Français English
FORUM

Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
- 6 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2744 -



Une journée à surprises

Hier matin, mercredi, il est presque neuf heures quand nous nous réveillons. Clémentine tout contre moi. Nous ouvrons les yeux. Dehors, le ciel gris et sinistre. Depuis le lit impossible de voir s'il pleut. Quelques câlins. Mon érection matinale et naturelle ne dure qu'une ou deux minutes. << Mon jouet ! >> murmure Clémentine en s'en saisissant. Je glisse ma main dans sa culotte en chuchotant : << Le mien ! >>. Des bisous avant de nous lever pour nous précipiter aux toilettes. Il ne pleut pas. << C'est déjà ça ! >> lance Clémentine lorsque nous nous mettons de l'eau fraîche sur les visages. Nous revêtons nos tenues de gym avant de dévaler les escaliers. Quand elle prépare le café, elle me raconte ses rêves. C'est un véritable plaisir en pelant les kiwis, en pressant les oranges.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre après-midi à l'hypermarché. La petite exhibe. En savourant la brioche que nous y avons acheter. Un "chinois" délicieux. Nappé de sucre glace et fourré à la pâte d'amandes. Un excellent complément aux tartines de confiture d'églantines. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les occupations de cette nouvelle journée. Ce manque d'activités constructives commence à peser. Surtout pour Clémentine qui m'avoue sa nostalgie. Sa vie d'étudiante est un manque. Pourquoi ne pas suivre des cours en auditeur libre dans une autre discipline universitaire ? Elle me confie y penser en précisant : << Et toi tu pourrais reprendre tes séances de peinture sans être obligé de meubler mes journées. De m'avoir dans tes pattes ! >>

Je la rassure. Il m'arrive de regretter de ne pas me livrer à ma passion. Mais je ne regrette nullement le temps que nous passons ensemble. Ce n'est pas un sacrifice. C'est un partage. Et surtout juste un épisode de nos vies. Notre projet d'un prochain séjour sur l'île de Malte est une source d'occupations. De satisfactions. << Il y a des gens qui passent leurs vies à voyager. Qu'est-ce qu'ils doivent se faire chier à ne rien faire d'autre ! >> lance Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Je l'écoute me donner ses impressions. Personnellement cette vie un peu oisive me convient bien. Pour un quinquagénaire c'est plutôt sympa et relaxant. Il reste un peu plus de deux semaines avant notre départ. Clémentine va s'atteler à l'organisation dès ce matin. << Pour m'occuper ! >> dit elle.

La vaisselle. Nous nous brossons les dents dans la salle de bain du bas. La température extérieure est de 14°. Un peu de courage en enfilant les K-ways. Nous sortons. Des flexions du buste sur le perron. Des pompes. Ces mouvements d'échauffement nous mettent dans les conditions idéales. C'est le long de la rivière que nous courons. Jusqu'au vieux lavoir. Les murets du bassin vide offrent la possibilité de pratiquer nos exercices abdominaux. Il est dix heures trente quand nous revenons. La douche. Jeans, sweats, baskets. Nous dévalons les escaliers pour passer dans l'atelier. En y pénétrant, j'éprouve très certainement le même ressenti. Ce sentiment dont m'a parlé Clémentine au petit déjeuner. Une sorte de nostalgie quant à mes séances de peinture. Je lui en fais part. Des bisous.

Elle s'installe devant son ordinateur. Je m'assois devant mon chevalet. Devant la toile blanche qui y est posée. << On a des mails ! >> lance Clémentine. J'écoute. Elle me les lit. Estelle qui devait venir passer la soirée avec nous s'excuse une fois encore. Elle viendra demain, jeudi. Un courriel de Juliette qui s'excuse d'annuler notre soirée. Nous devions partager le repas. Un problème au haras. Un cheval blessé. Clémentine y répond. Je fouille un peu dans un de mes grands dossiers qui contiennent tous les dessins préparatoires conservés depuis près de trente ans. Je l'écoute lire ses réponses. Pourquoi ne pas faire un calque d'une nature morte ? Tiens, ce petit vase bleu qui contient un ravissant bouquet à quatre fleurs et aux feuilles généreuses ? Je le tire du dossier pour le scruter.

<< Génial ! Du neuf ! >> s'exclame soudain Clémentine. Je la rejoins. Elle surfe sur le site universitaire. Les doctorants sont invités à composer un mémoire. Relater par l'écrit leurs expériences. Seules les deux années précédentes sont concernées. C'est facultatif. À remettre avant le premier novembre. << Je vais m'y mettre. Écrire un roman un jour est un vieux fantasme ! >> s'écrie Clémentine avec enthousiasme. Je passe mes doigts dans ses cheveux. Comme des peignes. Elle adore. Je l'écoute exposer sa stratégie. La mise en œuvre. << Je m'y mets dès cet après-midi ! >> dit elle. Je trouve cette décision pleine de sagesse. Je vais pouvoir calquer mon vieux dessin sur la toile et en faire la préparation. C'est étrange comme de petites perspectives peuvent changer une humeur. La joie.

Clémentine se lève. S'installe à l'envers sur sa chaise, le dossier entre ses cuisses. Elle passe ses index dans les passants de mon Levis. Sur le cuir de ma ceinture. Elle m'attire à elle. Pose sa joue sur ma braguette. J'aime quand elle y fourre son nez pour humer. Je la saisis par ses oreilles. << Tu me la donnes un peu ! >> murmure t-elle. Je m'écarte pour sortie ma bite. Je bande mou. Clémentine la gobe immédiatement. Tout en m'attirant à elle. C'est une de ces "pipes surprises" dont elle me gratifie parfois. Je la regarde. Ses joues creusées par l'effort de succion. Les yeux fermés. Concentrée sur cette fellation qui ne tarde pas à m'envahir de plaisir. Je fais mon vicelard en tirant sur ses oreilles pour la forcer à gober davantage de Zob. Elle en glousse. Riant de mes pulsions vicelardes.

Cela ne dure pas plus de quelques minutes. Elle cesse en disant : << Si je continue je vais y passer la journée. Mais, s'il te plaît, vient me la mettre quand tu en as envie. Surprend-moi ! >>. Je me penche pour déposer une bise sur son front en murmurant : << Vos désirs seront réalisés. Je vous en ferais la surprise mademoiselle. Et dans les moments où ne vous y attendrez pas du tout ! >>. Clémentine s'exclame : << Génial ! >>. Il va être onze heures trente. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Ce sera pour un gratin de choux fleurs. Celui que nous avons acheté la veille avec les champignons de Paris. Clémentine fait l'assaisonnement du concombre. Je coupe les branches du choux fleurs pour les laisser tremper dans l'eau vinaigrée. Le temps de concocter une Béchamel.

Les champignons à la poêle que je rajoute à la Béchamel avec le gruyère râpé. J'égoutte le choux fleurs ébouillanté quelques minutes. Je le verse dans le plat carré en terre cuite. Clémentine y verse la garniture. Je recouvre le tout de fines tranches de Morbier que j'entrecroise. Des graines de sésame grillées, de la chapelure. Des cerneaux de noix. Au four préchauffé à 300° pour une rapide cuisson. Clémentine m'entraîne dans la véranda. Elle n'est pas chauffée. La fraîcheur n'y est pas trop désagréable. Nous regardons le jardin. L'entreprise paysagiste intervient lundi prochain. Elle aura du travail car les coups de vents successifs ont laissé plein de branches cassées un peu partout. Le tapis de feuilles ne fait que s'épaissir. La sonnerie du four. Morts de faim nous retournons dans la cuisine.

Nous mangeons de bon appétit. Ce gratin de choux fleurs fera également le repas de ce soir. Délicieux. Nous traînons à table. J'écoute Clémentine développer le programme de l'après-midi. L'organisation de notre prochain voyage et l'élaboration du canevas du mémoire qu'elle veut présenter. Elle se réjouit de participer à cette réalisation. Peu de Doctorants y participeront car la plupart ont pris de petits jobs en attendant des nominations aux postes souhaités. Je pense aux propositions faites il y a une heure, dans l'atelier. Je me lève, je contourne la table en sortant ma queue. Clémentine a une expression d'intense surprise. Un mouvement de recul lorsque je m'approche. Je la saisis par ses cheveux. Sans ménagement. Fermement. Elle oppose une résistance. Je maintiens sa tignasse.

Je frotte ma bite sur sa joue. Elle avale sa bouchée de choux fleurs. Je pince son nez. Pour reprendre sa respiration elle va être obligée d'ouvrir la bouche. L'instant où j'enfonce ma bite. Elle pousse un râle. Grave et profond. Je me penche pour dire : << Vos désirs sont des ordres mademoiselle ! >>. L'effet de surprise perdure. Je reste ainsi, peut-être trente secondes, avant de la relâcher et de retourner m'assoir. Elle me fixe, toute étonnée, silencieuse. Elle recommence à manger. Nous nous regardons. Une excitation partagée. << Génial ! >> finit elle pas lancer. Je me lève pour agiter ma bite en répondant : << Il y aura de multiples récidives mademoiselle ! >>. Elle me fait le plus merveilleux des sourires. Venant s'assoir sur mes genoux elle me confie à quel point elle apprécie mes initiatives. << Tu ne le fais pas assez souvent. Et j'en ai vraiment besoin tu sais ! >> dit elle en posant sa tête sur mon épaule. Je caresse sa nuque.

La vaisselle. Le brossage des dents. Impatients de nous offrir un après-midi de travail, nous nous précipitons dans l'atelier. Il faut allumer les lampes à halogène tellement il fait sombre. Le ciel est lourd de nuages bas et menaçants. Clémentine devant son ordinateur. Moi devant mon chevalet à étudier la manière dont je vais m'y prendre. Parfois je me lève pour rejoindre ma studieuse. Mes mains sur ses épaules, mon visage près du sien alors qu'elle me montre des photos. Les différents hôtels sur l'île de Malte. Les endroits qu'il faut visiter. Il y a même des croisières proposées dans l'archipel. << Je vais nous mitonner deux semaines de rêves ! >> précise t-elle. Mon calque réalisé je prépare l'acrylique "terre de Sienne" que je dilue à l'eau. La préparation des deux couches d'impression.

Je suis totalement absorbé dans cette activité, retrouvant les délicieuses émotions de ma passion. À quatre pattes entrain de passer les couches croisées. Clémentine vient s'accroupir à mes côtés pour voir. Elle se met à genoux, ses mains sur ses cuisses. Une pulsion. Je me redresse. Je sors mon Zob. Comme si elle n'attendait que cette initiative, Clémentine ouvre la bouche pour me recevoir. Une petite minute à lui offrir des montées de jute dont elle se régale en poussant de petits gémissements. Je me retire. Elle se lève pour retourner à ses écrits. L'après-midi passe ainsi. Le reste de choux fleurs destiné au repas de demain servira finalement à celui de ce soir. En mangeant, je récidive. Surprendre la fille que j'aime en lui frottant la queue sur le visage. La soirée à lui faire l'amour. C'est sur le canapé, devant un film tourné en Écosse, que nous alternons les séquences de baises "sauvages" et les séquences amoureuses. Sublime.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent les surprises...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 7 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2745 -



Une belle journée et une belle surprise

C'est jusqu'à huit heures trente que nous dormons profondément. Hier matin, jeudi, dans la plus totale félicité. J'adore quand les pieds de ma dormeuse viennent chercher la chaleur des miens. Que sa main se pose sur ma tumescence naissante. Quand elle vient se frotter contre ma hanche en se tournant sur le côté. Qu'avec sa tête posée sur ma poitrine elle pousse ses premiers gémissements de plaisir. Clémentine murmure : << J'ai encore rêvé de trucs salaces ! >>. Elle s'y prend à deux fois avant de pouvoir articuler. De pouvoir rendre son propos intelligible. Nous partons dans un éclat de rire. Elle empoigne fermement mon érection matinale et fugace pour rajouter : << Aujourd'hui je te suce dans tous les coins de la maison ! >>. Je glisse ma main dans sa culotte. Broussailleuse.

Je chuchote : << Alors commençons par les toilettes, puis la salle de bain avant la cuisine ! >>. Clémentine se redresse en lançant : << Chiche ! >>. Elle m'entraîne par la main. Effectivement, après son pipi où je la tiens par la nuque, elle me tient la bite pour en diriger les jets. Accroupie, à me sucer entre chaque dernières giclées. Nous courons à la salle de bain pour nous mettre de l'eau sur les visages. Juste avant d'enfiler nos leggings de lycra noir, ma coquine s'accroupit une nouvelle fois pour gober mon sexe tout mou. Quelques secondes avant d'enfiler nos sweats de lycra rouge. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Il fait beau. Il y a du soleil. En préparant le café, Clémentine me raconte son rêve. Elle y vit une aventure rocambolesque et tout à fait surréaliste.

Toute nue, à vélo, poursuivie par un garde champêtre aux traits de notre voisin, monsieur Bertrand. Je pèle les kiwis et je presse les oranges, plié de rire. Je contourne la table pour la prendre dans mes bras. Je dis : << Tu sais que ça fait bien six mois que tu ne l'as plus sucé ce vieux dépravé ! >>. Elle répond : << Oh mais j'y pense tu sais ! >>. Elle s'accroupit une nouvelle fois. Elle ouvre la bouche pour mordiller ma bosse à travers le coton de mon slip et le tissu synthétique de mon collant. J'extrais le Zob. Elle le gobe immédiatement. Je me penche pour murmurer : << Tu n'as encore rien bouffé ce matin que de la queue ! >>. Elle se redresse en riant, sa bouche ouverte en soufflant pour me faire partager l'odeur. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre après-midi de mercredi. Ce travail dans l'atelier. Mais aujourd'hui, avec cette météo prometteuse, pas question de rester à l'intérieur. Ce sera une randonnée.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant les divers options de promenades. Ce sera le château. Aussi, pour bien en profiter, je suggère que nous préparions des sandwichs, des fruits et que nous partions avant midi. Après tout il y a vingt cinq kilomètres à parcourir. Autant mettre à profit ces journées avant le fatal et inéluctable changement d'heures. En venant s'installer sur mes genoux Clémentine rajoute : << C'est vrai. Ces enfoirés vont encore nous imposer leurs délires. On va encore entendre des publicités à la con ! >>. Nous rions quand elle imite une voix féminine de publicités radiophoniques : << Et si le changement d'heures était également l'occasion de changer de montre ! >>. Nous rigolons comme des bossus. C'est exactement ce que vont nous imposer les Merdias.

Nous ne traînonspas. Cette idée de partir en fin de matinée nous galvanise. La vaisselle. La température extérieure est de 17°. Très agréable. Quelques mouvements d'échauffement en K-ways sur le perron. Notre jogging nous emmène le long de la rivière. Nos exercices abdominaux sur les murets du bassin vide au vieux lavoir. Une heure de pure plaisir avant de revenir prendre notre douche. Nous portons les vêtements que nous garderons toute la journée. Si elle n'annule pas sa visite, Estelle viendra nous rejoindre en soirée. C'est en jeans, sweats et baskets que nous redescendons à toute vitesse. Au salon, assise sur mes cuisses, me tournant le dos, mes mains sur ses seins minuscules, Clémentine allume l'ordinateur. Un mail de Juliette qui s'excuse une nouvelle fois.

Un courriel d'Estelle qui confirme sa venue pour dix neuf heures. Elle emmène le dessert. Mais c'est surtout le message en provenance de la direction de l'Université qui interpelle ma lectrice. Elle se lève d'un bond en s'écriant : << Je monte au portail, viens, je suis informée d'un courrier papier ! >>. Elle m'entraîne par la main. Nous ressortons. Le soleil est d'une douceur étonnante. Pas le moindre souffle vent. Nous montons les cent mètres en courant. Clémentine ouvre la boîte aux lettres. Il y a effectivement une lettre du Rectorat. Elle est impatiente de l'ouvrir. S'apprête à le faire alors que je dis : << Fais-le avec la paire de ciseaux ! >>. C'est moi qui l'entraîne. Nous dévalons les pavés autobloquants. De retour au salon, fébrile, Clémentine s'empare des ciseaux.

Elle est debout. Je suis assis devant l'ordinateur. Une photo de La Valette. La capitale de l'île de Malte. << Génial ! >> s'exclame Clémentine. Elle se met à sautiller comme une collégienne à la veille des vacances. Tournant autour du bureau en agitant la lettre. Elle s'arrête soudainement. Prend l'air le plus sérieux que je lui connaisse. D'une voix sentencieuse elle lit : << Chère mademoiselle. Dans le cadre d'un remplacement à durée déterminée, au vu de vos mentions et l'obtention de votre Doctorat de sciences, nous vous proposons un poste d'enseignante en troisième cycle universitaire ! >>. Elle continue. Relit une seconde fois. Une troisième fois pour être certaine de ne pas rêver. Je me lève. Elle contourne le bureau pour me sauter au cou en rajoutant : << Je commence lundi 4 novembre. Jusqu'au 28 juin de l'année prochaine ! >>. Je la soulève. Je partage sa joie. Elle mitraille mon visage de bisous avant de se remettre à sautiller.

Elle prend soudain un air grave. S'immobilise. S'écrie : << Pas de séjour sur l'île de Malte ! >>. Nous en rions aux éclats quand je rajoute : << C'est remis à plus tard. Aux calendes grecques par exemple. Ce n'est pas très éloigné de Malte ! >>. Il y a un moment de franche euphorie bien légitime. << Un job, un salaire ! >> lance t-elle avant de rajouter : << Je ne vais pas quitter l'école de si tôt ! >>. Il va être onze heures. Nous quittons le salon pour la cuisine. Nous préparons les sandwichs. Deux longues baguettes complètes et bio que je coupe dans le sens de la longueur. Clémentine y étale du beurre salé. Je dépose de fines couches de saint Nectaire. De fines rondelles de tomates. Deux sandwichs au fromage, deux sandwichs au bacon. Soigneusement emballés dans des feuilles d'aluminium.

Dans le petit sac à dos avec deux pommes, deux bananes et les barres de céréales. Juste encore de la place pour la thermos de thé bouillant. Nous ne nous attardons pas davantage. Onze heures trente et nous voilà en route. Je roule prudemment. Clémentine, en proie à des successions de séquences d'euphories, joue avec ma queue qu'elle suçote par instants. Il est midi quand nous arrivons sur le parking du restaurant. Plein de voitures. Avec cette journée magnifique nous ne sommes pas les seul randonneurs. Mais ce sont également les autos des clients de l'auberge restaurant. Comme en plein été les tables de la terrasse extérieure sont presque toutes occupées. Nous changeons de godasses. Clémentine a emmené une de ses jupettes. Moi un de mes bermudas. On se change.

Je porte le sac. Clémentine, se remettant à sautiller m'entraîne par la main. Nous prenons le sentier de droite. Le pont en dos d'âne. Le bruit du torrent qui passe dessous. Obligeant les gens de la terrasse à parler fort. C'est assez désagréable d'entendre gueuler. Trois cent mètres. Les panneaux indicateurs. C'est par le sentier qui contourne le lac que nous monterons au château. C'est un peu plus long mais les paysages d'automne en valent largement la peine. Évidemment nous croisons quantité de marcheurs. J'ai la bite à l'air sur des tronçons de plusieurs centaines de mètres. Prenant parfois de sérieux risques. Mais nous avons la formule. Quand nous nous faisons surprendre, pour dissimuler mon Zob aux yeux des passants, Clémentine passe ses bras autour de mon cou et se serre contre moi. Nous attirons l'attention. Non, je ne suis pas le papa de la sublime jeune fille hyper sexy qui me fait des bises sur la bouche. Ces situations nous amusent.

Je ne suis pas en reste avec une main souvent sous la jupette de ma randonneuse. Sa culotte étant dans la pochette avant du sac à dos. Nous nous félicitons d'êtres partis plus tôt que d'habitude. C'est assez fou. Nous sommes en T-shirts. La température avoisine les 24°. C'est juste en marchant à l'ombre des chênes, des hêtres et des pins que c'est un peu limite. Il suffit alors de presser le pas. Je crois bien que pour la fille que j'aime cette journée est une des plus belles. Je me fais sucer à quelques détours de sentiers. Je fais le contorsionniste pour lécher sa moule juteuse. Il y a de véritables coulures qui inondent ma bouche. Ses tremblements, ses frissons, ses gémissements. Tout cela en rusant, en anticipant les dangers que nous évitons souvent de justesse. Les promeneurs chaussés de baskets ne s'entendent pas. Deux heures trente d'un parcours aux couleurs extraordinaires. Voilà le château. Il y a un monde fou dans la grande cour.

Le restaurant, le salon de thé, le bureau de tourisme, le musée et le magasin de souvenirs ont volets clos. Nous sommes hors saison. Impossibilité de monter sur les remparts ou dans le donjon. Dommage. De là haut la vue doit être magnifique et porter loin. Nous n'arrêtons pas de nous toucher. Il faut ruser. Nos stratégies fonctionnent. Nous savourons nos fruits en entrées. Assis sur les marches du grand escalier qui mène au donjon. Clémentine s'offre de petites exhibes discrètes quand passe un randonneur momentanément seul. Car ce sont principalement des groupes ou des couples. Nous dégustons nos sandwichs. Ce sont les meilleurs du monde avec la faim qui nous tenaille. Après le repas. Clémentine monte au sommet des marches. Elle guette l'opportunité. C'est un sénior qui se détache du groupe dont il fait partie. Il vient par là. Clémentine se tourne, cuisses bien écartées. Elle pisse. Ça ruisselle le long de l'escalier. C'est fabuleux.

Le type s'en aperçoit car cette superbe jeune fille, assise seule en haut de l'escalier, est l'attraction principale de ce coin légèrement en retrait. Il y a exactement quinze marches. Le filet de pisse, plutôt abondant et généreux qui s'échappe de son entrejambes, coule jusque tout en bas. Elle reste immobile. Ses coudes posés sur ses cuisses. Son menton posé sur ses main. Portant ses lunettes noires de soleil, le visage encadré de ses longs cheveux noirs. Le quidam trouve le prétexte de sortir un appareil photo. Il fait semblant d'en étudier le fonctionnement. Mais c'est pour contempler ce spectacle unique. La pisse est luisante sous le soleil. D'autres visiteurs viennent par là. Clémentine resserre ses cuisses mais reste assise là-haut. Impossible de ne pas deviner qu'elle est à l'origine de la source qui macule le granit gris jusque sur les pavés à trois mètres plus bas. J'aime quand elle fait sa vicieuse. Je devine les émotions qui l'habitent.

Elle descend me rejoindre. J'ai discrètement filmé sa prestation. Assise à ma droite, nous contemplons l'écran de l'I-phone. Un petit film de dix minutes que nous montrerons à Estelle ce soir. Doucement, nous prenons le chemin du retour. Avec nos rituels libidineux. Clémentine s'offre une autre belle exhibe. Se faisant surprendre entrain de pisser par un marcheur solitaire. Je reste dissimulé un peu plus haut derrière des rochers. Il s'arrête. Ils sont à une trentaine de mètres. Je n'entends pas la conversation. Mais Clémentine reste ostensiblement accroupie. Un long filet de pisse s'écoulant devant elle, sur le sentier. C'est un gentleman. Il reste d'une grande courtoisie. Il contourne la fille pour continuer sa marche en évitant la pisse. J'offre un orgasme à Clémentine en revenant à la voiture. Sur le siège arrière, en la léchant, en la suçant. Je me fais tailler une pipe sur toute la route du retour. Il va être dix huit heures trente.

Clémentine fait l'assaisonnement des carottes. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Trois escalopes de dinde à la poêle. Clémentine râpe le gruyère. Je concocte une sauce au Roquefort. Nous mettons les assiettes et les couverts quand Estelle nous rejoint. Elle me saute au cou. Colle son bas ventre contre le mien. Fait pareil avec Clémentine. Elle a ramené une tarte aux pommes "maison". Nous mangeons de bon appétit en nous racontant nos journées. Estelle avec sa maman dans le bureau de l'entreprise familiale. Elle travaille dur. Elle nous annonce une grande nouvelle. Elle commence son travail d'enseignante et de chercheuse à L'UCLA de Los Angeles, le lundi 6 janvier. Elle est tellement heureuse. Clémentine annonce elle aussi sa bonne nouvelle. Ce repas se déroule dans l'euphorie.

L'euphorie ! Rien de plus excitant pour deux jeunes femmes de vingt sept ans, s'apprêtant à entrer dans le monde du travail par la grande porte. Car à présent, le terme "jeunes filles" ne s'applique plus vraiment. Nous en rions comme des fous. La vaisselle. Toutes les deux, juste en chaussettes et en T-shirts, allongées sur le bureau, en appui sur leurs coudes, m'offrent leurs intimités. Penché en avant, je passe de l'une à l'autre pour en savourer les jus. En me masturbant. C'est Estelle que je pénètre la première. << Baise-moi tous les jours jusqu'au dimanche 5 janvier ! >> s'écrie t-elle en se tortillant. Je passe de l'une à l'autre. Elles s'embrassent avec délectation. Je les fourre "à l'ancienne" comme un capitaine de vaisseau avant la bataille. Mon canon s'apprêtant à tirer ses boulets. Estelle devra nous laisser pour vingt deux heures. Elle s'offre ce soir un orgasme de 9 sur l'échelle de Richter. Clémentine s'offre le second de sa journée. Une explosion nucléaire de 100 mégatonnes.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont s'empiffrer de foutre sous les draps, avant de plonger dans les abîmes sans fond d'un sommeil d'enclume. Avec le goût du sperme dans la bouche...

Julien (capitaine Cock)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 8 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2746 -



Une autre belle journée

Hier matin, vendredi, il est huit heures trente. Je perçois immédiatement la douce euphorie qui réveille Clémentine. Et qui me tire du sommeil. Elle vient se blottir contre moi. Ses gémissements me ravissent. Elle s'y prend à deux fois. Elle y parvient à la troisième. << J'ai rêvé de ma bonne nouvelle. J'étais reçu dans plein de bureaux qui se succédaient tout le long d'un couloir interminable ! >> me raconte t-elle. Je l'écoute en caressant ses cheveux. Impossible de rester plus longtemps. Nous nous précipitons aux toilettes. À la salle de bain. Vêtus de nos tenues de jogging, les visages mouillés, morts de faim, nous dévalons les escaliers. En préparant le café, Clémentine revient sur son rêve. Tentant une explication psychanalytique. Nous en rions alors que je presse les oranges.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée de jeudi après-midi. La météo étant sensiblement la même, nous décidons une récidive aujourd'hui. Ce sera l'itinéraire menant aux anciennes tuileries. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme. Bien évidemment Clémentine reste sous l'enthousiasme de sa bonne nouvelle. Ce poste d'enseignante qui lui est proposé. Excellent tremplin pour la suite qu'elle compte donner à sa carrière. << Je vais faire ma salope jusqu'au lundi 4 novembre. Après je me calme ! >> lance t-elle. Nous en rions de bon cœur. Elle rajoute : << Avant de reprendre aux vacances et aux jours fériés ! >>. Assise sur mes genoux, elle termine mon morceau de brioche qu'elle trempe dans mon bol. J'adore ses "pillages" du matin.

La vaisselle. Nous enfilons les K-ways pour sortir. La douceur du climat est agréable. La journée s'annonce ensoleillée. Les mouvements d'échauffement nous mettent en conditions. Notre parcours préféré. Le long de la rivière. Jusqu'au vieux lavoir. Les exercices abdominaux sur les murets du bassin vide. Il est dix heures quand nous revenons. La douche. Une fois encore nous préparons les vêtements pour la randonnée qui nous attend. Jupette, T-shirts et bermuda. Mais c'est en jeans et sweats que nous redescendons pour passer au salon. Consulter nos boîtes mails. Un message en provenance de la direction de l'université. Il confirme la teneur de la lettre. Le directeur propose une entrevue lundi pour quatorze heures. D'étudiante il y a peu, Clémentine y sera enseignante. Parfait.

Elle me tourne le dos. Elle relit à haute voix ses phrases de réponse au fur et à mesure qu'elle les rédige. Mes mains sous son sweat. J'écoute avec la tête entre ses omoplates. J'adore la résonance à l'intérieur de sa cage thoracique. Un clic sur "envoi" et voilà le courriel parti pour son destinataire. Elle se lève. Change de position. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou. Elle partage sa joie. << On va reprendre notre rythme. Tu vas pouvoir reprendre la peinture la journée ! >> dit elle. Je partage ses réjouissances. L'inaction commençait à lui peser. Nous quittons le salon pour la cuisine. Je coupe les deux baguettes dans le sens de leurs longueurs. Puis en deux parties. Clémentine les beurre. J'y dispose de fines tranches de morbier. De fines tranches de bacon. Tomates tranchées.

Emballés dans des feuilles d'aluminium, nos sandwichs garderont leur fraîcheur durant quelques heures. Dans le petit sac à dos. Avec deux pommes, deux bananes. La gourde d'eau. Les barres de céréales. Il reste juste la place pour glisser les deux K-ways. Nous préparons les grosses godasses. Il est onze heures trente. Quelle bonne initiative que de partir en fin de matinée. Nous profitons ainsi de journées plus longues. La température extérieure est de 21°. Le ciel est presque entièrement bleu. Nous traversons la pelouse en courant, en sautant d'une dalle de grès à l'autre. Jusqu'au garage. Il n'y a que cinq kilomètres jusqu'à la chapelle où nous garons la voiture. Je roule serein alors que Clémentine joue avec ma queue. Il n'y a personne sur le lieu de départ. Un vélo contre le mur.

Nous nous changeons. Clémentine en jupette, moi en bermuda. Nos T-shirts. La bicyclette posée contre le muret qui entoure le cimetière doit appartenir au type là-bas. Il est assis sur un des deux bancs. Il feuillette ce qui ressemble à une brochure touristique. Il ne nous prête aucune attention. << Attend, reste là, je vais le perturber un peu ! >> murmure Clémentine en m'indiquant l'endroit où me dissimuler. L'un des deux montants de pierre où sont fixées les charnière des deux grilles de la porte. Je l'ai vu procéder à ses manœuvres d'approches d'innombrables fois. Mais c'est toujours très excitant. Marchant lentement entre les pierres tombales, les bras croisés, elle interprète à la perfection la jeune fille cherchant un endroit pour s'isoler. De ma cachette j'observe ce jeu absolument magique.

Le type la remarque enfin. Il doit avoir la trentaine. En short et T-shirt. Un sac à dos posé à côté de lui. Il lève la tête. Il suit la fille du regard. Elle disparaît entre les tombes pour réapparaître au fil de ses recherches. Elle s'accroupit. Disparaissant une nouvelle fois. Notre voyeur se lève, fait quelques pas pour découvrir la jeune fille accroupie. Il reste immobile. S'avance pour mieux voir. Contourne une croix celte pour surprendre la pisseuse. Du moins croit-il la surprendre car il ne se doute pas qu'il fait partie du jeu. Je reste toutefois prêt à intervenir. Je longe le muret pour aller me positionner de l'autre côté du cimetière. De la grille de la poterne arrière, la vue est parfaite. Impossible de me voir. Bonne cachette. C'est par le bas de son short qu'il sort son sexe. Fin, raide et de bonne facture. Petit.

Il l'agite en direction de la fille. Je suis une fois encore trop loin pour entendre ce qui se dit. Clémentine, accroupie, me tourne le dos. Sur les gravillons du sol impossible de voir si elle pisse. Mais elle reste ostensiblement dans cette position en relevant la tête. Ses cheveux en liberté sur ses épaules. La vue d'une femme, cuisses écartées, de dos, exerce sur ma psyché un effet de transe. C'est à la fois très excitant et très émouvant. Et quand cette femme est celle qui partage votre vie, je laisse aux lecteurs d'imaginer la condition mentale et physique dans laquelle je me retrouve. Mon cœur bat la chamade. J'assiste à une scène vue des dizaines de fois depuis huit ans. Mais c'est toujours une grande première. Le type se masturbe. Cambré sur ses genoux fléchis. J'imagine son immense plaisir. Dantesque !

Clémentine se redresse. Elle reste immobile. Il n'y a pas cinq mètres qui les séparent. Notre gaillard doit avoir ma taille mais il est mince. Il porte une paire de lunettes qui lui donne un air intellectuel. Fait-il une proposition à la fille ? Je la vois de dos. C'est un peu frustrant car j'aimerais découvrir ses expressions. Notre branleur accélère son mouvement. Clémentine pose sa main sur une statue d'ange. Elle assiste à cette masturbation avec son sang froid habituel. Trop heureuse de vivre une de ces situations qu'elle prend tant de plaisir à provoquer. Partager l'existence d'une authentique vicieuse, d'une authentique exhibitionniste est tout simplement merveilleux. Clémentine s'accroupit. Le type s'approche. Encore. Il n'a plus qu'à faire un pas. Le bougre le fait. Je devine. Je ne vois pas. Je comprends. Elle le suce. Ses mains qu'elle pose sur les hanches de cet inconnu pour maintenir son équilibre. Je la devine et c'est frustrant de ne pas voir.

Je me branle. C'est trop fort. Le type ne sait pas quoi faire de ses mains. Il n'ose pas les poser sur la tête de sa suceuse. Je devine sa position mal assurée. Je suis dans le même état que lui mais lui ne sait pas que je suis là. Ça fait plusieurs mois que Clémentine n'a plus taillé dune pipe à un inconnu. J'imagine son état de jubilation. Dommage. Le mec se cambre. Plie sur ses genoux. Son corps secoué de spasmes. Pas de doute il éjacule. Sous le choc, certainement gêné, il se retire. Je vois de la jute jaillir de son sexe. Il ne peut pas savoir que sa pipeuse adore repartir pour un second tour. Il a le comportement d'un voleur pris sur le fait. Il s'éloigne. Il se sauve. Clémentine se redresse. Je l'entends s'écrier : << Ben alors ! Qu'est-ce qui se passe ? >>. Le mec attrape son sac à dos pour s'enfuir.

J'assiste à un clip de Benny Hill en le voyant déguerpir sur son vélo en zigzagant. Clémentine, s'essuyant la bouche, tire sur son T-shirt pour le regarder. Je viens la rejoindre. Le haut de son T-shirt est maculé de sperme. Ce type, en éjaculant, s'est épanché sur le tissu blanc. Lui a juté à la gueule mais aussi sur le T-shirt. << Put-hein ! Je fais quoi maintenant ! Le con ! >> s'écrie t-elle. Nous rigolons comme des bossus. Je propose de retourner à la maison. Après tout cela ne fait que cinq bornes. Je demande : << Tu t'es régalée ? >>. Elle me lance ce regard par en-dessous des cachotières avant de répondre : << Miam ! >>. Je la saisis par ses cheveux. Fermement. Je la force à s'accroupir. C'est ma bite que je lui enfonce dans la bouche. Trop heureuse de mon initiative, elle me gratifie d'une véritable pipe des familles. J'en vacille.

Je fais durer quelques minutes avant de la forcer à se relever. Je dis : << On va retourner à la maison. Je vais te faire sucer tout l'après-midi ! >>. Dans la voiture, sur le chemin du retour, je la tiens par la nuque pour la faire téter. Le biberon. Nous sommes de retour une demi heure plus tard pour commencer enfin notre randonnée. Je tiens ma promesse avec ces comportements de vicelard qu'elle apprécie tant. Nous savourons nos fruits et nos sandwichs entre les bâtiments abandonnés des anciennes tuileries. Il y a d'autres randonneurs. Je n'arrête donc pas de cacher ma queue d'où s'échappe des flots de jute qui maculent le tissu kaki de mon bermuda. Une randonnée aussi vicelarde est rare. Nous mangeons au "Bol d'argent", le restaurant du bourg. Il est vingt heures trente quand nous revenons à la maison. Je crois que nous avons rarement baisés avec une telle fougue. Malgré la fatigue. J'en ai la bite et les couilles congestionnées.

Bonne nouille à toutes les coquines qu'une pipe à un inconnu, suivie d'une randonnée de "Soumise" et d'une baise délirante plongent dans un sommeil proche du coma...

Julien ("Maître" pour de semblant mais vicelard pour de vrai)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 9 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2747 -



Tous trois réservés

Hier matin, dimanche, Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche, je suis l'objet d'un réveil en trompette. Plus exactement en flûte. Estelle est restée serrée contre moi toute la nuit. C'est toutefois l'impression qui en subsiste. Clémentine à ma gauche vient se serrer. Je suis encore dans un demi sommeil quand je sens une délicate ventouse se refermer sur la tumescence naissante de cette grasse matinée. C'est Estelle. C'est une bien étrange sensation que de se faire sucer sans être excité. Clémentine se frotte contre ma hanche. La petite sonate matinale pour flûte ne dure que quelques instants. Estelle revient de sa plongée sous les draps. Toute satisfaite de m'avoir réveillé ainsi. Je suis entre mes deux anges, proche de la félicité d'un nouvel enchantement paradisiaque. Béatitude.

Tout cela ne peut durer plus longtemps car l'impérieux besoin naturel commence par éjecter Estelle de la chaleur des draps. Elle se précipite vers la porte en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine s'est levée ce matin de très bonne heure. << J'ai mes petits machins" ! Je me suis levée tôt pour mettre un tampon et prendre mon médoc. Tu m'as entendu ? >> murmure t-elle juste avant de passer sous la couette à son tour. Double concerto pour flûtiau ce matin. Quelques secondes où je confirme avoir vaguement perçu du mouvement. C'est à notre tour d'aller aux toilettes.Il fait bien chaud dans la maison. Les radiateurs y veillent. C'est en slips et T-shirts de nuit que nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans les suaves effluves parfumées du café, du pain grillé.

Dans son pyjama mauve, elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, je la promène dans la cuisine. Clémentine coupe les tranches de la magnifique brioche au pudding. Je lui inflige la même promenade autour de la table. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre samedi après-midi en randonnée et sur notre soirée d'une partie à trois qui restera dans les annales malgré l'absence totale de sodomie que nous détestons. Nous traînons à table. << Quand on baise la veille de mes règles, ça précipite les choses ! >> lance Clémentine, première à venir s'assoir sur mes genoux. << Ça te rend hyper salope aussi ! >> s'exclame Estelle qui vient s'installer à son tour. Nous programmons une nouvelle randonnée pour l'après-midi. << Il va faire super beau ! >> précise Clémentine.

En effet, le ciel est presque entièrement bleu. La température extérieure n'est seulement que de 11°. Nous passons en revues les différents itinéraires. Ce sera les anciennes tuileries. C'est un itinéraire proposant de belles variantes. Forêts, rochers, prés et dénivelés parfois sévères. Nous traînons à table. Les filles évoquent les grands changements qui s'annoncent. Ce qu'ils vont induire dans leurs existences. << Il faut qu'on en profite un maximum et chaque seconde doit nous appartenir ! >> dit Estelle en inspirant comme pour reprendre des forces. La vaisselle. Nous montons nous brosser les dents. Nos pitreries devant le miroir de la salle de bain. Tous les trois en jeans et chemises à carreaux, chaussés de nos baskets, nous redescendons pour enfiler nos anoraks. La fraîcheur est vive.

Je suis entre mes deux anges qui me tiennent les mains. Nous descendons jusqu'à la rivière. Le soleil est de la partie. Nous longeons le cour d'eau sur plusieurs centaines de mètres. La conversation reste axée sur les évènements professionnels qui s'annoncent pour Clémentine. Ceux qui se profilent à l'horizon de la vie d'Estelle. Estelle qui vient de me sortir le Zob. La fraîcheur matinale le maintient dans une mollesse qui l'amuse. Elle s'accroupit. C'est en parlant, avec le plus grand sérieux, qu'elle joue avec. Clémentine s'accroupit à son tour. Elles continuent de bavarder comme devant leurs bols de café. Je pose mes mains sur leurs tête. Elles se refilent ma bite sans cesser d'échanger leurs impressions quand aux bouleversements existentiels à venir. Je ris un peu bêtement. En bandant.

Concentré sur ce spectacle insolite et enchanteur, je ne prête aucune attention à la nature qui nous entoure. Après tout nous sommes sur le sentier de notre propriété. Rares sont les promeneurs qui s'aventurent si loin de la route. À présent mes deux coquines en viennent aux descriptions du goût de ma bite le dimanche matin sans douche. En passant sa langue sur ses lèvres, faisant des bruits de bouches, Estelle dit : << Un peu dégueu le Parmezob aujourd'hui ! >>. Clémentine précise : << Comme une fermentation nocturne ! >>. Nous en rions aux éclats. Je fais : << Et il doit y avoir un peu de vous deux ! >>. C'est une certitude car nous avons passé le samedi soir à baiser comme des malades. Je passais d'un fion à l'autre dans l'euphorie des parties triangulaires acharnées dont nous sommes coutumiers.

Nous ne l'avons pas vu venir. Une jeune cavalière de l'autre côté de la rivière. Elle vient probablement du haras de Juliette. Cela fait peut-être un petit moment que la jeune fille assistait à ce qui se passait sur l'autre rive. Elle nous adresse un coucou de sa main levée, souriante, avant de disparaître derrière les feuillages roux de cette belle matinée d'automne. Estelle et Clémentine se redressent en riant. Ce n'est certes pas la première fois que nous faisons surprendre mais c'est toujours insolite, extraordinaire et surtout excitant. Nous revenons sur nos pas. Je remballe avant que nous ne montions le chemin. Un tronçon de trois cent mètres où nous rencontrons monsieur Bertrand. Notre plus proche voisin. Il pousse une brouette emplie de branchages. Nous bavardons un peu. Quelques minutes.

Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue. Estelle prépare le poulet à rôtir. J'épluche les pommes de terre que je lave avant de les passer au coupe frites. Le poulet au four préchauffé à 350°. Les patates dans la friteuse électrique sans huile. C'est une préparation rapide. Nos mains sont baladeuses. Nos lèvres se touchent à chaque fois que nous nous croisons. Il est exactement midi quand nous passons à table. Un repas délicieux. << Poulet frites ! Comme quand j'étais petite ! >> s'écrie Estelle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre rencontre de ce matin. Estelle et Clémentine reviennent sur des souvenirs de leurs adolescences. Encore jeunes lycéennes quand elles allaient se cacher pour regarder des mecs se branler dans la forêt. Expéditions vicelardes et souvent à vélos.

Nous ne traînons pas. Trop impatients de partir. La vaisselle. Nous nous brossons les dents dans la salle de bain du bas. La température extérieure est de 18°. Pas un souffle de vent. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, thermos de thé bouillant. Nous restons en Levis, chemises à carreaux. Nous emmenons les grosses godasses. Anoraks. C'est parti. Il n'y a que cinq kilomètres jusqu'à la chapelle ou Clémentine a taillé une pipe à un parfait inconnu vendredi dernier. Un grand souvenir. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en racontant sa fellation. Estelle, assise à l'arrière caresse mes joues. Je gare la voiture entre deux autres véhicules. Nous ne sommes pas les seuls randonneurs. Nous en croisons beaucoup sur le chemin qui monte. Les sentiers.

Anoraks ouverts. Lorsque nous évoluons sur un chemin, nous pouvons nous tenir par la main. Quand ce sont des sentiers, Estelle ouvre la marche. Il faut une heure trente pour arriver aux bâtiments abandonnés. Il y a des gens. C'est une des promenades dominicales très fréquentées de la région. J'ai toutefois ma braguette ouverte et la bite à l'air sur des distances variant de cent à trois cent mètres. Quand je n'ai pas le temps de remballer, c'est Estelle ou Clémentine qui se blottissent dans mes bras. Non messieurs dames, je ne suis pas le papa de ces deux sublimes jeunes filles. Car nous suscitons bien des curiosités. La cour intérieure des anciennes tuileries est un véritable champs de ronces, d'orties et de fougères. Il faut donc ruser pour aller dans le bâtiment des grands fours.

Il y a un groupe de marcheurs assis sur les parpaings et les amas de briques rouges. Ils mangent et boivent en bavardant. C'est frustrant parce que Estelle me mettait au défi de la pénétrer en levrette. Tant pis. Rien de tout cela ne serait réalisable car voilà encore une autre bande de randonneurs. Il faut se contenter de jeux de mains. Son Levis déboutonné, ma main qui fouille sa culotte, Estelle reste suspendue à mon cou alors que Clémentine me taille une pipe. Estelle devra nous laisser ce soir pour vingt deux heures. Après avoir réchauffer les restes du poulet avec des nouilles, nous prévoyons une soirée baise. Pour le moment nous prenons les sentiers du retours. J'adore récupérer la mouille d'Estelle du bout de mes doigts pour les lécher. Clémentine attrape mon poignet pour goûter.

Depuis quelques mois mes deux anges adorent faire l'amour ensemble. Souvent elles décrivent le goût de leurs sexes. Ce qui me fait évidemment saliver. J'attendais ces effusions saphiques depuis des années. Même si ce n'est pas seulement sexuel mais la conséquence d'un changement de vie qui s'annonce. Dans la voiture, malgré mes réclamations bien inutiles, mes deux anges sont installées toutes les deux sur le siège avant. Le moindre contrôle de gendarmerie me mettrait à l'amande. Nous arrivons à la maison pour dix huit heures trente. Le crépuscule s'annonce déjà. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de laitue. Je désosse les restes du poulet pendant qu'elle fait bouillir les nouilles. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les séquences sexes de notre randonnée.

La vaisselle. Les filles m'emmènent au salon. Clémentine a ses règles. Ça se passe plutôt bien. Quelques contractions désagréables et les extrémités de ses seins hyper sensibles. Elle m'offre son clitoris géant que je suce avec avidité pendant qu'Estelle me bouffe la bite. Je la lèche quand elle la prête à Clémentine. Avant que je ne la pénètre pour la niquer à la hussarde sur le bureau. Clémentine contre mon dos qui joue avec mes couilles en se touchant. L'orgasme d'Estelle est un cataclysme qui fait trembler ce vieux bureau Victorien jusque dans ses structures profondes. En pissant dans la cuvette, Clémentine que je tiens sous les aisselle, se lâche dans des hurlements jouissifs. J'éjacule dans la bouche d'Estelle que je maintiens fermement par sa tignasse. Elle en tousse, manque de s'étouffer avant de me traiter de salopard. Il faut se rhabiller. Nous raccompagnons Estelle dans la nuit glaciale jusqu'à sa voiture. On se revoit mardi en soirée.

Bonne nuit à toutes les coquines qui s'endorment dans les bras de leur coquin. En jouant un peu avec sa queue toute mollasse et encore mouillée...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 10 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2748 -



Les joies d'une virée à bicyclette

Huit heures trente, hier matin, lundi. Nous nous réveillons en même temps. La chambre n'étant volontairement pas chauffée, Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant d'aise. Tous les soirs, avant de nous endormir, je partage ma chaleur corporelle. Même après nos câlins. Ses extrémités sont froides. Fesses, pieds et seins. Et lorsqu'elle a ses "petits machins" c'est un besoin plus important encore. Quelques bisous en découvrant l'extraordinaire luminosité qui envahit déjà la pièce. Comme en plein été. Il faut aller soulager nos vessies sous peine de pisser au lit. Nous prenons l'élan et le courage nécessaires pour sauter de sous les draps et courir jusqu'à la porte. En slips et T-shirts de nuit. À la salle de bain après nous être mis de l'eau sur les visages, nous enfilons nos Lycras.

Morts de faim nous dévalons les escaliers dans la douce chaleur distribuée par les radiateurs. À peine sommes-nous dans la cuisine que la sonnette retentit. Nous avions oublié l'entreprise paysagiste. Depuis l'interphone, dans le hall d'entrée, j'ouvre le portail. Je rejoins Clémentine à la cuisine qui s'affaire à la préparation du café en me racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant. Nous prenons notre petit déjeuner. Le lundi matin nous savourons le reste de la brioche au pudding. Le ciel est presque entièrement bleu avec une température extérieure de 15°. C'est une belle journée qui s'annonce. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différentes options d'activités. Clémentine propose une virée à bicyclette. Le port de plaisance.

Une superbe idée qui nous réjouit. Nous traînons à table en évoquant le weekend avec Estelle. Elle revient demain soir, mardi. La vaisselle. Le brossage des dents avant d'enfiler les K-ways. Nous sortons. Caroline, la chef de chantier de l'entreprise déjà entrain de ramasser les branchages sur la pelouse. Accompagnée de son employé habituel. Ils connaissent leur boulot et savent ce qu'il y a à faire. Nous les saluons pour bavarder quelques instants. C'est en courant que nous descendons jusqu'à la rivière. Notre jogging nous emmène jusqu'au vieux lavoir où nous pouvons pratiquer quelques exercices spécifiques dont les abdominaux. Il est dix heures quinze quand nous sommes de retour. La propriété à déjà changé. Déjà plus aucune feuille qui jonche le sol. Le bruit des machines, des tronçonneuses.

La douche. Vêtus de nos jeans, de nos sweats de nos baskets nous dévalons les escaliers pour venir au salon. Assise sur mes genoux, me tournant le dos, Clémentine allume l'ordinateur. Aucun message. Par contre sur le site de l'université où elle aime surfer, il y a des informations concernant les vacances de la Toussaint. Certaines sections n'en ont pas. J'évite de caresser les extrémités sensibles de ses seins. Me contentant de ses épaules, de son ventre. Elle contracte ses abdominaux pour m'en faire savourer la dureté. Elle peut en être fière. Clémentine répond sur les messageries privées de forums où nous publions nos aventures. Il y a quelquefois des messages amusants. D'autre plus insignifiants. D'autres inintelligibles. Nous sommes souvent pliés de rire. Parfois consternés.

Il va être onze heures. Du dehors nous parviennent le bruit des machines. Il est prévu de partir avant midi afin de profiter de cette magnifique journée dans sa totalité. L'heure d'hiver n'entrera en vigueur que dimanche prochain, 27 octobre. Avant que les journées ne soient drastiquement réduites. Le coup de matraque annuel. Nous préparons les sandwichs. Je coupe de longues tranches de pain dans la miche. Clémentine les beurre. Deux sandwichs au bacon, deux sandwichs au fromage. Emballés dans des feuillets d'aluminium. Dans le petit sac à dos avec les pommes, la thermos de thé bouillant, les barres de céréales et les K-ways. Nous remettons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Les baskets. C'est en courant que nous traversons le jardin. Là-bas, Caroline au sommet de l'échelle qui élague. L'employé assis sur le petit tracteur à tondre la pelouse une dernière fois avant l'hiver.

Je vérifie le gonflage des pneus, la tension des chaînes. Tout est OK. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons contre un très léger vent d'Ouest. Il fait presque chaud au soleil. Nous pourrions êtres en shorts et T-shirts. Ce ne sont que dans les zones d'ombres que nous apprécions d'êtres recouverts de nos tissus synthétiques et protecteurs. Il est tout juste midi. Nous croisons de rares cyclistes. Nous pouvons rouler côte à côte en bavardant. Clémentine me faisant part de ses réjouissances quant au début de ses fonctions d'enseignante le lundi 4 novembre. Le cabanon de l'écluse. La saison touristique est terminée. Pas un bateau sur le canal. Les travaux d'entretiens ont commencé. Pas d'arrêt pipi en cet endroit.

Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'au port de plaisance où nous arrivons pour treize heures heures vingt. Pas d'animation. Il est encore trop tôt. Juste quelques cyclistes et une dame qui promène son chien. Le bar restaurant au bout de la jetée est fermé le lundi. La faim nous tenaille. Nous fermons les vélos à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. Clémentine retire son legging pour mettre une jupette de lycra qui se défroisse rapidement. Elle retire sa culotte pour la fourrer avec le legging dans le petit sac à dos que je porte. C'est sur un des bancs sous les platanes n'offrant plus beaucoup d'ombre, que nous dégustons nos fruits. Il fait chaud au soleil. L'absence de feuillage est rédhibitoire. J'ai trop chaud dans mon collant. Mais je n'ai pas emmené de short. Par manque de place.

Nos sandwichs sont délicieux. Avec une rasade de thé encore bouillant, c'est un régal. Il y a un cycliste qui pousse sa machine. Il se dirige vers les bâtiments des sanitaires. Fermés en cette fin de saison. Tout comme les toilettes publiques. Il descend le chemin pour disparaître. << Viens, j'ai envie de faire ma voyeuse ! >> lance Clémentine en attrapant ma main. Nous contournons les haies de houx et de lauriers, toujours denses quelque soit la saison. Là-bas, le cycliste. Il téléphone en tournant autour de son vélo sur béquille. L'occasion fait le larron. Cet adage populaire trouve ici un écho qui le confirme. Je reste caché derrière les haies. Clémentine hyper sexy dans sa jupette beige, descend lentement, les bras croisés. Elle passe à côté du type qui lui adresse un sourire sans cesser sa conversation. Il regarde la fille descendre pour contourner l'angle du bâtiment. Tout en téléphonant il descend lui aussi. Je longe les haies pour pouvoir voir.

Le savait-elle ? Avait-elle anticipé cette possibilité ? De ma cachette, tout comme le quidam, je la découvre accroupie. Cuisses largement écartées, dans une indécence affolante. Le soleil éclairant parfaitement la scène. Le type a un mouvement de recul pour se cacher derrière le coin du mur. Il se penche plusieurs fois pour regarder. Il a rangé son téléphone dans la pochette "banane" qu'il porte autour de la taille. Clémentine se redresse pour éviter la crampe. Sa main droite sous sa jupette. Elle se touche. Je vois le mec sortir sa queue. Il se branle. Comme je le fais aussi depuis ma planque. Clémentine s'accroupit une nouvelle fois. Sans cesser de se masturber de la main droite, se tenant contre le poteau de la balustrade de sa main gauche. Nous sommes trois à nous branler. Fabuleux.

Notre voyeur se montre enfin, short noir et slip à mi-cuisses, cambré sur ses genoux fléchis, se masturbant devant la fille qui relève la tête. Je reste prêt à intervenir. Je ne vois pas le sexe qu'il présente à Clémentine car il me tourne le dos. C'est l'instant que choisi la sublime exhibitionniste pour lâcher un de ses premiers jets. Impressionnant et d'une puissance inouïe. Un, deux, trois. Quelques secondes d'arrêt. Quatre, cinq, six. Une ou deux secondes à chaque fois. Je connais ses "réserves". Des jets qu'elle projette à plus de quatre ou cinq mètres. Le type se branle. Le bienheureux assiste là à un spectacle d'une rare intensité. Il reste spectateur sans tenter la moindre approche. Clémentine a défait ses cheveux qui encadrent son visage. Elle porte ses larges lunettes noires de soleil. Au vu de la puissance des "flots", notre voyeur a peut-être peur d'approcher sous peine de se faire arroser copieusement. De vrais jets de lances à incendies.

C'est un magnifique sourire qu'elle adresse au branleur. Il se tient au mur de la main droite. Nous avons donc affaire à un gaucher. Un gaucher qui se pignole de plus en plus frénétiquement. La prestation de la pisseuse doit bien durer deux minutes. Elle se vide dans une volupté que je devine exquise. Elle n'a pas cessé de se masturber en pissant. J'ai compté. Dix huit jets. Des plus puissants jusqu'aux tous derniers. Elle reste cambrée sur ses genoux fléchis, les pieds écartées. Laissant s'écouler les dernières giclées qu'elle expulse telles des perles dorées sous le soleil. Une quinzaine de mètres tout au plus doivent séparer notre voyeur de l'exhibitionniste. Son corps se raidit. Il se redresse. Cesse pour s'approcher. Je l'entends dire : << Merci mademoiselle. C'était extraordinaire ! >>. Il est poli, courtois et très gentleman. Son approche ne semble pas inquiétante. C'est pour témoigner de son plaisir. << Merci également monsieur ! >> dit Clémentine.

Moi, je ne cesse pas de me branler. L'excitation est telle que j'ai du mal à ne pas éjaculer. << Je peux prendre une photo souvenir ? >> demande notre cycliste. << Bien sûr ! Je me remets en position ? >> demande la fille. Notre quidam tire son téléphone de la pochette. Clémentine s'accroupit. Son anonymat parfaitement préservé par ses lunettes noires, les cheveux qui pendent devant son visage baissé, elle prend les poses les plus vicelardes. Notre privilégié prend des photos. Il n'arrête plus. Tournant autour de son modèle pour l'immortaliser sous tous les angles. En riant Clémentine se redresse en disant : << Cent euros la photo ! >>. Le quidam s'écrie : << Sérieux ? >>. Clémentine répond : << Mais non, ce fut un plaisir ! >>. Je m'attends à d'autres propositions. Et bien non ! Notre gaillard a même débandé. Clémentine regarde les photos. Elle est près de lui. Il est passif et d'une politesse exquise. Un esthète comme elle les aime.

Nous nous rejoignons en haut du chemin. Le cycliste poussant sa machine sans se retourner. << Étrange mais parfait ! >> me confie Clémentine. Elle rajoute : << Je l'aurais bien volontiers sucé ce brave homme. Il aurait mérité une bonne pipe. Je n'ai pas osé lui demander ! >>. Je réponds : << Je n'attendais que ça ! >>. En riant Clémentine m'entraîne par la main. Nous traversons la route pour aller dans la supérette. Nous avons mérité nos pots de crèmes glacées Ben & Jerry's. Nous les savourons assis à l'ombre, contre le mur qui soutient la route juste au-dessus. Clémentine s'isole un court instant pour changer son tampon. Avec l'excitation et ses masturbations, il était grand temps. Nous en rigolons comme des bossus. Nous montons la colline jusqu'au cimetière. Il n'y a personne.

Avec la petite paire de jumelles Clémentine observe les quais, les bâtiments, dans l'espoir du retour de ce gentleman cycliste. Hélas, il est parti. Pas d'autres opportunités pour Clémentine qui passerait volontiers le reste de l'après-midi à s'exhiber. C'est ma bite qu'elle suce lorsque nous redescendons pour revivre la situation. J'interprète le rôle du cycliste. Je me fais tailler une pipe des familles. Avec ce comportement vicelard qu'elle apprécie tant. Tenue par sa tignasse. Ma main sous son menton. Je lui frotte la bite sur la gueule. Je la maintiens fermement pour lui juter au fond de la gorge. Manquant s'étouffer, toussant, les yeux larmoyants, je l'aide à se redresser. Elle me montre le contenu de sa bouche avant de déglutir avec une horrible grimace et un mouvement de tête. Il va être dix sept heures quarante cinq. Il faut remettre le legging. Enfiler les K-ways. Le vent nous pousse. Il est dix neuf heures quand nous revenons à la maison. Morts de faim. Et de froid.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui veulent reproduire la scène dans le salon. Après des spaghettis à la carbonara. Avant de se faire sucer le clitoris, vautrée dans le canapé. Avant de se reprendre une bonne rasade de foutre épais, gluant et visqueux au fond de la gorge...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 11 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2749 -



Estelle vient manger en soirée

Notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Hier matin, mardi, nous nous réveillons en même temps. Nous rions des longs gémissements que nous modulons jusqu'à l'absurde en nous étirant. C'est le troisième jour des "petits machins" de Clémentine et ça se passe plutôt bien. J'administre les bons soins du docteur Julien dès le réveil. Ma bouche posée sur chacun de ses seins. Avec d'infinies précautions. Je souffle de l'air chaud à travers le fin coton de son T-shirt de nuit. Je masse délicatement, par petits cercles concentriques, du bout de mes doigts son bas ventre. Alors qu'elle gémit d'aise et de contentement. Il faut se lever. Le besoin de courir aux toilettes devient pressant. À la salle de bain, nous passons nos tenues sport après nous êtres passés les visages à l'eau.

Morts de faim nous dévalons les escaliers. En préparant le café Clémentine me raconte le rêve dont elle se souvient. En pressant les oranges, en pelant les kiwis je suis comme un gamin devant le sapin de Noël à écouter une belle histoire. Cette fois encore la fin en est totalement surréaliste. Une histoire de vélo qui termine dans un tonneau où elle doit se cacher toute nue dans une église pendant le sermon du curé. Je suis plié de rire en beurrant les tartines. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre virée vélo de lundi. Le voyeur branleur devant lequel Clémentine s'est offerte une exhibe d'excellente qualité. D'où la probable et involontaire inspiration de son rêve. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les options d'activités de cette nouvelle journée. Pas de soleil.

Aucune menace toutefois sous ce ciel uniformément gris et bas. La température extérieure est plutôt douce avec 16°. Nous traînons à table en examinant la possibilité d'une belle randonnée. << Pourquoi pas notre boucle des quatre heures en partant de la maison ? >> propose Clémentine, assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Je trouve la suggestion parfaite. Estelle nous rejoint en soirée. J'émets l'idée de préparer des bouchées à la reine. Deux pour midi, trois pour ce soir. Avec des coquillettes. Clémentine applaudit en disant : << On s'y met après la douche ! >>. La vaisselle. Le brossage des dents. Nous enfilons les K-ways avant de sortir. Tout est propre dans la propriété. L'entreprise paysagiste a encore fait de l'excellent travail. Les haies taillées, les arbres élagués.

Quelques mouvements d'échauffement sur le perron. Clémentine saute les quatre marches pour se recevoir sur le dallage. Elle me tend les bras pour me recevoir alors que je l'imite. Notre jogging nous emmène le long de la rivière. Une heure d'un plaisir immense. La douche. Vêtus de nos jeans, de nos sweats, de nos baskets, nous redescendons pour passer au salon. Je laisse Clémentine allumer l'ordinateur. Assise sur la grande chaise Victorienne rembourrée de cuir brun, elle surfe sur le site de l'université. << Tu ne viens pas me caresser un peu ? >> demande t-elle, étonnée de ne pas être installée sur mes genoux. Du tiroir du bas du bureau je tire le collier canin et la laisse. L'intérieur du collier de cuir brun est doublé d'un doux velours. Je le passe autour de son cou. De l'étonnement.

J'y fixe la laisse. << Mais tu as de bonnes idées dès le matin, toi ! >> s'exclame t-elle. Je reste derrière elle. Mes mains sur ses épaules. Mon visage tout près du sien. Nous découvrons nos mails. Celui de Juliette qui nous invite à venir manger demain soir mercredi. Celui d'Estelle qui se réjouit de nous retrouver ce soir. Précisant qu'elle emmène le dessert. Je pose mes lèvres dans la nuque de Clémentine. Entre le collier et la racine de ses cheveux. C'est avec le bout de la langue que je continue d'éveiller ses sens. Elle attrape mes poignets pour murmurer : << J'aime ce que vous me faite mon bon "Maître" ! >>. Je chuchote : << J'aime m'occuper de ma douce "Soumise" ! >>. Elle ne s'en doute pas encore mais je viens de sortir ma bite. Je contourne le bureau pour me placer en face. Bien droit.

Les mains sur les hanches, la queue encore molle que je fais bouger, durcir par contractions des muscles fessiers. Clémentine, les bras croisés, posés sur le bureau, légèrement penchée en avant, observe en silence. Un sourire sur les lèvres. Mon érection naissante lève lentement mon sexe jusqu'à le faire pointer vers les poutres apparentes du plafond. Avec la grisaille toutes les couleurs paraissent monochromes. Une véritable journée d'automne. Ce qui participe de cette ambiance romantique que nous apprécions tant. Je me masturbe doucement. Juste avec le pouce et l'index. Sous le regard concentré de ma "Soumise". La situation perdure une bonne dizaine de minutes. Clémentine décroise ses bras, quitte son immobilité pour descendre sa main droite. Puis son bras gauche.

Elle déboutonne son Levis. Désireuse de se toucher. Son expression d'attention concentrée fait place à celle d'une exaltation naissante. Se touchant de la main droite, elle me tend la poignée de la laisse de sa main gauche. Je me branle de la main droite. Je me colle contre le large bureau pour attraper la laisse. Elle aussi s'est levée afin que nos mains puissent se toucher. En tenant la laisse, je contourne le bureau. Je donne quelques à coups. J'ordonne : << À quatre pattes ! >>. Trop heureuse de vivre ces situations dont elle raffole, ma complice se met à quatre pattes. C'est ainsi que, lentement, je la promène dans toute la grande pièce. M'arrêtant pour lui permettre de lever la cuisse aux angles de chaque meuble. Je prends toutefois soin de rester sur les épais tapis. Trois tours de salon.

J'ordonne : << À genoux, mains sur la tête ! >>. Ma "Soumise" s'exécute immédiatement. Je frotte mon sexe mollasse sur son visage en esquivant son désir de le prendre en bouche. Droite, fière, Clémentine reste dans cette position pour me regarder lui tourner autour en me masturbant. Son regard implorant, plein de reconnaissance. Elle porte ses lunettes d'étudiante, cerclées de montures noires. Ses longs cheveux noirs encadrent son visage d'ange. L'éclat de ses yeux bleus qui me troublent jusqu'au plus profond de mon être. Ce délicieux sentiment que nous éprouvons tous les deux. Un sentiment où se mêlent hontes et excitations. Je m'approche en agitant ma queue pour la lui fourrer dans le bec. Ses joues soudain creusées par la passion du suçage, elle pousse un long râle de plaisir.

Il va être onze heures quinze. Si nous voulons partir le plus tôt possible, il est temps de reprendre nos esprits. J'ordonne : << Debout ! >>. Je me retire alors qu'elle émet un gémissement de déception. Je m'accroupis pour masser ses genoux endoloris. Je dépose des bises sur son front, le bout de son nez et sur ses lèvres humides de liquide séminal. Il y en a une perle qui a coulé sur son menton. De l'index je la récupère pour le lui faire sucer. C'est par la laisse que je l'entraîne jusqu'à la cuisine. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement d'un gros concombre. Je concocte la Béchamel pendant que rissolent les champignons avec l'émincé de dinde. Je coupe toujours la viande en fines lamelles. Tout comme les champignons. Nous portons nos tabliers noués sur les reins. C'est propre.

Clémentine râpe une tonne de gruyère en me confiant à quel point mes initiative de "Maître" la ravissent. << J'adore quand tu me fais ce genre de surprises. Tu ne le fais pas assez souvent tu sais ! >> lance t-elle alors que j'égoutte les coquillettes. Elle remplit les bouchées à la reine de l'onctueuse garniture. Je les cale dans le plat carré en y versant les coquillettes. Le tout recouvert d'une copieuse couche de gruyère Suisse, saupoudré de graines de sésame grillé. J'y dépose des cerneaux de noix avant que Clémentine ne mette le tout au four préchauffé à 300°. C'est donc très rapide. Le temps de mettre les assiettes, les couverts. D'aller dans la véranda pour voir comment évolue la météo, de nous embrasser passionnément, les mentons trempés et voilà la sonnerie du four qui retentit.

Nous mangeons de bon appétit alors qu'il n'est que midi. Nous ne traînons pas, la vaisselle. Pour ce soir nous dressons immédiatement la table. Le brossage des dents dans la salle de bain du bas. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales et les minis parapluies Queshua. Nous chaussons les grosses godasses. Les anoraks. La température est de 17°. Sympathique pour marcher dans les meilleures conditions. Nous montons jusqu'au portail. En traversant la route pour entrer dans la forêt, je saisis la laisse. << Mmhh, mon doux "Maître", vous m'emmenez en promenade ? >> lance ma "Soumise". Pour toute réponse je m'arrête. Je passe ma main entre ses cuisses pour lui rouler une pelle. C'est un véritable tapis de feuilles qui jonche le sol. Nous les foulons dans un bruit de papier froissé. Après la forêt nous longeons les clôtures des prés. De nombreux arrêts où j'embrasse ma "Soumise" avec passion. Elle en gémit de bonheur.

Quelques à coups sur la laisse lorsque je ralentis pour marcher derrière elle. Puis je tire fermement pour la dépasser. Voilà le labyrinthe et ses amas rocheux. L'arrêt pipi. Son jeans et sa culotte à mi cuisses, je tiens Clémentine sous les aisselles pour diriger ses jets de pisse. Je me mets à genoux la tête penchée en arrière afin de pouvoir la lécher. Elle en pousse de petits cris de ravissement. Debout au-dessus de moi dans une position inconfortable. Nous arrivons près de l'ancienne voie ferrée. La piste cyclable. Là-bas, la maison abandonnée du garde barrière. Le portillon du jardin ouvert sur les ronces, les orties et les hautes herbes. J'entraîne Clémentine en tirant sur la laisse jusqu'au cabanon ouvert lui aussi. Nous avons souvent baisé là, sur l'établi. Je suis certain que les taches sur le bois sont les reliquats de nos substances intimes sèches. À moins que d'autres viennent niquer ici ?

J'ordonne : << Accroupi ! >>. Clémentine obtempère en posant ses mains sur la tête, en équilibre contre les étagères sous l'établi. Je frotte ma bite sur sa gueule avant de la lui enfoncer dans la bouche. Je la tiens par ses oreilles. J'imprime un mouvement régulier du bassin pour me masturber dans sa cavité buccale. J'enfonce au maximum. Ce qui la fait tousser, elle manque de s'étouffer. Une larme s'écoule de son œil droit. Je me comporte en véritable pervers. Ses râles, ses gémissements et ses petits cris quand je relâche mon étreinte résonnent étrangement dans cet étroit espace en bois. Je me retire. J'ordonne : << Debout ! >>. Je me rends compte qu'entre temps, passionnée par mes agissements de vicelard, Clémentine était tombée à genoux. Je m'accroupis pour les essuyer de leur poussière et pour les masser alors qu'elle me confie à quel point ces moments de folie la comble. Clémentine est une authentique soumise.

