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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2352 -



Notre troisième journée chez Yvan et Michèle

Il n'est pas tout à fait huit heures, hier matin, jeudi, quand nous sommes réveillés par un violent coup de tonnerre. Un orage éclate . Un éclair zèbre le ciel. Un puissant flash illumine la chambre. Il fait incroyablement sombre. Je suis entre mes deux anges qui se blottissent tout contre moi. Comme apeurées. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite. << J'aime ton "vérin hydraulique" ! >> chuchote t-elle. Nous rions aux éclats quand Clémentine murmure : << Monsieur le garagiste ! >>. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers les toilettes.

Un second coup de tonnerre. Le bruit de la pluie qui s'abat sur le feuillage. La porte fenêtre du balcon est grande ouverte. Clémentine saute du lit juste à temps pour la fermer. Des paquets d'eau sont projetés par le vent contre les vitres. Estelle revient en tenue sport. Lycra noir et rouge. C'est à notre tour d'aller aux WC. Habillés comme Estelle, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Michèle et Yvan, comme affolés, complètement trempés, reviennent de dehors les bras chargés de linge mouillé. Clémentine fait le café. Estelle met les bols et les couverts.

Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Le grille pain éjecte les quatre premières tranches. Le reste de brioche dans le four à micros ondes. Yvan et Michèle en vêtements secs nous rejoignent dans la cuisine. Les coups de tonnerre se succèdent à un rythme soutenu. Des éclairs illuminent les cieux lourds de nuages noirs. Une pluie diluvienne dans un bruit de crépitement. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos découvertes des Sutton Falls lors de notre randonnée. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour.

C'est le plan B qu'il faudra mettre en œuvre. Inverness ne manque pas de sources d'inspirations pour y passer la journée. Même sous la pluie. Nous traînons à table. Le papa d'Estelle a déjà aménagé une salle d'entraînement à l'étage. Il nous invite à l'utiliser car avec cette météo l'idée même d'aller courir dehors relève de la folie pure. Nous acceptons volontiers car nous l'avons visité en arrivant. Il y tout l'équipent nécessaire. Yvan étant un grand sportif doublé d'un culturiste passionné. Nous remontons nous laver les dents en déconnant.

Il y a tout ce qu'il faut. Deux tapis roulants, deux vélos d'intérieur. Des machines, un banc, des barres. C'est donc un réel plaisir de nous entraîner en salle. Surtout que les parents d'Estelle viennent nous rejoindre. Entre pratiquants mâles, évidemment, nous faisons des développés couchés pour savoir qui soulève le plus lourd et combien de répétitions. Ce qui motive dans ce genre de sport c'est la compétition. Une heure à nous partager les différentes stations. Michèle n'est pas en reste. Son physique d'athlète trouve ici à s'entretenir.

Nous les laissons terminer pour retourner dans nos appartements, juste la porte en face. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes cuisses, Clémentine allume l'ordinateur. Le seul et unique message de Julie qui nous raconte sa journée. L'affluence dans la galerie d'Art qui ralentit. Elle y joint une photo. Vêtue d'une robe d'été légère, elle est debout à côté de la vitrine. Ce qui permet de constater qu'il y a effectivement moins de touristes sur la place. Estelle nous rejoint en jupette et T-shirt. C'est à notre tour d'aller prendre une bonne douche.

Clémentine en jupette, T-shirt. Je suis en Bermuda et T-shirt. L'orage a cessé. Mais le ciel reste menaçant. Il y en aura probablement d'autres. Estelle s'écrie : << Toujours rien sur le site de l'université ! >>. Clémentine répond : << Oui, j'ai vu ! >>. Nous préparons le petit sac à dos. Fruits, barres de céréales, minis parapluies. La pluie s'est arrêté mais il fait toujours aussi lourd. Une sorte d'humidité tropicale assez désagréable. Il est dix heures trente. Pressés de filer nous redescendons à toute vitesse. Tout est trempé et dégoulinant de flotte.

C'est avec la Mercedes que nous parcourons les sept kilomètres jusqu'à Inverness. Nous aurions préféré couper au plus court à pieds, par un des ponts sur la rivière Ness. Je roule doucement dans une circulation dense. Clémentine joue avec ma queue qu'elle tripote dans ma braguette béante. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou en commentant le vacarme de cet orage qui nous a réveillé. La température extérieure est retombée à 21°. Ce qui est bien plus agréable. Je gare la voiture sur le grand parking de Dalneigh. 28 £ la journée. 30 euros.

Au moins nous n'avons plus à y penser. Malgré ce prix plutôt dissuasif la presque totalité des 250 places sont occupées. Il y a une agréable brise venant de la mer. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les mains. Il faut une dizaine de minutes pour arriver au centre. Inverness est très touristique et tire sa richesse économique de la proximité du Loch Ness. Mais son industrie est florissante. Ce n'est pas pour rien qu'Yvan et Michèle ont créé ici une filiale de leur entreprise. Créant par de là même quatre postes dont trois sont encore à pourvoir.

Le centre piétonnier est un savant mélange d'architectures modernes et traditionnelles. Il y a surtout cette grande galerie commerciale entièrement recouverte de verrières. Plusieurs petites ruelles offrent un dédale où l'ont retrouve un marché aux fruits, des boutiques, une grande librairie, des restaurants et une supérette. Nous flânons longuement car au-dessus de nous, sur la gigantesque verrière, la pluie s'est remise à tomber. Dans un bruit régulier amplifié par la dimension du lieu. Estelle, quand elle me touche, m'enlace pour rester discrète.

<< Mon "vérin hydraulique" fonctionne très bien je vois ! >> dit elle en m'empoignant fermement la braguette. Nous attirons évidemment quelques regards interrogatifs. Non messieurs dames, je ne suis pas le papa incestueux des deux sublimes jeunes filles accrochées à mes bras. Nous nous amusons une fois encore de ces situations excitantes. Surtout qu'Estelle redouble d'assauts tactiles qui commencent à me faire bander comme le dernier des salauds. Quand Clémentine s'y met à son tour, c'est un peu la panique de mes sens. Elles en rient de bon cœur.

Je ne suis pas en reste car moi aussi, le plus discrètement possible, je glisse mes mains sous les jupettes. << On s'amuse comme des gosses ! >> lance Estelle. << Non ! Les gosses ne s'amusent pas comme ça ! >> répond Clémentine. Nous rigolons comme des bossus en entrant dans la grande librairie. << J'ai envie de faire ma salope ! >> murmure Clémentine. << Ah bon, toi aussi ? >> chuchote Estelle. Nous flânons dans les rayons. Il y a deux étages. C'est grand. Dans l'escalator, Clémentine s'accroupit. Le type derrière nous qui mâte.

Elle le fait évidemment exprès. Nous commençons par les albums photos. Notre préférence pour le noir et blanc trouve ici tout son potentiel. De beaux livres sur l'Écosse, son histoire, ses lieux mystérieux, ses châteaux, ses manoirs hantés, son folklore local. Dans le rayon d'une librairie, groupés tous les trois, il n'y a pas plus facile pour se toucher. Parfois ma main droite sur le sexe d'Estelle. Parfois ma main gauche sur celui de Clémentine. Au travers le coton de leurs jupettes. << Salaud ! >> me fait à chaque fois Estelle. Rajoutant : << J'adore ! >>

Nous parcourons ainsi les différentes sections du dernier étage consacré entièrement à l'Écosse. Nous redescendons au premier. Livres de cuisine, de bricolages, romans, biographies. Comme dans toutes bonnes librairies. Deux tourniquets avec des cartes routières, des cartes géographiques des différentes régions. L'endroit idéal pour nous faire des trucs sans éveiller l'attention. Sans êtres vus par les caméras de surveillance. << T'es pas chiche de la sortir ! >> me dit Estelle, provocatrice en diable car elle m'empoigne la braguette d'une main ferme.

C'est presque douloureux. << Je réponds : << Non, je ne suis pas chiche ! >>. Elle rajoute : << Dégonflé ! >>. Nous rions de bon cœur. Par contre moi, j'en profite pour la doigter d'un coup. Surprise, elle s'écrie un peu trop fort : << Mais quel salaud ! >>. Des badauds se retournent. Nous quittons les tourniquets pour redescendre au ré de chaussée. Les livres pour écoliers et fournitures scolaires. Nous quittons. Il est un peu plus de midi. C'est au "Filling Station" que nous trouvons une table. Cuisine traditionnelle. Restaurant populaire.

Nous avons bien trop faim pour êtres sélectifs. Après tout nous mangerons ce soir dans un établissement gastronomique. Il y a du monde. C'est bruyant. Des familles. C'est à l'étage que nous trouvons un peu de tranquillité pour savourer nos assiettes de fishs and chips. C'est délicieux et il y a la quantité. << Enfin en endroit où ils savent faire de vraies frites ! >> lance Estelle. Hors de questions d'aller nous amuser dans les toilettes car c'est un incessant va et vient. Nous ne traînons pas. Il y a plein de choses à voir et à revoir dans cette ville.

C'est sous nos minis parapluies que nous faisons l'avenue principale. Du lèche vitrine. Il y a un trio de filles qui jouent de la musique. Guitare, basse et batterie. C'est du Rock. Elles sont mignonnes, interprètent superbement bien du Led Zeppelin, du ZZ Top. Il y a une petite foule qui les entoure. Elles ne doivent pas avoir plus de vingt ans. Les sous tombent dans leurs étuis de guitares. C'est vraiment extraordinaire. Je dépose un billet de vingt livres sterling dans chacun des deux étuis. Un autre dans la corbeille devant la batterie. À l'abri sous un auvent.

Nous continuons. Estelle, de plus en plus téméraire me tripote de plus en plus ouvertement. Devant des jeunes femmes seules qui nous regardent éberluées. J'ai beau dire : << Arrête. On va avoir des histoires ! >>. Rien n'y fait. Elle choisit ses "victimes". Je suis terriblement gêné. Nous réservons une table au "Rocpool". C'est un restaurant gastronomique. L'endroit est très classe. Il faudra être là pour 19 h30. Paiement d'un acompte. Ce qui se pratique de plus en plus. Trop de touristes réservent pour ne pas venir. Nous avons encore à visiter.

Le musée des Arts par exemple. Une salle y est réservée à la peinture Hollandaise et Flamande du dix septième siècle. Il n'y a pas trop de gens et la visite est libre. Là aussi, Estelle joue de ses mains expertes pour tenter de me déstabiliser. Il y a une gardienne en uniforme qui circule de salle en salle. Aurait-elle repéré notre petit manège à trois ? Toujours est-il qu'elle semble intéressée par notre trio. Il faut préciser que ça pose forcément question deux jeunes filles sexys accrochées aux bras d'un homme d'âge mûr. Ça fait évidemment aussi des envieuses.

Je refuse toutefois de relever le défi du jour que m'impose Estelle. Pas question de sortir ma bite dans cet endroit. Clémentine agite son téléphone en disant : << Juste une seconde, le temps de faire la photo ! >>. Je ne peux rien refuser à Clémentine qui, pour appuyer son propos, se touche effrontément à travers le tissu de sa jupette. C'est dans une petite salle, consacrée à la sculpture animalière, que nous prenons finalement ces trois clichés. Estelle contre moi qui dirige ma queue vers l'objectif. Clémentine qui fait les rapides photographies.

Je remballe en vitesse car il y a des bruits de pas, des voix. Ce sont des visiteurs. Nous quittons le musée vers seize heures. La jeune femme en uniforme nous adresse un étrange sourire. Il est temps d'aller déguster une pâtisserie dans un salon de thé. Le ciel est sinistre mais la pluie a cessé. Les toilettes hommes de ce salon de thé offrent deux cabinets. D'abord enfermés avec Estelle que je baise en levrette alors qu'elle s'appuie contre le mur. Puis enfermés avec Clémentine dont je lèche l'après-pipi, accroupis entre ses cuisses écartées. Debout.

Bonne "faim" d'après-midi et de soirée à toutes les coquines qui raffolent de s'encanailler dans les endroits les plus saugrenus, avec des comportements étourdissant d'initiatives graveleuses...

Julien (l'homme au "vérin hydraulique")



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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2353 -



Notre quatrième journée chez Yvan et Michèle

Hier matin, vendredi, il est un peu plus de sept heures trente quand nous sommes réveillés par Estelle. Elle retombe lourdement sur le lit en revenant des toilettes : << J'ai mes "petits machins" ! >> dit elle d'un ton fataliste. La main sur son ventre en rajoutant : << J'ai pris mon médoc et je ne me sens pas très bien ! >>. Clémentine se redresse en disant : << Prends un fruit ! >>. Je me lève pour aller dans la cuisine. Je reviens avec une pêche bien mûre. Estelle s'en empare en faisant : << Merci Julien ! >>. Elle la mange est restant couchée.

Comme je le fais avec Clémentine, je pose mes lèvres sur chacun de ses petits seins. À travers le fin coton de son T-shirt j'insuffle de l'air chaud. << Mmhh, ça soulage ! >> murmure t-elle. Je masse délicatement son bas ventre. << Saloperies de règles ! >> lance Estelle. Clémentine m'entraîne par la main pour aller aux toilettes pendant qu'Estelle revêt sa tenue de sport. Nous nous habillons pareils. << Ça va mieux ! >> s'écrie Estelle comme pour nous rassurer. << Tu es sûre de vouloir jogger ce matin ? >> demande encore Clémentine.

<< Je vais surtout faire des abdos, ça soulage ! >> répond Estelle. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Yvan et Michèle sont dans la véranda. L'odeur du café et du pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre promenade à Inverness. Dehors, le ciel est couvert mais pas menaçant. Les pluies de la nuit ont laissé de grandes flaques d'eau jusque devant la véranda. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Clémentine propose de retourner sur Inverness mais à pieds, en passant par le pont ancien.

La suggestion est fort plaisante. Par ce pont il n'y a qu'environ trois à quatre kilomètres. << On a couru ce matin mais en restant sur la route, ça va ce n'est pas trop mouillé ! >> précise Michèle. Nous nous apprêtons à faire de même. Nous traînons toutefois à table à bavarder. Il est huit heures quarante cinq quand nous sortons. La fraîcheur détonne avec la douceur des matins précédents. Quelques mouvements d'échauffement bien nécessaires. C'est parti pour un running d'une heure. Nous restons sur la route. Très peu de circulation.

Nous passons dans le bourg. Il y a d'autres joggeurs. Le ciel semble s'éclaircir au-dessus de la mer. Il est dix heures quand nous revenons. Estelle investit la salle de bain la première. Assise sur mes cuisses Clémentine allume l'ordinateur. Un courriel de Juliette qui passe sa dernière semaine à Sartène, dans sa Corse natale, chez sa sœur. Elle prend l'avion jeudi prochain. Le message quotidien de Julie qui déplore ne pas faire de vente depuis une semaine. Elle fermera la galerie le dimanche 3 septembre. Estelle revient vêtue de son Levis, d'un sweat.

C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Nous nous vêtons pareils. Jeans et sweats. La température extérieure n'est que de 18°. Une chute spectaculaire qui contraste avec les 23° de hier matin à la même heure. Estelle et Clémentine, assises sur mes cuisses évoquent les différentes possibilités d'occuper notre journée. Le bruit des travaux à l'extérieur devient pénible. Il est temps de partir. Dans le petit sac à dos des fruits, les minis parapluies parfois bien utiles. Nous dévalons les escaliers. Nous sortons de la propriété par le portillon du jardin.

Il faut longer la rivière jusqu'au bourg. De ce côté-ci on passe derrière l'école. Là aussi il y a des travaux. Des échafaudages. << Décidément ! >> lance Estelle qui fait allusion à ceux derrière la maison de ses parents. Quelques arrêts où j'insuffle de l'air chaud sur l'extrémité de ses seins douloureux. Je caresse son bas ventre. << Docteur Julien, vos thérapies sont les meilleures ! >> dit elle. Nous traversons le pont ancien. À cet endroit la large rivière Ness, avec les pluies de ces vingt quatre dernières heures, ressemble à un torrent.

Nous voilà de l'autre côté. Ce long et étroit parc en pente qui longe la Ness sur trois bons kilomètres. Nous arrivons en ville. Le Victorian Market que nous connaissons bien. Sa galerie commerciale, son animation. Sa grande horloge Victorienne. Nous flânons à nouveau comme hier, dans les mêmes endroits. Impossible de s'en lasser. En ressortant de l'autre côté il y la place du marché. Des stands proposent des fruits et des légumes à gauche de l'avenue. Des stands de vêtements, de chaussures à droite. Là-bas, plus loin les deux tours de la cathédrale.

La cathédrale St André tient autant du château gothique que de l'édifice religieux. Nous flânons dans les allées du marché. Aujourd'hui il n'y a pas l'enthousiasme tactile d'Estelle. Elle se plaint de contractions du bas ventre. C'est moi qui me place souvent devant elle pour caresser sa braguette. Pleine de reconnaissance pour mes attentions elle me dit : << Ton défi du jour. Je te fais une pipe dans un coin ! >>. Nous en rions de bon cœur. << Ça fait partie de la thérapie de notre bon docteur Julien ! Mais pas plus de quelques gouttes ! >> lance Clémentine.

Nous gravissons les marches pour entrer dans la cathédrale. L'intérieur est grandiose. Il y a du monde. Les recoins dans lesquels, les années précédentes, nous nous sommes livrés à nos petits jeux de mains. << Tu avais ta bite à l'air là, exactement là ! >> me fait Estelle en montrant l'endroit entre les deux grandes bibliothèques contenant des centaines de livres religieux. La colonne cache partiellement le lieu. << Tu refais sel te pli ? >> me demande t-elle. Je m'y refuse cette fois car il y a des attroupements de touristes. Et il y a une exposition cette année.

Par contre, retrouvant son enthousiasme tactile, Estelle m'empoigne la braguette à plusieurs reprises. Clémentine chuchote : << Regarde, là, il n'y a personne, tu pourrais la sortir. Juste le temps de faire une photo ! >>. Estelle rajoute : << Oh oui, juste un peu ! >>. C'est l'arrière de l'estrade des prêches et des sermons. Une palissade de bois en fait le tour en demi cercle. Personne ne vient par là. Il y a du matériel et même une échelle posée au sol. Là aussi une grande armoire mais fermée. Une certaine obscurité. Estelle s'accroupit pour me déboutonner.

Il faut tout de même rester prudents. Il y a des visiteurs qui font peut-être comme nous, qui explorent les recoins. Clémentine tire son téléphone du sac à dos que je porte. Estelle reste accroupie, sa tête posée contre ma hanche, ses bras autour de ma cuisse. Son visage contre ma queue. Elle sourit à l'objectif. << Une autre ! >> murmure Clémentine qui change de place pour filmer sous un autre angle. Je reste extrêmement vigilant. Je sens la bouche d'Estelle se refermer sur mon sexe. Soudain la succion délicieuse que ses lèvres y exercent.

Tout cela dure une petite minute. Des voix se rapprochent. Estelle se redresse en chuchotant : << Merci pour le sirop docteur ! >>. Je remballe. Il est difficile de remballer une queue bien dure avec la braguette bouton d'un 501. J'y parviens juste à temps car c'est un groupe d'une dizaine de touristes qui font eux aussi le tour par derrière. Il commence à faire faim. Presque midi et demi. La température est légèrement remontée mais le ciel reste couvert. Estelle propose de prendre des fish and chips quelque part et de manger en se promenant.

Excellente idée et ce ne sont pas les fastfood qui manquent. Surtout l'un des meilleurs dans la galerie commerçante. Il faut attendre dans la file. Très bon prétexte pour Estelle qui retrouve toute sa verve tripoteuse. Nous attirons encore bien des regards interrogateurs. Chacun tenant son grand cornet de papier kraft nous déambulons en grignotant nos frites, nos tranches de poisson pannés. Ça colle aux doigts mais il y a de nombreuses fontaines où les rincer. Kelvingrove Art Gallery ouvre ses portes à 14 h. Ce musée mérite vraiment d'être vu et revu.

Cet après-midi les visites sont obligatoirement guidées. Il y a trop de monde. Nous faisons donc partie d'un groupe d'une vingtaine de touristes. Comme nous restons sciemment en fin de file ou derrière, Estelle peut se livrer à ses attouchements nombreux et souvent vulgaires. Quand je murmure : << Arrête, on va se faire attraper ! >>, elle chuchote : << Mais par qui, personne ne regarde par là ! >>. Elle a raison mais ce n'est pas rassurant. Je refuse catégoriquement de la sortir pour une photo. Même pas dans un des recoins retirés.

Il est seize heures. Une bonne coupe glacée dans un des salons de thé sur l'avenue. Installés au premier étage, nous avons une vue splendide sur cette partie de la ville. Une visite avec Clémentine dans les toilettes hommes. Enfermés dans un des cabinets, pour dix minutes d'une pipe d'anthologie. Aujourd'hui, et pour la raison qui l'indispose, Estelle se rend seule dans les toilettes femmes. Je lui réserve une surprise. J'ai la bite à l'air sous la table. C'est discret. Il y a une nappe brodée. Quand elle revient des WC la voilà ravie et enchantée.

La visite du musée de la gare reste un grand moment de découvertes. L'ancien hall est transformé en salle d'exposition. On y voit une dizaine d'énormes locomotives à vapeur. Toutes en parfait état de fonctionner. C'est dans un des wagons que Clémentine prend une nouvelle série de photos. Estelle contre moi, debout ou accroupie qui présente ma bite à l'objectif. Du grand Art. Il est 18 h45. Il commence à faire faim. Nous nous mettons en quête d'un bon restaurant. Il faut en faire plusieurs pour trouver une table. Nous y traînons longuement.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines appréciant de flâner dans les rues, les musées, les églises, pour y prendre les initiatives les plus ludiques. Avant de retrouver la douceur des draps d'un bon lit...

Docteur Julien



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2354 -



Notre cinquième journée chez Yvan et Michèle

Il est un peu plus de huit heures ce samedi matin. Estelle est restée accrochée à moi toute la nuit. Comme une naufragée à sa branche. C'est en saisissant mon érection naturelle qu'elle me réveille en murmurant : << On nous attend en bas pour le petit déjeuner ! >>. Clémentine se frotte contre ma cuisse en gémissant : << J'ai faim ! >>. Estelle se lève d'un bond pour courir vers les toilettes. Clémentine m'attire sur elle. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Elle s'accroche de ses bras et de ses jambes.

C'est ainsi qu'Estelle nous retrouve en revenant s'habiller de son short de lycra noir, de son sweat de lycra rouge. Elle vient me déposer une bise sur le front en disant : << Merci pour vos soins docteur ! >>. Nous rions de bon cœur alors que Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux WC. Nous rejoignons Estelle qui fait déjà une série d'abdos "groupés maximums" au sol. Nous nous habillons pareils. De faire ces exercices soulage beaucoup le bas ventre d'Estelle dont c'est le second jour de règles. Je l'aide à se relever. Elle saute à mon cou. Bisous.

Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Yvan et Michèle. Tout est prêt sur la table. Nous n'avons qu'à nous assoir. Nous prenons notre petit déjeuner en racontant nos visites à Inverness. Sans évidemment entrer dans les détails scabreux. Les parents d'Estelle nous confient bien avancer dans leurs travaux d'aménagements. Ce samedi matin aucun bruit provenant des échafaudages derrière la maison. C'est bien plus agréable. Dehors c'est exactement la même météo. Les pluies de la nuit on tout détrempé. Le ciel reste couvert.

Yvan nous conseille de courir sur le bord de la route car les chemins sont boueux, impraticables. Michèle insiste pour que nous restions encore quelques jours. Au moins jusqu'au vendredi premier septembre. Nous promettons d'y réfléchir. Estelle se montre plus insistante encore. << On est tellement bien chez papa et maman ! >> lance t-elle en allant s'assoir sur les genoux à son papa. Elle rajoute : << Même dans une maison en plein travaux de rénovations ! >>. Nous en rions de bon cœur. La compagnie d'Yvan et de Michèle est des plus agréables.

Nous traînons à table. Clémentine propose d'aller faire les courses à Inverness. Ce qui éviterait aux parents d'Estelle de devoir sortir. << Je prépare la liste pendant votre jogging ! >> fait Michèle toute ravie de la suggestion. Nous montons nous laver les dents avant de redescendre à toute vitesse. La température extérieure est de 17°. Il faut donc pratiquer quelques mouvements d'échauffement sous peine de devoir remonter pour enfiler nos K-ways. C'est parti. Comme les jours précédents, un running qui nous fait passer dans le petit bourg.

North Kessock est un village typique de la région d'Inverness. Même en courant il est plaisant d'y passer. Et nous ne sommes pas seuls à jogger. Il est 10 h quand nous revenons. Estelle prend sa douche pendant que Clémentine, assise sur mes cuisses, allume l'ordinateur. Juste le message de Julie qui nous raconte sa journée. Même si elle se réjouit pour sa rentrée universitaire Julie est attristée à l'idée de fermer la galerie d'Art dimanche prochain. Estelle vient nous rejoindre dans son Levis, son sweat. Nous lui cédons notre place pour aller à la salle de bain.

Vêtus comme elle nous revenons vers Estelle qui lit à voix haute le programme universitaire de la rentrée. << Enfin ! Même s'il n'y a pas tout, au moins on sait à quelle sauce on va êtres mangées ! >> lance t-elle. Je suis debout derrière elle à caresser délicatement ses épaules. J'évite les extrémités douloureuses de ses petits seins. Par contre j'y insuffle de l'air chaud, mes lèvres collées sur le coton de son sweat. Ça soulage. C'est efficace. Je recommande ces attentions à tous les lecteurs dont la compagne vit parfois un calvaire durant ses "petits machins".

Il est 10 h30. Clémentine propose de filer. Nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Yvan en haut de son échelle dans le salon. Et Michèle à quatre pattes entrain de visser des prises électriques à côté de la cheminée. Elle dit : << J'ai préparé la liste des courses sur la rable de la véranda ! >>. Nous les laissons. Nous avons les deux listes. Je roule doucement sur les sept kilomètres qui nous séparent d'Inverness. Assise à l'arrière, me caressant le cou, Estelle me dit : << Félicitations docteur, vous avez une attitude parfaite avec ma maman ! >>. Rires.

Clémentine, sa main dans ma braguette déboutonnée, nous demande : << Qu'est-ce qu'on fait ? On reste jusqu'à vendredi prochain ? Pour moi ce serait cool ! >>. Estelle rajoute : << On est bien chez mes parents. Vous avez vu comme ils sont contents de nous voir tous les matins ! >>. Je trouve effectivement que l'ambiance est fort plaisante. Les parents d'Estelle sont devenus de véritables amis. Depuis qu'elle a douze ans ils ont toujours considéré Clémentine comme leur seconde fille. Même si l'adoption pour d'étranges raisons leurs a été impossible.

Je gare la voiture sur le grand parking de l'hypermarché Tesco Superstore. Il faut prendre un charriot. Clémentine en nettoie la poignée avec le flacon de gel hydroalcoolique toujours dans la boîte à gants. Nous en retirons d'ailleurs trois paires de gants Mappa. Mesures de précautions pour de simples soucis d'hygiènes. Si déjà nous aimons nous tripoter, autant que ce soit avec des mains propres. Clémentine tient les listes de courses. Nous la suivons dans les différents rayons. Estelle reste accrochée à mon bras. Il y a du monde le samedi matin.

Nous avons repéré les menus proposés dans la grande cafétéria. Pour nous ce seront des saumons grillés avec des pommes chips et des petits pois. Brocolis. La photo est trop alléchante. La glacière branchée sur l'allume cigare préservera les produits frais durant le repas. En Écosse, il faut compter des prix en moyenne un tiers plus élevés qu'en France. Les fruits et les légumes s'achètent le plus souvent à la pièce. Par contre les présentations dans les rayons sont d'une propreté clinique. Des vaporisateurs donnent le taux hygrométrique idéal de conservations.

Estelle, lorsque nous restons "garés" derrière Clémentine qui compare les différentes marques, les différents prix, me tripote discrètement. << J'aimerais quelques gouttes de votre bon sirop pour la toux ! >> me dit elle. Nous rions alors que Clémentine veut savoir pourquoi. Le caddie se remplit inexorablement. Yvan et Michèle ne font de courses importantes qu'une fois par semaine. Trop impatients de terminer la rénovation de leur demeure. Dans la galerie commerciale il y a des boutiques et notamment une boulangerie pâtisserie et salon de thé.

C'est là que nous prenons deux énormes brioches. Une au pudding, toute en longueur et large. Une à la pâte d'amandes, ronde et impressionnante. Ce sera pour nos petits déjeuners à venir. Deux grosses miches aux noix et aux noisettes. Des crannachan au crumble de pommes. Ces pâtisseries typiques Écossaises aux goûts raffinés. Plates. Pas trop sucrées. Ce qui permet de savourer les crèmes de fruits qui les fourrent. Ce sera pour le dessert du repas de demain dimanche. Yvan et Michèle ont insisté pour que nous le prenions ensemble.

Je refuse de sortir ma bite. Même dans la petite librairie au fond de la galerie. << Bouh ! Trouillard ! >> lance Estelle pour me mettre au défi. Même Clémentine qui pourtant apprécie beaucoup nos petits jeux dissuade Estelle d'insister. << Il y a des caméras partout, regarde ! >> précise t-elle alors qu'Estelle fait des grimaces dans leurs directions. Il faut aller mettre les achats dans le coffre de la voiture. Les produits frais dans la glacière déjà à moins deux degrés. Nous revenons à la cafétéria. Chacun avec un plateau en mains choisissons nos plats.

Il faut attendre un peu. Les portions sont généreuses. Ce qui est parfait car nous sommes morts de faim. Comme dans tous les pays, les cafétérias des hypermarchés sont fréquentées par les mêmes profils. Souvent des familles, bruyantes. Et là aussi il y a un espace de jeux avec toboggan, trampoline. << Put-Hein ça fout la merde les gosses ! >> hurle Estelle qui n'en peut visiblement plus. Quand elle a ses règles Estelle est rapidement irritable. C'est donc en Français qu'elle gueule. Nous sommes pliés de rire car personne ne comprend un traître mot.

<< Pas un Français dans la salle ! >> conclue Clémentine. Nous rions. Les gamins hurleurs n'en ont strictement rien à faire. Ils continuent tranquillement de pourrir le repas de la centaine de clients présents. Sous l'œil attendri des parents totalement crétinisés par leurs petits génies "casses burnes". Comme partout dans le monde. Aussi, dès le repas terminé, nous quittons l'enfer pour retourner à la voiture. Il est 14 h quand nous revenons sous un ciel de plus en plus sinistre. Michèle nous fait à tous les trois des bises pour nous remercier des courses.

Nous rangeons les nôtres dans nos appartements. Le un grand studio équipé d'un coin cuisine retiré comme une petite pièce mais sans porte. Une salle de bain, un cabinet de toilettes. Des placards muraux judicieusement disposés qui évitent les armoires et les buffets. Sur la proposition des parents d'Estelle cela pourra être notre pied à terre durant nos prochaines vacances en Écosse. La perspective de savoir leur fille à proximité étant un plaisir supplémentaire. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Ça bosse. On entend même deux perceuses.

Je conduis doucement. Cette fois avec la bite à l'air. Tenue fermement dans la main de Clémentine. Assise à l'arrière, caressant mon cou, y déposant parfois des bises, Estelle commente les propositions de ses parents. Nous y répondrons par la positive dès demain matin au petit déjeuner. Je gare la voiture sur le même parking que ce matin. Il y a une quinzaine de minutes en marchant vite pour retourner en ville. Il est quinze heures trente. Comme dans toutes les grandes villes du Royaume Unis, ce sont des bus à impérial qui circulent dans les rues.

<< On s'en fait un ? >> propose Clémentine. << Oh oui, une visite de la ville en bus touristique ! >> répond Estelle. Mes deux anges, me tenant par les bras, accélèrent encore le pas. Il faut se rendre à un des bureaux de l'office du tourisme devant le hall de la gare. Nous prenons trois places à l'étage d'un des bus oranges bariolés de petits personnages du folklore local. Le monstre du Loch Ness y figure évidemment en bonne place. Surtout que partout dans la ville des panneaux animés montre les différents endroits de ses apparitions.

Pour d'évidente raisons publicitaires et commerciales, les Écossais ont inventé un principe redoutablement efficace. Une opération mondiale est lancée. De tous les pays les internautes peuvent surveiller les eaux du lac, ses profondeurs, suivre les plongeurs et les drones sous marins. Vaste opération marketing dont les retombées touristiques des dix prochaines années sont assurées. Car il est très important que le mystère et son "monstre" restent un secret pour longtemps. Nous sommes installés sur une banquette de gauche. Ici aussi on roule à gauche.

Ainsi nous voyons directement ce qui est intéressant. Je suis entre mes deux anges. Le petit sac à dos posé sur mes cuisses. Elles peuvent donc me tripoter discrètement. De l'autre côté de l'allée centrale il n'y a que des banquettes à deux places. Ce sont deux jeunes femmes dont une rousse aux tâches de rousseurs étonnantes. Elle a des yeux bleus magnifiques. Toutes les deux font des photos. Elles semblent joyeuses et rieuses. Le bus circule dans les grandes artères de la ville. La circulation est dense en ce samedi après-midi. Le ciel est sinistre.

<< Sors ta bite. Personne ne peut la voir ! >> murmure Estelle. Clémentine, contre la fenêtre, filme. Je chuchote : << T'es dingue, regarde, il y a les deux meufs à côté ! >>. Elle me tripote alors que je serre le sac à dos contre mon ventre. << Allez, sel te pli, fais plaisir à ta patiente qui a ses "petits machins" ! >> surenchérit Estelle. Clémentine qui palpe aussi rajoute : << Ce serait coquin de te savoir coquin ! >>. Nous grignotons nos barres de céréales. La voix de la dame qui sert de guide touristique devient pénible. << Chiant ! >> lance Estelle.

De plus un des hauts parleurs est juste au-dessus de nous. Estelle se lève d'un bond. Elle passe la main derrière. Tout cesse. Elle montre fièrement la mini prise Jack débranchée. Sous les applaudissements des passagers voisins. Les deux jeunes filles lèvent le pouce pour féliciter l'initiative d'Estelle. Certes, la voix continue mais plus loin de nos sièges. C'est beaucoup plus agréable. << Je mérite une récompense, non ? >> me fait Estelle. Pour toute réponse je glisse ma main entre ses cuisses. Ce qui n'échappe pas à nos deux voisines.

L'une d'entre elle met la main sur sa bouche en riant. L'autre lève ses deux pouces. << Pas de doute, elles sont membres du "Club" ! >> lance Clémentine à qui je fais pareil. Je joue de mes doigts sur l'endroit de leurs sexes. << T'arrête surtout pas ! >> me fait Estelle qui redouble de palpations à mon endroit. Je bande comme le dernier des salauds. Ce qui est extrêmement désagréable avec la queue coincée et tordue au fond du slip. Quand j'en fais part à mes deux anges, Estelle répond : << D'où l'utilité de l'extraire et de la dérouler un peu ! >>

C'est excitant. L'idée qu'il y a deux complices potentielles assises sur notre droite décuple nos témérité. Aussi, d'un geste précis, sans trop me tortiller sur mon siège, la main cachée par le sac à dos, je déboutonne difficilement les boutons de mon Levis 501. Avec difficulté j'en extrait une érection démentielle. << Ah, tu vois quand tu veux ! >> lance Estelle qui me la chope direct. Clémentine est pliée de rire. Je me fais branler discrètement. << Ça me tord le poignet ! >> dit Estelle qui change de main. Là, ce n'est plus du tout discret. Mais alors pas du tout.

À tel point que nos deux voisines comprennent très rapidement ce qui se passe. << Can we film ? >> demande la fille aux tâches de rousseurs. Ce sont deux irlandaises. L'accent Irlandais de Dublin est à couper à la tronçonneuse. Sans répondre, Estelle tire le sac à dos pour montrer aux deux touristes le "trophée" qu'elle exhibe fièrement. Elle tord ma turgescence en direction des filles en disant : << It will make you a beautiful memory ! >> Celle qui tient son téléphone vise et filme penchée en avant. Je me fais masturber devant l'objectif.

L'autre fille tire également son téléphone. Toutes les deux, pliées de rire, filment cette scène incongrue, surréaliste et bien vicelarde. << French ? >> demande la fille aux tâches de rousseurs. << Just us, Julien is Scottish, Edinburgh ! >> répond Estelle qui me branle avec une telle vulgarité que les deux Irlandaises n'ont plus qu'un sourire, béates d'admirations devant le culot de la situation. Personne d'autre dans le bus ne peut imaginer un seul instant ce qui se déroule ici. Il y a une coulée de foutre qui apparaît. Mon foutre épais, visqueux et gluant.

<< Ouch ! >> lance une des deux voyeuses. Elles doivent avoir la trentaine. Estelle agite ma queue pour tenter de faire couler la perle de jute. Clémentine y passe son index pour le récupérer. Elle le porte à sa bouche alors qu'une autre coulée apparaît. Je pourrais éjaculer tellement l'excitation est démesurée. Des spasmes secouent tout mon corps. << On perd ses moyens docteur ? >> me demande Estelle alors que les deux filles, mains sur la bouche, observent complètement consternées. Celle aux tâches de rousseurs ne cesse toutefois pas de filmer.

C'est Estelle qui attrape la grosse goutte pour faire de même. << It's just fantastic. You are amazing ! >> fait l'autre Irlandaise. Même en tentant des contorsions insensées, Clémentine ne parvient pas à prendre ma bite dans la bouche. Estelle récupère la troisième grosse perle opalescente. Elle montre son index pour le proposer aux filles. Il faut rester discrets. Il y a d'autres passagers derrière nous et devant nous. Le lecteur imaginera facilement la tension très particulière qui règne entre nous cinq. Je suis là, dans un bus touristique à dégorger de la jute de mon érection folle.

Entre deux salopes et devant deux autres. La fille aux tâches de rousseurs passe sa langue sur ses lèvres en faisant mine de se régaler. L'autre mime une discrète pipe en tournant le poing fermé devant sa bouche. Estelle et Clémentine n'arrêtent plus de lécher leurs index. Récupérant l'abondance de mon liquide séminal. Je ne crois pas avoir vécu dans mon existence une situation aussi excitante. Je pourrais m'évanouir par instants. C'est trop fou. Les quatre filles sont pliées de rire devant mon trouble. << Yes it's good. It's right ! >> fait l'une des touristes.

Cette situation est désespérante pour mes sens. C'est la toute première fois que je suis émotionnellement déstabilisé à ce point. Ça dure et ça dure. C'est dur. Enfin, après une demi heure de cette véritable épreuve, le bus revient devant la gare. Comme pressées de filer, pour elles aussi fuir l'intensité de ce qui vient de se passer, les deux Irlandaises se lèvent d'un bond. Estelle s'écrie : << We meet again ? >>. Cette invitation fait stopper la fille aux tâches de rousseurs. << You have a telephone number ? >> demande t-elle en rallumant son téléphone.

C'est Clémentine qui donne le sien. La fille le compose. Clémentine décroche. Voilà l'échange effectué. Les filles dévalent l'étroit escalier en colimaçon qui descend. Nous les voyons rire toutes les deux en se retournant pour nous faire de grands coucous. J'ai la bite et les couilles totalement congestionnées. << Ce soir, on va te faire ta fête, vieux pervers. Vicelard qui montre sa vilaine grosse queue dégoulinante à d'innocentes jeunes filles ! >> s'écrie Estelle qui empoigne fermement ma braguette. Sans même chercher à le faire discrètement. Il est 18 h30.

Nous flânons en lisant les menus proposés devant les restaurants. Il y a quelques gouttes de pluie. Nous ne cessons de revenir sur cet extraordinaire périple en bus à impérial. << On les attire ! >> dit Estelle. << C'est tellement facile entre filles. Il n'y a aucune crainte à avoir ! >> rajoute Clémentine. C'est une évidente réalité. S'amuser à ça tout seul, pour un mec, c'est la nuit au poste assurée et un passage devant un tribunal correctionnel. Je félicite mes deux anges pour leurs initiatives. C'est le "River House" et sa table succulente qui nous accueille à 20 h.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines terriblement excitées par des jeux extraordinairement salaces au premier étage d'un bus à impérial à l'effigie du monstre du Loch Ness...

Docteur Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2355 -



Notre sixième journée chez Yvan et Michèle

Il est un peu plus de huit heures hier matin, dimanche. C'est Estelle qui nous réveille. << On nous attend en bas ! >> dit elle en saisissant ma tumescence. Clémentine gémit en se blottissant tout contre moi. Elle murmure : << Depuis quelques jours tu es notre "application petit déjeuner" ! >>. Nous en rions de bon cœur. << Avec les bonnes brioches qu'on a trouvé samedi ! >> précise Estelle qui se lève d'un bond en s'écriant : << D'abord pipi ! >>. Clémentine prend le relai en empoignant mon érection. Je glisse ma main dans sa culotte pour "coiffer".

Estelle revient dans son Levis, son sweat. C'est le troisième jour de ses "petits machins". C'est bien plus gérable. << Grâce à vos soins docteur ! >> me fait elle alors que Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'aux toilettes. Nous nous vêtons comme Estelle avant de dévaler les escaliers. Yvan et Michèle, dans la véranda. L'odeur du café, du pain grillé. C'est la longue et large brioche au pudding qui trône sur la table. Dehors le temps reste le même. Un ciel couvert, la température extérieure n'excède pas 17°. Comme un automne précoce.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre décision. Nous resterons chez les parents d'Estelle jusqu'à vendredi prochain. Michèle lance : << C'est génial. Voilà une bonne décision ! >>. Yvan rajoute : << Ça nous fait vraiment plaisir ! >>. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différentes options de notre journée de touristes. Clémentine suggère de descendre jusqu'au Loch Ness. Après tout le lac n'est qu'à une quinzaine de kilomètres. << Il faut aller voir les travaux de rénovations de Boleskine House ! >> rajoute Michèle.

Notre programme étant établi, nous traînons à table en savourant cette délicieuse brioche. Le dimanche, pas d'entraînement. Pas de sport. Yvan nous emmène dans les différentes pièces du bas de la maison. Le petit et le grand salon sont quasiment terminés. La chambre à coucher va connaître les dernières peintures. Il restera à finaliser les aménagements de la cuisine. Puis ce seront les travaux à l'étage et surtout ceux de consolidation de la charpente. << Normalement tout devrait être terminé pour la fin septembre ! >> précise encore Yvan.

Estelle et son papa nous précèdent. Pour monter au grenier. Il sera totalement aménagé, isolé et décoré. Yvan a l'intention d'y faire sa bibliothèque, son bureau et un espace de détente. Il est dix heures. Nous laissons les parents d'Estelle à leurs occupations de peinture pour enfiler nos fins blousons de cuir brun. Vêtus exactement pareils, tous les trois, nous prenons la voiture pour aller jusqu'au bourg. Tout est trempé avec les pluies de la nuit. Il y a une kermesse. C'est sympathique. Beaucoup de monde. Nous flânons entre les stands, les manèges.

Un orchestre folklorique Écossais donne la cadence. Cet après-midi il y aura un de ces concours typiquement Écossais. Des hommes forts lanceront des troncs d'arbres, d'énormes pierres et de lourdes boules de métal. Tout cela est exposé sur la place. Estelle, quand elle bloque soudainement la marche, qu'elle passe un bras autour de mon cou, c'est pour cacher les activités de son autre main. Clémentine se serrant contre nous fait écran de son corps. Je me fais empoigner la braguette d'une poigne ferme. << Ton défi du jour. Branlette ! >> lance Estelle.

Je réponds : << Mais pas ici, cet après-midi peut-être ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous sommes invités à partager le repas avec les parents d'Estelle. Ils nous attendent pour midi trente. Nous avons encore un peu de temps pour visiter la petite église du bourg. Knockbain Free Church est un édifice à l'architecture moderne. L'ancien édifice religieux étant fermé pour cause de vétusté dangereuse. L'endroit est également un lieu d'exposition en ce dimanche de fête villageoise. Nous sommes invités à mettre des lunettes 3D pour admirer des photos.

Des photographies datant du début du vingtième siècle. Floues sans lunettes mais extraordinairement profondes avec. Il y a du monde. Estelle me palpe la bosse à plusieurs reprises. << Demain, mes "petits machins" seront terminés. Attends-toi au pire ! >> murmure t-elle à chaque fois. Il faut songer à rentrer. Je roule doucement sur les trois kilomètres. Bite à l'air, dans la main de Clémentine. La mienne entre ses cuisses. Je préfère quand elles portent toutes les deux leurs jupettes. Mais avec ce climat frais et humide il faut se couvrir. Il est 12 h15.

Nous prenons le repas dans la véranda. Les aménagements de la cuisine sont en voies d'achèvements. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre balade de la matinée. Yvan et Michèle s'accorderont un petit moment de répit cet après-midi. Depuis quelques jours, Estelle est un peu moins vigilante quand à mes attitudes avec sa maman. C'est très agréable de ne pas prendre de coups de pieds sous la table quand je bavarde plus spécialement avec Michèle. Je l'accompagne même jusqu'à la cuisine avec la vaisselle à laver. Je l'aide à débarrasser.

En mettant les assiettes, les plats, les verres et les couverts dans la machine, Michèle chuchote : << Ça fait six jours que tu es là et tu ne me l'as pas encore exhibé ! >>. Je reste pantois, ne sachant que dire. Il est extrêmement rare que la maman d'Estelle me tutoie. Nous entendons les rires depuis la véranda. J'hésite. Me sentant ému et déstabilisé, Michèle rajoute à voix basse : << J'ai un "plan" pour les prochains jours. Demain matin il faudra utiliser les toilettes extérieures pendant quelques heures. Je te ferai signe ! >>. Je reste silencieux.

Michèle m'adresse le plus merveilleux des sourires avant de me faire un clin d'œil. Elle s'accroupit pour regarder par le hublot en mettant la machine à laver la vaisselle en fonction. Son visage à quelques centimètres de ma braguette qu'elle fixe ostensiblement. J'ai l'envie folle de l'ouvrir, de sortir ma queue, de l'offrir enfin à cette femme qui me fait bander depuis quelques années. Clémentine le sait. Estelle aussi hélas. Estelle qui me le reproche parfois vertement. Michèle lève les yeux pour me fixer d'un regard suggestif. << J'aimerais la gouter ! >> murmure t-elle.

Elle se redresse rapidement car nous entendons des bruits de pas. Michèle fait couler l'eau du robinet, me tourne le dos devant l'évier. Je suis penché devant le hublot. Nous donnons parfaitement le change lorsque Estelle pénètre dans la cuisine. Évidemment la première chose qu'elle inspecte est ma braguette. La comédie est parfaite. Michèle m'adresse un second et discret clin d'œil alors que je quitte la cuisine. Clémentine rit et bavarde avec Yvan. Depuis quelques mois, ils ont une proximité qui m'excite. Auraient-ils tous les deux des cachoteries ?

Il est 14 h. Le temps de remonter nous laver les dents. Nous restons habillés comme nous le sommes. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. << Demain avant le repas, je coupe l'eau durant deux heures pour changer deux portions de tuyaus. Il faudra utiliser les toilettes extérieures, dans le jardin ! >> dit Yvan avant que nous partions. C'est dans l'ancienne buanderie. Toujours fonctionnelles les arrivées d'eau permettent un plan B. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. J'ai envie de lui raconter mais il y a Estelle assise à l'arrière.

Je déteste faire des cachoteries mais je ne peux décemment pas lui avouer les trois minutes intimes avec sa mère, dans la cuisine. Elle caresse mon cou. Nous prenons la "route militaire" qui longe le Loch Ness sur sa rive Est. Il faut ruser pour y parvenir car seuls les habitants de la région et quelques touristes la connaissent. Et des panneaux de circulations interdisent sont accès aux véhicules non autorisés. Le grand manoir à tourelle, puis voilà le lac. Nous allons rester sur son bord tout le long des 35 kilomètres jusqu'à la petite ville de Fort Augustus.

Clémentine joue avec ma queue. Il y a de nombreux bateaux blancs sur le lac. Avec l'énorme publicité faite autour des nouvelles recherches scientifiques, les touristes veulent tenter de voir le "monstre". Estelle se redresse, sa tête contre la mienne, elle tend son bras pour saisir ma bite dure et raide. << Moi, je le vois tous les jours le monstre du Loch Ness. Et il a une trompe d'éléphant ! >> dit elle alors que nous rions aux éclats. La "route militaire" est étroite par endroit. La vue sur le lac est magnifique. Avec ce ciel sinistre qui se reflète dans ses eaux noires.

De l'autre côté les montagnes couvertes de haut sapins. Il y a quelques choses de très mystérieux dans cette région. Un arrêt pipi tout près d'une propriété aux volets clos. Là-bas Castle Urquhart sur sa presqu'île. C'est derrière la voiture que les filles font pipi. Accroupi derrière elles j'enfonce mes index dans les culs. Je le fais souvent. J'adore car cela rend les jets de pisse beaucoup plus "violents". Même chez Estelle qui une fois encore s'écrie : << Salaud. Enculeur de filles ! >>. Je les torche. Estelle me tient la bite pour en diriger les jet. Clémentine qui filme.

C'est reparti. Sur notre droite les eaux sombres du Loch Ness, sur notre gauche les pentes des Black Mount et leurs forêts denses. Là, enfin Boleskine House. La visite des travaux est guidée. Il faut garer l'auto à Foyers. Marcher trois kilomètres. Mais ça en vaut la peine. Il y a quelques touristes que nous croisons. Le petit cimetière en face du manoir. Il y aurait, paraît-il, un souterrain qui relierait le manoir au cimetière. Boleskine House a été bâtie sur l'emplacement d'une église ayant brûlée avec toute une congrégation de fidèles enterrés en face.

Les travaux sont en voie d'achèvement et auront duré deux années. Nous faisons partie d'un des groupes de dix visiteurs. Les sols bétonnés vont recevoir un plancher. Les caves voûtées dont seule la salle de la chaufferie est accessible au public. La fameuse chambre des rituels. C'est là que le sinistre mage Aleister Crowley pratiquait ses incantations de magie noire et invoquait des entités maléfiques. Mais comme le précise notre guide, le "mal" a toujours été là. Avec les travaux tout cela a bien évidemment disparu. Depuis, aucun phénomène à signaler.

La visite dure une demi heure. Je refuse de sortir ma bite à l'arrière du manoir. << Tu as peur du Diable ? >> me fait Estelle en me palpant vulgairement. Je réponds : << Non, puisque sous les traits d'une adorable salope il est entrain de me tripoter ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Il est presque dix sept heures quand nous revenons à la voiture. J'offre ma bite à la gourmandise d'Estelle qui prétexte la thérapie du docteur Julien pour me la sucer. Clémentine filme depuis l'extérieur de l'auto. Je suis au volant, entrain de me faire tailler une bonne pipe

Tirant Estelle par les cheveux pour la forcer à relever la tête, je présente son visage à l'objectif du téléphone de Clémentine. Cela l'excite considérablement car elle se touche. Il y a deux groupes de touristes qui rappliquent. Ils reviennent à leurs véhicules, camping cars ou vans. Il y a même un autocar plus loin. Nous repartons. Dans le petit village de Foyers nous connaissons un excellent restaurant. Pas de chance, aucune table de libre pour ce soir. Nous poussons jusqu'à Fort Augustus. C'est là que nous trouvons notre bonheur. Il faudra rentrer tard.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui adorent la trompe d'éléphant du monstre du Loch Ness. Surtout en visitant un manoir hanté d'entités diaboliques et encore en chantier. Avant de retrouver les draps moelleux d'un bon lit...

Julien (Monstrausore à trompe d'éléphant)



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Notre septième journée chez Yvan et Michèle

Il est huit heures hier matin, lundi. Estelle blottie contre moi toute la nuit se frotte doucement contre ma hanche. Saisissant ma tumescence elle murmure : << Vous n'avez pas faim vous ? >>. Clémentine qui se réveille se serre contre moi en demandant : << Mais comment tu fais pour savoir qu'il est l'heure ? >>. Estelle répond : << Je me programme avant de m'endormir quand Julien me "travaille" encore ! >>. Nous rions. Je suis entre mes deux anges. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. Estelle s'écrie : << Pipi ! >>

Elle se lève d'un bond pour courir aux toilettes. Clémentine se frotte contre ma hanche en disant : << Je dormirais bien encore une heure le matin ! >>. Estelle, vêtue de sa tenue sport nous rejoint en disant : << Mes "petits machins", c'est terminés ! >>. C'est à notre tour d'aller pisser. Nous nous habillons pareils. Morts de faim, après quelques bisous où Estelle me palpe déjà la bosse, nous dévalons les escaliers. Yvan et Michèle déjà bien réveillés nous accueillent dans la véranda. Tellement contents de nous savoir avec eux jusqu'à vendredi prochain.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre virée jusqu'à Fort Augustus au Sud du Loch Ness. La visite de Boleskine house. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les options de la journée. Le climat est exactement le même depuis trois jours. Les pluies de la nuit qui détrempent tout, le ciel couvert et souvent sinistre lorsqu'il fait jour. Nous ne traînons pas à table. Yvan nous rappelle qu'il n'y aura pas d'eau entre dix heures et midi. Il faudra donc prendre nos douches avant. Nous remontons nous laver les dents. Pressés d'aller courir.

C'est en leggings de lycra noir, en sweats de lycra jaune passés sur nos T-shirts de lycra rouge que nous faisons quelques pompes, quelques abdos avant de redescendre à toute vitesse. La température extérieure est de 16°. C'est donc avec le rythme soutenu qu'Estelle mène ce jogging. Le même circuit que les fois précédentes. En traversant le bourg déjà très animé. Une heure d'un running où tombent quelques gouttes de pluies. Il est neuf heures trente quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Elle promet d'être très rapide.

Assise sur mes cuisses, Clémentine allume l'ordinateur. Les courriels de Juliette et de Julie. Juliette prendra l'avion vendredi matin pour rentrer de Corse. Julie nous raconte sa journée, déplorant une fois encore ne pas faire de vente. Personnellement, avec quatorze commandes, je suis très satisfait de ma saison. Surtout que six toiles déjà réservées partirons dès le début septembre chez mes collectionneurs habituels. Vingt toiles. C'est superbe. Estelle revient de la salle de bain dans son Levis, son sweat. C'est à notre tour.

Il est exactement 9 h50 quand nous nous retrouvons tous les trois vêtus pareils. Les filles, assises sur mes genoux, surfent sur le site de l'université. Il y a enfin la totalité du programme qui les attend pour ce premier trimestre, dès la rentrée du 18 septembre. Je les écoute converser en caressant leurs tous petits seins. Pas du tout perturbées mes deux anges se contentent de glousser tout en bavardant. Elles consultent le site touristique d'Inverness. Clémentine propose de retourner le long du Loch Ness. Visiter Castle Urquhart sur sa presqu'île.

<< Mais on passe par la grande route ! >> suggère Estelle. << Sandwich et aventures ! >> rajoute Clémentine. Elles se lèvent toutes les deux d'un bond. Elles m'entraînent par les mains dans le coin cuisine. Préparation du petit sac à dos. Fruits, barres de céréales, gourde vide, K-ways et minis parapluies. Clémentine ouvre le robinet. L'eau ne coule plus. Pressés de filer, nous redescendons à toute vitesse. Yvan, en tenue de plombier, une énorme clef à molette dans la main, est devant un regard ouvert derrière la maison. Michèle dans la buanderie.

C'est par la fenêtre qu'elle communique par signe. La buanderie est le seul endroit où il est possible de remplir la gourde. Estelle reste avec son papa qui descend dans le trou. Clémentine va jusqu'à la voiture. J'entre dans la buanderie. Michèle me fait un sourire par en-dessous. Elle s'éloigne de la fenêtre ouverte. En se touchant l'entre jambes à travers son pantalon, elle lance : << Tu me la montres ! >>. Je n'hésite pas. Je déboutonne la braguette de mon 501. Je sors ma bite. << Génial ! >> lance Michèle. Dans le reflet de la vitre je vois Estelle là-bas.

À une trentaine de mètres, debout devant le trou où elle est penchée pour regarder ce que fait son père. J'agite ma queue molle dans la direction de Michèle. Elle tient son visage entre ses mains pour regarder comme effarouchée. Cela dure une bonne dizaine de secondes où je me mets à bander sévère. Michèle, pour donner le change, revient deux trois fois à la fenêtre. Estelle qui lève la tête regarde par ici. Ne me voit pas. Je me branle. Michèle se retourne pour m'observer. Silencieuse. La situation perdure quelques minutes. Michèle se retourne plusieurs fois.

Il est impossible d'entreprendre quoi que ce soit. Clémentine rejoint Estelle pour regarder dans le trou elle aussi. Michèle se retourne pour me dire : << J'aimerai te sucer avant vendredi. Mais je crois que ça restera un fantasme ! >>. Je fais : << Restons-en là Michèle. Pensez à Estelle ! >>. Je remballe. << Vous avez sans doute raison Julien. Et puis les fantasmes n'ont pas toujours besoin d'êtres vécus ! >> répond Michèle qui se touche en me lançant un clin d'œil. Elle rajoute : << Dommage, Yvan était dans la combine ! >>. Je reste comme atterré.

Je m'en doutais. Nous en parlions quelquefois avec Clémentine. Yvan et Michèle était un couple échangiste dans leurs jeunes années de mariage. Alors qu'Estelle n'était qu'une petite fille. C'est avec son parrain et sa marraine que se déroulaient des "parties carrées". Bien sûr aujourd'hui et depuis quelques années, Estelle en est informée. Mais c'est un sujet tabou qu'elle n'aborde jamais avec son papa et sa maman. Par contre depuis qu'elle a seize ans elle baise avec son parrain. Elle en a vingt six et se réjouis de le revoir tous les mercredis soirs.

Je sors avec la gourde pleine d'une eau froide. Je rejoins mes deux anges. Nous saluons Yvan au fond de son trou. Je m'installe au volant. Clémentine sur le siège passager. Estelle sur la banquette arrière. << Qu'est-ce que tu as fais si longtemps dans la buanderie ? >> demande Estelle d'un ton inquisiteur. Je démarre. Clémentine tripote ma bosse énorme car je suis encore en érection. Je réponds : << J'ai montré ma bite à ta mère ! >>. Elle saisit mon cou pour le serrer en disant : << Espèce de vieux salaud. Tu laisses ma mère en dehors de tout ça ! >>

Je la sais sérieuse. C'est qu'elle va m'étrangler la bougresse. Je roule doucement. Estelle me lâche enfin. Clémentine vient d'extraire ma queue en disant : << C'est notre jouet à nous ! >>. Estelle rajoute : << Rien qu'à nous, tu entends bien vieux pervers ! >>. Elle est redressée à l'arrière de la voiture, penchée entre les deux reposes têtes des sièges avant. Elle attrape mon sexe pour le tordre dans tous les sens. Jusqu'à la douleur. << Tiens, prends ça, vieux salopard ! >> fait elle en serrant fort pour la tordre vers l'avant. Aïe ! Ça fait très mal.

Nous tournons à droite sans traverser le pont de la Ness. Il faut prendre la Nationale qui longe le lac sur son côté Ouest. La circulation est dense. Il faut souvent faire fonctionner les essuies glaces. À chaque fois que je regarde dans le rétroviseur intérieur, Estelle me fait une horrible grimace. << Regarde ta route, vieux cochon ! >> lance t-elle. Clémentine joue avec ma queue. Je reste prudent sur cette route. À gauche les eaux sombres du lac dans lesquelles se reflète un ciel d'épouvante. À droite les falaises des Black Mount créées par la route.

Castle Urquhart est au Sud de la petite ville de Drumnadrochit. C'est une des plus belles ruines de châteaux Écossais. Situé sur une presqu'île du Loch Ness, entouré d'un parc aménagé, l'endroit est très touristique. D'aucun prétendent avoir vu le fameux monstre depuis le donjon. Des photos existent. Mais comme tous les Écossais je sais que tant que le mystère perdurera une partie de l'économie du pays en sera assurée. Je gare la voiture sur le second parking. Il faut marcher trois kilomètres sur le chemin parallèle à la route. Spécialement aménagé et sécurisé.

Sous les parapluies et dans un cortège incessant de touristes qui vont, qui viennent. La forteresse est vaste. Il faut franchir un authentique pont levis. Les visites sont libres. L'entrée est de 12 £, l'équivalent d'environ 13 €. Il y a des attractions dans le parc. Des bancs. Avec cette météo déplorable c'est frustrant de ne pouvoir s'y installer pour savourer nos fruits. Nos barres de céréales. Nous avons emmené de quoi nous faire des sandwichs. Tranches de pain aux noix, pâté végétal. Mais où les préparer avec ce temps pourri ? On va bien se débrouiller !

Il y a des guides à dispositions des groupes de visiteurs qui le désirent. Aussi, tout en découvrant une nouvelle fois le site, nous captons des bribes de l'histoire de la citadelle. Nous venons tous les étés en pèlerinage dans ce fief médiéval. Chaque année de nouvelles restaurations sont effectuées. Comme le souligne Clémentine : << D'ici dix ans ce sera Disney Land ! >>. Estelle empoigne ma braguette d'une main vengeresse à toutes occasions en murmurant : << Salaud ! >>. Nous en rions de bon cœur. Une des salles du bas transformée en musée.

Nous parcourons les allées où sont présentés tous les témoignages archéologiques lors de fouilles qui ont toujours lieu. Le château date du treizième siècle et a déjà subit des agrandissements au quatorzième siècle. On y a retrouvé divers objets. Des restes de vêtements de cuir et même des ossements dans des tombes. Il n'est pas exclu que des chevaliers du Temple ne se soient réfugiés ici en fuyant la France de Philippe le Bel. Destructeur de l'ordre des moines soldats. Beaucoup de ces chevaliers se sont enfuient en Écosse. Peut-être avec le fameux trésor jamais retrouvé.

Il y a des écrans où l'on peut découvrir des vues aériennes du site. Nous montons l'escalier en colimaçon de la Grant Tower. C'est impressionnant. La pluie a cessé de tomber. Par contre il y a de la brume à la surface du lac. D'ici, il paraît plus immense encore. << Je connais l'endroit où est caché le monstre ! >> murmure Estelle en me palpant vulgairement la braguette. Clémentine, pliée de rire, fait écran de son corps. Ça ne suffit peut-être pas car les deux couples là-bas nous regardent avec insistance. Notre trio attire évidemment l'attention.

Il est possible de visiter une partie des souterrains. De longues galeries voûtées en pierres de taille ou taillées directement dans la roche. Ce qui devait être une chapelle souterraine présente une voûte gothique. C'est incroyable car il y a un véritable château sous le château. Une véritable série de bunkers assurant la défense infaillible de la forteresse. Estelle ne cesse de me tripoter. De murmurer : << Vieux pervers. Vieux cochon. Tu devrais avoir honte ! >>. Nous en rions de bunker. En remontant nous prenons place sur un des bancs libres de la salle.

C'est là que nous préparons enfin nos sandwichs. Morts de faim car il est déjà quinze heures trente. Les fruits et les barres de céréales n'ont pas suffi à calmer nos fringales. Nous mangeons de bon appétit. D'autres visiteurs font d'ailleurs comme nous. Paquets de chips, de gâteaux ou encore tablettes de chocolats. Il est tout à fait possible de passer toute une journée ici. Tellement il y a des choses à voir. Nous profitons de quelques éclaircies pour remonter dans la Grant Tower pour y faire des photos. Je refuse de poser avec la bite à l'air. Il y a trop de monde.

Il est dix huit heures quand nous retournons à la voiture. Le ciel est dégagé et le soleil brille à nouveau. Nous remontons sur Inverness. Clémentine nous a réservé une table dans un de nos restaurants préférés. "River house". Les fruits de mer servis là sont extraordinaires. Nous y mangeons de bon appétit pour 19 h30. Visite dans les toilettes hommes d'abord avec Estelle. Enfermés dans un des cabinets que nous connaissons bien, je la baise dix minutes en levrette. J'y retourne en compagnie de Clémentine qui me taille une pipe des familles.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines que la visite des châteaux médiévaux émoustillent considérablement...

Julien (vieux cochon)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2357 -



Notre huitième journée chez Yvan et Michèle

Il est un peu plus de huit heures quand Estelle chuchote : << On nous attend en bas ! >>. Elle se serre contre moi pour glisser sa main dans mon slip. << Mais tu ne bandes pas ce matin! >> rajoute t-elle en saisissant mon Zob. << Il faut vraiment y aller déjà ? >> murmure Clémentine qui s'étire avant de s'accrocher à moi. << Ah, quand même ! >> dit encore Estelle alors que je bande dans sa main. Une réaction purement physiologique que connaissent la plupart des hommes au réveil. Estelle me lâche pour se lever d'un bond. << Pipi ! >>

Clémentine prend le relai en me masturbant doucement. Estelle revient dans son legging de lycra noir, son sweat de lycra rouge. << Je vous attends ! >> fait elle en nous faisant à chacun une bise. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus comme Estelle, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Yvan et Michèle nous réservent une bonne surprise. << C'est dans la cuisine depuis aujourd'hui ! >> lance fièrement Michèle. Les travaux sont enfin terminés dans la cuisine. Hyper bien aménagée, moderne et spacieuse. Dans l'odeur du café, du pain grillé.

Nous prenons notre petit déjeuner en racontant notre périple au Loch Ness, aux ruines du château Urquhart. Les parents d'Estelle n'ont pas eu l'occasion cet été de voir grand chose. Bien occupés aux travaux de rénovations de leur nouvelle acquisition. Ils vont d'ailleurs finaliser tout le ré de chaussée pour vendredi soir. S'offrir un dernier week-end en amoureux avant de repartir lundi 4 septembre. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur ces vacances. << C'était à la fois dense, reposant et riche de découvertes ! >> lance Clémentine. Elle décrit bien.

Tous les trois avons le même ressenti. Nous ne traînons pas trop. Il est huit heures quarante cinq quand nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Dehors c'est exactement la même météo que ces derniers jours. Un ciel couvert du nuages. Toutes les déclinaisons des gris le plus sombres aux plus clairs. Les pluies de la nuit ont tout détrempé. La température extérieure n'est plus que de 16°. Quelques mouvements d'échauffement avant de descendre à toute vitesse pour un jogging d'une heure.

Sur le même parcours qui passe dans le centre du bourg. North Kessock est touristique. Il y a déjà pas mal de promeneurs. << Tout le monde est déjà habillé comme en hiver ! >> lance Estelle. C'est vrai que ça rajoute un côté un peu tristounet. << Nous avons échappé tout l'été aux grosses chaleurs. C'est le plus important ! >> précise Clémentine. Il est neuf heures quarante cinq quand nous revenons. Estelle prend sa douche pendant que Clémentine, assise sur mes cuisses, allume l'ordinateur. Un petit tour sur le site de l'université. Pas d'autres informations.

Juste le courriel de Julie qui se désole de ne plus faire de ventes. Pourtant la galerie reçoit tous les jours des visiteurs. Avec ce climat, les touristes font les magasins plutôt que les plages. Estelle revient dans son Levis, son sweat. C'est à notre tour d'aller dans la salle de bain. Il y a le bruit des travaux qui reprennent derrière la maison. Sur les échafaudages. Pénibles. Les ouvriers qui s'interpellent d'une échelle à l'autre. << On s'arrache ou je fais un malheur ! >> s'écrie Estelle. Nous enfilons nos blousons de fin cuir brun. Il faut chausser les bottines.

<< Put-hein je suis habillée comme pour aller en cours ! >> dit Estelle lorsque nous descendons les escaliers. Nous entendons les perceuses, des appareils électriques. Je m'installe au volant. Nous passerons la journée dans la région de Cromarty. Un adorable port de pêche. Une petite ville si typique des Highlands. Une cinquantaine de kilomètres au Nord. Je roule doucement pendant que Clémentine tente de réserver une table pour midi et pour ce soir. Il vaut mieux anticiper et jouer la prudence. Les touristes sont encore nombreux en Écosse.

Assise à l'arrière, caressant mon cou, Estelle commente les paysages que nous traversons. L'estuaire sur notre droite. Un bras de mer où naviguent quantité de bateaux de toutes natures. Le contrefort des montagnes sur notre gauche. Toujours aussi grandioses. Il y a hélas quelques gouttes de pluie. Dans le petit sac à dos, nos minis parapluies. La circulation se densifie en arrivant de l'autre côté de l'estuaire. Là-bas, les immeubles, les clochers, les tourelles de Cromarty. La pluie a cessé et un timide soleil fait briller l'environnement verdoyant.

Je gare l'auto sur un des deux parkings obligatoires. Tout près de la citadelle qui domine la ville sur sa colline. Là aussi il y a un vignoble. << Il est pourtant dégueulasse leur pinard aux Écossais ! >> lance Estelle en empoignant mon Zob pour m'empêcher de le remballer. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle insiste en parlant de tout à fait autre chose. J'y parviens non sans peine alors que Clémentine tient les poignets d'Estelle derrière son dos. Nous prenons une des rues qui mènent vers le centre historique. Cromarty est plus vaste qu'il n'y paraît à premier abord.

Il y a des boutiques, des magasins de souvenirs et même une supérette aux vitrines très rétros. Cromarty Stores. Le tourisme va bon train car nous croisons plein de gens. Le soleil disparaît épisodiquement pour revenir. << Ton défi du jour. Une branlette dans un endroit à risques ! >> me fait Estelle qui passe son bras autour de mon cou, se serrant contre moi pour dissimuler sa main baladeuse. << Je filme ça ! Figurez-vous qu'il y a une vingtaine de petits films réalisés cet été ! >> précise Clémentine qui nous montre l'écran de son téléphone.

<< Vingt quatre très exactement ! >> précise t-elle. << J'en ferai un montage pour notre prochaine soirée cinéma cet automne ! >> lance Estelle en sautillant autour de nous. "Fishertown Inn" est un de ces bars restaurants qui font également magasins de journaux, débits de tabacs et accessoirement librairies. Ce n'est pas un établissement de caractère mais recommandé pour la qualité de son service. Il est déjà onze heures quarante cinq. La faim commence à se faire sentir. Il faut franchir les grilles d'un parc entourant une maison de maître. C'est là.

La table réservée nous attend au fond de la salle de droite. Beaucoup plus tranquille et avenante que celle du bar. La carte. Différentes spécialités de produits de la mer. Notamment ce pâté de saumon aux champignons à déguster avec de fines tranches de pommes de terre grillées. Un délice dont nous nous régalons en faisant le programme de l'après-midi. Clémentine a réservé une table au "Royal Hôtel" pour ce soir. C'est donc sereins, parfaitement détendus que nous pourrons partir en explorations. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.

La salle est pleine. Toutes les quinze tables sont occupées. Nous félicitons Clémentine d'avoir pensé à réserver. Une première visite dans les toilettes hommes avec Estelle. Enfermés dans un des cabinets de toilettes, je la baise en levrette. C'est devenu un rituel dans chaque restaurant. C'est amusant de devoir la prendre par derrière en étouffant ses gémissements de ma main droite. Alors qu'elle s'appuie contre le carrelage. C'est encore plus drôle d'entendre des mecs de l'autre côté de la porte qui viennent pisser. Ne se doutant absolument de rien.

Seconde visite avec Clémentine. Sa préférence pour la pipe est beaucoup plus silencieuse. Mes talents de contorsionnistes trouvent encore là de quoi émouvoir Clémentine dont je suce le clitoris géant après son pipi. Une dizaine de minutes à chaque fois. Je laisse aux lecteurs d'imaginer les regards interrogateurs qui se posent sur nous lorsque nous revenons. Que peuvent donc faire ces deux superbes et élégantes jeune filles aux toilettes avec cet homme d'âge mûr ? Ce sont évidemment les questions qui se devinent. Nous traînons pour savourer le dessert. Tartes flambées.

Un peu lourds, nous flânons dans les rues aux ambiances toute particulières. Il doit faire bon vivre ici durant le reste de l'année. Les décorations florales, les maisons pour la plupart blanches, le mobilier urbain, tout est enchanteur. Une visite libre du "Hugh Miller's Cottage" s'impose. C'est le musée historique de Cromarty. Pour l'équivalent de six euros. Il n'y a pas trop de gens. Aussi, Estelle peut donner toute la mesure de ses pulsions tactiles. Je n'arrête pas de bander comme le dernier des salauds en découvrant les belles pièces anciennes exposées.

Les mains d'Estelle ne cessant de me palper la bosse. Je refuse toutefois de sortir ma bite. << Ton défi ! >> lance t-elle à chacun de mes refus. Je fini par répondre : << Je ne vais tout de même pas prendre le risque de me branler ici ! >>. Nous rions aux éclats en imaginant la scène. Il n'y a aucune surveillance, pas de caméra. Ce petit musée n'abrite aucun objet de réelles valeurs. Les costumes d'autrefois, les bijoux anciens. De vieilles lettres. Des seaux royaux, des parchemins dans des vitrines horizontales. L'habituel des petits musées provinciaux.

Il est quinze heures quand nous descendons vers la plage de sable gris. Nous découvrons des maisons résidentielles dans de belles ruelles fleuries. << Ça sent le pognon ! >> lance Estelle. Le boom économique de l'Écosse attire des investisseurs du monde entier. Surtout que la fiscalité y est très attractive. Sans évoquer les créations d'emplois que cela génère. On y monte depuis l'Angleterre. Depuis l'Irlande voisine également. Les yachts amarrés dans la partie plaisance du port en témoignent les richesses. C'est la partie port de pêche qui nous intéresse.

C'est dans ces endroits que nous trouvons toujours à nous encanailler. Ce qui est encore le cas cet après-midi. Là, entre des piles de corbeilles à crustacés, de palettes et de caisses, je n'hésite pas à sortir ma bite. Clémentine, un genoux à terre, filme. Estelle, son bras gauche autour de ma taille, penchée en avant, me branle en souriant à l'objectif. Quand elle s'accroupit, sa joue contre ma queue, elle fait des clins d'œil. Je bande puissance 100. Je reste néanmoins vigilant. Nous percevons des voix, des rires pas très loin, sur l'avant des quais.

Clémentine tourne autour de nous pour filmer sous tous les angles. Estelle, son sexe contre ma cheville, accrochée à mes fesses, se frotte en me taillant une pipe. C'est hyper excitant. Clémentine me fait de merveilleux sourires, lève souvent le pouce pour nous féliciter, me fait des clins d'œil et nous encourage à continuer. Du simple jeu, cette fellation "sauvage" devient rapidement véritable et passionnée. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Un groupe de promeneurs vient mettre un terme à nos "exactions" vicelardes. Estelle se redresse. Je me tourne à temps.

Une fois encore nous nous faisons surprendre dans une situation critique. Ils ne sont pas stupides ces gens. Ils nous font des sourires entendus. J'adore le regard que me lance les femmes lorsqu'elle se doutent de ce qui vient de se passer. Ça m'excite encore davantage. Nous retournons sur la rue au-dessus des quais. Il y a quelques gouttes de pluie. << Défi réalisé ! >> lance Estelle qui avale enfin le mélange salive foutre qu'elle aime garder le plus longtemps possible en bouche. Nous visitons "Cromarty Courthouse". Un musée royal.

Bonne "faim de soirée à toutes les coquines que la réalisation de défis coquins émoustillent au point de vouloir se faire baiser dans les toilettes d'un salon de thé puis dans celles d'un restaurant très classe...

Julien (acteur de petits pornos de quelques minutes)



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Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2358 -



Notre neuvième journée chez Yvan et Michèle

Comme chaque jour, aux environs de huit heures, Estelle assure le réveil. Hier matin encore, mercredi, elle saisit mon érection naturelle pour chuchoter : << On nous attend en bas. Il faut se lever ! >>. Je me "déplie" en même temps que Clémentine qui se blottit. Nous nous étirons en gémissant. Sur le même ton de comptine Estelle rajoute : << Et on arrête de bander comme un salaud ! >>. Nous rions aux éclats alors qu'elle me lâche pour se lever d'un bond en courant vers la porte des WC. Clémentine tient ma queue bien dure en me branlant.

Estelle revient dans sa tenue de sport. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Rituels matinaux qui se répètent jour après jour, pour nos plus grandes joies. Vêtus tout comme Estelle, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Ce matin il fait bien plus chaud dans la cuisine. C'est la cuisinière à bois allumée par Yvan qui rend l'atmosphère tellement agréable. C'est vrai qu'en regardant par la grande fenêtre, le ciel est plutôt morose. Le thermomètre extérieur indique 16°. La fraîcheur commençait à gagner l'intérieur de la grande demeure. Bonne idée donc.

Michèle est encore un legging et sweat tout comme nous. Je ne peux m'empêcher d'admirer le corps d'athlète de cette femme de 49 ans. Absolument magnifique. Yvan et son corps de culturiste n'est pas en reste non plus à 50 ans. L'odeur du café, du pain grillé et de la brioche qui ramollit dans le four à bois. Ça fait saliver. Nous prenons notre petit déjeuner en racontant notre périple à Cromarty. << On n'a pas encore profité pleinement de tout ce qu'il y a à voir dans la région. Ça fait un mois qu'on bosse à l'aménagement ! >> précise Michèle.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de cette neuvième journée à North Kessock. Nous n'avons jamais passé autant de temps dans la région d'Inverness. Et ça en valait véritablement la peine. Nous remontons nous laver les dents. Sur les conseils des parents d'Estelle, nous enfilons nos K-ways avant de redescendre. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur humide. C'est parti. Le même circuit emprunté chaque jour ne nous lasse pas. Il est devenu parcours sportif où nous croisons beaucoup d'autres joggeurs.

