portes fenêtres. Tout est trempé, dégoulinant. La luminosité donne un reflet argenté à toute chose. Clémentine glisse sa main dans mon slip.

Elle s'accroupit pour frotter son visage contre ma bite. Je caresse ses cheveux encore humides. Je l'aide à se redresser. Je la soulève. Je la dépose sur le bureau. Je retire sa culotte humide. Nue, elle écarte ses jambes, monte ses pieds sur le bord du meuble. Debout entre ses cuisses, je la pénètre doucement. Centimètre par centimètre. Se mordillant la lèvre inférieure, les yeux fermés, me tenant par le cou, elle savoure cet instant. Je suis complètement enfoncé. Les couilles contre ses fesses.

Nous restons immobiles. Nous aimons cette façon d'entrer dans le vif du sujet. Ce sont toujours les moments où Clémentine me confie ses secrets de filles. Elle me chuchote des mots étourdissants à l'oreille. Je la berce doucement. Nous faisons l'amour longuement. Clémentine se masturbe toujours en même temps. Je me retire délicatement. Je la saisis par ses cheveux pour l'entraîner vers le canapé. Je tire la cuvette de dessous le guéridon en ordonnant : << Pissez ma douce "Soumise" ! >>.

Accroupie au-dessus de la cuvette, Clémentine se lâche en plusieurs jets. Je suis penché en avant pour lui enfoncer un doigt dans le cul. Cela rend les jets beaucoup plus puissants. Je me mets à genoux. Clémentine se vautre dans le canapé. Je lui bouffe la chatte en dégustant les mélanges. Je cesse pour la pénétrer à nouveau. Cette fois, je bouge en rythme. Elle se masturbe en gémissant toujours plus fort. Elle me repousse doucement pour s'offrir un orgasme qui la fait hurler de plaisir.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment sucer la queue de leur mec, au fond du lit, après un orgasme cataclysmique...



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1540 -



Estelle nous rejoint en soirée

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. Surgissant du plus lointain de nos rêves, au fond d'une profonde forêt, des chants d'oiseaux. Le bruit d'une source. C'est un enchantement paradisiaque. Cette application nous réveille avec sa délicatesse coutumière. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. << Je t'aime mon amour ! >> murmure t-elle à mon oreille. Je lui couvre le visage de bisous. Il faut se lever. C'est plutôt difficile ce matin. Nous allons aux toilettes.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte les quatre premières tranches. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Nous mangeons de bon appétit en nous promettant de multiples récidives. Il est 6 h25. Nous enfilons nos K-ways pour sortir. Quelques mouvements d'échauffement dans l'agréable fraîcheur.

C'est parti. Nous longeons la rivière sous un ciel uniformément gris mais déjà lumineux. Une heure d'un running des plus gratifiants. Il est 7 h30 quand nous revenons pour prendre notre douche. Clémentine met une de ses robes d'été. Je suis en short kaki et T-shirt carmin. Pressés de sortir encore un peu, nous descendons les escaliers à toute vitesse. Il fait doux. La journée s'annonce exquise. Il est 7 h50. Nous faisons quelques pas dans la propriété. Les cours en ligne commencent à 8 h05.

Il faut rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je peins en pensant à notre soirée. La peinture de cette vingt cinquième toile destinée à ma saison d'été, me captive. La matinée se passe dans cette émulation que nous apprécions tant. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle m'entraîne dans une sorte de tango lascif et "frotteur".

C'est ainsi que nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe les beignets de crevettes et les spaghettis de hier soir. J'étale la pâte feuilletée décongelée depuis ce matin dans deux grands plats à tarte aux bords hauts. Je lave et je coupe une grosse aubergine et deux belles courgettes. Des champignons. Clémentine dispose les tranches en spirale sur les fonds de tarte. Je verse le "flan". Ce mélange d'œuf, de moutarde à l'ancienne, de fromage blanc, de crème fraîche.

Clémentine rajoute une couche de gruyère de Comté qu'elle vient de râper. Je termine en saupoudrant de chapelure. Onze cerneaux de noix sur chaque tarte. Je mets au four. Cuisson à 180° pour laisser mijoter longuement. Ce seront nos repas de ce soir et de demain midi. Les beignets de crevettes et les spaghettis poilés sont un délice que nous savourons en bavardant. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le film de Julie. Ce fantasme d'adolescente qu'elle veut mettre en images.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point elle se réjouit. C'est elle qui va tenir la caméra. Elle le fait si bien. Nous tournerons ce film demain après-midi, vendredi. Julie viendra nous rejoindre dès 13 h30. Elle restera avec nous jusqu'au samedi matin. Nous aimons sa compagnie. Clémentine me donne quelques recommandations. C'est moi qui vais interpréter le personnage du "Maître". J'ai de l'entraînement depuis quatre ans.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés d'aller au grand air, nous dévalons les escaliers. Il fait chaud. Le ciel est principalement bleu. Clémentine m'entraîne par la main. Nous contournons la maison d'amis. Nous constatons à quel point les mauvaises herbes ont envahit le potager. Cette année, nous le laissons en friche. Nous n'avons pas envie de faire pousser nos légumes. Un peu fainéants, nous préférons les faire livrer tous les samedis matins.

Clémentine glisse sa main dans la braguette ouverte de mon short kaki. Je glisse ma main sous sa robe. Nous nous touchons en nous embrassant passionnément. J'entraîne Clémentine dans la roseraie. C'est une véritable étuve sous le double vitrage de la serre. Là non plus, cette année, il n'y aura ni roses ni tulipes. Juste du persil, de la ciboulette dans les grandes jardinières. Nous avons en projet de faire appel à l'entreprise paysagiste habituelle. Un jardinier qui viendrait s'occuper de tout ça.

Clémentine m'entraîne sous l'abri à bois. L'odeur de résine de hêtre et de chêne y est prégnante. Nous adorons. J'ai la queue à l'air. Clémentine me la tient en parlant de notre projet du jardinier. Nous ferons le nécessaire pour l'année prochaine. << Un jardinier vicieux de préférence ! >> me dit elle. Nous éclatons de rire. Accroupie devant moi, Clémentine me taille une pipe. Je caresse délicatement sa tête avant de la saisir par les oreilles. J'aime l'entendre gémir avec la bouche pleine.

Je l'aide à se redresser. Il y a monsieur Bertrand, notre voisin qui longe la clôture. Il va nourrir les canards. Il ne nous voit pas. << Viens, on s'amuse un peu ! >> fait Clémentine. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous allons à la rencontre du retraité. Il est accroupit. Les canards sont tout autour de lui à se partager du vieux pain. Nous bavardons un peu. Je surprends son regard libidineux sur Clémentine. Cette sublime jeune fille vêtue de sa robe d'été doit tourmenter sa libido.

Je m'éloigne un peu en faisant mine d'observer les poules d'eau qui n'approchent pas trop. J'observe du coin de l'œil. Là-bas, à une dizaine de mètres, le vieux salaud se palpe la braguette en discutant avec la fille. Mais c'est surtout le comportement de Clémentine qui me subjugue. Elle se touche tout en conversant. Ça m'excite. Je fais gaffe de ne pas être surpris à mâter. Je louche à en avoir mal aux yeux. Je n'entends pas les propos qui s'échangent mais je vois Clémentine rire aux éclats.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à rentrer. Je rejoins le couple. Clémentine me prend la main. Nous saluons notre voisin avant de remonter le chemin. << Ce vieux dépravé me propose de baiser avec lui ! >> me raconte Clémentine. Je l'encourage à passer aux actes. Elle dit : << Je me le fais avant les vacances ! >>. Nous en rions de bon cœur. Cela fait tout de même un an et demi que Clémentine ne s'est plus fait sauter par un autre mec. Elle en a envie. Moi aussi !

Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins en pensant à tous les délices qui nous attendent dans les prochains temps. Il est 17 h quand Clémentine vient sautiller autour de moi. Elle s'accroupit, cuisses largement écartées. Elle vient de retirer sa culotte qu'elle tient au bout de son index. L'air terriblement vicelarde, le coude posé sur sa cuisse, elle agite le morceau de tissu blanc avec un sourire éloquent.

Je pose ma palette, mes pinceaux sur la desserte. Je me lève. J'ouvre ma blouse. Je me tiens debout devant Clémentine qui ouvre sa bouche en grand. Je n'ai qu'à y fourrer la queue. Je me fais sucer. Clémentine s'y applique avec tant de passion. Elle a encore du travail. Je l'aide à se redresser. C'est moi qui m'accroupis pour lui masser les genoux endoloris. La voilà installée dans le canapé, son iPad sur les genoux. Je peins en l'écoutant lire à voix haute. Son travail de rédaction prend forme.

Il est presque 18 h. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Je retire ma blouse. Clémentine pose sa tablette en disant : << Ras-le-bol ! >>. Elle se lève. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour le jardin. Au moment où Estelle arrive dans sa voiture d'entreprise. Toute contente, radieuse et souriante, c'est en sautillant qu'elle vient nous rejoindre. Le ciel est couvert, menaçant mais il fait une chaleur orageuse. Nous nous installons dans la balancelle, au bord du bassin.

Je suis entre mes deux anges. Estelle, tout en nous racontant sa soirée de hier, joue avec ma bite qu'elle tord dans tous les sens. Fort heureusement, je bande mou. Son parrain est venu voir ses parents. Comme tous les mercredis soirs. Il n'y a aucun lien de parenté entre elle et son parrain. Une fois encore, elle s'est isolée un moment avec lui au fond du jardin. Lui aussi s'est fait vacciner ainsi que sa femme. << Il insiste pour qu'on se remette à baiser les mercredis soirs ! >> raconte Estelle.

Elle continue : << Moi aussi j'ai envie de recommencer à me faire tirer par ce mec ! Ça fait plus d'un an et demi ! Ras-le-bol ! Ce salaud me baise si bien depuis mes 16 ans ! >>. Nous en rions de bon cœur. Estelle rajoute : << Je suis sûre que maman s'en doute depuis longtemps ! Elle fait parfois de curieuses allusions ! >>. Nous éclatons de rire quand Clémentine lance : << Elle a sans doute vue ce qu'il y avait dans tes culottes quand elle faisait ton linge ! >>. Estelle est écroulée de rire.

Il commence à faire faim. Il est 19 h. Le ciel s'obscurcit dangereusement. << Ça va péter ! >> fait Estelle qui me tire par la queue. Nous nous levons. Elle est en robe également. Je passe ma main entre ses cuisses. Elle a ce merveilleux petit réflexe féminin. << Tu me niques ce soir ? >> me demande t-elle, suppliante, en se serrant dans mes bras. << Tu ne t'emmerdes plus, toi ! >> lui fait Clémentine qui s'interpose par jeu. Nous rentrons. Clémentine s'occupe de la salade.

Estelle met les assiettes, les couverts. Je réchauffe une des deux tartes aux légumes. Elle est dorée à point. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre projet de film demain après-midi. << Salauds ! Pendant que je suis au bureau avec maman ! Vous n'avez aucune pitié ! >> lance Estelle qui se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. << On te racontera ! >> dit Clémentine en mimant une pipe. Je me lève à mon tour pour agiter ma queue vers mes deux anges.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font le programme du week-end à venir. << Je veux baiser, baiser et encore baiser ! >> précise Estelle en me couvrant le visage de bisous. << Pareil ! >> rajoute Clémentine. Nous éclatons de rire. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Il fait presque nuit avec cette ambiance orageuse. Pourtant l'orage n'éclate pas. Nues, vautrées dans le canapé, les jambes relevées qu'elle tiennent sous les genoux, elles m'attendent.

A genoux sur les épais coussins, je commence à bouffer la chatte d'Estelle qui se masturbe en même temps. Je passe à Clémentine. Estelle m'attire sur elle. Je m'y enfonce avec jubilation. Je la baise comme elle aime, à la hussarde. Je passe à Clémentine que je baise avec délectation. Nous sommes enivrés de plaisirs, de bonheur. En baisant, chacune me confie ses désirs, ses nouvelles envies, ses fantasmes qui s'étoffent de nouvelles perspectives. D'autres déclinaisons. D'autres expériences à réaliser.

L'orgasme d'Estelle la laisse hébétée, couchée sur le côté, les mains entre ses cuisses. Comme si elle avait mal. Une fois encore, j'ai fait pisser Clémentine dans la cuvette afin qu'elle puisse jouir sans en mettre partout. Son orgasme la fait hurler de plaisir. Nous sommes abattus. Vautrés dans le canapé. Je suis entre mes deux anges. Comme à chaque fois, c'est une fois au lit que Clémentine se fera éjaculer au fond de la gorge dans une de ces fellations qu'elle adore me prodiguer avant le sommeil.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui viennent de jouir. Qui s'apprêtent à monter se laver les dents avant de se coucher. De sucer...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1541 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, l'application forêt nous tire de nos rêves avec sa douceur habituelle. En y mêlant le chant de ses mystérieux oiseaux, le bruit de sa source mystérieuse. Estelle qui est restée accrochée à moi toute la nuit, se serre encore plus fort en se frottant. Clémentine vient se blottir. Il est presque six heures, je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Le vendredi, c'est souvent la déconne dans une certaine euphorie car les filles terminent à midi. Début du week-end.

Estelle se lève la première. Ses vêtements de sport à la main, elle se précipite vers la porte. Nous revêtons nos habits de jogging. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Il y a déjà cette délicieuse odeur de café, de pain grillé. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. Tout de suite après le running elle devra nous laisser jusqu'à demain.

J'administre le même traitement à Clémentine. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en évoquant nos folies de hier soir. << C'est ça qui rend nos levés difficiles ! >> lance Estelle. << Et comme ça va continuer de plus belle, nos levés deviendront impossibles ! >> surenchérit Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Estelle rajoute : << D'ici moins de quatre semaines, c'est grasse matinée tous les jours. On va pouvoir baiser comme des malades tous les soirs ! >>.

Il est 6 h25. Nous enfilons nos K-ways presque inutiles tellement la fraîcheur est agréable. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. C'est Estelle qui impulse le rythme. Nous courons d'une bonne foulée le long de la rivière pour revenir après une heure de pur plaisir. Estelle monte directement dans sa voiture. Derniers bisous. << A demain 14 h. Racontez-moi tout ! Julien, sois bien salaud ! >> fait elle en démarrant. Nous rentrons prendre notre douche. Nous nous habillons légers.

Clémentine porte une de ses robes d'été bleue claire à motifs floraux. Je suis en short kaki, en T-shirt brun. Pressés de sortir encore un peu, nous descendons les escaliers à toute vitesse. Il est 7 h50. Nous faisons quelques pas dans la propriété. Il fait doux. Le ciel est légèrement voilé mais lumineux. Nous aimons ce climat passionnément. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il faut songer à rentrer. Clémentine m'entraîne par la main en sautillant. Je l'imite pour gagner l'atelier.

Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette vingt cinquième toile destinée à ma saison d'été, m'accapare rapidement. Je peins animé de cette sorte d'euphorie communiquée par Clémentine depuis le levé. Il est 11 h45 quand je dépose la dernière touche de bleu de cobalt sur la surface de mon tableau achevé. Je nettoie la palette, les pinceaux, en chantonnant.

Il est 11 h55 lorsque Clémentine vient me rejoindre en virevoltant. Telle une ballerine qui ferait ses pointes, elle tourne autour de moi et du chevalet avec une grâce admirable. Je me lève. Nous entamons une danse tribale en poussant des cris d'animaux qui n'existent pas. C'est ainsi que nous quittons l'atelier pour la cuisine. Dehors, le ciel s'est légèrement couvert. Il y a des nuages d'altitude. Rien de menaçant. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la seconde tarte aux légumes de hier.

Je fais rissoler deux filets de colin enduits de moutarde à l'ancienne. De l'ail, de l'échalote. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons un peu à table. Assise sur mes genoux, Clémentine évoque l'expérience qui nous attend cet après-midi. La réalisation du fantasme "cinématographique" de Julie. Elle nous a envoyé un vague scénario par courriel. Nous savons à peu près à quoi nous attendre. Cette part de mystère qui demeure reste la plus excitante.

Nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Dans le petit sac de sport, je mets mon chemisier blanc à manches bouffantes, mon pantalon de cuir noir, mes bottines noires, un cagoule. Nous dévalons les escaliers pour aller au salon. Du tiroir du haut du bureau, Clémentine tire la caméra, les deux batteries. Du tiroir du bas, je sors les cordelettes de coton blanc, la paire de menottes. Le tout dans le sac de sport.

Tout est près. Nous sortons. L'atmosphère est orageuse. Là-bas, au loin, au-dessus de l'horizon, de lourds nuages noires s'amoncellent. Nous sortons la berline du garage. Voilà la Clio rouge qui descend le chemin. Julie sort de sa voiture pour se précipiter vers nous. Des bisous. << Je suis morte de peur ! >> dit elle à plusieurs reprises en s'accrochant au bras de Clémentine. Je demande : << Mais peur de quoi, que diable ? Tout s'annonce si parfaitement. Vous êtes si belle ! >>.

Julie est vêtue d'une jupe jeans, d'une chemise fine à manches courtes, de ses baskets. Elle retourne à son auto pour récupérer un petit sac de sport identique au nôtre. Il est à peine 13 h20. << En route ? >> demande Clémentine qui prend Julie par ses épaules. << En route alors ! Puisqu'il faut y aller ! >> répond Estelle qui semble paniquée, terrorisée. Je lui ouvre la porte arrière. Elle s'installe en disant : << Moi aussi je veux une grosse Mercedes plus tard ! >>. Nous rions.

Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. Julie est penchée en avant. Elle fuit mes regards car elle sait que je l'observe souvent dans le rétroviseur. Il y a trois kilomètres jusqu'au bourg que nous traversons. Je prends la direction de la chapelle gothique. Puis je prends le chemin de droite. Il est carrossable et sec. Deux petits kilomètres sans rencontrer personne. Voilà la carrière qui servait de matière première aux anciennes tuileries dont les bâtiments sont devant nous.

Je sens bien que Julie est morte de trouille. D'angoisse peut-être. En sortant de la voiture elle dit : << Mais dans quoi me suis-je encore fourrée ? >>. Clémentine la prend par les épaules pour répondre : << Dans quoi nous as-tu encore fourré tous les trois ! >>. Nous éclatons de rire. Nous prenons le sentier qui contourne la carrière. Nous entrons par le vieux portail en fer rouillé dans la cour. << Génial cette météo ! >> lance Julie pour se donner de la contenance. Exorciser ses peurs.

<< Je vais me mettre en tenue ! >> rajoute t-elle en réunissant tout son courage. Nous la regardons entrer dans la maison en ruine. Sans doute les anciens bureaux de l'entreprise. Clémentine m'entraîne dans la ruine voisine. Je me change. C'est inconfortable de porter un pantalon de cuir moulant par 22° minimum. Clémentine m'ajuste. Fait blouser légèrement ma chemise blanche aux manches bouffantes. << Mon Mousquetaire ! >> dit elle en me palpant la braguette bien serrée.

Clémentine sort la caméra. Elle fait un rapide essai en glissant chacune des batteries à tour de rôle dans l'appareil. << Tout est OK ! >> dit elle. Nous ressortons du bâtiment. Le ciel est couvert mais lumineux. S'il y a de l'orage dans l'air, ce ne sera pas avant la fin d'après-midi. Par contre, il fait lourd. Je me sens devenir de plus en plus moite dans mon futal de cuir noir. C'est vraiment désagréable. Nous entendons la voix de Julie. << Je vais apparaître ! >> lance t-elle. << Ça tourne ! >> s'écrie Clémentine.

Julie réalise enfin son fantasme

Clémentine allume la caméra. Julie apparaît soudain. Nous la regardons descendre le sentier. Elle est vêtue de sa robe d'été rouge. Des silhouettes blanches d'oiseaux égayent la couleur sang. Julie est chaussée de fines bottines en nubuck beige. Ses longs cheveux presque noirs flottent en libertés sur ses épaules. Ils sont luisants sous la luminosité du ciel. Clémentine se met à filmer. Je reste au près d'elle pour admirer cette arrivée magnifique. La jeune fille est absolument superbe. Sa silhouette frêle se détache sur les murs de briques rouges.

Julie s'assoit sur la grosse pierre au milieu de la cour envahie de végétation. Elle reste immobile, jouant avec ses doigts qu'elle observe, tête penchée vers l'avant. Parfaitement droite. Clémentine s'approche en faisant très attention où elle pose les pieds. Elle tourne autour de Julie. Elle filme la jeune fille sous tous ses angles. Elle s'éloigne d'une dizaine de mètres. Comme un miracle, un rayon de soleil crève les nuages pour éclairer la scène. Aucun projecteur, aucun effets spéciaux n'auraient mieux réussi cet éclairage irréel.

Clémentine me fait signe. C'est à moi. Je marche doucement. Sur la demande de Julie, je porte la cagoule noire. Je porte ma chemise blanche aux manches bouffantes. Mon pantalon de cuir noir moulant. Mes bottines noires. Je m'approche. Je crois halluciner. Julie porte un collier canin auquel est fixée une laisse qui pend entre ses deux seins. C'est avec la poignée de cette laisse qu'elle joue depuis qu'elle est assise. Je la regarde. Elle lève la tête. Elle fixe les deux ouvertures de la cagoule. Mes yeux. Elle me tend la poignée de la laisse.

Je la saisis. J'hésite un instant. Je dois improviser. Je n'avais pas prévu ce scénario. Julie nous avait prévenu par courriels. Il y aurait des surprises. Je montre le sol de ma main libre. J'invite la jeune fille à se lever, à me suivre. Comme résignée à son sort, la tête baissée, les mains sur son sexe, Julie marche derrière moi. J'avance doucement. Je l'entraîne. Il faut faire très attention à cause des rocailles, des débris divers qui jonchent le pavage défoncé par les mauvaises herbes. Nous faisons ainsi le tour de la cour. Deux fois.

Je monte les marches suivit de Julie. Nous marchons sur le quai. Clémentine filme depuis la cour. Elle monte l'échelle métallique rouillée. Elle ne veut pas de coupures. Ce qui imposerait des montages que ne désire pas Julie. J'attends que Clémentine soit montée sur le quai avant d'entrer dans la salle des fours. Je saisis Julie par la nuque. J'approche mon visage pour scruter le sien. J'ai un peu chaud sous ma cagoule et dans mon pantalon de cuir. Au-dessus de nous, il y deux gros crochets suspendus à des chaînes.

Je tire les cordelettes de coton blanc d'une de mes poches arrières. Je fixe chacun des poignets de Julie à un des crochets. Elle me regarde. Je devine l'appréhension qui l'habite. J'entends son souffle. Je sens l'excitation qui l'envahit. Je fixe chacune de ses chevilles aux anneaux incrustés dans les parpaings de béton posés sur le carrelage défoncé. Clémentine filme en tournant autour de nous. Elle le fait consciencieusement. Lentement. Elle veut saisir chaque expression de la "captive".

Je pose ma main sur la nuque de Julie. Je la saisis fermement. Je relève ma cagoule jusqu'au nez. Je pose ma bouche sur la sienne. Ma "captive" est étonnée, surprise. Je l'embrasse avec fougue. Je glisse ma main entre ses cuisses. Décidément, je vais de surprise en surprise. Julie ne porte pas de culotte. Par contre je découvre qu'elle a un truc enfoncé dans le cul. Je déboutonne le premier bouton de sa robe. Doucement, je les déboutonne les uns après les autres. Il y en a dix. Julie est nue sous sa robe. Ses petits seins fermes.

Je m'accroupis pour regarder ce qu'elle a dans le cul. Il y a les reflets d'un diamant synthétique bleu. C'est un plug anal. Clémentine vient s'accroupir près de moi pour filmer. Je retire doucement l'objet oblong du trou du cul de la "captive". C'est un plug chromé, de taille moyenne. Je l'enfonce en me relevant. Je me positionne devant la jeune fille qui n'ose pas soutenir mon regard. La honte se lit sur son visage devenu celui d'une adolescente pubère. Presque nubile. C'est impressionnant. Ses 20 ans en paraissent soudain 16.

Je glisse ma main entre ses cuisses. Je palpe sa vulve. C'est la toute première fois que je peux la scruter. Je m'accroupis. C'est une touffe soigneusement épilée pour ne pas dépasser d'une culotte étroite. Personnellement, je préfère les chattes négligées, poilues et odorantes. Je glisse mon nez dans les poils courts. Il n'y a pas de réelle odeur. Dommage. J'enfonce mon doigt jusqu'à la première phalange. Julie a un soubresaut. Ce réflexe typiquement féminin. J'enfonce encore. De ma main libre, je cherche le clitoris du bout de mes doigts.

Je le sens. Il palpite entre mon pouce et mon index. C'est un bouton de bonne taille que je décalotte. Julie émet de petits gémissements en se tortillant de plaisir. J'approche ma bouche. Je me mets à sucer son clitoris. Je peux sentir battre son cœur. C'est excitant. Mais c'est également émouvant. Je retire mon doigt pour tenter de lui bouffer la chatte. Je dois faire le contorsionniste en me tournant. En appui sur mes bras et mes pieds, la tête renversée en arrière, je me mets à pomper sa vulve. Il y a de la cyprine.

C'est la première fois que je goute Julie. Son jus est légèrement acidulé. Il a la consistance d'un miel fluide. J'aspire. Dans le liquide que je tire, il y a des flux plus liquides, d'autres plus onctueux. Julie se tortille. Attachée par les poignets et les chevilles, ses possibilités sont restreintes. Elle ne peut ni se cambrer ni se fléchir. Je me tourne pour me consacrer à ce bouton turgescent. Son orgasme la fait crier. Clémentine a filmé toute la scène. Je détache Julie. Je l'entraîne par la nuque, sa robe ouverte qui flotte.

Je la fais s'assoir sur une petite barrique ronde en plastique rouge. Elle se touche. Ou alors elle tient son sexe comme pour le soulager après ce que je lui ai infligé. Je la saisis par ses cheveux. Sans réelle brutalité mais fermement. Surprise par mon initiative elle lève la tête pour me regarder. Que peut-elle bien regarder ainsi si ce n'est la cagoule noire que j'ai redescendu sur ma bouche ? Je sors ma queue. Je bande comme un salaud. Excité comme je le suis, ma bite suinte de foutre. Julie prend soudain peur.

Je me penche pour murmurer : << Pas d'inquiétudes. Laissez-vous aller ! >>. Je lui frotte la bite sur la gueule. Ça faisait bien trois ans que j'avais envie de le faire. Pour les besoins de ce film je peux enfin me livrer à mes déviances avec cette jeune fille. Elle tente de se soustraire à mon étreinte. Rien à faire, je la maintiens par sa tignasse. Je me frotte sur son visage en me masturbant. Clémentine filme en tournant autour de nous. Je me branle réellement sur la gueule de Julie. Je suis obligé de la maintenir des deux mains.

Elle me tient par les poignets pour tenter de me repousser. Que pourrait bien faire cette frêle jeune fille d'un mètre soixante dix, de 55 kg face à un homme d'un mètre quatre vingt huit et de 85 kg ? Je n'abuse pas de la situation. Je cesse. Je la force à se lever. Je la saisis par le menton afin de présenter son visage maculé de foutre à la caméra. Julie baisse les yeux, tente de se dégager. Je lui glisse la main entre les cuisses. Je lui enfonce le doigt. Elle me saisit par le poignet de ses deux mains. Je tire la paire de menottes de mon autre poche arrière.

Je lui fixe les poignets derrière le dos. Julie se laisse faire docilement. J'enfonce à nouveau mon doigt. C'est avec le doigt dans la chatte que je l'entraîne. Elle avance difficilement. Clémentine filme le visage de Julie en gros plans. Elle fait énormément de gros plans des situations vécues. Nous sommes tous les trois des cérébraux. Je m'arrête pour demander à Julie : << Combien de fois vous êtes vous masturbée cette semaine ? >> Sans hésiter, Julie répond : << Tous les soirs. Même quand je vous quitte, je me branle dans la voiture ! >>.

Je regarde Clémentine qui me fait un clin d'œil. Je bouge ma main pour masturber Julie. Mon doigt toujours bien enfoncé. Elle se hisse sur la pointe des pieds en même temps que je tire sur ses cheveux pour la soulever. De ma main libre, je la tiens ainsi sur la pointe des pieds. Julie se met à pousser de petits cris d'animal blessé. J'agite ma main entre ses cuisses dégoulinantes de foutrine. Ce qui devait arriver, arrive, c'est dans un jet de pisse que la jeune fille jouit pour la seconde fois.

Elle se laisse tomber au sol. Reprenant ses esprits en soufflant, en respirant fort, Julie reste prostrée. Clémentine me fait signe que nous arrivons au bout des capacités de la carte SD. Le bruit et la diode qui clignote. << Fini ! >> dit elle. Je m'accroupis pour prendre Julie contre moi. Elle se laisse totalement aller. Je la soulève comme une jeune mariée. Nous sortons de la salle des fours. Il fait chaud et lourd au dehors. Orageux sans doute. Le ciel est couvert et menaçant. Julie quitte enfin sa torpeur. << Merci ! >> chuchote t-elle. A peine audible.

Nous nous changeons. Clémentine félicite Julie pour le personnage qu'elle vient d'incarner. << Mais je n'ai pas joué un personnage, j'étais moi à 100 % ! >> lance t-elle avant de rajouter : << J'ai tellement honte ! Maintenant vous savez vraiment tout de moi ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine demande : << Tu gardes ton plug ? >>. Julie s'empresse de répondre : << Vous n'imaginez pas le nombre de fois où je suis venue vous voir avec mon plug bien enfoncé ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je dis : << Tu aimes être enculée ? >>.

Julie baisse les yeux sans répondre. Pour la tirer d'embarras, Clémentine lance : << Moi, c'est dans la chatte que je portais des trucs quand j'étais adolescente. Je me fixais des défis. Garder le gode durant tout le cours de math par exemple ! >>. Julie éclate de rire en se serrant contre Clémentine. << Je t'aime Clémentine ! >> lance t-elle en mettant le sac sur son dos. Nous prenons le sentier qui mène à la voiture. Je roule doucement. Clémentine me suce. Julie, penchée en avant, observe la scène. Je la regarde dans le rétroviseur.

Je m'arrête le long du muret de l'enclos paroissial. Il y a d'autres voitures garées le long du mur du cimetière. Je me fais tailler une pipe par Clémentine. Je passe mon bras à l'arrière pour tenir Julie par la nuque. Je lui pose des questions insidieuses auxquelles elle répond avec empressement. Quand j'évoque le placard dans lequel nous sommes enfermés pour faire les voyeurs, Julie dit : << C'est génial ! >>. Clémentine cesse de pomper pour lui demander : << Il ne te fait pas envie ce vieux salaud de Mr Bertrand ? >. Julie respire un grand coup.

Elle répond : << Ce vieux salaud peut me baiser quand il veut ! J'adore les vieux dégueulasses ! >>. Nous restons silencieux. << Sérieux ? >> demande Clémentine. << Sérieux ! >> répond Julie. Je suis consterné. Interloqué. Les filles m'étonneront toujours. Clémentine rajoute : << Je baise avec lui avant les vacances. Je veux me le faire ! Tu veux te le faire avec moi ? >>. Julie s'empresse de dire : << Non ! Tu restes cachée dans le placard avec Julien ! Vous mâtez ! >>. Nous rigolons comme des bossus.

Je démarre. Clémentine me suce jusqu'à la maison. Il est 19 h30. Nous sommes morts de faim. Pour respecter sa pudeur de jeune fille, nous jouons le jeu de Julie. En mangeant, nous parlons de ma galerie d'Art. Des études de Julie. De celles de Clémentine. Je me lève quelquefois pour montrer ma bite dégoulinante de foutre. Julie nous propose une "soirée cinéma" pour demain soir, samedi. << On se mâte le film ! Ça vous tente ? >>. Clémentine s'écrie : << Et comment ! Estelle va pouvoir trouver de l'inspiration ! >>

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur notre expérience de l'après-midi. Julie, assise en face de nous, baisse soudain les yeux. Honteuse et très gênée. Je veux détendre l'atmosphère. Je dis : << Julie, d'ici moins de quatre semaines, vous serez la gérante d'une galerie d'Art. Prête à relever ce nouveau défi ? >>. Julie relève la tête, enthousiaste elle s'écrie : << Oh oui ! Ce sera infiniment moins difficile ! >>. Nous éclatons de rire.

Julie nous confie sa joie à l'idée de s'occuper de ma galerie d'Art durant tout l'été. Son impatience mise à mal depuis presque une année, dans l'attente de cette activité qui la passionne. Nous ne savons pas encore si nous serons en Ecosse durant les mois de juillet et d'aout. Impossible d'avoir les renseignements. Nous avons prévu les plans B. Clémentine s'est occupée des réservations, dans le Jura, dans les Alpes et en Vendée. La location d'un camping car. Julie écoute. Elle parait épuisée. Dehors, l'orage éclate enfin. Effrayant.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Julie insiste pour plonger. Nous essuyons. Nous passons au salon. Julie s'assoit dans le fauteuil. Clémentine et moi, en face, dans le canapé. Nous bavardons. Pour éviter de gêner Julie qui baille de plus en plus souvent, nous évitons de revenir sur le film réalisé cet après-midi. Par contre, j'ai la bite dégoulinante de foutre dans la main de Clémentine qui raconte quelques anecdotes de nos vacances à Edimbourg. Julie regarde le plus souvent ma queue.

Cette queue que je lui ai frotté sur la gueule durant sa séance de "Soumise". Elle s'écrie soudain : << On se fait une suite ? >>. Nous restons interloqués. Silencieux. Nous éclatons soudain tous les trois de rire. Clémentine demande : << Avant de te faire le vieux ou après ? >>. Julie qui semble avoir repris un peu d'énergie, répond : << Avant ! >>. Je demande à mon tour : << Vous la voyez comment cette "suite" ? >>. Julie me répond : << J'élabore un scénario par mail ! >>.

Clémentine se penche sur le côté. Avant de prendre ma bite en bouche elle demande à Julie : << Et si Julien te fais sucer, qu'il te baise pour ce second opus ? >>. Julie reste silencieuse. Elle fuit mon regard insistant. Je dis : << Vous allez vous régaler devant la caméra ! Ce sera une suite digne du premier opus ! >>. Julie met son visage dans ses mains, comme harassée par ses propres mots, ses propres fantasmes. Clémentine me taille une pipe. Julie observe sans oser soutenir mon regard.

Bonne soirée à toutes les coquines qui mettent la barre de plus en plus haut. Qui ont le désir fou de vivre tous leurs fantasmes...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1542 -



Julie doit annuler la "soirée cinéma"

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand Clémentine vient se blottir contre moi. Un mouvement masturbatoire contre ma cuisse qu'elle enserre des siennes. Cette extraordinaire douceur est notre premier contact avec la réalité. Là-bas, dans son canapé lit, Julie se réveille également. << Coucou ! >> lui fait Clémentine. Je rajoute : << Bisou ! >>. Julie se redresse. Assise dans son lit elle nous fait un délicieux sourire en lançant : << Bonjour ! >>. Elle se lève la première.

Dans son long T-shirt de nuit, elle file aux toilettes. Nous nous habillons de nos tenues de jogging. Julie revient en nous disant : << Comme je dors bien ici. Merci pour l'accueil ! >>. Avant d'aller aux toilettes à notre tour, nous lui déposons chacun une bise, en stéréo, sur ses joues. Morts de faim, nous dévalons tous les trois les escaliers. Clémentine fait le café, Julie met les bols et les couverts sur la table. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner.

<< Je ne viens pas courir avec vous, je vais m'occuper du ménage ! >> lance Julie. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Il n'est fait aucune allusion à ce que nous avons fait hier. Par pudeur, Clémentine et moi, nous préférons laisser Julie aborder le sujet. Si elle l'aborde ! Il est 8 h25. Nous faisons un bisou à Julie avant de sortir. Le ciel est couvert mais lumineux. Quelques mouvements d'échauffement dans l'agréable fraîcheur matinale. Nous montons jusqu'au portail en courant.

Nous le laissons grand ouvert avant de traverser la route. Nous nous engageons dans le chemin forestier encore humide du violent orage de hier soir. Nous courons d'un rythme soutenu. Il y a un endroit rocailleux qui nous permet de faire nos exercices au sol. Il est 9 h30 quand nous revenons après un superbe running. Nous entendons l'aspirateur. Julie est entrain de le passer au salon. Nous montons prendre notre douche. Tout est déjà nettoyé à l'étage. Nous revêtons nos jeans, nos T-shirt. Il fait un peu plus frais dans la maison.

Nous redescendons. Julie est entrain de nettoyer la cuisine. Nous sortons pour recevoir les livraisons qui ne vont pas tarder. Il est dix heures tapantes quand la camionnette des fruits et légumes descend lentement le chemin. C'est la même jeune femme qui vient nous livrer. Du véhicule elle tire deux cageots. L'un contient nos fruits, nos légumes. L'autre contient nos produits frais. Yaourts, beurre, petits pots de crème fraîche, les fromages, les œufs. Même commande pour samedi prochain.

Voilà la camionnette de madame Marthe. La boulangère. Nous échangeons toujours quelques bons mots avec la dame. Elle nous tend le cageot contenant les deux grosses miches de pain complet, deux pâtes feuilletées, la brioche au pudding. Même commande pour samedi prochain. Nous contournons la maison pour passer par la cave avec les cageots. Nous rangeons les fruits et les légumes dans le cellier, sur les étagères. Dans le congélateur les deux pâtes feuilletées, une des miches.

J'en tire un paquet de moules, de haricots verts et de petits pois. Nous remontons. Julie est entrain de passer la serpillère. Elle a prévu notre retour, une des deux portes fenêtres du salon est ouverte. Nous n'avons qu'à ressortir pour passer par le jardin. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. << Génial ! >> s'écrie t-elle en découvrant le courriel d'Edimbourg. Il est enfin possible d'entrer en Ecosse. Un passe sanitaire prouvant un test PCR et un vaccin sont toutefois obligatoires.

Clémentine se lève. Dans une effusion de joie extraordinaire, elle m'entraîne dans une danse triviale. Julie, dans l'encadrement de la porte, le balai à la main, nous regarde en souriant. Nous tournons en rond comme des singes en poussant des cris d'animaux inexistants. Clémentine s'empresse de répondre à mon oncle Alan. Dans une enveloppe, je prépare un billet de 50 euros. Les étudiants ont toujours besoin d'un peu de "fraîche". Ce sera à l'intention de Julie. Elle fait notre ménage.

Nous nous sommes mis d'accord. Ce n'est pas du "black" mais le règlement d'une vieille dette. Ainsi, tout est clair avec Julie. (Et tous les autres). Il y a un courriel de Juliette qui nous rappelle que dès la levée de cet absurde couvre feu, nous sommes invités à partager notre premier repas depuis des mois. Clémentine répond. Le mail d'Estelle qui nous annonce sa venue pour 13 h30. Elle emmène son vélo, "au cas où". Nous rejoignons Julie dans le hall car le carrelage des sols est sec.

Nous sortons tous les trois. Il est 11 h15. Julie devra nous laisser d'ici quinze minutes. Elle prend son service au restaurant à midi. Sa terrasse est ouverte jusqu'à 15 h. Les affaires ont repris. Julie pose son petit sac de sport sur le siège arrière de sa voiture. Le ciel se dégage pour laisser place à de fréquentes séquences ensoleillées. Je tends l'enveloppe à Julie qui me dit : << Julien, je vous remercie. C'est moi qui devrait vous défrayer pour ces merveilleux moments que je passe avec vous deux ! >>.

Nous en rions de bon cœur. Accrochée au bras de Clémentine, Julie précise : << Je reviens ce soir, pour 19 h. J'emmène le repas, c'est cadeau. Des feuillantines au crabe ! Je peux passer la nuit avec vous ? >>. Clémentine répond : << Ton lit est prêt. Tu es ici chez toi. Pour nous aussi c'est un tel plaisir de t'avoir avec nous ! >>. Julie, toute contente, se dresse sur la pointe des pieds pour faire une bise à Clémentine. Elle rajoute : << Et on se regarde le film de hier. D'accord ? >>.

Bien évidemment que nous sommes d'accords. Ce sera avec Estelle. Encore de grands moments en perspective. Un dernier bisou. Julie est assise au volant de son auto. Elle démarre. Nous regardons la Clio rouge remonter doucement le chemin. Nous laissons le portail ouvert. Clémentine m'entraîne par la main. Nous voilà assis dans la balancelle au bord du bassin. Il fait doux, agréable et le soleil est de plus en plus généreux. Clémentine revient sur notre après-midi et notre soirée de hier.

J'invite le lecteur à relire le récit de hier pour bien comprendre l'intensité de ce que nous avons vécu. La "soirée cinéma" qui commence à 20 h, nous permettra d'apprécier nos prestations "cinématographiques". Nous en rions beaucoup. << Rien n'est plus excitant, tu ne trouves pas ? >> me demande Clémentine. Pour toute réponse je prends sa main pour la poser sur ma braguette. << Wouah ! La bosse ! >> s'écrie t-elle en l'ouvrant pour en extraire le locataire. Je bande bien dur. L'effet de la conversation.

Ma bite dans la main, Clémentine me chuchote : << Je pourrais passer mon temps avec ta queue dans la bouche ! >>. Je murmure : << Je pourrais passer mon temps à te lécher la chatte ! >>. Nous nous embrassons passionnément. La faim se fait sentir. Nous rentrons. L'odeur de chlore, de javel se mêle à celle du diffuseur d'arôme. Les huiles essentielles de magnolia parfument la maison. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour y plonger les moules pas vraiment décongelées.

Dans le wok, je réchauffe les haricots verts et les petits pois pas décongelés non plus. C'est samedi. On s'en fout. Ce sera un délicieux repas quand même. Clémentine se blottit dans mes bras. << Je peux avec Louis, avant notre départ pour l'Ecosse ? >> me demande t-elle avec une expression de culpabilité. J'éclate de rire en disant : << Non seulement tu peux, mais c'est même aussi obligatoire que le vaccin ! >>. Clémentine m'entraîne dans une farandole tout autour de la table.

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant Louis. Notre voisin. Clémentine veut baiser avec lui. Depuis quelques temps, cette idée revient souvent. Quand nous faisons l'amour, elle m'en confie le désir en chuchotant à mon oreille. Moi, je lui avoue que je me réjouis surtout pour la voir sucer ce vieux salaud. Rien ne m'excite davantage que de voir ma compagne entrain de tailler une pipe à un autre. D'être caché pour m'enivrer de ce spectacle. Je l'ai fait pendant des années avec Christine, mon ancienne compagne disparue.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait l'inventaire de tout ce qu'il faudra faire avant notre départ pour l'Ecosse. Mardi 8 juin, nous avons rendez-vous pour les vaccins. La seconde injection Pfizer le mardi 22 juin. Nous partons avec la voiture le mercredi 30 juin. Le ferry Boulogne Folkestone. Clémentine s'est occupée des réservations. Même celles de l'hôtel à Kingston-upon-Hull où nous passerons notre première nuit en montant sur l'Ecosse.

La perspective de revoir sa chère Ecosse rend Clémentine euphorique. << Je te suce tous les jours là-bas ! >> fait elle en me couvrant le visage de bisous. Elle précise qu'il faudra encore faire nos tests PCR vingt quatre heures avant d'embarquer la voiture sur le ferry. Ce sera mardi 29 juin. Les rendez-vous sont pris chez notre médecin. Je la félicite pour ses compétences. << C'est la moindre des choses. Tu m'a appris à être efficace. Avec toi tout est toujours si simple ! >> s'écrie t-elle.

Clémentine rajoute : << Il faut en profiter. Ces enfoirés évoquent déjà la possibilité d'une quatrième vague et du variant Indien. Ce qui sous entend qu'ils nous préparent une bonne vieille saloperie pour cet automne ! Ça les arrange de nous savoir enfermés. Surtout avec les élections présidentielles de l'année prochaine ! >>. Je ne sais quoi dire. Clémentine voit toujours les choses à venir avec tant de justesse. De toute manière, cet été, en Ecosse, je vais m'occuper de notre déménagement.

Nous sommes en recherche informelle d'une propriété près d'Edimbourg ou de Saint-Andrews. Clémentine passe son Doctorat d'ici trois ans. Avec les relations de mon oncle Alan, elle pourra trouver un poste de Maître de conférence dans une des deux universités. Oncle Alan a quelques anciens contacts avec des amis dans l'immobilier. Normalement, sur les trois ans à venir, tout devrait se préciser. Je retourne vivre dans mon pays. Nous serons pacsés afin que Clémentine régularise sa situation.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. << Devenir citoyenne écossaise, quel bonheur ! Je veux passer le reste de ma vie en Ecosse ! >> lance Clémentine, à peine audible, la bouche pleine de crème dentifrice. Nous en rigolons comme des bossus lorsqu'elle manque de s'étouffer. << Coucou les gens ! Qu'ils sont où ? >>. C'est la voix d'Estelle dans les escaliers. Nous sommes entrain de nous rincer la bouche, tête contre tête, au-dessus du lavabo.

Estelle passe sa main entre mes cuisses par derrière en disant : << Fais gaffe toi, je suis terriblement salope aujourd'hui ! >>. Je m'essuie la bouche en riant. Elle enfonce sa langue pour m'embrasser avec fougue. << Mais tu ne te fais plus chier toi ! >> lui lance Clémentine qui s'interpose entre nous par jeu. Nous allons dans la chambre. Du grand sac de sport qu'elle apporte toujours avec elle le week-end, Estelle tire sa tenue vélo. Clémentine lui dit : << Tu peux préparer ta valise pour l'Ecosse ! >>.

