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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1713 -



Le mardi matin Clémentine est très déconneuse

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Les cris des mouettes sont stridents. Deux sirènes de bateaux semblent se répondre dans le lointain. L'illusion de nous réveiller au bord de la mer est parfaite. L'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Quelques papouilles. Clémentine m'entraîne par la main. << Terminé ! >> me dit-elle en faisant allusion à ses "petits machins" de fille. Morts de faim, vêtus de nos leggings et de nos sweats en lycra, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine prépare notre café.

J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Pendant que Clémentine presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte les premières tranches dans un claquement sec. Je place les deux croissants offerts par la boulangère dans le four à micro onde. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur la présence et les attitudes de Julie hier soir. Le mardi, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend assez déconneuse. La voilà entrain de faire des imitations de Julie, d'Estelle ou encore de Juliette. C'est monstrueusement drôle.

Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure de gymnastique. Les exercices aérobics sont encore un prétexte à faire les clowns. Le jogging sur les tapis roulants est parfois hilarant en manquant de trébucher. Clémentine me fait tellement rire. Les abdos. Nous rions beaucoup moins avec une des choses les plus difficiles qui soit, les charges additionnelles. Nous y mettons l'intensité maximale. Le retour au calme avec un stretching bâclé est une nouvelle source de fous rires.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir l'auto. Il est presque 7 h45 quand Clémentine me rejoint. Emmitouflée dans son anorak, elle me fait plein de bisous. Il fait un froid polaire. Je regarde la voiture s'en aller dans le jour naissant. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer avec les oreilles qui picotent déjà. Je fais notre vaisselle, le lit, avant d'aller dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je suis moi aussi encore d'humeur déconneuse.

La peinture de cette troisième toile destinée à ma saison 2021 m'accapare rapidement. Je peins animé de cette euphorie laissée par Clémentine. La matinée passe à une vitesse folle. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans le feu. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les deux belles tourtes aux fruits de mer dans le four à bois. Je lave les feuilles d'une grosse laitue bien grasse. Il est 12 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. Elle me couvre de bisous.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Un nouvel intervenant, maître de conférence, venu donner un cours magistral de mathématiques. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur la soirée de hier. Julie profite de chaque instant où elle est seule avec ma compagne pour lui faire comprendre son amour pour elle. Ce qui embarrasse beaucoup Clémentine. N'ayant strictement aucun penchant homosexuelle, Clémentine ne sait comment y répondre sans froisser Julie.

Nous rions de bon cœur de cette situation parfois kafkaïenne. Clémentine lance : << Et puis lorsqu'il y a Estelle, elle en pince pour elle aussi. Sans parler des sentiments qu'elle te porte ! >>. Je réponds : << Et tout ça en ayant une relation avec sa tante ! >>. Nous ne voyons pas de réelle solution si ce n'est de laisser les choses se faire. Clémentine conclue : << J'adore la voir se distraire avec ta queue ! Tu as vu hier soir comme elle s'amusait en te la tenant pour en diriger les giclées ? >>. Pliés de rire, nous débarrassons la table. Vaisselle.

Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit. Il ne fait pas aussi chaud qu'en bas. Aussi, elle plonge sur le lit pour se serrer contre moi. Sa cuisse droite sous mes fesses. Sa cuisse gauche sur mon ventre. Elle se masturbe contre ma hanche. << Je me suis touchée tout le long de la route en rentant ! >> murmure t-elle avant de m'embrasser passionnément. Je glisse une main dans son jeans. Elle rentre le ventre pour que ça passe bien.

Je fouille dans sa culotte. Je suis juste à l'entrée de son intimité, mes doigts entre les lèvres charnues de sa vulve mouillée. Je peux en palper l'une, en prendre l'autre entre le pouce et l'index. Il y a là tant de choses à explorer. Sans même évoquer son clitoris géant tellement sensible que lorsque je le frôle, Clémentine a des spasmes. Je déboutonne son jeans. << Viens, on descend au chaud ! >> propose t-elle en se redressant, m'attrapant par le bras. Nous dévalons les escaliers. Elle me fait tomber sur le vieux canapé en velours de l'atelier.

Nous retirons nos jeans, nos slips. Juste en chaussettes et en chemise à carreaux, je suis sur Clémentine. Elle tient ma bite pour se la frotter sur son clitoris. Doucement, elle se l'introduit. Il est rare que Clémentine ait tant d'initiatives. Je la laisse faire en restant en appui sur mes bras. Afin de ne pas peser de tout mon poids et de lui permettre la plus grande liberté de mouvements. J'assiste à tout cela non seulement en acteur mais aussi en spectateur. Nous voilà imbriqués l'un dans l'autre. Parfaitement immobiles comme nous aimons.

Ce sont toujours dans ces moments d'extases que Clémentine me confie ses secrets de filles. Ses désirs, ses envies, ses souhaits. Elle se masturbe tout en restant pénétrée, sans bouger. Elle revient sur l'invitation de madame Walter, la collaboratrice de Juliette. Pierre, son mari, aimerait baiser à nouveau avec Clémentine. L'emmener faire un tour dans sa voiture. Tout en parlant, Clémentine se met à bouger doucement. Je l'accompagne dans ce bercement divin. J'écoute. Je ne dis rien. Ça m'excite tellement de l'entendre confier ses secrets.

Nous alternons les séquences mouvementées avec celles plus calmes. J'encourage Clémentine à reprendre contact avec madame Walter. Pourquoi ne pas organiser une petite rencontre avec elle afin de mettre ce fantasme au point. Je pourrais très bien m'occuper avec madame Walter pendant l'escapade de Clémentine avec Pierre. << Tu serais d'accord ? >> me demande plusieurs fois Clémentine. Il y a toujours ce vieux sentiment de culpabilité. J'insiste une fois encore : << Tu es jeune Clémentine, c'est maintenant qu'il faut en profiter ! >>.

Son orgasme la fait hurler de plaisir lorsqu'elle me repousse délicatement. Couchée sur le côté, les mains entre ses cuisses, elle souffle en reprenant ses esprits. << Et toi ? >> me fait elle en saisissant mon sexe trempé de nos mélanges. Je la rassure. Tout comme elle, j'aime à rester excité pour le restant de la journée. Clémentine se met à genoux sur un des épais coussins. Mon sexe en bouche, elle suce comme si sa vie en dépendait. En lui caressant la nuque, les joues, j'expose mon "plan" concernant son fantasme. Je l'encourage encore un peu.

Excité par cette méga pipe, par le sujet de nos conversations, j'éjacule dans la bouche de Clémentine. Trois giclées de foutre qui surgissent du plus profond de mes couilles. Dans des râles de satisfaction, Clémentine avale avec peine la quantité de sperme. Elle cesse pour me montrer l'intérieur de sa bouche. Clémentine adore en garder pour le laisser se dissoudre avec sa salive. Je me penche pour lui déposer une myriade de bisous sur le front. Elle tient mes mains passionnément. Je lui chuchote des douceurs, des encouragements à baiser avec Pierre.

La dernière fois que cela s'est passé remonte à presque deux ans, lors d'une de nos partouzes au haras. Clémentine garde un souvenir fort de ce baiseur fou. << Un vicelard de toute première "bourre" ! >> dit elle souvent en évoquant le mari de madame Walter. Clémentine, qui adore repartir pour un second tour, se remet à sucer comme une affamée. Il est presque quinze heures. Je la force à cesser en disant : << Viens, on se garde pour ce soir, avec Estelle ! >>. Clémentine se raisonne en disant : << Mais c'est moi qui veut tout ton sperme ! >>.

Nous remettons nos slips, nos jeans. Je mets deux bûches dans la cheminée avant d'être entraîné par la main aux toilettes. Nos rituels pisseux, particulièrement juteux cette fois encore, nous offrent de délicieux mélanges. Nous retournons dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Je suis installé devant mon chevalet. C'est un autre bonheur que de partager ces moments d'émulations dans nos activités respectives. Il est 18 h15 lorsque Clémentine s'écrie : << Put-hein, ras-le-bol des maths ! Stop ! >>.

Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Cette toile verra son achèvement demain matin. Clémentine range ses affaires. Il est 18 h30. Estelle entre dans l'atelier comme un ouragan. Elle se précipite. Une rapide bisou à Clémentine qu'elle a vu en cours ce matin. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte son après-midi. Tout comme Clémentine à réviser, à mettre ses notes au propre. Soudain, au-dessus de nos têtes, ce bruit sourd qui nous rappelle que nous vivons dans une maison hantée. Clémentine nous rejoint.

Assises sur mes genoux, mes deux anges se blottissent contre moi. Je les serre fort. Nous écoutons les errances du fantôme de mon ancienne compagne. Ce soir encore, il y a un vacarme étrange. Comme si quelqu'un poussait des meubles, claquait des portes, se mettait à courir. Tout cesse aussi soudainement. << Cut ! >> lance Estelle. << La suite demain ! >> rajoute Clémentine. Nous sommes dans l'obscurité à admirer la danse des dernières flammes dans la cheminée. Il est 18 h50. La faim commence à se faire sentir.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Les filles rêvent de spaghettis au Parmesan. De calmars poêlés avec des champignons. Pendant que Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée, Estelle fait bouillir l'eau des spaghettis. Je fais revenir des calmars encore congelés dans la poêle. Il faut virer le surplus de flotte en ébullition. Estelle râpe le Parmesan. Je rajoute un petit pot de crème fraîche dans la poêle. Clémentine y jette un morceau de Roquefort qui fond instantanément. Cette préparation rapide nous donne une faim d'ogres affamés.

Nous mangeons de bon appétit. Estelle veut tout savoir de ce qui s'est passé hier soir avec Julie. Elle ponctue chacune de mes réponses d'un : << Salaud ! >>, << Vicieux ! >>. Elle se lève pour mimer des masturbations masculines. Elle devra nous laisser pour 22 h. Elle aussi est hyper excitée. Nous ne traînons donc pas à table. Dès la vaisselle terminée, Estelle nous entraîne au salon. Clémentine a raconté notre baise du début d'après-midi. Estelle en veut sa part. << Prépare-moi bien pour demain soir. Mon parrain a des envies folles ! >> dit elle.

C'est en riant comme des bossus qu'une nouvelle fois nous retirons nos slips, nos jeans. Clémentine s'installe dans le fauteuil. Elle se touche. Rien ne peut l'exciter davantage que de nous voir baiser. Estelle se love sous moi en me tenant par les épaules. << Viens ! >> lance t-elle en se frottant. Je m'introduis avec précautions. C'est elle qui se la met. Mes couilles lui battent le cul en même tant que je la besogne façon homme des bois. Nous pouvons entendre Clémentine gémir encore plus fort qu'Estelle. J'ai les couilles en ébullition. Congestionnées.

Clémentine évoque son fantasme. Le tour en bagnole avec Pierre. Estelle en gloussant de plaisir, ramonée de fond en comble, tout en se masturbant, pose des questions hyper vicelardes. Clémentine, entre deux râles de plaisir, se fait un plaisir d'entrer dans les détails. Estelle me repousse soudain pour s'offrir un orgasme cataclysmique. Je me lève, les lombaires douloureuses. Je me précipite vers Clémentine qui tient la cuvette dans laquelle elle va répandre le résultat de son orgasme pisseux. Le second de la journée. Je lui éjacule dans la bouche.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment s'offrir du plaisir en évoquant leurs fantasmes. En se masturbant, en baisant...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1714 -



Une soirée avec Juliette

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. L'application "océan" nous réveille de ses illusions quotidiennes. Le cri des mouettes est particulièrement réaliste. La sirène de ce cargo ne l'est pas moins. Clémentine se serre contre moi. Quelques papouilles. Il faut se lever. C'est dur. C'est avec la tête dans le sac que nous nous rendons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café en me racontant ses rêves, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Je presse nos oranges.

Je pèle nos kiwis. Nous éclatons de rire car nous faisons toute chose dans une sorte d'automatisme. Le claquement sec du grille pain qui éjecte ses premières tranches rajoute encore au côté "robot". Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier après-midi puis celles de la soirée avec Estelle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celles à venir. En riant, Clémentine précise : << Il faut qu'on se calme. Regarde un peu comme on est fatigués. Comme c'est de plus en plus difficile de se lever ! >>. C'est exactement ça.

Il est 6 h25. Nous remontons. Nous allons tenter de nous réveiller complètement avec une heure d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, exercices au sol. Ce sont les charges additionnelles qui sont la potion magique. Impossible de les manipuler sans entrer dans la réalité. Le retour au calme avec un stretching laborieux. La douche. Je descends pour aller faire chauffer l'auto. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint dans le froid glacial du jour naissant. Elle est adorable dans son anorak, ses bottes à revers de fourrure. Esquimau.

Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Le thermomètre extérieur indique 2°. Je fais la vaisselle, le lit. Je vais dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette troisième toile destinée à ma saison 2021 est source de bien des plaisirs. Je peins en savourant chaque instant de ce travail minutieux. Il est 11 h45 quand je dépose la dernière touche sur la surface du tableau achevé.

Je le mets sur le second chevalet afin que cette nouvelle réalisation sèche tranquillement. Sur mon support de travail, je mets la toile que je vais commencer dès cet après-midi. Une quatrième nature morte. Il m'en faudra huit. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer le reste des spaghettis de hier soir. Avec une salade de tomates. Un filet de colin que je fais rissoler à la poêle. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff propose encore un de ses moments de "bravoures".

Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. J'en dispose les deux tiers dans un grand plat à tarte aux bords hauts. Je lave et je coupe deux gros poireaux. Je les saisis à l'eau bouillante avant de les égoutter. Je prépare une Béchamel. Je râpe du gruyère de Comté. Je mélange le tout. Je verse la garniture sur la pâte. Je recouvre du dernier tiers que je jointe soigneusement avec les doigts. Je badigeonne le dessus du mélange œuf, crème fraîche, lait de soja, moutarde, graines de sésame grillé.

Dans le four électrique pour une cuisson douce à 180°. Plus longtemps ça mijote, meilleurs c'est. Je quitte la cuisine pour retourner dans l'atelier. Je commence ce nouveau tableau dans une douce sérénité. Notre repas de ce soir est prêt. Je peins dans un enthousiasme qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. L'après-midi passe à une vitesse vertigineuse. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la chaise avant de se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée universitaire.

Clémentine a encore du travail. Mettre au propre les notes prises aujourd'hui est un labeur assez pénible. << Chiant ! >> comme elle se plaît à le dire plusieurs fois. J'aime peindre en l'entendant commenter ce qu'elle fait. Il est 18 h30 quand elle s'écrie : << J'en ai marre ! >>. Je nettoie mes pinceaux, ma palettes. Clémentine range ses affaires. Le bruit sourd au-dessus de nos têtes. Ce bruit qui nous surprend toujours. Ce soir encore il semble provenir de nulle part. Clémentine se blottit dans mes bras. Immobiles, silencieux, nous écoutons.

Le fantôme de mon ancienne compagne erre à l'étage. Cette fois, ce n'est qu'un frôlement de pas lourds. Toute cela ne dure que quelques minutes. Nous sommes dans la pénombre. Juste la lueur des dernières flammes de la cheminée. Ce qui projette des ombres dansantes autour de nous. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << Wouah ! De la Flamiche Picarde ! >> lance Clémentine en découvrant ce qu'il y a dans le four. Cette tourte aux poireaux qui va faire le régal de notre repas. Trois coups de sonnette. << Juliette ! >> s'écrie Clémentine.

J'ai le réflexe de vouloir fermer ma braguette béante. Je respecte la recommandation de Clémentine. Je la laisse bien ouverte. Clémentine revient suivie de Juliette. Comme elle est belle encore ce soir avec ses longs cheveux noirs qui flottent en liberté sur ses épaules. Vêtue de son éternelle tenue d'écuyère elle est hyper sexy. Nous nous serrons la main avant de nous faire la bise. << J'aide ! J'ai besoin de me changer les idées. J'ai encore eu une journée de dingue ! >> dit elle en se dirigeant vers le buffet. Je regarde cette silhouette épatante.

Ce gilet de cuir cintré à la taille. Les manches bouffantes de son chemisier blanc. Son pantalon hyper moulant de cavalière. Ses bottes de cuir noir. Clémentine me fait un clin d'œil. Juliette a cette attitude toute féminine qui m'enchante. Elle fait mine de ne pas se rendre compte que ma braguette bâille grandement. La tourte aux poireaux réchauffe. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une salade d'endives. Juliette met les assiettes et les couverts. Elle nous raconte sa journée au haras. Les mesures sanitaires qu'il faut recommencer à appliquer.

<< Il y en a marre de leurs conneries. On est tous vaccinés, mon personnel et moi. Pas une seule fois je n'imposerai le port du masque sanitaire au boulot à mes palefreniers. Comment avoir des gestes barrières entre eux alors qu'ils bossent ensemble ! C'est d'un ridicule. Aussi, nous avons pris la décision de vivre normalement. C'est juste en cas de contrôle que nous aurons plaisir à les prendre pour ce qu'ils sont : des cons ! >> lance Juliette. Nous rigolons comme des bossus. Son accent méridional rajoute à ce côté si drôle. Elle rit aux larmes.

<< C'est vrai quoi ! Un moment faut arrêter les conneries ! >> conclue t-elle en fixant enfin ma braguette béante. Je fixe les formes sensuelles et suggestives du triangle de son sexe. Un triangle apparent et si bien moulé sous le tissus beige de son pantalon d'écuyère. Cette couture qui divise en deux petites bosses les lèvres de son sexe. Je demande : << Juliette, dites moi, qu'elles sont les réactions de celles et ceux qui posent leurs regards sur votre "féminité" si apparente ? >>. Juliette me regarde par en-dessous, hyper vicelarde.

<< Les mêmes émotions que la vôtre ce soir ! >> répond t-elle en passant sa main entre ses cuisses. Une main qu'elle remonte lentement en se palpant. Mon cœur bat soudain la chamade. Clémentine se serre contre moi, son bras autour de ma taille. Elle aussi regarde Juliette se toucher. Juliette qui rajoute : << James, mon nouveau palefrenier semble d'ailleurs beaucoup apprécier ! >>. Nous éclatons de rire. La sonnerie du four. J'enfile les maniques. J'ouvre la porte du four. Je suis accroupis. Juliette vient s'accroupir à côté de moi. Elle admire.

Son genoux touche le mien. C'est un ace délibéré. Clémentine pose ses mains sur mes épaules. Debout derrière moi, elle dit : << Comme elle belle. Elle embaume toute la cuisine ! >>. Juliette en se redressant montre l'emplacement de son sexe en demandant : << Vous parlez de "ça" ? >>. Une fois encore, nous sommes pliés de rire. Je sors la Flamiche Picarde fumante du four pour la poser au milieu de la table. Nous voilà confortablement installés. Sous la table, la bite dans la main, je regarde Juliette couper les parts de tourtes. Je me branle.

Clémentine me fait un clin d'œil. J'ai envie de l'embrasser. Elle le sait. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur quelques souvenirs communs. Notamment la soirée Gloryhole d'il y a deux mois. Juliette nous avoue récidiver parfois. << Hélas, je sais à qui appartient la queue qui dépasse du trou ! >> dit elle en riant. Je demande : << Juliette, vous est-il arrivé d'en gouter une inconnue ? >>. Juliette répond : << Non, jamais. Vous savez, je suis souvent entourée de mon personnel ! Parfois Pierre ou Gérard me font la surprise ! C'est sympa ! >>.

Clémentine avoue son désir de revivre cette situation. << C'est quand vous voulez ! Il suffit de me prévenir au moins une semaine à l'avance ! >>. Nous nous amusons beaucoup de ces échanges. Je me lève. Je tiens mon sexe dur comme le bois entre le pouce et l'index à sa base, pour l'agiter en direction de Juliette. J'adore le regard sévère, courroucé qu'elle me lance à chaque fois. Cette belle bourgeoise de 48 ans joue les femmes outrées avec une perfection rare. Seule une vicieuse, une perverse, peut interpréter ce rôle avec tant de "talents".

Je me lève à plusieurs reprises. Juliette demande à Clémentine : << Quand donc me donnerez-vous la permission de jouir de cet "article" de choix qu'agite votre homme sous mes yeux ? >>. Nous ne cessons de rire aux éclats. Juliette fait souvent preuve de beaucoup d'humour. Mais là, ce soir, elle se lâche. Elle précise : << C'est merveilleux de pouvoir oublier mes charges de chef d'entreprise ! Avec vous. Ici, devant un délicieux repas. Vous n'imaginez pas le privilège que vous m'offrez. Une vraie thérapie ! >>. Nous cessons de manger pour la regarder.

Comme soudain gênée, elle rajoute : << J'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas ! >>. Nous rions. Je suis à nouveau debout. Je me masturbe doucement en fixant Juliette. Son regard va de mes yeux à ma bite. Clémentine aussi cesse de manger pour observer. Juliette lui dit : << Vous en avez de la chance ! >>. Clémentine répond : << Oui, je sais. Je savoure cette chance tous les jours ! >>. Je lance : << J'aime beaucoup quand une femme savoure cette "chance" ! Je vous présente madame "Chance" ! >>. J'agite ma queue comme un salaud.

Juliette insiste toujours pour faire la vaisselle avec nous. Elle plonge. Clémentine et moi nous essuyons. Nous portons tous les trois un de ces tabliers qui se noue à l'arrière. Clémentine me palpe la bosse à chaque fois qu'elle me croise. Pour prendre le dessert, cette tarte aux poires ramenée par Juliette, nous passons au salon. Je suis assis sur la chaise à côté du guéridon. Je regarde Juliette couper les tranches. Clémentine présente les petites assiettes. Quelle n'est pas notre surprise quand Juliette vient s'assoir sur mes genoux. Le silence.

Je vois Clémentine changer d'expression. Depuis plusieurs mois sa jalousie envers Juliette a disparu. Pourtant là, en espace d'un instant, elle revient à la charge. << Non ! >> lance t-elle. Juliette se lève d'un bond. << Excusez moi ! >> dit elle en s'asseyant dans le fauteuil. Je rejoins Clémentine dans le canapé. L'incident est clôt. Clémentine saisit ma bite. Juliette revient sur quelques épisodes de nos souvenirs communs. Clémentine a totalement oublié l'attitude de Juliette sur mes genoux. Elle rit de nos remémorations lubriques. Je bande.

Juliette se touche de l'index. Du doigt elle suit la couture de son pantalon qui partage en deux bosses sa vulve. La semaine dernière, c'est moi qui palpait et touchait ces bosses. Clémentine glisse une main dans son jeans. Nous sommes tous les trois à nous toucher en bavardant. Je me lève. Je contourne la table basse. Je m'approche de Juliette. Je me penche. Je passe mon index sur la couture. Entre le pouce et l'index je fais rouler ces deux petites bosses. << Monsieur s'y connait ! >> lance Juliette en écartant ses cuisses au maximum.

Lorsque c'est moi qui fait preuve d'initiatives, Clémentine est très excitée. De la part de Juliette je constate ce soir qu'elle ne les tolère toujours pas. Cette femme reste une rivale sérieuse. Clémentine se touche en m'observant. Je glisse une main sous le gilet de cuir à Juliette. Je la pose sur son sein. Je peux soudain sentir les battements de son cœur. Elle saisit mon poignet pour que surtout je ne cesse pas. J'ai une main sur son sexe, l'autre va du sein gauche au sein droit. Je palpe de plus en plus vulgairement. << Stop ! >> lance soudain Juliette.

<< Trop bon ? >> demande Clémentine que je rejoins. << Trop bon ! >> répond Juliette qui recommence à se toucher. Nous reprenons nos conversations. Juliette propose d'organiser une nouvelle soirée Gloryhole avant les vacances de Noël. Clémentine, toute émoustillée par cette perspective, pose quelques questions précises : << Il y aura les mêmes bites que la dernière fois ? >>. Juliette répond : << Les mêmes ! Et votre préférée ! >>. Nous rions. Il est 22 h15 quand nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture dans la nuit glaciale.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ont besoin d'êtres rassurées quand aux attitudes d'éventuelles "rivales" bien entreprenantes...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1715 -



Estelle aussi, a encore de quoi être jalouse

Hier matin, jeudi, le cri des mouettes est strident. Il est presque six heures. La sirène de ce paquebot dans le lointain achève de nous réveiller. L'illusion d'être en bord de mer est parfaite. L'application "océan" est vraiment bluffante. Clémentine se serre fort contre moi. Quelques papouilles avant de nous lever. Nous nous précipitons aux toilettes pour sacrifier à nos rituels pisseux. Morts de faim, revêtus de nos leggings, de nos sweats en lycra, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves.

J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Pendant que Clémentine presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte ses tranches. Ces odeurs nous envoûtent. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Juliette hier soir. Son attitude qui a éveillé les vieilles craintes de Clémentine. J'éclate de rire lorsqu'elle évoque ses jalousies parfaitement inutiles. Elle en rit ce matin avec moi. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les propositions de Juliette. L'organisation d'un nouveau Gloryhole.

Ce qui réjouit visiblement Clémentine qui me dit : << Toi, depuis presque cinq ans de vie commune, tu aurais véritablement de quoi être jaloux. Et moi, comme une idiote, je suis jalouse d'une femme qui s'assoit sur tes genoux ! >>. Nous éclatons de rire. Il est 6 h25. Nous remontons. C'est notre heure d'entraînement. Difficile ce matin de s'y mettre. << On baise trop ! >> lance Clémentine. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles. Le retour au calme avec un stretching bâclé et prétexte à déconnades.

La douche. Je descends pour aller sortir la voiture. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint dans le froid glacial du jour naissant. Emmitouflée dans son anorak elle me fait un dernier bisou. Je regarde l'auto monter le chemin jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantant "Le fantôme" de ce bon vieux Georges Brassens.

La peinture de cette quatrième toile destinée à ma saison 2022 est source de joies. Je peins dans cet enthousiasme qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. La matinée passe si vite. Il est 11 h55. Je rajoute deux bûches dans le feu. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer le reste de la Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui a fait notre régal hier soir. Je fais rissoler un grand nombre de crevettes qui ont décongelé depuis ce matin. Avec une salade de carottes, je savoure un excellent repas en écoutant Sud Radio.

Aujourd'hui encore André Bercoff est dans tous ses états. La vaisselle. Je monte me laver les dents. La chanson "Le fantôme" me suit partout. Avec la même obstination du fantôme de Christine en soirée. Cela m'amuse beaucoup en redescendant à la cuisine. Je prépare une pâte à crêpe que je laisse reposer sous un linge. Les crevettes reposent dans la poêle sous un couvercle. J'épluche, je coupe en fines tranches que je lave, de grosses pommes de terre. Je les transforme en chips. Dans une poêle je retourne sans arrêt pour les faire frire.

Je dépose chaque poêlée sur des feuilles de papier absorbant. Sur un grand plat. Je fais six poêlée. Ce sera l'accompagnement des beignets de crevettes pour le repas de ce soir. Je quitte la cuisine pour retourner dans l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet, je reprends mon travail. Je me livre totalement à ma passion sans cesser de chantonner, de pousser des cris d'animaux qui n'existent pas. Je peins pourtant avec la plus grande des minuties. L'après-midi passe encore plus vite que la matinée. J'aimerais arrêter le temps.

Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule. Pressée de me rejoindre, elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. Couvrir mon visage de bisous. Clémentine me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Elle a encore les notes prises durant la journée à mettre au propre. La voilà assise devant son ordinateur. Il est 18 h. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Je retire ma blouse. Je me lave les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Je suis debout derrière Clémentine.

Je lisse ses cheveux que je relève parfois pour caresser sa nuque, y déposer une bise. Elle m'explique ce que je vois sur l'écran. Pour moi, les équations mathématiques restent de l'hébreu. Et l'hébreu reste du chinois. C'est dire si j'y comprends quelque chose. Ce qui amuse beaucoup Clémentine. De lui caresser ainsi les cheveux la détend, lui procure calme et sérénité. Parfois, je me penche pour chuchoter à son oreille : << Je vous perturbe mademoiselle parce que je vous aime ! >>. Je passe à l'autre oreille pour murmurer les mêmes choses.

Clémentine range ses affaires. << J'aime quand vous me perturbez monsieur ! >> dit elle en se levant pour glisser sa main dans ma braguette béante. Je bande mou car la nuque de Clémentine, la racine de ses cheveux, m'excitent toujours inexplicablement. De glisser mes doigts derrière ses oreilles éveille chez moi tant de sensations inavouables. Clémentine me sort la queue. Elle m'embrasse en frottant son sexe contre le mien. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je la promène ainsi dans l'atelier. Nous éteignons les lumières.

Il y a juste la lueur des flammes qui projettent des ombres mouvantes dans la grande pièce. Il est 18 h30 quand Estelle nous surprend ainsi. << Les salauds ! Ils en profitent quand je ne suis pas là ! >> s'écrie t-elle en se précipitant. Elle prend la place de Clémentine en découvrant ma bite raide comme un piquet. << Mais quel salaud ! Tout le temps la bite à l'air ! >> fait elle avant de m'enfoncer sa langue dans la bouche. C'est soudain un bruit d'une toute autre nature au-dessus de nos têtes. Un bruit sourd, caverneux qui résonne longuement.

Nous nous tenons tous les trois par la main. Immobiles, silencieux, nous écoutons les errances du fantôme. Quelqu'un déplace des meubles. Une porte grince. Un claquement sec. Tous ces bruits semblent pourtant irréels. Même si nous les entendons parfaitement, ils sont comme la bande son d'un film d'épouvante. Tout cesse aussi brusquement. Les filles se serrent contre moi. J'ai débandé. Estelle prend mon sexe en main pour le constater en murmurant : << Toi, tu as peur des fantômes, ils te font débander ! >>. Nous éclatons d'un rire nerveux.

<< J'ai mes "petits machins" de fille ! >> me fait Estelle en prenant ma main pour la poser sur son bas ventre. << Docteur Julien, j'ai même un peu bobo ! Si vous pouviez faire quelque chose pour votre patiente préférée ! >> rajoute t-elle en palpant ma queue de sa main libre. Je lui dépose un bisou sur le front. Je me penche. Je pose les lèvres de ma bouche sur chacun de ses tous petits seins dont l'extrémité est dure. J'insuffle de l'air chaud au travers le tissus de sa chemise. << Mmhh, vous êtes un merveilleux thérapeute ! >> murmure t-elle.

Estelle me repousse soudain délicatement. D'un ton sévère, autoritaire, elle me dit : << Clémentine m'a raconté votre soirée hier soir ! Ça m'a même coupé l'appétit au restaurant universitaire ! Salaud va ! >>. Elle me tord la bite sans ménagement en rajoutant : << Fais gaffe, tu sais que je suis une teigne, que je suis jalouse ! >>. Sans me laisser le temps de répondre, elle se jette contre moi pour m'embrasser à nouveau. Clémentine reste serrée contre moi dans mon dos. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier en nous tenant les mains.

<< Miam ! Des beignets de crevettes ! >> lance Estelle en découvrant les préparatifs. << Miam ! Avec des pommes de terre chips ! >> rajoute Clémentine. Mes deux anges me font la fête. Estelle porte l'huile de friture à ébullition. Clémentine prépare une salade d'endives avec des tranches d'avocats. Je mets les assiettes et les couverts. Les filles parlent de leurs études. Cette mini thèse qu'il faudra rendre avant les vacances de fin d'année. Estelle trempe chaque crevette dans la pâte à crêpe avant de la plonger dans l'huile bouillante.

Clémentine récupère chaque beignet qui a flotté une petite minute. Avec l'écumoire. C'est rapide. C'est un repas délicieux. Nous mangeons de bon appétit. Je réponds aux questions d'Estelle qui veut tous les détails de hier soir. Le comportement de Juliette. Une fois encore je rassure mes deux anges. Je dis : << Initialement, par nature, je suis l'homme d'une seule femme. Depuis près de cinq ans j'en ai déjà deux ! Alors une troisième c'est tout à fait improbable, surhumain ! >>. J'aime les entendre rire toutes les deux. C'est merveilleux.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine évoquent la proposition de Juliette. Organiser une nouvelle soirée Gloryhole avant les fêtes de fin d'année. << Tu as envie de te régaler toi ! >> lance Estelle à Clémentine qui roule de grand yeux en passant sa langue sur ses lèvres. Estelle rajoute : << Moi, comme la dernière fois, ce sera exclusivement la bite à Julien. Il faut protéger notre "docteur" des éventuels assauts de Juliette ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je dis : << Après, je t'en donne un aperçu ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle m'entraîne par la main. Nous passons au salon. << Et cet aperçu ? >> demande t-elle en se mettant à genoux sur un des épais coussins qu'elle jette au sol. Les mains derrière le dos, bien droite, elle me fixe avec la bouche grande ouverte. Clémentine saisit mon sexe pour m'entraîner devant Estelle. Elle frotte ma queue sur son visage en disant : << Voilà un bon aperçu ! >>. Je bande encore mou. Mais suffisamment pour maculer la joue gauche d'Estelle qui gémit de plaisir. << Docteur Julien ! >> fait elle.

Clémentine, penchée en avant, passe délicatement mon sexe sur tout le visage d'Estelle. Elle glisse mon chibre sur les lèvres d'Estelle comme un lipstick. Estelle pointe sa langue pour lécher. Clémentine lui enfonce la bite dans la bouche. Estelle pousse un long râle de contentement avant de pomper comme si sa vie en dépendait. Mes lombaires me rappellent leur existence. C'est la position. Cambré en avant. Estelle maintient son équilibre en saisissant mes hanches. Clémentine sur ma droite m'embrasse passionnément. Je bande.

Mon érection est presque douloureuse tellement c'est délicieux de me faire sucer ainsi. Clémentine et moi nous nous embrassons avec tant de fougue que nous en avons les mentons trempés de salives. C'est hyper excitant d'entendre les gargouillis bulleux de la pipe d'Estelle. Ses gémissements. Ses gloussement de rire lorsque Clémentine demande : << La thérapie du docteur Julien vous convient-elle chère patiente ? >>. Je bouge doucement, d'un mouvement régulier. Ma bite coulisse de quelques centimètres dans la bouche d'Estelle qui se régale.

Parfois, Clémentine et moi, nous cessons de nous embrasser. Clémentine s'accroupit alors aux côtés d'Estelle pour regarder ce qu'elle fait. De son index elle récupère les coulées de jute aux coins des lèvres d'Estelle. Elle se lèche le doigt avant de se relever pour me montrer l'intérieur de sa bouche. Estelle cesse de pomper toutes les deux trois minutes. Ce qui lui permet de reposer sa mâchoire et de tenter d'avaler mon foutre épais et visqueux. Quand je suis aussi excité que ce soir, mes secrétions sont abondantes et continues. Juteuses.

Et Estelle ne s'en prive pas. Je la tiens quelquefois par les oreilles. J'aime les caresser entre mes pouces et mes index. A genoux sur son épais coussin, Estelle ne montre aucun signe d'indisposition. Clémentine masse le bas de mon dos, mes reins. C'est très agréable et ça soulage la position. J'essaie de rester le plus droit possible. Mais c'est difficile de lutter contre l'excitation folle de la situation. Clémentine me murmure des : << Je t'aime ! >>. Estelle cesse à chaque fois de sucer pour rajouter : << Moi aussi ! >>. Je la saisis par son catogan.

Je l'entraîne. Estelle avance à quatre pattes. Elle aussi lève la cuisse à l'angle de chaque meuble. << Toutou fait son pipi hors des espaces réservés ? >> lance Clémentine qui me tient fermement par la queue. Là, entre la bibliothèque et l'horloge Westminster, je bloque soudain Estelle dans la pénombre. Clémentine comprend immédiatement. Elle positionne bien la tête d'Estelle dont elle se saisit en la tenant par la nuque. J'ai la bite enfoncée dans la bouche d'Estelle. Mes couilles rabattues contre son menton. Je lui éjacule au fond de la gorge.

Clémentine la maintient fermement en murmurant : << Bouffe salope ! Bouffe ! >>. Estelle, tente de me repousser. Elle suffoque, tousse, tente de déglutir. Clémentine accroupie à ses côtés lui chuchote : << C'est la potion magique du bon docteur Julien ! Ça va te soulager. Avale ! >>. Elle lâche enfin la nuque d'Estelle qui peut reprendre son souffle dans un cri. Elle reste un moment à genoux, ses fesses posées sur ses talons à tenter de vider sa bouche. << Salaud, tu m'as juté au fond de la gorge, j'ai faillis m'étouffer ! >> lance t-elle.

Je l'aide à se relever. << En tous cas, ce traitement de choc fait oublier les contractions du ventre ! >> rajoute Estelle en s'essuyant la bouche de ses doigts qu'elle lèche l'un après l'autre. Je lui dépose un bisou sur le front. Elle se jette dans mes bras comme éperdument reconnaissante. << Tu ne m'administres pas assez ce traitement Julien ! >> dit elle en enfonçant sa langue dans ma bouche. Estelle doit nous laisser pour 22 h. Il est déjà 22 h15 lorsque nous la raccompagnons dans le froid glacial d'une nuit noire. Séparation difficile.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment les traitements à base de foutre, de jute, de sperme et de contraintes thérapeutiques...

Docteur Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1716 -



Julie vient prendre son cours de peinture

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. L'application "océan" nous tire du sommeil. L'illusion de nous réveiller dans un port de pêche est parfaite. Le ressac, les clapotis, le cri des mouettes. Différentes sirènes de probables chalutiers de pêche. Clémentine se blottit contre moi. << J'ai l'impression de me réveiller en Ecosse ! >> murmure t-elle. Quelques papouilles. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Le vendredi Clémentine termine à midi. L'arrivée du week-end a tendance à la rendre très déconneuse. Nous faisons tout en riant.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café pendant que j'allume la cuisinière à bois. Elle presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Les tranches sont éjectées du grille pain dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Le "traitement" du docteur Julien administré à Estelle. << Tu me feras la même thérapie ? Même si je n'ai rien ? S'il te plaît ! >> me fait Clémentine. Je promets de faire de mon mieux. Nous mangeons de bon appétit.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobics, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Retour au calme avec un stretching prétexte à déconnades. La douche. Je descends pour faire chauffer la voiture. Il est 7 h45 quand Clémentine me rejoint dans la nuit glaciale. Emmitouflée comme une esquimau dans son anorak. La fourrure de son capuchon assortie à celle du haut de ses bottes d'hiver. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de fuir ce froid.

Je fais notre vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. J'allume une flambée dans la cheminée. Me voilà installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je suis rapidement absorbé par la peinture de cette quatrième toile destinée à ma saison 2022. Je peins dans l'euphorie laissée par Clémentine. La matinée se déroule dans cette ambiance d'hiver. Les craquements du bois, le crépitement des braises, l'odeur des châtaignes. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans le feu. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il fait vraiment faim.

Je réchauffe le reste de beignets de crevettes, le reste des chips. Je fais une salade de carottes. Il est 12 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. << Docteur Julien, j'ai besoin de tendresse, d'affection ! >> dit elle entre chaque bise. Nous voilà confortablement assis. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine fait le programme de l'après-midi.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. << Ce soir, juste toi et moi, je t'aime Julien ! >> lance t-elle en glissant sa main dans ma braguette béante. C'est par la bite qu'elle m'entraîne pour redescendre les escaliers. Nous enfilons nos anoraks pour aller faire quelques pas dehors, rentrer du bois. Le thermomètre extérieur indique 3°. Il y a cette légère brume qui humidifie tout. Le sol reste trempé. Des gouttes tombent des branchages. Nous restons sur les dalles de grès.

Nous remplissons la brouette d'une vingtaine de bûches. Principalement du chêne car il brûle plus longtemps avec une forte puissance calorique. Je pousse la brouette. Clémentine me tient le bras. Nous empilons des bûches à côté de la cuisinière, à côté de la cheminée du salon. Nous ressortons pour un second approvisionnement. Nous sommes derrière la maison d'amis, dans l'abri à bois. << Bonjour ! >>. C'est la voix de monsieur Bertrand. Notre voisin monte le chemin depuis sa propriété pour aller nourrir les canards. Il s'arrête.

De l'autre côté de la clôture, il nous donne quelques nouvelles. Il s'excuse de ne pouvoir être disponible demain pour venir boire le café. C'est à dire pour venir sauter Estelle comme c'était prévu. << Je fais venir quinze stères de bois. Il va y avoir une augmentation des prix ! Si vous en prenez quinze aussi, ce sera moins cher ! >> nous dit il. Nous avons le même fournisseur depuis plus de 20 ans. J'ai du stock pour les quatre hivers à venir, voir même davantage. Je suis néanmoins d'accord. << OK, nous serons livrée mercredi prochain ! >> fait Louis.

Nous rentrons avec la seconde brouettée. Voilà le bois pour tout le week-end et lundi. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine remue les braises dans la cheminée en évoquant le voisin. << Tu as vu ? Ce vieux salaud ne fait jamais aucune allusion graveleuse quand tu es avec moi ! >> dit Clémentine. Je réponds : << Ce qui fait parfaitement le jeu de nos petites affaires libidineuses ! >>. Clémentine me tend la bouche. J'y dépose la mienne. Nous nous embrassons sans les mains. Je passe derrière elle. Je glisse mes mains sous son épaisse chemise à carreaux.

Je caresse délicatement ses tous petits seins. Je murmure : << C'est la thérapie du docteur Julien ! >>. Clémentine palpe ma bosse en chuchotant : << Oh oui docteur, soignez mon appétit de vice. Soulagez mes désirs salaces ! >>. Je glisse une main dans son jeans. J'aime quand elle contracte ses abdominaux pour me permettre un libre accès. Qu'il est bon, qu'il est doux d'aller à la découverte de ce qui se déroule dans sa culotte. A peine j'effleure son clitoris géant qu'un frisson parcourt tout son corps. Je la masturbe doucement.

<< Mmhh, c'est bon ça ! >> lance t-elle dans un souffle avant de se retourner. Je cesse mes examens pour la prendre dans mes bras. Nous nous embrassons. Clémentine frotte sa braguette contre mon sexe turgescent. Elle a encore du travail. Inutile de le différer. Nous voulons le week-end entier pour nous. Pouvoir jouir de chaque instant. Je l'accompagne jusqu'à la table de travail. Elle s'assoit devant l'ordinateur qu'elle allume en soupirant. << Put-Hein de maths ! >> dit elle. Je suis debout derrière elle. Je lisse ses cheveux longuement.

Avec le "chouchou" qu'elle a toujours dans la poche de sa chemise, j'attache ses cheveux en catogan. Je dépose un dernier bisou dans sa nuque. << Vous êtes tellement prévenant avec moi, docteur Julien que je suis déjà à me réjouir de la prochaine séance ! >> lance Clémentine. Nous rions. Je vais m'installer devant mon chevalet. Nous adorons ces séquences d'émulation commune. Chacun dans son domaine. Parfois l'un se lève pour venir faire un bisou à l'autre. Lui chuchoter des douceurs à l'oreille. Des cochonneries aussi.

La musique imbécile de mon téléphone. Je l'ai laissé sur la table. Clémentine s'en saisit. << Julie ! >> s'écrie t-elle. J'ai la bite à l'air sous ma blouse. Toute molle. Clémentine se précipite vers la porte en disant : << Surtout garde là dehors ! >>. Elle revient suivie de Julie. Elles portent toutes les deux leurs lunettes d'étudiantes. Julie se précipite pour me faire des bises. Le bout de son nez tout froid contre ma joue. Je me lève pour l'inviter à prendre ma place. Elle scrute mon travail. Silencieuse, concentrée. Je lui donne ma palette, mon pinceau.

<< Je vais tout gâcher ! >> lance t-elle intimidée. Je la rassure. Il s'agit simplement de mettre quelques taches de couleur verte sur les feuilles. Les roses que je place dans le fond de ma nature morte. Clémentine, sa main sous ma blouse, tient ma bite. Je bande mou. Nous regardons Julie appliquer de petites touches, concentrée en retenant sa respiration. Je la rassure en disant : << Parfait ! >>. Elle me tend la palette et le pinceau. << J'ai une surprise pour le "Black Friday" ! >> dit elle en se levant. << J'utilise vos toilettes ! >> fait elle encore.

Clémentine m'entraîne par la queue à présent bien dure. Assise devant son ordinateur elle me la tient d'une main tout en manipulant la souris de l'autre. Je caresse sa nuque. Elle m'explique ce que je vois à l'écran. Julie revient. Quelle surprise. Elle est vêtue de sa tenue de serveuse. Une tenue de soubrette qui lui va à ravir. Un chemisier blanc, une jupe courte noire, un tablier de fines dentelles blanches. Des bas noirs, ses souliers à légers talons. Elle a défait ses longs cheveux presque noirs. Elle marche doucement dans toute la grande pièce.

Comme estomaqués nous la regardons. C'est une magnifique exhibition à laquelle se livre notre jeune amie. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Par contre elle consulte celui de Clémentine qui agite mon sexe dans sa direction. Cette prestation dure un long moment. Nous restons silencieux. Quelle peut bien être la finalité d'une telle initiative ? Il est 16 h30. Clémentine propose de prendre le thé, des petits gâteaux avant le cours de peinture. Julie devra nous laisser dès 18 h. Elle fait la mise en place au restaurant de sa tante à 18 h30.

<< J'ai tout prévu. Et je n'aurai pas à me changer. Je serai déjà en tenue de travail ! >> lance Julie. Nous sommes tous les trois confortablement installés sur les poufs devant la cheminée. Julie garde ses jambes serrées. Impossible de voir sous sa jupe de velours noir. Pourtant, elle me voit tenter de percer ce "mystère". Cela fait probablement partie de son jeu. Un jeu passionnant. Je tiens ma bite à sa base à chaque fois que je me lève. Je l'agite dans sa direction. << Tu vas peut-être en voir d'autres ce soir ! >> lance Clémentine.

Julie lui adresse un sourire énigmatique. Julie est de plus en plus à l'aise avec nous au fil des mois. Jamais je n'aurais imaginer de telles attitudes il y a encore un an. Elle garde son regard braqué sur mon sexe. Je peux ressentir les envies que ma queue suscite. De quelles envies ? C'est encore un mystère. Un mystère que Julie sait entretenir et faire durer. C'est magnifique. Il est 17 h. Clémentine s'installe devant son ordinateur. Elle veut absolument terminer pour 18 h. Julie vient s'assoir devant le chevalet de table. Elle prépare sa palette.

Je suis assis à sa droite. J'observe, silencieux, sa façon de procéder. J'aime entendre ses apnées lorsqu'elle est concentrée. Sa toute petite toile sous les yeux, penchée en avant, elle peint avec minutie. Parfois elle me demande un conseil. Je me contente de l'encourager à laisser s'exprimer son inspiration, son tempérament. Elle n'en manque pas. Très douée. Lorsqu'elle s'appuie contre le dossier de sa chaise, Julie ne regarde pas seulement son travail mais ma queue. Je ne cesse de me masturber doucement. Elle me fait un délicieux sourire à chaque fois.

L'heure de cours passe bien trop vite. Autant pour Julie que pour moi. Elle se lève pour aller se laver les mains. Comme elle est belle et sexy devant le petit lavabo de l'atelier. A croquer. Clémentine éteint son ordinateur en disant : << Terminé ! >>. Julie s'essuie les mains. Elle se dirige vers mon chevalet. Elle dépose une bise sur le coin de la toile. Elle s'accroupit soudain, cuisses largement écartées, faisant mine de scruter l'arrière du tableau. Bien évidement cette attitude m'est tout spécialement adressée. Je me branle frénétiquement. Elle se redresse.

Nous la raccompagnons. Julie porte son sac de sport dans lequel il y a ses autres vêtements. Elle enfile son anoraks. << J'ai très vite chaud dans la voiture ! >> lance t-elle. Nous la raccompagnons jusqu'à son auto. La séparation est difficile mais il faut vraiment y aller. << Je reviens demain matin pour le ménage ! >> fait elle en démarrant. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. << Je la devine entrain de virer exhibitionniste. Normal pour une voyeuse. C'était pareil pour moi ! >> dit Clémentine.

Clémentine décline ma proposition de faire une surprise à Julie. D'aller au restaurant de l'étang ce soir. << J'ai envie d'être seule avec toi. Ça me manque si tu savais ! >> dit elle en se serrant contre moi. Frottant sa braguette contre mon sexe, Clémentine m'embrasse passionnément. Comme souvent nous avons rapidement nos mentons trempés de salive. C'est absolument divin et très excitant. << Ce soir spaghettis, calmars poêlés avec une salade de tomates ! >> lance t-elle en m'entraînant par le Zob dans la cuisine. Chacun sa partie.

Nous mangeons de bon appétit. C'est vrai que c'est sublime d'êtres juste nous deux. C'est délicieusement sensuel, romantique et merveilleusement excitant. << Tu me fais ce que tu as fait à Estelle hier soir ? >> me murmure t-elle, assise sur mes genoux. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Je saisis Clémentine par son catogan. Fermement. En gloussant de plaisir elle se laisse entraîner comme si je la tirais par une laisse. A peine sommes nous dans le salon que Clémentine se met à quatre pattes. Je la promène dans toute la pièce.

Je jette un des épais coussins au sol. Clémentine s'y met immédiatement à genoux, les mains sur la tête. Elle me fixe en ouvrant la bouche. Je frotte longuement mon sexe sur son visage. Avec l'excitation des différents phases de l'après-midi, je macule ses joues, son menton, son front d'un épais et gluant liquide séminal. Je glisse ma queue dans sa bouche en disant : << Ce soir, double dose pour ma patiente ! >>. Clémentine suce passionnément. J'éjacule. En poussant des râles de bonheur elle tente d'avaler. Nous repartons pour le second tour promis.

Bonne soirée à toutes les coquines désireuses de se faire administrer ce traitement à base de jus de couilles, de pisse et de mélange...

Docteur Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1717 -



Un samedi calme et reposant

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand Clémentine se blottit contre moi. << Je t'aime Julien ! >> chuchote t-elle à mon oreille. Je la serre fort. << Comme c'était bon hier soir ! >> murmure t-elle encore. Quelques papouilles. En nous tenant par la main, nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escalier. J'allume immédiatement le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café. Je presse nos dernières oranges, je pèle nos derniers kiwis. Le claquement sec du grille pain.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. << J'aime quand tu fais "ça" ! >> dit Clémentine en faisant allusion à la fellation. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le cours de peinture de Julie. La surprise qu'elle nous a réservé en fin d'après-midi. La vaisselle. Il est 8 h30. Dehors il pleut. Le thermomètre extérieur indique 6°. Pas de running avec cette météo. Nous allons nous offrir notre entraînement en salle. C'est plus agréable à cette heure-ci car nous sommes bien réveillé. D'attaque et en forme.

J'ai ouvert le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Nous accueillons Julie qui revient pour faire notre ménage. Elle a l'air si contente. Son sourire radieux est un autre bonheur de la matinée. Des bises. Son nez tout froid. Nous la laissons pour monter. Aérobic en faisant un peu les clowns. Jogging sur tapis roulants. Les abdos et les exercices au sol qui s'en suivent sont parfaits. Les charges additionnelles et leurs difficultés habituelles. Le retour au calme avec un bon stretching est prétexte à de nouvelles pitreries.

Nous pouvons entendre Julie passer l'aspirateur. Nous prenons notre douche. Vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers. Nous mettons nos anoraks. C'est sous le grand parapluie que nous sortons. Il faut rester sur les dalles en grès. Le sol est détrempé. Il y a une couche de feuilles mortes qui forme une véritable marmelade. C'est demain qu'intervient l'entreprise paysagiste. Ils vont avoir du boulot. Voilà la camionnette de Danièle. La jeune femme nous fait un magnifique sourire. Elle sort en nous saluant.

Du hayon arrière elle tire le premier cageot contenant nos fruits et nos légumes. Elle en tire le second qui contient nos fromages, nos œufs, nos yaourts, nos petits pots de crème fraîche. Les pots de fromage blanc et le beurre. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte. A peine la camionnette partie, voilà le tube Citroën de la boulangère. Madame Marthe a toujours d'amusants bons mots. Nous récupérons nos deux grosses miches, la brioche au pudding, les deux pâtes feuilletée. Mme Marthe nous offre deux gros croissants.

Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte. Nous passons par derrière pour descendre à la cave. Nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères dans le cellier. Dans le congélateur nous mettons les pâtes feuilletées, une des miches de pain complet. J'en tire un paquet de moules, un paquet de haricots verts, un paquet de petits pois. Nous remontons par l'escalier intérieur. Nous rangeons nos produit frais dans le réfrigérateur. Nous quittons rapidement la cuisine pour permettre à Julie de passer l'aspirateur et la serpillère.

Nous sommes au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un message de Juliette qui nous invite à passer au haras. Elle se réjouit de venir mercredi prochain. Un courriel des Wong, nos amis écossais. Ils joignent deux photos de leur petit Danh. Il a deux mois. Les parents sont tout sourire. Pendant que Clémentine répond, je glisse un billet de 50 euros dans la minuscule enveloppe jaune. J'y rajoute un petit mot. Il est 11 h25. Julie vient nous rejoindre. << Mission accomplie ! >> dit elle en s'asseyant sur la chaise face à nous.

C'est la première fois qu'elle s'assoit ainsi, le dossier entre ses cuisses les coudes en appui. Cela ne dure qu'un instant. Elle se lève. Nous nous levons également. Julie doit nous quitter. Je lui tends la petite enveloppe jaune. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Je dis : << Nous avons énormément apprécié la surprise de hier ! >>. En s'asseyant dans sa Clio rouge, elle me répond : << Je vous en promets d'autres. Vous allez me manquer jusqu'à lundi soir ! >>. Nous la regardons partir, un peu tristounette de devoir nous laisser.

Nous nous dépêchons de rentrer sous une pluie continue. Clémentine fait la salade en me donnant ses impressions. Je prépare le bouillon. Dans le wok, je jette le contenu des paquets de haricots verts, de petits pois.Le tout encore congelé. Dans le bouillon en ébullition je jette les moules congelées aussi. C'est rapide. La cuisson sur la cuisinière à bois est hyper rapide. Pas vraiment contrôlable. Aussi il faut surveiller tout ça. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les attitudes de Julie. Tous les samedis matins elle nous offre une maison propre.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le très vague programme de l'après-midi. Avec ce temps pourrit, il est préférable de rester à l'intérieur. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles. Tête contre tête, au-dessus du lavabo, nous rinçons nos bouches en poussant des gémissements de déments. Nous nous essuyons en faisant des grimaces dans le miroir. << Où sont les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle.

Elle vient nous rejoindre pour nous faire plein de bisous. Nous sommes tellement heureux d'êtres à nouveau ensemble. << Les trois mousquetaires ! >> lance Estelle en sautillant. Je prends le grand sac de sport qui contient ses vêtements de change. Nous allons dans la chambre. Il y fait très frais car nous la chauffons peu. C'est préférable pour dormir mais pas pour y faire les fous trop longtemps. Estelle prépare son pyjama de soie mauve pour ce soir en l'étalant sur son lit. Elle nous raconte son vendredi. Les courses avec sa maman.

Nous lui racontons notre vendredi après-midi. La présence de Julie. Sa surprise. << Docteur Julien, c'est mon dernier jour, et j'ai encore besoin de soins ! >> me fait Estelle en posant sa main sur ma braguette. Elle fait évidement allusion à ses "petits machins" de fille. Je pose mes lèvres sur chacun de ses seins minuscules pour insuffler de l'air chaud à travers le tissu. << Mmhhh ! Je vais déjà beaucoup mieux. Juste encore un peu de votre potion magique et je serai soulagée ! >> rajoute t-elle en déboutonnant mon 501. Nous rions de bon cœur.

Clémentine dit : << Tu ne préfères pas attendre la consultation du soir ? >>. Estelle me sort la queue en répondant : << C'est juste pour voir le tube de crème que va me prescrire le bon docteur ! >>. Nous sommes pliés de rire devant le grand miroir de l'armoire. Je suis entre mes deux anges. Estelle me tient le sexe. Clémentine me tient les couilles. Je passe mes bras autour de leurs tailles. Elles se serrent. Clémentine s'accroupit la première. C'est au tour d'Estelle. La tête posée contre mes hanches, elles enserrent mes cuisses de leurs bras.

Estelle agite ma bite. Clémentine tient la peau entre mes deux roubignoles. Je pose mes mains sur leurs têtes. Il fait décidément trop froid pour rester plus longtemps dans la chambre. Les filles se redressent. Nous nous dépêchons de descendre les escaliers. Nous allons dans l'atelier. << C'est moi qui allume. A la maison c'est toujours moi ! >> lance Estelle en se précipitant vers la cheminée. Clémentine reste tout contre moi. C'est elle qui tient ma bite. Nous regardons Estelle allumer une bonne flambée. Elle est adroite et se débrouille plutôt bien.

Il fait sombre dans toute la maison. Aussi nous allumons la lampe de la table et la lampe halogène. Estelle, à genoux devant la cheminée, dispose convenablement les deux bûches. C'est à quatre pattes qu'elle vient nous rejoindre. Aux pieds de mon chevalet, elle lève la cuisse. Elle imite les aboiements d'un roquet. Clémentine agite ma queue dans sa direction pour dire : << Nonos pour toutou ? >>. Estelle se redresse, tout en restant sur ses genoux, elle tire la langue en ouvrant sa bouche en grand. Je m'approche. Clémentine tient mon sexe.

Elle le frotte sur le visage d'Estelle qui ferme les yeux en gémissant d'aise. A genoux sur les tomettes ce n'est pas agréable. Je la saisis par sa natte pour l'aider à se relever. Je me penche pour lui masser les articulations. << Docteur Julien, vous êtres toujours si attentionné avec vos patientes ! >> dit-elle en me tenant par les épaules. Clémentine me masturbe doucement. Je bande mou toutefois. Clémentine lâche mon sexe. Une main entre ses cuisses, tout en se touchant, elle propose de différer nos folies. Mettre à profit cette météo pour bosser.

Je dis : << Voilà une excellente suggestion ! >>. Estelle et Clémentine s'installent à la table de travail. Devant l'ordinateur. Je suis debout derrière elles. Mes mains sous leurs nattes, je caresse leurs nuques. Elles surfent sur le site universitaire. Lorsque s'affichent les équations mathématiques du programme, je ne comprends absolument plus rien. Mon niveau en math s'arrête à la terminale. Alors que là c'est du niveaux math sup. Clémentine, une fois encore, à mon intention, explique le développement décimal d'un réel, scalaire et euclidien.

Autant dire qu'elle s'adresse en hébreu à un néophyte. Ce qui fait beaucoup rire Estelle. Je les laisse à leur passion pour les produits vectoriels. Je m'installe confortablement devant mon chevalet. Je regarde mon travail de hier. Cette nature morte sera terminée mardi soir au plus tard. Je tire des calques d'un de mes grands cartons à dessins. Ce sont les réalisations anciennes de scènes de genre à trois personnages. Je scotche le premier calque sur une toile vierge. Pour en faire une œuvre originale, il me suffira de modifier des trucs.

J'aime entendre mes deux anges échanger. C'est comme une chanson dont je ne comprends pas les paroles. J'aime les entendre rire, commenter ce qu'elles font. Parfois l'une ou l'autre vient me rejoindre pour regarder ce que je fais. Me déposer des bisous. Me murmurer des coquineries à l'oreille. Parfois c'est moi qui vais les rejoindre pour faire la même chose. Elles m'attrapent alors par les poignets pour m'empêcher de retourner à mon labeur. C'est dans cette ambiance que passe l'après-midi. J'ai réalisé deux dessins préparatoires.

Estelle adore passer les couches d'impressions. Il est 18 h15. Dans une écuelle sphérique en métal chromé, je prépare le mélange acrylique Terre de Sienne et eau. Les deux toiles posées sur une bâche, Estelle, à quatre pattes, avec un spalter, enduit les surfaces de couleur. Elle sèche la première couche avec le vieux sèche cheveux réservé à cet usage. Clémentine, assise sur mes genoux, nous regardons Estelle passer la seconde couche. Elle croise les deux superpositions. C'est un travail parfait. Soudain, au-dessus de nos têtes, un bruit sourd.

<< Bonsoir Christine ! >> lance Estelle qui sèche la seconde couche. Il est 18 h45. Les filles sont assises sur mes genoux. Nous écoutons les errances du fantôme de mon ancienne compagne. Ce soir encore, les manifestations surnaturelles ont de quoi étonner. C'est comme si quelqu'un traînait une chaise. Les bruits ne sont pas localisables. Une seule certitude, ces phénomènes paranormaux on lieu à l'étage. Jamais nous ne sommes montés voir pendant qu'ils se déroulent. Nous restons serrés très fort. Cela cesse aussi subitement. Cinq minutes.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je rajoute une grosse bûche dans la cuisinière à bois. Assis tous les trois autour de la table, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, le navet, le céleri. Nous en faisons en grande quantité pour assurer les trois repas du week-end. Il en restera même pour lundi midi. Les filles parlent de leurs cours. Cette mini thèse de mathématiques qu'il faudra rendre avant les vacances de Noël. Clémentine prépare la salade verte. Estelle remue les légumes dans la cocote en fonte noire.

Dans une poêle je fais revenir trois beaux dos de cabillaud blanc. Des champignons, de l'ail, de l'oignon. La hotte au-dessus de la cuisinière à bois fonctionne à plein régime. Son vieux moteur électrique des années soixante fait un bruit infernal. << On ne s'entend plus gueuler ! >> lance Estelle. En fin de cuisson, je rajoute un petit pot de crème fraîche. Estelle y rajoute du gruyère de Comté qu'elle vient de râper. Il faut remuer sans arrêt les légumes afin qu'ils accrochent le moins possible. Sachant que le meilleur est ce qui accroche. Mais pas trop !

Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'Ecosse. << Vous allez voir, avec l'invention du nouveau variant O Micron, ces enfoirés vont nous imposer toute leur série habituelle de mesures scélérates ! >> lance Estelle. Clémentine rajoute : << Le variant Oh Les cons oui ! >>. Nous rions pour ne pas en pleurer. << On veut aller en Ecosse pour les fêtes, put-hein d'enculés ! >> s'écrie Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. J'adore la vulgarité qu'elle y met encore ce soir. Elle récidive à plusieurs reprises. Elle mime super bien !

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font le programme de demain. Même s'il pleut, nous ne voulons pas rester enfermés. Elles suggèrent différentes possibilités. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. C'est Estelle qui m'entraîne par la queue jusqu'au salon. << Votre traitement, docteur, j'ai besoin d'être soulagée ! >> dit elle en se mettant à genoux sur un des épais coussins. Les mains croisées sur la tête, elle regarde Clémentine qui me masturbe en disant : << Je prépare. Ne dépassez pas la dose prescrite ! >>.

Elle m'entraîne devant Estelle. Une fois encore, Clémentine frotte mon sexe sur le visage d'Estelle. << Cet onguent naturel vous fera le plus grand bien ! >> dit elle. Estelle, les yeux fermés, présente ses joues, son front, son menton avant d'ouvrir la bouche. Elle fait : << Demain, il n'y aura plus de tampon, il faudra donc faire un ramonage en profondeur, docteur ! >>. Nous rions aux éclats juste avant que Clémentine ne glisse mon sexe dans la bouche d'Estelle. Je passe mon bras autour des épaules de Clémentine penchée en avant pour regarder la pipe.

Clémentine passe derrière Estelle. Elle lui appui sur la tête. Estelle a toute la bite en bouche. Mes couilles sur son menton. Elle manque de s'étouffer. Clémentine se penche pour demander : << La thérapie est à votre goût mademoiselle ? >>. Estelle tente de se soustraire à son étreinte pour pouvoir répondre. Elle n'est absolument pas habituée à ce genre d'attitude de la part de Clémentine. Je me retire pour lui permettre de dire en suffoquant : << Oui, mais là, je ne peux pas sucer l'embout du tube de potion dans les meilleures conditions ! >>.

Sans lui permettre d'en dire davantage, je lui remets la queue. Cette fois raisonnablement. Je récupère de mon index la larme qui coule sur sa joue. Je le suce. C'est salé. Clémentine passe derrière moi. Une main dans son jeans déboutonné, elle se touche. De l'autre elle tient mon sexe à sa base entre le pouce et l'index. Je regarde Estelle se régaler en gémissant tout en écoutant gémir clémentine derrière moi. Je promets à Estelle de la baiser demain. Une autre forme de traitement du docteur Julien. Clémentine me lâche le sexe pour s'éloigner.

Elle retire son jeans, sa culotte, pour s'installer dans le fauteuil. J'aide Estelle à se redresser. Elle ne cesse de me fixer avec son regard plein de reconnaissance. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Elle aussi aime à garder le foutre le plus longtemps possible avant de le déglutir. Elle s'assoit à côté de moi dans le canapé. Nous regardons Clémentine se masturber. Elle nous montre l'incroyable turgescence de son clitoris géant. Elle le décalotte en poussant de petits cris d'animal blessé. << Je fais ça dans la voiture en rentrant de cours ! >> dit elle.

<< Moi aussi ! >> lance Estelle avant de s'allonger sur le côté, sa tête contre mon ventre. Ma bite dans la bouche qu'elle suce passionnément. Toutes les deux trois minutes elle cesse pour regarder ce que fait Clémentine. Clémentine et moi, nous nous fixons longuement. Nous adorons communiquer par le regard. Tant d'émotions en découlent. C'est hyper excitant. Nous restons ainsi jusqu'aux environs de 22 h30. J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Clémentine, la cuvette dans la main, s'offre un orgasme pisseux impressionnant.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se masturber, sucer, s'offrir de merveilleux moments de douceurs, de joies et de plaisirs...

Docteur Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1718 -



Un dimanche froid, pluvieux et venteux...

Hier matin, dimanche, il est plus de neuf heures quand nous nous réveillons quasiment ensemble tous les trois. Je suis entre mes deux anges. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite. Elles se tournent toutes les deux sur le côté pour me couvrir le visage de bisous. Estelle saisit mon érection naturelle. Clémentine empoigne mes couilles. Je glisse les mains dans les culottes. J'aime y démêler quelques poils, passer mes doigts entre les lèvres de leurs sexes. << C'était génial hier soir ! >> fait Estelle. << C'était divin ! >> rajoute Clémentine.

Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine me chevauche. Elle frotte son sexe contre le mien en me faisant plein de bises. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Il y a déjà l'odeur du café, de la brioche au pudding et du pain grillé. Estelle me saute au cou. Je la soulève dans son pyjama de soie mauve. Elle enserre ma taille de ses jambes. << Bis répétitas aujourd'hui sel te plis ! >> dit t-elle. Je fais la même chose avec Clémentine. C'est si agréable.

J'allume un bon feu dans la cheminée. Clémentine et moi nous sommes en slips et T-shirts de nuit. C'est limite. Même s'il y a 20° dans la grande pièce. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'ambiance de hier après-midi, de hier soir. << Vous êtes le meilleur thérapeute, docteur Julien ! >> me fait Estelle. << Nous retrouverons notre bon docteur d'ici quatre semaines ! >> rajoute Clémentine qui fait allusion à ses prochaines règles. Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'éventualité de nouvelles mesures scélérates. "Omicron".

<< Je veux aller en Ecosse pour les fêtes ! >> s'écrie Estelle. << Sinon on y va clandestinement ! >> rajoute Clémentine. Nous rions de bon cœur de toutes les inepties que nous échangeons ce matin. Quoi qu'il arrive, il est certain que nous passerons les vacances de fin d'année ensemble tous les trois. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges font mille projets si nous ne pouvions pas partir pour les fêtes. J'écoute l'imagination débordante dont elles font preuve une fois encore.

Le dimanche, pas de gymnastique, pas d'entraînement, pas de jogging. Même pas de douche ou de toilette quelconque. Il est décrété un total laisser-aller. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous allons dans la chambre glaciale pour récupérer nos vêtements. Nous nous habillons à la salle bain. Nous retournons dans la chambre pour y fermer les fenêtres, faire notre lit. Nous descendons à toute vitesse pour enfiler nos anoraks.

C'est sous le grand parapluie que je tiens, que nous faisons quelques pas au dehors. Nous avons chaussé nos bottes en caoutchouc. Le bruit qu'elles font en marchant nous amuse beaucoup. Le thermomètre extérieur indique 4°. Les filles restent accrochées à mon bras. Nous allons jusqu'à la rivière. Impossible de prendre le sentier facile de gauche. Avec la montée des eaux il s'est formé un petit étang. Ce qui fait le bonheur des canards, des colverts et des poules d'eau. Nous les regardons virevolter indifférents aux conditions climatiques. Les veinards !

Nous avons nos bonnets, nos gants. Clémentine et moi nous nous frottons le bout du nez froid en faisant de l'escrime avec nos langues. Puis c'est avec Estelle. Mes vieux fantasmes d'homme des cavernes me laissent entrevoir la possibilité que mes deux anges partagent le même jeu. Hélas, cela restera un fantasme. Les filles s'amusent toujours beaucoup de mes déceptions. Estelle me palpe la braguette fermée par ce froid. Clémentine m'embrasse. Nous remontons. Sous l'abri à bois nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches.

Nous voilà au chaud. Estelle allume un beau feu dans la cheminée du salon. Il fait sombre. Nous restons tous les trois l'un contre l'autre devant une des deux portes fenêtres qui donnent sur le perron circulaire. Nous regardons la campagne. Même si le paysage est bien sinistre avec cette météo, le spectacle reste attractif. Estelle s'accroupit devant moi pour déboutonner ma braguette. Elle en extrait mon sexe tout mou. Elle y dépose des bisous en mitraille. Elle se redresse en disant : << Je sais, je vous empêche de regarder mais c'est exprès ! >>.

Je lui dépose une bise sur le front, le nez, la bouche. Clémentine s'accroupit à son tour en disant : << Moi, j'adore l'odeur de la queue du dimanche. Pas lavée, "nature", "Bio" et dans son jus ! >>. Estelle me roule une pelle d'enfer. Clémentine me suce délicatement. Je l'aide à se redresser. Estelle nous entraîne dans une farandole dans toute la grande pièce. Elle invente des paroles loufoques sur des airs de comptines. Nous reprenons en cœur. C'est rigolo de sauter, de danser avec la queue qui balance dans tous les sens en débandant.

Il est décidé d'aller nous balader au bourg cet après-midi. Tant pis pour la météo. Nous passerons au haras avant de rentrer. Question d'aller faire un coucou à Juliette. Les filles m'entraînent à la cuisine. Assises toutes les deux sur une chaise à l'envers, le dossier entre les cuisses largement écartées, elles me font des clins d'œil, des sourires. << Tu nous fais un show ! >> lance Estelle. Même si nos complicités sont totales, nos intimité en symbiose parfaite, je me sens subitement très gêné. << Allez, ne sois pas timide ! >> rajoute Clémentine.

Je tiens mon Zob à sa base entre le pouce et l'index. Je l'agite vers mes deux anges qui applaudissent. Je me sens tout de même un peu ridicule. Je bande mou. << Vous avez un beau tuyau d'arrosage monsieur ! >> fait Estelle. << Vous en faites de belles choses paraît-il ! >> dit Clémentine. Je me branle doucement. Cambré sur mes genoux fléchis je le fais vers Estelle, vers Clémentine. En riant, en s'écriant : << Bravo ! >> les deux coquines applaudissent ma prestation. Je bande à présent comme il se doit devant des jeunes filles effrontées.

Je m'avance. Je présente d'abord ma queue à Estelle. Elle se penche pour en gober juste la peau fripée de mon prépuce. Je la laisse fouiller l'intérieur de sa langue exploratrice. Je passe à Clémentine. Même petites joies de la découverte dominicale. Je retourne devant Estelle. Je la tiens par ses cheveux pour l'empêcher de sucer. Je décalotte l'extrémité de mon gland sous son nez. << Pouahh ! >> s'écrie t-elle en faisant une horrible grimace. C'est vrai, ça schlingue. L'odeur pestilentielle me monte aux narines. Je passe à Clémentine qui fait la même grimace.

Il est 11 h45. Tout cela nous met en appétit. << J'ai envie de bouffer de la bite ! >> lance Clémentine avant de me rouler une pelle. << Moi, j'ai envie que tu me la mettes ! >> me dit Estelle en la tenant fermement dans sa poigne. Je fais : << Je promets d'y réfléchir ! >>. Nous en rions comme des fous. Clémentine fait la salade d'endives. Estelle remue la potée de légume qui réchauffe sur la cuisinière à bois. << J'ai l'odeur de ta bite dans le nez ! >> me dit elle tout en touillant. Je fais rissoler trois pavés de saumon à la poêle. Champignons.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent nos partouzes d'il y a plus de deux ans, au haras. << Tu te rappelles comme on s'est fait défoncer toutes les deux par ces salauds ? >> lance Estelle à Clémentine. << Je me souviens des litres de pisse et de foutre dont certains m'ont noyé ! >> répond Clémentine. Je dis : << Juliette nous propose de revivre tout cela avant les fêtes. Saisissons l'opportunité ! >>. Clémentine et Estelle se tape la paume des mains en s'écriant : << Chiche ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents en faisant les clowns. Les filles miment des fellations avec leurs brosses à dents. Têtes contre têtes, nous nous rinçons les bouches au-dessus du lavabo. << J'ai envie de faire ma cochonne ! >> me fait Estelle en saisissant ma bite semi molle. << Moi, j'ai envie d'être la reine des salopes ! >> rajoute Clémentine avant de fouiller ma bouche de sa langue exploratrice. Nous enfilons des pulls. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Nous mettons nos anoraks.

Je roule doucement, il y a trois kilomètres jusqu'au bourg. C'est sinistre. Il n'y a strictement personne dehors. La pluie est incessante. Pourtant, d'être ensemble tous les trois, serrés sous l'immense parapluie est un réel petit bonheur. Ce n'est pas très agréable de se palper les sexes en portant des gants. C'est même frustrant. Par contre, de s'arrêter tous les dix mètres pour se rouler des pelles est un vrai plaisir. Clémentine prend des photos des maisons de briques rouges. Nous parcourons les ruelles étroites et leurs escaliers. Il y a parfois des gens.

Nous flânons ainsi presque deux heures. Même si nous connaissons par cœur chacun des recoins du bourg, son charme s'exerce à chaque visite. Nous croisons quelques rares courageux. Il y a un groupe dans l'église. Il y a un concert liturgique à 18 h. Ce sont certainement les musiciens et leurs proches. Nous restons un moment dans l'ambiance gothique du lieu. Il commence à y faire meilleur que dehors. Nous pouvons retirer nos bonnets, nos gans. Ce qui permet à Estelle de me tripoter la braguette. Elle le fait discrètement. C'est plutôt rare.

Notre trio attire les regards. Nous en avons l'habitude. Nous devinons les questions. Cet homme d'âge mûr, est-il le père de ces deux sublimes jeunes filles ? C'est pourtant étrange qu'elles restent ainsi serrées contre lui, qu'elles lui font pleins de bisous. Tiens, il y en a même une qui l'embrasse à pleine bouche. Tout cela nous amuse. Je me retrouve évidemment la bite à l'air dans un des coins sombres de l'église. Entre le confessionnal et le baptistère. Par respect pour les lieux de cultes, cela me cause toujours une sorte de cas de conscience.

Même si les cultes que je pratique n'ont strictement rien de chrétien, je préfère m'abstenir. Ce qui fait toujours beaucoup rire mes deux anges. Aussi, c'est par défi, pour me mettre dans l'embarras, qu'elles aiment me sortir la queue dans les églises. Je fini toujours par en rire en me prêtant aux "blasphèmes" les plus innocents. Estelle me branle, accroupie dans l'obscurité. Clémentine par mesure de précaution fait écran de son corps. Même si là-bas, la vingtaine de personnes ne prêtent plus aucune attention à nous. Il est 17 h30, Nous quittons.

La nuit est tombée. Les premiers spectateurs arrivent. Nous retournons à la voiture. Je roule doucement. Clémentine me suce. Estelle, assise au sol, entre les pieds de Clémentine, attend son tour. Je gare la voiture dans la cour du haras. Il y a encore du monde. Les lumières sont allumées dans les écuries. Juliette est en pleine conversation avec une dizaine de personnes. Nous lui faisons un coucou de loin. Elle nous fait un grand sourire. Nous ne voulons surtout pas déranger. Nous caressons l'encolure de quelques chevaux qui nous regardent passer.

Voilà James, le nouveau palefrenier. Il nous salue comme si nous n'étions que de simples visiteurs. Nos têtes lui disent quelque chose. Nous nous sommes vus une seule fois. Juliette nous avait présenté. C'est un garçon maigre, la trentaine, énergique et dynamique. Il pousse une brouette emplie de granules, d'orge, d'avoine et de foin finement concassé. << Le dessert des bêtes ! >> nous lance t-il sans s'attarder. Estelle ne cesse de me tripoter. << Put-Hein, ce soir, je vais te faire ta fête mon salaud ! >> chuchote t-elle. Nous ne nous attardons pas.

Il est presque 19 h quand nous revenons à la maison. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle concocte une belle omelette aux quatre fromages. Je réchauffe la potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Estelle est tellement pressée de baiser qu'elle est déjà à moitié à poil à peine au salon. Clémentine s'installe dans le fauteuil en se touchant. Elle adore nous voir baiser. Je tringle Estelle comme elle aime. Façon homme des bois. Elle devra nous laisser pour 22 h. On met les bouchées doubles.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se branlent en regardant un couple baiser avant que le mec ne vienne leurs éjaculer dans la bouche.

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
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Un lundi dont la soirée est riche de surprises

Hier matin, lundi, il est presque six heures. La sirène d'un cargo résonne dans le lointain. L'illusion de se réveiller au bord de la mer. C'est encore accentué par le cri des mouettes. Le clapotis du ressac. Clémentine se blottit contre moi. Sa tête dans mon cou. << C'est de plus en plus dur ! >> chuchote t-elle. Quelques papouilles. Cette fois c'est moi qui l'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nos rituels pisseux. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers un peu comme des zombies. C'est vrai que c'est de plus en plus dur.

Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Nous pressons nos oranges, je pèle nos kiwis. Le lundi matin il reste toujours de la brioche. Réchauffée au four à micro ondes c'est un petit plaisir supplémentaire. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre journée de hier. Nos folies de hier soir. << Il faut qu'on lève un peu le pied ! Tu as vu comme c'est difficile de se lever le matin ! >> me fait Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan du week-end. En riant beaucoup.

Il est 6 h25. Nous remontons. Nous nous livrons à notre heure d'entraînement. Il faut commencer en y mettant toute notre volonté. L'aérobic est lamentable. Le jogging sur les tapis roulants permet de situer les choses. Les abdos, les exercices au sol achèvent de nous sortir de cette sorte de torpeur. Les charges additionnelles, l'entraînement le plus pénible au monde, nous réveille complètement pour nous changer en guerriers pour toute la journée. Le retour au calme d'un stretching et nous voilà d'attaque. La salle de bain. La douche.

Je descends le premier. Dans le froid glacial je sors la voiture. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller dans le jour qui naît à peine. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Assis devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Soudain, la musique imbécile de mon téléphone. Je le sors de la poche de ma blouse. Qui peut bien me faire chier à 8 h15 du matin.

C'est l'entreprise paysagiste. J'avais complètement oublié. Je quitte l'atelier pour aller saluer les employés. C'est la même jeune femme qui dirige le chantier. C'est le même jeune homme sous ses ordres. Ils connaissent leurs boulot. Et pour cette dernière intervention avant le printemps, du boulot, il y en a. Pas de consignes particulières. Je les laisse à leurs travaux. Je retourne dans l'atelier. Je peins dans une sorte de plénitude fort agréable. Parfois, dans le lointain, je perçois le bruit des débroussailleuses, des tondeuses ou encore des tailles haies.

La matinée se passe ainsi. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je mets une autre bûche dans la cuisinière. Il suffit de réchauffer le reste de la potée de légumes. Je prépare une salade de tomates. Je poêle un filet de colin avec des champignons, de l'ail, de l'oignon et de la ciboulette. Un gros cube de Roquefort en fin de cuisson. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff m'amuse encore beaucoup avec ses coups de gueules. Il est 12 h30. La vaisselle. Je monte me laver les dents.

En regardant depuis la fenêtre de la salle de bain, j'ai une vue d'ensemble sur toute cette partie de la propriété. C'est propre. Plus une feuille morte au sol. Là-bas, à plus de 300 mètres, la maison de nos voisins. Avec les arbres nus, on voit les toits, les cheminées qui fument. Je redescends pour aller directement dans l'atelier. Je peins avec ce même sentiment de plénitude. L'après-midi file à toute vitesse. Il est déjà 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table pour se précipiter vers moi en sautillant. Toute contente.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Clémentine a encore à mettre au propre les notes prises durant la journée. La voilà installée devant son ordinateur, entourée de ses fiches. J'aime l'entendre chantonner. Nous apprécions ces moments de travail ensemble. Il est 18 h15. << Mais put-hein comme j'en ai marre ! >> lance t-elle en chantant cette phrase. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Cette quatrième toile destinée à ma saison 2022 sera terminée demain.

Clémentine, à quatre pattes, vient me rejoindre. Elle lève la jambe contre un des poufs devant la cheminée avant de se mettre à genoux, mains croisées sur la tête. Je la regarde faire. C'est toujours très impressionnant. Je comprends le message. Sa demande. Je me lève pour retirer ma blouse. Je sors mon sexe. Je viens me positionner pour lui passer la bite sur le visage. << J'ai besoin de toutes vos attentions mon bon "Maître" ! >> dit elle en me fixant. Je dis : << Je vous promets de m'occuper de vous ma délicieuse "Soumise" ! >>.

Je saisis sa natte comme je le ferais d'une laisse. Je l'entraîne à quatre pattes dans tout l'atelier. Lorsqu'elle lève la jambe aux coins des meubles, aux pieds des chevalets, je me penche pour la tenir sous le menton. Ces séances d'un genre particulier sont un besoin vital pour Clémentine. Comme je ne suis absolument pas un vrai "Maître", je ne pense jamais à ces choses. Par contre, Clémentine, en authentique "Soumise", ne manque pas de me rappeler à quel point elle aime être "prise en main". Il est 18 h30. Un bruit sourd à l'étage.

Nous cessons. Je m'assois au sol à côté de Clémentine qui se blottit contre moi. Nous écoutons les errances du fantôme de mon ancienne compagne. Ce soir, ce ne sont que des pas furtifs. Tout cela ne dure que deux minutes pour cesser. Lorsque la musique idiote de mon téléphone résonne depuis la desserte. Clémentine se lève pour le saisir . << Julie ! >> s'écrie t-elle. Nous nous précipitons pour aller accueillir notre amie. La livraison de nos repas. Julie, toute souriante, emmitouflée dans son anorak, nous attend sur le perron.

Nous traversons le jardin en courant sur les dalles de grès jusqu'à la Clio rouge. Je récupère la grosse boîte isotherme. Clémentine prend le sachet contenant nos salades. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Julie nous fait des bises. Le bout de son nez tout froid contre nos joues. Nous allons dans la cuisine. Ce soir, Julie a ses cheveux noués en catogan. Ses lunettes d'étudiante qui lui confère cet air sérieux. Elle porte un gros pull bleu nuit, son jeans, ses bottines noires à légers talons. Je tire les feuillantines au saumon encore chaudes de la boîte.

Julie met les assiettes et les couverts en nous racontant son week-end. La présence de ses deux papys, de ses deux mamies. Ses soirées à faire la serveuse dans le restaurant de sa tante. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant nos salades de salicornes. Nous mangeons de bon appétit tout en écoutant Julie. << Il y avait un vicieux au restau samedi soir ! Wouah ! Un type qui n'avait pas froid aux yeux. Il était avec une dame ! >> raconte t-elle. Nous sommes silencieux, suspendus à ses lèvres. Soudain Julie éclate de rire.

<< Il avait son sexe sorti sous la table. Il remontait la nappe à chaque fois que je regardais dans leur direction. Je ne sais pas si sa femme savait ce qu'il faisait ! >> rajoute encore Julie. Moi aussi, en écoutant cette histoire, je sors ma bite sous la table. Ce qui n'échappe évidemment ni à Clémentine qui me fait un clin d'œil, ni à Julie qui regarde le mouvement de mon bras. Elle continue : << Il est descendu deux fois aux toilettes. J'y suis allée deux fois aussi. Avec mon seau et mon balai brosse. Il se masturbait comme un fou en me voyant ! >>.

Je me lève, je me branle en demandant : << Comme ça ? >>. Julie s'interrompt un instant. Elle observe comme si c'était la première fois qu'elle me voyait faire. Elle dit : << Oui, comme ça, pareil ! Il m'a demandé si j'aimais sucer ! Bien évidemment je ne réponds jamais. De toute façon je n'ai que quelques secondes. Je doit remonter faire mon service. Surtout qu'il y avait de nombreux clients samedi soir ! >>. Clémentine pose tout un tas de questions. Sur la taille de la queue. Sur le look du mec, son âge. Julie se fait un plaisir de tout détailler.

<< Samedi soir, j'ai bossé avec mon plug anal ! >> fait soudain Julie. << Il faut que tu nous en fasses une démonstration un de ces jours ! >> lance Clémentine. Je demande : << Tu aimes t'enculer souvent ? >>. Julie reste silencieuse en se mordillant la lèvre inférieure. << Tu aimes ça, avoue ! >> dit Clémentine. Julie lève la tête. Nous la sentons prendre tout son courage pour répondre : << Oui ! >>. Je commence à comprendre. Clémentine rajoute : << C'est ça ton "truc" ? Hein ? >>. Julie, toute timide, rajoute un << Oui ! >>.

Elle se lève. Se précipite vers la porte en disant : << Je reviens ! >>. Clémentine me prend le poignet pour murmurer : << Elle saura nous étonner à chacune de ses visites ! >>. Julie revient en brandissant fièrement un plug d'acier chromé. << J'en ai un autre en caoutchouc relié à une poire par un petit tuyau ! Je peux le gonfler ! >> lance t-elle. Elle le tend à Clémentine qui dit : << J'ai exactement le même en haut, dans la table de nuit ! >>. Julie, soudain comme émerveillée, demande : << Tu le mets souvent ? >>. Je suis debout, bite à l'air.

J'écoute les filles se raconter le "plan" plug anal. << Non, je déteste avoir quelque chose dans le cul. Je déteste la sodomie ! >> précise Clémentine. << Et vous, ça ne vous manque pas ? >> me demande soudain Julie. Je réponds : << Non, absolument pas. Je déteste les enculades. Par le cul, ce n'est pas du tout mon truc ! >>. Comme déçue, Julie rajoute : << Comme c'est dommage ! >>. Clémentine me fait du pied sous la table. Nous venons de comprendre les penchants de Julie. Je dis : << Tu voudrais que je t'encule un de ces jours ? >>.

Julie, pour la toute première fois soutient mon regard. Comme pour se défier elle-même. Il y a un long silence. Je suis à nouveau debout à me branler. Julie répond enfin : << Oui, ça me plairait bien ! >>. Je reste pantois. Cet aveux nous laisse consternés. Clémentine me fixe longuement. Je ne sais plus quoi dire. Nous terminons notre repas en revenant sur le voyeurisme de Julie. << Tu as déjà été cachée, un truc dans le cul, pour faire ta voyeuse ? >> demande Clémentine. << Oui, au lycée, dans les vestiaires de la salle de sport ! >> répond Julie.

