leçon de conduite

Et moi donc !!!

Tiens je l'ai vue cet après midi. ..j'étais en leçon avec un autre élève dans son quartier qu'à elle est passée avec ses copines et leurs progéniture de retour de l'école. ...grand sourire gros coucou..
Elle avait encore le short en jean et ses collants noirs en laine.

aujourd’hui(hu lundi jour de la leçon et du récit hummm

malheureusement non :/ elle m'a "posé un lapin", disons que je l'ai contactée ce matin, et qu'elle m'a dit être en ville toute la journée avec sa cousine, donc pas de zizi panpan aujourd'hui avec elle

par contre, je suis allé voir un pote, si vous voulez tout savoir ...

Après avoir lu le SMS de la miss disant que "non chéri je reste en ville toute la journée " je me penche vers ma bite et lui dis : "reste tranquille c'est pas encore aujourd'hui que tu vas jouer"

Passé le moment de déception je me dis aussi que c'est con d'avoir une journée off, seul à la maison et aucune raison pourrie à inventer à madame pour s'évader un peu.

C'est à ce moment là que je pense à une connaissance qui a déjà joué il y a quelques mois avec ma teub.

Je ne suis pas vraiment bi. Certain diraient hetero curieux. .moi je dis : envie de me faire sucer.
Et le monsieur en question il suce justement très bien.

C'est pas difficile il m'avait juste fait la meilleure pipe de ma vie.

Donc petit SMS simple : salut !
Réponse toute aussi simple : "salut!"
(C'est impressionnant ces discours. ..)
T'es par chez toi aujourd'hui ? J'ai envie
- oui, vers 14h30 rue xxxxxxx tu m'appelles directement en début d'après midi. .tu te gares dans la cour derrière ma bagnole.

Nickel. ..je rentre vite fait chez moi. ...je bouffe rapido...mets mon blouson et démarre la moto.

J'arrive à l'heure, il me fait rentrer et sourcille en me voyant sur ma monture. ...
Ah cool ! Alors ça y est ? (J'ai passé mon permis il y a peu)
Discuti discuta bla bla les motos les bécanes les réparations etc. .

On monte chez lui, je traverse directement son appartement et me rend dans la chambre. Il est juste sur mes pas et tout en discutant, commence à virer ses pompes et sortir son t-shirt de son pantalon.
Je dégage mes groles. .mes chaussettes, vire mon polo et descend d'un seul trait pantalon et caleçon.
Il me chope direct la queue en me disant "ah putain ça fait plaisir de te revoir" il la caresse un peu puis je m'allonge sur le lit, offert, les pattes écartées les mains croisées sous la nuque.
Il s'agenouille et commence à me sucer. (Je ne vais pas détailler tous le temps qu'on a passé ensemble car ça a duré pas mal de temps.)

Il suce réellement super bien, adore brouter les culs. ..bref je me suis fais lecher aspirer sucer le gland, le trou etc. ..
J'ai même tenté une nouvelle expérience et je lui ai rendu sa caresse en lui sucant également le chybre.
De même il m'a demandé si je voulais l enculer et comme je lui ai dis que s'il avait une capote je n'y voyais pas d'inconvénients. ...il a sauté du lit et s'en ai allé vers son blouson tout en sautant sur place en disant "chouette ! Je vais me faire enculer ! "

Il n'a rien de la grande folle (honnêtement ça me bloquerait )

Deuxième scoop de la journée donc...j'ai enculé un mec.

Comme il adore le sperm il a fait en sorte que je me retire puis m'a repris en bouche pour me terminer.

J'ai donc tiré mon coup aujourd'hui. ..pas dans le cul d'une jolie black pas farouche mais dans celui d'un blond suceur de queues.

J'aurai préféré la miss quand même, en attendant je me suis bien vidé.

Sympa cette partie du récit bisexuelle :)
Tu te fais bien plaisir et tu nous fais bien plaisir avec tes récits.
On attend la suite avec impatience...

C'est tout de suite moins excitant cette histoire.
Je préfère l'histoire avec ton élève lol

désolé, je peux aisément concevoir le fait que cette histoire soit moins croustillante (encore que, il y en a à qui ça a peut être fait de l'effet)

à titre perso, j'aurai carrément préféré être avec ma jolie black, mais le sort en a décidé autrement.

j'attends de ses nouvelles (pas envie non plus de me retrouver du côté du harceleur en envoyant moult messages qui tous diront la même chose à mots couverts : j'ai envie de faire l'amour, c'est quand ?) lol

Le pire, c'est que les vacances arrivent, et que pendant 15 jours, il me sera impossible de la voir...si d'ici là rien ne se passe, ça va être long.

il est possible aussi qu'en ce moment elle ait quelqu'un (comme je passe souvent devant chez elle pendant mes leçons, j'ai remarqué une voiture stationnée...) ou alors de la famille..après, elle a le droit.

pour aujourd'hui c'est mort..j'ai deux créneaux demain après midi et vendredi...si je n'ai pas de nouvelles d'ici là je tente le : tu m'offres un café ?

bon, j'ai rusé...comme demain je dois donner les noms des élèves qui se présentent au permis pour le mois de novembre, je lui ai demandé si elle avait les moyens financiers pour payer toutes les heures le mois prochain.

comme elle ne peux pas, elle m'a dit qu'elle ferait moitié moitié entre novembre et décembre..
et donc j'ai juste répondu (du coup, on se voit quand ? (pour cours ou café)

- plutôt café car je ne peux rien payer en Octobre.

- demain ? j'ai un créneau entre ma réunion et 16 h, sinon vendredi mêmes heures. après avec les vacances, on sera 15 jours sans se voir.

- ok pour demain midi, je ne bouge pas (avec des smileys bisous etc..) 15 jours ça va être long, à demain mon chéri

ce à quoi j'ai répondu : à demain ma jolie élève.

et c'est pas très classe, mais j'ai une demie molle rien que d'écrire cela...

Vivement demain!

Sinon, concernant l'autre partie de l'histoire, personnellement j'ai bien apprécié!

elle pourrait me demander des heures gratos, ce qu'elle n'a pas fait.

s'il n'y a rien eu encore (bon, se faire sucer dans sa chambre, puis pomper en bagnole, c'est pas vraiment rien) c'est juste des problèmes d'intendances...l'école qui se termine, moi qui suis en cours...et lundi dernier...oui, là, pas de bol elle était en ville avec sa cousine au lieu d'être chez elle comme promis.

allez on y crois ! vivement demain

ne t"inquietes pas , ça va payer.....et tu prendras ton pied......en tout cas merci pour tes récits

et demain fut aujourd'hui.

Ding Dong, la porte s'entre ouvre, et j'entends "vas y entre !"

généralement, la porte s'ouvre en grand, ou au moins à moitié, alors que là, mystère. Je pousse donc le battant, je rentre intrigué, et je referme derrière moi

- les clefs sont dessus, tu peux fermer ?

elle est dans la cuisine, je m’exécute puis je fais les deux mètres qui m'amènent directement à l'entrée du salon, à la gauche duquel se trouve la cuisine américaine.

C'est là que je me dis que je vais passer un bon après midi.
Elle se tiens là, debout devant moi, elle porte une guêpière rouge et noir, en dentelle et satin. des bas genre dimup et un string en dentelle lui aussi de couleur rouge bordeaux. L'ensemble est superbe et simple, mais terriblement efficace.
alors ? qu'en penses tu ?

je m'approche d'elle, la prend par les hanches, puis après lui avoir déposé un bisou sur la bouche je lui avoue que je ne m'attendais absolument pas à cet accueil ! et j'en pense que je suis certainement en train de vivre ma plus belle journée de l'année.

elle souris, me rend mon baiser puis me dit tout simplement le mot que pas mal d'hommes aimeraient entendre

- viens

Je ne me fais pas prier et tourne immédiatement les talons pour la suivre à l'étage, direction la chambre que je connais déjà.

Passé le pas de la porte, elle se retourne vers moi et entreprend de me délester de mes habits. Je me laisse faire patiemment tout en passant mes mains sur l'étoffe de satin (soie ?) ce qui me procure de légers frissons.

Je me retrouve assez vite entièrement nu, quand elle me tire vers elle et me fait allonger sur son lit. La dernière fois elle s'était agenouillée pour me prodiguer une fellation directement, alors qu'ici, elle s'allonge lascivement à côté de moi et commence à parcourir mon corps du bout de ses doigts.

Elle les promènent sur mon torse, descend sur mes jambes, remonte ensuite vers mes cuisses, puis retournent plus haut non sans avoir effleuré ma verge qui commence à aimer la situation.

De mon côté je ne reste pas impassible, déjà j'ai noté un certain changement au niveau de ses seins, qui sont relativement petits. La guêpière a tendance à les ramener vers l'avant, et les rendre ainsi plus gros, ou tout au moins, plus appétissants. Je caresse donc ces deux merveilles de ma main, puis part ensuite explorer des zones encore plus intimes. Je descend en frôlant son ventre, arrive aux cuisses que je palpe doucement l'une après l'autre. Ce qui amène la miss à légèrement les écarter. Je remonte par le centre pour retourner vers son ventre, tout en imprimant une légère pression en passant sur son sexe.
Enfin, après avoir marqué un léger temps d'arrêt, ma main redescend plus bas, passe sous l’élastique, et vient épouser la forme de son mont de Venus. J'ai son sexe brûlant, entièrement sous ma paume. Elle écarte encore un peu plus les jambes, ce qui a pour effet de comprimer l’élastique de son string, et donc de renforcer la pression de ma main.

Sa main quand à elle, vient de terminer sa balade et a décidée de s'attarder sur une seule partie de mon anatomie. Nous voila donc tous les deux, en train de mutuellement estimer les désir de l'autre par l'apposition de nos mains sur nos sexes respectifs.

Elle se délivre de ma prise par un mouvement de hanche, puis après s'être mise à genou, fait glisser rapidement son string qui disparaît aussi subitement en bas du lit. Alors qu'elle commence à vouloir venir sur moi, je lui fais comprendre que je souhaite ardemment lui rendre la politesse faite lors de notre dernière rencontre, de plus, je meurs d'envie de la goûter.

Elle se laisse donc aller sur le dos, et mon visage s'approche doucement de ce sexe que je n'ai jamais vu mais que j'ai pourtant déjà caressé. Elle est entièrement rasée, c'est une première pour moi, j'y dépose un petit baiser, puis un autre, et encore un autre un peu plus appuyé; J'approche ma main de libre, et je caresse cette merveille qui ne tarde pas à s'ouvrir. Ma langue fait le reste, et découvre petit à petit les plis et replis de cet endroit tellement convoité depuis ces derniers jours.

Après plusieurs mouvement d'épaules, elle essaye de se déplacer dans le lit, je comprend rapidement ses attentions, et fini par l'enjamber pour lui présenter ma queue qui à prit sa taille maximale tellement la situation est excitante.
Nous voilà l'un et l'autre, tête bêche, nous donnant du plaisir par petits coups de langues, de baisers appuyés, de succion précises et pour sa part, de prise ne bouche complètes jusqu'à la garde.

Je me retire de cette position tellement la caresse est précise et juste, car je ne veux surtout pas en terminer la.
elle roule sur le lit, prend une protection sur la table de nuit et une fois en place, elle me pousse légèrement pour que je me retrouve sur le dos, puis m'enjambe immédiatement, présentant son entrejambe face à ma queue qui n'attend que cela. Elle se colle à moi, remonte doucement vers mon visage pour y déposer un baiser, se faisant, son sexe se colle au mien, je sens ses lèvres épouser chaque côté de ma hampe, et remonter doucement vers le gland, elle remonte encore un peu plus, me pose un bisou sur le front, et d'un savant mouvement de rein, permet à ma queue d'entrer seule dans cette antre chaude et humide.

Elle redescend jusqu'à la garde puis ne bouge plus.