Estelle, comme soudainement prise d'un accès de démence, monte sur le lit. En sautant comme sur un trampoline elle se met à chanter : << Génial ! Génial ! >>. Clémentine la rejoint. Heureusement que c'est un vieux lit en chêne massif avec un sommier à l'ancienne. Pauvre lit. Je regarde mes deux anges faire les folles. Nous nous changeons. Clémentine porte une de ses jupettes carmins façon tennis, un T-shirt brun. Estelle et moi nous sommes en shorts lycra noirs. T-shirt rouges. Nous faisons les pitres devant le miroir.

Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. L'euphorie qui anime Estelle et Clémentine ne tarde pas à me gagner. Il fait beau. Il fait doux. Dans le petit sac à dos que je porte, les leggings, des K-ways, des barres de céréales. Les bouteilles d'eau fixées sur les cadre des vélos. J'aide Estelle à sortir sa bicyclette du hayon arrière de sa voiture d'entreprise. << Papa a vérifié le gonflage ! >> précise Estelle quand je fixe la roue avant. Je vérifie rapidement le gonflage des pneus des nôtres.

C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle. J'ouvre le cadenas du portillon. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Il nous poussera au retour. Là-bas, sur l'horizon, il y a de gros nuages. Nous croisons nombre de cyclistes, de filles en rollers, de joggeurs ou encore de promeneurs. De véritables crétins qui trouvent normal de balader leurs chiens sans laisse sur une piste cyclable. Tant de caunerie ! C'est rageant. << La caunerie devient très "tendance" ! >> lance Estelle.

Que le lecteur me pardonne l'orthographe de "caunerie" mais c'est pour déjouer une censure nécessaire ici. Pas d'arrêt au cabanon de l'écluse. Les filles retiennent leurs pissous. En prévision d'une opportunité éventuelle. Il est 15 h30 quand nous arrivons au port de plaisance. 25 km contre ce vent qui semble devenir de plus en plus fort. Il y a du monde. C'est samedi. Les joueurs de pétanque. Celles et ceux qui les regardent. Des touristes de plus en plus nombreux. Des plaisanciers qui manœuvrent leurs bateaux.

Nous fermons nos bicyclettes derrière la capitainerie fermée. Clémentine retire discrètement sa culotte qu'elle glisse dans le petit sac à dos. Elle en retire nos masques sanitaires. Nous traversons la route pour nous rendre dans la supérette. Estelle se met directement dans une des deux files aux caisses. Clémentine m'entraîne aux armoires congélateurs. Super. Il y a nos glaces préférées qui sont revenues. Haagen dazs. Nous prenons trois pots de 500 ml. Pralin, pistache et nougat. Nous rejoignons Estelle.

C'est assis sur le muret, les pieds dans le vide, que nous savourons nos crèmes glacées. << Ce sont les meilleures glaces du monde ! >> lance Estelle. Clémentine rajoute : << Et on les trouve partout en Ecosse ! >>. Nous trempons nos petites cuillères à moka dorées dans les pots. Les mélanges sont exquis. Il y a plein de gens sur les quais. Inutile d'aller rôder près des bâtiments des sanitaires. Clémentine propose de monter au vieux cimetière, en haut de la colline. Excellente suggestion.

Nous passons sur le parking bondé de la supérette pour prendre le chemin qui monte. 300 mètres au dessus du port, la vue sur les environs est magnifique. << Mes amours, nous allons rentrer sous la pluie ! >> lance Clémentine en nous montrant le ciel qui s'obscurcit au-dessus de l'horizon. << Ce n'est que de l'eau ! >> fait Estelle en glissant sa main entre mes cuisses pour me palper les couilles. Il y a peu de gens là-haut. Ce sont surtout des touristes qui visitent le vieux cimetière gothique.

<< Je dois pisser "grave" ! >> dit Estelle en se touchant. (Grave se traduit par tombe en anglais - Cimetière). Son autre main coincée entre ses cuisses serrées, elle rajoute : << Je me ferais volontiers un "plan Clémentine" ! >>. Clémentine éclate de rire en disant : << Je demande des droits d'auteurs ! >>. Nous entrons dans l'enceinte du cimetière. Il y a quelques touristes. Il y a ce type qui flâne seul, le téléphone à l'oreille. Il passe près de nous. Il parle allemand. << Venez, il a une bonne tête de "victime" celui-là ! >> fait Estelle.

Nous la suivons. Très rapidement c'est Clémentine qui dirige les opérations. Je reste planqué derrière le grand calvaire. Les filles passent derrière une haute pierre tombale moussue. Estelle descend son short et sa culotte aux genoux. Elle écarte au maximum ses cuisses. Clémentine n'a qu'à les écarter, elle est en jupette. Elles guettent l'arrivée probable du mec. Le voilà. Toutes les deux se mettent à pisser. Cambrée, les genoux relevés, elles se tiennent d'une main sur la pierre tombale derrière elles.

Le type tombe sur le spectacle. Il est à une dizaine de mètres. Il garde son téléphone à la main pour se mettre à parler en allemand. Langue dont nous ne comprenons que les rudiments appris au lycée. Le mec semble jovial. Plaisantin même. Il lève le pouce de sa main libre comme pour féliciter les deux pisseuses. Je vois Estelle très gênée. Elle n'est pas réellement exhibitionniste. C'est Clémentine qui l'a initié depuis l'adolescence. Estelle se complaît bien davantage dans le voyeurisme dont elle se délecte.

Le type s'assoit peinard sur la tombe en face. Il se remet à converser au téléphone tout en observant les deux coquines. Estelle se torche. Elle se redresse pour remonter sa culotte et son short. Clémentine reste accroupit, les cuisses bien écartées devant le mec. Elle porte ses larges lunettes de soleil noires. Ses cheveux défaits qu'elle tient de sa main libre. Elle redresse la tête pour bien fixer le type. Il lève une nouvelle fois le pouce en signe de congratulations évidentes. C'est tellement superbe !

Il y a des cris de gosses. Clémentine a le réflexe immédiat de se relever. Juste au moment ou surgissent deux gamins et leur mère. C'est la famille du mec. Ils sont loin de se douter de ce qui vient de se terminer. Les filles viennent me rejoindre. Je glisse ma main sous la jupette de Clémentine. J'aime bien contrôler l'état de son sexe après ses exhibitions. C'est bien mouillé. Je me lèche les doigts. Je veux absolument trouver un endroit où je peux me bouffer la chatte de Clémentine.

Nous entrons tous les trois dans notre caveau habituel. Estelle coince les deux portes en vieux chêne avec le gros cailloux. Toutes les deux, vautrées sur le sarcophage de pierre, m'offrent les plus gouteuses moules qu'un honnête homme puisse savourer. Des filles qui viennent de s'exhiber, qui viennent de pisser, proposent les jus les plus onctueux qu'un gourmet puisse déguster. Surtout dans un lieu aussi insolite. Nous ne voulons pas aller jusqu'à l'orgasme. Nous voulons tous les trois nous garder pour ce soir.

Il y a soudain la musique imbécile de mon téléphone au fond du sac à dos. << Mais quel est le con ! >> lance Estelle qui le sort pour l'allumer. En mode haut parleur, nous entendons Julie. Elle s'excuse. Elle ne pourra pas nous rejoindre ce soir. Sa tante et l'autre serveuse sont débordées de travail. La terrasse du restaurant, chauffée, connaît un incessant succès. Une affluence ininterrompue. Nous l'excusons volontiers. Que faire contre cette fatalité. << Je viens demain pour midi avec la bouffe, OK ? >> précise Julie.

Nous sortons du caveau pour constater que les nuages gagnent sur le ciel bleu. Nous descendons la colline en courant presque. Nous traversons la rue. L'orage va probablement nous gagner de vitesse. << Bonjour ! >>. Nous regardons. Nous connaissons cette voix. C'est Mme Walter. Elle est avec une vieille dame. Nous nous saluons. Ça fait des mois que nous ne nous sommes pas vu. Mme Walter nous présente sa maman. Elles sortent de la supérette. Devant le fourgon du haras.

<< Je vous propose de vous ramener. Vous mettez vos vélos à l'arrière. Vous éviterez de vous faire tremper ! >> lance Mme Walter. Bonne idée. Nous allons récupérer nos bicyclettes. Nous les mettons à l'arrière du petit fourgon. Il faut s'assoir au sol, derrière les deux uniques sièges avant. Nous voilà partis. Mme Walter, tout en roulant, nous donne des nouvelles du haras, de Juliette, du personnel. C'est la fin de la saison. Il reste une dizaine de chevaux en pension. Nous promettons de passer avant notre départ pour l'Ecosse.

Bien évidemment, avec la présence de sa mère, Mme Walter ne fait aucune allusion sexuelle quand aux souvenirs communs de nos partouzes. Mme Walter lance juste ce petit "message" codé : << Nos soirées au haras me manquent ! Elles vont peut-être pouvoir reprendre bientôt, avec la fin de la crise sanitaire ! >>. Nous ne disons rien. Clémentine me fait un clin d'œil. Estelle me palpe la bosse. L'orage éclate plutôt que nous le pensions. Effectivement, nous aurions roulé sous des trombes d'eau.

Le portail étant resté ouvert, Mme Walter n'a qu'à descendre jusque devant le garage. Nous la remercions. Je dis : << Venez donc partager un repas, un de ces jours, à midi. Cela nous ferait tellement plaisir ! >>. Mme Walter s'empresse de répondre : << Avec plaisir. Je vous téléphone ! >>. Nous saluons les deux femmes avant de sortir nos vélos sous l'auvent protecteur du garage. Nous regardons le fourgon s'en aller. Il pleut comme rarement. Nous prenons notre élan pour courir les 50 mètres jusqu'à la maison.

Trempés comme des souches nous gravissons les marches de l'escalier. << Put-Hein la douche ! >> s'écrie Estelle. Nous nous foutons à poils dans le hall avant de monter en courant. Nous nous séchons à la salle de bain. Il est 18 h45. Vêtus de nos jeans, sweats, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait bouillir l'eau des spaghettis. Je fais rissoler trois dos de cabillaud avec de l'ail, de l'échalote, des champignons. Ce soir, on fait simple.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos surprises de l'après-midi. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges évoquent l'Ecosse. Cette année, Estelle part avec nous. Nous y resterons jusqu'au vendredi 3 septembre. La rentrée universitaire des préparation aux Doctorants est prévue pour le lundi 6 septembre. << Ils font chier cette année, les cons ! >> lance Estelle. Elles se réjouissent toutefois toutes les deux car il ne reste que trois ans d'études avant leurs Doctorats.

Nous débarrassons avant de faire la vaisselle. << On a commencé un truc au cimetière, non ? Il me semble ? >> fait Estelle en nous entraînant au salon. Toutes les deux, vautrées dans le canapé, culs nus, m'offrent le dessert. Je suis à genoux sur les épais coussins à passer de l'une à l'autre. C'est onctueux. Estelle m'attire sur elle. Je les pénètre à tour de rôle. Nous sommes épuisés mais "combatifs". Je leurs offre de délicieux orgasmes. Il est 22 h quand nous sommes au lit. Estelle s'endort. Clémentine me taille une pipe.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment offrir du succulent jus de chatte à leur lécheur avant de se faire sauter en hurlant de plaisir...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1543 -



Julie doit annuler sa visite une fois encore

Hier matin, dimanche, il est 9 h quand je suis tiré de mon sommeil par les incessants mouvements d'Estelle. Toute la nuit elle est encore restée accrochée à moi comme une naufragée à sa branche. Son souffle chaud dans mon cou. Je la serre contre moi dans un réflexe protecteur. Clémentine se réveille à son tour pour venir se blottir. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Estelle se lève la première pour se précipiter vers la porte. << Pipi ! >> s'écrie t-elle dans l'urgence.

Clémentine me chevauche en riant pour se frotter sur mon érection matinale et naturelle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Vêtus de nos jeans, de nos sweats, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans cette délicieuse odeur où se mêlent celles du café, du pain grillé et de la brioche. Estelle me saute au cou en disant : << Mais comme c'était bon hier soir ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous.

Je fais la même chose avec Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier. << Ça va être comme ça tous les matins, pendant deux mois ! >> fait encore Estelle. Nous mangeons de bon appétit en riant de nos frasques. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges évoquent le séjour en Ecosse qui nous attend. C'est avec une certaine impatience fébrile que nous envisageons le départ. << Il ne faudra rien oublier ! >> précise Clémentine.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle lorsque la musique imbécile de mon téléphone le fait vibrer. Clémentine s'en saisit sur le frigo. En mode haut parleur nous entendons Julie. Elle est tristounette. Une fois encore elle ne pourra pas nous rejoindre. Il y a bien trop de travail au restaurant. Il y a soixante places sur la terrasse chauffée. Elles sont toutes réservées deux jours à l'avance. L'extra embauchée par Anne-Marie est en "maladie". Julie doit donc assurer. Elle nous rejoint demain soir.

Clémentine la rassure. Nous sommes un peu tristes également. Le thermomètre extérieur indique 19°. Il est presque 10 h. Nous sortons. L'atmosphère humide n'est pas très agréable. Il y a eu de la pluie cette nuit car tout est mouillé. << L'horreur recommence ! >> lance Clémentine qui s'accroche à mon bras. Tout comme Estelle qui me prend l'autre. Les filles m'entraînent vers la rivière. Le ciel se découvre par instants. Les rayons du soleil font alors briller la végétation trempée. Des reflets d'argent.

Nous longeons le cours d'eau. Estelle marche devant. Clémentine marche derrière moi. Nous bavardons. C'est évidemment l'Ecosse qui reste le sujet principale de la conversation. Nous arrivons au vieux lavoir. Là-bas, les bâtiments du haras. Par associations d'idées nous pensons à Juliette, à son invitation. Nous pensons à Mme Walter rencontrée hier et qui nous a ramené pour éviter l'orage. Estelle glisse sa main dans ma braguette pour en extraire une bite molle et flasque.

<< En Ecosse, je suis préposée à l'entretien de la bite à Julien ! >> dit elle. << Moi, à l'entretien de ses couilles ! >> rajoute Clémentine qui déboutonne mon jeans pour aller les chercher au fond du slip. Nous rions de bon cœur quand je fais : << Et moi, je suis le serviteur de vos chattes ! >>. En même temps je passe mes mains entre leurs cuisses chaudes pour palper les moules. Les lèvres charnues de Clémentine on une telle dimension que je peux les faire rouler entre mes doigts à travers le tissu.

Nous prenons le sens du retour. Il y a trois petits kilomètres. << Vous allez voir, on va tomber sur le vieux ! >> dit Clémentine. En effet, lorsque nous arrivons au bas du chemin, nous tombons sur monsieur Bertrand. Il devient de plus en plus évident que notre voisin le fait exprès. << Il doit nous guetter ! >> fait Estelle. J'ai juste le temps de remballer ma bite et mes couilles. Mr Bertrand vient nourrir les canards. Nous bavardons un peu. Je surprends le regard insistant d'Estelle sur sa braguette.

Elle ne cesse de fixer cet endroit avec une insistance qui doit mettre le voisin mal à l'aise. Du moins, c'est ce que j'imagine. Tout en parlant, Estelle s'accroupit en continuant à fixer la braguette de notre voisin. Clémentine s'accroche à moi en disant : << Oh, regarde là-bas, les poules d'eau qui s'envolent ! >>. Effectivement la dizaine de volatiles monte dans les airs en escadrille. Je louche discrètement vers le voisin. Là, devant Estelle, il se palpe rapidement la braguette. Comme je le comprends !

Estelle se redresse. Nous saluons Mr Bertrand pour remonter le chemin. << Il a bien compris où je voulais en venir ! >> nous dit Estelle. << C'est parfait, comme ça il sait que je te raconte mes petites aventures avec lui ! >> lance Clémentine. << Secrets de filles ! >> rajoute Estelle. Elle fait encore : << Ce mec, il me baise quand il veut ! >>. Nous éclatons de rire. Je demande : << Mais quel genre de séduction ce vieux salaud peut-il bien exercer sur les jeunes filles pour qu'elles aient envie de coucher avec lui ! >>.

Clémentine explique : << Il est encore beau gosse à 66 ans. Et il sait parler aux femmes, les faire rire ! >>. Estelle conclue : << Il a de la conversation, de l'humour et sa culture générale laisse rêveuse ! >>. Je dis : << Il a une toute petite bite, il est vicieux et entreprenant ! >>. Clémentine lance : << Et comme nous aimons toutes les deux les vieux pervers exhibitionnistes, ce vieux cochon a tous les atouts pour nous attirer dans son lit ! >>. Nous en rigolons comme des bossus.

Il est midi passé. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle et moi, nous épluchons des patates en grandes quantité. Nous en faisons rissoler une partie dans la grande poêle. Nous disposons l'autre partie dans un plat rectangulaire en terre cuite. Ce sera le gratin pour ce soir. Estelle prépare les pavés de saumon décongelés en papillotes. Je l'accompagne dans la véranda. Nous préparons les papillotes sur le barbecue électrique. Estelle passe sa main autour de ma taille pour dire : << En Ecosse, baise-moi tous les jours. Comme une salope ! >>.

Je promets d'avoir un comportement de satyre et de me montrer très peu respectueux de sa personne. << Tu es merveilleux ! >> fait elle encore en me palpant la braguette. << Vous faites des cachoteries ? >> demande Clémentine qui vient nous rejoindre. Nous lui confions le sujet de nos préoccupations. << On monte la barre d'un cran en Ecosse, tous les trois, comme jamais ! >> rajoute t-elle alors. Je sors ma queue. Je bande comme un salaud. Je dis : << Difficile de mettre la barre encore plus haut ! >>.

C'est en riant que nous ramenons les papillotes à la cuisine. Estelle remue les patates qui rissolent dans la poêle. Elle les décolle avec la spatule en bois. Nous mangeons de bon appétit. Le sujet de conversation reste l'Ecosse. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, les filles évoquent le voisin. << Je me le fais la première ! >> lance Clémentine. << Je m'en fout, pourvu que je me le fasse aussi ! >> rajoute Estelle. Je dis : << Julie veut se le faire aussi ! >>.

Nous rigolons comme des bossus. Je conclue : << Je sens que je vais passer pas mal de temps dans le placard ! >>. Estelle s'écrie : << Mais jamais seul ! >>. Nous n'arrêtons pas d'éclater de rire. Nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Nous restons habillés de nos jeans, de nos sweats. Dans le petit sac à dos, les K-ways, les minis parapluies, les barres de céréales, la bouteille d'eau.

Je sors la voiture du garage. Le ciel peut se montrer bien trop incertain. Aussi, nous préférons éviter la bicyclette. Ce sera une de nos randonnées pédestres que nous affectionnons presque tout autant. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue bien raide. Estelle, assise à l'arrière, me caresse le cou, les joues, en revenant sur notre programme. Mardi à 15 h, rendez-vous chez notre médecin. Nous avons le même. Première injection du vaccin Pfizer. Nous redoutons quelque peu.

<< Nous vendons notre âme au diable pour deux mois au paradis ! >> lance Clémentine avant de se pencher sur sa gauche pour me sucer. << Ne l'avons-nous pas vendu depuis longtemps ? >> fait Estelle. Elle rajoute à mon intention et à mon oreille : << N'est-ce pas Julien ? En contrepartie d'une vie de privilégié ! >>. Je ne dis rien. La fellation que me prodigue Clémentine est soudain si intense. Tant pis pour mon âme ! Nous traversons le bourg. Il y les premiers touristes à la terrasse du seul restaurant.

Un petit kilomètre jusqu'à la chapelle gothique. Il y a d'autres autos garées là. Je range la nôtre un peu plus loin, après le muret de l'enclos paroissial. Je mets le petit sac sur le dos. Les filles me prennent la main. Direction les collines qui surplombent le bourg. Nous croisons nombre de randonneurs, de promeneurs. Nous attirons encore bien des curiosités. Nos hautes tailles. Ces deux sublimes jeunes filles qui restent serrées contre cet homme d'âge mûr. Nous nous amusons beaucoup de ces situations.

Estelle n'arrête pas de me sortir la bite dès que nous sommes à nouveau seuls sur un tronçon de sentier. A chaque fois nous évitons de justesse de nous faire surprendre car arrivent d'autres marcheurs. << Ça ne t'excite pas de jouer avec le feu ? >> me demande Clémentine qui l'empoigne pour me masturber. Estelle me roule une pelle d'enfer. Le feu, l'enfer, le diable et ses tentations ne sont décidément pas loin cet après-midi. Je tripote mes deux coquines. Nous sommes dans un état d'excitation intense.

La perspective de nos vacances en Ecosse, les promesses de nous offrir deux mois de vices et de turpitudes, tout cela participe à nous rendre euphoriques. Au point d'oublier la prudence la plus élémentaire. Quand ce couple nous surprend au détour du sentier par exemple. Clémentine et Estelle ont tout juste le temps de se redresser. Je les tiens par les cheveux. Je me tourne à toute vitesse pour cacher ma bite et mes couilles. Car mes deux anges veulent que tous mes attributs virils leurs soient offerts.

Il faut voir le regard que me lance la bonne femme ! Comme lourd de reproches. Suis-je le père ? L'amant ? L'ami ? Le monsieur me lance un regard interrogateur. Pour bien enfoncer le clou. Estelle et Clémentine me déposent un bisou sur chaque joue et en même temps. Nous éclatons de rire devant les regards médusés de ces deux peine-à-jouir. Estelle se retourne en mimant une masturbation masculine. S'en est trop pour la dame qui entraîne son mari. Ils disparaissent rapidement en maugréant. Nous sommes pliés de rire.

Mes deux coquines récidivent un peu plus loin. << Une bite aussi appétissante ! >> lance Estelle avant de la sortir de la bouche de Clémentine pour la sucer avec gourmandise et passion. Je regarde partout autour de nous. Le plus embarrassé des trois c'est bien moi. Il faut faire gaffe tout de même. C'est dimanche. Nous croisons quelquefois des familles. Nous arrivons aux bâtiments abandonnés du vieux couvent. Cela fait presque trois mois que nous ne sommes plus venus là.

Avec la végétation exubérante, la physionomie des lieux a bien changé. C'est moins lugubre. Par contre, dans la cour, il y a plein de gens. Nous hallucinons. Il y a même des familles qui ont des chaises et des tables de camping. D'autres jouent aux boules. Inutile d'envisager un "plan cul" ici. Nous contournons les bâtiments pour redescendre sur le versant nord. L'absence de vent rend le climat lourd et orageux. Chaleurs. Pourtant le ciel n'est pas menaçant. Un léger voile le rend uniformément gris.

Nous revenons à la voiture vers 18 h30. Une superbe randonnée qui nous a donné faim. J'ai la bite et les couilles congestionnées comme après une baise. L'étroitesse de la braguette boutons de mon jeans a fait garrot sur mes couilles presque tout l'après-midi. Une sensation de brûlure autour des roupettes. Une fois encore nous manquons de peu de nous faire surprendre par deux couples qui sortent du cimetière. Nous comprenons l'affluence. Il y avait une exposition peinture dans la chapelle désacralisée.

Il est 19 h quand nous revenons à la maison. Estelle est restée assise parterre dans l'auto, entre les pieds de Clémentine pour jouer avec ma bite. Morts de faim, nous nous précipitons dans la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare une belle omelette aux trois fromages. Je réchauffe le gratin de pommes de terre. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos aventures de l'après-midi. << Un excellent prélude à ce qui t'attends en Ecosse, mon cher Julien-la-Bite ! >> me fait Estelle.

Nous rions comme des fous. << Julien-la-Bite ! >> lance Clémentine. Estelle rajoute : << Moi, ce sera Estelle-la-Baise ! >>. Clémentine conclue en disant : << Moi, ce sera Clémentine-la-Pipe ! >>. C'est écroulés de rire que nous faisons la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Comme le dimanche nous ne nous douchons pas, que nous restons à macérer dans nos jus, chacun imaginera facilement les saveurs que me procurent les cunnilingus que j'offre à mes deux anges. A genoux sur les épais coussins.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer le croupion par une bouche avide et gourmande avant de se faire baiser...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1544 -



Une soirée en compagnie de Julie

Hier matin, lundi, il est presque six heures quand résonnent le chant des oiseaux, le bruit de la source. Tout autant du plus profond de nos sommeils que du plus profond d'une forêt. Une résonance extraordinaire et mystérieuse. C'est notre douce application. Estelle qui est restée accrochée à moi toute la nuit se serre encore davantage en gémissant. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Estelle se lève la première. Ses vêtements de gym à la main, elle se précipite vers la porte.

Nous nous habillons de nos tenues de sport. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans l'odeur du café, du pain grillé et du reste de brioche qui réchauffe au micro onde. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant nos aventures de hier. Nos folies du soir. Nous mangeons de bon appétit en parlant de l'Ecosse. << Toutes les grasses matinées qu'on va se faire ! >> lance Estelle en baillant à s'en décrocher la mâchoire.

Il est 6 h25. Nous enfilons nos K-ways. Le ciel est uniformément gris. Estelle met son sac de sport dans sa voiture. Quelques mouvements d'échauffement dans l'agréable fraîcheur. C'est parti pour un jogging que mène Estelle d'un rythme soutenu et régulier. Il est 7 h30 quand nous revenons. Estelle nous laisse. Des bisous. On se revoit demain, à 15 h chez le docteur pour le vaccin. Nous rentrons prendre notre douche. Vêtus de nos jeans, T-shirts, nous redescendons à toute vitesse pour sortir encore un peu. Il est 7 h50. Il fait si doux.

Nous faisons quelques pas dans la propriété. C'est mercredi qu'intervient l'entreprise paysagiste. Il y aura du boulot car avec la pluie la végétation est devenue exubérante. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps de rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je commence ce matin la peinture de la vingt sixième toile destinée à ma saison d'été.

Un tableau à trois personnages et en extérieur. Ce qui me permet de faire un mix entre paysage et scène de genre dans l'esprit hollandais du XVIIème. C'est Pieter de Hooch qui m'inspire cette fois. Je peins dans une douce sérénité car c'est un pur plaisir. La matinée se passe ainsi, dans cette saine émulation productive que nous affectionnons tant. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste du gratin de patates.

Dans une poêle, je fais rissoler deux filets de colin auxquels je rajoute un petit pot de crème fraiche et de gruyère en fin de cuisson. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. L'idée de déposer de fines tranches de Morbier sur le gratin bouillant sortit du four est un régal. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine évoque les deux mémoires qu'il lui faut rendre pour le mardi 29 juin. La vieille de notre départ pour l'Angleterre. Il reste un peu plus de trois semaines de cours.

Nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés d'aller respirer un peu le grand air, nous dévalons les escaliers pour sortir. Il fait doux. Même si le ciel reste gris et couvert, il ne semble pas menaçant. Nous allons jusqu'à la rivière. Cette année, les eaux sont restées la plupart du temps à un niveau élevé. Nous longeons le cours d'eau. Il y a des castors qui ont colonisé cette partie de la rivière. De grosses bêtes qui nous regardent passer sans inquiétude.

Clémentine évoque nos vacances en glissant sa main dans ma braguette béante. C'est avec la bite à l'air que je flâne en compagnie de la fille que j'aime. Moi aussi, je glisse ma main dans son jeans déboutonné pour fouiller le fond de sa culotte. Nous nous embrassons avec passion. Au point d'en avoir les mentons trempés de salive. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à prendre le sens inverse. << Surtout que nous allons probablement tomber sur le "vieux" ! >> lance Clémentine.

Je remballe juste à temps car voilà monsieur Bertrand qui descend à son tour. Nous bavardons un peu. Ce vendredi encore, il n'y aura pas de rendez-vous pour prendre le café. Nous serons avec Julie pour réaliser la suite de son premier film. Nous saluons notre voisin avant de remonter le chemin. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé de la même sérénité que ce matin.

L'après-midi se passe ainsi. Dans cette agréable ambiance de travail que nous aimons tant. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. La douceur de ses bisous dans mon cou me procurent de délicieux frissons. Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, elle joue avec ma queue en regardant ma toile. Elle a encore du travail. Ses écritures. C'est dans le canapé qu'elle s'installe avec sa tablette sur les genoux. Elle me fait la lecture à voix haute. J'adore peindre en l'écoutant parler.

Il est 18 h. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se précipite pour le saisir. Je retire ma blouse. << Julie ! >> me fait elle en me faisant un bisou. Elle m'entraîne vers la porte. Nous allons accueillir notre visiteuse à son auto. Julie est vêtue d'un jeans, d'un T-shirt, de baskets. Elle est toute contente de nous voir. Se confondant en excuses pour son impossibilité de venir nous rejoindre ce week-end, elle nous dit : << J'ai ramené les bonnes choses promises ! >>.

Je la débarrasse de la grande boîte isotherme qui contient nos feuillantines au crabe, nos tourtes aux fruits de mer. Dans le grand sachet en papier que prend Clémentine, il y a nos salades. Nous restons encore un peu dehors. Il fait si doux. Nous rentrons. Nous posons les livraisons sur la table de la cuisine. Nous retournons dans l'atelier. Clémentine doit terminer un paragraphe important. Julie s'assoit devant mon chevalet. Elle observe la toile silencieusement. Je suis debout derrière elle.

Je pose mes mains sur ses frêles épaules, je me penche pour demander : << Prête pour le jeudi premier juillet ? >>. Elle pose ses mains sur les miennes dans un élan rare pour répondre : << Oh oui, je n'attends que ça depuis septembre l'année dernière ! >>. J'expose le programme. Le samedi 26 juin, nous irons faire la mise en place des tableaux dans la galerie. Le vernissage aura lieu dimanche 27 juin en fin d'après-midi. Nous aurons une quinzaine d'invités. Principalement mes collectionneurs.

Clémentine a insisté pour s'occuper des invitations. Envoyer les courriels personnalisés. Elle fait tout cela tellement bien. Julie tiendra la galerie jusqu'au vendredi 3 septembre. Elle se réjouit tant. Elle me pose quelques questions quand à cette dernière toile. Il y en aura vingt six. Nous les accrocherons aux cimaises de la galerie en laissant Julie organiser leurs présentations. Clémentine met un point final à ses écrits du soir. Il est 18 h30. Julie va s'assoir à ses côtés dans le canapé de l'atelier.

<< Prête pour le second opus de ce vendredi ? >> demande t-elle à Julie qui s'empresse de répondre : << Oh oui ! J'ai regardé le film plusieurs fois. C'est une réussite. Merci pour vos participations ! >>. Nous éclatons de rire. Je dis : << Le "cagoulard" était-il à la hauteur de vos attentes ? >>. C'est gênée mais en riant que Julie me fait : << Oh oui ! C'est moi qui n'était peut-être pas toujours à la hauteur de ses exigences ! >>. Julie nous expose le vague scénario du second film qu'elle veut réaliser ce vendredi.

Nous irons au même endroit. Mais cette fois, il est question d'approfondir la situation désirée. Le "Maître" et sa "Soumise". J'écoute avec beaucoup d'intérêt. Il sera question d'une "balade" dans les ruines de l'ancienne tuilerie. De mises en scène plus pertinentes. Tout cela est encore confus. Julie nous fera un courriel jeudi pour préciser les choses. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant les salades. Julie met les couverts, les assiettes.

Je sors les feuillantines au crabe encore chaudes de la boîte. Elles sont superbement dorées et croustillantes. Je dis : << Il faudra remercier le Chef cuisinier. C'est à chaque fois meilleur ! >>. Julie me fait : << Je lui transmets toujours vos félicitations ! >>. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant le film déjà réalisé vendredi dernier et celui à venir. Julie ne désire pas encore le visionner avec nous. << J'ai trop honte de ce que je vis dans ce film. Même si c'est merveilleux, j'ai honte ! >> lance t-elle.

Nous comprenons. Nous n'insistons pas. Clémentine suggère de nous réserver quelques "soirées cinéma" pour l'automne prochain. << Nous reverrons tout cela avec plaisir en septembre ou en octobre ! >>. Julie, ravie de la proposition, s'écrie : << Oh oui ! Génial ! Nous aurons du recul et ce sera déjà un souvenir ! >>. Je me lève à plusieurs reprises pour agiter ma bite toute molle en direction de Julie. Même si elle fuit mes regards insistants, elle fixe ma queue avec beaucoup d'attention.

Je l'invite à me suivre aux toilettes avant le dessert. Elle est enchantée. Clémentine, appuyée contre le lavabo, les bras croisés, nous regarde. Julie, assise sur le tabouret à ma gauche, m'observe. Penchée en avant, son visage à un cinquantaine de centimètres de mon sexe. Je lâche de petites giclées. Julie nous raconte les dernières anecdotes. A deux reprises elle s'est retrouvée volontairement dans d'embarrassantes situations aux toilettes du restaurant. Deux messieurs très vicieux qu'elle a regardé pisser.

Son "truc" est toujours le même. Elle entre dans les toilettes hommes, un balai et un seau à la main en s'écriant : << Oh pardon, excusez-moi ! >>. Bien évidemment, ce sont toujours des messieurs repérés dans la salle, lorsqu'elle fait le service. Des hommes qui lui adressent des sourires, qui ont un mot gentil et surtout qui sont "sexy". << Ça se passe toujours super bien. J'adore bavarder quelques instants avec eux dans les toilettes du sous sol. Anne-Marie fait d'ailleurs souvent pareil avec les mecs de son choix ! >> dit Julie.

Clémentine lance : << On comprend que le restaurant de l'étang connaisse un tel succès ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je termine de pisser avant de bander comme le dernier des salauds. Je propose à Julie de me secouer les dernières gouttes. Elle hésite. Elle se lève en se dirigeant vers la porte. C'est Clémentine qui s'accroupit pour sucer les reliquats. Nous quittons les toilettes pour retourner à la cuisine. Les coupes glacées sont excellentes. Julie continue à nous donner des détails sur son voyeurisme exacerbé.

Nous en rions beaucoup. L'attestation de sortie à Julie impose qu'elle soit rentrée pour 22 h30, fin supposée de ses livraisons de repas. C'est à partir de mercredi 9 juin que le couvre feu ne prendra effet qu'à partir de 23 h. Nous faisons la vaisselle. << Je suis tellement bien ici, avec vous. Vous allez me manquer cruellement jusqu'en septembre ! >> lance Julie. Clémentine passe son bras autour de ses épaules pour la rassurer : << On reste en contact par courriels. Par téléphone ! Et il y a encore trois semaines ! >> dit elle.

Il est 22 h. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Elle refuse que je paie les repas. << C'est cadeau ! Pour me faire pardonner. J'aurais tellement préféré être avec vous ce week-end que de bosser au restau ! >> dit elle. Clémentine rajoute : << Et puis ici aussi tu peux aller mâter un mec aux chiottes ! >>. Nous éclatons de rire. Julie est assise au volant de son auto. Je lui tends la queue. Comme la dernière fois, je pisse contre la portière de sa voiture avant de me pencher pour lui faire un bisou.

Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous flânons encore un peu dans la nuit douce et agréable. Clémentine revient sur la personnalité attachante de Julie. << Il y a de fortes probabilités qu'elle veuille monter d'un cran dans son personnage de "soumise", vendredi. Fais la sucer ! Tu forces un peu ton personnage de "maître" ! >> me dit elle. Je me fie toujours aux instincts de Clémentine. Nous rentrons. Au lit, j'offre à Clémentine un merveilleux cunnilingus. Un orgasme qui la fait hurler de plaisir.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment aller visiter leur couple d'amis intimes. De les accompagner aux WC pour voir le mec pisser...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1545 -



Deux rendez-vous. A 14 h et à 15 h

Hier matin, mardi, il est presque six heures quand l'application "forêt" nous tire de nos profonds sommeils. Qu'il est agréable d'être réveillé par les chants de mystérieux oiseaux, par le bruit d'une mystérieuse source. Comme si c'était au plus profond d'une toute aussi mystérieuse forêt. Clémentine vient se blottir contre moi en me chuchotant les premières douceurs. Je la serre fort en lui couvrant le visage de bisous. Elle m'entraîne par mon érection naturelle jusqu'aux toilettes.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en révisant le programme du jour. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Julie hier soir. Son attitude qui ne lasse pas de nous étonner toujours davantage. C'est passionnant.

Il est 6 h25. Nous sortons dans la douceur matinale. Le ciel est gris. Couvert. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. C'est le circuit de la rivière que nous empruntons. Une heure d'un running des plus agréables. Il est 7 h30 quand nous revenons pour prendre notre douche. Nous nous vêtons légèrement. Une robe d'été rouge à motifs floraux pour Clémentine. Un short kaki et un T-shirt brun pour moi. Pressés de sortir encore un peu, nous redescendons à toute vitesse.

Le mardi, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend toujours quelque peu euphorique. Une euphorie qu'elle partage allégrement car nous voilà tous deux à faire les clowns dans le jardin. Il est 7 h50. << Tu as peur de la piqûre ? >> me demande t-elle. Je réponds : << Non, mais comme toi j'ai peur des conséquences à long terme ! >>. Nous sommes bien conscients que c'est la piqûre si nous voulons nous rendre en Ecosse. Mais ce serait beaucoup trop difficile de repasser un second été sans aller dans mon pays.

Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous nous dépêchons de rentrer. D'aller dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Rapidement, la peinture de cette vingt sixième toile destinée à ma saison d'été me fait oublier la piqûre. Je peins dans cette enthousiasme débridé offert par Clémentine. Il est 11 h45. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. En chantonnant.

Il est 11 h55 quand Clémentine vient me prendre par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je mets les deux tourtes aux fruits de mer dans le four. J'étale les deux tiers de la pâte feuilletée décongelée dans le grand plat à tarte. Je lave et je coupe deux gros poireaux. Je les fait cuire dans l'auto cuiseur pendant que je fais une Béchamel. J'y verse le poireau. Clémentine y rajoute le gruyère qu'elle vient de râper. Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée.

Clémentine joint les bords de la Flamiche Picarde en les pinçant avec les doigts. Elle badigeonne le dessus avec le mélange, œuf, lait de soja, moutarde à l'ancienne. Cette fois nous y rajoutons un yaourt. Je sors les tourtes aux fruits de mer du four pour les remplacer par la tourte aux poireaux. Cuisson à 180° afin de laisser mijoter longuement. Ce sera notre repas de ce soir. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos rendez-vous de l'après-midi. Nous ne traînons pas. Nous faisons la vaisselle.

Nous montons nous laver les dents sans cesser de danser devant le miroir de la salle de bain. C'est un peu une catharsis pour ne pas penser à la piqûre. Nous en rions de bon cœur. Nous passons dans la chambre pour nous changer. Clémentine porte une de ses jupes kilt à carreaux rouges et bruns. Un chemisier crème. Des mocassins noirs à légers talons. Sur sa demande, je porte un de mes pantalons clairs de fin coton, à plis et à pinces. Une chemise crème, mes mocassins beiges.

Nous prenons la pose devant le grand miroir de l'armoire. Clémentine, accroupie, les cuisses largement écartées, me dit : << Je garde ma culotte. Dommage ! Mais je l'enlèverai après la piqûre ! >>. Je suis debout derrière elle, mes mains sur ses épaules pour dire : << Vous portez également très bien la culotte mademoiselle ! Ça vous va très bien ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine se redresse pour me prendre dans ses bras. Elle me chuchote : << Je préfère tout de même sans ! >>.

C'est en riant que nous redescendons. J'ai ma sacoche cuir. Clémentine a son petit sac à dos en cuir noir qui lui tient lieu de sac à main. Nous vérifions la présence des documents nécessaires, de nos papiers. Nous voilà dehors. Il fait presque lourd. Quelques séquences ensoleillées rendent le climat très estival. Nous sortons la voiture. Il y a treize kilomètres jusqu'à la ville. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue, sa main dans ma braguette. Il est 13 h35. Timing parfait.

Je gare l'auto sur le parking de la grande pharmacie. A l'étage il y a la maison médicale. Comme chaque année, avant les vacances d'été, c'est le rituel de la visite chez le dentiste. C'est mon praticien depuis plus de vingt ans. Il a mon âge. C'est son assistante qui nous accueille. Clémentine passe la première. Ce ne sont que des visites de routine. Nous avons tous deux procédé à un détartrage avant le troisième confinement. C'est à mon tour. Tout se passe bien. Pas de caries. Ni pour Clémentine, ni pour moi.

Je déteste les visites chez le dentiste. Je suis douillet. J'ai peur de la douleur. Je suis un homme. Alors que Clémentine n'éprouve aucune crainte devant aucun acte médical. Les femmes sont courageuses. Il est 14 h50 quand nous changeons de salle d'attente. Nous rejoignons Estelle et ses parents. Nous avons rendez-vous à 15 h tous les cinq pour la première injection du vaccin Pfizer. Estelle est vêtue exactement comme Clémentine. La présence de ses parents tempère son élan à vouloir me sauter au cou.

Michèle est vêtue d'une robe d'été. Elle est superbe. La "grande sœur" d'Estelle. Yvan porte un jeans, des mocassins noirs, une chemise blanche. Nous nous saluons. Nous portons évidemment tous les cinq nos ridicules masques sanitaires. C'est la maman d'Estelle qui passe la première. Cinq minutes, d'absence. C'est au tour de son papa. Puis à elle. Clémentine. Je passe en dernier, mort de trouille. Il y a un salon de thé au coin de la place. Une terrasse extérieure. Yvan nous y invite.

Nous voilà tous les cinq attablés devant de grosses coupes glacées. << Qui qu'à bobo ? >> demande Estelle. Nous nous regardons. A part une sensation de fourmis dans le bras piqué, je ne ressens rien de particulier. Nous nous montrons tous les cinq nos sparadraps. Un vieux monsieur attablé plus loin nous lance : << Moi, c'était hier. Tout va bien ! >>. Nous en rions de bon cœur. Yvan et Michèle évoquent leur séjour en Irlande du lundi 12 juillet au dimanche 25 juillet.

Les parents d'Estelle on réservé un cottage. Nous nous retrouverons en Ecosse après cette date pour y passer quelques jours ensemble. Estelle, soudain sentencieuse, lance : << Apocalypse de Jean, Chapitre 13, versets 16 et 17. La "Bête" imposera à chacun une marque. Nul ne pourra vendre, acheter, se déplacer, voyager, sans porter cette marque ! >>. En disant cela, elle nous montre le sparadrap. Elle continue : << Celui qui acceptera de porter la marque sera tourmenté devant les anges ! >>.

<< Tu n'es pas drôle, Estelle ! >> lui fait Michèle. << Au contraire, je trouve ce rappel assez savoureux ! Estelle ne raconte jamais de bêtises ! >> dit Yvan. Clémentine rajoute : << Jean a précisé qu'il fallait refuser de porter la marque de la bête par tous les moyens, quelles qu'en soient les conséquences ! Nous sommes donc voués à la damnation éternelle ! >>. Estelle s'écrie : << Les gens parfaits vont au paradis. Les autres sont moins cons ! >>. Nous éclatons de rire.

Nous raccompagnons Yvan, Michèle et Estelle jusqu'à leur voiture. Estelle viendra nous rejoindre pour 18 h30. Un dernier coucou. Il est 16 h. Clémentine me dit : << Viens, j'ai repéré un super plan près du salon de thé ! >>. Elle m'entraîne par la main. Nous contournons le bâtiment. Il y a un chantier. Une maison en rénovation. Il y a un ouvrier sur un échafaudage. C'est un homme noir. << Il mâtait souvent vers la terrasse où nous étions assis ! >> fait Clémentine.

Il y a une autre terrasse plus loin, après l'opticien. Nous nous installons à une des tables libres. Clémentine s'installe bien face au chantier de l'autre côté de la rue. L'ouvrier, sur son échafaudage, est seul. Je lui tourne le dos, légèrement décalé afin qu'il puisse bien voir la superbe jeune fille qui lui fait face. Il y a juste une vingtaine de mètres. La rue est piétonne. Sur l'écran noir de la tablette que Clémentine tire de son sac et qu'elle me tend, je peux regarder comme dans un rétroviseur.

<< Je vais retirer ma culotte ! >> fait Clémentine en se levant pour aller aux toilettes. << C'est au fond de la cour ! >> précise la jeune serveuse qui nous apporte nos thés. L'écran noir de la tablette me permet une vue parfaite sur les agissements de l'ouvrier au haut de son échafaudage. Clémentine revient. << Il y avait un branleur aux chiottes ! Regarde, c'est le mec qui se pointe ! >>. Je vois arriver cet homme qui rejoint une femme assise à une des tables voisines. A une dizaine de mètres. La distanciation sanitaire.

Clémentine s'installe. Elle m'explique ce qu'elle fait sous la table. Cuisses largement écartées pour s'exhiber devant l'ouvrier qui mâte sans retenue. << Il peut voir au fond de la cour également. Il y a un muret en sortant des chiottes. Je peux lui faire du spectacle depuis là-bas aussi ! >> me confie Clémentine. Je mâte l'écran de la tablette. Merci Apple. Merci iPhone. C'est un superbe rétroviseur. L'ouvrier ne cesse de regarder par ici. Il faut préciser que le bougre a de quoi regarder. Il ne s'en prive pas.