J'écoute ces confidences sans cesser de me branler. Je ne suis pas obligé de poser la moindre question. Tout ce qui me passe par la tête est demandé par Clémentine. Les confessions de Julie ne la laisse pas indifférente. Elle se lève, une main dans son jeans déboutonné. << Et quand tu viens nous voir, il t'arrive d'avoir un de tes godes dans le fondement ? >>. Julie, sans hésiter, lance : << Oui, parfois, ça m'arrive. Je suis même déjà allée dans vos toilettes pour me le mettre ! >>. Nous allons de surprises en surprises. Julie aussi se touche.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Clémentine propose de prendre le dessert au salon. Je tiens le plug anal pour le faire miroiter sous la lueur des deux grosses bougies. Julie, toute amusée, m'observe. C'est le petit modèle. << Trois centimètres dans sa plus grande largeur sur cinq centimètres dans la longueur ! >> dit elle. Nous éclatons de rire. Je demande : << Et en fac, la journée, il vous arrive de le porter ? >>. Julie répond : << Non, je l'ai fait deux ou trois fois, mais en cours je préfère me concentrer sur mes études. C'est trop important ! >>.

Julie devra nous laisser pour 22 h. Il est déjà 21 h30. Clémentine demande : << S'il te plaît, tu veux bien te l'enfiler là, maintenant ? >>. Julie répond : << Et rentrer avec ? Bien sûr ! >>. Elle se lève du fauteuil où elle est assise en face de nous. Elle ouvre son jeans pour le descendre avec sa culotte. Elle se mets à quatre pattes dans le fauteuil. Elle dit : << Qui c'est qui me l'introduis ? >>. Je reste le souffle coupé quand Clémentine lance : << Julien ! >>. Je me lève. Je crache dans ma main. Je passe le plug dans la salive. Il est trempé.

Je me penche. C'est la toute première fois que je découvre le cul de cette jeune fille de 20 ans. Elle me le tend avec tant d'impatience. Elle écarte ses fesses la tête contre le dossier du fauteuil. J'adore. Il y a du poil. Elle aussi porte une toison "sauvage". Un petit trou du cul avec du poil autour. Je regarde Clémentine. Elle se masturbe. Elle observe la scène comme affolée. J'enfonce délicatement l'objet mouillé dans l'anus de Julie. Elle m'aide par de petits à coups. Ça rentre tout seul. Elle se tourne pour me dire : << Je suis une vraie enculée ! >>.

Je fais tourner l'objet. Nul doute que ce cul en a vu d'autre. Je demande : << Beaucoup de mecs t'ont enculé ? >>. Julie ne répond pas. Je m'éloigne pour venir m'assoir à côté de Clémentine. Nous regardons Julie dans cette position, nous montrant ses fesses. Elle se masturbe. Nous aussi. Clémentine demande : << Tu nous raconteras un jour tes aventures anales ? >>. Julie se lève. Elle remonte sa culotte, son jeans. Personne, en regardant cette jeune fille "innocente" ne pourrait imaginer un seul instant qu'elle porte un objet dans le fondement.

<< Oui, je vous promets de vous raconter ! >> dit elle soudain en nous observant. Elle fixe ma queue comme hypnotisée. Je la lui présente en cessant ma branlette. Clémentine dit : << Chacun son truc. Moi, c'est la pipe. J'adore sucer des mecs. Des inconnus de préférence ! >>. Julie répond : << Je n'ai pas le courage. Pourtant dans les chiottes du restau j'en meure parfois d'envie. Il y a des mecs qui ont de superbes queues ! >>. Nous éclatons de rire. Il faut y aller. Julie revient vendredi après-midi pour son cours de peinture. Nous mettons les anoraks.

Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture dans la nuit glaciale. De la voir ainsi, s'installer au volant, et de savoir qu'elle est enculée, nous procure une folle excitation. Quand Clémentine lui en fait part, Julie répond : << Rien ne m'excite davantage que d'avoir un truc enfoncé et que personne ne s'en doute. Je fais ça depuis la troisième. Vous n'imaginez pas les centaines de fois où j'ai fait ça ! >>. Julie est soudain toute triste. << Vous allez me manquer jusqu'à vendredi ! >> dit elle en démarrant. Un dernier bisou. Nous la regardons partir.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se balader avec un truc dans le cul. Qui aiment le secret d'un plug anal dans les lieux publics.

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1720 -



Je réserve une surprise à Clémentine

Hier matin, mardi, l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. Le cri strident des mouettes. Le clapotis des vagues. Le bruit du ressac. Il est presque six heures. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Quelques papouilles. Je lui dépose plein de bisous sur le front, les joues, le bout du nez. Nous nous levons sans nous lâcher la main pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. J'allume immédiatement un bon feu dans la cuisinière à bois.

Clémentine faite le café en revenant sur la visite de Julie hier soir. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte les premières tranches. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le plug anal et les fantasmes de sodomie de notre amie Julie. << Elle cache si bien son jeu ! >> précise Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner sans cesse d'échanger nos impressions. Curieusement, ça nous réveille plutôt bien. Clémentine est très déconneuse. Comme elle termine à midi le mardi c'est déjà la fête.

Il est 6 h25. Nous montons nous offrir notre heure d'entraînement. L'aérobic dans une sorte de déconnade. Clémentine fait des choses incroyables à partir de nos exercices que nous faisons pourtant tous les matins. Le jogging sur tapis roulants. Les abdos. Les charges additionnelles. Un retour au calme très bâclé avec un stretching surréaliste. C'est mardi ! La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint dans la nuit glaciale, emmitouflée dans son anorak telle une esquimau.

Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter le chemin, le portail s'ouvrir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je chantonne la chanson paillarde de Clémentine "La Digue du Cul". Je fais la vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette sans cesse de chanter cette chanson. Allusion à ce que nous avons vu hier soir, Julie, a qui j'ai enfoncé son plug dans le cul. Je me marre en poussant des cris.

Je peins animé de cette euphorie qui me fait pousser des cris surréalistes. Il est 11 h45 quand je dépose la dernière pointe de bleu de Cobalt sur la surface de la toile achevée. Je la dépose sur le second chevalet afin qu'elle y sèche tranquillement. Sur mon chevalet de travail je pose la cinquième nature morte destinée à ma saison 2022. Le dessin préparatoire ainsi que la couche d'impression sont déjà réalisés. Préparés depuis la mi septembre. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je mets une bûche dans la cuisinière.

Il suffit de réchauffer les deux tourtes aux fruits de mer ramenées par Julie hier soir. Je prépare une salade de carottes. Il est 12 h30 quand Clémentine rentre de cours. En sautillant elle se se précipite dans mes bras. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes elle me couvre le visage de bisous. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle revient une nouvelle fois sur les surprises que sait nous faire Julie. << Quelle enculée ! >> lance t-elle. Rire.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. En posant sa main sur ma braguette dont elle empoigne le contenu, Clémentine me dit : << Il est temps que tu me reprennes en mains. Je suis une telle dépravée quand tu ne m'imposes pas un "dressage" régulier ! >>. Je la saisis par la nuque et sous le menton pour répondre : << Je vais m'occuper de votre cas ma délicieuse "Soumise" ! >>. Je n'ai pas la moindre idée de la façon dont je vais encore m'y prendre.

Dans ce cas, je me fie à l'improvisation. L'imagination débordante de Clémentine saura me pousser dans quelques initiatives heureuses. Assise devant le miroir, elle m'observe dans le miroir. Je lui fais une natte. Une belle tresse qui lui pend jusqu'au milieu du dos. J'ai la bite à l'air. Je la mets souvent tout près de son visage. << Ça m'excite quand tu fais ça ! >> me dit elle à chaque fois. Je saisis sa natte comme je le ferais d'une laisse. C'est ainsi que sans ménagement je l'entraîne. Je la tire. Nous descendons l'escalier prudemment tout de même.

Clémentine marche derrière moi, penchée en avant. Je l'emmène dans le salon. Nous regardons par une des deux portes fenêtres. L'entreprise paysagère a fait de l'excellent travail hier. Toute la propriété est propre et ordonnée. Plus aucune feuille ne jonche le sol. Les haies sont taillées à la perfection. C'est la neuvième année que je fais appel à son service. Je n'ai pas à m'en plaindre. Clémentine me saisit la bite. << Je vous aime mon doux "Maître" ! >> murmure t-elle à mon oreille. J'ordonne : << A quatre pattes douce "Soumise" ! >>.

C'est à quatre pattes que Clémentine se fait promener dans toute la grande pièce. A l'angle de tous les meubles, elle lève la jambe. Du tiroir du bas du bureau, je tire le foulard en soie que je noue autour de son cou. Elle en glousse déjà de plaisir. Je peux y passer le collier canin. Le cuir n'irritera pas la peau. J'y fixe la laisse. Je donne deux à coups avant de mettre les genouillères à ses genoux. Ainsi, elle pourra tout le temps qu'il me plaira, rester à quatre pattes sans avoir mal sur le parquet de chêne. J'attache la laisse à la sculpture d'une des chaises.

J'allume le feu dans la cheminée. Clémentine, assise en tailleur, tenant sa laisse d'une main, me regarde faire. Comme elle belle. Elle porte ses lunettes d'étudiante. Une belle jeune fille avec des lunettes a quelque chose d'indicible. Cela exerce sur ma psyché des sensations et des émotions intraduisibles. A l'instant je trouve que ses lunettes aux montures noires donne un côté pervers à Clémentine. Surtout qu'elle m'observe avec son regard par en-dessous, terriblement évocateur et suggestif. Je détache la laisse. Je l'entraîne à nouveau doucement.

Au bureau, j'ordonne : << A genoux, mains sur la tête ! >>. Clémentine s'exécute. Je retire délicatement ses lunettes. Je me penche pour scruter son visage. Je regarde longuement chaque expression. Depuis plus de cinq ans, son visage juvénile de fille de 19 ans s'est légèrement transformé en visage de fille de 24 ans. Nous comparons souvent d'après des photos. Clémentine n'éprouve absolument aucune crainte devant les années qui passent. Bien au contraire. Elle va doucement vers la jeune femme d'une extraordinaire beauté qu'elle sera.

Je me redresse. Je frotte ma bite sur ce visage d'ange. En gémissant, Clémentine m'en présente chaque aspérités. Bien droite, fière, elle tente de gober la queue qui passe sur ses lèvres. J'esquive à chaque fois. Je me penche pour lui déposer de délicats bisous. Je n'ai absolument rien d'un vrai "Maître". Il me faut donc sans cesse revenir à mon personnage. Je m'accroupis. Je déboutonne son jeans. J'y glisse ma main. En passant mon doigt entre les lèvres charnues de sa vulve, je constate la mouille. Je retire mon doigt pour le lui montrer.

Je le suce. L'expression du regard de Clémentine à chaque fois que je fais ça est extraordinaire. J'ai l'envie folle de sucer son sexe. Une fois que j'ai gouté aux jus des son intimité, j'ai l'envie folle d'y consacrer tout mon temps. Je me redresse. Je frotte ma queue sur son visage. Je bande mou. Je donne des coups de bite. La bouche ouverte, pour se faire gicler dedans, Clémentine est à la fois spectatrice et actrice d'un de ces moments qui la passionne. J'ordonne : << Debout ! Retirez vos vêtements ma délicieuse "Soumise" ! >>. Elle est toute surprise.

Clémentine enlève ses baskets, son jeans et sa culotte. En chaussettes, en chemise à carreaux, je la soulève pour l'assoir sur le bureau. Elle est toujours étonnée de la facilité avec laquelle je soulève ses 60 kg. J'en soulève tous les matins le double aux développés couchés. Clémentine, en appui sur ses coudes, me fixe d'un regard follement suggestif. C'est à chaque fois comme le regard d'une inconnue. Je suis debout entre ses cuisses écartées. Je frotte mon sexe contre le sien. Je saisis ses chevilles. Elle se laisse tomber sur le dos.

Je la pénètre avec d'infinies précautions. Elle se met à bouger doucement. Je l'accompagne dans un rythme de berceuse. << Mon doux "Maître", comme c'est bon d'être votre "Soumise". J'aimerais être votre esclave toute une journée ! >> me murmure t-elle entre deux gémissements de plaisir. Je lâche ses chevilles. Elle peut se redresser. A nouveau en appui sur ses coudes, elle me fixe. Nous restons immobiles. C'est toujours dans ces moments d'intenses communications par le regard que Clémentine me fait ses confidences. Ses aveux.

J'écoute. Elle me raconte ses masturbations, au volant, lorsqu'elle rentre de cours. Il lui est déjà arrivée de s'arrêter pour regarder un mec pisser à côté de sa camionnette. Elle m'avoue se réjouir pour une nouvelle expérience gloryhole. Elle me confie à quel point elle aimerait baiser avec Pierre, le mari de madame Walter. Elle murmure : << Et sucer ce vieux dégoûtant de Louis ! >>. Bien évidemment, toutes ces confessions provoquent une excitation inhumaine. Je bande. Par contractions des muscles fessiers je fais bouger mon sexe dans Clémentine.

Elle aussi contracte ses muscles fessiers. La sensation que cela nous procure est inexplicable. C'est absolument divin. De plus cela impose un contrôle total. D'êtres hyper excités, de se contrôler, permet d'atteindre des niveaux supérieurs. J'encourage Clémentine a entreprendre tout ce que ses fantasmes lui suggèrent. Je dis : << Tu es jeune. Profite un maximum. Va au bout de chacun des trucs qui t'obsèdent ! >>. Nous nous remettons à bouger en rythme. Nous arrêtons à nouveau. Clémentine me supplie de lui poser les questions les plus saugrenues.

Je demande à entendre les détails les plus intimes. Des évènements déjà vécus à ceux qui hantent son esprit. Je l'encourage à réaliser ce fantasme récurrent apparu il y a quelques mois. Être seule avec un mec, à se filmer sans qu'il ne s'en doute. Visionner ensuite ce film tous les deux. Bien évidemment, je partage ce fantasme. En bougeant doucement, je demande à Clémentine comment elle compte s'y prendre. Elle expose quelques possibilités qui m'étonnent autant qu'elles me propulsent dans des sphères insoupçonnées d'excitations dingues.

Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Nous nous surprenons tous deux à hurler de plaisir lorsque je la promène ainsi pénétrée dans tout le salon. Je dis : << Je veux te voir sucer un mec. Je veux visionner ce film que tu nous proposes. Je veux te voir baiser avec Pierre. Je veux te voir sucer notre voisin ! Je t'aime comme un fou ! >>. Clémentine tente de mettre pieds à terre. Je l'emmène aux toilettes. Je sais que son orgasme va l'étourdir de jouissances. C'est au-dessus de la cuvette des toilettes, alors que je la tiens soulevée, qu'elle jouit en pissant.

Les larmes aux yeux, hurlant de plaisir, le corps secoué de spasmes, son orgasme semble ne plus finir. C'est merveilleux. Elle est couverte de sueur. Sa bouche bave. Il y a de la pisse mousseuse partout. Je l'assois sur la chaise. A genoux, je me bouffe cette chatte bouillante, ruisselante. Clémentine tente de me repousser. Comme si tout cela était douloureux, insoutenable. Je lui offre un second orgasme avec un cunnilingus démentiel. Assise à califourchon sur mes genoux, blottie contre moi, elle reprend ses esprits, son souffle. C'est long.

Je peux sentir son cœur battre. Ralentir doucement. Je caresse sa nuque. Elle m'embrasse soudain avec fougue. << Merci d'exister Julien. Merci de me comprendre. Merci de m'aimer autant. Tu fais de moi la femme la plus heureuse ! >> lance t-elle en se levant pour m'entraîner par la main. Elle garde son autre main entre ses cuisses. Son sexe congestionné par tant de sollicitations mérite bien quelques attentions. Je bande mou. Je dis : << On se garde le jus de mes couilles pour ce soir. Je vais te régaler d'autres petites délicatesses ! >>.

Il est presque 17 h30. Clémentine remet ses vêtements. Ses yeux cernés m'amusent. Dans l'atelier, je l'entraîne devant le miroir rond. Derrière elle, mes mains sur ses tous petits seins, je dis : << Regarde un peu la gueule de salope que tu te trimballes. Comment veux tu qu'un mec "normal" n'ait pas envie de te baiser ? >>. Clémentine s'approche pour se regarder de près. << Ça m'a toujours profondément troublé de voir mon visage. Ça m'excite aussi. Avant toi, moi seul savait tout ce qui se cachait derrière mes traits ! >> murmure t-elle.

Nous restons assis sur les poufs à regarder les flammes danser devant la cheminée. Ce soir, curieusement, il n'y a aucune manifestation surnaturelle. Il est 18 h quand Estelle entre dans l'atelier. Je suis entre mes deux anges. Clémentine raconte ce que nous avons fait. << C'est toujours quand j'ai le dos tourné, vous êtes salauds tous les deux ! >> lance Estelle qui glisse sa main dans ma braguette. Elle s'écrie : << Mais put-hein, tu as la bite trempée ! >>. Elle ressort sa main pour nous la montrer pleine de foutre. Elle se la lèche. Chaque doigt.

Estelle nous pose tout un tas de questions. Je lui promets de lui offrir un bon léchage de minou ce soir après le repas. Elle devra nous laisser pour 22 h. Si nous ne traînons pas à table, nous pourrons y consacrer une bonne heure et demi. Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine fait la salade. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare une sauce au Roquefort. Je poêle trois dos de cabillaud blanc. Nous mangeons de bon appétit. Sans traîner à table. Estelle prend toutes les initiatives, pressée de se faire brouter le minou.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment regarder leur mec bouffer une chatte en se masturbant doucement. Troisième orgasme...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1721 -



L'agréable visite de Juliette en soirée

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. L'application "océan" nous berce de cette illusion de nous réveiller au bord de l'océan. La sirène lointaine d'un bateau. Le cri des mouettes qui semblent virevolter au-dessus de nous. Clémentine se blottit contre moi. Nous restons quelques instants. Basculer du monde onirique au monde réelle est de plus en plus difficile. Quelques papouilles. C'est moi qui entraîne Clémentine par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos leggings, de nos sweats en lycra, nous dévalons les escaliers.

Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. J'allume un feu dans la cuisinière à bois. Nous pressons nos oranges. Je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte les tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier après-midi. << J'aime être seule avec toi. Comme c'était bon ! >> murmure Clémentine en saisissant la tartine beurrée que je lui tend. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée avec Estelle. << Un matin nous n'entendrons même plus le réveil ! >> rajoute Clémentine. Rires.

Il est 6 h25. Nous montons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Stretching pour un retour au calme tellement agréable. La douche. Je descends pour sortir la voiture. Il fait légèrement moins froid. Il est 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans la nuit. Chaudement vêtue tout de même. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Le jour se lève. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle. Je fais notre lit. Je passe dans l'atelier.

J'allume un bon feu dans la cheminée. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je commence ce matin la cinquième toile destinée à ma saison 2022. Je peins sans cesser de penser à ce que nous avons fait hier après-midi. Clémentine est une authentique "Soumise". Il y des périodes où ses demandes sont fortes. Je commence à savoir les anticiper. Je me félicite d'avoir interprété le rôle du "Maître" de manière si convaincante. Même si je n'ai strictement rien d'un tel individu. Je suis plongé dans ces réflexions en marmonnant.

La musique parfaitement stupide de mon téléphone. Je le saisis. C'est monsieur Bertrand, notre voisin. Il m'apprend que la livraison du bois se fait dans dix minutes. Je cesse mon travail pour enfiler mon anorak. Je sors. C'est la première fois depuis lundi que je découvre la propriété en plein jour. L'entreprise paysagiste a fait du superbe boulot. Il y a un gros tracteur qui descend le chemin. Une énorme remorque remplit de bois accrochée à l'arrière. Je guide le chauffeur derrière la maison d'amis. Ils sont à deux gaillards. Ils connaissent les lieux.

Il y a là quinze stères de bois coupé en bûches de 33 centimètres. J'indique l'endroit où empiler les 15 stères. Il y aura un stock pour cinq hivers avec tout ce qu'il y a déjà. Je laisse les "bûcherons" à leur travail. Je retourne au mien en leur souhaitant bonne journée. La facture me sera envoyée comme d'habitude. Me voilà confortablement installé devant ma toile. Je peins en me plongeant à nouveau dans de biens agréables introspections. La matinée passe tellement vite. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine.

Il suffit de réchauffer le reste de coquillettes. Je lave les feuilles d'une belle et grosse laitue. A la poêle je fais rissoler un filet de colin. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. D'entendre André Bercoff s'offusquer des actualités m'amuse toujours beaucoup. Je ne traîne pas. Je fais la vaisselle. La pâte feuilletée est décongelée. Je coupe, je lave et je fais cuire les morceaux de deux gros poireaux. Je concocte une Béchamel dans laquelle je verse le poireaux égoutté. J'y rajoute du gruyère de Comté. Je dépose le tout sur les deux tiers de la pâte.

Il suffit de recouvrir du dernier tiers de pâte, de joindre les bords. Je badigeonne du mélange œuf, crème fraîche et moutarde avant de mettre au four. Cuisson lente à 180° afin que la Flamiche Picarde mijote longuement. Cette tourte aux poireaux fera notre délice de ce soir. Je monte me laver les dents. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. La sérénité absolue qui m'habite durant cette séance m'abstrait totalement dans une peinture pourtant très figurative. Une fois encore l'après-midi passe à une vitesse non quantifiable.

Il est 17 h30 quand Clémentine entre dans l'atelier comme un ouragan. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Elle m'entraîne par la main jusqu'à la table de travail. Elle allume l'ordinateur. Je suis debout derrière elle. Je caresse sa nuque, ma main sous sa natte. Elle m'explique ce qu'elle fait. La mise au propre des notes prises à la hâte durant ses cours est toujours un labeur fastidieux. Chiant.

Je dépose un dernier bisou sur la peau délicate de son cou. Je suis fasciné par la racine de ses cheveux. L'arrière de ses oreilles. Cette vision exerce toujours sur moi un sentiment étrange. Une excitation, un vertige. C'est magique. Nous sommes tous deux à nos activités. J'aime entendre Clémentine chantonner, faire une réflexion, un commentaire ou encore lancer un cri surréaliste identique au mien. << Put-Hein, ras-le bol ! >> lance t-elle une fois encore. Il est 18 h15. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Clémentine range ses affaires, ses fiches.

Assis l'un à côté de l'autre sur les poufs, nous admirons la danse des dernières flammes. Un autre moment de magie pure. Un bruit sourd au-dessus de nos têtes. Nous nous serrons fort. Nous écoutons les courses folles que semble faire le fantôme de mon ancienne compagne. Les phénomènes durent ce soir quelques longues minutes. Nous avons droit aux meubles qui ripent sur le parquet. Aux portes qui grincent. Tout cesse aussi brutalement. Nous reprenons nos respirations normales. << Un soir on monte voir ce qui se passe ! >> fait Clémentine.

Il est 18 h45. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine s'en saisit. << Juliette ! >> s'écrie t-elle. Nous quittons l'atelier. Nous accueillons Juliette dans le hall d'entrée. Il s'est remis à pleuvoir. Nous la débarrassons de son anorak. Ce soir encore, dans sa tenue d'écuyère, Juliette est extraordinairement attractive. Comme toujours, elle fait mine de ne pas avoir remarqué ma braguette béante. Attitude féminine qui me comble de plaisir lubrique. Juliette dépose le grand Tupperware qui contient le dessert. Une tarte aux poires.

Accroupie devant le four, Clémentine découvre ce qui nous attend pour le repas. << Miam ! >> dit elle. Juliette va s'accroupir à ses côtés. << J'en rêve ! >> lance t-elle. Nous mettons les assiettes et les couverts. Juliette nous raconte son quotidien. Il y a beaucoup de travail dans les écuries. Quatre vingt sept chevaux en pension. Dépitée elle précise : << J'attends l'agrément "Centre Hippique". J'ai refait une demande ! >> précise t-elle. Cette fois, tout en parlant, Juliette fixe ma braguette. Ce qui me procure comme une décharge électrique.

J'adore ces sensations. Clémentine qui voit toujours tout me lance de discrets clins d'œil. Juliette, tout en mimant une masturbation masculine de sa main droite, me demande : << Mais parlez-moi donc un peu de vous ! J'ai été si contente de vous apercevoir dimanche en fin d'après-midi ! >>. Clémentine répond : << Vous êtes toujours très occupée Juliette. Aussi, on se contente d'un coucou ! >>. Je rajoute : << On ne veut pas déranger mais nous aussi ça nous fait plaisir ! >>. Je fixe le triangle de son sexe parfaitement dessiné sous le tissu.

Cette couture qui passe très exactement entre les lèvres de sa vulve. Les partageant en deux petites protubérances absolument exquises. Juliette le sait. Elle adore d'ailleurs en jouer. Elle nous raconte souvent l'effet que cette vision a sur les messieurs. La sonnerie du four. Clémentine enfile les maniques pour sortir la tourte aux poireaux du four. Dorée à souhait, fumante, elle achève d'ouvrir nos appétits avec un certain sadisme. Nous mangeons de bon appétit. Juliette aborde un des sujets qui nous préoccupent bien davantage que les chevaux.

<< Vous êtes partante pour une soirée baise ? >> demande t-elle soudainement à Clémentine. Elle cesse de mâcher, me regarde. Juliette rajoute : << Il y aura Pierre et le mec cagoulé de la dernière fois ! Je peux tout organiser pour samedi soir ! >>. Clémentine me consulte du regard. Comme si elle voulait mon approbation. Aussi, c'est moi qui répond : << Voilà une proposition fort sympathique. Vous m'appelez demain matin aux environs de 10 h. OK ? >>. Juliette s'adresse à Clémentine : << Vous aurez pris une décision d'ici demain ? >>.

<< Oh mais on ne va pas s'embarrasser de considérations inutiles. C'est d'accord ! >> lance Clémentine. Je lui fais un clin d'œil. << A la bonne heure ! Je m'occupe de tout. Rendez-vous dans la nouvelle écurie pour 20 h. Ça vous va ? >>. Clémentine s'écrie : << Parfait ! >>. Trop heureuse de pouvoir vivre à nouveau une de nos soirées folles, Clémentine ne cache pas sa joie. Juliette rajoute : << Estelle est évidemment la bienvenue ! >>. La Flamiche Picarde est un délice. Je suis tellement excité par la joie de Clémentine, par son attitude !

Je sors ma queue sous la table. Juliette et Clémentine cessent de manger pour regarder bouger mes bras. Elles savent très bien ce que je suis entrain de faire. C'est toujours inconfortable de sortir un sexe en érection sous la table. J'y parviens sous le regard interrogatif de Clémentine et de Juliette. Je me lève. Je tiens ma queue à sa base, entre le pouce et l'index. Je l'agite en direction de Juliette. Elle m'adresse un merveilleux sourire, me fait un clin d'œil. << Je suis à me réjouir des choses à venir ! >> dit elle d'une voix sentencieuse.

Juliette insiste toujours pour faire la vaisselle ensemble. Avant de prendre le dessert. Nous passons au salon. Une fois encore, installée confortablement dans le fauteuil qui nous fait face, Juliette découpe les parts de tarte. << Une tarte "maison" que j'ai fait avec les poires de votre verger ! >> précise t-elle. Ces cuisses largement écartées, dans cette merveilleuse indécence dont elle fait preuve une fois encore, elle nous offre la vue des deux "bosses" qui m'intriguent. Assise comme elle l'est, nous pouvons scruter chaque détail. Elle s'en amuse.

Clémentine tient ma bite. Elle l'agite en direction de Juliette. Je fixe cette magnifique bourgeoise de 48 ans qui en paraît dix de moins. Quelle beauté ! Une beauté Corse. Son accent méridional est un aphrodisiaque supplémentaire ce soir. Je bande comme le dernier des salauds. Juliette passe son doigt sur la couture de son pantalon d'écuyère aussi moulant qu'un legging. Elle le fait doucement en parlant de choses n'ayant rien à voir avec le sexe. Ce qui rajoute encore à la dimension insolite de cette ambiance torride. Un moment magique.

Juliette devra nous laisser pour 22 h. Elle aussi se lève vers six heures. Pour elle aussi, une heure d'entraînement matinal est nécessaire. Un autre point commun. Clémentine, tout en revenant sur l'invitation de samedi soir, me masturbe doucement. << Je peux ? >> demande Juliette en se levant. Il est 21 h50. Nous sommes debout tous les trois. C'est Juliette qui tient mon sexe. C'est passionnant. << Votre rythme cardiaque s'affole Julien, vous devriez consulter ! >> me dit elle. Nous éclatons de rire en allant vers le hall d'entrée.

Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. Il pleut. Nous sommes sous l'immense parapluie. Je suis entre Juliette et Clémentine qui me tiennent par le bras. Assise au volant de son auto, la vitre baissée, Juliette nous confie son impatience d'être samedi. << 20 h, n'oubliez pas ! >> dit elle en observant mon sexe tout près de son visage. Je suis en appui contre la portière. Mon jeans trempé. Mais c'est trop bon. Juliette s'adresse à Clémentine : << Vous me la prêtez samedi soir ? >>. Clémentine se penche pour lui murmurer : << Salope ! >>.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment ces ambiances torrides, ces atmosphères suffocantes de vices contenus...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1722 -



Estelle vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, jeudi, l'illusion d'être réveillé en bord de mer est totale. Les sirènes de gros bateaux qui se répondent dans le lointain. Les mouettes aux cris stridents. Il est presque six heures. Clémentine se serre contre moi en murmurant : << Comme dans un port en Ecosse ! >>. Je lui dépose des bisous sur le front. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans une urgence absolue. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. J'y allume immédiatement la cuisinière à bois.

Clémentine fait le café et met la table en me racontant ses rêves. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. La proposition de Juliette. Clémentine a pris sa décision très rapidement après son départ. Nous étions au lit, à baiser comme nous aimons, immobiles. Juliette me téléphone ce matin vers 10 h. Je pourrai lui donner sa réponse. Nous mangeons de bon appétit. J'écoute Clémentine me confier ses appréhensions. Appréhensions qui se mêlent toutefois d'excitations.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre second plaisir de la journée. L'aérobic se passe dans une sorte d'euphorie. Le jogging sur les tapis roulants. Les abdos, les exercices au sol. Les charges additionnelles. Le retour au calme avec un bon stretching prétexte à déconnades. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint chaudement vêtue dans le froid glacial. Il fait encore nuit. Tout est trempé. Un dernier bisou. Je la regarde monter jusqu'au portail. Un dernier coucou.

Je me dépêche de rentrer. Je fais la vaisselle, notre lit, avant d'aller dans l'atelier. J'y allume un beau feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La cinquième nature morte destinée à ma saison 2022 m'accapare totalement. Je prépare mon téléphone sur la desserte à ma droite. Je peins en pensant à Juliette, sa proposition. Je pense aussi à Clémentine qui avait du mal ce matin à cacher l'excitation qui la gagne déjà. Il est dix heures. La stupide musique de mon téléphone.

Je le saisis. C'est Juliette. Elle semble en proie à des préoccupations d'ordre professionnelles. Après quelques lieux communs, elle en vient au sujet de son appel. Je lui confirme l'acceptation de Clémentine. Pour Estelle je ne sais pas encore. Je lui demande qui est le vicelard cagoulé qui était présent à la soirée Gloryhole. Juliette me rassure. Elle me révèlera son identité. Mais c'est encore son petit secret. La conversation dure une dizaine de minutes. Dans le bureau de Juliette j'entends quelquefois une autre voix. Je reconnais Mme Walter.

Il y a également celle de Pauline, la secrétaire. Juliette et moi nous nos saluons. Nous nous verrons samedi pour 20 h. Je reprends ma peinture. Je pense à cette belle bourgeoise. Juliette exerce sur moi des sortilèges que je me refuse à analyser après les avoir longtemps ignorer. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la dernière part de la Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui a fait notre régal hier soir. Je me fais une salade de carottes. Je fais rissoler les crevettes décongelées.

Je mange de bon appétit. D'écouter Sud Radio et les coups de gueule d'André Bercoff est un plaisir qui se savoure autant que mon repas. Je ne traîne pas. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Je redescends en chantonnant. Je reviens dans la cuisine. Les crevettes reposent dans la poêle sous un couvercle. Je prépare une pâte à crêpe. Ce sera pour le rituel des beignets de crevettes du jeudi soir. J'épluche, je lave et je coupe les pommes de terre. En fines tranches que je fais revenir à la poêle. Ce sont rapidement de belles chips toutes dorées.

Je les dépose au fur et à mesure sur du papier absorbant afin d'en éliminer le maximum de graisse. Notre repas de ce soir est prêt. La pâte à crêpe repose sous un linge dans son saladier. J'enfile mon anorak pour sortir. Il fait moins froid que ce matin. Le thermomètre extérieur indique 8°. Il recommence à pleuvoir. C'est sous le parapluie que je fais quelques pas en restant sur les dalles de grès. Le vent est désagréable. Je ne m'attarde pas. Je fais le tour de la maison d'amis. Je récupère quatre bûches sous l'abri à bois. Je rentre au chaud.

Confortablement installé devant mon chevalet, je peins en pensant à samedi soir. L'après-midi passe encore à une vitesse vertigineuse. Ma passion me fait oublier toute notion de durée. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Clémentine a raconté notre soirée avec Juliette à Estelle. << Tu vas voir après, quand elle arrivera, l'état où ça la met ! >> dit Clémentine.

Elle a encore ses notes à mettre au propre. La voilà assise devant son ordinateur en chantonnant. Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. Je vais rejoindre Clémentine qui termine de ranger ses fiches. Elle se serre soudain contre moi. << Je suis une salope. Je suis la femme la plus heureuse, je suis avec l'homme le plus attentionné et je me fais sauter par d'autres mecs. J'ai honte de t'infliger un tel comportement ! >> s'écrie t-elle avec une sincérité qui m'émeut. Je passe ma main sous ses cheveux. Dans sa nuque.

Je la rassure. Une fois encore il me faut lui rappeler qu'elle est une jeune fille de 24 ans. Qu'elle doit impérativement profiter de la vie et de ses plaisirs. Que je suis enchanté, absolument ravi et terriblement excité par ce fameux "comportement". Je rajoute une fois encore cette formule : << J'aime la compagnie des salopes. Je m'ennuie tellement avec celles qui ne le sont pas ! >>. Clémentine me tient par le cou en disant : << Mais alors tu m'aimes. Je suis de bonne compagnie ! >>. Nous éclatons de rire. Elle rajoute : << J'ai peur pour samedi ! >>.

Ce doux mélange d'appréhensions, d'inhibitions de jeune fille et d'excitations. Je précise : << Des sentiments bien légitimes. Qu'on ait 24 ans ou 54 ans ! >>. Clémentine se blottit dans mes bras. Dans un souffle de profond soulagement, elle murmure : << Je t'aime Julien. Avec toi tout est toujours si facile, si simple ! >>. Elle enfonce sa langue pour me fouiller la bouche. Ce qui me couvre toujours de frissons, de décharges électriques. Je bande tel un taureau en rut. Clémentine frotte sa braguette contre la mienne pour profiter de cette bosse.

Nous sommes assis sur les poufs devant la cheminée. Clémentine agrippée à ma taille, sa tête sur mon épaule. Nous regardons la danse des dernières flammes. Nous sommes dans l'obscurité. Nos pensées sont perdues dans bien d'autres sphères quand soudain le bruit sourd résonne à l'étage. Ce soir il sonne longuement comme dans une église. Il y a un fracas. Comme une course poursuite. Que peut-il bien se passer là-haut. Nous écoutons le fantôme de mon ancienne compagne faire ce vacarme qui ne dure que quelques minutes.

<< Un de ces soirs, on monte avant que ça commence ! Je veux savoir ce que fait Christine là-haut ! >> lance Clémentine. Je n'ai pas le temps de répondre. Il y a d'autres bruits. D'une toute autre nature. Estelle que nous entendons chantonner arrive. Elle se précipite comme un ouragan. Elle me fait plein de bises. En sautillant autour de nous elle s'écrie : << Partouze samedi soir ? >>. Nous éclatons de rire. << Non ! Partie à quatre comme je te l'ai dit à midi ! >> répond Clémentine. Estelle s'assoit à côte de moi. Je suis entre mes deux anges.

Je les écoute échanger leurs impressions. << Hier soir, je me suis faite baiser par parrain ! C'est un baiseur fou ! >>. Elle me raconte ce qu'elle a déjà raconté à Clémentine à midi, au restaurant universitaire. J'écoute. Tout en parlant elle glisse sa main dans ma braguette. Clémentine pose quelques questions. << On s'habille comment samedi soir ? >> demande t-elle. << On emmène les fringues et on s'habille au haras ! >> répond Estelle. << Excellent, j'y ai pensé aussi mais quand on se met en putes ici, ça conditionne mieux ! >> dit Clémentine.

Il commence à faire faim. Les filles m'entraînent par les mains. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine prépare la salade d'endives. Estelle porte à ébullition l'huile de friture dans le caquelon. Je mets les assiettes et les couverts. Les filles se projettent dans l'avenir. Tant pour les vacances de Noël dans un peu plus de deux semaines que pour la mini thèse de mathématiques qu'il faudra soutenir le vendredi 17 décembre. J'écoute avec beaucoup d'intérêt. Dans tous les domaines, les stratégies féminines sont toujours si passionnantes.

Estelle jette les crevettes dans la pâte à crêpe. Elle les trempe dans l'huile bouillante. Clémentine les récupère avec l'écumoire. Je réchauffe les chips en les salant au sel de Guérande. Nous mangeons de bon appétit. C'est fameux et gouteux. Estelle se lève plusieurs fois. En imitant des masturbations masculines elle évoque la "partie à quatre" qui les attend samedi soir. << Cette fois, je participe. On laisse Julien entre les mains de Juliette. << Si j'ai bien tout compris, il y aura aussi la femme de Pierre, madame Walter ! >> fait Clémentine mimant une pipe.

J'écoute amusé et excité les filles faire des "plans" pour samedi soir. << Mais interdiction de baiser avec Juliette ! >> me rappelle Clémentine. << Put-Hein, t'es gonflée comme meuf ! Tu vas baiser avec des mecs et tu interdis à Julien de faire pareil ! >> s'écrie Estelle qui me console en caressant ma joue. << Je sais, je suis une immonde salope mais je suis hyper jalouse de cette femme ! >> répond Clémentine. Je la rassure une fois encore : << Je t'aime Clémentine. Je suis l'homme le plus heureux du monde. Et il y a Estelle ! >>.

Nous rions. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges évoquent les partouzes passées. La dernière remonte à plus de deux ans. Elles sont pressées d'y retourner. << Je deviens de plus en plus nympho, je ne pense plus qu'à me faire sauter ! Je dois consulter impérativement ! >> lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus quand Clémentine rajoute : << Et si tu consultais le docteur Julien ? >>. Rires. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. << Jean-Marc m'a défoncé hier soir ! >> dit Estelle.

Je demande : << Il t'a sauté longtemps ? >>. Estelle en saisissant ma queue dure comme du bois, répond : << Une bonne heure ! Il faut voir ça ! Il remplit une capote ! La prochaine fois je vous la ramène pour vous montrer ! >>. Nous rigolons aux éclats. Je suis entre mes deux anges. Estelle se lève. Elle jette un des épais coussins au sol. Elle s'y met à genoux entre mes jambes. Clémentine, penchée en avant, son bras autour de mon épaule regarde. Estelle me décalotte légèrement pour humer cette odeur qui nous monte aux narines. Parmezob.

<< On dirait un vieux sandwich au thon mayonnaise cette odeur ! >> dit elle en sortant la langue. Elle tente de la glisser entre la peau du prépuce et le gland. Elle cesse pour demander : << Et Julien, samedi soir, il a le droit de se faire sucer pendant qu'on baise ? >>. Nous éclatons de rire. Clémentine répond : << Mais j'espère bien qu'une des deux salopes lui fasse une pipe ! >>. Je dis : << De toute façon, Juliette, madame Walter et moi, nous serons probablement cachés dans le local électrique. A mâter par le trou près du compteur ! >>.

Estelle se met à me sucer avec cette passion qui m'étonne toujours. Parfaitement immobile, elle se régale de mes épanchements. Concentrée, les yeux souvent fermés, elle savoure. Clémentine m'embrasse. Nous écoutons les gargouillis bulleux de cette exquise fellation. Je demande : << Tu n'as pas envie de baiser ce soir ? >>. Estelle cesse pour me répondre : << Arrête ! Jean-Marc m'a totalement défoncé hier soir. Il faut que je me préserve pour samedi ! >>. Nous rions. Elle reprend sa pipe en glissant une main dans son jeans déboutonné.

Clémentine reste contre moi. Une main dans sa culotte, elle se masturbe doucement. Nous regardons cette superbe fellation comme si nous assistions à un spectacle. Estelle cesse toutes les deux trois minutes. Je caresse ses cheveux. Cet ange d'une beauté qui me fait frémir à du foutre qui lui colle aux coins de la bouche. Clémentine, de son index, le récupère pour le porter à ses lèvres. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il est 21 h45 quand je lui éjacule dans la bouche. C'est surprenant de la voir tenter de déglutir avec peine cette quantité de foutre.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment rester dans les bras de leur mec à regarder le petit "animal de compagnie" lui faire une pipe.

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1723 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. Nous sommes arrachés à nos profonds sommeils par les illusions de l'application "océan". C'est tellement bluffant, tellement réel. Le cri des mouettes, le ressac. Clémentine se serre contre moi. Quelques papouilles. Ce matin encore c'est difficile d'émerger. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos leggings, de nos sweats en lycra, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café tout en mettant les bols et les couverts.

Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui nous offre ses quatre premières tranches. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la soirée de hier. La pipe que m'a prodigué Estelle tout en nous racontant sa baise avec son parrain. Nous rions de bon cœur. Le vendredi, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend déconneuse. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant le week-end. << J'ai la trouille pour samedi soir ! >> me dit une fois encore Clémentine. Je la rassure : << Je serai là, pas loin ! >>.

Il est 6 h25. Nous remontons pour achever de nous réveiller totalement avec une bonne heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Les abdos et les exercices au sol où Clémentine me fait rire aux éclats par des clowneries. Les charges additionnelles situent bien les choses avant le retour au calme d'un stretching complètement délirant. << Je déconne, c'est une catharsis ! >> lance Clémentine en m'entraînant par la main jusqu'à la salle de bain. La douche. Je descends le premier pour aller préparer la voiture. Il est 7 h45.

Clémentine me rejoint dans le froid glacial. Emmitouflée dans son anoraks dont la fourrure de la capuche la fait ressembler à un esquimau. Il fait encore nuit. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais la vaisselle, le lit, avant d'aller dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ma cinquième toile destinée à la saison 2022 est un autre plaisir. Je peins dans l'euphorie. Des cris !

Il est 10 h lorsque la stupide musique de mon téléphone le fait vibrer au fond de la poche de ma blouse. En pestant contre l'indélicat qui me tire de mon introspection, je le prends. C'est Juliette. Ma soudaine mauvaise humeur est immédiatement remplacée par le plaisir de l'entendre. Après quelques lieux communs, la jeune femme me rappelle que nous sommes attendus demain soir. Elle a tout préparé. Je la rassure, nous serons là dès 19 h30. << Je contrôle les QR Codes ! >> dit elle en riant. Même si c'est la vérité, nous en rions de bon cœur.

Nous nous saluons. Je reprends mon travail sans cesser de penser à Juliette. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans le feu. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il reste des beignets de crevettes, des chips. Il me suffit de réchauffer. Je prépare une salade d'endives. La table est mise. Il est 12 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille elle me couvre le visage de bisous. En se lavant les mains au-dessus de l'évier, elle dit : << J'ai encore eu affaire à un exhibitionniste à la station ! >>.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son aventure. En prenant de l'essence, ce mec qui écarte les pans de son anoraks pour lui montrer sa bite. << Je les attire. J'ai un abonnement aux pervers ! Ça doit être marqué sur mon front ! >> lance t-elle. Nous éclatons de rire quand je réponds : << C'est vrai ! Il faut dire que tu es tellement "craquante". Moi-même, depuis plus de cinq ans, je n'arrive pas à m'y faire ! >>. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine évoque la soirée de samedi. La "partie carrée".

<< Je suis morte d'appréhensions. Je ne sais pas si c'est l'impatience ou la peur qui m'excite le plus ! >> fait elle. Je dis : << Très certainement les deux. Moi aussi je suis impatient de découvrir ce que tu me réserves ! >>. Clémentine me fait des bises en mitraille. << Arrête, j'ai honte. De faire des choses pareilles à l'homme que j'aime ! >> rajoute t-elle. Je réponds : << Ah mais c'est un excellent divertissement. C'est comme ça que je vois les choses ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons en courant.

Nous nous lavons les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Il pleut. C'est sous le grand parapluie que nous faisons quelques pas. Serrée contre moi, Clémentine parle de l'Ecosse. Avec les mesures sanitaires qui s'annoncent, nous ne savons pas encore s'il sera possible de passer les fêtes à Edimbourg. << Tu vas voir, ils vont nous inventer un nouveau variant tous les six mois. Le passe sanitaire va devenir pérenne ! Le "monde nouveau" ! >> fait Clémentine.

J'écoute. J'entends ces arguments sur Sud Radio, dans l'émission de André Bercoff. C'est vrai que tout cela est tellement gros. << C'est même énorme ! >> rajoute Clémentine. Nous marchons sur le chemin forestier. Il est pierreux et il suffit d'éviter les endroits boueux. Nous nous embrassons tous les cent mètres en nous serrant fort. Nous sommes des gens optimistes et nous ne manquons pas de ressources. S'il est impossible d'aller en Ecosse, nous saurons improviser de belles vacances ici. Clémentine est d'ailleurs entrain d'organiser un plan B.

C'est un secret. Elle ne veut pas me le dire. << Si on ne peut pas partir, ce sera comme un autre cadeau de Noël ! >> précise t-elle en se frottant contre moi. La pluie redouble. Même si nous sommes à l'abri sous l'immense parapluie, nous prenons le sens du retour. Nous voilà dans l'atelier. Que faire avec une telle météo sinon nous plonger dans nos activités. Clémentine est assise devant son ordinateur. Je suis installé devant mon chevalet. << Finalement, c'est très bien, cette météo de merde. Je peux me consacrer à ma thèse ! >> dit elle.

Nous adorons ces ambiances studieuses. Parfois l'un se lève pour aller voir ce que fait l'autre. Lui déposer un bisou, lui murmurer des douceurs. Quand c'est moi, je suis debout derrière Clémentine. Je lisse ses cheveux de mes deux mains. Elle chantonne. Je pose ma bouche sur sa nuque. << Tu m'aimes ? >> me demande t-elle en saisissant mon poignet de sa main libre. Il est 16 h. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se précipite pour le prendre. << Julie ! >> lance t-elle. << Sors ta bite ! >> rajoute t-elle en quittant l'atelier.

J'ouvre ma blouse. Je sors ma queue que je laisse pendre sur mes couilles. Clémentine revient suivie de Julie. Elle se précipite pour me faire trois bises. Sur la pointe des pieds, Julie me tient par les épaules. << Comme je suis contente ! J'ai fait quelques dessins à l'encre de chine le soir après mes cours ! >> dit elle. Du carton à dessins qu'elle a apporté, elle tire trois feuilles de papier Canson. Je regarde. << Ce sont des reproductions à main levée de miniatures japonaises ! >> explique t-elle. Elle fait mine de ne pas voir mes organes génitaux.

J'adore ce comportement féminin. Ma bite et mes couilles sont pourtant bien visibles. Je félicite Julie pour ce remarquable travail. Il y a un don indéniable. Julie s'installe devant mon chevalet. Silencieuse, elle scrute longuement mon travail. Je suis accroupis à sa gauche. Clémentine pose ses mains sur mes épaules. Il y a juste le crépitement du feu. Le crépuscule s'annonce déjà. Julie pose quelques questions précises quand à certaines zones du tableau. Je me fais un plaisir de répondre à chacune de ses interrogations. Elle écoute avec attention.

Je me redresse. Clémentine, debout derrière moi, tient mon sexe à sa base. Entre le pouce et l'index. Je bande mou. Je vois Julie loucher. Elle ne scrute plus seulement la peinture, mais ce que fait Clémentine. Je me tourne franchement vers Julie. Elle fixe mon sexe. Sans oser soutenir mon regard, elle demande : << Je reviens demain matin pour le ménage. Vous me préparez la commande pour lundi soir ? >>. Mon érection prend une certaine éloquence. Majestueusement dressée vers les moulures du plafond. Contrainte par Clémentine.

Il y a un long silence. C'est très excitant de me faire masturber doucement devant cette jeune fille de 20 ans. Elle porte ses lunettes d'étudiante, ses cheveux noués en une longue natte. Cela lui confère un air presque sévère. Elle nous fait un rapide sourire avant de détourner la tête, ses mains jointes entre ses genoux serrés. Julie adore les situations embarrassantes. Elle nous avoue souvent les rechercher, sinon les créer. Elle se réjouit pour reprendre son job de serveuse ce soir dans le restaurant de sa tante. Le week-end.

Clémentine me branle doucement tout en bavardant avec Julie. Elles parlent de leurs études. Il y a une goutte de liquide séminal qui perle à l'extrémité de mon gland légèrement décalotté. Julie est soudain silencieuse. Elle se penche pour regarder de plus près. Clémentine appuie sur la peau fripée de mon prépuce. Mon foutre est épais et gluant. Nulle crainte que cette goutte ne tombe au sol. Par contre elle s'étire doucement vers le bas. Un filament de quelques centimètres. Julie avance encore davantage son visage. A une vingtaine de centimètres.

Je peux même sentir la chaleur de son souffle. Je passe ma main sous sa natte pour la poser sur sa nuque. Un frisson soudain anime notre voyeuse. Clémentine se penche pour murmurer : << C'est une friandise à gouter un de ces jours ! >>. Julie ne répond pas. Elle se redresse, se lève pour aller vers la cheminée. Je m'assois devant le chevalet. Clémentine s'installe sur mes genoux. Julie se retourne. Elle nous fait le plus merveilleux des sourires. << C'est tellement bien de vous connaître, de venir ici, pour moi c'est comme une thérapie ! >> lance t-elle.

<< On adore te voir. On parle souvent de toi, tu sais ! >> fait Clémentine. J'adore voir son visage s'illuminer lorsque Clémentine lui avoue nos passions pour elle, pour ses visites. Julie s'approche pour s'accroupir devant les pieds du chevalet. Clémentine passe le bout de ses doigts sur le front de Julie. Elle saisit son poignet. Un geste d'amour. Même si Clémentine n'a aucun penchant homosexuel, elle ne peut s'empêcher d'éprouver énormément d'affection pour notre douce amie. Je passe mon index sur sa joue. Julie pousse un gémissement.

Julie devra nous laisser pour 18 h. Elle prend son service à 18 h30. Il est temps de nous mettre au travail. J'ai débandé. Les sentiments ont pris le dessus. Clémentine est assise dans le canapé avec un livre. Julie et moi nous sommes installés devant le chevalet de table. Elle prépare les couleurs sur sa palette. Elle reprend la peinture de son paysage. Tout en peignant Julie pose des questions précises sur la façon de peindre tel ou tel chose. Je l'encourage à laisser s'exprimer son tempérament. Je me contente de souligner les aspects techniques.

Cette nouvelle heure de peinture se déroule dans cette ambiance particulière. C'est émouvant d'être assis à la gauche de Julie. Si proche parfois que j'entends sa respiration. Je scrute les expressions de son visage que je vois de profil. Sa nuque, ses oreilles finement dessinées. Les racines de ses cheveux. Ce sont des émotions indicibles. Julie nettoie sa palette, ses pinceaux. C'est triste de devoir se séparer. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture sous le parapluie. Un dernier coucou. Elle revient demain matin. Nous nous dépêchons de rentrer.

Bonne soirée à toutes les coquines que la présence d'une amie intime met en appétit. Tant pour un bon repas que pour une fellation...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1724 -



Sans sodomie, ce samedi restera toutefois dans les annales

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand Clémentine se serre contre moi. Elle place sa cuisse sous mes fesses, l'autre sur mon ventre. Accrochée à moi comme une naufragée à sa bouée, elle se frotte. << Je t'aime. J'ai même rêvé de toi cette nuit ! >> murmure t-elle. Je lui dépose plein de bisous en chuchotant : << Tu me racontes tout ça devant de bonnes tartines de miel. Viens ! >>. Je me lève. Je la soulève comme une jeune mariée pour l'emmener aux toilettes. Nos rituels pisseux sont particulièrement sympathiques ce matin.

Morts de faim, vêtus de nos leggings, de nos sweats en lycra, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. En me racontant son rêve, Clémentine fait le café. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Je presse les dernières oranges, je pèle les derniers kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Julie hier après-midi. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre soirée de folies. Le cunnilingus que j'ai offert à Clémentine hier soir a été à l'origine de ce rêve épique où je l'emmenais sur ma vieille Harley Davidson.

Nous rions de bon cœur. Cette vieille moto est sous une bâche au fond du garage. Depuis la disparition de Christine, il y a dix ans, je ne l'ai plus jamais utilisé. Je ne sais même pas si elle fonctionne encore. C'est devenu une pièce de collection. Une Électra-Glide de 1994. En parfait état. Avec tous les accessoires. Je promets à Clémentine de réaliser ce qu'elle a rêvé cette nuit. Il est 8 h25. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents. Notre heure d'entrainement nous attend. Et les réjouissances du samedi matin.

J'ai ouvert le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. La musique stupide de mon téléphone. Clémentine s'en saisit. << Julie ! >> s'écrie t-elle. Nous dévalons l'escalier pour aller l'accueillir. Elle est si contente d'être à nouveau là. Des bises. Nous la laissons à son ménage. Nous remontons encore une fois. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles. Retour au calme avec un bon stretching. Nous nous acquittons de notre séance quotidienne avec une intensité maximale. Enfin notre douche.

Vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, nous redescendons. Les livraisons ne vont pas tarder. Nous entendons Julie passer l'aspirateur au salon. Il est presque dix heures. Nous mettons nos anoraks. Il faut s'abriter sous le parapluie. Il fait légèrement moins froid aujourd'hui. Le thermomètre extérieur indique 8°. A peine avons nous traversé le jardin en restant sur les dalles de grès qu'arrive la camionnette des fruits et légumes. Danièle nous fait un grand sourire qui illumine son visage. Elle saute littéralement du véhicule.

Du hayon arrière elle tire les deux cageots. Elle récupère ceux de la semaine dernière. Consignés. Le premier contient nos légumes, nos fruits. Le second contient nos fromages, nos yaourts, le beurre, les œufs, les petits pots de crème fraîche, les pots de fromage blanc et nos kiwis. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Danièle n'est jamais très bavarde, elle ne s'attarde pas. Elle a bien d'autres clients à livrer. Elle n'est pas repartie depuis cinq minutes que voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée.

Madame Marthe a toujours d'amusantes anecdotes. << Vous avez vu ! Les tarés vont nous imposer de nouvelles saloperies pour les fêtes. Ça les dérange qu'on soit libres, heureux et peinards ! Cette fois, leurs masques sanitaires, ils se les accrochent au cul ! >> lance t-elle. Nous rigolons comme des bossus. La dame rajoute avec un clin d'œil : << Et tous les gens que je connais ont bien l'intention de faire pareil ! Non mais il ne vont pas nous gâcher la vie ! Merde ! >>. Pliés de rire nous récupérons nos deux miches, les pâtes feuilletés et la brioche.

Comme tous les samedis, depuis notre retour d'Écosse, madame Marthe nous offre deux beaux croissants à la pâte d'amande. Paiement par carte. Même commande pour la semaine prochaine. Nous la saluons. En partant, elle lance : << Banzaï ! Et surtout, ne lâchez rien ! >>. Nous n'avons jamais tant ri des facéties de madame Marthe. Nous passons par derrière pour descendre directement à la cave. Dans le cellier nous disposons soigneusement les fruits et les légumes sur les étagères. Nous rions toujours encore. Une des miches dans le congélateur.

J'en tire un paquet de moules, un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Nous sommes des gens très ritualisés. Tous les samedis à midi, c'est le même repas rapide mais délicieux. Nous remontons par l'escalier intérieur pour ranger les laitages dans le réfrigérateur. Julie s'apprête à passer la serpillère. Aussi, en lui déposant chacun un bisou sur le front, nous lui laissons la cuisine. Au salon, le diffuseur d'arôme répand cette délicate odeur de magnolia. C'était le parfum préféré à Christine. Il l'est devenu pour Clémentine avec le jasmin.

Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Deux messages. Un courriel d'oncle Alan qui nous envoie des photos d'Édimbourg sous la neige. Il nous rassure, les mesures sanitaires sont restées les mêmes depuis cet été. C'est à dire quasi inexistantes. Même si les cas de contaminations connaissent une recrudescence. Les écossais sont moins cons, ils ne considèrent pas ce virus plus dangereux que celui de la grippe annuel infiniment plus virulent et offensif. Moins spectaculaire. Covid 19 permet d'exercer un climat anxiogène sur la population.

Il y a un charmant petit mot de Juliette qui nous attend ce soir pour 19 h30. Si nous voulons manger avec elle, il faut venir pour 19 h. Nous préférons manger chez nous. Clémentine répond aux deux mails. Dans une petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 €. J'y rajoute notre commande pour lundi soir et quelques phrases gentilles. Clémentine y met quelques mots. Aucune information nouvelle sur le site universitaire où Clémentine fait un rapide passage. Sur ce forum, nous avons deux messages privés. Des témoignages de lecteurs ravis.

C'est souvent Clémentine qui répond de quelques phrases courtes. Parfois de simples copié/collés. Il faut toujours répondre. C'est une règle. Il est 11 h30. Julie vient nous rejoindre au salon. Nous la remercions pour la qualité de sa prestation. << J'adore faire le ménage. Cet après-midi je le fais à la maison avec ma mamie. C'est notre rituel du samedi en hiver ! >> précise Julie. Je lui tends la petite enveloppe jaune. << Merci ! >> dit elle. Comme souvent, j'ai la braguette qui baille. Je porte un slip noir. Quand je me lève, Julie fixe ce trou noir.

J'adore ses réactions. C'est absolument divin. C'est comme si c'était la toute première fois. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Aussi, c'est le plus souvent à Clémentine que Julie s'adresse. Clémentine qui contourne le bureau. Dans un geste affectueux, elle passe son bras autour des épaules de Julie. << On t'attend lundi soir. Tu n'imagines pas comme c'est bien quand tu es là ! >>. Julie a le réflexe de vouloir poser ses lèvres sur celles de Clémentine qui esquive au dernier instant. C'est amusant. Par contre elle dépose une bise sur le front de Julie.

Sous le parapluie, nous la raccompagnons jusqu'à son auto. Assise au volant, la vitre baissée, elle est toute tristounette. Clémentine se penche pour dire : << Si on ne peut pas partir en Écosse pour les fêtes, tu viens passer quelques jours à la maison ! >>. Le visage de Julie s'illumine soudain. << C'est vrai ! Oh comme ce serait bien ! >> lance t-elle soudain dynamisée par cette suggestion. Je rajoute : << Sinon, si c'est trop dur, on t'emmène avec nous à Édimbourg ! >>. En démarrant, Julie me fait : << J'aimerais tellement voir ce pays ! >>.

Un dernier bisou. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au sec et au chaud. Nous rions comme des fous lorsque je retire les bottes en caoutchouc des pieds de Clémentine. Je la chatouille. Elle me saute au cou. Je la soulève. C'est comme ça que nous allons dans la cuisine. Il y a un diffuseur d'arôme dans chaque pièce de notre vaste demeure. Ici, ce sont des huiles essentielles de jasmin. Clémentine, imitant une ballerine qui ferait ses pointes, tourne dans toute la grande pièce. Je la regarde évoluer avec grâce.

Je mets une bûche de chêne dans la cuisinière. Clémentine prépare une belle et grasse laitue. Je fais le bouillon. Dans le wok, je jette le contenu des sachets. Les haricots verts et les petits pois sont encore congelés. On s'en fout ! Je verse le contenu du paquet de moules encore congelées dans le bouillon en ébullition. Nous mettons les assiettes et les couverts sans cesser de nous faire des bises. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. << Mon petit jouet mécanique ! >> murmure t-elle à mon oreille en me sortant le sexe.

<< J'aime de plus en plus quand tu te balades avec la bite à l'air ! >> dit elle en s'accroupissant pour y déposer des bisous en mitraille. Elle se redresse en chuchotant : << Je suis morte de trouille pour ce soir ! >>. Je la soulève pour la faire tourner dans les airs. Ses jambes autour de ma taille elle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Nous faisons toujours ça avec tant de passion que nous en avons les mentons trempés de salive. Je récupère les moules avec un écumoire. Clémentine remue la salade. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur ses appréhensions. La "partie carrée" de ce soir. << On remet à la semaine prochaine ! >> dit elle avec un ton peu convaincant. Je murmure : << Clémentine, au fond de toi, tu as déjà tellement envie d'y être ! >>. Elle met sa tête contre mon cou en s'écriant : << Je t'aime ! Tu sais tout de moi ! >>. Je m'empresse de rajouter : << Oh non ! Une vie entière ne suffirait pas. Tu es si passionnante. Tu fais de moi l'homme le plus heureux du monde ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. C'est en nous tenant par la main que nous montons à toute vitesse les escaliers. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. A l'étage, c'est l'odeur de magnolia. Tête contre tête, au-dessus du lavabo, nous nous rinçons la bouche en poussant des gémissements surréalistes. Clémentine frotte sa hanche contre la mienne. << Où sont les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle qui entre dans la salle de bain. Elle se précipite pour nous faire plein de bises. Passionnée.

<< Enfin ensemble ! >> lance t-elle. Nous sommes tous les trois serrés. << Les trois mousquetaires ! >> rajoute Estelle. Elle nous entraîne par les mains. Je prends son grand sac de sport posé devant la porte de la chambre. Nous y entrons. << Parfum magnolia ! J'en mets partout à la maison. Papa et maman adorent ! >> lance Estelle en sortant son pyjama du sac. Elle sort sa jupe kilt, son chemisier crème, son pull bleu nuit au col en "V". Il y a ses bottes de cuir noir à talons hauts. << Pour ce soir ! Ma tenue "pute" ! >> dit elle en dépliant.

Estelle demande : << Tu as la trouille aussi ? >>. Clémentine répond : << Et comment ! C'est comme si c'était notre première partouze ! >>. Elles se regardent, mordillent leurs lèvres inférieures avant d'éclater de rire. Je les regarde monter sur le lit pour sauter dessus comme si c'était un trampoline. Mes deux anges, dans leurs merveilleuses joies de vivre. Comme c'est beau. Je suis pétri d'émotion. Elles font les folles avant de sauter à pieds joints à mes côtés. Elles me font plein de bises en mitraille. Chacune sur une joue. Je suis au paradis.

Nous quittons la chambre car il n'y fait pas chaud. C'est mieux pour dormir. Estelle agite "Bunny Boy", son lapin en peluche. << Il vient en partouze lui aussi ce soir ! >> dit elle en me le mettant dans les bras. C'est un petit lapin en peluche, tout sale. Le "doudou" d'Estelle depuis ses 4 ans. Il a vingt ans. De blanc il est devenu tout gris. Je lui fais une bise. Nous dévalons les escaliers en nous tenant par les mains. Nous allons dans l'atelier. Avec cette météo affligeante, malgré les deux grandes baies vitrées, il fait sombre. Estelle allume la cheminée.

<< C'est ma tâche à la maison d'allumer la cheminée du salon ! >> dit elle en froissant des feuilles de papier journal. Clémentine est contre moi. Ses bras autour de ma taille. Nous regardons Estelle disposer les petits bouts de bois. Elle craque une allumette. Ça y est, ça flambe. << Tu n'as pas sorti ta bite ! >> lance t-elle en se redressant pour venir nous rejoindre. Elle glisse sa main dans ma braguette. De ce mouvement virtuose de l'index passé dans mon slip, sous mes couilles, elle en extrait le locataire. << On bande mou je vois ! >> dit elle.

Je l'attrape par les épaules. Clémentine à ma droite, Estelle à ma gauche, nous regardons le départ de cette belle flambée. Il reste quelques châtaignes. Elles diffusent cette délicate odeur automnale. Nous voilà vautrés dans le vieux canapé de velours carmin. Tout en jouant avec ma queue qu'elle tord dans tous les sens, Estelle évoque ses appréhensions. Je suis entre mes deux anges. Je les écoute se donner leurs impressions, leurs ressentis les plus intimes. Ces secrets de filles avant les folies auxquelles elles comptent bien s'adonner ce soir.

C'est passionnant. Je bande comme un salaud dans la main d'Estelle. Bien évidemment, comme elle sait que c'est en la contraignant vers le bas que c'est à la limite de la douleur, la coquine ne s'en prive pas. Clémentine a glissé une main dans son jeans déboutonné. Ces échanges de filles nous excitent bien évidemment considérablement. Je propose de ne céder à aucune tentation. De garder toutes ces accumulations d'énergies sexuelles pour la soirée qui nous attend. << Mais tu ne fais rien avec Juliette ! Promis, hein ! >> me fait Clémentine deux fois.

Je la rassure. Elle me connaît. Jamais je ne ferais quoi que ce soit derrière son dos. Je précise toujours : << Avec toi, j'ai tout ce qu'un homme peut souhaiter. Même davantage ! Et comme vous êtes deux, vous imaginez un peu mon bonheur ! C'est insensé ! Je me demande d'ailleurs comment je survie à nos dingueries permanentes ! >>. Mes deux anges me couvrent le visage de bisous. Nous restons ainsi à privilégier cette fois les douceurs, la tendresse, à manifester nos enchantements paradisiaques. Et là, c'est aussi enivrant que le sexe.

Les filles sont à présent installées à la table. Assises devant l'ordinateur. Cette météo médiocre offre l'opportunité de travailler à leurs études. Il y a une simulation de thèse de mathématiques à rendre pour le vendredi 17 décembre. De quoi occuper leurs esprits et occulter leurs appréhensions. J'en profite pour réaliser les dessins préparatoires de mes futures toiles. Je reprends les calques d'anciennes réalisations. Il me suffit de changer quelques détails pour en faire des œuvres originales. Ça fait longtemps que je ne m'emmerde plus.

Il est rapidement 18 h. Il fait nuit. << On a super bien bossé ! >> lance Estelle en venant me rejoindre. Depuis l'âge de 12 ans elles font tout ensemble. Clémentine arrive en sautillant. Elle rajoute : << On utilise toujours la même combine pour différencier nos écrits. Comme ça, les profs n'y voient que du feu ! >>. Je connais bien leurs stratégies. Cette caractéristique toute féminine qui consiste à faire prendre des vessies pour des lanternes. C'est adorable et j'en apprends encore aujourd'hui, à 54 ans. Merveilleuses coquines qui colorent ma vie.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Assis tous les trois autour de la table, nous épluchons les patates, les carottes, les navets, le céleri. Avec un gros oignon, deux grosses gousses d'ail, de la ciboulette et du persil, ce sera notre potée de légumes du week-end. Nous en faisons toujours en grande quantité. Ce soir, aucune manifestation surnaturelle. << Christine est partie en week-end ! >> lance Estelle. Clémentine prépare l'assaisonnement pour le reste de la laitue. Estelle touille les légumes dans la vieille cocote en fonte noire.

Dans la poêle, je fais revenir les calmars farcis avec de petits champignons noirs, de l'ail et de l'échalote. En fin de cuisson j'y rajoute un pot de crème fraîche. Clémentine mets quelques morceaux de Roquefort qui fondent instantanément. Nous mangeons de bon appétit. Volontairement, pour éviter le sujet de la soirée qui nous attend, les filles parlent de la thèse de mathématiques. << Tu sens comme j'ai la trouille ? >> me fait Clémentine en posant sa main sur la mienne. Effectivement, je sens une légère tremblotte. Estelle fait pareil.

Je me veux rassurant. Je les fais rire en précisant : << Ce n'est pas du tout ce que vous croyez, c'est juste les premiers symptômes de parkinson ! >>. J'aime les voir rire aux éclats. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Clémentine mime une pipe. Je me lève pour agiter ma queue comme un tuyau d'arrosage. << J'adore quand tu fais ça ! >> s'écrie Clémentine. << C'est moi qui le fais ! >> lance Estelle en saisissant ma bite pour la faire tournoyer. << L'hélicoptère ! >> dit elle. Nous rigolons comme des bossus. La vaisselle.

Nous montons pour nous laver les dents. Je sens bien leurs appréhensions monter d'un cran. Nous faisons les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous passons dans la chambre. Les filles réunissent leurs vêtements. Elles chantonnent des trucs absurdes pour se donner de la contenance. Comme pour oublier l'épreuve qui les attend. << Put-Hein, dans quoi on s'est encore mis ! >> fait Estelle. Nous dévalons les escaliers. C'est moi qui tient le sac de sport contenant les fringues. Je roule doucement. Les filles racontent des trucs loufoques.

Partie carrée au haras

Je gare la voiture dans la cour. Il fait nuit. La pluie tombe, fine et continue. Estelle et Clémentine se mettent à l'abri sous le grand parapluie. Nous traversons la cour à toute vitesse. Il y a cinq autres autos garées là. Nous entrons dans la nouvelle écurie. Juliette nous accueille. Elle est en pleine conversation avec Valentine, la nouvelle palefrenière. C'est une grande jeune femme, la trentaine. Les cheveux auburn. Plutôt réservée. Nous l'avons déjà rencontré à la mi septembre. Juliette lui donne quelques dernières consignes pour l'animation de demain.

Juliette, dans sa tenue d'écuyère est toujours attractive. Ce soir, elle porte sa longue natte jusqu'au milieu du dos. Elle est toute contente de revoir Estelle. Elles n'ont pas souvent l'occasion de se voir. Aussi, le plaisir est partagé. Juliette nous invite à la suivre. Il est 19 h35. Nous caressons quelques encolures de chevaux. Ils nous regardent passer dans l'allée centrale. Nous entrons dans le petit local aménagé en salon. Depuis la dernière fois, Juliette a fait installer un billard. << Pour les pauses du personnel et les invités ! >> précise t-elle.

A peine sommes-nous entrés que madame Walter arrive par la porte de service. Un sourire lumineux éclaire son visage. Elle aussi porte ce soir ses cheveux attachés en une longue natte. La collaboratrice nous salue. Clémentine et Estelle quittent le salon. C'est Estelle qui porte le sac de sport contenant leurs vêtements. Direction les toilettes pour se changer. Il fait agréablement chaud. Ce qui contraste fortement avec les 4° qu'affiche le thermomètre extérieur. Je suis seul avec les deux femmes. << Pierre et Robert sont en chemin ! >> lance Mme Walter.

Juliette ouvre le canapé lit. Elle s'assoit dessus en disant : << On y baise superbement ! >>. Nous rions. << Venez ! >> me fait encore Juliette en tapotant les draps. Je m'assois entre Bernadette et Juliette. Elles me regardent toutes les deux en riant. << On vous mangerais bien Julien ! >> dit Juliette en posant sa main sur mon épaule. Je pose les miennes sur leurs cuisses pour répondre : << Bon appétit ! >>. Il y a des bruits de portières de voitures qui claquent. Nous nous levons d'un bond. Madame Walter m'entraîne par la main.

Nous sortons par la porte arrière. Dans l'étroit couloir qui mène aux toilettes, nous entendons Estelle et Clémentine rire. Madame Walter ne lâche pas ma main. Cette femme est d'une sensualité particulière. Jusque dans le bout de ses doigts. La porte des toilettes s'ouvre. Estelle et Clémentine sont toutes étonnées de nous voir là. Bernadette explique : << Inutile de perdre du temps en palabre, mon mari et Robert ne viennent pas pour discuter le bout de gras ! >>. Estelle et Clémentine sont habillées comme deux sœurs jumelles. C'est magnifique.

Leurs jupes kilts à carreaux rouges. Leurs chemisiers crèmes sous un pull bleu nuit aux cols en "V". Leurs bottes noires à talons hauts. Elles culminent toutes les deux à un mètre quatre vingt six du sol. Madame Walter est soudain toute petite à leurs côtés. Clémentine retrousse sa jupe. Elle ne porte rien dessous. << Quelle touffe impressionnante ! >> lance Bernadette en voyant la broussaille sauvage. Estelle retrousse sa jupe pour nous montrer une culotte d'une blancheur immaculée. Elles ont attaché leurs cheveux en catogan. Un large nœud de velours.

Clémentine et Estelle se jettent dans mes bras. Bernadette me lâche la main. Mes deux anges me couvrent le visage de bisous. << Je suis morte de trouille ! >> chuchote Clémentine. << Moi j'ai carrément une peur panique ! >> murmure Estelle. << Oh ! Vous allez beaucoup vous amuser, vous verrez ! >> fait madame Walter. Voilà Juliette qui vient nous rejoindre. << Vos "cavaliers" vos attendent mesdemoiselles ! >> dit elle. Clémentine saisit la main d'Estelle pour l'entraîner. Bernadette me chuchote : << Pour une fille qui a la trouille ! >>. Rires...

Juliette nous entraîne dans le local électrique. Ça fait longtemps que je n'y suis plus venu. Il y a l'armoire contenant les compteurs EDF et les boîtiers de la fibre. Des fusibles, des interrupteurs. C'est un peu la commande centrale du haras. Il y a deux petits trous, juste entre les compteurs. Je colle mon œil à celui de droite. Son épaule contre la mienne, Juliette regarde par l'autre. Estelle et Clémentine son debout dans le salon. Robert, le type portant cagoule a déjà sa bite à l'air. Une sorte de saucisse fripée tout son long. Environ une quinzaine de cm.

Estelle et Clémentine rient aux éclats. Impossible de comprendre ce qui se dit mais ça doit être marrant. Je suis envahi d'un très étrange sentiment. Je regarde ma compagne s'assoir sur une des chaises à l'envers, le dossier entre ses cuisses. Cette fois j'entends nettement le mec à la cagoule s'écrier : << Wouah ! Trop fort ! Je n'ai jamais vu une chatte aussi poilue ! >>. Pierre se rapproche pour saisir Clémentine par son catogan. A voix haute il dit : << C'est la grande salope qui t'a sucé il y a deux mois par le Gloryhole ! Une vraie ventouse ! >>.

Robert s'avance. Pierre tient fermement Clémentine. Une main sur sa nuque, l'autre sous son menton. Robert frotte sa bite sur le visage de Clémentine. Je sens soudain la main de madame Walter qui se pose sur ma braguette. Elle est derrière moi. Elle se frotte. Juliette saisit ma main. Je regarde Clémentine sucer cette queue. << Tu baises aussi bien que tu suces ? >> demande Robert. Pierre lâche Clémentine pour s'approcher d'Estelle qui a un mouvement de recul. Elle regarde comme affolée partout autour d'elle. Pierre la saisit par son catogan.

<< Par ici ma belle, toi, je ne t'ai pas encore fait gouter ma bite ! >> dit il. Clémentine, tenue par les oreilles, les couilles de Robert sur le menton a toute sa queue dans la bouche. Je devine le plaisir de l'instant en observant l'expression de son visage. Elle glisse une main entre ses cuisses. << Regarde un peu ! >> lance Robert à Pierre qui se fait tailler une pipe par Estelle. Par contre, sur le visage d'Estelle il y a l'expression d'un profond dégout. Contrairement à Clémentine, Estelle est assise de façon normale, les jambes serrées. Elle se débat.

Estelle tient les poignets de Pierre pour tenter de se libérer de son étreinte. Le salaud tente de lui enfoncer ses dix huit bons centimètres. Juliette serre ma main. Je la sais aussi voyeuse que Julie ou que Estelle. Parfois elle cesse de regarder pour me faire une bise. Bernadette me sort le sexe. Elle s'accroupit devant moi, entre l'armoire métallique ouverte et mes cuisses. Juliette murmure à mon oreille : << Un jour, nous serons tous les deux. Nous aurons tous ces souvenirs. Je pense à ça tous les jours ! >>. Je ne réponds pas. Je regarde par le trou.

Robert vient de soulever Clémentine comme si elle ne pesait rien. Il la jette sur le lit. Elle écarte ses cuisses. Robert arrache son froc, son slip, son pull. En chaussettes, comme un acteur de films pornos des années soixante dix, il plonge carrément sur Clémentine. Elle le repousse fermement en criant : << Capote ! >>. Le bougre s'empare du petit sachet qu'elle lui tend. Il enfile le préservatif avec une étonnante dextérité. Il dit : << Je te baiserais bien à "cru" salope ! >>. Clémentine lui répond : << Tu peux toujours rêver ! >>.

Robert, couché sur ma compagne, la pénètre avec une étrange facilité. Je devine à quel point elle doit être trempée. Juliette revient murmurer à mon oreille : << Regarde ta compagne ! Le jour où je serai la tienne, jamais tu ne me verras faire ça avec un autre ! >>. Je cesse de regarder pour lui chuchoter : << J'espère que tu ne te seras pas privée avant ! >>. Juliette me serre la main avec une telle force. Soudain je sens la bouche de madame Walter se refermer sur mon sexe. Je suis dans un état second. J'en ai vécu des trucs, mais là !

Pierre vient de soulever Estelle comme un sac de linge. Il l'a jette à côté de Clémentine. Il arrache ses fringues. Il arrache également la culotte d'Estelle qui, curieusement, ne se débat plus du tout. Bien au contraire. Elle se fait pénétrer en poussant un gémissement de plaisir. Juliette chuchote à mon oreille : << Si tu n'étais pas propriétaire foncier, avec tout ton pognon, tu crois que ces deux salopes te fréquenteraient ? >>. Je suis choqué. Juliette a déjà abordé ce sujet. Je pose ma main sur sa nuque pour la serrer plusieurs fois. Fortement.

Je me penche pour murmurer : << Tu vois Juliette, ça aussi je peux me l'offrir ! Et la cerise sur le gâteau, c'est qu'elles m'aiment autant que toi. Et peut-être encore davantage ! >>. Juliette se contente d'un coup de dents sur le lobe de mon oreille. Bernadette suce comme si sa vie en dépendait. Ça fait plus de deux ans qu'elle ne m'a plus taillé de pipe. Sa bouche est d'une sensualité incroyable. C'est presque gênant d'y avoir la bite. J'ai peur de "déranger" ! Je regarde Pierre et Robert, couchés sur Estelle et Clémentine. Ils les baisent en discutant. Salauds !

Je ne vois que leurs jambes relevées. Parfois elles les passent autour des hanches des deux queutards. C'est un concert de gémissements. Estelle et Clémentine se font baiser comme rarement. Les types alternent la "machine à coudre" avec des coups de queues secs. Ils se marrent. Je ne comprends pas ce qu'ils se racontent. Je vois Estelle saisir la main de Clémentine. Je ne vois pas leurs visages. Dommage. Les mecs changent soudain de cavalière. Ils vérifient la bonne tenue de leurs capotes avant de s'enfoncer dans les filles. Cris de plaisirs !

Juliette me dépose des bisous sur les joues. Bernadette suce. Je suis tellement excité que je lui éjacule dans la bouche. << Chut ! >> me fait Juliette. Madame Walter tente de déglutir les quantités probablement prodigieuses de foutre. Elle ne cesse pourtant pas de sucer. Elle repart pour ce second tour apprécié des "connaisseuses". Je regarde par le trou en glissant ma main entre les cuisses de Juliette. << Mmhh ! >> fait elle. C'est à mon tour de murmurer : << Chut ! >>. Pierre et Robert changent de filles toutes les deux trois minutes. Ça jouit !

Les deux salopards sont entrain de comparer. Ils se couchent sur le dos. Clémentine, à l'envers, regardant vers ici, est assise sur la queue de Pierre. Estelle prend la même position. Les deux salopards leurs tripotent les seins. Ils n'arrêtent pas de se raconter des trucs qui les font marrer. Clémentine et Estelle font du "dada". En rythme, couvertes de sueur, des mèches de cheveux décoiffés collées sur la tronche. Elles se font du bien. J'ai rarement vu Clémentine s'éclater autant. Quand à Estelle, elle est dans son élément. Elles changent de mec. Petits cris !

C'est à leur tour de chevaucher les deux queutards. Cette fois elles sont tournées vers les mecs. Clémentine a toute les peines du monde à empêcher Robert de l'embrasser. Il a tout tenté le bougre. Rien à faire. Avec la sodomie, c'est la chose que déteste Clémentine. Se laisser embrasser par un inconnu. Par contre, elle essaie de lui arracher sa cagoule. Elle y arrive. Je reconnais le vétérinaire. Je savais que Juliette et lui "pratiquaient". Mais j'étais loin d'imaginer que cet homme, toujours élégant, poli et attentionné, soit le dernier des vicelards.

Estelle, couchée sur le dos, se masturbe en même temps que le vétérinaire la besogne. Il pousse soudain un cri. Il décharge en hurlant. Estelle a un orgasme soudain. C'est au tour de Pierre d'éjaculer. Clémentine n'a pas cessé de se masturber en se faisant tringler. Son orgasme est tellurique. Elle se lâche en pissant n'importe où, n'importe comment. << Ah mais quelle salope, elle me pisse dessus ! >> se met à gueuler Pierre qui se lève. Il retire sa capote. C'est fou ! Le préservatif semble plein comme un ballon. C'est impressionnant.

Clémentine s'en empare pour le vider dans sa bouche. Elle le jette pour se précipiter vers la porte. Je connais son fonctionnement. Comme honteuse, pressée d'aller se cacher, elle fuit. Estelle saisit la capote que tient Robert, un peu comme un idiot, contemplant le contenu. Elle y fait un nœud en disant : << Pour ma collection ! >>. Elle file à toute vitesse en claquant la porte derrière elle. Nous les entendons rire aux toilettes. J'éjacule pour la seconde fois dans la bouche de Bernadette. << Je t'aime Julien. Je t'aime ! >> me fait Juliette à haute voix.

Je remballe ma bite. Je caresse le visage de Bernadette en lui disant : << Merci. C'était magique ! >>. Elle me répond, triste que tout soit déjà terminé : << Pour moi aussi Julien ! >>. Je sors du local. Je remets mon anorak. Juliette essaie de me retenir encore un peu. J'éprouve un profond malaise. Je déteste faire du mal à quelqu'un. Et là, je sais que j'en fais beaucoup à cette femme. Mais ce n'est pas moi qui me suis mis dans cette situation d'attente. Je lui dépose un rapide baiser sur le front. Estelle et Clémentine ont remit leurs manteaux.

Nous courons presque pour quitter l'écurie. Dans la voiture, assises toutes les deux sur le siège passager, elles me confient leurs ressentis encore très confus. << Put-Hein les baiseurs ! >> lance Estelle. << Ils m'ont défoncé la chattes ces salauds ! >> rajoute Clémentine. Il est presque minuit. Nous sommes à la salle de bain. Les filles se regardent dans le miroir. J'ai très rarement vu les visages de mes deux anges aussi marqués. Des cernes sous les yeux. Elles ont soudain cinq années de plus. << Regarde ces gueules de salopes ! >> lance Estelle.

Au lit, entre mes deux anges, je réponds à toutes leurs questions. Contrairement à moi qui ai assisté à leur "partie carrée", elles n'ont rien vu de ce qui se passait dans le local EDF. Je rassure Clémentine. Il ne s'est strictement rien passé avec Juliette. La pipe de madame Walter ne provoque aucune jalousie chez Clémentine. Elle sait qu'il n'y a pas de sentiments amoureux dans cet acte. Estelle tient mon Zob. Juste avant de s'endormir elle murmure : << Tu préfères sa bouche ou la mienne ? >>. Clémentine se blottit et dit : << Pardon Julien ! >>.

Juste avant que nous ne plongions tous les trois, je murmure : << Je ne pardonne plus, je donne des gages. Une pipe demain ! >>.

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1725 -



Un dimanche de "récupération"

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par le mouvement des pieds d'Estelle contre les miens. Ce qu'elle appelle ses "impatiences". Toute la nuit elle est restée accrochée à moi. Elle saisit mon érection matinale d'une poigne ferme malgré qu'elle soit encore à moitié endormie. Cela réveille Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Je glisse mes mains dans les culottes. Je joue avec ces invraisemblables touffes. Clémentine saisit mon poignet en murmurant : << Attention, c'est irrité ! >>.

Estelle se lève en s'écriant : << Pipi ! >>. Nous la regardons trottiner jusqu'à la porte dans son pyjama de soie mauve. Clémentine blottie contre moi, mon sexe dans sa main me dit : << Merci Julien pour hier soir. Je t'aime ! >>. Je réponds : << C'est moi qui te remercie ! Je t'aime comme un fou ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il est plus de neuf heures. Morts de faim, en T-shirts de nuit, en slips, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous.

Dans l'odeur du café, du pain grillé et de la brioche, nous prenons un copieux petit déjeuner. Les filles évoquent la soirée de hier. Cette "partie carrée" où elles ont baisé comme rarement. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur certains points forts. Estelle me pose toute une série de questions sur ce qui s'est passé dans le local EDF. Ce que j'ai fait avec Juliette et madame Walter. Clémentine aussi veut tout savoir. Je reviens sur chaque détail. La pipe que m'a prodigué Mme Walter. Les confidences que m'a faite Juliette. Ses caresses.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, mes deux anges échangent leurs impressions. << J'ai la chatte toute congestionnée. Comme quand je baise avec parrain ! >> dit Estelle. << Moi aussi ! Put-hein ! On a eu affaire à deux baiseurs fous ! >> fait Clémentine. Nous rions. << Pierre me propose une "promenade pipe" dans sa voiture un de ces soirs ! >> rajoute Clémentine. Pendant qu'il la baisait, le mari de Mme Walter lui faisait des propositions. De ma cachette je n'entendais pas.

<< Tu vas le faire ? >> demande Estelle. Clémentine me fait des bisous sur la joue, me saisit le menton entre son pouce et son index. Je tourne ma tête pour la regarder répondre : << Si Julien est d'accord ! >>. Je la serre contre moi pour dire : << Bien sûr que je suis d'accord. C'est juste dommage que je ne pourrai pas te voir à l'œuvre ! >>. Estelle rajoute : << Tu te filmes et on se fait une soirée cinéma ! >>. Clémentine reste un moment silencieuse. Nous restons suspendus à ses lèvres. Elle se lève pour débarrasser la table. La vaisselle.

Estelle me palpe la bosse avant de glisser sa main dans mon slip. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. << Excellente suggestion que ce film puis cette séance de cinéma ! >> lance soudain Clémentine. J'écoute mes deux anges élaborer différentes stratégies. En informer Pierre ou au contraire réaliser ce film en secret, le téléphone adroitement utilisé. Estelle suggère même d'être présente, assise sur le siège arrière. Je bande comme le dernier des salauds en entendant s'échafauder les possibilités. Les coquines font preuve d'une telle imagination.