Une heure d'un running très sympathique malgré un vent froid de Nord Est. Vent de la mer qui en apporte les parfums. Il est 9 h45. Pendant qu'Estelle prend sa douche, Clémentine allume l'ordinateur. Assise sur mes cuisses alors que je caresse ses tous petits seins. Le message de Julie qui est un peu déçue de ne plus faire de vente. Moi j'en suis plutôt content. Ça me fera moins de boulot cet hiver et le printemps prochain. Un courriel de Juliette qui passe ce dernier mercredi en Corse, chez sa sœur à Sartène. Elle reprend son avion dès demain matin.

Estelle revient habillée de son Levis, d'une chemise à carreaux. << Put-Hein j'aimerai me mettre en jupette ! >> lance t-elle alors que nous lui cédons notre place pour investir la salle de bain à notre tour. Nous voilà habillés tous les trois de façon identique. Il est prévu de passer cette journée à Inverness. Nous aimons beaucoup cette ville. Il y a la fameuse roseraie dans son grand parc floral que nous voulons absolument revoir. Estelle aimerait bien revoir "Museum and Art Gallery". Avec cette météo les activés de plein air sont plutôt limitées et risquées.

Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Il faut quitter ces incessants bruits de chantier qui proviennent de l'arrière de la maison où les ouvriers terminent les travaux d'isolations thermiques. Il y a d'ailleurs de grandes briques de fibres de roche éparses dans le jardin. Nous partons pour la journée. Avec ce ciel menaçant, il est préférable de prendre la voiture. Je roule doucement dans une circulation assez fluide. Il n'est que 10 h45. Sept kilomètres où Clémentine joue avec ma queue. Estelle assise à l'arrière qui commente les paysages. Il pleut un peu.

C'est la toute première fois en plus de trente ans que cette météo perdure. << C'est à cause du réchauffement climatique ! >> lance Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. En écoutant les informations française sur Sud Radio que nous captons en DAB, nous découvrons les narratifs de la peur et les arguments anxiogènes des pseudos experts qui évoquent le Covid. << Ils ne vont pas revenir avec ces mensonges ! >> s'exclame Estelle. << Les mêmes "experts" que ceux de la guerre en Ukraine, et du réchauffement ! >> dit Clémentine.

<< Il y a probablement de nouveaux rituels qui doivent êtres accomplis cet hiver et ils faut imposer le port du masque ! On les voit venir ! >> rajoute encore Estelle. Je bande mou dans la main de Clémentine qui conclue : << L'immense majorité des cons vont crier aux complotistes en t'écoutant ! Parce qu'ils ont besoin d'y croire à leurs conneries pour survivre en baissant la tête et en acceptant ! >>. C'est en riant que je gare la voiture sur le parking de l'hypermarché. Il y a de la place, c'est gratuit et qu'à une quinzaine de minutes du centre.

La pluie a cessé. Je suis entre mes deux anges qui restent accrochées à mes bras. Estelle bloque soudain la marche, passe un bras autour de mon cou, se serre contre moi. Masquant ainsi ce que tripote son autre main. << Ton défi du jour. Sortir ta queue trois fois en ville ! Tu te démerdes comme tu veux ! >> dit elle sans me laisser la possibilité de répondre. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Il est onze heures vingt quand nous arrivons à Victorian Market. Cette fameuse galerie commerciale sous son toit vitré. Il y a du monde. Surtout avec ce temps.

Un tour dans la grande librairie. Estelle adore acheter des cartes postales en noir et blanc. De préférence des photos anciennes. Il y a deux trépieds qui en proposent des centaines. L'avantage de ces trépieds hauts et larges, c'est qu'on peut s'y dissimuler. Cette fois c'est moi qui touche Estelle. Ses petits seins sous son blouson de cuir brun. Je descends sur son sexe à travers le tissu de son 501. << Salaud. Tripoteur de filles ! >> murmure t-elle tout en choisissant quelques cartes. Clémentine me touche. Personne ne se doute de ce qui se passe par là.

<< Tu vas t'emmerder avec une enveloppe à trimballer tout l'après-midi ? >> demande Clémentine. << Tu as raison, j'en prendrai avant de partir ! >> répond Estelle. Nous flânons un peu dans les différents rayonnages. Il commence à faire faim. Nous parcourons les ruelles du centre en lisant les menus proposés par différents restaurants. "Mustard Seed" est un de ces établissements servant de la cuisine traditionnelle. Nous avons de la chance d'y trouver une table. C'est une grande salle. Il y a un balcon à l'étage. En fait une autre salle. Nous y montons.

L'endroit est décoré façon années trente. Le personnel est élégant. C'est du grand standing. Vu les prix pratiqués nous comprenons pourquoi il reste des tables. Mais au moins nous sommes entourés d'une clientèle silencieuse et classe. En prenant la commande la jeune serveuse nous confirme qu'une table nous est déjà réservée pour ce soir. Moyennant un acompte de 10 £ en supplément de l'addition. Nous savourons des queues de langoustines grillées accompagnées de légumes confis. Des sauces absolument délicieuses. Il y a une grande baie vitrée.

On y voit la place de l'Hôtel de ville. Avec les touristes c'est comme la vision d'une fourmilière. Avant le dessert, une visite aux toilettes où m'entraine Estelle. Nous traversons la salle. Elle me tient la main. Ce qui attire quelques regards intrigués. Nous devinons les interrogations. Suis-je le papa, l'ami, l'amant de cette sublime jeune fille ? Enfermés dans un des cabinets des WC hommes, Je baise Estelle en levrette. Une dizaine de minutes. Nous rejoignons Clémentine. Après le dessert c'est elle qui m'entraîne par la main. Sous quelques regards hallucinés.

La préférence de Clémentine. La pipe après s'être fait lécher le minou et sucer le clitoris. La jeune serveuse nous apporte l'addition. Elle a un sourire complice. Elle a compris la nature de nos relations à trois. << Elle aimerait probablement nous accompagner pour voir ! >> conclue Estelle alors que nous redescendons l'escalier. << See you tonight ! >> dit encore la jeune fille. Nous serons là pour 19 h30. Quelle agréable surprise. En même temps que nous sortons du restaurant le soleil fait une apparition magistrale. Nous prenons la direction du Musée.

<< Mon baiseur de chiottes ! >> me fait Estelle à chaque fois qu'elle s'accroche à mon cou. Je la soulève pour la faire tournoyer. Sous le regard amusé des passants. << Mon lécheur de minous en WC ! >> me dit Clémentine en faisant la même chose. Nous sommes un peu lourds après ce repas gastronomique. "Museum and Art Gallery" est un bâtiment à l'architecture moderne. Le hall d'entrée propose livres, reproductions et souvenirs. Ça grouille de monde. Le soleil fait quelques coucous avant de disparaître tout aussi rapidement. Il est 14 h30.

C'est à l'étage que sont exposés les maîtres Hollandais et Flamands du six septième siècle. Il y a là des œuvres extraordinaires. La visite est libre. Estelle profite évidemment de la moindre occasion pour palper ma bosse. Quand Clémentine fait remarquer qu'il y a des caméras, Estelle répond invariablement : << Avec personne derrière un écran pour mâter ! >>. C'est probablement la réalité. Je refuse toutefois de faire la "photo souvenir" avec la bite à l'air. Il y a bien des recoins mais trop de visiteurs. Moi aussi je me montre un redoutable tripoteur.

Il est seize heures. C'est confortablement installés à une table à l'étage d'un salon de thé que nous savourons un bon chocolat chaud. La vue sur le parc est splendide. Petites visites aux toilettes avec chacun de mes deux anges qui m'y entraînent par la main. C'est certain, notre trio se fait repérer partout. Mais il arrive quelquefois que nous en croisions d'autres du même genre. Clémentine fait souvent une discrète photo. Spéculant sur la nature de leurs relations. << Pareilles que les nôtres ! >> lance alors Estelle. << Veinards mais copieurs ! >> dit Clémentine.

Après la visite de la roseraie, encore tout enivrés des effluves parfumées, nous prenons la ruelle qui passe derrière la petite église St Mary's. Il y a des voitures garées sur la gauche. Deux camionnettes. C'est là que je suis prié de réaliser mon défi du jour. Je regarde partout autour de nous. Juste les hauts vitraux gothiques de l'édifice religieux. Clémentine filme. Je me masturbe assez tranquillement sachant ne pas être vu. Estelle prend des pauses. Parfois accroupie, sa joue contre ma main qui bouge ou contre ma queue que je frotte sur son visage. Bien vicelard.

Nous pouvons prendre tout notre temps, la ruelle est déserte. Estelle filme Clémentine qui fait pareil. Nous rions aux éclats de nos "exactions" vicieuses. << Put-Hein, je vais nous faire un de ces montages pour cet automne ! >> lance Estelle. Mes deux anges observent les images sur l'écran du téléphone. L'I-phone14 permet la qualité 4K. Je me branle en les regardant rire et commenter. Le bruit d'un moteur. << Put-Hein, il y avait un mec ! >> lance Estelle alors qu'un type au sourire goguenard s'éloigne au volant d'une des camionnettes.

Bonnes "faim" de soirées à toutes les coquines qui s'offrent de délicieuses spécialités Écossaises à l'étage d'un bon restaurant, avec quelques visites dans les toilettes pour s'offrir de la bite juteuse et bien raide...

Julien



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C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Notre dixième et dernière journée chez Yvan et Michèle

Hier matin, vendredi, il est un peu plus de huit heures. Estelle, devenue notre application "réveil", s'empare de ma tumescence en disant : << Il faut se lever. On nous attend en bas ! Papa et maman ! >>. Clémentine se serre contre moi. Encore à moitié endormis nous rions du ton maternel que prend Estelle pour nous réveiller. Je suis entre mes deux anges et nous nous étirons. Estelle se lève en s'écriant : << Pipi d'abord ! >>. Clémentine passe la tête sous le drap pour téter mon érection. C'est toujours une sensation étrange car sans réelle excitation.

Estelle revient vêtue de sa tenue sport et voit la bosse sous la couette. << Tu prends l'apéro ? >> demande t-elle. Clémentine remonte à la surface en répondant : << Non, juste une mise en bouche ! >>. Nous rions de bon cœur. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Vêtus sport nous revenons vers Estelle qui palpe ma bosse en disant : << Je t'adore dans ton legging toi, tu es hyper sexy ! >>. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Les parents d'Estelle se tiennent par la main devant la grande fenêtre. L'odeur du café, du pain grillé. C'est le paradis.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos visites à Inverness. Sans évidemment entrer dans les détails scabreux. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les options possibles aujourd'hui. Estelle suggère de retourner dans la petite ville de Strathpeffer. Il y a quelques semaines nous y sommes passés en van et nous avons beaucoup apprécié l'endroit. Clémentine évoque les "Rogie Falls", ces chutes d'eau qui nous avaient tant impressionné. Je trouve tout cela extraordinairement passionnant pour cette dernière journée à North Kessock.

Surtout que Strathpeffer n'est qu'à une quarantaine de kilomètres de North Kessock. Yvan et Michèle on déjà couru de bon matin. Ils se lèvent vers 6 h30. Ils ont encore bien du travail avant leurs départ samedi. Nous, nous partons demain après le repas de midi que nous prendrons ensemble tous les cinq. Les parents d'Estelle déclinent mon invitation au restaurant. Trop de travail et comme le précise Michèle : << Ils faut finir tout ce qu'il y a encore au frigo ! >>. Nous remontons nous laver les dents. Prétexte à nos pitreries habituelles devant le miroir.

Quelques mouvements d'échauffement. Le ciel est lumineux mais voilé. Par contre la température flirte avec les 15°. K-ways obligatoires même si c'est désagréable de courir avec. Nous redescendons à toute vitesse. C'est parti pour un running d'une heure sur le même circuit. Nous commençons à reconnaître quelques visages en croisant d'autres joggeurs. Il est neuf heures quarante cinq lorsque nous revenons. Ce matin encore règne un vacarme infernal sur l'échafaudage derrière la maison. Estelle prend sa douche. Clémentine allume l'ordinateur.

Assise sur mes genoux elle surfe un peu sur le site de l'université. << Génial, ils ont enfin changé leur page d'accueil ! >> lance t-elle. Nous découvrons le courriel de Julie. La fréquentation de la galerie connaît un fléchissement notoire. La saison touristique touche à sa fin. Lundi c'est la rentrée pour les gamins et les ados. Estelle revient vêtue d'un de ses habituels Levis, chemise à carreaux. Bottines. C'est à notre tour d'aller dans la salle de bain. Habillés comme elle nous la rejoignons. Elle lit à voix haute quelques informations sur le site de l'université.

Pressés de filer et surtout de fuir le bruit incessant que font les ouvriers, nous enfilons nos blousons de cuir brun. Très pratiques, légers, ils se portent comme des K-ways. Nous dévalons une nouvelle fois les escaliers. Je démarre. << Sors ta bite ! >> me fait Estelle assise à l'arrière en caressant mon cou. << Attend qu'on soit sortis de North Kessock ! >> répond Clémentine assise sur le siège passager. Tout en déboutonnant déjà ma braguette. Je roule doucement. J'évite la portion d'autoroute A 835 pour prendre l'étroite ancienne route nationale.

Clémentine vient de m'extraire le Zob. C'est en jouant avec qu'elle nous donne son sentiment sur les dix jours que nous venons de passer chez les parents d'Estelle. Estelle nous avoue à quel point ils étaient contents de nous savoir avec eux. << Leur princesse et sa cour ! >> précise t-elle en se redressant. Son visage entre les deux appuis têtes, elle attrape ma bite que lâche Clémentine. << Tu as été parfait durant ce séjour familial. Tu mérites une bonne pipe. Ce sera d'ailleurs notre défi commun du jour ! >> lance t-elle. Nous rions aux éclats.

La vallée que nous traversons n'est pas sans rappeler Glenn Coe. Mêmes sommets lunaires. Même groupes d'arbres sur le flanc des montagnes. Un arrêt pipi avant d'arriver à Strathpeffer dont on aperçoit les premières maisons. Derrière la voiture. Cette petite route est très fréquentée pour son aspect typique et folklorique. Il faut préciser que l'environnement grandiose est spectaculaire. Autant que le sont mes deux anges qui pissent en riant. C'est à celle qui arrivera à atteindre les rochers à deux mètres. À ce jeu, Clémentine est la gagnante.

Je les torche. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets contre le même rocher. C'est moins discret et il y a deux coups de klaxons. Notre trio ne laisse aucune ambiguïté sur ce qui se passe. Nous rigolons comme des bossus. Et quand je ris en pissant elles doivent bien me la tenir car ça gicle n'importe comment. << Ça commence fort ! >> dit Estelle lorsque Clémentine s'accroupit pour sucer le reliquat. Nous repartons. L'astuce consiste à trouver le parking d'un supermarché. Car il y a toujours de la place. Même s'il faut marcher un quart d'heure pour aller en ville.

Ce qui est encore le cas depuis la supérette Morrisons Daily. Curieusement, il n'y a pas trop de monde. L'attrait touristique de Strathpeffer reste les "Rogie Falls". Chutes que nous irons revoir cet après-midi. Il est 11 h30. Notre préoccupation première est de réserver une table dans un bon restaurant ce soir. Ce sera le "Cool House". Seul établissement véritablement gastronomique. Celui-ci est hyper classe. Nous laissons un acompte de 20 £, environs 22 €. Pour le repas de midi ce seront des sandwichs. Nous préférons profiter de cette belle journée.

Le soleil fait d'ailleurs son apparition alors que nous ressortons de la supérette avec le nécessaire. Trois baguettes, des filets de saumon fumé, des tomates et cet horrible fromage qui ressemble à du gruyère d'Emmental mais qui n'a aucun goût véritable. De beaux fruits bien frais. Assis sur un banc, dans le petit square devant le Highlands museum, nous préparons nos sandwichs. Il n'y a pas grand monde. C'est appréciable. Strathpeffer n'est pas un village très attractif. Par contre, en hiver, l'endroit est très fréquenté par les amateurs de ski de fond.

Nous mangeons de bon appétit. Les nectarines sont succulentes. << Les meilleures que je n'ai jamais goûté ! >> lance Clémentine qui pose ses lèvres sur les miennes pour en faire glisser un bout dans ma bouche. Estelle me fait pareil avec un abricot. << C'est comment le mélange ? >> demande t-elle en empoignant ma braguette. Nous rions de bon cœur. Nous traînons un peu dans le square. Il y a des haies de lauriers entourant des espaces circulaires où trônent de petites fontaines. C'est là qu'Estelle veut réaliser notre défi commun. Une pipe à risques.

Clémentine sort son téléphone. Estelle m'entraîne par la main derrière le socle d'un lion de pierre. Sa gueule ouverte et menaçante laisse jaillir un filet d'eau dans le bassin. Je regarde partout autour de nous. Il y a quelques promeneurs là-bas, de l'autre côté du kiosque. Je sors ma bite. Estelle déboutonne son Levis et le descend sur les genoux en même temps que sa culotte. Clémentine filme. Sa tête contre ma hanche, ses bras autour de mes cuisses, Estelle se met à pisser. Souriant à l'objectif. Clémentine lève le pouce. Estelle tourne sa tête.

Tout en pissant, elle me suce. Et tout en suçant elle fixe l'objectif. Ce qui excite Clémentine qui, en tournant autour de nous, se touche de sa main libre. Estelle reste ainsi. Je me tourne franchement afin qu'elle puisse s'accrocher aux poches arrière de mon Levis. Elle suce avec passion. On peut l'entendre gémir de plaisir. Elle se prend au jeu de ce défi insensé. Nous ne l'avions pas vu venir. Il y a un type qui nous observe. Sans doute un touriste car il porte un sac kaki en bandoulière. Une casquette de la même couleur. Il doit avoir la trentaine.

Clémentine l'a vu également. Elle pose l'index sur ses lèvres pour me faire comprendre de ne rien dire. Le mec est entrain d'assister à une pipe des familles. Sans doute prévenue par son sixième sens et nos soudaines immobilités, Estelle cesse de piper pour regarder sur sa droite. Elle se lève précipitamment en remontant ses fringues. << Put-Hein mais vous le saviez ! >> s'écrie t-elle alors que je remballe ma bite. Une jeune femme vient rejoindre l'homme. Elle lui tend un gros appareil photo. Ils s'en vont tous les deux. Nous tournant le dos.

<< La meuf filmait ou photographiait. J'en suis sûre ! >> lance Clémentine qui nous montre l'écran de son I-phone14. << Put-hein vous auriez été gentils de me prévenir ! >> s'écrie Estelle qui empoigne ma braguette avec une certaine "violence" punitive. Aïe. Clémentine répond : << Tu voulais réaliser un défi à risques. Ton souhait a été exaucé ! >>. Estelle se touche en s'exclamant : << Oui, mais quand même, pas à ce point ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je la soulève pour la faire tourner en disant : << Tu as été merveilleuse ! >>

<< Oui mais quand même ! >> répète t-elle une seconde fois. Nous flânons un peu dans le centre du bourg. Pas grand chose à voir. Nous retournons à la bagnole. Tous les trois, très excités par notre aventure, nous reprenons la route. Direction les chutes de Rogie. Distantes d'environs dix bornes. Je roule avec la bite dans la bouche de Clémentine. Assise à l'arrière, me caressant le cou, Estelle nous confie : << C'était génial après coup ! Vous croyez que la meuf a fait des photos ? >>. Clémentine se redresse pour répondre : << J'en suis certaine ! >>

Je gare la voiture sur le grand parking. Il reste quelques places. Il y a bien là une cinquantaine de véhicules de toutes sortes. Nous reconnaissons bien l'endroit pour y être déjà venus à quelques reprises les années passées. Je connais ce lieu depuis plus de vingt cinq ans. Il faut prendre le sentier qui monte. Il y a des escaliers taillés dans la roche qui se succèdent. Avant d'arriver à une longue passerelle métallique qui sécurise le chemin. Nous sommes au-dessus d'un torrent tumultueux. Les eaux tourmentées et hurlantes sous nos pieds.

Estelle et Clémentine restent accrochées à mes bras. Nous arrivons sur la terrasse naturelle de droite. Des rambardes de fer sécurisent car le gouffre est impressionnant. << Les chutes du Niagara en miniature ! >> hurle Estelle pour se faire entendre. Là-bas, de l'autre côté des chutes, il y a encore plus de monde qu'ici. Clémentine pointe son index dans cette direction. Nous reconnaissons le couple du parc. C'est la jeune femme qui prend des photos. Nous savons que nous feront parties des clichés qu'elle effectue. Ils nous ont certainement reconnu aussi.

C'est très excitant. Trente mètres d'une chute verticale, d'une eau abondante qui s'écoule dans un vacarme infernal au fond d'un gouffre qui semble insondable. Là, soudainement, alors que tout le monde regarde ce prodigieux spectacle naturelle, Estelle m'empoigne la braguette. Parmi la probable centaine de touristes présents de l'autre côté, quelques uns voient peut-être. Mais ce qui est certain c'est que la jeune femme prend des photos de "l'évènement". Clémentine qui vient de s'en rendre compte, hurle à nos oreilles : << Génial ! >>. Il est déjà 16 h30.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines qui adorent parcourir les sentiers, toutes excitées en profitant de chaque recoin pour s'offrir de petites "émotions". Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines dans un restaurant haut de gamme pour en parler...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2360 -



Nous quittons North Kessock pour Édimbourg

Hier matin, vendredi, il est huit heures. Je suis entre mes deux anges qui se frottent contre moi en gémissant. Elles me couvrent le visage de bisous tout en caressant ma poitrine. Je passe mes bras autour de leurs épaules pour les serrer plus fort. << Pipi ! >> murmure Estelle qui se lève péniblement en rajoutant : << J'ai des courbatures ! >>. Clémentine qui saisit mon érection matinale, dit : << Tu vieillis ! >>. Nous en rions de bon cœur. << Il était génial le défi pipe ! >> chuchote Clémentine qui se frotte contre ma cuisses en me masturbant.

Estelle revient dans sa tenue jogging. Elle nous fait à chacun une bise. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Habillés comme Estelle nous la rejoignons. Morts de faim, en nous tenant par les mains, nous dévalons les escaliers. Il y a comme une euphorie chez mes deux coquines. Très certainement la perspective de partir pour une nouvelle aventure. Les parents d'Estelle ont tout préparé sur la table. La cuisine sent bon le café, le pain grillé et le reste de brioche dans le four à micros ondes. Yvan et Michèle ont déjà couru, sont déjà douchés. La joie de vivre.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre après-midi au "Rogie Falls" et à Strathpeffer. Petite ville bien sympathique. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. C'est après le repas de midi que nous quitterons Yvan et Michèle, North Kessock. Nous retournons passer les derniers jours Écossais dans ma famille à Édimbourg. Les parents d'Estelle rentreront demain. Eux aussi, il y a près de mille cinq cent kilomètres de routes qui les attendent. Nous traînons un peu à table en partageant nos ressentis.

Nous remontons nous laver les dents. Dehors le ciel est presque entièrement bleu mais la température n'est que de 17°. Quelques pompes, quelques abdos, quelques sauts sur place. Nous voilà échauffés. Nous redescendons, pressés d'aller courir le long de notre parcours habituel. C'est fort plaisant de passer dans le bourg en courant. En croisant d'autres joggeurs que nous reconnaissons parfois. Une heure d'un superbe running sous un soleil radieux qui ne parvient toutefois pas à apporter beaucoup de chaleur. Nous voilà de retour et satisfaits.

Ce premier septembre est un peu comme le premier jour de l'automne alors qu'il reste vingt jours d'été. Estelle prend sa douche. Assise sur mes cuisses, Clémentine allume l'ordinateur. Deux courriels. Le message de Julie qui nous annonce une vente. La quinzième de la saison. Elle joint une photo où elle pose toute souriante entre les deux commanditaires. Cet été il y a quatre fois la même toile, un paysage, qui ont été commandées. Je vais être obligé de reproduire cette œuvre autant de fois. Le courriel de Juliette qui est rentrée de Corse jeudi soir.

Estelle revient. Habillée de son Levis, d'un sweat, nous lui cédons la place. À notre tour d'aller dans la salle de bain. Vêtus comme elle nous revenons vers Estelle. Il est dix heures trente. Nous réunissons nos affaires. Préparer nos bagages est toujours un peu tristounet. Surtout que nous quittons l'endroit à regret. Malgré le bruit des ouvriers sur l'échafaudage derrière la maison. Comme Estelle se sent déjà chez elle dans la nouvelle demeure de ses parents, elle s'est "étalée" quelque peu. Il y a des fringues à elle dans tous les coins. Nous en rions bien.

Défaire le lit. Réunir les draps pour les descendre. Chacun a une tâche bien précise. Clémentine passe l'aspirateur. Je nettoie le coin cuisine. Estelle s'occupe de la salle de bain et des toilettes. Tout est rapidement nickel dans ce studio qui ne doit pas dépasser les quarante mètres carrés. Cet automne une cloison sera abattue pour y rajouter la grande pièce du fond. Ce sera notre appartement des vacances de l'année prochaine. Sur l'invitation insistante des parents d'Estelle. Bien trop heureux de la présence de leurs "princesse", de Clémentine et moi.

Dans une petite enveloppe jaune, je glisse discrètement cinq billets de cent £, environs cinq cent euros. << Qu'esse-tu fais avec ça ? >> me demande Estelle soudain très intriguée. Je réponds : << Je tiens toujours à participer ! >>. Elle s'écrie : << Mais on est invités, tu déconnes ! >>. C'est Clémentine qui précise : << C'est le fonctionnement de Julien. Fais-lui plaisir ! >>. Comme résignée, Estelle s'approche par derrière. Ses bras autour de ma taille, elle descend une main pour me palper la braguette. << Je te fais plaisir ? >> demande t-elle.

Je me retourne pour la prendre par les épaules en disant : << Tu es adorable. Tu es un plaisir vivant ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche pour m'interrompre. Les baisers passionnés me font toujours bander comme le dernier des salauds. Ce qui est encore le cas. Il est presque midi. Nous descendons nos bagages en laissant un appartement aussi propre que nous l'avons trouvé. Morts de faim. Ça sent si bon. Des grillades. Yvan et Michel, dans leurs "bleus de travail" sont entrain de rire devant l'écran de l'ordinateur. Des amis de la famille

<< Mais c'est parrain et marraine ! >> lance Estelle. Nous les laissons entre eux pour aller faire quelques pas dehors. Il fait bien meilleur. Le thermomètre extérieur indique à présent 21°. Un ciel d'azur. Un léger vent de la mer qui en apporte les parfums. << On mange ! >>. C'est la voix d'Estelle par la fenêtre de la cuisine. Nous rentrons. Cette délicate odeur, ce sont les moules grillées, accompagnées de petites pommes de terre. Un gratin de brocolis vient parfaire ce repas royal. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre séjour enchanteur.

Une fois encore, les parents d'Estelle insistent. << L'année prochaine, venez donc passer les deux mois à North Kessock. Vous y serez bien. Ce sera un grand appartement aménagé et lumineux rien que pour vous ! >> fait Yvan. Il faut bien que je consacre quelques jours à ma famille aussi. Aussi nous promettons de bien organiser nos vacances de l'été prochain. Nous ne traînons pas trop car il y a 250 km de routes qui nous attendent. Nous nous lavons les dents dans la grande salle de bain du bas. Yvan et Michèle nous raccompagnent jusqu'à la voiture.

Nous les sentons un peu tristounets. Estelle reste dans les bras de son papa. Elle dit : << On se revoit bientôt ! >>. En effet, nous quittons nous aussi l'Écosse jeudi prochain, 7 septembre. Nous serons de retour vendredi en soirée. << Pourquoi ne pas venir manger à la maison dimanche ? >> suggère Clémentine. << Oh oui ! Bonne idée ! >> s'exclame Estelle. Discrètement je donne la petite enveloppe à Michèle qui me regarde interrogative. Une dernière poignée de main, je m'installe au volant. Michèle vient me rejoindre : << Pas de ça entre nous ! >> fait elle.

Elle agite l'enveloppe jaune. Je réponds : << Si, justement, "ça". Acceptez. C'est pour parfaire ce merveilleux séjour chez vous ! Sinon j'éprouverais une profonde frustration ! >>. Comme résignée, Michèle glisse l'enveloppe dans la poche poitrine de sa salopette bleue. Clémentine s'installe sur le siège passager. Estelle a du mal à quitter les bras de son papa. C'est émouvant. Je comprends une fois encore son comportement identique avec moi. Yvan et moi avons presque le même âge. Il y a un "transfert" évident. C'est naturel et rassurant.

Nous quittons. Un dernier coucou. C'est vrai que c'est émouvant de nous quitter. C'est parti. Je roule doucement pour contourner Inverness. Il est 14 h30. La circulation est fluide. Je peux garder une bonne moyenne sur la large nationale en direction d'Aviemore. Clémentine joue avec ma queue. Installée à l'arrière, Estelle s'est endormie. Certainement le contre choc émotionnel. Je l'observe dans le rétroviseur intérieur. Un ange qui dort. Elle s'est aménagé la banquette arrière avec deux coussins. Clémentine se retourne souvent pour l'observer.

Nous dépassons Aviemore en direction de Dalwhinnie. On commence à bien le connaître ce parcours. La circulation se densifie à l'abord des villes pour se fluidifier quelques bornes plus loin. Arrêt pipi. Estelle, debout devant l'auto, s'étire. Sur la pointe des pieds, les bras levés, elle s'écrie : << Put-hein, on arrive bientôt à la fin des vacances ! L'horreur ! >>. Nous sommes au bord de la route. Pour pisser, nous avons un plan simple. Les deux portières ouvertes permettent de cacher nos activités. Par contre pour moi c'est un peu plus "public". Nous en rions.

Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine contre moi. Mais ce que nous faisons n'échappe évidemment pas à la sagacité de quelques automobilistes. Des coups de klaxons en sont révélateurs. Ce qui nous fait rigoler comme des bossus. Quand je rigole, ça gicle n'importe comment. Estelle redouble donc d'attention. Clémentine s'accroupit pour "ne rien perdre". Car excité par ses caresses pendant que je conduis, du liquide séminal vient se mêler aux reliquats pisseux. C'est reparti. Nous dépassons Pitlochry pour Dunkeld. Il va être 16 h15.

Estelle prend quelques photos. Toutes les deux font mille projets pour la rentrée universitaire. Elles se réjouissent pour ce nouveau challenge qui les attend. Voilà Perth et son activité économique incessante. Le port sur notre gauche. Ses énormes cuves de pétrole venu d'Aberdeen. Second arrêt pipi. Cette fois je propose de nous offrir une bonne coupe glacée dans un salon de thé. C'est à la sortie de la ville, un bar restaurant fera tout autant l'affaire. À défaut de coupes glacées ce seront des cornets que nous dégustons avec un bon café bien serré.

Une petite visite aux toilettes hommes. Enfermés dans un des cabinets. Le rituel "levrette" avec Estelle. Puis le rituel "contorsionniste" avec Clémentine. Il est 18 h. À cette heure pas encore trop de clients. C'est reparti. Direction South Queensferry puis Édimbourg où nous arrivons pour 19 h15. Oncle Alan et Amy sont eux aussi tellement heureux de nous revoir. Nous sommes attendus pour le repas. Nous mangeons de bon appétit. Fourbus, épuisés, nous sommes contents de retrouver notre appartement au premier étage de la grande maison Victorienne.

Estelle me fait tomber sur le lit. Elle se couche sur moi. Me tient les poignets. Elle mitraille mon visage de bisous. << Merci Julien pour tous ces bonheurs, pour toutes ces joies. Je ne te remercie jamais assez ! >> dit elle en se redressant. Clémentine fait la même chose en prononçant les mêmes mots. Je réponds en me redressant. Les prenant toutes les deux contre moi pour retomber sur le plumard : << C'est moi qui vous remercie pour cet enchantement paradisiaque permanent. Vous n'avez pas idée de la vie extraordinaire que vous m'offrez ! >>

Leurs têtes sur ma poitrine, elles caressent mon ventre, ma braguette. Silencieux, tous les trois, nous savourons ce moment hors du temps. J'ai toutefois rapidement la bite dans la main d'Estelle. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Estelle s'enfonce ma queue dans la sienne. Je me fais tailler la pipe du bienheureux. Clémentine la rejoint. Elles se refilent mon chibre en partageant leurs impressions comme elles le font à chaque fois. J'écoute. Je ris, je regarde. Je gémis. Je murmure : << Je vous préviens les coquines, je vais juter à l'aveuglette ! >>

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire brouter le minou, sucer le clitoris, se faire pénétrer un peu, avant un bon dodo plein de rêves merveilleux...

Julien (Le bienheureux)



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2361 -



Première journée de retour à Édimbourg

Il n'est pas loin de neuf heures, hier matin, samedi, quand Estelle saisit mon érection naturelle.Elle est restée accrochée à moi toute la nuit. Comme une naufragée à sa branche. Ce qui arrive le plus souvent. Clémentine se réveille en même temps. Se blottissant à sont tour tout en gémissant. Je suis entre mes deux anges. Je glisse mes mains dans les culottes. Avec la position il faut jouer des poignets sans risquer l'entorse. Je peigne et je recoiffe de mes doigts comme des brosses. Une petite caresse du médius sur les clitoris. Ce qui les fait bien rire.

Estelle se lève la première pour se précipiter vers la porte. Nous retrouvons avec plaisir cet appartement au premier étage de la grande demeure Victorienne d'oncle Alan et de sa compagne Amy. Estelle revient en sautillant, comme une ballerine, bras levés, tournant sur elle-même en chantant : << Comme on est bien ! Comme on est bien, avec oncle Julien ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine m'attrape par la bite pour m'entraîner aux toilettes pendant qu'Estelle va dans la cuisine. Nous la rejoignons dans l'odeur du café et du pain grillé.

Sur la route, vendredi, nous avons acheté des scottish morning rolls. Ils sont un peu l'équivalent de nos chocolatines. La pâte n'est toutefois pas feuilletée mais l'intérieur est fourré d'un onctueux chocolat. Il suffit de les mettre dans le four à micros ondes quelques instants. Ils retrouvent tout leur moelleux. En slips et T-shirts de nuit nous prenons notre petit déjeuner. Nous faisons le bilan des dix derniers jours passés chez les parents d'Estelle. Magnifiques. Nous les reverrons dimanche prochain, le 10 septembre. Ils viendrons manger à la maison.

Ces scottish morning rolls sont décidément délicieux. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différentes options de la journée. Estelle propose de retourner à la chapelle Rosslyn. Cette mystérieuse bâtisse construite au quinzième siècle. D'inspiration gothique tardif, cet édifice religieux a servi de décors dans le roman et dans le film Da Vinci Code. C'est un pèlerinage qui n'a rien de religieux que nous y faisons chaque été. Il faut préciser que l'endroit respire une ambiance particulière. Nous applaudissons l'idée. Ce sera notre but de l'après-midi.

La vaisselle. Lavage des dents. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Quelques pompes, quelques abdos. Nous dévalons l'escalier de service pour nous retrouver dans la fraîcheur matinale. Le ciel est parsemé de nuages blancs d'altitude. La journée promet d'être belle. Même si la température n'excède pas 18°. C'est parti. Notre circuit habituel sur les hauteurs d'Édimbourg quand nous sommes à Morningside. Nous croisons d'autres joggeurs. Il est dix heures trente quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première.

Assise sur mes cuisses, Clémentine allume l'ordinateur. Un courriel de Julie qui nous donne le programme de son dernier week-end à tenir la galerie d'Art. Elle fermera le dimanche 3 septembre. Reviendra nettoyer le lundi, décrocher les toiles, les remballer dans leurs cartons pour les déposer chez nous. Elle possède une clef et connait les précautions à prendre pour ne pas déclencher le système d'alarme. Clémentine répond en donnant quelques indications dans ce sens. Estelle revient en jupette et sweat. C'est à notre tour d'aller prendre notre douche.

Clémentine porte jupette et sweat. Il va faire bien meilleur ici, à Édimbourg. Je suis en bermuda et sweat. Mes deux anges assises sur mes genoux, je les écoute échanger en consultant le site de l'université. Les horaires du premier trimestre sont enfin indiqués. << Superbe, on est libre les mercredis. Comme à l'école primaire ! >> s'écrie Estelle. << Oui, mais regarde bien, il faudra à chaque fois faire une synthèse à présenter le jeudi matin ! >> précise Clémentine. << Libre le vendredi dès midi ! >> rajoute Estelle. Je caresse doucement leurs petits seins.

<< Mmhh, c'est bon quand tu fais ça ! >> murmure Estelle entre deux lectures d'horaires. << Interdiction d'arrêter ! >> dit Clémentine qui saisit mon poignet pour m'empêcher de cesser. Toutes les deux, leurs têtes contre la mienne, relisent le programme du trimestre. Un programme principalement axé sur un travail personnel. Il faudra approfondir les thèses présentées avant les vacances. Développer certains aspects. Cette fois ce ne sera pas pour un Doctorat "blanc" mais pour l'obtention de ce Doctorat officiel et définitif. J'écoute leurs échanges.

Les stratégies que mettent en place les femmes, quel qu'en soit le domaine, méritent toujours qu'on s'y attarde. Je dresse l'oreille. Je veux tout comprendre. J'admire les "plans", les ruses et les "trucs" qui se préparent. Nous ferons comme pour l'année universitaire écoulée. Dès le mois d'avril nous ferons imprimer les livres de leurs thèses définitives. Elles seront alors publiées. Estelle me couvre le visage de bisous en disant : << Tu es un trésor de bienfaits. Comme la chicoré ! >>. Nous rions quand Clémentine rajoute : << De la chicoré au sperme ! >>

Il est onze heures. Les filles dressent la liste des courses. Nous restons à Édimbourg jusqu'à jeudi, 7 septembre. Il faut donc assurer la logistique des cinq jours restants. Nous ferons ces achats demain matin, dimanche. Le bourg est à l'extérieur duquel il y a la chapelle de Rosslyn. Chapelle qui s'apparente à une église de taille normale. Comme il y en a dans la plupart de nos campagnes. Nous faisons le rapide inventaire de ce qui reste. Du congélateur je tire le Roquefort, le Bleu d'Auvergne. Le gruyère Suisse. Il y a tout juste de quoi tenir 5 jours.

Il reste des coquillettes, des spaghettis, trois carottes et trois tomates ramenées de North Kessock. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade. Estelle prépare une sauce au Roquefort. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Trois dernières misérables tranches de saumon fumé que je fais revenir à la poêle. Estelle passe derrière moi, ses bras autour de ma taille, elle palpe ma braguette en disant : << Moi, j'aime bien les restes de frigo à la Toscane ! >>. Nous rions de bon cœur quand Clémentine rajoute : << Avec une pointe de foutre et de jus de couilles ! >>

Nous mangeons de bon appétit en faisant le planning de l'après-midi. << Ton défi du jour. Branlette dans la chapelle ! >> lance soudain Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. << Vous ne trouvez pas que le gruyère sur les spaghettis à un goût ? >> demande Clémentine. Elle s'empresse de rajouter : << C'est une mauvaise idée de mettre du gruyère au congélo et de l'y laisser des semaines ! >>. Estelle rétorque qu'il faudra emmener moins de stock aux prochaines vacances. Maintenant que Clémentine a parlé goût, je le sens.

C'est vrai. Mais je le trouve toujours encore bien meilleur que l'horrible imitation Anglaise. Cet affreux fromage emballé sous vide que seuls les Britanniques peuvent produire. Nous partageons tous les trois ce constat. La vaisselle. Lavage des dents. Nous restons habillés pareils. La température extérieure est à 20°. Pas un souffle de vent. Il y a une dizaine de kilomètre jusqu'à Roslin. Au Sud d'Édimbourg à la porte du Midlothian. Région vallonnée, agricole et "grenier à céréales" de l'Écosse. Dans le petit sac à dos, fruits, barres de céréales, gourde d'eau.

Nous dévalons l'escalier de service. Nous entendons rire. Oncle Alan et Amy ont de la visite car deux grosses berlines sont garées dans la cour. Je m'installe au volant de la nôtre. Clémentine à ma droite. Estelle à l'arrière. Il est treize heures trente. C'est parti. Je roule vraiment doucement sur la petite route que nous choisissons volontairement. Pas seulement parce que nous disposons de tout notre temps mais parce que le paysage est bucolique. Avec la lumière diaphane on se croirait dans un tableau de Thomas Gainsborough. Même luminosité.

Clémentine déboutonne rapidement la braguette de mon 501 pour y fourrer sa main. Estelle, installée à l'arrière, caresse mon cou en commentant les vues magnifiques. C'est avec la bite à l'air que je gare l'auto sur le parking de la chapelle. La région des Scottish Borders mérite d'être visitée. Nous nous promettons de le faire dès demain. Nous descendons rarement au Sud d'Édimbourg. Je remballe avec difficulté car mon érection est plutôt "rigide". Je ne peux pas le faire hors de la voiture car il y a plusieurs groupes de gens qui bavardent.

J'y parviens sous les rires de mes deux anges qui compatissent à mon "malheur". Nous traversons l'esplanade qui longe le cimetière sur notre droite. C'est le cimetière du bourg mais il y a également là des tombes plusieurs fois centenaires. Nous irons voir après la visite de la chapelle. Nous retrouvons cet endroit étrange. Rien de la statuaire chrétienne. Par contre, dans ce lieu étonnant il y a toute la symbolique Franc-Maçonne. Toutes sortes de sculptures représentant des figures de l'imagerie Franc-Maçonne. Une ambiance véritablement magique.

Il y a deux groupes d'une vingtaine de visiteurs qui suivent deux guides. Qui écoutent. Nous en profitons pour parfaire nos connaissances des lieux. Jadis, il y a une vingtaine d'années, j'ai été approché par des amis Francs-Maçons. Notamment mon expert comptable, mon ami Procureur de la République qui m'achète chaque année une toile et mon notaire. Tous les trois membres de cette obédience. Je suis resté réservé si pas distant. J'ai toujours refusé les prisons mentales des religions. Il en va de même pour les autres cercles "philosophiques".

Il y a quelques endroits sombres, obscures, dans cet édifice mystérieux. Nous en connaissons chaque recoin. C'est là par exemple, entre les deux colonnes sensées représenter Jakin et Boaz, surmontées des fruits du grenadier délicatement sculptés dans la pierre que l'an dernier je me suis fait masturber par Estelle. Alors que Clémentine faisait des photos. Cette fois Estelle propose de filmer la scène. Il y a du monde. Je refuse de prendre un tel risque. << Si on se planque là, seul le Diable pourra nous voir ! >> murmure Estelle en me palpant la braguette.

Je glisse ma main sous sa jupette pour chuchoter : << Laissons monsieur Diable en dehors de nos tracasseries ! >>. Clémentine qui rit aux éclats tire son téléphone du sac que je porte sur le dos. << Viens un peu par là toi, mon Franc-Maçon préféré ! >> murmure encore Estelle qui m'entraîne dans le coin le plus retiré derrière la colonne torsadée. Je tremble. Pas seulement de peur qu'on nous surprenne mais parce qu'il fait plutôt frais dans l'édifice. << Juste trente secondes ! >> chuchote Clémentine qui s'appuie contre la colonne, son téléphone allumé.

Estelle passe son bras gauche autour de ma taille. Sa tête sous mon épaule. Penchée en avant. Elle attend l'instant. Je regarde partout autour de nous. Il y a deux vieilles dames là-bas. Il faut attendre qu'elles disparaissent derrière un pilier. Ça y est. D'un geste sûr et assuré, je me déboutonne rapidement. Je sors ma bite. Estelle s'en saisit pour l'agiter en direction de l'objectif. Elle sourit malicieusement alors que mon sourire est celui d'un con. Car je me sens tellement con, ici, dans cette situation. Peut-être dix secondes. Pas plus et je remballe.

<< Il aurait aimé te mettre dans son roman Dan Brown. Son Da Vinci Code aurait trouvé une séquence porno fort attractive ! >> fait Estelle qui se serre contre moi pour continuer à palper ma braguette. Il faut vraiment rester discret. Ce que Estelle a tendance à très souvent oublier. C'est qu'elle adore me mettre dans des situations embarrassantes la coquine ! << On refait là-bas, derrière l'hôtel ! >> propose Clémentine que tout cela excite considérablement. Estelle ne me laisse pas répondre. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande.

Je me retrouve une seconde fois bite à l'air dans ce haut lieu de la Franc-Maçonnerie. Je ne peux m'empêcher d'en rire un peu nerveusement. C'est épique. Cette fois Estelle est accroupie. Sa tête contre ma cuisse, massant ma turbe des deux mains en riant. Clémentine, un genoux à terre, filme cette scène totalement surréaliste. << Que le grand maître pardonne notre intronisation ! >> chuchote Estelle qui se redresse pliée de rire. Je remballe à toute vitesse. Vraiment ça craint. Voilà un groupe de visiteurs suivant le guide. Ouf. De justesse.

Nous faisons deux fois le tour intérieur de la chapelle aux dimensions d'une église. Il faut à tout prix découvrir cet endroit. Les décorations murales, constituées d'incroyables dentelles de pierres sculptées, sont d'une beauté incomparable. C'est prestigieux. Il règne là une atmosphère de calme, de mystère et de sérénité qui incite à la flânerie. Je refuse de me prêter à une troisième séquence. Estelle aimerait bien filmer une "pipe Franc-Maçonne". Pas question. << Allez, juste un peu quoi. T'es vraiment vilain avec moi ! >> chuchote t-elle.

<< Et si c'est moi ? >> murmure Clémentine qui se serre contre moi pour me palper à son tour. Dans ma tête tout a tendance à s'embrouiller. Mes deux coquines se révèlent redoutablement persuasives. Quand elles ont une idée en tête, inutile de vouloir lutter. Je me retrouve donc une nouvelle fois, dans l'alcôve d'une porte fermée à clef, bite à l'air. Rapidement bite dans la bouche de Clémentine alors qu'Estelle immortalise la scène. Juste quelques secondes. Je dis : << Ne jouons pas avec le feu ! >>. Estelle dit : << Le feu de l'enfer ? >>

Il commence à faire froid depuis plus d'une heure que nous sommes ici. Nous sortons. Quelle douceur de se retrouver au soleil. Il est quinze heures trente. << Venez, on va visiter le cimetière ! >> propose Clémentine qui reste accrochée à mon bras. Estelle me tenant la main. Nous attirons évidemment bien des regards. Notre trio ne passe jamais inaperçu. Il faut franchir les lourdes grilles d'un large portail ouvert. Là aussi, c'est un peu comme pénétrer dans un autre monde. C'est un mur d'enceinte qui entoure à la fois la chapelle et le cimetière.

Peu de visiteurs. << On peut faire plein de trucs ici ! >> lance Estelle qui me tripote une nouvelle fois en rajoutant : << Et oui, cher Franc-Garçon, c'est le prix à payer pour partir en vacances avec deux nymphos ! >>. Rires. << Deux salopes tu veux dire ! >> lance Clémentine qui s'accroupit en descendant sa culotte. << Écartez-vous juste un peu, planquez-vous ! >> dit elle. Nous comprenons très vite. Il y a un type qui fait des photos un peu plus loin. Estelle m'entraîne derrière un socle vide. Le photographe semble avoir aperçu la superbe pisseuse.

Il vient par là. Le bougre ne se gêne absolument pas pour photographier. Clémentine, le visage baissé, caché par ses cheveux, porte ses larges lunettes de soleil. Son anonymat parfaitement préservé. Elle se livre là à une prestation de très haute qualité qu'immortalise notre salopiot avec un appareil probablement très sophistiqué. C'est un gentleman en quelque sorte. Il se contente de photographier sans s'approcher. Clémentine, même en faisant tous les efforts possibles, à cause de son excitation, n'arrive pas à lâcher le moindre petit jet.

Dommage. Car lorsqu'elle envoie, c'est du lourd. Estelle me tripote. J'ai la main sous sa jupette pour la toucher. Elle se frotte sur mes doigts, cambrée sur ses genoux fléchis. Je bande comme le dernier des salauds. La situation perdure quelques minutes. Ce type a certainement pris une bonne trentaine de photos. C'est un groupe de touristes qui met une fin assez brutale à la "séance". Notre "artiste" s'en va. Nous découvrons qu'il rejoint un autre groupe près d'un minibus. Clémentine se redresse avant d'être vue. Elle nous rejoint, toute excitée. En sueur.

<< C'était trop bien ! >> lance t-elle en ajustant convenablement sa culotte. << Encore un "collectionneur" qui pourra t'admirer ! >> dit Estelle qui lâche ma queue pour me permettre de remballer. Nous quittons la chapelle et son cimetière vers seize heures trente. Flâner dans les rues du bourg voisin est un autre petit plaisir. C'est un village plus grand qu'il n'y paraît. Une avenue principale. Des rues perpendiculaires très commerçantes et animées. Les retombées touristiques et économiques du site de la fameuse chapelle qu'on visite en venant du monde entier.

The Original Rosslyn Inn. C'est ainsi que se nomme le restaurant où nous réservons une table pour 19 h30. Un établissement de standing. Il faut imaginer une décoration intérieure rappelant celle de la chapelle. Fenêtres gothiques dans la salle. Nous laissons le traditionnel acompte pour finaliser la réservation. 20 £. Environs 22 €. Nous nous promenons. Mes deux anges accrochées à mes bras. Dans une vitrine des mannequins dont l'un porte un splendide blouson de cuir brun. Absolument magnifique. Nous y entrons. Boutique mixtes et de luxe. Classe.

Clémentine essaie le blouson. C'est au tour d'Estelle. C'est comme si elles l'avaient toujours porté. Je l'essaie à mon tour. << Il est superbe ! >> lance Clémentine. Hélas, il n'y en a qu'un. Mais la patronne se propose d'en faire venir deux autres pour mardi. Affaires conclues. Je laisse un acompte conséquent. Nous reviendrons récupérer ces trois blousons mardi après-midi. Ce seront nos souvenirs de cet été. Les filles me couvrent le visage de bisous. Je me fais encore tripoter en ayant beau réclamer davantage de discrétion. Parle à mon cul...

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines trop heureuses de vivre les émotions les plus folles, les plus extravagantes et les plus sublimes avant de délicieux plats de fruits de mer. Géants...

Julien (Franc-Garçon)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2362 -



Notre seconde journée à Édimbourg

Il est presque neuf heures, hier matin dimanche. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Je suis entre mes deux anges. Clémentne à ma gauche, Estelle à ma droite. En modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde, nous nous étirons longuement. Tout cela termine en éclats de rires. Estelle se lève la première, tenaillée par ce besoin impérieux qui ne laisse pas d'autre choix. << Put-hein pipi, ou je fais dans le lit ! >> s'écrit elle, fataliste, avant de se précipiter vers la porte. Clémentine passe une cuisses sous mes fesses pour se frotter contre la mienne.

<< J'aime visiter les chapelles gothiques ! >> murmure t-elle en saisissant mon érection naturelle alors qu'Estelle revient. Tournant sur elle même, les bras levés à la façon d'un petit rat de l'opéra. << La place est chaude si ces messieurs dames veulent bien me rejoindre en cuisine ! >> fait elle. Pliés de rires c'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons notre danseuse étoile dans l'odeur du café et du pain grillé qui embaume déjà l'espace. Estelle se précipite pour me sauter au cou. Comme pleine de reconnaissance. Je le suis tout autant qu'elle.

<< Merci pour ces merveilleuses vacances ! >> dit elle alors que je la soulève. Je réponds : << Merci d'exister à toutes les deux ! >>. J'inflige le même traitement à Clémentine qui rajoute : << Tu fais de nous les filles les plus heureuses on the world ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la visite de Roslin et de sa chapelle. << J'adore quand on est à deux doigts de se faire surprendre ! >> lance Estelle en venant terminer sa tartine au miel assise sur ma cuisse droite. Clémentine fait pareil en s'installant sur ma cuisse gauche.

Nous traînons à table en faisant le programme de la journée. Ce matin il faudra aller faire nos courses pour les cinq dernières journées à Édimbourg. Surtout des fruits, du pain et quelques crudités. C'est dimanche, pas d'entraînement, pas de sport, pas d'autres exercices que la promenade. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous faisons notre lit. Il fait beau. La température extérieure flirte déjà avec les 19° alors qu'il n'est que dix heures. Estelle et Clémentine, vêtues de leurs jupettes, de sweats de fin coton, moi de mon bermuda et chemisette.

Pressés de filer nous dévalons l'escalier de service. Je m'installe au volant. Il faut descendre Morningside jusqu'à Dean Village, direction South Queensferry. Je roule doucement dans une circulation plutôt fluide. Clémentine garde sa main dans ma braguette béante. Estelle, installée à l'arrière caresse mon cou. Comme elle le fait souvent sur des dizaines de kilomètres. Véritables massages régénérateurs et vivifiants. Les filles évoquent la rentrée universitaire. Je gare l'auto sur le parking du supermarché Sainsbury's. Il y a déjà de la clientèle.

Je tire le chariot rouge en plastique sur roulettes. Estelle reste accrochée à mon bras. Nous suivons Clémentine qui tient la liste des courses. Sur l'insistance de mes deux anges, ma braguette est restée ouverte, dissimulée par les pans de ma chemisette. Clémentine nous entraîne dans les rayons qui nous concernent. Mais également dans le rayon culturel. Il y a souvent là de quoi créer des situations ludiques et fort amusantes. Surtout quand on est animé de pulsions exhibitionnistes comme celles qui habitent ce matin Clémentine. Il n'y a que peu de gens ici.

Mais il y a ce jeune type en short et chemisette, un peu efféminé qui feuillette un magazine. << Tu crois qu'il en est ? >> demande Estelle en agitant son petit doigt. << On va savoir ça tout de suite. Attendez-moi là ! >> répond Clémentine. Estelle m'entraîne à l'écart. Depuis la vitrine des tablettes et des smartphones nous observons les approches de Clémentine. Elle se tient debout à deux mètres du garçon. Elle feuillette quelques revues avant de s'accroupir. J'ai assisté tant de fois à ce show et pourtant ça m'excite comme une première fois. Je bande comme un salaud.

Estelle chuchote à mon oreille : << Elle est génial ! Je la vois faire ça depuis plus de dix ans ! >>. Elles n'étaient alors encore que deux lycéennes inventives et délurées. À présent accroupie, Clémentine se tourne de trois quart vers le jeune homme. À chaque nouvelle revue qu'elle prend, elle affirme un peu plus sa position d'une indécence folle. Quand passe des clients, il suffit qu'elle resserre les jambes, donnant certainement l'illusion d'être la compagne de notre quidam. Quidam qui se rend assez rapidement compte de ce qui se passe sur sa gauche.

Il nous tourne le dos lorsqu'il s'accroupit à son tour en prenant un autre magazine. Sans doute pour mieux regarder sous la jupette de la coquine. Deux autres filles arrivent en bavardant et en riant. Pas de chance. Elles viennent rejoindre notre jeune garçon qui se redresse instantanément. Elles ont certainement compris car l'une d'elles saisit son oreille pour la tirer. Clémentine se redresse elle aussi pour s'éloigner très vite. << Slut ! >> lui fait l'autre fille à voix haute. Nous nous rejoignons au rayon des vêtements. Nous rions de bon cœur.

Je prends Clémentine dans mes bras pour répéter : << Delicious slut ! >>. Nous passons en caisse. L'autre trio, trois caisses plus loin. Le jeune garçon nous fait un discret sourire en essayant de ne pas être vu par les deux "dragons" qui l'accompagnent. Pas du tout du genre à avoir de l'humour. << Des connes, dans toutes leurs rayonnantes conneries ! >> lance Estelle. Nous regardons les menus affichés devant la cafétéria. << Wouah, des tagliatelles aux fruits de mer et en sauce ! >> lance Estelle. Je propose de manger là. Clémentine apprécie l'idée.

Nous mettons d'abord nos achats dans le coffre de l'auto. Rien ne va se gâter pendant la petite heure du repas. Sur nos plateaux nous disposons nos choix. Salade de carottes en entrée, assiettes de tagliatelles, coupe de salade de fruits en dessert. Paiement en caisse après quelques minutes d'attente. Estelle qui me tripote un peu. Nous mangeons de bon appétit en regardant par l'immense baie vitrée. Nous voyons repasser le trio. Les deux filles aux bras du garçon. << Des rôdeurs de parkings sans doute ! >> lance Estelle. C'est fort probable.

Il est treize heures trente quand nous revenons à l'appartement. Le temps de ranger nos courses, de préparer le petit sac à dos et nous repartons. En direction de Roslin que nous dépassons pour découvrir enfin les fameux Scottish Borders. Cette région agricole et vallonnée au Sud d'Édimbourg. Il y a une trentaine de kilomètres dans une campagne verdoyante. Des tracteurs sur les douces pentes des collines. Je roule lentement. Nous voulons profiter de chaque instant de cette splendide expédition. Clémentine joue avec ma queue. Estelle caresse mon cou.

Voilà Neidpath. Petite bourgade autour de son clocher. Je gare l'auto à l'entrée du bourg. C'est dimanche et il y a une fête villageoise. C'est très folklorique car des groupes de danseurs en costumes suivent le rythme d'un orchestre local. Nous flânons autour du stade de football où se déroulent les festivités. Nous assistons à un lancer de troncs d'arbres. Sport national en Écosse où des hommes prodigieusement forts, en kilts, jettent des troncs d'arbres jusqu'à cinq ou six mètres devant eux. C'est spectaculaire sous les applaudissements d'une petite foule enthousiaste.

Là, près de l'entrée de la salle polyvalente, il y a un type qui prend des photos. Il a l'allure du "professionnel" mandaté par le journal local. << La "victime" idéale ! >> dit Clémentine en passant entre les fourrés. Estelle reste contre moi. Nous observons la virtuosité avec laquelle Clémentine prend position. Elle s'accroupit en posant le petit sac à dos au sol. Sa culotte étant restée dans la boîte à gants de la Mercedes elle peut "jouer". Quelquefois, le photographe regarde en direction de cette sublime jeune fille qui fait semblant de fouiller dans son sac.

Il y a d'autres spectateurs mais personne d'autre ne fait attention à elle. Clémentine écarte parfois le sac, dévoilant son intimité aux yeux de l'inconnu qui mâte de plus en plus souvent. Clémentine remet le sac entre ses cuisses largement écartées. Sa jupette n'est pas sans évoquer un kilt. Elle est donc très "couleurs locales". Ce jeu qui me fait bander comme le dernier des salauds dure une bonne dizaine de minutes. La situation se prête parfaitement à une exhibe de haute volée. L'ambiance, la musique et les applaudissements détournent toutes les attentions.

Notre "victime" doit avoir la quarantaine. Il ne tente aucune approche, ne fait aucune photo et ne semble absolument pas perturbé. Par contre, sans s'en cacher, il fixe Clémentine. Il n'est qu'à une dizaine de mètres. Un peu plus loin des groupes de spectateurs. Il y a un autre mec qui semble avoir repéré la fille accroupie. Il n'est pas seul mais garde sa "découverte" pour lui. Clémentine reste très vigilante. Elle agit avec un sang froid extraordinaire mais sans prendre le moindre risque. Le photographe est rejoint par un autre "reporter". Ils bavardent.

Clémentine se redresse pour s'éloigner. Nous la rejoignons dans la salle des fêtes. Il y a des danseurs plus âgés. L'endroit doit être réservé aux séniors car ils sont la majorité de la petite centaine de personnes réunies là. Nous ressortons. La douceur du soleil dans un ciel bleu. Nous avisons la caravane métallique qui brille de mille feux. C'est un marchand de sandwichs, de fish and chips mais aussi de glaces. C'est en savourant nos cônes glacés à la pistache que nous retournons à la voiture. Direction Lanark. Petite ville du comté de Lanarkshire.

Entourée de collines verdoyantes, d'une végétation luxuriante cette petite cité où je gare l'auto. Qu'il est bon de flâner dans les rues. Il n'y a pas trop de touristes. Estelle se montre de plus en plus téméraire dans ces palpations de braguette ouverte. Il faut préciser que les exhibes de Clémentine nous émoustillent considérablement. Elle porte le petit sac à dos qu'elle peut retirer dans quelques recoins. Faire semblant d'y chercher quelque chose, accroupie, lorsqu'un quidam seul se balade. Nous sommes passés maîtres dans l'art de l'esquive et la discrétion.

Nous réservons une table au "Inn on the Loch". Un restaurant gastronomique pour 19 h. Il n'est que dix sept heures trente. Nous longeons la large rivière qui sépare la ville en deux. Quelques ponts médiévaux y ajoutent un charme fou et intemporel. Il y a les anciens bâtiments industriels au bord de la rivière, construits contre une falaise. Ce sont aujourd'hui des musées hélas fermés à cette heure. Mais l'endroit est magnifique. Il faut imaginer un sentier pavé. Un sentier qui monte en épingles à cheveux le long de la pente. Jusqu'au sommet des falaises.

C'est fleuri. Il y a des rambardes de bois qui sécurisent la montée. Souvent des escaliers taillés dans la roche. Nous voilà au-dessus des bâtiments de briques rouges, au-dessus de la rivière, au-dessus de la ville. Je réalise mon défi du jour. Dans un endroit isolé je me masturbe. Estelle m'entourant de ses bras, souriant à l'objectif alors que Clémentine filme la scène. Nous ne sommes pas seuls. Aussi ce ne sont que de courtes séquences d'une trentaine de secondes. Que nous répétons à quatre reprises. Autant de souvenirs des Scottish Borders.

Bonne "Faim" de soirée à toutes les coquines qui aiment à découvrir de nouveaux cabinets dans les toilettes hommes de restaurants gastronomiques. S'y faire niquer quelques minutes ou sucer la bite juteuse et odorante de leur mentor...

Julien (mentor)



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NOTE
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C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Homme, 53 ans, France
Coeur - 17 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2363 -



Notre séjour en Écosse arrive à son terme

Hier matin, mardi, il est presque neuf heures quand je suis réveillé par les gémissements d'Estelle. En se serrant contre moi, elle murmure : << J'ai fait un cauchemar ! >>. Clémentine, tirée du sommeil en même temps, dit : << Tu nous racontes devant un bon café et des tartines au miel ! >>. Je suis entre mes deux anges qui se blottissent. Je passe mes bras autour de leurs épaules pour les rapprocher encore davantage. Nos grasses matinées sont vraiment gratifiantes. Nous prenons tout notre temps pour ces derniers jours à Édimbourg. Estelle finit par se lever pour se précipiter vers la porte en s'écriant : << Pipi ! >>

Clémentine me chevauche. Tenant les poignets de mes bras écartés elle mime l'acte d'amour en se frottant sur mon érection matinale et naturelle. << Je t'aime ! >> répète t-elle en couvrant mon visage de bises. J'adore l'haleine de ses nuits. Estelle revient vêtue de son legging de lycra noir, de son sweat de lycra rouge. Elle nous fait à chacun un bisou. << Venez vite, je prépare tout ! >> dit elle. Clémentine m'entraîne par la bite jusqu'aux toilettes. Habillés comme elle nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans cette délicieuse odeur de café, de pain grillé. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Estelle raconte son cauchemar.

Nous prenons notre petit déjeuner en riant du rêve d'Estelle. Un caillou dans la chaussure durant toute une randonnée. << C'est ça que tu appelles un cauchemar ? >> s'écrie Clémentine. Nous en rions de bon cœur. << Oui, mais ça fait mal dans un paysage où il fait chaud sous un épais manteau qu'il est impossible d'enlever ! >> s'exclame Estelle. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre visite au château de Stirling lundi après-midi. Nous n'avons pas eu accès au forum pour raconter cette journée très agréable. Que le lecteur frustré sache que c'était épique, tactile et que mon défi du jour était juteux.

Le programme de ce mardi est très simple. Nous retournons cet après-midi dans les Scottish Borders. C'est d'ailleurs à l'instant même où Clémentine évoque cette destination que la sonnerie "à l'ancienne" fait vibrer mon I-Phone14. Clémentine se lève d'un bond pour l'attraper sur la desserte. Estelle vient s'installer sur mes cuisses pour terminer son morceau de brioche. Nous écoutons la brève conversation. C'est la dame de la boutique, à Roslin, qui nous informe que les blousons commandés arriveront en fin de matinée. Clémentine vient s'assoir sur mon autre cuisse. Nous terminons nos cafés en nous réjouissant pour la balade.

La vaisselle. Lavage des dents. Quelques mouvements d'échauffement, pompes, abdos, flexions et nous dévalons les escaliers. Le ciel est entièrement bleu comme ces quatre derniers jours. Par contre la température n'excède pas 18°. Ça va se réchauffer dans la journée. C'est parti. Notre jogging nous emmène le long de notre circuit habituel sur les hauteurs de la ville. Ce "Roquefort gothique" comme l'appelle Estelle. Une fois encore c'est très exactement à quoi fait penser Édimbourg dans la lumière diaphane depuis les hauteurs de Morningside. Une heure d'un running gratifiant. Nous revenons alors qu'il est déjà dix heures trente.

C'est si bon de traîner le matin pour ces dernières journées de vacances Écossaises. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes cuisses, Clémentine allume l'ordinateur. Le courriel de Juliette qui est bien revenue de Corse. Avec plein de nouveaux souvenirs. Le message de Julie qui nous raconte la fermeture de la galerie, son nettoyage. Les toiles emballées dans les cartons déposés chez nous. Elle viendra nous voir lundi de la semaine prochaine pour nous raconter en détails. Estelle revient. Elle porte une de ses jupettes de fin coton bluejean. Un T-shirt blanc. Ses baskets. Nous lui cédons la place pour aller dans la salle de bain.

Clémentine vêtue comme Estelle que nous rejoignons. Je porte mon bermuda kaki ainsi qu'une chemisette blanche. Les filles, installées sur mes cuisses, surfent sur le site de l'université. Elles sont tellement contentes de trouver les toutes dernières informations. Pour cette dernière année, elles n'auront pas cours le mercredi mais devront mettre à profit cette journée pour affiner et développer les détails précis des thèses définitives qu'elles présenteront pour les épreuves du Doctorat en juin prochain. Elles se réjouissent, impatientes de se retrouver confronter à ce dernier challenge. Elles préparent cela en Français et en Anglais.

Un Doctorat reconnu dans le monde Anglo Saxon offre des ouvertures illimitées sur le monde. Aussi, nos séjours Écossais, chaque été, permettent une pratique de l'Anglais absolument parfaite. Et comme c'est ma langue natale je suis toujours disponible pour une éventuelle interrogation. Il est onze heures trente. Il commence à faire faim. Estelle veut nous préparer une surprise. << Interdiction d'entrer dans la cuisine ! >> précise t-elle en nous déposant un dernier bisous sur les lèvres. Elle file en sautillant et en rajoutant : << Je vais faire simple mais miam miam ! >>. Clémentine change de position pour se mettre à califourchon.

Ses bras autour de mon cou, ses cuisses écartées sur les miennes, elle se frotte en me confiant à quel point ce séjour de deux mois l'a enchanté. Même si de quitter l'Écosse dans deux jours reste une épreuve douloureuse, c'est avec sérénité qu'elle s'apprête à l'affronter. Tout comme Estelle. Nous partirons vendredi matin vers huit heures. Notre chambre d'hôtel nous attendra à Great Yarmouth. Puis samedi nous prendrons le ferry à Folkestone pour être à Douvres vers 14 h. Retour à la maison prévu pour 20 h samedi soir. << On mange ! >> fait Estelle qui nous rejoint à la façon d'une ballerine faisant ses pointes et en tournant sur elle même.

Morts de faim nous la suivons. Plaisir suprême. Un gratin de coquillettes. Une salade de tomates en entrée. Une sauce au Roquefort avec de l'émincé de saumon à la poêle. << J'ai terminé le gruyère, le Roquefort et on n'a plus que du riz, des carottes ! >> lance Estelle en palpant la braguette de mon bermuda. << Mais tu m'ouvres ça, il faut que l'air circule là-dedans. Regardez un peu comme il range bien sa chambre ce garçon ! >> fait elle en sortant mon chibre. Je bande mou. Mes deux anges adorent cette configuration "semi molle". Nous rigolons comme des bossus. Nous faisons honneur à ce repas en félicitant Estelle pour son savoir faire culinaire.

Nous mangeons de bon appétit en faisant l'itinéraire de l'après-midi. Il n'y a qu'une dizaine de kilomètres jusqu'à Roslin. Nous aimons prendre les toutes petites routes, quittes à faire de nombreux détours. Comme le souligne une fois encore Clémentine : << Les plus belles découvertes se font loin des lieux fréquentés ! >>. Estelle rajoute : << Dans ces petits détails des paysages ignorés ! >>. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Dans le petit sac à dos que je porte, des abricots, des nectarines, les barres de céréales. La gourde thermos emplie d'eau.

Pressés de filer, nous dévalons l'escalier de service. Il est à peine 13 h30. Je roule doucement. En direction du Sud Est d'Édimbourg par l'étroite et ancienne route des Borders. Il n'y a plus que les agriculteurs et quelques rares autochtones pour sillonner ces petites routes typiques de l'Écosse traditionnelle. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière Estelle caresse mes joues en commentant le paysage bucolique qui nous entoure. Il fait beau. Il fait chaud. 28°. La climatisation de chez Mercedes est rudement efficace et se contrôle au demi degré près. Il ne faut pas plus d'une demi heure pour retrouver la chapelle Rosslyn.

Estelle propose d'y retourner en fin d'après-midi pour réaliser un autre de nos "défis du jour". << Tu me baises un peu dans un coin Franc-Maçonnique ! >> suggère t-elle en riant. Ce n'est évidemment pas possible mais la plaisanterie nous amuse. Je gare la voiture sur le parking de la chapelle. C'est à pieds que nous parcourons le petit mile qui nous sépare du bourg. Il y a bien moins de touristes car ici aussi, en Écosse, la rentrée scolaire à fait son œuvre de "salubrité publique" comme le dit Estelle. Elle ne cesse de se placer devant moi pour cacher les palpations de sa main exploratrice. Les pans de ma chemisette cache ma braguette béante.

Nous flânons un peu dans les rues de ce petit village médiéval et à l'ambiance pleine de sérénité. << Non, mais sans déconner, ton défi du jour c'est de me baiser dans un coin ! >> relance Estelle décidément accrochée à cette idée. C'est réalisable, certes, mais tellement surréaliste. << Je vais filmer ce grand moment ! >> précise Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Voilà la boutique. La dame nous y attend avec un grand sourire. Elle nous invite à la suivre au fond du magasin. Là, sur trois cintres, nos trois blousons. La dame nous propose de prendre notre temps, de les essayer. Elle met à notre disposition des vêtements divers.

Nous pourrons ainsi nous faire une idée très exacte. Avec un pantalon par exemple. Nous sommes vraiment "soignés". Quand nous sommes seuls dans la grande cabine, rideaux tirés, Estelle chuchote : << Pour 2 400 euros, on a droit à quelques égards tout de même ! >>. Nous en rions. Nous enfilons nos cuirs. Comme le souligne Clémentine, ce sont certainement les plus beaux blousons que nous ayons vu. De marque Belstaff, ces cuirs sont de toute beauté. Magnifiques. En plus ils nous vont à merveille. Tant par la coupe que par la taille. << Ils nous vont comme un gant ! >> lance Estelle. << Comme des blousons aussi ! >> dit Clémentine.

Nous les retirons. Nous les ramenons au comptoir pour les faire emballer. Paiement par carte internationale. Ce qui est le cas de la plupart des cartes "Gold". << Ils sont diantrement lourds ces blousons ! >> fait Estelle alors que nous retournons à la voiture. À peine les paquets dans le coffre de la voiture, mes deux anges me sautent au cou. << Merci ! >> lancent t-elles en me couvrant le visage de baisers passionnés et fougueux. << Depuis cinq ans tu m'offres les plus belles vacances et les plus belles choses. Je sais, je ne dois pas me sentir redevable, mais essaie de comprendre ! >> s'exclame Estelle prenant un air grave.

<< C'est vrai, tu fais de nous des femmes comblées ! Et tout le temps ! >> rajoute Clémentine. Je conclue cette conversation un peu dérangeante : << Vous faites toutes les deux de moi l'homme le plus heureux. Alors permettez-moi d'en manifester les conséquences ! >>. Elles m'attrapent par les bras. Nous nous dirigeons vers la chapelle lorsque je rajoute : << Et c'est là, dans le cimetière que nous allons réaliser ton fameux "défi du jour" ! >>. Estelle s'écrie : << C'est vrai ! Tu vas le faire ? >>. Nous pénétrons dans l'enclot du cimetière. Un muret qui entoure également la chapelle. Il faut juste trouver l'endroit qui le permet.

C'est là, derrière la bordure des haies de lauriers que nous trouvons le lieu idoine. Il faut toutefois faire très vite. Des groupes de visiteurs peuvent sortir de l'église et avoir la fantaisie de faire un petit tour dans le cimetière. Clémentine tire son téléphone du sac. Estelle retire sa culotte pour sauter en s'asseyant sur une pierre tombale. Juste la bonne hauteur. Je sors ma queue raide comme un piquet. Je regarde dans toutes les directions. Clémentine aussi. Tout en filmant. Je frotte mon sexe sur celui d'Estelle. Je m'y enfonce doucement. Un peu fébrile tout de même à cause de la trouille de nous faire surprendre. Je la baise. Deux petites minutes.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines qui, l'appétit ouvert par une petite baise, aiment à découvrir les menus affichés devant les restaurants...

Julien



Pouffer

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Super
Homme, 53 ans, France
Coeur - 18 - Tous droits résevés - © - 2023 - Épisode 2364 -



Une avant dernière journée à flâner

Il est presque neuf heures, hier matin, mercredi. Le bras d'Estelle autour de mon cou me réveillent. Le souffle de sa respiration tout proche. Clémentine qui se blottit encore plus fort. Je suis entre mes deux anges. Nous sortons ainsi du sommeil en gémissant. Encore une gratifiante et reposante grasse matinée. Estelle se redresse, regarde partout autour de nous avant de dire : << J'aime notre chambre ici, à Édimbourg. J'y pense souvent. Pipi ! >>. Elle se lève précipitamment pour courir vers la porte. Clémentine m'attire sur elle en rajoutant : << Moi aussi l'endroit fait partie de mes souvenirs. ! >>. Je reste en appui sur mes bras.

Quand Estelle revient, habillée "sport", elle nous fait à chacun la bise. Elle enlève le draps pour constater en riant que nous ne faisons pas "pour de vrai". << On mange dans deux minutes ! >> rajoute t-elle. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Vêtus "sport" nous aussi nous la rejoignons dans la cuisine. Les suaves effluves parfumées du café, du pain grillé. Je pèle les kiwis, Clémentine presse les oranges. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre après-midi à Roslin et l'acquisition de nos magnifiques blousons. << Je le mets le premier jour de la rentrée ! >> lance Estelle qui me remercie une fois encore.

<< Moi aussi ! >> s'exclame Clémentine. Assises sur mes cuisses, trempant leurs tartines dans mon bol, mes deux anges font mille projets d'ici leurs rentrées universitaires. << Vous vous rendez compte, il ne reste plus que douze jours avant la rentrée ! >> s'écrie Estelle. Nous traînons un peu à table. << Profitons-en un maximum avant ! >> fait Clémentine. Dehors le ciel est bleu. Le thermomètre extérieur affiche 18°. La vaisselle. Lavage des dents. Des pompes, des abdos, des flexions afin d'êtres correctement échauffés. Nous dévalons l'escalier de service pour nous retrouver dans la fraîcheur ensoleillée. C'est parti pour le jogging.

Le long de notre circuit habituel. Nous croisons d'autres coureurs. Quelques instants d'arrêt pour admirer Édimbourg depuis les hauteurs de Morningside. << On se fait Dean Village cet après-midi, ça vous dit ? >> propose Estelle alors que nous reprenons notre running. << Excellente idée ! >> répond Clémentine. J'adhère complètement en levant les deux pouces. Il est dix heures quarante quand nous revenons. Estelle prend sa douche alors que Clémentine, assise sur mes genoux, allume l'ordinateur. Nous avons un message de Juliette qui nous raconte les promenades équestres de ses après-midi. Elle y joint deux belles photos.

Estelle revient, vêtue d'une de ses jupettes, d'un T-shirt. Nous lui cédons la chaise avant d'aller à notre tour dans la salle de bain. Clémentine s'habille comme Estelle. Je porte un de mes bermudas et une chemisette. Les filles, installées sur mes cuisses, surfent sur le site universitaire. La mise en page ainsi que les présentations sont beaucoup plus attractives que les années précédentes. Je caresse leurs cous, leurs nuques, je descends sur leurs petits seins avant de passer mes mains sous les jupettes. J'adore le doux contact du coton blanc de leurs culottes sous mes doigts. << Interdiction de cesser ! >> me fait Estelle. Nous rions.