La configuration de la terrasse, le placement des tables, permettent à Clémentine de s'amuser sans courir le risque d'être vue par d'autres clients. Je constate que le branleur des chiottes regarde souvent vers ici. Tout en bavardant avec la femme qui est assise en face de lui. J'hallucine ? Il me semble que cette femme s'amuse de la même façon que Clémentine. Je fais part de mes doutes à Clémentine qui mâte discrètement en mettant ses lunettes noires de soleil. << Salope ! >> murmure t-elle.

Nous sommes convaincu que cette femme a exactement le même comportement que Clémentine. Est-ce que son compagnon est dans la complicité ? Comme moi ? Impossible de le savoir. En tous cas, c'est un couple de vicelards. << Des collègues ! >> murmure Clémentine qui se lève une nouvelle fois. Elle s'accroupit à côté de la chaise pour fouiller dans son sac. En fait, c'est juste un prétexte pour changer de position. Il y a deux ouvriers qui rejoignent le premier sur son échafaudage. << La fête est finie ! >> dit Clémentine.

Il est temps de passer chez l'opticien, récupérer nos nouvelles paires de lunettes pour les vacances. Ray Ban "aviateur". Il est 18 h15 quand nous sommes de retour. Nous arrivons en même temps qu'Estelle qui se précipite cette fois dans mes bras. Nous restons assis dans la balancelle au bord du bassin. Je suis entre mes deux anges. Estelle joue avec ma queue qu'elle tord dans tous les sens en écoutant Clémentine raconter notre aventure. Il commence à faire faim. Il n'y a qu'à réchauffer la tourte aux poireaux.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont se faire bouffer la chatte, se faire sauter avant de se partager le pompage d'une queue...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1546 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. Le chant des oiseaux. Le bruit de la source. Tout cela résonne étrangement. Tant du plus profond de nos rêves que du plus profond d'une étrange forêt. C'est l'application "forêt" qui nous réveille en douceur. Estelle se serre encore davantage contre moi. Clémentine vient se blottir. Distribution de bisous. Estelle, ses vêtements de sport à la , se dirige comme un robot vers la porte. << Dur ! >> dit elle. Nous nous habillons de nos tenues de jogging.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escalier pour rejoindre Estelle dans la cuisine. L'odeur du café, celle du pain grillé. Ce matin encore c'est un enchantement paradisiaque de prendre notre copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit. << En Ecosse, c'est grasse matinée tous les jours. J'en ai marre ! >> lance Estelle. << Tu verras, on sera tellement bien là-bas qu'on sera debout dès les aurores ! >> dit Clémentine. Nous en rions de bon cœur.

Il est 6 h25. Nous sortons dans la douceur matinale. Quelques mouvements d'échauffement. Nous descendons au petit trot jusqu'à la rivière. C'est ce circuit là que nous privilégions aujourd'hui. Estelle donne un rythme soutenu et régulier. Au retour, elle nous fait la bise avant de s'installer dans sa voiture. << A demain soir ! >> fait elle en démarrant. Nous rentrons prendre notre douche. Nous nous habillons légèrement. Robe d'été pour Clémentine. Short, T-shirt pour moi.

Nous dévalons les escaliers pour sortir encore un peu. Il est presque 7 h50. Le ciel est voilé mais lumineux. Clémentine me confie sa joie. Les vacances approchent. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette vingt sixième toile destinée à ma saison d'été est déjà captivante.

Je peins dans une douce sérénité. Je pense à nos aventures de hier après-midi. Le dentiste, le docteur, le vaccin, l'ouvrier de chantier, l'opticien. La matinée se passe ainsi, dans le plaisir d'une émulation partagée. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je réchauffe le reste de tourte aux poireaux. Je prépare une pâte à crêpe. Je fais rissoler des queues de crevettes décongelées dans la poêle.

Ce sera pour nos beignets de crevettes de ce soir. J'en récupère auxquelles je rajoute des champignons, de l'ail et de l'échalote finement émincés. La pâte à crêpe repose dans un saladier, sous un linge. Les queues de crevettes reposent dans la poêle, sous un couvercle. Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur nos périples de hier après-midi. Clémentine me demande : << Nous voilà vaccinés. Tu ressens quelque chose de particulier ? >>. Je réponds que non. Absolument rien.

Nous avons tous les deux le réflexe de toucher notre épaule, à l'endroit de la piqûre. << Je pense aux paroles d'Estelle hier, son allusion à l'apocalypse de Jean. Quand il est question de la marque de la "bête" ! >> lance Clémentine. Je dis : << Nous voilà marqués de son sceau ! Nous voilà perdu ! >>. Nous nous observons avant d'éclater de rire. Soudain grave, Clémentine rajoute, sentencieuse : << Et si c'était la réalité ? >>. Je dis : << Alors tant pis pour la "bête". Elle va avoir affaire à nous ! >>.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine évoque notre départ. Tout ce qu'il ne faudra pas oublier. Je propose d'aller en ville mardi prochain, l'après-midi, afin d'acheter plein de nouveaux vêtements pour partir en Ecosse dans du "neuf". Clémentine trouve ça parfaitement stupide mais précise que nous pouvons aller en ville quand même : << S'il fait moche seulement ! >> fait elle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitreries habituelles.

Pressés de sortir encore un peu, nous redescendons les escaliers au pas de course. Le ciel restera probablement voilé tout le reste de la journée. Il y a même des parties plus sombres, menaçantes peut-être. L'atmosphère est lourde et orageuse. Nous descendons vers la rivière. Clémentine glisse sa main dans ma braguette béante. Je glisse ma main sous sa robe. Qu'il fait doux entre ses cuisses à la peau si lisse. Nous nous embrassons longuement. Nous longeons la rivière en flânant.

Clémentine fait mille projets pour l'Ecosse. Nous allons bien évidemment retourner dans tous les endroits qui nous sont si chers. En découvrir des nouveaux. Les longues promenades dans le centre d'Edimbourg. Le labyrinthe de ses ruelles. Tout cela nous a tant manqué l'an dernier. << D'ici trois ans, cela ne nous manquera plus jamais ! >> lance Clémentine. Nous allons commencer cet été les recherches afin d'acquérir une propriété dans les environs d'Edimbourg. Des réjouissances à venir.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à revenir. Nous remontons le chemin sans rencontrer monsieur Bertrand. << C'est étrange ! >> dit Clémentine qui s'accroupit pour pisser dans l'herbe. Notre voisin risque de surgir à tout instant, c'est devenu son heure car il nous épie certainement quelque part. Pourtant, aujourd'hui le retraité vicieux ne se manifeste pas. Je me penche pour enfoncer mon doigt dans le cul de Clémentine. Cela rend le jet beaucoup plus dru, plus "violent".

Je la torche soigneusement avec un mouchoir en papier. << Si le vieux est planqué, il a de quoi mâter ! >> dit Clémentine en remontant sa culotte pour se réajuster. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je cuis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans cette même sérénité que ce matin. Il est 16 h45. Je nettoie la palette, les pinceaux. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre.

Elle m'entraîne dans une sorte de danse tribale où nous poussons nos cris habituels tout en faisant les singes. Le temps de récupérer sa tablette, Clémentine m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour sortir au jardin. C'est installés dans la balancelle que nous profitons de la douceur de cette fin d'après-midi. Le ciel reste avec ses dégradés de gris. Du plus intense au plus évanescent. J'écoute Clémentine me lire à voix haute son texte dont elle corrige certaines tournures. Brouillon de son mémoire.

Il est 18 h. << Viens ! >> me fait Clémentine en m'entraînant par la main. Nous redescendons jusqu'à la rivière. Nous la longeons en marchant doucement. Nous nous arrêtons souvent pour nous embrasser, nous caresser, toucher nos sexes. C'est à la fois excitant, poétique et romantique. Clémentine me confie ses sentiments. Ses impatiences. Je la masturbe doucement en écoutant ses paroles. Elle me tient la bite. Je bande. Nous n'y faisons absolument pas attention.

De l'autre côté de la rivière, à une vingtaine de mètres, une cavalière. Elle vient probablement de nous apercevoir car nous sommes dans la partie dégagée. << Merde ! >> fait Clémentine. C'est une jeune fille. Elle vient certainement du haras qui n'est qu'à un kilomètre. Elle nous fait un grand sourire ponctué d'un léger signe de la main. Elle continue sa promenade sans s'arrêter. Ça rajoute toujours à nos excitations de nous faire surprendre. Clémentine s'accroupit devant moi.

Elle gobe mon érection pour en savourer les épanchements. Je regarde bien dans toutes les directions en espérant que la jeune cavalière revienne sur ses pas. Pour retourner au haras, elle n'a d'autres choix que de repasser par ce chemin. J'aide Clémentine à se redresser. Elle me montre l'intérieur de sa bouche avant d'avaler avec peine. << Miam ! J'aime le goût de ton jus quand nous nous faisons surprendre ! >> murmure t-elle avant de se blottir dans mes bras. Elle m'embrasse avec passion.

Sans même nous consulter, nous restons au même endroit. Nous savons que l'écuyère finira bien par revenir. Je bande dans la main de Clémentine. Je la masturbe doucement en tenant son clitoris géant entre mon pouce et mon index. << J'adore quand tu me le tiens comme ça ! >> chuchote t-elle en scrutant les alentours. Cambrée sur ses genoux fléchis, Clémentine m'offre ainsi le tout meilleur accès à son sexe. Lorsque je lâche son clitoris, que je passe mes doigts entre les lèvres charnues de sa vulve, je constate que c'est trempé.

Il commence à faire faim. Tant pis pour la cavalière. Nous prenons le sens du retour. Il y a d'autres endroits dégagés. Peut-être aurons-nous la chance de pouvoir nous offrir une autre petite exhibition. Nous arrivons à la hauteur de l'étroite passerelle qui permet de quitter notre propriété pour traverser la rivière. Le portillon, haut, infranchissable, est fermé à cadenas. Nous n'emmenons la clef que lorsque nous partons à bicyclette. Clémentine m'entraîne sur l'étroit pont de bois.

Là-bas, le long du champs, sur le sentier qui longe la forêt, voilà la cavalière. Nous courons presque pour rejoindre le sentier. Clémentine s'accroupit devant moi pour me tailler une pipe. L'endroit est dégagé sur une dizaine de mètres. Depuis le chemin, sur l'autre rive, impossible de ne pas nous voir. La jeune fille s'apprête à quitter le sentier pour prendre le chemin. Elle nous aperçoit. Cette fois, elle s'arrête. Je fais semblant de ne pas la voir venir. Je louche. Quel grand moment !

Il y a les canards, les poules d'eau et les colverts qui font leurs danses à la surface de l'eau. Ce qui rajoute encore au côté "bucolique" de la situation. Je relève la tête pour faire mine d'être surpris. Je saisis Clémentine par sa natte pour la forcer à se redresser. Elle aussi joue la surprise. La jeune cavalière nous fait le plus adorable des sourires avant de donner l'impulsion de départ à sa monture. Je lève mon pouce comme pour la féliciter. Elle fait de même. Clémentine lui fait un coucou de la main.

La jeune fille disparaît derrière la végétation dense. Nous sommes considérablement excités. << Génial ! >> lance Clémentine qui n'a pas lâché ma queue dure comme du bois. << Viens ! Ne nous faisons pas surprendre dans nos turpitudes par le vieux ! >> dit elle. Je remballe avec difficulté ma bite dégoulinante. Je suis dans un tel état d'érection. Nous montons le chemin sans rencontrer notre voisin. << Il ne passe tout de même pas sa vie à guetter nos passages, le bougre ! >> lance encore Clémentine.

Nous voilà dans la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en proposant de manger dans la véranda. Excellente suggestion. J'y mets les assiettes et les couverts. Je fais chauffer l'huile. Je trempe chaque queue de crevette dans la pâte à crêpe. Je les plonge dans l'huile bouillante. Clémentine les récupère au bout d'une minute avec l'écumoire. J'égoutte les coquillettes. J'en ai fait beaucoup. Ainsi, avec le reste, demain, nous pourrons faire un gratin. Je râpe du Parmesan.

Nous mangeons de bon appétit. Depuis la véranda, les larges baies vitrées offrent une vue jusqu'à la rivière. << Regarde, c'est Louis ! >> lance Clémentine. Effectivement nous voyons descendre monsieur Bertrand. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur nos vacances prochaines. Nous savourons cette soirée en restant ainsi. J'écoute Clémentine me parler de l'Ecosse, des souvenirs communs. Chacun ramène toujours les siens.

Il est 20 h30. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Il fait tellement doux que nous sortons nous assoir dans la balancelle. J'ai ma main dans la culotte de Clémentine qui me tient la queue. Elle me raconte quelques unes de nos aventures écossaises. Nous allons revoir nos amis, les Wong. Ma famille à Edimbourg et à Saint-Andrews. Faire de nouvelles rencontres. Cette année nous serons avec Estelle dès le début du séjour. Deux mois à nous partager entre découvertes, plaisirs, aventures, stupre et luxure.

La nuit fait place au long crépuscule. Il y a quelques moustiques agaçants. Nous rentrons. Nos rituels pisseux avant de nous laver les dents. Il est 22 h15. Au lit, j'offre à Clémentine une succession de cunnilingus, de pénétrations. Elle profite de chaque interlude pour me sucer avec gloutonnerie. Nous alternons baises et caresses buccales. Clémentine hurle de plaisir dans un orgasme tellurique. Je la prends dans mes bras en suggérant de remettre mon orgasme à demain. J'ai déjà tellement jouis de tous ces bonheurs.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui font se faire lécher, baiser, sucer, caresser au fond d'un lit aux draps à la douceur irréelle...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1547 -



Estelle vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, jeudi, accompagnant nos rêves, il y a les chants de ces étranges oiseaux. Le bruit de cette étrange source. Tout cela résonne autant dans notre sommeil que dans une mystérieuse forêt. Il est presque six heures. C'est ainsi qu'une fois encore notre application nous réveille. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. Je la serre fort. Quelques papouilles, des bisous, impossible de rester une seconde de plus. L'urgence du pipi et de l'heure imposent leur loi.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Les premières tranches sont éjectées dans un claquement sec par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en nous rappelant de nos folies de hier soir. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celles de ce soir. Nous en rions même de bon cœur. Estelle viendra nous rejoindre. Réjouissances.

Il est 6 h25. Nous sortons dans l'agréable fraîcheur. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous courons le long du circuit de la rivière. Une heure d'un running heureux et joyeux avant de revenir. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons légers. Clémentine porte sa robe d'été rouge à pois blancs. Je suis en short kaki, en T-shirt carmin. Pressés de sortir encore un peu, nous descendons les escaliers à toute vitesse. Clémentine propose de préparer la table dans le jardin.

Le ciel est bleu. Il y a du soleil. Il est presque 7 h50. Nous mettons la nappe, les assiettes et les couverts sous le noyer. Au bord du bassin. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous rentrons pour aller dans l'atelier. Clémentine est assise devant l'ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. La musique imbécile de mon téléphone. Il faut que j'aille ouvrir le portail depuis l'interphone car voilà l'entreprise paysagiste. Nous avions oublié qu'elle intervenait aujourd'hui. Je regarde la camionnette descendre.

Je sors pour aller saluer la jeune femme, chef des opérations et le jeune homme. Je leurs donne quelques directives. Ils connaissent leurs boulots. Mais il y a toujours des détails précis en fonction de la météo de ces derniers jours. Je rentre rejoindre Clémentine. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. En chantonnant doucement pour ne pas déranger. La peinture de la vingt sixième toile destinée à ma saison d'été m'accapare rapidement.

Je peins dans une sorte de béatitude mystique en pensant à l'Ecosse. J'avais projeté de retourner m'installer dans mon pays dès mes 60 ans. L'arrivée de Clémentine dans ma vie il y a presque cinq ans en a décidé autrement. J'en aurai cinquante six d'ici trois ans. Je suis devant un dilemme. Vendre la grande propriété familiale ici, en France ? Ou au contraire la garder pour d'éventuelles et bien hypothétiques vacances ou séjours ? Nous en parlons quelquefois avec Clémentine.

Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre en virevoltant autour de moi comme une ballerine. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe les derniers beignets aux crevettes. Les coquillettes que je recouvre de gruyère râpé, de chapelure avant de mettre le gratin au four. Je dispose la pâte feuilletée décongelée dans deux grands plats aux bords hauts. Je lave et je coupe de belles tomates, une grosse aubergine en tranches régulières.

Clémentine aime les disposer en spirale sur les fonds de tartes. Je prépare un "flanc". Je verse le mélange œuf, moutarde à l'ancienne, lait de soja et crème fraîche sur le tout. Clémentine recouvre de gruyère de Comté grossièrement râpé. Onze cerneaux de noix sur chacune. Ce seront nos repas de ce soir et de demain à midi. Je sors le gratin de coquillettes du four pour le remplacer par les deux tartes à la tomate. Nous sortons en mettant notre repas sur un grand plateau.

Il fait beau. Il fait chaud. Les haies, les arbustes sont taillés géométriquement. Les paysagistes ont fait un superbe travail. Ils sont assis là-bas, sous l'auvent du garage, à prendre leurs repas durant la pause. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine a allumé deux grosses bougies à la citronnelle. Avec les pluies et l'humidité de ces derniers jours, les moustiques sont à la fête. Nous prenons toutefois nos beignets de crevettes et notre gratin de coquillettes dans les toutes meilleures conditions.

Nous traînons à table. Qu'il fait bon d'êtres au dehors. Clémentine, assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, me parle des deux mémoires qu'il faut rendre le mardi 29 juin. Il y aura deux cours sur site, à l'université. Le premier mercredi prochain, 16 juin. Le second le mercredi suivant 23 juin. Clémentine se réjouit pour revoir les étudiants de son groupe. De se retrouver enfin dans l'amphithéâtre de la faculté. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents.

Pressés de profiter encore un peu de cette météo, nous ressortons à nouveau pour descendre jusqu'à la rivière. Clémentine me tient par la main. Nous évoquons le programme des trois semaines à venir. Clémentine aime bien organiser rigoureusement le planning qui précède les grands évènements. Tout en glissant la main dans la braguette béante de mon short, elle donne quelques points de référence avec les années passées. Un départ pour deux mois exige de ne rien omettre. De penser à tout.

Je glisse ma main entre ses cuisses. J'adore le contact de sa culotte en doux coton. C'est chaud. C'est lisse. Il y a cette grosse bosse que fait son clitoris géant. A peine l'ai-je effleuré qu'il y a ce petit spasme qui agite le corps de Clémentine. C'est merveilleux. C'est au travers le tissus que je le saisis entre le pouce et l'index pour le masser doucement. << Mmhh, c'est bon ça ! >> murmure Clémentine dans un soupir. Cambrée sur ses genoux fléchis, pendue à mon cou, elle s'offre à ma caresse.

Nous nous embrassons avec cette fougue habituelle qui mouille nos mentons. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut remonter. Je remballe ma queue et mes couilles. Nous tombons sur monsieur Bertrand qui va nourrir les canards. Nous bavardons un peu. Il faut y aller. Le bruit des machines. Le jeune employé est au sommet d'une échelle double entrain d'élaguer un des deux pommiers. La jeune femme est entrain de tailler la rangée de cyprès derrière la maison d'amis. Le soleil cogne.

Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. Un peu excité par nos jeux de mains au bord de la rivière. Clémentine se lève d'ailleurs souvent pour venir me faire un bisou dans la nuque avant de retourner s'assoir. Il est 17 h quand elle vient me rejoindre. Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, elle joue avec ma queue en observant ma toile.

Clémentine a encore du travail. Confortablement installée dans le canapé, elle se plonge dans ses notes, ses corrections dont elle me lit les passages à haute voix. Ses écrits prennent forme. Je trouve même qu'ils pourraient rester ainsi. Définitifs. Clémentine est perfectionniste. Il est 18 h. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Clémentine m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour sortir. Au moment même où la voiture d'entreprise d'Estelle descend le chemin. La propriété est dans un état exemplaire.

L'entreprise paysagiste a encore fait des merveilles. Elle interviendra à nouveau à la mi septembre puis avant l'hiver. Estelle se précipite pour nous faire la bise. Nous sommes tellement contents d'êtres tous les trois que c'est dans une farandole que nous parcourons la propriété pour tout admirer. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte en disant : << Méfiez-vous monsieur Julien, je suis d'humeur badine et salope ! >>. Nous éclatons de rire. Elle porte une robe d'été. C'est rare.

Je glisse ma main entre ses cuisses pour dire : << Méfiez-vous Estelle, j'ai un certain répondant ce soir ! >>. Je glisse mon autre main entre les cuisses de Clémentine. Je les caresse toutes les deux. Estelle me tient la queue. Clémentine me tient les couilles. Les oiseaux gazouillent. Il y a de gros lézards qui se prélassent au soleil sur les rochers du bassin. J'aime les frissons de mes deux anges quand je masse délicatement leurs clitoris. Elles ont toutes les deux leurs cheveux en tresses.

C'est par ces tresses que je les saisis pour les entraîner vers la rivière. Je les tiens toutes les deux comme à la laisse. Estelle ne lâche évidemment pas mon sexe qu'elle tient d'une poigne ferme. Je dis : << Il faut procéder à quelques entraînements avant le départ. Car en Ecosse je vais avoir ce comportement assez fréquemment ! >>. Estelle s'arrête pour s'accroupir devant moi. Elle dit : << Vous avez plutôt intérêt à ne pas nous négliger, mon bon "Maître" ! >>. Clémentine s'accroupit à son tour.

Je leurs pose les mains sur la tête pour répondre : << Mes délicieuses "soumises", ne soyez pas inquiètes, je vais soigneusement m'occuper de vos cas ! >>. Je frotte ma bite sur le visage d'Estelle puis sur celui de Clémentine. J'esquive leurs bouches ouvertes et gourmandes. Je les force à se relever. Nous longeons la rivière. Les filles parlent de leurs cours. Elles espèrent pouvoir reprendre leurs études, en faculté à nouveau et dès la rentrée de septembre. La promiscuité est source d'émulations.

Il commence à faire faim. Clémentine propose de prendre le repas du soir dans le jardin. << On va êtres bouffés par les moustiques. On en a plein chez nous aussi ! >> lance Estelle. Ce sera donc dans la véranda. Nous remontons le chemin en riant beaucoup. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle met les assiettes et les couvert sur la table de la véranda. Nous aimons y prendre nos repas à même le bois de chêne, sans nappe. A l'ancienne puisque c'est une grande et ancienne table de ferme.

Je réchauffe une des deux tartes à la tomates. Estelle, qui en raffole, vient me faire plein de bisous, accroupie à mes côtés devant la vitre du four. Clémentine, debout derrière moi, me tient par les épaules. Je me retourne pour fourrer ma tête sous sa robe. Les filles éclatent de rire. Je dis : << Mmhh ! Les odeurs de filles me rendent fou ce soir encore ! >>. Estelle se redresse en levant sa robe pour m'encapuchonner la tête à son tour. Les odeurs de filles me donnent le vertige. C'est mon plaisir le plus intense.

Je m'écrie : << Ce soir, je vous bouffe la chatte à toutes les deux ! Vous voilà prévenues ! >>. Estelle s'écrie à son tour : << Et moi je te bouffe la queue ! >>. Clémentine, l'air innocente demande timidement : << Et moi, je bouffe quoi ? >>. Nous éclatons de rire. Je me redresse. Mes deux anges m'entraînent dans une farandole autour de la table. La sonnerie du four. Em même temps que celle de mon téléphone. Clémentine le récupère sur le buffet. << Julie ! >> lance t-elle en mettant sur haut parleur.

Julie est au restaurant de sa tante, entrain de faire son job de serveuse. Avec la fin des mesures sanitaires strictes, l'affluence est incessante. Elle ne désire pas tourner le second opus de ses fantasmes demain, vendredi. << Je n'aurai pas la tête à ça. Il y a un boulot monstre. On fait la semaine prochaine, si ça va pour vous ! >> dit elle. Clémentine lui propose de nous fixez rendez-vous à l'endroit habituel sur la piste cyclable de l'écluse, demain, pour 15 h. Réjouissances.

Nous mangeons de bon appétit tout en parlant de Julie. En bien. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, les filles reviennent sur l'Ecosse. Il est 20 h30. Pas de moustique dans la véranda grâce aux deux lampes Mosquito. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. << Tu n'aurais pas parlé de chattes tout à l'heure ? >> fait Estelle en m'entraînant par la queue. Nous voilà au salon. Les filles m'offrent leurs sexes que je déguste jusqu'à l'ivresse.

Bonne soirée à toutes les coquines pour qui le léchage de minous est devenu une nécessité. Une addiction avant la baise et la pipe...

Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1548 -



Rendez-vous avec Julie sur la piste cyclable

Hier matin, vendredi, une fois encore et pour la dernière fois de la semaine, résonnent le chant de ces mystérieux oiseaux. Le bruit de cette mystérieuse source. Il est presque six heures. C'est ainsi que nous sommes tirés de nos profonds sommeils par l'application "forêt". Estelle qui est restée contre moi toute la nuit, se serre encore plus fort. Clémentine vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Nous modulons nos gémissements durant quelques instants. Jusqu'à l'absurde.

Estelle se lève la première pour se précipiter vers la porte. Cueillant au passage ses vêtements de sport. Nous mettons les nôtres. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Les filles terminent à midi. Ce qui les rend euphoriques et déconneuses. J'adore les voir rire dès le matin. L'odeur de café, de pain grillé, participe de cet instant festif. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant la soirée de hier. Sexe.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme du week-end. Estelle nous laissera dès le retour du running. Elle reviendra demain pour 13 h30. Il est 6 h25. Nous sortons dans l'étonnante douceur. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Notre jogging sur le circuit de la rivière est un pur plaisir. Il est 7 h30 quand nous sommes de retour. Estelle nous fait des bisous. La voilà dans son auto. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer.

Nous prenons notre douche. Nous nous vêtons légèrement. Clémentine porte sa robe d'été mauve. Je porte un short kaki, une chemisette bleue. Claire. Nous descendons pour profiter encore un peu du grand air. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il est presque 7 h50. Juste le temps de préparer la table sous le noyer pour notre repas de midi. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Prête pour le télé travail.

Je suis installé devant mon chevalet. Habité par l'euphorie communicative, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. Je peins dans la joie d'un vendredi matin ensoleillé. La peinture de cette vingt sixième toile destinée à ma saison d'été me procure encore les plus divines émotions. La matinée est productive. Il est 11 h45. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Il est 11 h50. Clémentine vient me rejoindre pour m'entraîner dans une danse tribale et dithyrambique.

Nous tournons en rond, sautant sur nos pieds, poussant des cris de singes en nous faisant des grimaces. Nous tombons dans les bras l'un de l'autre avant d'éclater de rire. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je réchauffe la seconde tarte à la tomate dans le four. C'est tellement meilleur réchauffé. Je poêle deux dos de cabillaud à peine décongelés. Ail, échalote, champignons. Un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson.

Nous posons le tout sur le grand plateau pour sortir. Nous voilà installés au jardin, sous le généreux feuillage du noyer. Il nous offre l'ombre rafraîchissante nécessaire. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre virée vélo de l'après-midi. Nous avons rendez-vous avec Julie au kilomètre 18. Elle nous attend au croisement du chemin et de la piste cyclable pour 15 h. Elle reprend son service à 18 h30. Nous pourrons passer un peu plus de trois heures ensemble. C'est superbe.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur les vacances qui se rapprochent. Nous débarrassons avant de tout ramener à l'intérieur. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous nous changeons. Clémentine porte une de ses jupettes tennis kaki, un T-shirt blanc. Je suis en short lycra noir, T-shirt carmin. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Je récupère le petit sac à dos.

Il contient trois pommes, des barres de céréales et nos inutiles K-ways. Depuis peu nous avons chacun, fixées aux cadres de nos bicyclettes, une bouteille thermos d'un litre, en métal. Elle contient de l'eau qui restera bien froide jusqu'en soirée. Formule imparable pour se sustenter sans être obligé de boire de l'eau chaude. Je vérifie le gonflage des pneus. 5,5 bars devant. 5,5 bars derrière. Durs comme de la pierre. C'est tellement plus facile d'avancer ainsi. Clémentine palpe ma bosse.

Je glisse ma main entre ses cuisses. Le contact du coton lisse de sa culotte est un vrai plaisir. C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. La passerelle en bois qui la traverse. J'ouvre le cadenas du portillon. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable par l'étroit chemin qui longe la forêt. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. C'est sympathique. S'il ne tombe pas, il nous poussera au retour. Nous croisons nombre de cyclistes de tous âges. Des filles en rollers. Quelques promeneurs en couples.

Le soleil généreux de ce 11 juin cogne fort. Pas d'arrêt au cabanon de l'écluse. Clémentine se garde pour un pipi au port de plaisance. Elle espère une superbe exhibe. Il est 15 h quand nous arrivons au km 18. Julie est déjà là malgré les quinze minutes d'avance. Julie est toujours en avance. Elle est rayonnante. Vêtue d'un short en lycra noir, d'un T-shirt jaune en lycra également. Des bisous. Sa Clio rouge est garée là-bas, sous les arbres, à l'ombre avec d'autres autos. Nous continuons.

Tout en pédalant, Julie nous raconte quelques anecdotes concernant son job de serveuse. Ce n'est plus seulement la terrasse qui accueille soixante personnes midi et soir, mais l'intérieur de l'établissement. Elles sont trois à faire le service. Il est presque 15 h30 quand nous arrivons au port de plaisance. L'animation habituelle. Les joueurs de boules, les touristes, les plaisanciers, les groupes de cyclistes qui se sont donnés rendez-vous ici. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie.

Clémentine retire rapidement et discrètement sa culotte. Elle la fourre dans la pochette avant du petit sac à dos que je porte. Julie s'écrie : << Waouh ! >>, admirative. Clémentine en tire nos masques sanitaires. C'est la jeune fille de l'autre fois qui exerce la fonction de "capitaine". Bien évidemment un job d'été pour une étudiante souriante. Elle est en pleine conversation avec deux couples de plaisanciers. Nous traversons la route pour aller dans la supérette. Plein de clients évidemment.

C'est notre combine habituelle. Pendant que Clémentine et moi, nous allons chercher les bacs de glaces, Julie se met dans une des deux files aux caisses. Elle a les yeux pétillants de malices au-dessus de son masque bleu clair. Il y a nos crèmes glacées préférées. Haagen Dazs. Des pots de 500 ml. Nous en prenons trois. Parfum vanille, parfum nougat, parfum pistache. Nous rejoignons Julie juste au bon moment. Nous attirons encore bien des regards. Des interrogations. Suis-le papa de ces deux superbes jeunes filles ?

Nous voilà assis sur le muret. Les pieds qui pendent dans le vide. Armés de nos petites cuillères à moka, dorées, nous dégustons nos glaces. Chacun d'entre nous trempe sa cuillère dans un pot différent. Une fois dans la vanille, la fois d'après dans la pistache, puis encore dans le nougat. Le mélange est savoureux. Cette marque de glace est bien plus dense que les autres, aussi 500 ml sont roboratifs et bourratifs. Les filles évoquent leurs études. Julie aussi a un mémoire à présenter fin juin.

<< D'ici là, et quand nous sommes ensemble, pensons d'abord au plaisir ! >> lance Clémentine en nous entraînant par la main. Nous jetons les pots vides dans une des poubelles. Nous descendons vers les bâtiments des sanitaires réservés aux plaisanciers. Le local des machines à laver est grand ouvert. Nous n'y avons jamais été. Nous entrons pour voir. Il y a deux dames en pleine lessive qui discutent. Nous les saluons. Nous entrons dans les toilettes hommes ouvertes. Propres et à l'odeur forte de chlore.

<< Combien de belles exhibes vécues là ! >> lance Clémentine qui s'accroupit entre deux des urinoirs muraux. Julie, admirative, prend du recul pour regarder la scène. Je joue au plaisancier qui entre dans les toilettes. J'interprète le rôle pour avoir assisté de nombreuses fois à leurs étonnements lorsqu'ils découvrent cette sublime jeune fille accroupie là. << Génial ! >> fait Julie. J'ouvre la porte du dernier cabinet pour montrer à Julie la cuvette des toilettes sur laquelle je suis habituellement debout pour mâter par dessus le mur.

<< Je fais pareil aux toilettes du restaurant ! >> lance Julie. Il y a soudain des bruits de pas, des voix. Une voix féminine, une voix masculine. Il suffit de nous enfermer dans le cabinet. Je monte le premier sur le couvercle fermé de la cuvette. J'aide Julie à m'y rejoindre. Elle est serrée contre moi. Bien plus petite que moi, même sur la pointe des pieds, elle ne peut regarder au-dessus du mur. Je la soulève. Elle ne pèse pas grand chose. Le bruit de la porte qui s'ouvre.

C'est un sénior. Short en jeans, chemise hawaïenne, sandalettes, il a un petit cigare aux lèvres. Coiffé d'un panama. C'est un plaisancier. Il vient pisser. Il tombe sur ce merveilleux spectacle. Cette sublime jeune fille, accroupie, les cuisses largement écartées. Clémentine porte ses lunettes de soleil. Ses cheveux défaits comme pour la plupart de ses exhibes. Elle adore se faire surprendre ainsi. Ma présence sécurisante, lui permet tous les excès. Elle ne s'en prive pas. Entraînement pour l'Ecosse.

Julie, dans mes bras, nous observons silencieusement. Le type nous tourne le dos. << Oh excusez-moi, je me suis trompée de toilettes ! >> s'écrie Clémentine, jouant parfaitement la comédie. Comment se type pourrait-il être dupe ? On voit bien que ce sont des toilettes hommes. << Ce n'est pas grave mademoiselle, faites donc. C'est un plaisir, je vous assure ! >> répond le mec en tirant sur son cigare. L'odeur écœurante monte jusqu'à nous. Nous retenons nos respirations pour rester silencieux. Heureusement.

Julie me fait quelquefois un bisou. Je suis enchanté par ces initiatives. Le plaisancier est debout devant un des urinoirs. Il se déboutonne. Goguenard, sans le moindre complexe, il dit à la jeune fille accroupie à environ un mètre : << Ce n'est que dans les chiottes qu'il est légitime d'avoir la bite à la main ! N'est-ce pas mademoiselle ? >>. Clémentine redresse la tête qu'elle tourne en direction du plaisancier. La fumée du cigare est incommodante. Nous entendons le type pisser. Un jet probablement très puissant.

Clémentine mâte sans bouger. << Tu aimes mâter toi, hein ? Tu aimes sucer aussi ? >> lui lance le bougre. Clémentine ne répond jamais à ce genre de propos. Ils sont si fréquents. Que peut bien proposer un homme "normal" à une jeune fille accroupie dans les toilettes hommes, entre deux urinoirs ? C'est de bonne guerre. Clémentine reste sur ses gardes. Le type secoue sa bite longuement. Clémentine se redresse. A la limite de l'ankylose. La crampe n'est pas loin. Le mec se tourne vers elle.

<< Alors ? Une petite dégustation, mademoiselle ? >> lance t-il encore avant de rajouter : << J'ai une fille de ton âge ! Moins salope que toi j'espère ! >>. Julie est pliée de rire tout contre moi. Elle commence tout de même à peser son poids. Je fatigue. Le plaisancier, face au silence de Clémentine, n'insiste pas. Il remballe sa queue après l'avoir agité en direction de la fille qui le dépasse d'une bonne demi tête. << Je vais rejoindre ma femme. Amuse toi bien ma grande ! >> fait il en se dirigeant vers la porte.

Je dépose Julie pour me masser les bras. << Je suis lourde, hein ? >> fait elle en sautant de la cuvette. Nous sortons du cabinet pour rejoindre Clémentine qui se masse les jambes. Nous éclatons de rire. Merde ! Voilà le type qui revient. << Je m'en doutais, bande de salauds ! >> lance t-il en jetant son cigare dans un des urinoirs où il s'éteint dans un pshitttt sonore. Nous quittons l'endroit. Nous voyons le type rigoler comme un bossu en tenant sa femme par la taille. Une belle jeune femme très sexy.

Il est temps de prendre le chemin du retour. Nous laissons Julie au croisement du chemin et de la piste cyclable. S'il fait beau demain, rendez-vous au même endroit mais avec la présence d'Estelle. Il est 19 h15 quand nous revenons à la maison. Morts de faim, nous préparons un rapide repas. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais des toasts beurrés avec de fines tranches de saumon. Du pâté végétal et des olives noires dénoyautées. C'est un délice que nous savourons au jardin.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment passer la soirée au jardin avant de savourer une bonne pipe, de se faire lécher, baiser...

Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1549 -



Comme c'est bien d'être ensemble, tous les trois. Tous les quatre...

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand nous sommes réveillés par la musique imbécile de mon téléphone. Comme convenu vendredi, c'est Julie qui nous appelle pour nous confirmer sa venue à 9 h. Elle a tant insisté pour venir faire le ménage. Ce sont autant de prétextes pour êtres ensemble avant notre départ pour l'Ecosse, le 30 juin. Clémentine répond au texto par un simple << OK >>. L'envie de pisser est pressante. Nous nous précipitons aux toilettes.

Vêtus de nos tenues de jogging, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Depuis l'interphone, j'ouvre immédiatement le portail. Je rejoins Clémentine dans la cuisine. Elle fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le vague programme de cette nouvelle journée. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la venue de Julie. Elle sait où est la clef.

Il est 8 h25. Nous sortons. Il fait beau. Il fait déjà très doux. Quelques mouvements d'échauffement. C'est la première fois cette année qu'il est possible d'aller courir en short et T-shirt lycra. C'est le circuit de la rivière. Notre préféré. Il est 9 h30 quand nous revenons. La Clio rouge de Julie garée devant le garage. En entrant dans la maison, le bruit de l'aspirateur au salon. Nous allons saluer Julie. Toute contente, elle éteint l'appareil pour nous faire des bises. Elle est radieuse.

<< Je ne viens pas pour l'argent. Je viens pour profiter de chaque moment où je peux être avec vous ! >> lance t-elle. Je m'empresse de répondre : << Si vous ne venez pas pour l'argent, Julie, vous ne pouvez plus venir faire notre ménage ! Il faut aimer l'argent ! >>. Nous éclatons de rire. Nous laissons Julie à ses tâches ménagères pour monter prendre notre douche. Nous nous habillons légers. Clémentine porte une de ses robes d'été rouge à motifs blancs. Je suis en short kaki, T-shirt blanc.

Julie est entrain de passer l'aspirateur à l'étage. Nous lui faisons une bise avant de dévaler les escaliers. Au salon, je glisse un billet de 50 euros dans une petite enveloppe jaune. Nous nous empressons de sortir. Au moment où descend le fourgon des fruits et légumes. C'est la même jeune femme. Depuis plus d'un an, elle est devenue très souriante. Son masque sanitaire est accroché à son bras. Du hayon arrière de son véhicule, elle tire deux cageots. L'un contient nos fruits, nos légumes.

L'autre contient nos fromages, nos pots de crème fraîche, nos yaourts, nos œufs, le beurre. Même commande pour samedi prochain. La jeune femme récupère les deux cageots vides de la semaine dernière. Ils sont consignés. Elle retourne à ses livraisons. Voilà la camionnette de madame Marthe, la boulangère. Il y a bien une dizaine de masques sanitaires qui sont accrochés partout. Aux rétroviseurs, au volant, aux manettes. Nous rions. Elle sort notre cageot non consigné celui-là.

Un cageot qui contient nos deux grosses miches de pain complet, notre brioche au pudding. Deux pâtes feuilletées. Il y a trois croissants. << Cadeau de la maison ! >> fait la dame. Les cageots qu'elle nous laisse presque chaque samedi, une fois cassés, servent à allumer la cheminée en hiver. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la dame. Nous contournons la maison pour passer par la cave. Dans le cellier nous rangeons nos fruits et nos légumes sur les étagères. Pour une conservation idéale.

Dans le congélateur, nous rangeons une des deux grosses miches, les deux pâtes feuilletées. J'en retire un sachet de petits pois, un sachet de haricots verts, un paquet de moules conditionnées par deux kilos. Nous remontons. Julie est entrain de passer la serpillère sur les carrelages. WC, hall d'entrée, cuisine. << A partir de septembre, je viens tous les samedis matins pour jouer à la femme de ménage. Je peux ? >> nous demande Julie. << Et comment ! >> répond Clémentine.

Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Julie repasse derrière nous avec la serpillère. Nous nous excusons. Pour toute réponse, Julie nous fait à chacun une bise. Nous sortons au jardin pour mettre la table. Nous étalons la nappe. Nous y posons les assiettes, les couverts. Il fait déjà bien chaud. Il est 11 h15. Nous rentrons. Julie va être obligée de nous quitter. Je lui tends son enveloppe en précisant une fois encore : << Ce n'est pas du "black", c'est cette vieille dette ! >>.

Julie est toujours un peu gênée par la remise de l'enveloppe. Je lui fais un grand sourire. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Rendez-vous cet après-midi, au lieu habituel. Ce kilomètre 18 où nous nous revoyons pour 15 h. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Clémentine m'entraîne par la main. Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Il fait très agréable à l'ombre des acacias. Nous flânons sur le sentier qui longe le cours d'eau. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte.

Je glisse la mienne sous sa robe. Passer les doigts entre ses cuisses, sentir la douceur du fin coton de sa culotte. J'adore cette sensation. Nous nous touchons en nous embrassant goulument. La faim commence à se faire sentir. Nous remontons. Il est presque midi. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon dans lequel je jette les moules pas du tout décongelées. Dans le wok, je jette les petits pois, les haricots verts pas décongelés non plus. On s'en fout. C'est samedi.

Nous sortons le tout sur deux grands plateaux. Nous voilà confortablement installés dans le jardin, au bord du bassin, sous le généreux feuillage du noyer centenaire et du saule qui trempe ses basses branches dans les eaux claires. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine parle de l'Ecosse. De notre projet de nous y installer définitivement d'ici trois ans. Cet été nous allons d'ailleurs visiter quelques propriétés sélectionnées par mon oncle Alan. Antiquaire à la retraite, il a gardé tant de relations.

Le dilemme restera le suivant pour les trois ans à venir. Allons-nous vendre notre propriété ici, en France, où la garder pour d'hypothétiques et bien improbables séjours ? Clémentine précise souvent : << Si on quitte la France, on ne revient plus, tu veux bien ! >>. Je suis d'accord avec le principe. Tout cela demande réflexion. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque ses études. Ce Doctorat qu'elle prépare. << Vivre en Ecosse sera ma récompense ! >> dit elle.

Nous débarrassons avant de tout ramener à l'intérieur. Tout est propre. L'odeur du chlore subsiste encore malgré les diffuseurs d'arômes. Les huiles essentielles de magnolia et de jasmin n'ont pas encore remporté la victoire. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. << Coucou les gens ! >>. C'est la voix d'Estelle qui entre dans la salle de bain. Elle nous fait la bise avant de me sauter au cou.

Elle est déjà en tenue cycliste. Short lycra noir, T-short lycra jaune. Nous allons tous les trois dans la chambre. L'odeur des huiles essentielles de jasmin. Nous nous changeons. Clémentine porte une de ses jupettes tennis carmin, un T-shirt crème. Je porte un short lycra noir, un T-shirt lycra jaune. Nous prenons tous les trois la pose devant le grand miroir de l'armoire. Je suis entre mes deux anges. Elles me tiennent par le "paquet" bien bossu dans mon short moulant.

Je passe mes main entre leurs cuisses, par derrière. Je dis : << Entraînement pour l'Ecosse ! >>. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers en poussant des cris d'animaux qui n'existent pas. Principalement d'espèces disparues depuis des millénaires. Nous rigolons comme des bossus. J'aide Estelle à sortir sa bicyclette de l'arrière de la voiture d'entreprise. Je fixe la roue avant. << Papa a vérifié les gonflages et la tension de la chaîne huilée ! >> lance Estelle. Nous voilà prêts. C'est parti !

Il y a 300 mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Il y a 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons contre un vent d'Ouest assez virulent. C'est bien car il nous poussera ce soir au retour. Dans le petit sac à dos que je porte, nos pommes, nos barres de céréales. Fixées aux cadres de nos machines, les bouteilles thermos en métal. Elles préserveront la fraîcheur de notre eau. Nous croisons quantité de cyclistes. Principalement des séniors. Une majorité de couples aujourd'hui.

Pas d'arrêt au cabanon de l'écluse. A chaque fois que c'est possible, nous pédalons de front. Je suis entre mes deux anges. Il est 15 h quand nous arrivons au lieu du rendez-vous. Julie est déjà là. Vêtue de son short lycra noir, de son T-shirt lycra jaune. Elle est tellement contente. La présence d'Estelle la ravit encore davantage. Je pédale devant avec Clémentine. Estelle et Julie pédalent derrière en riant beaucoup. Julie raconte quelques anecdotes concernant son job de serveuse dans le restaurant de sa tante.

Elle aussi est pressée que tout cela cesse. Elle va déjà tenir ma galerie d'Art en juillet et en aout. Cette échéance qui se rapproche la rend euphorique à chaque fois qu'elle en parle. Il est 15 h30 quand nous arrivons au port de plaisance. Plein de monde. C'est comme un après-midi d'été. Les joueurs de boules, les touristes, les plaisanciers, des groupes de cyclistes. La terrasse du bar restaurant est noire de monde. Beaucoup de gens portent leur masque sanitaire à la terrasse du café bar.

Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie du port fermée. Il y en a bien une vingtaine rangés là en rang d'oignons. Clémentine retire rapidement sa culotte qu'elle fourre dans la pochette avant du sac à dos. Elle en retire nos masques sanitaires. Julie tire le sien de la pochette fixée au guidon de son VTC. Nous traversons la route pour entrer dans la supérette. C'est Julie qui nous attend dans une des deux files aux caisses. Estelle, Clémentine et moi, nous allons au fond du magasin.

Dans les armoires congélateurs, nous remarquons à quelle vitesse disparaissent les glaces. Heureusement, il reste encore une dizaine de bacs de 900 ml. Il n'y a plus notre marque préférée. Il faudra se contenter de "Carte d'Or". Nous prenons trois bacs. Nougat, pistache, vanille. Nous rejoignons Julie aux caisses. Ce stratagème évite de devoir attendre au risque de faire fondre nos glaces. La gérante nous rassure. Elle sera livrée en glace dès demain matin. Nous en rions de bon cœur.

Assis sur le muret habituel, mais cette fois en tailleur et en cercle, nous savourons nos glaces en oubliant le monde qui nous entoure. << Nous formons notre "tribu" ! >> lance Estelle. << Dommage que tu ne puisses nous accompagner en Ecosse ! >> rajoute Clémentine à l'adresse de Julie qui répond : << Oh, j'aurai fort à faire dans la galerie d'Art ! >>. Je passe mon index sur son genoux pour dire : << Sans vous pour en assurer la continuité, je cesserais d'exploiter ma galerie ! Merci Julie ! >>.

Nous traînons. Je suis assis en face de Clémentine. J'ai une vue exquise sur sa chatte poilue. Estelle me dit : << C'est hypnotique n'est-ce pas ! >>. Je confirme. Nous en rions de bon cœur. Julie est un peu gênée. Je dis : << C'était génial encore hier, d'être enfermés tous les deux dans les cabinets pour faire les voyeurs ! >>. Julie me fait : << C'est à chaque fois génial ! >>. Clémentine raconte à Estelle notre aventure de hier après-midi, avec le plaisancier, dans le bâtiment des sanitaires.

<< C'est toujours quand je ne suis pas là ! Vous le faites exprès ! >> lance Estelle en palpant ma bosse. Je la touche entre les cuisses. Clémentine rajoute : << Mais tu es là cet après-midi. Partons en "expédition" ! >>. Nous nous levons. Nous jetons les bacs de carton recyclé vides dans une des poubelles. Cette fois nous montons au vieux cimetière. Il y a 500 mètres de chemin en plein cagnard. Mais nous voulons faire découvrir l'endroit à Julie. Nous y avons nos petits "plans".

Il y a des touristes. Plus personne n'est enterré dans ce cimetière depuis plus de cinquante ans. Par contre ses tombes, ses monuments et ses caveaux de familles de caractère néo gothique attirent bien des visiteurs. Nous avons de la chance. C'est vendredi. Pas de familles de Simpson à la marmaille hurlante. Ce ne sont principalement que des couples ou de petits groupes de quatre personnes. Il y a ce type qui semble seul. Il parcourt le sentier qui longe le muret du cimetière.

Clémentine nous entraîne à l'intérieur. A l'ombre des platanes et des hêtres généreux. Nous faisons visiter les allées entre les tombes. Estelle fait un descriptif des pierres tombales les plus anciennes, couvertes de mousse. Il y a des dates. 1726-1788 pour celle-ci. << Antérieure à la Révolution d'une année ! >> précise Julie. 1694-1735 pour celle-là. << Le mec de tout à l'heure ! >> lance Clémentine en nous montrant le solitaire. En effet, il y a le type qui circule entre les pierres tombales.

Il prend des notes. Il tient un calepin et un stylo. << Peut-être un prof d'histoire ! >> lance Julie. << Une "victime potentielle" en tous cas ! >> fait Clémentine qui nous invite à nous cacher. C'est le moment de faire visiter le caveau de famille abandonné à Julie. Ses deux vieilles portes en chêne sont toujours ouvertes. Des grilles à hauteur de visages permettent d'observer à l'extérieur une fois à l'intérieur. Nous y voilà tous les trois, Estelle, Julie et moi. Julie nous tient par les bras.

Il fait bien frais dans cette petite maison de pierres. Nous regardons par les grilles. Clémentine est accroupie entre deux tombes. A l'abri des regards éventuels. Elle fait mine de fouiller dans le petit sac à dos qui cache son sexe. Les touristes qui passent un peu plus loin ne lui prêtent aucune attention. Quoi de plus naturel, de plus normal que de chercher quelque chose dans son sac ? C'est quand le solitaire passe devant la tombe, que Clémentine lève le sac pour le poser sur sa cuisse. Dévoilant ainsi son entre jambes.

Le mec s'arrête. Il vient évidemment de découvrir la chatte poilue de la sublime jeune fille accroupie de l'autre côté de la tombe. Clémentine porte ses lunettes noires de soleil. Ses cheveux défaits pour l'occasion, participent à préserver son anonymat. Je suis entre Julie et Estelle. Silencieux, retenant nos respirations, nous observons. Nous pouvons entendre battre nos cœurs. Estelle me tient par la taille, tout contre moi. Clémentine est immobile. Le type regarde dans toutes les directions.

Il va. Il vient. Il semble quelque peu déstabilisé. On le comprend, le pauvre. Le spectacle qui lui est offert là à de quoi surprendre. Surtout que Clémentine exagère à présent la pose. Il y a toujours cette interrogation que nous devinons chez les voyeurs involontaires. Cette superbe jeune fille le fait elle exprès où est-elle réellement absorbée par la recherche d'un objet au fond de son sac ? << C'est génial ! >> murmure Julie, la plus voyeuse d'entre nous trois. Je la prends par l'épaule.

Elle aussi se serre contre moi. Estelle glisse sa main dans mon short pour saisir mon érection. Elle chuchote à l'intention de Julie : << Regarde comme il bande ! >>. Julie baisse les yeux pour regarder ma queue qu'extrait Clémentine de mon lycra noir. << Oh put-Hein ! >> murmure Julie. Je fais : << Chut ! C'est dehors que ça se passe ! >>. Nous reprenons notre voyeurisme. Le type se touche. Il tente d'attirer l'attention de la fille. Clémentine qui louche derrière ses lunettes s'en rend probablement compte.

<< Ces jeux m'ont toujours excités, depuis mes 16 ans ! >> murmure Julie. << Moi, déjà avant ! >> chuchote Estelle. Je refais : << Chut ! >>. Même si nous ne risquons pas d'être entendus, il y a parfois des touristes qui passent devant le caveau. Nous bloquons les portes de l'intérieur car certains essaient de les pousser. Clémentine, habile, rusée et virtuose, anticipe chaque présence. Resserrant les cuisses quand il y a un passage intempestif. C'est cette attitude qui confirme au mec qu'il a affaire à une authentique exhibitionniste.

<< Ces filles fréquentent les cimetières ! >> chuchote Julie. << C'est le lieu idéal pour s'amuser à ça ! >> murmure Estelle. Je dis : << Chut ! >>. Estelle me tient fermement par mon érection. Elle me fait régulièrement un bisou sur la joue. Je sens frissonner Julie tout contre moi. Le type vient de sortir sa queue. Il s'est éloigné à l'ombre des acacias. Là, entre le mur et un socle de statue d'ange, il montre sa bite à Clémentine en faisant hyper gaffe. On peut le comprendre, le brave homme. Sa libido est mise à mal. A contribution...

<< Il a une belle queue le salaud ! >> chuchote Estelle. << Je prends une photo ! >> murmure Julie qui sort son téléphone de la pochette qui enserre sa taille. Notre gaillard est un rusé coquin également. Les rares touristes qui passent ici sont loin de se douter de ce qu'il fait. A chaque fois qu'il y a un passage, il se tourne pour se dissimuler davantage entre le mur et le socle. Il est en jeans et chemisette. Il porte un petit sac en bandoulière. Il doit avoir la quarantaine légèrement grisonnante.

Un mec plutôt "beau gosse", qui ne tente aucune approche. Les préférés de Clémentine qui déteste être draguée ou abordée. Clémentine se redresse souvent pour éviter l'ankylose. Ça fait un moment que notre "victime potentielle" à compris à quelle genre de fille il a affaire. Pas le moindre doute. C'est probablement cette certitude qui le motive ainsi. Lui aussi prend un plaisir intense à s'amuser comme ça. Deux exhibitionnistes qui jouent à leurs jeux favoris. Quoi de plus "sensationnel" pour des voyeurs planqués ?

Je frotte mes doigts entre les lèvres du sexe d'Estelle. << J'adore quand tu fais ça ! >> chuchote t-elle. Julie s'écarte souvent pour nous regarder nous toucher. Son voyeurisme est double. Au dehors il y a Clémentine et l'inconnu. A l'intérieur il y a Estelle et moi. Elle se touche en murmurant : << C'est génial ! >>. Elle rajoute dans un soupir : << C'est trop ! >>. Nous regardons par les grilles. Clémentine est à nouveau accroupie. Les cuisses écartées à leur maximum. Une position d'une indécence folle.

Le type se branle à chaque fois que c'est possible. << Je le filme ! >> murmure Julie. << Tu montres le film à Clémentine tout à l'heure ! >> chuchote Estelle. Je dis : << Chut ! >> tout en masturbant Estelle qui me branle doucement. Julie se touche. Nous sommes souvent en apnée. Cette fois, il y a un groupe d'une dizaine de touristes. Clémentine se redresse prestement. Juste à temps. Le type a bien failli se faire surprendre. Il se réajuste avant de quitter l'endroit pour disparaître entre les tombes.

Nous rejoignons Clémentine. Toute rouge, couverte de sueur, elle nous confie être excitée comme jamais. << Vous avez vu ! Ils sont géniaux ces mecs qui ne tentent pas de plans dragues ! >> lance t-elle en se blottissant contre moi. Nous quittons le cimetière soudain envahit par une cohorte de touristes. Nous comprenons lorsque Julie nous montre les deux autocars jaunes garés sur le parking de la supérette, là-bas, au bas de la colline. Il y a plein de gens qui montent.

Cela n'est pas sans évoquer une fourmilière. Là-bas, le type du cimetière. Il est en compagnie d'une femme et d'un couple assis sur un plaid, à l'ombre. << Il n'était pas vraiment seul ! >> fait Estelle. << Ce qui explique peut-être sa retenue ! >> dit Julie. Cette hypothèse est sans doute la plus proche de la réalité. << En tous cas, merci monsieur ! >> lance Clémentine en glissant sa main entre ses cuisses. Je regarde dans toutes les directions. Personne ne prête attention à notre quatuor.

Je glisse ma main sous la jupette à Clémentine. Son sexe est trempé. Elle a un sursaut en saisissant mon poignet pour me guider. Julie et Estelle font écran de leurs corps. << N'arrête pas Julien, c'est trop bon ! >> fait encore Clémentine. << Venez, on retourne dans le caveau ! >> propose Estelle. Mais vu l'affluence, il est hors de question d'y retourner. Dommage. De me bouffer une moule dans un tel bouillon aurait enchanté le gourmet que je suis. De toute façon, il faut songer à repartir.

Julie reprend son service à 18 h30. La mise en place des tables. L'accueil des premières réservations. Le restaurant de l'étang est victime de son succès depuis de nombreuses années. Nous descendons la colline. Estelle et Clémentine me tiennent par les mains. Julie trottine autour de nous. Nous revenons aux vélos. Je masturbe un peu Clémentine avant qu'elle ne remette sa culotte. Je la torche après son pipi discret. Accroupis devant elle, je regarde la cyprine s'écouler de son vagin juste derrière le jet de pisse. Sublimes épanchements...

Nous voilà en route. << Je suis tout le temps à la limite de la plus douce folie avec vous trois ! >> lance Julie en pédalant. Le vent d'Ouest nous pousse. << Je vais être en retard. Je téléphone à Anne-Marie pour la prévenir ! >> fait Julie en tirant son téléphone de sa pochette. Nous sommes tous les quatre à côté de sa voiture. Je l'aide à démonter la roue avant. Je place la bicyclette dans le coffre. Des bisous. Julie revient lundi soir pour nous livrer les repas et passer la soirée avec nous.

Il est 19 h15 quand nous revenons à la maison. Morts de faim. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle dresse la table dehors. J'épluche les pommes de terre que je fais rissoler à la poêle. Estelle prépare une belle omelette aux champignons. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous, de passer nos mains entre nos cuisses. Clémentine a jeté sa culotte dans un coin de la cuisine. J'adore sa chatte encore mouillée. Je lui promets de m'en occuper passionnément après le repas. Après la vaisselle.

Nous traînons à table. Les moustiques sont repoussés par les deux lampes Mosquito. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine reviennent sur notre aventure au cimetière. Estelle raconte ce qui s'est passé dans le caveau. Clémentine nous confie les émotions vécues avec l'inconnu. Nous débarrassons avant la vaisselle. Nus, au salon, tous les trois, nous nous livrons à nos occupations préférées. Je lèche de la chatte de filles hyper excitées, ayant fait du vélo. Je baise de la fille affolée de plaisir...

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment les soirées à se faire bouffer la chatte, à se faire pénétrer et à jouir comme des folles...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1550 -



Un dimanche ensoleillé, chaud et estival

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par Estelle qui se serre encore plus fort contre moi. Seul le drap nous recouvre car il commence à faire chaud la nuit. Elle passe une jambe sous mes fesses, pose l'autre sur mon ventre. Doucement elle frotte son sexe contre le haut de ma cuisse. Ses lèvres comme une ventouse sur la peau de mon cou. Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir. Elle fait exactement la même chose. Je suis entre mes deux anges.

Il est 9h. Nous restons ainsi tous les trois dans une douce volupté. Je distribue des bisous. De sentir ces deux chattes poilues contre mes hanches m'enivre déjà d'un plaisir suave. << C'était si bon hier soir ! >> murmure Estelle avant de se lever péniblement. << Je dois faire pipi ! >> rajoute t-elle en se précipitant vers la porte. Clémentine continue à se frotter encore un peu en chuchotant : << Ce sera comme ça tous les matins en Ecosse ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes.

Morts de faim, juste vêtus de nos T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Il y a déjà l'odeur du café à laquelle se mêlent celle du pain grillé, celle de la brioche. Les trois croissants offerts hier par la boulangère, réchauffent au micro ondes. Nous prenons notre copieux petit déjeuner dans la véranda. Une des grandes baies vitrées ouverte. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'aventure du cimetière, hier après-midi.

<< Un excellent prélude pour les folies écossaises qui nous attendent ! >> fait Estelle. << Oui, une sorte de "générale" avant la "première" ! >> dit Clémentine. Cette métaphore théâtrale nous fait beaucoup rire. Nous traînons à table. Le dimanche, pas d'entraînement. Nous remontons nous laver les dents, nous changer. Estelle et Clémentine se mettent en jupettes tennis kakis. T-shirts carmins. Je suis en short coton kaki, T-shirt carmin également. Déjà prêts pour la virée vélo.

Pressés de sortir, nous dévalons les escaliers. Le thermomètre extérieur indique 22°. Il est à peine 10 h. Nous voilà dehors. Il y a un léger vent de Nord Est. << Pour une fois qu'il est le bienvenu, celui-là ! >> lance Estelle. Je suis entre mes deux anges qui m'entraînent par la main. Nous descendons jusqu'à la rivière. J'ai déjà la bite à l'air dès que nous sommes sur le sentier. Estelle marche devant. Clémentine marche derrière. Les filles évoquent leurs études. Les deux mémoires qu'il faut rendre fin juin.

Il y a trois petits kilomètres jusqu'au vieux lavoir. Qu'il est doux d'êtres assis sur le muret, les pieds qui pendent dans le bassin vide. Le bruit de la rivière. Le gazouillis des oiseaux. C'est dans cette ambiance bucolique, que j'ai mes mains entre les cuisses de mes deux anges. Estelle tient ma queue. Clémentine tient mes couilles. Cette douce intimité, depuis plus de quatre ans, s'est installée insidieusement. Comme le fait souvent remarquer Clémentine, nous ne nous en rendons même plus compte.

<< Cet après-midi, s'il y a un "plan", je fais ma salope avec toi ! >> lance Estelle à Clémentine. Nous éclatons de rire. Nous prenons le sentier dans le sens inverse. Il est un peu plus de midi quand nous remontons le chemin. Nous tombons sur monsieur Bertrand. Notre voisin va nourrir les canards. Nous bavardons un peu. Je le regarde loucher sur les cuisses des filles tout en ayant quelques bons mots dont il a le secret. Nous le saluons pour le laisser à ses occupations de retraité.

Nous dressons la table dehors. Sous le feuillage ombrageux du noyer centenaire. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare les trois pavés de saumon pas vraiment décongelés. En papillotes et sur le barbecue électrique de la véranda. Je réchauffe le reste des patates rissolées de hier. Il y en a vraiment beaucoup. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous, des câlins. La préparation est rapide. C'est sur le grand plateau que nous sortons le repas dans le jardin.

Les deux bougies à la citronnelle éloignent les moustiques très nombreux cette année. Un gros citron piqué de clous de girofle éloigne les insectes qui pullulent. Nous mangeons de bon appétit en faisant des "plans" pour cet après-midi. Pressés de filer, nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour tout rentrer. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Une fois encore, pressés de filer, nous dévalons les escaliers.

Dans le petit sac à dos que je porte, trois pommes, les barres de céréales. Fixées aux cadres de nos bicyclettes, les bouteilles thermos emplies d'eau glacée. Il est à peine 13 h30. C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Le vent de Nord Est souffle assez fort. Il nous pousse. Nous l'aurons de face au retour. Ce sera pénible. L'horreur. Nous croisons plein de gens. Des cyclistes, des promeneurs en familles ou en couples, des filles à rollers.

Pas d'arrêt au cabanon de l'écluse. Il y a deux gendarmes installés en contrebas. On ne les voit qu'au dernier moment. Nous les saluons de la main. Ils font la chasse aux petits salopards qui viennent importuner les gens avec leurs scooters bruyants. Avec la recrudescence de ces incivilités, ils ont fort à faire. Cet endroit est stratégique. Il est 15 h quand nous arrivons au port de plaisance. Il y a une sorte de vide grenier. Beaucoup de monde. La plupart des gens porte le masque sanitaire.

Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie. Estelle et Clémentine retirent discrètement et rapidement leurs culottes. Elles les fourrent dans la pochette avant du sac à dos. Elles en tirent nos masques sanitaires. Nous traversons la route en les enfilant. Il y a du monde dans la supérette. Estelle se met dans une des deux files aux caisses. Clémentine et moi, nous allons au fond du magasin. Effectivement il y a nos glaces préférées qui sont revenues. Haagen Dazs. Pistache, nougat et pralin.

Nous rejoignons Estelle à la caisse. Formule idéale pour limiter au maximum le temps d'attente. Assis sur le muret qui surplombe le quai, les pieds dans le vide, nous savourons nos glaces. Nous avons une vue parfaite sur toute cette partie du port. Les badauds qui lèvent les yeux, ont également une vue parfaite. Mais sous les jupettes des deux anges entre lesquelles, je suis installé. L'ombre du platane permet de profiter de ce moment en dégustant nos parfums préférés. C'est un vrai délice.

Nous jetons les pots vides dans une des poubelles. Avec ce monde, désireux d'éviter toute promiscuité, nous décidons de remonter au cimetière. Les 500 mètres du chemin qui gravit la colline sont balayés par le vent. Ce qui atténue la chaleur d'un soleil sans pitié. Il n'y a pas trop de visiteurs. Les touristes sont en bas, sur les quais. Depuis le sommet de la colline la vue est parfaite. Estelle et Clémentine s'accroupissent, le dos contre le mur, les cuisses largement écartées.

<< C'est comment ? >> me demande Estelle. Je réponds : << La grande classe ! Vous êtes toutes les deux absolument sublimes ! >>. Je fais le guet. Là, à l'ombre des acacias, entre le mur et les pierres tombales, mes deux anges pissent tranquillement. Personne ne vient par ici. Les mouchoirs en papier à la main, je torche consciencieusement les deux pisseuses. << Je n'en pouvais plus ! >> lance Estelle. << Je devais pisser depuis la glace ! >> rajoute Clémentine. C'est à mon tour.

Estelle me tient la bite pour en diriger les jets contre le mur. Clémentine, accroupie à ma gauche, suce entre chacun d'eux. Estelle et moi, nous restons vigilants. Nous ne cessons de regarder partout autour de nous. << Regarde, le mec qui promène son clébard ! On ne l'a pas déjà vu l'année dernière ? >> lance Estelle. Clémentine se redresse pour mâter. En s'essuyant la bouche avec un mouchoir en papier, elle dit : << Si ! Et ce mec a été la "victime" d'une de mes "prestations" ! >>.

Cela nous revient. Je me souviens. << Une récidive ! On va le faire halluciner ! >> rajoute Clémentine. Je remballe juste à temps. Il y deux couples de touristes qui se pointent. << Il va falloir la jouer serrée, il y a du peuple ! >> lance Estelle. Nous pouvons faire confiance à la virtuosité de Clémentine. Monde ou pas monde, quand elle a décidé une exhibe, rien ne peut l'en empêcher. Le mec n'entre pas dans l'enceinte du cimetière avec son petit chien tenu à la laisse.

Il tient un petit sachet plastique à la main pour ramasser les éventuelles déjections de son canidé. C'est là, entre les grosses poubelles grises, débordantes de fleurs réelles ou en plastique que Clémentine se prépare. Estelle et moi, nous restons derrière le muret, dans le cimetière. La vue est parfaite depuis notre cachette. Par contre, quand Clémentine s'accroupit, nous ne la voyons plus. Le type arrive, nonchalant, sans se douter du piège que lui tend la sublime jeune fille qu'il surprend quelques mètres plus loin.

Nous n'entendons rien de la conversation qui s'engage. Toujours est-il que le quadragénaire un peu enveloppé affiche un grand sourire. A t-il reconnu l'exhibitionniste de l'année dernière ? Certainement. C'est dommage de ne pas pouvoir regarder ce que fait Clémentine. Estelle glisse sa main dans la braguette étroite de mon short de sport. Un coton fin. Bien plus agréable qu'un lycra. << J'aime sentir ta queue grossir dans ma main. En Ecosse je te touche tout le temps ! >> murmure t-elle à mon oreille.

Le type bavarde. Plutôt jovial, il rit à plusieurs reprises. Clémentine se redresse enfin. A la limite de l'ankylose. Elle nous tourne le dos. Elle fait quelques pas avec le mec. Il y a deux couples de séniors qui se pointent. Estelle me lâche la queue. J'ai juste le temps de la remballer. En bandant, c'est toujours difficile d'agir dans la précipitation. << J'adore te mettre dans l'embarras ! >> me fait Estelle qui m'entraîne par la main. Clémentine vient nous rejoindre. Elle glisse sa main sous sa jupette.

En se touchant, de sa main libre, elle lève le pouce en disant : << Il m'a reconnu. Il s'est même présenté. "Jean" se souvient de chaque détail de mon exhibe de l'an dernier ! Il m'a donné des détails que j'avais oublié. En partant, il m'a dit à l'année prochaine ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Considérablement excitée, Clémentine se met en "chasse". Une nouvelle "victime" serait la bienvenue. Elle arrive là-bas. C'est un jeune homme qui fait son jogging. Grand, athlétique, blond.

Voilà deux fois qu'il fait le tour de l'enceinte du cimetière. Clémentine se remet à l'endroit des poubelles. Personne ne vient par là. Le lieu évoque une mini déchetterie. Le camion vient récupérer ici les déchets. Estelle et moi, nous reprenons notre voyeurisme au même endroit. Clémentine guette l'arrivée du joggeur. La fille qui arrive en courant, est-elle sa compagne ? Elle s'arrête à une centaine de mètres. Les mains sur les hanches elle reprend probablement son souffle en regardant le port.

Le jeune homme, à petites foulées, arrive. Clémentine disparaît. Certainement la position pour se faire surprendre en "pose pipi". Le jeune gars la voit au dernier moment. Il s'arrête. Il a un grand sourire. Il parle. Nous donnerions cher pour entendre ce qu'il dit. Toujours est-il qu'il regarde en souriant. Il observe régulièrement à l'entour. Nous comprenons le "plan". Clémentine lui a probablement demandé se surveiller pendant qu'elle faisait pipi. Estelle me tient la queue entre les tombes.

Le jeune homme ne s'attarde pas. Effectivement, il rejoint la jeune fille assise dans l'herbe. Il s'installe à ses côtés. Clémentine vient nous rejoindre. Elle nous raconte. C'est exactement ainsi que les choses se sont passées. Nous redescendons doucement. Cette fois, nous prenons des cônes glacées à la camionnette d'un glacier ambulant. Excellentes glaces en cornets que nous savourons en flânant. Estelle, à chaque fois que c'est possible, palpe ma bosse. Je glisse ma main entre ses cuisses.

Il est 18 h quand nous quittons le port de plaisance. Il faut fournir un effort constant contre le vent. Il est presque 19 h30 quand nous sommes de retour. Fourbus. 25 bornes contre un vent fort et sans pitié c'est crevant. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait dorer trois filets de colin. Je réchauffe le reste de pommes de terre à la poêle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos aventures de l'après-midi. Le dimanche, pas de douche. Je termine la soirée à me bouffer des chattes succulentes, crémeuses, baveuses et onctueuses.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer le minou à coups de langue et à se régaler d'une bite au fromage...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1551 -



Julie vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, lundi, réveillés par l'application "forêt", nous sortons de nos profonds sommeils accompagnés du chant de mystérieux oiseaux et du bruit d'une mystérieuse source. Tout cela résonne au fond de nos rêves. Estelle se serre encore plus fort contre moi. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Il est presque six heures. L'envie de pisser étant la plus forte, Estelle se lève d'un bond pour empoigner sa tenue de jogging. Elle se précipite vers la porte. << Pipi ! >>.

Nous nous habillons de nos mêmes vêtements de sport. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Le reste de brioche qui réchauffe dans le four à micro ondes, le café et le pain grillé embaument toute la grande pièce. Estelle me saute au cou. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant les aventures de notre week-end. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup de leurs déroulements. De nos frasques.

Il est 6 h25. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour un running d'une heure. Le circuit de la rivière. Il est 7 h30 quand nous revenons. Estelle, son sac de sport déjà dans sa voiture, nous fait la bise avant de nous laisser. << A demain soir ! >> lance t-elle en démarrant. Nous rentrons prendre notre douche. Vêtus légèrement, nous redescendons à toute vitesse pour profiter encore un peu de la douceur de cette véritable matinée d'été. Il est 7 h50. Il fait déjà 22°.

Nous faisons quelques pas en écoutant l'incroyable densité du gazouillis des oiseaux. La nidification est sans doute à son point culminant. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il faut songer à rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette vingt sixième toile destinée à ma saison d'été m'absorbe rapidement. Je peins dans une sérénité totale.

La matinée se passe dans cette saine ambiance de travail que nous affectionnons. Il est 11 h50 quand Clémentine vient me rejoindre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Dans la poêle, je fais dorer deux dos de cabillaud. Je les enduis de moutarde à l'ancienne. Je les retourne sans arrêt. De l'ail, de l'échalote. En fin de cuisson, j'y rajoute un petit pot de crème fraîche. J'égoutte les spaghettis. Clémentine râpe le Parmesan.

Nous dressons la table au jardin. Sous le généreux feuillage du noyer séculaire qui nous offre son ombre. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle évoque nos vacances qui approchent. La fin du couvre feu à 21 h, repoussé à 23 h, va permettre à Estelle de nous quitter vers 22 h20. Il est préférable qu'elle se consacre un peu à ses parents avant nos deux mois de pérégrinations écossaises.

Nous débarrassons pour tout rentrer. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de retourner au dehors, nous dévalons les escaliers. Clémentine porte une de ses robes d'été. Fine et légère. Je suis en short kaki et en chemisette hawaïenne. Nous descendons jusqu'à la rivière. Il y a l'odeur du barbecue des Bertrand. << Ah ! Aujourd'hui ce sont des côtes de bœuf ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous longeons le cours d'eau sous les frondaisons rafraîchissantes.

Clémentine déboutonne la braguette de mon short pour y glisser sa main. << J'ai énormément aimé mes exhibes du week-end ! Merci de les sécuriser par ta présence, Julien ! >> dit elle en me couvrant le visage de bisous. Je glisse ma main sous sa robe déboutonnée de trois boutons sur le devant. J'adore le contact du fin coton entre ses cuisses. C'est doux, c'est chaud, c'est lisse. Je démêle les poils qui dépassent de partout. Je serre doucement la bosse de son clitoris géant entre mes doigts.

Nous flânons ainsi le long de la rivière qui a atteint son niveau habituel et normal. Ses eaux claires et calmes permettent de distinguer la multitude de poissons. Certainement des truites, des carpes. Notre voisin, monsieur Bertrand, qui aime à venir pêcher, évoque souvent les barbeaux qui vivent ici en grand nombre dans les profondeurs. Cette profondeur doit avoisiner là les trois mètres. On distingue les rochers. Nous nous touchons doucement. Nos caresses sont de véritables délicatesses.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut penser à revenir. << Ces deux mémoires à présenter le 29 juin, m'accablent ! Vivement les vacances ! >> fait encore Clémentine qui m'entraîne par la queue comme par une laisse. Je remballe juste avant de quitter le sentier pour monter le chemin. Aujourd'hui pourtant nous ne tombons pas sur monsieur Bertrand. Certainement occupé à son barbecue avec quelques amis. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. C'est un peu frustrant avec cette superbe météo.

Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Rapidement concentrée sur son télé travail. Je suis confortablement assis devant mon chevalet. Je peins dans les mêmes conditions que ce matin. J'entends Clémentine converser avec son groupe d'étudiants. Je recompose son discours à partir des phrases qu'elle prononce. Je n'entends qu'elle. C'est très amusant car quelquefois la conversation s'anime. Il est 17 h quand elle vient me rejoindre.

Je nettoie ma palette, mes pinceaux, pendant qu'elle met quelques dernières notes sur un calepin. Je retire ma blouse. Nous quittons l'atelier pour sortir. Assis dans la balancelle, nous profitons de cette grande douceur. Clémentine travaille encore un peu. Sa tablette posée sur ses cuisses. J'écoute les mots qu'elle lit à voix haute sans vraiment chercher à en comprendre le sens. C'est leur musique qui m'enchante. La Clio rouge de Julie descend lentement le chemin. Elle se gare devant le garage.

Je me lève pour lui faire un coucou. Pour qu'elle sache que nous sommes là, près du bassin. Elle se précipite pour nous rejoindre. Elle nous raconte son week-end. Le service au restaurant. Son papy et sa mamie qui sont venus dimanche. Clémentine raconte nos aventures. Julie, extrêmement voyeuse, pose tout un tas de question. Clémentine lui offre un luxe de détails. Les queues qu'elle a encore vu durant ses exhibes au cimetière ce week-end. << Je veux revenir avec vous ! >> lance Julie.

Nous en rions de bon cœur. Avec la fin du couvre feu à 21 h, ramené à 23 h, le restaurant ne désemplit pas. Il faut refuser des réservations. Les affaires reprennent. << Il était temps, Anne-Marie était proche du désespoir ! >> explique Julie. Sa tante tient cet établissement depuis plus de 18 ans. Elle en a fait un lieu réputé. On y mange des repas hautement gastronomiques. Cité au guides Michelin, Gault & Millau, le restaurant de l'étang a une renommée internationale. Fruit d'un labeur de longue haleine.

Nous conversons ainsi en profitant de la fraîcheur du soir qui s'annonce. Julie nous raconte quelques anecdotes. Elle a repris ses petits habitudes vicieuses. Se rendre dans les toilettes messieurs du sous-sol avec un balai et un seau. Surprendre des pisseurs. Parfois des branleurs. Il y a quelquefois de vrais salauds qui font des trucs sous la table. Julie les repère. Elle se fait draguer aussi. Tout cela nous amuse beaucoup. << Samedi soir, il y a un mec qui a éjaculé ! >> dit elle.

<< Après le service je passe la serpillère, je passe un petit coup de jet dans les urinoirs. Il y avait du sperme sur l'un d'entre eux. Je crois savoir qui c'était ! Un mec que j'ai surpris en rentrant dans les WC ! >> raconte Julie. << Les bonheurs d'une voyeuse ! >> lance Clémentine qui passe son bras autour de l'épaule de Julie. Julie est souvent en quête de telles manifestations de tendresses. Très tactile, elle se serre souvent contre Clémentine ou Estelle lorsque nous rions tous les quatre. Attitude féminine.

Je me lève. Je passe derrière la balancelle pour la faire bouger. Ainsi balancées, bercées par le mouvement pendulaire, les filles se mettent à rire. Je cesse. La balancelle va continuer encore quelques instants. Je sors ma bite. Je reviens devant les filles pour l'agiter en direction de Julie. Je dis : << J'adore vous la montrer. J'adore faire le vicieux devant vous, Julie, veuillez m'en excuser ! >>. Julie éclate de rire, met son visage dans ses mains, toute gênée, pour lancer : << Moi aussi j'adore ! >>.

Clémentine se lève. Elle passe derrière moi. Ma bite dans la main, elle prend le relai pour l'agiter vers Julie. Comme toujours, naturellement timide, Julie n'ose pas soutenir mon regard. Par contre elle observe avec attention ce que fait Clémentine qui lui dit : << Viens donc me remplacer ! >>. A notre plus grand étonnement, Julie se lève d'un bond. Elle s'approche pour saisir mon sexe à pleine main. Je dis : << Félicitations Julie ! >>. Même si ce n'est pas la première fois, c'est toujours émouvant.

Clémentine revient s'installer dans la balancelle. Elle récupère sa tablette. Julie reste immobile, mon sexe dans la main, ne sachant quoi faire. Je passe mon bras autour de son épaule. Je penche ma tête tout près de son visage pour murmurer : << J'aime quand vous me la tenez, Julie. Vous le faites trop peu souvent ! >>. Dans un soupir, Julie répond : << Je n'ose pas le faire. Ce n'est pas l'envie qui m'en manque, c'est le courage ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine nous rejoint.

Elle prend Julie par la main pour nous entraîner dans une farandole. Julie me tient par la bite sans la lâcher malgré les mouvements, les sauts et les secousses. Je propose de manger dehors. Il n'y a que la table à préparer. Nous faisons les clowns jusqu'à la voiture de Julie. Sur le siège arrière je récupère la grande boîte isotherme qui contient nos feuillantines au crabe pour ce soir. Nos tourtes aux fruits de mer pour demain midi. Dans le grand cornet de papier kraft, les bacs contenant nos salades.

Rien à préparer. Nous rentrons chercher la nappe, les assiettes et les couverts. Clémentine branche les deux lampes Mosquito. Répulsives, elles font fuir les moustiques, les insectes et les nuisibles. Nous mangeons de bon appétit. Ce soir, il n'y a pas le moindre souffle de vent. Nous bavardons. Clémentine raconte des aventures écossaises. Quelques exhibes de très hautes qualités auxquelles elle s'est livrée durant nos séjours. << Parfois de la haute voltige ! >> précise t-elle sous les rires de Julie.

Julie nous confie ses petites aventures d'adolescente. Lorsqu'elle commençait à découvrir les joies du voyeurisme. Quand elle se cachait pour regarder dans les vestiaires du club de rugby. Lorsqu'elle était cachée dans les fourrés du parcours sportif pour voir les pisseurs. Les filles échangent leurs anecdotes adolescentes. J'écoute en silence. C'est trop bien. Parfois je me lève pour montrer aux deux coquines à quel point leurs histoires me font bander. Je me masturbe debout en direction de Julie.

Je l'invite à me la tenir pour pisser contre les rochers à côté du bassin. Quelle n'est pas surprise. Elle ne se fait pas prier. Elle est vêtue d'une robe d'été légère qui flotte et dans laquelle elle paraît anorexique tellement elle est menue. Elle se précipite pour me rejoindre. Clémentine se lève pour venir voir. Je bande comme le dernier des salauds. Je me concentre. Julie tient ma bite à pleine main. Je passe mon bras autour de son épaule. Impossible de pisser. Mon érection me l'interdit. Julie reste immobile.

<< C'est génial, non ? >> demande Clémentine qui s'accroupit pour mieux voir. Le crépuscule arrive. Les moustiques aussi. Sans me lâcher la bite, Julie m'entraîne vers la table, vers les lampes Mosquito. Ce soir, elle a pris tout son courage à deux mains. Un courage qui s'appelle la "bite". Et elle la tient plutôt bien. Debout à ma gauche, elle bavarde avec Clémentine sans lâcher mon érection. La main immobile. Je trouve ça exquis. Je dis : << Julie, vous êtes priée de recommencer à chaque visite ! >>.

Julie ne répond pas. Nous débarrassons pour tout rentrer. Julie insiste pour faire la plonge. Clémentine et moi nous essuyons. Nous n'arrêtons pas de nous toucher en nous croisant. Il est 22 h30. Nous raccompagnons Julie à son auto. Assise au volant, un peu tristounette, elle nous dit : << Je termine à 16 h demain. Si vous partez à bicyclette, je peux vous rejoindre au port de plaisance en voiture ! >>. Clémentine s'écrie : << C'est absolument superbe. Nous t'attendons près des sanitaires ! >>.

Julie rajoute : << Et si on jouait aux inconnus ? >>. Clémentine, surprise comme moi, lance : << Julie, tu es merveilleuse ! >>. Un dernier bisou. J'agite ma queue dans sa direction. Nous la regardons partir dans la nuit. Nous nous dépêchons de rentrer. Nos rituels pisseux. Nos lavages de dents. Au lit, Clémentine veut absolument sucer. Lorsque j'ai eu le comportement d'un satyre toute une soirée, elle a de quoi se régaler. Me vider les couilles est alors son plaisir le plus gouteux. Je lui jute au fond de la gorge...

Bonne soirée à toutes les coquines qui aime se régaler d'une queue juteuse en suçant du jus de couilles en quantité abondante...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1552 -



Le mardi, Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, il est presque six heures quand nous sommes tirés du sommeil par notre application "forêt". Du plus profond de nos rêves surgissent de mystérieux chants d'oiseaux. Le bruit d'une source. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Quelques papouilles. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Vêtus de nos tenues de jogging, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves.

Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. La compagnie de Julie. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine termine à midi comme tous les mardis. Il y a une certaine euphorie dans l'air. Il est 6 h25 quand nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement dans la douceur matinale. C'est parti pour une heure d'un agréable running.

Il est 7 h30 quand nous sommes de retour. La douche. Vêtus légers, nous descendons pour profiter encore un peu d'une fraîcheur extérieure toute relative. Le thermomètre extérieur indique déjà 23°. Clémentine porte une de ses robes d'été à carreaux vichy. Je suis en short hawaïen, en chemisette bleu ciel. Nous faisons quelques pas. Il est 7 h50. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il faut rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles.

Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je peins animé de cette douce euphorie communicative. La matinée se passe dans le calme et la concentration. Il est 11 h45 quand je dépose la dernière touche de jaune d'ocre sur la surface de cette vingt sixième toile destinée à ma saison d'été. Je viens de la terminer. Je nettoie la palette et les pinceaux. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre en sautillant. Elle m'entraîne dans une ronde effrénée.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Nous sortons la nappe, les assiettes et les couverts au jardin. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée de télé travail. Je réchauffe les deux tourtes aux fruits de mer. C'est très rapide. Nous sortons le repas sur un grand plateau. Nous voilà installés à l'ombre du noyer. Qu'il fait bon de manger de bon appétit en étant au dehors. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le vague programme de l'après-midi.

Nous débarrassons pour tout rentrer. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous nous changeons. Clémentine porte une de ses jupettes tennis kaki, un T-shirt carmin. Je porte un short de fin coton, un T-shirt crème. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, des pommes, des barres de céréales. Nos thermos contenant de l'eau fraîche fixées aux cadres de nos vélos. Je vérifie le gonflage des pneus. Un peu d'huile fluide pour lubrifier les chaînes.

C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Toujours un léger vent de Nord Est qui nous pousse. Nous l'aurons de face au retour. Nous croisons des cyclistes. Principalement des séniors sportifs et athlétiques. La saison de la plaisance a bien commencé. Il y a de nombreux bateaux qui passent les écluses. Il a un gros navire au cabanon de l'écluse. Deux agents des VNF sont occupés à la manœuvre. Nous nous arrêtons pour regarder.

Il est 15 h15 quand nous arrivons au port. Il fait chaud. Le soleil cogne. Une atmosphère presque caniculaire. Il y a quelques joueurs de boules à l'ombre des platanes. Des touristes qui flânent. Là-bas, sur la terrasse du restaurant, sous les parasols et sous les pergolas, il y a quelques clients attablés. Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. C'est probablement un employé communal qui assure le rôle de "capitaine". Clémentine retire discrètement sa culotte.

Elle glisse le vêtement dans la pochette avant du sac à dos que je porte. Elle en tire nos masques sanitaires. Nous traversons la route en les enfilant. Il n'y a pas grand monde dans la supérette. Nous bavardons un peu avec la gérante. Dimanche, pour la fête des pères, il y aura la course des "caisses à savon". Ces véhicules sans moteurs, fabriqués par les participants. Ils descendront de la colline. L'arrivée se fera sur le quai. Nous aimons beaucoup assister à ces festivités estivales.

Dans une des armoires congélateurs du fond du magasin, nous choisissons nos bacs de crèmes glacées. Il n'y a plus que la marque "Adélie". Parfums nougat et pistache. Avec ces chaleurs, le rayon des glaces est dévalisé tous les jours. Nous passons en caisse. Assis sur le muret, à l'ombre d'un des platanes, nous savourons nos glaces en regardant les bateaux qui arrivent, ceux qui partent. Nous avons rendez-vous avec Julie. Elle nous rejoint en voiture pour 16 h30. Il est à peine 15 h45.

Nous jetons les bacs vides dans une des poubelles. Clémentine m'entraîne vers les bâtiments des sanitaires réservés aux plaisanciers. Les toilettes sont ouvertes. Nous y entrons. Il fait frais dans les WC hommes. Personne. Nous nous lavons les mains. Nous restons là à attendre l'hypothétique arrivée d'un quidam. Une petite opportunité exhibe serait la bienvenue. Il faut se résigner. Dix minutes passent sans qu'il n'y ait le moindre passage. Nous ressortons. Au soleil, c'est presque la fournaise.

Nous prenons le sentier qui longe ce côté ci du canal. Jusqu'à l'ombre des acacias qui le bordent. Il n'y a pas de pêcheurs. Juste deux bateaux blancs qui se suivent nonchalamment. Aucune possibilité de s'offrir le petit frisson exhibe souhaité. Clémentine me sort discrètement la queue. Je glisse ma main entre ses cuisses. Nous nous touchons dissimulés derrière les fourrés. Il faut remonter. Nous avons rendez-vous au kiosque à l'entrée du parking. Il n'est pas payant durant la semaine.

Julie est toujours en avance. Cette fois encore c'est elle qui nous attend à l'ombre des arbres. Vêtue d'une robe d'été légère et claire, boutonnée sur le devant. Ses cheveux en natte. Elle nous voit. Elle se précipite à notre rencontre. Des bises. Nous flânons sur le quai en restant autant que possible à l'abri de la morsure du soleil. Julie nous raconte ses cours en ligne. Elle reprend son service au restaurant ce soir pour 19 h. La mise en place des tables pour 18 h30.

Nous retournons vers les bâtiments. Cette fois ce sont les toilettes publiques. Personne. Nous y sommes venus tant de fois. Julie nous raconte qu'adolescente elle venait en vélo jusqu'ici. Le port étant distant d'une dizaine de kilomètres de chez elle. Julie aussi a passé du temps dans les environs à guetter. A tenter de satisfaire ses penchants voyeuristes. Elle nous raconte les anecdotes qui lui reviennent en mémoire. Clémentine dit : << Nous avons peut-être eu affaire aux même mecs ! >>.

Clémentine évoque "Chipolata". Ce vieux type qui rôdait ici sur sa mobylette il y a encore trois ans. C'est ainsi que l'avait baptisé Estelle. Julie croit bien avoir fait sa rencontre il y a cinq ou six ans. << L'espèce de clodo qui draguait les jeunettes ! >> lance Julie. << Oui, c'est ça ! Avec une casquette vissée sur son crâne dégarni ! >> fait Clémentine. Il y a une camionnette qui vient se garer devant le bâtiment. C'est un employé communal qui en sort. Il doit avoir la quarantaine.

Il tire du matériel de la benne arrière. Une tondeuse. << Put-Hein, il va nous faire chier avec son bruit ! >> lance Clémentine. Nous quittons prestement les lieux. Le type est étonné de voir un homme d'âge mûr, accompagné de deux jeunes filles sortir des toilettes hommes. On le comprend. Nous prenons le sentier qui longe le canal. Nous rions de bon cœur en pensant aux expressions de l'employé communal. A l'ombre des acacias, derrière les fourrés, il y a des bancs tous les cinquante mètres.