Je sent les battements de mon cœur provoquer des soubresauts à ma queue.

La miss recule sa tête, m'embrasse le cou, puis se redresse. Elle est là, au dessus de moi, je peux admirer ses formes, son ventre musclé se dessine sous le satin, de mes mains j'empoigne ses seins si petits mais si expressifs.
Elle entame un lent mouvement du bassin, tantôt vers l'avant, tantôt vers l'arrière, puis dessine avec ses hanches des cercles ou plutôt des ellipses. Je suis toujours enfoncé jusqu'à la garde. Enfin (ou hélas ?) elle remonte légèrement les fesses de quelques centimètres, puis redescend doucement, ce mouvement s’enchaîne, lentement au début, puis de plus en plus rapidement.

Mes mains quittent ses seins et viennent prendre ses fesses maintenant accessibles. J'empoigne fermement les deux globes, puis rentre dans cette danse, accompagnant ses mouvements. Ils sont maintenant saccadés, et ses hanches poussent son sexe vers l'avant à chaque montée, ce qui ne tarde pas à déclencher la jouissance que je sens arriver de loin, mes mains trahissent mon état tellement elles se sont agrippées à son cul. Dans un dernier spasme, je me redresse vers elle, me colle à son torse tout en l'enlaçant fortement, puis je libère ma semence par saccades, alors qu'elle a totalement arrêté de bouger et qu'elle se serre le plus possible contre moi, comme si elle essayait de faire en sorte que mon sexe, et même plus entre en elle.

Après quelques secondes, nous relâchons légèrement notre étreinte, nous nous regardons en souriant, puis nous nous embrassons.

Enfin, nos corps se séparent et s'étendent l'un à côté de l'autre.

La suite es toute simple. Après plusieurs minutes de bisous et caresses, nous nous somme habillés, puis nous avons bu un café au salon.

Je ne vais pas la revoir avant 15 jours, vacances obliges.

Quelle magnifique description. Merci.

15 jours d'attente, ça va être long... Peut être te faudra-t-il retourner chez ton amant d'ici là.
C'est aussi une belle histoire.

Merci encore pour ce partage.

content pour toi......super

Plus qu'une semaine ausol.

exact, je ne vais pas dire que je compte les jours mais presque

Ausol enfin la rentrée demain.....bonne semaine

8 h 00...le tzzzt tzzzt tant reconnaissable d'un sms sur mon portable se fait entendre. Ma femme vient de partir bosser, je peux agir à ma guise.
J'ouvre mon téléphone et vois avec plaisir le prénom de la miss s'afficher : cc toi ! ça va ? tu peux me mettre des heures cette semaine ?
malheureusement, avec samedi prochain férié, mon planning est full et je me tape plus de 40 heures en 4 jours (plus deux ce soir). Je suis obligé de reporter ses heures pour dans quinze jours. Comme elle est déçue, je me débrouille pour lui caser deux heures mais que le 14 novembre prochain, se faisant, je lui fais remarquer le fait que cela fait encore une semaine sans se voir.

"sans se voir pour conduire, mais tu sais que tu passes quand tu veux !", il ne m'en fallait pas plus pour lui dire que j'arrivais de suite. J'habite à 10 / 15 minutes de chez elle, le temps de m'équiper (quand je ne travaille pas je suis à moto), et je pars illico.

Je me gare juste devant son garage, elle a entendu la moto arriver car je n'ai à peine le temps de me présenter devant sa porte que celle ci s'ouvre déjà. Elle est habillée "normalement", j'entends par la qu'elle n'est pas dans une tenue super sexy, chemisier bleu et jean tout simple. J'avance dans le couloir et l'embrasse une fois la porte fermée, elle me rend mon baiser, puis en se reculant, me dis que sa copine est là.

merde ! autant je savais qu'elle était au courant de notre relation, autant sa présence m'interdit du coup d'aller plus loin pour le moment (je me voyais trop lui ouvrant le jean, et passant ma main curieuse sous son string pour présenter mes hommages à son sexe).

J'avance dans le salon et va faire la bise à Christelle (faux prénom, mais la copine, la voisine, la fille obèse etc, c'est relou à force). Elle se lève et tends ses joues, sauf qu'elle ne vise pas très bien, et je me retrouve avec un baiser sur la commissure des lèvres. Alors que je me recule, amusé de la situation, je distingue dans le regard de Christelle une petite lueur, et un demi sourire (alors que d'habitude, ses sourires sont francs.)
Aurélie (la Miss, faux prénom aussi) me regarde aussi d'une façon amusée.

ça va les filles ?

oui super, tu veux un café ? oui ? alors installe toi sur le canapé à côté de Christelle, j'arrive de suite.

Je me débarrasse de mon blouson, et de ma dorsale en les posant sur une chaise, puis je contourne la table basse pour m’asseoir dans l'angle du canapé, avec Christelle à ma gauche.
s'en suit une discussion toute simple sur les quinze jours passés, ce qu'elles ont fait, Halloween et le déguisement de leurs @#$%& bla bla bla bli bla blo.

Aurélie s'est assise à côté de moi, je suis donc entre ces deux femmes, qui sirotent leurs cafés tout en discutant.

Au fur et à mesure de la discussion, Aurélie pose sa main sur ma cuisse, et la caresse doucement, sans monter trop haut, mais de façon suffisamment insistante pour que Christelle voit bien le petit manège. Le geste est discret et peu entreprenant, mais la situation me fait monter le désir, et la bosse qui commence à apparaître le long de mon jean ne laisse aucune ambiguïté sur ce qui est en train de se passer dans mon caleçon.

Christelle, mine de rien n'en perd pas une miette, elle fixe même la main d'Aurélie et de temps à autres, son regard part plus haut et son insistance me fait comprendre qu'elle est en train de juger les contours de la protubérance naissante.

Je change complètement de conversation et annonce carrément à la voisine, que j'aimerai si possible que cette situation ne soit pas connue, étant marié, j'espère d'elle qu'elle comprenne le risque, et fasse en sorte de ne pas ébruiter la chose.

Comme elle me répond par la négative, disant même qu'elle comprend bien ma demande, je lui demande si cela la dérange le fait qu'un homme marié aille voir ailleurs.

"je ne connais pas ta situation, et j'imagine que tu as tes raisons. moi ce que je vois, c'est qu'Aurélie n'a pas eut d'hommes depuis longtemps, et que cela est bien pour elle, j'en parle en connaissance de cause, car moi même je suis divorcée, et comme tu peux l'imaginer (elle me montre ses courbes d'un mouvement de main), je ne suis pas très bien placée pour avoir des conquêtes, du coup, cela fait longtemps qu un homme ne m'a pas tenu entre ses bras."

l'image de nous trois à poil dans le lit vient de traverser mon esprit à la vitesse grand V

- "tu sais, souvent, pour avoir un homme, il suffit de le lui demander" la main d'Aurélie vient de s'arrêter, et serre maintenant assez fortement le milieu de ma cuisse. Christelle s'est tue, et regarde sa copine dans les yeux, il y a comme un flottement, une sorte de gène.
"j'ai dis une connerie ?"

"non, c'est juste que..enfin tu vois, on a pas mal parlé avec Christelle ces derniers quinze jours, de toi entre autres et du fait que tu étais avec moi pour le plaisir et surtout pas pour t'engager. Du coup, on en a déduit que, toujours pour le plaisir, tu allais peut être voir ailleurs de temps en temps, même si en ce moment tu "es avec moi".

"oui je vois, mais bon, non, pas d'autres femmes en ce moment"

"mais ça pourrait être le cas ?"

"oui je pense, même si je ne cherche pas expressément à rencontrer quelqu'un d'autre, ça te générait que ça soit le cas ?"

"non ! non pas du tout ! et justement, c'est ce dont nous avons parlé avec Christelle"

je voit le truc venir

"elle est divorcée depuis quatre ans, et euh, bon tu vois ce que je veux dire vis à vis des hommes"

"on est grand, vas y franchement, Christelle, tu n'as pas fait l'amour depuis quatre ans, et comme je suis visiblement intéressé par le sexe, vous vous demandez toutes les deux si je serai d'accord pour pallier à ce manque, c'est ça ?"

Christelle baisse les yeux et avance un timide "oui" à peine audible. Aurélie quand à elle me regarde l'air inquiet, en se mordillant les lèvres.

Je prend le temps de réfléchir, j'imagine déjà la complication de la situation, et les premières questions qui me viennent à l'esprit : ensemble ? chacune leurs tours ? chez Christelle ? tout le temps chez Aurélie ? est ce que je vais assurer ? est ce qu'elles vont se bouffer le minou devant moi ? se caresser mutuellement ? je suis obligé de changer de position tant ma queue me fait mal, car depuis quelques minutes, je bande comme un âne.

Les filles s'en aperçoivent et cela déclenche un gros sourire chez elles

"en attendant, je vois que physiquement, ton corps parle pour toi, et l'idée est séduisante non ?"

Christelle en me posant cette question, vient de poser sa main sur mon autre cuisse, je la regarde et mes yeux se baissent vers son décolleté, elle a un chemisier blanc qui est prêt à craquer tellement ses seins sont énormes. J'ai du mal à décrocher mon regard car c'est juste fascinant. Je ne suis pas fana des trop gros seins, car ils tombent, pendent etc, je ne trouve pas cela très esthétique, disons que si je savais dessiner, ma femme idéale aurait des seins relativement gros, mais qui se dresseraient fier vers le haut. Ceux de Christelle, je sais déjà qu'une fois libérés, ils ne seront pas aussi haut qu'en ce moment. en attendant, ils sont gros, hauts, et pointent dur. Bref, j'aime.

La main d'Aurélie vient de reprendre ses va et viens, et elle me susurre dans l'oreille "je vois que tu préfères les seins de Christelle aux miens"!

je la regarde et dis que oui, ils ont l'air très bien, et que la surface de caresse est sans commune mesure ce qui n'empêche pas que j'aime les tiens aussi. Du dos de la main, je frôle son sein droit.

La main de Christelle qui était restée immobile commence elle aussi à se promener doucement sur ma cuisse. Sans rien, dire, le fait d'accepter la présence de cette main, et surtout d'avoir touché le sein de ma maîtresse vient de répondre à ma place à la question qui m'était posée : coucher avec les deux.

Après tout, j'ai toujours fantasmé sur le fait d'avoir deux femmes dans mon lit, c'est l'occasion ou jamais.

Je tourne la tête vers Aurélie et l'embrasse à pleine bouche, je sens la main de Christelle qui devient de plus en plus entreprenante et qui s'enhardit même jusqu'à aller vérifier manuellement les contours de ma queue qu'elle n'avait que scrutée auparavant.
Je me tourne donc vers elle, et lui tends mes lèvres, qu'elle s'empresse d'embrasser, j'en profite pour palper cette énorme paire de seins, puis, faisant sauter un bouton, je glisse ma main sous le chemisier ainsi que sous le bonnet de son soutient gorge. J'attrape assez rapidement un téton que je presse entre mes phalanges. Ce sein est tellement gros que je n'arrive pas à le tenir dans ma main.

En parlant de main, celle d'Aurélie s'acharne à enlever les boutons de mon jean, une fois fait, je lève les fesses afin de lui faciliter la tâche, puis chacune de leurs côté, elles attrapent le haut de mon pantalon, ainsi que mon caleçon, et dans un bel ensemble, elles font descendre le tout, libérant ainsi mon sexe qui se sentait à l'étroit depuis quelques minutes.