Je chuchote : << Mais je n'en ai pas l'intention. Aujourd'hui, les défis, c'est moi qui les lance ! >>. Toutes les deux mitraillent mon visage de bises. << En voilà une belle initiative ! >> s'exclame Estelle qui se lève d'un bond. Il commence à faire faim même s'il n'est encore que 11 h15. << On commence à préparer nos valises, comme on a dit ? >> demande Clémentine en se levant à son tour. << On fait comme on a dit ! >> répond Estelle. Nos deux grosses valises posées ouvertes sur le lit, Clémentine ouvre l'armoire pour commencer à nous tendre les vêtements. << Tout ce qu'on emmène et qu'on ne met pas ! >> lance t-elle.

Estelle déplie et replie certaines jupettes, certains pantalons, des sweats. Je dispose soigneusement le tout dans les valises qui se remplissent inexorablement. << J'ai l'impression qu'on ramène toujours plus de trucs qu'on en emmène ! >> fait Estelle. Je dis : << Mais ce n'est pas qu'une impression ! >>. Nous ne gardons dans l'armoire et sur la chaise que le strict nécessaire pour les deux jours à venir. Les sous vêtements préparés dans la salle de bain. Il est presque midi, morts de faim nous nous précipitons dans la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement des tomates. Estelle fait gonfler du riz complet. Je prépare les nems.

Préparations rapides. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de l'après-midi. Pressés de partir nous ne traînons pas. Vaisselle, lavage des dents. Dans le petit sac à dos que je porte, des abricots, des brugnons, des barres de céréales, la gourde thermos pleine d'une eau bien fraîche. C'est à pieds que nous descendons Morningside. Le carrefour de Christ Church et ses autocars garés, déversant le flot de touristes pour la plupart asiatiques. La rue commerçante. Il y a trois kilomètres jusqu'aux premières maisons du quartier de Dean Village. Son ambiance médiévale, ses dédales labyrinthiques de ruelles.

Nous retrouvons avec plaisir cette partie surprenante d'Édimbourg. Lorsque nous y sommes venus au début de juillet, la météo était plutôt maussade. Là, sous le ciel bleu, avec 24°, c'est un véritable enchantement. << Comme dans un parc d'attractions ! >> souligne Estelle. Il y a évidemment beaucoup de monde. Principalement des touristes. Nous prenons à droite pour longer Water of Leith. La rivière est large. De l'autre côté c'est une piste cyclable. Du nôtre c'est un chemin piétonnier goudronné avec des tronçons pavés. Estelle bloque souvent notre promenade en se plaçant devant moi pour cacher sa main exploratrice.

<< Tu as dis que tu fixais les défis de l'après-midi ! >> dit elle. Je pose ma main sur le tissu de sa jupette, à l'endroit de son sexe pour répondre : << Votre premier défi chère demoiselle sera de faire pipi dans un endroit à risque. Votre second défi sera de vous toucher dans un autre endroit à risque ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche avant de dire : << Beau programme monsieur ! >>. Clémentine rajoute : << Et moi je filme tout ça ! >>. Nous en rions de bon cœur en continuant notre balade. Nous attirons encore bien des regards. Surtout quand Estelle bloque notre marche pour cacher ses activités tactiles.

Sur notre droite ce sont des parterres floraux, des bosquets soigneusement taillés. C'est en pentes douces. Des haies de lauriers. Des rambardes de bois. Les palissades des belles demeures derrière les frondaisons. Nous évoluons souvent à l'ombre de grands arbres séculaires. De petites venelles montent vers les maisons pour rejoindre la rue parallèle au-dessus de la rivière. Il y a de nombreux bancs dans des emplacements savamment agencés. Hélas, chacun est pris d'assaut par les promeneurs. << Mon défi ! >> lance soudain Estelle qui nous montre la venelle qui monte sur notre droite. Nous y sommes venus en juillet.

Nous reconnaissons parfaitement l'endroit. C'est un étroit passage qui monte sur une cinquantaine de mètres. Jusqu'à la rue. Sur la droite et sur la gauche des espaces entre les fourrés parfaitement taillés. Personne. Clémentine tire son téléphone du petit sac à dos que je porte. Estelle se met en position tout en descendant sa culotte. Accroupie, elle se concentre en disant : << Vous surveillez, hein ! >>. Je me faufile sous les branchages pour me placer derrière elle. Je la tiens par sa natte comme par une laisse. Elle fait pipi en se cambrant jusqu'à avoir les fesses près du sol. Elle tente de projeter ses jets le plus loin possible.

Clémentine filme, un genoux à terre, sans vraiment faire très attention. Je me penche pour placer mon visage à côté de celui d'Estelle. Nous sourions à l'objectif. Clémentine, sans cesser de filmer se redresse d'un bond. C'est un couple qui déboule en marchant vite. << Oh excuse us ! >> lance la jeune femme. Ils éclatent de rire un peu plus loin en ayant sans doute compris ce que nous faisions. Estelle ne s'est pas redressée, se faisant surprendre. << Bravo, tu fais des progrès ! >> lui fait Clémentine. << Trop bien ! >> répond Estelle qui se redresse. Je m'accroupis pour glisser ma tête entre ses cuisses. J'adore me régaler.

<< Mmhh, mais qu'est-ce que c'est bon ça ! >> s'écrie Estelle qui se cambre, cuisses écartées pour m'offrir sa chatte humide que je nettoie à coups de langues, mes lèvres comme des ventouses. Clémentine filme. La situation est cocasse. Il faut vraiment cesser car nous entendons des voix, des rires. Nous nous extirpons de sous les branchages en évitant de nous accrocher aux feuilles. Juste à temps car c'est un groupe qui descend de la rue vers le chemin. << Super film, je vous le dis ! >> lance Clémentine en nous montrant l'écran de son téléphone. Nous revenons au bord de la rivière. Nous marchons vers le château.

Je prends Estelle par ses épaules pour dire : << Vous avez un second défi à réaliser mademoiselle ! >>. Pour toute réponse, elle se tourne, bloque la marche, se serre contre moi pour me palper la bosse. << Mais c'est qu'il bande notre vieux pervers ! >> s'exclame t-elle. Clémentine se met contre nous pour toucher à son tour et constater. Notre trio, ainsi agglutiné, attire presque toutes les attentions. Non messieurs dames, je ne suis pas le papa de ces deux sublimes jeunes filles. Si vous saviez ! Nous rions aux éclats des interrogations que nous lisons sur certains visages. Nous contournons le château qui ne se visite pas. Privé.

Nous arrivons devant les grilles ouvertes du parc. Nous y pénétrons en quittant rapidement l'allée centrale. Il y a plein de gens, assis sur les pelouses, sur les bancs. C'est à la fois festif, bucolique et champêtre. Nous avisons cette petite sente qui contourne une des deux grandes fontaines. Des bancs en cercle tout autour. En suivant cette entrée dans les fourrés nous tombons sur quelques amoureux cherchant l'isolement. Mais il y a également là-bas, le cabanon des toilettes publiques. Nous en restons à l'écart car c'est évidemment très fréquenté. Plus loin, les hauts murs de pierres de ce côté du château. Il y fait bien frais.

Je prends Estelle par la taille en disant : << Votre second défi mademoiselle. C'est ici ! >>. Elle regarde partout autour de nous. Personne. Elle me fait un rapide bisou sur la bouche avant de passer sa main sous sa jupette. Clémentine reprend son téléphone. Nous restons tous les trois aux aguets. Le second défi d'Estelle est de se faire surprendre entrain de se toucher. Elle en frissonne en murmurant : << Je n'y arriverai jamais ! >>. Clémentine chuchote : << Mais, si, tu l'as déjà fait ! Rappelle toi ! >>. Cambrée sur ses genoux fléchis, les pieds écartés à la largeur de ses épaules, se tenant au mur, Estelle se masturbe doucement.

Je m'approche, je la saisis par sa natte. Nous sourions à l'objectif. Je rejoins Clémentine en glissant ma main sous sa jupette par derrière. Entre ses cuisses chaudes et douces. C'est dans cette configuration que nous nous faisons surprendre tous les trois par un promeneur. C'est un jeune homme. Sur son visage, tout l'éventail des expressions qu'une pareille situation peut générer. Tout gêné, il marque un arrêt : << Oh, excuse-me ! >> bégaie t-il avant de tourner les talons pour disparaître très rapidement. Nous n'avons pas affaire à un voyeur car nous avons beau scruter les fourrés il a disparu. Estelle continue à se masturber.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines ravies d'avoir vécu de nouvelles émotions. En recherche d'une bonne table, dans un bon restaurant de cette étonnant parc d'attractions que constitue Dean Village. Quartier des artistes et des créations de toutes natures...

Julien



Sourire

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Sourire
Homme, 53 ans, France
Coeur - 19 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2365 -



Notre dernière journée à Édimbourg

Hier matin, jeudi, je suis réveillé par les bisous sur les joues que me font mes deux anges. C'étaient donc ça les murmures et les rires que j'entendais dans la salle de bain alors que j'étais déjà couché. Les coquines ont préparé le "coup". << Merci pour ces merveilleuses vacances ! >> font elles en même temps à mes oreilles. Là aussi elles se sont entendues car c'est Clémentine qui saisit ma tumescence alors qu'Estelle empoigne mes couilles. Alors que la plupart des fois c'est l'inverse. Encore à moitié endormi mais délicieusement surpris, je glisse mes mains dans les culottes en disant : << Merci pour ces merveilleuses vacances ! >>

Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Alors qu'il est déjà presque neuf heures. Nous nous enivrons de tendresse et de câlins. N'en pouvant plus, Estelle se lève comme mue par un ressort en s'écriant : << Ça urge ! >>. Elle se précipite vers la porte. Clémentine passe sa tête sous les draps pour prendre mon érection matinale et toute naturelle en bouche. C'est une étrange sensation qui n'a rien de réellement excitant. Mais ça pourrait le devenir. Estelle, dans sa tenue de sport, revient, voit la bosse, soulève le drap. << Put-Hein le matin ! >> s'écrie t-elle une nouvelle fois avant de me déposer une bise sur les lèvres en riant.

Clémentine cesse. << Je commence à préparer ! >> fait encore Estelle qui s'éloigne vers l'autre porte. Clémentine, me tenant par le chibre, m'entraîne aux toilettes.Habillés sports nous rejoignons Estelle dans la cuisine qui sent bon le café et le pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan des vacances. Elles se terminent aujourd'hui. Comme je vais rouler durant deux jours et sur plus de 1 500 km, il est décidé de ne surtout pas prendre la voiture. Estelle et Clémentine ne veulent pas rouler. À gauche avec le volant à gauche. << Je casse ta voiture ! >> dit Estelle. << Moi aussi ! >> rajoute Clémentine.

Nous traînons à table. Dehors le ciel est entièrement bleu. La température extérieure de 19°. Une invitation à s'enfuir pour de nouvelles aventures. Ce que nous prévoyons de faire. Avec tous les petits films de nos "défis", réunis bout à bout, Estelle évalue une durée d'au moins une heure. Elle en fera le montage et, lors de notre prochaine "soirée cinéma", nous pourrons nous émerveiller de nos "exactions" sexuelles, libidineuses et souvent bien vicelardes. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. << On rigolera moins demain matin, à sept heures, avant de partir ! >> dit Clémentine.

Quelques exercices d'échauffement avant de dévaler l'escalier de service. Nous sommes invités à partager le dernier repas de famille ce soir. Il y aura également tante Margaret et son mari Jack venus de St Andrews pour passer le week-end à Édimbourg. Nous aimons bien ces réunions familiales et c'est un peu comme si Estelle et Clémentine en étaient les membres. Nous courons le long du parcours habituel. Arrêt pour admirer Édimbourg sur les hauteurs, depuis les bancs. Il est dix heures quinze quand nous revenons après une heure d'un superbe jogging. Estelle prend sa douche. Assise sur mes cuisses, Clémentine allume l'ordinateur.

Trois messages. Enfin des nouvelles du couple de Japonais rencontré au début juillet. Ils étudient la possibilité de venir passer une semaine en novembre. Quatre jours pour découvrir Paris. Puis il viendront passer deux jours chez nous. Un courriel de Julie qui nous confirme sa venue lundi prochain en début d'après-midi. En précisant qu'elle ne s'attardera pas trop. Un mail de Juliette qui nous invite à manger chez elle mercredi prochain. Brochettes de poissons au menu. Estelle revient vêtue d'une de ses jupettes dont elle a fait grand usage durant ces deux mois Écossais. Elle prend notre place alors que nous investissons la salle de bain.

Nous la rejoignons. Clémentine vêtue comme elle. Je suis en bermuda et chemisette. << Mes parents sont bien arrivés. Ils se sont encore offerts quelques jours de vacances. Ils viendront manger dimanche à midi ! >> nous apprend Estelle. Des réjouissances en perspective. Clémentine s'exclame : << On fait comme on a dit. Aucune tristesse en quittant notre Écosse chérie. De toutes façon, il nous reste encore dix jours avant la rentrée universitaire ! >>. Estelle rajoute : << Et dix jours ensemble. On va très vite s'adapter ! >>. Mes deux anges sont assises sur mes genoux à surfer sur le site de leur université. Par acquis de conscience.

Il est presque onze heures. Clémentine propose de boucler le reste de nos bagages et de les mettre dans le coffre de la voiture. << Excellent ! >> lance Estelle qui se lève d'un bond. Il reste à remplir la seconde valise des vêtements qui n'ont pas trouvé leurs places dans la première. Nos grands sacs de sport contenant nos godasses. Les paquets contenant les cadeaux que nous ramenons pour Juliette, pour Julie. Les paquets contenant nos blousons tous neufs. Il est onze heures trente quand tout est dans le coffre de la Mercedes. Dans l'appartement il ne reste plus que nos vêtements à porter demain matin, les sous-vêtements.

<< On se fait un restau à midi ? >> propose Clémentine. << On a des restes ! >> répond Estelle. Je suggère de les laisser à Oncle Alan et à sa compagne Amy. De descendre Mornigside, dépasser Dean Village et entrer à Édimbourg par Leith. Cinq kilomètres d'une bien belle promenade. << Après, il faudra se retaper le retour à pieds, bien crevés ! >> lance Estelle. << On prend la bagnole ! >> conclue Clémentine. Nous dévalons l'escalier de service. Il fait beau et chaud. Je roule doucement. La circulation est rapidement dense à partir du carrefour de Christ Church. Clémentine garde sa main dans ma braguette grande ouverte.

Installée à l'arrière, caressant mon cou, Estelle dit : << Ton défi du jour. Le truc le plus vicelard des vacances ! >>. Clémentine se retourne pour demander : << Et c'est quoi ? >>. En éclatant de rire Estelle répond : << Une pipe dans un endroit à risque ! >>. Nous rions de bon cœur à ce projet une fois encore farfelu. Nous dépassons Dean Village. << Vous vous souvenez, l'année dernière, c'est dans cette maison que mes parents avaient loué un appartement ! >> s'écrie Estelle en montrant la façade de briques rouges du doigt. Nous nous souvenons. Voilà Leith et son port de plaisance. La partie port de pêche très touristique.

Il n'est plus possible de se garer dans la petite ruelle à dix minutes du centre historique. Avec les incessantes festivités, Édimbourg étant une des villes les plus festives du monde, toute la cité est piétonne. Nous laissons l'auto sur le parking de l'hypermarché Tesco Superstore. Il y a un bon quart d'heure en coupant par Wallace Square. Mes deux anges restent accrochées à mes bras. Nous marchons d'un bon pas. Il est déjà 12 h45. Trouver une table dans un bon restaurant relève de la gageure. Il faut se rabattre sur un établissement "classe". Et seul le "Gardener's Cottage" et sa "Royal Terrace" peuvent nous en proposer une belle.

Juste face à la baie vitrée qui donne sur le parc dans lequel la grande demeure est bâtie. C'est un espace privé. << Put-Hein génial pour le "défi pipe" ! >> lance Estelle alors que nous savourons nos queues de homards fumées, nos assortiments de légumes et une délicieuse salade de crevettes aux avocats. << Royal, vraiment ! >> s'exclame Clémentine. Dehors, dans le parc, là-bas, il y a la terrasse du restaurant. Une bonne vingtaine de tables. Toutes occupées. Pour ce dernier repas Écossais, nous avons fait le bon choix. << Ou plutôt la fatalité l'a fait pour nous ! >> corrige Clémentine. Qu'il est bon de traîner en cet endroit magique.

Nous nous promettons de faire figurer ce restaurant en tête de notre liste pour nos prochains séjours. << Aux vacances de fin d'année ! >> propose Clémentine. Une première visite dans les toilettes hommes avec Estelle. Enfermés dans un des cabinets, je la baise quelques minutes en levrette. Ma main plaquée sur sa bouche pour l'empêcher de gémir trop fort. En effet, on entend des mecs pisser de l'autre côté de la porte. Ces toilettes sont agencées pour permettre l'accès depuis la terrasse extérieure. Il y a donc du passage. Seconde visite dans le même cabinet avec Clémentine à qui j'inflige cette fois le même traitement.

Elle qui voulait sucer ma bite encore pleine de jus est surprise par mon initiative. Main plaquée sur sa bouche, je la baise à la hussarde. Nous rions car de l'autre côté de la porte il y a un pisseur qui marmonne des paroles incompréhensibles. Nous rejoignons Estelle pour le dessert. De belles meringues mais dont le gout mentholé de la crème nous surprend. L'addition. << La douloureuse tu veux dire ! >> lance Estelle. J'estime que nous en avons pour nos 300 £, environs 320 €.
Il est 14 h30 quand nous allons flâner à la découverte de ce parc somptueusement entretenu. La pelouse est une moquette. Les haies taillées au cordeau.

<< Là, notre défi ! >> lance Estelle. Nous ne pouvons espérer meilleur endroit. Ce sont quatre marches qui mènent sous un arc de triomphe. Réplique miniature d'un monument Grec bien connu. De chaque côté des Dianes chasseresses sculptées dans une pierre blanche et rugueuse gagnée par la mousse. C'est un jardin extrêmement romantique. Des frondaisons. Des clients se promènent par là. La fontaine où des diablotins déversent de leurs bouches béantes des jets dans le bassin. Il y a une fine mousse qui recouvre certaines parties des pierres. C'est absolument superbe. << Un voyage dans le temps ! >> s'exclame Estelle ravie.

Elle nous entraîne à l'arrière d'un kiosque de bois blanc. Elle s'accroupit devant moi pour ouvrir la braguette de mon bermuda. << On fait fort pour ce dernier défi, d'accord ? >> lance t-elle. Clémentine tire son téléphone du petit sac à dos que je porte. Comme elle le fait la plupart du temps, elle commence à filmer avec un genoux à terre. Estelle sortant mon chibre pour le présenter à l'objectif. Collant sa joue contre ma biroute elle sourit vers Clémentine qui se redresse. Elle filme en tournant autour de nous. Je suis mort de trouille car des voix nous parviennent. Des éclats de rire aussi. Ce sont probablement des Hollandais.

Je me fais tailler une pipe des familles. Je ne cesse de regarder partout autour de nous. Je discerne les vêtements colorés que portent certains promeneurs qui passe de l'autre côté de la haie de lauriers. Estelle, se prenant au jeux, tombe à genoux dans l'herbe en me tenant aux fesses. J'appuie sur sa nuque pour lui enfoncer la totalité de la queue. Ce qui la fait tousser, lui procure des hauts le cœur en provoquant des soubresauts. Je murmure : << Du bon jus de couilles pour ma délicieuse salope ! >>. Elle gémit de plaisir pour recommencer dès que je cesse la pression de ma main. Pour caresser sa nuque, ses joues, ses sourcils.

Ce qui devait arriver, puisque secrètement désiré par Estelle, arriva. Deux jeunes femmes, s'aventurant par là, certainement à le recherche d'un coin pour s'isoler, tombent sur le spectacle. Nous entendons les rires des gens du groupe dont elles font parties. Clémentine leurs tourne le dos en filmant. Estelle aussi en suçant. Il n'y a que moi qui voit ces deux inconnues. Elles marquent toutes les deux un temps d'arrêt. L'une d'entre elles porte sa main sur sa bouche pour étouffer son rire. L'autre se met à pouffer également. Ce spectacle ne risque pas d'effaroucher les deux jeunes femmes puisque moi-même suis en compagnie deux jeunes filles.

Elles se dirigent vers le kiosque. Estelle prend soudain conscience de leurs présences. Clémentine également lorsqu'elle tourne autour de nous sans cesser de filmer. Les deux jeunes femmes, dans le cercle du kiosque, regardent avec insistance. Nul doute, nous avons encore affaire à des "membres du Club". Ce n'est pas tous les jours que des coquines assistent à ce genre de show. Ces deux-là savent en profiter. Estelle qui n'est pourtant pas très exhibitionniste semble prendre du plaisir à être vue, bite en bouche. Bite qu'elle agite soudainement vers nos deux voyeuses. Elle rient une nouvelle fois aux éclats. Je suis hyper gêné.

Clémentine filme ces deux charmantes touristes qui se laissent ainsi saisir par l'objectif. Je bande comme le dernier des salauds. Parce que même si je suis terriblement gêné, c'est aussi terriblement excitant. Des voix. Probablement le reste de la bande. Estelle se redresse. Je remballe à toute vitesse. Sous les applaudissements des deux jeunes femmes qui lèvent leurs pouces. Nous filons à l'Anglaise dans ce parc à l'Écossaise. Juste avant que le groupe n'arrive. Nous sommes pliés de rire. Je reste toutefois encore un peu fébrile. En sortant du parc, Clémentine nous fait voir les images sur l'écran de son téléphone. En 4K.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines qui s'apprêtent à passer leur dernière journée de vacances en se remplissant la tête de souvenirs et d'émotions...

Julien



Coeur

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Coeur
Homme, 53 ans, France
Fleur - 20 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2366 -



La saveur élégiaque d'un départ imminent

Hier matin, vendredi, il est sept heures quand l'application "Forêt" nous tire de nos profonds sommeils. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. C'est un réveil cruel malgré la douceur du bruit de la source qui s'écoule, le gazouillis des oiseaux dans une forêt à l'étrange résonance. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde avant de nous mettre à rire. Estelle se propulse hors du lit en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine et moi nous nous levons immédiatement pour défaire le lit. Estelle nous rejoint pour plier les draps. C'est à notre tour d'aller aux toilettes avant de la rejoindre dans la cuisine.

Les effluves parfumées du café et du pain grillé constituent un réconfort après ce réveil un peu brutal. << Vivement la prochaine grasse matinée ! >> lance Estelle en palpant la bosse dans mon slip. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le rapide inventaire de tout ce qu'il ne faut pas oublier. Nos bagages sont déjà dans le coffre de la voiture. Nous avons procédé au ménage. Nous laissons un appartement dans l'état de propreté où nous l'avons trouvé en arrivant. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de cette journée. Le retour. Notre hôtel à Great Yarmouth à près de 600 km par la route qui longe le littoral.

Nous préférons prendre la route côtière plutôt que l'Autoroute M6. La vaisselle. Estelle prend sa douche pendant que nous préparons les fruits, les sandwichs, que nous réunissons nos derniers effets. C'est à notre tour. Estelle et Clémentine, vêtues de leurs jupettes, de leurs T-shirts. Je suis en short et T-shirt. La journée s'annonce chaude avec ce ciel entièrement bleu et ce soleil déjà fier dans l'azur. Un dernier tour d'inspection dans l'appartement. Comme à chaque fois Estelle laisse un petit objet dans le vase au-dessus du buffet de la cuisine. Elle le retrouvera lorsque nous reviendrons. Elle adore fonctionner avec des rituels.

Nous dévalons l'escalier de service avec nos affaires. Oncle Alan et Amy sont déjà debout. Il est 8 h30. Nous nous serrons les mains en nous promettant de nous revoir aux vacances de fin d'année. Nous viendrons en avion le jeudi 21 décembre. Je tends discrètement l'enveloppe jaune à Amy. Ils nous raccompagnent jusqu'à la voiture. Un dernier coucou. Ils ont l'air tous tristes tous les deux. C'est parti. Je longe lentement la centaine de mètres de l'allée entre les rangées de platanes séculaires. Clémentine prend une profonde respiration avant de dire : << C'est bien aussi de rentrer. De nouvelles aventures nous attendent ! >>

<< Surtout qu'on reste encore ensemble dix jours. On s'adaptera facilement ! >> rajoute Estelle. Assise à l'arrière, elle caresse mon cou. Je roule doucement pour descendre Morningside, Dean Village. À Leith il faut prendre à droite pour rejoindre le périphérique qui contourne la ville. Nous arrivons aux pieds du Château d'Édimbourg. À gauche toute. Première étape Berwick-upon-Tweed à quatre vingt kilomètres. Sur notre gauche la mer dont les eaux scintillent de mille feux sous un soleil majestueux. La circulation est fluide. Je peux garder une bonne moyenne de 90 km/h. La vitesse limite sur les routes Anglaises étant 97 km/h.

Je regarde dans le rétroviseur intérieur. Estelle, vautrée sur la confortable banquette arrière qui me montre sa culotte. Cuisses largement écartées. Elle me fait des sourires et des clins d'œil quand elle surprend mon regard. Clémentine qui se retourne pour apprécier en riant. Nous quittons l'Écosse juste avant d'entrer dans Berwick. Ville côtière à l'intense activité économique. Nous voilà en Angleterre. Il est prévu de s'arrêter toutes les heures pour une détente de quelques minutes. Nous ne sommes pas pressés et il serait stupide de ne pas profiter des splendides paysages. Sur notre gauche la mer, sur notre droite des champs.

Premier arrêt pipi. Je gare l'auto dans un chemin qui quitte la nationale. Mes deux anges, accroupies, culottes aux genoux, font leurs besoins alors que je suis debout derrière elle, mouchoirs en papier dans les mains. Je les torche. C'est Estelle qui tient ma bite pour en diriger les jets. Clémentine, la main dans mon short, sa main entre mes fesses. Il y a le bruit d'un engin agricole qui se rapproche. Nous nous faisons surprendre par cet agriculteur sur son tracteur. Il est à une centaine de mètres. Il nous fait un signe amical de la main alors qu'Estelle secoue les dernières gouttes. Ça me gêne. J'aurais préféré une agricultrice.

C'est parti. Prochaine étape Newcastle-upon-Tyne. Une autre ville côtière qui tire son économie de la pêche et de l'exploitation des ressources maritimes. Nous nous arrêtons à la sortie. Quelques kilomètres plus loin, en pleine campagne. Il est agréable de se dégourdir les jambes sur ce chemin qui quitte la route. Il est déjà onze heures quinze. Ce qui nous ralenti c'est le passage obligatoire dans les villes. Même si l'usage du GPS permet de ruser. C'est Clémentine qui me tient la bite pour en diriger les jets. Estelle me tenant les couilles par derrière. Les coquines ont descendu mon short et mon slip. Je pisse avec mes fringues sur les chevilles.

Je me venge car lorsque c'est leur tour, je suis accroupis derrière elle. Je profite des pipis pour enfoncer mes index dans les trous des culs. << Salaud ! Enculeur de filles sans défense ! >> lance Estelle. Le doigt dans le cul provoque une amusante réaction. Les jets de pisse sont beaucoup plus "énergiques" et drus. Je torche mes deux anges qui me font des bisous. Nous revenons à la voiture. Je propose de garder les sandwichs pour demain. Ils sont dans la glacière. Pourquoi ne pas nous offrir un restaurant dans la prochaine ville ? La prochaine étape étant Middlesbrough. Autre agglomération côtière à quelques soixante dix bornes.

Je roule en maintenant notre moyenne. Je refuse de le faire avec la bite à l'air car la circulation se densifie et il y a des contrôles routiers assez fréquents. Clémentine et Estelle consultent Google sur leurs I-phone14. À la recherche d'un bon restaurant. Notre choix se porte sur "Turtle Bay". Un établissement gastronomique à la sortie de Middlesbrough. Il est presque treize heures quand je gare la voiture sur le parking. C'est une grande maison de maître. Très typique de la côte Est de l'Angleterre. Nous y savourons des moules et des crevettes grillées accompagnées de pommes de terre farcies. C'est absolument divin.

Une première visite dans les toilettes hommes avec Estelle. Nous avons pour habitude de nous enfermer dans un des cabinets. Je la prends quelques minutes en levrette. Ce qui la fait toujours rire avant c'est quand je crache sur mes doigts pour mouiller ma queue. Ainsi mouillée elle pénètre mieux. Et comme elle fait de même avec sa chatte, la pénétration est sympathique. Seconde visite avec Clémentine qui préfère me bouffer la bite quelques minutes. Nous traînons à table. L'addition que nous emmène la jeune serveuse. Amusée par nos attitudes, elle ne cesse de sourire. Quelques clients nous observent discrètement. Interrogateurs.

C'est reparti. Prochaine étape Scarborough. Il faut alors quitter le littoral en direction de Hull. Nous sommes entourés de champs, de cultures céréalières. Dans un paysage plat et sans reliefs. De loin en loin nous apercevons le clocher d'une église. Arrêt pipi en sortant de Hull en direction de Grimsby où nous arrivons pour seize heures. La climatisation fonctionne à plein car la température extérieure flirte avec les 29°. Nous trouvons un endroit ombragé au bord de la route. Il y a d'autres autos garées plus loin. ll y a un site touristique dans les environs. Nous déplorons de ne pouvoir aller à sa découverte. Pipi avec index dans le cul.

Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Elle l'agite en riant. Je m'écrie : << Arrête ! Tu vas m'en mettre sur les fringues ! >>. Elle répond : << Tu conduis tout nu ! >>. Clémentine tient mes couilles d'une poigne ferme. Nous manquons de nous faire surprendre par une vieille dame qui arrive. Ouf ! Juste à temps, je remonte mon slip et mon short. C'est parti. Prochaine étape Washbrough. Encore une petite ville côtière. En fait ce n'est qu'un grand village autour d'un de ces ports de pêches qui invite à s'arrêter. Ce que nous faisons pour grignoter quelques abricots glacés tirés de la glacière. Nous promener sur les quais.

Il est finalement dix neuf heures quand nous arrivons à Great Yarmouth. Station balnéaire avec son casino au bout de la jetée. Nous reconnaissons bien l'endroit. Je gare la voiture dans le parking souterrain de notre hôtel. Le "Fritton Arms". Là nous attend la chambre 11 réservée par Clémentine à l'allée comme au retour. Nous éteignons la climatisation car il fait carrément froid. Le restaurant de l'hôtel est recommandé par tous les guides gastronomiques. Notre table nous attend près de la grande baie vitrée. La vue sur la jetée, son manège à chevaux rétro, son casino. Son ambiance façon "Las Vegas". Nous sommes épuisés.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui font encore un petit tour au casino avant de retrouver la douceur d'un bon lit. De se faire toucher et brouter le minou avant de plonger dans un profond dodo...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 21 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2367 -



Sur la route du retour

Il est sept heures hier matin, samedi, quand une douce musique "classique" nous arrache de nos profonds sommeils. C'est sur notre demande que nous sommes réveillés ainsi. C'est un peu dur car nous nous sommes couchés vers vingt deux heures trente. Estelle prend sa douche la première pendant que Clémentine et moi réunissons nos affaires. C'est à notre tour. Rapides. Rationnels. Estelle et Clémentine vêtues de leurs jupettes, T-shirt. Je porte mon bermuda, un T-shirt. Dans l'ascenseur mes deux anges me couvrent le visage de bisous. Notre petit déjeuner nous attend dans la salle du restaurant de l'hôtel. Avec vue sur la mer.

Le Fritton Arms Hôtel est l'équivalent d'un quatre étoiles. Le confort, le service, la qualité sont irréprochables. Même le café se laisse déguster avec plaisir. Accompagné d'un jus d'orange pressé par le serveur à notre table. Les petites brioches anglaises, pleines de confiture, de miel ou de compotes de fruits sont un régal. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour. Principalement consacré au 750 km qu'il nous reste à parcourir. Nous ne nous attardons donc pas. Il est très exactement huit heures quand je suis installé au volant. Clémentine à ma droite, Estelle à l'arrière. Nous quittons le parking souterrain.

Prochaine étape Londres en passant tout près de Felixstowe. 170 km dans une circulation qui se densifie en approchant de la capitale Britannique. Comme pour chacun de nos voyages en voiture, un arrêt tous les 100 km. Il est tellement agréable de se dégourdir les jambes quelques minutes. Ce sont également des arrêts pipis où nous nous amusons beaucoup. Il faut parfois ruser quand il est impossible de quitter la nationale. C'est donc de l'autre côté, avec les deux portières ouvertes que mes deux anges peuvent se soulager. Je les torche très facilement dans la plus totale discrétion. Par contre, pour moi, c'est moins simple.

Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine qui me tient par la taille. Notre trio, dans cette situation ambigüe, se fait évidemment klaxonner à quasiment chaque passage. Et il y en a du passage. Nous en rigolons comme des bossus. Le nœud autoroutier aux abords de Londres est un véritable défi à l'intelligence. C'est un véritable labyrinthe qui force à la concentration. Même avec le tout meilleur GPS. Clémentine, d'une redoutable efficacité, reste la copilote idéale. Je n'ai qu'à me fier à son flair. À l'arrière, installée sur les coussins qu'elle a savamment disposé Estelle dort d'un profond sommeil. Je roule prudemment.

C'est dans cet axe autoroutier que nous perdons un temps fou. C'est samedi aussi. Ça circule. Enfin, après perdu une bonne vingtaine de minutes, avec une épuisante concentration, nous laissons Londres derrière nous. Il est 10 h45. Il ne reste que soixante kilomètres jusqu'à Folkestone. Notre ferry nous y attend pour midi. Environs quarante cinq minutes de traversée et nous débarquerons à Boulogne-sur-mer vers 13 h15. Il fait beau. Il fait chaud et nous bénissons la climatisation de chez Mercedes. Nous arrivons pour 11 h40. Direction le port, l'embarcadère. Le personnel de la compagnie oriente parfaitement les automobilistes.

Les procédures douanières. L'agent des douanes qui contrôle nos papiers nous informe que nous n'avons rien à déclarer. L'achat de livres, de souvenirs ou encore de vêtements est libre de toutes contraintes en-dessous de trois mille livres sterling. Ce qui est notre cas. Deux employés fixent la voiture avec des sangles dans le parking du bateau. Des parkings sur deux niveaux offrant la possibilité de traverser la Manche à plus de cent véhicules. Nous montons sur le pont supérieur. Le temps est vraiment magnifique. Autant à l'allée il faisait frais, venteux et pluvieux, autant au retour les conditions sont idylliques. Parfaites.

Je suis entre Clémentine et Estelle. EStelle qui me tripote discrètement. Nous regardons les côtes Françaises se rapprocher. Il est 13 h30 quand nous nous arrêtons obligatoirement à la douane. Il n'en va pas de même que pour quitter le Royaume Unis. Il faut déclarer toute marchandise au-delà de trois cent euros. Le bon vieux racket douanier. Je m'acquitte donc des taxes de nos achats par carte bancaire. Nous perdons là vingt autres précieuses minutes. C'est parti. Nous quittons Boulogne. Direction Abbeville. Là, pas d'hésitation, ce sera l'autoroute. Tant pis pour les paysages en tous points identiques à ceux du Sud Est de l'Angleterre.

Arrêts pipis en sortant de Rouen, en sortant d'Alençon. Il faut le faire en "civilisés" sur les aires d'Autoroutes. Dans les toilettes publiques pas toujours très propres. Il est dix huit heures quand nous franchissons le portail de notre propriété. Je ressens la fatigue de ce voyage. Clémentine dans une moindre mesure car, comme Estelle, elle a passé du temps à dormir. Mais ce n'est pas un sommeil de très bonne qualité. Courbaturées mes deux anges ont profité de chaque arrêt pour se détendre, bouger un peu. Nous somme rationnels et pragmatiques. Nous sortons immédiatement tous les bagages de l'auto. Il fait encore chaud.

En pénétrant dans la maison, il y a l'agréable odeur du magnolia. Un léger courant d'air. C'est Julie qui a fait fonctionner les diffuseurs d'arômes. Nous découvrons son petit mot sur la table de la cuisine. Elle est venue en fin de matinée pour aérer. << Il faudra la remercier quand elle viendra lundi ! >> dit Clémentine. << Lui réserver une attention particulière ! >> rajoute Estelle en mimant une masturbation masculine. Pour seul repas nous avons mangé nos sandwichs sur le bateau. Grignoter quelques fruits. Nous sommes donc morts de faim. Nous ramenons des nems et des filets de saumon fumé qu'il faut sortir de la glacière.

Clémentine fait l'assaisonnement des dernières carottes Écossaises ramenées d'Édimbourg. Estelle fait une omelette avec les derniers œufs, le reste des fromages Écossais. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Rissoler les trois filets de saumon fumé. C'est une préparation rapide. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de ces deux journées éprouvantes. Nous hésitons toujours à partir en avion. D'être en Écosse avec sa propre voiture est quand même plus intéressant, à tous points de vues. Nous traînons à table. Ce repas simple mais délicieux nous a rendu la "pêche". Clémentine propose de déballer les affaires.

La vaisselle. Nous montons à l'étage avec nos bagages. Seuls ceux d'Estelle restent en bas. En venant manger demain, dimanche, ses parents les récupérerons. Elle ira les ranger lundi matin. Avec autant d'attention qu'en sortant nos vêtements de l'armoire il y a deux mois, Clémentine les range. Il y a toujours un suivi dans le lavage de nos habits. Il n'y a donc que très peu de choses qui passeront à la machine demain matin. Estelle adore déplier puis replier. Les filles reviennent sur certaines séquences de ces deux derniers mois. Encore des vacances inoubliables. << Je vais faire le montage des films ! >> précise Estelle.

Je remets les valises vides sur le dessus de l'armoire. Estelle m'aide à les recouvrir de la bâche. Tout est rangé. << Clean ! >> lance Estelle. Nous passons à la salle de bain. Pendant qu'Estelle prend sa douche, nous trions le linge de couleurs. Principalement des sous vêtements, des T-shirts et soquettes. C'est à notre tour. Ça fait un bien fou surtout que la fatigue recommence à nous gagner. Mes deux anges adorent êtres assises devant l'un des miroirs. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je passe de l'une à l'autre. Elles évoquent leur rentrée universitaire d'ici un peu plus d'une semaine. Je les coiffe.

Après avoir dressé les nattes par lesquelles je les emmène, nous quittons la salle de bain pour retrouver la chambre. Les draps bien frais de notre grand lit. La porte fenêtre qui donne sur le balcon encore grande ouverte. Il est vingt deux heures. Il n'y a qu'un croissant de lune dans un ciel étoilé. Entre mes deux anges qui ont posé leurs têtes sur ma poitrine j'écoute les premières impressions de ce retour. << J'adore revenir. C'est bien aussi à la maison ! >> lance Clémentine. << On est tellement bien partout tous les trois ! >> rajoute Estelle qui saisit ma bite toute molasse. Je glisse mes mains dans les culottes. Nous sommes épuisés.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font encore un peu coiffer les touffes avant de plonger dans un profond sommeil réparateur...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Fleur - 22 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2368 -



Changement de programme

Il est neuf heures, hier matin dimanche. C'est le téléphone d'Estelle posé sur la table de nuit qui vibre. Vibrations amusantes qui nous tirent de nos profonds sommeils. En ouvrant les yeux, qui piquent, ça fait tout drôle de nous retrouver dans notre chambre. Dans notre grande maison retrouvée après plus de deux mois d'escapades et d'aventures. Estelle s'en saisit. Il y a un message qu'elle lit à voix haute : << On est invité à manger chez mes parents. Attendus pour midi ! >>. Je suis entre mes deux anges qui se blottissent contre moi en glissant leurs mains dans mon slip. << Ça nous arrange bien ! >> murmure Clémentine.

C'est vrai. Nous devrons absolument faire des courses demain. Remplir le frigo, acheter des fruits, des légumes. Nous sommes démunis. Aussi, cette invitation nous tire d'embarras. Nous envisagions même de tout commander chez le traiteur du bourg afin d'assurer le repas de midi. Estelle se lève en tournant sur elle-même, les bras levés, comme le ferait une ballerine. Elle chante : << Tout va très bien, madame la marquise ! >> en se mettant à courir vers la porte en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine joue avec mon érection naturelle en chuchotant : << J'adore nos retours à la maison. Je suis emplie d'une énergie nouvelle ! >>

Estelle revient, toujours dans son imitation de danseuse : << Je descends tout préparer. Ne me laissez pas seule dans l'adversité ! >>. Nous nous levons. Nous déposons chacun une bise sur son front avant d'aller à notre tour aux toilettes. En T-shirts et slips de nuit, tous les trois dans la cuisine, nous préparons le premier plaisir de ce dimanche. Estelle fait le café, Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. Ces derniers fruits ramenés d'Écosse dans la glacière ont parfaitement surmonté l'épreuve des 1370 km. Mieux que nous car nous sommes encore un peu courbaturés. << Comme des vieux ! >> lance Estelle en riant.

Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le vague programme de l'après-midi. << Nous avons surtout besoin d'une bonne journée de repos ! >> précise très justement Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur quelques évènements cruciaux vécus en Écosse durant ces onze semaines de vacances. Ce sont surtout tous ces "défis" réalisés un peu partout qui reviennent immédiatement en mémoire. Il sont dans l'I-phone de Clémentine. Une mémoire de 250 Go permet de les sauvegarder. Estelle propose de les transférer sur son disque dur externe cet après-midi. Pour un faire un montage. Un film.

Des réjouissances à l'idée de nous offrir une "soirée cinéma" en retrouvant à la fois le cadre où toutes ces choses se sont déroulées et aussi de revoir les images de nos exactions dévoyées, libidineuses et bien déviantes. Nous en rigolons comme des bossus. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges évoquent les différentes séquences de nos vacances. << Cette année, c'était à la fois dense et très improvisé ! >> dit Clémentine. << J'ai beaucoup aimé. On s'est laissé porté par nos envies. Je crois que c'est très exactement ce dont nous avions besoin avant ce qui nous attend ! >> rajoute Estelle.

Nous traînons à table. Contents de retrouver notre grande cuisine, notre environnement. Dehors le ciel est entièrement bleu. Le soleil cogne déjà avec 28° alors qu'il n'est que dix heures. << Vous savez que je me prête à rêver aux premiers beaux jours de l'automne ! >> lance Estelle en se levant la première. << Ma saison préférée ! >> rajoute Clémentine en se levant également. Nous débarrassons la table pour faire la vaisselle. Je plonge. Estelle passe sa main entre mes cuisses par derrière pour empoigner mes roubignoles. << Si tu montres ta bite à ma mère aujourd'hui, je te les arrache avec les dents ! >> dit elle en me les serrant d'une poigne ferme.

Nous remontons nous laver les dents, nous changer. Estelle et Clémentine dans des jupettes de fin coton. Des T-shirts légers. Sandalettes. Je suis en short, T-shirt. La chaleur semble étrangement plus accablante ici qu'en Écosse. << Il fait moins humide, c'est pour ça ! >> dit Clémentine. << Hypothèse recevable, c'est probablement ça. Regardez l'hygromètre. Seulement 55 % de taux d'humidité. Alors qu'à Édimbourg par exemple c'était souvent entre 65 et 75 % ! >> précise Estelle qui nous montre l'écran de son I-phone. Nous sortons. C'est un peu comme entrer dans un four. Pas un souffle de vent. Une véritable étuve.

Les filles me tiennent par les mains. Nous descendons jusqu'à la rivière. Les eaux sont à leurs minimums. Depuis plus de 25 ans que j'ai hérité de la propriété, jamais je n'ai vu les eaux aussi basses. Même pas lors de la "grande canicule" de 2003. Vingt ans déjà. Estelle et Clémentine n'étaient alors âgées que de six ans mais elle s'en souviennent très bien. << J'étais chez ma mamie dans le Var et c'était épouvantable ! >> raconte Estelle. << Moi j'étais sur le balcon de l'appartement de mes parents adoptifs. J'y passais mes nuits sur un matelas gonflable qui faisait un bruit épouvantable quand je me tournais ! >> dit Clémentine.

Estelle palpe ma bosse. << Mais, je rêve, ton short n'a pas de braguette ! >> lance t-elle. Elle passe derrière moi pour me le descendre d'un coup sec. Nous rigolons comme des bossus quand elle rajoute : << Là, tu vois, c'est bien mieux comme ça ! >>. Je suis comme un con, slip et short qui tombent sur mes chevilles. Je regarde de l'autre côté de la rivière, partout autour de nous. Personne. Clémentine et Estelle accroupies entrain de tripoter ma bite et mes couilles. << Il y a comme une odeur de renfermé ! >> dit Estelle en agitant mon chibre qui durcit. << Les parfums des dimanches sans douche ! Miam ! >> rajoute Clémentine.

Il arrive fréquemment que monsieur Bertrand, notre plus proche voisin, viennent apporter du vieux pains aux canards qui tournoient sur les eaux. C'est ma seule crainte. Qu'il se pointe juste maintenant. La fatalité ne nous épargne pas quand nous nous amusons ainsi. Je peux sentir l'odeur du Parmezob qui monte à mes narines. << Pouah ! >> s'écrie Estelle en se redressant, se pinçant le nez. << Beurk, comme j'aime ! >> s'exclame Clémentine qui se redresse à son tour. << On se la garde au chaud pour ce soir ! >> précise Estelle qui me la tient pour m'empêcher de remonter complètement mon slip et mon short. Nous rions.

<< Pour aller manger chez mes parents, tu es prié de mettre un short décent et avec une braguette. Que je puisse régulièrement contrôler si ta "chambre" est bien rangée, sans être obligée de descendre tes fringues devant tout le monde ! >> rajoute Estelle qui me lâche enfin. Nous sommes à l'ombre des grands chênes et des grands hêtres. Nous restons là, assis sur la rocaille avec les pieds dans l'eau. Moi aussi j'ai les mains baladeuses. Mais avec cette chaleur ce n'est pas très agréable entre les cuisses de mes deux anges. La sueur est pénible. Nous remontons car il est déjà onze heures quinze. Voilà monsieur Bertrand. Tout sourire.

Louis est content de nous revoir et ne cache pas sa joie. Nous bavardons un peu. Nous remarquons qu'il porte un plâtre au poignet gauche. << Pour une fois que je vais faire du vélo avec ma fille et mon gendre, je fais une chute. À l'arrêt en plus. Je n'arrive pas à sortir ma chaussure du cale pied. Je tombe comme une pierre sur mon bras tendu. Crac ! Cassé ! >> nous raconte t-il. Tout c'est très bien passé durant notre absence. Il y a eu quatre couples de touristes différents qui ont logé dans le nouvel appartement aménagé au-dessus du garage. Monsieur Bertrand rajoute : << Ça met du beurre dans les épinards ! >>

Nous nous promettons de prendre le café ensemble un des jours de la semaine prochaine. Son regard de vieux libidineux s'attarde souvent sur Clémentine. Si ce vieux salaud savait que je suis parfaitement informé des pipes qu'elle lui fait quand elle ne baise pas avec lui ! << On peut se voir mercredi, ils ont prévu de l'orage ! >> lance Clémentine en se retournant lorsque nous le laissons. Immédiatement je rajoute : << Pour moi ça n'ira pas mercredi ! >>. Ainsi le bougre peut se réjouir. Quand nous sommes à nouveau seuls tous les trois, Estelle dit : << Tu vas te sucer ce vieux type ? >>. Clémentine répond : << Et comment ! >>

Estelle et Clémentine restent vêtues comme elles le sont depuis ce matin. Je change de short pour en mettre un avec une braguette. << C'est mieux. J'adore ouvrir les braguettes ! >> lance Estelle qui me palpe la bosse. Nous prenons la voiture. J'allume immédiatement la climatisation. Il n'y a que quelques trois kilomètres jusqu'au bourg. Quatre jusque chez Estelle assise à l'arrière qui caresse mon cou. Clémentine à ma droite palpe ma braguette. << Il y a quelque chose de bien dur là-dedans qui m'intéresse beaucoup ! >> dit elle. Je gare la voiture dans la descente du garage devant la maison des parents d'Estelle.

Nous venons juste avec une tarte aux pommes pas tout à fait décongelée. Yvan vient nous accueillir. Lui aussi manifeste son plaisir de nous revoir. Estelle lui saute au cou comme elle le fait avec moi. Ce réflexe de petite fille qu'elle ne veut surtout pas perdre. Avec moi elle ne manque pas d'entraînement. Michèle, magnifique dans sa légère robe d'été vient nous faire des bises. Nous sommes invités à nous installer dans la véranda. La climatisation fonctionne à plein régime. Nous mangeons de bon appétit en savourant les grillades de poissons accompagnées de crudités. C'est un réel enchantement. C'est tellement délicieux.

Michèle et Yvan nous racontent leur retour. Ils vont garder cette maison. Quand ils viendront passer leurs vacances en France dans leurs vieux jours. Leur rêve serait de passer six mois de l'année en Écosse à North Kessock et six mois ici en France. Nous traînons à table. Comme à l'accoutumée quand nous mangeons ensemble, quand je bavarde plus particulièrement avec Michèle, je reçois un coup de pied sous la table. C'est devenu un jeu. Mais Estelle me surveille du coin de l'œil. Qu'il est bon de traîner à table dans la fraîcheur offerte par la climatisation. Estelle, assise sur les genoux de son papa. Michèle qui débarrasse la table.

Je me lève pour l'aider. Clémentine, pour faire diversion, entame une conversation sur la filiale de l'entreprise créée par Yvan à Inverness. Ce qui me permet de me retrouver seul dans la cuisine avec Michèle. Elle me tutoie en évoquant mes tendances exhibitionnistes. Moi aussi. Je dis : << J'aimerais bien te montrer ma bite ! >>. Elle répond : << J'aimerais beaucoup que tu me la montres ! >>. Elle fixe ma braguette tout en mettant les assiettes et les couverts dans la machine à laver. Accroupie, regardant ma bosse que je palpe effrontément à quelques centimètres de son visage. Elle pourrait être la grande sœur plutôt que la maman d'Estelle. Si belle.

Un bruit de pas. Rapide. Je sais qui c'est. Gagné. C'est Estelle qui surgit dans la cuisine. Je me suis éloigné juste à temps en faisant couler l'eau du robinet. Pour rien. Juste pour faire semblant d'être occupé à quelque chose. Nous prenons le dessert dans la véranda. Des tranches de tarte aux pommes accompagnées de glace à la pistache. Il fait vraiment trop chaud pour aller faire une promenade digestive. Aussi nous restons vautrés dans les fauteuils et le canapé en rotin de la véranda. Dans la partie "salon". Vers quinze heures Estelle propose de monter dans sa chambre avec la valise et son sac de sport. Ranger ses affaires. Très bien.

Nous laissons Yvan et Michèle pour récupérer les affaires d'Estelle dans la voiture. La chaleur est accablante. Nous remontons très vite pour aller à l'étage. C'est toujours émouvant d'entrer dans la chambre d'une jeune fille. Elle y a passé la plus grande partie de sa vie. Depuis toute petite. Clémentine l'aide à ranger ses vêtements. Je reste assis sur le lit à écouter leurs conversations qui tournent autour de la rentrée universitaire lundi prochain. Il fait très agréable dans la grande chambre d'Estelle. Quand tout est rangé, Estelle propose à Clémentine de connecter son téléphone à l'ordinateur. Télécharger toutes les images sur le disque dur.

Nous découvrons quelques extraits rapides des tous petits films tournés principalement par Clémentine. C'est très excitant de revoir nos déviances. Les risques parfois insensés que nous avons pris dans des endroits vraiment fréquentés. Les "dangers". Notamment à Dean Village, au début juillet où j'ai failli me faire attraper, bite à l'air, entrain de me branler, dans le square. Puis cette séquence surréaliste où Estelle agite ma queue en direction de l'objectif en pleine rue entre deux camionnettes. Dont l'une démarre et où le chauffeur lève le pouce de sa main droite comme pour nous féliciter. Nous passons l'après-midi à rire et à mâter.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines invitées une nouvelle fois à partager le repas avec les parents de l'une d'elles. À charge de revanche, parents qui viendront manger dimanche prochain à leur tour...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Fleur - 23 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2369 -



Le retour à nos petites habitudes

Il est presque 8 h30 quand Estelle saisit mon érection naturelle. C'est de cette façon qu'elle choisit encore de me réveiller. Clémentine se tourne pour se serrer en gémissant. Je suis entre mes deux anges. Nous nous étirons longuement avant qu'Estelle ne me lâche pour se lever précipitamment. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en courant vers la porte. Clémentine me chevauche, frottant son sexe sur le mien au travers des cotons de nos slips de nuit. Estelle revient pour nous faire des bises. << Je descends tout préparer ! >> dit elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Odeur de café. De pain grillé.

Estelle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bises. Même traitement pour Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant la liste des courses. Elles sont impératives si nous voulons survivre. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme des opérations. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, enfiler nos shorts de lycra noir, nos T-shirts de lycra rouge. Pressés d'aller courir nous redescendons à toute vitesse. Quelques mouvements d'échauffement sous un ciel bleu. La température extérieure est déjà de 24°, alors qu'il n'est que 9 h.

Notre jogging nous emmène le long de la rivière. Qu'il est agréable de retrouver ce parcours. Une heure d'un running gratifiant. Nous revenons pour 10 h. Estelle prend sa douche. Nous faisons la chambre avant de la rejoindre dans la salle de bain où nous prenons la nôtre. Estelle et Clémentine portent une de leurs jupettes, en T-shirts. Je suis en bermuda et T-shirt. Nous dévalons une fois encore les escaliers pour traverser le jardin. Sortir la voiture. Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'à la zone commerciale. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue fièrement dressée. Assise à l'arrière Estelle caresse mon cou.

<< C'est bien d'être de retour dans nos petites habitudes ! >> lance Estelle. << Habitudes que nous emmenons partout avec nous ! >> rajoute Clémentine qui me masturbe doucement. Même si je suis concentré sur ma conduite, sur l'étroite route communale déserte, j'apprécie énormément. Je glisse ma main droite entre ses cuisses. Le doux contact du coton blanc de sa culotte. Je gare l'auto sur le parking de l'hypermarché. Il n'y a pas grand monde en ce lundi matin. Je pousse le caddie. Estelle reste à mon bras. Clémentine nous précède en tenant la liste des courses. Nous la suivons dans les allées. Il y a vraiment peu de clients.

Le rayon des fruits et des légumes. Celui des fromages, des yaourts. L'étal de la poissonnerie. Nous faisons nos provisions afin de tenir jusqu'aux livraisons de samedi prochain. Clémentine, toujours inspirée en grande surface, nous entraîne aux rayons culturels. Il y a parfois là de belles opportunités d'exhibitions sympathiques et discrètes. Hélas, cette fois il n'y en a aucune. Pas davantage aux rayons des vêtements hommes. Nous passons en caisse. Un petit tour dans la galerie commerciale presque déserte. Certaines boutiques ont même leurs volets clos. La boulangerie propose un grand choix de beaux pains de toutes sortes.

Nous optons pour deux pains aux noix, deux pains aux noisettes. Ils ne sont pas trop grands. Ça devrait suffire jusqu'à samedi. En fonction des menus affichés à la cafétéria l'option d'y prendre le repas de midi n'est pas exclue. << Hhmm ! Des crevettes grillées avec des légumes ! >> s'écrie Clémentine. << Génial ! >> lance Estelle qui n'a pas cessé de se placer devant moi pour palper ma bosse. Un geste toujours rapide mais précis. Elle en est devenue une véritable virtuose. Et me mettre dans l'embarras reste une petite joie supplémentaire. Nous retournons à la voiture ranger les produits frais dans la glacière. Branchée sur l'allume cigare.

Munis de nos plateaux, nous choisissons nos plats. Il est 11 h45. Juste avant la cohue des clients qui quittent leurs boulots pour venir manger. Nous passons en caisse sans attentes. Installés devant l'immense baie vitrée nous mangeons de bon appétit. Le soleil tape. La climatisation de la cafétéria fonctionne à plein. Les filles évoquent leurs études. << Il faudra rester vigilantes. Pas que cela devienne notre principale sujet de conversation pour cette semaine ! >> précise Clémentine. << Oui, surtout que nous sommes encore en vacances ! >> rajoute Estelle. Nous quittons les lieux vers 13 h. Je passe devant l'université. Deux fois.

Mes deux anges me demandent même d'en faire le tour. Toutes contentes de revoir l'établissement. Le parking encore désert. Les parterres floraux et les haies soigneusement taillées à l'ombre des platanes. << Ça va être bien de retourner à l'école avec nos cartables tous neufs ! >> lance Estelle. Il est 13 h30 quand nous revenons à la maison. Nous rangeons nos courses. Il fait beau et chaud dans un ciel presque entièrement bleu. Le thermomètre extérieur affiche 32°. Nous préparons nos maillots de bain. Il est prévu d'aller au lac des collines. La climatisation permettra de faire les vingt cinq bornes dans d'excellentes conditions.

Je roule doucement. Nous adorons admirer les paysages que nous traversons. Aujourd'hui encore accablés de chaleur. Clémentine joue avec ma queue. Parfois Estelle, à l'arrière, se redresse pour passer son bras tendu entre les deux sièges avant. Saisissant à son tour ma turgescence. Il est 14 h30. Je gare l'auto sur le parking. Il y a peu de monde. Les vacances sont terminées et il y a école. Quel plaisir de retrouver ce petit coin à l'ombre des acacias au bord des eaux du lac où se reflètent les nuages d'altitudes qui s'accumulent. << Changement de temps en prévision ! >> fait Clémentine. Nous voilà en maillot de bain. Le plaid au sol.

Dans le petit sac à dos, des abricots, des nectarines, nos barres de céréales, la gourde thermos contenant de l'eau bien fraîche. Nous glissons dans l'onde avec volupté. La température de l'eau ne doit pas dépasser les 20°. C'est donc un très agréable choc thermique. Quelques brasses et cette eau devient un environnement aussi paradisiaque que l'endroit. Le lac ne dépasse pas cinq cent mètres dans sa plus grande largeur. Ovale, il s'est créé il y a des millénaires dans une sorte de bassin naturel. Sans doute un cratère. Nous nageons côte à côte. << Le monstre du Loch Ness vient-il en vacances ici ? >> lance Estelle.

Nous rions de bon cœur quand elle rajoute : << Sans déconner, quelque chose me chatouille les pieds ! >>. Nous restons ainsi à traverser le lac, à en faire le tour. Nous nageons doucement. Parfois nous piquons une tête. Impossible de connaître sa profondeur car les eaux s'assombrissent au delà de deux à trois mètres. Ce qui est certain c'est que c'est poissonneux. Un paradis pour les pêcheurs. De retour sur le plaid, après nous êtres essuyés, nous savourons nos fruits. Hors de l'eau la chaleur redevient vite très oppressante. Estelle joue un peu avec ma bite. Nous retournons rapidement dans l'eau pour de nouvelles explorations.

Il est 18 h. Il faut songer à rentrer car Julie vient manger avec nous ce soir. Comme prévu pour vingt heures. Dans la voiture nous passons en revue différentes options d'un repas rapide. Ce seront des tomates farcies au thon mayonnaise et à l'avocat. Accompagnées d'une laitue. Des coupes glacées en dessert. Le tout servi dans la véranda toutes les baies vitrées ouvertes. Nous arrivons pour 18 h35. Nous nous mettons immédiatement à la préparation du repas. Dans la grande demeure, nul besoin de climatisation. Avec une température n'excédant pas 20° l'air ambiant y est reposant et très agréable. Nous rions de nos baignades.

<< On y retourne demain ! Ça vous tente ? >> propose Estelle. << En fonction de la météo ! >> précise Clémentine. Nous mettons les assiettes et les couverts sur la table de la véranda. C'est le 11 septembre. Même si les journées sont encore caniculaires, les soirées apportent enfin une douce fraîcheur. Il y a un agréable courant d'air dans la véranda. Chacun assume son rôle. Clémentine fait l'assaisonnement de la superbe laitue achetée ce matin. J'évide les grosses tomates. Estelle concocte une mayonnaise dont elle a le secret. En y rajoutant ail et échalote pressés. Du curcuma, du paprika et de la poudre de noix. Miam.

Je mélange le thon d'une grosse boîte à de l'avocat réduit en purée. Quelques olives noires dénoyautées que je coupe en fines lamelles. L'intérieur des tomates évidées servira de sauce demain. Je le mets dans un Tupperware au frigo. Tout est prêt. La Clio rouge de Julie descend lentement pour se garer devant la maison d'amis. Nous l'accueillons depuis le perron de la véranda en faisant de grands signes. C'est en courant qu'elle traverse la pelouse pour nous rejoindre. Julie est une jeune fille extrêmement émotive. C'est presque en larmes qu'elle se blottit dans nos bras. Des effusions de tendresses qui durent bien cinq minutes. Joie.

Julie porte une robe d'été légère. Ses cheveux en natte. Elle est belle comme un soir d'été. Nous mangeons de bon appétit. Julie nous raconte quelques amusantes anecdotes. Des situations parfois cocasses vécues durant le mois d'aout quand elle tenait la galerie d'Art. Je la félicite pour les ventes. Je demande si son salaire est bien tombé sur son compte. << Oh oui ! Merci Julien. C'est un salaire royal. En un mois ce que je touche en cinq mois de pourboires dans le restaurant de ma tante ! >> dit elle. Je me lève pour aller au salon. Du tiroir du bureau je tire l'enveloppe en papier kraft. Clémentine vient me rejoindre.

<< Je t'aime. Je suis contente de revoir Julie ! Tu veux bien lui montrer ta bite ce soir ? >> murmure t-elle. Nous rions aux éclats. Elle descend la tirette de la braguette de mon bermuda kaki. Nous revenons dans la véranda. Bien évidemment l'ouverture béante de ma braguette suscite immédiatement les regards d'Estelle qui me fait un clin d'œil et celui de Julie soudain un peu gênée. Je contourne la table pour lui tendre l'enveloppe en disant << Votre pourcentage sur les ventes chère Julie ! >>. Elle s'en empare sans oser l'ouvrir. << Mais vous êtes fou Julien ! >> s'écrie t-elle. Je réponds : << Oui. Mais alors complètement ! >>

Comme poussée par un besoin de se libérer de quelque chose qui oppresse son esprit, Julie s'exclame soudain. << Ça ne va pas très fort avec Damien. C'est un garçon jaloux. Je l'ai découvert cet été. Je ne supporte pas les questions inquisitrices. Je n'ai de comptes à rendre à personne. Je ne veux pas d'une relation avec un "opposant" mais avec un complice ! >>. Nous restons silencieux. Julie s'adresse plus particulièrement à Clémentine en rajoutant : << Comme toi avec Julien ! >>. Nous restons silencieux. Julie conclue : << Mais je ne suis pas venue faire ma psychanalyse rassurez-vous. Je vais très bien. Je vais régler tout ça très bientôt ! >>

Nous passons la soirée à raconter nos vacances en Écosse. Les petits films que nous avons tournés. Clémentine invite d'ailleurs Julie à venir assister à la "première" de nos soirées cinémas de l'automne. << On s'est surpassés ! >> précise Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. Nous retrouvons avec bonheur les expressions extrêmement gênées de Julie. Elle aussi sait très bien jouer la comédie. Je me lève. Je sors mon sexe. Je bande mou. Le visage dans ses mains, comme effrayée, Julie me regarde agiter mon chibre dans sa direction. << Tu reviens dès que tu as réglé ton problème de cœur ! >> lui dit Clémentine.

Il est vingt deux heures. Nous utilisons rarement le lave vaisselle. C'est plus convivial de la faire ensemble. Mais c'est une exception ce soir. Nous sommes tellement heureux de nous revoir. Pour Julie cela semble un immense soulagement. << Vous me boostez ! Je vais régler mon petit problème. Je suis impatiente de retrouver nos moments de joies ! >> fait elle lorsque nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Assise au volant, vitre baissée, elle fixe ma bite. Estelle me branle un peu. La passe à Clémentine qui prend le relai. Nous rigolons tous les quatre comme des bossus. Un dernier bisou. La nuit est noire. Nous regardons Julie partir. Un dernier coucou.

Bonne nuit à toutes les coquines très excitées par ces retrouvailles. Qui se font lécher le minou, sucer le clitoris, pénétrer un peu avant des orgasmes qui les plongent dans de bons sommeils réparateurs. Le gout du sperme dans la bouche...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 24 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2370 -



Régler les affaires courantes

Hier matin, mardi, il est aux environs de huit heures trente. Estelle à ma droite qui est restée tout contre moi toute la nuit. Clémentine à ma gauche qui se tourne sur le côté pour venir se blottir. Nous émergeons tous les trois ensemble d'un profond sommeil. Je passe mes bras autour des épaules de mes deux anges. Qu'il est bon de pouvoir rester au lit. Surtout qu'à l'extérieur il pleut. << Vous avez entendu l'orage cette nuit ? >> demande Estelle. Nous n'avons rien perçu. Elle rajoute : << Je me suis levée vers cinq heures pour aller faire pipi. Il y avait plein d'éclairs ! >>. Elle saisit fermement mon érection naturelle.

<< J'ai dormi comme une masse ! >> dit Clémentine. Estelle me lâche, se lève et se précipite vers la porte. Nous nous levons pour ouvrir le lit, pour aérer. La fraîcheur humide a fait disparaître les grosses chaleurs de ces derniers jours. Estelle revient vêtue de sa tenue sport. << Je descends ! >> fait elle. Bises. C'est à notre tour d'aller pisser. Nous nous vêtons sport. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle. Les suaves effluves du café, du pain grillé flottent dans la cuisine. La belle brioche à la pâte de noisettes trône au milieu de la table. Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. Estelle me tripote.

<< J'aime quand tu es habillé de lycra. Tu es très sexy ! >> me fait elle, collé contre mon dos, ses bras autour de ma taille, palpant ma bosse. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le programme de la journée. Un planning établi par Clémentine depuis trois semaines. Nous l'entendions organiser tout cela au téléphone et par courriels depuis North Kessock en Écosse. Pour quatorze heures trente Estelle et Clémentine ont rendez-vous chez leur gynécologue. Pendant que je suis dans le bâtiment en face, chez notre dentiste. Elles me rejoindront pour un contrôle. Ainsi, nous pourrons aborder l'automne dans les meilleures dispositions.

Nous la félicitons pour ses capacités d'organisations. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la suite. Ce sera une visite à la FNAC pour récupérer des livres commandés depuis Internet sur le site. Nous nous réjouissons. Avec cette météo nous ne passerons à côté d'aucune activité de plein air. Aucune frustration à redouter. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font mille projets pour les jours à venir. La vaisselle. Avec cette pluie pas de jogging. Nous remontons nous laver les dents. Ce sera un entraînement en salle. Nous retrouvons avec plaisir notre salle d'entraînement. Un peu de poussière.

Les mouvements d'échauffement en faisant les pitres. Running sur tapis roulants pendant qu'Estelle fait du vélo fixe ergométrique. Bien chauds nous passons aux abdos, aux ciseaux arrières et avants. Des séries de pompes avant d'attaquer les charges additionnelles. Là, on ne rit plus. Estelle tente de soulever ma charge au développé couché. Elle n'y parvient pas. Même pas pour une seule répétition et en hurlant. Nous rions. Le retour au calme avec des exercices de stretching ennuyeux, des étirements nécessaires. Estelle prend sa douche la première alors que nous faisons le lit, la chambre. Nous la rejoignons dans la salle de bain.

C'est à notre tour pendant qu'Estelle s'habille en chantant. Les filles portent une jupette et un T-shirt. Je suis en short et T-shirt. Il fait encore chaud dans la maison. Et avec l'épaisseur des murs qui ont accumulé la chaleur, ce phénomène va durer quelques jours. Nous redescendons pour aller au salon. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine allument l'ordinateur. Nous avons trois courriels. Celui de Juliette qui nous rappelle que nous sommes invités à manger demain soir pour 19 h30. Le mail de nos amis Japonais Hikaru et Aika rencontrés début juillet à Dean Village. Le message de Julie qui nous remercie de l'accueil.

Estelle découvre les siens. Celui de Gauvin, le collègue étudiant qui est revenu de ses vacances à Los Angeles. Celui de sa cousine dans le Var. Nous la laissons à ses réponses dès que Clémentine termine les nôtres. Elle m'entraîne par la main. Nous allons dans la véranda. Par les larges baies vitrées nous admirons le paysage. Avec les canicules à répétitions, toutes les feuilles des arbres semblent racornies. Elles tomberont rapidement. << L'automne sera précoce cette année. Elles vont joncher le sol longuement avant de pourrir ! >> dit Clémentine serrée contre moi, son bras autour de ma taille. J'entrouvre la grande porte vitrée.

Une agréable fraîcheur. Un courant d'air. La pluie est fine et régulière. Le ciel est uniformément gris et bas. Estelle vient nous rejoindre. Nous décidons de prendre le repas de midi dans la véranda. Il est onze heures dix. Estelle propose un gratin Dauphinois. << À notre façon. Avec les filets de flétan pannés ! >> suggère t-elle. Elle empoigne ma braguette en posant ses lèvres sur les miennes. Alors que Clémentine, derrière moi, passe ses bras autour de ma taille. C'est ainsi que nous faisons l'inventaire de ce qu'il nous faut. Nous épluchons les pommes de terre. Je les lave pendant qu'Estelle râpe le gruyère de Comté.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la scarole dont elle lave chaque feuille. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises. Je coupe les patates en tranches. Estelle les dispose dans le grand plat carré en terre cuite. Elle y verse le flan, ce mélange d'œuf, de lait de soja et de crème fraîche. Elle recouvre le tout du gruyère et de chapelure. Au four pour une cuisson rapide à 250°. Dans la poêle je fais revenir les filets de flétan que Clémentine a préalablement panné. Nous mettons les assiettes et le couverts sur la table de la véranda. La sonnerie du four. Morts de faim nous nous précipitons dans la cuisine. Je sors le gratin du four.

Il y en aura pour ce soir. Réchauffé c'est encore meilleur. << Avec une omelette aux champignons ! >> précise Estelle. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les souvenirs tous frais de nos vacances. Une fois encore le constat de Clémentine fait l'unanimité : << C'était à la fois dense et fluide. Sans véritables contraintes ! >>. Je garde la même impression. << J'adore l'improvisation ! >> précise Estelle. Il est treize heures. Nous ne traînons pas. Le tout dans le lave vaisselle pendant que nous montons nous laver les dents. Mes deux anges gardent leurs jupettes légères. T-shirts. Je passe un bermuda et une chemisette.

<< Culottes propres ! >> fait Clémentine qui relève sa jupe. Estelle fait de même en disant : << Pour le gynéco ! >>. Toutes les deux tournent sur elles-même devant le grand miroir du hall d'entrée. Rires. C'est parti. Je roule doucement. Il n'y a qu'une quinzaine de kilomètres jusqu'au pôle médical tout près de l'université. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière, caressant mes joues, Estelle commente les "opérations" de l'après-midi. Il est très exactement 14 h20 quand je gare l'auto sur le parking. Tout autour de nous les bâtiments blancs et ultra modernes du pôle. La pharmacie, la maison médicalisée. Il faut le parapluie.

J'accompagne Estelle et Clémentine jusque dans le hall d'accueil. Je les y laisse pour leurs visites trimestrielles. La jeune femme, derrière son bureau, ne peut cacher son sourire en voyant mes deux anges me faire des bises. Je traverse le parking pour monter à l'étage. Le cabinet dentaire est au-dessus du cabinet médical. Je n'attends pas longtemps. Mon appréhension ne fait que grandir. J'ai une trouille bleue devant chaque acte médical. Mon dentiste est un homme affable. Extrêmement prévenant et délicat. Depuis cinq ans il est devenu celui d'Estelle et de Clémentine. Bouche ouverte, allongé, je me laisse inspecter.

Monsieur Wolfoni me parle de ses vacances en Sardaigne tout en contrôlant mes dents. Une inspection qui dure quelques minutes. << Il n'y a rien de particulier. Tout est bien. Je vais juste faire un polissage sur certaines usures naturelles ! >> précise t-il. Je suis soulagé. Même si le bruit de la roulette m'effraie un peu, je ne sens strictement rien. Une visite qui ne dépasse pas vingt minutes d'où je ressors sécurisé et rassuré. Je salue le brave homme avant d'aller régler le rendez-vous chez la secrétaire. Je m'installe confortablement dans un des fauteuils du hall. Je feuillette un vieux Paris-Match. C'est consternant de bêtises formatées.

Voilà mes deux anges qui arrivent. Toutes les deux lèvent leurs pouces. Estelle s'assoie à ma droite, Clémentine à ma gauche. << Tout va bien, c'est reparti pour trois mois ! >> chuchote Estelle. << Je déteste les "frottis" ! >> murmure Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Il y a un monsieur qui arrive. Il va s'installer sur le dernier fauteuil. C'est à Clémentine de passer la première. Estelle me tient la main en me parlant du montage du film qu'elle va commencer dès lundi prochain. Premier soir de la rentrée universitaire. Elle me rappelle des situations qui me font bander dans mon bermuda. C'est désagréable avec la bite tordue au fond du slip.

Clémentine revient toute souriante. << Tout est OK ! >> dit elle. C'est au tour d'Estelle. J'admire toujours leurs courages. Elles n'ont même pas peur des piqûres. Clémentine m'explique le polissage d'une molaire sensible : << Ce n'est pas une carie. Juste la peau de la gencive qui doit recouvrir davantage le haut de la dent sensible ! >>. Estelle nous rejoint. Elles règlent toutes les deux les formalités CPAM. Il est quinze heures quarante cinq quand nous prenons la direction de la ville. Sous une pluie incessante, un ciel gris et bas. Il fait toutefois encore très agréable avec une température de 23°. Je gare l'auto dans la ruelle habituelle.

Dix minutes de marche rapide sous notre immense parapluie. Les filles accrochées à mes bras. Il n'y a pas trop de monde dans les rues piétonnes. Nous allons directement à la FNAC. Elles aussi rassurées par leurs contrôles médicaux, mes deux anges sont d'humeur déconneuse. << Je montre ma chatte au premier venu ! >> lance Clémentine alors que nous gravissons le large escalier de la librairie. Les commandes sont arrivées mais nous ne les récupérons pas immédiatement. Nous aimons flâner dans les rayons de cette grande surface littéraire. Surtout dans celui des albums photos de paysages en noirs et blancs.

Il n'y a pas grand monde. Et hélas aucune opportunité d'exhibes pour Clémentine. Aussi, Estelle propose que nous interprétions nos rôles. Elle m'entraîne par le bras. Tel un couple lambda nous feuilletons des albums. Clémentine tourne autour de nous comme elle le fait avec des inconnus. Elle feuillette un album à quelques mètres. S'accroupit. Cuisses largement écartées elle offre une splendide vue sur le coton blanc de sa culotte. C'est une situation qui m'excite toujours considérablement. Surtout qu'Estelle me palpe la bosse discrètement. C'est très facile devant les tables où sont présentés les albums. Je bande comme un véritable salaud.

Nous jouons ainsi dans quelques autres rayons. Estelle et Clémentine s'amusant à tour de rôle. C'est divin. Nous finissons tout de même par récupérer les bouquins commandés. Je porte le sac d'une main, je tiens le parapluie de l'autre. Mes deux anges accrochées à mes bras. Il est dix huit heures trente quand nous revenons. Morts de faim, hyper excités. Pendant que le gratin réchauffe, Estelle fait l'omelette. Clémentine l'assaisonnement de la salade de tomates. Je mets les assiettes et les couverts à nouveau sur la table de la véranda. Nous mangeons de bon appétit. Pour ce soir je suggère une "baise sur bureau". Applaudissements ! ! !

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont se faire baiser comme elles aiment. Couchées sur le bureau. À bonne hauteur. Cuisses écartées à se faire ramoner. Le second contrôle de chattes de la journée en quelque sorte. Avec léchage de minous. Suçage de clitoris. Avant un bon dodo...

Julien



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Une agréable journée de vacances

Il est huit heures trente hier matin, mercredi. Le mouvement régulier des pieds d'Estelle contre les miens finit par me réveiller. Ses "impatiences". Un peu comme si elle cherchait de la chaleur. Clémentine se réveille également pour se tourner et se serrer contre moi. Je suis entre mes deux anges. Il y a toujours ce petit instant magique où nous prenons conscience de notre bonheur d'être tous les trois. Estelle saisit ma tumescence d'une poigne ferme. Elle se blottit. Distribution de bisous avant qu'elle ne se lève pour se précipiter vers la porte. Clémentine empoigne ma turgescence naturelle au réveil. Je glisse ma main dans sa culotte.

Estelle revient déjà en tenue sport. << On se fait un bon café. Venez vite ! >> dit elle en nous faisant à chacun une bise. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Habillés comme elle, morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle. La cuisine embaume déjà le café, le pain grillé. C'est également la brioche dans le four à micros ondes. Je presse les oranges, tenu à la taille par Estelle. Clémentine presse les oranges. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre après-midi dentiste, gynéco et FNAC. Les filles auront leurs résultats demain, jeudi. Nous mangeons de bon appétit en visitant les options de la journée.