Je ne suis qu'un "Maître" de circonstance. Je m'applique à interpréter le rôle au mieux. Nous ressortons pour reprendre notre marche. Clémentine me tient la main ou passe son bras autour de ma taille. Parfois c'est elle qui nous stoppe pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Je la tiens à la laisse lorsque nous arrivons aux Dolmens. Ce sont des concrétions naturelles qui rappellent les amas néolithiques Bretons. On peut y passer dessous. C'est là que je la fais sucer au moins pour la dixième fois. Les bruits de sabots. Nous ne sommes pas très loin du haras de Juliette. Clémentine se redresse précipitamment. Je la tire par sa laisse pour contourner les Dolmens. C'est une jeune cavalière. Elle découvre la scène. D'abord étonnée, consternée peut-être, elle nous adresse un merveilleux sourire. Je crois déjà l'avoir vu lors d'une animation équestre organisée les dimanches par Juliette. Elle aussi doit avoir la même impression. Elle s'arrête.

Son trouble a fait place à l'amusement. Il faut s'imaginer parcourir la campagne automnale dans la fraîcheur et sous la grisaille. Rencontrer un couple dont l'homme d'âge mûr tient une jeune fille à la laisse. Je laisse aux lecteurs de tenter de comprendre l'incompréhensible. Elle reste silencieuse. Observatrice. Tentant de comprendre. Nous restons silencieux, immobile. Nous nous sourions. Ce sont des instants d'une intensité indescriptible. La jeune fille s'éloigne en lançant : << Bonne promenade ! >>. Elle se retourne à trois reprises pour être certaine de n'avoir pas rêvé. Elle disparaît en direction des bâtiments du haras dont on aperçoit les toits au loin. << Nous venons peut-être de susciter une vocation ! >> me fait Clémentine en fourrant sa main dans ma braguette. Une nouvelle petite pipe. Si cette jeune écuyère revenait c'est un autre spectacle qui l'attendrait. Hélas, elles ne reviennent jamais...

Il est dix huit heures trente quand nous revenons. Fourbus non seulement par la marche mais également par toutes les émotions partagées. J'ai la bite qui colle au fond de mon slip trempé. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une salade de carottes. Je réchauffe les bouchées à la reine. Nous revenons sur notre rencontre de l'après-midi. << On se renseigne demain soir. Juliette pourra éclairer notre lanterne. Elle sait qui monte les chevaux, quand et où ! >> dit Clémentine en palpant ma bosse. Elle rajoute : << Tu n'as pas envie d'en savoir davantage quant à ces belles petites coquines très voyeuses qu'on rencontre parfois ? >>. Je confirme. Je trouve l'idée de se renseigner fort à propos. Je réponds : << Mais pas les lycéennes s'il te plaît ! >>. Clémentine me rassure en affirmant : << Celle-là ? Elle devait avoir dix neuf ou vingt ans. Les lycéennes sont au lycée les mardis après-midi ! >>. Clémentine a très probablement raison. Je ne discerne pas très bien. Je serais bien incapable de mettre un âge sur le visage angélique d'une jeune fille.

Estelle arrive un peu en avance. Elle me saute au cou pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Elle fait pareil à Clémentine en découvrant le collier canin où est encore fixée la laisse qui pend dans son dos. << Wouah ! Vous vous êtes fait une séance de dressage en extérieurs ! >> s'exclame t-elle en fourrant immédiatement sa main dans ma braguette. La sonnerie du four. Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous raconte ses journées de bureau avec sa maman dans l'entreprise familiale. Se levant parfois pour mimer une masturbation masculine avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. Je fais de même en agitant ma queue mollasse. Clémentine raconte nos aventures de l'après-midi. << Ce soir, "baise sur bureau" ! >> s'écrie Estelle en venant s'assoir sur mes genoux. Elle devra nous laisser pour vingt deux heures. Dès la vaisselle terminée elle nous entraîne au salon. Je la baise à la hussarde sur le bureau. Clémentine se masturbe en tournant autour de nous. Elle m'attrape les couilles par derrière. Se penche pour rouler des pelles à Estelle qui pousse de petits cris de ravissement.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines que les randonnées, les voyeuses, les pipes et les suçages de clitoris mettent dans des états de démences avancées...

Julien ("Maître" pour de faux - Mais vicelard pour de vrai)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 12 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2750 -



Soirée chez Juliette après la randonnée

Hier matin, mercredi, il va être neuf heures. C'est Clémentine qui nous tire du sommeil. << Plus rien ! >> murmure t-elle à mon oreille en se blottissant contre moi. Je ne comprends pas immédiatement. C'est quand elle saisit mon poignet pour glisser ma main dans sa culotte que je saisis. Ces "petits machins" sont terminés. J'adore passer mon index entre les lèvres charnues de sa vulve. C'est une sensation extraordinaire. Clémentine me chevauche pour se frotter sur mon érection naturelle. Une érection qui ne dure qu'une minute ou deux et qui n'a strictement rien de commun avec celle d'une quelconque excitation. Mais après ma petite caresse il se pourrait bien que la transformation ait lieu. Ce qui nous fait rire. L'impérieux besoin ne nous laisse pas jouir de l'idée bien plus longtemps.

Nous nous levons pour courir vers la porte. Il fait bien chaud dans la maison. Après le rituel pisseux, après l'eau sur nos visages, nous mettons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Nous dévalons les escaliers en nous tenant par la main. La cuisine respire rapidement les odeurs du café et celles du pain grillé. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant Clémentine me raconter ses rêves. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre superbe randonnée de mardi. << J'ai adoré être tenue à la laisse. C'est à refaire. Et je ne parle même pas de toutes ces choses que tu m'as infligé ! >> lance t-elle. Je me lève, je contourne la table. Je relève ses cheveux. Je colle mes lèvres dans sa nuque. J'adore le frisson qui la fait frémir. Des bisous. Je reviens m'assoir.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant la récidive possible cet après-midi. Dehors la météo est sensiblement la même. Un ciel uniformément gris. Une température de 14°. Pas un souffle de vent. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine m'écoute exposer mon plan. Si elle met une jupe, avec des collants, je pourrais la prendre durant quelques arrêts. Elle rit en proposant une formule simple. Elle possède un legging de lycra noir dont elle a soigneusement décousu le renfort de l'entre jambes. Un legging qu'elle met parfois. Un collant qui permet un accès à son intimité. Idéal pour des exhibes hivernales. Clémentine va donc le porter cet après-midi. C'est parfait car je pourrais la prendre debout et n'importe où. Il suffit de définir notre itinéraire.

Je suggère de prendre la voiture. De partir en fin de matinée. Avec des sandwichs préparés. De garer la voiture sur le parking de la supérette au port de plaisance. De monter jusqu'au cimetière médiéval. De là, prendre le circuit des collines. Nous sommes attendus chez Juliette pour dix neuf heures trente. Nous irons manger chez elle sans nous changer. Clémentine approuve chacune des propositions. Elle enfonce sa langue sucrée dans ma bouche. Ce baiser me fait bander. Nous sommes déjà bien excités à l'idée de la randonnée "baise" qui nous attend. La vaisselle. Brossage des dents. Il faut enfiler les K-ways. La fraîcheur est plus marquée que mardi matin. Quelques mouvements d'échauffement. Nous descendons jusqu'à la rivière pour la longer en courant. D'un rythme soutenu.

Une heure d'un running passionnant. La douche. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, de nos baskets, nous redescendons jusqu'au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine interroge nos boîtes mails. Un message de l'université. Ce sont les horaires de cours. Clémentine se voit proposer quatre heures de recherches. Une section du laboratoire est à sa disposition. Celui consacré aux minéraux. Elle se réjouit. Je caresse ses seins minuscules. Plus aucun risque de provoquer une quelconque douleur. Elle en gémit entre deux lectures à haute voix. Elle m'explique. Il y a dix sept heures de cours et quatre heures de recherches. Vingt et une heures de cours par semaine. << C'est génial ! >> s'écrie t-elle en se levant pour changer de position. À califourchon sur mes cuisses.

En se frottant elle me confie ses ravissements à la perspective de cette première expérience professorale. << Au labo j'aurais trois étudiants sous ma direction ! >> rajoute t-elle. Moi aussi je me réjouis pour cet avenir proche. Nous quittons le salon pour la cuisine. Il va être onze heures. Je propose de téléphoner au restaurant du port de plaisance. Ils y font d'excellentes pizzas. Pourquoi ne pas filer immédiatement pour manger là-bas ? Clémentine me saute au cou. << Alors viens, je vais me changer ! >> s'exclame t-elle en m'entraînant par la main. Nous remontons les escaliers à toute vitesse. Clémentine emmène les vêtements dans la salle de bain. Notre chambre n'étant pas chauffée, il serait désagréable de s'y changer. Son legging avec le trou, invisible si on n'y regarde pas de près. Noir, luisant. Une jupette d'épais coton noir. Elle garde sa chemise à carreaux verts et rouges. Je reste vêtu comme je le suis. Prêts à nous enfuir.

Dans le petit sac à dos, deux pommes, la thermos de thé bouillant, les minis parapluies. Nous dévalons les escaliers. Clémentine téléphone pour réserver une table. C'est parfait. Il est onze heures quinze quand nous sommes en route. Il y a trente cinq kilomètres. Elle joue avec ma queue. Je peux la doigter de ma main droite. Ça rentre facile. Ce legging est une bénédiction. Nous nous garons sur le parking. Il est étrange de découvrir cet endroit que nous aimons beaucoup par ce temps. Personne sur les quais à l'abandon. Clémentine sautille autour de moi. Attrape ma main. Avec toutes ces bonnes nouvelles il y a de quoi se réjouir. Nous marchons d'un bon pas jusqu'au bout de la jetée. Une table nous attend au "Restaurant du port". Peut-être une dizaine de clients dans la salle. Parfait.

Ce ne sont pas des pizzas que nous prenons mais un "repas campagnard" constitué de tranches de tourtes à la viande de bœuf accompagnées de haricots verts, de pommes sautées et de petits pois. Il y a deux employés en tenues de travail à la table qui nous fait face. L'un d'entre eux n'arrête pas de jouer du regard pour tenter de capter celui de Clémentine. Mais c'est sous notre table qu'il regarde au bout de quelques minutes. Est-il possible de bien voir dans l'obscurité ? De découvrir ce petit trou béant dans le collant ? Les lèvres charnues de la vulve de Clémentine évoquent les pétales d'une tulipe. Son clitoris géant, s'il est visible, doit être équivoque. Serait-ce la petite bite d'un "transgenre" ? Nous rions de toutes ces hypothèse et bien évidemment Clémentine, cuisses largement écartées, s'amuse. Elle me raconte puisque je tourne le dos à la salle. M'expliquant ce qu'elle fait et ce qui se passe. Le type est le seul à pouvoir s'offrir le spectacle.

Le dessert, le café, l'addition et nous voilà sur les quais. La température est de 18°. Nous montons le chemin raide qui mène au sommet de la colline. Le cimetière médiéval est désert. Nous sommes tous les deux excités. Le caveau de famille, minuscule reproduction d'un château, dont les deux battants de la porte sont toujours ouverts, nous accueille une fois de plus. Nous avons baisé là à plusieurs reprises. Avec Estelle le plus souvent. << Une petite pensée pour elle ! >> lance Clémentine en s'accroupissant pour extraire ma queue. Je bande rapidement dans sa bouche. Elle se redresse pour s'installer sur un des deux sarcophages de pierre. C'est la bonne hauteur. Je peux la pénétrer debout. En appui sur ses coudes. Je tiens ses chevilles. Je l'aime quand elle est en collants noirs, des chaussettes beiges dans ses grosses chaussures de marche. C'est pour moi le comble de l'érotisme. Je ne lui pas l'amour. Non ! Je la baise à donf.

Je me comporte en hussard. Parfois elle redresse la tête, ouvre ses yeux, tout en gémissant à me fixer. Un regard plein de reconnaissance. M'implorant à surtout ne pas cesser. C'est tellement bon que je pourrais éjaculer. Nous restons là une bonne vingtaine de minutes. C'est amusant d'avoir trop chaud alors qu'il ne fait que 18°. Nous quittons le cimetière pour descendre jusqu'au col à environs trois cent mètres. La croisée des sentiers balisés, indiqués par des symboles. Nous prenons à gauche. Ce sentier reste à flancs de collines. Nous ne croisons personne. Marchant main dans la main, nous arrêtant parfois pour nous rouler des pelles. Nous tripoter. J'ai souvent mes doigts dans l'intimité de ma randonneuse. J'ai très souvent la bite dans sa main. L'abri en bois. Deux tables entourées de bancs. Un panneau d'affichage des "Amis de la Nature" décrivant la flore et la faune. La seule flore qui m'intéresse est celle entre les cuisses de Clémentine.

La seule faune qui l'intéresse est l'ours qui l'accompagne. À nouveau en appui sur ses coudes, elle me regarde la pénétrer comme si c'était une première fois. Je la baise à la hussarde sur une des deux tables. Le coup du legging troué est un des plus fameux. Nous nous promettons de récidiver de multiples fois. Le lycra est une matière à la fois respirante et chaude. Elle n'accumule pas la transpiration. Quand je me retire c'est pour m'assoir sur ce banc qui me gêne un peu derrière les genoux quand je nique. Je peux me bouffer la chatte juteuse de Clémentine. Sucer son clitoris géant. Les écoulements de jus de fille m'enivrent. Surtout quand je l'entends pousser de petits cris d'animal blessé. Vingt minutes de folies pures avant de reprendre le chemin. Nous croisons un petit groupe de randonneurs.

Seule rencontre de l'après-midi. Une troisième baise sur le "Rocher du corbeau". Magnifique panorama sur toute la plaine lointaine. Là, c'est couché sur elle que je la tringle à la hussarde. Le petit sac à dos étant le coussin parfait. Je reste toutefois en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. La dureté de la roche étant assez rapidement désagréable pour le dos de Clémentine. Surtout qu'elle est agitée de mes assauts incessants. Je pousse des cris d'ours en rut. Elle pousse des cris d'hystérique en soin psychiatriques intensifs. Nous repartons. C'est une boucle d'environs trois heures de marche en temps normal. Mais avec les arrêts coïts, il faut rajouter deux bonnes heures. Il est dix huit heures trente quand nous revenons à la voiture. Fourbus et éreintés. Nos sexes congestionnés.

<< J'ai la cramouille en feu ! >> me fait Clémentine alors que prenons la route. Elle me suce. Je me contente de caresser les lèvres coulantes et charnues de sa vulve. Je n'ose plus y enfoncer les doigts. Trente cinq kilomètres et nous arrivons dans la cour du haras. Il fait déjà nuit alors qu'il n'est que dix neuf heures vingt. Juliette vient nous accueillir. Elle sort de l'ancienne écurie. À contre jour, dans sa tenue d'écuyère, elle est monstrueusement sexy. Une taille de guêpe soulignée de hanches qui bougent au rythme de ses pas rapides. Nous nous faisons la bise. << Venez vite, j'ai préparé une bonne et belle surprise ! >> lance t-elle. Nous la suivons dans l'escalier jusque dans ses appartements au dessus des bureaux déserts. Magnifique. La table est mise. L'odeur caractéristique de la pierrade. Il y a déjà des petits morceaux de volaille qui grillent.

La belle et bonne surprise est une sublime tarte aux champignons accompagnée de petites tranches de viande qui grillent sur la pierre chaude. C'est un délice. Juliette nous raconte ses journées harassantes. Quatre vingt sept chevaux en pensions. Elle en arrive toutefois très vite au sujet commun que nous partageons, le sexe. Une fois encore notre amie propose un gloryhole. Clémentine me consulte du regard. Je l'encourage à retrouver les plaisirs très particuliers du trou à bites multiples. Clémentine prétend s'être calmée un peu question pompage de bites inconnues. Mais la perspective de s'y livrer avant les fêtes de fin d'années n'est pas sans éveiller de vieilles pulsions. Nous rions beaucoup à l'évocation des partouzes et des gloryholes vécus ensemble ici depuis près de sept ans. L'idée fait son chemin. Il va être vingt et une heures trente. La fatigue nous fait bâiller. Juliette nous raccompagne à la voiture. Je passe ma main entre ses cuisses.

Bonne nouille à toutes les coquines qui se font encore lécher et sucer un peu avant de plonger dans un profond sommeil. Le goût du sperme dans la bouche...

Julien (Hussard)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 13 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2751 -



Estelle vient nous rejoindre en soirée

Il est huit heures trente, hier matin, jeudi. Clémentine me tire de mon sommeil en se frottant contre ma hanche. J'adore lorsqu'elle tente d'avoir un propos intelligible. Ce n'est possible qu'après la troisième tentative. Ça nous fait rire aux éclats. Elle finit par pouvoir articuler : << J'ai fait un rêve coquin ! >>. Mon érection naturelle qu'elle saisit avant de poser sa cuisse dessus et de passer l'autre sous mes fesses. Elle se masturbe toujours réellement. Je suis étonné par la ferveur qu'elle y met. Je l'encourage en passant mon bras autour de ses épaules pour la serrer contre moi. << Mmhh, c'est bon comme ça ! >> fait elle dans un souffle. je murmure : << Mademoiselle, aujourd'hui encore vous me voyez dans l'obligation d'appliquer un comportement déviant à votre intention ! >>

Nous en rigolons comme des bossus en nous précipitant aux toilettes. De se mettre de l'eau fraîche sur le visage à la salle de bain, nous met les idées au clair. Nous revêtons nos tenues de jogging pour dévaler les escaliers. Clémentine prépare le café en me racontant son rêve coquin. Il y est question du confessionnal d'une église où elle taille une pipe à un parfait inconnu qui passe sa bite par un trou. J'écoute amusé car je fais le lien avec la conversation de mercredi soir chez Juliette. Sa proposition d'un Gloryhole chez elle au haras. Un rêve qui termine dans le surréalisme habituel puisque cet individu lui offre deux toiles. Je beurre les tartines sur lesquelles j'étale les fines tranches de bacon. Ce matin, c'est un petit déjeuner à l'Écossaise. Avec deux œufs au plat. Pour rester dans l'ambiance.

Car Clémentine prétend que son rêve coquin se situait quelque part dans une église Écossaise. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Juliette. Nous lui avons raconté notre rencontre de mardi après-midi, durant notre randonnée, avec une jeune fille qui montait un des chevaux en pension. Juliette nous a promis de consulter le registre. La secrétaire note qui monte et à quelle heure. Nous aurons ce renseignement par courriel ce matin. Nous mangeons de bon appétit en envisageant l'activité de l'après-midi. Différents parcours de randonnées. Ils nous plaisent tous. Clémentine propose de nous trouver un itinéraire où il y aurait une église. << J'aimerais beaucoup réaliser dans la réalité. Tailler une pipe dans un confessionnal. Ça doit être épique ! >> dit elle.

Nous rions à l'idée de nous retrouver dans une telle situation. Elle rajoute : << On se fait le circuit qui contourne le bourg. Au lieu de monter jusqu'à l'ancien couvent, on descend au village ! >>. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, la fille que j'aime et qui me passionne, développe cette possibilité. J'écoute amusé mais avec beaucoup d'intérêt. Je demande : << Et l'inconnu ? Tu crois qu'il y en aura un dans l'église ? >>. Elle s'écrie : << Mais tu interprètes le rôle ! >>. Nous en rions de bon cœur. La météo est légèrement différente. Le ciel est d'un gris clair. La température de 14°. Clémentine consulte les prévisions. << Le temps va rester comme ça toute la journée ! >> précise t-elle. La vaisselle. Brossage des dents. Nous enfilons les K-ways avant de sortir.

Pas un souffle de vent. Quelques mouvements d'échauffement. C'est comme les jours précédents, le long de la rivière que nous courons. Une heure d'un superbe running. La douche. Nous portons nos jeans, nos sweats, nos baskets pour redescendre et passer au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois mails. Celui de maître Rober notre notaire. Il a eu rendez-vous mardi avec l'éventuel acheteur des immeubles résidentiels que je compte vendre. Il me tiendra informé des suites. Le message de Juliette qui a fait ses recherches. la jeune cavalière croisée mardi s'appelle Séverine. Elle est la fille des propriétaires de quatre chevaux en pensions. Dix neuf ans, première année du tronc commun de médecine. Un courriel d'Estelle qui confirme sa venue ce soir.

Dans son mail Juliette nous propose d'organiser un "plan". Une rencontre avec la jeune écuyère qui monte tous les mardis et les vendredis après-midi de seize heures à dix huit heures. Clémentine, alors que je caresse ses seins minuscules, s'empresse de répondre que nous sommes évidemment très intéressés. Pourquoi ne pas organiser ce "plan" demain, vendredi ? Clémentine se lève, change de position pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. En se frottant, ses bras autour de mon cou, elle dit : << J'adore quand tu fais ton vicieux avec d'autres filles. Tu sais que ça me passionne toujours un peu plus ? Surtout quand c'est préparé ! >>. Nous en rions de bon cœur quand je réponds : << Aux écuries, pourquoi ne pas faire d'une pierre deux coups ? Avec Elliot le nouveau palefrenier ? >>.

Clémentine se remet en position d'écriture pour écrire un second message destiné à Juliette. Nous n'attendons pas longtemps. Voilà son I-phone qui vibre avant de chanter. C'est Juliette. Elle promet de nous soigner "aux petits oignons". Elle nous attend demain, vendredi, pour quinze heures quarante cinq. Le temps de mettre en œuvre la stratégie qu'elle nous soumettra. << C'est absolument divin de faire partie d'un "Club" de déviants ! >> lance Clémentine. Elle se lève. Me prend les mains pour m'entraîner jusqu'au canapé. M'y fait tomber avant de s'accroupir entre mes jambes écartées. J'ai rapidement la bite à l'air. En jouant avec ma queue Clémentine me donne ses impressions. Quant à notre projet de cet après-midi et quant à celui de demain au haras. Je caresse ses cheveux en l'écoutant.

Elle me suce par séquences de quelques minutes. Avec avidité. Puis elle cesse pour partager les idées qui traversent son esprit. Il va être onze heures quinze. Je propose un gratin de pommes de terres pour ce soir. Du riz complet avec des nems à midi. Elle est à genoux sur un des épais coussins. Arrête de sucer pour suggérer : << On mettra des lardons avec les patates. On se fait un gratin paysan ! >>. Elle se redresse, essuie sa bouche, saisit mes mains pour m'entraîner à la cuisine. Pendant que gonfle le riz complet, que réchauffent à feux doux quatre gros nems au crabe, nous épluchons les pommes de terre. Après les avoir lavé nous les coupons en tranches pour les ébouillanter quelques minutes. Je fais revenir les lardons à la poêle. Clémentine fait le mélange œuf, crème fraîche et lait de soja.

J'égoutte les patates pour les verser dans le plat carré en terre cuite. Elles s'écrabouillent en purée. Je rajoute les lardons. Clémentine remue l'ensemble pour bien mélanger. Je verse le liant. On recouvre d'une copieuse couche de gruyère Suisse. De graines de sésame grillées. Des cerneaux de noix. Au four pour laisser mijoter longuement à seulement 100°. J'aide à la préparation de l'assaisonnement du gros concombre avec un avocat. Morts de faim nous mangeons de bon appétit alors qu'il n'est pas tout à fait midi. Nous mettons au point notre projet de l'après-midi. C'est à partir de la maison que nous partirons pour le bourg voisin, distant d'environs trois kilomètres. Nous le contournerons à flancs de collines pour y redescendre au-dessus de l'église. En espérant qu'elle soit ouverte.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Le brossage des dents dans la salle de bain du bas. Dans le petit sac à dos, thermos de thé bouillant, deux pommes, les barres de céréales, les deux minis parapluies. La température extérieure est de 17°. Le ciel s'assombrit légèrement sans toutefois présenter la moindre menace. Clémentine remonte à toute vitesse pour s'habiller comme hier. De son legging noir troué à l'entre jambes, de sa jupette d'épais coton noir. Nous chaussons nos grosses godasses. C'est parti. Nous descendons jusqu'à la rivière. Au lieu de prendre le sentier de gauche habituel, nous prenons celui de droite. Il est plus escarpé et rocheux. Trois bornes jusqu'au bourg. Avec des arrêts où je doigte Clémentine qui me branle. Aucun risque de se faire surprendre sur ce tronçon.

Nous contournons le bourg pour prendre le chemin qui mène aux collines. Une fois en altitude, avec la petite paire de jumelles nous observons la maison et les bâtiments de l'entreprise familiale d'Estelle. Nous l'imaginons dans les bureaux avec sa maman. Affairées toutes les deux à des travaux de comptabilités. Nous nous embrassons passionnément en envisageant la soirée qui nous attend avec elle. Nous croisons un groupe de marcheurs. Pour dissimuler ma bite raide comme un piquet, Clémentine se colle à moi, ses bras autour de mon cou. Non, messieurs dames, je ne suis pas le papa de la charmante demoiselle qui m'étreint ainsi. Considérablement excités nous prenons le chemin qui descend vers la Mairie. Le petit square qu'il faut traverser jusqu'au parvis de l'église.

Personne. L'édifice est ouvert. Il n'y fait pas chaud. Seul les vitraux laissent passer le peu de lumière. Il faut s'habituer à la pénombre qui règne dans cette vieille église. Il y a deux confessionnaux sur la droite, derrière les colonnes. J'entre par la porte centrale. Clémentine fait quelques pas. J'ouvre la minuscule fenêtre à croisillons de bois derrière laquelle officie le prêtre lorsqu'il écoute les vilains pécheurs qui viennent raconter leurs histoires. Environs dix centimètres sur dix. Il y a de la poussière. Clémentine entre dans l'étroite cabine de droite. Elle s'y met à genoux. Je passe ma bite. Je colle mon bassin contre la cloison. Les lèvres de ma suceuse, telles des ventouses, se referment sur ma queue raide comme un piquet. Je l'entends gémir de plaisir. Je reste aux aguets. On ne sais jamais.

Le plaisir est double. Clémentine peut s'offrir sa préférence et vivre son rêve de la nuit. Mes lombaires sont toutefois rapidement douloureuses. La position est inconfortable. Il y a ce banc où s'assoit l'officiant et qui gêne. Je suis tordu au niveau des reins. Un confessionnal n'est pas spécialement conçu pour les fellations. Les dévots qui les fréquentent y viennent pour de toutes autres raisons. Je me fais tailler une superbe pipe des familles. Hélas, cela ne dure qu'une dizaine de minutes. Voilà un couple de séniors. Nous restons cachés. Clémentine derrière le rideau, moi dans la cabine. Pourvu que ces deux visiteurs ne viennent pas par là !. Non, ils se contentent de faire le tour de l'intérieur de l'édifice avant d'en ressortir. Nous quittons notre cachette. Je prends Clémentine sur une table.

Derrière l'hôtel il y a une échelle, une table, des caisses à outils. Je la baise à la hussarde. Il faut à nouveau cesser car l'I-phone se met à vibrer. Je me retire. Clémentine le sort du sac que je porte sur le dos. C'est Estelle. Elle ne pourra pas nous rejoindre ce soir et nous retrouve samedi après-midi pour passer le week-end avec nous. Nous reprenons notre baise en enchaînant les séquences lascives et les moment de ruts intenses. Je lèche et je suce Clémentine vautrée sur la table, entre des cierges, des bouteilles vides et des tournevis. Elle me lèche et me suce accroupie alors que je reste en appui contre le bord de la table. Il va être dix sept heures. Il y a du bruit. Des voix. Nous cessons pour jouer aux visiteurs. Ce sont les gens faisant partie de la chorale. Ils s'apprêtent à répéter.

Nous revenons par le même chemin sous un ciel devenant menaçant. Même si nous sommes équipés l'idée de devoir rentrer sous la pluie force nos pas. Nous arrivons au sec pour dix huit heures cinquante. Quelle surprise. Estelle a réussi à se libérer. Elle nous saute au cou. M'embrasse, embrasse Clémentine. Il suffit de réchauffer, de faire l'assaisonnement de la salade de choux. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte nos aventures de la journée. << C'est l'église où nous avons fait notre communion ! Tu te rappelles ? >> lance Estelle. Clémentine répond : << Oui, et j'ai fait ma prière cet après-midi ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle veut absolument voir le trou du legging. Clémentine s'assoit sur la table pour le montrer. Estelle pousse la chaise. S'y assoit pour savourer les jus de Clémentine. Je me masturbe en assistant à ces fééries. La vaisselle. Les filles continuent au salon. C'est mon spectacle de la soirée.

Bonne nouille à toutes les coquines qui, après s'être fait baiser, lécher, sucer, se régale de quelques rasades de foutre sous les draps. Amen...

Julien (confesseur pour jeune fille pécheresses)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 14 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2752 -



Après-midi à bicyclettes

Hier matin, vendredi, il va être neuf heures. Clémentine, en gémissant, vient se blottir tout contre moi. Je passe mon bras autour de ses épaules pour la serrer fort. Mon érection naturelle et naissante qu'elle saisit en murmurant : << Bonjour monsieur ! >>. Des bisous, des papouilles alors que je défais quelques nœuds dans sa culotte. Nous nous précipitons aux toilettes. Impossible de résister plus longtemps. De la flotte sur nos visages avant de mettre nos vêtements de sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. En faisant le café, alors que je presse les oranges, que je pèle les kiwis, Clémentine me raconte ses rêves de la nuit. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée de jeudi et sur la soirée cunnilingus entre filles qui s'en est suivie avec Estelle.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Dehors, le ciel est presque entièrement bleu. Il va faire beau. Pour en avoir la certitude Clémentine consulte la météo. << On ne va pas s'emmerder à l'intérieur, que ce soit dans les écuries ou ailleurs, on part à bicyclette cet après-midi ! >> lance t-elle. J'applaudis à cette suggestion. Il faut profiter de chaque opportunité de beau temps que nous offre encore l'automne. La vaisselle. Brossage des dents avant d'enfiler les K-ways. La température extérieure étant de seulement 14°. Quelques sauts, quelques flexions et quelques pompes sur le perron. C'est parti. Une heure de jogging le long de la rivière avant de revenir pour une bonne douche. Vêtus de nos jeans, de nos sweats, baskets, nous redescendons au salon.

Eh oui, comme pour chacun d'entre nous, l'existence n'est qu'une suite de rituels. L'un des suivants nous concernant est d'allumer l'ordinateur. Assise sur mes genoux, me tournant le dos, Clémentine ouvre nos boîtes mails. << Il faut prévenir Juliette. Elle ne nous verra pas cet après-midi. Tant pis pour le plan Séverine. Tant pis pour le plan Elliot. Nous serons en pleine liberté ! >> s'exclame t-elle en faisant le courriel destiné à notre amie. Un petit tour sur le site de l'université où Clémentine découvre enfin son programme d'enseignement. Les matières qui lui sont conférées. Exactement 21 heures de cours chaque semaine. Principalement en matinée. Ce qui convient parfaitement. Viennent s'y rajouter quatre heures de recherches en laboratoires. Elle est à s'en réjouir. C'est super.

Comme toujours, lorsque nous désirons une information digne de confiance, nous allons sur le site CrowdBunker ou sur Odyssée. Aucune censure, aucune orientation autre que la vérité. Tout ce qui est censuré partout ailleurs se retrouve sur ces sites dénoncés "complotistes" par les médias mainstreams aux ordres et la cohorte des imbéciles qui les écoutent aveuglément. << En zones libres ! >> comme le souligne ce matin encore la fille que j'aime. Il va être onze heures. Comme à chaque fois qu'il fait beau, afin d'en profiter, nous quitterons la maison le plus tôt possible. Nous allons à la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de tomates. Je fais rissoler deux grosses escalopes de dindes avec des champignons. Je rajoute de la crème fraîche. Dans l'autre poêle je fais cuire de la courgette et de l'aubergine. Clémentine râpe une tonne de Parmesan. C'est une préparation rapide et succulente que nous savourons. Un véritable délice.

Pas une seconde à perdre. La vaisselle. Le brossage des dents. Nous remontons nous mettre en tenues. Clémentine porte son legging à l'entre jambes troué, sur une culotte noire. Elle déteste le contact à crue sur la selle. Je porte le mien. Nos sweats de lycra rouge. Baskets. Nous redescendons à toute vitesse. Dans le petit sac à dos, les K-ways, la thermos de thé bouillant, deux pommes, les barres de céréales et la minuscule paire de jumelles. Un rapide contrôle de la pression des pneus, de la tension des chaînes. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois qui l'enjambe, cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Il fait beau. 19°. Pas le moindre souffle de vent. Un ciel bleu que strient les chemtrails de traînées blanches et vaporeuses. Nous croisons des cyclistes.

Il n'est que midi trente et nous voilà déjà à savourer cette merveilleuse journée. L'illusion est trompeuse en nous disant que nous pourrions êtres en short et jupette. Les leggings, c'est juste parfait. Nous parcourons les vingt cinq kilomètres en bavardant. Clémentine est impatiente de retrouver son université. Mais cette fois en tant qu'enseignante. << Il va falloir que je réfrène mes tendances exhibitionnistes devant mes étudiants ! >> lance t-elle lorsque nous arrivons au port de plaisance. Rires. Il y a les joueurs de pétanque. Des groupes de cyclistes. Des promeneurs. Nous fermons les vélos à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. Je surveille. C'est rapide. Clémentine retire ses baskets, son legging et sa culotte pour tout remettre sauf la culotte qu'elle fourre dans le sac à dos.

Elle s'accroupit, cuisses largement écartées en me demandant : << C'est comment ? >>. Je réponds : << C'est parfait ! >>. Elle se redresse pour tirer sur les lèvres charnues de sa vulve afin qu'elles dépassent un maximum. Son clitoris géant est un véritable défi à sa condition de femme. C'est impressionnant. Elle m'attrape la main pour m'entraîner sur les quais. En marchant, ses intimités sont quasiment invisibles. Si on ne fait pas attention. Sinon, tout est exposé avec une indécence folle. Il suffit qu'elle reste droite, immobile, pieds écartés à la largeur de ses épaules pour découvrir l'impensable exposé ainsi en extérieurs. Nous en rions avec délectation. Je bande comme le dernier des salauds. Ce qui déforme l'avant de mon collant noir d'une énorme bosse. Un couple d'exhibitionnistes.

Nous flânons ainsi, main dans la main, attirant quelques regards curieux. Non messieurs dames, je ne suis pas le papa de cette sublime jeune fille. Et pour en persuader les curieux, Clémentine me fait des bises sur la bouche. Nous descendons vers les bâtiments des sanitaires. Devant les toilettes publiques, fermées, c'est le rendez-vous de la jeunesse du bourg. Les scooters garés un peu partout. Du rap qui résonne. Nous évitons en contournant le dépotoir que devient l'endroit. Canettes de sodas, emballages de chips, de bonbons, vides jonchant le sol. Nous longeons le canal. Il y a là de bons plans exhibes. Plus un seul bateau sur ses eaux, la saison est terminée. Par contre, de l'autre côté, sur la piste cyclable, des cyclistes solitaires constituent parfois des victimes idéales. Voyeuses.

Ce qui est le cas avec ce jeune homme à l'arrêt, la barre de son vélo de course entre les cuisses et qui consulte son téléphone. Je reste en retrait. J'ai ce réflexe car nous sommes télépathes. Je sais la fulgurance qui traverse à l'instant l'esprit de ma complice. Les cachettes ne manquent pas avec les fourrés de ronces aux magnifiques couleurs d'automne. Au reflets dorés sous le chaud soleil. Clémentine se rapproche de l'eau. Elle s'accroupit. Elle me tourne le dos. Par contre je vois notre gaillard découvrir cette sublime jeune fille accroupie au bord du canal. Une vingtaine de mètres qui les séparent. Impossible de ne pas comprendre. Elle s'apprête à pisser. Ses longs cheveux qui masquent son visage baissé. De larges lunettes noires de soleil contribuent à préserver son anonymat. Superbe.

Il n'y a personne qui passe. Ni sur cette rive, ni sur l'autre. Elle pisse. Plusieurs jets incroyables qui viennent se briser à quelques mètres sur la surface des eaux. Le type, comme halluciné, mais sans cesser de parler au téléphone, observe la scène avec beaucoup d'intérêt. Clémentine relève la tête. Elle fixe ostensiblement le voyeur. Il comprend que c'est une situation voulue. Qu'il a affaire à une merveilleuse salope. Elle fait durer. Entrecoupant ses multiples jets de longues secondes d'arrêts. Je me branle. J'ai assisté à ces spectacles d'innombrables fois. Mais c'est encore une grande première. Quand Clémentine lâche ses dernières giclées, en se touchant, c'est pour se redresser à la limite de l'ankylose. La crampe qu'elle veut éviter. Debout, cambrée sur ses genoux fléchis, à se toucher.

Le bienheureux ne rate rien du spectacle. Le téléphone dans sa main gauche, collé à son oreille, il se touche de la main droite. Un groupe de marcheurs. Clémentine vient me rejoindre. Là, dans l'herbe, sur les feuilles mortes, je la baise. C'est rare que nous puissions le faire immédiatement après son exhibe. C'est merveilleux. Divin. Elle en pousse de petits cris d'animal blessé. Clémentine se masturbe toujours en baisant. Tenant son clitoris entre le pouce et l'index comme une petite bite de la taille de la première phalange d'un pouce d'homme. Il faut cesser. Des voix, des rires. Ce sont d'autres marcheurs qui viennent par là. Nous retournons sur les quais. Nous les avons bien mérité nos pots de crème glacée Ben & Jerry's que nous achetons à la supérette. Nous les dégustons sur le banc.

Il y a toujours au moins un joueur de boules que l'attractivité de Clémentine perturbe. Celui de cet après-midi n'arrête pas de lorgner par là. À chacun de ses regards, elle écarte ses cuisses. J'imagine ce que provoque la vue des intimités de Clémentine sur la psyché de celui qui les découvre. Le petit sac à dos qu'elle pose sur le banc, entre ses cuisses et qu'elle ne déplace que par instants précis pour s'offrir aux regards concupiscents du bouliste. Parfois d'un cycliste solitaire poussant sa machine. Quelquefois je passe ma main entre ses cuisses pour la doigter. << C'est génial ! >> gémit elle dans un souffle. Je me pourlèche les doigts trempés de ses jus de fille. Et il en coule avec abondance. Nous quittons pour trouver un coin à baise. C'est trop fort. L'après-midi passe ainsi. Sublime.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui apprécient les courgettes et les aubergines réchauffées accompagnées d'une omelette au lard, avant de savourer de la queue. De se faire baiser, lécher, sucer en hurlant de plaisir. Avant un bon dodo...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 15 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2753 -



Un beau dimanche

Malgré l'heure confisqué, et du sommeil en plus, notre grasse matinée du dimanche nous emmène jusqu'aux environs de neuf heures. Estelle à ma droite, accrochée à moi toute la nuit comme une naufragée à sa branche. Clémentine à ma gauche qui vient se serrer. C'est ainsi que dans l'enchantement paradisiaque dominical nous revenons aux réalités du monde. De notre petit monde. Estelle, dont c'est le troisième et dernier jour de ses "petits machins", me saisit la tumescence d'une poigne ferme. Je glisse mes mains dans les culottes pour recoiffer les touffes. Des bisous, des papouilles, des câlins avant qu'Estelle, ne pouvant plus lutter davantage, ne se lève pour courir vers la porte. Avec son : << pipi ! >> qu'elle prononce en imitant mon accent Écossais. Clémentine sur moi.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la salle de bain. Nous arrosons nos visages d'eau fraiche avant de nous habiller de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Les baskets pour dévaler les escaliers animés par une faim de loups. Estelle fait le café. Clémentine coupe la brioche au pudding. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons le petit déjeuner en revenant sur notre virée à bicyclette de samedi après-midi. Ce dimanche promet une météo très semblable. Nous mangeons en envisageant déjà la randonnées de cet après-midi. Le ciel est presque entièrement bleu. Le soleil brille. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évoquent le futur qui s'annonce. La vie professionnelle à venir.

La vaisselle. Nous remontons nous brosser les dents, recouvrir le lit, fermer la porte fenêtre. Préparer nos éventuels vêtements vélos dans la salle de bain. Estelle propose de déjà nous en revêtir. Nous ne partirons qu'après le repas de midi. Le plus tôt possible. Et, comme tous les dimanches, ce sera poulet et frites. Nous dévalons les escaliers pour enfiler les anoraks. La fraîcheur matinale est un sérieux contraste avec l'impression visible depuis l'intérieur. La température extérieure est de 12°. Dissuasive. Il faut mieux mettre les bonnets. Nous descendons jusqu'à la rivière en nous tenant par les mains. Pas un souffle de vent. Un tapis de feuilles de plus en plus épais recouvre le chemin. Puis le sentier que nous prenons en admirant les couleurs de l'automne. Estelle et Clémentine souvent contre moi.

Nous nous roulons de petites pelles. Nos langues allant d'une bouche à l'autre. Je me fais palper la braguette. Mes mains entre les cuisses de mes deux anges. Les canards, les poules d'eau et les colverts qui virevoltent en cancanant sur la surface de l'onde. C'est bucolique malgré le froid qui picote le bout du nez. Nous hésitons. Randonnée à bicyclette ou randonnée pédestre ? Clémentine suggère de nous laisser aller aux inspirations d'après repas. Nous revenons à la maison. Il est onze heures quinze. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue. Estelle s'occupe du poulet à rôtir. J'épluche, je lave et passe les pommes de terre au coupe frites. La friteuse électrique et sans huile préparée sur la desserte. C'est une préparation méthodique, rapide et efficace puisque nous mangeons dès midi pile.

Il est finalement décidé de randonner à pieds. C'est beaucoup plus judicieux car avec l'heure confisquée, la nuit commencera à tomber après dix huit heures. Ce qui limitera considérablement la promenade. La vaisselle. Nous faisons les clowns devant le miroir de la salle de bain, nous brossant les dents en émettant des borborygmes et des mugissements. Nous restons donc vêtus de nos mêmes habits. Nous redescendons à toute vitesse. Dans le petit sac à dos, les pommes, la thermos de thé bouillant. Les barres de céréales. La température extérieure est de 19°. Nous chaussons les grosses godasses. Les anoraks noués par leurs manches autour de la taille. Nous quittons la maison pour monter jusqu'au portail. Traverser la route pour entrer dans la forêt. Le chemin recouvert de feuilles.

Nous ne regrettons pas un seul instant le choix de la randonnée pédestre. C'est magnifique. Estelle à ma droite qui tient ma main. Clémentine à ma gauche me la tenant également, nous pouvons évoluer en bavardant. Les filles se projettent une nouvelle fois dans l'avenir. Évoquant nos vacances de fin d'année à Édimbourg. Avec Estelle ce sera très certainement la toute dernière fois. Elle quittera la France pour Los Angeles le vendredi 3 janvier. << Vous serez obligés de revenir plus tôt à cause de moi ! >> lance Estelle. Clémentine la rassure. C'est très bien pour son timing également. Elle reprend elle aussi le lundi 6 janvier. Nous arrivons aux prés déserts pour longer leurs clôtures. C'est un long tronçon où je peux avancer tranquillement avec la bite et les couilles livrées à l'air pur.

La braguette de mon 501 faisant garrot, mes organes génitaux ainsi exposés sont un jouet parfait pour mes deux coquines. Également une friandise dont se régale Estelle. L'espace dégagé permet de voir au loin. Nous n'avons encore croisé aucun promeneur. Mes deux anges, souvent accroupies côte à côte, se refilent ma queue en s'embrassant pour mélanger le foutre à leurs salives. Je caresse leurs têtes. Nul besoin de les encourager aujourd'hui car elles semblent assoiffées autant qu'affamées. Je me contente de surveiller les environs à chaque arrêt. Et ils sont fréquents. Voilà le labyrinthe des concrétions rocheuses. Un dédale dont nous connaissons chaque excavation. Chaque recoin. Je me fais sucer par Estelle alors "queue" Clémentine m'embrasse. Elles permutent en riant. Magnifiques.

Nous approchons de la maison abandonnée du garde barrière, le long de la piste cyclable. Personne. Le jardin n'est plus qu'un champs de ronces qui dessèchent. C'est le cabanon, derrière la maison délabrée qui nous offre son refuge habituel. Mes deux anges, jeans et culottes sur les chevilles, assises sur l'établi en bois, m'offrent leurs cramouilles. Je ne peux me régaler que de celle de Clémentine. Je dois me contenter du clitoris d'Estelle. La petite ficelle blanche se mêlant aux poils. Penché en avant, mes mains sur les cuisses de celle que je suce, je passe de l'une à l'autre avec la même jubilation. Elles se roulent des pelles toutes les deux. C'est exquis. Parfois je cesse, je me redresse, je m'éloigne. En me masturbant j'admire le divin spectacle. Pas de doute, elles y ont pris goût. Les gouines.

Nous passons là une bonne demi heure à savourer nos sexes. Estelle suçant celui de Clémentine avec la même goinfrerie que moi. Me disputant même parfois la place. Avant de nous embrasser pour nous partager les jus de Clémentine. Clémentine qui en pousse de véritables grognements d'extases lubriques. Il faut garder présent à l'esprit le changement horaire. Nous avons nos lampes frontales dans le petit sac à dos que je porte. Nous grignotons nos pommes. De bonnes rasades de thé bouillant avant de repartir. Estelle nous dit : << Même le thé n'enlève pas vos goûts dans ma bouche ! >>. Nous en rions aux éclats. Nous quittons l'endroit en direction des Dolmens. Nous croisons deux cavalières. Rentrant probablement au haras tout proche. Il va être dix sept heures trente.

Nous en apercevons d'ailleurs les bâtiments en longeant le ruisseau. Ruisseau qui viendra se jeter dans la rivière juste après le pont. Rivière que nous longerons sur ses trois kilomètres pour revenir à la maison. La fraîcheur est plus vive. Depuis une heure nous portons nos anoraks. D'avoir la bite à l'air relève de l'exploit. Nous croisons un groupe de marcheurs. Avançant avec leurs bâtons. Je remballe in extremis. Voilà un couple de randonneurs équipés "trekking" népalais. Ce qui nous amuse car ils portent tous les deux des vêtements flambant neufs. << Ils étrennent probablement leurs habits tous neufs en prévision d'un truc plus sérieux ! >> lance Clémentine en me sortant une nouvelle fois la queue. << Toi, ce soir, je vais te vider les burnes, vieux salaud ! >> me fait Estelle en suçant.

Il fait nuit. Nous marchons depuis une vingtaine de minutes avec les lampes frontales. Ce qui fait qu'à chaque fois que nous nous roulons une mini pelle nous nous éblouissons. Nous sommes de retour pour dix neuf heures. Estelle devra nous laisser pour vingt deux heures. Aussi, morts de faim, nous nous mettons immédiatement à la préparation du repas. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de laitue. Estelle désosse le reste du poulet. Je fait bouillir l'eau des spaghettis. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises. De nous toucher. Estelle et Clémentine se rejoignant de plus en plus souvent pour s'embrasser. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments forts de notre randonnée. Estelle nous montre les quelques photos prises. Autant de beaux souvenirs.

<< J'ai évalué le nombre de photos prises depuis sept ans où tu as la bite à l'air. Plus d'une centaine vieux salaud ! >> me fait Estelle. Nous en rions de bon cœur. Je demande : << Et combien de photos où tu l'as dans la bouche ? >>. Nous en rigolons comme des bossus avant qu'elle ne réponde : << Je vais les compter quand je serai en Californie ! >>. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Estelle défait les lacets de ses baskets. Alors que Clémentine me fait tomber dans le canapé. Estelle, ne portant plus que ses chaussettes, sa chemise à carreaux, se vautre à côté de moi. Je suis entrain de me faire tailler une pipe. Clémentine à genoux sur les épais coussins. Estelle fouille ma bouche de sa langue en se masturbant. Elle cesse pour regarder, penchée sur le côté. << Tu me la donnes un peu ? >> lance t-elle à Clémentine qui s'arrête pour la lui tendre. Elle se place entre les cuisses d'Estelle qui me bouffe le Zob.

Je murmure : << Tu veux que je t'encule ? Depuis quelques moi tu aimes ça ! >>. Clémentine cesse de la sucer pour éclater de rire. Elle se masturbe. << Non merci ! Pas ce soir ! >> répond Estelle qui se lève. Elle passe derrière Clémentine toujours à genoux, bien droite, une main dans son Levis déboutonné pour caresser ses seins. Elles s'embrassent à nouveau. Clémentine glisse sa main libre entre les cuisses d'Estelle qui se touche aussi. Je me branle en admirant ce spectacle divin. Je me lève pour leur céder la place. Clémentine retire ses baskets et son jeans. Toutes les deux, en "69" se bouffent les chattes en gémissant. Quand elles se livrent à leurs douceurs saphiques, je reste toujours distant. Lorsque je n'y suis pas invité je reste à l'écart. Elles m'en sont reconnaissantes.

C'est merveilleux de les voir, concentrées, les yeux fermés, à se caresser de leurs bouches gourmandes. C'est étrange car dans ces situations, les orgasmes de Clémentine ne sont jamais pisseux. Son corps, secoué de frissons, se libère enfin des contraintes imposées par Estelle qui jouit à son tour. En poussant de petits cris. Elle se redresse, se met à genoux sur un des coussins. M'invite du regard. Je m'approche pour glisser mon sexe dans sa bouche. Je me fais sucer comme un bienheureux. Elle s'accroche à mes fesses. Clémentine se masturbe en nous observant. J'éjacule en perdant l'équilibre. Je m'accroche à Clémentine qui anticipe l'instant fatidique. Avachis tous les trois dans le canapé, nous reprenons nos esprits. Nous nous rhabillons en riant. Il va être vingt deux heures...

Bonne nuit à toutes les coquines qui s'endorment dans les bras de leur bienfaiteur pour un sommeil réparateur...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 16 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2754 -



Une succession de belles journées

Hier matin, lundi, il n'est pas loin de neuf heures. Clémentine, tout contre moi, passe une cuisse sous mes fesses. Pose l'autre sur ma tumescence naissante. S'accroche à moi pour se frotter lascivement contre ma hanche. C'est de cette manière qu'elle nous réveille. C'est tout simplement merveilleux. Contrairement à moi, qui suit rarement excité au réveil, Clémentine semble devenue une adepte de la masturbation matinale. Cela ne dure que deux minutes. L'impérieux besoin de courir aux toilettes y met un terme. À la salle de bain, un peu d'eau froide sur le visage avant de revêtir nos tenues de sports, achève de nous conditionner aux réalités. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je comprends mieux son comportement à la sortie du sommeil.

Je presse les oranges, pèle les kiwis en écoutant cette étrange histoire de plug anal d'où pend une chaînette qui dépasse de sous la jupe. Lorsqu'elle marche. Nous en rions de bon cœur en beurrant les tranches éjectées par le grille pain. Je propose de transposer ce rêve à la réalité. Nous mangeons de bon appétit en envisageant cette possibilité. Un tel petit déjeuner s'avère prometteur. Clémentine possède deux godes à cul. L'un chromé l'autre en bois de palissandre de Rio. Ils sont petits tous les deux. Mais il serait impossible d'y fixer une chaînette. << À étudier ! On ira voir sur les sites de ventes en lignes ! >> précise t-elle. La journée s'annonce magnifique. Les conditions météos sont identiques à celles de dimanche. << Vélo ? >> suggère Clémentine. Je réponds : << Vélo ! >>.

La vaisselle. Le brossage des dents. Nous enfilons les K-ways. La température extérieure est de 12°. Un peu limite. Ce qui impose un bon échauffement. Sauts, pompes, flexions. C'est parti pour un jogging qui nous emmène le long de la rivière. Un heure de plaisir avant celui de la douche. Nous revêtons immédiatement nos tenues cyclistes. Leggings de lycra noir. Sweats de lycra rouge. Les mêmes couleurs que nous portons pour courir. Avec la petite différence que le collant de Clémentine est celui avec l'ouverture à l'entre jambes. Mais elle porte une culotte car elle déteste le contact de la selle. Et pour parfaire le tout, sa culotte est blanche. Invisible lorsqu'elle est debout. À condition de ne pas regarder consciencieusement. Nous dévalons les escaliers pour passer au salon. Il est 10 h45.

Assise sur mes genoux, me tournant le dos, mes mains sous son sweat, Clémentine allume l'ordinateur. Trois courriels. Celui de Juliette qui nous invite à manger mercredi soir. Celui d'Estelle qui est impatiente de nous retrouver demain soir mardi. Le mail en provenance du rectorat. Les dernières informations destinées au professeurs d'université en début d'exercices. Clémentine lit à voix haute. Ses réjouissances sont encore décuplées. Sa rentrée dans la vie professionnelle aura lieu le lundi 4 novembre. << Je veux m'éclater comme une dingue avant ! Obligatoire ! >> s'écrie t-elle en saisissant mes poignets pour que surtout je n'arrête pas mes caresses. Je propose de trouver le plug anal de son rêve. Elle visite quelques sites proposant ce genre d'articles. Il y a quelques modèles intéressants.

Il le faut petit, de préférence avec un anneau pour y fixer chaînette, queue de cheval synthétique ou tout ce qu'on veut. Voilà l'objet commandé. Il sera là sous 48 h. C'est parfait. Clémentine propose de préparer des sandwichs afin de partir dès midi. Il fait nuit à dix huit heures. En partant plus tôt c'est deux heures de gagnées. Je coupe de longues tranches de pain dans la miche. Clémentine les beurre. J'y rajoute du bacon et des tranches de gouda. Des rondelles de tomates. Emballés dans des feuilles d'aluminium. Dans le petit sac à dos avec la thermos de thé bouillant. Des pommes. Des barres de céréales. Les K-ways. Il n'est pas tout à fait midi. Nous voilà sur nos bicyclettes. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable.

Sous le soleil. Sous un ciel parfaitement bleu. Avec une température de 19°. Un peu limite. On s'habitue toutefois rapidement. Une absence totale de vent. Les eaux du canal sont un véritable miroir. Nous croisons quelques cyclistes. Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Il y a des travaux d'entretien et Clémentine veut se "garder" pour le port de plaisance. Vingt cinq kilomètres que nous parcourons en une heure et quart. Il n'y a pas grand monde sur les quais. Derrière le cabanon de la capitainerie, où nous fermons nos vélos à cadenas, Clémentine retire ses baskets, son legging et sa culotte. Elle remet le collant et les chaussures avant de s'accroupir pour me demander : << C'est comment ? >>. Je sort ma bite pour répondre : << C'est parfait ! >>. Je m'avance à sa grande surprise.

Elle comprend très vite. Je la saisis par ses cheveux noués en queue de la main droite. De la main gauche sous le menton. Elle ouvre la bouche trop heureuse de recevoir mon sexe mou. J'adore ses gloussement amusés. Il n'y a personne mais je reste tout de même extrêmement vigilant. Deux petites minutes que je termine avec une érection qui envahit sa bouche. Je me retire. Elle se redresse. Je m'accroupis pour masser ses genoux, ses cuisses alors qu'elle caresse ma tête. Morts de faim nous rejoignons un des quatre bancs sous les platanes. Ces derniers sont bientôt dépourvus de feuilles. Un épais tapis en recouvre les pavés du sol. Nous savourons nos sandwichs qui nous paraissent les meilleurs au monde. Des rasades de thé bouillant. Il fait chaud au soleil. Sans doute les 22°.

Le fond de l'air est toutefois humide. Il y a un employé communal au volant d'un camion miniature, électrique qui arrive. Il en descend. Saisit les balais dans la benne. Pour se mettre au travail. << Il est déjà quatorze heures ! >> en déduit Clémentine qui écarte ses cuisses. Le jeune homme, vêtu de jaune, balaie avec zèle. Il vient de découvrir l'indécence de la fille assise sur le banc à une dizaine de mètres. Je fais celui qui ne se doute de rien. Je me lève avec ce qu'il faut aller mettre à la poubelle. Je m'absente volontairement longtemps. Je contourne les bancs pour passer derrière le kiosque rond. Recouvert des centaines de couches d'affiches accumulées depuis des décennies. La cachette idéale. Clémentine me tourne le dos. Mais je peux voir les expressions du jeune employé. Il n'en croit pas ses yeux.

Je suis certain qu'avachie sur ce banc, dans une attitude on ne peut plus lascive, Clémentine se masturbe. Devant notre voyeur involontaire mais ô combien participatif. C'est un spectacle ahurissant. Je me branle en faisant très attention à ne pas être surpris depuis la route, en haut du quai. Personne. Le jeune balayeur se rapproche. Il ne va pas tarder à balayer entre les pieds écartés de Clémentine qui les relève. Permettant ainsi à l'employé de passer le balai sous le banc. Des monceaux de feuilles qu'il va devoir ramasser pour en charger les grands sacs qu'il déplie. Tout cela sous le regard de Clémentine qui ne cesse de se masturber. Du moins je le pense à voir sa position. Le jeune homme se met à bavarder. Il semble timide. C'est Clémentine qui a engagé la conversation.

La situation dure ainsi depuis une bonne vingtaine de minutes. Il y a de temps à autre des promeneurs, un cycliste, un passant. Aucun d'entre eux ne prête la moindre attention à ce qui se passe là. J'aimerais beaucoup entendre la nature de la conversation. Je vois le garçon montrer du doigt une des grilles d'évacuation parterre. Clémentine se lève. Elle s'approche du camion. Invisible depuis la route. Tournée vers moi, elle s'accroupit au-dessus de la grille pour y pisser avec cette abondance folle et anarchique dont elle est coutumière. Cette fois c'est le jeune employé qui me tourne le dos. Il est debout, immobile, tenant son balai, à contempler ce spectacle hallucinant. Et Clémentine sait faire durer. Lâchant de multiples jets. Tout en discutant avec ce jeune homme pas du tout déstabilisé mais attentif.

Du moins en apparence. Je la vois retirer ses lunettes noires pour mimer une fellation en adressant le plus merveilleux des sourires à son voyeur. Il semble s'excuser. Montre la direction de la route. Semble très embarrassé. Clémentine qui lâche ses dernières salves. Debout, cambrée sur ses genoux fléchis, les pieds écartés de chaque côté de la grille, elle reste un instant immobile, les mains sur ses hanches. Je n'hallucine pas. C'est une coulée de cyprine laiteuse qui tombe. Une seconde. Je connais les abondances de ses jus de fille mais là, avec l'excitation que lui procure cette exhibition de très haute qualité, c'est une quantité invraisemblable. Deux véritables éjaculations. Le jeune homme se touche enfin de sa main libre. Je le vois montrer les bâtiments des sanitaires. Ceux qui sont réservés aux plaisanciers.

Il y a une seconde camionnette identique, aux armoiries de la commune qui arrive. Clémentine mime un bisou avant de laisser le jeune employé à son travail. C'est un collègue à lui qui rapplique. Clémentine s'éloigne en adressant un discret sourire complice au jeune homme. Ponctué d'un clin d'œil. Nous nous rejoignons sur le parking de la supérette. Clémentine me saute au cou en s'exclamant : << Put-Hein, je ne me suis jamais autant éclatée ! Il est libre demain après-midi. Je lui ai proposé une pipe. On se voit à quinze heures derrière les bâtiments des sanitaires, il a la clef ! >>. Je la félicite. Autant pour sa prestation que pour son initiative. Mais comment vais-je pouvoir rester caché pour la regarder sucer ce type ? Nous réfléchissons. Cela va être extrêmement difficile.

Nous flânons en savourant nos cônes glacés. Clémentine n'arrête pas de se toucher, de se doigter. << Moi qui veut donner dans la surenchère avant de commencer le boulot, je vais être servie ! >> lance t-elle. Nous longeons le canal. Là, derrière les fourrés, dans l'herbe humide, sur nos K-ways dépliés, nous faisons l'amour. << Julien, je t'aime ! Tu me comprends si bien ! >> murmure t-elle à plusieurs reprises. J'alterne la baise sauvage avec la baise romantique en chuchotant mes ressentis : << Si tu peux te faire sauter dans les chiottes, demain, raconte-moi tout. Car il sera impossible d'être planqué. J'attendrai dehors ! >>. En haletant, poussant de petits cris, elle fait : << Je peux ? Tu ne seras pas fâché ? >>. Je la rassure en disant : << Non seulement tu peux, mais tu dois ! >>. Clémentine se masturbe toujours en baisant. Là, avec cette succession d'évènements intenses, elle ne peut réfréner l'orgasme qui la tétanise. En criant.

Il est seize heures quinze. Nous revenons aux bicyclettes. Clémentine retire ses vêtements dans la fraîcheur naissante. Pour remettre sa culotte après s'être essuyée plusieurs fois. Nous voilà sur la piste cyclable dans le sens du retour. Il faut enfiler les K-ways. Légèrement maculés de nos mouilles. Il est dix huit heures quand nous arrivons à la maison en même temps que la nuit. Je propose de nous changer, de nous offrir un bon restaurant. << Tout est fermé les lundis soirs ! >> me rappelle Clémentine. << Et puis j'ai envie d'être toute seule avec toi. J'ai plein de choses à te raconter. Tu n'as pas envie d'une soirée pipe ? >> rajoute t-elle. Je dis : << Ça te fera de l'entraînement pour demain ! >>. Elle sautille autour de moi. Ce soir ce sera riz complet, nems et salade de carottes.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont se régaler d'une pipe qu'elles feront durer longuement avec la participation active de leur complice...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 17 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2755 -



Je fais mon voyeur

Notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Clémentine, serrée contre moi, se frottant doucement contre ma hanche garde ses lèvres dans mon cou. Cette exquise séquence de tendresse dès le levé nous motive. Clémentine me renverse sur le dos. Chevauchant mon érection, sur laquelle elle s'agite, elle tient mes poignets pour garder mes bras écartés. L'envie de pisser devient cruelle, sans pitié. C'est en riant que nous courons vers la porte. Un peu d'eau sur nos visages avant de revêtir nos habits de gym. Morts de faim nous dévalons les escaliers. En préparant le café, Clémentine me raconte ses rêves nocturnes. C'est le premier rituel de la journée. Mon histoire dont je me délecte comme un gamin en pressant les oranges, en pelant les kiwis. En beurrant les tartines.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier, mardi. Notre virée à bicyclette. La superbe exhibe de Clémentine sur les quais du port de plaisance. Sa proposition à ce jeune employé communal de lui faire une pipe. Nous mangeons de bon appétit en mettant le stratagème qui va le permettre au point. Nous procéderons de la même façon. En partant à un peu avant midi. Nous traînons à table. C'est à califourchon que Clémentine s'installe sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou pour reprendre son mouvement masturbatoire. << MMhh, c'est bon comme ça ! >> murmure t-elle entre deux bises. Nos lèvres collantes et sucrées s'effleurant. La vaisselle. La météo est exactement la même que ces trois derniers jours. Un ciel bleu. Un soleil généreux. Superbe.

Par contre la température n'est que de 12°. Il faut mettre les K-ways pour sortir. Les mouvements d'échauffement bien à propos dans cette fraîcheur matinale. C'est le long de la rivière que nous aimons à faire notre jogging. Une heure d'un plaisir intense avant de revenir pour la douche. Comme hier, nous revêtons immédiatement les mêmes tenues cyclistes. Le legging noir savamment troué au niveau de l'entre jambes que porte Clémentine. Avec sa culotte blanche, le contraste est saisissant autant qu'insolite. Nous redescendons pour passer au salon. Me tournant le dos, assise sur mes genoux, elle allume l'ordinateur. Un seul courriel. C'est la confirmation de l'envoi du gode commandé hier matin. Il arrivera demain mercredi. Nous regardons les belles photos de l'objet laitonné. Doré.

Clémentine surfe sur le site de l'université. Pas de nouvelles informations. Par contre une belle page d'accueil qui n'est pas sans ressembler à celle d'un MacBook Pro à son premier allumage. Ce paysage viticole survolé par un drone qui enchante le regard. Clémentine se lève, change de position. Je cesse de caresser ses seins par derrière pour les caresser par l'avant. À califourchon sur mes cuisses elle se frotte à nouveau. << Je pourrais faire ça toute la journée quand je commence de bonne heure ! >> lance t-elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Elle se frotte sur mon érection. Ça me fait bander sévère. Nous nous embrassons passionnément. C'est probablement l'idée de ce qu'elle prévoit d'accomplir cet après-midi qui la met dans un tel état. Nous en rions de bon cœur.

Il va être onze heures trente. Le temps de préparer nos sandwichs au bacon et au fromage. De les emballer. De les placer dans le petit sac à dos avec deux pommes, les K-ways, la thermos de thé bouillant et nous voilà prêts à déguerpir. Un rapide contrôle de la tension des chaînes, de la pression des pneus et nous voilà partis. La température n'est que de 19°. Un peu limite mais avec l'exercice ce sera parfaitement gérable. Surtout qu'au soleil l'impression de douceur s'accentue. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. C'est dans une totale absence de vent que nous longeons le canal dont les eaux ne sont qu'un vaste miroir. Vingt cinq kilomètres que nous parcourons en bavardant. Nous croisons quelques cyclistes.

Il faut une heure et vingt minutes pour arriver. Nous fermons les vélos à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. C'est comme hier, peu de gens sur les quais. Les beaux bateaux amarrés là jusqu'au printemps prochain. Certains sont bâchés. Clémentine retire ses baskets, son legging et sa culotte qu'elle fourre dans la pochette avant du sac que je porte. Elle remet son collant, ses chaussures. Accroupie, cuisses largement écartées, elle me demande : << Dis-moi, c'est comment ? >>. Je sors ma bite. En faisant "l'hélicoptère" je réponds : << Tu n'es pas seulement merveilleuse mais tu es également radieuse ! >>. Elle se redresse pour me sauter au cou. La faim est une réelle torture. Nous savourons nos fruits et nos sandwichs sur le même banc. Le soleil est chaud. Il fait 22°.

Nous mangeons de bon appétit. Nous avons préparé notre ruse. Un peu avant quatorze heures j'irai me dissimuler aux abords des bâtiments sanitaires. Il nous reste un bon quart d'heure. Le petit sac à dos posé sur mes cuisses dissimule parfaite ma bite avec laquelle joue Clémentine. Je la doigte par petites séquences de quelques secondes. Il faut rester vigilants car il y a des promeneurs. Je remballe mon érection qui déforme à présent mon collant. Un dernier bisou. Je laisse Clémentine seule sur son banc. Il y a un vieux monsieur très élégant qui est assis sur le banc voisin, plongé dans la lecture d'un livre. Je descends vers les bâtiments blancs. Ils sont entourés de haies. Des houx, des lauriers, autant d'excellentes cachettes. Je suis dans la planque habituelle quand nous venons rôder par là. J'ai une vue parfaite sur les quais. Le banc, là-bas, à deux cent mètres où est assise Clémentine. Elle consulte l'écran de son I-phone. Je bande mollasse.

J'observe avec la petite paire de jumelles. Il est un peu plus de quatorze heures. Le mini camion aux armoiries de la commune arrive à vitesse réduite. Il s'arrête un instant à la hauteur de la fille sur son banc avant de venir vers là. Je reconnais le jeune employé de hier. Il gare le véhicule électrique devant la porte des sanitaires réservés aux plaisanciers. Il ne se doute pas un seul instant d'une présence à quelques vingt mètres. Je suis discret. Clémentine, les bras croisés, descend lentement elle aussi. Je bande comme le dernier des salauds. Je peux me branler peinard en mâtant les évènements qui s'enchaînent. Le jeune homme, peut-être vingt cinq ans, a tiré de grands sacs, le balai et le râteau de la benne. Clémentine arrive avec un merveilleux sourire. Elle reste distante en le saluant.

Je n'entends qu'à peine. Pourtant je dresse l'oreille. Il se présente. Thierry. Il invite la jeune fille à le suivre à l'intérieur du bâtiment. Il agite le trousseau de clefs. Clémentine hésite. Elle regarde partout à l'entour. Personne ne vient par là. J'entends Thierry préciser : << Mon collègue arrive dans une demi heure. On a le temps ! >>. Clémentine se touche. Les deux mains entre ses cuisses elle répond : << Je préfère faire ça dans ton camion ! >>. Le jeune employé est surpris par cette proposition. Il préfèrerait certainement la discrétion d'un des cabinets de toilettes. Clémentine insiste. Je comprends rapidement. Elle veut me savoir caché pas loin et surtout que je puisse la voir. Thierry n'insiste pas. À quoi bon puisque la proposition est sans négociation possible. Clémentine se montre têtue.

Thierry s'installe au volant de son Fiat. Mini camion dont la cabine étroite oblige à la promiscuité. Il invite la fille à monter par l'autre porte qu'il ouvre. << Non, laisse ouvert, je suis claustrophobe ! >> lance Clémentine en s'installant alors que l'employé veut refermer la sienne. Merveilleuse et délicate Clémentine qui sait mentir pour me permettre d'admirer sa prestation. Thierry se contorsionne. Il n'y parvient pas dans l'habitacle. Il sort, ouvre la braguette de son ensemble gris et jaune aux bandes fluorescentes. C'est une magnifique bite. Raide, fine et droite qu'il exhibe à la jeune fille qui lui fait le plus adorable des sourires. De l'index elle lui fait signe de la rejoindre. De son autre main elle tapote le siège conducteur sur lequel revient s'installer notre bienheureux privilégié. Je me branle en jouissant de chaque instant de ce film extraordinaire. Je précise film car avec mon I-phone, depuis ma cachette, je filme tout le déroulement des opérations.