Sexe immédiatement prit en main par Christelle, qui se séparant de mes lèvres, me demande "je peux ?"

je sors ma main de son soutient gorge, et lui dis tout simplement oui, suite à quoi je me tourne vers Aurélie, et attrape le bas de son chemisier pour le lui enlever directement, sans prendre le temps de le déboutonner. Elle m'aide à la manœuvre et enlève ensuite elle même son soutient gorge pour afficher au grand jour ses petits seins mignons. Christelle quant à elle, se contorsionne sur le canapé puis finalement arrive à ses fins. Elle prend délicatement ma queue à la base avec sa main, puis me donne des petits coups de langues tout autour du gland. Je la regarde quelques secondes alors qu'elle hésite encore à prendre complètement ma queue en bouche, je vois juste que de son autre main, elle termine d'enlever les boutons de son chemisier.

Difficilement, je tente de déboutonner le jean d'Aurélie, qui souriant, le fait pour moi et retire d'un seul trait pantalon et string. Elle est complètement nue et je suis comme d’habitude, fasciné par sa couleur et son grain de peau. ça n'est pas ma première black, mais j'avoue que j'adore. (je n'ai jamais fais l'amour avec une asiatique et pour être franc, c'est une expérience que j'aimerai avoir un jour).

Voilà qu'Aurélie descend à son tour et approche son visage de celui de Christelle, qui a prit de l'assurance et qui depuis quelques secondes me taille une pipe grand seigneur (bordel, je ne vais pas tenir longtemps), surtout que voyant son amie venir se joindre à elle, elle se recule un peu, ne tenant plus que mon gland en bouche, ce qui permet à la miss de déposer des petits bisous et des coups de langue à la base de ma queue, et sur mes bourses.
Enfin, Christelle lâche complètement mon sexe, ce qui permet à la miss, de prendre sa place et de gober l'engin d'un seul coup.

Je ne perd pas mon temps, et j'avoue avoir hâte de découvrir ces gros seins en liberté, comme elle a retiré son chemisier, j'ai donc dégrafé le soutient gorge, et commencé à en faire glisser les bretelles. Christelle s'est rassise, et d'un mouvement de bras, fait tomber les deux bretelles et enlève le tout.
Ils sont juste...énormes...impossible de vous dire la taille...ils reposent maintenant, légèrement écartés, sur son gros ventre. Deux gros seins blancs, avec de grosses et larges aréoles brunes légèrement rougissantes, des tétons surdimensionnés, que j'ai tâté tout à l'heure mais que je pensais pas aussi gros.

Voyant la tenue d'Aurélie, Christelle fait de même et se débarrasse du bas, dévoilant une toison velue, bien brune.

"et si on montait ?" car je ne suis pas à mon aise sur ce canapé, chaque contorsion me fait mal au dos, et je ne suis pas libre de mettre mes mains là ou j'en ai envie.

Nous nous mettons debout tous les trois et commençons l'ascension des escaliers.

Christelle est juste devant moi, son énorme fessier sous le nez, je n'arrive même pas à distinguer son sexe lorsqu'elle marche. Je tends la main et caresses ce cul. Aurélie à posé sa main contre mes fesses, et du bout des doigts me titille les bourses.

à peine arrivée dans la chambre, Christelle s'allonge sur le dos, en travers du lit, et par des mouvements de pieds, commence à essayer de remonter au plus haut. Je l'arrête immédiatement, et me mettant à genou, j'enfourne la tête entre ses cuisses pour goûter à ce sexe qui n'a pas vu de langue depuis quelques temps.

Aurélie s'installe à côté de sa copine, et je la devine à moitié relevée, me regardant brouter la chatte à la voisine (oui, j'ai pas pu m'en empêcher :) )
elle n'est pas en reste car de ma main gauche, je titille son clito, et je dessine le contours de ses lèvres qui sont bien humides.

Je me relève, le visage humecté du désir de Christelle, et me décale vers le sexe d'Aurélie pour lui pratiquer la même caresse. J'y goûte enfin ! . Mes doigts continuent à s'occuper de Christelle, qui ondule sous le contact, et qui, je le devine de temps en temps en levant les yeux, à pris ses seins à pleine main et les malaxent sans délicatesse.

Cet intermède buccal me permet de redescendre en pression, et c'est tant mieux car j'étais à deux doigts d'exploser tout à l'heure sur le canapé.

Aurélie me fait remonter d'un étage et me propose de venir m'installer entre elles. Ce que je fais immédiatement. j'étend mes bras, et elles viennent toutes les deux se loger contre moi.

Leurs duo de main commence une exploration complète de mon corps, pendant que je ne peux que parcourir leurs dos, et la naissance de leurs fesses. De temps à autres, une des mains des filles part à la rencontre du corps de l'autre, et c'est Aurélie qui commence en touchant puis en soupesant le sein de Christelle tout en disant "c'est vrai que c'est carrément différent". En retour, Christelle caresse ceux de sa copine en remarquant elle aussi que sa peau est vraiment douce.

je vais balancer la purée dans le vide si ça continue comme ça, j'ai rarement été autant excité.

Aurélie se dégage de mon étreinte et se glisse vers sa table de nuit. elle déchire l'emballage puis me pose le préservatif sur le sexe.
Elle se penche vers moi puis me chuchote "vas y, ça fait longtemps qu'elle m'en parle."

Je me relève donc, et me présente devant Christelle, qui m'attend, cuisses légèrement ouvertes. J'attrape ses jambes, les relève du mieux que je peux, écartant du coup encore plus ses cuisses et présente mon sexe.
C'est Aurélie qui le prend en main afin de le diriger droit vers cette chatte humide qui attends depuis si longtemps. Je m'enfonce directement mais doucement, puis reste ainsi sans bouger quelques secondes.
c'est rentré tout seul, et je vois au comportement de Christelle qu'elle apprécie la situation.

Aurélie est à genou à côté de nous, et passe sa main dans mon dos, sur mes épaules, de temps en temps descend vers les fesses, puis s'immisce entre elles afin de me toucher les couilles.

Ensuite, elle me délaisse pour retourner sur les seins de son amie, qu'elle prend à pleines mains, les tordant, les malaxant, tirant les pointes. Christelle répond en passant sa main sur les flancs de sa copine, puis part directement sur le sexe et frottant quelques secondes les lèvres, finit par y introduire un doigt.

La main d'Aurélie descend immédiatement et entreprend de faire grossir le clito de son amie, pendant que j'effectue des aller retours lents mais réguliers.
Les coups de cul de Christelle calment au début, deviennent de plus en plus violents, signe que le plaisir est en train de monter et qu'elle aimerait que je passe à la vitesse supérieure.

Ce que j'entreprends aussitôt non sans me dire que je ne pourrai pas honorer ma miss black ensuite car je sens également que la jouissance approche.

C'est dans un concert de râles de tout côtés que nous terminons, Christelle donnant des furieux coups de reins, tout en fouillant maintenant sans ménagement le sexe de sa copine, qui elle même du bout des doigts maltraite le clito de celle que je suis en train de pilonner.
La décharge est sans commune mesure avec tout ce que j'ai connu jusqu'à présent, je m'enfonce au plus profond possible, et sent ma queue agitée de spasmes à chaque jet, enserrée dans le sexe de Christelle qui en ressent tous les soubresauts.
Christelle hurle son plaisir tandis qu'Aurélie n'est pas en reste grâce à l'action de la main de son amie.

Je m'affale épuisé sur ma nouvelle maîtresse, et reste ainsi quelques secondes (minutes ?), de temps à autres, mon sexe est parcouru par une onde de plaisir, comme si il voulait donner tout le jus possible, jusqu'à la dernière goutte. à chaque fois, les reins de Christelle se creusent et je sens même son vagin serrer plus fortement.

Je me retire enfin, et retourne m'installer entre mes deux coquines. Aurélie retire la capote, et prends mon sexe en bouche pour le nettoyer comme elle sait si bien le faire.
Christelle quant à elle, reste sur le dos, les yeux fermés, reprenant sa respiration. je pose mon bras sur son ventre, le dos de ma main se retrouvant entre ses seins. De sa main gauche, elle caresse doucement mon avant bras.

Aurélie s'allonge finalement à côté de moi et nous restons quelques temps dans cette position, sans rien dire, juste savourant l instant présent.

Finalement, nous nous sommes tous levés pour retourner au rez de chaussée, afin de nous rhabiller. Nous n'avons pas trop parlé ensuite, comme si il y avait une certaine gêne vis à vis de ce qu'il venait de se passer.Gêne qui s'est dissipée rapidement lorsque j'ai dis au revoir, car j'ai embrassé Aurélie comme à mon habitude, puis j'ai fais de même avec Christelle, avec comme pour l'une et l'autre, ma main parcourant leurs corps et s'attardant sur leurs seins. J'avais d'ailleurs le sein d'Aurélie en main lorsque j'ai fais de même avec Christelle.

Puis la miss m'a dit " à bientôt ! et la prochaine fois, c'est à moi que tu feras l'amour", ponctué par le sourire de Christelle.

j'y suis resté deux heures, une très belle matinée pour commencer ma semaine.

Wow quelle expérience magnifique tu as dû être vachement surpris de la proposition et en même temps tellement excité!!! C'est génial qu'elle t'es fait la surprise tu ne t'y attendais vraiment pas?
Vivement la prochaine séance du coup... cette fois tu sauras à quoi t'attendre mais c'est une bonne attente ;)
Tu m'as fait bandé tout le long du récit encore bravo pour ta façon de narrer tes aventures continue comme ça et profite bien de cette situation tant que c'est possible car toutes les bonnes choses ont une fin ;)

@ausol, non mais vraiment, tu devrait t'essayer au nouvelles érotiques! pfiou, c'est tellement bien écrit que parfois j'ai l'impression d'être avec vous! Je n'ai pas cessé d'avoir la queue dure en te lisant!
Profites en autant que tu le pourras et fais nous profiter aussi par la même occasion :)
p.s: le top serait de pouvoir prendre des photos (sans visages, cela va de soi)

Merci pour la référence à Sana. ..et non ça n'est pas un fantasme retranscrit c'est la stricte vérité.

Dans un fantasme, Christèle serait grande blonde mince avec un corps à faire exploser tous les élastiques de caleçon à la ronde rien qu'en se promenant sans la rue

Et surtout : une habile prise en bouche de ma queue par les deux coquines avident de sexe aurait redonné de l'ardeur à mon chybre passablement défaillant après le premier coit, ce qui m'aurait permis de rendre mes hommages à ma belle black (tout en regardant la belle blonde assise sur le visage de ma douce afin qu'elle puisse en déguster le nectar )

Ça oui. .ça aurait été cool. ..surtout le passage ou j'arrive à rebander quasi dans la foulée.
Malheureusement ça n'est pas le cas :/

je termine ma journée par une nouvelle élève, je dois aller la chercher directement à la fin de ses cours dans son lycée. Je me gare donc sur le parking approprié, et je discute en attendant avec d'autres collègues qui ne travaillent pas dans le même établissement, mais c'est devenu une quasi coutume (les auto écoles se garent au même endroit, et on tape la discut' en attendant, c'est sympa).

j'attends peu finalement car au bout de 10 minutes, une fille s'approche de moi sourire en avant. Je reste impassible si ce n'est que je lui rend son sourire, sauf que mon coeur vient juste de s'arrêter une seconde, et est reparti en version marathon...elle n'est pas belle, elle n'est pas jolie..c'est juste la plus belle fille qui m'est été donné de voir dans ma vie. Elle n'est pas très grande, très fine mais pas affamée, des formes juste ce qu'il faut la ou il faut, des cheveux châtain foncés longs, qui descendent en dessous de ses épaules, et un visage d'ange, des grands yeux noirs, un petit nez sympa, et ce sourire ! quel sourire !.

Elle se présente : Ines, je lui rend la politesse et lui demande si nous pouvons nous tutoyer..bien sur !

Comme c'est son premier cours, je vais lui présenter la voiture, et lui expliquer comment s'installer au poste de conduite..ensuite, nous allons travailler le volant, et en fin de cours, c'est à dire au bout des deux heures, je vais faire en sorte qu'elle essaye au moins une fois de démarrer et de partir en première d'elle même, j'ai toujours fais cela avec mes élèves car je veux que le premier cours leurs donne envie de revenir.