Le ciel est nuageux mais pas menaçant. La température n'excède pas 19°. L'option jogging est réalisable car le sol a commencé à sécher. À condition de se contenter de courir sur le bord de l'étroite route. La vaisselle, lavage des dents. Quelques pompes, quelques abdos, quelques flexions avant de redescendre à toute vitesse. C'est parti. Un running d'une heure en direction du bourg. Il est dix heures quinze quand nous revenons. Estelle sous la douche, Clémentine et moi faisons le lit, la chambre. C'est à notre tour. Mes deux anges adorent le rituel du coiffage. Assises toutes les deux devant le miroir alors que je les coiffe elles parlent études.

Installées sur mes cuisses, devant l'écran de l'ordinateur, nous découvrons nos messages. Juste celui de la maman d'Estelle qui demande si tout s'est bien passé. Dentiste, gynéco. Elle répond. Un petit tour sur le site de l'université. Pas de nouvelles informations. Juste de belles photographies des travaux du parc qui sont terminés. Il n'est pas tout à fait onze heures. Nous ressortons. Estelle et Clémentine en jupettes, T-shirts, moi en bermuda chemisette. Nous descendons jusqu'à la rivière. L'accueil qui nous est fait par les colverts, les poules d'eau et les canards est sonore. Les eaux ont repris leur niveau normal.

Estelle me palpe la braguette en disant : << Je vais faire ma salope toute la journée ! >>. Nous rions quand Clémentine rajoute : << Copieuse ! >>. Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. J'ai rapidement la bite à l'air lorsque nous nous arrêtons une nouvelle fois. Entre mes deux anges qui restent serrées contre moi. Nous regardons couler la rivière. Ses eaux profondes sont claires et limpides. Les poissons se distinguent parfaitement. Principalement des truites et des ablettes. Estelle me masturbe doucement en racontant à quel point Jean-Marc, sont parrain adore pêcher, taquiner le goujon.

<< Il adore surtout venir te baiser le mercredi soir ! >> lance Clémentine. Nous rions aux éclats. << Mais ce mercredi soir on est ensemble chez la vieille pouffe ! >> s'écrie Estelle. La vieille pouffe en question étant Juliette qui nous attend pour 19 h30. Nous revenons doucement avec un appétit grandissant. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de carottes. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Je fais revenir trois filets de lieu noir dans la poêle. Repas rapide mais délicieux. Nous le prenons dans la véranda. Il fait encore chaud dans la maison. Aussi nous ouvrons grandes les fenêtres pour faire un maximum de courant d'air.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différentes possibilités de randonnées. Estelle propose de partir de la maison et de faire la boucle des quatre heures. C'est une excellent suggestion. Un après-midi de promenade tranquille. << Avec des pauses coquines ! >> précise t-elle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Je dis : << Cet après-midi, je vous mets la bite dans la bouche à chaque halte. Peut-être même ailleurs si des endroits s'y prêtent ! >>. D'un même élan elles se lèvent toutes les deux pour venir s'assoir sur mes genoux. << Tu peux répéter sel te pli ! >> me fait Estelle en piquant dans mon assiette.

<< Oui, on n'a pas bien entendu ! >> rajoute Clémentine. Nous rions en vidant mon assiette. Je pose ma fourchette pour passer mes bras autour de leurs tailles. Elles se resservent en riant. C'est ainsi que nous terminons ce repas simple mais nourrissant. Le tout dans le lave vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, abricots, brugnons, la gourde d'eau. Le ciel reste nuageux. Il y a des séquences ensoleillées plutôt rares. Par contre aucun risque de pluie. C'est parti. Nous montons jusqu'au portail.

Nous traversons la route pour nous engager dans le chemin forestier. Il suffit d'éviter les flaques et les endroits boueux. Il y a déjà de nombreuses feuilles qui jonchent le sol. Avec les canicules successives, les feuilles sont comme racornies. Desséchées. Leurs chutes seront certainement précoces. Les filles me tiennent par la main. << On est parti depuis un quart d'heure et tu n'as toujours pas sorti ta queue ! >> fait Estelle en se plaçant devant moi pour nous stopper. Elle s'accroupit pour m'ouvrir la braguette. Elle y fouille pour en sortir une bite toute mollasse. Elle se redresse en rajoutant : << Voilà qui est mieux ! Non ? >>.

Nous rions en reprenant notre chemin. Je marche avec la bite à l'air. Les filles parlent de la rentrée universitaire. C'est moi qui stoppe en me plaçant devant Estelle. Je glisse ma main sous sa jupette, entre ses cuisses chaudes en disant : << On enlève sa culotte ! >>. Elle ouvre de grands yeux en lançant : << Là, maintenant ! >>. Je réponds : << Là, maintenant ! >>. Toutes les deux, en même temps l'enlèvent. Elles les font tournoyer au-dessus de leurs têtes, bras levés. J'ai mes mains entre leurs cuisses. Je doigte de mes médius. << Mmhh, j'adore ! C'est génial ! >> lance Estelle qui se cambre sur ses genoux fléchis.

Toutes les deux saisissent mes poignets pour que surtout je ne cesse pas. Clémentine fouille ma bouche de sa langue pendant qu'Estelle tord mon sexe dans tous les sens. Avec ce début d'érection c'est presque douloureux. Elle le sait. Mais adore le faire. C'est elle qui enfonce sa langue dans ma bouche. Je passe de l'une à l'autre. Des voix qui s'approchent. Nous cessons immédiatement. Une fois encore nous manquons de justesse de nous faire surprendre par un couple de promeneurs. Je remballe in extremis. Nous les saluons en les croisant. Nous faisons une centaine de mètres. Je sors mon sexe à nouveau mou. << Et les couilles ! >> s'écrie Estelle.

Nous sortons de la forêt pour longer la clôture des prés. Les vaches qui nous observent en mâchant. Je m'arrête pour agiter ma bite en leur direction. << Attentat à la pudeur sur bovins ! >> lance Estelle qui passe son bras autour de ma taille. Nous rigolons comme des bossus alors que Clémentine s'accroupit, cuisses largement écartées pour lâcher quelques jets impressionnants. Se tenant aux deux piquets de la clôture pour se positionner. Cambrée. Je me masturbe dans les bras d'Estelle. C'est toujours extraordinaire d'assister aux "performances" de Clémentine. Elle se redresse pour se torcher. Nous applaudissons.

Nous marquons de nombreux arrêts. Il est tout à fait impossible de trouver un coin sec où baiser. Par contre, je doigte mes deux anges avec une régularité qui les passionnent. Trempées. Ça rentre comme dans du beurre. De la mouille qui coule sur l'intérieur des cuisses. Je suis très souvent accroupi à lécher. Elles se tiennent l'une à l'autre pour ne pas tomber. Elles se refilent souvent ma queue pour sucer quelques instants. Nous croisons de rares promeneurs. Le labyrinthe des rochers, puis l'ancienne voie ferrée, nous revenons par les dolmens. Nous longeons le ruisseau. Nous passons à trois cent mètres derrière le haras.

Il y a toujours encore la vieille caravane et le barbecue abandonné là par monsieur Gérard. Nous traversons l'étroite route communale pour longer la rivière. Il est 18 h45 quand nous revenons à la maison. La fraîcheur du soir contraste fortement avec celles des soirées précédentes. Nul doute, nous allons vers l'automne. Nous nous changeons. Estelle et Clémentine revêtent une jupe, un T-shirt sous leurs vestes légères. Mocassins. Je suis en Levis, chemise blanche, mocassins . Nous prenons des pauses devant le grand miroir de l'armoire. << C'était génial cet après-midi ! >> fait Estelle en tripotant ma braguette. Je bande à nouveau.

Je roule doucement. Il n'y a que trois kilomètres jusqu'au haras. Je gare l'auto dans la cour déserte. Quel plaisir de retrouver Juliette. Elle aussi en jupe légère et en chemisier. Trois bises. Elle nous invite à la suivre. Nous montons l'escalier qui mène à ses appartements, au-dessus des bureaux et de l'accueil. Nous percevons la délicieuse odeur qui achève de torturer nos appétits. C'est une délicieuse tourte aux brocolis accompagnée d'une salade d'endives que nous a concocté Juliette. Nous mangeons de bon appétit en nous racontant nos vacances. Juliette parle de sa Corse natale avec passion. Comme elle est belle ce soir encore !

Juliette va avoir 50 ans le 15 novembre. Elle conserve pourtant un physique étonnement jeune. C'est une athlète. Ces longs cheveux noirs présentent quelques mèches grises. Ce qui rajoute à son charme extraordinaire. C'est elle qui en arrive la première aux souvenirs grivois. << Je ne baise pas en Corse. Chez ma sœur et son mari, c'est abstinence. Ça me fait des vacances ! >> précise t-elle alors que nous rions tous les quatre aux éclats. Nous ne racontons que quelques détails de nos aventures libidineuses en Écosse. Surtout la petite partouze avec nos amis Japonais rencontrés à Édimbourg au début juillet. Je me branle sous la table.

J'écoute le récit passionnant qu'en fait Estelle. Ses descriptions sont hypers excitantes. << Il est temps qu'on s'y remette cet automne ! >> lance Juliette qui fixe le mouvement régulier de mon bras. << Fais-voir à la dame ce que tu fais sous la table ! >> me lance Estelle. Clémentine m'adresse un clin d'œil. Je me lève pour agiter ma bite vers chacune des trois coquines. << J'adore les gens constants et d'humeur égale ! >> s'exclame Juliette. Nous rions. Je me masturbe devant trois spectatrices ravies du spectacle. Je cesse pour tenir mon sexe à sa base. Je le secoue. << On ne s'en lasse pas ! >> lance Juliette. Je me branle.

Nous savourons de grosses coupes glacées en dessert. Il est vingt deux heures quand Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Elle viendra manger à la maison mercredi prochain. Nous reprendrons nos petites habitudes. << Et pour mon anniversaire je nous organise une soirée exceptionnelle. Certainement le samedi 11 novembre ! >> précise Juliette en regardant Estelle me branler devant la portière ouverte. Trois bises. Un dernier coucou. Il est vingt deux heures trente quand nous revenons. Impatients de nous livrer corps et âmes aux excitations monstrueuses qui nous animent. Le réveil sera encire difficile demain matin. Pour sûr !

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire pénétrer. Qui vont se faire brouter la chatte à tour de rôle. Se régaler de foutre. Avant de s'endormir serrées contre leur "bienfaiteur"...

Julien (bienfaiteur)



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Une belle journée ensoleillée

Hier matin, jeudi, Estelle me tire de ma nuit en saisissant mon érection naturelle. Ses lèvres dans mon cou, serrée contre moi. Il est à peine huit heures. Ce qui réveille également Clémentine qui vient se blottir. << J'ai fait un rêve érotique ! >> murmure Estelle. << Est-ce bien nécessaire de nous réveiller pour nous l'annoncer ! >> dit Clémentine. Nous en rions de bon cœur alors qu'elle se lève en s'écriant : << Yé n'en pé plou ! Pipi ! >>. Clémentine se frotte contre ma hanche en me faisant plein de bises. << Moi, je ne me souviens que d'une adresse où je devais me rendre en ayant oublié l'endroit ! >> fait Clémentine.

Je ne souviens quasiment jamais de mes rêves. Mais je reste convaincu qu'ils sont très agréables. Estelle vient nous rejoindre déjà vêtue de son short en lycra noir et de son T-shirt de lycra rouge. Elle plonge sur le lit pour nous faire des bises en disant : << Je descends tout préparer ! >>. Clémentine m'entraîne aux toilettes par la queue qui ramollit. Nous nous habillons pareils. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle. Dans l'odeur du café, du reste de brioche dans le four à micros ondes et de pain grillé. Je pèle les kiwis alors qu'Estelle palpe déjà ma bosse en disant : << Comme c'était bon avant de dormir ! >>

Clémentine presse les oranges en rajoutant : << Mon clitounet en est encore tout congestionné ! >>. Nous en rions aux éclats. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre après-midi en ville. Mais celui d'aujourd'hui, avec cette splendide météo, sera consacré à une escapade à bicyclette. Nous mangeons en faisant le vague programme de la journée. Il faudra passer chercher le vélo d'Estelle chez ses parents dans la matinée. Après la douche. La vaisselle. Lavage des dents. Mouvements d'échauffement avant de découvrir la douce fraîcheur matinale sous un ciel principalement bleu. Sous un beau soleil.

Nous pouvons à nouveau courir le long de la rivière. Sur notre parcours préféré. Une heure d'un jogging revigorant. Retour pour neuf heures trente. Estelle prend sa douche pendant que nous faisons le lit, la chambre. Nous la rejoignons dans la salle de bain où elle s'habille. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Mes deux anges portent leurs jupettes, leurs T-shirts. Je suis en bermuda, T-shirt. Nous dévalons les escaliers. Assises sur mes genoux les filles allument l'ordinateur. Deux courriels pour nous, un courriel pour Estelle. C'est sa maman. Pour nous c'est Julie qui nous annonce qu'elle vient faire le ménage samedi matin.

Juliette qui nous remercie pour la soirée. Nous ne nous attardons pas car il faut aller récupérer la bicyclette. Je roule doucement. Clémentine garde sa main dans ma braguette en évoquant son plaisir de retrouver le petit port de plaisance cet après-midi. Assise à l'arrière, vautrée sur la banquette, cuisses largement écartées, passant son index sur sa culotte blanche, Estelle me fait des sourires, me tire la langue. À chaque fois que je regarde dans le rétroviseur intérieur. Il n'y a que quatre kilomètres jusqu'à chez elle, à la sortie du bourg. Ses parents sont dans leurs bureaux. Les bâtiments voisins de leur entreprise. La maison est vide.

Le vélo d'Estelle, parfaitement gonflé, il suffit d'en démonter la roue avant et de mettre le tout dans le coffre. Estelle appelle sa maman, se mettant à la fenêtre pour lui faire de grands coucous. Michèle apparaît là-bas, à la fenêtre des bureaux pour répondre aux signes de la main. Nous lui en adressons les même. Nous repartons pour être de retour vers onze heures quinze. << On fait "Asiatique" à midi ! >> propose Estelle. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une salade de tomates à l'avocat. Estelle fait gonfler le riz complet. Je réchauffe six beaux nems aux crevettes et crabe. Estelle râpe une quantité industrielle de gruyère de Comté.

Préparations rapides, faciles, pour un repas délicieux. Nous mangeons de bon appétit en faisant l'inventaire de ce qu'il ne faut pas oublier pour partir. Nous ne traînons pas. Les assiettes, les verres, les couverts dans le lave vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous enfilons nos tenues vélos. Jupettes et T-shirts en lycra pour Estelle et Clémentine. Short t T-shirt également en lycra pour moi. Tous les trois en rouge et noir. Pressés de filer nous redescendons à toute vitesse. Dans le petit sac à dos, des abricots, des nectarines, les barres de céréales et les K-ways pour le soir.

Je contrôle la pression de nos pneus car nos bicyclettes n'ont pas servi depuis plus de deux mois et demi. Je fais l'appoint d'air. Pression de 5,5 bars devant et derrière alors qu'Estelle ne cesse de me tripoter les couilles. Par derrière. Sa main entre mes cuisses. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois dont j'ouvre le cadenas du portillon. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Sous un soleil de plomb car la température est déjà de 29°. Ça cogne. Ça tape. Heureusement qu'un léger vent d'Ouest apporte un peu d'air. Nous pédalons contre ce vent qui nous poussera en fin d'après-midi, au retour.

Nous croisons quelques séniors déguisés en coureurs du Tour de France. Sur le canal, à notre droite, quelques bateaux de plaisance. Des employés VNF qui ouvrent et referment les écluses. Nous bénissons les rares nuages d'altitude qui nous abritent quelques instants de la morsure du soleil. Ne nous plaignons pas. Pour un 14 septembre, estimons nous heureux de cette fin d'été des plus agréables. Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Clémentine préfère se "garder" pour une éventuelle opportunité exhibe une fois arrivée. Il y a 25 km d'une piste cyclable presque déserte dans un paysage bucolique. Les eaux calmes du canal.

Nous arrivons au port de plaisance. Il y a encore de l'animation. Nous retrouvons avec plaisir cet endroit un peu magique. L'équipe habituelle des joueurs de boules. Principalement des séniors. Les employés communaux qui délimitent les emplacements du second vide grenier de l'année. Une festivité qui aura lieu ce dimanche. Quelques cyclistes qui bavardent. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. La jeune fille qui assure le job de "capitaine" durant ses vacances est en pleine conversation avec un couple de plaisanciers. Rapidement, Estelle et Clémentine retirent leurs culottes. Discrètes.

Elles les fourrent dans la pochette avant du petit sac à dos que je porte. C'est toujours euphorisant de se retrouver dans un lieu pour lequel nous avons une profonde empathie. << Je vais faire ma salope à la moindre occasion pour cause de trop bien ! >> lance Estelle. << Copieuse ! >> dit Clémentine. Mes deux anges me tiennent par les mains. Nous traversons le quai pour franchir la route. De l'autre côté l'accueillante supérette. Il y a peu de clients. Nous bavardons un peu avec la gérante. Elle nous raconte la saison. Le flot incessant de touristes. Les "bonnes affaires". Nous choisissons nos glaces préférées. Ben & Jerry's.

Nos parfums. Vanille pécan, pistache noisette et pralin amande. C'est installés sur un des bancs, sous les platanes, que nous savourons nos délices glacés. En regardant d'un air distrait les joueurs de boules à une cinquantaine de mètres. << Notre voyeur, là-bas ! >> murmure Estelle. << Fidèle au poste ! >> chuchote Clémentine. Nous avons pour habitude de nous faire gouter nos parfums d'une amusante façon. Ce qui attire évidemment l'attention. Estelle me met un peu de sa glace dans la bouche avant de m'embrasser. C'est un délice en laissant fondre. Puis c'est Clémentine qui fait pareille. C'est à celui qui en avalera le plus.

Mélangé à la salive chaude, c'est un des meilleurs nectars "aphrodisiaques". Et nous récidivons à plusieurs reprises. Quand le joueur de boules habituel regarde discrètement vers ici, Clémentine le gratifie d'une de ces petites prestations spéciales. Elle écarte simplement ses cuisses. Nous portons tous les trois nos Ray-ban. On peut donc regarder où on veut sans êtres "repérés". << Put-hein comme il mâte l'enfoiré ! >> murmure Estelle qui imite Clémentine. Je laisse au lecteur d'imaginer la scène. Nos pots de glace posés entre nos cuisses à nous amuser de la situation. Les pots de glaces cachant bien les foufounes des filles.

Après avoir terminé, désireuse de se trouver un "plan", Clémentine nous entraîne vers les bâtiments des sanitaires. Ceux réservés aux plaisanciers sont fermés. Par contre les toilettes publiques sont ouvertes. Et il n'y a personne. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets dans un des urinoirs muraux. Clémentine guette à la porte en se touchant. Elle se tortille car son envie de pisser est devenue tourment. Estelle secoue les dernières gouttes. Pisser debout ne lui pose aucun problème. Ses jets sont fins et peu puissants. J'aime la voir cambrée sur ses genoux fléchis, pieds écartés, entrain de pisser dans le même urinoir.

Je la tiens par la taille pour regarder tomber la pisse. Ma tête au-dessus de son épaule. Elle pisse proprement en donnant ses impressions. C'est passionnant. << Un mec ! >> lance soudain Clémentine. Estelle termine tranquillement tout en disant : << Merde, le con ! >>. Elle m'entraîne précipitamment dans le dernier cabinet où nous nous enfermons. Tous les deux, debout sur le couvercle rabattu, nous regardons par dessus le mur. C'est le joueur de boules. Celui qui a tant regardé Clémentine de multiples fois. << Génial ! >> chuchote Estelle à mon oreille alors que nous nous penchons pour cacher nos têtes. C'est hyper excitant.

Comme des gamins faisant une farce nous regardons à nouveau. Clémentine, accroupie entre deux des urinoirs, entrain de se lâcher dans des jets d'une invraisemblable puissance. Le type, médusé, les bras ballants, devant la porte, immobile, qui n'en croit pas ses yeux. Dans ces moments, je reste toujours prêt à intervenir. Mais en général ça se passe plutôt bien. Les mecs se retrouvent souvent comme "paralysés". Notre joueur de boules comme "tétanisé". Il reste muet. Ouvrant de grands yeux. Il doit avoir la cinquantaine. De petite taille. Il porte la sempiternelle même casquette "New-York", bleue. Clémentine lève la tête.

Nous la voyons de profil. Estelle empoigne ma braguette alors que je bande comme le dernier des salauds. Notre "victime" ouvre enfin la bouche pour dire : << Excusez-moi, si j'avais su ! >>. Clémentine lâche un des derniers jets en répondant : << Mais vous ne me gênez pas. Je n'ai pas à pisser dans les toilettes des hommes mais j'aime le suspens ! >>. Notre joueur de boules se met à rire un peu nerveusement. Il n'est pas vraiment déstabilisé mais plutôt embarrassé. Il tourne les talons pour ressortir sans un mot. Clémentine se redresse. Pour éviter la marre de pisse elle fait un grand détour. Nous la rejoignons en riant aux éclats.

<< Trop bien ! >> s'écrie Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Je prends la place qu'occupait le quidam il y a encore quelques minutes. Clémentine reprend sa position. Estelle tire son téléphone du sac à dos pour filmer la scène. L'immense flaque de pisse jaune recouvre toute cette partie du carrelage blanc du sol. Je sors ma bite pour me branler. Une masturbation qui soulage considérablement mon excitation. Nous en oublions évidemment la moindre des prudences quand la porte s'ouvre. Le joueur de boules tombe sur ce spectacle hallucinant. Il nous reconnait. Il s'écrie : << Oh put-hein, c'est trop ! >>. Il ressort aussitôt. Nous rions. Pliés de rires.

Nous quittons les toilettes publiques en rigolant comme des bossus. << Ça mérite bien une deuxième glace ! >> s'exclame Clémentine. Cette fois ce sont des cônes glacés. Pistache et pralin. Pour bien enfoncer le clou nous revenons rôder sous les platanes. Je joueur de boules nous aperçoit. Il détourne pudiquement son regard pour se concentrer sur son jeu. Les autres joueurs ne se doutant de rien. Clémentine s'accroupit à côté d'un des bancs. Le type regarde un instant. << Il va faire une tachycardie ! >> lance Estelle. Rires. Nous flânons encore un peu à la recherche d'une autre opportunité. Clémentine aimerait une récidive.

Hélas, il ne se présente aucune autre occasion. Et de forcer les choses n'est pas la bonne solution. << Je déteste "saloper" mes prestations ! >> justifie Clémentine que je touche. Considérablement excitée elle saisit à chaque fois mon poignet pour que surtout je ne cesse pas. Je les doigte toutes les deux derrière la capitainerie du port à présent fermée. En appui contre la cloison de bois, toutes les deux se contorsionnent de plaisir. Mes doigts qui les pénètrent. Je fais cela en évoquant le programme de la soirée. << Baise sur bureau, cunnis ! >>. Il faut enfiler les K-ways sur le retour. Il est dix neuf heures quand nous revenons.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire baiser sur le bureau du salon. La bonne hauteur pour mon mètre quatre vingt huit. Debout entre les cuisses écartées de chacune dont je tiens les chevilles. Jambes relevés...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Fleur - 27 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2373 -



Une belle récidive à bicyclette

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons quasiment ensemble. Estelle à ma droite, serrée contre moi. Clémentine à ma gauche qui se tourne pour se blottir. Toutes les deux ont exactement le même réflexe. Elles se frottent contre mes hanches dans un mouvement masturbatoire régulier. << J'aime sur le bureau. Je crois bien que ça m'a manqué ! >> lance Estelle qui s'étire en gémissant. Clémentine fait de même en rajoutant. << C'était tout pareil à une redécouverte ! >>. Estelle se lève comme mue sur ressort pour se précipiter vers la porte. << Pipi ! >> s'écrie t-elle. Clémentine se couche sur moi. Se frotte sur ma tumescence.

Estelle revient dans ses vêtements de jogging. Elle se couche sur le ventre à côté de nous pour dire : << Je descends pour tout préparer ! >>. Il est un peu plus de huit heures trente. C'est à notre tour d'aller aux toilettes, de nous habiller jogging. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. L'odeur de café, de pain grillé, embaume toute la cuisine. Je pèle les kiwis, Clémentine presse les oranges. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre aventure au port de plaisance. << On y retourne cet après-midi. Trop bien ! >> propose Estelle. << Et comment ! >> fait Clémentine. La météo s'y prête. Il fait beau. Il va faire chaud.

Nous mangeons de bon appétit en organisant notre planning de la journée. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évoquent le sujet le plus important. La rentrée universitaire de lundi. Elles sont affutées, prêtes à relever tous les défis qui se présenteront. << En parlant de défis, je vais faire un montage des nôtres dès lundi soir. Un beau film d'au moins une heure ! >> lance Estelle. << Une bonne soirée cinéma. Ça fait longtemps ! >> s'exclame Clémentine. La vaisselle. Le lavage des dents. Quelques pompes, quelques abdos et nous sortons au grand air.

C'est le long de la rivière, sur notre circuit favori, que nous pratiquons notre heure de running. Dans les toutes meilleures conditions. Le ciel est pratiquement entièrement bleu. La température au retour, vers dix heures quinze, est déjà de 23°. La journée promet d'être magnifique. Estelle prend sa douche pendant que nous faisons le lit, la chambre. Nous la rejoignons à la salle de bain. C'est à notre tour. Le rituel qu'adore mes deux anges. Assises devant le miroir alors que je les coiffe. Que je tresse leurs longues nattes. Elles portent leurs tenues vélo. Jupettes lycra noir, T-shirts lycra rouge. Je suis en short lycra noir, T-shirt lycra rouge.

<< Si tu étais transgenre, tu porterais jupette ! >> me fait Estelle en palpant ma bosse. Dans l'étroitesse du lycra une bosse avantageuse et tentante. Clémentine rajoute : << Tu te baladerais en tortillant du cul avec le petit doigt en l'air dans des manières de diva ! >>. Nous rigolons comme des bossus en descendant. Je promets de leurs faire cette surprise un de ces jours. << Mademoiselle Julien ! >> s'écrie Estelle en me sautant au cou. Nous ressortons pour profiter du reste de cette belle matinée. Clémentine propose de manger dehors. Estelle tempère cet élan bucolique. << De tout ranger après va nous retarder pour le biclou ! >>

Nous descendons jusqu'à la rivière. La bosse qui déforme l'avant de mon short moulant est une tentation. Estelle y succombe avec délice. << Put-Hein comme c'est sexy un mec en short lycra ! >> lance t-elle en massant la forme de mon érection naissante. Clémentine masse mes fesses en rajoutant : << C'est vrai ! Surtout quand le mec est un athlète ! >>. Je passe mes bras autour de leurs épaules pour les serrer contre moi. Nous rions aux éclats alors que sur l'eau les canards, les poules d'eau et les colverts font des rondes en cancanant. Nous restons ainsi à admirer ce ballet nautique. Moi aussi avec les mains exploratrices.

Animés par la faim naissante, nous remontons en faisant le menu. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue. Estelle fait revenir trois beaux filets de flétan. Elle y rajoute champignons, oignon, ail, persil et ciboulette. Je fais bouillir l'eau des coquillettes pendant que je passe de l'une à l'autre. Déposant des bises dans les nuques. Passant mes mains entre les cuisses par derrière. Caressant les seins minuscules de mes deux "préparatrices" qui en gémissent de bonheur. << Tu t'occupes toujours tellement bien de nous ! >> fait Estelle. << Tu es l'homme le plus attentionné ! >> rajoute Clémentine. Nous en rions vraiment de bon cœur.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les souvenirs tous frais de l'Écosse. En évoquant nos petites aventures salaces de "dépravés notoires" comme nous appelle Estelle, elle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Nous ne traînons pas. Les assiettes, les couverts, les verres dans le lave vaisselle. C'est moins convivial qu'une vaisselle traditionnelle comme nous les aimons, mais bien plus rapide. Pas une minute à perdre. Lavage des dents. Dans le petit sac à dos, brugnons, nectarines, barres de céréales et les K-ways pour le retour dans la fraîcheur du soir. Vérification du gonflage des pneus.

C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière, l'étroite passerelle en bois, cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Le soleil est chaud dans un ciel d'azur. Nous pédalons contre un vent d'Ouest parfois assez fort. Il nous poussera au retour mais il est surtout annonciateur d'un changement de climat. Sur notre droite le canal. Quelques bateaux de plaisances. Sur un des tronçons avant le cabanon de l'écluse, des gens en canoé, en kayak qui nous font de grands : << Hello ! >>. Nous croisons davantage de cyclistes. C'est vendredi. Pas d'arrêt pipi pour mes deux anges. Elles veulent s'offrir de "l'émotion" une fois arrivées à bon port.

Vingt cinq kilomètres d'efforts pour lutter contre quelques bourrasques violentes. Les feuilles mortes jonchent la piste cyclable par endroit. J'adore le bruit qu'elles font quand nous roulons dessus. Voilà le port de plaisance et ses charmes indéfinissables. Les marquages au sol en prévision du vide grenier de dimanche. Il y a même déjà le manège à chevaux rétro et un carrousel d'installés. Les joueurs de boules parmi lesquels notre voyeur des toilettes hommes. Des groupes de cyclistes qui se retrouvent. Des plaisanciers sur le pont de leurs bateaux. Des promeneurs, quelques touristes. Nous fermons nos vélo à cadenas.

C'est discret derrière le cabanon de la capitainerie aux volets clos. Estelle et Clémentine retirent leurs culottes qu'elles glisses dans la pochette avant du petit sac à dos que je porte. << J'ai une méchante envie de pisser ! >> lance Estelle alors que nous traversons la route pour aller vers la supérette. Nous attirons évidemment encore bien des regards. Cet homme d'âge mûr aux bras du quel sont accrochées deux sublimes jeunes filles hyper sexys. Nous nous en amusons à notre façon. Des échanges de bisous sur la bouche. De quoi bien situer la nature de notre relation. De faire des envieuses, des envieux et des "admiratrices".

Il y a davantage de clientèle. Pendant qu'Estelle nous attend dans la file aux caisses, nous allons chercher nos bacs de glace. Notre marque préférée quand il n'y a plus Ben & Jerry's, Carte d'Or. Parfums nougat, pistache et menthe aux pépites de chocolat. Nous savourons ces délices assis sur un des bancs sous les platanes. À une cinquantaine de mètres des joueurs de boules. Notre voyeur regarde quelquefois par ici. À chaque fois il a droit aux cuisses écartées de Clémentine. Ou d'Estelle quand elle mâte ses réactions. << On refait le test des chiottes. On va voir s'il revient ! >> propose Estelle. << Excellent ! >> fait Clémentine.

Une fois vides, nous jetons les bacs dans une des poubelles pour nous diriger vers les bâtiments des sanitaires. Celui des plaisanciers est fermé. Aux abords des toilettes publiques c'est le lieu de rendez-vous des jeunes du bourg voisin. Inutile d'espérer récidiver. Dans le bruit incessant des scooters. << Comment feront tous ces petits cons pour se faire remarquer une fois qu'il n'y aura plus que des moteurs électriques ? >> s'exclame Estelle. << Comme ceux qui possèdent des bagnoles bruyantes. Ils devront recycler leurs conneries en faisant preuve d'inventivités ! >> rajoute Clémentine. Nous revenons vers les quais en riant.

Entre le carrousel et le manège à chevaux, il y a un espace d'une dizaine de mètres. Juste en face il y a un magnifique bateau noir et rouge. Très rétro dont les lettres d'or nous apprennent que c'est le "San Francisco". Mais c'est surtout le plaisancier qui est entrain d'enrouler une grosse corde avec un soin maniaque qui attire notre attention. Un quadragénaire athlétique, bronzé, en short et T-shirt clairs. << Celui-là va être victime d'une exhibe de qualité ! >> lance Clémentine. Nous contournons le manège à chevaux. Il faut rester méfiant car la route passe au-dessus, à quelques mètres, en haut du mur de pierre. L'endroit est pourtant idéal.

Estelle et moi faisons le guet. Clémentine, comme elle le fait pour attirer l'attention, se promène à pas lents, bras croisés. Elle porte ses larges lunettes de soleil. Elle peut donc discrètement surveiller où regarde le plaisancier. Il vient d'ailleurs de la remarquer. Comme en serait-il autrement ! Cette sublime jeune fille vêtue sport, sexy, à la peau mate, qui se penche régulièrement comme pour chercher quelque chose. Notre "victime" comprend rapidement. Cette fille cherche un endroit pour faire pipi. Surtout qu'elle se touche des deux mains entre ses cuisses, courbée en avant comme en proie à une impérieuse envie de se soulager.

Estelle et moi, planqués derrière le manège, avons une vue parfaite. Impossible de voir nos têtes entre les petits chevaux, les petites motos et les petites autos. Nous surveillons également la route au-dessus de nous. Personne. Clémentine, probablement concentrée, s'accroupit enfin. Le quidam cesse d'enrouler ses cordages. Il s'accroupit lui aussi pour assister discrètement au divin spectacle. Il n'est qu'à une vingtaine de mètres du carrousel et du manège. À la hauteur d'environ deux mètres sur son bateau. Il mâte. Nous le voyons caché, à observer discrètement. Clémentine nous tourne le dos, cuisses largement écartées.

Rien ne m'excite davantage que de voir une fille accroupie, de dos. Surtout avec les cuisses écartées. Impossible de voir si elle pisse. Estelle, toute aussi excitée que moi se touche. Nous restons toutefois très vigilants. Surtout quand à la route au-dessus de nos têtes. Personne ne vient par là. La situation perdure. Il y a une flaque de pisse qui vient de se former sous Clémentine qui se redresse. À la limite de l'ankylose car elle se masse les cuisses. Pas de doute, elle vient de terminer. Nous découvrons la traînée de pisse qui macule le sol au moins sur six mètres en direction du bateau. Debout, elle se touche effrontément. Merveilleuse vicieuse.

Elle s'accroupit à nouveau mais cette fois pour se masturber. Bien face au bateau. Cette fois le plaisancier se redresse, se montre. Nous ne comprenons pas ce qu'il dit mais nous remarquons qu'il tient sa bite à la main. << Put-hein, il est monté comme Rocco Siffredi ! >> murmure Estelle. Et c'est vrai que ce type a une bite réellement impressionnante. Un de ces chibres longs et lourds qui même en érection pend vers le bas. Les grosses queues ne sont pas le fantasme de Clémentine. Ni d'Estelle. Pourtant elles restent admiratives. Clémentine se redresse au bout de quelques minutes. Certainement pour éviter la crampe. Elle se touche.

Soudain, montant des entrailles du bateau, une jeune fille. Sans doute de l'âge de mes deux anges. Belle et sexy. Est-ce la fille du marin ou sa compagne ? Nos interrogations trouvent rapidement leurs réponses. C'est sa compagne. << Un autre Julien ! >> murmure Estelle. C'est fort probable. Je chuchote : << Est-ce une Estelle ou une Clémentine ? >>. Clémentine vient nous rejoindre. << Put-hein ! C'était géant ! >> lance t-elle. Le plaisancier ne regarde plus par ici. Nous contournons le manège pour remonter sur la route par l'escalier. Une seconde glace s'impose. Quand nous revenons de la supérette, une autre réponse.

Notre capitaine du "San Fransisco" voyage avec deux jeunes filles. C'est effectivement un autre Julien. Sans doute lui aussi fortuné, pouvant s'offrir le luxe d'une vie de privilégié, comme la mienne. << Ça sent le pognon ! >> fait d'ailleurs Estelle. << Vu la classe des filles, pas l'ombre d'un doute ! >> rajoute Clémentine en entourant ma taille de ses bras. Nous observons en savourant nos cônes glacés. Le quidam ne regarde plus par ici. Ils disparaissent tous les trois dans les cabines. Nous retournons à nos vélos. Il est dix sept heures trente. Poussés par le vent, nous pédalons avec une facilité déconcertante. Mort de faim, il est 19 h.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont réchauffer des coquillettes avec une sauce et une rapide salade. Avant de se faire niquer, lécher, bouffer la chatte, couchées sur le bureau du salon...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 28 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2374 -



Les petits rituels du samedi matin sont de retour

Il est sept heures trente, hier matin, samedi. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Estelle à ma droite qui s'étire la première. Clémentine à ma gauche qui se tourne pour se serrer fort. Ces fabuleux petits instants "d'ajustement" des esprits avant de revenir dans le monde réel. Estelle veut saisir ma tumescence. Trop tard. Elle est déjà dans la main de Clémentine. << Tant pis je vais faire pipi ! >> lance t-elle en se levant d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine m'attire sur elle en murmurant : << Comme c'était bon encore, avant de dormir ! >>. Estelle revient dans son short de lycra noir, son T-shirt de lycra rouge.

Distribution de bisous alors qu'elle dit : << Ne traînez pas, je vous attends en bas ! >>. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nous nous habillons sport. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine règne les suaves parfums du café et du pain grillé. Pendant que je pèle les kiwis, Estelle passe ses bras autour de ma taille avant de poser une main sur ma bosse. << Tu vas montrer ta bite à la dame des livraisons ce matin ? >> souffle t-elle à mon oreille en se frottant contre mes fesses. Clémentine qui presse les oranges dit : << Nous allons renouer avec les traditions ! >>. Nous rions aux éclats.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures au port de plaisance. Cet autre "Julien" que nous avons découvert sur le pont de son splendide bateau rouge et noir. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les options de l'après-midi. Il ne fait pas très beau dehors mais il n'y a pas de vraies menaces. La température reste estivale alors qu'il fait déjà 19° à 7 h50. Mon téléphone qui se met à vibrer. Clémentine se lève d'un bond pour le saisir sur le buffet. << Julie ! >> fait elle en mettant sur haut parleur. Julie s'excuse de ne pouvoir venir faire le ménage. Un problème avec son petit copain jaloux. Tant pis.

<< On fera ça ensemble ! >> lance Estelle. La vaisselle. Lavage des dents. Quelques pompes dans le hall d'entrée avant de sortir. Quelques flexions et mouvements d'échauffement. C'est parti. Notre running nous emmène sur notre parcours habituel. Estelle mène la course avec un rythme régulier et plutôt rapide. Une heure d'un jogging gratifiant. Il est neuf heures quinze quand nous sommes de retour. Pendant qu'Estelle prend sa douche, nous changeons les draps du lit. Nous la rejoignons à la salle de bain. Une douche qui fait un bien fou. Le sèche cheveux dans une main, la brosse dans l'autre je coiffe les filles.

Elles aiment tellement ça. Estelle et Clémentine portent jupettes et T-shirts. Je suis en bermuda et chemisettes. Nous redescendons à toute vitesse. Nous sortons sous un ciel chargé de nuages d'un gris clair. Clémentine ouvre ma braguette qu'elle dissimule sous les pans de ma chemisette. Elle ajuste ma bite juste au-dessus du slip afin qu'au premier mouvement brusque, elle jaillisse comme un diable de sa boîte. << Ah c'est comme ça que vous faites. Génial ! >> s'exclame Estelle, accroupie, pour découvrir l'astuce de Clémentine. Voilà d'ailleurs la camionnette Mercedes blanche qui descend lentement depuis le portail.

Danièle, au volant, nous fait un merveilleux sourire en se garant devant le garage. En sautant de son véhicule elle nous fait : << Bonjour ! C'était bien vos vacances ? >> Danièle a déjà vu Estelle. Elle n'a évidemment pas le temps d'entamer une conversation, elle a bien d'autres clients à livrer. Elle m'adresse un sourire entendu, le regard par en-dessous avant de contourner la camionnette pour en ouvrir les portes arrières. Elle en tire le premier cageot contenant les légumes et les fruits. Je m'en empare. Il est diablement lourd. Ce sont les pommes de terres. Dans l'effort, ce qui était prévu se passe. Ma bite jaillit d'un coup.

Estelle, amusée, me fait un très curieux sourire. Danièle, toute aussi amusée me fait un rapide clin d'œil. Clémentine s'empare du second cageot qui contient les fromages, les yaourts, les œufs, les pots de crème fraiche et de fromage blanc. Danièle s'adresse à moi : << Pourvu que ces beaux jours continuent. On peut rester habillé léger ! >>. Elle fixe ma queue semi molle avec autant d'attention qu'Estelle complètement étonnée par ce qui se déroule. Danièle me tend le terminal dans lequel j'introduis la carte bancaire. Je précise : << Même commande pour samedi prochain ! >>. Danièle demande : << Même chose alors ? >>

C'est évidemment une allusion pas déguisée car elle pointe son index en direction de mon sexe. En remontant s'installer au volant, la jeune femme rajoute : << Bonne semaine, c'est toujours un plaisir de vous livrer ! >>. Elle démarre. Tout en faisant la manœuvre de demi tour elle ne cesse de nous sourire. Danièle, belle jeune femme aux cheveux courts, auburns, a un charme fou. En Levis, T-shirt et baskets "Stan Smith". Juste avant de repartir elle lève le pouce de sa main gauche. Nous regardons la camionnette monter jusqu'au portail avant de disparaître en tournant à gauche. << Mais je n'imaginais pas un seul instant votre degré de complicité. Tu es vraiment un vicieux ! >> me fait Estelle, comme consternée, en tournant autour de moi.

Clémentine cache ma bite. En tentant de la remballer, elle dit : << Mais avec madame Marthe, pas de ça ! >>. Estelle rajoute : << Quand on parle du loup il sort du bois ! >>. En effet voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée qui descend le chemin à son tour. C'est un tout autre sourire. Madame Marthe, hilare au volant, se gare au même endroit. Malgré sa corpulence c'est toujours étonnant de la voir sauter du marche pied avec tant d'agilité. << Bonjour ! Alors ces vacances ? On a vu le monstre du Loch Ness ? >> lance la dame en ouvrant la porte coulissante qui fait un bruit de ferraille. Un véritable vacarme. Estelle me chuchote : << Je sais à quoi ressemble ce "monstre" ! >>, fixant le bas de ma chemisette.

Madame Marthe salue tout particulièrement Estelle en disant : << J'ai livré vos parents il n'y a pas une heure ! >>. Nous récupérons le cageot contenant deux grosses miches de pain complet aux noix. Deux pâtes feuilletées, l'énorme brioche au pudding et les grosses chocolatines. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Madame Marthe non plus ne s'attarde pas. Il y a encore tant d'autres clients à livrer. Nous saluons la dame qui repart. Tous les trois, portant chacun un cageot, nous contournons la maison. C'est plus pratique de descendre à la cave par l'escalier extérieur. Il suffit d'ouvrir les battants inclinés en métal gris.

En disposant les légumes et les fruits sur les étagères en bois du cellier, Estelle revient sur ma "prestation" devant la jeune femme. << Put-Hein. Clémentine m'en parlait mais je n'imaginais pas à quel point c'est devenu un rituel. Tu fais vraiment fort. Tu es un vrai salopard ! Tu n'as pas honte parfois ? >> dit elle. Du congélateur où je place une des deux miches et une pâte feuilletée, je tire un paquet de moules, deux sachets de haricots verts et de petits pois. Clémentine rajoute : << J'adore quand Julien fait son vicelard devant d'autres femmes. Ça m'excite à blinde ! >>. Estelle passe ses bras autour de ma taille, derrière moi, pour tripoter ma bosse. Elle dit : << Moi aussi. Surtout quand l'autre femme c'est moi ! >>

<< Tu me fais ça toute la journée vieux cochon ! >> s'exclame t-elle alors que nous rigolons comme des bossus. Elle rajoute : << Et Julie assiste à ça tous les samedis matins depuis la fenêtre de la cuisine ? Mais c'est hyper vicelard ! >>. Nous en rions aux éclats en remontant par l'escalier intérieur. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. << Ça m'a méchamment excité de te voir faire le salaud ! >> dit encore Estelle en saisissant ma queue toute molle. Nous passons au salon. Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Nous avons trois mails. Celui de Julie qui nous explique ce qui se passe.

Ce qui paraissait une idylle merveilleuse au mois de juin encore se transforme en tourment pour notre jeune amie. Damien, son petit copain s'avérant être d'une jalousie qui l'insupporte. Mais c'est toujours difficile de s'extraire d'une relation toxique. Nous préférons ne pas nous en mêler. Aussi, dans sa réponse, Clémentine se contente d'un résumé succin de nos aventures. Rassurant Julie quand au ménage que nous ferons demain matin. Le message de Juliette qui nous raconte que les premiers chevaux arrivent en pension jusqu'en mai de l'année prochaine. Elle croule sous les demandes. Elle ne peut accueillir que 85 chevaux. Pas davantage. Alors que les demandes affluent depuis le département voisin.

Le courriel de nos nouveaux amis Japonais Hikaru et Aika, rencontrés au début juillet à Édimbourg. << Je partouze avec vous s'ils viennent passer deux trois jours ici ! >> s'écrie Estelle en mimant une fellation. Son poing fermé qu'elle tourne devant sa bouche. Il est onze heures trente. Il commence à faire faim. Clémentine fait l'assaisonnement de la belle laitue toute fraîche et encore humide. Estelle s'occupe de la préparation du bouillon pour y jeter les moules encore congelées. Je verse les haricots verts et les petits pois dans le wok. Congelés eux aussi. Les filles parlent de leurs études. De cette rentrée universitaire qui les attend dès ce lundi.

Elles ont tout préparé. Comme le dit malicieusement Estelle : << On a des cartables tous neufs et des petit sacs pour nos petits pains de la récré ! >>. Elle se tourne vers moi en mimant une masturbation masculine. << Tu me fais le coup de la livreuse des fruits et légumes tout l'après-midi ! >> lance t-elle. Je sors ma bite pour l'agiter en répondant : << Mais que ne ferais-je pas pour te faire plaisir ! >>. Clémentine contourne la table pour s'accroupir. Elle gobe ma queue toute molle. << L'apéro ! >> s'écrie Estelle qui passe sa main entre ses cuisses pour se toucher. En appui de l'autre main sur la table. << Vieux salaud va ! >> dit elle.

Clémentine se redresse en lançant : << Je recommande la bite des vieux salauds. Ils s'en servent si bien ! >>. Estelle se précipite pour s'accroupir à son tour, cuisses largement écartées, une main dans sa culotte, l'autre pour s'accrocher à mon bermuda kaki. << Mmhh, miam ! >> fait elle en se redressant. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur ce qui s'est passé ce matin. Mon exhibition devant Danièle semble avoir un sérieux effet sur la libido d'Estelle. << Elle est marié, ils ont une exploitation agricole avec deux gamins ! Ce sont leurs produits qu'ils vendent avec son mari >> précise Clémentine. << En effet, ça refroidi ! >> lance Estelle. Je rajoute : << Il est donc exclu d'en faire davantage ! >>. Nous rions de bon cœur.

Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, mes deux anges évaluent les différentes options de l'après-midi. << C'est les journées du patrimoine ce week-end ! >> lance Estelle. << Demain on se fait le vide grenier sur le port ! >> dit Clémentine. Nous regardons dehors. Il n'y a aucune menace mais le ciel reste nuageux. << On va faire les vicelards cet aprème ? >> propose Estelle. << Et comment ! >> répond Clémentine. Les assiettes, les couverts et les verres dans le lave vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous passons nos vêtements de bicyclette.

Jupettes de lycra noir et T-shirts de lycra rouge pour mes deux anges. Mon short de lycra noir, mon T-shirt de lycra rouge. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, abricots et brugnons. Les derniers de la saison. Les barres de céréales et les indispensables K-ways pour le retour en soirée. Je vérifie le gonflage des pneus. Parfaits. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Malgré le ciel obstinément couvert, nous croisons nombre de cyclistes. Des filles en rollers. Nous pédalons contre un vent d'Ouest. Moins fort que vendredi.

La navigation sur le canal connaît en cette fin de saison une recrudescence peu commune. Je ne me souviens pas d'avoir vu une telle circulation pour une mi septembre. Les employés VNF ont fort à faire. Pas d'arrêt pipi aux 10 km du cabanon de l'écluse. Une fois encore Estelle et Clémentine préfèrent se garder pour une opportunité éventuelle une fois arrivées. Les vingt cinq kilomètres s'avèrent un authentique plaisir. Malgré le vent de face. Le dernier tronçon, sur environ cinq cent mètres, est occupé par des pêcheurs. Il y en a un quasiment tous les vingt mètres. Probablement un concours. Nous arrivons au port de plaisance. 15 h.

Nous fermons les vélos à cadenas parmi d'autres derrière le cabanon de la capitainerie aux volets clos. Le rituel. Estelle et Clémentine retirent rapidement leurs culottes pour les fourrer dans la pochette avant du sac à dos que je porte. Estelle palpe ma bosse en disant : << Tu me la montres tout le temps cet après-midi. Tu as promis ! >>. Nous rions aux éclats lorsque je réponds : << Moi ? Mais je n'ai rien promis du tout ! >>. Il y a de l'animation sur les quais. Des particuliers sont entrain d'installer leurs stands pour le vide grenier de demain. Des tréteaux, des bâches. Il y a les joueurs de boules et notre voyeur qui nous aperçoit.

Des groupes de cyclistes mais également des groupes de marcheurs. Évidemment nombre de plaisanciers sur le pont de leurs bateaux. Mais, le "San Francisco" a levé l'ancre, rompu les amarres car son élégante silhouette a disparu. << Dommage, j'aurais bien voulu revoir ce "Julien" et ses deux "accompagnatrices" ! >> lance Estelle. Nous traversons la route pour nous rendre dans la supérette. Il y a du monde dans les rayons. Probablement des Allemands. Car il y a deux gros autocars immatriculés en Allemagne garés sur le parking. Il faut ruser. Estelle nous attend dans la file aux caisses. Nous allons récupérer les bacs de crèmes glacées.

Notre marque préférée Ben & Jerry's étant absente, ce sera Carte d'Or. Pistache, nougat et caramel fleur de sel. Nous rejoignons Estelle juste au bon moment. << Je me fais reluquer par les deux teutons là-bas ! >> dit elle en nous montrant discrètement deux des touristes Allemands goguenards. Clémentine se tourne vers eux en empoignant vulgairement son sexe à travers le lycra noir de sa jupette. << Ils aiment la vulgarité de l'autre côté du Rhin ! Il n'y a qu'à voir Ursula von der Leyen pour en saisir la substantifique moelle! >> dit elle. Nous en rigolons comme des bossus sous le regard amusé des autres Allemands dans la file.

C'est installés sur le banc, sous les platanes, que nous dégustons nos délices glacés. Avec nos petites cuillères à moka dorées, toujours dans le sac. Nous regardnons les joueurs de boules. Notre voyeur ne regarde plus que de manière spontanée. Probablement gêné de nous savoir unis dans le vice. << Les trois mousquetaires du vice ! >> comme nous appelle Estelle. << L'étroite moustiquaire ! >> rajoute Clémentine qui écarte légèrement ses cuisses à chaque passage d'un solitaire. Ce sont le plus souvent des cyclistes poussant leur vélo. << Salope ! >> murmure à chaque fois Estelle en rajoutant : << Celui-là était mignon ! >>. De nombreuses feuilles mortes jonchent déjà les pavés.

Nous jetons nos bacs vides dans une des poubelles. Inutile d'espérer un "plan" près des bâtiments des sanitaires car c'est le lieu de rendez-vous des jeunes du bourg voisin. Par contre il y a l'espace entre le manège à chevaux rétro et le carrousel. Là où Clémentine s'est offerte en spectacle pisseux devant l'autre "Julien" sur le pont du "San Francisco". À la place il y a un bateau qui évoque une sorte de cotre. Il y a parfois des farfelus qui voyagent sur d'étranges embarcations. En voilà une. C'est un couple de babas cools qui se fait griller des saucisses sur le pont. Nous ne nous attardons pas. Aucune opportunité dans cette partie des quais.

Il faut se faire une raison. Il n'y aura probablement aucune occasions exhibes cet après-midi. Exhibes de qualité s'entend. Car si c'est pour faire n'importe quoi, ce n'est pas la peine. Il y a le bar restaurant au bout de la jetée. Il reste quelques tables libres. Il faut se dépêcher d'en investir une car là-bas, il y a le troupeau d'Allemands qui rapplique. << Et quand les Allemands envahissent ! >> s'exclame Estelle. Nous rions. Ils sont bien une cinquantaine. Nous commandons des grenadines limonades avec des glaçons. La température extérieure est de 28°. Le ciel reste nuageux. Sans culotte, sous la table, Clémentine peut s'amuser un peu. Joie. Il y a deux couples un peu plus loin qui discutent passionnément.

Ils doivent avoir la quarantaine. Probablement des touristes. L'un des hommes voit distinctement ce qui se passe sous notre table. Clémentine commente ce qu'elle fait. Elle doit être d'une extrême prudence pour ne pas attirer le regard d'autres clients. Nous portons tous les trois nos larges lunettes de soleil. Ces moments éminemment vicelards nous émoustillent. Les verres fumés permettent de mâter tranquillement. Le regard du touriste se braque de plus en plus souvent sur ce que fait Clémentine. << Je fais pareille avec le type là-bas ! >> lance Estelle. Nous n'avions pas remarqué ces deux autres couples installés à une autre table. Là aussi, un des inconnus a une vue splendide. Nous rions. J'ai envie de me masturber tellement c'est bon.

Estelle commente. Clémentine commente. Je bande comme le dernier des salauds. C'est amusant aussi. Car les deux "victimes" ne se doutent pas de la situation "double". Les regards qu'ils me lancent lorsqu'ils ne mâtent pas sous notre table sans cesser de converser est lourd d'envie. Non, je ne suis pas le papa de ces deux sublimes salopes qui vous montrent leur minou. Et pour ne laisser subsister aucun doute, Estelle et Clémentine, une main posée sur les miennes, me font souvent un bisou sur la joue, la bouche. J'imagine le degré "d'ébullition" chez ces deux mecs. Ils sont pourtant accompagnés d'épouses charmantes. Nous nous amusons comme des fous. C'est tout simplement fabuleux.

Là-bas, la troupe d'allemands est assise sur le muret de la jetée. Les pieds dans le vide. Attendant probablement que des tables se libèrent. Pure chimère. Car on est si bien installé sur cette terrasse. Mais l'angle permet à Clémentine de gratifier certains de ces touristes d'outre Rhin d'une splendide vue sur son intimité. << Put-Hein, je m'éclate. Je dois être trempée ! >> murmure t-elle. << Salope ! >> chuchote Estelle. Nous adorons rester excités des journées entières. La gradation de cette excitation est proportionnelle aux stimuli de l'environnement. << Put-Hein ce soir on baise ! >> s'écrie Estelle. Un type tourne la tête.

Il nous a entendu. Nous rions aux éclats alors qu'il tourne la tête une seconde fois. Nous traînons là devant une seconde grenadine limonade. Il est dix sept heures quand nous retournons doucement vers les vélos. Derrière le cabanon de la capitainerie je doigte enfin mes deux anges. Elles sont trempées. Mes index y pénètrent comme dans du beurre. Elles ont toutes les deux le même réflexe. Celui de saisir mes poignets afin que surtout je n'arrête pas. J'ai une méchante envie de leurs bouffer la chatte. Je dois me contenter de lécher mes doigts. L'odeur me donne des frissons. Elles reniflent mes doigts en riant. Je dis : << Ce soir, c'est la fête ! Je vous promets des gâteries "sextraordinaires" ! >>

Elles remettent leurs culottes. << Il n'y a que dans les films pornos que les filles font du vélo sans culotte ! >> lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus de cette évidence. C'est sympathique d'êtres poussés par le vent sur le retour. Aucun effort à fournir. Nous arrivons à la maison pour 18 h45. Préparation immédiate d'un repas simple. Des tranches de pain grillé, beurrées, des filets d'anchois allongés dessus, de fines lamelles de gruyère Suisse. Au four à micros ondes. Une rapide salade de tomates. Nous mangeons de bon appétit. Impatients de retrouver le dessus du bureau où mes deux anges vont se faire tringler.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent se faire sauter, couchées sur le bureau, un coussin sous la nuque. Jambes relevées, chevilles maintenues en l'air par leur "chevalier saillant" qui les lime comme un dément. En poussant des cris de sauvage en rut...

Julien (le sauvage en rut)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 29 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2375 -



Les parents d'Estelle viennent manger à la maison

Dimanche matin, hier, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neufs heures. Estelle reste toujours agrippée à moi des nuits entières. Cette fois encore, en nous réveillant, elle attrape mon érection naturelle. D'une poigne ferme. Clémentine se tourne pour se positionner exactement contre ma hanche. Passant une cuisse sous mes fesses, l'autre posée sur la main d'Estelle, elle imprime un mouvement masturbatoire de son bassin. Je vis cet enchantement paradisiaque de nombreux matins. Surtout ceux de nos vacances. Nous nous étirons en modulant longuement nos gémissements. Estelle se lève toujours aussi subitement pour se précipiter vers la porte. Clémentine reprend ses frottements mécaniques en me chuchotant plein de douceurs. Plein de bisous.

Estelle revient en T-shirt et slip de nuit. << Je descends, venez vite. On a plein de choses à faire ce matin ! >> dit elle en nous faisant un bisou à chacun. C'est à notre tour d'aller pisser. En T-shirts et slips de nuit, morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle. L'énorme brioche au pudding trône au milieu de la table. Les suaves effluves parfumées du café, du pain grillé embaument toute la cuisine. Je pèle les kiwis, caressé par Estelle qui me dit : << C'est ici que s'achèvent nos vacances ! >>. Clémentine qui rajoute : << Rest in peace ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos dernières aventures au port de plaisance. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de cette matinée. Les préparations pour le repas de midi.

Chacun a une tâche précise. Nous organisons les opérations. Clémentine est une redoutable et efficace logisticienne. Elle nous indique nos rôles respectifs. Nous traînons toutefois un peu à table car le dimanche pas de sport, pas d'entraînement. Assises sur mes cuisses mes deux anges font l'inventaire des ingrédients. Ce sera une tourte aux brocolis. Une sauce à l'émincé de saumon avec champignons. Accompagnées d'une salade d'endives et d'avocats. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous changer. Les filles portent une de leurs jupettes et T-shirt. Je suis en bermuda. Le climat est exactement le même que samedi. Un ciel nuageux mais pas menaçant. La température reste élevée pour un 17 septembre. Le thermomètre indique 24°. Et il n'est que 10 h.

Pressés de nous mettre à l'ouvrage, nous dévalons les escaliers pour revenir dans la cuisine. La pâte feuilletée, sortie du réfrigérateur, posée en plein soleil sur le buffet de la véranda, est à température. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Estelle étale les deux tiers de la pâte dans le plat rond en terre cuite. Celui avec les bords hauts. Je concocte une Béchamel. Estelle émince un gros pavé de saumon. Je fais pareil avec de beaux bolets. Ail, oignons. Je rissole le tout dans la poêle avant de rajouter à la Béchamel. Estelle râpe de ce bon gruyère Suisse livré samedi matin par Danièle. Elle verse dans l'ensemble. Clémentine répand la garniture ainsi créée sur la pâte. Estelle recouvre du dernier tiers de cette onctueuse pâte feuilletée. Estelle badigeonne le mélange œuf et crème.

Au four pour une cuisson lente à 160° qui permettra de laisser mijoter longtemps. C'est bien meilleur. Nous mettons les assiettes et les couverts sur la table dans la véranda. Il est à peine onze heures et tout est déjà prêt. Satisfaits, rassurés, nous sortons par la véranda. Il fait doux, tellement agréable. << Ce n'est pas un été indien. Cette dénomination ne s'applique qu'après le véritable été. Car nous sommes encore en été jusqu'à samedi prochain, 23 septembre ! >> précise Clémentine alors que nous descendons à la rivière. Les filles me tiennent par les mains en revenant sur leur rentrée universitaire. << Pauvre Julien, tu vas te retrouver bien seul demain ! >> lance Estelle en se plaçant devant moi. Sa main posée sur ma bosse elle demande : << Tu vas te branler ? >>. Rires.

Sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit elle pose ses lèvres sur les miennes avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Clémentine passant derrière moi, ses bras autour de ma taille. Ses lèvres comme des ventouses dans ma nuque. Nous admirons les pirouettes que font les colverts sur la surface de l'eau. Les canards qui cancanent. Les poules d'eau qui tournoient. J'ai rapidement le sexe extrait de ma braguette. << Monsieur bite à l'air, vous allez me manquer dès cette nuit et jusqu'à mardi soir où il faudra vous attendre au pire ! > dit encore Estelle en me tordant la queue dans tous les sens. Je bande comme le dernier des salauds. C'est presque douloureux. Clémentine m'embrasse passionnément alors qu'Estelle à présent derrière moi me masturbe devant les canards.

Nous remontons en riant de nos jeux. Par mesure de prudence, je remballe mon chibre. Il est fréquent que Louis, notre plus proche voisin, descende lui aussi à la rivière. Nous sortons la voiture du garage. Cet après-midi nous irons faire un tour au vide grenier sur les quais du port de plaisance. Voilà la Mercedes qui descend lentement le chemin depuis le portail. Les parents d'Estelle sont tellement contents quand nous nous retrouvons ensemble. Estelle saute au cou de son papa comme elle le fait au mien dans ses élans fougueux. Sa maman nous fait la bise. Comme elle est attractive encore aujourd'hui. Michèle porte une robe d'été légère, mauve, cintrée à la taille par une ceinture de coton violet. Des mocassins violets. Yvan est en bermuda et chemisettes. Mocassins clairs.

Nous ne traînons pas. Nous sommes tous les cinq morts de faim. La cuisine embaume d'ailleurs généreusement de la tourte qu'Estelle sort du four. Clémentine coupe rapidement les endives déjà lavées. Yvan me montre des photos sur son téléphone. Leur maison en Écosse est à présent recrépie, les échafaudages ont disparu. << Je prends l'avion à la fin du mois. Pour constater et pour ouvrir la filiale de l'entreprise. Tout démarre le premier octobre ! >> explique t-il. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos séjours Écossais. Pour nous ce ne sera plus avant les vacances de fin d'année. Lorsque je bavarde un peu plus précisément avec sa maman, j'ai droit à un redoutable coup de pied d'Estelle sous la table. Je suis prévenu depuis le petit déjeuner. Ne pas draguer Michèle !

Les parents d'Estelle devront nous laisser pour quatorze heures. Ils ont des gens très importants à recevoir. Dans l'optique de leur entreprise. << Le gratin du département aime à faire ami avec les créateurs d'emplois ! >> précise Yvan en faisant un clin d'œil. << Intérêts purement électoralistes ! >> rajoute Michèle. Les assiettes, les couverts, les verres dans le lave vaisselle pendant que nous prenons un dernier café. << On te voit ce soir ? >> demande Michèle à Estelle qui répond : << Oui, et jusqu'à mardi soir. Mais je dors à la maison jusqu'à samedi prochain ! >>. Sa maman, toute contente passe sa main dans ses cheveux affectueusement. Comme toutes les mères pour leurs filles. Pour leurs fils. Nous les raccompagnons jusqu'à leur auto. Un dernier coucou. Ils repartent.

Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous restons vêtus comme nous le sommes. Impatients de filer, nous dévalons une nouvelle fois les escaliers pour traverser le jardin à toute vitesse. Dans le petit sac à dos que je porte, des pommes. Il y a les premières noix qui commencent à tomber des noyers. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière, Estelle caresse mon cou en me félicitant. << Bravo, tu n'as pas montré ta biroute à ma mère ! Pour une fois ! Espèce de vieux salaud ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Il y a trente cinq kilomètres par la route. Il y a un monde fou. Ce vide grenier, organisé par la municipalité du bourg voisin, est encore un véritable succès. Il faut se garer à une borne de là.

Les filles me tiennent par la main pour descendre sur le chemin qui longe le canal. C'est par là que nous arrivons sur les quais du port de plaisance. Mes deux anges ont laissé leurs culottes dans la voiture. Nous attirons évidemment encore bien des curiosités. << Comme trois Aliens ! >> précise Estelle. Il faut louvoyer dans la foule entre les différents stands. Toutes vieilleries présentent un caractère fascinant. Surtout lorsqu'elles sont en parfait état. De magnifiques petites tables de nuit en bois de chêne sculpté. Un lit à baldaquins. Des buffets. Des lampes de chevets, des toiles. << Pas d'illusions, les plus belles choses ont été récupérées de bonne heure ce matin par tous les antiquaires du département ! >> lance très justement Clémentine. << Salauds ! >> fait Estelle.

Il est tout à fait inutile de s'attendre à trouver une opportunité exhibe avec tout ce monde. Il fait lourd, chaud, avec une température de 29°. Mais Clémentine, rusée et stratège, trouve rapidement de quoi satisfaire ses déviances. Ce baba cool barbu et aux longs cheveux gris est présent à chaque vide grenier. Il est vautré dans un fauteuil en rotin entrain de bavarder avec deux vieilles "hippies". Devant lui un tréteau sur le quel sont posés des objets aussi farfelus qu'une pipe à eau, des breloques "Woodstock", des posters de stars des années soixante dix. Surtout ces centaines de vieux disques 33 tours vinyles dans des cartons à même le sol. C'est là, accroupie, que Clémentine fait semblant de chercher la rareté. Surtout prétexte à montrer sa chatte au jeune type en face.

Estelle et moi, nous faisons les amoureux en restant à distance. Nous faisons le tour du stand. Il y a une vieille Harley Davidson garée derrière. De là, on voit distinctement la prestation qu'offre Clémentine au jeune homme accroupit devant les cartons. Lui aussi faisant probablement semblant de chercher un disque. Il mâte. Je bande une fois encore comme le dernier des salauds. La configuration du stand permet à Clémentine de s'offrir une exhibe de grande qualité. Elle n'est pas obligée de faire très attention car une tenture hippie masque l'endroit depuis l'arrière. Même le "patron" barbu et chevelu ne se doute de rien. Les deux vieilles peut-être. Car l'une d'entre elles observe Clémentine à plusieurs reprises. << Elle a juste peur que les clients ne piquent des trucs ! >> dit Estelle.

Clémentine se redresse au bout d'une bonne dizaine de minutes d'une exhibition de haut niveau. Le jeune homme reste encore un peu. À la limite de l'ankylose, Clémentine doit faire quelques pas pour faire partir les fourmis de ses jambes. Elle nous adresse un clin d'œil. Estelle parvient à me palper la bosse malgré la foule en se plaçant devant moi. Clémentine retourne prendre sa position après avoir feuilleté quelques vieux magazines musicaux. Le jeune homme n'attendait que ça. Lui aussi s'accroupit. Bien en face. Juste deux cartons qui le séparent de la sublime salope qui lui montre sa chatte. À présent, afin de bien lui faire comprendre qu'elle joue, Clémentine lève plusieurs fois la tête pour sourire à son voyeur. On le sent très gêné, inexpérimenté peut-être. Pas dragueur.

C'est une jeune fille blonde qui vient le rejoindre. Ce qui met un terme définitif à ces merveilleux moments de plaisirs. Clémentine vient nous rejoindre alors que nous entendons distinctement une des deux vieilles hippies lancer : << Casse-toi. Va faire ta salope ailleurs ! >>. Nous rigolons comme des bossus en prenant la direction de l'escalier. Nous traversons la route pour aller dans la supérette. Il y a un monde fou. Ça nous décourage. Tant pis pour les cônes glacés. Nous flânons longuement. En repassant devant le stand du "père Noël Rock", Clémentine fait une horrible grimace à la vieille hippie. Nous en rions aux éclats. << Vieille pouffe va ! >> lance Estelle. Nous revenons à la voiture en longeant à nouveau le canal. Il est 18 h30 quand nous revenons. Morts de faim.

Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Estelle prépare son omelette des dimanches soirs. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de carottes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre après-midi. << Dans la poussière et l'antique ! >> lance Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. Elle vient s'installer sur mes genoux la première. Clémentine arrive à son tour. Nous restons ainsi un petit moment. Tout dans le lave vaisselle. Au salon, toutes les deux, vautrées dans le canapé, m'offrent la dégustations de leurs minous. Pas de douche le dimanche. Les excitations successives, les pipis derrière les buissons. Je laisse aux lecteurs d'imaginer la qualité du dessert que je déguste à genoux. L'orgasme de mes deux anges les font hurler.

Nonne fin de soirée à toutes les coquines. Il faudra en ramener une qui insiste pour être assise à l'avant et sucer la bite du chauffeur en se faisant encore doigter un petit peu...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
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D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
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Le "grand" jour

Hier matin, lundi, il est très précisément 5 h55 quand l'application "forêt" nous tire de nos profonds sommeils. C'est cruel, dur et sans pitié. Le gazouillis des oiseaux résonne étrangement au fond d'une forêt. On perçoit nettement le bruit d'une source. L'imagination fait le reste. Quelques bisous, quelques papouilles. Il faut s'y résoudre. Nous nous levons pour nous diriger comme des zombis vers la porte. Pipi. Dans la salle e bain nous revêtons nos habits sports. Morts de faim, toujours en "pilotage automatique", nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse les oranges, pèle les kiwis. Le reste de brioche dans le four à micros ondes. Le grille pain éjecte ses quatre tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en retrouvant enfin toutes nos facultés.

Nous mangeons de bon appétit en faisant un rapide bilan de ce dernier week-end de vacances. Clémentine, en venant terminer sa tartine au miel sur mes genoux, me confie à quel point elle est contente de retrouver les bancs de l'université. Dehors, il pleut. Il fait nuit. Le thermomètre extérieur indique 16°. Nous remontons pour nous offrir une heure d'entraînement. Quelques flexions, quelques pompes et nous courons sur les tapis roulants. Exercices au sol. Abdos. Les charges additionnelles sur machines. Le retour au calme d'un stretching et de ses étirements bénéfiques. La douche. Je descends le premier pour aller sortir l'auto du garage. Nous l'avons fait tourner deux fois la semaine passée. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Il est presque 7 h45.

Sur la pointe des pieds, nous abritant de la pluie, elle me fait un dernier bisou sur la bouche. << À ce soir. Je t'aime ! >> dit elle. Elle s'installe au volant. La golf est hybride. Son choix pour le moteur thermique. Je la regarde monter vers le portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire notre vaisselle, notre chambre, notre lit. Peu a peu, je prends conscience de l'immense solitude et de l'angoissant silence qui règne dans la grande demeure. Pour fuir cet étrange sentiment, je dévale les escaliers pour me rendre dans l'atelier. Il y règne l'odeur des huiles précieuses. Les invendus dans leurs cartons, déposés là par Julie. Je fais l'inventaire des toiles. Je regarde la liste des commandes. Les œuvres à réaliser cet automne.

Il me faut préparer les toiles. Une enduction au gesso est une nécessité. Je n'ai pas trop envie de m'y mettre. Je suis même obligé de me faire violence. Par les deux grandes baies vitrées orientées Nord Est je vois tomber la pluie sur la campagne. Ce temps maussade est pourtant parfait pour débuter cette nouvelle saison. Je pose huit toiles vierges d'un format F-6 sur la bâche. Elles sont d'un grain extrêmement fin. Elles viennent directement de chez BLOCKX en Belgique. Je n'utilise d'ailleurs que les produits de cette marque de tradition familiale. Avec un spalter j'étale le gesso blanc. Le pinceau d'une largeur de trois centimètres dépose une première couche uniforme qui sèche avec une étonnante rapidité. Je procède au ponçage plusieurs fois avec différents grammage d'abrasifs.

Le pigment de blanc de titane en suspension dans la résine d'acrylate recouvre d'une couche opaque qui se ponce facilement. Jusqu'à obtenir ce poli ivoirin sur lequel le dessin du pinceau est un réel bonheur. Surtout pour une peinture fine, de précision et sans épaisseurs. Ce labeur m'emmène jusqu'aux environs de midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz pendant que je prépare une sauce au Roquefort. Dans la poêle je fais rissoler trois beaux dos de colin. Des champignons. Ail, oignons. Le riz complet gonfle toujours très vite. J'en mets dans une assiette. Le reste dans le plat rectangulaire en terre cuite. Je recouvre d'une bonne couche de gruyère Suisse. Deux œufs mélangés à de la crème fraîche. Au four pour une cuisson lente. Une rapide salade. Carottes.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff reçoit un politologue et un journaliste. Il est question des nouvelles lois liberticides concernant l'anonymat sur Internet. L'obstination de la classe dirigeante pour contrôler chaque aspect de la vie. Il faut absolument empêcher toutes idées dissidentes de la pensée unique. Exercer une censure sur tous les réseaux sociaux. C'est assez épouvantable. Mais la tyrannie de ces sinistres individus trouvera certainement quelques écueils avant de pouvoir être appliquée comme ils le souhaitent. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Je redescends à toute vitesse, pressé d'aller me dégourdir les jambes. C'est sous le parapluie que je vais jusqu'à la rivière. La musique imbécile de mon téléphone.

C'est Clémentine. << Tu me manques. Vivement ce soir ! Je t'aime ! >> lance t-elle plusieurs fois. << Je te racontes ce soir quand je rentre ! >> conclue t-elle. Elle n'a que quelques minutes. Elle m'appelle depuis le hall. Estelle me glisse quelques mots chuchotés. Je remonte pour retourner dans l'atelier. Je prépare et j'apprête huit autres toiles. J'ai une petite ponceuse drôlement efficace pour rendre les surfaces aussi lisses qu'une vitre. Il est dix sept heures quand Clémentine revient de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascules pour se précipiter vers moi. Je me redresse, j'enlève mon masque de protection. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour couvrir mon visage de bisous. Quel bonheur de nous retrouver après cette journée.

Je dépose Clémentine sur la table. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa première journée. Le menu du restaurant universitaire. J'écoute en regardant les expressions de son visage. Elle est belle avec ses lunettes d'étudiante. Ses longs cheveux qui flottent sur ses épaules. << J'ai besoin d'un "choc émotionnel" différent ! >> me fait elle en sautant de la table pour se blottir dans mes bras. Serrant son bas ventre contre le mien. << Un truc bien dur par exemple ! >> rajoute t-elle, espiègle et mutine. Je demande : << Tu as des préparations ce soir ? >>. Elle s'éloigne pour récupérer son cartable en répondant : << Juste les notes à classer ! >>. Assise à la table, devant ses fiches, Clémentine continue de me raconter quelques anecdotes universitaires. Les attitudes d'Estelle.

Je passe l'aspirateur sur la bâche avant de la replier. Les seize toiles enduites à la verticale sur une des étagères de l'atelier. Un petit coup d'aspirateur pour éliminer définitivement les poussières de Gesso. Tout est propre. Je rejoins Clémentine. Debout derrière elle, je lisse ses cheveux de mes doigts. << J'adore quand tu fais ça ! >> dit elle en refermant ses deux classeurs. Elle m'explique le graphique que je vois sur l'écran de son ordinateur. Penché, mon visage tout près du sien, j'écoute. J'emplis mes sens de la présence de la fille que j'aime. << Tu sais que je me suis touchée un peu en rentrant ! Mais je te promets, je roule en faisant attention ! >> lance t-elle en me faisant un rapide baiser sur la joue. Je me redresse. J'ouvre ma braguette. Je sors ma bite molle.

Je m'éloigne. Je contourne la table. Je reste avec les mains sur les hanches. Clémentine lève les yeux et découvre le spectacle. << Génial ! >> lance t-elle. Mon sexe se met à durcir tout en se redressant. Un processus qui dure une petite minute. L'excitation me gagne. Par petites contractions des muscles fessiers, je fais bouger ma queue. La tête posée sur les mains, avec une expression amoureuse, Clémentine observe, silencieuse. Nous restons ainsi quelques longues minutes. Mon érection fièrement dressée vers les poutres apparentes du plafond. Je la fais bouger. Elle gigote lourdement. Clémentine éteint son ordinateur. Range méticuleusement ses affaires. Sans cesser de me fixer ou de regarder bouger mon chibre. Elle se lève. Lentement elle contourne la table. S'y appuie.

Nous nous faisons face. C'est extrêmement excitant. Ma queue est bouillante. Une main sous sa jupe, Clémentine se masturbe. Le silence est total. Pesant. Dehors il fait sombre. La pluie n'a cessé de tomber. Clémentine se rapproche. Sans cesser de se toucher, elle s'accroupit. De sa main libre elle s'accroche à mon Levis. Elle passe son visage sur mon sexe. En s'y frottant, en y caressant ses joues. Elle hume longuement en gémissant de contentement. Elle cesse de se masturber pour tomber à genoux à même les tomettes du sol. Elle me tient par les fesses qu'elle empoigne en même temps qu'elle gobe ma turgescence. Mon sexe commençait à suinter des premières montées de liquide séminal. Cette sève que Clémentine se met à sucer avec passion. J'en ai des vertiges.