Je me réjouis à l'idée d'en réserver la surprise à Clémentine qui ne le sait pas. Elle saisit la queue de notre queutard. Il semble au paradis. Il ajuste le rétroviseur intérieur. << C'est pour me regarder ? >> demande sa branleuse. << Oui ! J'adore mâter ! >> répond t-il. L'étroitesse de la cabine oblige Clémentine à se contorsionner. Elle se penche pour respirer longuement l'odeur de ce sexe qui semble la ravir. Elle décalotte légèrement le gland pour y coller ses narines. Thierry caresse sa nuque. Quand Clémentine prend enfin cette superbe bite en bouche, il saisit sa nuque fermement. À le voir, comme ça, on pourrait s'imaginer un garçon timide et réservé. En fait ce mec se comporte en vrai vicieux. Il bouge de façon régulière quelques instants. Cesse. Recommence en murmurant des trucs que je n'entends pas. Par contre je perçois les gloussements de plaisir de la pipeuse. Et à voir ses expressions d'extases, Clémentine semble se régaler.

Le type ajuste le rétroviseur intérieur au mieux. Il regarde souvent dans ma direction. Se sentirait-il épié ? Un sixième sens ? Je me branle avec une totale maîtrise. Lentement. Je suis bien plus concentré sur le film. Clémentine, pour pouvoir laisser reposer sa mâchoire, tente de se dégager de l'étreinte forcée que lui impose le saligaud. << Suce ! >> se contente t-il de dire en la laissant reprendre son souffle une ou deux secondes. << Tu es une superbe salope ! Ça te dit de revenir me la bouffer demain s'il fait beau ? >> demande t-il. Clémentine, la bouche pleine, se contente de gémir positivement deux fois. Je viens de réaliser que le fils de pute est entrain de la doigter. Elle se masturbe sur ses doigts qui la pénètre. Cet enfoiré est entrain d'éjaculer. Il se cambre. Il se met à geindre.

Il lâche enfin la nuque de Clémentine qui se redresse. Laissant échapper un flot de foutre laiteux qu'elle ne peut déglutir. << Merveilleuse salope ! >> lance encore le goujat avant de sauter du véhicule pour remballer. Clémentine fait de même en s'essuyant la bouche avec le mouchoir en papier prévu à cet usage. << Salope, tu en as mis partout sur mes fringues ! >> s'écrie le voyou en s'essuyant le pantalon lui aussi. C'est vrai, j'ai vu Clémentine en baver. Recracher. Voilà le second camion qui arrive. << À demain ! >> s'exclame notre employé municipal aux couilles vidées. << Peut-être ! >> lance Clémentine qui s'enfuit à toute vitesse. Elle contourne les bâtiments. Nous nous rejoignons aux bancs sur le quai. << Je n'ai jamais bouffé un foutre aussi amer ! Beurk ! >> lance Clémentine. Elle en a un peu dans les cheveux. Pour faire passer le goût, quelle meilleure thérapie qu'une bonne glace Ben & Jerry's. Nous la savourons assis près des vélos.

Clémentine me raconte en détail. << C'est la pipe la plus dégueu de ma vie. Des litres de jute ! Sans doute mélangée à de la pisse. Je n'aurais pas imaginé que ce jeune mec soit aussi salopard. Je te jure, dégueulasse ! J'ai pas réussi à tout bouffer ! Beuk ! >> précise t-elle. Nous en rions de bon cœur. Avec les nombreuses expériences et sa passion pour la fellation, nul doute qu'elle n'affirme pas ça au hasard. Elle en a bouffé des bites. Je sors le téléphone en disant : << Regarde ! >>. Stupéfaite puis rapidement enchantée, Clémentine découvre le film. En même temps que moi. << Merci ! Oh merci Julien ! Quelle bonne idée. On se le regarde ce soir sur grand écran avec Estelle ! >>. Clémentine remet sa culotte. Il faut mettre les K-ways. La fraîcheur de la fin de l'après-midi. Nous sommes de retour pour dix huit heures quinze. Dans la nuit. Il faut préparer le repas du soir. Spaghettis et escalopes à la crème. Estelle arrive pour 19 h15.

Bonne fin de soirée à visionner un film d'Art et d'Essais vautrées sur le canapé, à toutes les coquines qui se réjouissent d'une probable récidive demain après-midi...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 18 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2756 -



Récidive "beurk"

Il est presque neuf heures, hier matin, mercredi, quand nous nous réveillons. En même temps, dans le même élan, à nous serrer l'un contre l'autre. Des bisous, des papouilles jusqu'aux limites extrêmes. Pour ne pas pisser au lit, la seule solution restante est de nous précipiter aux toilettes. Passer nos visages à l'eau dans la salle de bain avant d'enfiler les tenues de sports. Dévaler les escaliers, morts de faim, jusqu'à la cuisine. Le bonheur d'entendre mon histoire en pressant les oranges. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je pèle les kiwis enchanté par cette narration. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre aventure de mardi après-midi. Cette pipe "beurk" que Clémentine a administré dans sa camionnette électrique à ce jeune employé communal vicelard.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant le second rendez-vous très informel fixé cet après-midi au même endroit. Clémentine revient sur le goût dégueulasse du foutre de ce type. Quand je lui demande pourquoi elle veut récidiver, elle me confie : << Plus c'est dégueu, plus ça m'excite ! Tu sais bien ! >>. La psychologie féminine gardera toujours pour moi une profonde part de mystère. Nous en rions toutefois de bon cœur. Pas de ciel bleu ce matin. Pas de soleil. C'est un ciel uniformément gris clair. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine suggère que nous allions au port de plaisance en voiture. << Je pourrai m'habiller hyper salope, jupe, bas, talons. Ça lui fera une autre surprise à l'autre salaud ! >> lance t-elle. Très bonne idée.

La vaisselle. Le brossage des dents. L'hésitation. Jogging ou entraînement à l'étage dans notre salle ? La température extérieure est de 11°. Prenons notre courage en même temps que nos K-ways avant de sortir. Les mouvements d'échauffement habituels avant de descendre d'un bon rythme jusqu'à la rivière. Nous la longeons jusqu'au vieux lavoir. Exercices abdominaux sur les murets du bassin vide. Retour pour dix heures quarante cinq. La douche d'après jogging est un autre de nos plaisirs. Vêtus de nos Levis, de nos chemises à carreaux, baskets, nous redescendons jusqu'au salon. Assise sur mes cuisses, me tournant le dos, Clémentine allume l'ordinateur. Une visite sur le site de l'université. Puis ouverture de notre mail. Juliette qui nous rappelle que nous sommes invités ce soir.

Nous quittons le salon. Il faut revêtir les anoraks pour monter jusqu'au portail. Dans la boîte aux lettres il y a le colis attendu. Un petit carton anonyme que Clémentine tient religieusement en redescendant. Elle l'ouvre à la cuisine alors que j'ouvre l'enveloppe de la quittance de paiement Orange. Je l'exige "papier" tous les mois. << Wouah ! Regarde, magnifique ! >> s'écrie Clémentine en me montrant l'objet oblong. C'est un petit gode à cul doré. C'est un laiton de texture satinée. La partie la plus épaisse ne dépasse pas trois centimètres pour cinq centimètres dans sa longueur. La base en est terminé par une boucle amovible. Elle tourne. On peut l'orienter ou alors elle s'oriente toute seule en fonction de ce qu'on y accroche. Je l'inaugure cet après-midi ! >> s'exclame Clémentine.

Elle le passe sous l'eau de l'évier avant de le laisser tremper dans un peu de produit vaisselle. Clémentine prépare l'assaisonnement d'un beau concombre. Mimant une masturbation masculine, le tenant contre son sexe, elle le porte à sa bouche en me faisant un clin d'œil. Je fais cuire les galettes de blé à la poêle. Ce qui leurs donnent rapidement un aspect de steaks hachés. Avec une poêlée de morilles et une sauce au Roquefort, c'est un délice. Clémentine rince son gode avant de l'essuyer consciencieusement avec du papier absorbant. Nous mangeons de bon appétit en mettant au point le timing de l'après-midi. Il y a trente cinq kilomètres par la route pour aller au port de plaisance. << Port où nous allons retrouver le porc ! >> lance Clémentine, facétieuse et déjà passablement excitée.

Nous traînons à table en évoquant la soirée qui nous attend chez Juliette. Nous sommes attendus pour dix neuf heures trente. Ce sont d'autres réjouissances. La vaisselle. Nous remontons. Clémentine agite son gode en riant. << Qu'est-ce que je vais bien pouvoir y attacher ? >> demande t-elle dans la salle de bain. Nous nous brossons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Tête contre tête à rincer nos bouches au-dessus du lavabo. Clémentine me laisse pour aller chercher ses vêtements dans la chambre pas chauffée. Je me branle. C'est ainsi qu'elle me retrouve en revenant. << Génial ! >> s'écrie t-elle en se déshabillant. Elle prend le gode pour l'enduire de vaseline. << Tu me le mets ? >> me demande t-elle en se penchant en avant, les mains sur le lavabo.

J'enfonce l'objet en le faisant tourner. Ça rentre avec une facilité déconcertante. C'est le plus petit modèle. Clémentine déteste être enculée. << C'est comme une perpétuelle envie de chier sans pouvoir le faire ! >> précise t-elle une fois encore. Elle se redresse. Sautille en rajoutant : << Il va tomber ! >>. Nous rions car ce ne sera pas le cas. Il est bien introduit. Clémentine revêt sa jupe kilt aux carreaux rouges et verts. Un chemisier crème sous un pull bleu nuit au col en "V". Des bas noirs fixés à son porte-jarretelles noir. Pas de culotte. Elle s'accroupit pour me demander : << C'est comment ? >>. Je réponds : << Tu es sublime ! >>. Je me vêts d'un jeans propre, d'une chemise blanche sous un pull noir. Mes mocassins noirs. Nous prenons des poses devant le grand miroir ovale.

Je vais au salon. Du tiroir du bas du bureau, je tire une des chaînettes. C'est un pendule. Trente centimètres. Clémentine se penche, les mains en appui sur le meuble. Je fixe l'anneau "porte-clef" à l'anneau du gode. C'est parfait. Un regard aiguisé découvre la chaînette qui pend entre les cuisses. Il suffit de mettre nos blousons de cuir brun. Nous traversons le jardin jusqu'au garage. << Ça me fait toujours drôle d'avoir quelque chose dans le cul. Et le pendule chatouille ! >> lance t-elle. Le pendule est un petit cône de cuivre. Il balance au-dessus des genoux quand elle marche. Je roule doucement. Nous sommes dans les temps. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce parfois. J'appuie sur sa nuque en disant : << Ça te fait de l'entraînement ! >>. Elle glousse en riant. Ma main droite entre ses cuisses. Je la doigte. Il est presque quatorze heures quand nous arrivons au port. Je gare la voiture sur le parking de la supérette. Nous traversons la route. La camionnette électrique n'est pas encore là. Nous descendons aux bâtiments des sanitaires.

Je montre ma planque à Clémentine. Elle s'accroupit pour me tailler une pipe. << C'est bien de pouvoir comparer ! >> dit elle entre deux pompages. Ce sont des camionnettes Fiat équipées de moteurs électriques. On ne les entend pas venir. Je reste donc vigilant. Une dizaine de minutes où Clémentine reste dans mes bras à jouer avec ma queue raide. Je bande comme le dernier des salauds. J'ai mes deux doigts enfoncés dans sa chatte. Elle se tortille en me confiant son impatience. Nous terminerons l'après-midi à l'hypermarché. Ça aussi c'est une réjouissance. Voilà le mini camion aux armoiries de la commune. Notre petit salopiot se gare au même endroit que mardi. Clémentine ajuste son gode en se tortillant. Elle murmure : << Si ça me gêne en suçant, je le retire ! >>.

Elle s'éloigne. Je reste caché à une vingtaine de mètres du véhicule. Je regarde le jeune homme trier ses outils, penché au-dessus de la benne arrière. Clémentine contourne probablement le bâtiment blanc. Je la vois arriver par le chemin pavé. J'observe l'attitude de notre gaillard lorsqu'il découvre la sublime jeune fille qui descend à sa rencontre. Il n'en croit pas ses yeux. Est-ce la même fille que celle en tenue cycliste ? C'est étonnant de les voir se serrer la main. C'est peut-être un petit vicelard mais il sait se montrer d'une politesse et d'une galanterie exquise. Je n'avais pas fait gaffe mais le salopard a la bite à l'air. Cette bite bien droite, fine et longue. << Prête à l'emploi je vois ! >> lance Clémentine. << Tu veux baiser ou sucer ? >> demande Thierry. << Sucer ! >> répond Clémentine en s'accroupissant. Dissimulée par la camionnette, elle peut sucer cette bite qu'elle prétend "écœurante". À la voir pomper je me demande si cela est bien vrai !

J'en suis rapidement convaincu. Le salaud la maintient fermement par sa tignasse. Elle veut se dégager mais il l'en empêche. Je l'entends prononcer à plusieurs reprises : << Tu es revenues pour ça petite salope alors suce ! >>. À chaque fois qu'elle parvient à se dégager, elle crache d'étonnantes quantités de foutre jaunâtre. Pas de doute, c'est un pisseur. Clémentine parvient enfin à se redresser. Elle fixe le salaud avec une extrême sévérité. Il la tient par ses cheveux pour la faire monter dans la camionnette. Il s'y installe. L'enfoiré se fait tailler une pipe comme mardi après-midi. Ajustant le rétroviseur intérieur pour avoir un autre angle de vue. Je n'entends pas ce qu'il marmonne. Mais aux gloussements amusés de Clémentine j'imagine que ce n'est pas l'histoire de Cendrillon et de sa citrouille d'Halloween. Je me branle.

Tout cela dure une bonne demi heure. Thierry lâche son étreinte à plusieurs reprises. Clémentine se redresse pour cracher par la fenêtre. C'est la première pipe où je la vois recracher sans avaler. Ce qui confirme ses dires. C'est le foutre le plus dégueu de sa vie. << Encore plus dégueu que le tient ! >> a t-elle encore confirmé en arrivant. Notre bienheureux éjacule. Clémentine évite de justesse mais se fait balancer une partie de la purée au visage et sur ses cheveux. Thierry lâche enfin sa tignasse pour la laisser se redresser complètement. Il est haletant. << J'ai envie de baiser avec toi ! >> s'exclame t-il alors que Clémentine sort du mini camion. << Laisse-moi tes coordonnées ! >> répond t-elle. Notre pompé tire un petit calepin et un stylo de la boîte à gants de son véhicule. Il y griffonne un numéro. Il arrache la feuille pour la tendre à la pompeuse. Elle s'en saisit en tournant les talons avec deux simples mots : << Salut salaud ! >>.

Nous nous rejoignons près des bancs. Clémentine a du foutre dans les cheveux. De véritables giclées. Ça m'écœure et je refuse de faire le nettoyage. Elle fait mine de vouloir m'embrasser. Je détourne la tête. Elle en rit aux éclats. << C'est juste pour que tu goûtes ! >> lance t-elle alors qu'elle m'attrape par la main pour traverser la route. C'est dans la voiture, avec des mouchoirs en papier, devant le rétroviseur, avec un peu d'eau qu'elle enlève les traînées de foutre. Je la regarde. Elle me pose tout un tas de questions quand à mes ressentis, mes impressions. Je réponds à chaque fois : << J'adore te voir sucer ! Tu n'imagines pas à quel point ça m'excite ! >>. Elle ponctue à chaque fois : << Je sais. Et moi ça m'excite comme une folle de savoir que tu me regardes en étant caché ! >>.

<< Put-Hein, mon gode ! >> s'écrie t-elle soudain. Nous rigolons comme des bossus. << Il est tombé quand j'étais accroupie à côté de la camionnette ! J'y retourne ! >> rajoute t-elle. Je l'accompagne. La camionnette n'est plus là. Effectivement l'objet doré et sa chaînette sont dans l'herbe. Nous rions aux éclats. Avant d'entrer dans l'hypermarché, dans la voiture, Clémentine se l'introduit. Elle tourne autour de l'auto en me demandant si on voit la chaînette. Je confirme. Mais il faut vraiment bien regarder. Je tire le panier rouge sur roulettes. Clémentine nous entraîne dans les rayons. Il y a du monde. C'est mercredi. Des gamins partout avec leurs mamans. Les derniers achats pour Halloween. Clémentine m'offre de merveilleux spectacles. Pas d'opportunités exhibes pour des mecs solitaires. Nous flânons dans la galerie commerciale. Un bon chocolat chaud dans un des deux salons de thé. Pour enlever le goût persistant du foutre.

Bonne "faim" de soirée en compagnie d'une autre délicieuse salope à toutes les coquines qui peuvent raconter leurs exploits en se masturbant après une bonne tarte aux brocolis...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 19 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2757 -



Pisser devant les filles

Il va être neuf heures, hier matin, jeudi. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Des bisous, des papouilles. Elle imite le bruit d'un moteur. Des changements de régimes en manœuvrant le levier de vitesses. Mon érection qu'elle manipule en accélérant jusqu'à ce que nous éclations de rire. Le besoin de pisser est bien trop impérieux pour nous laisser la moindre seconde de répit supplémentaire. Nous courons vers la porte. De la flotte froide sur nos visages avant d'enfiler les leggings de lycra noir, les sweats de lycra rouge. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine prépare le café en partageant ses rêves de la nuit. Je savoure ses histoires en pelant les kiwis, en pressant les oranges. Ce matin, c'est petit déjeuner à l'Écossaise. Œufs au plat et bacon sur toasts salés.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures au port de plaisance. Cette seconde pipe que s'est offerte Clémentine avec ce jeune employé communal. Elle précise une nouvelle fois à quel point le goût dégueulasse de son foutre l'a affecté : << En général ce qui vient avant est agréable, une friandise. Mais là c'était franchement dégueu ! >> lance t-elle. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la soirée en compagnie de Juliette. Une nouvelle fois notre amie est revenue sur l'opportunité d'un gloryhole avant les vacances de fin d'année. Et surtout le "plan" qu'elle a préparé pour faire connaissance de Séverine, la jeune cavalière que nous avons rencontré en randonnée et qui nous a surpris en pleine pipe. Nous nous promettons d'y réfléchir.

Surtout que Elliot, le nouveau palefrenier ne laisse pas Clémentine indifférente. Juliette nous a d'ailleurs raconté quelques premières anecdotes le concernant. L'ayant surpris entrain de pisser derrière l'ancienne écurie. Là où il y a toujours encore la vieille caravane abandonnée ayant appartenu à feu monsieur Gérard. L'ancien palefrenier à la retraite étant décédé à la fin de l'été. La vaisselle. Brossage des dents. Le ciel est exactement le même que mercredi. Uniformément gris et bas. Sans menace toutefois. La température extérieure de 12°. Nous enfilons les K-ways pour sortir. Les obligatoires mouvements d'échauffement pour se mettre dans les meilleures dispositions. Notre jogging que nous réalisons en longeant la rivière. Une heure de pur plaisir avant de revenir prendre notre douche.

Habillés de nos jeans, de nos sweats, de nos baskets, nous redescendons pour passer au salon. Me tournant le dos, assise sur mes genoux, Clémentine consulte nos boîtes mails. Le courriel d'Estelle qui nous annonce qu'elle vient passer le weekend prolongé de la Toussaint jusqu'à dimanche. Elle arrivera ce soir pour dix neuf heures. Le message de Juliette qui nous remercie pour la soirée et nous invite à passer cet après-midi pour ce fameux "plan". Précisant qu'il faut la prévenir au plus tôt pour qu'elle puisse tout mettre au point. Je caresse les seins de Clémentine alors qu'elle s'empresse de répondre. Je pose mes lèvres dans sa nuque quand elle me lit la réponse. Je murmure : << Tu vas peut-être t'offrir une nouvelle pipe ! >>. Elle se lève très vite, se retourne pour s'installer à califourchon.

Ses bras autour de mon cou elle dit : << Je peux ? Tu sais, j'ai besoin de me défouler à blinde parce que lundi prochain je suis enseignante en troisième cycle universitaire ! >>. Nous en rions. Nous restons à nous embrasser. Nos mentons sont rapidement trempés de nos baisers passionnés. Clémentine se frotte sur mon érection naissante. Elle se lève. Je déboutonne mon 501. Je me lève pour en extraire le locataire. Quand je bande ce n'est pas si simple. Surtout avec l'étroitesse de la braguette boutons d'un Levis. J'y parviens sous le regard impatient de Clémentine qui s'accroupit. Me tenant par les fesses elle se met à pomper avec autant de fougue que ses baisers. Je la tiens par ses oreilles en bougeant lentement d'un mouvement masturbatoire régulier. Je murmure : << Ma douce salope ! >>

Je rajoute : << Et tu sais que tu as encore notre voisin à sucer avant lundi. Ça fait bien cinq mois qu'il attend sa pipe ! >>. Elle cesse de sucer. En Éclatant de rire elle se redresse pour répondre : << Ah oui, c'est vrai ! Je ne l'avais pas oublié celui-là ! >>. Clémentine saisit ma queue pour me tirer comme par une laisse. Ce qui m'oblige à marcher comme un vrai con en la suivant. Elle me fait faire le tour de la grande pièce. Elle s'arrête devant une des deux portes fenêtres. Nous regardons cette véritable ambiance de Toussaint. Il y a de la brume au-dessus du sol. Pas un souffle de vent. Tout est étrangement calme. Clémentine me tord la bite à présent molle. Elle imite la façon qu'à Estelle d'en malaxer la peau fripée du prépuce entre son pouce et son index. De la mouille.

Elle me tire par le Zob à présent mou et coulant de liquide séminal jusqu'à la cuisine. J'adore quand elle a de ces trop rares initiatives. << Je te mets en condition pour le retour d'Estelle ce soir et jusqu'à dimanche ! >> dit elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une salade de carottes. Je coupe et je lave les branches d'un grand choux fleurs. Pendant qu'il cuit à l'eau bouillante, je concocte une Béchamel. Clémentine y rajoute un peu du gruyère Suisse qu'elle vient de râper. J'égoutte le choux fleurs avant de l'étaler dans le grand plat carré en terre cuite. Clémentine y verse la Béchamel. Je recouvre d'une grosse couche de gruyère. Des graines de sésame grillées, des cerneaux de noix. Au four pour laisser mijoter longuement à seulement 150°.

Ce sera notre repas du soir. Pour midi ce sera le riz cantonnais et les nems aux crevettes dont nous raffolons. Nous mangeons de bon appétit en envisageant une nouvelle fois l'invitation de Juliette. Elle est prévenue. Nous attendons son SMS de confirmation. Depuis quelques temps il se passe de curieuses choses sur l'I-phone de Clémentine. Nous ne sommes pas adeptes des théories complotistes, mais il est préférable de procéder à un contrôle. Assise sur mes genoux, elle prend son I-phone. Il est simple de procéder de la manière suivante pour savoir si nos téléphones sont surveillés ou s'ils ont été épiés. Elle compose le code. Étoile, puis dièze. Vingt et un. Puis à nouveau dièze. Rapidement s'affiche le résultat. Aucune intrusion dans le téléphone. << Alors il déconne ! >> dit elle.

La vaisselle. Le brossage des dents. Enfin le SMS attendu arrive. << C'est OK ! >> précise Clémentine. Nous nous changeons. Elle porte sa jupe kilt à carreaux rouges et verts. Un chemisier banc sous un pull noir au col en "V". Assorti à ses mocassins noirs à légers talons. Ses bas noirs fixés à son porte-jarretelles de la même couleur. Pas de culotte. Sur sa demande je porte un levis "brut", mes mocassins noirs, une chemise blanche sous un pull noir. Nous prenons des poses devant le miroir ovale de la salle de bain. Clémentine, accroupie sur ma gauche, cuisses écartées, entourant ma jambe de ses bras, sa tête contre ma hanche. << Tu seras le salaud que j'aime ce weekend ? >> me demande t-elle d'une voix implorante. Je réponds : << Compte sur moi, je vais me surpasser ! >>.

Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos blousons de cuir noir dans le hall d'entrée. Clémentine reprend la même pose en disant : << Je vais faire ma salope ! Tu n'imagines pas ! Moi aussi j'ai envie de me surpasser. Lundi je bosse ! >>. Il y a trois bornes jusqu'au haras. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Quand elle appui sur le prépuce, apparaît une goutte de jute. Elle se penche sur sa gauche pour la gober en faisant : << Mmmhhh ! >>. Je gare l'auto dans la cour. Il y a plein d'autres voitures. Des gens qui viennent monter. Souvent les propriétaires des chevaux en pension jusqu'au printemps. Voilà Juliette qui guettait notre arrivée. Elle tient des papiers à la main et est accompagnée d'un inconnu. Elle règle sans doute quelques détails avec le quidam qui s'en va.

<< Je suis contente de vous voir. Bon, avec ce monde cet après-midi, le "plan" sera compliqué. Il faudra faire preuve d'imagination ! >> précise t-elle. Elle est en tenue de cavalière. Voilà madame Walter, sa collaboratrice, elle aussi accompagnée d'un couple. Elle nous fait un grand coucou de la main. Juliette nous invite à la suivre dans la nouvelle écurie. Il y a de jeunes cavalières qui préparent les chevaux qu'elles vont monter cet après-midi. Dans le second box nous reconnaissons la jeune fille rencontrée durant notre randonnée. Elle aussi nous reconnaît. Toute surprise de découvrir que nous sommes des amis de la directrice du haras. Juliette fait les présentations. Séverine serre la main de Clémentine avant de serrer la mienne. Ce n'est peut-être pas de la timidité mais de la réserve.

Elle baisse les yeux sans oser me fixer plus de quelques secondes en me disant : << Bonjour ! >>. Mais je surprends son regard s'attarder une petite seconde sur ma braguette. Elle a déjà vu mon sexe. Même si ce n'est que furtivement. Elle se détourne pour fixer la selle sur le dos du cheval. Juliette lui demande : << Vous prenez quel itinéraire cet après-midi ? >>. La jeune fille explique son parcours en remettant sa feuille de route. Pour des raisons de sécurité, elle préfère être informée. Nous la laissons à ses préparatifs. Juliette nous invite à la suivre. Nous sommes dans l'allée centrale quand elle s'adresse à moi : << Elle va sortir par l'avant, contourner le bâtiment pour prendre en direction du sentier qui longe le ruisseau. Viens ! >>. Clémentine attrape ma main. Nous suivons notre complice jusqu'à l'arrière.

Nous sortons par la porte située à l'arrière de l'écurie. Juliette mime une masturbation masculine en m'expliquant : << Séverine va passer là, forcément. Si tu es malin, tu te fais surprendre là, entre les deux grands tonneaux de récupération d'eau de pluie ! >>. Je regarde l'espace entre les deux grands cubes de plastique blanc enserrés dans leurs grillages. C'est jouable. Je n'y aurais pas pensé. << Tu te fais surprendre entrain de pisser. C'est mieux et plus naturel pour une première fois ! >> suggère Clémentine. Je n'ai que quelques minutes pour bien préparer mon exhibe. Juliette et Clémentine miment toutes les deux un mec qui pisse. Clémentine rajoute : << Ne te branle surtout pas mais pisse et fait le mec surpris et gêné ! >>. Juliette précise : << Tu le joues si bien ! Nous on mâte depuis la fenêtre en haut ! >>.

J'étudie rapidement la topographie des lieux. J'anticipe la situation. Je bande comme le dernier des salauds. Nous entendons des voix, des rires en provenance des écuries. << Je ferme la porte avec le verrou, tu ne risques pas d'être surpris par quelqu'un d'autre ! >> me fait encore Juliette qui entraîne Clémentine par la main. Je les regarde rentrer en pouffant de rire. << On est là haut ! >> lance Juliette en refermant la porte. Je regarde la fenêtre à l'étage. Je ne réfléchis pas une heure. Je sors ma bite. Je me positionne entre les deux tonneaux. Je me branle. J'ai une méchante envie de pisser. Je veux pouvoir le faire en érection. Ça questionne toujours les filles. Je me concentre. Je cesse de me masturber. Je reste immobile. Je m'imagine avec les pieds dans l'eau froide. Méthode imparable.

Je teste. Je lâche une courte giclée. Ça fonctionne. Il ne faut surtout pas que je pense à la suite. Que tout soit le plus naturel possible. Je regarde ma queue qui commence à ramollir. Parfait. Le bruit des sabots d'un cheval. Je fais mine de ne pas entendre. D'être concentré sur mon activité. Dans le reflet métallique du support d'un des deux tonneaux, je vois la silhouette s'approcher. Impossible de ne pas voir ma queue. Je pisse abondamment. En visant les briques rouges sur lesquelles je dessine un bonhomme. << Oh pardon, excusez-moi ! >>. Je tourne la tête. C'est Séverine. Devant son air terriblement gêné, je réponds : << Oh mais je n'ai pas à vous excuser, il n'y a aucun mal, c'est moi qui m'excuse ! >>. Son embarras fait place à une esquisse de sourire lorsqu'elle me dépasse.

Tout en pissant, j'agite ma queue dans sa direction alors qu'elle se retourne. Cette fois son sourire est franc. Je suis convaincu qu'elle a compris. Que c'était une filouterie de vicelard. Son regard suggestif, par en-dessous, m'en persuade. Elle ne s'arrête pas mais reste à m'observer, souriante et interrogative jusqu'à la clôture dont les deux barres en bois de la porte sont levées. Ce n'est que là qu'elle cesse de me fixer. Je reste à secouer les dernières giclées dans sa direction. Là-bas, à présent à une cinquantaine de mètres, elle s'arrête. Droite sur sa monture, elle tourne son buste pour m'observer une nouvelle fois. Je recommence à bander sévère. Avec quelques contractions des muscles fessiers j'expulse les dernières giclées. Je me branle en lui faisant un coucou de ma main libre levée. Elle fait de même avant de filer.

Juliette et Clémentine viennent me rejoindre. << Félicitations ! >> lance Juliette en s'accroupissant pour me regarder me masturber. << Bravo, tu as fait fort ! >> rajoute Clémentine. Je cesse de me branler car il y a des voix qui se rapprochent. Je remballe in extremis. Nous laissons Juliette à son travail. Dans la voiture, Clémentine se précipite sur ma queue pour se régaler de ses épanchements. Je roule longuement à faible vitesse. J'adore me faire sucer en roulant. Clémentine aussi car elle prétend que les montées de jute sont plus régulières et plus abondantes. Je donne mes impressions quand à cette superbe exhibe. Clémentine me pose tout un tas de questions sur les émotions que cela procure. Il est dix sept heures trente quand nous revenons à la maison. Nous faisons l'amour sur le canapé du salon. Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme, nous nous réservons pour la soirée avec Estelle. Il y a le film de la pipe de l'autre jour à regarder.

Bonne fin d'après-midi et bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à découvrir, sur grand écran, leurs prestations vicelardes à sucer un inconnu. Filmées à leurs insu...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 20 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2758 -



Reconstitution pour Estelle

Hier matin, vendredi premier novembre, il va être neuf heures lorsque nous nous réveillons en même temps. Estelle à ma droite, serrée contre moi, qui saisit ma tumescence. Clémentine à ma gauche qui empoigne mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. Nous retrouvons les plaisirs du trio. Cette bonne nuit de sommeil n'était pas un luxe car avec les galipettes de la soirée, après l'excellent gratin de choux fleurs, nous nous sommes couchés épuisés. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. Estelle nous abandonne en courant vers la porte. << Pipi ! >> s'écrie t-elle avant de disparaître. Clémentine passe sous la couette pour sucer mon érection déclinante. Sans excitation c'est un acte aux sensations étranges. Elle remonte vite à la surface pour des bisous.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Estelle est entrain de revêtir sa tenue de jogging quand nous la rejoignons à la salle de bain. De l'eau sur nos visages avant de faire comme elle. Nous déconnons déjà devant le grand miroir ovale. Prenant des poses loufoques. << J'aime la bosse que fait votre virilité monsieur. N'oubliez pas que nous allons reconstituer la scène du pisseur devant la cavalière ! >> me fait Estelle en palpant la "bosse". Ce qui m'excite légèrement. Je passe ma main entre ses cuisses pour répondre : << Vous aurez le premier rôle mademoiselle ! >>. Nous rions en dévalant les escaliers. Estelle prépare le café. Clémentine beurre les tranches éjectées par le grille pain. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Estelle n'arrête de faire des bisous dans mon cou, de palper.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les folies de la veille au soir. La fameuse "baise sur bureau" qui a suivi le visionnage du film réalisé aux bâtiments des sanitaires du port de plaisance. On y a admiré la pipe qu'a faite Clémentine à l'employé communal dans le mini camion. C'est extrêmement excitant de revoir des prestation vicelardes. Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'exhibe pisseuse que j'ai offerte à Séverine, la jeune cavalière. Et par la même occasion à Clémentine et à Juliette. Estelle est la première à venir s'assoir sur mes genoux. Terminant sa tartine elle précise : << Je veux te voir dans tes œuvres, vieux salaud. Montrer ta bite aux filles. Tu te souviens la première fois que tu me l'as montré vieux pervers ? >>. Oh oui ! Je m'en souviens très bien.

Jogging ou entraînement en salle ? Dehors le ciel est uniformément gris et bas. Il y a de la brume. La température extérieure n'est que de 10°. La vaisselle porte conseil. Nous nous brossons les dents dans la salle de bain du bas. Nous enfilons les K-ways. Juste pour "voir". L'absence de vent rend le climat plus agréable. Quelques mouvements d'échauffement et nous descendons en courant jusqu'à la rivière. Nous la longeons jusqu'au vieux lavoir. Une heure d'un running des plus gratifiants. Nous nous félicitons d'avoir pris le courage de le faire malgré la fraîcheur humide de cette Toussaint. La douche. Vêtus de nos Levis, de nos chemises à carreaux, de nos baskets nous redescendons jusqu'au salon. Nous laissons Estelle allumer l'ordinateur pour consulter sa messagerie. Elle attend des mails.

Clémentine est assise sur le bureau, tournant le dos à Estelle. Ses bras autour de mon cou, ses jambes rapidement autour de ma taille. Nous nous embrassons goulument. Je la soulève. Nous faisons le tour de la grande pièce. Estelle lève quelquefois les yeux pour nous observer quelques secondes. << La place est chaude ! >> s'exclame t-elle en se levant. Clémentine s'installe sur mes genoux en me tournant le dos. Elle ouvre nos boîtes mails. Le courriel de Juliette qui nous remercie pour notre passage. Et qui me félicite personnellement pour ma superbe exhibition pisseuse. Précisant qu'elle aussi veut vivre la situation sur son cheval. Nous en rions de bon cœur. Estelle, debout à côté de nous, son sexe en appui sur le coin du bureau écoute Clémentine qui lit le message deux fois.

<< Tes saloperies devant les filles remportent un franc succès vieux salaud ! >> lance t-elle. Nous faisons le programme de l'après-midi. C'est la météo idéale pour une randonnée. << On se fait le château ? >> demande Clémentine. << Il faut partir tôt alors ! >> s'exclame Estelle. Surtout que la nuit tombe dès dix sept heures trente. Et avec vingt cinq kilomètres à parcourir dans les deux sens, le temps est raccourci. Je suggère qu'on se fasse plutôt le circuit du vieux monastère. C'est plus proche. Mes deux anges applaudissent ma proposition. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de tomates. Il y a les restes du gratin de choux fleurs à réchauffer avec trois escalopes de dindes. Préparations rapides. On nous faisant plein de bisous.

Nous savourons ce repas simple mais goûteux. Sans nous attarder. La vaisselle. Le brossage des dents. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, thermos de thé bouillant, la minuscule paire de jumelles. Il n'est pas treize heures que nous voilà en route pour le bourg voisin. Nous le dépassons pour garer l'auto le long du muret de la chapelle. Il y a déjà d'autres véhicules. Très certainement des randonneurs. Il y a du monde dans le petit cimetière. Des gens fleurissent des tombes. C'est donc l'explication. Ce ne sont pas des voitures de randonneurs. Nous changeons de godasses. C'est parti. Nous prenons en direction du bourg. Il faut longer les clôtures des prés désertés de leurs bovins. Le brouillard semble se densifier. Heureusement nous connaissons bien cet itinéraire.

Nos anoraks que nous pouvons enfin ouvrir pour affronter la montée. Avec l'effort nous avons bien chaud. Et Estelle peut s'en donner à cœur joie en tripotant ma braguette. Une heure trente de marche jusqu'aux bâtiments de l'ancien monastère. Des bâtiments en carré autour d'une cour. Cet endroit est devenu le dépôt des machines agricoles des exploitants. Personne. Nous allons dans le hangar. Entre les énormes machines et les tracteurs. Il y a même des meules de foin enveloppées dans de la cellophane blanche. C'est là que mes deux anges retirent leurs anoraks. Plus à l'aise ainsi pour descendre jeans et culottes. Je les tiens toutes les deux par leurs tresses. Elles pissent en riant. Je les torche soigneusement. Elles veulent s'amuser. << Fais-nous ton numéro sel te pli ! >> dit Estelle.

Elle entraîne Clémentine par la main, me laissant seul. Je regarde les flaques de pisse sur les pavés du sol. Le granit n'a pas encore tout absorbé. Je sors ma bite. C'est curieux mais dans ce hangar il ferait presque doux. Je me branle. Où sont donc passées les filles ? Je reste un peu inquiet. Je me concentre. Je lâche ma première courte giclée. C'est Estelle qui apparaît la première. Jouant à la promeneuse. Interprétant le rôle d'une parfaite inconnue. Je pisse dans sa direction. Elle marche doucement. Faisant semblant d'être étonnée, puis outrée avant de revenir sur ses pas. Je lâche quantité de petites giclées. Mais où est Clémentine ? Estelle disparaît pour réapparaître. C'est un jeu très excitant. La dernière giclée en me masturbant. << Salopard ! >> lance la fille avant de partir.

Je me branle parce que c'est vraiment très agréable. Ces situations sont passionnantes. Surtout lorsqu'elles font parties intégrantes d'un scénario. J'entends rire. Mes deux anges reviennent en regardant l'écran de l'I-phone de Clémentine. Elle m'explique : << J'étais cachée là-bas, derrière les caisses. J'ai zoomé pour filmer la scène. Regarde ! >>. Elle me montre alors qu'Estelle attrape ma bite. << On se mâte ça ce soir sur grand écran. J'aime voir les mecs pisser ! >> dit elle. Je propose de nous offrir un bon repas au "Bol d'or", le seul restaurant du bourg. Elles hésitent. Puis rapidement elles sautillent autour de moi. << Génial ! >> lancent elles en cœur. Nous revenons à la voiture à l'arrivée du crépuscule. Nous rentrons pour nous changer. Nous irons manger vêtus élégamment.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines aimant jouer les voyeuses autant que de faire les exhibitionnistes...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 21 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2759 -



Dimanche ensoleillé

La grasse matinée de dimanche, hier matin, est encore un véritable enchantement. Estelle à ma droite, qui est restée contre moi toute la nuit. Clémentine à ma gauche qui vient se blottir. C'est ainsi que nous nous réveillons. Il va être neuf heures. Avec le sentiment de n'avoir pas tout à fait récupéré de notre soirée de samedi à faire du triolisme effréné. En saisissant mon érection naturelle d'une poigne ferme, Estelle lance : << Ton gros machin que tu enfonces dans tous les trous, vieux salaud ! >>. Nous en rions aux éclats. Clémentine se frotte lascivement contre ma hanche en murmurant : << Mmhhh ! >>. Distributions de bisous. Mes deux anges collent leurs lèvres sur mes joues avant de se faire une longue bise sur la bouche. Estelle se détache en criant : << Pipi ! Vite ! >>.

Elle se lève pour se précipiter vers la porte dans son pyjama de soie mauve. Nous assistions pour le troisième jour consécutif à cet amusant sprint d'urgence. Clémentine se couche sur moi en continuant à frotter son sexe contre le mien. << C'était encore un samedi extraordinaire ! >> dit elle en mitraillant mon visage de bises. J'adore son haleine matinale. Il y a quelque chose d'animal. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. De nous passer de la flotte sur les visages à la salle de bain. Il fait bien chaud partout dans la maison. C'est en slips et T-shirts de nuit que nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. La brioche au pudding y trône au milieu de la table où sont déjà préparés les bols. L'odeur du café et du pain grillé. Estelle qui me saute au cou. Que je soulève. Des bisous.

Puis elle saute au cou de Clémentine. J'adore les voir s'adonner à cette tendresse toute féminine. J'aime les voir s'adonner à leurs jeux saphiques. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre magnifique samedi. La livraison des fruits et légumes de la matinée. Lise est venue faire le ménage. L'après-midi fut consacré à une superbe randonnée. La soirée de samedi à nous livrer à nos activités sexuelles dans la plus totale confusion des sens. Nous en rions de bon cœur. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, terminant leurs tranches de cette succulente brioche, nous faisons le programme de ce dimanche. Estelle qui devra nous laisser pour vingt deux heures insiste pour que quoi que nous fassions, ce soit intense. Elle fourre sa main dans mon slip et précisant : << Et profond ! >>

La vaisselle. Nous remontons nous brosser les dents, recouvrir le lit et nous changer à la salle de bain. C'est en Levis, en chemises à carreaux et en baskets que nous redescendons. Nous enfilons les anoraks. Le ciel est bleu. Le soleil y règne en maître mais la température n'est que de 8°. << Ça meule ! >> lance Estelle en prenant mon bras. << Ça caille ! >> rajoute Clémentine qui fait pareil. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nos bonnets. Nos gants. Il y a de la vapeur qui s'échappe de nos bouches lorsque nous parlons. Les filles parlent très souvent des carrières professionnelles qui les attendent. Clémentine commence demain, lundi, à huit heures. << Ça va me faire tout drôle d'être professeur à l'université où j'étais étudiante huit ans ! >> dit Clémentine. Elle me demande de l'assister.

Estelle évoque son travail de comptabilité avec sa maman dans l'entreprise familial. Ce qui la met à l'entraînement jusqu'à son départ pour Los Angeles le vendredi 3 janvier au soir. << Avec le décalage horaire, j'arriverai en Californie toujours en soirée, peut-être même dans la nuit ! Je redoute le jet lag ! >> précise t-elle. Nous longeons la rivière en parlant du futur. Ce seront peut-être les dernières fêtes de fin d'année que nous passerons ensemble. Ce qui rend Estelle tristounette. Les filles promettent de se faire des webcams et de garder un contact permanent. J'assiste une fois encore à leurs échanges de tendresse. Quand elles s'embrassent lascivement. C'est beau. Je m'éloigne pour respecter leurs effusions de douceurs. Leurs amours. << Où tu vas ! >> s'écrie Estelle qui me retient par le bras.

Nous nous serrons tous les trois pour fouiller nos bouches. Avec le froid, avec la salive qui mouille nos mentons, nos joues, c'est rapidement une épreuve. Il est onze heures quinze quand nous revenons. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade de concombre et d'avocats. Estelle prépare le poulet à rôtir. J'épluche et je lave les pommes de terre que je passe au coupe frites. C'est une préparation méthodique et rapide. Chacun effectuant sa tâche précise. C'est dans la véranda pas chauffée que nous regardons dehors pendant la cuisson. Je suis entre mes deux anges serrées contre moi. Il est décidé d'aller aux anciennes tuileries cet après-midi. Mais en passant par les étangs. Les sentiers sont plus escarpés mais nous y serons quasiment tout le temps sous le soleil.

La sonnerie du four. Morts de faim nous nous précipitons au rituel poulet frites de nos dimanches. Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'invitation qui nous est faite par les parents d'Estelle. C'est chez eux que nous mangerons lundi prochain. Le 11 novembre étant un jour férié cela nous fera un second week-end prolongé. Des réjouissances en perspective. Nous ne traînons pas. À peine les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle que nous nous brossons les dents. Nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain du bas. Dans le petit sac à dos, trois pommes, la thermos de thé bouillant, les barres de céréales. La minuscule paire de jumelles. Heureusement, la température avoisine à présent les 16°. Il n'est pas treize heures que nous voilà en voiture.

Cinq kilomètres jusqu'à la scierie. C'est sur le parking ouvert de l'entreprise que nous garons l'auto. Je referme ma braguette. Nous changeons de godasses. Il faut contourner les bâtiments déserts le dimanche pour quitter la route. Devant nous s'ouvre le chemin forestier. Les dernière feuilles, rousses, jaunes et translucides encore accrochées aux branches forment un tunnel de lumière féérique. Estelle et Clémentine filment notre entrée dans ce château naturel. C'est de toute beauté. Le chemin reste droit sur un bon kilomètre. Nous pouvons avancer côte à côte en foulant le tapis de feuilles mortes recouvrant la rocaille et la terre. Tout est sec. Le soleil est une douceur. Tout s'arrête brusquement. Il y a des voitures garées. Ce n'est plus qu'un sentier. Il monte rapidement. Sévère.

Estelle ouvre la marche. Il faut ouvrir les anoraks puis les enlever pour les nouer par leurs manches autour de nos tailles. Avec l'effort de la montée il fait bien chaud. J'ai même la bite à l'air sur une portion de sentier et durant une bonne vingtaine de minutes. Lorsque nous croisons de rares groupes de promeneurs, Estelle ou Clémentine se blottissent contre moi. Cachant ainsi ma virilité dure comme la branche d'un des chênes qui nous entourent. Nous suscitons bien évidemment cette même question récurrente. Non, je ne suis pas le père incestueux de ces deux sublimes jeunes filles. Les bises qu'elles me font, qu'elles se font peuvent le certifier. Attitudes des randonneurs qui nous font rire aux éclats après les avoir croisé. Arrêt pipi. Leurs vêtements à mi-cuisses pour pisser.

Je les tiens par leurs nuques. En parfait équilibre elles peuvent pisser dans les meilleures conditions. Je m'accroupis pour enfoncer mes index dans les trous des culs. << Salaud ! Enculeur de filles ! >> lance Estelle une fois encore. Cette phrase que nous avons entendu d'innombrables fois depuis plus de sept ans. C'est Estelle qui me tient la bite pour en diriger les jets contre un rocher. Elle y dessine un bonhomme. << Avec son petit chien qu'il promène ! >> lance t-elle en dirigeant la toute dernière giclée. Clémentine s'accroupit, me tenant par la jambe, attendant qu'Estelle lui tende mon Zob. Je bande mou en pissant. Clémentine le gobe immédiatement pour se régaler des reliquats. Elle se redresse. Estelle s'accroupit à son tour pour une rapide sucette passionnée. Nous repartons.

C'est étrange d'arriver aux bâtiments des anciennes tuileries par ce sentier. La configuration des lieux n'est pas la même. Les hauts murs de briques rouges sont sinistres. Comme une barrière gigantesque interdisant de continuer. Nous les contournons par la droite. Il y a deux groupes de randonneurs. Avec l'équipement. Ils écoutent une sorte de guide. Placés en cercle autour de lui. Nous entendons nous aussi. C'est l'historique qui est narré là pour les marcheurs. Ce qui éclaire pour nous aussi quelques interrogations. Nous en apprenons davantage sur cet endroit que nous fréquentons depuis quelques années. Nous montons l'escalier qui mène à l'intérieur de la seule construction accessible. Celui des fours gigantesques où se cuisaient jadis les tuiles par milliers. Douze heures. Impressionnant.

J'ai rapidement la bite à l'air. C'est amusant de se faire branler, sucer, en écoutant les voix à l'extérieur. Elles résonnent d'une étrange façon entre les vieux murs. J'ai moi aussi les mains dans les Levis déboutonnés. Je doigte mes deux anges qui m'embrassent, qui s'embrassent. Je bande comme le dernier des salaud dans la main d'Estelle qui me la tord dans tous les sens. J'agite mon médius dans sa vulve. Quand je retire mes doigts que je porte à ma bouche, ils sont trempés de mouilles. Un régal. J'ai une méchante envie de leurs bouffer les chattes. Il faudra attendre ce soir, après le repas. L'odeur est forte car le dimanche, pas de douche, pas d'autres toilettes intimes que celles des culs après la "grosse commission". Nous prenons soins de préserver nos sexes pour le dessert.

Il faut deux heures pour monter par la scierie. Il en faudra un peu moins dans la descente. Prenant en considération qu'avec le changement d'heure le crépuscule arrive pour 17 h30. Que la nuit tombe pour 17 h45. Qu'il fait nuit noire à dix huit heures. Pas de lune pour nous éclairer. Elle est noire elle aussi. Nous arrivons à la voiture équipés de nos lampes frontales. La fraîcheur nocturne est éprouvante. Humide. La température descend inexorablement. Il n'y a déjà plus que 11°. Changement de godasses. Estelle et Clémentine, installées sur le siège passager, malgré mes réticences, tripotent ma braguette en me promettant mille délices pour après la bouffe. Dix huit heures trente. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de carottes. Estelle prépare l'omelette aux champignons.

Je désosse les restes du poulet pour tout réchauffer dans la poêle. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de ces trois jours passés ensemble. En nous réjouissant pour les trois prochains qui nous attendent le week-end à venir. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Malgré la fatigue qui nous gagne, nous nous précipitons au salon. Je me branle en regardant les filles retirer leurs baskets, leurs jeans et leurs culottes. Juste en chaussettes et en chemises, vautrées dans le canapé, elles m'offrent les saveurs de leurs délicieuses intimités. Ma "fondue savoyarde" des dimanches soirs. À genoux sur les épais coussins, pendant qu'elles s'embrassent en gémissant, je passe de l'une à l'autre. Ah mes amis ! Un tel dessert devrait être recommandé par tous les nutritionnistes de la planète.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer le croupion après un après-midi de randonnée pédestre. Qui adorent s'épancher en se laissant totalement aller. Jusqu'à jouir dans la bouche de leur lécheur en hurlant de bonheur, de plaisir et de jouissance. Amen...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
L'entrée dans la vie professionnelle
Tuesday 5 November 2024 07:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 22 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2760 -



C'est la rentrée pour Clémentine

Hier matin, lundi, nous sommes réveillés par l'écoulement d'une source. Les gazouillis d'oiseaux. Tout cela résonne étrangement comme au plus profond d'une mystérieuse forêt. Une application fort plaisante. Il va être six heures. Nous avons totalement perdu l'habitude de sortir du sommeil aussi tôt. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant plaintivement. Des bisous. Des câlins. Il faut se lever. Nous courons vers la porte. Après les toilettes c'est le rituel de l'eau sur les visages à la salle de bain. Nous enfilons nos tenues de gym. Nous accomplissons tout cela à la manière de robots mal programmés. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Les radiateurs viennent de se mettre en fonction. La fraîcheur de la nuit est un peu désagréable. Clémentine fait le café. Silencieuse ce matin. Je presse les oranges.

Il suffit de mettre le reste de la brioche au four à micro ondes pour qu'elle retrouve son moelleux. Je pèle les kiwis pendant que Clémentine beurre les tranches éjectées par le grille pain. Ce matin ce sera bacon et œufs. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments forts de ce week-end prolongé déjà passé. En nous réjouissant pour celui à venir. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les horaires de la semaine. Les horaires de ce lundi sont particuliers car il faudra que Clémentine soit en entretien avec sa direction entre huit et neuf heures. Les autres lundis elle ne commencera qu'à neuf heures. Le jeudi sera la plus longue journée de la semaine avec huit heures de présence. J'écoute le développement de son timing. Il faudra que je me le note pour agir en conséquence.

Nous ne traînons pas. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Il fait encore nuit dehors. Une ambiance sinistre. Aussi Clémentine allume le grand écran du téléviseur. Un film de nos vacances en Écosse. L'aérobic de l'échauffement. Le jogging sur les tapis roulants. Les exercices abdominaux avant de passer aux charges additionnelles. Le retour au calme avec les étirements d'un stretching un peu bâclé par manque de temps. La douche. Clémentine porte une de ses jupes noires légèrement évasée au-dessus du genoux. Ses bas noir. Des souliers à légers talons. Un chemisier blanc sous un pull noir au col en "V". Je suis en jeans, chemise à carreaux, baskets. Nous redescendons à toute vitesse. Il va être 7 h20. Je sors le premier pour faire chauffer sa voiture. La Golf.

La température est de 8°. Le ciel est uniformément gris et sinistre. Ambiance de Toussaint. Clémentine vient me rejoindre dans son élégant manteau noir. << Je t'aime ! >> dit elle en passant ses bras autour de mon cou. Un rapide bisou avant de s'installer au volant. Je regarde la voiture rouge monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je m'empresse de retourner au chaud. Faire la vaisselle et recouvrir le lit sont mes premières fonctions solitaires. Ça me fait tout drôle de me retrouver seul. La demeure me semble encore plus vaste et le silence d'une profondeur inquiétante. Il va me falloir moi aussi me réadapter. Cette pensée m'amuse. Je vais dans l'atelier. J'y allume la première flambée de l'automne. Le tirage de la cheminée est parfait.

Installé devant mon chevalet, je retrouve tous mes réflexes de peintre. Cette petite toile dont j'ai fait le dessin préparatoire n'attend plus que ses couches supérieures à l'huile. Je prépare les couleurs sur la palette. Je ressens une sorte de sentiment nostalgique. Pour moi également un nouveau chapitre vient de s'ouvrir. À moi de l'écrire afin qu'il me soit le plus agréable et le plus plaisant. Je peins en pensant à ces quatre mois d'inactivés créatrices mais riches en évènements de toutes sortes. En peignant j'envisage déjà la prochaine toile. Ce sera un grand format à partir d'un paysage Écossais. Ces introspections m'emmènent aux environs de midi. Les gargouillis que fait mon estomac ne me trompent pas. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je prépare l'assaisonnement d'une belle laitue.

J'en lave les feuilles pour ce soir également. J'épluche les pommes de terre. Je les lave avant de les couper en dés grossiers. Ébouillantés à l'autocuiseur avant d'êtres étalés dans le grand plat carré en terre cuite. J'y verse le mélange œuf, crème fraîche, fromage blanc. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère Suisse. Je saupoudre de graines de sésame grillées. Je dispose les cerneaux de noix en petits cercles. Au four afin de laisser mijoter longuement à 150°. Voilà notre repas du soir assuré. Pour midi je savoure du riz complet avec un filet de colin rissolé à la poêle avec ail, échalote et champignons. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit un journaliste d'investigation et un politologue. Il y est question de la guerre perdue.

Les élections Américaines qui seront déterminantes pour l'avenir du monde. Il suffit que ce soit la folle dingue qui remporte la victoire pour que les choses s'enveniment encore davantage, emmenant inexorablement l'Europe vers sa disparition. La gauchiasse américaine s'autoproclamant "démocrate" se sera livrée, comme en Europe, à toutes les bassesses. À toutes les turpitudes afin de faire perdurer le chaos. De mettre de l'huile sur tous les feux. Avec Clémentine nous avons suivi les évènements sans trop en parler entre nous. Mais nous avons tous deux été consternés par tous les coups bas, jusqu'aux tentatives d'assassinats perpétrés contre Donald Trump. En sachant, comme tout un chacun, que derrière tout ça se cachent les agissements du complexe militaro-industriel Américain. Ces gens-là ont tout intérêt à ce que la situation géopolitique empire encore davantage pour d'évidentes raisons économiques. D'enrichissements personnels.

La vaisselle. Je me brosse les dents quand mon téléphone se met à vibrer. C'est Clémentine. Elle me raconte sa matinée. Elle est au restaurant universitaire avec d'autres professeurs. Elle me racontera tout ça en détails en revenant pour seize heures trente. Au ton de sa voix je sais que tout se passe très bien. Nous raccrochons. J'enfile l'anorak pour aller faire quelques pas dans la propriété. C'est un épais tapis de feuilles qui recouvre le jardin, les pelouses. Même les eaux du bassins en sont recouvertes. L'entreprise paysagère viendra s'occuper de tout cela au début décembre. Je descends jusqu'à la rivière. J'y rencontre monsieur Bertrand. Louis, notre plus proche voisin, est entrain de nourrir ses amis à plumes. Canards, poules d'eau et Colverts qui lui réservent un accueil bien sonore.

Nous bavardons. Évidemment la conversation s'oriente très vite sur les élections Américaines et leurs conséquences. Il faut être le dernier des plus secs crétins pour ne pas s'en inquiéter. Nous remontons en discutant pour nous séparer à l'abri à bois. Me voilà installé devant mon chevalet dans l'atelier. Juste le crépitement du bois de hêtre que dévorent les flammes d'un feu réconfortant. Je peins animé des mêmes sentiments que ce matin. Du bruit. Clémentine revient de son travail. Elle entre dans la grande pièce en se précipitant vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Me confiant à quel point c'est troublant de passer d'étudiante à professeur dans la même université. Et d'avoir pour élèves des jeunes gens croisés dans les couloirs les années précédentes. << J'ai revu Léo, il a une petite amie maintenant. Dommage, c'était un "super coup" ! >> me confie t-elle. Nous en rions aux éclats.

Clémentine retrouve ses vieux réflexes en s'asseyant à la table, devant son ordinateur. Ce n'est plus pour mettre à jours des cours mais au contraire pour les préparer. Nous retrouvons ces séquences d'émulations constructives avec une joie immense. Je peins en écoutant Clémentine me raconter quelques amusantes anecdotes de sa première journée de professeur d'université. Le jeudi sera sa journée la plus longue. Quatre heures d'enseignements en matinée, quatre heures de recherches l'après-midi. Vendredi elle termine à midi. Pour un total de vingt trois heures par semaine. << C'est cool ! mais mal payé ! >> lance t-elle. Cette situation n'est que provisoire car Clémentine envisage une chaire en tant que maître de conférence. Pour n'avoir que six heures de cours en semaine et de pouvoir consacrer le reste de son temps dans la recherche pour des firmes privées. Bien plus lucratives. J'écoute tout cela avec beaucoup d'intérêt, d'attention.

Il est dix huit heures trente. Je lave les pinceaux. Je nettoie la palette. Clémentine range ses affaires. Nous retrouvons un autre de nos rituels avec joie. Elle vient me rejoindre au petit lavabo de l'atelier. Me tenant la bite pour en diriger les jets pendant que je me lave les mains. Dans sa jupe, ses bas noirs, ses souliers noirs à légers talons, son chemisier blanc sous son pull noir elle est terriblement sexy. Ses cheveux en chignon et ses lunettes de professeur. Elle a du mal à secouer les dernières gouttes car je bande comme le dernier des salauds. Elle s'accroupit. Je doit me tenir d'une main au lavabo. Je caresse sa nuque de l'autre alors qu'elle se régale des derniers épanchements. Cela dure quelques minutes. Elle se redresse avant la crampe pour passer ses bras autour de mon cou. Je suis pris des vertiges de la jouissance extrême. Elle me tient bien fort en riant de mes émois.

<< Merci Julien. Tu as fait de moi l'étudiante la plus privilégiée pendant huit ans. Et maintenant tu fais de moi la professeur la plus heureuse du monde ! >> s'exclame t-elle. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Quand elle cesse je demande : << Et qu'en est-il de la femme qui partage ma vie ? >>. Elle rit aux éclats avant de se mettre à sautiller autour de moi. Elle s'écrie : << Elle est la plus comblée ! >>. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Tout est prêt. J'ai même mis les assiettes et les couverts. Il suffit d'allumer le four. De faire l'assaisonnement du reste de la laitue dont les feuilles sont lavées. Je noue le tablier sur les reins de Clémentine. Elle tient absolument à rester vêtue ainsi. << Tu me prends comme ça après la bouffe ! >> lance t-elle.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le planning horaire des semaines à venir. Nous ne traînons pas. Dès la vaisselle faite, Clémentine m'entraîne au salon. Quelle belle surprise. Quand elle se jette dans le canapé, cuisses largement écartées, je découvre l'absence de culotte. Devant mon étonnement, Clémentine me rassure : << Je l'ai enlevé aux toilettes avant de te rejoindre dans l'atelier ! >>. Nous rions. À genoux sur les épais coussins, je me régale de sa journée de femme. Elle m'attire rapidement sur elle. Comme toujours, selon son souhait, je reste habillé. Juste mon érection hors de ma braguette. C'est ainsi que je m'introduis. Pour lui faire l'amour longuement. En l'écoutant me confier ses secrets de fille. Ce soir nous faisons l'amour en amoureux. Merveilleux.

Bonne nouille à toutes les coquines qui en savourent les jus de cuisson sous les draps. Avant de s'endormir tout contre leur coquin. Le goût de son sperme en bouche...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
L'entrée dans la vie professionnelle
Wednesday 6 November 2024 06:59

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 23 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2761 -



Seconde journée de professorat

Une des applications "forêts" choisies par Clémentine entre en fonction à sept heures. Hier matin, mardi, nous sommes réveillés par les enchantements des bruits d'une forêt profonde et mystérieuse. Clémentine, en gémissant vient se lover contre moi. Des bisous, des papouilles avant de nous lever pour aller aux toilettes. La salle de bain où nous passons nos visages à l'eau fraîche avant de nous habiller de nos vêtements de gym. Morts de faim nous dévalons les escaliers. En faisant le café, Clémentine raconte ses rêves. J'écoute en pelant les kiwis. En pressant les oranges. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les impressions laissées par ce lundi et la reprise d'une vie active. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre soirée à nous aimer. Merveilleux.

Nous ne traînons pas. Les horaires du mardi permettent de dormir une heure supplémentaire. Ce qui est très agréable. Nous hésitons. Aller courir dans le jour naissant, par 8° ou l'entraînement à l'étage ? Prenons du courage. Nous n'en manquons pas. Nous enfilons les K-ways, les bonnets, les gants pour sortir. Le froid est humide. Ce qui redouble la motivation nécessaire. Il faut vraiment faire appel à toutes nos ressources pour ne par rentrer. Les mouvements d'échauffement permettent de dominer le ressenti. C'est parti. Nous courons le long de la rivière en nous félicitant de le faire. Quarante cinq minutes avant de revenir prendre une bonne douche. Nous nous habillons. Je dévale l'escalier le premier pour aller préparer la voiture. Clémentine me rejoint vêtue comme lundi. Très élégante.

Un dernier bisous. Elle revient pour midi et nous serons ensemble pour le restant de la journée. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. C'est en courant que je retourne au chaud pour faire la vaisselle, recouvrir le lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans un enthousiasme qui me fait pousser des cris surréalistes. À chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent, je module une onomatopée particulière. En fonction de la teinte utilisée. La matinée passe tellement vite. Il va être midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Pendant que réchauffent les restes du gratin de pommes de terre, je fais l'assaisonnement d'une salade verte. Une belle scarole.

À peine les assiettes et les couverts disposés, Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. J'aime la voir dans sa tenue de professeur. Sa jupe noire, ses bas noirs, son chemisier blanc sous un pull noir. Ses souliers de ville noirs à légers talons. En prenant sa main, je la fais tourner sur elle-même. Je dis : << Comme tu es belle. Ils en ont de la chance tes étudiants d'avoir une telle professeur ! >>. Elle répond : << Mais c'est le regard de mon homme qui reste le plus important. C'est dans son regard que je me sens belle ! >>. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Clémentine doit faire l'acquisition de deux livres commandés lundi. << Ils sont déjà arrivés. Service FNAC ! >> précise t-elle. Nous irons donc en ville. Une destination plaisante.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte quelques anecdotes vécues ce matin. Elle s'adapte très vite. La vaisselle. Nous montons nous brosser les dents. Clémentine reste vêtue de son élégante manière. Je porte un Levis "brut", des bottines noires, une chemise blanche sous un pull noir au col en "V". Nous dévalons les escaliers pour prendre des poses devant le grand miroir de la penderie dans le hall d'entrée. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> dit elle en me tenant la main. << Regarde ! >> rajoute t-elle encore en s'accroupissant. Pendant que je me changeais, Clémentine a retiré sa culotte. Je découvre donc son invraisemblable broussaille entre ses cuisses écartées. << Je veux m'amuser ! >> fait elle.

Il va être treize heures quarante cinq. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Les sols détrempés sont traîtres sous le tapis de feuilles qui les jonchent. C'est avec la voiture de Clémentine que nous partons pour la ville. Mais je suis prié de conduire. Ça me change agréablement de conduire sa Golf. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. L'étroitesse de la braguette bouton d'un Levis 501 est un peu une torture en érection. Nous en rions de bon cœur. Vingt cinq kilomètres jusqu'au parking du centre Leclerc où nous garons l'auto. Nous pourrons y faire quelques courses au retour. Il y a dix minutes jusqu'au centre. Nous portons tous les deux nos manteaux noirs. Nos hautes tailles, notre élégance, beaucoup de regards se portent sur nos personnes.

Il n'y a pas grand monde dans les rues piétonnes du centre. La température extérieure n'est que de 12°. La FNAC. Nous flânons dans les rayons qui nous intéressent. Je fais même l'acquisition du tout dernier Blake et Mortimer "Signé Olrik". Clémentine aimerait bien s'offrir quelques frissons exhibitionnistes. Il n'y a pas de solitaire à errer dans les allées du magasin. Je suis donc l'heureux bénéficiaire de ses prestations. Nous adorons jouer aux inconnus. Nous nous séparons pour nous croiser au hasard de nos pérégrinations. C'est absolument magique de vivre ce que subissent les privilégiés qui assistent de trop rares fois aux exhibes de Clémentine. Quand je la surprends, accroupie, entrain de feuilleter un livre. Je peux interpréter le rôle du satyre. Jouer à celui du pervers. En bandant comme le tout dernier des salauds. Je me touche parfois discrètement en interprétant mes rôles. Derrière les présentoirs.

Il faut juste rester vigilants. Le personnel de la FNAC doit en voir bien d'autres. Aussi nous faisons tout le nécessaire pour ne pas êtres surpris en flagrant délire. Un jeux qui dure près d'une heure. C'est divin d'échanger nos passions pour l'exhibition et le voyeurisme. Nous nous rejoignons en caisses. << Ça m'excite. J'ai envie de faire plein de trucs ! >> me chuchote t-elle. C'est en descendant que l'I-phone à Clémentine se met à vibrer. << Estelle ! >> lance t-elle en le tirant de sa poche. Estelle ne pourra pas venir en soirée. Nous la reverrons jeudi. Dans la rue, Clémentine me saute au cou en s'écriant : << Juste nous deux ce soir ! >>. Je propose de nous offrir un bon restaurant vers dix neuf heures, en ville, afin d'êtres de retour pour vingt et une heures. De nous offrir plein de folies.

Elle hésite. << C'est sympa. Et je ne ne commence qu'à neuf heures demain matin ! >> conclue t-elle. Nous flânons dans les rues en admirant les vitrines. Un bon chocolat chaud, à l'étage de notre salon de thé préférée alors qu'il est déjà seize heures trente. Peu de clients. Pas d'opportunités exhibes depuis notre table. Une première visite dans les toilettes hommes. Enfermés dans un des cabinets. Je fais le contorsionniste pour lécher le minou de Clémentine après son pissou. Une bonne dizaine de minutes. Une seconde visite avant de payer l'addition en bas. Cette fois je me fais sucer entre les multiples jets de pisse. Clémentine qui les dirige, accroupie sur ma gauche. Elle pompe avec tant de passion que s'en est émouvant. Nous voilà dehors. Nous cherchons notre restaurant de la soirée.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui sont hyper excitées après quelques jeux exhibes avec leur complice...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
L'entrée dans la vie professionnelle
Thursday 7 November 2024 07:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 24 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2762 -



Une soirée chez Juliette

Une de nos applications préférées. "Forêt". Il est agréable d'être réveillé par les bruits de la nature. Hier matin, mercredi, ce sont une fois encore les gazouillis d'oiseaux perchés sur les branches. L'écoulement d'une source à proximité qui nous tirent du sommeil. Nos deux I-phones, fonctionnant en même temps, donnent l'illusion que tout cela se déroule dans notre chambre à coucher. C'est très "zen". Il est sept heures. Clémentine se blottit dans mes bras en murmurant d'incompréhensibles borborygmes. Elle doit s'y prendre à trois reprises pour rendre son propos intelligible. Nous en rions aux éclats. << Je fais bègue en seconde langue ! >> arrive t-elle enfin à articuler. Des bisous, des papouilles. Il faut se lever. Nous courons aux toilettes. De l'eau sur le visage à la salle de bain.

Vêtus de nos habits de sports, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Clémentine, en préparant le café, revient sur ses rêves de la nuit. Je suis comme un gamin à écouter une belle histoire. J'écoute en pressant les oranges, en pelant les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre escapade en ville, mardi après-midi. Nous mangeons de bon appétit en nous rappelant le délicieux repas au restaurant qui s'en est suivi. Des coquilles saint jacques accompagné de haricots verts aux calmars et aux avocats grillés. Un must. Le jour se lève sur la grisaille. Un ciel de plomb. La température de 8°. Il faut réunir tout notre courage pour enfiler les K-ways, mettre les bonnets, les gants avant de sortir. Quelques mouvements d'échauffement. Il fait vraiment très froid.