Estelle ne lâche pas ma bite. C'est ainsi que nous remontons. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres. Je tiens Estelle et Clémentine par la nuque. J'appuie pour les rapprocher du miroir. Elles s'observent. Je dis : << Regardez un peu les gueules de salopes que vous avez encore ce matin ! >>. Avec le doigt je montre à Clémentine ses cernes sous les yeux. Celles d'Estelle. << Les conséquences d'un plaisir fou ! >> fait elle en riant. << De baiser comme des folles laisse forcément des traces ! >> rajoute Clémentine. Nous éclatons de rire.

Nous allons dans la chambre. Nous fermons les fenêtres. Nous nous vêtons de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Nous faisons notre lit. Pressés d'aller prendre l'air, nous redescendons à toute vitesse en nous tenant par la main. Nous enfilons nos anoraks. Il pleut. C'est sous le parapluie, par un froid glacial que nous montons jusqu'au portail. Le chemin forestier est pierreux. Il suffit d'éviter les endroits critiques. Je tiens l'immense parapluie. Mes deux anges me tiennent par le bras, bien serrées contre moi. Elles reviennent sur nos folies de hier soir.

Estelle me demande : << Raconte-nous ta perception des choses. Qu'elles sont tes séquences préférées ? >>. Je reste un peu abasourdi par la question. Clémentine rajoute : << Oui, ça m'intéresse aussi de savoir ! >>. Je réuni mes souvenirs encore tous frais. J'entre dans les détails car le diable s'y cache. C'est à leur tour d'êtres suspendues à mes lèvres. Je raconte. J'entends des gloussements, des petits rires. Je les félicite toutes les deux pour leurs prestations. Je précise un moment fort. Quand Clémentine a arraché la cagoule du vétérinaire.

<< Sa bite a un goût dégueu ! >> lance Estelle. << Moi, plus le goût est dégueu, plus j'aime ! >> fait Clémentine. Nous prenons le sens du retour. Cette petite heure de marche nous a fait le plus grand bien. Nos joues sont à nouveaux bien roses. Il commence à faire faim. A peine sommes nous à la cuisine qu'Estelle me sort la queue. Clémentine prépare la salade. Estelle réchauffe la potée de légumes. Je fais rissoler trois pavés de saumon dans la poêle. Je les enduis de moutarde à l'ancienne. Je concocte une belle sauce au Roquefort. Avec de l'avocat.

Estelle saisit mon sexe à la moindre occasion. Clémentine me fait de délicieux sourires. Comme elle sont belles et radieuses mes deux anges. Je passe moi aussi ma main entre les cuisses d'Estelle. Par derrière. Le petit spasme de son corps traduit à chaque fois sa surprise. << Salaud ! >> dit elle à chacune de mes intrusions. Nous mangeons de bon appétit. Le sujet de conversation reste évidemment la "partie carrée". << Moi, celles que je préfère, c'est celle de Julien, puis celle de mon parrain ! >> lance Estelle en mimant une masturbation.

<< Des valeurs sûres ! >> dit Clémentine. Je me lève pour agiter mon sexe dans leur direction. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur l'éventualité pour Clémentine d'accepter la "promenade pipe" de Pierre. Rouler en voiture, sur une petite route déserte, à 10 km/h en se faisant tailler une pipe reste une gâterie appréciée par nombre d'hommes. Clémentine ne manque pas de pratique puisqu'elle me fait ça si souvent depuis plus de cinq ans. Je l'encourage à accepter. Clémentine reste silencieuse et pensive.

<< Oui, vas-y, tu nous racontes. On se mâte le film ! >> surenchérit Estelle. Il suffit de contacter madame Walter, la femme de Pierre par l'entremise de Juliette. << Je vais bien préparer ça dans ma tête ! >> lance Clémentine. Je dis : << Toi qui fantasme sur la pipe, tu vas encore t'en payer un belle et bonne ! >>. Clémentine pose sa tête dans le creux de mon épaule en murmurant : << Parfois, j'ai honte d'être aussi vicieuse ! >>. Nous rions de bon cœur. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents.

Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Estelle allume une belle flambée dans la cheminée. Clémentine, blottie contre moi, nous restons vautrés dans le canapé à la regarder. Clémentine tient mon sexe d'une main ferme. J'ai la mienne entre ses cuisses bouillantes. Estelle vient nous rejoindre. Je suis entre mes deux anges que j'écoute évoquer nos vacances à venir. << Si on ne peut pas aller en Écosse, j'achète un fusil ! >> fait Estelle en tentant d'extraire mes couilles. Je me lève pour lui permettre de les sortir du slip plus aisément.

<< Julien a mérité une douceur pour sa diligence de hier soir ! >> dit Estelle en jetant un des épais coussins au sol entre mes pieds. Elle s'y met à genoux. Clémentine serrée contre moi lui tend mon sexe. Comme le dimanche nous restons à mariner dans nos jus, l'odeur de Parmezob nous monte au nez. << Monsieur Schlinguo ! >> murmure Estelle en humant les effluves odorantes de ma bite sale. Clémentine se penche pour décalotter juste le méat. Ça schlingue. Je mérite bien le sobriquet dont m'affuble Estelle qui pointe sa langue turgescente.

Clémentine et moi nous sommes au spectacle. C'est magnifique. Estelle tente d'introduire sa langue entre le prépuce et la peau du gland. Elle en retire des granules de frome. A chaque fois elle nous montre le résultat de ses fouilles. Je sens Clémentine devenir aussi excitée que moi. Je la saisis par sa natte pour la redresser. Sans lâcher ma queue que suce Estelle, elle m'embrasse goulument. Avec tant de passion que nos mentons sont rapidement trempés de salive. Je peux sentir l'indicible caresse que m'offre la bouche gourmande d'Estelle.

Je me penche pour demander : << La quelle des deux bites as-tu préféré hier soir ? >>. Estelle cesse pour répondre par une question : << Dans la bouche ou dans la chatte ? >>. Nous rions. Estelle rajoute : << Celle du mec à cagoule, beurk ! Amère et fade ! Mais comme sex-toy, absolument parfaite ! >>. Clémentine éclate de rire avant de dire : << Pareil pour moi ! Mais j'adore sucer la bite à Pierre ! Hyper juteuse. Un jus fluide et abondant ! >>. J'écoute les filles échanger leurs impressions quand aux goûts des bites qu'elles ont déjà sucé.

Je me fais tailler une pipe. Toutes les deux trois minutes Estelle cesse pour émettre une considération, rappeler un évènement précis, le goût d'une queue qui lui revient en mémoire. Elle conclue invariablement par le même constat : << J'aime quand c'est légèrement salé ! >>. Clémentine raconte ses souvenirs. Sa queue préférée reste celle de monsieur Gérard, l'ancien palefrenier de Juliette. A la retraite. << Un goût acidulé, légèrement vinaigré ! >> précise t-elle à chaque fois qu'elle évoque les pipes qu'elle lui a prodigué. Estelle pose des questions.

<< Une vraie "vinaigrette" que la bite d'un vieil incontinent impuissant et pervers ! >> lance Clémentine. Elle se couche sur le côté, sa tête sur ma cuisse. Elle peut ainsi assister à la fellation passionnée d'Estelle. Je caresse sa nuque de ma main gauche. Je caresse la tête d'Estelle de la droite. J'adore entendre les gargouillis bulleux d'une pipe de qualité. Estelle cesse pour tendre mon sexe dégoulinant de foutre épais et gluant à Clémentine. Elle avance la bouche pour la gober. Estelle lui dit : << La bite à Julien reste l'élément de comparaison ! >>.

Clémentine cesse de sucer pour répondre : << La référence qui permet les comparaisons ! >>. Les filles se refilent ma queue tout en revenant sur les pipes passées. Pour Clémentine, le fantasme ultime reste la fellation à un inconnu. Cela s'est passé à quelques reprises. Ce qui dégoute Estelle qui n'aime pas trop les "expériences" de ce genre. Je peux me faire sucer durant des heures. Je contrôle toujours parfaitement ce qui se passe. Pour d'authentiques passionnées de fellation, c'est évidement le nec plus ultra. Les coquines se régalent.

Nous cessons pour prendre un thé et des petits gâteaux. Rajouter une bûche dans la cheminée. L'après-midi passe à traîner dans l'atelier. Après la collation de 17 h, c'est moi qui suis à genoux sur les épais coussins. Les filles, juste en chaussettes et en chemises à carreaux, m'offrent les ivresses de leurs sexes. Moi aussi j'aime commenter la différence de goût. Le goût fort et l'odeur particulière du sexe d'Estelle. Le goût sirupeux du miel de Clémentine. J'aime bouffer leurs chattes en écoutant leurs rires, leurs comparaisons, leurs échanges.

Je propose d'essayer de nous garder pour ce soir. Après le repas. Estelle n'arrive pas à esquiver l'orgasme qui la tétanise. En hurlant de plaisir, elle se contorsionne en maintenant ma tête entre ses cuisses. J'ai un doigt enfoncé dans le sexe de Clémentine qui se masturbe en poussant de petits cris d'animal blessé. Va t-elle réussir à surmonter l'orgasme qui la guette ? Estelle reprend ses esprits. Elle me regarde comme hébétée. << Oui, Julien, une valeur sûre ! >> me dit elle dans un souffle. Nous rions. Ce qui permet à Clémentine d'esquiver.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine, nos fringues à la main. Clémentine s'occupe de la salade de tomates. Elle se frotte souvent sur le coin de la table ou passe une main entre ses cuisses. << Dur de ne pas être allée jusqu'au bout, hein ! >> lui lance Estelle qui prépare une belle omelette aux quatre fromages. Je réchauffe la potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Aussi, dès la vaisselle terminée, nous allons au salon. Estelle me suce. J'offre à Clémentine un bon cunnilingus.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire lécher, sucer, tout en revenant sur des souvenirs de moments intenses et vicieux...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1726 -



Un début de semaine des plus agréables

Hier matin, lundi, il est presque six heures. La sirène de ce gros bateau dans le lointain résonne longuement. Le cri des mouettes s'amplifie. Clémentine se serre contre moi. L'illusion est parfaite. C'est comme si nous étions réveillés au bord de la mer. L'application "océan" est réellement bluffante. La tête encore dans le sac, nous nous précipitons aux toilettes comme des zombies. Ce qui nous fait rapidement rire. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Il y fait froid. Clémentine fait le café.

J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous faisons tout cela machinalement. Un peu à la manière de robots programmés. Nous en rions. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre week-end. Samedi soir et la "partie carrée". Clémentine a suffisamment de recul à présent pour en parler plus objectivement. << C'était une succession d'émotions fortes ! >> lance t-elle en posant sa main sur la mienne. Nous mangeons de bon appétit. Le lundi il reste toujours de la brioche.

Il est 6 h25. Pour vraiment achever de nous réveiller complètement rien ne vaut un entraînement matinal dans une intensité maximale. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles, retour au calme avec un stretching. Clémentine me fait rire avec ses parodies de mouvements. La douche. Je descends le premier pour aller sortir la voiture. Il est presque 7 h45. Il fait encore nuit. Tout est trempé et le froid est glacial. Clémentine, emmitouflée dans son anorak, vient me rejoindre. Un dernier bisou, je la regarde s'en aller.

Un dernier coucou et je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit, avant d'aller dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette cinquième nature morte destinée à ma saison 2022 est un autre plaisir. Je peins dans un enthousiasme délirant. Je ponctue chaque coup de pinceau meilleur que le précédent d'un cri surréaliste. Cette toile sera terminée ce soir. La matinée passe à une vitesse incroyable.

Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier. A la cuisine, je mets une bûche dans la cuisinière à bois. J'allume Sud Radio. Je réchauffe le reste de potée de légumes. Je prépare une rapide salade de carottes. Dans la poêle je fais revenir un dos de cabillaud blanc. Ail, oignon, persil. J'y rajoute un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Du gruyère de Comté qui fond rapidement. Je mange de bon appétit en écoutant André Bercoff dans tous ses états. Un autre petit bonheur. Je débarrasse pour faire la vaisselle.

Je monte me laver les dents. Comme souvent, j'ai totalement oublié de fermer les fenêtres de la chambre. Il y fait aussi froid que dans un réfrigérateur. J'allume les deux radiateurs sur minimum. Il fera tout de même 15° ce soir. Parfait pour dormir dans les toutes meilleures conditions. Je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. Il faut prendre le parapluie car la pluie s'est remise à tomber. Je descends le chemin jusqu'à la rivière. Le niveau des eaux a créé un véritable petit étang sur lequel s'ébattent canards, poules d'eau et colverts.

Le silence est total. Juste le bruit de la pluie. Je remonte les 300 mètres du chemin. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. Il est 17 h. Je dépose la dernière touche de vert d'émeraude sur la surface du tableau achevé. Je le place sur le second chevalet afin qu'il y sèche tranquillement. Je pose la prochaine toile sur son support. Je m'y attaquerais dès demain matin. Le dessin préparatoire et la couche d'impression sont déjà réalisés. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. C'est toujours un rituel plaisant.

Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je me suis encore touchée en rentrant. Je n'arrête pas de penser à la proposition de Pierre, cette "promenade pipe" ! Mais je te promets, je roule doucement. Je n'ai d'ailleurs croisé qu'un tracteur ! >> dit elle en me déposant des bisous en mitraille. Clémentine a encore ses notes à mettre au propre.

Je l'accompagne devant son ordinateur. Elle commente ce qu'elle fait. Je suis debout derrière elle. Je lisse ses cheveux. Parfois je les soulève pour déposer de délicates bises dans sa nuque. << Tu me fais frissonner ! >> dit elle en riant. Elle m'explique ce que je vois à l'écran. Des équations mathématiques qui sont pour moi comme autant de hiéroglyphes hermétiques et indéchiffrables. Mon niveau de terminale ne me permet absolument pas d'appréhender cet obscur salmigondis algébrique. Je me penche à l'oreille de Clémentine. Mon souffle chaud.

Je murmure : << Accepte donc la proposition de Pierre. Ce sont de nouvelles sensations garanties ! >>. Clémentine, de sa main libre, saisit mon poignet. Elle est là dans d'autres sphères. Je n'insiste pas. Un dernier bisou, je la laisse à son travail. Je mets deux bûches dans le feu. Je retire ma blouse. Je m'installe confortablement dans le canapé avec un livre d'Art. J'aime ces ouvrages concernant la peinture hollandaise et flamande du siècle d'Or. Ce dix septième siècle qui a changé l'avenir de la peinture en Europe. J'entends Clémentine chantonner.

<< Mais alors là, vraiment, j'en ai plein les sabots ! >> s'écrie t-elle en éteignant l'ordinateur. Elle range ses affaires pour me rejoindre en sautillant. Assise tout contre moi, elle glisse sa main dans ma braguette ouverte. << Tu ne serais pas jaloux que j'aille sucer un autre mec qui m'emmènerait faire un tour dans sa voiture ? >> demande t-elle soudain. Comme pour répondre à ma suggestion de tout à l'heure. Je m'empresse de répondre : << Au contraire, ça m'exciterait considérablement. Surtout si tu filmes en douce tout ce qui se passe ! >>.

Clémentine peut tirer facilement ma queue encore toute molle de mon slip. Elle murmure : << On va bien se préparer ce coup là. Tu sais, je préfère te savoir caché quelque part pour me regarder en secret. C'est ça qui participe le plus de mon excitation. Là, ce sera une grande première. Faire une pipe à un mec, seule avec lui ! J'ai un peu la trouille. Même si Pierre est d'une grande attention, j'appréhende un peu ! >>. Je comprends parfaitement. Clémentine envisage déjà différentes stratégies. << En me touchant dans l'auto, j'essaie d'innover ! >>.

Il est 18 h30. Soudain, au-dessus de nos têtes, un bruit sourd. Le fantôme de ma compagne disparue. << Christine est rentrée de week-end ! >> lance Clémentine qui se blottit tout contre moi. Je bande mou. C'est comme si c'était son "doudou" qu'elle tient dans sa main. Nous écoutons les errances de l'entité à l'étage. Ce soir encore il est impossible de localiser les bruits de pas, les craquements. Tout cela ne dure que quelques minutes. A peine les phénomènes ont ils cessé que la musique imbécile de mon téléphone résonne avec autant d'absurdité.

Clémentine se précipite pour le prendre. Il est posé sur la desserte à côté de mon chevalet, parmi les tubes de peintures. << Julie ! Elle arrive ! Garde ta bite à l'air, je vais l'accueillir ! >> fait Clémentine en se précipitant vers la porte. Je bande mou. Je tiens mon tuyau d'arrosage à sa base, entre le pouce et l'index. Je me lève pour le faire tournoyer en observant le dessin préparatoire de mon prochain tableau. La porte s'ouvre. Clémentine revient suivie de Julie qu'elle tient affectueusement par la main. Julie est toute souriante.

Comme toujours, en me faisant trois bises, elle fait mine de ne pas voir ce que je fais tournoyer. Elle se dirige vers la toile achevée. Elle reste silencieuse. Clémentine, debout derrière moi, fait tournoyer mon Zob. Julie se retourne. Elle observe la scène avec autant d'attention que mon tableau. Elle nous fait le plus délicieux des sourires. Nous quittons l'atelier. Je remballe ma bite. Nous remettons les anoraks. Nous traversons le jardin pour aller récupérer la grosse boîte isotherme contenant nos repas de ce soir et de demain midi. Dans la Clio rouge.

A la cuisine je déballe les trois feuillantines au saumon encore hyper chaudes. Je sors les deux tourtes aux fruits de mer pour demain. Julie met les assiettes et les couverts. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant les salades. Je dis : << Julie, il faudra remercier le Chef de cuisine. Il nous régale de ses délices ! >>. Julie me répond : << Je transmets toujours vos appréciations ! >>. Discrètement, je sors ma queue. Nous voilà confortablement installés devant notre délicieux repas. Les filles évoquent leurs études. Les vacances.

Il reste moins de deux semaines de cours. Julie a également un travail à remettre pour la fin de son trimestre. J'aime les écouter partager leurs combines pour s'acquitter de cette échéance. Clémentine en vient toutefois rapidement à parler sexe. Julie nous raconte ses deux soirées à faire la serveuse dans le restaurant de sa tante. << Les clients portent à nouveaux leurs masques sanitaires. Et du coup le personnel également. Je vous jure, c'est d'un pénible de porter ce "string" sur le visage quatre heures de suite ! >> lance Julie.

Elle rajoute : << Autant de prétextes pour m'absenter, descendre aux toilettes, retirer ce masque inutile et ridicule ! Respirer !>>. Clémentine demande : << Et des bons "plans" aux toilettes du sous-sol ? >>. Julie s'empresse de répondre : << Non, rien de remarquable. Par contre il y a un nouvel aide de cuisine. Un jeune type qui doit être un bon vicieux ! >>. Clémentine pose quelques questions. Julie donne des détails : << Je l'ai surpris entrain de se toucher. Il était tout rouge quand il m'a vu, dissimulée derrière l'armoire dans la réserve ! >>.

Je me lève. J'agite mon sexe dans sa direction pour demander : << Vous avez vu sa queue ? >>. Julie éclate de rire, cache son visage dans ses mains en s'écriant : << Non, pas encore ! >>. Nous éclatons de rire. Julie regarde mon sexe que je fais à nouveau tournoyer. << L'hélicoptère ! >> lance Clémentine avant de rajouter : << Tu as déjà vu des mecs faire ça dans les toilettes du restau ? >>. Julie se met à rire. Elle répond : << Oh oui ! Il y en avait même un qui bavardait tranquillement avec moi en faisant ça ! >>. Nous écoutons les détails.

Julie, extrêmement voyeuse, collectionne quantité d'anecdotes. Clémentine, il y a encore dix ans, au début de son adolescence, commençait ses expériences de la même manière. Je les écoute une fois encore échanger leurs souvenirs. Je bande comme le dernier des salauds. Je connais parfaitement toutes les histoires de Clémentine. Celles de Julie éveillent souvent chez elle d'autres remémorations. Ce soir, elle nous raconte ce dimanche matin, lors d'une balade à bicyclette, ce type qui lui montrait sa queue en haut d'un escalier. Nous rions.

Clémentine, avide de ce genre d'histoires exige plein de détails. Julie a revu ce mec tout à fait par hasard en faisant ses courses avec sa mère. << Il ne m'a pas reconnu mais moi si ! >> précise t-elle. Nous traînons à table. A chaque fois que je me lève pour montrer ma queue à Julie, elle s'arrête de parler pour m'observer. Même si elle n'arrive pas à soutenir mes regards, elle fixe ma branlette avec ostentation. Après la vaisselle, je lui propose de m'accompagner aux toilettes. Elle s'y précipite la première. Clémentine me fait un clin d'œil.

Elle m'entraîne par la main. J'entre le premier. Julie est devant le lavabo entrain de sécher ses mains. Dans le miroir, elle nous regarde entrer. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Julie, penchée en avant tout près de moi, ses mains en appui sur ses genoux, scrute avec l'attention d'une entomologiste. C'est à la fois hyper gênant et terriblement excitant. Surtout que les petites giclées que je lâche scintillent sous la lumière tamisée. << Tiens, prends la ! >> fait Clémentine en tendant mon tuyau d'arrosage à Julie qui s'en empare.

Elle dirige parfaitement les jets puissants que je lâche. Julie semble passionnée par ce qui se passe. Clémentine, les bras croisés, appuyée contre le lavabo, observe. Elle me fait des clins d'œil. Julie devra nous laisser pour 22 h. Il est déjà 21 h50. Ce soir, consciencieusement, elle secoue les dernières gouttes. Ça éclabousse un peu le bord de la cuvette. Elle tire des feuilles de papier cul pour essuyer. Elle reprend soudain mon sexe dans sa main. Elle se met à me masturber. C'est rare. Je passe ma main sous ses cheveux pour caresser sa nuque.

Clémentine glisse une main dans son jeans. Julie me branle. Elle reste serrée contre moi, sa main libre autour de ma taille. Petit bout de femme que je saisis par ses épaules. Julie cesse. Elle me fait un furtif sourire avant de se diriger vers la porte en reniflant sa main. Nous sortons derrière elle. << Tu vas te garder l'odeur ? >> lui demande Clémentine. Julie ne cesse de humer la main qui a tenu mon sexe. << J'adore ! >> répond t-elle en enfilant son anorak. Nous faisons de même pour l'accompagner jusqu'à sa voiture. Séparation difficile.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment tenir une bite au-dessus de la cuvette des chiottes pour en diriger subtilement les jets...

Julien

Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1727 -

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Quand elle termine à midi, Clémentine est très déconneuse

Hier matin, mardi, il est presque six heures. L'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. Aujourd'hui les mouettes semblent particulièrement criardes. Les sirènes des gros bateaux qui se répondent. L'illusion de se réveiller dans un port de pêche est parfaite. Tout cela ne dure que quarante cinq secondes. Clémentine se serre contre moi. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Clémentine secoue les dernières gouttes en agitant ma bite sur le rythme de la chanson qu'elle improvise. Nous rions.

Morts de faim, vêtus de nos leggings et de nos sweats en lycra, nous dévalons les escaliers. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Elle presse les oranges, je pèle les kiwis. En même temps que le claquement sec du grille pain qui éjecte les premières tranches, Clémentine s'écrie : << Olé ! >>. Le mardi matin, elle est souvent déconneuse car elle termine à midi. Elle aime à préciser : << Les cours du mardi matin ne sont qu'une simple formalité ! >>. Même si ce n'est pas vrai, nous rions.

Je fais réchauffer les deux croissants offerts par la boulangère dans le four à micro-ondes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la présence de Julie hier soir. Son attitude lorsqu'elle me tenait compagnie aux toilettes. Lorsqu'elle me masturbait. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant également la "partie carrée" de samedi soir. << A refaire ! >> lance Clémentine qui a suffisamment de recul après y avoir pensé souvent. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Clémentine, euphorique, mène la danse.

Aérobic, jogging sur les tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles. Le stretching du retour au calme est prétexte à déconnades. La douche. Je descends pour aller faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Tout est trempé mais il ne pleut pas. La nuit est glaciale. Clémentine me rejoint en sautillant pour se réchauffer. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, je fais le lit avant d'aller dans l'atelier. Il y fait plutôt frais.

J'allume une bon feu dans la cheminée. Je suis assis devant mon chevalet. J'attaque ce matin la sixième nature morte destinée à ma saison 2022. C'est en chantant "le fantôme" de Georges Brassens que je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans cette euphorie instaurée par Clémentine dès le réveil. Je suis impatient de la revoir à midi. Il est dix heures quand résonne la stupide musique de mon téléphone. Je le saisis. C'est Alan, mon oncle d'Édimbourg. Nous sommes toujours si heureux de pouvoir bavarder un peu. Il y a de la neige en Écosse.

Oncle Alan me donne toutes les informations concernant le séjour en Écosse durant les vacances de fin d'année. Il faut un test Covid commandé 72 h avant le départ dans un centre agréé par le gouvernement Britannique. Remplir le PLF. Des formalité simples. Et bien évidemment être vacciné et présenter son QR code. Les résultats du test sont quasi immédiats puisqu'en Grande Bretagne des organismes privés s'en occupent beaucoup plus rapidement que les organismes gouvernementaux. J'écoute tout cela avec une joie grandissante.

Le reste de la matinée passe à une vitesse incroyable. Cette bonne nouvelle va enchanter Clémentine. Il est midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il faut mettre une bûche dans la cuisinière. Je réchauffe les deux tourtes aux fruits de mer ramenées hier soir par Julie. Il suffit de faire une petite salade. Je lave les feuilles d'une belle scarole. Il y en aura également pour ce soir. Je mets les assiettes et les couverts. Il est midi trente. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour me sauter au cou. Je la soulève dans l'élan.

Ses jambes autour de ma taille, elle me couvre le visage de bisous. << Mmhh, ça sent bon, je suis morte de faim ! >> s'écrie t-elle avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Comme à chaque fois, je la tiens par la nuque en titillant son clitoris géant pendant qu'elle pisse. Je la torche. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << On n'a pas arrêté de "gratter". Je dois mettre tout ça au propre cet après-midi. Vivement les vacances, je suis exténuée ! >> dit elle en riant.

Je lui annonce les bonnes nouvelles rapportées par oncle Alan. Clémentine, soudain folle de joie, se lève. Elle sautille tout autour de la table en s'écriant : << Génial ! Génial ! >>. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait mille projets pour l'Écosse. Le Hogmanay du 31 décembre est une des plus grandes fêtes d'Europe durant l'hiver. Des festivités qui commencent dès le 24 décembre pour connaître leur apogée la nuit de la saint Sylvestre. Tout le centre d'Édimbourg devient alors un parc d'attraction.

Pour ces fêtes, la neige sera probablement au rendez-vous. De quoi rajouter de la magie supplémentaire. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Comme souvent, Clémentine me demande de lui faire une natte. Assise sur la chaise, elle me raconte plein de souvenirs d'Écosse. Je lui fais sa natte en écoutant. << J'aime quand tu t'occupes de moi ! >> dit elle une fois encore en saisissant mes poignets lorsque je termine. Une natte jusqu'au milieu du dos.

Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Il ne pleut pas mais il fait vraiment froid. Le thermomètre extérieur indique 7°. Nous montons jusqu'au portail, nous traversons la route pour nous engager dans la forêt. Le sol du chemin est pierreux. Nous sommes chaussés de nos bottes en caoutchouc. Clémentine reste à mon bras sans cesser d'évoquer les vacances qui nous attendent. << Pourvu que ces enfoirés n'inventent pas une nouvelle saloperie d'ici là ! Tu sais du genre couvre-feu, confinement ! >> lance t-elle à plusieurs reprises.

Nous marchons une bonne heure dans un sens, une nouvelle heure pour revenir. Dans l'atelier, nous prenons un thé chaud, de petites crêpes dentelles sèches roulées en cigares. Le crépitement des flammes, le craquement du bois. << Je m'occupe de réserver les billets d'avion ! >> dit Clémentine assise devant son ordinateur. Nous réservons trois places en première classe pour le dimanche 19 décembre à 14 h. Nous arriverons à Édimbourg pour 16 h. Nous faisons un courriel à oncle Alan. Il viendra nous chercher à l'aéroport. Tout est réglé en 30 minutes.

Clémentine, assise sur mes genoux, déboutonne ma braguette. Elle y glisse sa main en disant : << Mmhh, il fait toujours bien chaud là-dedans ! >>. Je caresse ses tous petits seins. J'adore quand les tétons deviennent durs. Je pose mes lèvres dessus. J'insuffle de l'air chaud à travers le tissu. << Mmhh, comme c'est bon quand tu fais ça ! >> rajoute t-elle. Elle se lève pour m'entraîner dans une folle farandole. Soudain, elle se met à genoux sur un des poufs. Elle me sort le Zob pour en humer les effluves parfumées Parmezob. << Miam ! >> dit elle.

Je la regarde suçoter l'extrémité de mon prépuce fripé qu'elle garde pincé entre ses lèvres. Je caresse ses joues, son front en murmurant des douceurs. J'ai rapidement la bite enfoncée dans sa bouche. Cette délicieuse ventouse qui m'enivre. Je suis debout devant Clémentine. Je lui frotte la bite sur la gueule à chaque fois qu'elle cesse de sucer pour me confier ses impressions. Avec toutes ces bonnes nouvelles, aujourd'hui, tout de passe dans une douce euphorie. C'est passionnant de nous laisser aller à nos préférences dans une totale sérénité.

Je saisis Clémentine par sa natte. Comme par une laisse. Je l'entraîne à quatre pattes pour faire le tour de la grande pièce. Elle lève la patte à chaque coin de meuble, aux pieds des chevalets. Elle se met à genoux, les mains croisées sur la tête. Bien droite. Je passe mon sexe sur son visage en murmurant : << Je t'aime comme un fou ! >>. Elle gobe mon Zob en gémissant de bonheur. D'être à genoux sur les tomettes n'est pas très agréable. Aussi je la force à se relever. Nous nous embrassons comme des fous. Nos mentons trempés de salive. De foutre.

Je déboutonne le jeans à Clémentine. Elle le retire en même temps que sa culotte. Je la soulève pour la déposer sur la table de travail. En appui sur ses coudes, elle me fixe de son regard par en-dessous. Un regard qui me fait toujours perdre mes moyens. Expressions idiote puisque au contraire, je bande comme un priapique en phase terminale. Je frotte mon sexe sur celui de Clémentine. Je la pénètre avec d'infinies précautions malgré tout. Même hyper excitée elle est si étroite. Nous restons immobiles, l'un dans l'autre. Nous adorons ça.

Ce sont toujours ces moments d'une intensité folle qui sont propices aux confidences. Une fois encore, tout en bougeant doucement, Clémentine me confie quelques secrets de fille. Elle a beaucoup réfléchi à ce qui s'est passé samedi soir. Baiser avec deux mecs. << Génial ! >> dit elle pour ponctuer chacune de ses confessions. << Me pardonnerez-vous mon bon "Maître" ? >> demande t-elle. Je réponds, : << Je vous absous ma délicieuse "soumise" ! Un avé, deux patter et une pipe à genoux sera votre pénitence ! >>. Nous bougeons en rythme.

Du bruit. C'est Estelle qui arrive. Il est déjà 18 h15. C'est dans cette situation qu'elle nous surprend. Elle se précipite pour nous faire la bise. << Salauds ! C'est toujours quand je ne suis pas là ! >> s'écrie t-elle. Elle me choppe les couilles à pleine poigne et par derrière. Sans cesser de nous bercer doucement, Clémentine annonce la bonne nouvelle à Estelle. Estlle se met à sautiller dans tout l'atelier. Clémentine s'accroche à mon cou. Je la soulève pour l'emmener, pénétrée jusqu'aux couilles pour rejoindre Estelle qui pousse des cris de joie.

Je me retire. Clémentine et moi nous sommes en chaussettes et en chemises à carreaux. Estelle s'accroupit devant moi. Elle s'empare de ma queue qui ramollit. Une bite dégoulinante de foutre et enduite de nos mélanges. Estelle s'agrippe aux pans de ma chemise pour maintenir son équilibre. Elle se met à me tailler une pipe réellement baveuse. Clémentine m'embrasse. Nous restons ainsi quelques minutes. J'aide Estelle à se redresser. Je me penche pour masser ses genoux endoloris. Je dis : << Un avant goût de l'Écosse ! >>. Nous rions.

Un bruit sourd à l'étage. << Bonsoir Christine ! >> lancent Estelle et Clémentine en même temps pour saluer l'arrivée du fantôme de mon ancienne compagne disparue. Nous nous serrons très fort tous les trois. Nous écoutons les errances de l'entité au-dessus de nos têtes. Cela ne dure guère plus de quelques minutes. Nous remettons nos vêtements. Estelle me reboutonne mais insiste pour que la braguette reste ouverte. << Au cas où j'aurais besoin d'un peu de liqueur de couilles ! >> dit elle en nous entraînant par la main pour quitter l'atelier.

Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la scarole déjà lavée à midi. Estelle fait bouillir l'eau des spaghettis. Dans la poêle, je fais rissoler les calmars farcis. J'y rajoute un petit pot de crème fraîche. Estelle y met du gruyère de Comté qu'elle vient de râper finement. J'égoutte les spaghettis. Clémentine râpe du Parmesan. C'est rapide ce soir. Nous mangeons de bon appétit sans cesser de parler des formalités. << Quand je vais annoncer notre départ à mes parents ! Maman est tombée folle amoureuse de l'Écosse ! >> lance Estelle.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font mille plans pour notre départ. Méthodiquement, comme tout ce qu'elles font, elles élaborent l'emploi du temps des deux derniers jours précédent notre départ. J'écoute. C'est passionnant les stratégies féminines. Il y a toujours à apprendre. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Il est 20 h15. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Aussi, c'est avec impatience qu'elle m'entraîne par la main au salon. Les filles retirent leurs jeans, leurs culottes. Je les baise toute les deux dans l'euphorie.

Bonne soirée à toutes les coquines qui s'offrent une baise festive pour marquer ce premier évènement. Le probable séjour à Édimbourg...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2021 - Épisode 1728 -



Une soirée en compagnie de Juliette

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. Le cri des mouettes, le ressac, le clapotis des vagues nous tirent de nos profonds sommeils. C'est dur. L'application "océan" fait pourtant les choses en douceurs. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. << Je reste au lit ! >> murmure t-elle. C'est moi qui l'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café, presse nos oranges pendant que j'allume le feu dans la cuisinière à bois.

Je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre probable séjour en Écosse. << Normalement, comme ils ont peur d'appliquer leurs mesures scélérates, nous devrions pouvoir partir ! >> lance Clémentine soudain revigorée. Retrouver notre chère Écosse agit comme un détonateur. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure de gymnastique. Dans une intensité maximale.

Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Tout ce qui nous transforme en guerriers pour la journée avant un bon stretching pour revenir au calme. La douche. Je descends pour aller faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Il fait encore nuit dans un froid polaire. Tout est humide. Clémentine me rejoint en sautillant pour se réchauffer. Elle est chaudement vêtue. Une dernière bise. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, le lit avant d'aller dans l'atelier.

J'allume un bon feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. La peinture de cette sixième toile destinée à ma saison 2022, me plonge rapidement dans de délicieuses introspections. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Je pense à Clémentine, à l'Écosse, à Édimbourg. La matinée passe si vite qu'il est déjà 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. La pâte feuilletée est décongelée.

Je lave les feuilles d'une belle et grosse laitue. Il y en aura pour deux salades. Je réchauffe le reste de spaghettis de hier soir. A la poêle je fais rissoler un filet de colin. Je râpe du gruyère en quantité industrielle. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui encore André Bercoff reçoit des gens qui ne sont invités nulle part ailleurs. Très intéressants. Ils peuvent se lâcher dans une totale liberté de parole. Je ne traîne pas. Je fais la vaisselle. J'étale deux tiers de la pâte feuilletée dans un grand plat à tarte aux bords hauts. Je lave le poireau.

Je le coupe pour le jeter dans l'eau bouillante. Je concocte une belle Béchamel dans laquelle je rajoute le gruyère. J'égoutte le poireau pour le verser dans la Béchamel. Je mélange afin de rendre la garniture homogène. Je l'étale soigneusement sur la pâte feuilletée. Je recouvre du dernier tiers de pâte. Comme un couvercle. Je jointe consciencieusement les bords. Je badigeonne du mélange œuf, moutarde, crème fraîche et lait de soja. Au four électrique pour une cuisson lente à 180°. Il faut que ça mijote longuement. C'est tellement meilleur.

Je monte me laver les dents. En regardant par la fenêtre je constate que l'étang qui se forme là-bas, à cause de la montée des eaux de la rivière, n'a jamais été aussi haut. Je redescends à toute vitesse pour retourner à ma passion. Me voilà dans la quiétude de l'atelier. Je rajoute deux bûches dans la cheminée. Je peins dans un sentiment de profonde sérénité. Pour ce soir et la venue de Juliette, la Flamiche Picarde, cette belle tourte aux poireaux, fera le régal de notre repas. Une fois encore l'après-midi défile à la vitesse d'un train express.

Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table pour se précipiter vers moi en sautillant. << Devine à quoi je pense tout le temps ! >> dit elle en s'asseyant sur mes genoux. Je réponds : << Laisse moi deviner ! >>. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée de cours, le menu du restaurant universitaire. Je murmure : << Mon petit doigt me dit que tu n'arrêtes pas de penser à l'Écosse ! >>. Clémentine s'écrie : << Gagné ! Et ton Zob il dit quoi ? >>. Elle glisse sa main sous ma blouse, dans ma braguette.

Je réponds : << Mon Zob me dit que ce soir encore j'ai affaire à une coquine ! >>. Clémentine m'embrasse avec fougue après avoir lancé : << Gagné ! >>. Elle a encore du travail. Ses notes à mettre au propre. La voilà confortablement installée devant son ordinateur. J'aime l'entendre chantonner en classant ses fiches. << Je n'arrive même pas à me relire tellement il fallait gratter vite en cours ! >> lance t-elle. Il est 18 h15. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Je rejoins Clémentine. Debout derrière elle, je lisse ses cheveux. Elle adore ça.

<< Put-Hein comme j'en ai marre ! >> s'écrie t-elle en rangeant ses affaires. Nous éteignons les lumières pour nous assoir sur les poufs devant la cheminée. La danse des dernières flammes est un spectacle féérique. Sa tête sur mes épaules, Clémentine me raconte la joie d'Estelle à midi lorsqu'elle lui a annoncé que l'Écosse nous attend pour les fêtes de fin d'année. << Elle prépare le rendez-vous chez le toubib pour la troisième dose. Ce sera vendredi à 14 h ! >> précise t-elle. Moi qui ai peur des piqûres je me prépare mentalement.

Soudain, au-dessus de nos têtes, un bruit sourd, caverneux, semblant venir des tréfonds de l'enfer. Le fantôme de mon ancienne compagne disparue fait son entrée en scène. Serrés fort, silencieux, nous écoutons. Nous tentons le localiser la provenance des courses poursuites. Une porte grince longuement avant de claquer. Tout cesse aussi brusquement que ça avait commencé. Clémentine murmure : << Elle aime cette maison autant que moi, Christine. Elle l'aura pour elle toute seule durant deux semaines ! >>. La musique imbécile de mon téléphone.

Clémentine se lève pour s'en saisir. << Juliette ! >> s'écrie t-elle en me prenant par la main. Elle me retire ma blouse, vérifie que ma braguette soit grande ouverte. Nous quittons l'atelier pour aller accueillir notre visiteuse du soir. Il pleut. C'est sous son parapluie que Juliette nous fait son grand sourire. Nous la faisons entrer. J'accroche son ciré noir. Ce soir Juliette a ses longs cheveux noirs noués en une longue natte. Un pull kaki sur un jeans. Ses bottines. Elle ne porte pas son habituelle tenue d'écuyère. Elle nous tient par les mains.

<< Je suis tellement contente d'être là. J'ai encore eu une journée folle ! >> dit elle. Nous la tenons par les bras pour l'emmener à la cuisine. Je la débarrasse du grand Tupperware rond qui contient la tarte aux poires. Il suffit de réchauffer la Flamiche Picarde au four électrique. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Juliette met les assiettes et les couverts. Quand Clémentine découvre ce qu'il y a dans le four elle me saute au cou. << Miam ! J'en ai rêvé, Julien l'a fait ! >> dit elle. << J'aimerais un Julien ! >> lance Juliette.

Elle regarde soudain avec une grande attention ma braguette ouverte. Je sors la tourte aux poireaux dorée et fumante. Je dis : << Pour la fête des rois, je prépare la même chose mais avec une fève cachée à l'intérieur. Celle qui la trouve sera la Reine de la soirée ! >>. Juliette répond : << Et elle pourra avoir des exigences de toute nature ? >>. C'est Clémentine qui précise : << De préférence libidineuses ! >>. Nous éclatons de rire. Juliette rajoute : << Alors je serai là pour tirer les rois ! >>. Nous éclatons de rire. Juliette mime une fellation.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine évoque l'Écosse. Juliette confie son désir de découvrir ce pays. Nous traînons à table. Juliette en arrive rapidement au sujet de ses préoccupations. La "partie carrée" de samedi soir. J'écoute Clémentine donner ses impressions avec quatre jours de recul. J'écoute Juliette donner les siennes. << Que pensez-vous de mon vétérinaire ? >> demande t-elle. Clémentine répond : << Un homme charmant dans son costume. Un super vicelard sous sa cagoule ! >>. Nous sommes pliés de rire. Juliette rit aux éclats.

Elle me demande si je me suis bien remis de la fellation prodiguée par madame Walter. Je la rassure en disant : << C'est la thérapie idéale ! >>. Juliette devient soudain sérieuse. D'un ton solennel elle dit en posant ses mains sur nos poignets : << Rendez-vous samedi, dans la cour du haras, pour 20 h. Clémentine part faire un tour en voiture avec Pierre. Julien va faire un tour en voiture avec Bernadette ! >>. Clémentine s'écrie : << Et Estelle ? >>. Juliette, toujours aussi solennelle rajoute : << Elle fait un tour en voiture avec le vétérinaire ! >>.

Nous restons silencieux. Clémentine me regarde longuement. Elle dit : << Voilà une proposition qui mérite réflexion ! >>. Je rajoute : << Juliette, vous m'appelez vendredi matin, à l'heure habituelle et je vous donne notre réponse ! >>. Clémentine demande : << Et vous, quel est le "plan" ? >>. Juliette répond : << J'ai fort à faire avec mon palefrenier ! >>. Nous éclatons de rire. Je demande : << Baise ou pipe ? >>. Juliette, avec un sourire énigmatique, dit : << Je n'ai pas de programme bien défini ! >>. Sous la table, je sors ma queue.

Je bande comme un salaud. Juliette et Clémentine regardent le mouvement de mes bras. J'ai quelques difficultés à extraire mon érection du slip et du jeans. Juliette pose sa fourchette et son couteau dans son assiette vide. Son menton en appui dans ses mains, elle observe mon comportement avec cet air sévère dont elle est coutumière. Clémentine me fait un clin d'œil. Je me lève pour montrer ma splendide raideur à Juliette. J'adore ce sérieux extrême dont elle fait encore preuve. Comme si elle était profondément choquée par mon attitude. Mon Zob.

Je me décalotte légèrement. Je joue avec la peau de mon prépuce. Le silence est pesant. Clémentine, dans la même position que Juliette, fixe mes mains. De la gauche, je tiens mes couilles. De la droite je me masturbe doucement. La sensation est extrême. C'est tellement agréable. Juliette se tourne vers Clémentine pour demander : << Quand donc puis-je espérer tester cette "chose" fort intéressante ? >>. Clémentine répond : << Juste pour une pipe, c'est quand vous voulez ! Pour le reste, Julien est une propriété privé ! >>. Nous rigolons.

Juliette devra nous laisser pour 22 h. Elle aussi commence ses journées de très bonne heure. Juliette aussi pratique son heure d'entraînement quotidien dès six heures du matin. Son activité de chef d'entreprise ne lui laisse que peu de temps. << Je vous accompagne aux toilettes, Julien ? >> me demande t-elle une fois la vaisselle terminée. Je réponds : << A condition que vous me la teniez pour pisser ! >>. Comme toujours, Juliette reprend cet air offusqué, sévère, comme si je venais de prononcer les mots les plus choquants.

Debout devant la cuvette, les mains sur les hanches, je regarde tour à tour Clémentine et Juliette. J'ai la bite molle. Clémentine, les bras croisés, en appui contre le lavabo, me fait le plus délicieux des sourires. Juliette, un instant hésitante, vient se mettre contre moi, sur ma gauche. Elle passe son bras droit autour de ma taille. Légèrement penchée en avant, de sa main gauche elle saisit mon sexe. << Gauchère ? >> demande Clémentine. << Non. Ambidextre ! >> répond Juliette qui contraint ma queue vers le bas. Je me concentre. Il y a le silence.

J'entends la respiration de Clémentine. Juliette est en apnée, concentrée sur ce qu'elle fait. Sur ce qu'elle observe. Je ne vais pas tarder à bander. Je m'imagine avec les pieds dans l'eau froide. Je dois pisser depuis l'après-midi. Je me garde toujours pour les séances pisseuses avec Clémentine, avec Estelle, parfois avec Julie et ce soir avec Juliette. Je lâche un premier jet. Juliette maintient soigneusement ma queue qui raidit. La contraignant vers le bas. Quelles merveilleuses sensations. Elle a sa tête contre ma poitrine. Elle en profite pour se serrer.

Je lâche une bonne dizaine de jets courts mais puissants. Juliette n'en met pas la moindre goutte à côté. Elle secoue délicatement les dernières gouttelettes. Avec mon excitation folle, il y a du liquide séminal qui perle et qui s'écoule avec les dernières giclées. Clémentine s'accroupit pour me sucer. Juliette me tient la bite. Elle se penche pour dire à Clémentine : << Vous savez ce qui est bon vous ! >>. Juliette se redresse. Elle me dépose une bise sur la joue. Je sens ses lèvres chercher les miennes. J'esquive. Clémentine se redresse.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines dont le fantasme secret est de tenir la bite d'un mec pour guider ses jets de pisse. De foutre ?

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1729 -



Estelle vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, jeudi, il est presque six heures quand la sirène de ce gros bateau nous réveille. S'en suivent le cri des mouettes, le clapotis des vagues. L'illusion de nous réveiller à proximité d'un port est bluffante. Pourtant ce n'est que l'application "océan" qui nous tire de nos profonds sommeils. Clémentine se blottit contre moi. << On est déjà en Écosse ! >> murmure t-elle. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. J'y allume le feu dans la cuisinière à bois.

Clémentine fait le café, presse nos oranges en me racontant ses rêves. Je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Juliette hier soir. << Je n'ai pas envie de répondre favorablement à son invitation samedi ! Remettons ça à notre retour de vacances ! >> fait Clémentine. Je me range toujours à son avis. Nous mangeons de bon appétit tout en dissertant sur l'attitude de Juliette lors de ses visites. Nous apprécions beaucoup cette femme. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement.

Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles, le tout avec une intensité maximale. Le stretching permet un retour au calme un peu bâclé. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto. Il est presque 7 h45. Il fait encore nuit et le froid est polaire. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. C'est en sautillant sur place qu'elle me fait les derniers bisous. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. Il est presque huit heures.

J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis amusé par tous ces rituels qui jalonnent notre quotidien. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette sixième toile destinée à ma saison 2022 m'accapare rapidement. Je peins en pensant à la proposition de Juliette hier soir. Lorsqu'elle téléphonera pour avoir sa réponse, je lui dirai que Clémentine n'est pas intéressée dans l'immédiat. Ce n'est que "partie" remise. Le mot "partie" trouve d'ailleurs là tout son sens. Cela me fait beaucoup rire.

La matinée passe à une vitesse folle. Il est déjà 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je rajoute une bûche dans la cuisinière à bois. Il suffit de réchauffer la dernière part de tourte aux poireaux. Dans la poêle je fais rissoler les crevettes décongelées. Je prépare une salade de tomate avec un avocat. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui encore André Bercoff est dans tous ses états. Ses invités semblent l'être également. Je ne traîne pas. Je débarrasse pour faire la vaisselle.

Je monte me laver les dents. La présence de Clémentine me manque soudain cruellement. C'est certainement le besoin viscéral de partager ma joie. Car la perspective de passer les fêtes de fin d'année à Édimbourg m'emplit d'une sorte de fébrilité. Je me dépêche de redescendre pour préparer le repas de ce soir. Les crevettes reposent dans la poêle sous un couvercle. Je prépare une belle pâte à crêpe. Cette fois je la fais au blé noir. J'y rajoute une pointe de paprika, une pointe de gingembre et du curcuma. Ce sera pour les beignets de crevettes.

La pâte repose dans un saladier, sous un linge. Je quitte la cuisine pour mettre mon anorak. C'est sous les gouttes de pluie que je fais quelques pas en restant sur les dalles de grès. Je contourne la maison d'amis pour aller dans l'abri à bois. J'y rempli une brouette avec une vingtaine de bûches. Bois de hêtre et bois de chêne. Le chêne brûle beaucoup plus longtemps. L'idéal pour maintenir le feu dans la cuisinière. Le hêtre reste le combustible des cheminées de l'atelier et du salon. Je me dépêche de rentrer au chaud et surtout au sec.

J'empile les bûches de chêne à côté de la cuisinière. Les bûches de hêtre à côté de la cheminée de l'atelier. Me voilà installé devant mon chevalet. Je peins dans les mêmes conditions d'introspection que ce matin. L'après-midi défile à une vitesse vertigineuse. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table pour se précipiter vers moi en sautillant. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Elle revient sur la proposition de Juliette.

<< Jusqu'en janvier, je veux me consacrer à mon homme ! >> dit elle en me couvrant le visage de bisous. Clémentine a encore du travail. Elle est à présent installée devant son ordinateur. J'aime peindre en l'écoutant chantonner. Ce soir, elle me lit des extraits de l'écrit qu'elle prépare. L'entrée en matière de cette mini thèse de mathématiques qu'il faudra rendre vendredi 17 décembre, dernier jour de cours. Telle une actrice qui déclame son texte, elle tourne autour de moi en tenant ses fiches. Je la félicite pour la sémantique, l'expression écrite.

Il est 18 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux. Cette toile sera terminée lundi soir. Je rejoins Clémentine. Debout derrière elle, je lisse ses cheveux. Du bruit. Estelle entre dans l'atelier telle une furie. Elle se précipite pour m'entraîner dans une farandole folle. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. << Pas d'autres bites que la tienne jusqu'en janvier ! >> s'écrie t-elle. Clémentine fait un peu de lecture. Estelle applaudit. << Il faudra ruser pour différencier nos textes ! >> lance t-elle en sautillant.

Soudain, au-dessus de nos têtes, un vacarme d'enfer. << Put-Hein le bordel que ça fait un fantôme ! >> s'écrie Estelle qui se serre contre moi. Clémentine vient se blottir. Nous restons tous les trois à écouter les errances du fantôme de mon ancienne compagne. Ce sont des meubles que l'on déplace, des portes qui claquent. Tout s'arrête aussi soudainement. Estelle glisse sa main dans ma braguette en murmurant : << J'ai besoin du réconfort de mon doudou ! >>. Clémentine range ses fiches. << Venez, on répond à Juliette ! >> dit elle.

Nous sommes tous les deux debout derrière Clémentine. Nous la regardons ouvrir la boîte mail. Elle rédige un rapide courriel à l'intention de Juliette. C'est superbement bien emmené. Subtilement tourné. Afin de ne froisser personne. Clémentine conclue en précisant que nous ferons probablement un petit tour au haras dimanche, en fin d'après-midi. << Parfait ! >> lance Estelle. Elle me sort le Zob en rajoutant : << Cette chère Juliette se sucera ses bites toute seule ou avec madame Walter ! >>. Nous éclatons de rire. Il commence à faire faim.

C'est en me tirant par la bite qu'Estelle m'entraîne dans toute la grande pièce. Sous le regard amusé de Clémentine. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il y a une sorte d'euphorie constante. Nous n'arrêtons pas de nous réjouir pour l'Écosse. Clémentine prépare une salade d'endives. Estelle fait bouillir l'huile de friture. Je remue la pâte à crêpe. Je fais revenir quelques bolets. Estelle jette les crevettes et les champignons dans la pâte à crêpe. Puis chaque crevettes et bolet dans l'huile. Les beignets se forment en flottant sur l'ébullition.

Clémentine les récupère au bout d'une minute avec l'écumoire. Les beignets sont dorés à souhait. Elle les pose sur des feuilles de papier absorbant qu'Estelle change régulièrement. Nous sommes morts de faim. Les filles évoquent leurs travaux d'écriture, les mathématiques et élaborent des stratégies subtiles. Nous voilà confortablement installés à table. Les beignets sont d'une exquise délicatesse. Un moelleux, un fondant qui les rendent savoureux. Nous mangeons de bon appétit. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation.

A chaque fois je me lève pour agiter ma queue dans sa direction. << A Édimbourg, je vais m'occuper de ton cas, tu n'as pas idée ! >> me dit Estelle avant de se rassoir. << Pipes ou baises ? >> demande Clémentine. << Ah mais les deux ! >> répond Estelle avant de nous raconter sa baise de hier soir avec Jean-Marc, son parrain. << Au dépôt, sur les cartons. On a failli se faire gauler par maman ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle aime entrer dans les détails. Elle rajoute : << C'est un baiseur fou ! Il m'a limé pendant plus d'une heure ! >>.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font mille projets pour notre séjour à Édimbourg. Comme toujours nous occuperons l'appartement à l'étage de la grande demeure victorienne de mon oncle et de sa compagne. Nous nous réjouissons pour les revoir. Nous passerons le réveillon avec ma tante de saint Andrews et son mari. << Nous serons sept à table. Chiffre magique ! >> lance Estelle qui joue avec ma queue qu'elle tord dans tous les sens en bavardant. Nous débarrassons pour faire la vaisselle en déconnant.

Considérablement excités par l'euphorie nous passons au salon. Estelle m'entraîne par la queue pendant que Clémentine allume les deux grosses bougies du chandelier. Estelle m'embrasse avec fougue en me masturbant. Je glisse ma main entre ses cuisses. << C'est congestionné là-dedans, qu'est-ce qu'il a déroulé comme câble hier soir, le salaud ! >> s'écrie Estelle en faisant allusion à sa baise. << J'imagine ! >> lance Clémentine en déboutonnant son jeans pour l'enlever en même temps que sa culotte. Elle s'installe dans le fauteuil.

C'est le signal. Ce soir Clémentine veut du spectacle. Elle dit : << Tu me prêtes Jean-Marc au mois de janvier ? Je baiserais bien de nouveau avec lui ! >>. Estelle m'entraîne par la queue jusqu'au canapé. En jetant un des épais coussins au sol pour s'y mettre à genoux entre mes jambes, elle répond : << Mais il sera ravi ! Tu sais il parle souvent de toi ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle, ses coudes en appui sur mes cuisses, hume les effluves parfumées de ma bite raide comme un piquet. Les filles évoquent leurs adolescences, il y a encore six ans.

<< Tu te souviens des allusions coquines de Jean-Marc quand il te voyait à la maison ? >> demande Estelle. Clémentine, en se masturbant, répond : << Il m'a même ramené plusieurs fois le soir. Mais il a toujours été d'une correction exemplaire. Jamais aucun geste déplacé ou de propositions. J'avais quinze ans. Qu'est-ce que je le trouvais séduisant ton parrain ! >>. J'écoute cette conversation surréaliste en me faisant tailler une pipe des familles. Toutes les deux trois minutes, Estelle cesse de sucer pour revenir sur des souvenirs communs.

Je caresse la nuque d'Estelle. Clémentine me fait des clins d'œil. J'entends les gargouillis bulleux d'une fellation de très haute qualité. Parfois, Estelle ouvre les yeux pour me fixer. Elle croise ses doigts entre les miens. Tout en pompant elle me fait des clins d'œil. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Aussi, nous savourons tous les trois l'intensité de chaque instant. Clémentine saisit la cuvette qu'elle tient entre ses cuisses posées sur les accoudoirs du fauteuil. Elle a son clitoris géant entre le pouce et l'index de sa main libre. Elle le branle en gloussant.

Estelle déguste, les yeux fermés. Je l'entends tenter de déglutir avec peine l'abondance de mon liquide séminal. Quand elle cesse de sucer c'est pour me montrer l'intérieur de sa bouche. Elle aussi adore garder le foutre le plus longtemps possible afin qu'il se mêle à sa salive. Je lui murmure des douceurs, des cochonneries. Clémentine qui adore me voir faire des saloperies avec Estelle se met soudain à crier. Tout son corps se recroqueville sur sa main. Elle a juste le temps d'ajuster la cuvette pour y pisser en hurlant. Son orgasme est nucléaire.

Estelle et moi, nous l'observons. C'est toujours un spectacle étonnant. Surtout que Clémentine emplit la cuvette à moitié. Une pisse moussue ou flottent des nappes de cyprine. Ce jus de fille particulièrement abondant chez Clémentine. C'est étonnant de voir ces coulées de foutrine s'écouler après la pisse. Clémentine, totalement étourdie, reprend ses esprits. Elle ouvre les yeux pour nous faire le plus merveilleux des sourires. Toute rouge, le visage ruisselant de sueur, elle reste comme hébétée. Je me lève en même temps qu'Estelle qui tient mon Zob.

Je me mets à quatre pattes entre les cuisses de Clémentine que j'écarte. Je lui bouffe la chatte. J'adore les mélanges. Je me régale. Estelle, à quatre pattes, tente de sucer tant bien que mal. La position n'est pas évidente. << Tu vas me rendre folle ! >> s'écrie Clémentine qui me saisit par les oreilles de peur que je cesse. Je me redresse. Estelle me tient le sexe qu'elle place dans la bouche de Clémentine. J'y éjacule en hurlant de jouissance. Clémentine me suce, me vide, bouffe l'invraisemblable quantité de foutre que je lui offre dans un orgasme fou.

Estelle, sa main dans son jeans déboutonné, n'a pas cessé de se toucher. Tout en m'embrassant passionnément, un orgasme la terrasse à son tour. Mon corps est agité de spasmes. Je vacille sur mes jambes fléchies. Je suis obligé de m'accrocher à Estelle qui se maintient elle aussi à moi. Nous restons vautrés quelques minutes dans le fauteuil bien trop étroit pour trois. Nos corps bouillants doivent impérativement se calmer. << Vous imaginez ce qui nous attend en Écosse ! >> murmure Estelle. << Oh oui ! La folie ! >> chuchote Clémentine.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se sont encore envoyées en l'air en grimpant aux rideaux dans des orgasmes délirants...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1730 -



Julie vient nous rejoindre dans l'après-midi

Hier matin, vendredi, l'application "océan" nous réserve un réveil de bord de mer. Du moins l'illusion la plus parfaite de se réveiller près d'un port. Les cris des mouettes, le ressac, le clapotis de l'eau. Il est presque six heures. Clémentine se blottit contre moi. << Comme c'est dur ! Vivement les vacances ! >> gémit-elle. Quelques papouilles. C'est moi qui l'emmène aux toilettes en la soulevant comme une jeune mariée. Le vendredi, Clémentine termine à midi. Nos rituels pisseux sont donc déjà prétexte à déconner. J'aime l'entendre rire, me faire rire.

Morts de faim, vêtus de nos leggings, de nos sweats en lycra, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement le feu de la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de folie avec Estelle. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Il est 6 h25. Nous montons à toute vitesse pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Il faut émerger.

Aérobic, jogging sur tapis roulants. Clémentine, déconneuse perturbe souvent la concentration que nous essayons d'y mettre. Abdos, exercices au sol. Avec les charges additionnelles, on ne rit plus. Puis c'est le retour au calme avec un stretching assez délirant. Clémentine me saute au cou. Je la soulève. C'est comme ça que nous allons à la salle de bain. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Il est 7 h45. Il fait encore nuit. Clémentine me rejoint dans le froid glacial emmitouflée dans son anorak.

Un dernier bisou sous le parapluie. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais la vaisselle, le lit avant d'aller dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Confortablement assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Cette sixième nature morte destinée à ma saison d'été sera terminée lundi. Je peins dans cette euphorie généreusement distribuée par Clémentine. La matinée passe si vite. Il est 11 h50. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches dans la cheminée.

Je quitte l'atelier pour la cuisine. Une bûche dans la cuisinière à bois. Il suffit de réchauffer le reste des beignets de crevettes et de champignons. Il en reste en quantité. Je prépare une salade de carottes avec un peu de choux. Il est 12 h30. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes, elle me couvre le visage de bisous. Elle m'entraîne aux toilettes. << Tu restes avec moi tout le temps. Je t'aime ! >> dit elle en pissant. Je la tiens par la nuque que je caresse en même temps.

Je la torche soigneusement. Morts de faim, nous passons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle choisit mon pantalon, ma chemise et mon pull. Elle reste habillée comme est l'est depuis ce matin. Me voilà vêtu d'un pantalon noir, à pinces, à plis, de ma chemise blanche sous un pull noir au col en "V".

<< Regarde comme on est beaux pour aller chercher notre troisième dose ! >> me dit Clémentine serrée contre moi devant le miroir de l'armoire. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos manteaux noirs. Une écharpe. Nos chapeaux feutres. Devant le grand miroir du hall d'entrée, nous prenons des poses ridicules en riant aux éclats. Nous sommes très élégants. C'est toutefois sous le grand parapluie qu'il faut traverser le jardin. << On prend ma voiture. On en profitera pour faire le plein ! >> dit Clémentine en ouvrant la portière conducteur.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'à la pharmacie. Nous passons devant l'université de Clémentine. Le parking est désert. << C'est là que je gare l'auto ! >> dit-elle en me montrant l'emplacement. Je gare la voiture sur le grand parking de la maison médicale. Le docteur est un ami commun. Dans la salle d'attente, Estelle, Michèle et Yvan sont déjà là. Les parents d'Estelle viennent également chercher leurs troisième doses. Nous sommes contents de nous revoir. Il est presque 14 h.

Michèle et Yvan sont très élégants car ils iront en ville après la consultation. Estelle, qui a l'envie folle de me sauter au cou, me fait un simple clin d'œil. Assise en face de moi, discrètement, elle mime une pipe. Un mouvement rapide du poing fermé devant sa bouche en faisant une bosse à l'intérieur de sa joue. Une assistante entre dans la salle d'attente. C'est à Michèle de la suivre la première. Yvan nous confie à quel point ils aimeraient passer les fêtes en Écosse. C'est à son tour de suivre l'assistante. Puis c'est à moi. Clémentine veut venir avec.

Nous revenons après notre piqûre. Toutes mes peurs, toutes mes craintes et toutes mes appréhensions étaient une fois encore vaines. Je n'ai absolument rien senti. C'est au tour d'Estelle. Nous redescendons tous les cinq en croisant d'autres gens qui viennent chercher leurs vaccins. Nous bavardons un peu sous les parapluies. << Vous venez manger à la maison dimanche. Ne dites pas non. Vous allez nous priver de notre fille à Noël ! >> lance Michèle. << Oh oui ! >> s'écrie Estelle. Nous acceptons avec joie. Je dis : << C'est le choix d'Estelle ! >>.

Nous nous saluons. Un dernier coucou. Estelle assise à l'arrière de la voiture de ses parents mime une nouvelle fois une fellation. Discrètement. J'ai les chèques à déposer à la banque. Les paiements de mes toiles de commandes. Il est temps de les encaisser. C'est rapide, ma banque est à deux pas. Le directeur de l'agence est un bon ami. Il insiste toujours pour me recevoir dans son bureau les très rares fois où je me déplace dans son établissement. Il est quinquagénaire aussi. Il n'a de yeux que pour la jeune fille qui m'accompagne.

Nous bavardons un peu. Je lui parle de l'Écosse, de mes "affaires". Il me parle de sa famille. Son fils de l'âge de Clémentine qui s'apprête à faire carrière dans les arts après ses études. Nous nous saluons. Dans la voiture, Clémentine me sort la queue. << Tu as vu comme il me mâtait le salaud ? >> dit elle en jouant avec ma bite. Je confirme. << Tu déposes une fortune dans sa banque et il serait prêt à te cocufier le salopiot ! >> rajoute t-elle en riant. Il est 15 h45 quand nous revenons. Juste le temps de nous changer et voilà l'arrivée de Julie.

Nous l'accueillons dans le hall d'entrée. J'ai la braguette béante. Julie fait mine de ne pas s'en rendre compte. Elle est tellement contente d'être de retour avec nous. Je la débarrasse de son anorak. Clémentine entoure ses épaules de son bras. Elles se regardent dans le grand miroir. Julie, qui n'a qu'un mètre soixante dix, paraît toute petite aux côté du mètre quatre vingt un de Clémentine. Julie a ses longs cheveux qui flottent sur le haut de son dos. Elle porte ses lunettes d'étudiante. Elle passe son bras autour de la taille de Clémentine. C'est beau.

Clémentine saisit la main de Julie. Nous allons dans l'atelier. Il y fait bon. Je rajoute deux bûches dans l'âtre. Julie est assise devant le chevalet. Les mains jointes entre ses cuisses, elle scrute la toile. Elle prend la loupe posée sur la desserte pour observer les infimes détails que je place toujours dans mes tableaux. << On a envie de saisir la petite cuillère en or tellement elle paraît vraie ! >> murmure Julie. Je suis debout derrière elle. Je pose mes mains sur ses épaules. Je me penche pour chuchoter à son oreille : << N'allez pas la voler ! >>.

Clémentine me tient par la taille, serrée contre moi. C'est un spectacle que de voir Julie observer avec tant d'attention. Nous la laissons pour préparer une bonne collation. Un thé avec de petites crêpes dentelles sèches. Julie vient nous rejoindre. Assise dans le fauteuil en face de nous, elle nous raconte sa semaine. Elle aussi a un travail à rendre pour terminer ce premier trimestre universitaire. J'écoute les filles parler de leurs études. Julie se destine à un professorat de Lettres Modernes en troisième cycle. D'aller jusqu'au doctorat d'ici sept ans. Une thèse.

Tout en parlant, Clémentine glisse sa main dans ma braguette. Julie braque son regard sur cet endroit de ma personne avec la même attention que sur mes toiles. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Aussi ce sont des coups d'œil furtifs. De délicieux sourires. Julie reviendra demain matin pour faire le ménage. Ce soir elle reprend son service dans le restaurant de sa sa tante à 18 h30. Avant de partir, il y a son cours de peinture. Ce n'est plus seulement le prétexte pour être avec nous. Animée d'une réelle passion, Julie se montre douée, assidue.

Nous voilà installés devant le chevalet de table. Julie prépare les couleurs sur sa palette. Clémentine est assise devant son ordinateur. Elle travaille à son écrit. Il règne dans l'atelier une ambiance studieuse. Julie chuchote pour ne pas déranger. Je réponds à ses questions de la même façon. Je regarde sa seconde toile évoluer. C'est un paysage. C'est très abouti car Julie déborde de talent pour la peinture. Je chuchote une fois encore : << Si vous ratez vos études, une carrière de peintre vous ouvre les bras ! >>. Julie me fait un sourire.

L'heure de cours passe ainsi, dans cette atmosphère solennelle. Julie nettoie sa palette, ses pinceaux. En se lavant les mains devant le petit lavabo de l'atelier, je surprends son regard sur ma braguette. Doucement, d'un mouvement lent, calculé, j'en extrait mon sexe. Je bande mou. Je le tiens à sa base entre le pouce et l'index. J'observe les réactions de Julie. C'est toujours comme si c'était la première fois que je me livrais à cette exhibition. Elle se retourne. Je dis : << J'avais oublié de la sortir durant votre séance. Veuillez m'en excuser ! >>.

Julie éclate de rire. Clémentine découvre la scène. << C'est vrai ! Tu as tendance à oublier les choses les plus essentielles ! >> lance t-elle. Julie rajoute : << Alzheimer ? >>. Nous rions de bon cœur. Il est 18 h. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Il fait nuit. Il ne pleut plus mais le froid est vif. Julie, un peu triste, assise au volant de son auto, nous confie son impatience de revenir demain matin. Nous n'avons pas parlé de notre départ pour l'Écosse. Nous préférons le lui dire demain matin. Notre absence sera une rude épreuve pour elle.

Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. Nous retournons dans l'atelier. Clémentine se remet à ses travaux de préparation. Autant mettre à profit cette météo pour avancer. J'en profite pour réaliser un nouveau dessin préparatoire. Il est rapidement 19 h. Morts de faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du riz complet. Dans la poêle je fais rissoler deux filets de colin. Ail oignon, champignons. Je concocte une sauce au Roquefort. C'est très rapide. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine évoque cet écrit qu'il faut rendre vendredi prochain. Elle va y travailler toute la semaine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous retournons dans l'atelier. Il est rare de travailler si tard. Clémentine me fait remarquer qu'il n'y a pas eu le moindre phénomène paranormal aujourd'hui. << Christine est déjà partie en week-end ! >> dit elle. Il est presque 22 h. << Ras-le-bol ! >> lance t-elle en rangeant ses affaires. Je viens de terminer le calque de deux futures toiles.

Nous montons. Nous nous lavons les dents gagnés par la fatigue. << Tu sais qu'il est extrêmement rare que nous fassions autre chose que du sexe le soir ! >> lance t-elle en me sortant la queue pour m'entraîner dans la chambre. Au lit, j'offre à la fille que j'aime un délicieux cunnilingus. Son orgasme est délicat. Presque secret ce soir. Lorsqu'elle veut me sucer, je propose de remettre cette pipe à demain. Clémentine se blottit dans mes bras. En murmurant un dernier : << Je t'aime ! >> elle s'endort dans la plénitude la plus totale.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ont droit à leur récompense après une séance de travail. Un doux cunnilingus avant le sommeil...

Julien



Classe

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C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode1731 -



Un samedi très "normal"

Hier matin, samedi, il n'est pas loin de huit heures quand Clémentine se blottit contre moi. Nous restons serrés fort. << Mmhh, c'était bon ce que tu m'as fait hier soir avant de dormir ! >> murmure t-elle. Quelques papouilles. Plein de bises et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, dans nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Malgré les deux radiateurs, la cuisine est bien fraîche. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Moi, hélas, je ne me rappelle jamais des miens.

Je presse nos dernières oranges, je pèle nos derniers kiwis. Le claquement sec du grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Julie hier après-midi. Il faudra lui avouer ce matin. Notre départ pour l'Écosse la privera de nous pour deux semaines. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme de la journée. Estelle et Clémentine ont prévu de travailler ensemble à la préparation de leurs minis thèses. Il faudra rendre cet écrit vendredi prochain. Cette météo pourrie ne nous privera donc pas.

La vaisselle. Il est presque 8 h30. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine s'en empare. << Julie ! >> s'écrie t-elle. Nous courons jusqu'au hall d'entrée. J'ouvre le portail depuis l'interphone. Il fait froid. Le jour vient à peine de se lever. Tout est trempé. Nous regardons la Clio rouge descendre doucement le chemin pour se garer devant le garage. Nous nous précipitons à la rencontre de Julie. Toute contente d'être à nouveau avec nous, elle nous prend par les bras. Des bises. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud.

Julie vient pour faire notre ménage. Elle devra nous laisser pour 11 h45. Avant de monter, nous lui apprenons notre départ pour Édimbourg dimanche prochain. Il faut le dire maintenant. Je culpabilise presque lorsque Clémentine fait cet aveux. Julie a beaucoup de mal a étouffer un sanglot. Ses yeux soudain humides, elle dit : << Je penserai à vous tous les jours. Comme je le fais tous les jours. Mais avec plus de force encore ! >>. Elle se serre contre Clémentine qui me regarde avec tristesse. Julie se blottit dans mes bras. Je la berce doucement.

Je murmure : << Vous pouvez nous accompagnez. Vous allez beaucoup nous manquer aussi ! >>. Julie se ressaisis très vite. << Je suis une grande fille. Même pas peur ! >> dit elle soudain comme pour se donner un coup de fouet. Et puis j'ai le ménage à faire ! >> rajoute t-elle soudain souriante. Je dépose une bise sur son front. Nous la laissons à ses activités. Nous nous lavons les dents devant un cas de conscience. Mais que pouvons nous bien y faire ? C'est la vie ! Nous passons dans notre salle d'entraînement pour une heure de gym.

Aérobics, jogging sur tapis roulants. Un peu de vélo d'intérieur. Les abdominaux, les exercices au sol. Les charges additionnelles. Un retour au calme avec un stretching. Bien fait pour une fois ! La douche. Nous nous habillons de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux. Nous entendons Julie passer l'aspirateur. Elle est au bas de l'escalier que nous descendons à toute vitesse. Nos livraisons ne vont pas tarder. << Pardonnez-moi pour tout à l'heure. Je suis tellement émotive ! >> fait Julie sans cesser son labeur. Pour toute réponse, des bises.

Nous enfilons nos anoraks pour sortir. Il y a quelques gouttes de pluie. Le thermomètre extérieur indique 5°. Il est presque dix heures. Voilà Danièle au volant de sa camionnette. Elle nous fait un sourire charmeur. Du hayon arrière de son utilitaire, elle tire deux cageots. L'un contient nos légumes, nos fruits. L'autre contient nos fromages, nos yaourts, nos œufs, les petits pots de crème fraîche, les pots de fromage blanc, le beurre. Des kiwis. Paiement par carte. Même commande pour le samedi 6 janvier. Nous saluons Danièle. Nos meilleurs vœux.

A peine Danièle repartie pour d'autres livraisons, voilà le tube Citroën rénové de madame Marthe. Notre boulangère, toujours si joviale nous raconte encore d'amusantes anecdotes villageoises. La fête des retraités dans la salle polyvalente qu'elle va fournir en pain, pâtisseries et brioches. Elle nous a préparé nos deux grosses miches, notre belle brioche au pudding et quatre gros croissants à la pâte d'amande qu'elle nous offre. Paiement par carte, même commande pour samedi 6 janvier. Nous présentons nos meilleurs vœux à notre chère boulangère.

Nous passons par derrière pour descendre directement à la cave. Sur les étagères du cellier, nous disposons nos fruits, nos légumes. Une miche dans le congélateur dont je tire un paquet de moules, un paquet de haricots verts, un paquet de petits pois. Nous remontons par l'escalier intérieur pour ranger les produits laitiers dans le réfrigérateur. Nous faisons vite car Julie s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine. Nous lui faisons une bise sur le front en sortant pour aller au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur.

Nous avons trois courriels. Celui de mon oncle Alan. Il joint deux photos d'Édimbourg sous la neige. La ville gothique en est encore plus magique. Il nous informe qu'il faudra rester deux jours à la maison avant de pouvoir sortir. Le temps des résultats PCR. Il faut à nouveau porter les masques sanitaires dans les lieux publics et dans toute la Grande Bretagne. Nous avons tout prévu. Il y a un message de Juliette qui nous rassure. Le refus de Clémentine tombe à point. La pipe en bagnole sera pour l'année prochaine. Un mail d'Estelle pour les cours.

Dans la petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 €. Un petit mot de réconfort. Clémentine rajoute une petite phrase gentille. J'y joins la commande de nos repas de lundi prochain. Trois feuillantines au saumon, deux tourtes aux fruits de mers, des salades de salicornes. Clémentine met sa tête dans le creux de mon épaule. Par mail, je contacte l'agence de location Sixt comme toujours. Nous réservons une voiture du mercredi 22 décembre au dimanche 2 janvier. C'est toujours rapide, efficace et si facile. Ce sera une Golf comme toujours.

<< Avec toi, tout est toujours si simple ! >> me fait Clémentine qui me regarde faire la transaction sécurisée du site Sixt. C'est un peu frustrant de se savoir bloqués deux jours une fois arrivés à Édimbourg. << Si c'est le prix à payer, payons le. Au moins nous aurons de nouveaux merveilleux souvenirs à ramener ! >> dit Clémentine pleine de son habituelle sagesse. Il est presque 11 h. Julie vient nous rejoindre au salon. C'est la dernière pièce à nettoyer. Une fois encore, en sortant du salon, nous lui déposons chacun une bise sur le front.

Julie allume dans chaque endroit de la maison nettoyé et rangé, un des diffuseurs d'arômes. Au ré de chaussée ce sont les huiles essentielles de jasmin. A l'étage ce sont les huiles essentielles de magnolia. Ça sent bon. Ça masque très bien les odeurs de chlore et de javel des sanitaires. Nous enfilons nos anoraks pour sortir. Il faut reconstituer le stock pour le week-end. Dans l'abri à bois nous remplissons la brouette d'une vingtaine de buches. Nous faisons deux voyages. Des bûches de chêne empilées à côté de la cuisinière à bois.

Des bûches de hêtre empilées à côté de la cheminée du salon et de la cheminée de l'atelier. Julie est entrain d'y passer l'aspirateur. Elle se jette soudain dans mes bras. Elle se met à pleurer. Je la serre fort. Je ne sais quoi dire. Clémentine non plus. Cela ne dure qu'une petite minute. Julie se ressaisis. << Excusez-moi. Tout ce qui se passe dans cette maison est tellement fort. Et dans cette pièce surtout ! >> dit elle en se tenant bien droite. Je réponds : << Je vous laisse la clef de la maison. Vous y venez quand vous voulez ! >>. Un silence.

<< Oh oui ! Je sais comme tout fonctionne pour le système d'alarme, la télé surveillance. Je veux bien ! >> lance t-elle à nouveau toute souriante. Je rajoute : << Je vous charge d'une mission. Vous terminez votre second paysage ! A notre retour, ce sera comme un travail à rendre à votre professeur ! >>. A peine ai-je prononcé ces mots que Julie retrouve sa joie. Un sourire illumine son visage. << Et puis tu reviens lundi soir. Vendredi prochain ! >> lance Clémentine. << C'est vrai. Comme je suis bête ! >> s'écrie Julie en passant l'aspirateur.

Nous restons avec elle dans l'atelier. Nous en profitons pour faire un peu d'ordre sur les étagères. Lorsqu'on chauffe une maison au feu de bois, la poussière est toujours plus abondante. Julie, debout sur un tabouret, passe le plumeau. Nous rions et nous bavardons tous les trois. Ce matin, j'ai décidé de rester "sobre". De ne pas montrer ma bite à Julie. Pourtant, de plus en plus souvent, elle fixe ma braguette pour m'adresser un mot. Je constate que sa bonne humeur, sa joie de vivre sont revenues. Constat qui ravit également Clémentine.

Il est 11 h30. Toute la maison est propre, nettoyée et ça sent bon partout. Au salon, je prends Julie par ses épaules. Je dis : << Vous pourriez laisser la maison comme elle est quand vous arrivez le samedi matin. Ce qui importe pour nous c'est votre présence. Votre bien être et votre bonheur d'être là ! La maison vous appartient durant toute notre absence ! >>. Julie tente de soutenir mon regard. Je lui tends la petite enveloppe jaune. << Merci ! >> dit elle dans un souffle. C'est au tour de Clémentine de la prendre par ses épaules.

Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Assise au volant, la vitre baissée, Julie évoque le week-end qui l'attend. Ce soir et demain soir, ce sera le service au restaurant de sa tante. Cet après-midi c'est le ménage à la maison, avec sa maman et sa mamie. Demain la journée sera consacrée à ses mamies, ses papys. Nous lui déposons un dernier bisou sur le front. Julie fixe ostensiblement ma braguette en démarrant. Elle continue tout en faisant la manœuvre pour faire demi tour. Je lui fais un clin d'œil en empoignant mon "paquet".

Nous nous dépêchons de rentrer. Il est presque 11 h45. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour y jeter les moules encore congelées. Dans le wok, je verse les contenus des sachets de haricots verts et de petits pois. C'est rapide. Le samedi on ne s'emmerde pas. C'est du surgelé. << Comme des blaires ! Il manque la bière et le match de football à la télé ! >> lance Clémentine. Nous éclatons de rire. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'attitude de Julie. << Elle a surmonté le "choc" ! >> précise Clémentine.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine fait l'inventaire de tout ce qu'il faudra prévoir pour le départ. Sur le plan administratif c'est parfait. Nous rions lorsqu'elle rajoute : << Cette fois, j'essaie de n'avoir qu'une seule valise. Et la petite ! >>. Je réponds : << Ça va être difficile. Nous ne partons que deux semaines et il te faut des vêtements pour deux mois ! >>. Nous en rions aux éclats. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir.

<< Ils sont cachés où les gens que j'aime ? >>. C'est la voix d'Estelle qui entre dans la salle de bain. Elle se précipite. Nous restons tous les trois serrés. Pleins de bisous. << Notre couple à trois me manque ! A Édimbourg, on ne se quitte pas d'une semelle. Les trois mousquetaires ! >> dit Estelle. Nous redescendons à toute vitesse. Nous voilà dans l'atelier. Dehors, il se remet à pleuvoir. C'est sinistre. Il faut allumer les lampes à halogène. Estelle me palpe la braguette qu'elle ne lâche plus. << Je suis jalouse de Julie, fais très gaffe ! >> fait elle.

Vautrés tous les trois dans le vieux canapé en velours carmin de l'atelier, nous parlons de notre départ. Je suis entre mes deux anges. Tout en nous racontant son vendredi, ses courses avec sa maman ce matin, Estelle me tord la queue dans tous les sens. Heureusement que je bande mou. << Excusez-moi monsieur mais ce sont les effets secondaires du vaccin de hier ! >> dit elle. J'écoute les filles élaborer toutes les stratégies des semaines à venir. Estelle a même déjà commencé à préparer sa valise. << J'emporte le minimum cette fois ! >> fait elle.

Nous partons en avion. Autant s'encombrer le moins possible. Chacun une valise raisonnable. Après tout, nos gros anoraks nous les porterons déjà au départ. Il faut deux jeans, deux épaisses chemises, deux gros pulls, deux paires de grolles, nos tenues de sport. Les affaires de toilettes. Mes anges font un inventaire méthodique. << Les tampons puisque évidemment nos "petits machins" tomberont durant le séjour à Édimbourg ! >> lance Estelle. << Bien sûr ! >> rajoute Clémentine avec une voix résignée. Je bande mou dans la main d'Estelle.

Les filles veulent mettre à profit cette météo déplorable pour avancer dans la préparation de leurs minis thèses de mathématiques. Les voilà toutes les deux assises devant l'ordinateur, entourées de leurs fiches. Elles ont déjà commencé la mise en page de ce travail qu'il faudra rendre vendredi prochain. De mon côté, je sors d'anciens calques de mes cartons à dessins. Je vais moi aussi en profiter pour avancer. Comme pour chaque saison d'expositions il me faut huit natures mortes, huit scènes de genre à trois personnages et huit paysages.

J'ai encore le dessin préparatoire de quatre scènes de genre à réaliser. Je calque le dessin d'anciennes œuvres. Il me suffit de changer quelques détails. Sur la demande insistante de Julie, elle sera représentée sur certaine toile. A cet effet nous avons fait des photos il y a deux mois. Son visage en plans serrés, de face, de trois quart, de profil. Habillée en costumes du XVIIème Julie aura fière allure dans un décorum façon Vermeer de Delft ou Pieter de Hooch. J'aime entendre Estelle et Clémentine échanger toute en travaillant. Intéressant.

Le crépitement du feu, le craquement des bûches, tout cela participe d'une ambiance studieuse. Il est 17 h. Je prépare un thé, des petits crêpes dentelles sèches roulées en cigare. J'emmène le tout pour poser le plateau sur la table. << Mmhh quelle belle attention Julien ! >> s'écrie Estelle une feuille à la main. << Miam ! >> rajoute Clémentine. Nous prenons notre collation en évoquant nos prochaines vacances. Debout derrière les filles, je caresse leurs nuques en les écoutant commenter ce qui apparaît à l'écran. Des équations mathématiques.

Je suis entrain de terminer le calque de la septième scène de genre. Il est 18 h30. Un bruit sourd et violent au-dessus de nos têtes. << Bonsoir Christine ! >> font Estelle et Clémentine en même temps. Nous écoutons les errances du fantôme de mon ancienne compagne disparue. Ce soir encore c'est un florilège de courses poursuites, de meubles que l'on déplace et de portes qui claquent. << Mais elle a invité ses copines ce soir ! Elles sont à plusieurs ! >> lance Estelle. Tout cesse brusquement. S'en suit un long silence. Plus angoissant encore.

<< Le silence qui suit une sonate de Mozart est encore du Mozart ! >> fait Clémentine d'une voix sentencieuse. << Oui, mais là c'était Ludwig Van Bite au Vent ! >> rajoute Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Je suis à quatre pattes entrain de retirer proprement les calques de la surface des toiles. Les filles, une feuille à la main, lisent leurs écrits. Je suis prié de donner mon avis. Telles des actrices de théâtre déclamant leurs textes, Estelle et Clémentine, à tour de rôle, lisent un paragraphe. J'écoute religieusement. C'est superbe.

Je me lève. En lavant mes mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier, je dis : << C'est balaise ! Vous faites très fort. Ça sent la réussite et le 20 sur 20 ! >>. Les filles se mettent à sautiller dans tout l'atelier. Elles sont si contentes. Elles rangent leurs affaires. Morts de faim nous quittons l'atelier pour la cuisine. Estelle extrait ma bite de ma braguette ouverte. << J'ai besoin de me changer les idées ! >> lance t-elle. << Moi aussi ! >> rajoute Clémentine qui déboutonne mon jeans. Ce qui lui permet d'avoir un accès facile aux couilles qu'elle me sort.

Clémentine referme soigneusement le bouton et le ceinturon de mon 501. Ça fait toujours garrot autour de mes organes génitaux ainsi contraints. Accroupies toutes les deux pour constater la bonne réalisation de cet "exercice", elle dépose des bises en mitraille sur ma bite et mes couilles. Nous voilà assis à table. Nous épluchons les légumes pour la potée qui assurera trois repas. << N'oubliez pas, nous sommes invités demain à midi chez mes parents ! >> lance Estelle. Nous coupons les carottes, les patates, le navet et le céleri avant de les laver.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle touille la potée de légumes dans la vieille cocotte en fonte noire. << Avec la "cancel culture" qui nous est imposée par toute cette bande de cons, on ne pourra plus dire "cocotte" car on sera traités de "sexistes" ! >> lance Estelle. Clémentine rajoute : << La "cancer culture" tu veux dire ! Ces profondes conneries qui se décident dans les salons parisiens ! >>. Nous rions de toutes ces stupidités invraisemblables que nous prépare une élite composée de cinglés. Je fais rissoler trois dos de cabillaud.

Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur les impératifs du départ. QR code, les kit de tests à commander jeudi au plus tard. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges reviennent sur leurs cours. Je propose un bon léchage de minous après la vaisselle. Question de se changer les idées. << Revenir aux fondamentaux de notre couple à trois en quelque sorte ! >> lance Estelle. Nous rions en débarrassant la table. Je ne suis pas obligé de suggérer une seconde fois les léchages de minous.