Je l'aide à se redresser. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses pauvres genoux douloureux. Elle a du foutre aux coins des lèvres en chuchotant : << J'aime ta bite ! >>. Nous rions aux éclats. Il est dix huit heures quarante cinq. Je prends la main de Clémentine. Elle m'entraîne. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Lorsqu'elle découvre ce que j'ai préparé, elle me saute une nouvelle fois au cou. Tout est prêt. Il n'y a qu'à réchauffer. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une rapide salade de concombre. Je reste derrière elle, mes bras autour de sa taille alors qu'elle me parle de sa journée. D'Estelle. De quelques étudiants. Ils sont huit dans sa section Sciences Physique. Le même directeur de thèse. Alban, professeur émérite qui pilote les opérations. J'écoute avec intérêt.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur certains souvenirs encore vivaces de nos vacances Écossaises. La vaisselle. Elle m'entraîne par le Zob tout mou jusqu'au salon. Tous les deux, considérablement excités, nous nous embrassons comme des fous. De nos salives maculent nos mentons, nos bouches. Je soulève Clémentine pour l'assoir sur le bureau. Ses gémissements m'affolent. Elle retire sa culotte qu'elle jette n'importe où. Elle se met en appui sur ses coudes. Je récupère un des coussins du canapé. Elle peut y poser sa tête. Ce vieux bureau victorien en a connu des épreuves. En voilà une autre. Je soulève les jambes écartées de Clémentine en les tenant par ses chevilles.

Je frotte mon sexe contre le sien. C'est doux, humide, nos poils luisants qui se mélangent. Ça rentre tout seul, même si je la pénètre avec d'infinies précautions. Nous adorons rester immobile, l'un dans l'autre en contractant nos muscles fessiers. Les sensations sont intimes. Ce sont les moments que choisi Clémentine pour me confier ses secrets de fille. Je bouge doucement. J'écoute. Je n'ai pas besoin de poser la moindre question. Nous sommes télépathes. Elle y répond avant même que je ne les pose. Comme devinant et anticipant mes pensées. Je ne connais pas de stimuli cérébral plus intense que ces confessions. J'alterne alors les mouvements d'une brute épaisse avec ceux d'une tendresse de félin. Sous les petits cris d'animal blessé de Clémentine, envahie de plaisir.

Nous baisons ainsi plus d'une heure. C'est juste la bonne hauteur pour mon mètre quatre vingt huit. Dans un élan où elle me tend ses bras que je saisis, Clémentine se redresse pour m'embrasser avec fougue. Elle retombe pour se mettre à bouger en rythme. S'arrête, me tend ses mains. Revient m'embrasser. Je la besogne avec ferveur. Nous contrôlons tous deux la gradation de nos excitations devenues totalement folles. Clémentine se masturbe toujours en faisant l'amour. Son clitoris géant qu'elle caresse entre son pouce et son index. C'est un spectacle extraordinaire dont il est impossible de se lasser. Dans un cri, en me repoussant, Clémentine s'offre un orgasme pisseux. Nous n'avions évidemment pas prévu de préparer la cuvette en plastique bleu. J'évite de justesse.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font encore lécher sous la couette avant de se prendre une bonne dose de sperme dans la bouche. De se serrer contre leur "bienfaiteur" pour s'endormir dans ses bras...

Julien (le bienfaiteur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 31 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2377 -



Le train-train quotidien

L'application "forêt", dégotée il y trois ans par Estelle est une agréable manière d'être réveillé. Ce qui est encore le cas hier matin, mardi, à 5 h55. Avec nos folies du soir, le réveil est toujours un peu difficile. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Quelques papouilles, quelques bisous. Il faut se lever. Nous nous levons assez péniblement pour aller aux toilettes. Nous revêtons nos tenues sports à la salle de bain. << Toi, tu pourrais rester au lit ! >> me fait Clémentine en s'accrochant à mon cou. Je la soulève comme une jeune mariée. C'est ainsi que nous descendons les escaliers. Morts de faim, jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café. Je pèle les kiwis, je presse les oranges. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Les chocolatines dans le four à micros ondes.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies du soir. Ce pauvre bureau victorien sur lequel nous faisons l'amour. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différents menus du soir. Je préfère suggérer d'en préparer la surprise. En venant terminer sa tartine au miel sur mes genoux, Clémentine trouve ma proposition "alléchante". En léchant mes lèvres de sa langue au gout de miel. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Les indispensables mouvements d'échauffement. Le jogging sur tapis roulant. Les exercices au sol avant les redoutables charges additionnelles. Pour terminer par les étirements libérateurs d'un stretching un peu bâclé par manque de temps. Nous nous précipitons dans la salle de bain.

La douche salvatrice. Je descends le premier pour aller préparer la voiture. La fraîcheur humide est très agréable. Sans doute les pluies de la nuit car tout est trempé. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre vêtue d'une de ses jupes carmins au dessus du genoux, d'un fin T-shirt sous sa veste de velours noir cintrée à la taille. Des mocassins noirs. Elle se blottit contre moi en disant : << J'aime aller à l'école mais je n'aime pas te quitter ! >>. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je fais quelques pas dans le jardin, en restant sur les dalles de grès. Le ciel est nuageux. Je rentre pour faire notre vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. Je vais commencer ce matin les dessins préparatoires de mes commandes. À partir de ceux que je garde en archive.

Je fais très simple. Je calque un ancien dessin sur la toile. Je change quelques détails. Et voilà une œuvre originale. Pas besoin d'être créatif, il me suffit d'être minutieux. Il y a quatorze toiles à réaliser avant les vacances de Noël. Je suis très largement dans les clous. Quatre natures mortes, six paysages et quatre scènes de genre. Aucun portrait hélas, car j'aime le défi que la réalisation d'un portrait représente. Je commence par une scène de genre à trois personnages. Un travail méticuleux que je termine pour dix heures trente. Un second calque et il est déjà midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je prépare une Béchamel. Dans la poêle je fais revenir un pavé de saumon que j'ai émincé, ainsi que l'ail, l'oignon et les champignons. Je rajoute le tout à la Béchamel avec du gruyère râpé.

Je fais bouillir l'eau des coquillettes. J'égoutte. Je remplis les bouchées à la reine de la garniture Béchamel. Je dépose les cinq bouchées dans le grand plat carré en terre cuite. J'y verse les coquillettes pour caler l'ensemble. Une bonne couche de ce délicieux gruyère Alpestre. Au four pour une longue cuisson à 160°. J'ai gardé des coquillettes, de la Béchamel. Accompagnées d'une salade de d'endives. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit un journaliste d'investigation. Il est question de l'arrivée massive de migrants sur les côtes Italiennes. Évidemment tout cela est programmé en haut lieu. Il faut une sérieuse logistique pour affréter plus de cent bateaux afin de transporter plus de sept mille personnes. Tout le reste n'est que mensonges.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Dehors le ciel s'illumine. La température extérieure est de 22°. C'est chaussé de mes bottes en caoutchouc que je descends jusqu'à la rivière. Les eaux y sont à leur niveau maximal. La digue mis en place par monsieur Bertrand évite que cette partie du terrain ne soit transformée en marécage. Notre voisin est un homme de la terre et il s'y connait bien. Il est 13 h45 quand je suis confortablement installé à ma table de travail. Troisième dessin préparatoire. Ainsi concentré sur mon labeur, je réalise les quatre illustrations avant dix sept heures. Je range mes calques pour préparer ceux de demain. Quatre natures mortes qu'il sera plus rapide à réaliser. Il est dix sept heures trente quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable.

<< Crevée ! >> lance t-elle en se jetant à mon cou. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << On a revu les principaux points sur lesquels nous allons bosser. C'est un peu chiant, je dois revoir et développer certains axes de mes théories. C'est comme revenir sur un travail ancien ! >> me confie t-elle. Elle change de position pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. En se frottant lascivement, elle rajoute : << Heureusement il y a mon chéri qui m'attend à la maison ! >>. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. C'est un de ces baisers fougueux qui mouillent le bas de nos visages de salive. Le gout mentholé d'un des bonbons qu'elle aime souvent à sucer sur la route du retour.

Clémentine s'assoit devant son ordinateur qu'elle allume. Je reste debout derrière elle pour passer mes doigts dans ses cheveux. Elle m'explique les recherches qu'elle entreprend sur des sujets mathématiques. Je fais semblant de comprendre alors que mon niveau de mathématiques ne dépasse pas celui de la terminale. Elle le sait bien et en rit parfois. Je dépose des bises dans sa nuque en soulevant ses cheveux. Elle en gémit de plaisir mais sans cesser de rester très concentrée. Il est dix huit heures trente. Nous sortons faire quelques pas dehors. Voilà le Kangoo qui descend lentement depuis le portail. Estelle se gare devant le garage pour se précipiter vers nous. Mes deux anges ont passé la journée ensemble. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre de bises.

Nous rentrons. Il commence à faire faim. Quand les filles découvrent ce que je réchauffe dans le four, j'ai droit à des assauts de tendresse qui nous font rire aux éclats. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de concombre. Estelle met les assiettes et les couverts sur la table de la véranda. C'est sympathique d'avoir encore la possibilité d'y prendre nos repas. Je suis derrière Clémentine dont je caresse les seins. << Et moi, je sens le pâté ? >> lance Estelle qui vient se coller contre mon dos. Ses mains qui déboutonne mon 501. Avec une certaine agilité car la position est aussi idéale que lorsqu'elle déboutonne le sien. J'ai donc très vite le sexe sans sa main droite. Mou, moite et au chaud. Estelle aussi est en jupe. Je n'ai qu'à placer une main derrière moi pour la passer entre ses cuisses.

<< Salaud ! >> fait elle en se frottant de contentement. La sonnerie du four. Estelle se précipite, enfile les maniques, s'accroupit pour sortir le plat fumant et doré. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur quelques épisodes de nos vacances. << J'ai commencé le montage du film hier soir ! >> dit elle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Elle rajoute : << En supprimant l'inutile, on aura environ cinquante minutes d'images ! >>. Nous nous réjouissons. Les "soirées cinémas" dans notre salon, sur grand écran, restent un must que nous apprécions tout particulièrement. C'est extrêmement insolite et excitant de voir les "acteurs" à l'écran, dans le virtuel et d'êtres vautrés en leurs compagnies sur le canapé, dans le réel. Estelle devra nous laisser pour 22 h.

Nous ne traînons pas car tous ces projets nous excitent considérablement. Le lave vaisselle fonctionne à plein régime depuis quelques jours. Aussi nous pouvons gagner le salon en riant de nos folies. J'ai rapidement la bite à l'air. Estelle ne cesse de me la tripoter. << Mon doudou ! >> lance t-elle alors que Clémentine s'accroupit. Jambes largement écartées, les mains posées sur ses cuisses, elle nous observe. Le blanc du coton de sa culotte sous sa jupe paraît fluorescent. Estelle reste contre moi, son bras autour de ma taille, penchée en avant, elle me masturbe doucement. Elle sait parfaitement y faire dans ces situations. Mon prépuce entre son pouce et son index, qu'elle décalotte juste sur l'extrémité du gland. Une goutte de liquide séminal opalescente apparaît soudain sur le méat.

Clémentine se met à quatre pattes pour venir nous rejoindre. Je passe ma main sous la jupe d'Estelle. Elle se cambre sur ses genoux fléchis. J'adore le contact du coton de sa culotte. Clémentine, à genoux, bien droite, place son visage à quelques centimètres de mon sexe. Estelle le lui frotte sur le nez, sur les joues, insiste sur son menton. J'adore les expressions d'extases qui se lisent sur le visage de Clémentine. Je l'aide à se redresser avant que ses genoux ne deviennent douloureux. Les filles m'entraînent pour me faire tomber dans le canapé. Déposant les coussins au sol, elles s'y installent sur les genoux. << On fait comme on a dit au restau à midi ! >> murmure Estelle. << Oui, pareil ! >> chuchote Clémentine. Mes deux anges n'improvisent donc pas. C'est un projet concerté.

Je les regarde se refiler ma bite rapidement ruisselante de salive et de foutre. Quand l'une suce, l'autre donne ses impressions. C'est comme si je n'existais plus. C'est un film merveilleux dont elles me gratifient ce soir encore. Par petites contractions des muscles fessiers je fait bouger mon sexe dans les bouches. Avec le pompage, les montées de sève sont abondantes. Je me fait tailler une pipe des familles. En doublette. Sous les gémissements, les gloussements et parfois les rires de mes deux coquines. J'adore faire durer. Je contrôle parfaitement mon plaisir. Mais j'admets que parfois c'est "limite". << Toi d'abord ! >> lance Estelle. Je comprends. J'éjacule au fond de la gorge de Clémentine qui manque de s'étouffer. Sans cesser de sucer elle en tousse. Une larme qui coule sur sa joue.

<< À moi ! >> chuchote Estelle qui arrache carrément ma queue de la bouche de Clémentine. Elles se masturbent toutes les deux. Je viens encore de m'en rendre compte. Il y a ce petit moment de flottement où l'excitation disparaît. Mais c'est bref car la succion d'Estelle me fait repartir. Clémentine, à genoux sur le coussin, fière et droite, se touche. Elle me fait de merveilleux sourires lorsqu'elle n'observe pas la fellation d'Estelle. Il ne reste qu'un petit quart d'heure. Immobile, Estelle, les joues creusées par l'effort, pousse un rugissement en recevant l'abondance de ma seconde éjaculation. C'est Clémentine qui la lui enlève de la bouche pour la sucer à nouveau. Juste pour me faire le "fond de cuve". Nous reprenons nos esprits. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Dans le noir.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font lécher et sucer sous les draps avant de s'endormir d'un profond sommeil...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 32 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2378 -



Mercredi, il n'y a pas école

Hier matin, mercredi, il est un peu plus de sept heures trente. Un réveil naturel. Clémentine se tourne pour se blottir contre moi. Saisissant mon érection matinale, elle chuchote : << C'était bien avant de dormir ! >>. Je sa serre fort pour répondre : << Vous m'avez fait ma fête toutes les deux au salon ! >>. Clémentine rajoute : << À midi, en mangeant au restaurant universitaire, Estelle a précisé une fois encore que tu t'occupais toujours si bien de nous. Alors on a décidé de bien s'occuper de toi ! >>. Nous rions de bon cœur alors qu'elle passe sa tête sous les draps pour reprendre ma bite bien dure dans la bouche. Sans excitation, c'est une sensation étrange. Presque dérangeante. Cela ne dure que quelques secondes. Clémentine remonte très vite à la surface.

L'impérieux besoin naturel met un terme à nos jeux. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos tenues de jogging. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Le grille pain éjecte les quatre tranches. Nous prenons le petit déjeuner en revenant sur la soirée fellation au salon. << Tu en veux une aujourd'hui aussi ? >> me demande Clémentine. Je ne sais quoi répondre. Nous mangeons de bon appétit. Pour cette dernière année universitaire, les mercredis seront libres. Mais pour permettre aux doctorants de préparer les écrits revus, remodelés. Il faut en présenter les résultats dès le jeudi. Le maître de thèse oriente alors l'étudiant afin d'être le plus proche de ce qui est requis.

Nous traînons un peu à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur le programme de la journée. << C'est génial d'êtres ensemble pour bosser ! >> lance t-elle. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. J'adore quand Clémentine est gagnée par une sorte d'euphorie. Nous redescendons à toute vitesse. Quelques mouvements d'échauffement. Le ciel est nuageux, sans menaces, la fraîcheur très agréable. C'est parti pour un running d'une heure. Le long de la rivière, notre itinéraire favori. Il est neuf heures vingt quand nous revenons pour prendre notre douche. Nous redescendons. Clémentine porte une de ses jupettes de vacances, un T-shirt, ses ballerines. Nous entrons dans l'atelier où règne encore l'odeur de l'acrylique.

<< Il faut se résigner. Il faut s'y mettre. Oui, environ six mètres ! >> dit Clémentine en m'entraînant vers la table. Elle s'assoit. Entourée de ses fiches, d'un classeur ouvert, elle allume son ordinateur. Je reste debout derrière elle en passant mes doigts dans ses cheveux. Je la laisse à son labeur. Je reprends les dessins préparatoires. À partir des calques d'anciennes œuvres. J'attaque les paysages. C'est bien plus rapide et je pourrai réaliser les six préparations dans la journée. Je suis assis en face de Clémentine. Mon chevalet de table suffisamment incliné me permet de répondre à ses sourires. << C'est génial ! >> lance t-elle. Concentrés sur nos travaux, nous percevons le souffle de nos respirations. Parfois Clémentine se met à se relire à voix haute. À chantonner.

Je me lève quelquefois. Debout derrière elle à caresser ses cheveux, elle m'explique ce qu'elle fait. Il est rapidement midi. Morts de faim nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les deux dernières bouchées à la reine dans leur plat avec les coquillettes. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de carottes. Je mets les assiettes et les couverts. C'est rapide. Une fois encore je viens me placer derrière elle. Mes bras autour de sa taille. Je pose mes lèvres dans sa nuque. J'adore passer ma langue dans les racines des fins cheveux au-dessus de son cou. << Mmhhh, alors ça j'aime ! >> dit elle dans un souffle en remuant la salade. Le "ding" du four à micros ondes. Il n'y a plus qu'à s'installer. Nous mangeons de bon appétit alors que mon téléphone vibre.

D'un bond Clémentine se lève pour le saisir sur le buffet. << Juliette ! >> fait elle en mettant sur mode haut-parleur. Juliette s'excuse de ne pouvoir nous rejoindre ce soir. Un contre temps fâcheux et une urgence vétérinaire. L'arrivée des chevaux est quotidienne. Quand elle raccroche, Clémentine se met à sautiller autour de la table, dans toute la grande cuisine. << Génial ! Juste nous deux. C'est parfait ! >> s'écrie t-elle en venant poser ses lèvres dans ma nuque, m'entourer de ses bras. Je dis : << Ce soir, attends-toi à être attachée, menottée sur une chaise et à subir les pires sévices. Mais juste d'un point de vue "thérapeutique" ! >>. Rires. << Oh oui, fais-moi des trucs ! >> s'exclame t-elle en me contournant pour palper ma braguette grande ouverte.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque le week-end qui s'annonce. << Il y a la fête de l'automne au port de plaisance ! >> lance t-elle. Des réjouissances en perspectives. Chaque festivité organisée par la municipalité du bourg voisin est un franc succès. Nous faisons la vaisselle "à l'ancienne". Devant l'évier. Nous montons nous laver les dents. Pressés d'aller nous dégourdir les jambes nous dévalons les escaliers. Il fait étrangement doux malgré ce ciel couvert de lourds nuages. Le silence. Nous descendons jusqu'à la rivière. Clémentine me tient la main. C'est un spectacle dont on ne se lasse pas. Les canards, les colverts, les poules d'eau qui présentent leur ballet nautique. Clémentine se blottit contre moi en soupirant.

Il n'est pas tout à fait quatorze heures quand nous sommes assis à nos postes de travail. L'après-midi est studieux. Comme prévu je termine les dessins préparatoires des six prochains paysages. Une production à la chaîne qui me permettra d'avancer très vite. En ne me consacrant qu'à la peinture. Jusqu'aux vacances de Noël. Il est dix sept heures. Je prépare un thé et quelques petits gâteaux secs. Clémentine me fait la lecture des remaniements de certains extraits de ses textes. Je ne suis pas professeur mais je trouve que c'est absolument parfait. << Si seulement ! >> soupire Clémentine avant de rajouter : << Je verrai demain en cours ! >>. Nous savourons le thé au jasmin et les délicieux gâteaux secs ramenés par Estelle. Fait par sa maman. C'est une douceur.

Nous quittons l'atelier. Je saisis Clémentine par ses cheveux. Toute surprise par mon initiative. Je l'entraîne d'une poigne ferme jusqu'au salon. Enchantée par ce qui lui arrive. Elle ouvre de grands yeux alors que je passe le collier canin autour de son cou. J'y fixe la laisse en disant : << C'est l'heure de la promenade ma chère "Soumise" ! >>. Gloussant de plaisir, elle me saute au cou. Je l'entraîne par la laisse en donnant des à coups. C'est ainsi que nous sortons. J'emmène Clémentine pour faire le tour de la propriété. Elle marche derrière moi, parfois penchée en avant, entraînée par la laisse. Je me retourne pour glisser ma main libre entre ses cuisses. J'adore ce réflexe féminin qui secoue tout son corps. Nous retournons ainsi jusqu'à la rivière. Il y a environ trois cent mètres.

<< Je vous aime mon doux "Maître". Ça faisait si longtemps que vous ne m'aviez plus prodigué vos tourments ! >> lance Clémentine en mettant ses mains sur la tête avant de s'accroupir. Son regard plein de reconnaissant se fait tour à tour implorant et plein d'interrogations. J'avance. Je sors ma bite. Je la frotte sur son visage en évitant qu'elle ne puisse la gober de sa bouche ouverte. Gloussant de bonheur, Clémentine risque plusieurs fois de tomber dans son équilibre précaire. Je la tiens à la laisse et au plus court pour l'empêcher de chuter. Je la force à se redresser. Je l'entraîne. Nous remontons le chemin. Par mesure de précaution, je remballe ma queue. Je fais bien car voilà notre voisin. Monsieur Bertrand descend à la rivière en portant un sac plein de broussaille.

Ce n'est pas la première fois qu'il surprend ainsi nos "jeux". Je tente tout de même de les dissimuler en lâchant la poignée de la laisse que je passe derrière le dos de Clémentine. Nous bavardons un peu. Louis va faire brûler des broussailles. Il le fait toujours à proximité de l'eau. Ainsi, s'il devait y avoir le moindre risque, il serait très facile d'intervenir. C'est ce qu'il appelle de l'écobuage. << On se voit vendredi vers 13 h30 pour un café ? >> demande Clémentine. << Volontiers. Mais je n'aurai pas plus d'une demi heure ! >> répond notre retraité en louchant sur les cuisses de Clémentine. Je m'empresse de préciser : << Je ne pourrai pas être avec vous car j'ai vraiment beaucoup de boulot ! >>. Si ce vieux salaud savait que je sais ce qui passe dans sa tête à l'instant.

Nous le saluons pour rentrer. << Je peux le sucer vendredi ? >> demande Clémentine une fois que nous sommes dans le hall d'entrée. En s'accroupissant, en remettant ses mains sur sa tête. Je réponds en sortant ma bite : << Mais ma chère "Soumise", vous ne pouvez pas, vous devez ! >>. En gloussant de plaisir, Clémentine offre son visage à ma queue sur lequel je la frotte. Je la force à se redresser pour l'entraîner au salon. Du tiroir du bas, je tire la paire de menottes. Les mains attachées derrière le dos, toujours tenue en laisse, elle se met à genoux sur le coussin que je lance au sol. Je m'approche. Je frotte une nouvelle fois ma bite sur son visage. Il commence à faire faim. En me faisant sucer je propose le menu du soir. Tranches de pain grillé aux anchois et gruyère.

<< Mmhh >> gémit Clémentine en ouvrant les yeux pour plonger son regard dans le mien. Les joues creusées par l'effort de succion, le bas du visage déformé par mon chibre que j'enfonce presque entièrement en appuyant sur sa nuque. Elle en tousse quand je la relâche. Avec quelques hauts le cœur. De longs filaments de foutre relient mon sexe à ses lèvres. Et probablement au fond de sa gorge. Je la force à se relever pour l'emmener à la cuisine. J'ordonne : << Assise là ! Vous ne bougez pas chère "Soumise" ! >>. Je coupe quatre tranches de pain que je beurre. J'y étale des filets d'anchois tirés de leurs boîtes. Je recouvre de fines lamelles de gruyère Suisse. Des rondelles de tomates. Je place dans le four à micros ondes. Le reste des tomates en salade.

Clémentine, assise sur la chaise avec le dossier entre les cuisses, les bras menottés derrière le dos, m'observe, silencieuse, en sueur. Je devine son excitation. La préparation est rapide. Le "ding" du four. J'en sors les tartines. L'odeur est envoûtante. Je fais manger Clémentine. Pendant qu'elle ouvre la bouche, de ma main libre, je touche son sexe à travers le coton blanc de sa culotte. Je prends grand soin d'introduire dans sa bouche la bonne quantité. Elle mâche, me fixant de son regard plein de reconnaissance. << Vous vous occupez tellement bien de moi mon doux "Maître" ! >> lance t-elle après avoir avalé. Ce n'est pas toujours de la tartine que je lui mets en bouche. C'est ma bite juteuse. Clémentine, authentique "Soumise", vit là un des plaisirs fous dont elle raffole. Affamée.

Je mange en l'observant mâcher. Je me relève à chaque fois pour lui donner une nouvelle bouchée. C'est étrange repas terminé, je l'entraîne au salon. Je détache enfin ses mains. J'ordonne : << Retirez votre culotte. À quatre pattes ! >>. Je la tire ainsi à la laisse pour faire trois fois le tour de la grande pièce. À chaque con de meuble, Clémentine lève la patte. Quelle n'est pas mon affolante surprise quand elle lève la cuisse au-dessus de la bassine à côté du canapé. Pour y pisser. Il en gicle à côté. Je m'accroupis devant elle en la tenant par ses cheveux. Je murmure : << Ma merveilleuse salope ! >>. Je passe derrière elle pour introduire mon sexe en levrette. Je la baise dans nos cris communs. Je me comporte en mâle "Alpha". Comme le dernier des salauds.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui ressentaient le besoin après ces vacances et cette rentrée universitaire d'être sérieusement reprises en main...

Julien ("Maître" pour de semblant)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 33 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2379 -



Estelle veut sa "séance"

Hier matin, jeudi, l'application "forêt", nous arrache de nos profonds sommeils. Même si le bruit d'une source au fond des bois, le gazouillis des oiseaux, reste le plus délicat des réveils, c'est un petit traumatisme. << Julien, bobo ! >> chuchote Clémentine qui s'est déjà levée cette nuit. << Mes petits machins", avec un jour de retard ! >> rajoute t-elle. Je passe ma main dans sa culotte pour masser son bas ventre. Je pose mes lèvres sur la pointe dure de chacun de ses seins. À travers le tissu de son T-shirt de nuit, j'insuffle de l'air chaud. C'est la thérapie du docteur Julien. Qui succède à celle de "Maître" Julien. Clémentine tire sa boîte de médicaments de la table de nuit. Je la laisse aux toilettes toute seule pour aller à la salle de bain, enfiler mes vêtements de gym. Elle m'y rejoint.

C'est à mon tour d'aller pisser. Clémentine me la tient pour en diriger les jets. Vêtue comme moi. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café en affirmant que le médicament commence à agir. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Les quatre tranches expulsées du grille pain dans un bruit de ressort qui nous fait rire. << C'est qu'il déconnerait déjà au bout d'une année ? >> lance Clémentine qui pose sa main sur ma bosse pour rajouter : << Tu es hyper sexy dans ton short de lycra ! >>. Je passe ma main entre ses cuisses pour répondre : << Toi aussi ! >>. Un bisou. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur le planning de Clémentine. Elle sera libre tous les mercredis. Elle se réjouit. Même s'il faut travailler, nous serons ensemble dans l'atelier.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant le programme du week-end. La fête de l'automne, sur les quais du port de plaisance est tous les ans une belle attraction. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure de gymnastique. Échauffement avec quelques flexions. Jogging sur les tapis roulants. Exercices au sol. Passés les deux premiers mouvements, les abdominaux restent une excellente façon de calmer les congestions contraignantes de Clémentine. Les charges additionnelles sont redoutables aujourd'hui encore. Le retour au calme d'étirements trop rapides par manque de temps. Nous courons dans la salle de bain en riant. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto du garage. Il est presque 7 h45. Il pleut. Le jour s'est levé sous un ciel sinistre, gris et bas.

Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Habillée d'un Levis, d'une chemisier crème sous sa veste noire. Des mocassins noirs. Un denier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je rentre très vite pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier je retrouve mes calques. Je termine aujourd'hui le dessin des six paysages. D'après des photos prises il y a des années, lors de mes randonnées ou promenades. La matinée passe très vite. Concentré sur mon travail je n'ai pas vraiment la perception du temps. Quand je commence à avoir faim, il n'est pas loin de midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Pour ce soir, la surprise que je réserve, sera des beignets de crevettes avec des pommes de terre chips.

Je fais gonfler du riz complet pour mon repas de midi. Un filet de lieu noir à la poêle. Je fais l'assaisonnement d'une belle laitue dont je lave chaque feuille. Ainsi elle sera prête pour ce soir. Je prépare une pâte à crêpe. Onctueuse à souhait. Légèrement épaisse. J'épluche, je lave et je coupe des pommes de terre en fines lamelles. Je mange de bon appétit avant de reprendre mes préparatifs. J'écoute Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde les sujets les plus brûlants de l'actualité. Comme Sud Radio est une station n'appartenant à aucun groupe de presse privés, l'information n'y est pas tronquée, falsifiée, calibrée et formatée pour s'adresser à des incultes, des décérébrés ou encore à des imbéciles naïfs. Ce sont autant de tranches de vérités crues et sanglantes. Indépendance.

Je reprends mes préparations. Dans la poêle je fais revenir des crevettes. Puis dans l'huile je fais frire les fines tranches de pommes de terre en les retournant sans arrêt. Dorées, je les dispose sur du papier absorbant. Ainsi le surplus de graisse disparaît. J'en fais en grande quantité. Pour réchauffer demain. Tout est prêt. La pâte à crêpe repose dans un saladier, sous un couvercle. Les crevettes dans un autre récipient couvert. Les pommes de terre chips sur un des grands plateaux du four. La vaisselle. Je monte me laver les dents. En regardant par une des fenêtres de la salle de bain, j'ai une vue lointaine. Il pleut. C'est un temps morose. Pressé d'aller me dégourdir un peu les jambes, je chausse mes bottes en caoutchouc. C'est sous le parapluie que je descends à la rivière.

Il fait étrangement doux malgré la météo. Le thermomètre extérieur indique 20°. Il est quatorze heures quand je suis confortablement installé devant le chevalet de table. Je m'abstrais dans mon dessin figuratif et réaliste. Sans voir défiler les heures. Il est dix sept heures quand je termine. Je classe et range mes calques dans les archives. Dès lundi je commence la peinture de la première scène de genre à trois personnages. Demain matin je procède aux couches d'impression. Une suspension de pigments "terre de Sienne" dans une résine d'acrylate. Ce qui permet d'harmoniser les couches supérieures à l'huile. Du bruit. Il est dix sept heures trente. Clémentine jette son cartable dans le fauteuil à bascule. Elle se précipite pour me sauter au cou. Je la soulève. Des bisous.

C'est la thérapie du docteur Julien que j'applique tout d'abord. Tout en massant le bas ventre de Clémentine qui a déboutonné son 501, j'insuffle de l'air chaud sur l'extrémité douloureuse de ses seins. Malgré ses règles, ses seins restent petits. Mais durs. << Merci docteur. Je pourrais avoir de votre sirop ? >> lance Clémentine en se blottissant dans mes bras. Nous en rions de bon cœur quand elle rajoute : << Je vous promets de respecter la posologie. Juste mes trois gouttes ! >>. Elle s'accroupit. De la braguette boutons de mon 501 toujours ouverte, elle extirpe mon sexe. Je bande mou. Elle le hume longuement en gémissant de satisfaction. Je l'aide à se redresser. Inutile d'attraper une crampe en prenant son sirop. Je l'assois sur une chaise, mais à l'envers.

Le dossier entre ses cuisses écartées. Je m'avance en disant : << Votre sirop mademoiselle ! >>. Je me fais rapidement tailler une pipe des familles. Je caresse ses cheveux, sa tête. Quelquefois j'appuie sur sa nuque pour enfoncer un peu plus de bite. Je me penche pour murmurer : << Vous ne respectez pas les doses ma chère patiente ! >>. Sans cesser de sucer comme une affamée, Clémentine glousse en riant. Je la tiens par ses oreilles en bougeant doucement dans un lent mouvement masturbatoire. J'entends les gargouillis. Ce bruit bulleux d'une noble fellation de qualité supérieure. Du bruit. Estelle ouvre la porte de l'atelier. En découvrant le spectacle elle se précipite. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande encore plus fort dans la bouche gourmande de ma suceuse.

<< À midi, au restaurant universitaire, Clémentine m'a raconté sa séance de dressage. Tu me fais pareil ce soir ? >> demande Estelle en passant un bras autour de ma taille, penchée en avant pour regarder Clémentine se délecter. Je réponds : << Ma chère "Soumise", je vais m'occuper de votre cas dès la fin du repas ! >>. En gloussant de satisfaction elle me roule une pelle d'enfer. Nos salives trempent le bas de nos visages. Je pourrais éjaculer tellement le moment est jouissif. Nous entendons le bruit bulleux du foutre. Nous regardins Clémentine cesser de pomper à intervalles réguliers pour tenter de déglutir l'abondance du jus de mes couilles. Je l'attrape par ses cheveux que je réunis en queue. Je retire ma bite de sa cavité buccale. De longs filaments de foutre épais et visqueux.

<< Put-hein, j'en veux aussi ! >> s'exclame Estelle en trépignant. Je force Clémentine à se lever. Le bas de son visage trempé de jute. Elle ouvre la bouche pour me montrer ce qu'elle aime garder longuement mélangé à sa salive. Je tiens également Estelle par ses cheveux. Pour l'empêcher de s'assoir, prendre la place de Clémentine. Je dis : << La bouffe d'abord ! >>. En les tenant toutes les deux par la tignasse, je les emmène vers la porte. Elles marchent penchées en avant, courbées par la poigne ferme que j'exerce en les tirant. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je les lâche. Elles me couvrent les joues de bisous. Quand mes deux anges découvrent la surprise du repas, elles s'accrochent à moi pour des effusions de tendresses qui me donnent le tournis. Les préparations.

Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Estelle met les assiettes, les couverts. Je fais monter l'huile à ébullition dans la friteuse électrique. Je verse les crevettes dans la pâte à crêpe en remuant pour rendre l'ensemble homogène. << Tout ce qui est homo me gêne ! >> lance Estelle en glissant sa main sous mon tablier pour saisir ma queue. Nous en rions de bon cœur. Avec une cuillère à soupe, Estelle récupère les crevettes dans la pâte pour les mettre délicatement dans l'huile bouillante. Au bout d'une minute un magnifique beignet doré flotte à la surface. Avec un écumoire, Clémentine récupère chacun d'entre eux pour le poser sur des feuilles de papier absorbant. La cuisine embaume de cette friture délicate. Les pommes de terre chips réchauffent dans le four.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme des festivités de la soirée. Clémentine a raconté nos jeux à Estelle durant leur repas au restaurant universitaire. Ce qui motive furieusement Estelle à vivre les mêmes émotions. Dès le repas terminé, les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle, nous quittons la cuisine pour le salon. Sur le bureau il y a encore le collier canin, la laisse et la paire de menottes. Je passe le collier autour du cou d'Estelle qui glousse de plaisir, bien droite et fière. En me fixant dans les yeux de son regard plein de reconnaissance. Je fixe la laisse. Je donne quelques à coups. Estelle n'a pas véritablement le caracatère d'une "Soumise". Elle serait plutôt "Dominatrice". Mais le jeu la comble tout autant car je ne suis pas un vrai "Maître".

Aucune cruauté dans mes "dressages". Je n'en ai ni l'âme ni la fibre. Estelle se tourne pour me présenter ses mains que j'attache avec les menottes. Clémentine, considérablement excitée, reste à distance pour observer. Sa main droite dans la braguette déboutonnée de son Levis. J'entraîne Estelle en la tirant par la laisse. S'il ne pleuvait pas, si la nuit n'était pas déjà tombée, c'est dehors que je l'emmènerais. Je déboutonne son 501. Comme il est serré, même ouvert il ne risque pas de tomber. Je glisse ma main pour tripoter vulgairement son intimité. J'adore quand elle me regarde avec sévérité. Cet expression de reproche toute feinte et faisant partie du jeu. J'enfonce un doigt. J'aime ce réflexe féminin. Le spasme qui secoue tout son corps. Clémentine tourne autour de nous.

Tout en se masturbant elle assiste à cette scène excitante. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste une heure trente de pur plaisir. Je la fais s'assoir sur la chaise. Le dossier entre ses cuisses écartées. Je frotte mon chibre sur son visage en maintenant fermement sa nuque. Afin qu'elle ne puisse pas se soustraire aux saloperies que je lui réserve. Elle refuse obstinément d'ouvrir la bouche sur laquelle je frotte ma bite qui ruisselle de liquide séminal. J'utilise alors le moyen le plus imparable. Pour pouvoir respirer, Estelle n'aura d'autres choix que d'ouvrir la bouche. Je pince son nez alors qu'elle tente de m'en empêcher en tournant la tête. De la main droite je la maintiens fermement par ses cheveux. Des doigts de la main gauche je pince ses narines. Dans un cri elle ouvre la bouche.

Je lâche son nez pour lui fourrer la queue dans la gueule. J'enfonce bien en appuyant sur sa nuque. Nous percevons les gémissements de plaisir de Clémentine qui se masturbe. Son sexe contre le coin du bureau sur le quel elle se frotte, une main dans son pantalon. Elle est couverte de sueur. Je me fais pomper le dard comme le dernier des pervers. Estelle, manquant de s'étouffer, toussant, a du foutre qui lui coule des narines. Elle fait d'horribles grimaces lorsque je la lâche enfin pour reprendre immédiatement. Ce jeu me permet de garder mes esprits tout en bandant comme le dernier des salauds. Il me suffit alors de me concentrer. Je lâche un jet de pisse au fond de sa gorge. Estelle, manquant de se noyer, tousse. C'est de la pisse qui coule de ses narines. Elle en râle de dégout.

Je pisse toutefois dans la cuvette de plastique bleu habituellement destinée aux orgasmes pisseux de Clémentine. Je ne veux pas mouiller Estelle. Je me fais tailler une pipe des familles. Alternant caresses délicates et comportement de pervers. Estelle, le visage trempé de pisse, de jute et de sueur, pousse des gémissements, des râles, des petits cris d'animal blessé. Je la maintiens par les oreilles. En poussant un hurlement de sauvage, j'éjacule au fond de sa gorge. Une larme tombe de son œil droit. Je la maintiens fermement pour bien vider mes couilles. Je pousse de véritables beuglements. Clémentine pousse un cri. Son orgasme la fait tomber au sol, sur le côté, ses mains entre ses cuisses. Il faut reprendre nos esprits. J'essuie le visage d'Estelle. Toute ravie. Des bisous.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont encore se faire sucer un peu le clitoris sous la couette. Avant de plonger dans les profondeurs du sommeil...

Maître Julien...



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Le vendredi Clémentine termine à midi

Le gazouillis des oiseaux résonne d'une bien étrange façon dans cette mystérieuse forêt. Avec en fond le bruit de cette source qui s'écoule nonchalamment. C'est l'application "forêt" qui nous réveille ainsi. De la plus délicate des manières. Il est 5 h55. Clémentine, en gémissant, se tourne pour se blottir tout contre moi. Pas une minute à consacrer à de quelconques effusions de tendresse. De rapides papouilles, des bisous et nous nous levons. Je laisse Clémentine aller aux toilettes la première pendant que je revêt ma tenue de sport dans la salle de bain. Elle vient m'y rejoindre pour passer les mêmes habits. C'est le second jour de ses "petits machins" et ça se passe plutôt mieux. Elle m'entraîne aux WC. Me tenant la bite pour en diriger les jets, elle s'amuse. Euphorie du vendredi.

Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'aime quand Clémentine est un peu déconneuse le matin. Elle fait le café en chantonnant. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Dans une sorte de bruit de ressort, le grille pain éjecte ses quatre tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos séances de "dressage". Ce ne sont que des jeux. Même si Clémentine est aussi authentiquement "Soumise" qu'exhibitionniste, pour moi ce n'est qu'un rôle à interpréter. Je n'ai absolument pas l'âme d'un "Maître". Mais je me débrouille plutôt bien.Nous mangeons de bon appétit en nous promettant un samedi plein d'initiatives dans ce domaine. Il est presque 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à une bonne heure d'entraînement. Ce qui nous transformera en "guerriers".

Les échauffements nécessaires avant le jogging sur tapis roulant. Les exercices au sol, pompes, abdos qui soulagent agréablement les congestions du bas ventre de Clémentine. Les charges additionnelles. Les étirements d'un retour au calme trop rapide par manque de temps. La douche. Je descends le premier pour aller préparer la voiture. Le jour s'est levé sous un ciel lourd et sinistre. Les pluies de la nuit ont tout détrempé. Il est presque 7 h45. La température à chuté pour atteindre les 13°. Clémentine vient me rejoindre dans un de ses Levis, un sweat sous son nouveau blouson ramené d'Écosse. Ses bottines. Un foulard de soie autour du cou. Comme elle est belle ! Je la félicite une fois encore pour ses gouts et son élégance aristocratique. Un dernier bisou. Je la regarde partir.

Un dernier coucou et je me dépêche de retourner au chaud. Car dans la maison la température reste très appréciable, à 21°. Sans chauffage. L'accumulation des chaleurs des dernières semaines. Je fais la vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. Je prépare immédiatement les pigments de terre de Sienne en suspensions dans la résine d'acrylate. Huit toiles posées au sol sur la bâche. Je procède à l'application des couches d'impression. Deux. Croisées. Sur chacune des surfaces. Le dessin préparatoire transparaît clairement au séchage très rapide. Je procède ainsi pour la seconde série de seulement six toiles. Dès ce lundi je pourrai me consacrer exclusivement à la peinture. Ce travail d'apprêts m'emmène rapidement aux environs de midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine.

Il suffit de réchauffer les beignets et les pommes de terre chips. Pendant que je fais l'assaisonnement d'une salade de concombre. Il est midi trente quand Clémentine rentre de cours. Souriante, me sautant au cou. Je la soulève pour l'emmener aux toilettes. Elle me couvre le visage de bises. Elle se lave les mains. Je la laisse seule pour ses affaires intimes. Clémentine me rejoint dans la cuisine alors que je termine de placer les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << Je dois t'embrasser très fort de la part d'Estelle que tu as ravie dans ton interprétation de "Maître" ! >> rajoute t-elle. Nous en rions de bon cœur. Nous ne traînons pas. Clémentine a fixé rendez-vous à monsieur Bertrand pour 13 h45. Notre voisin retraité.

Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pressée d'aller à son rendez-vous, Clémentine m'entraîne par la main. Nous dévalons les escaliers pour nous retrouver dehors. La température est à présent de 23°. Beaucoup plus agréable. Le ciel reste couvert. Nous traversons le jardin. La maison d'amis est accueillante. Pas trop de poussière depuis le passage de Julie qui a fait le ménage avant notre retour d'Écosse. Clémentine monte à l'étage préparer le café et les petits gâteaux secs. J'aménage ma planque dans le dernier placard. Là où il y a les balais, les seaux et l'aspirateur. Je dispose des couvertures pliées au sol afin de pouvoir me mouvoir sans bruit. Par la petite grille d'aération, qui évoque un gloryhole, la vue est quasi parfaite.

Je m'y cache quand Clémentine redescend avec le plateau qu'elle dépose sur la table basse. Entre les deux canapés. << T'es où ? >> s'écrie t-elle. Je reste silencieux avec ma bite dans la main. Quand elle ouvre la porte du placard, qu'elle me découvre ainsi, elle éclate de rire. Elle s'accroupit en disant : << Donne-la moi un peu ! >>. Je bande rapidement à la simple idée de ce qui nous attend. Trois coups contre la porte. Clémentine cesse de sucer pour se redresser comme mue sur un ressort. Elle ferme précipitamment la porte du placard. Je colle mon œil contre l'ouverture circulaire qui doit faire quatre centimètres. Clémentine accueille notre voisin. << Il est où ton cocu ? >> demande t-il en lui mettant sa main entre les cuisses. Elle répond : << Dans son atelier ! >>

C'est toujours une émotion très particulière qui m'envahit quand je vois Clémentine se livrer à un autre. Ce n'est pas la première fois avec notre voisin. Mais c'est tout pareil. Je me branle doucement. Je contrôle ma respiration. Je dois rester totalement silencieux. Clémentine repousse les ardeurs manuelles de Louis pour l'inviter à s'installer dans le canapé. En montrant celui qui me fait face. En ouvrant la braguette de son vieux pantalon de velours brun, le vieux salopard dit : << Je n'ai pas beaucoup de temps à te consacrer ma grande ! >>. Il sors son sexe minuscule pour l'agiter avec la vulgarité dont il est coutumier. << Tu viens te régaler ! >> rajoute l'ignoble vicelard. Monsieur Bertrand est un retraité qui a fêté ses 68 ans le 16 septembre. C'est un peu sa fellation d'anniversaire.

Clémentine passe entre la table basse et le canapé pour se mettre à genoux entre les jambes du vieux dégueulasse. Je ne peux la voir que de dos. Mais rien ne m'excite davantage que de deviner les choses. De devoir faire fonctionner mon imaginaire pour comprendre ce qui se passe. Louis saisit Clémentine par son catogan. Le salaud reste immobile. Il observe sa suceuse. Elle aussi, immobile, qui doit probablement pomper avec délectation. Elle se réjouissait tant pour retrouver la petite bite toujours molle de ce vieil incontinent vicieux. Elle nous en parlait parfois lors de nos vacances. Ce qui dégoûtait quelque peu Estelle qui concluait invariablement par << Ça ne te donne pas la gerbe ? >>. Monsieur Bertrand se lève péniblement du canapé où il est vautré. Dans un râle.

Debout, il tient Clémentine par ses cheveux. Il se penche pour dire : << Tu le suces tous les jours ton cocu ? >>. Clémentine cesse de pomper. Je vois le long filament de foutre jaunâtre qui relie sa bouche à la queue de Louis. Elle répond : << Tous les jours. On aime trop ça ! >>. Le saligaud demande : << Et tu en suces d'autres ? >>. Clémentine répond : << Oui, bien sûr. J'aime trop ça ! >>. Elle reprend sa pipe alors que le vieil enfoiré lance : << Salope ! >>. Je distingue enfin comment procède Clémentine. Cette petite queue reste molle. Totalement enfoncée dans sa bouche. Elle me raconte souvent ce qui se passe quand elle taille une pipe à ce salopard. Une montée de jute permanente. De la pisse aussi. Parce que c'est soudain plus fluide et le gout change.

Je l'entends distinctement gémir de plaisir. Accrochée au pantalon de Louis, bouffant sa bite avec passion. Il retombe dans le canapé en poussant un rugissement. Il éjacule probablement. Clémentine, avec une sorte de fougue passionnée, suce. Luttant contre la poigne de Louis qui veut sortir sa queue de cette bouche gourmande. << Mais tu es une sacrée salope ma grande. Je dois absolument partir. J'ai plein de trucs à faire ! >> s'écrie t-il en tirant fermement Clémentine par ses cheveux. Il se lève pour se sauver en remballant, remontant la tirette de sa braguette. Clémentine se lève. Pose le coussin sur le canapé pour accompagner Louis jusqu'à la porte. << J'adore tes pipes ma grande. Je reviens bientôt. Pas un mot à ton cocu ! >> lance t-il avant de filer.

Clémentine, la bouche encore ruisselante des substances du vieil escogriffe, vient ouvrir la porte du placard pour me libérer. Je suis trempé de sueur. Elle ouvre la bouche pour me montrer l'incroyable quantité de foutre qu'elle laisse se mélanger à sa salive. Je me masturbe en la regardant lever ses deux pouces en déglutissant. << Absolument dégueulasse ! >> s'écrie t-elle en faisant une horrible grimace. << Comme j'aime ! >> rajoute t-elle en s'accroupissant. C'est mon sexe qu'elle prend en bouche. Je me fait tailler une pipe des familles. Pris de vertige je suis obligé de me tenir à la porte du placard. Sur la table basse les tasses de café, les petits gâteaux auxquels personne n'a touché. J'entends les gargouillis de la pipe passionnée que me prodigue mon assoiffée de sperme.

Moi aussi je saisis ses cheveux pour retirer ma bite de sa bouche. Elle lève la tête, me fixe d'un regard interrogateur. Je me penche pour lui cracher au visage. << Vous êtes tellement compréhensif avec moi mon bon "Maître" ! >> s'exclame t-elle pleine de reconnaissance. Il est presque 14 h45. Nous devons aller en ville. Récupérer des livres commandés à la FNAC. J'aide Clémentine à se redresser. C'est en la tenant par la nuque que je l'entraîne. Je m'assure d'abord que notre voisin n'est pas resté dans les parages. Avec un tel pourri, il vaut mieux se méfier. Personne. Je remballe mon érection avec difficulté. C'est étroit la braguette bouton d'un 501. Nous traversons le jardin rapidement en restant sur les dalles de grès car tout est détrempé. Nous enfilons nos blousons.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Me suce quelques instants. Se redresse. Me donne ses impressions quand à la fellation offerte à monsieur Bertrand. Je pose des questions auxquelles elle répond avec quantité de détails. Se faisant un plaisir de venir récupérer les coulées de liquide séminal que ses aveux me procurent. Il y a une vingtaine de kilomètres jusque dans la ruelle où je gare l'auto. Accrochée à mon bras, Clémentine me confie ses impressions. Ce gout de foutre persistant qu'elle garde en bouche. J'esquive les bises qu'elle veut me faire. Ça me dégoute. Ce n'est pas seulement l'odeur de ma queue. Ce qui la fait rire aux éclats. Nous arrivons à la FNAC. C'est vendredi après-midi. Il y a du monde. Principalement des étudiants qui récupèrent leurs commandes.

Clémentine, considérablement excitée, me montre le type seul qui feuillette un bouquin. Elle murmure : << Attends là. C'est la "victime" idéale ! >>. Elle tourne autour du rayon. Le quidam ne prête aucune attention à la jeune fille qui vient feuilleter un ouvrage à proximité. Je circule comme le ferait n'importe quel client. Avec la différence que je me délecte des manœuvres d'approches de Clémentine. Tout en tournant les pages de son livre de la main gauche, elle se touche de la main droite. Ce qui échappe à toute possibilité de surveillance. Même des caméras fixées dans les coins. Par contre notre inconnu se rend enfin compte de ce qui se passe à un mètre à peine sur sa gauche. Il tourne plusieurs fois la tête pour bien se convaincre qu'il ne rêve pas. Non, tout cela est bien réel.

Hélas, la venue d'une jeune femme vient mettre un terme à cette situation hautement bandante. Probablement la compagne de ce monsieur très élégant. Sans doute un couple de professeurs. Ils s'en vont. Clémentine vient me rejoindre. Un peu déçue car dans son état d'hyper excitation elle voulait monter d'un cran la gradation de sa libido. Nous récupérons les quatre livres commandés avant de quitter la grande librairie. En dessous c'est le magasin Darty où nous faisons un petit tour. Surtout à la recherche d'une opportunité d'exhibe. Hélas, aucune. Je porte le sachet avec les bouquins. Pas trop lourd. Nous flânons dans les rues piétonnes. Je propose de nous offrir un bon restaurant. Clémentine préfère rentrer. Elle a trop envie d'une nouvelle séance de "dressage".

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont se faire menotter après le repas. Se faire tirer à la laisse pour des tours de salon à quatre pattes. Qui vont se faire sucer le clitoris. Sucer de la bite. Se faire juter une nouvelle fois au fond de la gorge, attachée sur une chaise. Délicieusement tourmentées.

Julien ( tourmenteur à grosse queue)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 35 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2381 -



Le premier samedi de l'automne

Il est un peu plus de sept heures trente quand Clémentine se tourne. En gémissant, elle se serre contre moi. C'est aujourd'hui, samedi, le premier jour de l'automne. << Ces enfoirés vont bientôt nous imposer leur connerie de changement d'heure ! >> dit elle en saisissant ma tumescence. Nous en rions de bon cœur. Quelle belle surprise. Il y a le retour du soleil et le ciel est déjà bleu. C'est le troisième jour de ses règles et Clémentine me confie que cette fois tout s'est bien passé. En lieu et place des douleurs presque habituelles, ce n'étaient que désagréables congestions et parfois des crampes. << Des trucs inexplicables qui se passent dans mon ventre ! >> fait elle en se couchant sur moi. Frottant son sexe sur le mien, elle mitraille mon visage de bisous. Tendresse.

Nous nous levons. Clémentine coure aux toilettes. Dans la salle de bain je m'habille de mon legging de lycra noir, de mon sweat de lycra rouge. Clémentine me rejoint pour se vêtir de la même façon. Elle m'entraîne d'abord aux WC. Me tenant la bite pour en diriger les jets elle me remercie pour ce qui s'est passé vendredi, en début d'après-midi, avec notre voisin. << Sans toi, tant de choses ne seraient pas réalisables. Personne ne pourra jamais me comprendre comme tu le fais ! >> rajoute t-elle en secouant les dernières gouttes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine s'occupe du café en continuant d'évoquer la fellation prodiguée à monsieur Bertrand. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant, amusé. Très intéressant.

Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le vague programme du week-end. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Julie qui ne donne plus aucune nouvelle. << Elle est toute à sa rentrée universitaire et à ses problèmes existentiels avec son mec ! >> suppose probablement avec justesse Clémentine. Nous ne traînons pas. Une rapide vaisselle. Quelques pompes dans le hall d'entrée. Abdos à même la carrelage. Ce qui est éprouvant pour la colonne vertébrale. Des flexions avant de sortir. La température extérieure n'est que de 16°. Mais c'est dans cette agréable fraîcheur que nous courons en restant sur le bord de l'étroite route communale absolument déserte. Notre running nous emmène le long de ce circuit qui évite de jogger dans la boue. Mais sur le macadam sec.

Il est neuf heures dix quand nous revenons, enchantés par cet entraînement. La douche. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Assise devant l'un des miroirs, elle me raconte quelques amusantes anecdotes universitaires. Son maître de thèse, qui va piloter cette préparation au Doctorat, est en charge du groupe de huit étudiants dont elle fait partie. Alban est un jeune professeur de 35 ans qui exerce avec un sérieux et une disponibilité remarquable. Souvent, durant nos vacances j'ai entendu Estelle et Clémentine parler de ses compétences, de ses connaissances et de ses méthodes. Je partage les longs cheveux presque noirs en trois parties égales. Je fais une belle tresse, régulière qui pend jusqu'au milieu de son dos.

Je passe le petit miroir tout autour de sa tête pour lui montrer la perfection de ma réalisation. Elle m'attrape les poignets en s'écriant : << C'est magnifique ! >>. La nuque d'une femme exerce sur ma psyché de délicieux tourments. Les racines de ses cheveux, les toutes petites pousses anarchiques. L'arrière des oreilles. J'ai l'envie folle d'y passer ma langue. Je me contente d'y déposer mes lèvres. << Mmmhh ! J'adore tout ce que tu me fais. Je t'aime Julien ! >> murmure t-elle. Nous sommes tous deux vêtus de nos Levis. De nos chemises à carreaux, baskets. Clémentine passe ses bras autour de mon cou. Elle me fixe longuement, silencieuse. Je me sens "fouillé" jusqu'au plus profond de moi-même. << Merci d'exister mon amour ! >> lâche t-elle dans un souffle.

Nous changeons les draps du lit, faisons la chambre. Il est grand temps de descendre. Nos livraisons ne vont pas tarder. Les draps dans la machine avec du linge de maison. Serviettes, gants de bain, peignoirs. La buanderie, dans la cave, sent bon la lessive. C'est par l'escalier extérieur que nous sortons. Juste avant de contourner la maison, Clémentine s'accroupit devant moi. Elle déboutonne la braguette de mon 501. Elle ajuste mon sexe juste au-dessus de l'élastique du slip blanc. Elle contrôle deux fois plutôt qu'une en riant. Cette manière de procéder est judicieuse. Au moindre mouvement un peu brusque, mon chibre jaillira alors comme un diable de sa boîte. Nous en rions de bon cœur. Clémentine prend ma main pour m'entraîner. Toute contente. Nous traversons le jardin.

Il fait bien meilleur. Le soleil, généreux, illumine le paysage depuis un ciel sans nuages. Le portail est ouvert. Voilà la camionnette Mercedes blanche qui descend lentement le chemin pavé pour venir se garer devant le garage. Danièle, souriante, rayonnante, en saute. Vêtue d'un simple jeans, d'un T-shirt elle touche nos poings du sien. Ses cheveux auburns, coupés courts, lui confère ce côté "garçonne". Dynamique, femme d'entreprise, Danièle est également pleine d'humour. Je la trouve belle encore ce matin. Sous la lumière presque impudique du soleil, je distingue les taches de rousseurs sur son nez, ses pommettes. Elle est hyper craquante. Elle jette un rapide coup d'œil, comme pour s'assurer que ma braguette est bien ouverte. Oui. Elle m'adresse alors un sourire complice.

Elle contourne son véhicule pour en ouvrir les portes arrières. Clémentine ne lâche pas ma main. Elle me fait un discret clin d'œil. Danièle tire le premier cageot. Il contient les fruits et les légumes. Je le saisis. Bon sang ! Comment fait cette jeune femme, plutôt gracile, pour soulever un tel poids avec tant d'aisance. Bien évidement, lorsque j'attrape la cageot avant de le poser sur le banc en pierre, je fais un mouvement brusque. Je sens ma queue comme propulsée hors de mon slip. J'éprouve soudain de la gêne. C'est alors Danièle qui m'adresse un rapide clin d'œil. Complice. Elle attend cet instant. J'attrape le second cageot. Il contient les fromages, les yaourts, la motte de beurre, les pots de crème fraîche et de fromage blanc. Les œufs. Ma bite à l'air, sous la douceur du soleil.

<< Voilà qui est parfait ! >> lance Danièle en me présentant le terminal. J'y introduis la carte bancaire en précisant : << Même commande pour samedi prochain ! >>. Danièle reste les yeux rivés sur ma queue qui commence à se raidir. Elle dit : << En espérant qu'il fasse beau. Il y a des spectacles que je n'aimerais pas manquer ! >>. Malicieuse, riant avec nous, elle s'installe au volant. Démarre. Nous la regardons faire les manœuvres du demi tour. Cette fois, prenant mon courage dans la main droite, je l'agite dans sa direction. Clémentine passe son bras autour de ma taille. Nous faisons de grands coucous. Danièle lève le pouce de sa main gauche tendue par la vitre baissée. Elle crie : << Trop bien ! Génial ! À samedi prochain ! >>. Nous la regardons partir.

J'ai un peu honte. Comme à chaque fois. Clémentine me félicite. << J'adore quand tu fais ton satyre devant d'autres salopes ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je remballe toutefois très vite. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère. Pas de ça avec cette brave dame. Hilare au volant, elle gare sa camionnette au même endroit. Malgré sa corpulence, l'agilité avec laquelle elle saute de son véhicule nous laisse sans voix. Madame Marthe a toujours une ou deux anecdotes concernant la vie du bourg. Nous rions souvent aux éclats car sa façon de raconter est tellement drôle. Elle ouvre la porte coulissante dans un affreux bruit de tôle. J'attrape le cageot contenant les deux grosses miches de pain, les pâtes feuilletées, l'énorme brioche. Les bouchées à la reine.

Ce cadeau que nous fait toujours la boulangère avec deux magnifiques croissants aux amandes. Carte dans le terminal que me tend la dame. Même commande pour samedi prochain. Le tube Citroën remonte. Un premier voyage avec les cageots "Danièle". Un second voyage pour venir récupérer le cageot "Marthe". Nous disposons soigneusement les fruits et les légumes sur les étagères en bois du cellier. Il fait toujours bien frais dans la cave. Même sous la canicule. Du congélateur d'où je tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois, je place une des miches de pain complet et bio et une des deux pâtes feuilletées. Nous remontons par l'escalier intérieur pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Clémentine me sort la queue en riant.

<< J'ai la bite d'un vicieux pour moi toute seule ! >> lance t-elle en s'accroupissant pour la humer, la scruter. Avec l'excitation de l'exhibe "Danièle", il suffit d'essorer la peau fripée de mon prépuce pour en faire jaillir une perle opalescente de liquide séminal. Du bout de la langue Clémentine lape pour l'attraper en virtuose. Elle décalotte légèrement pour faire apparaître le méat. Elle y pose ses lèvres pour aspirer. << Mmhh ! >> s'écrie t-elle en se retirant. << Délicieusement salé ce matin ! >> rajoute t-elle en se redressant. << Si je commence, je ne m'arrête plus ! >> se justifie t-elle en me tirant par le Zob jusqu'au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Elle surfe d'abord sur le site universitaire. Il n'y a aucune informations particulières.

Deux courriels. Celui de Juliette qui nous rassure quand à sa venue mercredi prochain. Précisant qu'elle emmènera le dessert. Le message d'Estelle, impatiente de nous retrouver vers 13 h30. Précisant qu'elle emmènera son vélo. Il est presque onze heures. Un peu de ménage n'est pas un luxe. Jadis, il y avait quelqu'un qui venait s'en occuper. Puis, depuis trois ans, c'était Julie. Je songe sérieusement à trouver quelqu'un pour le samedi matin. Tous les deux, Clémentine avec l'aspirateur, moi avec un plumeau et un chiffon, nous faisons la rapide poussière. Tout est propre, rangé et nickel dans notre grande demeure. Mais il est impossible de tout ordonner en seulement trois quart d'heure. Il commence à faire faim. Nous nous précipitons dans la cuisine. Ce sera très rapide.

Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue dont elle lave chaque feuille. Je prépare le bouillon pour y verser les moules. Dans le wok je verse les haricots verts et les petits pois encore congelés. Comme les moules de bouchot dont je vide le paquet dans l'eau bouillante. C'est une préparation facile pour un repas simple. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le projet vélo de l'après-midi. Il fait tellement beau. C'est crucial de profiter de tous ces derniers cadeaux d'une fin de belle saison. Nous traînons à table. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur la pipe qu'elle a faite à Louis. << Tu ne m'en veux jamais d'être tellement salope, tellement vicieuse ? >> me demande t-elle une fois encore. J'écoute amusé. Elle le demande si souvent.

Je la rassure avec la même formule : << Je ne peux vivre qu'avec une salope. Vivre avec une femme qui ne le serait pas serait d'un ennui mortel. Aussi c'est moi qui te remercie pour tous ces moments complices ! >>. Clémentine mitraille mon visage de bisous en lançant plein de << Je t'aime ! >>. Nous avons presque trente ans de différences. Il serait stupide de ma part de ne pas permettre à une jeune fille de la seconder. De lui permettre de vivre touts les choses de son âge. De l'encourager à réaliser le moindre de ses fantasmes. Clémentine m'en est infiniment reconnaissante. Quand elle conclue : << Je t'en suis redevable ! >>, je réponds : << Pas autant que moi tu sais. Tu fais de chaque instant de ma vie un enchantement paradisiaque ! >>. Nous débarrassons.

Les assiettes, les couverts dans le lave vaisselle. C'est en courant et en riant comme des fous que nous remontons nous laver les dents. De l'écume de crème dentifrice aux coins des lèvres, Clémentine mime une pipe. Prononçant péniblement : << A ite à ouis ! >>. Nous rigolons comme des bossus quand je traduis : << La bite à Louis ! >>. La porte s'ouvre soudain. << Alors on fait les clowns sans moi, bande d'égoïstes ! >> lance Estelle en posant son grand sac de sport sur le tabouret. À peine nos bouches essuyées, nous nous serrons tous les trois. C'est tellement merveilleux de nous retrouver. En sortant son pyjama, une culotte et une paire ce chaussettes de son sac, Estelle nous raconte son vendredi. La confection des confitures avec sa maman. Sa soirée à monter le film.

Nous nous changeons pour enfiler nos tenues vélos. Jupettes de lycra noir et T-shirts de lycra blanc pour mes deux anges. Short de lycra noir et T-shirt de lycra blanc pour moi. Estelle pose sa main sur ma bosse en disant : << J'adore. C'est tellement sexy une bite enveloppée dans du lycra ! >>. Je passe ma main entre ses cuisses pour répondre : << C'est tellement agréable une chatte sous du lycra ! >>. Nous rions. << Salaud ! >> lance Estelle. Clémentine va aux toilettes changer son tampon. Nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je porte, nos leggings, nos K-ways. Il faut assurer avec les fraîcheurs du retour en soirée. Des pommes. Des barres de céréales. Je vérifie le gonflage des pneus. << Papa a vérifier les miens ! >> précise Estelle en me touchant.

Je sors sa bicyclette de l'arrière de son kangoo. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons contre un vent d'Ouest parfois assez fort. Il fait chaud avec 24°. Nous croisons nombre de cyclistes. Des filles en rollers. Depuis peu il est interdit aux trottinettes d'emprunter ce tronçon de la piste cyclable. Fort heureusement. De véritables imbéciles aux engins débridés terrorisaient les cyclistes. En pédalant je raconte à Estelle mon exhibe devant Danièle. Elle écoute avec intérêt en posant des questions précises. Je réponds avec un luxe de détails. Clémentine partage sa vision des évènements de la matinée. << Quel salaud tu fais ! >> s'exclame Estelle en mimant une masturbation.

Il y a encore plusieurs bateaux de plaisance à circuler sur le canal que nous longeons sur les 25 km nous séparant du port. Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Clémentine se réserve pour une exhibe une fois arrivée. Estelle, authentique voyeuse passionnée, s'est prise au jeu de l'exhibition depuis près de trois ans. Elle se réserve donc également une opportunité. Nous arrivons au port de plaisance. Il est 15 h15. Il y a de l'animation. Organisée par la municipalité du bourg, la fête de l'automne rassemble chaque année une véritable foule. Il y a la fête foraine. Des forains ont installé leurs manèges sur le bout du quai. Des employés municipaux sont entrain d'installer des stands tout autour du chapiteau. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie fermée.

Rapidement, comme elles le font toujours, mes deux anges retirent leurs culottes. Pour les fourrer dans la pochette avant du sac à dos que je porte. Il fait beau. Il fait chaud. Des feuilles jaunes jonchent le sol pavé. Il y a de nombreux promeneurs. Des groupes de cyclistes. Les joueurs de boules. L'ambiance des peut-être dernières belles journées. Nous traversons la route pour aller dans la supérette. << J'ai une méchante envie de pisser ! >> lance Clémentine qui me tient par la main. << Moi aussi ! >> fait Estelle qui me tient par la taille. Nous attirons encore évidemment bien des curiosités. Des interrogations. Comme souvent, pour bien confirmer la nature de nos relations, mes deux anges en rajoutent. Me font des bises. Sur les joues. Sur la bouche. Cela nous amuse tant.

Avant d'entrer dans le magasin, Clémentine propose de passer derrière. Là où les camions viennent livrer la marchandise. Il y en a d'ailleurs un garé à quai. Un samedi après-midi. C'est plutôt étrange. Il est écrit en grand "Intermarché". "Les mousquetaires". << À non, les trois mousquetaires c'est nous ! >> lance Estelle. Nous contournons le camion. L'endroit idéal pour pisser peinards. Estelle et Clémentine, accroupies, près de la roue avant, se lâchent en riant. Je suis derrière à les tenir par leurs nuques, afin d'assurer le parfait équilibre. Je m'accroupis à mon tour. J'adore les surprendre en enfonçant mes index trempés de salive dans leurs trous du cul. << Salaud. Enculeur de filles ! >> lance Estelle. << Enculeur de pisseuses ! >> rajoute Clémentine. Je tourne les doigts.

<< Ça va comme vous voulez ! >>. Une voix grave avec un accent des pays de l'Est. Nous levons la tête. Complètement sidérés par l'apparition du chauffeur. << Besoin d'aide ? >> rajoute le bougre. Ni une, ni deux, nous nous redressons. De la pisse leurs coulant sur les jambes et parterre, mes deux anges se mettent à courir. Je les rejoins un peu plus loin entre deux vans où elles peuvent se sécher, se torcher. << L'enculé ! >> lance Estelle. << Non, les enculées c'était nous. Lui, c'était juste en enfoiré ! >> s'exclame Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Elles ont vidé le paquet de mouchoirs en papier. On en profitera pour renouveler le stock en achetant nos crèmes glacées. Il n'y a pas trop de clients. De la chance. Il y a même nos préférées. Ben & Jerry's.

Nous les savourons assis sur un des bancs à l'ombre des platanes. Nous observons les activités intenses qui se déroulent un peu partout autour de nous. << Si on retournait au camion, faire les salopes ? >> propose Estelle. << Mais tu es pleine de judicieuses initiatives toi ! >> répond Clémentine. Nous jetons les bacs vides dans une des poubelles. Nous traversons la route pour retourner sur le parking. Contourner la supérette par l'aire de livraison. Le camion est toujours stationné. << Tu y vas la première ? >> demande Estelle en se touchant. Clémentine glisse sa main dans mon short en me disant : << Si l'occasion se présente, je peux sucer ? >>. Estelle s'écrie : << Mais quelle salope ! >>. Je réponds : << Amuse-toi. Nous on reste planqués, on surveille ! >>

Estelle passe son bras autour de ma taille. Nous restons dissimulés derrière les grosses poubelles grises de supermarché. Invisibles. De là nous avons une vue parfaite. Clémentine, les bras croisés, s'approche du camion. Elle le contourne en faisant semblant de chercher parterre. Comme si dans la fuite précipitée d'il y a une heure, elle aurait perdu quelque chose. Elle disparaît derrière le camion. Nous sommes à une trentaine de mètres. Elle ressurgit précipitamment. Suivie par le chauffeur. Le type de tout à l'heure. Un petit homme trapu, coiffé d'une casquette et en combinaison grise. Mais c'est la bite qu'il tient dans la main qui attire l'attention. << Put-hein le truc ! >> murmure Estelle. Clémentine se retourne. Le type s'arrête. << L''endroit idéal pour ce genre de plan ! >> dit Estelle.

<< Tu veux goûter ? >> demande le chauffeur avec un fort accent. Probablement Polonais ou Roumain. Clémentine, prête à prendre ses jambes à son cou, se retourne. Elle nous tourne le dos. Très certainement impressionnée par la bite du mec. Pas très longue mais d'une incroyable épaisseur. Comment pourrait-elle prendre en bouche un tel morceau de chair ? Le type réitère sa demande. Une fois. Deux fois. Se montre de plus en plus insistant. Je suis près à me précipiter au secours de Clémentine. Estelle se masturbe en lâchant ma queue. Pour me permettre d'intervenir. Le chauffeur se rapproche. Son attitude devient inquiétante. Clémentine marche en accélérant le pas. Le type se met à courir. Je sors de ma cachette. Surpris et sans doute impressionné, il s'arrête.

Je m'avance. Je sais que mon mètre quatre vingt huit, ma carrure de culturiste, impressionnent toujours. Le bougre tourne les talons pour retourner à son camion. Il y monte par la portière côté passager. Je l'observe. Il fuit mon regard insistant. Il s'enferme dans sa cabine. On entend soudain de la musique. Je rejoins mes deux anges. << Parfois ça se passe mal ! >> lance Estelle en me prenant par la taille. << Parfois on tombe sur un con de cette espèce ! >> rajoute Clémentine. Elle me prend la main en disant : << Heureusement que tu étais là ! >>. Nous retournons sur les quais. Cette aventure a quelque peu refroidi les ardeurs exhibitionnistes de Clémentine. << Rien de mieux pour retrouver la pêche ! >> dit elle en s'accroupissant devant moi, aux bicyclettes.

Elle frotte son visage contre ma bosse. Estelle me roule une pelle d'enfer. Il est dix sept heures trente. Nous pédalons poussés par un vent généreux mais qui rafraîchit considérablement. Nous ne faisons pas plus de quelques kilomètres. Nous nous arrêtons pour enfiler nos leggings et nos K-ways. C'est bien plus agréable. Il est dix huit heure trente quand nous revenons à la maison. Pour ce soir, ce sera un gratin de coquillettes avec trois filets de flétan poêlés. Le reste de la laitue en salade. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre aventure de l'après-midi. Je propose aux filles une soirée léchage de minous. << Tu me baises un peu aussi ! >> s'exclame Estelle en venant s'installer sur mes genoux. << Moi je regarde ! >> rajoute Clémentine qui nous rejoint.

Bonne soirée à toutes les coquines, considérablement "allumées" par une situation insolite et qui vont s'offrir des gâteries dans l'ambiance lascive de ce premier samedi d'automne...

Julien (Agent de sécurité pour filles exhibitionnistes)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Un dimanche peinard, tranquille et cool

Hier matin, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Comme pour la plupart de nos dimanches. Estelle à ma droite dont le mouvement régulier de ses pieds contre les miens me réveille. Clémentine à ma gauche qui vient se blottir. Estelle attrape mon érection naturelle en se serrant encore plus fort. Nous sortons ainsi de nos profonds sommeils. Nos gémissements se font de plus en plus surréalistes en nous étirant. Estelle se lève d'un bond, tourmentée par l'impérieux besoin de pisser. Elle cavale à toute vitesse vers la porte dans son pyjama de soie mauve. Clémentine se frotte contre ma hanche en murmurant : << Finis mes "petits machins". Touche ! >>. Je glisse ma main dans sa culotte pour constater que la petite ficelle est encore là. Nous rions de bon cœur.

<< C'est juste une assurance ! >> lance t-elle quand Estelle revient nous faire des bises. << Je descends préparer. Venez vite. Ça va être prêt ! >> dit elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. C'est en slips et T-shirts de nuit que nous dévalons les escaliers. Morts de faim. Les odeurs du café et du pain grillé. L'énorme brioche au pudding qui trône au milieu de la table. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Estelle passe derrière moi en enserrant ma taille de ses bras. << Montreur de queue va ! >> dit elle. Nous rions aux éclats quand elle glisse sa main dans mon slip. << Oh, c'est qu'il n'a pas rangé sa chambre ce matin ! >> rajoute t-elle, sortant la bite et les couilles. L'élastique du slip coincé sous les roupettes elle rajoute : << On commence par aérer ! >>

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur ce samedi après-midi à bicyclette. L'aventure avec le camionneur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le planning de cette nouvelle journée. Dehors c'est un ciel d'un bleu sans nuages. La température extérieure n'est toutefois encore que de 17°. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évoquent quelques souvenirs tous frais de nos aventures burlesques lors de nos expéditions à bicyclettes. Je les tiens par leurs nattes. Je passe mes mains dans leurs nuques. J'écoute amusé. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Prétexte à nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous faisons le lit, la chambre avant de changer d'habits.

C'est en Levis, chemises à carreaux, baskets que nous redescendons à toute vitesse. Pressés d'aller nous dégourdir les jambes. Mes deux anges me tiennent les mains. Nous allons jusqu'à la rivière en évaluant les options de repas pour midi. Estelle propose de faire une purée de pommes de terre. Trois pavés de saumons poêlés. Clémentine suggère une salade de concombre à l'avocat. Je trouve ces idées parfaites. Nous longeons la rivière. Sur l'étroit sentier il faut marcher l'un derrière l'autre. Nous ne faisons pas deux cent mètres avant qu'Estelle ne se retourne. Elle dépose un baiser sur mes lèvres. Se penche en avant pour déboutonner ma braguette. J'ai rapidement la bite à l'air. Clémentine, ses bras autour de ma taille regarde la virtuosité d'Estelle. Nous en rions.

Il est déjà dix heures. Si nous voulons préparer notre purée, il ne faudra pas faire une trop longue balade. Nous nous arrêtons à l'endroit où la rivière devient tumultueuse. Il y avait là jadis un barrage dont il ne subsiste qu'une construction sous-marine. La profondeur doit atteindre là les quatre mètres. Les eaux sont bouillonnantes. Nous regardons sans nous rendre compte immédiatement que de l'autre côté il y a une jeune fille sur son cheval. Elle vient très certainement du haras de Juliette à deux kilomètres. A t-elle vu ce qui pend de ma braguette alors que je suis entre mes deux anges que j'enserre par leurs tailles ? Toujours est-il qu'elle nous adresse un signe amical de la main et un beau sourire. Je suis soudain extrêmement gêné. Le bruit de la rivière couvre nos paroles.

La jeune fille s'éloigne pour continuer sa promenade équestre. Nous revenons sur nos pas. Les eaux sont redevenues calmes et silencieuses. C'est toujours le même phénomène. Accompagné et entouré par deux autres jeunes filles, celles que nous rencontrons ne sont jamais effarouchées de découvrir nos "jeux". Parfois nos obscénités. C'est Clémentine qui en fait le constat. Elle rajoute : << Ça me ferait le même effet si je tombais sur un trio comme le nôtre ! >>. Nous en rions de bon cœur en évoquant ce fameux trio que nous avons rencontré sur le World Explorer durant notre croisière cet été. Il est dix heures trente quand nous sommes de retour. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Estelle et moi épluchons une bonne quantité de belles patates.

Il y en aura pour ce soir et pour mon repas de demain midi. Les pommes de terre dans l'auto cuiseur. Puis passées au moulin se transforment en une onctueuse purée. Un rajout de crème fraîche et de lait de soja. Remuer pour rendre l'ensemble homogène. Le tout dans le grand plat carré en terre cuite. Recouvert d'une bonne couche de gruyère Suisse, de chapelure. Au four pour une cuisson à 180°. Estelle fait dorer les pavés de saumon. Elle y rajoute des champignons. Je concocte une sauce au Roquefort. C'est sur la table de la véranda que nous plaçons les assiettes, les couverts. Morts de faim et mis en appétit par les suaves effluves provenant de la cuisine, nous nous serrons tous les trois pour nous faire des bises. Les filles reviennent sur le programme de l'après-midi.