Pourtant, l'adaptation se fait rapidement et nous ne regrettons pas de courir en longeant la rivière. Quarante cinq minutes qui nous mettent en pleine forme. La douche. En faisant les pitres sous l'eau. Je descends le premier pour aller sortir la voiture du garage. Il va être huit heures quarante. Clémentine me rejoint vêtue de son manteau noir. Un pantalon noir à plis et à pinces. Des bottines noirs à légers talons. Ses bras autour de mon cou, elle me rappelle ses horaires : << Je suis de retour pour 15 h30 ! >>. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou lorsque l'auto arrive au portail. Je me dépêche de retourner au chaud. Je fais la vaisselle, le lit. Dans l'atelier j'allume la seconde flambée de la saison. L'odeur des marrons que je fais griller chaque jour au-dessus de l'âtre.

Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans une sorte d'extase pas du tout mystique. Il est dix heures lorsque mon téléphone se met à vibrer. Entre les tubes de peintures sur la desserte à ma droite. C'est Clémentine. Elle n'a que quelques minutes durant l'interclasse. << Je t'aime ! >> lance t-elle. Je n'ai pas le temps de répondre qu'elle rajoute : << Tu me manques ! À cet après-midi ! >>. Elle raccroche tout aussi soudainement. Je suis amusé en reprenant ma peinture. Midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Deux gros nems au crabe. Une rapide salade de tomates. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff revient sur les élections Américaines.

Avec son invité ils se gaussent des grimaces amères qu'ont fait les journalistes à la divulgation des premiers résultats. Tous ces sinistres individus qui prétendaient que ces élections et ses résultats se dérouleraient "serrés", dans "un mouchoir de poche". Alors que le candidat Républicain n'arrive pas seulement en tête mais bat tous les records, laissant sa rivale dans les limbes de l'anonymat où elle ne tardera pas à retourner. Après avoir été agitée comme une marionnette par toute cette répugnante gauchiasse wokiste, pédophile et sataniste. La raison semble l'emporter aux États-Unis. D'excellents présages pour les peuples d'Europe qui vont peut-être enfin pouvoir se débarrasser des leurs. Une page va être tournée pour l'ensemble des "va t-en guerre" qui vont devoir trouver d'autre saloperies pour prétexter ces milliards d'euros qui disparaissent mystérieusement chaque année. Et cet enculé de Zélensky va devoir rembourser l'Amérique. << Et chaque dollar ! >> a précisé le nouveau président durant sa campagne. Il faut un homme fort en Europe qui ait les mêmes exigences !

Je fais ma petite vaisselle. Le brossage des dents. J'enfile l'anorak pour aller me dégourdir un peu les jambes. La température extérieure est de 12°. Heureusement l'absence de vent rend ce froid presque agréable. Je fais le tour de la propriété. Il est 13 h30 quand je suis confortablement assis devant mon chevalet. Je peins dans la même extase picturale que ce matin. Du bruit. Est-ce possible ? Il est donc déjà quinze heures trente ? Clémentine entre dans la grande pièce pour se précipiter vers moi. J'anticipe. Je dépose les outils sur la desserte. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. << Ça me plait bien de venir donner mes cours dans l'amphithéâtre de l'université. Mes penchants exhibitionnistes en sont sublimés ! >> lance t-elle alors que nous en rions aux éclats. << Regarde, je me suis filmé discrètement ! >> rajoute t-elle en me montrant l'écran allumé de l'I-phone.

On voit les gradins où sont assis les étudiants. Clémentine souvent de dos qui explique. La sonorité est très mauvaise. La résonance rend le propos inaudible. Ce n'est que lorsqu'elle se retourne, craie en main, pour expliquer les équations écrites au tableau, que je découvre ma professeur d'université dans ses fonctions. Je m'écrie : << Mais tu es géniale ! >>. Elle répond : << Tu peux venir n'importe quand en tant qu'auditeur libre. C'est ouvert à tout le monde ! >>. Je trouve cette suggestion divine. Je m'exclame : << Ah mais je viens ce vendredi matin ! >>. Clémentine, toute heureuse, mitraille mon visage de bisous. L'affaire est entendue. << Tu m'emmènes vendredi matin et tu fais l'étudiant ! Génial ! >> s'écrie t-elle. Je réponds : << Un cancre qui n'y comprendra rien ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine a ses cours de jeudi à préparer. C'est sa "journée longue". Quatre heures de cours le matin, 4 h de labo l'après-midi.

Nous retrouvons avec joie ces moments d'émulations. Clémentine assise devant son ordinateur. Tout en me racontant d'amusantes anecdotes de cours. Je peins dans une extase encore décuplée en l'écoutant. Dix huit heures. << Et voilà ! Tous est prêt ! >> chante t-elle en rangeant ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Elle me rejoint au petit lavabo de l'atelier. Je me lave les mains, la bite posée sur le rebord de faïence. Elle s'en saisit pour en diriger les jets. Elle adore quand je contracte mes muscles fessiers pour stopper le flux, le reprendre. Elle compte. Penchée en avant pour viser dans le trou d'écoulement. << Dix sept ! Record battu ! >> lance t-elle. Elle secoue les dernière gouttes avant de se pencher en avant pour en savourer les reliquats. Je caresse ses seins.

Elle m'entraine par la bite pour m'emmener devant la cheminée où s'éteignent les dernières braises. Nous goûtons aux châtaignes. Un délice. Elles s'épluchent avec une facilité déconcertante. Elles sont moelleuses, sucrées juste ce qu'il faut. Nous en emmènerons chez Juliette. Nous quittons l'atelier pour monter à l'étage. Clémentine reste vêtue de son élégante tenue de professeur. Pantalon noir à plis et à pinces, un chemisier blanc sous un pull noir au col en "V". Sur sa demande, je m'habille pareil. Nous dévalons les escaliers pour prendre des poses devant le grand miroir de la penderie, dans le hall d'entrée. << Regarde un peu comme on est beaux tous les deux. Viens on prend des photos ! >> lance ma complice. I-phone sur mode retardateur, disposé sur le guéridon. Nous posons.

En effet, le résultat est probant. Nous sommes beaux et très élégants. Nous mettons nos manteaux noirs. Les écharpes crèmes étant les seules touches de couleurs. C'est avec la voiture de Clémentine que nous partons. Je suis invité à prendre le volant. Il n'y a que trois kilomètres. Nous sommes en avance. Aussi je me contente de rouler à 40 km/h. La route communale est déserte. Je me fais sucer. J'adore entendre Clémentine glousser de plaisir quand je fais mon vicieux. Quand j'appuie sur sa nuque, quand je pince ses narines où que je murmure : << Suceuse. Pompeuse. Pipeuse. Salope ! >>. Je gare l'auto dans la cour. Il fait nuit. Seules les anciennes écuries son allumées de l'intérieur. Nous entendons des voix féminines. Nous traversons la cour pour nous y rendre. Les silhouettes à contre jour de Juliette et de Bernadette. Madame Walter, toute heureuse de nous revoir, nous découvre la première. Nous nous faisons des bises. Contents.

Il y a quatre vingt sept chevaux en pensions jusqu'au printemps. Ce qui demande un suivi contraignant. Entre l'administratif et l'entretien des bêtes, des locaux, le travail ne manque pas. Madame Walter nous quitte. Juliette nous invite à la suivre. Nous lui faisons goûter une châtaigne encore tiède. << Mmhh, un régal ! >> lance t-elle en nous précédant dans l'escalier. Juliette est en tenue travail. C'est à dire en écuyère. Pantalon d'équitation hyper moulant, hautes bottes noires, un épais gilet qui souligne toutefois les courbes parfaites de son buste. Juliette reste la seule femme capable de susciter de la jalousie auprès de ma compagne. Nous en rions mais c'est très sérieux. La table est prête. La délicieuse odeur doit être celle d'un gratin. C'est un secret jusqu'au moment du repas.

Nous sommes priés de nous installer. Interdiction d'accompagner Juliette dans la cuisine. Gagné ! C'est un gratin aux brocolis accompagné d'une salade d'endives. Nous faisons honneur à ce plat délicieux en bavardant. Clémentine raconte ses trois premières journées de professorat. Juliette évoque son quotidien de chef d'entreprise. J'écoute les conversations féminines avec délectations. Elles semblent trouver passionnantes les choses les plus insignifiantes. Visions masculines et très réductrices. J'en prends une fois encore conscience. Juliette est la première à aborder notre sujet de prédilection. La sexualité décalée de notre "Club". << Je vous rappelle qu'il y a toujours le "plan Séverine" à disposition. Le "plan Elliot" également. Je peux le mettre en application vendredi après-midi par exemple ! >> lance Juliette. Clémentine m'observe. Me consulte du regard. Nous écoutons Juliette nous exposer ces fameux "plans". C'est excitant.

Séverine, jeune écuyère de dix neuf ans, pratique l'équitation depuis l'âge de huit ans. Ses parents ont trois chevaux en pension ici. C'est une jeune fille discrète qui suit sa première année en tronc commun pharmacie médecine. Juliette possède tous les renseignements mais elle précise : << Question cul, je ne sais rien mais je compte sur vous pour en apprendre davantage ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je me lève, je sors ma bite dure comme la branche d'un chêne. La tenant à sa base, je l'agite d'abord vers Juliette puis en direction de Clémentine. Clémentine qui dit : << On est là vendredi pour quinze heures. Ça va pour toi ? >>. Juliette répond : << C'est parfait. Je te branche avec mon palefrenier. J'ai surpris plusieurs fois Elliot entrain de pisser derrière les bâtiments ! >>

Nous rions quand Clémentine rajoute : << Et bien j'aimerais bien le surprendre moi aussi ! >>. Juliette, en observant ma masturbation lente et régulière, conclue : << Et bien tu vas le surprendre. Je m'en occupe ! >>. Nous traînons à table en envisageant d'autres "plans" bien vicelards. Comme par exemple cette soirée Gloryhole que propose notre hôte. << Avant les vacances de fin d'année. Ça te tente ? >> demande t-elle. Clémentine s'empresse de répondre : << Ça m'est un peu passé mais ce serait sympa de m'y replonger. Juste pour la distanciation que j'y mets ! >>. Nous sommes pliés de rire. Il est vingt et une heures trente quand nous quittons le haras. Je me fais sucer sur la route du retour. << Ça va être dur demain matin. Réveil à six heures ! >> lance Clémentine quand nous montons l'escalier. Une rapide toilette. Nous faisons un peu l'amour sans réelle conviction. Trop épuisés. Entortillés dans nos draps nous plongeons très vite.

Bonne nuit à toutes les coquines qui s'endorment avec des dernières pensées pour les moments ludiques qui les attendent. Ludiques et lubriques...

Julien (branleur pour dames)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
25 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2763 -



Jeudi soir en compagnie d'Estelle

Hier matin, jeudi, nos I-phones s'allument en même temps, sur nos tables de nuit, de chaque côté du lit et nous tirent de nos sommeils à cinq heures cinquante cinq. Dur. Très dur tellement nous n'en avons plus l'habitude. Même si ce sont des gazouillis d'oiseaux, l'écoulement d'une source, très "zen", là, c'est vraiment difficile. Nos yeux refusent même de s'ouvrir. Clémentine vient se blottir dans mes bras. Il nous faut faire un immense effort de volonté. Des bisous et nous nous levons comme des robots. Après les pipis, l'eau froide que nous appliquons sur nos visages vient à notre secours. Ça réveille. Nous revêtons nos habits de gym. Les radiateurs viennent eux aussi de s'allumer. La fraîcheur nous incite à tout accélérer. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Clémentine se met immédiatement au café.

Je m'occupe des fruits. Ce matin nous restons silencieux avec une espèce de boule au ventre. << Il faut que je trouve un boulot où je ne commence tous les jours qu'à dix heures ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous prenons le petit déjeuner en revenant sur notre soirée en compagnie de Juliette. Sa proposition pour vendredi après-midi. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les suites à y donner. Surtout en ce qui concerne le gloryhole. << Ça ne me fait plus vraiment envie ! >> précise Clémentine. Nous ne traînons pas. Il fait nuit noire. La température extérieure est de 8°. Pas question d'aller courir. Nous remontons pour un entraînement en salle. Échauffement aérobic avant le joggings sur tapis roulants. Les exercices abdominaux. Au sol et à la barre.

Les charges additionnelles. Rudes ce matin. Les étirements d'un retour au calme légèrement précipité avant la douche. Je descends en éclaireur pour aller préparer la voiture. Il va être 7 h40. Clémentine me rejoint dans son manteau noir. Son pantalon à plis noir. Ses bottines de la même couleur, une écharpe et un bonnet crèmes. Un dernier bisou dans un froid qui picote le nez. << À ce soir. Si tu me manques trop, je téléphone ! >> dit elle en s'installant au volant. Ce matin c'est en mode thermique car les batteries ne sont pas fiables par basses températures. Je la regarde. Un dernier coucou en haut du portail. C'est en courant à toute vitesse que je rentre au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit avant de redescendre dans l'atelier. J'y allume un beau feu dans la cheminée.

Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans une volupté qui me fait chatonner. Mes pensées vers Juliette et le vendredi après-midi qui nous attend chez elle, dans les écuries. La matinée passe si vite que je ne m'en rend pas compte. C'est mon estomac qui reste la meilleure horloge biologique. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Des patates précuites dans la poêle, avec un filet de colin. L'assaisonnement d'un concombre. C'est rapide. Pour ce soir ce seront des bouchées à la reine que je descends chercher dans le cellier, à la cave. Des champignons, la dernière petite laitue. Je concocte une Béchamel. J'émince escalopes de dindes, ail, oignons et champignons. Je râpe le gruyère Suisse.

Les coquillettes dans l'eau bouillante. Je vide le contenu de la poêlée de viande dans la Béchamel, avec du gruyère. Je remplis les cinq grosses bouchées à la reine disposées dans le plat carré. J'égoutte les coquillettes pour les verser tout autour. Je recouvre de gruyère, je saupoudre de graines de sésame grillées. Des cerneaux de noix judicieusement placés. Au four pour laisser mijoter à 150°. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff dans son émission sait m'étonner chaque jour. Aujourd'hui il revient une nouvelle fois sur les élections Américaines. Sur la douche froide et la raclée qu'ont pris tous les pronostiqueurs, tous les fameux "experts" -, toutes ces fripouilles au service d'une propagande nauséeuse, mensongère et idéologiquement fétides. Cette saloperie de gauchiasse wokiste. Loin des valeurs qu'elle était censée défendre jadis.

Je fais la vaisselle lorsque mon téléphone se met à vibrer. Il est dans la poche droite de ma blouse de peintre. J'essuie rapidement mes mains. C'est Clémentine. Il n'est que treize heures. Elle vient de terminer son repas avec quelques collègues professeurs. << Tu me manques. Je pense à nous deux tout le temps ! >> me confie t-elle. Elle se trouve dans la salle de documentation avant d'aller au laboratoire. C'est son premier après-midi de recherche officielle. Elle appréhende un peu. << Je vais rentrer tard, il sera dix huit heures trente. Put-hein ça va être dur ! >> conclue t-elle. Je l'encourage en disant : << Tu me raconteras. J'ai préparé une bonne surprise ! >>. Nous raccrochons en même temps. Je termine d'essuyer mon assiette, mes couverts. Je prépare la table pour la soirée.

Je mets l'anorak pour sortir. Le ciel est de ce gris uniforme depuis plusieurs jours. Pas plus de 10°. Je descends jusqu' à la rivière. Les arbres sont presque totalement dénudés. Avec ce temps sec, en marchant sur les feuilles, ce sont bruissements et craquements à chaque pas. Impossible d'arriver silencieusement au bord de l'eau pour surprendre les colverts, les poules d'eau et les canards. Ils semblent d'ailleurs se moquer éperdument des conditions climatiques. À les voir plonger leurs têtes sous la surface. J'en frissonne. Je remonte en pensant à Clémentine et à sa première expérience en recherche. J'imagine des éprouvettes, des vapeurs colorées qui s'en échappent, des bulles, des sonorités étranges. Je sais bien qu'il n'en est rien. Que c'est beaucoup plus mathématique, théorique que physique.

Me voilà installé devant mon chevalet. Cette petite toile verra son épilogue en soirée. Une nature morte traitée à la façon des anciens maîtres hollandais du dix septième siècle. N'ayant aucunement envie d'exploiter ma galerie d'Art l'été prochain je n'ai pas à fournir. Cet hiver je veux travailler sur des projets personnels. L'après-midi passe encore si vite. Il est dix sept heures quarante cinq quand je dépose la dernière touche de rouge de cadmium. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse. Je me lave les mains au petit lavabo de l'atelier. Du bruit. Quelle surprise. C'est Estelle qui entre dans la grande pièce. Elle me rejoint en courant pour me sauter au cou. Dans sa chemise à carreaux, son Levis et ses bottines. Son nez tout froid. Je la soulève pour la faire tournoyer.

Nous nous embrassons comme des fous. << Je t'ai rien qu'à moi toute une demi heure ! >> s'exclame t-elle toute joyeuse quand je la dépose au sol. << Tu as déjà fait ton pipo du soir dans le lavabi ? >> demande t-elle en fourrant sa main dans ma braguette béante. Quant j'ai la bite molle il est tellement facile de la tirer du slip. C'est en la tenant qu'Estelle m'entraîne jusqu'à la faïence. J'ai une méchante envie de pisser mais je me gardai pour les plaisirs de Clémentine. Nos rituels pisseux du soir. Là, c'est Estelle qui me la tient pour en diriger les jets fumants sous l'eau chaude. Sa manière de procéder diffère de celle de Clémentine. C'est beaucoup plus "brusque". Penchée en avant, son bras gauche autour de ma taille, me tenant le Zob de la main droite, elle me le secoue énergiquement.

Elle se penche encore davantage pour observer. Par petites contractions des muscles fessiers je lance de multiples giclées. Elle oriente ma queue de différentes façon en poussant de petits gloussements de joie. Je passe ma main sous sa tresse pour saisir sa nuque. C'est que je commence à bander sévère. Estelle doit donc contraindre ma raideur en maintenant mon chibre vers le bas. Les dernières giclées dorées. Les toutes dernières gouttes. Je la tiens par la nuque pour la forcer à s'accroupir. Elle tente de se dégager. C'est évidemment un jeu. Je connais parfaitement les différentes phases qu'elle apprécie. Elle tombe à genoux sur les tomettes brunes. Je la tiens fermement par sa tresse. Je lui frotte la bite sur la gueule. Impossible d'enfoncer mon Zob dans sa bouche qu'elle garde obstinément fermée. Les lèvres serrées. Je lui mets une gifle. Elle me regarde de son air sévère, lourd de reproche. Je me penche pour lui cracher au visage.

<< Pour un accueil, je suis servie ! >> s'écrie t-elle alors qu'elle m'empêche se serrer son nez de mes doigts. Elle en connait la raison et les conséquences. Pour pouvoir reprendre une respiration normale, elle sera forcément obligée d'ouvrir la bouche. Elle se redresse en disant : << Salaud ! >>. Elle me saute au cou en s'écriant : << Je t'aime ! >>. Je passe ma main entre ses cuisses pour palper son intimité avec vulgarité alors qu'elle enfonce sa langue dans ma bouche. Elle ne lâche pas ma queue. Je bande comme le dernier des salauds. Je fourre ma main dans son jeans par le haut. Pour aller égarer un doigt, avec peine, entre les fines lèvres de sa vulve. M'attardant sur son clitoris. Comme un petit pois tout dur. Elle en gémit alors que nous nous embrassons. La salive mouillant nos mentons. Je dis : << Ce soir, toi, je vais te baiser comme tu n'imagines même pas ! >>. Elle s'écarte, me tient la bite des deux mains, me fait un sourire.

<< Tu promets ? >> demande t-elle. Je réponds : << Je promets ! >>. Estelle m'entraîne vers le vieux canapé de velours carmin. << Donne-moi un petit aperçu alors ! >> lance t-elle en descendant son Levis en même temps que sa culotte. Elle se laisse tomber dans le canapé. Avec les chevilles "ligotées" par ses vêtements, elle n'est pas vraiment à l'aise mais elle insiste pour se faire prendre comme ça. Je me couche sur elle. Elle attrape mon Zob pour se l'introduire en haletant. Immédiatement je fais la "machine à coudre". Elle en pousse de petits cris. Je demande : << Il est venu te baiser mercredi soir ton parrain , >>. Dans un cri elle répond : << Oui, bien sûr ! Il a plutôt intérêt ! >>. Je la baise moi aussi. Comme un sauvage au fond de la jungle. Du bruit. C'est Clémentine.

En entrant dans l'atelier elle découvre la scène en s'écriant : << Oh les salauds ! Quand ma chatte n'est pas là les souris dansent ! >>. Nous cessons en riant. Clémentine nous couvre les visages de bises. Elle embrasse longuement Estelle qui bouge son bassin encore plus excitée. Clémentine m'embrasse à mon tour. Nous ne tardons pas à nous donner des coups de langues, à tenter de les mélanger. Je me retire juste avant de perdre le contrôle. << Wouah ! Trop bien ! >> s'écrie Estelle en se relevant pour remonter ses fringues. Je dis : << Ce n'était que le petit aperçu de ce qui t'attend ! >>. Clémentine reste serrée contre moi en tenant ma queue trempée de mouille. Elle se penche pour en déguster les jus. Le mélange de ceux d'Estelle et du mien. Morts de faim nous quittons l'atelier.

Quand mes deux anges découvrent ce que j'ai préparé elles mitraillent mon visage de bisous. Je débande alors que Clémentine noue le tablier sur mes reins. J'allume le four. Estelle prépare l'assaisonnement de la laitue dont les feuilles sont déjà lavées. Dans mes bras, Clémentine nous raconte son après-midi. Très loin de mon fantasme d'éprouvettes fumantes. Beaucoup de travail sur des logiciels d'analyses. << C'est moins "Hollywood" ! >> lance Estelle. La sonnerie du four. Nous savourons ce repas délicieux en échangeant nos impressions quant à ce qui s'est passé dans l'atelier. Estelle nous raconte sa baise de mercredi soir avec Jean-Marc, sont parrain qui la baise depuis ses seize ans. Elle se lève, mimant une masturbation masculine en s'écriant : << J'en connais deux des baiseurs fous ! >>. Elle me montre du doigt. Elle devra nous laisser pour vingt deux heures. Nous ne nous attardons par après la rapide vaisselle. Baise sur bureau.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent se faire tringler sur un bureau, dans un salon victorien juste éclairé à la bougie, jusqu'à en hurler de plaisir. Jusqu'à en pisser de jouissance pour certaines...

Julien (baiseur fou)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Les douceurs d'un week-end prolongé
Saturday 9 November 2024 07:01

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 26 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2764 -



Un après-midi bien vicelard

Les bruits de la forêt. Comme si nous y étions. Il va être sept heures, hier matin, vendredi. Clémentine se love contre moi en gémissant. Je passe mon bras autour de ses épaules pour qu'elle puisse encore s'y blottir quelques instants. Il faut se lever. Nous courons aux toilettes. Il fait bien chaud dans la maison. Le jour commence à se lever. Un peu d'eau sur nos visages nous remet les idées au clair dans la salle de bain où nous mettons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. En pressant les oranges j'écoute mon histoire. Clémentine me raconte son rêve de la nuit en faisant le café. Ce matin c'est petit déjeuner à l'Écossaise. Œufs poêlés, bacon et tartines de pain grillé au beurre salé. Un délice. Nous savourons en bavardant.

Nous ne traînons pas. Nous remontons immédiatement pour nous offrir le second plaisir de cette nouvelle journée. La salle d'entraînement n'est qu'à 12°. Les mouvements aérobics permettent un échauffement parfait. Jogging sur tapis roulants. Exercices abdominaux au sol, sur banc et aux barres. Charges additionnelles avant un stretching dont les étirements permettent un agréable retour au calme. La douche. J'assiste ce matin au cours de Clémentine en auditeur libre. C'est pour moi une grande première qui me remplit d'une joie de gamin. Clémentine porte un tailleur noir. Jupe droite, bas noirs, chemisier blanc sous une veste blazer noir. Elle attache ses cheveux en catogan. Sur sa demande je suis en costume noir. Chemise blanche cravate. Je fais très "croque mort".

Nous rigolons comme des bossus en prenant des poses devant le miroir de la penderie du hall d'entrée. Nous revêtons nos manteaux noirs. Il va être 8 h40. C'est avec la Mercedes que nous quittons la maison pour l'université. << Ça me fait tout drôle de partir avec toi le matin. C'est génial ! >> dit Clémentine en palpant ma bosse. Quinze kilomètres plus tard je gare la voiture sur le parking réservé aux professeurs. Puisque j'accompagne une professeur. Nous entrons dans les bâtiments par la porte qui leurs est réservée. Clémentine me présente à deux de ses collègues. Une superbe jeune femme, la quarantaine et Alban que je rencontre enfin pour la toute première fois "en vrai". Je laisse Clémentine à son briefing matinal pour aller m'installer tout en haut dans l'amphithéâtre.

À moi aussi, ça me fait tout drôle de me retrouver "étudiant" pour les trois heures à venir. Les premiers commencent d'ailleurs à arriver. Moi qui m'attendais à voir débouler des lycéens je vois des jeunes gens d'environ vingt cinq ans. Des détenteurs du Master qui s'orientent vers leur Doctorat. Il est neuf heures cinq. Nous sommes une bonne trentaine. Clémentine entre dans la salle. Quel choc de la voir dans son rôle. Je n'en reviens pas. Une telle aisance. Une telle autorité naturelle. C'est un cours magistral auquel j'assiste. Je découvre ma compagne comme si c'était la première fois. Elle exerce un tel charisme sur l'auditoire. C'est réellement impressionnant. Dire que j'ai le privilège de partager sa vie. J'ai envie de me lever, de hurler à la cantonade : << C'est la femme que j'aime ! >>

J'écoute. Personne ne prête d'attention à moi. Comme me l'a précisé Clémentine on va me prendre pour un inspecteur d'Académie, un professeur ou un individu du "milieu" enseignant. La première heure passe. Je n'y comprend strictement rien en mathématiques topologiques ou encore en algèbre. Je regarde Clémentine faire ses démonstrations en expliquant les équations qu'elle trace au tableau. Comme elle est attractive et attrayante ! Je suis sous le charme de cette formidable jeune femme. Pour moi c'est un des plus beaux spectacle de mon existence. Je découvre une autre extraordinaire facette de la femme dont je suis amoureux fou. Les trois heures s'écoulent dans un enchantement paradisiaque. Nous nous retrouvons à la voiture pour midi. Clémentine touche ma bosse alors que je démarre. Elle retire ses lunettes.

<< Alors, tu as aimé ? >> me demande t-elle. Je cherche les mots les plus justes pour témoigner de cette nouvelle expérience. J'avoue mon admiration sans bornes. Elle rit aux éclats. << Je jetais quelquefois un œil à ce monsieur assis tout en haut de la salle. Je le trouvais très sexy dans son habit noir ! >> lance t-elle. Nous en rions comme des fous. Cette expérience nous a considérablement excité. Je propose un bon restaurant. << Non, on se fait des spaghettis avec des escalopes. Une salade de carottes et on se change ! >> dit Clémentine en me sortant le Zob. Il est midi trente quand nous arrivons. Le rituel pisseux et nous nous changeons. Levis, chemises à carreaux, baskets. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait l'assaisonnement. J'épluche les carottes.

C'est une préparation rapide. Nous mangeons de bon appétit en envisageant ce qui nous attend au haras. Juliette nous attend pour quatorze heures dans l'ancienne écurie. << Tu fais ton pervers. J'adore te voir faire le vicelard devant les filles ! >> lance Clémentine. Je me lève pour agiter ma bite en disant : << Là, je fais mon vicelard devant ma professeur. Je n'ai rien compris à son cours mais quel bonheur d'y assister. Je vous préviens madame, je récidive vendredi prochain ! >>. Toute contente elle vient s'assoir sur mes genoux. Nous traînons à table. La vaisselle. Le brossage des dents. Nous enfilons nos blousons d'épais cuir brun. Les écharpes. La température n'est que de 12°. Trois kilomètres jusqu'au haras. Clémentine me suce. Je roule comme un bienheureux au paradis.

Il y a de nombreuses voitures garées dans la cour. Des groupes de gens discutent. Des propriétaires de chevaux. Des parents des pratiquants l'équitation. Juliette, toujours débordée de travail est en pleine conversation avec deux couples de quinquagénaires très élégants. Nous ne la dérangeons surtout pas. Nous traversons la cour pour entrer dans l'ancienne écurie. Il y a des jeunes filles qui préparent leurs montures. Des garçons aussi mais ils sont en nombre restreint. Bernadette semble donner quelques consignes à Elliot le nouveau palefrenier. Le jeune homme nous voit le premier et nous salue d'un mouvement de tête. Bernadette vient à notre rencontre. Tellement contente de nous revoir. Madame Walter n'a que peu de temps à nous consacrer mais nous bavardons un peu.

Voilà Juliette, un grand classeur en main, qui arrive. Elle aussi est contente. Elle est suivie de Séverine. La jeune fille a un sourire magnifique en nous retrouvant là. Je surprends un furtif regard en direction de ma braguette. Juliette nous entraîne vers le box où se trouve le cheval de Séverine. Ses parents en possèdent trois. Mais c'est Pharaon qu'elle va monter cet après-midi. Nous assistons à la mise en selle. Séverine pratique l'équitation depuis qu'elle a huit ans. Elle en a dix neuf aujourd'hui. Je surprends un second regard tout aussi bref en direction de ma braguette. Vendredi dernier elle m'a surpris entrain de pisser derrière le bâtiment. Son attitude était des plus "prometteuse". Là, sur l'instant, elle découvre que je viens de la voir mâter. Un discret sourire de confusion. Ses joues rougissent soudain. Juliette nous entraîne. Je ne comprends pas immédiatement parce que j'aimerais continuer à m'amuser de ces situations extraordinaires.

Nous allons jusqu'au fond des écuries. La petite porte qui donne sur l'arrière du bâtiment. << On fait comme la dernière fois. Avec Clémentine on reste planquées. Tu nous fais du spectacle ! >> me dit Juliette. Nous guettons tous les trois l'instant où Séverine tire Pharaon de son box. Par sa longe elle emmène son cheval à l'extérieur pour y grimper en virtuose. Sa longue natte qui virevolte. Elle porte son pantalon moulant d'écuyère. Un anorak brun épais. Sa bombe de cavalière sur la tête. << Là, il faut aller te mettre en situation, elle passe toujours par derrière ! >> me fait Juliette. Clémentine s'accroupit pour me sortir la bite. Je l'aide car je bande comme le dernier des salauds. C'est avec la queue à la main que je sors. Il meule. Un léger vent froid balaie l'endroit. Désagréable.

Je reste derrière le grand cube de plastique opalescent enserré dans sa grille. Destiné à recueillir les eaux de pluie. Je me branle en guettant l'arrivée de la jeune cavalière. Cambré sur mes genoux fléchis, le blouson ouvert, je me fais surprendre en pleine branlette. Ma queue dure comme la branche d'un chêne centenaire. Elle n'est qu'à une cinquantaine de mètres. Nul doute qu'elle me voit depuis l'angle de l'écurie. Mon cœur bat la chamade. C'est comme une première fois. Je tente d'utiliser le reflet de la partie métallique de la cuve pour la voir s'approcher. Elle est immobile sur sa monture. Elle mâte. Elle avance. S'arrête une nouvelle fois. Avance lentement, maîtrisant son cheval à la perfection. << Oh pardon ! Décidément ! >> lance la jeune fille en arrivant à ma hauteur. Je fais semblant d'être surpris, gêné, je cache mon Zob des deux mains en disant : << C'est moi qui m'excuse ! >>. Séverine répond : << Mais il n'y a aucun mal ! >>

Elle ne s'attarde pas. Nullement embarrassée elle m'adresse un merveilleux sourire en me souhaitant un bon après-midi. Je la regarde s'éloigner en me masturbant comme un dément. Je pourrais juter tellement c'est bon. La cavalière parcourt une cinquantaine de mètres, s'arrête, fière et droite sur sa monture elle me fait un autre sourire. Je me branle de la main droite en levant mon bras gauche pour la saluer. Elle fait de même. Cette fois elle ne se retourne plus sur les cent mètres qui la séparent du sentier qui longe le ruisseau. Je suis soudain mort de froid. Quelles sensations d'avoir vécu ce grand moment ! Je rentre en remballant. Juliette et Clémentine me regardent en souriant. Des sourires bien vicelards. Elles lèvent le pouce en même temps comme pour féliciter ma prestation.

Juliette me dit : << Tu as été parfait. Je te prépare une suite aux "petits oignons" mon salaud ! >>. Nous rions aux éclats. Juliette doit nous laisser. Il y des gens dans la cour. Nous quittons le haras pour la zone commerciale. Il y a des achats à faire. Lundi est un jour férié...

Julien (branleur pour jeunes filles voyeuses)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Les douceurs d'un week-end prolongé
Monday 11 November 2024 07:43

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 27 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2765 -



Un dimanche gris et brumeux

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Il y a Clémentine entre Estelle et moi. Nous avons baisé comme des malades samedi soir. Et mes deux anges se sont terminées toutes les deux. J'entends murmurer. Je regarde. C'est merveilleux de voir mes deux anges enlacées. Clémentine se retourne pour se serrer contre moi. J'adore son haleine matinale. Les odeurs de sa nuit. Estelle la chevauche pour venir se coucher sur moi. Ce sont des échanges de tendresses extraordinaires. Comme si elles culpabilisaient, elles demandent en même temps : << Tu n'es pas jaloux ? >>. Je m'empresse de les rassurer en les serrant contre moi. Estelle se lève d'un bond, en proie à la torture de son besoin de pisser. Je vous retrouve en bas ! >> s'écrie t-elle.

<< Aujourd'hui je m'occupe de toi. Exclusivement de toi ! >> me fait Clémentine en saisissant mon érection matinale et déjà déclinante. Elle mitraille mon visage de bises. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Dans la salle de bain, nous revêtons nos Levis, nos chemises à carreaux, baskets. Il y a le pyjama mauve d'Estelle sur le tabouret. Impatient d'aller la rejoindre à la cuisine, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Il y a déjà les effluves parfumées du café, du pain grillé. La grande brioche au pudding et à la pâte d'amandes au milieu de la table. Entre les bols, les pots de miel et de confitures. Estelle presse les oranges. Je passe derrière elle pour remonter sa natte. Je pose mes lèvres dans sa nuque. Du bout de la langue je joue avec la racines des petites mèches toutes délicates.

Clémentine derrière moi pour me prendre en sandwich. Ses mains sur ma braguette. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre samedi. Entre la venue de Lise pour faire notre ménage, la livraison des produits fermiers du matin par Danièle, et la randonnée de l'après-midi, il y a de quoi raconter. Mais c'est surtout la soirée à nous livrer à nos folies habituelles qui nous laisse encore légèrement hébétés en y pensant. Estelle vient s'installer sur mes genoux la première. Elle aussi me pose cette question un peu stupide. Je réponds : << Non, je ne me sens absolument pas délaissé quand vous vous aimez toutes les deux ! >>. Elle est aussi rassurée que Clémentine qui vient s'assoir à son tour. C'est génial de coller nos trois bouches pour jouer de nos trois langues sucrées. C'est magique. << Tu nous comprends toujours si bien ! Et je suis tellement triste à l'idée que notre merveilleuse histoire s'arrête bientôt ! >> lance Estelle.

Nous traînons à table. Le dimanche pas d'entraînement. Nous faisons l'inventaire des différents circuits de randonnées. C'est une de nos activités préférées. Avec la bicyclette, quand la météo le permet. Mais là, en regardant par les fenêtres, le ciel gris se confond et ne fait qu'un avec le brouillard. << Une chienne n'y retrouverait pas ses petits ! >> lance Estelle. << Ah parce que tu as des petits ? >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. << Je veux bien en interpréter le rôle si Julien me met le collier et la laisse pour aller me faire faire pipi dehors ! >> rajoute Estelle. Pliés de rire nous faisons la vaisselle. Nous continuons la déconne devant le miroir de la salle de bain en nous brossant les dents. Nous faisons le lit avant de redescendre à toute vitesse. Il va être 10 h.

Il faut enfiler les anoraks, mettre les bonnets et les gants pour sortir. La température extérieure n'est que de 8°. En nous tenant par les bras, entre mes deux anges, nous descendons jusqu'à la rivière. On n'y voit pas à dix mètres tellement la brume est dense. C'est une ambiance de mystère. Un silence à couper au couteau. Même nos amis les canards, les poules d'eau et les colverts restent étrangement silencieux en nous apercevant. Pas un souffle de vent. Le tapis de feuilles mortes est extrêmement bruyant sous nos pas. Les hauts arbres dont on ne distingue plus que les formes dénudés sont comme autant de fantômes. Nous restons serrés tous les trois. Les jeux de langues sont devenus les nouveaux rituels auxquels nous nous livrons un peu mécaniquement. À chaque arrêt.

Il faut être prudent en longeant la rivière jusqu'au vieux lavoir. Par endroit le sol est glissant par l'humidité. Au retour comme à l'aller il faut marcher l'un derrière l'autre. Nous revenons pour onze heures trente. Clémentine fait l'assaisonnement d'une belle laitue dont elle lave les feuilles également pour ce soir. Estelle prépare le poulet à rôtir au four. Je m'occupe d'éplucher, de laver et de couper les pommes de terre pour les transformer en frites. Le rituel des dimanches. Chacun à sa tâche, les préparatifs vont bon train et sont rapides. Nous sommes au salon. Les filles sur mes genoux, à consulter nos boîtes mails. Juste le courriel de Juliette qui nous raconte son vendredi soir et sa partouze à trois du samedi soir en compagnie de Bernadette et de son mari Pierre. Sympa.

La sonnerie du four. Morts de faim nous nous précipitons à la cuisine. Nous savourons ce repas dominical en revenant sur les activités des membres de notre "Club" des dépravés. Je raconte une fois encore mon exhibition masturbatoire de vendredi après-midi devant la jeune cavalière. << Tu n'es qu'un vieux pervers ! >> me fait Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Je me lève pour agiter ma queue toute molle. "L'hélicoptère" pour faire plier de rire mes deux anges. Cet après-midi ce sera la boucle des quatre heures à partir de la maison. Le brouillard restera probablement aussi dense pour le restant de la journée. << Et si on faisait plus court pour faire une visite surprise au haras ? >> propose Estelle. << Excellente idée ! >> répond Clémentine. J'apprécie aussi.

Nous ne traînons pas. Dès la vaisselle et le brossage des dents effectués, nous préparons le petit sac à dos. Trois pommes, des barres de céréales, la thermos de thé bouillant. Nous mettons des pulls. Anoraks, gants, bonnets pour défier la fraîcheur humide et désagréable. Nous montons jusqu'au portail pour traverser la route. Nous engager dans la forêt. Le tapis de feuilles est tel qu'à chaque pas, dans un froissement sonore, nous en soulevons des monceaux. Ce qui ralenti notre marche. Nous nous tenons par les mains gantées. Je suis entre mes deux anges qui parfois se rejoignent devant moi pour se faire une bises sur la bouche. Même pour s'embrasser. Ce n'est pas sexuel. Notre belle histoire à trois va vers un épilogue inéluctable. Il reste un peu plus d'un mois et demi avant le départ d'Estelle pour la Californie. Et c'est une échéance à laquelle nous pensons de plus en plus souvent. Une fatalité un peu triste tempérée par les promesses de nous revoir aux vacances.

Je suis invité à y mettre la langue lorsqu'elles m'attirent à elles par le cou. C'est devenu assez facile de nous embrasser à trois. << Triplement excitant ! >> lance à chaque fois Estelle lorsque nous reprenons notre marche. Heureusement que nous connaissons parfaitement cet itinéraire. Le brouillard semble se densifier. Nous n'allons pas jusqu'à l'ancienne voie ferrée. Nous coupons par la forêt. C'est fou mais nous croisons un groupe de marcheurs et même deux cavalières. Le crépuscule s'annonce dès seize heures trente quand nous arrivons aux bâtiments du haras. Il y a une animation dans celui du manège. Juliette organise tous les dimanches après-midi des rencontres entre propriétaires de chevaux et leurs jeunes qui montent pour quelques concours informels. Sympas.

Les gradins sur la gauche avec une cinquantaine de spectateurs chaudement emmitouflés. Dans le grand manège, une vingtaine de jeunes cavalières et de jeunes cavaliers. Il y a là une ambiance conviviale. Presque familiale aux abords de la grande table où sont servies des boissons chaudes. Nous y retrouvons Bernadette et Juliette en pleine conversation avec des inconnus. Elles sont enchantées de nous voir. Une belle surprise. Pierre, le mari de madame Walter vient nous saluer. Un gobelet de thé bouillant à la main il nous raconte quelques anecdotes professionnelles. Estelle, discrètement, palpe ma braguette en me chuchotant des trucs prometteurs pour la soirée. Comme nous passerons la nuit ensemble, nous nous promettons un remake. Demain lundi étant un jour férié. Le 11 novembre à trois jusqu'au soir où elle devra nous laisser pour vingt deux heures.

Quelle n'est pas ma surprise ! Séverine. Elle est en compagnie de ses parents et d'amis. Je suis à la fois extrêmement gêné et terriblement excité. << C'est donc elle ! >> me chuchote Estelle. En cercle, à une dizaine de personnes, nous bavardons. Gobelets chauds à la main. Même s'il ne fait pas chaud, cette convivialité réchauffe tout de même un peu. Je surprends à plusieurs reprises le regard furtif de Séverine. En direction de ma braguette. J'ouvre même mon anorak afin qu'elle puisse mâter, se faire un "film". Ce qu'elle ne manque probablement pas de faire. Mais ce qui polarise toute son attention, c'est l'attitude de notre trio. Estelle et Clémentine constamment contre moi. Nul doute que pour cette jeune fille de dix neuf ans, il y a là matière à fantasmes. Elle évite de croiser mes regards. Je comprends sa gêne. J'aimerais bien échanger un sourire. Il va faire nuit. Nous avons nos lampes frontales dans le petit sac à dos que je porte.

Les gradins commencent à se vider. Toutes les personnes présentent défilent pour saluer et remercier Juliette. Nous la laissons à son travail. Nous saluons à notre tour nos connaissances avant de quitter le bâtiment. C'est là, en sortant, sous les halos lumineux des lampes dans le brouillard de la nuit naissante, que nous croisons Séverine et les quatre personnes qui l'accompagnent. Je surprends son regard une nouvelle fois porté sur ma braguette. Un regard appuyé et cette fois elle m'adresse un discret et merveilleux sourire. Ce qui n'échappe ni à Estelle, ni à Clémentine. << Je vous ramène ? >>. C'est la voix de Pierre derrière nous. Il nous montre sa nouvelle voiture. Un SUV BMW tout noir et rutilant. Nous acceptons avec plaisir. Trois kilomètres dans le brouillard d'une nuit noire.

Il va être dix huit heures quarante cinq. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle décortique les restes de la carcasse du poulet. Je m'occupe des spaghettis. Quand nous nous croisons c'est pour échanger des bises. Mêler nos langues. Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le bilan de cet après-midi. De cette fin d'après-midi. Estelle, toute contente d'avoir enfin vu à quoi ressemblait cette Séverine dont nous parlions, me dit : << Tu as vu ses regards ? Elle n'arrête pas de mâter ta braguette. Et son sourire ! Vieux salaud, tu es encore sur un super "plan" ! >>. Nous rigolons comme des bossus. << On te racontera ! >> lance Clémentine. La vaisselle. Nous voilà au salon. Estelle et Clémentine, juste en épaisses chaussettes et en chemises à carreaux. Vautrées dans le canapé. S'embrassant passionnément en gémissant. Je suis à genoux sur les coussins à me régaler de leurs substances. Passant d'une moule à l'autre.

Le dimanche pas de douche. Juste une toilette intime après la grande commission. Je laisse aux lectrices et aux lecteurs d'imaginer les "fondues" pas du tout Savoyardes d'une soirée qui succède à une randonnée. Je savoure en écoutant et en regardant mes deux anges se livrer à leurs tendresses saphiques. C'est merveilleux de les voir s'embrasser, de les voir se regarder avec amour. << Viens ! >> finit par me dire Estelle qui se met en position, m'attirant sur elle. Toutes les deux se masturbent alors que je les pénètre à tour de rôle. Elles s'embrassent, échangent leurs impressions, m'attirent à elles par le cou pour m'embrasser. Nous nous offrons une autre soirée de folie totale. Je ne sais plus où donner de la queue. Elles ne savent plus où donner de la chatte. Nous nous aimons comme des fous. Parfois je m'éloigne en me masturbant pour les regarder. Elles s'offrent des "69" que je viens perturber de ma bite que je frotte sur leurs visages.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines pour qui le triolisme est devenu "religion". Dans des dévotions juteuses et dans des célébrations humides. Dans des jus de filles et de couilles qui coulent un peu partout. Avant de s'effondrer épuisées dans les délicieux tourments qui succèdent aux orgasmes les plus divins...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Les douceurs d'un week-end prolongé
Tuesday 12 November 2024 07:40

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 28 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode2766 -



Le 11 novembre

Hier matin, lundi, cette seconde grasse matinée de ce week-end prolongé, est toute aussi mouvementée que celle de dimanche. C'est à dire le dynamisme d'un mollusque au fond de la mer. Estelle à ma droite, serrée contre moi. Clémentine à ma gauche qui vient se blottir. Nous nous réveillons en même temps. Il va être neuf heures. C'est amusant d'émettre des gémissements en modulant les onomatopées. En se faisant des câlins. En se faisant saisir par l'érection matinale. En se faisant coiffer les touffes. En riant. Estelle se lève la première, comme mue par un ressort invisible. En se propulsant vers la porte elle lance son fameux : << Pipi ! >>, suivit de : << Je vais tout préparer je vous attends en bas ! >>. Clémentine se couche sur moi. Frottant son sexe sur ma tumescence déclinante.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. De nous mettre de la flotte sur la gueule à la salle de bain avant de revêtir nos fringues de sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers où flottent déjà les odeurs suaves du café et du pain grillé. Tous les trois vêtus jogging, nous prenons un copieux petit déjeuner. Le lundi il reste toujours de cette délicieuse brioche. Il suffit de la mettre au four à micro ondes pour qu'elle retrouve tout son moelleux. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre randonnée de dimanche. Sur la joie éprouvée par Juliette. Et surtout sur les attitudes de Séverine. Cette jeune écuyère qui n'a pas les yeux dans sa poche. << Une voyeuse. Je les reconnais mes "collègues" ! >> lance Estelle. << C'est certain. Vu ses regards curieux et intéressés ! >> dit Clémentine.

Nous ne traînons pas. Dehors c'est très exactement la même météo. Tout est dans le brouillard. Un brouillard humide car les vitres sont mouillées. Nous hésitons. Jogging ou entraînement en salle ? Après la vaisselle, nous remontons. Ce sera l'entraînement intérieur. Les mouvements aérobics nous mettent en parfaites conditions. Le jogging sur tapis roulants, le vélo ergométrique. Les exercices abdominaux avant les poids et les haltères. Pour conclure ce sont les étirements d'un stretching qui nous apportent le retour au calme. Estelle prend sa douche la première pendant que recouvrons le lit. Nous la rejoignons à la salle bain pour aller sous l'eau à notre tour. Nous nous habillons de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, baskets. Nous prenons des poses ridicules.

Nous redescendons pour passer au salon. Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Aucun courriel. Les filles surfent sur le site de l'université. << Certains jours la vie d'étudiante me manque ! >> lance Estelle. << Moi j'y suis retournée mais en tant que prof. Ça me fait tout drôle ! >> répond Clémentine. Je caresse leurs seins minuscules en passant mes mains sur leurs chemises. Il va être onze heures quinze. Nous quittons le salon pour la cuisine. Il est décidé de faire un gratin de courgettes et d'aubergines. En grosse quantité pour assurer les deux repas. Clémentine fait l'assaisonnement des endives. Estelle lave et coupe les courgettes et les aubergines en tranches. Je prépare le liant à base d'œufs, de crème fraîche, de lait de soja et de moutarde.

Tout cela demande de la méthode et nous n'en manquons pas. C'est au four pour onze heures cinquante. Dix minutes de cuisson à 350° dans le four qui préchauffe depuis vingt minutes. Nous regardons par une des fenêtres. << The fog ! >> lance Estelle. << Yes. And it will probably last all day ! >> rajoute Clémentine. C'est une de ces journées où les filles, pour réviser leurs Anglais qu'elles maîtrisent à la perfection, vont s'exprimer dans ma langue natale. Estelle s'y entraîne d'ailleurs tous les jours en prévision de son départ le vendredi 3 janvier. La sonnerie du four. Estelle s'accroupit devant la porte vitrée, elle me tourne le dos. Elle sait l'effet que me fait cette vision. Je me palpe la braguette alors que Clémentine mime une masturbation masculine. Je bande mou. Je me touche.

Nous savourons cet exquis repas en envisageant les différentes options d'activités pour cet après-midi. Clémentine propose d'aller en ville. << Il y a des collections de voitures anciennes au parc des expositions. Ça peut vraiment être sympa ! >>. Nous trouvons l'idée judicieuse. << Nous y serons à l'abri de la bruine ! >> rajoute Estelle. En effet, à l'extérieur c'est un brouillard de plus en plus humide. Un crachin. Nous ne traînons pas. Dès la vaisselle faite, les dents brossées, nous nous changeons. Les filles sont en jupes kilts à carreaux verts et rouges. Chemisiers blancs sous des pulls bleus nuits. Bas noirs pour Clémentine. Collants noirs pour Estelle. Sur leurs demandes, je porte un pantalon beige, à plis et à pinces, une chemise crème sous un pull marron, des souliers marrons.

Elles portent leurs souliers de ville à légers talons. Nous prenons des poses suggestives devant le grand miroir de la penderie dans le hall d'entrée. Toutes les deux, accroupies, se tenant à mes jambes, leurs têtes contre mes hanches, écartent leurs cuisses. Elles sont sublimes. Hyper sexys. << Je fais ma salope à la première occasion ! >> dit Clémentine. << Et moi pareil ! >> fait Estelle. Elles se redressent. Nous mettons nos manteaux noirs. Nous adorons l'élégance. Pas de chance. Il faut prendre le grand parapluie. Il ne pleut pas mais c'est une bruine persistante. Une bruine redoutable qui pénètre partout et insidieusement. Nous traversons la pelouse en restant sur les dalles de grès. Je sors la voiture du garage. C'est parti. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue.

Assise à l'arrière Estelle caresse mon cou en revenant sur l'attitude de la jeune cavalière. << Vous n'entreprenez rien sans me prévenir. Je veux tout savoir et même de préférence tout voir ! >> précise t-elle. Il y a vingt kilomètres jusqu'à la zone d'activités économiques. Le parc d'exposition est à côté du complexe sportif. C'est certainement un succès cet après-midi car il y a nombre d'autos garées sur l'immense parking. C'est sous le parapluie qu'il faut le traverser jusqu'au hall d'accueil. Attendre dans une des quatre files devant les guichets. C'est toutefois rapide et Estelle adore me palper la braguette. Pas toujours très discrète pour me mettre dans l'embarras. Dix euros par individus. Oui, pas de doute, c'est un francs succès. Les halls sont gigantesques. Nous détestons ce genre d'endroit mais avec cette météo plutôt pourrie, il faut faire bon cœur contre mauvaise fortune. Les automobiles anciennes sont magnifiques, superbes.

Entourés de cordes qui délimitent leurs périmètres, afin d'éviter d'être touchés, ces véhicules d'un autre temps captivent rapidement. Même si ce n'est pas une passion, nous sommes enchantés. Il y a foule. Surtout près des Bugattis, Ferraris ou encore autres Lamborghinis. Voitures de Stars. Sont exposés des modèles du début des marques. La Bugatti Royale est un véritable paquebot. Énorme, immense. Mais c'est du côté des anciennes Renault des années soixante qu'il y a une affluence folle. Les modèles équipés de moteurs Gordinis surtout. C'est du côté des Anglaises que nous trouvons un peu de calme. Le modèle "James Bond" de chez Bentley "Blower" et la fameuse Aston Martin DB5. Clémentine nous dit : << Restez là. Je passe entre les deux Jaguar. De l'autre côté. Un super "plan" exhibe ! >>

Estelle reste accrochée à mon bras. Nous regardons Clémentine contourner la Jaguar Roadster Xk. Là-bas, à une quinzaine de mètres, elle s'accroupit. Elle prend des photos de la superbe automobile noire. Mais en fait, c'est à ce visiteur solitaire que nous croisons pour la troisième fois, qu'elle apporte toute son attention. Elle écarte les cuisses juste aux instants où le quidam regarde dans sa direction. Ça nous excite de la voir. Autant que ça doit exciter le type lui aussi en manteau noir. Les halls ne sont évidemment pas chauffés. Mais la foule extraordinairement dense apporte un peu de degrés supplémentaires. Du moins c'est l'impression. Clémentine, dans ses exhibes, est extrêmement adroite. Elle choisi sa cible et ne s'adresse qu'à elle. C'est formidable de la voir dans ses prestations vicelardes.

Il y a d'autres gens. Ce jeu ne peut donc durer que quelques instants. Mais elle sait le reproduire en tournant autour du véhicule pour reprendre sa position. Faire des photos sous des angles différents. C'est intense, virtuose et excitant. Je bande comme le dernier des salauds. Et pour le constater pleinement, Estelle se place devant moi pour cacher sa main sur ma bosse. Clémentine vient nous rejoindre. Nous récidivons un peu plus loin devant les Rolls Royces des années cinquante. Immenses, prestigieuses et aux courbes d'une élégance folle. Là également elle peut s'offrir quelques frissons. Il y a même ce type habillé en Jeans qui contourne la bagnole pour tenter une drague. S'il y a quelque chose que déteste Clémentine c'est d'être abordée, d'être draguée. Le pauvre mec ne le sait pas. Il se fait remettre à sa place. Avec Estelle, de l'autre côté de la voiture, par les vitres, nous rions de la scène. C'est un emmerdeur. Un chiant qui insiste.

Nous n'avons pas d'autres alternatives que de rejoindre Clémentine pour la tirer des griffes de l'importun. Le quidam n'insiste plus. Il s'éloigne rapidement, lamentable et presque au pas de course. C'est du côté des différents modèles Citroën que Clémentine peut donner une de ses discrètes prestations. En tournant autour de la première DS19 "1955" elle s'accroupit pour prendre des clichés. Enfin, de faire semblant parce que nous n'en avons strictement rien à foutre. Les photos que prend Clémentine nous représentent, Estelle et moi, nous tenant la main ou serrés l'un contre l'autre. Mon bras autour de ses épaules. Son bras autour de ma taille. Nous faisons de beaux sourires ou alors d'horribles grimaces. Cette fois c'est un jeune homme en jogging et casquette qui est transformé malgré lui en voyeur.

Un petit vicieux qui fait lui aussi semblant de prendre des photos. C'est juste le prétexte pour pouvoir s'accroupir et mâter. Clémentine lui offre un spectacle extraordinaire. Écartant ou resserrant ses cuisses afin qu'il comprenne bien que cela s'adresse à lui. Ce jeune homme ne tente rien. La préférence de Clémentine. Là, elle prend des risques. Est-ce que ce couple s'en est rendu compte ? Ils ont une attitude qui le laisserait penser. << Peut-être des membres du "Club" ! >> me fait Estelle. Le jeune garçon s'offre là des moments inoubliables. Il a pris conscience d'avoir affaire à une merveilleuse salope. Un vicieuse comme on en rencontre qu'une dans sa vie. Il faut cesser car un groupe d'amateurs Citroën rapplique avec une sorte de guide. Nous flânons longuement. Il y a plusieurs stands avec des gadgets, des boissons et même des glaces que nous savourons. Il va être dix sept heures. La nuit commence à tomber. Rentrons.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui apprécient le gratin réchauffé, les baises sur bureau, les léchages de minous sur canapé, de se faire frotter la bite sur la gueule en s'offrant un "69" avant un orgasme aussi prestigieux qu'une Bugatti Royale bleue et noire de 1930...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Les petits rituels de la vie quotidienne
Wednesday 13 November 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 29 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2767 -



Le mardi c'est juste le matin

Rien n'est plus agréable que d'être réveillé en douceur. Ce qui est le cas hier matin, mardi. Il est sept heures quand se font entendre les oiseaux qui gazouillent. L'eau qui s'écoule d'une source. C'est tellement bluffant que nous avons l'impression de sortir du sommeil au fond d'une profonde et mystérieuse forêt. Alors que ce sont nos I-phones qui se mettent à fonctionner en même temps. Clémentine, tout contre moi, se met à gémir. Il est beaucoup plus facile de revenir aux réalités à sept heures qu'à six heures. Le mardi elle ne commence qu'à neuf heures. Des papouilles, des bisous et nous nous levons pour courir aux toilettes. Nous mettre de l'eau fraîche sur les visages avant de nous habiller de nos lycras de sports. Puis, morts de faim, il ne reste a plus qu'à dévaler les escaliers.

En préparant le café ma préparatrice me raconte ses rêves de la nuit. Une succession d'exhibitions plus loufoques les unes que les autres. En m'occupant des fruits j'écoute en riant. Nous prenons notre petit déjeuner nous revenons sur notre visite à l'exposition de voitures anciennes. Aux exhibes discrètes qui ont sans doute été l'inspiration de ses rêves érotiques. C'est la déduction qu'en fait ma belle exhibitionniste. Nous mangeons de bon appétit en envisageant notre après-midi. Le mardi Clémentine termine à midi. Nous manquons un peu d'inspiration. Aussi elle me propose de nous laisser aller aux improvisations qui ne manqueront de se révéler. En regardant par les fenêtres c'est le brouillard humide. Nous remontons pour nous offrir le plaisir d'un entraînement à l'abri du froid et de la bruine.

Pratiquer l'aérobic est une excellente façon de s'échauffer. Le jogging sur tapis roulants vient parfaire le tout avant de nous livrer aux exercices abdominaux. Puis viennent les charges additionnelles. Ce matin, un peu fainéants, c'est sur les machines. Le stretching et ses étirements nous ramènent au calme avant une bonne douche. Je redescends pour aller sortir l'auto du garage. Il pleut, il fait froid avec seulement 5°. Il y a un brouillard à couper à la tronçonneuse. 8 h40. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Emmitouflée dans son épais blouson de cuir noir doublé de fourrure synthétique. Un pantalon noir, ses bottines noires. Sous son parapluie. Quelques derniers bisous. Je regarde la voiture qui monte jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou.

Je cavale pour retourner au sec et au chaud pour faire la vaisselle, le lit. Une fois dans l'atelier, j'allume une belle flambée dans la cheminée. Je prépare une grande toile de format F-40 (100 x 81 cm). Passer le gesso, puis le poncer, m'amènent aux environs de dix heures trente. Mon I-phone se met à vibrer. Quelle surprise, c'est Juliette. Nous bavardons un peu. Elle m'apprend qu'elle ne sera pas disponible demain soir. Par contre elle propose un "plan" pour vendredi après-midi. Je continue ma préparation en pensant à cette étonnante jeune femme. La surface de la toile est à présent aussi lisse que l'ivoire. Un bonheur pour l'écriture des pinceaux. Je commence l'ébauche du dessin sur format raisin qu'il me suffira de calquer pour le transposer sur ce support qui invite à la peinture.

Il va être midi. Il n'y a qu'à réchauffer les restes du gratin. De faire l'assaisonnement d'une salade d'endives. Midi trente. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Je l'emmène ainsi jusqu'aux toilettes du bas pour le rituel pisseux. En lavant ses mains elle commence à me raconter sa matinée. Nous mangeons de bon appétit. << Estelle ne viendra pas non plus en soirée ! >> m'apprend t-elle quand je lui annonce que nous ne verrons pas Juliette mercredi soir. Même si nous aimons la compagnie de ces deux femmes, la perspective d'êtres juste nous deux jusqu'à jeudi, rend ma complice folle de joie. Elle vient terminer son repas sur mes genoux. << Pour cet après-midi on va en ville. J'ai envie de faire ma salope. Comme dans mon rêve ! >> m'explique Clémentine.

Nous traînons à table. Je l'écoute suggérer des endroits qui pourraient se prêter à nos passions. Elle propose une visite au musée des Beaux-Arts. Un de ses terrains de chasses préférés. Nous rions. << Tu filmes discrètement s'il y a matière à filmer ! >> dit elle. Je suggère de faire des photos, c'est beaucoup plus facile et surtout plus discret. << Excellent ! >> s'écrie t-elle. La vaisselle. Nous montons nous brosser les dents. Nous changer. Pour des exhibes de qualité, il faut la vêture idoine. Clémentine porte une de ses jupes noires, légèrement évasée au-dessus du genoux. Ses bas noirs fixés à son porte-jarretelles de même couleur. Un pull à col roulé. Ses hautes bottes noires à talons. Sur sa demande je porte un jeans brun, une pull à col roulé. Mes bottines brunes. Nous prenons des poses devant le grand miroir de la penderie. Elle me palpe la braguette jusqu'à l'apparition de cette grosse bosse qui la déforme étonnement.

<< Pour faire ma salope rien de mieux que d'être déguisée en salope ! >> lance t-elle en s'accroupissant, cuisses écartées. Je réponds : << Tu vas faire des ravages auprès de tes victimes ! >>. Nous en rions de bon cœur. Les épais blousons de cuir bruns. Nos écharpes crèmes. C'est avec la Golf de Clémentine que nous prenons la direction de la ville. Je conduis. Il y a une vingtaine de kilomètres où je me fais branler et sucer. Ma main droite souvent sous sa jupe. Mes doigts à fouiller ses intimités. Doigts que je lèche avec avidité. Il n'est que quatorze heures trente quand je gare la voiture sur le parking du centre Leclerc. C'est sous le grand parapluie, d'un pas rapide, que nous marchons vers le centre. En partant dans une totale improvisation. Rien de programmé si ce n'est le délire.

Le musée des Beaux-Arts, que nous connaissons si bien, propose l'exposition d'un photographe Allemand très célèbre dans les années soixante. L'entrée est gratuite. Il faut laisser le parapluie à l'accueil. Clémentine m'entraîne par la main pour monter l'escalier. Le premier étage est consacré à la collection. Les toiles des maîtres Hollandais du dix septième siècle nous enchantent même si nous les connaissons toutes parfaitement. La dame qui circule entre les salles pour surveiller nous adresse un sourire de bienvenue. Il y a un couple de visiteurs. Nous flânons, passant d'une salle à l'autre. Lorsque nous y sommes seuls, Clémentine prend des poses. Je la prends en photo. Elle est debout à côté d'une grande toile de Jacob Van Ruisdael. Une main déformant sa jupe à l'endroit de son sexe. L'autre main pointant un index vers le tableau. Ce sont des poses très suggestives et bien vicieuses. Je n'ai pas besoin de diriger mon modèle.

Une série de photos autour de ce thème de "présentations". Au second étage ce sont les peintures modernes et contemporaines. << À gerber ! >> lance Clémentine à chacune de nos visites. L'abstraction prédomine dans ces salles. Ce n'est pas vraiment à nos goûts mais il faut pour tout le monde. Et tout particulièrement pour ce quidam solitaire, élégamment vêtu qui semble en admiration devant des "nouillonnades" indigestes. Je reste en retrait. Clémentine s'avance seule dans la salle. J'ai l'I-phone à la main. Je filme discrètement. Comme elle le fait toujours si bien, elle avance lentement, les bras croisés, s'arrêtant un instant devant chaque tableau. Le visiteur, la quarantaine, plutôt bel homme aux tempes grisonnantes, découvre rapidement la visiteuse. Présence troublante dans cette petite salle où résonnent les moindres pas sur le carrelage. Je le vois regarder en biais. Cherche t-il la meilleure manière pour aborder la jeune fille ?

C'est probable. Ça ne rate pas. Quand Clémentine passe derrière lui, il lance : << Vous faites de la peinture ? >>. Clémentine déteste être abordée mais elle joue le jeu. << Non pas du tout, je regarde simplement. J'ai un rendez-vous dans une demi heure, je suis mieux là que sous la pluie ! >> répond t-elle. Ce qui décontenance vaguement notre admirateur d'œuvres abstraites. Clémentine s'éloigne. << Bonne visite alors ! >> rajoute notre inconnu. J'entre à mon tour dans la salle en faisant le touriste. Je rejoins Clémentine qui m'explique le prochain "plan". Je la laisse se mettre en situation. Elle est accroupie, son sac à main sur sa cuisse, à chercher quelque chose à l'intérieur. Je suis dans l'autre salle, derrière le socle d'une reproduction en plâtre d'une sorte de Jules César mal moulé.

Notre amateur de "merdouilles" arrive. Il tombe sur la jeune fille accroupie. Les cuisses écartées de Clémentine ont toujours de quoi susciter un vif intérêt au près de la gente masculine. Ce qui est encore le cas à l'instant. Il fait à présent semblant de regarder les machins accrochés à leurs cimaises. Il ne cesse de loucher sur la seule œuvre d'Art digne d'attention. Clémentine. Clémentine qui fait mine d'être concentrée sur l'intérieur de son sac à main. Je filme depuis ma planque. Des bruits de pas. C'est l'autre dame de la surveillance. Clémentine se redresse en consultant l'écran de son téléphone. Le temps que la gardienne ait quitté les lieux. Pour reprendre immédiatement sa position. Il faudrait être le dernier des plus secs crétins pour ne pas comprendre. Et le type a parfaitement capté. Il est en présence d'une merveilleuse salope. De la vraie vicieuse. De quoi faire grimper sa tension artérielle et lui donner le tournis. Je ris sous cape.

Mais cette fois il ne tente pas d'entrer en contact. Ce qu'il découvre là est bien plus passionnant que les croûtes suspendues aux murs. Il se contente de chercher les meilleurs angles pour ne rien perdre de l'affriolant spectacle. Et du spectacle Clémentine sait en donner. Je bande comme le dernier des salauds en filmant la scène. Nous aurons de quoi regarder ce soir. À la limite de l'ankylose Clémentine se redresse à plusieurs reprises pour s'accroupir au même endroit. Le type se touche. C'est trop excitant. Comme je le comprends. Clémentine est tellement attractive et sexy qu'elle éclipse tout le reste. Cette fois les pas sont ceux de deux couples. Clémentine se redresse une dernière fois pour me rejoindre. << Ça suffit. Je veux me toucher quelque part. Je suis trop excitée ! >> dit elle.

Nous redescendons à l'étage inférieur pour nous enfermer dans un des cabinets des toilettes hommes. Propres et claires. Je la tiens par sa tignasse pour maintenir son équilibre. Elle pisse cambrée au-dessus de la cuvette pour ne surtout entrer en contact avec aucun objet. L'espace est assez grand pour me permettre de faire le contorsionniste et de la lécher. De la sucer. Je cesse avant l'orgasme que sont état d'excitation intense ne pourrait pas réfréner. Je la fais sucer en chuchotant le fantasme de tailler une pipe au mec vu en haut, là, dans les chiottes. Elle se masturbe en gloussant de mon histoire abracadabrante. Nous quittons le musée pour le premier étage de notre salon de thé préféré. Devant de délicieux chocolats chauds. Pourquoi ne pas manger au restaurant ce soir ? L'idée ravit Clémentine. Un tour dans les toilettes hommes pour de nouvelles dégustations avant de retourner flâner sous le parapluie. Faire les magasins.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines bien allumées...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Les petits rituels de la vie quotidienne
Thursday 14 November 2024 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 30 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2768 -



De doux moments

Il est presque sept heures, hier matin, mercredi. Les agréables bruits de la forêt. Se mêlant à nos rêves jusqu'à les orienter vers le réveil. Cette application ne dure que quarante cinq secondes. Et se reproduit une nouvelle fois une minute plus tard. La première suffit toutefois à nous tirer de nos profonds sommeils. En gémissant, ma dormeuse vient se blottir contre moi. Cherchant les forces nécessaires pour affronter le réel. Je passe mon bras autour de ses épaules pour la serrer plus fort encore. Moi aussi je dois trouver la volonté de ne pas refermer les yeux. Quelques bisous. Quelques papouilles et nous nous levons pour courir vers la porte. Notre chambre n'étant volontairement pas chauffée au-delà de 12°, c'est à toute vitesse que nous allons pisser. Avant la salle de bain. Frissons.

De l'eau bien fraîche sur nos visages avant de mettre nos habits de gymnastique. Morts de faim nous dévalons les escaliers. En me racontant ses rêves ma narratrice prépare le café. Je m'occupe des fruits avant de beurrer les tranches que vient d'éjecter le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de la veille. La discrète mais gratifiante petite exhibe de Clémentine au musée des Beaux-Arts. C'est toujours le lendemain, après un temps de latence, que nous prenons pleinement conscience des plaisirs que ces situations nous procurent. Clémentine qui me rappelle que ma présence est nécessaire car elle le fait d'abord pour moi. Je lui en suis reconnaissant. Nous mangeons de bon appétit en envisageant l'invitation de Juliette au haras vendredi après-midi.