La leçon se passe bien, elle est heureuse d'enfin commencer à conduire, et fait de son mieux pour répondre à toutes mes demandes.

Le cours se termine comme je l'avais espéré pour elle, après quelques explications, elle réussit à démarrer et à faire avancer la voiture, sans caler, et même mieux, sans être en sous régime, et sans faire hurler le moteur..tout en douceur quoi.

Les cours s’enchaînent, elle reste pareil à elle même, charmante, souriante, juste magnifique.

j'ai 49 ans, et je suis amoureux .

merde.

Mes journées se passent, plu ou moins bien, avec plus ou moins de bonheur, mais quand j'ai cours avec Ines, dès le matin, je sais que la journée sera bonne..qu'importe si les élèves d'avant ont été nuls, boulets, pas doués, exécrables etc..je sais qu'Ines le soir me rendra le sourire, et effacera toutes les petites tracasseries de la journée.

Les cours se suivent, et se ressemblent presque..elle fait de son mieux, réussit plutôt bien, et la fin de ses 20 heures de conduite approchent..il va falloir songer à se quitter pendant presque 2 ans, même si je sais que je la reverrai au moins deux fois tout au long de sa conduite accompagnée.

Vendredi soir, 18 h, elle est là, elle m'attend avec sa mère, son père n'est pas là comme prévu car ils sont divorcés et pour je ne sais qu'elle raison, il n'a pas pu se libérer. Elle doit conduire avec ses parents installés à l'arrière, afin que je leurs montre les progrès et les capacités de leurs @#$%&, et que je leurs explique comment faire pour la conduite accompagnée (ce qu'il faut dire, faire, expliquer etc, pour que leurs @#$%& n'envoient pas la voiture au bout de 10 minutes dans un mur ou dans l'étang du voisin).

La pénombre s'est déjà installée, et je ne distingue pas vraiment leurs visages, je suis tout juste capable de dire qui est qui de par les silhouettes, encore que, elles se ressemblent presque. Ce sont les habits qui finalement me permettent au loin de distinguer Ines de sa mère.
Une fois garé, je sors de la voiture et m'approche du couple afin de leurs souhaiter le bonsoir et me présenter à sa mère. Au fur et à mesure de ma progression, je devine que la beauté d'Ines n'a rien d'exceptionnel tant sa mère m’apparaît aussi belle sinon plus que sa fille (je reconnait la beauté là ou elle se trouve, c'est tellement peu qu'une petite voix dans ma tête hurle à tue tête constamment à chaque fois que je me retrouve à côté de mon élève).

Ses cheveux sont longs et fins comme ceux de sa fille, l’ovale du visage est net, aussi bien dessiné que celui de sa fille, et pourtant, tout en douceur. Les yeux quant à eux sont justes magnifiques car dans la faible lueur de la lumière des spots de l'auto école, je les devine assez clairs, tirant sur le bleu. Le sourire est identique à celui de celle que je considérait auparavant vulgairement comme un "avion de chasse".

Bonjour..Clara, je suis la maman d'Ines..je suis désolée, son père ne pourra se joindre à nous ce soir; c'est un inconvénient ?

non, disons que c'est mieux quand tous les accompagnateurs sont présents, mais je compte sur vous pour lui faire part de ce que nous allons faire ce soir.

s'en suit une explication sur ce rendez vous préalable à la conduite, et je propose à tout le monde de nous rendre à la voiture afin de commencer la séance.

Ines conduit bien, j'en profite pour montrer à sa mère ce dont sa fille est capable . Je suis installé de biais sur mon siège, cela me permet de contrôler moi même les angles morts lorsque mes élèves changent de voies, et je peux aussi en même temps, discuter avec les parents à l'arrière. Il n'est pas rare que la discussion n'ait aucun rapport avec la conduite, surtout lors des longs moments sur la quatre voies.
Pour cette fois, cette position un peu spéciale m'a permis d'admirer plus longtemps la mère de mon élève. elle s'est assise juste derrière sa fille (car mon siège reculé à fond ne lui laissait que peu de place pour ses jambes).

Ses jambes, magnifiquement galbées, la jupe relevée juste ce qu'il faut au dessus de ses genoux, les mains délicatement posées l'une sur l'autre au dessus. Une position bien sage et pourtant bien émoustillante.

La conduite se termine enfin là ou nous avions commencés, j'invite mère et fille à venir avec moi dans l'agence pour remplir les papiers, mette à jour le carnet de conduite, et leurs donner le sésame qui leurs permettra d'obtenir l'aval de leurs assurance, puis de conduire.

Je donne toutes les explications concernant la pratique de la conduite accompagnée, puis je les raccompagne dehors.

Inès me demande, comme il est déjà 20 h, s'il est possible de la ramener chez elle...comme c'est sur mon chemin, et que ma journée est terminée, j'accepte volontiers, mais je m'étonne de la question car en aucun cas elle a mentionné sa mère. Vous ne rentrez pas ensemble ?

non, car je rentre chez mon père ce soir. " ah d'accord, mais vous ? ou se trouve votre voiture ?"

- elle est en panne, c'est une amie qui m'a déposé, et je dois la rappeler pour qu'elle vienne me chercher.

Je ne rate pas l'occasion de lui demander ou elle habite, me proposant si cela est possible de la ramener également.


fantasme bien entendu, mais si vous voulez la suite...



Modifié 2 fois. Dernière modification le 12/11/17 19:45 par Condor.

Comme je le craignais sa mère habite le village d à côté et bien entendu à l'exacte opposée de ma destination. Qu'importe je me propose comme chauffeur arguant le fait que cela ne me dérange nullement.
Clara me gratifie d'un immense sourire et nous voilà tous les trois rendus dans la voiture.
Je conduis pour le coup, j'ai enlevé mon panneau de toit. ..Inès s'est installée derrière sa mère qui elle, est à la place que j’occupais encore il y a peu. Je m'assure que tous le monde a bien sa ceinture puis je commence à rouler non sans avoir demandé à Clara de faire attention à ses pieds car ils se trouvaient juste en dessous des pédales, et je m'en voudrais de lui faire mal.
Le trajet pour ramener Inès chez elle est relativement court, et après avoir embrassé sa mère et m'avoir remercier, la voilà qui s'éloigne.
Je redémarre immédiatement et prends la route inverse pour ramener Clara chez elle.La discussion commence sur l'apprentissage futur de sa fille puis dérive simplement sur des sujets plus simples et plus privés. ..depuis combien de temps je fais ce métier, ce que je faisais avant, si j'ai des @#$%& etc. ..ce genre de conversation ne me dérangent pas si ce n'est que pour le coup je suis bien obligé de dire que je suis marié et dans cette situation, j'aime autant garder la surprise pour plus tard...allez..c'est juste une envie qui te passe par la tête. .on s'en fout..joues franc jeu !..

La route est plaisante et la discussion de même, si bien que nous voilà rapidement rendu devant un petit pavillon. Je me gare le long de la route sur un emplacement dédié et m'apprête à dire au revoir à la jolie maman.
"Vous prendrez bien un verre ?"
La perspective m'enchante mais je vois l'heure tourner et je ne voudrai pas encore arriver tard à la maison..je commence à chercher mes mots pour gentiment refuser l'invitation lorsqu'elle me promet que ça ne sera pas longtemps, juste le temps de parler un peu de sa fille au sujet de sa conduite.
J'accepte donc volontiers, et je sors donc de mon véhicule pour suivre cette femme Ue je ne connais que depuis quelques heures et que j'ose admirer de dos lorsqu'elle remonte don perron.
Nous entrons dans une sorte de petit sas ou elle se debarrasse de son manteau, prenant ensuite le mien pour l'accrocher à une paterre que je n'avais pas distingué sur la gauche auparavant.
Vous buvez quoi ?

Ce que vous avez....disons comme vous ?

Elle s'avance dans le salon, se penche devant le buffet puis sort une bouteille de whisky écossais ainsi que deux verres

Je suis désolée je n'ai plus de gâteaux apéritif

Elle nous sert deux bons verres et je m'empresse de dire que je ne vais pas abuser car je dois conduire après et que je ne voudrai pas tomber dans un contrôle de gendarmerie.

"Vu votre corpulence ça n'est pas un verre comme cela qui vous mettra hors la loi !"

Un peu pincé je lui répond qu effectivement, c'est le côté intéressant des gens enrobés. ..

Elle rougit immeduatement et s'empresse de présenter des excuses sur sa phrase car ce n'est absolument pas ce qu'elle voulait sous entendre. .de plus me dit elle, tout en posant sa main sur mon bras, j'aime beaucoup les personnes qui ne sont pas maigres, surtout lorsqu'elles ont une forte carrure.
J attrape le compliment au vol et je la rassure sur le fait que je ne suis pas vexé. .puis posant ma main sur la sienne je lui propose de trinquer au nouvel univers qui vient de s'ouvrir dans la vie de sa fille.

A peine nos verres portés aux lèvres, Clara rebondit sur ma notion d'ouverture dans la vue de sa fille pour m'avouer que sa propre vue était plutôt en train de se fermer. À mes questions elles réponds évasivement au début puis devient de plus en plus explicite. ..à tel point que j'arrive par le biais de questions innocentes à lui faire dire que la solitude lui pèse depuis son divorce, autant dans la vue de tous les jours que dans les moments les plus intimes.
Je n'ose aller plus loin car je sais que je vais poser des questions très personnelles mais elle ne m'en laisse pas le temps avouant elle même que ce qui lui manque le plus ce sont tout simplement les moments érotiques avec son conjoint.

Je m'étonne à voix haute du fait qu'elle n'est pas trouvé un homme, même passager, pour lui procurer ces moments tellement je la trouve belle et capable de faire tourner toutes les têtes sur son passage.
Amusée par la franchise de mes propos, elle plonge ses yeux dans les miens, avance sa main vers la mienne puis la serrant très fort me dit : c'est gentil ! Vous le pensez vraiment ?

Suite ce soir



Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/11/17 19:40 par Condor.

Bien sur je le pense vraiment, et je pense aussi que vous le savez déjà.

Ces mots à peine dit, je me lève et annonce que je dois vraiment m'en aller car il est tard et que l'on m'attend chez moi.

Elle se lève également, m'accompagne jusqu'à l'entrée puis d'une voix claire et décidée , tout en me rendant mon blouson, me demande si je peux la serrer dans mes bras.

"Ça fait tellement longtemps que je n'ai pas eu de contact avec qui que ce soit ! Et comme vous me semblez quelqu'un de bien ..je me suis dis que..enfin non, oubliez cela, je n'ai rien dis. "

Juste vous serrer dans mes bras ?

Oui

Je laisse mon blouson glisser au sol, je m'approche d'elle et l enlace doucement sans serrer outre mesure. Elle passe également ses mains autour de moi puis par contre sert fortement, se collant au maximum contre mon torse et enfouissant son visage contre mon cou.
Nous restons ainsi quelques secondes, puis relâchant légèrement son étreinte, elle recule la tête pour me regarder en face et me remercie.

Mes yeux se perdent dans les siens, elle soutient mon regard puis avance doucement pour déposer un délicat baiser sur ma joue. Elle me regarde encore puis recommence sur l'autre joue. Comme je reste interdit, elle s'avance encore légèrement puis ne bouge plus, la proximité de son corps, sa respiration si proche de la mienne, cette position offerte à raison de moi. Je parcours les quelques centimètres qui séparent nos lèvres et l'embrasse sur la bouche. Des petits baisers pour commencer puis de plus en plus longs. elle écarte alors les lèvres et vient fouiller ma bouche de sa langue experte.

