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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1959 - Écosse jour 26 -



Nous quittons Ullapool pour aller vers l'intérieur des terres

Il est un peu plus de huit heures hier matin mercredi. Le cri des mouettes, assourdissant et obsédant au-dessus de nos têtes, nous arrache de nos profonds sommeils. Estelle qui est restée serrée contre moi toute la nuit se blottit encore plus fort. Tout comme Clémentine qui se frotte contre ma cuisse en gémissant. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Estelle saisit mon érection naturelle d'une main ferme. Clémentine empoigne mes couilles. Nous restons ainsi quelques instants à basculer totalement dans le réel. Estelle se lève d'un bond.

Nous la regardons se précipiter vers les toilettes. Nous faisons le lit avant de le rabattre contre la cloison. Il fait froid dans le véhicule. Je regarde le thermomètre extérieur, 16°. C'est au tour de Clémentine d'aller aux WC. J'ouvre la porte coulissante du van. Le ciel est gris et bas. << C'est l'hiver ! >> lance Estelle qui fait le café. Je presse les oranges. Clémentine vient nous rejoindre en disant ; << Ça caille ! >>. Je vais pisser à mon tour. Estelle se dépêche de me rejoindre. Elle adore tenir ma queue semi molle le matin pour en diriger tous les jets.

Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de nos aventures en camping car. Contrairement aux années précédentes les chaleurs ne sont jamais accablantes. Surtout là, dans l'Ouest de l'Écosse qui connait quelquefois de véritables climats tropicaux. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme du jour. Nous nous consultons. Vaut-il mieux redescendre vers le Sud et retrouver des températures plus estivales ou au contraire affronter les fraicheurs du Nord ? Estelle, frileuse, propose de couper la poire en deux. Lairg.

Lairg est un village à l'Est. En plein dans les Highlands. Pour y accéder nous devrons sillonner par l'A 837. Clémentine interroge l'application GPS sur son téléphone. << Exactement 67 km d'ici ! >> précise t-elle. << Banco ! >> conclue Estelle. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. D'autres caravaniers qu'on entend au dehors. Nous revêtons nos vêtements de sports en lycra. Les K-ways avant de sortir du camping car. Effectivement ça caille. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Le même circuit que hier en nous fiant à l'instinct d'Estelle.

Une heure d'un jogging revigorant. Comme hier nous occupons la même cabine douche dans les sanitaires du camping. Nos affaires de toilettes à la main, vêtus de nos jeans, sweats, nous revenons au véhicule. Quelques autres vans sont entrain de manœuvrer pour partir. Nous faisons de même. Assises à ma gauche, Estelle et Clémentine consultent leurs téléphones. Je roule doucement. Nous laissons Ullappol derrière nous. Le paysage change rapidement. Les collines font place à des pâturages, puis à des vallées encaissées entre les montagnes.

C'est la toute première fois que nous explorons l'intérieur des Highlands. Les autres années nous restions sur le littoral. Quelle bonne idée car la météo se radoucit et il y a même quelques séquences ensoleillées. Un arrêt pipi près des ruines d'un château. Avec un véhicule qui mesure plus de six mètres de long il est impossible de stationner n'importe où. C'est toujours un souci. Je dis : << L'an prochain, on loue plus petit ! >>. Clémentine descend pour me guider car il faut faire une marche arrière assez ardue. Entre deux autres camping cars.

En Écosse la moindre ruine attire les curiosités. << On monte voir ? >> propose Clémentine. << On se change, il fait bien plus doux à l'intérieur des terres qu'en bord de mer ! >> lance Estelle. Les filles revêtent leurs jupes en jeans, leurs T-shirts crèmes. Je mets mon bermuda et ma chemisette. Il faut longer un muret sur une centaine de mètres avant de prendre un chemin pierreux qui monte. Il y a de nombreux touristes partout en Écosse. Mon pays est victime de ses charmes et du succès qu'ils engendrent. Je suis entre mes deux anges.

Elles me tiennent par les mains. Nous attirons évidemment encore bien des regards. Ceux des visiteurs qui redescendent par exemple. Il y a environ cinq cent mètres par un chemin qui devient sentier pour arriver aux ruines. Elles sont bien plus petites que l'illusion de grandeur qu'elles imposent depuis la route. C'est un château qui date du XIIème. Un grand panneau en raconte l'histoire. Du côté gauche ce qui reste du château surplombe une falaise abrupte. << Une citadelle du vertige comme en pays Cathare ! >> lance Clémentine. Ça y ressemble.

Nous pénétrons dans les ruines par une porte gothique encore intacte. Estelle se serre soudain contre moi. Prétexte pour palper ma braguette sans être vue. L'autocar garé en bas, ce sont une cinquantaine d'asiatiques en visites. C'est curieux mais j'attire beaucoup le regard des jeunes femmes aux yeux bridés. << Elles reniflent le vicelard ! >> lance Estelle. << Toute la finesse des pays du soleil levant ! >> s'écrie Clémentine. Nous rions aux éclats. << Si tu pouvais montrer ta bite à l'une de ces belles dames, ce serait sympa ! >> dit Estelle.

Il n'en n'est pas question. D'abord parce qu'il y a bien trop de gens, ensuite parce que je préfère d'autres façons d'approcher les femmes inconnues. Surtout d'origine asiatique. Nous visitons l'intérieur des ruines. Il y a des chaînes qui interdisent les accès les plus dangereux. Nous en faisons rapidement le tour intérieur et une partie de l'enceinte extérieure. Un endroit pour faire pipi. Impossible d'en trouver un à proximité. Nous redescendons. Il y a quelques groupes d'arbres. Autant de possibilités. Les filles m'y entraînent. On trouve un endroit.

Accroupies, les culottes à mi-cuisses, mes deux anges font leurs pipis pendant que je fais le guet. Personne ne vient par là. Estelle, qui a ses "petits machins", se plaint de légères contractions du bas ventre. Les pointes de ses tous petits seins qui sont douloureux. Je lui administre le traitement du docteur Julien. Je pose mes lèvres sur le tissu de son T-shirt pour insuffler de l'air chaud sur chacun de ses seins. << Mmhh qu'est-ce que c'est bon ! Ça soulage ! >> lance t-elle avant de glisser sa main dans ma braguette que Clémentine vient de déboutonner.

C'est Clémentine qui me tient la bite pour en diriger les jets. Estelle accroupie qui observe les éclats dorés. Le soleil est de la partie. Soudain, des applaudissements, des cris. Nous regardons à droite, en hauteur. Ce sont une dizaine d'asiatiques détachés du groupe qui nous observent en riant. Certains filment déjà. Je suis terriblement gêné. Ce qui met une fin brutale à nos jeux. << Génial ! >> lance Estelle qui se redresse pour leurs faire des signes amicaux. Clémentine me tient la queue pour l'agiter dans la direction de nos "spectateurs". Rires.

Je remballe en luttant un peu car Clémentine, en riant, veut m'en empêcher. Elle dit : << Pourquoi te priver d'un tel succès ! >>. Nous finissons par éclater de rire. Le groupe s'en va rejoindre le reste des visiteurs. Nous redescendons. Nous sommes garés à trois véhicules de l'autocar. Les asiatiques sont probablement tous présents. Ceux qui nous ont surpris nous font de grands sourires. Surtout les jeunes femmes. << Mais comme elles sont coquines ! >> s'écrie Estelle. Je lève une main pour leurs adresser un signe d'amitié. Elles font pareils.

Nous voilà repartis. Les paysages alternent les pâturages plein de vaches à longs poils ou de moutons. Il est treize heures quand nous arrivons à Lairg. C'est un petit village entouré de collines boisées. Il faut longer le Loch Shin aux eaux reflétant le bleu d'un ciel presque sans nuages. Un environnement bucolique que nous découvrons pour la première fois. Morts de faim, nous garons le van sur le parking à l'entrée du bourg. Dans un sac, de quoi faire nos sandwichs. Baguettes, pâté végétal, tomates, cornichons. Des nectarines, des brugnons, le melon.

Il n'y a qu'une rue principale. La circulation y est fluide. Quelques touristes égarés. Nous sommes loin des itinéraires touristiques. Il y a des bancs devant l'Hôtel de ville. Clémentine fait nos sandwichs pendant que je retire les noyaux des nectarines et des brugnons. Estelle coupe le melon pour en retirer les pépins. C'est un repas simple mais ô combien délicieux sous ce chaud soleil. À l'ombre des platanes. Pas un souffle de vent. Quelquefois un tracteur tirant un engin agricole nous rappelle que nous sommes dans une région de cultures céréalières.

Nous flânons encore un peu dans la rue pour y découvrir une boulangerie, une supérette et un curieux bazar où se vendent toutes sortes de choses. Vêtements, machines à laver, hautes bottes de pêcheurs ou encore réfrigérateurs. Nous allons à l'Hôtel de ville car il s'y trouve un office de tourisme. Après renseignements il y a un espace réservé aux campings cars. C'est de l'autre côté du lac. À trois kilomètres. C'est parfait pour nous. Il faut contourner un petit port et longer l'étroite route qui contourne ce côté ci du Loch Shin. Merveilleux petit endroit.

Je gare le van dans ce qui s'apparente à un camping. Il y a des sanitaires. Une espèce de cantine où les touristes peuvent se faire à manger. Des tables, des bancs. << C'est un peu chip ! >> lance Estelle. Nous restons vêtus comme nous le sommes. Par précaution nous chaussons nos grosses godasses. Le sentier côtier qui fait le tour du lac est une véritable invitation à la découverte. Dans le petit sac à dos que je porte, les K-ways bien inutiles, des fruits, des barres de céréales. Clémentine propose de passer par le village. D'y réserver une table.

Il n'y a que cinq restaurants. Pas de problème pour y réserver une table pour ce soir. Nous voilà à marcher sur le sentier. Nous croisons quelques randonneurs. Certains équipés comme pour un trekking sur les sommets de l'Himalaya. Estelle s'arrête. Pose ses mains sur ma taille en disant : << Votre défi du jour cher monsieur. Au moins un kilomètre avec votre bite à l'air ! Et je vérifie ! >>. Nous rions. << Oui, il n'y a pas grand monde. Et s'il y a quelqu'un on se serre contre toi ! >> rajoute Clémentine qui fourre sa main dans ma braguette ouverte.

C'est donc avec la bite à l'air, parfaitement décontracté et désinvolte, que j'évolue sur cet étroit sentier rocailleux. En effet, lorsque nous croisons des promeneurs, Estelle ou Clémentine se serrent contre moi. Astuce parfaite. Personne ne se doute de quoi que ce soit. C'est donc sur plus de deux kilomètres que je relève mon défi. Avec panache et fierté. Avec une méchante érection aussi car Estelle ne cesse de me la choper. Clémentine qui s'accroupit pour me la sucer quelques secondes. Je bande comme le dernier des salauds en arrivant à un ponton.

Il y a des gens. C'est une sorte de jetée qui s'avance sur le lac. La vue est dégagée. Les filles prennent des photos. Je garde ma braguette béante dissimulée par les pans de ma chemisette. Nous repartons dans le sens inverse. Il y des cabanes de pêcheurs devant lesquelles nous sommes passés en venant. L'endroit idéal pour le défi d'Estelle. Se foutre à poil pour faire quelques pas. Sous l'objectif de la caméra que tient Clémentine. Je fais le guet tout en me masturbant. Estelle qui jaillit des fourrés, toute nue, juste chaussée de ses grosses godasses.

Ça m'excite. Elle est tellement sexy comme ça. Elle a défait ses cheveux pour les besoins de ce petit film qui ne dure qu'une trentaine de secondes. Elle avance prudemment entre les cabanes. Vision surréaliste et totalement incongrue. Clémentine en profite pour me filmer en arrière plan, entrain de me branler comme un pervers voyeur. Pour interpréter le personnage je reste à moitié dissimulé derrière des buissons. Merde alors ! J'ai oublié de surveiller les environs. Un couple arrive. Deux jeunes gens. Sac à dos. Ils tombent sur le spectacle.

Estelle s'enfuit à toutes jambes pour aller s'habiller. Ce couple a assisté à toute la scène. Ils nous saluent poliment en retenant leurs rires. La jeune fille me lance un délicieux sourire appuyé d'un regard par en-dessous terriblement suggestif. Ils ne s'attardent pas, n'engagent pas la conversation et disparaissent rapidement à l'angle des cabanes. Estelle nous rejoint en pouffant de rire. << Décidément ! On se fait toujours gauler ! >> s'exclame t-elle. << C'est génial ! On a des figurants" involontaires qui participent à nos films ! >> lance Clémentine en riant.

Bonne "faim" de soirée dans un bon restaurant devant des plateaux de fruits de mer. Avant de sublimes cunnilingus en camping car...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1960 - Écosse jour 27 -



Estelle à poil sur les quais du port de Cromarty

Il est aux environs de huit heures quand les pieds d'Estelle, qui ne cessent de s'agiter contre les miens, me tirent du sommeil. Ce sont ses "impatiences" comme elle les appelle. Dès qu'elle me sait devenir conscient elle saisit mon érection naturelle. Pose ses lèvres sur mes joues. Comme une légère ventouse. C'est très agréable. Clémentine se réveille pour venir se blottir. Je suis entre mes deux anges dans la douceur. On entend la pluie sur le toit du van. Estelle se précipite aux toilettes. Clémentine me chevauche en frottant son sexe sur ma tumescence.

Nous faisons le lit pour le rabattre contre la cloison. Clémentine file aux WC. J'aide Estelle qui fait le café à préparer le petit déjeuner. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. C'est à mon tour d'aller pisser. J'ouvre la porte coulissante. Le ciel est gris et bas. La pluie est fine. Il y a déjà un camping car qui fait des manœuvres pour partir. Le thermomètre extérieur indique 18°. Je referme car il ne fait vraiment pas chaud. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la suite. Ne monterons pas davantage vers le Nord, redescendons vers Inverness.

Nous traînons à table. Pas le courage d'aller courir ce matin. Sous la pluie, dans la fraîcheur. << Tant pis ! Un jour sans. Après tout nous sommes en vacances ! >> lance Clémentine en allumant l'ordinateur. Deux messages. Julie qui nous raconte son quotidien. Il y a beaucoup de passages tous les jours dans la galerie. Cette année encore les records d'affluence sont dépassés. Et cela va durer jusqu'au 15 aout. Le courriel de Juliette qui prépare son départ pour la corse. Son avion dimanche 31 aout. Nous faisons un selfie à joindre à nos réponses.

Tous les trois, en slips et T-shirts de nuit, les filles assises sur mes genoux. La vaisselle avant de nous laver les dents. Estelle retourne à la porte. << Brrr ! Ça caille en plus ! >> s'écrie t-elle. Nous prenons nos affaires de douche. C'est sous le parapluie que nous allons aux sanitaires. C'est rageant de ne pas courir mais avec cette pluie ce ne serait pas très agréable. Nous revenons au véhicule. La décision est prise et sans appel, nous redescendons vers le Sud. Ce matin, direction Dornoch, première étape. Je roule doucement sur la route mouillée.

Assises à ma gauche, Estelle et Clémentine consultent leurs téléphones. Estelle a son texto devenu presque quotidien. C'est Gauvain qui l'envoie. Elle lit à haute voix. Aujourd'hui le collègue étudiant a rajouté deux photos. Sa présence dans sa famille à Santa Monica. Los Angeles sous le soleil avec une température qui n'excède que rarement les 30°. Une quarantaine de kilomètres dans un paysage qui devient moins montagneux pour devenir plaines en pente. La mer. Voilà Dornoch. Charmante petite ville typique sur l'estuaire du même nom.

C'est une cité balnéaire du Comté du Sutherland. J'enrage de devoir ruser pour stationner notre "autocar" comme l'appelle Estelle. Il faut le faire sur le parking obligatoire réservé à ce type de véhicules à l'entrée de la ville. Nous sommes vêtus de nos jeans, de nos sweats sous les K-way et les parapluies. La rue principale est bordée de maisons à un étage. Aux fenêtres souvent fleuries. Des vitrines de magasins invitent à y pénétrer. Nous flânons. Clémentine nous entraîne dans le Dornoch Bookshop. Une librairie bien achalandée en ouvrages de toutes sortes.

Ce qui nous intéresse c'est de trouver de beaux albums photos. C'est un cadeau qui fait toujours plaisir. J'ai promis à Julie de lui ramener le plus beau que je trouve. Il y a là l'embarras du choix. Mais un autre embarras fait rapidement son apparition. Estelle me palpe effrontément la braguette devant la table où sont posés les gros albums. Je feuillette ceux qui présentent des photos en noir et blanc. C'est tellement plus beau. Je suis entre Clémentine qui donne ses avis et Estelle qui ne cesse de me tripoter la "bosse". Certes, c'est discret mais quand même.

Je lui fais remarquer qu'il y a des caméras dans les différentes parties de la librairie quand soudain tout s'illumine au dehors. L'apparition soudaine du soleil alors que le pluie tombe encore. Je bande. Ce qui déforme affreusement ma braguette. La bite qui tente de se dérouler, contrainte par le tissu du slip. Comme c'est désagréable. Quand je le précise, c'est Clémentine qui passe sa main sous mon K-way, sous mon sweat pour entrer dans mon jeans par le haut. Sa main soulage la contrainte en libérant mon sexe turgescent. Il pointe à la verticale. Ouf !

C'est soulagé que je suis entraîné par les filles. C'est Clémentine qui a fait le choix d'un gros album avec de remarquables photos des Highlands. Nous faisons un petit tour dans le rayon des romans. De la littérature avant d'aller dans celui des magazines. Beaucoup de couvertures avec la Reine d'Angleterre. Son jubilé, son anniversaire, son amour des chevaux, tout ce qui passionne les citoyens de sa gracieuse majesté. Je n'échappe pas à la règle. Pour moi aussi la Reine est un personnage passionnant. Même si je suis d'abord écossais.

Nous quittons. Il y a une boulangerie. Autant en profiter pour acheter du pain. Et surtout une de ces délicieuses brioches écossaises "Lemon Sally Lunn Bun". Trempée dans le café du matin, c'est une délicieuse saveur légèrement acidulée qui envahit la bouche. Une dizaine de Pancakes qui remplacent agréablement nos barres de céréales. La pluie a cessé. Le ciel s'illumine. De fréquentes séquences d'ensoleillement. Nous retournons au véhicule. Direction Tain à environ quinze bornes plus au Sud. Le ciel devient de plus en plus bleu.

Estelle, penchée sur sa droite, n'arrête pas de palper ma braguette. Quand je la gronde car la conduite sur l'étroite route côtière est quelquefois ardue elle rétorque : << Une belle érection comme ça, ça s'entretient ! >>. Voilà le parking obligatoire aux camping cars. Il y a du monde. Il est presque midi. Clémentine prépare nos sandwichs aux fromages. De fines tranches de Saint Nectaire et de Morbier déposées sur les demi baguettes beurrées et encore tièdes. Quelques rondelles de tomates. Des nectarines, des pêches dans le petit sac à dos.

Tain est une petite ville portuaire. Un de ces petits ports typiques du littoral écossais. Des chalutiers qui arrivent, qui partent. Un criée permanente sur les quais. De nombreux touristes achetant des crustacés. Araignées de mer, crabes, langoustes géantes ou encore homards de grandes tailles. C'est impressionnant de voir ces animaux marins aux énormes pinces enserrées dans des élastiques et parfois des cordelettes. C'est là, assis sur un muret que nous savourons notre repas de midi. Du soleil, pas un souffle de vent. Et même la chaleur.

Pressés de nous changer, nous retournons au van. Jupes et T-shirts pour Clémentine. Bermuda et chemisette pour moi. Nous reprenons l'étroite route côtière. Heureusement que tous les cent mètres sont aménagés des park places. Ce qui permet à deux véhicules de se croiser. Une soixantaine de kilomètres car il faut contourner l'estuaire et voilà la petite ville de Cromarty. Là aussi il faut laisser le van sur le parking. Il fait chaud. Le thermomètre extérieur indique 26°. Juste parfait. Il n'est que 15 h. << Ça va être l'heure de la glace ! >> lance Estelle.

Nous flânons dans la rue principale. Toujours en se dirigeant inéluctablement vers le port. Je suggère de nous réserver une table dans un des restaurants sur les quais. Nous lisons les menus affichés. Ce sont surtout les queues de homards grillées dont nous raffolons. Servis avec de petits légumes de saisons, confis et en sauces, ce sont des délices. Dans la supérette nous trouvons même notre marque de glace préférée. Ben & Jerry's. Trois pots. Vanille pécan. C'est tout ce qui reste. C'est sur un des bancs sur les quais que nous les dégustons.

Je pose le petit sac à dos sur les genoux d'Estelle. Ce qui me permet de glisser ma main entre ses cuisses, sous sa jupe avec la plus grande discrétion. << Encore "occupée" ! >> dit elle en faisant allusion à son tampon. Le dernier jour de ses règles. J'adore jouer avec la petite ficelle, donner de légers à coups. << Arrête ! Ce n'est pas agréable ! >> lance t-elle. Je pose le sac à dos sur les genoux de Clémentine pour faire pareil. Sa culotte est dans la pochette avant du sac. Nous rions de bon cœur de ma surprise. Estelle palpe ma braguette. Je bande.

Depuis les quais nous avons une vue d'ensemble sur le port. << Regardez là-bas, entre les deux bateaux sur cales, ne serait-ce pas l'endroit idéal pour y voir une fille à poil ! >> s'écrie Estelle désireuse de réaliser son défi du jour. Nous étudions bien la topographie des lieux. En étudiant soigneusement la procédure à suivre. << Je mets les fringues sur les chaînes enroulées, j'avance entre les deux bateaux, je fais pipi et je reviens m'habiller. Julien à une extrémité et toi Clémentine à l'autre pour filmer. Ça devrait le faire ! Non ? >> propose Estelle.

<< Jouable. Il faut bien calculer notre coup ! >> rajoute Clémentine. Le petit sac à dos qui contient également la caméra posé sur mes genoux. Ce qui permet à Estelle de fourrer sa main dans ma braguette. << Put-Hein mais tu bandes toujours de traviole ! >> lance t-elle en redressant ma bite contrainte dans mon slip. Nous rions de bon cœur. << Venez ! >> fait Clémentine qui se lève. Nous descendons le large escalier. Il y a plein de touristes partout. Mais la partie des quais où sont les deux embarcations est déserte. Peu attractive. Et c'est parfait.

Estelle, méthodiquement, procède comme convenu. Une jupe et un T-shirt c'est vite enlevé. Même le soutif qu'elle ne porte que trois jours par mois. Jours de ses "petits machins". Ses vêtements posés sur l'amas circulaire des grosses chaîne métalliques. Je fais le guet entre les deux bateaux, côté mer. Il y a des pêcheurs sur des barques à une centaine de mètres. Loin de se douter de nos "activités portuaires". Ils ne prêtent aucune attention à ce qui se passe ici. Clémentine tient la caméra en s'écriant : << Moteur ! >>. Estelle, complètement à poil.

Juste en baskets, les cheveux défaits pour la circonstance, elle s'avance en sautillant. Innocente jeune fille à la silhouette sublime elle imite les pas aériens d'une danseuse étoile. Pipi. Naturellement gracieuse elle évolue ainsi une trentaine de secondes avant de se précipiter vers ses fringues. Là-bas, sur leur barque, deux pêcheurs ont certainement observé la scène. L'un d'entre eux nous fait même un grand signe en nous hélant. Un patois gaélique dont nous ne comprenons strictement rien. Estelle est rapidement habillée. Nous filons très rapidement.

Les flâneries dans ces petites villes écossaises procurent une sensation de quiétude, de calme et de plénitude. Nous en profitons une fois encore. << Huitième petit film ! >> précise Clémentine. << Je fais le montage dès la rentrée ! >> rajoute Estelle. Ce qui sera le prétexte à une de ces soirées cinéma dont nous sommes friands. Rien n'est plus excitant que de découvrir nos souvenirs de vacances. Estelle n'arrête pas de fourrer sa main dans ma braguette ouverte. Cachée par les pans de ma chemisette. Pour rester discrète elle se serre contre moi.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui raffolent de queues de homards grillées mais également d'une bonne queue crue et juteuse...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1961 - Écosse jour 28 -



Une journée sous les charmes de Cromarty

Il est un peu plus de huit heures, hier matin, vendredi. Estelle est restée accroché à moi toute la nuit. Comme une naufragée à sa branche. Lorsqu'elle se réveille, Estelle ne supporte pas la solitude. Aussi, sa ruse consiste à me souffler dans le cou, à se serrer encore plus fort, à se frotter contre ma hanche. Dès qu'elle me sent frémir elle saisit mon érection naturelle et pose ses lèvres sur mes joues, dans mon cou. Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir tout contre moi. Entre mes deux anges je sors de mon profond sommeil comme un bienheureux.

Estelle se lève pour se précipiter vers le coin toilettes du van. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'à la porte coulissante qu'elle ouvre. Il y a du soleil, un ciel bleu parsemé de quelques nuages d'altitude. D'autres camping cars nous entourent. C'est à son tour d'aller faire pipi. J'aide Estelle à préparer le petit déjeuner. Dans l'odeur du café je presse les oranges, je pèle les kiwis. Je me précipite aux WC. WC chimiques. C'est une cabine exiguë qui ne permet pas d'y tenir à deux. Aussi Estelle, derrière moi, sa tête sous mon épaule, tient ma bite.

Rien ne l'amuse tant aux aurores que d'en diriger les jets. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de la journée. Il est rapidement décidé de passer la journée à Cromarty. Il faut simplement s'assurer que nous pouvons rester pour la nuit. Il y a du monde dans le camping. La vaisselle. On se lave les dents en faisant les clowns. Vêtus de nos tenues sports, nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. Il est 8 h30. C'est parti pour une heure de jogging sur un parcours totalement improvisé.

Nous nous fions à Estelle dont le sens de l'orientation est sans faille. Un running qui nous entraîne sur le chemin qui longe la mer. C'est magnifique ce matin. Les cris des oiseaux de mer au-dessus de nos têtes. Il est 9 h30 quand nous revenons pour prendre la douche. Comme toujours, tous les trois dans une cabine des sanitaires hommes. Ce qui amuse beaucoup ceux qui sont présents. Non, je ne suis pas le papa des deux adorables créatures qui m'accompagnent. L'attitude d'Estelle et de Clémentine rassure et reste sans équivoque. Nous en rions.

La température extérieure avoisine les 22°. Parfait. La journée s'annonce belle et agréable. Estelle et Clémentine portent une de leurs robes d'été. Je porte un short kaki et un T-shirt crème. Nos baskets. Pressés de filer, nous passons à la réception du camping. Pas de soucis pour rester jusqu'à demain. C'est avec une tranquillité d'esprit que nous prenons la direction du village. Nous avons quelques courses à y faire. Il y deux petits kilomètres le long de l'estuaire du Firth. Là-bas, les quais. Le port connaît déjà une effervescence. Il y plein de touristes.

Des chalutiers entrent au port. << Écoute ! C'est exactement comme l'application "océan". Je suis certaine que c'est enregistré ici ! >> dit Clémentine en me prenant par la taille. Estelle se serre contre moi pour cacher sa main baladeuse. << Mes "petits machins" sont terminés ! >> fait elle. Je passe ma main entre ses cuisses. Ce qui retrousse sa robe. J'adore le contact du fin coton blanc de sa culotte. << Tu me fais ça toute la journée sel te pli ! >> rajoute t-elle en palpant ma braguette. Nous attirons évidemment quelques regards interrogateurs.

Il nous faut du pain. Baguettes pour les sandwichs. Il y a une boulangerie. Des pâtisseries bien alléchantes. Il y a la supérette. Ses fruits et ses légumes à profusion. Nous prenons des tranches de saumon fumé pour les sandwichs. Le tout dans le petit sac à dos que je porte. Nectarines, pêches et brugnons dans un sachet en papier que je porte. Mes deux anges me tiennent par le bras. Nous flânons longuement. Cromarty est un bourg typique des Highlands. Ces ports de pêche traditionnels sont de véritables enchantements. Sources d'inspirations.

C'est la criée. Des marins pêcheurs proposent aux touristes les fruits de leurs sorties en mer. Ce sont surtout des crustacés. << Un "plan" ! >> dit Clémentine. Nous n'en saisissons pas immédiatement le sens. Nous comprenons vite. Il y a un touriste solitaire, jeans et T-shirt blanc. Plutôt beau gosse. Clémentine contourne les paniers contenant les tourteaux géants, les langoustes aux pinces nouées. Elle s'accroupit devant les crustacés pour les scruter de plus près. Estelle reste contre moi. Nous portons tous les trois nos lunettes de soleil.

Le touriste découvre rapidement la position ambiguë de la jeune fille à quelques mètres devant lui. Clémentine, à chacun de ses mouvements pour mieux voir les langoustes, écarte davantage ses cuisses. La vue est parfaite. Extraordinaire pour le voyeur involontaire. Il y a d'autres gens. Clémentine doit donc jouer de ruses. Ce qu'elle fait à la perfection. Elle a acquis au fil des années une maestria qui en fait une virtuose de l'exhibitionnisme. Je suis certain que ce jeune couple à notre droite se rend également compte de ce qui se passe ici.

Clémentine se redresse. Derrière ses lunettes noires, tout comme nous, elle peut loucher discrètement. Elle attend le moment idéal pour bien enfoncer le clou. Elle s'accroupit une nouvelle fois. Le jeune homme comprend alors très certainement qu'il est le jouet d'une sublime salope. Il ne sait probablement pas que nous sommes complices. Il s'accroupit à son tour. Nous le voyons fixer l'entre jambes de Clémentine avec une attention toute particulière. Presque sans se gêner. Clémentine, ravie, en rajoute une louche. Deux femmes semblent mâter.

C'est extrêmement difficile de "pratiquer" ce jeu lorsqu'il y a des gens. Clémentine se redresse. Il y a certainement trop de "spectateurs". Elle tourne les talons pour s'éloigner. Nous la regardons contourner un stand pour disparaître dans la foule. Le jeune homme semble hésiter. Va t-il tenter sa chance ? Suivre la belle exhibitionniste ? S'il se doutait que nous l'observons depuis dix minutes ! Un couple de personnes plus âgées qui rejoint notre "victime". Certainement ses parents. Nous comprenons immédiatement ses hésitations. Nous partons.

Nous rejoignons Clémentine qui s'amuse déjà devant un autre touriste. Estelle reste accrochée à mon bras en me chuchotant ses impressions. Je bande comme le dernier des salauds. J'adore voir Clémentine se livrer à ses passions d'être vue, d'être regardée. Cette fois c'est un asiatique. Il fait probablement partie du groupe que nous voyons là-bas. Ils se baladent rarement seuls. Lui aussi ouvre de grands yeux bridés pour assister à la discrète prestation de Clémentine. C'est hyper excitant. La réaction de l'inconnu est des plus étonnantes.

Il se touche discrètement en cachant sa main derrière la pochette en cuir qu'il tient en bandoulière. Le petit salopiot ne montre son activité qu'à Clémentine. Accroupie devant lui, de l'autre côté des caisses de poissons, elle offre à sa vue un spectacle "émouvant". << Quelle salope ! Regarde un peu. Aucune pudeur ! >> me murmure Estelle. C'est vrai que Clémentine fait très fort. D'autres touristes asiatiques rejoignent notre voyeur qui cesse de se tripoter. Clémentine se redresse. Nous nous rejoignons au bas du large escalier qui monte sur la rue principale.

<< Tout ça me met en appétit ! >> dit elle en me prenant la main. Je la félicite pour ses shows absolument divins. << Je me suis certainement faite remarquer par d'autres gens ! >>. Estelle s'écrie : << Tant pis, on s'en fout ! >>. C'est vrai, nous nous en moquons éperdument. << Peu importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse ! >> rajoute encore Clémentine. Il est presque midi. Il commence à faire faim. Nous voilà confortablement installés sur un banc de pierre entre deux maisons. Une sorte de tout petit parc fort sympathique.

Clémentine fait les sandwichs. Estelle et moi dénoyautons les fruits. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de l'après-midi. Promenade sur le sentier côtier qui longe la mer. Il y a Cromarty Bridge et son château que nous voulons absolument visiter. Depuis quelques années, à chaque fois que nous passons dans ces endroits sans nous arrêter, l'envie est forte de les découvrir enfin. << Je me mets à poil dans les ruines ! >> lance Estelle qui se fixe le défi du jour. Elle rajoute : << Et toi Julien tu sors ta bite trois fois ! >>.

Il fait chaud. C'est très agréable. Il y a deux familles de Simpson qui viennent d'entrer dans ce jardin. C'est donc subitement beaucoup moins calme. Nous quittons les lieux en direction de la sortie du bourg. Il y a un monde fou. Nous passons sur le vieux pont en bois qui enjambe le Firth. Étonnante construction centenaire. << On réserve une table pour ce soir ? >> propose Clémentine en désignant le restaurant en contrebas. << Bonne idée ! >> s'écrie Estelle. Nous descendons vers la rivière. Une table nous y attend pour ce soir 20 h.

Il y a un sentier qui quitte le littoral pour monter vers le château. Ce ne sont pas des ruines. C'est un authentique château médiéval qui se visite gratuitement. Il serait bien difficile de nous livrer à nos petits jeux ici tellement il y a des touristes partout. Pourtant, excitée comme une puce, Estelle ne cesse de palper ma braguette. À chaque fois elle se serre contre moi pour cacher sa main. Je bande. Une bosse qui déforme la braguette de mon short subitement trop étroit. La visite de la forteresse est rapide. Nous n'avons pas accès à tout le château.

Nous contournons la bâtisse pour monter encore. Une demi heure de marche et nous voilà sur un promontoire rocheux. La vue sur toute la région est splendide. Depuis ce point de vue le panorama est fantastique. << On voit le camping ! >> lance Estelle. Nous contournons l'esplanade sur laquelle se trouve une table d'orientation circulaire. Un cercle de quelques trois mètres de diamètre. Sont gravés dans le granit les différents point de vues, leurs noms. Nous prenons quelques photos. << Sors ta queue ! >> lance Estelle quand nous quittons.

C'est un escalier taillé dans la roche, assez raide, qui descend sur le sentier. D'une largeur d'environ trois mètres il permet aux visiteurs de se croiser. Impossible de sortir mon Zob ici. C'est plus bas, sur le sentier qu'Estelle exige que je réalise mon défi de l'après-midi. Faire une centaine de mètre avec la bite à l'air. C'est hyper risqué. Clémentine m'ouvre la braguette en disant : << Si on croise des gens je me serre contre toi ! >>. Estelle rajoute : << Moi je la prends dans les mains pour la cacher ! >>. Nous rions de bon cœur mais je suis mort de peur.

Le sentier descend en épingles à cheveux. C'est parfois très raide. Il y a ce tronçon qui permet de réaliser l'injonction d'Estelle. Je sors mon sexe. Je bande mou. Il dégouline un peu car lorsque je suis excité ma queue dégorge de liquide séminal. << Mmhh, tu me donnes envie de te bouffer la queue ! >> s'écrie Estelle. Nous marchons ainsi. Estelle devant moi, Clémentine derrière moi. Toutes les deux aux aguets, prêtent à faire écran de leurs corps. Personne sur les deux cent mètres de descente assez abrupte. Je remballe juste à temps. Des gens.

Estelle aussi veut relever son challenge du jour. Se foutre à poil au moins une minute afin que Clémentine la filme. L'opportunité de le réaliser est là. Sur notre droite il y a des panneaux d'informations. Des totems directionnels. Nous sommes sur un des sentiers John Muir. Tout est soigneusement balisé. Deux cabanons. De probables abris en cas de mauvais temps. Il n'y a personne. Il suffit de quitter le sentier. Une cinquantaine de mètres. Estelle retire sa robe, sa culotte. Elle défait ses cheveux. Juste en baskets elle se met à sautiller en riant.

Clémentine filme la scène. Le cabanon nous cache aux yeux des promeneurs dont nous entendons les voix. Ils ne sont pas loin. Je reste d'une vigilance extrême. Même si je tiens ma queue bien raide et dure dans la main, je scrute attentivement. Je reste planqué à l'angle du cabanon. Estelle, totalement nue vient me rejoindre. Clémentine filme. Je saisis Estelle par sa tignasse pour la forcer à s'accroupir. Elle se laisse faire. Je lui frotte la bite sur la gueule. Vulgaire. Des voix toutes proches. Elle se redresse. Ses fringues à quelques mètres, parterre.

Estelle n'a que le temps d'enfiler sa robe. Culotte dans la main elle nous rejoint. Je remballe ma bite. C'est un groupe de promeneurs. Ouf. Une fois encore il était moins une. J'ai le cœur qui bat la chamade. Nous l'avons échappé belle. << Sans culotte jusqu'à ce soir ! >> lance Estelle en la glissant dans la pochette avant du sac à dos. Un autre tronçon où il n'y a personne. Je fais quelques dizaines de mètres avec la queue fièrement dressée. Je bande comme un salaud. Clémentine me masturbe. Estelle s'accroupit pour sucer. Il faut cesser très vite.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines dont les petits jeux coquins aiguisent l'appétit. Juste avant une bonne baise en camping car...

Julien (atteint de bandaisons aiguës)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1962 - Écosse jour 29 -



Une belle journée au bord du Loch Ness

Hier matin, samedi, il est huit heures quand nous sommes réveillés par le bruit d'un moteur. << Put-Hein, on est abonné aux cons ! Et on a même l'option "cons de camping" ! >> lance Estelle en se serrant contre moi. Clémentine émerge en répondant : << Certainement les poubelles ! >>. Je suis entre mes deux anges. Nous nous sommes habitués aux cris des oiseaux de mer. Là ils semblent êtres très exactement au-dessus de notre van. Estelle se lève pour se précipiter aux toilettes. Clémentine frotte son sexe sur mon érection naturelle.

C'est à son tour. Je fais le lit avant de le rabattre contre la cloison. Je rejoint Estelle dans le coin cuisine. L'odeur du café envahit déjà tout le véhicule. Je presse nos oranges. Clémentine revient pour peler les kiwis. Je vais pisser accompagné d'Estelle qui adore me tenir la bite pour en diriger les jets. Et à cette heure ils sont plutôt puissants. De quoi s'amuser. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le programme de la journée. Nous allons redescendre sur Foyers. Ce petit village au bord du Loch Ness. Nous y avons réservé pour cette nuit au camping.

Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous lit à haute voix le texto envoyé par Gauvain. << Son prétendant ! >> comme le surnomme Clémentine. Il y a deux photos jointes. Gauvain et sa tante, sa cousine. En arrière plan le parc d'attraction de Santa Monica. La grande roue. Le collègue étudiant reste chaque année deux mois dans la famille de sa maman à Los Angeles. Il invite Estelle à venir avec lui l'an prochain. << Vas-y put-hein, ne rate pas une telle occasion ! >> lui fait une fois encore Clémentine. << Et vous ? >> répond Estelle. Un silence.

Nous rions de bon cœur quand Clémentine dit : << Nous ? On fait notre vie ! >>. Je précise : << Tu as 25 ans, toujours pas de mec à toi ! Voilà un bon "parti" qui se présente. Ça fait quatre ans qu'il te drague en plus ! >>. Estelle se met à chantonner comme pour conclure. La vaisselle. On se lave les dents en faisant les pitres. Vêtus de nos tenues de jogging, nous sortons. Le ciel est presque entièrement bleu. Quelques mouvements d'échauffement. Même circuit que hier matin. C'est Estelle qui impulse un rythme soutenu et plutôt énergique.

Il est 9 h30 quand nous revenons. Tous les trois dans une des cabines des sanitaires hommes. Sous une douche vivifiante. L'eau est à peine tiède. De retour au véhicule nous nous changeons. Jupes, T-shirts pour mes deux anges. Bermuda et chemisette pour moi. En route. Nous longeons le littoral dans une circulation assez dense. Une quarantaine de kilomètres jusqu'à Inverness que nous évitons pour reprendre la route "militaire" le long du Loch Ness. C'est peu fréquenté. Une route étroite qui surplombe les eaux sombres du lac sur ses 40 kilomètres.

Je roule doucement. Estelle et Clémentine assises à ma gauche échangent leurs impressions. Nous ressentons tous les trois le même sentiment. Le camping car, ce n'est décidément pas notre "truc". Aussi, pour l'an prochain nous réserverons des chambres d'hôtel tout le long de nos itinéraires. Ce qui imposera de les préparer soigneusement. Clémentine qui a un sens inné de l'organisation adore s'occuper de ces choses. De se déplacer en van est toutefois une expérience à faire. << Ne serait-ce que pour s'en dégouter ! >> précise Clémentine.

Il est 11 h30 quand nous retrouvons avec plaisir l'agréable petit village de Foyers. Notre place au camping nous attend. << Génial ! À côté des sanitaires. Pratique ! >> lance Estelle. Il fait beau et chaud. Le thermomètre extérieur indique 24°. Nous préparons nos sandwichs. Aujourd'hui ce sera aux fromages. Saint Nectaire et Morbier. Quelques fines rondelles de tomates. Des fruits en entrée. Nectarines, brugnons et pêches. Il y a des tables en granit et des bancs sur le promontoire au-dessus du lac. Quel meilleur endroit pour y prendre notre repas ?

<< Pour la randonnée de cet après-midi, pas de culotte ! >> lance Estelle. << Toi aussi tu y as pris goût ! >> s'écrie Clémentine. Nous rions de bon cœur. Je dis : << C'est très pratique. Pas seulement pour faire pipi mais pour se faire tripoter. Ce que j'ai bien l'intention de faire jusqu'à ce soir ! >>. Dans un même réflexe, Estelle et Clémentine posent leurs mains libres sur la mienne. << Mais qu'en voilà une bonne idée ! >> fait Estelle. << Un beau programme ! >> rajoute Clémentine. Il y a d'autres touristes qui mangent aux autres tables.

Nous attirons donc encore bien des regards. Non, je ne suis pas le papa des deux sublimes jeunes filles assises là avec moi. Je suis entre mes deux anges. Deux couples viennent nous demander la permission de s'installer en face de nous. Ils s'apprêtent également à manger. Nous avons terminé. Nous les saluons en leurs souhaitant un bon appétit. Pressés de filer pour une nouvelle exploration, de nouvelles découvertes, nous nous lavons les dents en faisant les clowns. << Ras-le-bol du camping ! >> chantonne Estelle en sautillant sur place.

Nous reprenons en cœur. Je dis : << Il faut tenir jusqu'à demain. On ramène le van à Édimbourg dimanche en fin d'après-midi ! >>. Nous restons vêtus légers. Il fait tellement beau. La chaleur est limite. 28°. Dans le petit sac à dos que je porte, des pommes, des barres de céréales et une bouteille d'eau. En quittant le camping, pour prendre la direction du sentier côtier, il faut obligatoirement passer dans la rue principale du bourg. C'est très animé. Il y a un monde fou. Je propose de réserver une table dans un restaurant pour ce soir. Bonne idée.

Hélas, plus une place. Il faut se résoudre au fish & chips que nous commandons de suite dans un des deux fastfoods. Ce soir, nous n'aurons qu'à les récupérer. Déjà payés. << Génial ! >> lance Estelle. Nous voilà en chemin. Il faut descendre un escalier taillé dans la pierre pour accéder au sentier. Un sentier rocailleux, parfois dangereux, qui surplombe le lac entre cinq et dix mètres. Quelquefois à juste un mètre au-dessus des eaux sombres. Nous croisons nombre de marcheurs. C'est un des circuits John Muir. Apprécié des randonneurs de la région.

Estelle ouvre la marche. Je suis entre elle et Clémentine. Quand Estelle se retourne, s'arrête soudainement, c'est pour me palper la braguette. Pour m'empêcher de dire quoi que ce soit, elle pose ses lèvres sur les miennes. Je me retourne pour déposer un bisou sur celles de Clémentine qui me touche aussi. Nous arrivons au bas d'une cascade. Une chute d'eau d'environ dix mètres de haut. Il faut franchir un pont de pierres en dos d'âne. Juste au-dessus du gouffre ou se jettent les eaux tumultueuses. Quelques touristes prennent des photos.

Ils descendent de la route au-dessus. Par l'étroit sentier en pente abrupte. Je pose mes mains sur les hanches d'Estelle qui s'arrête. Par derrière je glisse ma main sous sa jupe. Entre ses cuisses. Comme c'est bon et doux d'avoir un accès direct à son intimité. << Coquin ! >> fait elle avant de se retourner doucement. Elle saisit mon poignet en disant : << Et par devant c'est comment ! >>. Elle fourre ma main sous sa jupe sans me lâcher le poignet. Je glisse mon index le long de sa fente. Je m'attarde un peu sur son clitoris. J'enfonce le doigt.

Juste un peu. La première phalange. Clémentine nous dissimule aux regards en faisant écran de son corps. Malgré cela nos agissements ne passent pas inaperçus des gens qui descendent le sentier. Le vacarme de la chute d'eau oblige à hurler. À brailler. Ça nous fait bien rire. On s'amuse follement. Nous reprenons notre marche pour quitter cet endroit un peu trop fréquenté. Sous le feuillages des hêtres et des chênes centenaires, la vue sur le lac est superbe. De grands bateaux blancs, bondés de touristes, sillonnent le Loch Ness du matin jusqu'au soir.

Pose pipi. Personne. Estelle et Clémentine, qui ne portent pas de culottes, n'ont qu'à s'accroupir. Je m'accroupis derrière elles. J'adore caresser leurs raies culières pendant qu'elles pissent en riant. Ce qui ne m'empêche nullement de rester vigilant, de faire le guet. C'est un petit espace sur la droite du sentier. Il permet de s'y tenir à trois. Mes deux anges savent ce qui les attend quand je passe mes doigts entre leurs fesses écartées par la position. J'adore. C'est humide, moite de sueur. Soudain, j'enfonce la première phalange de mes index.

<< Salaud. Enculeur de filles ! >> lance Estelle comme elle le fait à chaque fois. D'enculer des filles qui pissent démultiplie la puissance de leurs jets. Clémentine se cambre pour projeter les siens à plusieurs mètres. Si quelqu'un devait arriver il serait obligé de s'arrêter sous peine de se faire arroser. Des voix. Il faut cesser. Les filles se redressent. Ce sont deux couples de randonneurs. Ils nous saluent sans se douter de rien. À peine ont-ils disparu que je m'accroupis en disant : << Miam ! >>. Estelle se cambre la première, jambes écartées, genoux fléchis.

Elle m'offre à déguster. C'est absolument prodigieux. Il faut être légèrement contorsionniste. C'est au tour de Clémentine dont la chatte me semble légèrement baveuse. J'ai donc là de quoi savourer un succulent mélange. Encore des promeneurs. J'ai juste le temps de me redresser. Ce couple de séniors est amusé de nous voir serrés tous les trois dans une intimité qui doit beaucoup les interroger. Ils disparaissent. Estelle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Je bande mou. Donc ça se dirige vraiment très facilement.

Accroupie devant moi, Clémentine observe en gloussant. Entre chaque giclée elle se penche pour gober mon sexe. Elle aussi a droit à ce savoureux mélange dont elle raffole. Sans me lâcher la queue, Estelle s'accroupit à son tour. Je ne tarde pas à bander comme le premier des salauds. On ne les a pas entendu venir. Un couple de jeunes gens. Ils marquent un arrêt en découvrant la scène surréaliste sur laquelle ils tombent. Mes deux anges se redressent immédiatement. Tous les cinq, comme dans un Vaudeville, nous nous mettons à tousser. Gênés.

Ils ne s'attardent pas en disant : << Excuse us ! We are just passing ! >>. Ils éclatent de rires un peu plus loin. Nous aussi. J'ai la bite toute molle qui dégouline des dernières substances. Clémentine s'accroupit pour les déguster. Estelle me roule une pelle d'enfer. Je force Clémentine à se relever. D'autres voix. Pas question de se faire surprendre une troisième fois. Nous repartons. << Ton défi du jour, cher Julien, c'est de parcourir deux fois cent mètres avec la bite à l'air ! >> fait Estelle en s'arrêtant pour se retourner, palper ma braguette.

Elle aussi a son challenge du jour à relever. Se faire filmer toute nue dans un endroit à risque. Clémentine lui suggère de parcourir elle aussi une centaine de mètres complètement à poil. << Chiche ! Je le fais ! >> lance Estelle qui se redresse toute droite pour se mettre sur la pointe des pieds. Je dépose une bise sur son front. Il est déjà 16 h30. Nous avisons cette petite avancée rocheuse à une dizaine de mètres au-dessus du lac. L'endroit idéale pour y savourer nos pommes, boire un peu. De plus on voit le sentier qui se déroule là-bas, en face.

La vue est imprenable. C'est de toute beauté. Assises en face de moi, Estelle et Clémentine me montrent leurs chattes tout en mangeant. La vue là aussi est absolument magnifique. Parfois je me penche en avant, bras tendu, pour passer mon doigt sur les moules. Je dis : << J'ai envie de vous bouffer la chatte à toutes les deux ! >>. C'est impossible, l'endroit est trop étroit et puis d'incessants passages de randonneurs empêcheraient nos sublimes égarements. Estelle me choppe le poignet pour que je ne retire pas mon index. Elle en rigole.

De cet emplacement le sentier est visible par endroit sur plusieurs centaines de mètres. Estelle propose de réaliser son défi ici. Elle tire la petite paire de jumelles du sac à dos. Elle scrute longuement. Elle dit : << Je vais jusqu'au bout, là où il y a les rochers et je reviens en tenant mes fringues ! >>. Nous trouvons le "plan" judicieux et tout à fait réalisable. À condition que je reste là pour surveiller l'autre côté du sentier. Clémentine tire la caméra du sac. << Quand tu veux ! >> fait elle à Estelle. Nous étudions bien la configuration du sentier.

Ce sont surtout les échappatoires qu'il faut repérer. Si quelqu'un arrive, Estelle doit pouvoir se planquer immédiatement. << Personne. On le fait ! >> s'écrie t-elle en se levant. Presque en courant elle remonte le sentier sur une centaine de mètres. Je scrute avec les jumelles. Je crie : << OK ! >>. Estelle retire sa jupe et son T-shirt. Elle enlève l'élastique de ses cheveux. En tenant ses vêtements à la main, d'un pas décidé, elle revient vers nous. Clémentine immortalise la scène en filmant, en zoomant. Elle n'arrête pas de murmurer : << Génial ! >>.

Estelle se rhabille prestement. Tout cela n'a duré qu'une petite minute. Et encore ! Nous regardons sur le petit écran de la caméra. << C'est super ! >> lance Estelle. Nous avons profité d'un moment exceptionnel où personne ne passait. Mais là, des deux côtés en même temps, arrivent des randonneurs. Loin de se douter que quelques minutes auparavant évoluait là une sublime jeune fille totalement nue. Nous en rigolons comme des bossus. Il est dix sept heures. Si nous voulons êtres de retour pour 20 h, il faut retourner sur nos pas. Superbe balade.

Souvent à l'ombre des feuillages, parfois à découvert sous le chaud soleil, nous évoluons sur un sentier magnifique. Pas un souffle de vent. En Écosse, durant les quatre mois de la belle saison, il ne fait jamais complètement nuit. Les journées durent longtemps. C'est un phénomène inverse durant les quatre mois de la mauvaise saison. Arrêt pipi. Nous avons mémorisé des endroits précis durant notre périple. Estelle nous entraîne pour quitter le sentier. Nous gravissons un amas rocheux en restant prudents. Nous voilà juste en-dessous de la route.

C'est là que mes deux anges peuvent s'offrir un délicieux moments. Une fois encore, accroupis derrière elles, je caresse les raies culières. C'est humide de sueur. Je suis terriblement frustré de ne pouvoir lécher tout ça. Vivement le lit ce soir. J'enfonce les index simultanément dans les trous des culs. J'adore ce réflexe qu'ont les filles ainsi pénétrées en pissant. Dès qu'elles ont terminé, je les torche soigneusement avec des mouchoirs en papier. Ce n'est que de la cellulose qui sera diluée aux premières pluies. C'est à mon tour. C'est Clémentine qui tient.

Je lâche de multiples petits jets que je contrôle à la perfection. Estelle, accroupie, se régale entre chacun d'eux. Trop impatiente d'en avoir à nouveau, Clémentine s'accroupit elle aussi. Mes deux coquines se refilent ma bite dont elles savourent les substances en gloussant. Parfois en riant lorsqu'elles échangent leurs impressions. Il y a quelquefois une automobile qui passe au-dessus de nous. Il est temps de redescendre sur le sentier. Là-bas, deux grands bateaux blancs qui se croisent en faisant résonner leurs sirènes aux sonorités profondes.

<< Ton défi, enculeur de fille ! >> me fait Estelle en s'arrêtant. En se retournant elle mime une masturbation masculine. << C'est le moment, il n'y a personne ! >> rajoute Clémentine. Je suis toujours mort de trouille dans ces moments là. Je sais que mes deux anges, surtout Estelle, adorent me mettre dans des situations embarrassantes. Je sors mon sexe. Il dégouline et une grosse goutte tombe au sol. << Dommage ! >> lance Estelle. Je marche ainsi, sur environ trois cent mètres. Je remballe juste à temps. Un groupe de randonneurs.

Il est un peu plus de vingt heures quand nous revenons à Foyers. Le fastfood où nous avons fait réserver nos fish & chips est plein à craquer. Il y a même des gens assis sur les marches qui attendent que se libèrent des places. Nous n'avons qu'à récupérer nos paquets en papier kraft. Ils sont chauds bouillants. On se les refilent pour ne pas nous bruler en marchant vite jusqu'au camping. Un repas simple mais délicieux. De marcher six heures ouvre l'appétit. Nous mangeons sur le promontoire au-dessus du lac. Sur les bancs. Une table en granit.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire nettoyer les chattes à grands coups de langue par une bouche avide et gourmande...

Julien



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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Retour sur Édimbourg en fin d'après-midi

Hier matin, dimanche, nous sommes réveillés par des voix. D'autres campeurs sans gêne et surtout sans réflexion qui s'attardent à proximité de notre van. Probablement du finlandais. On y comprend queue dalle. << Damn. But shut your mouths ! >> s'écrie Estelle encore dans un demi sommeil. C'est soudain le silence. << Quelle bande de cons ! >> lance Clémentine. Je suis entre mes deux anges qui dissertent sur les joies du camping itinérant. Distribution de bisous. Je suis très amusé. Estelle se lève la première pour aller aux toilettes.

Il est presque huit heures. Clémentine m'aide à retirer les draps du lit que nous rabattons sur la cloison. C'est à elle d'aller faire pipi. J'aide Estelle à préparer le petit déjeuner. Je vais pisser à mon tour. Ce matin c'est Clémentine qui me tient la bite pour en diriger les jets. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour. Il faudra ramener le véhicule à l'agence de location avant 17 h. Ce qui impose un timing précis. Le dimanche, pas de jogging. J'ouvre la porte coulissante. Il fait beau. La température extérieure est de 20°. C'est parfait.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant des borborygmes rigolos. Il faut faire le ménage et nettoyer l'intérieur du van. Ce sera rapide car nous entretenons soigneusement notre espace de vie tous les jours. Le réservoir d'eau est plein de ses 200 litres. Nous totalisons 580 km. Il n'y en avait que 170 quand nous avons récupéré le véhicule. Il faudra ajuster le niveau d'essence. Il est dix heures. Tout est OK. Il fait bien agréable et la journée s'annonce magnifique. Quitter foyers est toujours une épreuve. C'est un endroit si magnifique, formidable.

Mes deux anges sont à l'arrière pour s'habiller. Je suis en short, T-shirt et baskets. << N'attends pas, on arrive ! >> lance Estelle. Je démarre en disant : << Alors accrochez-vous, ça va secouer jusque sur la route ! >>. Je roule avec une extrême prudence. Je sors du van pour rendre les clefs des sanitaires. Je remercie la jeune dame de l'accueil. Elle me remet un fascicule sur les projets du camping en ce qui concerne l'année prochaine. Je la salue avant de remonter à bord. C'est parti. Direction Fort Augustus puis Fort William à soixante bornes.

J'entends rires à l'arrière. Je regarde dans le rétroviseur intérieur. Estelle et Clémentine, entièrement nues qui font les clowns. Elles dansent et sautillent tout en se tenant aux cloisons. Je ralentis encore. Je suis plié de rire. Elles me font ce show tous les ans. Avec mes deux anges faisant les pitres à l'arrière je redouble de prudence. Surtout que la circulation est dense. Estelle mime une masturbation masculine avant de s'accroupir. Cuisses largement écartées elle pointe ses index vers son sexe avant de s'accrocher rapidement aux parois. Nous rions.

Elles finissent tout de même par réussir à passer une robe et un T-shirt. Elles viennent toutes les deux s'installer sur les sièges passagers. Assises à ma gauche elles font le bilan des deux semaines passées dans les Highlands. Les parents d'Estelle arrivent cet après-midi. Ils ont loué un cottage à la sortie de Drumnadrochit. Sur la rive Ouest du Loch Ness. À environ 25 km d'Inverness. Nous connaissons bien. Estelle a promis à sa maman de venir passer quelques jours avec eux. << C'est bien. Ils seront tellement contents tu verras ! >> lance Clémentine.

<< C'est l'explication de mon cauchemar. Vous m'abandonnez ! >> s'écrie Estelle. Nous rions de bon cœur. Voilà Fort Augustus que nous dépassons en laissant le Loch Ness derrière nous. Direction Fort William. C'est dimanche. La circulation se densifie encore. Nous retrouvons les hauts sommets. Là-bas le point culminant de l'Écosse. Le Ben Nevis et ses 1345 mètres. Le ciel est bleu avec quelques nuages d'altitude. Nous prenons vers Onich puis Glencoe. Premier arrêt pipi. Nous sommes au début des vallées dans un paysage fantastique. Majestueux !

Je gare le véhicule un peu en retrait sur un park place réservés aux caravanes. Il y a d'autres camping cars. Il faut donc ruser. Les filles sont en jupes. Pas de culottes. Il est donc relativement simple de s'accroupir entre le van et les épineux. Je fais écran de mon corps. Il y a des gens un peu plus loin. Deux autres filles qui sautillent pour se défouler un peu. Elles regardent par ici. L'une d'entre elles m'adresse un délicieux sourire. Certainement amusée de me voir entre mes deux anges accroupies. J'attends avec un rouleau de papier cul dans la main.

C'est à mon tour. C'est plus simple. Je pisse contre le véhicule. Les deux filles là-bas ont arrêté de sautiller. Elles nous observent avec attention tout en souriant. Il y a de quoi regarder. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine est serrée contre mon dos, ses bras autour de ma taille. Oui. Il y a vraiment de quoi mâter. Surtout que les deux coquines, là-bas, à une trentaine de mètres, nous font bien comprendre qu'elles prennent plaisir à nous observer. Je dis : << Vous êtes confrontées à encore plus salopes que vous deux ! >>.

<< Certainement pas mais pas loin ! >> répond Estelle qui s'accroupit pour secouer les dernières gouttes. << Elles mâtent toujours encore ! >> fait Clémentine. Nos deux spectatrices rient. C'est sublime lorsque se créées de telles complicités avec des inconnues. Je me tourne franchement vers les deux filles. Estelle se redresse pour agiter ma queue dans leur direction. Elles éclatent de rire avant d'applaudir. C'est certainement leur mère qui se pointe subitement. Je remballe in extremis. Ouf. Voilà même le probable père. Les filles font mine de rien.

Nous repartons. Lorsque je dépasse leur camping car, les deux filles me font de grands coucous et d'adorables sourires. Deux frangines. << Tu es abonnée aux salopes tu le sais ? >> me lance Estelle. Clémentine répond : << Nous en sommes toutes les deux la preuve vivante ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Il est presque midi quand nous arrivons dans un hameau en contrebas d'une haute falaise. Comme si un côté de la montagne s'était effondré. Il y a probablement des dizaines de milliers d'années. Il commence à faire faim. On s'y arrête.

<< On ne va pas tout salir. On se fait des tartines ! >> propose Clémentine. Il y a un torrent pas loin. Nous en entendons les eaux tumultueuses. Nous emmenons le reste de la grosse miche de pain, le beurre et les tranches de saumon fumé. Des brugnons, des nectarines et des pêches. Ce soir, à Édimbourg, il faudra faire des courses. C'est assis sur un promontoire rocheux qui surplombe une chute d'eau que nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons le programme de la semaine prochaine. Nous serons à Saint Andrews, chez ma tante.

Nous ne traînons pas. Les filles font pipi. Accroupis derrière elles, je caresse leurs raies culières. Elles s'attendent à tout instant à se faire enculer par mes index explorateurs. << Salaud ! Enculeur de fille ! >> lance Estelle lorsque j'enfonce mon doigt. Clémentine rit en se cambrant pour propulser un incroyable jet à plusieurs mètres. Dans la rivière. Il n'y a personne. Je peux donc lécher les fions trempés de mes deux coquines. C'est à mon tour. C'est Clémentine qui me tient la bite pour en diriger les jets. Estelle accroupie pour bien observer.

Lors des dernières giclées, quand je commence à bander, mes deux anges se refilent ma queue pour en déguster les derniers reliquats. Là-bas, à une centaine de mètres, des voitures passent régulièrement. On ne peut pas nous voir depuis la route. C'est parti. Direction Crianlarich. Callender, Doune, Dublane puis Stirling et son château. Il est quinze heures. Nous serons largement dans les horaires. Il est 16 h45 quand nous entrons dans le parking de l'agence de location. L'aéroport d'Édimbourg connaît les affluences du fameux chassé/croisé.

L'agent nous accompagne pour vérifier l'état d'un véhicule que nous rendons comme nous l'avons loué. Nous récupérons la caution. En Écosse il faut verser une caution en "espèces". Quel plaisir de récupérer la Mercedes. Il faut me réhabituer au volant à gauche. Direction le centre commercial de Waverley Market. Notre préféré. Il fait encore chaud. Il est dix huit heures. Je pousse le charriot. Estelle à mon bras. Clémentine, la liste des courses en main, nous entraîne dans les différents rayons. Il y a du monde. Estelle me palpe souvent discrètement.

Nous passons en caisse. Il faut s'armer de patience car la file est longue. Et c'est tellement facile de se tripoter dans une file. Personne ne fait attention à nous. Personne ? Sauf peut-être ce couple de jeune gens. Ils viennent de surprendre la main d'Estelle fourrée dans ma braguette. La jeune fille nous adresse un sourire amusé. Encore des complices d'un moment de vice fort sympathique. Le garçon semble beaucoup plus timide. Il n'ose pas trop regarder. Mais la fille est très certainement une membre du "Club". << Dépravée ! >> dit Estelle.

Nous flânons encore un peu dans la galerie commerciale. << Regardez, le menu du soir de la cafétéria ! >> lance Clémentine. Nous lisons. Terrine de saumon accompagnée de salicorne, de petits légumes. << On bouffe là ? >> demande Estelle. << Qu'est-ce que vous en pensez ? >> répond Clémentine. Je trouve la suggestion à propos. Clémentine rajoute : << Pourquoi se faire chier à trouver un restau ou à faire à bouffer à l'appartement ! >>. Nous retournons ranger nos courses dans la voiture. Les filles m'entraînent par le bras en sautillant. Faim.

Confortablement installés sur les banquettes de la cafétéria nous mangeons de bon appétit. Il y a du monde. Ici, pas question d'aller dans les toilettes hommes à deux. Il y a des caméras de surveillance partout. << Probablement même dans les chiottes ! >> précise Clémentine. << Ouai, on déconne pas ! Tant pis ! >> rajoute Estelle. Nous traînons jusqu'à la fermeture à 20 h30. << Aussi bon que dans un restau classique ! >> lance Clémentine quand nous revenons à la voiture. Estelle veut s'installer devant à côté de Clémentine. Je râle un peu.

Mais que dire lorsqu'une fille a décidé quelque chose. Même le risque de se prendre une prune en cas de contrôle n'y changerait pas grand chose. Je roule doucement en prenant par Leith, Dean Village avant de remonter Morningside Street. Il est 21 h. Nous arrivons fourbus. Il faut monter les courses. Le dimanche pas de douche. Nous adorons nous régaler du jus dans lequel nous avons macéré toute la journée. C'est un dessert succulent que nous nous offrons avant d'agréables pénétrations. Mes cunnilingus offrent de beaux orgasmes à mes anges.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se sont faites nettoyer la chatte, pénétrées délicatement et qui ont jouis malgré la fatigue d'une journée bien remplie..

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1964 - Écosse jour 31 -



Nous quittons Édimbourg pour Saint Andrews

Il est presque neuf heures hier matin, lundi. C'est Estelle qui saisit mon érection naturelle et qui me réveille ainsi. Toute la nuit elle est restée accrochée à moi. Lorsque ses lèvres se posent dans mon cou cela achève de me tirer de mon profond sommeil dans un sentiment de douce plénitude. Clémentine vient se blottir. C'est dans cet enchantement paradisiaque que nous nous offrons quelques papouilles, des bisous. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine se glisse sous moi afin de mimer l'acte d'amour. En gémissant.

C'est à notre tour d'aller aux WC. Il est enfin à nouveau possible d'y pratiquer nos rituels pisseux hors de l'étroitesse du coin toilettes d'un camping car. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans la suave odeur de café à laquelle se mêle celle du pain grillé. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de ce premier mois en Écosse. << Déjà la moitié du séjour derrière nous ! >> lance clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le timing de la journée qui nous attend. Très sympathique.

Dehors il fait beau. Le ciel est bleu. Les rares nuages d'altitude ne constituent aucune menace. La vaisselle avant de revêtir nos tenues de jogging. Nous dévalons l'escalier de service pour tomber sur mon oncle affairé dans le jardin. Nous avons mangé ensemble hier soir. Nous quitterons la maison en début d'après-midi pour Saint Andrews. Chaque année nous divisons notre séjour écossais entre les deux villes. Une fois chez mon oncle, une fois chez ma tante. Il n'y a qu'environ soixante kilomètres. Nous viendrons saluer Alan et sa femme avant de partir.

Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour notre parcours habituel sur les hauteurs de Morningside. Nous croisons les joggeurs habituels en échangeant un signe de tête ou un sourire. Il est 10 h30 quand nous revenons à l'appartement. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume son ordinateur. Ce MacBook Pro toujours si fiable et qui ne semble jamais pouvoir être pris en défaut de fonctionnement. Connexion immédiate. Un message de Juliette nous apprenant qu'elle est très bien arrivée en Corse.

Un courriel de Julie qui nous annonce une dixième vente. Une scène de genre. Elle joint à son mail une photo d'elle et des acquéreurs de la toile. Des gens affables et souriants qui tiennent fièrement leur tableau. Julie est resplendissante sur le cliché. Toute petite entre ces deux quinquagénaires joviaux. Estelle vient nous rejoindre en jupe jeans et T-shirt crème. C'est elle qui se charge des réponses. Nous allons prendre possession de la salle de bain. Clémentine porte une jupe de coton léger kaki. Un T-shirt blanc. Je suis en bermuda, chemisette.

Il est onze heures. Nous descendons l'escalier de service pour aller faire une ballade. Question de nous mettre en appétit. Et surtout pour profiter du calme extraordinaire de ce quartier résidentiel. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la main. La température extérieure est de 24°. La journée s'annonce magnifique. Estelle a passé plus d'une heure au téléphone avec ses parents hier soir. Ils sont arrivés à Drumnadrochit en fin d'après-midi. C'est à environ 25 km au Sud Est d'Inverness. Ils ont pris possession de leur location. Cottage.

Estelle a promis à sa maman de passer quelques jours avec eux. Comme ils comptent passer la dernière semaine à Édimbourg et sa région, Estelle reviendra nous rejoindre avec eux. Elle organise d'ailleurs tout ça avec méthode. Nous arrivons devant la propriété que je compte acquérir d'ici deux ans. Nous aurons la clef dès le retour de monsieur Anderson, notre intermédiaire immobilier en Écosse. Nous en faisons le tour. Environ deux cent mètres sur trois cent. Maison entourée de haute grilles et masquée par de hautes haies, on n'en voit que la tourelle.

Il y a un petit plan d'eau. Clémentine est impatiente de s'installer définitivement dans mon pays dont elle est tombée éperdument amoureuse. << Et moi ? >> fait Estelle en palpant ma braguette. Elle en descend la tirette pour y fourrer sa main. Il n'y a personne dans les rues étroites. Ce qui me permet de glisser la mienne sous sa jupe. J'adore le contact du fin coton lisse. Nous revenons doucement vers la maison d'oncle Alan. Il commence à faire faim. Il faut réunir nos affaires pour le départ. Les valises sont faites. Tout pour deux semaines.

Nous en laisserons la plus grande partie ici. Puisque nous reviendrons pour le lundi 15 aout. Clémentine fait la salade de concombre et de tomates. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare une sauce au Roquefort pour accompagner les trois pavés de saumon qui rissolent dans la poêle. C'est rapide et surtout délicieux. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur ce mois de juillet terminé depuis hier. Un mois de juillet consacré aux découvertes que nous nous étions promis de faire depuis cinq ans. Rouler moins, marcher davantage.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font l'inventaire de tout ce que nous voulons voir et faire durant les deux semaines à venir. Là aussi il y a quantité d'endroits que nous voulons revoir et surtout explorer en profondeur. L'Est de l'Écosse est riche d'endroits surprenants. Il y fait moins chaud et surtout il y a très peu de midges. Ces minuscules moucherons qui s'immiscent partout. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Estelle et Clémentine miment des fellations.

Il est 13 h30. Pressés de filer vers de nouvelles aventures nous dévalons l'escalier de service. Comme promis nous allons saluer mon oncle et sa compagne. Ils nous accompagnent jusqu'à la voiture. Clémentine vérifie le bon fonctionnement de la glacière branchée sur l'allume cigare. Elle est alimentée par un petit moteur interne qui assure les moins 18°. Quelles que soient les températures. Chère, sophistiquée mais performante. Ça fait cinq ans qu'on la trimballe partout. C'est parti. Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette.

Assise à l'arrière, Estelle caresse mon cou. Nous traversons l'estuaire sur le formidable pont de fer peint en rouge. Queensferry Crossing Bridge. La vue est aussi impressionnante que les sensations. Je ne connais qu'un autre endroit qui offre les mêmes émotions, c'est le Pont de San Francisco. J'ai promis à Clémentine de l'emmener en Californie un jour. Par association d'idées Estelle en vient à évoquer Gauvain. Le collègue étudiant qui passe l'été dans la famille de sa maman à Santa Monica, village de Los Angeles. Ville constituée de plein de villages.

Il y a soixante kilomètres dans une circulation plutôt fluide. Dans un paysage vallonné où les pâturages alternent avec les champs de céréales. Cette région est un peu le grenier à céréales de l'Écosse. Il est 15 h quand nous arrivons à Saint Andrews. Ville universitaire et touristique. Son centre médiéval et surtout les ruines géantes de sa cathédrale. Point de repère de n'importe quel endroit à dix kilomètres à la ronde. Il fait beau. La mer scintille sous les rayons du soleil. Je m'engage dans l'allée de la propriété de ma tante et de son mari.

Margaret et Jack nous attendent sur le parvis du large perron en demi cercle. C'est le bonheur qui se lit sur leurs visages. Nous sommes tellement contents de nous revoir. Nous sommes évidemment invités au repas du soir. Nous montons nos affaires à l'étage où nous attend notre appartement. Légèrement plus petit que celui d'Édimbourg. Les valises défaites, les affaires rangées, la glacière vidée de ses produits mis au réfrigérateur. Une fois encore il reste au moins un demi kilo de Roquefort, autant de Saint Nectaire, de Morbier et surtout de gruyère.

Nous restons vêtus ainsi. Il y a un quart d'heure à pieds jusqu'au centre ville. Les filles me tiennent par la main. Nous marchons d'un bon pas. Il y a de l'exubérance à retrouver cet endroit magique. Bien évidemment, lorsqu'elle me palpe la braguette pour vérifier si elle est bien ouverte, Estelle se serre contre moi. Les pans de ma chemisette cachent l'ouverture parfois béante. Clémentine fait de même en disant : << Interdiction absolue de la fermer jusqu'au repas de ce soir ! >>. Estelle rajoute : << Et encore, ce sera à titre exceptionnel ! >>. Rires.

Nous voilà dans le centre historique. Les maisons de pierres de taille sont principalement d'un ocre clair sous la généreuse lumière du soleil. << Du grès ! >> précise Clémentine. Quel bonheur de flâner dans cette ville jeune, dynamique et vivante. Il y a un monde fou. Une fois encore quantité de groupes d'asiatiques. Jadis ils visitaient Paris. Bien avant que la ville ne devienne le "drame" que l'on connaît aujourd'hui. Ici, en Écosse point d'insécurité, de pollution sonore et visuelle. Tout n'est qu'harmonie. La médiocrité cachée. Ce qui en fait son élégance.

Chaque vitrine devant laquelle nous admirons l'intérieur n'est qu'un prétexte à nous toucher. Pour mes deux anges c'est beaucoup plus simple. Elles ont un accès direct et discret à l'énorme bosse qui déforme ma braguette. << Je te la sors ! Tu n'es pas chiche ! >> me dit à plusieurs reprises Estelle prête à passer aux actes. Je n'ai que le temps de saisir son poignet pour l'en empêcher. Par contre je l'entraîne dans chaque recoin qui se présente pour glisser ma main sous sa jupe. Et depuis quelques semaines, Estelle ne porte plus de culotte.

Elle y a pris goût. Clémentine lui a enseigné l'art de l'exhibitionnisme de qualité. Être toujours prête à s'exhiber discrètement lorsqu'une opportunité se présente. Même si elle n'est pas du tout exhibitionniste Estelle apprécie de s'offrir quelques frayeurs. Je la tripote donc souvent. << Salaud ! >> chuchote t-elle à chaque fois. Tout en saisissant mon poignet pour que surtout je n'arrête pas. Il est dix sept heures trente. Dans une des supérettes du centre nous trouvons notre marque de crème glacée préférée. Ben & Jerry's. Un must. Miam.

Nous les savourons assis sur un des nombreux bancs. Déguster nos parfums préférés en observant les touristes. Un agréable moment de détente. << Ton défi du jour. Sortir ta bite et te branler dans un coin ! >> me lance Estelle. Comme j'ai le petit sac à dos posé sur mes genoux, elle peut fourrer sa main dans ma braguette en toute discrétion. Je ne compte plus le nombre de fois où mon érection se rappelle à moi. Et lorsque je suis excité les sécrétions de liquide séminal sont abondantes. Ma queue colle au fond du slip. Ce qui est fort désagréable.

Nous flânons vers la cathédrale que nous visiterons demain. Mais il y a là quelques recoins discrets. Estelle n'a pas sa semblable pour repérer les endroits qui permettent de s'amuser. Clémentine rit aux éclats des tentatives d'Estelle de m'entraîner dans différents coins. Hélas, avec le monde qu'il y a partout, ce sont des tentatives avortées. Mais là, derrière une camionnette, dans cette ruelle pavée, il y a un espace. Un mur de briques rouges. Personne. << Là ! >> s'écrie Estelle en mimant une masturbation masculine avant de s'accroupir.

Clémentine tire la caméra du petit sac à dos. << Action ! >> lance t-elle en riant. Je regarde dans toutes les directions et surtout en l'air car il y a des fenêtres. Personne. Strictement personne. Je sors ma bite. Je bande mou. Estelle, les cuisses écartées avec une impudeur folle, m'observe. Les mains posées sur ses cuisses, elle ouvre la bouche. Véritable invitation à y enfoncer ma queue. Je m'approche. Je la saisis fermement par son catogan. Je lui frotte la bite sur la gueule. Avec une vulgarité qui la fait glousser d'étonnement. Elle adore. La coquine.

Clémentine tourne autour de nous pour filmer la scène sous tous ses angles. J'ai la queue dégoulinante de jute. Il en coule sur le menton d'Estelle qui tente de gober mon sexe. J'esquive au dernier instant pour maculer son visage de foutre épais et gluant. Je me branle. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. J'enfonce enfin mon sexe dans la bouche de ma suceuse. Tout en regardant partout autour de nous, je me fais tailler une pipe. J'ai le vertige. Je suis obligé de me tenir à la camionnette. Il y a un clébard qui se pointe. Il nous observe. Méfiance.

Je retire ma queue et je force Estelle à se redresser. Clémentine nous contourne pour filmer le chien. Un caniche tondu de manière ridicule. J'ai été bien inspiré car c'est une dame qui promène son toutou. Elle nous salue sans se douter de rien. Nous rigolons comme des bossus. Je remballe ma bite avec beaucoup de difficulté. Le tissu kaki de mon bermuda est maculé de jus de couilles. << Mmmhh ! >> fait Clémentine qui tente d'en récupérer les coulures avec le doigt qu'elle porte à sa bouche. << Défi relevé ! Félicitations Julien ! >> me fait Estelle.

Bon repas de famille à toutes les coquines qui savent qu'après la bouffe ce sera une partie de cul qui les attend à l'étage, sous les draps...

Julien



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Redécouvertes à Saint Andrews

Hier matin, mardi, il est huit heures. C'est Estelle, déjà réveillée, qui glisse sa main le long de mon ventre. Avec une extraordinaire douceur elle descend dans mon slip pour saisir ma tumescence. Ses lèvres qui se posent dans mon cou. J'ai toujours le même réflexe. Celui de la serrer fort contre moi. Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir en gémissant. De me réveiller ainsi, entre mes deux anges, est le premier émerveillement de la journée. Et il est tout à fait impossible de s'habituer à de tels enchantements. Distribution de bisous.

Nous retrouvons la chambre à coucher dans l'appartement du premier étage de la maison de ma tante Margaret. Cette magnifique couleur sur le mur qu'offre ce rayon de soleil. C'est un peu comme dans une toile de Vermeer de Delft. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine se couche sur moi pour me murmurer des : << Je t'aime ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle qui fait le lit. Nous sommes attendus pour le petit déjeuner. En tenues sport nous descendons.

Tante Margaret et son mari Jack sont des personnes âgées. Notre présence dans la maison pour deux semaines reste une inépuisable source de joie. Mon cousin et sa femme ne viendront pas en Écosse cette année avant Noël. Aussi, je reste le seul lien familial de l'été. Nous prenons un copieux petit déjeuner en racontant nos périples dans le Nord. Margaret et son compagnon nous parlent un peu d'eux, de leurs vies. Une petite demi heure et nous les laissons pour aller pratiquer notre jogging. Il fait beau. Il y a du soleil et une température de 20°.

C'est Estelle qui impulse le rythme sur ce parcours que nous sommes si contents de retrouver. Un circuit d'une heure qui reste à flanc de coteaux. D'ici la vue sur la ville est superbe. Il est 9 h30 quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. La Wifi fonctionne parfaitement. La connexion est immédiate. Un mail de Juliette qui nous raconte ses deux premières journées à Sartène, en Corse, chez sa sœur. Un courriel de Julie qui narre son quotidien dans la galerie d'Art. Plein de visiteurs.

C'est Estelle qui se charge des réponses. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. La machine à laver tourne déjà. Clémentine et Estelle portent une de leurs robes d'été. À légers motifs floraux pastels. Je suis en bermuda clair et en T-shirt crème. Dans le petit sac à dos que je porte, des sachets. La logistique impose d'aller faire quelques courses. Fruits, pain, tomates, carottes. Du poisson fumé qui a toutes nos préférences car il se prépare très vite et accompagne parfaitement toutes sortes de céréales ou de salades. Quinze minutes jusqu'à la ville.

Nous marchons d'un bon pas en longeant la clôture d'un pré sur notre gauche. Quelques propriétés dissimulées derrière de hautes haies. Estelle et Clémentine me tiennent par la main en faisant l'inventaire de tout ce qu'il ne faut surtout pas oublier. Parfois Estelle sautille pour s'arrêter devant moi. Palpant ma braguette elle s'écrie : << Du dentifrice ! >>. Ou encore : << Du savon à la lavande ! >>. À chaque fois nous rions de bon cœur. Mes deux anges ne portent pas de culotte. Il est très agréable de passer mes mains entre leurs cuisses si douces.

Nous arrivons. Il y a encore une dizaine de minutes avant de nous retrouver dans le centre historique. Saint Andrews est une petite ville. Tout ici est absolument ravissant. C'est un peu comme d'évoluer dans un parc d'attractions. Ce ne sont pas les magasins d'alimentations ou les supérettes qui manquent. Il y a beaucoup de monde dans les rues. << Regardez. Toute l'Asie vient visiter l'Écosse en été ! >> lance Clémentine. En effet, les touristes des pays du soleil levant sont parfois si nombreux. Nous avons notre supérette préférée ici, Tesco.