Il est certain que nous nous y rendrons. Les surprises et les "plans" qu'elle nous réserve là-bas sont souvent extraordinaires. Impossible de prendre tout notre temps. Le mercredi Clémentine commence à neuf heures. Dehors c'est un ciel uniformément gris et bas. Une température de 3°. Ce sera donc l'entrainement à l'étage dans notre salle. Nous y montons en courant. Chaque seconde est précieuse. L'aérobic doublement motivé par les 12° qui règne dans la grande pièce. Et par la nécessité de s'échauffer avant le jogging sur tapis roulants. Un peu de vélo ergométrique avant les exercices abdominaux. Les redoutables charges additionnelles avant les étirements d'un stretching libérateur. La douche. À peine habillé de mon Levis, de mon sweat, de mes baskets, je cavale pour descendre.

L'anorak pour affronter le froid intense. Je sors l'auto du garage. Il va être 8 h40. Clémentine me rejoint dans son épais blouson de cuir brun doublé de fourrure. Un pantalon noir, ses bottines brunes. Son bonnet et son écharpe brune. Ses bras autour de mon cou pour quelques derniers bisous. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de rentrer en courant. Retrouver la chaleur. Faire la vaisselle, recouvrir le lit. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Je m'installe à la table de travail pour commencer le dessin de ma prochaine toile. Une grande feuille de papier Canson de format "Jésus" de 75 sur 56 cm. Il me suffira de transférer ce dessin sur la toile. N'ayant pas à assurer la constitution d'un stock pour l'été prochain je dispose du temps qu'il me plaira. Je prends ma retraite.

La matinée passe ainsi. Il va être midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. J'y prépare immédiatement la Béchamel. J'émince deux belles escalopes de dinde, des champignons, de l'ail, de l'échalote que je poêle. Je fais bouillir les coquillettes. Je râpe de ce délicieux gruyère Suisse. Je verse le contenu de la poêle dans la Béchamel. Je rajoute du gruyère. De cette garniture j'emplis trois grosses bouchées à la reine. Elle sont posées dans le grand plat carré en terre cuite. J'égoutte les coquillettes pour les verser tout autour. Je recouvre du reste de gruyère. Je saupoudre de graines de sésame grillées. Des cerneaux de noix. Au four afin de laisser mijoter longuement à 150°. Ce sera notre repas de ce soir. Une bien belle surprise pour ma professeur.

Je fais l'assaisonnement d'une salade de tomates. Je n'ai qu'à déguster le reste de coquillettes et de Béchamel avec du gruyère pour m'offrir un bon repas. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff, depuis les États-unis, revient sur les conséquences de l'élection de Donald Trump. Comme en France la manipulation médiatique pronostiquait la victoire de Kamala Harris. Tous ces malfaisants ont donc tiré les mêmes tronches à l'annonce des résultats. Mais ces immondes salauds continuent de conspuer le futur président des États-Unis. Morts de peur à l'idée que les révélations qui seront faites à propos des fameuses liste Epstein et Puff Daddy ne donnent quelques uns de leurs noms en pâture à cette nation qu'ils entretiennent de mensonges. Poussant le pantin Joe Biden à déclencher la guerre en Europe comme un dernier cadeau d'adieu de leurs funestes présences. Une vengeance.

Je traîne à table en me régalant d'une crème à la vanille et d'un bon café. La vaisselle. Je me brosse les dents. J'enfile l'anorak pour aller me dégourdir les jambes. Une sensation de froid polaire. Avec seulement 6° et un vent glacial. Je vais jusqu'à la rivière. Trois cent mètres qui sont une épreuve contre les rafales de Nord Est. Et là, dans la plus parfaite quiétude, comme des baigneurs sur une plage de Saint Tropez, nos amis les canards, les poules d'eau et les colverts se livrent à leurs jeux aquatiques. Indifférents aux morsures du froid. Je remonte pour faire le tour de la propriété. L'entreprise paysagère interviendra le lundi 2 décembre. Avec toutes les feuilles qui tapissent le sol, ses employés auront fort à faire. Il va être treize heures trente. Me voilà de retour dans l'atelier.

Je ne travaille que jusqu'à quinze heures trente. Clémentine rentre de cours. Ma professeur vient s'installer sur mes genoux pour me raconter sa journée. Le menu du restaurant universitaire où elle mange avec ses collègues enseignants. Elle a ses préparations à faire pour la journée de demain. Le jeudi étant la plus longue de la semaine. Quatre heures de cours le matin. Quatre heures en laboratoire de recherches l'après-midi. Ma complice s'installe en face de moi, devant son ordinateur. J'adore l'entendre me raconter des détails vécus durant sa journée. Nous travaillons ainsi jusqu'aux environs de dix huit heures. Nous nous rejoignons devant la cheminée dans l'obscurité. Assis en tailleurs sur l'épais tapis. Ce sont des moments importants pour ma compagne. Elle peut se confier.

Clémentine ne désire pas se consacrer exclusivement à l'enseignement. La recherche pour une entreprise privée, de préférence Américaine, reste sa principale préoccupation. Pour ne pas être obligée de faire comme Estelle, de devoir partir pour la Californie, il ne reste que l'Écosse. Sont installées dans la région d'Aberdeen des filiales de grandes entreprises pétrochimiques. Les salaires proposés sont évidemment Américains. Pour Clémentine, se contenter d'un salaire de 3 000 euros avec un Doctorat de sciences appliquées reste une hérésie. Et je la comprends. Estelle commencera en janvier pour un salaire de 6 600 dollars. Même si la vie est d'un tiers plus cher à Los Angeles, elle sera largement gagnante. Clémentine attend des réponses aux démarches qu'elle a engagé.

Je l'écoute religieusement en suggérant de faire deux années en économies internationales. Un bagage supplémentaire et encore plus rémunérateur. Elle y réfléchit. Avec moi elle ne sera jamais confrontée à de quelconques problèmes de budget. Elle pourrait consacrer sa vie à un permanent dilettantisme et nous pourrions parcourir les océans sur des navires de croisières. C'est mon fantasme mais hélas ce n'est pas le sien. Elle rit aux éclats à chaque fois que j'évoque cette existence insouciante. Elle se couche sur le dos, sa tête sur ma cuisse. Je suis adossé au vieux canapé de velours carmin. Du bout de mes doigts je caresse ses sourcils. Je l'écoute. Enfin, j'écoute la musique de ses mots. Elle se couche sur le côté, son visage fourré dans ma braguette béante. Je l'entends humer.

De la main elle fouille pour m'en extraire le locataire. Je bande mou contre sa joue. Elle adore frotter son visage sur ma queue. Elle adore également quand c'est moi qui le fait. Je ne tarde pas à avoir ma bite dans sa bouche. Elle se couche sur le ventre. Sa position n'est pas très confortable mais elle précède nos levés. La faim commence à faire ronronner nos estomacs. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand ma professeur découvre ce que je fais réchauffer au four, j'ai droit à un mitraillage de bisous sur mes joues. Je noue le tablier sur mes reins. Ce qui me permet de garder la bite à l'air sans risquer de la blesser. Ce qui permet également à ma comparse d'y avoir un accès direct. L'assaisonnement d'une rapide salade d'endives. Nous mangeons de bon appétit en parlant de l'Écosse.

Nous y passerons deux semaines aux vacances de fin d'année. Avec Estelle peut-être pour la dernière fois. Nous traînons à table en revenant sur des souvenirs Écossais. La vaisselle. Clémentine m'entraîne au salon. Elle allume le téléviseur. Nous nous vautrons dans le canapé pour découvrir le film que j'ai tourné hier au musée des Beaux-Arts. Ce ne sont que deux fois dix minutes. Clémentine, la télécommande dans la main gauche, joue avec ma queue de la main droite. Je souligne une fois encore à l'attention de nos lectrices, de nos lecteurs, qu'il n'existe probablement pas de situation plus excitante. La fille assise à ma gauche, dans toute sa réalité. Et la fille que je vois à l'écran sont les mêmes. Ce n'est pas seulement extraordinaire c'est également exaltant. Je bande comme un fou.

Clémentine se découvre sur l'écran géant. Elle se voit avancer lentement, les bras croisés, s'arrêtant devant chaque tableau pour le contempler. Ce visiteur élégant qui la regarde discrètement en faisant semblant lui aussi de regarder les toiles. C'est absolument fou. << Tu filmes toujours super bien ! >> me fait ma joueuse. Elle fait des arrêts sur images, revient en arrière. La séquence où elle s'accroupit en faisant mine de chercher quelque chose dans son sac à main. L'arrivée du mec. J'ai ma main gauche entre ses cuisses. Elle retire son pantalon et sa culotte alors que je me masturbe sur l'image fixe. Cette image où on la voit avec les cuisses largement écartées, le mec de dos qui mâte. Quand je fouille son intimité de mes doigts que je lèche, je n'ai plus qu'une envie. La brouter.

Ce que je fais en me mettant à genoux sur les épais coussins. Mon visage entre ses cuisses. Alors qu'elle continue à regarder le film. Comme elle le précise une fois encore, depuis son adolescence, son image renvoyée par un miroir, a toujours été un déclencheur d'auto érotisme. Jusqu'à ses dix sept ans, il lui était difficile d'assumer son physique. Ce qui est très souvent le cas des jeunes filles à la beauté exceptionnelle. Elle caresse ma tête alors que je me régale de ses jus de fille. Son orgasme est évidemment proportionnel à la situation. Le stimuli physique couplé au stimuli des images. J'ai juste le temps de me retirer et de placer la cuvette au mieux. Ça gicle car les jets sont d'une invraisemblable puissance. Ça m'éclabousse. Je retourne sucer. Ses cris, ses gémissements, ses chuchotements d'aveux plus excitants les uns que les autres me galvanisent. Je pars pour un second tour. Même si elle tente un court instant de m'en empêcher.

Bonne nouille à toutes les coquines qui aiment sucer de la queue juteuse sous les draps avant de s'endormir avec le goût du sperme dans la bouche...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 31 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2769 -



La journée la plus longue

C'est à presque six heures, hier matin, jeudi, que l'application choisie nous réveille. Nous donnant l'illusion d'avoir dormi au fond d'une forêt aussi mystérieuse que profonde. Clémentine a vraiment besoin de tout son courage. Aussi, elle se blottit contre moi pour recharger les batteries. Quelques bisous. Des papouilles. Nous nous levons comme des zombies pas très frais pour nous précipiter aux toilettes. Dans les gestes mécaniques nous nous aspergeons les visages d'eau froide à la salle de bain. Ça aide à situer les choses. Nous enfilons nos vêtements de sport avant de dévaler les escaliers. Tout se fait comme mécaniquement car nous ne sommes encore que des robots. Clémentine prépare le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Ce matin, petit déjeuner à l'Anglo-Saxonne.

Œufs poêlés et bacon sur les tranches de pain grillé, beurre salé. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le week-end qui commence demain, vendredi, à midi. Il ne sera pas prolongé d'un jour férié cette fois. Nous ne traînons pas. Nous remontons pour achever de nous réveiller complètement. Et pour nous transformer en guerriers, rien de telle qu'une séance d'entraînement. Les échauffements aérobics y participent grandement avant le jogging sur les tapis roulants. Puis le plaisir physique que procurent les exercices abdominaux. C'est sur les machines que nous pratiquons les charges additionnelles. Les étirements d'un rapide retour au calme viennent parfaire notre condition retrouvée. La douche. Je m'habille le premier pour redescendre. Anorak. J'affronte le froid. 2°.

Je sors la voiture du garage. Le jour achève de se lever. 7 h40. Clémentine vient me rejoindre dans son élégant manteau noir. Son chapeau feutre. Son pantalon et ses bottines noires. Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou. Le jeudi est sa journée la plus longue de la semaine. Une épreuve dont elle se passerait bien. Mais comme elle le précise : << Une fois que j'y suis, c'est super ! >>. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou et je rentre en courant. Je fais la vaisselle, recouvre le lit avant de redescendre dans l'atelier. Une belle flambée dans l'atelier. Je suis confortablement installé à la table de travail. Je reprends le dessin de ma future toile. D'après une des photos du château que nous avons prise.

La matinée passe tellement vite. Il va être midi. Je place deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. J'y allume le feu dans la cuisinière à bois. Le premier de l'automne. La cuisinière semble ronronner de plaisir. Je n'ai qu'à réchauffer la dernière bouchée à la reine avec ses coquillettes. L'assaisonnement d'un petit concombre. Pour ce soir ce sera un gratin de pommes de terre avec du saumon fumé. J'épluche, je lave et je coupe les patates en fines tranches. Les champignons. Les tranches de saumon dont je coupe la moitié en petits morceaux. Je dispose les tranches de pommes de terre comme des dominos dans le plat carré en terre cuite. J'intercale de beaux bolets. Des lamelles de saint Nectaire. Je verse un copieux mélange de crème fraîche, de lait de soja et d'œufs frais.

Il suffit de recouvrir du reste de saumon, d'une épaisse couche de gruyère, de graines de sésame grillées. Quelques cerneaux de noix. Laisser mijoter longuement au four à 150°. Ce sera la surprise de notre repas du soir. Estelle viendra partager notre soirée. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Alexis Poulin, qui remplace André Bercoff toujours aux États-Unis, revient sur la corruption des élites. Corruptions dont ces politiciens véreux ne se cachent même plus. Pour certains ce ne sont pas des casseroles qu'ils traînent au cul mais de véritables batteries de cuisine. Avec marmites, chaudrons et poêles à paellas. Le salaire d'un Michel Barnier ! Seize mille euros. Il percevra une retraite de vingt neuf mille euros pour 29 ans de cotisations. Le même qui va imposer des restrictions avec l'article 49.3 et qui demandera aux Français de travailler davantage. Une crise qui dure depuis 50 ans n'est plus une crise, c'est un système. Et cette nation de grandes gueules ira s'offusquer, pousser des hurlements, parlera de révolution, et finira docilement par aller voter pour un faire barrage.

Je surveille la cuisson au four. Le plat commence à dorer. Le dessus se met à bouillir comme la surface d'un volcan. Le thermostat pilote l'ensemble. La vaisselle. Le brossage des dents. Il y a du soleil et le ciel est bleu. Par contre la température ne dépasse pas 5°. J'enfile l'anorak. Mon I-phone se met à vibrer. C'est Clémentine. Elle m'appelle depuis la salle de documentations. Sa matinée s'est très bien passée. Elle se réjouit à l'idée que demain matin, vendredi, je viendrai avec elle à l'université en tant qu'auditeur libre. Moi aussi je m'en réjouis. Voir ma professeur à l'œuvre est un spectacle que je ne veux pas manquer. Elle rentrera ce soir pour dix huit heures trente. Je lui souhaite un bon après-midi en lui promettant de belles surprises pour la soirée. Je sors. Le froid polaire avec un vent de Nord.

Il est treize heures trente quand je suis installé à la table, à parfaire mon dessin. Je le veux ultime. De manière à ce qu'il soit déjà une véritable œuvre d'art. Un travail qui me passionne et me tient en haleine jusqu'aux environs de dix huit heures. Avec la lampe à halogène depuis un long moment. Dès lundi je pourrais transposer mon dessin sur la toile. Avec une série de calques. Pièce par pièce. Des réjouissances en perspective. Du bruit. C'est Estelle qui entre dans l'atelier. Elle se précipite pour me sauter au cou. Je la soulève pour la faire tournoyer au-dessus du sol. Nous sommes tellement heureux de nous revoir depuis dimanche. Elle fourre sa main dans ma braguette ouverte en me racontant sa semaine. Le travail au bureau avec sa maman, dans l'entreprise familiale. J'écoute avec soin.

J'ai très rapidement la bite bien dure dans la main de ma masseuse. Elle me tire par la queue jusqu'au petit lavabo de l'atelier. Avec cette érection il me serait bien difficile de pouvoir pisser. Elle me la contraint vers le bas en appuyant des deux mains. Nous rions de mon incapacité à pisser. << Tant pis, je suce à sec ! >> lance t-elle en se penchant en avant. Elle est vêtue d'un pull à col roulé, d'un Levis et de bottines. Ses cheveux en natte. Natte que je saisis pour la forcer à s'accroupir. Je me fais tailler une pipe des familles durant deux trois minutes. Estelle se redresse avant la crampe. << Pour samedi soir, j'ai préparé le montage d'un Best off de nos vingt trois films pornos ! Tu me verras avec six ou sept ans de moins ! >> m'apprend t-elle en me montrant l'intérieur de sa bouche.

De mon foutre épais et visqueux qu'elle aime à laisser dissoudre dans sa salive. Ce qui l'oblige à parler avec de plus en plus de difficultés. Nous en rions au risque qu'elle en laisse s'échapper un peu. Je dis : << Ça commence très fort pour des retrouvailles. Ce soir je vais te sauter sur le bureau ! >>. Estelle passe ses bras autour de mon cou, fait un mouvement de tête, une horrible grimace pour finir par avaler le contenu de sa bouche. << Wouah ! Et moi je te suce ! >> s'écrie t-elle. Du bruit. C'est Clémentine qui entre dans l'atelier. Pas vraiment surprise puisque la voiture d'Estelle est garée devant la maison d'amis. Elle se précipite. Estelle cède sa place. Mais pour nous rejoindre. Nous nous serrons tous les trois dans une étreinte de tendresse. Estelle et Clémentine s'embrassent.

Il est dix huit heures quarante. << J'ai encore fait le plein à la station en quittant le labo ! >> fait Clémentine. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand mes deux anges découvrent ce qui réchauffe au four mon visage est mitraillé de bises. C'est Clémentine qui me tient le Zob. Pas partageuse ce soir avec Estelle qui guette l'instant où elle pourra s'en emparer. Je fais l'assaisonnement d'une salade de carottes. Carottes qu'épluche Estelle. Clémentine mettant les assiettes et les couverts. Elles se racontent leurs journées. Estelle est impatiente de retrouver l'université, son poste d'enseignante et de chercheuse. << Ça y est, je me suis faite à l'idée de vivre en Californie huit mois sur douze ! >> explique t-elle. Clémentine, espiègle, rajoute : << Tu vas y rencontrer l'homme de ta vie ! >>

Estelle reste silencieuse et nous adresse un étrange regard. La sonnerie du four. Elle s'accroupit devant la porte du four. Dans la vitre fumée elle me regarde secouer ma queue. Elle sait que rien ne flatte davantage ma libido que la vision d'une femme accroupie, cuisses écartées, vue de dos. Clémentine passe ses bras autour de ma taille, serrée contre mes reins. Estelle sort le plat doré et fumant. L'odeur achève de nous envouter. Nous mangeons de bon appétit. Avec le saumon fumé, doré au four, il n'y a pas une réelle odeur de poisson. Plutôt de grillade. Ce sont les cerneaux de noix, à la cuisson, qui offrent leurs parfums si particuliers. Estelle revient sur le montage des films pornos que nous avons réalisé depuis sept ans. Un florilège d'une heure pour notre soirée cinéma de samedi. Génial.

Elle se lève à plusieurs reprises en mimant des masturbations masculines. Je me lève pour faire tournoyer mon Zob. Ce soir, après le repas, ce sera le rituel fameux de la "baise sur bureau". Elles se réjouissent. Estelle devra nous laisser pour vingt deux heures. Ce qui nous rend assez impatients de passer à l'action. Les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle. Pour demain midi il n'y aura qu'à réchauffer les restes. Nous courons au salon. Clémentine y allume les deux grosses bougies du candélabre pendant qu'Estelle retire ses bottines, son jeans et sa culotte. Elle s'installe sur le bureau. Me fixant, jambes relevées, cuisses écartées, en appui sur ses coudes. Clémentine retire ses vêtements pour aller rejoindre sa partenaire sur la surface de ce pauvre bureau Victorien centenaire.

Elles s'embrassent, s'enlaçant. Je reste à distance. J'ai fantasmé sur ces moments pendant sept ans. Cela ne fait que depuis la fin du mois d'août qu'elles se livrent à des jeux saphiques. Bien davantage par amour que pas sexe. L'approche de la terrible échéance d'être séparées par l'océan Atlantique et plusieurs milliers de terres Américaines restent le vecteur principale. Après plus de quinze ans à avoir été comme des sœurs jumelles. La vie est cruelle. Je me masturbe en admirant mes deux anges. Les voilà enchevêtrées. C'est magnifique. Je les entends gémir. Je ne ressens nulle envie de m'en mêler. Ces effusions de tendresses doivent rester exclusivement féminines. Je me mets à leur place. Cette séparation après les fêtes de fin d'année sera un véritable traumatisme. Un drame. Pour toutes les deux.

Je me branle dans une volupté indescriptible. J'attends d'être invité. Il est toujours préférable de se comporter en invité plutôt qu'en envahisseur au risque d'être traité comme tel. C'est Estelle qui me fait signe. Agitant son index pour me faire venir. Clémentine est la première à se mettre en position. Elle est aussi la première que je pénètre. C'est d'une douceur extraordinaire. Elles continuent à s'embrasser. Estelle se redresse pour m'embrasser aussi. Je me retire de Clémentine qui se masturbe pour pénétrer Estelle. Elles se masturbent toujours toutes les deux en étant pénétrées. Estelle connait un orgasme apocalyptique. Ce qui la fait hurler comme une démente. Clémentine se précipite pour lui bouffer la moule. Elle cesse pour me bouffer la queue avant que je ne la pénètre une nouvelle fois. Son orgasme pisseux qui la fait hurler. C'est Estelle qui tient la cuvette en tentant d'éviter que ça ne gicle partout et n'importe comment.

Bonne nouille à toutes les coquines qui, après un orgasme pisseux et totalement incontrôlé, aiment à se bouffer de la queue sous les draps avant un bon dodo...

Julien (Bienheureux parmi les élus)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Les petits rituels de la vie quotidienne
Saturday 16 November 2024 06:56

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 32 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2770 -



Le vendredi Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, il va être sept heures quand les bruits de la forêt nous tirent de nos sommeils. Dans cette douce sérénité habituelle. Certes, il est préférable de se réveiller naturellement. Mais avec cette application ce n'est pas un traumatisme. Clémentine vient se blottir contre moi. Elle saisit mon érection naissante, toute naturelle. Je glisse ma main dans sa culotte. Elle murmure : << Couilles de fer, bite de bois ! >>. Nous rigolons comme des bossus à ce dicton inventé de toute pièce et qui a valeur de "pacte" pour ce week-end. Il faut se lever. Après le rituel pisseux c'est celui de la flotte sur nos tronches à la salle de bain. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim nous dévalons les escaliers. C'est la pêche ce matin. La forme !

À l'idée que je l'accompagne à l'université ce matin, Clémentine est facétieuse et déconneuse. Je l'écoute me raconter ses rêves alors qu'elle prépare le café. Je pèle les kiwis, je presse les oranges. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant mille projets pour samedi et dimanche. Nous ne traînons pas. Évidemment, avec seulement 2° à l'extérieur, pas de running. La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir un entraînement dans notre espace dédié. Aérobic. Jogging sur tapis roulants. Exercices abdominaux. Charges additionnelles. Stretching avant une bonne douche. Clémentine porte un de ses pantalons noirs à pinces et à plis. Un chemisier blanc sous un pull noir au col en "V". Des bottines noires. Sur sa demande je porte un costume noir, strict, chemise blanche, cravate et pull noir.

Nous redescendons pour prendre des poses devant le grand miroir de la penderie dans le hall d'entrée. Nous sommes très élégants et nous adorons l'élégance. Nos manteaux noirs, nos écharpes crèmes, nos chapeaux "Borsalino". C'est une véritable gifle d'affronter soudainement le froid. Nous prenons la Mercedes. C'est parti. Il n'est pas 8 h40. Il y a quinze kilomètres à parcourir sous un ciel bleu pâle. Clémentine palpe ma braguette en évoquant Juliette et le rendez-vous fixé cet après-midi pour quatorze heures. << Tu es prié d'être le dernier des vicelards ! >> me dit elle alors que je passe ma main droite entre ses cuisses. Je gare la voiture sur le parking des professeurs. J'assiste aux cours de ma professeur en qualité d'auditeur libre. Ça aussi ça va devenir le rituel des vendredis matins.

Elle me présente d'ailleurs à des collègues que je ne connais pas encore. Nos élégances suscitent une certaine admiration. Il y a cette belle professeur de mathématiques qui m'adresse de magnifiques sourires. Je laisse Clémentine à son briefing pour aller prendre place dans l'amphithéâtre. Tout en haut. Je prépare l'I-phone et son zoom pour pouvoir filmer ma compagne à son insu. Cela fera une petite surprise supplémentaire. Les étudiants finissent d'arriver. Une trentaine. Environs 25 ans. Les préparations au Doctorat. Le silence est quasi religieux quand Clémentine fait son entrée. Droite, fière, son charisme immédiat. Je suis aux anges. Je n'y comprends strictement rien en géomorphologie . Mais c'est la musique de ses mots qui accaparent toute mon attention. Comme elle est belle !

Trois heures, c'est un peu long quand on comprend queue dalle. Je réalise de petits films de deux minutes. Nous nous rejoignons à la voiture. Il est midi. Je félicite ma passagère qui m'extrait le Zob en me donnant ses impressions. Je lui tends le téléphone afin qu'elle puisse se voir en cours pendant que je roule. J'en profite pour faire le plein à la station de l'hypermarché. Il est midi trente quand nous sommes de retour. Nous montons nous changer pendant que réchauffent les restes du délicieux gratin de pommes de terre au saumon fumé. C'est en Levis, chemises à carreaux et baskets que, morts de faim, nous dévalons les escaliers. C'est encore meilleur réchauffé. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos projets pour les vacances de fin d'année en Écosse, à Édimbourg. Bientôt. Il reste cinq semaines de cours.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me fait part de son souhait. Réaliser un fantasme exhibitionniste cet après-midi. N'importe où, mais trouver un super "plan".<< Un chantier quelque part, ou encore un parking. Un truc bien glauque de préférence ! >> m'explique t-elle. Je propose d'improviser après notre rendez-vous au haras. Je dis : << Tu auras peut-être une superbe opportunité dans les écuries ! >>. La vaisselle. Nous nous brossons les dents. Des pulls. Nos bottines brunes. Nos blousons d'épais cuirs bruns. C'est reparti. Trois kilomètres jusqu'au haras où je me fais tailler une pipe dans la chaleur de la voiture. Je remballe ma bite ruisselante une fois garé sur le parking. Malgré le froid vif et les nuages revenus, il y a du monde.

Nous traversons la cour pour entrer dans l'ancien bâtiment. De jeunes cavalières préparent leurs montures, chaudement vêtues. Elliot le nouveau palefrenier donne des coups de mains par ci, par là. Voilà Juliette et sa collaboratrice, madame Walter. Bernadette est toujours tellement contente de nous revoir. << Le même "plan" que vendredi dernier, branlette derrière le bâtiment, dans le froid polaire ! >> me fait Juliette en mimant discrètement de la main une masturbation masculine. << Je peux voir ou venir avec ? >> me fait madame Walter. Je lui réponds : << Tu n'imagines pas l'honneur que tu me fais ! >>. Nous en rions aux éclats quand elle rajoute : << Ça fait longtemps que je n'ai plus vu ta queue ! >>. Il n'y a que nous quatre au fond de l'écurie. Je me déboutonne.

J'agite mon érection devant les trois femmes qui rient. << Va te mettre en situation espèce de vicelard ! >> me fait Juliette en me faisant un clin d'œil. Je sors dans le froid glacial. Encore accentué par le vent du Nord. De réussir à conserver une érection dans ces conditions est tout simplement impossible. Ça me désoblige autant que ça me décourage. Tant pis. Bernadette un peu déçue nous laisse car elle a fort à faire. Juliette nous raccompagne dans l'allée centrale. Voilà Séverine qui tire son cheval par sa longe. Elle nous aperçoit. Nous nous serrons nos mains gantées. Une fois encore je surprends son regard furtif sur ma braguette. À plusieurs reprises tout en discutant. La jeune écuyère n'ose pas croiser mon regard. Je suis frustré de ne pas pouvoir faire mon numéro dehors.

Je le fais donc à l'intérieur en palpant vulgairement ma braguette. Clémentine et Juliette faisant mine de ne se rendre compte de rien. Juliette donnant ses recommandations habituelles à la jeune fille. Quant à l'arrivée du crépuscule. Quant à la tombée de la nuit. Je me touche. Séverine finit par m'adresser un rapide sourire, à croiser mon regard avant de nous laisser. Nous laissons Juliette à ses occupations car elle aussi a du travail. Des bises. Elle me palpe discrètement la braguette en disant : << Passez dimanche après-midi, j'organise une animation équestre dans le bâtiment du manège ! >>. Nous viendrons peut-être. << Il y aura Séverine ! >> précise Juliette alors que nous la laissons. La voiture. Direction la zone commerciale. Il y a un chantier pas loin. Mais y a t-il des ouvriers un vendredi après-midi ? Non. Nous tournons plusieurs fois autour de la grande construction en béton. Personne. Il reste les "plans" dans le grand hypermarché.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines désireuses de s'offrir de suaves frissons exhibitionnistes...

Julien (assistant pour jeune fille vicieuse)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 33 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2771 -



Clémentine, Estelle et moi

Une grasse matinée qui nous emmène aux environs de neuf heures. C'est dimanche. Estelle à ma droite qui est restée contre moi toute la nuit, m'attrape le Zob. Ma bandaison matinale dans sa poigne ferme. Clémentine à ma gauche vient se blottir. Je passe mes mains entre les cuisses de mes deux anges. Nous ne sommes qu'en T-shirts de nuit. Nous avons encore baisé comme des cinglés samedi soir. Des bisous, des câlins, des papouilles. Estelle, mue par un ressort invisible, se lève en criant : << Pipi ! Ça urge ! >>. C'est un spectacle que de la voir courir vers la porte. Doublement motivée par la fraîcheur qui règne dans la chambre et son impérieux besoin. Clémentine passe sa tête sous les draps pour me pomper. C'est une curieuse sensation quand je ne suis pas vraiment excité.

Cela ne dure qu'une trentaine de secondes. Nous aussi allons satisfaire nos envies de pisser. De la flotte sur les tronches à la salle de bain avant d'enfiler nos fringues. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Estelle y prépare le café et l'odeur est ensorcelante. Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. L'énorme "chinois" qui trône au milieu de la table est la plus terrible tentation de ce dimanche matin. Une belle brioche à la pâte d'amande recouverte de sucre glace roux. Nous lui ferons honneur dans les minutes qui suivent. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur notre partouze à trois de la veille. De notre virée en ville pour découvrir les chalets encore fermés des marchés de Noël qui ouvrent dimanche prochain, le 24 novembre à 14 h.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant la randonnée de cet après-midi. La nuit tombant à dix sept heures oblige à être méthodique dans nos choix. Inutile de perdre de précieuses minutes en voiture. Ce sera donc en partant de la maison. Estelle suggère la boucle des quatre heures en revenant par le haras. Nous pourrons ainsi répondre à l'invitation informelle que nous a faite Juliette vendredi après-midi. << Tu pourras peut-être faire ton satyre devant Séverine ! >> lance Estelle qui se lève, mimant une masturbation masculine, pour venir s'assoir la première sur mes genoux. << Te palper la braguette comme tu l'as fait vendredi dans l'écurie ! >> rajoute Clémentine qui vient s'installer sur mon autre jambe. Leurs bras autour de mon cou, de ma taille, pour envisager une suite.

Nous en rions de très bon cœur. C'est un autre plaisir que de pouvoir traîner à table en conversant. Nos lèvres collantes et sucrées qui s'effleurent. La vaisselle. Nous remontons nous brosser les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous recouvrons le lit. Mis à part la chambre il fait bien chaud partout dans la maison. Nous dévalons les escaliers pour aller au salon. Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Elles consultent leurs boîtes mails. Clémentine se rend sur le site de l'université. Les professeurs ont un site dédié et accessible par mot de passe. Nous rions en découvrant quelles courriels sur les messageries privées des forums où nous publions nos aventures. Sous les mêmes pseudos. Nous y publions également "Le trou". Un succès.

Avant de préparer le poulet et les frites de midi, nous enfilons nos anoraks. Bonnets, gants, avant d'affronter les 3° qui règnent à l'extérieur. Le ciel est uniformément gris et bas. Un léger vent du Nord refroidit encore davantage l'atmosphère devenue hivernale. << Il peut très bien neiger la semaine prochaine ! >> lance Clémentine. Nous allons jusqu'à la rivière. Je suis entre mes deux anges qui restent accrochées à mes bras. Le bout du nez picote. << On met des pulls cet après-midi ! >> précise Estelle qui grelotte. << Et des collants sous les jeans ! >> rajoute Clémentine. Nous admirons les danses de nos amis à plumes parfaitement indifférents aux conditions climatiques. Les canards plongent même leurs têtes sous l'eau. Tout comme les colverts et les poules d'eau. Brrrr...

Nous remontons en faisant un rapide tour de la propriété. Qu'il est agréable de revenir au chaud. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Estelle prépare le poulet à rôtir. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade d'endives. J'épluche, je lave et je coupe les pommes de terre pour en faire des frites. À chaque fois que nous nous croisons nous échangeons des bisous. Nous nous touchons. Estelle et Clémentine se roulent de furtives pelles dans la belle tendresse toute féminine qui les unit. C'est beau de les voir contourner la table pour s'enlacer quelques secondes. Estelle se dépêchant de venir palper ma bosse. Nous mangeons de bon appétit en mettant notre itinéraire au point. Nous ne traînons pas car la perspective d'une bonne randonnée, chaudement vêtus, nous motive.

C'est la météo idéale. Celle que nous préférons pour marcher d'un bon pas dans la nature. Un léger brouillard se lève. Ce qui rajoute ce côté fantastique aux paysages que nous allons parcourir. Nous ne traînons pas. La vaisselle, le brossage des dents. Nous nous changeons. Des collants en lycra tous les trois. Des maillots à manches longues en lycra également. Thermos protecteurs. Sous nos vêtements c'est l'arme absolue contre le froid polaire. Avec seulement 5° alors qu'il est treize heures, nous montons jusqu'au portail pour traverser la route, nous engager dans le chemin. Il ne reste quasiment plus de feuilles aux branches dégarnies des arbres. Avec le brouillard se sont autant de hauts fantômes qui accompagnent notre virée. Le vent se chargera de faire tomber les dernières.

Bonnets, gants, emmitouflés dans nos doudounes, nous avançons d'un pas rapide. Dans le petit sac à dos que je porte, des fruits secs, la thermos de thé bouillant. Les lampes frontales dont les batteries sont chargées. Pas de bite à l'air cet après-midi. Et je le déplore car mes deux anges s'avèrent très coquines malgré les conditions. Par contre c'est une randonnée magique comme nous les aimons. Le crépuscule s'annonce vers dix sept heures pour s'affirmer quinze minutes plus tard. Nous arrivons au haras par le sentier des dolmens qui longe le ruisseau. Il y a de la lumière dans les bâtiments. Dans celui du manège dont nous entendons les applaudissements. C'est la voix de Juliette dans les hauts parleurs. Son accent Corse. Nous y entrons. Malgré le froid, dans l'énorme salle, il y des gens sur les gradins.

Ils sont toutefois debout à applaudir les performances des cavaliers. Madame Walter en pleine conversation avec des propriétaires de chevaux nous fait un grand signe de la main. Il y a Elliot le palefrenier avec Évelyne sa collègue. Ils nous font également de grands signes. Bien trop occupés pour venir bavarder avec nous. Il doit régner ici deux ou trois degrés de plus. C'est à dire 6° ou 7°. Tout ce beau monde ressemble à des esquimaux sur la banquise. C'est la fin d'un spectacle où l'on voit des cavaliers faire sauter leurs montures au-dessus de barrières rouges et blanches. C'est magnifique avec de la valse Viennoise en fond sonore. Parfois la voix de Juliette dans les enceintes pour commenter les performances. On la voix debout, là-bas, le micro à la main. Elle nous aperçoit. Un grand coucou. Bras levé, sans cesser de décrire ce qui se déroule. De nommer les cavaliers. Leurs montures.

Nous n'avons pas trop envie de nous attarder. Là, sur son cheval, Séverine quitte le manège. Fière et droite sur sa monture, elle nous reconnaît malgré nos bonnets et nos écharpes qui masquent à moitié nos visages. Son sourire est désarmant. Elle s'arrête pour nous saluer. Elle sort du bâtiment pour traverser la cour pleine de voitures. << Viens, on va aux écuries ! >> me fait Clémentine. Nous y pénétrons. Il y a déjà des cavalières qui retirent les selles des chevaux. Une véritable animation règne en ce lieu, dans l'allée centrale comme dans les box. Il fait froid. C'est l'avant dernier box. Nous rejoignons Séverine en pleine conversation avec une autre écuyère. Nous voulons simplement manifester nos présences. Séverine en semble reconnaissante puisqu'elle nous fait un sourire.

Nous revenons sur nos pas en caressant l'encolure de quelques chevaux qui nous observent. Séverine est à présent seule dans son box. Nous pouvons échanger quelques mots. Elle semble avoir une superbe connexion avec Estelle car elles rient toutes les deux en évoquant les études de Séverine. Le tronc commun pharmacie médecine. << Tu veux faire docteur ? >> demande Estelle. << Je ne sais pas encore. Un doctorat de médecine, de pharmacie ou peut-être de vétérinaire ! >> répond la jeune fille. Séverine n'a que dix neuf ans. Elle se réserve deux années de réflexions. Dans le flot d'une conversation que ne dure pas plus de dix minutes, je surprend son regard furtif se poser à plusieurs reprises sur ma braguette. Je me touche vulgairement. Entre Clémentine et Estelle.

De quoi susciter bien des interrogations car la jeune cavalière ose me lancer quelques regards interrogateurs. Se doute t-elle de la relation singulière qui nous unit ? Certainement car Estelle et Clémentine restent le plus souvent tout contre moi. Notre complicité ne fait pas l'ombre d'un doute. Et quoi de plus rassurant pour une jeune fille que d'être en compagnie de deux autres pour assister à des attitudes vicelardes de la part de l'homme d'âge mûr qu'elles tiennent par les bras ? Je devine même l'excitation qui la gagne. C'est Estelle qui enfonce le clou en posant sa main sur ma braguette lorsque nous saluons Séverine avant de sortir du box. Son regard, son sourire, tout indique qu'elle a capté et surtout que cela achève d'éveiller son intérêt. Nous croisons d'ailleurs ses parents, très élégants, dans l'allée centrale. Nous les avons déjà vu deux fois. Nous nous saluons poliment.

<< On va en faire une membre du "club" ! >> nous fait Estelle. << Si elle ne l'est pas déjà ! >> répond Clémentine. Il reste trois kilomètres à faire dans le noir. Nous quittons pour prendre le sentier après le vieux lavoir. Il longe la rivière jusqu'à notre propriété. Il est dix huit heures quarante quand nous éteignons nos lampes frontales avant de rentrer au chaud. Estelle devra nous laisser pour vingt deux heures. Aussi, nous sommes immédiatement méthodiques dans les préparations du repas. Estelle décortique le reste du poulet pour le faire revenir à la poêle. Clémentine fais l'assaisonnement d'un concombre. Je m'occupe des spaghettis. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre randonnée de l'après-midi, sur l'attitude de Séverine et des suites à y donner.

Nous ne traînons pas. La vaisselle avant de filer au salon. Il faut retirer les jeans, les leggings, pour n'être plus qu'en grosses chaussettes et en sweats de lycra. À genoux sur les épais coussins, je passe d'une chatte à l'autre de ma bouche avide alors que mes deux anges s'embrassent en gémissant. Leurs mentons trempés, luisants de salive. Je me régale de coulures presque incessantes. Elles mouillent en abondance. Estelle m'invite à la pénétrer en m'attirant sur elle. Toutes les deux se masturbent quand je ne suce pas leurs clitoris. Elles continuent quand je les pénètre à tour de rôle. C'est exquis. L'orgasme d'Estelle est de 8 sur l'échelle de Richter qui en compte dix. Celui de Clémentine doit être de onze car il n'est pas seulement déluge pisseux mais véritable cataclysme. L'apocalypse selon Saint Priape.

Bonne nouille à toutes les coquines qui, une fois sous les draps, se la sucent en savourant les jus de cuisson. Avant de s'endormir tout contre leur cuisinier...

Julien (cuistot)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 34 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2772 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, lundi, réveillés dès sept heures par les enchantements d'une des applications proposées par "Son de la nature", nous sommes tirés du sommeil en même temps. Clémentine se blottit contre moi. Nous unissons nos gémissements dans un duo qui nous fait rire aux éclats. Il faut se lever. Nous courons aux toilettes avant de passer à la salle de bain. Se mettre de l'eau fraîche sur les visages, enfiler nos leggins et nos sweats de gymnastique. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine prépare le café en me racontant ses rêves, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Il fait bien chaud partout dans la maison mais avec seulement 3° à l'extérieur, c'est un apport non négligeable. J'aime passer mes mains sur ses hanches quand elle presse les oranges.

Le reste de la brioche dans le four à micro ondes pour lui rendre son moelleux. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée de dimanche après-midi. Notre visite au haras. La petite conversation sympathique avec Séverine. Nous mangeons de bon appétit en imaginant des fictions concernant cette jeune fille. Nous remontons rapidement pour nous livrer à l'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulant, exercices abdominaux, charges additionnelles, stretching. Puis une bonne douche. Je me vêts le premier pour redescendre. L'anorak. Il fait aussi froid que la veille. Je sort l'auto du garage. Clémentine vient me rejoindre élégamment vêtue de son manteau noir, de son pantalon noir et de ses bottines noires. Son chapeau feutre noir et son écharpe crème. Superbe.

Ses bras autour de mon cou pour quelques derniers bisous avant son retour pour 16 h30. Il n'est pas tout à fait huit heures quarante. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou et je rentre en courant. La vaisselle, le lit avant de redescendre dans l'atelier. J'y allume la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je me mets aujourd'hui à la peinture de ma première véritable toile de l'automne. Je retrouve les joies de l'introspection, de la réflexion et les plaisirs de la matière picturale. Je peins dans un enthousiasme qui me fait pousser des cris surréalistes. À chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent je module un nouveau beuglement. La matinée passe dans la volupté.

Il est midi quand je dépose deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Deux bûches dans la cuisinière à bois qui ronfle comme une locomotive. Elle aussi semble heureuse d'avoir repris du service. Je n'ai qu'à réchauffer les restes de spaghettis et de poulet. Accompagnés d'une salade de carottes. Pour ce soir je prépare un gratin de courgettes et d'aubergines. Nous avons été livrés samedi matin de beaux légumes d'hiver. C'est une préparation rapide. Laver les courgettes, les aubergines. les couper. Faire un liant à base d'œuf, de crème fraîche, de fromage blanc et de lait de soja. Recouvrir de gruyère, de chapelure, de graines de sésame grillées, quelques cerneaux de noix comme dans la salade. Au four pour laisser mijoter longuement à feu doux. 150°.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, étant revenu des États-Unis, consacre une partie de son émission aux récentes déclarations de guerre de Joe Biden envers la Russie. Le dernier cadeau empoisonné, par vengeance, qu'il va laisser à Donald Trump qui voulait rétablir la paix dans cette région du monde. Les dangereux psychopathes criminels de l'administration Biden autorisant l'Ukraine à faire usage de missiles à longues portées. Se moquant éperdument des conséquences pour l'Europe. Ce qui est une grave erreur car Vladimir Poutine n'épargnera pas l'Amérique. En cas d'agression il ripostera. Il a toujours fait ce qu'il a promis de faire. Son régime est stable et il n'y a pas de changement tous les quatre ans. Sans évoquer le premier ministre Britannique et notre lopette de présidente de la République qui rajoute de l'essence sur les braises. Dans le but évident de s'emparer définitivement du pouvoir pour dix ans.

Je surveille la cuisson de notre repas du soir. Il suffira de le mettre dans le four de la cuisinière à bois en soirée. C'est une fournaise et il ne faudra pas plus de cinq minutes. Le plat est déjà entrain de dorer. La vaisselle. Je me brosse les dents en pensant aux redoutables crétins qui mènent aux destinées du monde dans le seul but de lui nuire. Que des imbéciles mettent au pouvoir par leurs votes absurdes. Depuis des siècles ces "élites" qui n'en sont pas, font partie d'une même lignée de fous dangereux. J'enfile mon anorak. La température extérieure est de 9°. Le vent s'est orienté Nord Ouest. Ce qui annonce un changement climatique. Je sors pour descendre jusqu'à la rivière. Le ciel est bas, uniformément gris. C'est plutôt sinistre. Je remonte pour faire le tour de la propriété. Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement assis devant mon chevalet. Bonheur.

Je peins dans les mêmes dispositions d'esprit que ce matin. Essayant de chasser les idées négatives quand aux informations angoissantes pour la paix et la sécurité. Du bruit. Il est déjà seize heures trente. Ma professeur rentre de cours. Elle se précipite pour venir s'assoir sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Avec deux collègues enseignants, elle est allé manger dans le petit salon de thé près de l'Université. Leurs conversations fut celle de tous les gens capables de réflexions. Les évènements dramatiques qui risquent de s'annoncer. << Quelles villes d'Europe et d'Amérique seraient rayées de la surface du globe en cas de représailles Russes ? >>. Clémentine a ses préparations pour mardi. Elle s'installe à la table de travail, devant son ordinateur.

Ces séquences de travail, l'un près de l'autre, ont le plus bel effet sur nos créations. J'aime l'entendre chanter, se relire, me raconter. Parfois je me lève pour venir poser mes mains sur ses épaules. Mettre mon visage tout près du sien. Coller mes lèvres dans sa nuque en relevant ses cheveux. Il va être dix huit heures trente quand soudain, venant de l'étage, au-dessus de nos têtes, un bruit sourd. Puis quelqu'un qui marche. << Elle est revenue ! >> lance Clémentine. Est-ce le fantôme de mon ancienne compagne ? Nous sommes tous deux plutôt rationnels. Cela fait deux ans que ces manifestations paranormales ont cessé. Nous pensions en être débarrassés. Clémentine vient me rejoindre alors que je nettoie la palette, les pinceaux au dessus du petit lavabo de l'atelier. Soudain le silence. Lourd. Menaçant. Le temps semble s'être arrêté.

Tout cela n'a duré que quelques minutes. Deux peut-être. << Ça ne va tout de même pas recommencer ! Tu as pratiqué ton rituel ? >> me demande ma professeur en saisissant ma queue posée sur le rebord de la faïence. Elle en dirige les multiples jets en les comptant. << Dix huit ! >> s'écrie t-elle. Pas du tout effrayés ou même inquiets de cette hantise semblant être revenue, nous nous adonnons à nos petits jeux de début de soirée. Accroupie, me tenant la taille pour maintenir son équilibre, Clémentine se régale des derniers épanchements après en avoir secoué les dernières gouttes. Il pourrait y avoir toutes les entités les plus démoniaques, nous n'en aurions strictement rien à foutre quand nous nous livrons à nos sublimes déviances. Une petite pipe sympa qui ne dure que deux minutes.

Je l'aide à se redresser alors qu'elle me montre l'intérieur de sa bouche. La jute qu'elle garde afin de la mélanger à sa salive. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille. Je la promène dans toute la grande pièce. Dès qu'elle a dégluti elle me roule une pelle d'enfer. Je dis : << Ce soir, je ne te fais pas l'amour, excuse-moi, je ne pourrais pas. Par contre je vais te baiser comme le dernier des salauds ! >>. Nous rions aux éclats. Je la dépose au sol devant son ordinateur. Pendant qu'elle range ses affaires, je remue les dernières braises avec le tisonnier. Nous quittons l'atelier, la faim au ventre, pour nous rendre à la cuisine. Quand je sors le gratin du four électrique pour le placer dans le four à bois, Clémentine s'émerveille : << Waouh ! Yeah ! Absolutely stunning ! >>. Je l'aide à faire l'assaisonnement de deux grosses endives. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les "évènements". Mais également sur les vacances de fin d'année.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine m'entretient de ses souhaits pour les vacances à Édimbourg. Nous partirons en avion le samedi 21 décembre pour revenir le jeudi 2 janvier. Estelle aura son avion pour Los Angeles le lendemain. Elle culpabilise car elle reste convaincue que c'est à cause de son départ que nous précipitons notre retour. Pas du tout. << C'est bien aussi d'être à la maison. D'avoir quelques jours avant de reprendre le boulot ! >> précise ma compagne. La vaisselle. Elle m'entraîne au salon en disant : << J'ai donc affaire à un véritable salaud qui va me baiser ce soir ? >> lance t-elle en retirant ses bottines, son pantalon et sa culotte. Elle reste en pull à col roulé et en chaussettes pour rajouter : << Il est où ? >>

Je me masturbe en restant appuyé contre le bureau. Clémentine est sur le canapé. Nous nous masturbons en nous observant. C'est un de nos plaisirs. Nous pourrions passer toute la soirée ainsi. Elle me raconte le mec qui lui a montré sa queue lorsqu'elle faisait le plein à la station. C'était au mois de mai. Juste avant les premières épreuves de son Doctorat. << Il faisait comme toi. Juste le bout entre le pouce et l'index. J'adore voir ça ! >> dit elle. Je m'approche pour le faire à une cinquantaine de centimètres de son visage. Sans cesser de se toucher, elle se positionne bien droite pour regarder de près. C'est aussi passionnant pour elle que pour moi. Elle voit ma manipulation, je vois ses expressions. C'est divin. Quand je resserre la peau fripée de mon prépuce c'est comme un essorage.

Apparaît alors une goutte opalescente. Une perle. Clémentine tire la langue. Je m'approche pour déposer cette perle sur son organe. Elle lui donne la forme d'une coupelle. Je peux y laisser s'écouler les premiers épanchements. Je suis très excité et cet état secrète quantité de liquide séminal. C'est ainsi que je remplis à plusieurs reprises la coupelle. Clémentine laisse le foutre se mélanger à sa salive. Je la regarde savourer, avaler tout en me branlant de plus belle. Je m'éloigne pour aller récupérer la cuvette en plastique sous le guéridon rond à côté du canapé. Je reviens pour la tendre à ma complice. Elle comprend immédiatement. Ça fait longtemps que je ne lui ai plus pisser à la gueule. Clémentine tient la cuvette. Je me penche pour la doigter un instant. Un spasme.

Elle est trempée. Je frotte ma bite sur son visage. Elle me l'offre en gémissant. J'éloigne mon Zob. Je me concentre depuis quelques minutes. Ça y est, le premier jet. Right into her mouth ! Elle ouvre la bouche pour y recevoir ma queue molle. Je lâche une giclée. Un râle profond. Le mélange pisse foutre qu'elle s'empiffre en gloussant de délectation. Je bande comme le dernier des salauds. Je retire la cuvette de ses mains pour la poser au sol. Je la fais changer de position pour me coucher sur elle. Je reste en appui sur mes bras. C'est moi qui me laisse faire. Elle saisit mon érection pour se l'introduire. Ça rentre comme dans du beurre. << Mon salaud ! >> murmure t-elle en s'accrochant à moi. Je la baise comme promis. Nous nous embrassons comme des déments s'étant débarrassés de leurs camisoles de force. Je me comporte en hussard. Alternant les moments de romantisme avec les moments de rut d'homme préhistorique.

Bonne nuit à toutes les coquines qui s'endorment dans les bras de leurs baiseur fou, de leur branleur, de leur pisseur et de leur éjaculateur en bouche...

Julien (homme des cavernes)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Les petits rituels de la vie quotidienne
Wednesday 20 November 2024 07:35

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 35 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2773 -



Le mardi, Clémentine termine à midi

Il va être sept heures. Le gazouillis des oiseaux, l'écoulement de la source qu'on entend jaillir entre les roches, sont les causes de notre réveil. Un réveil tout en douceur. Hier matin, mardi, c'est encore une agréable matinée qui s'annonce. Malgré l'épouvantable météo que nous devinons. À entendre mugir le vent, à entendre les paquets d'eau que les bourrasques lancent contre les vitres, nul doute que nous n'irons pas randonner cet après-midi. Clémentine se blottit contre moi. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. De la flotte sur les tronches avant de s'habiller à la salle de bain. Nos tenues sports. Morts de faim, nous descendons à toute vitesse en poussant des rugissements et en riant aux éclats. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves.

J'allume la cuisinière à bois. Quand elle termine à midi, ce qui sera le cas aujourd'hui, ma préparatrice est facétieuse. J'adore la voir déconner dès le levé. Le bonheur d'avoir une compagne qui n'est pas déprimée le matin, dépressive le soir et angoissée le reste du temps. Qui ne tire pas la tronche quand elle ne fait pas la gueule. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos douces folies de la veille. << J'aime quand tu es vicieux et entreprenant avec moi ! >> me confie t-elle. Le jour commence à se lever. Nous remontons pour nous livrer au second plaisir de cette nouvelle journée. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices abdos, charges additionnelles puis stretching. La douche libératrice. Je m'habille pour descendre le premier, sortir la voiture du garage, la préparer.

Huit heures quarante. C'est sous le parapluie que Clémentine vient me rejoindre. Il faut ruser car c'est la tempête qui est entrain de se lever. Elle est chaudement vêtue de son épais blouson de cuir brun, d'un Levis brut, de bottines brunes. Une écharpe de couleur jeans. Un béret des mêmes teintes. Ses bras autour de mon cou pour quelques dernières bises. << À tout de suite. Je suis là pour midi et demi ! >> dit elle en s'installant au volant. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou et je rentre en courant sous une pluie devenue diluvienne. Je fais notre vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. Un autre plaisir que de retrouver mon univers. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. En chantonnant.

Je peins dans un état légèrement euphorique. Conséquences des facéties de la fille que j'aime. La matinée s'écoule sans que je n'ai la moindre perception du temps qui passe. Mais il passe. Il va être midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. À l'extérieur le déluge et le vent. Ce qui achève de faire tomber les toutes dernières feuilles. Je réchauffe les restes du gratin de courgette et d'aubergine. L'assaisonnement d'une belle laitue dont je lave les feuilles également pour ce soir. Je mets les assiettes, les couverts. Clémentine arrive pour me sauter au cou. << Je t'aime. Tu me manques tous les jours quand je ne suis pas avec toi ! >> s'exclame t-elle alors que je la soulève pour l'emmener aux toilettes. Elle commence à me raconter sa matinée en se lavant les mains. Je secoue les dernières gouttes en l'écoutant.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant le week-end. Il y aura l'inauguration des trois marchés de Noël en ville. C'est une "cérémonie" à laquelle nous aimons assister. Même si pour nous Noël ne signifie rien d'autre que des cadeaux, Édimbourg et les vacances. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait mille projets pour l'Écosse. << Je compte les jours avant notre départ. Exactement 31 ! >> précise t-elle. La vaisselle. Nous nous brossons les dents dans la salle de bain du bas. Clémentine monte se changer en me demandant de l'attendre dans l'atelier. << Surprise ! >> dit elle. Je remets deux bûches sur les flammes. Clémentine revient. Quelle belle surprise. Une compagne qui sait ce qu'est la séduction mérite la sainteté.

Vêtue d'une de ses jupes kilts à carreaux rouges et verts, de bas noirs, d'un chemisier crème sous un fin pull de coton bleu nuit. Des mocassins noirs à légers talons. Elle entre dans l'atelier, tourne sur elle-même. S'accroupit en tournant le dos à la cheminée pour me regarder, amusée et espiègle. Je sors ma bite qui raidit considérablement. << Je vous aime, monsieur et j'ai envie de vous séduire tous les jours ! >> fait elle en écartant ses cuisses. Je devine l'absence de culotte car Clémentine ne porte que rarement des sous vêtements noirs. Son porte-jarretelles est l'écrin de sa touffe laineuse et fournie. Elle a son travail de préparation car demain, mercredi, il y aura une inspection académique. Il faut que ses enseignements soient irréprochables. Elle se redresse. Je la rejoins.

Je prends sa main. Je mets un genoux à terre en disant : << Je suis séduit mademoiselle ! >>. Elle rit en tirant sur ma main pour que je me relève. Elle m'entraîne à la table de travail pour s'y installer. Allumer l'ordinateur. Je reste debout derrière elle à lisser ses cheveux de mes doigts. Elle m'explique ce qui l'attend. Je n'y comprends pas davantage en mathématiques, qu'en physique. Pas plus qu'en algèbre. Ce qui la fait rire. Je la laisse pour retourner à ma peinture. L'après-midi de travail qui nous attend sera ponctué de visites à l'un, de visites à l'autre. De bisous. Parfois, pour la divertir, je me lève. Je contourne le chevalet pour m'accroupir face à la table. Elle lève les yeux de son écran, me sourit en écartant ses cuisses. Je me redresse, j'écarte ma blouse, j'agite le Zob.

Le crépitement des flammes, le craquement du bois accompagnent notre séance. Soudain, au-dessus de nos têtes, ce bruit sourd si caractéristique. Nous en avions perdu l'habitude. Habiter dans une maison hantée est une chose particulière. Cela faisait deux ans que ces phénomènes avaient cessé. Ils semblent repartir de plus belle. Clémentine se lève pour ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous écoutons en silence en nous consultant du regard. Quelqu'un déménage des meubles à l'étage. C'est un vacarme. Tout cela ne dure tout au plus que deux minutes. Le soudain silence est tout aussi brutal. Nous nous rejoignons au petit lavabo de l'atelier. Clémentine tient ma bite pour en diriger les jets. J'ai ma main droite dans la raie de ses fesses en retroussant sa jupe.

Il fait bien chaud dans l'atelier comme dans le reste de la maison mais de la voir en jupe me procure un frisson d'une toute autre nature. Je demande : << Tu n'as pas froid ? >>. Elle s'empresse de répondre : << Pas du tout, regarde le thermomètre, l'aiguille est sur 24 ! >>. C'est vrai. Par contre l'aiguille du baromètre reste obstinément bloquée sur "pluie". La fille que j'aime secoue les dernières gouttes avant de s'accroupir. J'ai fait semblant d'arriver en fin de pisse. Aussi, dès qu'elle gobe la peau fripée de mon prépuce pour en sucer les derniers reliquats, je lâche la giclée ultime. Pour éviter qu'elle n'ait le réflexe de se retirer, je la saisis fermement pas sa tignasse. Je me lâche avec les jambes tremblantes. Enivré de cette jouissance vicelarde qui la fait pousser un râle profond.

Trois giclées qu'elle pompe avec avidité. Je bande comme le dernier des salauds en l'aidant à se redresser. << J'adore tes surprises ! >> dit elle en se serrant dans mes bras. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de ma taille. Je l'installe sur la table. Elle se met en appui sur ses coudes alors que je saisis ses chevilles. Je place mon sexe contre le sien. Nous entendons chantonner. C'est Estelle. C'est le spectacle sur lequel elle tombe en entrant dans l'atelier. Elle est en jeans, chemises à carreaux, bottines. Elle se précipite en s'écriant : << Les salauds ! >>. Elle me roule une rapide pelle avant d'en rouler une à Clémentine. Je ne la pénètre pas, elle n'est peut-être pas prête et j'aime bien la sucer et la lécher un peu avant. Les choses sont beaucoup plus simples par la suite. Des bisous.

Clémentine saute de la table, se réajuste alors qu'Estelle attrape ma queue en lançant : << Wouah ! Tu me la mets ce soir ! Obligé ! >>. Nous rions. Elle s'accroupit pour la prendre en bouche. Clémentine appuie sur sa nuque en la tenant par sa natte. << Suce, salope, c'est du bon ! >> dit elle. Nous en rions aux éclats. Estelle se redresse. Ce soir, il faut tout préparer. Ce seront des spaghettis avec des escalopes de dinde. Morts de faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il y fait presque trop chaud. Il faut préciser que la cuisinière à bois ronronne comme une locomotive. Je l'alimente toutes les trois heures d'une grosse bûche de chêne. Clémentine fait l'assaisonnement pour le reste de la laitue. Estelle s'occupe des escalopes. Moi, des spaghettis et du Parmesan que je râpe en quantité.

C'est rapide. Les filles se font des bises à chaque fois qu'elles se croisent. Estelle se tourne vers moi en mimant des masturbations masculines. Ce qu'elle fait également pendant que nous mangeons. Elle devra nous laisser pour vingt deux heures et avec ce que nous avons en projet, chaque seconde est précieuse. Les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle. Mes deux anges m'entraînent au salon. << Branle-toi ! >> me fait Estelle en retirant ses bottines, son Levis et sa culotte. Clémentine étant en jupe s'installe la première sur le bureau. J'attrape Estelle pas sa natte, comme par une laisse pour la forcer à s'accroupir. Elle tente de se soustraire à mon étreinte mais je la maintiens fermement. Je frotte ma bite sur sa petite gueule de salope. Elle refuse de me laisser l'enfoncer. Je force.

Le truc imparable est de lui pincer le nez. Pour pouvoir respirer elle sera bien obligée d'ouvrir la bouche. Clémentine, en se masturbant, tourne autour de nous. Elle s'accroupit derrière Estelle à genoux sur l'épais tapis. Estelle qui se débat. Les cuisses largement écartées, se masturbant de la main droite, Clémentine lève le pouce de sa main gauche comme pour féliciter mon initiative. Estelle joue parfaitement. À tel point que parfois je culpabilise. Elle finit par se retrouver avec ma bite dans la bouche, à genoux, se frottant contre ma cheville droite. Clémentine se frotte contre elle en la tenant par ses seins. La surprise. Je lâche une giclée. Croyant que j'éjacule Estelle se rend très rapidement compte que c'est un jet de pisse. Ça faisait longtemps que je ne lui avais plus réservé cette surprise.

Elle tousse, manque de s'étouffer. De la pisse jaillit de ses narines. Je relâche mon étreinte. Elle tousse encore, tente de reprendre sa respiration. Clémentine tombe à genoux, contourne Estelle à quatre pattes pour venir me pomper. En me faisant sucer je regarde Estelle, les yeux en larmes, entrain de s'essuyer le visage. << Espèce de salopard ! >> me fait elle avec un regard lourd de reproches. Joue t-elle ou est-elle sincère ? J'en saurai davantage en la niquant. Ce que je fais sur le tapis. Toutes les deux, couchées sur le dos, en se masturbant, se font pénétrer en poussant de petits cris de ravissements. J'ai le comportement délicat de l'homme des cavernes. La douceur d'un ours en rut. Je les culbute toutes les deux à la hussarde. Elles en poussent des cris qui sont autant de reconnaissances.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont en savourer les jus de cuisson sous les draps. Avant de s'endormir dans les bras de leur homme des bois...

Julien (néandertalien)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Les petits rituels de la vie quotidienne
Thursday 21 November 2024 07:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 36 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2774 -



Soirée chez Juliette

Le mercredi matin ressemble fort au mardi matin. Ce qui est encore le cas, hier matin, à presque sept heures. Clémentine blottit tout contre moi en murmurant << Bobo ! >>. Nous sommes le 20 du mois. Et elle est réglée tous les mois à cette date. Je masse délicatement son bas ventre par petits cercles. Je pose mes lèvres sur chacun de ses petits seins dont l'extrémité est étonnamment turgescente. Je souffle de l'air chaud au travers du fin coton de son T-shirt de nuit. << Ça fait un bien fou ! >> lance t-elle. Je l'ai entendu se lever tôt pour aller aux toilettes, prendre son médicament anti douleurs. Malgré cela, cette fois ça ne semble pas si bien se passer. Nous nous levons. Elle m'accompagne pour tenir ma bite afin d'en diriger les jets. Nous nous passons les visages à l'eau fraîche dans la salle bain. Avant de revêtir nos tenues de sports. Il fait bien chaud partout dans la maison. Nous descendons.

Clémentine s'occupe du café en me confiant les contractions qui l'importunent. Ses seins douloureux. Je m'affaire aux fruits en écoutant avec beaucoup d'attention. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de la veille en compagnie d'Estelle. Nos folies ont très certainement contribué à cet état de faits. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la soirée avec Juliette qui nous attend en fin de journée. Sans traîner car nous remontons immédiatement. Rien de tel qu'un bon entraînement pour reprendre pieds dans le réel. L'aérobic. Je jogging sur tapis roulants. Les exercices abdominaux qui soulagent énormément les viscères de ma complice. À tel point qu'elle en double les séries. Me laissant seul aux charges additionnelles. Puis un bon stretching.

En effet, c'est radical. Ça va bien mieux. La douche. Vêtu de mon levis, de mon épaisse chemise à carreaux, baskets, je dévale les escaliers. L'anorak. J'affronte un froid polaire pour courir jusqu'au garage afin d'en sortir l'auto et la faire chauffer. Il va être huit heures quarante. Le thermomètre extérieur indique 1°. Un vent du Nord. Clémentine me rejoint emmitouflée dans sa doudoune grise. Un pantalon de velours noir, ses bottines. Un bonnet, des gants. Ses bras autour de mon cou pour des bises. << À cet après-midi. Si ça ne va pas je t'appelle ! >> dit elle en s'installant au volant. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de piquer un sprint pour retourner au chaud. Le ciel est gris. Bas et plutôt menaçant. La vaisselle. Je recouvre le lit avant de redescendre pour passer dans l'atelier.

Une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans une sorte d'extase qui m'empêche de percevoir les heures qui défilent. Mon estomac est le meilleur indicateur. Quand il commence à râler, je sais qu'il n'est pas loin de midi. Je pose deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer les restes de spaghettis à la poêle en cassant deux œufs dessus. Y mettre une bonne couche de gruyère en fin de cuisson. L'assaisonnement d'une grosse endive. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff aborde la guerre en Ukraine dans son émission quotidienne. Il y a de quoi être inquiet. Les dangereux psychopathes criminels qui mènent aux destinées du monde deviennent fous.

Ce qui ne me coupe pas l'appétit mais me met en rogne. Il y a des jours où il serait tellement mieux d'être un "blaireau", passionné de football, d'émissions de télévisions lénifiantes, calibrées pour crétins ignares et de ne pas me soucier des actualités autrement qu'en rotant ma bière. Je ne traîne pas. La vaisselle. Je me brosse les dents dans la salle de bain du bas. J'enfile mon anorak, bonnet, gants avant de ressortir. Le froid est polaire. Seulement deux degrés. Le vent glacial rajoute encore à ces conditions devenues hivernales. Je descends toutefois jusqu'à la rivière. Ces trois cent mètres dans un sens puis dans l'autre s'avèrent une épreuve redoutable. Il est treize heures trente quand je mets une bûche de chêne dans la cuisinière à bois. Que j'en mets deux dans la cheminée.

Assis devant mon chevalet, je peins dans les mêmes extases que ce matin. Régulièrement me reviennent à l'esprit les évènements dramatiques et d'une extrême dangerosité qui se jouent à même pas trois mille kilomètres. Ces cinglés de l'administration Biden viennent d'agresser la Russie. Savonnant la planche de paix de Trump. Quelle sera la réaction de Poutine ? Du bruit. Il est donc déjà quinze heures trente ? Clémentine entre dans l'atelier. Elle se précipite et s'installe sur mes genoux pour me raconter sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Les inquiétudes de ses collègues professeurs et des étudiants. << C'est fou mais si on veut entendre les vérités, il faut aller sur les médias alternatifs. Tous les autres ne font que de la propagande gouvernementale anti Russe et haineuse ! >> explique t-elle. L'émission d'André Bercoff est déjà un de ces médias alternatifs que rêvent de censurer les salopards sanguinaires qui dirigent nos pays.

Les forums où nous publions ne sont pas des tribunes politiques. Il est donc préférable de ne pas harasser le lecteur avec d'autres préoccupations que sexuelles. Gardons ce principe à l'esprit. Mais l'heure est beaucoup plus grave qu'il n'y paraît et tout cela pourrait disparaître du jour au lendemain. Ce sont les propos que nous échangeons. Clémentine a ses préparations de demain, jeudi. C'est sa "journée longue" de la semaine. Huit heures. Cours de mathématique le matin, cours de recherches appliquées l'après-midi. Quatre heures à chaque fois. Assise à la table de travail, devant son ordinateur, elle continue toutefois à partager d'amusantes anecdotes. Nous savourons ces deux heures trente à nos occupations respectives. Nous l'avions complètement oublié. Le fantôme de la maison.

Dix huit heures. Un bruit sourd, violent, à l'étage. Comme la course effrénée de quelqu'un qui cherche à fuir. Nous nous regardons en écoutant. À chaque fois le phénomène ne dure que deux à trois minutes. Mais devant de telles manifestations irrationnelles, trois minutes, c'est très long. Interminable. Le silence qui suit est tout aussi inquiétant. Clémentine range ses affaires. Je nettoie la palette et les pinceaux. Elle vient me rejoindre devant le petit lavabo de l'atelier. << Docteur Julien, j'ai besoin de vos soins ! >> fait elle en tenant ma bite pour en diriger les jets. Après avoir secoué les dernières gouttes, elle se penche en avant. Un peu méfiante car elle connaît mes ruses. La dernière giclée que je lui réserve depuis quelques jours. Ce qui est encore ma tendance vicelarde de la soirée.