Elle se recule enfin, et prenant ma main m'entraîne sans mots dire vers une porte qui se trouve près du buffet.
Nous l empruntons pour nous retrouver dans un long couloir, une autre porte puis apparaît sa chambre.
J'y rentre derrière elle, nous nous tenons toujours la main si bien qu'elle n'a qu'à tourner sur elle même pour que je me retrouve de dos vis à vis du lit dans lequel je m effondre suite à une savante poussée de sa part.
Elle ne traîne pas et est déjà en train de défaire ma ceinture, je commence à vouloir lui parler lorsqu'elle m intime l'ordre de me taire par un simple "chhhhut !"

Ses mains ont tôt fait de me débarrasser de mon pantalon et caleçon et viennent de former un nids douillet pour mon sexe qui ne tarde pas à prendre son aise.
Elle commence par le scruter, l'admirer ? Le flatter par de douces caresses puis y dépose un furtif baiser.
Puis un autre. .et enfin un plus bas juste à la base de la hampe. .baiser appuyé qui remonte petit à petit jusqu'à arriver jusqu'en haut.

Destination à laquelle ses lèvres s'ouvrent, se déposent de chaque côtés de mon gland pour l'enrober totalement puis elles se laissent glisser lentement avalant ainsi la totalité de ma queue.

Je savoure le moment, montrant ma satisfaction par un soupir de bonheur. Elle se joue maintenant de ce sexe qui est devenu son jouet, elle l'aspire, le lèche, le lape, le branle de sa douce main. Le tire légèrement vers le bas pour le relâcher et s'amuser du mouvement de ressort.

Je commence à ressentir l'envie de jouir et préfère mettre une pause à ce moment afin de pouvoir tenir plus longtemps.

Je me retire doucement de la caresse et je m'assoie au bord du lit. Elle est là, à côté de moi, sauvagement belle, légèrement decoiffee, je passe un doigt sur son visage afin de ramener quelques cheveux fous derrière son oreille puis je l'embrasse tendrement.

Je termine de me déshabiller, enlevant mes chaussures en m'aidant de mes orteils l'une après l'autre puis me penchant
Je fais glisser mes jambes de pantalon, l'envoyant valser contre le mur d'un simple coup de pieds et enfin je retire mon t-shirt.
Me voilà nu et libre de mes mouvements pour m'occuper d'elle. Elle me regarde poser mes mains sur son corsage et en deboutonner un par un les boutons nacrés. Je tire légèrement sur le tissus pour le faire sortir de sa jupe puis délicatement je denude ses épaules. Je viens de mettre à jour un joli soutient gorge blanc, finement ajouré de fines dentelles discrètes. Les bretelles glissent rapidement vers le bas et pendent maintenant le long de ses bras, je m'avance et l'embrasse puis d'un geste sûr, je passe ma main dans son dos et degraphe d'un pincement le tissu blanc. Elle le laisse descendre et me dévoile une superbe poitrine ni trop grosse ni trop petite, dont les areoles légèrement brunes abritent en leurs centre de jolis tetons qui me paraissent bien durs.
Je m'empresse d'y déposer ma bouche et je sent son corps se cambrer sous la caresse.

Tout en m occupant de ces fabuleux seins je pars à l'exploration de sa jupe afin d'en découvrir l'ouverture, par mes connaissances sur la chose j'imagine une fermeture à glissière surmontée d'un bouton difficile à ôter.

Clara ne me laisse pas le temps de tenter l'ouverture de ce coffre au trésor, passant élégamment ses mains dans son dos, elle deboutonne rapidement sa robe, j'entends ensuite une glissière qui s ouvre d'un geste sec, puis d'un seul mouvement, elle se jette en arrière et se retrouve entièrement nue. Un rapide coup d'oeil et j'aperçois en boule au pied du lit, sa jupe ainsi que des collants et une culotte blanche.

Je m'allonge à côté d'elle, pose ma main sur son ventre puis remonte vers les seins que j empoigne doucement. D'un mouvement de rein je me glisse sur elle, remonte légèrement afin de sentir son corps sous mon sexe puis je l'embrasse sur le visage, descend petit à petit, flatte ses seins au passage, m'attarde sur le ventre puis très lentement, je découvre ce sexe que je devine humide. Il est là, discret, près à recevoir mes initiatives, Clara à ses mains sur ma tête, ses doigts dans mes cheveux et discrètement, me fait comprendre ce qu'elle veut. J'entre-aperçois de jolies lèvres roses pâle, sous une toison fine et structurée, le vrai ticket de métro. Je parcours cette fente de mes lèvres puis y glisse ma langue. ..sous le contact les doigts de Clara se crispent dans mes cheveux et m enhardissent à prolonger le contact .

Elle ne boude pas son plaisir et ondule à chaque coup de langue. Lorsque ses mouvement prennent de plus en plus d'ampleur et prends ma tête entre ses mains puis me tirant légèrement vers le haut me dit simplement : maintenant !

Je remonte dans le lit, prenant le chemin inverse tout en prodiguant de même des baisers sur la totalité de son corps. Je termine par ses lèvres pendant que je sens ses cuisses s'ouvrir et sa main chercher mon sexe.

Il ne lui faut pas longtemps pour le diriger vers son intimité dans laquelle je rentre doucement au plus profond et y reste quelques secondes sans bouger. Sa respiration vient de s'arrêter et j'attends qu'elle reprenne son souffle pour commencer à imprimer de lents mouvements.

Un petit gémissement dans un souffle me donne la permission de commencer à me retirer le plus doucement possible puis à retourner au plus profond de son corps. Nous passons quelques minutes en prenant notre temps, savourant nos corps respectifs et la douce caresse de nos sexes entre eux. Elle me repousse alors libérant ainsi ma queue humide et se retourne sur le ventre puis cambre ses reins. D'une main libre elle se caresse le sexe tout en gemissant. Je suis à genoux et je m'approche de cette vision féerique pour présenter mon dard devant cette offrande qu'est ce sexe ouvert. J'y rentre facilement et tout en prenant bien appuis sur ses hanches je m'enfonce au plus profond possible provoquant par la même occasion un râle long et grave chez ma partenaire.
Elle pousse d'elle même son cul vers l'arrière afin de bien sentir mon gland taper au plus profond de son vagin.

Je laisse mon corps me guider tant j'ai envie de ressentir cette sensation. Ainsi je pratique assez rapidement un mouvement régulier qui se termine irrémédiablement par un claquement de mes cuisses sur ses fesses, ponctué à chaque fois par un petit cri de Clara. Petit cri qui ne tarde pas à se changer en "oui" discret au départ puis de plus en plus fort et se terminant par des cris hurlés à chaque coup de butoir.

Clara termine le visage enfoncé dans les draps, qu elle tiens à pleine mains. S'est cris s'en trouvent étouffés, chacun de nos mouvements maintenant est bien coordonnés et chaque fois que mon sexe part en avant, elle imprime un mouvement du bassin qui procure une penetration parfaite et un résultat optimum.
Je sent la pression monter, le désir prendre le dessus sur la raison
.mon corps demande à aller plus vite quand mon esprit dit qu'il faut arrêter immédiatement sous peine de jouissances immédiate. J'arrive à ne pas écouter mes désirs les plus instinctifs et je ralenti mes mouvements afin de ne pas précipiter la fin. Malheureusement, Clara continue sur sa lancée et mets même de plus en plus d'ardeur dans ses coups de cul, à tel point que ma raison s'efface laissant la place à mes instincts les plus primitifs. C'est ainsi que j'ai attrapé les fesses de ma compagne afin de bien maintenir ce séant si beau et d'y pratiquer un pilonnage intensif et de plus en plus rapide pour un final en beauté.

La jouissance arrive rapidement et je m enfonce dans cette jolie maman dans un long râle rauque. Elle gémis également et par ses coups de reins de moins en moins agressifs termine de recuillir ma semence qui maintenant ne sort plus que par petites goutes.

Nous restons ensuite quelques seconde, l'un dans l'autre, le souffle coupé. Puis délicatement elle se tourne vers moi et m'embrasse le plus tendrement possible, je lui rend bien volontiers ce baisers puis la prend dans les bras, et la sert fortement tout en enfouissant mon nez dans sa chevelure.


Merci pour votre lecture. .et comme annoncé plus haut ceci est un fantasme totalement inventé. ..si ce n'est qu Inès existe vraiment et que j'ai réellement hâte de voir sa mère car elle est telle que je l'ai décrite plus haut. Et je n'ai effectivement jamais vu de jeunes filles aussi splendides qu'elle.

À bientôt pour la suite de ma relation (vraie ce coup ci) avec Aurelie et peut être Christelle.

Merci Ausol pour ce récit, meme imaginatif, j'y ai pris du plaisir à le lire et une certaine excitation.
J'attend avec impatience la suite de tes aventures réel avec Aurélie et Christelle.

Je vois Aurélie en leçon demain matin, entre 10 et 12 h, je l'ai eu aujourd'hui par sms car elle me confirme s'être entendue avec mon patron pour qu elle puisse faire ses 8 dernières heures à crédit (oui, toutes les auto écoles ne sont pas des gros voleurs d'argent :p )

si ce n'est que : le ton de la discussion est très sérieux, un peu comme si je n'étais plus que son moniteur, plus de "bisous mon beau moniteur", ou de "vivement demain" etc...et même, elle ne m'a pas proposé de venir boire un café aujourd'hui (en même temps, j'aurai refusé vu que j'ai passé ces trois derniers jours à terminer la formation de mon fils qui passe son permis mercredi prochain (voiture et moniteur gratuit, on ne va pas se gêner..)

bref, ça sent le : c'est fini..et je ne sais pas pourquoi. ou alors elle a d'autres problèmes et n'est pas dans un délire cul bite nichon mets la moi grand fou !

Bonsoir,

j'adore tes récits et tes fantasmes, franchement !!
c'est très bien narré et détaillé. Bravo

en ce qui concerne tes doutes, je pense qu'il ne faut pas trop s'en faire.... même si c qu'un plan cul, tu te doutes bien que ce ne serais pas éternam...
et que même si le trio FFH était un test, au moins tu auras pris ton pied, donc ne regrette rien.
et pourtant je te souhaite que ça continue....
pour avoir d'autre récit de tes aventures, car comme je l'ai dis, j'adore tes récits et je ne suis pas le seul....

Quelque part dans le forum j'ai deux récits de rencontres du temps où j'étais barman...c'est pas mal non plus ;)

en voici un :

Il y a très très très longtemps (j'avais 20 ans)...j'étais barman en extra chez un copain qui possédait un bar pas loin de la gare.

Lui était chaud bouillasse tout le temps et ne ratait jamais une occasion de tenter sa chance avec les jeunes filles en fête.

Justement ce soir là deux jeunes donzelles en fête commençaient à prendre des aises vis à vis de moi, surtout une qui était calées juste à côté de l'ouverture du comptoir et laissait de temps à autre trainer sa main pour me frôler les fesses quand je passais devant elle.
La soirée se termine, les clients partent petit à petit tant et si bien que nous nous retrouvons à quatre dans le bar. Alain mon pote (qui avait dans les 44 ans à l'époque ) et les deux filles qui avaient 19 ans.
La "mienne" s'est carrément enhardie et se colle franchement à moi. Je finis par lui prendre la bouche et plonger mes mains sous sa robe simplement maintenue par un élastique. .je ne tarde pas à lui frotter le sexe et à y rentrer un doigt de temps en temps.
Alain lui a moins de chance. ..il tente d'approcher la fille qui n'est en fait intéressée que par l'idée d'aller en boîte avec nous pour que nous les fassions entrer et bien sûr payer des bolées.
Alain lui ne pense plus qu'avec sa bite. ..il n'a pas du tout envie d'aller en boîte (alors que nous y allions très souvent)
Bite qu'il a d'ailleurs en dessin..ce con avait foutu un jour sa queue en pleine action sur une feuille de papier blanc et en avait entouré les contours avec un crayon. ..ça faisait mine de rien un grand dessin car il était bien monté le bougre.

Bref..il sort son dessin fétiche. .ce qui fait marrer la copine qui jusqu'à là n'était pas intéressée.