Enfin la sonnerie du four. Nous nous précipitons pour aller récupérer les plats, le saladier. Nous mangeons en faisant mille projets futurs. Estelle revient sur le montage du film qu'elle réalise. Réunissant toutes les images scabreuses tournées durant nos vacances. Elle annonce que le film aura exactement 48 minutes et qu'il sera visible dans une semaine. Clémentine propose une soirée cinéma le samedi 7 octobre. << Parfait ! J'aurai le temps de fignoler ! >> s'écrie Estelle. Nous ne traînons pas. Les couverts, les assiettes dans le lave vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous mettre en tenues vélos. La température extérieure est de 25°. Jupettes de Lycra noir et T-shirts de lycra blanc pour les filles. Short de lycra noir et T-shirt de lycra blanc pour moi. C'est OK.

Dans le petit sac à dos que je porte, nos leggings, nos K-ways pour affronter les fraîcheurs du retour en fin d'après-midi. << C'est génial. On n'aura qu'à réchauffer ! >> lance Estelle. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Comme samedi après-midi il faut pédaler contre un vent d'Ouest assez désagréable. Il nous poussera au retour. Nous croisons quantité de cyclistes. Des filles en rollers. Parfois par bandes de quatre ou cinq. Plus sexys les unes que les autres. Il y a quelques choses de très érotique dans l'accoutrement de certaines. Les genouillères de protections sans doute. Les jupettes ou les shorts moulants. Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'au port où nous arrivons pour 14 h45.

L'animation est à son comble. La fête de l'automne est cette année encore un franc succès. C'est véritablement noir de monde. Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie aux volets clos. Parmi une bonne trentaine d'autres bicyclettes. Discrètement, rapidement, Estelle et Clémentine retirent leurs culottes qu'elles fourrent dans la poche avant du sac. Il faut se frayer un passage pour traverser cette partie des quais. Nous maudissons ces couples qui font chier tout le monde avec des poussettes ou carrément des landaus. Ça bloque tout. << Et ils rient bêtement ces ploucs ! >> lance Estelle. Nous traversons la route pour aller sur le parking de la supérette. << On va voir si le camion est toujours là ? >> propose Clémentine. Très intéressante suggestion.

L'aire de livraison est déserte. Le camion "Intermarché" n'est plus là. Nous entrons dans le magasin. Inutile de rager d'impatience. Il y a là un monde fou. Nous prendrons des glaces à l'un des stands sur les quais. Il est également impensable de nous livrer à nos jeux exhibes avec tout ce monde partout. Même en montant au cimetière là-haut au sommet de la colline. Les pentes sont couvertes de gens installés sur des plaids. << Montrer ta chatte cet après-midi relève de l'impossible ! >> dit Estelle. Clémentine répond : << Et à l'impossible nul n'est tenu ! >>. Elle a pourtant sa petite idée. Nous flânons entre les manèges des forains. Les autos tamponneuses. Les balançoires à vertiges et tournantes. Les tirs à la carabine. Et surtout ce marchand qui propose des glaces.

D'énormes boules dans d'énormes cornets gaufrés. Parfums amande, noisette, pistache, noix. D'autres plus exotiques et colorés. << Des glaces bleues, ça vous tente ? >> lance Estelle. En cœur nous répondons : << Non ! >>. Nous restons très classique. Nous savourons ces délices en louvoyant difficilement entre les promeneurs. En évitant les manèges familiaux trop bruyants et trop fréquentés. C'est là, derrière le stand des jeux de Lotos que Clémentine peut s'offrir son petit frissons de l'après-midi. Personne ne vient par là, entre la remorque qui sert de scène et le mur du quai. La musique, les rires, les éclats de voix. Il faut toutefois faire preuve de sagesse. De ruse aussi. Estelle fait pipi la première. Elle n'en pouvait plus depuis un bon quart d'heure. Tout se passe bien.

C'est au tour de Clémentine. Je fais le guet avec Estelle qui ne sait pas où jeter le mouchoir en papier avec lequel elle s'est torchée. Clémentine, accroupie, les cuisses largement écartées, se concentre. Un bonheur n'arrivant jamais seul, c'est par l'autre côté que déboule un quidam. Il tombe sur ce divin spectacle par derrière. Estelle et moi avons le même réflexe de nous cacher à l'angle de la remorque. Nous assistons une fois encore à cette scène insolite. Clémentine surprise par un inconnu entrain de pisser. Elle tourne la tête pour découvrir le jeune type qui l'observe. Sans doute un forain. Il reste silencieux. Il se contente d'admirer. Trop heureuse d'être dans cette situation tant souhaitée, Clémentine lâche une série de jets dont elle a le secret. Puissants, prodigieux.

La musique et le bruit ambiant ne permettent pas d'entamer une conversation. À moins de hurler. Le jeune homme est en bermuda et chemisette. Il s'avance pour venir observer la sublime pisseuse de face. Clémentine porte ses larges lunettes de soleil. Ce qui préserve son anonymat. Notre voyeur esquive plusieurs des incroyables jets qui viennent se briser à quatre ou cinq mètres devant Clémentine. Il lève les pouces de ses deux mains comme pour féliciter la merveilleuse salope. Les jets diminuent d'intensité pour tomber en petites giclées au sol. Sous les fesses de Clémentine qui reste ainsi. Immobile. Souriant à notre regardant ravi. Il n'est pas venu ici par hasard. Il est au boulot lui. Il ramasse un gros cercle de câblages électriques. Cela semble lourd. Un dernier sourire.

Il s'éloigne. Clémentine vient nous rejoindre. << Voilà ce que j'appelle une exhibe de haute qualité. Devant un parfait gentleman passif et bon public ! >> lance t-elle. Nous rigolons comme des bossus. Il est dix sept heures. Il faut songer à retourner aux vélos. Il y a toujours autant de monde. La musique qui provient du chapiteau est assez pénible. C'est parti. Le vent d'Ouest nous pousse. On reste à une moyenne de 25 km/h. Quinze bornes. Il faut s'arrêter au cabanon de l'écluse. Il est dix huit heures trente et la fraîcheur devient pénible. Nous nous changeons. Leggings, K-ways. Il reste dix kilomètres. Nous arrivons vers dix neuf heures. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Nous réchauffons la bouffe. Estelle fait une omelette aux fromages. Après le repas, léchage de minous.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire nettoyer le minou après une journée sans douche, cinquante bornes de bicyclettes, quelques pipis sauvages et des sueurs sur les selles des vélos. Se faire lécher par un véritable passionné de léchouilles...

Julien (le passionné)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 37 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2383 -



Juste Clémentine et moi

Il est presque six heures, hier matin lundi. Ce sont les étonnantes douceurs de l'application "forêt" qui nous réveillent. Clémentine, en gémissant, se tourne pour se blottir dans mes bras. Ce sont d'agréables automatismes qui nous arrachent de nos profonds sommeils. Quelques bisous. Quelques papouilles. Il faut se faire violence. Nous courons aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos habits de gymnastique. Doucement mais inexorablement, la fraîcheur des nuits d'automne gagnent l'intérieur des maisons. On peut à présent bien le ressentir. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Le lundi il reste toujours de la brioche. Je la mets au four à micros ondes.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les points forts du week-end. Le chauffeur de camion de samedi. Le forain de dimanche. << Quelques belles exhibes ! >> lance Clémentine qui vient terminer sa tartine au miel sur mes genoux. Nous mangeons de bon appétit en envisageant de mettre une annonce afin de trouver quelqu'un pour faire quatre heures de ménage chaque semaine. Il est 6 h25 quand nous remontons pour nous livrer corps et âmes au second plaisir de cette nouvelle journée. Notre heure d'entraînement. Quelques échauffements préalables. Jogging sur tapis roulants. Exercices au sol. Charges additionnelles. Retour au calme avec des étirements. La douche. C'est ma première "mission" du jour. Je redescends le premier pour sortir et préparer la voiture.

Il est presque 7 h45. Le ciel est entièrement bleu mais la fraîcheur est vive. À peine si le thermomètre extérieur indique 12°. Clémentine vient me rejoindre. Levis, un sweat sous son nouveau blouson brun ramené d'Écosse, une écharpe, ses bottines brunes. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou et je m'empresse de retourner au chaud. Faire la vaisselle, notre lit, avant d'aller dans l'atelier. Mon plaisir absolu de retrouver mon autre passion. C'est installé devant mon chevalet, en chantant "Le grand café" de Charles Trenet que je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin ma première toile de la saison. Une des natures mortes au dessin préparatoire et à la couche d'impression réalisés.

Je peins dans une sorte d'extase pas du tout mystique. Je retrouve rapidement tous les réflexes de la peinture. Pour marquer chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent, je pousse des cris surréalistes. Quand je m'abstrais ainsi dans une peinture pas du tout abstraite, toutes notions de durée disparaît. Il est rapidement midi. Je le sais parce que la faim commence à me tenailler. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer le reste de la purée. Je fais rissoler un filet de flétan. L'assaisonnement d'une salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit un lanceur d'alerte. Un ancien cadre qui confie au micro ses déboires avec la justice pour avoir osé dénoncer ce que cachent les prochaines lois Internet.

Il est certain qu'avec la gestion calamiteuse d'un gouvernement aux abois, menée par des amateurs, il serait bon de calmer les colères, les frustrations avec de nouvelles restrictions des libertés. En écoutant de plus en plus distraitement j'élabore le repas de ce soir. Toujours désireux d'épater Clémentine avec de belles surprises. J'opte pour un gratin de courgettes et d'aubergines. Elle adore. Moi aussi. Je lave trois grosses courgettes et une énorme aubergine. Une fois cuites elles auront perdu la moitié de leurs volumes. Je les coupe en tranches pas trop fines. Je les aligne comme des dominos dans le grand plat carré en terre cuite. Je dépose sur le dessus de gros champignons de Paris également découpés en fines tranches. Je verse le mélange œuf, crème fraîche et lait de soja.

Une copieuse couche de gruyère Suisse que je râpe grossièrement. Je saupoudre de chapelure. Onze cerneaux de noix en cercle. Des noix ramassées dans notre jardin. Je mets le tout au four pour une cuisson lente et longue. C'est bien meilleur quand ça mijote à seulement 160°. Je lave deux grosses endives en prévision de la salade. La vaisselle. Je remonte me laver les dents. Pressé de me dégourdir un peu les jambes je redescends à toute vitesse. La température extérieure est de 25°. Le contraste est saisissant. Je vais jusqu'à la rivière. J'ai trop chaud avec ma chemise à carreaux. Je l'ouvre pour apprécier les douceurs de cet été indien. Il est 13 h45 quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la même ambiance que celle de ce matin.

Il est dix sept heures trente. Du bruit. Clémentine jaillit dans l'atelier en courant vers moi. Dans son élan elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Estelle a ses "petits machins". Docteur Julien va lui manquer jusqu'à demain soir. Je dois t'embrasser de sa part ! >> dit elle avant d'enfoncer sa langue au gout des bonbons menthol dans ma bouche. Clémentine a encore ses notes à mettre au propre. Assise à la table, entourée de ses fiches, elle allume l'ordinateur en chantonnant. Nous adorons ces moments de travail commun. Il est dix huit heures trente quand elle s'écrie : << Bon, là, pour aujourd'hui, ça suffit ! >>. Elle range ses classeurs.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse pour aller me laver les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. La bite posée sur le rebord. Clémentine se précipite pour s'en saisir. Penchée en avant son bras autour de ma taille, elle me tient la queue pour en diriger les jets. Nous retrouvons avec tant de plaisir tous nos petits rituels. Quand elle secoue les dernières gouttes elle s'accroupit pour me la prendre en bouche. Je caresse son visage. Je passe mes index sur ses joues creusées par la succion. Ses gémissements plaintifs. Elle ouvre les yeux, souriante, pour me fixer. Me faire un clin d'œil. Je l'aide à se redresser. Je la soulève. Ses jambes enserrant ma taille, accrochée à mes épaules, elle mitraille mes lèvres de baisers. Murmurant des << Je t'aime ! >>

Il commence à faire rudement faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je dépose Clémentine devant la cuisinière électrique que j'allume. Quand elle s'accroupit une nouvelle fois pour regarder par la vitre du four elle attrape mon poignet en s'écriant : << J'y ai pensé tout l'après-midi en cours ! >>. Elle se redresse. Je la prends dans mes bras. Pendant qu'elle prépare l'assaisonnement des endives déjà lavées, je mets les assiettes et les couverts. J'agite ma bite en disant : << Je te réserve bien d'autres surprises pour la soirée ! >>. Clémentine contourne la table pour m'attraper le Zob en s'écriant : << Oh oui ! Occupe-toi de mon cas désespéré ! >>. Nous rions de bon cœur. La sonnerie du four. Clémentine enfile les maniques pour sortir le gratin fumant et doré du four.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée cinéma du samedi 7 octobre. Estelle nous réserve le montage du film de nos vacances. Ce sont toujours des montages très professionnels. Musique de générique. Nous ne traînons pas. La vaisselle. J'entraîne Clémentine par sa natte jusque dans le salon. Je déboutonne son Levis. Je le descends avec la culotte sur ses genoux. Amusée, elle me regarde faire. Je passe ma main entre ses cuisses chaude. Mon index entre les lèvres pulpeuses de son sexe. C'est moite. Ça me rend dingue. J'ai tout le temps envie de la lécher. Elle retire ses bottines, ses fringues qu'elle jette sur la table basse. Elle prend son élan pour sauter sur le bureau où elle se couche. Les pieds posés sur le bord, les cuisses largement écartées. Je bande.

Je m'approche. Je frotte mon sexe contre le sien. Les peaux des lèvres de sa vulve ne font plus qu'une avec la peau de mon prépuce. Au point de s'y confondre à la vue. Je m'éloigne pour aller récupérer un des coussins du canapé. Je reviens avec la cuvette en plastique bleu. Je glisse le coussin sous sa tête. Confortablement installée, Clémentine se laisse besogner en gémissant. Je tiens ses chevilles relevées. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Clémentine se masturbe toujours en faisant l'amour. Comme elle me confie l'avoir fait au volant, sur la route, en rentrant de cours. Elle me rassure alors en précisant : << Je te promets. Je fais très attention ! >>. Nous adorons rester immobiles. Clémentine me confie ses secrets de filles. C'est absolument sublime.

Je redémarre. Je cesse. Je recommence. Je me retire pour sucer son clitoris géant qu'elle lâche en gémissant. Les spasmes qui agitent son corps. Les contorsions de son bassin. Elle caresse mes cheveux. M'attrape par les oreilles pour guider mon cunnilingus savoureux. Je suce. Je récupère l'abondance de ses coulées de cyprine. Je me redresse pour m'introduire à nouveau. De petits cris d'animal blessé quand j'accélère. Des râles de plaisirs lorsque je cesse. Clémentine tiens son clitoris géant entre son pouce et son index. Comme une petite bite de la taille de la première phalange de mon pouce. J'aime. J'écoute ses aveux. Quand elle évoque la pipe qu'elle a prodigué à notre voisin vendredi. J'écoute. Je n'ai pas besoin de poser les questions auxquelles elle répond.

L'orgasme s'annonce. Je le sais. Je sens les frissons qui agitent l'intérieur de ses cuisses contre mes joues quand je suce son "bouton". Contre mes hanches quand je reviens la pénétrer. Elle me repousse en criant. Je m'écarte une fois encore juste à temps. Saisissant la cuvette je récupère l'invraisemblable puissance de son jet. Elle tient son clitoris des doigts de la main droite. En appui sur son coude gauche, les yeux révulsés, Clémentine connait encore une jouissance sans limites. Certes, ça gicle un peu à côté mais la cuvette se remplit au tiers. De la pisse jaune et moussue. J'attends impatiemment la dernière giclée pour coller ma bouche sur son sexe. Dans un cri elle retombe en arrière pour se faire lécher. Je me délecte de l'abondance de ses jus. Un nectar de jouvence.

Quand elle tente de me repousser doucement en murmurant : << Tu vas me rendre folle ! >>, je recommence à sucer son bouton. C'est parti pour un second tour car je dois imposer ma succion. La "lutte" devenue inutile, Clémentine n'a d'autres choix que de se laisser aller. De s'adonner au nouvel orgasme qui s'annonce. Le second est toujours plus rapide car elle ne contrôle plus rien. Totalement abandonnée à ses sens, ses instincts et à ses pulsions les plus primaires. Dans un hurlement, son corps secoué de spasmes violents, Clémentine est une nouvelle fois emportée dans le tourbillon des jouissances. Je cesse. J'ai le bas du visage trempé de ses substances. Ses gouts plein la bouche. J'en ai des vertiges. Elle se redresse, s'avance, m'attrape par les épaules, par le cou.

Enserrant ma taille de ses jambes, elle s'accroche. Je la promène ainsi dans toute la grande pièce. Les yeux larmoyant de bonheur et de plaisir elle chuchote : << C'est tellement bon ce que tu me fais ! >>. Je la dépose au sol. << Et toi ! >> s'écrie t-elle en s'accroupissant. Je la force à se relever en disant : << Tu n'imagines pas la jouissance permanente que tu m'as encore offerte. On se termine sous les draps, tu veux bien ? >>. Clémentine récupère ses vêtements, m'attrape par la main. Nous montons. Le passage à la salle de bain où nous échangeons nos impressions. Il est 21 h45. Nous voilà sous la couette. Serrés forts. Clémentine joue avec ma queue molle. Elle glisse sa tête sous le draps pour la suçoter un peu. Mon chibre dans la bouche, elle suce avec passion.

Couché sur le dos, caressant sa nuque, je me fais tailler une pipe des familles. Immobile. Dans le silence j'entends les gargouillis, le bruit bulleux. Quand elle cesse c'est pour déglutir en gémissant de contentement. Comme pendant la dégustation du gratin de courgettes et d'aubergines. Je reste silencieux. J'aimerais pouvoir la regarder mais il fait nuit noire. Je me contente de "subir", les yeux fermés, en me projetant un des innombrables films tournés ensemble. Une dizaine de minutes. J'éjacule en sournois. Sans prévenir. Sans bouger. Sa bouche qui se colle encore plus fort à ma bite pour pomper sans perdre la moindre goutte. Clémentine revient à la surface pour se blottir contre moi. Je sais qu'elle garde encore un peu mon foutre dans la bouche. Elle déglutit enfin. Dodo...

Bonne nuit à toutes les coquines qui ont besoin d'un bon sommeil pour récupérer de leurs douces folies...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
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Fleur - 38 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2384 -



Estelle vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, mardi, l'application "forêt" nous tire avec délicatesse de nos profonds sommeil. Il est presque six heures et c'est un véritablement enchantement. Les bruits de la nature très certainement enregistrés en direct. Jamais les mêmes. À chaque fois différents. En gémissant Clémentine se blottit un instant contre moi en chuchotant : << Comme c'était bien avant de dormir ! >>. Quelques papouilles. Quelques bisous. Il faut s'y résoudre. Debout. Comme des robots nous allons aux toilettes. Mécaniquement nous revêtons nos tenues sports. Nos maladresses nous font rire. Morts de faim, en nous tenant par la main, nous dévalons les escaliers. La fraîcheur gagne l'intérieur de la maison. C'est indéniable. L'automne et ses premier frimas nocturnes sont bien là. Il faudra chauffer.

Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Le grille pain éjecte ses quatre premières tranches. Le deux gros croissants aux amandes dans le four à micros ondes afin qu'ils y retrouvent leur moelleux. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de folies. Nous en rions de bon cœur. << J'aime la façon dont tu m'aimes ! >> me dit une fois encore Clémentine en posant sa main sur la mienne. Nous mangeons de bon appétit en évoquant quelques projets à venir. Il est 6 h25. Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. Mouvements d'échauffement de l'aérobic, jogging sur tapis roulants. Exercices au sol. Charges additionnelles. Les étirements d'un retour au calme bien trop bâclé. Mais en riant bien.

La douche. C'est une habitude importante. Je descends à toute vitesse pour aller faire chauffer l'auto. Il est presque 7 h45. Le ciel est bleu et le soleil pointe sur l'horizon. Par contre la température extérieure n'est que de dix degrés. << L'horreur ! >> lance Clémentine en venant me rejoindre. Vêtue de son Levis, d'un pull sous son blouson brun. Une écharpe, ses bottines. Elle sautille sur place en me faisant des bises. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer. La vaisselle, notre lit avant de descendre à la cave. J'allume la chaudière. Dans une série de cliquetis, elle fonctionne immédiatement. Je vérifie les cadrans. Pression et température. Le thermostat est réglé. Il ne faudra pas plus de dix minutes chaque matins pour que les radiateurs fonctionnent.

Je vais dans l'atelier. C'est la première flambée de la saison. J'allume un bon feu dans la cheminée. L'adorable parfum du bois qui prend rapidement avec des craquements impressionnants. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans un enthousiasme qui me fait pousser des cris surréalistes. La peinture de cette première nature morte m'abstrait rapidement de toute réalité. M'entraînant en fin de matinée sans me permettre la perception du temps qui passe. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste du gratin de courgettes et d'aubergine. Avec une salade et un simple œuf poêlé. La pâte feuilletée sortie du frigo ce matin est à température. Les radiateurs distribuent une agréable douceur dans la demeure.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit Christian Combaz, écrivain, essayiste et chroniqueur. Sa chaîne sur Youtube "Campagnol", connait d'ailleurs un franc succès. Même si depuis quelques mois la totalité de chacune de ses vidéos n'est visible que sur le site "Odyssée". Dans l'émission du jour il est question de Julian Assange. Coupable du pire crime qui soit, celui de révéler les secrets d'États, de décrire les stratégies immorales et criminelles pour asservir les peuples. De quoi le faire condamner par les Américains à plus de 150 années de prison. Actuellement réfugié dans une ambassade en Angleterre qui s'apprête à l'extrader vers les États-Unis. La France refusant de lui donner refuge. Préférant le donner à des parasites.

J'écoute en préparant mentalement la confection du repas de la soirée. Ce sera une Flamiche Picarde. Cette délicieuse tourte aux poireaux dont raffolent Estelle et Clémentine. J'étale les deux tiers de la pâte dans un grand plat rond à bords hauts. Je lave et je coupe deux gros poireaux. Pendant qu'ils s'ébouillantent dans l'auto cuiseur, je concocte une Béchamel. Je râpe de ce délicieux gruyère Alpestre. J'égoutte les poireaux avant de les verser dans la Béchamel. J'y rajoute le gruyère avec des cerneaux de noix que je râpe. Je dépose le tout sur la pâte. J'étale soigneusement. Je recouvre du dernier tiers de pâte. Je jointe correctement les bords. Avec une fourchette je strie ce couvercle. J'y badigeonne le mélange œuf, lait de soja et moutarde à l'ancienne. Au four préchauffé à 180°.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir les jambes je redescends à toute vitesse. C'est un climat d'été qui m'attend. Le ciel d'azur dans lequel règne en maître le soleil. J'ai bien trop chaud dans ma chemise à carreaux. Je l'ouvre. Poitrail à l'air, je vais jusqu'à la rivière. J'y retrouve monsieur Bertrand. Notre voisin fait brûler les branches mortes et les végétaux secs. Le vieux salaud est très loin de se douter que je sais tout sur sa relation sexuelle de vendredi dernier avec Clémentine. Nous bavardons un peu. Lui aussi va faire installer des panneaux photovoltaïques sur le toit de sa maison. Il fait appel à la même entreprise Allemande que je lui ai recommandé. Les Allemands sont à la pointe de cette technologie. Ils savent travailler et sont performants.

Je le laisse à son écobuage pour remonter. Installé devant mon chevalet, il est presque 14 h. Je peins dans le même enthousiasme débridé que ce matin. Les heures défilent sans que je n'en ai la moindre perception. C'est Clémentine, en rentrant de cours, qui me tire de mon abstraction. Il est dix sept heures trente. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Des pizzas assez dégueux ! >> précise t-elle. Elle a encore ses notes à mettre au propre. Installée à la table, elle allume son ordinateur. Cette petite heure de labeur commun reste un plaisir de chaque instant. Dix huit heures trente quand Clémentine se lève d'un bond en s'écriant : << Put-Hein, là j'arrête où je pète un câble ! Prout ! >>

Je nettoie la palette, les pinceaux. Pendant que Clémentine range ses affaires j'enlève ma blouse. Le rituel. Devant le petit lavabo de l'atelier, la bite posée sur le rebord, je me lave les mains. Clémentine se précipite. Derrière moi, ses bras autour de ma taille, avant de saisir ma queue pour en diriger les jets. C'est sur cette scène épique que tombe Estelle qui jaillit dans l'atelier en disant : << Coucou les gens ! >>. Elle rajoute en se précipitant vers nous : << Put-Hein déjà ! >>. Quand je me mets à rire ça gicle n'importe comment. Aussi, Clémentine doit me la tenir avec davantage de fermeté. Estelle, serrée contre moi, observe les visées précises. Je suis entre mes deux anges qui échangent leurs impressions quand à la couleur, la puissance et la vapeur de l'eau chaude mélangée.

Nous rions aux éclats quand Estelle s'écrie : << J'ai mes "petits machins" docteur Julien. Il faut appliquer vos thérapies ! >>. Clémentine secoue les dernières gouttes en disant : << Voilà déjà tes gouttes à prendre ! >>. Estelle, dubitative, faisant une horrible grimace, répond : << Après le repas. Je respecterai la posologie ! >>. Je suis prié de garder ma bite à l'air. Mes deux coquines, accrochées à mes bras, m'entraînent. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand elles découvrent la surprise dans le four j'ai droit à un déluge de bisous. Estelle saisit ma queue en disant : << J'en ai rêvé tout l'été ! >>. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de concombre. Estelle met les assiettes et les couverts. << Il fait bien chaud dans la maison ! >> chantonne t-elle.

<< Pas comme en fac, put-hein il caille toute la journée assises dans l'amphi ! >> rajoute Clémentine. Les mesures d'économies drastiques recommandées par les irresponsables politiques sont appliquées à la lettre par tous les directeurs d'établissements publics. Nous allons dans la véranda pour assister au couché du soleil qui illumine le dessus de l'horizon d'une merveilleuse nuance de jaune, d'orange et de rouge. Estelle à ma gauche, son bras autour de mon cou. Clémentine à ma droite, son bras autour de ma taille. Les coquines me poussent un peu afin de coller ma biroute contre la vitre. Estelle me la frotte contre le verre. Toutes les deux s'accroupissent pour scruter la trace laissée sur la vitre. << On va réaliser une œuvre avec ton pinceau ! >> dit Estelle.

Encore une idée saugrenue qui va les amuser. Interdiction de nettoyer la vitre jusqu'au printemps. << On rajoute une touche de couleurs tous les jours. Pour voir ! >> rajoute Estelle pliée de rire. La sonnerie du four. Morts de faim nous retournons dans la cuisine. Estelle enfile les maniques pour sortir la Flamiche Picarde dorée et légèrement fumante. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour le prochain week-end. La municipalité du bourg organise un pressage de pommes. Tous les gens désireux de faire presser leurs pommes sont invités à les emmener, ainsi que des bouteilles vides exclusivement en verre. Les quais du port de plaisance risquent fort de connaître une nouvelle ambiance de fête. Il sera également possible de transformer ses noix en huiles.

Bien évidemment ce sont toujours des festivités que ne voulons pas manquer. Surtout que la météo s'annonce des plus favorables. Avec des records de chaleurs. << Durant tout le moyen-âge, les températures étaient bien plus élevées. Les archives foisonnent d'anecdotes au sujet des récoltes gâchées ! >> précise Clémentine. << De toute manière, les réchauffements sont cycliques. Et à l'époque il n'y avait pas de gaz à effet de serre ! >> rajoute Estelle. Nous ne traînons pas car le "docteur" Julien est prié de mettre en pratique certains éléments de sa thérapie. Les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle. Estelle m'entraîne par la queue jusque dans le salon. << Bobo ! >> dit elle en déboutonnant sa chemise. Je pose mes lèvres sur son soutien gorge de fin coton blanc.

Tout comme Clémentine, ses tous petits seins n'ont nul besoin d'êtres soutenus par un soutif. Ce n'est que lorsque leurs extrémités sont douloureuses qu'elles les protègent d'un tissu. J'insuffle de l'air chaud. << Mmhh ! C'est bon ! >> lance t-elle. Je passe ma main dans son Levis qu'elle déboutonne. Je masse délicatement son bas ventre. De petits mouvements circulaires du bout de mes doigts. Clémentine, une main dans son Levis, l'autre sur ma nuque, dit : << Thérapie de choc qui devrait être remboursée par la sécu ! >>. Ma formule fonctionne car Estelle se sent soulagée. << Momentanément ! >> précise la coquine. << Ce soir c'est moi qui veut du spectacle. Clémentine m'a tout raconté à midi au restaurant universitaire ! >> rajoute t-elle. Je bande encore mou.

Estelle se jette dans le fauteuil. Vautrée, une main dans sa culotte, elle nous observe. Clémentine retire ses bottines, son Levis, sa culotte. Installée sur le bureau, elle me fait un clin d'œil. Agitant son index pour me faire signe de la rejoindre. Je frotte mon sexe contre le sien. Nous percevons déjà les profonds soupirs d'Estelle qui se masturbe. Je pénètre Clémentine. Nous restons immobiles à nous fixer dans les yeux. Estelle vient nous rejoindre. Elle tourne autour du bureau pour regarder sous tous les angles. Quand je me mets à bouger en rythme elle passe derrière moi pour caresser mes fesses. Sans cesser de se toucher en gémissant de concert avec Clémentine. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste une bonne heure de "thérapie". Docteur Julien soigne.

Bonne soirée à toutes les coquines qui respectent la posologie et les différentes phases du traitement qu'impose le "docteur"...

Julien (le docteur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
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Le mercredi, Clémentine n'a pas école

Hier matin, mercredi, il est sept heures trente. Le réveil est naturel. Clémentine se tourne pour se blottir contre moi. L'haleine de sa nuit. Son souffle sur mon visage. J'adore. Je passe mon index sur son visage alors qu'elle murmure des choses incompréhensibles. Quand elle y parvient elle trébuche sur les mots. C'est en riant que nous courons jusqu'aux toilettes. Dans la salle de bain nous passons nos vêtements de sport. Il fait bien chaud partout. Les radiateurs, réglés par thermostat, fonctionnent dès six heures. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Seul endroit de la maison où la fraîcheur est plus vive. Un escalier en colimaçon dans la tourelle. Il monte de la cave jusqu'au grenier. Estelle l'appelle le "donjon". Il y a de petites fenêtres à chacun des trois étages.

Clémentine fait le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Le grille pain éjecte ses quatre premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies à trois. Les soins prodigués à Estelle par le bon docteur Julien. << Elle n'a pas pris ses gouttes ! >> lance Clémentine en mimant une fellation, tournant le poing fermé devant sa bouche. Faisant une bosse à l'intérieur de sa joue avec la langue. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Juliette ce soir. << On fait simple. Un gratin de pommes de terre avec une sauce au Roquefort par exemple ! >> propose Clémentine. Je trouve la suggestion parfaite. Nous ne traînons pas. Dehors il fait beau. L'été joue les prolongations. Par contre la température est à 10°.

Nous hésitons. Jogging ou entraînement en salle ? << Allez, on fait les courageux ! >> lance Clémentine. La rapide vaisselle. Nous enfilons les K-ways. Quelques mouvements d'échauffement dans le hall d'entrée. C'est parti. Il fait froid et le contraste avec l'intérieur est violent. Une gifle. Nous courons à un rythme élevé et soutenu. Le parcours le long de la rivière. Il est neuf heures quand nous revenons. La douche. Il est neuf heures vingt quand nous sommes tous deux installés dans l'atelier. Clémentine entourée de ses fiches, son livre ouvert, devant le clavier de son ordinateur allumé. Je suis devant mon chevalet à préparer les couleurs sur la palette. Il flotte dans l'air l'odeur de la flambée allumée mardi. Nous nous plongeons rapidement dans nos labeurs respectifs. Sympa.

La matinée passe tellement vite. << J'avance bien. Je dois remanier tout le prologue de ma thèse ! >> m'explique t-elle quand je viens la rejoindre. Les passages incriminés surlignés au Stabilo jaune fluorescent. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le denier quart de la Flamiche Picarde. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de tomates. Je fais gonfler du riz en complément. Pendant ce temps je concocte la sauce au Roquefort. D'abord l'ail et l'échalote qui blondissent dans un fond de beurre fondue. J'y rajoute une cuillère à soupe de farine complète. J'obtiens une pâte rousse à laquelle je rajoute deux verres de lait de soja. Je coupe une grosse tranche de Roquefort en petits dés. Ils fondent rapidement pour rendre le mélange onctueux. Avec de l'épaisseur.

De la noix de muscade, du persil, de la ciboulette. Voilà notre sauce prête. Pour maintenant et pour ce soir. Je recommande avec les spaghettis par exemple. Une parfaite imitation de la fameuse "carbonara" mais diététique, digeste et bien plus légère. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le cas Juliette. << Tu seras le dernier des salauds en sa présence. D'abord parce que ça m'excite de te voir faire le satyre puis parce que j'aime voir les réactions des autres femmes ! >> lance Clémentine. Elle pose sa main sur la mienne. La tourte aux poireaux, réchauffée, avec du riz complet et de la sauce forte est un véritable régal. Nous traînons à table. Clémentine, assise sur mes cuisses termine son yaourt en parlant du remaniement du premier chapitre de sa thèse.

Les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle. Nous épluchons les pommes de terre. Lavées et coupées en tranches. Ébouillantées dans l'auto cuiseur. Il suffit de les disposer en dominos dans le grand plat de terre cuite. Je verse le flan, ce mélange œuf, lait de soja et crème fraîche. Ce sera le liant. Clémentine recouvre d'une copieuse couche de gruyère Suisse. Je saupoudre de chapelure. Onze cerneaux de noix. Au four pour une cuisson à 180°. Nous montons nous laver les dents. Pressés de nous dégourdir les jambes, nous redescendons à toute vitesse. << Ça rend serein d'avoir tout préparé pour le repas du soir ! >> fait Clémentine. Nous nous tenons par la main pour aller jusqu'à la rivière. S'il n'y avait les couleurs de l'automne ce serait une vraie journée d'été.

Il fait chaud avec 28°. Un ciel bleu où ne flottent que de vagues vapeurs nuageuses. Un soleil généreux. << Put-Hein on pourrait partir à vélo ! >> s'écrie Clémentine. Hélas, elle devra remettre ses travaux ce jeudi matin. Nous longeons la rivière comme pour le jogging de la matinée. C'est vrai qu'une certaine frustration devant cette météo nous chagrine. << Il fera aussi beau ce week-end, viens ! >> lance Clémentine, fataliste, en m'entraînant par la main. Il est 14 h quand nous sommes à nouveau installés dans l'atelier. Orientée Nord Est afin d'offrir une luminosité constante cette grande pièce est éclairée par deux grandes baies vitrées toutes en longueur. Il faut rapidement fermer celle que j'ai entrebâillé avant le repas. À l'ombre, c'est l'automne et la fraîcheur humide.

Je peins dans la sérénité. Tout comme Clémentine qui me lit quelques changements de phrases. Je la félicite pour ses talents de narratrice. Parfois je la rejoins. Debout derrière elle à caresser sa tête. À jouer avec sa natte. À poser mes lèvres dans sa nuque. << Mmhh, tu me donnes des frissons ! >> murmure t-elle sans toutefois se déconcentrer. Il est dix sept heures. << Là, j'ai terminé. Je peux te relire le dernier paragraphe ? >> s'écrie Clémentine qui se lève d'un bond. Pendant que je nettoie la palette, les pinceaux, Elle tourne autour de moi, ses feuilles dans la main, pour me faire la lecture. Un peu comme une actrice de théâtre qui déclamerait son texte. J'applaudis. Je retire ma blouse. Je me lave les mains au petit lavabo de l'atelier. La bite posée sur le rebord.

Clémentine, toute contente d'avoir finalisé ses écrits se précipite en s'écriant : << Pas sans moi ! >>. Elle saisit ma queue pour en diriger les jets. Pressés de filer, nous quittons l'atelier pour sortir. Il fait encore bien chaud. << L'été indien, ça commence le premier octobre au Québec ! >> lance Clémentine en prenant ma main. Nous redescendons jusqu'à la rivière. Je suis prié de garder la bite à l'air. C'est inconfortable assis sur les premiers rochers du sentier de droite. Mais c'est la préférence de Clémentine qui adore la vue. Juste la braguette ouverte et la queue qui pend. En l'occurrence dans cette position, toute fripée. Sa tête sur mon épaule, ses bras autour de ma taille, Clémentine joue avec ma biroute toute molle. En revenant sur les remaniements des chapitres de sa thèse.

À l'ombre la fraîcheur se fait sentir. Cette fraîcheur humide et désagréable de l'automne. Nous remontons le chemin. Je préfère remballer car notre voisin descend assez fréquemment à la rivière lui aussi. Il est dix huit heures trente. Nous sommes vautrés dans le canapé en rotin de la véranda. << Viens, je te mets en conditions pour ce soir ! >> fait soudain Clémentine en se levant. Elle jette un des coussins au sol, sur le carrelage. Entre mes pieds que j'écarte. À genoux entre mes jambes, ses mains posées sur mes cuisses, elle hume longuement mon chibre. Par petites contractions des muscles fessiers je le fais bouger sous son nez. Chaque fois qu'elle tente de le prendre entre ses lèvres, j'esquive en contractant mes muscles. J'aime la voir rire et s'amuser de nos jeux.

Elle parvient finalement à s'en emparer. Je passe le bout de mes doigts sur ses joues creusées par la succion. Je les passe sur ses sourcils, délicatement sur ses paupières en revenant sur la pipe qu'elle a prodigué vendredi dernier à notre voisin. Quand je donne ainsi mes impressions, Clémentine, sans cesser de sucer glousse en riant. Je murmure : << J'adore être planqué pour te voir piper des mecs ! Quand tu baises aussi ! >>. Clémentine ouvre les yeux souriants et malicieux. Tout en pompant elle gémit de plaisir. Des rires lorsque que je raconte mes branlettes en mâtant. Je me fais encore tailler une authentique pipe des familles. Il est dix neuf heures. Le soleil baisse sur l'horizon. J'entends les doux gargouillis que fait mon foutre dans la bouche de la fille que j'aime.

Elle cesse. Un long filament de jute relie mon prépuce trempé aux lèvres de sa bouche. Avec difficulté elle tente de déglutir. Elle y parvient pour me dire : << Juliette ne va pas tarder. Tu gardes ta bite à l'air. Je veux voir sa réaction ! >> me dit Clémentine en se redressant. Je me lève. Il y a une coulure de sperme qui reste suspendue à l'extrémité de la peau mouillée du prépuce. << Génial comme ça ! >> s'écrie Clémentine avant d'ouvrir la bouche pour m'en montrer l'intérieur. Elle m'entraîne par la main pour aller dans le hall d'entrée. Devant un des grands miroirs de la penderie elle ajuste correctement mon sexe. Je bande mou et cette coulure épaisse reste suspendue sur une bonne dizaine de centimètres. Voilà la Mercedes qui descend lentement le chemin depuis le portail.

Juliette se gare devant le garage. Ce soir elle porte une jupe bleue nuit, droite jusqu'aux bas des genoux. Une veste blaser noire sur un pull carmin. Mocassins carmins. Elle traverse le jardin en restant sur les dalles de grès. Nous sortons pour l'accueillir. Elle est tellement contente de nous revoir qu'un merveilleux sourire illumine son visage. Comme à chaque fois, Juliette fait mine de ne pas s'apercevoir de ce qui pend de ma braguette. J'adore cette attitude féminine. Trois bises chacun. Elle nous prend les bras en disant : << Vous m'avez manqué ! Mais j'avais tant de travail la semaine dernière ! >>. Nous l'entraînons vers la cuisine. J'allume le four. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endives. Je mets les assiettes, les couverts. Juliette, les bras croisés, appuyée contre le buffet, raconte ses journées.

Elle fait semblant de remarquer enfin mon chibre et sa coulure à présent figée. Mon sperme est très épais, visqueux et gluant. << Charmant ! C'est une éruption ? >> lance Juliette en pointant son doigt vers ma queue. Clémentine répond : << Oui, à l'idée de vous savoir bientôt avec nous, Julien s'est branlé ! >>. Nous rions aux éclats. << Il faut que je revienne plus souvent alors ! >> s'exclame Juliette. Je lui adresse un clin d'œil en disant : << Oui ! >>. Je saisis mon chibre à sa base. Délicatement, je l'agite. "L'hélicoptère". Ce qui fait tournoyer la coulure. Clémentine que mes attitudes de vicelard excitent, se précipite après avoir remué la salade. Accroupie, d'un gracieux mouvement de tête, elle lape la coulure pour se la bouffer. Juliette s'écrie : << Wouah, bien dégueu ! >>

La sonnerie du four. Juliette enfile les maniques. Accroupie, me tournant le dos, elle ouvre la porte vitrée du four pour en sortir le gratin doré et fumant. Rien ne m'excite davantage que la vision d'une femme, vue de dos, accroupie, les cuisses écartées. C'est un véritable "déclencheur". Nous mangeons de bon appétit. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Elle nous raconte ses journées chargées. La pension pour chevaux qu'elle dirige ne peut accueillir que 87 bêtes. Elle doit faire face à des demandes de départements voisins. Je me lève parfois pour agiter ma biroute en sa direction. Son regard sévère n'est qu'un jeu. Terriblement excitant. Juliette propose un Gloryhole pour la fin octobre. Clémentine évoque l'expérience du gangbang qu'elle aimerait tenter. Juliette assure qu'elle peut arranger "ça". << Avant les vacances de Noël ? Ça vous va ? >> précise t-elle. Clémentine me regarde. Je lève le pouce de la main droite.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines que la perspective de réaliser un nouveau fantasme excite au plus haut point, (le point Godwin), fait briller leurs yeux et mouiller leurs chatounes...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 40 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2386 -



Le jeudi soir Estelle nous rejoint

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. Les douceurs de l'application "forêt" nous réveillent. En gémissant, en se blottissant contre moi, Clémentine murmure : << C'était bien avant de dormir ! >>. Même si j'entends cette phrase quasiment tous les jours au levé, elle me pétrit d'émotion. Nous ne pouvons pas nous attarder. Quelques bises. Quelques papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. À nous habiller sport dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant ces rêves. J'écoute avec intérêt en pressant les oranges, en pelant les kiwis. Je beurre les tranches que vient d'éjecter le grille pain. Clémentine y étale confiture et miel. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant.

Ces mercredis où nous sommes ensemble à travailler dans l'atelier ont quelque chose de magique. C'est le constat qu'en fait Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Juliette. << Tu as vu comme elle mâtait ta bite cette salope. Je croyais qu'elle allait te la bouffer ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Il est 6 h25. Avec la douceur qui règne à l'extérieur, la nuit qui s'éclaircit, nous choisissons l'option jogging. Une heure sur notre parcours adoré. Il est 7 h30 quand nous revenons. Chaque seconde est comptée. La douche. Je redescends le premier pour sortir la voiture du garage. C'est encore une belle journée d'été qui s'annonce. Presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre. Levis, veste en velours.

Un dernier bisou. Je la regarde partir. Je fais quelques pas dans le jardin pour profiter de ce moment magique. Je ramasse quelques noix dont je remplis mes poches. Je rentre pour faire la vaisselle, notre lit. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque la peinture de ce premier paysage avec l'enthousiasme habituel. Je peins en chantonnant. Parfois, avec une pointe de nostalgie, je regarde la place qu'occupe Clémentine quand elle est là. Elle me manque. Je ne vois pas défiler les heures. Je sais qu'il est midi car la faim me tenaille. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer les restes. Ce délicieux gratin de pommes de terre et sa sauce au Roquefort. Une rapide salade verte dont je lave les feuilles également pour ce soir.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit Jean Lassalle. C'est toujours un plaisir d'entendre ce brave homme. Avec l'omerta décrété par les médias, il n'est plus invité nulle part. Ce qui est le sort de tous les dissidents de la pensée unique décrétée par le pouvoir en place. Parole est donnée aux voyous, aux intrigants et aux despotes qui imposent leurs visions scélérates du "nouvel ordre mondial". << Si vous n'avez rien à dire taisez-vous. Si vous avez quelque chose à dire, fermez-là ! >>. Tout en me divertissant des vérités dramatiques de l'ancien député, je prépare mentalement la surprise que je réserve à mes deux anges. Pour le repas de ce soir ce seront des bouchées à la reine. Préparation rapide pour un résultat délicieux.

J'émince un gros pavé de saumon que je fais rissoler dans la poêle. J'y rajoute champignons finement coupés, ail, échalote, persil et ciboulette. Je verse l'ensemble dans la Béchamel onctueuse. Un peu de gruyère Alpestre avant de bien mélanger afin de rendre la garniture homogène. Je remplis les cinq énormes bouchées à la reine. Je les place dans le grand plat carré en terre cuite après l'avoir rincé des collées de gratin. J'égoutte les coquillettes que je répartis soigneusement entre chacune d'elles. Je recouvre du reste de gruyère. De la chapelure. Onze cerneaux de noix toutes fraîches. Au four. C'est préférable de laisser mijoter longuement. Le thermostat pilote parfaitement une cuisson qui n'excède pas 160°. La vaisselle. Je monte me laver les dents.

Pressé d'aller me dégourdir les jambes, je dévale les escaliers pour sortir. La température extérieure flirte avec les 28°. Si ce n'étaient les couleurs de l'automne, ce serait une journée de juillet. C'est étonnant. J'ai trop chaud dans mon Levis, dans ma chemise à carreaux. je descends jusqu'à la rivière. Les paroles de Clémentine résonnent dans ma tête. Nous étions tous deux assis sur les rochers en cet endroit tant de fois. Aujourd'hui elle me manque vraiment beaucoup. Sans doute les conséquence de ce mercredi. Il faudra s'y faire. Tous les mercredis de cette nouvelle année universitaire. Je remonte. Il est 14 h quand je suis installé devant mon chevalet. La fraîcheur de l'atelier est soudain fort agréable. Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. Les heures défilent.

Du bruit. Enfin Clémentine. Elle se précipite vers moi en entrant dans la grande pièce. << Tu m'as manqué ! >> sont ses premiers mots. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Moi aussi je lui confie que son absence aujourd'hui était curieusement cruelle. << Alors on ne se quitte plus. Tu t'inscris en fac et tu reprends tes études ! >> lance t-elle. Nous en rions de bon cœur. << Viens, on va se promener. Je n'ai rien à revoir. On a fait les corrections avec Alban toute la journée ! >> rajoute t-elle. Je nettoie la palette, les pinceaux pendant qu'elle prépare des documents pour demain matin. Nous ressortons. J'ai la chemise largement ouverte. Nous redescendons jusqu'à la rivière enchantée.

Plusieurs fois Clémentine me prend dans ses bras. Ou se serre dans les miens. Elle partage ses impressions, ses émotions. Nous nous réjouissons pour le week-end à venir. Il commence demain, vendredi, à midi. << On se fait des virées vélos tous les jours ! >> s'exclame t-elle en mitraillant mes lèvres de bisous. Nous remontons pour nous assoir sur le banc en pierre contre le mur de la dépendance. Le contact froid est des plus agréables. Clémentine évoque quelques souvenirs de vacances qui reviennent le plus souvent dans mémoire. Des souvenirs qui rejaillissent soudain dans les moments les plus inattendus. << En cours, j'ai parfois des flashs. Des paysages, un endroit. Une situation. Et ce n'est pas que sexuel ! >> rajoute t-elle en posant sa main sur ma braguette.

Nous en rions de bon cœur. J'ai rapidement le sexe fièrement dressé vers l'azur du ciel, dans sa main. En me masturbant doucement, Clémentine fait quelques projets pour les vacances de la Toussaint. << Tu te rends compte, c'est déjà dans trois semaines. Du samedi 21 octobre au lundi 6 novembre ! >> dit elle. Je propose de nous offrir une petite semaine d'escapade. Elle rajoute : << Je suis déjà entrain de nous organiser un "plan". Mais c'est une surprise ! >>. Je m'écrie : << Tu es adorable. Je t'aime ! >>. Nous nous embrassons passionnément. Comme souvent au point d'en avoir les mentons trempés de nos salives. Le Kangoo d'Estelle descend lentement le chemin pavé depuis le portail ouvert. Elle nous voit. À peine garée à quelques mètres, elle saute de sa voiture.

Elle se précipite pour nous faire des bises. Elles se sont vues en cours. Clémentine assise à ma gauche, Estelle s'installe à ma droite. Elles jouent toutes les deux avec ma queue. Elles se la refilent. Tout en parlant de leur journée. D'Alban leur maître de thèse. De ses exigences. Estelle et Clémentine préparent leurs thèses en Anglais et en Français. Sur le plan international qu'elles visent, c'est un atout majeur. Ce qui complique un peu la tâche de leurs professeurs. Nous profitons de cette fin d'après-midi véritablement estivale. Ce n'est que vers 18 h45 que la fraîcheur nous rappelle que nous sommes le 28 septembre. La faim se fait d'ailleurs ressentir. << J'adore quand ta chemise est ouverte ! >> lance Estelle qui passe sa main sur mes pectoraux saillants et mes abdos.

En contractant ses muscles ils deviennent aussi durs que mon sexe que ne lâche pas Clémentine. C'est en riant que nous rentrons. Au passage nous ramassons toutes les noix possible. Quand mes deux anges découvrent la surprise. Je suis littéralement assaillit de bisous. Estelle m'en fait sur les pectoraux, descend pour m'en faire sur les abdos. " La tablette de chocolat" comme elle les appelle. Pendant que le plat réchauffe au four, Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue déjà lavée. Estelle m'aide à mettre les assiettes et les couverts sur la table de la véranda. C'est un petit bonheur que d'assister à l'arrivée du crépuscule en cette saison. Une des baies vitrées encore grande ouverte. Je tiens mes deux anges par leurs tailles sur le perron. Le soleil descend sur l'horizon.

J'ai la bite dans la main de Clémentine. Ce soir, pas très partageuse, elle affirme que c'est son "doudou" à elle. Estelle, pas en reste ne cesse de me rouler de rapides pelles. La sonnerie du four. Enfin. Les bouchées à la reine, avec des coquillettes en gratin, accompagnées d'une laitue, restent le must absolu lors de l'arrivée de la nuit. Nous mangeons de bon appétit. Estelle qui se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine, aimerait bien savoir la surprise que nous réserve Clémentine pour les vacances de la Toussaint. << Mystère et bite à l'air ! >> se contente de répéter cette dernière. Je me lève moi aussi pour agiter ma queue toute molle. Quand je fais "l'hélicoptère" c'est un tonnerre d'applaudissements. Nous traînons un peu à table. Miam.

Les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle, les filles m'entraînent au salon. Toutes les deux retirent leurs bottines, leurs Levis, leurs chemises à carreaux pour se vautrer dans le canapé. Les cuisses largement écartées, elles se masturbent toutes les deux en me fixant de leurs regards malicieux. Par en-dessous. Je reste un moment à distance. Moi aussi en me masturbant, admirant ce magnifique spectacle. << C'est une catharsis après les journées éprouvantes que nous passons en cours ! >> lance Estelle. << À double titre quand on voit par les fenêtres comme il fait beau ! >> rajoute Clémentine. << Tu viens ? >> dit elle encore en jetant les coussins au sol. Je m'y mets à genoux entre ses jambes. Ce soir, je commence par Clémentine. Ma tête entre ses cuisses.

Il y a de quoi se régaler. Quand je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de sa vulve elle tient son clitoris géant entre son pouce et son index. Estelle se penche pour me regarder lécher. Quand je suce le clitoris de Clémentine commence le concerto pour deux voix. Je passe à Estelle. Gout différent. Clitoris tout à fait normal que je titille entre mes lèvres. Quand je fouille l'intimité de sa vulve elle se masturbe en gémissant. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il ne reste qu'une heure. Une heure où je leurs offre les plus merveilleuses sensations. Pas de pénétrations demandées ce soir. Les "petits machins" d'Estelle sont terminés depuis cette nuit. << Je n'ai pas baisé avec parrain mercredi soir. Tu me baises samedi ? >> lance t-elle en se tortillant, en gémissant. Je suce.

L'orgasme d'Estelle la fait hurler. J'adore la voir rouler sur le côté, en gémissant, les mains entre ses cuisses serrées, comme en proie à une intense douleur. Son corps agité de spasmes, de frissons. Clémentine prépare la cuvette de plastique bleu. Elle est en sueur. Son orgasme pisseux est encore l'incroyable spectacle qu'avec Estelle, tout contre moi, nous observons avec étonnement. Il en gicle toujours un peu à côté. Clémentine, hurlant de jouissance, est agitée de spasmes. Ils sont la cause de ce qui gicle à côté. De la cyprine crémeuse est expulsée. C'est magnifique. Comme une éjaculation. Je me précipite pour sucer. Estelle, à quatre pattes, la tête contre le canapé, me taille une pipe passionnée. Je lui éjacule dans la bouche. Elle en tousse, manque de s'étouffer. 21 h50.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se blottissent sous les draps contre leur "bienfaiteur". Avant de se laisser aller au sommeil le plus profond...

Julien (bienfaiteur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Le petit monde de Clémentine et de Julien
Saturday 30 September 2023 07:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 41 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2787 -



L'après-midi à bicyclette

L'application "forêt" et ses enchantements nous tirent de nos profonds sommeils. Il est presque six heures, hier matin, vendredi. Le vendredi Clémentine termine à midi. Son réveil est alors souvent euphorique si pas excentrique. Ce 29 septembre ne déroge pas à cette règle. Elle saisit mon érection naturelle en murmurant des choses totalement incompréhensibles. Ce qui nous fait rire. Je chuchote : << Tu recommences à la cuisine ! >>. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Passer nos vêtements de gym dans la salle de bain. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café en me racontant la nature de ses rêves. Cette fois de façon intelligible. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Je suis plié de rire car Clémentine imite l'accent Corse de Juliette.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée avec Estelle. Les léchages de minous dont j'ai gratifié mes deux anges. << Elle va me donner ses impressions ce matin en cours. Je te raconterai en rentrant à midi ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'après-midi à bicyclette tant attendu. Six heures vingt cinq. Nous remontons pour nous livrer à notre gymnastique. Aérobic. Clémentine, hyper déconneuse, me fait rire, me déconcentre. Mes rires la font rire et c'est un enchaînement de fous rires. Jogging sur tapis roulants où elle fait sa course en se tournant, levant les bras. Courant à l'envers. Les exercices au sol avant les charges additionnelles où nous ne rions plus. Le retour au calme avec les étirements du stretching.

La douche. Je redescends le premier pour préparer la voiture. Il est 7 h45. Une bien étrange douceur, un ciel presque entièrement bleu où se lève déjà un soleil royal. La température extérieure est de 16°. Clémentine vient me rejoindre vêtue d'une jupe sur des collants qu'elle retirera avant les cours. Un chemisier sous sa veste de velours cintrée à la taille. Ses mocassins à légers talons. Je la félicite pour son élégance. << À tout de suite ! >> dit elle en me faisant un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Quel bonheur que de faire le tour du jardin le matin, dans la rosée. Je rentre pour faire notre vaisselle, notre lit. Une fois dans l'atelier, confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Inspiré et impatient de travailler.

Je peins dans cette euphorie laissée par Clémentine. Je termine ce matin cette première toile de la saison. Une nature morte d'après une photo prise lors d'une de nos randonnées. Il est onze heures quand je dépose la dernière touche sur la surface peinte. Pour laisser sécher l'ensemble, je dispose la toile sur un second chevalet, recouverte d'un draps. À l'abri de la poussière inévitable. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je pose le prochain projet sur le chevalet. Ainsi, dès lundi, je pourrai attaquer le second paysage. Il est agréable de faire un peu de ménage dans l'atelier. D'y passer l'aspirateur. Une grande cheminée dans une pièce est vecteur de fines particules qui reste en suspensions dans l'air ambiant. Avant de se déposer inexorablement partout. Il y a déjà eu une belle flambée.

Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les deux bouchées à la reine et leurs coquillettes. Au four pendant que je fais l'assaisonnement d'une salade de concombre. Il est midi trente. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. << Ensemble jusqu'à lundi ! >> s'écrie t-elle alors que je la soulève. Ses jambes enserrant ma taille, elle mitraille mon visage de baisers. Je l'emmène aux toilettes. Lavage des mains, rituel pipi ou elle adore que je l'essuie. Elle est hyper sexy dans sa jupe carmin. Morts de faim nous nous précipitons dans la cuisine. Réchauffées, les bouchées à la reine et leurs coquillettes gratinées sont encore meilleures. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Elle s'est fait draguer en prenant de l'essence à la station.

Nous en rions de bon cœur. Pas question de traîner. Depuis notre retour d'Écosse nous avons pris l'habitude d'utiliser le lave vaisselle. C'est moins convivial mais nous permet de passer très rapidement à la suite. Nous montons nous laver les dents, passer nos tenues vélos. Il fait magnifiquement beau. La température extérieure avoisine les 27°. Pressés de filer nous redescendons à toute vitesse. Clémentine dans sa jupette de lycra noir, son T-shirt de lycra rouge. Moi dans mon short de lycra noir, mon T-shirt de lycra rouge. Dans le petit sac à dos que je porte, nos leggings, nos K-ways pour affronter la fraîcheur du retour en soirée. Je vérifie le gonflage des pneus. Parfait. C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable.

Il faut pédaler contre un léger vent d'Ouest. Une bénédiction car ce même vent nous poussera ce soir au retour. Nous ne sommes pas les seuls à profiter du merveilleux après-midi qui s'annonce. Nous croisons nombre de cyclistes. De filles en rollers, de joggeurs. Depuis peu l'usage des trottinettes électriques est interdit sur la piste. C'est beaucoup plus sécurisant car les abus devenaient inquiétants. Des engins aux moteurs débridés qui terrorisaient les cyclistes en les frôlant à des vitesse folles. Même si la saison de la plaisance touche à sa fin, il y a encore pas mal de bateaux sur le canal que nous longeons. Pas d'arrêt pipi au bout des dix kilomètres qui nous emmènent au cabanon de l'écluse. Clémentine préfère se garder pour une éventuelle catharsis exhibitionniste.

Nous arrivons au port de plaisance vers 14 h45. Les joueurs de boules, des promeneurs, des groupes de cyclistes. L'ambiance habituelle qui règne sur les quais. Il y a un grand espace clôturé. Nous fermons les vélos à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. Clémentine retire rapidement sa culotte qu'elle fourre dans la pochette avant du sac à dos. Après me l'avoir fait humer. Même si je ne suis absolument pas fétichiste des culottes portées, c'est "émouvant" de sentir les parfums intimes de la fille que j'aime. Après 25 km sur une selle. Un peu de sueur causée par l'effort contre le vent. Nous allons directement regarder ces curieuses installations. Il y a des employés municipaux et un couple d'agriculteurs dont le tracteur et sa remorque son garés à proximité immédiate.

Ce sont six pressoirs. Pour dimanche il sera proposé à tous les gens intéressés de venir faire presser leurs pommes, leurs poires ou encore leurs noix. En emmenant bien évidemment leurs bouteille vides. Exclusivement en verre blanc. Nous écoutons les explications de la femme de l'agriculteur. Elle explique le fonctionnement des machines. De larges cuves en bois pouvant contenir chacune 100 kg de fruits. Ce qui donne environ 45 litre de jus. Nous nous promettons de venir assister à ces festivités. La sublime jeune fille qui reste accrochée à ma taille pour écouter la dame attire l'attention de quelques badauds. D'un employé communal. Dans sa tenue Clémentine est hyper sexy. Désirable. Personne ne peut imaginer qu'elle ne porte pas de culotte sous sa jupette lycra noire.

Nous traversons la route pour nous rendre dans la supérette. Pas beaucoup de clients. Ce qui permet à la gérante de bavarder un peu avec nous. Nous apprenons que dimanche 8 octobre, d'ici un peu plus d'une semaine, se dérouleront les dernières festivités de l'année. La braderie d'automne. Sous chapiteau si le temps est médiocre. Nous choisissons nos parfums de glaces. Notre marque préférée, Ben & Jerry's. Vanille aux noix de pécan. Deux bacs. Nous les savourons assis sur un des bancs. Un véritable tapis de feuilles mortes recouvre les pavés du quai. C'est romantique. Seule la piste de pétanque est dégagée. Nous regardons les boulistes jouer. Il y a l'habituel voyeur qui mâte souvent par là. Découvrant l'intimité de Clémentine qui écarte discrètement ses cuisses.

<< Tu te souviens comme il était timide et coincé quand il m'a surpris dans les toilettes ? >> me demande Clémentine. Je m'en souviens très bien et nous en rions. Nous jetons nos bacs vides dans une des poubelles avant de descendre vers les bâtiments des sanitaires. Une chance, ceux réservés aux derniers plaisanciers sont ouverts. L'endroit est hyper propre. L'odeur de javel et de chlore provoque un haut le cœur avant de s'y habituer. Nous restons quelques minutes contre la porte entre ouverte. Pour faire le guet. Clémentine veut absolument s'offrir les frissons d'une exhibe. << Un truc intense ! >> précise t-elle en se touchant. << Je dois méchamment pisser ! >> rajoute t-elle en passant une cuisse sur l'autre pour se tortiller. Hélas, personne ne vient par là.

Nous ressortons pour remonter sur les quais. L'endroit idéal reste le parking de la supérette ou cette partie du port où sont stationnées les camionnettes des employés communaux. C'est là, entre une benne emplie de feuilles mortes et un véhicule de service que Clémentine m'entraîne. Nous guettons. Nous n'attendons pas longtemps. Voilà un type habillé d'une combinaison grise qui arrive. Il tient une caisse à outils. Elle semble lourde. Clémentine se met en position. Je me dissimule de l'autre coté de la camionnette blanche. Par les vitres je peux voir arriver notre "victime". Clémentine, accroupie, que je vois de dos, les cuisses largement écartées, la tête baissée, ses cheveux cachant son visage, est entrain de pisser. Du moins elle tente de le faire. Le type arrive.

Je vois les expressions amusées sur sa face rougeaude. De sa main libre il repousse sa casquette pour dire : << Oh, excusez-moi mademoiselle ! >>. Comme à chacune de ses exhibes, Clémentine ne répond pas. Savourant l'instant en silence. Secrètement agitée des frissons tant recherchés. Le quidam ouvre la portière latérale de son véhicule pour y déposer la lourde caisse. Il se retourne pour rajouter : << Tout va bien ? >>. Clémentine lève la tête. Ses larges lunettes de soleil préservent son anonymat. Elle ne répond pas mais affiche un sourire gêné. Le type observe la scène. Il reste silencieux. En esthète privilégié. Il ne tente rien. Je suis prêt à intervenir au moindre signe inquiétant. Je ne sais pas si Clémentine pisse. Je ne la vois que jusqu'à la taille. Je reste planqué.

L'homme monte dans sa camionnette. Je suis caché juste de l'autre côté. Clémentine se redresse. Oui. Elle a probablement pissé car elle s'essuie. Longuement. Faisant profiter notre inconnu de l'aubaine. Il sort de son véhicule. Je le distingue de dos. Mais je comprends immédiatement ce qu'il montre à cette sublime jeune fille qui fixe l'endroit de sa braguette avec un ravissement non feint. Le bougre agite certainement son chibre devant la jeune fille pour susciter ainsi un tel étonnement. Je l'entends demander : << Ça vous tente mademoiselle ? >>. Clémentine, aimant jouer la naïve, répond : << Quoi donc ? >>. Je vois le bras du mec bouger à un rythme régulier. Il se branle. Clémentine s'empresse de rajouter : << Non merci, mais j'aime bien regarder ! >>. Le type s'agite.

Il redouble d'activité quand une voix masculine se fait entendre. << Claudio, t'es là ? >>. Le type a juste le temps de remonter dans la camionnette pour remballer sa biroute. Un autre homme, vêtu pareil arrive en tenant un karcher jaune. Il est tout étonné de rencontrer une jeune fille en cet endroit. Il regarde parterre pour comprendre. << Claudio, faut qu'on s'arrache. Il est seize heures trente ! >> lance t-il à son collègue. Clémentine s'en va d'un pas rapide. Nous nous rejoignons près des pressoirs. << Put-Hein génial ! >> me dit elle. Quand la camionnette est partie, elle m'entraîne pour me montrer le sol. Il y a une flaque. Je sais que Clémentine pisse abondamment. Mais là, elle a encore fait fort. Je la félicite alors qu'elle palpe ma bosse. Je bande sévère.

Nous flânons encore un peu à la recherche d'un éventuel second plan. Il faudrait forcer. C'est la certitude d'une exhibe de mauvaise qualité. Il n'y a pas de véritable opportunité de vivre une autre situation extatique. Nous retournons aux vélos. Clémentine remet sa culotte. Il faut enfiler les leggings et les K-ways. Il est dix sept heures quarante cinq. La fraîcheur humide d'une fin d'après-midi. Le vent nous pousse. Il est dix neuf heures quand nous revenons. Morts de faim. On fait très simple. Des tranches de pain grillé, beurrées sur lesquelles on dispose des filets d'anchois. Au four à micros ondes avec une rapide salade de tomates. Nous mangeons de bon appétit dans la véranda. Le coucher du soleil avant la tombée d'un magnifique crépuscule. Nous traînons à table.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines bien allumées par une exhibe de bonne qualité...

Julien (assistant)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 42 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2788 -



Un samedi des plus sympathiques

Il est presque sept heures trente. L'heure de nos levés habituels des samedis matins. Il y a fort à faire pour assurer la logistique. Nous nous réveillons quasiment en même temps. L'impérieux besoin naturel nous impose une immédiate visite aux toilettes. Dans la salle de bain, nous revêtons nos tenues de jogging. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Le thermostat régule parfaitement la température pour la maintenir à 20° dans la maison. Dehors elle n'est encore que de 14°. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse les dernières oranges, je pèle les derniers kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'aventure de vendredi après-midi au port de plaisance. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le ménage.

Nous avons commencé à en parler autour de nous. Nous cherchons une personne pour assurer le ménage, une à deux fois par semaine. Juliette, madame Marthe, Danièle ainsi que les parents d'Estelle sont informés. Pas encore de retombées. Nous ne souhaitons pas mettre une annonce pour cette recherche. Nous ne traînons pas. La rapide vaisselle. Nous enfilons les K-ways pour sortir. Quelques mouvements d'échauffements dans la fraîcheur humide de ce dernier jour de septembre. Flexions. Sauts. C'est sous un ciel parsemé de nuages clairs, que nous pratiquons notre heure de running. Le long de la rivière. Neuf heures lorsque nous revenons enchantés. La douche. Le sèche cheveux dans une main, la brosse dans l'autre, je coiffe Clémentine. Elle adore vraiment ça.

Elle me parle de ses cours, des professeurs, de quelques autres étudiants de son groupe. Nous nous vêtons de nos levis, chemises à carreaux, baskets. Nous changeons les draps du lit, aérons la chambre. Il est temps de redescendre. Les livraisons ne vont pas tarder. Il fait bien meilleur à présent. Presque dix heures et une température de 19°. La journée s'annonce agréable. Le soleil joue à cache cache avec des amoncellement de nuages. Mais aucune menace à redouter. Nous n'attendons pas longtemps devant la maison d'amis. Voilà la camionnette Mercedes blanche qui descend lentement du portail sur les pavés du chemin. Danièle, un grand sourire, saute de son véhicule. Nous nous touchons les poings en nous saluant. La jeune femme contourne sa camionnette.

J'ai la braguette béante. Mais cette fois Clémentine n'a pas préparé l'effet "ressort". Volontairement. Durant le jogging elle m'a prié de faire preuve d'initiative et de l'étonner. Je n'en ai très peu. Danièle a bien remarqué que mon 501 était déboutonné. Pendant qu'elle s'affaire, debout entre les cageots étiquetés, je sors ma bite. Clémentine me fait un clin d'œil. Je récupère le lourd cageot que me tend Danièle. Il contient nos fruits et nos légumes. Mais elle n'a pas encore vu mon chibre qui pend. Je pose le cageot sur le banc en pierre contre la façade. Clémentine vient de se saisir du second cageot qui contient nos yaourts, nos fromages, les œufs, le beurre, les pots de crème fraîche. Danièle fixe mon sexe. Elle m'adresse un clin d'œil toute en mimant une masturbation masculine.

C'est la toute première fois qu'elle réagit ainsi. Je saisis ma queue que j'agite, semi molle dans sa direction. Le sourire de la jeune femme est révélateur. Elle ne cherche même pas à dissimuler sa satisfaction. Elle saute du véhicule, referme les portes arrières. Retourne à l'avant pour récupérer le terminal de paiement. J'y introduis la carte bancaire. Je bande. Danièle, penchée sur le côté observe avec intérêt. Elle s'adresse à Clémentine en lançant : << Chanceuse ! Bel engin ! >>. Nous rions tous les trois aux éclats. Même commande pour samedi prochain. Danièle ne s'attarde pas. Elle a quantité d'autres clients à livrer jusqu'aux environs de quatorze heures. Je me masturbe en la regardant faire demi tour. Au volant, souriante, complice, elle lève son pouce par la vitre ouverte.

Un dernier signe de la main avant qu'elle ne disparaisse au portail. Clémentine saisit mon érection d'une poigne ferme. << Tu vois, quand tu veux, tu peux ! >> lance t-elle. Nous rions. Je remballe toutefois très rapidement. Je fais bien. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère. Comme à l'accoutumé, hilare au volant, madame Marthe gare son véhicule au même endroit. Nous l'accueillons toujours avec le plaisir de la revoir. Avec elle, pas de situations "spéciales". Ce n'est pas son genre. S'il faut un genre. Elle saute du marche pieds avec cette étonnante agilité malgré sa corpulence. Elle nous tend le cageot contenant nos deux miches de pain complet, les deux pâtes feuilletées, l'énorme brioche au pudding, les bouchées à la reine, les deux gigantesques croissants.

Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. << Pour le ménage, je vous ai peut-être quelqu'un. Ma nièce. Elle prépare son BTS commerce. Elle a vingt ans. À cet âge on a toujours besoin d'argent. Il faut qu'elle s'organise ! >> nous fait la dame en s'installant au volant. Elle démarre en concluant : << Je vous tiens informés ! >>. Nous la saluons. Un premier voyage en contournant la maison par derrière pour descendre dans la cave. Clémentine commence à disposer les fruits et les légumes sur les étagères en bois dans le cellier. Je retourne chercher le cageot "boulanger". Du congélateur où je mets une des deux miches, une pâte feuilletée, je tire le gros paquet de moules, les deux sachets de petits pois et de haricots verts. Nous remontons à la cuisine.

Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois courriels. Celui de Juliette qui nous rappelle que nous sommes invités mercredi soir. Celui de Julie qui donne enfin de ses nouvelles. Tout va bien. Elle s'adonne corps et âme à ses études. Règle son problème avec son petit copain qui bientôt ne le sera plus. Le mail d'Estelle qui est impatiente de nous rejoindre pour 13 h45. Après-midi bicyclette. Elle ramène la sienne. Clémentine fait les rapides réponses. Je caresse ses seins minuscules qui semblent animés de leurs vie indépendante sous la chemise. << Mmhh, j'adore ! >> murmure t-elle avant de se relire à haute voix, de cliquer sur "envoyer". S'en suit un rapide petit tour sur le site universitaire.

Aucune information notoire. Il est onze heures quinze. Nous quittons le salon pour la cuisine. Les moules, les haricots verts et les petits pois, en plein soleil sur le rebord de la fenêtre, décongèlent. Clémentine lave les feuilles d'une belle laitue toute fraîche. J'émince l'ail et l'oignon pour l'assaisonnement de la salade. Nous bavardons en évoquant ma famille en Écosse. Nous n'avons que peu de nouvelles. Nous les reverrons aux vacances de Noël. Tout en parlant, une fois les mains sèches, Clémentine passe derrière moi. D'un doigté sûr, elle déboutonne la braguette de mon Levis. C'est la meilleure position pour en extraire le Zob. << Sois le salaud que j'adore cet après-midi ! >> murmure t-elle à mon oreille en me tordant le zguegue. Je promets de donner dans la surenchère.

Je vide le paquet de moules dans le bouillon en ébullition. Les sachets de petits pois et de haricots verts dans le wok. Les préparations rapides de nos samedis. Pas très diététiques mais délicieuses. C'est sur la table de la véranda que je mets les assiettes, les couverts. La température extérieure est à présent de 23°. J'ouvre une des grandes baies vitrées. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de l'après-midi. Nous adorons les périples à bicyclettes. Aussi, il est important de pouvoir profiter de chaque journée où cela est encore possible. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur la proposition de Juliette. Vivre un Gloryhole avant la fin octobre. << Ça me tente assez ! >> me dit elle en riant.

Je dis : << Nous en parlerons mercredi soir, pendant le repas ! >>. Clémentine me fait plein de bises sur la bouche en lançant : << Une ou deux fois par an, ça situe bien les choses ! >>. Nous en rions de bon cœur quand elle rajoute : << Des choses qui pendent par les trous dans les murs par exemple ! >>. La vaisselle. Manuelle aujourd'hui. C'est plus convivial avant de monter nous laver les dents. Nous percevons un léger bruit. La porte s'ouvre. Estelle pose son grand sac de sport sur le tabouret. Elle se précipite vers nous. Tous les trois, serrés, heureux de nous retrouver. Elle saisit ma queue toute molle en disant : << Tu me la mets ce soir ! >>. Clémentine éclate de rire en disant : << Je te rappelle, à tout hasard, que c'est la bite de mon mec. Je prête ! >>

Nous nous changeons pour mettre nos tenues vélos. Jupettes de lycra noir, T-shirts de lycra rouge pour les filles. Short de lycra noir et T-shirt de lycra rouge pour moi. Nos baskets. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Le lecteur qui suit nos aventures apprécie très certainement autant que nous nos petites habitudes des jours de la semaine. Chacun d'entre nous pratiquons nos activité un peu comme des rituels. Il est difficile de s'y soustraire, d'innover. C'est la vie. Dans le petit sac à dos que je porte, nos leggings, nos K-ways. Les barres de céréales. Je sors la bicyclette d'Estelle de son Kangoo. << Papa a tout vérifié ! >> précise t-elle cette fois encore. Je vérifie le gonflage des pneus des nôtres. Un petit coup de compresseur et voilà 5,5 bars derrière et devant.

C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Le soleil esquive les amas de nuages d'altitude. Ils présentent toutes les nuances des gris. Ils ne représentent aucun danger. Nous croisons nombre de cyclistes. Toujours encore des bateaux de plaisance sur le canal que nous longeons sur ses vingt cinq kilomètres. Il est 14 h50 quand nous arrivons au port. L'animation des samedis ensoleillés. Il y a des stands installés autour de l'enclos des pressoirs. Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. Estelle et Clémentine retirent rapidement leurs culottes qu'elles fourrent dans la pochette avant du sac à dos. Il fait bien chaud. 27°.

Mes deux anges me tiennent par les mains. C'est ainsi que nous traversons les quais jusqu'à la route. Les joueurs de boules, les promeneurs, les groupes de cyclistes. Tout ce beau monde remarque notre trio. Passant la route nous allons dans la supérette. Peu de clientèle. Ce qui nous permet de bavarder avec la gérante. Une brave dame pleine d'humour, philosophe et optimiste. Il y a nos glaces et surtout notre marque préférée. Ben & Jerry's. Nous les savourons sur un des bancs sous les platanes. Deux employés municipaux, armés de grands balais, mettent en tas les feuilles qui jonchent les pavés. Avec les canicules successives, les feuilles tombent prématurément. Mais cette automne elles paraissent beaucoup plus nombreuses. C'est amusant de marcher dessus.

Un des deux balayeurs mâte à plusieurs reprises vers notre trio. Il vient probablement de remarquer le jeu de jambes de Clémentine. Elle chuchote : << Celui-là, il va avoir droit aux premières loges. Et gratuitement ! >>. Nous regardons partout autour de nous. Il n'y a personne dans les environs immédiats. Derrière le banc où nous sommes installés, il y a le mini camion électrique aux armoiries de la commune voisine. L'idéal pour s'offrir une superbe exhibe de qualité. L'autre balayeur avance vers les bateaux. Celui qui a remarqué que Clémentine ne portait rien sous sa jupe, balaie à une vingtaine de mètres. Nous portons nos larges lunettes noires de soleil. Estelle et moi, nous faisons semblant de nous rendre compte de rien. Alors que nous louchons vers l'employé balayeur.

Nous étudions son comportement. Clémentine murmure ses impressions. Ses conclusions et le "plan" qu'elle s'apprête à mettre à exécution. Une fois nos grands pots de glace vides, Clémentine les récupère tous les trois. Elle se lève. Contourne le banc pour aller les jeter dans une des poubelles. Elle revient mais pour se placer entre le banc et le mini camion dont la benne est pleine d'une montagne de feuilles mortes. Le balayeur, tout en balayant, ne perd pas de vue cette sublime jeune fille qui s'accroupit à côté de son véhicule. Estelle me fait du coude en murmurant : << Ça marche à tous les coups ! >>. Nous jouons aux amoureux. En nous embrassant nous louchons sur ce que fait Clémentine derrière nous. À une dizaine de mètres. Le balayeur vient balayer par là.