Quand elle se redresse en murmurant : << Salaud ! >>, elle se blottit dans mes bras. Sans trop se serrer à cause de ses seins douloureux. Je pose ma bouche sur chacun d'eux pour souffler de l'air chaud à travers la laine de son pull à col roulé. Il faut redoubler d'efforts car dessous il y a la chemise d'épais coton et le soutien gorge qu'elle ne porte que lorsqu'elle à ses règles. En même temps je glisse ma main dans son pantalon ouvert dont la tirette est descendue. Je masse délicatement. << Mmhh, docteur Julien, vos thérapies ont un effet immédiat ! >>. Je fais durer pour sa plus grande joie et surtout son plus grand soulagement. Nous sommes attendus chez Juliette pour dix neuf heures trente. À cet effet j'ai sorti une tarte aux noix du congélateur à midi. Parfaite pour notre dessert.

Nous montons afin que je me change. Clémentine reste vêtue de sa tenue de professeur. Je porte un Levis "brut", une chemise blanche sous un pull noir. Mes bottines noires. Nous dévalons les escaliers pour prendre des poses devant le grand miroir de la penderie dans le hall d'entrée. Les effets du médicament et la thérapie du docteur Julien ont considérablement amélioré les choses. Clémentine retrouve sa bonne humeur et son optimisme habituels. Mon blouson de cuir noir doublé de fourrure synthétique. C'est avec sa voiture que nous parcourons les trois kilomètres qui nous séparent du haras. Pour arriver un peu avant l'heure. Il y a de la lumière dans les écuries. Très certainement les palefreniers Évelyne et Elliot encore affairés. De la lumière au premier étage au-dessus des bureaux.

La silhouette de Juliette qui guette notre arrivée. Elle vient nous accueillir au bas de l'escalier. Dans l'étroit couloir. Elle porte sa tenue d'écuyère. Sa tenue de travail. Elle est extraordinairement sexy dans ses vêtements d'équitation. Nous remontons avec elle, toute contente de nous revoir depuis dimanche. Les parfums affolants du repas qui nous attend. Elle débarrasse Clémentine du Tupperware qui contient la tarte aux noix alors que je nous débarrasse de nos blousons. Il fait bien chaud. Ce sont des lasagnes, préparées par notre hôte, qui parfument la salle à manger. Nous savourons ces délices en bavardant. Bien évidemment, après quelques lieux communs et des échanges quand aux évènements géopolitiques inquiétants, Juliette aborde le sujet qui nous réunit, qui nous passionne réellement.

<< Tu as goûté ton nouveau palefrenier ? >> demande Clémentine. << Non, pas encore. Mais il sait que j'aime le surprendre ! >> répond notre amie. J'écoute en me touchant sous la table. Juliette fait une description détaillée des fois où elle a fait semblant de surprendre le jeune homme. Entrain de pisser derrière les bâtiments au lieu d'aller aux toilettes. La fois où elle l'a surpris entrain de se branler en regardant l'écran de son téléphone. À chaque fois cachée pour regarder avant d'intervenir, de jouer la surprise, de s'excuser avant de repartir. Je me lève pour faire "l'hélicoptère". Je demande : << Il t'a déjà fait ce coup-là ? >>. Juliette éclate de rire pour répondre : << Non, pas encore. Mais ça m'étonnerait que nous arrivions un jour à ce degré de connivences, vieux vicelard, va ! >>

Nous passons une très agréable soirée en restant exclusivement sur ce registre. Nous avons tant de souvenirs en commun. Les partouzes, les soirées gloryhole ou encore les soirées branles à trois. << À ce propos on pourrait s'en offrir une ! Ça vous tente ? >> lance t-elle. Ce sont nos préférences. Aussi Clémentine s'écrie : << Mais alors là, c'est quand tu veux ! >>. Nous décidons que ce sera ce vendredi soir. Mais chez nous. Nous invitons Juliette à venir partager le repas avant une soirée branle que nous voulons intense. Ce qui nous fait beaucoup rire. Clémentine avoue ses penchants saphiques avec Estelle. La perspective de ne plus se voir les a projeté toutes les deux dans une homosexualité très particulière. << Je comprends. C'est féminin et plutôt affectif que sexuel ! >> lance Juliette. Elle a bien saisit ce qui se passe. Elle s'adresse à Clémentine pour rajouter : << On devrait toutes les deux. J'ai envie de toi depuis sept ans ! >>. Clémentine reste silencieuse. Ce n'est vraiment pas son truc. Elle change de conversation pour aborder nos agissements envers Séverine, la jeune cavalière.

Bonne nouille à toutes les coquines qui apprécient tout particulièrement la thérapie "suçage de clito" avant de s'endormir dans les bras de leur thérapeute...

Docteur Julien ( Diplômé de la Faculté du cunnilingus de SuceLand)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 37 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2775 -



Estelle, Clémentine et moi

Le jeudi est la journée longue. Il est presque six heures, hier matin, quand nous réveillent les oiseaux, la source qui s'écoule entre les rochers. Quarante cinq secondes de l'illusion bluffante d'avoir passé la nuit au plus profond d'une mystérieuse forêt. Des bisous. Il faut se lever. C'est comme des robots que nous allons aux toilettes, que nous passons à la salle de bain. L'eau fraîche sur nos visages permet simplement de décoller nos paupières. Vêtus de nos ensembles de gymnastique, tenaillés par la faim, nous dévalons les escaliers. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine nous prépare le café, presse les oranges et pèle les kiwis en me racontant son rêve. Un truc surréaliste avec une histoire de rideaux mal lavés.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Juliette. Sa proposition de nous offrir une soirée branle vendredi. Cette perspective nous réjouis car nous adorons ça. Nous mangeons de bon appétit en évaluant les différentes options du repas de ce soir. Ce seront des bouchées à la reine. Nous ne nous attardons pas. Chaque seconde est comptée. Ma professeur commence à huit heures. Nous remontons nous laver les dents. Il fait bien chaud partout à présent. Sauf dans notre salle d'entraînement. Il faut donc rapidement s'agiter avec des mouvements d'échauffement. Le jogging sur tapis roulants. Les exercices abdominaux au sol qui soulagent le ventre de Clémentine dont c'est le second jour de "petits machins". Les charges additionnelles avant les étirements du stretching.

Mes lèvre posées sur le lycra de son sweat, je souffle de l'air chaud sur chacun de ses seins. << Mmhhh, ça fait du bien ! >> lance t-elle. Ma main dans son legging, je masse son bas ventre pour parfaire les soins du docteur Julien. Nous courrons à la salle de bain pour y prendre notre douche. Habillé le premier je redescends à toute vitesse pour enfiler l'anorak. Quelle poisse ! Tout est blanc, recouvert d'au moins cinq centimètres de neige fraîche. C'est impressionnant. Le froid est glacial avec moins deux degrés. Nous ne sommes pourtant encore qu'en automne. Clémentine vient me rejoindre. Superbe silhouette noire et filiforme qui s'approche. Élégante dans ses vêtements noirs. Ses bras autour de mon cou pour quelques dernières bises. Il va être 7 h40. La voiture est prête. Chaude.

<< Je te promets de faire très attention, de rouler prudemment ! À ce soir. Je t'appelle à treize heures ! >> dit elle en s'installant au volant. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou dans le jour qui achève de se lever sous un ciel gris et bas. Je me dépêche de retourner au chaud. Les paysages blancs ont bien davantage de charmes vus de l'intérieur. Je fais notre vaisselle, je couvre notre lit avant de passer dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins en pensant à Juliette. Je me réjouis de me branler en sa compagnie demain soir. Je me prête à rêver que Clémentine accepte enfin de faire l'amour avec elle. Mais ce n'est hélas pas son truc. Tant pis.

Ce qui se passe avec Estelle est d'un tout autre ordre. Mais cela flatte mes fantasmes d'homme de Néandertal. Presque midi. Je mets deux bûches sur les flammes avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Avec la blancheur éclatante qui règne dehors il y a la même luminosité dans la maison qu'en plein été. Je fais gonfler du riz complet. Deux gros nems au crabe à la poêle. Je fais l'assaisonnement d'un concombre. Je concocte une belle Béchamel pendant que cuisent les coquillettes. De la viande de dinde que j'émince finement dans des champignons, de l'ail, de l'oignon avant de les passer à la poêle. Je rajoute le tout à la Béchamel. Je remplis les bouchées à la reine de cette garniture en y rajoutant du gruyère. J'égoutte les coquillettes avant de les verser dans le plat pour caler les bouchées. Je recouvre du reste de gruyère. Graines de sésame grillées. Cerneaux de noix. Au four pour laisser mijoter longuement à seulement 150°.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans une séquence de son émission, André Bercoff revient sur la riposte Russe en Ukraine. C'était prévisible. Les médias subventionnés et les animateurs d'informations se faisant passer pour des journalistes parlent d'agressions Russes. Ce milieu médiatique, aussi corrompu que celui des politiciens, continue sa propagande nauséeuse. Il faut souhaiter que le peuple Ukrainien, qui n'est victime que de son président psychopathe et dément, se soulève pour mettre fin au règne de ce fou tyrannique. Cette petite ordure de Zélensky va jusqu'à faire kidnapper des jeunes hommes à la sortie des clubs et des boîtes de nuit pour en faire de la chair à canon en les envoyant au front. Ce qui commence à peine à être révéler ailleurs en Europe. Que tous ceux qui suivent les médias alternatifs, traités de complotistes, savent depuis longtemps. Décidément, c'est une véritable pègre qui sévit.

La vaisselle. Je monte me brosser les dents. D'une des deux fenêtres de la salle de bain, la vue est magnifique. Là-bas, en contrebas, à un peu plus de trois cent mètres, les toits de la maison de monsieur Bertrand. Les trois cheminées laissent s'échapper de la fumée. Un paysage de carte postale. Je dévale les escaliers pour enfiler l'anorak. Bonnet. Gants. Je sors dans le froid vif. Pas plus de deux degrés et un léger vent glacial, désagréable. Je foule la neige en descendant jusqu'à la rivière. Il y a les pas de monsieur Bertrand. Il est déjà venu ici en matinée pour nourrir nos amis à plumes. Ils virevoltent à la surface de l'eau sans se soucier des conditions climatiques. Surtout les canards qui cancanent joyeusement. Mon I-phone de met à vibrer. Je le tire de ma poche. C'est Clémentine.

Tout s'est bien passé. Sur la neige fraîche pas trop de soucis. Par contre ce soir, si ça gèle, il faudra redoubler de prudence. Elle me raconte sa matinée. Le repas de midi dans le salon de thé près de l'université où elle se trouve avec des collègues. Je remonte le chemin en bavardant. Nous nous saluons avant de raccrocher. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes pensées que ce matin. S'y bousculent les souvenirs de nos multiples soirées branles et les évènements dramatiques orchestrés en Ukraine. Par l'État profond de l'administration démocrate, depuis l'ignoble Barack Obama. Il est temps que les Républicains remettent de l'ordre dans toutes ces monstruosités. Mettent toute cette mafia wokiste hors d'état de nuire au monde entier.

L'après-midi passe encore tellement vite qu'il est déjà dix huit heures trente. J'entends Clémentine chantonner. Elle vient de revenir. Quand je l'entends ainsi, je sais que tout s'est bien passé. Elle entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. J'anticipe aux premiers bruits en posant la palette et les pinceaux sur la desserte. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte son après-midi. Son groupe d'étudiants, pendus à ses lèvres en écoutant ses enseignements. Je pose ma bouche sur chacun de ses seins. Je souffle de l'air chaud à travers la laine de son pull à col roulé. Elle se lève, ouvre son pantalon, descend la tirette pour me permettre de masser délicatement son bas ventre. << Docteur, je pense à vos thérapies tout le temps ! >> lance t-elle.

Je nettoie la palette, les pinceaux alors qu'elle reste avec ses bras autour de ma taille devant le petit lavabo de l'atelier. Soudain, toujours avec cette brutalité qui nous fait sursauter, un bruit sourd venant de l'étage. Je me tourne. Je prends Clémentine dans mes bras. Nous écoutons les deux trois minutes de vacarme au-dessus de nos têtes. Le phénomène paranormal cesse aussi brusquement. << C'est un sacré bordel d'avoir un fantôme dans la maison ! >> fait Clémentine en saisissant ma queue. Elle tient ma bite pour en diriger les jets. Nous nous amusons des multiples giclées alors qu'elle vise le trou d'écoulement sous le filet d'eau chaude. Un autre bruit. Celui que fait Estelle en pénétrant dans l'atelier comme une tempête. Elle se précipite pour observer. Ses bras autour de nos tailles.

Nous nous faisons des bises. << Donne-la moi ! >> lance t-elle en se penchant. Clémentine lui refile ma bite molle. Estelle s'en saisit pour en secouer les dernières gouttes. Clémentine, serrée contre moi, ses bras autour de ma poitrine. Elle regarde Estelle se régaler des derniers épanchements. Ce soir je n'ai pas prévu de ruser. Je le regrette. J'aurais bien aimé la surprendre d'une bonne giclée. Prise à son propre jeu, Estelle s'accroupit pour se livrer à une authentique pipe des familles. Clémentine me tient alors que je vacille sous l'effet de la surprise. Cela ne dure pas. Peut-être une minute. Estelle se redresse en faisant une horrible grimace. Elle conclue : << Beurk, bien dégueu ! >>. Clémentine rajoute : << Mais tu aimes ce qui est dégueu ! >>. Estelle dit : << Comme toi ! >>

Je me fais tirer par le Zob pour quitter l'atelier. Je sors les bouchées à la reine du four électrique pour les mettre dans la fournaise du four à bois. Clémentine fait l'assaisonnement de deux belles endives. Estelle met les assiettes et les couverts. Je passe de l'une à l'autre en glissant mes mains entre leurs cuisses. Nous nous faisons des bises en nous croisant. << On a soirée branle chez Juliette demain soir, ça te dit ? >> demande Clémentine. << Non, on va au ciné avec mes parents. "Gladiateur 2" ! >> répond Estelle. Je demande : << Tu as baisé mercredi soir avec Jean-Marc ? >>. Elle s'écrie : << Mon parrain est le plus adorable des baiseurs ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous raconte sa baise en se levant à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Elle devra nous laisser pour vingt deux heures. Je lui promets quelques éléments de comparaison au salon, tout à l'heure. Rires.

La vaisselle. C'est Estelle qui me tire par la queue jusqu'au salon. M'obligeant à marcher en canard derrière elle. Comme un vrai con. Clémentine se touche. Elle veut absolument assister à ce que j'ai promis à Estelle. Estelle qui retire ses bottines, son Levis et sa culotte. Je me masturbe à côté de Clémentine. Estelle s'installe sur le bureau. Ses pieds posés sur le bord, en appui sur ses coudes, les cuisses écartées. Elle nous observe. << Mets-la lui ! >> me fait Clémentine qui m'entraîne par le bras. Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle. Je saisis ses chevilles pour la faire basculer. C'est Clémentine qui enfourne ma baguette dans le four. Je baise Estelle à la hussarde. Clémentine penchée au-dessus de son visage pour fouiller sa bouche de sa langue. Je fais la "machine à coudre" avec toute la délicatesse d'un Sumo Japonais sur le tatamis. Elles s'embrassent comme des dingues en gémissant. Toutes les deux se masturbent frénétiquement. Belles.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment se faire tringler deux soirs de suite par deux baiseurs patentés. Avant de devoir rentrer prudemment sur la neige. Bonne nouille à toutes les autres qui vont se retrouver avec une bite dans la bouche, sous les draps, avant un bon dodo au goût de foutre...

Julien (Sumo Écossais)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Les petits rituels de la vie quotidienne
Saturday 23 November 2024 07:04

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 38 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2776 -



Soirée branle chez Juliette

Hier matin, vendredi, les douceurs de l'application téléchargée il y a trois ans nous réveillent de leurs enchantements. Nous avions choisi l'option "bruits de la nature" sur l'Apple store. Et plus spécifiquement "forêt". C'est donc les gazouillis des oiseaux et l'écoulement des eaux d'une source qui nous tirent du sommeil. Il va être sept heures. Clémentine est déjà déconneuse en venant se blottir contre moi. Jouant d'une mèche de ses cheveux sur le bout de mon nez comme elle le ferait de la pointe d'un pinceau. Le weekend commence aujourd'hui à midi. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Je l'y laisse seule, c'est le troisième jour de ses "petits machins". Elle me rejoint à la salle de bain où j'achève de revêtir la tenue de sport. Elle fait de même dans la déconne totale.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Elle fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant ses rêves. Je fais une belle flambée dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre jeudi soir en compagnie d'Estelle. << Elle s'est encore faite baiser deux soirs de suite ! >> lance Clémentine. Je réponds : << Et elle récidive ce week-end ! >>. Nous en rions de bon cœur puisque Estelle vient passer les journées de samedi et de dimanche avec nous. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons à toute vitesse pour nous transformer en guerriers. Mouvements d'échauffement. Jogging sur tapis roulants. J'adore voir Clémentine faire la clown en courant. Faisant semblant de tomber, courir à l'envers, en crabe. Je suis plié de rire.

Les exercices abdominaux avant des charges additionnelles. Les étirements du stretching avant la douche. Comme nous allons à l'université ensemble, sur sa demande, je porte un de mes costumes. Celui en velours brun. << Tu fais journaliste de gauche à France Inter ! >> lance t-elle. Nous en rigolons comme des bossus. Une chemise blanche, une cravate brune, mes bottines marrons. Clémentine porte un de ses pantalons gris à pinces et à plis. Un chemisier crème, un pull beige au col en "V", comme le mien. Ses bottines grises. Nous prenons des poses ridicules devant le miroir de la penderie du hall d'entrée. Les blousons d'épais cuirs noirs, doublés fourrure synthétique. C'est avec la Mercedes que nous parcourons les quinze kilomètres. J'assiste au trois heures de cours de ma professeur en tant qu'auditeur libre. Assis tout en haut de l'amphithéâtre pour bénéficier du meilleur point de vu sur la prestation de la femme que j'aime.

C'est un peu long quand on y connait rien en mathématiques, en physiques quantiques. Ce n'est pas seulement de l'hébreu matinée de chinois, c'est carrément surréaliste. Midi. Enfin. Je propose un bon petit restaurant. << Non, on se fait la cafétéria de l'hypermarché ! >> dit elle. Il y a bien vingt centimètres de neige mais les routes sont dégagées et salées. Ce sont des paellas qui réjouissent nos palais. Il y a du monde dans la grande salle. Là-bas il y a deux collègues enseignantes vues ce matin, avant le briefing des profs. Nous ne traînons pas car l'incessant bruit de hall de gare qui règne là nous indispose rapidement. Surtout les cris crispants des gamins que des parents aussi chiants que leurs petits génies de la nullité laissent emmerder tout le monde ! Nous en profitons pour faire quelques achats. Pâtes, riz, farines et de belles bananes. Clémentine s'offre même les frissons d'une petite exhibe. C'est au rayon des produits frais.

Je reste en retrait, faisant semblant de comparer les prix des emballages de jambons. Clémentine pousse le charriot. Debout à proximité d'un homme très élégant lui aussi, elle compare des pizzas. Elle en dépose deux dans le caddie pour arracher une des bananes. Banane qu'elle tient vulgairement à la hauteur de son sexe et de la main gauche. En lisant l'étiquette d'une tourte au Riesling. Je bande comme un salaud devant cette scène que personne ne remarque. Sauf le type à qui cela s'adresse. Il doit être déstabilisé. Cette sublime salope, sur sa gauche, le fait-elle exprès ? Il ne sait que penser. Clémentine saisit différents produits sur les étagères avec cette banane dressée entre les pans de son blouson ouvert. Une fois dressée vers le haut ou au contraire tenue vers le bas.

Une femme vient rejoindre notre quidam. Ce qui met fin à cet extraordinaire moment de "grâce" lubrique. Clémentine me rejoint en reprenant sa pose "banane". << Extatique ! >> lance t-elle. Je la félicite pour cette improvisation magistrale. Une seconde prestation ne serait pas pour nous déplaire. Une autre "victime potentielle" serait la bienvenue. Nous retournons mettre les bananes au rayon fruits. Nous avons pourtant beau tourner dans les différents rayons. Pas d'opportunités. Même aux rayons des articles de bricolages où il y a pourtant souvent des mecs seuls, rien ! Idem aux rayons bagnoles et motos. Un petit tour chez Décathlon. À la hall aux chaussures. Il y a un monde fou. C'est vendredi et cette météo hivernale pousse les gens à faire du shopping. Il est dix sept heures trente quand nous revenons à la maison. Nous restons vêtus de nos beaux habits pour tout ranger.

Un peu de temps devant l'ordinateur au salon avant de réchauffer les deux pizzas achetées cet après-midi. Avec une salade de carottes. Nous sommes attendus chez Juliette pour vingt heures. Nous arrivons au haras un peu en avance. La maîtresse de maison vient nous accueillir au bas de ses appartements. En jupe plissée, brune, bas noirs, chemisier blanc, hautes bottes brunes. Ses longs cheveux noirs, comme ceux de Clémentine, flottant librement sur ses épaules. Nous montons pour prendre place dans le canapé. Juliette dans le fauteuil qui nous fait face. Le thé au jasmin et les petits gâteaux secs agrémentent nos conversations. J'observe le jeu de jambes de notre hôte. Elle est toujours si subtilement exhibitionniste. Je sors ma queue. Ce soir c'est moi qui ouvre les festivités. Clémentine en est aussi surprise que Juliette. Elle attrape mon érection en disant : << Ça fait une bonne semaine qu'il ne l'a plus montré ! >>

Nous en rions aux éclats quand Juliette, passant sa main droite entre ses cuisses pour se toucher, répond : << Si tu veux venir la montrer dimanche, j'organise une animation équestre ! >>. Bonne idée. Surtout si cette neige persiste. Je dis : << Tu te démerdes comme tu veux, mais c'est d'abord à toi que je viens la montrer ! >>. Juliette s'exclame : << Chiche ! On se fait un jeu de rôle ! >>. L'affaire est entendue. Estelle sera avec nous et sera heureuse d'être de la partie. Clémentine déboutonne son pantalon, descend la tirette en se levant. La main droite dans sa culotte, cambrée sur ses jambes fléchies, elle attaque une masturbation. Juliette, jambes droite sur l'accoudoir droit, jambes gauche sur l'accoudoir gauche, vautrée dans son fauteuil, se masturbe tout en bavardant.

Je me lève à mon tour. Je me branle beaucoup mieux debout. Juliette se lève pour se diriger vers la table de son salon. Son sexe en appui contre le coin. Penchée en avant, en appui sur ses mains, elle imprime un lent mouvement régulier contre le meuble. Se contorsionnant pour trouver le meilleur angle. Clémentine vient se positionner sur le coin en face. Toutes les deux, haletantes, le visage déjà en sueur, se branlent tout en continuant à parler chevaux, professorat, vacances de Noël. Je tourne autour de la table en me tapant une queue. C'est une de ces soirées branles dont nous nous raffolons. Dont nous sommes coutumiers. Extases à tous les niveaux. Une heure trente où j'assiste aux deux orgasmes de mes merveilleuses salopes. J'éjacule dans la bouche de Clémentine alors que Juliette, à genoux sur un des tapis, mains entre ses cuisses, observe. Son visage à deux doigts de celui de Clémentine qui me achève de me vider les burnes.

Bonne nuit à toutes les coquines qui, en revenant d'une soirée branle, s'endorment épuisées contre leur branleur...

Julien (branleur fou)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 39 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2777 -



Les marchés de Noël

La grasse matinée du dimanche nous emmène aux environs de neuf heures. Hier matin, dimanche, alors qu'il fait déjà bien jour. Il y a même un ciel bleu que l'on aperçoit par les deux portes fenêtres. Estelle et Clémentine à ma gauche qui se sont achevées toutes les deux avant de s'endormir. Estelle passe par dessus Clémentine pour venir se coucher sur moi. Nous avons baisé comme des dingues samedi soir. Nous en avons encore les yeux cernés. Ce qui nous fait rire dès le réveil. Estelle se frotte sur mon érection matinale. Ma pauvre bite encore congestionnées des sollicitations de la veille. Mon écuyère ne s'attarde pas. Son besoin de pisser devient rapidement une torture. Elle se lève pour piquer un sprint vers la porte. Clémentine passe sa tête sous les draps pour gober ma turgescence.

Étrange sensation quand je ne suis pas excité. Elle remonte à la surface en chuchotant : << Je passe tous mon temps libre à te sucer la semaine prochaine ! >>. Nous en rions de bon cœur alors que c'est à notre tour d'aller soulager nos vessies. Dans la salle de bain, de l'eau fraîche sur la gueule avant de revêtir nos jeans et nos chemises à carreaux. Le pyjama de soie mauve à Estelle est sur le tabouret. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. L'odeur du café, du pain grillé nous enivre avant même de pénétrer la cuisine. Estelle entrain de se battre avec la cuisinière à bois dont elle allume le feu. Clémentine presse les oranges. Je coupe des parts de l'énorme brioche au pudding qui trône au milieu de la table. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de samedi soir.

Nous mangeons de bon appétit en imaginant celles qui nous attendent aujourd'hui. Ce seront les marchés de Noël. << Il va y avoir un monde dingue. Vous avez vu comme il fait beau dehors. Toute la neige a fondu ! >> lance Estelle. Le charme qu'exercent ces premières joies qui annoncent les fêtes de fin d'année vaut la peine d'affronter la foule. Nous traînons à table. Mes deux anges, assises sur mes genoux, reviennent sur leurs effusions saphiques. J'écoute amusé. J'aime bien les voir s'aimer toutes les deux. Elles sont ingénieuses pour trouver les meilleures positions. En général, vidé et épuisé, je me contente d'admirer. Si je ne m'endors pas avant comme souvent. << Mais je continue d'aimer ce que tu nous fais ! >> précise Estelle qui couvre mes joues et mes lèvres de plein de bises.

<< Une bite. Ça reste ma préférence. Surtout quand il y a un mec au bout ! >> rajoute Clémentine. Nous en rions aux éclats. La vaisselle. Nous nous brossons les dents dans la salle de bain du haut. Recouvrir le lit en nous faisant des bises. Estelle devra nous laisser ce soir à vingt deux heures. Elle réunit toutes ses affaires. Nous redescendons à toute vitesse pour enfiler nos anoraks. Il fait étonnamment doux. Le contraste est saisissant avec les froids polaires de ces derniers jours. La température est de 13°. Nous descendons jusqu'à la rivière. Avec la fonte des neiges, son niveau est au maximum. Le sol est trempé. Nous laissons les canards, les poules d'eau et les colverts à leurs ébats à la surface de l'eau pour prendre l'étroit sentier. Il faut être prudent. C'est vraiment glissant.

Trois cent mètres avant de revenir sur nos pas. C'est trop dangereux. Les feuilles mortes pourrissantes rendent la marche redoutable. Les conditions sont traîtres. Il est onze heures. Clémentine fait l'assaisonnement d'une belle laitue dont elle lave des feuilles également pour ce soir. Estelle s'occupe du poulet à rôtir. J'épluche, je lave et je passe les pommes de terre au coupe frites. Nous n'arrêtons pas de nous toucher, de nous faire des bises en nous croisant dans la cuisine. Mes mains entre les cuisses de mes deux anges. Les leurs entre les miennes. C'est très sympathique d'entretenir ainsi le feux de nos libidos. Autant que celui de la cuisinière à bois qui assure les cuissons de nos plats. Il n'est même pas midi quand nous sommes attablés, à manger de bon appétit. En bavardant.

J'aime écouter les filles raconter les anecdotes de leur semaine. Mes deux anges font déjà mille projets pour nos vacances de fin d'année à Édimbourg. Pour Estelle ce seront probablement les dernières. << En tous cas avant longtemps ! >> précise t-elle. << On viendra te voir à Los Angeles ! >> lance Clémentine. << Oh mais je reviens en Europe aux vacances ! >> rajoute Estelle. << Toi ? Mais tu vas trouver l'homme de ta vie en Californie ! >> conclue Clémentine. La vaisselle. Nous montons nous brosser les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pas besoin de se changer. Juste une écharpe de coton bleu. Nos blousons Levis doublés de fourrure synthétique blanche. Tous de bleu vêtus avec nos bottines noires nous prenons des poses ridicules devant le miroir.

La température extérieure est à présent de 17°. De saison, car après tout nous ne sommes qu'à la seconde moitié de l'automne. À exactement 30 jour du réveillon de Noël. C'est parti. Il y a vingt kilomètres jusqu'à la ruelle habituelle où nous garons la voiture. Je roule peinard sous le soleil. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, installée à l'arrière, en me caressant les joues, le cou, nous donne ses impressions quand à la baise sur bureau qui reste notre préférence. Toutes les deux installées sur le meuble. Moi, passant de l'une à l'autre. << J'en rêve parfois la nuit et ça me réveille ! >> explique Estelle. Nous en rions quand Clémentine demande : << Et tu te touches ? >>. Estelle répond : << Bien sûr. Mais juste un peu car je me rendors très vite ! >>. La circulation devient dense.

Je gare l'auto. Je remballe ma bite. Nous marchons vite durant les dix minutes qui nous séparent du centre. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Accrochées à mes bras. C'était prévisible. Avec cette météo c'est une véritable foule. Mais rien de plus facile dans une foule que de se tripoter avec discrétion. Ce que nous faisons avec ardeur. Estelle me met même au défi de sortir ma queue. Je m'y refuse. Le plus rageant ce sont ces inconscients armés de poussettes. Il n'existe pas plus chiant que ces armes pour emmerder tout le monde. Surtout quand leurs possesseurs bavardent au milieu des l'allées prêts à engueuler ceux que ça dérange. Nous découvrons les décorations. C'est insolite avec ce ciel presque entièrement bleu et sous ce soleil. Question température c'est parfait.

Les chalets sont disposés exactement dans les mêmes configurations que l'année dernière. C'est d'ailleurs tellement perceptible que c'est comme un saut dans le temps. Curieuses impressions. Nous montons les marches de l'église. Il y a autant de monde à l'intérieur car il y a un orchestre philharmonique. Nous ne nous attardons pas. Des gaufres à la crème Chantilly nous attendent. C'est en les dégustant que nous quittons la foule pour les rues piétonnes. Superbement décorées. Le second marché de Noël est situé sur la petite place. Moins de monde. Une fois encore Estelle me demande de sortir ma queue. << Juste pour un selfie ! >> précise t-elle. Je m'y refuse. C'est trop risqué. Le crépuscule s'annonce, il va être seize heures trente. Le troisième marché de Noël nous attend.

Il mérite une attention particulière car il présente un concept nouveau. Et judicieux. Ses chalets ne proposent que des vêtements d'occasion. Des meubles anciens. C'est un peu comme un vide grenier mais façon Père Noël. Car il y a un Père Noël qui distribue des petites images. Comme jadis. Cet emplacement est délicieusement rétro. Tout y a été pensé façon "ancien temps". Excellente idée des organisateurs. Sans compter que ce concept remporte un succès fou. Estelle et Clémentine posent contre ce Père Noël. Je prends les photos. Toutes deux lascives aux bras de ce personnage. Souriantes, puis carrément déconnantes. Nous rions comme des fous. Nous flânons encore un peu. Il y a des commerces qui sont ouverts. Nous prenons un chocolat chaud à l'étage de notre salon de thé.

Je ne crois pas avoir été déjà immergé dans une telle foule. C'est un véritable soulagement quand nous quittons le centre historique. J'accepte un selfie "bite à l'air" entre deux camionnettes en retournant à l'auto. Nos trois I-phones posés sur un de ces caissons abritant des circuits électriques. Réglés sur retardateurs. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche, pour une première photo "bite à l'air". Une seconde où Estelle est accroupie, sa tête contre ma cuisse. Clémentine lui présentant ma queue. Une troisième où c'est l'inverse. Puis une dernière où elles sont toutes les deux accroupies, les bras autour de mes cuisses, leurs têtes toutes proches de mon chibre fièrement dressé. Mes mains tenant leurs nattes relevées. Il s'en faut de peu que nous ne nous fassions surprendre. Un couple.

La nuit n'est pas trop noire car il subsiste un croissant de lune. Ça roule facile. Il est dix huit heures quarante quand nous revenons à la maison. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle décortique la carcasse du poulet. Je m'occupe des spaghettis. Après les avoir égouttés, je les fais revenir dans une grande poêle avec les restes de viande. Estelle râpe une tonne de gruyère Suisse. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de ce week-end qui s'achève. Nous ne traînons pas. Trop impatients d'aller nous plonger dans le stupre et la luxure qui nous attendent au salon. Toutes les deux, juste en chaussettes et chemises à carreaux, vautrées sur le bureau, se touchent en me regardant me branler. Nous adorons faire durer en nous touchant. Fabuleux.

Je ramène les coussins du canapé pour les placer à l'endroit où elles poseront leurs têtes. En appui sur leurs coudes, elle se masturbent en m'observant à tourner autour du bureau. C'est entre les cuisses d'Estelle que je me positionne d'abord. Je frotte mon sexe contre le sien avant de m'y introduire délicatement. Estelle se laisse aller sur le dos, la tête posée sur le coussin. Clémentine se tourne sur le côté pour lui rouler des pelles baveuses. Des bulles de salives durant leurs gémissements lascifs. Je passe à Clémentine. C'est au tour d'Estelle de se positionner pour fouiller la bouche de Clémentine de sa langue exploratrice. Je recommande la "baise sur bureau". C'est exactement la hauteur idéale. Surtout pour mon mètre quatre vingt huit. Pas besoin de fléchir les jambes. De se cambrer. De faire souffrir les lombaires.

Je passe de l'une à l'autre dans un concerto symphonique. Nous revisitons tout le répertoire baroque dans un registre paillard. Certainement au La 432 plutôt qu'au La 440. Je tiens la baguette pour diriger la chorale. Pour Estelle le final est grandiose. Juste avant la Coda elle se cambre, comme un arc tendu. Pour pousser le cri qui tue. Je suis en sueur. Elle me repousse délicatement pour s'allonger sur le côté, mains entre les cuisses qu'elle resserre comme en proie à une douleur intolérable. La cuvette de plastique bleu est prévue. Posée à côté de Clémentine. Je la tringle à la hussarde alors qu'elle se branle de plus en plus vite en poussant les derniers hurlements. Elle me repousse. Je saisis la cuvette. Je récupère tout ce que je peux. Mais c'est tellement anarchique que ça gicle partout.

Bonne nuit à toutes les coquines que ces soirées "baises sur bureau", répétées deux soirs de suite, épuisent plus que de raison. Bonne nuit à toutes ces cantatrices qui trouvent le réconfort dans les bras de leur chef d'orchestre...

Julien (Léonard Bernstein de salons privés)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 40 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2778 -



Juste Clémentine et moi

Sept heures hier matin, lundi. Les gazouillis d'oiseaux qui se répondent. la source qui jaillit d'entre les rochers. Tout cela semble résonner soudain autour de nous. C'est encore étonnamment bluffant. Nos I-phones délivrent cet enchantement en même temps. Très exactement quarante cinq secondes. Un réveil tout en douceur. Clémentine vient se lover contre moi en gémissant d'aise. Quelques bisous. Quelques papouilles dans le silence revenu. Vite, aux toilettes. Ça urge. De l'eau sur nos visages à la salle de bain. Avant de revêtir nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement un feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Je mets la brioche au four à micro ondes.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments forts de notre week-end. La première visite du Marché de Noël dimanche. La soirée "baise sur bureau" qui s'en est suivie avec Estelle. Nous mangeons de bon appétit en prévoyant déjà de visiter le marché de Noël sur les quais du port de plaisance. Ce sera dimanche prochain. Pas une seconde précieuse à perdre. Nous remontons pour nous offrir notre séance d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Exercice abdominaux. Charges additionnelles. Stretching. S'en suit l'autre plaisir ultime, la douche. Je suis habillé le premier pour redescendre à toutes jambes. L'anorak. Il ne fait que 8° mais le ciel est bleu. Il va être 8 h40. Je sors la voiture du garage pour la faire chauffer. Clémentine me rejoint toute souriante.

Vêtue toute de noire. Dans son élégance matinale. Juste les couleurs de son écharpe et de son béret crème. Ses bras autour de mon cou pour quelques derniers bisous. << Je termine à seize heures. Attends toi au pire. J'ai de gros besoins ! >> lance t-elle en m'adressant un clin d'œil, mimant une pipe et s'installant au volant. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. C'est en courant que je me dépêche de rentrer au chaud. La vaisselle, recouvrir le lit, redescendre dans l'atelier où j'allume une flambée dans la cheminée. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans une volupté extraordinaire en pensant à tout sauf à ce que je fais. Surtout à nos déviances libidineuses. Nos parties à trois qui durent depuis bientôt huit années. Huit ans de douces folies.

Quand mon estomac se met à gargouiller, il va être midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je mets une bûche dans le fourneau de la cuisinière à bois. L'assaisonnement de deux belles tomates pendant que gonfle le riz complet. Deux grands nems à la crevettes dans la poêle. Pour ce soir ce sera un gratin de choux fleurs. Je coupe et laisse tremper dans de l'eau vinaigrée les branches d'un beau choux fleurs. Je concocte une Béchamel. J'y rajoute champignons poêlés et une tonne de gruyère Suisse. Le choux fleurs ébouillanté à l'autocuiseur que j'égoutte pour le verser dans le grand plat carré. J'y verse la Béchamel. Je recouvre de lamelles de Morbier. Entrecroisées avec de fines tranches de Saint Nectaire. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillées, Une dizaine de cerneaux de noix. Au four. Cuisson lente à 150°.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, en compagnie d'un invité sociologue, André Bercoff revient sur l'adoption du budget qui débouchera fatalement sur une motion de censure. Le bluff et l'esbroufe que tente d'utiliser le premier ministre pour essayer de faire avaler la pilule à l'Assemblée Nationale. Puis à la nation. Un gouvernement qui aura très probablement disparu avant Noël. mettant au chômage 41 ministres aussi inutiles que parasites, pour lesquels il ne faudra pas s'inquiéter. Chacun venant de placards dorés où ils pantouflaient dans la joie et la bonne humeur et où ils retourneront se faire du lard sur le dos des gens qu'il rackettent, qu'ils rançonnent pour conserver leurs somptueux trains de vie. Le roi sur son trône pouvant continuer à détourner des millions d'euros. Au profits apparents de causes plus fumeuses et opaques les unes que les autres. Circulez, bandes de complotistes !

La vaisselle. Je me brosse les dents dans la salle de bain du bas. Il y a quelques vêtements à Clémentine. En les humant je m'enivre de ses odeurs. Le chemisier qu'elle a porté samedi soir. Ainsi que sa jupe kilt. J'enfile l'anorak avant de sortir. Le ciel bleu de la matinée a fait place à la grisaille qui ne va pas tarder à se transformer en brouillard. Je descends jusqu'à la rivière lorsque mon téléphone se met à vibrer. Clémentine. Elle m'appelle depuis la salle des professeurs où elle est arrivée la première. Toute seule, elle en profite pour m'appeler. Me raconter sa matinée. Le repas au restaurant universitaire. Le SMS de Jaya reçu durant son cours. Jaya, la jeune Indienne avec laquelle nous avons fait connaissance à Londres. Clémentine m'avoue qu'elle aimerait bien la revoir. Faire l'amour avec elle.

La conversation ne dure que deux trois minutes. Il y a le briefing avec le directeur. Nous nous saluons. Je longe la rivière sur une centaine de mètres. Avec la neige fondue, les feuilles mortes se sont transformées en une espèce de compote qui rend la marche dangereuse. Je pourrais glisser et tomber dans l'eau glaciale. La température n'est que de 12°. Je remonte pour faire le tour de la propriété. Partout cette marmelade pourrissante au sol. Il est treize heures trente quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes voluptés que ce matin. Sans aucune perception des heures qui passent. Du bruit. Clémentine arrive accompagnée du crépuscule. Il est déjà seize heures trente. À califourchon sur mes mes cuisses, elle me raconte son après-midi. Sa joie d'avoir enfin des nouvelles de Jaya. Elle me montre les deux photos jointes au message. Je reconnais bien cette magnifique jeune fille. Son sourire mystérieux.

Clémentine a ses préparations pour demain. Assise à son bureau, devant son ordinateur, elle continue d'évoquer la jeune Indienne. Elles ont fait l'amour deux fois durant notre séjour à Londres. Ma complice me confie à quel point c'était bien. << Si je compare la douceur de Jaya avec celle d'Estelle, il n'y a pas photos ! >> précise t-elle. J'aime ces ambiances de travail à deux. Il est dix huit heures. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine range ses affaires. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Elle secoue les dernières gouttes avant de s'accroupir. Elle s'attend à ma ruse. Cette nouvelle façon de la surprendre que j'applique depuis quelques jours. Je fais semblant d'avoir terminé mais je garde la dernière giclée scélérate.

Accroupie devant moi, tenant ma bite molle de sa main droite, tenant le bord du lavabo de l'autre, elle reste méfiante. Son regard allant de ma queue à mes yeux. Elle hésite en m'observant. Elle finit par gober la peau fripée de mon prépuce pour suçoter. C'est là que je la surprend d'un jet. Je maintiens sa tête fermement. Elle n'a d'autre choix que de déglutir. Avec une horrible grimace. Je lâche mon étreinte, elle se redresse. Passant ses bras autour de mon cou, elle murmure : << Salaud ! >>. Soudain, au-dessus de nos têtes cet étrange bruit sourd dont nous ne connaissons pas l'origine. Un bruit qui pourrait évoquer une cloche dont on étoufferait le battant avec un linge. Nous nous regardons en écoutant. C'est quelqu'un qui marche à l'étage. Cela dure deux trois minutes.

Mais comme pour Mozart, le silence qui suit une symphonie est encore du Mozart. Là, c'est encore cette entité qui a cessé d'errer. Je glisse ma main entre les cuisses de Clémentine pour palper son sexe. Je peux sentir la turgescence de son clitoris géant sous mes doigts. Ça me donne envie de le sucer. Clémentine m'entraîne sur le vieux canapé de velours carmin de l'atelier. Seules les lueurs des braises éclairent encore ce coin de la grand pièce. Elle m'y fait tomber, pose un des coussins au sol pour s'y mettre à genoux. Ses mains posées à plat sur mes cuisses, elle lèche ma bite en la humant. << Tu feras ton salaud ce soir, après la bouffe ? >> me demande t-elle avec un regard implorant. Je caresse son visage du bout de mes doigts. Ses yeux bleus sont tellement clairs qu'ils brillent dans le noir. Comme deux pierres précieuses. Je la regarde lécher, suçoter, lécher à nouveau. Tournant ses lèvres autour de mon Zob avec une tendresse enivrante.

Il commence à faire faim. Clémentine se redresse en disant : << Je vais passer le reste de la soirée à "ça" ! >>. Elle m'attrape les deux mains pour que je me lève. Elle m'entraîne ainsi. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Elle met son tablier que je noue sur ses reins. Quand elle découvre le gratin de choux fleurs que je sors du four électrique pour le placer dans la fournaise du four à bois, elle me saute au cou. Nous préparons l'assaisonnement des deux grosses endives. Il faut surveiller la cuisson dans la cuisinière qui ronronne comme une locomotive. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre semaine passée à Londres et à notre rencontre avec la jeune Indienne. Je propose de l'inviter à venir passer le temps qu'elle voudra et qu'elle pourra ici, avec nous.

<< Je lui réponds demain matin, à tête reposée. Je lui ferais la proposition ! >> dit Clémentine. Je rajoute : << Jamais deux sans trois. Tu baises avec Estelle, tu baises avec Jaya, pourquoi ne baiserais-tu pas avec Juliette. Ça fait sept ans qu'elle fait une fixation sur toi ! >>. Clémentine reste un moment silencieuse. Levant parfois les yeux pour m'observer avec un étrange regard. Elle finit par répondre : << J'y pense parfois. Ça doit être "sauvage" avec cette vieille salope ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. La vaisselle. Clémentine m'entraîne au salon. Me fait tomber une nouvelle fois dans le canapé. À genoux sur un des coussins, ses mains à plat sur mes cuisses. Elle me fixe en suçant. Observant mes expressions. Parfois elle en prend toute la longueur jusqu'à s'en étouffer.

Elle cesse. Un long filament de liquide séminal épais, gluant et visqueux relie alors la peau fripée de mon prépuce à ses lèvres. Je chuchote mes impressions, mes ressentis. Je tente de décrire les sensations jouisseuses qui me pénètrent jusqu'au plus profond de mon être. Je passe l'extrémité de mes doigts dans ses joues creusées par l'effort de succion. Elle cesse toutes les deux trois minutes pour déglutir. Ce qui permet de laisser reposer sa mâchoires. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Je reste parfaitement immobile à me faire pomper. Par contractions des muscles fessiers je fais bouger mon sexe dans sa bouche. Ce qui provoque d'abondantes remontées de foutre. Elle en gémit de ravissement. De surprises parfois, tellement elle pompe de jute. J'en ai les couilles bouillantes.
,
Je fais durer. Comme toujours. C'est un merveilleux spectacle de voir une sublime jeune femme se livrer à une fellation. Cela va faire huit ans que je l'observe. Je ne m'en lasse pas. Les petites rides de ses vingt sept ans annoncent la femme en devenir. Elle sera aussi passionnante que la jeune fille qui partage ma vie. Je contrôle parfaitement la situation car je maîtrise totalement mes pulsions. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. C'est parfois de justesse. Surtout que ça tire encore davantage de foutre. Clémentine a un certain mal à tout déglutir. Il y a de telles quantités qu'elle en tousse. Manque de s'étouffer, de se noyer. Il y a cette petite larme qui s'écoule de son œil droit. Ce ne sont plus seulement des gémissements mais de petits cris d'enchantements. Il y a des bulles de foutre aux commissures de ses lèvres. Il en coule. Avec l'index je récupère pour lui faire sucer mon doigt. J'éjacule en sournois, sans prévenir. Elle repars pour ce second tour dont elle raffole. Moi aussi...

Bonne fin de soirée à toutes les coquines dont une des passions est de passer la soirée à faire mousser le foutre qu'elles pompent du fond d'une paire de couilles dodues. Une véritable usine à jute. Une source qui semble ne jamais tarir. Avant de se faire brouter à leur tour sous les draps...

Julien (fontaine à jute)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Les petits rituels de la vie quotidienne
Wednesday 27 November 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 41 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2779 -



Les bouchées à la reine

La sortie du sommeil, hier matin, mardi, se passe dans cette zénitude coutumière. L'illusion de se réveiller dans une profonde forêt. Avec tous les bruits sylvestres qui nous accompagnent durant quarante cinq secondes. Venant se serrer contre moi, en gémissant, Clémentine saisit ma tumescence en posant ses lèvres sur les miennes. Chaque seconde revêt une importance primordiale. Nous nous levons pour courir aux toilettes. L'eau rafraîchissante sur nos visages à la salle de bain avant de nous habiller de nos lycras de sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Chacun son rôle. Clémentine s'occupe du café, de presser les oranges, de peler les kiwis en me racontant ses rêves. J'allume la cuisinière à bois. Je beurre les tranches éjectées par le grille pain. Miel. Confiture.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée à deux. Une de ces "soirées pipes" comme nous les aimons. Comme en raffole ma suceuse. << Je pourrais refaire immédiatement ! >> précise t-elle alors que nous en rions. Nous mangeons de bon appétit en choisissant l'option du repas de ce soir en compagnie d'Estelle. Clémentine aimerait beaucoup des bouchées à la reine avec leurs coquillettes. C'est rapide à préparer et d'une simplicité déconcertante. Il va être 7 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement dans le jour naissant. Quand elle termine à midi, ce qui est le cas les mardis, Clémentine s'avère la plus facétieuse des femmes. Dès l'aérobic je suis plié de rire. Le jogging sur tapis roulants. Les exercices abdominaux. Les poids et les haltères avant les étirements d'un stretching un peu bâclé par manque de temps. La douche. Je m'habille précipitamment pour redescendre le premier.

L'anorak. La température est de 4°. Je sors l'auto du garage pour la faire chauffer. Le ciel est bleu. Le soleil ne va tarder à apparaître au-dessus de la canopée. Clémentine me rejoint dans son manteau noir, son pantalons noir, ses bottines noires. Son chapeau noir. La seule touche de couleur étant son écharpe de fine laine crème. Tous les matins sont élégance est un enchantement. Ses bras autour de mon cou pour quelques derniers bisous. << Je suis là à midi et demi. On prépare tout ensemble ! >> dit elle en s'installant au volant. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou et je m'empresse de retourner au chaud. Faire la vaisselle, recouvrir le lit. Dans l'atelier, j'allume un bon feu dans la cheminée qui ronronne très vite. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans cette douce euphorie laissée par la femme que j'aime. Trois heures où je suis livré corps et âme à ma seconde passion. Un vrai bonheur.

Il va être midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer le reste du gratin de choux fleurs. De faire l'accompagnement d'un gros concombre. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour me sauter au cou. Elle est toute froide. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille. C'est ainsi que je l'emmène aux toilettes pour nos rituels pisseux. En se lavant les mains elle me raconte sa matinée. Les préparations qu'elle a à faire pour demain, mercredi. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour nos vacances de fin d'année. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, la femme que j'aime revient sur les souvenirs communs des années et des séjours précédents, à Édimbourg.

La préparation des bouchées à la reine ne nous prend pas plus d'une vingtaine de minutes avant de faire la vaisselle. Nous montons nous brosser les dents. Clémentine se change pour porter, comme moi, un vieux Levis, une épaisse chemise à carreaux, ses baskets. Pressés d'aller nous dégourdir les jambes, nous redescendons à toute vitesse pour enfiler les anoraks. La température extérieure avoisine les 12°. Nous allons jusqu'à la rivière. En remontant pour faire le tour de la propriété nous apercevons monsieur Bertrand, un sachet à la main, qui monte le chemin depuis chez lui. << Planque-toi ! >> fait Clémentine. Je me cache dans l'abri à bois. Clémentine se montre, les bras croisés, en avançant lentement. Ils se rencontrent à une trentaine de mètres. Ça faisait longtemps que je n'avais plus assisté à une de ces rencontres entre Louis et ma compagne. Je les vois bavarder, rire. Louis s'empoignant vulgairement la braguette en discutant.

Notre retraité vicieux porte un de ses pantalons de gros velours brun. Une épaisse veste de chasse brune. Un chapeau. Je vois Clémentine rire aux éclats. Très certainement d'un des bons mots de notre vieux salopard. Je suis trop loin pour entendre distinctement. Clémentine qui mime une masturbation masculine en montrant l'arrière de notre garage de son index. Elle ouvre le portillon pour inviter Louis à pénétrer dans notre propriété. Il descend immédiatement la tirette de son pantalon. Il en extrait cette minuscule biroute qu'il agite fièrement. Clémentine s'accroupit en tenant monsieur Bertrand par ses cuisses. L'immonde saligaud frotte sa bite sur son visage alors qu'elle le hume en riant. Elle le fixe effrontément avant de prendre sa queue dans la bouche. Ça fait bien six mois qu'elle ne l'a plus sucé. J'aimerai avoir la paire de jumelles pour bien distinguer. Notre pervers caresse sa tête. Reste immobile. Les yeux baissés pour admirer sa tailleuse.

Le visage de Clémentine a disparu dans la braguette de monsieur Bertrand. Je me branle dans ma planque. Ça caille. Pas de bonnet, pas de gants. Cette pipe ne dure visiblement pas. Clémentine, à genoux, à même les pavés autobloquants, se retire en souriant à notre vicelard. Il remballe. Elle se redresse en s'essuyant la bouche. C'est elle qui empoigne la braguette du vieux salaud. J'aimerai entendre la nature de la conversation. C'est toujours insolite de voir Clémentine dépasser monsieur Bertrand de presque une tête. Louis qui regarde en l'air. C'est un peu surréaliste. Il ramasse son sachet contenant du vieux pain destiné aux canards. Il tente d'embrasser Clémentine qui esquive en le poussant vers le portillon. Il s'éloigne. Il passe tout près de moi sans se douter de ma présence. Je l'entends distinctement lancer : << À bientôt ma grande ! >>. Appuyant son propos du pouce de sa main gauche levé. J'attends qu'il descende en direction de la rivière.

Clémentine vient me rejoindre en faisant une horrible grimace. Je la félicite. << Un petit "extra" ça fait toujours plaisir ! >> me dit elle en passant ses bras autour de mon cou. J'esquive son élan de vouloir poser ses lèvres sur les miennes. Ça sent la queue. L'odeur de bite pas lavée. Le sandwich au thon. Elle sait à quel point ça me dégoûte. Elle me lâche. En riant aux éclats elle prend ma main pour lancer : << Je suis quitte pour me brosser les dents une seconde fois ! >>. Je rajoute : << Et de prendre un chewing-gum à l'eucalyptus parce que je ne te dis pas l'odeur ! >>. C'est en riant que nous traversons la pelouse pour rentrer au chaud. Dans la salle de bain du bas Clémentine reprend sa brosse à dents. Elle mime une fellation dans le miroir en me faisant des clins d'œil. Elle est belle !

Ce n'est pas un chewing-gum qu'elle prend à la cuisine mais une pomme. << J'adore le goût de son foutre. Là, il m'a vraiment gâté ! >> dit elle en m'entraînant vers l'atelier. Elle a ses préparations qui l'attendent. Assise devant son ordinateur elle continue à me confier le plaisir que lui procure la queue minuscule de cet incontinent de retraité. Il ne bande plus depuis longtemps. À soixante neuf ans il est pourtant encore redoutablement vicelard. Nous adorons êtres ensemble, plongés dans nos occupations. Parfois c'est moi qui me lève pour passer derrière elle. Lisser ses cheveux de mes doigts. Les relever pour poser mes lèvres dans sa nuque. Chuchoter à son oreille : << Salope. Merveilleuse salope. Je t'aime comme un fou ! >>. Parfois c'est elle qui vient me rejoindre. Ses lèvres dans ma nuque. Où à genoux entre les montant du chevalet, à quatre pattes pour jouer avec ma queue. L'après-midi passe ainsi. Dans la quiétude et la sérénité.

Dix huit heures. Il fait nuit noire dehors. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine, après avoir rangé ses affaires, me rejoint devant le petit lavabo de l'atelier. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Penchée en avant pour bien viser dans le trou d'écoulement sous le filet d'eau chaude, elle se ramasse les vapeurs. Elle secoue les dernières gouttes. J'ai préparé ma ruse. Elle croit que j'ai terminé. Enfin, je l'imagine car le regard qu'elle me lance en s'accroupissant ne laisse aucun doute. Elle me sourit avant de dire : << Je suis entourée de vieux cochons. Un rêve ! >>. Clémentine; d'un gracieux mouvement de tête gobe ma bite mollasse. Elle me fixe. Je lui balance la dernière giclée gardée en réserve. Elle rit en gloussant, sans cesser de pomper. Me tenant par les fesses qu'elle pince légèrement.

Du bruit. Estelle entre dans l'atelier. Elle tombe sur le spectacle. << Put-hein, j'arrive au bon moment les vicieux ! >>. Clémentine se redresse pour lui montrer l'intérieur de sa bouche. Estelle y colle immédiatement la sienne. Je les regarde s'embrasser goulument en gloussant de rire. J'agite ma queue. Spectacle magnifique. Enfin Estelle vient m'embrasser à mon tour. Saisissant mon chibre de sa poigne ferme. Clémentine déboutonne son jeans pour y mettre sa main. Se masturber en regardant Estelle s'accroupir. Prendre mon érection en bouche. Me sucer à son tour. Deux petites minutes où Clémentine, penchée en avant pour regarder de prêt, demande : << Tu te régales ? >>. Estelle cesse pour se redresser en répondant : << J'ai rêvé de ça cette nuit ! >> nous en rions aux éclats.

Soudain, au-dessus de nos têtes, ce bruit sourd. << Put-Hein ça recommence ! > lance Estelle. << Oui, depuis une semaine. Elle est revenue ! >> répond Clémentine. Estelle, gardant ma bite dans sa main, dit : << Le fantôme d'une salope ! >>. Nous restons sans mots dire pour écouter les pas. Quelqu'un qui se déplace à l'étage. Tout cesse aussi soudainement. Je bande mou dans la main d'Estelle qui m'entraîne ainsi jusqu'à la porte. Me forçant à marcher comme un con. Sous les rires de Clémentine. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer les bouchées à la reine dans la fournaise du four à bois. De faire l'assaisonnement de deux grosses endives. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en écoutant Estelle nous raconter sa vie d'employée à la comptabilité dans l'entreprise familiale. Clémentine revient sur la pipe qu'elle a taillé à notre plus proche voisin. << Toujours gouteuse et juteuse ? >> demande Estelle.

<< Avec un goût fétide de vieux Parmezob ! >> répond Clémentine. Estelle qui se lève pour mimer une masturbation, rajoute : << Je ne me souviens plus du goût de sa queue ! >>. Nous rions en plaçant les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle. Estelle devra nous laisser pour vingt deux heures. C'est le second jour de ses "petits machins". Tout se passe bien. Impatiente de me sucer, excitée par les histoires de Clémentine et de nos conversations axées sur la pipe, elle est pressée de s'y mettre. C'est par la queue qu'elle m'entraîne au salon, m'obligeant à marcher en canard. En "caunard". Toutes les deux, à genoux sur les épais coussins, se refilent ma queue. Je suis vautré dans le canapé. J'entends les gargouillis et les bruits bulleux. Elles s'embrassent, échangeant le foutre qu'elles me tirent du fond des couilles. Je carresse leurs têtes. J'appuie quelquefois sur leurs nuques pour enfoncer davantage de bite. Ce qui les fait tousser. S'étouffer.

Je fais évidemment durer. Je murmure à l'une comme à l'autre : << Salope ! >>. Heureusement que je suis à moitié couché au fond du canapé. Les vertiges me feraient inévitablement tomber. Leurs joues creusées par l'effort de succions. Elles échangent leurs impressions entre deux pompages, entre deux baisers longs et lascifs. J'écoute en admirant ce spectacle merveilleux. De la jute qui coule de ma queue que ne lâche pas un seul instant Estelle. Je lui éjacule au fond de la gorge en la maintenant fermement. Du foutre jaillit de ses narines. Elle tousse. Ses yeux sont humides. Son regard éperdu de reconnaissance. Nous repartons pour un épuisant second tour. J'inflige le même traitement à Clémentine. Toutes les deux s'embrassent comme des folles. À en oublier l'heure. J'interviens.

Bonne nuit à toutes les coquines que la pipe plonge dans des extases quasi mystiques avant de se faire brouter le minou sous les draps.

Julien (Pompée plutôt que César)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Les petits rituels de la vie quotidienne
Thursday 28 November 2024 07:40

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 42 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2780 -



Le repas avec Juliette

Les bruits de la forêt. Ce sont eux qui nous réveillent, hier matin, mercredi. Il n'est pas tout à fait sept heures. En poussant un gémissement à peine perceptible, Clémentine vient se blottir. Je passe mon bras autour de ses épaules, ma main glisse dans sa culotte. Je murmure : << Bonjour ma suceuse ! >>. Elle rit en gloussant. Attrapant ma tumescence. Nous nous attarderions bien volontiers dans quelques voluptés sensuelles. Hélas, le temps nous est compté. Il faut se lever. Commencer par soulager nos vessies. Se rafraîchir les visages à l'eau du robinet dans la salle de bain. Avant de revêtir nos tenues de gymnastique. Morts de faim, dévaler les escaliers. J'allume un feu dans la cuisinière à bois. Clémentine me raconte ses rêves en faisant le café. En pelant les kiwis. Les oranges.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée avec Estelle. << Ce soir elle baise avec son parrain. Elle nous racontera jeudi soir ! >> fait clémentine. Nous en rions de bon cœur lorsque je rajoute : << Avant de se faire re baiser avec nous ici ! >>. Clémentine précise : << Je crois qu'avec toi elle serait plutôt "pipe" ces temps-ci. Tu as vu comme elle se régale à chaque fois ! >>. Il faut le constater, c'est exact. Nous mangeons de bon appétit. Je reviens sur la pipe que ma compagne a prodigué à notre plus proche voisin. Dans le froid, en ce début d'après-midi de mardi. Un peu gênée, Clémentine n'ose pas aborder le sujet. Je la félicite : << Tu es ma suceuse. J'adore te voir sucer d'autres vicelards. Avec bonheur ! >>. Elle pose sa main sur la mienne pour répondre : << Merci ! >>

Il va être sept heures vingt cinq. Nous remontons à toute vitesse. Notre entraînement nous attend à l'étage. Les échauffements aérobics nous mettent à bonne température corporelle. Le jogging sur tapis roulants. Les exercices abdominaux. Les charges additionnelles. Nous terminons par les étirements d'un bon stretching. Retour au calme pour parfaire cette séance avant la douche. Je m'habille le premier pour dévaler les escaliers, enfiler l'anorak pour affronter les 4° qu'indique le thermomètre extérieur. Il va être huit heures quarante. Le ciel est gris. Je sors l'auto du garage. Clémentine vient me rejoindre. Haute silhouette toute de noire vêtue. Seule son écharpe crème apporte cette touche de couleur qui vient sublimer son élégance. Son chapeau "Borsalino" qu'elle porte ce matin.

Ses bras autour de mon cou pour de derniers bisous, elle me dit : << Je n'ai qu'une heure de cours cet après-midi. J'ai envie de rentrer manger à midi ! >>. Je ne sais quoi répondre. En s'installant au volant, elle rajoute : << Ça ferait une heure de plus ensemble ! >>. Je propose de faire selon son envie du moment. Je la regarde partir. Un dernier coucou et je rentre en courant. Je fais la vaisselle, je recouvre le lit avant de passer dans l'atelier. D'y allumer une belle flambée dans la cheminée. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans la douce volupté de mes introspections. La pipe que Clémentine a fait à monsieur Bertrand. Sa gêne ce matin, au petit déjeuner, quand je voulais aborder le sujet. C'était émouvant. Et là maintenant je pourrais me branler.

Il va être midi. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je mets une bûche dans l'âtre. Je n'ai qu'à réchauffer la dernière bouchée à la reine avec ses coquillettes. L'assaisonnement d'une salade de carottes. Mon téléphone se met à vibrer. C'est Clémentine. Finalement elle ira manger comme tous les mercredis avec deux collègues dans le salon de thé près de l'université. Elle sera de retour pour quinze heures trente. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff aborde les détournements de fonds dans les domaines sociaux. Il y règne là des comportements scandaleux. La corruption ayant gangréné toutes les strates du pouvoir dirigeant, ce n'est que faux, usages de faux et petits arrangements entre comparses.

La vaisselle. Après m'être brossé les dents, j'enfile l'anorak. La température ayant grimpé à 12°, c'est bien plus agréable d'aller jusqu'à la rivière. Je fais le tour de la propriété lorsque je vois monsieur Bertrand monter le chemin qui longe la clôture. Depuis sa propriété. Nous nous saluons. Ce vieux salaud ne se doute pas un seul instant que je "sais". L'enfoiré bavarde le plus naturellement du monde avec moi qu'il cocufie allégrement. J'ai envie de le féliciter. Mais je joue le jeu. Lui qui est dans l'ignorance. Il ose même : << Le bonjour à Clémentine. J'espère qu'elle va bien ! >>. L'enculé ! Je me contente de répondre : << Je n'y manquerais pas ! >>. Il est treize heures quarante cinq quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en pensant à Louis. Ce vieux retraité bien salace et sa queue minuscule.

Du bruit. Est-ce possible ? Déjà quinze heures trente ? J'entends chantonner. Je suis tellement impatient de retrouver la femme que j'aime. Clémentine entre dans l'atelier en se précipitant vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas au salon de thé. << Tu ne devineras jamais. C'était une bouchée à la reine avec des nouilles ! >> lance t-elle. Nous en rions. Demain, jeudi, sera sa journée longue de sa semaine. Ses préparations l'attendent. Assise devant son ordinateur, elle continue de me raconter. J'adore. Je reviens sur ma rencontre avec Louis. En décrivant ses attitudes. << Le vieux pervers ! >> lance t-elle pour ponctuer chacune de mes phrases. Il va être dix huit heures. Je nettoie la palette ainsi que les pinceaux.

Après avoir rangé ses affaires, Clémentine vient me rejoindre au petit lavabo de l'atelier. Elle saisit ma bite posée sur le rebord de faïence pour en diriger les multiples jets. Elle adore sentir les légères secousses dans le "tuyau" à chaque fois que je contracte mes muscles fessiers pour stopper le flux. En secouant ce qu'elle croit êtres les dernières gouttes, elle me fait : << J'aime tellement la bite des vieux salauds ! >>. Nous en rions alors qu'elle s'accroupit. Méfiante. Son regard allant de mon chibre à mes yeux. Sachant le piège que je lui réserve depuis une dizaine de jours. À peine prend t-elle ma biroute molle en bouche que je lâche la dernière giclée. Une sucette qui ne dure qu'une minute avant qu'elle ne se redresse en disant : << Je comprends mieux ce que fait ce vieux dégueulasse quand je le suce ! >>. Clémentine fait allusion aux pipes qu'elle taille à monsieur Bertrand. Elle rajoute : << J'aime quand c'est dégueulasse ! >>

Soudain, au-dessus de nos têtes, le bruit sourd. Le retour du fantôme. Nous restons l'un contre l'autre à nous fixer en écoutant. Même si l'habitude d'assister à ces phénomènes est revenue, ils glacent les sangs. Un peu plus d'une minute probablement. Quelqu'un ou quelque chose remue des meubles à l'étage. Tout cesse. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Nous nous embrassons passionnément. Elle me tient la bite à nouveau toute molle. J'ai ma main entre ses cuisses. Nous sommes attendus chez Juliette pour dix neuf heures trente. << J'ai le temps de te sucer un peu ! >> lance Clémentine qui me tire par la queue jusqu'au vieux canapé de l'atelier. Couchée sur le côté, sa tête contre mon ventre, elle joue avec le "mollusque" alors que je suis confortablement vautré.

Sa bouche ne tarde pas à se refermer sur mon chibre. Je caresse sa nuque. J'appuie parfois en sournois. Sans bouger. Juste ces contractions des muscles fessiers qui remue ma queue dans sa bouche en y déversant l'abondance du foutre qu'elle titre consciencieusement de mes couilles. Elle cesse toutes les deux trois minutes. Pas seulement pour déglutir avec peine mais pour laisser reposer sa mâchoire. Je lui murmure des douceurs, des cochonneries. J'adore l'entendre glousser en pompant. Je dis : << Et si tu continuais ta pipe devant Juliette, ce soir ? >>. Clémentine cesse soudainement. Se redresse. Un filament de liquide séminal, gluant et visqueux, relie sa bouche à ma queue luisante. << Bonne idée. Elle va apprécier cette vieille salope ! >>. Je dis : << Toi aussi surtout ! >>

C'est en riant aux éclats que nous nous levons. Clémentine m'entraîne par la main. Nous montons. Je me change. Un Levis "brut", mes bottines brunes. Une chemise blanche sous un pull marron au col en "V". Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Clémentine met son perfecto de cuir noir. Je mets mon blouson de cuir brun. C'est avec sa voiture que nous parcourons les trois kilomètres qui nous séparent du haras. Il fait nuit noire. Je me fais sucer en roulant. La cour est déserte. Nous la traversons. Juliette vient nous recevoir dans sa tenue de travail. Ses vêtements d'équitation. Nous la suivons dans l'escalier. Invités à nous assoir nous découvrons la surprise. Une tourte aux champignons accompagnée d'une laitue en salade. Nous faisons honneur à ce repas en bavardant.

Juliette nous raconte ses journées. Quatre vingt sept chevaux en pensions. L'administratif qui prend du temps. Elle en vient rapidement aux centres d'intérêts communs qui nous unissent. Le sexe et nos déviances. Elle nous confie avoir branlé son nouveau palefrenier. Clémentine raconte sa pipe à notre voisin. Je me branle sous la table en écoutant les deux femmes échanger leurs impressions. Je me lève pour agiter ma queue vers Juliette. Puis vers Clémentine qui dit : << En ce moment, je n'arrête pas de sucer. J'ai peut-être même un "plan" avec un collègue que je devine bien vicelard ! >>. Cet aveu me sidère. Clémentine profiterait elle de cette conversation pour me confier un secret ? Elle observe ma réaction. Je suis enchanté par cette révélation. C'est donc "ça" les repas du mercredi au salon de thé ! Certaines femmes sont tout simplement divines !

Je me tourne vers elle. Je la saisis par sa nuque. Totalement surprise par mon comportement soudain, elle se retrouve avec ma queue en bouche. << Wouah ! Vous faites fort tous les deux ! >> s'exclame Juliette. Je la maintiens fermement en fixant Juliette avec défiance. Elle me fixe avec sévérité. Je mime une masturbation masculine en demandant : << Tu l'as branlé jusqu'au bout ton palefrenier ? >>. Elle me fait un sourire énigmatique. Je retire ma bite pour me rassoir. Clémentine reprend son repas. La conversation reprend mais cette fois axée sur la jeune écuyère. Séverine que Juliette m'invite à revoir vendredi après-midi. << J'organise un apéro anniversaire dimanche à quinze heures. Elle sera là. C'est une excellente opportunité pour lui montrer tes frasques ! >> lance notre hôte. Mimant une branlette. Clémentine me chope la queue sous la table en s'exclamant : << On sera là ! >>. Elle me masturbe un peu avant de reprendre la dégustation de sa tourte aux champignons.