C'est en me tenant les mains que les coquines m'entraînent au salon. Tous les trois, machinalement, en riant, nous retirons nos jeans, nos slips. C'est juste en grosses chaussettes et avec nos épaisses chemises à carreaux que nous faisons une farandole dans toute la pièce. Estelle me choppe la queue. << Tu n'as pas évoqué des léchages, toi ? >> dit elle. Clémentine empoigne mes couilles en disant : << Oui, moi aussi j'ai entendu quelque chose comme ça ! >>. Je les entraîne vers le canapé. Elles s'y jettent pour s'y vautrer jambes relevées.

Tenant leurs jambes sous les genoux, les cuisses largement écartées, elles m'offrent leurs chattes. Comme c'est beau ces deux croupions. Je passe mes doigts entre les lèvres de leurs vulves. Il faut écarter l'abondance des poils. Il y en a partout. Dans la raie des fesses, entre les cuisses. Je jette un des épais coussins au sol. Je m'y mets à genoux. Mes deux anges se touchent déjà. Je commence toujours par le sexe d'Estelle. Je fouille les plis et les replis de ses fines lèvres. Lorsque je remonte sucer son clitoris, Estelle cesse de se masturber.

Je suce. Je récupère les premières coulures de jus de fille. Je passe au sexe de Clémentine. Tout en se faisant sucer, lécher, pomper, les filles échangent leurs impressions. Quand je ne suce pas leurs clitoris, elles se masturbent en poussant d'épatants petits cris. J'ai le bas du visage trempé de foutrine. Je m'enivre de ce nectar. J'en ai le tournis. Clémentine délivre d'abondantes petites giclées de cyprine. Elle m'offre son clitoris géant qu'elle tient entre son pouce et son index. Je me redresse. Je frotte mon sexe sur celui d'Estelle avant de m'y introduire.

Accrochée à mon cou, Estelle se met à bouger. Avec elle, je fais la "machine à coudre" non stop. Elle se branle en même temps. Je me retire pour sucer. Je lui fais la raie des fesses pour récupérer le jus qui y coule. Je passe à Clémentine. Avec elle, nous restons immobiles. Elle se masturbe en même temps que je la berce délicatement. Je me retire pour bouffer tout ce qui coule. Passer ma langue des croupions jusqu'aux trous des culs m'offre d'incroyables quantités de jus de fille. Estelle m'attire chaque fois sur elle. Je la baise à la hussarde.

Estelle jouit la première. C'est un concerto pour trois voix car moi aussi je gémis de plaisir. Combien de fois suis-je obligé de contrôler. Je veux me préserver. Garder mon orgasme pour après celui de mes deux anges. Les cris que pousse Estelle sont presque inquiétants. Surtout qu'elle est animée de soubresauts qu'elle semble ne pas pouvoir contrôler. Clémentine saisit la cuvette en plastique. Son orgasme pisseux emplit le récipient de moitié. Je suis à genoux entrain de récupérer tout ce que je peux de ma bouche avide. C'est savoureux. Enivrant.

Je revient sucer Estelle. << Tu es merveilleux Julien ! >> dit elle dans un souffle. Moi aussi j'aime garder longuement le mélange des jus de mes deux anges en bouche. Clémentine me tient par les oreilles comme pour me guider. Elle repart pour un second tour. C'est trop bon de se faire bouffer la chatte. Estelle, couchée sur le côté, entre moi et le canapé, me suce comme si sa vie en dépendait. De ma main libre, je la tiens par la nuque. Je bouge doucement. Je me masturbe dans sa bouche tout en suçant le clitoris de Clémentine. Elle m'offre du jus.

Le second orgasme de Clémentine n'est pas pisseux. Mais ce sont deux véritables éjaculations qui manquent de m'étouffer. J'éjacule dans la bouche d'Estelle qui se masturbe en tentant de déglutir. Elle a un nouvel orgasme. Nous sommes couchés sur l'épais tapis. Je suis entre mes deux anges. Nous reprenons nos esprits. Il fait un peu froid après tant de folies. Serrées contre moi, leurs têtes dans le creux de mes épaules, les filles gémissent encore de plaisir, de ce bonheur absolu que nous nous offrons depuis presque quatre ans sans nous lasser.

<< C'est un avant goût de nos occupations lorsque nous serons deux jours enfermés à Édimbourg ! >> lance Estelle. << Oui, nous ne nous ennuierons pas ! >> rajoute Clémentine. Nous récupérons nos vêtements. Un dernier regard pour cette cuvette emplie de pisse moussue. Nous montons. Nous réunissons nos dernières forces pour faire les pitres en nous lavant les dents. Au lit, entre mes deux anges, j'écoute leurs derniers ressentis. Estelle s'endort la première accrochée à moi. Clémentine me chuchote ses derniers secrets. Nous plongeons.

Bonne soirée à toutes les coquines pour qui les léchages de minous, les pénétrations et les orgasmes sont autant "d'obligations"...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1732 -



Nous sommes invités chez les parents d'Estelle

Hier matin, dimanche, il est aux environs de neuf heures lorsque je suis tiré de mon profond sommeil par les mouvements d'Estelle. Toute la nuit elle est restée accrochée à moi comme une naufragée à sa bouée. Elle se serre encore davantage pour se frotter contre ma cuisse. Cela fini par réveiller Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. << C'était encore monstrueusement bon hier soir, Julien ! >> murmure Estelle en saisissant mon érection naturelle. << C'était divin ! >> chuchote Clémentine empoignant mes couilles.

Nous restons ainsi dans l'enchantement paradisiaque de notre dimanche matin. Nous luttons contre l'envie de pisser. N'y tenant plus, Estelle, dans son pyjama de soie mauve, se lève d'un bond. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en se précipitant vers la porte. Clémentine, une cuisse sous mes fesses, l'autre sur mon ventre, se masturbe doucement en disant : << J'ai fait un rêve cochon ! >>. Je propose de le raconter devant de la brioche et des tartines de miel. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous mettons nos jeans, nos épaisses chemises à carreaux.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans la délicate odeur de café et de pain grillé. J'allume immédiatement un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine presse nos oranges, pèle nos kiwis. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos folies de hier soir. Nous mangeons de bon appétit en comparant les cernes que nous avons encore sous les yeux. << C'est parce qu'on baise trop ! >> lance Estelle. << C'est vrai qu'on n'arrête plus ! >> rajoute Clémentine. La brioche au pudding est délicieuse.

Nous traînons à table. Le dimanche, pas de sport. Assises sur mes genoux, les filles évoquent la baise de hier soir. Elles me remercient de les aimer avec tant d'entrain, de fougue et de passion. Je justifie mes performances par la logique. La compagnie de deux jeunes filles de 24 ans feraient commettre des performances même à un vieillard cacochyme. Nous en rions de bon cœur. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Des concours de grimaces.

Nous faisons notre lit pendant qu'Estelle s'habille dans le froid de la chambre. Nous nous dépêchons de redescendre pour enfiler nos anoraks. Le thermomètre extérieur indique 5°. Il est presque 10 h. Il ne pleut pas mais le sol est détrempé. Nous montons jusqu'au portail. Nous traversons la route pour nous engager dans la forêt. Mes deux anges me tiennent par le bras, serrées contre moi. Elles font une fois encore l'inventaire des affaires qu'elles emmèneront en Écosse. Elles se promettent une fois de plus de se charger au minimum.

De nombreux arrêts où Clémentine m'embrasse avec passion. Où Estelle m'embrasse avec fougue. << Ce sera tous les jours, pendant deux semaines, comme ça ! >> lance t-elle. << On se fait de belles grasses matinées ! >> rajoute Clémentine. De marcher sous ces arbres nus, trempés, sous un ciel gris et menaçant est sinistre. Nous revenons dans le sens inverse. Tout en mimant des masturbations masculines à plusieurs reprises, Estelle me saisit le "paquet" pour dire : << Si tu dragues ma mère à midi, je t'arrache les couilles avec les dents ! >>.

Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine fait : << Oh, Julien se contentera de lui montrer sa queue, comme elle aime ! >>. Nous éclatons de rire. Estelle s'écrie : << Salauds que vous êtes ! >>. Je précise : << De vrais salauds car nous sommes tous les cinq membres du même "Club" ! >>. Estelle cesse d'empoigner ma braguette. Elle rajoute : << Et en parlant de "membre" je vais m'occuper du tient ! >>. C'est dans cette ambiance que nous revenons pour 11 h30. Nous restons vêtus de nos jeans, chemises à carreaux. Propres. Parfaits.

Nous sommes attendus pour midi. Clémentine s'assure que la tarte aux noix ait décongelé. Estelle la place dans le grand Tupperware rond. << On prend ma voiture ! >> fait Estelle. C'est un véhicule d'entreprise. Il n'y a que les deux places avants. Clémentine sera donc assise sur mes genoux. Il n'y a que trois kilomètres jusqu'au bourg. La grande maison entourée des hangars est à la sortie du lotissement. Estelle roule prudemment. Clémentine, ses bras autour de mon cou, est obligée de baisser la tête pour regarder le paysage. C'est amusant.

Je glisse ma main entre les cuisses chaudes d'Estelle. Tenant le volant d'une main, elle saisit mon poignet de l'autre pour que je ne la retire pas. Nous arrivons. Estelle gare l'auto dans la descente du garage. C'est Yvan qui l'ouvre pour venir nous accueillir. Il est tout heureux de nous voir. Estelle lui saute dans les bras. Elle se serre contre lui. Nous passons par la cave pour monter. Michèle nous accueille avec cet immense sourire. Aujourd'hui encore elle est la grande sœur d'Estelle. Michèle et sa fille ont une étonnante ressemblance. Surprenante.

Nous nous débarrassons de nos anoraks pour suivre Yvan au salon. Le papa d'Estelle montre les photos ramenées d'Écosse cet été. Deux magnifiques photos qu'il a fait encadrer. Elles seront suspendues dans le couloir. << C'est un petit cadeau que nous nous faisons pour les fêtes ! >> explique t-il. Estelle reste serrée contre lui, ses bras autour de sa taille. Michèle vient nous rejoindre. Elle est aux fourneaux depuis dix heures. Nous sommes tous les cinq morts de faim. Michèle nous confie leur profond désir de retourner en Écosse à l'été 2022.

Ils ont déjà loué un cottage du côté d'Inverness. A Drumnadrochit. C'est un charmant petit village à une dizaine de kilomètres du Loch Ness. << Nous verrons peut-être le monstre ! >> lance Michèle. Ils y resteront un mois entier pour visiter à partir de ce lieu de vie. Je remarque les coups d'œil furtifs, discrets qu'a Michèle à l'endroit de ma braguette. Clémentine à qui rien n'échappe, l'a remarqué aussi. Estelle ne s'en doute pas, trop occupée avec son papa qui montre d'autres photos de leurs vacances. Je propose à Michèle de l'aider à la cuisine.

Je la suis. Cette fois, la maman d'Estelle fixe ostensiblement ma braguette. Du four elle tire un grand plat en terre cuite. Il contient des tomates farcies. << Calmars, saumon et chair de crabes avec de la purée de salicornes ! >> fait Michèle. Les tomates sont dorées à souhait. Il y a une crevette emprisonnée dans du gruyère fondu sur chacune d'elle. Nous entendons les rires et les éclats de voix depuis le salon. Rapidement, d'un geste sûr, parfaitement contrôlé, je sors mon sexe. Je bande mou. Michèle m'observe, souriante mais attentive.

Je tiens ma queue à sa base, entre le pouce et l'index, prêt à la remballer au moindre risque. Je fais tournoyer ma "lance à incendie". << C'est délicieusement vulgaire, Julien. Juste ce qu'il faut pour me mettre en appétit ! >> murmure Michèle en sortant l'autre plat du four. Ce sont des ravioles de cabillauds. Un gratin fumant et doré. Il y a des particules de ciboulette, des graines de sésame grillé emprisonnées dans le Parmesan. Je guette le moindre bruit. Michèle me fait un sourire. << C'est l'apéro. Y aura t-il le digestif ? >> murmure t-elle.

Je remballe à toute vitesse. Fausse alerte, C'est Clémentine qui vient nous rejoindre. Elle comprend ce que j'étais entrain de faire. Mon visage de gamin pris en faute trahis mes émotions. << Julien vient de m'offrir une prestation de qualité. Merci ! >> chuchote Michèle. Clémentine se serre contre moi, place sa main sur ma braguette. En palpant la bosse elle murmure : << Julien est un grand artiste. Je suis son imprésario, son manager et je gère sa carrière ! >>. Nous éclatons de rire. Ce qui attire Estelle qui entraîne son papa par la main.

J'enfile les maniques que me tend Michèle. C'est moi qui emmène les tomates farcies au salon. Michèle emmène les ravioles. Clémentine emmène la carafe de jus de mangue. La bouteille de jus d'abricot. Nous ne buvons pas d'alcool. Grands sportifs, les parents d'Estelle non plus. C'est toujours embarrassant de refuser un verre les rares fois où nous sommes invités. Nous avons un "truc" imparable. Nous gardons nos verres emplis de vin tout le long du repas. Sans y toucher. Ainsi il est impossible de nous resservir. Ça marche à tous les coups.

Nous mangeons de bon appétit. C'est extraordinairement bon. La conversation tourne autour de nos activités professionnelles. L'entreprise florissante des parents d'Estelle. La succursale qu'ils ont ouverte à deux cent kilomètres. Il y en a une seconde en perspective. << Dans ce secteur d'activité on est condamné à s'agrandir ! >> explique Yvan. << Dans cinq ans, on vend et on prend notre retraite ! >> rajoute Michèle. << On s'est fait suffisamment chier et suffisamment de pognon. A 55 ans on va profiter du reste de nos existences ! >> dit Yvan.

Clémentine me fait du pied sous la table. Estelle me fait de vilaines grimaces à chaque fois que je parle avec sa maman. Nous traînons à table. Nous évoquons nos vacances. Pour les fêtes Yvan et Michèle vont chez ses parents dans le Var. << C'est la première fois depuis 24 ans qu'Estelle ne passe pas Noël avec nous ! >> lance Michèle. << Je suis une grande fille maintenant. Mais je penserai à vous tous les jours. Je téléphonerai ! >> répond Estelle assise sur les genoux de son papa. Michèle se lève. Je propose de l'aider pour débarrasser.

Estelle m'adresse un regard lourd de menaces. Clémentine me fait un clin d'œil. Nous voilà à nouveau seuls dans la cuisine. Discrètement, tous mes sens aux aguets, je sors mon sexe en murmurant : << Le digestif ! >>. Michèle en mettant les assiettes dans le lave vaisselle, chuchote : << Tu n'imagines pas un seul instant l'envie folle de déguster ce verre qui anime ma libido ! >>. C'est une des rares fois où Michèle me tutoie. Cette familiarité qu'ont les femmes en s'adressant à un vicelard. C'est magnifique. Je me décalotte juste le bout.

Mon prépuce entre le pouce et l'index, je me masturbe doucement. << Vous êtes doublement salaud. Vous me montrez votre grosse queue fort appétissante et vous me privez de ma fille pour les fêtes ! Les deux choses sont bien évidemment étroitement liées ! >> murmure Michèle. Nous rions. Je chuchote : << Non, c'est Estelle qui a fait le choix. Elle adore mon pays ! >>. Michèle me rassure : << Je sais ! Moi aussi je l'adore ! >>. Je remballe une fois encore à toute vitesse. C'est Clémentine qui vient nous rejoindre avec les verres et la carafe.

Michèle découpe les parts de la tarte aux noix. Il y a juste Clémentine. Je peux sortir mon Zob à nouveau. Clémentine adore me voir faire le vicieux en présence d'une autre femme. Michèle, en mimant une masturbation masculine, chuchote à Clémentine : << Quand tu venais passer les week-end ici avec Estelle, Yvan faisait pareil ! On jouait en prenant tous les risques ! >>. Clémentine murmure : << Je ne m'en doutais pas. Pour moi vous étiez comme des parents ! >>. Il faut remballer. Voilà Estelle qui entraîne son papa par la main à la cuisine.

Nous passons une bonne partie de l'après-midi au salon, vautrés dans les fauteuils, le canapé. Nous regardons défiler les photos prises cet été. Yvan les commente. << Mon mari se rappelle toujours des détails les plus infimes ! >> dit Michèle assise tout contre lui. Comme Estelle. Il est presque 16 h30. Le crépuscule annonce la nuit qui va tomber. Nous prenons congé. Nous nous souhaitons de bonnes fêtes. Estelle rentrera pour ce soir, 22 h30. Clémentine, assise sur mes genoux, raconte à Estelle qui conduit, mes prestations de la cuisine.

<< Salaud ! Derrière mon dos ! Tu es un vrai salaud. Tu devrais avoir honte de montrer ta queue à une femme mariée. De surcroît quand cette femme est ma mère. Tu vas voir ce soir, je vais t'apprendre les bonnes manières ! >> s'écrie t-elle. J'ai ma main entre ses cuisses. Il est 17 quand nous sommes de retour. Nous passons directement dans l'atelier. Nous mettons à profit le reste de l'après-midi pour bosser encore un peu. Je termine un dessin préparatoire. J'écoute mes deux anges se lire leurs écrits, corriger des phrases, changer des formules.

Il est 19 h15. Ce soir, aucune manifestation surnaturelle. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine prépare une salade d'endives. Estelle concocte l'omelette du dimanche. Je réchauffe la potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit. Je suggère un bon léchage de minous après la vaisselle. Le dimanche, pas de douche, nous restons dans nos jus. Je laisse aux lectrices le soin d'imaginer de quoi je peux me régaler, à genoux, la tête entre les cuisses de mes deux anges. Le jus de filles "négligées" est un nectar de jouvence. De longue vie.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font nettoyer la chatte par les soins d'un gourmet attentionné, serviable et consciencieux...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1733 -



Julie vient passer la soirée avec nous

Hier matin, lundi, l'illusion de nous réveiller dans un port est encore parfaite. Il est presque six heures. Les sirènes de ces chalutiers qui semblent se répondre dans le lointain. Les cris des mouettes. Le ressac. L'application "océan" est bluffante. Clémentine se blottit tout contre moi en murmurant : << Comme c'était bon hier soir ! >>. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos leggings, de nos sweats de lycra noir, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement le feu dans la cuisinière à bois.

Clémentine fait le café, presse nos oranges, pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. C'est le bruit le plus désagréable de ce petit matin. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre dimanche. Le repas chez les parents d'Estelle. Notre soirée cunnilingus. Nous mangeons de bonne appétit en riant de mes frasques auprès de la maman d'Estelle. De lui montrer ma bite lorsque nous sommes isolés elle et moi est devenu un autre rituel. Il est 6 h25. Nous remontons pour notre heure d'entraînement.

Aérobic, jogging sur tapis roulants. Ce matin, Clémentine met un des films de nos vacances écossaises. C'est sympathique de visionner ces images en courant, en faisant du vélo d'intérieur. Les exercices au sol et les abdominaux. Lors de nos relevés de jambes, suspendus à nos barres, nous faisons déjà les pitres. Avec la séance de charges additionnelles, on ne rit plus. Le retour au calme avec un bon stretching et nous nous précipitons à la salle de bain. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45.

Clémentine, emmitouflée dans son anoraks, vient me rejoindre en sautillant pour se réchauffer. Un dernier bisou dans le froid glacial. Il fait encore nuit. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre automatiquement. Dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre vaisselle. Je fais notre lit. Je vais dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine aujourd'hui la sixième nature morte destinée à ma saison prochaine. L'été 2022.

Je peins animé de cet enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Dans cette phase de finalisation de la toile, je porte ma loupe frontale. Je réalise les plus infimes détails avec la méticulosité d'un miniaturiste médiéval. A chaque touche plus sublime que la précédente, de mon plus fin pinceau, je crie : << Olé ! >> ou encore : << Bravissimo ! >>. La matinée passe à une vitesse folle. Il est 11 h50 quand je dépose la dernière goutte de jaune de cadmium sur la surface de cette petite perle discrète peinte sous la rose rouge.

Je dépose l'œuvre achevée sur le second chevalet afin qu'elle y sèche. Je prends la septième nature morte dont le dessin préparatoire et la couche d'impression sont déjà réalisés. J'attaque "ça" cet après-midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de potée de légumes. Je prépare une salade de tomate avec de fines rondelles d'un avocat bien mûr. Dans la poêle je saisis un filet de colin avec de petits champignons noirs. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff et ses invités.

Je ne traîne pas. Je débarrasse pour faire la vaisselle. Je monte me laver les dents. Je descends à toute allure pour enfiler mon anorak. Il faut rentrer du bois. Le thermomètre extérieur indique 8°. Je remplis la brouette d'une vingtaine de bûches. Du chêne pour la cuisinière, du hêtre pour la cheminée. Il est à peine 13 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. J'attaque cette septième nature morte avec jubilation. Une joie qui me fait chanter la Traviata en gaélique écossais. Je peins animé avec la sérénité de reconstituer mon stock pour l'été prochain.

L'après-midi file à toute vitesse. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Estelle me prie de te transmettre les félicitations de sa mère en rajoutant "vieux salaud" ! >>. Nous éclatons de rire. Estelle fait évidemment allusion à mon comportement de satyre, hier, lorsque j'étais seul avec Michèle dans la cuisine. Clémentine a encore pas mal de travail.

La voilà assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. J'aime peindre en l'écoutant commenter ce qu'elle fait. La rédaction de son écrit de présentation prend forme. Elle m'en fait plusieurs lectures à voix haute. Tout en peignant je dis à chaque fois : << Super ! >>. Je n'exagère pas. Si Clémentine n'était pas passionnée par les sciences, elle aurait parfaitement réussi dans le domaine littéraire. Elle écrit si bien. C'est d'ailleurs elle qui apporte souvent quelques corrections sémantiques à mes textes. Censurant également certains passages.

Il est 18 h15. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Clémentine, une feuille à la main, tourne autour de moi en déclamant son écrit. Comme une actrice de théâtre. Soudain, au-dessus de nos têtes, ce bruit sourd qui annonce la venue du fantôme. << Bonsoir Christine et ne m'interrompt pas s'il te plaît ! >> lance Clémentine tout en continuant sa lecture. A l'étage c'est encore ce florilège de courses poursuites, de meubles qui ripent au sol, de portes qui grincent avant de claquer. Quelques minutes et tout cesse aussi mystérieusement.

A l'instant même ou la musique imbécile de mon téléphone impose son prosaïsme ridicule. Clémentine, sans cesser de lire s'en empare. << Julie ! >> s'écrie telle. << Sors ta queue ! >> rajoute t-elle en se précipitant vers la porte. Je sors mon sexe pour quitter l'atelier. Je rejoins les filles dans le hall d'entrée. Comme toujours Julie fait mine de ne pas apercevoir le tuyau d'arrosage qui pend de ma braguette. Souriante, radieuse, elle me fait trois bises en se mettant sur la pointe des pieds. Je ramasse la grande boîte isotherme pour l'emmener à la cuisine.

J'en retire les trois feuillantines au saumon encore hyper chaudes. Les deux tourtes aux fruits de mer pour demain midi. Julie met les assiettes et les couverts en nous racontant son week-end. Ses papys et ses mamies qui étaient là pour une fête continue. Fille unique, Julie est un peu la reine en famille. Elle n'ose pas soutenir mes regards. Derrière ses lunettes d'étudiante. Aussi, lorsqu'elle nous parle, elle s'adresse principalement à Clémentine. Par contre elle fixe ostensiblement mon sexe. Pour bien me faire comprendre qu'elle l'a vu.

Cette attitude toute féminine, chez cette adorable jeune fille de 20 ans, provoque une érection absolument superbe. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant nos salades. Je dis à Julie : << Il faudra remercier le Chef de cuisine. C'est à chaque fois meilleur ! >>. Julie répond : << Je n'y manque jamais. Il marmonne de plaisir derrière son masque sanitaire quand il officie aux fourneaux ! >>. Nous voilà assis à table. Nous mangeons de bon appétit. Julie nous raconte d'amusantes anecdotes. Son job de serveuse en soirée.

<< Il y avait un vrai vicieux dimanche soir. Il était avec sa femme et un autre couple. Il n'a pas arrêté de me faire des clins d'œil ! >> dit Julie. Clémentine pose plein de questions. Julie rajoute : << Je suis évidemment entrée dans les toilettes du sous-sol avec mon seau et mon balai à la main lorsque le type y était. Il avait une queue comme Julien. Il s'est tourné pour me la montrer franchement ! >>. Nous rions de bon cœur. Julie ne peut pas s'y attarder. Le restaurant de sa tante est un établissement réputé. Il y a beaucoup de monde le week-end.

<< Il a même réussi à me la montrer sous la table en relevant discrètement un coin de la nappe. Le salaud. Anne-Marie s'en est rendue compte elle aussi ! >> fait encore Julie en mimant une masturbation masculine de sa main gauche. La tante à Julie est un membre éminent du "Club". Elle ne manque pas une occasion de se livrer à quelques fantaisies de la même nature que celles qu'apprécie Julie. J'écoute cette conversation surréaliste entre Clémentine et Julie. En janvier, Clémentine ira faire la "serveuse" un vendredi soir avec Julie pour s'amuser.

Elle l'a déjà fait l'hiver dernier. J'étais avec Estelle. Nous mangions. Je regardais Clémentine apporter des plats à d'autres clients. Nous nous sommes beaucoup amusés ce soir là. Un grand souvenir. Des filles vicieuses attirent bien évidemment des vicieux dans des situations vicieuses. Julie propose un vendredi de la mi janvier. Le vendredi soir il n'y a jamais trop de monde. Gloussant de plaisir, Clémentine pose sa main sur mon poignet en disant : << Toi, tu seras client. Mais surtout, profite bien de la situation aux WC ! >>. Nous rions aux éclats.

Je me lève à plusieurs reprises pour agiter mon sexe en direction de Julie. J'adore les expressions de son visage. C'est comme si c'était la première fois. Elle cesse de manger pour observer comme consternée. Je bande mou. Je fais tournoyer ma queue. << Julien adore faire l'hélicoptère ! >> dit Clémentine. << Je vois ! >> fait Julie. Nous traînons à table. Julie et Clémentine évoquent leurs études. Julie aussi a un écrit de plusieurs pages à rendre ce vendredi. Elle passera les fêtes en famille. Elle nous confie à quel point nous allons lui manquer.

Nous nous promettons de garder un contact étroit et quotidien. Un courriel pour nous raconter nos journées. Avec quelques selfies. Je me lève une nouvelle fois. Je passe derrière Julie qui suit mes mouvements comme inquiète. Même si elle sait parfaitement à qui elle a affaire. Je suis debout derrière elle. Mes mains posées sur ses épaules. Je me penche pour murmurer à son oreille : << J'aurai un pensée affectueuse pour vous depuis Édimbourg et chaque jour ! >>. Julie me saisit les poignets pour répondre : << Comme un troubadour ? >>.

Cette rime nous fait rire. Je viens me mettre sur sa gauche. Ma bite à la main, à une cinquantaine de centimètres de son visage. Elle scrute. Je devine ses pensées. Que vais-je encore bien faire ce soir ? Je décalotte l'extrémité de mon prépuce. Clémentine, le menton en appui sur ses mains, observe aussi silencieusement que Julie. Il y a juste le méat apparent. Le bout du gland avec cette petite fente. Ce petit cratère qui évoque une vulve féminine. J'appuie légèrement. Ce qui a pour effet de faire apparaître la première goutte de liquide séminal.

Julie se tourne franchement vers moi. Les mains posées sur ses cuisses, elle observe. Clémentine me fait un clin d'œil. Je saisis le verre vide de Julie. J'en tiens le bord contre la peau fripée de mon prépuce que j'essore. Mon foutre est épais, visqueux et gluant. Cette grosse goutte finit par tomber pour couler le long de la paroi intérieure du verre. En arrive une seconde. Julie est en apnée. Elle retient sa respiration. Le spectacle semble la subjuguer totalement. Je dis : << Julie, si vous tenez le verre, je peux me manipuler le sexe des deux mains ! >>.

Julie prend le verre de ses deux mains. Impatiente et heureuse de pouvoir participer. Clémentine a glissé une main sous la table. Je sais ce qu'elle fait. Julie, consciencieusement, tient le verre contre ma bite encore molle. Les mains sur les hanches, je laisse mon sexe pendre dans le verre. Doucement, avec une attention extrême, Julie fait tourner le verre pour en maculer la paroi intérieure. A chaque fois qu'elle reprend son souffle c'est dans un soupir de contentement. C'est adorable de la voir s'amuser ainsi. C'est passionnant. Je ne tarde pas à bander.

Julie, de sa main droite, saisit mon sexe qu'elle contraint d'une poigne ferme vers le bas, toujours dans l'intérieur du verre. Penchée en avant, scrutant avec l'attention d'un entomologiste, elle observe les coulures. Clémentine, que tout cela excite considérablement, se lève. Une main dans son jeans déboutonné, elle vient passer l'autre autour de ma taille. Julie est extraordinairement adroite de ses doigts. Juste entre le pouce et l'index, elle me masturbe doucement. Elle sort la bite du verre pour la laisser reprendre sa position verticale.

<< C'est génial ! >> souffle t-elle dans un murmure de contentement. Je dis : << Vendredi après-midi, avant le cours de peinture, je vous propose une séance branlette ! >>. Julie lève les yeux pour m'adresser un furtif sourire. Elle lâche ma queue et pose le verre. << Avec plaisir ! >> répond t-elle en se levant. Julie devra nous laisser pour 22 h. Il est déjà 21 h30. Nous faisons la vaisselle. Julie avise le flacon d'épices vide posé à côté de son couvercle sur l'étagère au dessus de la desserte. Elle le prend pour dire : << Dans ce flacon là ! >>.

Nous rions. Julie termine la plonge. Elle reprend le petit flacon à épices pour le poser sur la table. << Je l'emmène. Je vais le garder avec moi jusqu'à vendredi. Si nous arrivons à le remplir, même à moitié, j'aurai un merveilleux souvenir durant votre absence ! Je peux ? >> lance Julie. << En voilà une bonne idée ! Je vais t'aider à remplir ce flacon ! >> rajoute Clémentine. Rires. Nous mettons nos anoraks pour raccompagner Julie dans la nuit glaciale jusqu'à sa voiture. Assise au volant, espiègle, elle me montre le flacon en le faisant tourner.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont sucer la bite de leur mec qui s'est encore exhiber devant l'amie intime. Le vicelard...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1734 -



Estelle vient nous rejoindre dans l'après-midi

Hier matin, mardi, le cri des mouettes est strident. Il est presque six heures. L'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. La sirène d'un gros bateau dans le lointain parfait encore l'illusion de nous réveiller au bord de la mer. Clémentine se blottit tout contre moi en gémissant. Le mardi, elle termine à midi, ce qui rend les choses plus faciles. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Déjà un peu déconneuse, Clémentine me secoue la bite pour en diriger les jets en éclaboussant la lunette. Elle essuie en riant. Des bises.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Julie hier soir. Son sourire espiègle lorsqu'elle faisait tourner le petit flacon à épices dans la voiture. << Nous allons beaucoup nous amuser vendredi après-midi quand elle reviendra ! >> lance Clémentine. Le souhait amusant de remplir ce flacon de jus de couilles.

Nous mangeons de bonne appétit en évoquant la situation sanitaire. Nous sommes pressés de filer, de quitter la France dès dimanche. << Pourvu que ces enfoirés n'en rajoute pas une louche et interdisent de quitter le territoire. Leurs propagandes anxiogènes me fait vomir ! >> lance Clémentine. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Dans une ambiance assez euphorique. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles. Le retour au calme avec un stretching bâclé et si comique.

La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Clémentine me rejoint dans la nuit glaciale. Il est presque 7 h45. En sautillant sur place elle me fait un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais la vaisselle. Je fais le lit avant d'aller dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en chantant "Le grand chêne" de Georges Brassens. J'attaque la septième nature morte pour l'été 2022.

Je peins dans cette euphorie offerte par Clémentine. Je pense à notre départ pour Édimbourg prévu dimanche. Nous passons nos tests PCR vendredi à 14 h. Ils seront valables soixante douze heures. Arrivés à Édimbourg nous devront rester deux jours dans l'appartement. Connaissant le caractère bien trempé d'Estelle et de Clémentine je m'attends à nos habituelles transgressions. La matinée passe à toute vitesse. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Une bûche dans la cuisinière à bois.

Je place les deux tourtes aux fruits de mer dans le four. Je prépare une salade de carottes. La pâte feuilletée a décongelé. J'en étale les deux tiers dans le grand moule à tarte. Celui avec les bords hauts. Je lave et je coupe un beau choux-fleur. Je le laisse tremper quelques minutes dans de l'eau vinaigrée avant de le faire cuire dans l'eau bouillante. Il est 12 h30. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, elle me couvre le visage de bisous. J'égoutte le choux fleurs. Je fais une Béchamel.

Clémentine, tout en râpant une quantité industrielle de gruyère de Comté, me raconte sa matinée. << Cet après-midi, Estelle vient nous rejoindre pour 15 h. Nous allons finaliser nos minis thèses pour vendredi ! >> dit elle. Je sors les deux tourtes aux fruits de mer du four. Elles sont magnifiquement dorées. Je verse le choux-fleur dans la Béchamel avec le gruyère. Je répands le tout sur la pâte feuilletée. Clémentine recouvre du dernier tiers de pâte en jointant soigneusement les bords. Elle badigeonne du mélange œuf, crème et lait de soja.

Je mets au four électrique pour une cuisson lente à 180° afin que notre Flamiche Picarde mijote longuement. << Plus longtemps ça couille, c'est meilleur ! >> lance Clémentine très déconneuse. Nous nous embrassons comme des fous avant de passer à table. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le sujet de discussion reste évidement le plus en plus hypothétique départ pour l'Écosse dimanche. << Ils ne peuvent pas imposer leurs sinistres restrictions des libertés pour Noël. Ça risque de lui couter les élections à l'autre ! >> dit Clémentine.

Elle rajoute : << Ils nous préparent une de leurs bonnes saloperies pour janvier ! Tu vas voir ! >>. J'écoute le développement de ses supputations. Clémentine se trompe rarement. Elle conclue : << Et puis qu'ils aillent au diable, d'où ils viennent d'ailleurs. Et nous, nous aurons passé un beau séjour dans notre belle Écosse ! >>. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait mille projets pour Édimbourg. Depuis peu, les masques sanitaires sont à nouveau obligatoires en Grande Bretagne.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. La délicieuse odeur de la tourte au choux-fleur envahit la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres. C'est à celui qui fera la plus vilaine grimace dans le miroir. Tête contre tête, au-dessus du lavabo, nous nous rinçons la bouche en poussant des grognements surréalistes. Je soulève Clémentine. Je l'emmène comme une jeune mariée. Nous descendons l'escalier avec d'infinies précautions. Nous voilà dans l'atelier. Je mets deux bûches dans l'âtre. Nous restons dans le canapé.

Il fait sombre car à l'extérieur le ciel est bas, gris et sinistre. En glissant sa main dans ma braguette ouverte pour en extraire le locataire, Clémentine revient sur le "souvenir" que veut se préparer Julie. Remplir ce petit flacon de mon sperme. << Je suis à me réjouir. Je veux voir comment Julie va s'y prendre ! >> lance t-elle en se levant pour se mettre à genoux sur l'épais coussin qu'elle vient de jeter au sol. Entre mes jambes, ces coudes en appui sur mes cuisses, elle hume longuement les effluves particulières de mon Zob. Je bande mou.

Clémentine adore se passer mon sexe sur le visage. Tout en parlant elle se le frotte sur les joues, les lèvres, le menton, le front. Je caresse ses cheveux en l'écoutant évoquer Julie. Lorsqu'elle gobe l'extrémité de ma queue, elle ferme les yeux, soudain concentrée. Parfaitement immobile Clémentine suce. Je peux admirer ses joues se creuser. Je peux sentir sa langue titiller mon méat. Je peux entendre sa respiration changer. Je me fais tailler une pipe des familles. Cette merveilleuse sensation d'avoir ma bite dans un bol de purée tiède. C'est sublime.

Je reste moi aussi immobile. La tête renversée en arrière. J'entends mes gémissements s'harmoniser avec ceux de Clémentine. La symbiose est parfaite, totale. Le sucé et la suceuse ne font plus qu'un seul élément. Parfois je redresse la tête pour observer Clémentine. Comme si elle s'en doutait, elle ouvre les yeux pour me fixer. Ses yeux tour à tour souriants, coquins. Son regard suggestif, amusé de mes émotions, vicieux et terriblement excitant. Du bruit. Estelle entre comme un ouragan dans l'atelier. << Derrière mon dos ! >> s'écrie t-elle.

Les filles se sont vues ce matin en cours. Estelle me couvre le visage de bisous. Clémentine cesse de pomper pour offrir mon sexe à Estelle. << Tu arrives au bon moment. C'est bien juteux ! >> dit elle en se redressant pour se jeter à coté de moi. Estelle prend sa place. L'indicible caresse reprend dans ce bruit bulleux, ces gargouillis si caractéristiques d'une pipe haut de gamme. Clémentine me chuchote des douceurs avec la bouche pleine. Elle l'ouvre pour me montrer. Mon foutre achève de se mélanger à sa salive. Elle tente de déglutir doucement.

<< Mmhh ! >> fait elle dans un long murmure de satisfaction. Estelle, les yeux ouverts pour nous observer a pris le relai d'une pipe extraordinairement délicieuse. C'est comme si c'était la première fois. Je bande comme un salaud. Cette sublime sensation de se faire tirer la jute du plus profond des couilles. Rien, absolument rien n'est comparable à ce divin délice. Elles se refilent ma queue, suçant à tour de rôle tout en parlant de l'Écosse, de nos vacances et des écrits qui les attendent. Je propose d'en rester là. Nous avons du travail.

Elles se lèvent toutes les deux pour m'entraîner dans une farandole folle. Nous tournons, nous sautillons dans toute la grande pièce. Estelle improvise des paroles loufoques sur un air de comptine. Phrases que nous reprenons sur la même mélodie. Nous éclatons de rire en nous serrant tous les trois. << Après tout, on s'en fout de tout, on est tous les trois ! >> s'écrie Estelle. Les voilà toutes les deux assises devant l'ordinateur, entourées de leurs fiches. J'admire cette capacité féminine de passer instantanément d'une situation à une autre. Fameux !

Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en écoutant mes deux anges échanger des idées de phrases. Relire, changer encore. Un mot, une locution, une tournure. Les compléments d'objets directs valsent entre les adjectifs et les verbes avec une rare virtuosité. Pour l'écossais que je suis, c'est encore une magnifique leçon de Français. Parfois, l'une se lève pour venir voir ce que je fais. Derrière moi, son visage dans mon cou pour me faire de chauds bisous, me chuchoter une cochonnerie. Parfois c'est moi qui les rejoins.

Debout derrière elles, mes mains sur leurs épaules, penché en avant, j'écoute leurs échanges. Je soulève les cheveux de l'une pour lui faire une bise dans la nuque. Y déposer mes lèvres comme une ventouse. Je passe à l'autre. << Mmhh, Julien ! Comment veux-tu qu'on se concentre avec un petit diable derrière nous ! >> lance Estelle. << Surtout n'arrête pas ! >> rajoute Clémentine. Il est rapidement 18 h. << Put-Hein ! Ou j'arrête ou je casse tout ! >> lance soudain Estelle. << Moi aussi, ras-le-bol ! >> s'écrie Clémentine. Elles rangent.

Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Tournant autour de moi, une feuille à la main, chacune fait la lecture d'un paragraphe de son texte. Ce sont des paragraphes courts, pertinents, explicites. Elles évitent de m'imposer les équations mathématiques qui parsèment leurs écrits. Elles se contentent de leurs développements. Je trouve tout cela génial. Jamais je ne serais capable de réaliser de telles choses. Je les félicite. Je me lève. Je retire ma blouse. Je fais tournoyer mon tuyau d'arrosage que je tiens entre le pouce et l'index à sa base. C'est encore trempé.

En voyant les éclaboussures gicler un peu n'importe comment, les filles se précipitent pour recueillir les reliquats de mon excitation de début d'après-midi. Touts les deux, à genoux sur l'épais tapis, se refilent ma bite en suçant passionnément. C'est qu'elles se disputeraient presque cette queue qui suinte de foutre. C'est un concerto de gémissements. Je leurs caresse la tête en leurs chuchotant des douceurs. Celle qui ne suce pas me montre l'intérieur de sa bouche. Je suis pris de vertige lorsque soudain un gros bruit sourd à l'étage nous rappelle à la réalité.

La réalité d'un phénomène pourtant irréel. L'arrivée du fantôme de mon ancienne compagne. << Bonsoir Christine ! >> font Estelle et Clémentine en même temps. Je les aide à se relever. Nous restons blottis tous les trois. L'odeur de bite qui émane de la bouche de mes deux anges rajoute encore au surréalisme de ce moment étrange. Des bruits de pas. Furtifs ce soir. Une porte qui grince longuement sans jamais se refermer. Tout cesse brusquement. Nous restons assis sur les poufs devant la cheminée à admirer les dernières flammes.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Lorsque Estelle découvre ce qu'il y a dans le four, elle se précipite dans mes bras. << Miam ! Comme j'aime ! >> s'écrie t-elle. Clémentine prépare une salade de tomates. Estelle met les assiettes et les couverts. Je glisse mes mains, par derrière, entre leurs cuisses. Je dis : << Moi aussi, j'aimerais beaucoup voir l'état du fond de ces culottes ! >>. Estelle déboutonne son jeans pour le descendre à mi-cuisses avec sa culotte. << Mais il suffit de demander ! >> lance t-elle en tirant ses lèvres.

En effet, en découvrant la "crème" onctueuse qui macule son protège slip, je constate le résultat des émotions vécues. Je demande : << C'est le fantôme qui te met dans ces états là ? >>. Estelle prend ma main pour la placer sur sa chatte. Elle resserre les cuisses en répondant : << Oui, je suis sujet à la peur panique quand je ne suis pas niquée ! >>. Nous éclatons de rire. La sonnerie du four. Je sors la Flamiche Picarde dorée et fumante. Il y a des bulles qui ont crevé les bords de la tourte durant l'ébullition durant la cuisson. C'est suggestif.

<< Miam ! On dirait du sperme ! >> lance Estelle en passant son doigt pour en récupérer. << Aïe ! Je suis conne, c'est chaud ! >> s'écrie t-elle en me montrant son doigt. Je saisis son poignet pour sucer son index. << Mmhh docteur Julien, vous êtes si doux ! >> dit elle encore. Nous mangeons de bon appétit. J'écoute les filles parler de leurs écrits, de leurs travaux de l'après-midi. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, elles évoquent le second trimestre. Je propose un bon léchage de minous pour après la vaisselle. << Pipe ! >> dit Estelle.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se sont régalées d'une bonne bite bien juteuse avant de subir un délicieux cunnilingus...

Julien



Classe

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Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1735 -



Juliette vient passer la soirée avec nous

Hier matin, mercredi, l'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. L'illusion de se réveiller dans un port de pêche. Le cri des mouettes, le clapotis des vagues toutes proches. Les sirènes de ces chalutiers qui se croisent. Il est presque six heures. Clémentine se serre contre moi en murmurant : << Comme c'était bon hier soir ! >>. Je chuchote : << Tu étais particulièrement délicieuse ! >>. Nous faisons bien évidemment allusion à ce délicat cunnilingus que j'ai offert aux filles hier soir. Des orgasmes cataclysmiques et bien juteux.

Quelque papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine faite le café, presse nos oranges en me racontant ses rêves. Je pèle nos kiwis en écoutant amusé. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier. Les fellations de l'après-midi, les cunnilingus du soir. Lorsqu'elle nous à quitté vers 22 h15, Estelle en était encore toute remuée. Ces souvenirs si récents nous font rire.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre départ pour Édimbourg dimanche. Le programme de tout ce qu'il faut faire avant de partir. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure de gymnastique. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Nous consacrons un peu de temps à pédaler comme des dingues sur nos vélos d'intérieur. Les abdos, les exercices au sol. Puis vient l'épreuve redoutable des charges additionnelles. Le retour au calme avec un bon stretching avant une douche bien méritée, salvatrice. Je descends le premier.

Dans le froid polaire je sors la voiture. Il est 7 h45. Il fait encore nuit. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, le lit. Je vais dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette septième toile destinée à ma saison 2022 m'envahit d'un véritable bonheur. Je peins habité par une profonde passion.

Il est aux environs de dix heures quand la stupide musique de mon téléphone le fait vibrer au fond de la poche de ma blouse. Je l'en tire en maugréant. C'est Juliette. Après quelques lieux communs nous avons plaisir à nous entendre, à bavarder. Juliette me confirme sa venue ce soir pour 19 h. Elle m'avoue se réjouir comme jamais tellement ses journées sont chargées. Nous nous saluons pour reprendre chacun nos activités. La matinée défile à une vitesse extraordinaire. Cette toile sera terminée vendredi. Le timing parfait. Cela me rend serein.

Je mets deux bûches dans le feu avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je mets une grosse bûche dans la cuisinière. Il suffit de réchauffer la dernière grosse part de Flamiche Picarde. Cette tourte au choux-fleur qui a fait les délices de notre repas de hier soir. Je lave les feuilles d'une belle et grasse scarole. J'écoute Sud Radio. Aujourd'hui encore André Bercoff semble déchaîné par de sains coups de gueules. Dans une poêle, je fais rissoler un filet de lieu noir préalablement passé dans l'œuf puis la chapelure. C'est rapide. Je mange de bon appétit.

Je fais la vaisselle. Je ne cesse de penser à l'appel de Juliette ce matin. Cette femme exerce ses envoûtements à la façon d'une belle sorcière. Je monte me laver les dents. Je redescends pour retourner à la cuisine. Selon le souhait de notre invitée de ce soir, je prépare une belle pâte à pain. Dans la poêle je fais revenir des tomates coupées en fines tranches, de l'ail de l'oignon, des champignons. J'y rajoute des filets d'anchois en fin de cuisson. La pâte repose sous un linge dans un saladier. La garniture repose sous un couvercle dans la poêle.

Le nécessaire pour les pizzas de ce soir est prêt. J'enfile mon anorak pour aller faire quelques pas au dehors. Le ciel reste désespérément gris, morose et bas. Le froid reste une constante depuis près de deux mois. Je remplis la brouette d'une vingtaine de bûches. J'empile le bois de chêne à côté de la cuisinière. Le bois de hêtre à côté de la cheminée de l'atelier. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé de pensées libidineuses, salaces et drôlement inspiratrices. Chaque coup de pinceau est plus sublime que le précédent.

L'après-midi passe aussi vite que ce matin. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Je lui raconte la conversation avec Juliette. << J'ai vraiment envie que tu ais un comportement de dépravé avec elle, ce soir ! >> me dit Clémentine en me couvrant le visage de bisou. Rien ne l'excite davantage que de me voir vicelard avec les femmes qu'elle me choisit.

Clémentine a encore du travail. Assise devant l'ordinateur, elle commente ses écrits. Les paragraphes qu'elle a encore changé. J'écoute en peignant. J'essaie de me concentrer sur le sens des phrases plutôt que sur la musique de ses paroles. Tournant autour de moi, elle me fait plusieurs lectures. Je suis sollicité pour donner des avis. C'est tellement bien rédigé qu'il m'est réellement impossible d'être objectif. A chaque fois, avant de corriger une formule, elle me fait un bisou. << Put-Hein comme j'en ai marre ! >> s'écrie t-elle. Il est 18 h15.

Je nettoie la palette et les pinceaux. Clémentine range ses fiches. Nous voilà installés sur les poufs devant la cheminée. Juste la lueur dansante des dernières flammes. Clémentine, sa tête dans le creux de mon épaule, ses bras autour de ma taille me fait part de ses doutes et de ses certitudes. Cette mini thèse qu'il faudra rendre vendredi matin la tourmente. Je la rassure. C'est tellement parfait que ses professeurs seront encore ravis. Les éloges sauront effacer ses dernières appréhensions. Après tout, c'est une réaction très saine.

Soudain, au-dessus de nos têtes ce bruit sourd que nous connaissons bien. Il résonne comme le gong annonciateur de ce qui va suivre. Le fantôme de mon ancienne compagne ne ménage pas sa peine ce soir. Ce sont des courses poursuites à l'étage. Des portes qui grincent, qui claquent. On déplace des meubles. C'est un vacarme infernal. Rare. Clémentine et moi nous restons blottis à écouter en retenant nos respirations. Elle glisse sa main dans ma braguette pour saisir son "doudou" rassurant et protecteur. Tout cesse aussi brusquement.

Il est 18 h45. La musique ridicule de mon téléphone. Clémentine se lève pour le saisir sur la desserte. << Juliette ! Elle est arrivée ! Sors ta bite. Soit hyper vicieux ce soir. Je dois vraiment me changer les idées ! >> lance t-elle en se précipitant vers la porte. Je sors ma queue. Toute la journée j'ai pensé à cette femme. Cela a provoqué bien des émois. Oui. J'ai envie d'être ce vicieux que souhaite Clémentine. Et très certainement Juliette. Je suis debout devant l'âtre à regarder les flammes s'éteindre sur un tapis de braises incandescentes. Je bande.

Je me masturbe doucement. Clémentine revient suivie de Juliette. << Oh ! Quelle agréable accueil ! >> lance t-elle en venant me serrer la main. Ce soir encore, Juliette est vêtue de sa tenue d'écuyère. Ce pantalon d'équitation brun aussi moulant qu'un legging. Son pull kaki d'où dépassent le col blanc de son chemisier. Ses bottes de cuir noir et brillantes. Ses longs cheveux noirs qui flottent jusqu'au milieu de son dos. Cette silhouette d'athlète. Je pose mes mains sur ses épaules pour dire : << Bonsoir madame. Vous êtes encore de toute beauté ! >>.

Clémentine me fait un clin d'œil. C'est totalement surréaliste. Je me comporte en parfait gentleman mais avec la queue fièrement dressée vers les moulures du plafond. Juliette fait bien évidemment mine de ne pas s'être aperçu de quoi que ce soit. Cette attitude toute féminine qui me comble d'un plaisir supplémentaire. J'aime le raffinement de ces jeux d'une intensité sexuelle rare. Juliette, avec cette satisfaction exhibitionniste dont elle est coutumière, se dirige vers le chevalet. Ce déhanchement exagéré me séduit encore davantage. Quel cul !

Clémentine reste serrée contre moi. Nous observons les attitudes de Juliette. Visiblement, ce soir elle aussi a besoin de s'amuser. Son pantalon d'écuyère ne cache aucun détail de son anatomie la plus intime. Une fois encore j'admire la couture qui passe exactement au milieu de ce triangle si bien dessiné. Cette couture qui sépare sa vulve en deux petites bosses charnues qui donne l'envie irrépressible d'être palpées. Juliette nous dit : << Si tout va bien, je peux enfin vous acheter un petit tableau en juin de l'année prochaine ! >>.

Je réponds : << Juliette, je vous réserve une surprise ! >>. Elle baisse les yeux, pointe son index vers mon sexe pour rajouter : << Mais cette surprise me ravit ! >>. Nous rions. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine prépare l'assaisonnement du reste de la scarole déjà lavée. Je travaille la pâte à pain. Juliette met les assiettes et les couverts. La garniture réchauffe dans la poêle. Juliette veut absolument participer. << Me changer les idées auprès de vous reste une vraie thérapie ! >> dit elle.

Elle râpe le gruyère. J'étale la pâte en quatre grandes parties rondes. J'y étale la garniture. Juliette y dépose le gruyère. Je mets trois pizzas dans le four de la cuisinière à bois. La cuisson est rapide et presque instantanée. La quatrième pizza au four électrique. Ce sera mon repas de demain midi. Juliette s'approche. Elle s'accroupit devant le four. J'ai ma bite toute molle qui pend à une cinquantaine de centimètres de son visage. Il fait bien trop chaud près de la cuisinière pour y rester plus de quelques instants. Juliette se redresse.

Elle passe l'index sur la couture de son pantalon jusqu'à passer sa main entre ses cuisses. Clémentine saisit mon sexe, serrée contre moi. Elle l'agite en direction de Juliette qui parle de sa journée harassante. Il y a 87 chevaux en pensions jusqu'au printemps. Le travail est considérable. Je bande mou. Avec l'excitation, une goutte de liquide séminal perle à l'extrémité de mon prépuce. Entre le pouce et l'index, Clémentine appuie sur la peau fripée comme pour l'essorer. Mon foutre est épais, visqueux et gluant. Aucun risque que la goutte s'écoule.

A nouveau Juliette s'accroupit pour observer de plus près. Je demande : << C'est votre "première" aujourd'hui ? >>. Elle relève la tête pour répondre : << Oui. Aujourd'hui aucun répit. Mais demain, il y a Robert, le vétérinaire ! Peut-être queue... >>. Elle insiste sur "queue". Nous en rions de bon cœur. Clémentine lui présente ma bite en disant : << Voilà de quoi ôter la frustration du manque ! >>. Juliette se redresse tout en continuant d'appuyer du doigt sur les bosses de sa vulve. << Comme c'est gentil Clémentine ! >> murmure t-elle. Nous rions.

Je vais sortir les pizzas du four. Il était temps. Elles sont magnifiques. Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte son samedi dernier. Une partie à trois avec madame Walter et pierre son mari. Le dimanche il fallait assurer l'animation du haras. Je me lève à plusieurs reprises pour agiter ma bite dans sa direction. J'adore le regard sévère, courroucé qu'elle m'adresse à chaque fois. Comme si cette magnifique bourgeoise de 48 ans était offusquée. Ce jeu qui dure depuis quatre ans ne nous lasse pas. Bien au contraire.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Juliette a ramené une belle tarte aux poires qu'elle a préparé début septembre. << J'en ai plein le congélateur. Ce sont des poires de votre verger ! >> précise t-elle. Je me souviens de Juliette, tout en haut de l'échelle double, entrain de faire la cueillette. Une image bucolique. Nous dégustons le dessert au salon. Je me masturbe franchement, vautré à côté de Clémentine dans le canapé. Assise dans le fauteuil en face de nous, Juliette se touche. Son index qui joue avec les deux bosses, titille l'endroit du clito.

Clémentine se lève. Elle déboutonne son jeans pour le descendre en même temps que sa culotte. Ses vêtements à mi-cuisses elle montre son clitoris géant. << J'ai envie de vous Clémentine. Cette "chose" me fait terriblement envie ! >> lance Juliette. Hélas pour elle, (et pour moi), Clémentine n'a strictement aucun penchant homosexuel. A chaque fois qu'elle le précise, Juliette prend un air triste et navré. << Clémentine, vous feriez le bonheur de n'importe quelle femme aimant les femmes ! Vous devriez tenter ! >>. Clémentine éclate de rire.

<< Je préfère faire celui de Julien et de quelques messieurs dont les queues m'inspirent ! >> répond Clémentine en tenant son clitoris géant entre le pouce et l'index. << C'est fantastique ! Je suis jalouse ! >> lance Juliette penchée en avant pour mieux voir. Elle rajoute : << C'est comme un petite queue de mec ! Presque la taille de la bite minuscule de Gérard ! >>. Nous rions de cette comparaison saugrenue mais proche de la réalité. Il est 22 h. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à son auto. Nous sommes invités samedi soir chez elle, repas de Noël.

Bonne soirée à toutes les coquines dotées d'un clitoris hors normes dont elles sont fières d'en dévoiler les vertus, les fonctions possibles...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1736 -



Estelle vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, jeudi, l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. Il est presque six heures quand résonnent les sirènes de ces gros bateaux dans le lointain. Les cris des mouettes viennent parfaire l'illusion de nous réveiller au bord de la mer. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Quelques papouilles. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Encore vaseux nous revêtons nos leggings, nos sweats en lycra noir. Morts de faim, nous dévalons les escalier jusqu'à la cuisine. J'y allume de suite la cuisinière à bois.

Clémentine fait le café. Pendant qu'elle presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans cet angoissant claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la visite de Juliette hier soir. L'invitation à venir partager le repas samedi pour 19 h30. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant les toutes dernières informations. Les restrictions sanitaires refont leurs sinistres apparitions. << Tu vois, ces trouducs nous infligent leurs premières saloperies pour les fêtes ! >> lance Clémentine.

Il est 6 h25. Nous montons nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulant. Clémentine semble accomplir ses exercices au sol et ses abdos dans une sorte de rage. Elle parle de nos vacances en Écosse. L'entraînement avec charges additionnelles calme les choses par la difficulté qu'il induit. Un retour au calme grâce à un stretching salvateur. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Il est 7 h45. Il fait encore nuit. Clémentine, emmitouflée dans son anorak me rejoint dans le froid glacial.

Un dernier bisou. << J'ai un plan B au cas où ! >> me dit elle. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire la vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. J'y allume un bon feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare mes couleurs en chantonnant "Le grand café" de Charles Trenet. J'attaque ce matin la septième nature morte destinée à ma saison 2022. Je peins sans cesser de penser à la conversation du petit déjeuner. Notre départ pour Édimbourg devient bien hypothétique.

Il est aux environs de dix heures quand la stupide musique de mon téléphone déchire le silence monacale de la grande pièce. En maugréant je m'en empare. C'est mon oncle. Alan m'informe des dernières mesures mises en place par le gouvernement Britannique. Le parlement écossais calques ses décisions sur celle de Londres. Il ne sait pas encore si l'Angleterre, par mesure de rétorsions, ne va pas interdire l'arrivée des ressortissants français sur son sol. En grande Bretagne aussi la population en a marre des incompétences de ses dirigeants.

Nous parlons de la situation. Oncle Alan a 88 ans. Pour lui, ce serait presque dramatique de ne pas nous revoir à Noël. Je possède la double nationalité. Sujet de sa majesté britannique vivant en France, j'ai toutes les facilités pour voyager d'un pays à l'autre. Mais qu'en sera t-il pour ma compagne et Estelle ? Nous nous promettons de nous tenir informés. Nous nous saluons. Je reprends mon travail en pensant à cette étrange situation. C'est vrai qu'il y a de quoi pester contre l'indigence d'une telle gestion sanitaire. La matinée passe à toute vitesse.

Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer la dernière pizza de hier soir. Je lave les feuilles d'une belle laitue. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Avec les nouvelles restrictions sanitaires qui s'annoncent, André Bercoff est évidemment dans tous ses états. Sud Radio étant une station n'appartenant à aucun grand groupe financier, l'information n'y est ni formatée, ni calibrée, ni tronquée. Ce qui permet de se faire une idée beaucoup plus objective. Bien plus "réelle".

Je ne traîne pas. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Je redescends pour revenir à la cuisine. Je prépare une onctueuse pâte à crêpe tout en faisant rissoler des crevettes à peine décongelées. En fin de cuisson j'y rajoute de petits bolets et des morceaux d'un beau poivron rouge. Hors du feu je couvre d'un couvercle. Sur le saladier contenant la pâte à crêpe, je mets un linge. Le nécessaire pour notre repas du soir est prêt. Il suffit d'égoutter les coquillettes, de les verser dans un plat, de les recouvrir de gruyère, de les mettre au four.

Je mets mon anorak pour aller faire quelques pas dehors. Le sol étant détrempé, je reste sur les dalles de grès. En remplissant la corbeille d'une dizaine de bûche j'entends : << Bonjour Julien ! >> Je suis dans l'abri à bois. C'est monsieur Bertrand, notre voisin. Il revient des canards comme il aime à dire. Nous bavardons un peu. Lui aussi est en rage contre une gestion calamiteuse et ses conséquences sur les libertés. << Vous allez voir, ils vont nous inventer 30 vagues successives et nous imposer 30 vaccins successifs ! >> lance t-il, furieux.

Comme Louis est un homme jovial, toujours optimiste, sa bonne humeur reprend rapidement le dessus. Nous rions aux éclats de certains de ses bons mots. Le vieux salaud ne fait pas la moindre allusion à Clémentine. Le retraité ne sait évidemment pas que je sais tout. Je l'observe en pensant à ses frasques sexuelles avec ma compagne. Vieux saligaud va ! Nous nous saluons. Je rentre avec ma corbeille. Je dispose les bûches de chêne à la cuisine. Les bûches de hêtre à côté de la cheminée de l'atelier. Me voilà confortablement installé devant le chevalet.

Je peins sans cesser de penser aux différentes hypothèses possibles pour notre séjour écossais. L'après-midi passe aussi vite que la matinée. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule. En sautillant elle se précipite vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Il est sérieusement question de devoir remettre les masques sanitaires en cours dès janvier ! >> lance t-elle avec un air de dépit. De dégoût.

Elle a encore du travail. Clémentine est assise devant son ordinateur. Elle commente chacune de ses activités. J'aime l'entendre parler pendant que je peins. Je lui raconte la conversation avec notre voisin. << Celui-là, ça fait longtemps que je ne l'ai plus sucer ! >> lance t-elle en allumant l'imprimante. Nous rions de bon cœur. Je suis heureux de constater que la situation que nous prépare nos irresponsables ne la met pas de mauvais poils. Clémentine vient me montrer la mise en page de la mini thèse qu'elle doit présenter demain matin.

<< Les oraux auront lieu à la rentrée, lundi 3 janvier ! >> rajoute t-elle. Je la félicite pour la qualité de son élaboration. C'est superbement présenté. Il est 18 h15. Je nettoie la palette et les pinceaux. Nous entendons Estelle chanter. Elle entre dans l'atelier comme un ouragan. Elle se précipite pour me faire plein de bises. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles prennent un ton grave. << Qu'est-ce qu'on fait pour dimanche ? On prend l'avion et on fout le camps ? >> demande Estelle. Il y a un long silence.

<< Attendons les décisions de cette bande de nazes ! >> répond Clémentine. J'écoute les différentes stratégies possibles. Clémentine rajoute : << Arrivés à Édimbourg, il faudra rester deux jours enfermés malgré le résultat des tests. C'est pour revenir le dimanche 2 janvier que ça risque d'être beaucoup plus compliqué. Depuis le départ l'Écosse puis pour le retour en France. Ils vont nous faire chier, c'est certain. Ce sont devenus de grands experts dans l'art d'emmerder le monde ! >>. Nous restons silencieux à peser le sens de ces vérités.

Soudain, au-dessus de nos têtes, le bruit sourd, caverneux à l'étrange résonance. << Bonsoir Christine ! >> font les filles en même temps. L'intrusion inattendue du fantôme de mon ancienne compagne nous ramène aux réalités immédiates. << Christine s'en moque éperdument de nos soucis ! >> lance Estelle. Nous écoutons les errances de l'entité qui se déplace à l'étage. Le florilège habituel des portes qui grincent sans raison, des meubles qu'on déplace. Hors, lorsque nous montons pour nous coucher, tout est toujours parfaitement en ordre.

Estelle glisse sa main dans ma braguette béante. << Mon doudou pour me rassurer ! >> murmure t-elle en me sortant la queue. Clémentine m'embrasse avec fougue. Puis c'est au tour d'Estelle qui refuse d'offrir ma bite à Clémentine. Nous rions de bon cœur. Toutes les manifestations surnaturelles ont cessé aussi brusquement qu'elles ont commencé. Nous regardons la danse des dernières flammes. Dans l'obscurité de l'atelier elle font mouvoir des formes étranges sur les murs. << Des ombres chinoises bien de chez nous ! >> lance Estelle.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Estelle remue la pâte à crêpes pendant que je fais bouillir l'huile de friture. Je sors le gratin de coquillettes du four électrique pour le mettre dans le four à bois. Estelle jette les crevettes, les bolets et les morceaux de poivron rouge dans la pâte à crêpe. Puis elle les met dans l'huile en ébullition. Un petite minute de friture et Clémentine retire les beignets avec l'écumoire. << J'aime aller à la pêche ! >> dit elle à chaque cueillette.

Elle les dispose sur du papier absorbant que je change souvent. Je surveille le gratin dans le four à bois car il est impossible d'y contrôler la cuisson et la température. Nous mangeons de bon appétit en revenant évidemment sur nos vacances écossaises. << De toutes façons, quoi qu'il arrive, nous sommes ensemble tous les trois ! >> fait Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. << Et j'ai un plan B en suspend ! >> rajoute Clémentine en mimant une fellation. Nous rions de bon cœur. Je me lève pour agiter ma bite vers mes deux anges.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font mille projets selon la situation qui se présentera dans les tous prochains jours. Estelle nous raconte sa baise de hier soir. Jean-Marc, son parrain s'est encore occupé de son cas en la niquant dans la réserve, sur les piles de cartons. << A la sauvage ! >> comme aime à le préciser Estelle avant de rajouter : << Le salaud m'a encore défoncé la chatte ! >>. Clémentine raconte notre soirée en compagnie de Juliette. Estelle aussi se réjouit pour notre invitation de samedi soir. Des bisous.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent par la main au salon. Je suis entre mes deux anges. Vautrés dans le canapé nous échangeons nos impressions. Nos caractères optimistes nous permettent de ne pas sombrer dans la morosité en cas d'annulation de nos projets écossais. Estelle, tout en tordant mon sexe dans tous les sens, précise : << De toutes manières, leurs mesures à la con ne s'appliquent pas dans nos vies. Ni ici, ni dans ma famille, ni dans notre petit cercle de relations ! >>. Je bande mou, heureusement.

Lorsque je mets ma main entre les cuisses chaudes d'Estelle, elle s'écrie : << J'ai la chatte toute congestionnée à cause de la baise de hier soir. Docteur Julien, faites quelque chose ! >>. Nous éclatons de rire. Je dis : << Déshabillez vous chère patiente, je vais examiner vote cas ! >>. Clémentine et Estelle retirent leurs jeans et leurs culottes en riant. Je jette les épais coussins au sol. A genoux entre les jambes d'Estelle, mon visage entre ses cuisses, c'est par son sexe que je commence ma dégustation. << Mmhh docteur Julien ! >> murmure t-elle.

Je passe de l'une à l'autre. Lorsque je ne fouille pas les plis et les replis des lèvres de leurs vulves, je suce leurs clitoris. Quand je lèche, que je suce, toutes les deux se masturbent. L'orgasme d'Estelle est rapide. Nucléaire. Celui de Clémentine est pisseux. La cuvette en plastique est encore à moitié pleine de pisse moussue. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il est déjà 21 h45. Elles reprennent leurs esprits en se refilant ma bite qu'elles sucent avec avidité. J'éjacule n'importe comment en tentant malgré tout d'être équitable dans ma distribution.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font examiner la chatte par un thérapeute expert en orgasmes féminins...

Docteur Julien



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C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1737 -



Julie vient prendre son cours de peinture

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. L'illusion parfaite de se réveiller dans un port. Les cris des mouettes. La sirène d'un gros bateau qui résonne dans le lointain. Clémentine se blottit contre moi. < C'est trop dur. Je reste au lit ! >> murmure t-elle dans le prolongement de son gémissement. Quelques papouilles. C'est moi qui l'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Le vendredi Clémentine termine à midi. Ce qui la rend rapidement déconneuse dès le réveil. Aujourd'hui l'euphorie est double, car c'est les vacances à midi.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges en me racontant ses rêves. Je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain est tellement désagréable. << Il faut vivre dangereusement ! Départ dimanche à 14 h ! >> lance Clémentine en me faisant valser dans la cuisine dans une danse lascive. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier soir. Le départ attristé d'Estelle à 22 h15.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Il n'est pas chargé mais nécessite une bonne organisation. Il est 6 h25. Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Aérobics, prétexte à des fous rires. Le jogging sur les tapis roulants. Les abdos, les exercices au sol, dans la déconne la plus totale. Je suis plié non pas seulement par les "crunch" mais par les attitudes et les histoires de Clémentine. Avec les charges additionnelles les choses redeviennent sérieuses. Le retour au calme avec un stretching surréaliste.

La douche. Je descends le premier pour aller préparer la voiture. Il est 7 h45. La nuit est glaciale. Clémentine me rejoint en sautillant. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire notre vaisselle. Je fais notre lit avant d'aller dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en riant des bons mots de Clémentine. J'adore la voir rire, déconner. Je peins dans cette magnifique euphorie.

Il est 11 h15 quand je dépose la dernière touche de rouge de cadmium sur la surface du tableau achevé. C'est la septième nature morte destinée à ma saison d'été. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Pour cet après-midi, je prépare le chevalet de table. Ce sera pour le cours de peinture de Julie. Je me réjouis pour la revoir. Je range un peu l'atelier afin de le retrouver ordonné dès notre retour en janvier. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les beignets de crevettes et le gratin de coquillettes.

Je prépare une salade de carottes en écoutant Sud Radio. André Bercoff semble encore bien bagarreur aujourd'hui. Il est midi trente quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Je la fais tournoyer dans les airs. Ses jambes enserrent ma taille. Elle me couvre le visage de bisous. << Je me suis arrêtée à la station pour faire le plein. Je me suis fais draguer par un petit bonhomme rigolo ! >> dit elle en revenant des toilettes. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Estelle aussi est bien décidée.

Notre départ pour Édimbourg se fera comme prévu, dimanche à 14 h. Ce sont les parents d'Estelle qui insistent. Ils veulent nous conduire à l'aéroport. Nous ne traînons pas. Nous faisons la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Clémentine reste vêtue comme elle l'est. Je mets un jeans propre, une chemise blanche sous mon pull bleu nuit à col en "V". C'est Clémentine qui choisit la couleur de mon écharpe. Elle m'entraîne devant le miroir. Sa main posée sur ma braguette, elle dit : << Look at this beautiful couple ! >>. Elle palpe ma braguette.

Nous descendons en nous serrant fort. Nous enfilons nos manteaux noirs. Coiffés de nos chapeaux feutre nous voilà d'une plaisante élégance. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Clémentine insiste pour que nous prenions sa voiture mais je suis prié de conduire. Je roule doucement. Elle glisse sa main dans ma braguette ouverte. << En Écosse, je vais être salope. Tu n'imagines même pas. Alors il faut que je te prépare au pire ! >> dit elle. Je passe ma main entre ses cuisses pour dire : << Moi, de même ! Attention ! >>.

Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'à la maison médicalisée. Nous avons rendez-vous chez notre médecin. Je gare la voiture à côté de celle des parents d'Estelle. Nous récupérons nos tests à la pharmacie. Nous montons rejoindre Estelle, Michèle et Yvan dans la salle d'attente. Les parents d'Estelle sont toujours tellement contents de nous revoir. Nous portons nos masques sanitaires car il y a deux autres personnes. Nous mettons rapidement au point le programme de dimanche. Michèle et Yvan viendront manger à la maison pour 11 h45.

Nous prendrons le repas pour midi. Il y a quarante kilomètres jusqu'à l'aéroport. Il faudra donc partir pour 13 h. Eux aussi ont un avion mardi, mais pour rejoindre les parents de Michèle dans le Var. Ils y passeront les fêtes. Nous entrons chacun séparément pour la dernière consultation et l'établissement d'un certificat médical prouvant notre bonne condition. Nous sommes évidemment tous les cinq en parfaite bonne santé. Point de contamination à quoi que ce soit sinon à la gaudriole, au stupre, à la luxure et en proies à nos libidos débridées.

Nous bavardons encore un peu sur le parking. Comme toujours Estelle est tout contre son papa. Je surprends les regards furtifs de sa maman vers ma braguette. Clémentine me tient par la taille. Estelle vient nous rejoindre demain samedi pour 14 h. Les filles se promettent de limiter leurs bagages à une seule valise "moyenne" chacune. Nous éclatons de rire car c'est une chose quasi impossible. Le plus souvent lorsqu'elle partent une semaine il y a des affaires pour un mois. Nous nous saluons. << A dimanche ! >> nous lance Michèle.

Estelle, assise à l'arrière, nous mime une pipe en faisant un clin d'œil. Nous lui faisons un coucou. Nous repartons pour la maison. Dans l'auto Clémentine lit le rapport médical. Le résultat de nos tests PCR serviront de laisser passer dans les deux aéroports dimanche. Arrivés à Édimbourg il faudra repasser les tests et rester confinés deux jours. << Si c'est le prix à payer pour passer un sublime séjour dans la merveilleuse Édimbourg, ce n'est pas cher ! >> conclue Clémentine. Il est 15 h30 quand nous revenons à la maison. Le ciel est menaçant.

A peine la voiture rangée dans le garage, voilà la Clio rouge qui descend doucement pour se garer. Julie, éclatante de bonheur, radieuse, se précipite vers nous. Elle aussi a fait son test en début d'après-midi, avec ses parents. Ils veulent passer des fêtes sans interrogations. Bien évidemment pour eux aussi tout va pour le mieux. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Nous voilà dans l'atelier. Je mets deux bûches dans la cheminée. Julie est confortablement installée dans le fauteuil. Clémentine prépare le thé et les crêpes dentelles sèches en cigares.

Nous bavardons. Julie, résignée, s'est fait à l'idée de ne pas nous voir durant deux semaines. Elle va faire son job de serveuse dans le restaurant de sa tante. << Il y a des réservations tous les soirs. Heureusement qu'on ferme le 25 et 26 décembre. Je joue à l'agent de police, je contrôle les QR Codes des clients. Il paraît qu'il y en a des faux ! >> nous raconte Julie. Elle n'ose pas soutenir mon regard plus d'une ou deux secondes. Par contre, elle regarde ostensiblement ma braguette. Comme pour me faire comprendre quelque chose.

Clémentine, assise à côté de moi, s'en rend bien compte. Aussi, elle déboutonne la braguette de mon Levi's 501. Julie se lève. Elle va à la table de travail. De son minuscule sac à main elle tire le petit flacon à épices qu'elle a emporté lundi dernier. Clémentine sort mon sexe. Elle le tient à sa base. Je bande mou. Julie vient nous rejoindre. C'est la toute première fois qu'elle s'accroupit ainsi devant moi. Elle tient le flacon qu'elle fait tourner. Elle en dévisse le bouchon. Elle passe son index à l'intérieur. Nous restons silencieux tous les trois. Complices.

Ce souvenir que Julie veut garder durant notre absence. Il est 16 h30. Julie devra nous laisser immédiatement après son cours de peinture à 18 h. Elle reprend son service au restaurant pour 18 h30. Je me lève afin d'être plus à l'aise, ma queue entre les mains de Clémentine. Julie tire un des poufs pour s'assoir dessus. Son visage à hauteur de ma braguette. Clémentine reste assise sur ma droite. Sa tête contre ma taille, elle agite ma bite vers Julie. Son visage à une cinquantaine de centimètres. Tous les trois, nous retenons nos respirations.

Je sens mon cœur battre la chamade. Je bande comme un priapique en phase terminale. Julie colle l'ouverture du flacon contre la fameuse "veine bleue". << Tu veux t'occuper de tout ? >> lui demande Clémentine. Je vois Julie lutter contre une terrible tentation. Je glisse ma main sous ses cheveux pour caresser sa nuque. Je lui retire délicatement ses lunettes d'étudiante pour les poser sur le petit guéridon. Julie, le regard soudain suppliant tente de soutenir le mien. Comme elle est belle à lutter ainsi contre sa timidité, son inhibition de jeune fille.

La première goutte de liquide séminal perle à l'extrémité de mon gland. Clémentine le décalotte juste ce qu'il faut. Elle explique à Julie que je déteste avoir le gland à l'air. Même en été quand il fait chaud. J'avoue pourquoi. Julie écoute sans cesser d'observer. Excité comme je le suis, les épanchements de liquide séminal se transforment en coulures. Julie récupère ce jus de couilles avec un soin extrême. Ça coule dans le flacon qu'elle tient en étant concentrée. Souvent en apnée, excitée comme une puce, elle reprend sa respiration en gémissant.

Clémentine me masturbe doucement. Les filles se font parfois des sourires complices. Parfois elles rient. Je contracte mes muscles fessiers. D'abord parce que c'est super bon dans ce genre de situation. Ensuite parce que ça participe de l'abondante sécrétion. Je suis hyper juteux. Ça coule tout le temps. Je dis : << Julie, vous m'offrez là un moment d'exception ! >>. Elle me répond : << Et à moi donc, Vous n'imaginez pas ! >>. Clémentine cesse de me branler pour glisser son index sous ma queue. Dans un geste virtuose elle extrait mes couilles.

<< Mmhh ! >> murmure Julie. Son visage est en sueur. Elle tient le flacon des deux mains pour le faire tourner. Il y a plein de foutre au fond. Je dirige ma bite vers le bas. Julie tente d'y enfoncer l'embouchure du flacon. Trop étroit pour y faire pénétrer ma queue. Clémentine me tient par la taille de son bras gauche. Sa main droite entre mes cuisses. << C'est génial avec les couilles dehors ! >> lance Julie dans un souffle en reprenant sa respiration. Je me concentre. Je dois pisser depuis le retour. Les filles se doutent de quelque chose. Attention !

Tous les trois, en apnées, nous attendons. J'arrive à lâcher un tout petit jet. Julie tient l'ouverture du flacon pour tout récupérer. Une toute petite giclée qui vient liquéfier le foutre épais et gluant qui stagne au fond du flacon. Elle récupère soigneusement la coulure de mélange qui s'écoule. Le petit récipient de verre est remplit d'un tiers. J'essore bien la peau de mon prépuce pour en faire s'écouler le mélange. Impossible de pisser encore. Je suis bien trop excité. Julie lève le flacon pour en observer le contenu en le faisant tourner.

Je me branle en contrôlant parfaitement mon mouvement. Pas question d'en mettre à côté, d'en perdre la moindre goutte. J'éjacule soigneusement dans le flacon sous les << Wouah ! >> de Clémentine. Les << Oohhh ! >> de Julie. Je suis agité de ces soubresauts qui suivent un orgasme qui me fait hurler. Julie s'écrie : << C'est beau un homme qui jouit ! >>. Clémentine rajoute : << C'est beau de le faire jouir ! >>. J'essore soigneusement la peau fripée de mon prépuce sur le bord du flacon. Il est presque plein. Du sperme épais et visqueux.

Julie se lève. Elle se dirige vers la lampe à halogène. Elle fait tourner le flacon sous la lumière pour en scruter le contenu. Clémentine me suce, toujours soucieuse de ne pas gâcher. Nous rejoignons Julie en pleine admiration de son "souvenir". Clémentine lui montre l'intérieur de sa bouche. Je dis : << Vous voyez Julie, il en reste toujours un peu ! >>. Elle me fait le plus adorable des sourires en revissant le bouchon du flacon. << Merci Julien ! C'était génial ! Je vais garder ce flacon comme un talisman ! >> dit elle avec un air malicieux et espiègle.

Il est temps de passer au cours de peinture. Je remballe ma queue pour ne pas risquer de tacher mon jeans propre. Clémentine est debout en face de nous à classer ses dernières fiches du trimestre. Julie et moi nous sommes côte à côte. Je la regarde peindre. Elle va terminer son second paysage ce soir. Elle reviendra demain matin pour le ménage. Il est 18 h10. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture dans la nuit glaciale. Juste avant de partir, elle nous montre le flacon en mimant un bisou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ont encore vécu une expérience nouvelle. Qui sont en appétit d'une bonne pipe, d'un bon cunni...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1738 -



Un samedi de préparatifs. Calme et serein...

Hier matin, samedi, il est huit heures quand Clémentine vient se frotter à moi. Une cuisse sous mes fesses, l'autre sur mon ventre, elle se masturbe doucement. << Je m'entraîne pour Édimbourg, parce que je vais faire ça tous les jours ! >> murmure t-elle. Je chuchote : << Et tu vas me réveiller comme ça tous les matins ? >>. En se couchant sur moi elle rajoute : << Oui ! Je t'aime ! >>. Quelques papouilles en luttant contre l'impérieux besoin naturel. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues sport, nous descendons.

Il fait frais dans la cuisine. J'allume immédiatement un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café et presse les oranges. Je pèle nos kiwis. L'horrible claquement sec du grille pain qui éjecte les premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la visite de Julie hier après-midi. Le flacon emplit de mon sperme qu'elle a emmené en "souvenir". La soirée qui s'en est suivie, Clémentine et moi, enfin seuls. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour. Aujourd'hui la seule livraison sera boulangère.

Les deux paquets de gâteaux commandés à madame Marthe. Gâteaux que nous emmenons en Écosse. Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Julie ne va pas tarder. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me confie sa joie intense. Notre départ demain. La musique stupide de mon téléphone. Clémentine se lève pour le prendre sur le frigo. << Julie ! >> dit elle. Nous allons accueillir notre délicieuse jeune amie. Julie est radieuse. Tellement heureuse de nous revoir. Je la débarrasse de son anorak.

Comme tous les samedis matins, travailleuse et consciencieuse, Julie se met au ménage. Nous faisons la vaisselle. Nous montons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Avec ce froid, nous n'avons ni l'envie ni le courage d'aller courir dehors. Nous entendons Julie chantonner en passant l'aspirateur. L'aérobic est encore un prétexte à faire les pitres. Sautant sur place, tout en écartant nos bras, nous nous faisons face. Clémentine fait des choses absurdes qui me font éclater de rire. Impossible de me concentrer sur mes sauts. De synchroniser.

Le jogging sur tapis roulants oblige à se concentrer davantage. Pour ne pas se casser la gueule lorsque le tapis accélère. Exercices au sol, abdominaux. Les charges additionnelles. Le retour au calme avec un stretching décousu et surréaliste. Clémentine n'arrête pas de glisser sa main entre mes cuisses. << Je n'y peux rien, tu m'excites en legging ! >> dit elle pour tenter de justifier ses élans libidineux. La douche. Nous adorons nous embrasser sous l'eau. Là, le samedi matin, nous avons le temps de faire des trucs sous la douche. C'est délicieux.

Nous nous habillons. Nos jeans, nos épaisses chemises à carreaux. << Viens, sors ta bite ! Il y a Julie. J'adore voir ses réactions ! >> fait Clémentine en glissant sa main dans ma braguette qu'elle déboutonne. << Ça commence fort, hein ? >> lance t-elle en m'entraînant par le Zob. Nous changeons les draps du lit. Nous ouvrons grandes les fenêtres. Il fait encore rudement froid. Il est 9 h50. Julie entre dans la chambre avec l'aspirateur en main. En sortant nous déposons chacun une bise sur son front. Nous dévalons les escalier en riant.

Une fois encore Julie à fait mine de ne pas remarquer le "tuyau d'arrosage" qui pend de ma braguette. << Je te veux hyper vicelard en Écosse ! >> dit Clémentine en me sautant au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous avant de me lécher les lèvres, la bouche. << Vous m'excitez au-delà du raisonnable cher monsieur ! >> lance t-elle. Je remballe. Nous enfilons nos anoraks. Nous sortons dans un brouillard qui semble s'épaissir. Il y a même du givre sur les branches, les bosquets. Voilà le tube Citroën.

Madame Marthe est toujours hilare. Elle ne tarit pas de bons mots, de plaisanteries. Ce n'est pas souvent très fin, mais nous adorons son optimisme et sa bonne humeur. Nous récupérons les deux paquets contenant les petits kouign-amann aux miel, à la pâte d'amande, de noisette. Spécialitées du mari de notre boulangère préférée. En humant les paquets nous pouvant en apprécier les effluves parfumées. Nous confirmons nos prochaines commandes pour le samedi 8 janvier. Avec les paquets nous récupérons les deux grosses miches de pain bio.

Nous saluons madame Marthe en lui souhaitant d'excellentes fêtes de fin d'année. << Chez nous pas de protocole ! >> lance t-elle avant de repartir. Un dernier coup de klaxon avant de disparaître en haut du chemin. Nous passons par derrière pour descendre à la cave. Je mets les deux grosses miches dans le congélateur. J'en tire un paquet de moules, un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Nous remontons. Julie est entrain de passer la serpillère à la cuisine. Nous allons au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur.

Un courriel de mon oncle. Même si elle ne tient pas au sol, la neige tombe à Édimbourg. Nous sommes attendus avec impatience pour dimanche soir. Ma famille écossaise a suivi elle aussi toutes les mesures sanitaires avec le plus grand scrupule. En Grande Bretagne le QR Code n'existe pas. Par contre il faut justifier d'un test de 24 h pour chaque déplacement en restaurant, musée, cinéma, salle de spectacle. Nous avons nos attestations. Nous confirmons notre arrivée pour les environs de 19 h. Il y a un message de Juliette. Elle nous attend.

Juliette nous rappelle que nous sommes attendus chez elle pour 19 h30 ce soir. Repas surprise. Nous confirmons notre venue. Pendant que Clémentine surfe sur le site de son université, je glisse un billet de 50 € dans la petite enveloppe jaune. J'y rajoute un petit mot. Clémentine y rajoute les siens en dessinant des lèvres. Comme le symbole d'un bisou. Je murmure : << Comme tu dessines bien ! >>. Pour toute réponse elle enfonce sa langue dans ma bouche. Cet acte agit toujours sur moi comme une décharge électrique. C'est absolument divin.

Il est 11 h15. Julie vient nous rejoindre. << Les draps sont dans la machine, ça tourne. N'oubliez pas de les sortir ! >> dit elle. Je lui tends la petite enveloppe jaune. De son minuscule sac à main, un mini sac à dos de cuir noir, Julie tire le flacon. Elle le pose sur le bureau en disant : << Je le garde avec moi partout. Je l'avais même dans mon lit cette nuit ! >>. Nous éclatons de rire. << Fais tout de même attention qu'il ne s'ouvre pas ! >> lance Clémentine en prenant le flacon pour en examiner le contenu. Mon sperme. Le silence est lourd.

<< J'ai scellé le couvercle avec de la cire à cacheter ! >> explique Julie en glissant son index autour du bouchon. << Ah oui ! Pas con. Pas de fuites possibles ! >> s'écrie Clémentine. << Pas d'ouverture intempestive et non souhaitée. Le contenu est précieux ! >> rajoute Julie. Nous sommes pliés d'un fou rire. Julie change soudain d'expression pour dire : << Comme vous allez me manquer durant ces vacances ! Comme ça va être dur ! >>. Je me lève pour la prendre contre moi. Clémentine se serre derrière elle. Julie est aux bords des larmes.

Je dis : << Julie, en partant, vous emmenez une clef de la maison. Vous êtes ici chez vous. Venez quand vous en ressentez le besoin. Et puis ça nous fera tellement plaisir de savoir que vous venez y passer un peu de temps ! >>. Julie se blottit dans mes bras comme elle ne l'a jamais fait. Il y a un sanglot. Nous la savons terriblement émotive. Clémentine la prend par les mains. Elles font le tour de la grande pièce. Je sors ma bite. Julie sèche ses larmes. Elle me fait le plus délicieux des sourires. Je dis : << Et puis elle aussi pensera à vous ! >>.

J'agite mon sexe dans la direction des filles. Julie retrouve sa bonne humeur. Clémentine rajoute : << Pense à la rentrée. On se revoit bientôt. Profite de tes vacances ! >> Julie se serre dans ses bras. C'est touchant. Je me sens soudain le dernier des cons avec ma bite à la main. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Elle garde le flacon serré dans sa main. Assise au volant, elle le range dans son sac en disant : << C'est mon talisman ! >>. Clémentine rajoute : << Il te portera bonheur ! >>. Nous éclatons de rire une dernière fois.