Nous assistons une fois encore à cette scène éloquente, étonnante à chaque fois et terriblement excitante. Clémentine, accroupie à côté du véhicule. Elle se tient à la roue pour maintenir son équilibre. Personne ne peut voir ce qui se passe. Depuis la route peut-être. Mais elle est déserte. Les cuisses largement écartées, elle se cambre. La tête penchée, elle semble préoccupée par son sexe. Bien évidemment, notre balayeur se rapproche. Il nous tourne le dos. Nous jouons à la perfection comme si nous nous doutions de rien. Le petit sac à dos posé sur mes cuisses permet à Estelle de manipuler mon érection démente. Nous nous roulons des pelles d'enfer, les yeux ouverts derrière les verres fumés de nos lunettes. Le spectacle en vaut véritablement la peine. Superbe.

Le balayeur regarde dans toutes les directions. Pas très à l'aise. Il nous surveille également. Il n'est qu'à quelques mètres de Clémentine qui reste immobile, concentrée. Le type saisit une grande pelle plate posée dans la benne du mini camion. Il commence à ramasser les tas. Parfois baissé, à pleines brassées, il les jette dans la remorque attachée à l'arrière. Encore vide. Autant de prétextes pour rester près de la jeune fille qui fait mine d'ignorer totalement sa présence. Une exhibe de haute voltige. L'autre balayeur bavarde avec un groupe de promeneurs. Situation parfaite. Clémentine, que nous devinons concentrée, n'arrive pas à pisser. Certainement trop excitée. Nous sommes ici sur un forum dédié à l'exhibitionnisme, au voyeurisme. Le sujet est donc parfaitement approprié.

La situation perdure. L'employé ne s'approche pas. Il se contente de rester à distance. Remplissant la remorque consciencieusement tout en observant. J'admire son cran et son self contrôle. Je bande comme le dernier des salauds dans la main d'Estelle. Le petit sac à dos posé sur mes cuisses cachant nos activités. Nos mentons sont trempés de nos salives. Nos baisers sont passionnés. Excitants. À la limite de la crampe, Clémentine se redresse. Le balayeur suit chacun de ses mouvement sans cesser son travail. Chapeau l'artiste. Il doit avoir la quarantaine. Vêtu d'un ensemble gris aux empiècements jaune sur les genoux et aux coudes. Une casquette grise. De grosses godasses de protection qui doivent êtres pénibles à porter par cette chaleur. Clémentine masse ses cuisses.

Notre employé reste un parfait gentleman. Il ne tente aucune approche. Très respectueux des comportements pourtant équivoques de cette sublime salope qu'il devine faire tout cela exprès. A t-il conscience d'être un heureux privilégié ? D'être un "élu" ? Très certainement. Clémentine reprend sa position après s'être assurée invisible depuis les bateaux, depuis les stands et depuis la route. << Put-hein elle est gonflée ! >> chuchote Estelle en cessant de fouiller ma bouche de sa langue gourmande. Nous sommes tous deux excités. Pas besoin de jouer. Nous nous embrassons. Je passe même parfois, discrètement et rapidement, ma main entre ses cuisses. Mon doigt entre comme dans du beurre. Estelle est trempée. Ça dégouline. Je suce mon doigt en le sortant précipitamment.

Clémentine ne parvient toujours pas à pisser. Il se passe ainsi plusieurs minutes. L'employé s'éloigne pour pousser les feuilles en tas. Revient pour constater que rien a changé. Enfin, se cambrant, les cuisses écartées, avec cette indécence folle dont elle est coutumière, Clémentine se lâche. Un jet d'une puissance inouïe.
Le type arrête de balayer. Il observe à présent franchement. C'est tellement spectaculaire. Évidemment Clémentine en rajoute dans la démesure. Une bonne dizaine de jets, courts, précis, qui jaillissent. Qu'elle propulse avec les à coups de ses reins à bien cinq ou six mètres devant elle. Dans notre direction. Tout près du banc où Estelle et moi regardons également. Estelle cesse de me branler pour observer, serrée dans mes bras. C'est réellement impressionnant.

Comme prise de vertige, en se redressant, Clémentine se tient d'une main à la benne. Elle reprend visiblement ses esprits après l'intensité émotive qu'elle vient de s'offrir. Le balayeur, immobile, tenant son balai, regarde, consterné. Une chose qui n'arrive qu'une seule fois dans une existence. Si on a de la chance. Qu'on est au bon endroit, au bon moment. Clémentine se torche. Longuement. Faisant durer, savourant cet instant extatique. On la voit frissonner de plaisir avant de s'éloigner vers la corbeille où elle jette le mouchoir. Elle vient nous rejoindre en disant : << Venez, on se casse ! >>. Je cache rapidement ma queue. Nous nous levons pour marcher vers l'enclos des pressoirs. Arrivés là, nous regardons à nouveau vers les bancs. Le balayeur récupère le mouchoir en papier.

<< Il aura un souvenir ! >> lance Estelle. Nous en rigolons comme des bossus quand Clémentine rajoute : << S'il le fait sécher il pourra s'en servir comme marque page dans un bouquin ! >>. Pliée de rire, Estelle s'écrie : << Dans un bouquin porno ! >>. Tout cela mérite bien une seconde glace. Nous retournons dans la supérette pour sacrifier à nos gourmandises. Pour excuser nos excès, Estelle a toujours cette formule : << Les sportifs ont l'appel du sucre ! >>. Nous les dégustons cette fois assis sur le mur qui surplombe les quais. Nous assistons au départ du mini camion et de sa remorque chargée à ras bord. Nous flânons encore un peu. Dans chaque endroit reculé, je passe mes mains sous les jupettes des filles. Elles sont toutes les deux aussi trempées que ma queue.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont fêter dignement cet après-midi d'automne. À poil, vautrées sur le bureau, à se faire tringler, lécher, brouter juste après un rapide mais bon plat de spaghettis à la crème...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
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Bel après-midi de dimanche

Notre grasse matinée du dimanche nous emmène aux environs de neuf heures. L'heure habituelle de nos réveils des jours fériés. Estelle à ma droite qui se serre encore plus fort contre moi. Clémentine à ma gauche qui se tourne pour venir se blottir. Je suis entre mes deux anges. Nous émergeons lentement. Je passe mes bras autour des épaules des filles. Elles posent leurs lèvres sur mes joues. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine saisit mon érection matinale et naturelle. Je glisse ma main dans sa culotte. Estelle revient, plonge sur le lit en disant : << Je descends préparer. Ne tardez pas, ça va être prêt ! >>. Je l'attrape par le cou pour dire : << On descend ensemble ! >>

C'est à notre tour d'aller aux toilettes pendant qu'Estelle aère la chambre, ouvre le lit. Tous les trois, morts de faim, en slips et T-shirts de nuit, dévalons les escaliers en nous tenant par les mains. Clémentine fait le café. Estelle coupe les tranches de brioches. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Le grille pain éjecte ses quatre tranches. Ma bouche va des lèvres de Clémentine à celles d'Estelle. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures au port de plaisance. Le balayeur voyeur. Nous en rions aux éclats. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre escapade vélo de cet après-midi. Il y a une nouvelle festivité sur les quais. C'est dimanche. Pas d'entraînement. Pas de jogging. Nous traînons à table en devisant sur les prochaines vacances.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, faire le lit, la chambre et nous habiller. C'est encore une véritable journée de juillet qui s'annonce ce dimanche premier octobre. << Ce n'est pas que pour les enculés que cette journée restera dans les anales ! >> lance Estelle. Nous rions. Mes deux anges sont d'ailleurs vêtues comme en plein été. Jupettes, T-shirts. Je suis en short et T-shirt. Pressés d'aller nous dégourdir les jambes nous redescendons à toute vitesse. Le ciel d'azur est sans nuages. Le soleil y règne en maître. La température extérieure est de 20° alors qu'il n'est que dix heures. Les filles me tiennent les mains. Nous allons jusqu'à la rivière. C'est un étrange contraste. Les couleurs de l'automne sous un soleil de juillet. Les feuilles qui jonchent les chemins.

Fourrant sa main dans mon short par le haut, Estelle se serre contre moi. << C'était rudement sympathique avant d'aller dormir. Tu nous refais ça ce soir ! >> dit elle. << C'est à cause de ça justement qu'on a du mal à se lever le matin ! >> fait Clémentine qui se place contre mon dos. Je passe mes mains sous les jupettes. L'adorable contact du coton des culottes. C'est doux et lisse. La bosse que fait le clitoris géant de Clémentine. Les reliefs que font les lèvres charnues de sa vulve. Un ravissement. Les canards, les poules d'eau et les colverts se rapprochent. Nous constituons probablement un étrange spectacle pour les emplumés qui virevoltent à la surface de l'eau. Nous prenons l'étroit sentier pour nous assoir sur les rochers. À l'ombre des encore épais feuillages.

Les filles parlent de leurs travaux universitaires. J'écoute en silence. Tout en bavardant leurs mains se baladent. Sur mes cuisses, mes mollets. Je contracte mes muscles pour leurs offrir quelques amusantes sensations. << Monsieur Muscle nous fait son show ! >> lance Estelle sans toutefois se laisser distraire. J'ai mes bras autour de leurs épaules. C'est par l'intérieur de ma cuisse qu'Estelle pénètre dans mon short. Elle aussi apprécie le contact du coton. Clémentine y glisse par le haut. Je me laisse aller contre la roche derrière moi. À demi allongé. Les coquines me sortent les boules et le cochonnet. << Je préfère le "billard de poche" ! >> lance Estelle qui agite mon sexe. Clémentine tient mes couilles. Me voilà avec le slip et le short descendus. Je me sens un peu stupide.

Tout cela en évoquant les préparations pour les cours de lundi. Nous en rions de bon cœur. Là-bas, monsieur Bertrand est descendu à la rivière. Nourrir les emplumés avec du vieux pain. Il ne nous voit pas. Nous restons discrets. << Tu as sucé ce vieux salaud cette semaine ? >> demande Estelle. << Mais non, sinon je t'aurais raconté ! >> répond Clémentine. Nous attendons que notre voisin soit reparti pour remonter à notre tour. Il fait tellement beau et chaud que nous envisageons de manger dans le jardin. Mais la perspective de devoir sortir la table et le jardin du garage nous en dissuade. C'est dans la véranda, baies vitrées grandes ouvertes que nous mettons les assiettes, les couverts. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Estelle fait gonfler le riz.

On va faire simple. Je coupe des tranches de pain dans la longueur. Je les beurre avant d'y allonger des filets d'anchois. Je les tire du flacon pour les déposer délicatement. Je recouvre de fines tranches de gruyère Suisse. Au four préchauffé à 350°. C'est rapide. Estelle ne cesse de me tripoter les couilles par derrière, au travers du tissu de mes vêtements. Clémentine me fait des bises. Nous préparons le petit sac à dos pour pouvoir nous enfuir dès le repas terminé. La sonnerie du four. Nous mangeons de bon appétit. Les "croûtes aux anchois" sont un délice. Accompagnées de riz complet, d'une salade de concombre. Nous ne traînons pas. Les assiettes, les couverts dans le lave vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous changer. Tenues bicyclettes hyper légères.

Jupettes lycra noir et T-shirts lycra orange pour les filles. Short lycra noir, T-shirt lycra orange pour moi. Nous dévalons les escaliers. Je porte le petit sac à dos. Nous sortons sous une presque canicule. Le thermomètre extérieur indique très exactement 30°. Nous enfourchons les vélos. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Il faut pédaler contre un léger vent d'Ouest. Il y a du monde cet après-midi. Nous croisons quantité de cyclistes. Nous parcourons les vingt cinq kilomètres sous un véritable cagnard. En nage. En sueur. L'avantage du lycra est qu'il permet de ventiler le corps. Ça ne colle pas à la peau. Ce n'est pas désagréable. Nous arrivons au port de plaisance pour 14 h30. Un monde fou.

Nous fermons les vélos à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. Estelle et Clémentine retirent rapidement leurs culottes pour les fourrer dans le sac. Même si avec cette foule il est inutile d'espérer une exhibe de qualité, elles préfèrent anticiper. En riant. Nous traversons cette partie du quai pour nous plonger dans l'action. Devant chaque pressoir il y a des montagnes de pommes. Tous les possesseurs d'arbres fruitiers de la région, désireux de transformer leurs rosacées en jus. Il y a un nombre impressionnant de bouteilles vides. Cinquante kilos de pommes donnent en moyenne vingt cinq litres de jus. Les pressoirs sont actionnés par des agriculteurs de la région. C'est un spectacle divertissant. Plus loin ce sont les deux pressoirs à huile. Pour l'huile de noix.

Ce sont des tonnes de fruits qui vont êtres transformés là. << Monsieur Bertrand là-bas ! >> s'exclame Estelle. En effet notre voisin est là. Devant sa remorque pleine. << Ce sont nos pommes ! >> précise Clémentine. C'est avec notre autorisation que Louis récupère les pommes de nos trois pommiers. Il serait malheureux de les laisser pourrir une fois tombées au sol. Nous avons tous les ans droit à une contrepartie en bouteilles de jus de pommes. Il nous en reste des années passées. Sans doute plus consommables. Pourtant nous en offrons à toutes nos connaissances. Il en va de même pour les noix. Trois noyers inondent chaque automne notre pelouse. Impossible de les récupérer toutes. Elles terminent donc dans nos salades, nos gratins, nos desserts, nos huiles.

Nous restons à l'écart. Monsieur Bertrand ne prête pas attention à la foule qui regarde. En pleine conversation avec les propriétaires des pressoirs. Il y a là six gros pressoirs à pommes et deux gros pressoirs à noix. L'enclos entouré de remorques chargées qui attentent leurs tours. Nous laissons tout ce beau monde pour traverser la route. Dans la supérette nous attendent nos crèmes glacées. Vanille pécan de la marque Ben & Jerry's. Nous les savourons assis sur le mur qui surplombe les quais. Les pieds dans le vide. Situation parfaite pour les jeux de jambes de mes deux coquines. Quand un des promeneurs lève les yeux, il est gratifié d'une vue enchanteresse sur des cuisses de jeunes filles espiègles qui font semblant de ne se douter de rien. Nous en rions de bon cœur.

Ce seront les seuls exhibes possibles de l'après-midi. Même le parking de la supérette sert à garer les remorques déjà pleines de caisses de jus de fruits. Entourées de groupes de gens qui bavardent. Le soleil tape. Fort heureusement les deux rangées de platanes sont encore bien pourvues en feuillages. Nous flânons dans cette ambiance un peu particulière. Pas toujours discrète, Estelle palpe ma bosse. << C'est plus fort que moi, le lycra exerce sur ma psyché de délicieux tourments ! >> dit elle à chaque fois. << Surtout avec ce qu'il y a à l'intérieur ! >> rajoute Clémentine. Moi aussi j'ai les mains baladeuses mais en essayant d'être le plus discret possible. C'est un enchantement de doigter sous les jupettes. De gouter mes doigts humides d'un tout autre jus.

C'est un après-midi exceptionnel. << Les médias vont nous bassiner avec ces histoires de records de chaleurs ! >> lance Clémentine. Il est dix sept heures. Les dernières bouteilles finissent de se remplir pour être placées dans les caisses en plastique. Un nombre incroyable de voitures tirant des remorques. C'est encore un succès pour la municipalité du bourg voisin. Les filles remettent leurs culottes. C'est parti. Le vent d'Ouest rend le retour facile. Il est dix huit heures quarante cinq quand nous revenons. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Estelle concocte son omelette. Je prépare les spaghettis. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Nous mangeons de bon appétit dans la véranda. Admirant ce magnifique crépuscule lunaire. Léchage de minous après.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer le minou après un après-midi vélo sous le soleil, le dimanche soir sans douche...

Julien (nettoyeur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 44 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2390 -



Lundi, la reprise

Hier matin, lundi, l'application "forêt" nous enchante encore par son réalisme. Il est presque six heures. Le gazouillis printanier des oiseaux. Le bruit de cette source. Toutes ces choses qui résonnent d'étrange manière au fond d'une mystérieuse forêt. En gémissant, Clémentine se tourne pour murmurer : << Je reste au lit ! >>. Quelques papouilles. Quelques Bisous. De rester au lit n'est évidemment pas possible. Nous courons aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos habits sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café en racontant ses rêves. Je pèle les kiwis, je presse les oranges. Le reste de la brioche dans le four à micros ondes ainsi que les tranches dans le grille pain participent à ces odeurs qui nous imposent une faim d'ogre.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les points forts de ce week-end. Nous mangeons de bon appétit en évoquant déjà le prochain. Ce qui nous amuse beaucoup. 6 h25. Nous remontons nous consacrer à notre entraînement. Il fait encore nuit et de courir en extérieur n'est pas sans danger. Même si la lune est encore bien ronde. Les échauffements de l'aérobic. Le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol. Préludes aux charges additionnelles. Le retour au calme d'un stretching et de ses étirements. La douche. Je redescends pour aller préparer la voiture. Il va encore faire beau et chaud. Il est presque 7 h45. Le ciel est bleu et limpide. La température extérieure est de 17°. Clémentine vient me rejoindre vêtue d'une jupe, de sa veste de velours noir.

Un dernier bisous. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. J'aime à faire le tour de la propriété. La campagne à l'entour est baignée de cette lumière diaphane typique des matinées d'octobre. Je rentre pour faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier, installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque la seconde toile de commande. Le second paysage réalisé à partir d'une photo prise lors d'une randonnée. Je peins dans l'enthousiasme des grandes premières. En peignant je plonge dans de constructives introspections. Je pense aux vacances de la Toussaint dans même plus trois semaines. À la surprise que nous réserve Clémentine qui prépare un séjour dans un lieu connu d'elle seule. C'est idée m'amuse toujours énormément.

Je pars du principe qu'une femme ne pouvant pas avoir de secrets ne s'épanouit pas pleinement. C'est tellement excitant de savoir que ma compagne entretient soigneusement les siens. Elle adore m'en révéler la teneur quand nous faisons l'amour. Cette pensée me couvre de frissons. Ce soir, je vais lui faire l'amour. Peut-être en saurais-je davantage sur notre destination. Il est rapidement midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de spaghettis. Je fais rissoler un dos de cabillaud blanc. Le tout accompagné d'une rapide salade d'endives. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde le retour de la propagande médiatique nauséeuse de l'épidémie de Covid. Les punaises de lit n'effrayant pas vraiment les gens.

Comme il est d'une importance vitale pour la classe dirigeante de maintenir la nation dans un climat anxiogène, tous les serpents de mer doivent refaire leur apparition. Les laboratoires ayant des tonnes de vaccins à fourguer, il faut bien faire de l'argent avec une épidémie. Il est donc crucial d'inquiéter toutes celles et ceux qui ont le nez qui coule, la gorge qui gratte. Symptômes parfaitement normaux en début d'automne mais que les plus naïfs pourraient interpréter comme des "signes" alarmants. Tout cela répond évidement au besoin d'étouffer les misères sociales de plus en plus nombreuses, l'inflation alimentaire ayant dépassé 21 % sur deux années, l'augmentation folle des prix. La guerre en Ukraine ne servant plus réellement d'épouvantail il faut en créer un autre.

Tout en écoutant je prépare mentalement le repas du soir. Ce sera un gratin de courgette et d'aubergine. Je lave et je coupe en rondelles de belles courgettes, une belle aubergine, de gros champignons de Paris. Je les dispose en dominos dans le grand plat carré en terre cuite. J'y verse le liant. Ce mélange d'œufs, de crème fraîche et de lait de soja. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère Suisse. Je saupoudre de chapelure. Je dispose quantité de cerneaux de noix sur le dessus. Au four pour une cuisson lente à 160°. Je concocte une sauce au Roquefort. C'est l'accompagnement idéal avec une laitue dont je lave chaque feuille. La vaisselle. Je remonte me laver les dents. Par une des deux fenêtres de la salle de bain j'admire cet étonnant contraste. C'est de toute beauté.

Une journée d'été avec les couleurs de l'automne. Pressé d'aller me dégourdir les jambes je dévale les escaliers. Il fait encore plus chaud que dimanche. Le thermomètre extérieur indique 31°. Je suis en bermuda, T-shirt et sandalettes. Quelle surprise. Je découvre une quinzaine de bouteilles de jus de pommes posées au bas du perron. Comme chaque année notre voisin nous offre ce petit remerciement. C'est avec la quantité de pommes qu'il récupère dans notre propriété. Hermétiquement fermées elles ne risquent pas de fermenter. Je pense aux mots de Clémentine : << Le jus de pommes me donne la chiasse !>>. C'est en riant que je les mets dans le hall d'entrée. Je vais jusqu'à la rivière sous un véritable cagnard. Comme en plein mois de juillet. Dingue.

Pourtant, inexorablement, les feuilles poursuivent leurs chutes. J'adore le bruit qu'elles font quand je marche dessus. Parfois dedans. Il est 14 h quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet Je peins animé du même enthousiasme. Malgré cette légère frustration de devoir rester à l'ombre. Par le passé j'ai déjà essayé de peindre dans la véranda, sur le perron en demi cercle du salon. Mais je suis rapidement le centre d'intérêt d'insectes volants qui perturbent considérablement. Les heures passent. Du bruit. Il est dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire.

<< Viens, on sort. On profite un peu ! >> conclue t-elle. Je nettoie la palette, les pinceaux pendant qu'elle classe quelques fiches. Nous nous précipitons au dehors. << Ah ! Les laxatifs ! >> lance Clémentine en passant devant les bouteilles de jus de pommes. Nous nous installons sur un des deux bancs en pierre accolés aux murs de la maison d'amis. Qu'il est bon d'être là, sous une légère brise, dans l'odeur d'humus d'une fin d'après-midi d'octobre. Clémentine glisse sa main dans ma braguette béante pour me raconter quelques anecdotes de sa journée. Je glisse la mienne sous sa jupe. Un bonheur supplémentaire qu'est le contact du doux coton de sa culotte. Nous restons ainsi à deviser. Les têtes appuyées contre le mur, les yeux souvent fermés. Sous le soleil.

<< Estelle me prie de te branler un peu en pensant à elle ! >> dit soudain Clémentine qui extrait mon Zob. Je bande dans sa main moite. C'est très agréable. Elle me masturbe délicatement en revenant sur ses exhibes du week-end. << Je me suis touchée en rentrant. Mais je te promets de toujours rouler prudemment ! >> rajoute t-elle. Rires. Elle me lâche, se lève, se positionne devant moi. Elle descend sa culotte. Afin qu'elle ne tombe pas, elle écarte les jambes. Le vêtement blanc reste coincé au-dessus des genoux. Elle caresse ma tête. Ma main gauche caresse ses fesses. Ma main droite s'égare entre ses cuisses. J'aime passer l'index entre les lèvres charnues de sa vulve. << Mmhh, c'est si bon ce que tu fais. Tu sens comme je suis mouillée ? >> s'exclame t-elle.

J'enfonce mon doigt avec une facilité humide. Je le tourne. Je le retire pour le porter à ma bouche. Il n'a pas réellement de gout. Entre mon pouce et mon index, je saisis son clitoris géant. Le spasme habituel qui secoue tout son corps. Elle s'accroche à mes épaules pour se cambrer sur ses genoux fléchis. Je la masturbe doucement. << Tu me rends folle ! >> lance t-elle dans un souffle. Je me lève. Je la prends par ses épaules pour la faire s'assoir. Je retire sa culotte pour m'accroupir entre ses jambes. Ma tête entre ses cuisses. Je me régale des substances de sa journée de fille. J'adore ces odeurs à la fois animales, fortes et pourtant si affriolantes. Je suce son clitoris avec avidité. C'est qu'entre les peaux fripées, il y a de délicieuses petites choses à récupérer.

Clémentine, avachie sur le banc, essaie de trouver la position la plus confortable. Je me mets à genoux sur les dalles de grès. Je me bouffe de la chatte jusqu'au vertige. Les gémissements de Clémentine sont comme autant d'encouragements. Soudain, comme mue par un réflexe de peur, elle me repousse. Je me retourne pour découvrir monsieur Bertrand, là-bas, de l'autre côté de la clôture. Il descend vers la rivière en poussant une brouette pleine de feuilles. Il nous adresse un grand signe amical de la main. << Le vieux salaud mâtait probablement depuis un moment ! >> s'écrie Clémentine qui resserre ses cuisses sur ses mains. Je me redresse. Nous rigolons comme des bossus. Ce n'est certes pas la première fois que notre voisin nous surprend. Mais jamais en cunnilingus.

Il va être dix huit heures quarante cinq. La fraîcheur humide nous rappelle que les illusions de l'été Indien cessent. Morts de faim, en riant, nous traversons le jardin en courant. Clémentine fait tournoyer sa culotte au-dessus de sa tête. Une fois dans le hall d'entrée, elle se pend à mon cou en s'écriant : << Fais-moi sentir ! >>. J'ouvre la bouche. Elle hume avant de rajouter : << Ça sent moi ! >>. Nous en rions de bon cœur. Lorsqu'elle découvre ce qui réchauffe dans le four, Clémentine me couvre le visage de bisous. Je l'aide à préparer l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Nous mettons les assiettes, les couverts. La sonnerie du four. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le cunnilingus extérieur. Le gratin de courgettes et d'aubergine est délicieux.

Nous ne traînons pas. Les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle. Clémentine m'entraîne au salon. Elle retire sa jupe et son chemisier. Ses mocassins. Nue, juste avec son pendentif, sa gourmette et ses bagues, elle s'installe sur le bureau. Je retire mon T-shirt, mon bermuda. Je frotte mon érection contre son sexe trempé. Je me penche pour le lécher encore un peu. J'aime à recueillir ses jus de fille. Elle est en appui sur ses coudes avant de se laisser aller sur le dos. Je me dépêche d'aller récupérer un coussin du canapé. Je le place délicatement sous sa tête. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Centimètre par centimètre. À chaque avancée, ses gémissements s'accentuent. Me voilà bien enfoncé jusqu'à la garde. Mes couilles tambourinant ses fesses.

J'alterne les moments d'action avec l'immobilisme le plus total. Durant ces moments de calme, nous nous fixons silencieusement. C'est dans ces instants de profonds "recueillements" que Clémentine partage ses secrets de filles. J'écoute passionnément. Cela entretient mon érection et m'excite au plus haut point. Son désir de revivre l'expérience du Gloryhole dans les écuries de Juliette. Elle en parle avec tant de passion que je recommence à la besogner avec la délicatesse d'un lutteur Ukrainien. Je veux poser des questions. Mais Clémentine y apporte une réponse anticipée. Devinant chacune de mes pensées. Elle revient sur ses expériences passées. Le dernier Gloryhole remonte au printemps. << Deux par an, c'est juste la bonne moyenne ! >> confie t-elle. Nous rions.

Bonne fin de baise à toutes les coquines qui apprécient de se faire tringler sur un bureau victorien en évoquant des souvenirs hautement libidineux...

Julien (lutteur écossais)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 45 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2391 -



Les trois Mousquetaires

Il est exactement 5 h55 hier matin mardi, lorsque les charmes de l'application "forêt" nous tirent de nos profonds sommeils. Même si c'est délicat, dans l'absolu, nous préférerions dormir encore un peu. Clémentine se tourne pour se blottir dans mes bras. En marmonnant d'incompréhensibles logorrhées. Elle trébuche sur les mots. Nous rions aux éclats en nous précipitant aux toilettes. Dans la salle de bains nos tenues de gym. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Clémentine, ayant retrouvé sa diction, fait le café en racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Pendant que le grille pain éjecte ses premières tranches, les deux gros croissants aux amandes retrouvent tout leur moelleux dans le four à micros ondes. Les suaves odeurs flottent déjà.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les aventures en salon. Ce pauvre bureau victorien victime de nos assauts libidineux plusieurs fois par semaine. << Il y a même la trace de mon cul sur le sous main en cuir ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la probabilité qu'il en sera de même ce soir. Estelle aime tout autant se faire tringler dessus. Il est 6 h25 quand nous remontons en riant. Notre heure de gym. Les échauffements de l'aérobic. Le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Les étirements du stretching avant la douche. Je redescends pour aller sortir l'auto du garage. Sous une pluie fine. Il fait toujours aussi étrangement doux. C'est mouillé.

Il est presque 7 h45. Un ciel gris et maussade. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. La température restant à 17°, c'est vêtue comme hier qu'elle me fait un denier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au sec pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier, confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce second paysage de commande m'accapare rapidement et totalement. Je peins dans la sérénité. Chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent m'arrache des cris surréalistes de toute beauté. Abimé ainsi dans mes introspections créatrices je n'ai plus aucune perception du temps. C'est parce que je commence à avoir faim que je sais qu'il est près de midi.

Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les restes du gratin de courgettes, d'aubergine et la sauce au Roquefort qui s'est épaissit. Avec une salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit un journaliste d'investigation. Il y est question de l'amuseur public qui ne fait rire personne. Bernard Henri Lévy. Cet individu qui tourne des films qui n'intéressent personne avec des subventions publiques et une équipe de tournage. Dans son éternelle chemise blanche, une élégante veste noire dans les tranchées, notre clown philosophe commente en précisant : << C'est la guerre ! >>. Il s'apprête d'ailleurs à récidiver en Arménie. Avec un budget colossal qui fera au mieux quelque milliers d'entrées cinéma.

Tout en écoutant je prépare mentalement le repas de ce soir. Toujours désireux de surprendre mes deux anges. Ce sera simple, fastoche et tellement bon. Des bouchées à la reine. Il me faut émincer un gros pavé de saumon. De gros champignons de Paris. De faire blondir quelques minutes à la poêle et à feu doux. De rajouter l'ensemble à la Béchamel. Avec du gruyère Suisse. Je place les cinq grosses bouchées à la reine emplit à ras bord dans le grand plat carré en terre cuite. J'égoutte les coquillettes pour caler le tout. Je recouvre d'une bonne couche du même gruyère. De fines lamelles de morbier. Chapelure, cerneaux de noix. Au four pour une longue cuisson n'excédant pas 160°. Je lave deux grosses endives. Je fais l'assaisonnement de la salade. Tout est OK. Parfait.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir les jambes, je dévale les escaliers pour chausser mes bottes en caoutchouc. La pluie fine et continue tombe avec régularité. Tout est luisant sous un ciel qui s'illumine imperceptiblement. Je vais jusqu'à la rivière. Totalement impassibles aux conditions climatiques, les canards, les poules d'eau, les colverts s'adonnent à leur ballet nautique. Le couple de hérons cendrés observe en restant sur le bord. Sous mon parapluie je remonte en flânant. Il est 13 h45 quand je suis de retour dans l'atelier. Je peins dans la même sérénité que ce matin. Les heures passent si vite. Du bruit. 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la chaise. Se précipite pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. J'anticipe.

Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << Ou ils ont changé de fournisseurs ou alors ils veulent faire des économies mais la bouffe devient vraiment de plus en plus dégueulasse ! >> lance t-elle en mitraillant mon visage de bisous. Elle a encore ses notes à mettre au propre. Assise à la table, devant l'ordinateur, entourée de ses fiches Clémentine chantonne. Il est dix huit heures trente. << Ras-la-culotte ! >> lance t-elle en se levant pour commencer à ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse pour aller me laver les mains au petit lavabo de l'atelier. La bite posée sur le rebord, je me savonne. Clémentine adore ce rituel autant que moi. Elle se précipite pour attraper mon zguegue mou.

Tout en dirigeant les jets elle me confie être morte de faim. Elle secoue les dernières gouttes en essayant de deviner ce que j'ai préparé. Je ne réponds à aucune supposition. << Monsieur a peut-être perdu sa langue mais pas sa queue ! >> dit elle en se penchant pour suçoter un bref instant. Du bruit. La porte s'ouvre. Estelle jaillit dans la grande pièce comme un ouragan. Elles se sont vues en cours aussi c'est moi qui suit l'objet de toute son attention. Et "l'objet" en question est rapidement dans sa main. << Clémentine m'a tout raconté à midi. Tu me fais pareil ce soir ! >> lance t-elle. Sans me laisser prononcer le moindre mot elle enfonce sa langue dans ma bouche. En tordant mon sexe dans tous les sens. Clémentine derrière moi, ses bras enserrant ma taille. Sandwich.

Estelle s'accroupit. Elle hume ma bite dont elle décalotte légèrement le méat. << Il y a du frome ? >> demande t-elle avant de passer sa langue autour de la peau du "col roulé". Nous en rions de bon cœur. Je l'attrape par son catogan pour frotter ma bite sur son visage. << Salaud ! >> fait elle en tentant de se soustraire à cette petite perversité manuelle. Elle se redresse en s'écriant : << Maintenant je vais puer la bite toute la soirée ! >>. Nous en rions aux éclats. Je passe ma main sous sa jupe. Le doux contact du coton de sa culotte. << Mais monsieur à de l'initiative ce soir ! >> s'exclame t-elle. Les filles m'attrapent par les bras pour m'entraîner. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Lorsqu'elles découvrent ce qui réchauffe au four, j'ai droit à des bisous fous.

Dehors il a cessé de pleuvoir. Il y a même des déchirures de ciel dégagé. J'ai tout préparé. Il n'y a qu'à mettre les assiettes, les couverts. Estelle mime des masturbations masculines en dansant autour de la table. Clémentine agite ma queue toute mollasse dans sa direction. Je dis : << Les filles, ce soir, ce pauvre bureau centenaire va connaître sa plus douloureuse épreuve ! >>. Elles éclatent de rires. Toutes les deux, dans un mouvement synchrone, relèvent leurs jupes pour se trémousser. Clémentine appui son entre jambes sur un coin de la table. Estelle fait pareil. Elles se frottent en rythme. << Il en reste deux ! >> me fait Estelle en montrant celui de droite. J'y pose ma bite. << Avec les couilles c'est meilleur ! >> s'exclame t-elle. Nous rigolons comme des bossus.

La sonnerie du four. Ce qui met un terme à nos jeux. La braguette de mon bermuda enserre ma bite et mes couilles. Un peu comme un garrot. Estelle enfile les maniques pour sortir le plat doré et fumant du four. Avec Clémentine nous coupons les deux grosses endives. Il reste à remuer la salade avant de s'installer. Morts de faim. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le prochain week-end. Il y aura la toute dernière festivité de l'année sur les quais du port de plaisance. La braderie d'automne organisée par la municipalité du bourg voisin. Nous adorons cet endroit. Nous y avons vécu tant d'aventures. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Elle nous le fait remarquer alors que nous débarrassons. Assiettes et couverts dans le lave vaisselle. Direction le salon.

Les filles m'entraînent par les mains. D'autres réjouissances nous y attendent. Toutes les deux montent sur ce pauvre bureau victorien. Il est une fois encore la scène sur laquelle les deux coquines dansent lascivement. En riant. En se tenant par les mains. En s'accroupissant face à moi. Se tenant par les bras pour ne pas tomber. J'admire le spectacle. Je suis pétri d'émotion. Je prends douloureusement conscience qu'un jour tout cela appartiendra au passé. C'est comme si mes deux anges devinaient mes pensées. Elles retirent leurs culottes qu'elles font tournoyer au-dessus de leurs têtes avant de les jeter n'importe où. Elle s'assoient sur le bureau, cuisses largement écartées, pieds posés sur le bord. J'adore cette vision. Seules les deux grosses bougies éclairent la grande pièce.

Il faut deviner. Bien davantage que de pouvoir discerner. Je bande comme le dernier des salauds. La bite à la main, je m'approche. Ce soir, c'est par Clémentine que je commence. Toutes les deux se masturbent en m'observant, hésitant entre l'une et l'autre. Penché en avant, mes mains tenant ses chevilles, je lèche le minou de Clémentine. Je suce son clitoris géant. Je me redresse. Je passe au minou d'Estelle. Je fais plusieurs "voyages" de l'une à l'autre. Mais c'est contre le sexe d'Estelle que je frotte le mien. Je la pénètre doucement. Elle se mordille la lèvre inférieur en me fixant de son regard inquisiteur. Les gémissements de Clémentine qui se touche en admirant la situation. D'un brusque coup de reins, Estelle s'enfile toute la longueur de ma biroute exploratrice.

Je reste immobile. Malgré le rythme qu'elle cherche à m'imposer en bougeant son bassin. Je la tiens par ses chevilles. Désireuse de rester lucide le plus longtemps possible elle reste sur ses coudes. Même lorsque je tente de la basculer en arrière. Elle se touche. Sa position sur un seul coude n'est plus tenable. Elle s'allonge dans un gémissement de contentement. Je me retire pour la laisser à sa masturbation. Je frotte mon sexe contre celui de Clémentine. Elle tient son clitoris géant entre son pouce et son index durant l'épreuve de la pénétration. Couchée sur le dos, ce soir sans coussin sous la tête, elle pousse de petits râles de plaisir. Je reste immobile. Je me retire pour revenir dans Estelle. Je vais de l'une à l'autre. Ça rentre comme dans du beurre. Un vrai bonheur.

Parfois, pour me régaler des substances de leur journée de fille et des conséquences de la jouissance, je me bouffe de la chatte. C'est un régal. Les odeurs fortes d'Estelle m'étourdissent. Celles de Clémentine me font vaciller. L'orgasme d'Estelle la fait hurler. Celui de Clémentine la fait pisser. Heureusement dans la cuvette préparée à cet effet. Malgré mes attentions en la tenant, il en gicle toujours un peu à côté. Estelle, les mains entre ses cuisses resserrées, reprenant ses esprits, couchée sur le côté, m'observe bouffer le minou de Clémentine qui reste comme essoufflée. Estelle saute du bureau à la recherche de sa culotte dans l'obscurité. << Je te la ramène jeudi ! >> lance Clémentine. Nous en rions aux éclats. Nous raccompagnons Estelle dans la nuit noire, jusqu'à sa voiture.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se sucent encore une bonne bite juteuse sous les draps. La bouche inondée d'un sperme abondant, déglutissant avec peine avant de s'endormir dans les bras de leur éjaculateur passionné...

Julien (éjaculateur mondain)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 46 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2392 -



Mercredi soir, nous mangeons chez Juliette

L'application "forêt" nous tire du sommeil à presque sept heures trente. Le mercredi Clémentine n'a pas cours. Par contre elle a un travail passionnant à fournir pour le lendemain. C'est une agréable coupure en pleine semaine. Surtout au niveau horaire. En gémissant elle se blottit dans mes bras. Quelques bisous. Quelques papouilles. Pas besoin de speeder, pas de stress inutiles. Nous pouvons prendre tout notre temps. Ou presque. D'abord les toilettes avant la salle de bain où nous nous habillons de nos leggings noirs, de nos sweats noirs. Le lycra étant une matière très confortable pas seulement pour le sport. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Le jour est levé sous un ciel lumineux. Le soleil ne va pas tarder à poindre au dessus de l'horizon.

Clémentine fait le café. Je presse les oranges, pèle les kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en savourant autant d'être ensemble que nos tartines de miel. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre mardi soir de folies en compagnie d'Estelle. << Ce soir elle se fait sauter par son parrain ! >> lance Clémentine. Je réponds : << Et jeudi soir par moi ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous ne traînons toutefois pas trop. La rapide vaisselle. Le thermomètre extérieur indique 10°. Clémentine propose un bon jogging. Dans le hall d'entrée, quelques exercices d'échauffements. Pompes, flexions, abdos sur un des grands tapis. Nous enfilons nos K-ways avant de sortir. Dans une fraîcheur humide.

C'est parti sous le soleil qui va encore régner en maître durant cette journée. Nous courons le long de la rivière. L'étroit sentier est pierreux mais sans danger. Il subsiste encore quelques flaques d'eau par endroit. Surtout toutes les feuilles qui jonchent le sol. Nous adorons le bruit qu'elles font lorsque nous les foulons. Une heure d'un running extraordinaire. La campagne est si belle en ce début d'octobre. Il est neuf heures quand nous revenons dans la douceur qui s'annonce. La douche. Clémentine porte une de ses jupes de velours carmin. Un sweat brun. Des ballerines brunes. Je suis en bermuda kaki et sweat beige. Nous redescendons pour aller dans l'atelier. C'est particulier d'y arriver à neuf heures trente. Clémentine s'installe à sa table de travail. Allume l'ordinateur.

Le livre de sa thèse ouvert au premier chapitre. Il faudra avoir remanié l'ensemble pour la fin février. << Jouable sans stresser ! >> précise Clémentine. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. C'est dans cette émulation productive que nous passons la matinée. La faim commence à nous tenailler. Clémentine vient me rejoindre. Penchée derrière moi pour regarder l'avancée de mon second paysage de commande. << Il est midi dans cinq minutes ! >> chuchote t-elle à mon oreille. Je pose la palette, les pinceaux sur la desserte à ma droite. Clémentine m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il y a juste à préparer l'assaisonnement d'une salade de carottes. D'allumer le four pour réchauffer les deux bouchées à la reine. Les restes.

Avec leurs coquillettes dorées et à présent croustillantes. Nous mettons le nécessaire sur la table de la véranda. Le thermomètre extérieur indique 21°. Ce qui est tout de même davantage de saison que les récents 30°. Il règne à présent une forte odeur d'humus. Le fond de l'air restera humide. La rosée ne sèche plus. On distingue très nettement les gouttelettes briller dans l'herbe. La sonnerie du four. Réchauffé, c'est encore meilleur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre invitation chez Juliette en soirée. Nous sommes attendus pour le repas à 19 h30. C'est réjouissant de revoir notre toute meilleure amie. Nous traînons à table. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine parle de ses cours. De sa thèse qu'elle remanie avec un certain plaisir.

Les assiettes, les fourchettes, les couteaux et les plats dans le lave vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. J'étale la pâte feuilletée dans un grand plat rond. Nous ouvrons quantité de noix ramassées sous nos noyers. C'est rapide. On dépose les cerneaux sur la pâte. Des rondelles de bananes. Il suffit de plonger le tout dans le liant que je verse dessus. Le mélange œufs, sucre roux en poudre, vanille dans le lait de soja. Du miel. On saupoudre d'un soupçon de cannelle. Quelques noisettes, quelques amandes. Au four pour une cuisson longue à feu doux. Ce sera le dessert pour la soirée. Nous chaussons nos baskets avant de sortir. Il faut rester sur les dalles de grès jusqu'au chemin qui descend à la rivière. Il fait doux au soleil.

Nous restons assis sur les rochers exposés au doux rayons de chaleur. Clémentine glisse sa main dans la braguette béante de mon bermuda. << Mmmhh, c'est bien chaud là dedans ! >> lance t-elle en posant sa joue contre la mienne. << Tu seras le vicieux que j'aime, ce soir avec Juliette ? >> rajoute t-elle. Nous rions. Je promets de faire de mon mieux. Je passe ma main sous sa jupe. Le doux contact du coton blanc et lisse de sa culotte. J'ai la bite à l'air, dans la main de clémentine qui joue avec tout en évoquant des aventures vécues dans les écuries. Elle se réjouit pour revivre celles d'un prochain Gloryhole. J'ai un doigt enfoncé. Clémentine, de sa main libre, tient mon poignet afin que surtout je ne cesse pas. Il faut tout de même penser retourner travailler un peu.

Il est 14 h15 quand nous sommes installés dans l'atelier. C'est légèrement frustrant de ne pouvoir profiter du bel après-midi qui s'annonce. Clémentine se plonge dans ses corrections. Parfois elle chantonne. Parfois elle se relit à voix haute. Je peins dans cet enchantement. Il m'arrive de me lever, de la rejoindre. Debout derrière elle, mes doigts dans ses cheveux comme un peigne. Clémentine adore. Il est dix sept heures. << Viens, on arrête. On sort encore un peu ! >> lance t-elle soudain en se levant. Je nettoie la palette, les pinceaux pendant qu'elle range ses affaires. Il fait encore très agréable au dehors. Un chaud soleil. De la fraîcheur humide à l'ombre. Sur les paysages à l'entour cette merveilleuse lumière diaphane de l'automne naissant. Une toile de Johannes Vermeer.

Nous retournons à la rivière. Son bras autour de ma taille, sa main libre qui joue avec ma queue, Clémentine est contente de son travail d'aujourd'hui. C'est sereine qu'elle se projette dans le futur. Je glisse ma main sous sa jupe. Mes doigts dans la raie de ses fesses. Il y a presque autant de poils derrière que devant. J'adore les lisser, les faire glisser entre mon pouce et mon médius. Clémentine passe sa tête sous mon aisselle pour me masturber doucement. En observant. Cette position permet un accès facile. Je la doigte. Les canards, les poules d'eau et les colverts ne prêtent plus aucune attention à notre présence. Il est dix huit heures trente quand nous remontons. La fraîcheur s'accroît. << Ces cons-là vont bientôt nous confisquer une heure ! Punition ! >> lance Clémentine.

Je sors la tarte du four pour la disposer dans le grand Tupperware rond. Elle est magnifique. On a envie d'en couper deux parts. Clémentine, derrière moi, commente ce que je fais sans cesser de jouer avec mon sexe. Son "doudou". << C'est comme la pipe, quand je commence à jouer avec, je ne peux plus m'arrêter ! >> murmure t-elle à mon oreille. C'est surtout son souffle dans mon cou qui me donne des idées libidineuses. Nous montons nous changer. Les nuits sont froides. La température descend souvent jusqu'à cinq degrés. Comme nous rentrerons vers 22 h, autant s'habiller en conséquence. Nos Levis, nos chemises blanches sous nos fines vestes de coton noir. Nos bottines. Nous prenons des poses devant le grand miroir de l'armoire. Clémentine qui s'accroupit.

Sa tête contre ma hanche, ses bras autour de ma cuisse, elle me dit : << Regarde comme on est beau tous les deux. J'ai envie de faire l'amour ! >>. Je l'aide à se redresser en répondant : << Ce soir, sous les draps, en revenant ! >>. Elle se jette à mon cou pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Nous dévalons les escaliers en riant. C'est avec la voiture de Clémentine que nous partons. Je suis toutefois prié de conduire. Ces nouvelles Golf hybrides se comportent comme de vrais jouets. Je roule doucement sur les trois kilomètres. Clémentine palpe ma braguette en disant : << Sois bien salaud ce soir. J'aime te voir à la "manœuvre" ! >>. Je gare l'auto dans la cour du haras. Quel plaisir de revoir madame Walter. Bernadette en pleine conversation avec des gens devant l'écurie.

Nous aimerions la saluer mais nous ne voulons pas perturber. Après tout, elle est au travail. Juliette surgit de l'écurie. Elle aussi en compagne d'un propriétaire de chevaux. L'entreprise de Juliette est de plus en plus florissante. Une pension pour chevaux qui peut accueillir 87 bêtes. Nous flânons un peu dans l'allée centrale de la nouvelle écurie. Nous caressons l'encolure de quelques chevaux curieux. L'odeur est envoûtante. Comme Clémentine j'y trouve quelque chose de très sexuel. Juliette vient nous rejoindre. << Ouf, fin de cette journée de ouf ! >> s'écrie t-elle en se précipitant pour nous faire des bises. << Venez, je suis morte de faim ! >> rajoute t-elle en nous prenant par les bras. Nous faisons de grands coucous à madame Walter toujours en pleine conversation.

Dans l'appartement de Juliette, au-dessus des bureaux, règne une douce chaleur. << Je chauffe tous les soirs ! >> précise t-elle en nous invitant à retirer nos vestes et à nous installer dans le canapé. << Je réchauffe, j'ai fait simple ! >> lance t-elle. Nous sommes seuls dans la salle à manger. << Sors ta bite, j'ai trop envie. Les écuries ça m'excite ! >> chuchote Clémentine en déboutonnant mon 501. Je bande comme le dernier des salauds dans sa main. La table est déjà préparée. Juliette revient avec un plat fumant. << Gratin de pommes de terre façon Corses. À table ! >> lance t-elle. Juliette est vêtue de sa tenue d'écuyère. Pantalon beige aussi moulant qu'un collant. Sa taille de guêpe sous un gilet gris sans manches. Ses bottes noires de cavalière. Sa tenue de travail.

Comme toujours, notre amie fait semblant de ne pas voir ce que Clémentine tripote. Nous mangeons de bon appétit. Juliette évoque ces journées chargées. L'administratif, les rendez-vous vétérinaire, les travaux à entreprendre. Clémentine parle du remaniement de sa thèse. J'écoute en silence. C'est en dégustant la tarte aux noix que la conversation s'axe sur notre sujet de prédilection. Le sexe. Juliette s'adresse plus précisément à Clémentine lorsqu'elle dit : << Deux dates à votre convenance pour un Glotyhole. Vendredi 3 novembre pour clore vos vacances universitaires. Ou alors vendredi 9 novembre pour vous changer les idées après la reprise de vos cours ! >>. Clémentine me consulte du regard. Les deux dates sont sympas. Je me lève pour agiter ma bite toute molle. Clémentine promet d'y réfléchir et donnera sa réponse mercredi prochain. C'est Juliette qui viendra manger à la maison. Je me branle sous les applaudissements.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se faire sauter sous la couette avant une éjaculation buccale et une plongée dans un sommeil régénérateur...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 47 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2393 -



Un jeudi soir consacré aux "contrôles"

Il est presque six heures, hier matin, jeudi. Le gazouillis des oiseaux. Le bruit de cette source. L'application "forêt" nous réveille de ses enchantements. Clémentine se tourne pour se serrer quelques instants contre moi. Recharger ses batteries. Trouver la volonté de se lever. Quelques bisous. Quelques papouilles et nous nous levons. Tels des zombies nous commençons par les toilettes avant d'aller nous vêtir de nos tenues de sport dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café en racontant ses rêves. Elles se souvient toujours parfaitement de l'enchainement et du déroulement de chacun d'entre eux. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant. Le grille pain éjecte ses premières tranches que nous beurrons, tartinons de miel.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la soirée avec Juliette. Les dates que cette dernière nous a proposé quand à un nouveau Gloryhole. Nous rions des réactions de Clémentine qui fait : << Ah non, pas de sperme avec la confiture d'églantines ! >>. Nous prenons ce petit déjeuner en évoquant le projet de dimanche. La braderie d'automne sur les quais du port de plaisance. Il est 6 h25. Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Les échauffements de l'aérobic. Le plaisir du jogging sur tapis roulants. Les avantages des exercices au sol. Les redoutables charges additionnelles. Les joies des étirements d'un retour au calme avant la douche. Je redescends pour aller préparer la voiture. Presque 7 h45 sous un ciel légèrement voilé. Une fraîcheur humide et pénétrante.

Clémentine me rejoint vêtue d'un pantalon à plis et à pinces crème. Ses bottines brunes. Un chemisier beige sous sa veste brune cintrée à la taille. Elle n'est pas seulement très élégante mais également terriblement attractive. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je fais quelques pas dans la propriété. Les feuilles s'amoncellent jour après jour. L'entreprise paysagiste n'interviendra pas avant le lundi 6 novembre. Mais cet humus naturel est bénéfique à la végétation. Je rentre faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier, confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je terminerai probablement ce second paysage de commande durant la matinée. Timing parfait.

Je peins dans l'enthousiasme. Le temps cessant son emprise sur mes sens. Il est dix heures quand je dépose la dernière pointe de peinture sur la surface de la toile achevée. Je la dépose sur un autres chevalet. Un drap coincé au-dessus afin qu'elle sèche hors poussière. Je mets le troisième support déjà prêt sur le chevalet pour commencer immédiatement cette nouvelle œuvre. Il est rapidement midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Je prépare l'assaisonnement d'une salade de concombre. Pendant que dans la poêle rissole un filet de colin. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde le sujet controversé des stratégies concernant le Covid, les confinements et toutes les opacités qui entourent les faits.

Doucement montent à la surface, malgré les efforts inconsidérés des dirigeants, des vérités dérangeantes. Des faits qui accablent. Des effets secondaires dévastateurs qu'il est de plus en plus difficile de passer sous silence. Sud Radio étant une station indépendante, n'appartenant à aucun magnat de l'industrie, à aucun groupe financier, les informations n'ont aucune raison d'être galvaudées, formatées, manipulées et orientées. La parole y est libre. Les gens interdits de médias ailleurs y sont invités. Les faits révélés sont très souvent fort différents de ceux relatés par les journaux, les stations radios et télévisions. Tous ces médias privés, agissant aux ordres des manipulateurs d'opinions. L'auditeur a donc accès à une information authentique. L'auditeur y est respecté.

Tout en écoutant je prépare mentalement la surprise que je vais réserver à mes deux anges. Ce sera des beignets de crevettes avec des pommes de terre chips. Je concocte une belle et onctueuse pâte à crêpes. Dans un saladier. Que je recouvre d'un linge. J'épluche, je lave et je coupe en fines lamelles de belles pommes de terre. Je fais dorer dans la poêle sans cesser de retourner pour saisir les deux faces. Je sors les chips pour les déposer sur des feuilles de papier absorbant. Je mets chaque poêlée sur un des plateaux du four. Ainsi, ce soir, il suffira de réchauffer. Ce sera encore meilleur. Je termine en faisant revenir des crevettes encore congelées dans le wok. Elles partent en flotte. Je les fais blondir dans la poêle. Satisfait, la surprise de ce soir étant prête, je fais la vaisselle.

Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir un peu les guiboles, je redescends pour sortir. La température extérieure n'excède pas 20°. Le ciel est voilé mais lumineux. Un climat que l'on peut qualifier "de saison" selon la formule consacrée. Je vais jusqu'à la rivière. Les couleurs de l'automne sont un véritable enchantement. Toutes les déclinaisons des roux, des ors à venir s'annoncent déjà. Les canicules successives ont racorni les feuilles. Celles des gros chênes paraissent enroulées sur elles-même. Il y a encore quantité d'insectes à virevolter. J'admire les poules d'eau, les canards et les colvert qui s'ébattent à la surface de l'eau. En remontant je ramasse toutes les noix possible. Je rentre chercher un panier en osier tellement elles sont abondantes au sol.

Il est 14 h30 quand je suis de retour dans l'atelier. Devant mon chevalet. À reprendre mon travail. Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. Sans voir passer le temps. C'est le bruit que j'entends soudain qui m'avertit. Il est déjà dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite vers moi en jetant son cartable sur le fauteuil à bascule. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le repas du restaurant universitaire. Elle a encore quelques annotations à faire dans son livre. Elle me propose de sortir, de nous installer dehors. De profiter de cette météo. Je nettoie la palette, les pinceaux, trop heureux de l'aubaine que représente cet été Indien. Nous sortons pour nous installer sur un des deux bancs en pierre.

Clémentine s'y allonge, sa tête sur mes cuisses. Son livre ouvert dont elle lit les passages qu'elle surligne au Stabilo jaune fluo. Je caresse ses cheveux. Parfois je chasse un des insectes. Je regarde toutes ces noix sur l'herbe qu'il serait dommage de ne pas récupérer. Pendant que Clémentine annote ses paragraphes, je remplis une seconde corbeille. Je surprends parfois son regard posé sur moi. Elle m'adresse alors d'adorables sourires. Cette ambiance bucolique a de quoi ravir. Il est dix huit heures trente. La fraîcheur vient quelque peu rappeler que nous sommes le 5 octobre. La voiture d'entreprise qui descend lentement le chemin pavé depuis le portail ouvert. Estelle gare son Kangoo devant la porte du garage. Toute contente d'être de retour elle nous rejoint en courant.

Mes deux anges ont passé la journée ensemble. C'est donc moi qui fait l'objet de toutes ses attention. Estelle aussi est vêtue d'élégante façon. Elles s'entendent toujours toutes les deux sur les tenues du lendemain. Une habitude qui remonte au début de leur adolescence, il y a quatorze ans. Après m'avoir fait plein de bises, Estelle m'aide à ramasser les noix. Il y en a tant. C'est une année à fruits. Il reste même encore des pommes et des coings. Clémentine vient nous rejoindre pour s'y mettre également. Les filles parlent de leurs cours. De la matinée de demain avant le début de ce nouveau week-end qui s'annonce. Les prévisions météorologiques sont avenantes et prometteuses. De quoi en profiter encore un peu. Je mets le troisième panier dans l'auto d'Estelle.

<< C'est génial ! On n'a pas de noyers dans le jardin ! >> s'écrie t-elle en passant ses bras autour de ma taille, serrée contre mon dos. Nous rentrons. Quand Estelle et Clémentine découvrent la surprise du soir, j'ai droit à un mitraillage de bisous sur tout le visage. La main d'Estelle qui se fourre dans ma braguette ouverte. Chacun son rôle. J'allume le four sur son maximum. Pour réchauffer les pommes de terre chips. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de tomates. Estelle verse les crevettes dans la pâte à crêpes. Je fais monter en ébullition le grand caquelon contenant l'huile de friture. Je la change tous les trois usages. Afin de conserver ses vertus et d'éviter qu'elle ne rancisse. Estelle y dépose les crevettes enrobées de pâte avec une cuillère à soupe.

Les beignets remontent à la surface après environ une petite minute. Avec l'écumoire Clémentine récupère chacun d'eux pour les poser sur des feuilles de papier absorbant. Je mets les assiettes, les couverts. La sonnerie du four. J'en tire les deux plateaux. Les chips sont dorées, craquantes à souhait, d'une cuisson parfaite. Estelle n'arrête pas de me faire des bises, de palper ma bosse. C'est bien trop dangereux de cuisiner avec la bite à l'air. Nous mangeons de bon appétit. Je raconte mes comportements avec Juliette mercredi soir durant le repas. Estelle se lève à plusieurs reprises. En mimant des masturbations masculines elle s'écrie : << Notre vicieux adoré n'est pas seulement une "maître queue" mais également un agitateur de queue ! >>. Nous rigolons comme des bossus.

Clémentine rajoute : << Raconte à Julien ce que tu m'as dit à midi au restaurant universitaire ! >>. Estelle vient s'assoir la première sur mes genoux. Tout en savourant les chips qu'elle pique dans mon assiette elle dit : << C'était mercredi. Soirée baise avec Jean-Marc. Mon parrain est un amant remarquable ! >>. Nous rions aux éclats quand elle décrit les conditions. << Sur la pile de cartons dans le dépôt. Papa est en Écosse jusqu'à vendredi. Pas de risque de se faire gauler ! >> lance t-elle. J'attrape son assiette pour que nous en vidions le contenu. Que rien ne refroidisse. Je dis : << Donc ce soir, au salon, je procède au contrôle qualité de ta chagatte. C'est bien ça ? >>. Estelle s'exclame : << Oh oui, oh oui ! >>. Clémentine rajoute : << Léchage de minous alors ! >>

Les assiettes, les couverts dans le lave vaisselle. Il restera quantité de beignets et de chips pour le repas de demain. Les filles m'entraînent au salon. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Aussi, impatiente du plaisir que je lui réserve, elle retire ses bottines, son pantalon et sa culotte. Comme clémentine. Vautrées toutes les deux dans le canapé, elles m'offrent leurs appétissants minous. Je suis à genoux sur les épais coussins. La tête entre les cuisses d'Estelle, mon visage fourré dans son intimité, je m'enivre de ses odeurs fortes. Je me régale de ses sécrétions de la journée. C'est âcre. Quand je fouille sa vulve de ma langue exploratrice elle se masturbe. Quand je cesse pour sucer son clitoris, elle se tortille en poussant de petits cris d'animal blessé. En gémissant.

Je passe à Clémentine. Autres goûts, autres odeurs. Chez toutes les deux il y a une constante. C'est une odeur "familière" mais également "familiale". Je me bouffe du jus de fille sans perdre la moindre particule de fromages que je récupère dans les plis les plus secrets. J'en ai des crampes aux muscles de la langue. Rien de plus efficace qu'un cunnilingus pour projeter une femme dans les plus folles évanescences sensuelles. Toutes les deux se tortillent, se trémoussent, cherchent le meilleur angle. Pas d'autres pénétrations n'est demandées. L'orgasme d'Estelle la fait crier de plaisir. Celui de Clémentine la fait hurler en pissant dans la cuvette. Estelle veut absolument me sucer encore un peu avant que nous la raccompagnons à la voiture. Mais la jute sera pour Clémentine.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment sucer de la bite sous la couette avant de s'endormir tout contre leur lécheur...

Julien (le lécheur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 48 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2394 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Ce sont les enchantements de l'application "forêt" qui nous arrachent de nos profonds sommeils. Il est presque six heures. Le vendredi, Clémentine termine à midi. C'est donc dans une certaine euphorie qu'elle se blottit contre moi. Murmurant des choses incompréhensibles qui nous font rire. Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain, tout en nous habillant de nos vêtements sports, Clémentine arrive enfin à avoir un propos cohérent. << Put-hein j'y arrive enfin ! >> lance t-elle. Nous rigolons comme des bossus en dévalant les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Morts de faim nous patientons encore quelques instants. Le grille pain éjecte enfin ses quatre premières tranches.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les cunnilingus généreusement distribués en compagnie d'Estelle. << C'est hyper bon. Et tu fais ça en maestro ! >> dit Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Trempant sa tartine dans mon bol. J'adore avoir les lèvres collantes de miel à cause des siennes. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Il est 6 h25 quand nous remontons. Notre entraînement. L'échauffement de l'aérobic avant le plaisir du jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol parfaits préludes aux charges additionnelles. Les étirements du stretching avant les joies de la douche. Tout est toujours précipité le matin car chaque minute est comptée. Je descends le premier pour sortir la voiture du garage.

Il est presque sept heures quarante cinq. Chaque matin ça se joue à quelques secondes. La fraîcheur humide est surprenante. Le ciel est lumineux, voilé. Clémentine me rejoint dans son Levis, ses bottines brunes, son pull brun sous sa veste noire. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je fais quelques pas pour constater que la rosée laisse son eau partout. Il faut soigneusement rester sur les dalles de grès. Je rentre pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier, confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Comme tous les vendredis, animé de cette euphorie que laisse Clémentine. La peinture de ce troisième paysage de commande, me plonge dans d'autres contentements. Je peins. Lançant des cris surréalistes.

La matinée passe encore à une vitesse folle. Il n'est pas loin de midi. C'est la faim qui me tenaille. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Dehors il fait beau mais la température n'est que de 19°. Je fais l'assaisonnement d'une salade ce concombre pendant qu'au four réchauffent les beignets de crevettes et les pommes de terre chips. Réchauffés, les restes sont souvent bien meilleurs. Je mets les assiettes, les couverts. Il est un peu plus de midi trente. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Je l'emmène aux toilettes alors qu'elle mitraille mon visage de bisous. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. L'ensemble du premier chapitre de sa thèse est à présent remanié et définitif.

Il faut assurer la logistique. Faire des achats. Assise sur mes genoux, Clémentine termine la liste des courses fixée toute la semaine avec des magnets sur la porte du frigo. Je participe avec le nécessaire me venant à l'esprit. Nous traînons un peu. C'est légèrement frustrant de sacrifier un après-midi vélo pour aller à l' hypermarché. << On part à bicyclettes, on revient pour dix sept heures, on va faire les courses en soirée, on mange dans la cafétéria ! >> s'écrie t-elle soudain. Je trouve la suggestion absolument parfaite. Je propose plutôt un bon restaurant. << Mmhhh, ça peut se faire ! >> lance Clémentine en se levant d'un bond. Les assiettes, les couverts, les plats dans le lave vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous mettre en tenues vélos. C'est très rapide.

Avec cette météo il est préférable de porter les leggings de lycra noir, les sweats de lycra rouge. Prévoir les K-ways pour le retour. Dans le petit sac à dos que je porte, les barres de céréales. Pressés de filer, nous redescendons à toute vitesse. Je récupère la glacière pour la brancher sur l'allume cigare de la Mercedes. Ainsi, tout à l'heure, elle sera à moins 16° pour protéger nos produits congelés. Je vérifie le gonflage des pneus. Parfait. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Il faut une sérieuse adaptation car s'en est terminé des chaleurs. C'est une véritable température de saison qu'il faut affronter. C'est un léger vent de Nord Est qui nous pousse. Nous l'aurons de face au retour. C'est dur.

Nous croisons quelques cyclistes. Des courageux. Certains sont même en tenues "tour de France". Shorts et T-shirts. Les "braves". Nous n'allons pas plus loin que le cabanon de l'écluse. Ce sera trop redoutable contre le vent qui fraîchit encore une atmosphère déjà suffisamment basse. Surtout que le soleil disparaît sous un voile laiteux. Un rapide pipi. Clémentine aimerait bien s'offrir les frissons d'une petite exhibe au bord du canal. Nous restons dans la situation stratégique habituelle en cet endroit. Clémentine, de l'autre côté de l'écluse, entre deux bosquets, attend l'arrivée d'un cycliste solitaire. Moi, planqué à l'angle du cabanon je fais le guet. Dix minutes à attendre en vain. Il y a juste un couple et deux "coureurs du tour de France" qui passent. Personne.

Il faut s'y résoudre. Cet après-midi il ne se passera rien. Un peu par dépit, mais en riant, Clémentine descend son legging et sa culotte pour faire pipi au milieu de la piste. Je la tiens par ses cheveux en tenant le mouchoir en papier. Toujours personne. Je la torche. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Quand je rigole ça gicle un peu n'importe comment. Attention aux godasses. Nous voilà contre un vent froid et désagréable pour revenir. Il est très agréable de se changer. Sans avoir transpiré le moins du monde. Clémentine porte ses vêtements du matin. Sur sa demande je porte un Levis, une chemise blanche sous une veste noir. Des mocassins noirs. Après quelques poses devant le grand miroir de l'armoire, nous dévalons les escaliers. Pressés de nous enfuir.

Je roule doucement. Il n'y a qu'une quinzaine de kilomètres jusqu'à la zone commerciale. Tout près de l'université. Comme à chaque fois, Clémentine qui joue avec ma queue, me demande de passer devant. << Ce sont les voitures des profs et du personnel ! >> lance t-elle alors que je passe lentement sur le parking. Je gare la voiture sur celui de l'hypermarché. Je remballe la bite. Pas question de laisser la braguette de mon 501 déboutonnée. Les pans de la veste ne cacheraient rien. Je nettoie la poignée du chariot avec du gel hydroalcoolique. Pendant que Clémentine prépare deux paires de gants en fin caoutchouc. Inutile de prendre le moindre risque. Je pousse le caddie. Clémentine tient la liste des courses. Elle nous entraîne dans les rayons qui nous concernent.

Lessives pour les blancs, pour les couleurs. Papier cul. Du papier absorbant pour la cuisine. Clémentine adore comparer les prix, les promotions. À chaque fois qu'elle dépose l'article choisi dans le charriot elle me fait un bisou. Il n'y a pas trop de monde. Nous flânons un peu partout. Un petit tour aux rayons culturels. Pas de réelles opportunités de s'amuser un peu. Il y a bien ce type qui feuillette un magazine. Je reste à l'écart alors que Clémentine s'approche. À faible distance du quidam elle feuillette elle aussi une revue. Se touchant discrètement d'une main. Se touchant plus franchement en changeant de magazine. Notre homme remarque assez rapidement la superbe jeune fille sur sa gauche. Il est aussi grand qu'elle. Avec ses bottines et son mètre quatre vingt six.

Hélas, c'est beaucoup moins excitant qu'en jupe et sans culotte. Clémentine s'en lasse très vite. Surtout que l'inconnu ne tente aucune approche. Il la regarde tout de même s'en aller. Nous nous rejoignons aux bandes dessinées. Pas encore le nouveau "Blake et Mortimer". Nous l'attendons chaque année avec impatience. Nous terminons nos achats par le rayon poissonnerie avant celui des surgelés. Nous passons en caisse. Il est dix neuf heures. Nous mettons les produits sensibles dans la glacière. Les autres dans le coffre. Nous retirons enfin nos gants désagréables pour les jeter dans une des poubelles. Clémentine m'entraîne par la main. Nous retournons dans la galerie commerciale. Nous lisons les menus affichés devant la cafétéria. Des trucs sympas.

<< Wouah, regarde, des paëllas à la Catalane ! >> lance Clémentine, passant son bras autour de ma taille. << Et là, des filets de saumon fumés à la crème avec des gnocchis ! >> rajoute t-elle. Nous sommes un peu comme des gamins dans un magasin de bonbons. La faim commence d'ailleurs à nous tenailler. Pas trop de monde et surtout pas de ces familles aux gosses hurleurs capables de faire chier toute une grande salle. Armés de nos plateaux sur lesquels sont posés des couverts, nos assiettes, nous choisissons nos plats. Paëlla. Copieuse, parfumée, pas du tout diététique, mais tellement appétissante. Des tranches de tartes à l'abricot pour le dessert. Nous passons en caisse. La grande salle est presque vide. Nous choisissons une des tables du fond. La baie vitrée.

La nuit tombe à présent très vite après un rapide crépuscule. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les "plans" du week-end. Nous n'avons toujours pas trouvé de "femme de ménage". Il faudra encore le faire nous-même. Clémentine revient sur le projet Gloryhole. Dans les écuries du haras de Juliette. Elle se réjouit de retrouver cette ambiance si particulière. Dans l'obscurité d'un des box vidé de son cheval pour l'occasion. Les bites qui se succèdent par le trou parfaitement rond de la cloison. Ma présence à ses côtés pendant qu'elle se goinfre de foutre. << C'est à la fois tellement dégueulasse, écœurant et excitant ! >> me confie t-elle une fois encore. Ce sera le second Gloryhole de l'année. Juste le bon rythme pour Clémentine qui cette fois est impatiente.

<< Et il y a à chaque fois la "surprise" que réserve Juliette ! >> lance Clémentine. Faisant allusion à la bite d'un parfait inconnu, invité tout spécialement pour les "festivités". Lors du dernier Gloryhole, j'étais assis à côté de Clémentine qui suçait passionnément. Je me faisais tailler une pipe par Juliette. Ce sont de très grand moments que je recommande. C'est inoubliable. Et si madame aime bouffer de la queue inconnue, c'est tout simplement grandiose. Nous traînons à table. Clémentine me montre quelques photos dans le "dossier secret" de son téléphone. Des clichés que j'ai pris dans ces situations. Mais derrière notre abri à bois. La bite minuscule et dégoulinante qui dépasse du trou de la porte est celle de notre voisin. << C'est sympa un Gloryhole perso ! >> fait Clémentine.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines bien "allumées" qui vont s'offrir de la bite sous les draps avant un bon dodo...

Julien (possesseur de la bite)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Classe - 49 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2395 -



Samedi sous l'été Indien

Hier matin, samedi, il est sept heures quinze quand Clémentine me réveille. << J'ai fait un drôle de rêve ! >> murmure t-elle en se serrant contre moi. Quelques papouilles. Je dis : << Tu me racontes devant de bonnes tartines ! >>. Quelques bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Le jour commence à se lever. Clémentine fait le café en racontant l'épisode inquiétant de son rêve. Ici, dans la maison, prisonnière dans la cave. Je presse les oranges, je pèle les kiwis plutôt amusé par l'insolite de sa narration. << Il y avait un fantôme qui cherchait à entrer ! >> rajoute t-elle en récupérant au vol les quatre tranches éjectées par le grille pain.

Nous prenons notre petit déjeuner en tentant de comprendre. << Nous approchons de la période où Christine se manifeste ! >> explique Clémentine. Comme chaque année, vers la fin octobre nous avons affaire à une entité. Des manifestations paranormales qui font sourire ceux qui n'y ont jamais été confronté. Leurs explications sont alors souvent plus fumeuses encore que les faits eux-même. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la matinée. Un enchaînement de rituels et d'habitudes auxquels personne n'échappe. Nous traînons un peu à table en évoquant les souvenirs des visites du fantôme que nous identifions comme étant celui de mon ancienne compagne. Elle était tellement attachée à moi et à cette demeure.

La vaisselle. Il faut enfiler les K-ways car la température extérieure est de 8°. Nous pratiquons nos exercices d'échauffements dans le hall d'entrée. Abdos sur les épais tapis, pompes et flexions avant de sortir. << Brrrr ! Ça fouette ! >> lance Clémentine. C'est sur notre itinéraire préféré, le long de la rivière que nous pratiquons notre jogging. La fraîcheur humide, les nappes de brume au-dessus des prés, incitent à courir vite. Ne serait-ce que pour maintenir nos températures corporelles. Il est 8 h50 quand nous revenons pour prendre notre douche. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Sa serviette sur les épaules, assise devant un des miroirs. Elle adore quand je m'occupe d'elle. Elle aime revenir sur ses cours.

Vêtus de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux, de nos baskets, nous redescendons à toute vitesse. Les livraisons ne vont pas tarder il est bientôt dix heures. Le soleil règne en maître dans un bleu d'azur immaculé. La température extérieure est à présent de 18°. Beaucoup plus supportable. J'ai fait une belle natte à Clémentine. Elle balance jusqu'au milieu de son dos. J'adore. Nous traversons le jardin dont la rosée fait briller le gazon. Il faut rester sur les dalles de grès. Nous voilà devant le garage. << Sors ta bite. Amuse-nous, Danièle savoure cet instant de découverte ! >> fait Clémentine en s'accroupissant pour déboutonner ma braguette. Comme à chaque fois elle coince mon Zob juste au-dessus de l'élastique du slip. À la moindre brusquerie, il en jaillira.

Elle se redresse. Pose ses lèvres sur les miennes, saisit mon poignet pour passer ma main entre ses cuisses. C'est chaud. Très agréable. Voilà la camionnette blanche qui descend lentement le chemin pavé depuis le portail ouvert. Je l'ouvre toujours depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Danièle, souriante, se gare devant le garage. Elle saute de son véhicule pour toucher nos poings du sien. La jeune femme ne cache pas sa joie de nous revoir. Elle fixe même ostensiblement ma braguette ouverte sur le blanc fluorescent de mon slip. Ce matin Danièle porte un chapeau noir assez élégant. Un sweat bleu nuit, un pantalon beige, des baskets. Sa coupe à la garçonne, ses discrètes taches de rousseur, lui confèrent encore un charme fou. Surtout avec ce chapeau.

Cette complicité, cette proximité, m'excitent. Clémentine mime une discrète masturbation masculine en me faisant un clin d'œil. Pendant que Danièle, debout à l'arrière de sa camionnette, entre les cageots, tire le nôtre du sommet de la pile, je sors ma queue. Je bande mou. Je la tiens juste à sa base, entre le pouce et l'index. Danièle me tend le cageot contenant nos fruits et nos légumes. Elle découvre la scène en s'écriant : << Attention, ne vous blessez pas, ce serait dommage ! >> Nous rions. Je saisis le lourd cageot en me demandant comme cette frêle jeune femme peut le manipuler avec tant de facilité. Je dis : << Danièle, vous exercez sur ma psyché de délicieux tourments ! >>. Elle éclate de rire avant de répondre : << Ah bon, à ce point là ? Vous aussi ? >>

Clémentine saisit le second cageot contenant nos fromages, les œufs, le beurre, les yaourts, les pots de crème fraîche et de fromage blanc. Les cageots posés sur un des bancs en pierre, je tire la carte bancaire de la poche arrière de mon 501. La bite qui pend de la braguette. Danièle m'adresse un merveilleux sourire en me tendant le terminal dans lequel j'introduis la carte. Même commande pour samedi prochain. C'est Clémentine qui dit : << Si vous passez à proximité de la maison, la semaine, en soirée, passez donc prendre le café ! >>. Danièle, la tête penchée sur le côté, fixant ma bite avec un regard intéressé, répond : << J'ai ma petite famille. Et avec mon mari nous avons tout le temps énormément de travail avec les préparations des marchés en semaine ! >>.

Le couple est exploitant agricole. Ce sont les produits issus de leurs productions qu'ils vendent. Il n'y a pas que les livraisons, il y a les marchés. Danièle, en s'asseyant au volant, rajoute : << Mais je vous assure, ce n'est pas l'envie qui m'en manque ! >> En prononçant ces mots elle mime une rapide masturbation masculine, nous fait un clin d'œil en démarrant. C'est le second samedi que j'assiste à la manœuvre du demi tour en me branlant en regardant Danièle s'en aller. Ce matin j'y rajoute cette touche de vulgarité qui la fait rire en remontant vers le portail. Je remballe à toute vitesse car en même temps arrive le tube Citroën rénové de notre boulangère. Les deux femmes se croisent en se saluant. Madame Marthe, hilare au volant vient se garer au même endroit.

Sautant de son véhicule elle nous salue avant de faire coulisser la porte latérale dans un effroyable bruit de tôle. Nous récupérons le cageot contenant nos deux miches de pain complet et bio. Les deux pâtes feuilletées, l'énorme brioche au pudding, les bouchées à la reine et les deux croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. La dame s'en va elle aussi vers d'autres livraisons. Nous faisons un premier voyage avec les cageots. Contourner la maison pour descendre à la cave par derrière. Nous disposons nos fruits et nos légumes sur les étagères en bois dans le cellier. Clémentine passe derrière moi, ses bras autour de ma taille, elle dit : << J'adore tes numéros de satyre devant les femmes. Rien ne m'excite davantage tu sais ! >>

Je sais. Elle fourre sa main droite dans ma braguette pour en extraire le locataire en rajoutant : << Parce que ce satyre n'appartient qu'à moi et que je l'aime ! >>. Je me retourne. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Un baiser passionné qui provoque une érection dans la main de la fille que j'aime. Elle me branle. Cessant de fouiller ma bouche elle s'écrie : << Mais tu mouilles ! >>. En effet, elle me montre ses doigts gluants d'un peu de mon liquide séminal. Elle les porte à sa bouche pour les sucer en murmurant : << Mmhhh ! >>. Il y a le troisième cageot à récupérer. Nous sortons en nous tenant par la main. J'ai la bite qui ramollit inexorablement. Je prends le cageot "boulanger". Nous redescendons. Du congélateur je tire le paquet de moules de Bouchot.