Comme le plus souvent, nous débarrassons pour faire la vaisselle ensemble. Un autre instant de convivialité. De retour au salon, Clémentine et moi, vautrés dans le canapé, Juliette installée dans le fauteuil qui nous fait face, nous nous masturbons en émettant des possibilités vicelardes quand aux jeux que nous aimons pratiquer dans les écuries. Juliette revient sur ce Gloryhole qu'elle aimerait bien organiser. Clémentine retire sa main de son pantalon ouvert pour se pencher sur le côté. Je me fais tailler une pipe en regardant Juliette se branler tout en bavardant le plus naturellement du monde. Toutes les deux trois minutes Clémentine cesse, se redresse, s'essuie la bouche en posant des questions quant à l'organisation de cette apéro anniversaire et quant à cet éventuel Gloryhole.

Bon retour à toutes les coquines qui sucent leur chauffeur jusqu'à la maison. Avant de se faire tringler sous les draps, de se faire terminer par un cunnilingus. Puis de s'endormir avec le goût du sperme en bouche...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 43 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2781 -



C'est la "journée longue"

D'être réveillé à six heures, hier matin, jeudi, est beaucoup moins agréable. C'est "vaseux" que nous sommes tirés du sommeil par le chant des oiseaux, l'écoulement de l'eau d'une source. En gémissant, Clémentine se serre contre moi. Elle murmure quelque chose mais cela reste inintelligible. Elle essaie une seconde fois. Impossible d'articuler. C'est en riant que nous nous levons pour aller aux toilettes. Puis à la salle de bain. Pour être moins "pâteux" les visages passés à l'eau froide. Avant d'enfiler nos vêtements de sports. Morts de faim, comme des robots, nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine s'affaire au café, aux oranges et aux kiwis, en racontant ses rêves, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Son ronronnement est rapidement celui d'une locomotive.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de mercredi en compagnie de Juliette. Je raconte les attitudes et les expressions de notre amie. Se masturbant en observant Clémentine me tailler une pipe. Nous en rions de bon cœur quand elle rajoute : << Cette salope à tous les vices ! >>. Nous mangeons de bon appétit lorsque Clémentine rajoute : << À midi je rentre. Je veux passer mon heure et demi avec toi ! >>. Je réponds : << Et ton "plan" pipe avec ton collègue ? >>. Elle s'exclame : << C'est juste les mercredis ! Il n'intervient à l'université que ce jour-là ! >>. Je l'écoute développer ce récit car elle ne m'en avait jamais parlé avant notre soirée chez Juliette. Il n'y a rien de véritablement établi. Yanis se contentant de faire des allusions assez subtiles de son penchant.

Préférences pour la fellation qu'il évoque de façon détournée. << Jamais vulgaire ! >> précise Clémentine. Je l'encourage à mener ce projet à son terme. Nous remontons car il va être 6 h25. Notre heure de gymnastique commence par les échauffements aérobics. Suivis du jogging sur tapis roulants. Les exercices abdominaux. Les charges additionnelles. Avant de conclure par un trop rapide stretching. La douche. Tout est précipité car nous avons peur de perdre la moindre seconde. Je m'habille le premier pour descendre à toute vitesse. L'anorak avant d'affronter le froid glacial. Le thermomètre extérieur indique deux degrés. Le jour achève de se lever. Il va être 7 h40. Je sors l'auto du garage pour la faire chauffer. Clémentine vient me rejoindre chaudement et élégamment vêtue de noir.

Ses bras autour de mon cou pour quelques derniers bisous. << À tout à l'heure ! >> fait elle en s'installant au volant. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de rentrer en courant. Je fais la vaisselle en appréciant les 22° qui règnent dans la maison. Je fais notre lit avant de redescendre dans l'atelier. D'y allumer la belle flambée dans la cheminée est un de mes rituels matinales préférés. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans un enthousiasme qui me fait pousser des cris surréalistes. Je pense à notre soirée chez Juliette. Les aveux de Clémentine quand à son collègue enseignant. Cela m'amuse. Nous allons peut-être vers de nouvelles aventures. Il va être midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine.

J'alimente la cuisinière à bois. Je fais immédiatement bouillir l'eau des spaghettis. J'émince deux filets de dinde que je fais revenir à la poêle. J'y rajoute des champignons. Des tomates coupées en tranches. Ail, oignons. Un petit pot de crème fraîche sur le tout en fin de cuisson. J'égoutte les spaghettis. Je râpe une grosse quantité de gruyère Suisse. L'assaisonnement de deux endives. Clémentine rentre de cours pile poil quand les assiettes et les couverts sont disposés. Il n'est que midi vingt. Elle me saute au cou. << Je crois que je vais rentrer tous les jours à midi. Ça roule super bien et ce n'est pas chiant ! >> lance t-elle. Le rituel pisseux. Elle commence à me raconter sa matinée en se lavant les mains. Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le repas de la soirée. << Je me touche en roulant ! >> dit elle en riant. S'empressant de rajouter : << Mais je fais hyper gaffe ! >>

Estelle vient nous rejoindre un peu avant dix huit heures trente. Je propose un gratin de pommes de terre aux dés de poulet. << Excellent ! >> s'écrie Clémentine. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me confie ses souhaits pour ce week-end. Samedi nous irons au marché de Noël du village voisin. Dimanche ce sera le marché de Noël sur les quais du port de plaisance. C'est un des plus beaux de la région. Chaque année c'est une surenchère dans le beau. Le prix du plus beau marché de Noël du département à été remis l'an dernier à la municipalité qui gère le port. À califourchon sur mes cuisses, bougeant légèrement d'un mouvement régulier, ma complice me chuchote : << Et ce week-end je te suce tout le temps ! >>. Nous rions de bon cœur.

Il va être treize heures. Clémentine insiste pour m'aider à la préparation du gratin. Nous épluchons, lavons et coupons les patates en morceaux avant de les plonger dans l'eau bouillante et salée. Pendant que je coupe des escalopes de poulet en dés. À la poêle. J'égoutte les pommes de terre avant de les mettre dans le grand plat carré. Clémentine y rajoute le mélange œuf, lait de soja et fromage blanc. J'y verse le contenu de la poêle. Il n'y a plus qu'à remuer pour mélanger le tout. Clémentine suggère de remplacer le gruyère par du fromage à raclette. Excellente idée. Nous le coupons en fines tranches que nous croisons en recouvrant le plat. Au four électrique pour laisser mijoter longuement à 150°. Nous montons nous laver les dents. << J'ai de la marge ! >> précise Clémentine.

Nous pouvons même nous embrasser avec un long baiser au goût de la verveine. Nous redescendons en nous promettant mille jouissances ce soir avec Estelle. Je mets l'anorak. La femme que j'aime remet son élégant manteau noir, son "Borsalino", passe l'écharpe crème autour du cou. Nous sortons dans le froid. La température extérieure est de 6°. Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou, elle répète : << Je crois bien que je vais rentrer tous les midis. C'est trop bien ! >>. Il va être 13 h40. Elle n'a que quinze kilomètres jusqu'à l'université. Ça roule bien sur la route communale déserte. << À ce soir, 18 h30 ! >> lance t-elle en prenant place au volant. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je fais le tour de la propriété pour me dégourdir un peu les guiboles. Ça meule !

Il est quatorze heures quinze quand je suis confortablement installé devant le chevalet. Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. Moi aussi je trouve ça super que Clémentine rentre manger à midi. Dans son comportement, d'une certaine manière, elle est encore la professeur d'université. Alors que le soir elle est la compagne adorable de mon existence. Cette dualité à de quoi me ravir, me passionner et m'exciter. C'est sur ces considérations qu'il est rapidement dix huit heures. Je nettoie la palette, les pinceaux. Impossible de me garder jusqu'au retour de la femme que j'aime. Mon envie de pisser est trop forte. Je pose ma bite sur le rebord du petit lavabo de l'atelier. En me lavant les mains, je lisbroque peinard lorsque la porte de l'atelier s'ouvre. C'est Estelle qui se précipite.

Elle constate le jet jaunâtre et fumant sous le filet d'eau bouillante. Elle enfonce sa langue dans ma bouche, les yeux ouverts, pour saisir ma queue entre le pouce et l'index. Avec Estelle il n'y a pas la douceur de Clémentine. C'est beaucoup plus "brut de décoffrage". Mais elle dirige les jets avec agilité en visant parfaitement le rectangle du trop plein. Penchée en avant, son bras gauche autour de ma taille, elle secoue les dernières gouttes. En parfait vicelard, je garde une petite réserve en serrant les fesses. Aussi, lorsqu'elle se penche davantage encore pour la prendre en bouche, je saisis sa natte au plus court. Je la maintiens fermement. Je lâche la fameuse giclée scélérate dans un râle qui s'unit à celui de ma suceuse complètement surprise. Je l'empêche de se soustraire à mon étreinte bien salace. Elle s'accroupit, tente de se débattre, tape sur mes cuisses en râlant. Je la fais sucer. Je la laisse se redresser. Courroucée, fâchée.

<< Salaud ! Tu es un vrai salaud ! >> s'écrie t-elle. Ce soir je prends une gifle. Ça faisait très longtemps. Comme si elle regrettait son geste elle me saute au cou. Je l'embrasse avec la joue encore brûlante d'une gifle bien méritée. Du bruit. Clémentine entre dans l'atelier. Elle se précipite. Nous nous serrons tous les trois pour mitrailler nos visages de bises, mêler nos langues en gémissant du plaisir divin de nos retrouvailles. Je les laisse s'embrasser en allant touiller les braises avec le tisonnier. Elles viennent me rejoindre. Je suis entre mes deux anges. Estelle joue avec ma queue toute molle. En racontant la turpitude pisseuse à laquelle je l'ai confronté. Nous rions comme des fous quand Clémentine lance : << Moi, il me fait ça presque tous les soirs ! >>. Estelle s'accroupit en riant.

C'est avec ma bite dans la bouche qu'elle m'adresse un clin d'œil. Clémentine se penche pour mieux la regarder et dit : << Tu n'aimes plus les "mélanges" ? >>. Elle se redresse pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Je bande à présent comme le dernier des plus authentiques salauds. Estelle se redresse. Sans lâcher ma queue elle rajoute : << Tu me baises sur le bureau ce soir ? J'ai baisé avec parrain mercredi soir. J'adore comparer ! >>. Clémentine s'écrie : << Oh oui, la "baise sur bureau" des jeudis soirs ! >>. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il y fait chaud. Je sors le plat du four électrique pour le mettre dans celui de la cuisinière à bois. Clémentine fait l'assaisonnement d'un gros concombre. Estelle met les assiettes, les couverts. Je surveille la cuisson. Ce four est une fournaise.

Nous mangeons de bon appétit en faisant quantité de plans pour le week-end qui commence demain, vendredi, à midi. Estelle devra nous laisser pour vingt deux heures. Nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle avant de courir jusqu'au salon. Mes deux anges retirent bottines, jeans et pantalon, pour rester juste en pulls. Installées sur le bureau à se toucher. Nous adorons nous observer en pleine masturbation. Le plus excellent stimuli pour nos libidos débridées depuis longtemps. Estelle se met en appui sur ses coudes. Je les rejoins avec des coussins du canapé. Pour les disposer à l'endroit où elle poseront leurs têtes. Je frotte mon sexe sur celui d'Estelle qui se touche. Je fais de même sur celui de Clémentine. Avant de commencer par Estelle, je prépare la cuvette bleue.

Enfoncé dans Estelle jusqu'à la garde, je la ramone avec la délicatesse d'un Sumo Japonais. Alors que Clémentine lui roule des pelles baveuses. Quand je pénètre Clémentine c'est Estelle qui fouille sa bouche de sa langue exploratrice. Je passe de l'une à l'autre avec la queue qui dégouline de nos mélanges. Cette pratique que nous appelons "baise sur bureau" permet des libertés de mouvements à nulles autres pareils. C'est juste la bonne hauteur pour mon mètre quatre vingt huit. Je peux m'emparer de leurs cuisses, palper leurs fesses, saisir leurs chevilles pour les niquer pattes en l'air. Dans un duo de cantatrices, dont les voix sopranos accompagnent cette cantate, telle une chorale de vierges bibliques. Ça baise à tous les étages. Jusqu'à l'orgasme d'Estelle qui termine son interprétation en ut mineur. Se couchant sur le côté, main entre les cuisses, tremblante de plaisir. L'orgasme pisseux de Clémentine qui mouille mon vieux Levis 501 de peinture.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont se la goinfrer avant de s'endormir dans les bras de leur Sumo Écossais. Le goût de son foutre en bouche...

Julien (Sumo)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 44 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2782 -



Le marché de Noël

La grasse matinée du dimanche est un besoin nécessaire. Ce qui est le cas hier matin. Estelle et Clémentine à ma gauche. C'est devenu une habitude depuis quelques semaines. Après nos folies du samedi soir, elles se terminent encore un peu toutes les deux alors que je m'endors. Ce que fait semblant de me reprocher Estelle en passant sur Clémentine pour venir s'allonger de tout son poids sur mon corps. << Tu nous abandonnes ! >> lance t-elle en se frottant sur ma tumescence naissante. << Tu rates le meilleur ! >> rajoute Clémentine qui vient se blottir. Nous rions. Estelle, en proie à son impérieux besoin naturel, se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine saisit mon érection matinale pour murmurer : << Comme c'était bon avant de dormir. On refait ce soir ! >>

Estelle revient de la salle de bain, déjà vêtue de son Levis et de son épaisse chemise à carreaux. << Je prépare tout en bas, venez vite ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. De nous mettre de l'eau froide sur les visages, de nous habiller comme elle. Morts de faim, nous dévalons les escaliers où embaument déjà les délicieuses effluves du café et du pain grillé. Estelle se bat avec le feu qu'elle allume dans la cuisinière à bois. Clémentine pèle les kiwis, je presse les oranges. L'énorme brioche au pudding au milieu de la table que découpe en tranches Estelle. Durant les préparations, à chaque fois que l'un croise l'autre, ce sont des bises. Des mains qui passent entre les cuisses. Nous finissons tout de même très rapidement à prendre notre petit déjeuner. Miel, confiture. C'est miam.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre samedi. Les livraisons du matin. Le ménage qu'est venue faire Lise. Puis l'après-midi à découvrir le splendide marché de Noël au bourg voisin. Avec la judicieuse initiative de la municipalité d'en aménager la partie la plus importante dans la salle polyvalente. En compagnie des parents d'Estelle. En rencontrant même son parrain et sa marraine. Qu'il est agréable de traîner à table le dimanche matin. Au dehors c'est la brume, une température de moins un degré. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges font le programme de la journée. À midi ce sera le rituel dominical du poulet et des frites. Cet après-midi nous irons à la découverte du marché de Noël organisé sur les quais du port de plaisance.

Nos lèvres adhésives, au sucre et au miel, collent ensemble lorsque nous les effleurons. Nos trois langues s'amusent à papillonner. Nous en rions. La vaisselle. Nous remontons faire les clowns devant le miroir de la salle bain. Les filles mimant des pipes avec leurs brosses à dents. << Tu t'es fais sucer toute la semaine vieux pervers ! >> lance Estelle en palpant mon entre jambes de sa main libre. Je réponds : << Et par toi plusieurs fois, petite salope ! >>. Têtes contre têtes, nous disputant de la place au-dessus du lavabo, nous rinçons nos bouches en rigolant comme des bossus. Nous couvrons le lit. Estelle réuni ses affaires. Elle devra nous quitter ce soir pour vingt deux heures. Pressés d'aller mettre nos anoraks, nos bonnets et nos gants, nous redescendons à toute vitesse. Le froid.

C'est glacial avec seulement moins un degré. Il y a de la brume. On y distingue pas à vingt mètres. Ce qui remet sérieusement en cause notre projet de parcourir trente cinq kilomètres. Pas un souffle de vent toutefois. Nous allons jusqu'à la rivière. Le brouillard rend les silhouettes de toutes choses fantomatiques. C'est étrange et insolite. Les filles restent accrochées à mes bras. Lorsque nous parlons, de la vapeur sort de nos bouches. La condensation sur leurs lunettes quand je souffle dessus. Ce qui les fait avancer comme des somnambules, les bras tendus devant elles. Avec le froid la buée s'estompe toutefois très vite. Je me fais palper la braguette soigneusement fermée. Mes mains s'égarent entre leurs cuisses. << Cet après-midi, collants sous les pantalons ! >> lance Estelle. Exact.

Nous remontons pour remplir la grande corbeille en osier de bûches de hêtre. Nous voilà bien au chaud à ranger les bûches à côté de la cuisinière à bois. Une partie à côté de la cheminée du salon. Nous ressortons pour constituer le stock de la cheminée de l'atelier. Il fait bien chaud partout dans la maison avec vingt trois degrés. Les radiateurs, pilotés par thermostat, agissent en conséquence. Au salon, installées sur mes cuisses, mes deux anges consultent nos boîtes mails. Celui de ma famille à Édimbourg. Notre appartement nous attend au premier étage de la grande demeure Victorienne d'oncle Alan et de tante Amy. Ils sont impatients de nous revoir. Le message de Juliette qui nous rappelle l'apéro anniversaire pour fêter les quinze années d'existence de son haras. C'est pour 14 h.

Il commence à faire faim alors qu'il n'est encore que onze heures quinze. Nous quittons le salon pour la cuisine. Chacun a son rôle précis. Estelle prépare le poulet à rôtir. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue dont elle lave les feuilles également pour ce soir. J'épluche, je lave et je passe les pommes de terre au coupe frites. Dans la fournaise du four de la cuisinière à bois, la cuisson du poulet est extrêmement rapide. Estelle surveille. Accroupie devant la porte vitrée. Mes mains d'abord sur ses épaules, je descends sur ses seins. Clémentine vient se serrer derrière moi ses bras d'abord autour de ma taille puis ses mains sous mon tablier, sur ma braguette. Notre manière de cuisiner s'avère efficace puisque notre repas est délicieux. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Juliette.

<< Si le brouillard ne se lève pas, on reste au haras. Juliette organise son animation des dimanches ! >> suggère Estelle. << Excellente idée. Ne prenons pas de risques inutiles. Les marchés de Noël ne bougeront pas avant le 28 décembre ! >> rajoute Clémentine. Installées sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges débattent des initiatives à prendre. Dehors, le brouillard semble se lever. Il en subsistera probablement toute la journée. Mais pas avec la densité de ce matin. La vaisselle. Nous montons nous brosser les dents, nous changer. Des sous vêtements chauds s'imposent. Même s'ils sont inconfortables et engonces désagréablement, ils prémunissent contre le froid glacial. La température ne dépasse pas deux degrés alors qu'il est déjà 13 h30.

Collants sous les jeans. T-shirts à manches longues sous les épaisses chemises à carreaux. Leur lycra est très doux. Rudement efficace. Des pulls. Grosses paires de chaussettes. Nos bottines. Nos anoraks. Bonnets, écharpes, gants. C'est parti. << Ça assure mieux que ce matin ! >> lance Estelle alors que nous traversons la pelouse pour aller jusqu'au garage. C'est parti. Trois kilomètres jusqu'au haras. Le brouillard s'est effectivement atténué. On n'y voit toutefois qu'à une trentaine de mètres. Comme en toutes circonstances je roule prudemment, il n'y a aucun souci. Il y a plein de voitures dans la cour. Beaucoup d'invités sont déjà là. Les festivités ont lieu dans la nouvelle écurie. La petite salle du fond. En caressant l'encolure des chevaux qui nous observent dans l'allée centrale, nous distinguons les rires et les éclats de voix. Il y a foule. Une bonne cinquantaine de convives. Et ils ne sont pas encore tous arrivés. Juliette vient nous recevoir.

Avec cette météo peut de tenues ostentatoires. La priorité est d'abord de se prémunir du froid. La salle est bien chauffée. Il y a Bernadette, son mari Pierre, des propriétaires de chevaux que nous ne connaissons pas. Leurs filles et leurs garçons. Ça bavarde, ça rit, une ambiance festive. Juliette a monté un magnifique sapin de Noël. Elliot et Évelyne, les deux palefreniers sont peut-être les deux plus élégantes personnes présentes. C'est insolite. Séverine quitte le groupe composé de ses parents et d'amis pour venir nous saluer. Je surprends à quelques reprises son regard furtif sur ma braguette. Une braguette bien boutonnée, cela tombe sous le sens. Est-ce pour me faire comprendre son intérêt ? Ou est-ce par simple réflexe ? C'est un mystère que je me promets d'éclaircir un jour prochain.

Nous ne nous attardons pas. Comme le crépuscule s'annonce dès seize heures trente, que la nuit tombe un quart d'heure plus tard, qu'il va être quatorze heures trente, nous quittons la fête. Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture en nous remerciant d'êtres passés. On se revoit mercredi soir pour un bon repas chez elle. C'est parti. Je roule doucement. Nous regrettons presque d'avoir quitté cette agréable ambiance. Je roule doucement et dans de bonnes conditions. Toutes les voitures que nous croisons ont les phares allumés. La circulation se densifie à l'approche du port de plaisance. La municipalité du bourg a tout prévu. Je me gare sur le parking de la salle polyvalente. Deux cent places. Des gendarmes grelottants règlent la circulation. Il faut marcher une borne le long de la route.

C'est une récompense d'avoir eu le courage de venir jusque là. La décoration est féérique. L'an dernier la municipalité a reçu le prix du plus beau marché de Noël du département. Il y a de très fortes probabilité qu'elle réitère cette performance cette année encore. C'est tellement beau. Il y a une fausse église, toute en bois, montée pour la circonstance. Entourée par les chalets en cercles concentriques tout autour. Recréant ainsi un village extraordinaire. Trois rangées de chalets, en cercles, entre lesquels se presse une foule compacte. Il faut ruser. Et toujours ces inconscients imposant leurs poussettes et bloquant le passage plusieurs minutes. << Il devrait y avoir une loi qui interdit les poussettes dans ces endroits ! >> lance Estelle furieuse d'avoir été heurtée par une Simpson hilare et édentée qui dit : << C'est pas grave ! >>. C'est vrai que c'est un danger latent. << Quelle conne ! >> lance Estelle en s'accrochant à mon bras.

<< Je ne pardonne plus je donne des gifles ! >> rajoute Estelle en se serrant contre moi. Nous en rions toutefois de bon cœur. La fausse église est en fait le "bar à vins chauds". Inutile espérer pouvoir y entrer, c'est bourré de monde. Clémentine propose de revenir mardi après-midi pour profiter de l'endroit avec infiniment moins de visiteurs. Ce que nous mettons en projet principal. Clémentine est libre le mardi après-midi. Avec l'arrivée du crépuscule, puis de la nuit, la féérie monte encore d'un cran. S'il n'y avait pas tout ce monde, ce serait bien plus viable. Mais à force de devoir louvoyer, on se lasse. Nous savourons tout de même des gaufres Chantilly, un verre de thé chaud avant de remonter sur la route. D'autres "pèlerins" quittent d'ailleurs eux aussi les lieux. Retour à la voiture.

La nuit est noire, sans lune et le brouillard s'est épaissit. C'est donc à vitesse réduite qu'il faut se taper les trente cinq kilomètres du retour. Sans rien regretter car c'était magnifique. Nous arrivons à la maison pour dix huit heures trente. Nous nous changeons immédiatement. Il fait bien trop chaud. Estelle retire la viande sur la carcasse du poulet. Pour la faire revenir avec de petits champignons dans la poêle. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de laitue. Je m'occupe des spaghettis. Une tonne de délicieux gruyère Suisse que je râpe avec ardeur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de ce week-end. À ce propos nous ne publierons plus nos aventures le samedi et le dimanche mais les relaterons les lundis. << On est devenu "fonctionnaires" ! >> comme le souligne Estelle. Après la vaisselle, les trois "fonctionnaires" pratiquent la "baise sur bureau" avec un zèle administratif que ne renierait pas un Bruno Le Maire.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent conclure leurs week-ends en se faisant tringler sur le bureau du salon. Juste éclairées par les deux grosses bougies du candélabre. Qui adorent se faire culbuter dans des joutes renversantes par un Sumo. N'ayant rien de Japonais si ce n'est la douceur du lutteur de dojo. Qui, tel un ours en rut, pousse des rugissements sauvages à chaque changement de partenaire...

Julien (Grizzly des forêts)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 45 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2783 -



Clémentine rentre manger à midi

Hier matin, lundi, c'est juste un peu avant sept heures que nous sommes réveillés. Dans la plénitude des bruits de la forêt. Quarante cinq secondes à les savourer. Clémentine se tourne pour venir se blottir. << Elle prononce très certainement une phrase. Mais ce ne sont que borborygmes et onomatopées inintelligibles. Nous en rions aux éclats avant même d'avoir repris tous nos esprits. L'envie de pisser est rapidement une torture et il faut se lever. Nous courons aux toilettes. De l'eau froide sur les visages avant de revêtir nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café en pouvant enfin articuler la phrase inaudible du réveil : << Je rentre à midi. Même si ce n'est qu'une heure et quart. J'ai envie d'être avec toi ! >>.

J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Le lundi il reste de la brioche. Un petit supplément sucré à notre petit déjeuner salé. Car ce matin c'est bacon et œufs sur pain grillé. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les temps forts de notre week-end. Les marchés de Noël, la visite au haras. Le voyeurisme discret de Séverine, la jeune cavalière. Clémentine n'a pas manqué de le constater elle aussi lors de notre visite chez Juliette en début d'après-midi. Il va être 7 h25. Il faut mettre chaque seconde à profit. Nous remontons pour l'entraînement. Comme la chambre, la salle d'entraînement n'est chauffée qu'à 12°. C'est donc motivant. Les échauffements aérobics. Le jogging sur tapis roulants. Exercices abdominaux. Charges additionnelles. Les étirements d'un stretching bâclé. La douche.

Habillé le premier, je dévale une nouvelle fois les escaliers pour enfiler mon anorak. Il va être 8 h40. La température est de 4°. Le ciel est plutôt menaçant. Pas un souffle de vent. Je sors l'auto du garage pour la faire chauffer. Clémentine vient me rejoindre. Aujourd'hui vêtue d'un pantalon brun à plis et à pinces. De son blouson d'épais cuir brun doublé de fourrure. Ses bottines brunes. Un béret brun, une épaisse écharpe de laine crème. Ses bras autour de mon cou pour de derniers bisous. Je la félicite pour son élégance, ses goûts et sa classe. En s'installant au volant elle me dit : << À tout de suite. Je suis contente de te revoir à midi ! >>. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. C'est en courant que je rentre me mettre au chaud. Faire notre vaisselle. Faire notre lit.

J'allume une belle flambée dans la cheminée de l'atelier. Assis devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans une douce plénitude, bouche ouverte. Ce qui me fait baver de contentement. Il va être midi. Je mets deux bûches sur les flammes avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Deux filets de saumon fumé à la poêle. Je fais l'assaisonnement d'une salade de carottes. Je concocte une sauce à la moutarde. Il n'est que midi vingt cinq. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou, toute heureuse. Je la soulève pour l'emmener aux toilettes et à la salle de bain du bas. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Son cours de physique. Des anecdotes concernant ses étudiants. J'écoute avec attention.

Pour ce soir je propose un gratin de brocolis. << Génial ! >> s'écrie t-elle en venant s'assoir sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Nous avons un peu de temps. Pas question de faire la vaisselle, je m'occuperai de tout après son départ. Elle m'entraîne au salon. Dehors le ciel est bas, sinistre. << Je resterais bien avec toi ici, bien au chaud. Les salles ne sont pas chauffées au-delà de 20° à l'université ! >> me confie Clémentine en déboutonnant mon Levis. Assise sur le bord du canapé, ses mains sur mes hanches, elle hume ma queue, les yeux fermés. Je bande mou. Je saisis ma bite à sa base, entre le pouce et l'index. Je la frotte sur son visage en murmurant : << J'aime quand tu rentres à midi ! >>. D'un gracieux mouvement de tête, Clémentine gobe l'extrémité de mon prépuce.

Il n'est évidemment pas question de nous offrir une véritable pipe. << Juste un digestif ! >> chuchote ma pompeuse quand je lui fais remarquer qu'il est 13 h30. C'est frustrée qu'elle cesse de mâchouiller et de suçoter la peau fripée qui recouvre mon gland. Il y a du jus qu'elle tire une dernière fois avant de se relever. Nous nous brossons les dents dans la salle de bain du bas. Un dernier pipi. Le blouson, l'anorak. C'est sous les premières gouttes et sous le parapluie que nous traversons la pelouse. Ses bras autour de mon cou pour de derniers bisous, Clémentine fait : << J'ai apprécié. Je vais rentrer à midi tous les jours. Tant pis pour le temps perdu en voiture. Et ça me permet de me toucher en roulant ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je tempère toutefois un peu cet enthousiasme en précisant qu'il est peut-être stupide de perdre ce temps sur la route. En s'asseyant au volant, elle répond : << Tu as peut-être raison ! >>

Je la regarde partir. Je rentre en courant pour retourner au sec. Je coupe les branches de quatre gros brocolis. Je les laisse tremper dans de l'eau vinaigrée. Je concocte le mélange œuf, crème fraîche et lait de soja. Pendant que le brocolis est ébouillanté dans l'autocuiseur, je râpe une tonne de ce délicieux gruyère Suisse. Gruyère d'Appenzeller que je recommande. J'égoutte le brocolis pour le disposer dans le plat carré en terre cuite. Je verse le mélange. Je recouvre de gruyère. Je saupoudre de chapelure. De graines de sésame grillées. Des cerneaux de noix. Au four électrique pour laisser mijoter longuement à seulement 100°. La vaisselle. Il est quatorze heures quinze quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans les mêmes douces plénitudes. L'après-midi passe si vite.

Du bruit. Il est donc déjà seize heures trente ? J'adore l'entendre chantonner lorsqu'elle s'affaire avant de venir me rejoindre dans la grande pièce. J'anticipe. Je pose ma palette, mes pinceaux. Elle ouvre enfin la porte pour se précipiter vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte son après-midi. Clémentine a encore ses travaux de préparations pour ses cours de demain. La voilà installée devant son ordinateur. Tout en continuant à me passionner de ses narrations. Nous passons encore là une heure trente d'un partage magique. Il pleut. Des bourrasques jettent des paquets d'eau contre les deux grande baies vitrées de l'atelier. Dix huit heures. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine, après avoir rangé ses affaires, me rejoint au petit lavabo.

Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Je me lave les mains. Je me les essuie alors qu'elle secoue les dernières gouttes. Elle se penche pour suçoter les reliquats. Je saisis sa natte. Je lui enfonce toute la queue encore molle. Elle en tousse, un spasme secoue tout son corps alors qu'elle pousse un râle. C'est le moment choisi pour lâcher ma giclée scélérate. Clémentine commence à s'y attendre. Méfiante et sur ses gardes malgré tout. Totalement surprise par ce comportement, elle s'accroupit. Maintenant son équilibre en me tenant les cuisses. Je ne lâche pas mon étreinte. Elle est rapidement prise à mon jeux. Tombant à genoux pour me tailler une pipe des familles. Soudain, au-dessus de nos têtes, le bruit sourd revenu depuis trois semaines. J'aide Clémentine à se relever. Je me penche pour masser ses genoux. Je me redresse. Nous écoutons.

L'entité semble se déplacer d'un pas hésitant ce soir. Aucun gond d'aucune porte ne grince. Des patins empêchent les portes de claquer fortement. Et pourtant nous entendons distinctement grincer les portes avant que ces dernières ne claquent violemment. Ces inexplicables phénomènes ne durent que deux à trois minutes. Le silence qui les suit est peut-être plus angoissant encore. Clémentine contre moi, serrée dans mes bras, me dit : << Juste quand ça commençait à être juteux ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. << Viens ! >> me fait elle en m'entraînant par la main. Juste le crépitement des dernières braises. Dans l'obscurité, elle me fait tomber dans le vieux canapé. Se mettant à genoux sur un des coussins, elle reprend sa fellation. J'entends les gargouillis. Le bruit bulleux si caractéristique d'une pipe de qualité. Je caresse sa tête. Parfois je me penche pour déposer une bise sur son front lorsqu'elle cesse pour déglutir.

Quand elle y retourne pour la cinquième ou sixième fois, je murmure : << Ce soir, je ne te fais pas l'amour, je te baise ! >>. Elle s'arrête, se lève, vient se positionner, ses genoux de chaque côté de mes cuisses, ses bras autour de mon cou pour répondre : << Mais avec plaisir cher monsieur ! >>. Il commence à faire faim. Elle se lève, saisit ma main pour m'entraîner. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de sortir le plat du four électrique pour le mettre dans la fournaise du four à bois. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement de deux endives. En nous faisant des bises. En glissant nos langues dans nos bouches. Il faut surveiller le four car il n'existe aucune technologie pour contrôler un four de cuisinière à bois. J'en sors un plat doré et fumant. Une odeur à en perdre la raison. Nous savourons ce gratin de brocolis avec tous les honneurs qu'il mérite. Clémentine se lève, emmène son assiette. Elle adore manger sur mes genoux.

Nous ne traînons pas longtemps. La vaisselle. Impatients de nous aimer comme des fous, c'est en courant que nous passons au salon. Pendant que j'allume les deux grosses bougies du candélabre, Clémentine retire bottines, pantalon et culotte. Juste en pull et en grosses chaussettes elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille. Je la promène dans toute la grande pièce. Dans la pénombre. Pour revenir la déposer dans le canapé. À genoux sur un des épais coussins, je me régale des sucs de sa journée de femme. Mes amis ! Peut-on imaginer un dessert plus exquis ! Je suce son clitoris géant. Je fouille les plis et les replis des lèvres de ses intimités. Quand je commence par le cunnilingus, c'est imparable. Sa préférence. Je lui offre son premier orgasme après seulement une dizaine de minutes de léchouilles, de suçages et de caresses du bout de l'index. Son orgasme pisseux que je recueille dans la cuvette toujours prête à cet effet.

Elle ne s'y attend pas. Je la saisis par sa natte pour la faire coucher sur l'épais tapis. Le coussin sous sa nuque. Je me positionne. En appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Je m'introduis lentement. Ça rentre comme dans du beurre. Totalement étonnée par la succession de mes initiatives, Clémentine se suspend à mon cou, à ma taille avec ses jambes. Je l'emmène dans un tourbillon tempétueux. Je pratique la "machine à coudre" en poussant des cris d'ours en rut. Elle harmonise les siens en les modulants. La tête renversée en arrière, les yeux fermés, totalement en phase avec mes coups de reins déments. Je la baise comme promis. Cessant pour reprendre mon souffle. Repartant de plus belle. Clémentine se masturbe toujours quand elle est pénétrée. Je guette. Je veux que le second orgasme soit encore plus majestueux que le premier. Je l'encourage à sucer Yanis, son collègue professeur. << Je t'aime ! >> s'écrie t-elle avant de se cambrer, de pousser un véritable hurlement. De l'avoir encouragé à tailler une pipe à son collègue semble avoir déclenché un orgasme cataclysmique.

Bonne nouille à toutes les coquines qui adorent en savourer le jus de cuisson sous les draps. Surtout en écoutant le possesseur du spaghetti encourager leurs fantasmes de pipes à un collègue de boulot...

Julien (spaghetti man)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Les petits rituels de la vie quotidienne
Wednesday 4 December 2024 07:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 46 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2784 -



Le mardi, Clémentine termine à midi

Presque sept heures, hier matin, mardi. Les enchantements d'un réveil sylvestre. Gazouillis d'oiseaux, bruits d'une source. Quarante cinq secondes. Clémentine vient se blottir. Quelques papouilles, quelques bisous, prolongeant ainsi cette zénitude. Il faut toutefois se lever. Nous courons aux toilettes avant de passer à la salle de bain. De l'eau froide rafraîchit nos visages. Vêtus de nos tenues de sport, morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement la flambée de la cuisinière à bois. Écoutant Clémentine me raconter ses rêves en préparant notre café. Quand elle termine à midi, il règne une ambiance euphorique. J'adore. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre lundi soir. << Tu sais que je vais encore me toucher au volant ce matin ? >> lance t-elle.

Nous en rions de bon cœur. Elle précise quand même : << Rassure-toi, je suis prudente ! >>. Nous mangeons en évoquant la possibilité d'aller en ville cet après-midi. Les marchés de Noël connaissent moins d'affluences qu'en soirée. Beaucoup moins que le week-end. Sept heures vingt cinq. Nous remontons. Notre séance de gymnastique dans une certaine déconne. Aérobic d'échauffement. Jogging sur tapis roulants. Exercices abdominaux. Tout cela, dans une certaine mesure, permet quelques facéties. Mais là où ça ne rigole plus c'est en pratiquant les charges additionnelles. Le retour au calme avec les étirements d'un agréable stretching. La douche. Je suis toujours habillé le premier pour redescendre. Anorak. Je sors dans le froid glacial pour faire chauffer la voiture. 4 degrés.

Le ciel est gris, bas et sinistre. Clémentine me rejoint dans son élégance habituelle. Toute de noire vêtue. La seule touche de couleur étant son écharpe de laine crème. Ses bras autour de mon cou pour quelques bises, elle me dit : << Pourquoi ne viendrais-tu pas en auditeur libre les mardis matins ? >>. Je trouve la proposition exquise. Je réponds : << Je vais y réfléchir. C'est quoi déjà la matière que tu enseignes le mardi ? >>. En s'installant au volant, elle dit : << Physique appliquée ! >>. Je la regarde partir. Un dernier coucou. C'est au pas de course que je rentre au chaud. Je fais la vaisselle, je recouvre le lit avant de redescendre dans l'atelier. J'y allume un beau feu dans la cheminée. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans l'euphorie qui subsiste.

Il va être midi. Je nettoie les pinceaux, mon matériel. Je place deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Une grosse bûche dans l'âtre de la cuisinière à bois. Je n'ai qu'à préparer l'assaisonnement d'un concombre pendant que réchauffe les restes du gratin de brocolis. Il n'est que midi vingt quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Ma complice m'entraîne aux toilettes et à la salle de bain du bas. Pendant qu'elle se lave les mains, j'ai mes bras autour de sa taille. Nous nous sourions dans le miroir. J'aime quand la femme que j'aime prend toutes les initiatives. Qu'elle prend ma main pour m'entraîner. Nous mangeons de bonne appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << Tu devrais venir les mardis matins, je projette des diapos pour étayer mon cours ! >> précise t-elle.

Je promets d'y réfléchir. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, ma compagne propose le programme. La préparation de ses cours jusqu'à quinze heures puis départ pour la ville. Je trouve le timing parfait. La vaisselle. Nous nous brossons les dents en bas. Clémentine mime une fellation en me faisant des clins d'œil. Après nous êtres essuyés, notre baiser a le goût de la verveine. Nous nous rendons dans l'atelier. Assise devant son ordinateur, Clémentine chantonne. Je prépare le calque du dessin préparatoire de ma prochaine toile. Assis à la même table, comme des écoliers faisant leurs devoirs. Parfois juste le crépitement dans la cheminée. Il est un peu plus de quinze heures. << Et voilà ! Tranquille ! Terminé ! >> s'exclame ma professeur.

Nous quittons la grande pièce pour monter. Je me change. Un Levis "brut". Chemise d'épais coton sous un pull bleu nuit. Mes bottines noires. Nous dévalons les escaliers. Quelques poses loufoques devant le grand miroir de la penderie dans le hall d'entrée. Je revêts mon blouson d'épais cuir noir matelassé. Une écharpe de la même couleur que celle de ma compagne qui remet son manteau. C'est avec sa voiture que nous prenons la direction de la ville. Je suis prié de conduire. Dans la voiture d'une femme il y a plein de trucs, et ça sent bon. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en revenant sur d'amusantes anecdotes de sa matinée. Elle s'est très rapidement adaptée à sa nouvelle vie de professeur. Vingt kilomètres. Je gare l'auto sur le parking du centre Leclerc. Pratique.

Nous pourrons y faire quelques achats avant de rentrer. Estelle nous rejoint pour dix neuf heures. Nous n'avons rien préparé à manger. On fera simple. Il y a dix minutes jusqu'au centre ville. Je remballe mon érection avec quelques difficultés sous les rires de ma comparse. C'est en nous tenant les mains gantées que nous marchons d'un bon pas. Le ciel n'est pas réellement menaçant mais annonce déjà le crépuscule. Les décorations de Noël partout et pas toujours de très bon goût. Nous nous réjouissons pour retrouver celles qui nous attendent à Édimbourg d'ici deux semaines et demi. Les marchés de Noël présentent une toute autre ambiance quand il fait encore jour. << Je préfère, il y a l'atmosphère de quand j'étais petite ! >> me fait Clémentine. Je partage complètement le ressenti.

Il y a beaucoup moins de monde. C'est un réel plaisir d'évoluer dans les allées sans risquer d'être bousculé ou de bousculer. On peut prendre le temps de découvrir ce que proposent les chalets. Les commerçants sont plus affables et plus souriants. Il y a un Père Noël qui se balade. Je propose à Clémentine de poser avec lui pour quelques photos. Avec un des grands sapins en arrière plan. C'est un grand gaillard qui doit avoir ma taille, déguisé avec goût. Sans doute un employé municipal qui s'acquitte de son "extra" avec zèle. Jouant son rôle à la perfection. Deux photos à côté de la margelle du puits. Nous nous offrons une gaufre au sucre de canne. Nos lèvres sucrées qui se frôlent. Non messieurs dames, la splendide jeune femme à mon bras n'est pas ma fille. Nous nous en amusons.

Il y a trois marchés. Deux grands et un plus petit plutôt consacré à l'Art de la table. Aux Arts de la maison. On y découvre de très belles choses. Des nappes aux tissus de fêtes. Chaque année la ville présente un nouveau tissu. Cette fois ce sont des dessins magnifiques aux teintes sépias. De toutes beautés. Même tissu pour de la literie. Nous hésitons. Finalement Clémentine, dans sa sagesse, précise : << Tu as envie de dormir dans des draps de Noël en été toi ? >>. Nous en rions de bon cœur. La nuit est tombée. Nous flânons encore un peu en tenant nos gobelets de chocolats chauds. Au retour nous entrons dans le supermarché. Clémentine a la bonne idée. De toutes petites pommes de terres précuites et cuisinées sous vide. Trois "roulés" de dinde farcies. Ça se réchauffe tout simplement.

Clémentine téléphone à Estelle. Il est préférable de la prévenir. Pas qu'elle prépare à manger. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce parfois. Il est pile dix neuf heures quand nous revenons à la maison. Le Kangoo d'Estelle garé devant la dépendance. De la lumière à la cuisine. Nous rentrons au chaud. Estelle me saute au cou, m'embrasse, passant sa langue sur mes lèvres en s'écriant : << Vous avez mangé des trucs sucrés ! >>. Elle embrasse Clémentine avant de faire la même remarque. Nous lui racontons. Les assiettes et les couverts sont sur la table. Une salade d'endives. Il suffit de mettre à la poêle les pommes de terre et les "roulés" de dinde. Estelle tripote ma braguette en me demandant : << Tu t'es déjà fait sucer aujourd'hui ? >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine répond : << Oui, je m'en suis occupée sur le retour ! >>. Estelle déboutonne mon 501 en s'accroupissant. << À moi ! >> fait elle.

Clémentine surveille les cuissons alors qu'Estelle me taille une pipe des familles. Juste une petite minute. Elle se redresse en lançant : << Quand il s'est passé des trucs ta bite est hyper juteuse. J'adore ! >>. Clémentine s'écrie : << C'est prêt. Il n'y a plus qu'à s'assoir ! >>. Nous mangeons de bon appétit. Même si ce n'est pas de la bouffe "maison" c'est rudement bon. Estelle nous raconte ses journées au bureau, dans l'entreprise familiale, en compagnie de sa maman. << J'ai l'impression d'avoir fait "expert comptable" ! >> précise t-elle. Nous ne traînons pas. C'est le cérémonial de la "baise sur bureau" qui nous attend au salon. Estelle qui devra nous laisser pour vingt deux heures, prend toutes les initiatives. Dès la vaisselle faite, nous nous précipitons au salon. Les filles se dessapent pour rester en pulls et en grosses chaussettes. Je suis prié de n'avoir que la bite qui pointe. Ce n'est pas très pratique mais comme je reste debout, ça ira bien.

Toutes les deux, en appui sur un seul coude, se masturbent en m'observant tourner autour du bureau sur lequel elles sont installées. Je me branle. Ce sont de grands moments que nous nous offrons là. Comme à chaque fois. Hypers excitants. Rien de mieux pour se mettre dans les toutes meilleures dispositions. Ce soir, je commence par Clémentine. Je frotte mon sexe sur le sien alors qu'elle tient son clitoris géant entre le pouce et l'index. Je m'immisce doucement. Elle se mordille la lèvre inférieure avant de se coucher sur le dos, la tête sur un des coussins que j'y ai déposé. Estelle, sans cesser de se toucher, pose sa bouche sur la sienne. Je les regarde s'embrasser passionnément, bouches rapidement baveuses qu'elles se lèchent en gémissant d'extase. Elles sont si belles ! Je passe à Estelle. Mon épée allant d'un fourreau à l'autre dans les cris et les spasmes. L'orgasme pisseux de Clémentine. L'orgasme trempé d'Estelle. Dans les hurlements.

Bonne nouille à toutes les coquines dont le jus de cuisson sous les draps est devenu le second dessert. Avant de s'endormir avec le goût du sperme et dans les bras de leur ours en rut...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 47 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2785 -



La soiré chez Juliette

Hier matin, mercredi, il n'est pas tout à fait sept heures. Un réveil dans une sorte de plénitude. Les bruits de la forêt. Quarante cinq secondes qui permettent de sortir du sommeil en douceur. Clémentine vient se blottir contre moi. En gémissant. Cette habitude participe de mon retour au réel. Au sien également. Des bisous, des câlins. Sans traîner car il faut se lever. Nous courons aux toilettes. De l'eau froide sur nos visages avant de nous habiller de nos vêtements sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Chacun sa tâche. Pendant que Clémentine s'occupe du café, des oranges, des kiwis, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Ce sera un petit déjeuner à l'Anglo Saxonne. Œufs et bacon. C'est exquis sur des tranches de pain grillé encore toutes chaudes couvertes de beurre salé.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos folies à trois avec Estelle. Elle reprendront jeudi soir à son retour. Il va être 7 h25. Nous remontons en courant. L'heure d'entrainement dont nous sommes addicts. Les échauffements de l'aérobic. Le jogging sur tapis roulants. Les exercices abdos. Les charges additionnelles. Le retour au calme d'un stretching bien trop rapide. La douche. Mon Levis, ma chemise à carreaux, mes baskets, je suis le premier à redescendre. L'anorak avant d'affronter les quatre degrés extérieurs. Le ciel est voilé mais clair. Même des coins de bleu ça et là. Je sors l'auto du garage pour la faire chauffer. Presque 8 h40. Clémentine me rejoint. Pantalons de velours beige. Blouson d'épais cuir brun, bottines brunes. Écharpe et béret beiges. Superbe.

Ses bras autour de mon cou pour de derniers bisous elle exprime le désir de rentrer à midi. << Je verrai, je t'appelle avant ! >> dit elle en s'installant au volant. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou et je me dépêche de rentrer au chaud. Faire la vaisselle et recouvrir le lit ne me prennent que dix minutes. Je descends dans l'atelier pour y allumer le feu dans la cheminée. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans la continuité de cette plénitude matinale. Il est onze heures trente quand mon téléphone se met à vibrer. Posé entre les tubes de peintures sur la desserte à ma droite. Je m'en saisis. Clémentine ne rentre pas à midi. Elle va manger avec un couple de collègue. Dans le petit salon de thé tout près de l'université. Elle a longtemps hésité.

N'est-il pas préférable de passer un agréable moment en bonne compagnie plutôt que de perdre trente minutes sur la route, aller et retour ? Je l'encourage toujours à la première option. L'appel ne dure même pas une minute, elle est encore en plein cours. Je mets deux bûches sur les flammes avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Pendant que gonfle le riz complet, que réchauffe deux gros nems au crabe, je fais l'assaisonnement d'un concombre. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde le sujet de la motion de censure qui fera tomber le gouvernement Barnier. Ce vieux cynique pathétique partira tout de même avec toutes ses retraites cumulées à 29 000 euros mensuels, alors qu'il demandait des sacrifices à toute la nation.

La vaisselle. Le brossage des dents. J'enfile mon anorak avant d'affronter les huit degrés extérieurs. Le ciel s'est couvert de lourds nuages bas. Menaçants. Je descends jusqu'à la rivière. J'y retrouve notre plus proche voisin. Monsieur Bertrand nourrissant les canards, les poules d'eau et les colverts. Nous bavardons. Bien évidemment une conversation axée sur cette motion de censure. Agitées et présentées par les médias propagandistes habituels comme un évènement d'une gravité extrême. Alors que tout cela n'aura strictement aucune incidence sur la vie des gens. Manœuvres anxiogènes utilisées comme pour cette fameuse guerre perdue en Ukraine ou encore comme pourle Covid. Tous ces mensonges orchestrés par de dangereux psychopathes avec la complicité des médias remontent d'ailleurs doucement à la lumière. Les vérités seront cinglantes. Tous ceux qui étaient traités de "complotistes" vont savourer ces révélations.

Nous remontons ensemble. Louis m'invite à faire le tour de sa propriété. À trois cent mètres en contrebas de la mienne. << Le bonjour à Clémentine ! >> conclue t-il alors que nous nous saluons. Il est treize quarante cinq quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en pensant à monsieur Bertrand, à sa bite minuscule que Clémentine adore sucer. Une de ses préférées me confie t-elle souvent. J'en ris. Ce retraité salace ne se doute pas un seul instant que je sais tout. Que je suis planqué pour le voir "manœuvrer" dans la bouche de ma compagne. Parfois en elle. Vieux salaud, à ton insu tu m'offres les délices du cocu. C'est sur ces amusantes considérations qu'il est déjà quinze heures trente. J'entends Clémentine chantonner pendant qu'elle s'affaire au WC.

La porte s'ouvre. Elle entre dans l'atelier en se précipitant vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas au salon de thé en compagnie d'Émilie et de Yanis. Je parle de ma rencontre avec monsieur Bertrand. << Celui-là, il faut que je me le suce un de ces jours ! >> lance t-elle en se levant. Elle a ses préparations à faire. Demain, jeudi, sera la "journée longue" de sa semaine. Assise devant son ordinateur elle revient sur quelques moments "chauds" en compagnie de notre voisin. Me confiant une fois encore à quel point elle aime le goût de sa bite. Je demande : << Et le goût de celle de Yanis, c'est pour quand ? >>. En éclatant de rire, elle répond : << J'aimerais bien que ce soit avant les vacances de fin d'année ! >>. Je l'écoute.

Clémentine est entrain de songer à différentes stratégies. Nous passons là deux heures et demi d'un plaisir intense, chacun à son travail. L'un se lève parfois pour venir faire une bise à l'autre. J'adore l'entendre chantonner, s'interroger, se relire. Dix huit heures. Je nettoie la palette, les pinceaux. Ma bite sur le rebord du petit lavabo de l'atelier, je me lave les mains. Clémentine qui vient de ranger ses affaires me rejoint précipitamment. Elle saisit ma queue toute molle pour en diriger les jets sous le filet d'eau bouillante. Son bras gauche autour de ma taille, penchée en avant pour ne rien perdre de ce spectacle dont elle raffole. Les vapeurs lui montant au nez. J'ai ma main droite sur ses fesses que je caresse. Elle secoue les dernières gouttes, se redresse et me regarde avec suspicion.

Elle sait ma ruse devenue habituelle. En me fixant dans les yeux, une expression amusée, sans lâcher mon chibre, Clémentine s'accroupit. Je serre les fesses pour me contenir, pour me retenir. Elle prend mon sexe en bouche sans cesser de m'observer. Dès que je vois ses joues se creuser, je lâche ma dernière giclée scélérate. Elle s'y attend maintenant. Et c'est en gloussant, s'enfonçant davantage de queue molle, qu'elle pompe comme une assoiffée. Je saisis sa natte. Elle se redresse en disant : << Salaud ! >>. Je la tire par sa natte. La forçant à marcher penchée jusqu'à l'une des deux chaises de la table. Je retourne la chaise sans relâcher mon étreinte. Assise, le dossier entre ses cuisses écartées, ses mains sur mes hanches, Clémentine me taille une pipe des familles. J'en ai le tournis.

Un bruit sourd au-dessus de nos têtes. Clémentine cesse. Je lâche sa natte. Elle se lève, contourne la chaise pour se serrer dans mes bras. Nous écoutons quelqu'un se déplacer à l'étage en traînant des pieds. Je débande rapidement en m'écartant pour ne pas risquer de tâcher le pantalon beige de ma complice. Ces phénomènes inexplicables ne dure pas plus de deux minutes. Le silence qui suit est tout aussi sinistre. Ça nous a coupé la chique. Nous sommes attendus chez Juliette pour dix neuf heures trente. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'au canapé. Il n'est que dix huit heures trente. Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, elle me confie à quel point elle est impatiente de retrouver Édimbourg. Oncle Alan et tante Amy. Je l'écoute en caressant ses sourcils du bout de l'index.

Ma bite colle contre sa joue. Elle s'en saisit entre le pouce et l'index, tourne la tête pour la suçoter quelques secondes avant de reprendre sa conversation. Une petite demi heure à partager nos souvenirs Écossais des fêtes de fin d'année. Ce Hogmanay que nous allons retrouver bientôt. La plus grande fête hivernale de l'Europe septentrionale et géographique. C'est inoubliable et nous y serons pour la septième fois consécutive. Clémentine se redresse. Mon foutre rend sa joue gauche luisante. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour monter. Je me change. Pantalon à plis et à pinces. Noir. Chemise blanche sous un pull noir au col en "V". Mes bottines noires. Clémentine reste dans son élégante tenue de professeur. Nous prenons des poses devant le grand miroir de la penderie.

Mon blouson d'épais cuir noir. C'est sous le parapluie que nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. C'est avec la voiture de Clémentine que nous parcourons les trois kilomètres qui nous séparent du haras. Une nuit noire et pluvieuse. Exactement 19 h30 quand je gare la voiture dans la cour. Je remballe ma bite. << Dommage ! Tu sais que tu pourrais la garder à l'air, ce n'est pas Juliette que ça dérangerait ! >> me fait Clémentine alors que nous traversons la cour. Une idée ! Juliette, dans sa tenue d'écuyère, vient nous accueillir. Des bises. Elle est encore hyper craquante ce soir. Splendide bourgeoise quinquagénaire. En montant derrière elle dans l'escalier, je descends la tirette de ma braguette. Ouverture béante sur mon slip de coton blanc. Juliette ne s'en rend compte que lorsqu'elle nous débarrasse de nos blousons. << Wouah ! >> s'exclame t-elle en découvrant ma surprise. Clémentine pousse le même cri.

Nous sommes invités à prendre place. Juliette nous a concocté une tourte aux champignons accompagnée d'une laitue en salade. Nous savourons ce repas en bavardant. Notre hôte nous raconte ses journées parfois harassantes. La conversation s'axe toutefois rapidement sur le sujet qui nous unit. Nos sexualités déviantes. Une fois encore Juliette propose une soirée gloryhole avant Noël. Clémentine me consulte du regard. Je l'encourage. << Ça m'a un peu passé le florilège des spermes différents ! >> précise une nouvelle fois ma compagne. Juliette insiste. Clémentine se contente d'un : << Je vais y réfléchir ! >>. Juliette revient à la charge : << Et mon nouveau palefrenier ? Tu n'as pas envie d'y goûter ? >>. Clémentine répond par une question : << Pourquoi ? Ça y est, tu l'as sucé ? >>. Notre amie s'écrie : << Pas encore mais je l'ai branlé, j'ai tenu sa bite pour le faire pisser. Il y a toujours quelqu'un qui se pointe avant ! >>

Nous en rions aux éclats. À plusieurs reprises durant le repas, je me lève pour agiter ma bite en direction de Juliette puis de Clémentine. Elles en rient en m'encourageant à persévérer. Mimant toutes les deux des masturbations masculines. Juliette nous propose de passer vendredi après-midi. << Il y a toujours le "plan" Séverine en suspend ! >> me précise t-elle. Nous promettons d'êtres là pour quatorze heures avant d'aller en ville. Juliette se tourne vers Clémentine : << Je te prépare le "plan" Elliot ? >>. À nouveau Clémentine me consulte du regard. Une nouvelle fois je l'encourage. << Il a une belle queue. Pas très longue et toute fine. Elle tire à gauche et est un peu tordue ! >> rajoute notre amie. Nous faisons la vaisselle ensemble avant de prendre une infusion. Clémentine joue avec ma queue alors que nous sommes vautrés dans le canapé. Juliette vautrée dans son fauteuil se touche. Nous restons jusqu'aux environs de vingt deux heures.

Bonne nouille à toute les coquines qui se font brouter sous les draps avant de s'endormir dans les bras de leur brouteur, le goût de son foutre en bouche...

Julien (brouteur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 48 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2786 -



Le jeudi c'est "journée longue"

C'est un peu avant six heures que nos profonds sommeils sont interrompus par l'ambiance sylvestre. Même si les gazouillis des oiseaux sont fort sympathiques au réveil, nous nous en serions volontiers abstenus. Quarante cinq secondes pour revenir au monde réel. Tout cesse. Clémentine vient se serrer contre moi. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. Pas un instant à perdre. Nous nous levons pour courir aux toilettes. De l'eau froide sur la tronche à la salle de bain avant d'enfiler nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Baskets. C'est en courant, morts de faim, que nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine s'occupe du café, des fruits, j'allume la flambée dans la cuisinière à bois. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction.

Le jeudi, c'est sa "journée longue". Aussi Clémentine est légèrement fébrile. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en compagnie de Juliette. Ses propositions. Clémentine n'est plus vraiment attirée par une nouvelle expérience gloryhole. << Je dois vieillir car l'idée même ne m'excite plus vraiment ! >> me confie t-elle. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en envisageant diverses options pour le repas de ce soir. Estelle vient passer la soirée avec nous. Je propose une Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui faisait les délices de nos jeudis soirs. << Génial ! >> lance ma compagne. Il va être 6 h25. Nous remontons en courant. Ce qui est déjà un excellent préliminaire à notre entraînement. L'aérobic. C'est un peu dur à démarrer ce matin avec nos échauffements.

Jogging sur tapis roulants. Exercices abdos, au sol, au banc et à la barre. Les poids et les haltères. Les étirements nécessaires d'un bon stretching pour revenir au calme. La douche. Habillé le premier je me précipite dans les escaliers. L'anorak, je sors dans le froid humide par 8°. Je sors l'auto du garage pour la faire chauffer. Il fait encore sombre. Tout est trempé des pluies de la nuit. 7 h40. Clémentine me rejoint dans son élégance matinale. Aujourd'hui son manteau à discrets carreaux gris. Un pantalon noir à plis. Ses bottines grises. Son béret et son écharpe crèmes. Ses bras autour de mon cou pour de derniers bisous. << Je rentre à midi. Je veux te voir au moins une heure avant ce soir où je ne rentre qu'à dix huit heures trente ! >> me dit elle. << À tout à l'heure ! >> fait elle en s'asseyant au volant.

Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je m'empresse de retourner au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit avant de redescendre dans l'atelier. J'y allume une flambée dans la cheminée. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins en préparant mentalement le repas de midi. Il faut qu'il soit bon si déjà la femme que j'aime vient me rejoindre. La matinée passe encore si vite. Il est onze heures trente. Je mets deux bûches sur les flammes avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Une bûche dans l'âtre de la cuisinière à bois. Je descends à la cave, au cellier, pour y récupérer les poireaux, les champignons, deux escalopes de dindes et la pâte feuilletée dans le congélateur. J'ai tout ce qu'il faut pour me mettre aux préparations. Je fais bouillir l'eau pour y plonger des pommes de terre épluchées et lavée. Je fait revenir ail, oignon, champignons dans la poêle.

Je concocte une sauce au Roquefort. Je rajoute les deux escalopes de dindes salées et poivrées dans la poêle. Dans une seconde poêle je fais revenir les pommes de terre pour les faire rissoler. J'y dépose de fines tranches de fromage à raclette. Je recommande la marque "Marie-Anne Cantin" sans en faire la publicité. Juste parce que c'est vraiment la meilleure. Si déjà ! Je lave et coupe les poireaux. Je les ébouillante dans l'eau des patates que j'ai conservé. Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute la moitié des champignons de la poêle. De ce délicieux Appenzeller Suisse que je râpe assez grossièrement. La pâte feuilletée a complètement dégelé au-dessus de la cuisinière à bois. En même pas une demi heure. Je peux étaler les deux tiers dans le grand plat à tarte aux bords hauts. Je rajoute les poireaux égouttés à la Béchamel avant de verser le tout sur la pâte. Puis recouvrir du dernier tiers de pâte en joignant les bords.

Je badigeonne du mélange œufs, moutarde et lait de soja. Au four électrique. Feu doux à 150° afin de laisser mijoter longuement. Voilà notre Flamiche Picarde à la cuisson. Sur ces entre faits il est midi vingt. Clémentine rentre de cours. Toute contente de revenir. Elle me saute au cou. Je l'emmène à la salle de bain du bas. Nos rituels pisseux avant qu'elle ne se lave les mains. Je suis derrière elle, mes bras autour de sa taille à lui murmurer des : << Je t'aime ! >>. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine découvre la surprise de ce repas. Elle me raconte sa matinée de mathématiques. Ses étudiants travailleurs. Cet après-midi elle donnera cours en laboratoire de physique. Sa "journée longue" du jeudi se déroule sur huit heures. Demain matin, vendredi, ce ne seront que trois heures. Nous irons ensemble à l'université car c'est devenu une nouvelle habitude. J'assiste à son cours en auditeur libre. Je m'éclate à voir ma professeur.

Nous pouvons traîner à table. Je m'occuperai de la vaisselle après son départ. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, la femme que j'aime fait mille projets pour le week-end. Nous retournerons aux marchés de Noël. Nous en mettre plein les yeux car cette année ils sont magnifiques. << Tu me la donnes un peu avant que je parte ! >> dit elle en se levant. Elle s'accroupit entre mes jambes. Je propose qu'elle prenne ma place sur la chaise. La position sera beaucoup plus confortable. J'extrais ma bite de mon 501 à la braguette déboutonnée en permanence. Clémentine joue un peu avec ma queue toute molle. << Mmhh, je les préfère toutes molles ! >> gémit elle avant de la gober d'un gracieux mouvement de tête. Je caresse sa nuque, en soulevant ses cheveux.

Il ne nous reste qu'une dizaine de minutes. Clémentine se goinfre. Ses joues creusées par l'effort de sussions déforment son visage. C'est juste à la bonne hauteur. Il va être treize heures trente. Je me retire. Un long filament de jute visqueuse et gluante relie sa bouche à mon prépuce fripé. Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine se lève, me saisit la queue pour m'entraîner jusqu'à la salle bain. Nous nous brossons les dents. Nous mettons manteau et anorak pour sortir. Il pleut. Les derniers bisous sous le parapluie. Je la regarde partir. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle. Il est presque quatorze heures quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé de toutes les délicieuses émotions que m'a laissé la femme merveilleuse qui partage mon existence.

Du bruit. Il est dix huit heures quinze. Ce n'est pas Clémentine qui entre comme un ouragan dans l'atelier, c'est Estelle. Je suis devant le petit lavabo à me laver les mains, la bite posée sur le rebord. Estelle se précipite sans même un autre regard que pour ma queue. Une rapide bise et elle s'en saisit pour en diriger les jets. << Mercredi soir je me suis faite tringler par parrain comme jamais. Il n'arrête plus de prendre par derrière ! >> me confie t-elle. Je demande : << Tu veux que je me mette à t'enculer moi aussi ? Tu sais que je déteste ça ! >>. Estelle précise à mon grand soulagement : << Non je préfère quand tu me baises "normal". J'ai deux queues. Une pour ma chatte, une pour mon cul ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Et quand je rigole en pissant il vaut mieux me la tenir fermement. Au risque que ça gicle partout. Estelle secoue les dernières gouttes en rajoutant : << Baise-moi ce soir, comme une brute. Sel te plis ! >>

C'est cette scène quelque peu baroque que Clémentine découvre en entrant à son tour dans l'atelier. Elle se précipite pour nous faire des bises. Estelle lui roule une pelle sans lâcher mon Zob. Quand elle cesse c'est pour agiter mon érection en disant : << Suce ! >>. Clémentine obéit immédiatement en s'accroupissant. C'est dans ma bouche qu'Estelle fourre sa langue. Je n'ai pas préparé ma ruse. Pas de giclée scélérate ce soir. Estelle s'accroupit pour prendre le relai alors que c'est Clémentine qui m'embrasse. Soudain, ce bruit sourd, annonciateur des phénomènes inexplicables qui se produisent à l'étage. Le fantôme se manifeste comme à l'accoutumée, semblant errer sans but durant une minute, peut-être deux. Une chaise qui ripe sur les lames du plancher de chêne. Puis plus rien.

Nous restons serrés tous les trois en écoutant. Il y a une chose qui nous tourmente bien davantage. La faim. Nous nous précipitons vers la porte pour quitter la grande pièce. Je sors la Flamiche Picarde du four électrique pour la mettre dans la fournaise du four à bois. Le temps de faire l'assaisonnement de deux belles endives, de mettre les assiettes et les couverts. Pas de sonnerie dans un four à bois. Accroupie devant la vitre fumée, Estelle surveille la cuisson. M'observant dans le reflet alors que je me branle. Elle sait que rien ne flatte davantage ma libido que de voir une femme accroupie, de dos. Clémentine remue la salade en faisant une bosse de sa langue à l'intérieur de sa joue. Un clin d'œil. Enfilant les maniques, Estelle ouvre le four pour en retirer la tourte aux poireaux, dorée.

Nous savourons ce délice en revenant sur nos projets du week-end. Demain ce sera la Saint Nicolas. Estelle nous a ramené des petits pains en forme de bonhomme, fourrés aux pépites de chocolat. << Une tradition Allemande ! >> précise t-elle. Ce sera pour le petit déjeuner. << C'est ma mamie du Var qui les a fait ! >> rajoute t-elle. Il y en a six. Ce soir il est évidemment prévu le cérémonial de la "baise sur bureau". Estelle nous raconte la façon de procéder de Jean-Marc. Son parrain ne fait plus que l'enculer depuis le début de l'automne. << Il a pris du poids. Quand je lui tiens la bite pour le faire pisser, il ne voit même plus sa bite ! >> explique t-elle. Nous en rigolons comme des bossus. Je demande : << Et ça y est, il aime la pipe ? >>. Estelle s'exclame : << Pas du tout ! Ça me frustre. J'aimerais bien sucer la queue de ce salaud ! Il est encore plus vicelard que toi ! >>. Clémentine qui y a gouté jadis s'écrie : << Foutre délicieux ! >>

Dès les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle, mes deux anges m'entraînent au salon. << Branle-toi ! >> lance Estelle alors qu'elle retire ses bottines la première. Toutes les deux, juste en pulls et en grosses chaussettes, s'étalent sur le bureau. Estelle devra nous laisser pour vingt deux heures. Elle se montre la plus impatiente. Je les rejoins avec les coussins afin qu'elles puissent y poser leurs têtes. Toutes les deux se masturbent. Je prépare la cuvette en plastique que je pose à côté de clémentine. C'est contre son sexe que je frotte le mien avant de la pénétrer. Toutes les deux s'embrassent passionnément. Je passe de l'une à l'autre dans un concerto pour gémissements en râles majeurs. Mes cantatrices restent dans le registre soprano en interprétant la Traviata façon Marc Dorcel. Ce soir encore, c'est Estelle qui hurle de jouissance la première. L'orgasme pisseux de Clémentine la subjugue. Me fascine. C'est dans la bouche d'Estelle que je jute.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se réjouissent des folies prévues pour le week-end. Blotties dans les bras de leur tringleur fou. Nous retrouverons nos lectrices et nos lecteurs dès lundi matin pour de nouvelles aventures. Bon week-end à toutes et à tous...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 49 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2787 -



Le marché de Noël

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Nous sortons du sommeil très certainement en même temps. Je suis entre mes deux anges dans un enchantement paradisiaque. Leurs têtes posées sur ma poitrine. Estelle jouant avec mon érection matinale et toute naturelle. Clémentine malaxant délicatement mes couilles. Mes bras autour de leurs épaules. Nos folies à trois de la veille au soir nous laissent quelques douces séquelles. Car il nous faut quelques minutes pour bien situer les choses. Pour revenir aux réalités. L'impérieux besoin de pisser y participe. Estelle se lève d'un bond pour courir vers la porte en s'écriant : << Pipi. Je vous attends en bas. Je prépare le petit déjeuner. Venez vite ! >>

Clémentine descend sa tête pour gober ma turgescence. C'est une bien étrange sensation sans excitation. Cela ne dure que quelques instants avant qu'elle ne remonte à la surface. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. De passer à la salle de bain pour nous passer de la flotte sur les visages. D'enfiler nos Levis, nos chemises à carreaux, nos baskets. Le pyjama mauve d'Estelle sur le tabouret. Elle est donc déjà vêtue elle aussi. Morts de faim nous dévalons les escaliers où flottent les suaves odeurs du café, du pain grillé. Estelle chantonne en pelant les kiwis. Je me place derrière elle, mes bras autour de sa taille, mes lèvres dans sa nuque. Clémentine derrière moi, je suis pris en sandwich. La brioche est géante. J'en coupe des tranches. Clémentine fourre sa main dans ma braguette.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre samedi après-midi à randonner. Et tout spécialement sur la soirée après le repas. Un de ces jeux de rôles dont nous raffolons. Je félicite Estelle pour la qualité de son "jeux" pute. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en établissant très sommairement le programme de ce dimanche. Dehors c'est exactement la même météo. Des séquences ensoleillées et une température plutôt clémente. Nous avons en projet de nous refaire les marchés de Noël de la ville. De traîner à table, mes deux anges installées sur mes genoux, est un autre plaisir. Leurs bras autour de ma taille, de mon cou alors que je caresse leurs dos, montant jusqu'à leurs nuques que je saisis parfois fermement pour des distributions de bisous.