Nous regardons la Clio rouge monter doucement le chemin jusqu'au portail. Un dernier coucou. Julie sort de son auto pour nous envoyer un tas de bises en soufflant sur ses mains comme pour nous les envoyer. Nous faisons pareil. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Je porte l'eau à ébullition. Je fais un bouillon dans lequel je jette les moules. Dans le wok, je verse les haricots verts, les petits pois. C'est rapide. C'est simple, mais c'est si bon. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Julie.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point les sentiments de Julie pour elle l'effraient. << Je ne peux pas y répondre. Il faut que tu prennes le relai de manière plus contraignante ! >> m'explique t-elle. Je ne comprends pas bien. Je dis : << Julie est amoureuse de toi, d'Estelle, de moi, selon le moment et les circonstances ! >>. Clémentine rajoute : << Mais de la part d'Estelle et de moi, il n'y a pas de retour possible. C'est juste toi qui peut lui offrir de l'élément physique ! >>.

En éclatant de rire, Clémentine dit encore : << Du sperme dans un flacon par exemple ! >>. Nous rions. Bien évidemment ce ne sont nullement des moqueries. C'est plutôt comme une catharsis pour fuir l'embarras que nos sentiments induisent. << On s'est encore mis dans une galère ! >> conclue Clémentine. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir. << Qu'ils sont où les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle juste avant qu'elle n'entre dans la salle de bain.

Nous restons serrés tous les trois. << Ça va être comme ça tout le temps pendant deux semaines ! >> murmure Estelle en déposant des bises sur les joues de Clémentine, sur les miennes. Nous quittons la salle de bain. << J'ai tout préparé mes affaires hier soir avec maman ! >> fait Estelle en soulevant la valise à roulettes posée en haut de l'escalier. Je la prends. Je la soupèse. Je dis : << Ça ne sera pas accepté dans l'avion ! >>. Nous éclatons de rire. Estelle demande : << Et pourquoi donc ? >>. Clémentine dit : << Pas la valise, la fille ! >>.

C'est dans cette ambiance qui préfigure celle des deux semaines à venir que nous allons dans la chambre. Estelle ouvre sa valise. Elle dit : << Regardez, j'ai vraiment pris le minimum syndical ! >>. C'est une valise de grande taille car il y a deux paires de baskets, une paire de souliers de villes. Nous nous inspirons de cette méthode pour préparer nos valises. Nous calquons nos choix de vêtements sur ceux d'Estelle. Elle fait : << De toute façon, il y a encore des trucs que j'emmène pour rien ! C'est sûr ! >>. Estelle nous aide à ranger et à plier.

Il est impossible de glisser les deux paquets de gâteaux dans les valises. Nous avons beau ruser. Il faut se résigner à les mettre dans un sachet. Sachet qu'il faudra trimballer avec les valoches. Si la situation sanitaire avait été plus claire, nous aurions procédé autrement. Nous avons pour habitude d'envoyer les colis par la poste pour les récupérer une fois arrivés à destination. Nous maudissons cette fatalité absurde. << Ces cons-là aurait rendu cette put-hein de vaccination obligatoire au printemps, nous n'en serions pas là ! >> dit Clémentine.

Nous descendons avec nos valises. Nous les déposons dans le hall d'entrée. Ce sont les parents d'Estelle qui nous emmèneront à l'aéroport demain. Qui reviendront nous chercher dimanche 2 janvier en fin d'après-midi. C'est très sympa. Estelle précise : << Et au retour nous serons confiné deux jours en attendant les résultats des tests. On reste ensemble ! >>. Cette évidence nous enchante. Nous mettons nos anoraks pour sortir. Il faut rentrer du bois. Nous faisons deux allés retours avec la brouette chargée d'une vingtaine de bûches à chaque fois.

Nous mettons à profit cette météo brumeuse, froide mais sans pluie. Clémentine propose une bonne randonnée. << Pour ouvrir nos appétits ce soir ! >> dit elle. Nous applaudissons cette suggestion. Il suffit de changer de godasses. Estelle se frotte contre moi en disant : << Je vais être salope en Écosse. Tu ne vas pas t'en remettre ! >>. Elle ne me laisse pas le temps de répondre. Sa langue exploratrice déjà enfoncée dans ma bouche. Clémentine, derrière moi, palpe ma braguette en disant : << Moi, je ne répond plus de mes pulsions ! >>.

Nous rions. C'est elle qui m'embrasse. Estelle lance : << On se prémunit de tout. On reste entre nous. Et chaque sortie se fera dans la prudence la plus totale. Aucune promiscuité ! D'accord ? >>. Clémentine répond : << Ça tombe sous le sens ! >>. Je rajoute : << Pas d'inquiétude. Nous reviendrons indemnes et prêts à de nouvelles aventures ! >>. Nous sortons. Mes deux anges me tiennent les mains. Nous montons jusqu'au portail. Nous traversons la route pour prendre le chemin. Les arbres nus de la forêt sont autant de fantômes.

L'ambiance est très particulière dans cette brume. C'est un peu comme dans un film expressionniste allemand des années trente. Tout est en noir et blanc sauf les couleurs de nos vêtements. Clémentine prend des photos avec l'appareil que nous emmenons dans le petit sac à dos. En automatique, posé sur une souche, un rocher ou sur le poteau d'une clôture. Sous nos bonnets, avec nos gants, nous faisons les pitres pour chaque cliché. Tout au fond de moi, de mes 54 ans, je sais qu'un jour ces photos seront douloureuses à regarder. Je joue le jeu.

Clémentine dont le sixième sens est aiguisé sait ce qui passe par mon esprit. Nous sommes télépathes. Aussi, elle se serre contre moi, me fait un bisou sur le nez en disant : << C'est dans très longtemps. N'y pense pas ! >>. Estelle comprend elle aussi. Elle fait pareil en faisant : << Mais d'ici là, imagine un peu tout ce que nous allons encore vivre ! Et c'est ça qui compte ! >>. Nous gambadons comme des gamins sortant de l'école. Les filles m'entraînent dans des rondes, des farandoles. Nous chantons, nous poussons des cris surréalistes.

Tout cela résonne étrangement dans le brouillard. Il y a quelquefois des craquements. Quelques animaux sauvages qui nous observent probablement. Il y a quantité de cervidés dans la région. Des sangliers. Là, un écureuil curieux qui nous regarde accroché à un tronc. Toute une bande de corneilles volent en poussant leurs croassements. On ne les voit pas à cause de la brume de plus en plus épaisse. Nous nous serrons souvent. Quand ce n'est pas Clémentine qui m'embrasse, c'est Estelle. Je glisse souvent mes mains entre leurs cuisses.

C'est chaud. Elles font pareil avant de remonter aux couilles qu'elles palpent au travers le tissu de mon jeans. << Put-hein, ça s'annonce fort ces vacances ! >> lance Estelle. Il est dix sept heures. Le nuit arrive a grande vitesse pour remplacer ce long crépuscule d'hiver. Nous connaissons parfaitement les lieux. Du moins croyons-nous les connaître. Nous nous égarons deux fois. << Oh put-hein, on est aux bancs ! On s'est planté ! >> lance Estelle. Il faut bien réfléchir. La formule la plus logique est de retrouver la route. Nous nous sommes perdus.

C'est excitant. Il faut traverser des ronces en faisant attention de ne pas nous y accrocher ou de déchirer nos jeans. Une sacré aventure. Voilà enfin la route. Nous sommes à environ un kilomètre de la maison. Nous reconnaissons les deux bornes en pierre qui se font face de chaque côté dans le talus. Nous voilà "sauvés". Il est 18 h quand nous revenons à la maison. << Quelle expédition ! >> fait Estelle en déboutonnant ma braguette. Nous allons dans l'atelier. Nous voilà vautrés dans le canapé devant des bols de thé fumant.

Soudain, au-dessus de nos têtes, le bruit sourd qui annonce l'arrivée de Christine. Ce soir encore, le fantôme de ma compagne disparue se manifeste avec son florilège de pas, de meubles que l'on déplace et de portes qui grincent avant de claquer. << Venez, on monte voir ! >> lance Estelle en se levant d'un bond. Devant nos hésitations elle nous entraîne par la main. Nous montons les escaliers à toute vitesse. Cette fois, nous sommes bien décidés à constater le phénomène là où il se déroule. Rien. Tout, absolument tout est en ordre. Plus un bruit.

Soudain, un vent glacial. Un vent qui passe entre nous. Nous percevons un sanglot plaintif. D'où vient-il ? Estelle, décidément bien courageuse, ouvre la porte de la chambre. Tout est normal. Un nouveau souffle glacial. C'est effrayant. Estelle ouvre la porte de la salle d'entraînement. Rien. La porte de la salle de bain. Rien. La porte de l'escalier qui monte au grenier. C'est un froid glacial. Elle referme vite. Nous nous regardons. Nous redescendons, perplexes et dubitatifs. Estelle glisse sa main dans ma braguette pour me sortir la bite.

Vautrés dans le canapé du salon nous échangeons nos impressions. Ce vent glacial qui a fouetté nos visages, dans le couloir. Rien ne peut autant glacer les sangs. Tout en tordant ma queue dans tous les sens, Estelle tente quelques explications. Elle conclue : << Les tentatives d'explications sont toujours beaucoup plus ridicules que les phénomènes eux-même ! >>. Nous la rejoignons dans ce principe. Clémentine pour détendre l'atmosphère, lance : << Et si on se préparait pour aller chez Juliette ? Il commence à faire faim ! >>. C'est bien vrai.

Nous remontons nous changer. Les filles portent une jupe noire, droite, des bas noirs, des bottes. Un chemisier crème sous un pull noir. Elles choisissent mon pantalon noir, ma chemise crème sous un pull noir. Tous les trois vêtus des mêmes teintes. Leurs manteaux cintrés à la taille, leurs longs cheveux qui flottent dans le dos. Comme elles sont belles. Je prends la conscience douloureuse de mon privilège. J'aimerais que le temps se fige. Que l'éternité reste bloquée à tout jamais en cet instant. Nous prenons des poses devant le miroir.

Nous aimons l'élégance. Nous descendons prudemment. Nous quittons la maison. Je roule doucement. Avec ce brouillard impossible de dépasser les 10 km/h. Et encore. Clémentine et Estelle sont assises à ma gauche. Je ne sais plus l'interdire à Estelle. << Je veux avoir ta queue à portée de main ! >> dit elle en posant sa main sur ma bouche pour m'empêcher de répondre. Il y a trois kilomètres jusqu'au haras. Je gare l'auto dans la cour déserte. Il y a juste les lumières de sécurité au-dessus des portes des écuries. La brume enveloppe tout.

Juliette vient nous accueillir au bas de l'escalier. Ce soir, elle aussi est en jupe. De son élégance coutumière. Nous montons à sa suite. Son grand appartement est situé au-dessus des bureaux de son entreprise. Tout est étrangement silencieux. Je dépose le grand Tupperware qui contient la tarte aux noix sur le buffet. Juliette est toute contente de nous revoir. Nous grignotons quelques noix de cajou installés au salon. La grande table est mise. Juliette, assise dans le fauteuil qui nous fait face, nous parle de ses journées chargées. Le besoin de repos.

Hélas pour elle, la pension pour chevaux ne trouvera le calme qu'au début mai. Je fixe ostensiblement ses genoux. Juliette les garde serrés. Elle surprend mon regard insistant. Je suis entre Estelle et Clémentine qui me tiennent par les mains. C'est absolument génial d'être en compagnie de trois merveilleuses femmes. Belles, élégantes, raffinées. J'ai un frisson qui parcourt mon dos. Juliette, tout en bavardant, croise ses jambes, les décroise. Je suis aux aguets. J'aimerais tant voir entre ses cuisses. Enfin ! Je constate le porte-jarretelles. Super.

Juliette aussi porte des bas noirs. Son chemisier blanc sous son gilet sans manches, sa jupe tailleur, ses escarpins à talons. Wouah. Magnifique bourgeoise de 48 ans qui pourrait être la maman d'Estelle et de Clémentine. Je fais d'ailleurs souvent le parallèle entre Michèle et Juliette. La même classe étourdissante. Juliette se lève. << On passe à table ? >> lance t-elle en ajustant sa jupe. Nous la suivons à la cuisine. Ce soir c'est un gratin de courgette, d'aubergine en accompagnement de pavés de saumon grillés aux petits champignons noirs.

Je sors les gratins du four. Nous emmenons les plats au salon. Juliette préside en bout de table. Je suis assis en face d'elle. Estelle à ma gauche qui me fait du pied. Clémentine à ma droite qui me fait du genoux. Le repas est succulent. Nous mangeons de bon appétit. Avec l'inconnu des mesures sanitaires à venir pour janvier, Juliette ne fait aucun projet de partouze, de gloryhole et autres joyeusetés auxquelles nous sommes souvent conviés. << Une gestion aussi calamiteuse mérite une série de procès ! >> lance t-elle d'une voix sourde.

<< Ils s'en tireront toujours les enfoirés ! >> fait Estelle. Clémentine oriente la conversation sur le souvenir de la "partie carrée" d'il y a un mois. Elle demande : << Il y a eu des récidives coquines depuis ? >>. Juliette, en riant, répond : << Quelques pipes à gauche à droite ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je bande. C'est très inconfortable dans un slip et un pantalon serrés. Sous une table de surcroit. J'ouvre ma braguette. Estelle, Clémentine et Juliette, soudain silencieuse, observent le mouvement de mes bras, mes mains sous la table.

<< C'est bon ? Ça y est ? >> lance Juliette en mimant une masturbation masculine. << On peut voir ? >> rajoute Estelle. Je me lève. Je pose mes mains sur mes hanches. Par contractions des muscles fessiers, je fais bouger mon sexe de façon régulière. Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine saisit mon Zob à sa base. << Et les couilles ? On aime bien lorsqu'il y a des couilles en l'air quand la braguette est ouverte ! >> dit Estelle. Juliette me fixe avec ce regard sévère, comme lourd de reproches. Ce n'est évidemment qu'un jeu.

Je tire mes couilles du slip. Me voilà avec la bite et les roupettes exposées. C'est de toute beauté sur le noir de mon pantalon. Je fais bouger ma queue. << C'est superbe ! >> lance Juliette avant de se mettre à applaudir. Je dis : << Merci ! Tout le plaisir est pour nous quatre ! >>. Juliette se lève. Elle trousse sa jupe de sa main gauche pour y glisser sa main droite. Elle se touche avec une vulgarité rare. Clémentine se lève à son tour pour faire la même chose. C'est au tour d'Estelle. Sans même nous consulter, nous prenons chacun un coin de table.

Nous nous frottons sur les angles en nous observant. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Nous nous masturbons en nous souriant. C'est énorme. Nous vivons là, tous les quatre, un de ces moments divins que seuls connaissent les membres d'un "Club" de complices. Cela fait plus de quatre ans que nous sommes les membres de ce "Club" très fermé. Nous sommes bien conscients de nos privilèges. Clémentine, tête baissée, le visage caché par ses cheveux, se masturbe en gémissant. Elle se tient aux bords de la table comme chacun de nous.

Je passe ma main sur son front pour dégager ses cheveux en disant : << Montre-nous ton minois de jouisseuse ! >>. Comme affolée par mon initiative, Clémentine accélère son mouvement. Je fais pareil à Estelle. Elle est en sueur. Juliette se mordille la lèvre inférieure en observant mes initiatives. Elle s'écrie : << On passe au dessert ? >>. Nous cessons en même temps. Nous éclatons de rire. << Put-hein comme c'est bon les branles communes ! >> lance Estelle qui redescend sa jupe à présent fripée. Nous débarrassons pour faire la vaisselle.

C'est vautrés dans le canapé du salon, Juliette dans son fauteuil, que nous nous savourons nos tranches de tarte aux noix. Je bande mou. Il y a une coulure de foutre qui macule le côté gauche de ma braguette. Juliette pointe son doigt vers la tache en disant : << Des fuites ? >>. Nous rions. Clémentine trousse sa jupe pour nous montrer sa chatte en disant : << Moi aussi ! >>. C'est vrai. En y regardant bien, il y a de la foutrine qui macule l'intérieur de sa jupe. Même constatation chez Estelle. Les filles se lèvent toutes les trois pour se montrer la chatte.

Juliette est toujours admirative devant les systèmes pileux de Clémentine et d'Estelle. << Je n'ose pas laisser pousser en broussailles comme vous ! C'est absolument génial ! >> dit Juliette. Je fais : << Vous êtes très bien fournie aussi Juliette ! >>. Estelle s'écrie : << Et on a pareil sous les bras ! >>. Nous éclatons de rire. Estelle et Clémentine savent à quel point un système pileux "sauvage" peut exercer un effet fou sur la libido de beaucoup d'hommes. Chez elles, pas de "tickets de métro" ou "d'abricots". Non, elles préservent la nature.

<< Ça plairait à l'autre là, la Greta machin truc ! >> lance Estelle. << Greta Thunberg ! >> précise Juliette. Nous en rigolons comme des bossus. Il est déjà 22 h30. Nous avons un programme chargé pour demain dimanche. Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Nous nous souhaitons bonnes fêtes de fin d'année. Nous sentons une pointe de tristesse dans la voix de Juliette. << Prenez-soin de vous et soyez prudents ! >> dit elle encore. Un dernier coucou. Il est presque 23 h. Complètement crevés nous voilà au lit. Estelle s'endort la première.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment la proximité des membres du même "Club" pour de délicieuses masturbations communes...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1739 -



Le jour du départ

Hier matin, dimanche, il est aux environs de neuf heures. C'est le mouvement des pieds d'Estelle contre les miens qui me tire du sommeil. Estelle reste toujours accrochée à moi durant nos nuits. Comme une naufragée à sa branche. Elle épouse le moindre de mes mouvements. Depuis plus de quatre ans, c'est un peu comme une chorégraphie. Elle pose ses lèvres dans le creux de mon cou pour en faire des ventouses. Sa main glisse dans mon slip pour saisir mon érection naturelle. Son souffle chaud, puis le doux murmure à mon oreille.

Bien évidemment tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Je glisse mes mains dans les culottes. Je dénoue quelques nœuds dans les poils. Je fais délicatement passer mes index entre les lèvres de leurs sexes. C'est la sensation la plus délicieuse que je connaisse au réveil. Clémentine, une jambe sous mes fesses, l'autre sur mon ventre, se frotte contre ma hanche en gémissant. Nous restons ainsi, le plus longtemps possible. Il faut lutter contre l'irrépressible envie de pisser. Plein de bisous. Papouilles.

Estelle s'arrache à cet enchantement paradisiaque en se levant la première. Se précipitant vers la porte en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine continue son mouvement masturbatoire contre ma hanche, sa tête dans le creux de mon épaule. Estelle revient pour retirer son pyjama de soie mauve. Nous la laissons pour nous précipiter aux toilettes. << Venez vite, je prépare le petit déjeuner ! >> fait elle. Nous nous vêtons de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux. Nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine.

L'odeur du café, du pain grillé. Estelle est habillée pareille que nous. Elle me saute au cou. Je la soulève. Je la fais tourner. Ses jambes autour de ma taille elle me couvre le visage de bisous. Même traitement à Clémentine qui vient de mettre les bols sur la table. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner dans une certaine euphorie. C'est le jour du départ. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre soirée en compagnie de Juliette hier. Un repas délicieux pour quatre membres du même "Club".

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges font l'inventaire de tout ce qu'il faut encore glisser dans les valises. Estelle murmure : << Comme je vais être salope en Écosse ! >>. Clémentine chuchote : << On fera tous les jours un concours pour voir laquelle sera la plus salope ! >>. Nous rions de bon cœur. Je dis : << Vous êtes toujours sur la première marche du podium ! >>. Les filles me font des bises en mitraille. C'est merveilleux de nous enivrer ainsi de câlins dès le matin.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Devant le miroir de la salle de bain nous faisons les pitres. J'adore les entendre rire, de la crème dentifrice autour des lèvres. Tête contre tête, nous nous rinçons la bouche au-dessus du lavabo en poussant des gémissements surréalistes. En changeant de tonalité dans la déconne complète. Estelle nous entraîne dans une farandole. C'est ainsi que nous entrons dans la chambre pour y faire notre lit. Refermer les fenêtres. Dehors, il fait toujours aussi gris, aussi froid.

Nous récupérons nos affaires de toilettes. Serviettes, gants, les pochettes contenant nos brosses, le dentifrice, les crèmes. Nous faisons le tour de l'étage. Tout est en ordre. Julie a fait le ménage hier matin. Nous laisserons une maison propre. Nous dévalons les escaliers. Estelle glisse sa main dans ma braguette béante. << Il faut vérifier. Il ne faudrait pas oublier un des trucs les plus importants ! >>. Elle me sort la queue pour l'agiter vers Clémentine qui dit : << La vérification n'est pas complète ! >>. Elle s'accroupit pour en extraire mes couilles.

<< Bite et couilles à l'air dans l'avion ! >> lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus en imaginant la scène. Nous passons au salon. Assises sur mes genoux, les filles allument l'ordinateur. Estelle garde mon sexe mou dans sa main. Parfois, avec l'index, elle titille les testicules. Il y a un seul mail. Celui de Julie qui nous souhaite d'excellentes vacances. Ses papys et ses mamies vont arriver demain pour une semaine. Julie joint deux selfies. Le premier pris dans les toilettes du sous-sol du restaurant que nous reconnaissons très bien.

Elle pose devant les urinoirs vêtue de sa tenue de serveuse. Bas noirs, jupe de velours noir et moiré. Chemisier blanc sous un gilet à manches courtes noir. Ses chaussures noires à légers talons. Son petit tablier blanc en demi lune de fines dentelles. << Comme elle est excitante ! >> lance Clémentine. << Toi, t'es amoureuse ! >> lui fait Estelle. Clémentine répond : << Si j'étais gouine elle ferait une belle compagne ! >>. Sur la seconde photo, Julie est en jeans, en sweat comme d'habitude. Elle pose au bras d'Anne-Marie, sa tante.

<< Tu vois, elle est déjà la compagne de la patronne du restau ! >> lance Estelle. Nous répondons en souhaitant à Julie de belles fêtes. Il est déjà 10 h30. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Les dernières endives. Estelle et moi nous épluchons les patates que nous lavons et coupons en fines lamelles. Des chips qu'elle fait rissoler dans la poêle en les retournant sans arrêt. Il suffit de les poser sur du papier absorbant pour les débarrasser de l'excédent de graisse. Je fais revenir cinq dos de cabillaud blanc.

J'ai la bite à l'air. J'ai remballé les couilles car c'est vraiment désagréable. La braguette fait garrot. Lorsque j'ai les mains occupées à préparer une sauce au Roquefort, Estelle me saisit la queue. La voilà accroupie derrière moi pour me la choper. Son bras entre mes cuisses que je serre pour l'empêcher de l'enlever. Clémentine vient fouiller ma bouche de sa langue exploratrice. Malgré nos "exactions" nous préparons consciencieusement un repas qui nous met en appétit. Nous mettons les assiettes et les couverts. Tout est prêt. Il est 11 h30.

Le portail est ouvert. Estelle se précipite dans le hall. Nous la rejoignons pour accueillir ses parents. J'ai remballé ma queue de travers. Dans la précipitation. A côté du slip. La couture rend la situation de mon Zob très inconfortable. Michèle est magnifique avec sa longue natte. Une fois encore cette femme de 47 ans évoquerait plutôt la grande sœur d'Estelle que sa maman. Yvan, avec sa classe naturelle est tout sourire. Nous avons tous deux la même taille. Comme il est culturiste aussi, sa silhouette d'acteur hollywoodien en est encore sublimée.

Estelle saisit la main de son papa pour l'entraîner. Michèle prend le bras de Clémentine. Nous voilà à la cuisine, confortablement installés à table. Estelle insiste pour faire le service. << A Édimbourg, je suis chargée de l'intendance. Autant me mettre dans le bain ! >> lance t-elle. Yvan et Michèle sont eux aussi vêtus de jeans et de chemises à carreaux. << Bienvenu au "Club" ! >> lance Estelle en me faisant un clin d'œil. Il ne fait aucun doute que chacun des convives comprend immédiatement de quel "Club" il est question. Nous rions de bon cœur.

C'est un repas simple mais délicieux. Yvan et Michèle s'envolent pour le Var demain. Ils iront passer les fêtes chez les parents de Michèle. Nous nous promettons de nous envoyer des courriels régulièrement. << C'est le premier Noël sans Estelle. Ça va nous faire drôle ! >> dit Michèle. Elle me lance un curieux regard. Clémentine s'empresse de rajouter : << On vous confisque Estelle. Mais c'est une volonté délibérée ! >>. Estelle se lève pour faire une bise à sa maman et s'assoir sur les genoux de son papa. Nous ne traînons pas. La vaisselle.

C'est très rare que nous utilisions le lave vaisselle. Mais le timing nous y oblige. Nous montons vite nous laver les dents en laissant les parents d'Estelle terminer de ranger. Nous dévalons les escaliers. Il est déjà 12 h45. Nous faisons un rapide tour pour une dernière vérification. Juste avant de sortir, j'enclenche les alarmes. La maison est équipée d'une domotique de pointe. Nos voisins sont prévenus de notre absence. Nous laissons un maison propre et accueillante. Nos valises dans le coffre de la voiture. C'est Michèle qui va conduire.

Nous sommes installés à l'arrière. Estelle à ma droite qui tient son papa assis devant par le cou. Clémentine à ma gauche. Il y a environ 45 km jusqu'à l'aéroport. Notre avion est à 14 h20. La conduite de Michèle est rassurante. Parfaite. Nous bavardons. Les parents d'Estelle ont déjà loué un cottage dans la région d'Inverness pour l'été prochain. Un mois. Eux aussi sont tombés sous le charme de l'Écosse. Il est 13 h45. Michèle gare l'auto sur le grand parking. Nous tirons nos valises à roulettes en marchant vite. Il faut porter les masques sanitaires.

Nous voilà dans la file devant un des guichets. Les distanciations sont respectées. Il faut passer le portique. Rien ne sonne. Seule la lumière verte clignote. Premier contrôle. Nous présentons nos billets. Contrôle de nos tests PCR. De nos QR Codes. Tout est OK. Yvan et Michèle ne peuvent nous accompagner plus loin. Nous montons dans le petit bus qui nous emmène sur le tarmac. Au loin, leurs silhouettes. Un dernier coucou. Nous montons l'escalier. Un nouveau contrôle par deux hôtesses qui nous disent : << Air France vous souhaite la bienvenue ! >>.

Nous voyageons toujours en première classe. La promiscuité y est moindre et beaucoup plus supportable. Je suis entre mes deux anges. La rangée de droite. Estelle commente les recommandations en trois langues que nous entendons dans le haut parleur juste au-dessus de nous. << Merde, j'ai oublié mes mouchoirs dans la valise ! >> murmure t-elle. Clémentine lui tend le paquet qu'elle tire de la poche de sa chemise. L'avion se met en mouvement. Les filles saisissent mes poignets. Estelle a toujours une frousse bleue des voyages en avion.

Le voyage se passe sans encombre. Ce qui est parfaitement normal puisque nous ne l'avons pas emmené avec nous. Il n'y a pas grand chose à voir par le hublot sur notre droite. L'avion est constamment en altitude dans les nuages. Les hôtesses Air France ne sont pas seulement charmantes mais également aux petits soins pour les passagers. Un arrêt à l'aéroport de Londres. Pas de changements. Il est 15 h30 quand notre appareil se pose à EDI. L'aéroport situé à 15 km d'Édimbourg. Les QR Codes n'existent pas en Grande Bretagne.

Par contre il faut immédiatement présenter les documents médicaux. Ce sont des agents scrupuleux qui contrôlent chaque voyageur. Cela fait presque cinq heures que nous portons nos masques sanitaires. C'est extrêmement pénible. Clémentine éprouve du mal à respirer correctement. Nous passons les points de contrôle avec succès. Comme pour les autres voyageurs. Dans le hall, oncle Alan et sa femme. Ils ne peuvent cacher leur joie. Assis à l'arrière de la grande Jaguar noire, Estelle, Clémentine et moi, nous ne réalisons pas encore vraiment.

Il neige. La route est mouillée. Nous arrivons sur les hauteurs d'Édimbourg. Quelle que soit la saison, le quartier résidentiel de Morningside garde tout son charme mystérieux. Il fait nuit. Il y a de la brume. Nous prenons nos quartiers à l'étage de la grande demeure victorienne. Le repas du soir est un bonheur. Estelle et Clémentine font partie de ma famille. Elles sont toutes les deux traitées avec tous les égards. La fatigue nous gagne. Il est 22 h quand nous sommes couchés. Je suis entre mes deux anges. Nous bavardons encore un peu. Plongeons !

Bonne soirée à toutes les coquines qui sont bien arrivées sur le lieu de leurs prochaines aventures. Il va y avoir de grands moments...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2021 - Épisode 1740 -



Notre première journée à Édimbourg

Hier matin, mardi, il est huit heures lorsque Clémentine se serre contre moi en murmurant : << On nous attend pour le petit déjeuner ! >>. Estelle qui se blottit fort dans mes bras se réveille en même. Je suis entre mes deux anges. Nous émergeons doucement. Je remercie Clémentine de nous avoir tiré du sommeil à temps. Nous retrouvons avec plaisir cet appartement au premier étage de la maison de mon oncle Alan et de sa femme Amy. Nous y avons tous nos repères et les réflexes sont immédiats. Estelle se lève en s'écriant : << Pipi ! >>.

Clémentine me chevauche. Elle me caresse le visage. << Je t'aime Julien. Je ne sais pas comment j'aurais connu l'Écosse sans toi. Et dans d'aussi agréables conditions ! >> dit elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Je fais : << L'Écosse était dans ton ADN. Tu l'aurais rencontré d'une autre façon ! >>. Clémentine secoue ma bite pour en faire tomber les dernières gouttes. Nous rejoignons Estelle. Morts de faim, vêtus de leggings, de nos sweats en lycra noir, nous dévalons les escaliers. Amy nous souhaite le bonjour. Toute contente.

Comme Amy et Alan aiment à le préciser : << Toute cette jeunesse dans la maison est un bain de jouvence ! >>. Eux aussi ont pris toutes les mesures de protections. L'épidémie est repartie de plus belle en Grande Bretagne. Nous sommes invités à passer à la cuisine. Trois bols, des tranches de pain grillé. Mon oncle et sa compagne se lèvent de bonne heure. Ils ont déjà pris leur petit déjeuner depuis un moment. Ils sont assis avec nous. Nous mangeons de bon appétit. Nous avons toujours tant de choses à nous raconter. Pour eux, c'est vraiment la fête.

Nous traînons à table. Dehors, il neige. Cette neige ne tient pas au sol. Sous cee latitudes, en cette période de l'année, le jour ne se lève jamais complètement. C'est assez sinistre. Il est donc hors de question d'aller faire un jogging. Amy et Alan comprennent bien notre profond désir d'indépendance. Nous sommes invités à partager le repas de mercredi soir et bien évidement celui du réveillon de Noël. Ma tante de Saint Andrews et son mari viendront passer les fêtes de Noël ici. Margaret et Jack arriveront vendredi matin. Des réjouissances.

Nous remontons. Nous faisons nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Estelle et Clémentine m'entraînent dans une farandole folle. Nous faisons notre lit. Nous fermons la fenêtre. Il fait froid dans la chambre. C'est dans le salon que nous faisons nos exercices aérobics. Nos abdominaux. Nos exercices au sol. Pour les développés couchés que j'aime à pratiquer. Clémentine me tient par les mains, en appuie sur moi. Je la soulève ainsi pour trois séries de dix répétitions. Bien évidemment Estelle veut la même chose.

Nous pratiquons toujours ainsi quand il n'y a pas d'autres façons de procéder. Le stretching du retour au calme n'est qu'un nouveau prétexte à la déconne. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume son MacBook Pro. Nous avons fait un essai hier soir. La Wifi fonctionne à la perfection. La connexion Internet est immédiate. Nous découvrons nos trois messages. Celui de Julie qui nous raconte son week-end. Celui de Juliette qui nous souhaite de bonnes vacances. L'amusant courriel des parents d'Estelle.

C'est à notre tour d'aller sous la douche. << J'ai mes "petits machins" ! >> lance Clémentine. Je la laisse seule à la salle de bain pour rejoindre Estelle. << Viens par là toi ! >> fait elle en se levant. Elle s'installe sur mes genoux. Elle m'explique ce que je vois sur l'écran. Elle surfe sur le site de l'université. Les résultats de la mini thèse les mettent toutes les deux dans une attente fébrile. Clémentine arrive à son tour. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux. Les filles assises sur mes genoux.

<< J'ai le bas ventre qui se congestionne. J'espère que je n'aurai pas mal ! >> fait Clémentine. Je pose mes lèvres sur son sein gauche. A travers le tissu, j'insuffle mon souffle chaud. << Mmhh, comme c'est bon ! >> dit elle. Je passe au sein droit. Même traitement. << Docteur Julien, je vous aime ! >> fait elle en se serrant fort. Il est presque 11 h. Nous avons nos courses à faire. Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Il faut mettre les capuches car il neige. Nous voilà dans la fraîcheur humide de notre premier matin écossais.

Nous ne sommes pas sensés mettre le nez dehors durant deux jours. Un confinement de deux jours est obligatoire même avec tests négatifs et trois vaccins. Nous nous inscrivons tellement souvent dans la transgression qu'une fois encore nous sacrifions à nos besoins d'anarchie. << De toutes façons, que risque t-on ? >> demande Estelle en me tenant le bras gauche. << Rien ! >> répond Clémentine en me tenant le bras droit. Nous marchons vite sous une neige abondante qui ne tient toujours pas au sol. Voilà le carrefour de Morningside. Quelle joie.

Sur notre gauche Christ Church et son petit square. En traversant le rond point, nous voilà dans la rue commerciale. La dernière fois que nous avons déambulé là il faisait beau, il y avait du soleil, c'était à la fin du mois d'aout. Il y a plein de monde. Les gens portent tous le masque sanitaire. Nous enfilons les nôtres. Pas question de se faire remarquer. << Cela ferait de nous des délinquants pour non respect de la "quarantaine" de deux jours ! >> lance Estelle. << Des vacances en taule avec extradition à la clef ! >> rajoute Clémentine.

Nous rions de bon cœur de ce bien improbable scénario. Nous passons devant le fastfood des Wong. Il y a des clients en file indienne. Nous allons directement dans le petit supermarché Tesco. Je tire le grand panier rouge sur roulettes. Estelle et Clémentine improvise le menu de chaque jour. J'admire cette capacité qu'ont les filles à se projeter dans l'avenir. Au fur et à mesure notre panier se remplit. Quantité de fruits, oranges, kiwis, pommes. Quantité de carottes, de tomates, de pommes de terre. Il faut du fromage. Il y a du Saint Agur, du Morbier.

Autant dire qu'en Écosse les fromages français sont un luxe rare. Rares dans les petits supermarchés. Nous en faisons provision. Il y a un emmental très quelconque. Du fromage de brebis écossaises. C'est un délice. Nous passons en caisse. Il faut s'armer de patience. << Je commence à avoir mal au ventre ! >> me confie Clémentine. Je propose d'appeler un taxi pour rentrer. << Vous êtes fou docteur Julien ! Marcher me fait le plus grand bien ! >> lance t-elle en me faisant plein de bisous. Nous voilà dans le froid neigeux et venteux.

Nous traversons la rue en portant chacun deux grands sacs. La boulangerie. La boulangère nous reconnaît. << Oh ! My favorite French ! I missed you ! >> lance t-elle toute contente. Nous bavardons un peu. Il y a d'autres clients dans la boutique. Certains nous regardent avec suspicions. Serions-nous porteur de ce fameux virus ? Cette crise sanitaire aura également pour effet de rendre les gens paranoïaques. Se méfiant des uns des autres. Ou comment diviser pour mieux régner ! Nous prenons deux grosses miches de pain aux noix. Une brioche.

Nous remontons contre un vent désagréable qui projette les flocons de neige sur nos visages. C'est une neige humide. << C'est dégueulasse ! >> s'écrie Estelle. Je dis : << Nous serions partis dans les îles du pacifique, nous n'aurions pas ces désagréments ! >>. Pour toute réponse, Estelle répond : << Mais t'es fou ! On est tellement bien "chez nous", en Écosse ! >>. Ce "chez nous" est sincère car Estelle aussi rêve de s'installer ici après ses études. Il est midi trente quand nous revenons à l'appartement. Nous rangeons nos courses, nos achats.

<< C'est moi qui fait à manger ! Défense d'entrer à la cuisine ! >> dit Estelle. Nous la laissons seule. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Du tiroir de la table de nuit elle tire le flacon de Quercétine. Médicament homéopathique qui soulage les douleurs menstruelles. Allongée sur le lit, Clémentine me donne ses impressions. Je caresse son bas ventre. Elle me tient le poignet comme par peur que je cesse. La douceur soulage la congestion. << Put-hein de cycle ! >> dit elle. Je reste vigilant, à l'écoute. J'insuffle de l'air chaud sur ses seins.

<< On mange ! >>. Estelle vient nous rejoindre. Morts de faim nous la suivons à la cuisine. Quelle agréable surprise. Des filets de saumon fumé réchauffés avec des pommes de terres persillées. Une salade de carottes. Nous lui faisons plein de bisous. Nous mangeons de bon appétit. La cuisine de l'appartement est hyper moderne et superbement équipée. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font le programme. Nous décidons de jouer le jeu du confinement. << Surtout pour notre sécurité ! >> précise Estelle. Très bien.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Les médicaments agissent favorablement. Clémentine va très bien. Deux gélules d'harpagophytum. Estelle me déboutonne la braguette. Nous allons dans la chambre. Je suis entre mes deux anges. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. J'ai la bite dans la main d'Estelle. << Votre médicament mademoiselle ! >> dit elle à Clémentine en agitant mon sexe. << Oh oui ! Vite ! >> fait Clémentine qui se tourne pour poser sa tête sur mon ventre.

Estelle me fourre sa langue dans la bouche. C'est exquis. Ses baisers son tellement lascifs, tellement doux, tellement humides. Je bande comme le dernier des salauds dans la bouche de Clémentine. Estelle se redresse souvent pour regarder Clémentine sucer. Elle dit : << Moi, j'en prendrai une petite dose après mais à titre préventif ! >>. Nous rions. J'adore entendre Clémentine glousser de rire en taillant une pipe. Elle aussi se redresse fréquemment pour venir nous montrer l'intérieur de sa bouche. Je suis toujours étonné par la quantité de foutre.

Clémentine le laisse se diluer avec sa salive. Ce n'est que lorsque la quantité n'est plus gérable, abondante, qu'elle avale avec peine. << Tiens, prends en une dose préventive ! >> dit elle à Estelle qui ne se fait pas prier. Très vite, se prenant au jeu, mes deux anges se refilent ma bite. Je leurs caresse la tête, la nuque. Je réponds à leurs questions. Je les écoute échanger leurs impressions. Nous sommes tous les trois dans un autre univers. Un enchantement paradisiaque. Je propose de ne pas aller jusqu'à l'éjaculation. De nous garder pour ce soir.

De toutes manières, depuis presque deux heures que nous sommes là, c'est une jouissance permanente. Même s'il y a un tampon, le clitoris géant de Clémentine reste libre d'accès. Serrés tous les trois, nous nous endormons sans même nous en rendre compte. Il est 17 h quand nous émergeons. << Comme ça fait du bien de se reposer ! >> dit Estelle d'une voix pâteuse. En trébuchant sur les mots. Nous rions lorsqu'elle imite un bègue. J'ai la bite toute molle qui a dégorgée du jus pendant mon sommeil. Il y a de la jute sur le bas de ma chemise.

Estelle se précipite pour sucer. << Pas de gâchis. C'est un produit de luxe ! >> fait elle avant de se précipiter vers la porte en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine se remet à me sucer en gémissant de plaisir. Je lui administre le traitement du docteur Julien. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Assises sur mes genoux, les filles allument l'ordinateur. Nous allons visiter les messageries privées des forums où nous publions. Clémentine corrige quelques phrases de notre récit de demain. Il y a quatre messages. Nous répondons toujours.

Des lecteurs qui témoignent de leurs joies de suivre nos aventures quotidiennes. Certains nous suivent depuis le début, depuis mars 2017. Des fidèles qui ne manquent pas de nous confier leur gratitude. Il est 18 h45. Il commence à faire faim. Il suffit de réchauffer les patates. Des calmars poêlés. Clémentine prépare une salade d'avocats au thon. Nous mangeons de bon appétit. << Première journée de prison. Encore demain et puis c'est la liberté ! >> lance Estelle. Je dis : << Nous irons récupérer la voiture de location dès mercredi à 14 h30 ! >>.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont se faire sucer le clitoris, se faire lécher la chatte et pomper de la bite avant un bon sommeil...

Docteur Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2021 - Épisode 1741 -



Seconde journée à Édimbourg

Hier matin, mardi, il est plus de neuf heures quand nous émergeons tous les trois. Quasiment en même temps. Je suis entre mes deux anges. Nous luttons contre l'impérieux besoin naturel. Estelle saisit mon érection matinale. Clémentine empoigne mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. Estelle se lève, n'en pouvant plus, elle se précipite vers la porte. Je pose les lèvres de ma bouche sur la pointe des seins de Clémentine. << Mmhh ! Ça soulage ! >> murmure t-elle. J'insuffle mon souffle chaud à travers le tissu de son T-shirt.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Il y a déjà l'odeur du café et celle du pain grillé. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes, elle me couvre le visage de bisous. Je lui fais faire ainsi le tour de la pièce. Même traitement à Clémentine qui se plaint de cette congestion dans le bas ventre. C'est la seconde journée de ses "petits machins" de fille. Je caresse sa toison pubienne. Ce qui soulage toujours un peu. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la journée de hier.

C'est notre deuxième jour à Édimbourg. Il faudra aujourd'hui encore respecter le protocole sanitaire. Rester à l'isolement. Nous nous y appliquons même si nous sommes fermement décidés à nous offrir quelques pas dehors. Nous mangeons de bon appétit. La brioche achetée hier matin est absolument délicieuse. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles élaborent la stratégie du jour. Il y a toujours cette neige humide qui tombe parcimonieusement. Le sol est trempé car elle n'y tient pas. Seuls quelques coins sont couverts de blanc.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. En slips et en T-shirts de nuit, nous écartons la table du salon pour y faire notre gymnastique. Aérobics, sauts sur place, abdominaux, exercices au sol et retour au calme avec un bon stretching. C'est frustrant de ne pouvoir aller courir au dehors. Estelle prend sa douche. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Le courriel de Julie nous émeut. Elle nous raconte son début de semaine. La présence de ses papys, de ses mamies, l'ambiance de fête qui règne à la maison. Nous répondons.

Estelle vient nous rejoindre. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux. Nous regardons par la fenêtre. La météo et le climat sont sinistres. << Ce n'est pas l'Écosse que je connais ! >> lance Estelle. C'est vrai que c'est la toute première fois qu'Estelle et Clémentine découvrent le pays sous ce climat. Elles sont souvent à idéaliser avec des souvenirs de jours meilleurs. Elles me tiennent par la taille, par les épaules. Ce temps ne donne vraiment pas envie de sortir.

Nous faisons notre lit. Il y a un bruit de moteur au-dehors. Je regarde. C'est un camion citerne garé dans la cour. Estelle vient se blottir contre moi. Elle déboutonne ma braguette pour y fourrer sa main. Elle palpe à travers le slip. << C'est tout chaud ! >> dit elle. Clémentine, assise devant l'ordinateur, fait : << C'est comme l'escargot de la comptine ? >>. Je glisse ma main entre les cuisses d'Estelle en murmurant : << Mmhh, c'est bien chaud là aussi ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche pour me rouler une pelle d'enfer. Ça me fait bander.

<< Vous me faites du spectacle cet après-midi en revenant de balade ? >> demande Clémentine qui se lève pour venir nous rejoindre. << Oh oui, tu me baises comme un homme des cavernes ! >> me fait Estelle. Elle me sort le Zob pour le montrer à Clémentine qui s'accroupit. Estelle le lui frotte sur le visage. A chaque fois que Clémentine ouvre la bouche pour le gober, Estelle esquive au dernier instant. Ce jeu nous amuse. Je caresse la tête de Clémentine qui a enfin réussi à prendre mon sexe en bouche. Estelle m'embrasse avec fougue.

Cette situation m'excite toujours considérablement. Ce qui a pour effet de secréter quantité de liquide séminal. A entendre les gémissements d'extase de Clémentine, à entendre les premiers gargouillis, j'imagine le "sirop" qu'elle prend en apéritif. Estelle s'accroupit à son tour. Clémentine cesse de sucer pour lui offrir ma queue. Elles se la refilent toutes les deux quelques minutes. À la limite de l'ankylose, Clémentine se redresse la première. << J'aime quand vous m'administrez votre potion magique docteur Julien ! >> murmure t-elle.

Estelle se redresse. Elles me montrent toutes les deux le contenu de leurs bouches. Elles adorent garder le foutre avec la salive le plus longtemps possible. Soudain, toutes les deux, avec un mouvement de tête, une grimace, déglutissent en même temps, mains sur la gorge. Elles se blottissent contre moi. Distribution de bises. Papouilles. Il est déjà 11 h30. Nous allons à la cuisine. Estelle insiste pour nous faire la surprise d'un bon repas. Simple mais prometteur. Défense de rester avec elle. Nous la laissons. Clémentine m'entraîne au salon.

Elle me fait tomber dans le canapé. J'ai la bite molle qui dégouline de foutre épais. << Je reprends les choses où je les ai laissé ! >> dit elle en se couchant sur le côté, sa tête contre mes abdominaux. Je caresse sa nuque en passant ma main sous ses cheveux. Je chuchote : << J'aime quand tu me suces. J'adore ça ! >>. Ce sont des mots que je prononce presque tous les jours. Ils agissent un peu comme un mantra. Clémentine murmure : << C'est ce que je préfère. Te sucer ! >>. Elle prend ma queue en bouche. Je bande mou. C'est absolument divin.

Comme souvent, je lui fais les mêmes aveux. Mon impatience de la revoir sucer un autre. Tout en pompant, Clémentine glousse en riant lorsque j'évoque des souvenirs précis. Cette fois où elle a taillé une pipe à un employé municipal descendu dans les toilettes du sous-sol, il y a deux ans. Mes histoires ont un effet merveilleux. Je peux sentir les différentes succions à l'évocation de moments ou de situations précises. Clémentine croise ses doigts entre les miens tout en pompant avec avidité. Nous adorons ces instants de communications intenses.

<< On mange les vicieux ! >> fait Estelle en nous découvrant ainsi. << Je termine l'apéro et on vient ! >> lance Clémentine en se redressant. Estelle se précipite pour tomber à genoux entre mes jambes. Elle suce immédiatement comme une assoiffée. Je la force à cesser. Estelle nous prend les mains pour nous entraîner à la cuisine. Des spaghettis avec une sauce aux champignons. Trois filets de saumon, poêlés. Une salade de tomates. Nous lui couvrons les joues de bisous. C'est génial de n'avoir qu'à mettre les pieds sous la table.

Nous mangeons de bon appétit. Ce repas nous semble soudain être le meilleur au monde. Nous remercions Estelle pour ce superbe cadeau. << J'aime ça. À la maison je régale papa et maman chaque fois que je suis là ! >> s'empresse t-elle de dire. Nous traînons. Assises sur mes genoux, mes deux anges reviennent sur leurs études. La mini thèse dont elles attendent les résultats et les appréciations professorales. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. À la salle de bain, nous nous lavons les dents dans la déconne la plus totale. Nous rions.

Il est 13 h45. Nous enfilons nos anoraks, les bonnets, les gants. Nous descendons l'escalier de service. Il y a quelques parapluies dans un bac en rotin. Nous choisissons le plus grand. Nous voilà dans le froid humide et désagréable. Je tiens le parapluie entre mes deux anges. Elles restent serrées à mon bras. Nous sortons de la propriété pour nous engager dans la ruelle. Nous longeons les hautes grilles des propriétés voisines. C'est le quartier résidentiel, en hauteur, qui surplombe la ville. En hiver, en Écosse il ne fait jamais tout à fait jour.

Avec cette météo, c'est comme un crépuscule permanent. Les réverbères sont allumés. Nous prenons l'itinéraire de nos joggings des beaux jours. La pluie mouillée colle sur le parapluie qu'il faut secouer régulièrement. Nous ne croisons personne. Nous voilà près du belvédère. Son accès est fermé par une grille. La vue sur Édimbourg est ici somptueuse. Hélas avec ce temps, on ne discerne que de vagues lueurs et des formes sombres. Même sous ce climat, d'être là, reste magique. Dès demain nous irons récupérer la voiture de location. La liberté.

En courant, nous bouclons ce circuit en une heure. En marchant il faut compter le double. C'est très intéressant car nous découvrons des détails jamais remarqués. Il y a quelques arrêts bisous, serrés tous les trois sous le parapluie. Il y a des accalmies où la neige mouillée n'est plus que légers flocons collants. Puis cela reprend de plus belle. Il est 16 h30 quand nous revenons. Amy est dans le couloir du bas. La femme de mon oncle est toute contente de nous voir. Nous sommes invités à prendre le thé de 17 h. Coutume britannique. Superbe !

Oncle Alan est parti en ville. Nous sommes en compagnie d'Amy à bavarder. Les flammes de la grande cheminée victorienne sont un magnifique spectacle. Il y a cette ambiance magique des fêtes de fin d'années. Des décorations. En Écosse il y a rarement des sapins dans les demeures. Par contre il y a des guirlandes, des boules, des petits personnages du folklore écossais. "Le petit peuple" comme les nomment les gens des latitudes du Nord. Nous prenons congé en promettant d'être présent pour le repas de demain soir, mercredi.

Le réflexe d'allumer l'ordinateur. Ce soir c'est Clémentine qui poursuit la narration du texte que découvre le lecteur. C'est Estelle le matin, lors de son premier pipi, qui clic sur "envoi" avant de revenir se coucher. Estelle n'arrête pas de palper ma braguette qu'elle finit par déboutonner. Clémentine se lève pour s'installer dans le fauteuil qu'elle glisse devant le canapé. Estelle m'y entraîne pour m'y faire tomber. Clémentine adore se masturber en nous regardant faire des trucs. C'est une thérapie qui lui fait oublier ses "petits machins" pénibles.

Je déboutonne le jeans à Estelle. Elle se lève pour le retirer en même temps que sa culotte. Je jette un des coussins au sol. C'est exactement comme à la maison. Me voilà à genoux, le visage entre les cuisses d'Estelle qui se pâme de plaisir. Je hume longuement cette chatte à l'odeur si particulière. Ça sent fort. J'ai appris à aimer les parfums intimes d'Estelle. Je passe ma langue entre les lèvres fines de son sexe pour m'arrêter sur le clitoris. Je le suce. Estelle me caresse la tête en gémissant. Elle saisit mes oreilles pour me "guider".

J'entends les gémissements de Clémentine derrière moi. Estelle lève son pouce pour lui témoigner de l'absolu plaisir que je lui offre. Estelle a appris à lutter, à faire durer. Nous sommes en parfaite symbiose. Lorsque nous sentons son orgasme arriver au galop, je cesse immédiatement. L'intérieur de ses cuisses agité de frissons irrépressibles elle reprend ses esprits. Les souffles que lâche Clémentine entre les apnées de ses masturbations est le fond sonore de nos exactions sexuelles. Je félicite Estelle de réussir à surmonter, à se contenir.

Clémentine aussi esquive de justesse à plusieurs reprises. Ce qui permet de monter d'un cran dans la gradation du plaisir. Il commence à faire faim. Nous cessons. Je bande. Ma bite dégouline. L'excitation que tout cela me procure est source d'épanchements continuels de foutre. Nous voilà culs nus à la cuisine. C'est génial de pouvoir nous tripoter "à crus" sans les vêtements. Clémentine s'occupe de la salade d'avocat. Estelle réchauffe les spaghettis à la poêle avec trois gros nems au crabe. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.

La fatigue commence à se faire sentir. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles recommencent à se toucher. Je joue avec la petite ficelle blanche dans la touffe à Clémentine. L'une tient mes couilles, l'autre tient ma bite. Je titille les clitoris. Il est temps de faire la vaisselle et de retourner à nos passions. Lavage des dents car c'est au lit, dès 20 h45 que nous recommençons nos caresses. Cette fois, je pénètre Estelle pour la baiser à la hussarde. Ce qui fait bouger tout le lit. Clémentine se masturbe en nous observant sous tous les angles.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui s'offrent des sensations, des émotions, des plaisirs et des orgasmes divins...

Julien



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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2021 - Épisode 1742 -



Troisième journée à Édimbourg

Hier matin, mercredi, il est presque neuf heures. C'est Estelle qui me tire du sommeil. Blottie contre moi toute la nuit elle en rajoute dans la tendresse. Ses lèvres qui se collent contre la peau de mon cou. Son sexe qui se colle à ma hanche. Sa main qui saisit mon érection matinale. Tout cela réveille Clémentine qui vient se serrer contre moi. Je suis entre mes deux anges dans l'enchantement paradisiaque de notre troisième matinée d'Édimbourg. Distribution de bisous, de câlins et de douceur. Elles se frottent toutes les deux contre mes cuisses.

Le plaisir est encore accentué par la luminosité étrange. Estelle s'arrache à la douceur pour se lever en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine m'entraîne par la main. Nous regardons par la fenêtre. Il y a des coins de ciel bleu. << Enfin du soleil. C'est pour fêter notre liberté retrouvée ! >> dit elle avec sa main dans mon slip. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. C'est le dernier jour des "petits machins" de Clémentine, je la laisse seule pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur du café, du pain grillé. Je presse nos oranges.

Clémentine arrive toute souriante. << Même plus mal ! >> lance t-elle en coupant les tranches de la brioche. Je pèle nos kiwis. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan des deux étranges journées écoulées. Nous envisageons la possibilité d'un bon jogging. Même si le sol est détrempé, en restant sur la route, c'est parfaitement jouable. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour. Il faut récupérer la voiture de location pour 14 h. Ce qui permettra quelques escapades autour de la ville. À Stirling notamment.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font le menu du repas de midi. Il y a une ambiance festive. Ça déconne déjà sévère. Nous rions aux éclats en évoquant nos frasques sexuelles. Passées et à venir. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Nous revêtons nos tenues sport. Nos K-ways, nos bonnets, nos gants. Le thermomètre extérieur indique 7°. Il est presque dix heures. Nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la désagréable fraîcheur humide.

C'est parti pour le circuit habituel. Celui que nous avons fait en promenade hier. Nous croisons d'autres joggeurs. Il y a de nombreuses séquences d'ensoleillement. Sous ces latitudes le soleil reste relativement bas sur l'horizon. L'essentiel soit qu'il brille pour nous. Qu'il illumine nos journées. Il reste quelques plaques de neige fondante dans les coins. Estelle impulse un rythme soutenu. Quel bonheur de nous offrir cette heure de running. Il est un peu plus de onze heures quand nous revenons. Nous tombons sur Alan. Il est tout content.

Mon oncle nous propose de nous emmener en début d'après-midi jusqu'à l'aéroport. C'est très gentil, nous voulions aller récupérer la voiture en bus. << N'allez pas prendre le moindre risque. Tenez-vous à distance de tout individu masqué ! >> lance t-il en riant. Nous nous revoyons tout à l'heure à 13 h30. Nous montons dans nos appartements. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Deux courriels. L'un de Juliette l'autre de Julie. Nous répondons en joignant un selfie pris à l'instant.

Estelle vient nous rejoindre juste avant la photo. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous revenons au salon. Vêtus tous les trois de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, nous allons sur le balcon. Le soleil illumine toute chose d'une étrange lumière diaphane. << C'est un effet photoshop ! >> lance Estelle, sa main dans ma braguette béante. La fraîcheur humide reste vive. Nous rentrons vite au chaud. Estelle me sort la queue. La tenant à sa base entre le pouce et l'index, elle l'agite vers Clémentine en la faisant tournoyer.

Clémentine s'accroupit. Estelle passe mon sexe sur le visage de Clémentine. << Rien de meilleur qu'un bon massage facial après la douche ! >> dit elle. << Moi aussi alors ! >> fait Estelle en s'accroupissant à son tour. C'est moi qui frotte ma bite sur leurs adorables minois. Elles rient toutes les deux en m'attrapant les poignets. << Mais comme c'est bon ! >> s'écrie Estelle en se redressant. << Mais comme je t'aime toi ! >> lance Clémentine en se relevant. Les filles m'entraînent dans un tourbillon autour de la table du salon. Nous rions comme des fous.

Il est presque midi. La faim commence à se faire sentir. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Estelle fait gonfler du riz complet. À la poêle je fais rissoler les trois derniers filets de saumon. Nous ferons des courses plus conséquentes en fin d'après-midi. Ce soir nous sommes invités au repas de famille avec ma tante, mon oncle et leurs conjoints. C'est Estelle qui fait une Béchamel pour y rajouter les champignons, le gruyère. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Des réjouissances.

Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer des masturbations masculines. Même si la conversation n'a strictement rien de sexuel, elle aime à ponctuer ses phrases de ces attitudes d'une vulgarité exquise. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges évoquent la promenade en ville qui nous attend. Retrouver le centre historique et son ambiance médiévale. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous passons à la salle de bain. Une fois encore c'est dans la déconne la plus totale que nous nous lavons les dents.

Il est 13 h25. Nous descendons pour rejoindre oncle Alan qui a sortit la voiture. << Un porte avions ! >> lance Estelle. En effet, c'est une grosse berline anglaise. Une jaguar noire. Je m'installe à l'avant. Mes deux anges à l'arrière. La conduite de mon oncle est parfaite. Pour un homme de 88 ans, il maîtrise son véhicule avec la facilité d'un jouet. << C'est mon jouet ! >> aime t-il d'ailleurs à dire. Nous arrivons à l'aéroport. Le ciel s'est légèrement couvert. Nous saluons Alan que nous reverrons ce soir en le remerciant. Voilà l'agence de location.

Les dernières formalités avant la remise des clefs. Une fois encore j'ai insisté pour louer une Golf. Nous aimons bien ces petites voitures très agréables à conduire. Surtout en ville. Nous voilà sur la route pour South Queensferry. Nous la quittons à Dean Village. Le soleil est revenu. Je gare l'auto sur un des parkings. En cette période de l'année, il est possible de circuler dans certaines rues en voiture. Ce que nous détestons faire. Vêtus chaudement, nous flânons dans le centre. Il y a du monde malgré les 12° affichés devant la pharmacie.

Pendant près de 700 ans des générations de meuniers ont construit là plus de onze moulins et les maisons autour. C'est un des quartiers résidentiels d'Édimbourg. Nous longeons la rivière Water of Leith. Nous restons sur le sentier pédestre que nous connaissons bien. La différence entre l'ambiance d'hiver et l'ambiance d'été est saisissante. Il n'y a pas un souffle de vent. Estelle palpe ma braguette effrontément. Je suis obligé de la tancer vertement quand nous croisons des gens. Elle ne se gêne même plus la coquine. C'est gênant.

Nous en rions aux éclats. La rivière est agitée. Par endroit c'est un torrent. De chaque côté d'anciennes maisons. Il y a deux moulins qui se font face. Parfaitement restaurés, l'un est un restaurant, l'autre un musée de la meunerie. Nous nous sommes bien entendus. Nous éviterons toutes promiscuités. Pas de soirée en restaurant, pas de salon de thé. Juste nous trois à nous préserver d'expositions risquées. Même si nous ne sommes nullement en proie à une paranoïa quelconque, le virus Omicron se répand à grande échelle au Royaume Unis.

Il y a des endroits discrets au bord de la rivière. Nous pouvons nous y toucher tranquillement. Estelle fourre sa main dans ma braguette. A chaque fois elle retire son gant que je dois tenir. Clémentine m'embrasse avec fougue. Je bande dans la poigne ferme d'Estelle. Nous revenons à la voiture. Nous prenons la direction de Grassmarket. C'est un des quartiers branchés. Quantité de pubs, de restaurants, de galeries d'Art. Ce sont surtout les magasins d'antiquités qui nous intéressent. Il y a là quelque boutiques d'antiquaires. Magnifiques.

<< Des cavernes d'Ali Baba ! >> lance Estelle quand nous pénétrons dans l'une des boutiques. Les prix pratiqués là défient parfois la raison. Même pour des objets anciens. Quel plaisir de visiter. L'odeur des meubles anciens. L'odeur des encaustiques. Il y a toujours en ces lieux un charme désuet et particulier. Ces visites sont évidemment autant de prétextes à nous tripoter discrètement. Estelle fait même le pari de me sortir la queue. Clémentine l'en dissuade en lui montrant une des caméras. << Saloperie de big brother ! Il est partout ! >> lance Estelle.

Nous repartons vers Leith au bas de Morningside. La nuit est tombée. Il est déjà 18 h. Je roule doucement car la circulation est dense. Il y a le supermarché Tesco en face d'une réplique de Canongate Kirk. Parfaite imitation mais réduite de la célèbre bâtisse. Je gare l'auto sur le parking. Nous enfilons nos masques sanitaires. Nous passons la poignée du caddie au gel hydroalcoolique. Clémentine tient la liste des courses. Je pousse le chariot. Estelle me tient le bras. Nous suivons Clémentine dans les allées. Il y a du monde. Il faut louvoyer.

Deux nonnes font leurs courses. Vêtues de leurs tenues de bonnes sœurs. Je les trouve bien jeunes et ravissantes pour se priver ainsi des plaisirs de la chair. << Tu vas voir ! >> me chuchote Estelle. Au moment où les deux nonnes regardent dans notre direction, Estelle pose sa main sur ma braguette pour la palper le plus vulgairement possible. Les deux bonnes sœurs semblent totalement consternées. << Hello, it's the devil. I'm Lillith and this is Lucifer ! >> lance Estelle lorsque nous arrivons à la hauteur des deux jeunes femmes comme hallucinées.

Quelle surprise. Elles nous adressent toutes les deux le plus lumineux des sourires. << Put-Hein ! Il n'y a plus de morale ! >> me fait Estelle. Nous sommes pliés de rire en racontant à Clémentine ce qui vient de se passer. Nous faisons provisions de poissons, de fruits de mer en quantités. Nous passons en caisse. Il faut être patients. Ici aussi, en Écosse, il y a encore des gens qui paient en espèces. Ils font rager les autres en comptant leurs monnaie, leurs billets. << Les emmerdeurs ! Il y en a partout. On est abonnés ! >> lance Estelle en français.

Là, dans l'autre file, les deux bonnes sœurs avec leur caddie. << Regarde comme elles mâtent ! >> murmure Clémentine. Bien évidemment, pour Estelle, l'occasion fait le larron. Discrètement tout de même elle me palpe la braguette. A nouveau les deux nonnes nous adressent de magnifiques sourires. << Tu te ferais laquelle ? >> chuchote Clémentine. Je murmure : << Les deux ! >>. Personne ne sait pourquoi nous rions de si bon cœur à la caisse No 8 du supermarché Tesco. Il est 19 h35 quand nous revenons à l'appartement.

Nous sommes attendus pour 20 h pour le repas de famille. Nous rangeons nos courses. Le haut du frigo est un congélateur. Parfait pour y stocker les produits de la mer. Nous le remplissons. Il faut ruser pour tout mettre. Nous restons vêtus comme nous le sommes. Nous descendons. Tante Margaret est tellement heureuse de nous revoir. Jack son mari n'a évidemment de yeux que pour Estelle et Clémentine. Elles sont d'ailleurs le centre d'attraction de la soirée. Un repas délicieux où nous faisons mille projets pour les prochaines vacances d'été.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à retrouver le confort et la chaleur après un après-midi à tripoter une queue dans le froid...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2021 - Épisode 1743 -



Quatrième journée à Édimbourg

Hier matin, jeudi, il est neuf heures quand Estelle me tire de mon sommeil. Cette fois, ce sont ses pieds qui bougent contre les miens. Ses "impatiences" qui donnent l'impression qu'elle pédale. C'est amusant. J'adore quand elle pose ses lèvres dans mon cou. Cet effet ventouse est si doux. Elle se serre encore plus fort en gémissant d'aise. Elle se frotte doucement contre ma hanche tout en saisissant mon érection matinale. Ce qui finit par réveiller Clémentine qui vient se blottir. C'est déjà merveilleux d'être entre mes deux anges. Des papouilles.

Il fait à nouveau obscure malgré l'heure. Estelle se lève précipitamment en s'écriant : << Pipi ! >>. Nous nous levons pour aller voir par la fenêtre. À nouveau la neige tombe mais sans rester au sol. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Les "petits machins" de Clémentine sont terminés. Nous rejoignons Estelle qui chantonne à la cuisine. L'odeur du café et du pain grillé. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Je beurre les tranches que me tendent les filles. De la confiture d'abricot, du miel. Nous prenons notre copieux petit déjeuner.

Tout en mangeant de bon appétit nous revenons sur la soirée de hier. Ce repas en famille. Clémentine, ma compagne "officielle" est devenue une membre de la famille. Avec Estelle nous évitons toutes effusions qui pourraient trahir la véritable nature de nos relations à trois. Nous ne savons pas si le stratagème fonctionne. Comme le précise si justement Clémentine, nous n'avons plus toujours conscience de nos réflexes, de nos attitudes ou encore de nos regards complices. Toujours est-il que tout le monde joue le jeu avec ce flegme tout britannique.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font le très vague programme de la journée. Ce sera le centre historique et son dédale de ruelles et de passages en escaliers. << Nous plongerons à nouveau dans un film d'Harry Plotteur et de sa braguette magique ! >> dit Estelle en palpant le paquet dans mon slip. Nous rions de bon cœur à l'évocation du héros binoclard. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Avec cette météo inutile d'envisager faire un jogging. Nous nous lavons les dents en déconnant. Nous poussons la table du salon.

Nos exercices aérobics sont autant de prétextes à faire les pitres. Les sauts sur place, les relevés de bras synchronisés précèdent les exercices au sol, ciseaux avants, arrières, gainage, groupé maximum. Nous accentuons les difficultés afin d'en tirer le maximum de bénéfice. Je fais mes développés couchés en soulevant soit Estelle, soit Clémentine. Ce qui fait également travailler leurs pectoraux. Nous remplaçons les haltères par les deux packs d'eau. Six bouteilles de 1,25l. Six kilos cinq dans chaque main ce n'est pas grand chose mais ça fait bosser.

Retour à la déconne avec un stretching apaisant. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Il y a juste le message de Julie. Elle nous raconte son bonheur d'être en famille. Julie est passée à la maison hier. Elle est restée dans l'atelier. Elle joint un selfie pris devant la cheminée. Nous répondons. Estelle vient nous rejoindre. Nous pouvons joindre un selfie à notre courriel. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous revenons au salon vêtus comme Estelle, de nos jeans, chemises à carreaux.

Les filles surfent sur le site de l'université. Elles découvrent les premières appréciations quand à leurs minis thèses. Les résultats et annotations ne seront rendus qu'à la première semaine de janvier. Ces minis thèses serviront de base de travail pour le second trimestre. Estelle et Clémentine sont toutes contentes des commentaires positifs. Elles m'entraînent dans une farandole dans toute la pièce. Nous allons faire notre lit. Nous refermons la fenêtre car la pièce est froide. Il est 11 h10. Nous mettons nos anoraks pour descendre.

L'escalier de service est encombré de cartons. Nous voilà dans la fraîcheur humide et désagréable de cette quatrième matinée écossaise. La neige mouillée tombe sur le sol détrempé. Nous allons jusqu'aux grilles du portail. Les filles restent serrées contre moi. Je tiens un grand parapluie récupéré dans le seau. Nous longeons les hautes grilles des propriétés avoisinantes. Il n'y a personne. Le silence est total. Estelle fait quelques suggestions pour cet après-midi. Ce serait bien de retrouver Old Town. De descendre le Royal Mile entre les châteaux.

Il fait froid. Nous rentrons pour 11 h50. La neige s'agglutine en paquets collants sur le parapluie qu'il faut secouer régulièrement. Nous remontons à toute vitesse. Il fait faim. Clémentine prépare la salade. Une belle "frisée". Estelle et moi nous épluchons les patates. Nous les lavons avant de les couper en fines lamelles. Ce sont des pommes chips qu'Estelle fait rissoler à la poêle. Je fais revenir des calmars avec de l'ail, de l'échalote. C'est une préparation rapide. C'est délicieux. Nous mangeons de bon appétit. Estelle mime des fellations. Nous rions.

Parfois elle se lève pour mimer une masturbation masculine. Surtout quand la conversation n'a strictement rien de sexuelle. Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Dans le petit sac à dos, des barres de céréales, trois pommes. Nos anoraks, nos bonnets, nos gants, le grand parapluie. Nous voilà partis. Je roule doucement. Nous descendons sur Edimbourg par Leith. La circulation est fluide. Le ciel est gris et bas, c'est crépusculaire. Il y a peu de monde au dehors.

Je gare la voiture dans la petite rue habituelle. C'est à quinze minutes du centre. Les filles restent serrées contre moi, me tenant le bras. Les illuminations de Noël sont splendides. Cette année tout est dans les tons sépias. C'est féérique quand nous arrivons sur le Royal Mile. C'est une des artères principales d'Édimbourg. À notre gauche le château, à notre droite le Palais de Holyrood. C'est le long de cette avenue que nous pouvons choisir la ruelle, le passage qui nous invite aux découvertes. Nous connaissons bien la ville. Nous y avons nos repères.

Malgré la météo les filles sont tellement contentes d'êtres de retour. Il y a du monde. C'est touristique toute l'année. Le labyrinthe des rues opère sur le visiteur sa magie habituelle. Nous portons nos masques sanitaires. Nous entrons dans une pharmacie afin d'y acheter les auto tests. Il y en a pour la famille et plusieurs jours. Pour un prix dérisoire car la Grande Bretagne axe sa politique de prévention sur les tests individuels réguliers et quotidiens. Nous évitons tous rapprochements et restons à distance des autres gens. Nous voilà équipés. Parfait.

De se promener dans le centre historique est un véritable voyage dans le temps. Une ambiance médiévale. Pour les fêtes beaucoup de manifestations sont annulées. Au Royaume unis aussi le gouvernement joue la prudence. Ce qui n'enlève rien au plaisir de flâner sous le parapluie. Estelle se serre souvent contre moi. Prétexte à me palper la braguette. << N'oublions pas le plus important ! >> dit elle. Nous attirons bien évidemment quelques regards. Les écossais sont grands. Ce ne sont pas seulement nos hautes tailles qui attirent l'attention.

Par contre ce sont nos effusions de tendresse. Les palpations de braguette qu'Estelle ne cherche même plus à dissimuler. Cela me gêne considérablement. Nous rions toutefois beaucoup de ses témérités. << Même moi je n'oserais pas ! >> lance Clémentine avant de me rouler une pelle. Il y a ces salons de thé que nous connaissons bien pour les avoir fréquenté. Mais fidèles à nos préceptes nous préférons nous préserver de tous risques inutiles. C'est difficile car la tentation est grande. L'intérieur de ces endroits est si convivial. Si bien décoré.

Par contre nous privilégions la grande galerie commerciale. La verrière nous protège de la neige. Il y a là toutes sortes d'échoppes, de magasins, de stands de fruits et de légumes. C'est une bien agréable promenade. Pour embarrasser Estelle à son tour, je passe ma main entre ses cuisses. Elle s'amuse des quelques regards qui surprennent nos jeux. Clémentine nous rappelle qu'il y a des caméras partout. << On s'en fout, on les emmerde ! >> lance Estelle en se serrant dans mes bras pour m'embrasser avec fougue en relevant nos masques.

Nous retournons sur Royal Mile pour aller sur le Palais de Holyrood. Il y a de nombreux musées, de monuments et d'attractions diverses tout le long de l'avenue. Les badauds sont nombreux. C'est surréalistes d'êtres entourés de gens masqués. << Il y a quelques chose de satanique. Comme un rituel géant ! >> fait Estelle. Nous n'avons plus l'habitude. Lors de notre précédent séjour, cet été, tout le monde était libre. L'architecture médiévale des bâtiments historiques, les rues pavées, la nuit qui est tombée, tout cela participe d'une magie étrange.

Les illuminations de Noël sont les seuls éclairages. Ce qui offre aux ruelles une ambiance à la fois étrange, irréelle et parfois surréaliste. De quoi nous remplir de souvenirs. Voilà Saint Gile's Cathédral. Canongate Kirk, Scottish Parliament house et the Real Mary King's Close. Autant d'endroits que nous connaissons bien. En cette saison nous les redécouvrons sous un autre aspect. Nous retournons à la voiture. La neige commence à tenir au sol dans certains endroits. Il est 19 h30 quand nous revenons à l'appartement. Morts de faim. Un peu fatigués.

Frustrés de ne pas nous offrir un restaurant, nous réchauffons les tourtes aux fruits de mer achetées sur Royal Mile. C'est absolument divin. Nous traînons à table. Je propose aux filles un bon léchage de minous après la vaisselle. Je ne suis pas obligé de le suggérer deux fois. C'est en sautillant comme des gamins sortant de l'école qu'elles m'entraînent au salon. Comme toujours, nous retirons nos jeans et nos slips en les jetant n'importe où et n'importe comment. Pressés de nous livrer à nos explorations labiales. Et linguales en ce qui me concerne.

A genoux sur les coussins, je passe du sexe d'Estelle à celui de Clémentine avec un égal bonheur. Lorsqu'elles sont fatiguées, mes deux anges se font lécher, sucer, dans une immobilité passive et lascive. C'est un régal. Lorsque je fouille leurs vulves, Estelle et Clémentine se masturbent. Lorsque je suce leurs clitoris, elles me saisissent par les oreilles. Pas de pénétrations ce soir. L'orgasme d'Estelle achève de l'épuiser. L'orgasme de Clémentine lui procure comme des décharges électriques. Je propose qu'elles s'occupent de mon cas demain.

Bonne soirée d'ivresse des sens à toutes les coquines qui aiment se faire lécher, sucer, après un bon repas et une promenade en ville...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe -37 - Tous droits réservés - © - 2021 - Épisode 1744 -



Le Noël en famille

Hier matin, vendredi, il est aux environs de neuf heures. Estelle bouge en dormant. Mais là, elle ne dort plus. Ses lèvres qui se posent sur la peau de mon cou. Son haleine chaude qui a quelque chose d'animal. Tout cela me tire de mon sommeil. Elle glisse sa main dans mon slip en descendant doucement depuis ma poitrine. Elle saisit mon érection. Clémentine se réveille à son tour pour venir se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Je passe mes bras autour de leurs épaules pour les serrer. Elles se frottent lascivement contre mes cuisses.

Cela ne dure pas. L'envie de pisser nous impose sa loi. Estelle se lève pour se précipiter vers la porte. Clémentine me chevauche en murmurant des douceurs. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait sombre. C'est de la neige mouillée qui tombe. A certains endroits elle s'accumule en paquets. Le ciel est désespérément gris et bas. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Dans l'odeur du café et du pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de ces cinq jours en Écosse. Malgré cette météo épouvantable, le bilan est positif.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme du jour. Estelle aimerait bien retrouver un de ces ports écossais si typiques. Nous applaudissons à cette suggestion. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font milles projets pour les jours à venir. Il faut concentrer tous les désirs sur la semaine qui nous reste. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous repoussons la table du salon pour y pratiquer notre gymnastique. Nous nous lavons les dents en faisant nos pitreries habituelles tout en rigolant.

Les sauts sur place, synchronisés avec les relevés de bras, sont des exercices aérobics qui exigent une forte dépense d'énergie. Presque autant qu'un jogging. Les exercices au sol, les abdominaux sont également très exigeants. Même en déconnant comme nous le faisons encore ce matin. Nous remplaçons le travail des haltères par des résistances que nous nous opposons à la force de nos bras. Le retour au calme d'un bon stretching achève notre entraînement. Estelle prend sa douche la première. Nous remettons la table au milieu de la pièce.

Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un courriel de Juliette qui nous souhaite un bon réveillon de Noël. Elle nous confie se réjouir pour le sien en comité très restreint. Un courriel de Julie. Un texte assez conséquent comme à son habitude. Un plaisir de lecture. Estelle revient vêtue de son jeans, de son épaisse chemise à carreaux. << Il y a une machine qui tourne à la salle de bain ! >> fait elle en prenant notre place. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous rejoignons Estelle vêtus comme elle. Elle surfe sur le forum.

Il y a trois messages privés. Des lecteurs qui nous souhaitent un joyeux Noël. Nous répondons par un petit mot gentil. C'est toujours Clémentine qui fait le retour par un message court et gentil. Il est presque onze heures. Nous mettons nos anoraks. Nous dévalons l'escalier de service. Nous entendons des rires. Ma famille prépare la journée particulière de Noël avec sa joie habituelle. Sous le parapluie que je tiens, nous faisons notre promenade habituelle. Aujourd'hui, la neige tient davantage. Même sur les branches des sapins, des bosquets.

Estelle et Clémentine me tiennent par le bras. Les rues sont désertes. Le silence est total. Avec la lumière des réverbères constamment allumés il y a des halos qui éclairent les journées crépusculaires. Il ne fait jamais jour complètement sous cette latitude. On s'habitue rapidement et facilement à ce phénomène naturel. Parfois, Estelle retire un gant pour palper ma braguette. Cela nous fait rire. << Tu ne perds pas le Nord ! >> lui fait Clémentine. << Surtout quand j'y suis ! >> dit Estelle. La faim commence à se faire sentir. Nous rentrons.

Estelle nous interdit l'accès à la cuisine car elle veut nous faire la surprise du repas. Clémentine s'installe à côté de moi dans le canapé. Sa main entre mes cuisses, la mienne entre les siennes, nous bavardons en nous touchant. Clémentine m'entretient de ses impressions. Ce séjour en Écosse est très particulier. Cette météo empêche les activités que nous aimons. Pas de randonnées. Pas d'expéditions lointaines. Nous aimerions bien aller flâner à Stirling. Aller dans le village de Rosslyn. Tous ces rituels que nous accomplissons à chaque séjour.

Nous nous embrassons passionnément. << On mange ! >>. Estelle se précipite pour s'assoir à califourchon sur mes cuisses. << Et moi ? >> dit elle en enfonçant sa langue dans ma bouche. Morts de faim, nous nous précipitons dans la cuisine. Un gratin de courgettes avec un rissolé de crevettes à la crème. Une salade de tomates. Nous couvrons le visage d'Estelle de bisous en la remerciant pour cette divine surprise. Nous mangeons de bon appétit en mettant au point notre escapade de l'après-midi. Il faudra être de retour pour le repas de Noël.

Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents dans la déconne habituelle. Nous passons des pulls. Nous mettons quelques barres de céréales et trois pommes dans le petit sac à dos. Nous enfilons nos anoraks. Nous dévalons l'escalier de service. Pressés de partir pour de nouvelles aventures. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou en nous donnant ses impressions. Des ressentis identiques aux nôtres. Ce séjour à Édimbourg est très particulier.

Nous dépassons Leith pour arriver dans le petit village portuaire de Newhaven. La neige tient davantage. La température est de moins un degré. Ceci expliquant cela. Je gare l'auto sur le parking du port. C'est extraordinairement beau. Clémentine prend quelques clichés. Il y a peu de gens. Les chalutiers sont côte à côte, la neige les recouvre peu à peu. Nous flânons sous le grand parapluie. Nous avons nos bottines qui se maculent de neige. Il y en a bien cinq centimètres qui recouvrent les pavés. Il y a quelque chose d'éminemment reposant ici.

Nous croisons quelques promeneurs. Des gamins se lancent des boules de neige. Estelle prend son élan pour faire une longue glissade sur une grande plaque de glace. Nous l'imitons. Ça glisse super bien. Nous retrouvons des joies du passé. C'est rigolo. Nous rions aux éclats comme des écoliers. Nous longeons les quais. C'est beau un port de pêche sous la neige. Estelle retire régulièrement son gant pour glisser sa main sous mon anorak. Défense de me sortir le Zob. Avec ce froid ce serait une véritable torture. Nous allons dans les rues du bourg.

Les vitrines des magasins sont merveilleusement décorées. C'est réellement magnifique. En Écosse, au mois de décembre, la nuit commence à remplacer le crépuscule dès 15 h45. C'est étrange. On a l'impression d'être déjà en soirée. Il y a un bonhomme de neige au milieu de la place. Des gamins s'amusent autour. Nous entrons dans la boutique qui fait bazar. Il y a là des souvenirs, des cartes postales. Un bric à brac de choses insolites. Estelle adore envoyer des cartes postales. Derrière les tourniquets, à l'abri des regard, c'est moi qui la tripote.

<< Salaud ! >> murmure t-elle. Je chuchote : << Vengeance ! >>. Clémentine me touche. C'est génial de s'offrir des petits instants de coquineries à l'insu de tout le monde dans les lieux publics. << Si tu continues, je te sors la bite ! >> fait Estelle que je caresse, une main entre ses cuisses. Son choix fait, nous allons payer. Il y a des enveloppes timbrées. C'est parfait. Assis à une table du pub voisin, Estelle écrit les cartes qu'elle va envoyer dans le Var. Pour ses papys, ses mamies et ses parents. Nous savourons nos chocolats chauds, fumants.

Il y a peu de gens. Même dans ce petit pub très typique. Il y a un couple qui fait de la musique dans l'arrière salle. Le garçon à la guitare, la fille au violon. C'est une ambiance qui se rencontre dans presque tous les pubs en Écosse. Surtout à la mauvaise saison. Les habitants aiment à se retrouver pour de petites réunions musicales. Le folklore est encore très vivant ici. Estelle m'entraîne aux toilettes. Nous touchons tout avec des mouchoirs en papier. Aucun contact. Le flacon de gel hydroalcoolique dans la poche de l'anorak. On fait gaffe.

Enfermés dans un des deux cabinets des WC hommes, Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Accroupie, elle suce les derniers reliquats. Lorsque c'est à son tour, j'enfonce un doigt dans son anus. Cela augmente la pression des jets qu'elle projette au fond de la cuvette. << Salaud, enculeur, doigteur de filles ! >> me dit elle pendant que je lui fais des bises sur le front. Je la torche soigneusement. Accroupis devant la cuvette, je lui lèche le minou. Nous avons acquis une certaine habileté à pratiquer dans les endroits les plus exigus.

Nous rejoignons Clémentine qui feuillette un programme de festivités. A peine sommes nous de retour que c'est elle qui m'entraîne aux toilettes. Sous le regard de quelques clients attablés. Cette jeune femme aux longs cheveux roux qui me fait un étrange sourire. Le patron du bar, derrière son comptoir, me fait même un clin d'œil. J'ai déjà pissé avec Estelle. Je m'occupe donc du pipi de Clémentine en lui enfonçant l'index dans le cul. Penché à sa gauche, d'une main je la tiens sous le menton, de l'autre entre ses fesses, j'écoute les jets.

Chez Clémentine le jet est naturellement puissant. Alors lorsque je lui enfonce le doigt dans l'anus, le jet redouble de puissance. Le bruit au fond de la cuvette est impressionnant. Je ne la torche pas tout de suite. J'adore la "nettoyer" à la langue. C'est toujours sirupeux. J'en profite pour sucer son clitoris géant. Cambrée sur ses genoux fléchis, me tenant par les oreilles, Clémentine s'offre un petit plaisir. Elle ne peut contrôler les gémissements de jouissance que je lui procure. Il faut cesser. Je l'essuie tout de même. Nous rejoignons Estelle.

Nous retournons dehors. Estelle dépose ses enveloppes dans la boîte devant le bureau de poste. Nous flânons dans le froid. La neige tombe en petits flocons. Dans le halo des lumières, des guirlandes et des illuminations décoratives, l'ambiance est magique. C'est féérique. Il est 18 h quand nous revenons à la voiture couverte d'un fin manteau blanc. Nous déblayons les vitres. Estelle veut absolument être assise à l'avant avec Clémentine. Pendant que le moteur tourne, que le chauffage se fait sentir, nous échangeons nos impressions "Pipi aux WC". Rires.

Ces petits moments d'égarements et de vices dont nous parsemons nos journées sont d'exquises sources de plaisirs. Nous fonctionnons tous les trois de la même manière. C'est un privilège dont nous apprécions chaque facette. << Quand je commence à sucer, c'est toujours une frustration de devoir cesser ! >> lance Estelle. << Moi aussi, quand je commence je ne peux plus m'arrêter ! >> rajoute Clémentine qui me sort la queue. Il fait suffisamment chaud dans le véhicule. Une Golf c'est beaucoup plus petit qu'une Mercedes. Estelle doit donc ruser.

Assise au sol, entre les pieds de Clémentine, Estelle doit surmonter l'obstacle du levier de vitesse pour pouvoir sucer un peu. A chaque fois Clémentine lui appui sur la nuque. Estelle fait de même quand c'est au tour de Clémentine. Je roule doucement en redoublant de prudence. La voiture est équipée de pneus neige. Mais il faut faire très attention. Même si la neige ne tient pas sur la route. Il est 18 h45 quand nous revenons à l'appartement. Nous nous changeons. Pantalons à plis et à pinces pour tous les trois. Chemisiers blancs. Souliers de ville.

Nous descendons. Nous sommes accueillis avec tant de joie. Nous avons tous les sept procédé à nos auto tests. Tout le monde est "clean". Personne ne veut courir le moindre risque. Les décorations réalisées par Amy sont de toutes beautés. Nous sommes attablés à la grande table du salon victorien. Les flammes dans la grande cheminée participent de ce charme indicible. Le repas est ponctué de rires, de joie. Les plats se succèdent. C'est un traiteur réputé qui a livré ces délices en fin d'après-midi. Estelle et Clémentine sont les attractions de la soirée.

Malgré toutes nos précautions, nous évitons de faire la traditionnelle bise d'après dîner. Le vacherin glacé du dessert achève de nous "bourrer". Mon oncle et le mari de ma tante comparent les goûts des Whisky de quelques distilleries artisanales. Ma tante et la femme de mon oncle comparent le goût des thés qu'elle savourent. Estelle, Clémentine et moi, nous ne buvons pas d'alcool. Par contre nous dégustons des tisanes en y trempant de petits gâteaux secs. Il est 23 h. Tout le monde commence à piquer du nez. Nous prenons congé de tous.

Nous sommes attendus pour le repas de midi, demain samedi, jour de Noël. La remise des cadeaux se fait ce jour-là en Écosse. De retour à l'étage, nous nous lavons les dents en nous faisant les plus horribles grimaces devant le miroir. << C'est sympa un Noël avec des vieux ! >> lance Estelle. << Noël en EHPAD de luxe ! >> rajoute Clémentine. Nous sommes épuisés. Nous nous déshabillons péniblement. Nous voilà au lit. Je suis entre mes deux anges qui jouent encore un peu avec ma queue, mes couilles. Nous nous endormons presque en même temps.