Alain sort des verres...tournée générale, je choppe les deux verres de ma "copine" ainsi que le mien d'une main. .de l'autre j'attrape le bras de machine (pas foutu de remettre un prénom. ..dommage elle était cochonne j'aimerai bien la revoir maintenant ) et l'entraîne dans la pièce du fond du bar pour m'isoler.

Je pose les verres sur une table, prends la fille par dessous les Bras et d'un seul coup je l assoie sur le bord du billard. Elle s'accroche à mon coup et m'embrasse par petites salves de baisers. ..un vrai petit chat !
En parlant de chat je remonte sa robe et descend faire la connaissance au petit chaton que je n'ai fais que caresser jusqu'ici.

Elle prend mon baisers avec plaisir au regard du travail de ses mains sur mes cheveux..elle me caresse la tête et de temps en temps la tire pour me forcer à me coller contre son intimité.

Je me relève ensuite pour prendre place sur une chaise qui était derrière moi. Elle remarque immédiatement le fait que mon ceinturon pendouille et que les boutons de mon pantalon ne demandent qu'à exploser.

Elle se laisse glisser du billard, fais un pas vers moi en ne décrochant pas le regard de la bosse bien visible puis tendant les bras, me libère à une vitesse incroyable de l'ensemble pantalon slip pour enfourner presque immédiatement mon sexe dans sa jolie bouche
Je reçois la caresse avec plaisir mais me doit d y mettre fin assez rapidement pour ne pas, et d'une finir bêtement en pipe, et de deux, j'ai toujours rêvé de faire l'amour en plein dans un bar et cerise sur la gâteau. ..sur un billard (anglais qui plus est )
Je le retire donc, l'aide à se relever en la prenant par les mains puis lui fais faire un demi tour. Elle comprend tout de suite mes intentions et se mets immédiatement en position : mains sur le billard et fessier offert. J'attrape ses hanches, essaie de me faufiler tout seul comme un grand, je ne réussi qu'à faire glisser ma queue contre sa raie. ..je m'aide d'une main et entre enfin dans son intimité.
C'est ce moment qu'Alain et la deuxième fille (qui faisait la gueule) choisissent pour nous rejoindre. ...la deuxième donzelle finalement n'a pas succombee au charme penien de mon pote et elle commence sérieusement à se faire chier, surtout qu'elle a compris que nous n irions pas en boîte.

Alain passe d'une sale gueule lui aussi à un énorme sourire lorsqu'il me voit en levrette, tandis que la copine regarde ma conquête comme si c'était la dernière des catins.
Petit moment de flottement. ..la miss qui fait la tête dit à l'autre qu'elle veut partir maintenant. ..l'autre prend du temps avant de répondre. ..j'arrive tout de suite attends moi !
Pendant cet échange moi je suis toujours dans elle et je sens son sexe imprimer des légères pressions sur le mien. ..
Une fois la copine barrée. .je reprend mes va et viens tout en regardant Alain qui tourne lui aussi les talons (toujours avec son sourire du coup)

On termine rapidement notre petite affaire (du coup j'aurai fais l'amour contre un billard et non SUR un billard)

Une fois rajustée. .ma conquête me glisse un petit bisous et s'en va rejoindre immédiatement sa copine. ...le temps de remonter mon pantalon et de retourner au comptoir, les deux miss étaient parties. .il ne restait qu Alain accoudé au comptoir qui m'attendait avec deux verres de whisky.
Comme il n'avait pas profité de l'occasion il voulait un petit de briefing pour avoir un peu de plaisir par procuration.

Voilà un des "plans" obtenus grâce à ma position de barman. .

Qu'est ce que je regrette ce temps. .c'était vraiment trop cool.
J'y retourne maintenant. ..je niquerais tout ce qui demanderait à être niqué ; )



Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/11/17 22:55 par Condor.

et voici l'autre

Discothèque. ..j'ai donc bossé en boîte pendant un an le temps de remplacer le barman attitré partit faire son service militaire. ..à la suite de quoi je suis devenu "client" régulier

Client entre guillemets vu que mon pote du bar principal me rincait la dalle copieusement sans que je dépense un seul franc.
Bien entendu il m'était possible d'obtenir des verres gratuits pour la fille qui voulait se faire payer à boire.

Bref. ..un soir j'étais avec un pote. .je n'avais pas trop le moral et souhaitais me marrer. ..et au passage me prendre une bonne cuite.

J'étais donc en train de discuter pas loin de la porte d'entrée lorsque j'aperçois une jolie brune assez courte vêtue passer la porte. Je repère de suite l'étudiante en goguette qui souhaite passer du bon temps. .boire un peu, et pourquoi pas terminer au lit avec un mec au hasard (le premier venu ou le plus beau ou le moins stupide ou celui qui payait à boire et qui n'était pas trop lourd)

Comme j'étais déjà un peu éméché, je m'avance vers elle en tendant les bras et annonce très fort "ne cherches plus ! Tu m'as trouvé ! "
Elle se laisse prendre par les épaules et accepte même le petit bisou sur la bouche. Je m'empresse de dire : qu'est ce que je peux t'offrir à boire ? Et nous voilà partit vers le grand bar, ou mon pote me prépare déjà deux bacardi coke (boisson à la mode à l'époque )

On s'installe tranquilles. ..et on commence à discuter tranquillement tout en descendant quelques verres.

Elle est effectivement étudiante, mais juste pour s'occuper car visiblement elle suit peu les cours et quand elle y va c'est sans grande motivation. En attendant j'ai mes mains sur ses hanches et ma langue régulièrement dans sa bouche.
Je lui propose d'aller prendre l'air car on est bien installé et même si on est assez loin de la piste et de la sono on a quand même du mal à s'entendre.
Nous passons la porte d'entrée (salués par les sourires de mes anciens collègues videurs ) et nous nous enfencons dans la nuit pour marcher un peu.
Je l'amène subtilement dans une petite impasse qui se termine en courette bien isolée des quelques passants à cette heure avancée et je l adosse à un pilier d escalier d'une vielle maison à pan de bois.
Je ne tarde pas à glisser mes mains vers le bas, relever sa jupe puis glisser mes doigts sous l'élastique de sa culotte pour la faire descendre. ...elle bloque mes mains, me regarde dans les yeux et me demande jusqu ou je veux aller.
Je te veux c'est tout et je pense que tu n'es pas contre.

Elle desserre son étreinte me rendant ma liberté de mouvement et tire sur mon polo pour le sortir de mon pantalon puis fait glisser mes mains sur mon torse.
Sa culotte est déjà descendue et mes doigts découvrent qu'elle est bien mouillee.
Elle se tortille pour faire passer sa culotte sur sa chaussure puis une fois fait, elle ouvre plus grand ses cuisses me rendant le terrain plus praticable.

D'une seule main je me suis dégraffé, je descend mon slip et présente ma queue. De l'autre je soulève sa cuisse pour aider à la manoeuvre. Elle prend tout de suite ma queue en main et la dirige droit sur son sexe grand ouvert (nous n'étions pas encore dans la génération sida même si cette merde avait déjà commencée à faire des ravages )
Nous avons fait l'amour là, debout, à quelques mètres d'une rue assez passante du centre ville.
Nous sommes ensuite retournés au bar reprendre un dernier verre et nous nous sommes quittés comme cela (impossible pour moi de la ramener à la maison car j'habitais encore chez mes parents et elle était en colocation )
J'ai appris un peu plus tard que cette fille était très ouverte et qu'elle était coutumière de ce genre de coup de folie (elle faisait de la danse et le copain qui m'a renseigné m'a dit qu'un jour elle voulait "se faire " un autre danseur. Il lui a juste fallut s'installer en plein milieu de la salle de danse et de faire des étirements en ayant oublié de mettre une culotte. ..quand le gars s'en est aperçu, il a eu une telle gaule qu'elle n'a eut qu'à choper sa queue. .la sortir puis de la sucer, avant de se retrouver sur le dos en plein milieu de la pièce à se faire pilonner par le mec alors que ses copines danseuses pouvaient tout voir par l entrebaillement de la porte.

Bref...ce n'est pas mon charme qui a agit mais une combinaison entre des verres gratuits et une fille qui en voulait.

En attendant c'était très sympa
Mais pas moyen de remettre un prénom sur ce visage (visage dont je ne me souviens plus non plus)

petites news..

je sonne à la porte (je suis content de ma journée car je viens de faire deux heures avec Ines, et franchement, elle est réellement superbe)...
Aurélie ouvre, me fait entrer et tout en souriant, m’accueille chaleureusement et m'embrasse sur la bouche)...cool ! elle ne fait pas l a tronche ou je ne sais quoi.

Je lui fais part de mon inquiétude vis à vis de la froideur de ses sms, et de la "non invitation" à passer lundi dernier chez elle.

Elle me répond juste qu'elle a pas mal de boulot en ce moment, et que non, tout va bien, qu'elle est même heureuse de voir son moniteur préféré.

Je l'enlace donc en entendant ces mots, l'embrasse tendrement tout en parcourant son corps de mes mains, puis nous partons en leçon.

Je sais que nous n'aurons le temps de rien faire car je termine à 12 h, et qu'elle a rendez vous avec sa cousine juste après.
La leçon se passe bien (il y a plutôt intérêt, je la présente au permis dans 6 à 8 heures, et ça va vite, très vite.)

De retour de la ville ou nous avons travaillé les feux, nous discutons gentiment, entre autres du fait que je ne suis pas passé lundi dernier, elle me répond simplement que ça va devenir compliqué, mais que nous pourrons nous retrouver en ville lorsqu'elle aura son permis, et qu'il suffira de louer une chambre d’hôtel afin de nous isoler.

- Après, rien que pour nous faire des caresses, pas la peine de louer une chambre, tiens..rien que maintenant, rien ne t’empêche de me caresser la jambe et même plus haut quand tu conduis, comme la dernière fois.

- ah oui ! pas bête, je n'y avais pas pensé.

et dans la foulée, elle pose sa main sur ma cuisse, et remonte directement vers mon entre jambe, et le frotte assez rigoureusement, comme pour le réchauffer...Le résultat ne se fait pas attendre et j'ouvre immédiatement ma braguette pour faire sortir mon sexe.

Elle le saisi doucement et commence gentiment à me branler..de mon côté, je ne peux pas lui rendre la caresse car je ne fais pas confiance à ses mouvements de volant, donc j'ai ma main en bas de celui ci, et je ne peux que savourer la présence de sa main délicatement serrée autour de mon membre.

- on tourne à la même intersection que la dernière fois ?

- oui si tu veux !

Elle lâche mon sexe, et sort de la quatre voies pour aller cacher la voiture sur la petite route que nous avions déjà emprunté il y a peu.

Le même scénario s'enchaîne, elle s'arrête, coupe le contact, se détache, et vient immédiatement me gober le gland, tout en continuant ses mouvements masturbatoires...comme cela fait déjà un moment qu'elle m'astique, et que la situation m'émoustille aussi, je ne tarde pas à gicler, sauf que cette fois ci, je ne lui au rien dis, je me suis juste contenté d'accentuer la pression de ma main (qui est en bas de son dos), et de gémir légèrement.
Elle avale jusqu'à la dernière goûte et comme la dernière fois, procède au nettoyage complet de mon gland.

Je termine rapidement ma petite histoire (ma femme étant rentrée à la maison pendant l'écriture du dernier message...j'ai quitté vite fait )

Elle me remet elle même la queue dans son emplacement, et me demande si elle peut redémarrer la voiture. ..

j acquiesce tout en continuant de réajuster mon pantalon et nous voilà reparti vers chez elle.

Je profite d'un emplacement vide devant sa maison pour lui demander de se garer en créneau. Elle se concentre sur la manoeuvre tandis que j'admire ses formes tout en faisant attention à nos véhicule (le mien bien sur et le sien, car sa voiture est là à attendre qu'elle ait le permis..et accessoirement les moyens de la faire réparer )

C'est plutôt pas mal. .la voiture en tout cas n'est pas garee de travers et on n'a rien tapé.