La vaisselle. Nous remontons nous brosser les dents, faire le lit. Estelle réunit ses affaires. Elle devra nous laisser ce soir pour vingt deux heures. Nous redescendons à toute vitesse pour enfiler nos anoraks. Pas un souffle de vent. Dix degrés alors qu'il n'est que dix heures. Nous allons jusqu'à la rivière. En cette fin d'automne les sols ne sèchent plus vraiment. Nous retrouvons nos amis à plumes. Canards, poules d'eau et colverts. Tout ce petit monde s'ébat sur la surface de l'eau en cancanant de plus belle. Les filles me tiennent par les bras. Nous prenons le sentier facile sur la gauche. Estelle ouvre la marche, se retournant parfois pour me faire une bise, palper ma braguette. Je me retourne alors à mon tour pour reproduire avec Clémentine. Une très agréable journée s'annonce.

Nous sommes de retour pour onze heures quinze. Estelle s'occupe du poulet à rôtir. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de choux et de carottes. J'épluche, je lave et passe les pommes de terre au coupe frites. Une préparation méthodique où j'écoute les filles faire mille projets pour nos vacances de fin d'année. Nous prendrons l'avion pour Édimbourg samedi 21 décembre. À dix heures. Changement à Londres. Pour arriver vers 15 h. Normalement ! Et cette date se rapproche. Les rendant toutes les deux assez fébriles. Durant les préparatifs, à chaque fois que nous nous croisons en tournant autour de la table, nous échangeons des bisous. Nos mains remontant l'intérieur de nos cuisses pour nous caresser. C'est Clémentine qui fourre sa main dans ma braguette la plupart des fois. Nous rions de cette course aux tripotages. C'est à la première arrivée.

Nous savourons ce délicieux repas en évoquant les souvenirs de notre séjour Écossais de cet été. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une de ses masturbations masculines avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. C'est toujours un spectacle de voir une superbe jeune femme imiter ce genre d'attitude. Prenant même une des bananes de la corbeille à fruits pour la placer dans sa braguette. Bien coincée. Nous applaudissons quand elle la rattrape juste avant qu'elle ne tombe. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges dissertent sur la la possibilité de nous imposer des défis cet après-midi. Le mien étant de sortir discrètement ma bite. Je ne sais vraiment pas comment cela sera possible. << On met nos manteaux et voilà ! >> suggère Clémentine.

La vaisselle. Nous remontons nous brosser les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous nous changeons. Les filles en jupes kilts. Bas noirs pour Clémentine. Collants noirs pour Estelle. Chemisiers d'épais cotons blancs sous les pulls noirs à cols roulés. Souliers noirs à légers talons. Pantalons noir à plis et à pinces pour moi. Chemise, pull. Mes bottines noirs. Nous dévalons les escaliers pour prendre des poses devant le grand miroir de la penderie. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche qui s'accroupissent en même temps. Me tenant les jambes, leurs têtes contre mes hanches, leurs cuisses largement écartées. Le blanc fluorescent de la culotte de Clémentine bien visible grâce à son porte-jarretelles noir. Je pose mes mains sur leurs cheveux.

Je saisis leurs nattes pour les faire se relever en disant : << On se fait une soirée "dressage" samedi prochain, ça vous tente ? >>. Estelle sautille autour de moi en disant : << Et on filme ! >>. Clémentine fourre sa main dans ma braguette ouverte en lançant : << En voilà une excellente idée ! >>. Nous mettons nos manteaux noirs. Nos chapeaux "Borsalino". Nous sommes très élégants et nous adorons ça. Il faut rester sur les dalles de grès pour traverser cette partie de la propriété jusqu'au garage. C'est parti. Il y a vingt kilomètres jusqu'au parking du Leclerc. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière Estelle caresse mon cou en revenant sur notre prochain séjour à Édimbourg. Je gare l'auto sur un parking où il ne reste que quelques places. Tout est ouvert.

Les gens peuvent faire leurs courses au supermarché comme à n'importe quel autre jour de la semaine. Et pour les trois dimanches à venir. La température est de 14°. C'est très agréable. << Tu ne remballes surtout pas ta queue, je veux l'avoir sous la main quand je veux ! >> me lance Estelle Nous sortons de la voiture pour fermer nos manteaux. Ma bite à l'air mais parfaitement invisible. Clémentine s'accroupit, cuisses largement écartées pour nous demander : << C'est comment ? >>. Estelle prend la même position pour répondre : << C'est comme ça ! >>. Elles rient aux éclats avant de se redresser. Accrochées à mes bras, nous prenons la direction du centre. Il y a une dizaine de minutes en marchant d'un bon pas. C'est un peu gênant d'avoir la bite molle, coincée par la tirette.

Nous retrouvons la foule. Déambuler dans les allées entre les chalets est une sorte de parcours du combattant. Mais nous l'avons souhaité. Aujourd'hui c'est Clémentine qui se montre la plus téméraire. Il est simple de glisser sa main entre deux boutons de mon manteau. C'est absolument divin de sentir ses doigts s'emparer de mon Zob. J'ai à chaque fois un frisson tout le long de ma colonne vertébrale. Personne ne pourrait s'en douter. Par contre certains commerçants remarquent nos agissements avec un sourire complice. Je bande quelquefois comme le dernier des salauds sous mon manteau. << Fais voir ! >> lance souvent Estelle quand Clémentine dit : << Wouah, le machin ! >>. J'adore quand elles se disputent le passage pour toucher. C'est toutefois raisonnable et discret. Nous faisons gaffe.

Clémentine nous montre l'extrémité mouillée de ses doigts lorsqu'elle retire sa main. Je dis : << Je vais avoir de sacrées taches sur la doublure intérieure de mon manteau ! >>. Nous en rions en reprenant la direction du supermarché. La nuit est tombée. Il est dix sept heures. En arrivant à la voiture, Clémentine propose d'aller faire un tour dans le Leclerc. << J'ai envie de faire ma salope. Pas vous ? >> lance t-elle. Il n'y a pas trop de monde dans les allées où nous errons. Accroupie, les cuisses bien écartées, feuilletant un livre tiré du rayonnage du bas, Clémentine se fait mâter par un solitaire. Estelle et moi restons à l'écart pour nous offrir le spectacle. Une discrète mais superbe exhibition de Clémentine. Le quidam n'en croit pas ses yeux et sait rester d'une grande discrétion.

Clémentine se redresse, penchée en avant, faisant semblant de lire les titres des bouquins. Elle s'accroupit à nouveau. Écartant ses cuisses avec une indécence folle. Les resserrant à chaque passage de clients ne se doutant de rien. Elle n'est d'ailleurs pas la seule jeune femme à être d'une grande élégance. Estelle me chuchote : << Ce soir je te taille une pipe ! >>. Je murmure : << Tu n'as pas envie que je te baise sur le bureau ? >>. Elle répond : << Non, quand on est dans ce genre de "plan" j'ai une méchante envie de me sucer une "barre" ! >>. Là-bas, Clémentine s'offre probablement de délicieux frissons. Le voyeur ne tente rien. Il est en jogging noir avec un anorak ouvert. Se touche t-il discrètement ? Impossible de le savoir car il nous tourne souvent le dos. Mais il mâte.

Pas la moindre manœuvre d'approche. Ce qui est la préférence de Clémentine. Il faut cesser car d'autres clients, poussant leurs chariots, viennent dans le rayon. Certains venant examiner les cadeaux littéraires éventuels pour Noël. Nous nous rejoignons aux rayons des ordinateurs. << Wouah ! Je me touche ! >> lance Clémentine en posant discrètement sa main à l'endroit de son sexe, sur sa jupe kilt. Nous la félicitons pour sa prestation. Nous n'avons aucun achat à effectuer, aussi nous quittons. Il y a davantage d'affluence. Les gens viennent faire leurs courses en revenant des trois différents marchés de Noël. Je roule doucement. Estelle et Clémentine à l'avant. Estelle assise entre les jambes de Clémentine. Elles se refilent ma queue en riant. Il est dix huit heures trente en revenant.

Estelle retire le reste de la viande sur la carcasse du poulet. Clémentine fait l'assaisonnement de deux endives. Je fais bouillir l'eau des spaghettis que je fais revenir à la poêle dans du beurre. Une tonne de gruyère que râpe Clémentine. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos "exploits" de l'après-midi. Sans traîner car dès les assiettes, les ustensiles et les couverts dans le lave vaisselle, les coquines m'entraînent au salon. Je suis prié de me branler alors qu'elles s'accroupissent toutes les deux, cuisses largement écartées, en se touchant, pour me mâter. << J'ai envie de sucer ! >> lance Estelle. Je montre le dessus du bureau à mes deux anges. << Pas ce soir ! >> s'exclame Clémentine. Je m'approche. Je saisis Clémentine par sa natte. Elle se masturbe. Frénétique.

Elle tombe à genoux alors que je la tiens fermement. Je frotte ma bite sur son visage en disant : << Vous êtes une merveilleuse salope mademoiselle ! >>. Estelle change de position pour approcher son visage de celui de ma pompeuse. Elle observe de près, attendant son tour. Je retire ma queue dégoulinante de la bouche de Clémentine pour la fourrer dans celle d'Estelle. À chaque fois que je retire mon Zob un long filament de foutre épais, visqueux et gluant relie leurs lèvres à ma queue luisante. Elles ont toutes les deux le bas du visage trempé de jute. Je bande comme le dernier des salauds. Je les tiens par leurs nattes pour les emmener, à quatre pattes, jusqu'au canapé. Je m'y installe. Toutes les deux, à genoux sur les coussins, se refilent mon chibre. Quand l'une suce, l'autre lui murmure ses impressions. Une superbe "pipe party". Je chuchote les saloperies que je leurs réserve pour les fêtes de fin d'années. Promettant d'être vicelard.

Bonne "faim" de soirée à toutes les pipeuses qui adorent se régaler d'un foutre à la consistance d'une compote...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France


Le petit monde de Clémentine et de Julien

Après quelques 2787 épisodes le plaisir de partager nos aventures reste intact. De sacrés moments.
C'est une véritable joie de publier nos récits quotidiennement. C'est même devenu une nécessité.

Bien évidement, les noms, les prénoms, les lieux ne sont qu'autant de pseudonymes sans réalités.
Il est préférable de préserver son anonymat. Sur Internet mais également sur les forums "sexes".

Je remercie nos lectrices, nos lecteurs pour leurs fidélités, pour l'intérêt qu'ils nous portent.
Tout particulièrement celles et ceux qui entretiennent avec nous un contact en messagerie privée.

Nous avons autant de joie à pratiquer les échanges en messagerie privée qu'à narrer nos aventures.
C'est très intéressant, souvent amusant et parfois passionnant. Certains "amis" depuis six ans.

Je vous souhaite d'excellentes lectures, de belles découvertes et de passer du bon temps avec nous.
Nos aventures sont publiées du lundi au vendredi - Sauf soucis de connexion

Cordialement


Homme, 53 ans, France
- 1 - Tous droits réservés - ©- 2024 - Épisode 2788 -



Juste Clémentine et moi

Le gazouillis de quelques colibris, l'écoulement d'une source, tous cela résonne dans une étrange et mystérieuse forêt. Alors que c'est dans notre chambre, pendant les quarante cinq secondes qui nous sortent du sommeils. L'illusion est parfaite alors que ce ne sont que nos I-phones, posés sur nos tables de nuit. Clémentine se love contre moi en gémissant. Il va être sept heures, hier matin, lundi, quand les évènements relatés dans ce récit ont lieu. Elle saisit mon érection naissante et naturelle. Je glisse ma main dans sa culotte. Cette tendresse participe au retour dans la réalité. Nous nous précipitons aux toilettes avant la salle de bain. De l'eau fraîche sur nos visages avant de revêtir nos leggings et nos sweats. Le lycra est très agréable. Morts de faim, nous dévalons les escaliers.

J'adore allumer le feu de la cuisinière à bois pendant que Clémentine prépare le café en me racontant ses rêves. Le reste de brioche au pudding du lundi matin passe au four à micros ondes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre dimanche après-midi. Les marchés de noël, la petite exhibe au supermarché. La soirée pipe, à trois avec Estelle. << J'aime quand tu es bien vicieux et que tu sais nous surprendre ! >> me confie Clémentine. Nous prenons ce copieux petit déjeuner en envisageant le repas du soir. << Ah mais je rentre à midi tu sais ! Tu fais simple ! >> rajoute t-elle. J'ai immédiatement l'idée des deux repas. Des pommes de terre rissolées avec du fromage à raclette étalé dessus. Et une tarte aux brocolis en soirée. << Génial ! >> s'exclame Clémentine.

Sept heures vingt cinq. Nous remontons pour nous offrir le second plaisir de la matinée. Les échauffements aérobics avant le jogging sur tapis roulants. Les exercices abdominaux, sur banc, avant les charges additionnelles sur machines. Les étirements d'un stretching avant la douche. Je saute dans mes vêtements pour descendre le premier. L'anorak. La température extérieure est de 4°. Le ciel est bas et gris. Huit heures quarante. Je fais chauffer la voiture. Clémentine vient me rejoindre dans son élégance matinale. Son long manteau noir. Un pantalon noir strict. Bottines noires. Son chapeau "Borsalino" noir. Juste la touche de couleur crème très classe de son écharpe de laine. Ses bras autour de mon cou pour de derniers bisous. Elle palpe rapidement ma braguette avant de s'installer au volant.

<< J'aime mon vicieux ! Tu me me réserves quelques surprises aujourd'hui ? >> dit elle en démarrant. Elle mime une pipe en me faisant un clin d'œil. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou dans le froid glacial. Je rentre en courant contre le vent. La vaisselle. Je fais notre lit avant de redescendre dans l'atelier. J'y allume une magnifique flambée dans la cheminée. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins en songeant aux dernières paroles de la femme que j'aime. J'ai intérêt à être plutôt inventif sinon inspiré lorsqu'elle tient de tels propos. J'ai quelques idées bien vicelardes. Il fait tellement sombre qu'il me faut peindre avec la lampe à halogène. Il va être onze heures quarante cinq.

Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Une grosse bûche dans le fourneau de la cuisinière à bois. J'épluche, je lave et coupe grossièrement six grosses pommes de terre. Je les ébouillante cinq minutes dans une casserole d'eau salée. J'émince de l'ail, un gros oignons. Du beurre dans la poêle. Je fais blondir l'ail, l'oignon. J'égoutte les patates pour les verser dans la poêle. Je recouvre de tranches de fromage à raclette puis je pose le couvercle en verre. L'assaisonnement de la salade de tomates. Je suis entrain de remuer le contenu de la poêle quand Clémentine rentre de cours. Elle passe ses bras autour de ma taille. Ses lèvres dans mon cou en disant : << Mmmh, ça sent bon depuis le hall ! >>. Je retire la poêle de la fournaise de la cuisinière à bois. Je soulève ma douce pour l'emmener dans la salle de bain du bas. Le rituel pisseux, le lavage des mains. Morts de faim nous revenons en courant à la cuisine.

Nous mangeons de bon appétit. Ma professeur me raconte sa matinée. Elle reprend à quatorze heures. Elle ne dispose donc que d'un peu moins d'une heure et demi. Nous traînons à table. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou Clémentine me confie penser à nos prochaines vacances. Comptant les jours qui nous en séparent. Elle se redresse. Je me lève pour la saisir par sa natte. Elle ne s'y attendait pas du tout. Je sais qu'elle adore être surprise. J'ai ma bite à l'air sous mon tablier. Je retire le sien en ouvrant le nœud sur ses reins. Elle ouvre de grands yeux étonnés devant mes initiatives. De l'index je montre la grande pendule. Il va être treize heures vingt. Je remonte mon tablier en la forçant à s'assoir sur la chaise disposée à l'envers. Le dossier entre ses cuisses.

Je frotte ma queue sur son visage alors qu'elle pousse des râles d'étonnement. Des gémissements ravis. À chaque fois qu'elle veut gober mon Zob, j'esquive en le retirant in extremis. Ce qui la fait rire en gloussant. Je me penche pour dire : << C'est l'avant goût de ce que je vous prépare ce soir mademoiselle ! >>. Je la laisse prendre mon chibre en bouche quelques instants. je me retire. Il va être l'heure. La salle de bain du bas où nous brossons nos dents. Clémentine enfile son manteau, met son chapeau, je prends mon anorak. La température n'est que de six degrés. Le vent est polaire. Je l'accompagne jusqu'à sa voiture. Un bisou. << Je me réjouis pour ce soir ! >> fait elle en s'installant au volant. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de retourner au chaud en courant.

J'étale la pâte dans le grand plat à tarte. Je coupe les branches de deux gros brocolis. Je les lave avant de les ébouillanter quelques minutes. Je prépare le mélange œufs, crème fraîche, moutarde à l'ancienne et lait de soja. Je râpe une bonne quantité de ce délicieux gruyère Suisse. J'égoutte les brocolis que je dépose sur la pâte. J'y verse la garniture. Je recouvre de gruyère. Chapelure, graines de sésame et une dizaine de cerneaux de noix. Au four électrique pour laisser mijoter longtemps à seulement 100°. Il reste des patates au fromage à raclette. Ce sera un bon accompagnement. Avec une salade d'endives dont je fais immédiatement l'assaisonnement. La vaisselle, je nettoie, je mets les assiettes et les couverts. Pour ce soir, tout est prêt. Je me rends dans l'atelier. Serein.

Je peins en envisageant différentes options de surprises. Clémentine termine à seize heures. Elle aura une heure de préparation pour mardi matin. Je peux donc élaborer mon plan vicelard en toute quiétude. L'après-midi passe encore tellement vite. J'adore l'entendre chantonner quand elle rentre de cours. J'essaie d'imaginer ce qu'elle fait. D'associer les différents bruits pour en comprendre la nature. Elle finit par entrer dans la grande pièce pour se précipiter vers moi. À califourchon sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte son après-midi. Ponctuant chacune de ses phrases d'un bisou. Elle a encore un peu de travail. Assise devant son ordinateur, elle continue à m'entretenir d'amusantes anecdotes. Ce sont des moments intenses. Être à quelques mètres l'un de l'autre.

Plongés dans nos activités. Jusqu'à dix huit heures où je nettoie ma palette et mes pinceaux. La bite posée sur le rebord du petit lavabo, je me lave les mains. Clémentine, après avoir rangé ses affaires, se précipite pour choper ma queue, en diriger les multiples jets sous le filet d'eau chaude. Elle en secoue ce qu'elle croit être les dernières gouttes. Mais elle sait très bien ce que je lui réserve. Accroupie, savourant la peau fripée de mon prépuce qu'elle mâchouille en la suçotant, elle me fixe de son regard inquisiteur. Quand donc vais-je lâcher ma giclée scélérate ? Je maîtrise parfaitement. Je la laisse sucer un peu, le temps qu'elle s'abandonne à son plaisir. C'est là que je lui balance ce dernier jet. Et les ruissellements qui s'en suivent. Ses yeux ouverts, reconnaissants et rieurs.

Je retire ma queue encore molle. Je l'aide à se redresser. << Salaud ! >> murmure t-elle avant de me sauter au cou. Comme elle porte son beau pantalon, pour ne pas risquer de le maculer, nous restons tous les deux avec les ventres distants. En arcs. Ce qui nous fait rire. Soudain, au-dessus de nos têtes, un coup sourd, profond, qui résonne longuement. Nous nous regardons sans mot dire. Le fantôme se déplace en traînant des pieds. Le bruit d'une porte qui claque. Tout redevient silence. << Rapide ce soir ! >> lance Clémentine qui s'accroupit une nouvelle fois pour suçoter un peu. Je l'aide à se relever pour l'entraîner vers ma chaise, devant le chevalet. Je l'y installe avec le dossier entre ses cuisses. J'adore la voir dans cette position. Je frotte ma bite sur sa petite gueule qu'elle offre si lascivement. En soupirant d'aise.

Je la fais sucer en la tenant sous le menton et par la nuque. Je me penche pour murmurer : << Ce soir je ne te baise pas. Je vais uniquement le faire dans ta bouche ! >>. Elle pousse un gloussement ravi. Je bouge doucement dans un léger et régulier mouvement masturbatoire. Me retirant toute les minutes pour permettre un peu de relâchement aux muscles de sa mâchoire. Qu'elle puisse déglutir également. Je la tiens par sa natte sur laquelle je donne parfois un à coup en murmurant : << Salope ! >>. Une pipe hyper vicelarde qui dure près d'une demi heure. Nous cessons. En se levant Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche. De la jute qu'elle laisse se diluer dans la salive. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer la tarte dans le four à bois. Avec les patates. Il en restera pour demain midi. Nous surveillons la cuisson en restant serrés l'un contre l'autre. C'est bon. Je sors les deux plats du four. Superbe.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les projets qui se dessinent pour notre prochain séjour à Édimbourg. Clémentine aimerait beaucoup revisiter les souterrains hantés. C'est une excellente idée, J'adore cette petite ville souterraine. Je me lève pour venir frotter ma bite contre sa joue. Une surprise qui la fait rire. À peine a t-elle avalé sa bouchée, que je la saisis par sa natte. J'oriente sa tête sans ménagement pour enfoncer ma queue dans sa bouche. Un petit instant avant de retourner m'assoir. Je récidive une bonne dizaine de fois durant le repas. << J'adore les mélanges ! >> lance t-elle avec une expression de défi. La vaisselle. C'est par la natte que je l'entraîne au salon. À nouveau à califourchon sur la chaise, elle reçoit mes turpitudes en gloussant de plaisir. Je me fais tailler une série de pipes absolument magistrales. Encouragé par sa gourmandise. En scélérat, comme elle aime, une petite rincée de pisse avant l'éjaculation.

Bonne nuit à toutes les coquines qui apprécient de se faire brouter le minou après avoir vécu une pipe bien dégueu. Avant de s'endormir dans les bras de celui qui les tourmente amoureusement. Le clitoris congestionné à force d'avoir été sucé...

Julien (le scélérat de la pipe)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Les petits rituels de la vie quotidienne
Wednesday 11 December 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 2 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2789 -



Mardi après-midi en ville

Presque sept heures. La zénitude dès le réveil. Avec les bruits de la forêt. L'illusion est bluffante. Ne dure que quarante cinq secondes. Suffisamment pour nous sortir du sommeil avec délicatesse. Clémentine vient se blottir. Volontairement, la température de notre chambre ne dépasse pas les 12°. Il faut donc s'armer de courage, se préparer mentalement à franchir les cinq mètres qui nous séparent de la porte et en courant. Quelques bisous, quelques papouilles, et nous nous extirpons des draps. Juste en T-shirts de nuit pour nous précipiter aux toilettes. Da l'eau fraîche sur les visages à la salle de bain déjà bien chaude. Nous revêtons nos tenues de sports avant de dévaler les escaliers, morts de faim. À la cuisine j'allume le fourneau de la cuisinière à bois. Clémentine s'occupe du café en me racontant ses rêves de la nuit.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de lundi. Clémentine a une tendance à une douce euphorie. Le mardi elle termine à midi. Ce qui la rend facétieuse. Nous mangeons de bon appétit en évoquant quelques activités pour l'après-midi. << Une petite heure de préparation pour la journée de mercredi en revenant de randonnée ! >> suggère t-elle. Je trouve l'idée parfaite. Nous adorons marcher dans la nature lorsqu'il fait froid. Et ce matin encore la température extérieure ne dépasse pas 3°. Il va être sept heures vingt cinq. Nous remontons à toute vitesse pour notre heure d'entraînement. Notre salle non plus n'est pas chauffée à plus de 12°. C'est motivant pour se bouger. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices abdominaux. Puis charges additionnelles.

Le stretching permet un rapide retour au calme avant la douche. Habillé le premier, je redescends pour mettre mon anorak. Il faut affronter un froid polaire et venteux. Je sors l'auto du garage pour la faire chauffer. Presque 8 h40 sous un ciel gris et bas. Clémentine me rejoint dans son manteau noir, son pantalon noir, ses bottines noires. Son "Borsalino" noir. Son écharpe de laine crème. Je ne me lasse pas de cette silhouette élancée et gracieuse qui vient vers moi dans une légère brume. Ses bras autour de mon cou pour de dernières bises. << À tout de suite ! >> me fait elle en s'installant au volant. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de rentrer à toute vitesse. Je fais la vaisselle, je recouvre notre lit avant de redescendre dans l'atelier. J'allume une flambée dans la cheminée.

Assis devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans cette légère euphorie laissée pas la femme que j'aime. Sans aucune perception du temps. Il va être midi. Je le sais car mon estomac grogne depuis un moment. Je nettoie la palette, les pinceaux. Deux bûches sur les flammes dansantes avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer les restes. La demi tarte aux brocolis, les pommes de terre "tartiflettes". Une bûche dans le fourneau de la cuisinière. Ça ronronne. L'assaisonnement de deux endives. Midi vingt cinq, Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou, le visage et le bout du nez tous froids. Je la soulève pour l'emmener aux toilettes, la salle de bain du bas où elle se lave les mains en commençant à me raconter sa matinée de professeur.

Nous mangeons de bon appétit. << Changement de programme. On va à la FNAC. Il faut que j'aille récupérer un bouquin. J'ai téléphoné, ils l'ont ! >> m'explique t-elle. C'est une excellente activité aussi d'aller en ville. Chaudement vêtus. Il est donc préférable de faire les préparations avant de partir afin de disposer de tout l'après-midi. Estelle n'arrivera que vers dix huit heures trente. Pour ce soir, ce seront des bouchées à la reine que nous préparons après le repas. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle propose de passer au centre Leclerc après la FNAC. Il faut renouveler le stock de mouchoirs en papier dont elle fait grand usage. << Avec ce froid, j'ai tout le temps le nez qui coule ! >> précise t-elle. On prendra aussi du Sopalin.

Je concocte une Béchamel pendant que les coquillettes cuisent dans l'eau bouillante. Clémentine émince deux belles escalopes de dinde qu'elle fait revenir à la poêle. Avec ail, échalote, champignons. Je râpe le gruyère. J'égoutte les coquillettes que je verse dans le plat pour caler les bouchées à la reine que Clémentine remplit de la garniture. Béchamel dans laquelle elle a rajouté le contenu de la poêle. Au four électrique pour une cuisson lente à 100°. La vaisselle. Le brossage des dents dans l'ambiance de nos clowneries habituelles. Nous passons dans l'atelier. Pendant que Clémentine s'affaire à ses préparations, je fais un peu de rangement de mes dessins d'archives. Il y a là des choses parfois vieilles de vingt cinq ans, que je m'obstine à vouloir garder. Des travaux devenus inutiles.

Je suis debout derrière la femme que j'aime. Mes mains sur ses épaules. Penché, mon visage tout près du sien. Elle m'explique ce que je vois sur l'écran de son ordinateur. Les mathématiques, pour moi, c'est de l'algèbre. Au-delà des identités remarquables, je n'y comprends pas grand chose. Ce qui la fait rire. << Voilà ! Terminé ! >> s'écrie t-elle en éteignant. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons la grande pièce pour monter à l'étage. Sur sa demande, je porte du noir. Pantalon, pull et bottines. Devant le grand miroir de la penderie, nous prenons des poses en déconnant. Nos manteaux. Nos chapeaux. C'est avec sa voiture que nous partons pour la ville. Je suis prié de conduire. Ce que je fais en me faisant tripoter le Zob. Parfois elle se penche sur sa gauche pour me pomper un peu.

Vingt kilomètres dans une ambiance hivernale où la température ne dépasse pas 4°. De la brume. Je gare l'auto sur le parking du centre Leclerc. En se redressant Clémentine me fait : << Je t'aime. Tu seras le vilain personnage qui me fait mouiller ce week-end ? >>. Nous en rigolons comme des bossus quand je réponds : << Mais dès ce soir nous allons réviser mon rôle. Tu me donneras des cours d'interprétations ! >>. Il faut marcher vite en se tenant par la main. Dix minutes pour arriver au centre. Nous évitons les marchés de Noël sous peine d'y passer trop de temps. Ils sont tellement beaux cette année. Pas trop de monde. Il n'est que quinze heures trente et le crépuscule semble s'annoncer déjà. La FNAC. Nous flânons dans les différents rayons. Il n'y a pas beaucoup de clients.

Clémentine apprécie toujours de s'offrir en cet endroit quelques petits frissons exhibitionnistes. Nous nous mettons donc en quête d'une opportunité. Un type élégant, là-bas, qui feuillette probablement le "guide du routard" au rayonnage des livres de voyages. Il est blond, ma taille, la quarantaine. << Dolph Lundgren ! >> murmure Clémentine. En effet cet inconnu présente une certaine ressemblance avec l'acteur. La "victime" parfaite puisque solitaire. Je reste en retrait pour observer une nouvelle fois la manœuvre d'approche. Les bras croisés, faisant semblant de regarder les titres, Clémentine se positionne en face du type. Juste la large table qui les sépare. "Dolph" ne tarde pas à remarquer la sublime jeune bourgeoise devant lui. Et tout particulièrement quand il remarque qu'elle se touche. Je laisse aux lecteurs d'imaginer la scène et les réactions mentales que cela induit dans la psyché lors d'une telle rencontre !

C'est extrêmement discret. Cela ne s'adresse pas qu'au mec mais également à moi. Je feuillette les livres de cuisine au rayon voisin. Tout en louchant sur ce qui se passe. Clémentine sait exactement mener la danse. Emmenant très exactement son voyeur là où elle le désire. Il est d'une grande discrétion lui aussi. Ce jeu dure environ une dizaine de minutes. Clémentine, son manteau ouvert, tournant des bouquins de la main gauche, la droite entre ses cuisses. De quoi affoler la libido de n'importe quel mâle normalement constitué. Je remarque que "Dolph" fait la même chose, son manteau également ouvert. C'est son I-phone qu'elle tire de sa poche pour le porter à son oreille. Je la vois parler. Une jeune femme vient d'arriver portant un paquet cadeau. Elle rejoint notre "victime". C'est terminé.

Clémentine me rejoint. << Estelle ne viendra que pour vingt heures. Elle a pris du retard au bureau. Le bilan comptable. Avec sa mère elles ont découvert un pataquès dans les comptes ! >> explique t-elle. Cela nous laisse donc de la marge. Clémentine récupère son livre consacré à la géomorphologie. Le nécessaire pour ses cours du mercredi matin. << Je vais le découvrir en même temps que mes étudiants ! >> précise t-elle. "Les métamorphoses de la terre" écrit par Peter Frankopan. Nous passons en caisse. Un petit tour à l'étage inférieur. Darty. Les DVD, les ordinateurs, la téléphonie. Il y a le type de tout à l'heure mais accompagné de la jeune femme. Il voit Clémentine accompagnée elle aussi. Nous quittons pour flâner un peu. La "Café Beethoven" est un de nos salons de thé préférés. La salle à l'étage, accueillante, dont les tables disposées en gradins offrent quelques opportunités exhibitionnistes à qui sait en ruser avec intelligence.

Nous y dégustons des chocolats chauds avec de petites madeleines aux noisettes. Il y a du monde. Un petit tour aux toilettes hommes. Enfermés dans un des cabinets. Je tiens Clémentine par la taille afin qu'elle puisse pisser le plus correctement possible sans devoir s'assoir. Je fais le contorsionniste pour me régaler des dernières gouttes. Douleurs dans la nuque à cause de l'inconfort de la position. Clémentine me tient la bite pour en diriger exactement dix sept jets qu'elle compte. Accroupie pour se régaler de la dernière giclée scélérate que je lui réserve. C'est amusant d'entendre des mecs pisser de l'autre côté de la porte. À peine de retour à notre table que l'I-phone se met à vibrer. Nouvel appel d'Estelle qui ne pourra finalement pas venir. C'est trop compliqué aujourd'hui dans l'administratif de l'entreprise familiale.

Comme elle prévoit de rentrer demain, entre midi et deux, je propose à Clémentine de nous offrir un restaurant en soirée. Les bouchées à la reine seront notre repas de mercredi. << Non, on rentre au chaud, tu veux bien. J'ai envie de faire ma salope avec toi ce soir ! >> s'exclame t-elle alors que nous revenons au centre Leclerc pour y faire nos achats. Y traîner un peu en guettant une opportunité. Il y a du monde. Aucune réelle possibilité de s'offrir d'autres petits frissons. Il fait nuit. Il fait froid. Nous sommes de retour pour dix huit heures quarante cinq. Nous montons immédiatement nous changer. Clémentine porte une jupe carmin, un sweat brun, des mocassins noirs. Pas de culotte. Je suis en jeans, sweat. Nous dévalons les escaliers. Pendant que les bouchées à la reine réchauffent dans le four à bois, je commence l'interprétation du "vilain" personnage. Forçant ma "captive" à des fellations vicieuses tout autour de la table. La tenant par sa natte. Bien salaud !

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui adorent êtres tourmentées par leur "vilain" personnage..

Julien (vilain)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Les petits rituels de la vie quotidienne
Thursday 12 December 2024 07:44

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 3 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2790 -



Branlette chez Juliette (ça rime)

Juste avant sept heures. Hier matin, mercredi. Le chant des oiseaux. L'écoulement d'une source. Quarante cinq secondes. Nous sommes réveillés par les illusions offertes par nos I-phones. Clémentine se blottit contre moi. Cherchant la volonté de ne pas se rendormir. C'est une dure lutte quand elle glisse sa tête sous le draps. Gobant mon érection naturelle quelques instants. La dure lutte terminée elle remonte à la surface pour murmurer : << Bonjour monsieur ! >>. Quelques derniers bisous et nous nous précipitons vers la porte. Après les toilettes, après avoir passé de l'eau froide sur nos visages à la salle de bain, nous enfilons nos tenues de gymnastique. Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'écoute Clémentine me raconter ses rêves en préparant le café. En s'occupant du pain.

Pendant que j'allume le fourneau de la cuisinière à bois, j'apprécie, c'est comme une belle histoire. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre mardi après-midi en ville. La petite exhibe discrète à la FNAC. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Juliette chez qui nous sommes invités ce soir. << Tu fais comme mercredi dernier. Tu lui montres ta bite dès qu'on arrive ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Il va être 7 h30. Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Second plaisir de la journée. L'aérobic nous met en condition. Le jogging sur tapis roulants. Les exercices abdominaux. Les poids et les haltères devant les miroirs où nous faisons des grimaces. Le retour au calme avec les étirements nécessaires. La douche. Habillé, je redescends le premier.

L'anorak pour affronter les 3° d'un froid polaire. Accentué par un vent de Nord. Le ciel est gris, bas et menaçant. Clémentine me rejoint. Cette longue silhouette filiforme noire qui avance vers moi me fascine. Comme elle est attractive dans son élégance matinale ! Ses bras autour de mon cou pour de derniers bisous. Il va être 8 h40. En s'installant au volant, elle dit : << Je mange avec les collègues à midi. Tu sais pourquoi ! >>. Oui, je sais pourquoi et mon sang ne fait qu'un tour. J'adore l'émotion soudaine qui m'envahit à ces mots. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de rentrer en courant pour retrouver la douce chaleur de la maison. Je fais la vaisselle, je recouvre le lit avant de descendre dans l'atelier. J'allume un beau feu dans la cheminée. Je m'assois devant le chevalet.

Je prépare les couleurs sur la palette. Je peins en pensant à la dernière phrase de Clémentine. C'est avec un couple de collègues qu'elle mange dans le petit salon de thé près de l'université. Yanis, jeune professeur de physique, d'à peine trente deux ans, exerce sur ma compagne une attraction autant sensuelle que sexuelle. Elle m'en parle quelquefois en faisant l'amour où après, dans mes bras. Son penchant pour la fellation la fait fantasmer sur ce garçon depuis qu'elle a pris son poste début octobre. J'adore cette petite boule qui serre mon cœur en imaginant ce qui pourrait se passer. "La boule du cocu heureux". Il va être midi. Je mets deux bûches sur les flammes avant de quitter la grande pièce pour la cuisine. Une bûche dans le fourneau de la cuisinière. Je n'ai qu'à réchauffer une des deux bouchées à la reine restantes.

Avec ses coquillettes. L'assaisonnement d'un concombre. Mon téléphone se met à vibrer. C'est Clémentine. << Tu me manques. J'ai déjà pris l'habitude de rentrer à midi ! >> dit elle. Je la devine hésitante. Elle rajoute : << Je suis sur la route, je viens ! >>. Cette réaction m'amuse. Je mets la seconde bouchée à la reine dans le four à bois. Une seconde assiette et des couverts sur la table. Je me branle de satisfaction. C'est aussi excitant de savoir qu'elle rentre que si elle n'était pas rentrée. Je vais l'accueillir avec mon petit piège. Du bruit. Elle arrive. Je l'entends chantonner en retirant son manteau. Quand elle entre dans la cuisine elle me découvre en pleine masturbation. Éclatant de rire elle se précipite. Sans même me faire une bise, elle s'accroupit pour prendre ma bite en bouche.

Une petite minute intense où je la regarde sucer. Elle cesse pour se redresser. << J'adore être accueillie de cette façon. Tu refais tous les jours s'il te plaît ! >> lance ma complice avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Elle saisit ma main pour m'entraîner dans la salle de bain du bas. Le rituel pisseux avant de se laver les mains. Nous courons jusqu'à la cuisine. Je retire le plat du four juste à temps. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Me confiant la raison pour laquelle elle a préféré rentrer : << J'ai envie de sucer ce mec, mais la présence de l'autre femme est assez pénible. Je vais mettre au point un autre "plan" ! >>. J'écoute amusé. Je sais que ses stratégies sont efficaces. Elle envisage un rendez-vous en fin d'après-midi, après les cours.

<< Une pipe dans sa bagnole, par exemple. Juste un petit tour. Mais ce serait beaucoup plus génial dans un endroit où tu serais caché pour voir ! >> rajoute t-elle. Je sais que son plaisir est total lorsqu'elle me sait dissimulé pas loin à l'observer. Elle va nous organiser ce "plan" avec toute sa ruse habituelle. Je me lève pour agiter ma bite. << Je te la suce ce soir devant Juliette ! >> s'écrie t-elle alors que je viens la frotter sur sa joue. Elle avale sa fourchette de coquillettes avant de la prendre en bouche en gémissant. Je réunis ses cheveux pour les tenir en queue, lui enfoncer davantage de bite. J'entends << Mmhhh ! >>. Je me retire pour revenir m'assoir. Nous continuons notre repas en dissertant sur les "plans" envisageables. Clémentine refuse que cela se passe chez nous à la maison.

<< Et si c'était avant les vacances de fin d'année, ce serait parfait ! >> précise t-elle. Le froid et la saison ne jouent pas en notre faveur. Ce serait tellement plus simple, dehors, quelque part, à la belle saison. Je me lève une nouvelle fois. Cette fois je m'appuie contre la desserte pour me masturber. Clémentine reste assise à m'observer. En bavardant. Une main sous la table, à se toucher. << Ce soir, on fait les vicelards tous les trois ! >> dit elle en se levant. Il reste une dizaine de minutes. Elle saisit ma queue d'une poigne ferme. Elle enfonce sa langue dans ma bouche en me tordant le chibre. Comme le fait Estelle mais avec davantage de douceur. << Si tu as une idée pour notre "opération Yanis", n'hésite pas. Elle sera la bienvenue ! >> murmure t-elle en me masturbant. Je la touche entre les cuisses.

Nous quittons la cuisine pour la salle de bain du bas. Nous nous brossons les dents en faisant les clowns. Clémentine mime une pipe baveuse avec sa brosse. De la mousse dentifrice aux coins des lèvres. Tête conte tête nous nous rinçons au-dessus du lavabo. Il faut vraiment y aller. Dans le hall d'entrée, elle met son manteau, je mets mon anorak. Nous sortons dans le froid pour marcher jusqu'à sa voiture. Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou, elle dit : << Je reviens pour quinze heures trente. Tu me fais une belle surprise ? >>. Elle s'assoit au volant en me faisant un clin d'œil. Je la regarde repartir, il est 13 h40. Un dernier coucou. Je rentre au chaud. La vaisselle. Je suis terriblement excité. Une petite séance de peinture me calmera. Je retourne dans l'atelier. En bandant.

Je peins en pensant à l'immense privilège qu'est ma vie. Encore décuplé depuis août 2016, l'arrivée de Clémentine dans mon existence. Elle n'avait encore que dix neuf ans. Alors que j'en avais déjà quarante deux ! Je vais d'érections en érections en me remémorant certaines séquences de nos aventures. Aventures que je relate ici, sur ce forum, depuis mars 2017. Je suis abîmé dans mes introspections. Du bruit. Je l'entends chantonner. Il est donc déjà quinze heures trente ! J'anticipe, je pose la palette et les pinceaux sur la desserte. J'écarte les pans de ma blouse. Je reste assis en me branlant. La porte s'ouvre. Son immense sourire, elle se précipite. S'accroupissant entre mes jambes, devant le chevalet, ses mains posées sur mes genoux, elle prend immédiatement mon Zob en bouche. De la voir sucer avec tant d'appétit me procure une série de décharges électriques tout le long du dos. Une petite minute où elle tombe à genoux.

Elle cesse. Son sourire désarmant, le coin de sa lèvre où suinte une perle de mon foutre. Je me penche pour déposer une bise sur son front. Clémentine a encore son travail de préparation pour demain. Le jeudi étant sa "longue journée". Elle se redresse. Je me lève. Nous allons jusqu'à son ordinateur devant lequel elle s'installe. Mes mains sur ses épaules, mon visage près du sien, je murmure : << Je vous aime mademoiselle. Vous êtes ce qui est arrivé de mieux dans ma vie ! >>. Elle saisit mon poignet gauche pour répondre : << Il en va de même pour moi monsieur ! >>. Je passe mes doigts dans sa chevelure pour la lisser. Elle adore quand je fais ça. Je pourrais le faire durant les deux heures de travail qui l'attendent. Je la laisse pour retourner au mien. Je termine ma toile demain.

Il est dix huit heures quand Clémentine commence à ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. C'est devant le petit lavabo de l'atelier que nous nous retrouvons. En tenant ma bite pour en diriger les jets, la femme que j'aime me chuchote des coquineries à l'oreille. Elle secoue les dernières gouttes en gloussant à l'idée de la giclée scélérate que je lui réserve. En s'accroupissant pour savourer les derniers épanchements de mes mélanges elle dit : << Salaud ! >>. Je la regarde pomper, les joues creusées, je lâche cette giclée qui n'est plus vraiment une surprise. Soudain, brisant le silence, le bruit sourd au-dessus de nos têtes. L'arrivée du fantôme qui vit avec nous. Des pas à l'étage. Tour cesse au bout d'une minute. Clémentine dans mes bras, nous écoutons le phénomène.

Nous quittons l'atelier pour monter. Évidemment personne. Le silence est total. Je me change. Un Levis propre, chemise blanche sous un pull bleu nuit au col en "V". Mes bottines noires. Nous dévalons les escalier pour enfiler nos manteaux. C'est avec la voiture de Clémentine que nous parcourons les trois kilomètres dans la nuit. Il est pile dix neuf heures quand nous arrivons au haras. Juliette nous accueille ce soir en Levis, chemise à carreaux et bottines. Ce qui ne retire rien aux formes athlétiques de son corps. J'ai la bite à l'air sous mon manteau. Quand je l'ouvre pour le retirer, elle fait mine de ne pas s'en apercevoir. Cette attitude féminine m'enchante. Nous ramenons le dessert. Nous dégustons une tarte aux poireaux absolument divine. La conversation reste axée sur le sexe.

Surtout ses déviances que nous affectionnons tant. S'en suit une de ses petites "soirées branles" dont nous raffolons. Je me fais sucer alors que Juliette nous observe en se touchant. C'est divin. Quand Clémentine, tout en se masturbant cesse, j'invite Juliette à venir prendre le relai. À pomper à son tour. Elle agite son index d'un signe négatif en répondant : << Pas ce soir, j'ai sucé mon vétérinaire cet après-midi. J'ai ma dose. Sinon ce serait avec plaisir ! >>. Nous rions aux éclats. Sa main droite dans son jeans déboutonné. Clémentine, le corps couvert de spasmes, se branle à genoux devant le canapé. Je suis debout à me pignoler frénétiquement. Je m'approche de Juliette. Je secoue ma queue à deux doigts d'éjaculer. Elle le sait. Elle répète : << Pas ce soir ! >>. Je me tourne vers Clémentine. C'est à quatre pattes qu'elle se précipite. Je lui jute au fond de la gorge. Juliette pousse un râle. Elle s'offre un orgasme. Il va bientôt être 22 h.

Bonne rentrée à toutes les coquines qui aiment continuer à sucer dans la bagnole. Qui adore se faire brouter le minou sous les draps avant de plonger dans les abysses d'un océan de sommeil...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 4 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2791 -



Jeudi soir avec Estelle

Le jeudi est la "journée longue" de Clémentine. Huit heures de cours. L'application nous réveille un peu avant six heures, hier matin. Délivrant les bruits de la forêt durant quarante cinq secondes. La transition se fait en douceur. En gémissant Clémentine vient se blottir. Il faut une certaine dose de courage pour s'extirper d'un lit bien chaud. Un bisou et nous courons en T-shirts de nuit jusqu'aux toilettes. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. À la salle de bain c'est limite avec seulement 19°. Un peu d'eau sur nos visages avant d'enfiler nos leggings et nos sweats de lycra. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Ma préparatrice s'occupe du café en disant : << Put-Hein, ce matin j'ai vraiment la tête dans le cul ! >>. J'allume le fourneau de la cuisinière à bois. Nous rions.

Nous prenons un petit déjeuner à l'Anglo-Saxonne, Œufs et bacon avec beurre salé. Un régal sur les tranches de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre soirée de mercredi chez Juliette. Une de ces "soirées branles" totalement improvisées qui sont de plus en plus fréquentes. Pour nos plus grandes joies. << On s'en refait une avec Estelle ce soir ! >> lance ma compagne en mimant une masturbation masculine. Six heures vingt cinq. Il faut remonter pour nous transformer en guerriers. Surtout Clémentine qui attaque une dure journée. Et pour cela rien de plus efficace qu'une heure d'entraînement avec une intensité maximale. Aérobic. Jogging sur tapis roulants. Exercices abdominaux. Charges additionnelles. Pour terminer par un stretching un peu bâclé.

La douche vient parfaire cette séance. Je m'habille pour redescendre en courant. Mon anorak. La température extérieure ne dépasse pas 2°. Un vent glacial. Il fait nuit. Je fais chauffer la voiture. Clémentine vient me rejoindre dans son élégant manteau noir. Un pantalon beige, des bottines noires. Son écharpe et son béret aux couleurs du pantalon. Ses bras autour de mon cou pour quelques derniers bisous alors qu'il va être 7 h40. << Je rentre à midi ! >> précise t-elle en s'asseyant au volant. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. C'est en courant que je rentre me mettre au chaud. Faire la vaisselle et notre lit. Dans l'atelier j'allume la belle flambée de la cheminée. Quand il fait un froid sec son tirage est étonnant. Sonore.

Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins en pensant à notre soirée en compagnie de Juliette. Le "plan Séverine" qu'elle propose de mette au point pour dimanche. Nous invitant à passer au haras. Elle y organise son animation équestre dominicale. Séverine, la jeune écuyère avec qui s'est insidieusement développé un jeu vicieux. Même si ce ne sont à chaque fois que de brèves petites exhibes discrètes, de partager avec cette jeune fille les émotions qu'elles suscitent reste un must. La matinée passe ainsi, dans ces réflexions libidineuses qui me procurent de multiples érections. Il va être midi. Je mets deux bûches sur les flammes. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Une bûche dans le fourneau de la cuisinière qui ronronne comme une locomotive. Je vais préparer très simple.

Je fais gonfler du riz complet, deux escalopes de dinde à la poêle. L'assaisonnement d'une laitue dont je lave les feuilles également pour ce soir. Je prépare la pâte à pain. Je concocte une Béchamel. Je coupe et lave les branches d'un choux fleurs que je laisse tremper dans l'eau vinaigrée. Il est midi vingt. Clémentine rentre de cours. Son nez tout froid quand elle me saute au cou en s'écriant : << Mmmhhh, mais ça sent très bon dans cette maison ! >>. Je la soulève pour l'emmener pisser puis se laver les mains. Ce rituel qu'elle adore. Surtout qu'elle peut se faire léchouiller un peu après son pissou. Je continuerai mes préparatifs après le repas. Nous mangeons de bon appétit. Ma compagne me raconte sa matinée. Ses étudiants studieux et travailleurs. À peine moins âgés qu'elle.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte les nouveaux fantasmes qui naissent durant ses cours. << Toute nue devant mes étudiants, à développer des formules mathématiques avec le plus grand sérieux. Comme dans les pornos Japonais, juste en escarpins noirs et un gode dans le cul ! >> lance t-elle. Nous sommes pliés de rire. Littéralement écroulés. Ce fantasme là restera bien évidemment purement cérébral. Impossible à réaliser. Ces conversations nous procurent toujours de douces excitations. Aussi elle se lève pour s'installer à califourchon. Ses bras autour de mon cou. Ce qui lui permet de se frotter lentement en m'exposant d'autres fantasme. Comme celui d'être à son bureau, un de ses étudiants à quatre pattes dessous qui lui broute le minou. << Le beau brun ténébreux aux yeux noisettes qui est toujours tout timide par exemple ! >> s'exclame t-elle.

Des choses hélas irréalisables mais terriblement excitantes à imaginer. << Moi qui fantasmais sur une carrière d'actrice porno quand j'avais dix sept ans, j'aurais trouvé là toutes les opportunités nécessaires pour vivre mes délires ! >> s'exclame t-elle en accélérant le mouvement de son bassin. Nous nous embrassons comme des fous. Parfaitement conscients qu'il ne restent qu'une dizaine de minutes. Je m'occuperai de tout après son départ. Elle se lève. M'entraîne à la salle de bain du bas. Nous nous y brossons les dents. Je suis accroupis devant la cuvette, entre les jambes de Clémentine qui pisse en caressant ma tête. La dernière giclée avant de m'offrir son croupion. Je n'ai qu'à avancer la tête pour me retrouver avec le visage entre ses cuisses. À me régaler des dernières gouttes. Miam.

À son tour elle me tient la bite pour en diriger les jets. Secouant les dernières gouttes avant de s'accroupir pour se régaler du reliquat. Il faut y aller. << Je vais avoir une haleine de chacal et l'odeur de ta bite ! >> lance t-elle en mettant son manteau. Je mets mon anorak. Nous sortons dans le froid polaire. Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisous. << Sens ! >> me fait elle, bouche ouverte pour que j'en hume les odeurs. En riant je dis : << En effet, ça sent la suceuse ! >>. Nous en rions aux éclats alors que Clémentine s'installe au volant. << À ce soir. Je t'aime ! >> lance t-elle en démarrant. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de courir à toute vitesse pour retourner au chaud. Je peux continuer la préparation du repas de ce soir. Une tarte au choux fleurs.

Il est quatorze heures quinze quand de suis assis devant le chevalet. Je peins en pensant à la femme que j'aime, à ses fantasmes irréalisables, à ses penchants pour la fellation. Je me promets de lui réserver quelques bonnes surprises. À Estelle également, par la même occasion. Même si elle préfère baiser à s'en faire défoncer, Estelle est une remarquable suceuse. Il suffit de savoir présenter la "chose". C'est sur ces introspections que passe l'après-midi. Il va être dix huit heures. Je nettoie la palette, les pinceaux lorsque j'entends chantonner. Je suis debout devant le lavabo avec la bite posée sur le rebord. Elle entre dans l'atelier, me découvre ainsi comme à chaque fois. Elle se précipite pour me faire des bises, saisir ma queue toute molle en disant : << J'attends les jeudis soirs ! >>

Elle vise le trou d'écoulement. Estelle aussi aime compter le nombre de jets que je lâche en contrôlant parfaitement leurs flux. Quand j'arrive à dix huit, cela se tarit. Elle aussi, en secouant les dernières gouttes, sait que je réserve la dernière giclée scélérate pour la dégustation. << Mercredi soir, après la baise, j'ai fait pareil à parrain. Ça le fait rire. Mais ne se contrôle pas si bien que toi. Il y a encore plein de foutre qui coule avec ! >> m'explique t-elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Je commence à bander sévère dans sa poigne qui devient ferme. Elle cesse pour rajouter : << Il est beaucoup moins vicelard que toi. C'est un mâle "alpha", pas du tout cérébral ! Un animal quand il me saute ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. C'est Clémentine que nous entendons.

Elle entre dans l'atelier. Estelle me tient la queue à sa base, entre le pouce et l'index. Penchée en avant, son bras autour de ma taille. Secouant mon chibre en disant : << Tu arrives à point ! >>. Clémentine se précipite. Me fait une rapide bise avant de s'accroupir. Ma bite immédiatement en bouche. Estelle s'accroupit à ses côtés pour regarder au plus près. Quel spectacle plus attractif pour la voyeuse qu'elle est ! Je me concentre pour lâcher la giclée scélérate. Impossible. Je bande déjà trop fort. Comme le dernier des salauds. Clémentine se redresse en faisant : << Miam ! Génial en rentrant du boulot ! >>. Mes deux anges s'embrassent passionnément en me gardant serré contre elle. C'est captivant. Émotionnel aussi. Bien davantage qu'excitant. Quand elles cessent c'est pour s'accroupir à nouveau, en même temps. Mitrailler ma queue de bisous. Soudain, un autre bruit. Sourd. Caverneux. Inquiétant. Qui résonne comme un gong.

Elles se redressent. Serrés tous les trois nous écoutons les pas errants de l'entité au-dessus de nos têtes. À l'étage c'est la salle d'entraînement. Que peut-il bien y avoir là qui pourrait susciter l'intérêt d'un fantôme ? Les manifestations ne durent qu'une petite minute pour cesser aussi brutalement. Nous nous regardons dans le silence lourd et pesant. << Même en ayant l'habitude, je vais finir par avoir peur ! >> lance Estelle en saisissant ma bite à présent toute mollasse. << Raconte-nous ta baise avec parrain ! >> s'écrie Clémentine. << Il ne me baise plus que quelques minutes en préliminaire. L'affreux salaud passe le reste de sa visite à m'enculer. J'en ai d'ailleurs encore mal au cul aujourd'hui ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Il va être dix huit heures quarante cinq. La faim.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer la tarte au choux fleurs, de faire l'assaisonnement du reste de la laitue. Durant ces rapides préparatifs, en nous croisant, nous nous faisons des bises. Nos mains glissantes entre les cuisses de l'un ou de l'autre. De l'une ou de l'autre. La soirée s'annonce "mouvementée". Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour les vacances de fin d'année. Estelle redoute le voyage en avion. << Je prends mes médocs à l'aller comme au retour ! >> précise t-elle. Elle devra nous laisser pour vingt deux heures. Aussi, nous ne traînons pas. Trop impatients d'aller nous amuser au salon. Les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle avant de quitter la cuisine en courant. Ma bite qui gigote dans tous les sens.

Ce qui fait rire mes deux anges qui retirent bottines, pantalons et culottes. Je suis prié de me masturber. Juste avec la braguette ouverte. Quand elles sont installées sur le bureau, je tourne autour du meuble en me branlant. J'adore les voir sous tous les angles. Et cela me permet de préparer mentalement mes "assauts". J'emmène les coussins pour les placer à l'endroit où elles poseront leurs têtes. Elles se touchent en m'observant. J'adore cette expression de sérieux sur leurs visages d'anges. Juste les deux grosses bougies du candélabre pour éclairer cette partie de la grand pièce. C'est contre le sexe d'Estelle que je viens frotter le mien. Puis je passe à Clémentine. Je le fais à plusieurs reprises. Mais c'est Estelle qui me choppe pour m'empêcher de retourner chez Clémentine.

Elle se l'introduit d'un coup de reins avant de se coucher sur le dos, sans cesser de se masturber, la tête sur le coussin. Clémentine se touche en se plaçant sur le côté. Elles s'embrassent comme des folles. Je vois le bas de leurs visages luisants de salives. Je baise Estelle à la hussarde. Alternant la "machine à coudre" et le rut de l'ours des cavernes. Je me retire pour lui bouffer la chatte un instant avant de passer à Clémentine. C'est galvanisant de passer de l'une à l'autre. De les entendre crier de plaisir. L'orgasme d'Estelle en précède un second. C'est presque inquiétant de la voir se contorsionner, agitée de spasmes convulsifs en poussant de petits cris d'animal blessé. Couchée sur le côté, mains entre ses cuisses resserrées. Il y a de son foutre qui en coule sur le sous-main de cuir gris du bureau.

Clémentine s'attend à ce que je vienne la terminer. Elle ne s'y attend pas du tout. Je la choppe par sa tignasse en contournant le bureau. Je lui fourre la bite dans la bouche. Elle se masturbe comme une dingue. Fort heureusement Estelle a la présence d'esprit et le réflexe judicieux de placer la cuvette en plastique bleu au moment ou Clémentine lâche d'impressionnantes giclées de pisse jaune. J'éjacule à l'instant précis de son orgasme. Je la maintiens car elle ne s'y attendait vraiment pas. Elle en tousse en pissant. Malgré les précautions d'Estelle ça gicle n'importe comment. Le corps de Clémentine secoué de spasmes et de quintes de toux. Je l'empêche de se soustraire à mon étreinte pour qu'elle n'ait d'autre choix que de déglutir. Je la lâche enfin. Elle se redresse, les cheveux collés dans la sueur et le foutre. Elle me regarde comme hébétée. Estelle se rhabille. Clémentine saute du bureau. Je l'attrape par ses cheveux. Elle m'embrasse.

Bonne nuit à toutes les coquines, complètement épuisées par une "baise sur bureau". Encore sous le choc d'une "pipe sur bureau" qui a failli les faire suffoquer. Blotties dans les bras de leur coquin avant de plonger dans les abysses d'un profond sommeil...

Nous retrouverons nos lecteurs lundi matin en leurs souhaitant un excellent week-end.

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 5 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2792 -



Clémentine, Estelle et moi

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous emmène au-delà de neuf heures. Clémentine entre Estelle et moi. Lors de nos parties à trois des samedis soirs, mes deux anges se terminent ensemble alors que je m'endort épuisé. C'est dans un demi sommeil que je perçois très vaguement se qui se déroule à côté de moi. Elles sont déjà réveillées. Je les entends rire. J'ouvre les yeux. Je tourne la tête. Clémentine me tourne le dos. Estelle se rend compte que je sors du sommeil. Elle passe par-dessus Clémentine pour se coucher sur moi. << On t'abandonne ! >> lance t-elle alors que Clémentine se retourne pour venir se serrer contre moi. Estelle se frotte sur mon érection matinale en disant : << J'aime quand tu me la mets les samedis soirs. C'est super ! >>. Nous rions de bon cœur quand je demande : << Seulement les samedis soirs ? >>

Estelle se lève en s'écriant : << Mais là il faut que j'aille pisser ! >>. Clémentine prend le relai. Se frottant elle aussi sur ma turgescence. << Moi aussi j'adore nos samedis soirs ! >>. Je réponds : << Il faut qu'on en profite un max. On va se faire des samedis soirs tous les jours ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Dehors le ciel est gris, bas et menaçant. La température de moins deux degrés. Le pyjama mauve d'Estelle est sur le tabouret. Nous faisons comme elle, nous enfilons nos jeans et nos sweats. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Les effluves parfumées du café, du pain grillé s'ajoutent à celles du feu que vient d'allumer Estelle dans le fourneau de la cuisinière à bois. Ce matin encore, elle me saute au cou. En me faisant des bises.

Je la soulève. Ses jambes enserrant ma taille, elle aussi répète ces mots : << Il faut vraiment qu'on en profite. De chaque instant tous les trois ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée de samedi et surtout sur la soirée de folies qui s'en est suivie. << J'en ai encore la chatte toute congestionnée ! >> s'écrie Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. À midi poulet et frites. Cet après-midi le marché de Noël sur les quais du port de plaisance. Nous traînons à table. Mes deux anges installées sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou. << J'ai vu que tu as repris la publication de ton histoire "Le trou", sur le forum. Il était temps ! >> lance Estelle.

<< On ne connaissait pas encore Julien quand tout cela se passait ! >> précise Clémentine. Je dis : << C'était en 2014 ! Put-hein déjà dix ans ! >>. Estelle rajoute : << Tu ne t'emmerdais pas non plus à l'époque ! >>. Nous en rions aux éclats. [www.bobvoyeur.com] dont l'épisode 39 est paru vendredi 13 décembre 2024. Je lève un peu le pied question récits de culs. J'envisage l'écriture d'un premier roman. Sur mon Blog. La vaisselle. Nous remontons pour nous brosser les dents, refermer le lit et une des deux portes fenêtres. Notre chambre n'est pas chauffée à plus de 12°. On y dort beaucoup mieux. Nous redescendons à toute vitesse pour mettre nos anoraks. Bonnets, gants, afin d'affronter un froid polaire. Estelle et Clémentine serrées bien fort contre moi, nous allons jusqu'à la rivière.

Un léger vent du Nord est désagréable. Et les arbres dénudés n'offrent aucune protection contre ses saillies détestables. Nous retournons rapidement au chaud. Au salon. Mes deux anges assises sur mes genoux, devant l'ordinateur. Estelle nous emmène sur le site de l'UCLA. L'université où elle va enseigner dix heures par semaine à partir du lundi 6 janvier. Partageant son temps de professeur avec celui consacré à la recherche. Elle a déjà tout organisé. << J'ai un petit appartement sur Westwood, Bel Air, juste à côté de Beverly Hills. Un logement de fonction ! >> explique t-elle. << Tu vas te trouver une Star de cinéma là-bas ! >> lance Clémentine. << Je veux un mec plein de tune comme toi ! >> répond Estelle. Nous en rigolons comme des fous. Le mec à tune caresse délicatement leurs petits seins.

Qu'il est agréable de ne rien foutre si ce n'est passer du bon temps. Ce que nous allons faire très bientôt à Édimbourg. Nos probables dernières vacances ensemble tous les trois avant l'été prochain. Il va être onze heures. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la laitue. Estelle prépare le poulet à rôtir. J'épluche, je lave et je passe les pommes de terre au coupe frites. Nous savourons notre repas dominical alors qu'il n'est même pas tout à fait midi. Pas une minute à perdre. Nous sommes impatient de filer. La vaisselle. Nous remontons nous changer. Collants sous les Levis. Chemises à carreaux sous les pulls. Bottines. Épais blousons de cuir doublés de fourrure synthétique. Bonnets et gants. Nous faisons les pitres devant le miroir de la penderie du hall d'entrée. Poses grotesques et parfois vulgaires qu'immortalise Estelle en filmant.

C'est parti. Il y a trente cinq kilomètres jusqu'au port. Le ciel s'est débarrassé de la plupart des nuages qui l'encombraient ce matin. Le bleu du ciel est réconfortant. Il est à peine treize heures quinze lorsque nous arrivons. Il faut une fois encore garer la voiture assez loin. L'affluence des grands jours, conséquence du succès que remporte cette manifestation annuelle. Équipés comme nous le sommes, le froid acéré est très supportable. Clémentine qui a joué avec ma queue durant toute la route nous dit : << Je suis frustrée. J'aimerais encore la tenir un peu ! >>. Nous rions. Cet après-midi la municipalité du bourg voisin a organisé l'arrivée du Père Noël. Nous flânons entre les chalets, admirant les décorations. L'arrivée du Père Noël se fait par la route. Nous allons voir. Plein de caméras partout. Ce sera diffusé sur une chaîne régionale. Des "officiels" aussi, désireux se faire voir par leurs électeurs potentiels. En petits costards.

C'est un splendide traîneau monté sur roues, tirés par six chevaux déguisés en rennes. Le personnage de Santa Clauss est somptueusement vêtu. Accompagné d'une superbe "Mère Noël". << Put-Hein, elle doit avoir froid la pauvre ! >> s'écrie Estelle. En effet, sous un manteau rouge bordé de fausse fourrure blanche, la malheureuse porte une jupette rouge, des collants dorés et des bottes noires. Avec juste un bonnet rouge sur la tête. La foule applaudit. << J'en frissonne ! >> dit Clémentine en se serrant encore plus fort contre moi. Même si ce n'est qu'un souhait qui ne trouvera aucun aboutissement aujourd'hui, Clémentine s'offrirait volontiers une petite esquisse exhibe. << Juste pour le fun ! >> précise t-elle. C'est bien évidemment impossible. Et pas seulement à cause du froid. La foule.

Nous savourons une bonne gaufre chaude au miel avant de reprendre la route du retour. Il fait nuit. C'est la pleine lune. Un grand disque lumineux dans le noir. Je gare la voiture pour que mes deux anges puissent prendre quelques photos. Elles sont assises toutes les deux sur le siège passager. Pouvant ainsi jouer avec ma queue. Estelle se penchant même quelquefois au-dessus des cuisses de Clémentine pour me sucer. Il va être dix huit heures quand nous revenons dans la douce chaleur de la maison. Nous remontons nous changer. Estelle devra nous laisser pour vingt deux heures. Elles s'habillent d'une jupe kilt, d'un chemisier crème. D'escarpins à talons. Ce sont les vêtements de Clémentine. Comme elles ont exactement la même taille, aucun problème. Je suis en Levis, chemise blanche.

Bien excités nous avons l'intention de nous offrir une soirée "mouvementée". Mais en suivant le scénario d'Estelle. Deux "Soumises" livrées aux turpitudes d'un "Maître" odieux. Je suis prié de jouer le rôle à la perfection dès après le repas. Nous enfilons nos tabliers à la cuisine. Je les noue sur leurs reins. Estelle retire le reste de viande sur la carcasse du poulet. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de laitue. Je m'occupe des spaghettis et je râpe le Parmesan. Préparations rapides. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour l'Écosse. Nous partons samedi prochain, 21 décembre. Avion à 10 h. Arrivée prévue à Édimbourg 15 h. Avec changement à Londres. Ce qui fait perdre un temps fou. La vaisselle. Je dénoue les tabliers de mes deux anges. Elles m'entraînent au salon. Toutes les deux, assises l'une à côté de l'autre, sur deux chaises, comme des écolières attendant les directives de l'instituteur. Faussement timides.

Je n'ai que la bite à l'air. Je tourne autour des deux "écolières" en me branlant. J'ordonne : << Debout ! >> elles se lèvent en même temps. Je rajoute : << On tourne les chaises pour s'assoir avec le dossier entre les cuisses. On ouvre la bouche ! >>. Mes deux "Soumises" s'exécutent avec célérité. Trop heureuses d'interpréter leurs rôles. Je m'accroupis devant chacune pour constater l'absence de culotte. Je passe mon bras pour caresser les chattes velues de mes doigts explorateurs. J'adore les petits sursauts de surprises que provoquent mes inquisitions digitales. Je doigte. Le clitoris géant de Clémentine est une véritable invitation à la luxure. Je me redresse pour frotter ma bite sur leurs petites gueules. Je l'enfonce, passant de l'une à l'autre. J'ordonne à Estelle : << Debout ! >>

Je la soulève pour la laisser redescendre doucement, droit sur mon érection. Je tourne autour de Clémentine qui nous observe en se masturbant. Quelques minutes avant de lui infliger le même sort. Le jeu des "Soumises" et du "Maître", disparaît toutefois rapidement au profit de la tendresse d'une bonne "baise sur bureau". Là-aussi, toutes les deux, couchées sur le meuble en se masturbent, subissent mes assauts. Je les baise à la hussarde. D'abord l'orgasme d'Estelle. Plutôt le chapelet d'orgasmes qui secoue son corps en la faisant hurler. L'orgasme pisseux de Clémentine complètement étourdie de jouissances. Après avoir repris nos esprits, nous montons nous changer. Nous raccompagnons Estelle dans le froid polaire jusqu'à sa voiture. Sous une magnifique pleine lune.

Bonne bite dans la bouche, sous les draps, à toutes les coquines aimant s'endormir avec le goût du sperme. Blottie contre leur coquin pour plonger dans les bras de Morphée...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquez ici pour vous connecter