Un sachet de petits pois, un sachet de haricots verts. Nous avons renouvelé notre stocks vendredi en fin d'après-midi, à l'hypermarché avant de savourer de délicieuses paellas dans la cafétéria. Un bon souvenir. Nous remontons par l'escalier intérieur. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Toujours pas de "femme de ménage". Il faut se résoudre à faire nous-même. Chacun sa tâche. Il est dix heures trente. Clémentine passe l'aspirateur. Je la suis avec la serpillère. C'est une activité contraignante que nous tournons en dérision. Que nous rendons ludique par quantité de bisous, de prétextes à nous toucher. Je propose de passer une annonce dans la gazette du bourg voisin. Bulletin paroissial, municipal et hebdomadaire. << Bonne idée ! >> s'exclame Clémentine.

Il est 11 h45. La maison est propre. Tout est nickel. Clémentine fait l'assaisonnement de la belle laitue dont elle lave les feuilles. Je verse les moules décongelées sous le soleil dans le bouillon en ébullition. Je fais de même avec les sachets de petits pois et de haricots verts dans le wok. C'est notre repas des samedis midis. Facile, simple, pas très diététique à part la salade, mais tellement bon en bouche. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les attitudes de Danièle. << Tu penses bien que notre invitation à venir boire un café doit la titiller ! Ce serait bien qu'elle passe ! >> lance Clémentine. Je ne dis rien. J'écoute en souriant. Clémentine rajoute : << Tu l'imagines un peu, sa belle frimousse maculée de ton foutre ! >>. Nous en rigolons comme des bossus.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine envisage la virée vélo de cet après-midi. La température extérieure est de 20°. Mais un léger vent de Nord Est impose tout de même d'être vêtus chaudement. Surtout pour le retour en soirée. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous mettre en tenues sports. Les mêmes leggings et les mêmes sweats que pour le running. J'ajuste la natte de Clémentine qui me regarde faire dans le miroir. << Vous êtes l'homme le plus attentionné monsieur ! >> fait elle dans un souffle avant de se retourner pour m'embrasser. << Bonjour les gens ! >>. C'est Estelle, silencieuse, qui entre soudain dans la salle bain. Elle pose son sac de sport sur le tabouret pour se précipiter vers nous. Le bonheur.

Le bonheur de nous retrouver tous les trois. Serrés. À nous couvrir de bises. Estelle déjà en tenue vélo tire une culotte, des chaussettes et son pyjama de soie mauve de son sac. Tout en nous racontant son vendredi et sa matinée. << On a fait du shopping avec maman avant d'aller récupérer papa à l'aéroport ! >> explique t-elle. Elle rajoute : << Et ce matin on est allé faire les courses ! >>. Nous racontons notre vendredi. Je donne les détails demandés quand à mon exhibe hebdomadaire devant Danièle. << On va jouer à ça. Interpréter les rôles. Je "fais" Danièle ! >> lance Estelle. Nous en rions aux éclats. << Bonne idée ! >> dit Clémentine. Nous redescendons. Dans le petit sac à dos que je porte, les K-ways, les barres de céréales. Je sors le vélo du kangoo d'Estelle.

<< Papa a tout vérifié ! >> précise t-elle. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Un vent de Nord Est, désagréable, nous pousse. Il sera redoutable en soirée pour le retour. Nous avons emmené nos bonnets. Nous croisons de nombreux cyclistes. Ces dernières journées relativement chaudes et ensoleillées méritent d'êtres exploitées avec des activités extérieures. Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'au port de plaisance. Nous y arrivons pour 14 h50. Des employés municipaux dressent les stands. Demain, dimanche, c'est la braderie d'automne. La dernière animation de l'année. Organisée par la municipalité du bourg. Nous nous promettons d'y venir. Mais très certainement avec la voiture.

Nous fermons les bicyclettes à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. La plupart des bateaux encore à quai sont à présent bâchés. Amarrés à leurs cordages pour y passer les mois d'hiver. Il règne là l'ambiance habituelle. Nos joueurs de boules sous les platanes. Des groupes de promeneurs. Des groupes de cyclistes bavardant. Il y a des camionnettes partout. Des particuliers, des commerçants en tirent des tréteaux, des bâches, des barres en métal. Bref, tout ces gens s'affairent dans une bonne humeur communicative. << Tu es sexy toi dans ton legging. On voit bien tes formes ! >> me fait Estelle en posant sa main sur ma bosse. << Wouah, et le contact ! C'est chaud et doux ! >> s'exclame t-elle en oubliant la plus élémentaire des discrétions. On nous voit.

Nous traversons la route pour aller dans la supérette. Le peu de clientèle permet de bavarder un peu avec la gérante. Cette dame fort sympathique est contente de retrouver le calme après une saison estivale éprouvante. << Avec mon mari on va s'installer au Portugal d'ici deux ans. On va vendre la boutique. Ras-le-bol. On a acheté à Dornes. C'est un village au bord d'un fleuve. On ouvre un bar tabac là-bas ! >> raconte t-elle avec son amusante gestuelle. Nous choisissons les parfums de nos glaces préférées. Ben & Jerry's. Nous les dégustons assis sur le mur qui surplombe les quais qui grouillent d'activité. C'est mieux de rester au soleil. À l'ombre il règne une fraîcheur permanente. Des employés communaux balaient les feuilles. Nous reconnaissons le voyeur de la dernière fois.

J'invite le lecteur à relire le captivant récit de nos aventures du week-end dernier. J'y relate la superbe exhibe de Clémentine. Il nous a sans doute reconnu lui aussi. Lorsqu'il tasse le gros tas de feuilles mortes dans la remorque attachée à son mini camion, il regarde par là. Sans se consulter, d'un même élan, Estelle et Clémentine mime une masturbation masculine. Avec toute la vulgarité dont elles sont coutumières. Notre pauvre balayeur n'en croit probablement pas ses yeux. Je lève les deux pouces. Il détourne ses yeux pour se concentrer sur son labeur. Nous jetons les bacs vides dans une des poubelles. Il est agréable de flâner jusqu'au bout de la jetée. La terrasse du bar restaurant est encore noire de monde. Toutes les tables sont occupées. Des cyclistes, des promeneurs.

Il est dix sept heures quand nous revenons aux vélos. Estelle, qui n'a cessé de me palper, de fourrer sa main dans mon slip par le haut, s'accroupit devant moi. Elle colle son visage contre l'énorme bosse qui déforme mon legging. Clémentine, serrée derrière moi, ses bras autour de ma taille, observe. << Ce soir, c'est "cinéma"? Vous n'avez pas oublié j'espère ? >> lance Estelle en se redressant. Clémentine chope ma bosse en répondant : << On y a pensé tout le temps ! >>. C'est un mensonge car nous n'y pensions plus. Estelle a procédé aux montages des images tournées durant nos vacances en Écosse. Elle en a fait un film très "pro" d'une durée de quarante cinq minutes. Ne gardant que l'essentiel. Supprimant l'inutile. Nous voilà sur nos vélos à peiner contre ce maudit vent froid.

C'est vêtus de nos K-ways, de nos gants, coiffés de nos bonnets que nous affrontons ces vingt cinq kilomètres. Il est 18 h45 quand nous arrivons. Aux premiers crépuscules. Qu'il est bon de retrouver une maison où les radiateurs assurent une température de 20°. Assis à la table de la cuisine, tout en épluchant les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri, nous revenons sur notre après-midi vélo. Nous préparons en grande quantité. Une potée de légumes qui devra assurer les quatre repas à venir. Les deux de demain, celui du mien lundi à midi. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle remue la potée dans la vieille cocote en fonte noire. Pour que ça n'attache pas durant cette bonne vieille cuisson traditionnelle. C'est tellement meilleur.

Je fais rissoler trois dos de cabillaud blanc. Avec de l'ail, de l'oignon, des bolets. Un déglaçage en rajoutant un demi verre d'eau tiède avec de la moutarde. Pour créer une sauce d'accompagnement. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la "soirée cinéma" qui nous attend. Nous ne traînons évidemment pas. Dès la vaisselle terminée, mes deux anges m'entraînent au salon. Tous les trois, en slips et T-shirts, chaussettes, sommes vautrés dans le canapé. Devant l'écran géant du téléviseur. Il n'a plus fonctionné depuis le printemps. Mais tout est parfait. Je suis entre Clémentine à ma gauche qui manipule la télécommande et Estelle à ma droite qui manipule mon chibre. Une fois encore Estelle a fait un superbe montage. Très professionnel. Avec musique et générique.

<< C'est notre dix neuvième film en cinq ans ! >> précise t-elle en tenant ma queue d'une poigne ferme. À l'écran s'affiche le nom du premier village où nous avons sévi. C'est Clémentine qui filmait. De remarquables prises de vues. En format 4K. C'est toujours extrêmement excitant d'être assis en "vrai" entre les deux "actrices" qu'on voit également à l'écran. Nous redécouvrons ces scènes surréalistes vécues il y a trois mois. Estelle qui agite ma queue en direction de l'objectif. Nous rions comme des fous. Parfois je lâchais un méchant jet de pisse en direction de Clémentine qui filmait. Nous regardons ces images en riant autant que nos personnages dans le film. Estelle, dans son montage précis, indique les dates, les endroits. C'est vraiment une réalisation magistrale.

Clémentine fait de nombreux arrêts sur images. << Le diable se cache dans les détails ! >> précise t-elle. J'ai mes mains entre les cuisses de mes deux anges. Je les doigte. Je me fais parfois branler par Estelle. Nous la félicitons pour la qualité de ce montage. Ce film qui ne dure que 45 minutes mérite nos applaudissements. Même si la fatigue devient pénible, nous regardons ces images avec un plaisir double. Le plaisir intellectuel des souvenirs; le plaisir physique que procurent ces images. Épuisés, nous montons en portant nos fringues. Un brossage de dents. Une rapide toilette. Nous voilà au lit. Je suis entre mes deux anges serrées contre moi. Malgré l'excitation de cette "soirée cinéma", nous plongeons rapidement dans les profondeurs d'un sommeil bien nécessaire.

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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La braderie d'automne

La grasse matinée nous emmène quelquefois jusqu'aux environs de neuf heures. Ce qui est le cas hier, dimanche. Estelle à ma droite qui saisit son "doudou", en l'occurrence ma tumescence immédiate au réveil. Clémentine à ma gauche qui se tourne pour se blottir tout contre moi. Trop tard pour attraper mon érection naturelle. Nous nous étirons. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << J'ai une méchante envie de pisser ! >>. Nous la regardons se propulser vers la porte dans son pyjama de soie mauve. << Tu n'as pas trop chaud la nuit avec ça ? >> demande Clémentine qui chope ma queue à son tour. C'est en revenant qu'Estelle répond : << Non, je suis frileuse et c'est juste bien. Venez, je descends préparer ! >>. Elle nous fait à chacun un bisou avant de filer.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, en slips et T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers. Il y a déjà l'odeur du café qui flotte dans la cuisine. Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. Au milieu des bols trône l'énorme "chinois". Cette brioche au pudding ronde recouverte de sucre glace. Le grille pain éjecte ses tranches légèrement dorées. Estelle me palpe la bosse en disant : << Sympa la soirée cinoche. C'est la toute première fois qu'on reste simples spectateurs ! >>. Nous en rions de bon cœur quand Clémentine fait : << On vieillit. On était tellement crevé à cause de l'effort à vélo contre le vent ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en nous promettant une revanche aujourd'hui. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la virée vélo du jour.

Nous traînons à table. Le dimanche pas d'entraînement. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges reviennent sur le film. << Le montage est excellent. Comme toujours ! >> précise Clémentine. C'est vrai que l'enchaînement des séquences, en fondu, est une succession de surprises. Tous l'été, durant nos vacances Écossaises, nous nous sommes fixés le "défi du jour". Le plus souvent lancé par Estelle. Clémentine filmant les scènes avec sa maestria habituelle. Ce fut un plaisir de revoir ces images très excitantes. Non pas seulement pour ce qu'elles montrent mais également pour les endroits où elles se déroulent. Ces petits ports de pêches, ces ruines de châteaux, ses ruelles typiques, parfois tous ces gens en arrières plans.

<< On est hyper gonflés parfois ! >> lance Clémentine. << Et ça n'ira pas en s'améliorant ! >> conclue Estelle. Nous en rions aux éclats. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous nous changeons. Jupettes et T-shirts pour les filles. Short T-shirt pour moi. Il fait encore tellement beau dehors. Le thermomètre extérieur indique 19° alors qu'il n'est que dix heures. Le ciel est entièrement bleu sans le moindre nuage. Le soleil y règne en maître absolu. Pas un souffle de vent. Nous sortons enchantés de ces conditions cimatiques de juillet. Un 8 octobre. Nous descendons jusqu'à la rivière. J'ai rapidement la bite à l'air. Estelle me la sort en lançant : << Il faut aérer un peu ta chambre. Il fait chaud ! >>

J'ai moi aussi les mains baladeuses. C'est tellement facile et agréable quand elles sont en jupettes. Le doux contact du coton de leurs culottes. C'est une belle promenade matinale au bord de la rivière. Nous la longeons sur l'étroit sentier qui se recouvre inexorablement d'un tapis de feuilles de plus en plus épais. Estelle ouvre la marche en s'arrêtant souvent. Elle se retourne pour saisir ma queue toute molle et me faire un bisou. Je me retourne alors à mon tour pour faire pareil à Clémentine. Elles parlent de leurs études. Nous arrivons au vieux lavoir. Nous en faisons le tour. Le rituel pisseux de mes deux anges. Accroupis derrière elles, je passe mes index entre la raie de leurs fesses. Sournoisement, sans prévenir, j'y enfonce légèrement mes doigts. Je les tourne doucement.

<< Salaud ! Enculeur de filles ! >> s'écrie Estelle. J'adore les surprendre ainsi. Même si ce n'est plus vraiment une surprise. Je fais ça tellement souvent. Elles savent que lorsque je passe derrière elle pour m'accroupir, c'est avec cette idée dans la tête. Le doigt dans le cul d'une fille qui pisse rend le jet beaucoup plus puissant. Surtout chez Clémentine dont j'admire la "lancée". Je les torche. C'est Estelle qui me tient la bite pour en diriger les jets contre le muret. Clémentine reste derrière moi, ses bras autour de ma taille. Je ne rêve pas. C'est la main d'Estelle qui se glisse insidieusement entre mes fesses. << Tiens, prends ça, enculé ! >> lance t-elle en enfonçant elle aussi son doigt. << Oh mais ça rend tes jets plus puissants aussi ! >> s'exclame Clémentine. Rires.

Elle me contourne pour s'accroupir devant moi. Estelle lui tend mon chibre en secouant les dernières gouttes. En gémissant Clémentine suce, les yeux fermés, une expression d'extase sur le visage. Estelle enfonce sa langue dans ma bouche. Mon érection est presque immédiate. Je me fais tailler une pipe des familles. Quelques minutes avant que la position ne devienne intenable pour Clémentine. Je l'aide à se redresser. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses genoux endoloris. Estelle accroupie à mes côtés pour garder mon sexe dans sa main. Nous prenons le sens du retour. Considérablement excités. Il n'est pas loin de midi. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de concombre. Je réchauffe la potée de légumes. Estelle fait dorer de gros pavés de saumon.

Nous mangeons de bon appétit en choisissant finalement l'option vélos pour nous rendre au port de plaisance. C'est encore une véritable journée d'été. Il serait stupide de nous priver de ce plaisir. Nous ne traînons pas. Les assiettes, les couverts dans le lave vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous mettre en tenues. Jupettes lycra noir, T-shirts lycra orange pour les filles. Short lycra noir, T-shirt lycra orange pour moi. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je porte, les leggings, les K-ways. C'est vers dix sept heures trente que le climat commence à fraîchir. Il faut prévoir des vêtements plus chauds. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Il y a du monde.

Il n'y a pas le moindre souffle de vent. C'est sous un véritable cagnard que nous parcourons les vingt cinq kilomètres. Une bonne moyenne qui nous permet d'arriver au port pour 14 h45. Il y a un monde fou. Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie. Parmi une bonne trentaine d'autres. Rapidement, d'un geste précis, discrètes, Estelle et Clémentine retirent leurs culottes. Elles les fourrent dans la pochette avant du sac. Il y a vraiment foule. La braderie d'automne connait encore un succès exceptionnel. La météo certes, mais également la qualité des festivités proposées par la municipalité du bourg voisin. Les stands colorés, la musique qui résonne depuis le grand chapiteau. Les filles ne me lâchent surtout pas les mains. Il faut louvoyer entre les gens.

Il serait vain de tenter une exhibe dans cet environnement. Pourtant Clémentine est très excitée par cette promiscuité festive. Estelle n'arrête pas de me palper. C'est tellement simple dans une foule où personne ne fait vraiment attention. Bien évidemment nos hautes tailles font encore de nous des extraterrestres en goguette. En baskets, Estelle et Clémentine ne font qu'un mètre quatre vingt deux. Moi, un mètre quatre vingt huit. Mais il faut les imaginer quand elles portent des talons de cinq ou six centimètres. Ce qui est souvent le cas en bottines. Ce sont principalement des stands de vêtements. À la provenance très incertaine, peu couteux, colorés, parfois insolites. Mais il y a des choses étranges. Une jeune femme propose des poissons exotiques, des tortues vivantes.

Des vendeurs de ballons multicolores. Des produits issus de l'agriculture biologique. Et même une dame derrière son stand de livres. Je bande. Estelle n'arrête pas de s'amuser à me mettre dans des situations plus embarrassantes les unes que les autres. Sous les rires de Clémentine. Nous sortons de cette ambiance de kermesse avec soulagement. Nous traversons la route pour aller dans la supérette. Inutile d'espérer acheter nos glaces préférées sans sacrifier au moins une demi heure dans ce magasin bondé de clients. << On laisse tomber ! >> propose Clémentine. Si nous voulons tout de même sacrifier au rituel des crèmes glacées il faut retourner sur les quais. Affronter la foule toujours aussi dense. << On a des barres de céréales dans le sac ! >> lance Estelle.

Assis sur le mur qui surplombe les quais, parmi d'autres promeneurs, nous dégustons nos barres à la pomme, à la banane et aux noisettes. C'est dans le bourdonnement continu de la foule à nos pieds dans le vide que nous restons serrés. Je suis entre mes deux anges. Le petit sac à dos posé sur mes cuisses permet de dissimuler la bite que me sort Estelle. En disant : << Renouons avec les "défis du jour" ! >>. Ce qui me procure un sentiment d'insécurité. Et ce qui fait évidement rire mes deux anges. Je remballe mon érection car ça devient vraiment trop dangereux. << À moi ! >> fait Clémentine en posant le sac sur ses cuisses. Je peux alors explorer son intimité sans être vu. De tourner ma tête pour embrasser l'une ou l'autre attire évidemment bien des regards.

Nous nous en amusons comme des fous. Les filles en rajoutent. C'est trop drôle de découvrir des regards libidineux, étonnés, parfois courroucés. << Il y en a que ça dérange. Regardez les deux meufs là-bas ! >> lance Estelle avant de leurs tirer la langue. << Et le mec là-bas, on dirait qu'il a vu Belzébuth ! >> rajoute Clémentine qui mime alors une rapide masturbation masculine. Nous rigolons comme des bossus en repartant. Il est déjà dix sept heures. Il fait encore bien chaud avec une température de 26°. Nous retournons aux vélos. << Ce n'est que dans les films pornos que les filles font de la bicyclette sans culotte ! >> lance Estelle en remettant la sienne. Tout comme Clémentine qui rajoute : << Tes doigts m'ont mouillé ! >>. Estelle s'écrie : << Moi aussi ! >>

Un léger vent d'Ouest s'est levé durant l'après-midi. C'est très sympathique car il nous pousse au retour. Il est dix huit heures trente quand nous sommes de retour. Juste avant les fraîcheurs humides du soir. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de tomates. Estelle nous concocte son omelette aux fromages des dimanches soirs. Je réchauffe la potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos aventures de l'après-midi. Je propose aux filles un bon nettoyage de minous. Je ne suis pas obligé de réitérer ma suggestion. Toutes heureuses à l'idée de ce qui les attend, à peine la vaisselle faite, elles m'entraînent au salon. Elles retirent leurs culottes qu'elles jettent en l'air après les avoir fait tournoyer en riant. Elles se vautrent dans le canapé.

Je retire mon short, mon slip. Estelle devra nous laisser pour 22 h. C'est donc par elle que je commence la "toilette intime". À genoux sur les coussins, mon visage entre ses cuisses. Mes amis ! Les sexes de filles ayant pratiqué cinquante kilomètres de bicyclette sous le soleil, offrent les plus vertigineux parfums. Les plus enivrantes substances. Elles se masturbent en attendant chacune leur tour. Je bouffe de la chatte en me branlant. Je ne sais plus où donner de la bouche. La fondue savoyarde de Clémentine où la fondue suisse d'Estelle ? Encore une soirée de dégustations qui engourdissent les muscles de ma mâchoire et de ma langue. Ces gouts qui persistent dans ma bouche. Ces odeurs fortes qui envahissent mes narines. Je distribue de merveilleux orgasmes.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui raffolent des "toilettes intimes" sur canapé. Qui adorent les orgasmes parfois en cascades que le nettoyage de minous leurs procurent. Avant de se retrouver hébétées, les yeux larmoyants, noyées de plaisirs...

Julien (nettoyeur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 1 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2397 -



Clémentine adore quand on est juste nous deux

Hier matin, lundi, l'application "forêt" nous tire du sommeil à presque six heures. Nous avons pour habitude d'avoir chacun nos téléphones allumés. Sur nos tables de nuit. La stéréophonie ainsi induite rajoute au réalisme. Le gazouillis des oiseux, l'écoulement d'une source. C'est féérique et assure un doux réveil. Sans aucun stress. Aucun traumatisme. En gémissant, Clémentine se love contre moi. Se frottant contre ma hanche. Quelques papouilles. Quelques bisous. Chaque seconde est comptée. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain, morts de faim, nous revêtons nos habits sports. Nous dévalons les escaliers pour rejoindre la cuisine. Clémentine fait le café en racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant avec intérêt.

Le lundi matin, il reste toujours de la brioche. Pour lui rendre son moelleux il suffit de la mettre quelques instants dans le four à micros ondes. Le grille pain éjecte ses tranches. Toute la grande pièce est envahie des effluves parfumées de nos préparations. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les bons moments du week-end. La braderie d'automne sur les quais du port, l'ambiance et l'animation. Les dernières avant le printemps de l'année prochaine. En venant terminer son morceau de brioche sur mes genoux, Clémentine me dit : << Et ce soir, je t'ai pour moi toute seule ! >>. Ses lèvres collantes de miel et de sucre sur les miennes. Juste le bout de nos langues qui se touchent. Nous mangeons de bon appétit sans pouvoir prendre tout notre temps. Frustrant.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer corps et âmes à notre heure d'entraînement. Commencer par les échauffements de l'aérobic est une façon de se dérouiller. Le jogging sur les tapis roulants fait augmenter nos rythmes cardiaques. Les exercices au sol permettent un massage interne et sont le plus judicieux prélude aux charges additionnelles. Clémentine fait ses développés couchés en poussant des cris. Nous en rions. Les étirements d'un stretching bien trop hâtifs pour êtres réellement efficaces. La douche. Je redescends en "éclaireur" pour préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Le jour s'est levé sous un ciel clair et sans nuages. Nul doute que la journée qui s'annonce sera encore belle et chaude. La douceur est déjà présente avec 16°. Clémentine me rejoint.

Une jupe de velours carmin. Des mocassins bruns à légers talons. Un chemiser crème sous sa veste brune. Sa natte qui danse jusqu'au milieu de son dos. J'ajuste ses lunettes d'étudiante en déposant un baiser sur ses lèvres. << Juste toi et moi ce soir ! >> lance t-elle en s'asseyant au volant. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. J'aime faire le tour de la propriété au matin. La végétation est trempée par la rosée. Les feuilles jonchant le gazon commencent à se décomposer. Excellent compost naturel. Je rentre un peu à contre cœur pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier, confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce troisième paysage de commande me plonge rapidement dans mon autre passion. Sublime.

Je peins dans une sorte d'extase qui me fait baver de plaisir. Je n'ai plus aucune notion du temps qui passe. Je sais qu'il va être midi par la sensation de faim qui me tenaille. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de potée de légumes. Je fais l'assaisonnement d'une salade de tomates. Dans la poêle je fais rissoler un filet de flétan. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. L'émission quotidienne se fait aujourd'hui sans Bercoff. Dommage. Il y est question des récents évènements terroristes dans cette région du monde qui depuis plus de deux mille ans perturbe la vie de l'occident. Une nouvelle guerre de religions. Une civilisation désireuse de faire un saut dans le futur devrait interdire l'irrationnel. C'est vecteur de haines et de monstruosités.

J'écoute de plus en plus distraitement car je suis entrain de composer mentalement le repas du soir. Je vais faire simple. Un gratin de champignons et d'avocats. Danièle nous en a livré de beaux spécimens samedi matin. Alors que je lui montrais ma bite. Je me mets immédiatement à l'ouvrage. Je lave et je pèle de gros champignons de Paris. Une belle et grosse courgette. Deux magnifiques avocats pas trop mous. Je coupe en tranches régulières que j'aligne tels des dominos dans le grand plat carré en terre cuite. Je verse le mélange œufs, fromage blanc, moutarde à l'ancienne et lait de soja. Ce liant est onctueux. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère Suisse. Je saupoudre de chapelure. Des cerneaux de noix. Au four pour faire mijoter longuement à 160°. C'est meilleur.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir les jambes, je dévale l'escalier. C'est encore une véritable journée de juillet en plein octobre. Il fait 28°. Le ciel est d'un azur immaculé. J'ai trop chaud avec mon Levis et ma chemise à carreaux. Je vais jusqu'à la rivière. Sous ce soleil les couleurs de l'automne sont tout simplement surréalistes. Toutes les déclinaisons rouilles commencent à teindre les arbres. Toujours davantage de feuilles parterre. Je monte sur la passerelle en bois pour regarder les profondeurs des eaux. au moins trois mètres en cet endroit. Des poissons se prélassent près de la surface. Le gazouillis des oiseaux, comme au printemps. Auraient-ils nidifié malgré les menaces climatiques qui ne manqueront pas d'arriver. Inexorablement.

Il est 14 h30 quand je suis installé devant mon chevalet. Je me suis fais violence car cette météo est une invitation aux escapades. Je peins dans les mêmes dispositions d'esprit que ce matin. Sans voir passer le temps. Le bruit que j'entends m'annonce qu'il est aux environs de 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite en s'écriant : << Viens on sort. Il fait tellement beau ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux pendant qu'elle réunit ses affaires. Nous sortons pour nous installer sur un des deux bancs en pierre. Le soleil tape encore vigoureusement. Clémentine remonte sa jupe jusqu'à sa culotte pour offrir ses cuisses à la chaleur. Elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Sa tablette sur les genoux elle se plonge dans le travail à finaliser.

Quel bonheur que de vivre un véritable été Indien. Il y a même des papillons qui virevoltent. S'il n'y avait toutes ces feuilles sur l'herbe ce serait une vision de fin de printemps. Hélas, le soleil tourne et nous voilà à l'ombre. L'immédiate fraîcheur humide rend la situation désagréable sinon inconfortable. Il est dix huit heures trente. Clémentine m'entraîne par la main. Nous restons sur les dalles de grès car l'humidité du soir est assez soudaine. Elle fourre sa main dans ma braguette ouverte pour dire : << Tu sais, quand je roule en rentrant, que je suis en jupe, je me touche sur les quinze kilomètres. Mais je te promets de faire très attention ! >>. Elle passe son bras libre autour de mon cou. Sans me laisser répondre elle enfonce sa langue pour m'embrasser passionnément.

Je glisse ma main sous sa jupe. Le doux contact du coton de sa culotte. Se calant sur ma main, les jambes écartées sur ses genoux fléchis, Clémentine imprime à ses hanches un mouvement masturbatoire. Nos baisers trempent rapidement nos mentons. Nos bouches mouillées glissent. Nous rions en gémissant. Clémentine s'accroupit devant moi pour m'extraire le chibre. Une érection qu'elle tient d'une poigne ferme en humant les odeurs de ma journée d'homme. Elle frotte mon sexe sur son visage en gémissant. Je saisis sa longue natte pour la tenir au plus court. Je donne un à coup juste à l'instant où Clémentine ouvre la bouche pour gober la peau fripée de mon prépuce. Déformée par le gland turgescent qu'elle recouvre. Je me fais tailler une vraie pipe des familles.

J'aide Clémentine à se redresser. En tirant sur sa natte. Une main dans sa culotte elle se lève. Je l'entraîne ainsi pour faire le tour de la maison d'amis. Sans cesser de se toucher, en gloussant de plaisir elle marche penchée en avant. Parfois avec difficulté quand il faut monter les marches. L'abri à bois. Rempli à craquer d'une bonne quarantaine de stères de bois de hêtre, de bois de chêne. Les délicieuses odeurs qui s'en dégage. C'est là, près de la clôture qui nous sépare du chemin que je force Clémentine à se pencher en avant pour reprendre mon Zob en bouche. Elle s'accroupit rapidement en s'accrochant de sa main gauche à mon Levis. Continuant de se toucher de l'autre, elle se remet à sucer avec passion. J'ai le secret espoir que notre voisin fasse un tour.

Il est fréquent qu'en fin d'après-midi, pour descendre à la rivière, il vienne flâner par là. Du bout de mes doigts je caresse les joues creusées par l'effort de succion de Clémentine. La fraîcheur envahissante devient vraiment désagréable. Monsieur Bertrand n'arrive pas. J'aide Clémentine à se relever. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses genoux endoloris. Il commence à faire faim. Clémentine se serre contre moi. Un bras autour de ma taille. Nous contournons la dépendance pour rentrer. Quand Clémentine découvre ce qu'il y a dans le four que j'allume, elle se jette à mon cou. << Je t'aime ! >> s'écrie t-elle avant de m'embrasser. Je tente d'éviter que ma queue mouillée ne tache le velours carmin de sa jupe. Ce qui la fait rire. Elle qui cherche à se frotter.

Je l'aide à préparer l'assaisonnement de la salade. Elle revient sur ses cours. Quelques amusantes anecdotes d'étudiante. Toute la journée avec Estelle : << Qui te masse le jonbour ! >> lance t-elle en empoignant ma queue à présent mollasse. La sonnerie du four pendant que nous mettons les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée Gloryhole. << Le gloryhole d'Halloween ! >> dit elle en mimant une fellation. Son poing fermé qu'elle tourne devant sa bouche. Une bosse qu'elle fait à l'intérieur de sa joue avec la nourriture qu'elle cesse de mâcher. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur sa préférence. Les rapports génitaux buccaux. Cette préférence qui est également la mienne.

La vaisselle. Clémentine ne s'y attend pas. Elle plonge. J'essuie. C'est lorsqu'elle passe l'éponge sur l'évier que je descends sa culotte. Elle éclate de rire en s'écriant : << Coquin ! >>. Elle s'essuie les mains. À peine se retourne t-elle pour me sourire que je la soulève pour l'assoir sur la table de la cuisine. << Tu me faisais ça tous les soirs au début. Quand je suis venue vivre avec toi ! >> lance t-elle. En appui sur ses coudes, elle m'observe. Je frotte mon sexe sur le sien. Il rentre comme dans du beurre. Je réponds : << Ça ne rentrait pas aussi facilement à l'époque ! >>. Nous rions aux éclats. Ce qui procure de plaisantes sensations. La table de la cuisine n'est pas plus inconfortable que la surface du bureau dans le salon. Je suis enfoncé jusqu'à la garde. Dur et raide.

Je soulève Clémentine qui s'accroche à mon cou. Comme prise de vertige elle fourre sa tête dans le creux de mon épaule. Je l'emmène ainsi. Après avoir fait le tour de la table, nous quittons la cuisine pour le salon. La nuit est tombée. C'est dans le noir que je me retire pour déposer Clémentine dans le canapé. En gardant appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids, je m'introduis à nouveau. J'adore les petits cris lascifs qu'émet Clémentine lorsque je m'agite comme un dément. Alternant les séquences immobiles à celles plus échevelées d'une véritable baise à la hussarde. Nos yeux s'habituent à l'obscurité. Ceux de Clémentine, d'un bleu clair et intense, brillent quand elle les ouvre. Je redouble d'activité. Il est 21 h30. Je propose de nous terminer sous la couette.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font niquer sous les draps en confiant leurs secrets de filles. Avant un orgasme dévastateur qui oblige à récupérer la literie tombée au sol. La bouche pleine d'un foutre épais et gluant...

Julien (le hussard)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
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Fleur - 2 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2398 -



Les fesses tivités du mardi soir

L'application "forêt" nous extrait du sommeil avec sa délicatesse habituelle. Il est presque six heures hier matin, mardi. En gémissant Clémentine se blottit contre moi. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous attendent nos vêtements sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en l'écoutant me raconter les rêves qui ont hantés sa nuit. Les deux gros croissants aux amandes dans le four à micros ondes. Les quatre premières tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de lundi. << C'est si bon juste toi et moi. Ça situe bien les choses et les recadre ! >> dit elle, posant sa main sur la mienne.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant déjà celles à venir. La présence d'Estelle. Il est 6 h25. Nous remontons. Notre nécessaire entraînement. L'aérobic permet l'échauffement idéal avant le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol, pompes, abdos permettent une préparation physique à la manipulation des charges additionnelles. Les étirements du stretching qui offrent un retour au calme avant la douche. Je redescends le premier pour sortir l'auto du garage. Le jour s'est levé. La météo promet d'être aussi extraordinaire que les journées précédentes. Le thermomètre extérieur indique déjà 17°. Clémentine vient me rejoindre vêtue comme lundi d'une jupe, d'un chemisier sous sa veste. De mocassins à légers talons. J'aime l'élégance discrète de ses matins.

Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Une petite flânerie dans le jardin. Les odeurs, la rosée, encore un début de journée de juillet un 10 octobre. Je fini par rentrer pour faire notre vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Ce troisième paysage de commande trouvera son épilogue en fin d'après-midi. Je peins dans la sérénité d'un timing heureux. Ces toiles seront expédiées à leurs commanditaires avant les vacances de Noël. Abîmé dans ma passion, je n'ai plus aucune perception du temps qui s'écoule. Il est pas loin de midi car la faim commence à me titiller. Ça gargouille dans mon estomac vide.

Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste du gratin de champignons et de courgette. Je fais l'assaisonnement d'une laitue dont je lave les feuilles. Ce sera également la salade de ce soir. Avec les pizzas dont j'ai déjà prévu la surprise pour mes deux anges. Je poêle un filet de lieu noir préalablement panné. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff commente les évènements. Cette nouvelle guerre qui s'annonce au moyen-orient. Les suppositions les plus fantaisistes se relaient aux supputations les plus probables. Va t-on nous faire le même "coup" qu'avec la guerre en Ukraine ? C'est à dire que l'alimentation, l'énergie vont augmenter leurs coûts ? Avec les dirigeants actuels tous les sales et mauvais coups ont à craindre.

L'occasion fait le larron. L'occasion de se faire encore davantage d'argent. L'occasion de manipuler les opinions avec de l'anxiogène est trop bonne. Toutes ces mafias vont évidemment en profiter. Après tout, des peuples qui ont accepté des vaccins, des confinements successifs, accepteront tout et même le pire. Tant qu'il y a du football à la télévision, des émissions lénifiantes, de la bière au frigo et le Loto pour rêver, les nations resteront inconscientes de ce qui se trame en coulisse. J'écoute en faisant l'inventaire des ingrédients nécessaires à la confection du repas de la soirée. Je concocte une belle pâte à pain que je pétris longuement. Farine complète et bio. J'aime y mêler du jus d'ail pressé. Du parmesan en poudre. Ça rajoute un gout délicieux dès la préparation.

Je lave et coupe de belles tomates que je poêle avec de l'ail, de l'échalote, du persil, de la ciboulette. Je râpe une grosse quantité de gruyère Suisse. La pâte repose dans un saladier, couverte d'un linge. La garniture repose dans la poêle couverte d'un couvercle. Le gruyère est au réfrigérateur dans un gros Tupperware. Le repas de la soirée est assuré. La vaisselle. Je remonte me laver les dents. Pressé de sortir, je redescends à toute vitesse. Il fait vraiment chaud avec 28°. Le soleil brille dans un bleu d'azur sans nuages. Je vais jusqu'à la rivière. Pas le moindre souffle de vent. Les eaux claires sur lesquelles s'ébattent les poules d'eau, les canards et les colverts. Dans les profondeurs on distingue des ablettes, des brochets. Ce qui ferait le bonheur de tout pêcheur.

Il est 14 h30 quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans cette même félicité. Il est dix sept heures quand je dépose la dernière touche de couleur sur la surface du tableau achevé. Il va sécher sous un drap, à l'abri de la poussière, sur un second support. Je place déjà la nouvelle toile à peindre sur le chevalet. J'attaque ce quatrième paysage demain matin. Je nettoie la palette, les pinceaux. Un peu de rangement avant de sortir. C'est dehors que j'attends Clémentine. Elle rentre de cours. La voiture descend lentement le chemin pavé. Le portail reste ouvert car Estelle nous rejoint d'ici une heure. Clémentine me saute au cou. << Génial ! >> s'écrie t-elle. C'est moi qui range l'auto pendant qu'elle fait pipi à côté du garage. Se lave les mains à l'évier du mur.

Tous les deux, assis sur un des bancs en pierre, nous nous racontons nos journées. Clémentine parle du menu du restaurant universitaire. << C'est franchement de plus en plus dégueulasse. Je crois qu'avec Estelle, on va se préparer nos bouffes dans des tupperwares ! >> lance t-elle avant de rajouter : << Sans doute la guerre en Ukraine et maintenant l'autre là en bas ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine relève sa jupe jusqu'à la culotte pour offrir ses cuisses à la douce chaleur de cette fin d'après-midi. Tout en allumant sa tablette qu'elle pose entre nous deux. << On termine le second chapitre de nos thèses. Il faudra avoir remanier les six chapitres avant les vacances de fin d'année ! >> précise t-elle en faisant défiler les pages virtuelles. J'écoute, je regarde avec intérêt.

Je reste la tête appuyée contre le mur, les yeux fermés. Clémentine me fait la lecture. Quand elle me demande mon avis, je ne sais quoi répondre. Je trouvais l'ancienne version parfaite. Je ne comprends pas très bien pourquoi Alban, le maître de thèse, tient absolument à ré écrire des passages entiers. << Il faut bien qu'il justifie de sa présence et de son salaire ! >> répond Clémentine à mes interrogations. Nous en rions de bon cœur. Voilà la voiture d'entreprise qui descend lentement. Estelle vient garer son Kangoo devant la porte du garage. Elle jaillit de son auto comme un diable de sa boîte. Tellement heureuse d'être de retour. Elle s'assoit à califourchon sur mes cuisses, ses genoux contre le mur. Ses bras autour de mon cou à mitrailler mon visage de bises. C'est émouvant.

Clémentine range ses affaires. Il est un peu plus de dix huit heures trente. La fraîcheur a remplacé la douceur. Nous rentrons à toute vitesse. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Elle paraît décidée à bien savourer chaque seconde qui la sépare de cette échéance. En me sortant la bite dès que nous sommes dans le hall d'entrée. << Mon "doudou" ! >> s'exclame t-elle en s'accroupissant pour humer les odeurs de ma journée d'homme. << Ça sent un peu comme dans les écuries chez Juliette ! >> dit elle en se redressant. Nous rions de cette comparaison chevaline. Morts de faim nous nous précipitons dans la cuisine. Quand les filles découvrent mes préparations je suis noyé sous un flot de bises. Estelle agite ma queue toute molle en s'écriant : << C'est divin. Génial ! >>

Pendant que Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée, Estelle travaille la pâte à pleines mains. Elles reviennent sur leur journée de cours. Je réchauffe la garniture. Je sors les trois grandes plaques du four. Je les saupoudre de farine. Estelle y étend soigneusement la pâte. J'étale la garniture. Clémentine la ramène aux extrêmes bords avec la spatule en bois. Estelle recouvre de gruyère. Quelques cerneaux de noix sur chacune des trois préparations. Dans le four préchauffé à 350°. Nous mettons les assiettes les couverts. Estelle ne cesse de palper ma bosse. De glisser sa main dans ma braguette ouverte. << Je me sens hyper salope ce soir. Je ne sais pas pourquoi ! >> lance t-elle à plusieurs reprises. << Toi aussi ! >> s'exclame Clémentine. Rires.

Nous faisons un tour dans la véranda. Le crépuscule est un autre enchantement de ces magnifiques journées. Toutes les nuances des jaunes jusqu'aux rouges les plus profonds colorent le ciel. C'est de toute beauté. Ma bite dans la main d'Estelle qui tout en dissertant sur l'esthétique des cieux tord ma queue dans tous les sens. Quand elle la lâche c'est pour la donner à Clémentine. Elles se la refilent en vantant la qualité de ma splendide érection. Je bande dur. La sonnerie du four. Enfin. Comme des déments, en riant, nous nous précipitons dans la cuisine. Enfilant les maniques, accroupie devant la porte ouverte, Estelle en sort les deux pizzas du haut. Celle du fond sera notre repas de demain midi. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les vacances universitaires à venir.

<< Dans même plus deux semaines ! >> lance Clémentine. Ces vacances sont particulières. Officiellement elles ne durent qu'une seule semaine. La seconde étant consacrée au travail personnel à fournir par les aspirants au Doctorat. << Mais on fait comme si c'était pareil. Je viens bosser ici ! >> rajoute Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font le programme de cette semaine de travail à domicile. Les assiettes, les plats, les couverts dans le lave vaisselle. Les filles m'entraînent par les bras dans le salon. Toutes les deux en jupes, retirent leurs culottes pour s'installer sur le bureau. Pauvre vieux bureau victorien et centenaire. Tu es bien robuste pour subir les assauts de mes deux guerrières amazones.

Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle qui se masturbe. Je fais de même à Clémentine qui tient son clitoris géant entre son pouce et son index. C'est elle que je pénètre la première ce soir. Dans l'obscurité d'une nuit sans lune. Je passe à Estelle. Je les fourre en passant de l'une à l'autre. Quand je cesse c'est pour aller récupérer deux coussins sur le canapé, allumer une des deux grosses bougies du chandelier. Je récupère la cuvette en plastique bleu sous le guéridon. Les coussins sous leurs têtes, mes deux anges peuvent se laisser aller dans le vertige des plaisirs d'une baise de très haute qualité. L'orgasme d'Estelle est double. La fait hurler. L'orgasme de Clémentine la fait pisser. J'oriente la cuvette alors qu'Estelle saute du bureau pour chopper ma bite dure comme le bois.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont encore se régaler d'un bon nem juteux sous la couette avant de s'endormir blotties contre leur bienfaiteur...

Julien (possesseur du nem)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
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Fleur - 3 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2399 -



Les deux "basketteuses" et leurs entraîneur

Il est un peu plus de sept heures trente, hier matin, mercredi. Je me réveille un peu paniqué. J'oublie que le mercredi Clémentine est à l'université depuis la maison. Elle bouge. Remue les paupières. Je la regarde sans bouger. Elle aussi sort doucement du sommeil. Je glisse ma main dans sa culotte. Immédiatement elle saisit mon poignet en gémissant. << Mmhh ! J'aime ! >> murmure t-elle en s'étirant. L'impérieux besoin de pisser ne nous permet pas de développer. En riant, nous nous précipitons aux toilettes. Nous nous habillons de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra rouge. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine s'occupe du café. Je pèle les kiwis, je presse les oranges. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un bruit sec.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'agréable soirée avec Estelle. << Orgasmes sur bureau ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en envisageant différentes options de menus pour la visite de Juliette. Elle arrivera pour 19 h30. Je propose une tourte aux poireaux. << Miam ! >> s'écrie Clémentine en venant terminer sa tartine de confiture sur mes genoux. Nous pouvons traîner à table. Nos horaires sont extensibles. La vaisselle. Quelques exercices d'échauffement dans le hall d'entrée. Avant de sortir dans l'agréable fraîcheur. Il est huit heures et le thermomètre extérieur indique 18°. Le ciel toujours aussi bleu en écrin d'un soleil déjà majestueux. C'est parti. Une heure de running le long de la rivière. Notre parcours habituel.

Il est neuf heures. Une bonne douche. Qu'il est agréable de pouvoir prendre tout son temps. Clémentine se vêt d'une robe d'été. Je suis en short et chemisette. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine assise à sa table devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. J'écoute Clémentine lire à voix haute la partie sur laquelle elle va travailler ce matin. Je commence la peinture du quatrième paysage de commande. C'est un véritable petit bonheur que d'êtres tous les deux. Parfois l'un se lève pour aller voir ce que fait l'autre. Déposer une bise dans sa nuque. Les heures défilent dans cette émulation positive et surtout productive. Il commence à faire drôlement faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine.

Pendant que la pizza restante réchauffe au four, j'aide Clémentine à préparer l'assaisonnement de la salade de carottes. J'étale les deux tiers de la pâte feuilletée dans le grand plat à tarte aux bords hauts. Je lave et je coupe le poireau. La sonnerie du four. La pizza réchauffée est à nos goûts. Encore meilleure. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la frustration de ne pouvoir partir à bicyclettes cet après-midi. C'est encore une véritable journée de juillet à la presque mi octobre. Avec une température de 28°. Nous ne traînons pas. Clémentine égoutte le poireau. Je fais une belle Béchamel. J'y rajoute le poireau. Le gruyère Suisse que vient de râper Clémentine en imitant l'accent Corse de Juliette. Ce qui nous fait rire aux éclats. Je verse le tout sur la pâte feuilletée.

Clémentine recouvre du dernier tiers de pâte. Elle jointe soigneusement les bords pendant que je concocte le mélange œufs, lait de soja qu'elle badigeonne sur le dessus. Au four pour une longue et lente cuisson à 160°. Il faut que ça mijote. La vaisselle. Notre repas du soir est prêt. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés d'aller profiter un peu du soleil, nous redescendons à toute vitesse. C'est carrément sous le cagnard que nous allons jusqu'à la rivière. Le contraste entre les couleurs d'automne et l'ambiance d'été est saisissant. C'est une véritable curiosité à laquelle il faut assister chaque jour. << Le changement risque d'être d'autant plus brutal ! >> lance Clémentine qui me tient la main. Climat extraordinaire.

<< Montre leurs ta bite ! >> fait Clémentine en s'accroupissant pour tirer mon Zob de la braguette de mon short. Passant derrière moi, elle agite ma queue en direction des canards, des colverts et des poules d'eau plutôt indifférents à cette exhibition surréaliste. Nous en rions de bon cœur. << Tu seras notre satyre adoré ce soir, hein ? >> rajoute t-elle en me masturbant doucement, serrée contre mon dos, se frottant contre mes fesses. Je promets de faire du mieux que je peux. Nous remontons lentement le chemin. Je préfère remballer. Notre voisin n'a pas d'heures précises quand il descend lui aussi à la rivière. Il est 14 h quand nous sommes installés devant nos postes de travail. Les heures défilent hors de ma perception. Clémentine par contre les compte avec attention.

Il est dix sept heures. Les feuilles qu'elle vient de tirer de l'imprimante dans la main, elle tourne autour de moi pour me faire la lecture. Tout en nettoyant la palette, les pinceaux, j'écoute. C'est remarquable. Même si la première version de sa thèse paraissait parfaite, je trouve l'ensemble encore mieux. Nous quittons l'atelier, trop impatients de retourner dehors. Il fait encore chaud. Nous ramassons cette incroyable quantité de noix qui jonchent le sol parmi les feuilles mortes toutes desséchées et racornies. Clémentine évoque ses cours. Ces mercredis où nous sommes ensemble. Ce qui cré une agréable coupure dans sa semaine universitaire. C'est appréciable. Nous remplissons deux grandes corbeilles en osier. Il est dix huit heures trente. La fraîcheur humide qui arrive.

À présent, à l'ombre, c'est bien moins agréable. Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. C'est comme un jeu de disposer les noix sur la grande table du cellier, sur les étagères en bois. Ainsi elles pourront sécher lentement, à l'abri de l'humidité et nous en aurons en quantité jusqu'au printemps prochain. Clémentine glisse sa main dans ma braguette béante. M'en extrait le chibre. << J'ai envie de te voir à l'œuvre. Je suis impatiente ! >> dit elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Mon érection est alors quasi instantanée. << Viens ! >> rajoute t-elle en saisissant ma main. Nous remontons par l'escalier intérieur. Nous montons à l'étage pour nous changer. Clémentine passe une de ses jupes de velours carmin. Un de ses chemisiers crème.

Sur sa demande je porte un pantalon beige à pinces et à plis. Une chemise claire. Nous prenons des poses devant le grand miroir de l'armoire. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> murmure Clémentine qui s'accroupit. Sa tête contre ma hanche, ses bras autour de ma cuisse, ses cuisses largement écartées. La vision de sa culotte blanche, fluorescente, me ravit. << Et si vous me mettiez la laisse et le collier ce soir mon doux "Maître" ? >> lâche t-elle dans un souffle. Je réponds : << Je trouve votre suggestion exquise ma douce "Soumise" ! >>. Clémentine, tout en restant accroupie se faufile entre le miroir et moi. Elle colle son visage contre la bosse qui déforme l'intérieur de ma braguette. Je l'ouvre. Clémentine frotte ses joues, ses lèvres contre mon Zob.

Je l'aide à se redresser en humant les odeurs de bite. << Tu aimes quand je sens la queue ? >> me demande t-elle, espiègle et mutine. Je réponds : << J'adore et pas que la mienne ! >> Nous rions alors que je passe ma main sous sa jupe. Cambrée sur ses genoux fléchis Clémentine se masturbe en tenant mon poignet des deux mains. << Put-hein, c'est bon ça ! >> souffle t-elle. Nous redescendons en riant. Je suis prié de garder la bite à l'air toute la soirée. Nous mettons les assiettes et les couverts. La tourte aux poireaux réchauffe dans le four. L'assaisonnement d'une salade de concombre et d'avocat. Trois coups de sonnette que nous entendons à peine. Clémentine m'entraîne par la main. Nous nous précipitons pour accueillir Juliette. Ce soir encore dans sa tenue d'écuyère.

Cette bourgeoise hyper sexy fête ce 15 novembre ses 50 ans. Pourtant ce soir encore elle en paraît bien dix de moins. Juliette exerce sur ma libido de délicieux tourments. Elle est également la seule femme capable de rendre jalouse Clémentine qui reste à mon bras. Nous nous faisons la bise. Je débarrasse Juliette du Tupperware qui contient le dessert. Une tarte aux poires confectionnée pour la circonstance. Comme à chaque fois, Juliette ignore totalement ce qui pend de ma braguette. Cette attitude typiquement féminine m'excite au plus haut point. Clémentine me fait un clin d'œil. Trop heureuse de me voir à l'œuvre. Nous revenons dans la cuisine avant d'aller dans la véranda. La nuit est noire. On ne distingue que les silhouettes des arbres, de la maison d'amis. Du mystère.

Juliette nous raconte sa journée chargée. Les quatre vingt sept places disponibles sont toutes réservées. Il y a déjà une quarante de chevaux. Ils resteront en pension jusqu'au printemps prochain. << La soirée Gloryhole ? Ça marche toujours pour le vendredi 3 novembre ? >> lance t-elle soudain en s'adressant plus directement à Clémentine qui répond : << C'est absolument parfait ! Estelle sera de la partie ! >>. Juliette regarde enfin mon sexe. Je bande mou. Elle rajoute << Il y a des messieurs qui se réjouissent de revoir les deux "basketteuses" ! >>. Nous restons interrogatifs. << Les deux basketteuses ? >> demande Clémentine. Juliette répond : << Oui, c'est comme ça que vous appelle les "habitués" du trou dans le mur ! >>. Nous rigolons comme des bossus.

Estelle et Clémentine, avec leurs mètres quatre vingt deux ont de quoi impressionner. Lorsqu'elles portent leurs bottines à talons, ce sont en quelques sortes des "géantes". D'où cette appellation saugrenue de "basketteuses". La sonnerie du four met fin à cette conversation surréaliste. Morts de faim nous nous précipitons dans la cuisine. Juliette enfile les maniques. Accroupie devant la porte du four elle reste immobile. Je sais qu'elle m'observe dans la vitre fumée. Rien ne m'excite davantage que la vision d'une femme, de dos, accroupie. Surtout que ce soir Juliette porte ses longs cheveux noirs en parfaite liberté jusqu'au haut de ses reins. Je me masturbe. Clémentine me fait un clin d'œil, m'adresse un sourire complice en mimant une rapide masturbation masculine. Soudain silence.

Juliette tire la tourte dorée et fumante du four. En la posant sur la table elle me lance ce regard sévère qui m'impressionne. Nos jeux commencent. Nous mangeons de bon appétit en écoutant les dernières anecdotes du haras. Les visites du vétérinaire. L'employé black qui vient faire l'entretien deux fois par semaine. James le palefrenier. Évelyne la palefrenière. J'apprends que mon surnom parmi les "initiés" de nos soirées folles au haras est "l'entraîneur". << Et oui, les deux "basketteuses" et leur "entraîneur". Il fallait vous y attendre ! >> lance Juliette. Je me lève pour agiter ma bite toute molle dans sa direction. Je demande : << Vous avez une préférence ? >>. Juliette répond : << L'entraîneur. Mais vous connaissez mon penchant pour les "sportives" ! >>

C'est dans cette ambiance que nous passons cette nouvelle soirée avec notre meilleure amie. Juliette promets à Clémentine une "belle surprise" pour le prochain "trou dans le mur". Elle est un peu chagrine à l'idée de la présence d'Estelle. Même si cette dernière ne participe pas, elle s'occupe exclusivement de moi. Ce qui frustre Juliette. Elle nous en fait part. Entre nous, depuis ces dernières années, c'est franco. On se dit les choses. Sans hypocrisie. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Elle aussi commence ses journées par un entraînement sportif. C'est au salon que nous dégustons la tarte aux poires. Juliette, vautrée dans le fauteuil qui nous fait face, me regarde me masturber tout en bavardant. Tout en se touchant. La tache plus sombre sur le beige de son pantalon.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines que le comportement de leur "entraîneur" excite au plus haut point. Que les réactions de l'invitée amuse...

Julien (l'entraîneur)




NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 4 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2400 -



Estelle et le prétexte des "contrôles" du jeudi soir

Le gazouillis des oiseaux, la source qui s'écoule, les bruits difficilement identifiables. Tout cela résonne étrangement dans une forêt mystérieuse. Cette application est remarquable de discrétions naturelles. Il est presque six heures lorsqu'elle nous réveille ainsi. En gémissant, Clémentine vient se blottir contre moi. Quelques papouilles, quelques bisous, il faut se lever. Pressés par l'impérieux besoin pisseux, nous nous précipitons aux toilettes. Puis dans la salle de bain pour nous habiller de nos ensembles de gym. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine, en imitant l'accent Corse de Juliette, fait le café. Je suis plié de rire en pressant les oranges, en pelant les kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Juliette. << Tu as vu l'intérêt qu'elle portait à ta bite ? >> me demande Clémentine. Nous rions de bon cœur quand elle rajoute : << Mais cette bite est à moi ! >>. Nous mangeons de bon appétit en survolant les différentes options du repas de ce soir. << Des bouchées à la reine ! J'adore, Estelle aussi. Je suis certaine qu'elle va encore m'en parler à midi ! >>. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous entraîner. L'aérobic, échauffement parfait. Jogging sur tapis roulants. Exercices au sol, abdos. Charges additionnelles. Retour au calme d'un stretching un peu bâclé par manque de temps. La douche. Je redescends pour aller sortir l'auto du garage. Presque 7 h45. Un ciel parsemé de traînées nuageuses qui s'étirent.

La température toujours aussi étonnement douce avec un thermomètre qui affiche 18°. Clémentine me rejoint dans une jupe beige, un chemisier perle sous sa veste clair. Des mocassins grèges à légers talons. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. J'ai pris l'habitude de flâner un peu, de parcourir la propriété autour de la maison et de sa dépendance. J'adore ces odeurs d'humus, de champignons diffusées par la rosée. Je rentre pour faire la vaisselle, notre lit, avant de passer dans l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je me plonge avec délectation dans ce quatrième paysage de commande. Il verra très certainement sa finalisation demain avant midi. Je peins dans une sorte d'enthousiasme délirant.

Quand je ressens les premiers affres de la faim, je sais qu'il n'est pas loin de midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Pendant que je concocte une Béchamel. Cette fois j'y rajoute des dés de Roquefort. Je poêle un pavé de saumon préalablement émincé. Avec des champignons. J'égoutte les coquillettes. Dans la Béchamel je rajoute le saumon, les champignons et une partie du gruyère Alpestre que j'ai râpé. Je remplis les cinq bouchées à la reine que je dispose dans le grand plat carré en terre cuite. Je les cale en y rajoutant les coquillettes. Je recouvre du reste du gruyère, de chapelure et de cerneaux de noix. Au four pour laisser mijoter à 160°. J'ai gardé des coquillettes, de la sauce. Ce sera mon repas de midi. Avec une délicieuse salade d'endives.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff consacre une grande partie de son émission aux "évènements" du moyen-orient. C'est inquiétant de vois s'embraser cette partie du monde pour des idées et des concepts irrationnels. Car tout cela n'est que conséquences de fanatismes religieux. En plein vingt et unième siècle, alors qu'il est question d'explorations spatiales, de progrès scientifiques dans différents domaines, de réchauffement climatique, il existe encore des individus à s'entretuer pour des divinité aussi abstraites que ridicules. Une divinité qui demanderait de tuer en son nom mériterait plutôt la dénomination de démon. Ce qui doit probablement être le cas. J'écoute en savourant mes coquillettes à la Béchamel. Ce monde, Satan l'habite.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé de profiter de cette exceptionnelle météo, je dévale les escaliers. Je suis en short, T-shirt. La température extérieure est de 28°. Le soleil est le roi d'un ciel principalement bleu. De longues traînées de nuages rajoutent un aspect spectaculaire. Je vais jusqu'à la rivière. Les eaux sont à leurs plus bas niveau. Je flâne sur le sentier. Qu'il est bon de vivre en ce lieu enchanteur. Je me dis ça très souvent depuis que j'ai hérité de ce domaine il y a 25 ans. Il est 14 h30 quand je suis installé devant ma toile. Je peins dans le même enthousiasme. L'après-midi passe encore plus vite que la matinée. Du bruit. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite en s'écriant : << Viens on sort ! >>. Elle me couvre de bisous.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine emmène son cartable. Nous sortons pour nous assoir sur un des deux bancs en pierre. Clémentine a encore du travail d'écriture. Je reste avec la tête appuyée contre le mur, les yeux fermés. Elle lit à voix haute. C'est une musique. Je n'arrive pas vraiment à me concentrer sur le sens des mots. << Tu n'écoutes pas, vilain ! >> dit elle alors en déposant une bise sur ma joue. Je fais un effort de concentration. Parfois je glisse ma main entre ses cuisses pour caresser sa culotte. Il est 18 h30. Clémentine éteint sa tablette, range ses fiches. << Pour demain matin tout est OK ! >> précise t-elle en se levant. Elle s'accroupit entre mes jambes largement écartées. Insidieusement les fraîcheurs du soir, à l'ombre, remplacent les chaleurs.

La bite à l'air, je regarde Clémentine en humer les odeurs. << C'est comme des phéromones, ça excite les sens ! >> dit elle en passant sa langue sur la peau fripée du prépuce. Je réponds : << Quand nous serons chez Juliette, dans les écuries, tu auras un tas de phéromones différentes. Les effluves sortant d'un trou dans le mur ! >>. Clémentine se met à rire en me décalottant légèrement. L'odeur monte jusqu'à mes narines. Même dehors. C'est dire ! << Mmmhhh, j'aime quand ça sent fort ! >> murmure t-elle en essayant d'introduire le bout de sa langue dans le méat. Avec les doigts elle en écarte l'ouverture. C'est bien trop étroit. Je commence à bander. Elle insiste juste à cet endroit en exerçant une pression régulière à la base de mon sexe. Je la regarde. Elle me fixe.

Clémentine suçote le bout du gland. Je passe l'extrémité de mes index dans le creux de ses joues. Quand elle cesse, un long filament laiteux lie ses lèvres à mon méat. La fraîcheur devient désagréable. Surtout sur le bout de la bite mouillée. La voiture d'Estelle descend lentement le chemin pavé. Elle se gare devant le garage. Elle se met à courir sur les dix mètres qui nous séparent. Clémentine se redresse. << Wouah ! Moi aussi ! >> lance Estelle en découvrant la raideur de mon chibre que tient Clémentine. Elle prend sa place. Elle gobe ma queue jusqu'à sa moitié. Immédiatement l'indicible caresse me fait vaciller. Elle cesse pour se redresser. Je dis : << Venez, on rentre ! >>. Mes deux anges m'attrapent par les bras. Nous rentrons rapidement pour aller dans la cuisine. Au chaud.

Quand elles découvrent ce qu'il y a dans le four que j'allume, j'ai droit à une avalanche de bises. Toutes les deux ouvrent la bouche pour souffler de l'air chaud sur mon visage. Je m'écrie : << Vous sentez la queue toutes les deux ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Estelle m'attrape la bite pour répondre : << Oui mais la tienne ! >>. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une salade de carottes. Je mets les assiettes, les couverts. Estelle nous raconte son mercredi soir. Le rituel de la baise avec son parrain. Jean-Marc le baiseur fou qui la tringle depuis son adolescence. Avec une régularité qui l'honore. Nous rions de bon cœur à ces évocations. Lorsqu'elles n'avaient que seize ans, Clémentine et Estelle s'amusaient avec lui. Clémentine se contentait de mâter. De se masturber.

Ce n'est qu'il y a trois ans qu'elle s'est faite sauter par "parrain". J'étais planqué, comme d'habitude, pour assister à cette grande première. C'est vrai que cet homme a de l'endurance. Un vrai "taureau". Doté d'un chibre de bon calibre et qu'il manipule en virtuose. Je passe derrière Estelle. Un bras autour de sa taille, mon autre main sous sa jupe, entre ses cuisses. << J'ai le minou tout congestionné. Tu me contrôles ce soir ? >> lance t-elle. Ni Clémentine, ni moi ne croyons un seul instant à cette "congestion de minou". C'est juste un prétexte pour se faire lécher, sucer. Un contraste avec la pénétration. << C'est génial. Un soir une option, le soir suivant l'autre ! >> s'exclame t-elle en saisissant mon poignet pour que surtout je n'arrête pas. Clémentine vient m'embrasser.

La sonnerie du four. Estelle enfile les maniques pour s'accroupir devant la porte vitrée. Je m'accroupis derrière elle pour continuer à la toucher. La position est idéale pour y enfoncer un doigt. << Mais comme tu es salaud ce soir. J'adore ! >> s'écrie t-elle. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la date fatidique du vendredi 3 novembre. Cette soirée Gloryhole tant attendue par Clémentine. Estelle prévient une fois encore que sa participation sera très limitée : << Je ne m'occupe que de Julien. Comme ça la vieille pouffe devra se contenter des vicelards de l'autre côté du mur ! >>. Nous en rions de bon cœur. La "vieille pouffe", Juliette, sait parfaitement s'occuper durant les "festivités". Nous ne traînons pas. Les assiettes, les couverts dans le lave vaisselle. Il est vingt heures.

Les filles m'entraînent au salon. Étant toutes les deux en jupes, il leurs suffit de retirer leurs culottes qu'elle font tournoyer en riant. Vautrées dans le canapé, elles m'offrent leurs chattes. Je reste à distance. Je veux d'abord m'en mettre plein la vue. Nous nous masturbons tous les trois en nous regardant. Les petits spasmes qui agitent le corps de Clémentine me ravissent. Elles posent les coussins au sol. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Elle est impatiente de se faire "contrôler". C'est donc par Clémentine que je commence. J'aime deviner Estelle de plus en plus impatiente. Aussi, je fais durer sous les gémissements de Clémentine qui se contorsionne pour m'offrir le meilleur angle. Elle ne s'y attendait pas. Je me redresse pour saisir sa natte. J'enfonce ma bite.

Estelle lâche un cri. Sans cesser de se masturber, comme affolée, elle observe cette pipe surprise. Je me retire pour me placer devant elle. Je la saisis par sa natte. << Non ! >> s'écrie t-elle en essayant de se soustraire à mon étreinte. Je la tiens fermement. Par la nuque et sous le menton. Elle garde obstinément ses lèvres serrées. Elle m'empêche de boucher son nez car elle sait ce qui l'attend si elle veut pouvoir respirer. Ce n'est qu'un jeu, certes, mais le jeudi soir Estelle aime se faire brouter le minou. Clémentine me confie à quel point c'est important car en mangeant au restaurant universitaire Estelle en parle comme d'une nécessité. Je n'insiste pas. Je me mets à genoux, mon visage entre ses cuisses. Toutes les deux se masturbent en poussant de petits râles de plaisir.

Je passe de l'une à l'autre. L'orgasme d'Estelle la fait hurler en se tournant sur le côté, mains entre ses cuisses. J'anticipe l'orgasme pisseux de Clémentine en préparant la cuvette. Dès qu'elle me repousse je la place adroitement. En criant elle se lâche. C'est toujours tellement puissant qu'il y en a toujours un peu qui gicle à côté. Estelle, accroupie derrière moi, ma bite dans la main, observe ce spectacle avec le même ravissement étonné que moi. Impossible de s'y habituer. Je me redresse. Estelle ne me lâche pas la queue. Pendant que Clémentine retrouve ses esprits, je saisis Estelle par la nuque. J'appuie. << Salaud ! >> s'écrie t-elle une fois encore lorsque je veux lui fourrer mon chibre dans la bouche. Elle lutte. Je n'insiste pas vraiment. Ce sera pour Clémentine. Au lit.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment sucer de la queue juteuse sous la couette. En écoutant leur bienfaiteur évoquer le "trou dans le mur" et les festivités à venir...

Julien (bienfaiteur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
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Fleur - 5 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2401 -



Le vendredi Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, il est presque huit heures. L'application "forêt" nous tire du sommeil. Agréable réveil que celui des bruits naturels résonnant étrangement dans une forêt. Clémentine se tourne pour se blottir contre moi. Nous nous étirons en gémissant. Quand elle termine à midi, Clémentine est très rapidement déconneuse. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Nous nous vêtons de nos habits sports dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Faisant le café, imitant l'accent Corse de Juliette, Clémentine me raconte ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis plié de rire. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée "contrôle" du jeudi avec Estelle. Nous rions de certaines séquences de folies.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant les activités de l'après-midi. Six heures vingt cinq. Il faut remonter. Notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles et stretching. La douche. Je redescends pour préparer la voiture. Presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans la douceur de cet étrange mois d'octobre. Une de ses jupes évasées au-dessus du genoux. Un chemisier sous sa veste légère. Des mocassins à légers talons. J'ajuste ses lunettes d'étudiante. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Ma petite promenade matinale. Le ciel est déjà entièrement bleu. Le soleil pointe sur l'horizon. Nul doute que cette journée va encore être magnifique. Il y a 19°. Je rentre. Je fais notre vaisselle et notre lit.

Dans l'atelier, confortablement installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je plonge dans la peinture de mon paysage de commande avec délectation. Je peins dans cette légère euphorie laissée par Clémentine. Il est onze heures quinze quand je dépose la dernière touche sur cette œuvre achevée. Il est important de la laisser sécher sous un linge protecteur sur un autre support. Je dépose la prochaine réalisation encore à l'état préparatoire sur le chevalet. Je m'y attellerais dès lundi. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je passe l'aspirateur, fais un peu de rangement. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Pendant que réchauffent les bouchées à la reine et les coquillettes, je concocte l'assaisonnement de la salade de tomates. Je mets les assiettes et les couverts.

C'est la table de la véranda que je prépare. De là, je vois arriver l'auto qui descend lentement le chemin pavé. Je vais sur le perron. Clémentine m'aperçoit. Tout en restant sur les dalles de grès, elle se précipite pour entrer par là. Me sauter au cou. Je la soulève. Pendant que je l'emmène ainsi aux toilettes, elle mitraille mon visage de bises. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle propose un après-midi vélo. Le thermomètre extérieur indique 28°. Il n'y a que peu de vent. Le ciel est d'un bleu d'azur et sans le moindre nuage. C'est une excellente suggestion. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Nous revêtir de nos tenues vélo.

Clémentine porte sa jupette de lycra noir, son T-shirt de lycra orange. Je suis en short de lycra noir, T-shirt de lycra orange. Pressés de filer, nous redescendons à toute vitesse. Dans le petit sac à dos que je porte, nos leggings, nos K-ways, les barres de céréales. Je vérifie le gonflage des pneus. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière, l'étroite passerelle en bois, cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. C'est contre un léger vent d'Ouest que nous pouvons pédaler tout en bavardant. Nous croisons nombre de cyclistes. C'est encore une véritable journée de juillet que ce vendredi 13 octobre. Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'au port de plaisance. Notre destination régulière. Nous adorons retrouver cet endroit. Il y a du monde. Les joueurs de boules, des promeneurs.

Nous fermons les vélos à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. Clémentine retire sa culotte pour la glisser dans la pochette avant du sac. Autant de rituels qui nous amusent et auxquels nous sacrifions avec plaisir. Une bonne crème glacée nous attend dans la supérette. Clémentine me tient la main. Nous passons tout près des boulistes. Sous l'ombre du feuillage roux des grands platanes. C'est très agréable d'y profiter d'un peu de fraîcheur car le soleil cogne. Le joueur de pétanque voyeur est là. Il nous regarde passer sans oser chercher à croiser nos regards. Nous traversons la route pour aller dans la supérette. Peu de clients. La gérante aime bien discuter un peu. Elle va enfin pouvoir partir en vacances avec son mari. Cinq semaines au Portugal, dans leur maison.

Il y a notre marque préférée. Ben & Jerry's. Nos parfums préférés. Vanille et noix de pécan. Assis sur un des bancs, sous les platanes, nous dégustons nos délices. À une cinquantaine de mètres se dispute un match de boules. Ils sont bien une vingtaine à pointer, à tirer, à taquiner le cochonnet. Il y a un nombre invraisemblable de boules au sol. Parmi les feuilles mortes que certains repoussent inlassablement du pied. Quand un quidam passe, poussant sa bicyclette, Clémentine aime à le gratifier d'une petite vue sympathique sur son intimité. La jupette noire et luisante ne lui va qu'à mi-cuisses. Sans culotte il lui est facile de s'offrir les frissons d'une petite exhibe de qualité. Ce qu'elle ne manque pas de faire. "Allumée" par ce petit plaisir, elle me propose d'en faire plus.

Nous jetons nos bacs vides dans une des poubelles. Il y a des employés communaux qui balaient les quais. Les bennes des deux minis camions sont pleines à craquer. L'un d'entre eux les bâche pour éviter qu'elles ne s'envolent une fois sur la route. L'un des employés reconnaît la belle exhibitionniste du week-end dernier. Comme elle est accompagnée, il reste discret. Clémentine lui adresse un magnifique sourire. Ma présence reste dissuasive et doit l'intimider. Nous descendons vers les bâtiments des sanitaires. Ceux réservés aux plaisanciers sont fermés. Les toilettes publiques sont ouvertes. Un employé habillé tout de jaune est entrain de passer un jet d'eau. Inutile de vouloir nous cacher là pour attendre un éventuel visiteur. Nous poussons jusqu'au bord du canal.

Il y a un pêcheur. Nous passons à une vingtaine de mètres derrière lui. Il est vautré dans un fauteuil pliable. Quatre cannes à pêches devant lui, fixées sur des supports. Nous marchons encore une centaine de mètres. << Ce type serait une "victime" parfaite, non ? >> me fait Clémentine en passant une main entre ses cuisses. Nous passons de l'autre coté des fourrés. Il y a là un sentier à l'abri des regards. Je sors ma bite. Nous nous masturbons tous les deux en mettant au point la stratégie. << Tu vois, si je reviens sur le chemin, que je passe entre les bosquets là-bas, le mec peut mâter. Toi, tu reste planqué sur le sentier. Au moindre problème tu peux réagir ! >> suggère Clémentine. Elle est passée maitre de ce genre de plans virtuoses. J'évalue la situation. C'est jouable.

Clémentine s'accroupit devant moi en ouvrant la bouche. Sans cesser de se toucher. Je m'avance. Je frotte mon sexe sur son visage avant de le lui enfoncer dans la bouche. La saisissant par ses oreilles, j'imprime un mouvement de va et vient. Alors qu'elle suce en gémissant. Elle tombe à genoux dans l'herbe en se masturbant, ma queue dans la bouche. Je regarde partout autour de nous. Personne. J'aide Clémentine à se relever. Bien "allumée" par cet intermède buccal, Clémentine se réajuste. Elle tire ses larges lunettes de soleil du petit sac que je porte. << À tout de suite ! >> dit elle en déposant un bisou sur mes lèvres. Avec l'odeur de mon Zob. Elle sort des fourrés pour marcher lentement, les bras croisés, en direction du pêcheur concentré sur un flotteur jaune.

Je marche caché derrière les fourrés. Sur le sentier parallèle au chemin. Une cinquantaine de mètres doit nous séparer. Clémentine n'est plus qu'à une vingtaine de mètres du type. Il tourne la tête pour la voir s'accroupir entre deux bosquets sur sa gauche. Je sors la minuscule paire de jumelles qui ne nous quitte jamais en "expédition". Notre pêcheur peut-il voir la sublime jeune fille dans les bosquets ? Sans doute intrigué, sa curiosité aiguisé, il se lève. Reste tout près du canal pour tenter de voir. Pas l'ombre d'un doute, il voit. Clémentine, accroupie, les cuisses largement écartées, légèrement tournée vers le voyeur se concentre. Faisant mine de ne se rendre compte de rien. J'ai assisté à cette scène d'innombrables fois. Mais c'est encore une grande première. Je me branle.

Il y a un cycliste qui s'est arrêté sur la piste cyclable, de l'autre côté du canal. Il fait semblant de bricoler le dérailleur de sa bicyclette. Lui aussi à remarqué la fille. Clémentine, trop heureuse de s'offrir une "doublette", tente probablement de pisser. Je devine l'excitation qui la gagne, seconde après seconde. Le pêcheur vient de remarquer qu'il n'est pas seul sur le "coup". Il y a le cycliste qui mâte. Clémentine se cambre soudain. Prenant appui contre le tronc d'un acacias à l'arrière, elle lance un jet d'une incroyable puissance. Même si je sais de quoi elle est capable, je reste impressionné. Le canal doit faire une vingtaine de mètres en largeur. Et pourtant les premiers jets d'une puissance inouïe viennent se briser dans l'eau presque à la moitié. Le cycliste s'est redressé. Debout.

Il assiste à ce prodige. Clémentine pisse par jets courts et virulents. Au bout du quatrième ils ne tombent plus aussi loin. Pour se rapprocher du bord et finir dans l'herbe sous ses fesses. Le pêcheur, dissuadé d'intervenir par la présence du cycliste voyeur, s'est tout de même rapproché. Je reste prêt à intervenir. Rien. Clémentine se redresse pour se torcher longuement. Elle adresse même un amical signe de la main au "coureur du Tour de France". Ce dernier lève le bras pour faire un coucou. Le pêcheur retourne s'assoir. Clémentine se redresse, sautille un peu pour se dégourdir les jambes. Elle traverse le chemin pour me rejoindre. Disparaître dans les fourrés. Je glisse immédiatement ma main entre ses cuisses trempées. << Put-Hein comme c'était bon ! >> murmure t-elle.

Nous ne nous attardons pas car le pêcheur s'est relevé. Il vient par là. Le cycliste est reparti. Nous nous trouvons un coin à l'ombre. Clémentine, couchée sur les K-ways dépliés. Je la pénètre. Nous restons immobiles. Elle me confie ses secrets de fille. Les émotions vécues. Les sensations. Nous baisons comme des fous. Alternant les moments intenses avec ceux plus calmes des confessions. Elle se masturbe toujours en faisant l'amour. Cette fois elle ne peut juguler l'orgasme qui la submerge. Je parviens à éviter l'éjaculation de justesse. Clémentine reprend ses esprits en tenant mon poignet afin que je ne cesse de la doigter. Je propose un restaurant quand nous revenons à nos vélos. Clémentine préfère manger à la maison. Sur le chemin du retour, je promets d'être un vrai pervers.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont "déguster" après le repas du soir...

Julien (maître queue)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
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