Je tire une de ces corbeilles rouges sur roulettes. Estelle me tient par le bras. Nous suivons Clémentine qui tient la liste des courses. Dans cette enseigne se vendent nos crèmes glacées préférées. Ben & Jerry's. Nous savons où venir les acheter cet après-midi, lors de nos flâneries. Nous passons en caisse. Il faut attendre dans la file. Devant nous il y a un jeune couple. Ils parlent français mais avec cet accent québecois à couper à la tronçonneuse. Estelle, en chuchotant, tout en palpant ma braguette, fait des imitations. Nous sommes pliés de rire.

C'est discret et facile de se tripoter dans une file de gens à la caisse d'un magasin. Rien de plus simple. Et lorsque la caissière est une jeune et belle étudiante, c'est très agréable de la faire partager ces instants de vices intenses. C'est d'autant plus facile que je suis entre deux filles de son âge. Complices et terriblement coquines. La jeune caissière entre donc très rapidement dans le jeu. Elle a un sourire amusé. Me fixe par en-dessous avec un regard suggestif. Surtout que là, au moment où j'introduis la carte, Estelle pose sa main sur ma braguette.

Nous rions comme des fous une fois dehors. << Tu as vu comme elle te mâtait ! >> me lance Estelle. << Il faut qu'on tente la bite à l'air un jour, aux caisses ! >> rajoute Clémentine. Il n'en n'est évidemment pas question. Non pas seulement à cause des caméras de surveillance mais pas bienséance pour le personnel. Nous en rigolons comme des bossus. << Ça me rend salope pour toute la journée ! >> s'écrie Estelle. << Et moi donc ! >> fait Clémentine. Nous traversons la rue pavée pour la boulangerie. Nous y avons nos petites habitudes.

Ils ont là des brioches écossaises absolument sublimes. Lemon Sally Lunn Bun. C'est une spécialité au discret gout citron mais ou prédomine celui des amandes grillées. Celle que nous choisissons est nappée d'un fin chocolat au lait et saupoudré d'éclats de noisettes. Une grosse miche de pain complet aux noix. Trois baguettes pour en faire des sandwichs. Nous revenons en passant par le chemin des vignes. Il est presque midi quand nous arrivons. Clémentine s'occupe de la salade, concombre et tomates. Estelle fait gonfler du riz complet et bio.

Je réchauffe les six nems acheté ce matin. Préparation rapide pour un repas simple et délicieux. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font le très vague programme de l'après-midi. La priorité des priorités à Saint-Andrews est de visiter les ruines de l'immense cathédrale. Son enclos et son vaste cimetière. C'est un endroit impressionnant et il y a toujours de nombreuses opportunités pour s'y amuser. << Je veux un "plan" exhibe ! >> lance Clémentine en débarrassant la table.

La vaisselle avant de se laver les dents. Pressés de filer nous dévalons l'escalier qui donne sur l'arrière de la grande maison. C'est presque en courant que nous reprenons le chemin de la ville. Les ruines de la cathédrale se découpent sur un ciel bleu et lumineux. C'est fantomatique. Construite dans un complexe contenant une abbaye et des bâtiments, en 1158, la cathédrale est tombée en désuétude lors de la grande réforme protestante. Elle a même été la proie d'un incendie au XVIIème siècle. Son cimetière contient des tombes templières.

Les templiers ont été nombreux à se replier en Écosse pour fuir Philippe le Bel et sa folie génocidaire à leur encontre. La légende veut que les Chevaliers du Temple aient emmené avec eux le fameux trésor tant convoité par le roi de France. Nous adorons Clémentine raconter les hauts faits d'armes de ces époque datant d'il y a parfois 800 ans. Il y a évidemment une foule de touristes. Nos préférés, des Asiatiques si souriants, si courtois, si discrets. Estelle et Clémentine sont accrochées à mon bras. Nous attirons encore bien des regards. Interrogateurs.

Clémentine nous entraîne dans les coins les plus reculés. Ceux que nous connaissons bien car ils se prêtent fort bien à ses désirs et penchants exhibitionnistes. Les années précédentes Clémentine a vécu là des instants mémorables. Elle en frissonne encore aujourd'hui. Peu de touristes viennent par ici. Des pans de murs, des socles, des statues, des recoins. Il nous reste à attendre un peu en faisant semblant de prendre des photos. Estelle qui me palpe la braguette en disant : << Votre défi du jour cher monsieur. Bite à l'air dans le cimetière ! >>.

Je regarde partout autour de nous. C'est parfaitement jouable. Clémentine me montre l'endroit idéal. Celui où elle s'est exhibée l'année dernière devant un type qui prenait des photos. Je reconnais bien. Il y a un amas de pierres de tailles qui attendent une hypothétique restaurant de ce pan de mur. Un pilier permet de se cacher des regards. Je m'y place. Je sors ma queue. Je refais mon apparition en agitant mon sexe. << Génial ! >> s'écrie Estelle qui s'accroupit devant moi pour me montrer sa chatte poilue, les cuisses largement écartées.

Je bande mou. Clémentine me fait un clin d'œil en mimant une masturbation masculine. Je me branle doucement. Je retourne me cacher à quelques reprises. Dès que se pointent des visiteurs, hop, me voilà derrière le pilier. Clémentine se précipite entre deux pierres tombales. Accroupie, elle fait semblant de fouiller dans le petit sac à dos. Estelle vient me rejoindre. Nous découvrons que Clémentine s'est positionnée ainsi à cause du touriste solitaire qui prend des clichés là-bas, un peu plus loin. Personne à part lui ne peut voir la sublime exhibitionniste.

Il vient par là. Estelle me tient la queue. Nous sommes tous les deux serrés dans notre cachette. L'inconnu, la trentaine, coiffé d'une casquette, vêtu d'un bermuda et d'une chemisette contourne les pierres tombales. Clémentine qui ne bouge pas fait mine de ne pas le voir. Elle porte ses lunettes de soleil. Pratiques pour mâter sans être vue. Elle nous tourne le dos. Je la sais capable de pisser devant un inconnu. Je bande comme le dernier des salauds dans la main d'Estelle qui se touche. << La salope ! >> murmure t-elle tout en se masturbant.

Le mec s'approche insidieusement. Tout en prenant des photos de l'édifice. Il n'est plus qu'à une dizaine de mètres. Clémentine relève la tête. Elle saisit ses cheveux de la main gauche, sa tête penchée, elle fixe le type. Il lui adresse un timide sourire. Il y a d'autres touristes à une trentaine de mètres mais personne ne peut vraiment comprendre ce qui se passe. Les socles sans statues, les pierre sculptées qui jonchent le gazon aussi fin qu'une moquette, cachent les activités de Clémentine. << Je suis sûre qu'elle pisse ! >> murmure Estelle.

Impossible de le constater. Estelle bouge ses deux mains dans un mouvement synchrone. Elle nous branle tous les deux. Le "film" que nous offre Clémentine est encore le spectacle le plus excitant. L'inconnu ne tente aucune approche. Clémentine adore les mecs qui savent rester en retrait, ne rien entreprendre. Elle déteste se faire draguer. Surtout lorsqu'elle s'exhibe ainsi. Pour son seul et unique plaisir. Et pas pour celui du voyeur. Il y a un groupe de visiteurs qui vient vers nous. Clémentine se redresse en ramassant le petit sac à dos. Show terminé.

Le "photographe" tourne des talons pour s'éloigner. Ce sont probablement des Danois. Une vingtaine de personnes qui semblent suivre un guide. Je remballe avec difficulté car en érection j'ai du mal à ranger ma grosse queue au fond de mon slip. Surtout qu'elle dégouline de foutre. Nous continuons notre visite. Clémentine est avide de vivre une seconde exhibe. Hélas, les opportunités et les endroits sont rares. Je lui dis : << Cet été, tu n'as pas encore sucé ton inconnu écossais ! >>. Elle éclate de rire en répondant : << L'été n'est pas fini ! >>.

Nous retournons flâner dans les rues. Ce sont les bâtiments victoriens de l'université mondialement connue de Saint-Andrews qui constituent la seconde attraction de la ville. Entourés d'un grand parc soigneusement entretenu. Sur le chemin nous réservons une table dans un de nos restaurants gastronomiques habituels. Nous les connaissons tous à Saint-Andrews. Les bâtiments ne se visitent pas. Par contre le parc offre un espace magnifique. Une roseraie éblouissante de beauté. Nous cherchons un "plan" pour nous amuser à nouveau. Pas d'opportunités.

Bonne fin de journée à toutes les coquines qui se sont fait tripoter un nombre incalculable de fois dans les recoins de Saint-Andrews...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1966 - Écosse jour 33 -



Une magnifique journée à randonner sous le soleil

Hier matin, mercredi, il est huit heures trente quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Estelle à ma gauche qui est restée serrée contre moi toute la nuit. Clémentine à ma droite qui vient se blottir. Distribution de bisous alors que je les tiens par les épaules. Estelle saisit mon érection naturelle en disant : << Tu étais très cochon hier soir ! >>. Clémentine empoigne mes couilles pour rajouter : << Tu es prié de récidiver aujourd'hui ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle se lève, n'en pouvant plus, pour se précipiter aux toilettes.

Clémentine me chevauche en me couvrant le visage de baisers. C'est à notre tour d'aller pisser. Le doux parfum du café parvient jusqu'à la chambre où nous faisons le lit. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Estelle palpe la bosse toute molle dans mon slip. La brioche achetée hier est un véritable régal. Il en restera toutefois pour demain. Tartines de miel sur pain grillé et beurré. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en évoquant les différentes options de cette nouvelle journée. Il y a du soleil.

Nous mangeons de bon appétit en nous décidant pour une randonnée. << Avec défis ! >> précise Estelle. Il est neuf heures. Après la vaisselle on se lave les dents. Vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons l'escalier. Il fait bon. La température extérieure est de 20°. Il va faire chaud, sûr. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous courons le long du parcours habituel lorsque nous sommes à Saint-Andrews. Estelle impulse un rythme soutenu. Ici aussi nous croisons quelques joggeurs tout aussi passionnés. Signe de la tête.

Il est dix heures quand nous revenons. Estelle investit la salle de bain la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Le message de Julie qui nous raconte sa journée. Clémentine surfe sur le site universitaire. Les dates du concours d'admission au doctorat ne sont pas encore précisées. Estelle qui vient nous rejoindre porte la même robe d'été que hier. Nous la laissons pour aller prendre notre douche. Clémentine aussi garde la même robe. Je suis en bermuda et T-shirt. Je fais l'inventaire du contenu du réfrigérateur. Parfait.

Clémentine prépare les sandwichs. Les trois baguettes coupées dans leurs longueurs, beurrées. De fines tranches de Saint Nectaire recouvertes de fines tranches de tomates. Le tout dans le petit sac à dos que je porte. Une bouteille d'eau, des brugnons, des nectarines. Tout est OK. L'itinéraire, préparé par Estelle va nous emmener sur des sentiers et des chemins faciles. Tentsmuir Forest puis Kinshaldy Beach. Pressés de filer, nous reprenons le chemin pour Saint-Andrews. Il faut contourner les ruines de la cathédrale pour prendre le chemin.

Ce sont des sentiers John Muir, balisés et orientés. Nous voilà à longer les trois terrains de Golf de Scotsgraig. Le golf étant un sport national, les meilleurs terrains de renommée internationale se trouvent dans la région. Ce n'est qu'après que l'on pénètre dans la forêt de Tentsmuir. Le chemin est large et permet d'y évoluer à trois. Côte à côte. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent la main. Nous croisons nombre de randonneurs. Quand Estelle, en sautillant, se met devant moi, bloquant notre avancée, c'est pour palper ma braguette.

C'est discret. Personne ne semble se douter de nos jeux. Estelle adore me mettre dans l'embarras. << Votre premier défi de la journée, monsieur ! >> fait elle soudain quand nous arrivons sur une aire de repos. Il y a des bancs, des tables. Des panneaux indicateurs. C'est aménagé dans une clairière ronde. Entourée de chênes et de hêtres séculaires. Il y a du monde. Il est un peu plus de midi. C'est notre première halte et il fait faim. Il y a un banc libre. Nous nous installons devant deux couples qui mangent en bavardant avec animation.

Probablement des Scandinaves. La quarantaine qui ne nous prêtent aucune attention. Nous mangeons de bon appétit. << Ton défi ! >> chuchote Estelle. Je suis entre elle et Clémentine qui passe sa main sous la table. Je rechigne à sortir mon sexe dans de telles conditions. Pourtant Clémentine palpe ma braguette avec insistance. Je bande mou car c'est excitant quand même. Je ne peux tout de même pas passer mes bras sous la table devant ces inconnus qui bavardent allégrement en face de nous. Clémentine n'insiste pas. Estelle non plus.

Nous reprenons notre marche. Il commence à faire chaud. Heureusement que la forêt nous préserve de sa douce fraîcheur. Le sol est sec et souvent rocailleux. Sur l'insistance d'Estelle, je fini par sortir ma bite. Il va falloir marcher cent mètres ainsi pour relever mon premier défi. C'est une longue ligne droite qui permet de m'assurer qu'il n'y a personne. << Avec les couilles aussi ! >> précise Estelle qui empoigne mon Zob d'une main ferme. Je ne suis jamais rassuré. Il peut survenir des promeneurs depuis les sentiers perpendiculaires. On entend des voix.

Des gens ! C'était prévisible. Cet itinéraire de randonnée est réputé. Nous n'y sommes pas seuls. Estelle se colle contre moi juste à temps. Nous attirons encore bien des regards. Cet homme d'âge mûr tenu par deux jeunes filles. Non, je ne suis pas leur papa. Et pour bien le signifier mes deux anges me font des bises. Nous nous amusons des airs interrogateurs. Même si d'avoir les organes génitaux à l'air me met profondément mal à l'aise. Nous continuons. Là, cette fois, il faut remballer car c'est tout un groupe. Ils pratiquent la marche nordique.

Ces bâtons qu'ils tiennent font toujours un vacarme d'enfer. << Ridicule ! >> fait Estelle. << Ils ne regardent que leurs pieds ! >> dit Clémentine. Je me tourne vers Estelle dont je bloque la marche. Je glisse ma main sous sa robe, entre ses cuisses en murmurant : << Vengeance ! >>. Ce à quoi elle répond : << Il y aura des représailles ! >> en palpant ma bosse. Estelle et Clémentine ne portent pas de culottes. Elles sont dans la poche avant du petit sac à dos presque vide. C'est donc un bonheur de démêler des poils, de passer les doigts.

Je le passe dans la fente moite. Avec la sueur c'est un autre plaisir de remonter entre les fesses humides. << Mais comme t'es salaud ! >> lance Estelle en se cambrant sur ses genoux fléchis. Afin de permettre mon exploration avec davantage de facilité. Des gens. C'est à mon tour de mettre Estelle dans l'embarras. << Salaud ! Salaud va ! >> chuchote t-elle en tentant de se dégager. Rien à faire. Je la tiens. Les promeneurs se douteraient-ils de quelque chose ? Toujours est-il que je continue à la tripoter. Avec une certaine vulgarité. Sa punition.

Clémentine fait écran de son corps tout en riant aux éclats. Non, notre trio ne passe vraiment pas inaperçu. Je cesse enfin car il y a des familles qui se pointent. Estelle enfonce sa langue dans ma bouche pour la fouiller avec avidité. Clémentine me touche discrètement, la main entre Estelle et moi. C'est torride. Nous reprenons notre marche en respirant un grand coup. Le chemin quitte la forêt. La vue sur la mer est de toute beauté. Il fait soudain très chaud sous un soleil sans pitié. Nous hésitons. Vaut-il mieux rester en forêt encore une heure ou deux ?

C'est une sage décision que propose Clémentine. Surtout que le chemin reste au-dessus des falaises pour descendre vers la plage. C'est une boucle d'environ quinze kilomètres. Saint-Andrews là-bas, dont les toits d'ardoises scintillent sous la lumière impudique. Nous remontons. Cette fois nous quittons le chemin balisé pour prendre un sentier sur la droite. Il y a de hautes fougères. Elles caressent nos jambes au passage. << Ça chatouille ! >> s'écrie Estelle. Il n'y a plus personne. L'endroit idéal se présente à nous. Un lit de mousses accueillantes.

<< C'est plein de bêtes. On met les K-ways ! >> dit Clémentine qui les tire du sac pour les étaler sur le sol. Plus un bruit. À peine si nous parviennent de temps à autres quelques voix lointaines. Je suis couché sur le dos, entre mes deux anges. Leurs têtes posées sur ma poitrine. Je caresse leurs cuisses en les écoutant évoquer le concours d'admission au Doctorat. Estelle glisse sa main dans mon bermuda après l'avoir déboutonné. Clémentine pose sa tête sur mon ventre. Estelle lui présente ma queue. Je bande mou. Elle aussi descend la tête.

Je les laisse se partager le jus de ma bite pendant quelques minutes avant de me redresser. Je lance : << Moi aussi j'ai envie d'une bonne collation. Il est tout de même déjà 16 h ! >>. En riant, mes deux anges s'assoient en tailleur. Je passe mes doigts sur leurs sexes humides. Estelle s'étend la première en disant : << Bon appétit monsieur ! >>. Je me couche à plat ventre, la tête entre ses cuisses. La position est rapidement douloureuse pour ma nuque mais me permet de bouffer de la chatte baveuse. Clémentine se masturbe contre ma hanche.

C'est à son tour. Quels doux plaisirs que de me sustenter ainsi de jus de filles. Quelques bruissement des feuilles au-dessus de nous. Le vent qui agite les branches apporte une agréable fraîcheur. Je me couche sur le dos. Les filles frottent leurs sexes sur mon visage. Je ne connais pas de plus excitantes combinaisons. Elles alternent en riant, en gloussant. C'est Estelle qui s'assoit sur ma queue affreusement raide la première. Nous n'apprécions pas vraiment cette position. C'est rapidement douloureux pour l'une comme pour l'autre. Mais c'est un jeu.

Et nous y jouons en nous amusant beaucoup. J'adore voir la cyprine couler le long de mon sexe quand elles se retirent. Elles ne cessent de se masturber. C'est bien d'êtres là tous les trois. Il faut parfois chasser un insecte désireux de s'amuser avec nous. Mais c'est le clébard qui jaillit soudain pour venir nous renifler qui met fin à nos ébats. << Le con ! >> s'écrie Estelle qui se lève d'un bond. Faisant fuir le teckel. Nous nous relevons précipitamment. Ce sont deux femmes en tenues de randonnées qui viennent par là. Certainement pour faire un pipi.

Nous les saluons pour reprendre notre route. Il fait chaud. C'est presque caniculaire. Heureusement qu'une brise de mer souffle sur les terres. Le spectacle est magnifique. Il y a plein de baigneurs sur la plage. Des familles. Des parasols. << Le Saint-Tropez écossais ! >> lance Clémentine. Il est 18 h30 quand nous arrivons à Saint Andrews. Un peu fatigués mais morts de faim. Nous lisons les menus affichés devant les restaurants. Il sera difficile de réserver une table car il y a un monde fou. << Fish & chips en dernier recours ! >> lance Clémentine.

C'est sous la pergola d'un restaurant de spécialités italiennes que nous trouvons une table. Fort agréable d'y manger des fruits de mer bercés par un léger vent du large. Première visite aux toilettes avec Estelle qui m'y entraîne par la main. Enfermés dans un des cabinets des WC hommes nous nous livrons à nos rituels pisseux. On entend des mecs pisser de l'autre côté de la porte. Seconde visite mais avec Clémentine. Bien des questions se devinent encore sur les visages des clients qui nous voient récidiver une troisième, une quatrième fois.

Ce qui devait arriver arrive alors. C'est sans doute le patron. Il nous emmène l'addition en disant : << “It is a respectable establishment. If you could stop doing your "stuff" in the men's room. Thanks ! >>. Un peu confus nous le saluons pour filer. << On culpabilise ou on s'en tape ? >> s'écrie Estelle. Nous éclatons de rire en nous dirigeant vers le centre historique. Nous avons repris des forces et avons vraiment le désir de flâner un peu dans la nuit tombante. Nous n'arrêtons pas de nous tripoter dans les coins. Hyper excités et un peut trop téméraires.

Bonne fin de soirées à toutes les coquines qui aiment à flâner dans les ruelles en soirée, en tripotant une braguette, en se faisant toucher...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1967 - Écosse jour 34 -



Nous profitons des magnifiques circuits de randonnées

Il est huit heures trente hier matin, jeudi. Je suis tiré de mon sommeil par le mouvement des pieds d'Estelle contre les miens. Ses "impatiences" qui évoquent un pédalage horizontal. Je dépose une bise sur son front. En gémissant elle se serre contre moi. Clémentine se réveille à son tour pour venir se blottir. Je suis entre mes deux anges qui émergent doucement. Je suis fasciné par les reflets du soleil sur le mur qui nous fait face. Avec le dessin des rideaux l'effet est saisissant et me plonge dans une toile de Vermeer de Delft. C'est extraordinaire.

Estelle lâche mon érection naturelle pour se précipiter vers la porte. Clémentine se couche sur moi en mimant l'acte d'amour. Même si nous ne sommes absolument pas du matin, cette imitation est des plus agréables. C'est à notre tour d'aller aux toilettes avant de rejoindre Estelle dans la cuisine. Il y flotte déjà les suaves effluves du café, du pain grillé et du reste de brioche dans le four à micro ondes. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée de hier. De nos frasques du soir.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la randonnée d'aujourd'hui. Il fait beau. Le soleil est roi d'un ciel entièrement bleu. << Pourvu que la chaleur ne devienne pas caniculaire ! >> lance Clémentine. << Sinon, on va se vautrer sur la plage comme des blaires ! >> fait Estelle. La vaisselle avant de nous laver les dents. De nous vêtir de nos shorts de lycra noir, de nos T-shirts de lycra jaune. Nous dévalons l'escalier. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Estelle impulse le rythme soutenu de notre jogging quotidien.

Il est dix heures. Estelle investit la salle de bain la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Son réflexe est de se rendre sur le site de l'université. Les dates du concours d'admission au Doctorat ne sont toujours pas communiquées. Impatiente d'en savoir davantage, elle consulte plusieurs fois les mêmes pages. Il y a un message de Julie. Elle a réalisé hier sa onzième vente. Elle annonce également que j'ai déjà six toiles en commandes. Je n'en accepte que huit. Les acomptes sont versées. Mon premier travail de l'automne.

Estelle vient nous rejoindre dans une robe d'été fuchsia à motifs floraux pastels. Juste dans le rayon du soleil les teintes sont irréelles. C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Clémentine porte une robe d'été mauve, elle aussi à motifs floraux. Je suis en bermuda kaki, T-shirts crème. Nous rejoignons Estelle qui lit à voix haute la réponse adressée à Julie. Mais aussi le courriel reçu de Gauvain, le collègue étudiant. Lui aussi s'étonne que les dates du concours ne soient pas encore communiquées. Il est 10 h30. Nous redescendons l'escalier.

Nous marchons jusqu'à la ville. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la main. La conversation reste axée sur le Doctorat. Clémentine évoque le sujet de la thèse qu'elle désire soutenir pour l'obtention de ce diplôme ultime. L'intrication quantique. Lorsqu'elle en parle je suis toujours subjugué. Avec Estelle nous pourrions l'écouter durant des heures. C'est tellement captivant. Ce principe selon lequel deux particules sont soudain identiques quelle que soit la distance qui les sépare. Un système lié d'enchevêtrements appelé "intriqué".

Nous suivons le chemin qui longe les clôtures pour arriver derrière les ruines de la cathédrale. Il y a un monde fou. Il fait chaud. Il y a quelques stands de fruits et de légumes devant l'entrée du vaste cimetière. Des pêches, des nectarines, des kiwis et un gros melon emplissent le sac que je porte. Il est décidé de manger à l'appartement. Nous y revenons pour midi sous un soleil de plomb. Clémentine fait la salade de tomates. Estelle fait gonfler le pilpil de blé. Je fais rissoler trois filets de saumon. Je rajoute un petit pot de crème fraîche.

C'est un repas simple, rapide, mais tellement délicieux. << Pour ce soir, on prévoit notre coup ! >> lance Clémentine en saisissant son téléphone. C'est au Road Hole Restaurant qu'elle nous réserve une table pour 20 h. C'est un établissement gastronomique recommandé par le Gault et Millau. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles font le choix des dernières options de l'après-midi. Le programme arrêté nous mènera sur le sentier de l'East Sands Fife. Un parcours de quelques 5 km.

Puis nous irons déguster notre melon sur West Sands Beach. L'une des plus belles plages d'Écosse. La vaisselle. Dans le petit sac à dos que je porte, les maillots de bain, le melon. Dans celui d'Estelle deux plaids. Dans celui de Clémentine les serviettes de bain. Pressés de filer nous dévalons l'escalier. Il faut prendre le même chemin que ce matin. En marchant, Estelle se met à sautiller devant nous, relevant sa robe. Ni l'une ni l'autre ne portent la moindre culotte qui sont dans la pochette avant du sac à dos. Estelle tourne sur elle-même en chantonnant.

Des paroles improvisées sur un air de comptines. Nous les reprenons en cœur comme à la maison. En riant aux éclats. Il faut prendre la direction des ruines du château car le chemin longe une partie du littoral. Puis il s'enfonce dans une forêt de chênes et de hêtres. Cette randonnée est magnifique mais la chaleur est forte. Presque caniculaire. Nous croisons quelques promeneurs. Estelle m'invite à réaliser mon premier défi de l'après-midi. Parcourir au moins cent mètres avec la bite et les couilles à l'air. Enserrées entre les pans de ma braguette.

Je regarde partout autour de nous. Personne. C'est Clémentine qui s'accroupit pour me l'ouvrir, me sortir la queue et les roubignoles. C'est donc avec l'habituel sentiment d'insécurité que je marche entre mes deux coquines. Nous arrivons à un croisement des chemins. À droite le sentier Lade Braes Walk. À gauche Tentsmuir Forest où nous sommes passés hier. Il y a un groupe de marcheur. Je veux remballer quand Estelle se serre contre moi en s'écriant : << Non ! Garde nous tout ça dehors ! >>. Ainsi dans mes bras, elle cache mes organes génitaux.

Évidemment, on nous regarde encore avec interrogations. Cet homme d'âge mûr est il le papa, l'ami ou l'amant de ces deux sublimes jeunes filles ? L'attitude de mes deux anges apporte rapidement la réponse sous les air amusés de ces gens. Nous continuons notre randonnée en croisant d'autres marcheurs. À chaque fois Estelle ou Clémentine masquent nos "activités" en me prenant dans leurs bras. Me faisant toutes les deux plein de bisous. Il y a parfois des regards libidineux à notre encontre. Quelques messieurs qui ne restent pas indifférents à la scène.

Le chemin se transforme en sentier. Nous voilà au-dessus des falaises. À une trentaine de mètres au-dessus de la mer. C'est sauvage, accidenté et superbe. Souvent à l'ombre des arbres séculaires qui offrent un peu de fraîcheur. Nous buvons beaucoup. << Cet après-midi tu relèves tes défis avec panache ! >> lance Estelle qui saisit mon sexe. Avec la chaleur nos peaux sont moites. Ce n'est pas très agréable. Quand je passe mes mains sous les robes, que je les glisse entre leurs cuisses, c'est moite aussi. << Vivement la mer ! >> dit Clémentine.

Il faut contourner un amas rocheux, descendre un sentier escarpé et abrupte. Avec une prudence extrême nous arrivons sur une plage de galets. Il faut y marcher avec difficulté sur un bon miles. Les hautes falaises à notre gauche, la mer étincelante à notre droite. Il y a là quelques touristes. Parasols colorés qui évoquent inévitablement des vacances "lambda". Il faut remonter un sentier tout aussi escarpé. C'est épuisant sous les chaleurs. J'ai remballé ma biroute depuis un moment. Je peux la sortir à nouveau sur cette portion de chemin.

Voilà West Sand Beach. Évidement, il y a un monde fou. Nous enlevons les baskets pour marcher dans l'eau. La marée est montante. Une mer de parasols de toutes les couleurs. Des cabanons pour permettre aux vacanciers de se changer. Des châteaux de sables. Il y avait probablement un concours car ils sont plus beaux les uns que les autres. Plein de touristes se photographient devant des constructions éphémères. Il y a une anse plus loin. C'est là, à l'ombre des rochers, que nous trouvons un semblant d'intimité. C'est plutôt reposant.

Nous ne sommes pas du genre plage. Rien ne nous exècre davantage que l'idée de farniente sur des serviettes. C'est pourtant ce que nous pratiquons en cette fin d'après-midi. Il est 17 h. Estelle coupe le gros melon en deux pour en retirer les pépins. Clémentine enlève le haut de son bikini noir. Bien inutile. Ses tous petits seins n'ont nul besoin d'un soutien quelconque. Estelle fait de même. Quelques jeunes femmes sont d'ailleurs seins nus sur la plage. Pays calviniste. Nous dégustons notre melon. Un peut trop chaud. Il reste trois pêches toutes molles.

Les filles m'entraînent par les mains. Nous voilà dans les vagues. L'eau est fraîche. Un choc thermique surprenant mais tellement vivifiant. Nous nageons à contre courant. << J'ai un truc qui me chatouille ! >> s'écrie Estelle en se tournant sur le dos. Ce sont des algues qui entortillent ses chevilles. Je nage vers elle pour les retirer. << Mon sauveur ! Mon héros ! >> lance t-elle en se collant à moi. Distribution de bisous. Nous restons dans l'eau. << Fais voir comment c'est sous l'eau de mer ! >> dit Estelle en palpant mon slip de bain. C'est mou.

Je fais la "planche" pour lui permettre d'inspecter consciencieusement. Je plonge. Sous l'eau je glisse mes mains entre leurs cuisses. Je refais surface en imitant le cri du cachalot en rut. J'adore voir mes deux anges rirent aux éclats. Surtout quand je les taquine comme le ferait un adolescent à la piscine. C'est un moment d'immense bonheur, de joie. Il est dix huit heures trente. Il y a une heure de marche jusqu'à Saint-Andrews. Couchés sur le dos, nous nous exposons aux chauds rayons du soleil qui nous sèchent rapidement. On se coiffe.

Heureusement que les filles ont noué leurs cheveux en tresses. C'est pratique. Même si l'eau va dégouliner tout le chemin du retour. Je les sèche au maximum avec la serviette. C'est parti pour remonter sur le sentier. Les ruines du château sur notre gauche. Qu'il faut contourner en direction du port. Une petite centaine de mètres avec la bite à l'air pour relever le dernier défi. Voilà les premières maisons. Les quais. La foule des touristes en goguette. Les filles restent accrochées à mes bras. C'est en flânant que nous nous rendons au Road Hole Restaurant.

Un plaisir en appelle un autre. La loi des séries. Notre table est devant l'immense baie vitrée. La vue sur la mer est sublime. Surtout qu'avec l'arrivée du soir, les couleurs changent pour virer vers toutes les nuances d'ocres. C'est fantastique. C'est de la cuisine "moderne". Une suite d'assiettes avec de petites quantités frustrantes. Mais c'est tellement bon. Je recommande tout particulièrement cet établissement. Finalement, on est bien repus et les plats proposés sont succulents. Dans un cadre enchanteur. Visites aux toilettes. Chacune m'entraine.

J'ai beau demander aux filles d'êtres un peu plus discrètes. Rien n'y fait. C'est souvent de la provocation pour bien signifier aux curieux la nature de nos relations. << Pour faire court, notre trio de dépravés notoires ! >> précise Clémentine. Enfermés dans un des cabinets des toilettes hommes, nous nous livrons à nos rituels pisseux, masturbatoires et "gouteux". Le jeune serveur, très élégant, nous adresse des sourires complices à chaque fois que nous revenons nous assoir. Il y a ces quatre ladies très anglaises qui semblent ravies en nous mâtant.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui aiment à déguster de la bite après un repas gastronomique dans un endroit de standing...



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1968 - Écosse jour 35 -



Qu'il est bon de randonner dans les environs de Saint-Andrews

Il est huit heures hier matin, vendredi. Nous nous réveillons tous les trois quasiment en même temps. Estelle à ma droite qui est restée tout contre moi toute la nuit. Clémentine à ma gauche qui vient se blottir. Nous nous étirons longuement en gémissant jusqu'à l'absurde, jusqu'aux éclats de rire. Estelle lâche mon érection naturelle pour se précipiter aux toilettes. Clémentine et moi nous faisons le lit. C'est à notre tour d'aller nous adonner à nos rituels pisseux. L'odeur du café et du pain grillé embaume toute la cuisine. Estelle me saute au cou.

Nous prenons notre petit déjeuner en écoutant le rêve récurrent que fait de plus en plus souvent Estelle. Nous l'abandonnerions volontairement dans les endroits les plus retirés. Nous en rions de bon cœur quand Clémentine précise : << C'est peut-être toi qui va nous abandonner ! >>. Nous mangeons de bon appétit en faisant un premier bilan de notre séjour à Saint Andrews. Concluant car ponctué d'une météo qui permet les découvertes. Et surtout les randonnées dont nous sommes des inconditionnels. Rien ne nous enchante davantage.

<< On passe beaucoup moins de temps en voiture que les autres années ! >> précise Clémentine. << On prend le temps de visiter cette fois ! >> rajoute Estelle. C'est vrai qu'il est agréable de découvrir tous ces endroits devant lesquels nous passions les autres années. Il est 8 h30. On débarrasse pour faire la vaisselle, revêtir nos tenues de sports et nous laver les dents. Prétexte à déconner dans la salle de bain. On dévale l'escalier. La météo est identique à celle de hier. Un ciel presque entièrement bleu. Un soleil radieux qui sera certainement chaud.

Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Un running d'une heure, mené par Estelle, qui nous entraîne sur le même parcours. À flanc de colline la vue sur la ville et la mer est fantastique à cette heure. Il est dix heures quand nous revenons. Estelle prend sa douche. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Le message de Julie qui nous raconte sa journée dans la galerie d'Art. L'affluence record de cette saison estivale. Les touristes qui défilent sans discontinuer. Il y a le courriel de Juliette qui nous raconte ses journées Corses.

Estelle revient vêtue de la même robe d'été que hier. C'est à notre tour d'investir la salle de bain. Décrocher le linge bien sec. Clémentine porte la même robe que hier. Je porte le même bermuda kaki mais cette fois un T-shirt blanc. Estelle lit à voix haute ses réponses. << Gauvain m'écrit tous les jours. Regardez les photos qu'il joint à son mail ! >> s'écrie t-elle. << Tu vois, tu nous abandonnes déjà ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. Il est 10 h30. Pressés de sortir faire quelques pas, nous redescendons. Tante Margaret dans le jardin.

Nous bavardons un peu. Jack, son mari, est parti pour Crail, la ville voisine. Il est membre du comité d'un des clubs de Golf. Sport national écossais. Nous la laissons à ses rosiers pour prendre le chemin habituel. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la main. Elles évoquent le Doctorat. Les dates du concours d'admission qui ne sont toujours pas indiquées sur le site de l'université. J'écoute avec intérêt car pour elles se sera comme un soulagement. Nous arrivons en ville. Il y a encore un monde fou. La chaleur s'amplifie. 11 h et plus de 28°.

Il nous faut du pain, des fruits. On en profite pour prendre une brioche. Cette fois une hot cross buns. Même si ce sont des brioches spécifiques de la période de Pâques, il s'en vend toute l'année. Celle-ci est aux amandes et son odeur celle du pain d'épices. Nous revenons chargés de nos sachets en papier kraft. Plein de brugnons, de nectarines et de pêches dont nous faisons grande consommation. Des filets de harengs fumés pour les sandwichs des prochains jour. Trois pavés de saumon pour le repas de midi. Avec des patates cuites à réchauffer.

C'est les vacances. Tout ce que nous entreprenons se déroule dans une sorte de nonchalance qui nous amuse beaucoup. << C'est hyper cool cette année ! >> lance Estelle en faisant réchauffer les pommes de terre dans une poêle. << J'adore ! >> fait Clémentine qui prépare une salade de carottes. Je fais revenir les pavés de saumon avec des petits oignons, de l'ail et des champignons noirs réhydratés. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en faisant l'itinéraire de notre randonnée de l'après-midi. << Deux défis aujourd'hui ! >> dit Estelle. Rires.

Assises sur mes genoux, les filles regardent les différents restaurants sur l'écran du téléphone. Prévoyantes, elles préfèrent réserver une table pour ce soir. Cette fois ce sera Dining at Ruflets. Un restaurant gastronomique recommandé. Un chef récompensé par de multiples prix culinaires. La carte permanente, appelée "collection", est des plus alléchantes. C'est Clémentine qui téléphone. << Et voilà, on nous attend ce soir pour 20 h ! >> précise t-elle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de se laver les dents. On fait nos clowneries en riant.

Dans le petit sac à dos que je porte, des fruits, la bouteille d'eau. C'est parti. Notre choix s'est porté pour une randonnée d'une dizaine de kilomètres. Saint-Andrews to Kingsbai. Un itinéraire au départ du port. Un sentier côtier qui laisse la mer pour une boucle par les collines. Deux ruines de châteaux sur le parcours. De quoi se réjouir. << Bite à l'air. Deux fois ! >> me fait Estelle en se calant devant moi, bloquant la marche. En prononçant ces mots, elle palpe ma braguette. Clémentine passe derrière moi pour me l'ouvrir. Le T-shirt cache l'ouverture.

Je traverse donc le centre historique avec la braguette béante fort heureusement cachée en partie par le bas de mon T-shirt. Je promets à mes deux coquines des "exactions" manuelles qui risquent de les surprendre. << Des mots ! Toujours des mots ! >> lance Estelle qui se serre contre moi. Dissimulant ainsi la main qu'elle fourre dans mon bermuda. Sans me laisser le temps de réagir elle enfonce sa langue dans ma bouche. Clémentine fait pareil. Il faut imaginer notre trio sur le haut du large escalier qui descend sur les quais noirs de touristes.

Nous attirons bien évidemment de nombreux regards. Non, je ne suis pas le papa des deux sublimes coquines qui n'éprouvent aucune gêne à dévoiler la nature très exacte de nos relations. Nous en rions comme des fous. Le soleil tape. Ce début de randonnée n'offre aucune ombre. Il faut évoluer sur le sentier qui longe la plage puis en hauteur sur les falaises. Il y a des criques. Pleines de parasols. Des cris de baigneurs. Des bouées multicolores sur les vagues. Plein de gamins qui s'amusent. Nous croisons nombre de promeneurs, de marcheurs.

Pas un souffle de vent. C'est caniculaire. Il faut s'y résoudre. << En été, il fait chaud. En hiver il fait froid ! >> s'écrie Estelle. << Ce sont nos gouvernements qui nous l'apprennent via les médias ! On est trop cons pour nous en rendre compte par nous-même ! >> rajoute Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Malgré tout cette chaleur est pénible. Enfin le sentier devient chemin et pénètre dans les premiers sous-bois. Belle forêt. Que c'est bon, vivifiant et rafraîchissant. Il y a une rivière aux eaux claires et abondantes. De toute beauté.

<< On dirait Huelgoat, la rivière d'argent ! >> s'écrie Estelle qui glisse sa main dans ma braguette. C'est vrai que la ressemblance est frappante. Des rochers moussus baignés par des eaux tourmentées dans une forêt de chênes et de hêtres. C'est féérique. Nous descendons pour enlever nos baskets. Qu'il est agréable de tremper nos pieds dans l'onde fraîche. Le sentiment de froid qui monte le long des jambes. Je suis entre mes deux anges. Depuis le chemin, personne ne nous voit. Je glisse mes mains entre les cuisses moites. Peau un peu collante.

Que c'est doux de démêler des poils dans ces touffes d'une densité invraisemblable. Je glisse mes index sur les fentes. Les lèvres charnues de la vulve de Clémentine semblent se refermer sur mon doigt. Celles d'Estelle demandent toujours à êtres sollicitées pour jaillir comme les pétales d'une tulipe. Mes deux anges me tiennent les poignets pour que surtout je ne cesse pas. J'ai la queue bien dressée. Nous savourons des brugnons, des pêches avant qu'elles ne deviennent trop molles et n'éclatent dans le sachet. Du chemin parviennent des éclats de voix.

Nous traînons en ce lieu magique en évoquant le programme des prochains jours. Demain nous partons pour Aberdeen, ville plus au Nord. La visite de Dunnotar Castle. Ce château sur sa presqu'île rocheuse. Ce sera une expédition en voiture. << Un peu de changement dans l'action ! >> précise Estelle. Je caresse les sexes de mes deux anges. J'enfonce la première phalange de mes médius en les faisant bouger. << Salaud ! >> murmure Estelle en tenant mon érection dans sa main. << Ne t'arrête surtout pas ! >> rajoute Clémentine. Bisous.

Il est dix sept heures. Il faut penser à repartir. << La bite à l'air pour traverser le pont ! >> lance Estelle quand nous remontons sur le chemin. C'est un pont en pierre. En dos d'âne. Il doit avoir plusieurs centaines d'années. Nous restons à l'ombre des futaies. Là, devant nous, les ruines d'un château. Magnifiques. Ses pans de murs crénelés qui se détachent sur le ciel immensément bleu. Je remballe mon sexe car il y a plein de visiteurs. << Félicitations. Vous avez relevé tous vos défis monsieur ! >> fait Estelle. C'est moi qui la bloque soudain.

Je ne lui laisse pas le temps de réagir. J'enfonce ma langue dans sa bouche. On ne peut pas voir ma main glisser sous sa robe, remonter entre ses cuisses pour palper vulgairement sa chatte. Une chatte coulante avec les excitations du bord de la rivière. J'inflige le même traitement à Clémentine. Les filles restent accrochées à mon bras. C'est ainsi que notre trio pénètre dans l'enceinte du château. Enfin, de ce qu'il en reste. Comme partout en Écosse les ruines sont soigneusement entretenues. Le gazon tondu comme une moquette. Terrain de Golf.

Il n'y a pas beaucoup de recoins pour nous livrer à nos jeux. Il y a des touristes partout. C'est terriblement frustrant car nos mains inquisitrices tremblent du désir d'explorer nos intimités. Nous descendons le chemin pour nous diriger vers le second château. Ruines semblables. C'est un peu comme dans un gigantesque parc d'attraction. J'ai la bite ruisselante de foutre qui colle au fond de mon slip. C'est désagréable. Aussi, je profite de chaque occasion pour la sortir. << Miam ! >> s'écrie Estelle. << Génial ! >> lance Clémentine. Rires.

Il est presque dix neuf heures quand nous sommes de retour en ville. Une brise du large s'est levée. Comme pour nous récompenser de nos efforts. La chaleur fait place à la douceur d'un début de soirée. C'est bien émoustillés que nous flânons dans les rues pavées. Il y a une animation extraordinaire. Morts de faim nous allons à la découverte du restaurant qui nous attend. Une grande maison de style médiéval. Nous en faisons le tour. Il y a une cour à l'arrière. Des pergolas couvertes de glycines. Toutes les déclinaisons du mauve aux violets. Beau.

<< Les toilettes, là-bas, au fond de la cour. Je t'y emmène tout à l'heure ! >> me fait Estelle. << Et puis ce sera avec moi ! >> rajoute Clémentine. C'est attablés devant une baie vitrée donnant sur la mer que nous dégustons des langoustines. Trois sauces différentes à base de mayonnaises permettent d'en varier les saveurs. Des brocolis à la vapeur ainsi que des carottes confites agrémentent ce succulent repas. Visites dans ces fameuses toilettes. Sous quelques regards interrogateurs. Il est 22 h30 quand nous revenons à l'appartement. Fatigués.

Bonne nuit à toutes les coquines repues, qui se sont fait nettoyer la chatte à grands coups de langues exploratrices avant de s'endormir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1969 - Écosse jour 36 -



Nous montons sur Stonehaven et Dunnottar Castle

Hier matin, samedi, il est huit heures. Je suis tiré de mon sommeil par les incessants mouvements des pieds d'Estelle contre les miens. Encore à demi inconsciente elle se serre contre moi pour poser ses lèvres dans mon cou. Je dépose une bise sur son front. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges et c'est ainsi que nous basculons dans le réveil. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine et moi faisons le lit. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. L'odeur suave de café et de pain grillé envahit toute la cuisine.

Il y a également les parfums subtils de la brioche qu'Estelle a mis dans le four à micro ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur le programme de la journée. Nous montons aujourd'hui sur Stonehaven. La visite de Dunnottar Castle est un autre de nos rituels écossais. Pour une parfaite quiétude d'esprit Clémentine s'est occupée des réservations. Nous passerons la nuit à l'Hôtel The Ship inn. C'est un établissement cinq étoiles vraiment très abordable. Pour 247 € par personne il y a le petit déjeuner compris. Restaurant gastronomique.

Avec cette formule nous serons à seulement une trentaine de kilomètres d'Aberdeen. Ville pétrolière et industrielle, fleuron historique de cette partie Est de l'Écosse. Le centre mérite vraiment une visite. Aberdeen participe à l'essor économique du pays. La vaisselle avant de nous laver les dents. Ce matin, pas de jogging. Juste nos exercices aérobics et nos abdos. Il est préférable de partir le plus tôt possible. Il y une centaine de kilomètres à parcourir le long du littoral. Il faut se réjouir car les paysages y sont souvent surprenants de beautés.

La météo sera probablement sensiblement la même que hier. Peut-être avec davantage de nuages. Mes deux anges préparent leurs jupes en jeans, un T-shirt crème. Je prépare mon bermuda en jeans, un T-shirt crème. Dans le sac de sport des vêtements de change. Des fruits, les baguettes, les filets de harengs fumés dans leur blister étanche. Nous voilà prêts à partir. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Dans son message Julie nous confirme une septième commande et une amorce de vente.

La galerie d'art connaît une affluence record. Les touristes s'y pressent à longueur de journées. Comme dans tous les autres commerces de la petite cité de caractère. Estelle vient nous rejoindre déjà habillée. C'est elle qui se charge des réponses. Clémentine m'entraîne à la salle de bain. Nous rejoignons Estelle qui lit à haute voix son mail. Nous faisons un selfie pour le joindre à notre courriel. Clic sur envoi. Pressés de filer nous dévalons l'escalier. Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. Estelle assise à l'arrière raconte.

Tout en parlant elle caresse mon cou, mes joues. Les filles évoquent le concours d'admission au Doctorat. Toujours pas de dates annoncées. Il y a une trentaine de bornes jusqu'à Dundee. Grande ville sur un estuaire devenant bras de mer. Au Nord du fleuve Tay. C'est un pont qui le traverse. Grandiose. Nous reviendrons flâner à Dundee la semaine prochaine. Il faut longer la route côtière. Il fait beau. Sur notre gauche c'est un enchaînement de pâturages, de collines, de vignobles, de cultures céréalières. Sur notre droite c'est la mer et ses reflets argentés.

La circulation est relativement fluide. Ce n'est pas encore l'heure du rush touristique. Il est 10 h et voilà Montrose. C'est un burgh royal. La haute flèche de sa cathédrale gothique se détache sur le ciel laiteux. C'est une cité médiévale très prisée des amateurs d'Histoire mais aussi par les amateurs de football. Il y a là le fameux Montrose FC et son stade mythique Links Park. Arrêt pipi après la ville dans laquelle il faut obligatoirement passer. Je tourne à gauche. Une route très étroite qui monte vers les deux hameaux à flancs de collines, à deux bornes.

Je gare l'auto à une centaine de mètres. Personne. Estelle et Clémentine, en riant, montent sur un promontoire rocheux. Accroupies, cuisses largement écartées, c'est le concours du matin. Je tiens les mouchoirs en papier. Inutile de faire le guet car il n'y a que nous. Du moins nous le pensons. Je m'accroupis derrière les deux pisseuses. Je passe mes doigts dans les raies culières. C'est admirable de voir les jets projetés à plusieurs mètres avant de décrire une courbe vers le bas. Les jets qui viennent s'écraser au sol quelques mètres plus bas. Nous rions.

À ces jeux, c'est toujours Clémentine qui gagne. Ses jets sont impressionnants et semblent intarissables. J'enfonce mes index dans les trous de culs. << Salaud ! Enculeur de filles ! >> s'écrie Estelle comme à chaque fois. Je corrige : << Enculeur de pisseuses s'il te plaît ! >>. C'est là que nous voyons jaillir des fourrés ce type. Il ouvre de grands yeux avec un sourire niais. Dans le même réflexe, Estelle et Clémentine se redressent. J'ai à peine le temps de retirer mes doigts. Le mec a l'air d'un benêt. << C'est l'idiot du village ! >> lance Estelle.

Clémentine rajoute : << Ah ce bon vieux temps où il n'y en avait qu'un seul par village ! >>. Elle pointe son index en direction d'un autre homme sur une vieille bicyclette. Lui aussi reluque avec un air débile. Nous dévalons la motte pour retourner à la voiture. C'est en rigolant comme des fous que nous démarrons. << Tu as vu les tronches ! >> s'écrie Estelle. << Sans doute des mecs du XIXème, décongelés pour la circonstance ! >> lance Clémentine. Nous reprenons notre route. Aujourd'hui, le soleil ne semble pas gagner la partie. Des nuages.

Ce sont des nuages blancs. Hauts dans un ciel d'azur. Mais ils masquent souvent le soleil. Voilà le petit port de pêche de Crawton. Il est presque midi. << On mange là ? >> propose Clémentine. << Bonne idée ! >> lançons nous en même temps Estelle et moi. Je tourne à droite. Une route étroite qui descend en pente vers le village. La mer scintille de mille feux. C'est splendide. Je gare la bagnole sur la rue principale qui surplombe les quais en fer à cheval. Des boutiques, boulangeries, bar tabac, souvenirs et même le petit musée local.

Il fait moins chaud que hier. Aussi c'est très agréable de flâner un peu. << D'être regardée entrain de pisser par ces deux types étranges m'a considérablement "allumée" ! >> fait Clémentine. << Tu cherches une récidive ? >> demande Estelle. << S'il y a un "plan", il est le bienvenu ! >> répond Clémentine. Du sac de sport je tire le sachet contenant le nécessaire de notre repas. Morts de faim nous descendons un des deux larges escaliers qui mènent au port. Une légère brise marine apporte les odeurs caractéristiques de ces endroits typiques.

Il y a du monde. Comme dans presque tous les ports de pêche écossais, il y a une criée permanente. De nombreux touristes y achètent homards, tourteaux, langoustes. C'est toujours un spectacle que de voir ces gros animaux marins dont les impressionnantes pinces sont ficelées. Il y a là des spécimens géants. Clémentine s'accroupit devant les caisses pour admirer. Du moins c'est ce que nous croyons. À bien l'observer, elle montre sa chatte velue au pêcheur barbu assis qui mâte à s'en déboiter les globes oculaires. En tirant sur sa bouffarde.

<< Salope ! >> me murmure Estelle qui passe son bras autour de ma taille. Je tiens le sachet avec la bouffe. Clémentine se redresse précipitamment. Il y a des touristes et son jeu ne s'adresse toujours qu'à un seul individu. Celui-ci ne perd pas le Nord car il répond immédiatement aux questions des clients. Clémentine nous entraîne vers la plage de galets en disant : << Vous avez vu comme il mâtait le bougre ! >>. Estelle lui rétorque : << Un crustacé comme ça, il n'en n'a probablement jamais vu ! >>. Nous rigolons comme des bossus.

Il y de grands rectangles de plastique bleu et de liège. Des sièges improvisés qui nous permettent de nous installer. C'est une petite plage de galets d'une centaine de mètres. Servant de dépôt à du matériel de pêcheurs. Il y a des barques fixées à des chaînes, des cordes. Des algues couvertes de mouches. Clémentine beurre les baguettes que j'ai préalablement coupé dans leurs longueurs. En Écosse les baguettes ne pèsent qu'environ 200 gr. L'idéal pour des appétits d'ogres. Et celui des coquines exhibitionnistes. Estelle y étend les harengs fumés.

Nous commençons toujours par des fruits à défaut de salades. Les nectarines juteuses à souhait sont une caresse. Les pêches sont onctueuses et divines. Nos sandwichs sont un régal. Il y a des promeneurs sur la plage entourée des quais sur ses trois côtés. Mais c'est suffisamment tranquille pour que nous puissions manger peinards. On se rince les mains dans l'eau de mer. La marée monte. Les barques commencent à flotter. Nous retournons dans l'ambiance de la criée. Une fontaine publique permet de se rincer la bouche, les mains.

Nous flânons sur le port. Il y a des recoins sympas. Notamment celui de droite, entre l'escalier et le mur du quai. Un espace ombragé d'une dizaine de mètres. L'odeur forte du goémon. Ce n'est pas très propre. Il y a l'anfractuosité d'une porte en fer condamnée. << Bien glauque ! Comme j'aime ! >> lance Clémentine qui prend une photo. << Il y a un mec qui se pointe ! >> s'écrie Estelle. C'est un employé du port qui pousse une grosse poubelle grise sur roues. Des balais qui y sont fixés. << Celui-là, je me l'offre en dessert ! >> murmure clémentine.

Estelle m'entraîne par la main. Nous restons derrière les empilements de palettes et de casiers en osier. Elle reste collée à moi, ses bras autour de ma taille, de mes épaules. L'endroit est parfait pour le voyeurisme. Nous regardons Clémentine tourner plusieurs fois à pas lents dans ce recoin. Le type doit avoir la cinquantaine. Un gilet jaune fluo, un pantalon gris, des bottes en caoutchouc, une casquette vissée sur la tête. Un mégot collé à la bouche. Il ne prête pas vraiment attention à la jeune fille qui semble chercher un endroit pour faire pipi.

Clémentine ne sait pas pisser debout proprement. Contrairement à Estelle qui excelle dans cette discipline. Nous restons pantois, souffles coupés en la regardant relever sa jupe, se cambrer sur ses ses genoux fléchis, pieds largement écartés. Elle écarte les lèvres charnues de son sexe. Elle tourne le dos au type. Elle reste ainsi une bonne minute. Elle se concentre, cherche à se lâcher en luttant contre l'excitation qui la gagne. Le mec, un balai en main, la contourne pour mieux regarder. Pour mieux se rendre compte de ce que fait la demoiselle debout.

C'est l'instant fatidique. Clémentine lâche un de ses jets anarchiques dont elle ne contrôle pas la direction. Il lui en coule sur les cuisses. Sur les Stan Smith. Le bonhomme reste à quelques mètres. Il regarde en silence. Sans tenter la moindre approche. Le spectacle doit le ravir quoi qu'il ne manifeste aucune attitude qui pourrait inquiéter la pisseuse. Il nous tourne le dos. Par contre Clémentine est face à nous. Personne d'autre dans les environs immédiats. Estelle sort son téléphone pour filmer la scène. Je bande comme le dernier des salauds.

Clémentine porte ses lunettes noires, ses cheveux masquent en partie son visage. Elle se répand par plusieurs jets puissants. Le mec fait mine de balayer alors qu'il mâte. Il tourne autour de la fille sans se rapprocher. Clémentine lâche ses dernières giclées. Elle se redresse juste à temps car un couple de touristes vient par là. Certainement animé d'un besoin de pisser. Nous nous rejoignons au bas de l'escalier que nous gravissons en courant, en riant. Je félicite Clémentine pour son show, son audace, en disant : << Au nom de ce pauvre balayeur ! >>.

Nous retournons à la voiture. Dunnottar Castle est à quelques cinq bornes de Crawton. Le ciel se voile de plus en plus mais en restant laiteux. Nous adorons ce climat. La température extérieure est de 26°. Tout est parfait. Voilà les imposantes et étranges ruines du château. Elles se détachent sur la mer depuis la presqu'île sur laquelle la forteresse a été construite il y a plus de 800 ans. Il faut garer la voiture sur un des deux parkings. Il y a un monde fou. Munis de nos passes touristiques, nul besoin de faire la queue dans une file d'au moins 50 m.

Il faut franchir une passerelle métallique au-dessus d'un gouffre terrorisant. En bas, à une cinquantaine de mètres, le bruit des vague est un vacarme qui jaillit des enfers. La résonance est étrange. Je suis entre mes deux anges qui restent accrochées à mon bras. Nous attirons évidemment encore bien des regards. Parfois comme si nous étions une attraction supplémentaire. Nous entrons dans l'enceinte de la citadelle. Ce sont des maisons restaurées du village dans les murailles du château. C'est une sorte d'écomusée très instructif. Attractif aussi.

Il y a la maison du boulanger, la maison du ferronnier, celle du bourgmestre. Des jardinets avec des espèces rares de légumes anciens. Nos excitations font doucement place à la curiosité. C'est la quatrième années que nous visitons l'endroit. Il y a des aménagements nouveaux. Les restes du château en lui-même ont été restaurés. Une partie propose de découvrir les intérieurs de la noblesse qui vivait là. C'est un lieu stratégique qui permettait de surveiller les côtes sur plus plus de cinquante kilomètres dans les deux sens. Une vraie forteresse défensive.

Il faut suivre un guide. Certainement un étudiant qui fait son job d'été. L'argumentation est passionnante. Nous faisons partie d'un groupe d'une vingtaine de visiteurs. Estelle ne cesse de palper ma "bosse". << Je suis sûre que ta bite de vieux vicieux colle au fond de ton slip, macérant dans son jus ! >> murmure Estelle. << De quoi régaler une salope bien gourmande ! >> chuchote Clémentine. Nul n'imagine les raisons des sourires qui éclairent nos visages. Nous suivons le guide pour descendre un escalier taillé dans la roche, en bord de falaise.

Je suis sujet au vertige. Les flots tourmentés qui se brisent aux pieds de la falaise me terrorisent. Clémentine est victime du même phénomène. Elle s'accroche encore plus fort à moi. Parfois elle ferme les yeux en mettant sa tête dans mon cou. Estelle est sensible au vertige mais dans une moindre mesure. Nous restons tout contre la paroi loin des chaînes qui séparent du vide. Le bruit des vagues est assourdissant. Nous pénétrons dans les souterrains. Ils sont taillés dans la falaise. Une petite ville souterraine. Un labyrinthe balisé.

Les cellules où étaient enfermés les prisonniers. Nous apprenons que les voleurs étaient condamnés à un an d'isolement. Que les viols étaient punis d'émasculations publiques, que le mensonge pouvant nuire à la communauté étaient sanctionnés de six mois dans ces caves sinistres et obscures. Les latrines étant de simples trous creusés dans la roche au-dessus de la mer. Nous remontons un peu soulagés de quitter cet enfer. Dans la région les roches sont principalement constituées de grès ocre. Faciles à creuser, à sculpter. Résistantes et solides.

Il est dix sept heures quand nous quittons Dunnottar Castle. << Plein les yeux ! >> lance Estelle. << C'est génial de venir ici tous les ans. Il y a toujours d'autres choses à découvrir ! >> fait Clémentine. Il y a cinq kilomètres jusqu'à Stonehaven. Nous longeons la route pour y arriver en surplombant le port. La configuration est étonnante car du côté maisons le quai fait un arc de cercle. Alors que du côté mer les deux sont rectilignes. Nous y flânerons d'ici une heure. Il est préférable d'aller d'abord à l'hôtel. The Ship Inn est légèrement en hauteur.

C'est un établissement de standing comme nous les apprécions. << Avec l'âge, de plus en plus ! >> précise Clémentine. La réceptionniste est une jeune fille aux longs cheveux roux. Des tâches de rousseurs parsèment son visage, ses mains. Ce qui lui confère un charme particulier. Elle est belle. Elle s'adresse à nous en français. Je la rassure immédiatement. Je suis écossais et je préfère m'exprimer dans ma langue. Clémentine et Estelle en rajoutent. Ce qui fait rire la jeune fille. Notre chambre nous attend au second étage. Avec vue sur le port.

Comme ce n'est pas encore l'heure des affluences touristiques, Emma nous invite à la suivre. Nous préférons prendre l'escalier royal et majestueux. Des miroirs encadrés d'or reflètent nos images. Pas de doute, c'est du grand luxe. << Pour le prix ! >> murmure Estelle. En fait de chambre, ce serait plutôt un petit appartement. Un grand lit à baldaquins aux tentures de soies blanches et transparentes. Emma nous explique qu'en réalité ce sont des moustiquaires. La salle de bain avec jacuzzi, baignoire, douche. Un cabinet de toilettes, un bureau.

La Wifi fonctionne parfaitement. Un téléviseur à écran géant. C'est vraiment le grand luxe. Plafonds moulés et même un lustre. Boiseries fines. Emma nous tend la clef. Nous redescendons. Cette fois par l'ascenseur. Emma nous fait visiter le restaurant. Nous pouvons même choisir notre table. Nous optons pour celle face à la baie vitrée. La vue sur Dunnottar Castle, là-bas, est tout simplement sublime. Emma précise que la nuit, le château est éclairé. Nous la laissons pour aller nous balader. Il n'est que dix huit heures trente et il fait hyper faim.

Nous flânons dans la rue principale vers le port. L'ambiance de Stonehaven évoque celle d'un parc d'attraction. Il fait doux. Pas un souffle de vent. Cette année il y a très peu de latins. Depuis le Brexit il faut un passeport et un visa touristique pour venir en Écosse. Donc calme et quiétude règnent dans les lieux touristiques. Il est vingt heures quand nous revenons. Le repas est somptueux. Queues de homards grillées aux graines de pistache. Salicornes en salades avec feuilles de laitues enroulées autour de queues de crevettes fumées aux amandes.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui aiment à s'offrir du stupre, de la luxure, du vice, sous les draps d'un hôtel de luxe...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1970 - Écosse jour 37 -



Flâneries du dimanche dans les rue d'Aberdeen

Hier matin, dimanche, il est presque huit heures trente. Estelle qui est restée serrée contre moi toute la nuit le fait encore plus fort. Dès qu'elle me sent sortir du sommeil, elle saisit ma tumescence. Clémentine que cela réveille vient également se blottir. Je suis entre mes deux anges, mon érection naturelle dans la main d'Estelle. Clémentine qui empoigne mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes pour démêler quelques poils et surtout caresser les vulves encore endormies. Nous admirons la chambre stylée de notre hôtel The Ship Inn.

Estelle se lève pour se précipiter vers les toilettes. Nous rions quand elle se trompe de porte. Clémentine me chevauche en riant. << Tu m'as fait tellement de bien hier soir ! >> murmure t-elle en mimant l'acte d'amour. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Clémentine, peu désireuse de se mêler aux autres gens de l'hôtel propose de nous faire monter le petit déjeuner dans la chambre. Excellente initiative que nous applaudissons. Nous faisons les clowns à la salle de bain pour une rapide toilette. Le dimanche nous aimons à macérer dans nos jus.

Nous nous habillons. Tous les trois avec les mêmes vêtements que hier. Un coup de sonnette. Clémentine se précipite. Voilà le groom qui emmène les plateaux. Café fumant, pan cakes, pain grillé, beurre, miel et marmelade d'orange. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le vague programme de la journée. Cette région de l'Aberdeenshire mériterait qu'on y passe au moins trois jours. Ce sera pour l'année prochaine. Jusque tout au Nord ce ne sont que paysages bucoliques, terrains agraires, collines, pâturages et autres cultures céréalières.

C'est l'image typique de la campagne Britannique. Toutes ces déclinaisons de verts, ces lumières diaphanes. C'est dans cette région que la plupart des films tournés au Royaume Unis se pourvoient en images féériques. Les amateurs de whiskys y trouverons toutes les distilleries les plus prestigieuses. Les amateurs de Golf y trouverons les Green les plus extraordinaires. Les passionnés de courses hippiques y trouverons leurs bonheurs. Nous mangeons de bon appétit en anticipant ces possibilités pour le séjour prochain. L'écosse est si étendue.

Nous rangeons nos affaires. Lavage des dents. << Trop bien ! >> lance soudain Estelle qui se déshabille. << Une baignoire à bulles ! Venez ! >>. Nous la rejoignons nus comme au premier jour. Jacuzzi aux sensations délicates. << Put-Hein, c'est trop génial ! >> s'écrie Clémentine. Je propose que nous fassions installer un tel équipement dans notre salle de bain dès l'automne. Je ne suis pas obligé de le suggérer une seconde fois. Clémentine me couvre le visage de bisous alors qu'Estelle joue avec mon sexe tout mou. C'est délicieux.

Les bulles nous caressent les culs. Délicates sensations sur les couilles, sur les vulves. << Et on peut régler la puissance ! >> s'écrie Estelle qui joue avec la commande. Nous passons là une bonne demi heure à nous amuser. À nous caresser. À nous "allumer" pour la journée. La conclusion des filles est sans appel. C'est excitant. Nous finissons tout de même par nous habiller une seconde fois en riant aux éclats. << Il aurait été stupide de se priver de ce que nous offre un tel hôtel ! >> lance Estelle. << On reviendra ! >> rajoute encore Clémentine.

Nous quittons l'hôtel. Il est tout à fait possible de laisser la voiture dans le parking souterrain jusqu'à ce soir. Le ciel est légèrement voilé. Laiteux. Il fait doux. La température extérieure est de 22° alors qu'il n'est que 10 h30. Aberdeen est la troisième plus grande ville d'Écosse. On y vient pour affaires du monde entier. Ce sont les forages pétroliers qui ont fait sa richesse et sa puissance. Le Royaume unis importe très peu de pétrole. 80 % de sa production se fait ici. L'indépendance. Ce qui explique les prix à la pompe. Un peu plus attractif qu'ailleurs.

Nous sommes à dix minutes du centre historique. L'architecture de la ville sait habilement allier la tradition et le modernisme. Aberdeen est une ville pleine de jeunesse et de dynamisme. Très touristique évidemment. Clémentine nous fait remarquer le grand nombre d'Asiatiques. Pas seulement des touristes mais également beaucoup d'autochtones. Mes deux anges restent accrochées à mon bras. Nous voilà dans les rues pavées du centre historique. Magnifiques. Les vitrines des boutiques, les divers magasins de toutes natures. Ça grouille de monde.

La capitale du pétrole offshore sait aussi s'enorgueillir de Musées, de centres culturels et d'une université réputée. La ville la plus riche du Royaume unis dans toute sa discrète splendeur. Estelle n'arrête pas de manifester ses joies en palpant la braguette de mon bermuda. Pas toujours très discrète elle cache ses activités en se serrant contre moi. Clémentine faisant écran de son corps. Notre trio attire encore bien des regards. L'attitude des filles ne laissant planer aucun doute quand à la nature de nos relations. Ce qui nous amuse beaucoup. Rires.

Les constructions des époques Victoriennes avoisinent avec ceux des périodes médiévales. C'est magnifique. Au Nord de la vieille ville il y a l'extraordinaire cathédrale Saint Machar. Il faut traverser le pont qui enjambe le Don. Rivière où sont préservées les différentes espèces de saumons. Les fanatiques de pêches viennent ici du monde entier. Il y a des spécimens surprenants. << Ton défi du jour ! >> me fait Estelle en descendant la tirette de mon bermuda. Nous sommes à l'intérieur de la cathédrale. Il y a beaucoup de visiteurs. Je la gronde un peu.

Clémentine nous montre les caméras sous des globes identiques à ceux des hypermarchés. Pour me tripoter Estelle se serre tout simplement contre moi. La nef contourne l'hôtel en demi cercle. On y découvre nombre de chapelle dédiées à différents saints. Plein de gens font des photos. Comment pourrais-je me promener ici avec la bite à l'air ? C'est tout simplement impossible. Pourtant Estelle insiste. << Tu peux le faire ! >> rajoute Clémentine qui se montre aussi téméraire qu'Estelle. C'est qu'elles me font bander les coquines ! Estelle en profite bien.

Il y a une grande cloche. Une corde permet de la faire teinter. Elle est évidemment réservée aux célébrations. Mais il y a une sorte de boutique dans laquelle on peut consulter et acheter livres, cartes postales DVD et autres souvenirs. C'est là que m'entraînent mes deux anges. Il y a des tourniquets derrière lesquels se dissimuler. Des recoins sympas qui évoquent n'importe quelle librairie. Deux grandes pièces. Une caisse, un bureau d'accueil. << Ici ! >> fait Estelle en saisissant ma bosse derrière les tourniquets des cartes postales.

<< Oui, ici ! >> dit Clémentine. Je suis entre les deux coquines qui m'encouragent à sortir la bite. Je murmure : << Il faut être fou ! >>. Ce à quoi Clémentine rajoute : << Ce que nous sommes ! >>. Je murmure : << Oh et puis merde ! >> tout en sortant ma queue. Je bande mou. Je suis mort de trouille même si personne ne peut me voir. << Tu vois ! Quand tu veux, tu peux ! >> chuchote Estelle qui me la prend pour la tordre dans tous les sens. << Vieux pervers va ! Comme je les aime ! >> rajoute t-elle avant de me faire une bise sur la joue.

Nous ressortons. Je suis en sueur et tout émoustillé. Je dis : << Vous êtes les deux plus adorables salopes de la création ! >>. Nous rigolons comme des bossus quand Clémentine s'écrie : << Parce que tu adhères aux thèses créationnistes maintenant ! >>? Estelle rajoute : << C'est parce que tu fréquentes les cathédrales bite à l'air ? >>. C'est pliés de rire que nous nous mettons en quête d'un bon restaurant. Clémentine suggère de simples fish & chips que nous pourrions savourer sur les quais du port. Il y a le port de pêche et le port industriel.

Nous optons évidemment pour le premier. Nous trouvons facilement des fish & chips. Beignets de poissons avec des pommes de terre frites. C'est avec nos sachets en papier kraft en main que nous prenons la direction du vieux port. C'est surprenant d'arriver en cet endroit. Dans cette partie moderne de la ville il y a ce port si traditionnel. Enfin, cette partie seulement. Il y a des bancs sur la rue pavée qui surplombe les quais. De hauts marronniers, de hauts platanes offrent leurs ombres généreuses car le soleil fait son apparition. Nous voilà installés là.

Nous savourons ce repas simple mais délicieux. Manger avec les doigts les rend poisseux. Mais il y a de nombreux points d'eau. Le banc sur lequel nous sommes assis est une situation stratégique. L'endroit permet à Clémentine d'écarter les cuisses sans être remarquée à chaque fois que passe un quidam solitaire. Il suffit qu'il lève les yeux pour découvrir qu'elle ne porte pas de culotte. Estelle l'imite. Je suis entre mes deux anges qui pratiquent l'exhibitionnisme avec une égale virtuosité. Je ris des regards libidineux de certains messieurs qui me jalousent.

Nous adorons flâner sur les quais des ports de pêche. Nous longeons la rue qui remonte en ville. Bien "allumés" par nos petits jeux, nous mettons à profit chaque recoin où nous pouvons nous y livrer une nouvelle fois. << Question d'entretenir la flamme ! >> comme le précise Clémentine. Je les touche, le plus vulgairement possible, dans tous les endroits qui le permettent. Entre deux camionnettes, sous le porche d'une porte. Et même derrière le socle d'une statue équestre d'un héros local. On ne compte plus le nombre de fois où on est "remarqués".

Nous réservons une table dans un restaurant gastronomique. C'est sympa de s'offrir un bon repas avant de rentrer. L'après-midi se passe entre la visite d'un musée d'Art. D'une exposition de peintres locaux, d'une coupe glacée à l'étage d'un salon de thé où nous accueillent des toilettes qui permettent nos rituels pisseux. Je baise même Estelle debout dans un des cabinets des toilettes hommes. C'est amusant de faire des saloperies en entendant des mecs pisser derrière la porte. Je me fais même tailler une pipe par Clémentine totalement "allumée".

Il est dix neuf heures quand nous sommes confortablement installés à la table d'un restaurant charmant. Un personnel aux petits soins. Chemises blanches, nœuds papillons, pantalons noirs pour les filles comme pour les garçon. Nous savourons des courgettes farcies au pâté de crabe et de saumon. Un délice. Visites aux toilettes en attirant encore bien des regards. Pour les cent kilomètres à faire encore ce soir il est décidé que tous les 25 bornes c'est Estelle qui prend la place de Clémentine. << On veut te bouffer la queue ! >> précisent t-elles.

Bonne rentrée à toutes les coquines qui vont permuter le siège passager pour se régaler de la bite d'un chauffeur on ne peut plus vicieux...

Julien (le chauffeur)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1971 - Écosse jour 38 -



Une journée de redécouvertes à Perth

Hier matin, lundi, il est huit heures quand nous nous réveillons. Quasiment en même temps. Je suis entre Estelle qui saisit mon érection naturelle et Clémentine qui se frotte contre ma hanche. Distribution de bisous, de câlins et de papouilles. Nous sommes rentrés tard hier soir. Il était aux environs de minuit. Pourtant nous sommes aujourd'hui en pleine forme. Estelle se lève pour se précipiter vers la porte. Clémentine continue de se frotter en murmurant : << Je vais être salope toute la journée. Je le sens ! >>. Nous en rions de bon cœur.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Estelle qui vient de faire le lit s'affaire dans la cuisine. Nous la rejoignons. Les effluves parfumées du café, du reste de la brioche dans le four à micro ondes, du pain grillé envahissent la pièce. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le programme du jour. Nous irons flâner à Perth. Ville voisine à une soixantaine de kilomètres. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan du week-end à Aberdeen. << On va faire tout ce qui est prévu et peut-être davantage ! >> précise Estelle. Dehors il fait grand soleil.

La vaisselle. On se lave les dents avant de revêtir nos tenues de jogging. Nous dévalons l'escalier, pressés de nous livrer à notre running quotidien. Quelques mouvements d'échauffement dans l'agréable fraîcheur matinale. C'est parti. Le même parcours nous fait croiser d'autres joggeurs. Il est neuf heures trente. Estelle prend sa douche. Assise sur mes genoux Clémentine allume l'ordinateur. Deux messages. Celui de Juliette qui nous raconte ses journées Corses, à Sartène. Ses randonnées et ses promenades à moto avec sa sœur et son beau frère.

Le courriel de Julie qui nous annonce une douzième vente. Elle précise qu'il y a également une septième commande en perspective. << Tu vois, tu ne devrais plus fonctionner qu'à la commande. Tu serais plus tranquille et ce serait infiniment plus passionnant ! >> me fait Clémentine. Estelle nous rejoint en jupe jeans, T-shirt blanc. Elle se charge des réponses. C'est à notre tour d'investir la salle de bain. Clémentine porte une jupe de fin coton carmin, un T-shirt brun. Je suis en bermuda kaki et T-shirt crème. Nous rejoignons alors Estelle.

Un selfie avant de cliquer sur "envoyer". Dans le petit sac à dos, des fruits, les trois baguettes achetées hier, des boîtes de Tartex. Ce pâté végétal absolument exquis. Impatients de filer nous descendons l'escalier à toute vitesse. Il y a tante Margaret qui taille ses rosiers. Nous bavardons un peu. Nous la saluons. Je roule doucement. La circulation est fluide. Clémentine me sort la queue pour jouer avec. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou en faisant mille projets pour la journée. Notamment le nouveau défi qu'elle me fixe. Bite à l'air en ville.

<< Cette fois il faut que tu te branles dans un coin. Et deux fois ! >> précise t-elle. Nous rigolons comme des bossus de cette absurdité. << Moi, ce coup-ci, je prends les photos ! >> rajoute Clémentine qui se penche sur sa gauche pour sucer du bout des lèvres. << Put-Hein, je veux venir devant ! >> s'écrie Estelle. Le paysage est splendide. Toute cette région est un peu le grenier à blé de l'Écosse. Arrêt pipi avant d'arriver. Je m'engage dans un chemin qui monte en serpentant entre un vignoble et un pâturage plein de vaches cornues aux longs poils.

Il y a un agriculteur dans son tracteur à une centaine de mètres. Trop belle occasion pour Clémentine qui s'accroupit bien en face. Estelle plus timide se place de trois quart. Elles se mettent à pisser. Je les tiens par leurs nattes comme par une laisse. Le type dans son tracteur, tout en roulant, nous adresse un grand signe de la main. Les filles répondent en faisant pareil. Je les torche soigneusement. Pas de culottes pour nos périples urbains. C'est reparti. Perth est une ville médiévale aux rues denses. En cette période il y a plein de touristes partout.

Il n'est que onze heures. La température extérieure est de 22°. Un soleil généreux. Quelques nuages d'altitude. J'ai obligation de garder ma braguette ouverte. Heureusement que le T-shirt cache l'ouverture. Nous retrouvons la ville avec plaisir. Le palais dans sa majestueuse façon Victorienne. Les petits parcs fleuris. Ce sont surtout les galeries d'Arts qui nous attirent ici. Des artistes locaux qui présentent souvent des choses magnifiques. Perth est une ville de divertissements. Des artistes de classe mondiale s'installent ici pour quelques mois. Inspirations.

Le fameux hippodrome attire les passionnés de courses hippiques. Les sports nautiques, le golf ou encore l'équitation font de la ville un centre incontournable. Une distillerie d'un whisky fameux. Une brasserie de bières artisanales et une gastronomie réputée rajoutent à son attractivité. Il y a les rues pavées du centre historique. Un charme particulier qui nous projette dans les siècles passés. Quand nous nous serrons devant une vitrine ce n'est pas seulement pour en admirer l'intérieur. C'est surtout le prétexte à nous palper discrètement. Super.

Les coquines ont décidé de me faire bander tout le temps. Aussi, leurs mains exploratrices ne cessent de fouiller ma braguette à chaque occasions où c'est possible. Et ces occasions là, mes deux anges savent les créer. Nous passons devant les bâtiments ultra modernes de Perth Theatre. Il y a un hall d'entrée qui propose des toiles de peintres locaux. Il n'y a pas trop de monde. Excellent prétexte pour nous livrer à nos tripotages. Il y a un jeune homme en costume strict qui se propose de nos faire un argumentaire. Il va d'un touriste à l'autre.

Un job d'été probablement. Nous déclinons son offre. << Celui-là, je lui montre ma foune ! >> murmure Clémentine. Un escalier de quelques marches monte à un second niveau. Des rambardes aux vitres fumées. C'est là que Clémentine s'accroupit en posant le petit sac à dos au sol. Elle fait mine d'y chercher quelque chose. Attendant le bon moment. Le jeune homme revient par là. Estelle et moi faisons semblant d'observer un grand tableau. Clémentine écarte ses cuisses tout en éloignant le sac. À l'instant précis ou le garçon regarde.

Il ne manifeste aucun trouble mais il s'arrête en regardant sa montre. Une excuse pour loucher en direction de cette sublime jeune fille qui expose sa chatte. Une autre "œuvre d'art" qui mérite d'être vue. Nous remarquons qu'un autre type là-bas vient de remarquer l'exhibitionniste. Il vient par ici. Le jeune homme monte les marches pour rejoindre un autre groupe de visiteurs. Je fais remarquer à Clémentine qu'il y a des caméras. << J'ai vu. Mais je suis bien orientée. Rien à surveiller ! >> dit elle en se redressant avant la crampe.

L'autre mec s'est approché de la rambarde vitrée. Il est à environ un mètre cinquante plus bas à faire mine d'observer les statuettes en céramique posées sur des vitrines. Situation idéale pour Clémentine qui revient s'accroupir juste en face du type. Il n'a qu'à relever les yeux pour se retrouver face à un sexe féminin, poilu comme il n'en n'a certainement jamais vu. Estelle et moi faisons toujours mine d'admirer le même tableau. Clémentine profite de l'aubaine pour se donner en spectacle. Virtuose de l'exhibe de haute voltige. Nous l'admirons.

À la limite de l'ankylose, elle finit par se redresser pour nous rejoindre. Le visiteur s'apprêtait à monter. Ce qui le dissuade. Nous quittons les lieux assez précipitamment car un couple en uniforme semble avoir remarqué notre petit manège. << Des gens du personnel sans doute ! >> lance Estelle. Nous rions aux éclats une fois à l'extérieur. Nous avisons ce petit parc mignon pour aller y casser la croûte. Il y a des bancs en demi cercle autour d'une fontaine murale. Nous savourons les pêches, les nectarines et les brugnons avant de faire les sandwichs.

Il y a du monde. << Le mec de tout à l'heure ! >> lance soudain Estelle. Oui, c'est le type de la galerie du théâtre. En jeans et T-shirt, il doit avoir la quarantaine. Il prend des photos. << Je dois pisser ! >> s'écrie Clémentine. Elle se retourne. Derrière nous il y a l'allée mais au-delà, à une dizaine de mètres, des bosquets soigneusement taillés. Une haie de lauriers. Clémentine se lève. Il est question d'attirer l'attention du quidam. Il ne tarde d'ailleurs pas à repérer la fille qui semble chercher un coin. Il vient par là. Il contourne la fontaine.