Il y a juste deux dames âgées assises là-bas. Nous nous installons. Du sac à dos nous tirons les pommes, une des thermos d'eau fraîche. Nous dégustons en regardant les cygnes blancs qui évoluent sur l'eau. Un petit bateau bleu arrive doucement. Un léger bruit de moteur diesel. Il y a un jeune homme à la barre. Une dame plus âgée vautrée dans une chaise longue sous un parasol. << Celui-là, il va avoir du spectacle ! >> lance Clémentine qui se lève pour s'accroupir entre les bosquets.

Julie me fait : << Génial ! >>. Nous regardons. Le type tient la barre de son navire. Il découvre le show de Clémentine. Elle nous tourne le dos. Accroupie. Les cuisses largement écartées, face au bateau. Le visage penchée en avant, les cheveux qu'elle vient de dénouer pour l'occasion, elle porte ses lunettes de soleil. Noires. Son anonymat totalement préservé, Clémentine peut s'adonner à son jeu préféré. Elle ne lève pas la tête. Le plaisancier ralenti encore son allure. Il veut profiter du moment.

La dame qui est allongée sur sa chaise longue semble dormir. Parfait. Julie chuchote : << Regardez ! >>. Elle lève ses pieds pour les poser sur le bord du banc. Les cuisses écartées. J'hallucine tout autant que l'inconnu sur son bateau. Cette spontanéité soudaine a de quoi surprendre. Surtout que je découvre en même temps que le jeune homme que Julie ne porte pas de culotte ! C'est moi qui lance : << Génial ! >>. Julie, tout en observant la réaction du type, murmure : << Ça fait du bien d'aérer ! >>.

Notre marin d'eau douce bénéficie d'une vue parfaite sur les deux jeunes filles qui s'exhibent. Je me sens un peu con, assis au bout du banc. Le bateau disparaît derrière les bosquets pour continuer sa navigation. Clémentine vient nous rejoindre. Julie a repris une position naturelle. Je la félicite pour son audace. << Je suis à la bonne école avec Clémentine ! >> lance t-elle. Nous éclatons tous les trois de rire. Clémentine aussi félicite Julie pour son exhibe. << Même si je ne 'en doutais pas ! >> fait elle.

Il n'y a pas d'autres opportunités. Il faut songer à retourner à la voiture. Nous raccompagnons Julie. Elle nous rejoint vendredi après-midi. Rendez-vous à l'endroit habituel sur la piste cyclable à partir de 15 h. S'il fait beau évidemment. Un peu tristounette, Julie nous laisse pour aller à son travail de serveuse. Nous voilà sur nos vélos. Il faut pédaler contre un léger vent de Nord Est. Il est 19 h30 quand nous arrivons à la maison. Comme convenu, Estelle nous fait la surprise d'un repas tout prêt.

Elle me saute au cou. Elle aussi est vêtue d'une robe d'été légère. Elle me saisit la main pour la passer sous sa robe. Je découvre qu'il n'y a pas de culotte. Nous mangeons au jardin. C'est superbe de n'avoir qu'à mettre les pieds sous la table. Gratin de coquillettes avec filets de colin. De belles salades de tomates, de carottes. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges partagent leurs idées de jeux pour l'Ecosse. Nous racontons notre aventure de l'après-midi avec Julie.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver nues, dans la fraîcheur d'un canapé en cuir, à se faire lécher le minou...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1553 -



Un mercredi juste Clémentine et moi

Hier matin, mercredi, le chant des oiseaux, le bruit de la source qui nous réveille. Accompagnant encore la fin brusque fin de nos rêves, tout cela résonne au fond d'un bois profond et mystérieux. L'application "forêt" nous tire de nos sommeils. Estelle est restée serrée contre moi toute la nuit. Clémentine vient se blottir. Il est presque six heures, je suis entre mes deux anges. Estelle, d'un bond, empoignant ses vêtements de sport, se précipite vers la porte en s'écriant : << Pipi ! Vite ! >>.

Nous revêtons nos tenues de jogging avant d'aller aux toilettes à notre tour. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur nos folies de la soirée de hier. Estelle nous dit : << Avec le couvre feu qui ne commence qu'à 23 h, je vais rentrer pour 22 h30 jusqu'aux vacances. Pour être un peu plus avec papa et maman. Ça leurs fait plaisir de me revoir le matin ! >>.

Nous l'encourageons dans ce sens tout en mangeant de bon appétit. Il est 6 h25. Nous sortons. Estelle met ses fringues dans son auto. Ainsi elle pourra partir dès notre retour. Quelques mouvements d'échauffement dans l'agréable fraîcheur matinale. C'est parti pour le circuit de la rivière. Il est 7 h30 quand nous revenons. Des bisous. Estelle nous quitte jusqu'à demain soir. Nous montons prendre notre douche. Nous nous habillons très légèrement car la journée s'annonce chaude.

Pressés de sortir encore un peu nous redescendons à toute vitesse. Il est 7 h50. Nous en profitons pour installer, la nappe, les assiettes et les couvert sur la table du jardin. Nous pourrons y manger à midi. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il faut rentrer. C'est un peu frustrant. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant l'ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je commence ce matin la vingt septième toile destinée à ma saison d'été.

Je prépare les couleurs sur la palette tout en chantonnant doucement pour ne pas déranger. Le dessin préparatoire est déjà réalisé depuis février. La couche d'impression "terre de Sienne" est déjà appliquée. Je peins dans une sorte de sérénité mystique. Je n'ai nul besoin de ce tableau supplémentaire. C'est donc un luxe, une coquetterie, un pur exercice de style. Une scène de genre à trois personnages, en extérieur, dans l'esprit de Pieter de Hooch, maître hollandais du XVIIème.

La matinée passe dans cette saine ambiance de travail. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe des salades. Je l'aide car avec ces chaleurs, les crudités constitueront l'essentiel de notre repas. Je fais rissoler deux beaux dos de cabillaud avec de l'ail, de l'échalote, des champignons. Dans une autre poêle je concocte un coulis d'aubergine dans lequel je rajoute du Roquefort.

Nous sortons le tout sur un grand plateau pour nous installer au jardin. Là, à l'ombre du feuillage de notre cher noyer centenaire, nous mangeons de bon appétit. Il y a l'odeur de barbecue qui monte depuis chez les voisins. << Côtes de bœuf encore aujourd'hui ! >> lance Clémentine. Les Bertrand reçoivent parfois des amis retraités. Mais Mr Bertrand ne lésine pas à préparer des grillades pour sa femme et sa belle-mère. A trois cent mètres plus bas, depuis leur propriété, les odeurs montent jusqu'ici.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine évoque nos vacances prochaines. Elle fait également le programme qui concerne la Galerie d'Art. Nous donnerons les clefs à Julie ce vendredi. Elle veut absolument aller s'imprégner du lieu avant de s'en occuper durant deux mois. Tout nettoyer. Cette année encore nous n'aurons qu'à nous occuper des invitations pour le vernissage. C'est le territoire de Clémentine. Ses talents d'organisatrice trouvent là toutes leurs mesures.

Nous débarrassons pour tout rentrer. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de retourner au dehors, nous redescendons très vite. Il n'est que 13 h15. Clémentine m'entraîne vers la rivière. Ses eaux limpides regorgent de poissons. Ce qui participe d'un écosystème se suffisant à lui-même. Cette partie de notre propriété accueille, canards, poules d'eau, colverts, cygnes, ragondins, castors et un couple de hérons cendrés. Tout ce petit monde a colonisé cet espace.

Nous flânons au bort de l'eau. Clémentine glisse sa main dans ma braguette béante. Mon short large, en toile fine, permet un bon accès à ma bite et à mes couilles. Elle s'accroupit pour m'en extraire le Zob. Elle dépose plein de bisous dessus. << Toi, je vais bien m'occuper de ton cas en Ecosse ! >> dit elle avant de le prendre en bouche. Je caresse sa tête délicatement. Clémentine me suce doucement. J'aime voir ses joues creusées par l'effort de succion. Comme elle est belle !

Bien évidemment, ce n'est qu'une petite fellation de circonstance. Rien de réellement sérieux. C'est ludique. J'aide Clémentine à se redresser. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Un peu de foutre en filaments glaireux. Je glisse ma main sous sa robe d'été mauve. Le contact du fin coton de sa culotte est un vrai plaisir. C'est lisse. C'est doux. Je peux jouer avec la masse de poils qui dépasse de partout. Je passe mon doigts entre les lèvres charnues de son sexe. Sa vulve est chaude. Accueillante.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à retourner. Clémentine avait la possibilité ce matin de se rendre à son université. Mais avec nombre d'autres étudiants, elle a préféré rester à la maison. Pas de risques inutiles. Et cela n'était pas vraiment nécessaire. Par contre, il faudra s'y rendre mercredi prochain, 23 juin, à 8 h. Masques sanitaires et distanciations. Tout sera organisé en respectant les gestes barrières. Nous voilà dans l'atelier. C'est un peu frustrant. On serait mieux dehors.

Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. L'atelier est orienté Nord, Nord Est. Je bénéficie ainsi d'une lumière maximale durant la plus grande partie de la journée. De plus, il n' y a jamais de fluctuation de luminosité car le soleil n'entre jamais ici. Ce qui permet, même durant les grosses chaleurs, d'être dans une fraîcheur toute relative mais tellement agréable. Les baies vitrées ouvertes sur la nature, sur la campagne.

Cet après-midi, les conversations en ligne avec ses collègues étudiants, permettent à Clémentine d'extérioriser ses ressentis quand au télé travail qui dure depuis plus d'un an. Je n'entends qu'elle. Mais je peux aisément recomposer le sens des phrases. J'aime l'entendre parler. Je peins donc enjoué et serein. Il est 16 h45. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est 17 h. Clémentine vient me rejoindre. Sa tablette à la main, un stylo, son carnet de notes, nous sortons au jardin. Assis sur la balancelle.

Clémentine a encore du travail. La préparation des deux mémoires à présenter fin juin l'accapare. Je suis assis à ses côtés à relire un des ouvrages de Salvador Dali "Les 50 secrets magiques". Ce génie, véritable phare du XXème siècle, a laissé une œuvre considérable encore injustement appréciée. Ses écrits sont tout aussi savoureux que sa peinture. A chaque fois que Clémentine me demande : << Tu lis quoi ? >>, je parcours à voix haute une des phrases plus pertinente que les autres.

Les fulgurances de la pensée de Salvador Dali offrent de savoureux moments de lectures. Ce qui permet à Clémentine quelques instants récréatifs. Il est 18 h30. << Ras-le-bol ! >> s'écrie t-elle en se levant d'un bond. Tout en sautillant elle me tend la main. Nous descendons vers la rivière. Toute cette journée à flirté avec la canicule. Il fait encore très chaud. Sur le sentier, Clémentine glisse sa main dans ma braguette pour en extraire le locataire. Je bande mou, flasque et plutôt moite.

Nous nous embrassons. Assis au bord du sentier, les pieds dans l'eau froide, c'est un autre enchantement. Clémentine m'entretient de ses tracas. Même si elle sait parfaitement que l'épreuve de ses deux mémoires ne sont que péripéties supplémentaires, il y a une appréhension bien légitime. Je la rassure en disant : << C'est une autre victoire qui t'attend ! Ne t'inquiète pas. Tu travailles en conséquence. C'est déjà "gagné" ! >>. Clémentine pose sa tête sur mon épaule en soupirant profondément.

Elle me tient la queue. J'ai ma main entre ses cuisses. C'est un stimuli bien sympathique au bord de l'eau, sous les frondaisons, à l'ombre des feuillages. Le gazouillis incessant des oiseaux rajoute encore au climat bucolique de cette fin de journée. La faim commence à se faire sentir. Nous remontons le chemin. Il est convenu de manger dehors. Nous dressons la table du jardin. Clémentine s'occupe des salades. Sur le barbecue électrique dans la véranda, je fais griller des queues de langoustines.

Comme je ne les ai pas fait décongeler, il y a plein de flotte qui s'évapore avec un bruit de bulles. Plein de vapeur. Je concocte une mayonnaise. Huile de noix, œuf. Je remplace la moutarde par de la purée d'amande non sucrée. J'y rajoute de l'ail pressé, du paprika doux, une pointe de safran, du poivre noir et des graines de sésame grillé. Nous emmenons le tout sur le grand plateau. Il faut mettre les deux lampes mosquito à cause des insectes, des moustiques et autres petits coquins qui s'invitent sans demander.

Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur les études de Clémentine. Je la rassure toujours de la façon la plus ultime en disant : << Si tu rates un examen, tu le repasses la fois d'après. Ici, tu peux consacrer ta vie entière à faire des études. De quoi aurais-tu besoin ? Tu es à l'abri de tout ! >>. Clémentine, s'asseyant sur mes genoux à la fin du repas me répond : << C'est justement parce que je n'ai plus à m'inquiéter depuis plus de quatre ans, que je suis hyper motivée ! >>.

J'aime ce caractère de "vainqueur"? De "gagnante". Je sais bien que Clémentine va toujours au bout de tout ce qu'elle entreprend. L'obtention de son Doctorat est la cible à atteindre. Son fonctionnement mental me laisse admiratif. Elle se voit au sommet de tout ce qu'elle entreprend. << J'ai déjà gagné bien avant la victoire parce que que c'est l'image que je me fais de moi-même avant toute épreuve ! >> précise t-elle souvent. Ce qui n'empêche évidemment pas les appréhensions du combat.

Nous traînons à table longuement. Il est 20 h30 quand nous débarrassons pour tout rentrer. Faire la vaisselle. Comme pour exorciser les tracas de ses études, Clémentine est très caressante. Je la soulève comme une jeune mariée pour l'emmener au dehors. Je traverse le jardin. Nous entrons dans la maison d'amis. Il y fait bien agréable. A condition de rester en bas. C'est sur un des deux canapés que je dépose Clémentine. Elle est surprise et ravie de mon initiative.

Je déboutonne les onze boutons à l'avant de sa robe. A chacun je dis : << Je t'aime. Un peu. Beaucoup. Passionnément ! >>. Il me reste à la libérer de ce bout de tissu devenu inutile. De lui retirer sa culotte. Pendant qu'elle se vautre dans le canapé en se touchant, je retire mes vêtements. A genoux sur un des coussins, ma tête entre ses cuisses, je lui fais oublier les tourments de ses études. En gémissant, en me guidant par les oreilles, Clémentine se laisse totalement emporter par le plaisir.

Je me régale de ses épanchements. Je savoure les mystères de son clitoris géant, des plis et des replis des lèvres charnues de son sexe. Clémentine m'attire doucement sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Nous adorons alors rester immobiles à nous confier nos secrets, nos fantasmes et à revenir sur nos aventures passées. La folie des situations que Clémentine a le désir de créer durant les vacances à venir. Je lui offre un orgasme qui la fait hurler de plaisir. Nous traversons le jardin dans la nuit.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se changer les idées avec de délicieux coups de langues, de délicieuses succions jouissives...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1554 -



Estelle vient nous rejoindre en fin d'après-midi

Hier matin, jeudi, nous sommes réveillés par cette agréable application "forêt" dont je vante les mérite presque tous les jours. Le chant de ces mystérieux oiseaux. Le bruit de cette mystérieuse source. Tout cela résonne autant dans la réalité que dans nos rêves. Il est 5 h55. Nous nous étirons en gémissant. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant sa nuit.

Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Il y a le claquement sec des premières tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre soirée romantique de hier. Nous mangeons de bon appétit en parlant de toutes celles à venir. Il est 6 h25. Nous sortons dans l'agréable fraîcheur matinale. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Un de nos parcours préférés, celui de la rivière. Il est 7 h30 quand nous revenons pour prendre notre douche. Nous nous habillons légers.

Clémentine porte la même robe d'été que hier. Je porte un ample short kaki, une chemisette hawaïenne. Pressés de sortir encore un peu, nous redescendons à toute vitesse. Il est presque 7 h50. Juste le temps de mettre les assiettes, les couverts sur la nappe au jardin. En prévision du repas de midi. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous rentrons. Je laisse Clémentine aller à l'atelier. Je descends à la cave, au cellier. Du congélateur, je tire un gros sachet de queues de crevettes. Deux pavés de saumon.

Je rejoins Clémentine. Elle est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je lui fais un bisou dans la nuque, ses cheveux relevés en chignon. Je chuchote : << Je vous aime mademoiselle ! >>. Je m'installe devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette vingt septième toile destinée à ma saison d'été, m'accapare rapidement et totalement. Je peins dans une sorte d'enthousiasme débordant. Je chantonne tout doucement pour ne pas déranger.

La matinée se déroule dans un calme serein. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe des salades en me racontant sa matinée. Je fais rissoler les queues de crevettes à la poêle avec les deux pavés de saumon. Je prépare une pâte à crêpe. Ce sera pour les beignets de crevettes du repas de ce soir. J'épluche six grosses pommes de terre. Coupées en fines tranches, je les fais revenir à la poêle. Des chips.

Nous sortons les salades, les pavés de saumon et les patates sur un grand plateau. Les queues de crevettes reposent sous un couvercle, dans la poêle. La pâte à crêpe repose sous un linge dans un saladier. Il fait très chaud. Nous mangeons de bon appétit sous le généreux feuillage du noyer séculaire. Avec cette chaleur, il n'y a quasiment pas d'insectes pour venir nous taquiner. Nous évoquons le très vague programme du week-end à venir. En souhaitant qu'il soit chaud et ensoleillé.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur ses cours en ligne, ce télé travail qui dure depuis mars de l'année dernière. << C'est à cause des élections régionales ce dimanche. En prévision de la raclée qu'ils vont se prendre, qu'ils lèvent les restrictions. Dès les élections passées, pour se venger de la défaite, ils vont revenir avec le variant Delta, le variant martien. Nous préparer à l'enfermement de l'automne ! J'en suis sûre ! >> lance Clémentine.

Je ne sais quoi dire. Clémentine se trompe rarement. Nous débarrassons pour tout rentrer. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de profiter de chaque instant de liberté de cette magnifique journée, nous dévalons les escaliers pour aller au dehors. Clémentine m'entraîne par la main. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous prenons le sentier de gauche. Nous flânons à l'ombre des acacias. Clémentine glisse sa main dans ma braguette béante pour m'en extraire le Zob.

Ma bite dans la main, elle me fait plein de bisous en murmurant : << Je me sens hyper salope pour les vacances à venir. Un peu comme un désir de revanche ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je glisse ma main sous sa robe, entre ses cuisses. Je ne me lasse pas de la douceur du coton lisse de sa culotte. La bosse que fait son clitoris géant est encore une invitation au plaisir. Dès que je le palpe délicatement entre le pouce et l'index, Clémentine se dresse sur la pointe des pieds en gémissant de plaisir.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à retourner. En quittant le sentier pour monter le chemin, nous tombons sur monsieur Bertrand. Il va nourrir les canards. J'ai remballé juste à temps. Nous bavardons un peu. Notre voisin a des amis à la maison pour quelques jours. Des retraités également. Il nous raconte quelques anecdotes amusantes. Nous le saluons pour rentrer. Nous voilà dans l'atelier. J'ai ouvert les deux grandes baies vitrées. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles.

Je suis installé devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Cet après-midi encore les cours en ligne semblent animés. J'entends Clémentine parler avec son groupe d'étudiants. Son professeur. Je veux voir à quoi il ressemble aujourd'hui. Je me lève. Je rejoins Clémentine. Debout derrière elle, mes mains sur ses épaules, je regarde l'écran du MacBokk Pro. C'est un des professeurs habituels. Vêtu d'une chemisette blanche, d'un pantalon de toile beige légère.

Je retourne à mon travail. Il est 16 h45. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. Comme hier, sa tablette, son calepin et un stylo à la main, elle m'entraine au dehors. Nous voilà installés dans la balancelle. Je reprends la lecture des "50 secrets magiques" de Salvador Dali. Clémentine prend des notes. En en met d'autres au propre. Parfois elle me fait la lecture à haute voix. Parfois c'est moi lorsqu'elle me demande : << Tu lis quoi ? >>. Il est 18 h15.

Voilà la voiture d'entreprise qui descend lentement le chemin pour se garer devant le garage. Estelle en sort pour se précipiter vers nous. Des bisous. Je lui fais une place à ma gauche. Je suis entre mes deux anges qui comparent leurs travaux. L'échéance de ces mémoires à rendre mardi 29 juin focalise toute leurs attentions. Ce qui n'empêche nullement Estelle de saisir ma bite en lâchant sa tablette d'une main. << Ce soir, je rentre pour 22 h30. Ça va me faire tout drôle de vous laisser ! >> dit elle.

<< C'est bien. Comme ça tes parents peuvent prendre le petit déjeuner avec toi ! Tu les as un peu négligé ces derniers mois ! >> lance Clémentine. << C'est à cause de ce couvre feu ! >> répond Estelle. Nous nous levons. Les filles abandonnent leurs tablettes, leurs calepins. Elles m'entraînent vers la rivière. Nous flânons encore un peu. Il fait encore très chaud. Même si le ciel s'assombrit au dessus de l'horizon. << Un bon orage ferait du bien ! >> dit Estelle sans cesser de me tenir fermement par la queue.

Elle aussi porte une de ses robes d'été, légère et douce. Je glisse mes mains sous les robes. Je caresse les culottes à la douceur enivrante. Je joue avec les poils qui dépassent de partout. Il commence à faire faim. Nous remontons doucement. Estelle dresse la table du jardin. Clémentine prépare les salades. Je fais chauffer l'huile de friture. Je trempe chaque queue de crevette dans la pâte à crêpe avant de la plonger dans l'huile bouillante. Je les laisse flotter quelques minutes.

C'est Estelle qui les récupère avec l'écumoire. << J'aime aller à la pêche à la crevette ! >> dit elle en me faisant des bisous. Je la tiens par les hanches, debout derrière elle, pour la regarder faire. Nous sortons le tout sur le grand plateau. Ce soir, il faut les deux lampes mosquitos. Les moustiques aussi ont faim. Nous savourons ce repas délicieux. Nous mangeons de bon appétit tout en riant beaucoup. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges en arrivent au programme du week-end.

<< Jamais je n'ai été aussi pressée d'être vendredi, midi ! Avec ce boulot et cette tension permanente, je suis épuisée ! >> fait Estelle. << Pareille. Ça use ! J'attends les vacances ! >> dit Clémentine. Nous débarrassons pour tout rentrer. La vaisselle. Je rappelle aux filles que j'ai la meilleure thérapie qui existe pour reposer leurs esprits préoccupés. Rien de tel qu'un bon cunnilingus pour se détendre. << Docteur Julien, vos méthodes de traitements sont les plus adaptées à mon cas ! >> lance Estelle.

Il est 20 h45. Nous allons dans la fraîcheur du salon. Rien de plus agréable que de s'installer, culs nus, dans les profondeurs des cuirs froids d'un canapé. Il fait 22° dans la grande pièce. C'est parfait. A genoux sur les épais coussins, je commence par le croupion d'Estelle. Clémentine se masturbe en attendant son tour. De la chatte de fille, enserrée dans une culotte de coton, toute une journée de canicule, offre les plus suaves délicatesses qu'un gourmet peut désirer. C'est onctueux, ça sent très fort.

Je me régale. Je n'oublie aucun petit relief. Même le plus intime que je fouille du bout de la langue. Je suce le clitoris d'Estelle qui se contorsionne en cherchant le meilleur angle à me présenter. Je passe à Clémentine. Les lèvres charnues et pulpeuses de sa vulve sont extraordinairement riches en miasmes. De quoi me régaler. Je suce son clitoris géant avec délectation car ses peaux cachent bien des trésors. De cet onctueux fromage de terroir digne des plus nobles pâturages. AOC.

Ce soir, toutes les deux n'ont aucune autres demandes. Je passe de l'une à l'autre sans cesser mes gloutonneries gourmandes. Estelle s'offre un orgasme des familles. De petits cris d'animal blessé accompagnent ses derniers spasmes. Couchée sur le côté, les mains entre ses cuisses serrées, comme si elle avait mal, Estelle reprend ses esprits. J'offre à Clémentine un orgasme de derrière les fagots. En ayant pris la précaution préalable de disposer la cuvette en plastique toujours placée sous le guéridon.

C'est en se lâchant, dans un jet incontrôlable, que Clémentine pousse de petits cris avant de se recroqueviller pour jouir en hurlant. Estelle regarde toujours avec de grands yeux les extraordinaires orgasmes pisseux de Clémentine. Elles sont toutes les deux vautrées dans le canapé. Rouges, en sueur. Je suis debout, je leurs dépose plein de bisous sur le front. Il est 22 h. Estelle se rhabille péniblement. Nous la raccompagnons dans la nuit jusqu'à sa voiture. << Ce week-end je me venge ! >> me fait Estelle.

Nous nous dépêchons de rentrer. Nos rituels pisseux. Nous nous lavons les dents. Clémentine me suce encore un peu. Avec l'excitation elle aussi a de quoi se régaler. Par contre, en attirant sa tête contre mon épaule, je murmure : << Viens, il faut dormir. Tu continues demain ! >>. Clémentine sait que je n'éprouve jamais aucune frustration à m'endormir sans orgasme. Bien au contraire, je m'endors encore plus excité. J'aime entendre la respiration de Clémentine changer lorsque le sommeil la gagne.

Bonne soirée à toutes les coquines à qui la thérapie du cunnilingus permet de retrouver le calme, la sérénité et la douceur du sommeil...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1555 -



Le week-end commence enfin ce vendredi à midi

Hier matin, vendredi, du plus profond de cette mystérieuse forêt, résonnent des chants d'oiseaux, le bruit d'une source. Pour la dernière fois de la semaine nous sommes réveillés par cette adorable application. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. Quelques papouilles. Elle m'entraîne par la main, tout en faisant des sauts de ballerine, vers les toilettes. Le vendredi, Clémentine termine à midi. Elle attend ce jour avec impatience. Nos rituels pisseux se déroule dans sa douce euphorie.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, tout en déconnant, nous dévalons les escaliers pour aller dans la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. L'absence d'Estelle, un vendredi matin, nous fait tout drôle. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en évoquant la semaine qui se termine par un week-end que nous désirons intense. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme de cette nouvelle journée.

Il est 6 h25. Nous sortons. Il fait déjà chaud. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Notre choix se porte sur le circuit de la forêt. << Pour rester dans le thème de l'application ! >> lance Clémentine, espiègle et facétieuse. Il est 7 h30 quand nous sommes de retour après une heure d'une superbe running. Nous prenons notre douche. Clémentine porte une de ses robes d'été. Bleue claire, boutonnée sur le devant. Je suis en bermuda et en chemisette hawaïenne. Déguisé en "blaireau". Nous rions.

Pressés d'aller mettre les assiettes et les couverts sur la nappe de la table dans le jardin, nous redescendons à toute vitesse. Il est presque 7 h50. Notre table est dressée pour ce midi. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps de rentrer. << Tu n'imagines pas comme j'en ai marre ! >> lance Clémentine en s'asseyant devant son ordinateur. Elle met les écouteurs sur ses oreilles. Un dernier bisou, je la laisse à son télé travail. Je suis installé devant mon chevalet.

Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette vingt septième toile destinée à ma saison d'été est source de joies. Je peins animé de cette douce euphorie communiquée par la fille que j'aime. La matinée passe rapidement. Il est 11 h45 quand je nettoie la palette, les pinceaux. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle m'entraîne dans une sorte de danse tribale où nous imitons des cris d'animaux n'existant pas. En tournant, en sautant, en faisant les bonobos.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe des salades en me racontant sa matinée. Je fais griller les queues de langoustes sur le barbecue électrique de la véranda. En accompagnement je prépare un coulis d'aubergine et de courgette. C'est rapide. Nous mettons tout sur le grand plateau pour l'emmener au dehors. Il fait presque caniculaire. C'est toutefois à l'ombre de notre cher noyer séculaire que nous prenons notre repas en mangeant de bon appétit. Le gazouillis des oiseaux est incessant.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me fait part de son désir partir à bicyclette. De ne rentrer qu'à la tombée de la nuit. Pourquoi ne pas prendre notre repas du soir au restaurant du port de plaisance ? Ni une, ni deux, elle téléphone pour réserver une table. Quelle bonne idée. Nous débarrassons pour tout rentrer. Nous faisons notre vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain.

Nous nous changeons. Clémentine porte une de ses jupettes tennis carmin. Un T-shirt blanc. Je porte un short sport de coton fin, un T-shirt blanc. Nous dévalons les escaliers en emportant deux autre T-shirts blancs en prévision de ce soir. Ils rejoignent dans un sachet qui les préservent, les pommes, les barres de céréales que nous glissons dans le petit sac à dos. Nous sortons dans la fournaise. Je vérifie le gonflage des pneus de nos vélos. 5,5 bars derrière et devant. Chaînes lubrifiées.

Il est 13 H30. C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. J'ouvre le cadenas du portillon de l'étroite passerelle. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Nous l'aurons probablement de face ce soir au retour. Avec cette chaleur, nous ne croisons que quelques cyclistes aussi téméraires et amoureux de l'escapade que nous. Rien ne procure un plus grand sentiment de liberté que la pratique de la bicyclette. De se déplacer contre le vent est même agréablement rafraîchissant.

Nous ne nous arrêtons pas au cabanon de l'écluse. Il y a deux gendarmes à l'ombre de la maison en bois. Il y a de plus en plus de contrôles inopinés pour verbaliser les cinglés qui font du scooter sur la piste cyclable. La ville est voisine ici de quelques kilomètres. Les D'jeunes désœuvrés viennent donc de plus en plus souvent y faire des "rodéos" sauvages. Les plaintes des pratiquants abondent et les "amandes" salées sont dissuasives. Sans pitié. Nous avons rendez-vous avec Julie à l'endroit habituel.

Il n'est que 14 h50 et Julie est déjà là, à l'ombre, assise sur une borne à côté de son vélo. Elle est toute contente et nous fait déjà des coucous de loin. Sa voiture garée là-bas, à l'ombre des acacias. Il y a si peu de monde que nous pouvons rouler de front en bavardant. Nous avons ramené les clefs de la galerie d'Art. Nous sommes émus par l'intense émotion qu'éprouve Julie en les serrant contre son cœur. << J'ai tant attendu ce moment ! >> dit elle dans un profond soupir. Nous pédalons de concert.

Il n'y a plus qu'une dizaine de kilomètres jusqu'au port où nous arrivons pour 15 h20. Peu d'animation. Les joueurs de boules sous leurs casquettes. Quelques touristes qui flânent. Des plaisanciers assis sous des parasols sur le pont de leurs bateaux. Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie du port. C'est à nouveau la jeune étudiante qui tient le rôle du "capitaine". Cette fois, elle est seule. Nous bavardons un peu. La présence de Clémentine et de Julie, du même âge, facilite toujours les contacts.

Sophie a 22 ans. Elle est étudiante en sociologie. Elle va exercer le job de "capitaine" du port jusqu'à la rentrée de septembre. Son dernier été dans la région car dès la rentrée elle va à Paris, science po. Ce seront des jobs d'été dans la capitale jusqu'à l'obtention de ses diplômes. Nous la saluons. Nous retournons aux vélos. Clémentine retire discrètement sa culotte. Julie lui dit : << Je n'aurais jamais le courage si tu ne m'aides pas ! >>. Nous en rions de bon cœur. < Essaie ! >> répond Clémentine.

Julie, en jupette sport. Retire alors sa culotte qu'elle fourre dans la pochette "banane" fixée autour de la taille. Clémentine fourre la sienne dans le petit sac à dos que je porte. Elle en retire nos masques sanitaires. Pour entrer dans les magasins, les masques restent obligatoires. Nous traversons la route pour entrer dans la supérette. Il y fait agréablement frais. Presque personne. Nous bavardons un peu avec la gérante. Elle a toujours mille anecdotes à nous raconter. Les festivités qui se préparent sur le port, pour cet été.

Elle émet la même hypothèse que Clémentine. << Tout cela ne durera que l'espace d'un été, ensuite ils nous imposeront de nouvelles contraintes, de nouvelles restrictions. Un peuple libre leurs fait bien trop peur. Ils préparent d'ailleurs déjà les opinions avec une probable "quatrième vague" et le fameux variant "Delta" ! On les voit venir ! >> lance la dame quelques peu courroucée. << Mon père pense la même chose ! >> fait Julie. Nous allons aux armoires congélateurs, choisir nos bacs de crèmes glacées.

Il y a à nouveau notre marque et nos parfums préférés. Haagen Dazs, pralin, pistache et nougat. Nous voilà assis à l'ombre des platanes, sur un des bancs. Tout en savourant nos glaces nous observons les cinq passionnés de pétanque. C'est toujours le même joueur qui mâte vers chez nous. Il reconnaît certainement cette grande jeune fille qui lui montre sa chatte à chaque fois qu'elle est assise là. Clémentine porte ses lunettes noires. Cachée derrière son anonymat, elle peut déjà s'amuser un peu.

Elle encourage Julie à l'imiter. Ma présence sécurisante et rassurante permet toutes les audaces. A condition bien évidemment de rester d'une grande discrétion. D'œuvrer en secret. Clémentine pose un de ses pieds sur le bord du banc. Impossible de ne pas voir son sexe. C'est exclusivement pour le même voyeur. Il porte d'ailleurs toujours la même casquette bleue nuit aux lettres d'or NY. Nous portons tous les trois nos lunettes de soleil. Ce qui nous permet de regarder où nous voulons.

Julie n'ose pas relever sa jambe. Clémentine nous sépare. Je me penche pour dire : << Tu es à la bonne école. De voyeuse tu vas pouvoir prendre des cours d'exhibitionnisme approfondis. Nous en rions de bon cœur. << On change de crémerie ? >> propose Clémentine. Nous jetons nos pots de glaces vides dans une des poubelles. Clémentine nous entraîne vars les bâtiments des sanitaires. Avec la saison de la plaisance, ils sont ouverts mais exclusivement réservés aux plaisanciers. Nous aimons la transgression.

Nous entrons dans les toilettes hommes. Personne. Une forte odeur de chlore. Clémentine se positionne devant un des miroirs au-dessus des lavabos. Elle relève sa jupette. Quelle merveilleuse touffe de poils. Julie se met devant l'autre miroir pour faire pareil. Sa touffe du style "ticket de métro" est beaucoup plus timide. Un peu ridicule. << Tu devrais te laisser pousser la touffe à la "sauvage". Beaucoup de mecs apprécient le poil ! >> lance Clémentine. Julie répond : << Je vais la laisser comme la tienne ! >>.

Je suis debout derrière les deux coquines. Je sort ma bite pour l'agiter en disant : << Je n'ai pas ce soucis pileux ! >>. En effet je ne suis pas très poilu. Je ne me rase par exemple que tous les deux trois jours. Alors que Clémentine entretient soigneusement sa pilosité naturelle et abondante. J'adore. Sa broussaille monte en pointe jusqu'au nombril. Sa raie du cul est une vraie forêt. Sous les bras c'est le bois de Brocéliande. Julie lance : << Je vais tout laisser. Je ne m'emmerderai plus ! >>.

Nous éclatons de rire. C'est dans cette situation et dans ces préoccupations que nous nous faisons surprendre. C'est un plaisancier. La quarantaine grisonnante, robuste et jovial. << Eh ben, on se compare ! >> lance le bougre. Je me sens comme le dernier des cons. Les filles relâchent leurs jupettes qui retombent. Moi je remballe à toute vitesse. Le type doit avoir ma taille. Il me fait un clin d'œil avant d'entrer dans le dernier cabinet. Nous filons à l'anglaise sans demander notre reste.

Pliés de rire nous contournons les bâtiments pour retourner sur le quai. Nous admirons les manœuvres virtuoses de deux bateaux qui se croisent. Julie reprend son service du soir à 18 h30. Ce soir, elle va parcourir les dix kilomètres du retour jusqu'à son auto toute seule ? Non ! Nous sentons l'appréhension. Je propose donc de faire la route avec elle. Quitte à revenir après pour notre repas à la terrasse du restaurant. << Comme vous êtes gentils. Je suis parfois trouillarde ! >> lance Julie en remettant sa culotte.

Nous reprenons la piste cyclable. Il n'est que 17 h30. Le vent nous pousse. Facile. Nous laissons Julie à son auto. Je démonte la roue avant de son vélo pour le mettre dans le coffre de sa Clio rouge. Nous lui souhaitons bon courage. Rendez-vous demain après-midi ici, pour une virée vélo. << Sans culotte ! >> lance Clémentine. Rires. Un dernier coucou. Nous retournons vers le port. Il est 18 h45. Il commence à faire faim. C'est surtout la perspective de mettre les pieds sous une table et de nous faire servir.

Notre table nous attend d'ailleurs sous une des trois pergolas. La distanciation est respectée. Il y a deux mètres entre chaque table. La serveuse, probablement de l'âge de Julie, sans doute étudiante aussi, nous apporte la carte. C'est devant deux énormes plateaux de fruits de mer que nous passons la soirée. Il y a du monde. Plus une seule place n'est disponible. Les gens qui ne mangent plus ou pas encore, portent leurs masques sanitaires. Clémentine ne porte toujours pas sa culotte.

Elle cherche un "plan". Mais c'est très risqué de s'offrir une exhibe de qualité avec tous ces gens. Quelques tentatives aux toilettes restent infructueuses. Pas de réelles possibilités. Trop de monde. << Je me vengerai demain et surtout en Ecosse ! >> lance Clémentine. Nous attirons bien évidemment quelques regards. Notre différence d'âge. Non, je ne suis pas le papa de cette sublime jeune fille. Clémentine me tient par la main pour bien le signifier aux curieux. Cela nous amuse toujours beaucoup.

Il est 21 h. Nous sommes équipés de nos lampes frontales. Nos vélos sont porteurs de lumières à l'avant et à l arrière. Nous prenons le chemin du retour. Nous arrivons à la nuit. Il est presque 22 h20. C'est absolument génial. La fraîcheur de la nuit est une caresse supplémentaire. Nos rituels pisseux. Le lavage des dents. Il est 22 h45. Nous voilà au lit, fourbus mais tellement heureux. Nous tentons bien encore quelques petits "trucs" mais sans réelle conviction. Clémentine s'endort dans mes bras.

Bonne virée vélo à toutes les coquines qui aime retirer leur culotte une fois arrivée à destination. La touffe à l'air pour aérer...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1556 -



Une virée à bicyclette avec une soirée bucolique

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand nous nous réveillons en même temps. Clémentine me chevauche en frottant son sexe contre le mien. L'envie de pisser est toujours rapidement très contraignante. Nous ne sommes pas du matin. Aussi, c'est en riant que nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de jogging, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre aventure de hier après-midi, au port de plaisance. La présence de Julie. Ses attitudes qui nous étonnent et nous ravissent. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de la journée. Il est 8 h30. Nous sortons. Il fait déjà chaud. Le thermomètre extérieur indique 24°. Quelques mouvement d'échauffement. C'est parti pour un running d'une heure. Cette fois, c'est le circuit de la forêt. Nous laissons le portail ouvert.

Julie a insisté pour venir faire le ménage pour neuf heures ce matin. Un autre prétexte pour être avec nous. C'est tellement adorable. Il est 9 h30 quand nous revenons à la maison. La Clio rouge de Julie est garée devant la maison d'amis. Nous rentrons. Le bruit de l'aspirateur nous parvient de l'étage déjà au bas de l'escalier. Nous montons. Julie nous accueille avec un immense sourire. Elle est en robe d'été. Des bises. Nous ne parlons pas beaucoup. Nous allons immédiatement prendre notre douche.

Vêtus légers, nous descendons pour aller recevoir les livraisons. Il fait vraiment chaud. 26° et il n'est que 10 h du matin. Voilà la première camionnette. C'est la même jeune femme. Devenue beaucoup plus souriante au fil des mois. Nous récupérons nos deux cageots. L'un contient nos fruits et nos légumes. L'autre contient nos produits frais. Fromages, yaourts, beurre, petits pots de crème fraîche, les œufs. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la jeune femme en la remerciant.

Voilà la camionnette de la boulangère. Madame Marthe et ses petites histoires, ses bons mots et son humour. Nous récupérons nos deux grosses miches de pain complet et bio. Nos deux pâtes feuilletées, notre brioche au pudding. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la dame qui repart pour d'autres livraisons. Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Dans le cellier nous rangeons les fruits et les légumes sur les étagères. Une miche et les pâtes feuilletées dans le congélateur.

J'en retire un paquet de moules, de haricots verts et de petits pois. Nous remontons pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. La cuisine est nettoyée et sent bon les huiles essentielles de magnolia. Julie est entrain de passer la serpillère sur les carrelages des sols. Je vais au salon. Dans la petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50 euros. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois messages. Ma famille en Ecosse nous attend. Ils sont impatients de nous recevoir.

Il y a un courriel de Juliette qui nous invite à manger mercredi prochain. Depuis plusieurs mois il faut sans cesse différer cette soirée. Là aussi, ce sont de belles réjouissances qui s'annoncent. Il est 11 h. Ça sent bon dans toute la maison. Julie est d'une efficacité redoutable. Nous la rejoignons dans le jardin où elle est entrain de suspendre nos draps et les taies d'oreillers. << Cet après-midi, je vais à la galerie. Je vais aller nettoyer, m'inspirer du lieu ! >> nous lance t-elle toute ravie.

<< Tu ne viens pas faire du vélo avec nous ? >> demande Clémentine. << Oh je préfère m'imprégner de l'ambiance de la galerie d'Art. J'ai tant attendu ce moment ! Vous m'en voulez ? >>. Je la rassure. Même si nous aimons sa présence avec nous, nous comprenons aisément son état d'esprit. Julie est beaucoup moins sportive que nous. Son corps frêle et fragile ne demande pas à être sollicité par un incessant besoin d'activité. Nous l'accompagnons jusqu'à la buanderie, à la cave.

Julie a soudain un de ses élans généreux. De tout son être. Elle nous prend les mains pour nous dire : << Vous allez beaucoup me manquer durant ces deux mois. Mais je penserai à vous tout le temps en tenant la galerie d'Art ! >>. Clémentine lui dit : << Tu auras de nos nouvelles le plus souvent possible. Nous aussi nous aurons une pensée pour toi chaque jour ! >>. Nous remontons. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Elle prend son service au restaurant à 11 h30.

Je lui tends l'enveloppe jaune. Des bises. C'est dur de se séparer. Julie revient lundi soir pour livrer nos repas et manger avec nous. Un dernier coucou. Nous la regardons s'en aller. << Regarde ! >> me fait Clémentine. Julie a poussé ses attentions jusqu'à dresser la table dans le jardin. Clémentine ne peut s'empêcher de s'écrier : << Mais comment diable fait elle pour assurer partout avec tant d'efficacité ! >>. C'est vrai que cela laisse pantois. C'est une fille démerde et pleine d'initiatives.

Nous rentrons. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour les moules. Elles ne sont même pas décongelées quand je jette les deux kilos dans l'eau bouillante. Dans le wok, je fais chauffer les haricots verts, les petits pois pas décongelés non plus. C'est samedi. Ce sera bon quand même ! Nous sortons le tout sur un grand plateau. Nous mangeons de bon appétit sous l'ombre du noyer centenaire. Nous trainons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur nos aventures de hier.

Il est 13 h. La chaleur est devenue fournaise. Nous débarrassons pour tout rentrer. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. << Coucou ! >>. C'est la voix d'Estelle qui monte les escaliers. Elle est déjà en tenue vélo. C'est rare mais aujourd'hui elle porte une jupette tennis kaki, un T-shirt crème. Elle nous fait la bise. Elle me saute au cou en disant : << Racontez-moi vos cochonneries de hier, sans moi ! >>. Nous rions de bon cœur. Je la soulève pour la faire tournoyer.

Ses jambes enserrent ma taille. Elle me couvre le visage de bisous. J'administre le même traitement à Clémentine. Nous allons dans la chambre pour nous changer. Clémentine porte une jupette tennis ocre, un T-shirt fuchsia clair. Je suis en short de coton kaki, en T-shirt jaune pâle. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dehors, j'aide Estelle à sortir sa bicyclette du hayon arrière de la voiture d'entreprise. << Papa a tout vérifié ! >> dit elle. Je vérifie les nôtres.

Dans le petit sac à dos que je porte, nos pommes, nos barres de céréales. Aux cadres de nos vélos, les bouteilles thermos d'eau au sirop de pêche. C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons allégrement. Il n'y a quasiment pas de vent. Avec ces chaleurs, nous ne croisons que les "mordus" de vélos. C'est très agréable de pouvoir rouler de front tous les trois en bavardant. Je suis entre mes deux anges.

Il y a 25 km jusqu'au port de plaisance. La piste cyclable qui longe le canal est au soleil. Peu d'arbres pour donner de l'ombre. Il est 15 h15 quand nous arrivons. Le cagnard est pesant. Il y a quelques joueurs de boules à l'ombre des platanes. Quelques touristes. Des employés communaux et des bénévoles sont entrain d'installer des cabanons pour les festivités de demain. La traditionnelle course des "caisses à savon". Ces véhicules sans moteurs pilotés par ceux qui les ont fabriqué.

Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie fermée. Il y a des plaisanciers vautrés sous les parasols sur les ponts de leurs bateaux. Clémentine et Estelle retirent leurs culottes qu'elles glissent dans la pochette avant du sac à dos. Elles en tirent nos masques sanitaires. Nous traversons la route pour aller à la supérette. Le rituel de nos glaces. Il n'y a pas grand monde. Nous bavardons un peu avec la gérante. Nous choisissons nos pots Haagen Dazs. Pralin, nougat et pistache.