Joyeux Noël à toutes les coquines qui s'apprêtent à vivre de nouvelles surprises en ce jour de fête. En leurs souhaitant une bite de Noël...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2021 - Épisode 1745 -



Une fête en famille

Hier matin, samedi, il est neuf heures passés quand Estelle me tire de mon sommeil. Je dors encore profondément quand je sens sa main se glisser dans mon slip. Elle est serrée contre moi. Je n'ai qu'à la prendre dans mes bras. << Docteur Julien, bobo ! >> murmure t-elle. Estelle aussi est réglée d'un cycle régulier. Clémentine se réveille pour venir se blottir contre moi. Estelle tient mon érection matinale en rajoutant : << J'ai mes "petits machins" ! >>. Je suis entre mes deux anges. Je glisse ma main dans les culottes. Celle d'Estelle.

Je peux y découvrir la petite ficelle. Je caresse sa toison pubienne. Je me tourne pour poser mes lèvres sur ses seins. A tour de rôle, passant de l'un à l'autre, j'insuffle de l'air chaud au travers le tissu de son pyjama. << Mmhh, docteur Julien, ça soulage bien ! >>. L'envie de pisser devient ingérable. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Les douces effluves du café se mêlent à celles du pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur le réveillon de Noël hier soir. De bons souvenirs.

Mon oncle, ma tante, ainsi que leurs compagnons sont des quadragénaires. Même s'ils sont en parfaite santé, il est bon de profiter de leurs présences tant que c'est possible. Nous mangeons de bon appétit. Estelle se plaint de crampes récurrentes dans le bas ventre. Je me sens toujours impuissant dans ces cas là. Mes caresses n'offrent que d'éphémères soulagements. Beaucoup plus psychologiques que physiologiques. Nous traînons à table. Dehors il fait sombre, le ciel est gris et bas. Pas de chance avec la météo écossaise cette année.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents. Estelle ne pourra pas faire ses abdos aujourd'hui. Comme il ne pleut pas Clémentine propose une heure d'un bon jogging. Nous mettons nos tenues sport. Nos K-ways, bonnets, les gants. Nous dévalons l'escalier de service. Pas une minute à perdre. Il peut se remettre à pleuvoir n'importe quand. Le thermomètre extérieur indique 8°. Quelques nécessaires mouvements d'échauffements. C'est Estelle qui impulse un rythme rapide et soutenu. Elle en oublie ses inconvénients.

Nous restons à courir dans le labyrinthe des rues de Morningside. Nous passons plusieurs fois aux mêmes endroits. Impossible de se réchauffer vraiment. Nous accélérons encore pour rentrer au chaud. Le ciel semble s'éclaircir. Estelle prend sa douche. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Deux courriels. Un message de Juliette qui nous souhaite un bon Noël. Un message de Julie qui nous raconte son réveillon en famille. Estelle vient nous rejoindre. Nous faisons deux selfies que Clémentine joint à nos réponses par mails.

C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous revenons au salon vêtus comme Estelle. Nos pantalons noirs à plis et à pinces. Un chemisier blanc sous nos pulls bleu nuit aux cols en "V". << Docteur Julien, sel vous pli ! >> me fait Estelle en relevant son pull. Je pose mes lèvres sur chacun de ses seins pour insuffler mon souffle chaud à travers le tissu de la chemisier. Je glisse ma main entre ses cuisses pour caresser délicatement son sexe à travers le tissu de son pantalon. Clémentine, derrière moi, ouvre ma braguette pour en extraire le locataire.

Mon Zob dans sa main, je m'occupe d'Estelle. << Docteur Julien, je peux avoir un peu de potion magique ? >> demande t-elle en me caressant la tête, la nuque. << Justement, je prépare la seringue ! >> répond Clémentine qui me masturbe doucement. Estelle s'assoit sur la chaise avec le dossier entre ses cuisses écartées. Clémentine frotte ma bite sur son visage. D'un élégant mouvement de tête, Estelle ouvre la bouche pour gober ma queue. Je bande mou. Ce qui est préférable pour de bonnes sécrétions de foutre. Clémentine m'embrasse.

Sa langue exploratrice qui fouille ma bouche. Il n'en faut pas plus pour offrir à Estelle une érection de toute première catégorie. De ma main droite, je caresse la nuque à Clémentine, de la main gauche, celle d'Estelle. Je me fais tailler une superbe pipe des familles. Clémentine, lorsqu'elle cesse ses baisers fougueux et passionnés, se penche, sa tête contre ma poitrine, pour admirer la fellation juteuse d'Estelle. Je passe mes doigts délicatement sur son visage pour placer ma main sous son menton. Clémentine que cela excite, m'embrasse à nouveau.

Je regarde l'heure sur la pendule murale. Il est déjà 11 h45. Dehors, le soleil fait plusieurs apparitions. Enfin. Je dis : << Il va être l'heure ! >>. En même temps je sors ma queue de la bouche d'Estelle qui pousse un râle de déception. Clémentine s'accroupit rapidement pour sucer à son tour. Estelle se lève de sa chaise pour me montrer le contenu de sa bouche. Je lui couvre le visage de bisous. Clémentine se redresse en disant : << Moi, c'était purement préventif ! >>. Nous rions de bon cœur. Je regarde Estelle tenter d'avaler le mélange salive foutre.

<< Tu m'éjacules dans la bouche cet après-midi ? >> fait Estelle d'une voix suppliante. Clémentine répond : << Oui, mais uniquement dans le cadre de ton traitement. C'est purement thérapeutique ! >>. Nous éclatons de rire. Je glisse ma main dans la culotte d'Estelle. Elle saisit mon poignet pour dire : << Merci docteur Julien ! >>. Nous nous réajustons devant le grand miroir ovale de la chambre à coucher. Lorsque nous sommes excités, nous avons toujours de belles couleurs. Il est temps de descendre rejoindre la famille. Nous sommes morts de faim.

Le repas de midi, livré ce matin par le traiteur habituel depuis plus de vingt ans, est un délice. Des plateaux de queues de homard grillés. << Homard ma tuer, à l'infinitif ! >> me murmure Estelle qui me fait du pied. Nous savourons l'excellence de ce repas en bavardant. Bien évidemment, Estelle et Clémentine sont une fois encore l'attraction festive de ce moment chaleureux. Deux jeunes filles de 24 ans parmi des séniors. Oncle Alan revient sur la possibilité de trouver un poste de maitre de conférence à l'université d'Édimbourg après le Doctorat.

Nous avons établi un contact cet été avec un ami à mon oncle. Un des recteurs de l'université. Avec un tel "piston" les choses devraient se faire avec de nombreuses chances. C'est le souhait de Clémentine. Celui d'Estelle aussi. Mais pour Estelle, ce sera beaucoup plus problématique. Elle n'a pas de compagnon écossais. << Je vais me mettre en chasse l'été prochain ! >> lance t-elle en faisant rire toute l'assistance. En ce qui concerne Clémentine, nous allons nous pacser au printemps. Je suis citoyen Britannique de sa gracieuse majesté.

Condition obligatoire pour pouvoir exercer en Écosse. Nous rions beaucoup des plaisanteries de Jack, le mari de tante Margaret. Nous traînons à table jusqu'aux environs de 15 h. C'est la remise des cadeaux. Les livres d'histoire de France que j'ai ramené enchantent ma famille. Pour nous ce seront des petites boîtes de confiseries, des spécialités d'Édimbourg. J'insiste toujours pour ne pas être encombré par des paquets au retour. Dans l'avion, c'est très compliqué. Nous faisons quelques pas dehors. La nuit ne va pas tarder, elle tombe à 15 h45.

Il fait une désagréable fraîcheur humide. Nous sommes invités au second repas de Noël, ce soir. Avec buffet froid à 18 h30. Nous rentrons au chaud. Nous remontons dans l'appartement. Oncle Alan a évoqué les dernières informations. Des lignes aériennes risquent fort d'êtres supprimées en raison de la situation sanitaire. Je propose de rester informés. Au moindre risque, nous prenons le premier avion pour rentrer avant les inévitables complications qui s'annoncent. Air France est une compagnie fiable. Les clients sont toujours prévenus par textos.

J'offre son traitement à Estelle qui est allongée sur le lit en se tenant le ventre. Je caresse ses joues. J'insuffle mon souffle chaud sur ses seins. Clémentine me sort la bite. Je me lève en disant : << Un instant ! >>. Je vais à l'armoire. De la pochette intérieure de la valise, je tire deux petits paquets. Je les fais tourner en murmurant : << Joyeux Noël mes anges ! >>. Estelle se redresse. Clémentine s'écrie : << On avait dit pas de cadeaux ! >>. Je réponds : << Mais ce ne sont pas des cadeaux, ce sont des paquets ! >>. Les filles me regardent.

Assise l'une à côté de l'autre, elles prennent les paquets. Je leurs dépose à chacune une bise sur le front. Quel bonheur de les voir ouvrir délicatement les emballages. << Wouah ! Comme c'est beau ! >> lance Estelle. << C'est magnifique ! >> rajoute Clémentine. Ce sont deux gourmettes en or blanc. Les prénoms y sont gravés en lettres gothiques. A l'arrière de la plaque "Édimbourg 2021". Il y a un petit rubis serti sur celle de Clémentine. Une petite émeraude sur celle d'Estelle. Elles se lèvent toutes les deux d'un bond pour se blottir contre moi.

En passant les gourmettes à leurs poignets, elles restent en apnées. Clémentine dit : << Tu as des secrets. Tu as fait faire ces bijoux en cachette. Raconte-nous ! >>. Je révèle le "secret". C'est tellement simple de passer commande chez un ami bijoutier lorsque je suis seul à la maison. << Nous, on a rien pour toi et tu m'offres de merveilleuses vacances ! >> lance Estelle. Je m'empresse de répondre : << Ah mais je t'arrête. J'ai un cadeau de Noël tous les jours de l'année. Clémentine et toi ! >>. Les filles me font tomber sur le lit entre elles.

Estelle glisse sa main dans ma braguette pour dire : << Moi, je m'impose dans ta vie. Depuis plus de quatre ans et tu es tellement généreux ! >>. Je suis entre mes deux anges. Je réponds : << Vous êtes comme deux sœurs jumelles depuis douze ans. Comment serait-il possible de vous séparer ! >>. Les filles regardent leurs gourmettes. C'est de l'or blanc mat. C'est de toute beauté. Les toutes petites pierres scintillent. << C'est un merveilleux souvenir. Je vais l'avoir toute ma vie ! >> chuchote Estelle. << Moi aussi ! >> murmure Clémentine.

Estelle pose sa tête sur mon ventre. Elle retire sa gourmette pour la passer autour de mes couilles et de ma bite. Clémentine retire la sienne pour faire pareil. Elles rient aux éclats. Estelle dit : << Il faut charger ces bijoux d'une énergie positive ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine fait : << Et il faudra les recharger régulièrement ! >>. Les gourmettes font garrot. Je bande comme le dernier des salauds. Elles se refilent ma queue qu'elles sucent comme si leurs vies en dépendaient. L'une me suce, l'autre me bouffe les couilles. C'est merveilleux.

Je me fait tailler une pipe écossaise. J'adore cette sensation d'avoir la queue dans des bols de purée tiède. Immobiles, toutes les deux, elles savourent ce moment sur les deux plans. Le plan physique, le plan cérébral. Elles échangent leurs impressions lorsqu'elles cessent. << Regarde, ça jute ! >> murmure Estelle. << Ça coule ! >> chuchote Clémentine. J'ai beaucoup de mal à me contrôler. Si je n'avais pas cette parfaite maîtrise acquise avec l'expérience, je pourrai éjaculer. Il est entendu que l'éjaculation fera partie du traitement d'Estelle. Ce soir.

Il est 18 h15. Nous reprenons nos esprits. Les filles me couvrent le visage de bisous. Elles sentent toutes les deux la queue et le sperme. Nous passons à la salle de bain. Nous avons tous les trois des cernes sous les yeux. Estelle et Clémentine se masturbent toujours en taillant une pipe. Elles aussi sont passées à côté de l'orgasme. Et de justesse. Je les tiens par la nuque. Nous nous observons. << Put-Hein, la gueule de salope que j'ai encore ce soir ! >> lance Estelle. << Et moi ! Put-hein depuis qu'on est ados ! >> rajoute Clémentine. Nous rions.

Il est temps de redescendre. On nous attend. Très rapidement nous retrouvons l'ambiance laissée en partant. Nous parlons de nos autos tests. Au Royaume Unis c'est devenu un rituel. Tout le monde le pratique souvent tous les jours. Les nôtres sont évidemment négatifs. Ce qui nous rassure. Il faut préciser que nous évitons toute promiscuité extérieure. Nous avons le bras mécanique sur les noix de cajou, les cerneaux de noix et les olives noires en bâtonnets. J'observe mes deux anges qui bavardent, qui sont sollicitées. Comme elles sont belles.

Je devine déjà les jeunes femmes qui d'ici quelques années vont faire place à ces deux jeunes filles. La métamorphose paraît enclenchée depuis l'été dernier. La transformantion inéluctable est à l'œuvre. Merveilleux. L'assurance d'Estelle qui tient son verre de jus de mangue à la main, tout en bavardant avec Jack. L'assurance de Clémentine qui bavarde avec Amy et Margaret. Oncle Alan m'entretient de quelques nouvelles de Mr Anderson, l'intermédiaire entre le propriétaire de notre probable future maison. Les discussions nous mettent en appétit.

Ce sont les restes qui constituent le repas du soir. Je n'arrête pas d'observer mes deux anges. Elles sont passionnantes. Estelle et Clémentine maîtrisent parfaitement ma langue maternelle. Nous traînons à table jusqu'aux environs de 22 h30. Tout le monde baille à s'en décrocher les mâchoires. << C'est l'heure du couché pour les vieux ! >> murmure Estelle à mon oreille. Nous prenons congé. C'est un peu frustrant de ne pas nous faire des bises. Nous préférons respecter le protocole. Les seules effusions de tendresses restent entre nous trois.

Nous nous lavons les dents en faisant des grimaces devant le miroir de la salle de bain. Nous sommes en slips et en T-shirts de nuit. Estelle revêt son pyjama après s'être isolée pour changer son tampon. Nous sommes vraiment crevés. Au lit, entre mes deux anges, j'écoute leurs impressions. Je propose à Estelle de prendre son "traitement" demain. Je la rassure, la potion magique se conserve parfaitement dans son flacon. << Merci Julien pour ses vacances. Tout ce que tu nous offres ! >> murmure Estelle avant de s'endormir. Clémentine contre moi.

Bonne journée à toutes les coquines qui vont caresser leurs cadeaux, caresser la bite du "Père Noël" et déguster son "sirop"...

Docteur Julien



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Septième jour à Édimbourg

Hier matin, dimanche, il est une fois encore aux environs de neuf heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Je suis entre mes deux anges qui se blottissent contre moi. Distribution de bisous, papouilles. Estelle saisit mon érection matinale. Clémentine empoigne mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. Nous restons ainsi à lutter contre l'impérieux besoin naturel. Estelle s'est déjà levée une fois il y a plus d'une heure pour aller aux toilettes. Pourtant elle se lève comme mû par un ressort en s'écriant : << Pipi ! >>.

Clémentine passe une cuisse sous mes fesses. L'autre posée sur mon ventre, elle se frotte contre ma hanche. Depuis quelques temps elle fait ça en me chuchotant des douceurs. << Regarde, j'ai gardé mon cadeau pour dormir ! >> murmure t-elle en me montrant sa gourmette. Je la serre fort. << J'aime ça le matin ! >> rajoute t-elle en accélérant son mouvement masturbatoire. C'est un petit moment intense. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Morts de faim avec cette odeur de café, de pain grillé.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la journée de hier. << On n'a fait que bouffer ! >> lance Estelle. Nous mangeons toutefois de bon appétit. Nous avons remonté hier soir de la brioche. Dehors, la météo est sinistre. Un ciel, gris, bas et morose. Il tombe de la neige mouillée. Comme le jour ne se lève jamais tout à fait en cette période de l'année, on a l'impression d'être déjà le soir. Nous traînons à table. Le dimanche, pas de sport. Assises sur mes genoux, mes deux anges font le bilan de notre première semaine à Édimbourg.

Estelle propose de retourner en ville cet après-midi, sous le parapluie, pour aller visiter The Real Mary King's Close. Ces souterrains que nous avons visité il y a deux ans. Nous en gardons un étrange souvenir. Nous applaudissons à cette suggestion. J'applique à Estelle le traitement du docteur Julien. Le second jour de ses "petits machins" est moins pénible. Quelques congestions du bas ventre. Ses tous petits seins qui restent douloureux. Mes lèvres posées sur le tissus de son pyjama, j'insuffle mon souffle chaud sur les extrémités turgescentes.

<< Mmhh ! C'est bon ça. Il me faut aussi ma dose de "sirop", docteur ! >> me fait elle. Je glisse ma main dans sa culotte pour masser son bas ventre. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Le dimanche, pas de douche. Nous nous lavons les dents en faisant nos pitreries habituelles. Estelle me palpe la bosse. Nous nous habillons de nos jans, de nos épaisses chemises à carreaux. Nous allons au salon. Assises sur mes genoux, les filles allument l'ordinateur. Leur premier réflexe est de se rendre sur le site de l'université. Nouvelles informations.

Le port du masque sanitaire sera fortement conseillé sinon obligatoire dès la rentrée du lundi 3 janvier. << Toutes les saloperies habituelles que les enfoirés nous préparent pour janvier. Je préfère ne pas encore y penser ! >> lance Estelle. << Tu vas voir, pour s'accrocher à leurs saloperies, ils vont même repousser les élections d'une année ! >> rajoute Clémentine. J'écoute ce dialogue en silence. Je sais que Clémentine sent toujours les choses à venir d'une manière très pertinente. Nous ouvrons nos boîtes mails. D'abord celle d'Estelle.

Elle aussi entretient une relation virtuelle quotidienne avec ses parents. Un échange de photographies permet de découvrir le Var en plein hiver. Nous ouvrons nos boîtes. Un courriel de Juliette qui nous raconte son Noël. Ils n'étaient que trois pour le repas de midi et le repas du soir. La famille de Juliette étant à Sartène, en Corse, ce sont madame Walter et son mari Pierre qui était les invités puis le soir, les invitants. Le mail de Julie. Comme à son habitude, nous avons droit à long texte superbement conçu. Les études littéraires ça aide à bien écrire.

Julie nous raconte qu'elle s'est enfuie totalement effrayée. Elle est venue à la maison dans la soirée. En "pèlerinage". Il était 18 h30. Elle était dans l'atelier lorsque la porte s'est ouverte. Elle a vu une jeune femme passer dans le couloir. Elle s'est arrêtée un instant pour dévisager la visiteuse avant de disparaître comme en traversant le mur. Julie sait qu'il y a un fantôme dans notre maison. Je l'ai déjà vu il y a une dizaine d'année, quelques mois après la disparition de Christine mon ancienne compagne. Julie en fait un récit détaillé et glaçant.

<< Put-Hein ! On l'entend mais on ne l'a jamais vu ! >> fait Estelle en frissonnant. << J'aimerais bien la voir. Depuis tout le temps qu'on l'entend se balader à l'étage ! >> rajoute Clémentine. Estelle relit toute cette partie du texte à haute voix. Les filles sont blotties contre moi. On a soudain froid. Julie joint un selfie à son message. C'est Clémentine qui rédige la réponse. Nous y joignons le selfie que nous prenons à l'instant. Debout. Estelle à ma gauche qui palpe ma braguette. Clémentine à ma droite qui tient le poignet d'Estelle. Nous sourions.

Il est 10 h45. Nous faisons notre lit, un petit coup de balai, d'aspirateur. Nous décrochons le linge déjà bien sec dans la salle de bain. Estelle ouvre ma braguette pour y glisser sa main. << Mon médicament, docteur ! >> dit elle en me sortant le Zob. << Je vous promets de suivre scrupuleusement la posologie ! >> rajoute t-elle en s'accroupissant. Clémentine vient se serrer contre moi, me tenant par la taille. Elle se frotte contre ma hanche. Nous regardons Estelle humer les effluves fromagères de ma bite qu'elle décalotte légèrement. Juste le bout.

L'odeur de Parmezob nous monte au nez. << L'aromathérapie fait partie de mon traitement Docteur. Mais là, vous y allez un peu fort ! >> fait Estelle en se mettant à lécher le méat. Clémentine, toujours passionnée par ce spectacle, se penche pour mieux observer. Estelle gobe juste l'extrémité de mon sexe en resserrant la peau fripée de mon prépuce contre ses lèvres. Les yeux fermés, concentrée, elle suçote en poussant un doux gémissement de contentement. Clémentine se redresse pour enfoncer sa langue exploratrice dans ma bouche.

Ce qui a toujours pour conséquence de me faire bander comme un pendu. Pendu à ses lèvres. Ce baiser fougueux provoque une de ces érections presque douloureuses. Je me fais rapidement tailler une pipe des familles. La position accroupie n'étant pas confortable longtemps, malgré de nombreuses pratiques, Estelle se redresse en me montrant l'intérieur de sa cavité buccale. Le foutre se mélange à la salive. Je hume l'haleine. Clémentine aussi. C'est hyper excitant. D'un mouvement de tête, avec une grimace, Estelle tente de déglutir avec peine.

<< J'ai pris mes gouttes, docteur ! >> fait elle en se serrant dans mes bras. Nous restons ainsi tous les trois à savourer cet immense privilège d'êtres les plus grands complices de l'univers. J'administre la suite de la "thérapie" du docteur Julien en soufflant de l'air chaud au travers le coton de sa chemise. << Mmhh, ça soulage ! >> murmure Estelle en se pâmant d'aise. Clémentine a pris le relai. Je peux sentir la douceur extrême de sa fellation. Estelle se frotte contre ma hanche. Il est 11 h30. Nous enfilons nos anoraks. Nous descendons l'escalier.

Il pleut à présent. C'est sous un des parapluies récupérés dans le seau que nous allons jusqu'au portail. Il fait véritablement lugubre. Il y a deux chats, à l'abri d'une sorte de soupirail, qui nous observent, assis côte à côte. << On les voit presque chaque année ! >> lance Estelle. Les deux félins pas du tout inquiets nous regardent. Nous imitons des miaulements en leurs faisant des coucous. Estelle palpe ma braguette en disant : << On vous présente le docteur Julien ! >>. Nous faisons le tour de quelques propriétés en longeant les hautes grilles.

La faim commence à se faire sentir. Nous rentrons. Il est décidé de faire simple. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Estelle fait bouillir l'eau salée des spaghettis. Je prépare une Béchamel. Trois filets de saumon à la poêle avec de petits champignons noirs réhydratés. Le gruyère à base de lait de brebis dans la sauce. C'est rapide. A peine les spaghettis égouttés, nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine font le programme de l'après-midi. Visite des souterrains de la ville.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Assises côte à côte devant le miroir, Estelle et Clémentine se font coiffer. Elles adore lorsque je brosse et démêle leurs chevelures. Je leurs fais à toutes deux une belle natte qui leurs descend au milieux du dos. J'aime les entendre parler de leurs études. Elles se montrent les gourmettes offertes hier. Les pierres précieuses sont minuscules mais très brillantes. << Tu nous gâtes Julien ! >> me fait Estelle. Je réponds : << Je suis l'homme le plus comblé ! >>.

Il est presque 14 h. Nous enfilons nos anoraks. Je remballe ma bite qu'Estelle vient de suçoter quelques instants juste avant Clémentine. Nous dévalons l'escalier de service. Nous prenons la voiture. Je roule doucement sous une pluie battante. La température est de 6°. Nous descendons sur Édimbourg par Leith. La circulation y est plus fluide et c'est bien plus agréable. La petite ruelle habituelle à un quart d'heure du centre historique. L'entrée des souterrains se fait par le musée. Port du masque sanitaire obligatoire partout depuis dix jour en Écosse.

Il y a du monde. Nous respectons les distances de sécurité avec soin. Le flacon de gel hydroalcoolique dans la poche de mon anorak. Nous attirons l'attention en restant serrés tous les trois. Pas question de quitter notre "bulle" comme le précise Estelle. La visite guidée se fait par des personnages en costumes historiques. C'est un large escalier en colimaçon qui descend dans les entrailles de la terre. Les premières galeries se trouvent à seize mètres de profondeur. C'est une véritable ville souterraine creusée dans la roche. Nous nous souvenons bien.

<< Je suis déjà venue là dans une vie antérieure, je ressens chaque endroit ! >> murmure Clémentine. << Raconte ! >> chuchote Estelle. Les deux guides, un homme et une femme, évoquent l'histoire des lieux. Un argumentaire passionnant qui mêle faits historiques, fantômes et humour. Ces souterrains sont un des endroits les plus hantés de Grande Bretagne. Mais c'est ce qu'affirment les guides de tous les monuments écossais. Il n'y a d'ailleurs pas une seule maison qui n'ait pas son fantôme familial. C'est la tradition. C'est le folklore.

Ce sont de véritables rues, des habitations creusées dans la roche. Un travail monumental. Il fait très agréable dans ces caves. Nous sommes obligés d'ouvrir nos anoraks car il fait trop chaud. Phénomène naturel. Estelle pratique ses habituelles palpations de braguette. C'est discret mais pas toujours. Ces deux femmes, là-bas, viennent de s'en apercevoir. L'une d'entre elles me lance un regard amusé, presque complice. Nous suivons nos guides. Pour d'évidentes raisons touristiques, ils portent des lanternes. Ce qui rajoute encore à la féérie.

Les conditions de vie en ces lieux étaient difficiles. Des gens vivaient ici au XVIIème siècle. Les véritables raisons n'en sont pas connues. La visite dure presque deux heures. Tout le réseau de galeries n'est pas accessible. Ce qui est dommage car la visite est réellement passionnante. Il y fait bien chaud et c'est à l'abri de la pluie. Nous voilà remontés à la surface. Nous faisons un petit tour dans ce musée hétéroclite. Principalement consacré aux costumes historiques, aux outils de forage des époques révolues. Des objets découverts au fond.

Nous voilà sous le parapluie à déambuler. Les filles accrochées à mon bras. Nous retirons nos masques. Nous avons besoin de respirer normalement. C'est tellement absurde et stupide d'être obligé de porter ces choses inutiles au grand air. Mesures humiliantes plutôt que sanitaires. << Il faut bien nous situer dans nos condition d'humiliés serviles ! >> fait Estelle en prenant sa respiration. Nous passons par le vaste cimetière de Greyfriars Kyrkyard. Il fait nuit. Des réverbères à l'ancienne offrent leurs halos lumineux. Il y a des promeneurs.

Ce cimetière passe pour l'un des plus hantés du Royaume Unis. Les phénomènes paranormaux sont fréquents. Nombre de témoignages évoquent des personnages du passé qui flottent entre les tombes. Il est presque 19 h quand nous revenons à l'appartement. Oncle Alan nous propose de venir partager le repas du soir. Margaret et Jack repartent pour St Andrews demain. La soirée est fort agréable. A 22 h nous sommes dans notre lit. J'offre à Estelle son "sirop". Elle s'endort la première après s'être fait éjaculer au fond de la gorge. Féérique !

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à visiter les lieux les plus hantés d'Angleterre avant de prendre leur "sirop"...

Docteur Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Huitième jour à Édimbourg

Hier matin, lundi, il est presque neuf heures quand Estelle passe une jambe sous mes cuisses, une autre dessus. Elle se serre encore plus fort contre moi pour imprimer un mouvement masturbatoire. C'est ainsi qu'elle achève de me tirer du sommeil. Son souffle chaud dans mon cou, elle se frotte en gémissant. Clémentine se réveille pour venir se blottir. C'est elle qui glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection matinale. Je suis entre mes deux anges dans les délices d'un enchantement paradisiaque. Distribution de bisous. Des papouilles.

Estelle s'éjecte carrément du lit en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine prend le relai en se frottant contre ma hanche. << Je t'aime ! >> murmure t-elle plein de fois à mon oreille sans cesser de me branler doucement. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Dans les effluves matinales du café, du pain grillé. Elle me saute au cou. << J'ai fait un rêve cochon ! >> dit elle. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour rajouter : << Je ne me rappelle d'ailleurs que de mes rêves cochons ! >>.

J'administre le même traitement à Clémentine qui recommence à se frotter. << Je me sens salope ce matin, vous n'imaginez pas ! >> dit elle. Nous prenons notre petit déjeuner en écoutant Estelle nous raconter son rêve. Une histoire de canne à selfie sur laquelle est fixée son téléphone. Elle se promène sur un chemin, complètement à poil en se filmant. << C'était tellement intense que je me suis touchée. Je veux absolument réaliser ce "plan" ! >> lance t-elle. Nous mangeons de bon appétit en écoutant les différentes déclinaisons possibles.

Clémentine fait une série de suggestions : << Tu n'es pas obligée d'attendre les beaux jours. Tu peux te filmer n'importe où. Fixe toi des défis ! >>. Estelle se lève en mimant une masturbation masculine. << Put-Hein mais c'est vrai. Je vais me créer mon Blog sans le référencer nulle part, totalement privé. Je poste mes petites réalisations. Juste pour vous deux ! >> s'écrie t-elle comme habitée d'une soudaine inspiration. Nous rions. << Je mets mes films sur ton Blog alors ! >> lance Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Dehors, le ciel semble bien dégagé. La température extérieure n'est toutefois que de 7°. Nous nous lavons les dents en décidant d'un jogging. En restant sur la route, c'est parfaitement jouable. Nous nous revêtons de nos leggings, de nos sweats en lycra. K-ways, bonnets, gants. Nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans le désagréable froid humide. C'est parti. Nous restons dans le quartier à faire plusieurs fois le même circuit. Nous croisons quelques autres joggeurs.

Il est 10 h45 quand nous revenons à l'appartement. Estelle prend sa douche la première. C'est le troisième jour de ses "petits machins". Elle ne s'est plaint d'aucune douleur. Le traitement du docteur Julien porterait-il ses fruits ? Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Il y a juste le message de Julie. Elle est revenue à la propriété hier. Elle était partie en courant, effrayée de ce qu'elle avait cru voir dans la maison. Elle est partie précipitamment en oubliant d'enclencher le système d'alarme. Elle est donc revenue dans l'après-midi.

Avec son talent littéraire, Julie nous décrit la terreur vécue. C'est la première fois de sa vie qu'elle a véritablement eu affaire au surnaturel. Certes, elle avait déjà entendu les manifestations à l'étage, en notre compagnie. Mais là elle a vu un fantôme. Sa description est en parfaite adéquation avec ce que j'ai vu à plusieurs reprises. Clémentine lit à haute voix. Elle conclue : << Je vais tout faire à notre retour pour entrer en contact avec "Christine". Il est temps de savoir ce qu'elle veut. De l'aider à retrouver la sérénité et de pouvoir nous quitter enfin ! >>.

Estelle revient. Vêtue de son jeans, de son épaisse chemise à carreaux. Nous la laissons à la lecture du récit de Julie. C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Nous revenons, habillés comme Estelle qui nous lit à voix haute la réponse qu'elle a fait à Julie. Y rajoutant le déroulé du rêve qu'elle a fait cette nuit. << C'est de l'ésotérisme érotique ! >> s'écrie Clémentine. Nous rions de bon cœur en faisant le selfie pour le joindre à notre message pour Julie. Sur le site de l'université aucune nouvelle information. Masque sanitaire à la rentrée.

Il est 11 h15. Nous enfilons nos anoraks pour aller faire quelques pas. << Cette histoire de selfie me titille le clitoris ! >> fait Estelle. << A réaliser au plus vite. Il ne faut pas laisser tomber le soufflé et le consommer quand il est chaud ! >> dit Clémentine. Nous faisons le tour des propriétés voisines. Il commence à faire faim. << Il faut acheter une canne à selfie ! >> s'écrie soudain Estelle qui se met à sautiller autour de nous. Il est 11 h50 quand nous revenons. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait gonfler du riz complet. Je fais rissoler les nems.

C'est une préparation rapide, pas très diététique, mais nous sommes pressés de profiter de l'après-midi sans pluie, sans neige qui s'annonce. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges reviennent sur le "plan" selfie. Je propose d'acheter une bonne canne à selfie dans un magasin spécialisé. Autant investir dans un matériel de qualité. Estelle consulte quelques site sur son téléphone. << Celle-là ! >> lance t-elle en zoomant sur une photo. << Super ! >> fait Clémentine. C'est vrai.

C'est une canne télescopique à laquelle il est possible de fixer un trépieds. C'est utilisable n'importe où et dans quasiment toutes les situations. Nous partirons en ville pour 14 h30. Nous finirons par trouver l'objet idéal. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous restons vêtus comme nous le sommes. Il suffit de mettre nos anoraks. Nous descendons car nous sommes attendus par la famille. Margaret et Jack repartent pour St Andrew aujourd'hui. Les adieux.

Avec les personnes de plus de 80 ans, même si elles sont en pleine forme, ce qui est le cas, il faut toujours faire des adieux chaleureux. On ne sait jamais. Autant y mettre toute l'intensité et tout l'amour possible. On ne dit jamais assez aux gens à quel point on les aime quand ils sont avec nous. Nous nous reverrons cet été. Nous passerons une semaine à St Andrews. Nous nous saluons. C'est difficile de ne pas se faire plein de bises. Nous préférons jouer le jeu imposé par la situation sanitaire. Même si nous sommes tous les sept parfaitement clean.

Je roule doucement. Comme toujours c'est par Leith que nous allons en ville. C'est plus long mais plus agréable. Et nous avons tout notre temps. Clémentine me sort la queue. Le soleil reste bas sur l'horizon. C'est une étrange sensation d'être déjà le soir alors qu'il n'est que 14 h45. Je gare la voiture dans la petite ruelle habituelle. Mes deux anges me tiennent par le bras. Nous marchons d'un bon pas. Il y a un quart d'heure jusqu'au centre historique. Voilà Queen street. Il y a là des magasins de toutes natures. Il y a l'équivalent d'une FNAC. Parfait.

Nous y avons déjà flâné à plusieurs reprises. Nous portons nos masques sanitaires. Il faudra refaire notre stock d'auto tests. Les contrôles se font inopinément par des vigiles à l'entrée des grandes surfaces. C'est la formule choisie par les autorités de sa gracieuse majesté. Au Royaume Unis les QR Code n'existent pas. L'auto test permet d'avoir une idée en temps réel et au jour le jour. Excellent principe. Il y a du monde. Nous respectons les distanciations matérialisées au sol. Les anglo saxons sont infiniment plus disciplinés que les latins.

Estelle profite bien évidemment de chaque recoin pour me palper la braguette. Je lui montre les caméras de surveillance. Elle murmure : << Mais je n'en n'ai rien à secouer ! À part ta bite ! >>. Nous rions. Nous voilà dans le rayon photo. Nous possédons un superbe Nikon. Il est réservé à nos excursions, à nos randonnées. Nous comparons avec les nouveaux modèles. Clémentine, très au fait car passionnée de photos, nous fait l'article sur les différentes nouveautés. Voilà les cannes à selfie. Des choses sérieuses, très professionnelles. Superbes.

C'est encore mieux que ce que nous avons vu sur les sites. Il y a celle-là. Télescopique. On peut disposer de deux mètres d'envergure. Il y a un trépieds qui se déplie, ingénieusement disposé dans l'objet. Il ne pèse que 800 gr. Noir, en fibres de carbone. Garantie cinq ans. Cette canne permet de fixer n'importe quel téléphone mais également la plupart des appareils photos. C'est l'objet de notre choix. Nous ne nous attardons pas. Nous passons en caisse. Dans la file, Estelle me palpe la braguette avec une rare vulgarité et une rare insistance.

<< Regarde discrètement ! >> murmure t-elle. Là-bas, il y a un couple qui n'arrête pas de nous observer. Enfin, d'observer les agissements d'Estelle. << Sans doute des membres du "Club" ! >> chuchote Clémentine. Elle place sa main entre ses cuisses pour bien faire comprendre aux deux voyeurs que nous les avons repéré. Ils sont dans une file voisine. Nous voilà dans la rue. La nuit est tombée alors qu'il n'est que 16 h30. Nous allons dans une des nombreuses pharmacies. Les auto tests sont disponibles en self service dans le rayon parapharmacie.

Ce qui évite de devoir faire la queue et d'avoir affaire à une préparatrice vendeuse. Organisation anglaise qui s'avère d'une redoutable efficacité. Estelle, toute contente, tient la canne. << C'est génial ! Merci Julien. Avec toi, tout est toujours si facile ! >>. Nous flânons un peu sur l'avenue du Royal Mile. Avec les illuminations des fêtes tout a un aspect féérique. Le Hogmanay, cette grande fête écossaise, sera limité à sa plus simple expression cette année. Raisons sanitaires obligent. Nous restons informés. Au moindre problème nous prenons l'avion.

Air France est une compagnie fiable. Les clients sont avertis par SMS en cas d'annulation de vol. Ils sont donc conviés à anticiper leurs déplacements. << Jusque là, tout va bien ! >> conclue souvent Clémentine. Le Camera Obscura and World of Illusions est ouvert. Juste au bas du Royal Mile avant le château. C'est un musée insolite qui propose des illusions optiques. Nous nous consultons. La promiscuité constitue toujours un risque. Même si l'entrée n'est possible qu'aux gens présentant un tests négatif de mois de 12 h. Nous réfléchissons.

<< Allez, on arrête la paranoïa, on y va ! >> propose Clémentine. Nous prenons nos billets. Nous sommes dans la grande salle. Il y a un mètre entre chaque visiteur. Nous mêmes respectons le protocole. C'est dur de ne pas pouvoir se toucher. C'est un périscope géant qui présente la ville à 360°. C'est un panorama animé stupéfiant. Vraiment extraordinaire. Réalisé avec des caméras de la NASA dont la précision "atomique" des images est sans comparaison. Plus réel encore que le réel. C'est tout bonnement fantastique. Ça vaut le coup d'œil.

On visite les méandres de la vieille ville. C'est comme dans un film de Harry Potter ou encore dans un des épisodes de Sherlock Holmes. C'est sublime. Je recommande vivement de découvrir cette attraction. Nous voilà dehors. Nous remontons le Royal Mile en nous arrêtant devant des vitrines et des décorations d'une extraordinaire beauté. Nous voulons retourner dans le labyrinthe de la vieille ville pour retrouver les endroits vu dans le film. Nous comparons. Estelle me palpe la braguette sans se gêner le moins du monde. Je la gronde.

<< Je n'y peux rien, je suis tellement salope aujourd'hui ! >> lance t-elle en me déposant une bise sur la joue. << Seulement aujourd'hui ? >> demande Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. << Demain, on trouve un "plan" pour essayer la canne à selfie ! >> s'écrie Estelle. Dans la boutique d'un traiteur, nous trouvons des feuilletés de homard, des feuilletés de calmars. On en achète pour deux repas. Magnifiquement dorées, ces tourtes en formes de cakes, nous ouvrent déjà l'appétit. Pour ce soir nous choisissons des tartelettes au crabe.

Il est 19 h quand nous revenons à l'appartement. Estelle, qui n'a pas cessé de m'exciter tout l'après-midi, me déboutonne la braguette à peine arrivés. << Je veux constater de visu l'état de ton slip ! >> dit elle en s'accroupissant. Clémentine s'accroupit pour voir également. Estelle me sort une bite humide dont les filaments de jute épaisse et visqueuse collent au coton du tissu. << Put-Hein ! J'adore ça ! >> s'écrie Estelle qui passe son index pour en recueillir une coulure. Elle porte son doigt à sa bouche. << Ce soir je te suce ! >> s'écrie t-elle.

Clémentine prépare la salade d'avocat au thon. Estelle réchauffe le reste de riz. Au four il y a les trois tartelettes au crabe. Nous n'arrêtons plus de nous rouler des pelles. J'ai la bite dans la main d'Estelle, dans celle de Clémentine. Je glisse mes mains entre leurs cuisses bouillantes. Je suis pressé de me bouffer la chatte à Clémentine. Estelle veut me gratifier d'une "pipe exceptionnelle" comme elle le précise. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Comme toujours, nos excitations retombent un peu en étant repus. C'était si bon.

Assises sur mes genoux, mes deux anges font mille projets de "selfies exhibes". Je crois bien que cet achat ne sera pas inutile. Je suis à l'écoute des idées des filles. L'imagination débordante dont elles font preuve pour réaliser des trucs qui s'annoncent hyper excitants. << On commence demain ! >> lance Estelle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous passons au salon. Estelle, couchée sur le côté, entre le canapé et moi, me taille une pipe des familles. Je suis à genoux entre les jambes de Clémentine à me régaler de ses jus de fille. Miam.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire nettoyer le minou d'une langue exploratrice et se faire sucer le clitoris...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2021 - Épisode 1748 -



Neuvième journée à Édimbourg

Hier matin, mardi, une fois encore je suis tiré de mon sommeil par les mouvements que fait Estelle. Ses pieds contre les miens. Sa main qui saisit mon érection naturelle. Quand ces lèvres se posent dans mon cou, deviennent une ventouse. J'ai le réflexe protecteur de la serrer contre moi. Tout cela réveille Clémentine qui se blottit. Je suis entre mes deux anges. Nous émergeons ensemble. Il est neuf heures passées. Ce sont des grasses matinées quotidiennes et tellement agréables. Je glisse mes mains dans les culottes pour caresser les touffes.

Estelle s'élance vers la porte en s'écriant : << Je dois faire pipi ! >>. Clémentine se frotte contre moi en murmurant des douceurs. C'est à nous d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous rejoignons Estelle à la cuisine. Il y a déjà l'odeur du café qui se mêle à celle du pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos visites de hier. Les souterrains de la ville laissent toujours de curieuses impressions. Nous mangeons de bon appétit en envisageant un jogging en extérieur car il ne pleut pas et le ciel semble plutôt dégagé. C'est parfait.

Nous traînons un peu à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font le programme de l'après-midi. Si la météo reste au sec, nous irons sur Dean Village. Flâner là est un réel bonheur. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Comme nous sommes encore en slips et en T-shirts de nuit, Estelle n'arrête pas de palper ma bosse. << Merci docteur Julien pour vos soins. Mes "petits machins" sont finis ! >> fait elle en me faisant plein de bisous. Nous nous lavons les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain.

Vêtus de nos leggings, de nos sweats de lycra noirs, nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la désagréable fraîcheur humide. Il ne fait que 7°. C'est parti. Nous restons sur l'asphalte. Nous courons d'une bonne foulée entraînés par Estelle qui donne le rythme. Il est 11 h quand nous revenons. Estelle prend sa douche. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous n'avons que le courriel de Julie. Elle a repris son travail de serveuse en soirée. Elle nous raconte quelques anecdotes.

Julie est revenue dans la maison hier en fin d'après-midi. Elle aime y venir en surmontant sa peur. C'est en partant, vers 18 h30 qu'elle a revu la même femme. Persuadée d'avoir éteint toutes les lumières, d'avoir enclenché les alarmes, assise dans sa voiture, Julie a assisté à une nouvelle apparition. Elle a d'abord vu la faible lueur d'une bougie, puis cette femme venir à la fenêtre. Julie nous raconte tout cela avec son style littéraire unique. Elle n'a plus le courage de revenir et attend notre retour. Elle joint une photo de ce qu'elle a vu. C'est étrange.

Devant une faible lumière on discerne la silhouette assez précise d'une jeune femme. Elle regarde par la fenêtre. Impossible de voir son visage à contre jour. Mais je sais que c'est le fantôme de Christine. Quand Estelle vient nous rejoindre, nous la laissons lire et répondre. Nous allons à la salle de bain. Quand nous revenons, c'est pour prendre le selfie que nous joignons à la réponse. Debout tous les trois. Je suis entre Estelle à ma droite, sa main dans ma braguette ouverte et Clémentine à ma gauche qui me tient par la taille. Grands sourires.

Le MacBook Pro de Clémentine fait de superbes photos. Il est 11 h30. Estelle ne lâche plus ma queue. Sa main dans ma braguette. << Mon doudou ! >> dit elle à chaque palpation. Nous passons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle met les assiettes et les couverts. Je réchauffe une des deux grosses tourtes au saumon achetées hier. Elles sont grandes. Il en restera pour ce soir. Nous faisons cuire des courgettes en accompagnement. Encore un repas simple à la préparation rapide et facile. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur les possibilités qu'offre la canne à selfie achetée hier. Il est décidé de l'emmener avec nous cet après-midi. << Je la porte >> fait Estelle. Une fois pliée, cet objet se fixe facilement à n'importe quel sac à dos. Il y a même deux sangles livrées avec. Je dis : << Tu ne vas t'encombrer. Je préfère quand tes mains sont libres ! >>. Estelle se lève. En mimant une masturbation masculine, elle répond : << Pour m'occuper de mon doudou ? >>. Nous éclatons de rire. La vaisselle.

Nous nous lavons les dents. Dehors, il y a des séquences ensoleillées qui alternent avec des moments plus couverts. Pourtant il n'y a pas de réelles menaces. Nous enfilons nos anoraks. Il est effectivement très simple de fixer la canne à selfie au petit sac à dos que je porte. Ce n'est pas plus lourd que la bouteille thermos. Pressés de filer, nous dévalons l'escalier de service. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, me caresse le cou. Nous descendons sur Leith. La circulation est fluide. L'horizon couvert et sombre.

Je gare l'auto sur le parking touristique. Même en cette saison, malgré la crise sanitaire, il y a du monde. Le port du masque étant à nouveau obligatoire dans tout le Royaume Unis, nous le mettons. << C'est une conspiration mondiale contre les gens beaux ! >> lance Clémentine. Princes Street est la longue avenue dans New Town. La partie neuve d'Édimbourg. La circulation y est autorisée. Malgré les 8° il y a plein de cyclistes. Il est très agréable de se promener là. Les nombreuses vitrines des boutiques sont merveilleusement décorées.

Estelle fixe son téléphone sur la canne à selfie. Elle tient la perche en nous filmant. Comme pour un reportage elle commente nos découvertes. Nous relevons nos masques pour tirer la langue. Nous les retirons prestement pour faire des grimaces. << On se regarde le film ce soir sur l'ordi ! >> fait Estelle qui cesse. Nous arrivons sur Charlotte Square. Il y a là des bâtiments à l'architecture géorgienne. La résidence du premier ministre où se réunit parfois le parlement écossais. Avec les arbres sans feuilles on distingue tous les détails.

Clémentine prend des photos avec le Nikon. Estelle, discrètement, procède à ses habituelles palpations de braguette. << Tu me niques ce soir ? La place est libre ! >> me dit elle. Nous éclatons de rire. Là-bas, deux couples de promeneurs viennent de voir Estelle me palper la braguette. Je la gronde. << On s'en fout. Qu'ils mâtent. Les yeux c'est fait pour regarder ! >> me fait Estelle en sautillant autour de nous. Nous attirons bien évidemment bien des regards. Nous quittons cet endroit magnifique pour arriver sur Dean Village. C'est de toute beauté.

La nuit tombe inexorablement dès 15 h50. Faisant place à un court crépuscule. Les illuminations féériques participent de ce nouvel enchantement. Nous montons les larges escaliers qui mènent sur Calton Hill. C'est une colline qui surplombe cette partie de la nouvelle ville. Estelle fixe à nouveau son téléphone sur la canne à selfie. << Attendez-moi là, je reviens dans deux minutes ! >> dit elle en contournant le socle de Dugald Stewart Monument. La vue sur la ville est époustouflante. Il n'y a aucun souffle de vent. C'est un océan de lumières.

Estelle revient. << Une surprise pour ce soir devant l'ordi ! >> dit elle en fixant la perche repliée sur le petit sac à dos. Nous redescendons par les larges escaliers. Nous longeons la rivière. Avec les illuminations les grandes roues à aube des moulins rénovés, sont impressionnantes. Clémentine prend quantité de clichés. Nous restons sur le large chemin. Nous avons envie de pisser. Comme toujours, il faut ruser pour trouver un petit coin. A ce jeu, nous sommes passés maîtres. Nous avisons une sorte de kiosque rectangulaire. Désert.

C'est une petite scène, une estrade. Derrière, c'est la cachette idéale. Les filles, pantalons et culottes à mi-cuisses peuvent pisser peinardes. Pour maintenir leur équilibre, je suis prié de les tenir par la nuque. J'en profite une fois encore pour enfoncer mes index dans les deux culs. << Salaud, enculeur de fille ! >> me fait Estelle. Je les torche soigneusement. Je sors ma bite et mes couilles. C'est Estelle qui me la tient pour en diriger les jets. Clémentine tient mes couilles. Elles s'accroupissent en même temps pour se partager les derniers reliquats.

Il est déjà 18 h45. Il faut retourner à la voiture. Il est 19 h30 quand nous revenons à l'appartement. Il suffit de réchauffer le reste de tourte, le coulis de courgette avec quelques coquillettes. Clémentine nous concocte une salade de tomates. Nous mangeons de bon appétit. Pressés de découvrir les images prises cet après-midi, nous faisons la vaisselle à toute vitesse. Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Nous visionnons les films de l'après-midi. C'est génial de se filmer en selfie. << Ça fait reportage télévisé ! >> lance Estelle.

Voilà la surprise que nous réserve Estelle. Lorsqu'elle est partie avec la canne à selfie elle nous a préparé un truc étonnant. La canne posée sur le trépieds, nous voyons Estelle déboutonner son jeans. Le descendre en même temps que sa culotte. Elle nous montre sa touffe. Cambrée sur ses genoux fléchis, elle se fait un doigt. << Un double ! >> précise t-elle en s'adressant à l'objectif. Tout cela ne dure que deux petites minutes. Quand Estelle est venue nous rejoindre, nous étions loin de nous douter de ce qu'elle avait "bricolé". C'est assez génial !

<< Tu vois les "plans" possibles ? >> demande Estelle à Clémentine qui répond : << Je sens qu'on va beaucoup s'amuser ! >>. Les filles me font des bises, palpent la braguette. Clémentine se lève en s'écriant : << Faites moi du spectacle ! >>. Nous comprenons ce que cela signifie. Comme chez nous, à la maison, Clémentine retire son jeans, sa culotte pour s'installer dans le fauteuil. Estelle et moi nous retirons nos vêtements. Trop contente de se faire niquer comme elle le souhaitait, Estelle me fait tomber dans le canapé. A genoux entre mes pieds.

Clémentine se masturbe. Tenant son clitoris géant entre le pouce et l'index, elle me le montre en me faisant un clin d'œil. Estelle me suce passionnément. Je lui caresse la tête. Les gémissements de Clémentine envahissent la pièce. Je force Estelle à cesser sa pipe. Je me lève. Elle se vautre à son tour dans le canapé pour s'y coucher de tout son long. Je n'ai plus qu'à me mettre en appui sur mes bras, à m'introduire avec précaution. A peine suis-je enfoncé dans Estelle qu'elle se met à bouger tout en se masturbant. C'est parti pour une superbe baise.

J'adore les gémissements stéréophoniques. Mes deux anges, telle une chorale, m'offrent les chants grégoriens de leurs jouissances. À leurs mélopées s'ajoutent les miennes. Je regarde Clémentine se masturber. Les yeux clos, la tête renversée en arrière, le mouvement pendulaire de ses doigts sur son sexe. Estelle se fait niquer comme elle aime. Je la baise façon homme des bois. Avec la délicatesse d'un lutteur ukrainien. Avec la douceur d'un équarrisseur de l'époque soviétique. Elle aime tant quand je me comporte en hussard. J'y vais à blinde.

Estelle me repousse soudain délicatement. Son orgasme la fait hurler de plaisir. Je me lève, la queue ruisselante de nos mélanges. Je me précipite vers Clémentine qui ouvre la bouche pour y recevoir mon sexe. J'ai du jus qui dégouline sur mes couilles. Je saisis Clémentine par ses oreilles. Elle continue de se masturber en poussant des râles d'émerveillement. Je regarde Estelle reprendre ses esprits et son souffle. J'éjacule comme un dément dans la bouche de Clémentine qui cesse de se branler pour m'attraper par les fesses. De peur que je me retire.

Bonne soirée à toutes les coquines que les selfies suggestifs excitent considérablement au point d'en évoquer les possibilités en baisant...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2021 - Épisode 1749 -



Dixième jour à Édimbourg

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par des murmures, des rires étouffés. Je suis entre mes deux anges qui me savent réveillé. J'ai immédiatement le visage couvert de bisous. Les mains qui passent dans mon slip. C'est une cascade de douceurs et de tendresses. J'ouvre les yeux. Estelle et Clémentine se serrent contre moi. Elles se frottent sur mes hanches en riant. << Bonjour Julien. Merci pour ces belles vacances ! >> font elles en cœur comme si elles avaient répétés pour la fête de l'école. C'est si merveilleux.

Il est plus de neuf heures. << On ne te remercie jamais assez de faire notre bonheur ! >> dit Clémentine. << Alors on te fait une fête aujourd'hui ! >> rajoute Estelle. Nous nous levons. Estelle qui a déjà été faire pipi va à la cuisine. Clémentine et moi nous allons aux toilettes. Nous revenons à la cuisine où les effluves de café et de pain grillé achèvent d'ouvrir nos appétits d'ogres. Estelle se pend à mon cou pour me faire des bises. Je la soulève pour la faire tournoyer. Je fais pareil avec Clémentine. Je dis : << Merci d'exister mes anges ! >>.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre expédition de hier, à Dean Village. L'expérience du selfie. << Très concluante ! >> précise Estelle. << On ne peut plus réussie ! >> rajoute Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en riant de nos frasques. Estelle nous prévient qu'il y aura une autre expérimentation à mâter ce soir. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font mille projets pour l'après-midi. La météo est la même que hier. Temps sec et frais. Le thermomètre extérieur indique 7°. Le ciel est plutôt dégagé.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres. Nous enfilons nos leggings, nos sweats. Les K-ways, les bonnets, les gants. Nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous restons sur l'asphalte. Ce circuit habituel que nous avons élaboré au cour des derniers jours. Une heure d'un agréable jogging. Nous revenons comblés. Estelle prend sa douche. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous avons deux courriels. Juliette et Julie.

Le message de Juliette narre ses journées chargées. Les mesures sanitaires qui recommencent à peser sur le moral et surtout sur les activités du personnel. << Tout le monde en a vraiment plein le cul de toutes ces informations anxiogènes dont il est tout à fait impossible de vérifier la véracité ! >> précise Juliette dans son mail. . << On se doute bien que certaines éminences du conseil scientifique sont probablement payés par les laboratoires de l'industrie pharmaceutique ! Leurs intérêts financiers dictent les choses ! >> lance Clémentine.

Le message de Julie relate sa journée de hier. Son travail de serveuse en soirée. Elle va d'ailleurs bosser la nuit du réveillon. << Il faut que je joue au policier pour contrôler les clients. Même les réguliers. C'est vexant et humiliant pour tout le monde, ce n'est pas mon boulot ! >> précise Julie dans son courriel. Estelle vient nous rejoindre. Nous prenons un selfie. Estelle est chargée de répondre aux deux mails. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous rejoignons Estelle qui surfe sur le site de l'université. Quelques nouvelles informations.

Les masques sanitaires seront obligatoires en cours. Les QR Codes seront probablement obligatoires dans les premiers jours de la rentrée. << Put-Hein, ça sent les cours par télé travail. Ils vont encore nous pourrir la vie pour le début de l'année ces enfoirés inconséquents ! >> lance Clémentine. Il est 11 h30. Nous enfilons nos anoraks pour aller faire quelques pas au dehors. Il y a de courtes séquences d'ensoleillement. Même si le soleil reste plutôt bas dans le ciel, c'est très sympathique. Les alternances nuageuses ne sont pas menaçantes.

Les filles me tiennent par le bras. Elles mettent au point les stratégies à adopter pour les nouvelles mesures sanitaires qui s'annoncent à l'université. Il est presque midi lorsque nous revenons. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle réchauffe la seconde tourte. Celle-ci est à la purée de homard. Je prépare un coulis d'aubergine avec des champignons, de l'ail et de l'oignon rouge d'Écosse. Fort et parfumé. C'est une préparation rapide. Le sujet de conversation reste évidemment centré sur les consignes de sécurité. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font le programme de l'après-midi. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Il suffit de fixer la canne à selfie sur le petit sac à dos, d'y glisser une petite bouteille d'eau et des barres de céréales. Pressés de filer, nous descendons l'escalier de service à toute vitesse. Pour aller en ville, nous faisons une fois encore le détour fort plaisant par Leith. Clémentine joue avec ma queue. Estelle assise à l'arrière caresse mes joues.

Nous garons l'auto dans la petite ruelle habituelle. Nos pérégrinations du jour vont nous entrainer sur Grassmarket. Le quartier "branché" d'Édimbourg. C'est au pied du château. Nous restons sur le Royal Mile. Très animé aujourd'hui. Il faut porter cet inutile masque sanitaire en extérieur. << J'en ai marre d'être humiliée par les mesures dictatoriales et démentes d'une secte de fous ! >> s'écrie Estelle qui le retire pour le laisser pendre à son oreille. Il y a beaucoup d'autres gens que nous croisons ainsi avec le masque accroché à l'oreille. Ras-le-bol !

Il y a une vingtaine de minutes jusqu'à Grassmarket. Les filles me tiennent par la main. Nous attirons encore bien des regards. Les Écossais sont grands. Ce ne sont donc pas nos hautes tailles qui attirent l'attention, mais notre trio. Ces deux jeunes filles souvent serrées contre cet homme d'âge mûr. Nous nous amusons beaucoup de ces situations. Surtout que lorsqu'un regard se fait plus insistant, Estelle pose carrément sa main sur ma braguette. Ça me gêne mais c'est rigolo de voir les yeux s'écarquiller comme devant une apparition mariale.

Voilà Grassmarket et ses maisons de caractère. C'est un petit village dans la ville. Les rues sont animées. Les boutiques sont superbement décorées. Estelle n'arrête plus de me palper la braguette. Quand je la tance, elle répond à chaque fois : << Tu n'as pas le droit de me gronder parce que je suis douce et caressante ! >>. Nous éclatons de rire. Il y a une sorte de mise en scène pour les festivités restreintes du Hogmanay. Une potence est installée sur la place. C'est ici jadis qu'on exécutait les condamnés à mort. Voleurs, violeurs, criminels.

Il y a des personnages costumés qui semblent procédé à une répétition. Un metteur en scène dirige les comédiens. Estelle en profite évidemment pour me tripoter. Il est 15 h45. La nuit commence à tomber. Les illuminations du château au-dessus de nos têtes sont absolument sublimes. Clémentine prend une série de clichés avec le Nikon. Nous flânons dans les rues féériques. Il y a de petites scènes installées à différents croisements. Il y aura des orchestres pour la nuit de la saint Sylvestre. Une veillée aux flambeaux dans les rues.

En Angleterre aussi le gouvernement Britannique hésite quand aux interdictions qui vont pleuvoir sur le pays dès la rentrée. Aussi, il se contente d'inviter les gens à la prudence et à respecter les jauges, à multiplier les "gestes barrières". Interdire les festivités de fin d'année, après deux ans de contraintes, serait s'exposer à des mouvements d'incivilités et à des formes de mécontentements que les dirigeants sembles vouloir éviter. << Si seulement ça pouvait péter une bonne fois pour toute et qu'on dégage tous ces cinglés ! >> lance Estelle.

Il y a le petit square. Estelle nous y entraîne. Nous restons dans l'allée centrale. Là, sur la droite, deux petits sentiers qui s'enfoncent dans les haies. C'est un endroit un peu mystérieux. Il y a des couples d'amoureux dans les coins. Estelle décroche la canne à selfie pour y fixer son I-phone. << Vous m'attendez, je reviens ! >> dit elle en passant entre deux statues pour disparaître. Clémentine m'embrasse passionnément. << Heureusement que tu es là. Ma vie est si belle, Julien. Quoi qu'il arrive ! >> me murmure t-elle entre deux baisers.

Estelle qui revient en chantonnant. << Voilà. Une surprise pour ce soir ! >> lance t-elle en agitant son téléphone. Clémentine nous entraîne derrière des bosquets de lauriers. Elle descend son jeans et sa culotte à mi-cuisses. Elle saisit ma main pour la poser sur sa nuque. C'est ainsi que je maintiens son équilibre. Estelle fait le guet car il y a des voix un peu partout dans l'obscurité des fourrés. On discerne parfois une ou deux silhouettes. Je torche soigneusement Clémentine qui me tend un mouchoir en papier. C'est à mon tour de lisbroquer.

Clémentine me tient la bite. Estelle se penche pour filmer avec son téléphone dont la diode éclaire la scène durant la prise de vue. << Ça bouffe de la batterie ! >> dit elle. Clémentine dirige les jets en agitant parfois ma queue. Elle s'accroupit en mettant sa main libre devant l'objectif. Estelle se redresse. Clémentine me suce en me tenant par les hanches. << Et moi ! >> s'écrie Estelle qui s'accroupit à son tour. Clémentine lui refile ma bite avant de se redresser. Il faut cesser, il y a trop de monde. Un groupe de jeunes fêtards sans doute.

Nous achetons des fishs and chips. Nous les gardons emballés. Ce sera notre repas du soir une fois de retour à l'appartement. Il commence à faire froid. Il est déjà 18 H30. Nous avons visité plusieurs galeries d'Art. C'est le quartiers des artistes. Tant pour la peinture, la sculpture ou encore la photographie. Il y a un artiste qui a créé des puzzles en 3D avec des monuments de la ville. A partir de matériaux recyclés. C'est assez surprenant. C'est fait avec des rayons de roues de bicyclettes, des emballages de produits ménagers ou encore de conserves.

Il est 19 h30 quand nous revenons à l'appartement. Nous mettons les fishs and chips sur un grand plateau, dans le four. Clémentine prépare une salade d'avocats. Estelle met les assiettes et les couverts. Je fais griller de fines tranches de pain sur lesquelles j'étale du beurre salée. Ce repas totalement improvisé nous régale. La vaisselle. Nous découvrons sur l'écran de l'ordinateur la "surprise que nous réserve Estelle. Le petit film qu'elle a réalisé en secret. Elle a fixé la canne à selfie sur son trépieds. On la voit descendre son jeans et sa culotte. C'est sombre.

Ses vêtements sur les chevilles, à côté de la stèle d'une statue, cambrée sur ses genoux fléchis, Estelle pisse debout. C'est un peu sa spécialité. Pas une goutte sur ses fringues. Elle écarte les lèvres de son sexe pour diriger un jet net et précis. Il y a plusieurs jets. On entend des voix au loin. On voit Estelle regarder partout autour d'elle. Elle se tourne vers le téléphone pour se doigter. Deux doigts dans la chatte. Elle les ressort pour les montrer à l'objectif. Elle se rapproche. Par contraction de ses muscles fessiers elle fait bouger sa chatte. Génial.

Estelle se torche en prenant tout son temps. Elle montre le résultat à l'objectif. Elle remonte ses vêtements. Elle se penche pour faire un coucou. Terminé. Je la félicite pour cette surprise. Clémentine repasse les images, fait des arrêts, revient en arrière. Nous sommes admiratifs. << Tout ce qu'on va faire avec cette formule ! C'est super ! >> lance Estelle. << Tu me la mets ? >> rajoute t-elle en me sortant la queue. Clémentine s'écrie : << Oh oui ! Du spectacle ! >>. Nous retirons nos jeans, nos sous-vêtements. Les filles se touchent.

Vautrées toutes les deux sur le canapé, tenant leurs jambes relevées sous les genoux, elles me présentent leurs minous en riant. Je me branle en admirant ce divin spectacle. J'enfourne ma queue dure comme du bois dans Estelle qui se masturbe en gémissant, en bougeant. Je passe à Clémentine qui se masturbe en restant immobile. Toutes les deux, pénétrées jusqu'aux couilles s'offrent une baise jouissive. Tout en se faisant ramoner elles ne cessent de se toucher. Estelle connait encore un orgasme nucléaire. Clémentine connait son orgasme pisseux.

Bonne soirée à toutes les coquines que les flâneries dans les quartiers d'Édimbourg inspirent aux plus délicieuses folies...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2021 - Épisode 1750 -



Onzième journée à Édimbourg

Hier matin, jeudi, il est plus de neuf heures quand Estelle se frotte contre moi. Toute la nuit elle a épousé chacun de mes mouvements. Depuis quelques temps, c'est ainsi qu'elle me tire du sommeil. Se masturbant contre ma hanche en m'enserrant de ses jambes. Sa bouche dans mon cou. Cela réveille évidemment Clémentine qui vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Je glisse mes mains dans les culottes pour défaire quelques nœuds. Clémentine saisit mon érection naturelle juste avant la tentative d'Estelle. Nous rions de cette "lutte".

L'envie de pisser étant la plus forte, Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Elle s'élance vers la porte. Clémentine se couche sur moi pour frotter son sexe contre le mien. << Je t'aime Julien. Comme c'est bon ! >> murmure t-elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous entendons Estelle chantonner dans la cuisine. Il y règne cette délicieuse odeur de café et de pain grillé. C'est devenu un rituel. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de ma taille en me couvrant le visage de bisous.

J'inflige toujours le même traitement à Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celles qui nous attendent aujourd'hui. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges font le vague programme du jour. Il faudra s'organiser car ce soir, commence le Hogmanay. Cette fête qui fait réjouissance en ville. Même si ce sera encadré par des mesures sanitaires, les festivités seront superbes.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous passons nos leggings, nos sweats, nos K-ways, nos bonnets, nos gants. Nous courons pour descendre. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur humide. Il fait moins froid ce matin. Le thermomètre extérieur indique 11°. Il y a une alternances de séquences ensoleillées. Pas la moindre menace. C'est parti pour notre jogging quotidien. C'est Estelle qui donne la cadence d'un running soutenu. Il est déjà 11 h quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. En chantonnant.

Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Hier soir, avant de baiser, Estelle a installé une image de fond d'écran que nous avions oublié. On la voit derrière la stèle, debout, cambrée sur ses jambes fléchies, écartant les lèvres de son sexe, entrain de pisser. Un jet généreux, fin, net et précis. Nous rions avant d'ouvrir nos boîtes mails. Le courriel de Juliette qui nous raconte l'organisation logistique du haras pour les fêtes. Le message de Julie qui narre sa journée, sa soirée de serveuse dans le restaurant de sa tante Anne-Marie.

C'est toujours quand Estelle revient au salon que nous faisons un selfie. Destiné aux réponses que fait Estelle. Nous la laissons. C'est à notre tour d'investir la salle de bain. Nous revenons au salon. Vêtus tous les trois pareils. Estelle nous lit à haute voix les réponses aux messages. Aucune informations nouvelles sur le site universitaire. Sinon le programme des partiels qui ouvrira le second trimestre. Nous enfilons nos anoraks pour aller faire quelques pas au dehors. Il y a oncle Alan qui vide le coffre de sa voiture. Nous bavardons un peu. Il fait 13°.

Nous serons attendus pour le repas du nouvel an, samedi soir. Nous promettons d'être là pour 19 h. Accrochées à mon bras, mes deux anges évoquent ce second trimestre qui les attend d'ici quelques jours. Nous flânons dans la douceur étonnante de ce 30 décembre. Il y a un garçon qui accroche le programme des festivités aux grilles des propriétés. C'est à l'instant précis où il regarde en nous faisant un sourire qu'Estelle pose sa main sur ma braguette pour la palper vulgairement. La réaction du jeune homme est évidemment cocasse. Surprise.

Nous rions de bon cœur des expressions du garçon. Il commence à faire faim. Nous rentrons. Clémentine s'occupe de la salade de tomates. Ce sont les dernières. Estelle fait gonfler du riz complet en râpant du gruyère. Je fais une Béchamel dans laquelle je rajoute l'émincé de saumon que je viens de faire rissoler à la poêle. Il suffit d'y verser le gruyère, de porter à douce ébullition avant de couper le feu. C'est un repas simple mais savoureux. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la surprise du jeune homme de tout à l'heure. Rires.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font mille projets pour l'après-midi. Nous décidons de profiter de cette météo plutôt douce. 15°. Nous irons à Roslin. Ce petit village gothique au sud d'Édimbourg. C'est à une quinzaine de kilomètres. Nous aimons y faire un pèlerinage. Visiter la fameuse chapelle de Rosslyn. C'est un des endroits les plus étranges. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Les filles tentent de prononcer différentes voyelles avec la bouche pleine de dentifrice. Poilades.

Il est 13 h15. Nous voilà partis. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière me caresse les joues, passant ses mains dans mon cou. Ce qui me procure toujours d'agréables frissons. La circulation est fluide. Nous prenons la nationale qui descend vers le Midlothian, cette région au sud d'Édimbourg. Je gare l'auto sur le grand parking devant la chapelle. C'est un édifice de la taille d'une église. Nous connaissons son histoire mais nous aimons à lire les grands tableaux qui présentent l'ancienne Collégiale St Mathieu.

Il y a des visiteurs. Estelle décroche la canne à selfie fixée sur le petit sac à dos. Nous pénétrons une fois encore dans ce monument mystérieux. Le lecteur qui suit nos aventures depuis des années, connaît bien l'intérieur de la chapelle. J'y fais une description détaillée à plusieurs reprises. Il y a là une décoration très particulière. Toute l'imagerie franc-maçonne est représentée par des sculptures en reliefs, des fresques et par les symboles de l'obédience occulte. L'endroit est d'ailleurs superbement rendu dans le film "Da Vinci Code". Tourné ici.

Il y a certainement un concert qui se prépare pour demain soir car des gens installent des chaises autour de l'hôtel. Il y a là quantité de recoins. Des endroits obscurs. Les lieux où Estelle aime à me palper la braguette effrontément. Je ne dis plus rien. À quoi bon puisqu'elle ne veut rien entendre. Elle reste discrète en ouvrant les boutons pour y glisser sa main. Clémentine, amusée, observe mes réactions, les expressions de mon visage. Il y a quand même une bonne vingtaine de visiteurs. Sans compter les gens qui préparent la scène. Gaffe.

Estelle me sort la queue. Je suis là, dans l'ombre, caché derrière un pilier aux sculptures médiévales, la bite à l'air dans un haut lieu culturel et historique de l'Écosse séculaire. Estelle me tient la queue d'une poigne ferme. Clémentine fait le guet. Des gens qui parlent à voix basses, qui circulent dans l'édifice. Encore une de ces situations embarrassantes dans laquelle Estelle adore me mettre. Je bande mou. Il faut cesser. Il faut remballer. Un groupe de gens vient par ici. Ouf. Juste à temps. Avec la faible luminosité personne ne peut voir que je suis tout rouge.

Je murmure à l'oreille d'Estelle : << Coquine ! Tu devrais avoir honte ! Dans un lieu de culte ! >>. Clémentine rajoute : << Un culte qui n'a rien de très Chrétien ! >>. Nous rions de bon cœur. Malgré la fraîcheur de l'endroit, c'est très agréable de s'y trouver. Estelle sort l'I-phone de sa poche pour le fixer à la canne à selfie. << Attendez-moi là ! >> dit elle en s'éloignant entre les bancs et le mur. Clémentine se serre contre moi pour chuchoter : << Elle nous prépare la surprise de ce soir ! >>. Nous nous embrassons passionnément. C'est si bon d'être là.

La nuit tombe inexorablement après un court crépuscule. Il n'est que 15 h50. L'ambiance de cet endroit étrange devient encore plus mystérieuse. Il y a des lumignons qui diffusent une lueur chaude, orangée. De gros candélabres. Voilà Estelle qui revient en agitant son téléphone. << Le feuilleton pour ce soir ! >> fait elle. Nous restons en ce lieu plus d'une heure. Nous n'y reviendrons plus avant l'été prochain. Nous profitons de chaque instant pour nous emplir la tête de nouveaux souvenirs. Découvrir de nouveaux détails. C'est magique.

Une fois encore j'ai la bite à l'air. Nous sommes dans la nef qui fait le tour de l'hôtel. L'atmosphère curieuse est pesante. Nous ne reconnaissons aucun saint dans les statues qui nous observent d'un étrange regard. C'est réellement envoûtant. << T'es pas chiche de faire l'aller retour avec la bite et les couilles à l'air ! >> murmure Estelle. << J'aimerais bien voir ! >> rajoute Clémentine. Je sors mes couilles. Estelle demande à Clémentine de filmer. Marchant à reculons devant nous, Clémentine immortalise la scène, Estelle à mes côtés.

Je suis mort de trouille. Il y a des gens. N'importe qui peut se pointer dans le sens contraire. Nous faisons le premier parcourt en demi lune. Il faut revenir. Estelle me tripote par derrière. Vicieusement, vulgairement, en faisant des grimaces à l'objectif. Nous prenons là quelques risques délirants. Derrière nous, des voix. Il y a un petit groupe de visiteurs. Comme je tourne le dos à ces gens, ils ne se doutent pas un seul instant de ce qui se passe. Clémentine fait écran de son corps afin que je puisse remballer. Je suis en sueur, gêné, mort de trouille.

<< Tu aimes quand je suis salope ? >> murmure Estelle qui pose sa main sur ma braguette. Je chuchote : << Tu es folle de nous mettre dans de telles situations ! >>. Clémentine rajoute : << Exhibitionnisme en monument historique ! Ça va chercher dans les combien ? >>. Nous rigolons comme des bossus. Il est temps de repartir. Estelle exige d'être devant. Assise au sol entre les pieds de Clémentine. Elle peut me tenir la queue pendant que Clémentine la suce. Je roule doucement. Je prends la départementale qui contourne le village. Moins risqué.

Il est 17 h30 quand nous revenons en ville. Je gare l'auto dans la ruelle habituelle. Nous marchons d'un bon pas jusque dans le centre historique. Il y a de petits orchestres qui installent leurs matériels sur des scènes minuscules. Quelques groupes jouent déjà. En Écosse la plupart des groupes proposent du rock celtique. C'est fameux. Nous flânons. Le labyrinthe des passages en escaliers, le dédale des étroites ruelles de la vieille ville sont un perpétuel enchantement. Surtout qu'il y a de petites bougies allumées sur chaque rebord des fenêtres.

Une ambiance de comte de fée. C'est un réel bonheur de retrouver Édimbourg à la période du Hogmanay. Nous sommes en pays calviniste, les fêtes du passage à la nouvelle année sont plus importantes que les fêtes religieuses. Comme le veut la mythologie celte, demain soir s'ouvrent les portes de l'autre monde. Estelle profite de chaque occasion pour me palper la braguette. Nous nous embrassons souvent. C'est très pratique car lorsque Clémentine me roule une pelle, Estelle peut me tripoter. Quand c'est Estelle qui m'embrasse, c'est Clémentine.

Moi aussi je passe mes mains entre les cuisses bouillantes de mes deux anges. Combien de fois nous faisons nous surprendre ainsi ? Il y a les fois où nous nous en rendons compte. Il y a probablement toutes les autre fois. Ce qui nous excite considérablement. Notre repas du soir est composé de fishs and chips. Dans le petit sac à dos que je trimballe, des lingettes permettent de se nettoyer les doigts poisseux. Nous adorons nous embrasser avec le gout des fritures. Explorer nos bouches de nos langues avides. Estelle palpe ma bosse sans scrupules.

Nous traînons longuement dans les rues animées. Tout le monde porte un masque sanitaire. Même si ce dernier n'est accroché qu'à une oreille. Les différents groupes offrent des musiques variées. C'est comme une fête de la musique au solstice d'hiver. Il y a des souffleries d'air chaud devant les musiciens. Superbe organisation. Nous restons prudents et distants. Il fait doux. Il est 22 h quand nous revenons à l'appartement. J'offre à mes anges un superbe cunnilingus une fois au lit. Nous regarderons le "feuilleton selfie" demain. Les orgasmes...

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se sont bien "chauffées" lors de quelques visites historiques en jouant avec une queue...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1751 -



Meilleurs nœuds et beaux nénés

Hier matin, vendredi 31 décembre, je suis tiré de mon sommeil par les lèvres d'Estelle qui se posent dans mon cou. Elle se serre tellement fort en gémissant. C'est comme si elle reprenait difficilement sa respiration après une profonde apnée. Je me veux rassurant dans le réflexe de passer mon bras autour de son épaule. Clémentine se réveille pour venir se blottir contre moi. << J'ai fait un rêve étrange. Comme un cauchemar ! >> murmure Estelle. Je distribue des bisous à mes deux anges. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite.

C'est Clémentine qui saisit mon érection naturelle à pleine main. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine me branle un peu en chuchotant des : << Je t'aime ! >>. Rajoutant : << C'est si bon de terminer l'année dans ma ville préférée, avec toi ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans les douces effluves de café, de pain grillé. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. Je fais pareil avec Clémentine.

Nous prenons notre petit déjeuner en écoutant Estelle nous raconter son étrange cauchemar. Un rêve qui se déroule dans la chapelle Rosslyn où nous avons passé une partie de l'après-midi, hier. << Il y avait des entités étranges qui se mêlaient aux humains. Il y avait une ambiance terrifiante. A un moment je vous ai perdu. C'était affreux ! Je ne vous ai retrouvé qu'en me réveillant ! >> explique t-elle en tenant nos poignets. Nous mangeons toutefois de bon appétit. Clémentine répond : << Pas d'inquiétude, nous sommes là ! >>. Nous éclatons de rire.

Il est 9 h30. Dehors c'est la même météo que hier. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous revêtons nos leggings, nos sweats, nos K-ways, bonnets, gants avant de dévaler l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. Il fait 11°. C'est parti. Estelle impulse un rythme rapide et soutenu. Une heure d'un gratifiant running plus tard, nous sommes de retour. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Le message de Julie.

Julie narre sa journée. Son job de serveuse en soirée. D'amusantes anecdotes concernant ses fréquentes visites aux toilettes hommes pour être confrontée à de volontaires situations ambigües. Elle en raffole. Julie est rarement déçue en entrant dans les WC hommes au sous-sol du restaurant. Tenant à la main un seau et un balai brosse. Ce n'est évidemment qu'un prétexte. Julie n'a pas de temps à consacrer au nettoyage. Elle choisi consciencieusement les messieurs qui la mâtent discrètement, qui lui font de l'œil ou encore des sourires entendus.

Ces histoires, racontées avec un luxe de détails, nous amusent beaucoup. Des aventures qui excitent considérablement Clémentine. Estelle nous rejoint. Nous prenons le traditionnel selfie qui sera joint à la réponse que va faire Estelle. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous revenons au salon. Vêtus tous les trois de nos jeans, de nos sweats, nous écoutons Estelle lire à haute voix le courriel pour Julie. << Elle m'excite avec ses histoires de voyeuse dans les chiottes. Nous avons toutes les deux le même fonctionnement ! >> précise t-elle.

Assises sur mes genoux, les filles font une rapide visite sur le site de l'université. Aucune information. Nous découvrons le petit film qu'à fait Estelle hier, durant notre visite dans la chapelle. Nous nous souvenons quand elle nous a laissé quelques minutes. Sur l'écran de l'ordinateur, nous reconnaissons les lieux. Estelle nous explique : << J'ai fixé la canne sur son trépieds. C'est simple et efficace ! >>. Nous la voyons apparaître soudain derrière ce qui semble être un des piliers carrés. Elle regarde partout autour d'elle. Elle déboutonne son jeans.

D'une série de mouvements rapides et précis, elle a ses vêtements à mi-cuisses. Là, dans l'obscurité, elle se tourne franchement vers l'objectif, une main entre ses cuisses. Elle écarte les lèvres de son sexe pour nous montrer son petit clitoris qui semble comme décalotté. Je le vois rarement ainsi. Je trouve même qu'en quelques quatre années, son bouton de plaisir a pris du volume. Clémentine a la même impression. << Wouah ! Tu fais fort encore ! >> dit elle à Estelle qui répond : << Toi qui est exhibe, tu imagines les sensations ! >>.

Clémentine n'a pas encore mis à profit les possibilités offertes par la canne à selfie. A l'image, on voit Estelle se doigter. Un mouvement pendulaire régulier de ses doigts sur son clitoris. Tout en se masturbant elle regarde dans toutes les directions. Nous entendons les voix des visiteurs qui résonnent. << Génial ! Je vais me préparer des "plans" d'enfer ! >> lance Clémentine. Le film ne dure que deux minutes et dix sept secondes. Mais dans de telles situations, le temps paraît beaucoup plus long. Nous félicitons Estelle pour son culot, sa témérité.

<< Oh mais je ne simule pas ! Je suis réellement hyper excitée et je me branle vraiment. C'est trop bon ! >> s'écrie Estelle en me palpant la bosse. Je bande comme le dernier des salauds. Rien n'est plus excitant au monde que d'avoir la fille qu'on voit dans le film assise sur ses genoux. Rien ! C'est tout simplement le sommet de l'érotisme que nous affectionnons. Il est 11 h30. Nous mettons nos anoraks pour aller faire quelques pas au dehors. Il y de nombreuses séquences ensoleillées. La température est de 14°. Un record de douceur en Écosse.

Les filles, accrochées à mon bras, font mille projets de selfies coquins. Clémentine aime bien élaborer des scénarios. Ces préparations préalables lui permettent des expérimentations hyper excitantes. Nous sommes impatients de découvrir ce qu'elle nous prépare. La faim commence à se faire sentir. Nous rentrons. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Estelle et moi nous épluchons les dernières pommes de terre. Pour les laver et les couper en fines tranches "chips". Dans la poêle je fais revenir les trois derniers filets de saumon.

C'est une préparation rapide. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises. Estelle fourre sa main dans ma braguette à de multiples reprises. Je glisse mes mains entre les cuisses bouillantes de mes deux anges. C'est dans cet état d'euphorie érotique que nous savourons ce délicieux et simple repas. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme de l'après-midi. Estelle se lève plusieurs fois pour mimer une masturbation masculine. << Demain, le premier janvier, pour ton anniversaire, je te branle tout le temps ! >> me dit elle.

Nous rions de bon cœur. Clémentine, en mimant une pipe, rajoute : << Et moi, je te suce tout le temps ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux coquines élaborent des scénarios coquins pour l'après-midi. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents dans la déconne la plus totale. J'ai la bite et les couilles garrotées par l'étroitesse de la braguette boutons de mon Levi's 501. Ce n'est pas très agréable mais cela plaît tellement à mes deux adorable anges.

Estelle adore passer son index et son pouce, comme un anneau, autour de mes roubignoles. << Je te les épile au retour ! >> dit elle en s'accroupissant pour les lécher, les sucer l'une après l'autre. Clémentine s'accroupit à ses côtés pour suçoter l'extrémité. La peau fripée de mon prépuce qu'elle aime à garder serrer entre ses lèvres en me fixant. C'est prodigieusement excitant de les voir toutes deux s'échanger mes attributs virils en riant. Je caresse leurs têtes, leurs cheveux. Je les aide à se redresser. Nous restons serrés tous les trois. C'est si bon.

Il est 13 h30. Pressés de filer, nous enfilons nos anoraks pour dévaler l'escalier. La température extérieure est à présent de 16°. Nous pouvons même retirer nos anoraks dans l'auto. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue bien raide. Elle l'agite pour la montrer à Estelle qui est assise derrière. Penchée par dessus mon épaule, elle passe son bras pour attraper la bite. Nous passons par Leith. Je gare la voiture sur le parking du port de pêche de Newhaven. C'est à une dizaine de kilomètre au Nord Est d'Édimbourg. Il y a du monde.

Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par le bras. Nos anoraks grands ouverts. Pas un souffle de vent. Nous flânons sur les quais avant d'entrer dans les rues du bourg. En vue du Hogmanay, c'est un circuit piétonnier. Là aussi se préparent les traditionnelles festivités de la saint Sylvestre. Les rues pavées entre les petites maisons ont été soigneusement passées au jet. Elles en sont luisantes, comme vernies. Il y a les "no mask" qui défilent en tenant des pancartes. Ils sont nombreux ici à manifester ainsi leurs ras-le-bol. C'est toutefois sympa.

Estelle profite de chaque occasion pour me palper la braguette. Je suis même obligée de la gronder. Ce qui la fait évidemment rigoler sans la dissuader. Elle adore me mettre dans les plus embarrassantes des situations. Clémentine s'amuse tant de mes attitudes, de mes expressions. C'est ainsi que nous nous promenons longuement. C'est notre avant dernier jour en Écosse. Nous voulons nous remplir la tête d'un million d'images. << Que dirais-tu d'un selfie pipe ? >> me demande plusieurs fois Estelle en me montrant des endroits précis.

<< Je fais le guet ! >> propose Clémentine. << Le selfie du Hogmanay ! >> insiste Estelle. Je réponds : << Vous me faites bander toutes les deux. C'est affreux ! >>. Elles éclatent de rire en se serrant contre moi. Ce qui permet à Estelle de palper ma bosse sans être vue. Bien sûr, nous attirons bien des regards. Nous relevons nos masques sanitaires pour nous embrasser passionnément. Dans un recoin, Estelle déboutonne ma braguette. Elle y fourre sa main. Je bande comme le dernier des salauds. Elle me branle dans le slip. C'est un peu difficile.

Je sors ma queue, là, sous le porche d'un portail ouvert. Estelle me branle. Les filles fouillent ma bouche de leurs langues exploratrices. Chacune à son tour. Nous pouvons nous faire surprendre à chaque instant. C'est intense, éprouvant. C'est une situation assez stressante. Je remballe. Il faut absolument cesser. Des promeneurs passent à quelques mètres de nous sans nous voir. Mais c'est hyper risqué. Nous continuons nos flâneries. Nous faisons des selfies tout à fait convenables et "normaux". C'est à dire la main d'Estelle sur ma braguette.

Il est 16 h. La nuit est tombée. Le ciel noir est étoilé par endroit. C'est magnifique. Il y a la musique d'un orchestre folklorique écossais. Les cornemuses. C'est de toute beauté dans cette ambiance de comte de fée. Flâner sur le port est un moment inoubliable. Il faut refermer les anoraks. Ce qui met un terme aux explorations manuelles d'Estelle. Ce qui ne l'empêche pas de me tripoter en passant sa main sous l'anorak. Il est 17 h quand nous reprenons la petite route côtière jusqu'à Leith. Édimbourg est interdite à la circulation ce soir et demain.

Il y a des navettes qui assurent le transport. Une promiscuité que nous voulons absolument éviter. Il faut compter une bonne demi heure de marche pour arriver dans le centre historique. Ce qui nous permet de faire de l'exercice. Ce que nous apprécions tout particulièrement. Au fur et à mesure que nous approchons du centre, l'ambiance festive s'intensifie. Nous voilà sur Princes Street. Les premières venelles du dédale de la vieille ville. Nous évitons tout contact, tout rassemblement. Nous ne sommes pas les seuls à respecter les distanciations.

Ce qui permet à Estelle de glisser sa main sous mon anorak. << Je suis une véritable obsédée ! >> me dit elle à chaque fois. << Et moi une possédée ! >> fait Clémentine qui prend le relai. Nous flânons dans cette ambiance magique. Il y a des lumignons à toutes les fenêtres. Les décorations sont toutes dans des teintes sépias. Nous écoutons quelques groupes. Il commence à faire faim. En raison des mesures sanitaires, cette année les repas communs ne seront pas servis sous de grands chapiteaux mais en plein air. Il est presque vingt heures.