Je jette un coup d'oeil circulaire et comme je ne vois personne je glisse une main sur sa cuisse et remonte moi aussi au plus haut.

- j'aimerai bien moi aussi te donner du plaisir.

- ma cousine arrive tout de suite pour qu'on mange ensemble. ..mais bon en même temps j'ai dis que je l'appelais dès que j'arrivais. .tu peux juste venir prendre un café si tu veux ?

Un peu déçu mais obstiné. ..je dis oui et entre donc dans sa maison juste sur ses pas.

Je ferme la porte derrière moi et la rattrape par le bras. Je la fais tourner sur elle même puis l attire à moi...bouche contre bouche je glisse mes mains vers le bas, saisi ses fesses par dessus son leggings. ..

On n à pas le temps !

-on a toujours le temps d'un petit câlin. ..et dans la foulée je glisse mes mains sous son leggings, lui attrape les fesses par dessous son string. ..tout en continuant à l'embrasser à pleine bouche et pleine langue.

Comme elle ne recule pas devant le contact, mes mains font le tour de ses hanches et ma main droite vient se positionner sur son sexe que je découvre humide.

Elle accentue la pression de sa bouche, m'attire vers elle avec ses mains. ..je prend cela pour un invitation à continuer et je ne me fais pas prier.

Je fouille sa chatte de mes doigts. .je sens ses lèvres contre eux...son clito grossir...j'y glisse un puis deux doigts. ..elle bouge un peu et écarte un peu les jambes, ce qui m'oblige à me baisser un peu afin de continuer ce massage rapide mais combien sympa.

Ce petit jeu dure depuis quelques minutes lorsque son téléphone sonne. ..elle se retourne se libérant du même coup de mon emprise. ..

Fin du round. ..la cousine prend des nouvelles et arrive donc de suite. .et comme elle n'habite qu'à 500 mètres. ..

Je prend donc congé non sans regrets. ..j'ai encore son odeur sur mes doigts en arrivant chez moi.

Vivement le prochain cours du coup. ..à moins d'une invitation lundi prochain. .on verra

En attendant la leçon de demain je suis passé chez elle en coup de vent pour lui ramener son pc (si vous avez suivi...son pc était mort..j'avais essayé de le réparer chez elle mais rien nada. ...finalement la semaine dernière j'ai embarqué le pc avec moi)..gros nettoyage à la maison (poussiere)...redémarrage. ..que dalle...

Un pote de mon fils passe par là. ..regarde le bouzin. ..et dit : c'est pas normal...on va essayer un truc.

Il vire une des barrettes de mémoire. ..et redémarre. ..et bam ! Magie !

On fait plusieurs manip'..conclusion...une des deux barrettes s'est foutue en l'air et suffit d'en acheter une autre (20 balles au pire)..

Bref..je ramène le pc chez elle..son frère était là avec sa femme. ..un café rapide. ..un bisou discret en sortant. ..et par SMS. ..elle l'envoi

Merci merci merci !!! Demandes moi tout ce que tu veux !

Donc j'ai la promesse de plein de gâteries. .


Sinon aujourd'hui coiffeur : plusieures coiffeuses pas top. .la mienne arrive

Petite, chatain très clair, yeux bleus. .super visage. Cool

Je m'installe : shampoing. ..puis je vais sur le siège. ..le truc à moitié déglingué. ..le repose bras est plutôt lâche, elle se casse dans l'arrière salon, revient avec une clef...et se penche pour resserrer mon accoudoir. ..

Une vue impeccable sur un joli 85 d (au moins)...dans un soutif pigeonnant. ..superbe !

Mon petit plaisir du jour.

Et non elle n'a rien vu

Mardi. .elle M ouvre en robe de laine grise ceintrée d'une ceinture noire large en cuir le tout sur des collants gris.

Bisous de bienvenue et on part direct pour la leçon. .ça se passe bien..la date approche. .sérieuse

Fin de leçon, pause café proposée. ..en avant. .je ferme la bagnole, vire le panneau de toit et suis la miss chez elle.

Café blabla...et re blabla ...bon...c'est quand qu'on baise ?....je detourne systématiquement la conversation. ..hasarde mes mains sur elle, tente des bisous. ..j'ai du retour mais bon c'est pas folichon. ..et ça commence à me gonfler (en plus l'heure tourne et je dois aller manger rapide si je veux aborder mes 6 h de taffe à suivre sans trop faire de bruits avec mon ventre )

Je me lève et prends congé. ..bise...que j'essaie de transformer en pelle. ..mouais. .sans plus. ..mains baladeuses, je soulève sa robe, passe mes mains sous son collant, empoigne ses fesses. ..rien...pas de retour. ..

-quand est ce que je te revois nue ? Ça me manque...

Bientôt. .

OK d'accord.

.bon...allez...bonne journée et à vendredi !


Vendredi. ..bise de bienvenue (piou. ..ça se dit encore ça ? Un piou ?)...bref...elle devait faire 10h 12 h...je lui ai proposé de faire 9h15 12 h....dont les 45 minutes gratos. .j'ai pas cours avant et je souhaite rèellement qu'elle reussise.

En plus j arrive ce matin avec la date de son permis. ...ça sera le 14...avec moi derrière (l'enseignant qui accompagne )

On bois un café (rien de folichon à raconter) puis on part en leçon. ...

Retour. ...comme elle n'a pas fait d'allusions à "nous"...ni à : cul bite nichon chatte baise etc...je n'en fais pas non plus. ..pas envie de revivre me plan de mardi dernier. ..le mec en manque qui passe ses mains au cul de filles blasées ...bref...arrivé chez elle, alors qu'à chaque fois je sortais de la bagnole pour rentrer avec elle. ..

Allez ! Pense à regarder les vidéos dont je t'ai parlé. .et à la semaine prochaine ! (Vidéos des questions intérieur extérieur du véhicule pour l'examen du permis )

Je sors de la caisse...fais le tour pour me rendre côté conducteur. ..deux bises sur les joues. ..je rentre et me casse..

Alors je sais pas...elle ne veut plus. ..est fatiguée. ....s'est coincé un sein le matin en se peignant. .j'en sais foutre rien..mais ça m'a gonflé.

Et pas de nouvelles de Christelle depuis la dernière fois. ..juste croisé hier en bagnole (ou elle m'a fait un gros coucou avec un énorme sourire )

Vous faites chier les filles.

sms du soir...ça va ? tu fais la fête ?

réponse :

Mignone.

Charmante la dame

Ah oui tout de suite on comprend mieux...

Super gaulée...hâte que tu nous montre son cul et ses p'tits seins !!!

Mardi. .jour de conduite. .j'arrive un petit peu à l'avance, pas de chance elle n'est pas chez elle. Alors que je commence à me demander si elle n'a pas oublié, j'entends une porte s'ouvrir de l'autre côté de la rue et quelqu'un dire : ah si il est là !

Deux minutes plus tard elle arrive vers moi flanquée de ses deux copines, Christelle que je connais bien et Stéphanie que je connais de vue. Aurelie me fait la bise (on est dans la rue ) Christelle aussi en me disant que la prochaine fois il le suffit de frapper à sa porte si je veux un café moi aussi. ..du coup Stéphanie me fait la bise aussi (elle aussi est divorcée et non, je n'ai ps vocation à me taper toutes les célibataires de la même rue)

Nous partons en leçon pour des révisions. ..elle conduit très bien tant que je la guide. .quand elle est livrée à elle même elle n'est pas autonome et fait des conneries.

Retour chez elle à midi. ..quelques caresses sur la cuisse pendant le retour mais rien de folichon. Comme elle s'apprête à sortir de la voiture elle me demande si je veux prendre un café rapidement car c'est mardi et sa cousine vient manger Avec elle.
Je lui réponds pas la négative mais que par contre je veux bien rentrer pour faire des bisous car je n'en ai pas eu aujourd'hui.
Elle me souris et le dit que oui pour ses bisous je peux rentrer. ..
À peine passé la porte je l enlace et l'embrasse doucement mes mains ont déjà relevé son pull et se promènent sur sa douce peau jusqu'à passer la barrière de sa ceinture et attraper ses fesses. ..
Comme ses mains à elle restent timides je lui dis qu'elle aussi peut toucher.
Se faisant je prends sa main gauche et la dirige vers ma braguette. ..elle caressé du coup ma queue par dessus le jean. ..puis je reprend sa main et la fait passer sous ma ceinture aussi (j'ai pas mal maigri ces derniers temps, et malgré la ceinture il suffit de tirer de chaque côté de mon pantalon pour que je me retrouve le sguegue à l'air.

Sa main se faufile facilement et attrape mon sexe qui est en forme depuis quelques secondes et commene doucement à me branler tout en me disant qu'on a pas le temps.

Alerte rouge...OK. ..pas le droit de passer les mains devant elle a ses petits problèmes de fille. .je comprend mieux. ..je repasse donc les mains derrière pendant que je savoure la caresse qu'elle me prodigue.

On a pas le temps. .

Et son téléphone sonne mettant immédiatement fin à notre petit jeu. ..elle répond vite fait à sa cousine. ..je recule vers la porte d'entrée. .lui donne un dernier baiser et rentre chez moi avec une belle erection.

Je devais la voir vendredi matin mais elle vient d'annuler ça sera donc la semaine prochaine si je trouve un créneau (et le lundi c'est mort. .ma femme est à la maison )

Pour ce qui est des photos d'elle à poil ça sera obligatoirement des photos volées. ....je l'ai branché plusieurs fois sur des possibles sextos. .et c'est niet pour elle...hors que question.

À chaque fois je lis tes aventures avec cette élève et sa copine, ça gonfle tout seul.

Non, j'ai rendez vous demain entre 14 et 16 h..et encore trois heures avec elle la semaine prochaine avant son permis de jeudi prochain. ..et cerise sur le gâteau. .c'est moi qui l'accompagne

Et non j'aurai bien aimé mais ma femme est actuellement en arrêt et donc à la maison. ..et comme elle ne peut pas trop aider (elle s'est cassé le bras) je suis bon pour les tournées de lessives, le ménage .la bouffe mais surtout les aller retour taxi (vu qu'il lui est impossible de conduire )

Et j'aurai du mal à trouver une astuce pour m'isoler un couple d'heures. ..alors je ronge mon frein

Salut ausol, c' est pas de bol et ta femme non plus d' ailleurs. Bon rétablissement à elle.

On a toujours cours à 14 h ?

oui, mais si c'est possible de commencer plus tôt...

Pas de soucis, viens quand tu veux

ok j'arrive.

Je me gare devant chez elle, sors de la voiture, et toc à la porte. Elle m'ouvre immédiatement, et comme d'habitude m'offre ses lèvres à peine le pas de la porte passée.

Je ne pensais pas que tu viendrais si tôt (il est à peine 12 h 30, pour un cours qui commence à 14 h !)
tu m'attends deux secondes ?

la voila partie dans les étages, me laissant seul dans son salon. Je me mets à l'aise, en posant mon blouson sur un dossier de siège, je parcours machinalement ce salon des yeux, que je commence à connaître par cœur maintenant. La table basse en verre, le grand canapé en cuir noir, les photos de famille disséminées un peu partout. Le PC qui n'est toujours pas réparé (il lui suffit juste d'acheter une carte mémoire vidéo et le tour est joué, mais bon...pas le temps ?) la mini cuisine et sa bouilloire pour le café soluble. Quelques jouets qui traînent de ci de là.

Tu peux venir ?