C'est assis sur le banc habituel, sous les platanes, que nous dégustons nos crèmes glacées. Avec cette chaleur elles n'ont jamais été aussi bonnes. C'est toujours le même joueur de boules qui mâte par ici. Depuis le temps, il a repéré cette superbe jeune fille qui est vautrée sur le banc avec cette indécence gracieuse. Il n'en n'a probablement jamais parlé à ses collègues boulistes car il est le seul à observer par là. Il a de quoi regarder car autant Clémentine qu'Estelle lui offrent une vue imprenable sur leurs chattes.

Il est à environ une trentaine de mètres lorsqu'il se rapproche au plus près. Nous portons tous les trois nos lunettes de soleil noires. Nous pouvons donc scruter en toute discrétion. Il y a deux cyclistes qui passent en poussant leurs vélos. Eux aussi découvrent ce prodigieux spectacle. Ma présence entre mes deux coquines dissuade évidemment toute velléité d'approches. Il faut se contenter de regarder. Ce que font les deux cyclistes sans se concerter. Comme si chacun était le seul à s'en rendre compte.

Nous jetons les pots vides dans une des poubelles. Ce petit exercice de style excite toujours considérablement mes deux anges. Aussi, c'est avec le désir de s'offrir une petite frayeur exhibitionniste que Clémentine nous entraîne. Nous descendons aux bâtiments des sanitaires. C'est ouvert. Il fait toujours bien frais dans les toilettes hommes. Estelle retrousse sa jupette, cambrée au dessus d'un des urinoirs, sur ses genoux fléchis, elle pisse en maîtrisant parfaitement son jet. C'est admirable.

Pour Clémentine l'exercice est beaucoup trop périlleux. Ses jets puissants et désordonnés lui interdisent ce genre de pratiques. << Je ne peux pas pisser proprement quand je suis debout. J'en mets partout sur les cuisses ! >> dit elle une fois encore en glissant sa main sous sa jupette pour se palper. Je sors ma bite pour me positionner au-dessus de l'urinoir voisin à celui d'Estelle. Clémentine me saisit la queue pour en diriger les jets. J'en lâche plusieurs. Par jeu mais aussi parce que c'est très agréable.

Une fois encore, obnubilés par nos jeux pisseux, nous ne prenons pas garde. << Oh, excusez-moi ! >>. C'est une type en bermuda et en chemisette qui vient d'entrer. Bien évidemment, tombant sur la scène sa stupeur fait place à l'amusement. Il ne dit rien. Il entre dans un des cabinets et s'y enferme en toussotant. Clémentine me secoue longuement les dernières gouttes. Elle sait à quel point je déteste remballer une bite non essorée. Estelle se touche en se dirigeant vers la porte.

Nous la rejoignons quand Clémentine nous chuchote : << Planquez-vous dans un des cabinets. Chut. Je vais m'amuser un peu ! >>. Nous nous regardons un peu surpris. Estelle qui comprend avant moi m'entraîne vers le dernier des quatre cabinets de toilettes. Dans le plus grand silence nous nous y enfermons. Nous retenons nos respirations. Nous entendons le type tirer la chasse d'eau. Le voilà qui sifflote. Il s'apprête à sortir. On entend le verrou. Estelle et moi nous mettons debout sur le couvercle de la cuvette.

Par dessus le mur, dressés sur la pointe des pieds, nous pouvons voir dans la petite salle carrelée. Clémentine est entrain de se laver les mains devant le lavabo. Elle regarde dans le miroir. Le type a un instant d'hésitation. Il s'approche pour se laver les mains au lavabo voisin. Il se met à bavarder : << En vacances ? >> demande t-il. << Oui ! >> répond Clémentine. << En bateau ? >> fait l'inconnu. << A vélo ! >> lance Clémentine. Estelle me fait du coude. Je ne comprends pas pourquoi.

Je comprends pourquoi lorsque le mec se recule pour passer ses mains sous le séchoir électrique. Il a une superbe queue qui pend de la braguette de son bermuda. Une vraie lance à incendie. Clémentine qui fait mine de ne pas avoir vu attend son tour pour se sécher les mains. Bien évidemment, elle a remarqué le comportement de l'exhibitionniste. Les bons vingt centimètres de ce sexe qui pendent mollement. Parce que le bougre bande mou ! En bandant dur, il doit bien faire les 25 cm. Minimum !

C'est au tour de Clémentine de glisser ses mains dans la fente du séchoir. Le type se coiffe un peu dans le miroir en continuant la conversation : << Si vous aimez les tenir, moi aussi j'ai une méchante envie de pisser ! >> dit il. Clémentine, le regard par en-dessous, hyper vicelard, demande : << Mais vous avez fait quoi dans les cabinets ? >>. Le mec, sans se démonter, répond : << Je me suis branlé un peu ! >>. Il y a un silence pesant. Juste le bruit du séchoir électrique.

Le type se tient la queue. A sa base. Entre le pouce et l'index. Il agite son sexe en direction de Clémentine en disant : << Vous êtes pressée de rejoindre vos amis ? C'est le père de l'autre fille à qui vous teniez la bite pour pisser quand je suis entré ? >>. Clémentine, assez déconcertée par les propos salaces de l'inconnu se contente de lui adresser un sourire suggestif. Le type se masturbe doucement. Clémentine dit : << Ce n'est pas notre père, c'est notre homme ! >>.

<< Vous les aimez de l'âge de votre père ? >> demande le type qui accélère son mouvement masturbatoire. Clémentine répond : << Oui, leurs bites sont meilleures ! >>. Un tel aplomb de la part d'une jeune fille qui pourrait presque être sa fille, déstabilise quelque peu notre branleur. Il lance : << Vous voulez vous amusez ? >>. En disant ces mots, il se cambre sur ses genoux fléchis pour tendre son sexe à la jeune fille. Clémentine retire ses mains du séchoir. Elle se dirige vers la porte.

<< Bonne branle ! >> lance t-elle au mec qui reste soudain immobile en regardant la porte qui vient de se refermer. Il remballe. Il se contemple dans le miroir. Il se fait une grimace, hausse les épaules et se dirige vers la porte. Estelle saisit ma queue pour la tenir fermement dans sa main. Elle me roule une pelle. Je glisse ma main entre ses cuisses. Son sexe est trempé. Nous descendons prudemment de la cuvette. Nous sortons du cabinet pour nous diriger vers les lavabos.

Clémentine entre à nouveau pour venir nous rejoindre. << Vos impressions ? >> demande t-elle. Nous éclatons de rire. << Put-Hein la bite qu'il se trimballe ce mec ! >> lance Estelle. << Je me la serais bien sucer ! >> s'écrie Clémentine. Je dis : << Mais pourquoi tu ne l'as pas fait ? >>. Clémentine se serre contre moi en murmurant : << Si je devais sucer tous les mecs qui me montrent leur bite, tu imagines un peu ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous ressortons. C'est caniculaire.

Je propose de réserver une table au bar restaurant du port. Pour ce soir. << Génial ! >> fait Estelle. << Super idée ! >> rajoute Clémentine. Nous sommes équipés pour rouler de nuit. << Je vous rappelle tout de même que le couvre feu prend fin demain matin à 6 h. Ce soir c'est encore à 23 h ! >> lance Estelle. << On s'en Fout ? >> demande Clémentine. Estelle et moi, en cœur, nous nous écrions : << On s'en fout ! >>. Nous traversons la place des boulistes. Nous allons au restaurant.

Hélas, pour un samedi soir, toutes les tables sont déjà réservées. Pas de chance. Tout le monde veut en profiter. C'est résignés que nous retournons à la supérette pour y chercher des cônes glacés. << Et si on s'achetait des fruits, des toasts ou des biscottes ? On mange sur le pouce. Ça va nous mettre en situation pour l'Ecosse ! >> lance Estelle. << Génial ! >> fait Clémentine qui nous entraîne dans une farandole. Nous retournons dans la supérette. Bananes, nectarines, pêches.

Des toasts aux raisins, aux noisettes. De quoi se régaler. Nous récupérons les thermos fixées aux cadres de nos vélos. Chacune d'un litre, leur contenu est encore très froid. Nous descendons le sentier qui va vers le canal. C'est là, à l'ombre des acacias que nous déplions nos K-ways pour nous assoir dessus dans l'herbe. Il y a quelques promeneurs qui longent le canal. Il y a des bateaux qui passent. Nous sommes assis en tailleurs. Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite. Je joue avec les poils de leurs touffes.

C'est un moment de douceur. Une tranche de vacances. Un extrait de ce qui nous attend en Ecosse. Nous y avons réservé un van. Une semaine en juillet. Une semaine en aout. Il y aura donc de telles improvisations. Autant nous y préparer. J'enfonce mes doigts dans les sexes des filles. Elles me saisissent toutes les deux les poignets pour bien garder mes mains où elles sont. << Tu sais que ça devrait être interdit tellement c'est bon ! >> lance Estelle qui glisse son autre main dans ma braguette.

<< De l'anti pic-pic ! >> fait Clémentine en sortant le flacon de Marie Rose, le répulsif à moustiques du sac à dos. Nous nous en enduisons soigneusement. Estelle se lève. Cambrée sur ses genoux fléchis, elle retrousse sa jupette. << Je vous invite à gouter cher gourmet ! >> dit elle. Je l'invite à s'installer plus confortablement sur le tronc de l'arbre mort à notre gauche. Mes deux anges, assises sur la souche, m'offrent leurs chattes. Je suis à genoux. Je passe de l'une à l'autre.

Je me bouffe de la fondue savoyarde avec un appétit de roi. Du minou de filles ayant pédalé 25 km sous le soleil, ayant vécu des stimuli excitants. Quoi de plus savoureux ? Je suce, je lèche, j'en ai la bouche crémeuse. Le bas du visage trempé. Les filles échangent leurs impressions. << Put-Hein, il y a des gens ! >> lance soudain Estelle. En effet, là-bas, de l'autre côté de la clôture, il y a deux couples avec des chiens. << Ça fait un moment qu'ils mâtent les enfoirés ! >> dit Clémentine.

Je cesse pour observer. C'est fort probable qu'ils nous ont vu. Il y a une trouée dans le feuillage. Nous étions convaincu que le risque viendrait du côté du canal, pas du côté des prés. Les deux couples s'éloignent. Nous les entendons rire. Pas de doute. Ils se gaussent de ce qu'ils ont aperçu. Estelle se lève. Elle se couche sur le côté. En appui sur son coude, elle gobe mon sexe mou. Ce passage d'inconnus m'a fait débander. Ce qui permet à Estelle de se pomper de la queue bien juteuse.

C'est moi qui m'installe sur le tronc d'arbre. Estelle et Clémentine, à genoux ou assises sur leurs cuisses se refilent ma bite qu'elles pompent comme des assoiffées. Je scrute avec attention. Pas question de se faire surprendre une nouvelle fois. Il est 19 h. Il fait moins chaud. Nous sommes à l'ombre, à une dizaine de mètres du canal. La fraîcheur du soir annonce ses douceurs salvatrices. Nous cessons nos jeux de bouches. Il commence à faire faim. Estelle sort les fruit du cornet de papier kraft.

Clémentine ouvre le paquet de toasts. Je coupe la peau des oranges pour les éplucher proprement. Estelle coupe les pêches pour les dénoyauter. Nous aimons bien disposer le tout sur des mouchoirs en papier. Avec la Marie Rose anti pic-pic pas d'insecte pour nous taquiner. Parfois c'est un gros bourdon qui virevolte. Parfois ce sont de grosses libellules bleues. Les grenouilles commencent à se répondre d'un nénuphar à l'autre. Nous savourons ce repas improvisé comme s'il était le meilleur au monde.

L'endroit est magnifique. Une ambiance bucolique. Il y a deux bateaux blancs qui jettent l'ancre un peu plus loin. L'écluse pour entrer dans le port étant déjà fermée, il leurs faudra attendre demain. Nous regardons les plaisanciers s'affairer. Ils dressent les tables sur le pont de leurs navires. Eux aussi s'apprêtent à prendre leurs repas du soir. Estelle se couche sur le dos, sa tête sur ma cuisse. Clémentine fait pareil de l'autre côté. Je leurs caresse les cheveux. Nous savourons ce merveilleux moment.

Soudain, Estelle se redresse. Elle s'allonge un peu plus loin. Sur le dos, sa tête posée sur le sac à dos. Elle écarte les cuisses en disant : << Prends moi, là, maintenant ! >>. Je reste stupéfait. Clémentine se redresse, s'assoit en tailleur pour dire : << Tu as ton instant nympho ? >>. Rire. << Viens vite ! >> se contente de répondre Estelle. Je ne bande pas. Elle m'attire sur elle. Mon sexe qui frotte contre le sien ne tarde pas à devenir dur comme le bois. Je la pénètre doucement. Elle se mordille la lèvre inférieure.

Clémentine vient s'allonger à côté de nous. Nos trois visages tous proches, nous échangeons nos impressions. Je baise Estelle d'un mouvement lent et régulier. Clémentine me tient les couilles par derrière. C'est elle qui fait le guet. On pourrait nous apercevoir d'un des bateaux. Nous bavardons ainsi longuement. J'alterne les mouvements de "machine à coudre" et l'immobilité. << Mmhh c'est bon comme ça ! >> fait Estelle à plusieurs reprises, entre deux profonds soupirs.

Je demande à Clémentine si elle veut aussi. << Non, moi je veux le jus après ! >> dit elle. Nous éclatons de rire. Estelle s'offre un orgasme plutôt calme et réservé. Nous pourrions êtres vus. Entendus aussi dans le silence du soir qui s'installe. Je me retire. J'ai la bite ruisselante de nos mélanges. Clémentine se précipite pour me sucer. Ça fait un moment que je la doigte en baisant Estelle. Elle se masturbe sur ma main en serrant les cuisses. Elle aussi a un petit orgasme très "timide". Je lui jute dans la bouche.

Il est 21 h45. Nous avons encore 25 bornes à faire. Nous ne sommes plus très en forme. Nous voilà sur nos vélo. Le crépuscule est majestueux. Le ciel est devenu gris. Une ambiance orageuse. Il y a même des éclairs. Certes, même si ce n'est que de l'eau, nous aimerions arriver à la maison avant la pluie. Miracle. Pas une seule goutte. Il est 23 h30 quand nous sommes de retour. Nous rions de nos lampes frontales qui nous éblouissent à chaque fois que nous nous regardons. Pas de douche. Au lit. Crevés...

Bonne soirée à pédaler sous un ciel orageux et menaçant à toutes les coquines qui se sont offertes une superbe soirée de "jeux"...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1557 -



Surpris par la violence d'un orage extraordinaire

Hier matin, dimanche, il est aux environs de neuf heures quand je suis réveillé par la main d'Estelle. Une main qui s'immisce dans mon slip pour saisir mon érection naturelle. Son souffle chaud contre mon visage. Ses lèvres en ventouse contre ma peau. Elle se frotte contre ma cuisse. Tant de douceur ont de quoi me surprendre. Même après quatre années de réveils pourtant souvent surprenants. Tout cela tire de son sommeil Clémentine qui vient se blottir avant d'imiter Estelle.

Je suis entre mes deux anges qui se masturbent contre moi. Distribution de bisous. Hélas, cet enchantement paradisiaque ne dure pas. Estelle s'écrie : << Pipi ! >> tout en se levant d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine reste soudain en retrait. << Merde ! Mes "petits machins" ! >> dit elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. En effet, Clémentine, réglée avec une imparable régularité, doit porter un mini tampon. Une douleur sourde et lointaine dans son ventre.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle en bas dans la cuisine. C'est dans la véranda qu'elle a mis la table. L'odeur de café, de pain grillé et de brioche envahissent les espaces. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre soirée de folie au bord de l'eau. C'est dimanche. Le ménage est fait. Pas d'entraînement. Nous traînons longuement à table à bavarder et à rire.

Assises sur mes genoux, mes deux anges font le vague programme de la journée. Dehors, le ciel est nuageux. Rien de menaçant toutefois. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous sommes tous les trois vêtus de nos longs T-shirts de nuit, de nos slips. Nous mettons les baskets. C'est ainsi que nous sortons. Il fait lourd et chaud. Nous descendons vers la rivière. Nous longeons le sentier qui suit le cours d'eau. Estelle marche devant en se retournant souvent pour me faire un bisou.

Je fais de même avec Clémentine qui marche à l'arrière. Nous avançons en flânant. Voilà le vieux lavoir. Estelle monte sur le muret du bassin vide. Retroussant son T-shirt comme une robe, elle fait le tour du réservoir. Une démarche gracieuse. Clémentine reste serrée contre moi. Nous observons le show que nous offre Estelle. Clémentine prend ma main pour la glisser dans sa culotte. Son ventre est douloureux, congestionné. C'est tous les vingt quatre jours. Je le caresse doucement.

La pointe de ses tous petits seins est extrêmement sensible. Douloureuse au moindre choc. J'applique la thérapie du "docteur Julien". Je pose délicatement ma bouche sur chacun de ses seins pour souffler de l'air chaud à travers le tissu de son T-shirt. << Mmhh ! Ça soulage ! >> dit elle dans un profond soupir. Estelle saute du muret pour venir se serrer contre nous. Nous restons ainsi, silencieux, à écouter le gazouillis incessant des oiseaux. Il y a des séquences d'ensoleillement.

Je glisse ma main dans la culotte d'Estelle. Elle glisse la sienne dans mon slip. Nous nous caressons tous les trois. Clémentine reste accrochée à moi de ses deux bras autour de mes épaules. Nous prenons le sens du retour. Il est midi quand nous revenons à la maison. Clémentine monte à toute vitesse à la salle de bain. Estelle et moi nous dressons la table au jardin. Clémentine vient nous rejoindre avec le flacon de Quercetine anhydre. Médicament naturel contre les règles douloureuses.

Estelle prépare les pavés de saumons pas vraiment décongelés en papillotes. C'est sur le barbecue électrique dans la véranda. Clémentine s'occupe des salades. Je reste à l'écoute. << Ça va déjà mieux ! >> dit elle. Je fais rissoler de fines tranches de pommes de terre chips. C'est rapide. Je verse chaque poêlée sur une double feuille de papier absorbant. La presque totalité de la graisse y reste collée. Nous sortons le tout sur le grand plateau. Nous voilà assis à l'ombre du noyer séculaire.

Nous mangeons de bon appétit. La Quercetine semble faire son effet. Clémentine a retrouvé le sourire et son optimisme habituel. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles proposent une randonnée pédestre plutôt que cycliste. << Il y a de l'orage dans l'air. C'est plus sympa de se faire saucer à pieds qu'à bicyclette ! >> lance Estelle. << Oh oui, à vélo c'est détestable ! >> rajoute Clémentine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents.

Nous nous changeons. Estelle et Clémentine portent une jupette tennis kaki. Un T-shirt crème. Je porte un short kaki, un T-shirt crème. Tous les trois vêtus à l'identique nous faisons les clowns devant le miroir de l'armoire. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers chaussés de nos baskets "de marche". Les "baskets de marches" sont toujours les plus vieilles que nous achevons avec des randonnées. Dans le petit sac à dos, nos minis parapluies, nos K-ways, la bouteille d'eau, pommes, barres de céréales.

Nous sortons la berline. Direction le lac des collines et son château médiéval. Il y a 25 bornes. Je roule doucement sur les départementales presque désertes. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, caresse mes joues, mon cou en parlant de nos vacances proches. Le départ est fixé au mercredi 30 juin, sept heures du matin. Il faut être à Boulogne pour 15 h. Mettre la voiture sur le ferry. Partir de Folkestone pour Kingston-upon-Hull où nous attend notre hôtel pour 21 h.

Nous arrivons sur le parking du restaurant. La vie a repris son cours normal. Il y a plein de voitures garées là. Le restaurant est ouvert. La terrasse est noire de monde. Je mets le sac sur le dos. Nous prenons le sentier qui monte à droite. Nous passons au-dessus de la terrasse du restaurant du lac. Que c'est bon de retrouver la vie d'avant. Du moins ce qui y ressemble le plus. Il ne subsiste que de légères contractions pour indisposer Clémentine. J'applique souvent la thérapie du "souffle".

Au fur et à mesure de notre avancée, le ciel se couvre de gros nuages gris. Réellement menaçants ceux-là. Nous croisons plein de marcheurs. Des petits groupes, des couples, plus rarement des solitaires. Malgré cette météo peu engageante, tout le monde semble vouloir profiter de la fin des restrictions. Estelle qui marche devant se retourne souvent pour me palper la braguette, me glisser un mot coquin ou encore pour me faire une bise. Même quand nous croisons des gens parfois.

Je tiens la main à Clémentine. Je me retourne aussi pour lui déposer un bisou. M'enquérir de son état. << Tout va bien ! Cette Quercetine fait des miracles ! >> me rassure t-elle. Nous arrivons au château. Il reste deux échafaudages sur les murs Est et Nord. Il est à nouveau autorisé de pénétrer la cour. Il y aura là un salon de thé, un restaurant, une boutique souvenir et un petit musée. L'ouverture et l'inauguration sont prévues pour l'an prochain. Juin 2022.

Nous flânons à l'intérieur du château. Ce qui est déjà restauré est superbe. Un total respect des constructions initiales. Il y a plein de monde. Nous montons les escaliers qui mènent au donjon. La grande porte en bois est encore fermée. Ce n'est que l'an prochain qu'il sera possible de monter dans la tour. Estelle profite de chaque instant discret pour me toucher. Me palper la braguette. Je fais pareil. Je glisse ma main sous sa jupette pour palper son entrejambes. Sa culotte au doux coton lisse.

Clémentine me prend souvent la main pour la glisser entre ses cuisses. << Docteur Julien, vos soins son nécessaires ! >> murmure t-elle. Nous rions tous les trois des thérapies du fameux "docteur". Nous quittons la cour du château pour en faire le tour sur le chemin autorisé. Le long du ravin il y a des barrières. Nous descendons le sentier qui va vers le lac quand soudain le fracas monstrueux d'un coup de tonnerre déchire le silence. Un éclair zèbre le gris sinistre du ciel. << Ça va flotter ! >> lance Estelle.

Il y a l'aire de repos plus bas. Une cabane de forêt. Des abris pour les pique-niqueurs. Nous arrivons aux premières gouttes. Il n'y a évidemment plus que les téméraires à se retrouver sous ses abris précaires. Nous sommes avec deux couples de séniors sous un de ces toits de tuiles. La pluie se met à tomber dans le fracas continu des éclairs, des coups de tonnerre. En altitude, dans ces collines, le bruit est monstrueusement amplifié. Toute l'eau du ciel semble tomber de partout.

Les bourrasques sont rapidement de la partie. Nous mettons nos K-ways car la fraîcheur est toute aussi soudaine. Nous restons tous les trois à l'écart. Les deux couples bavardent en riant. Ils racontent leurs souvenirs d'autres orages. Estelle, en parfaite coquine, me sort discrètement la queue. Je reste donc tourné vers le coin. Ça me gêne d'avoir la bite à l'air si près d'inconnus. Surtout que l'une des dames nous adresse parfois la parole. Je me venge en palpant vulgairement le croupion de ma tripoteuse.

C'est assez excitant de s'amuser ainsi. Il faut surmonter une certaine appréhension, un certain malaise, une certaine défiance avant d'apprécier pleinement ce jeu très particulier. Se toucher en secret à proximité d'inconnus. Ce sont de véritables torrents de boues qui charrient feuilles et branchages. Les deux sentiers ne sont plus que rivières. C'est impressionnant. Je ne me rappelle pas d'avoir déjà assisté à tel phénomène. Le ciel est aussi sombre qu'un soir de novembre. Le vent souffle en rafales.

Nous sommes là tous les sept depuis une bonne vingtaine de minutes. La tempête semble enfin se calmer. Il y a des seaux d'eau qui sont jetés jusque sous notre abri. La pluie tombe moins drue. Le vent cesse. Nous regardons comme hébétés ces torrents de boues qui dévalent les sentiers. Il faut encore attendre. Je bande dans la main d'Estelle qui me branle même doucement. << Je vais te sucer ! >> me murmure t-elle. << Arrête ! T'es folle ! >> lui chuchote Clémentine. Nous rions en secret.

Bien évidemment, ces inconnus nous observent quelquefois avec curiosité. Je ne suis certainement pas le père de ces deux jeunes filles ainsi blotties contre moi. De quoi susciter bien des interrogations. Ces situations nous amusent toujours beaucoup. Mais là, ça fait tout de même presque 45 minutes que celle-ci perdure. La pluie a cessé. Le vent est tombé. Les torrents se diluent doucement. Nous pouvons enfin repartir. Nous saluons ces gens qui nous disent : << Bon courage ! >>.

Nous avons les baskets dégueulasses. De la boue jusque sur les chaussettes basses, sur le bas des mollets. Le ciel s'illumine. Les couleurs reviennent. Voilà le soleil. Nous longeons le lac pour revenir par le restaurant. Si nous avions prévu des vêtements de change, nous aurions mangé là ce soir. Hélas, nous ne pouvions pas savoir. Comme souvent quand nous revenons, Estelle est assise parterre, entre les pieds de Clémentine pendant que je roule. C'est encore le cas ce soir.

Il est 19 h30 quand nous revenons à la maison. Quelle aventure ! Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste de patates chips. Estelle nous concocte une belle omelette aux trois fromages. Nous savourons ce repas en mangeant de bon appétit. Clémentine aime se masturber en nous regardant baiser. Surtout quand elle a ses "petits machins" de fille. Nous offrons donc à Clémentine un spectacle de qualité. Plus de couvre feu. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à son auto. 22 h15.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se masturber en assistant aux ébats passionnés des deux complices de dépravations...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1558 -



Julie qui vient passer la soirée avec nous

Hier matin, lundi, l'application "forêt" nous réveille de ses douceurs habituelles. C'est tellement agréable d'être tiré de son sommeil par les chants d'oiseaux, le bruit d'une source qui résonnent au fond d'un bois. Il est presque six heures. Clémentine vient se blottir contre moi. Des papouilles. Des bisous. Nous nous précipitons vers les toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café en racontant ses rêves.

Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée coquine de hier. Sur la violence extraordinaire de l'orage qui nous a surpris. Sur la soirée de douces folies que nous nous sommes offerte. Clémentine, lorsqu'elle a ses règles, adore se masturber en nous observant, Estelle et moi. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup de nos frasques.

Il est 6 h25. Nous sortons dans la douceur matinale. Il fait beau. Il y a bien quelques nuages d'altitude. Nous pratiquons nos mouvements d'échauffement avant de partir pour une heure de running. Ce sera le circuit de la rivière. Il est 7 h50 quand nous revenons pour prendre notre douche. Clémentine me rassure. Juste une légère contraction de son bas ventre. Le bout de ses seins congestionnés. Pas de réelles douleurs pour ce second jour de ses "petits machins" de fille.

Nous restons vêtus légers. Clémentine porte une robe d'été fuchsia. Ses cheveux noués en chignon. Je suis en short carmin et chemisette hawaïenne. Pressés de sortir encore un peu, nous descendons les escaliers à toute vitesse. Il est presque 7 h50. Nous dressons la table au jardin. Nous mangerons à l'extérieur à midi. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps de rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles.

Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette vingt huitième toile destinée à ma saison d'été est encore source de bien des émois. Je peins dans la douce sérénité du bienheureux. La matinée se passe dans cette saine émulation constructive que nous apprécions tant. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre en sautillant. Elle m'entraîne par la main dans une sorte de tango lascif. C'est ainsi que nous quittons l'atelier pour la cuisine.

Clémentine s'occupe des salades. Je prépare un coulis d'aubergine, de courgette et de champignons. A la poêle, je fais rissoler deux beaux filets de colin. Avec de l'ail, de l'échalote. Nous emmenons le tout sur un grand plateau. Nous voilà confortablement installés au dehors. A l'ombre du généreux feuillage de notre noyer. Il y a de gros nuages qui s'amoncellent au dessus de l'horizon. << Ça va exploser d'ici quelques heures ! >> envisage Clémentine. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque toutes les choses qu'il faudra prévoir pour notre départ. Nous partons le mercredi 30 juin pour sept heures du matin. J'aime l'écouter faire nos programmes. C'est toujours tellement précis. Je suis fasciné par cette extraordinaire capacité à se projeter dans l'avenir. Nous débarrassons pour tout rentrer. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de sortir encore un peu, nous dévalons les escaliers.

Clémentine me tient la main. Nous descendons le chemin vers la rivière. Il fait lourd. C'est très agréable de flâner au bord de l'eau, sous le feuillage des acacias. Clémentine glisse sa main dans ma braguette béante. Dans mon slip elle saisit mon sexe pour le tenir fermement. Nous nous embrassons avec passion. Je glisse ma main sous sa robe. La douceur de sa culotte de fin coton. J'aime le contact de la peau de ses cuisses. C'est une source d'ivresse. Nous nous chuchotons des secrets.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à retourner. Nous remontons le chemin lorsque notre voisin arrive depuis le sentier qui longe notre clôture. Monsieur Bertrand est toujours content de nous voir. Jovial, plein d'humour, il nous raconte son week-end. Ils avaient des amis à la maison. Nous le saluons pour rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Prête pour sa séance de télé travail. Je lui fais un dernier bisou.

Je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans les toutes mêmes dispositions d'esprit que ce matin. Il est 16 h45. Je nettoie la palette, les pinceaux. Dehors, le ciel s'assombrit lentement depuis plus d'une heure. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. Elle prend sa tablette, elle m'entraîne par la main. Nous sortons. Là-bas, vers l'Ouest, le ciel est sinistre. Des dégradés de gris virent à la nuit. Il fait lourd. Nous pouvons ressentir l'humidité de l'atmosphère. Nous voilà installés dans la balancelle.

Je lis. "Les 50 secrets magiques" de Salvador Dali sont d'une passionnante lecture. Clémentine travaille sur ses écrits. Parfois elle lance : << Ecoute. Dis-moi si ça va ! >>. Elle lit alors à voix haute une nouvelle déclinaison d'une phrase. Je trouve son travail fameux. Comme elle est perfectionniste jusqu'à l'obsession, je suis bien incapable de donner un avis objectif. Les diverses tournures d'une même phrase me paraissent tellement parfaites. Il est 18 h. La Clio rouge de Julie descend lentement le chemin.

Elle sort de sa voiture pour s'élancer vers nous. Elle est vêtue d'une robe d'été bleue claire, boutonnée sur le devant. Comme celle que porte Clémentine. Elle vient nous faire des bises. Assise à côté de Clémentine qui nous sépare, Julie nous raconte son week-end. Son job de serveuse dans le restaurant de sa tante. << Ça n'arrête pas ! Nous devons refuser des dizaines et des dizaines de réservations ! Je bosse comme une dingue. Au point que j'en attend les journées de télé travail pour me reposer ! >> dit elle.

Nous restons ainsi à converser lorsqu'un coup de tonnerre d'une puissance inouïe éclate soudain. Au-dessus de nos têtes le ciel est sombre. C'est comme un soir de novembre. Un éclair déchire le ciel en illuminant tout comme le ferait le flash d'un appareil photographique. Julie est tout contre Clémentine qui est tout contre moi. Nous restons encore quelques minutes. Les premières gouttes. Nous avons juste le temps de courir jusqu'aux escaliers quand la pluie devient une véritable douche.

Les bourrasques de vent tempétueux sont toutes aussi soudaines. Nous rentrons. Je prends le grand parapluie. Julie et moi, serrés l'un contre l'autre, nous prenons notre élan. Il faut orienter le parapluie afin que le vent ne le retourne pas. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Tout est trempé. De la voiture nous tirons la grande boîte isotherme contenant notre repas du soir et de demain midi. Le sac contenant les salades. Il faut faire vite. Anticiper chaque mouvement.

Nous revenons évidemment trempés. Nous éclatons de rire en nous contemplant dans le grand miroir du hall d'entrée. Clémentine nous débarrasse de la boîte et du sac. Elle nous entraîne par les mains pour monter à l'étage. On se sèche à la salle de bain. Julie porte une des robes de Clémentine. Bien trop grande pour elle. J'ai un short et un T-shirt secs. Nous dévalons les escaliers en riant. Dehors, le tonnerre gronde. Il tombe de vraies hallebardes. C'est un orage comparable à celui de hier.

Nous voilà dans l'atelier. Julie, assise devant mon chevalet, regarde ma toile. Elle nous confie son impatience de tenir la galerie d'Art. << J'y vais mercredi en fin d'après-midi pour faire la poussière. Jeudi en fin d'après-midi pour nettoyer ! >> fait elle. C'est vendredi après-midi que nous emmenons les toiles pour les fixer aux cimaises. Nous laissons Julie décider de tout ce qui concerne la galerie. Après tout, c'est un peu chez elle aussi. Le vernissage aura lieu dimanche en fin d'après-midi.

Je suis debout à sa droite. Je sors ma queue. Lorsqu'elle s'en rend compte Julie me lance un rapide regard sévère. Suivit d'un soudain sourire. Clémentine est derrière moi. Elle saisit mon sexe pour l'agiter près du visage de Julie. Julie qui adore ces situations troublantes nous dit : << Ça va me manquer cet été ! >>. Nous éclatons de rire aussi soudainement que le coup de tonnerre au dehors. Julie se lève. Quelle surprise, elle saisit mon sexe. Elle me demande : << Vous emmenez de quoi dessiner en Ecosse ? >>.

C'est Clémentine qui répond : << Si tu savais comme nos journées sont intenses en vacances ! Nous consacrons chaque instant à satisfaire nos soifs de découvertes ! >>. Julie évoque son désir d'aller visiter l'Ecosse un jour. Tout en bavardant, elle tient ma bite. Parfois sans bouger. Parfois en serrant sa main par de petites contractions régulières. C'est très vicieux. Elle serre le bout de la peau du prépuce entre le pouce et l'index pour le "malaxer". C'est l'endroit le plus sensible. Sur le méat. Un délice.

Elle le sait. Elle continue. Clémentine glisse une main sous sa robe. Elle aussi est excitée par cette situation. Il est extrêmement rare que Julie ait ce genre d'initiatives. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Elle ne lâche pas mon sexe. Je bande mou. Nous dressons la table dans la véranda. Le spectacle de l'orage est une véritable attraction. Julie me lâche le Zob pour sortir les feuillantines au crabe encore chaudes de la boîte isotherme. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant les salades.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant la galerie d'Art. Julie, consciencieuse, a pensé au moindre détail. Nous parlons de ses émoluments. J'ai tout réglé en amont. L'aspect administratif de son travail saisonnier. Je me lève souvent pour agiter mon sexe en direction de Julie. Nous traînons à table. La conversation reste axée sur le rôle de galeriste de Julie qui se réjouie depuis l'an dernier. La vaisselle. Il est 22 h. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. L'orage s'est éloigné.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment visiter leur couple d'amis intimes. Tenir la queue du mec tout en parlant d'autres choses...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1559 -



Julie nous fait une nouvelle surprise

Hier matin, mardi, nous sommes tirés du sommeil par l'application "forêt". C'est tellement agréable d'êtres réveillés par des chants d'oiseaux, le bruit d'une source qui résonnent au fond d'un bois mystérieux. Il est presque six heures. Clémentine se blottit contre moi quelques instants. Des bisous. L'impérieuse envie de pisser ne nous laisse aucun autre choix. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, dans nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers.

Il fait à nouveau bien frais dans la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Elle a de la chance, elle se souvient de la plupart d'entre eux. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons un copieux petit déjeuner en évoquant la soirée de hier. La présence de Julie. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Il est 6 h25. Nous sortons dans l'humidité matinale.

Le sol est encore mouillé par endroits. Quelques mouvements d'échauffement. Nous courrons jusqu'au portail. C'est sur le bord de l'étroite route sèche que nous pratiquons notre running. Le circuit "goudron". Il est 7 h30 quand nous revenons pour prendre notre douche. Nous nous habillons léger. Clémentine porte une de ses robes de fin coton mauve. Je porte un short de fin coton carmin, un T-shirt ocre. Pressés de sortir encore un peu, nous descendons les escaliers à toute vitesse.

Il est 7 h50. Nous dressons la table au jardin en prévision du repas de midi. Même si les séquences nuageuses semblent plus fréquentes aujourd'hui. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Clémentine est très joyeuse. Le mardi elle termine à midi. C'est en sautillant qu'elle m'entraîne par la main en chantant : << Même plus mal ! >>. Elle fait allusion à son troisième jour de "petits machins" de fille. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles.

Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette dans cet esprit joyeux communiqué par Clémentine. La peinture de cette vingt huitième toile destinée à ma saison d'été m'invite à une séance ludique. Je peins animé d'une certaine euphorie. La matinée passe peut-être plus rapidement pour moi que pour Clémentine. Il est 11 h45 quand je nettoie la palette, les pinceaux. Elle vient me rejoindre pour 11 h55. En sautillant et en chantonnant : << Terminé ! >>.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je réchauffe les deux croustades aux fruits de mer. La pâte feuilletée a décongelé. Je lave, je coupe de belles et grosses tomates à farcir. Des champignons, un poivron rouge. De l'ail, de l'oignon. J'étale la pâte feuilletée dans deux plats à tarte aux bords hauts. Clémentine y dispose les tranches de tomates. Je prépare un "flan" avec de l'œuf, du lait de soja, de la crème fraîche, de la moutarde à l'ancienne.

Je verse sur le tout. Clémentine recouvre de gruyère de Comté qu'elle vient de râper. Je sors les deux croustades du four pour y mettre les deux tartes à la tomate. Ce seront nos repas de ce soir et de demain midi. Nous sortons avec les salades et les croustades aux fruits de mer. Il y a du soleil. L'atmosphère est lourde, humide. Cela rend les corps et les tissus rapidement moites. La douceur reste très agréable. Nous mangeons de bon appétit au bord du bassin sous le feuillage du noyer.

Les deux lampes mosquitos fonctionnent à plein. Avec ce climat, les moustiques sont légions. Nous ne traînons pas. Nous avons rendez-vous à 14 h30 chez le docteur. Nous débarrassons pour tout rentrer. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous changer. Clémentine porte une robe carmin, nouée à la taille que je boutonne à l'arrière. Des sandalettes à légers talons. Je porte un short beige à pinces et à plis. Une chemisette à fins carreaux vichy. Des sandalettes de cuir marron.

Nous prenons la pose devant le grand miroir de l'armoire. En déconnant. << Prêts pour la piqûre de rappel ! >> fait Clémentine en relevant sa robe. << Ah non ! C'est dans le bras ! >> fait elle en faisant semblant de se tromper. Nous rions. Nous descendons les escaliers prudemment en nous tenant par la taille. Le ciel est à présent couvert. Clémentine propose de prendre sa voiture afin de la faire rouler un peu. Bonne idée. Mais c'est moi qui suis obligé de rouler. Il est 13 h45.

Nous sortons la voiture du garage quand résonne la musique imbécile de mon téléphone. Clémentine le tire de ma sacoche. << Julie ! >> lance t-elle en mettant sur mode haut parleur. Quelle surprise. Julie propose de nous rejoindre pour 16 h30 et jusqu'à 18 h. Nous l'attendons avec plaisir. Il y a treize kilomètres jusqu'à la ville. Quinze jusqu'à l'endroit où pratique notre médecin habituel. Clémentine joue avec ma queue tout en me confiant le dilemme qui la taraude.

Nous acceptons cette vaccination uniquement pour pouvoir nous rendre en Ecosse. << Nous avons vendu nos âmes au diable ! >> fait elle à plusieurs reprises. Je dis : << En ce qui me concerne, elle est vendue depuis longtemps ! >>. Nous en rions de bon cœur. C'est le dernier jour de ses règles. Clémentine éprouve parfois une légère congestion dans le bas ventre. << C'est à cause de ce "pacte" avec le diable ! >> lance t-elle. Rire. Je gare la voiture sur le parking de la pharmacie.

Il est 14 h20 quand nous rejoignons Estelle et ses parents dans la salle d'attente. Estelle est vêtue d'une de ses robes légères, fuchsia. Michèle, sa maman est en robe mauve. Yvan, son papa, en short kaki et en chemisette. Nous somme contents de nous revoir. << On mange ensemble, dimanche, avant votre départ ! >> lance Michèle. << On emmène le dessert ! >> fait Clémentine. La dame de l'accueil vient nous chercher. C'est Michèle qui passe la première.

Cela dure à chaque fois cinq minutes. C'est au tour d'Yvan, d'Estelle, de Clémentine, puis de moi. Les vaccins Pfizer. Tout se passe dans les toutes meilleures conditions. Même si j'ai une peur bleue des piqûres je dois admettre que celle-là est quasiment indolore. Nous nous retrouvons tous les cinq en bas de la maison médicale. Il est à peine 15 h. C'est à pieds que nous allons jusqu'au salon de thé. Assis sur la terrasse, nous savourons des coupes glacées en riant de nos craintes.

Michèle est magnifique. C'est la "grande sœur" d'Estelle tellement la ressemblance mère fille est encore étonnante. Michèle me regarde souvent par en dessous. Nous évoquons leurs vacances en Irlande du Nord. Yvan et Michèle y seront du lundi 12 juillet au dimanche 26 juillet. Ils viendront nous rejoindre à Inverness où nous avons loué une petite maison pour cinq jours. Les parents d'Estelle resteront bien évidemment indépendants. Nous irons toutefois randonner une journée ensemble.

Il est 16 h. Nous nous quittons. Estelle viendra nous rejoindre pour 18 h30. Nous voilà en route. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Le ciel devient menaçant. De gros nuages lourds s'amoncellent inexorablement. << Ça va encore péter ce soir ! >> lance Clémentine en se redressant de la pipe qu'elle me fait. Nous arrivons à la maison. Nous laissons le portail ouvert. Je reste également braguette ouverte. La bite qui en pend encore mollement.

A peine avons nous rangé la voiture au garage que descend la Clio rouge. Julie se gare devant la maison d'amis. Elle se précipite à notre rencontre. Des bises. Comme toujours quand c'est le cas, elle fait mine de ne pas avoir vu ma queue. Je bande mou et elle est bien visible entre les pans de ma chemise. J'adore cette attitude toute féminine. Il fait lourd, humide. Nous restons au dehors. Quelle surprise quand Julie, tout en parlant de ses cours en ligne, saisit ma bite de sa main gauche.

J'ai un un sursaut. Mon cœur bat soudain la chamade. C'est absolument génial. Julie reste ainsi, ma queue dans la main. Immobile en parlant littérature du XIXème. Du mémoire qu'elle doit rendre. De son DEUG de français qu'elle est entrain de préparer. Je reste silencieux. Clémentine glisse une main sous sa robe tout en parlant avec Julie. Julie porte une robe jeans. De fins souliers de toile blanche. Ses cheveux en natte. Ses lunettes d'étudiantes sur le nez. Elle est magnifique dans ses 20 ans.

Nous restons ainsi une bonne dizaine de minutes. Je commence à sentir la main de Julie qui serre ou desserre mon sexe dur comme du bois. Je contracte mes muscles fessiers pour le faire bouger dans sa main. J'adore lorsqu'elle malaxe l'extrémité de la peau de mon prépuce contre le méat. C'est la plus délicieuse sensation que je connaisse avec la fellation. Julie lâche ma queue pour garder juste la peau entre son pouce et son index. Nous racontons notre vaccin, je montre le petit sparadrap.

<< Moi, c'est demain soir, après les cours ! >> lance Julie qui joue avec ma peau. Je passe mon bras autour de ses épaules pour demander : << Prête pour la galerie ? >>. Julie accélère son mouvement des doigts pour répondre : << Prête ! >>. Clémentine se penche pour regarder ce que fait Julie de son pouce et de son index. Je pose ma main sur la nuque à Julie pour dire : << Vous êtes priée de reproduire ces douceurs le plus souvent possible ! >>. Julie se met à rire avant de répondre : << Avec plaisir ! >>.

Je glisse ma main sous sa robe. C'est toujours une surprise. Cette jeune fille se laisse faire avec un tel enthousiasme. Je passe ma main entre ses cuisses douces et chaudes. Je fais la même chose à Clémentine. Elles se regardent toutes les deux en riant. Julie empoigne à nouveau ma queue à pleine main. Elle me masturbe doucement. Je malaxe les lèvres de leurs vulves du bout de mes doigts. Julie cesse pour s'éloigner en disant : << C'est trop bon ! Il faut que je reste maîtresse de mes émotions, je bosse ce soir ! >>.

Nous rions de bon cœur. Nous voilà installés sur la balancelle. Clémentine, assise entre Julie et moi, me tient la queue. Les filles parlent de leurs études. De leurs mémoires qu'il faut rendre fin juin. Pour Julie, les résultats de son DEUG tomberont le 10 juillet. C'est une bosseuse, elle n'éprouve aucune crainte. Elle aussi a cette attitude de "gagnante" devant les épreuves. Il est 18 h. Julie est obligée de nous quitter. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Assise au volant, elle reprend ma queue dans sa main libre.

Je suis contre la portière, la bite à une cinquantaine de centimètres de son visage. Soudain, sans prévenir, elle la prend en bouche. Une seconde pour cesser immédiatement. J'ai bien senti la rapide succion. Toute rouge, comme honteuse, Julie démarre. << A vendredi ! >> lance t-elle avant de partir. Je lève le pouce de ma main droite. Un dernier coucou. << Tu vois, tout vient à point à qui sait attendre ! >> me fait Clémentine qui me tient le sexe d'une poigne ferme.