Estelle et moi faisons mine de ne nous apercevoir de rien. Le type repère Clémentine qui passe derrière la haie de lauriers. Juste avant d'y disparaître, elle passe sa main sous sa jupe, penchée en avant. La vision ne dure qu'une seconde. Il n'y a que l'inconnu à l'avoir vu. Il se dirige vers l'endroit. Estelle m'entraîne par la main. Nous contournons les bosquets pour nous planquer derrière une statue. Clémentine se fait surprendre entrain de pisser. Nous sommes trop loin pour entendre ce que dit le mec. Il regarde partout autour de lui en se touchant.

Nul doute que cette seconde rencontre avec une sublime exhibitionniste ne le laisse pas de marbre. Il a de quoi mâter. Clémentine se redresse précipitamment. Nous ne l'avions pas vu. C'est une autre dame qui arrive. Sans doute pour y faire elle aussi son besoin. Nous rejoignons Clémentine à l'entrée du parc, devant les hautes grilles de la porte. Nous nous dépêchons de filer. Il est treize heures trente. Nous flânons dans les rues du centre. Nous réservons une table dans un restaurant gastronomique. Ainsi nous passerons la soirée ici.

Ce sont les galeries d'Art qui nous attirent. Mais une petite visite de la cathédrale gothique nous motive également. Clémentine attire notre attention sur les deux groupes de touristes asiatiques. Ils sont une véritable armée. Téléphone à la main à prendre toutes les photos possibles. << Ton défi Julien ! Et ici s'il te plaît ! >> lance Estelle quand nous passons dans les travées des bancs. Il y a des coins sombres. Comme dans toutes les cathédrales. Je n'ai absolument pas le courage de sortir ma queue dans cet endroit. Cela me rend mort de trouille.

Pourtant Estelle, se collant à moi, fourre sa main dans ma braguette. << Mais tu es trempé ma parole ! Ça te fait cet effet là de voir Clémentine pisser devant des inconnus ! >> murmure t-elle. << Fais voir ! >> chuchote Clémentine. Estelle me sort la bite coulante malgré mes tentatives pour l'en empêcher. << Ton défi ! >> dit elle une seconde fois. << Je fais le guet ! >> rajoute Clémentine. Personne. Les visiteurs, très nombreux, sont agglutinés devant un couple en uniforme. Probablement des guides ou des animateurs touristiques.

Je tiens ma queue. Je bande comme le dernier des salauds. Mon cœur bat la chamade. Je dois réunir tout mon courage. Je me masturbe. d'abord d'un mouvement mécanique pour faire plaisir à mes deux coquines. Mais je me prends au jeu et c'est rapidement délicieux. << Bravo ! >> murmure Estelle. << Félicitations ! >> chuchote Clémentine qui se touche. Ce qui me stimule encore davantage. Estelle sort son téléphone pour me filmer. Je suis cambré sur mes genoux fléchis. Me tenant les couilles de la main gauche, me masturbant de la droite.

C'est divin. Une chance extraordinaire. Personne ne vient par là. Il faut préciser qu'à part les colonnes qui nous dissimulent très bien, il n'y a strictement rien à voir de ce côté ci. << Branleur ! Vicieux ! Pervers ! >> me fait Estelle qui passe une main sous sa jupe. Tous les trois nous nous branlons là. Une véritable folie. Nous n'avons pas vu de caméras. Il existe donc encore des lieux de cultes qui n'en sont pas équipés ! Il faut toutefois cesser. C'était trop beau. Quelques visiteurs se détachent d'un groupe pour venir par là. Je remballe très vite.

Nous ressortons. Complètement émoustillés par ce que nous venons de vivre, nous n'avons qu'un seul objectif. Trouver un autre endroit pour recommencer. Tous les prétextes sont donc bons pour nous tripoter. J'ai la bite trempée qui colle au fond de mon slip. Les vulves d'Estelle et de Clémentine sont suintantes de cyprine. Les épanchements de Clémentine maculent même l'intérieur de ses cuisses. << J'ai des coulures ! >> murmure t-elle à plusieurs reprises. Là, dans l'entrée d'un immeuble, elle s'essuie avec un mouchoir en papier.

Il faut absolument revenir sur terre. La témérité ne serait pas sans causer des situations beaucoup trop risquées. Nous entrons dans un espace d'exposition. Un peintre hyper réaliste de Glasgow présente ici ses toiles. << On dirait des photos ! >> s'écrie Estelle. Ce sont des représentations de rues. << Aucune photo n'est aussi précise ! >> lance Clémentine. Il y a là des peintures extraordinaires. Ce qui calme un peu nos ardeurs. Il était temps. Mais ce n'est que partie remise. J'ai une seconde masturbation à réaliser pour accomplir mon défi du jour.

Bonne "faim" de soirée devant des plateaux de fruits de mer à toutes les coquines qui se sont branlées une bonne partie de l'après-midi...

Julien (branleur fou)



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Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1972 - Écosse jour 39 -



Une belle journée de randonnée

Hier matin, mardi, il est huit heures. Le mouvement des pieds d'Estelle contre les miens me réveille. Je suis encore dans un demi sommeil quand elle saisit mon érection naturelle. C'est "saisissant" d'être réveillé ainsi. Impossible de s'y habituer. Elle se serre contre moi en murmurant des propos encore incompréhensibles. Clémentine vient se blottir en gémissant. Je suis entre mes deux anges à distribuer des bisous. À me faire câliner. Ce sont toujours d'extraordinaires instants de bonheur. Qui ne durent pas longtemps. Estelle se lève d'un bond.

En courant vers la porte elle s'écrie : << Pipi ! >>. Nous faisons le lit. C'est à notre tour d'aller pisser. Nous rejoignons Estelle dans les douces odeurs où se mêlent celle du café, celle du pain grillé. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner dans une cuisine illuminée de lumière. Avec la saison qui avance, les rayons du soleil y entrent de plus en plus. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'itinéraire de la randonnée décidée aujourd'hui. Le besoin de bouger revient en force. Ce sera un nouveau circuit.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons l'escalier. Quelques mouvements d'échauffement dans l'agréable fraîcheur matinale. C'est parti pour notre heure de jogging. Même si c'est la même boucle, il est impossible de s'en lasser. Il est 9 h30 quand nous revenons. Estelle occupe la salle de bain la première. Assise sur mes genoux Clémentine allume l'ordinateur. Le message quotidien de Julie qui nous raconte sa journée.

C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Estelle et Clémentine portent une de leurs robes d'été. Je suis en short et T-shirt. Dans le petit sac à dos, les trois sandwichs au fromage, tomates et cornichons préparés par Clémentine. Des fruits. Une bouteille d'eau. Pressés de nous retrouver en situation nous descendons l'escalier à toute vitesse. La température extérieure est déjà de 22° alors qu'il n'est que dix heures trente. Du soleil. Il faut prendre jusqu'aux ruines de la cathédrale. Le sentier qui part sur la droite, vers la mer. Il y a du monde.

Le chemin permet de marcher de front en nous tenant par la main. Nous croisons déjà quantité de marcheurs. Voilà le croisement des chemins. Des panneaux indiquent les différents itinéraires. Le nôtre sera Kingsbarns to Anstruther. Une bouche d'environ 17 km. Une boucle de quatre heures à bonne moyenne. Estelle me palpe la bosse en disant : << Ton défi du jour. Branlettes et bite à l'air. Deux fois ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine rajoute : << Dans des situations à risques ! >>. Je détourne la conversation en montrant la mer.

Nous sommes sur le sentier au-dessus des falaises. La mer scintille de mille feux. Des bateaux de plaisance, des voiliers, des chalutiers. Estelle ouvre la marche en se retournant souvent pour me faire une bise ou encore me toucher. Je me retourne à mon tour pour déposer une bise sur le front de clémentine. Curieusement, il y de moins en moins de gens. << On devrait venir courir ici ! >> lance Estelle. C'est vrai que l'environnement est spectaculaire. À la fois calme, de toute beauté et très inspirant. Nous voilà dans la réserve ornithologique.

Des panneaux spécifient les différentes sortes d'oiseaux que nous pourrions êtres amenés à croiser. Il faut prendre le sentier qui longe le Fife. Nous quittons le haut des falaises pour évoluer le long de l'estuaire de la rivière. Clémentine tire la petite paire de jumelles du sac que je porte. Nous nous les prêtons pour regarder le paysage. Sur la droite des pâturages à flancs de collines. Sur la gauche la rivière de moins en moins large. << L'endroit idéal, non ? >> lance Estelle en glissant sa main dans mon short par en haut, sous mon T-shirt. Palpations.

Je glisse la mienne sous sa robe. L'absence de culotte permet des doigts explorateurs. << Mmhh, c'est bon ça ! >> gémit elle en saisissant mon poignet. Je fais pareil à Clémentine. << Obligation de faire ça toutes les cinq minutes ! >> dit elle en se positionnant à côté d'Estelle. Une fois encore nous nous touchons en échangeant nos impressions. Il y a bien quelques randonneurs mais lorsque nous les croisons nous redevenons des personnes "normales". Souvent en riant. Nous entrons dans une forêt dense. À l'ombre de feuillages rafraîchissants.

Une clairière avec des pierres évoquant des menhirs. Le panneau précise qu'il est impossible de savoir si c'est naturel ou si c'est une réalisation humaine. L'endroit a été christianisé il y a plusieurs siècles par une chapelle gothique. Ouverte à la visite car elle sert d'abri en cas d'intempéries. Il y a deux couples qui en sortent au moment où nous y entrons. Une odeur forte rappelant celle du beurre rance. Sans doute les boiseries anciennes. Il y a des dépliants touristiques. Des panneaux relatant l'histoire du lieu. Saint Andrews a initié l'endroit.

Estelle passe derrière moi. Serrée contre mon dos elle glisse ses deux mains dans mon short. Elle en extrait la bite et les couilles. Clémentine s'accroupit devant moi en me tenant par les hanches. << Mmhh, ça sent le marcheur ! >> dit elle. Nous rions. Estelle lui frotte ma queue sur le visage. Lui collant mon prépuce sous les narines. Des voix. Nous avons juste le temps de jouer aux visiteurs. C'est un groupe d'une dizaine de promeneurs. Ils ne se doutent évidement de rien. C'est considérablement excités que nous continuons le chemin.

Ce pont en dos d'âne qui enjambe un affluent du Fife est un enchantement. Clémentine prend des photos. Là-bas, de l'autre coté des promeneurs. Nous sommes à proximité d'un des hameaux. Il est presque midi et on commence à avoir faim. Je sors mon Zob. Les filles s'en rendent compte en riant aux éclats. Je le tiens à sa base. Je tourne le dos à ce groupe de marcheurs qui n'est encore qu'à trois cent mètres, de l'autre côté de la rivière. << Bien ! Félicitations ! Situation à risques ! >> lance Estelle qui mime une rapide masturbation masculine.

Je l'imite mais en me branlant pour de bon. Je reste appuyé contre les pierres du pont. Bien décidé à jouer avec le risque jusqu'au dernier instant. C'est assez génial dans l'état d'excitation dans lequel je me trouve. << Attention, danger ! >> fait Clémentine qui dissimule mon sexe en se serrant contre moi. Je pose mes mains sur ses épaules. Estelle se blottit contre nous. Nous attirons évidemment tous les regards de ce groupe de gens. Deux jeunes filles nous observent avec des yeux pleins de convoitises. Je bande comme le dernier des salauds.

Nous les regardons partir. Je reste avec la bite à l'air. Nous redescendons sur le sentier qui devient rapidement chemin. Estelle sautille autour de moi en applaudissant. Elle mime des masturbations masculines. Clémentine me tient la main. Il faut remballer. Nous arrivons entre les maisons. Il y a les bâtiments d'une exploitation agricole. Là, au détour de la route, un endroit avec des tables, des bancs. Juste quelques séniors qui mangent. Nous nous installons un peu plus loin pour faire de même. Les sandwichs sont aussi délicieux qu'un repas de fête.

<< J'adore quand tu te branles n'importe où et sans prévenir ! >> lance Estelle en retirant les noyaux de nos pêches. Par association d'idées mes deux anges reviennent sur des aventures qu'elles ont vécu adolescentes. Lorsqu'elles s'amusaient aux dépends de pervers rencontrés au hasard de leurs pérégrinations. Elles n'avaient toutes les deux que quinze ans lorsqu'elles partaient à l'aventure sur leurs bicyclettes. Même si je connais ces histoires, c'est toujours passionnant de les entendre en parler. Parfois je me lève pour leurs montrer ma bandaison.

Je tourne le dos au groupe de séniors qu'on entend rire et bavarder. Des gens du coin à l'accent de la région. << Tu fais fort ! >> dit Estelle qui me félicite pour ma témérité. Nous reprenons notre randonnée. Il faut monter le long d'un chemin pierreux assez escarpé. J'ai la bite à l'air de nombreuses fois sur les tronçons du circuit. Je palpe le plus vulgairement possible les chattes que m'offrent mes deux anges. Les arrêts pipi sont autant de prétextes pour nous livrer à nos rituels pisseux. Nous adorons les "mélanges". Avec l'excitation ils sont "miam".

Il y a trois maisons dont il ne restent que les ruines. Un peu en hauteur. Nous gravissons les marches taillées dans la roche. Personne. Il y a des pierres empilées. D'autre jetées n'importe comment. La végétation prend doucement le dessus en envahissant tout. Je soulève Estelle pour l'assoir sur des pierres de tailles. Elle prend appui sur ses coudes pour me regarder la pénétrer avec d'infinies précautions. Clémentine se masturbe en observant mes initiatives. Je suis debout. C'est la bonne hauteur. Je baise Estelle comme elle aime, comme un hussard.

Clémentine attend son tour. Mes deux anges se masturbent toujours quand je les pénètre. Pas de baise sans se masturber. Elles adorent ça. Moi j'adore les regards par en-dessous qu'elles me lancent pendant que je les besogne. Quand je baise l'une, l'autre est derrière moi à me malaxer les couilles. Je dois sérieusement contrôler mon excitation. C'est que je pourrais éjaculer tellement c'est bon. L'orgasme d'Estelle la fait hurler de plaisir. Elle en tremble, en frissonne, parcourue de spasmes. L'orgasme de Clémentine la fait crier d'extase. C'est sublime.

Des voix. Il faut absolument cesser. En été, vêtu légèrement, il est facile de se réajuster. Ces gens qui arrivent ne se doute de rien. Pourtant nous avons les yeux cernés, les traits tirés, nous avons baisé durant une bonne heure. Nos mines de décavés doivent tout de même trahir nos activités. Nous dévalons les escaliers pour reprendre le chemin. Là-bas, à deux bornes, les ruines de la cathédrale. Nous avons réalisé la boucle Kingsbarns to Anstruther. Il est dix sept heures trente. Il ne reste plus qu'à trouver un restaurant pour y réserver la table du soir.

Nous flânons dans les rues du centre historique. Dans le parc qui jouxte la fameuse université de Saint-Andrews. Une des plus anciennes du Royaume unis. La troisième université la plus réputée au monde après Oxford et Cambridge. De grands bâtiments victoriens aux charmes désuets. Il y a un monde fou. L'université ne se visite pas mais fait l'objet de toutes les curiosités. Nous réservons une table dans un restaurant gastronomique. Pour 20 h. Il n'est que 18 h30. Dur de patienter. Nous nous touchons discrètement dans le parc magnifique.

Je bande. << Tu es trempé de foutre ! >> me fait Estelle à chaque fois qu'elle glisse sa main dans mon short. Pas toujours très discrète la coquine. << Ce soir, c'est notre second dessert au lit ! >> fait Clémentine. Je ne suis pas allé jusqu'à l'orgasme en les niquant dans les ruines. Aussi je reste "chaud de la pointe". Je prends tous les risques. Là, derrière le socle d'une statue, je sors ma bite. Estelle et Clémentine sont surprises par ma témérité. C'est rare. Je me branle. Pour de vrai. C'est tellement bon. Mes deux anges me cachent.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines devant des tourteaux accompagnés de petits légumes de saisons. Avec visites dans les WC...

Julien



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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1973 - Écosse jour 40 -



Lade Braes walk sous un chaud soleil

Il est presque huit heures hier matin, mercredi. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Je suis entre Estelle et Clémentine qui se frottent langoureusement contre mes hanches. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. Distribution de bisous en riant. Estelle se précipite vers la porte. Nous faisons notre lit avant d'aller aux toilettes à notre tour. Estelle prépare le café. Aussi, lorsque nous la rejoignons à la cuisine, la suave odeur embaume la pièce. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Il reste de la brioche.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la journée de hier. Le délicieux repas pris au restaurant en soirée. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme d'aujourd'hui. Ce sera Lade Braes Walk. Un magnifique circuit qui nous emmènera en forêt, au bord de la rivière et surtout dans la forêt où nous serons à l'ombre. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Lavage des dents. Vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons l'escalier. Il n'est que huit heures trente et il fait déjà très agréable. 20° au thermomètre extérieur.

Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour notre running d'une heure. Même parcours à flancs de collines sur les hauteurs de la ville. Retour pour 9 h30. Estelle investit la salle de bain. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Juste le message de Julie qui nous raconte sa journée dans la galerie d'Art. C'est la troisième année qu'elle en assure la gestion. Elle affirme n'avoir jamais vu autant de touristes. Estelle vient nous rejoindre en jupe jeans, T-shirt crème. C'est elle qui se charge des réponses. Nous allons sous la douche.

Clémentine porte une jupe jeans, un T-shirt crème. Je suis en short jeans et T-shirt crème. Nous rejoignons Estelle qui lit à haute voix le mail que lui envoie Gauvain. Le collègue étudiant joint toujours une ou deux photos. Los Angeles sous le soleil. Vêtus tous les trois exactement pareils, nous faisons l'inventaire du réfrigérateur. Il faudra faire des courses. Nous engloutissons les fruits par wagons. Du pain. De la brioche dont nous raffolons de plus en plus. Une nouvelle addiction qui se pointe. Nous préparons nos affaires. Petit sac à dos.

Pressés d'aller marcher un peu en ville, nous prenons le chemin qui longe les clôtures en direction des ruines de la cathédrale. Un quart d'heure et nous voilà dans le centre historique. Il y a l'embarras du choix en boulangeries, en supérettes et autres commerces. Notre préférence va pour les enseignes Tesco. Les fruits y sont magnifiques, souvent "Bio" et superbement bien présentés. Pour le repas de midi, nous prenons des nems avec des nouilles chinoises qu'il n'y aura qu'à ébouillanter. Une belle laitue, des grosses tomates, deux concombres.

C'est chargés comme des mulets que nous revenons à l'appartement. Chacun portant deux sacs pleins. Clémentine fait la salade. Je réchauffe les nems au crabe dans la poêle. Estelle verse l'eau bouillante sur les nouilles qui gonflent immédiatement. C'est un repas simple, d'une facilité déconcertante, probablement pas très nutritif mais bien nourrissant. Nous mangeons de bon appétit. << Ton défi du jour. Bite à l'air et branlettes. Trois fois minimum tout le long du parcours ! >> me fait Estelle en se levant pour s'assoir sur mes genoux. Nous rions.

La vaisselle avant de nous laver les dents. Nous restons habillés comme nous le sommes. Le thermomètre extérieur indique 28°. Le ciel est presque entièrement bleu. Le soleil y règne en maître absolu. Nous dévalons l'escalier. Dans le petit sac à dos que je porte, nectarines, brugnons, pêches, bouteille d'eau le remplissent. Nous prenons la direction prise ce matin pour le jogging. C'est là qu'il y a l'embranchement des chemins de randonnées à l'intérieur des terres. Lade Braes Walk est indiqué à gauche. Une dizaine de kilomètres sur terrain accidenté.

Le chemin est large. Nous y croisons moins de promeneurs. Le chemin devient rapidement sentier pour longer le Fife. Rivière aux eaux claires et tourmentées. Ce sont souvent des successions de cascades. Une fois encore Estelle fait le parallèle avec la rivière d'argent d'Huelgoat. C'est vrai qu'à certains endroits on y découvre un chaos de roches ressemblant à d'énormes galets. << Votre défi mon cher ! >> s'écrie Estelle en s'arrêtant devant moi. S'accroupissant elle descend la tirette de ma braguette. Je regarde dans toutes les directions.

Personne. Clémentine reste serrée contre mon dos, ses bras autour de ma taille. Me voilà avec la bite à l'air. J'ai toujours un léger sentiment de peur. Il faut rester doublement vigilants. Estelle se redresse, enfonce sa langue dans ma bouche en tenant mon sexe d'une poigne de fer. C'est au tour de Clémentine de m'embrasser avec fougue alors qu'Estelle, penchée en avant, suçote la peau fripée de mon prépuce. Des voix se rapprochent. Nous sommes à l'entrée d'une profonde forêt. C'est un petit groupe de randonneurs équipés comme pour un trekking.

C'est amusant car on les dirait sortis de "Tintin au Tibet". Nous rions de bon cœur en les suivant de loin. J'ai remballé ma bite par précaution car d'autres marcheurs se pointent. Nous traversons la rivière sur d'adorables petits ponts en dos d'âne. Construits en pierres de taille ils portent tous un nom. Un petit panneau indicateur en narre l'histoire. Époque médiévale et toujours aussi robustes. Là, sur celui-là, m'étant assuré qu'il n'y a personne dans les environs, je sors ma queue. Sous nos pieds le bruit du torrent. Ambiance mystérieuse et bucolique.

Il fait agréable à l'ombre des futaies car la chaleur est forte. Je me masturbe d'un geste lent et précis. Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite. Éloignées de quelques mètres, elles m'observent amusées. Même si nous sommes les plus intimes complices depuis plus de cinq ans, cette situation reste troublante. Je suis un peu gêné Mais c'est rapidement la plus divine des sensations. Surtout que ma branlette devient réelle. Je me branle comme un bienheureux. Les filles, sans se concerter, passent leurs mains sous leurs jupes pour se toucher.

Une fois encore, tous les trois, nous nous masturbons en regardant sans arrêt partout autour de nous. Les filles, de leurs mains libres, se tiennent à la margelle du pont. Cambrées sur leurs genoux fléchis, pieds écartés, elles se branlent en lâchant de profonds soupirs. Il faut cesser. Brusquement. Voilà un autre groupe de gens. Je remballe avec difficulté car avec mon érection démentielle ce n'est pas simple. Estelle se serre contre moi en disant : << J'adore quand vous relevez vos défis avec autant de panache ! >>. Nous en rions de bon cœur.

En continuant notre épique randonnée nous passons par des endroits aux charmes exquis. C'est une bonne initiative que d'avoir choisi ce circuit. Nous sommes quasiment toujours à l'ombre. Il y a les ruines d'une ancienne construction. Envahie par le lierre et les ronces qui en interdisent l'accès. Certainement un vieux moulin à aubes. La rivière passe en partie sous les restes de la maison. C'est impressionnant et effrayant. Des gens font des photos. Clémentine s'accroupit rapidement. Tout comme Estelle elle ne porte pas de culotte. Elle fait très vite.

Écartant ses cuisses à une vingtaine de mètres des touristes qui nous tournent le dos, elle se fait ainsi photographier par une des femmes qui ne se doute probablement de rien. Nous en rions de bon cœur en reprenant notre balade. Un sentier monte sur la droite. Il invite à la découverte. Je sors ma queue en suivant Estelle. Clémentine se touche en marchant, excitée par nos jeux. Nous arrivons au sommet d'une des collines. Là-bas, au loin, les toits d'ardoises des maisons de Saint Andrews. Nous sommes soudain en plein cagnard. C'est caniculaire.

Il y a d'anciens bunkers qui affleurent au ras des chaumes. Certainement des constructions défensives datant du conflit mondial de 39/45. << Wouah ! L'endroit idéal pour un orgasme en plein air ! >> s'écrie Estelle en se touchant. Nous en rions de bunker. Avec ce soleil et l'absence d'ombre, il n'en n'est évidemment pas question. Nous redescendons très vite pour retrouver la protection des épais feuillages. Nouvel arrêt. Nouvelle masturbation à trois. En nous regardant. J'adore voir mes deux anges se branler en se tenant aux tronc d'arbres.

Nous trouvons un endroit hors chemin. De la mousse, des rochers plats. Couchées sur le dos, mes deux anges m'offrent leurs chattes. Je peux lécher, pénétrer, embrasser. Nous baisons comme des fous. Parfois, de loin en loin nous parviennent les voix des promeneurs. C'est désagréable d'êtres les proies des moustiques. Il faut tout le temps les chasser de la main. Pas d'orgasme mais une montée graduelle de nos excitations folles. Tout le restant de la randonnée nous n'arrêtons pas de nous tripoter. Il est 18 h30 quand nous revenons en ville. Fourbus.

Nous nous mettons immédiatement en quête d'un restaurant afin d'y réserver une table pour la soirée. Tâche ardue et difficile. Nous nous y prenons trop tard. Tout est réservé partout. Le flot touristique est tel que c'est parfois un bain de foule dans les rues du centre. Il fait encore très chaud. Finalement, morts de faim, ce sont des fish & chips que nous savourons. Assis sur un muret qui surplombe le port de pêche. C'est agréable de manger en observant l'ambiance du lieu. << Je vais faire ma salope après la bouffe ! >> lance Clémentine. Nous rions.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines bien "allumées" qui vont s'offrir quelques frayeurs dans les recoins de la vieille ville, sur le port...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1974 - Écosse jour 41 -



Découvertes à Dundee

Hier matin, jeudi, il est presque huit heures. Nous sommes tirés de nos sommeils par les gémissements d'Estelle. Elle est encore serrée contre moi quand elle émet une plainte. << Encore mon maudit cauchemar ! >> murmure t-elle. Clémentine se blottit en disant : << Tu nous racontes devant un bon bol de café et des tartines ! >>. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Estelle reste accrochée à ma taille comme une naufragée à sa bouée. Elle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine me chevauche en riant.

En rejoignant Estelle à la cuisine, dans les suaves odeurs de café et de pain grillé, elle me saute au cou. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en écoutant Estelle nous raconter son cauchemar. Toujours le même. Cette fois nous l'aurions abandonné sur une colline perdue au milieu de nulle part. << Ce n'est pas drôle ! >> dit elle quand nous rions. << Tu verras, c'est toi qui finira par nous abandonner ! >> fait Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de la journée.

En fonction d'une météo chaude et bien agréable il est décidé de donner priorité à nos randonnées. Ce qui sera probablement encore le cas aujourd'hui. Dehors il fait beau. L'exacte réplique de hier. La vaisselle avant de se laver les dents, de se vêtir de nos tenues de sport. Nous dévalons l'escalier. Tante Margaret est déjà dans le jardin à s'occuper de ses rosiers. Nous bavardons un peu. Nous sommes invités à manger dimanche soir, dernier soir avant notre départ pour Édimbourg. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti sur le circuit habituel.

Une heure d'un jogging gratifiant et nous voilà de retour. Estelle sous la douche. Assise sur mes genoux Clémentine allume l'ordinateur. Deux messages. Celui de Julie qui nous annonce une probable nouvelle vente aujourd'hui. Celui de Juliette qui nous raconte une de ses journées Corse chez sa sœur à Sartène. C'est toujours Estelle qui répond quand elle revient. C'est à notre tour de passer à la salle de bain. Nous rejoignons Estelle qui lit à voix haute les réponses. << Pas de courriel de Gauvain pour moi aujourd'hui ! >> lance t-elle un peu triste.

Estelle et Clémentine portent leurs jupes jeans. T-shirt blancs. Je porte mon bermuda jeans et une chemisette blanche. Nous posons pour le selfie qu'Estelle joint à ses réponses. Il est dix heures. Pressés de filer nous préparons les sandwichs au pâté végétal. Tartex aux herbes et aux champignons. Des nectarines, des pêches et des brugnons dans un sachet étanche. Le tout dans le petit sac à dos que je porte. Nous dévalons l'escalier. Jack, le compagnon de tante Margaret est à bricoler dans le coffre de sa voiture. Nous bavardons un peu avec lui aussi.

Nous marchons le long des clôtures. Le même chemin qui mène à l'embranchement des différents itinéraires de randonnées. Il y a un autre circuit que nous nous promettons de faire depuis cinq ans. Saint Andrews Castle. Cette année plutôt que de rouler, de parcourir des kilomètres, nous privilégions l'exerce physique de la découverte. La direction indiquée nous mènera en bord de mer par une boucle qui longe la rivière. Il y a pas mal de gens, sac sur le dos, qui lisent les différents panneaux indicateurs. Estelle se frotte contre moi en soupirant.

<< Promis, vous ne m'abandonnerez pas sur le sommet d'une colline ! >> lance t-elle en posant effrontément sa main sur ma braguette. Clémentine qui se serre contre moi répond : << Promis ! >>. Nous rions de bon cœur en prenant le chemin du château. Il faut rester en plein soleil car l'itinéraire choisi est dépourvu d'arbres. Ça va. Il ne fait pas encore trop chaud. Mais Clémentine, qui a organisé la sortie, nous rassure : << Pour le retour on restera dans la forêt qu'on voit là-bas. En montant sur les ruines de Brian ! >>. Les secondes ruines.

Cette succession de journées de plus en plus chaudes nous ravit. Nous sommes encore loin de véritables canicules. Sauf peut-être entre midi et seize heures où ça cogne sévère. Le chemin est large. Nous approchons de la mer en contournant Saint Andrews que nous laissons sur notre gauche. Les ruines du château sont imposantes. Vue d'ici. Car lorsque nous y arrivons vers 11 h30, elles sont beaucoup moins impressionnantes. Quantité de touristes errent dans les murs de la citadelle. Mais ce qui est surtout étonnant ce sont les falaises proches.

Cette fortification faisait partie du système de défense tout le long de la côté Est. Il s'agissait de contenir l'envahisseur venu des terres de l'Est, par delà les mers. L'Écosse était alors au XIIème siècle, convoitée pour ses richesses. Le pays était couvert d'épaisses forêts verdoyantes. Ce n'est qu'après l'essor industriel du XIXème siècle que l'Angleterre voisine est venue piller les ressources pour les besoins de son économie. Transformant les paysages en ce qu'ils sont aujourd'hui. Sans replanter bien évidemment. Un pillage dans les règles. Du vol.

Estelle, qui n'arrête plus de me tripoter, nous entraîne sur le sentier qui surplombe les falaises abruptes. J'ai le vertige. Tout comme Clémentine. Nous n'osons pas regarder. Trente mètres plus bas les bruits assourdissants des vagues qui viennent se briser contre les rochers. << Votre défi cher monsieur ! Bite à l'air sur le tronçon qui part du mégalithe rocheux là-bas jusqu'aux ruines des maisons ! >> me fait Estelle. Je regarde. Il y a bien trois cent mètres et il y a des promeneurs. Je dis : << Tu n'y penses pas, c'est impossible ! Folie ! >>.

<< Quand on veut, on peut ! >> se contente t-elle de rajouter alors que Clémentine précise : << On choisi le bon moment et si on croise quelqu'un tu te serres dans mes bras ! >>. Estelle conclue : << Et voilà ! Pas plus difficile que ça ! >>. En disant ces mots elle s'accroupit pour descendre la tirette de ma braguette. Personne ne regarde par ici. Je sors ma queue. << Magnifique ! >> s'écrie Estelle en se redressant. Je n'en mène pas large. Une légère brise de la mer caresse ma virilité encore toute molle. Je reste à marcher en suivant Estelle.

Clémentine derrière moi qui pose parfois ses mains sur mes hanches. Il y a un groupe qui arrive. Estelle se retourne pour se serrer contre moi. Ces gens n'imaginent pas un seul instant que j'ai mon sexe qui pend de ma braguette largement ouverte. Mais le sentiment d'insécurité reste vif. Quelles sensations folles de jouer à ces jeux. << Tu te venges comment ? >> fait Estelle en me tirant par la queue pour reprendre notre marche. C'est moi qui l'attrape par sa natte comme par une laisse. Elle se retourne. Je glisse ma main sous sa jupe, entre ses cuisses.

Je dis : << Je me venge comme ça ! >>. Estelle ne lâche pas mon sexe en répondant : << Mais c'est parfait ! >>. Nous rions de bon cœur. J'ai relevé le premier défi de la journée. J'ai parcouru la distance avec la bite à l'air. << Ça mérite un câlin ! >> lance Estelle qui s'accroupit pour déposer une bise sur mon sexe. Nous sommes entre les ruines d'anciennes maisons de pierres. Il y a quelques visiteurs. Ils ne prennent pas garde à nos "activités de plein air". À chaque inquiétude Estelle me prend dans ses bras. Impossible de voir mon érection folle.

Il est presque midi. La faim commence à se faire sentir. C'est à l'ombre des ruines que nous savourons nos fruits, nos sandwichs. Ce qui soulage le poids du sac que je porte sur le dos. Nous mangeons de bon appétit. Mes deux anges, cuisses largement écartées, me font profiter de leurs chattes. Absence de culotte. Pour toutes les sorties de ce séjour, Estelle n'a pas porté une seule fois de sous vêtements. Imitant Clémentine. Tout en mangeant elle pointe souvent son index en direction de sa foufoune poilue. Une invitation que je saurai honorer.

La chaleur augmente. Nous prenons le sentier qui remonte vers les terres. Vers Brian, les ruines du second château. Elles se détachent sur le ciel bleu au sommet de la plus haute colline. Heureusement nous pénétrons dans les sous bois. Quelle soudaine agréable fraîcheur. Le sentier monte à flancs de collines sur quelques kilomètres. La plupart du temps à l'ombre des massifs forestiers. J'évolue le plus souvent avec la bite à l'air. Nous faisons des "arrêts branlettes". Tous les trois, cambrés sur nos genoux fléchis, nous nous masturbons. C'est divin.

Nous échangeons nos impressions en gémissant de plaisir. << Ça donne envie de faire des "trucs" ! >> lance Estelle. Il faut souvent cesser à cause du passage de touristes. Pour les filles c'est simple de laisser retomber la jupe. Mais pour moi il faut à chaque fois ruser. Combien de fois ne risquons nous pas de nous faire surprendre. Un plaisir supplémentaire. Voilà Brian. Citadelle défensive construite en 1250 pour surveiller la région. C'est vrai que la vue va jusqu'à la mer et jusqu'aux montagnes. Il y a plein de touristes. Et il fait très chaud au soleil.

Un nouveau défi que me lance Estelle. Je dois pisser dans un coin, au milieu des ruines. J'évalue la situation. Comment vais-je encore réaliser ce prodige. << Là-bas, entre les deux escaliers. Je ne vois que cet endroit ! >> rajoute Clémentine en palpant ma bosse. Elle aussi, sans la moindre discrétion. Ce qui attire l'attention de ces deux femmes qui prennent des photos des ruines. Je suis mort de trouille. Clémentine m'entraîne par la main en sortant la caméra su sac. << Je filme cette performance ! >> rajoute t-elle sous les rires d'Estelle.

Me voilà entre les deux escaliers. Il y a juste ma tête qui dépasse car les marches ne vont vers nulle part. Je tiens ma queue. Je bande mou. Clémentine filme à quelques mètres. Estelle vient me rejoindre. Elle saisit ma bite en regardant la caméra. << Pisse vieux pervers ! >> murmure t-elle. Je me concentre. Je commence à bander dur. Estelle contraint mon sexe vers le bas en le tordant. C'est presque douloureux. Impossible de pisser. Il faut cesser car des gens viennent par là. Assis à l'ombre des murailles, nous attendons le moment propice. Pro pisse.

Je n'en peux plus. Ça fait depuis le départ que je me retiens. C'est moi qui me lève d'un bond en saisissant la natte d'Estelle. Je l'entraîne ainsi entre les deux escaliers. Elle choppe ma queue qu'elle tient pour en diriger les jets. Clémentine nous contourne pour filmer la scène sous des angles différents. Quelle chance. Je peux me soulager totalement en recommençant à bander comme le dernier des salauds. Personne ne vient par ici. Estelle s'accroupit pour me sucer avec gourmandise. En gémissant. Clémentine filme tout en restant aux aguets.

Cette fois il faut cesser pour de bon. Ils sont une bonne vingtaine avec un guide. J'ai juste le temps de remballer. Nous en profitons pour écouter l'argumentaire. Ce château était un palais épiscopal. Un des célèbres prédicateurs protestants, George Wishart, a été emprisonné dans le donjon. Le corps du cardinal Beaton doit encore être enterré quelque part dans les ruines. Nous quittons le château pour reprendre en direction de Saint Andrews. Nous y arrivons pour dix huit heures. Fourbus. De nombreux "arrêts branlettes" nous ont bien fatigué.

Il faut se mettre en quête d'un restaurant pour ce soir. Un fois encore nous avons négligé de réserver une table. Fort heureusement nous trouvons un établissement pouvant nous accueillir pour 20 h. Ce ne sera pas un restaurant gastronomique. Plutôt du genre fastfood. Tant pis. Nous flânons dans les rues pavées du centre. Il fait moins chaud et les fraîcheurs du soir s'annoncent. Chaque recoin est prétexte à nos jeux de mains. Durant le retour j'ai léché du minou, je me suis fait tailler des pipes. Nous sommes donc dans un constant état d'excitation.

Il est huit heures quand nous savourons des nems aux crevettes, des nouilles chinoises. Morts de faim comme nous le sommes ce soir ce repas est étonnement bon. Avec en dessert des glaces aux crumbles. C'est très étudiant. Une ambiance de restaurant universitaire selon les dires de Clémentine. C'est en flânant longuement que nous prenons la direction de l'appartement. Sous les draps je déguste des minous aux saveurs insensées. Je passe de l'une à l'autre qui se masturbent en gémissant. Je les pénètre un peu. J'offre des orgasmes "nucléaires".

Bonne baise de fin de soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer la cramouille après avoir marché plusieurs heures...

Julien (spécialiste de l'éjaculation buccale)



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1975 - Écosse jour 42 -



Un après-midi sur l'eau

Il est huit heures hier matin, vendredi. C'est Estelle qui me tire de mon profond sommeil. Sa main lascive qui glisse sur ma poitrine. Doucement, pour descendre sur mon ventre, glisser dans mon slip et saisir ma tumescence. Quel doux réveil. Je passe mon bras autour de son épaule. Elle se serre fort. Clémentine, réveillée à son tour, vient se blottir en gémissant. Découvrant ce qu'Estelle tient déjà dans sa poigne ferme. Je suis entre mes deux anges. Nous venons ainsi doucement à la réalité. Estelle se lève d'un bond. << Pipi ! >> s'écrit elle.

Clémentine se couche sur moi pour mimer l'acte d'amour. Acte dont elle garde encore le délicieux souvenir de hier soir. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle dans les suaves parfums du café et du pain grillé. Clémentine met les bols, les couverts. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le vague bilan de la journée de hier. Ces randonnées découvertes que nous affectionnons tant. Cet été, nous privilégions cette formule. Et nous sommes loin d'en avoir vue qu'une faible partie.

Nous mangeons de bon appétit en examinant les diverses options qui pourraient occuper cette nouvelle journée. J'ai soudain une idée. Par association de pensées. Je suggère de louer un de ces bateaux sans permis. << Génial ! >> s'écrie Clémentine. << Superbe ! >> lance Estelle. Nous nous accordons tous les trois un rôle précis. Clémentine réserve une table dans un restaurant pour la soirée. Estelle fait la liste des courses. Je téléphone au port de plaisance. Une des agences de locations à probablement quelque chose à nous proposer. Il est 8 h30.

La vaisselle avant de nous laver les dents. Vêtus de nos tenues de jogging nous dévalons l'escalier. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. Le ciel est plus nuageux que ces derniers jours. C'est parti pour un running d'une heure le long du parcours habituel. Il est neuf heures trente quand nous revenons. Estelle investit la salle de bain la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Son premier réflexe, aller sur le site universitaire. Heureuse surprise, il y a enfin les date du concours au Doctorat.

Les épreuves se dérouleront du mercredi 12 octobre au vendredi 14 octobre pour reprendre juste le lundi 17 octobre. Folle de joie Clémentine me couvre le visage de bisous. Nous avons un courriel de Julie qui nous annonce sa treizième vente. Posant fièrement entre les deux acquéreurs néerlandais sur une photo jointe. Estelle vient nous retrouver vêtue de sa jupe kaki, d'un T-shirt brun. Elle saute de joie en chantant en apprenant les dates. Elle nous entraîne dans une farandole folle en improvisant des paroles absurdes sur un air de comptine.

C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Clémentine porte une jupe carmin, un T-shirt kaki. Je suis en bermuda kaki et en chemisette moutarde. Nous rejoignons Estelle doublement heureuse. Gauvain, le collègue étudiant lui adresse un courriel où il joint toujours deux clichés. Ses mails deviennent presque quotidiens. << N'est-ce pas une preuve supplémentaire de l'intérêt que te porte ce garçon ! >> lance Clémentine. Je rajoute : << Quand je suis amoureux, je fais exactement pareil ! >>. Estelle se lève pour nous embrasser en chantant.

Il est dix heures quinze. Nous descendons l'escalier. Nous marchons le long des clôtures, direction Saint Andrews à dix minutes. Il y a des séquences ensoleillées alternant avec de courtes périodes nuageuses. Rien d'inquiétant toutefois. Ayant pris connaissance des dates de leurs concours d'admission au Doctorat, mes deux anges m'entourent en sautillant. J'aime les voir heureuses, insouciantes. Estelle s'arrête brusquement devant moi. Palpe ma braguette. Puis repart en virevoltant. Nous arrivons en ville. Dans le petit sac à dos quelques sachets.

D'abord la supérette Tesco. Il faut des fruits. Des barres de céréales. Des pavés de saumon pour midi. On va à la facilité. Nous achetons des patates précuites. Une grosse laitue prélavée en sachet. Il faut du pain à la boulangerie. On prend une belle brioche au pudding. Sur le chemin du retour, en passant devant un restaurant, Clémentine suggère de réserver dans celui-ci pour ce soir. Nous y entrons. Le personnel est entrain d'achever la mise en place. De belles nappes de couleurs sur des tables rondes. << C'est mignon comme tout ! >> lance Estelle.

Notre table est réservée au Haar Restaurant pour ce soir 20 h. Nous marchons d'un bon pas. Il est presque midi quand nous revenons. Devant l'ordinateur, Clémentine consulte les différentes agences de locations de bateaux. Estelle réchauffe les pommes de terre. Je fais rissoler les beaux pavés de saumon dans la poêle avec ail, oignon et champignons noirs. Pendant qu'Estelle remue les patates sans arrêt pour éviter qu'elles ne collent, je prépare l'assaisonnement de la salade. Nous écoutons Clémentine passer plusieurs appels téléphoniques.

Elle nous rejoint en sautillant pendant que nous dressons la table. << C'est OK, c'est tout bon. On a un bateau. 180 euros pour quatre heures. Sans l'essence et sans l'assurance. Mais il faut être au port pour 13 h45 ! >> précise Clémentine. Nous mangeons de bon appétit sans traîner. Nous avons une chance extraordinaire. Des touristes danois se sont désistés ce matin. Nous faisons la vaisselle avant de nous laver les dents. Dans le petit sac à dos que je porte, des fruits, des barres de céréales, les K-ways, deux bouteilles d'eau gazeuse. Parfait.

C'est avec la voiture que nous nous dirigeons vers le port de plaisance. Dix minutes dans une circulation plutôt fluide jusqu'au port. Là, les choses se compliquent. L'affluence touristique étant ce qu'elle est. Je gare la voiture dans une des ruelles à dix minutes. Il est déjà 13 h30. Nous courons presque. Ouf. Il est 13 h40. La jeune femme de l'accueil enregistre nos identités. Il faut remplir les formulaires, verser une caution en espèce. 600 euros. L'employée nous invite à la suivre. Il y a plein d'autres clients qui arrivent. Notre bateau blanc nous attend.

C'est un bateau à moteur aérodynamique. D'environs quatre mètres sur deux. Un poste de pilotage, des banquettes. Le tout en plastique moulé. L'embarcation se pilote à la façon d'une voiture. Un tableau de bord, un volant. J'ai déjà pratiqué ce genre de "conduite". Les clefs. La dame nous souhaite bonne promenade en nous rappelant qu'il est strictement interdit de sortir de l'estuaire. Interdiction absolue d'aller en mer. Il faut longer la côte pour entrer dans le Fife. L'estuaire fait tout de même une trentaine de kilomètres. Il y a là de quoi s'amuser.

Me voilà au volant. Le pilotage est d'une facilité déconcertante. Il faut s'habituer au maniement des commandes. Louvoyer à vitesse réduite entre les bouées fluorescentes. Le vent du large rafraîchit légèrement l'atmosphère. Une dizaine de kilomètres à vitesse réduite dans une légère houle. Je demande à Estelle qui est sujette au mal de mer si tout va bien. << Tout baigne ! >> lance t-elle. Il faut parler fort. Même si le moteur est silencieux, le bruit que fait le bateau sur l'eau est assez bruyant. Estelle et Clémentine m'entourent pour observer.

Elles me tiennent par la taille, par les épaules. Je suis confortablement assis. Elles sont debout. Voilà l'entrée de l'estuaire. Nous croisons d'autres embarcations identiques à la nôtre. D'autres touristes qui font les plaisanciers. Nous nous saluons souvent en passant à une dizaine de mètres les uns des autres. Je propose à Clémentine de s'installer au volant. C'est sa toute première expérience. Elle se débrouille plutôt bien. Accélérateur aux pieds tout comme la pédale des freins. << C'est comme une bagnole ! J'adore ! >> s'écrie t-elle en accélérant.

Estelle et moi, cheveux aux vents nous humons l'air marin à pleins poumons. Nous n'avions pas prévu les embruns. Surtout aux virages assez serrés que s'amuse à prendre Clémentine. Nous enfilons les K-ways. Sur l'eau et avec la vitesse, il ne fait pas trop chaud. C'est au tour d'Estelle de prendre le volant. Que d'émotions en passant à proximité des grands bateaux de croisières. Estelle comprend très vite le maniement d'un bateau à moteur. Elle aussi s'amuse à prendre des virages serrés. Nous ne sommes pas seuls, il faut êtres très prudents.

À vitesse réduite nous longeons les terres. << Là-bas ! Put-hein le "plan" d'enfer ! >> lance Clémentine qui monte sur la banquette pour s'y accroupir. Estelle s'approche lentement. Il y a un pêcheur à la ligne. Il pêche certainement des bars. Il y en a beaucoup dans les eaux de l'estuaire. Nous passons à une vingtaine de mètres de sa barque. Il découvre cette jeune fille accroupie, cuisses largement écartées, qui se tient à la rambarde. Clémentine s'offre les frissons d'une exhibition de très haute voltige. Le type ouvre de grand yeux, fait signe de la main.

Il n'a probablement jamais vu une chatte aussi poilue, exhibée avec tant d'aplomb par une sublime jeune fille souriante. Je bande presque instantanément. Estelle stop le moteur. Le bateau se balance doucement. Il y a du courant. La situation ne doit pas perdurer. Nous ne sommes pas des virtuoses du pilotage sur l'eau. Estelle me sort la bite. Clémentine reste ostensiblement dans cette position. Notre pêcheur, la quarantaine, comprend qu'il a affaire à une merveilleuse exhibitionniste. Une salope de toute première qualité. Il semble consterné.

Estelle me lâche le Zob pour venir s'installer dans la même position aux côtés de Clémentine. Je m'assois au volant, prêt à démarrer mais surtout pour stabiliser l'embarcation en rallumant le moteur. Je regarde l'attitude du voyeur involontaire. Un bar pourrait mordre à l'hameçon que cela laisserait probablement notre homme d'une indifférence abyssale. Et en évoquant les abysses, il doit bien y avoir trente mètres de profondeur près de la rive rocheuse. Personne d'autre ne peut distinguer ce que font les deux filles. Clémentine se masturbe lascivement.

Je suis certain que si je n'étais pas présent, le type aurait une attitude différente. Il est probable que je gêne. << Mais il faut bien un pilote dans l'avion ! >> comme le fait remarquer Estelle qui se concentre pour pisser comme le fait Clémentine. Notre pêcheur a posé sa canne. Les bras ballants, il regarde ce spectacle comme ahuri. Les filles pissent devant cet inconnu. Pas plus d'une vingtaine de mètres nous séparent de la rive. Je dois sans cesse donner un petit coup d'accélérateur pour éviter tout danger d'être poussé vers les rochers. Courant.

Notre pêcheur reste totalement silencieux. Pantois il se contente d'observer ce qu'il ne verra probablement plus jamais dans son existence. Il faut cesser. Un autre bateau du même genre arrive. << Mais pourquoi qu'il vient nous faire chier ici ce con ! Put-Hein l'estuaire fait bien cinq kilomètres de large ! >> s'écrie Clémentine. << Le con ! >> lance Estelle. C'est une famille de Simpson, riant comme des déments, qui passe à proximité. L'œil bovin, crétinisés par leur activité. Estelle et Clémentine se réajustent avant de s'assoir sur la banquette. On s'en va.

Lorsque nous repassons une demi heure plus tard, il n'y a plus de pêcheur. << Il est parti se branler le pauvre ! >> fait Estelle. << Il faut dire qu'on n'a pas ménagé son cœur ! >> rajoute Clémentine. Il n'y a pas d'autres opportunités de nous amuser. Clémentine est assise au volant. Estelle, à genoux entre mes jambes, me taille une pipe. C'est invisible depuis les autres bateaux. Puis c'est Clémentine alors qu' Estelle pilote. Je ne touche plus au volant jusqu'au retour à l'embarcadère. Nous récupérons la caution. Il est 18 h. Flâneries sur le port.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se sont offertes de toutes nouvelles sensations avant de savourer des avocats farcis au crabe...

Julien



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C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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D'avance MERCI...

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Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1976 - Écosse jour 43 -



Une dernière randonnée dans les environs de Saint Andrews

Hier matin, samedi, il est huit heures quand nous nous réveillons. Tous les trois quasiment en même temps. << Je dois avoir de ces cernes sous les yeux avec ce qu'on a encore fait hier soir ! >> lance Estelle qui empoigne mon érection naturelle. << Fais voir ! Non, pas du tout ! >> fait Clémentine. Je dis : << À votre âge on récupère vite ! >>. Nous rions aux éclats. Je suis entre mes deux anges qui me couvrent le visage de bisous. Je glisse mes mains dans les culottes afin de démêler quelques poils. Estelle n'en pouvant plus se lève d'un bond. Pressée.

<< Pipi ! >> s'écrie t-elle en courant vers la porte. Clémentine me chevauche en frottant son sexe sur le mien. << C'était superbe hier soir avant de dormir ! >> murmure t-elle avant de m'entraîner par la bite. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. L'odeur du café parvient jusqu'ici. Morts de faim nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Entrain de se battre avec les tranches éjectées par le grille pain. Je presse les oranges, je pèle les kiwis pendant que Clémentine met les bols, les couverts. Une belle brioche nous attend au milieu de la table.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre équipée de hier après-midi. Une virée en bateau à moteur. << Trop génial ! Vous vous rappelez la gueule que faisait le pêcheur ! >> lance Estelle. << Avant ou après qu'on pisse devant lui ? >> demande Clémentine. Nous éclatons de rire. Je dis : << En tous cas, un "plan" comme ça, c'est à refaire ! >>. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme du jour. En regardant par la fenêtre nous constatons que les conditions météos sont sensiblement les mêmes que hier. Parfaites.

Ce sera une randonnée raisonnable. Clémentine, en consultant son téléphone, propose d'aller sur Cockshaugh Parc et puis de revenir par East Sands, au bord de la mer. Environs quatre heures de marche sur un parcours magnifique. Elle nous montre les photos. << Super ! >> fait Estelle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle et nous laver les dents. Vêtus de nos shorts en lycra noir, de nos T-shirts en lycra rouge, nous dévalons l'escalier. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. C'est parti pour notre heure de running.

Il est neuf heures trente. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Son premier réflexe est d'aller sur le site universitaire. Elle veut revoir les dates du concours d'admission au Doctorat. Les dossiers ont été constitués en avril, la somme de 380 euros versée sur un compte. Il ne reste plus qu'à passer les épreuves. << Je suis donc en vacances jusqu'au 12 octobre ! >> lance t-elle. Je réponds : << Et si on se faisait un autre petit voyage ? Hors saison touristique, début d'automne. On serait peinards ! >>.

<< Oh oui ! >> s'écrie Clémentine en changeant de position pour me chevaucher. << Tu m'emmènes où ? >> continue t-elle. Je murmure : << Qu'aimerais-tu voir ? >>. Elle propose d'y penser durant la semaine prochaine. Nous serons tous les deux seuls à Édimbourg. Estelle passant quelques jours avec ses parents à Drumnadrochit près du Loch Ness. Nous avons deux messages. Celui de Juliette qui nous raconte ses randonnées équestres en Corse. Celui de Julie qui nous raconte sa journée. Estelle revient vêtue de la même jupe que hier. T-shirt clair.

C'est à notre tour d'investir la salle de bain. << Ça me rand folle amoureuse nos projets, tu sais ! Et juste nous deux ! >> me dit elle en s'essuyant. Nous sommes vêtus dans les mêmes tons pour rejoindre Estelle. Elle nous lit ses réponses à voix haute. Aujourd'hui, pas de courriel de Gauvain. Le collègue étudiant est occupé. Coach sportif à Los Angeles durant juillet et aout, il a fort à faire. Il est dix heures. Clémentine prépare les sandwichs au fromage aux Morbier, au saint-Nectaire. Rondelles de tomates, cornichons, olives noires à la grecque.

Le tout soigneusement enveloppé dans des feuilles d'aluminium alimentaire. Dans le petit sac à dos Estelle rajoute des pêches, des nectarines et des brugnons. Je rajoute trois petits avocats bien mûrs. La grande bouteille d'eau. Pour notre escapade de la journée nous pouvons éviter de prendre l'auto. Pressés de filer nous descendons l'escalier à toute vitesse. Nous tombons sur Tante Margaret et Jack. Ils s'apprêtent à partir en ville pour faire les courses. Nous bavardons un peu. Il nous est rappelé que nous sommes invités ce soir au repas.

Nous n'oublions pas. Ce repas sera la conclusion de ce séjour de deux semaines dans ma famille. C'est parti. Nous longeons les clôtures. Dans les pâturages des vaches nous regardent passer. Elles ont des cornes gigantesques et de longs poils. Beaucoup moins peureuses que leurs homologues européennes elles se laissent volontiers caresser. Bien plus curieuses des attentions humaines à leur encontre. Il faut monter jusqu'au croisement des chemins. Il y a de nombreux randonneurs. Sac sur le dos. Comme nous ils lisent les panneaux indicateurs.

Estelle, accrochée à moi, me palpe la braguette. Elle est de moins en moins discrète. Comme si c'était la chose la plus normale du monde. Aussi, pour éviter de se faire repérer dès le début du périple, je saisis son poignet pour qu'elle cesse. << T'es vilain ! >> lance t-elle. Adorable. Je dépose une bise sur son front. << Et moi ! >> fait Clémentine en se serrant. Bien évidement notre trio attire déjà l'attention. Non. Je ne suis pas le papa des deux sublimes jeunes filles accrochées à ma taille, à mes épaules. Notre itinéraire est très bien indiqué.

Nous prenons le chemin de droite qui monte vers les collines verdoyantes. Les nombreuses séquences ensoleillées offrent les plus exquises déclinaisons de verts. Il ne fait pas trop chaud. Le thermomètre extérieur indiquait au départ 23°. Il n'est que onze heures. Le chemin devient sentier. Il serpente entre des frondaisons de toutes beautés. Dans les trouées ont aperçoit Saint Andrews en contre bas. Nous croisons nombre de marcheurs. Ce sont souvent de petits groupes de quatre ou six personnes. Il faut parfois céder la place en se serrant.

<< Votre premier défi de la journée, cher monsieur, sera de parcourir cent mètres en érection. Votre bite fièrement dressée vers les nuages ! >> me fait Estelle en se retournant pour bloquer la marche. Tout en empoignant ma braguette d'une main vigoureuse. Clémentine qui est derrière moi, passe ses bras autour de ma taille pour préciser : << Le second défi sera de vous masturber dans un endroit à risques ! >>. Nous rions aux éclats. Il y a un pont fait de rondins. Il surplombe un précipice d'au moins vingt mètres. Il tremble de toutes ses membrures.

C'est impressionnant. Il doit s'étendre sur une bonne cinquantaine de mètres pour arriver devant un escalier taillé dans la roche. Des gens se prennent en photos. Nous montons les marches raides et vertigineuses. En arrivant sur un terre plein, la vue s'étend soudain sur toute la plaine, jusqu'à la mer scintillante. Il y a des bancs, des tables. Mais pas une seule place. Morts de faim, nous descendons nous installer sur une plateforme rocheuse sécurisée par des barres métalliques. Assis contre la paroi, les pieds calés contre la rambarde, nous mangeons.

<< Sandwichs chauds à toute heure ! >> fait Clémentine en montrant le sien dans le fromage a tendance à couler. Comme les nôtres. Les avocats en entrée sont un délice. Il y a parfois des gens qui passent à proximité. Nous restons là une bonne demi heure. La vue sur l'estuaire est magnifique. C'est là-bas, hier après-midi, que nous avons fait du bateau. Par association d'idées Estelle en revient à leurs exhibitions devant ce pauvre pêcheur. Quand elles ont pissé à une vingtaine de mètres devant ce type qui ouvrait de grand yeux. Rires.

<< Je veux refaire ! >> rajoute encore Estelle. << Découvrirais-tu les joies de l'exhibe ? >> lance Clémentine. << Oh mais une petite exhibe, bien inaccessible, de temps en temps, n'est pas pour me déplaire ! >> s'écrie Estelle en posant sa main sur l'intérieur de ma cuisse. Montant subrepticement pour se faufiler sous mon short. << Tu ne nous a pas encore montré ta bite aujourd'hui ! >> me dit elle. Nous rions de bon cœur. << Moi, j'exige de la voir dans les dix minutes ! >> fait Clémentine. Nous nous levons. Nous prenons soin de ne rien oublier.

Il faut redescendre un sentier très escarpé. Il reste à flanc de collines en traçant des méandres qui paraissent sans fin. C'est magnifique. Un arrêt pipi s'impose. Nous quittons le sentier. Il y a une sorte de ravin sur notre droite. Des ronces. D'épais fourrés qui nous cachent depuis le sentier. Je tiens le rouleau de papier cul que nous avons au fond du sac. Je suis accroupis derrière mes deux pisseuses. Elles ne portent pas de culottes. Très pratique pour pisser à l'improviste. J'adore passer mes doigts dans les raies culières. Avec la sueur c'est moite, humide.

C'est donc au moment crucial que j'enfonce mes index. << Salaud ! Enculeur de fille ! >> lance Estelle. Comme à chaque fois que je pratique cette sodomie digitale, les jets décuplent de puissance. Mais c'est celui de Clémentine qui reste le plus impressionnant. Il vient se briser à quatre ou cinq mètres devant elle lorsqu'elle se cambre. Un jet qui tombe dans le ravin. Je torche mes deux anges. C'est à mon tour. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Je bande mou. Clémentine, accroupie, en tient la base juste entre son pouce et son index.

Son visage à quelques centimètres. À chaque fois que j'arrête de pisser, Estelle lui tend ma queue. Clémentine la gobe pour la sucer en faisant : << Mmmhhh ! >>. Estelle qui déteste la frustration s'accroupit pour en avoir aussi. Je bande rapidement comme le dernier des salauds. Ce qui met provisoirement fin à mes épanchements. Il faut cesser. D'autres promeneurs sont certainement tourmentés par les mêmes besoins de se soulager. Aussi, il est préférable de mettre un terme aux dégustations de mes assoiffées. Passionnées de jus divers.

Il est 15 h30 quand nous quittons le parc des collines. Le ciel se voile pour devenir laiteux. Mais il fait bien plus chaud. Pour réaliser mon défi, je sors ma bite sur un tronçon désert. À l'ombre des résineux, il est très facile d'être caché aux regards éventuels. Ce sont bien cinq cent mètres que je peux franchir avec la queue qui pend de ma braguette. Estelle et Clémentine sautillent devant moi en faisant les clowns. Je m'arrête souvent pour agiter mon sexe dans leurs directions. Je bande mou. "L'hélicoptère" les fait rire aux éclats tout en applaudissant.

Prudence. Deux autres chemins s'annoncent. Des itinéraires de grandes randonnées. On arrête de déconner. Je remballe juste au bon moment. Plusieurs groupes lisent les panneaux indicateurs. Nous bifurquons pour prendre le sentier qui va vers la mer. East Sands est un endroit de légendes. Il y a là les ruines d'une citadelle. La falaise presque verticale donne sur des flots agités et bruyants. Nous entrons dans les ruines. Comme toujours cette attraction touristique est soigneusement entretenue. Il y a quelques recoins qui sont plutôt attirants.

Ces restes de fortifications ne sont pas grands. Si on est courageux et pas sujet au vertige, on peut les contourner côté mer, au-dessus des falaises. << Venez, il y a un "plan" ! >> lance Estelle en nous montrant le sentier qui descend. Personne. C'est un sentier taillé dans la roche. Une rambarde métallique le sécurise. J'ai le vertige. Le vent du large. Je ferme les yeux, Clémentine tout contre moi en proie aux mêmes affres. La main d'Estelle palpe ma bosse. Elle chuchote : << Alors, on fait moins le fier, hein ! >>. Je n'ose pas ouvrir les yeux.

Clémentine m'entraîne pour remonter. Estelle nous suit en gardant sa main entre mes cuisses. En haut, je respire un grand coup. Que d'émotions sur ces falaises ! Personne. Là, dans une anfractuosité des murailles, je sors ma bite. Je l'agite en la faisant tournoyer. << C'est une bonne thérapie contre le vertige ? >> demande Estelle, espiègle et mutine. Elle s'accroupit en écartant ses cuisses. Clémentine passe derrière moi, ses bras autour de ma taille. Je bande peu à peu. Estelle regarde dans toutes les directions. Personne. Je me masturbe.

J'y prends rapidement un plaisir fou. Clémentine, sur la pointe des pieds, derrière moi, me fait des bisous dans la nuque. Estelle se touche en m'observant. Elle reste toutefois vigilante. Des voix parviennent souvent jusqu'à nous. Je me branle. C'est superbement bon. À environs deux mètres devant moi, Estelle tombe à genoux en se tordant de plaisir. Elle aussi se masturbe avec joie. Il faut cesser. Estelle vient probablement de se faire surprendre car elle se lève d'un bond. Je remballe tout aussi rapidement. Ce sont des touristes. Une dizaine.

Nous contournons la muraille pour revenir dans la cour du château. Le gazon y évoque une moquette de la plus haute qualité. Un vrai green de golf. Nous l'avons échappé belle. Nous quittons le lieu. Ce n'est plus tellement l'envie de la découverte qui guide nos pas. Il est impératif de trouver un endroit pour nous livrer à nos douces turpitudes. Surtout que Clémentine ne cesse plus de se toucher, trop excitée par nos jeux. Nous avançons à présent à terrain découvert. Pas le moindre petit recoin susceptible d'abriter nos déviances. C'est très frustrant.

Tant pis. Il est dix heures quand nous arrivons sur les hauteurs du port. Il y a un monde fou. Ce qui tempère nos humeurs fébriles, ce sont ces délicieux cônes glacés que nous savourons en prenant le chemin de la maison. Il est 19 h30 quand nous arrivons. Fourbus, mais tellement heureux. Le temps de nous changer. Nous descendons faire honneur au repas qui nous attend. Dernière soirée à Saint Andrews. Demain matin nous partons rejoindre les parents d'Estelle sur la rive Est du Loch Ness. Nous y passerons la nuit pour repartir lundi matin.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui adorent les émotions fortes que procurent les formules très spéciales de nos randonnées...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1977 - Écosse jour 44 -



Nous rejoignons les parents d'Estelle à Drumnadrochit

Hier matin dimanche il est presque neuf heures. Je suis tiré de mon sommeil par la main d'Estelle qui parcourt ma poitrine, mon ventre. Toute la nuit elle est restée contre moi. À mon oreille elle chuchote : << Ne m'abandonne pas ! >>. Je passe mon bras autour de son épaule pour la serrer. Clémentine se réveille à son tour pour venir se frotter. Je suis entre mes deux anges qui se blottissent. Mon érection matinale et naturelle dans la poigne de Clémentine juste avant qu'Estelle ne veuille s'en saisir. Nous rions de bon cœur. Distribution de bisous.

Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine se frotte contre ma hanche. Une cuisse sous mes fesses, l'autre sur mon ventre. Accrochée à moi en me câlinant. << Viens ! >> me fait elle en m'entraînant par la queue jusqu'aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans les douces effluves du café, du reste de brioche dans le four à micro ondes et du pain grillé. Estelle me saute au cou, s'écriant : << Je suis tristounette. Vous allez m'abandonner toute une semaine ! >>. Clémentine dit : << Tu es avec tes parents ! >>.

Je la rassure en demandant : << Ça fait combien d'années que tu n'as plus passé quelques jours avec eux ? >>. Elle répond : << Oui, je sais, c'est vrai. Ça va leurs faire tellement plaisir ! >>. Elle palpe ma bosse au travers le tissu de mon slip. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le programme de la journée. Il y a deux cent cinquante kilomètres qui nous attendent aujourd'hui. C'est dimanche. Ici aussi, en Écosse, il y a le fameux chassé croisé du 14 aout. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine établit l'itinéraire le plus judicieux.

Le dimanche, pas d'entraînement. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, mes deux anges évoquent nos aventures de hier. Cette année, pour ce séjour écossais, nous avons privilégié les découvertes pédestres. Le bilan est gratifiant. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Il faut ranger nos affaires, retirer les draps, préparer les valises. Chacun s'affaire avec méthode. L'efficacité de la rigueur. Nous n'arrêtons toutefois pas de consoler Estelle. De lui déposer de délicats bisous sur le front, sur les joues.

Il est onze heures. Nous descendons nos bagages pour les mettre dans le coffre de la voiture. La météo est sensiblement la même que hier. De belles séquences ensoleillées qui durent de plus en plus longtemps. Nous rentrons pour aller remercier ma famille. Discrètement je tends une petite enveloppe jaune à Tante Margaret. Nous nous reverrons pour un dernier dîner de famille chez oncle Alan à Édimbourg avant notre départ. Nous nous saluons sur le haut du perron. Ils nous regardent partir en agitant la main. Leurs cœurs se serrent certainement aussi.

Estelle et Clémentine sont en robes d'été. Aux teintes mauves. Je suis en bermuda et T-shirt crème. Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. Assise à l'arrière, Estelle me caresse le cou. Nous prenons la direction de Perth. Le paysage est riche de pâturages. De plus en plus souvent à flancs de collines. J'écoute les filles parler de leurs études. Des deux années qu'elles vont consacrer à la préparation de leurs Doctorats. Nous arrivons à Perth. Ça roule plutôt bien. La circulation redoutée reste fluide. Des conditions idéales.

C'est à la sortie de Perth que nous nous arrêtons sur le parking d'un restaurant. Il est presque treize heures. Il reste des tables. Nous sommes à l'extérieur de la ville. Moins de gens. C'est devant des plateaux de fruits de mer que nous savourons ce délicieux repas. Estelle a retrouvé son optimisme. La perspective de passer quelques jours avec ses parents semble à présent la ravir. Ils se sont téléphonés presque tous les jours depuis qu'Yvan et Michèle sont arrivées en Écosse. Eux aussi ont rationalisé leur séjour pour en découvrir un maximum.

Une visite aux toilettes. Estelle m'y entraîne la première par la main. Sous quelques regards interrogateurs. Enfermés dans un des cabinets des toilettes hommes, nous procédons à nos rituels pisseux. Puis c'est au tour de Clémentine de m'y emmener. L'addition. C'est reparti. Ça roule très bien. Voilà Dunkeld, puis Blair Atholl. Il est seize heures quand nous arrivons à Dalwhinnie. Charmante petite ville médiévale. Un arrêt pipi s'impose. Nous stationnons sur le parking d'un beau château à visiter. Il y a un monde fou. Nous prenons le chemin qui monte.

Tout autour de nous les hauts sommets des Glenn Coe. Le château est parfaitement restauré. Il a servi de nombreuses fois à l'industrie du cinéma. Le décors parfait pour des sagas historiques mais également pour un "James Bond". Ce qui est relaté sur un des panneaux d'information. Il n'est pas question d'aller visiter la forteresse. Il faut juste trouver un endroit pour pisser. Un sentier descend vers une cascade indiquée à quelques centaines de mètres. Il y a des touristes sur le pont en bois qui surplombe le tumulte des eaux de la chute.

C'est là, à droite, que nous descendons encore. Personne. On ne peut pas nous voir du pont. << Un mec ! >> lance Estelle. << Parfait ! >> fait Clémentine en s'accroupissant la première. L'homme est de l'autre côté du torrent. Il ne nous a pas encore vue. Estelle reste dans mes bras. Nous sommes cachés derrière les fourrés. L'inconnu voit Clémentine. Cuisses largement écartées, mains posées sur les genoux, accroupie bien droite, qui le fixe. Elle porte ses lunettes noires. Grand moment d'une superbe exhibe. Le type n'est qu'à vingt mètres.

La vue est parfaite. Il admire le spectacle à la façon d'un esthète. Je le comprends. Clémentine nous tourne le dos. Rien ne m'excite davantage que cette situation. Nous ne savons pas si elle pisse mais le mec là-bas le sait. Il prend une photo. Puis une seconde. Il fait un signe amical de la main. Signe auquel Clémentine répond en levant la sienne. Cela dure jusqu'à la crampe. Clémentine se relève juste avant. Personne ne vient ici. Elle vient nous rejoindre. << À moi ! >> dit Estelle en se précipitant pour s'accroupir exactement au même endroit.

L'inconnu doit probablement croire qu'il hallucine. Voilà la sœur jumelle de l'autre fille qui vient pisser. Même situation. Estelle reproduit exactement les mêmes gestes. Clémentine me masturbe doucement. Nous rions de bon cœur de notre farce. Le mec prend des photos. << Il en aura de beaux souvenirs le bougre ! >> murmure Clémentine en passant sa main libre sous sa robe. Elle nous masturbe tous les deux. Estelle vient nous rejoindre en sautillant. Contente de sa plaisanterie. Nous retournons à la voiture. Je dois y relever mon défi de la journée.

C'est contre l'arrière d'une caravane que Clémentine m'entraîne. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets contre un muret. Nous n'avions pas vu la jeune fille assise un peu plus loin. Elle consulte l'écran de son téléphone. Elle regarde soudain par là. Elle a un sourire d'étonnement. C'est éminemment rassurant pour une jeune fille de voir deux autres filles de son âge entrain de s'amuser avec un homme d'âge mûr. Ce n'est certainement pas leur papa à qui elles tiennent la super bite en riant. Je lève la main pour lui adresser un geste amical.

Estelle et Clémentine font pareil. La jeune fille lève sa main pour répondre. En nous adressant le plus merveilleux des sourires. Comme les exhibes dans ces conditions sont simples et faciles ! Je termine de pisser par petits jets réguliers. Scintillants d'éclats dorés sous le généreux soleil. Pudiquement la belle inconnue s'éloigne. Estelle et Clémentine, accroupies, se refilent ma queue. Je bande. Il faut songer à reprendre notre route. Voilà Spean Bridge. Clémentine joue avec ma queue. Lorsque je suis excité elle suinte de foutre. Clémentine qui se régale.

Estelle insiste pour venir devant. Il est évidemment hors de question de prendre un tel risque. Non pas pour la conduite mais pour les contrôles assez nombreux d'une police omniprésente en ce week-end de chassé croisé. Voilà Fort William. En traversant ces villes, c'est à chaque fois une perte de temps. Il faut longer le Loch Ness par l'A82. La large route touristique. Ce qui réduit considérablement notre moyenne. La circulation est dense. << Ils veulent tous voir le "monstre" ! >> lance Estelle qui passe son bras entre les sièges avant.

C'est ainsi qu'elle arrive à attraper ma queue. Elles me la tiennent toutes les deux en riant. << Elle tient parfaitement entre les mains d'honnêtes femmes ! >> lance Clémentine. C'est vrai que mes vingt centimètres permettent à deux mains de bien la saisir. Il faut prendre à gauche à une dizaine de kilomètres au Sud Est d'Inverness. En direction de Glen Urquart, ce massif montagneux couvert d'épicéas hauts et sombres. Il est dix huit heures trente lorsque nous arrivons à Drumnadrochit. C'est à la sortie du bourg que Michèle et Yvan ont loué.

C'est un ravissant petit cottage blanc. C'est d'un romantisme fou. Il faut franchir un portillon, s'avancer dans l'allée et se garer près d'un puits blanc. La petite maison est blottie contre une paroi rocheuse qui semble faire corps avec ses murs. Yvan et Michèle viennent à notre rencontre. C'est insolite et étrange de nous revoir ici, en Écosse. Estelle se précipite dans les bras de son papa. Puis dans ceux de sa maman. C'est émotionnel. Magnifique. Michèle nous fait trois bises. Yvan ne les fait évidemment qu'à Clémentine. C'est un moment de joie.

Estelle reste au bras de son papa. Ses parents nous font visiter la propriété. Ils sont là depuis le lundi premier aout. Michèle tient le bras de Clémentine. Nous entrons dans la petite demeure. C'est d'un charme fou. D'un romantisme exacerbé. Le cadre idyllique pour y passer un beau séjour. << On revient en soirée après avoir bourlingué toute la journée. Si vous saviez comme c'est bien ! >> lance Michèle. Je la regarde discrètement. Une fois encore la ressemblance avec Estelle la ferait passer pour sa grande sœur plutôt que pour sa maman. Belle.

<< On s'est fait des amis avec des gens du voisinage ! >> précise Yvan. << Voilà votre chambre ! >> lance Michèle en ouvrant une étroite porte au fond d'un étroit couloir. Il y a un lit, une table de nuit, une chaise. Cette pièce doit faire trois mètres sur quatre. << On s'excuse, on n'a pas plus grand ! >> fait Michèle. Nous éclatons de rire. Nous ne restons là qu'une nuit. Nous repartirons pour Édimbourg dès demain matin. Peut importe le confort. Clémentine et moi nous retournons à la voiture pour y chercher quelques affaires. Vêtements de change.

Il fait beau. Il fait doux. Nous aidons à mettre les couverts dans la cuisine qui fait également salle à manger. La salle de bain est au premier étage, aménagée sous les combles tout comme la chambre à coucher. Cette nuit, Estelle dormira sur le canapé lit en face de celui de ses parents. Elle prendra notre chambre dès demain. Estelle profite d'un instant pour venir se serrer contre moi. << Vous ne m'oubliez pas tous les deux, c'est promis, hein ? >> murmure t-elle en palpant rapidement ma braguette. Je promets. Nous resterons en contact par mails.

Il est 19 h30. Morts de faim nous prenons place à la table ronde. C'est vraiment un endroit charmant. Il y a une cheminée. Une grande armoire ancienne. Un canapé. Deux fauteuils. Les fenêtres sont basses. L'évier du coin cuisine est en pierre de granit. La robinetterie en vieux laiton. C'est étonnant de simplicité. Très typique des habitations rénovées de cette région des Highlands. Quelle surprise. Michèle a préparé une Flamiche Picarde. Ces tourtes aux poireaux qui font les délices de certaines de nos soirées à la maison. Il y a diverses crudités.

Nous avons ramené le dessert acheté à Perth. C'est une apple pie. Une tarte traditionnelle écossaise à la pomme et aux fruits rouges. Nous traînons longuement à table. Michèle et Yvan nous racontent leurs découvertes, leurs périples. C'est la seconde année qu'ils passent en Écosse. Ils sont tombés sous le charme de mon pays. << En vrai, c'est encore plus beau qu'en vrai ! >> lance Michèle. Nous rions aux éclats. Je sais d'où Estelle tient son humour. Pendant le repas, le regard par en-dessous, terriblement suggestif de Michèle. C'est troublant.

Estelle qui voit tout, me donne souvent un coup de pied sous la table. Parfois, c'est carrément d'un coup de talon qu'elle m'écrase les orteils. La vaisselle. Nous allons flâner dehors. Le bourg est à quelques centaines de mètres. Retirée des grands axes touristiques la petite route est déserte. Là-bas, il y a le manoir de Killmartin Hall. Ses grandes fenêtres aux multiples croisillons. Ses serres aux verres fumées. Il n'y a pas un bruit. Nous sommes entourés de montagnes. Une ambiance bucolique absolument unique. Les parfums du soir. C'est vraiment magique.

Les rues du village sont étroites. Il y a une boulangerie, une supérette, un bureau de poste et même une agence bancaire. Estelle reste au bras de son papa. Souvent Michèle vient les rejoindre. Clémentine et moi nous restons souvent à l'arrière. En Écosse, en ces périodes de l'année, il ne fait jamais totalement nuit. Ce qui est trompeur si on veut se fier à son instinct ou à son horloge biologique. Il est déjà 23 h. Nous revenons vers le cottage. Fourbus. Demain, Yvan, Michèle emmèneront Estelle pour une nouvelle découverte. Glen Affric et sa vallée.

Estelle vient quelquefois nous rejoindre. Elle chuchote : << Ça va me faire drôle de vous savoir dans la maison sans partager le même lit ! >>. Nous rions. Je murmure : << Viens nous rejoindre ! >>. Estelle préfère jouer le jeu. Elle va consacrer quelques jours à sa vie de famille. Elle est d'ailleurs déjà à se réjouir. Michèle et Yvan ont loué un appartement à Édimbourg pour leur dernière semaine en Écosse. Ils ramèneront Estelle. Nous nous retrouverons à nouveau tous les trois pour de nouvelles aventures. La salle de bain. Le lit. De doux câlins.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont faire l'amour avec leur coquin dans un lit étroit, dans un endroit inconnu mais romantique...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1978 - Écosse jour 45 -



Nous quittons Estelle et Drumnadrochit

Hier matin, lundi, il est huit heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Dans ce lit étroit qui ne doit faire que 90 cm nous n'avions d'autres alternatives que de rester serrés. Clémentine se couche sur moi pour chuchoter : << Il nous faut un lit étroit. Comme ça on serait toujours l'un contre l'autre ! >>. Plein de bisous. Plein de câlins en écoutant les bruits et les voix qui nous parviennent. Michèle est probablement entrain de préparer le petit déjeuner. On l'entend discuter avec Estelle. La voix de son papa aussi. Nous nous levons.

La promiscuité oblige à la proximité. Nous saluons Estelle et ses parents. Clémentine va aux toilettes la première. Estelle me fait un clin d'œil. Discrètement elle mime une masturbation masculine. L'odeur du café, du pain grillé est un véritable enchantement dans cette petite maison de poupée. Minuscule. << Bien dormis tout de même ? >> demande Michèle. Je la rassure, c'était parfait. Clémentine revient. C'est à mon tour d'aller au WC. C'est étrangement spacieux comparé à l'ensemble de la maison. Il y a même un lavabo et une petite douche.

Nous prenons notre petit déjeuner en élaborant le programme. Michèle et Yvan ont loué un petit appartement F1 dans Dean Village à Édimbourg. Ils y passeront leur dernière semaine écossaise. << On vous ramènera Estelle en bon état ! >> fait Michèle avec ce regard suggestif, par en-dessous et terriblement vicieux. Yvan propose un jogging à cinq après le repas. Excellente idée. Nous mangeons de bon appétit en échangeant quelques impressions sur des généralités écossaises. Michèle et Yvan aimeraient venir vivre ici à leurs retraites.

La vaisselle. Il faut se partager la salle de bain. Clémentine Estelle et moi nous utilisons le petit coin sanitaire des toilettes du bas. Elle palpe ma bosse en disant : << Espèce de vieux pervers. Tu crois que je ne vois pas ce qui se passe avec ma mère ! Tu mériterais que je t'arrache les couilles avec les dents ! >>. Une fois nos bouches essuyées elle se blottit dans mes bras en rajoutant : << Comme vous allez me manquer tous les deux ! >>. Clémentine se serre contre nous pour rassurer : << On s'écrit tous les jours. Tu vas bien t'amuser aussi ! >>.

Nous rejoignons Yvan et Michèle à l'extérieur. Le ciel est voilé. Laiteux. La température n'est que de 19°. Il faut préciser que nous sommes entourés de montagnes. Quelques mouvements d'échauffement. Il nous suffit de suivre les parents d'Estelle le long d'un des circuits qu'ils pratiquent tous les jours. Estelle impulse un rythme soutenu. Une heure d'un running extrêmement gratifiant dans un paysage des plus agréables. Clémentine et moi choisissons le coin douche des sanitaires du bas. Estelle monte à la salle de bain avec ses parents.