Nous voulons participer à la retraite aux flambeaux. Nous achetons trois flambeaux qui seront allumés au grand feu dans un décors et avec des personnages médiévaux. Le Hogmanay est la plus grande fête d'Europe en cette période de l'année. Ces festivités attirent les foules. Nous prenons des assiettes et des gobelets en cartons cirés. Nous choisissons un des points de ventes. Il faut patienter en dansant sur place au son de la musique. Là, tout près, c'est un groupe qui interprète AC/DC revu et corrigé à la sauce écossaise. C'est remarquable. Fameux.

Nous voilà à dévorer avec les doigts nos beignets de crevettes, de crabes et de légumes. Des soupes bien chaudes qu'il faut boire au gobelet. Nous allons sur une des pistes de danses pour esquiver quelques pogos dynamiques. Estelle et Clémentine me font des sourires, des clins d'œil comme si elles cherchaient à me séduire d'une autre manière. Elles se font même draguer dès qu'elles s'éloignent un peu. J'adore les voir dans ces situations. Nous repartons vers d'autres coins de rues. 23 h. Nous sommes épuisés. La retraite aux flambeaux.

Nous parcourons le labyrinthe des ruelles en escaliers en tenant nos flambeaux allumés. C'est une processions qui évoque quelques sabbats de sorcières. Un voyage dans le temps. Beaucoup d'écossais sont d'ailleurs vêtus à la façon du moyen-âge. Le Hogmanay est une tradition séculaire. Il est minuit lorsque tout le monde se met à se souhaiter une belle et bonne année nouvelle. Pas de bises. Pas de contacts. Nous sommes en pays anglo-saxon et crise sanitaire oblige pas d'effusions inconsidérées. Juste Estelle, Clémentine et moi, serrés forts. Bisous.

Il est une heure du matin lorsque nous revenons à l'appartement. Bien trop fatigués pour nous livrer à nos douces turpitudes habituelles. Nous décidons que ce samedi premier janvier 2022 sera marqué d'une grasse matinée exceptionnelle. Nous nous lavons les dents comme des zombies. Au lit, je suis entre mes deux anges blotties contre moi. Estelle s'endort la première dans un léger ronflement. Clémentine me confie ses derniers "secrets". Son bonheur. Ses joies. Ses plaisirs. Nous plongeons dans cette extase qui précède le sommeil profond.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui n'ont cessé de palper de la braguette, tripoter de la queue, branler de la bite dans un slip...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1752 -



Là dernière journée à Édimbourg

Hier matin, samedi, il est presque 10 h quand je suis tiré de mon sommeil par des murmures. J'ouvre les yeux. A peine suis-je réveillé qu'on me couvre le visage de bisous. << Bon anniversaire ! >>. Je suis entre mes deux anges. Estelle saisit mon érection bien naturelle au réveil. Clémentine empoigne mes couilles. Toutes les deux se blottissent contre moi. Chacune se frotte contre mes hanches, contre mes cuisses. Je les prends par leurs épaules. Je ferme les yeux pour me laisser glisser dans l'extase de cette nouvelle matinée. Nous restons ainsi.

Il est très rare que nous dormions aussi tard. Mais nous avions prévu de faire la grasse matinée. Après tout, nous sommes rentrés à 1 h30. Les filles n'arrêtent plus de se frotter, de me faire des bises. Estelle se lève la première. Clémentine me prend la main. Elles m'entraînent toutes deux aux toilettes. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine me tient les couilles à pleine poigne. Je pisse comme un bienheureux. Estelle s'accroupit. Du bout de sa langue qu'elle passe dans la dernière giclée elle remonte sur le méat décalotté.

Clémentine s'accroupit à son tour. Elles se refilent la queue dont elles suçotent l'extrémité à tour de rôle. Je les tiens par les cheveux. Je demande : << Et vous ? >>. Elles s'écrient toutes deux en même temps : << Déjà fait ! >> en se redressant. Elles m'entraînent à la cuisine. Elles ont bien préparé la surprise. Comment diable ont-elles procédé ? Il y a une belle brioche qui trône au milieu de la table. Estelle à ma gauche qui se serre contre moi. Clémentine à ma droite qui se blottit. << Happy Birthday ! Happy new year ! >> chantent elles.

Elles m'entraînent dans une ronde autour de la table. L'odeur du café, du pain grillé. J'apprends que c'est Estelle qui a eu l'idée de la brioche. Elle a demandé à Amy, la femme de mon oncle d'acheter une brioche. Nous prenons ce copieux petit déjeuner en revenant sur le Hogmanay. Cette fête qui nous a entraîné jusqu'au milieu de la nuit. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de ces vacances. Trop courtes. Trop intenses. Trop brèves. Il faudra attendre six mois avant de revenir. Cette pensée nous donne à tous les trois le tournis. C'est trop long.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font le très vague programme de la journée. Dehors, le ciel est gris. La température est de 11°. Nous sommes attendus ce soir pour le dernier repas en famille. Estelle nous laisse pour aller prendre sa douche. Nous faisons la vaisselle. Clémentine allume l'ordinateur. Deux courriels. Le message de Juliette qui nous présente ses vœux pour l'année nouvelle. Qui nous raconte son réveillon. Un message de Julie qui nous raconte son réveillon. Un réveillon qu'elle a passé à faire la serveuse.

Julie nous informe qu'elle passera chez nous afin de bien préparer notre retour. Petits coups de balai, petits coups d'aspirateur. Estelle vient nous rejoindre vêtue de son jeans, de son sweat. Nous faisons deux selfies qui seront joints aux réponses que s'apprête à rédiger Estelle. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Clémentine n'arrête pas de se frotter à moi en murmurant des douceurs. << J'ai envie de faire l'amour avec toi ! >> me chuchote t-elle plusieurs fois. Nous sommes nus à nous essuyer lorsque je la prends pour la soulever.

Je l'installe sur la machine à laver. Je la tiens par les hanches pour l'attirer à moi. Clémentine saisit mon sexe pour le frotter sur le sien. Je la saisis par les épaules. Nous nous embrassons comme des fous. Je la pénètre doucement, avec d'infinies précautions. Il est extrêmement rare que nous faisions l'amour le matin. Nous sommes plutôt du soir. Mais là, c'est extraordinairement bon. << Bon anniversaire Julien ! >> me murmure Clémentine avant de prendre appui sur ses coudes. Les yeux fermés, la tête rejetée en arrière, elle rajoute : << Julien ! >>.

Je la baise à la hussarde. Ça aussi c'est plutôt rare. Nous apprécions de rester immobiles, l'un dans l'autre, pour nous confier des secrets. Mais là, je nous surprends en pleine démence. << C'est ça que vous faites ! >>. C'est la voix d'Estelle qui entre dans la salle de bain. Elle vient nous rejoindre pour se serrer contre mon dos. Blottie contre moi, ses mains caressent mes abdominaux saillants par l'effort. Je suis entièrement à poil. Estelle promène ses mains sur mon corps. Je fais la "machine à coudre" enfoncé jusqu'aux couilles dans Clémentine.

Estelle s'attarde sur mes pectoraux, mes deltoïdes. Elle descend sur mes cuisses en fourrant son visage entre mes fesses. Estelle saisit mes couilles. Clémentine se masturbe toujours lorsque je suis en elle. La présence d'Estelle qu'elle devine se livrer à de divines explorations, participe de son excitation. Autant que de la mienne. Les deux coquines m'offrent un cadeau d'anniversaire qui restera dans nos mémoires. Estelle se redresse. Sans me lâcher les roupettes elle vient se positionner sur ma droite pour me lécher le visage. Quel divine sensation.

J'alterne les séquences "mouvementées" avec des moments plus calmes. Estelle fouille ma bouche de sa langue agile. Mes lombaires commencent à me rappeler mon âge. La position debout, cambré sur mes jambes fléchies, demande de fournir un effort d'un autre genre. Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la tétanise soudain. Nous pissons toujours tous les deux sous la douche. Ce qui évite un orgasme pisseux à la fille que j'aime. Je me retire pour lui permettre de se terminer aux doigts. Estelle en profite pour tomber à genoux. La pipe.

Je n'ai pas remarqué que la coquine n'avait plus que ses chaussettes et son sweat qu'elle retire. Elle prend la place de Clémentine qui s'assoit sur le tabouret en frissonnant de plaisir. Je pénètre Estelle avec autant de précaution. Avec elle c'est très rapidement de la baise furieuse. Je me comporte comme elle aime. << Bon anniversaire ! >> s'écrie t-elle en se masturbant, couchée sur la machine à laver, pénétrée jusqu'aux roubignoles. Je la besogne avec la douceur d'un Sumo japonais en pleine action. Elle pousse de petits cris de plaisir.

C'est Clémentine qui vient se frotter derrière moi. Elle glisse ses mains partout sur mon corps. << J'aime les hommes musclés. Je ne me sers pas assez des tiens Julien ! >> murmure t-elle. Estelle connaît subitement un de ces orgasmes qui la surprennent en la submergeant. Je me retire pour la laisser se finir aux doigts. << On va nous entendre dans toute la demeure ! >> dit Clémentine en s'accroupissant. Elle suce passionnément. Je pourrais éjaculer tellement je suis excité. Estelle se met à genoux sur la machine à laver. Elle me tend sa bouche.

Je n'en peux plus. J'éjacule au fond de la gorge de Clémentine qui me serre les fesses de ses mains. Elle me les palpe en avalant l'abondante purée dont je libère mes couilles. Nous sommes tous les trois assis contre le mur, à même le carrelage du sol. Je suis entre mes deux anges. Nous restons silencieux. Serrés tous les trois, nous reprenons nos esprits. Comme souvent, nous nous mettons à rire de nos excès, de nos folies de nos plaisirs fous. << Comment sera t-il possible de vivre un jour sans tout ce bonheur ! >> demande Estelle soudain grave.

<< Ni pense pas ! Il y a toujours un après ! >> répond Clémentine. Je passe mes bras autour de leurs épaules pour dire : << J'ai connu plusieurs "après". Celui-là est prié de se faire attendre encore quelques temps ! >>. Les filles me font plein de bises. Leurs haleines, leurs souffles chauds, tout cela éveille une nouvelle excitation. C'est merveilleux. Il est presque midi et nous sommes encore dans la salle de bain. Nous nous habillons. Les filles m'entraînent dans une nouvelle farandole. Nous tombons dans le canapé en riant. Tant de bonheur épuise.

Je propose d'aller en ville. De nous offrir les dernières émotions des vacances. << Génial ! >> s'écrie Estelle en se levant d'un bond. Clémentine se lève pour saisir ma main. Nous enfilons nos anoraks. Pressés de savourer de nouveaux plaisirs, nous dévalons l'escalier de service. La brioche et les tartines nous ont bien rempli. Je roule doucement. Clémentine me sort la queue. Toute molle et flasque. << Elle a fait son job aujourd'hui ! >> lance Estelle assise à l'arrière en me caressant les joues. Nous passons par Leith. La petite ruelle habituelle.

Le ciel reste couvert aujourd'hui. Il fait 12°. Nous marchons d'un bon pas. Il y a dix minutes jusque sur le Royal Mile. Il y a du monde. C'est le jour de l'an. Avec beaucoup de gens que nous croisons, nous échangeons des << Happy New Year ! >>. Estelle indique la cathédrale St Gilles. C'est l'édifice religieux le plus ancien de la ville. Un splendide gothique flamboyant. Son étrange clocher interpelle. << Je te prépare un selfie "spécial anniversaire" ! >> me fait Estelle. << Déconne pas trop dans l'église quand même ! >> lance Clémentine. Nous rions.

Il y a nombre de visiteurs en ce lieu. Il y a fait étrangement doux. Presque chaud. Nous comprenons rapidement la raison. Il se prépare un concert d'orgue pour ce soir. Même si les contaminations battent tous les jours de nouveaux records, les hospitalisations pour cas graves diminuent proportionnellement. Les admissions sont infiniment moins nombreuses que l'an dernier. Les informations sont rassurantes. Les symptômes sont ceux d'une grippe. Les autorités Britanniques ont compris qu'il n'y a pas là de quoi affoler une population qui en a marre.

De grands panonceaux indiquent d'ailleurs les chiffres dans les principaux lieux touristiques. Le port du masque sanitaire, l'application des gestes barrières sont toutefois requis et obligatoires. Il y a de gros bidons de gel hydroalcoolique partout. Nous avons notre flacon à nous. Nous sommes déjà venus visiter la cathédrale. L'intérieur est de toute beauté. Aussi magnifique que l'extérieur. Comme nous sommes en pays calviniste il n'y a aucune statuaire. << Pas de fausse idoles ! >> murmure Estelle. Par contre la décoration est fabuleuse. Sublime.

De véritables dentelles de pierres. Comment est-ce possible de le sculpter jusqu'à rendre l'aspect du grès aussi fragile d'apparence ? Clémentine aime passer la main sur les dentelures minérales. Estelle aime passer la main sur ma braguette. Aussi, je suis obligé de la prier d'être plus discrète. De lui demander de cesser est devenue une chimère. Je me fais palper dans tous les recoins. Clémentine s'amuse de mes expressions inquiètes, affolées et même parfois terrorisées. Je suis certain que les gens là-bas ont remarqué nos agissements. Parano ?

<< Tu n'as pas le droit de te plaindre, c'est ton anniversaire ! >> me chuchote plusieurs fois Estelle qui vient de déboutonner ma braguette. J'ai beau murmurer : << Mais t'es folle ! Arrête ! >>, rien n'y fait. Je recommence même à bander. << Ça te rempli les couilles ! Ce n'est pas bon de les laisser vides ! >> rajoute la coquine sous les rires étouffés de Clémentine. Estelle décroche la canne à selfie du petit sac à dos que je porte. Elle nous laisse en passant derrière les piliers de la nef. Il y a là des petits cabanons en bois. Des confessionnaux ?

Ce principe de "confession" n'existe pas chez les Calvinistes. En y regardant de plus près, ce sont comme de petites guérites. Probablement faites pour s'isoler et se recueillir. Les bois sculptés sont d'une beauté inouïe. Ce sont forcément de grands artistes du moyen-âge qui ont créé ces chef-d'œuvres. Clémentine se serre contre moi. << J'aime ces moments où je suis seule avec toi. Ça me rend amoureuse ! >> chuchote t-elle en posant discrètement sa main sur ma braguette. << Mais c'est ouvert ! C'est déboutonné ! >> rajoute t-elle en riant.

Elle y glisse la main. Je dis : << C'est l'œuvre d'Estelle ! Elle n'arrête pas ! >>. Clémentine palpe mon sexe à travers le tissu du slip. << Elle a d'excellentes initiatives ! >> murmure Clémentine qui transforme l'intérieur mou de mon slip en turgescence. Estelle revient. << Ça y est ! Notre prochain petit film est en boîte ! >> dit elle en fixant la canne au sac à dos. Là, dans l'obscurité, entre les guérites, j'ai la bite à l'air. Une érection en pleine cathédrale Saint Gilles, parmi une bonne cinquantaine de visiteurs. << Branle toi ! >> me fait Estelle. Elle exagère !

Je suis dissimulé à la vue potentielle de quelques visiteurs qui viendraient par ici. Les filles font écran. Je me branle doucement. C'est absolument divin. Mes deux anges m'y encouragent. << Une branle d'anniversaire ! >> murmure Estelle. Elles m'observent avec attention. << C'est hyper excitant ! >> chuchote Clémentine qui se touche à travers le tissu de son jeans. << Je filme ! >> fait Estelle en sortant son téléphone. Les performances de l'I-phone permettent de faire de magnifiques images quelle que soit la luminosité. Ce qui est encore le cas.

Je me masturbe du bout des doigts. Clémentine se touche. Estelle filme ma branle. Elle regarde partout autour de nous en disant : << J'adore ces moments vicelards. C'est trop génial ! Put-Hein comme c'est bon ! >>. Elle s'accroupit rapidement pour filmer en gros plan. La goutte de liquide séminale qui perle à l'extrémité de mon gland. << J'ai envie de sucer ! >> me chuchote Clémentine. Elle s'apprête d'ailleurs à le faire. Un groupe de visiteurs semble venir par là. Estelle se redresse. Je remballe en toute hâte. C'est difficile en bandant.

Ces gens viennent explorer cet endroit de la cathédrale. Nous quittons les lieux. Dans l'espoir de trouver un autre recoin, nous faisons le tour de l'édifice. Des musiciens sont arrivés. Certains règlent et accordent déjà leurs instruments. Le concert commence à 18 h. Il est déjà 15 h45. Il commence à faire nuit dehors. Nous sortons. << C'est une visite génial ! >> lance Estelle qui me prend la main. Je suis entre mes deux anges. Nous flânons en respirant l'air de cette ville magique. Nous nous imprégnions une dernière fois de cette ambiance spéciale.

Nous nous offrons des gaufres. Il commence à faire faim. Nous n'avons rien mangé à midi. Nous voulons faire honneur au repas de ce soir. Les gaufres sont au miel et à la purée d'amande. C'est un véritable enchantement. A nouveau, dans quelques recoins où elle nous entraîne, Estelle recommence à palper ma braguette. A chaque fois je glisse ma main entre ses cuisses en disant : << Vengeance ! >>. Estelle se cambre pour répondre en saisissant mon poignet : << Surtout venge toi. Je n'ai que ce que je mérite ! >>. Nous rigolons comme des fous.

Il est 18 h30 quand nous revenons à la voiture. Nous repassons par Leith pour retourner sur Morningside. La circulation est fluide. Estelle est assise au sol, entre les pieds de Clémentine qui dit : << Arrête toi là ! >>. Je gare l'auto à une centaine de mètres de Christ Church. Elle se penche pour se mettre à me sucer avec passion. Estelle, un peu embarrassée par le levier de vitesse, me tient la queue. Elle joue avec dans la bouche de Clémentine. << Tu aimes ta journée d'anniversaire ? >> me demande t-elle, espiègle et mutine. Je réponds : << Génial ! >>.

Il faut y aller. Estelle, à quatre pattes, tente de gober mon sexe. Je roule à environ 5 km/h jusqu'à la maison. Avant d'entrer dans la propriété, je m'arrête une dernière fois pour remballer. Les filles éclatent de rire en se montrant l'intérieur de leurs bouches. Nous montons à l'étage pour nous changer. Pantalons à plis et à pinces, noirs. Chemises blanches. Souliers de ville. Nous voilà prêts. Nous redescendons l'escalier sans cesser de nous donner des coups de langues. De passer nos mains entre nos cuisses. Oncle Alan vient nous accueillir.

Nous voilà attablés. Un somptueux repas de fête. Nous sommes morts de faim. Les queues de homards fumés, accompagnés de différentes sauces, de petits légumes confis, sont des délices. Nous bavardons. La fatigue commence à nous gagner. Nous traînons à table jusqu'aux environs de 22 h. Nous quitterons Édimbourg demain, en fin de matinée. Amy et Alan nous attendent pour la fin du mois de juin. Nous nous réjouissons tant pour cet été. Nous reviendrons les saluer demain matin, avant notre départ. Nous voilà enfin couchés. C'est superbe.

<< C'est pas fini. On va conclure la journée par ton dernier cadeau ! >> me fait Estelle. Elle pose sa tête sur mon ventre. Clémentine m'embrasse avec fougue. La fatigue se fait sentir. Pourtant, Estelle se met à sucer comme si sa vie en dépendait. Ce qui survient souvent le soir, tard, dans ces moments là, arrive. Estelle s'endort avec ma bite en bouche. C'est amusant. La succion cesse. Je l'aide à se blottir contre moi, sa tête contre mon épaule. Elle murmure quelque chose d'incompréhensible. Dodo. Je propose à Clémentine de reprendre demain.

Bonne fin de séjour écossais à toutes les coquines qui se sont payées de belles frayeurs, de beaux frissons et de superbes orgasmes...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1753 -



Le retour (I'll be back)

Hier matin, dimanche, c'est notre ancienne application "forêt" qui nous arrache de nos profonds sommeils. Il est huit heures. Nous avons notre avion à 11 h45. Je suis entre mes deux anges qui se frottent contre moi en gémissant. << Je reste là, partez sans moi ! >> murmure Estelle. << On reste avec toi ! >> chuchote Clémentine. Je les serre fort. Distribution de bisous. Il faut se lever. Estelle se précipite aux toilettes en chantonnant. Clémentine et moi nous retirons les draps du lit pour les plier, les poser sur la chaise. C'est à notre tour. WC.

Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Il reste de la brioche d'anniversaire. Il y a déjà l'odeur du café, celle du pain grillé. << C'est bien d'avoir son anniversaire le premier jour de l'année. Le plaisir est double ! >> me fait Estelle en se blottissant dans mes bras. Je réponds, en ce qui me concerne, le plaisir est triple puisque vous êtes là toutes les deux ! >>. Clémentine qui se serre contre nous rajoute : << Dans ce cas, le plaisir est quadruple ! >>. Nous rions. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de ce doux séjour à Édimbourg. Ville magique.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme des choses à faire avant de partir. Un peu de ménage, préparer les valises et ramener la voiture de location à l'agence. Nous ne traînons donc pas à table. Nous sommes bien réveillés et prêts au "combat". Ces activités vont nous permettre d'occulter en partie la légère tristesse de devoir quitter notre Écosse chérie. C'est une organisation quasi militaire. Chacun à une fonction précise. Nous commençons par préparer les valises. Clémentine sort les vêtements de l'armoire avec soin.

Avec le même soin Estelle les dispose dans les valises. Je nettoie la cuisine. Nous sommes des gens propres et soigneux. Il n'y a donc peu de choses à faire. Parfois Estelle vient me rejoindre en sautillant pour me faire une bise, me palper le slip. Parfois c'est Clémentine. Je balaie, Clémentine passe derrière moi avec l'aspirateur. S'en suit Estelle avec la serpillère. Tout est fait avec méthode. C'est rapide, c'est efficace. Nous laissons un endroit aussi propre qu'en arrivant. Clémentine allume l'ordinateur. Il y a juste le message de Julie.

Julie viendra passer la soirée de demain, lundi, avec nous. Elle apportera les repas commandés. Estelle a un courriel de ses parents. Ses parents qui confirment nous attendre à l'aéroport à partir de 16 h45. Ils nous invitent à manger chez eux. << C'est super ! >> s'écrie Estelle. << Génial ! >> lance Clémentine. << C'est moi qui vous ramène le soir avec la voiture de service ! >> rajoute Estelle. Il est 10 h15. Nous sommes vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux. Nous enfilons nos anoraks pour descendre les bagages.

Les valises sont dans l'auto. Oncle Alan et Amy viennent nous accueillir lorsque nous toquons à la porte. Ils sont toujours si heureux de nous voir. Nous nous faisons des adieux un peu solennels. Nous reviendrons pour le jeudi 30 juin. Je tends discrètement une enveloppe à Amy. Je déteste être redevable. Même si nous ne sommes redevable que de l'accueil qui nous est fait. Un dernier coucou. Nous voilà en route pour l'aéroport d'Édimbourg. Il est situé à une quinzaine de kilomètres. Clémentine tripote ma braguette en disant : << J'ai mon doudou ! >>.

Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou en murmurant : << Moi, je tripote mon doudou dans l'avion ! >>. Je gare la voiture sur le parking de l'agence de location. Tous les véhicules sont des "Golf" et des "Polo". Il faut mettre nos masques sanitaires. Nous remettons les clefs à la charmante hôtesse. Elle porte une de ces protections d'une feuille de plastique transparent. Les dernières formalités. Je récupère la caution. Un document certifiant que la somme sera viré sur mon compte bancaire écossais. Tout est en ordre. Nous quittons l'agence.

Il suffit de longer l'itinéraire balisé pour rejoindre les bâtiments de l'aéroport. Les filles ont soudain le cœur gros. Estelle a même un sanglot. Je m'arrête pour la prendre contre moi. << C'est doublement monstrueux ! On quitte l'Écosse et ce soir on se quitte ! Je vais pleurer ! >> lance t-elle en se blottissant. << Arrête, tu vas me faire pleurer aussi ! >> s'écrie Clémentine. Je dis : << Venez, on se console dans l'avion ! >>. Nous passons les contrôles sans problème. Nous sommes évidemment négatifs aux auto tests que nous avons pratiqué tous les jours.

Nous en avons emmené plein avec nous. En Angleterre les auto tests s'achètent dans le rayon parapharmacie des grandes surfaces pour 42 cents. L'équivalent de 50 centimes d'euros. La livre sterling étant à 0,84 euros. Une navette nous emmène à l'avion. Estelle et Clémentine me tiennent fort. Je leurs fais des bisous, des sourires. Comme elles ont l'air tristes toutes les deux. Les valises sur le tapis roulant qui les emmène avec les bagages des voyageurs dans la soute. Nous voyageons toujours en première classe. La promiscuité nous effraie.

Un dernier contrôle des tests par des charmantes hôtesses Air France. Estelle est assise dans le siège de l'allée, Clémentine est assise à côté du hublot. Je suis entre mes deux anges. Les voyageurs murmurent. Un autre avantage d'être en première classe. Les trépidations légères de l'appareil. Estelle qui a une peur bleue de l'avion me tient la main en croisant ses doigts entre les miens. Clémentine me tient le genoux. L'avion bouge. C'est parti. Estelle ferme les yeux. Clémentine et moi nous contemplons le sol descendre sous l'avion qui monte.

Il y a un arrêt à Londres. Sans changement d'appareil. Ce qui n'était pas le cas les autres années. C'est certainement pour des questions d'économie. Une des hôtesses nous apporte nos plateaux repas. Nous avons choisi du colin aux petits légumes. Estelle, comme livide, ne peut pas avaler quoi que ce soit. Le voyage se passe évidemment sans encombre. Ce qui est parfaitement normal car nous ne l'avons pas emmené avec nous. L'arrêt à Londres nous semble sans fin. La nuit est tombée. Des passagers sont descendus. D'autres sont montés.

Départ de Londres pour traverser la manche. Estelle dort depuis deux heures. L'avion se pose tranquillement sur le tarmac. Nous descendons pour récupérer nos bagages après les nouveaux contrôles. En France, il faut présenter nos QR Codes en plus des résultats des tests. Tout est parfaitement en ordre. Il nous est signifié que nous pouvons entrer sur le territoire national. Là-bas, dans le hall d'arrivée, Yvan et Michèle qui nous font de grands signes. Les parents d'Estelle sont tellement heureux de revoir leur fille. De nous revoir.

Nous mettons les valises dans le coffre de la grosse berline allemande. Yvan roule doucement, avec une grande prudence. Michèle à ses côtés raconte leur séjour dans le Var, chez papy et mamie. Estelle, Clémentine et moi, nous sommes assis à l'arrière. Je suis entre mes deux anges. Estelle a repris des couleurs. << Je suis morte de faim ! >> fait elle en grignotant une barre de céréales. Je lui chuchote à l'oreille : << Je t'aurais volontiers nourri au sperme ! >>. Elle murmure : << Pas d'inquiétude, je sais où me servir ! J'en meure d'envie ! >>.

En disant cela, elle palpe discrètement ma braguette. Clémentine n'arrête pas de rire en cachette. Il est 18 h quand nous arrivons chez Estelle. Il fait aussi doux en France qu'en Écosse. Même climat. Il y a quelques gouttes de pluie. Nous sortons les valises du coffre pour les mettre à l'arrière du véhicule d'entreprise. Le "Kangoo" qu'utilise Estelle comme voiture personnelle. << Il n'y a qu'à réchauffer ! >> fait Michèle qui se précipite immédiatement dans la cuisine. Yvan nous invite à passer au salon. Estelle reste serrée contre son papa.

Je laisse Clémentine Estelle et son papa pour rejoindre Michèle à la cuisine. Je dis : << Je viens proposer mon aide ! >>. Michèle me fait un sourire et me lance ce regard par en-dessous terriblement suggestif. << Parlez-moi de votre famille en Écosse ! >> lance t-elle pendant que je pose les corbeilles de pain sur le plateau. Je surprends le regard de Michèle lorsqu'elle est accroupit devant la porte du four. Elle fixe ma braguette très franchement. Cette attitude me procure toujours une forte érection. Je m'approche. Ma braguette à hauteur de son visage.

Par contractions répétées des muscles fessiers, je fais bouger l'énorme bosse qui déforme mon jeans. << Je constate avec plaisir que l'air de l'Écosse conserve vos capacités musculaires ! >> murmure Michèle. Je suis à une cinquantaine de centimètres. Depuis le salon nous entendons les voix et les rires d'Estelle, de Clémentine et d'Yvan. Je déboutonne mon Levi's 501. Michèle ne peut s'empêcher de glousser : << Quelle bonne initiative ! >>. Aux aguets, prêt à remballer à la moindre alerte, je sors difficilement mon sexe raide comme un piquet.

Je le tiens à sa base. Je l'agite en direction de Michèle. Elle ouvre la bouche comme pour le gober. Elle lève ses yeux pour me faire un clin d'œil. Elle se redresse. Je remballe immédiatement en disant : << Michèle, j'adore te montrer ma queue ! >>. Je la tutoie. Elle me tutoie en retour pour murmurer : << J'adore quand tu me la montres ! >>. Michèle sort les croustades du four. Des "vol au vent" emplit de Béchamel aux fruits de mer et aux champignons. Je suis soudain conscient d'avoir une faim de loup. Estelle vient nous rejoindre en sautillant.

Elle me lance un regard sévère. Quand nous sommes seuls dans la cuisine à poser les croustades sur le plateau, Estelle me chuchote : << Si tu dragues ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents, espèce de vieux salaud ! >>. Je lui dépose un bisou sur la joue en murmurant : << C'est toi que j'ai envie de draguer ce soir ! >>. Elle me palpe l'énorme bosse alors que je tiens le plateau. Michèle revient. Je suis certain qu'elle vient de voir ce que faisait sa fille. Elle me lance un regard d'une sévérité rare. Clin d'œil. Nous emmenons les plats au salon.

Clémentine se fait probablement draguer par Yvan car quand nous arrivons au salon, ils changent d'attitudes. Michèle rejoint immédiatement son mari qu'elle prend par le bras. Clémentine me fait un clin d'œil complice. Nous voilà confortablement installés à partager un somptueux repas. Nous racontons notre séjour à Édimbourg. Yvan et Michèle racontent leur séjour dans le Var. Pour cet été les parents d'Estelle ont déjà loué un cottage dans la région d'Inverness. Ils y resteront un mois et pourront découvrir l'Écosse en rayonnant à partir de ce point.

Nous trainons à table. A plusieurs reprises je surprends le regard par en dessous que me lance Michèle. C'est un jeu auquel elle se livre de plus en plus souvent. Lorsque je ne m'en rends pas compte, Clémentine se charge de me le faire savoir en me faisant du pied sous la table. Par contre quand c'est Estelle qui s'en aperçoit, j'ai droit à un coup de pied. Il est 20 h30. Nous prenons congé. Comme prévu, Estelle nous raccompagne pour nous ramener chez nous. Je suis assis sur le siège passager, Clémentine sur mes genoux. Il y a trois kilomètres.

Nous retrouvons la maison avec un plaisir insoupçonné. << C'est bien aussi de rentrer, de se retrouver à la maison ! >> lance Clémentine comme à chaque retour. Julie est probablement venue dans l'après-midi car les diffuseurs d'arômes émettent leurs brumes aux effluves de jasmin. Estelle, Clémentine et moi, nous nous serrons fort. << C'est monstrueux de devoir se quitter ! >> fait Estelle en passant ses lèvres sur les miennes, sur mes joues. << Tu reviens mardi soir ! >> lui dit Clémentine qui passe ses mains dans ses cheveux. C'est dur.

Il est 22 h quand nous raccompagnons Estelle jusqu'à son auto. La séparation est difficile. Tant pour elle que pour nous. Nous avons tous les trois "froid au cœur" et les yeux humides. Comment pourrait-il en être autrement avec ce que nous avons encore vécu une fois de plus ! Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. << On défait les valises demain ! Viens, on va au lit, je suis morte de fatigue ! >> fait Clémentine en prenant ma main. Au lit, il y a cette terrible impression d'un "manque" cruel. C'est comme une amputation. Estelle...

Bon retour à toutes les coquines qui retrouvent avec plaisir les habitudes d'une vie de stupre, de luxure mais aussi l'agréable maison...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1754 -



La rentrée de janvier

Hier matin, lundi, il est presque six heures. L'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils avec ses illusions habituelles. Au loin, cette sirène d'un gros bateau. Les cris des mouettes au-dessus de nos têtes. Le bruit du ressac. Le clapotis des vagues. En gémissant Clémentine se blottit contre moi. << Je t'aime Julien ! >> murmure t-elle de façon à peine audible. Des bisous. Quelques papouilles. Il faut se lever. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Vêtus de nos tenues sports, morts de faim, nous dévalons les escaliers.

Clémentine s'occupe du café. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en riant de nos réflexes. Quel que soit le lieu, nous avons cette étonnante capacité d'adaptation. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'absence d'Estelle. Une absence cruelle. Nous avons tellement l'habitude de faire les quatre cent coups tous les trois que cette absence est une véritable mutilation. Clémentine la revoit ce matin à l'université. En cours avec elle.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Retour au calme avec un agréable stretching. La douche. Je descends le premier pour aller préparer la voiture. Il ne fait pas froid. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans la fraîcheur humide. Vêtue de son anorak qu'elle laisse ouvert. Elle se serre contre moi en disant : << Je t'emmène avec moi, tu restes caché ! >>. Nous rions. Je dis : << Plein de douceurs, de bonnes choses pour Estelle ! >>.

Un dernier bisou. Un dernier coucou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre automatiquement. Je me dépêche de rentrer. Ce matin, j'ai cet étrange sentiment de solitude qui m'envahit soudain complètement. Je le connais bien. Je fais notre vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Le simple fait d'être confortablement installé devant mon chevalet est réconfortant. Je prépare les couleurs sur la palette. Je découvre que chaque instant m'entraîne vers la sérénité. Incroyables sensations.

Je commence la huitième et dernière nature morte destinée à ma saison d'été. Je peins dans un enthousiasme retrouvé. L'enchantement. De me replonger ainsi dans ma passion est une véritable thérapie. Je me surprends à pousser des cris surréalistes pour marquer l'intense satisfaction que me procure l'acte de peindre. La matinée passe à une vitesse folle. Je mets deux bûches dans l'âtre. Il est presque midi quand je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais une salade de carottes. Les dernières. Elles ont bien subsisté dans le cellier, à la cave.

Je fais rissoler un filet de colin avec des champignons pendant que gonfle le riz. C'est une préparation rapide. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui encore André Bercoff est dans tous ses états. Je fais toute chose avec une lenteur qui me plaît. J'apprécie énormément d'être de retour. Un sentiment curieux que je mets sur le compte des moments merveilleux qui nous attendent. Je fais la vaisselle. Je rajoute à la liste de courses commencée ce matin, un pot de miel crémeux. Des courses que nous irons faire demain après-midi.

Je monte me laver les dents. Comme la maison est silencieuse lorsque je suis seul. C'est presque angoissant. J'imagine sans peine, pour l'avoir vécu au décès de Christine, comme il serait terrifiant de vivre seul dans cette grande demeure. Je me dépêche de redescendre pour fuir cette pensée. Le thermomètre extérieur indique 14°. C'est donc dans mon épaisse chemise à carreaux que je fais quelques pas dans la propriété. Il faut rester sur les dalles de grès car le sol est détrempé. Le ciel est gris, bas et menaçant. Je vais dans la maison d'amis.

Tout est en ordre. Le souvenir de tout ce qui s'est passé là fait subitement surface dans ma mémoire. C'est excitant de revoir Clémentine dans les situations dont elle raffole. Je passe derrière l'abri à bois pour y remplir une brouette d'une vingtaine de bûches. Je rentre. Il y a quelques gouttes de pluie. J'empile des bûches à côté de la cuisinière à bois, à côté de la cheminée. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Il est à peine 13 h15. Je peins animé du même enthousiasme délirant que ce matin. L'après-midi passe tellement vite.

Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << J'ai faillis rentrer à midi. On voulait vraiment venir avec Estelle. Mais nous ne disposons que d'une heure entre les cours ! >> me confie t-elle. Je lui raconte ma journée, les curieux sentiments de profonde solitude qui m'ont accompagné. << Je t'aime Julien. Comme tu m'as manqué ! >> dit elle encore.

Clémentine a encore du travail. La préparation des partiels qui ont débuté. A partir de la mini thèse de mathématiques rendue avant les fêtes. Clémentine est assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. J'aime l'entendre commenter à haute voix ce qu'elle fait. Nous sommes tellement heureux d'êtres à nouveau ensemble. Il est 18 h15. << Put-hein, il faut que j'arrête, Ça me troue le cul les maths ! >> lance t-elle. Nous éclatons de rire. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Nous voilà vautrés dans le vieux canapé. Dans l'obscurité.

Il y a juste la lueur des dernières flammes qui projettent leurs ombres sur le sol, les murs. Clémentine est couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses. Je caresse ses cheveux. Nous sommes silencieux. C'est si bon de revenir à l'inactivité. Soudain, au-dessus de nos têtes, ce bruit sourd, caverneux, qui annonce l'arrivée de Christine. Le fantôme de ma compagne disparue erre à l'étage. << Un de ces soirs, on monte à toute vitesse. Je veux voir ce qui se passe ! >> lance Clémentine en plongeant sa main dans la braguette qu'elle déboutonne.

Elle s'empare de son "doudou" tout en écoutant. Ce sont des portes qui grincent, une chaise qui doit être traînée sur le parquet. Ces bruits ne sont pas clairement identifiables mais c'est ainsi que nos sens les analysent. Tout cela cesse aussi brusquement au bout de quelques minutes. Clémentine frotte son visage sur mon sexe. Je bande mou. Je lui confie à quel point ça m'a excité en début d'après-midi de penser à elle dans la maison d'amis. << C'est curieux, dans l'amphi, pendant les cours, j'ai eu le même souvenir ! >> m'avoue t-elle en riant.

La musique complètement stupide de mon téléphone. Clémentine se lève précipitamment pour le saisir sur la desserte. << Julie ! >> lance t-elle. Elle m'attrape par la main. Tout en remballant mon Zob, je l'accompagne presque en courant. Julie est debout sur le perron, sous son parapluie. Elle semble fondre de plaisir en nous revoyant. Elle se précipite. Clémentine la serre dans ses bras. Puis c'est dans les miens qu'elle se blottit. << Comme vous m'avez manqué ! >> arrive t-elle enfin à dire en réfrénant un sanglot. Je prends le parapluie.

Je traverse le jardin pour aller récupérer la grande boîte isotherme. Elle contient nos repas commandés. Je rejoins les filles à la cuisine. Je pose la grande boîte sur une chaise. Le panier en rotin contenant nos salades. Clémentine déballe. Julie est si belle ce soir. Elle porte ses lunettes d'étudiante. Ses longs cheveux presque noirs encadrent son visage juvénile. Ses vingt ans n'en paraissent que seize. Elle n'ose pas soutenir mes regards mais ses sourires sont magnifiques. Je la prends par ses épaules pour le lui dire. Je la sens frissonner d'aise.

Les feuillantines de saumon sont encore chaudes. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant nos salades. Julie et moi nous mettons les assiettes et les couverts. Je surprends plusieurs regards furtifs vers ma braguette béante. Je mets les deux tourtes au fruits de mer sur le buffet. Ce sera notre repas de demain midi. Nous voilà installés autour de la table. Nous mangeons de bon appétit. Julie nous raconte ses vacances. Les présences de ses papys, de ses mamies. Ses soirées à faire la serveuse dans le restaurant de sa tante.

<< J'ai fait une rencontre au restaurant ! >> dit Julie avec un air espiègle. Elle rajoute : << Un beau vicieux ! Il était avec deux femmes très belles. Pourtant il n'arrêtait pas de me faire des sourires. C'était le soir du réveillon ! >>. Nous écoutons le déroulement de cette aventure. Julie, voyeuse impénitente, aime à se rendre dans les toilettes hommes au sous-sol. Avec un seau et un balai pour donner le change, elle s'excuse en toussotant. Il y a des hommes qui lui montrent toujours discrètement la queue. Ces situations l'excitent.

Des instants brefs car Julie ne peut s'attarder. Elles ne sont que deux serveuses pour 28 tables. Elles ne chôment pas car le restaurant de l'étang est un établissement gastronomique fort réputé. Nous écoutons avec ravissement ses narrations. << Quand ils sont repartis vers 1 h30, le matin du premier de l'an, cet homme a laissé sa carte sous l'addition. Avec un petit mot "J'aimerais beaucoup vous revoir" ! >> continue Julie. << Et ? >> demande Clémentine impatiente. << Je le revois vendredi soir, il vient manger seul ! >> précise Julie.

Ces anecdotes sont terriblement excitantes. Tant pour Clémentine que pour moi. Nous nous touchons sous la table. Je sors ma bite dure comme du bois. Je me lève pour l'agiter vers Julie en disant : << Elle est comment la sienne ? >>. Julie fixe mon sexe avec un instant de profonde attention. Elle répond : << Un peu comme la vôtre. Mais courbée vers la gauche ! Je n'ai eu que quelques secondes pour la voir ! >>. Clémentine dit : << Tu en verras davantage vendredi soir ! >>. Nous éclatons de rire. Julie se lève pour aller vers son sac à main.

C'est le petit sac à dos en cuir brun dont elle tire un plug anal. << C'est le cadeau de ma tante pour Noël ! >> dit elle en agitant l'objet. Nous éclatons de rire. Julie le ramène. C'est un splendide morceau de palissandre indien, sculpté dans la masse, d'une seule pièce. Il se termine par une bague en argent gravé. Clémentine s'en saisit pour le faire tourner dans sa main. << Tu l'a déjà essayé ? >> demande t-elle. Julie répond : << Oh oui, je l'ai porté le soir du réveillon ! >>. Clémentine me le tend. Il est petit. Peut-être 3 cm de diamètre.

Quatre centimètres dans sa plus grande partie. Une queue d'environs deux centimètres. Je dis : << Julie, faites-moi un plaisir, quand vous vennez vendredi après-midi, portez-le s'il vous plaît ! >>. Julie s'empresse de me répondre : << Ce sera un plaisir partagé ! >>. Clémentine demande à son tour : << La sodomie, c'est ton truc hein ? >>. Julie, sans hésiter, lance : << Oui, j'adore ça ! >>. Nous rions de bon cœur. Même si Clémentine Estelle et moi, nous détestons l'idée même de sodomie, nous restons enchantés par les enculades des autres.

Nous traînons à table. C'est à notre tour de raconter nos vacances à Édimbourg. L'expérience des selfies coquins. << Génial ! Je vais tenter ça avec un de mes plugs enfoncés ! >> lance Julie. Je me lève à plusieurs reprises pour me masturber debout. A chaque fois Julie et Clémentine interrompent la conversation pour observer. << Ça aussi ça m'a manqué ! >> lance Julie. Je l'invite à m'accompagner aux toilettes après la vaisselle. Debout devant la cuvette de faïence je me concentre sous les regards de Clémentine et de Julie. Je bande mou.

Julie, penchée en avant, ses mains en appui sur ses genoux, attend le premier jet. Clémentine, les bras croisés, en appui contre le lavabo observe avec attention. Je lâche enfin une première giclée. Julie, reprend sa respiration dans un souffle profond. En apnée, dans l'attente des jets, elle reste sans respirer. Je l'invite à tenir mon sexe. Elle s'en empare en gloussant. Elle dirige consciencieusement chacun des jets. << C'est génial ! >> murmure t-elle, ravie de retrouver nos jeux. Il est 22 h. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Il pleut.

Assise au volant, la vitre baissée, Julie nous confie son impatience de revenir vendredi après-midi pour son cours de peinture. << J'aurai le plug ! >> précise t-elle. J'ai ma bite à l'air. Les cuisses appuyées contre la portière, je tiens mon sexe à quelques vingt centimètres de son visage. Clémentine tient le parapluie, passionnée par la situation. Un dernier bisou. Un dernier coucou, nous la regardons s'en aller un peu tristounette. << A nous deux toi ! Viens vite ! >> me fait Clémentine en m'entraînant par la bite. Nous faisons l'amour comme des fous.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines excitées par l'attitude de leur compagnon devant l'amie intime. Bite à l'air et branlettes...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1755 -



Clémentine et l'exhibitionniste du parking

Hier matin, mardi, il est presque six heures quand résonne dans le lointain la sirène de ce gros bateau. S'y rajoute les cris stridents des mouettes. Clémentine vient se blottir contre moi. L'application "océan" nous tire du sommeil avec ses illusions parfaites. Quelques papouilles. Des bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. << J'aime comme tu m'aimes le soir, au lit ! >> me fait Clémentine en tenant ma bite pour en diriger les jets. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine.

Clémentine faite le café. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. C'est le second petit déjeuner sans oranges, sans kiwis. Aussi, cet après-midi des achats s'imposent. Nous ne serons livrés que samedi matin. Le claquement sec du grille pain nous offre de belles tranches que je beurre. Miel, confiture enchantent ce petit déjeuner où nous revenons sur la visite de Julie hier soir. Nous mangeons de bon appétit en évoquant son plug anal, en palissandre massif, de toute beauté. << Il est plus petit que le miens ! >> lance Clémentine en riant.

Il est 6 h25. Nous remontons. Notre heure d'entraînement nous appelle. Aérobic dans une certaine déconne. Car le mardi Clémentine termine à midi. Ce qui la rend aujourd'hui encore bien euphorique. Jogging sur tapis roulants. Un peu de vélo d'intérieur. Les abdos, les exercices au sol. Les charges additionnelles avant un stretching prétexte aux choses les plus loufoques. Je suis plié de rire par les espiègleries de Clémentine. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer l'auto. Il est presque 7 h45. La nuit est fraîche et humide.

Clémentine me rejoint chaudement vêtue. << Je suis pressée de revenir. Je suis excitée comme une puce ! >> dit Clémentine en s'asseyant au volant. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Il y a quelques gouttes de pluie. Je fais la vaisselle, notre lit. Je redescends. J'allume un bon feu dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "L'orage" de Georges Brassens. Le crépitement de la cheminée.

La peinture de cette huitième et dernière nature morte destinée à ma saison d'été m'absorbe rapidement. Je peins dans cette douce euphorie laissée par la fille que j'aime. Je ponctue mes traits de pinceaux les plus sublimes par les cris les plus surréalistes. La matinée passe très vite. Il est 11 h45. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de mettre les deux tourtes aux fruit de mer dans le four. Nous n'avons plus de quoi faire une salade. Aussi en entrée, deux pommes.

Il est grand temps d'aller faire les courses. Il est 12 h25. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Ses jambes autour de ma taille elle me couvre le visage de bisous. << Je t'aime. Comme c'était bon hier soir ! >> murmure t-elle entre chaque baiser. Nous mangeons de bon appétit en riant de l'impossibilité de préparer une salade. Il est important de tapisser l'estomac de crudités en début de repas. Ce sont les deux pommes qui en feront l'office. << On ne va pas en mourir ! >> lance Clémentine.

Nous traînons à table. << Inutile de préparer le repas de ce soir, Estelle veut nous faire une surprise ! Elle est pressée d'être de retour ! >> dit Clémentine assise sur mes genoux. Nous faisons la liste des courses. Nous irons dans la zone commerciale, à deux kilomètres de l'université. << On passe devant, je te montre la nouvelle place où je me gare ! >> fait Clémentine. Elle rajoute : << On fera des repérages pour les soldes. Elles commencent le mercredi 12 janvier ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons. Lavage des dents.

Clémentine m'entraîne dans la chambre. Du tiroir de sa table de nuit elle sort l'écrin contenant son plug anal. Le sien est chromé. Terminé à son extrémité par une imitation de gros diamant. Nous détestons l'idée même de sodomie. J'ai offert cet objet à la fille que j'aime il y a cinq ans. Il a servi deux fois. Par expérience, Clémentine l'a porté pour aller à la supérette du bourg. << J'ai l'impression de devoir chier en portant ce truc ! Comme une crotte qui ne veut pas venir ! >> dit elle en le faisant tourner. Nous en rigolons comme des bossus.

Clémentine l'a sorti de sa belle petite boîte pour le comparer avec celui de Julie vu hier soir. C'est le modèle "standard", normal. << Elle a un petit cul au propre comme au figuré ! >> lance Clémentine entre deux éclats de rire. De l'armoire, elle retire une de ses jupes kilts. Un chemisier crème, le pull marine au col en "V". Ses bas noirs, son porte-jarretelles. Il ne fait pas vraiment froid. Autant en profiter pour aller faire nos achats. Clémentine me tend un jeans propre, une chemise blanche et un pull noir au col en "V". J'aime quand elle choisit pour moi.

<< Pas de culotte ! J'en emmène une dans mon sac à main au cas où ! >> lance t-elle en m'entraînant devant le miroir. Elle rajoute en se serrant contre moi : << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >>. Clémentine porte sa jupe kilt à carreaux gris. Son chemiser sous son pull. Ses bas noirs. Ses bottes noires à talons. Des bottes qui épousent à la perfection les formes de ses mollets. Elle est hyper excitante, hyper sexy. Elle s'accroupit sur ma gauche, sa tête contre ma jambe, ses bras autour de ma cuisse. Les siennes écartées.

Je sors ma queue. Je bande mou. Devant le grand miroir de l'armoire, nous nous observons ainsi. Clémentine, tout en restant accroupie, passe entre moi et le miroir. Elle frotte son visage sur mon sexe en gémissant de bonheur. Elle a ses cheveux en totale liberté qui flottent sur le haut de son dos. Je m'en saisis lorsqu'elle gobe ma queue pour la sucer. Je la force un peu. Elle adore. Je retire ma bite pour l'aider à se redresser. Je me penche pour masser ses genoux endoloris. Je glisse ma main sous sa jupe. Je passe le doigt entre les lèvres pulpeuses.

<< Je t'aime ! >> murmure t-elle en saisissant mes oreilles pour frotter son sexe sur mon visage. Je me redresse. Nous nous embrassons longuement comme des fous. De la salive trempe nos mentons. Ça glisse. C'est sublime. Il est 13 h35. Nous descendons prudemment. Clémentine porte sa veste en cuir noir cintrée à la taille. Je porte mon blouson de cuir brun au col "aviateur". Nous prenons quelques dernières poses devant le grand miroir du hall d'entrée. Il ne pleut plus. Par mesure de précaution nous prenons le grand parapluie.

Clémentine propose de prendre sa voiture. Mais c'est moi qui doit conduire. Je roule doucement. Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'à la zone commerciale. Nous prenons la départementale qui passe devant le haras. Il y a plein de voitures dans la cour. Par association d'idée nous évoquons Juliette qui vient manger demain soir. Clémentine me sort la queue. << Quand je commence à sucer, je pourrais le faire tout le reste de la journée ! >> dit elle en se penchant sur sa gauche. Je me fais tailler une pipe "chauffeur" comme le dit souvent Estelle.

Je m'engage doucement sur le parking. Il y a de la place. En ce début d'après-midi du premier mardi de ce début janvier, les clients ne se bousculent pas. C'est parfait. J'avance dans la dernière allée. Juste le long des hautes grilles d'une propriété privée voisine. Clémentine se redresse. Elle tire un mouchoir en papier. Devant le miroir de courtoisie, elle essuie les coins de sa bouche. << C'est là que le foutre reste sournoisement ! >> dit elle en riant. Je remballe ma queue. C'est toujours difficile de ranger le matos avec une érection vigoureuse.

Je vérifie mon portefeuille. Mes cartes bancaires, mes cartes de fidélités. Un vieux réflexe. << Regarde le mec là-bas, il est planqué dans les fourrés. Put-Hein ! Mais il montre sa bite à la meuf qui range ses courses dans sa bagnole ! >> lance Clémentine. Je lève la tête pour regarder dans la direction qu'elle m'indique. En effet, on discerne une silhouette. En y regardant mieux il est tout à fait possible qu'un mec s'exhibe discrètement. Il ne nous a pas vu. Nous sommes garés à une cinquantaine de mètres. Nous mâtons cinq bonnes minutes. C'est dingue.

La jeune femme se rend probablement compte elle aussi. Elle entre dans sa voiture rapidement. Elle démarre. Le mec sort des fourrés en tenant sa queue qu'il agite en direction du véhicule qui s'en va. Le bougre se fend même d'un "coucou" de son autre main levée. << Il ne manque pas de culot celui-là ! >> s'écrie Clémentine. Le type disparaît. Nous sortons de l'auto. Clémentine m'entraîne par la main en disant : << J'aime ton jus ! >>. Je nettoie la poignée du caddie avec du gel hydroalcoolique. Nous enfilons nos gants Mappa. C'est parti.

Nous mettons nos masques sanitaires juste avant d'entrer dans le magasin. Clémentine tient la liste des courses pour nous emmener dans les rayons qui nous concernent en priorité. Je pousse le chariot. Elle prend les objets, les soupèse, compare les prix, les quantités. J'adore faire les courses avec Clémentine. Les femmes sont souvent rationnelles, logiques et peu de promotions leurs échappent. Je n'ai qu'à me laisser trimballer. C'est génial. Nous prenons des fruits et des légumes aux étalages "Bio". Il faut tenir jusqu'à samedi matin.

Oranges, kiwis, pommes, choux, poireaux, pommes de terres, carottes et tomates. C'est très agréable de flâner dans un hypermarché quand il y a peu de monde. Nous croisons quelques jeunes femmes aussi élégamment vêtues que Clémentine. << Bienvenue au "Club" chères consœurs exhibitionnistes ! >> lance Clémentine à chaque rencontre. << Celle-là, elle a certainement un plug enfoncé dans le cul ! Mâte un peu comme elle marche ! >> me dit Clémentine en me montrant discrètement la jeune femme qui vient de nous dépasser. Son parfum.

Je demande : << Qu'est-ce qui te fais penser que ? >>. Clémentine répond : << Pure spéculation quand je vois une meuf remuer du cul comme ça ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine nous emmène au rayon culturel. Les rayonnages ont repris leurs aspects d'avant les fêtes. Les soldes d'hiver commencent le mercredi 12 janvier. C'est le moment de repérer les trucs qui pourraient nous intéresser dans le rayon des fringues. << Mâte, là, le mec des fourrés ! Regarde, il a encore de la boue aux godasses ! C'est lui ! Sûre ! >> dit Clémentine.

L'homme est accroupit devant les slips. Juste à côté il y a les chaussettes, les pyjamas. << Fais le guet. Celui-là, je vais me le payer ! >> murmure Clémentine. Elle prend le chariot pour entrer dans l'allée. Je reste en tête de gondole. Je fais mine de choisir une casquette. Je les mets sur la tête devant le miroir. Prétexte pour observer discrètement les agissements de ma compagne. Elle place le caddie contre le rayon. Le chariot fait ainsi écran. Clémentine s'accroupit entre le mec à deux mètres et le chariot. Elle décroche des paires de chaussettes.

L'inconnu semble très intéressé par cette superbe jeune fille accroupie là. Clémentine, tout en raccrochant des paires de chaussettes se tourne de trois quart vers le mec. Impossible de ne pas distinguer le porte-jarretelles. Impossible ne pas distinguer la touffe. Clémentine écarte un peu plus à chaque fois qu'elle raccroche une nouvelle paire. C'est génial. Il y a peu de monde. Personne ne passe ici. La position de Clémentine est d'une incroyable impudeur. Je bande comme un vrai salaud. Je pourrais me branler tellement c'est merveilleux.

Le type me tourne le dos. Je suis certain qu'il se touche. Je vois Clémentine loucher sur la braguette du vicelard. Je ne sais pas si cet individu a sorti son sexe. Il y a une demi heure encore il se masturbait devant une jeune femme sur le parking. Il n'y a aucune raison qu'il ne le fasse pas ici. La situation s'y prête parfaitement. Certes, il y a des caméras de surveillance mais ce genre de salopards sait ruser. Clémentine se redresse. À la limite de l'ankylose. Elle change de place. C'est devant les pyjamas qu'elle s'accroupit. Nouvelle exhibe.

Cet homme fait preuve d'un sang froid extraordinaire. Ou alors c'est un habitué, un "virtuose" qui "chasse" de la salope dans les grandes surfaces. Là, il ne pouvait pas espérer, dans ses rêves les plus fous, tomber sur un authentique spécimen. Cette fois, c'est Clémentine qui me tourne le dos. Le type, avec une extraordinaire discrétion, se tripote. Il ne cesse de mâter dans toutes les directions. À chaque fois j'ai juste le temps de me repousser. Il a un ou deux doigts dans sa braguette. Certain. Le mec étudie la possibilité de sortir sa bite.

Cette sublime jeune fille en jupe kilt, en pull marine, en bas noirs l'y encourage par une attitude incroyablement suggestive. Je sais bien de quoi Clémentine est capable. Là encore elle m'en apporte une preuve irréfutable. De se positionner ainsi, devant un parfait inconnu, accroupie, les cuisses écartées au-delà du raisonnable et jouer à l'ingénue qui scrute des étiquettes. Qui pourrait y croire ? Pas l'individu qui se branle à travers le tissu de son pantalon noir. Pourtant, ce drôle ne se laisse pas un seul instant emporter par des gestes inconsidérés.

Bravo mon gars. Tu as probablement des années de pratique. Clémentine se redresse à nouveau pour éviter la crampe. C'est l'instant que choisi l'inconnu pour tenter le contact. Il s'approche en tenant un boxer. Il le montre à la jeune fille qui le dépasse d'une demi tête. Il pose une question. Clémentine répond. Le type place le boxer sur sa taille. Clémentine lève le pouce pour signifier que c'est le bon choix, la bonne taille. Elle reprend le chariot. Clémentine s'apprête à quitter le lieu. Le type empoigne sa braguette. Clémentine lui fait un grand sourire.

Je reste distant. Clémentine n'a peut-être pas fini de s'amuser. Elle m'adresse un clin d'œil en passant devant moi sans s'arrêter. Je regarde le type. Il reste d'une exemplaire discrétion. Le type suit Clémentine dans tous les rayons où elle passe. Je reste observateur. Le mec ne sait pas qu'il y a d'autres "filous" tout aussi rusé que lui. C'est génial d'assister à ce jeu. Le type aborde une nouvelle fois Clémentine dans le rayon des lessives. Endroit sans caméra qui permet d'audacieuses initiatives. Et des initiatives ce vicelard n'en manque pas. Le salaud.

Sans se gêner le moins du monde, il converse à nouveau en tenant sa braguette dans sa poigne. Même Clémentine, pourtant rompue aux pervers, semble embarrasser par tant de témérité. Le peu d'affluence dans le magasin permet ce genre de choses. Le mec se tripote vulgairement devant cette jeune fille à qui il semble poser tout un tas de question. J'ai déjà vu des vicelards aborder Clémentine, mais des comme celui-là, jamais. C'est qu'il devient insistant le bougre. Clémentine change d'attitude. Elle prend un air sévère, menaçant.

Ce mec n'est pas un con. Il comprend que s'il ne cesse pas, les conséquences pourraient êtres tout à fait différentes que celles de ses fantasmes. Il semble avoir compris. Il s'éloigne. Définitivement. J'attends encore un peu dans le rayon droguerie. Le type a disparu. Clémentine vient me rejoindre. Elle me raconte la nature des propos tenus. << Il m'a proposé de se branler devant moi dans les toilettes ! >> dit elle en riant. Elle rajoute : << Tu as vu comme il se touchait ? Je suis certaine qu'il a sorti sa bite une ou deux fois. Le salaud ! >>.

Nous passons en caisse. Nulle trace du pervers. J'ai beau scruter avec attention. Tout comme Clémentine à qui rien n'échappe. Nous flânons encore un peu dans la galerie commerciale. Nous prenons une petite galette des rois à la frangipane pour le dessert de ce soir. Un bon prétexte pour s'amuser avec Estelle après le repas. Celui qui trouve la fève est l'esclave des deux autres. << J'ai comme un sixième sens soudain ! >> me fait Clémentine. Elle rajoute : << Je pousse le chariot. Je vais à la voiture toute seule. Je suis sûre qu'il est planqué ! >>.

Je trouve l'idée géniale. Je sors de l'hypermarché le premier. Je longe le bâtiment. Je tourne le coin pour me dissimuler derrière la caravane du vendeur de pizzas chaudes. De là, je vois notre bagnole. J'aperçois Clémentine pousser le caddie. Sa silhouette hyper sexy me fait bander. Comme elle est belle à avancer ainsi, seule, entre les rangées d'autos. Elle ouvre le coffre arrière. << Gagné ! >>. Le même mec sort des fourrés en se masturbant effrontément. Clémentine se redresse. Elle pose ses mains sur la poignée du chariot. Immobile.

Clémentine regarde ce type se branler sans la moindre retenue. Comme si c'était une chose parfaitement normale. Je reste prêt à intervenir. Ce genre de pervers constitue rarement un danger pour une femme seule. Il vit là le seul plaisir qu'il recherche. Être vu ! Clémentine lui en donne pour son argent. Elle reste parfaitement immobile à observer le masturbateur fou. Et comment qu'il y va notre gaillard. Le bras mécanique. Le geste robotique. Une main tenant ses couilles, l'autre manipulant son chibre. Il accélère. Il ralentit. Il contrôle son plaisir.

L'homme finit probablement par éjaculer. Il se cambre soudain sans bouger. Il est là, haletant, reprenant ses esprits. Il vient certainement d'avoir un de ses tous meilleurs orgasmes. Soudain, comme pris de panique, il remballe pour s'enfuir dans les fourrés. Clémentine reprend le rangement des courses. Elle me cherche du regard. Je la rejoins. << Tu as vu ? Viens voir ! >> dit elle en m'entraînant par la main. Là, dans l'herbe rase, une flaque de sperme d'une incroyable densité. << Il a juté. L'équivalent d'un verre ! Les chutes du Niagara ! >> dit elle.

Je propose à Clémentine de prendre le volant. Je reste caché dans l'auto. Peut-être y aura t-il une autre manifestation insolite en sortant du parking. Je suis accroupis entre le siège passager et le vide poche. Clémentine conduit doucement. << Il est là ! >> fait elle soudain en freinant. Je lève la tête pour mâter le plus discrètement possible. Là, à la sortie du parking côté station de lavage, le salaud montre sa bite à Clémentine. << Il a repris sa tête l'enfoiré ! >> lance Clémentine en lui adressant un signe amical. Levant le pouce pour le féliciter. Rires.

Cette aventure a considérablement excité Clémentine. << Je l'aurais volontiers sucé. J'adore les bites de pervers. Ils savent s'en servir en virtuoses ! >> dit elle en sortant la mienne. << Oh put-hein, tu es trempé Julien ! >> lance Clémentine. En effet, ma bite macère dans son jus depuis deux bonnes heures. Je réponds : << Tu n'imagines pas comme c'est passionnant et hyper excitant de t'observer dans tes aventures ! >>. Clémentine me dépose plein de bisous sur la joue. Je roule doucement. << J'aime comme tu m'aimes ! >> fait elle.

Nous passons devant l'université. Il y a plein de voitures garées sur le parking. D'autres sections de la faculté ont cours le mardi après-midi. << J'ai choisi "sciences" parce qu'il n'y a pas cours le mardi ! >> lance Clémentine en riant. << C'est là, sur le petit espace réservé aux profs que je me gare. Avec Estelle on a la côte avec le directeur ! >> rajoute t-elle. Je dis : << Ce gentleman mérite une fellation ! >>. Clémentine éclate de rire en disant : << C'est pas son genre. Mais s'il me le demande gentiment ! >>. Nous rigolons comme des bossus.

Je me fais tailler une pipe "chauffeur" jusqu'à la maison. Il est 18 h quand nous arrivons. Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche. Elle adore garder le foutre le plus longtemps possible. C'est plein de jute gluante. Je lui dépose un baiser sur le front. Nous sortons les courses du coffre. Deux grands sacs emplit de fruits, de légumes, de papier absorbant, de lessives et de liquide vaisselle. Il fait nuit. La fraîcheur humide devient désagréable. Nous nous dépêchons de rentrer. Nous rangeons les achats. Nous nous changeons en riant.

<< Demain soir, avant de rentrer, je fais un petit tour sur le parking de l'hypermarché, on ne sait jamais ! Je peux ? >> me demande Clémentine. Je l'y encourage vivement. << C'est génial ! Prends ton temps. Comme je sais où tu traînes je ne m'inquièterais pas ! >>. Clémentine me saute au cou. << Je t'aime, tu me comprends si bien. Merci Julien ! >> dit elle avant de fourrer sa langue dans ma bouche avec passion. Nous voilà en jeans, chemises à carreaux. Nous dévalons les escaliers au moment où arrive Estelle en chantant.

Elle est dans la cuisine. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle enserre ma taille de ses jambes en m'embrassant avec fougue. Pendant ce temps Clémentine ouvre le grand Tupperware rond. << Miam ! Pour une surprise c'est une surprise ! >> lance t-elle. C'est elle que je soulève à présent pendant qu'Estelle sort le saladier Tupperware du grand sachet. << J'ai tout préparé en début d'après-midi. Il n'y a qu'à réchauffer la Flamiche Picarde ! >> lance t-elle. Je découvre avec émerveillement la tourte aux poireaux.

Clémentine raconte son aventure de l'après-midi. << Génial ! Ça ne m'arrive pas souvent ce genre de "plan". Il faut dire que je ne fais jamais les courses seule ! >> s'écrie Estelle. Elle contourne la table pour mimer une masturbation masculine. Elle rajoute : << Moi aussi j'adore ce genre de mecs ! >>. Nous rions aux éclats. La Flamiche Picarde est au four. Nous mettons les assiettes et les couverts. << Laisse-moi voir l'état de ton slip ! Parce que toi, tu as encore fait ton voyeur, vieux vicieux ! >> lance Estelle en s'accroupissant.

Elle glisse sa main dans ma braguette ouverte pour en extraire une bite dégorgeant de jus de couilles. << Put-hein mais elle colle carrément dans ton slip, salaud ! >>. Clémentine précise : << J'ai sucé sur le chemin du retour ! >>. Estelle prend mon sexe en bouche. Elle me tient par les hanches. Se donnant complètement à cette fellation juteuse, surprise par l'abondance de ce que je distribue, Estelle tombe à genoux sur les tomettes. Clémentine contourne la table. Penchée en avant, les mains en appui sur ses genoux, elle observe avec attention.

Les gargouillis, les bruits bulleux résonnent dans la grande pièce. Je me fais tailler une pipe des familles. Clémentine se redresse pour se frotter contre ma hanche. Elle m'embrasse passionnément. La sonnerie du four. J'aide Estelle à se redresser. Elle aussi adore laisser le foutre se mélanger à sa salive. Aussi, quand elle ouvre la bouche pour m'en montrer le contenu, Clémentine et moi nous nous écrions : << Put-Hein ! >>. Je me penche pour masser les genoux douloureux de ma suceuse. << Merci pour vos attentions docteur Julien ! >> dit elle.

Nous mangeons de bon appétit. Nous félicitons Estelle pour ce délicieux repas. Cette délicieuse surprise. La petite galette des rois en dessert. << Celui ou celles qui ont la fève est la "Reine" ou le "Roi" de la soirée. Il ou elle pourra exiger de ses vassaux ! >> fait Clémentine en coupant les parts. Assises sur mes genoux, les filles mordent avec prudence chaque bouchée qu'elle mâchent longuement. Cette galette est un délice. << C'est moi ! >> s'écrie Estelle en nous montrant le petit personnage issu du roman de Tolkien. Le seigneur des anneaux.

<< Tu ne préfères pas tirer la Reine plutôt que le Roi ? >> me demande Estelle en jouant avec ma bite qui dégouline sur le tissu de mon jeans autour de la braguette. << Moi, je regarde ! >> lance Clémentine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Je dis à Estelle : << Tes parents sont invités à venir tirer les rois au repas de dimanche midi ! >>. Estelle se met à sautiller autour de moi en s'écriant : << Génial ! Ils vont êtres contents ! >>. Mes deux anges m'entraînent au salon. Nous retirons nos jeans, nos slips. Clémentine aux côtés d'Estelle.

Vautrées dans le canapé, elles m'offrent leurs chattes. A genoux sur les épais coussins, je commence pas déguster la vulve humide et odorante d'Estelle. Elle se masturbe en même temps. Je passe à celle de Clémentine. Avec l'aventure vécue cet après-midi, je laisse le lecteur imaginer l'abondance et les saveurs de ce "yaourt". Elle se masturbe lorsque je ne suce pas son clitoris géant. Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre avec précaution. Je la baise à la hussarde, comme elle aime, sous le regard lubrique de Clémentine qui attend son tour.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont se faire bouffer la chatte, se faire baiser, s'offrir des orgasmes pisseux en hurlant de plaisir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1756 -



Juliette vient passer la soirée à la maison

Hier matin, mercredi, c'est la sirène d'un gros cargo qui résonne dans le lointain. Les illusions de l'application "océan" nous tirent de nos profonds sommeils. Le cri des mouettes et le bruit des vagues achèvent de nous réveiller. Il est presque six heures. Tout cela ne dure que 45 secondes. Clémentine vient se blottir contre moi en murmurant : << Comme c'était bon hier soir ! >>. Je la serre fort. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers.

Le froid est revenu et se fait sentir. J'allume une bonne flambée dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café. Elle presse les oranges, je pèle les kiwis. Les premières tranches sont expulsées du grille pain avec un désagréable claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'aventure de hier après-midi. L'exhibitionniste du parking. << Ce soir, après les cours, je vais faire un tour sur le parking de l'hypermarché, c'est à deux kilomètres de l'université. Je peux ? J'aurai un peu de retard pour rentrer ! >> me demande Clémentine.

Je réponds : << Mais si je sais où tu es, je n'ai aucune raison de m'inquiéter. Je te sais prudente. Je t'y encourage vivement ! >>. Clémentine se lève pour me faire un bisou sur le front. << Merci Julien. Comme c'est bon d'être comprise, d'avoir un complice ! >> s'écrie t-elle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la venue de Juliette ce soir. Nous nous réjouissons pour la revoir. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Clémentine est toute contente à l'idée de s'encanailler un peu en fin d'après-midi.

Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles. Le retour au calme avec un stretching assez correctement effectué cette fois. La douche. Je descends le premier pour aller sortir l'auto. Il est presque 7 h45. Il fait encore nuit et le froid est à nouveau glacial. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Un dernier bisou. << Tu ne t'inquiètes pas pour ce soir, j'aurai dix minutes de retard. Je t'aime ! >> dit elle en s'asseyant au volant. Un dernier coucou. Je regarde la voiture partir.

Le portail se referme. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit, avant d'aller dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je pense à Clémentine. L'idée de la savoir "exploratrice" ce soir, seule, m'excite considérablement. C'est la toute première fois qu'il se passe quelque chose de cette nature sans ma présence. J'attaque ce matin la peinture de cette huitième nature morte destinée à ma saison d'été. Je peins dans l'enthousiasme.

La matinée passe si vite. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer la dernière part de la tourte aux poireaux préparée hier par Estelle. Je lave les feuilles d'une belle et grasse laitue. Pour midi, pour ce soir. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Les coups de gueule d'André Bercoff m'amusent beaucoup. Je ne traîne pas. Je prépare une grosse pâte à pain. Ce sera pour les pizzas de ce soir. Je concocte une garniture avec des tomates fraîches, de l'échalote, de l'ail.

J'y rajoute du persil, de la ciboulette et des petits champignons noirs réhydratés. Tout cela ne demande que peu de travail. J'incorpore à la pâte du Parmesan finement râpé. Je la laisse reposer sous un linge dans le saladier. La garniture repose sous un couvercle dans la casserole. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Je redescends pour enfiler mon anorak. Le froid est vif et picote les oreilles. Sous l'abri à bois, je charge la brouette d'une vingtaine de bûches. J'en empile une dizaine à la cuisine, une dizaine à côté de la cheminée de l'atelier.

Me voila installé devant mon chevalet. Je reprends la peinture en me plongeant presque instantanément dans ma passion dévorante. Je peins en pensant à Juliette. Je me réjouis pour la revoir. L'après-midi file à une vitesse inquiétante. C'est vrai qu'en avançant en âge, le temps semble s'accélérer chaque jour un peu plus. Il est 17 h45 quand Clémentine rentre de cours. << Pardonne moi, je t'aime ! >> s'écrie t-elle en se précipitant vers moi. Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire.

<< Je suis retourné sur le parking. Figure-toi que ce vicieux était là, au même endroit, dans l'obscurité des fourrés ! Il m'a reconnu. J'ai garé la bagnole comme hier. Ce salaud est sorti de sa cachette en tenant sa bite ! >> dit Clémentine. J'écoute avec beaucoup d'intérêt. Elle continue : << Il m'a salué très poliment. Nous avons bavardé un peu. Il est resté distant. Il y avait souvent des clients qui passaient en poussant leur caddie. Il m'a demandé s'il pouvait se branler devant moi en discutant ! >>. Nous rions de cette situation surréaliste.

Clémentine rit aux éclats devant mes étonnements. Elle continue : << Il m'a confié adorer se masturber devant les femmes, qu'il ne cherche pas le contact et que cela lui procure tout le plaisir qu'il souhaite. Il m'en faisait encore une belle démonstration ! Il m'a même proposé de nous revoir un peu plus longtemps pour pouvoir "pratiquer" dans de meilleures conditions ! Il m'a donné ses coordonnées ! >>. Ces confidences me mettent dans un état d'excitation considérable. Clémentine, tout en narrant son aventure, me palpe la braguette.

Je l'encourage à accepter l'invitation du vicelard. << Quand tu n'es pas caché dans les environs, je ne peux pas donner toute ma "mesure". J'aime te savoir pas loin, c'est rassurant et ça me sécurise ! >> me confie t-elle. Je comprends car c'est ainsi que nous procédons toujours depuis près de cinq ans. << J'avais envie de sucer sa bite, si tu savais ! >> murmure t-elle en se levant. Clémentine a encore du travail. La voilà assise à la table de travail, devant son ordinateur. Nous aimons ces séquences de concentrations communes. C'est un plaisir.

Il est 18 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine classe ses fiches avant de me rejoindre devant la cheminée. Nous sommes assis l'un contre l'autre sur des poufs à admirer la danse des dernières flammes. Je suggère à Clémentine de fixer un rencard à ce type et pourquoi pas de lui proposer une pipe. << Si je devais sucer toutes les bites qui me font envie ! >> s'écrie t-elle en éclatant de rire. Elle me fait plein de bises en glissant sa main dans ma braguette béante. Elle rajoute : << Et puis j'en ai là une délicieuse quand je veux ! >>.

Soudain, au-dessus de nos têtes ce bruit sourd qui annonce la visite de Christine. Ce soir encore le fantôme de mon ancienne compagne disparue se manifeste effrontément. Des courses poursuites, une chaise qui ripe sur le parquet. Nous restons silencieux à écouter. Le phénomène ne dure que quelques minutes. Clémentine me sort la queue. << Je vais réfléchir à ce rendez-vous. J'adore les bites de pervers. Mais il faut qu'on s'organise le "plan". Je veux te savoir à proximité, dissimulé, c'est ça qui m'excite le plus ! >> me confie t-elle.

La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se lève d'un bond pour s'en saisir. << Juliette ! Elle arrive dans dix minutes ! >> lance Clémentine. Il est 18 h40. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Je travaille un peu la pâte à pain. Je réchauffe la garniture. Trois coups de sonnette. Clémentine me fait : << Sors ta bite, je vais aller accueillir Juliette ! >>. Je roule la pâte sur la nappe pleine de farine. Clémentine revient suivie de Juliette. Toute souriante, heureuse d'être de retour.

Sous mon tablier, impossible de voir mon sexe. Comme d'habitude, Juliette est vêtue de sa tenue d'écuyère. C'est sa tenue de travail. Elle est superbe ce soir encore. Cette bourgeoise de 48 ans exerce une séduction naturelle par sa classe. Ce soir, ces longs cheveux noirs sont attachés en catogan. Elle me dépose une bise sur la joue. << Je peux aider ? >> lance t-elle. Clémentine répond : << Non non Juliette, racontez-nous vos réveillons ! >>. Juliette, adossée au buffet, les bras croisés, nous raconte sa saint Sylvestre avec son personnel.

C'est dans la petite salle de la nouvelle écurie que Juliette a organisé un dîner pour cinq personnes. Il y avait madame Walter, Pierre son mari, James et Valentine, les palefreniers. << En comité restreint, ce fut très agréable ! >> lance Juliette en sortant les assiettes du buffet. Les pizzas sont au four. J'en ai fait quatre. Une pour moi demain à midi. Je retire mon tablier. Juliette aperçoit ma bite qui pend mollement. Elle me lance un regard sévère, comme lourd de reproche. Ce n'est évidemment qu'un jeu auquel elle adore se livrer. Nous aussi.

Clémentine passe derrière moi pour saisir mon sexe entre le pouce et l'index, à sa base. Elle l'agite en direction de Juliette. << Vous avez sucé durant ces festivités ? >> demande t-elle à Juliette qui répond : << Oh, juste mes petites habitudes. Robert, le vétérinaire qui m'offre les saveurs très particulières de sa virilité déficiente ! >>. Nous rions aux éclats quand elle rajoute : << Je suis comme Clémentine, j'apprécie les bites molles, on n'a pas besoin de trouver un prétexte pour ne pas baiser ! >>. La sonnerie du four. Je me précipite.

<< Non, ne va pas risquer de te brûler la queue, c'est moi qui la sors du four ! >> lance Clémentine qui me précède. Juliette regarde mon sexe avec attention. Je l'agite dans sa direction en disant : << Meilleurs vœux ! >>. Juliette m'adresse un sourire vicelard, le regard par en-dessous pour répondre : << Vous les connaissez bien mes vœux ! >>. Nous rions. Nous voilà confortablement installés à table. Nous mangeons de bon appétit. C'est délicieux. Nous bavardons en riant. Clémentine raconte sa "rencontre" avec un exhibitionniste hier.

Juliette pose quantité de questions sur des détails précis. << Il n'a fait aucune autre proposition que de me revoir pour se branler devant moi ! >> précise à plusieurs reprises Clémentine. Je me lève pour agiter ma queue vers Juliette. C'est au tour de Clémentine de poser des questions insidieuses. Juliette se fait un plaisir de répondre en entrant dans les détails. << Je n'ai pas encore sucer mon nouveau palefrenier. Par contre il m'a surpris deux fois à piper le vétérinaire. C'est un garçon courtois et charmant. Il n'a fait semblant de rien ! >>.

Nous rions aux éclats. Juliette continue : << Je veux absolument qu'il me surprenne entrain de me faire tringler par Pierre. Je veux qu'il sache qui est sa patronne et à quel genre de femme il a affaire ! >>. Nous n'arrêtons pas de rire. A présent, quand je me lève, c'est pour me masturber doucement. Juliette s'adresse à Clémentine : << Quand donc aurais-je le privilège de baiser avec Julien ? >>. C'est une question récurrente à laquelle Clémentine ne répond jamais. Elle se contente de dire : << Un jour ! >>. J'ai les couilles en ébullition.

<< On se tire les rois samedi soir ? Je prépare une galette "maison" à la frangipane ! Ça vous dit, avec Estelle ? >> propose Juliette. Je dis : << Je ne tire que les Reines ! >>. Clémentine se lève, s'assoit sur mes genoux pour préciser : << Et la Reine c'est moi ! >>. Nous rions. Nous traînons à table. C'est une excellente idée de partager une galette des rois samedi soir. Nous sommes invités à un repas simple mais qui s'annonce délicieux. Une tarte à la courgette avec des pavés de saumon. Nous sommes attendus pour 19 h30. Des réjouissances.

Après la vaisselle, nous prenons le dessert au salon. Juliette, assise dans le fauteuil en face de nous, prend les poses les plus suggestives. J'adore les deux petites bosses que font les lèvres de sa vulve entre la couture centrale de son pantalon d'équitation. Ses bottes noires et luisantes. Son gilet de cuir aux manches courtes sur son chemisier blanc. J'ai la queue fièrement dressée dans la main de Clémentine. Tout en bavardant, Juliette passe son doigt sur la couture de son pantalon. Nous adorons ces situations. La fin de la soirée est agréable.

Nous ne vivons pas assez ces moments lourds de vice. Nous nous promettons de nous en offrir d'avantage. Juliette, bisexuelle, fait une nouvelle fois le même aveux à Clémentine. Faire l'amour avec elle reste un de ses fantasmes. << Pourquoi pas sous les yeux de Julien ! >> précise t-elle. Clémentine que l'idée répugne, décline une fois encore l'offre qui lui est faite. << Et un plan à trois ? >> fait Juliette qui revient à la charge. << À voir ! >> se contente de répondre Clémentine. Il est 22 h, nous raccompagnons Juliette à sa voiture.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines que ces situations torrides excitent considérablement. Avant une bonne baise au lit...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 50 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1757 -



Estelle aime être "surprise" tout comme Clémentine

Hier matin, jeudi, l'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Il est presque six heures. Avec ses cris de mouettes, ses sirènes de bateaux, le bruit du ressac, l'illusion de nous réveiller au bord de la mer est bluffante. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Quelques papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos leggings, de nos sweats en lycra, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Tout en préparant le café, Clémentine me raconte son rêve. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois.

Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. Le claquement sec du grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la visite de Juliette hier soir. De sa proposition d'une "partie à trois". Juliette étant bisexuelle, Clémentine exerce sur elle depuis plus de quatre ans un attrait qu'elle n'a jamais caché. Hélas pour Juliette comme pour moi, Clémentine n'a strictement aucun penchant pour les femmes. Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'exhibitionniste du parking qui a laissé son numéro de téléphone à Clémentine.

<< On se fait ce "plan". Je vais bien étudier la question. Tu veux ? >> me dit Clémentine. Je réponds : << Tu sais que j'aime tellement te voir sucer un autre type. J'attends avec impatience de savoir comment tu vas t'y prendre avec celui-là ! >>. Nous rions de bon cœur. Il est 6 h25. Nous remontons pour aller nous livrer à notre heure d'entraînement. L'intensité maximale que nous mettons dans les exercices nous transforme en guerriers pour la journée. Aérobics, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles, retour au calme du stretching.

La douche. Je descends le premier pour faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint dans la nuit glacial et humide. Emmitouflée dans son anorak, ses bottes aux revers de fourrure assortie à cette de sa capuche. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, le lit. Je vais dans l'atelier. J'y allume une bonne flambée dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en chantant.

Je termine cette huitième nature morte destinée à ma saison d'été probablement en fin de matinée. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris surréalistes. Je ne cesse de penser aux différentes possibilités de rencontre avec l'exhibitionniste du parking. J'aime quand Clémentine va au bout de ses désirs. Et là, ce nouveau souhait de tailler une pipe à un inconnu, est une nouvelle opportunité de le réaliser. Il est 11 h45 quand je dépose la dernier touche de bleu de cobalt sur la surface de la toile achevée. Timing parfait.

Je dépose la nature morte sur le second chevalet afin qu'elle y sèche. Sur mon support de travail je dépose la nouvelle toile. J'attaque enfin les scènes de genre à trois personnages. Je mets deux bûches dans l'âtre, je quitte l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer la quatrième pizza de hier soir. Je prépare une salade d'endives. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff reçoit aujourd'hui d'intéressants invités. Je ne traîne pas. Je débarrasse. La pâte feuilletée a décongelé. J'en dispose deux tiers dans le plat.

Je lave et je coupe les deux poireaux achetés mardi. Je les ébouillante dans l'auto-cuiseur. Je concocte une belle Béchamel. Je râpe du gruyère de Comté. J'égoutte le poireau pour le rajouter avec le gruyère dans la Béchamel. Je verse le tout sur la pâte. Je couvre du dernier tiers de pâte en joignant soigneusement les bords. Il suffit de badigeonner le dessus du mélange œuf, lait de soja et moutarde. Je place au four électrique pour une cuisson lente à 180°. C'est tellement meilleur quand la Flamiche Picarde cuit longuement. Le repas de ce soir.

Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Je redescends pour enfiler mon anorak. Le thermomètre extérieur indique 6°. Le froid est vif, le ciel terriblement bas et sinistre. Quelques gouttes de pluie. Je fais quelques pas en restant sur les dalles de grès. Il est 13 h30. Je retourne dans l'atelier. Je commence avec bonheur la première scène de genre destinée à ma saison d'été. Il m'en faut huit. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. L'après-midi passe à une vitesse fulgurante. J'aimerais pouvoir ralentir l'horloge. Il est 17 h30.

Clémentine rentre de cours. Elle se précipite vers moi. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << J'ai raconté notre aventure à Estelle hier matin. Aujourd'hui, à midi, en mangeant, elle m'a suggéré un plan assez génial ! Elle aussi veut voir l'exhibitionniste du parking ! >> confie t-elle. J'écoute avec attention. Estelle, grande voyeuse, ne peut qu'avoir l'irrépressible envie de découvrir les activités de cet homme. Clémentine rajoute : << On passe au parking lundi soir, après les cours ! >>.

Je trouve ce début de scénario parfait. << J'aurai une demi heure de retard lundi, en rentrant, ne t'inquiète pas ! >> me fait encore Clémentine. Elle a encore du travail. La préparation des partiels qui commencent lundi prochain. La voilà assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. J'aime peindre en écoutant Clémentine commenter ce qu'elle fait, avoir des considérations, exposer ses ressentis. << Put-Hein, si je continue, je pète un câble ! >> lance t-elle soudain. Il est 18 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux, je retire ma blouse.

Je suis debout devant la cheminée. Je tiens mon sexe à sa base, entre le pouce et l'index. Je l'agite en direction de Clémentine qui range ses affaires. Je me masturbe doucement en l'observant. J'essaie d'imaginer que c'est une inconnue. << J'adore quand tu fais ça ! >> lance t-elle en venant me rejoindre. Elle me prend la bite à pleine main en enfonçant sa langue dans ma bouche. Je bande comme le dernier des salauds. C'est tellement bon. Je murmure : << Je n'ai pas cessé de penser à toi toute la journée. Tu me rend fou amoureux ! >>.

<< Je te promets de grands moments de folies ! >> chuchote t-elle en s'accroupissant. Elle frotte son visage contre ma queue tout en reniflant l'odeur. C'est quand elle en gobe la peau fripée du prépuce qu'un bruit sourd et caverneux résonne au-dessus de nos têtes. La visite du fantôme de mon ancienne compagne nous tire de nos jeux. J'aide Clémentine à se redresser. Nous écoutons. Il y a un autre bruit. Beaucoup plus réel celui-là. Voilà Estelle qui entre dans l'atelier. << Tu tombes bien, écoute ! >> fait Clémentine en montrant le plafond.

Estelle prend ma queue dans sa main, nous sommes serrés tous les trois. Nous écoutons les pas lancinants. Quelqu'un ouvre et referme une porte plusieurs fois. Cela ne dure que quelques minutes pour cesser aussi brusquement. Estelle s'accroupit en disant : << C'est quoi que vous faisiez quand je suis arrivée ? >>. Je pose ma main sur sa tête. Je la saisis par la nuque et sous le menton en répondant : << Ça ! >>. Estelle tente d'opposer une résistance. Elle garde obstinément les lèvres serrées pour m'empêcher d'y fourrer ma queue en érection.