Elle me masturbe. Le ciel est devenu sinistre. C'est aussi sombre que la plus sombre des soirées d'hiver. Voilà la voiture d'entreprise d'Estelle. Elle se précipite. Je bande comme le dernier des salauds dans la main de Clémentine. << Génial comme accueil ! >> lance t-elle en s'accroupissant immédiatement. Clémentine lui frotte ma bite sur la gueule. Estelle se met à sucer en se tenant à mes hanches. Clémentine dit : << Il l'avait dans la bouche à Julie il y a à peine vingt minutes ! >>.

Estelle cesse pour répondre : << Ah ! C'est ça ce gout ! >>. Nous éclatons de rire. Je l'aide à se redresser. Il y a les premières gouttes. Nous rentrons. Clémentine s'occupe des salades. Estelle dresse la table dans la véranda. Je réchauffe une des tartes à la tomate. Nous mangeons de bon appétit. L'orage éclate. Une fois encore les cieux résonnent de coups de tambour d'une incroyable puissance. Les éclairs zèbrent l'obscurité en illuminant la campagne l'espace d'un instant. C'est grandiose.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges évoquent le programme des jours à venir. Les mémoires. Le repas chez les parents d'Estelle dimanche à midi, le vernissage en fin d'après-midi. Julie et sa personnalité attachante qui rend Estelle un peu jalouse. Je propose une bonne "suce-party" pour la soirée. Même si Clémentine porte encore un de ses mini tampons, j'adore sucer son clitoris géant. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Au salon, je suce du clitoris, je bouffe la chatte à Estelle.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire sucer le clitoris longuement, vautrées au fond d'un canapé, bien paresseuses...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 49 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1560 -



Une journée un peu particulière

Hier matin, mercredi, nous sommes réveillés par les douceurs de l'application "forêt". Clémentine se blottit contre moi. Il y a le chant des oiseaux mystérieux. Le bruit de la source. Cela ne dure exactement que 45 secondes. Il est est presque six heures. Nous nous levons d'un bond pour courir aux toilettes. Clémentine suggère de tenter l'application "ressac" dès septembre. Excellente idée. Le bruit du ressac de la mer contre les rochers, le cri des mouettes, des goélands. Ça change.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine la fraîcheur s'est accentuée à cause des nuits humides. Car il pleut toutes les nuits. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant Estelle. Ça fait tout drôle de ne pas l'avoir avec nous le matin. Comme le couvre feu a été levé, elle peut rentrer après 22 h. Et ses parents sont tellement contents de l'avoir avec eux avant notre départ pour l'Ecosse.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le rapide programme de la journée. Clémentine se rend à son université pour 8 h30. Elle revient pour 12 h30. Ce soir nous sommes invités chez Juliette au haras. Pour partager le repas du soir. Il est 6 h25. Nous sortons dans la fraîcheur humide. Tout est encore mouillé des pluies de la nuit. Quelques mouvements d'échauffement. Nous montons en courant jusqu'au portail que nous laissons ouvert. Le running sur le circuit "goudron". En courant sur la route.

Nous revenons pour 7 h30. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Pour aller en cours, Clémentine met un de ses jeans, un chemiser crème. Des mocassins beiges. Je lui fais une belle tresse qui lui pend jusqu'au milieu du dos. Assise devant le miroir, elle me parle de ses deux mémoires à rendre le 29 juin. Il est 7 h50. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Clémentine y récupère son sac. Elle met ses lunettes d'étudiante. Comme elle est belle et "craquante" !

Nous sortons. Je sors sa voiture du garage. << Ça me fait tout drôle de partir pour l'école ! Ça me fait tout drôle de partir sans toi ! >> me dit elle en s'asseyant dans son auto. Un dernier bisou. Je la regarde partir avec un pincement au cœur. A moi aussi, ça me fait tout drôle de la voir s'en aller. Il y a du soleil mais le ciel est encombré de nuages. Je rentre. Me voilà dans l'atelier. Quelle étrange sensation que d'y être seul. Je regarde la table de travail. Personne. L'ordinateur au couvercle rabattu. Le silence accablant.

Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je peins envahi de curieuses pensées. Je prends soudain une conscience aiguë, presque douloureuse, de la place qu'occupe Clémentine dans mon existence. Son absence est cruelle. Je n'ai gout à rien. Aucune passion ne m'habite. Pourtant la peinture m'anime de telles émotions tous les jours ! Vivre sans Clémentine serait impossible. Il est dix heures. La musique imbécile de mon téléphone. Je le saisis sur la desserte, à ma droite.

C'est Juliette. Quelle soudaine joie d'entendre une voix féminine. << Vous n'avez pas oublié pour ce soir ! Je vous attends pour 19 h30. Je fais simple. La Flamiche Picarde dont vous m'avez donné la recette il y a trois ans déjà ! >> me dit la jeune femme. Nous bavardons un peu. L'absence de Clémentine me déstabilise un peu. Je m'en ouvre à Juliette qui me propose de passer. Nous en rions de bon cœur. C'est gentil de se préoccuper de moi. Je la rassure. Je suis un homme responsable. Adulte.

Nous nous saluons. Je reprends la peinture de ma vingt huitième toile destinée à ma saison d'été. Ce petit coup de téléphone m'a revigoré, donné le coup de fouet. Non Julien, tu n'es pas seul au monde, abandonné et isolé. Je ris à cette idée stupide. Il est midi. Je quitte l'atelier pour aller à la cuisine. Toute la matinée il y a eu des alternances de séquences ensoleillées et de périodes plus couvertes. Je réchauffe la seconde tarte à la tomate dans le four. Je prépare la salade. Une belle laitue.

Je dispose les assiettes et les couverts sur la nappe de la table dans la véranda. Je me surprends à guetter le chemin qui descend. Comme un gamin qui attend le retour de ses parents. Enfin, voilà la Morris Cooper crème qui arrive. Je la regarde entrer directement dans le garage. Clémentine qui sort de la bâtisse. Elle est belle comme le jour. De voir sa silhouette debout, qui me tourne le dos, pour regarder la porte basculante descendre doucement, me pince le cœur d'une émotion folle.

Elle traverse le jardin en fouillant dans son sac. Je me précipite pour aller l'accueillir. Elle me saute au cou. << Comme tu m'as manqué Julien. C'est fou comme nous sommes devenus fusionnels ! Des siamois ! >> murmure t-elle en se serrant contre moi. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. C'est comme des retrouvailles après de longs mois. Je dis : << Je n'ai jamais été aussi malheureux que ce matin ! >>. Nous éclatons tous les deux de rire.

Clémentine m'entraîne dans l'atelier pour y déposer son sac. Elle en tire un classeur et des fiches. Les notes qu'elle a prise ce matin. << Je suis morte de faim ! >> lance t-elle en me tirant par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je fais le service. << Miam ! Tu fais de bonnes salades ! >> dit elle. Je réponds : << Tu m'as bien appris ! >>. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Une distanciation de deux mètres entre les gens dans l'amphithéâtre et le port du masque.

Ce sont deux professeurs venus donner deux cours magistraux. << C'est génial de se retrouver en situation. Dès la rentrée de septembre les cours à la fac reprennent ! Sauf cas contraire évidemment. Les enfoirés sont entrain de nous préparer de nouvelles saloperies pour l'automne. L'invention du variant delta par exemple ! >> confie Clémentine. Je raconte le coup de téléphone de Juliette ce matin. Clémentine veut tout savoir. << Je suis jalouse. Elle appelle quand je ne suis pas là, la salope ! >> dit elle.

Nous en rions de bon cœur. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me donne ses impressions. De se retrouver en situations normales, en faculté, dans un amphithéâtre, avec d'autres étudiants est une chose qui lui a beaucoup manqué. << Estelle est restée avec moi toute la matinée. Elle a ressenti les mêmes émotions ! >> confie Clémentine. J'écoute. Ces cours en ligne, ce télé travail depuis plus d'une année, ce n'était pas vraiment l'idéal.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres. << Rien n'est jamais parfait ! Je serai hyper contente de retrouver les bancs de l'école et hyper triste d'être loin de toi. Mais j'ai toutes les vacances pour m'y préparer ! >> lance Clémentine qui m'entraîne dans un tango. Elle se change. Robe légère. Nous dévalons les escaliers pour sortir un peu. Le ciel est couvert. Là-bas, au-dessus de l'horizon, de lourds nuages sombres s'accumulent. Prêts à nous tomber dessus d'ici ce soir.

Nous descendons jusqu'à la rivière. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte en disant : << Tu seras bien vicelard ce soir, chez Juliette, hein ? J'ai besoin d'émotions, de sensations et de turpitudes intellectuelles ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je promets de faire au mieux. Ça fait plusieurs mois, depuis octobre, que nous n'avons plus passé de soirée avec Juliette. Qu'en sera t-il ? Mystère et Flamiche Picarde ! Je glisse ma main sous sa robe, entre ses cuisses. Clémentine en glousse de plaisir.

Je peux à nouveau glisser mon doigt entre les lèvres pulpeuses de sa vulve avant de l'introduire. Ses "petits machins" de fille sont terminés. << Mmhh, c'est bon ça ! >> murmure t-elle en se cambrant sur ses genoux fléchis pour me permettre le meilleur accès. J'ai la bite à l'air. Je bande comme un salaud dans la main de Clémentine. << C'est comme si on n'avait plus baisé depuis une année ! >> lance t-elle. C'est vrai. Ces quatre heures sans nous voir, tout un matin, agissent comme un véritable aphrodisiaque.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à retourner. En montant le chemin, Clémentine me confie : << Il y a des étudiants qui étaient encore des gamin il y a un peu plus d'un an et qui sont devenus de supers beaux mecs ! >>. Elle rajoute : << Et c'est très excitant ! Tu es jaloux ? >>. Je la rassure. Bien au contraire. J'aime la savoir entourée de stimuli érotiques et sensuels. J'en suis le plus souvent le premier bénéficiaire. Je trouve cette réaction d'une jeune fille de 24 ans très saine.

Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je trouve mon travail de la matinée de très haute qualité. Les mains des trois personnages. Peindre sous une contrainte émotionnelle me permet de me surpasser. J'ai déjà remarqué ce phénomène à la disparition de Christine, mon ancienne compagne, il y a dix ans. L'après-midi se déroule dans cette ambiance studieuse que nous affectionnons.

Dehors, l'orage gronde. Des roulements de tambour. Des éclairs déchirent le ciel. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. Des feuilles de papier à la main, elle se met à déclamer son texte comme le ferait une actrice de théâtre durant une répétition. Elle tourne autour de moi en lisant à haute voix. Je la félicite pour la qualité de ses écrits. C'est une des toutes dernières moutures du travail à rendre mardi prochain. Il y en a un deuxième qui demande autant de célérité.

Clémentine est assise en tailleur dans le canapé. Elle change des mots. Me lit à voix haute. J'aime peindre en l'écoutant parler. Il est 18 h. Je nettoie la palette et les pinceaux. Nous quittons l'atelier pour sortir. Il ne pleut pas mais le ciel est sinistre, menaçant, inquiétant. Nous faisons quelques pas. Clémentine revient sur sa matinée. L'ambiance de la faculté. La joie de se retrouver en situation normale. Le plaisir de retrouver les autres étudiants. De revoir les professeurs. Cela agit comme une thérapie.

Il est 18 h45. Nous rentrons. Nous montons nous changer. Clémentine porte une de ses jupes légères. Carmin. Un chemisier crème. Ses sandalettes à légers talons. Elle garde sa tresse. Sur sa demande, je porte un pantalon de fin coton clair, à pinces et à plis. Une chemise toute aussi légère, crème, mes mocassins de daim beige clair. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> me fait elle en m'entraînant devant le miroir de l'armoire. Nous prenons d'improbables poses en riant.

Nous descendons à toute vitesse. Je récupère la tarte aux noix décongelée depuis midi. Dans son tupperware. Nous prenons la berline. Il y a trois kilomètres jusqu'au haras. Nous garons la voiture dans la cour déserte. Juliette, vêtue d'une robe d'été mauve, aux liserés de dentelles blanches, se précipite à notre rencontre. << Enfin ! >> ne peut-elle s'empêcher de s'écrier. Nous la suivons dans l'escalier pour monter dans son appartement. Au-dessus des bureaux de son entreprise.

Comme elle est belle. Une superbe bourgeoise de 47 ans, brune, athlétique. Absolument "craquante". Clémentine reste tout contre moi comme pour marquer son territoire. Nous voilà assis à table. Devant une délicieuse Flamiche Picarde. Cette tarte aux poireaux qui nous régale. Juliette a adapté la recette en y rajoutant des moules grillées, de fines tranches de saumon grillé. C'est un régal. Nous bavardons. Juliette nous raconte son hiver. La quantité de travail. Les soucis de personnel avec la crise sanitaire.

Nous prenons le dessert. Clémentine est assise à côté de moi dans le confortable canapé. Juliette est installée en face de nous, dans le fauteuil. Les jeux de jambes, tout à fait volontaires, sont d'une exquises finesses. Je bande comme le dernier des salauds. Je fais bouger ma bosse en contractant mes muscles fessiers. Nous sommes tellement contents de nous revoir que l'aspect sexuel passe au second plan. Je vois la culotte de Juliette. Tout en parlant elle fixe ma braguette.

Nous nous reverrons au vernissage, dimanche soir, dans ma galerie. << On se fait un "plan" vendredi soir, tous les trois ? >> propose Juliette. Nous nous regardons. Clémentine lance : << Mais un truc bien glauque alors ! >>. Juliette éclate de rire en disant : << Je prépare une "surprise". 19 h30. Vous venez manger. Et on s'offre une superbe soirée ! OK ? >>. Il est 22 h. Juliette nous raccompagne à notre auto. En rentrant, Clémentine, toute fébrile, jouant avec ma bite, me fait : << Une soirée bien vicelarde. J'en suis sûre ! >>.

Bonne soirée à toutes les coquines qui tout en baisant, font mille plans sur la comète, l'imagination stimulée par l'idée du vendredi soir...

Julien



Classe
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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle" et tous les autres, ne sont qu'autant de pseudonymes.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. La "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique trente troisième page qui nous attend déjà...

Cordialement.



Classe
Homme, 53 ans, France
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Estelle vient nous rejoindre pour la soirée

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. Ce sont les chants des oiseaux et le bruit de la source de l'application "forêt" qui nous réveillent. Clémentine se blottit tout contre moi en gémissant. Pressés par l'impérieuse envie de pisser, nous nous précipitons vers la porte. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse nos oranges, je pèle les kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. Ce repas chez Juliette. Son attitude. Sa joie de nous revoir. Joie partagée. Cette année, Juliette n'a manifesté aucune jalousie en apprenant que c'est Julie qui tiendra ma galerie d'Art. Par principe, dans un de nos courriels, dès le mois d'avril, nous avions proposé à Juliette de la tenir. Clémentine pense que c'est cette proposition qui lui a fait plaisir. Une façon d'anticiper sur un éventuel et inutile quiproquo. De désamorcer...

Il est 6 h25. Nous sortons. Le ciel est emplit de nuages. C'est très exactement la même météo que hier. Une alternance de séquences ensoleillées et de séquences couvertes. Il y a cette fraîcheur humide car le sol est encore mouillé des pluies de la nuit. Nous décidons de courir une nouvelle fois sur la route. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous montons jusqu'au portail d'une bonne foulée. C'est sur le bord de la route déserte que nous pratiquons notre heure de running.

Il est 7 h30 quand nous revenons. La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte sa robe d'été fuchsia. Je porte mon short kaki et ma chemisette hawaïenne. Pressés de sortir encore un peu, nous redescendons à toute vitesse en riant. Il y a une séquence ensoleillée. Dans le doute, ne sachant pas comment seront les conditions climatiques changeantes à midi, nous ne dressons pas la table au jardin. Clémentine propose d'improviser en fonction du temps. C'est judicieux. Les cours en ligne commencent à 8 h05.

Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette vingt huitième toile destinée à ma saison d'été m'accapare rapidement. Elle sera terminée dans l'après-midi. Je peins dans la sérénité. J'entends Clémentine se battre avec un de ses disques externes. Celui consacré à la sauvegarde de ses cours de l'année. Support SSD. Tout fini par fonctionner.

<< Je vais faire une sauvegarde de la sauvegarde ! >> dit-elle. La matinée se passe ainsi. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. En fait, le disque dur consacré à "Time Machine" du Mac, en principe toujours connecté sur le Hub, s'était insidieusement débranché. Plus de peur que de mal. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je fais dorer deux dos de cabillaud à la poêle.

J'égoutte les coquillettes. J'en ai fait en grande quantité. J'en verse la moitié dans un grand plat en terre cuite. Clémentine recouvre du gruyère de Comté qu'elle vient de râper. Je verse sur le tout le mélange œuf, crème fraîche. Clémentine saupoudre d'une bonne couche de chapelure. Je mets au four. Cuisson lente à 180° afin de bien laisser mijoter. Ce sera le repas de se soir. Dehors, il fait beau. C'est dans la véranda que nous prenons notre repas de midi. Il y a une accumulation de nuages dans les cieux.

Nous mangeons de bon appétit tout en parlant de Juliette. De son comportement de hier soir. De la "surprise" qu'elle nous réserve pour demain soir. Il faut préciser que depuis plus de trois ans, Juliette nous en a réservé des surprises. Le lecteur qui suit nos passionnantes aventures depuis mars 2017 sait de quoi il en retourne. Juliette ne ménage pas sa peine lorsqu'il est question de faire des surprises. Nous en rions de bon cœur. Il y a soudain une séquence nuageuse. Tout s'assombrit d'un coup.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait un début d'inventaire des affaires à préparer pour notre départ. L'Ecosse. Nous avons prévu le plan B. Même un retour en catastrophe. << Ces enfoirés nous préparent aux conséquences d'une quatrième vague pour l'automne. Le coup du variant "delta". Il faut se préparer à toutes les saloperies de la part de ces raclures ! >> lance Clémentine. Elle rajoute : << Ça sent la combine bien puante pour octobre ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Le soleil est revenu. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pressés de sortir encore un peu, nous dévalons les escaliers. Nous descendons jusqu'à la rivière. Les eaux atteignent à nouveau un niveau inquiétant. Si cette météo perdure nul doute que le sentier sera à nouveau inondé. Nous longeons le cours d'eau. Clémentine glisse sa main dans ma braguette béante afin d'en extraire une bite mollasse.

Je passe ma main sous sa robe. Qu'il est doux de m'égarer entre ses cuisses. De comparer la douceur de sa peau, la douceur du fin coton de sa culotte. Nous nous embrassons avec passion. J'enfonce doucement la première phalange de mon doigt. Clémentine a ce petit sursaut amusant. Ce réflexe typiquement féminin de la subite pénétration. Elle me tient fermement la queue. Je bande dans sa main. Nous nous arrêtons plusieurs fois pour nous tripoter. Les cours en ligne reprennent à 14 h05.

Il faut songer à retourner. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur. Le second disque dur SSD Samsung a téléchargé la totalité du contenu du premier. Elle a ses écouteurs sur les oreilles. Je lui dépose un dernier bisou. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins animé de la même sérénité que ce matin. J'entends Clémentine converser avec son groupe d'étudiants, avec les professeurs. Il est 15 h quand je dépose la dernière pointe de bleu de cobalt sur la surface de ma toile achevée.

Je nettoie la palette et les pinceaux. Ce n'est pas sans une certaine nostalgie car tout cela ne servira plus avant octobre. Je m'applique "religieusement" à bien nettoyer. Je dépose la toile sur le second chevalet afin qu'elle y sèche jusqu'à mardi. Julie viendra la récupérer pour l'accrocher, toute fraîche, aux cimaises de la galerie. Je fais l'inventaire de mes tubes de peintures, de mon matériel. Les flacons d'huile de lin contenant l'ambre dissous. J'ai un stock de pinceaux pour au moins 10 ans !

Je passe du gesso sur la surface de cinq toiles vierges. En prévision. Cette émulsion d'oxyde de titane dans une résine acrylique offre un des meilleurs apprêt. La peinture y accroche à tout jamais. Presque aussi fortement que sur une préparation au blanc de céruse et à la craie. Avec infiniment moins de risque pour l'inhalation que ce blanc de plomb à "l'ancienne". Je m'affère ainsi. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre en sautillant. Ses fiches à la main, elle m'en fait la lecture.

Tout comme le ferait une actrice de théâtre, Clémentine déclame en tournant dans la grande pièce. J'applaudis. Je la félicite. Je demande : << Cette fois, c'est la version définitive ? Il serait impossible de faire mieux n'est-ce pas ? >>. Clémentine jette les feuilles sur le canapé. Pour simple réponse elle me dit : << Viens, on sort ! >>. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour sortir dans le jardin. Là-bas, au dessus de la forêt, de lourds et menaçants nuages s'accumulent. Comme hier.

Nous descendons jusqu'à la rivière en nous touchant, en nous embrassant. Clémentine, ma bite dans la main, me confie à quel point elle est sereine quand à son travail. Les deux mémoires à rendre pour mardi prochain sont quasiment terminés. La matinée de demain, vendredi, sera consacrée à finaliser ce labeur par un travail commun avec son groupe d'étudiants. Je masturbe doucement Clémentine qui, tout en bougeant son bassin en rythme, ne perd pas un instant le fil de sa pensée.

Il est 18 h15. Nous remontons. La voiture d'entreprise d'Estelle est garée devant la maison d'amis. Nous la découvrons en pleine conversation avec monsieur Bertrand. Notre voisin doit tenir d'amusants propos car Estelle est en plein fou rire. Nous les saluons. Estelle vient se serrer contre moi. Mr Bertrand connaît la nature de nos relations. Il a un regard bienveillant sur l'élan d'Estelle qui reste tout contre moi pour dire : << Louis, j'ai mal au ventre tellement je ris de vos histoires ! >>.

Nous bavardons un peu. Ce qui fait beaucoup rire Estelle nous fait rire à notre tour. Les premiers touristes arrivent jeudi matin. Ils louent le gîte récemment aménagé par notre voisin au-dessus de son garage. Un ravissant petit deux pièces, cuisine, salle de bain. C'est un couple de lyonnais. Ils resteront deux semaines pour visiter la région. Puis ce sera un couple de Belges. Ce sont les anecdotes échangées au téléphone que nous raconte monsieur Bertrand. << Une histoire Belge ? >> lance Clémentine.

<< Savez-vus pourquoi les églises belges sont insonorisées ? >> demande Mr Bertrand. Nous nous regardons. Même si je connais la blague, je fais semblant que non. Mr Bertrand rajoute : << Parce que Jésus crie ! >>. Estelle est pliée de rire. Clémentine aussi. Je fais semblant. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la taille. << Allez, je vous laisse, j'ai encore du boulot au jardin avant qu'il ne se mette à pleuvoir ! >> fait Louis avant de nous saluer pour descendre vers sa propriété.

Nous rentrons. << Le vieux cochon ! Quand j'étais seule avec lui, il me racontait des blagues salaces en se palpant la braguette ! >> nous confie Estelle. Clémentine répond : << Ça ne m'étonne pas. Il fait pareil avec moi. Je me garde ce vieux pervers pour cet automne ! >>. Estelle éclate de rire avant de dire : << Tu m'en laisses un peu ! Sa petite viennoise est fort appétissante ! >>. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle met les assiettes et les couverts sur la table dans la véranda.

Je réchauffe le gratin de coquillettes. Je lave et je coupe en fines tranches, une aubergine, une courgette, des champignons, de l'ail et de l'oignon. Je fais revenir le tout dans le wok. Ce sera le coulis d'accompagnement. On y rajoute des crevettes décongelées à la poêle par Estelle. Les filles évoquent les mémoires qu'elles doivent remettre mardi prochain. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Mes anges, assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, parlent de leurs études.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Il reste du gratin et du coulis de légumes pour demain midi. Il y a un soudain coup de tonnerre. Les filles se serrent contre moi. << Les craintes et les peurs ancestrales ! >> s'écrie Estelle. Je propose d'endiguer ces craintes par un bon léchage de minous. Je ne suis pas obligé de le répéter. Mes deux anges m'entraînent au salon. Nous restons dans l'obscurité zébrée de violents éclairs. Les filles sont vautrées dans le canapé. Je suis à genoux sur les épais coussins.

Combien de fois ne me suis-je pas retrouvé à quatre pattes entrain de leurs bouffer les chattes. Pourtant, il est impossible de m'en lasser. Je commence toujours par Estelle. Quand je ne ne me goinfre pas de cyprine, je suce les clitoris. Quand je fouille les vulves de ma langue exploratrice, les filles se masturbent. Stimulant leurs clitoris en gémissant d'aise. Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre pour la niquer comme elle aime. C'est à dire avec la délicatesse d'un lutteur ukrainien.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment oublier les tracas de leurs études sous les assauts d'une langue, d'une bouche, d'une bite...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1562 -



La soirée inoubliable chez Juliette

Hier matin, vendredi, ce sont les chants de ces oiseaux mystérieux qui nous réveillent. Rapidement suivit du bruit d'une toute aussi mystérieuse source. Tout cela résonne étrangement au fond d'une forêt enchantée. Il est presque six heures. Une fois encore l'application "forêt" nous tire en douceur de nos profonds sommeils. Clémentine se blottit fort contre moi. C'est vendredi, le week-end commence à midi. Il y a tellement d'évènements qui nous attendent qu'elle en est euphorique.

C'est en me tenant par la main que Clémentine m'entraîne aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine, en chantonnant, fait le café. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre soirée de hier. La présence d'Estelle qui nous a laissé vers 22 h. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de la journée. Un programme plutôt chargé mais épatant.

Il est 6 h25. Nous sortons. La fraîcheur matinale s'est accentuée. Le sol est sec. Le ciel est voilé mais lumineux. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Aujourd'hui, c'est le circuit de la rivière où nous réalisons notre jogging. Il est 7 h30 quand nous revenons après un magnifique running. La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte une de ses robes d'été bleu clair à motifs floraux. Je porte le short kaki de hier et la même chemisette hawaïenne. Nous descendons les escaliers.

Nous ressortons encore un peu. Il est presque 7 h50. Le ciel a changé. A présent ce sont des séquences d'ensoleillement qui succèdent à des alternances nuageuses. Le thermomètre extérieur indique à peine 19°. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Clémentine légèrement déconneuse, m'entraîne par la main en sautillant. Toute contente de terminer à midi. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Le télé travail.

Je dépose au sol les toiles à apprêter au Gesso. Je prépare ces supports vierges pour septembre. Il m'en faut un minimum de 25. Ce matin j'en prépare huit. Le Gesso BLOCKX, cette émulsion de blanc de titane dans une résine acrylique, a une odeur plaisante. Il s'applique au pinceau large en deux couches croisées. Cette matière épaisse a la particularité de sécher très vite. De la dureté du marbre, elle reste une des meilleures sous couches. J'aime beaucoup procéder à cette opération ludique.

Il est dix heures quand je mets les vingt sept toiles dans les grands cartons. Ces cartons sont pliés sur des étagères. Il suffit de les déplier pour y disposer huit toiles verticalement. Chacune emballée dans une pochette de papier kraft aux dimensions F-6. (41 x 33 cm). J'aime m'occuper ainsi, avec soin et méthode. Il est 11 h55 quand Clémentine vient sautiller autour de moi. Telle une ballerine qui ferait ses pointes, elle virevolte dans toute la grande pièce. En improvisant des paroles rigolotes.

Nous pratiquons notre danse tribale en sautant l'un face à l'autre comme des singes. En poussant des cris d'animaux qui n'existent pas. C'est ainsi que nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je fais gonfler du riz complet. Je prépare un coulis de tomates dans lequel je rajoute le pavé de saumon décongelé, finement émincé et rissolé à la poêle. J'y mets des cubes de Roquefort qui fondent dans le tout. Clémentine râpe du Parmesan.

C'est dans la véranda que nous mangeons de bon appétit. Dehors, le ciel se couvre inexorablement. Un bien curieux mois de juin après un bien étrange mois de mai. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque notre soirée avec Juliette. Nous sommes attendus pour 19 h15. La tarte aux noix que nous emmenons pour le dessert achève de décongeler depuis ce matin. << A ton avis, la "surprise", c'est quoi ? >> me demande Clémentine.

Je ne sais quoi dire. << Ça va être un truc dans son style, bien glauque et vicelard ! >> rajoute Clémentine. C'est vrai qu'avec Juliette, les supputations sont infinies. Surtout dans son domaine de prédilection. Qui est aussi le nôtre. Le sexe. Nous en rions de bon cœur. Je dis : << << Quelle que soit cette "surprise", je nous encourage à y participer ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de sortir, nous dévalons les escaliers.

Nous récupérons les cartons dans l'atelier. Ils sont volumineux mais légers. J'en prends deux, l'un sur l'autre. Clémentine en prend un sur lequel il y a le sachet qui contient deux toiles. Nous traversons le jardin pour aller mettre les emballages sur le siège arrière de la berline. Nous rentrons pour remonter nous changer. Clémentine porte une jupe kaki légèrement évasée au-dessus du genoux. Un T-shirt carmin. Je porte mon short kaki, une chemisette claire. << Ça fait touristes. Dilettantes anglais en vacances ! >> fait Clémentine.

Nous faisons les pitres devant le miroir de l'armoire. Nous descendons sans cesser nos clowneries. Nous traversons le jardin en sautillant comme des gamins à la sortie de l'école. Nous voilà en voiture. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Il y a une quarantaine de kilomètres jusqu'à la petite cité de caractère. Il est 14 h. Nous avons rendez-vous avec Julie dans la galerie d'Art pour 15 h. Nous disposons donc d'un timing parfait. De lourds nuages s'amoncellent dans les cieux.

Tout en roulant, je glisse quelquefois ma main droite entre les cuisses de Clémentine. << Mmhh ! C'est bon ce que tu me fais ! >> murmure t-elle en serrant mon érection dans sa poigne. Nous garons la voiture sur la place pavée. Les maisons médiévales en granit s'harmonisent à la perfection avec les déclinaisons de gris du ciel. Les toits d'ardoises se confondent avec les nuances des nuages. La circulation est interdite dans la cité. En tant qu'exploitant, j'ai une autorisation.

Julie est déjà là. Nous entrons dans la galerie. Tout sent le nettoyage récent. L'odeur de l'encaustique, du cirage qu'a appliqué Julie sur les parquets. Elle est vêtue d'une jupe en jeans, d'un T-shirt blanc. De baskets. Ses cheveux en natte. Elle se précipite, toute souriante. Nous nous faisons la bise. Je demande : << Mais quand donc avez-vous nettoyé ? >>. Julie éclate de rire. Elle répond : << J'ai terminé hier soir à minuit. Je suis tellement contente de reprendre possession de l'endroit ! >>.

Je la félicite pour son zèle. Je crois n'avoir jamais vu ma galerie d'Art aussi propre, accueillante. Surtout que Julie y a mis des fleurs de son jardin partout. << C'est divin ! >> lance Clémentine aussi impressionnée que moi. Nous sortons pour aller récupérer les cartons. Nous les rentrons. Immédiatement Julie en ouvre un. Nous l'aidons à sortir les toiles. Elles sont rangées par thèmes. Huit natures mortes, huit paysages, huit scènes de genre. Deux scènes de genre en extérieurs.

Je laisse à Julie toute latitude pour présenter les tableaux. Elle est dans sa galerie et agence l'exposition comme elle l'entend. Nous savons pouvoir lui faire une confiance absolue. Nous nous asseyons à la table ronde recouverte d'une nappe bleue nuit. Sur la demande de Julie nous la regardons commencer l'accrochage. Nous restons silencieux et admiratifs. Julie commente ses gestes. Elle commence par les natures mortes. Nous redécouvrons avec étonnement mes peintures.

Il faut déplacer la voiture. Clémentine veut m'accompagner. Nous laissons Julie à ses occupations.Il y en a pour dix minutes. Nous garons la voiture sur un des deux parkings obligatoires à la sortie du bourg. Il y a déjà du monde. Les touristes affluent à partir du début mai. Cette année, à cause des restrictions sanitaires, cette manne financière n'est arrivée qu'au début du mois de juin. Avec cette météo les visiteurs privilégient l'intérieur des terres plutôt que les plages et le bord de mer.

Avant de rejoindre Julie à la galerie, nous prenons trois cônes de glaces. Pistache amande. Nous revenons avec nos délices glacés. Julie, Clémentine et moi savourons nos deux boules de glaces en regardant l'accrochage déjà réalisé. Cette année, Julie tente l'expérience de l'alternance. L'un au dessus de l'autre, une nature morte, un paysage, une scène de genre. << Je vais encore permuter, changer, jusqu'au vernissage de dimanche ! >> précise t-elle. Elle est déjà la maîtresse du lieu. Génial.

Nous passons une partie de l'après-midi avec Julie. C'est passionnant d'être en sa compagnie. Dans son rôle de galeriste, qu'elle prend à cœur au-delà de la simple passion, Julie est une toute autre personne. C'est impressionnant. La fille de 20 ans, timide, réservée et souvent très inhibée, fait place ici à une personne sûre d'elle. Une personnalité double. Le charisme de la galeriste est aussi évident que celui de la jeune étudiante. Il est 18 h. Julie doit y aller. Son job de serveuse l'attend au restaurant de l'étang.

Nous passerons à la galerie demain. Samedi, pour 15 h. Nous serons avec Estelle. Nous marchons tous les trois jusqu'au parking. Nous nous saluons. Julie est redevenue la jeune fille un peu timide. Des bisous. Nous nous revoyons demain. Clémentine me propose de flâner encore un peu à l'extérieur du bourg. Il y aura ce week-end une animation folklorique. Découvrons les préparatifs. Il y a des stands. Des particuliers préparent leurs espaces d'expositions. Leurs animations.

Nous sommes attendus chez Juliette pour 19 h15. Nous ne pouvons nous attarder davantage. Nous voilà en route. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en évoquant Julie. Nous sommes tous les deux fortement impressionnés par la diligence et les qualités de cette étonnante jeune fille. Une fois encore, nous avons placé notre confiance dans une personne qui en est digne. L'infaillible instinct de Clémentine. Il est 19 h15 quand nous garons l'auto dans la cour déserte du haras.

Juliette vient à notre rencontre. Elle est vêtue d'une robe d'été mauve, cintrée qui met en valeur son physique athlétique. Ses longs cheveux noirs qui flottent en liberté sur ses épaules. Souriante. Presque émue de nous revoir, la jeune femme nous invite à la suivre. Nous montons dans ses appartements. Je dépose le tupperware contenant la tarte aux noix sur la table de la cuisine. << Venez, prenez place, tout est prêt ! >> nous fait Juliette. Nous la suivons au salon. Nous voilà confortablement installés.

Nous savourons les crustacés grillés accompagnés de petits légumes de saison. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Juliette viendra au vernissage. << Je déplore de ne pouvoir acquérir une de vos merveilleuses toiles ! Mais, dès que je serai plus riche, je vais m'offrir la plus belle ! >> me fait Juliette. Il est 20 h. << Ça va être l'heure de la "surprise" ! >> nous fait encore la jeune femme. Nous proposons de faire d'abord la vaisselle. C'est rapide. Nous dévalons les escaliers.

La surprise

Juliette nous invite à la suivre. Nous entrons dans l'écurie la plus ancienne. Notre préférée. Il n'y a plus aucun cheval en pension dans ce bâtiment. Tout est rangé, propre, ordonné. L'odeur est très agréable. Nous suivons Juliette jusqu'au dernier box sur la gauche. Nous y entrons. Nos yeux s'habituent rapidement à l'obscurité toute relative du lieu. Là, sur la droite, à environ 80 cm du sol en béton, il y a toujours ce trou dans le mur. Bien des souvenirs sont rattachés à cet endroit. Des coulures sèches juste collées en dessous.

Il y a une épaisse couverture posée au sol, contre la cloison. Pliée en quatre comme une sorte de boudin matelassé. Juliette s'accroupit devant la paroi. Elle glisse son doigt dans l'orifice parfaitement rond d'un diamètre approximatif de cinq centimètres. Clémentine me serre la main très fort. Elle me fait un bisou avant de s'accroupir aux côtés de Juliette. C'est excitant de les voir toutes les deux entrain de scruter par le trou. Presque tête contre tête, joue contre joue. Je me penche au-dessus de leurs cheveux.

Soudain, une bite surgit par l'orifice. Ça me rappelle bien des choses vécues ici. J'hallucine. Juliette avance son visage pour gober ce sexe mou, flasque et ridiculement petit. Clémentine lève la tête pour me lancer : << Gérard ! >>. J'en suis convaincu. Je reste consterné en regardant ce que fait Juliette. Elle taille une pipe. Sans surjouer. Sans en rajouter. Le plus naturellement du monde. Qu'elle est belle à déguster cette queue. Une queue qui reste mollasse quand elle retire sa bouche. Un prépuce plus long que le reste.

Pas l'ombre d'un doute. C'est bien le sexe de monsieur Gérard. Ainsi ce vieux salaud a repris du service. Clémentine me prend la main. Elle se met à genoux sur la couverture. Juliette cesse de sucer. Elle tient le sexe minuscule entre le pouce et l'index pour le tendre à Clémentine. Clémentine me regarde encore une fois. Comme pour avoir mon consentement. Je lui fais un clin d'œil et un signe de tête. Elle ne se fait pas prier. Elle approche son visage pour prendre la bite en bouche.

La bite de cet impuissant de Gérard, de cet incontinent dégueulasse, laisse de beaux souvenirs à Clémentine. Aussi, de se retrouver avec cette queue dans la bouche la rend gourmande. Je me penche pour observer ses expressions de plus près. C'est formidable autant qu'émouvant. Les yeux fermés, immobile, Clémentine exerce de petites succions répétées. Juliette se redresse pour se déplacer. Elle contourne Clémentine qui se positionne bien en face du trou sans cesser de sucer. Comme si sa vie en dépendait.

Cela fait plus d'un an et demi qu'elle n'a plus taillé une pipe à un autre. Je peux constater à quel point cela lui manquait. C'est fantastique. Juliette s'accroupit entre le mur et moi. Elle tire cette extrémité de la couverture pour s'y mettre à genoux. Elle me regarde. Me fait un clin d'œil. Je sors ma bite. Je bande comme un taureau en rut. Je veux l'accord de Clémentine. Sans cesser de pomper, elle regarde ce qui se passe sur sa droite. Elle lève les yeux pour m'adresser un clin d'œil amusé.

Je sais que j'ai le feu vert. J'offre ma queue à Juliette. Elle ouvre la bouche pour gober ma turgescence. Je me fais tailler une pipe des famille par cette magnifique bourgeoise de 47 ans. Cette femme qui me fait fantasmer depuis presque quatre ans me fait à présent délirer. Je me penche pour lui murmurer : << Je l'ai attendu celle-là ! Si vous saviez ! >>. Sans arrêter de sucer Clémentine pousse un gloussement amusé. Elle a une quantité incroyable de foutre qui lui coule soudain de la bouche.

Ce vieux salopard lui balance sa première dose de purée. Clémentine colle ses deux mains sur la paroi, cambrée, elle pompe en poussant de petits cris de ravissement. Je regarde Juliette me sucer avec appétit. Je regarde Clémentine sucer avec gourmandise. Elles poussent toutes les deux de petits cris de surprises. Je pose ma main sur la nuque de Clémentine pour appuyer sa tête contre le mur. Elle a toute la bite dans la bouche. Elle en tousse. Du foutre lui coule des narines.

Je regarde plus attentivement. Elle est entrain de se noyer de pisse. Ce vieux pervers est entrain de pisser. Je maintiens Clémentine afin qu'elle ne puisse se soustraire à mon étreinte. De ma main libre je saisis Juliette par sa tignasse pour lui enfoncer un maximum de queue au fond de la gorge. Elle aussi se met à tousser. Elles poussent toutes les deux les mêmes râles. Je me penche pour leurs murmurer : << Quand deux salopes chantent la même chanson, la musique est au diapason ! >>.

Juliette arrive à se soustraire de mon étreinte pour lancer : << Salopard ! >>. Je lui frotte la bite sur la gueule. Je relâche ma poigne ferme sur la nuque de Clémentine qui peut enfin reprendre son souffle, tenter de déglutir. Son visage est ruisselant de mélange. Je la chope à nouveau. Je retire ma queue de la bouche de Juliette pour l'enfoncer dans la bouche de Clémentine. Elle pousse un cri de surprise. Je lui éjacule au fond de la gorge. A nouveau elle se met à tousser avec des hauts le cœur.

Juliette en profite pour se redresser, fuir de l'autre côté de Clémentine qui avale au rythme de mes saccades. Elle cesse dès que je la relâche. Quelle n'est pas ma surprise de la voir reprendre la bite du vieux en bouche. Elle se remet à sucer comme une hystérique. Je me penche pour lui dire : << C'est ta préférée, hein ? >>. Elle se contente de pousser un gémissement affirmatif. Je veux choper Juliette par ses cheveux. Elle repousse ma main en s'écriant : << Terminé pour moi espèce de saligaud ! >>.

Je frotte ma bite sur la joue de Clémentine qui est retournée à sa fellation passionnée. Les couilles de Gérard doivent dégorger de foutre, de mélange peut-être car des gargouillis résonnent dans le box. Clémentine se goinfre. Je ne l'ai plus vu tailler une pipe à un autre depuis 17 mois. Nous les avons compté tous les deux. Mon bonheur de la voir est aussi intense que le sien. Juliette, comme consciente de ce moment d'une intensité rare, reste à distance. Là, dans l'ombre, dans le coin, elle me fixe.

C'est le regard d'une femme amoureuse. Les sentiments de Juliette ne l'ont pas quitté. Sur l'instant, cela m'effraie. Elle me l'a dit et répété, un jour elle sera ma compagne. Là, dans ce lieu, dans cette situation extraordinaire, je sais que cela sera. Mon sixième sens ne m'a jamais autant signifié une évidence aussi pertinente que ce soir. Clémentine lâche un râle. Un second. Il y a de la jute qui lui coule des narines. Il y a tant de foutre qu'elle ne peut tout ingérer sans en laisser s'échapper.

Juliette, de sa bouche en cœur, mime une bise qu'elle m'adresse. Ses yeux sont emplis d'une tendresse rare chez cette femme dominatrice, au caractère fort et au caractère affirmé. Clémentine, dans un haut le cœur, a un sursaut. L'envie subite de vomir. Il faut dire qu'elle a tant bouffé de foutre ce soir qu'il serait étrange qu'il en aille autrement. Même pour une folle de sperme comme elle. Effectivement, il y probablement de la tarte aux noix collée sur la couverture. Dans un liquide gluant, écœurant.

Elle me regarde comme pour me remercier. Les yeux larmoyants, plein de reconnaissance, elle essuie le bas de son visage. Je lui tends un mouchoir en papier. << Tu t'es régalée ce soir, hein ? >> fait Juliette en se penchant. Je me penche à mon tour pour rajouter : << Tu t'es même payé un "extra" ! >>. Clémentine me tend les mains. Je l'aide à se relever. << Viens ! On s'en va ! >> dit elle. Clémentine a toujours cette réaction après une pipe à un autre. Fuir l'endroit de ses "exactions". Au plus vite.

Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Elle propose à Clémentine de monter se nettoyer dans la salle de bain. Clémentine s'assoit dans l'auto en déclinant l'offre de Juliette. Elle dit : << Passez de bonnes vacances Juliette et merci pour la "surprise" ! >>. Juliette éclate de rire en me prenant le bras. << Occupez-vous bien d'elle. Il faut qu'elle "serve" encore beaucoup ! >> me dit elle. << Salope ! >> lance Clémentine. Juliette me palpe la queue en enfonçant sa langue dans ma bouche.

<< Bon ! Ça suffit là ! >> s'écrie Clémentine qui connaît les sentiments de Juliette. Je la repousse délicatement en disant. << On garde le contact. On se revoit en septembre ! >>. Je la repousse délicatement. << On y va ! >> lance Clémentine. Je m'assois, je démarre. Je n'ai jamais vu une telle expression dans les yeux de Juliette. Une infinie tristesse. << Je suis terriblement jalouse Julien, pardonne-moi, mais c'est la seule femme qui suscite ce sentiment en moi ! >> dit Clémentine.

Nous arrêtons la voiture. Là-bas, dans l'encadrement éclairé depuis l'intérieur de l'écurie, Juliette est debout. Elle semble tenir à la laisse un mec beaucoup plus petit qu'elle. Nous regardons bien. Avec attention. Ça fait longtemps que nous n'avons plus vu monsieur Gérard. Est-ce bien lui ? Clémentine n'a pas l'ombre d'un doute. << Le gout de sa bite dégueulasse ne peut pas me tromper ! >> dit elle. Les silhouettes du type et de Juliette se détachent sur la lumière comme des ombres chinoises. Un coucou de leurs mains levées.

Nous démarrons. << J'ai les conduits du nez qui me brûlent depuis la gorge ! J'ai cette désagréable sensation à chaque fois que j'ai sucé ce vieux salaud ! >> lance Clémentine. Une fois rentrés à la maison Clémentine prend une pomme qu'elle râpe. C'est sa formule pour faire passer le gout acide. A la salle de bain, pour soulager ses sinus brûlants, elle s'enfonce le spray dans chaque narine. Une solution d'eau légèrement salée destinée à soulager les rhumes. Au lit, serrée contre moi, éperdue de reconnaissance, Clémentine s'endort.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se régaler d'une bite bien juteuse, dégoutante et pisseuse, dans des situations glauques...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1563 -



Tous trois réservés - Pour quatre...