Ah...me faire monter au premier étage c'est plutôt bon signe, je sent que la leçon risque fort de ne pas commencer en avance.
je monte l'escalier le coeur battant, m'attendant à la retrouver en haut des marches, m'attendant pour une partie de jeu de foufou.
ou alors, elle a un problème à la con, genre porte de salle de bain à revisser, ou ampoule à changer (mon cœur bât moins vite pour le coup)...bref, j'en suis encore à me poser 40 000 questions quand j'arrive sur le pallier.

t'es où ?

pas de réponse. Je m'avance dans le couloir, jette un coup d’œil rapide dans la salle de bain grande ouverte, personne.
la porte suivante est celle de sa chambre, la porte est très légèrement entre ouverte. du bout des doigts je la repousse doucement, et risque un œil à l'intérieur.

Joyeux anniversaire !

elle est là, allongée sur son lit dans le plus simple appareil. accoudée sur un bras, une jambe recouvrant l'autre, me cachant par la même occasion sa jolie toison.
Je rentre tout sourire en me disant en même temps qu'elle est vraiment super jolie, et me rendant compte que je commence déjà à bander.

Je m'approche d'elle en la remerciant d'y avoir pensé (j'ai fêté mes 49 automnes la semaine précédente)

Je me penche vers elle et tout en enlevant mes vêtements, je l'embrasse doucement.

j'ai tôt fait de me retrouver complètement à poil et je me glisse auprès de son corps, c'est juste la première fois que nous nous retrouvons dans une situation "normale"..elle et moi nus dans un lit tout simplement, que tous les deux, et sans la frénésie d'une pulsion soudaine...au calme comme disent les jeunes maintenant.

Ma main part directement vers ses courbes. sa hanche, ses cuisses, puis remonte en prenant son temps vers le haut. J'attrape son sein gauche et l'embrasse dans la foulée. Puis je remonte fourrer mon nez dans son cou, derrière son oreille.

Elle attrape quasi immédiatement ma queue qui n'en peu plus de bander (intérieurement, je me dis que l'excitation est telle que je vais décharger bien trop vite).

Je plaque ma main sur son ventre, la forçant de la sorte à se mettre sur le dos, puis de cette même main je parcours l'intégralité de son buste, prenant le soin de m'attarder sur ses seins, dont je fais rapidement durcir les pointe, puis descendant lentement mais surement vers son sexe afin d'évaluer son degré d’excitation.

Comme je m'y attendait, elle mouille sévère, et la caresse prodiguée n'arrange rien...elle en écarte même les cuisses pour me permettre de m'y attarder.

Au bout de quelques minutes de caresses mutuelles et d'embrassades, je décide de plonger et de goûter ce joli fruit des îles, en faisant entrer ma langue, mon nez. Je sens ses reins se cambrer sous le contact pressant de ma bouche. Sa main, toujours autour de ma queue devient plus ferme. Il est temps de passer à autre chose sinon je vais gicler rapidement.

Je me relève et décide de me mettre à cheval sur elle. Mon sexe repose sur son ventre, et mes couilles frottent son sexe au gré de mes vas et viens. Elle écarte franchement les jambes, m'incitant à changer de position et de me retrouver à même de la pénétrer. Le temps de m'équiper et me voilà en elle. Je l'ai pénétré doucement, jusqu'au fond, puis j'y suis resté un certain temps sans bouger, sentant son plaisir dans les ondulations de son corps, et dans ses frémissements. Puis j'ai commencé à le ressortir, quasiment jusqu'au bout, puis à le re rentrer toujours aussi doucement. à chaque fois, sa tête se penche de côté, ses yeux fermés et les rides de son front semblent indiquer une douleur, si ce n'est que c'est le même masque que celui du plaisir, preuve en est sa langue qui de temps en temps sort pour humecter ses lèvres, et ses mains qui tiennent fermement mes flans et qui me tirent vers elle en tentant de me bloquer lorsque je suis au plus profond d'elle.

La cadence s'accélère à sa demande, grâce à ses coups de reins, et à ses mains qui ne me tiennent plus mais qui par la rapidité de leurs caresses me donnent le tempo.

Je sent que je vais jouir, et mes pénétrations en deviennent plus violentes, à chaque coup, j'ai l'impression de (pardonnez moi l'expression) taper au fond. Mes mains sur le haut de ses cuisses aident à me maintenir et à accentuer la pression lorsque je rentre en elle précipitamment.

Je termine dans un râle de bonheur tandis qu'elle m'agrippe le dos laissant ses ongles se planter en moi (j'en suis pour quelques temps à éviter de me montrer nu devant ma femme).
Je m'affale sur elle, puis au bout de quelques secondes, je l'embrasse dans le cou, puis sur la joue, puis je lui donne quelques bisous sur la bouche, doucement, tout en lui recoiffant les quelques cheveux fous derrière sa tempe.

Bon anniversaire mon chéri.

merci

Nous restons enlacés quelques minutes, puis il est temps de bouger, elle a quand même des heures de conduite à faire, et même si pour moi le moment est magique, il est quand même important qu'elle obtienne son précieux sésame.

Je lui demande l'autorisation de prendre une douche, l'occasion pour elle de continuer à se coller à moi car nous la prenons finalement ensemble (dingue ce gel douche crême sur ce corps noir, j'adore), et je dois me faire violence pour ne pas mettre le deuxième couvert, car je sent qu'il ne va pas falloir beaucoup d'effort pour rebander direct, et profiter de cet instant. De plus, sa peau déjà douce est juste divine lors de mes caresses avec le savon. Et comme sa main s'attarde à me laver la dard....allez ! on rince et on va bosser !

séchés et habillés (elle est jolie avec sa doudoune et la capuche entourée de fourrure...) nous voilà arrivés dans la voiture.

La leçon se passe plutôt bien, un peu inégale par moment, mais il nous reste encore quatre heures pour la préparer à l'examen (jeudi prochain)

Le retour est plutôt détendu, comme d'habitude, j'ai ma main sur sa cuisse et elle fait de temps en temps de même, puis je la ramène chez elle.

Tu pars tout de suite chercher ton autre élève ?

tout de suite, non, mais je ne vais pas tarder.

Café ?

Café.

Me voilà donc de retour dans sa maison, et le fait de voir l'escalier qui donne à sa chambre me renvoie les images deux heures avant, et je me remet à bander directement.

à mon sourire en coin elle se doute de quelque chose, s'approche de moi avec ce même petit sourire et me mets directement la main au panier

mais dis donc toi !

et à peine ces mots prononcés, elle descend mon pantalon, m'attrape la queue, me tire vers le canapé dans lequel elle s'assoie, et me gobe directement.

j'adore me faire sucer en étant debout, et le résultat est assez rapide, car elle me suce et me branle par intermittence.

sucé, vidé, nettoyé.

voilà ! tu vas pouvoir passer une bonne fin de journée maintenant !

et j'en suis là : je suis seul devant mon PC à retranscrire ma journée, et je rebande encore.

hâte d'être à mardi pour le coup.

Oui tes histoires font bien bander !

Super tes récits

fin de leçon, sur la route pour aller chez elle..

ça chauffe, ça chauffe.

la suite ce soir (tard) je retourne bosser

j'ai tout lu depuis le début j'adore continue

suite donc (en retard désolé, pas mal de boulot).

j'oserai dire, une suite classique maintenant...on se chauffe bien sur la route du retour, elle fait de même avec moi hasardant sa main sans quitter la route des yeux, sur ma cuisse puis plus haut.

On rentre chez elle et on ne mets pas trop longtemps avant d'arriver directement dans sa chambre. Je la déshabille, elle se tortille gentiment pour aider les vêtements à tomber par terre.

Elle me déshabille en retour, prenant un malin plaisir à faire descendre lentement mon pantalon et mon caleçon, afin de faire jaillir ma queue qui est dure depuis un bout de temps. Queue qu'elle attrape au vol avec sa bouche, avant de l'engloutir complètement (c'est acquis, elle ne pompe plus trop fort, elle fait juste coulisser ma queue au plus profond de sa gorge, s'attardant autour de mon gland en remontant avec sa langue)

s'ensuit des caresses, des baisers, des chatouilles, et une pénétration douce puis de plus en plus forte. désolé, ça reste classique et je ne ferai que répéter ce qui est écrit plus haut.

Hier : le permis...

enfin, ce foutu examen...pour être honnête, j'espère un petit miracle..ça ne dure que 32 minutes, elle doit être capable de gérer son stress pour ne pas merder dans le temps imparti..

il y a encore des petites lacunes, mais la conduite en sécurité est là..donc ça peut passer.

Je vais la chercher chez elle, puis je fais un détour dans un autre village pour aller chercher une autre élève (pas de délire : trop jeune, trop voilée...niet)

sur le chemin, petites caresses de réconfort...elle ne me rend pas la pareil, (alors qu'elle est à droite pour une fois (je conduis), et qu'elle pourrait aisément me sortir la queue et me pomper pendant le trajet (un de mes fantasmes..déjà effectué, mais bon, quand on aime)

non, au contraire, elle me souris, me caresse la main, mais rien de plus.

Une fois l'autre élève dans la voiture, hors de question de se toucher..donc, on roule jusqu'au centre d'examen, et 20 minutes après, ça commence (et ça commence par elle)

l'examinatrice est sympa (bon, comme tout tourne autour du cul ici, oui, elle n'est pas trop moche, et habite pas loin de chez moi)

anecdote marrante, c'est elle qui m'a donné mon permis moto l'année dernière, et qui a ajourné mon fils qui a passé son permis il y a quinze jours (elle s'en souvient encore, elle était désolée surtout qu'elle a appris après que c'était le fils d'un enseignant..à son visage, j'ai bien vu qu'elle craignait des représailles, ou au moins un commentaire pincé de ma part) et c'est tout sourire que je lui ai dit que c'était normal, il avait merdé, il avait merdé..point.

Du coup, ma petite black s'installe tranquille, et l'examinatrice et moi, on papote, de tout et de rien..et c'est voulu de ma part..ça détend l'atmosphère, romps le silence, et rend l'examen plus digeste..

bon, ben ça n'a pas été suffisant..alors rien de bien grave en soit (pas de fautes éliminatoires), mais bordel..hésitant..lent..chiant..et que je cale en me trompant de vitesse, et que je roule en version mamie sur les giratoires...pas top du tout...
je sais que cette examinatrice est super sympa, et donne facilement le permis (sauf à mon fils lol)...mais là...ça sera aux points...

même les questions intérieur extérieurs et sécu routière qui donnent trois points gratos, elle me les rate !!!

on retourne au centre d'examen..elle reprend sa carte d'identité...ouvre la porte arrière pour récupérer son sac et son manteau, et me regarde. Je ne peut que lui rendre un sourire triste, et un signe de la main voulant dire bof bof...

la deuxième élève (sur cinq) entre dans la voiture, s'installe..l'examinatrice fait son speech..et je reçois un sms...dis moi ! je suis toute tremblante, je veux savoir etc..

je lui réponds franchement, pour moi c'est non..mais ce n'est pas perdu, il faut attendre...

au retour de la deuxième sessions (réussie pour le coup), je retrouve la miss en pleur au téléphone...je ne peux même pas la consoler, si ce n'est une caresse sur l'épaule.

les élèves passent à tour de rôle, et au fur et à mesure, je la retrouve un peu plus souriante..

sur la route du retour, j'explique ce qui a merdé, ce qui, selon moi risque de peser lourd dans la balance, mais aussi l'absence de fautes lourdes, et les choses positives.

on dépose la première élève directement chez elle, et je vais directement chez Aurélie ensuite.

Rien de folichon dans la voiture..j’esquisse une caresse sur sa cuisse mais le cœur n'y est pas.

Café (sérieux, ses gamins sont là), et je rentre chez moi.

Aujourd'hui, je suis allé directement voir la boite aux lettres de l'auto école (car nous recevons les résultats avant les élèves), mais pour le coup, rien..donc réponse demain.

Si jamais elle l'a.....elle va arriver directement à poil chez moi avec un concombre dans le cul tellement elle sera contente.