Clémentine porte une de ses jupes de fin velours carmin. Un T-shirt crème. Je suis en bermuda kaki et T-shirt gris. Michèle est en bas entrain d'aligner des fruits sur la table. Eux aussi privilégient les randonnées de découvertes. Dans les vallées de Glen Affric il y a nombre de sentiers balisés. Voilà Estelle qui redescend à son tour. Elle a le réflexe de vouloir me sauter au cou mais se retient au dernier moment. C'est sans doute le plus frustrant. Se contenir afin de rester entre gens "civilisés". Car tous les trois avons quantités de rituels assez loufoques.

Voilà Yvan. Il est dix heures trente. << Vous restez avec nous pour le repas de midi ? >> demande Michèle. Estelle en sautillant s'écrie : << Oh oui ! Oh oui ! >>. Nous nous consultons du regard. Nous avons plus de deux cent cinquante kilomètres qui nous attendent avant d'arriver à Édimbourg. << Vous roulez cet après-midi ! >> rajoute Yvan. Nous acceptons à la condition de fournir quelques ingrédients. La glacière est branchée sur l'allume cigare. Elle contient encore bien des fromages. Nos préférés. Roquefort, Gruyère, Saint-Nectaire, morbier.

<< On fait simple. C'est moi qui prépare ! >> lance Estelle. Nous sortons pour aller faire quelques pas. Clémentine reste serrée contre moi. Estelle reste au bras de son papa. Michèle endosse le rôle de guide. Nous sortons du jardin par une petite porte arrière. C'est un chemin magnifique qui nous invite. À l'ombre de chênes centenaires aux troncs extraordinairement noueux. Quelques centaines de mètres. Une rivière aux eaux calmes et claires. << Pour les amateurs de pêche, je vous dis pas le poisson qu'il y a là ! >> lance Yvan. Il est amateur.

Michèle s'adresse à moi : << La pêche. Vous pratiquez Julien ? >>. Je réponds : << Non, pas du tout. J'ai essayé un jour mais j'ai trouvé ça d'un tel ennui ! >>. En m'écoutant, son regard par en-dessous, elle caresse lascivement les nœuds suggestifs d'un tronc. Elle fixe ma braguette. Comme elle est belle à cet instant. Comme si elle était la grande sœur d'Estelle qui vient nous rejoindre. Elle me lance un regard lourd de reproche. Clémentine, accroupie à côté d'Yvan qui montre les poissons. Estelle est encore bien décidée à me surveiller. De près.

Nous traversons la rivière sur un pont en bois. Nous arrivons à proximité d'une grande maison luxueuse. Une propriété qui évoque un grand jardin d'acclimatation. Il y a des fleurs partout. Des rosiers mais aussi des tulipes. Estelle, malgré la situation, arrive à me palper à plusieurs reprises. Juste Clémentine le sait. Yvan et Michèle, en couple amoureux, marchent souvent devant en se tenant par la main ou par le bras. C'est ces moments que choisit Estelle pour me toucher. Nous rions en cachette. Il faut songer à revenir. Il est 11 h30 et il fait très faim.

Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Ce sera un gratin de pâtes. Clémentine m'aide à concocter une sauce au Roquefort. Michèle met les assiettes et les couverts. Yvan lave les feuilles d'une belle laitue. C'est une préparation rapide durant laquelle nous faisons des projets. Lorsque les parents d'Estelle viendront à Édimbourg, nous passerons une journée ensemble. Il est midi trente. Nous voilà tous les cinq attablés autour d'un gratin de coquillettes, accompagné d'une salade, d'une sauce aux crevettes. Repas simple, de vacances, mais si bon.

Nous traînons un peu à table. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nos affaires sont prêtes. Nous les mettons dans le coffre de la voiture. << Si vous la vendez cet automne, je vous l'achète ! >> me fait Yvan. Je ne suis pas encore décidé. J'ai soudain une idée. << J'ai oublié ma trousse ! >>. Michèle se précipite en disant : << Attendez, je vous accompagne ! >>. Estelle, au bras de son papa n'a pas le temps ni l'argument pour réagir. Clémentine est assise au volant. À peine suis-je dans les petits sanitaires du bas que je sors ma bite.

Je n'ai évidemment rien oublié du tout. J'ai juste envie de montrer ma queue à Michèle. Elle avait bien compris. Elle me fait le plus délicieux des sourires avant de murmurer : << Un jour, il faudra que j'y goutte ! >>. Je réponds : << J'y compte bien ! >>. Je remballe immédiatement. Estelle qui se pointe. Elle lance un regard incendiaire à sa mère. Je dis : << Finalement je n'ai rien oublié ! >>. Estelle ne peut s'empêcher de lâcher : << Salaud va ! >>. Michèle éclate de rire. Nous rejoignons Yvan et Clémentine assis dans la Mercedes.

Un dernier bisou à tout le monde. Estelle a l'air tristounette entre ses parents. Un dernier coucou en démarrant. C'est parti. Il est 14 h30. Ça roule plutôt bien jusqu'au Loch Ness. Je déteste la nationale touristique qui longe la rive Est du lac. La vue n'y est pas superbe et le charme de cet endroit si magique est absent. La circulation est dense. De nombreux ralentissements. Clémentine joue avec ma queue. Ça nous fait tout drôle. Il n'y a pas Estelle à l'arrière. << Estelle, c'est comme ma sœur ! >> dit Clémentine en me caressant la joue de sa main.

Elle rajoute : << Mais parfois j'aime bien vivre sans ma sœur ! >>. Elle continue en disant : << Si tu savais comme je me réjouie d'être seule avec toi. Je t'aime mais je suis folle amoureuse ! Toute une semaine, rien que toi et moi ! >>. Je gare l'auto sur un parking juste avant Fort Augustus. Clémentine m'entraîne par la main. Nous faisons quelques pas le long du muret. Elle se blottit contre moi comme une désespérée en soupirant. Je la serre fort. Nous nous embrassons comme une première fois. Moi aussi je suis subitement amoureux fou.

Il est 15 h. Nous voilà en route. Clémentine joue avec ma queue en me donnant ses impressions quand au cottage loué par les parents d'Estelle. << Le parfait petit nid d'amour pour deux ! Maintenant ils sont trois ! >> dit elle. Voilà Spean Bridge. Il faut prendre à gauche en direction de Dalwhinnie. Un arrêt pipi. J'ai trop envie de lécher le sexe de Clémentine après son besoin. Excitée comme elle l'est, j'ai droit à ce mélange si savoureux que j'aime tant. Nous sommes à une centaine de mètres de la route, dans un chemin. Une maison abandonnée.

Clémentine gémit de plaisir, couchée sur la banquette, cuisses largement écartées. Je suis à genoux sur le marche pied à lui offrir un bon cunnilingus. La position est hautement inconfortable. Un bruit de moteur met fin à nos libations. Ce sont deux voitures. Des touristes en recherches d'un endroit pour pisser. Nous repartons. Clémentine, souvent penchée sur sa gauche, me taille d'innombrables petites pipes. Je roule prudemment. Je suis entrainé à ce genre d'exercice. Voilà Blair Atholl, Pitlochry, Dukeld et Perth. Il est presque 16 h30. Petite faim.

Nous avisons une terrasse de restaurant à la sortie de Perth. Une coupe glacée nous offre quelques délicieuses sensations. Il y a un jeune serveur très sympathique. << J'en ferais volontiers la victime d'une petite exhibe ! >> dit Clémentine. Je me demande comment elle pourrait faire, il y a tant de gens assis là. Nous passons commande de deux cafés "expresso". Le garçon revient. Clémentine écarte ses cuisses. Personne ne regarde par là. Elle relève sa jupe pour montrer sa chatte poilue. Le jeune serveur a une réaction charmante.

Il me lance un regard. Je lui adresse un clin d‘œil en disant : << My slut gives blowjobs in the toilet. Are you tempted ? >>. Le jeune homme avale de travers avant de répondre : << I do not have time. I'm alone and look at all these customers ! >>. Clémentine lui fait un sourire extrêmement suggestif. Le jeune homme préfère s'en aller. << Dommage, je lui aurai volontiers sucé la bite dans les chiottes ! >> fait Clémentine en posant sa main sur la mienne. Je dis : << Ça fait longtemps que tu n'as pas sucé un inconnu ! >>. Nous rions aux éclats.

Il faut repartir. La circulation devient plus dense. Nous sommes sur un grand axe routier. Dunfermine Gullane et son château sur la gauche. Clémentine me masturbe, me suce. Je la force souvent à se redresser pour lui montrer des choses particulières dans le paysage. Il y a plein de tâches sombres autour de ma braguette. La couleur kaki n'est pas très discrète. Il est presque 20 h quand nous arrivons à Édimbourg. Oncle Alan et Amy nous attendent avec impatience pour ce second séjour chez eux. Ils nous ont préparé un excellent dîner. Morts de faim.

Nous mangeons de bon appétit. Il est 21 h30 quand nous prenons congé pour monter dans l'appartement. Comme c'est étrange de se retrouver là sans Estelle. Elle nous manque soudain cruellement. Clémentine me dit : << Viens, on lui téléphone ! >>. À l'instant où elle prononce ces mots la musique de mon smartphone. << Estelle ! >> s'écrie Clémentine en mettant sur haut-parleur. Une conversation à trois durant une bonne dizaine de minutes. Tout se passe bien. Il est 22 h. Je suis assis sur le lit. Clémentine à genoux entre mes pieds.

Je la tiens par ses cheveux maintenus en chignon. Je la guide. J'adore l'entendre gémir en suçant. J'appuie sur sa nuque pour enfoncer davantage de queue. Je suis tellement excité par notre après-midi que mon sexe dégorge de la jute dans un constant gargouillis bulleux. Clémentine se régale. Parfois je lui retire la queue juteuse de la bouche pour demander : << C'est bon mademoiselle ? >>. Sans répondre, en gloussant, elle reprends sa pipe. Je l'emmène aux toilettes. Quelques petites giclées de pisse agrémentent son met préféré. J'éjacule.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se réjouissent d'êtres seules avec l'homme qu'elles aiment. Pour quelques journées de vice à deux...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1979 - Écosse jour 46 -



Deux amoureux sous la pluie d'Édimbourg

Il pleut ce mardi matin. Il est presque neuf heures. Nous nous réveillons probablement en même temps. Clémentine vient se blottir tout contre moi en gémissant. Je la serre fort en couvrant son visage de bisous. Elle passe une cuisse sous mes fesses. Pose l'autre sur mon érection naturelle. C'est en se frottant lascivement qu'elle me raconte son rêve. J'écoute comme un bienheureux. Appuyant son propos d'une douce masturbation elle évoque une histoire surréaliste. Nous rions de bon cœur des personnages, des situations de son imaginaire onirique.

L'impérieux besoin naturel met un point crucial momentané aux effusions de tendresse. Je porte Clémentine comme une jeune mariée jusqu'aux toilettes. << Je t'aime ! >> murmure t-elle en s'asseyant. Je la tiens par la nuque. Nos rituels pisseux sont particulièrement amusants ce matin encore. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Me la secouant en riant. Et quand je ris aussi, j'ai tendance à éclabousser. Mais Clémentine veille au grain en ayant parfait son art. Pas une goutte à côté. Morts de faim, nous allons à la cuisine.

<< Quelle horreur ! >> lance Clémentine en m'entraînant par la queue jusqu'à la fenêtre. Il pleut. Le ciel est bas et uniformément gris. Clémentine fait le café. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant Estelle. Lui prêtant mille et une activités. << Là, ils sont peut-être en route pour Inverness. Yvan et Michèle doivent êtres heureux d'avoir leur fille toute une semaine ! >> dit Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant notre programme.

Nous traînons à table. Avec cette météo pas de jogging. Nous savons le remplacer judicieusement par des exercices aérobics en intérieurs. Assise sur mes genoux, ses bras autour de ma taille, Clémentine propose quelques options. Quelques plans B pour la journée. Nous adorons errer longuement dans les musées. Et cet été nous n'avons pas encore fait la Scottish National Gallery. Il y a là de remarquables chef-d'œuvres. Une collection de tableaux hollandais du XVIIème qui nous enchantent à chaque fois. C'est une des premières options retenues.

Clémentine change de position. Nous sommes tous les deux en slips et en T-shirts de nuit. Assise à califourchon sur mes cuisses, elle se frotte lascivement. << J'ai envie de faire ma salope. Je t'aime ! >> murmure t-elle en mitraillant mon visage de bises. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents. Une machine tourne avec notre linge porté le week-end. Nous restons vêtus ainsi pour faire notre gymnastique. Prétexte à quelques déconnades. Les abdos, les exercices au sol, les sauts sur place, souvent en riant aux éclats.

La douche. Nous sommes tous les deux en jeans et en sweats. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Le premier réflexe est d'aller surfer sur le site universitaire. Il y a de nouvelles informations. Il est proposé des cours de préparation au concours du Doctorat à tous les étudiant désireux d'y participer. Des cours qui commencent du lundi 19 septembre pour s'achever le vendredi 7 octobre. << C'est génial mais ça remet en question notre désir de partir pour d'autres vacances ! >> s'écrie Clémentine. Nous lisons bien le programme.

Il y a le message de Julie qui nous annonce une quatorzième vente. Il reste quatre toile disponibles. J'ai également atteint le quota des huit commandes que j'accepte. Il y a le mail d'Estelle qui nous raconte son après-midi de hier avec ses parents. Le courriel de Juliette qui décrit la météo à Sartène. En Corse où elle passe son mois d'aout. Nous répondons en joignant un selfie pris à l'instant. À tous hasards Clémentine rajoute le lien du forum afin qu'Estelle puisse y suivre nos aventures. 10 h30. Nous suspendons le linge sur l'étendoir de la salle de bain.

Je propose de partir pour la ville. Nous trouverons bien une formule originale pour le repas de midi. << Je t'aime ! Emmène-moi ! >> s'écrie Clémentine en se relevant d'un bond pour sautiller tout autour de moi. Je me lève pour la soulever. Ses jambes autour de ma taille, suspendue à mon cou, elle enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande toujours assez rapidement sous l'effet de cet élan passionnel. Je la promène ainsi dans toute la pièce. Nos mentons sont trempés de salive. << Je ne sais pas embrasser proprement ! >> fait Clémentine.

Nous rions de bon cœur en nous essuyant avec des mouchoirs en papier. Clémentine s'accroupit pour déboutonner ma braguette. C'est un peu plus difficile d'en extraire une queue en érection. << Wouah ! C'est toujours impressionnant ! >> dit elle en humant. En faisant tourner mon sexe pour le scruter sous tous ses angles. Juste entre le bout de ses lèvres, elle en suçote la peau fripée du prépuce. Du bout de sa langue elle tente de passer entre la peau et le gland. J'adore. Ça évoque un petit animal dont on ne verrait que la bosse exploratrice.

J'aide Clémentine à se redresser avant la crampe. Elle me fait sentir sa bouche. Nous mettons nos K-ways. Dans le petit sac à dos que je porte, quelques fruits. Les minis parapluies. Pressés d'aller vers de nouvelles aventures nous dévalons l'escalier de service. La maison est silencieuse. Oncle Alan et Amy sont probablement sortis. La pluie a cessé mais le ciel reste couvert. Je roule doucement pour descendre Morningside street. Clémentine joue avec ma queue dure comme le bois. << Je te maintiens "bandant" pour la journée ! >> lance t-elle.

Au feu rouge du carrefour de Dean Village, Clémentine se penche sur sa gauche pour sucer. Il y a une jeune femme qui regarde dans la voiture à côté. Elle a vu Clémentine se baisser. Elle m'adresse un sourire évocateur et complice. J'adore. J'appuie sur la nuque de Clémentine en lui racontant ce qui se passe. Hélas, ce plaisir intense est de très courte durée. Le feu passe au vert. Je prends tout droit pour passer dans Leith. Nous contournerons par le périphérique pour arriver en ville. Je gare l'auto dans la petite ruelle habituelle. 10 minutes du centre.

Clémentine reste à mon bras. Nous marchons cependant d'un bon pas. Princess Street et son animation. Il y a un monde fou. Pourtant après le 15 aout, il y a moins de touristes. Mais avec cette météo qui reste menaçante beaucoup de gens préfèrent rester à Édimbourg. Nous flânons en lisant les menus qu'affichent certains restaurants aux façades attirantes. Il y en a plein que nous n'avons pas encore tenté. Clémentine palpe souvent ma bosse. Elle m'entraîne dans la boutique de l'antiquaire où nous aimons perdre un peu de notre temps. Sympa.

Il y a trois petites salles. C'est celle où se trouvent les meubles qui nous attire toujours. Il y a deux autres couples qui se promènent là. Il y a cette dame très élégante et qui semble errer toute seule. Clémentine ouvre délicatement quelques tiroirs. Nous nous penchons pour humer les odeurs anciennes qui s'en dégagent. Nous adorons. Nous sommes seuls dans la grande pièce. Là, devant une sorte d'armoire dont le fond est tapissé de six miroirs teintés, Clémentine se serre contre moi. Sa main posée sur ma braguette. << Je te l'ouvre ! >> dit elle.

Je murmure : << Non, ne fais pas comme Estelle ! >>. En riant Clémentine se place devant moi pour déboutonner mon 501. Même s'il y avait quelqu'un il serait impossible de voir. C'est quand elle s'écarte, tenant ma bite à sa base, juste entre son pouce et son index, que Clémentine l'agite devant les miroirs. La situation est un peu plus risquée. << Je t'aime ! >> chuchote t-elle à l'instant précis où nous apercevons tous deux la dame. Discrètement debout entre une armoire et un vaisselier, elle observe avec un air amusé. On voit ma bite.

Je suis soudain mort de honte. J'ai le réflexe de vouloir remballer. << Mais non ! Regarde, elle est amusée ! >> murmure Clémentine. Cette femme, certainement quadragénaire, brune et belle, me fixe ostensiblement avec un étrange sourire. Clémentine agite ma queue. Je suis terriblement gêné. Pourtant j'oublie un principe fondamentale. Quand ces situations troublantes se passent devant une inconnue la présence d'une autre femme rend les choses beaucoup plus simples. Si j'étais seul, d'abord il ne se passerait rien, mais ce serait très dangereux.

La dame circule un peu en faisant mine de regarder quelques meubles. Clémentine me tient fermement la queue pour m'empêcher de la remballer. À chaque fois que je manifeste une velléité de le faire, elle serre un peu plus fort en chuchotant : << Non ! >>. Elle rajoute : << Tout se passe bien. Ne t'inquiète pas. Nous sommes probablement entre membres du même "Club" ! >>. En effet, la jeune femme semble beaucoup apprécier d'être en présence d'un couple de vicieux. La situation perdure ainsi cinq bonnes minutes. Je bande comme un salaud.

Un couple vient soudain rejoindre la dame. Sans se douter que celle-ci est entrée dans un jeu à trois. Ils s'expriment en danois. Juste avant de sortir de la grande pièce, la jeune femme nous adresse le plus beau des sourires. Complice. Dans l'état d'excitation où je me retrouve, j'en oublie la faim qui me tenaille. Nous quittons la boutique à notre tour. La pluie recommence à tomber. C'est sous nos parapluies que nous reprenons nos errances. C'est un petit établissement gastronomique qui nous accueille. Plus les restaurants sont chers moins il y a de gens.

Du moins en principe. Assis devant des plateaux de fruits de mer, nous revenons sur nos jeux exhibitionnistes. << J'adore te mettre dans l'embarras ! >> m'avoue une fois encore Clémentine. Avant le dessert, elle m'entraîne par la main. Enfermés dans un des cabinets des WC hommes, nous pratiquons nos rituels pisseux. Je me fais tailler une pipe des familles. Nous entendons des messieurs pisser de l'autre côté de la porte. Quand nous revenons, nous attirons encore bien des regards. Non. Je ne suis pas le papa de cette sublime jeune fille...

Nous sommes munis de nos passes touristiques. Ce qui évite de devoir attendre aux guichets. La visite de la Galerie Nationale d'Écosse est toujours un grand moment. Je débande enfin. Je sens ma bite qui colle au fond de mon slip. C'est extrêmement désagréable. Pleine de compassion Clémentine me chuchote : << Ici, je ne peux rien faire pour toi. Regarde, il y a des caméras partout ! >>. C'est vrai. Et la configuration des toilettes séparées ne permet pas d'y aller ensemble. La galerie des hollandais calme un peu nos ardeurs. Nos folies.

Il y a cette extraordinaire petite huile sur bois de Gerard Dou. Maitre Hollandais du XVIIème. À chacune de nos visites cette œuvre nous scotche littéralement. Ce personnage vêtu d'une cape bleu assis devant une table sur laquelle est posé un violon. Quelle finesse. << C'est surhumain ! >> fait Clémentine. Serrée contre moi, tournant le dos à la salle, elle peut tripoter ma braguette. Elle le fait devant différentes toiles. J'ai moi aussi la main baladeuse. Nous sommes des virtuoses de la discrétion libidineuse. Mais il faut rester d'une extrême prudence.

Il est 16 h30. C'est attablés au premier étage d'un salon de thé que nous savourons une coupe glacée. Exquis moment de dégustation. Bien évidement un des cabinets des toilettes hommes est le cadre de nos extravagances. Je suis devenu un authentique contorsionniste dans les endroit étroits et exigus. Lécher du minou dans ces conditions relève de la haute voltige. Pour Clémentine c'est beaucoup plus simple. Accroupie, elle peut se régaler de mes épanchements de mélanges en gémissant. Je me penche pour murmurer : << Chut ! >>. Pipe.

Bonne fin de journée à toutes les coquines qui aiment s'ouvrir l'appétit par de petites fellations discrètes et répétées dans les recoins...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1980 - Écosse jour 47 -



Une belle opportunité qui se présente à Clémentine

Hier matin, mercredi, il est un peu plus de huit heures. Clémentine vient se blottir contre moi en murmurant : << J'ai fait un rêve cochon ! >>. Je la serre fort en revenant à la réalité. Clémentine passe une cuisse sous les miennes, l'autre sur mon érection naturelle. C'est dans un mouvement masturbatoire qu'elle rajoute : << Prémonitoire j'espère ! >>. Nous rions de bon cœur. Je dis : << Viens, tu me racontes cette histoire devant un bon petit déjeuner ! >>. Elle saisit mon sexe pour m'entraîner aux toilettes. Nous pratiquons nos rituels pisseux en riant.

Clémentine fait le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Il faudra faire des courses. Des fruits, du pain. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de la journée. J'écoute amusé Clémentine me raconter son rêve. C'est une histoire surréaliste la mettant en scène dans un champs. Un type sur un tracteur. Il prend de multiples visages. Au moment fatidique, le scénario change totalement pour devenir absurde. Nous rigolons comme des bossus des métaphores que fait Clémentine pour décrire notre voisin.

En effet, le type sur son tracteur prend les traits de monsieur Bertrand. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine lance : << À propos le Louis, j'ai une idée saugrenue mais très amusante. On fait une photo aujourd'hui. On la fait tirer sur papier et on la lui envoie avec une carte postale. Je n'en dis pas plus ! >>. Je sais que les idées de Clémentine sont toujours très étonnantes. Je me réjouis d'en savoir davantage. Nous faisons la vaisselle avant de nous laver les dents. Vêtus de nos tenues de jogging nous dévalons l'escalier.

Le ciel est couvert mais pas menaçant. Par contre la fraîcheur est vive. Le thermomètre extérieur n'indique que 17°. Il est 8 h45. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour un agréable running sur le parcours habituel quand nous sommes à Édimbourg. Une heure de pur plaisir. Surtout que le ciel s'éclaircit. La température se radoucit. Une bonne douche. Clémentine porte une de ses jupes de velours carmin, un sweat brun, ses baskets. Je suis en bermuda kaki, sweat brun, baskets. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur.

Un message d'Estelle qui nous raconte sa journée de hier avec ses parents. Ils visitent des endroits où nous n'avons jamais été ensemble. Un message de Julie qui narre sa journée dans la galerie d'Art. Il y a toujours moins de visiteurs après le 15 aout. Là, c'est flagrant. Clémentine surfe sur le site universitaire. Pas de nouvelles informations. Un selfie que nous joignons à nos réponses. Soudain la pièce s'illumine. Un généreux soleil fait son apparition. << Viens ! >> s'écrie Clémentine qui m'entraîne par la main. Nous prenons le sac à dos.

Il contient des fruits, des barres de céréales, les minis parapluies et les K-ways. Pressés de filer nous descendons à toute vitesse. Nous tombons sur oncle Alan qui vide le coffre de sa voiture. Nous bavardons un peu. Il est 10 h30. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe qu'elle extrait de ma braguette. Elle évoque Estelle et le style enjoué de sa prose matinale. << Elle est contente de passer un peu de temps avec ses parents. C'est bien ! >> dit Clémentine. Linlithgow est une petite ville à une trentaine de kilomètres d'Édimbourg.

Nous y venons chaque année pour un autre de nos pèlerinages. Il est 11 h15 quand je gare l'auto dans une ruelle. Le centre historique est un véritable petit parc d'attraction. Le soleil est de la partie. Même s'il est souvent caché par de gros nuages. Il fait doux. Un panneau au-dessus d'une pharmacie indique 21°. Nous flânons. Nous lisons quelques menus affichés devant des restaurants. Nous réservons une table dans un établissement gastronomique. West Port Hotel est un endroit charmant qui donne sur le port et ses quais. C'est magnifique.

Nous nous promenons encore un peu aux environs de la cathédrale gothique. Impossible de la visiter car elle est en travaux. Dommage. Nous y avons été l'an dernier et ça valait le coup d'œil. Il est presque treize heures. Morts de faim nous allons prendre possession de notre table. Les queues de homards grillées accompagnées de légumes sont à tomber tellement elles sont bonnes. Nous n'avions jamais goûté de si délicieuses tomates confites. Visite aux toilettes ou Clémentine m'entraîne par la main. Sous quelques regard interrogateurs. Amusant.

Enfermés dans un des cabinets des toilettes hommes, nous nous offrons nos petites déviances. C'est toujours si drôle d'entendre des mecs pisser de l'autre côté de la porte. << C'est hyper excitant ! >> chuchote Clémentine qui se redresse en essuyant sa bouche. Je pose mon index sur ses lèvres en murmurant : << Chut ! >>. L'addition. Nous avons le désir de visiter enfin les ruines du château à la sortie de la ville. D'anciennes fortifications dont une partie est encaissée entre deux falaises. Une vingtaine de minutes à pieds sous un chaud soleil.

Il y a peu de monde. Il faut entrer dans les ruines en passant sur un pont-levis. Longer les murailles. Un escalier permet de monter sur une partie du chemin de ronde. L'endroit est en rénovation car tout le côté Ouest est interdit aux visites. Nous descendons vers la forêt. << Regarde le type là-bas, il cherche probablement un coin où pisser ! >> me fait Clémentine. En contrebas, il y a un sentier. C'est l'ancien fossé qui entourait la forteresse. Jadis il devait être plein d'eau. Il se prolonge sur une centaine de mètres entre deux pans de murailles.

<< Viens, je veux m'offrir un petit frisson ! >> lance Clémentine. Elle m'entraîne. Nous marchons jusqu'aux murailles. Il y a une sorte de plateforme sur une vingtaine de mètres. Protégée par une rambarde en fer. On voit en bas. Un escalier permet de descendre, de contourner la muraille pour pénétrer dans l'étroit couloir d'environ quatre mètres de large. << Reste là. Au moindre problème tu rappliques ! >> me dit Clémentine avant de dévaler les marches. Je reste caché, plaqué contre le mur. En me penchant je peux la voir avancer doucement.

Elle s'accroupit. Cuisses largement écartées. L'attente n'est pas longue. Clémentine prépare toujours très bien ses "plans". Le type de tout à l'heure se pointe. Il tombe sur le spectacle. Il a un moment d'hésitation. Il se retourne pour regarder si personne ne vient de ce côté là. Clémentine, faisant mine d'être surprise, se redresse rapidement. Elle tourne les talons pour disparaître très vite. L'homme avance. Il se penche pour scruter l'herbe rase. Sans doute pour y distinguer quelques traces du pipi de la sublime jeune fille qu'il vient de surprendre.

Clémentine vient me rejoindre. Il faut rester plaqué contre le mur pour ne pas êtres vus d'en bas. Elle chuchote : << Tu as vu sa réaction ? Il n'a rien tenté. Ces mecs sont mes préférés ! >>. Elle palpe ma bosse qui déforme mon bermuda. Je bande. Nous observons ce que fait l'inconnu en contre bas. L'endroit n'est pas fréquenté car c'est dans la zone des travaux en cours. << Je peux descendre ? J'ai envie de faire ma salope ! >> murmure Clémentine. Je n'ai pas le temps répondre qu'elle m'embrasse lascivement. Elle cesse pour mimer une fellation.

Une pipe à un inconnu

Clémentine se serre contre moi. Nous observons dans la fosse, en bas. C'est probablement là que coulait la rivière qui entourait les fortifications. Un fossé habilement creusé pour dévier les flots d'un cours d'eau. D'une largeur d'environ quatre mètres, cette partie doit bien mesurer une vingtaine de mètres. Un prodige d'architecture certainement vieux de près de 800 ans. Le fond est encore pavé de pierres lisses et moussues. Le type longe le mur. Il se penche avec discrétion pour regarder. Il revient sur ses pas pour regarder de l'autre côté.

Personne ne vient par là. Les rambardes et les avertissements aux dangers sont suffisamment dissuasifs. L'inconnu lève quelquefois les yeux pour voir en l'air. Il nous suffit d'anticiper et de reculer. Debout sur la longue margelle nous pouvons parfaitement restés dissimulés à tous regards. L'homme ne cesse d'aller d'un côté à l'autre comme pour guetter. Clémentine a provoqué sa curiosité. Son excitation aussi. Car nul doute, c'est elle qu'il espère voir revenir entre les deux murs de pierres de tailles. Il descend doucement la tirette de sa braguette. Silence.

Tout en restant aux aguets, il extrait son sexe. << Wouah ! >> chuchote Clémentine à mon oreille. Elle glisse sa main dans ma braguette pour en sortir la bite. Je bande mou. Nous nous penchons discrètement, juste pour bien distinguer. Prêts à nous reculer à la moindre alerte. L'inconnu tient son sexe à son extrémité. Il malaxe son prépuce entre son pouce et son index. Il ne se cesse d'aller d'un côté à l'autre. Très mobile. Il semble impatient. Ce type est possesseur d'un sexe très similaire au mien. Long et fin. Peut-être dix huit centimètres sur trois.

Cambré sur ses genoux fléchis, se tenant les couilles sous le tissu de son pantalon de toile noire, il se masturbe d'un geste lent. Un geste qu'on devine jouissif. Nous distinguons très bien sa queue. Il bande dur. Il lève souvent les yeux. Peut-être averti par un sixième sens. Pourtant, il n'arrive pas à nous surprendre car nous nous reculons à chaque fois juste à temps. << Viens, on se planque là ! >> me murmure Clémentine en m'entraînant à l'extrémité de cette portion condamnée du chemin de ronde. Il n'est large que d'environ 60 cm.

Si nous restons plaqués dos contre le mur derrière nous, il est tout à fait impossible de nous voir depuis les quatre mètres plus bas. Cachette parfaite. Là où Clémentine m'emmène il y a un muret dans lequel viennent se fixer les longerons horizontaux de la rambarde. Juste un mètre. Une planque sûre. Le type se masturbe. << Il se fait un film, regarde ! >> chuchote Clémentine. En effet, à présent le mec se branle, prostré en avant, regardant sa bite. << Je peux y aller ? >> murmure Clémentine en me déposant une bise, caressant mon sexe.

Dans un souffle à peine audible, je dis : << Bien sûr. Au moindre pépin je n'ai qu'à sauter sur le pan de mur puis dans le fossé ! Amuse-toi bien ! >>. Clémentine enfonce rapidement sa langue dans ma bouche avant de lâcher mon sexe pour filer. Je la regarde passer par l'étroite porte basse. Elle me fait un dernier coucou avant de disparaître. Je retiens ma respiration. Avec une prudence de Sioux je me penche suffisamment pour regarder. Quelques minutes où le mec se masturbe avec un contrôle total. Il doit avoir la quarantaine. Est-il écossais ?

Soudain, les bras croisés, marchant lentement, Clémentine fait son apparition. L'inconnu se tourne pour cacher son activité. Il ne s'attendait certainement pas à voir son souhait se réaliser. << Oh sorry ! Excuse me ! >> fait Clémentine en tournant les talons. Le type s'écrie : << You're not bothering me. Please come back. Let's get acquainted ! >>. Cette proposition de faire connaissance paraît totalement incongrue. Clémentine se retourne. Les bras ballants, elle joue la fille étonnée avec sa perfection habituelle. Merveilleuse actrice et tellement vicieuse.

Elle répond : << My guy is taking pictures in the castle. We can chat for a while ! >>. Tout heureux de l'acceptation de la sublime jeune fille qui le regarde en souriant, l'inconnu se tourne franchement vers elle. Je bande comme le dernier des pervers en regardant la fille que j'aime allumer ce type. Elle reste toutefois à distance. L'inconnu ne manifeste aucune attitude inquiétante. Au contraire, il semble beaucoup plus préoccupé à jouer de ses mains sur son sexe. Il recommence à se masturber bien en face de Clémentine. Il se présente : << William ! >>.

<< Jennifer ! >> lance Clémentine. Elle mime une masturbation masculine en imitant le branleur. Elle demande : << Why here ? Do you get excited about old stones ? >>. L'homme se met à rire en agitant son sexe vers la jeune fille. Il répond : << No. What excites me are the young girls walking around there. Girls who are very curious. Voyeurs perhaps ! >>. C'est à Clémentine d'éclater de rire. Elle dit : << I like the men who do that in the hideouts of the ruins ! >>. L'inconnu sait à présent à quel genre de touriste il a affaire. Son accent est anglais.

<< Want to suck a little ? >> lance t-il après un silence. << I can taste ? >> répond Clémentine en s'avançant vers le type. En montrant une des pierres qui jonchent le sol, il rajoute : << You can even sit down ! >>. Clémentine s'assoit. Elle reste à environs un mètre du branleur. Il s'approche prudemment. Lui aussi reste sur ses gardes. Ce n'est certainement pas tous les jours qu'un exhibitionniste rencontre une jolie jeune fille que sa bite met en appétit. Il présente son sexe. Son visage à une cinquantaine de centimètres, Clémentine scrute.

Le type avance encore d'un pas. Il frotte son sexe sur le visage de la jeune fille. Émerveillé par l'attitude lascive de Clémentine il insiste en la passant sous le nez, sur les paupières, sur les joues, tournant autour de sa bouche en insistant sur ses lèvres. Il regarde quelquefois en l'air. Comme je suis aux aguets, je me recule juste avant. Clémentine ouvre la bouche. Le mec lui enfonce les deux tiers de sa queue. Il pose ses mains sur les cheveux de la fille. Parfaitement immobile, il l'a regarde en se cambrant en arrière. Quel plus beau spectacle pour un vicieux ?

Il ne s'attendait certainement pas à se faire tailler une pipe des familles. Clémentine, penchée en avant, tient le mec par son pantalon. Ses mains sur les hanches du bienheureux. Je la regarde sucer comme si sa vie en dépendait. Je suis envahis d'un curieux sentiment. De voir la fille que j'aime tailler une pipe à un parfait inconnu me procure une curieuse impression. Il se met à bouger en rythme. Lentement. Il cesse. Il fait déguster la fille qui se régale. J'entends des << Mmmhhh ! >> qui se mêlent à des gloussements de plaisir. Clémentine savoure.

Je suis le seul et unique responsable. C'est moi qui, il y a cinq ans, au début de notre vie commune, ai installé ce fantasme dans la psyché de Clémentine. Elle y a pris goût. Sucer un inconnu reste un désir dont elle me fait part presque à chaque fois que nous faisons l'amour. Là, ça fait bien trois mois que ce n'est plus arrivé. Le type sort sa queue. Il se penche en avant pour murmurer des choses. Sa bite est dégoulinante de jus. Il y a des filaments visqueux et jaunâtres qui la relient aux lèvres de Clémentine. Je la vois faire non de la tête.

Le mec lui propose certainement de baiser. Quand Clémentine se met à sucer, elle pourrait passer le reste de la journée à ça. Elle attire le type contre son visage pour reprendre sa queue en bouche. L'excitation du quidam devient fébrile. Il s'agite. Se secoue dans la bouche de Clémentine. Cesse. Retire sa queue dégoulinante. Ce qui semble la perturber car elle maintient de plus en plus fermement le mec. Afin de l'empêcher de se sauver. Dans un cri, il se cambre. Le salopard éjacule dans la bouche de ma compagne. Elle tombe à genoux en gémissant.

Elle empêche le gars de se retirer. Ainsi à genoux, ses bras autour des cuisses du mec, elle le tient fermement. Rien ne l'excite davantage que de partir pour un second tour. Comme elle me le confie souvent, c'est avant que l'excitation des mecs ne reviennent qu'ils se montrent parfois très vicelards. Celui-là doit être un spécimen rare. Il reste immobile. Il se concentre. Sa bite toute molle. Juste l'extrémité dans la bouche de Clémentine. Elle attend. Le salaud comprend très rapidement à quel genre de salope il a affaire. Je ne sais pas s'il pisse.

Mais je m'en doute en voyant les hoquets que fait Clémentine. Elle toussote. Elle a des hauts le cœur. C'est certain, elle se fait pisser dans la bouche. << Si tu savais comme ça me dégoute et comme ça m'excite en même temps ! >> me confie t-elle souvent en racontant ses pipes salaces. Elle se remet à sucer avec passion. La tête contre la braguette du mec. Il est tout rouge, luisant de sueur. Pourvu que personne ne vienne par là derrière. Ce serait trop con de gâcher de tels plaisirs. Il tient Clémentine par ses cheveux. Il a compris à qui il a affaire.

De son autre main il tient la fille sous son menton. Il se masturbe dans sa bouche en poussant des râles. Quelques insultes. Il se retire pour se pencher en avant. C'est un énorme molard qu'il lui crache au visage. Il l'étale sur sa gueule avec les doigts en disant à plusieurs reprises : << Wonderful slut ! >>. Il enfonce sa queue sans le moindre égard. Clémentine est le jouet d'un authentique pervers. Du moins, elle lui donne l'opportunité d'exprimer cet aspect de sa personnalité. Les gémissements de Clémentine, les cris du mec, une ambiance surréaliste.

L'inconnu éjacule probablement une seconde fois. À nouveau Clémentine se laisse tomber de sa pierre pour pomper à genoux. Je l'ai rarement vu animée d'une telle passion "dévorante". Le type doit juter de sacrées quantités car j'entends Clémentine déglutir de longs instants. Elle tousse. Un haut le cœur la rend toute pâle. Le mec lui enfonce la queue en criant : << Slut ! >>. Il se retire comme épuisé. Clémentine se redresse. Comme à chaque fois, sa pipe finie, elle n'a qu'une envie. Celle de se sauver à toutes jambes. Ce qu'elle fait !

Je regarde le mec remballer en soufflant, en poussant des soupirs, en marmonnant des choses incompréhensibles. Clémentine vient me rejoindre en s'essuyant le visage. Son T-shirt brun présente un grand "V" de pisse sur sa poitrine. Il y a des coulures de foutre. << Put-Hein l'enculé ! >> me fait -elle. Je reste à distance. Ça me dégoute. Elle le sait. Mais, paradoxalement, je suis terriblement excité. Clémentine saisit mon poignet pour passer ma main sous sa jupe. Son sexe est dégoulinant. Je dis : << Apparemment c'était bon ! >>. C'est mouillé.

<< Tu n'imagines pas ! Là je suis encore tombée sur une "pointure". Un véritable salopard ! >> s'écrie t-elle. Il n'y a rien pour se changer avant la voiture. Il faut traverser la cour du château. Avec du foutre dans les cheveux dont les mèches collent dans la pisse. Ce ne sera pas vraiment discret. << Une nouvelle expérience ! >> me fait elle sans me laisser le temps de répondre. Elle m'entraîne par la main. Nous contournons tout de même la forteresse pour éviter de croiser trop de monde. Je passe probablement pour le "responsable" de cet état...

Retour à Linlithgow

Nous marchons vite. Du petit sac à dos que je porte, Clémentine tire une pomme. << Rien de mieux pour ôter le goût du foutre inconnu ! >> lance t-elle. Nous rigolons. Elle change de T-shirt. Il est presque 17 h quand nous revenons en ville. Je suggère une bonne coupe glacée dans un salon de Thé. Clémentine propose d'aller d'abord faire nos courses, de passer à la voiture. C'est la supérette Tesco, au bout de la rue, juste avant le port. Le restaurant où nous avons mangé à midi est à une centaine de mètres. Je dis : << On y retourne ce soir ! >>.

Nous y réservons une table pour 19 h30. La supérette propose des fruits de toute beauté. Nous y faisons provision de nectarines, de pêches, de brugnon et d'un superbe melon pas encore trop mûr. Parfait pour demain. Nous portons nos sacs assez lourds en marchant vers la voiture. Nous y rangeons nos achats. Assis au volant pendant que Clémentine fouille dans la boîte à gants, je dis : << Tu as été superbe dans les ruines. Merveilleuse salope avec qui j'ai le privilège de partager mon existence ! >>. Clémentine se penche pour m'embrasser.

J'esquive car je suis toujours écœuré lorsque je regarde sa bouche après qu'elle ait sucé un inconnu. Ça me dégoûte. Ce qui la fait rire aux éclats. << Je t'aime ! Et c'est moi qui suis privilégiée tu sais ! >> lance t-elle. Je sors ma bite. Je bande mou. Je passe ma main droite sous ses cheveux pour saisir sa nuque. Je la force à sucer en murmurant : << Salope ! >>. Je me tourne pour regarder le T-shirt tâché du foutre et de la pisse de l'inconnu des ruines. J'ai un haut le cœur. J'entends Clémentine glousser en pompant sa seconde bite de l'après-midi.

Je me comporte en véritable pervers. Je ne cesse d'appuyer sur sa tête pour lui enfoncer un maximum de queue. Mon excitation est telle que j'éjacule en hurlant. Nous sommes garés dans une rue peu fréquentée. Heureusement. Je crois que je n'ai jamais lâché de telles salves de sperme. À tel point que Clémentine a toutes les peines du monde à tout déglutir. C'est dans plusieurs râles sonores qu'elle avale sa seconde "bolée" de jus de couilles. Elle se redresse, les yeux en larmes en s'écriant : << Je t'aime Julien ! Tu me comprends si bien ! >>.

Quelques minutes plus tard, main dans la main, nous reprenons les rues qui nous conduisent au port. Il y a un vendeur de glaces. << Attends, j'en prend une à une boule. Tu la manges avec moi ! >> lance t-elle. La dame nous sert une boule vanille sur un cornet. Clémentine tire l'appareil photo du sac. Elle le tend à deux jeunes filles qui passent en leurs demandant : << Could you take a picture of us please ? >>. Une des touristes dit : << Oh yes with pleasure ! >>. Clémentine me fait : << Regarde par là-bas ! >>. La jeune fille prend la photo.

Nous la remercions. Clémentine me fait voir l'écran. On me voit regarder vers ailleurs alors qu'elle fixe l'objectif d'un regard incroyablement vicelard en tenant sa glace tout près de la bouche. << C'est pour envoyer à Louis. Avec la carte postale ! >> dit elle. Je la prends contre moi en m'écriant : << Mais comme tu es salope ! >>. Je la soulève pour la faire tourner en pleine rue. Ses jambes enserrant ma taille elle me couvre le visage de bisous. Non messieurs dames qui passez près de nous, je ne suis pas le papa de cette sublime jeune fille. Non, non !

Attablés devant devant des moules et des palourdes grillées nous savourons ce délicieux repas. Nous revenons sur nos aventures de l'après-midi. Je félicite une fois encore Clémentine pour ce qu'elle a fait dans les ruines du château. Elle me regarde par en-dessous avec ce regard et se sourire terriblement vicelard qui me fait fondre d'excitation. Je dis : << Ce soir, sous les draps, je vais te lécher le minou ! >>. Elle réponds : << Tu n'imagines pas un seul instant dans quel état il est ! >>. C'est enfermés dans les cabinets que j'en ai un premier aperçu.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se sont offertes un après-midi de frissons, de sensations, d'émotions et de spermes...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1981 - Écosse jour 48 -



Flâneries typiques dans le vieil Édimbourg

Hier matin, jeudi, Clémentine se serre contre moi en gémissant. Il n'est pas tout à fait huit heures. << J'ai fait un rêve cochon. Comme hier ! >> murmure t-elle en passant une cuisse sous les miennes. L'autre sur mon érection naturelle. Tout en se frottant elle rajoute : << Et c'était bien. Tu étais là cette fois ! >>. Je dépose plein de bisous sur son visage en disant : << Tu me racontes tout ça devant un bon café et des tartines de miel. Clémentine m'entraine par le sexe jusqu'aux toilettes. Morts de faim nous courons presque jusqu'à la cuisine.

Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant Clémentine me raconter son rêve. Tout en faisant le café elle développe une histoire fantasque qui nous fait beaucoup rire. Je suis déguisé en gendarme et je procède à un contrôle routier. Avant de me transformer en cycliste. Nous rions aux éclats. Les rêves de Clémentine prennent le plus souvent des tournures totalement surréalistes. Nous prenons notre petit déjeuner en tentant de comprendre les significations de ses bizarreries oniriques. Mais tout cela reste tout à fait obscur et indéchiffrable.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de cette nouvelle journée. Dehors, il y a une alternance de séquences ensoleillées puis couvertes. Aucune menace dans un ciel dont les nuages sont principalement blancs. Par contre la température extérieure n'est que de 19°. La vaisselle avant de nous laver les dents en faisant les clowns. Vêtus de nos tenues de sport nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur humide. Le sol est détrempé par endroit. Les pluies de cette nuit.

C'est sur notre circuit habituel que nous pratiquons notre heure de jogging. En croisant des joggeurs que nous commençons à bien reconnaître. Il est 9 h45 quand nous revenons pour prendre notre douche. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Quelques informations sur le site universitaire. Les cours de préparation au concours du Doctorat ne sont pas obligatoires mais vivement recommandés. Nous avons un message de Juliette qui nous raconte ses journées Corses. De gros orages et de violentes tempêtes.

Nous avons un mail d'Estelle qui nous confie à quel point ses parents apprécient qu'elle soit en leur compagnie. Un courriel de Julie qui narre sa journée dans la galerie d'Art. Les touristes sont moins nombreux et de "meilleure qualité". Elle joint une photo d'elle un peu équivoque. Accroupie, un genoux à terre, l'autre relevé, caressant un chat qui dissimule son entrejambes. << Très suggestif ! >> lance Clémentine. C'est Clémentine qui répond. Nous joignons un selfie pris à l'instant. Nous admirons la photo prise par les deux touristes hier au soir.

On m'y voit regarder vers l'horizon. Alors que Clémentine, de son regard terriblement vicelard, s'adresse à l'objectif d'un air complice. La boule de glace sur le cône tout près de sa bouche d'où pointe le bout de sa langue. << Hyper salope , non ? >> me fait Clémentine avant de rajouter : << On la fait tirer sur papier quelque part en ville. On la joint à la carte postale et on envoie le tout à monsieur Bertrand. Notre voisin comprendra le "message" ! >>. Nous rions de bon cœur. Sur la photo c'est comme si je ne me doutais de rien. C'est tendancieux.

Clémentine porte une de ses jupes de velours carmin. Un sweat marron. Je suis en bermuda kaki, chemisette carmin. Pressés de filer, nous descendons à toute vitesse. C'est à pieds que nous descendons Morningside street jusqu'au carrefour de Christ Church. Nous aimons ce quartier très animé. Clémentine s'arrête souvent devant moi. Passe ses bras autour de mon cou pour dire : << Merci pour hier après-midi. Ça me donne des frissons rien que d'y penser ! >>. Ou encore : << Tu me comprends si bien. J'ai toujours peur de te faire de la peine ! >>.

Je la rassure : << Tu sais bien que j'adore te voir sucer un autre. Je ne sais pas pourquoi ça m'excite tellement ! >>. Nous éclatons de rire quand elle répond : << Parce que tu es le vicelard pervers que j'aime. On se ressemble tellement ! >>. Nous entrons dans le grand magasin qui fait bazar, bar tabac, journaux et souvenirs. Il est possible là de développer des photos sur papier. Il suffit d'insérer sa clef USB de suivre les indications qui s'affichent sur l'écran. La jeune fille qui s'occupe des clients vient nous rejoindre. Elle nous aide à parfaire la manipulation.

À voir son expression amusé nous comprenons que la photo fait son petit effet. Sur la clef USB il y a quelques autres photos. Clémentine les fait défiler sous le regard de la jeune vendeuse. << Celle-là ! Celle-là aussi ! >> dit elle. Je suis soudain hyper gêné. Sur les deux autres clichés choisis on me voit entre Estelle et Clémentine. Estelle qui tient ma bite bandante à sa base. Entre le pouce et l'index. Une photo prise à Inverness. Sur le second cliché choisi on voit Estelle et Clémentine accroupies, têtes contre mes hanches, ma bite fièrement dressée.

<< Exciting, right ? We hope not to inconvenience you ? >> demande Clémentine. La jeune fille répond : << Oh no, that doesn't bother me at all. I like ! >>. Rassurés de ne pas incommoder la jeune vendeuse, nous attendons le tirage papier. Nous voilà en possession de nos trois photos. Nous choisissons la carte postale pour Louis, notre voisin. Une enveloppe pré timbrée. Nous rejoignons la caisse pour payer. La jeune fille nous fait un sourire complice. Elle m'adresse un de ces regards par en-dessous terriblement suggestif. Je bande aussi sec. Et dur !

<< Une membre du "Club". Une authentique petite vicieuse. Tu as vu comme ça l'excitait de rester près de nous pour les photos ? >> lance Clémentine. Nous sommes debout autour d'une haute table ronde. Clémentine rédige la carte postale. Un petit mot où elle précise qu'elle se réjouie pour prendre un café un vendredi après-midi. Monsieur Bertrand comprendra parfaitement l'allusion. Il est convenu d'envoyer la carte et la photo comme si c'était un acte secret que je devais ignorer. Je murmure : << Tu es délicieusement vicelarde. Je t'aime ! >>.

Nous quittons le magasin. Avant de sortir je regarde machinalement vers la caisse. La jeune fille m'adresse un sourire éloquent. Les yeux pétillants de malices. De vice aussi. Nous allons dans la boulangerie. Une belle miche de pain aux noix. Une brioche aux amandes. Dans le Fastfood de nos amis les Wong, nous prenons six nems au crabes. Le couple n'est pas là. Nous n'insistons pas au près de la jeune vendeuse asiatique. Depuis qu'ils sont parents nos amis les Wong ont un autre rythme de vie. Nous voilà dans la rue. Nous remontons vers la maison.

<< Demain, on retourne pour tirer d'autres photos. On en fait de supers vicieuses cet après-midi ! >> lance Clémentine. Il est midi quand nous sommes de retour. Nous n'avons pas cessé de nous tripoter, de nous embrasser tout le long du chemin. Clémentine prépare la salade de tomates et d'avocat. Je fais gonfler du riz complet. Dans une poêle je réchauffe les nems. Dans un petit wok, je concocte une sauce au Roquefort. Le stock de nos fromages diminue drastiquement. Nous pensions en avoir prévu suffisamment jusqu'à la fin des vacances.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine revient sur la jeune vendeuse du magasin. << On va lui en mettre plein les yeux demain matin ! >> dit elle. Nous rions aux éclats à l'évocation des photos que propose Clémentine. Nous ne traînons pas. La vaisselle avant de se laver les dents. Dans le petit sac à dos que je porte, la bouteille d'eau, les K-ways, des fruits. Nous dévalons l'escalier de service. Je roule doucement. Tous les deux considérablement excités nous profitons de tous les feux pour nous embrasser. On se fait même klaxonner car on déconne.

Je gare la voiture dans la petite ruelle habituelle. À dix minutes du centre historique. Quand le soleil fait son apparition, il fait chaud. Clémentine laisse sa culotte dans la boîte à gants. Bien décidée à s'offrir toutes les opportunités possibles. << Il me faut une exhibe tous les quart d'heure ! >> lance t-elle en se frottant contre moi. Enfonçant sa langue dans ma bouche. Nous attirons encore évidemment bien des regards. Je propose de commencer notre promenade en réservant une table dans un bon restaurant pour ce soir. Excellente suggestion.

Nous voilà sur le Royal Mile. Cette large et grande rue pavée qui traverse toute la vieille ville. Depuis le château là-bas, au sommet de sa colline, jusqu'au palais de Holyroodhouse. Il y a foule. Les vitrines des magasins sont alléchantes. Il y a surtout toutes ces ruelles qui partent à droite, à gauche. Le dédale labyrinthique du vieil Édimbourg. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. Elle m'embrasse. Je passe ma main sous sa jupe. Nous pratiquons discrètement à chaque occasion. En nous faisant quelquefois "attraper".

C'est hyper excitant. << Là, une photo, viens ! >> lance t-elle en me montrant un porche. Je me place à l'intérieur. Debout. Les mains cachant mon sexe. Je bande mou. Clémentine regarde dans toutes les directions. Personne. << Clic ! >> fait elle en prenant le cliché. Nous regardons le résultat sur l'écran de l'appareil. << Parfait ! La première d'une belle série ! >>. précise Clémentine. Nous flânons longuement dans cette cité magique. Impossible de se lasser de cet endroit. Édimbourg sait surprendre. Encore et encore. Nous faisons quelques photos.

Des selfies dans le grand parc à côté de la National Gallery of Scotland. Des trucs bien tendancieux, très vicelards. Il faut ruser. Il est important que Clémentine pose avec moi sur la plupart des photos. Ma main sous sa jupe, entre ses cuisses. Sa main qui tient ma queue. Accroupie à mes côtés, sa tête contre ma hanche, cuisses largement écartées, son visage tout près de mon sexe. Nous regardons à chaque fois le résultat. Nous prenons quelques risques. Risques que Clémentine sait toutefois bien calculer. En exhibitionniste virtuose qu'elle est.

On s'offre un tour de la ville au premier étage de ces nombreux bus rouges à "impérial". Clémentine me chuchote : << J'ai envie de faire ma salope partout cet après-midi ! >>. Nous rions de bon cœur. Assise sur son siège, à ma gauche, près de la fenêtre, elle écarte ses cuisses, saisit ma main pour la placer sur son sexe humide. J'enfonce un doigt. Je titille son clitoris géant en le tenant entre le pouce et l'index. Personne ne se doute de quoi que ce soit. Sauf peut-être le couple assis à notre droite. Mais notre petit sac à dos cache mes "explorations".

Nous visitons Holyroodhouse que nous connaissons bien. Mais là aussi il y a tant de choses à voir. Clémentine s'offre quelques discrètes exhibes. Souvent accroupie à faire semblant de chercher quelque chose dans le sac qui cache son sexe. J'adore. Ça me fait bander comme un patient atteint de priapisme et au stade terminal. Nous flânons sur Princess Street. << Un plan ! >> fait soudain Clémentine. Elle s'approche d'une jeune fille. << Could you photograph us ? >> lui demande t-elle en tendant l'appareil. << Oh yes with pleasure ! >>.

Nous sommes dans un petit square. Le kiosque à musique nous cache à la vue des promeneurs. Nous prenons la pose. La jeune fille prend un cliché. << Am I still doing it ? >> demande t-elle. << Yes, if you don't mind ! >> répond Clémentine. Je ne m'y attendais pas. Juste avant la seconde photo, Clémentine pose sa main sur ma braguette. C'est en riant que la jeune fille prend le cliché. Elle semble bien s'amuser dès le troisième quand Clémentine récidive. Pas de doute, nous venons encore de rencontrer une complice de jeu. Momentané.

Je suis à la fois hyper gêné mais également de plus en plus excité. De constater à quel point cette jeune et belle inconnue nous rejoint dans nos déviances. Elle a un sourire amusé. Guettant la prochaine pose. Elle ne s'ennuie pas avec ce couple de vicieux. Je pose avec la main sous la jupe de Clémentine. Cambrée sur ses genoux fléchis, pieds largement écartés, elle prend des poses hyper vicelardes. La jeune fille ouvre de grands yeux quand Clémentine me sort la bite dans les fourrés. << J'adore quand tu es vicieux devant d'autres filles ! >> dit elle.

Je suis mort de honte. Clémentine me tient par la taille de son bras gauche, me tient la queue de la main droite. La jeune fille ne montre aucun désarroi devant de telles situations. Au contraire, elle semble s'immerger dans le vice avec une certaine délectation. << I will join my boyfriend. We have a rendez vous. That's a shame. I would love to stay with you ! >> lance la jeune fille en venant nous rejoindre. Je remballe. Elle tend l'appareil photo à Clémentine en nous faisant un clin d'œil. << Put-hein ! Encore un super plan ! >> s'écrie Clémentine.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines. Dans un excellent restaurant gastronomique. À regarder les photos prises durant l'après-midi...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1982 - Écosse jour 49 -



Première randonnée à bicyclettes

Hier matin, vendredi, il est presque huit heures trente. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Ce réflexe immédiat, à peine conscients, de nous blottir l'un contre l'autre. Comme éperdus d'amour. Clémentine aime bien se coucher de tout son long sur moi. Mon érection naturelle tout contre son sexe. Même si le besoin naturel devient rapidement de plus en plus impérieux, nous profitons de ces instants de première intimité pour nous chuchoter des douceurs. Je soulève Clémentine pour l'emmener comme une jeune mariée aux WC.

Nos rituels pisseux avant de passer à la cuisine. Comme il y a du soleil dans un ciel presque entièrement bleu, la luminosité dans la pièce est déjà vive. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse les oranges et je pèle les kiwis en écoutant. J'adore l'onirisme loufoque des rêves de ma compagne. Nous en rions souvent aux éclats avant d'entamer le petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit en évaluant les différentes options de la journée. << Impro ! >> lance Clémentine qui me tend sa tranche de pain grillé afin que je la beurre.

La vaisselle. Nous passons à la salle de bain pour nous laver les dents, nous vêtir de nos tenues de sport. Nous dévalons l'escalier de service. La température extérieure n'est encore que de 18°. Un peu frisquet. Ce qui nous impose quelques mouvements d'échauffement supplémentaires. C'est parti pour notre jogging quotidien. Sur le parcours habituel en croisant d'autres joggeurs. Il est dix heures quand nous revenons pour prendre la douche. Clémentine porte une de ses jupettes grises façon tennis qu'elle fait virevolter. Un T-shirt blanc.

Je suis en short brun et T-shirt crème. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Deux courriels. Celui d'Estelle qui nous raconte sa journée de hier avec ses parents. Ils ont fait une croisière sur le Loch Ness. Celui de Julie qui nous raconte sa journée à tenir la galerie d'Art. Nous répondons en joignant un selfie pris à l'instant. Un petit tour sur le site universitaire afin de s'assurer qu'il n'y ait aucune nouvelle information. Clémentine télécharge les photos réalisées hier. Ce sont celles prises par la touriste dans le parc qui nous enchantent.

<< J'adore quand tu montres ta bite à d'autres filles qui ont tendance à entrer dans nos jeux. Ce sont souvent des complicités improvisées et qui ne dure qu'un petit moment ! J'adore ! >> lance Clémentine. On me voit à ses côtés. Elle tient mon sexe. Nous sourions à l'objectif. La simple idée que c'est une jeune inconnue qui nous a photographié nous excite terriblement. Il y a les clichés ou c'est moi qui touche Clémentine, main sous sa jupe, entre ses cuisses. << Raconte-moi encore l'effet que je te fais quand je suis salope ! >> demande t-elle.

Nous rions de bon cœur lorsque je réponds : << Mais si tu n'étais pas cette merveilleuse salope notre vie de couple serait d'un ennui mortel ! >>. Il y a exactement onze photos prises par la jeune touriste dans le parc. Il y a sept photos que nous avons réalisé en selfie durant la promenade. Le soleil illumine soudain la table. Nous nous levons. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'à une des deux fenêtres. Comme il fait beau ! << Cet après-midi, on se fait notre première virée écossaise à bicyclette ! Tu veux ? >> s'écrie Clémentine en sautillant.

Elle m'entraîne dans une ronde autour de la table. J'aime la savoir heureuse. << Je t'aime ! Mais méfie toi, je suis également folle amoureuse ! >> lance t-elle en se serrant contre moi. Je la soulève. Elle enserre mes hanches de ses jambes pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Je chuchote : << Tu sais que je n'ai qu'à sortir mon sexe pour te l'enfoncer délicatement. Tu n'as pas de culotte, facile ! >>. En me couvrant le visage de bisous elle répond : << Mais qu'est-ce que tu attends ! >>. J'ouvre maladroitement mon short. Pas confortable.

Mon érection rend la pénétration facile. Même si je la pratique avec d'infinies précautions. Clémentine se mordille la lèvre inférieure. Je m'immisce insidieusement. Dans mes bras, accrochée à mes épaules, en gémissant de bonheur, Clémentine se laisse promener dans tout l'appartement. Je joue au guide. Je fais une visite documenté. J'invente une histoire dans chacune des trois pièces. Clémentine rit aux éclats. << Tu devrais me faire visiter tous les musées de cette manière ! >> lance t-elle en se mettant à bouger de plus en plus rapidement.

Je la dépose sur la table, à côté de l'ordinateur. Je me retire. << Oh, pourquoi ! >> dit Clémentine avec un air et un ton tristounets. Je ne réponds pas. Je m'assois sur la chaise. Mon visage entre ses cuisses. Je suce son clitoris géant. Je retire quantité de poils qui envahissent ma bouche. Je lèche sa vulve en y enfonçant ma langue. Je suçote les lèvres charnues de son sexe. Clémentine me guide en me tenant les oreilles. Nous aimons nous garder excités toute la journée. Mais là, je crois avoir forcé la dose. Dans un cri, Clémentine se cambre. Raide.

Son orgasme la fait pousser de petits cris entrecoupés de halètements émerveillés. Elle me repousse délicatement car elle sait que je suis un spécialiste du second tour de manège. Il est onze heures quarante cinq. Clémentine prépare une salade de carottes. Je fais gonfler du pilpil de blé. Dans une poêle je fais rissoler les deux derniers filets de saumon. J'y rajoute le dernier petit pot de crème juste avant la fin de la cuisson. << C'est génial de baiser le matin. On se sent tout cotonneux après ! >> lance Clémentine qui vient se lover contre moi. Bisous.

Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. Trop pressés de filer. La vaisselle. Lavage des dents. Nous restons vêtus comme nous le sommes. Dans le petit sac à dos, des fruits, les K-ays, la bouteille d'eau. Nous avons à disposition les bicyclettes de mon oncle et de sa compagne. Ça fait longtemps qu'ils ne les utilisent plus. Ils sont toutefois bien entretenus. Surtout pour notre arrivée. Je vérifie le gonflage des pneus. Je rajoute de la pression. On aime quand c'est dur. 5,5 bars devant et derrière. Ce sont des VTC. Vélos tous chemins. Parfaits.

C'est sur les bicyclettes que nous descendons avec prudence. Tout Morningside street jusqu'à Leith en passant par Dean Village. Il fait super beau et super chaud. Voilà la piste cyclable qui longe la voie ferrée jusqu'à South Queensferry. C'est un de nos itinéraires préférés. Environs 40 km depuis la maison. Autant pour le retour. Nous croisons nombre de cyclistes. C'est une véritable autoroute avec cette merveilleuse météo. Voilà River Almond Bridge. La piste cyclable longe le littoral. C'est splendide. Plein de bateaux sur notre droite. Mer étincelante.

Sur notre gauche les collines et les pâturages. La route est plate. Il y a parfois un tronçon non goudronné en terre "stabilisée". Un léger vent de la mer apporte cette pointe de fraîcheur si agréable. Arrêt pipi. Nous quittons la piste cyclable pour prendre un chemin qui descend vers la mer. Ce sont des petites plages de galets alternant avec des quais aménagés où sont attachés des bateaux de plaisance. << C'est Saint-Tropez ! >> lance Clémentine. Elle me montre le type qui semble affairé sur l'arrière de son bateau. << Lui, c'est ma victime ! >> dit elle.

Je reste en retrait. Je regarde Clémentine s'avancer. Elle passe deux fois à proximité de l'embarcation. C'est au second passage que l'inconnu remarque la sublime jeune fille. Une main entre ses cuisses elle semble chercher un endroit pour faire son pipi. Clémentine ne joue pas. Elle doit réellement faire son pissou. Elle me tourne le dos. Je suis à une cinquante de mètres. Planché dans les bosquets. Je tire la petite paire de jumelles du sac. Elles agrandissent 8 fois. Avec une netteté remarquable. Je scrute les expressions du "marin". Il mâte bien.

Accroupie, les cuisses largement écartées, face au mec à une vingtaine de mètres. Elle garde la tête penchée en avant. Ses cheveux défaits pour la circonstance et ses lunettes de soleil la protègent derrière un total anonymat. Je ne vois pas si elle pisse. Cette position d'une indécence folle, délibérée et volontaire me procure une érection presque douloureuse. Pour la soulager je n'ai d'autres choix que d'extraire mon sexe. Je me masturbe doucement en admirant le spectaculaire moment offert par Clémentine. Le type regarde partout autour de lui.

Le bateau le plus proche est à une centaine de mètres. Personne. La situation idéale pour une exhibitionniste virtuose. Et pour un individu qui de voyeur devient lui aussi exhibitionniste. C'est toujours amusant de voir deux personnes partageant les mêmes penchants, se livrer à ce jeu. Clémentine se cambre. En appui sur le tronc d'arbre à sa gauche, elle dirige un incroyable jet que je distingue enfin. Le mec se masturbe. Il a un bel engin. Je le vois héler la jeune fille. Je suis trop loin pour comprendre. Clémentine fait non de la tête puis du doigt.

Notre branleur se rapproche du bord de son embarcation. Cambré sur ses genoux fléchis il éjacule. Je vois très nettement les trois giclées et la dernière saccade. Clémentine se redresse pour se torcher longuement. Prenant tout son temps. Elle se touche. Ainsi debout, dans une posture d'une incroyable vulgarité, elle se masturbe. S'en est trop pour le pauvre voyeur qui recommence à se branler de plus belle. Réitérant probablement sa proposition insistante de le rejoindre. Clémentine refait non de la tête et du doigt levé. Elle tourne les talons.

Elle vient me rejoindre. En saisissant mon poignet elle fourre sa main sous sa jupette. Entre ses cuisses bouillantes. Elle est trempée. J'enfonce mon index en murmurant : << Félicitations mademoiselle. Vous êtes la plus exquise des salopes. >>. Elle se frotte sur ma main en gémissant de plaisir. Elle tire sa culotte du sac pour l'enfiler. Clémentine déteste faire de la bicyclette sans sous vêtement protecteur. Le contact de la selle est si désagréable. Nous repartons. Elle me raconte les propositions du mec. Monter à bord du bateau et baiser un coup.

Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : << Les mecs prennent souvent leurs désirs pour des réalités ! >>. Voilà South Queensferry. Ce pont rouge, métallique, immense, qui enjambe l'estuaire. C'est celui de l'autoroute. Un kilomètre plus loin il y a sa réplique mais exclusivement destiné aux trains. Nous avons pris quantité de photos les années passées. Mais le spectacle est toujours grandiose. << San Francisco bis ! >> lance Clémentine en glissant sa main dans mon short par le haut. << Tu es trempé. Ta bite colle au fond ! >> dit elle.

Il y a d'autres gens. Il est impossible de la sortir. << Viens, on se trouve un coin. Je te vide les couilles. J'ai soudain une petite faim ! >> lance Clémentine. Nous poussons nos vélos jusqu'aux bancs et tables de pierre. Nous y savourons nos pêches, nos brugnons et nos nectarines. Il est déjà 17 h. Il faut penser à revenir. Il faut pédaler contre un léger vent du large. Il rafraîchit l'atmosphère. Avec cette chaleur c'est un plaisir supplémentaire. Clémentine propose de retourner au bateau du branleur. Il est avec une femme et une jeune fille.

Inutile d'espérer un second "plan". Cet homme est avec sa famille. Nous retournons sur la piste cyclable. Il est 19 h 30 quand nous arrivons à l'appartement. Fourbu. La côte pour remonter Morningside nous a littéralement achevé. Nous voulions prendre la voiture pour retourner en ville. Clémentine propose de nous faire un "reste de frigo à la Toscane". Une spécialité à nous où nous finissons les restes. Des coquillettes avec une montagne de Parmesan, une omelette aux champignons. Une salade de tomates en entrée. Nous mangeons de bon appétit.

Demain il faudra aller faire des courses beaucoup plus conséquentes. Clémentine, assise sur mes genoux, en dresse la liste. << Tu me fais sucer le Zob après ? >> dit elle soudain en tournant la tête pour me déposer un bisou sur la bouche. Un peu décontenancé je réponds : << Avec plaisir ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. J'attache Clémentine sur une des chaises. Ses chevilles et ses poignets entravés par des foulards en soie. Le dossier de la chaise entre ses cuisses écartées. Sans culotte. Je suis accroupis pour la doigter. Pour la fouiller.

Je me redresse en suçant mes doigts trempés de cyprine. Ce qui excite toujours beaucoup Clémentine. Je l'attrape fermement par sa tignasse. Je lui frotte la bite sur la gueule. Ses gémissements sont la plus belle des musiques. Lorsqu'elle croit parvenir à gober mon sexe j'esquive juste au dernier instant. Je me penche pour déposer une bise sur son front. À son oreille je murmure : << Délicieuse salope ! >>. Je lui offre enfin le fruit de son désir. Clémentine me suce comme si sa vie en dépendait. Je sens bouillir mes couilles. Elle aspire la jute.

Je fais durer. Je contrôle toujours parfaitement la situation. Rien n'excite davantage Clémentine que de me savoir jouer ainsi. Je retire mon sexe pour le frotter sur son visage. Je le macule de foutre pour l'enfoncer à nouveau. À chaque fois il y a une gradation dans nos plaisirs. Les gémissements de Clémentine deviennent concerto pour une voix. Je me penche pour lui enfoncer le doigt. C'est trempé. Je le lui montre avant de me le sucer avec gourmandise. Je chuchote : << Après, au lit, je vais t'offrir un moment de folie ! >>. J'éjacule dans un cri.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui ont passé une journée en allant d'émotions en émotions, de sensations en sensations...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1983 - Écosse jour 50 -



Seconde randonnée écossaise à bicyclette

Il est un peu plus de huit heures hier matin samedi. Clémentine vient se blottir tout contre moi. M'enlaçant de ses bras, elle murmure des douceurs. Je dépose plein de bisous sur son front, ses joues et même sur le bout de son nez, ce qui la fait rire. Une cuisse sous les miennes, l'autre sur ma tumescence, Clémentine se frotte contre ma hanche. Du jeu cela devient rapidement masturbatoire. Nous ne sommes pas du matin et cela termine en franche rigolade en nous précipitant aux toilettes. Morts de faim, nous allons à la cuisine. Dehors il fait beau.

Sans doute aurons-nous la même météo que hier. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant une dernière lecture de la liste des courses. Il est impératif de les faire ce matin. Estelle revient demain soir, il ne faut manquer de rien. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Nous gardons une excellente impression de notre virée à vélos hier. Clémentine propose une récidive. Un autre circuit peut-être un peu moins contraignant.

La vaisselle avant se se laver les dents. Vêtus de nos shorts de lycra noir, de nos T-shirts de lycra jaune, nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans l'agréable fraîcheur matinale. C'est parti. Le même parcours nous offre des vues splendides sur Édimbourg et son château. On s'arrête toujours une petite minute pour admirer. Tout en sautillant sur place pour conserver le rythme. Il est neuf heures trente quand nous prenons notre douche. Clémentine porte la même jupette tennis que hier. Un T-shirt blanc, ses baskets.

Je suis en bermuda kaki et chemisette claire. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un courriel de Julie qui vient de réaliser sa quatorzième vente. Elle joint une photo de la toile entre le couple d'acquéreurs. Comme Julie est belle ! Des séniors posant fièrement. Il y a un courriel d'Estelle qui nous raconte sa journée de hier avec ses parents. Randonnée dans Glen Affric. Nous répondons en joignant un selfie pris à l'instant. Munis de la précieuse liste de courses, nous descendons à toute vitesse. Il est presque dix heures.

Waverley reste notre centre commercial préféré lorsque nous sommes à Édimbourg. Il faut descendre Morningside Street dans une circulation dense. C'est samedi. À Leith il faut prendre à gauche direction South Queensferry et reprendre immédiatement à gauche pour entrer dans la ville par son côté Ouest. Je roule prudemment. Clémentine garde sa main dans ma braguette béante. On se gare le plus près possible de l'abri à charriots. C'est une méthode simple et efficace pour repérer la voiture en revenant. Il y a vraiment beaucoup de monde.

Je nettoie la poignée du caddie avec du gel hydroalcoolique. Vieille habitude rassurante. Nous enfilons des gants Mappa. C'est tout aussi rassurant. Je pousse le charriot en suivant Clémentine. Elle tient la liste des courses et nous entraîne dans les rayons qui nous concernent. Crème dentifrice, petits tampons car nous sommes le 20 et c'est le jour des règles de Clémentine. Réglée comme une horloge. << Pour le moment, jusqu'ici, tout va bien ! >> dit elle. Nous rions. Ce sont surtout les légumes, les fruits, crudités qui ont motivé cette expédition.

<< On va pas s'emmerder. On prend des salades déjà lavées dans leurs emballages ! >> lance Clémentine en scrutant les dates de péremption et l'aspect des feuilles sous le plastique. Le caddie se remplit inexorablement. Clémentine est rationnelle. Elle m'entraîne aux fruits. Nectarines, brugnons, kiwis, oranges, pêches et pommes dont nous faisons grande consommation. Les produits proposés sont "Bio" et on un aspect magnifique. Clémentine se met devant moi, le coin du charriot contre son sexe. Elle se frotte discrètement. Un clin d'œil.

<< Viens, on fait un tour dans les bouquins. Il y a peut-être un "plan" ! >> propose t-elle. Clémentine me tient par le bras. << Une petite exhibe me ferait le plus grand bien. Surtout pour ce que j'ai ! >> dit elle. Nous rions de bon cœur en arrivant dans la partie culturelle de l'hypermarché. Hélas, il y a tant de gens qu'il est impossible de jouer à nos jeux préférés. Ce serait prendre des risques inutiles. Nous faisons un tour au rayon des vêtements. Il y a là quelquefois d'excellentes opportunités. Mais ici également il y a un monde fous. Promos.

Nous passons en caisse. Il faut patienter dans la file. << Je crois que mes "petits machins arrivent ! >> murmure t-elle. Je suggère qu'elle aille s'occuper de son intimité aux toilettes. Rendez-vous devant la cafétéria. Elle me dépose un rapide bisou sur la bouche. Vérifie son petit sac à main qu'elle porte comme un sac à dos. << Ouf ! J'ai ce qu'il faut ! >> fait elle encore en filant. Je la regarde passer par la sortie sans achats. Là-bas, à une centaine de mètres, elle me fait un grand coucou. Je passe chez la caissière. La patience est mise à rude épreuve.

Je rejoins Clémentine à l'endroit convenu. << Même pas mal ! >> lance t-elle en me prenant par le bras. Nous lisons les menus proposés dans la cafétéria. Il est presque midi et la faim nous tenaille. << Pizzas aux moules et crevettes ! Ça te dis ? >> fait Clémentine. Nous évaluons le monde déjà installé aux tables. C'est jouable. Il faut d'abord aller ranger les courses dans le coffre de la bagnole. Le choix est vite fait. Une salade, une pizza, une crème pâtissière aux fruits en dessert. Chacun avec un plateau, nous nous installons près de la baie.

<< Splendide vue sur le parking ! >> lance Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Nous mangeons de bon appétit. << C'est pas dégueu et c'est meilleur que dans certains restaus où on a déjà bouffé ! >> rajoute t-elle. C'est vrai. Mais sommes-nous réellement objectifs avec la faim qui nous tenaille ? En tous cas, le dessert est fameux. C'est bruyant une cafétéria. << On dirait le restaurant universitaire ! >> fait Clémentine. Nous retournons à la voiture. Il est 13 h30 quand nous revenons à l'appartement. Le temps de ranger nos courses. OK.

Je change mon bermuda et ma chemisette contre un short et un T-shirt. C'est qu'il fait plutôt chaud. Clémentine reste vêtue comme elle est. Nous dévalons l'escalier, pressés de retrouver les bicyclettes. L'itinéraire choisit nous emmène jusqu'à Portobello. Nous descendons avec beaucoup de prudence, les mains constamment sur les freins. Il faut repasser devant Waverley. Le centre commercial semble encore plus bondé que ce matin. C'est un circuit assez irrégulier, parfois vallonné. Il faut peiner dans les montées. Premier arrêt pipi dans les bois.

Quand elle a ses "petits machins" de fille Clémentine est toujours anxieuse. Pour le moment elle ne ressent aucune douleur. Juste une légère congestion dans le bas ventre. Ses tous petits seins durcissent. Ce sont eux qui posent problème. Préventivement, alors qu'elle n'en porte jamais, Clémentine a son soutien gorge. Les bretelles et le fermoir dans le dos l'irritent, l'énervent aussi. J'ai appliqué de la pommade. Ça devrait tenir jusqu'à ce soir. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets contre un mur de pierres. Nous rions du dessin qu'elle fait.

Une vague silhouette humaine qu'elle baptise "l'aigle impérial". Nous sommes pliés de rire en remontant sur nos machines. Voilà la mer. Magnifique. Les eaux scintillent de mille reflets d'argent. Nous nous arrêtons dans une petite crique déserte. Allongés tous les deux sur le sable, nous faisons le bilan de cette semaine seuls. << J'aime être seule avec toi. Demain, il y aura à nouveau Estelle. Elle te manque parfois ? >> lance Clémentine. Je dis : << Oui, parfois, comme elle te manque. On a quand même vécu tant de choses tous les trois ! >>.

Clémentine glisse sa main dans mon short par le haut. Elle fouille un peu dans le slip. Une bite toute molle et moite qu'elle malaxe en évoquant quelques souvenirs à trois. Prenant appui sur son coude pour poser sa tête sur mon ventre, elle sort ma queue. Je bande mou. << J'aime quand elle bande mou, elle est toujours pleine de surprises ! >> dit Clémentine. Nous rions aux éclats quand elle rajoute : << Pleine de jus aussi ! >>. Descendant légèrement la tête elle se met à suçoter juste l'extrémité. La peau fripée du prépuce qu'elle aime fouiller.

Je ne tarde pas à bander comme le dernier des salauds. Tout en chantonnant Clémentine se met à sucer pour de bon. Nous sommes à l'ombre d'un arbre. C'est vraiment très agréable. Les bicyclettes calées contre des rochers. Je caresse les cheveux de Clémentine. Sa nuque Elle cesse pour dire : << Raconte-moi des trucs ! >>. Je me fais tailler une pipe des familles en me mettant à évoquer nos fantasmes. Je reviens sur la fellation qu'a prodigué Clémentine à cet inconnu, il y a deux jours, dans les ruines du château. Je donne mes impressions.

Je murmure : << J'adore te voir sucer un autre mec. Je ne sais pas pourquoi mais rien ne m'excite autant ! >>. Sans cesser de sucer Clémentine rit en gloussant. C'est arrivé plusieurs fois. Je chuchote : << Je garde ces souvenirs profondément imprimés en moi ! >>. Clémentine cesse sa pipe pour dire : << Moi aussi. Et ça m'excite autant que toi ! >>. Elle se redresse pour me montrer l'intérieur de sa bouche. Je m'écrie : << Ça aussi, ça me rend dingue quand tu fais ça ! >>. Clémentine, en gloussant, retourne à sa fellation juteuse.

Je regarde régulièrement dans toutes les directions. Nous sommes absolument seuls. Pourtant, une sorte de sixième sens nous met tous les deux en alerte. Je me redresse sur les coudes pour bien regarder. Clémentine se lève d'un bond pour scruter les environs. << Là ! >> s'écrie t-elle. Je me lève aussi. Deux jeunes filles filent à toute vitesse. Elles ont été surprises à mâter. Il faut les voir courir sur les dunes. Elles battent probablement des records. << Je suis sûre qu'elles observaient depuis un bon moment ! >> lance Clémentine. Nous rions.