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand Clémentine se blottit contre moi. << Bonjour. Je t'aime Julien. Merci pour hier soir ! >> chuchote t-elle à mon oreille. Je murmure : << Je fais de mon mieux ! >>. Rires. Plein de bisous avant que l'irrépressible besoin de pisser ne nous entraîne inexorablement aux chiottes. Vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Un rêve qui avait pour cadre le haras.

Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. J'écoute en riant beaucoup. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les faits les plus marquants de cette soirée "gloryhole". Nous mangeons de bon appétit en évoquant Juliette et son attitude de femme amoureuse. Une attitude qu'elle ne cache même plus. Il est 8 h25. Nous sortons. Quelques mouvements dans la douceur matinale. Le ciel est enfin principalement bleu. Nous portons notre choix sur le circuit de la forêt. Un itinéraire au sol certainement bien sec.

Nous montons jusqu'au portail au petit trot. Nous le laissons ouvert car Julie vient pour neuf heures faire le ménage. Nous courrons d'un bon rythme dans un jogging fort plaisant. Il est 9 h30 quand nous revenons. La Clio rouge est garée devant le garage. Nous montons les escaliers. Le chuintement de l'aspirateur nous parvient depuis l'escalier. Nous prenons notre douche. Nous nous vêtons légèrement. Clémentine porte une de ses robes d'été mauves. Je suis en short kaki, T-shirt carmin.

Nous rejoignons Julie qui est entrain de changer les draps du lit. Elle est toute contente et se précipite pour nous faire la bise. Nous la laissons vaquer à ses occupations. Nous descendons pour aller surveiller nos livraisons. C'est la camionnette des fruits et légumes qui descend doucement le chemin. La même jeune femme en sort en souriant. Du hayon arrière du véhicule elle tire un cageot. Il contient quelques fruits, quelques légumes, mais surtout nos fromages.

Pour notre départ, mercredi, la commande est à son minimum. Nous saluons la livreuse. La commande sera à nouveau "normale" dès le samedi 4 septembre. A peine est-elle partie qu'arrive le "tube" Citroën rénové de madame Marthe, la boulangère. Nous échangeons quelques bons mots. Nous récupérons nos deux grosses miches de pain complet et bio. La brioche au pudding, à la pâte d'amande. Prochaine commande pour le samedi 4 septembre. Nous saluons la dame.

Nous contournons la maison pour passer par la cave. Nous rangeons les fruits sur les étagères. Il faut ruser avant notre départ car nous détestons gâcher de la nourriture. Une miche dans le congélateur d'où je tire un paquet de moules de 2 kg, un paquet de haricots verts et de petits pois. Nous remontons. Julie est entrain de nettoyer la cuisine. Nous ne voulons pas la déranger. Elle fait tout cela tellement consciencieusement. Assises sur mes genoux, au salon, Clémentine allume l'ordinateur.

Deux courriels. Le premier mail de mon oncle Alan qui nous attend pour jeudi soir. Notre appartement au premier étage de leur grande maison Victorienne nous attend à Morningside sur les hauteurs d'Edimbourg. Nous répondons pour confirmer une dernière fois notre arrivée aux environs de 18 h. Le second message est l'œuvre de Juliette qu nous remercie pour la superbe soirée de hier. Elle joint une photo du trou dans le mur. Une amusante attention qui fait rire Clémentine. Juliette nous souhaite bonnes vacances.

Nous nous reverrons en septembre pour de nouvelles péripéties. C'est Julie qui nous rejoint pour faire la poussière avant de passer l'aspirateur. Un bisou. Nous quittons le salon pour sortir encore un peu. Il fait beau. Il fait presque chaud. Nous dressons la table au jardin. Soudain grave, Clémentine se blottit contre moi. << Tu n'es pas jaloux ? Ce que j'ai encore fait hier soir me dégoute ! >> murmure t-elle à mon oreille. Je la rassure : << C'est mon sexe qui est jaloux de n'avoir pas vécu la même chose ! >>.

Nous éclatons de rire. Clémentine rajoute : << Moi, par contre, je n'arrive pas à calmer ma jalousie envers Juliette ! Je me méfie souvent de ses approches. Ce qu'elle t'a fait hier soir, ne calme pas mes inquiétudes ! >>. Je caresse ses joues en disant : << Un jour, Clémentine, tu partiras vers une autre vie. Tu ne seras pas obligée de t'inquiéter pour moi. Tu ne me laisseras pas seul. Cette femme prendra le relai. Aucun cas de conscience qui pourrait te culpabiliser inutilement ! Cela devrait te rassurer ! >>.

Clémentine s'écrie : << Mais ce jour n'est pas prêt d'arriver Julien. Je t'aime comme une folle ! >>. Elle se serre fort en me couvrant le visage de bisous. Je rajoute : << Moi aussi je t'aime comme un fou. Mais je te rappelle que d'ici dix ans j'aurai 64 ans et toi 34 ans ! Ce ne sera plus Oncle Julien mais Papy Julien ! >>. Clémentine fourre son visage contre mon épaule en disant : << M'en fout, j'aime les "vieilles bites ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je fais : << Oui, j'ai encore constaté ça hier soir ! >>.

Il est 11 h30. Julie vient nous rejoindre. Je lui tends la petite enveloppe contenant ses gages. Nous nous revoyons cet après-midi à la galerie d'Art aux environs de 15 h30. Nous la remercions pour le ménage. Julie nous dit : << A partir du 4 septembre, je viens le faire tous les samedis matins ! >>. Je lui dépose une bise sur le front. Clémentine lui prend les deux mains pour préciser : << Tu es notre meilleure amie, pas notre boniche, garde le en mémoire ! On t'aime et on t'apprécie ! >>. Nous la regardons s'en aller.

Elle est attendue pour midi au restaurant de l'étang, chez sa tante, pour assurer le service. Nous rentrons. Clémentine s'occupe de la salade en revenant sur la soirée au haras. Je verse les moules même pas décongelées dans le bouillon. Je jette les haricots verts et les petits pois pas décongelés non plus dans le wok. C'est samedi, on s'en fout. Ce sera bon quand même. Nous sortons le tout sur deux plateaux. Qu'il fait bon de manger de bon appétit à l'ombre de l'épais feuillage de notre noyer.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur ce qui ressemble de plus en plus à un cas de conscience. << J'aime tailler des pipes à des inconnus. Mais l'expérience de hier soir m'a définitivement convertie au gloryhole. Tu n'imagines pas à quel point c'est excitant pour une fille qui aime ça de ne pas savoir qui est le propriétaire de la bite ! >>. Nous en rions de bon cœur. J'écoute amusé Clémentine faire son auto analyse dans plusieurs fous rires.

Elle en vient à notre départ mercredi matin. Il y a encore quelques jours de cours en lignes. Jusqu'à vendredi. Clémentine les suivra sur l'ordinateur dans l'auto, pendant que je serai au volant. Je ris beaucoup en trouvant cela bien improbable. << De toute façon, nous sommes plusieurs étudiants à nous retrouver dans le même cas. J'ai tout prévu, tout défini ! >> dit elle. Je sais que Clémentine ne laisse jamais rien au hasard. Chez elle pas de procrastination. Rien n'est jamais en suspend.

Nous passons en revue les choses principales inhérentes à notre départ. Un inventaire des détails essentiels. Ce qu'il ne faudra surtout pas oublier. Clémentine propose de commencer à préparer les valises dès dimanche soir. Afin de ne rien oublier jusqu'à mercredi matin. Là aussi je sais qu'elle sera infaillible. Nous débarrassons pour tout rentrer. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine mime une fellation.

Après nous être rincé la bouche au dessus du lavabo, tête contre tête, je demande : << C'était la bite à qui cette fois ? >>. Clémentine me fait un bisou avant de répondre : << Mais celle de hier soir, voyons ! Elle était succulente ! Même si j'en ai gardé le gout dégueulasse une partie de la nuit. Mais je crois que c'était surtout en rêve ! >>. Nous éclatons de rire. Nous allons dans la chambre pour nous changer. Clémentine porte une de ses jupes carmins légères et évasées, un T-shirt crème.

Je porte un short à plis et à pinces. Une chemisette crème. Nous prenons des poses ridicules devant le grand miroir de l'armoire. Je tiens Clémentine par la nuque et sous le menton. J'approche son visage du miroir en murmurant : << Regarde cette gueule de salope que tu te trimballes encore aujourd'hui. Tu es monstrueusement belle ! >>. Clémentine se tourne pour m'embrasser avec fougue. << Ta salope à toi ! >> lance t-elle en m'entraînant par la main. Pressés de filer nous dévalons les escaliers.

Il est 13 h45. Voilà Estelle qui entre dans le hall. Son grand sac de sport à la main. Elle se précipite. Nous restons serrés tous les trois, tellement contents de nous retrouver. << Tous trois réservés ! Et sous copyright ! >> lance Estelle que je soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. J'administre le même traitement à Clémentine. Estelle porte une robe d'été légère, cintrée à la taille, boutonnée sur l'arrière. Elle aussi est monstrueusement belle. Je le lui dis.

En traversant le jardin pour aller au garage, Estelle nous fait : << J'ai mes "petits machins" de fille depuis hier ! Ça me fait un peu bobo au ventre ! >>. Nous voilà dans l'auto. << Vous me soignerez de vos potions magiques docteur Julien ? >> fait encore Estelle assise à l'arrière. Je roule doucement. Il y a 40 km jusqu'à la petite cité de caractère. Clémentine joue avec ma queue en racontant notre soirée "gloryhole". << Put-Hein ! C'est toujours sans moi ! >> s'écrie à plusieurs reprises Estelle.

<< En septembre, si ces enfoirés ne préparent pas un nouveau confinement, on va s'en offrir quelques uns ! J'en suis devenue raide dingue ! >> rajoute Clémentine. << Je ne veux pas en rater un seul ! Vous me promettez ? >> lance Estelle. Nous éclatons de rire. Je précise : << N'oubliez pas que nous avons deux gloryholes privés derrière la maison d'amis, dans les portes de l'abri à bois ! >>. Il fait beau. Le ciel est principalement bleu. Il est 14 h45 quand nous garons la voiture sur le parking à l'entrée du bourg.

Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par le bras. Nous attirons bien des regards à traverser ainsi la place pavée. Nos hautes tailles, ces deux sublimes jeunes filles accrochées à moi, nos différences d'âges. Nous devinons toujours ces questions récurrentes. Suis-je le père ? Suis-je l'ami ? Suis-je l'amant ? Nous nous amusons tant de ces situations. Nous prenons des cônes glacés à la boulangerie. C'est une des boutiques à côté de ma galerie d'Art. Les maisons sont toutes du XVI ème siècle.

Julie est toute contente de nous revoir. Elle est entrain d'accrocher des toiles aux cimaises. Nous dégustons nos glaces en admirant l'intérieur et l'agencement du lieu. Julie a mis des fleurs de son jardin partout. << J'ai prévenu ma tante. J'arrête mon job de serveuse demain dimanche, à midi. Je suis galeriste à partir du jeudi premier juillet ! >> lance Julie. Estelle l'entraîne dans une farandole en disant : << Tu nous racontes tous par textos ou par mails ! On veut tout savoir ! >>.

Bien évidemment, c'est programmé. La période de grosse affluence touristique bat son plein entre le 14 juillet et le 15 aout. Mais les acquéreurs de mes tableaux sont rarement des touristes. Qui peut mettre une telle somme sur un coup de cœur dans une toile durant ses vacances ? Je connais bien le profil des amateurs d'Art. Ce sont souvent des plaisanciers fortunés qui viennent choisir une nouvelle œuvre pour leurs collections. Ou alors les habitués qui sont résidents à l'année.

De toute façon, comme tous les ans, c'est durant le vernissage que les connaisseurs se font réserver les tableaux qu'ils viennent d'acquérir. La plupart ont la gentillesse de laisser ces toiles jusqu'en septembre pour ne pas trop dépouiller les cimaises. Nous reviendrons demain vers 16 h pour la mise en place du vernissage. Il y a dix sept invités. Des notables de la régions, des collectionneurs, des amis de longues dates et de vieilles connaissances. Il y aura Juliette. Julie insiste pour s'occuper de tout. Elle est "chez elle" !

<< Tu viens aux toilettes avec nous ? >> demande Estelle à Julie. Estelle qui m'entraîne par la main dans l'arrière boutique. Il y a là une petite cuisine équipée, une petite salle de bain et un cabinet de toilette. Un réduit pour ranger les affaires de nettoyage, les stocks de papier cul, sopalin, gobelets en plastique, serviettes et autres nappes en papiers. Julie consulte Clémentine du regard. Clémentine qui dit : << On y va tous les quatre ? >>. Le cabinet de toilette n'est pas prévu pour un quatuor !

Je suis debout devant la cuvette. Estelle serrée contre moi sur ma droite me tient la queue. Clémentine et Julie se coincent contre le mur qui nous fait face. Il y a le silence. Je bande. Impossible de pisser devant ces trois superbes coquines. C'est trop excitant. Clémentine me fait un clin d'œil. Julie n'ose pas soutenir mon regard. Elle me jette un rapide coup d'œil vicelard avant de baisser les yeux pour observer les doigts d'Estelle qui décalotte mon sexe. << Regardez ! C'est du Parmezob ! >> fait elle.

Je suis terriblement gêné. Cette pâte fromageuse qui colle tout autour, sous mon gland, une fois la peau du prépuce complètement retroussée. C'est toujours sur la demande de Clémentine que je laisse le smegma s'accumuler sous le prépuce. Elle adore en savourer la matière odorante. Ça nous monte d'ailleurs au nez. << Pouah ! la puanteur ! >> lance Julie en se pinçant le nez. C'est surtout pour se ressaisir que Julie, à nouveau complètement déstabilisée devant cette situation, prononce ces mots.

Je voudrais pisser. Je dois pisser depuis la vaisselle. J'ai beau me concentrer. Mon érection est telle que cela m'est interdit. Pourtant, dans le doux concert des respirations de mes trois voyeuses, je me concentre. J'ai des décharges électriques dans la colonne vertébrale. Des spasmes secouent tous mon corps. C'est hyper excitant d'être ainsi exposé. << Julie, tu n'as pas envie de lui tailler une pipe à notre bon Julien ? Il t'offre quand même un super job d'été. Hyper bien rémunéré ! >> lance Estelle.

Cette question me gêne terriblement. Je déteste toute forme de chantage. Je m'empresse de le préciser : << Julie, ce n'est ni une invitation, ni autre chose ! Estelle aime bien déconner ! >>. Estelle éclate de rire avant de dire : << C'est nouveau ça ! Notre docteur Julien ne pratique plus sa thérapie de choc ? >>. Nous éclatons tous les quatre de rire. Sous l'effet des secousses qui m'agitent, je peux enfin lâcher un jet. Estelle s'écrie : << C'est génial. Je sens passer la pisse, comme en arrosant le jardin ! >>.

Je regarde Julie. Toute rouge, hyper gênée, elle mâte. Clémentine passe son bras autour de ses épaules. Comme pour la rassurer. Protectrice. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Elle contraint ma queue vers le bas. C'est presque douloureux. Heureusement que je débande un peu. Ça me soulage la vessie. C'est agréable. Avec Clémentine nous nous amusons souvent à retenir nos envies de pisser jusqu'aux extrêmes limites du supportable. Estelle s'accroupit avec difficulté dans le cabinet exigu.

Entre chaque dernière giclée de pisse, elle suce. Je regarde la concentration extrême de Julie, penchée en avant, qui ne veut rien perdre de ces instants. Elle a une expression de dégout à chaque fois qu'Estelle suce. Estelle qui ouvre sa bouche pour montrer ce qu'elle tire de ses pompages vicieux. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Julie se redresse en disant : << C'est fou ! >>. Estelle rajoute : << C'est surtout délicieux ! >>. Clémentine précise : << Il y a du foutre qui se mélange à la pisse ! >>.

Clémentine contourne la cuvette en se frottant contre le mur. Elle s'accroupit à son tour. Estelle et Clémentine se refilent ma bite. Julie, son visage entre les mains, comme consternée, hallucinée, contemple ce spectacle. Je tiens mes deux anges par la nuque. J'enfonce bien ma bite dans la bouche de celle à qui j'appuie sur la tête. Julie n'ose pas affronter mon regard. Coincée entre le mur et la cuvette, elle ne peut fuir. Je tends mon bras. Je passe mon doigt sur sa main qui tient sa joue.

Elle ose enfin me faire un rapide sourire. Elle est toute rouge. Des gouttes de sueur perlent sur le bout de son nez. Je dis : << A chaque fois que vous viendrez aux toilettes cet été, vous penserez à ces instants, Julie ! Cela vous permettra quelques belles évasions ! >>. Julie répond sans oser me fixer : << Quelques belles émotions aussi ! >>. Clémentine qui se redresse, rajoute. << Quelques belles masturbations solitaires entre deux visiteurs ! >>. Estelle se redresse. Elle essuie ma queue avec un morceau de papier cul.

Elle m'entraîne par la bite. Nous sortons du cabinet au grand soulagement de Julie. Nous devinons l'oppression à laquelle elle vient de se soustraire. Pourtant, nous savons que ces situations de vices intenses ont toute sa préférence. Avec les filles aussi. Car la relation sexuelle qu'elle entretient avec Anne-Marie, sa tante, fait partie de sa vie actuelle. Le voyeurisme dont elle est une passionnée vient parfaite la libido de cette jeune fille de 20 ans. Future tenancière de ma galerie d'Art pour ces deux mois d'été.

Il est presque 17 h30. Je propose de réserver une table au restaurant de l'étang. Ainsi nous pourrons rester à proximité de Julie. << Je note ! Trois places ! >> lance Julie toute contente qui s'empare de son téléphone pour appeler Anne-Marie. La réservation est effective. Nous sommes prioritaires. << Voilà ! C'est fait ! >> s'écrie Julie qui a repris toute sa maîtrise. Estelle, Clémentine et moi, nous sommes installés à la petite table ronde. Nous regardons Julie accrocher des toiles. Les décrocher, hésiter, accrocher à nouveau.

Pas un seul instant nous interférons dans le processus. C'est sa galerie pour deux mois. C'est elle la "patronne". Estelle me tient la bite. La table me cache de la vitrine depuis laquelle certains touristes observent. Il y en a même qui tentent déjà d'entrer. La porte est évidemment fermée. Nous passons là un excellent moment. Julie est parfaitement à l'aise. Elle commente ses choix. Cette jeune fille est attractive autant qu'attachante. Je tiens mes deux anges par les épaules. Nous assistons là à un véritable spectacle.

Il est 18 h. Julie va être obligée d'y aller. Elle prend son service pour 19 h. Mais il y a la mise en place à 18 h30. Nous la raccompagnons jusqu'au parking. << A tout à l'heure ! >> lui fait Estelle en lui déposant une bise sur la joue. Clémentine fait pareil. Je dépose mon bisou sur son front. Julie ne peut s'empêcher de laisser ce cri lui échapper : << Je suis tellement heureuse avec vous ! >>. Un dernier coucou. Nous retournons flâner un peu sur la place. Visiter les différents commerces. Tous les ans, il y a de nouveaux exploitants.

Les locations se font pour six mois. Tous les ans il y a de nouvelles tentatives, de nouvelles expériences. Principalement des jeunes couples qui viennent tenter leurs chances. Souvent de l'artisanat. Pas toujours très original. Pas souvent très "classe". Parfois même de pâles copies de qui se fait déjà ici. Clémentine nous dit : << On sait déjà qui ne reviendra pas l'an prochain ! >>. Nous avons réservé pour 20 h. Il y a une vingtaine de kilomètres par la petite départementale. Il est 19 h30. Nous retournons à la voiture.

Bonne soirée à toutes les coquines à qui des situations bien vicelardes ont ouvert l'appétit. Des plateaux de fruits de mer les attendent...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1564 -



Un dimanche avec de beaux rebondissements

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par le souffle chaud d'Estelle contre mon visage. Il y a quelque chose de très animal dans cette situation. Toute la nuit Estelle est restée contre moi. En épousant chacun de mes mouvements. Lorsqu'elle a ses "petits machins" de fille, Bunny Boy, son petit lapin en peluche, est coincé dans sa culotte. C'est amusant. Je m'étire. Elle glisse sa main dans mon slip pour se saisir de mon érection naturelle. Clémentine se réveille à son tour pour venir se blottir.

Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Il est neuf heures. Estelle se lève la première pour filer vers la porte. Nous nous habillons. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Vêtus de nos T-shirt, d'un simple short, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans l'odeur du café, du pain grillé et de la brioche. Estelle me palpe le paquet en disant : << C'était génial hier soir au restaurant. Merci Julien ! >>. Je la soulève. Je la fais tourner.

Elle me couvre le visage de bisous. J'administre toujours le même traitement à Clémentine. Il faut être équitable dans la douceur et la tendresse. Nous prenons un bon petit déjeuner en revenant sur notre après-midi. La galerie d'Art, Julie, la soirée au restaurant. Ce dimanche sera tout aussi riche en évènements. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Le dimanche pas d'entraînement. Assises sur mes genoux, les filles font le programme de la journée.

Nous sortons. Il y a du soleil. Le ciel est toutefois encombré de nuages. Il fait lourd. L'humidité qui montre du sol mouillé est assez désagréable. Il y a eu de la pluie cette nuit. Nous descendons jusqu'à la rivière. Estelle n'arrête pas de me palper, de me toucher. J'adore quand elle le fait aussi vulgairement qu'aujourd'hui. Nous longeons le cours d'eau en flânant. Il faut marcher l'un derrière l'autre. Estelle se retourne souvent pour me toucher, me faire une bise. Fouiller ma bouche de sa langue.

A chaque fois je me retourne pour faire la même chose à Clémentine. Voilà le soleil qui disparaît. Il y a ces incessantes alternances de séquences couvertes ou ensoleillées. Nous arrivons au vieux lavoir. Nous sommes assis sur le muret du bassin vide. Je suis entre mes deux anges. Nous restons serrés en parlant de nos vacances. De notre départ ce mercredi matin. Distribution de bisous. << On va être comme ça tous les jours. Ensemble durant deux mois ! C'est génial ! >> lance Estelle.

Nous prenons le sens du retour. Nous arrivons à la maison pour 11 h30. Nous montons nous changer. Estelle et Clémentine portent exactement la même robe fuchsia. Sur la demande de Clémentine je porte un short de coton beige, à pinces et à plis. Une chemisette beige clair. Nous prenons des poses ridicules devant le grand miroir de l'armoire. Il faut y aller. Nous sommes attendus pour midi. Nous dévalons les escaliers. J'aime voir leurs nattes remuer en rythme dans leurs dos.

Nous voilà dans l'auto. Il y un peu plus de trois kilomètres jusqu'au bourg. Estelle est assise à l'arrière, ses mains dans mon cou. Clémentine joue avec ma queue. Je gare la voiture dans la descente du garage. C'est Yvan, vêtu comme moi, qui vient nous accueillir. Le papa d'Estelle est tellement content de nous revoir. Estelle se serre contre lui. Clémentine me prend le bras. Nous les suivons pour entrer dans la maison. Michèle vient à notre rencontre. La maman d'Estelle est absolument superbe.

Elle est vêtue d'une robe d'été cintrée à la taille. Nous nous touchons les mains, poings contre poings. Je remarque son rapide regard vers ma braguette correctement refermée. Nous passons au salon. Nous voilà confortablement installés autour de la table ovale. Ce sont des plateaux de fruits de mer livrés il y a une demi heure par le traiteur du bourg. C'est un réel délice. Nous mangeons de bon appétit tout en parlant de nos vacances. Cet été nous passerons quatre jours ensemble, tous les cinq.

Nous traînons à table. Nous avons ramené une de nos tartes aux noix. Au dehors, à chaque fois que le ciel se couvre, il est plus sombre. Nous faisons la vaisselle ensemble, tous les cinq. Nous rions beaucoup. Yvan est plein d'humour. Michèle, plus réservée pose des questions sur l'Irlande à Clémentine. Estelle ne quitte pas son papa. Hormis le sexe bien évidemment, je retrouve les mêmes attitudes qu'elle a avec moi. C'est touchant. Je suis ému. Je le remarque plus précisément encore aujourd'hui.

Nous sortons sur la grande terrasse. C'est la véranda dont toutes les baies vitrées sont ouvertes vers le haut. << Akena, la reine des vérandas ! >> lance Yvan en parodiant la célèbre publicité et en imitant Stéphane Bern. Je surprends à plusieurs reprises le regard furtif de Michèle sur ma braguette. Dois-je là aussi comprendre un "message" ? Je suis prêt à profiter de la moindre opportunité pour lui montrer mon sexe. Je l'ai déjà fait deux fois. Visiblement elle n'en a parlé à personne.

L'occasion se présente lorsque je l'accompagne à la cuisine avec les coupes de glaces vides. Estelle, Clémentine et Yvan sont vautrés dans les fauteuils extérieurs. Je sors rapidement ma queue. Je bande mou. Michèle me tourne le dos, penchée en avant, entrain de disposer les coupes dans le lave vaisselle. J'ai la furieuse envie de poser ma main sur son super cul. Je tiens ma bite à sa base, entre le pouce et l'index. Michèle se retourne. Je suis certain qu'elle savait ce que j'allais faire.

Elle fixe mon sexe. << Ça faisait longtemps ! >> dit elle à voix basse. Nous écoutons tous les deux. Le bruit des voix depuis la terrasse nous rassure. Je fais : << Oui, trop longtemps ! J'adore vous mettre dans l'embarras, Michèle ! >>. Elle ne cesse de contempler ma bite qui durcit, qui grossit. << Un jour il faudra que j'y goute ! >> murmure t-elle. Je suis consterné par cette phrase. Michèle rajoute : << En Ecosse peut-être ! Qui sait ! >>. Je ne sais quoi dire. Je remballe. Mon cœur bat la chamade.

Nous rejoignons les autres. Clémentine me fait un clin d'œil. Estelle me lance un regard très sévère. Nous restons à bavarder avant de descendre l'escalier du perron. Nous faisons quelques pas en prenant le chemin qui s'éloigne vers la forêt, là-bas, à 300 mètres. Estelle reste contre son papa. Clémentine reste à mon bras. Michèle anime la conversation en parlant des préparatifs pour l'Irlande. << C'est la première fois que nous quittons la France pour le Nord ! >> précise t-elle.

La plupart de leurs vacances depuis plus de 20 ans se passaient chez la mamie d'Estelle, dans le Var. Il y a eu les Alpes, la Corse, le pays Basque et ses paysages enchanteurs. L'Espagne. L'Italie. Il est 16 h30 quand nous revenons. Il n'y a aucune autre occasion de montrer mon sexe à Michèle. Les regards discrets qu'elle me lance par en-dessous, sont suggestifs et ne laissent aucun doute sur la nature de ses pensées. Clémentine me chuchote à l'oreille : << Telle mère, telle fille ! >>.

Nous invitons les parents d'Estelle au vernissage de la galerie d'Art à 19 h30 ce soir. Ils sont flattés. Nous en avions déjà parlé. Nous les quittons en leurs disant : << A ce soir ! >>. Je ne sais pas si c'est délibéré ou un simple réflexe mais Michèle fait une bosse contre l'intérieur de sa joue avec la langue. Je baisse les yeux, terriblement gêné par cette demi seconde de vice. Je ne suis pas certain que ce soit un acte conscient. Nous voilà dans la voiture pour retourner à la maison.

Je raconte ce que j'ai fait à la cuisine. << Mais je t'interdis de faire de l'exhibitionnisme devant ma mère ! Put-Hein mais tu es le roi des pervers ! >> s'écrie Estelle. Nous éclatons de rire. Clémentine dit : << Julien ne s'adresse pas à ta mère mais à la femme qu'elle est ! >>. Estelle fait mine de m'étrangler. Les dents serrées elle rajoute : << Vieux salaud ! Je t'arrache les couilles avec les dents ! >>. C'est en rigolant comme des bossus que nous arrivons pour 17 h.

Nous montons nous changer. Estelle et Clémentine portent une robe qui leurs descend sur le mollet. Ce qui rend leurs silhouettes encore plus filiforme. Des sandalettes à légers talons. Estelle n'arrête pas de me serrer le paquet avec force. A chaque fois elle dit : << Ignoble salaud ! >>. Sur la demande de Clémentine, je porte un pantalon clair, léger, à pinces et à plis. Une chemisette claire. Mes mocassins clairs. Nous faisons les clowns devant le grand miroir de l'armoire. Nous descendons.

Dans les sacs, des bouteilles de jus de fruits, de l'eau gazeuse, des petits salés, cacahuètes, noix de cajou, chips. Chacun prend un sac. Nous traversons le jardin sous les premières gouttes de pluie. Nous recherchons nos parapluies. Nous voilà partis. Il y a une quarantaine de kilomètres jusqu'à la petite cité de caractère. Nous restons sur les deux départementales afin de rouler peinards. Je ne suis jamais pressé en voiture. Je déteste rouler vite. Je suis même souvent en-dessous des vitesses autorisées.

Nous arrivons pour 18 h45. Nous garons la voiture sur le parking obligatoire. L'affluence touristique a commencé. Nous prenons les sacs. Il ne pleut plus. C'est parfait. Il y a même une agréable fraîcheur de fin d'après-midi qui s'installe. Nous rejoignons Julie à la galerie. Comme elle est belle et élégante. Elle se précipite pour nous ouvrir et nous faire des bises. Clémentine lui prend les mains pour la faire tourner. << Mais tu es sublime ! >> s'écrie t-elle. Estelle rajoute : << Tu es superbe ! >>.

Julie porte une jupe bleue nuit, légèrement évasée au-dessus du genoux. Un chemisier de satin bleu clair. Le contraste est agréable à l'œil. Des souliers à légers talons. Ses cheveux flottent en liberté jusqu'au milieu de son dos. << Tu vas faire des ravages ce soir ! >> lance encore Estelle. Julie, très gênée, répond : << J'ai toujours du mal avec les "déguisements" ! >>. Nous en rions de bon cœur. Sur la planche posée sur les deux tréteaux, il y a déjà la nappe en papier blanc. Préparée par Julie.

Nous disposons les cacahuètes, les chips, les noix de cajou, les bouteilles et les gobelets. Julie a ramené encore davantage de fleurs de son jardin. Il y a une odeur de lilas partout. C'est un diffuseur d'arôme discrètement posé sur le rebord de la haute cheminée médiévale. Nous découvrons la présentation définitive de mes toiles. Un agencement décidé par Julie, maîtresse des lieux pour plus de deux mois. Elle ne peut cacher le profond bonheur qui l'habite. Elle en témoigne par une attitude joyeuse.

Il est 19 h15. Les premiers invités arrivent. Il y a mon vieil ami Robert qui est également mon notaire depuis vingt cinq ans. Sa délicieuse compagne un peu maniérée mais si drôle. Il y a le docteur et sa femme. Le pharmacien et sa compagne. Le directeur de l'Hôtel du Parc. Le président du conseil général et son épouse pincée. Le procureur du tribunal de grande instance et sa jeune compagne indienne. Tout le monde se réjouit toujours pour cette festivité annuelle. Juliette, réservée et discrète.

Bien évidement, Estelle, Clémentine et Julie se font draguer discrètement par certain de mes collectionneurs. Les parents d'Estelle arrivent. Eux aussi connaissent quelques invités. Notamment le président de la Chambre de Commerces et d'Industries du département. Un homme plein d'humour dont l'épouse a déjà fait réserver le tableau choisi. << Une nature morte qui ira fort bien dans le petit salon ! >> dit elle en exagérant son accent british. A nouveau, le regard furtif de Michèle sur ma braguette.

Tout ce beau monde rit avec le bras automatique sur les cacahuètes qui remportent ce soir un franc succès. Dix toiles sont payées, réservées. Clémentine, en femme d'affaires avertie, s'est occupée des rapides transactions. Huit toiles resteront dans la galerie jusqu'en septembre afin de ne pas vider prématurément les murs. C'est très gentil de la part des acquéreurs. Il est 20 h45 quand nous nous retrouvons juste avec les parents d'Estelle. Nous bavardons encore un peu.

Julie me félicite. << Déjà dix toiles de avant même l'ouverture officielle de la galerie jeudi premier juillet ! >> dit elle. Je précise que ce phénomène est récurrent depuis plus de 15 ans. << Les petits malins se réservent leurs acquisitions ! >> rajoute Clémentine. Il est 21 h15 quand nous fermons la galerie. Nous traversons la place pavée. Il y a plein de touristes aux terrasses protégées de bâches. Nous nous séparons sur le parking. Estelle, Clémentine et moi, arrivons à la maison pour 22 h15.

Bonne soirée à toutes les coquines qu'un vernissage dans une galerie d'Art, en compagnie de "coquins" dragueurs a bien échaudé...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1565 -



Julie vient nous livrer et passer la soirée avec nous

Hier matin, lundi, il est presque six heures quand le chant des oiseaux, le bruit de la source, nous tirent de nos profond sommeil. L'application "forêt". Clémentine vient se blottir contre moi. Quelques papouilles. Nous nous levons, la tête encore dans le sac, pour aller aux toilettes. Vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. C'est étrange d'entrer dans la cuisine sans y retrouver Estelle. Elle est rentrée hier soir, après le restaurant. Clémentine fait le café en me racontant son rêve.

Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Les tranches que j'ai placé dans le grille pain sont éjectés dans un claquement sec. Le lundi matin il reste toujours encore de la brioche. Mise au micro onde elle parfume toute la cuisine. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en évoquant Estelle. A partir de mercredi, nous serons tous les trois ensemble jusqu'au début septembre. Nous mangeons de bon appétit en parlant de Julie qui vient nous rejoindre en soirée.

Il est 6 h25. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur humide. Le ciel est nuageux. Menaçant. Le sol est encore mouillé des pluies de la nuit. Nous courons en petites foulées. Nous montons jusqu'au portail. Aujourd'hui ce sera jogging sur bord de route. Pour éviter la boue. Les "marécages" comme les appelle Clémentine. Il est 7 h30 quand nous revenons après un bien agréable running. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons léger.

Il est 7 h50 quand nous sommes à nouveau dehors. L'amoncellement de nuages laisse quelquefois percer un coin de ciel bleu. Ce bleu qui commence sérieusement à nous manquer. Les cours en ligne reprennent à 8 h05. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'étale la grande bâche au sol pour y disposer une dizaine de toiles vierges. Ce sont les dernières du stock. J'en ferai venir par commande dès septembre.

A l'aide d'un pinceau plat, j'enduis les surface de Gesso. Le pigment blanc de titane en suspend dans une émulsion d'acrylique est un plaisir à étaler. Son odeur n'est pas sans rappeler les nouveaux cartables quand nous allions à l'école communale. << Une odeur de vacances ! >> lance Clémentine. C'est vrai. Je pratique ces enductions avant chaque départ et en fin de saison. Il y a deux couches croisées sur chaque surface blanche immaculée. Cette matière sèche très vite. C'est parfait.

Il est dix heures lorsque je termine ce travail méticuleux. Il me restera à poncer ces supports pour les rendre aussi lisses que l'ivoire. Je ferai cela en extérieur pour ne pas déranger. Hélas, avec la pluie qui s'est remise à tomber, cette opération ne sera possible que dans la véranda. Un dernier bisou à Clémentine qui revient des toilettes pour sa pause de 10 h. Je dispose les toiles sur la table protégée d'une vieille couverture. Je ponce au papier de verre. Gros, moyen et grains fins.

Il est 11 h45 quand je ramène les toiles soigneusement préparées. Je les range à la verticale sur l'étagère du haut, au fond de l'atelier. Il est 11 h55. Clémentine vient me rejoindre. Elle m'entraîne dans une valse tout autour de la grande pièce. C'est ainsi que nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je fais dorer deux filets de colin à la poêle après les avoir enduit de moutarde à l'ancienne. Je rajoute, ail, échalote.

Je verse les coquillettes dans l'eau bouillante dans laquelle Clémentine vient de rajouter du bouillon végétal. Cela parfume agréablement les pâtes. Je retourne les filets de colins. Je coupe la cuisson. Je verse un petit pot de crème fraîche. Je couvre d'un couvercle. Le temps d'égoutter les coquillettes. De les verser dans un plat en terre cuite. Clémentine recouvre le tout d'une couche de gruyère de Comté qu'elle vient de râper. De la chapelure. Elle met au four préchauffé depuis le début de la préparation.

Nous dressons la table dans la véranda. J'ai soigneusement rangé et aspiré la poudre blanche du Gesso. Aucune trace de mes "exactions". Nous commençons toujours par la salade. Il est important de tapisser l'estomac de crudités. Diététique. La sonnerie du four. Nous allons chercher les plats. Nous nous faisons plein de bisous. << Je ne te quitte pas d'un mètre ! >> me dit Clémentine. Nous mangeons de bon appétit. Dehors, il ne pleut plus. C'est à nouveau une séquence plus lumineuse. Sous un ciel laiteux.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine évoque notre départ. L'inventaire de tout ce qu'il ne faut pas oublier. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous passons dans la chambre. Je monte sur l'escabeau. Je descends les deux grosses valises à roulettes du dessus de l'armoire. Un peu de poussière sur la bâche qui les recouvrait. Ouvertes sur le lit, Clémentine en caresse les fonds et les parois. << C'est si doux ! >> dit elle. Elle rajoute : << De partir en vacances ! >>.

Nous en rions de bon cœur. Debout devant l'armoire ouverte, Clémentine me tend les premiers vêtements qu'elle en tire. Je suis chargé de les ranger sans les déplier, sans les froisser, dans les valises. Je m'applique avec soin. Comme toutes les femmes, Clémentine emmène des vêtements qu'elle ne portera pas. Qu'elle ne pourra pas porter. Nous ne partons que deux mois et elle en emmènera pour six mois. Cela m'amuse toujours beaucoup. Deux valises avec ses affaires. Une valise avec les miennes.

C'est une activité ludique. Nous bavardons. Nous nous faisons plein de bisous. Il est 13 h45. Les deux valises de Clémentine sont prêtes. Une doit rester ouverte pour y placer tout ce qu'elle pourrait encore y mettre jusqu'au départ. Nous ferons la mienne ce soir ou demain. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Nous descendons en faisant les clowns. Clémentine, qui porte une de ses robes d'été légère, prend ma main pour la glisser entre ses cuisses. << Tu n'as pas procédé aux contrôles d'usages ! >> dit elle.

Nous nous embrassons comme des fous. Je passe mes doigts entre l'élastique de sa culotte pour jouer avec les lèvres charnues de sa vulve. Je murmure : << Durant toutes ces vacances, je vais procéder à d'incessants contrôles ! >>. Clémentine glisse sa main dans la braguette ouverte de mon short en chuchotant : << Moi aussi, tu auras droit à de véritables inspections plusieurs fois par jour ! >>. C'est en éclatant de rire que nous retournons dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles.

Comme à chaque fin de saison, je vais nettoyer tous mes ustensiles, mon matériel. Je commence par retirer toutes les choses sur chaque étagère pour y passer une éponge humide. Je dois même changer le joint en caoutchouc du siphon sous le petit lavabo de l'atelier. Je ne suis absolument pas bricoleur. Quand je change une ampoule, je suis capable de me faire un trou dans le pied. Que l'on ne me demande pas comment, je ne le sais pas non plus. Pourtant, changer un joint est d'une facilité déconcertante.

Durant sa pause de 15 h30, avant d'aller aux toilettes, Clémentine vient me palper le paquet par derrière. Je suis à quatre pattes sous le lavabo à terminer la besogne. << J'ai la visite d'un plombier cet après-midi ! Voyons voir s'il a tout son matériel ! >> fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Je fais un essai. Je me félicite. C'est étanche. Ouf ! L'atelier est propre. Les étagères soigneusement rangées. J'ai tout inventorié. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre en sautillant.

<< Installe toi. Tu écoutes bien. Tu me dis ce que tu en penses ! >> dit elle en me faisant tomber dans le canapé. C'est un grignotant un carreau de chocolat noir que j'écoute. Telle une actrice de théâtre, Clémentine, ses feuilles à la main, marche dans la grande pièce en déclamant son texte. Ce sont les deux mémoires qu'elle doit remettre demain matin. Documents en PDF qui seront envoyés dès 10 h. J'applaudis à chaque fois que Clémentine termine la lecture d'une page. Il y en a vingt. Deux fois dix. Séparées.

<< Alors ? >> me demande t-elle en buvant une gorgée d'eau après avoir tant parlé. Je réponds : << Que pourrais-tu proposer de mieux ? C'est parfait. Tu sais que je suis sincère. Tu vas avoir un satisfecit de chacun de tes professeurs ! >>. Clémentine jette ses feuilles sur la desserte à côté de mon chevalet. Elle m'entraîne dans une danse tribale. Nous poussons des cris d'animaux qui n'existent pas tout en faisant les bonobos. C'est ainsi que Julie nous surprend en arrivant. Des chimpanzés.

Nous lui avons demandé de faire comme si elle était chez elle. De venir quand elle veut. De ne plus se sentir obligée de prévenir. << Comme nous sommes ta seconde famille, comporte toi comme en famille ! >> lui a dit Clémentine à plusieurs reprises depuis quelques jours. Julie est radieuse. Magnifique. Ce changement de vie lui réussit vraiment bien. De l'étudiante en Lettres Modernes, de la serveuse de restaurant en soirée, elle s'apprête à devenir responsable d'une galerie d'Art !

Des bises. << Viens ! >> lance Clémentine en l'entraînant dans nos imitations de singes fous. C'est la première fois que nous voyons Julie se lâcher dans des expressions corporelles frisant la démence. Nous rions aux éclats. Il est 18 h30. Nous quittons l'atelier. Nous sortons. Il ne pleut pas. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. De la voiture de Julie je sors la grande boîte isotherme qui contient nos repas de ce soir et de demain midi. Nos commandes. << Ma dernière livraison. Elle est pour vous ! >> lance Julie.

Clémentine s'empare du grand sac en papier kraft. Il contient nos salades. Nous nous dépêchons de rentrer sous quelques gouttes. Les feuillantines au crabe sont encore très chaudes. Julie dresse la table dans la véranda. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant les salades. Julie porte une robe légère boutonnée sur l'arrière. Déboutonnée jusqu'au haut des cuisses. C'est superbe. Je la félicite. Un peu gênée elle referme soigneusement les boutons. Je demande : << Vous portez votre plug anal ? >>.

Baissant les yeux, baissant les bras, terriblement embarrassée, Julie murmure : << Je ne sais pas mentir ! >>. Clémentine éclate de rire en disant : << C'est donc un aveux ! >>. Julie se met à rire. Elle lance : << Oui ! Je le porte à chaque fois que je viens ! >>. Clémentine me fait un clin d'œil. Je demande : << Julie, d'être enculée, c'est votre "truc" ? >>. Une fois encore elle baisse les yeux pour répondre : << Oui ! >>. Il y a un silence avant qu'elle ne rajoute : << C'est davantage par vice que pour la sensation ! >>.

Je suis souvent étonné par cette délicate jeune fille de 20 ans. Je dis : << Cet automne, vous me permettez de vous enculer ? Je vous avoue détester la sodomie, mais c'est pour vous faire plaisir ! >>. Julie lève les yeux. Elle fait tous les efforts possibles pour soutenir mon regard. Elle se contente de hocher la tête dans un signe affirmatif. Mon cœur bat soudain la chamade. Mon érection est instantanée. Je sors ma queue pour la présenter à Julie. Je rajoute : << Voyez l'effet que vous me faites chère Julie ! >>.

Nous éclatons de rire. Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit. Julie parle de la galerie. De son indicible plaisir d'en assumer le fonctionnement et la responsabilité jusqu'au vendredi 3 septembre. Une fois encore je la remercie en précisant : << Sans vous, je cesserais l'exploitation de la galerie. Je vous en suis très reconnaissant ! >>. Julie est rarement aussi loquace. Cette passion qui l'anime en évoquant la galerie est émouvante. Nous traînons à table. Dehors il fait carrément lugubre.

Je me lève à plusieurs reprises pour agiter mon sexe en direction de Julie. Elle raconte ses dernières aventures. Son voyeurisme dans les toilettes du sous-sol du restaurant. Ce qui s'est encore passé avec quelques exhibitionnistes. << Je n'ai pas ma pareille pour les attirer. Ça doit être marqué sur mon front, "voyeuse" ! >> lance Julie. Clémentine répond : << Les vicelards repèrent les vicelardes de loin ! >>. Nous éclatons de rire. En tenant la galerie d'Art tout l'été, il y aura beaucoup moins d'opportunités "glauques".

<< C'est autre chose ! Je trouve d'autres sources de satisfactions. C'est bien plus passionnant de recevoir des visiteurs dans une galerie d'Art que de faire la serveuse dans un restaurant ! >> dit Julie. Clémentine demande : << Tu te masturbes entre deux visites ? >>. Sans hésiter, Julie s'écrie : << Oui, souvent ! >>. Je rajoute : << Avec le plug bien enfoncé ? >>. Julie éclate de rire en répondant : << Bien enfoncé ! >>. La soirée se déroule ainsi, dans les plaisanteries et mes branlettes devant les filles.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à visiter leur couple d'amis intimes. En pouvant parler cul sans la moindre retenue...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
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