Clémentine, que cette attitude passionne, s'accroupit également. Le spectacle est attractif. Estelle qui tente de se soustraire à mon étreinte. Je lui frotte la bite sur la gueule. Lorsqu'elle ouvre la bouche c'est pour s'écrier : << Salaud ! Espèce d'ordure ! >>. Ce n'est évidemment qu'un jeu. Je pince le nez d'Estelle. Pour reprendre sa respiration, elle n'a d'autre choix que d'ouvrir la bouche. C'est à cet instant que je lui enfonce la queue. Elle ouvre de grands yeux en tentant de me repousser des deux mains. Je saisis ses oreilles pour l'empêcher de fuir.

Clémentine se redresse pour m'embrasser avec fougue. Je ne suis absolument plus obligé de contraindre Estelle. La voilà qui me taille une pipe passionnée. Je l'aide à se redresser. << Pour un accueil, c'est un accueil ! >> lance t-elle en me tordant la bite dans tous les sens, comme pour me punir. Elle rajoute : << Tu devrais le faire plus souvent. J'adore ! >>. Nous rions de bon cœur. Il commence à faire faim. Clémentine nous entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << Là, ! Vous avez vu ! >> s'exclame soudain Estelle.

En effet, juste avant qu'elle n'allume la lumière du couloir, nous avons aperçu une ombre passer. << C'est Christine ! Elle vient peut-être manger avec nous ! >> dit Clémentine. Il est extrêmement rare que de telles manifestations aient lieu en bas. Clémentine prépare la salade de tomates. Estelle met les assiettes et les couverts. Je sors la tourte aux poireaux du four électrique pour la placer dans le four à bois. Elle va y réchauffer très vite. Ce four est constamment à plus de 300°. Il ne se contrôle pas. Estelle m'entraîne au salon. Nous allons voir.

Elle me tient par la bite. Nous restons dans l'obscurité pour tenter de voir cette ombre. Elle me masturbe doucement. Nous restons silencieux. Il ne se passe plus rien. Clémentine vient nous rejoindre. Nous restons serrés tous les trois, tous nos sens aux aguets. << Les phénomènes paranormaux ne t'empêchent pas de bander comme un vrai salaud ! >> murmure Estelle. Je passe mes mains entre les cuisses de mes deux anges en chuchotant : << Après la bouffe, ce sera léchage de minous ! >>. Mes deux anges sautillent de joie.

C'est ainsi que nous revenons à la cuisine. Clémentine sort la Flamiche Picarde du four. Elle est dorée à souhait et son odeur achève de nous ouvrir des appétits d'ogres. Nous mangeons de bon appétit. Nous comparons la tourte avec celle préparée par Estelle mardi. Nous trainons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges reviennent sur le "plan" prévu lundi prochain. Estelle veut absolument voir à quoi ressemble l'exhibitionniste du parking. Je les écoute évaluer différentes stratégies. C'est amusant, excitant et très instructif. C'est un super scénario.

Estelle sera seule dans la voiture. Clémentine sera cachée à proximité. Si le mec sort des fourrés pour faire son "numéro" devant Estelle, Clémentine fera semblant de le surprendre. << S'il pleut, évidemment, on ne fait rien ! >> lance t-elle. Estelle répond : << Tu téléphones pour lui fixer rendez-vous sur le parking en le prévenant que tu ne pourras pas respecter un horaire précis. Comme ça, s'il me voit, il pourra t'attendre dans les toutes meilleures dispositions ! >>. J'écoute, admiratif. C'est un privilège énorme d'être de tels complices tous les trois .

Estelle nous raconte sa baise, hier soir, avec Jean-Marc. Son parrain est venu chercher des cartons d'emballage. Prétexte des mercredis soirs pour baiser avec Estelle au dépôt ou à la cave. << Ma mère s'en doute, j'en suis certaine. Elle voit mes cernes et m'adresse de curieux regards ! >> dit-elle. << Mais depuis le temps que ça dure, c'est certain qu'elle s'en doute ! >> lance Clémentine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Pressées de se livrer à ma suggestion, les filles m'entraînent par le bras au salon. Nous retirons nos jeans, nos slips.

<< Je regarde ! >> s'écrie Clémentine qui s'affale dans le fauteuil. Cuisse droite sur l'accoudoir de droite. Cuisse gauche sur l'accoudoir de gauche. Elle me fait un sourire, un clin d'œil en me montrant son clitoris géant qu'elle tient entre le pouce et l'index. Estelle, vautrée dans le canapé, les cuisses relevées et écartées qu'elle tient sous les genoux me fait : << Je vais comparer avec parrain ! >>. Je frotte mon sexe sur le sien. Elle s'en saisit pour se l'enfiler doucement. Nous nous fixons dans les yeux. << Vicieux, salaud ! >> me dit elle.

Je fais : << Vicieuse, salope ! >>. Immédiatement Estelle se met à bouger. Elle adore se faire ramoner à la hussarde. Une fois encore j'alterne la "machine à coudre" et les moments où je dois me contrôler et reprendre mon souffle. Ce soir Estelle se fait tringler en étant plutôt passive. Je lui pose des questions quand à ce qui s'est passé hier soir. << Tu l'as sucé Jean-Marc ? >>. Estelle répond : << Non, il n'aime pas ça ! Lui c'est juste le plaisir d'enfoncer sa queue et me limer. Il pourrait le faire des heures ce salaud ! Il est pire que toi ! >>.

Clémentine, qui se masturbe, en gémissant, lance : << C'est vrai qu'il est hyper performant ton parrain ! >>. Clémentine qui a baisé avec lui, il y a plus de deux ans, me parle quelquefois de ce souvenir. Elle rajoute : << Avec Pierre, ton parrain est probablement le meilleur baiseur ! >>. Estelle se masturbe toujours en baisant. Elle me repousse doucement pour s'offrir un orgasme cataclysmique. En hurlant de plaisir elle se contorsionne dans le canapé, les mains entre ses cuisses. Je me lève pour me positionner devant Clémentine. Bite bien dure.

Au moment où je veux la pénétrer à son tour, elle s'empare de la cuvette. En criant, elle s'offre un orgasme pisseux. Je me mets à genoux pour lécher cette chatte ruisselante de jus de fille. Je lèche même le cuir du fauteuil pour recueillir la flaque crémeuse du bout de la langue. Je suce les derniers reliquats. Estelle vient me rejoindre pour s'accroupir derrière moi. Elle frotte son sexe bouillant et trempé contre mes fesses en tenant ma chemise relevée. Je me redresse. Je saisis fermement Clémentine par sa tignasse pour lui éjaculer dans la bouche.

Nous reprenons nos esprits, serrés tous les trois dans le fauteuil. C'est juste pour trois mais c'est tellement bon. En montrant la cuvette emplit aux deux tiers de la pisse de Clémentine, Estelle dit : << Tu es une vraie pisseuse. Regarde la foutrine qui flotte ! >>. Nous rions aux éclats. Estelle m'embrasse pour goûter ma bouche encore pleine des parfums intimes de Clémentine. Ça me fait rebander. Il est presque 22 h. Demain il y a "école". Nous raccompagnons Estelle dans la nuit glaciale jusqu'à sa voiture. Elle revient samedi. Séparation difficile.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire baiser à la hussarde pour comparer deux queutards et leurs façons de tringler...



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/01/22 07:49 par Oncle-Julien.
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Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1758 -



Julie vient prendre son cours de peinture

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. Le cri des mouettes est strident. La sirène de ce gros bateau au loin. Tout cela semble si réel. L'application "océan" nous arrache du sommeil. Clémentine, en poussant un long gémissement vient se blottir contre moi. Quelques papouilles. Comme le vendredi, elle termine à midi, il y a déjà de la facétie dans son comportement. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. J'allume immédiatement la cuisinière à bois.

En faisant le café, Clémentine me raconte son rêve. Elle presse les oranges en chantonnant. Je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. J'ai baisé Estelle sous les yeux de Clémentine qui me donne ses impressions. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Julie qui vient prendre son cours de peinture cet après-midi. Il est 6 h25 quand nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobics, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles. Retour au calme.

La douche. Je n'arrête pas de rire car Clémentine est déconneuse. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. C'est en sautillant dans la nuit glaciale que Clémentine me rejoint chaudement vêtue. << Je t'aime. À tout de suite ! >> me dit-elle en me faisant un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, le lit. Je vais dans l'atelier dans le jour naissant. J'allume un bon feu dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet.

Je prépare les couleurs sur la palette en chantant cette comptine que Clémentine m'a mis dans la tête à la salle de bain. La peinture de cette première scène de genre destinée à ma saison d'été m'accapare rapidement et totalement. Je peins dans une douce euphorie. La matinée passe vite. Il est 11 h55. Je rajoute deux bûches dans le feu. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il faut également rajouter une bûche dans la cuisinière. Je réchauffe le reste de la tourte aux poireaux de hier. Je prépare une belle salade de tomates avec un avocat bien mûr.

Il est 13 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, elle couvre mon visage de bisous. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Les partiels commencent lundi. J'écoute avec beaucoup d'intérêt. << Estelle me demande de t'embrasser très fort et tiens à te remercier pour ta "performance" de hier soir ! >> dit Clémentine. Nous éclatons de rire. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine fait le très vague programme du week-end.

Samedi soir nous irons partager la galette des Rois avec Juliette. Dimanche à midi ce sont les parents d'Estelle qui viendront manger à la maison. De la galette des Rois en prévision pour le dessert. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés d'aller faire quelques pas et rentrer du bois, nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks. Le ciel est gris, bas, menaçant. Il y a même quelques fines gouttes de pluie. Clémentine me tient le bras.

Nous descendons jusqu'à la rivière. Il s'est formé un véritable petit étang qui en interdit l'accès. Ce qui fait le bonheur des canards, des poules d'eau et des colverts qui y virevoltent avec une désinvolture qui nous enchante. En remontant, nous rencontrons monsieur Bertrand, le voisin, son grand sachet à la main. Il va nourrir les emplumés. Nous nous saluons. Nous nous souhaitons les meilleurs vœux. Louis nous donne quelques nouvelles de sa famille. << Jusqu'à présent, tout va bien, j'ai ma troisième dose ! >> lance t-il avant d'éclater de rire.

<< Croire que l'industrie pharmaceutique œuvre pour la santé c'est comme croire que l'industrie de l'armement œuvre pour la paix ! >> lance t-il goguenard et facétieux. Clémentine lui dit : << On se prend un café un de ces jours ? >>. Un peu gêné, notre voisin me consulte du regard. Immédiatement, afin de désamorcer toute inquiétude, je rajoute : << Monsieur Bertrand, vous m'excuserez de ne pas partager ce café avec vous deux mais j'ai tellement de travail pour préparer ma saison d'été ! >>. Louis, rassuré, rajoute : << Dommage ! >>.

Je devine la joie intérieure et secrète du vieil hypocrite en sachant qu'il pourra se comporter comme un dépravé avec Clémentine. Nous nous saluons. Nous le laissons à ses canards qui l'attendent en cancanant. Nous emplissons la brouette d'une vingtaine de bûches. Nous les empilons à côté de la cheminée du salon, de la cheminée de l'atelier et de la cuisinière à bois. Un second voyage. Il est 14 h. Nous voilà bien au chaud dans l'atelier. Clémentine, assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, moi installé devant mon chevalet.

Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre. Voir ce qu'il fait. Lui déposer un bisou. Lui murmurer une douceur ou une cochonnerie. Il est 15 h30 quand la musique imbécile de mon téléphone brise le silence monacal. Clémentine se lève pour s'en saisir. << Julie ! Elle arrive ! >> lance t-elle. Elle se précipite vers la porte pour aller l'accueillir. Je suis entrain de réaliser une chose extrêmement minutieuse sur la surface de ma toile. Je ne peux cesser. Julie précède Clémentine. Elle se précipite vers moi pour regarder ma peinture. Je me lève.

Je lui cède ma place afin qu'elle puisse scruter attentivement. Il y a sa photo et celle de Clémentine scotchées sur le montant de droite du chevalet. Les deux personnages féminins de mon tableau auront leurs traits. << C'est génial ! Merci de me prendre comme modèle. Je suis flattée ! >> lance Julie. Je pose mes mains sur ses épaules. Je me penche pour dire à son oreille. << Je ne choisi toujours que des physiques d'exceptions pour mes toiles ! >>. Julie éclate de rire en saisissant mes poignets. Clémentine est serrée derrière moi.

Julie est vêtue d'une jupe, d'un pull épais au col roulé. De hautes bottes à légers talons. Des bas noirs. Je la félicite pour sa tenue. << J'étais en cours comme ça aujourd'hui ! >> nous apprend t-elle. << Tu es superbe ! >> précise Clémentine. Sa tenue est toutefois stricte et les couleurs peut-être même austères. << Des filles de la fac m'appellent "la mormon" ! >>. nous raconte Julie. En cours comme presque partout dans ses rapports sociaux, Julie est d'une discrétion absolue. C'est juste ici, ou dans son job de serveuse, qu'elle est extravertie.

Clémentine retourne à ses préparations. Julie se lève pour venir s'installer sur la chaise qu'elle pose à côté de la mienne. Elle me regarde peindre. J'entends sa respiration. Lorsque je me concentre sur un détail précis, je suis forcément en apnée. Je découvre une fois encore que Julie calque sa respiration sur la mienne. Il est seize heures. Clémentine fait bouillir l'eau du thé sur la petite plaque électrique de l'atelier. Nous prenons notre collation. Julie est assise en face de nous dans le fauteuil. Ma blouse est ouverte tout comme ma braguette.

Clémentine, installée à côté de moi dans le canapé, nous bavardons. Je surprends à plusieurs reprises les yeux de Julie fixer ma braguette béante. Elle n'ose jamais soutenir mes regards. Par contre ce trou noir semble l'hypnotiser. Clémentine s'en rend compte également. Je sors ma queue d'un geste calculé. Je vois les légers frémissements du corps de Julie. Bien évidemment, c'est passionnant pour cette jeune fille de 20 ans. Je bande mou. Julie me demande : << Je peux faire une photo ? >>. Je réponds : << Bien sûr ! Verra t-on mon visage ? >>.

Elle s'écrie : << Non, j'ai plein de photos de nous deux, de nous trois avec Clémentine ou de nous quatre avec Estelle ! Je veux juste la queue ! >>. Nous éclatons de rire. Julie se lève pour se mettre à genoux sur le fauteuil. Nous tournant le dos, elle se penche pour fouiller dans son petit sac à main. Cette position n'est pas innocente. En fait, ce n'est qu'un prétexte. Sa position sans équivoque nous permet de découvrir ses fesses. Clémentine s'écrie : << Wouah ! La surprise ! C'est pour nous ! >>. Julie porte son plug anal. C'est de toute beauté.

Sa rondelle pénétrée par l'objet en bois de palissandre est entourée d'une fine garniture de poils. Julie, pour nous permettre d'apprécier cette délicate surprise, reste ainsi un long moment. Elle fait semblant de chercher son téléphone. Clémentine passe une main dans son jeans. De l'autre elle saisit mon érection soudaine. Je dis : << Julie, merci pour le spectacle. C'est divin ! >>. Julie se retourne pour me tendre le téléphone. Clémentine se lève pour le saisir en disant : << Je fais la photo ! >>. Je me lève pour m'accroupir à côté de Julie.

Mon visage contre les fesses de Julie, je regarde l'objectif. Clémentine prend plusieurs clichés. Julie ne porte évidemment pas de culotte. Ses bas sont fixés à son porte-jarretelles. Je passe mon doigt dans la raie pour descendre jusqu'au socle du plug. J'appuie un peu dessus. Ce qui amuse Julie. Je descends plus bas pour passer mon index entre les lèvres de sa vulve. Julie a ce réflexe féminin qui m'enchante. Un petit soubresaut suivi d'un frisson. Je m'attarde sur son clitoris. Nous l'entendons pousser de petits gémissements. Clémentine fait les photos.

Je cesse. Julie se redresse pour s'assoir à nouveau confortablement. Elle dit : << Je l'ai mis pour venir vous voir. Je le garde pour bosser ce soir au restaurant ! >>. Je fais : << C'est génial Julie. Je vous félicite vraiment. Vous suscitez l'admiration. C'est d'autant plus excitant que personne ne pourrait imaginer un seul instant que cette jeune fille d'apparence innocente porte un gode enfoncé dans le cul ! >>. Clémentine rajoute : << Tu es remarquable. Je viens faire la serveuse avec toi un de ces prochains vendredis soirs ! Tu veux ? >>.

Julie, amoureuse de Clémentine, laisse éclater sa joie. Elle s'écrie : << Oh oui ! Quand tu veux. Viens on se fixe une date ! >>. J'écoute les filles mettre au point les modalités. Clémentine l'a déjà fait il y a deux ans. Julie précise : << Mais là, masque sanitaire obligatoire ! >>. Clémentine s'écrie : << Cette saloperie de masque qui nous pourrit la vie ! >>. Nous rions de bon cœur. Il est l'heure de prendre le cours de peinture car ça, ce n'est pas un prétexte. C'est une passion de Julie. Clémentine est assise devant son ordinateur. Julie à côté de moi.

Nous sommes installés côte à côte devant le chevalet de table. Je regarde Julie continuer la peinture de son second paysage. Je refuse toujours de donner des conseils. Julie est douée. Je me contente de suggérer des façons de procéder. J'ai la bite à l'air. Julie se recule sur sa chaise pour me regarder me branler. Je ne le fais que par instants. Julie reprend son travail de serveuse à 18 h30. Il est déjà presque 18 h. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. La nuit est humide et froide. Assise au volant de son auto, Julie prend la commande pour lundi.

Nos repas de lundi soir, préparés par le Chef du restaurant de l'étang. Julie revient demain matin pour faire notre ménage. La séparation est toutefois difficile. Je la remercie pour le divin spectacle. << Je vous raconterai mes aventures demain matin ! >> lance Julie en démarrant. Elle est toute tristounette. Un dernier coucou. J'agite ma queue que je tiens à sa base. Clémentine me la saisit pour m'entraîner comme par une laisse. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Nous retournons dans l'atelier pour terminer nos travaux. Êtres peinards le week-end.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire lécher, qui vont sucer, baiser un peu après un délicieux gratin de coquillettes...

Julien



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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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La galette des Rois chez Juliette

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand Clémentine se blottit contre moi en gémissant. << Comme c'était bon hier soir, juste toi et moi. J'aime quand on est seuls tous les deux ! >> murmure t-elle à mon oreille en glissant sa main dans mon slip. Mon érection naturelle fermement empoignée, Clémentine me couvre le visage de bisous. L'impérieuse envie de pisser est sans pitié. Nous nous précipitons vers les toilettes en riant. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café, presse nos oranges pendant que j'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Dehors, le jour se lève sous un ciel gris. Il ne pleut pas. Je pèle nos kiwis. Le désagréable claquement sec du grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur le cours de peinture qu'est venue prendre Julie hier après-midi. << Tu as vu comme elle était contente de nous montrer son cul planté de son plug ? >> me fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Julie sera d'ailleurs là à 8 h30 pour procéder au ménage. Des réjouissances.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant Juliette et son invitation. Nous irons tirer les Rois chez elle ce soir. Nous sommes à nous réjouir pour cette soirée. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. J'ouvre le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Voilà la Clio rouge de Julie qui descend pour se garer devant le garage. Nous ouvrons la porte pour l'accueillir sur le perron. Elle se précipite en courant sur les dalles de grès. Ce matin elle est en jeans, un gros pull sous son anorak. Des bottes à fourrure. C'est qu'il fait plutôt froid. Des bises.

Nous la faisons entrer. << Bonjour. J'ai plein de choses à vous raconter ! >> lance t-elle. Avec Clémentine nous hésitons. Allons-nous courir dans ce froid glacial ou remontons-nous nous entraîner dans notre petite salle ? C'est Julie qui tranche en faisant : << Brrrr ! Il faut du courage dehors ! >>. Aussi, plein de sagesse, nous décidons de monter. Nous laissons Julie à son ménage. Clémentine m'embrasse en palpant ma bosse. << Tu es hyper sexy dans ton legging, tu sais. Tu me provoques déjà le matin ! >> dit-elle en me prenant par la main.

Aérobic, jogging sur tapis roulant. Clémentine nous met un film sur le grand écran. Tout en courant nous pouvons admirer les paysages écossais. Ces images que nous avons prises durant nos séjours. Les abdos et les exercices au sol. Les charges additionnelles. Nous entendons Julie chanter en passant l'aspirateur. Elle fait probablement la chambre. Un stretching assez farfelu permet le retour au calme. Nous allons à la salle de bain. Elle est déjà nettoyée. L'odeur des huiles essentielles de magnolia que distribue le diffuseur d'arômes.

Vêtus de nos jeans, de nos épais sweats, nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks. Nous sortons. Bonne résolution de nous êtres entraînés à l'intérieur car une bruine mouille toute chose. Nous remplissons la brouette d'une vingtaine de bûches. Voilà la camionnette des fruits et légumes qui descend le chemin. Danièle nous adresse un large sourire. Du hayon arrière le jeune femme tire nos deux cageots. L'un contient nos légumes, nos fruits. L'autre contient nos fromages, nos œufs, nos petits pots de crème fraîche, le beurre, les yaourts.

Paiement par carte bleue. Même commande pour samedi prochain. Nous présentons nos meilleurs vœux à Danièle qui ne s'attarde pas. Elle a bien d'autres clients à livrer. Nous n'attendons pas plus de deux minutes, voilà la tube Citroën restauré de notre boulangère. Madame Marthe nous fait un grand sourire. Dans une cagette, nos deux grosses miches de pain complet et "Bio". Notre brioche au pudding et deux pâtes feuilletées. Madame Marthe a toujours d'amusantes anecdotes. Nous rions de bon cœur en nous présentant nos vœux pour 2022.

Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. << Tenez, cadeau ! >> fait la boulangère en nous tendant une petite galette des Rois. Minuscule. << Pour deux amoureux! >> lance la dame avec un sourire espiègle. Nous la saluons. Elle aussi a bien bien d'autres clients à livrer. Nous prenons les cageots pour contourner la maison. Nous passons par derrière pour descendre à la cave. Nous rangeons les fruits et les légumes sur les étagères du cellier. Dans le congélateur, je mets les pâtes feuilletées, une miche. J'en tire un paquet de moules.

Un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Nous remontons pour ranger nos produits frais dans le réfrigérateur. Nous entendons Estelle passer l'aspirateur au salon. Elle vient de nettoyer la cuisine. Flotte dans l'air cette effluve parfumée du jasmin. Le diffuseur d'arôme en distribue généreusement la vapeur. A peine avons-nous terminé que Julie vient nous rejoindre avec le balai, la serpillère et le seau. En la croisant Clémentine et moi nous lui déposons une bise sur le front. Nous la laissons continuer pour nous rendre au salon. Ça sent bon !

Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois courriels. Celui de Juliette qui nous rappelle que nous sommes attendus ce soir pour 20 h. Celui d'Estelle qui nous rappelle qu'elle arrive pour 13 h30. Quelle surprise, un message de Julie avec une photo jointe. On m'y voit, la joue appuyée sur sa fesse gauche. On distingue parfaitement l'anneau en laiton qui permet de retirer le plug. Nous éclatons de rire. Nous répondons aux trois mails par un petit mot. Dans une petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50€. Clémentine y rajoute un mot.

Je glisse la commande des repas pour lundi soir. Clémentine surfe sur le site de l'université. Aucune information si ce n'est que les partiels commencent lundi matin. Julie entre dans le salon en disant : << Voilà ! >>. elle vient s'assoir sur la chaise qu'elle place à côté de nous. Je la remercie pour la facétieuse photo. Julie sort son téléphone pour nous montrer les autres clichés pris hier par Clémentine. << Je vous le promets Julien, personne ne verra jamais ces photos ! >>. Je la rassure, je ne suis pas inquiet. Clémentine rajoute : << Beau cul ! >>.

Nous rions de bon cœur. Il est 11 h15. Je tends son enveloppe à Julie qui me remercie. Nous savons bien que le ménage du samedi matin n'est qu'un prétexte pour Julie. Elle aime tant la maison, notre présence. << Hier soir, dans les toilettes du sous-sol, je suis tombée sur un vrai pervers. Il me faisait déjà de curieux signes dans le restaurant. Il trouvait plein de prétextes farfelus pour me faire venir à sa table. La salle était pleine et nous ne sommes que deux à faire le service. Il est descendu WC quatre fois ! Il était avec un couple ! >> dit Julie.

Elle continue : << Je suis allé voir. Comme je fais d'habitude, avec un seau et un balai. C'est comme s'il me guettait. J'entre. Il avait son pantalon et son slip sur les genoux. Il se branlait comme un fou. Il m'a carrément proposé une partouze pour après le boulot ! >>. Nous écoutons ce récit surréaliste et assez hallucinant. Julie rajoute : << J'ai tout laissé, mon seau, mon balai et je suis remontée à toute allure ! >>. Nous rions. << Et le beau mec de la dernière fois ? Des nouvelles ? >>. Julie s'écrie : << Non, aucune ! C'est bien dommage ! >>.

Je déboutonne ma braguette. D'un geste lent et mesuré, je sors mon sexe en disant : << Comparaison n'est pas raison, mais dites-moi Julie, celle du pervers de hier soir, était-elle comparable ? >>. Julie éclate de rire. Clémentine rajoute : << Moi aussi je veux savoir ! >>. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Clémentine se lève. Je me lève également. Julie reste encore assise un instant pour regarder ma masturbation lente et contrôlée. << Je préfère la douceur ! >> lance Julie en se levant à son tour. Il est déjà 11 h40. Hélas pour Julie.

Nous la raccompagnons sous le parapluie jusqu'à sa voiture. Assise au volant, elle nous confie à quel point elle aimerait rester avec nous. Revoir Estelle. << On se voit lundi soir ! Passe un bon week-end avec ta famille. Vous allez tirer les Rois ! >> lui fait Clémentine. Julie est toute tristounette en disant : << Mais je suis déjà la Reine à la maison ! >>. J'ai la bite dans l'habitacle de la voiture, à une vingtaine de centimètres du visage de Julie. Soudain, elle tourne la tête pour y déposer une bise rapide. Je me penche pour lui faire une bise sur le front.

C'est au tour de Clémentine. Avec ce froid, c'est désagréable d'agiter ma queue lorsque Julie démarre. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Clémentine me saisit par le Zob pour m'entraîner comme par une laisse. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour y jeter les moules encore congelées. Je verse le contenu des sachets dans le wok. Les haricots verts et les petits pois sont encore congelés aussi. Je remue afin qu'ils dégorgent toute leur flotte. Préparation très rapide.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la présence de Julie. Clémentine se réjouit pour aller faire la "serveuse" vendredi 21 janvier. Elle l'a déjà fait il y a deux ans. Un grand souvenir. << C'est surtout pour les toilettes du sous-sol et les bites éventuelles ! >> lance t-elle en prenant mon poignet. Nous rions aux éclats. Comme la dernière fois, je serai avec Estelle en tant que clients. Nous pourrons assister à quelques moments étonnants. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur l'exhibitionniste du parking.

<< Nous y faisons un tour avec Estelle lundi soir, après les cours. J'aurai un quart d'heure de retard. Peut-être davantage s'il y a un "plan" ! >> précise une fois encore Clémentine. Elle rajoute : << Elle commence fort la nouvelle année ! >>. Nous rions aux éclats. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Tout est propre, nettoyé et le parfum du magnolia flotte dans les airs. << Où qu'ils sont les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle.

Elle entre dans la salle de bain pour se précipiter vers nous. Une bise à Clémentine. Elle se serre contre moi en se frottant. Nous sommes tous les trois blottis. C'est tellement bon d'être ensemble. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte. << Combien de pipes depuis jeudi soir ? >> demande t-elle. Clémentine répond : << Combien de baises aussi ! >>. Nous rions. Estelle nous prend les mains pour nous entraîner dans une farandole. Elle improvise des paroles loufoques que nous reprenons en cœur. Comme une comptine écolière.

Nous descendons toutefois les escaliers prudemment. Nous enfilons les anoraks pour aller chercher la brouette et ses bûches. Deux allés retours afin de constituer un bon stock jusqu'à lundi. Clémentine nous entraîne dans la maison d'amis. Il y fait froid. Il serait bon d'y allumer une bonne flambée, de faire fonctionner les convecteurs électriques. J'allume le feu dans la cheminée. Je contrôle le niveau d'eau dans le faux chaudron. Une fois en ébullition cette eau chauffera les trois radiateurs de l'étage. Clémentine allume les convecteurs électriques.

Estelle me palpe la braguette en commentant la situation. Nous ne nous attardons pas. Il fait à peine 6° dans la maison. Les écrans des batteries des panneaux photovoltaïques indiquent la charge maximale. Il est bon de les faire fonctionner de temps en temps. Nous rentrons au chaud pour empiler les bûches à côté de la cheminée du salon, de la cuisinière à bois et à côté de la cheminée de l'atelier. C'est Estelle qui y allume un beau feu. Les filles ont du travail. Il faut préparer les partiels, revoir les cours et réviser. Avec cette météo c'est parfait.

Assises devant leurs ordinateurs, Estelle et Clémentine, entourées de leurs fiches sont déjà plongées dans leurs préparations. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. J'aime peindre en écoutant les filles commenter leurs travaux. Il y a le crépitement du feu, les craquements du bois, toute cette atmosphère si particulière aux anciennes demeures. Parfois, l'une ou l'autre se lève pour venir me faire une bise dans la nuque, me chuchoter une cochonnerie. Parfois je me lève pour les rejoindre.

Debout derrière elles, je regarde les écrans sans rien y comprendre. Pour moi les mathématiques de niveau quatrième année, c'est de l'algèbre. De l'hébreu. Du chinois. Mes mains sur leurs épaules, penché en avant, mon visage entre les leurs, je dépose des bises. L'après-midi se passe ainsi. Il est dix huit heures quand Clémentine s'écrie : << Prêtes pour lundi ! >>. Estelle sautille dans toute la grande pièce en improvisant une chanson aux paroles surréalistes. Les filles viennent se placer derrière moi. Elles contemplent mon travail.

J'adore entendre leurs souffles en stéréophonie. Elles me font plein de bisous. Je nettoie la palette, les pinceaux. Cette première scène de genre à trois personnages prend forme. Estelle me fait une jalousie. Ce sont les visages de Clémentine et de Julie qui se précisent sur les deux personnages féminins. Je dis : << C'est pour faire plaisir à Julie. C'est toi qui sera le modèle des prochaines toiles ! >>. Estelle se penche pour glisser sa main sous ma blouse en disant : << Promis ? >>. Je la prends par la taille pour la faire tomber sur mes genoux.

Je la rassure : << Promis ! >>. Nous restons serrés tous les trois dans l'obscurité, vautrés dans le canapé. Je suis entre mes deux anges. Le spectacle de la danse des dernières flammes projette ses ombres mouvantes sur les murs. Tout en bavardant, Estelle me tord la bite dans tous les sens. Heureusement je bande mou. J'ai mes bras autour de leurs épaules contre lesquelles elles appuient leurs têtes. J'aime les entendre finaliser les stratégies qu'elles comptent mettre en œuvre pour les partiels qui les attendent. J'écoute. C'est si passionnant.

Soudain, au-dessus de nos têtes, un bruit sourd, profond, caverneux. << Bonsoir Christine ! >> font Estelle et Clémentine pour saluer l'arrivée du fantôme de mon ancienne compagne. Retenant nos respirations, nous écoutons. Ce soir encore, ce sont de longues errances. L'entité semble traîner une chaise. Nous l'entendons riper sur le parquet. Il est impossible de localiser précisément d'où proviennent les bruits. Tout cela ne dure que quelques minutes pour cesser brutalement. C'est un silence angoissant, aussi inquiétant que le phénomène.

<< Venez, on va préparer la bouffe ! >> fait Clémentine en se levant. Il est 18 h45. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Assis tous les trois à la table, nous épluchons les pommes de terre. Les filles évoquent leurs études. Ce sont les patates pour le gratin de demain. Les parents d'Estelle viennent manger à la maison. Nous nous réjouissons autant qu'Estelle. Avec le gratin Clémentine suggère des pavés de saumon avec une sauce au Roquefort. Estelle propose de rajouter au gruyère du gratin des tranches de Morbier et de Saint Nectaire.

Nous mettons tout cela bien au point en élaborant le programme de la matinée de dimanche. << Il faut s'y mettre dès 10 h30 ! >> précise Clémentine. Les pommes de terre coupées en tranches sont ébouillantées dans l'auto cuiseur. Je les égoutte. Estelle les verse dans deux grands plats rectangulaires en terre cuite. Clémentine met le tout dans la véranda pas chauffée. Nous pourrons reprendre la suite des opérations dès demain matin. << C'est cool ! >> lance Estelle qui me prend les mains pour sautiller. Clémentine se serre contre mon dos.

Nous montons nous changer. Une fois encore, nous nous habillons exactement pareils. Pantalons noirs à plis et à pinces. Chemisiers crèmes sous nos pulls noirs aux cols en "V". Nos souliers de villes. Estelle emmène toujours de quoi se changer dans son grand sac de sport. Nous prenons des poses devant le grand miroir de l'armoire. Je suis entre mes deux anges. << Regardez comme on est beaux ! >> lance Clémentine. << Les trois Mousquetaires ! >> rajoute Estelle. Elles s'accroupissent toutes deux, leurs têtes contre mes hanches.

Leurs bras enserrant mes cuisses, elles s'observent. << Savez-vous, doux "Maître", que cela fait très longtemps que vous ne vous êtes plus occupé de vos "Soumises" ? >> murmure Clémentine. << Trop longtemps ! >> chuchote Estelle. Je pose mes mains sur leurs têtes pour répondre : << Je vous promets de remédier à cette grave carence dans les tous prochains jours ! >>. Estelle palpe ma braguette. Clémentine palpe entre mes cuisses. C'est très excitant et je ne tarde pas à bander sévère. << Sors là ce soir ! >> lance Estelle.

<< Oh oui, soit le roi des salauds pour tirer les Rois ! Juliette apprécie beaucoup tes initiatives ! >> s'écrie Clémentine. Je les aide à se redresser. Nous mettons nos manteaux noirs. Nos écharpes blanches. Nous adorons êtres élégants. Nous descendons prudemment les escaliers. Il ne pleut plus. Mais tout est trempé. Je sors l'auto. Je roule doucement. Il n'y a que trois kilomètres jusqu'au haras. Estelle et Clémentine sont assises toutes les deux sur le siège passager. Les grosses berlines allemandes permettent d'y être à deux et à l'aise.

Je gare la voiture dans la cour. Il n'y a que trois véhicules. Celui de Juliette et ceux des palefreniers. Il y a de la lumière dans la nouvelle écurie. Nous allons voir. Il y a Valentine, la nouvelle employée qui emplit les mangeoires à avoine pour les chevaux. Nous la saluons. elle nous fait un large sourire. C'est une jeune femme grande et mince. Elle paraît anorexique tellement elle flotte dans son anorak. Ses cheveux auburns attachés en une longue natte. Ses lunettes sur le nez. Nous lui présentons nos meilleurs vœux avant de la laisser à son labeur.

Nous traversons la cour. Quelques gouttes de pluie. La voix de Juliette depuis son balcon : << Je viens ! >> lance t-elle. Juliette nous invite à la suivre. Nous montons l'escalier derrière elle. Ce soir Juliette est en jupe bleue nuit. Un chemisier blanc sous un pull bleu nuit. Ses longs cheveux d'un noir brillant en liberté sur ses épaules. Des escarpins à talons. Je la félicite pour son élégance. Il est rare de la voir habillée ainsi. Juliette nous félicite pour nos tenues. Sur la table du salon, deux grosses galettes. L'une à la frangipane, l'autre à la compote.

Juliette nous débarrasse de nos manteaux en nous invitant à prendre place. Nous sommes morts de faim. La perspective de ce repas galettes enchante déjà nos palais. Nous voilà attablés. << Quels sont les gages pour celui ou celle qui trouve la fève ? >> demande Estelle. Juliette répond : << Je laisse vos imaginations nous apporter la réponse ! >>. Nous nous regardons en souriant. Clémentine pose sa main sur la mienne. Tout en me faisant du pied sous la table, elle dit : << Masturbation publique ? Ça vous tente ? >>. Nous éclatons de rire.

<< Moi, ça me va bien ! >> répond Estelle qui pose également sa main sur la mienne. Juliette, tout en découpant les parts de la première galette, suggère : << C'est parfait. Mais jusqu'à l'orgasme ! >>. Nous n'arrêtons pas de rire. La première galette, à la compote de pomme, est une création de Juliette. C'est un véritable régal. Nous la félicitons. Clémentine aimerait la recette. Juliette énumère les ingrédients. La façon de préparer la pâte à tarte. << C'est moins fastidieux qu'une vraie pâte feuilletée ! >> précise t-elle. Nous savourons ce délice.

Juliette nous raconte les dernières nouvelles du haras. Les nouvelles contraintes sanitaires. << L'autre, nous on l'emmerde aussi ! >> lance Juliette. Elle rajoute : << Les contrôles sont surtout vétérinaires et axés sur la santé des chevaux. Tout va bien ! >>. Nous attaquons les deuxièmes parts de galette. Accompagnées de coupes glacées . Deux boules, pralin, noisette. C'est sublime de laisser fondre la glace entre deux bouchées de galette aux pommes. C'est un concerto de << Mmhh ! >>, ou encore de << Comme c'est bon ! >>. C'est un régal.

<< C'est moi ! >> lance Estelle en nous montrant le petit objet qu'elle sort de sa bouche. C'est un personnage de la mythologie celte. Estelle le met dans ma bouche. Je le suce longuement avant de le présenter tout propre à l'assistance. << Tu connais ton gage ! >> lui fait Clémentine. Estelle se lève. Elle mime une masturbation masculine avant de déboutonner son pantalon. Elle glisse sa main dans sa culotte. Juliette, Clémentine et moi nous applaudissons en nous exclamant : << Vive la Reine ! >>. Estelle se touche. La honte sur le visage.

Nous restons tous les trois, bras croisés à regarder Estelle se contorsionner, debout, les cuisses serrées. << C'est bon ? >> demande Juliette. << Salope ! >> répond Estelle dans un souffle. J'ouvre ma braguette sous la table. J'essaie de le faire le plus discrètement possible. Clémentine, à ma gauche, sait ce que je fais. Juliette assise en face de moi s'en doute probablement. Estelle, debout sur ma droite, se masturbe. Elle est toute rouge. << C'est bien pour une voyeuse d'être exhibitionniste de temps à autre, n'est ce pas ? >> lance Juliette.

Estelle, s'assoit. Elle reprend sa respiration. Dans un souffle elle fait : << C'est si bon. Je n'arrête pas ! >>. Juliette se lève pour couper les part de la seconde galette : << Moi non plus je n'arrête pas ! >> dit elle. Elle rajoute : << Cette galette c'est mon traiteur qui me l'a faite. Spécialement pour moi malgré le grand nombre de commandes ! Elle est à la frangipane. On se la déguste avec des chocolats chauds. Ça vous tente ? >>. C'est un autre délice. D'autres saveurs. C'est bourratif et roboratif mais tellement bon. Estelle se touche sous la table.

Je sors ma bite. Tout en mangeant, je bande doucement. Je sens ma "tige" prendre sa raideur habituelle. Secondes parts de cette seconde galette. Avec des gorgées de chocolat chaud, c'est une merveille. C'est moi qui tombe sur la seconde fève. Je n'en crois pas mes yeux en sortant le petit objet de ma bouche. Une petite bite en porcelaine. Avec les couilles. Environs trois centimètres. Estelle me saisit le poignet pour porter la fève à sa bouche en disant : << Tu sais bien que j'adore sucer une bite ! >>. Nous éclatons de rire. Estelle savoure.

Juliette, Clémentine et Estelle applaudissent en s'écriant : << Vive le Roi ! >>. Je suis extrêmement gêné. J'aurais aimé que ce soit une des trois coquines qui tombe sur cette seconde fève. << Branlette, branlette, branlette ! >> font les trois femmes en tapant leurs mains sur la table. Je prends tout mon courage à deux mains. Je me lève. << Wouah, le salaud, il a anticipé ! >> s'écrie Estelle. Je sors mes couilles. Les mains sur les hanches, par petites contractions des muscles fessiers, je fais bouger mon érection. Je bande comme un vrai salaud.

<< Put-Hein quelle belle queue ! >> lance Juliette. Les filles, le regard braqué sur ma turgescence, restent soudain silencieuses. Je décalotte lentement l'extrémité de mon gland. Je tire la peau fripée de mon prépuce entre le pouce et l'index. J'offre ce "show" aux trois spectatrices attentives et concentrées. Je suis agité de frissons. C'est à la fois excitant, passionnant et inquiétant. Inquiétant parce qu'il me faut surmonter une certaine gêne. Une honte diffuse qui participe toutefois au plaisir qui m'inonde doucement. Je décalotte le gland.

C'est rare car je n'apprécie pas l'air frais sur cette partie sensible. << Put-Hein le frome ! >> murmure Estelle. Juliette se lève pour se pencher en avant : << C'est du smegma ? Vraiment ? >> demande t-elle. Clémentine répond : << C'est ma "fondue savoyarde" préférée ! >>. Je suis hyper gêné d'être observé ainsi. Comme les filles je contemple cette pâte granuleuse qui colle sous le gland comme une couronne de gruyère fondu. Estelle passe l'ongle de son doigt pour en recueillir un peu. Elle le montre à Juliette qui hume longuement.

En faisant une horrible grimace elle dit : << Pouahhh ! >>. Estelle suce son doigt les yeux pétillants de vice. Clémentine demande à Juliette : << Pourtant, avec toutes celles que vous sucer dans vos écuries, il doit y en avoir de bien "garnies" ! >>. Juliette éclate de rire avant de répondre : << C'est vrai, je me régale assez souvent de quelques spécialités fromagères de nos terroirs ! >>. Nous rions aux éclats. C'est Clémentine qui passe l'ongle de son doigt pour en récupérer un peu. Elle porte son index à sa bouche en faisant : << Mmmhhh ! >>.

Estelle et Clémentine nettoient la base du gland soigneusement en se partageant le Parmezob. Le voilà propre et luisant. Je me masturbe doucement. Juliette, comme à son habitude, par jeu, me lance les regards les plus sévères. Clémentine et Estelle se masturbent en me regardant. J'agite ma queue en direction de Juliette. Elle reste les bras croisés. Estelle et Clémentine se lèvent. Serrées contre moi, une main dans leurs culottes elles se touchent. Nous bougeons avec la même cadence. << C'est divin ce que vous faites ! >> lance Juliette.

Elle rajoute : << Une telle complicité, tous les trois, depuis toutes ces années m'enchante. Même dans mes fantasmes les plus fous, je ne pouvais pas imaginer ça ! Je vous envie les filles d'avoir un tel partenaire de jeu ! >>. Clémentine répond : << Je l'aime mon "partenaire" car il est aussi mon compagnon ! >>. Estelle rajoute : << Je l'aime mon "partenaire" parce qu'il est l'homme de ma meilleure amie ! >>. Juliette se lève. Elle se touche au travers le tissus de sa jupe. Nous sommes là, tous les quatre, à nous masturber en nous observant.

Nous nous sentons un peu lourds après ce copieux repas sucré. Pour reprendre mes esprits afin de ne pas éjaculer, je propose de débarrasser, de faire la vaisselle avant de continuer. << Excellente suggestion ! >> lance Juliette qui se redresse soudain, comme soulagée de quitter l'oppressante jouissance qui l'habite. Estelle cesse. Clémentine cesse en me disant : << S'il te plaît, laisse ta bite à l'air ! >>. Juliette rajoute : << J'adore quand il y a la bite et les couilles qui dépassent d'une braguette qui fait garrot ! >>. Nous éclatons de rire.

Nous débarrassons. Nous faisons la rapide vaisselle. Les filles évoquent leurs partiels. Juliette évoque la visite de la commission sanitaire mercredi prochain. Nous retournons au salon. Je suis vautré dans le canapé entre Estelle et Clémentine. En face de nous Juliette vautrée dans son fauteuil. Nous avons repris nos masturbations. << C'est sympa aussi ces soirées branles entre amis, vous ne trouvez pas ? >> lance Juliette. << C'est une de mes préférences ! >> répond Clémentine. << Moi je n'arrête as ! >> rajoute Estelle. Je ne dis rien.

Quelle surprise. C'est Juliette, jupe retroussée, ne portant pas de culotte, qui se cambre subitement en poussant un cri. Elle semble se refermer comme une coquille dans un orgasme tellurique. Je n'ai jamais vu cette femme se tordre de plaisir comme ce soir. Estelle la suit de quelques secondes dans un cri puissant en se tortillant, les mains entre ses cuisses. Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes. C'est en pissant qu'elle hurle du plaisir de cet orgasme nucléaire qui l'envahit. Juliette et Estelle viennent nous rejoindre. Quel spectacle.

Il est presque 23 h. Nous sommes totalement épuisés. Clémentine tombe à genoux devant moi, son pantalon et sa culotte aux chevilles. Je lui offre une merveilleuse éjaculation en hurlant, en poussant des cris de dément. Estelle tombe à genoux à ses côtés, elle en veut sa part. Je jute à l'aveuglette. Ma bite est sucée par ces deux bouches avides de foutre. Juliette, comme consternée, assiste à cette scène en se se touchant à nouveau. Elle nous raccompagne jusqu'à la voiture. C'est dans la nuit glaciale que nous nous serrons les mains. À mercredi soir.

Bonne rentrée à toutes les coquines qu'une soirée branle a totalement épuisé. Au lit, entre mes deux anges, nous plongeons...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1760 -



Une bien agréable journée

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par les mouvements que fait Estelle avec ses pieds. Contre les miens. Elle sait que je ne dors plus. Elle même encore dans en semi "coma" se serre encore plus fort contre moi. En gémissant elle se frotte contre ma hanche. Elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection naturelle. Clémentine se réveille à son tour pour venir se blottir. Je suis entre mes deux anges qui impriment un léger mouvements masturbatoire contre moi. C'est un enchantement paradisiaque de chaque instant.

Il est neuf heures trente. Nous avions besoin de cette bonne nuit de sommeil. << C'était génial hier, la soirée branle ! >> murmure Clémentine. << C'est à refaire très vite ! >> chuchote Estelle. Nous luttons contre ce besoin pressant qui devient une torture. Estelle, n'en pouvant plus, se lève d'un bon en s'écriant : << Pipi ! >>. Dans son pyjama de soie mauve elle traverse la chambre en courant. Clémentine passe une cuisse sous mes fesses, l'autre sur mon érection. Elle se frotte en me disant : << Je me sens encore si salope aujourd'hui ! >>.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous enfilons rapidement nos jeans, nos épaisses chemises à carreaux. Nous ouvrons les fenêtres de la chambre, le lit défait. Il fait un froid glacial. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur du café, du pain grillé et de la brioche. Ce "chinois" au pudding qui n'attend que nous. J'aide Estelle à allumer le feu dans la cuisinière à bois. Quand je ne fais pas une bise à Clémentine, j'en fais une à Estelle. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée branle.

<< C'est génial d'être membre d'un tel "Club" ! >> lance Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. << Mais c'est un "Club" très fermé ! >> rajoute Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour. << Si tu dragues ma mère, tu sais ce que je te réserve, salaud ! >> me fait Estelle. << Tu lui arraches la bite avec les dents, c'est ça ? >> dit Clémentine. Nous rions de bon cœur de cette habituelle réplique qu'aime à lancer Estelle lorsque ses parents viennent manger à la maison. Il viennent pour midi.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges mettent au point le menu. Nous faisons simple. Le gratin de pommes de terre est déjà réalisé. Il est au froid dans la véranda. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Pendant qu'Estelle s'habille dans la salle de bain, nous fermons les fenêtres de la chambre et faisons le lit. Pressés de sortir prendre l'air, nous dévalons tous les trois les escaliers en nous tenant la main.

Il fait froid. Le ciel est bas, gris et menaçant. Emmitouflés dans nos anoraks, sous nos bonnets, avec nos gants, nous allons jusqu'à la rivière. Il est toujours encore impossible d'y accéder. Avec ces pluies incessantes, il s'est formé un petit étang. Ce qui fait évidemment le bonheur de tous les emplumés qui ont colonisé l'endroit. Les filles restent accrochées à mon bras. Nous admirons la danse des colverts, des poules d'eau. Les canard cancanent en s'approchant. Ils nous confondent peut-être avec notre voisin qui vient leurs apporter du pain.

Nous remontons. Il y a de la bruine. Clémentine nous entraîne dans la maison d'amis. Il y fait encore bien chaud. Nous avons allumé les convecteurs électriques hier. Les radiateurs sont encore tièdes. << On se fait une soirée branle ici, aux premiers beaux jours ! >> lance Clémentine. << Oh oui, superbe ! >> s'écrie Estelle qui se met à sautiller tout autour de l'unique grande pièce du bas. Elle se pend à mon cou en disant : << J'aime me branler mais j'aime aussi qu'on me branle ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes.

Estelle me couvre le visage de bisous en chantonnant. J'inflige le même traitement à Clémentine. J'éteins les convecteurs électriques. Les batteries des panneaux photovoltaïques sont encore pleines au deux tiers. C'est parfait. Il faut que nous pensions à renouveler cette opération tous les samedis. Seul un "hors gel" offre 6° constant dans l'intérieur de la dépendance. Nous la quittons pour traverser le jardin. Cette bruine se transforme en crachin. Nous restons sur les dalles de grès pour nous dépêcher de rentrer. La température est de 8°.

Clémentine s'occupe de la salade. Une belle laitue dont elle lave chaque feuille. Estelle met les deux plats en terre cuite dans le four à bois. Il faut être vigilent car la température de ce four ne se contrôle pas. Je prépare la sauce au Roquefort. Estelle fait revenir les pavés de saumon dans la poêle. J'y rajoute des champignons, de l'ail, de l'échalote, du persil et de la ciboulette. Ça sent bon dans toute la cuisine. << On mange au salon ou à la cuisine ? >> demande Clémentine. << Papa et maman ont une préférence pour la cuisine ! >> lance Estelle.

Cette grande cuisine exerce sur nos invités le même attrait que mon atelier de peintre d'Art. << Une cuisine de manoir" >> comme dit souvent Juliette. La maman d'Estelle utilise les mêmes mots pour évoquer cette grande pièce. Nous mettons les assiettes et les couverts. << Clémentine à ta gauche, moi à ta droite à côté de mon papa. Ma maman en face de toi. Et j'aime autant te prévenir, je te surveille ! >> me fait Estelle en glissant sa main dans ma braguette ouverte. Le dimanche, nous ne prenons pas de douche. Nous restons dans nos jus.

Estelle s'accroupit pour me sortir le sexe. Elle en hume l'extrémité qu'elle décalotte légèrement. << Oh put-hein, c'est la bite à Mr Schlingo ! >> lance t-elle en l'agitant vers Clémentine. << Laisse moi sentir ! >> dit elle en s'accroupissant à son tour. Toutes les deux reniflent ma queue en se donnant leurs impressions. << T'es une fabrique artisanale de fromage à toi tout seul ! >> me fait Estelle en se redressant. Clémentine lèche délicatement le méat avant de tirer la peau de mon prépuce pour tout remettre en place. Elle se redresse également.

Mes deux anges restent serrées contre moi. Je chuchote : << Ce soir, c'est moi qui contrôle la qualité de vos minous ! >>. << Tu vas te régaler ! >> dit Estelle avant d'enfoncer sa langue exploratrice dans ma bouche sans lâcher ma queue. C'est au tour de Clémentine qui se frotte. Depuis quelques semaines, lorsqu'elles m'embrassent, les filles se frottent contre moi. Dans un mouvement masturbatoire. C'est un bonheur. Il faut contrôler la cuisson. Il y a une porte vitrée qui permet d'observer dans le four. Nous regardons attentivement. C'est parfait.

Estelle retourne une dernière fois les pavés de saumon dans la grande poêle. Je place la casserole contenant la sauce au Roquefort sur le bord de la cuisinière à bois. Trois coups de sonnette. Je remballe la bite à toute vitesse. Estelle se précipite pour aller accueillir ses parents. Clémentine me chuchote : << Fais ton vicieux, j'aime te voir dans tes agissements secrets ! >>. Je murmure : << Je te promets de faire au mieux ! >>. C'est Michèle qui entre la première dans la cuisine. Avec un grand sourire elle vient me toucher le poing du sien. Bonjour.

La maman d'Estelle est vêtue d'un jeans, d'un sweat et de bottines à léger talons. C'est comme la grande sœur d'Estelle. Une fois encore je suis frappé par l'étonnante ressemblance. Clémentine tend son poing à son tour. Yvan arrive dans la cuisine vêtu de la même manière. Nous nous touchons le poing. Il dit : << Test négatif ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle tient la grande galette des Rois qu'ont apporté ses parents. Clémentine invite tout le monde à prendre place. Je sors les deux plats du four. Les gratins sont dorés et fumants. Magnifiques.

Estelle veut faire le service. Nous voilà installés confortablement sur les chaises attribuées par Estelle. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. A plusieurs reprises Michèle a vers moi ce regard par en dessous, accompagné de ce léger sourire équivoque. Cette belle bourgeoise de 48 ans exerce sur moi d'indéfinissables sensations. Tout comme Juliette il y a un charisme étrange qui émane de cette femme. Je comprends une fois encore l'héritage génétique et sensuel d'Estelle. Nous évoquons la crise sanitaire, les conditions de vie.

Nous parlons études. Clémentine me fait du genoux. Estelle me fait du pied. Nous traînons à table. Estelle propose de tirer les Rois au salon. Elle entraîne son papa par la main en disant : << On va allumer la cheminée ! >>. Michèle insiste pour aider à débarrasser, à faire la vaisselle. Michèle sait très bien que Clémentine est complice de tout ce qui se passe. Qu'elle est dans le secret. Aussi, debout, quand je me palpe vulgairement et rapidement la braguette, elle fait un sourire entendu à Clémentine. Michèle plonge, Clémentine et moi nous essuyons.

À plusieurs reprises Michèle tourne la tête en discutant. À chaque fois elle jette un regard furtif sur ma braguette. Je bande. Il y a la grosse bosse qui déforme le tissu de mon Lévi's. Clémentine qui voit toujours tout, s'en aperçoit. Elle pose sa main dessus en disant : << C'est un régal ! >>. Michèle, en rinçant l'évier répond : << Je sais, je dispose de la même ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle et Yvan reviennent. Estelle me lance un regard sévère avant fixer ma bosse. Lorsqu'elle passe près de moi, elle murmure : << Espèce de vieux salaud ! >>.

Nous emmenons la galette, les coupelles, les tasses et la théière fumante au salon. Cette fois, Estelle est entre son papa et sa maman dans le canapé. Clémentine dans un fauteuil, moi dans l'autre. La petite table basse nous sépare. Michèle coupe les parts de galette. Nous sommes cinq. Il faut ruser. Elle fait ça à la perfection. Nous savourons cette galette à la frangipane. Avec le thé au jasmin, c'est une merveille. Nous nous sentons bien lourds après le gratin de pommes de terre. << C'est moi ! >> s'écrie Estelle en montrant la fève.

C'est un petit personnage non identifiable. Yvan prend la couronne de papier doré qu'il déplie pour la poser sur la tête de sa fille. Il dit d'un ton solennel : << Que sa majesté exprime sa volonté ! >>. Nous rions. Michèle rajoute : << Ça ne fait que 24 ans que tu es notre Reine adorée ! >>. Estelle se lève, la couronne sur la tête. Elle va vers la cheminée, s'empare du tisonnier qu'elle tient comme un sceptre. Elle parcourt toute la grande pièce en serrant les lèvres pour ne pas éclater de rire. Nous applaudissons en criant : << Vive la Reine ! >>.

Nous restons ainsi, vautrés et à digérer jusqu'aux environs de 16 h. Dehors la météo est médiocre. Il pleut. Il y a même des bourrasques de vent qui jettent des paquets de pluie contre les portes fenêtres. L'attrait du feu dans la cheminée constitue un pôle d'intérêt. Très inspirant pour les conversations. Nous évoquons l'Écosse. Michèle et Yvan ont déjà loué un cottage pour y passer un mois. Du 15 juillet au 15 aout. À cheval sur deux mois, nous trouvons cette formule parfaite. Nous faisons mille projets communs. L'Écosse a aussi gagné leurs cœurs.

Michèle à le souhait de visiter mon atelier. Estelle se lève d'un bond. Elle me jette un regard sévère. Yvan se lève pour aller regarder les centaines de vieux livres reliés cuir dans la grande bibliothèque. Estelle est évidemment partagée entre l'envie de rester auprès de son papa adoré et celui de me surveiller. Clémentine la rassure en disant : << Je fais la guide ! >>. Nous laissons Estelle et Yvan au salon. Nous suivons Clémentine. Michèle aussi adore l'atmosphère particulière qui règne dans l'atelier. Les chevalets, les palettes, les toiles. Les tubes.

C'est là, pendant qu'elle scrute le tableau en chantier sous les explications de Clémentine, que je montre ma bite à Michèle. Avec la présence de Clémentine, Michèle est doublement ravie. Son expression de ravissement illumine son visage. Elle se contente de murmurer : << C'est génial ! >>. Clémentine saisit mon sexe à sa base pour l'agiter en disant : << À gouter absolument au moins une fois dans la vie ! >>. Michèle fixe Clémentine avec curiosité. Cette jeune fille de l'âge de la sienne a de quoi l'étonner. Elle fait : << J'aimerais beaucoup ! >>.

Je remballe à toute vitesse. Estelle arrive avec Yvan. Clémentine fait la visite. Michèle me lance de furtifs regards par en-dessous. Terriblement vicelarde. Parfois, discrètement, je me palpe très vite la braguette. Avec vulgarité. Il est dix sept heures. Nous raccompagnons Yvan et Michèle jusqu'à leur voiture. Sous les parapluies. Nous promettons de nous organiser une nouvelle rencontre avant la fin janvier. Un dernier coucou, nous regardons l'auto monter jusqu'au portail. Nous nous dépêchons de rentrer. << Espèce de salaud ! >> me fait Estelle.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire nettoyer la chatte par un expert lécheur après un bon gratin de patates...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1761 -



Un début de semaine fort agréable

Hier matin, lundi, il est presque six heures. Nous sommes tirés de nos profonds sommeils par notre application "océan". C'est surtout la sirène de ce gros bateau qui résonne dans le lointain. Suivie du cri des mouettes. Tout cela ne dure que 45 secondes. Suffisamment pour nous réveiller avec l'illusion d'être au bord de la mer. Quelque part en Écosse peut-être. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Il faut se lever. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de fin, en tenues sports, nous dévalons les escaliers.

Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, j'allume une flambée dans la cuisinière à bois. Je pèle les kiwis. Le claquement sec et désagréable du grille pain qui éjecte ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre dimanche. La tristesse d'Estelle lorsqu'elle nous a quitté hier soir, à 22 h. La présence de ses parents si heureux de passer une partie de la journée avec nous. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Julie ce soir. Elle apportera nos commandes et mangera avec nous.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure de gymnastique. C'est un peu dur ce matin. Aérobics, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles. Le retour au calme que nous réalisons avec un stretching assez bâclé. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer l'auto. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans le froid glacial. Il fait encore nuit. Emmitouflée dans son anorak, sous son bonnet. Un dernier bisou. << Je rentre un peu plus tard ce soir ! >> me dit elle en démarrant.

Je regarde la voiture monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais la vaisselle, le lit, avant d'aller dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette première scène de genre destinée à ma saison d'été, m'inspire. Je peins dans l'enthousiasme enchanteur de la passion. Je pense à Clémentine. Ce soir, après les cours, avec Estelle, elles iront faire un tour sur le parking de l'hypermarché près de la fac.

Dans l'espoir de revoir l'exhibitionniste de mardi dernier. Cette idée m'amuse beaucoup. La matinée passe tellement vite. Il est déjà 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste du gratin de pommes de terre. Je fais rissoler un filet de limande avec des champignons, de l'ail et de l'oignon. Je prépare une salade d'endives. C'est rapide. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff reçoit encore d'intéressants invités. Invités qui ne sont jamais invités sur d'autres stations.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. La température extérieure est de 6°. Il y a un léger vent de Nord Est. Ce qui accentue encore la sensation de froid intense. Je vais jusqu'à la rivière. Les emplumés semblent s'amuser comme des fous sur le petit étang qui s'est formé au bas du chemin. Les poules d'eau en cercles concentriques, les colverts par de petites envolées et les canards qui cancanent fièrement. Je remonte, pressé de retourner à ma passion. Me voilà assis devant mon chevalet.

Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. Je pense à notre soirée branle de samedi. C'était drôlement sympathique. Nous sommes restés sur la promesse d'une prochaine récidive. Il est 18 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux, quand Clémentine arrive. Elle se précipite en s'écriant : << Pardonne moi, j'étais avec Estelle. On a vu le mec ! >>. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. L'expédition avec Estelle sur le parking de l'hypermarché. J'écoute amusé.

<< C'est d'abord Estelle qui est allée rôder entre les bagnoles et les fourrés. Je suis restée dans ma voiture. J'ai vu le type sortir des bosquets. Bien sûr, il a montré sa bite à la rôdeuse ! >> me narre t-elle. Les deux coquines ont appliqué la stratégie élaborée hier soir. Clémentine continue : << Estelle est revenue à la voiture pour me raconter. Même baratin de la part de ce vrai vicelard. Estelle est hyper voyeuse, tu penses bien qu'elle s'est beaucoup amusée. Par contre, elle n'a pas accepté de le revoir. Il sera là demain vers 14 h ! >>.

Je propose d'aller y faire un tour. Ainsi Clémentine pourra parfaire cette prise de contact. << Tu es d'accord ? >> me demande t-elle toute contente. Je réponds : << Non seulement je suis d'accord mais c'est obligatoire ! >>. Clémentine me couvre le visage de bises en disant des tas de << Je t'aime >>. Soudain, au-dessus de nos têtes, ce bruit sourd, caverneux, que nous connaissons bien. Nous écoutons le fantôme de mon ancienne compagne errer à l'étage. Tout cesse lorsqu'il y a la musique imbécile de mon téléphone. Clémentine s'en saisit.

<< Julie ! Viens on va l'accueillir ! >> me fait Clémentine en saisissant ma main. Julie est dans le hall d'entrée, la grande boîte isotherme à ses pieds en tenant le sachet contenant nos bacs à salades. Elle a un sourire tellement désarmant. Elle se débarrasse de son anorak. Ce soir encore Julie porte ses lunettes d'étudiante, sa longue natte sur son pull noir. Nous nous faisons la bise. Au diable les gestes barrières, nous pratiquons tous les jours nos auto tests. Nous sommes vaccinés et comme le précise Clémentine : << Cette comédie a assez duré ! >>.

Nous allons à la cuisine. Julie met les assiettes et les couverts. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant nos salades. De la grande boîte isotherme je tire les trois feuillantines de saumon encore bouillantes. Les deux quiches aux fruits de mer pour le repas de demain, midi. Il n'y a rien d'autre à faire qu'à s'installer confortablement à table. Nous mangeons de bon appétit. Le repas est tout simplement savoureux. Julie aussi est plongée dans les épreuves des partiels. Les filles évoquent leurs études. Leurs stratégies.

Julie en vient toutefois rapidement aux sujets qui nous passionnent. Elle nous raconte son week-end avec ses parents, ses papys, ses mamies. << J'ai tiré les rois. J'ai trouvé la fève deux fois ! >> lance t-elle en riant. Julie nous raconte ses soirées de serveuse au restaurant. << Rien de très particulier ! Juste un mec un peu bizarre aux toilettes, vendredi. Un belle queue ! >>. Nous rions. Clémentine qui aime les explications détaillées pose quelques questions précises. Julie se fait évidemment un plaisir de satisfaire la curiosité de Clémentine.

J'écoute en riant. Cette conversation m'excite. Discrètement, sous la table, j'ouvre ma braguette. Julie qui s'en doute fait mine de ne pas se rendre compte de quoi que ce soit. Clémentine raconte sa rencontre avec ce qui est devenu "l'exhibitionniste du parking". << Génial ! >> lance Julie qui est encore plus voyeuse qu'Estelle. C'est à son tour de poser tout un tas de question. Julie aussi aimerait bien se rendre à cet endroit. << Quand je vais dans cet hypermarché c'est toujours avec maman, pour y faire les courses ! >> précise t-elle. Nous rions.

J'ai la bite à l'air. D'observer les expressions du visage de Julie lorsqu'elle évoque les sujets qui la passionne me fait bander comme un priapique en phase terminale. Je me lève. Je tiens mon Zob à sa base, entre le pouce et l'index. Comme à chaque fois, il y a un soudain silence. Les filles regardent. Je demande à Julie : << Vous venez avec nous un de ces après-midi pour voir l'exhibitionniste du parking ? >>. Clémentine rajoute : << On s'organise. J'ai le numéro de téléphone de ce type. Ça te tente ? >>. Julie nous regarde tour à tour.

<< Oui, super, on s'organise ce "plan" ! >> dit elle avant de rajouter à l'attention de Clémentine : << Et le voisin, il ne se passe plus rien avec lui ? J'aimais bien mâter ! >>. Nous éclatons de rire. Je me lève une nouvelle fois. Je me masturbe doucement. À nouveau Julie observe tout en écoutant Clémentine dire : << Si si, je vais jouer sur ce registre un de ces prochains vendredis après-midi ! >>. Tout en me branlant doucement, d'un geste régulier et mécanique, je rajoute : << Julie et moi, cachés dans le placard pour regarder en secret ! >>.

Julie n'ose jamais soutenir mes regards. Par contre elle garde les yeux braqués sur ma pignole. En agitant mon sexe dans sa direction, je fais : << Ce sera un plaisir indicible de me retrouver confiné avec vous dans cet étroit placard. J'en garde des souvenirs d'une intensité folle ! >>. Julie s'écrie : << Moi aussi ! >>. Elle se tourne vers Clémentine pour rajouter : << Il faut absolument refaire ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine propose d'organiser cette situation pour vendredi prochain. << Il suffit de contacter monsieur Bertrand avant ! >>.

Je m'écrie : << Je m'en occupe dès demain ! Je le rencontre parfois lorsqu'il va apporter du vieux pain aux canards. Je connais ses horaires ! >>. Clémentine pose sa main sur la mienne pour dire : << Tu es génial. Je t'aime ! >>. Elle m'attire à elle. Julie nous observe. Clémentine saisit mon sexe pour y frotter son visage. Je lance un clin d'œil à Julie soudain toute rouge, gênée. Je reviens m'assoir. Je demande à Clémentine : << Tu vas te régaler de la "fève" de monsieur Bertrand. Tu es contente ? >>. Elle s'écrie : << Tu n'imagines pas ! >>.

Julie pose la question habituelle : << Tu n'as pas l'impression de tromper Julien quand tu fais des trucs avec un autre ? >>. C'est moi qui répond : << Elle ne me trompe pas puisque je sais tout. Aucune trahison. C'est un jeu merveilleux. Si j'étais le mari de Clémentine je serais un "cocu" comblé et volontaire. Mais je ne suis que son complice, son compagnon ! >>. Julie, une expression de ravissement sur son visage, lance : << C'est génial. Moi, je crois que je ne pourrais jamais vivre des choses comme ça. Je suis trop exclusive. Possessive, jalouse ! >>.

Nous rions beaucoup. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous traînons à table pour le dessert. Clémentine et Julie mettent au point le programme du vendredi 21 janvier. Clémentine fera la serveuse avec Julie et Camille l'autre jeune fille. << C'est surtout pour m'amuser aux toilettes du sous-sol ! >> lance plusieurs fois Clémentine. Julie précise certains points importants. Le local de réserve juste à côté des WC sera ouvert. Clémentine pourra s'y cacher pour attendre les visiteurs des toilettes. Nous rions beaucoup de toutes ces préparations.

Nous nous réjouissons car il y aura là probablement de grands moments. Comme la dernière fois, il y a deux ans, je serai attablé avec Estelle. Nous serons de simples clients parmi d'autres. Bien évidemment je ne manquerai pas de descendre régulièrement pour aller voir. Nous convenons d'un dernier détail. Clémentine et moi nous correspondrons avec nos téléphones. Par caméra. Ainsi, avec Estelle, nous pourrons mâter. Je pourrais accourir s'il devait y avoir le moindre problème. Ce projet nous excite tous les trois considérablement.

Julie se touche sous la table. Timidement. En cessant chaque fois que je regarde son bras avec insistance. Je me lève en me masturbant pour demander : << Julie, on se fait une soirée branle tous les trois. Lundi prochain, ça vous dit ? >>. Julie consulte Clémentine du regard. Clémentine lève le pouce de la main droite. Julie répond : << Avec plaisir ! Je peux me débrouiller pour venir un peu avant, vers 18 h15. On mange plus tôt ! >>. Nous trouvons ça parfait. Tous ces projets en prévisions nous enchantent. Clémentine s'assoit sur mes genoux.

Julie, assise en face de nous, précise quelques détails concernant ce fameux vendredi soir qui nous attend. Clémentine possède une tenue qui pourrait être en harmonie avec celles des deux serveuses. Jupette noire, chemisier blanc, bas noirs, souliers à légers talons. Il faut juste prévoir le petit tablier de dentelles en demi lune. << J'ai ! >> lance Julie toute fébrile à l'idée de ce qui nous attend. Clémentine se lève. Elle contourne la table pour déposer un bisou sur le front de Julie. << Nous allons bien nous amuser ! >> dit elle. << Génial ! >> lance Julie.

Il est presque 22 h. Nous raccompagnons Julie dans la nuit noire et glaciale jusqu'à sa voiture. Elle revient vendredi pour son cours de peinture. Je dis : << Vous allez terminer ce second paysage ! >>. Assise au volant Julie fait à l'attention de Clémentine : << Cette fois, je viens surtout pour le placard ! >>. Comme pour rappeler à Clémentine le "plan" avec notre voisin. << Coquine ! >> répond Clémentine. J'agite ma bite à quelques centimètres du visage de Julie qui démarre. Elle y dépose un rapide bisou avant de partir. Un dernier coucou.

Bonne fin de soirée à toutes les filles vicieuses qui se réjouissent pour le cunnilingus qui les attend au lit. À la bite qu'elle vont sucer...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1762 -



Je réserve une bonne surprise à Estelle

Hier matin, mardi, c'est la sirène d'un gros cargo qui nous tire de nos profonds sommeils. Il est presque six heures. L'illusion de nous réveiller au bord de la mer, dans un port, est encore bluffante. L'application "océan" est une petite merveille de perfection. Clémentine se serre contre moi en gémissant. << Comme c'était bien hier soir ! >> murmure t-elle à mon oreille. Quelques papouilles, quelques bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos leggings, de nos sweats en lycra noir, nous dévalons les escaliers.

Il fait froid dans la cuisine. Malgré les deux radiateurs. J'allume immédiatement le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Le claquement désagréable du grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Julie, hier. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de l'après-midi. Clémentine termine à midi. Ce qui a tendance à la rendre très déconneuse. Nous rions de ces bons mots et de ses premières dérisions. Il est 6 h25. Nous remontons.

Notre heure d'entraînement se déroule dans une certaine euphorie. Les mouvements aérobics sont autant de prétextes à faire les pitres. Jogging sur tapis roulants. Abdos, exercices au sol. Avec les charges additionnelles, fini de rire. Le retour au calme avec un stretching tout simplement délirant. Clémentine m'entraîne sous la douche en restant serrée contre moi. Je descends le premier pour aller sortir la voiture. Il fait encore nuit. Le froid est glacial. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre en sautillant, en chantant. Toute contente.

Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Chaque jour les choses se répètent pour notre plus grand confort. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "Le grand café" de Charles Trenet. La peinture de cette première scène de genre destinée à ma saison d'été, m'accapare rapidement. Je peins dans la continuité de cette douce euphorie.

Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les deux quiches aux fruits de mer. Je prépare une belle laitue dont je lave les feuilles également pour ce soir. C'est rapide. Il est midi trente. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. << Je suis morte de faim ! >> lance t-elle. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine me prend les mains en disant : << J'en ai une bien bonne à te raconter ! Ils ont choppé l'exhibitionniste du parking ! >>.

Nous éclatons de rire. Clémentine rajoute : << Il paraît qu'il s'est fait dénoncer par une fille de la fac ! C'est vrai qu'avec l'intense "activité" qui était la sienne, ça n'allait pas perdurer ! C'était le sujet de discussion à l'interclasse. Nous étions pliés de rire ! >>. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le souvenir très récent de ce type qui montrait sa bite aux femmes qui rangeaient leurs courses dans le coffre de leurs voitures. << Pas de chance. Avec Estelle nous lui apporterons des oranges ! >> lance Clémentine. Nous rigolons comme des fous.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me parle de ses partiels de mathématiques. Des examens qui s'étaleront sur deux semaines. Il faut fournir de gros efforts. Aussi, il est plus sage de rester à la maison pour bosser. Pas d'expédition sur le parking de l'hypermarché. Avec cette météo, les circonstances sont réunies pour travailler dans la sérénité. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles. Pressés d'aller faire quelque pas dehors, nous dévalons les escaliers.

La température extérieure n'excède pas 6°. De plus il y a un désagréable vent de Nord Est. Le ciel est désespérément gris. Nous descendons jusqu'à la rivière. Clémentine accrochée à mon bras évoque ses études. Nous regardons les emplumés virevolter sur le petit étang qui s'est formé. Nous remontons. Voilà monsieur Bertrand qui va nourrir les canards. Il porte le petit sachet contenant du vieux pain. Nous nous saluons. Nous bavardons un peu. En tant que retraité Louis est très concerné par les mesures sanitaires décrétées par les instances.

<< Ils nous auront tout fait ! Ils auront commis toutes les erreurs imaginables. Et ils continuent en changeant de protocole tous les jours ! Vivement avril ! >> lance monsieur Bertrand. Pour revenir à des considérations plus ludiques, Clémentine demande : << Vous venez boire le café vendredi après-midi. Disons vers 15 h ? >>. Louis me regarde. Il répond : << Avec plaisir mais je n'aurai pas plus de trois quart d'heure ! >>. Je m'empresse de rajouter : << Il faut m'excusez, je ne serai pas avec vous. J'ai tellement de travail qui m'attend ! >>.

Ce mensonge fait partie de la stratégie de Clémentine. Ce vieil hypocrite ne sait pas que je suis parfaitement informé. Il en rajoute dans l'infâme en lançant : << Quel dommage ! >>. J'ai envie de répondre << Quel super plan pour toi, vieux pervers ! >>. Clémentine me serre la main plusieurs fois pour bien me faire comprendre qu'elle pense la même chose. << À vendredi alors ! >> dit elle à Louis qui nous salue pour descendre vers la rivière. << Vieux salaud. Je vais te bouffer la queue vendredi ! >> murmure Clémentine. Nous rions de bon cœur.

Clémentine est assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Nous adorons ces après-midi d'émulation créative. Parfois, l'un se lève pour aller voir ce que fait l'autre. Lui chuchoter une douceur à l'oreille, lui déposer un bisou. << Estelle m'a raconté avoir fait un rêve salace cette nuit. Elle m'en a parlé ce matin, en cours ! >> lance soudain Clémentine sans cesser d'écrire. Je demande : << Dis-moi tout ! >>. Clémentine répond : << Le "Maître" et sa "Soumise" ! >>. Nous éclatons de rire.

L'après-midi se déroule ainsi, entrecoupé de bisous, de furtives caresses, d'aveux coquins. Il est 18 h quand Clémentine s'écrie : << Put-Hein, ras-le-bol ! Je vais péter un câble ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux. Cette toile sera terminée demain en fin de matinée. Clémentine vient me rejoindre. Nous sommes l'un contre l'autre sur les poufs à admirer la danse des dernières flammes. Dans l'obscurité. Je dis : << Ce soir, je réserve une surprise à Estelle ! >>. Clémentine qui devine tout, me fait : << En rapport avec son rêve ? >>.

Soudain, au-dessus de nos têtes, ce bruit sourd et caverneux. Nous le connaissons trop bien. << Bonsoir Christine ! >> lance Clémentine à haute voix. Comme pour lui répondre il y a un claquement sec. Nous écoutons les errances du fantôme de mon ancienne compagne. Tout cela ne dure que quelques minutes. Chaque écossais se doit d'avoir un fantôme dans sa maison. Même si cet écossais vit à l'étranger. Je suis donc fidèle à la tradition. Un autre bruit. Beaucoup plus familier celui-là. C'est Estelle qui arrive. Elle se précipite vers nous.

Des bisous en quantité. Elle s'assoit en tailleur face à nous pour me dire : << Elle t'a raconté Clémentine, l'arrestation de l'exhibitionniste ? Il paraît que les gendarmes sont venus le cueillir vers neuf heures du matin. Un flagrant délit. Sacré bonhomme, il commençait ses journées de bonne heure ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Estelle rajoute : << Il fera un bel article dans le journal, demain ! >>. Clémentine rajoute : << Tu nous le découpes ! >>. Nous sommes pliés de rire. Il commence à faire faim. Estelle glisse ma main entre mes cuisses.

J'ai toujours la braguette ouverte à la maison. Pratique. Estelle y glisse sa main en demandant : << Tu as encore fait ton pervers hier soir avec Julie ? Clémentine m'a tout raconté ! >>. Sans me laisser le temps de répondre elle enfonce sa langue exploratrice dans ma bouche. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Nous décidons de faire simple. Des coquillettes avec des calmars en sauce. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Elle râpe finement du Parmesan. C'est méthodique.

Je fais rissoler les calmars encore congelés en y rajoutant de l'ail, de l'échalote, du persil et de la ciboulette. Il suffit de faire un déglaçage, de rajouter un petit pot de crème fraîche, de délayer avec du lait de soja. Voilà une belle sauce à laquelle Estelle rajoute des petits dés de Roquefort. Clémentine égoutte les coquillettes. Estelle met les assiettes et les couverts. Je retire la poêle de la cuisinière à bois. Comme ça sent bon dans toute la cuisine malgré la hotte. C'est un vieux moteur électrique qui fait un raffut d'avion supersonique. C'est rigolo.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles parlent des partiels. Rapidement toutefois Clémentine revient sur la rencontre avec notre voisin. << Tu le suces vendredi alors ? >> demande Estelle. Clémentine pose sa main sur la mienne pour répondre : << Absolument. J'adore les bites des vieux pervers. Surtout quand elles sont minuscules et molles ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer des masturbations masculines. Je dis : << Et je serai caché dans le placard avec Julie pour mâter tout ça ! >>.

<< Espèce de vieux dépravé ! >> me lance Estelle. Je réponds : << Je vais d'ailleurs t'offrir un échantillon de dépravation bien sentie après la vaisselle ! >>. Estelle m'empoigne la braguette pour dire : << Des mots, toujours des mots ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Pressée de découvrir ce que je lui réserve encore, Estelle nous entraîne au salon. << J'allume un bon feu dans la cheminée ! >> s'écrie t-elle en me lâchant le Zob. Clémentine m'entraîne par la main. Nous aimons observer ce que bricole Estelle. Virtuose du feu.

Estelle dispose du papier journal froissé, du petit bois dans la cheminée. Avec une longue allumette elle y met le feu. Le tirage est impressionnant. Il faut rapidement mettre des bûchettes puis deux bûches. Clémentine reste serrée contre moi. Nous observons Estelle qui nous dit une fois encore : << C'est toujours moi qui allume la cheminée à la maison ! >>. Nous la félicitons pour cette nouvelle réussite. Je m'avance pour lui faire un bisou dans la nuque. << Tu me donnes des frissons ! >> lance t-elle en ajustant les braises avec le tisonnier.

Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte en chuchotant : << Moi, j'ai des frissons quand je vais par là ! >>. Elle ne me laisse pas le temps de répondre. Sa langue exploratrice s'enfonce dans ma bouche. Estelle vient se frotter contre mon dos. Les filles m'entraînent pour me faire tomber dans le canapé. Je saisis Estelle par sa natte. Elle ne s'attendait absolument pas à cette contre offensive. Je l'entraîne par sa natte comme par une laisse. Avec fermeté. Clémentine, les bras ballants, comme hallucinée, nous regarde avec de grands yeux.

J'ordonne : << À genoux, mains sur la tête ! >>. Estelle n'est pas une authentique "Soumise". Il y a un soudain air de défi dans sa façon de me toiser. Elle obtempère par jeu. Je contourne le bureau. Du tiroir du bas je tire le foulard en soie, le collier canin, la laisse et les menottes. Je reviens vers Estelle. Son regard est devenu implorant. Je passe le foulard en soie autour de son cou. Pour protéger sa peau du collier de cuir que j'y attache. J'y fixe la laisse. Je donne quelques à coups. Clémentine reste consternée. J'ai trop rarement de telles initiatives.

J'entraîne Estelle qui marche à quatre pattes. Tout comme le fait Clémentine, à l'angle de chaque meuble, Estelle lève la cuisse. C'est Clémentine qui l'a d'ailleurs initiée à ces jeux de rôles. Estelle serait plutôt du genre "dominatrice". Mais elle est avant tout une grande jouisseuse. Aussi, mon improvisation l'enchante tout autant que Clémentine. Lorsqu'elle lève ainsi la cuisse, je me penche pour passer ma main sur son sexe, à travers le tissu de son jeans. J'adore ce petit frisson qui parcourt son échine à chaque fois. Une décharge électrique.

Clémentine vient nous rejoindre. Elle déboutonne son jeans pour glisser sa main dans sa culotte. Je tire sur la laisse pour traîner Estelle sans ménagement aux quatre coins de la pièce. Je me penche pour passer ma main sous sa natte, saisir sa nuque que je tiens d'une poigne de fer. Je me penche davantage pour toucher ses seins minuscules. Je me mets moi aussi à quatre pattes pour glisser ma main dans son jeans. Clémentine, cambrée sur ses genoux fléchis, se tient au montant de la bibliothèque. Elle se masturbe en nous observant. Je tripote.

Je suis à genoux devant Estelle. Je passe la poignée de la laisse autour de mon avant bras. Je saisis Estelle sous le menton. Je la tiens fermement par la nuque. Je frotte ma bite sur sa gueule. Elle tente de se soustraire à mon étreinte. Rien à faire. Estelle essaie de me repousser de ses mains sur mes hanches. Je la lâche pour passer derrière elle. J'attrape ses mains pour passer la paire de menottes à ses poignets. Je me lève. Je la tiens fermement à la base de sa natte pour la forcer à se mettre à genoux. Je m'accroupis pour la regarder.

Mon visage tout près du sien je la scrute. Elle me regarde avec sévérité, avec un air de reproche, de défi. J'adore observer chacun de ses traits. Les prémices des premiers plis qui annoncent la femme qui va remplacer la jeune fille d'ici quelques années. C'est merveilleux. Je découvre ces petites gouttes de sueur qui perlent sur son nez, sur ses joues. Je lèche son visage en murmurant : << Comme vous êtes belle ma douce "Soumise" ! >>. Son excitation a fait place depuis le début au jeu de sa "défensive". Clémentine est à genoux à mes côtés.

Elle se touche. Elle ne veut rien perdre de ce spectacle. Je lui dépose une bise sur le front avant de me redresser. Je frotte ma queue sur le visage d'Estelle qui garde les lèvres obstinément serrées. Je me penche pour lui cracher à la gueule. Elle fait de même. Je la saisis fermement par la tignasse pour lui rouler une pelle. Je peux sentir les soubresauts qui agitent tout son corps. Je l'embrasse comme un fou avant de lui lécher la bouche comme un animal assoiffé. Clémentine pousse de petits cris de jouissance. Tout cela l'excite tellement.

Je dis : << Estelle, je vais te faire sucer. Tu n'imagines pas ! Je vais te pisser à la gueule ! >>. Elle se bat. À genoux, les mains attachées dans le dos, elle tente de se débattre en criant : << Non ! >>. Je tente de lui enfoncer la queue dans la bouche en lâchant une giclée de pisse. Elle est virulente et se débat avec fougue. Je la tiens. Je dois faire appel à toute mes forces. Je pince son nez. Elle sait ce qui l'attend. C'est en ayant plus d'autre choix, pour pouvoir respirer, qu'Estelle ouvre la bouche en poussant un cri. Trop tard. J'y plante ma bite au fond.

Je la tiens fermement par les oreilles. Je pisse. Ça lui dégouline partout. Estelle retrouve peu à peu son calme. Elle se met à sucer en gloussant de plaisir. Elle n'a plus envie de jouer à l'offusquée, à la rebelle et à l'importunée. J'éjacule. Elle ne s'y attendait pas du tout. Clémentine, en poussant un hurlement tombe sur le côté. Terrassée par un orgasme fulgurant. Estelle me suce comme si sa vie en dépendait. Je retire ma queue dégoulinante de foutre. Je détache les mains d'Estelle pour l'entrainer, debout, vers les toilettes.

Clémentine, qui est montée chercher des vêtements secs vient nous rejoindre. Estelle, assise sur la cuvette, le jeans et la culotte sur les chevilles, me suce en poussant de petits cris de ravissement. Je lui jute dans la bouche une seconde fois. Je la laisse déglutir longuement. Je la laisse savourer. Je tombe à genoux. Elle m'offre son minou. Je me régale de ses sirops, de son yaourt crémeux. Rien est aussi bon après une éjaculation, encore sous l'emprise de mon orgasme délirant. Clémentine, accroupie à mes côtés, me tient la bite à présent toute molle.

J'offre à Estelle un orgasme nucléaire. Les effets de mon cunnilingus sont imparables. Je me redresse. Clémentine hume l'odeur de ma bouche sans oser m'embrasser. Estelle se lève. Elle se déshabille pour revêtir ses vêtements propres. Les siens passeront à la machine. Elle pourra les récupérer jeudi soir. Elle me fait plein de bisous en disant : << Tu es génial Julien. Je ne m'attendais pas du tout à ça ! >>. Clémentine qui ne lâche pas mon sexe, rajoute : << Et moi ? Tu me fais ça quand ? >>. Je lui promets de m'en charger très bientôt.

<< Jeudi soir ! Je fais "l'assistante" ! >> lance Estelle qui s'ajuste devant le miroir. Je suis entre mes deux anges. Nous nous regardons dans le miroir. Clémentine murmure : << Regarde un peu les gueules de salopes qu'on se trimballe encore toutes les deux ce soir ! >>. Nous éclatons de rire quand je rajoute : << Regardez un peu la gueule de salopard que je me traîne ce soir ! >>. Les filles me déposent des bises en mitrailles sur les joues. Il est 22 h. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture dans la nuit glaciale. Séparation difficile...

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent les jeux de rôles. Qui apprécient d'interpréter le personnage de la soumise...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
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