Nous remontons sur la piste cyclable à quelques centaines de mètres en poussant nos vélos dans le sable. Sur notre droite, les eaux scintillantes de la mer. De beaux bateaux. De nombreux voiliers. Sur notre gauche, les pâturages bien ordonnés. Des vaches écossaises aux cornes démesurées et aux poils longs. << Quand je commence à sucer, j'ai envie de le faire tout les temps. J'adore le gout du foutre ! >> fait Clémentine en posant sa main sur la mienne quelques instants. Je demande : << Tu veux qu'on s'arrête un peu ? >>. Pieds à terre.

Nous regardons à l'entour. Il n'y a pas d'endroits suffisamment discrets. Il y a de nombreux cyclistes. Nous envisageons la situation. << Je crois qu'il faudra nous armer de patience ! >> fait Clémentine. Elle rajoute : << Mais ça on peut le faire ! >> avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Discrètement, entre deux passages de vélos, elle palpe ma bosse. Nous repartons. Il est 17 h30 quand nous terminons la boucle. Une superbe promenade à bicyclette. Nous arrivons à Leith. Je suggère de réserver une table pour ce soir dans un restaurant.

En poussant nos vélos nous lisons les menus affichés. C'est la tourte au saumon qui remporte la palme. Nous avons une table ce soir, pour vingt heures mais sous la pergola. La jeune fille nous conseille de mettre un sweat et des pantalons car la fraîcheur est plus vive en soirée. Nous remontons Morningside Street. C'est toujours la dernière épreuve en revenant de virées. Une douche. Clémentine prend ma main pour la poser sur son ventre. << Ça commence à gargouiller là dedans ! >> dit elle. Préventivement elle prend un cachet d'Antadys. Bien.

Nous revêtons des jeans, des sweats. Nous dévalons les escaliers. Il est 19 h30 quand nous sommes de retour sur le port de Leith. C'est tellement agréable d'y flâner. Clémentine se plaint des pointes douloureuses de ses seins. J'applique la méthode du docteur Julien. Je pose mes lèvres sur chacun d'eux. À travers le coton du sweat j'insuffle de l'air chaud. << Mmmhhh ! Mais comme c'est bon ! >> murmure t-elle. Nous attirons évidemment quelques regards concupiscents voire libidineux. Tant pis. On s'en contrefout. C'est la posologie du "docteur".

Il est vingt heures quand nous sommes attablés devant des tourtes au saumon absolument délicieuses. Accompagnées de salades de salicornes. Heureusement, nous avons suivi les recommandations de la jeune serveuse. Même en jeans et en sweat, c'est très limite. Nous sommes déjà le 20 aout et sous ces latitudes les soirées deviennent fraîches. Une tranche de tarte aux poires merveilleusement divine. Un petit tour aux toilettes. Clémentine me tient la queue pour en diriger les jets. Accroupie elle en récupère les toutes dernières gouttelettes.

Enfermés dans un des cabinets des toilettes hommes, j'applique une fois encore la méthode du docteur Julien sur les seins maintenant douloureux de Clémentine. << En rentrant, sous les draps, il faudra me donner le traitement qui soulage ! >> murmure t-elle. Nous rions en attendant que le mec qui pisse de l'autre côté de la porte s'en aille. Nous reprenons la voiture vers 21 h45. Fourbus, nous nous couchons. J'offre à Clémentine un suçage de clitoris. Ce traitement procure un soulagement immédiat avant que ma patiente ne s'effondre, fatiguée.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment se faire sucer avant de s'endormir. Après un orgasme de cette nature, tout va bien mieux...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1984 - Écosse jour 51 -



Estelle revient nous rejoindre

Hier matin, dimanche, il est presque neuf heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine qui s'est levée deux fois cette nuit pour aller aux toilettes et prendre un anti douleur, se blottit contre moi. << Ce coup-ci mes "petits machins" ne m'ont pas loupé ! >>. Je pose mes lèvres sur son sein droit. Au travers le tissus de son T-shirt j'insuffle de l'air chaud. Je fais pareil sur le sein gauche. << Mmmhhh, ça soulage ! >> gémit -elle en s'emparant de mon érection naturelle. Je masse doucement son bas ventre tout aussi sensible.

Comme le ferait un marié avant la nuit de noce je soulève Clémentine pour l'emmener aux toilettes. << Je vous aime docteur Julien. Vous vous occupez si bien de moi. Vous êtes si prévenant, si attentionné ! >> dit elle en se laissant porter ainsi. Je la laisse à ses intimités pour aller préparer le café, presser les oranges, peler les kiwis. Clémentine vient me rejoindre en sautillant. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. J'adore l'halène de ses nuits. Il y a toujours quelques chose de fruité. C'est passionnant.

Le grille pain éjecte ses deux premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de cette semaine seuls tous les deux. Même si c'était merveilleux nous nous réjouissons de retrouver Estelle ce soir. C'est comme de revoir un parent proche. Nous mangeons de bon appétit. Aujourd'hui, importunée par ses règles, Clémentine préfère ne pas partir à bicyclette. << Je n'apprécierais pas à sa juste valeur. Par contre une belle promenade, ce serait parfait ! >>. dit elle. Je propose d'aller faire les blaireaux sur la plage de Portobello. Nous rions.

<< Alors il faudra louer un parasol, tu as vu ce qui se prépare ? >> répond t-elle en m'entraînant vers la fenêtre. Juste quelques nuages blancs dans un ciel d'azur avec un magnifique soleil. Le dimanche, pas de jogging, pas d'entraînement. Ça tombe bien car l'état de Clémentine ne lui permettrait pas les séries d'abdos que nous affectionnons. Nous traînons à table en examinant les différentes options pour une journée calme. C'est difficile car nous sommes toujours dans l'action. Assise sur mes genoux, Clémentine en fait un inventaire.

<< Il y a certainement des coins plus calmes et moins fréquentés. Avec de l'ombre peut-être. Tu te rappelles en allant vers South Queensferry, il y a des endroits très sympas ! >> suggère Clémentine. Je demande : << Près des bateaux de plaisances où nous avons rencontré Lennie il y a cinq ans ? >>. Clémentine s'écrie : << Oh oui, là-bas, c'est superbe ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Une rapide toilettes. Quand Clémentine a ses "petits machins" elle ne mange souvent que des fruits à midi. Je vais faire la même chose.

Dans le petit sac à dos nous glissons les pêches, les nectarines les plus molles à manger en priorité. Des brugnons et le beau melon acheté hier à Waverley. Deux grandes bouteilles d'eau gazeuse. Clémentine n'oublie pas ses cachets anti douleurs. Homéopathiques et allopathiques. Selon le besoin de se soulager vite. Pressés de filer, nous dévalons l'escalier de service. Nous tombons sur Oncle Alan et sa femme Amy. Nous bavardons un peu. Eux aussi attendent avec impatience le retour d'Estelle qu'ils adorent. Repas commun mercredi soir.

Nous les saluons. Je roule doucement car la circulation est dense. Clémentine joue avec son "doudou". Elle adore tenir ma queue pendant que je conduis. À Leith il faut prendre à gauche. Il y a une quinzaine de bornes par la route. Clémentine consulte son téléphone. Nous avons trois courriels. Celui de Juliette qui nous raconte une Corse sévèrement touchée par des orages et de véritables tempêtes. Sartène est à l'intérieur des terres. Le village est protégé par de hautes montagnes alpestres. Estelle nous fixe rendez-vous ce soir 19 h à Dean Village.

Ses parents y ont loué un petit appartement pour leur dernière semaine en Écosse. Julie nous raconte sa journée de gérante de galerie d'Art. Il reste quatre toiles à vendre. Elle a deux "plans". Clémentine répond. Voilà South Queensferry. Juste avant la ville je prends à droite pour rejoindre le port de plaisance. Nous reconnaissons l'endroit. Il y a plein de plaisanciers, de touristes. Je gare la voiture sur le parking obligatoire aux visiteurs. Un panneau lumineux indique qu'il reste 16 places sur 541. Qu'il fait 22°, qu'il est 11 h14. Dimanche 21 aout.

Je trouve enfin une place. Clémentine retire sa culotte qu'elle fourre dans la poche avant du petits sac à dos que je porte. << Une petite exhibe ne peut pas faire de mal pour ce que j'ai ! >> lance t-elle. Nous rions aux éclats. Clémentine porte une de ses robes d'été à motifs floraux. Serrée à la taille et arrivant à mi cuisse. Avec ses sandalettes à légers talons je la trouve terriblement sexy. Je suis en short jeans, T-shirt crème. Nous prenons le chemin qui longe les quais où sont amarrés des dizaines et des dizaines de bateaux. Ils sont splendides.

Quand nous viendront vivre en Écosse, d'ici deux ans, nous avons le souhait d'en acheter un. Il nous faudra passer le permis de naviguer en mer. Un amusant projet qui reste dans un coin de nos têtes. Nous croisons quelques marcheurs. Le chemin s'écarte de la mer pour aller vers Édimbourg. Nous prenons le sentier de gauche qui reste près de l'eau. Il y a rapidement de petites criques invitantes au farniente. Il y a très peu de monde car il y a des animations folkloriques un peu partout en Écosse. Notamment à South Queensferry. Ce qui nous arrange bien.

Là, un coin tranquille. Il faut descendre avec prudence. En temps normal personne ne s'aventurerait par là. Surtout qu'un panneau dissuade le promeneur. L'Écosse aussi est entrée dans l'ère de l'assistanat, d'infantilisation des populations. La "cancel culture" y fait ses dégâts mentaux comme partout ailleurs. Le sentier est abrupte. Clémentine reste accrochée à mon bras. Comme je suis en baskets, je fixe le petit sac sur son dos, je la fais monter sur le mien. C'est parfait. << Mon docteur est aussi mon sherpa ! >> s'écrie t-elle. Nous rions aux éclats.

C'est une petite crique d'environs vingt mètres de sable blanc et de galets. Des sapins offrent une ombre généreuse du côté Est. Il faudra toutefois changer de positions en fonction du soleil. Clémentine déplie le plaid. Comme il est agréable d'êtres installés là. Le spectacle des voiliers est magnifique. C'est un concours de régates. Ils sont sans doute une bonne centaine à s'affronter. Je dis : << Si on achète un bateau il sera à moteur et disposera d'un petit appartement ! >>. Clémentine glisse sa main dans mon slip. Je caresse sa touffe. Douceurs.

Elle est toute nue. Elle se plaint de crampes désagréables dans le ventre. Ça faisait longtemps que ses règles ne l'avaient plus fait souffrir autant. Nous nous passons la paire de petites jumelles pour observer les voiliers. Certains sont superbement décorés. De véritables œuvres d'art. Clémentine coupe le melon pour en retirer les pépins. Avec nos petites cuillères à moka nous en savourons le moelleux sucré. Un délice. Les nectarines et les pêches sont délicatement juteuses. Nous allons nous laver les mains dans l'eau. Nous y trempons les pieds.

L'eau fraîche n'est sans doute pas l'idéal pour le ventre de Clémentine. De retour sur le plaid je réchauffe ses pieds par frictions énergiques. Je la chatouille. J'adore la voir rire. << Après je te suce en dessert ! >> s'écrie t-elle. Nous rions aux éclats quand elle rajoute : << L'élixir magique du docteur Julien ! >>. Il faut se déplacer car le soleil est chaud brûlant. C'est là, tout près des rochers, à l'abri de la vue d'un éventuel randonneur téméraire, que je suce le clitoris géant de Clémentine. << Mmmhhh ! Docteur, quel soulagement ! >> gémit elle.

Je cesse de nombreuses fois. Pour soulager l'angle de ma nuque mais aussi pour retarder le plus longtemps possible le plaisir de ma patiente. Ma thérapie s'inscrit dans la durée. Les posologies doivent respecter ce que peut endurer la "malade". J'aime la taquiner en jouant avec la petite ficelle blanche. << Arrête, un jour tu vas tout faire tomber ! >> s'écrie t-elle. J'offre à ma douce patiente un orgasme de qualité. Elle me repousse juste à temps pour jouir en pissant. Clémentine reste un long moment couchée sur le dos, comme hébétée.

Elle se redresse en disant : << Wouah ! Docteur, vous êtes un magicien ! >>. Nous rions de bon cœur. Elle se lève pour s'éloigner. Changer son tampon. Couchés sur le ventre nous lisons quelques brochures touristiques qui traînent toujours au fond du sac. Il y a évidement des tas d'endroits que nous n'avons jamais visité. << Quand nous vivrons en Écosse on aura de quoi passer nos vacances et nos week-ends ! >> lance Clémentine. << J'ai moins mal ! >> rajoute t-elle en se serrant contre moi. << Merci docteur. Vous êtes un chamane ! >>. Rires.

Sa tête posée sur mon ventre, Clémentine joue avec ma queue. Elle suçote par intermittences. Depuis les voiliers qui passent, avec une simple paire de jumelles il est tout à fait possible de voir ce qui se passe sur cette plage minuscule. Clémentine, les yeux ouverts, ma bite dans la bouche, regarde. Elle cesse souvent pour dire : << C'est certain, il y en a qui nous voit ! >>. C'est une fellation sans conviction. J'ai du mal à me laisser emporter par l'extase. Mes sens aux aguets, prêt à me tourner sur le ventre à la première alerte. Vigilance. Prudence.

Pas d'orgasme pour moi. Clémentine se plaint de nouvelles crampes. Je me redresse pour masser délicatement son bas ventre. Elle reste accrochée à moi en gémissant de soulagement. Elle reprend un cachet Vidal. Elle finit par s'endormir contre moi. Je la rejoins dans le sommeil. Il est presque dix huit heures quand nous nous réveillons. << Ça va mieux ! >> lance Clémentine en se redressant pour sautiller sur place. Nous réunissons nos affaires en secouant le sable. Nous remontons sur le sentier. << Au revoir petite plage ! >> fait Clémentine.

Nous sommes de retour à la voiture pour 18 h30. Je roule avec beaucoup de prudence. La circulation est dense. Tout le monde revient des festivités. Il est pile 19 h quand je gare la voiture à l'endroit indiqué par Estelle. Dean Village est un des plus beaux quartiers d'Édimbourg. Un labyrinthe de ruelles où il est agréable de se perdre. Estelle devait nous guetter depuis la fenêtre. Elle se précipite pour nous accueillir. Plein de bises à Clémentine avant de me sauter au cou. Son premier réflexe consiste à me palper la braguette en disant : << Ça va ? >>.

Elle vient d'arriver avec ses parents qui descendent dans la rue pour nous saluer. Je propose de nous offrir un bon restaurant sur le port. << On est crevés. On va s'installer dans notre nouvel appartement ! >> répond Michèle. << Mais on vous livre le colis en parfait état comme vous nous l'avez laissé ! >> fait Yvan en prenant sa fille par les épaules. << Venez voir ! >> propose Michèle. Nous la suivons dans escalier étroit. C'est un petit studio charmant. Gîte. Parfaitement équipé, ultra moderne. C'est là que les parents d'Estelle vont terminer leur séjour.

Nous les laissons. Ils sont fatigués. Nous aurons l'occasion de nous revoir durant cette semaine. Estelle, toute contente, assise à l'arrière, me caresse le cou, les joues en disant : << Vous, vous aurez beaucoup de choses à me raconter ! >>. Nous trouvons un restaurant sur le port. Des touristes ne sont pas venus. Malgré la réservation. On nous explique que cette tendance s'accentue. C'est de plus en plus souvent. Donc, avec l'affluence, les gens qui ne viennent pas à l'heure, voient leurs tables occupées par d'autres. De beaux plateaux de fruits de mer.

Clémentine évoque ses règles, ses douleurs. << Moi c'est dans quatre jours ! >> précise Estelle. J'écoute les filles échanger leurs souvenirs récents, leurs impressions. Estelle nous fait beaucoup rire en racontant qu'elle a quelquefois les mêmes réflexes avec son papa qu'avec moi. Et que c'est juste au dernier instant qu'elle détourne sa main baladeuse. Clémentine raconte la pipe qu'elle a fait à un inconnu il y a quatre jours dans les ruines d'un château. Estelle exige toutes les précisions. C'est elle qui m'entraîne la première dans un cabinet des WC hommes.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui retrouvent leur vitesse de croisière dans ce trio étonnant qui permet de vivre de constants enchantements paradisiaques...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1985 - Écosse jour 52 -



Les "Trois Mousquetaires" prêts à reprendre du service

Hier matin, lundi, il un peu plus de huit heures. Estelle renouant avec ses habitudes, est restée accrochée à moi toute la nuit. C'est lorsqu'elle se réveille la première qu'elle ne supporte pas la solitude. Aussi, collant ses lèvres dans mon cou, saisissant mon érection naturelle, elle me tire de mon profond sommeil. C'est adorable mais ce sont des habitudes qu'on oublie assez rapidement. Je la serre fort dans un mouvement réflexe. Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>.

<< J'avais déjà perdu l'habitude d'être réveillée ainsi ! >> chuchote Clémentine qui se love tendrement contre ma hanche. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Il y règne les suaves effluves du café, du pain grillé. Elle me saute au cou en lançant : << Vous m'avez manqué tous les deux, tout ce qui fait nos vies m'a manqué. Je la soulève pour la faire tournoyer dans les airs. Même traitement pour Clémentine qui confie avoir moins mal. C'est le troisième jour de ses "petits machins" de fille. Elle prend un cachet.

Nous savourons notre petit déjeuner en revenant sur quelques anecdotes vécues la semaine dernière. Estelle veut toujours en savoir davantage et connaître le moindre détail. Nous rions de bon cœur de ses questions parfois tellement saugrenues. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme du jour. En fonction de la météo il y a un plan B. En regardant par la fenêtre, ce sera le plan B. Celui des jours sans soleil. Le ciel est gris, bas et menaçant. Une ambiance d'un mois de novembre. Je suggère d'aller sur Dundee. En visite.

Dundee que nous connaissons bien est distante d'une centaine de kilomètres. Située au Nord Est d'Édimbourg, la ville présente une architecture moderne et un mode de vie très jeune. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux les filles pèsent le pour et le contre. << Cent bornes, ça fait loin ! >> dit Estelle. << On reste à Édimbourg et on se balade ! >> propose Clémentine. Avec la météo qui s'annonce pour la journée c'est peut-être la plus sage décision. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. On se lave les dents en faisant les clowns.

Je mets de la pommade aux endroits où son soutien-gorge l'irrite. Clémentine n'en porte que les jours de ses règles. << Tu veux aller courir quand même ? >> demande Estelle. << Oui, il faut juste éviter un rythme trop rapide ! >> répond Clémentine. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Les K-ways car le thermomètre extérieur n'indique que 16°. Il est 8 h45. Nous dévalons l'escalier. Quelques mouvements d'échauffement dans une détestable fraîcheur humide. C'est parti pour notre jogging le long du parcours habituel.

Nous invitons Clémentine à courir devant. Ainsi c'est elle qui impulse le rythme. Une heure d'un agréable running avant de revenir. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. << Ça va mieux. Je n'ai plus aussi mal que hier ! >> précise t-elle. Nous avons un courriel de Julie qui nous raconte sa journée dans la galerie. Avec les chaleurs revenues, il y a moins de touristes dans la petite cité de caractère. Ce qui est parfait car cette sélection permet de rencontrer une toute autre clientèle. Plus fortunée.

Estelle vient nous rejoindre dans son jeans et sweat bleu. C'est à notre tour d'investir la salle de bain. Il y a de la buée sur les vitres. Le contraste avec le temps plutôt frais qui règne au dehors. Je laisse Clémentine à ses intimités pour aller rejoindre Estelle. Elle surfe sur le site de l'université. << Pffff ! Des cours de préparations au concours du Doctorat ! On aurait été bien en vacances pour un mois supplémentaire ! >> lance t-elle. Je suis debout à sa droite, mon bras autour de ses épaules. Elle m'explique ce que je vois sur l'écran. Elle palpe ma bosse.

Clémentine vient nous rejoindre. Nous sommes tous les trois vêtus exactement des mêmes vêtements. << Les trois mousquetaires reprennent du service ! >> lance Estelle. << Mais ce n'est pas Alexandre Dumas qui raconte nos aventures ! >> Estelle rajoute : << Non, là c'est Julien Dumas ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle surfe sur quelques sites touristiques. Nous connaissons tout ou presque à Édimbourg. Je demande : << On se refait le château ? >>. Estelle se lève pour nous rejoindre. Se serrant contre Clémentine et moi.

Nous avons nos passes touristiques. Ils donnent accès à la plupart des musées, des châteaux et autres curiosités dans toutes l'Écosse. Ce qui évite de devoir attendre aux caisses. Initiative de Clémentine que nous ne remercierons jamais assez de faciliter ainsi nos visites. Nous descendons faire quelques pas dans les rues. Il y a quelques gouttes de pluie. Le ciel est vraiment sinistre. Et nos blousons ne sont pas de trop car la température ne varie pas. Nous passons devant la propriété que nous comptons acquérir d'ici deux ans. On aimerait bien visiter.

Il faudra attendre la semaine prochaine et le retour de monsieur Andersen notre intermédiaire avec le propriétaire. Ce dernier vivant à Los Angeles. Les filles restent accrochées à mon bras. Nous flânons dans les rues étroites de Morningside. Il faut souvent ouvrir le grand parapluie car la pluie tombe à verse quelques minutes. Nous prenons le chemin du retour. << Un temps de chien ! >> s'écrie Estelle en palpant ma braguette. << Si tu savais combien de fois j'ai failli avoir ce réflexe avec papa ! >> rajoute t-elle. Nous rions aux éclats.

Il est 11 h45. Clémentine s'occupe de la salade. À présent ses douleurs ventrales ont fait place à une congestion. C'est beaucoup plus gérable. Demain, tout rentrera dans l'ordre. << Peut-être même ce soir ! >> précise t-elle. Estelle fait bouillir l'eau des spaghettis. Dans la poêle je fais rissoler des filets de saumon. Champignons, ail, oignons. Un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Estelle râpe des tonnes de gruyère. Nous sommes presque au bout du stock emmené en Écosse. Mais nous avons repéré des magasins qui en proposent.

French Cheeses sont des spécialités très prisées dans le Royaume Unis. Évidemment estampillés produits de luxe. Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous confie les conversations qu'elle a eu avec sa mère la semaine dernière. Sa maman est revenue très souvent sur la personnalité de Gauvain. Il est venu à la maison quelquefois et a fait une excellente impression sur ses parents. << Il me propose de passer les deux semaines de vacances d'hiver avec lui, dans la famille de sa mère à Los Angeles ! >> rajoute Estelle. Nous applaudissons.

Je dis : << Ne rate pas une telle chance. Ce garçon te porte un intérêt certain. Je l'ai vu. C'est vrai que son charisme est impressionnant ! >>. Clémentine rajoute : << Notre relation à trois, ne remplace peut-être pas ce que tu pourrais vivre à deux avec lui ! >>. Estelle reste silencieuse. Elle joue avec le coin de sa serviette. << Vous avez les mêmes mots que mes parents ! >> lance t-elle. Je rajoute : << Avec ce nouveau paramètre "Gauvain", notre relation à trois risque de devenir une relation toxique. Réfléchis bien à tout. Tu es intelligente ! >>.

Clémentine rajoute : << On est comme des sœurs toutes les deux. Rien ne changera. On se verra juste un peu moins en dehors des cours ! >>. Estelle nous regarde longuement. Tout ce que nous évoquons là est une évidence à laquelle elle avoue penser depuis quelques mois. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. On se lave les dents. Estelle observe une certaine gravité. Je la prends par les épaules pour dire : << Tout ce que nous avons vécu tous les trois n'est rien à côté de ce que tu peux vivre à deux avec un homme qui t'aime, tu sais ! >>.

<< Et puis ce n'est pas demain la vieille ! >> lance subitement Estelle qui retrouve son tempérament optimiste, frondeur et déconneur. Elle nous entraîne dans une farandole. Nous restons vêtus comme nous le sommes. Les blousons s'imposent. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Nous tombons sur oncle Alan et sa femme Amy. Ils sont tout contents de revoir Estelle. Quand ils apprennent que ses parents sont à Édimbourg, ils insistent pour qu'ils viennent manger avec nous mercredi soir. Estelle est radieuse et émue. Nous prenons la voiture.

Je roule doucement sous une pluie battante. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière Estelle téléphone à ses parents pour leurs annoncer qu'ils sont invités mercredi soir. Au ton enjoué d'Estelle il est indéniable que tout le monde se réjouit. << Depuis le temps que je raconte ta famille à mes parents, ils sont impatients de la connaître ! >> lance Estelle en me caressant les joues. Elle regarde ma bite dans la main de Clémentine avant de rajouter : << Cet après-midi, je prends tous les risques. Moi aussi je veux jouer avec ! >>. Éclats de rires.

Je gare l'auto dans la petite ruelle habituelle. À tout de même vingt minutes du château. Il ne pleut plus mais tout est trempé. Les pavés luisants ont des reflets d'argent. Quand un rare rayon de soleil arrive à percer l'épaisseur des nuages, c'est éblouissant. Il faut regarder ailleurs. Lorsqu'elle veut me toucher, Estelle vient en sautillant se placer devant moi. En se serrant elle me tripote avec cette vulgarité triviale qui nous amuse. Personne ne peut voir. Par contre nous attirons encore bien des regards. Voilà le château. Fier sur sa colline.

Merci les passes touristiques. La visite est obligatoirement guidée. Même si c'est au moins la sixième fois que nous venons ici, c'est à chaque fois une découverte. C'est une jeune étudiante qui fait son job d'été. Quoi de plus sympa que de faire guide durant deux mois ! Nous sommes une vingtaine de personnes à la suivre, à écouter son argumentaire. Estelle qui guette l'instant où la jeune fille nous lance un regard. Elle en profite pour me toucher. Comme nous sommes en queue de cortège, seule la jeune guide peut nous voir. Et elle nous voit !

Clémentine s'amuse beaucoup de ces situations. Elles aiment bien me mettre dans l'embarras, toutes les deux et avec une certaine obstination. Je suis terriblement gêné. Je n'arrête pas de murmurer : << Un jour tu vas nous attirer de vrais emmerdements ! >>. Estelle chuchote : << Penses-tu ! Avec deux filles comme garde du corps, tu ne risques rien ! >>. La visite est très intéressante. Le château se décline en plusieurs places fortes. Il y a cet étonnant cimetière à chiens en contre bas des fortifications. Interdiction d'y descendre.

Les canonnières en état de fonctionnement puisque à chaque date anniversaire de la Reine sont tirés autant de coups de canons qu'elle a d'années au compteur. La jeune guide a bien compris le jeu d'Estelle. Comme souvent, elle y entre de façon ludique. N'est-ce pas passionnant pour une jeune guide d'avoir affaire à un trio libidineux ? << Les trois mousquetaires du vice suscitent de nouvelles curiosités ! >> murmure Estelle. La visite se termine vers 16 h. Je vais toujours remercier notre guide. Un discret billet de 5 £ que je lui tends.

<< Oh thank you ! Did you like the visit ? There is a complaint book at reception. Please put a note on it. It will be a good mark for my studies ! >> dit la jeune fille. Nous promettons d'aller y mettre un mot favorable. Après tout la visite fut vraiment superbe. Juste avant de la laisser rejoindre le groupe suivant, Estelle lui lance : << Did you like our performance ? >>. Comme gênée, la jeune fille ne répond pas et se content de nous adresser le plus merveilleux des sourires. << Tu vois, ça s'est bien passé ! >> me fait Estelle en me palpant la bosse.

Nous flânons sur le Royal Mile. Il faut rester à l'abri sous le parapluie. C'est dans la grande librairie que nous aimons beaucoup que nous achetons les albums de photos en noir et blanc. Nous adorons les offrir à nos amis au retour des vacances. Il y en aura un pour Julie, pour notre voisin, pour Juliette. Il est presque dix huit heures quand nous réservons une table dans un restaurant charmant. Clémentine se serre souvent contre moi pour dire : << Je n'ai plus mal ! C'est super ! >>. C'est agréable de déambuler dans le labyrinthe du centre historique.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui se sont encore amusées de situations embarrassantes dans des endroits à risques...

Julien (Dumas)



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C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1986 - Écosse jour 53 -



Retrouver les joies de la randonnée sous le soleil

Hier matin, mardi, il est huit heures quand Estelle nous tire de nos profonds sommeils. Sans doute un cauchemar. Elle se serre encore plus fort en gémissant. Clémentine vient se blottir. Passant son bras au-dessus de ma poitrine, elle caresse les cheveux d'Estelle en disant : << Tu nous racontes tout ça devant de bonnes tartines beurrées et au miel ! >>. Je suis entre mes deux anges. Clémentine qui chuchote : << Mes petits machins" c'est terminé. Même plus mal. Merci docteur Julien pour vos assistances thérapeutiques ! >>. Nous rions aux éclats.

Estelle se lève la première pour se précipiter vers la porte. Clémentine se frotte contre ma hanche en disant : << Cher docteur, il va falloir faire un checkup complet afin de contrôler mon état général ! >>. Je dépose plein de bisous sur son front en murmurant : << Je vais procéder à un contrôle continu tout au long de cette journée ! >>. Elle saisit mon érection naturelle pour m'entraîner aux toilettes. L'appartement est extrêmement lumineux. Le ciel est bleu. Le soleil y règne en maitre. Nous rejoignons Estelle dans l'odeur du café et du pain grillé.

Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en écoutant Estelle nous raconter son cauchemar. Toujours suscités par sa crainte d'être abandonnée, ses cauchemars récurrents restent axés sur le même déroulement. Cette fois nous l'aurions abandonné dans une grande cité qu'elle ne connaissait pas. << Los Angeles probablement ! >> lance Clémentine qui en fait une analyse lacanienne. Nous mangeons de bon appétit en riant. Le programme du jour, avec cette météo magnifique, sera de randonner.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle, se laver les dents. Vêtus de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra orange, nous dévalons les escalier. Quelques mouvements d'échauffement dans une étonnante fraîcheur. Il ne fait que 18° malgré ce soleil. C'est parti pour notre jogging quotidien. Le long du même parcours. Un pur moment de plaisir. Il est neuf heures trente quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Juste le courriel de Julie qui raconte sa journée.

La vente souhaitée hier ne s'est pas concrétisée. Il ne reste plus que quatre toiles disponibles sur les douze encore exposées. Huit d'entre elles appartiennent déjà à mes collectionneurs. Ils ont chaque année la gentillesse de les laisser jusqu'en fin de saison afin d'étoffer les cimaises de la galerie. Estelle vient nous rejoindre dans sa jupe jeans, son T-shirt gris. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Clémentine n'arrête pas de me tenir le sexe. << Je t'aime. Mais je suis également folle amoureuse ! >> murmure t-elle sous l'eau, serrée contre moi.

Nous rejoignons Estelle vêtus des mêmes teintes. Elle nous lit à voix haute la réponse adressée à Julie. Assises sur mes genoux, les filles surfent sur le site de l'université. Pas de nouvelles informations. Nous découvrons les photos de Los Angeles envoyées par Gauvain. << Tu sais qu'il est encore plus beau en vrai ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. Je répète une fois encore : << C'est un bon parti Estelle, sans doute l'homme de ta vie ! >>. Clémentine prépare les sandwichs au fromages. Saint-Nectaire, et Morbier. Rondelles de tomates.

Enveloppés dans des feuilles d'aluminium, ils sont fourrés dans le sac à dos. Avec des brugnons, des nectarines. Les pêches, il vaut mieux éviter. Impossible d'en trouver qui restent fermes plus de deux jours. Il y a le risque qu'elles ne se transforment en compote dans le fond du sac. Une bouteille d'eau. Les K-ways. Il est 10 h30. Pressés de filer nous descendons l'escalier de service à toute vitesse. Je roule doucement en descendant Morningside street. La circulation est fluide. Clémentine glisse sa main dans mon short. Douces et agréables sensations.

Assise à l'arrière, caressant mes joues, mon cou, Estelle revient sur quelques souvenirs de la semaine passée avec ses parents. << C'est vraiment bien de leurs avoir offert ta présence durant sept jours ! >> dit Clémentine. Je rajoute : << Ça fait quatre ans que tu n'es plus partie avec eux. À cause de nous ! >>. Estelle raconte : << Ils sont tous les deux comme des amoureux. Parfois j'avais l'impression de gêner. C'est génial après 22 ans de mariage ! >>. Nous arrivons à Leith où je gare la voiture sur le parking au-dessus du vieux port.

Notre randonnée va nous emmener sur un nouvel itinéraire. Il en croisera d'autres que nous connaissons bien. C'est Clémentine qui a organisé le circuit sur son téléphone. L'application permet de surligner un bleu les chemins et sentiers à suivre. Water of Leith Walkway. Il faut remonter une des rues parallèles, prendre à gauche pour se retrouver sur un étroit chemin pavé. Je porte le sac, Clémentine me tient par le bras, Estelle me tient par la main. Le chemin est juste assez large pour permettre d'y évoluer à trois cote à côte. C'est très sympa.

Quand il y a d'autres promeneurs, il suffit de s'écarter. Parfois ce sont eux qui s'écartent. Il fait de plus en plus chaud. C'est une bien belle promenade qui s'annonce là. Le chemin nous emmène dans des endroits que nous ne soupçonnions pas exister. Estelle, en sautillant s'écarte pour revenir vers nous. Elle s'arrête devant moi. Discrètement elle palpe ma braguette. << Votre défi du jour. La bite à l'air deux fois. Une branlette à risques deux fois ! >> lance t-elle. Nous rions de bon cœur quand Clémentine rajoute : << Et j'en serai l'assistante ! >>.

Il y a plein de pubs, de restaurants dont nous ignorions l'existence. Là-bas, plus haut, nous apercevons les maisons en briques rouges de Dean Village. Nous n'avions jamais vu toutes ces choses sous cet angle. Des sites vraiment pittoresques nous étonnent. Comme cette petite église médiévale. Elle est au centre d'un square extraordinairement bien agencé. << Une œuvre d'Art ! >> lance Clémentine qui nous y entraîne. Il y a un labyrinthe végétal fait de haies de houe, de lauriers. Juste nos têtes dépassent. Il y a du monde. Surtout des familles.

Ce n'est pas ici que je vais relever la première partie de mon défi. Ce qui n'empêche nullement Estelle de glisser sa main dans ma braguette ouverte. Mon T-shirt en dissimule parfaitement l'ouverture. Nous faisons le tour de cet endroit superbe avant d'entrer dans l'église. C'est une très rare église catholique. Elles sont immédiatement identifiable à leurs statuaires. Il y a quelques touristes. Comme souvent, il y a des endroits sombres. << Là ! >> murmure Clémentine en m'entraînant par le bras. Elle me pousse dans un confessionnal. Pas confortable.

Étroite et exigüe la cabine permet à une personne de s'assoir. << C'est mon défi que je me fixe moi-même ! >> chuchote Clémentine qui s'accroupit entre mes pieds écartés. Estelle qui vient de comprendre fait le guet. Tout en faisant écran de son corps elle tire l'épaisse tenture rouge. Clémentine me sort la queue. Je suis mort de trouille. Une fois encore nous jouons avec le feu des enfers. Mais qu'il est doux et agréable d'y être au chaud, sucé comme un bienheureux. L'endroit est obscur. Je peux distinguer la salle par les grilles en bois. Des gens.

Je caresse la nuque de Clémentine qui me suce en gémissant. À tel point que je suis obligé de me pencher pour faire : << Chut ! >>. De temps en temps la tête d'Estelle qui apparaît lorsqu'elle tire le rideau pour murmurer : << Put-Hein, vous n'êtes pas discrets ! >>. Je réponds : << C'est à cause de nos extases religieuses aussi soudaines que divines ! >>. Tout en suçant Clémentine glousse de rire. Il faut cesser. À plusieurs reprises des voix se sont rapprochées. Il y a toujours une désagréable odeur dans les lieux de culte catholiques.

Un mélange d'encens, d'odeurs corporelles, de sueurs et même parfois d'excréments. C'est Estelle qui nous le fait remarquer. Nous sortons. Il commence à faire faim. Ce ne sont pas les bancs qui manquent le long du parcours. Nous revenons au bord d'un des bras de la rivière. Deux ponts de pierres en dos d'âne, invitent à visiter ce petit parc. Il y a un cloître qui ferme le fond. C'est là que nous savourons nos fruits, puis nos sandwichs. Il est presque treize heures. Il fait chaud. La température est de 28°. Les coins ombragés sont donc très recherchés.

C'est un des plus beaux circuits de randonnées d'Édimbourg. Évidemment un des plus fréquentés. << Quand je commence à sucer le matin, je pourrais faire ça tout le reste de la journée ! >> lance Clémentine en buvant une gorgée d'eau. << Il y a des coins qui semblent faits pour ! >> dit Estelle en montrant les nombreux bosquets qui entourent les statues de pierres sombres. Clémentine se lève d'un bond en s'écriant : << Alors ne perdons pas de temps ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Ce réflexe permet de ne pas s'avachir après le repas.

Il y a bien trop de gens partout. Il serait vain de tenter quoi que ce soit dans ce bel endroit. Nous reprenons notre promenade. Ce sont pleins d'endroits inconnus dans la périphérie du vieil Édimbourg. Nous n'étions jamais venus par là. Il y a de petits musées. Plus insolites les uns que les autres. Nous visitons celui dédié au chocolat. Sobrement intitulé "Chocolatarium". La visite est soit guidée, soit libre, au choix. Sont répertoriés ici tous les différents processus de fabrication. Dans des vitrines des emballages anciens. De gros morceaux informes.

Ce ne sont évidemment pas de vrais morceaux de chocolat qui sont présentés là mais les imitations sont parfaites. Par contre, à la sortie dans la boutique sont vendues d'authentiques tablettes. Nous ne sommes pas très chocolat. Et avec cette chaleur ce serait folie d'en trimballer dans le sac. Par contre, nous sommes très glaces. C'est dans une petite supérette que nous trouvons nos bonheur. Notre marque et nos parfums préférés. Ben & Jerry's. Ses pots de 460 g qui nous régalent, assis sur un banc, à regarder passer les promeneurs. Miam.

C'est une boucle d'un peu plus de 20 km qui nous ramène à Leith. Plus de cinq heures trente de flâneries à nous toucher, à nous tripoter mais sans pouvoir relever les défis fixés par Estelle. << Tu as un gage ! >> dit elle le plus sérieusement du monde en faisant vibrer sa langue entre ses lèvres. Nous avons de la chance. Il reste une table dans un des restaurants du vieux port. Encore des touristes n'ayant pas honoré leur réservation. Un phénomène de plus en plus fréquent. Les restaurateurs ont trouvé la parade. Si pas à l'heure, pas de table !

Nous savourons des tourteaux préparés en sauce avec des moules grillées. La serveuse vient les faire griller sur un petit appareil disposé sur une desserte qu'il suffit de déplacer. Les légumes cuits "vapeur" permettent d'en conserver le gout intense. Nous traînons à table. Plutôt fatigués. Première visite aux toilettes hommes avec Estelle qui m'y entraîne par la main. Enfermés dans un des cabinets nous nous offrons nos rituels très particuliers. En entendant des mecs pisser de l'autre côté. Seconde visite avec Clémentine. Deux autres récidives juteuses.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire lécher le minou sous les draps avant de se faire pénétrer un peu puis de se retrouver avec une bonne queue dans la bouche...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1987 - Écosse jour 54 -



Une troisième randonnée à bicyclettes avec Estelle

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon profond sommeil par les incessants mouvements des pieds d'Estelle. Ses "impatiences" comme elle les appelle accompagnent son retour à la conscience. Dès qu'elle me sent revenir au réel elle pose ses lèvres dans mon cou. Délicates ventouses qu'elle actionne doucement en saisissant mon érection naturelle. Tout cela finit par réveiller Clémentine qui vient se serrer. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Estelle, n'en pouvant plus, se lève pour courir vers la porte en s'écriant : << Pipi ! Vite ! >>.

Clémentine me chevauche en frottant son sexe sur le mien. << Merci docteur pour vos diligences ces trois jours. Grace à vos soins je me porte comme un charme ! >> murmure t-elle. À notre tour d'aller aux toilettes. L'odeur de café envahit tout l'appartement. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos découvertes de hier. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour. Avec la météo qui s'annonce, Clémentine propose la bicyclette.

Quoi que nous fassions il faudra êtres de retour pour 19 h30. Nous sommes invités à notre repas de famille. Il est 8 h30. Nous débarrassons pour faire la vaisselle, nous laver les dents, nous vêtir de nos tenues de sport. Nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. C'est parti. Une heure d'un jogging gratifiant. La vue sur Édimbourg depuis les hauteurs de Morningside est époustouflante. Les toits argentés dans la lumière diaphane sont irréels. Estelle l'appelle : << Le Roquefort gothique ! >>.

Il est 9 h30 quand nous revenons. Estelle investit la salle de bain. Assise sur mes genoux Clémentine allume l'ordinateur. Le courriel de Julie. Le message de Juliette. Une petite visite sur le site de l'université. Estelle, vêtue d'une jupette "tennis" carmin, d'un T-shirt vanille, vient nous rejoindre en sautillant. C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Clémentine porte exactement la même jupette, le même T-shirt. Je suis en bermuda kaki, en T-shirt brun. Estelle nous fait une lecture à haute voix des réponses qu'elle s'apprête à envoyer. Nous écoutons.

Nous avons des courses à faire. Dans le petit sac à dos, des sachets. Nous dévalons l'escalier. Il est dix heures. C'est à pieds que nous descendons la partie haute de Morningside Street jusqu'au carrefour de Christ Church. Le flux touristique semble intarissable. Trois bus garés devant l'église gothique. Une véritable armée d'asiatiques munis de gros appareils photos. Nous prenons la rue commerçante. Estelle me bloque dans l'ouverture d'une porte dont elle me fait monter les trois marches à reculons. Elle palpe ma braguette discrètement.

<< Montre-moi ta bite ! >> ordonne t-elle soudain. Nous éclatons de rire. C'est tout à fait impossible ici, en pleine rue. Elle relâche son étreinte. Nous traversons pour nous rendre dans la supérette. Des fruits frais dont les effluves parfumées envahissent tout le magasin. Les melons sont énormes. << On se fait un repas melon ? >> suggère Clémentine. << Oh oui, avec des bananes et des mangues ! >> rajoute Estelle. Nous faisons nos achats en flânant un peu. Le passage en caisse exige une grande patience. Ce qui n'est pas le fort d'Estelle.

Elle nous fait beaucoup rire par ses réflexions. Ici aussi, en Écosse, il y a encore des gens qui paient leurs achats avec de la monnaie. << Put-Hein en 2022 alors qu'on a inventé la carte bleue il y a quarante ans ! >> lance Estelle. Elle tire la langue à cette dame pourtant pas très vieille qui fouille dans son porte monnaie. Estelle marmonne en français : << Elle va nous faire chier longtemps ! >>. Le dernier client qui nous précède, pourtant pas très vieux non plus, est lui aussi un adepte de la monnaie "papier". Il tire pièce par pièce en comptant.

<< C'est ça, vas-y, fais nous chier avec tes pièces de un cents ! >> marmonne Estelle en français pour ne pas être comprise. Enfin c'est à nous. Pas l'ombre d'un doute, avec le paiement par carte, on n'emmerde personne ! Nous voilà dehors. Les sacs sont lourds. Nous reprenons le chemin de l'appartement. En passant devant le fastfood des Wong, je propose d'y entrer pour acheter quelques nems "faits maison". << Bonne idée ! Ils se conservent très bien ! >>. Nous entrons. Une fois encore c'est la jeune serveuse vietnamienne qui nous sert. Nul Wong.

Nous n'osons pas poser de questions. Depuis qu'ils sont parents nos amis ont d'autres priorités et ont changé quelques habitudes. Nous prenons neuf nems. Ils sont énormes et assureront deux repas. Il est 11 h40 quand nous sommes de retour. Je jette un coup d'œil dans le garage. La troisième bicyclette que nous avons acheté pour Estelle il y a quatre ans est toujours là. Sous une bâche. Il faut en gonfler les pneus. Un petit coup d'huile sur la chaîne. Tout est parfait pour cet après-midi. Morts de faim nous remontons l'escalier tout en courant.

Clémentine s'occupe des melons dont elle retire les pépins. Estelle coupe de fines rondelles de banane. Je coupe les mangues pour les épépiner à leurs tour. Je presse une orange pour rajouter une autre saveur. Nous en garnissons l'intérieur des melons. C'est un repas absolument délicieux. Nous mangeons de bon appétit en examinant les différents itinéraires qui s'offrent à nous pour notre virée à vélo. Ce sera Wiew of the Bridge. South Queensferry à partir de Waverley. C'est insolite de terminer un repas sucré par un dessert de fromages.

En tous cas c'est fabuleusement bon. La vaisselle. On se lave les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Dans le petit sac à dos bien utile, des brugnons, des barres de céréales. Chacun une bouteille d'eau à fixer sur le cadre de son vélo. Pressés de filer nous descendons à toute vitesse. La température extérieure de 28°. Il fait très chaud et cette sensation est encore accentuée par l'absence de vent. C'est avec les mains constamment sur les freins que nous prenons Morningside Street jusqu'à Leith. À gauche direction Waverley.

C'est le point de départ de notre randonnée cycliste. Quel plaisir de parcourir la campagne verdoyante. Le village de Waverley est le plus britannique des villages écossais. C'est bucolique. Un enchantement à chaque détour de chemin. Parfois la piste goudronnée disparaît. C'est alors cette terre stabilisée dont la fine poussière jaune macule les pneus. Voilà le pont médiéval aux quatre arches. Il est interdit d'y circuler. Il faut pousser nos machines. Estelle pose son vélo. D'un saut elle s'installe sur le large rebord de pierre. Nous faisons la même chose.

Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite nous admirons l'endroit. L'ombre des grands arbres nous tient à l'abri de ce soleil brûlant. Estelle pose sa main sur ma braguette à chaque fois que nous sommes seuls. Il y a du passage. Ce circuit est très prisé. Nous reprenons notre route. Une dizaine de kilomètres et nous voilà au bord de la mer. Là-bas, les deux immenses architectures métalliques des ponts routiers et ferroviaires. << Si on se trouve un coin, je te taille une pipe mon salaud ! >> fait Estelle quand nous avons pieds à terre.

Nous rions de bon cœur car pour trouver un "coin" il faut descendre les rochers. Dangereux. Un repas de fruits ne tient peut-être pas au ventre quand il est suivi d'exercices physiques. Aussi, nous dévorons nos barres de céréales juste sous le pont rouge dont l'immense structure est effrayante au-dessus de nos têtes. Sans évoquer l'incessant vacarme infernal des véhicules à 50 m au-dessus de nous. Plein de gens font des photos. Nous reprenons le circuit du retour. Il retourne à l'intérieur des terres. Voilà le petit village de Kelmoor. Typique aussi.

<< Là ! >> fait Clémentine en montrant le sentier qui quitte la piste cyclable. Nous le prenons en restant sur nos vélos. La pente est forte sur une cinquantaine de mètres. C'est le bord d'une petite rivière. Personne. Assis sur les rochers plats, nous admirons les eaux claires et certainement poissonneuses. Estelle me fait tomber en arrière. Clémentine me descend le short et le slip. Je m'écrie : << Mais dans quel piège suis-je tombé ! >>. Estelle s'empresse de répondre : << Rien de prémédité. Juste de l'improvisation. Tu es trop sexy dans ton short ! >>.

Clémentine frotte son visage sur mon sexe tout mou et moite qu'elle tient en main. Je dis : << Attention aux odeurs les filles, il ne faudrait pas que ça sente la bite ce soir ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je ne tarde pas à bander comme le dernier des bienheureux entre ses anges célestes. C'est Clémentine qui me chevauche délicatement. Il n'est pas question de se griffer les genoux sur la roche. Nous n'aimons pas cette position. Aussi nous revenons rapidement au "missionnaire". Sans risque quoi que peu confortable sur la rocaille. Petite pénétration.

C'est au tour d'Estelle d'être pénétrée avec toutefois d'infinies précautions. Des voix nous parviennent quelquefois depuis le sentier. Impossible de nous voir car nous sommes sur un promontoire. Ça fait mal dans le dos. Nous n'insistons pas. Je passe plus de temps à masser les dos des deux malheureuses que de leurs faire du bien. Par contre, un petit cunnilingus peu confortable car debout offre tout de même de bonnes sensations. Estelle et Clémentine, couchées sur le côtés, leurs têtes sur mon ventre, se partagent de la queue dure et juteuse.

Pas d'orgasmes pour aucun d'entre nous. Il faut songer à prendre le chemin du retour. Nous nous promettons de revenir visiter cet adorable petit village. Il est de l'autre côté de la rivière. Il y a de nombreux tronçons ombragés. Fort heureusement car le cagnard est pénible. Pas la moindre brise. Tout est immobile. La chaleur nous rend moites. Il est 19 h quand nous sommes de retour. Une bonne douche. Nous prenons notre temps puisque nous sommes sur place. Estelle et Clémentine portent une de leurs robes d'été. Courtes et serrées à la taille. Sexy.

Sur leurs demandes je porte une tenue de tennisman. Short blanc, chemisette blanche, soquettes blanches et baskets blanches. << Notre dilettante écossais en vacances ! >> fait Estelle en palpant ma braguette. Des voix dans le jardin. En regardant par la fenêtre nous voyons Amy, Alan, Michèle et Yvan faire connaissance. Nous dévalons les escaliers. Michèle est en robe d'été. Yvan est en bermuda beige, une chemisette saumon. Nous sommes tellement contents de nous revoir. Et surtout dans cette situation particulière. 1 200 km de chez nous.

Amy nous invite à la suivre. C'est un traiteur qui s'est occupé du dîner. La chaleur s'estompe doucement pour faire place à la fraîcheur d'une soirée d'été écossais. Ce sont des plateaux de fruits de mer accompagnés de différentes salades. La grande table ovale permet de nous y retrouver à sept en pouvant prendre nos aises. Mon oncle Alan et sa femme sont heureux de rencontrer enfin les parents d'Estelle. Yvan et Michèle se débrouillent plutôt bien dans un anglais sobre et "scolaire". Estelle me surveille. La proximité de sa mère et celle de ma queue.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui passent un moment exceptionnel de convivialité, d'humour avant les "trucs" sous les draps...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1988 - Écosse jour 55 -



Les plaisirs d'une randonnée pédestres

Hier matin, jeudi, il est huit heures. Clémentine à ma droite, tout contre moi. Estelle à ma gauche toute aussi serrée glisse sa main dans mon slip. En saisissant ma tumescence elle murmure : << Bobo à mon ventre ! >>. Je caresse délicatement son nombril. Je peux y sentir des gargouillis. << Mes "petits machins" >> rajoute t-elle. Clémentine, tirée elle aussi de son sommeil, chuchote : << Prends un rendez-vous avec le docteur Julien ! >>. Je distribue des bisous à mes deux anges. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte.

Clémentine se couche de tout son long sur moi. Frottant son sexe sur mon érection elle dit : << Tu sais que j'apprécie ce séjour en Écosse encore davantage que les précédents ! Je ne saurais pas préciser pourquoi ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Les suaves odeurs du café, du pain grillé. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Estelle vient se serrer contre mon dos. Ses bras autour de ma taille elle dit : << J'ai pris un cachet. Mais il n'agit pas encore ! >>. Clémentine fait : << Patience ! >>.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur le repas de famille hier soir. Nous en gardons les souvenirs d'amusants moments. Dehors il fait moins lumineux que les jours précédents. Nous mangeons de bon appétit en envisageant un éventuel plan B. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges font le très vague programme de la journée. Le cachet commence enfin à produire son effet. Estelle n'a plus que cette lointaine sensation de congestion ventrale. Elle aussi est réglée comme une horloge, tous les 25 du mois. Fatalité de fille.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Estelle nous encourage à aller courir sans elle. Il est peut-être préférable qu'elle se ménage. Nous aurons de l'exercice cet après-midi. Vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons l'escalier après avoir déposé une bise sur le front d'Estelle. Quelques mouvements d'échauffement dans l'agréable fraîcheur matinale. C'est parti pour notre heure de jogging le long de notre parcours quotidien. C'est impossible de s'en lasser.

Il est neuf heures quarante cinq quand nous revenons. Estelle a fait le ménage. Assise devant l'ordinateur elle commente les informations découvertes sur le site universitaire. Clémentine m'entraîne par la main pour aller prendre notre douche. Ça sent bon le propre partout. Tout comme Estelle, Clémentine porte la même robe d'été que hier. Je porte un bermuda et un T-shirt crème. Assises sur mes genoux, les filles découvrent nos courriels. Celui de Julie qui nous confie redouter la fin de la saison. Le retour à une vie "normale" d'étudiante en Lettres.

Le message de Juliette qui voit elle aussi arriver l'échéance de ses vacances Corses. Elle revient le dimanche 4 septembre. Nous admirons les photos envoyées en pdf par Gauvain. On le voit avec sa tante, sa cousine et un copain. Ils posent devant des attractions sur Santa Monica. Vaste parc d'attraction à l'américaine où le gigantisme ne connaît aucune limite. << On dirait un acteur de cinéma ! >> lance Clémentine alors qu'Estelle zoome sur la plastique avantageuse de Gauvain. << Il va rencontrer sa future meuf ! >> fait Clémentine.

<< Arrête ! Je suis jalouse ! >> s'écrie Estelle. Je dis : << Pour éviter de te le faire piquer, tu as intérêt à le prendre ! >>. Clémentine rajoute : << Et le plus vite sera le mieux ! >>. Nous rions de bon cœur. Nous retournons à la fenêtre. Il y a des séquences d'ensoleillement. Il est certain que nous échapperons probablement aux grosses chaleurs. Enfin. Durant notre absence Estelle a concocté deux itinéraires de randonnées. Nous regardons les photos. Ce sera le Law de North Berwick. Elle nous entraîne dans une farandole en improvisant une chanson.

Clémentine prépare les sandwichs aux filets de saumon fumé. Dans le petit sac à dos, des fruits, brugnons et nectarines. Une bouteille d'eau. Il est un peu plus de onze heures. Nous sommes prêts. Je prodigue le traitement du docteur Julien. Je pose mes lèvres sur la pointe dures des tous petits seins d'Estelle. Au travers du fin coton de sa robe, j'insuffle de l'air chaud. << Mmm, comme ça soulage ! >> murmure t-elle en maintenant ma tête afin que surtout je ne cesse pas. Je caresse délicatement son ventre, son bas ventre. C'est la "thérapie".

Pressés de filer, nous dévalons l'escalier de service pour prendre la voiture. Je roule doucement. Clémentine, la main dans la braguette de mon bermuda commente l'animation de Morningside qu'il faut parcourir jusqu'à Leith. Prendre à gauche jusqu'à Waverley. << On se prend le train ? >> s'écrie Clémentine lorsque nous passons devant la gare. << Génial ! >> lance Estelle. Je gare l'auto sur le parking. Nous allons dans le hall. C'est au distributeur automatique que nous prenons nos billets. Aller et retour pour 7 £ en première classe. C'est "cadeau" !

En première classe il reste toujours de la place et la promiscuité y est plus supportable. Ce sont les wagons à l'ancienne, aux compartiments très "rétros". Des compartiments sont entièrement vides. Il nous reste à nous installer. Une dizaine de minutes d'attente. Le train s'ébranle. Vieille locomotive folklorique qui ne reprend du service que durant la période touristique. C'est magnifique. North Berwick est une station de toute beauté. C'est la destination des amoureux de l'East Lothian. Estelle est assise face à Clémentine, toutes les deux aux fenêtres.

Clémentine garde sa main dans ma braguette. Le rideau tiré permet d'êtres invisibles aux gens que nous entendons circuler dans le couloir. Par contre, un grand contrôleur moustachu ne perd rien de la scène en entrant soudainement dans le compartiment. Nous lui tendons nos billets qu'il perce de sa perceuse. En nous souhaitant bon voyage il nous salue avec un étrange sourire. << Heureusement que je n'étais pas entrain de sucer ! >> lance Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Le paysage est magnifique. Nous sommes entourés de collines.

Le train arrive en gare. North Berwick. Petite ville portuaire au charme désuet typiquement British. Je porte le sac à dos. Il commence à faire faim. Clémentine propose de traverser d'abord Haddigton Road puis Nungate Road. Voilà le parc, départ de notre randonnée. Le ciel est laiteux, voilé mais il fait plutôt lourd. Cette atmosphère qui rend rapidement moite. Seule ombre au tableau. C'est là, devant une belle fontaine que nous prenons place sur un des bancs libres. Préventivement Estelle prend un cachet. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.

C'est évidement plein de touristes. Comme nous, des marcheurs qui s'apprêtent à gravir le Law. Je rempli les deux bouteilles d'eau à une fontaine. C'est parti pour une ascension d'une heure. Nous traversons des bois. Il y a des pâturages d'altitude. Le paysage laisse rêveur. De nombreux arrêts ou Estelle en profite pour me tripoter. Je peux même parcourir une centaine de mètres avec la bite à l'air. Même s'il faut rester prudent car nous croisons beaucoup de promeneurs. Pour cacher mon sexe, la meilleure méthode reste d'être contre une des filles.

Nous arrivons au sommet. La vue est superbe. Elle permet de voir la mer. Il y a une série de panneaux qui nous rappellent que nous sommes sur un ancien volcan. Des chaînes protègent une grande cuvette en basalte. L'abîme semble sans fond et le cratère s'ouvre sous nos pieds. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent le bras. Nous attirons encore bien des regards. Non. Je ne suis pas le papa des deux sublimes jeunes filles tout contre moi. Leurs attitudes ne laissent planer aucun doute quand à la nature de nos tendres relations.

Là-bas, comme oublié au milieu de la baie, le rocher de Bass Rock. Cette petite île abrite une des plus importantes colonies de fous de bassan de toute l'Europe. Il y a deux sentiers différents pour redescendre. Après avoir la certitude que tout va très bien pour Estelle, le choix se porte sur l'itinéraire le plus spectaculaire. Des chaînes de métal protègent du vide qui nous accompagne durant presque tout le sentier. J'ai le vertige. Il y a vraiment de quoi nourrir les peurs viscérales du vide dans lequel nous pourrions chuter. Heureusement tout va très bien.

Il faut contourner le Law en restant dans la forêt. Encore un chemin extraordinaire qui évoque le roi Arthur et ses chevaliers de la table ronde. << Nous étions bien inspirés en venant par ici ! >> lance Estelle en fourrant sa main dans ma braguette. << Mais dis donc, c'est le bordel dans ton slip ! Il t'arrive parfois de ranger ta chambre ? Et ton poisson, il est tombé de son bocal ? C'est tout mouillé ! >> s'écrie t-elle. Nous rigolons comme des bossus. Ma bite dans sa main, je rigole soudain beaucoup moins car il y a tout un groupe de randonneurs.

Serrées contre moi, mes deux anges cachent mes attributs virils à la vue de toute cette bande. Ce qui attire certainement autant d'attention que si on voyait mes organes génitaux. Je suis terriblement gêné sous les éclats de rire de mes deux coquines qui adorent me mettre dans l'embarras. Ces gens s'en doutent ils ? Je remballe enfin. << C'est bien docteur Julien, vous avez relevé tous vos défis du jour ! >> lance Estelle en sautillant autour de nous. Il est dix sept heures quand nous revenons à North Berwick. Direction le port de pêche. Autre incontournable.

Mon bermuda kaki présente quelques taches plus sombres au niveau de la braguette. Conséquences des multiples palpations auxquelles se sont livrées mes deux anges. Clémentine, qui n'a pas porté de culotte depuis notre départ, saisit mon poignet à chaque fois que je glisse discrètement ma main sous sa robe. << Interdiction de la retirer ! >> dit elle en la maintenant entre ses cuisses. C'est chaud, c'est doux, c'est moite. Je n'ai plus qu'une envie. Celle de lécher ce minou, de me régaler de ses substances, de savourer ses sucs. Je hume mes doigts.

<< Fais voir ! >> s'écrie Estelle qui veut les sentir aussi. Comme la place est "occupée" pour trois jours, je ne peux pas lui offrir les mêmes "explorations". Nous flânons sur le port. Comme sur la plupart des ports de pêche écossais, il y a une criée permanente. Les marins proposent les fruits de leurs sorties en mer. C'est encore impressionnant de voir ces crustacés géants aux pinces ligotées. Lorsqu'elle s'accroupit pour regarder de plus près, ce ne sont pas vraiment les crabes ou les langoustes qui intéressent Clémentine. Même si elle fait semblant.

C'est surtout pour s'offrir les frissons de petites exhibitions rapides et discrètes. Les heureux privilégiés "élus" n'en reviennent tout simplement pas. Cette sublime jeune fille ne porte aucun sous-vêtements pour dissimuler l'affolante abondance de sa toison pubienne. Estelle me chuchote souvent à l'oreille : << Regarde le mec comme il mâte ! Il va faire une apoplexie ! >>. Nous rions en cachette en faisant semblant de rien. La haute taille de Clémentine, lorsqu'elle se redresse, rajoute encore à l'irréel surréaliste de l'instant vécu.

Nous faisons ainsi de nombreux arrêts chez différents marins. Il y a toujours de petits attroupements de touristes. Les ventes sont probablement excellentes. C'est dans un des restaurants donnant sur les quais que nous réservons une table pour la soirée. Le dernier train pour Waverley est à 22 h. Il est 19 h30. Ce qui nous laisse de la marge. Clémentine s'offre même un pipi spectaculaire devant un touriste qui n'en demandait peut-être pas temps. Entre deux rangées de paniers en osiers et de palettes. Là, le salaud lui offre la vue de sa belle queue...

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont encore s'amuser dans un train à l'ancienne tirée par une locomotive "Harry Potter"...

Julien



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode1989 - Écosse jour 56 -



Il faut composer avec une météo capricieuse

Hier matin, vendredi, c'est la main promeneuse d'Estelle qui me réveille. Je ne sais pas si elle dort encore. Son bras m'enlace. Son visage se fourre encore plus profondément dans le creux de mon épaule. Curieusement, comme elle s'étaient toutes les deux concertées, Clémentine fait de même. Je suis entre mes deux anges qui se blottissent contre moi tout en gémissant. Tels deux êtres perdus cherchant du réconfort. Pas encore vraiment tiré de mon sommeil je suis pétri d'émotion en passant mes bras autour de leurs épaules. Distribution de bisous.

Il est à peine huit heures. Notre horloge biologique est plus ou moins constante. Estelle, toujours surprenante même si elle fait pareil tous les matins, se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Contrairement aux jours précédents, il fait sombre dans la chambre. Clémentine saisit mon érection naturelle en murmurant : << Je t'aime Julien. J'aime me réveiller dans tes bras ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. En slips et en T-shirts de nuit nous rejoignons Estelle dans la cuisine. L'odeur du café qui se mêle à celle du pain grillé.

Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous allons à la fenêtre. Le ciel est gris, bas et couvert. La pluie menace. << L'horreur ! >> lance Estelle qui se serre contre moi. << Un plan B ! >> dit Clémentine qui fait pareil. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant ce plan B. Différentes options se présentent. << On retourne à Rosslyn Chapel et on passe un peu de temps dans le village ! >> suggère Clémentine. << Ah oui ! Super plan B ! >> s'écrie Estelle. Nous mangeons de bon appétit. Estelle ressent de légères contractions. Ses "petits machins".

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges préparent l'expédition "Rosslyn Chapel". C'est au Sud d'Édimbourg. Nous n'y avons encore jamais été à pieds. Mais avec ce climat menaçant cette expérience n'est pas pour aujourd'hui. Nous débarrassons pour faire la vaisselle, nous laver les dents. << Ça va mieux que hier. Je courre avec vous ! >> fait Estelle en s'habillant comme nous de ces vêtements de sport. La température extérieure n'est que de 14°. Il faut revêtir les K-ways. Nous dévalons l'escalier de service. La fraîcheur est vive.

<< Put-Hein, on est en plein hiver ! >> s'écrie Estelle. Quelques mouvements d'échauffement bien nécessaires. C'est parti pour notre heure de running. Durant le parcours il est possible de varier l'itinéraire. Passer par telles ruelles plutôt que par celles-là. Nous croisons souvent les même coureurs. Il est presque dix heures quand nous revenons sous quelques gouttes de pluie. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Le courriel de Julie qui aimerait bien conclure quelques ventes avant la fin de la saison.

<< C'est bien s'il reste quatre toiles invendues. Ce sera ça de moins à peindre pour notre projet de la saison de l'an prochain ! >> fait Clémentine. Un petit tour sur le site de l'université. Estelle vient nous rejoindre dans une jupe noire, courte, évasée et plissée. Un T-shirt mauve. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Clémentine porte une de ses jupes carmins, courte et évasée. Un T-shirt brun. Je suis en bermuda kaki, T-shirt noir. Entre les filles qui me tiennent par la taille, nous regardons l'inexorable dégradation de la météo. Une pluie fine.

<< C'est génial, je n'ai pas mal au ventre. Juste le bout des seins un peu douloureux ! >> dit Estelle en saisissant mon poignet. Elle passe ma main sous sa jupe, entre ses cuisses. J'adore le doux contact du fin coton de sa culotte. Je fais de même à Clémentine. Elles se tiennent à mes bras, légèrement cambrées sur leurs genoux fléchis. << Voilà une journée qui s'annonce sympa ! >> fait Clémentine. << Moi, c'est purement thérapeutique ! >> lance Estelle. Nous rions. Avec ce temps, nous mangerons ici à l'appartement pour midi. Un gratin de patates.

Il n'est encore que dix heures trente. Nous sommes assis à la table de la cuisine à éplucher des pommes de terre. Les filles évoquent leurs études qui passent dans une phase nouvelle dès cet automne. Nous coupons les patates en fines tranches avant de les ébouillanter quelques minutes. Estelle râpe le dernier gros morceau de gruyère de Comté. << Il en fait de la distance celui-là ! >> dit elle en le tournant dans tous les sens. Dans une casserole je concocte une Béchamel. Clémentine prépare le mélange œufs, lait de soja et moutarde à l'ancienne.

J'égoutte les patates pour les verser un peu cassantes dans un grand plat à tarte. Clémentine verse son mélange sur le tout. Estelle recouvre d'une copieuse couche de gruyère. Au four, pour une cuisson lente à 180° environ. Il faut que ça mijote. Nous avons tout notre temps. Dans une poêle je fais revenir trois des gros nems achetés hier matin. Il suffit de couvrir d'un couvercle, feu éteint. Remuer la Béchamel pour éviter qu'elle ne se fige. Une belle salade de carottes viendra accompagner ce repas simple mais faisant déjà très envie.

Estelle me saute au cou. Je la soulève pour la promener dans la cuisine puis dans le salon. Ses jambes enserrent ma taille. Elle se frotte en riant. La place est occupée sinon j'introduirais bien mon sexe dans celui de ma "passagère". Je la pose sur la table, puis sur le bureau, je l'emmène à la cuisine. << Vous marquez les stations de la visite ? >> demande Estelle. J'inflige le même traitement à Clémentine. Avec la légère différence qu'ayant retiré sa culotte, je peux y introduire mon sexe. Juste l'extrémité. << Mmmhhh ! Excellent ! >> murmure t-elle.

Ce n'est que lorsque je la pose sur la table de la cuisine que je peux l'enfiler presque complètement. Estelle, en appui sur ses bras derrière Clémentine passe sa tête au dessus de son épaule. Elle me tend sa bouche entre ouverte. Je me penche pour y enfoncer ma langue. Nous entendons Clémentine gémir à nos oreilles. Je l'embrasse à son tour. Elle se masturbe toujours lorsqu'elle est pénétrée. Son seul et unique plaisir est clitoridien. Comme elle le précise parfois : << Les femmes "vaginales" ça n'existe tout simplement pas ! >>. Je bouge doucement.

Ma bouche va de l'une à l'autre. Leurs visages l'un contre l'autre, en attente, est une merveilleuse invitation à la plus suave des luxures. Estelle se redresse. Sa main droite sous sa jupe, elle se masturbe en me regardant par en-dessous, de ses yeux innocents. Ils sont d'un bleu lumineux, étincellant ce matin, dans l'obscurité de la pièce. Je me retire pour revenir. Nous adorons voir le mélange de nos secrétions faire de longs filaments qui joignent nos sexes. Estelle, penchée en avant, se tenant aux épaules de Clémentine, tout en se touchant, observe.

J'entre, je m'immisce, je me retire, je reviens sous les gémissements d'émerveillement de mes deux anges. Mon érection me procure les plus douces sensations. Fraîcheur hors de Clémentine. Chaleur dans Clémentine. C'est divin. La sonnerie du four. Déjà presque midi. << Avec ces saines occupations nous ne voyons pas le temps passer ! >> lance Estelle qui se précipite aux toilettes pour aller changer son tampon. Nous mettons les assiettes et les couverts. Je sors le gratin fumant du four. Clémentine réchauffe la Béchamel et les trois nems.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos activités ludiques de la matinée. Estelle nous lance un défi. << Cet après-midi, où qu'on aille, vous vous pénétrez au moins une fois ! >> précise t-elle. Nous rions aux éclats. Je dis :<< Et toi tu me suces au moins une fois ! >>. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges font l'inventaire des lieux les plus proches d'Édimbourg. En fait, excités comme nous le sommes une fois encore, la destination importe peu. Le seul objectif étant de nous y conduire en dépravés. De nous y amuser.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. La température extérieure flirte péniblement avec les 20°. La pluie reste fine et régulière. Un peu comme le crachin de notre Bretagne. C'est d'ailleurs la même ambiance en regardant par les fenêtres. Munis de notre parapluie géant, vêtus de nos K-ways, nous dévalons l'escalier. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue gluante qu'elle suce afin de l'assécher. Estelle assise à l'arrière caresse mon cou, mes joues. Il n'y a qu'une quinzaine de kilomètres jusqu'au village de Roslin. La circulation reste fluide.

Clémentine qui se prend toujours au jeu dès qu'elle se met à la fellation, me suce passionnément. << Et moi ! >> lance plusieurs fois Estelle. Clémentine se redresse quand je gare l'auto sur le parking visiteurs. Malgré la météo affligeante, il y a pas mal de monde. Estelle sort de l'auto la première. Je remballe ma bite dure comme le bois. Clémentine saisit mon poignet pour fourrer sa main entre ses cuisses. Nous voilà sous le grand parapluie. Les filles accrochées à mon bras. Priorité à la table d'un restaurant que nous voulons réserver pour 19 h.

Nous flânons longuement dans les rues de Roslin. Les pavés trempés sont luisants. Les parterres de fleurs ruissellent d'eau de pluie. Roslin connait un grand succès touristique. On y vient du monde entier pour visiter son étonnante et mystérieuse chapelle. De la taille d'une petite église elle n'a rien d'une chapelle telle qu'on pourrait l'imaginer. C'est ici que Dan Brown situe le cœur de son roman "Da Vinci Code". Un succès mondial qui fait la richesse du village. Nous réservons une table dans un des meilleurs restaurants gastronomiques du village.

Il y a beaucoup de touristes à se promener. Doucement nous prenons le chemin qui mène à la chapelle. Environ huit cent mètres sur un parcours balisé, pavé et d'un charme envoûtant. L'intérieur de la chapelle n'est qu'un vaste répertoire de toute la symbolique franc-maçonne. Rien de chrétien en ce lieu. Ce qui n'est pas pour nous déplaire. Il y a là plein de recoins sombres. On peut s'y tripoter discrètement. Quand à y baiser, c'est une autre histoire. Estelle n'arrête pas de me palper la braguette. << Sors-là, fais-la moi gouter ! >> m'implore t-elle.

C'est là, derrière des colonnades que nous trouvons un coin retiré. Comme les gens circulent sans arrêt sous les crépitements des flashs, il faut rester d'une prudence de Sioux. Clémentine fait le guet. Estelle fourre sa main dans ma braguette en s'accroupissant. Et bien mesdames et messieurs, dans ce haut lieu de l'occulte le plus hermétique, un sublime ange de l'abîme me taille la pipe initiatique la plus éloquente de toute la création. Oh bien sûr cela ne dure même pas deux minutes avant qu'elle ne se redresse précipitamment. Des gens !

<< Moi, mon défi est relevé ! >> lance t-elle en essuyant les coins de sa bouche pour en recueillir mon foutre épais et visqueux. Elle rajoute : << Maintenant c'est à vous ! >>. Clémentine précise : << Tu es folle ! Impossible de baiser ici. Même pas en rêve. Regarde un peu tous les gens partout ! >>. Je touche discrètement mes deux coquines. Elles me tiennent les poignets afin que surtout je n'arrête pas. Estelle palpe l'érection qui déforme mon bermuda. Heureusement que la pénombre masque nos agissements. Impossible de baiser dans ce lieu.

Par contre il est tellement agréable d'y flâner longuement. Quantités d'images de cet endroit étrange nous reviennent durant l'année. Il est presque 17 h quand nous revenons à la lumière. << Au propre comme au figuré ! >> précise Estelle. Nous retournons en ville. Il est certain qu'il sera impossible de relever notre défi. Sauf peut-être enfermés dans un cabinet des toilettes hommes de ce salon de thé ou nous savourons un délicieux chocolat chaud. Les filles ont un peu froid en jupettes, jambes nues. Clémentine m'entraîne par la main aux WC.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir quelques courtes et brèves pénétrations dans un cabinet de toilettes des WC hommes...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1990 - Écosse jour 57 -



Nouvelles découvertes

Hier matin, samedi, il est presque huit heures. Il est rare que Clémentine soit ainsi accrochée à moi. Couchée sur le côté à ma droite. C'est pourtant Estelle, à ma gauche, qui reste serrée contre moi. Et certainement la plus grande partie de la nuit. Elle saisit ma tumescence d'une poigne ferme en murmurant d'incompréhensibles phrases. Ça m'amuse toujours beaucoup. Encore dans un demi sommeil elle pose ses lèvres sur ma joue pour faire ventouse. Je suis entre mes deux anges qui s'étirent doucement en modulant longuement leurs gémissements.

Estelle se lève précipitamment pour s'élancer vers la porte. Clémentine passe une cuisse sous les miennes, pose l'autre sur mon érection naturelle. J'adore quand elle se frotte ainsi contre ma hanche. Je couvre son visage de bisous. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. L'appartement est à nouveau extrêmement lumineux car le soleil règne en maître dans un ciel presque entièrement bleu. Morts de faim nous rejoignons Estelle à la cuisine. Les effluves parfumées du café se mêlent à celles du pain grillé. Je presse les oranges et pèle les kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier. La chapelle Rosslyn et son atmosphère étrange. La fellation de quelques minutes que m'y a prodigué Estelle malgré les visiteurs. << J'ai exorcisé l'endroit ! >> dit elle en riant. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour. Aujourd'hui nous irons sur Dirleton et les ruines de son château médiéval. C'est à une trentaine de kilomètres à l'Est d'Édimbourg. La nationale qui longe la mer. Avec cette météo magnifique les réjouissances nous y accompagneront.

La vaisselle avant de nous laver les dents. << Je n'ai plus mal au ventre ni aux seins ! >> lance Estelle qui saisit mon poignet pour glisser ma main sur les parties qu'elle indique. Je la caresse doucement. << Toutefois la place sera encore prise toute la journée ! >> rajoute t-elle en plaçant ma main entre ses cuisses chaudes et douces. Nous enfilons nos tenues de jogging. Leggings de lycra noir, sweats de lycra jaune. Nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans l'étonnante fraîcheur matinale. C'est trompeur avec le soleil.

Notre parcours habituel et quotidien sur les hauteurs d'Édimbourg nous offre encore de superbes instants de pur plaisir. Il est neuf heures trente quand nous revenons. Estelle prend sa douche. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Juste le message de Julie qui se languit de l'absence de vente. Elle nous raconte l'intensité des passages quotidiens. Une affluence record de touristes. Estelle vient nous rejoindre habillée comme hier. Sa jupette noire, un T-shirt crème, ses baskets. Clémentine m'entraîne par la main dans la salle de bain.

Nous remettons les mêmes vêtements que hier. Nous vidons la machine du linge qu'elle contient. Estelle vient nous aider à le suspendre en disant avec un ton de dépit : << Pas de courriel de Los Angeles aujourd'hui ! >>. Je la prends par les épaules pour dire : << Je t'en fais un rien que pour toi mais d'Édimbourg ! >>. Elle se met à sautiller en s'écriant : << Avec la photo de ta bite alors ! >>. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Nous mettons quelques fruits et barres de céréales sans le petit sac à dos. Une bouteille d'eau. Nous voilà prêts.

<< Il ne faudra pas oublier d'acheter du pain, on n'en n'a plus ! >> lance Clémentine . Pressés de filer nous dévalons une fois de plus l'escalier quand le téléphone d'Estelle se met à jouer. Elle décroche. << Bonjour maman ! >>. Nous la laissons à sa conversation pour sortir l'auto du garage. Elle nous rejoint en sautillant. << On est invités au restaurant "La petite folie" à Dean Village mardi soir, 19 h30 ! >> lance Estelle. Elle rajoute : << Mes parents repartent mercredi, ils veulent fêter leur départ ! >>. Nous sommes ravis. Estelle s'installe à l'arrière.

Je descends Morningside Street doucement car la circulation est dense. Clémentine fourre sa main dans ma braguette. Estelle glisse ses mains dans mon cou, sur mes joues en évoquant ses parents. << Ils sont totalement sous le charme de ton pays. Au point qu'ils envisagent d'y acquérir une petite maison dans la région d'Inverness ! >> précise Estelle. Voilà Leith. Je prends à droite. L'East Lothian est une région magnifique. Sur la droite il y a la mer et ses eaux scintillantes. Sur la gauche des pâturages, des massifs forestiers, de basses collines.

Il faut se garer sur le parking obligatoire aux touristes. Il est à l'entrée du village, juste aux abords d'un des terrains de golf les plus réputés. Ici se déroulent des championnats mondiaux regroupant les stars de la discipline. J'étais passionné de Golf et grand pratiquant dans mes jeunes années. Quand j'étais étudiant j'ai même remporté quelques coupes. Curieusement cette passion m'a quitté au décès de Christine mon ancienne compagne. Il y a près de dix ans maintenant. Je porte le petit sac à dos. Mes deux anges me tiennent par les mains.

Nous attirons encore bien des regards. Nos hautes tailles. Ces deux sublimes jeunes filles accrochées à mon bras. Terriblement sexys. Non. Je ne suis pas leur papa. Même si parfois elles me demandent d'en endosser le rôle. Il est onze heures. Nous flânons dans les rues pavées d'un petit village typique du bord de mer. Son minuscule port de pêche qui attire tous les amateurs de produits de la mer frais et surtout encore vivants. Pas de chance. Aucun restaurant n'est en mesure de nous accueillir à midi. Il faut dire qu'il y a un monde fou. Il fait chaud.

Estelle profite de chaque opportunité pour palper ma braguette. Lorsqu'elle en éprouve l'impérieux besoin, elle se serre dans mes bras pour jouer avec la bosse. Et la coquine aime beaucoup se serrer dans mes bras. Nous rions. Je fais souvent pareil avec Clémentine. Quand des regards inconnus se font plus inquisiteurs, les filles enfoncent le clou en me couvrant le visage de bisous. Les choses sont claires sur la nature de nos relations. La culotte de Clémentine est dans la pochette avant du sac à dos. J'ai donc tout le loisir "d'explorer" en marchant.

À chaque fois que je glisse ma main entre ses cuisses, sous sa jupe, Clémentine saisit mon poignet afin que surtout je ne cesse pas. À ce jeu, malgré toutes les précautions dont nous nous entourons, nous nous faisons bien évidemment parfois surprendre. Clémentine, en authentique exhibitionniste y trouve là source de quelques doux frissons. Alors qu'Estelle a ce réflexe légitime de vouloir se soustraire aux regards. Juste un instant toutefois car sa libido s'y trouve flattée. C'est donc dans cette ambiance ludique et festive que nous errons.

Il commence à faire méchamment faim. C'est à cette caravane chromée dont l'odeur est affolante que nous achetons nos fish & chips. Ça vaut le coup d'attendre longuement dans la file sous le cagnard. Ce sont des beignets de moules grillées, de crevettes et de thon. Des pommes de terre frites bien dorées. Nous trimballons nos gros sachets de papier kraft jusqu'à ce square à l'entrée du domaine de Archerfield Link. C'est une attraction étonnante. D'anciens bâtiments religieux entourés d'un cimetière constituent en fait un terrain de golf insolite.

Confortablement installés sur un banc nous savourons nos fish & chips. C'est tout simplement divin. Nous regardons les promeneurs. Des familles qui visitent le parc. Des joueurs de golf très amateurs qui tentent quelques parcours ludiques. Il y a même un mini golf un peu plus loin. << Ça me donne des idées ! >> fait Clémentine qui se lève. Faisant semblant de manipuler une canne de golf elle s'accroupit devant nous. Cuisses largement écartées en disant : << La petite balle va t-elle entrer dans le petit trou ? >>. Nous comprenons soudain le sens.

<< Après le château ! >> lance Estelle. Nous jetons nos déchets dans une des nombreuses poubelles avant de prendre la direction des ruines. C'est une forteresse impressionnante. Un des nombreux châteaux défensifs de la côte Est de l'Écosse. Mais également une place forte destinée à défendre les riches terres agricoles du Comté. Nous lisons soigneusement les panneaux historiques. La fortification a été construite vers 1240. Un certain Jean de Vaux en est le fondateur et commanditaire. La visite est libre ou guidées selon le choix de chacun.

Nous aimons couper la poire en deux. Nous optons pour notre formule habituelle. Nous restons à l'écart d'un groupe pour écouter tout en nous réservant une totale indépendance. Les ruines sont parfaitement sécurisées. De lourdes chaînes ou des rambardes protègent les accès les plus critiques. L'endroit à été le cadre des différentes guerres d'indépendance qu'a mené l'Écosse durant les siècles. Passant d'une famille à l'autre. Connaissant des destructions successives mais aussi des périodes de fastes, de grandeurs. Estelle et Clémentine restent à mon bras.

Lorsqu'elle est saisit d'un désir coquin, Estelle n'a qu'à se serrer dans mes bras pour me tripoter. Je fais exactement pareil. Je recommande fortement cette formule de découvertes. D'êtres excités durant les visites historiques permet d'en saisir la substantifique moelle. C'est gratifiant et instructif. Sans toutefois ce côté ennuyeux de l'écoute. Je bande comme le dernier des salauds. Quand Estelle empoigne ma bosse avec la vulgarité dont elle est coutumière, elle murmure à chaque fois : << Votre défi du jour. Une branlette en ruines de château ! >>.

Nous rions souvent aux éclats en oubliant de rester discrets. Ce qui fait que la jeune étudiante qui exerce comme guide en job d'été se tourne vers nous en croyant avoir dit quelque chose de drôle. Ça nous gêne au point que nous nous éloignons. << J'ai envie de niquer ! >> chuchote Clémentine qui se frotte contre moi au bas d'un vieil escalier. Je glisse discrètement ma main entre ses cuisses. Estelle murmure : << S'il y a des caméras planquées, ça fait longtemps qu'on est repérés ! >>. Nous rigolons comme des bossus en montant vers le donjon ouvert.

La visite est obligatoirement guidée pour monter dans le donjon et pour circuler sur le tronçon du chemin de ronde subsistant. Une autre jeune étudiante. << On se calme ! >> murmure Estelle en palpant ma bosse. Nous gravissons l'escalier circulaire. Par d'étroites lucarnes nous pouvons voir le remous des vagues quelques cinquante mètres au bas des falaises. Je suis saisis de vertige. La fraîcheur est vive à l'intérieur de ces vieilles pierres. Nous en éprouvons des frissons et ça calme quelque peu nos ardeurs. Arrivés en haut il y a un vent fort.

Nous prenons des photos. Le paysage est réellement dantesque. Grandiose. La légende prétend qu'un galion espagnol se serait égaré sous ces latitudes, chargé d'or, pour couler à quelques encâblures des falaises devant le château. La profondeur des eaux ici est de six cent mètres. Une véritable fosse marine qui empêche toutes recherches. Cette belle histoire restera donc encore longtemps légende. Tant mieux. Il y a également le fantôme de Walter Halburton détenu en otage en 1420 qui hanterait la forteresse les soirs de lunes noires. C'est ce soir...

Estelle guette l'instant précis où notre jeune guide regardera par ici. Voilà l'occasion soudaine et rapide de poser sa main sur ma braguette. La jeune guide a bien vu. Elle ne perd pas le fil de son argumentaire. Estelle récidive. Nous faisons ainsi une nouvelle fois de cette jeune fille une complice amusée. J'ai toujours un principe "apaisant" pour conclure les visites et nos jeux. Un billet de 5 £ que je glisse discrètement dans la main de la jeune fille en la remerciant pour la qualité de sa prestation. Ce qui nous permet également de voir à qui nous avons affaire.

Elles sont souvent étonnées, ravies, enchantées et souriantes. << Le billet de 5 £ ! >> précise Clémentine quand nous repartons. C'est vrai. Ils ne sont probablement pas très nombreux les touristes qui laissent l'équivalent d'un peu plus de 5 euros. << Tu achètes son silence par tes charmes et un atout imparable ! >> rajoute Estelle. Nous rigolons comme des bossus. La vérité est sans doute ailleurs. Nos jeux permettent une séquence récréative dans la monotonie des visites. Et un mec tripoté par deux jeunes filles du même âge qu'elles, c'est si drôle !

Il est seize heures quand nous quittons l'enceinte du château. Un bien agréable moment de découvertes. Clémentine nous entraîne au mini golf. Nous prenons nos tickets au guichet. Nous revenons chacun avec une canne et une balle. Une feuille de papier et un stylo. Pour 8 £ chacun nous avons accès à un endroit charmant. C'est un grand jardin. Un parcours fait de huit stations. Des pistes goudronnées d'environs dix mètres. Chacune propose une configuration spécifique. Le but étant de déjouer les chicanes pour faire tomber la balle dans le trou.

Je n'ai rien perdu de mon "swing". << Wouah ! Le déhanchement gracieux ! >> me fait Estelle à chaque fois que c'est à mon tour. Quand elles sont penchées en avant pour se concentrer, je glisse ma main sous les jupettes pour passer mes doigts dans les raies culières. C'est discret et chaque piste est isolée par des haies de houes et de lauriers. Il suffit de s'entourer d'un minimum de précaution pour ne pas êtres vus. << C'est génial le mini golf ! >> fait Estelle en se redressant pour réajuster sa culotte. Nous rions aux éclats en marquant chacun nos points.

C'est Clémentine qui mène. Fairplay je fais semblant d'être très maladroit. Je rate volontairement des coups qui ferait se moquer n'importe quel pratiquant "moyen". Les filles ne sont pas dupes. Elles repèrent très vite mon attitude. << Tu triches à l'envers ! Tu auras des pénalités ! >> s'écrie Estelle en empoignant ma braguette sans ménagement. Soudain, Clémentine s'accroupit. Elle nous tourne le dos. Elle scrute l'intérieur du trou pour y récupérer sa balle. Mais la cause réelle de cette attitude d'une indécence folle est d'une toute autre nature.

Il y a un des types du groupe de joueurs d'en face qui mâte. Estelle m'entraîne afin que nous fassions semblant de ne pas l'avoir repéré. Il se penche. Il n'est qu'à cinq ou six mètres. Dans la trouée du feuillage sa vue doit être parfaite. Clémentine en rajoute. Le mec semble en hypnose. Cette sublime jeune fille, cuisses écartées au-delà du raisonnable, lui faisant face, ne portant de surcroît aucun sous-vêtement, doit le transporter aux limites de l'apoplexie. Lui aussi tente à présent d'attirer l'attention de la fille. Il se touche discrètement. Il mâte.

Clémentine relève la tête. Elle porte ses lunettes noires. Le type ne sait pas si cette merveilleuse exhibitionniste le fixe ou si elle regarde ailleurs. Je bande comme un salaud dans la poigne d'Estelle. Le mec, avec des trésors d'ingéniosités, arrive à se tripoter. C'est certain, il aimerait lui aussi lui montrer son sexe. Nous le voyons fébrile. Il regarde partout autour de lui. Il est accompagné. Des amis, sa femme sans doute aussi. Juste avant la crampe, Clémentine se redresse. Juste avant que la femme ne la remarque à son tour. Ouf. Il était moins une.

<< Génial vraiment le mini golf ! >> lance Clémentine en faisant sauter la balle dans sa main. Nous passons à la piste suivante. Malgré tous nos efforts, il est impossible d'êtres vus d'ici. Par contre je touche le sexe de Clémentine. J'enfonce mon index avec une facilité déconcertante. Il faut se concentrer pour mener la partie à son terme. Nous éclatons de rire. C'est Clémentine qui remporte la victoire par 17 points contre 12 pour Estelle et 6 pour moi. << Par tricherie éhontée ! >> précise Estelle en me palpant fermement. Il est presque dix huit heures.

Nous flânons dans Dirleton à la recherche d'une hypothétique table à réserver dans un restaurant. Quelle chance d'en trouver une dans un établissement sur le port. Une pergola chauffée. C'est tout ce qui reste. Nous n'allons pas en plus faire les difficiles. Après nos errances portuaires nous prenons place devant de somptueux plateaux de fruits de mer. Notre trio attire quelques attentions. Tout particulièrement quand mes deux anges m'entraînent, chacune à leur tour, par la main jusqu'aux toilettes. Grands moments de vice dans les cabinets.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines ivres de plaisirs, émerveillées par une agréable journée, qui s'apprêtent à d'autres folies sous les draps...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1991 - Écosse jour 58 -



Encore une belle journée à randonner

Hier matin, dimanche, il est aux environs de neuf heures quand nous nous réveillons tous les trois quasiment en même temps. Estelle à ma droite qui est restée accrochée à moi toute la nuit comme une naufragée à sa branche. Clémentine à ma gauche qui vient se blottir. Je suis entre mes anges dans un enchantement paradisiaque. Estelle saisit mon érection naturelle. Nous modulons nos gémissements jusqu'à l'absurde tout en nous étirant. Rires. Toujours aussi soudaine Estelle se lève d'un bond, tourne sur elle même et se précipite vers la porte.

Clémentine me chevauche en riant. En appui sur ses coudes elle me couvre le visage de bisous. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. L'odeur du café, du pain grillé. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Tout en sautillant autour de la table, Estelle s'écrie : << Il n'y a plus rien ! Terminé ! >>. Elle fait allusion à ses "petits machins " de fille. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, je la promène dans toute la pièce. Même traitement à Clémentine qui vient de mettre les bols.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur certaines aventures épiques de ces deux mois en Écosse. Il ne reste plus qu'une semaine et nous sommes froidement déterminés à en rajouter quelques épisodes inoubliables. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de ce dimanche ensoleillé. Aujourd'hui pas de jogging, pas d'entraînement. Clémentine suggère de partir dès ce matin pour une virée pédestre. Excellente idée que nous applaudissons. Il y a de superbes itinéraires que nous n'avons pas encore réalisé cette année.

Nous faisons la vaisselle avant de nous laver les dents. Assises sur mes genoux, les filles allument l'ordinateur. Deux messages. Celui de Juliette dont les vacances en Corse prennent fin mercredi prochain. Celui de Julie qui nous raconte sa journée de tenancière de galerie d'Art. Un petit tour sur le site de l'université. Clémentine fait défiler quelques listes d'itinéraires de randonnées dans les environs d'Édimbourg. << Celle-là ! Rappelez-vous l'année dernière ! On a baisé dans les dunes ! >> lance Clémentine. << Je m'en rappelle bien ! >> fait Estelle.

Nous rions de bon cœur car de telles références parsèment nos souvenirs. Aujourd'hui ce sera une promenade sur le sentier côtier qui mène à la plage de Gullane Point. Nous préparons nos affaires. Dans le petit sac à dos, des fruits. Clémentine prépare les sandwichs au saumon fumé. Estelle reste serrée contre mon dos, ses mains fouillant mon slip. Nous nous habillons. Estelle et Clémentine portent une jupette "tennis" plissée. Kaki pour l'une, carmin pour l'autre. Je suis en short brun. Tous les trois en T-shirts crème. Chaussés de nos baskets.

Pressés de filer nous dévalons l'escalier de services. Je roule doucement. Clémentine garde sa main dans ma braguette. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou en revenant sur des souvenirs communs de ces vacances. << Tout est déjà loin, comme auréolé de brume écossaise ! >> fait Estelle. Et c'est vrai que nous ressentons tous les trois cette très étrange impression. Nous passons Dean Village, Leith, pour garer la voiture sur le parking. Je suggère de prendre nos précautions. De réserver une table pour ce soir, à notre retour. Un restau.

Il est onze heures. Nous nous y prenons à temps car certains établissements voient toutes leurs tables déjà réservées. Heureusement, dans les restaurants gastronomiques il y a souvent des possibilités. Nous trouvons notre bonheur au "Kitchin". Établissement classé et étoilé sur "Commercial Quay". La carte est plutôt alléchante. C'est de la cuisine écossaise "moderne". Nous nous gardons donc les surprises pour ce soir. Pour rassurer la patronne fort accueillante, j'insiste. Je laisse 30 £ pour confirmer notre venue vers 19 h30. C'est un très bon deal.

C'est à partir du port que nous prenons le sentier côtier. Il fait beau. Il fait chaud. Nous allons hélas évoluer en plein cagnard sur cinq à six kilomètres. La température extérieure est déjà de 26°. Nous croisons quantité de marcheurs. Souvent des groupes qui pratiquent parfois la marche nordique. Armés de bâtons on les entend venir de loin. << Parfait pour ne pas se faire surprendre ! >> lance Estelle qui se retourne soudain pour palpe ma braguette béante. Mon T-shirt en dissimule l'ouverture. Clémentine marche derrière moi et me prend par la taille.

C'est là, au-dessus des basses falaises qui surplombent la mer que je me retrouve bite à l'air pour la toute première fois de la balade. La vue est dégagée. À moins d'observer avec une paire de jumelles, il est impossible de voir ce que bricole notre trio. << J'ai envie de faire ma salope, vous n'imaginez pas ! >> s'écrie Estelle en me lâchant pour reprendre sa marche. Elle se retourne pour préciser : << Défense de remballer avant l'amas rocheux, là-bas ! >>. Je dois relever ce défi sur environs cinq cent mètres. Ça va être ardu car il y a plein de gens.

Pour cacher ma bite et mes couilles, l'astuce est simple. Estelle s'arrête un peu avant l'arrivée des marcheurs pour se serrer dans mes bras. Comme Clémentine se blottit également, nous attirons évidemment toutes les attentions. Non, je ne suis pas le papa de ces deux sublimes jeunes filles qui me font des papouilles en riant. Si ces promeneurs pouvaient imaginer un seul instant ce qui fait tant rire les deux coquines ! Moi, toujours un peu gêné, coincé aux entournures comme se plaît à le signifier Estelle, je n'ai d'autres choix que de me laisser manipuler.

Ces scènes se reproduisent à plusieurs reprises jusqu'à Gullane Point. C'est un hameau d'une vingtaine de maisons basses. La vue sur l'estuaire derrière nous est superbe. C'est une baie dont une plage en demi lune apporte cette touche de jaune dans le vert de la lande et des pâturages. Il y a des bancs en contrebas. Une table d'orientation. Un peu d'ombre enfin. Nous savourons nos nectarines et nos brugnons en entrées. Sous le toit de planches d'un des abris destinés à cet usage. Il y a quelques autres marcheurs qui prennent leurs repas.

<< Les sandwichs sont chauds et à points ! >> lance Clémentine. << Pas besoin de réchauffer ! >> rajoute Estelle. Nous rions de bon cœur. Il y a fort heureusement une brise rafraîchissante qui souffle du large. Nous ne nous attardons pas. À partir de Gullane Point, le sentier de notre itinéraire bifurque vers l'intérieur des terres. Nous nous passons la paire de jumelles pour regarder au loin. D'ici deux bornes nous seront dans une forêt. Ce qui nous encourage à accélérer la marche. Une fois encore j'en parcours la moitié avec la bite et les couilles à l'air.

Estelle et Clémentine ne portent pas de culottes. J'ai donc moi aussi tout le loisir de glisser mes mains sous les jupettes, entre les cuisses chaudes et moites de mes deux anges. Toutes les deux, l'une à côté de l'autre, cambrées sur leurs genoux fléchis, pieds écartés, me tiennent les poignets. Je caresse leurs intimités. << Mmmhhhh ! >> murmure Estelle en fermant les yeux menton sur la poitrine. << Mmmhhh ! >> chuchote Clémentine yeux fermés, tête rejetée en arrière. Je reproduis la "séance" plusieurs fois avant d'arriver à la forêt.

Nous manquons de nous faire surprendre par ce groupe de randonneurs. Ils sont une bonne dizaine. Je force un peu afin que de là-bas, ils comprennent bien ce qui se passe ici. Je cesse en disant : << Gaffe ! >>. Les filles ouvrent les yeux en même temps pour regarder. Elles se redressent, se réajustent et nous reprenons notre balade. Quand nous croisons ces gens ils ont l'air amusé. Le regards libidineux de certains messieurs fait rire aux éclats Clémentine. << Vous avez vu l'expression de leurs regards ! >> lance t-elle. << Les vicelards ! >> dit Estelle.

Nous pénétrons enfin dans les épaisses futaies. Le sentier se transforme en chemin. Il est donc possible d'y évoluer côte à côte. Je passe mes mains entre les cuisses de mes deux anges. Elles adorent marcher ainsi en me tenant les poignets afin que surtout je ne cesse pas. C'est une agréable sensation que d'avoir le gros doigt de chaque main enfoncé. Les cuisses qui frottent et qui obligent à une démarche un peu ridicule. Nous nous arrêtons pour rire aux éclats. << Tu nous la mets ? >> lance Estelle en empoignant ma queue molle et moite.

Je garde mes doigts bien enfoncés. Nous regardons autour de nous. Quelqu'un peut surgir aux détours du chemin à n'importe quel moment. Nous reprenons notre avancée. Environ cinq cent mètres. Un sentier quitte le chemin pour monter sur notre gauche. Clémentine nous y entraîne. Une centaine de mètres. Un endroit charmant avec vue sur la canopée. Clémentine tire les K-ways du sac à dos pour les déplier comme des plaids. Estelle s'allonge en relevant sa jupette. Me présentant son sexe, cuisses écartées, elle dit : << Viens vite. J'ai mal ! >>.

Clémentine s'allonge à ses côtés. Nous sommes à l'ombre de chênes séculaires. Le sentier à une vingtaine de mètres. Il faut rester prudents. Je pénètre Estelle avec d'infinies précautions. Elle se masturbe. Tout comme Clémentine qui me fait le plus merveilleux des sourires. Rien n'est plus désagréable que de baiser sur le tissu synthétique d'un K-ways. Nous le savons pourtant bien. Ça gâche un peu la fête. Je pénètre Clémentine. Mêmes sensations de baigner le cul dans une flaque. Nous cessons un peu dépités et surtout frustrés pas cet inconvénient.

J'essuie les filles avec des mouchoirs en papier. Ils y passent presque tous. Nous en gardons quelques uns pour les pipis. Nous redescendons sur le chemin. Comme c'est beau. Nous longeons un adorable petit ruisseau. Il y a des séquences en forêts, d'autres en plein soleil. Une chaleur redoutable. Voilà le minuscule village de Aberlady. Des maisons basses, en pierres de grès rouge. Aux toits d'ardoises grises. C'est fleuri. C'est magnifique. Il y a la terrasse de l'unique restaurant. Il reste des places sous les parasols. C'est insolite et très exotique.

Nous dégustons d'énormes coupes glacées. Il est presque dix sept heures. Première visite dans les toilettes hommes avec Estelle qui m'y entraîne par la main. Il fait bien frais à l'intérieur du restaurant. Enfermés dans un des deux cabinets des toilettes hommes, nous procédons à nos rituels pisseux. Je baise Estelle en la soulevant, coincée entre le mur et la cuvette. Une bonne dizaine de minutes plus tard nous rejoignons Clémentine. Quelques nouvelles minutes. C'est Clémentine qui m'entraîne par la main. Sous le regard de quelques clients.

Dans les toilettes, nous ne touchons jamais à rien. Mouchoirs en papier dans les mains en faisant très attention. Estelle fait un stock de feuilles de papier qu'elle déroule pour les plier soigneusement avant de les coincer dans la taille de sa jupette. J'en remplis mes poches. L'addition. Nous repartons comme des voleurs de P.Q. que nous sommes. En rigolant comme des bossus. De nombreux arrêts à nous tripoter parsèment la fin de notre boucle. Il y a même des endroits où je peux me bouffer du minou en me faisant tailler des pipes. C'est grandiose.

Bien "allumées" mes deux coquines adorent se faire surprendre avec ma bite dans la bouche. Surtout Clémentine qui ne cesse qu'in extremis. Je bande comme le dernier des salauds. Encore une randonnée qui restera inoubliable. << À condition de ne pas l'oublier ! >> précise Estelle. Nous rions. Il est presque dix neuf heures quand nous revenons à Leith. Fourbus mais tellement remplis de moments incroyables. Il suffit d'attendre 19 h30 et notre table réservée en restant assis sur le muret à admirer l'animation sur les quais du port.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines aux minous encore dégoulinants à savourer de délicieuses spécialités écossaises "modernes"...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1992 - Écosse jour 59 -



Une succession d'agréables et belles journée écossaises

Hier matin, lundi, c'est Clémentine qui me tire de mon sommeil. Depuis quelques jours elle aussi reste à dormir tout contre moi. Je suis entre mes deux anges qui se blottissent. Nous rions encore à moitié endormis car elles ont toutes les deux le même réflexe. Leurs mains voulant saisir mon érection naturelle se cognent. Je glisse les miennes dans leurs culottes pour défaire quelques nœuds. Lissant mes doigts à la façon d'un peigne. << C'était génial hier ! >> murmure Estelle en se contentant de malaxer mes couilles. Elle se lève soudainement.

Cette réaction brusque et quotidienne étant dictée par son irrépressible besoin de pisser, elle se précipite vers la porte. Clémentine ne lâche pas mon sexe qu'elle tient fermement. << Je t'aime ! C'est vrai que c'était superbe hier ! >> rajoute t-elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Et en sortant l'odeur du café se mêlant à celle du pain grillé envahit déjà tout l'appartement. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos "exactions" sexuelles de hier. Rires.

<< J'ai tout le temps envie de faire ma salope ! Ça me prend à n'importe quel moment de la journée ! >> lance Estelle. Nous rions de bon cœur quand Clémentine s'écrie : << C'est un signe de bonne santé et aujourd'hui nous allons encore bien l'entretenir ! >>. Nous mangeons de bon appétit en évaluant les différentes options. << Pourquoi ne pas nous offrir une nouvelle sortie à bicyclette par exemple ? >>. Suggestion de Clémentine retenue à l'unanimité. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. On se lave les dents avant de nous revêtir de nos tenues sports.

Nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. C'est parti pour un running le long de notre circuit habituel. Il fait beau. Le soleil est le maître absolu d'un ciel quasiment sans nuages. Il est neuf heures trente quand nous revenons. Pendant qu'Estelle prend sa douche, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un petit tour sur le site de l'université. Une réunion des postulants au concours d'admission au Doctorat est proposée le lundi 12 septembre. Ce qui réjouit Clémentine.

Il y a juste le courriel de Julie qui nous raconte sa journée. Le flot des touristes commence à doucement ralentir. Avec ces grosses chaleurs ce sont les bords de mer qui sont prisés. Et ça sent la fin des vacances. Estelle vient nous rejoindre dans sa jupette en jeans, un T-shirt mauve. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Clémentine m'enlace pour me chuchoter des douceurs. << Je t'aime mais je suis aussi très amoureuse tu sais ! >> dit elle plusieurs fois, serrée contre moi sous la douche. Je la savonne, je la frotte. Nous rions de bon cœur.

Clémentine porte une de ses jupettes kakis, un T-shirt fuschia. Je suis en short kaki, en T-shirt crème. Estelle, toute contente, nous lit à haute voix les commentaires des photos envoyées par Gauvain. << Il rentre de Los Angeles le samedi 10 septembre. Nous nous verrons à la matinée de réunion le lundi 12 septembre ! >> lance t-elle en se levant pour m'inviter à prendre sa place. Assises sur mes genoux, les filles découvrent quelques messages privées sur les forums où nous publions "Les aventures de Clémentine et de Julien". Des mots sympathiques.

C'est Clémentine qui met un point d'honneur à répondre. Le plus souvent des réponses "standards" qu'elle agrémente en fonction des requêtes. Il est 10 h15. Clémentine étudie les différents circuits proposés à partir d'Édimbourg. Notre choix se porte sur Sylverknowes. La piste cyclable débute à Bonnington, avant Waverley. C'est parfait. Avant cela il faut descendre sur la partie commerçante de Morningside Street. Il faut du pain. << Des nouilles chinoises ! Vous n'avez pas envie de nouilles chinoises avec des nems ? >> demande Estelle. Miam.

<< Va pour des nouilles chinoises ! >> répond Clémentine. Avec nos sachets dans le petit sac à dos que je porte, nous descendons Morningside Street jusqu'au carrefour de Christ Church. Plein d'autocars garés devant. Il faut préciser que cette église gothique exerce un charme fou sur le visiteur. Le petit square qui l'entoure est un ancien cimetière aménagé. Des fontaines, des statues, des bancs et quelques fourrés où Clémentine s'est déjà fait "surprendre". Mais là, ce matin, avec tout ce monde, ce serait pure folie. Nous traversons la rue.

Il faut patienter dans la file à la boulangerie. Une grosse miche de pain aux noix, trois baguettes, une brioche au pudding. Nous allons dans la supérette. << Chez Tesco il y a tout ce qu'il faut ! >> chante Estelle sur un air publicitaire de réparation de pare-brises. Nous rions aux éclats en reprenant sa chanson en cœur. Des nouilles chinoises. Des nems que nous préférons à ceux du fastfood vietnamien des Wong. << Comme ils ne donnent pas de nouvelles, on les ignore aussi ! >> dit Clémentine. << Ils sont en familles maintenant ! >> rajoute Estelle.

Nous remontons. Morts de faim nous préparons le repas. Clémentine fait la salade de tomates. De belles tomates en grappes achetées chez Tesco. Estelle ébouillante les nouilles selon la recette indiquée sur le paquet. Je fais revenir les nems au crabe dans la poêle. Repas rapide mais ô combien délicieux. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. << En vélo, je garde toujours ma culotte ! >> lance Clémentine. << Moi aussi ! >> fait Estelle en palpant ma braguette. Nous voilà prêts de chez prêt.

Pressés de filer nous dévalons l'escalier de service. Je vérifie le gonflage des pneus. Tout est parfait. Nous redescendons une fois encore tout Morningside Street avec les mains sur les freins. Dean Village, puis Leith. Il faut prendre à gauche. C'est superbe de pédaler sur le port. Il y a un léger vent de Nord Est. Il fait très chaud à l'arrêt. Le thermomètre extérieur de la pharmacie indique 28°. Nous arrivons à Bonnington. C'est un des quartiers au Nord d'Édimbourg. Voilà le carrefour des pistes cyclables. Elles sont balisées et les miles sont parfaitement indiqués.

Nous prenons Blackness Bay and bridges view. Un circuit d'une trentaine de kilomètres qui nous ramènera ici. Quelques bornes et nous voilà en bord de mer. C'est magnifique tous ces voiliers, tous ces bateaux sur les eaux étincelantes. Nous croisons quantité de cyclistes. Sur notre gauche c'est une succession de hameaux, d'exploitations agricoles et de pâturages. La région est riche et verdoyante. Estelle nous entraîne à sa suite en disant : << On se trouve un coin, j'ai trop envie ! >>. Nous parcourons un étroit sentier très praticable. C'est bucolique.

Un massif forestier. Quelle agréable surprise, il y a un étang. Tout petit. Et absolument personne. Nous entendons un tracteur pas très loin. Il avance en libérant de grandes meules cylindriques de foin bien sec. Nous avisons cette plateforme rocheuse au bord de l'eau. Il suffit d'arracher quelques touffes d'herbes pour pouvoir nous installer peinards. Estelle se dévêt. Toute nue, juste en baskets, elle prend des poses de gymnastique japonaise. Une succession de mouvements lents évoquant l'eurythmie. Clémentine me déshabille. Je regarde partout.

Je la dévêts à son tour. Du petit sac à dos posé au sol, Clémentine tire le répulsif à insectes "Marie-Rose". Elle m'en enduit partout. Je fais de même puis à Estelle qui écarte ses cuisses en précisant : << Surtout là ! >>. Elle indique son sexe velu de l'index. Nous sommes à l'ombre. Estelle a déjà ma bite en bouche alors que Clémentine m'embrasse passionnément. Je caresse les lèvres charnues de sa vulve. Je tiens son clitoris géant entre le pouce et l'index. Parfois nous cessons pour observer les expressions passionnées d'Estelle qui me taille une pipe des familles.

Je caresse sa nuque. J'appuie quelquefois pour enfoncer davantage de bite. J'enfonce le gros doigt dans le sexe de Clémentine. Nous bavons au point d'avoir les mentons trempés de salives. Il y a une agréable brise de mer qui rafraîchit juste ce qu'il faut. Estelle, couchée sur le côté, se masturbe tout en suçant. Elle se redresse. Je me tourne. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids sur Clémentine que je pénètre avec d'infinies précautions. C'est Estelle qui positionne mon sexe pour le faire coulisser. Elle est très adroite.

Clémentine se masturbe toujours quand elle est pénétrée. Estelle m'embrasse. Sa tête toute proche des nôtres nous pouvons ainsi échanger nos impressions. Elle me tient les couilles par derrière de sa main libre. De l'autre elle se masturbe. Je reste longtemps dans Clémentine. Estelle, à quatre pattes, me fait le cul. Son visage enfoncé dans la raie mouillée de mes fesses nous l'entendons gémir en 'broutant". Clémentine et moi nous adorons alterner les séquences immobiles et les doux bercements. Estelle, soudain impatiente, se couche sur le dos.

Je me retire de Clémentine pour la pénétrer à son tour. Elle a le visage trempé de la sueur de mon cul. Des mèches de cheveux qui collent sur ses joues. Ça m'excite de la baiser à la hussarde. Clémentine tient fermement mes couilles sans cesser de se masturber. Tout comme Estelle qui pousse de petits cris d'animal blessé. Je passe de l'une à l'autre. Je garde le parfait contrôle. Hors de question d'aller jusqu'à l'éjaculation. Par contre je veux absolument offrir un orgasme à chacune de mes deux coquines. Ce sera avec un imparable cunnilingus.

L'orgasme de Clémentine est pisseux. J'ai juste le temps de détourner mon visage. Elle jouit en hurlant de plaisir. J'adore retourner la sucer et récupérer le "mélange" dès la fin du jet prodigieux. J'offre un orgasme à Estelle. Sans savoir si c'est ma bouche où ses doigts qui la font jouir en criant. Nous ne sommes absolument pas discrets. << Rien à foutre ! >> lance Estelle, couchée sur le dos, reprenant ses esprits. La roche est lisse et fraîche. C'est un bonheur d'y trouver un relatif confort. Je suis debout. Mes deux anges à genoux se refilent ma queue juteuse.

Je dois contrôler car c'est tellement bon que je pourrais éjaculer n'importe comment. Je leurs murmure des cochonneries. Je dis à Clémentine : << J'aimerais te voir baiser avec un mec ! >>. Elle glousse en riant, sans cesser de sucer. Je dis à Estelle : << Et toi pendant ce temps tu me taillerais une pipe ! >>. Elle cesse pour dire : << J'adore. Tu es tellement juteux quand on est cachés tous les deux pour mâter ! >>. Il est 16 h30. Il faut songer à repartir. Nous nous habillons. J'ai la bite qui dégouline. Qui colle au fond de mon slip "Petit bateau". (Qui accepte les grands mâts)

C'est reparti. Nous échangeons nos impressions. C'est une curieuse sensation que de faire de la bicyclette avec les bas ventres congestionnés par les plaisirs. Sur notre droite la mer que nous quittons pour les pâturages. Les hameaux de Pilton, de Drylaw avant d'apercevoir le centre commercial de Waverley, là-bas, dans le lointain. Il est 18 h30 quand nous revenons. << On bouffe à la cafète ? >> propose Estelle. << Oh oui, génial ! On regarde ce qu'ils ont aux menus ce soir ! >> fait Clémentine. Nous fermons les vélos à cadenas.

Notre trio attire encore bien des regards. << Avec nos gueules de salopes qui se sont envoyées en l'air ! >> murmure Clémentine. Je les regarde toutes les deux. C'est vrai que les cernes sous leurs yeux ne trahissent pas que des efforts cyclistes. Nous rions en nous observant dans un des miroirs. << Put-Hein les gueules de putes qu'on a ! >> chuchote Estelle. Je leurs dis : << Vous n'imaginez pas ce que te telles gueules suscitent chez les mecs ! >>. Clémentine se blottit contre moi en s'écriant : << Et chez certaines meufs ! >>. Nous rions aux éclat

<< On se fait des pizzas aux champignons ! Regardez comme elles sont énormes ! >> s'écrie Estelle. Nous sommes dans la file avec nos plateaux sur lesquels il y des coupelles de salades, des jus de fruits. Voilà nos pizzas fumantes. C'est prépayé. Nous prenons place devant une des grandes baies vitrées. << Vue sur le parking ! >> lance Estelle. Nous dégustons ces pizzas comme si c'était le meilleur plat du monde. Morts de faim. Il faudra encore faire dix bornes pour rentrer. Monter Morningside Street. La dernière épreuve de cette journée.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont en rajouter une louche sous les draps. Second léchage de minous. Partage de sperme...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1993 - Écosse jour 60 -



Belle journée malgré une météo peu favorable

Il est un pu plus de huit heures hier matin, mardi. Les pieds d'Estelle qui bougent contre les miens. Clémentine qui vient se blottir en gémissant de plaisir. Je suis entre mes deux anges. Trop tard. C'est Clémentine qui vient de saisir mon érection naturelle. Estelle empoigne mes couilles. Je passe mes bras autour de leurs épaules pour les serrer contre moi. Distribution de bisous, de papouilles avant qu'Estelle ne se lève d'un bond. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en trottinant vers la porte. Clémentine se couche sur moi pour frotter son sexe sur le mien.

C'est à notre tour d'aller pisser. Lorsque le ciel est couvert, les pièces de l'appartement sont sombres. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Les suaves effluves du café s'y mêlent à celle du pain grillé. La belle brioche au pudding trône au milieu de la table. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre virée vélo de hier. Nous mangeons de bon appétit en envisageant quelques plans B. Il pleut. Tout est uniformément gris au dehors. Ce qui compromet notre jogging quotidien. C'est frustrant.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux les filles passent en revue les différentes options d'une journée sans randonnée. Ce sera sous le parapluie quelle que soit la décision. Nous débarrassons pour faire la vaisselle, se laver les dents. Nous restons en slips de nuit et en T-shirts pour faire nos exercices aérobics, abdominaux et quelques étirements. Intensité maximale qui ne remplace pas un bon running. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux Clémentine allume l'ordinateur. Deux courriels. Celui de Juliette, celui de Julie.

Estelle revient vêtue d'un jeans, d'un fin sweat mauve. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous sommes tous les trois en jeans et sweats. Il est dix heures. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la taille. Nous observons par la fenêtre. C'est tristounet. Cette météo n'est pas seulement frustrante mais lugubre. Notre décision est prise. Nous irons flâner dans le centre historique et faire quelques musées. Je propose de ne pas attendre et de partir immédiatement. Les filles se mettent à sautiller autour de moi en applaudissant. Joie.

Nous mettons nos blousons. Le thermomètre extérieur n'indique que 16°. Nous dévalons l'escalier de service. C'est sous le grand parapluie qu'il faut courir jusqu'au garage pour y récupérer la voiture. Je roule doucement en descendant Morningside Street jusqu'à Leith. Clémentine palpe ma braguette. Assise à l'arrière, ses mains dans mon cou, Estelle revient sur notre invitation demain soir. Ses parents quittent l'Écosse vendredi matin. Nous repartons samedi matin. Ce sera un mercredi soir au restaurant. Je gare l'auto dans la ruelle habituelle. Tout est gris.

À une dizaine de minutes du centre. Je tiens le parapluie. Les filles accrochées à mon bras. Nous marchons vite. La pluie ne cesse pas de tomber. Dense et régulière. La fraîcheur est déconcertante. Nous avisons un des grands magasins sur le Royal Mile. Sur trois étages. Nous y flânons pour admirer les vêtements, les Arts de la table, les jouets. Je gronde un peu Estelle qui a encore tendance à me palper sans s'entourer d'un minimum de précautions. << Il y a des caméras je te signale ! >> lance plusieurs fois Clémentine. Il y a plein de gens.

Nous quittons pour longer le côté gauche jusqu'à la cathédrale. Là aussi, il y a foule. << Tout le monde fait comme nous, s'emmerde et se balade ! >> dit Estelle en se serrant contre moi. Prétexte pour me palper discrètement. Nous entrons dans l'édifice religieux. Je défends formellement à Estelle de me toucher en dessous de la ceinture. << T'es vilain avec moi, je ne suis qu'une pauvre fille qui aime la queue et tu m'interdis de jouer avec ! >> murmure t-elle. Nous rions aux éclats. Il y a plusieurs groupes de visiteurs qui suivent des guides.

Nous faisons un rapide tour de l'intérieur. D'impressionnantes dentelles de pierre qui semblent défier les plus folles virtuosités des plus fous sculpteurs. Il est presque midi. La faim commence à se faire ressentir. Nous lisons les menus affichés devant les restaurants à l'entour. Une fois encore il faut se tourner vers les établissements gastronomiques pour trouver une table. C'est un de nos préférés. Le personnel y est vêtu façon XIXème et la décoration luxueuse respire l'ère Victorienne. Ce sont de grands plateaux de fruits de mer que nous savourons.

L'ambiance d'un jour de pluie. C'est un peu morose pour une dernière semaine de vacances. Visites aux toilettes. D'abord avec Estelle, puis avec Clémentine. Bien "allumés"; bien repus, nous voyons les choses sous un angle plus optimiste. Quand nous sortons la pluie tombe toujours aussi drue. Nous avons consulté quelques sites au dessert. C'est vers le Musée Caméra Obscura et World of Illusions que nous nous dirigeons. C'est à une quinzaine de minutes. Nos passes touristiques facilitent encore bien les choses. Pas besoin d'attendre aux guichets.

Il suffit de présenter nos téléphones qui sont scannés pour recevoir nos tickets virtuels. L'application les télécharge directement. Le bip sonore, la barrière s'écarte. Nous entrons. C'est immédiatement un monde magique. Une sorte de couloir entre deux écrans géants. À droite des dinosaures broutent tranquillement dans un paysage d'un réalisme étonnant. À gauche un volcan crache ses flammes et sa lave. La visite est libre. Il y a évidemment un monde fou. Cette attraction est connue dans le monde entier pour ses illusions à couper le souffle.

Les filles me tiennent par les mains. Nous voilà dans un grand ascenseur. Une vingtaine de personnes autour de nous. C'est une salle de sciences fictions qui accueille le visiteur. Une "machine à voyager dans le temps" invite à la découverte. Nous montons les quelques marches d'un escalier étrangement éclairé de bleu pour pénétrer dans une spirale lumineuse. C'est vraiment épatant de se laisser happer par l'ambiance. Il y a des bruits électroniques étranges qui rajoutent encore à l'illusion de changer d'univers. Estelle qui s'arrête devant moi.

Elle se serre pour palper ma braguette en disant : << Il faut que je contrôle si tu n'as rien oublié dans les toilettes du restaurant ! >>. Nous rions de bon cœur. Par prudence je saisis son poignet pour l'empêcher de trop en faire. Il est agréable de découvrir ce musée. Tout y est passionnant. La visite dure une heure trente. Surtout si comme nous on retourne dans les endroits les plus surprenants. C'est la troisième fois que nous visitons ce musée. Les choses changent d'une année à l'autre. Nous voilà dehors. La pluie continue de tomber. Régulière.

Il suffit de marcher quelques centaines de mètres. Voilà le Britannia. C'est un musée flottant. Un ancien paquebot aménagé pour recevoir des visiteurs. Nous y sommes déjà venu mais c'est épatant aussi. Les visites sont guidées. C'est un jeune homme habillé en officier de marine qui invite à le suivre. Nous faisons partie d'un groupe d'une quinzaine de personnes. Pour Estelle, il est beaucoup plus facile de se livrer à ses "contrôles" de routine sur ma braguette. Nous suivons notre guide. Nous n'écoutons pas vraiment. Tout est étonnant ici.

Nous avons en projet de nous offrir un jour une belle croisière sur un paquebot. La visite de celui-ci nous rappelle ce souhait. Estelle profite de chaque opportunité pour me tripoter. Nous manquons de nous faire surprendre à plusieurs reprises. Moi aussi je la prends dans mes bras pour passer discrètement ma main entre ses cuisses. << Et moi ! >> murmure Clémentine. Je tripote mes deux anges avec cette vulgarité qu'elles aiment tant. << T'es pas très salaud aujourd'hui ! C'est à cause de la pluie ? >> chuchote Estelle tout en palpant ma grosse bosse.

La visite dure une heure. Nous voilà sur les quais. Sous le grand parapluie que je tiens. Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite qui dit : << Plein les yeux cet après-midi ! >>. C'est vrai que nous venons de faire de belles découvertes. Dans cette ambiance ludique de notre trio. Nous en avons encore attiré bien des regards un peu partout. Surtout quand nous nous faisions surprendre dans nos "palpations" sauvages. Nous en rions de bon cœur. Nous revenons sur Princess Street et son animation commerçante. Il y a un monde fou dans les rues.

Une forêt de parapluies multicolores. Estelle nous entraîne dans l'escalier double qui monte sur le parvis de l'Hôtel de Ville. De là, à une dizaine de mètres au-dessus du sol, nous avons une vue surréaliste sur un océan de parapluies. Appuyés contre le parapet de pierres taillées, nous admirons ce spectacle totalement insolite. En me tripotant Estelle dit : << J'ai envie de faire des "trucs"cochons dans tous les coins ! >>. Avec cette pluie son souhait restera non exaucé. Clémentine rajoute : << Trouvons un coin au sec ! >>. Nous redescendons.

Il n'y a aucun coin au sec. Par contre dans le dédale des ruelles du vieil Édimbourg ce ne sont pas les recoins qui manquent. Il suffit de se mettre sous l'auvent d'une porte, sous l'auvent d'une vitrine pour y rester au sec. L'une fait écran de son corps pendant que l'autre se montre d'une témérité folle. Elles se sont misent dans la tête de me sortir la queue au moins une fois. Ce sont donc des trésors de ruses qu'elles appliquent pour y parvenir. << Rien ne me résiste à moi ! >> lance Estelle qui tient ma bite. Nous sommes dans un couloir privé et ouvert.

Là, une porte ouverte entre deux vitrines. Les coquines m'y entraînent. Clémentine, accroupie, son visage tout près de mon sexe qu'agite Estelle. Je suis mort de trouille. Surtout qu'à une dizaine de mètres passent des touristes. Il faut cesser car nous entendons des bruits et des voix dans l'escalier. Je remballe juste à temps avant de sauter les trois marches. Il est 18 h45. Une fois encore à la recherche d'un bon restaurant. Ce n'est pas ce qui manque dans le centre historique. Encore faut-il en trouver un dont une table serait libre. Un vrai challenge.

C'est un établissement très haut de gamme à la décoration médiévale qui nous accueille. << C'est déjà une activité intense que de trouver une table ! >> lance Estelle. Nous voulons absolument gouter une des spécialités de la maison. De la truffe de homard avec confits de légumes. Nous allons de surprises en surprises car ce sont plusieurs plats qui nous sont emmenés par une jeune serveuse absolument craquante. << Montre-lui ta queue ! Tu as vu les sourires qu'elle te fait ! >> lance Estelle. C'est bien évidemment tout à fait impossible.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines désireuses de se retrouver dans des situations à haute teneur ludique et surtout lubrique...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1994 - Écosse jour 61 -



Quand s'installe une ambiance de fin de vacances

Hier matin, mercredi, il est huit heures. Estelle qui est restée contre moi toute la nuit se serre encore plus fort. En gémissant elle saisit mon érection naturelle. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Nous nous étirons longuement en ouvrant les yeux. Aujourd'hui la luminosité refait son apparition. Dehors il y a du soleil. De quoi nous dynamiser et nous rendre optimistes. Distribution de bisous. << Vous sentez la fin du séjour qui arrive ? >> demande Estelle avant de se lever comme montée sur ressort. Elle se précipite vers la porte.

<< Ça me rend un peu tristounette ! J'ai beau repousser l'idée, elle revient sans cesse ! >> répond Clémentine qui me chevauche en se frottant sur mon sexe encore bien dur. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Les suaves odeurs du café, du pain grillé et du reste de la brioche au four à micro ondes. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. J'écoute les filles échanger leurs impressions quand aux trois jours qui nous restent à passer à Édimbourg. << Ça me rend nostalgique ! >> lance Estelle.

Je reste un peu insensible à l'idée de la fin des vacances. Je sais qu'une fois de retour nous serons pris dans d'autres formes d'actions. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur quelques bons moments vécus cet été. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de la journée. Ce soir nous serons au restaurant en compagnie des parents d'Estelle. Yvan et Michèle partent demain matin. Ils sont venus en avion, repartent en avion. Estelle est contente d'avoir passé une semaine avec eux. << Le protocole ! >> s'écrie Estelle.

Après un instant d'hésitation elle rajoute : << Mais pas seulement ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. C'est en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain que nous nous lavons les dents. Vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. Une fraîcheur humide et étrangement automnale. Avec les grosses chaleurs passées, plein de feuilles jonchent déjà le sol. Ce qui rajoute encore à cette impression d'automne précoce. Là, pas plus de 14°.

C'est parti pour une heure de running sur notre circuit habituel. Nous apprécions doublement après la frustration de n'avoir pas couru hier matin. Il est 9 h30 quand nous revenons. Estelle investit la salle de bain la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Il y a juste le courriel de Julie qui elle aussi se met en condition mentale. Ce sera dur pour elle de terminer sa saison. La galerie ferme vendredi en fin d'après-midi. Nous savons qu'elle mettra un point d'honneur à tout ranger, à tout mettre en ordre après avoir nettoyé.

Estelle vient nous rejoindre dans sa jupe en jeans, son sweat mauve. C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Clémentine porte une de ses jupettes carmins, un sweat brun. Je suis en bermuda kaki et sweat gris. Estelle m'invite à m'assoir à sa place afin de pouvoir s'installer sur mes genoux avec Clémentine. Elle ouvre sa boîte mail. << Génial ! >> s'écrie t-elle en découvrant le courriel de Gauvain. Le collègue étudiant lui aussi s'apprête à mettre un terme à son séjour à Los Angeles. Il joint quelques photos à son très court message.

<< Il rentre dans une dizaine de jours ! Sympa ! >> lance Estelle. Je propose de partir dès maintenant pour Stirling. Nous voulons absolument revoir cette ville adorable et son immense château. Nous gardons d'excellents souvenirs de nos journées là-bas. << Cette fois, on se fait la tour Wallace ! >> s'écrie Clémentine. << Tout ce que tu voudras mais on bouge ! >> s'exclame Estelle en se levant d'un bond. Je coupe les baguettes dans le sens de la longueur. Clémentine les beurre avant d'y déposer de fines tranches de fromage et de tomates.

<< On a tenu jusqu'à la fin avec le Morbier et le Saint Nectaire. Il n'y en a plus ! >> fait elle en les emballant. Ils rejoignent les nectarines et les brugnons dans le petit sac à dos. Pressés de filer nous dévalons l'escalier. Je roule doucement. Il y a une soixantaine de kilomètres jusqu'à Stirling. La circulation est assez dense. Pour les écossais aussi c'est le dernier jour des vacances. Clémentine joue avec ma queue de plus en plus raide. Assise à l'arrière, ses mains dans mon cou, Estelle commente le paysage. Les collines qui nous entourent. Les forêts.

Il est onze heures quand nous garons la voiture sur le parking du château. Il y a du monde. Cette fois, nous voulons prendre un des sentiers qui contournent la vaste forteresse par la droite. C'est à flanc de colline. Le sol rocailleux est détrempé par les pluies de hier. Il faut donc bien regarder où nous posons les pieds. Nous avons chaussé nos grosses godasses. Les filles ont déposé leurs culottes dans la pochette avant du sac à dos que je porte. Nous croisons des marcheurs. Estelle glisse souvent sa main dans ma braguette ouverte. Cachée sous mon sweat.

Nous descendons un chemin ombrageux. Une sorte de col entre deux collines. Il y a là un endroit aménagé où nous pouvons prendre notre repas. Il faut se résigner. D'autres promeneurs sont installés à l'entour. C'est l'heure du casse-croûte. Nous savourons le nôtre. Il y a un groupe de gens un peu plus loin. L'un des messieurs regarde à plusieurs reprises vers notre trio. Nous comprenons rapidement pourquoi. À chaque fois qu'il mâte, Clémentine écarte légèrement ses cuisses. Elle est discrète, virtuose de l'exhibe en catimini. Encore une réussite !

Une vingtaine de mètres nous séparent de ces gens. Seul le type prête une attention à cette sublime jeune fille qui lui montre sa chatte poilue. Il n'en n'a probablement jamais vu une comme ça. << Salope ! >> murmure Estelle qui écarte doucement ses cuisses. Je suis entre mes deux anges. Nous sommes installés sur un banc en bois verni. Nous portons tous les trois nos lunettes de soleil. Ce qui préserve l'anonymat des deux coquines. Le type ne sait plus où regarder. Elles sont habiles à resserrer leurs cuisses quand il y a d'autres regards.

Le groupe quitte l'endroit au bout d'une vingtaine de minutes. << Je suis bien "allumée" ! >> dit Estelle qui palpe l'énorme bosse qui déforme mon bermuda. << Wouah ! >> rajoute t-elle en y glissant la main. Nous repartons. La tour Wallace est commémorative. Érigée en l'honneur du héros national écossais William Wallace, c'est un monument qui se voit à des kilomètres. Haute tour de pierres claires à l'étrange sommet. Nous y parvenons après une heure de marche. Il y a du monde. La visite est guidée. Il faut monter un escalier sans fin.

<< Un peu d'exercice n'est pas pour nous déplaire ! >> lance Estelle pour nous donner du courage. Le monument n'est pas très vieux car il date du XIXème siècle. Abbey Graig sur laquelle se dresse la tour est un volcan éteint. Il y a 246 marches. De quoi dépenser tous surplus de calories. Il y a là des objets ayant appartenu à William Wallace. Notamment son épée, un baudrier, un sac en cuir. La vue depuis le sommet est grandiose. Vertigineuse aussi. Comme toujours Clémentine et moi devons lutter contre la nausée en évitant de regarder en bas.

Ce qui fait beaucoup rire Estelle qui en profite pour se serrer contre moi. Cachant ainsi sa main baladeuse. << Oh, mais c'est qu'il est tout mou mon doudou ! >> murmure Estelle. Il faut suivre le guide. Nous redescendons en croisant ceux qui montent. Le bas est consacré à trois salle musée. C'est instructif. Intéressant. Mon érection fait son grand retour sous les palpations discrètes et répétées d'Estelle. Nous quittons ce haut lieu d'Histoire pour reprendre le chemin vers Stirling. Cette fois c'est moi qui m'arrête souvent. Je glisse mes mains sous les jupettes.

<< Le salaud ! >> lance Estelle à chaque fois. Je fais ça après m'être assuré qu'il n'y ait personne dans les environs. Je m'adonne à mes palpations vulgaires lorsque Clémentine s'écrie : << T'arrête pas ! >> en saisissant mon poignet. Il y a un marcheur solitaire. Il arrive à notre hauteur. Je suis terriblement gêné. Estelle se serre contre moi. Le quidam ouvre de grands yeux en découvrant notre trio. Ma main sous la jupette de Clémentine, cambrée sur ses genoux fléchis. Merveilleuse salope qui se fait toucher devant un randonneur. Insolite.

Après nous avoir croisé il se retourne plusieurs fois. Estelle s'accroupit pour en rajouter dans la démesure. Son visage contre ma braguette. Le type disparaît au bout du chemin. Mais c'est ainsi que nous nous faisons surprendre par un groupe de marcheurs. Estelle se redresse. Clémentine lâche mon poignet en disant : << On arrête les conneries ! >>. Nous croisons ces gens en gardant les yeux fixés sur nos pieds. À peine avons nous parcouru une centaine de mètres que nous éclatons de rire. Ils se retournent pour nous observer comme des aliens.

Il est 17 h quand nous revenons à Stirling. << Ces escaliers m'ont tué ! >> lance Estelle. << 246 marches et 160 mètres de haut ! >> rajoute Clémentine. Nous sautillons sur place. Nous parcourons les rues pavées du centre historique. La faim commence insidieusement à se faire sentir. Pour la calmer nous savourons des bâtons glacés "pistache". Il faut songer à rentrer. Nous sommes attendus pour 19 h30 à Dean Village. Je roule doucement dans une circulation encore plus dense. Nous arrivons à Dean Village pour 19 h. L'endroit est facile à trouver.

"La p'tite folie" est un restaurant gastronomique. Une grande maison victorienne. Malgré son nom français il n'y a rien de français en ce lieu. Nous flânons un peu pour aller à la rencontre d'Yvan et de Michèle. Ils arrivent en se tenant la main. Comme des amoureux. Estelle se précipite pour leurs faire des bises. Elle saute au cou de son papa qu'elle ne lâche plus. Nous nous saluons, tout heureux de nous revoir. C'est leur dernier soir en Écosse. Ils ont voulu marquer le coup par un bon repas. Notre table nous attend. L'accueil y est chaleureux.

C'est une grande salle déjà à moitié pleine de touristes. La décoration est sobre. Ce sont des lambris de bois de chêne qui donnent cette ambiance feutrée. Un sol carrelé de tomettes brunes. Des aquarelles encadrées suspendues aux murs. Notre table est dans le coin du fond, à côté d'une fenêtre qui donne sur la rue. "La p'tite folie" propose des spécialités typiques. Notre choix se porte sur des queues de langoustes fumées et des moules grillées. Accompagnés de brocolis divinement cuisinés. Petits pois confis avec un coulis de courgettes.

Nous bavardons. Yvan et Michèle sont tombés amoureux de mon pays. Ils envisagent d'y acheter une petite maison. Ils ont d'ailleurs commencé des démarches dans ce sens. De préférence dans la région d'Inverness. Ils ont beaucoup aimé Édimbourg mais gardent leurs préférences pour les abords du Loch Ness. << Les prix sont dissuasifs par les agences ! >> précise Yvan. Michèle a quelques pistes auprès de particuliers qui vendent. << Pas de frais d'agence ! >> dit elle. Estelle me surveille du coin de l'œil. Je suis en présence de sa maman.

J'ai donc droit à quelques coups de pieds sous la table. Yvan, toujours très fairplay fait mine de ne se rendre compte de rien. Alors que Clémentine me fait comprendre qu'il n'est pas dupe. La soirée est agréable. Le cadre enchanteur. Le dessert glacé somptueux. Il est 22 h quand nous nous séparons. Yvan et Michèle ont leur avion demain matin à 11 h. Il est 22 h30 quand nous revenons à l'appartement. Sous les draps j'offre de délicieux cunnilingus à mes deux anges. Je me fais sucer à bouche que veux-tu. De petites baises de principe. Dodo.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent le rituel du nettoyage de minous sous les draps. Tout en dégustant un bon foutre visqueux et gluant...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1995 - Écosse jour 62 -



Encore une belle journée à bicyclette

Hier matin, jeudi, il est presque huit heures. Je suis entre mes deux anges qui sont restées serrées contre moi toute la nuit. Estelle à ma gauche qui s'étire en gémissant. Clémentine à droite qui se frotte contre ma cuisse. Distribution de bisous alors qu'Estelle empoigne mes couilles dans un geste réflexe. Mon érection naturelle étant déjà dans la main de Clémentine. Je passe mes bras autour de leurs épaules pour offrir quelques papouilles matinales. Estelle, comme catapultée du lit, se précipite vers la porte en s'écriant : << Ça urge ! >>. Rires.

Depuis plusieurs matins Clémentine me fait de véritables déclarations d'amour au réveil. Me chevauchant, en appui sur ses coudes, elle couvre mon visage de bises. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. L'appartement est déjà extrêmement lumineux car dehors il fait beau. Les suaves effluves parfumées du café, du pain grillé achèvent de nous faire mourir de faim. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos découvertes de hier à Stirling. La tour Wallace.

Nous mangeons de bon appétit en faisant l'inventaire de tout ce qu'il ne faudra surtout pas oublier. Samedi matin c'est le départ. Nous quitterons notre chère Écosse jusqu'aux vacances de Noël. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Se laver les dents avant de s'habiller de nos tenues de jogging. Nous dévalons l'escalier. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur vive. C'est parti. Notre running quotidien sur notre parcours habituel. Il est neuf heures quand nous revenons. La température extérieure n'est encore que de 16 degrés.

Estelle prend sa douche. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Le message de Julie dont c'est l'avant dernier jour de gérance de la galerie d'Art. Il reste quatre toiles qui ne sont pas parties. Le courriel de Juliette qui nous raconte son retour après un mois de vacances en Corse. Estelle vient nous rejoindre en jupette "tennis" kaki, T-shirt crème. Nous lui laissons la place pour aller à la salle de bain. Clémentine porte une jupette "tennis" grise, un T-shirt brun. Je suis en bermuda kaki, chemisette claire. Estelle nous lit son message.

Gauvain joint toujours des photos à ces mails d'outre Atlantique. Assises sur mes genoux, mes deux anges surfent sur le site de l'université. Pas de nouvelles informations mais elles aiment à relire les programmes des différents cycles par lesquels elles sont passées durant les cinq années écoulées. Nous avons les derniers achats à effectuer. Il faut du pain, des fruits. Pressés d'aller les faire nous descendons Morningside Street d'un bon pas. Dans le petit sac à dos que je porte des sachets. Mes deux anges me tiennent par la main en évoquant leurs études.

Comme à chaque fois que nous arrivons au carrefour de Christ Church, il y a au moins trois grands autocars garés là. Déversant ce matin encore leurs flots de touristes. Nous achetons deux belles miches de pain complet aux noix. Trois belles baguettes et deux de ces brioches au pudding dont nous raffolons. Tout cela se conservera très bien jusqu'au retour chez nous dimanche soir. Des brugnons, des nectarines, des oranges et des kiwis en bonne quantité. Nous remontons la rue chargés comme des mulets. Il est 11 h45 quand nous revenons.

Clémentine prépare la salade de tomates. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Dans la poêle je fais rissoler trois beaux pavés de saumon avec des champignons. Je concocte une sauce au Roquefort avec le dernier morceau. Estelle râpe le dernier morceau de gruyère de Comté. Comme la glacière sera vide au retour, nous pourrons la remplir de fruits, de pain, de brioche afin que tout cela reste au frais. Branchée sur l'allume cigare de l'auto je réglerai la température à plus ou moins 5°. Nous mangeons de bon appétit en envisageant l'après-midi.

Clémentine suggère une randonnée à bicyclette. << On n'a pas encore fait le "tunnel" ! >> lance t-elle. C'est une allusion à cette piste cyclable qui prend son départ à Waverley en direction de Duddigngston Loch. C'est une boucle d'une soixantaine de kilomètres. Principalement en bord de mer et qui se dirige vers le Nord Est d'Édimbourg. Il y a un lac. Nous applaudissons à cette proposition. Il fait tellement beau que cette activité nous enchante déjà. Nous ne traînons pas. La vaisselle avant de nous laver les dents. Nous restons en tenues légères.

Je change mon bermuda contre un short plus confortable. Dans le petit sac à dos que je porte, des fruits, des barres de céréales. Pressés de filer nous dévalons l'escalier. Il y a oncle Alan et sa femme Amy qui reviennent de courses. Il nous est rappelé que nous mangerons ensemble demain soir. Il y aura tante Margaret et son mari Jack qui viendront spécialement de Saint Andrews. Nous nous réjouissons. Je vérifie le gonflage des pneus. Tout est parfait. C'est avec les mains sur les freins et prudemment que nous descendons Morningside Street.

Leith et Waverley. Il faut prendre à droite. Direction Keith Parc puis Port Seton. Nous ne sommes pas les seuls à profiter de cette magnifique journée. Nous croisons un nombre incroyable de cyclistes. Il faut préciser que c'est un des circuits les plus faciles. Du terrain quasiment plat tout le long. Premier arrêt pipi en quittant la piste cyclable juste avant Port Seton. Nous prenons un étroit sentier qui descend vers la mer. Il faut pousser et soulever les bicyclettes à cause de la rocaille. Là, peinards, nous procédons à nos rituels pisseux tout en riant aux éclats.

Bien évidemment Clémentine gagne la victoire par un jet d'une intensité folle qu'elle projette à bien cinq mètres devant elle. Accroupis derrière les coquines, j'enfonce mes index dans leurs trous du cul. << Salaud ! Enculeur de filles ! >> lance une fois encore Estelle dont c'est la formule habituelle. Je peux lécher leurs croupions pour me régaler de leurs sucs. Accroupies toutes les deux, elles me tiennent la bite et les couilles pour en diriger les jets. Je caresse leurs têtes lorsqu'elle se disputent les dernières gouttelettes. De petites pipes pisseuses.

Nous descendons le sentier qui mène au port. Un port minuscule mais connaissant l'affluence touristique habituelle. Ce sont les touristes de septembre. Un autre style. Un autre genre. Beaucoup plus "classe". Peut-être davantage d'asiatiques encore. Quand nous ne sommes pas assis sur nos machines, les filles ne portent pas de culottes. Très pratique pour Clémentine qui repère un "plan". Là-bas, ce promeneur solitaire qui prend des photos avec un gros appareil. << Le "client" idéal ! >> lance Clémentine qui nous entraîne vers l'embarcadère.

Il y a des bateaux qui emmènent des touristes vers les îlots rocheux au large. Là, entre une pile de palettes et une autre de casiers à crustacés, Clémentine guette. Estelle et moi nous restons à l'écart. Cachés derrière plusieurs piles de caisses en plastique bleu et rouge, nous observons. On voit bien le type qui a repéré cette jeune fille qui cherche probablement un endroit pour satisfaire un besoin naturel. Clémentine excelle dans ce jeu d'attirer les curieux pour en faire des voyeurs privilégiés. Cette fois encore la combine fonctionne à plein.

Estelle me tient par mon érection. J'ai ma main entre ses cuisses sous sa jupette. J'enfonce même la première phalange de mon gros doigt. Nous voyons l'inconnu se diriger vers l'endroit où à disparu la fille. Clémentine s'accroupit. Elle nous tourne le dos. Le type apparaît. Il tombe sur ce merveilleux spectacle. Clémentine porte ses lunettes de soleil. Pour la circonstance elle a défait ses cheveux. Son anonymat totalement préservé elle reste immobile. Le type ne regarde pas seulement la pisseuse mais également partout autour de lui. Une extase.

Il semble comme affolé. Soudain fébrile. Certainement ébahi et émerveillé. Il n'y a strictement personne dans ce coin du quai. Clémentine a pissé il y a une demi heure. Elle mime pourtant à la perfection la fille concentrée. Tête baissée à observer son entre jambes. Cuisses largement écartées. Dans une indécence folle qui tétanise le mec. Certainement en proie à une érection douloureuse, il se touche d'une poigne ferme. Se palpant la braguette de son bermuda. Il n'est qu'à une dizaine de mètres de la jeune fille qui lève enfin la tête. Immobile.

Clémentine me raconte souvent l'émotion qui l'habite dans ces circonstances. Les décharges électriques qui parcourent son échine. Les frissons qui manquent de la faire défaillir. Ce sentiment de honte qui se mêle à celui d'une excitation délirante. Les spasmes qui agitent l'intérieur de son bas ventre. Son clitoris géant qu'elle sent durcir. Estelle me tient la queue pour me chuchoter ses impressions. Je la doigte en donnant les miennes. Notre trio de vicieux trouve encore là un exutoire à sa libido débridée. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon.

Le type, d'un geste rapide, descend la tirette de sa braguette pour en extraire une bite raide et droite. << Super calibre ! >> murmure Estelle qui se bouge sur mon doigt. L'inconnu tient son sexe à sa base pour l'agiter vers la pisseuse. Il a compris que tout cela n'était qu'un "coup monté" par une exhibitionniste de tout premier ordre. La salope dont peut rêver n'importe quel homme normal. Ça lui arrive là, à lui et il sait manifester son contentement. Il reste debout. N'entreprend rien. Se contentant de se masturber doucement. Mouvement contrôlé.

Sans doute à la limite de l'ankylose, Clémentine se redresse. Elle a réussi à pisser car une toute petite flaque est visible sur le sol de ciment gris. Estelle bouge au rythme de celui de mon doigt que j'agite en elle. Elle se tient à mon érection comme à une rampe. Clémentine, une main entre ses cuisses, semble envisager la possibilité de contourner le type. Le passage ne fait que trois ou quatre mètres. Elle va être obligée de passer tout près du branleur. En parfait gentleman il s'écarte pour la laisser passer.Je reste prêt à intervenir à tous moments.

Nous n'entendons pas ce qu'il dit à la jeune fille qui le contourne sans cesser de se toucher. Elle se retourne pour lui adresser le plus merveilleux des sourires. C'est l'instant de tous ses délices. Il se cambre soudain. Nous l'entendons crier en éjaculant. Clémentine lève le pouce de sa main gauche comme pour le féliciter. Elle s'en va en accélérant le pas. Nous la rejoignons à l'embarcadère pour la congratuler. << Put-Hein, je suis excitée comme jamais ! >> nous confie t-elle en retirant ses lunettes de soleil. Son visage en sueur, ses joues rougies.

Nous quittons le port. Les filles remettent discrètement leurs culottes. Nous voilà sur nos vélos. Nous croisons nombre de cyclistes. Une véritable autoroute pour deux roues. Voilà l'entrée du fameux tunnel. La piste cyclable est une ancienne voie ferrée. C'est un tunnel qui passe sous les collines sur trois kilomètres. Nous adorons y pousser des cris surréalistes. Nous ne sommes pas les seuls. Il faut préciser que l'endroit résonne comme une cathédrale. Nous rigolons comme des bossus. Enfin la lumière du jour après les néons électriques du tunnel.

C'est une boucle que nous réalisons avec quelques arrêts très sympathiques. En quatre heures. Il est dix huit heures trente quand nous sommes de retour à Waverley. << On bouffe à la cafète ? >> propose Estelle. << Excellente idée ! >> s'écrie Clémentine. Le centre commercial de Waverley est noir de monde. À cette heure il est encore possible de trouver une table dans le grand hall de la cafétéria. Ce seront des moules frites accompagnées de salades. De l'eau gazeuse. Un repas d'une étonnante simplicité mais étonnamment délicieux.

Nous traînons à table. Il y a un monde fou autour de nous. La vue sur le parking de l'hypermarché n'est pas particulièrement romantique. Pourtant, fatigués et repus, l'endroit nous paraît le plus agréable. Nous en rions de bon cœur. Il est temps d'affronter la dernière épreuve de l'après-midi finissant. Monter la redoutable pente de Morningside Street. Fourbus nous arrivons à l'appartement pour 22 h. La douche à trois en riant comme des fous. Sous les draps, cunnilingus, fellations, pénétrations dans un concerto de gémissements jouissifs et lascifs.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui s'offrent encore quelques dernières extases avant un profond sommeil bien mérité. Je distribue généreusement un foutre épais et visqueux...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1996 - Écosse jour 63 -



La dernière journée en Écosse

Hier matin, vendredi, c'est Clémentine qui vient se blottir. Estelle l'est déjà puisqu'elle passe ses nuits tout contre moi. Il est huit heures. Une fois encore l'appartement est lumineux. Il fait beau. Le soleil en est la cause. Estelle empoigne mes couilles car Clémentine la précède en saisissant mon érection naturelle. Je glisse mes mains dans les culottes. Tel un peigne mes doigts dénouent quelques nœuds. Nous savourons l'instant en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. D'un bond Estelle se précipite vers la porte en s'écriant : << Vite ! >>

Clémentine me masturbe doucement en murmurant : << Je suis un peu triste en pensant à demain ! >>. Mais très rapidement elle se reprend en précisant : << Mais une fois à la maison je serai contente. Je crois que c'est surtout la perspective du voyage de retour ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine où se mêlent les douces odeurs du café, du pain grillé. Depuis quelques jours, il y a de la brioche à chaque petit déjeuner. Je pèle les kiwis, Clémentine presse les oranges. Dehors le ciel est bleu d'azur.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier après-midi. Le tunnel, l'exhibition de Clémentine sur le port. << C'est un fait scientifique que nous avons analysé à de multiples reprises. Les petits ports de pêche sont le cadre idéal pour de l'exhibe de qualité ! >> lance t-elle. << Très juste ! >> fait Estelle. Nous rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour. Il sera chargé. Préparer nos affaires, ranger et nettoyer l'appartement. << On s'y met ce matin après la gym ! >> propose Estelle.

Nous ne traînons pas. La vaisselle avant de se laver les dents, se vêtir de nos tenues de sport. Nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans l'étonnante fraîcheur matinale. Le thermomètre extérieur indique à peine 14°. C'est donc avec un rythme soutenu que nous pratiquons notre running le long de notre parcours habituel. Nous croisons des joggeurs que nous reconnaissons à présent très bien. Il est 9 h30 quand nous revenons. Estelle investit la salle de bain. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur.

Le message de Julie qui nous raconte sa journée. Les collectionneurs commencent à venir récupérer les tableaux qu'ils ont gentiment laissé pour la saison. Julie va fermer demain, samedi 3 septembre. Dimanche sera consacré au nettoyage. Le courriel de Juliette qui est rentrée de Corse hier. C'est Estelle qui va répondre car elle nous rejoint vêtue d'une robe d'été cintrée à la taille et qui arrive à mi cuisses. C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Clémentine porte une robe semblable. Elles sont sexys toutes les deux ainsi vêtues. Soquettes, baskets.

Je suis en short et T-shirt. Assises sur mes genoux, les filles surfent sur le site de l'université. Estelle nous lit les réponses aux deux mails. Nous joignons un selfie pris hier durant notre périple à bicyclettes. Il est presque dix heures. Nous suivons le programme établi. Clémentine passe l'aspirateur, je la suis en passant la serpillère pendant qu'Estelle fait la salle de bain. Chacun a une tâche précise afin que tout aille très vite. À chaque fois que nous nous croisons nous nous faisons un bisou. Estelle et Clémentine s'en font sur la bouche en riant aux éclats.

C'est dans cette ambiance qu'il est rapidement 11 h30. Tout est absolument nickel. Nous enlèverons les draps demain matin avant de partir. Départ à huit heures. De faire le ménage a ouvert nos appétits d'ogres. Clémentine fait une salade de concombre. Les deux dernières carottes. La dernière tomate. << On a super bien planifié nos achats ! >> fait remarquer Estelle qui fait gonfler du riz complet. Il reste six nems que je réchauffe dans la poêle. Nous n'arrêtons pas de nos caresser. C'est un peu comme une nécessité en pensant à demain matin.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant les options possibles pour notre dernier après-midi en Écosse. Il est finalement décidé de rester à Édimbourg et de flâner dans le centre historique. << On se prend une dernière lampée de l'air de la ville ! >> dit Estelle qui se lève pour débarrasser. Nous ne traînons pas. La vaisselle. C'est avec un soin maniaque que nous enlevons toute trace de notre passage. Nous restons vêtus ainsi. Pressés de filer nous dévalons l'escalier de service. Je roule avec grande prudence pour descendre Morningside Street.

La circulation est dense le vendredi. Je gare l'auto dans la ruelle habituelle. À une quinzaine de minutes du centre. Les filles sont accrochées à mon bras. Nous marchons d'un bon pas. << Curieusement, je ne suis plus du tout tristounette à l'idée de quitter le pays ! >> lance soudain Estelle qui se plaque contre moi. Pour cacher sa main qui palpe ma braguette. << Moi non plus, c'est étrange ! >> s'écrie Clémentine qui attend son tour pour faire pareil. Discrètement, je glisse ma main entre ses cuisses. C'est tellement doux sans les culottes.

Bien des regards se posent encore sur notre trio. Ces deux sublimes jeunes filles dans leurs robes noires qui restent tout contre un homme d'âge mûr. Non, je ne suis pas le papa ! Voilà le Royal Mile et ses animations. Il y a un monde fou. Le soleil est haut dans un ciel quasi sans nuages. La chaleur est raisonnable. Nos ralentissons le pas pour prendre le rythme de la promenade. Nous nous en mettons plein les yeux. Comme si nous voulions emplir nos mémoires d'une nouvelle quantité de souvenirs. Une certaine nostalgie nous gagne malgré tout. Normal.

Chaque prétexte inventé nous permet de nous faire des bises en même temps que nous nous touchons. Il y a des coins et des recoins dans le dédale labyrinthique du vieil Édimbourg. Des endroits qui permettent quelques témérités bien excitantes. Je trouve absolument divin de glisser mes mains sous les robes pour caresser leurs chattes. Passer mon doigt entre les lèvres de leurs vulves moites. Enfoncer la première phalange avant de lisser le soyeux de leurs touffes. Nous manquons de nous faire surprendre plusieurs fois. Cela participe de nos jeux.

Estelle attrape mon poignet pour porter mes doigts sous son nez. Elle hume en disant : << Ça va sentir la fille ! >>. Nous rions de bon cœur. Elle rajoute : << Je veux te sortir la bite quelque part ! >>. Tout en nous promenant nos scrutons avec attention. À l'étage de la grande librairie nous choisissons deux gros albums. Ces photos en noir et blanc tellement plus suggestives que la couleur. Pendant qu'elles feuillettent, Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite, je caresse leurs dos. Je regarde bien derrière nous pour descendre sur les fesses.

<< Tripoteur de fille ! >> murmure Estelle. << Surtout n'arrête pas ! >> chuchote Clémentine. Là, on se fait surprendre par un couple de clients. La femme nous jette un coup d'œil sévère. << @#$%& ! >> fait Estelle en français. Nous avons fait notre choix. Ce seront des albums à offrir. Nous passons en caisse. Il faut se trimballer ces deux gros bouquins. Clémentine propose de les laisser à l'accueil et de les récupérer en fin d'après-midi. Le magasin ferme à 19 h30. C'est parfait. Nous flânons maintenant sur Princess Street et ses belles vitrines.

Dans le parc qui jouxte la National Gallery of Scotland nous montons l'allée principale. Un vaste espace de verdure. Dans le feuillage des arbres se devinent déjà les teintes de l'automne. La résultante des grosses chaleurs de l'été. Les feuilles qui jonchent le sol annoncent des chutes précoces. Estelle nous entraîne dans les bosquets. Ils sont nombreux et permettent à nos libidos de s'exprimer plus facilement. Je touche mes deux anges. Avec toute la vulgarité dont elles raffolent. J'enfonce mes doigts. Elles restent accrochées à moi pour l'équilibre.

Je reste vigilant. Il y a toujours des promeneurs plus "explorateurs" que d'autres. Quand c'est un quidam solitaire, Clémentine retient mon poignet afin que je ne retire pas ma main. Par contre Estelle se dégage rapidement. Terriblement gênée à chaque fois que nous sommes surpris. Et nous le sommes à plusieurs reprises. Il y a même des types très "gonflés qui repassent plusieurs fois. << Regarde l'enfoiré là-bas, ça fait son troisième passage ! >> murmure Estelle. Clémentine qui adore être vue dans ces situations adresse alors un sourire au voyeur.

Nous nous amusons beaucoup. C'est hyper excitant. Je relève les deux défis que m'impose Estelle. Rester bite à l'air dans les fourrés plus de cinq minutes. Elle prend des photos à travers les branchages en disant : << Génial ! Ça fait vieux pervers dans les broussailles ! >>. Le second défi consiste à me masturber entre le socle d'une statue et la palissade qui sépare le parc de l'espace privé du musée. Là, c'est très risqué. Je dois me tourner plusieurs fois pour échapper à quelques regards scrutateurs. Surtout que mes deux anges observent par là.

<< J'adore quand tu fais le pervers ! >> lance Clémentine qui me saute au cou lorsque je sors de ma cachette. Estelle me montre ce qu'elle a filmé. On voit une silhouette dans les branchages. On devine plus où moins ce que fait le type. << Tu es parfait dans ce rôle. Ça me donne une idée pour notre prochain film ! >> dit elle en palpant discrètement l'énorme bosse qui déforme mon short. Nous rions de bon cœur. Il est 18 h30. Il faut aller récupérer les deux bouquins avant de retourner à la voiture. Excités par nos jeux, nous avons tendance à déconner.

Heureusement que Clémentine, dans les moments les plus critiques, sait garder un total contrôle de la situation. Estelle est beaucoup plus impulsive. Je dois même la gronder quand elle tente de glisse sa main dans ma braguette ouverte, dissimulé par mon T-shirt. Nous voilà dans l'auto. Il est entendu que pour le retour, la moitié du chemin c'est Estelle qui sera assise devant. Elle n'arrête pas de me sucer alors que je roule doucement. Au bas de Morningside Street, je gare la bagnole pour permettre à Clémentine de prendre sa place, siège passager.

Je me fais tailler une superbe pipe. Il faut cesser. Nous restons stationnés à deux pâtés de maison de celle d'oncle Alan. Il est 19 h15. Nous sommes attendus pour 19 h45. Mes deux anges sont toutes les deux à l'avant. Estelle assise au sol entre les jambes de Clémentine. Elles se refilent ma bite en me montrant l'intérieur de leurs bouches. Cette vision est terriblement excitante. C'est tout le jus qu'elles tirent de mes couilles en ébullition. Il y a une dame qui promène son chien. Clémentine reste à sucer alors qu'Estelle tente de cacher ce qui se passe.

Rien n'est plus gênant. Surtout que la dame repasse une seconde fois. << Tu viens te rincer l'œil vieille salope ? >> lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus. La promeneuse de chien ne peut que se faire une vague idée de ce qui se passe dans cette grosse berline allemande. Dans le rétroviseur je constate qu'elle s'apprête à repasser. Je démarre. Estelle et Clémentine, pliées de rire agitent leurs mains par la fenêtre. Cinq cent mètres plus loin, j'entre dans la propriété. La voiture de tante Margaret et de Jack est garée devant la demeure.

Nous sommes tellement contents de nous revoir. Ce sera le dernier repas de famille avant Noël. Ce sont des personnes âgées. Des octogénaires. Il est donc très important de leurs consacrer du temps. Un temps précieux qui leurs est compté. C'est dans une ambiance de fête que nous prenons ce repas du soir. Les filles sont évidement le pôle de toutes les attentions. De la jeunesse. Quoi de plus agréable pour des séniors. Nous traînons longuement à table. Un repas préparé par un traiteur. Des saveurs inattendues avec des fruits de mer si délicats.

Bonne fin de soirées à toutes les coquines qui vont se faire dégorger la moule sous les draps. Gouter de la queue juteuse avant un bon dodo...

Julien



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C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1997 -



Le jour du départ

Hier matin, samedi, il est sept heures quand Clémentine passe sa main entre mes cuisses. Remontant lentement elle me tire de mon sommeil en saisissant ma tumescence naissante. Qu'il est bon de se faire réveiller ainsi. Surtout qu'elle se frotte doucement contre ma cuisse. Tout cela réveille Estelle qui se blottit encore plus fort. Son premier réflexe est de vouloir saisir son "doudou". Comme il est déjà la possession de Clémentine elle empoigne mes couilles en collant ses lèvres dans mon cou. Je suis entre mes deux anges. Paradisiaque.

Nous restons ainsi à observer la luminosité augmenter graduellement. Le jour se lève. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine et moi retirons les draps du lit pour les plier soigneusement, les passer dans un grand sachet. Ils seront lavés au retour. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous avons préparé nos valises et nos bagages hier matin. Nous nous en félicitons car c'est encore avec la tête dans le cul que nous prenons le petit déjeuner. << Je ne suis pas vraiment triste cette fois. C'est étrange ! >> lance Estelle.

<< Moi un peu quand même. De quitter l'Écosse ça me fait triste au cœur ! >> dit Clémentine. Nous mangeons de bon appétit. J'écoute les filles échanger leurs impressions. La vaisselle. Estelle prend sa douche pendant que nous descendons les bagages. Toujours cette impression d'en ramener davantage au retour. Tout est dans le grand coffre de la Mercedes. Le plein d'essence est fait. Tout baigne. Nous remontons pour prendre la douche. Estelle passe encore une fois l'éponge à la cuisine. Nous laissons en partant un endroit aussi propre qu'en arrivant.

Le jour est levé sur un ciel encombré de quelques nuages blancs. Les séquences ensoleillées participent de cette saveur élégiaque d'un départ imminent. Un dernier tour dans l'appartement. Nous n'oublions rien. Estelle et Clémentine portent une jupe courte, s'évasant à mi-cuisses. Un T-shirt. Je suis en bermuda et chemisette. Nous dévalons l'escalier de service pour frapper à la porte. C'est Amy qui vient nous ouvrir. Oncle Alan la rejoint. Sourires. Je tends discrètement une enveloppe à Amy. Une participation qui n'est pas demandée mais que je tiens à honorer.

Ils sont un peu tristes tous les deux. Notre présence depuis début juillet apportait un peu de vie à leurs solitudes. Tante Margaret et Jack arrivent à leurs tours. Ils ont passé la nuit ici et resteront jusqu'à demain. Ce sont des effusions de tendresse avec ces personnes âgées. Estelle et Clémentine leurs ont apporté de la jeunesse. Elles sont donc couvertes de bises, de mots d'encouragements pour l'année universitaire à venir. Je m'installe au volant. Clémentine sur le siège passager. Estelle assise à l'arrière. Dans le petit sac à dos des fruits.

Je démarre. J'ai un petit pincement au cœur. Quand on quitte des êtres chers, âgés, il y a toujours ce sentiment diffus que c'est peut-être la dernière fois qu'on les voit. Un dernier coucou avec nos bras qui s'agitent hors de la voiture. Je monte doucement entre les arbres centenaires jusqu'aux hautes grilles du portail. Nous les regardons une dernière fois. Tous les quatre sur le perron circulaire à nous faire des signes d'adieu. << J'adore ta famille Julien. On est reçues comme si on étaient leurs filles ! >> s'écrie Estelle en retenant un sanglot.

C'est parti. Nous descendons Morningside Street jusqu'à Leith. Il n'est que neuf heures mais la circulation est déjà dense. C'est samedi. Il faut prendre le périphérique en direction du château. Nous l'apercevons sur son volcan éteint. << Au revoir Édimbourg ! Merci pour ton accueil ! >> fait Estelle en posant ses main dans mon cou. Nous quittons la ville. Nous préférons longer la mer en direction de Burnmouth, frontière symbolique entre l'Écosse et l'Angleterre. Environs 80 km. Nous avons toute la journée pour arriver à Great Yarmouth. 580 km.

Estelle, confortablement installée à l'arrière consulte la carte routière. Une carte bien inutile parce que non seulement je connais la route par cœur depuis près de 30 ans mais parce que le GPS de bord fonctionne à la perfection. Quand je regarde dans le rétroviseur c'est pour la voir, cuisses largement écartées, évidemment sans culotte à me montrer son sexe. << Je ne vous perturbe pas trop monsieur ? >> lance t-elle espiègle en levant les yeux pour me fixer par en-dessous. Clémentine observe dans son miroir de courtoisie en rabaissant le pare soleil.

Je passe ma main droite sous la jupe de Clémentine. Elle joue avec ma queue. Il faut rouler à gauche dans mon pays. Avec un véhicule dont le volant est également à gauche, il y a donc quantité d'angles morts. Ce qui exige tout de même une conduite prudente. Nous arrivons à Burnmouth. << Au revoir l'Écosse ! Merci pour ton accueil ! >> s'écrie Estelle en passant la tête par sa fenêtre. La voilà toute décoiffée. Elle se peigne et fixe ses cheveux avec un "chouchou". Nous rions de bon cœur en la découvrant toute ébouriffée. Voilà Berwick-upon-Tweed.

Première ville en arrivant en Angleterre. Il est toujours convenu de nous arrêter dix minutes tous les cent kilomètres. C'est donc le premier arrêt pipi en quittant la national. Je m'engage dans une route étroite qui part sur la droite. Quelques centaines de mètres. La route mène à un haras. Ce qui nous fait immédiatement penser à Juliette. Il y a des jeunes filles sur de magnifiques chevaux. Des barrières blanches qui délimitent les enclos. Il y a des fourrés. C'est parfait. On ne pisse pas n'importe où en Grande Bretagne. Cela n'est pas dans les mœurs.

Aussi, une des jeunes femmes qui nous voient nous garer le long de la clôture, nous invite à entrer dans la propriété. << Hello. Come, there is a bar ! >> lance t-elle. Il y a en effet une buvette. << Excellent ! >> dit Estelle qui me prend par la main pour m'entraîner aux toilettes extérieures. Sous les regards de quelques jeunes filles plutôt amusées sur leurs montures. Des toilettes hyper propres. Nous pouvons y passer une dizaine de minutes à procéder à nos rituels pisseux. Nous rejoignons Clémentine en pleine conversation avec un monsieur.

Nous prenons un café serré. C'est au tour de Clémentine de m'entraîner par la main. Ces toilettes sont plutôt sympathiques, ultra modernes et confortables. Le regard de certaines jeunes filles reste médusé. Cet homme d'âge mûr qu'entraînent par la main des jeune filles de leurs âges n'est pas sans les interpeler. << Tu as vu la brune ? Elle en crève d'envie de venir mâter ! >> me dit Clémentine en tenant ma bite pour en diriger les jets. Accroupie, récupérant les derniers reliquats, Clémentine se redresse. En s'essuyant la bouche elle dit : << Plan ! >>

<< On se trouve un plan. Tu montres ta bite à celle qui mâte aussi effrontément ! >> propose Clémentine. Je trouve l'idée saugrenue. Je ne désire pas avoir le moindre problème. Nous rejoignons Estelle qui bavarde avec le même bonhomme. Un type jovial, costaud. Il n'est autre que le papa de la directrice du haras. Il est temps de repartir. Nous quittons le bord de mer pour entrer dans les terres. Direction Newcastle-upon-Tyne. Grande ville où nous arrivons vers 11 h45. On peut contourner par le périphérique. C'est très bien indiqué par le GPS de bord.

Il commence à faire faim. Estelle nous donne à chacun une nectarine. Clémentine retire le noyau de la mienne. Un nouvel arrêt car nous venons tout de même de parcourir 220 km. Ça fait du bien de se dégourdir les jambes. Plyth est un petit village à une dizaine de miles. C'est là que nous avisons un petit restaurant sympa. Chance. Il y a des tables libres. Des pavés de saumons accompagnés de pommes de terre rissolées. Une belle salade de crudités comprenant carottes, concombre et tomates agrémente ce repas simple mais ô combien gouteux.

Nous traînons à table. Attirant quelques regards intrigués. Non, je ne suis pas le papa de ces deux sublimes jeunes filles qui posent leurs mains sur les miennes à plusieurs reprises. Ce sont le plus souvent les femmes qui nous regardent ainsi, s'interrogeant sur la nature de nos relations. Cela nous amuse beaucoup. Surtout quand mes deux anges précisent bien les choses en me faisant des bises. C'est Estelle qui m'entraîne la première aux toilettes hommes. Là, enfermés dans un des deux cabinets, nous nous livrons à nos déviances avec bonheur.

C'est amusant de pénétrer Estelle par derrière alors qu'elle reste penchée, en appui sur ses mains contre le mur. C'est encore plus drôle quand on entend des mecs venir pisser. Certains causent tous seuls. Il faut se pincer les lèvres pour ne pas rire. Quelques contorsions pour lécher le minou de ma coquine. Elle suce quelques instants. Nous nous réajustons pour nous laver les mains avant de rejoindre Clémentine. Deux minutes et c'est elle qui m'entraîne. Cette seconde visite engendre toujours de curieuses réactions chez les curieux pas très discrets.

Surtout chez certains messieurs dont le regard étonné devient rapidement libidineux. Mêmes activités avec Clémentine qui préfère toujours se faire lécher et me sucer. Avec elle c'est un peu plus difficile de cesser. Elle me pompe avec tant de passion. Nous rejoignons Estelle. Le dessert arrive. Le garçon lui aussi nous lance de drôles de regards. En savourant nos coupes glacées je murmure : << C'est laquelle qui se dévoue pour soulager ce pauvre garçon ? Regardez, il n'a de cesse de nous observer en cachette ! >>. Les filles mâtent discrètement.

<< Beau gosse ! >> fait Estelle. À ces mots, sans répondre, Clémentine se lève. Elle se dirige seule vers les WC. Elle se retourne devant la porte pour faire le plus adorable des sourires au jeune serveur. Il semble perdu. Il nous regarde. Il regarde la porte des toilettes. Estelle et moi nous faisons mine de pas nous en rendre compte. Une minute se passe. Le garçon apporte leurs desserts à des clients. Il en profite pour entrer à son tour dans les WC. << J'aimerai être une petite souris pour voir ce qui se passe dans ces chiottes ! >> fait Estelle. Un bisou.

Personne ne prête plus attention à nous. Des clients arrivent, d'autres s'apprêtent à s'en aller. Ça fait bien dix minutes que le serveur et Clémentine sont dans ces toilettes. << Elle suce, j'en suis certaine ! L'occasion est trop belle ! >> murmure Estelle à l'instant précis où le garçon sort des WC. L'autre serveuse lui indique une table. Des clients attendent l'addition. Clémentine vient nous rejoindre les yeux pétillants de vice. << Alors ? >> demande Estelle. << Une petite pipe en dessert ! >> répond Clémentine qui nous raconte son aventure.

<< Il savait que je l'attendais. J'étais entre les deux urinoirs, accroupie quand il est entré. J'ai ouvert grand la bouche. Il a compris immédiatement. Je me suis redressée. Il a ouvert la porte du local réservé au personnel. Il a voulu me rouler une pelle. Maladroit et très gauche. Je me suis accroupie pour ouvrir sa braguette. Il s'est appuyé contre le lavabo. Je lui ai taillé une pipe. Même pas cinq minutes et il m'éjaculait dans la bouche. Son sperme a un gout écœurant. Beurk. Amer ! >> confie Clémentine avec un luxe de détails qui nous excitent.

Pour faire passer le gout Clémentine demande un petit gâteau avec le café. C'est comme s'il était terriblement gêné mais le jeune serveur ne regarde plus vers notre table. Il envoie même la jeune serveuse nous emmener l'addition. Nous quittons, il est presque 14 h15. Je vais vers le comptoir pour laisser un billet de 5 £ au jeune garçon qui ne sait pas que je sais. Juste avant de sortir, Clémentine lui fait un clin d'œil en levant les pouces de ses deux mains. Le pauvre garçon est soudain tout rouge, baisse les yeux et va se cacher dans les probables cuisines.

Nous rions aux éclats. Je démarre. Clémentine sort mon sexe en posant sa tête sur mon épaule. Elle demande : << Tu n'es pas fâché ? >>. Je réponds : << Non, par contre je suis frustré ! J'aurais adoré être planqué pour te voir faire ! >>. Elle se penche en disant : << J'ai fait comme ça ! >>. En prenant ma queue en bouche. Je bande mou. Ça m'écœure toujours un peu quand Clémentine vient de tailler une pipe à un autre et qu'elle a des élans amoureux envers moi. Un sentiment inexplicable qui dure un petit moment avant de s'estomper. Étrange.

Estelle me caresse le cou en me chuchotant des cochonneries. Je saisis Clémentine par ses cheveux pour la forcer à se redresser en disant : << Il me faut une équipière copilote vigilante et efficace ! >>. Clémentine éclate de rire. << Je peux passer devant ? >> lance Estelle qui aimerait bien prendre le relai. << Au prochain arrêt ! >> fait Clémentine qui joue avec ma queue. Je vois le regard plein d'appétit d'Estelle dans le rétroviseur. Elle se vautre sur le siège arrière. Écarte ses cuisses pour se masturber doucement. En commentant ses sensations.

Clémentine aussi se masturbe lorsque je retire ma main d'entre ses cuisses. La circulation se densifie encore. Obligeant à une attention soutenue. Voilà Darlington, York, la banlieue de Leeds dont on voit les hautes cheminées industrielles dans le lointain. Il est 17 h. Nous avons parcouru plus de quatre cent kilomètres. Ça roule un peu moins bien que prévu. C'est samedi. Un arrêt pipi dans une station service au bord de la route. Pas très propres les toilettes. Nous enfilons donc nos gants mappa avant d'y entrer. Tous les trois dans un étroit cabinet.

Il y a une supérette. Nous nous offrons des bâtonnets de glace à la pistache. Clémentine suce en me regardant par en-dessous. Son regard terriblement suggestif. Je dépose une bise sur son front. Il faut y aller. Doncaster, Norwich et enfin Great Yarmouth. C'est Clémentine qui a organisé le retour. C'est elle qui a réservé une nuit dans ce somptueux hôtel. Il est 19 h quand nous arrivons au Barons Court. C'est juste devant la mer. Une de ces jetées qui avance de quelques centaines de mètres dans la mer sur des pilotis. Au bout certainement un casino.

Nous sommes fourbus. Une table nous est réservée. C'est un établissement de grand luxe. Notre "chambre" n'est plutôt qu'un vaste loft aménagé avec goût. Décoration très victorienne et classique. Notre fenêtre donne sur la mer. Nous sommes au dernier étage. Debout sur le balcon, balayé par une brise du large, nous apprécions la vue. Et surtout d'êtres arrivés. Morts de faim, nous descendons par le vaste escalier en colimaçon des deux côtés d'une salle aussi vaste qu'une petite église. Des lustres, des boiseries, tout ici est féérique. Superbe !

Je remercie Clémentine pour ses choix. Nous attirons évidemment encore bien des regards dans le restaurant. Un gigantesque plateau de fruits de mer vient parfaire ce moment de retour au calme. Nous mangeons de bon appétit. Nous bâillons à nous en décrocher la mâchoire. Après le repas je suggère d'aller faire un tour sur la jetée, jusqu'au casino. La nuit est fraîche au bord de la mer. Il faut mettre les blousons. Nous portons nos jeans, nos sweats et nos baskets. Nous nous sommes douchés et changés dès notre arrivée à l'hôtel. C'est très agréable.

Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par le bras. Nous nous amusons des regards qui se posent sur nous. On ne les voit même plus. Estelle, lorsqu'elle veut donner libre cours à ses pulsions, se serre dans mes bras pour palper ma braguette. << Ce soir, au lit, je te la vide ! >> murmure t-elle. << Tu ne m'en laisses pas un peu ? >> chuchote Clémentine. Nous rions en circulant entre les machines à sous, les flippers et les tables à Black Jack ou à roulettes. Il y a une clientèle assez hétéroclite. Nous sommes loin des clichés hollywoodiens.

Bien évidemment, nous détestons les jeux d'argent. Je me félicite une fois encore d'avoir un hérisson dans la poche. Lorsque j'y glisse la main pour quelques égarements inutiles, il me pique cruellement. Il est 22 h. Nous regagnons notre chambre, épuisés, fourbus. Nous nous faisons réveiller demain matin pour huit heures. Petit déjeuner dans la chambre. Deux cent cinquante autres kilomètres nous attendent jusqu'à Folkestone où nous prendrons le ferry qui nous ramènera à Boulogne. Sous les draps, quelques papouilles. Nous plongeons de suite.

Bonne nuit à toutes les coquines qui s'endorment profondément après une journée pleine de délicieuses coquineries...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1998 -



De retour à la maison en soirée

Hier matin, dimanche, il est huit heures quand sonne le téléphone. C'est une agréable petite musique qu'offre l'appareil mural, inaccessible depuis le lit. Ce qui oblige l'un d'entre nous à se lever. C'est Estelle qui d'un bond se précipite en s'écriant : << Pipi ! >>. Au moment où elle veut décrocher le combiné, tout s'arrête. Encore dans un demi sommeil, sous l'effet de la surprise, nous rions aux éclats. Formule originale pour se faire réveiller par le personnel comme convenu. C'est à notre tour d'aller aux toilettes alors qu'une autre musique se fait entendre.

C'est Estelle qui reçoit le groom venant nous apporter notre petit déjeuner. Quand nous la rejoignons elle pousse le chariot comme un caddie dans toute la vaste chambre. << Le petit déjeuner est servi ! >> fait elle en roulant des hanches et en prenant un air pincé. Nous éclatons de rires. Le pain grillé est encore chaud. Il se beurre facilement. Le café fumant est absolument délicieux. Miel et confitures à volonté. Il faut recommander le Barons Court et la qualité du service proposé. Nous mangeons de bon appétit en évaluant le timing de notre journée.

Nous devons êtres à Folkestone pour 12 h30. Notre Ferry nous y attend pour arriver à Boulogne à 14 h. Ensuite il restera 500 bornes. << On a mal choisi notre coup. Partir le week-end va nous ralentir ! >> lance Estelle. Nous envisageons d'être de retour à la maison pour 21 h. Nous ne traînons pas. Ce petit déjeuner véritablement copieux nous a repu. Une rapide douche à trois. Nous voilà vêtus comme hier. Jupettes et T-shirts pour mes deux anges. Short et T-shirt pour moi. Nous déposons la clef à la réception et récupérons notre voiture. 8 h45.

C'est parti. Ça roule plutôt bien. Il y a 250 kilomètres par l'autoroute. Arrêt d'une dizaine de minutes toutes les cent bornes. Il est midi lorsque nous arrivons à Folkestone. L'embarcadère où il faut se mettre en file pour entrer dans les flancs de l'énorme bateau. Deux employés nous guident et fixent la voiture avec des sangles entre des cales Nous sommes morts de faim. Nous avons prévu des fruits. Il y a un restaurant sur le ferry. Il tient davantage de la cafétéria que de l'établissement gastronomique. Sont proposés des plats assez merdiques.

Il faut se servir sur de grands plateaux et passer en caisse. Nous avons choisi des crudités, des friands au saumon et des nouilles. Assis à une table devant une immense baie vitrée, nous regardons la mer calme qui nous entoure sous un ciel nuageux. Nous mangeons de bon appétit même si ce repas est qualifié d'infâme par Clémentine. < Ça nous calera jusqu'à ce soir ! >> lance Estelle. C'est vraiment l'ambiance d'une cafétéria. Plein de gens autour de nous aux tables voisines. Nous ne sommes plus habitués à entendre parler français. Ça fait drôle.

Nous n'avons d'autres choix que de traîner à table. Le dessert est aussi médiocre que le reste. Des tranches de tarte à la mirabelle. << Immonde ! >> fait Clémentine. << Mangeons! Ça fait du bien pour ce que nous avons ! >> dit Estelle. Nous rions de bon cœur. Il est 13 h45. Nous quittons pour une promenade circulaire sur le pont du bateau. Le vent du large. Là-bas, au loin, les côtes françaises. Le ciel est couvert de nuages lourds. Mais il n'y a aucune réelle menace. Nous avons encore gardé le réflexe de nous exprimer uniquement en anglais.

Aussi on doit nous prendre pour des Anglais. Il y en a toutefois un bon tiers parmi les passagers. Je reconnais les accents londoniens, du Pays de Galles ou encore celui très caractéristique des environs de Sheffield. Il est 13 h30 quand nous débarquons en roulant au pas. Il faut passer la douane française. Contrôle de routine et rapide. C'est parti. Ça roule très bien. Je prends l'autoroute. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière Estelle me caresse le cou en revenant sur notre après-midi de hier. La pipe qu'a fait Clémentine au jeune serveur.

<< Je me suis sucé deux inconnus cet été ! >> lance Clémentine en me décalottant très légèrement. Je dis : << Félicitation mademoiselle ! Dommage que je n'ai pas assisté à celle de hier dans les chiottes du restaurant ! >>. Estelle rajoute : << C'est vrai, on aurait bien mâté ! >>. Nous rions de bon cœur. Premier arrêt pipi après Abbeville. Entre deux poids lourds garés sur le parking d'une supérette et station essence. Nous restons vigilants. << Un camionneur bien vicelard, tu n'as pas à ton palmarès ! >> fait Estelle. Clémentine se met à rire.

Elle répond : << Si, rappelle-toi le soir où on est rentrées de la piscine. On était en terminale au lycée ! >>. Estelle s'écrie : << Mais tu ne l'as pas sucé, il t'a juste montré sa bite ! >>. J'écoute avec attention cette histoire que je connais très bien pour l'avoir entendu plusieurs fois. Mais c'est toujours palpitant et très excitant. << J'aime quand nos histoires te font bander ! >> me fait Clémentine lorsqu'elle me tient la bite pour en diriger les jets contre le muret. Pisser en bandant impose un jet plus fin, plus long dans mon fonctionnement physiologique.

Personne ne nous surprend. Je profite de l'endroit pour faire le plein d'essence. C'est reparti. Je bande mou. J'écoute les filles raconter leurs souvenirs d'adolescentes délurées. Deux jeunes vicieuses qui faisaient les quatre cent coups. Parfois, quand mon érection est à son apogée, Clémentine me masturbe doucement avant de se pencher sur sa gauche pour sucer. << Je veux passer devant. J'en veux aussi ! >> s'écrie à plusieurs reprises Estelle. Je dois rester concentré sur la route car en France on roule à droite. Ce qui change les réflexes du conducteur.

Rouen, Évreux, Alençon, autant de ville que nous laissons derrière nous. Les arrêts pipis sont autant de prétextes pour nous offrir des instants très excitants. J'aime lécher les minous après les pissous. Surtout qu'avec nos conversations, les filles sont très excitées. Je me régale donc de "mélanges" savoureux. Tout comme elles qui savourent les miens. C'est relaxant de s'arrêter quelques minutes tous les cent kilomètres. Cela permet surtout de garder intactes les capacités à rouler en limitant les risques liés à la fatigue. Clémentine prend le volant.

Elle n'aime pas trop rouler. Surtout dans le "porte-avion". C'est ainsi qu'elle nomme la Mercedes. C'est une Classe S. C'est vrai qu'elle est imposante. Moi aussi pendant qu'elle conduit je passe ma main entre ses cuisses. Les filles ont une capacité bien supérieure à garder un contrôle total. Même lorsque je tiens son clitoris géant entre le pouce et l'index elle n'a qu'un très léger spasme. À peine perceptible. Par contre, à l'arrêt pipi, elle se rattrape en se masturbant sur mon doigt. C'est au tour d'Estelle de conduire le "Tank" comme elle l'appelle.

Avec Estelle interdiction de la tripoter. << Où je casse ta bagnole ! >> prévient elle. Je me contente de jouer avec ses cheveux, à passer ma main dans son cou, sa nuque. Clémentine, vautrée à l'arrière, les cuisses largement écartées, se masturbe en commentant le paysage. Je me retourne souvent pour l'admirer. Entre les deux sièges je passe ma main, index pointé, pour l'enfoncer dans sa vulve palpitante. << Mmmhhh, c'est bon ça ! >> gémit elle en se tortillant. Elle saisit à chaque fois mon poignet pour que surtout je ne cesse pas mon intrusion.

Au nouvel arrêt pipi, Estelle me roule une pelle d'enfer. << Je veux m'assoir devant pour les cent derniers kilomètres ! >> s'écrie t-elle. << C'est pour sucer ? >> demande Clémentine qui s'accroupit pour savourer la dernière giclée. << Oui ! >> répond Estelle qui s'accroupit à son tour pour en avoir un peu aussi. Mes deux anges se refilent ma queue trempée. Il est 19 h30. Nous avons superbement bien roulé. Je conduis à nouveau. Estelle, assise sur le siège passager, joue avec mon sexe. Clémentine, installée à l'arrière a repris sa masturbation.

À chaque fois qu'Estelle se penche sur la gauche pour me tailler une pipe, Clémentine cesse, se redresse, sa bouche près de mon oreille, tout en observant, elle chuchote : << Tu as une préférence entre tes deux suceuses ? >>. Je ris aux éclats. Estelle suce passionnément. Elle cesse toutes les deux trois minutes pour laisser reposer sa mâchoire, se redresser en disant : << Ce n'est pas très confortable de sucer dans la bagnole. Au bout d'une heure on a mal aux reins et dans tout le bas du dos ! >>. Je passe ma main droite dans son dos. Énergiquement.

Il est presque 21 h quand nous arrivons devant le portail. Il fait nuit noire. Pas une goutte de pluie malgré un ciel devenu menaçant. Clémentine sort la zappette en disant : << Pourvu que les piles ne soient pas mortes ! >>. Le portail s'ouvre. Je descends doucement. Mes deux anges se mettent à chanter << Home sweet home ! >>. Nous sommes fatigués. Pourtant, nous sortons toutes nos affaires du coffre. << On en a toujours davantage en revenant qu'en partant ! >> lance Estelle. << C'est bien aussi d'être de retour ! >> s'écrie Clémentine.

L'odeur de magnolia indique que Julie est venue ici aujourd'hui. Et il n'y a pas plus d'une heure ou deux. Quelle attention charmante de la part de cette adorable jeune fille. << Je suis pressée de la revoir ! >> lance Clémentine. << Tu vires ta cuti ? >> s'exclame Estelle. << Peut-être ! >> répond Clémentine en faisant un clin d'œil. Nous mettons les pommes de terre précuites dans un four. Recouvertes de tranches de fromages ramené d'Édimbourg. Une sorte de gruyère assez fade. Au four. Ce sera notre repas du soir. Nous ressentons l'intense fatigue.

Nous montons nos bagages. Ceux d'Estelle restent dans l'auto. Demain, en matinée, nous la ramènerons chez ses parents. Il est important qu'Estelle leurs consacre quelques journées. Michèle et Yvan ont tant apprécié de passer une semaine avec leur fille en Écosse. Estelle également. << On défait les valises demain. Ce sera une occupation ! >> lance Clémentine. Estelle nous entraîne dans une ronde en sautillant. Elle improvise des paroles sur un air de comptine. C'est vrai que c'est très agréable de nous retrouver à la maison. Superbe !

Nous dévalons les escaliers pour mettre les assiettes et les couverts sur la table de la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Quand nous posons nos fourchettes c'est pour bâiller à nous en décrocher les mâchoires. La vaisselle. Un peu comme des robots nous remontons pour nous laver les dents. La dernière énergie à faire les clowns devant le miroir de la salle de bain. Sous les draps, j'offre un cunnilingus à Estelle pendant que Clémentine me suce. Lorsque j'alterne avec Clémentine, nous entendons les premiers ronflements d'Estelle qui s'est endormie.

Je cesse de sucer le clitoris géant de Clémentine qui m'attire contre elle. << Regarde ! >> murmure t-elle. Nous observons Estelle, couchée sur le dos, une expression bienheureuse sur son visage d'ange. Bouche légèrement ouverte, elle émet un doux ronronnement. Nous rions en silence. J'ai mon doigt enfoncé dans Clémentine qui tient mon sexe redevenu mou. Le cœur ni est plus. L'énergie non plus. Serrés fort l'un contre l'autre, nous plongeons à notre tour dans un profond sommeil. Estelle vient se blottir tout aussi fort tout en dormant profondément.

Bonne nuit à toutes les coquines qui ont besoin d'un bon repos avant de repartir pour de nouvelles aventures...

Julien



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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1999 -



Nous retrouvons tous nos repères

Hier matin, lundi, il est presque neuf heures quand nous nous réveillons tous les trois quasiment en même temps. Estelle à ma droite qui est restée serrée contre moi toute la nuit. Clémentine à ma gauche qui vient se blottir. C'est presque étrange de nous retrouver à la maison. Dans notre grande chambre à coucher. Les valises et les bagages encombrent l'espace entre l'armoire et la coiffeuse. Depuis quelques jours c'est Clémentine qui saisit mon érection matinale. Juste avant qu'Estelle ne tente de l'empoigner. Comme un pis allé elle prend les couilles.

Je glisse mes mains dans les culottes. << Attention, je dois faire pipi très fort ! >> lance Estelle en se redressant pour s'éjecter du lit. Clémentine passe une cuisse sous les miennes, pose l'autre sur mon ventre. D'un mouvement régulier elle se frotte contre ma hanche. C'est adorable. << Mmmhhh Julien, comme c'est bon de se réveiller tout près de toi ! >> murmure t-elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous y rejoignons Estelle qui fait le café.

Il reste du pain ramené d'Écosse, un morceau de brioche. Le grille pain éjecte rapidement les quatre premières tranches. Le four à micro ondes rend à la brioche un peu de son fondant. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de ce retour. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, Estelle s'habille comme nous. Pressés d'aller courir nous descendons à toute vitesse. Quelque mouvements dans l'étonnante douceur de ce beau matin.

C'est Estelle qui donne le rythme. Nous allons jusqu'à la rivière pour courir l'un derrière l'autre. Quel immense plaisir de retrouver un de nos circuits préférés. Une heure d'un running parfait et gratifiant. Il est 10 h30 quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux Clémentine allume l'ordinateur du salon. Le courriel de Julie qui nous donne tous les détails quand à la fermeture de la galerie d'Art. C'est effectivement elle qui est passée hier, vers 18 h, pour allumer les diffuseurs d'arômes et ramener les quatre toiles.

Les quatre invendues qu'elle a déposé dans l'atelier. Quelles charmantes attentions. Julie nous propose de venir passer deux jours ici avec nous. De jeudi matin à samedi midi. Elle conclue en précisant que nous aurons plein de choses à nous raconter. Aujourd'hui elle part avec sa maman passer deux jours chez ses grands parents. Estelle vient nous rejoindre dans une de ses robes d'été mauves. Elle virevolte en relevant le tissus. << Pas de culotte ! >> lance t-elle en s'accroupissant. Nous rions de bon cœur quand Clémentine dit : << Copieuse ! >>.

C'est à notre tour de monter dans la salle de bain. Clémentine porte une de ses robes d'été à motifs floraux. Je suis en bermuda et chemisette. La journée s'annonce belle et chaude. Il n'est que onze heures et la température est déjà de 25°. Nous rejoignons Estelle au salon. Elle surfe sur le site de l'université. Pas de nouvelles informations. Estelle se lève pour virevolter à nouveau. En s'accroupissant elle lance : << Culotte ! >>. Nous rigolons comme des bossus. << C'est pour rentrer chez papa et maman ! >> rajoute t-elle en se relevant.

Elle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ses jambes autour de ma taille elle me dépose plein de bisous en mitrailles. << Merci pour ces merveilleuses vacances Julien ! >> dit elle à plusieurs reprises. Clémentine reste contre mon dos, ses main sur ma braguette. Je dépose Estelle sur le bureau où elle reste assise, cuisses largement écartées. Elle dit : << Vous serez sages tous les deux jusqu'à mon retour le week-end prochain, hein ? >>. Nous lui déposons plein de bisous sur le front, les joues. << On te racontera tout ! >> répond Clémentine.

Nous sortons. Nous voilà en voiture. Je roule doucement. Estelle a insisté pour être assise devant. << Exceptionnellement ! >> a rétorqué Clémentine en s'asseyant à l'arrière. C'est surtout pour jouer avec son "doudou" qu'Estelle voulait être devant. Je bande comme le dernier des salauds dans sa main. Elle nous raconte le programme de ces cinq jours dans sa famille. Sa mamie du Vars sera là. Il y aura des balades et des surprises. Estelle va pouvoir cuisiner des petits plats. Improviser comme elle aime à le faire devant les fourneaux. Elle me masturbe.

Il y a trois kilomètres jusqu'au bourg. Voilà le lotissement au bout duquel se trouve l'entreprise et la maison familiale. Je gare l'auto dans la descente du garage. Nous aidons Estelle à sortir sa valise et ses bagages. Le sac avec les cadeaux achetés à Édimbourg. << Venez dire bonjour ! >> dit elle en montant l'escalier de la cave. Nous la suivons. Michèle est toute contente de nous revoir. Elle est vêtue d'un tablier de cuisine, ses longs cheveux noirs attachés en une longue tresse. Une fois encore la maman d'Estelle pourrait passer pour sa sœur aînée.

Yvan est en short et en T-shirt. Il est au téléphone et nous touche les poings de sa main libre. La mamie d'Estelle est une grande dame, mince et plutôt dynamique. Pleine de vie à l'aube de ses 70 ans. Michèle fait les présentations. Nous ne nous attardons pas. Nous saluons tout le monde. Estelle nous raccompagne jusqu'à la voiture. Elle se précipite dans mes bras pour s'écrier : << Je t'aime Julien ! >>. Elle fait pareil avec Clémentine en rajoutant : << Comme vous allez me manquer ! >>. Elle fourre sa langue dans ma bouche pour la fouiller.

Sa main qui palpe ma braguette. Je la prends dans mes bras pour un baiser passionné. Clémentine reste serrée contre mon dos, ses mains autour de ma taille. Il faut cesser car nous entendons des pas dans le garage. Nous arrêtons juste à temps car voilà Michèle. Nous lui adressons un dernier coucou. Je lance : << Vous venez manger à la maison dimanche prochain ? Barbecue s'il fait beau ! >>. Le visage radieux de la maman d'Estelle s'illumine encore davantage lorsqu'elle répond : << Avec plaisir ! >>. Je démarre. Un dernier coucou.

C'est Clémentine qui joue avec ma queue. Nous repassons par le bourg. Je m'arrête devant la boulangerie. Madame Marthe, toute contente de nous revoir, est surprise. << On reprend les livraisons samedi matin ? >> demande t-elle en emballant une énorme miche de pain complet aux noix. Une belle brioche ronde à la pâte d'amande. C'est devenu un rituel. Notre boulangère préférée nous offre deux énormes croissants "chocolatine". Nous la saluons. Direction la ville, le centre commercial à une vingtaine de bornes. Clémentine joue avec mon Zob.

Stimulé par la masturbation d'Estelle mon sexe dégorge déjà de liquide séminal. Du foutre épais et visqueux qui s'écoule pâteusement de la peau fripée de mon prépuce. << Mmmhhh ! >> susurre Clémentine penchée sur sa gauche pour récupérer mes épanchements. De ma main droite libre, je caresse sa nuque en disant : << Juste toi et moi. Jusqu'à jeudi. Je vais te faire sucer tout le temps ! >>. Clémentine cesse de pomper. Elle se redresse pour murmurer : << C'est promis ? Comme j'aime ? >>. Je chuchote : << Comme tu aimes et bien vicelard ! >>.

Je gare l'auto sur le parking de l'hypermarché. Peu de voitures en ce début d'après-midi de lundi. Il est à peine midi quarante cinq. << On regarde les menus de la cafète ? >> propose Clémentine qui retire sa culotte pour la glisser dans la boîte à gants. Nous reviendrons prendre un caddie après le repas. La galerie commerciale est presque déserte. C'est insolite. Nous lisons les grands panneaux de la cafétéria. << Wouah, des friands au crabe avec de la moussaka ! Ça te dit ? >> lance Clémentine serrée contre moi. Je réponds << Tentant ! Viens ! >>.

Nous mangeons de bon appétit dans une cafétéria presque déserte. Nous traînons à table en faisant la liste des courses. Il nous faut surtout des fruits, des légumes pour tenir jusqu'à nos livraisons de samedi. Les coupes de glaces nous frustrent un peu car il n'y a que trois boules. Nous autres capables de manger chacun tout un bac de glace de 900 ml. Nous quittons pour retourner sur le parking. Je nettoie la poignée du chariot avec du gel hydroalcoolique. Nous enfilons nos gants mappa. Précautions maniaques que nous préférons observer avec grand soin.

Je pousse le caddie. Clémentine, la liste de courses à la main, nous entraîne dans les rayons. Des rayons où nous sommes souvent seuls. Je prends alors Clémentine par le bras en disant : << Il faut que je procède à un petit contrôle ! >>. Toute surprise elle se serre contre moi. Discrètement, je peux toucher son sexe au travers du fin tissu de sa robe. << J'adore Julien ! Si tu savais ! >> murmure t-elle en se laissant lascivement glisser dans mes bras. Clémentine regarde les promotions, me montre les différences de prix avant de les poser dans le caddie.

<< C'est une vieille habitude, avant de te connaître. J'étais pauvre ! >> dit elle à chaque fois comme pour justifier ce réflexe. Nous rions de bon cœur. Je dis : << C'est génial quand il n'y a personne. Je peux te toucher sans faire trop attention ! >>. Clémentine se cambre sur ses genoux fléchis, pieds écartés, me tenant le poignet. Au plus grand mépris d'éventuels clients qui pourraient passer. Je murmure des cochonneries à son oreille alors qu'elle lit à haute voix ce qui est écrit sur des étiquettes. Nous prenons plein de fruits. Deux gros melons.

Des légumes au rayon "bio". Des belles pièces au rayon poissonnerie. J'adore tripoter Clémentine en toute discrétion. << Dans la bagnole je te taille une pipe ! >> dit elle alors que nous nous dirigeons vers les caisses. Il y a encore de jeunes étudiantes qui font là leur job d'été. On les différencie à leurs sourires, leurs airs ingénues lorsqu'elle accueille le client. C'est devant l'une de ces ravissantes jeunes filles que je touche vulgairement le sexe de Clémentine. Personne à par la caissière ne peut voir. Elle a un sourire amusé, un peu gênée, elle me regarde.

C'est Clémentine qui palpe ma braguette d'un geste rapide et précis. Elle dit à l'attention de la jeune étudiante : << Excusez-nous, nous sommes impatients d'êtres dans la voiture ! >>. La jeune fille se met à rire timidement en passant chaque article devant le scanner. Carte bleue. Nous flânons encore un peu dans la galerie commerciale. Il est 15 h45. Il y a un peu plus de monde. C'est la rentrée, les gamins sont à l'école. C'est donc étonnement calme. Je n'arrête pas de toucher Clémentine de plus en plus ravie par mes initiatives de véritable vicieux.

<< J'aime quand tu es vicieux. Tu ne l'es jamais assez ! >> me confie t-elle une fois encore. Nous retournons à la voiture. Dans la glacière branchée sur l'allume cigare, nous disposons les produits de la mer, et les nombreux fromages que nous adorons tout particulièrement. Je démarre. Clémentine s'empare immédiatement de ma queue dégoulinante de jute. Penchée sur sa gauche, à peine sortis du parking, elle me suce avec gourmandise. Je n'entends plus que des gargouillis, des << Mmhh ! >> et des bruits bulleux. J'appuie parfois sur sa nuque.

Je lui enfonce davantage de queue. Je murmure : << Chère mademoiselle. Que diriez-vous d'une après-midi "pipe en bagnole" ? >>. Clémentine cesse, se redresse, après avoir déglutit avec peine, elle répond : << Mais quelle merveilleuse idée. Emmenez-moi cher monsieur et remplissez-moi de vos substances ! >>. Je la saisis par ses cheveux pour la forcer à revenir pomper. Mais suis-je réellement obligé de la forcer ? Je roule excessivement lentement sur la petite route communale. Aucune voiture. Je peux faire déguster Clémentine qui s'éclate.

Parfois je me gare le long de la route ou dans la descente d'un chemin creux. Je me comporte alors en véritable vicelard. La fille que j'aime apprécie tellement que la symbiose de nos mouvements est parfaite. J'éjacule une première fois. En sournois, sans bouger, sans prévenir. Clémentine s'enfourne toute la queue pour déguster la purée que je lui balance. Trois saccades qui manquent de l'étouffer. Je la tiens par la nuque en disant : << Offre-moi le bonheur de tailler une pipe à notre voisin ce soir ou demain ! S'il te plaît, je reste caché pour voir ! >>.

Je lâche Clémentine qui repart déjà pour un second tour. Elle se redresse pour m'avouer : << Si tu savais comme j'en ai envie. J'ai pensé à sa petite queue dégueu et juteuse de nombreuses fois en Écosse ! >>. Avant de me laisser répondre elle se remet à sucer passionnément. Je démarre. Notre "virée pipe" dure jusqu'aux environs de 18 h. Je garde ma seconde éjaculation pour ce soir. Je vais baiser Clémentine comme elle le mérite après le repas. << Tu es trop génial ! Je t'aime comme une folle. Merci de m'autoriser à sucer Louis ! >> dit elle.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont êtres traitées comme elles aiment. La chatte léchée et dégoulinante. Du foutre partout...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2000 -



Comme c'est agréable d'êtres juste nous deux

Hier matin, mardi, il est aux environs de neuf heures quand nous nous réveillons. Quasiment en même temps. Clémentine, dans mes bras, sa tête dans mon cou, saisit ma tumescence. << Bonjour mon amour ! >> murmure t-elle en se frottant contre ma cuisse. Hier soi, avant de nous endormir, nous avons fait l'amour. << C'était comme une des premières fois ! >> rajoute t-elle. Il est rare que nous dormions si tard. Mais c'est probablement encore à cause du voyage de retour. Pressés par le besoin naturel et impérieux, nous nous précipitons aux WC.

Morts de faim, habillés de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle les kiwis. Le grille pain éjecte ses quatre tranches. Clémentine coupe deux belles parts de la brioche achetée hier. Nous prenons un copieux petits déjeuner en faisant le vague bilan de ces vacances passées. Nous retournons en Écosse pour les vacances de Noël et de Nouvel An. Clémentine fait déjà de nouveaux projets de découvertes. J'écoute amusé l'inventaire de ses choix.

Nous mangeons de bon appétit en évaluant cette journée d'improvisation totale qui nous tend les bras. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine fait quelques suggestions. La météo ne permettra certainement pas de partir à bicyclettes. Par contre nous pouvons aller faire un tour dans la petite cité de caractère. Découvrir l'état de la galerie d'Art telle que l'a laissé Julie. Je trouve l'idée excellente. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Pressés d'aller courir nous redescendons à toute vitesse.

La température extérieure est de 20°. Quelques mouvements d'échauffement sous un ciel nuageux. Rien de menaçant mais un véritable contraste avec les jours précédents. C'est un peu sinistre. Nous privilégions le parcours qui longe la rivière. Une heure d'un agréable running. Nous revenons pour prendre une bonne douche. Clémentine porte une de ses robes d'été, mauve à motifs floraux. Je suis en short et T-shirt. Assise sur mes genoux elle allume l'ordinateur. Un message de Juliette qui nous raconte la reprise de son activité de directrice.

Ses employés sont également revenus de vacances. Valentine et James, les deux palefreniers préparent la saison d'automne. Le haras connait toutefois encore une période calme. Nous répondons en joignant un selfie pris à l'instant. Clémentine m'entraîne par la main pour retourner dehors. De lourds nuages sombres planent sur l'horizon. Nul doute qu'ils arriveront d'ici une ou deux heures. Nous descendons jusqu'à la rivière. Les canards, les poules d'eau et les colverts semblent heureux de virevolter sur l'eau. Il y a les deux cygnes plus loin.

Clémentine glisse sa main dans mon short par le haut. << On récidive aujourd'hui ? J'ai envie de plein de choses ! >> me dit elle avant de se coller à moi. De frotter son sexe contre le mien. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Nos langues s'entremêlent dans des ébats passionnés. C'est délicieusement excitant. Je bande dans la main de la fille que j'aime. Je glisse ma main sous sa robe. Entre ses cuisses. L'absence de culotte me fascine toujours comme une toute première fois. << Mmmhhh... >> gémit Clémentine lorsque j'enfonce mon doigt.

Cambrée sur ses genoux fléchis, accrochée à mes épaules, Clémentine bouge d'un mouvement régulier du bassin. Se masturbant sur ma main qu'elle serre de ses cuisses. Je murmure : << Je pourrais te faire l'amour là, maintenant, tellement c'est bon ! >>. Un bruit. Nous avons le même réflexe de nous séparer en nous tenant juste la main. C'est notre voisin, monsieur Bertrand, sur son petit tracteur. Il tire une citerne qu'il vient probablement remplir à la rivière. Louis est heureux de nous revoir. Son large sourire éclaire son visage de retraité.

<< Bonjour ! >> lance t-il en sautant de son siège. Nous nous touchons les poings. Monsieur Bertrand nous raconte quelques anecdotes. Des choses qui se sont passées durant notre absence. << Presque pas de pluie. Aussi, pour arroser le potager, je viens toutes les semaines remplir la citerne. Deux mètres cubes ! C'est fou cette année ! >> précise monsieur Bertrand. Nous lui racontons quelque détails de notre séjour écossais. Louis aura 68 ans le 16 septembre. Il parle de sa retraite où il n'a jamais le temps de s'ennuyer. << Toujours à faire ! >>.

<< On se prend un café un de ces après-midi alors ! >> lance Clémentine. << Demain, vers 13 h30, si ça va pour vous ! >> répond Louis. Clémentine me consulte du regard. Notre complicité est totale. Nous nous comprenons toujours immédiatement. << C'est parfait ! >> dit elle. Je m'empresse de préciser : << Vous serez sans moi parce que j'ai un travail de dingue qui m'attend. Vous ne m'en voudrez pas Louis, n'est-ce pas ? >>. Le vieux coquin est aussi rusé que nous. Il prend une mine un peu dépité pour rajouter : << Oh, c'est dommage ! >>.

Je rajoute : << Mais ce n'est que partie remise. Clémentine vous racontera des épisodes de nos vacances ! >>. Il a du mal à dissimuler sa joie le vieux vicieux. Je vois cette étrange lueur quand il regarde Clémentine. Nous le laissons à sa citerne. Il remonte sur son tracteur en disant : << Je suis là pour 13 h45 demain ! Bonne journée ! >>. Nous remontons vers la maison. << Demain je me suce la queue de ce vieux salaud. Tu as vu comme il me mâtait ? >> murmure Clémentine alors que nous nous retournons pour le voir descendre de son engin.

Nous mettons rapidement au point notre stratégie habituelle. Je serai caché dans le dernier des trois placards. Par la petite grille circulaire d'aération qui fait lucarne, je pourrai observer. Je prends Clémentine contre moi pour susurrer à son oreille : << J'adore te voir sucer un autre. Tu n'imagines pas comme je me réjouis ! >>. Clémentine glisse sa main dans mon short pour répondre : << D'ici là, c'est toi que je suce ! >>. Nous rions de bon cœur en rentrant. Clémentine prépare la salade de concombre, tomates. Je fais bouillir l'eau des coquillettes.

Dans la poêle je fais rissoler deux filets de flétan achetés hier. J'égoutte les coquillettes avant de les verser dans un plat. Je verse un mélange d'œuf, de lait de soja sur l'ensemble. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère et de chapelure. Au four pour une cuisson rapide à 250°. Je rajoute un petit pot de crème fraîche sur le flétan en fin de cuisson. Clémentine vient se lover dans mes bras en disant : << Merci pour m'offrir ta complicité. C'est merveilleux tu sais. Sans toi rien de tout cela ne serait possible avec tant de simplicités, de facilités ! >>.

En passant ma main sous sa robe, je réponds : << Je suis certain que tu saurais parfaitement te débrouiller autrement ! >> nous rions de bon cœur. La sonnerie du four. Nous cessons de nous embrasser en nous frottant. Je sors le gratin du four en précisant : << Ce soir, il n'y aura qu'à réchauffer avec une sauce "maison" ! >>. Clémentine remue la salade. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre voisin. Les fois où Clémentine la sucé dans notre maison d'amis. Elle me confie une fois encore le profond dégout qu'elle ressent à chaque expérience.

Un dégout qui devient très excitant pour se transformer en plaisir. << Surtout que Louis a une de ces toutes petites bites dont je raffole ! >>. J'aime l'entendre me confier les plus intimes détails. J'écoute en me masturbant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine tente de faire l'inventaire de tous les mecs qu'elle a déjà sucé depuis plus de cinq ans de vie commune. Nous rions aux éclats quand je dis : << Et tous ceux que tu as pipé avant moi ! >>. Clémentine précise : << Juste mon "ex" ! >>. Je met mon index sous son menton.

Je la force à me regarder en demandant : << Juste ton "ex", tu es certaine ? >>. Clémentine a soudain le regard fuyant, qui se trouble lorsqu'elle baisse les yeux. << Je te raconterai un jour ! >> répond t-elle. Je dis : << Ainsi tu as encore des petits secrets ! >>. Elle s'installe à califourchon sur mes cuisses en disant : << Juste un tout petit ! >>. Je m'écrie : << Tu es adorable. Je t'aime ! Tu me racontera ça un jour, lorsque je serai en toi ! >>. Clémentine se frotte en répétant : << Oh oui, oh oui ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle.

Nous faisons nos pitreries habituelles en nous lavant les dents. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Nous restons vêtus ainsi. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Avec les conversations et l'excitation, il y a de la jute qui s'écoule sur sa main qu'elle lèche. Il y a un peu plus de quarante kilomètres jusqu'à la petite cité de caractère. Clémentine alterne les séquences où elle me suce et celles où elle me branle. La circulation est fluide. Il y a un carrefour au centre commercial. Deux feux rouges qui se succèdent. Une voiture à notre droite.

C'est une jeune femme. Je commente à voix haute. Clémentine me taille une pipe. Je dis : << Maintenant ! >>. Clémentine se redresse à l'instant précis où la jeune femme m'adresse un regard en réponse au mien. Elle comprend probablement ce qui se passe car elle nous fait un beau sourire. Environs trois cent mètres plus loin, second feu rouge. Je récidive. La belle inconnue me fait un sourire vicelard. C'est monstrueusement bon. Je pourrais éjaculer tellement c'est génial. Je répète : << Maintenant ! >>. Clémentine se redresse à nouveau.

Cette fois s'en est certainement trop. En démarrant la jeune femme lève le pouce de sa main gauche, accélère et nous dépasse. << J'aime ces situations ! >> lance Clémentine avant de retourner à sa pipe. Je gare l'auto sur le parking obligatoire. Il y a cinq cent mètres jusqu'à la place pavée où se trouve la maison familiale. Ma galerie d'Art au rez de chaussée. Tout est fermé. J'ai un double des clefs. Nous entrons dans cet espace où Julie a passé deux mois. Tout est en ordre, propre, nickel. Cette jeune fille est d'un sérieux qui laisse rêveur. Parfaite.

Il se met à pleuvoir. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Me tenant la bite pour en diriger les jets elle me dit : << Je suis impatiente de revoir Julie. Elle aura plein d'anecdotes à nous raconter. C'est qu'elle se fait draguer la coquine ! >>. Accroupie, Clémentine observe la coulure de foutre qui ne s'écoule pas avec les giclées de pisse. Mon sperme est tellement épais, gluant et visqueux qu'une véritable stalactite pend sur une vingtaine de centimètres. <<Mmmhhh ! >> murmure t-elle avant de la gober doucement d'un mouvement gracieux de la tête.

Je me penche pour murmurer : << Un petit entraînement pour ce qui t'attend demain ? >>. Clémentine me montre ce que contient sa bouche. Je lâche une giclée de pisse. Elle répond : << J'adore ça Julien ! Si tu savais comme j'adore ça ! >>. Je me contente de chuchoter : << Mais je sais ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine suce passionnément. Je lui lâche les dernières giclées dans un début d'érection qui la ravit. Elle se met carrément à genoux sur le carrelage. Je la saisis par la nuque pour lui enfoncer un maximum de queue pisseuse.

J'aide Clémentine à se redresser. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses genoux. Elle relève sa robe pour me présenter son sexe. Je tombe à genoux pour le sucer. Me régaler de ses jus de filles. Je pousse de petits cris de plaisirs. Je me relève. J'entraîne Clémentine dans le petit studio à l'arrière de la galerie. Là, sur le lit, je la pénètre. Nous faisons l'amour comme des fous. Chaque année, à la même période, nous baisons là comme des amoureux déments. J'offre à Clémentine un orgasme délirant. Un cunnilingus qui la fait hurler de plaisir. Fou !

Bonne fin de journée à toutes les coquines qui aiment la vie, qui aiment l'amour, qui aiment les "surprises", qui aiment sucer de la queue...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2001 -



Encore une journée d'exception

Hier matin mercredi, il est un peu plus de huit heures trente. Clémentine est restée tout contre moi toute la nuit. Je suis réveillé par sa main qui descend doucement de ma poitrine jusque sur mon ventre. Sa tête dans le creux de mon épaule elle descend encore pour s'emparer de mon érection naturelle. << Je vous aime gentil monsieur ! >> murmure t-elle en passant une cuisse sous les miennes, posant l'autre sur mon sexe. J'adore lorsqu'elle se frotte ainsi dans un lent mouvement masturbatoire. Nous restons comme ça un petit moment à émerger.

Des bisous, des papouilles. Clémentine garde mon sexe dans sa main pour m'entraîner aux toilettes. Tout est sombre à l'étage car le ciel est couvert. De lourds nuages menaçants. Vêtus de nos tenues de running, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en racontant ses rêves. Je mets deux parts de brioches dans le four à micro ondes. Je presse les oranges. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre virée de hier.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant les improvisations de la journée. << Je peux voir monsieur Bertrand en début d'après-midi ? >> demande Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Je beurre sa tartine en répondant : << Je n'y pensais plus mais en voilà une bonne idée ! >>. En savourant sa part de brioche Clémentine me confie à quel point cette perspective l'excite. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de remonter nous laver les dents. Nous rions beaucoup des facéties de Clémentine qui imite une fellation avec la brosse.

Nous descendons à toute vitesse. Quelques mouvements d'échauffement dans une étonnante lourdeur. Il fait déjà 20°. Décidément ces grosses chaleurs accablantes ne semblent pas vouloir cesser. Le sol est trempé des pluies de cette nuit. Nous avons vaguement entendu l'orage. << Attends, je m'occupe du "signal" ! >> fait Clémentine en m'entraînant par la main pour traverser le jardin. Il faut rester sur les dalles de grès. Nous entrons dans la maison d'amis. Nous montons au premier étage. Clémentine coince un chiffon jaune à la fenêtre.

Ainsi monsieur Bertrand, depuis sa maison à un peu plus de trois cent mètres en contrebas, aura confirmation du rendez-vous fixé hier par Clémentine. Pressés de filer nous dévalons l'escalier. C'est vers le portail que nous montons à petite foulée. Nous pratiquons ce matin notre jogging sur le bord de l'étroite route communale. Sans croiser la moindre voiture. Ni à l'aller, ni au retour. Nous passons devant le haras où il y a déjà des autos stationnées. Nous revenons par le même itinéraire pour dix heures. Nous prenons notre douche. En prenant notre temps.

Clémentine porte une de ses robes d'été. Noire, cintrée à la taille. S'évasant légèrement pour s'arrêter à mi-cuisses. J'adore son look quand elle est habillée ainsi. Elle laisse ses longs cheveux noires flotter en toute liberté jusqu'au milieu de son dos. << Il faut qu'Estelle me les raccourcisse un peu ! >> dit elle en virevoltant sur elle même. En s'accroupissant devant moi elle rajoute : << Pas de culotte ! >>. Je m'approche pour m'accroupir devant elle. Elle prend mes mains pour demander : << Tu n'es pas fâché que je vois monsieur Bertrand ? >>.

Je la rassure : << Au contraire, je crois que je vais encore passer un grand moment de folie pure ! >>. Nous nous redressons en même temps tout en riant. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur du salon. Un message d'Estelle qui nous raconte son quotidien en famille. Un courriel de Juliette qui nous invite à manger vendredi soir. << Excellente proposition ! >> fait Clémentine qui répond aux deux mails. Un petit tour sur le site universitaire. Le programme de la rentrée pour le lundi 12 septembre. Les différents spécifications.

Pendant qu'elle tape sur le clavier, je promène mes mains sur ses tous petits seins. Sous sa robe, entre ses cuisses. << Mmmhhh, ne t'arrête pas, j'aime ! >> dit elle sans cesser d'écrire. Lorsque je saisis son clitoris géant entre le pouce et l'index, Clémentine a un soubresaut qui secoue tout son corps. J'adore le tenir ainsi. Je peux le sentir durcir, entrer en érection comme une petite bite. Il a la taille de la première phalange d'un pouce d'homme. C'est vraiment impressionnant. Même après plus de cinq ans de vie commune. Je le titille légèrement.

Clémentine se lève pour changer de position. C'est en cavalière, sa poitrine contre la mienne qu'elle frotte son sexe sur le mien. Je suis en short et T-shirt. << Je vous aime Julien. Vous avez toujours d'heureuses initiatives vous savez ! >> dit elle en imitant l'accent méridional de Juliette. Nous rions de bon cœur. << On la voit vendredi soir pour 19 h30 ! >> me rappelle t-elle. Je dit : << On emmène une tarte aux noix en dessert ! >>. Il est onze heures. << Viens, on va faire du courant d'air dans la maison d'amis ! >> propose Clémentine qui se lève.

Elle m'entraîne par la main pour sortir. Il y a quelques gouttes de pluie. Nous traversons le jardin. La maison d'amis est une ancienne grange aménagée. Une dépendance où il fait très chaud quand le soleil tape plusieurs jours. Nous y entrons pour ouvrir une des fenêtres du bas en coinçant le battant avec un dossier de chaise. Même par tempête il ne pourra pas bouger. Nous faisons pareil en haut. Ainsi le courant d'air ramènera un peu de fraîcheur. Je dépose trois épaisses couvertures sur le sol du placard où je serai caché après, en début d'après-midi.

Clémentine m'embrasse. << J'éprouve toujours de la culpabilité quand je sais ce que je vais faire avec un autre ! >> murmure t-elle. Je chuchote : << Moi je suis envahi d'un curieux sentiment quand je te vois faire depuis mes cachettes ! >>. Nous nous embrassons longuement, avec fougue. J'ai ma main entre les cuisses de Clémentine. J'enfonce délicatement la première phalange de mon doigt. Elle glisse sa dextre dans mon short par le haut. Je bande comme le dernier des salauds. Nos baisers passionnés maculent nos mentons de salive.

Nous quittons la dépendance pour traverser le jardin. La pluie a cessé. Clémentine prépare la salade de carottes et d'avocat. Je fais gonfler du riz complet. Dans la poêle je réchauffe quatre des gros nems au crabe achetés à l'hypermarché. Encore congelés ils dégorgent rapidement de leur eau. Je concocte une sauce au Roquefort. C'est un repas facile mais qui saura nous régaler. << J'aime quand on est tous les deux. Je me rends compte à quel point ça me manque ! >> lance Clémentine en venant se coller dans mon dos, ses bras autour de ma taille.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine exprime ses ressentis. J'écoute plutôt amusé. << J'ai honte d'avance. Je vais tromper l'homme que j'aime parce que je suis la dernière des salopes ! >> dit elle. Nous éclatons de rire. Je réponds par ma formule habituelle : << J'aime la compagnie des salopes. Je m'ennuie tellement avec celles qui ne le sont pas ! >>. Clémentine me couvre le visage de bisous en s'écriant : << Alors tu es le plus heureux des hommes ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Clémentine m'entraîne par la main pour monter l'escalier. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Toute fébrile Clémentine me montre sa main tendue : << Regarde dans quel état je suis. J'en ai la tremblotte ! >>. Je passe mes bras autour de sa taille. Collé derrière elle nous nous observons dans le miroir. Je tiens Clémentine par le menton en disant : << Regarde un peu la gueule de salope que tu te trimballes encore. Tu es tellement belle que tu en es fascinante ! >>. Clémentine glousse.

<< C'est le bonheur que je vis avec toi qui me rend si belle tu sais ! >> répond t-elle. Nous nous observons longuement. Les yeux d'un bleu clair et intense de Clémentine illumine son visage radieux. Elle a la peau matte et reste comme bronzée à longueur d'année. Je suis fasciné à chaque fois que je la regarde ainsi. Cette sublime jeune fille de 25 ans, d'apparence si innocente peut se révéler l'être le plus sexuellement vicieux de la création. << Te voilà "créationniste" soudain ! >> lance t-elle quand j'exprime ma pensée à haute voix. Nous rions aux éclats.

<< Viens ! >> dit elle en m'entraînant par la main. Elle me fait tomber sur le lit. Je la regarde choisir ses souliers. Du bas du placard elle tire ses escarpins noirs à talons. Ceux avec la fine sangle de cuir qui enserre la cheville. << Mes godasses de putes ! >> lance t-elle en s'asseyant à mes côtés pour les mettre. Elle se lève pour aller se regarder dans le grand miroir de l'armoire. Je la trouve exquise. Absolument divine. Je m'écrie en me levant : << Mais comme tu es belle. Je t'aime comme un fou. Je suis amoureux. Raide dingue ! >>.

Clémentine s'accroupit, cuisses largement écartées. Je la tiens par ses épaules. Elle me fixe dans le miroir avec ce regard par en-dessous, terriblement vicelard qui fait exploser mon slip. Elle saisit mes mains tout en se maintenant en équilibre. C'est fabuleux. Cette image m'excite au plus haut point. Nous retournons dans la salle de bain. Il est très rare que Clémentine souligne l'éclat de ses yeux par une touche de mascara. Nul besoin de maquillage sur ce visage d'ange. << Mais là, je veux vraiment faire hyper pute ! >> lance t-elle. Rires.

Clémentine m'offre un étonnant spectacle

Il est treize heures trente. D'ici 15 minutes Clémentine a rendez-vous avec monsieur Bertrand. Louis vient la rejoindre dans notre maison d'amis. Notre voisin, retraité et vicelard se réjouit certainement beaucoup. << Prends la paire de jumelles et viens ! >> me fait Clémentine en m'entraînant dans la chambre. Je la tire du petit sac à dos. Clémentine m'entraîne à nouveau par la main. Nous descendons prudemment les escaliers pour sortir. C'est presque en courant que nous traversons le jardin jusqu'à la dépendance. Nous y entrons essoufflés. Je regarde Clémentine.

<< Viens ! >> me dit elle une nouvelle fois. Nous montons l'escalier pour entrer dans la salle de bain. C'est de cette fenêtre que la vue sur la propriété du voisin est la meilleure. Clémentine sort la paire de jumelles de son étui en chuchotant : << Sois vigilant. Prépare-toi à toutes les éventualités. C'est un vrai vicelard ! >>. Elle ajuste sa robe dans le miroir. Comme elle est belle et sexy dans cette robe noire, cintrée à la taille et qui n'arrive qu'à mi-cuisses. Ses escarpins noirs à talons retenues à la cheville par une fine lanière de cuir. Et pas de culotte.

Accroupie devant le miroir Clémentine se contemple en précisant : << Mon image m'a toujours profondément troublé. De me voir ainsi m'érotise. Je suis doublement excitée ! >>. Elle rajoute après m'avoir fait une bise : << Je file. Je t'aime ! >>. Je la regarde dévaler l'escalier. Je retourne à la fenêtre. Je regarde Clémentine franchir le portillon qui sépare notre propriété du chemin qui monte depuis celle de monsieur Bertrand. Elle reste sur le sentier de pavés auto bloquants. Marchant avec prudence. Je sors mon sexe. Sa silhouette m'excite.

Je scrute dans la paire de jumelles. Là-bas, ça bouge. C'est monsieur Bertrand dans son jardin. Je le devine plutôt que je ne le vois au travers de l'épais feuillage. Par contre j'aperçois Clémentine. Cachée derrière le tronc d'un acacias, elle semble guetter. À l'instant où Louis prend le chemin, Clémentine sort de sa cachette. Pieds largement écartés, elle prend une curieuse position. Debout les mains sur les hanches. C'est quand Louis arrive à sa hauteur que je comprends. Grace à la paire de jumelles qui grossit huit fois. Je la vois pisser.

Clémentine est incapable de pisser debout sans s'en mettre partout. Ses jets sont le plus souvent anarchiques et abondants. C'est un jet violent, jaune, qui tombe vertical vers le sol. Louis s'arrête à quelques mètres de la pisseuse. Tout en urinant ainsi, dans une folle indécence, Clémentine bavarde en souriant. Je scrute les expressions de son visage. Je suis époustouflé. Follement amoureux de cette jeune fille qui sait franchir les limites de sa libido débridée pour mettre la barre très haut. Une "barre" que Louis tire de sa braguette. Molle et minuscule.

Le jet de Clémentine se tarit. Je donnerais cher pour connaître la nature de la conversation. Clémentine s'accroupit devant notre voisin. Il reste à distance comme pour admirer lui aussi. Curieusement il remballe son sexe pour se palper la braguette avec une incroyable vulgarité. Clémentine se redresse. Une main sous sa robe elle s'approche de Louis pour lui prendre le bras. J'ai une étrange sensation de la voir ainsi, dans une complicité qui m'échappe. Une complicité avec un autre. Ils se dirigent tous deux en bavardant vers ici. Je descends très vite.

Clémentine est rusée et stratège. Elle fait durer l'instant pour me permettre d'entrer dans le placard. Les couvertures que j'ai placé partout au sol permettent le plus parfait silence. Par contre il fait lourd et chaud dans cet espace réduit. Je descends mon short. J'enlève le T-shirt. Les voilà qui entrent en riant. << Je vous fais un café Louis, installez-vous dans le canapé. J'arrive ! >> lance Clémentine. En s'asseyant le retraité dit : << Fais-moi plutôt une bonne pipe ! >>. Clémentine éclate de rire. En montant l'escalier elle fait : << Après le café ! >>.

Je regarde Louis par la petite grille d'aération. De la poche de sa chemise il sort une carte. Je reconnais la photo que Clémentine lui a envoyé d'Écosse. Cette photo où elle fixe l'objectif avec un regard incroyablement vicieux tout en ayant la langue sur une des deux boules de glace en tenant le cornet. Il se palpe la braguette. Ce vieux salaud a vraiment le comportement du pervers. Voilà Clémentine qui redescend. Elle pose le plateau sur la table basse. Louis demande : << Ton cocu a vu cette photo avant que tu ne me l'envoies, salope ? >>. Un silence.

<< Non, pensez-vous. Il ne faut surtout pas qu'il se doute de quoi que ce soit. Je compte sur vous pour être aussi secret que moi ! >> répond Clémentine en s'asseyant à côté du vieux salaud. S'il savait que je sais tout et que je suis planqué à quelques dix mètres. << Tu es une vraie salope. Je suis arrivé à bientôt 68 ans pour tomber sur une jeune fille comme je les aime ! >>. Clémentine éclate de rire en se blottissant contre monsieur Bertrand. Il tente de l'embrasser. Cette fois, à mon grand étonnement, elle se laisse faire. Lascive et offerte.

Louis s'installe confortablement dans le canapé. Il déguste son café alors que Clémentine descend du canapé pour se laisser glisser au sol. D'une main adroite, d'un geste sûr, elle s'empare de la tirette. C'est un pantalon d'épais velours. En regardant vers la grille d'aération je sais qu'elle me fixe. Louis appuie sa tête en arrière. Clémentine peut donc me faire le plus vicieux des sourires, le plus suggestif des clins d'œil. Je me branle. Je bande comme le dernier des salauds. Tout en me fixant Clémentine ouvre doucement la braguette du vieux pervers.

Il garde la tête renversée en arrière. Les yeux fermés. Clémentine, sans cesser de fixer la grille d'aération sort son sexe. Elle le tient entre le pouce et l'index. Elle le scrute en le humant. Elle me regarde à nouveau en faisant une horrible grimace. Le vieux pervers ne se doute absolument de rien. Trop heureux de se laisser aller. Clémentine se met à genoux. Elle me tourne le dos. Penchée en avant elle prend probablement ce sexe minuscule et mou dans la bouche. Louis passe sa main sous ses cheveux pour la tenir par la nuque. Il appuie parfois.

Clémentine, immobile, ses mains posées sur les cuisses du vieux pervers, déguste en gémissant. Monsieur Bertrand se penche quelquefois pour murmurer des choses qu'il m'est impossible d'entendre, de comprendre. Sans arrêter de sucer Clémentine glousse en riant. Il fait horriblement chaud dans ma cachette. Je suis trempé de sueur. Louis se fait sucer comme un bienheureux. Parfois il se penche pour mieux observer sa pipeuse. Il lui saisit les cheveux pour la faire cesser. Il lui administre une gifle avant de lui cracher au visage. Le saligaud !

Louis se lève. Il force Clémentine à se redresser. Elle jette un rapide coup d'œil vers ma cachette. Je suis toujours prêt à intervenir si la situation l'exigeait. Le bas de son visage est trempé de foutre luisant. Un énorme mollard coule de son front sur son nez. Louis, de petite taille, n'arrive qu'aux épaules de Clémentine. De voir ce nabot se livrer à tant de turpitudes avec ma compagne me procure un curieux sentiment. Il la tourne et la fait tomber à genoux sur le canapé qui fait face à l'autre. Clémentine est en appui sur ses coudes. Elle mâte ici.

Je reste consterné. Le vieux dégueulasse, penchée en avant, la tenant par les bras qu'il maintient en arrière, lui lèche le cul. Il se redresse. Je suis certain qu'il pénètre Clémentine. Je ne sais pas comment fait ce salaud pour enfiler sa petite bite toute molle dans Clémentine. Mais il y arrive car je la vois se mordiller la lèvre inférieure. Le gros mollard macule son visage en biais. << Je te baise à crue salope. Sans capote ! C'est bien fait pour toi ! >>. Clémentine sait bien que monsieur Bertrand n'a aucune vie sexuelle autre que celle qu'elle lui offre parfois.

Le vieux salaud la baise comme un bouc. Une étonnante vitalité anime ce petit bonhomme. Il dit : << Pour mon anniversaire je te fais une surprise. Libère toi une petite heure en début d'après-midi ! >>. Clémentine, totalement offerte, ouvre quelquefois les yeux pour regarder vers ma cachette. Son expression est celle d'une jeune fille qui est entrain de jouir intensément. Elle est secouée par le vieux salaud. Il la baise en rythme. Quelques minutes et il s'arrête pour reprendre son souffle. J'entends Clémentine gémir de plaisir. Elle me sourit en secret.

Louis se retire pour se laisser tomber dans le canapé derrière lui. Sa bite présente une érection. Je comprends tout. Quand il bande Louis a un "machin" d'une bonne dizaine de centimètres. << Tu m'as crevé salope ! Viens, vide moi les burnes ! >> lance t-il en se relevant. Il me présente son profil. En se mettant à genoux pour se remettre à le sucer, Clémentine me présente le sien. Je n'ai jamais vu une queue dégorger autant de jute. Clémentine a toutes les peines à ne pas en laisser perdre le trop plein. Il en coule pourtant aux coins de sa bouche.

Monsieur Bertrand, parfaitement immobile, tient Clémentine par les oreilles pour la maintenir. Pour lui enfoncer la totalité de son sexe qui recommence à ramollir. À chaque fois qu'il le retire de la cavité buccale de sa pompeuse, sa bite dégouline d'un foutre épais, gluant et visqueux. Peut-être encore davantage que le mien. Clémentine pompe, suce, bouffe comme une affamée. Elle m'en a tant parlé de cette queue durant nos vacances en Écosse. Comme à chaque fois il est impossible de savoir si ce vieux dégueulasse éjacule ou si c'est "pur jus".

De longs filaments de foutre bulleux relient sa bite à la bouche de Clémentine à chaque fois qu'il retire son sexe. Il demande à voix distincte : << Tu le suces souvent ton cocu ? Il aime ça autant que moi ? >>. Clémentine se contente de glousser en riant, la bouche pleine. Je la vois déglutir. Sans doute au rythme des giclées de foutre que lui balance le vieux pervers. Il se retire. Il force Clémentine à se redresser. Il lui fourre sa langue dans la bouche. C'est étrange de voir la fille que j'aime dans une telle étreinte avec un vieux saligaud. Elle l'embrasse.

Il se dirige vers la porte en remballant sa queue. Avant de sortir, il dit encore : << N'oublie pas, j'ai une surprise pour toi vendredi de la semaine prochaine. Tu vas beaucoup apprécier ! >>. Clémentine le raccompagne. Je sors enfin de mon "four". Une chaleur infernale. Je monte l'escalier. Je saisis la paire de jumelles. Clémentine entoure les épaules de Louis tout en marchant contre lui. Ils s'embrassent une nouvelle fois. Louis, soucieux de ne pas être vu depuis sa maison, s'arrache soudain de l'étreinte de Clémentine. Il passe sa main sous sa robe.

Le vieux salaud la masturbe encore un peu avant de s'enfuir. Clémentine vient me rejoindre. Lorsqu'elle se précipite dans mes bras pour me crier << Merci Julien ! >> j'ai cette habituelle sensation de profond dégout. Le visage de Clémentine est encore trempé de foutre. Des cheveux qui collent sur ses joues, sur son front. Sur le sperme qui a coulé dans son cou. Je la repousse délicatement. << Viens, je vais prendre une douche. Je me sens souillée ! >> dit elle. Elle m'entraîne. C'est en sautillant sans me lâcher que nous traversons le jardin.

Clémentine insiste pour que je l'accompagne sous la douche. Moi aussi j'ai énormément transpiré dans ma cachette. Un vrai four malgré le courant d'air. Sans la prévenir, par surprise, je la force à s'accroupir avant d'ouvrir le robinet. Je la tiens fermement par ses cheveux. J'inonde son visage d'un jet de pisse qu'elle tente d'éviter. Rien à faire. Je la tiens d'une poigne de fer. Je frotte ma queue sur sa gueule avant d'enfoncer mon érection dans sa bouche. Je me penche pour dire : << Salope ! Si tu savais comme je t'aime. Ma salope ! >>

Je sèche les cheveux de Clémentine. Elle est assise sur le tabouret devant un des miroirs de la salle de bain. Je manipule le sèche cheveux alors qu'elle les peigne avec une brosse. Son regard amoureux me pétrit d'émotion. J'écoute ses confidences. Les ressentis procurés par les extases des étreintes de l'après-midi. << Tu as vu comme il m'a baisé ce vieux salaud ? Encore bien vert ! >> dit elle. Je donne mes impressions. Elle rajoute : << J'adore quand tu me traites comme tu l'as fait avant la douche. C'est ce que je mérite pour te tromper comme ça ! >>.

Je précise : << Mais tu ne me trompes pas. Tu fais de moi le complice de toutes tes dépravations depuis plus de cinq ans ! Et ce soir, après le repas, c'est moi qui vais te baiser. Tu n'as encore rien vu ! >>. Clémentine saisit mes poignets en s'écriant : << Je t'aime Julien. Tu me comprends si bien ! >>. J'attache ses cheveux en natte. Une tresse qu'elle place sur son épaule droite. Je me penche pour mettre mon visage près du sien en chuchotant : << Je vous en supplie mademoiselle, soyez salope. Et à chaque fois que vous le souhaitez ! >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se sont encore livrées au stupre et à la luxure avec la parfaite complicité de leur compagnon de débauches...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 49 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2002 -



Julie vient passer l'après-midi avec nous

Hier matin, jeudi, il est huit heures trente. Clémentine est encore restée collée à moi toute la nuit. Cela fait maintenant quelques semaines qu'il en va ainsi. Je peux l'entendre gémir quand elle se réveille en se serrant fort. Sa main qui descend dans mon slip avec une extrême douceur. Je passe mon bras autour de son épaule. Elle passe une cuisse sous les miennes, pose l'autre sur sa main qui tient mon érection naturelle. C'est un lent mouvement lascif et masturbatoire. Elle bouge en rythme en murmurant : << Je vous aime gentil monsieur ! >>.

Nous restons ainsi un petit moment à émerger complètement. N'y tenant plus contraints, par l'impérieux besoin pisseux, nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Il fait aussi sombre dans la cuisine que dans le reste de la maison. Dehors le ciel reste obstinément couvert. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse les oranges. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Je pèle les kiwis. Le léger carillon du four à micro ondes qui résonne agréablement.

Il suffit d'en sortir les deux parts de brioche qui retrouve son fondant. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant quelques séquences de nos vacances en Écosse. Nous avons appris hier soir à la radio la mort de ma Reine. Même si je suis Écossais je suis avant tout sujet de sa gracieuse majesté. J'en suis un peu meurtri car j'ai toujours eu beaucoup d'admiration pour ma souveraine. Nous envisageons donc la possibilité de prendre l'avion pour nous rendre en Angleterre afin d'assister à ses funérailles. <<Génial ! >>lance Clémentine à cette idée.

Nous mangeons de bon appétit en mettant ce programme au point. Clémentine veut s'occuper des réservations dans un hôtel. Forcément luxueux pour êtres certains d'avoir une chambre. Les cours de préparations au concours du Doctorat ne commencent que le lundi 19 septembre. << C'est parfait ! Je m'occupe de tout. Il faut juste qu'on sache les dates ! >> précise t-elle. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, la fille que j'aime me confie à quel point ce projet lui tient soudain à cœur. J'écoute avec joie.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents. Pas une seule allusion à ce qui s'est passé hier avec notre voisin retraité. Je respecte ce silence car Clémentine n'a peut-être pas encore "digéré" ce qui deviendra très vite un nouveau souvenir. Pressés d'aller courir, nous dévalons l'escalier pour sortir. Quelques mouvements d'échauffement dans l'agréable fraîcheur matinale. Le sol est sec. C'est donc en descendant vers la rivière que nous attaquons notre heure de running. Le ciel reste menaçant. Mais aucune pluie.

Il est dix heures passées quand nous revenons pour prendre notre douche. Clémentine porte une de ses robes d'été fuschia à légers motifs floraux pastels. Je suis en bermuda et T-shirt. Nous descendons au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Deux courriels. L'un de Julie qui nous annonce sa venue cet après-midi pour 14 h. Elle devra nous quitter pour 16 h30. Elle consacre du temps à sa famille. Tout comme Estelle qui dans son mail évoque la mort de la Reine. Elle aussi sait la fascination qu'exerçait sur moi cette femme.

Estelle viendra nous rejoindre samedi en début d'après-midi vers 14 h. Clémentine répond avant de faire une visite sur le site de l'université. Il y a enfin les programmes destinés aux aspirants doctorants. Elle lit à haute voix en s'écriant souvent : << Wouah c'est super ! >>. Elle change de position pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou elle frotte son sexe contre le mien. Elle murmure : << Merci pour hier Julien. J'ai honte de ce que j'ai encore fait. Mais ça participe d'un souvenir excitant. C'est grâce à toi ! >>.

Elle ne me laisse pas le temps de répondre. Elle enfonce sa langue dans ma bouche pour m'embrasser avec passion. Nos mentons sont rapidement trempés de salive. Mon érection ravit Clémentine qui redouble de frottemens. Je dis : << Monsieur Bertrand te réserve une surprise pour vendredi prochain. Son anniversaire. Ses 68 ans et sa petite bite ! >>. Clémentine éclate de rire en faisant : << Quand il me l'enfonce elle n'est plus si petite. Tu as remarqué depuis ta cachette, quand je le suce il reste mou, quand il me baise il est bien dur ! >>.

C'est vrai, j'ai constaté ce phénomène. Je réponds : << C'est le premier mec avec qui tu baises à crue ! C'était comment ? >>. Clémentine se lève. Elle s'assoit sur le bureau en écartant ses cuisses. Je n'ai qu'à me pencher pour me retrouver avec le visage contre son sexe. << J'aime te raconter comme ça et quand tu me pénètres ! >> murmure t-elle en caressant ma tête. Je prends son clitoris géant en bouche. Je me mets à sucer en le titillant du bout de la langue. En gémissant Clémentine se met à narrer ses impressions quand à ses jeux avec Louis.

J'écoute amusé. Tout en racontant, Clémentine est agitée de petits frissons. Je me lève. Je reste debout entre ses cuisses. Elle se couche en appui sur ses coudes juste à côté de l'ordinateur. Je frotte mon sexe contre le sien, le passant entre les lèvres charnues de sa vulve déjà trempée. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. C'est cette situation dont nous raffolons pour échanger. J'écoute Clémentine me donner tous les détails des choses qui m'ont échappé hier. Je ne suis même pas obligé de poser tout un tas de questions.

Parfois, excitée par ses propres mots, Clémentine se berce sur ma queue. Je la soulève pour la promener ainsi dans tout le salon. Elle reste suspendue à mon cou en gémissant. Je l'encourage à baiser avec notre vieux salaud de voisin le plus souvent possible. Elle aime les vieilles bites et les expériences avec les séniors. << Ça remonte à quand j'étais petite ! >> me confie t-elle une fois encore. Cet attrait pour les sexagénaires lubriques et pervers ne date pas d'aujourd'hui. Par contre elle ne saurait expliquer pourquoi. << C'est freudien ! >> dit elle.

Nous rigolons comme des bossus. Je me retire délicatement. Je pose Clémentine au sol. Les pieds largement écartés, cambrée sur ses genoux fléchis, elle se touche en disant : << Mon pauvre minou est très sollicité ces derniers jours ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine m'entraîne par la main jusque dans la cuisine. C'est qu'il commence à faire faim. Il commence à pleuvoir également. Clémentine prépare la salade de concombre. Je fais gonfler du millet doré. Dans la poêle je fais rissoler deux magnifiques dos de cabillaud blanc.

Une sauce au curry où je rajoute du basilic, de la ciboulette, de l'ail et de l'oignon. Il suffit de râper du gruyère. C'est encore un repas simple mais tellement bon. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur son aventure de hier avec monsieur Bertrand. << C'est vrai ? Je peux faire ce que je veux avec ce type ? Tu n'es pas jaloux ? >> demande t-elle une nouvelle fois. Je la rassure : << Non, pas du tout ! Tu n'imagines pas les émotions que tu m'offres lorsque je suis caché à te regarder faire ! >>.

<< Parle-moi encore de ces émotions. J'aimerais comprendre ! >> lance t-elle. Je tente un développement : << C'est comme un sentiment de tristesse. Quelque chose qui m'échappe auquel je n'ai pas droit. De voir la fille que j'aime entrain de faire des trucs avec un autre me bouleverse. J'éprouve de curieuses sensations. De l'amertume, des pincements au cœur. Et pourtant cela m'excite au plus haut degré. Je n'ai pas les mots exacts pour décrire ce qui m'envahit. Mais c'est délicieusement émouvant. Merci ! >>. Clémentine m'embrasse tendrement.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine mime une pipe avec sa brosse à dents. Tête contre tête nous nous rinçons la bouche au-dessus du lavabo en riant. Nous dévalons les escaliers. Clémentine me saute au cou en s'écriant : << Tu m'aimes autant que moi ? >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. Nous entendons du bruit dans le hall d'entrée. C'est en portant Clémentine que nous y allons.

C'est Julie ! C'est fou ce qu'une jeune fille de 20 ans peut changer en deux mois ! Je pose Clémentine au sol. Nous déposons plein de bises sur les joues de Julie. Nous pouvons l'entendre gémir de bonheur. Nous sommes tellement contents de nous revoir. Je débarrasse Julie de son K-ways et de son parapluie. Clémentine prend son bras pour l'entraîner vers l'atelier. Cette grande pièce qui exerce un attrait magique sur toutes les personnes qui y pénètrent. Je fais bouillir l'eau du thé sur la petite plaque électrique. Julie sur le canapé avec Clémentine.

Nous l'écoutons nous raconter son été. Juillet et aout à tenir notre galerie d'Art. << J'ai plein de photos ! >> fait Julie en allumant son téléphone. Je viens les rejoindre avec le plateau sur lequel il y a les tasses de thé fumantes. Julie est entre nous deux. Toute petite comme un modèle réduit. Elle frissonne de plaisir d'être ainsi. Le centre de toutes les attentions. << Wouah, tu es super élégante ! >> lance Clémentine lorsque Julie fait défiler les photos. << Il faisait tellement chaud certains jours. J'allumais la climatisation dès 10 h ! >> dit elle.

<< Tu t'es fait draguer ? >> demande Clémentine. << Oh oui, plusieurs fois. Il y avait même quelques vrais vicieux. Un type qui se touchait discrètement en admirant les toiles ! >> confie Julie. Nous rions aux éclats. Je demande : << Des exhibitionnistes ? >>. Julie éclate de rire avant de répondre : << Oui ! Une exhibitionniste ! Moi ! >>. Elle nous raconte les fois ou elle tentait d'imiter les attitudes apprises auprès de Clémentine. Être accroupie à faire semblant de fouiller dans le sac à main par exemple. Une certaine manière de s'assoir en jupe.

<< Ne jamais croiser les jambes. C'est essentiel ! Comme tu m'a appris ! >> lance t-elle à Clémentine en cachant son visage dans le creux de son épaule. Je dis : << Félicitations pour les ventes ! >>. Julie s'écrie : << Merci Julien pour les salaires et les pourcentages ! Vous me faites gagner en deux mois autant que dix mois en tant que serveuse chez ma tante ! Ça me gêne ! >>. Je regarde son délicat profil de médaille. Elle ne porte pas ses lunettes d'étudiante. Ses cheveux sont noués en queue. Elle louche soudain vers ma braguette. Discrète.

Je me lève. Je me place juste devant elle. Je reste à environ un mètre. Le silence est lourd. J'entends les respirations des filles. D'un geste lent et parfaitement contrôlé, je descend la tirette de mon bermuda kaki. Je regarde tour à tour Clémentine et Julie. Une véritable décharge électrique parcourt mon échine. Un choc extraordinaire. Je sors mon sexe. Je bande mou. Je reste ainsi, les mains sur les hanches. Avec l'excitation vécue depuis ce matin, il y a une stalactite de foutre épais, gluant et visqueux qui pend du Zob sur une dizaine de centimètres.

Je me rapproche. Julie a un mouvement de recul. Clémentine approche sa tête. D'un mouvement gracieux elle gobe mon sexe pour aspirer la coulure. Sous le regard consterné de Julie. Je passe ma main sur la joue de Julie qui lève les yeux pour me faire le plus merveilleux des sourires. Je murmure : << Que diriez-vous Julie de reprendre nos petites habitudes tous les trois ? >>. Elle s'écrie : << Oh oui ! J'avais tellement peur que vous ne vouliez plus ! >>. Clémentine cesse de sucer pour déglutir. Elle dit : << En voilà une curieuse idée ! >>.

Je précise : << Nous avons pensé à vous tous les jours Julie ! >>. Il y a un silence. Julie répond : << Moi aussi, tout le temps ! Je peux revenir les lundis soirs ? Reprendre mes cours de peinture les vendredis après-midi ? >>. Je la rassure par ces mots : << Et comment ! Clémentine et moi comptons sur votre fidélité ! >> Julie lance encore : << Et venir faire le ménage le samedi matin ? >>. Nous rions aux éclats. Je m'installe, bite à l'air à ses côtés. Julie, entre nous deux paraît un peu embarrassée. Ce qui nous amuse beaucoup. Je me touche.

Je me branle doucement en écoutant Clémentine raconter les "plans" bien vicelards qu'elle a créé en Écosse. Les opportunités de sucer deux inconnus. Julie pousse de petits cris admiratifs, ponctuant les dires de Clémentine par des : << Je n'oserais jamais faire des choses comme ça ! >>. Nous rions de bon cœur. Il est trop rapidement 16 h30. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Il ne pleut plus mais le ciel reste chargé de nuages sombres. << Je reviens demain après-midi ! Je me réjouis ! >> lance t-elle assise au volant. Elle allume le moteur.

Clémentine tient ma bite qu'elle agite devant la portière. Je lâche une giclée de pisse contre la carrosserie. Julie regarde comme si c'était la première fois. Elle ne peut s'empêcher de dire : << J'adore ça ! Je vous aime tous les deux ! >>. Comme pour fuir ce qu'elle vient d'avouer, elle démarre. Nous la regardons monter vers le portail. Elle sort de l'auto pour nous envoyer des bisous qu'elle souffle dans ses mains. Nous rentrons vite sous de nouvelles gouttes de pluie. À peine de retour dans l'atelier, Clémentine me fait tomber dans le canapé en soufflant.

<< Tu m'excites tellement quand tu tu fais ton vicelard devant les autres filles ! >> s'écrie t-elle en jetant les coussins au sol. À genoux, les mains posées sur mes cuisses, Clémentine me taille une pipe des familles. L'indicible caresse me donne le vertige. Ses lèvres délicates qui pompent comme une ventouse. Le foutre qu'elle aspire dans un gargouillis avant de me montrer l'intérieur de sa bouche. Je me penche pour déposer des bisous sur son front en murmurant : << Je t'aime Clémentine. Je t'aime comme un fou ! >>. Clémentine me suce en gloussant.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se sont encore fait tringler en matinée, tripoter le reste du temps avant de savourer du jus de couilles...

Julien



Classe

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Les aventures de Clémentine et de Julien
Saturday 10 September 2022 07:40

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe



Le petit monde de Clémentine et de Julien

Après plus de 2002 épisodes le plaisir de partager nos aventures reste intact. De sacrés moments.
C'est une véritable joie de publier nos récits quotidiennement. C'est même devenu une nécessité.

Bien évidement, les noms, les prénoms, les lieux ne sont qu'autant de pseudonymes sans réalités.
Il est préférable de préserver son anonymat. Sur Internet mais également sur les forums "sexes".

Je remercie nos lectrices, nos lecteurs pour leurs fidélités, pour l'intérêt qu'ils nous portent.
Tout particulièrement celles et ceux qui entretiennent avec nous un contact en messagerie privée.

Nous avons autant de joie à pratiquer les échanges en messagerie privée qu'à narrer nos aventures.
C'est très intéressant, souvent amusant et parfois passionnant. Certains "amis" depuis cinq ans.

Je vous souhaite d'excellentes lectures, de belles découvertes et de passer du bon temps avec nous.

Cordialement.

Clémentine et Julien

Classe



Classe

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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2003 -



Le retour de Julie en après-midi

Hier matin, vendredi, il est presque neuf heures. Clémentine se blottit en gémissant. Sa tête dans le creux de mon épaule. J'entoure ses épaules de mon bras gauche. C'est une cascade de tendresse. Des bisous, des papouilles. C'est quand elle saisit ma tumescence que la décharge électrique parcourt tout mon corps. J'adore bander dans sa main ferme mais tellement douce. Je glisse moi aussi ma main dans sa culotte. << J'aime quand vous me recoiffez le matin gentil monsieur ! >> murmure t-elle en se frottant contre ma cuisse gauche.

L'impérieux besoin naturel met un terme à nos effusions de tendresses. C'est en me tenant par la queue que Clémentine m'entraîne aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de running, nous dévalons les escaliers. Il fait encore très sombre dans la maison. Dehors le ciel est gris, sinistre et bas. Clémentine me raconte son rêve en faisant le café. J'écoute amusé en pressant les oranges, en pelant les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la visite de Julie hier après-midi. Elle reviendra aujourd'hui pour 14 h. Réjouissances.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme du jour. << Julie. Elle a quelque chose d'infiniment sensuel. Je n'arrive pas à l'appréhender ni à en faire le tour ! >> précise Clémentine en s'asseyant sur mes genoux. Il en va de même pour moi mais c'est une perception toute masculine. Je n'ai pas les qualités de médium ni les possibilités de psychologue de Clémentine. J'écoute très intéressé, les analyses qu'elle fait à propos de Julie. Cette frêle jeune fille de 20 ans qui est d'une fidélité remarquable en amitié. Qui sait ce qu'elle veut.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de remonter nous laver les dents. Pressés d'aller courir nous redescendons à toute vitesse. Quelques mouvement d'échauffement dans la désagréable fraîcheur matinale. Le sol est détrempé. C'est donc sur le bord de l'étroite route communale que nous pratiquons notre jogging. Il y a même quelques gouttes de pluie. Les K-ways ne nous réchauffent pas vraiment. La température extérieure n'est que de 15°. Un peu comme en Écosse il y a encore une semaine. Il est 10 h45 quand nous sommes de retour.

La douche avant de nous habiller. Clémentine veut absolument se convaincre que nous sommes encore en été. Aussi, elle met une de ses jupes de velours carmin, un chemisier mauve. Je suis en bermuda kaki et chemisette verte. Nous dévalons les escaliers en nous tenant par la main. Dans le salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous avons trois courriels. Celui d'Estelle qui nous raconte sa journée en famille. Elle confirme son retour demain samedi pour 14 h. Le mail de Julie qui confirme son retour cet après-midi pour 14 h.

Le message de Juliette qui nous annonce un imprévu. Elle annule le repas de ce soir pour le remettre à mercredi prochain. Clémentine répond. Un rapide petit tour sur le site de l'université. Pas de nouvelles informations. Clémentine se lève pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. Sa jupe relevée elle se frotte en s'accrochant à mon cou. Elle demande : << Tu seras le vicieux que j'aime cet après-midi avec Julie ? >>. Nous rions de bon cœur. Je réponds : << Que ne ferais-je pas pour vous contenter mademoiselle, c'est dans ma nature ! >>.

<< D'être vicieux ou de me contenter ? >> lance t-elle encore en redoublant son mouvement masturbatoire. Nous rions aux éclats. Clémentine se lève. Elle se met à genoux entre mes pieds écartés. À reculons elle passe sous le bureau tout en ouvrant la braguette de mon bermuda. << J'ai besoin de quelques bonnes séances de reprises en main vous savez mon bon "Maître". Ces temps-ci je me laisse un peu aller ! >> dit elle en sortant mon sexe. Elle y frotte longuement son visage en gémissant. Je caresse sa tête avant de saisir ses oreilles.

Je bande mou. Clémentine gobe mon sexe. Je m'enfonce complètement dans sa cavité buccale. Elle émet un râle profond et grave. Je murmure : << Savez-vous ma délicieuse "Soumise" que je suis impatient de connaître la nature de la surprise que vous réserve notre voisin ! >>. Clémentine cesse de sucer pour chuchoter : << Moi aussi, je suis morte d'impatience ! Et maintenant que vous en parlez me reviennent des bribes de cette interrogation durant mon sommeil, dans un de mes rêves ! >>. Clémentine se remet à sucer passionnément.

Il commence à faire faim. Je recule la lourde chaise pour saisir Clémentine par sa tignasse. Je la force à cesser, à se relever. Elle s'assoit sur mes genoux en disant : << Mmhhh, ça me met en appétit la pipe ! >>. Nous rions de bon cœur. Morts de faim nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine fait la salade. Tomates et avocats. Je fais gonfler du pilpil de blé. Dans la poêle je réchauffe les quatre derniers nems au crabe. Repas simple et facile mais ô combien délicieux. Surtout avec une sauce au Roquefort. J'y rajoute des champignons réhydratés.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant quelques moments clefs de nos vacances en Écosse. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur son désir d'une séance de "dressage". << Ça fait trop longtemps ! On a carrément oublié tout l'été à quel point c'est bon ! >> précise t-elle. Je promets de lui offrir quelques inoubliables moments dans les tous prochains jours. À part la journée de réunion des étudiant, lundi 12 septembre, Clémentine est encore en vacances toute la semaine à venir.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Il y a enfin quelques séquences d'ensoleillement. Même si elles ne durent pas elles illuminent agréablement l'intérieur de la maison. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Assise à sa table de travail Clémentine prépare les documents dont elle aura besoin lundi à l'université. Son dossier de candidature au concours du Doctorat est envoyé depuis fin avril. Je regarde les quatre toiles invendues qu'à ramené Julie. Deux scènes de genre, deux paysages.

Je consulte le dossier dans lequel Julie a disposé les photos et les souhaits des commanditaires de mes prochaines peintures. Il y a huit commandes car je n'en accepte pas davantage. Sont joints les huit chèques de garantie couvrant la moitié de la somme indécente que j'exige à la commande. Pour dissuader les éventuels intéressés. Je passerai à la banque pour encaisser ces chèque dès lundi prochain. Car avant d'entreprendre un long et fastidieux travail je m'assure toujours d'être payé. Ce qui m'importe en priorité. Il n'y a jamais de soucis.

Nous bavardons tout en nous livrant à nos activités quand trois coups sont frappés à la porte. Julie entre, toute souriante, pour se précipiter d'abord vers Clémentine. Trois bises. Elle vient vers moi pour m'en faire trois également. Je la remercie pour le suivi des commandes. Je la félicite pour le grand sérieux dont elle fait preuve. Elle s'assoit sur la chaise posée devant le grand chevalet. Il y a une toile vierge posée dessus. Je m'installe sur le tabouret qui lui fait face. J'explique la façon dont les choses vont se passer l'année prochaine. La saison 2023.

Les tableaux qui seront accrochés aux cimaises de la galerie ne seront plus destinés à la vente. Ils ne seront que les modèles que pourront commander les gens intéressés. Avec un chèque de garantie bien évidemment. J'accepterais jusqu'à douze commandes. Julie écoute avec beaucoup d'attention. Elle pose quelques questions subsidiaires quand à l'argumentaire et quand aux principes de fonctionnement. La formule lui semble très judicieuse. J'explique que je n'ai plus envie de m'accabler de travail durant neuf mois pour fournir 25 toiles en été.

Tout en m'écoutant, Julie regarde de plus en plus souvent ma braguette ouverte. Lorsque je suis assis l'ouverture en est béante. Dès qu'elle prend conscience de son réflexe, elle regarde dans une autre direction. Cet après-midi elle porte ses lunettes d'étudiante, ses longs cheveux presque noirs flottent sur ses épaules. Elle a un sweat bleu nuit, un jeans et des baskets. Julie n'ose jamais soutenir mon regard plus de quelques secondes. Une timidité maladive l'en empêche. Une certaine réserve habite cette belle jeune fille. Ce qui la rend si attractive.

Parfois Clémentine donne une précision. Julie écoute attentivement. Je demande : << Thé, infusion ou café ? >>. Un silence. Je me lève. << Thé ! >> lancent les filles à l'unisson. Je fais bouillir l'eau sur la plaque électrique. Je sors discrètement ma queue. Je bande mou. C'est donc une belle "pièce" qui pend de ma braguette lorsque je ramène le plateau que je dépose sur la table basse devant le vieux canapé de l'atelier. Julie fait semblant de ne pas s'en être aperçue. J'adore cette attitude toute féminine. Ça m'excite toujours autant que ça m'émeut.

Clémentine vient nous rejoindre. Les filles sont assises dans le canapé. Je suis assis dans le fauteuil qui leurs fait face. Julie et Clémentine évoquent leurs études. Julie a sa rentrée universitaire lundi. Sa troisième année en Faculté de Lettres Modernes. La préparation de sa Licence. Les craintes et les inquiétudes que cela suscite. Clémentine parle de son Doctorat de Sciences qu'elle va préparer sur les deux années à venir. J'écoute. Je surprends souvent le regard discret, par en-dessous de Julie en direction de ma bite qui pend toute molle.

Elle cache le plus souvent ses rapides coups d'œil sous ses cheveux ou sous sa main en faisant mine de remonter ses lunettes. Je saisis mon sexe à sa base pour l'agiter vers les filles. C'est le silence. Clémentine m'observe toujours comme si c'était la première fois. Tout comme Julie. Dans le silence monacal de l'atelier je distingue leurs respirations de plus en plus fortes. Je me lève. J'agite ma queue qui durcit. Julie et Clémentine sont dans la même position. Les coudes en appui sur leurs cuisses, le menton posé sur les mains croisées. Studieuses.

Je présente une magnifique érection. Je pose mes mains sur mes hanches. Par petites contractions des muscles fessiers je fais bouger ma bite. Avec les différentes excitations de la journée, il y a une coulure crémeuse qui suinte à l'extrémité de la peau fripée du prépuce. Ce qui est soudain le centre de toutes les attentions de Julie et de Clémentine. Ma queue bouge au rythme de mes contractions. Julie lève parfois les yeux pour m'interroger du regard. M'adresser un rapide et léger sourire. Elle se rapproche de Clémentine pour se serrer contre elle.

Je me masturbe. Je contourne la table basse pour venir me placer devant les filles. Ma bite à une cinquantaine de centimètres de leurs visages. Julie a un mouvement de recul. Ce réflexe que nous lui connaissons bien. Clémentine rapproche soudain sa bouche grande ouverte. Je n'ai qu'à y introduire mon sexe. Julie, comme consternée, alors qu'elle a assisté à ces scènes de nombreuses fois, observe cette pipe sublime que me taille Clémentine. Clémentine qui cesse de pomper pour présenter ma bite à Julie. Un mouvement d'hésitation soudaine.

Clémentine agite ma queue dégoulinante à plusieurs reprises tout en montrant l'intérieur de sa bouche à Julie. Julie se rapproche pour regarder de plus près. Animée d'un soudain élan elle embrasse Clémentine qui n'a pas le temps d'esquiver. Julie l'en empêche en la prenant dans ses bras. Je regarde ces deux sublimes jeunes filles s'embrasser avec une soudaine passion. Je suis surpris par l'attitude de Clémentine qui se tourne franchement vers Julie pour fouiller sa bouche de la sienne. Elles échangent mon foutre. Je pourrais éjaculer à ce spectacle.

Clémentine s'arrache carrément de cette étreinte. Elle se lève. Comme terriblement gênée elle se dirige vers la cheminée. << Quoi ! Tu m'en veux ? >> s'écrie Julie en se levant pour la rejoindre. J'ai ce curieux sentiment de ne plus exister dans l'environnement des deux protagonistes. << Non, je m'en veux à moi ! >> lance Clémentine. Je débande. La situation me semble tendue Je me lève pour aller vers les étagères où je range mes dessins d'archives. J'entends soudain rire. Les filles sont dans les bras l'une de l'autre à rire aux éclats.

Julie doit nous laisser. Elle reviendra demain matin pour faire notre ménage. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Sous le parapluie. Assise au volant, la vitre baissée, Julie regarde ma branlette. Clémentine serrée contre moi. << Tu n'es pas fâchée ? >> demande Julie une dernière fois. Clémentine répond : << Non, pas du tout. Ne t'inquiète pas ! >>. Elle s'empare de ma queue pour l'agiter sous le nez de Julie qui y dépose une rapide bise avant de démarrer. Nous la regardons partir. Un dernier coucou avant de rentrer pour nous mettre au sec.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui découvrent un curieux sentiment après une expérience particulière...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2004 -



Nous retrouvons avec plaisir les rituels du samedi

Hier matin, samedi, il est presque huit heures. C'est Clémentine qui me tire du sommeil. Serrée contre moi, elle caresse mon cou. Elle descend doucement sa main sur ma poitrine, mon ventre, pour se saisir de mon érection. Le matin je bande toujours de façon totalement naturelle. C'est trop tentant pour la fille que j'aime. Elle adore glisser une cuisse sous les miennes, poser l'autre sur la main qui tient mon sexe. Se frotter contre ma hanche en posant ses lèvres contre ma joue. Elle s'offre ainsi le tout premier plaisir de cette nouvelle journée.

Cela ne dure guère car l'urgent besoin naturel prend rapidement le dessus. Mais c'est sans lâcher ma queue que Clémentine m'entraîne aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. L'intérieur de la maison est bien plus lumineux car il y a du soleil. Clémentine fait le café en me donnant ses impressions quand à l'attitude de Julie hier après-midi. Julie qui revient ce matin, d'ici une demi heure pour faire notre ménage. C'est surtout un adorable prétexte supplémentaire pour être auprès de nous. Auprès de Clémentine.

Julie est amoureuse de Clémentine. Tout en pressant les oranges, en pelant les kiwis, j'écoute avec beaucoup d'attention. Par association d'idées je me précipite dans le hall d'entrée afin d'ouvrir le portail depuis l'interphone. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le programme de la matinée. Nous mangeons de bon appétit lorsqu'il y a le bruit de la porte. Il n'est que huit heures vingt en Julie arrive déjà. Toute contente de nous revoir. Elle nous fait la bise. Ce matin ses cheveux sont en liberté. Elle porte un sweat sous sous blouson, un jeans.

Julie nous raconte sa reprise comme serveuse au restaurant de l'étang. Des nouvelles d'Anne-Marie sa tante avec qui elle entretient une relation sexuelle autant qu'amoureuse. << Allez faire votre jogging, je m'occupe de tout ! >> lance Julie quand nous nous apprêtons à débarrasser la table. Nous déposons chacun une bise sur son front avant de quitter la cuisine pour enfiler nos K-ways. Nous sortons. La fraîcheur matinale est vive. Quelques nécessaires mouvements d'échauffement avant de monter jusqu'à la route à petites foulées.

Ce matin encore nous pratiquons notre running en restant sur le bord de l'étroite route communale et déserte. Seul endroit où le sol est sec. Il est neuf heures trente quand nous revenons pour prendre notre douche. Nous retrouvons avec plaisir tous les bruits rassurants de la maison. On distingue même celui de l'aspirateur quelque part à l'étage. Nous ne traînons pas. Vêtus de nos jeans, de nos sweats, nous dévalons les escaliers pour sortir. Clémentine m'entraîne par la main pour traverser le jardin, entrer dans la maison d'amis. Souvenirs.

Nous regardons le canapé sur lequel était assis notre voisin. Je dis : << Je suis impatient de connaître cette surprise dont parlait monsieur Bertrand ! >>. Clémentine se blottit dans mes bras en faisant : << Moi aussi. Probablement encore un truc bien vicelard. À l'image du bonhomme ! >>. Le bruit d'un moteur. Nous sortons. C'est Danièle au volant de sa camionnette. Un nouveau véhicule pour livrer les fruits, les légumes et les produits frais. Elle nous fait un beau sourire en sautant de son Mercedes. Elle le contourne pour en ouvrir la porte arrière.

<< C'est beaucoup plus spacieux un Citan ! >> lance t-elle en déposant au sol le gros cageot débordant de fruits et de légumes. Celui contenant les fromages, les yaourts, les petits pots de crème fraîche, le beurre et les œufs. Danièle ne s'attarde pas. Jusqu'à 14 h elle a quantité d'autres clients à livrer. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous la saluons en regardant la camionnette flambant neuve remonter le chemin jusqu'au portail. Voilà le tube Citroën rénové de madame Marthe notre boulangère adorée qui descend.

Le tube Citroën semble ridiculement petit comparé au Citan Mercedes de Danièle. Madame Marthe toujours hilare. Malgré sa corpulence, elle saute avec une certaine agilité de son véhicule. Toute contente de nous revoir. De la porte latérale coulissante elle tire un cageot contenant nos deux grosses miches de pain complet et "Bio". La grande brioche ronde au pudding. Un "chinois bien doré. Deux pâtes feuilletées. << Cadeau de la maison ! >> fait encore la dame joviale en nous offrant deux beaux croissants aux amandes. Elle aussi n'a que peu de temps.

Nous la saluons pour la laisser partir. En portant nos cageots nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Dans le cellier, sur les étagères, nous déposons soigneusement les fruits et les légumes. Il n'y a pas d'endroit au monde où les choses se conservent mieux qu'ici. Dans le congélateur d'où je tire un paquet de moule, un paquet de haricots verts et un paquet de petits pois, je dépose une des deux miches. Les deux pâtes feuilletées. Nous remontons par l'escalier de la cave. Julie s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine.

Nous lui déposons un nouveau bisou sur le front avant de ranger nos produits frais dans le réfrigérateur. Nous la laissons à ses occupations pour passer au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Juste le message d'Estelle qui nous confie à quel point elle est impatiente de nous rejoindre cet après-midi. Clémentine change de position. Elle me tourne le dos pour se frotter sur ma braguette. << Tu me prends comme ça un de ces jours. J'ai beaucoup aimé quand Louis m'a baisé de cette façon l'autre jour ! >> dit elle. Nous rions.

Je réponds : << Oui mais monsieur Bertrand est possesseur d'une toute petite bite ! >>. Clémentine précise : << Comme je les aime ! >> Je rajoute : << C'est beaucoup plus facile de te l'enfiler par derrière que mon gros machin ! >>. Julie vient nous rejoindre. Elle sourit en découvrant la scène. J'ai les mains sur les tous petits seins de Clémentine qui se frotte. Nous éclatons de rire tous les trois. << Vous voilà avec une belle maison bien propre jusqu'à samedi prochain ! >> lance Julie. Clémentine se lève, contourne le bureau pour lui faire une bise.

Dans une petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50 euros pendant que Clémentine remercie Julie pour le ménage. Elle la tient par ses frêles épaules. Elle est toute petite avec son mètre soixante dix face au mètre quatre vingt deux de Clémentine. << Je te présente mes excuses pour mon attitude de hier, Clémentine. Je t'aime tu sais ! >> dit Julie d'une voix grave et sentencieuse. Je me lève pour les rejoindre. Je désamorce cet instant un peu solennel en tendant l'enveloppe à Julie. Clémentine en profite pour s'éloigner. Julie me remercie.

Elle a le réflexe de se précipiter dans mes bras en s'écriant : << Merci pour tout. Je passe tellement de bons moments grâce à vous. La galerie d'Art en été, les cours de peintures du vendredi, le ménage du samedi et les repas du lundi soir ! Merci ! Merci ! >>. Pour calmer tant d'ardeur je demande : << J'espère que tout va reprendre dès lundi ! On vous prépare un succulent repas ! >>. Julie, éperdue de reconnaissance se dresse soudain sur la pointe des pieds pour me faire une bise sur la bouche qu'elle atteint à peine avec mon mètre 88.

Il est onze heures quarante cinq. Nous raccompagnons Julie jusqu'à son auto. Pendant qu'elle s'installe au volant, je déboutonne la braguette de mon 501 pour en extraire le locataire. Je bande mou. Ce qui est beaucoup plus impressionnant pour Julie qui adore mon "tuyau d'arrosage" comme elle l'appelle affectueusement. Clémentine qui le découvre en même temps que Julie s'en empare immédiatement. Le tenant à sa base entre le pouce et l'index, elle l'agite sous le nez de Julie en disant : << Nous t'attendons tous les trois lundi soir ! >>.

Nous rions aux éclats. Pour renouer avec cette attitude assez récente, Julie penche la tête par la vitre baissée pour déposer une bise sur mon sexe. Elle démarre en disant à Clémentine : << Tu me pardonnes alors pour hier ! >>. Clémentine répond : << Je ne pardonne plus, je donne des gages. Je te donnerai le tiens lundi soir ! >>. Nous regardons la Clio rouge monter le chemin. Comme à chaque fois, arrivée au portail, Julie sort de sa voiture pour nous envoyer plein de bisous qu'elle souffle dans ses mains. Nous faisons des coucous, bras levés.

Morts de faim nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine me serre dans ses bras en s'écriant : << J'adore quand tu montres ta queue. Ça m'excite à chaque fois ! Je t'aime Julien, comme une folle ! >>. Nous nous embrassons fougueusement jusqu'à en avoir les mentons trempés de salive. Clémentine s'occupe de la salade. Une splendide laitue bien verte et bien grasse. Je verse le paquet de moules encore congelées dans le bouillon. Dans le wok je verse les sachets de haricots verts et de petits pois encore congelés. Ils dégorgent de la flotte.

Avec ce repas fort simple mais délicieux, nous renouons avec le dernier rituel du samedi. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le cas Julie. << Tu sais que j'ai de plus en plus envie de me "la faire" cette petite coquine ! >> me confie Clémentine. Devant mon expression de surprise, elle précise : << Rassure-toi, je ne deviens pas gouine. Je préfèrerai toujours les mecs. Non, c'est juste par vice. Pour en faire mon jouet sexuel. Ça te tente ? De toute façon, elle est hyper d'accord de devenir notre mascotte sexuelle à chaque nouvelle séance ! >>.

J'écoute les développements de Clémentine qui m'expose ses "plans". << Son gage de lundi soir sera de te tailler une pipe ! Moi, je m'occupe d'elle pendant ce temps. Tu vas voir. Je vous réserve quelques surprises ! Elle adore être enculée la petite salope ! >>. Je regarde Clémentine. Je suis toujours époustouflé par son expression lorsqu'elle évoque ses déviances. Ses yeux d'un bleu étonnement clair qui illuminent son visage d'ange aux traits fins et délicats encadré de ses cheveux noirs. Comme elle est belle, troublante et excitante.

Elle se lève pour s'assoir sur mes genoux. Encore un choc émotionnel pour mon vieux cœur que je sens battre dans ma poitrine. Je murmure : << Je t'aime Clémentine. Tu fais de ma vie un enchantement de chaque instant. Même quand tu n'es pas là, je reste sous le charme ensorcelant. Je t'aime comme un fou ! >>. Clémentine termine de mâcher, avale, pose sa fourchette et enfonce sa langue dans ma bouche. C'est divin de nous nettoyer les dents ainsi, en récupérant plein de reliquats non identifiables. C'est même terriblement excitant.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine évoque la journée de réunion des étudiants. C'est lundi. Je propose de l'y emmener le matin pour neuf heures. De la récupérer à midi, d'aller manger au restaurant, de la ramener pour 14 h et de la chercher à 17 h. << Génial ! On va carrément à la cafétéria de l'hypermarché, c'est à huit cent mètres de l'université ! Tu veux ? >> dit-elle. Je trouve l'idée excellente. Je profiterai de l'après-midi pour aller déposer les chèques de l'été à la banque. Pour passer chez Maître Robert mon notaire.

<< Tu auras un après-midi bien chargé toi aussi ! >> me fait Clémentine. Du bruit. Estelle jaillit soudain dans la cuisine en s'écriant : << Vous m'avez cruellement manqué ! >>. Elle est en avance d'au moins une heure. Elle se précipite pour venir nous faire la bise. Clémentine lui fait une place sur mes genoux, libérant une de mes cuisses sur laquelle s'assoit Estelle toute radieuse. << Une semaine sans se voir, c'est trop long, inacceptable ! >> lance t-elle en nous mitraillant le visage de bises. Elle nous raconte sa semaine avec ses parents, sa mamie.

<< Gauvain rentre ce week-end. Il m'invite au restaurant lundi soir ! >> dit encore Estelle. << Toi, doucement, tu tombes amoureuse ! >> fait Clémentine. Je rajoute : << À 25 ans, il serait grand temps de voler de tes propres ailes ! >>. Estelle éclate de rire. << Vous voulez vous débarrasser de moi, c'est ça ! Allez, avouez votre plan machiavélique ! >> s'exclame t-elle. Les filles se lèvent. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle insiste pour essuyer avec moi pendant que Clémentine fait la plonge. << Racontez-moi vous aussi ! >> dit Estelle.

Clémentine raconte ce qui s'est passé avec monsieur Bertrand mercredi dernier. << Tu t'es laissée baiser sans capote par ce vieux salaud ! Je ne te reconnais plus ! >> lance Estelle en glissant sa main dans ma braguette. << Oh tu sais, il n'a aucune autre distraction sexuelle depuis plus de dix ans. Il n'y a donc aucun risque. Et c'était génial de sentir frémir son tout petit poisson dans mon bocal. C'est superbe les toutes petites bites, ça ne fait pas mal ! >>. Nous rions aux éclats en terminant de ranger la vaisselle, la cuisine. Nous montons à la salle de bain.

Pendant que Clémentine et moi nous nous lavons les dents, Estelle déballe ses vêtements de change du sac de sport qu'elle emmène toujours avec elle quand elle vient. Pressés de filer, nous nous changeons. Il y a du soleil. La température extérieure est de 22°. Estelle et Clémentine portent une robe d'été. Mauve pour Estelle, Carmin pour Clémentine. Je suis en bermuda kaki et chemisette crème. Nous prenons la pose devant le miroir de l'armoire. Je suis entre mes deux anges. Elles s'accroupissent en même temps en me tenant les jambes.

Toutes les deux, cuisses largement écartées, me montre l'absence de culottes. Cela ne fait que quelques mois qu'Estelle n'en porte plus quand elle est en jupe ou robe. Je la félicite. Elles appuient leurs têtes contre mes hanches pour s'admirer. Je caresse leurs cheveux. Estelle glisse sa main dans ma braguette pour en sortir le locataire. Je bande mou. Elles rapprochent leurs visages. << Prend une photo Julien ! >> dit Estelle en attrapant son téléphone sur le lit avant de revenir prendre sa position. Clémentine dissimule son visage sous ses cheveux.

Je prends quelques clichés exclusivement destinés à l'usage privé. << J'ai fait le montage des petits films cochons que nous avons fait en Écosse ! >> lance Estelle. << On se fait une soirée cinéma la semaine prochaine ? >> s'écrie Clémentine. << Mardi soir, ça vous dit ? >> propose Estelle. Ce sera mardi soir. Nous nous réjouissons car Estelle est une spécialiste des montages vidéos. << Ce sera notre quinzième film en cinq ans ! >> précise t-elle. << Tu vas les montrer à Gauvain ? >> demande Clémentine. << T'es folle, jamais ! >> lance Estelle.

Nous dévalons les escaliers pour sortir. Il fait bon, doux et agréable. Je propose de prendre la voiture pour aller en ville. << Quelle curieuse idée ! >> s'écrie Estelle en tenant ma queue en plein milieu du jardin. Par précautions nous restons sur les dalles de grès. Le sol est humide. << Oui, on va faire les fous en ville ! >> lance Clémentine. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en revenant sur la baise avec notre voisin. Estelle pose tout un tas de questions. << Baise avec lui tu vas voir, il s'est s'y prendre pour un vieux ! >> dit Clémentine.

Estelle, assise à l'arrière, caresse mes joues. Quand elle cesse pour s'installer confortablement, je regarde dans le rétroviseur. Elle écarte ses cuisses pour me montrer sa foune poilue. Elle se touche en me faisant d'adorables sourires. Une fois encore je suis étonné par sa ressemblance avec Clémentine. Tout le monde les prend toujours pour des sœurs. Il y a 25 bornes jusqu'à la ville. << Et si on allait au port de plaisance ? >> lance soudain Estelle qui revient caresser mon cou. Elle me fait toujours sentir ses doigts. Ça sent la moule. Le jus de fille.

L'odeur du sexe d'Estelle m'a longtemps révulsé. Une odeur forte. Un goût fort. Mais depuis quelques années c'est devenu un véritable bonheur. Elle fourre ses doigts dans ma bouche comme elle les fourre dans sa chatte. Clémentine se penche sur sa droite, trop excitée par ce que fait Estelle. Elle se met à me sucer. Je roule prudemment. C'est samedi, la circulation est dense. Au carrefour de l'université je prends à gauche. Direction le port de plaisance. Par la route il y a environs 35 km. Par la piste cyclable seulement vingt cinq bornes. C'est sympa.

Je gare l'auto sur le parking de la supérette. Il y a du monde. Beaucoup de touristes encore. De nombreux plaisanciers car les quais sont plein de bateaux. Nous apprenons que le second vide grenier de l'année aura lieu dimanche prochain, 18 septembre. Nous ne voulons pas rater cette festivité. Clémentine en prend note dans son téléphone. Nous descendons sur les quais. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par le bras. Nous attirons encore bien des regards. D'une certaine manière nous avons l'impression d'êtres encore en Écosse.

Clémentine est entrain d'organiser notre voyage en Angleterre. Même si je suis écossais, je suis également sujet de sa majesté la Reine qui vient de mourir à 96 ans. Pour nous, anglo-saxons, la Reine est une icône. Elle est dans notre paysage depuis toujours. Dans mon salon il y a un magnifique portrait de la Reine Élisabeth en costume d'apparat. Clémentine l'admire souvent en disant : << La Reine assiste à nos cochonneries avec son flegme britannique habituel ! >>. Nous voulons aller à Londres pour les funérailles nationales. Aucune date encore.

Estelle que tout cela indiffère éclate de rire en disant : << Je viens avec mais je me fout de la Reine comme de mon premier tampon ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine aimerait bien s'offrir les frissons d'une petite exhibe. Hélas, avec le monde qu'il y a sur le port, ce serait insensé. Dangereux même car il y a des gendarmes qui se baladent. << Ils prendraient l'emprunte de ta chatte. Tu t'imagines assise sur la vieille photocopieuse de la gendarmerie ! >> lance Estelle. Les pans de ma chemisette masquent ma braguette béante.

Nous nous offrons des cônes glacés que nous savourons en flânant. Estelle revient sur la baise de Clémentine, mercredi dernier avec Louis. Je propose qu'elle reste cachée avec moi dans le placard vendredi prochain pour mâter. Clémentine précise : << Tu oublies qu'il y aura probablement déjà Julie cachée avec toi ! >>. Nous rions de cette éventualité certaine. << Mais je reste avec toi. Je veux baiser avec ce type moi aussi ! >> s'écrie Estelle. Je dis : << Tu auras baisé avec ton parrain mercredi soir et avec moi jeudi soir ! >>. Éclats de rires.

<< J'ai baisé avec Jean-Marc mercredi dernier. Mon parrain m'a mis à la fête le salaud. J'en ai encore la chatte congestionnée ! >> s'exclame Estelle. C'est dans cette ambiance loufoque que nous montons jusqu'au vieux cimetière au sommet de la colline. C'est un haut lieu touristique. Là non plus il est impossible pour Clémentine de s'offrir les frissons d'une exhibe. Plein de familles. Les gamins ont repris l'école et c'est leur premier week-end. Inutile d'espérer trouver un "plan". C'est frustrant. Surtout qu'Estelle aimerait bien s'amuser aussi.

Nous avons remarqué cet été, en Écosse, que les joies de l'exhibe de qualité devenaient doucement un des plaisirs d'Estelle. À l'école de Clémentine. Il est presque dix huit heures quand nous revenons sur le port. Je suggère de manger au restaurant au bout de la jetée. Hélas, il n'y a plus une place de libre. << Et si on faisait la surprise à Julie de venir manger au restaurant de l'étang ? >> propose Clémentine. << Oh oui, j'aimerais bien la revoir Julie ! >> s'écrie Estelle. Clémentine téléphone immédiatement. << C'est OK ! >> lance t-elle en raccrochant.

Je roule doucement. Au carrefour de l'université je prend la direction du hameau. Il y a une dizaine de kilomètres. Je gare l'auto sur le parking. Il est dix neuf heures. Nous aimons faire le tour de l'étang. C'est un aménagement romantique. "Hollywoodien" comme le dit souvent Clémentine. Il est fort probable que depuis une des fenêtres du restaurant Julie nous aperçoit. Quelques minutes et elle se précipite à notre rencontre. Vêtue de sa tenue de serveuse. Jupette noire, chemisier blanc, petit tablier blanc en demi lune. Des souliers à talons.

Son visage est illuminé de joie. Julie est à la limite des larmes. Ses yeux sont humides. << Mais comme c'est génial ! Quelle merveilleuse surprise ! >> s'exclame t-elle en attrapant les bras d'Estelle et de Clémentine. Notre table nous attend. Près de l'escalier qui descend aux toilettes. Notre table habituelle. Anne-Marie, toute souriante vient nous saluer. La patronne du restaurant de l'étang ne cache pas sa joie de nous revoir. Je dis : << Depuis le temps que nous vous invitons à venir manger à la maison ! >>. Anne-Marie répond : << Le temps ! >>.

Elle rajoute : << C'est le temps qui me manque. Quand vous dirigez un établissement gastronomique, c'est le temps qui vous manque ! >>. Nous comprenons. Les deux salles sont noires de monde. Nous sommes dans un restaurant en France. C'est beaucoup plus bruyant qu'un restaurant en Écosse. Nous en prenons toute la désolante mesure. Julie fait le service. Elle est adorable. Nous la regardons circuler entre les tables. Sa collègue Camille, jeune étudiante également, est toute aussi active. Il y a 28 tables et toute occupées. Il y a donc du travail.

Estelle m'entraîne aux toilettes. Enfermés tous les deux dans un des cabinets des WC hommes, nous nous livrons à nos rituels pisseux. Je la baise en levrette. Depuis cet été en Écosse, c'est devenu une composante de nos "visites" aux chiottes. Puis c'est au tour de Clémentine. Sous le regard interrogateur de certains clients. Sous le regard amusé d'Anne-Marie qui est une fervente membre du même "Club". Sur les conseils d'Estelle et de Clémentine, je descends une cinquième fois aux WC mais seul. Tous mes sens aux aguets j'écoute en me branlant.

Je reconnais le bruit des pas qui dévalent l'escalier. La résonance évoque celle d'une cathédrale. La porte s'ouvre. Julie se précipite pour me saisir par la taille. << Je pense à ça tous les soirs quand je bosse ici après les cours à la fac ! >> dit elle. Julie n'a que peu de temps. Elle est attendue en salle. Elle ne peut absolument pas s'offrir une seconde supplémentaire. << Merci d'être venue. Merci pour tout Julien ! >> lance t-elle encore avant de remonter en courant. Je rejoins Estelle et Clémentine. L'addition. Il est 22 h. Il est temps de rentrer. Fatigués.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire nettoyer la chatte sous les draps avant de s'endormir la bouche pleine de sperme...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2005 -



Un dimanche à la fête des rues du bourg

Hier matin, dimanche, il est presque neuf heures. Je suis entre mes deux anges qui sont restées serrées contre moi toute la nuit. J'adore les sentir se frotter contre mes cuisses. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Quand elles posent leurs lèvres sur mes joues. Cette fois encore Clémentine devance Estelle en saisissant mon érection naturelle la première. Estelle empoigne mes couilles. C'est un concerto de gémissements. Je passe mes bras autour de leurs épaules pour les serrer encore plus fort. Estelle, n'en pouvant plus, s'écrie : << Pipi ! >>.

Elle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine me chevauche pour frotter son sexe sur le mien. Elle murmure : << C'était bon hier soir avant de dormir. Encore ! >>. Nous rions. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. L'intérieur de la maison est lumineux car il fait un temps magnifique. Un ciel bleu, du soleil. Morts de faim, en slips et en T-shirts de nuit nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans l'odeur du café elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Des bises.

<< C'était miam hier soir ! Ça ma manqué toute la semaine ! >> dit elle lorsque je la dépose au sol. C'est au tour de Clémentine qui vient de presser les oranges. Je pèle les kiwis. L'odeur du pain grillé se mêle à celle de la brioche qui trône au milieu de la table. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier. La soirée au restaurant. Julie toute heureuse de nous y voir. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de l'après-midi. Estelle nous apprend qu'il y a la fête des rues au bourg. Une fête annuelle.

Nous traînons à table. Le dimanche pas d'entraînement. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évoquent leur journée de demain. Elles ont deux réunions à l'université. Une le matin, l'autre l'après-midi. J'emmènerai et je chercherai Clémentine. Puis elles seront libres toute la semaine jusqu'au lundi 19 septembre. Début des cours de préparation aux épreuves du Doctorat. << On profite de nos jours de libre et un maximum ! >> lance Estelle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. On remonte.

Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. On s'habille. Les filles portent une robe d'été. Mauve pour Estelle, carmin pour Clémentine. Cintrées à la taille et s'évasant jusqu'à mi-cuisses. Elles sont hypers sexys toutes les deux. Elles le savent et adorent en jouer. Sur leurs demandes je suis en bermuda et en chemisette. << Braguette ouverte toute la journée ! >> lance Estelle qui s'accroupit pour me l'ouvrir. Les pans de la chemisette masquent totalement l'ouverture. << Parfait ! >> dit Clémentine.

<< On libère toutes nos pulsions aujourd'hui ! Ça vous tente ? >> demande Clémentine qui vient se frotter sur ma cuisse. << Accordé ! >> répond Estelle qui vient faire pareil avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Je bande presque immédiatement. Clémentine sort ma queue en disant : << Put-Hein mais comme j'aime la bite ! >>. Nous éclatons de rire. Pressés de profiter de cette météo extraordinaire, nous sortons. Même si la température n'est encore que de 20° il fait déjà très agréable en restant au soleil. Nous descendons à la rivière.

Les filles restent accrochées à mon bras. Nous admirons les colverts, les poules d'eau et les canards qui semblent nous faire la fête. Avec les chaleurs de l'été plein de feuilles jonchent le sol. Un peu comme pour un automne précoce. Nous longeons la rivière sur le sentier. Estelle marche devant. Quand elle se retourne pour me faire une bise, je fais pareil avec Clémentine qui marche derrière moi. Le sol est encore humide par endroit. Comme il est rocailleux il est facile d'éviter les endroits boueux. J'écoute les filles parler de leurs concours proches.

Elles sont optimistes. Un concours est beaucoup plus aléatoire qu'un examen. Car ce ne sont que les meilleurs qui passent entre les mailles du filet. Elles sont prêtes, affutées et aptes aux combats. Les épreuves se dérouleront sur plusieurs jours. Nous rebroussons chemin pour revenir sur nos pas. Au bas du chemin qui remonte à la propriété il y a monsieur Bertrand. Notre voisin vient nourrir ses amis à plumes. Il nous voit. Un large sourire. Nous nous saluons. J'apprécie beaucoup son côté "comédien". Ce vieil hypocrite cache toujours si bien son jeu.

Nous bavardons comme si jamais il ne s'était passé quoi que ce soit entre Clémentine et lui. Il ne se doute pas un seul instant que je sais tout. << On se voit vendredi pour le café ? >> dit Clémentine. Louis s'empresse de répondre : << C'est mon anniversaire le 16 septembre. J'aurai 68 ans ! Venez plutôt dans mon jardin ! >>. Rusé et adroit je me dépêche de préciser : << Vous m'excuserez Louis mais il me sera totalement impossible d'être avec vous ! >>. Le vieux coquin prend une mine dépitée pour dire : << Oh quel dommage. C'est triste ! >>.

<< Je peux venir ? J'emmène des petits gâteaux ! >> lance Estelle. << Vous n'emmenez rien du tout. Ce sera une joie de vous savoir là Estelle ! >> fait encore le retraité vicelard. << J'aurai ma surprise ? >> s'écrie Clémentine. C'est là, à cet instant précis que je découvre cette lueur particulièrement vicelarde dans le regard du vieux chameau. Il répond : << Plutôt deux fois qu'une ! >>. Il prend un air mystérieux pour répéter une seconde fois la même phrase. Nous le laissons à ses canards pour remonter. Il commence à faire faim.

Tout en préparant la salade Clémentine nous donne ses impressions. << S'il nous invite dans son jardin c'est qu'il est tout seul à la maison. Sa femme est probablement chez sa vieille mère ! >> analyse t-elle. << Où chez sa frangine au bourg ! >> rajoute Estelle qui fait dorer les pavés de saumon dans la poêle. Je fais cuire les courgettes et les aubergines dans le wok. Une préparation rapide mais qui s'annonce déjà délicieuse. Nous mangeons de bon appétit en essayant de percer le secret de la surprise que prépare le voisin. << Vicelard ! >> dit Estelle.

Elle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. << Tu te le suces cette fois ? >> demande Clémentine. << Depuis le temps que tu vantes le gout de sa bite, je vais tenter la pipe ! >> répond Estelle. Je bande comme le dernier des salauds à l'écoute des échanges de mes deux anges. Ça fait une demi heure que ce vieux salaud reste le centre de la conversation. Je me lève pour agiter ma queue. << On en a deux des vicelards dans les environs ! >> lance Estelle qui contourne la table pour saisir mon sexe dur comme le bois.

Elle l'agite en direction de Clémentine en disant : << Ta préférence ? >>. Clémentine répond : << J'aime la bite à Julien car c'est celle de mon homme. Mais j'adore celle de Louis. De toutes façons, plus elles sont dégueulasses plus j'en raffole ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Estelle revient s'assoir en précisant : << Et tu t'y connais en bites dégueulasses. Tu as gouté à toutes celles de la région ! >>. Nous terminons le repas en riant aux éclats. Clémentine conclue : << Il faut que je goute à toutes celles que je ne connais pas encore ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de filer, nous restons vêtus comme nous le sommes pour descendre les escaliers à toute vitesse. Nous hésitons. Le bourg est à un peu plus de trois kilomètres. << On y va à pieds par la piste cyclable, ça vous tente ? >> propose Clémentine. << Super ! >> lance Estelle. Nous redescendons jusqu'à la rivière pour la traverser sur l'étroite passerelle. Toutes les deux s'accroupissent pour vérifier si ma braguette est bien ouverte. Estelle sort ma queue. Je bande mou.

Nous longeons la forêt. Cinq cent mètres et nous voilà sur la piste cyclable. Il y a quelques cyclistes qui viennent du bourg. Par contre nous croisons des promeneurs et nombre de familles en balade. Les filles me tiennent par la main. Nous attirons encore évidemment bien des regards. J'ai remballé ma bite mais ma braguette, cachée par les pans de ma chemisette, reste béante. Personne ne s'en doute. Une petite demi heure et nous arrivons au bourg. C'est comme un jour de braderie. Il y a des stands partout. Pas trop de monde. C'est supportable.

Estelle précise : << On est connues dans le village Clémentine, alors prudence, réserve et discrétion ! >>. Clémentine répond : << Cela va de soi ! >>. Nous rions de bon cœur. Le "plan" qu'aime mettre en application Clémentine est simple mais redoutablement efficace. Il y a des stands où les particuliers vendent toutes sortes de choses. Des professionnels aussi. Souvent dans des caisses en plastiques posées à même le sol. Il suffit alors à Clémentine de bien observer qui regarde. Elle s'accroupit devant une des caisses pour fouiller, observer, trier. Choisir.

Cette fois encore une belle opportunité se présente. Un barbu, style biker américain, vend toutes sortes de choses insolites. Allant des blousons en cuir "Harley-Davidson" aux T-shirt AC/DC en passant par quantité de vieux 33 tours vinyles. << Le client idéal ! >> chuchote Clémentine en nous laissant. Estelle reste à mon bras. Nous faisons semblant de regarder les bijoux au stand voisin. Clémentine, accroupie devant une des caisses, regarde les pochettes de disques. Le barbu chevelu a remarqué cette sublime jeune fille aux cuisses écartées.

Mais a t-il déjà remarqué qu'elle ne porte rien sous sa robe ? Certainement ! Car il s'accroupit lui aussi pour faire semblant de ranger des trucs. Afin de mieux voir. Et il doit se rincer l'œil. Clémentine tourne le dos aux passants. Personne ne pourrait se douter un seul instant de ce qu'elle fait. Estelle murmure à mon oreille : << Regarde le mec, il va se déboîter les globes oculaires ! Les yeux vont lui tomber ! >>. C'est là que je remarque que discrètement le "biker" se palpe la bosse au travers le cuir noir de son pantalon de motard. Je le comprends.

Seule Clémentine peut voir ce qu'il fait à présent qu'il est assis derrière un des tréteaux. Il y a des fringues posés dessus. Ce qui cache très bien ce qu'il "bricole". << C'est un vicelard, un spécialiste, regarde, il sort sa queue ! >> chuchote Estelle à mon oreille. La dame qui vend les bijoux nous dit : << Si vous voulez un renseignement, n'hésitez pas ! >>. Nous la remercions. Estelle balance un mensonge en lançant : << Non merci, c'est gentil mais on adore regarder ! >>. Si cette dame pouvait se douter de ce que nous regardons. Nous rions en secret.

C'est vrai, le mec "cuir" vient de sortir sa queue. On ne la distingue que par instant. Par contre, face à Clémentine qui lui montre sa chatte, il expose son "machin". Deux exhibitionnistes qui se font face. Un grand moment de vice. Le type est adroit et agile. Comme le précise une nouvelle fois Estelle, c'est un "spécialiste". Clémentine, à la limite de l'ankylose se redresse. Elle adresse un merveilleux sourire au mec avant de s'en aller. Elle passe tout près de nous en lançant : << Superbe queue ! >>. Elle fait quelques pas avant de revenir. C'est génial.

Les vraies vicieuses reviennent toujours. Clémentine reprend sa position devant la même caisse. Le type est debout entrain de bavarder avec un copain ou un client. Il vient de voir la belle exhibitionniste accroupie au même endroit. On le devine frustré. Il y a une jeune femme qui rejoint les deux hommes. Clémentine comprend bien que sa nouvelle exhibition est compromise. Elle nous rejoint devant le stand des pâtisseries. Surprise. Voilà Yvan et Michèle, les parents d'Estelle avec un couple d'amis. Les présentations. Nous bavardons un petit moment.

Nous reprenons notre promenade. Clémentine, bien "allumée", cherche désespérément un autre "plan". Ce n'est pas simple de trouver un stand présentant la bonne configuration. << On retourne chez le hard rocker ! >> propose Clémentine. Hélas, en revenant au stand "cuir" il y a tout un tas de motards avec leurs compagnes blondes et sexys. << Tant pis ! >> lance Clémentine dépitée. Nous savourons des cônes glacés en reprenant lentement le chemin du retour. Estelle propose de revenir par la forêt. << On peut s'y amuser ! >> lance t-elle.

Entre mes deux anges, avec ma bite à l'air, nous marchons dans les sous-bois. Plein de feuilles jonchent le sol. Quand nous croisons des promeneurs, Estelle ou Clémentine me prennent dans leurs bras pour cacher ma queue. Nous croisons une fois encore une jeune cavalière. Estelle s'accroupit rapidement. Clémentine me tient le sexe. La jeune cavalière passe à une trentaine de mètres. Elle a un sourire amusé en tombant sur cette scène plutôt insolite. Clémentine raffole de ce genre de situation. La jeune cavalière a probablement vu mon érection.

Elle nous adresse un signe de la main avec un merveilleux sourire avant de s'éloigner. Comme souvent avec les jeunes filles qui assistent à ce genre d'évènements" elle se retourne un peu plus loin. Estelle entrain de me sucer. Clémentine qui lui fait un signe amical de la main. Surprise. La jeune cavalière lève également sa main pour nous faire un coucou. Elle se retourne ainsi une bonne dizaine de fois avant de disparaître définitivement derrière les bosquets. J'éjacule dans la bouche d'Estelle qui pousse un râle d'étonnement et de dégustation.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent les situations à risques, les "plans" exhibes, les rencontres fortuites et insolites...

Julien



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La rentrée universitaire

Hier matin, lundi, il est six heures trente. C'est l'application "océan" qui nous tire de nos profonds sommeils. L'illusion de nous réveiller dans un petit port quelque part en Écosse. Douce impression. Clémentine se serre encore plus fort. Quelques bisous, quelques papouilles. Il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Il fait encore nuit. C'est un peu sinistre de devoir allumer les lumières. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse nos oranges, je pèle les kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier. La difficulté qu'avait Estelle à nous laisser vers vingt deux heures pour rentrer. Le lundi matin il reste toujours de la brioche. Nous mangeons de bon appétit en faisant le timing de la journée. Nous ne traînons pas. Nous remontons nous laver les dents avant de redescendre. On enfile les K-ways pour sortir. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur du jour naissant. C'est sur le bord de l'étroite route communale que nous pratiquons notre jogging.

Il est huit heures quand nous revenons pour prendre la douche. Clémentine porte une de ses jupes de velours carmin, un chemisier crème sous un fin pull de coton brun. Je suis en jeans et sweat. Dans l'atelier Clémentine récupère ses affaires déjà réunies. C'est sans êtres pressés par l'horaire que nous pouvons tout préparer. Dans la pochette de cuir je fourre la liasse de chèques à déposer à la banque. Clémentine se blottit dans mes bras pour me confier la joie de retrouver l'université, certains collègues étudiants. Même si ce n'est que pour aujourd'hui.

Nous sortons. Le ciel est lumineux. Le soleil se lève doucement. Il est huit heures trente. On est dans les clous. Je roule doucement. Clémentine, tout en fourrant sa main dans ma braguette me confie ses ressentis. << Mon doux "Maître", m'offrez-vous une séance de "dressage" dans les tous prochains jours ? J'en ai cruellement besoin vous savez ! >> lance t-elle. Je promets de faire le nécessaire : << Ma douce "Soumise", je vous réserve de merveilleux moments ! >>. Posant sa tête sur mon épaule elle dit encore : << Je vous aime ! >>.

Il y a une vingtaine de minutes jusqu'à l'université par la route communale. Il y a du monde. Des parents venus conduire leurs filles et leurs fils. Certains vont même assister à cette réunion d'informations. Je m'arrête sur le parking pour prendre Clémentine dans mes bras à côté de l'auto. Estelle est déjà là à discuter avec Gauvain. Elle nous fait un grand signe. Nous traversons la route pour les rejoindre devant les grilles du grand portail largement ouvert. Trois bises "neutres". Estelle ne veut donner aucune "information" quand à la nature de nos relations.

Je serre la main de Gauvain que je revois avec plaisir. Il est plus grand que moi avec son mètre quatre vingt douze. C'est un véritable athlète. Sa mèche blonde rebelle et ses yeux d'un bleu d'acier lui confèrent un côté acteur Hollywoodien. Clémentine me fait un dernier bisou sur la bouche. Je les regarde entrer dans le petit parc puis monter le large escalier. Clémentine et Estelle se retournent une dernière fois pour m'adresser un coucou. Je n'ai que deux kilomètres à faire pour me rendre à mes rendez-vous. D'abord la banque pour 9 h15.

Monsieur Bertoldi, le directeur, me reçoit dans son bureau. Nous bavardons longuement en évoquant nos vacances. Je lui remets la vingtaine de chèques. Nous nous connaissons depuis ses prises de fonctions dans l'établissement bancaire. Il y a douze ans. Passionné de bateaux il passe chaque année avec sa famille deux semaines sur son grand voilier. Il a plein de choses à raconter. Nous étudions mes différents comptes. Les virements réguliers qui sont effectués sur mes comptes en Écosse. En parfaite légalité puisque je suis écossais. Tout baigne.

Il est presque dix heures quand nous nous saluons. Je gare la voiture sur le parking où se trouve mes deux autres rendez-vous. Le premier avec Maître Robert mon notaire. Nous sommes toujours très heureux de nous revoir. Dans son bureau, derrière lui, une des premières toiles qu'il m'a acheté il y a quinze ans. Mon ami notaire me montre la photo du salon où il a accroché sa dernière acquisition. Le tableau qu'il m'a acheté il y a deux mois et demi, au vernissage. Nous bavardons. Nous passons en revue mes différents projets immobiliers. Tout baigne.

Il est presque onze heures quand nous nous saluons. Je n'ai qu'un étage à descendre pour retrouver son frère Philippe qui est mon comptable. Lui aussi est un de mes collectionneurs. C'est également une joie de nous revoir. Nous échangeons à propos de nos vacances. Quand nous en arrivons à mes affaires, devenant soudain sérieux, il me fait : << Julien, il faut dépenser de l'argent. Sinon c'est le fisc qui va se poser des questions et vous en prendre encore davantage ! >>. Nous éclatons de rire. Il y a un fond de vérité bien française dans cette boutade.

Philippe, expert comptable, s'occupe de mes affaires depuis une quinzaine d'années. Il me conseille pour des placements. Il s'occupe également de mon patrimoine immobilier avec son frère. Je suis un excellent client. Philippe évoque la vente des deux immeubles dont je désire me défaire avant de m'installer d'ici deux ans en Écosse. Deux immeubles résidentiels. Deux fois douze appartements de haut standing. Il y a quelques clients fortunés qui sont intéressés. Dans ce domaine les négociations son âpres. Mais je ne négocie pas !

Il est aux environs de 11 h30 quand nous nous saluons. Philippe me raccompagne en me présentant ses deux nouvelles employées. Des jeunes femmes ravissantes. C'est qu'il sait s'entourer de collaboratrices attractives autant qu'efficaces. Je n'ai que le temps de retourner chercher Clémentine. J'arrive à l'heure. Dans le flot des étudiants qui sortent de cours il y a Clémentine qui me fait un grand coucou. Estelle, la haute silhouette de Gauvain. Nous les laissons car Gauvain a invité Estelle à manger chez lui. Pour lui présenter ses parents. Au revoir.

Clémentine s'accroche à mon bras pour m'entraîner jusqu'à la voiture. Nous attirons évidemment bien des regards. Non, je ne suis pas le papa de cette étudiante. Et pour bien situer les choses, à chaque fois qu'elle salue une collègue ou un collègue étudiant, elle me fait un bisou. << On mange à la cafète ! Tu veux ? >> lance t-elle en s'asseyant dans la voiture. Je trouve l'idée un peu saugrenue. Clémentine me déboutonne la braguette en rajoutant : << On s'en fout ! J'ai besoin de te raconter plein de choses et c'est juste à côté ! >>. Très bien.

C'est devant une paella que Clémentine me raconte sa matinée. Il y était question de tous les détails concernant la préparation au concours du Doctorat. Les dates sont arrêtées depuis aout. Les épreuves se dérouleront du mercredi 12 octobre au vendredi 14 octobre. La dernière épreuve le lundi 17 octobre. Les résultats arriveront sous huit jours. Les cours reprendront le mercredi 2 novembre. << Plein de vacances en perspective ! >> lance t-elle en prenant mes mains. Je propose quelques escapades en amoureux. Trois jours par là, deux jours par ci...

Mais Clémentine avec son sérieux habituel désire se consacrer à toutes ses préparations. Le Doctorat est la toute dernière ligne droite avant sa vie professionnelle. Elle y revient à plusieurs reprises pour marquer à quel point tout cela est de la plus haute importance. J'écoute. << Tu as fait de ma vie un bonheur de chaque instant. Grace à toi j'ai fait mes études dans des conditions idéales et de rêves. Tu me comprends tellement bien. Tu es si attentionné. Je veux réussir cette dernière épreuve pour nous deux. Ce sera ta récompense aussi ! >> dit elle.

Je comprends un peu mieux. Je l'assure de ma présence de chaque instant jusqu'à l'obtention de ce dernier diplôme. << Offre-moi des moments de "dressage". J'en aurai beaucoup besoin pour me booster ! >> rajoute t-elle encore. Je promets d'être à la hauteur de toutes ses attentes. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale de l'hypermarché lorsque la musique imbécile de mon téléphone retentit. Clémentine le tire de la poche de ma veste. << Julie ! >> s'écrie t-elle en mettant sur haut parleur. Julie ne pourra pas venir ce soir.

Pour elle aussi c'est la rentrée universitaire aujourd'hui. Elle préfère se consacrer entièrement à ses préparatifs. À ses parents qui la seconde au mieux. Clémentine la rassure. Julie nous informera dès qu'elle sera à nouveau sereine et disponible. Sans doute vendredi après-midi. Clémentine l'informe que notre voisin fête son anniversaire et qu'elle marquera le "coup". Nous entendons Julie rire avant de dire : << Un super coup ! >>. Nous rions de bon cœur. Il est temps de ramener Clémentine à l'université. Il est presque 14 h quand je la dépose.

Estelle me fait un grand coucou depuis le haut de l'escalier. D'un geste rapide elle lève le pouce de sa main droite. Clémentine me fait un dernier sourire. Je prends la direction de la maison. Cet après-midi nous nous faisons livrer en fioul. D'ailleurs à 14 h20 quand je suis de retour le camion citerne Bolloré est déjà garé derrière la maison. C'est toujours le même livreur depuis cinq ans. Il connait bien les lieux. Je le salue. Il m'explique qu'il emplit la seconde cuve car la première est pleine. Deux fois 15 mètres cubes. De quoi tenir cinq hivers au moins.

Je préfère anticiper sur les évènements. On nous promets des récessions. Je ne connais pas les problèmes de budget mais il y a toujours d'éventuels soucis de disponibilité, d'approvisionnement et de livraison. Comme pour le bois, nous avons de quoi affronter au moins cinq hivers. Je suis dans l'atelier. Je classe quelques documents ramenés de la banque de chez mon notaire et de chez mon comptable. Je ne laisse jamais rien en suspend. Je ne supporte pas de laisser des choses dans le flou. Tout est soigneusement rangé, inventorié, classé.

Il est rapidement 16 h30. Du tiroir du bas du bureau, je tire le collier canin, le foulard en soie et la laisse. Me voilà en route. J'arrive devant l'université un peu avant 17 h. Clémentine, Estelle et Gauvain sont parmi les premiers étudiants à sortir du bâtiment. Nous saluons Michèle et Yvan, les parents d'Estelle qui sont venus assister à la réunion de l'après-midi. Estelle me fait un discret clin d'œil. Formant un cercle avec son pouce et son index de la main gauche, elle y passe l'index de la main droite. C'est rapide, discret, seuls Clémentine et moi l'avons vu.

Nous voilà dans la voiture. Clémentine pousse de profonds soupirs avant de s'écrier : << Ouf ! Terminé ! Je suis peinarde jusqu'à lundi prochain. Les cours de préparations commencent le 19 septembre pour terminer le vendredi 7 octobre ! >>. Je roule doucement. Je prends la petite route communale. Je m'arrête près de l'arrêt du bus. De la boîte à gants je tire le foulard que je noue au cou de Clémentine. J'y mets le collier canin. J'y fixe la laisse. Dans des petits cris de ravissements, Clémentine extirpe ma queue avant de me la sucer pendant la route.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment êtres promenées à la laisse. Qui aiment les douces frayeurs d'une "Soumission" souhaitée...

Julien



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Le petit monde de Clémentine et de Julien
Wednesday 14 September 2022 07:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2007 -



Les vacances se prolongent encore un peu

Hier matin, mardi, il est presque neuf heures. Clémentine vient se blottir contre moi en murmurant : << Bonjour mon doux "Maître" ! >>. Encore dans un demi sommeil, je passe mon bras autour de son épaule pour la serrer davantage encore. Elle saisit mon érection naturelle en rajoutant : << Comme c'était bon hier soir ! >>. Clémentine fait allusion à nos jeux du "Maître" et sa "Soumise". J'ai fait du mieux possible pour endosser le rôle qui m'est souvent demandé. L'impérieux besoin naturel ne nous laisse d'autres alternatives que de courir aux toilettes.

Morts de faim, dans nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. L'intérieur de la maison est lumineux car dehors il y a du soleil. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant amusé. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. Clémentine adore être promenée à la laisse, baisée à la laisse. Même si je n'ai absolument pas l'âme d'un "Maître"", je m'en sors plutôt bien. Et souvent avec les félicitations de mon authentique "Soumise" qui elle ne joue pas un rôle.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine revient sur sa journée de réunion à l'université. C'était instructif. Elle évoque un autre maître. << Nous aurons un maître de thèse pour plusieurs étudiants. Il saura nous guider sur le chemin ardu du Doctorat ! >> explique t-elle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pressés d'aller courir, nous redescendons à toute vitesse. Il fait étrangement lourd. Il n'est que 9 h30. Quelques mouvements d'échauffement.

Cette fois nous pouvons pratiquer notre heure de running le long de la rivière. Le sol a séché. Un véritable plaisir. Il est dix heures trente quand nous revenons pour prendre notre douche. Clémentine porte une robe d'été fuschia à motifs floraux pastels. J'ai noué ses cheveux en tresse. Une longue natte qui tombe au milieu de son dos. Elle adore quand je la coiffe. J'ai une patience infinie pour m'occuper d'elle. Nous passons dans l'atelier. Assise à sa table de travail, Clémentine ouvre plusieurs classeurs. Elle met au propre toutes les notes prises hier.

J'étudie les photographies cédées par les commanditaires des futures toiles. Comme toujours ce sont des demandes précises. Tableaux de familles. Leurs maisons qu'ils demandent souvent de placer dans un cadre plus idyllique encore que dans la réalité. Même si la peinture reste ma passion première, chaque année à la même période j'ai beaucoup de mal à m'y mettre. Je viens me placer derrière clémentine qui tape sur le clavier de son ordinateur en m'expliquant ce qu'elle écrit. J'ai mes mains sur ses épaules. Penché, mon visage tout près du sien.

<< Ça m'excite quand tu es tout près comme ça ! >> dit elle sans cesser d'écrire. Je dépose une bise sur sa joue. Je mets mes lèvres dans sa nuque. J'aime ce petit frisson qui secoue son corps. Je la laisse travailler pour revenir un peu plus tard. << Encore ! >> lance t-elle tout en restant concentrée. La matinée se déroule ainsi. Je prépare mon matériel sans réelle conviction. Il est presque midi quand Clémentine m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. La pâte feuilletée a décongelé. J'en étale les deux tiers dans un plat à tarte.

Clémentine prépare une belle laitue dont elle lave chaque feuille. Tout en parlant de ses cours. Je coupe trois beaux poireaux que j'ébouillante quelques minutes. Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute le poireaux et une tonne de gruyère de Comté grossièrement râpé. Je verse le tout sur la pâte étalée dans le plat à bords hauts. Je recouvre du dernier tiers de pâte. Clémentine y badigeonne le mélange œuf, lait de soja et moutarde à l'ancienne. Pas de pénurie de moutarde chez nous. Nous avons un bon stock.

Au four, pour une cuisson lente à 180°. C'est bien meilleur quand la Flamiche Picarde cuit longuement en mijotant. J'ai gardé un peu de Béchamel comme accompagnement du riz complet. Avec deux filets de colin rissolés à la poêle, c'est le repas de midi que nous dégustons avec délice. Clémentine revient sur ce qui s'est passé avec notre voisin. Sucer du vieux retraité pervers. << C'est un bon entraînement pour une "Soumise" ! >> dit elle. Nous rions aux éclats. Nous traînons à table en faisant le vague programme de l'après-midi. Improvisations.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque l'anniversaire de Louis, vendredi. << Que me réserve t-il comme surprise ? >> demande t-elle à plusieurs reprises. J'écoute en riant ses différentes supputations. Je précise : << Pourvu qu'il fasse beau car il veut fêter ça dans son jardin ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle, monter nous laver les dents. Nous mettons nos tenues cyclistes. Avec cette belle journée, l'idée de faire de la bicyclette nous enchante. Clémentine en jupette tennis, T-shirt. Moi en short, T-shirt.

Pressés de filer nous dévalons les escaliers pour traverser le jardin. Je vérifie le gonflage des pneus de nos vélos. 5,5 bars à l'arrière et à l'avant. C'est parfait. Dans le petit sac à dos que je porte, des fruits, nos barres de céréales. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois dont j'ouvre le cadenas du haut portillon. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous croisons quelques cyclistes. Principalement des séniors vêtus en coureurs du tour de France. Nous pouvons rouler côte à côte en bavardant. Un léger vent.

L'arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Je reste cachée en contrebas. Clémentine travers l'écluse pour aller se dissimuler derrière les fourrés. De l'autre côté du canal. Elle retire sa culotte qu'elle agite comme un drapeau. Environs trente mètres nous séparent. Clémentine guette l'arrivée d'un cycliste solitaire. Une dizaine de minutes où elle se masturbe en me faisant des grimaces, des sourires, alternant les gestes les plus obscènes avec les attitudes les plus vulgaires. Je me branle en l'admirant. Parfois j'agite ma queue dans sa direction. Voilà un cycliste.

Clémentine, accroupie, cuisses largement écartées se positionne entre deux bosquets. Lorsque notre coureur du tour de France tombe sur ce divin spectacle il freine comme un dément. Le caoutchouc de son pneu arrière laissant une longue trace sur la route. Un pied à terre il savoure l'instant. Cette sublime pisseuse qui se soulage en projetant un prodigieux jet de pisse dans les profondeurs de l'écluse. Clémentine relève la tête pour bien faire comprendre au sénior qu'elle destine ce show à son encontre. Je me branle, prêt à intervenir au cas où.

Cela ne dure pas. Un groupe de cyclistes arrive. Ils bavardent en roulant. On les entend de loin. Clémentine se redresse prestement. Elle n'a que le temps d'aller se cacher derrière les fourrés. Notre cycliste attend son retour. Mais c'est probablement un de ses copains qui se pointe. Ce qui met un terme au spectacle. Ils partent tous les deux d'un bon coup de pédales. Clémentine vient me rejoindre en se touchant. Elle s'accroupit. Pour maintenir son équilibre elle me tient par les hanches. Quand Clémentine me taille une pipe, toute excitée, c'est divin.

Nous reprenons notre promenade. Pas question d'aller jusqu'au port de plaisance. Il nous faut êtres de retour en fin d'après-midi. Estelle vient nous rejoindre pour 18 h45. Il fait très chaud même si le soleil est souvent voilé par de fins rideaux de nuages. Il est 18 h30 quand nous revenons. Le Kangoo d'Estelle est garé devant le garage. Depuis la fenêtre de la cuisine qu'elle ouvre, elle nous fait de grands signes. En rentrant dans la maison, elle nous fait la bise avant de me sauter au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Bisous.

Même traitement à Clémentine qui raconte son exhibe. << Soirée cinéma après le repas ! >> lance Estelle. L'odeur dans la cuisine où Estelle a déjà tout préparé achève de nous ouvrir des appétits d'ogres. Nous mangeons de bon appétit. À plusieurs reprises Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Ponctuant ainsi des histoires qui n'ont strictement rien de sexuel. Nous rigolons comme des bossus. Moi, je me lève aussi mais pour leurs montrer la bite. Je bande mou. C'est "l'hélicoptère" qui les fait rire. La tourte aux poireaux est miam.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle devra nous quitter pour 22 h. Aussi, chaque minute est précieuse. Nous passons au salon. Estelle sort la carte SD du petit boîtier en plastique transparent. Clémentine la glisse dans l'ordinateur relié au téléviseur par un câble HDMI. Un essai. Je suis entre mes deux anges. Clémentine à ma gauche en jupette tennis, sans culotte. Estelle à ma droite en robe d'été, sans culotte. Je peux m'en rendre compte en glissant ma main entre ses cuisses. Clémentine manipule la télécommande. Le film commence.

Estelle manipule ma queue raide qu'elle tient d'une main ferme en disant : << J'ai fait le montage la semaine dernière. En douce, dans ma chambre ! >>. Nous rions de bon cœur quand défile le générique. Une image fixe du visage d'Estelle maculé de sperme. Elle nous donne toujours d'amusants pseudos dans les montages qu'elle réalise en véritable professionnelle. Une fois encore nous la félicitons. Ce sont les petites séquences de deux ou trois minutes tournées cet été en Écosse qu'Estelle a mis bout à bout. En fondus enchaînés du plus bel effet.

Le premier opus nous rappelle bien des souvenirs. À chaque image nous pouvons mentalement revivre chaque moment. Derrière le kiosque dans le square de Fort Augustus. Estelle, complètement à poil qui fait une apparition éclair. Le plus fou ce sont les gens qu'on voit en arrière plan qui ne se doutent de rien ou qui n'ont pas le temps de réagir. Tout va trop vite. Puis c'est derrière la barque, toujours à Fort Augustus. Clémentine se touche d'une main et fait des arrêts sur images de l'autre. Nous félicitons Estelle pour ses exhibes géniales et fabuleuses.

Là, entre deux camionnettes dans une ruelle d'Inverness. Génial. Je ne me souvenais plus lui avoir éjaculé au visage. C'est Clémentine qui filmait. Là, c'est du gros plan en 4K où Estelle fixe l'objectif d'un air innocent, comme victime de ce qui lui arrive. Du foutre épais , gluant et visqueux qui macule sa petite gueule d'ange. En me masturbant elle dit : << Tu es un vrai pervers. De venir éjaculer ainsi au visage d'une innocente jeune fille qui faisait son pipi entre deux camionnettes ! >>. Nous rions aux éclats. Puis c'est devant une statue blanche.

Accroupie, face à la caméra, Estelle pisse en fixant l'objectif. C'est toujours à Inverness dans les venelles où nous nous promenions. Là, c'est à Ullapool. Entre les casiers en osier sur le port. Estelle totalement nue. Nous nous souvenons que nous avons failli nous faire surprendre à cet instant. Toujours à Ullapool. Sur la plage de galet, entre deux chalutiers posés sur des cales. Estelle toute nue qui se fait surprendre par des promeneurs amusés qui éclatent de rire. Puis c'est à Lairg, durant une randonnée. Estelle qui pisse entre deux cabanons en bois.

Ce couple de promeneurs qui tombent sur le spectacle. Ils sont beaucoup plus intrigués par ce que nous faisons. Clémentine qui filme. Moi qui me masturbe. Nous ne les avions pas vu arriver. Grand moment de vice. La séquence suivante se déroule à Cromarty. À nouveau sur le port, entre deux bateaux. Le pêcheur dans sa barque qui tombe sur le divin spectacle d'une sublime jeune fille entrain de pisser. Là, à l'image, nous pouvons savourer toute la vulgarité indécente d'Estelle qui s'exhibe comme une véritable vicieuse. Clémentine en est ravie.

Toujours à Cromarty durant la randonnée. Estelle qui me taille une pipe derrière le cabanon sur le bord du sentier. Ces deux jeunes femmes qui découvrent la scène. Comme hallucinées. Consternées avant de se mettre à rire. Ce n'était pas volontaire aussi on me voit complètement honteux et gêné. Puis enfin ce fameux après-midi de randonnée au bord du Loch Ness où Estelle faisait des parties du sentier complètement à poil. Ces souvenirs nous émeuvent autant qu'ils nous excitent. Je me lève pour me placer devant Estelle. Elle se penche.

Je frotte mon sexe sur son visage. J'ai descendu mon short. Elle tient mes couilles entre son pouce et son index qui forment un anneau. Clémentine éteint le téléviseur. Elle adore nous regarder. C'est en se masturbant qu'elle observe mon comportement de vicelard. À chaque fois qu'Estelle veut gober mon érection, j'esquive au dernier instant. Le la tiens par sa tignasse pour lui frotter la bite sur la gueule en murmurant : << Tu es la plus adorable des salopes ! >>. Clémentine s'écrie : << Et moi ? >>. Je fais un clin d'œil. Je dis : << Aussi ! >>.

Il va être l'heure. Je remonte mon short en disant : << Ce sera pour la bouche de Clémentine ! >>. Estelle se lève en s'écriant : << Salaud ! >>. Clémentine s'exclame : << Demain soir tu baises avec ton parrain, alors ! >>. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Assise au volant, la vitre baissée, elle m'offre encore un peu sa face d'ange afin que j'y frotte ma bite. Elle adore ça. Nous la remercions pour la qualité du montage de ce nouveau film. Elle démarre. Nous la regardons monter. Un dernier coucou. Clémentine me tient par la queue.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines bien "allumées" par les attitudes vicelardes de leur mec avec une belle petite salope vicieuse...

Julien - (Dépravé pour dame)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
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