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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Fleur - 6 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2402 -



Les adorables petites routines

Il est sept heures trente, hier matin, samedi. << Ça devrait être à cette heure tous les jours ! >> murmure Clémentine à mon oreille en se tournant. Serrée contre moi, elle saisit mon érection naturelle. Quelques papouilles, quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain, nous enfilons nos vêtements sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers. C'est vrai, ça devrait être tous les jours à cette heure. C'est bien plus agréable. En faisant le café, Clémentine me raconte ses rêves de la nuit. Je presse les dernières oranges, je pèle les derniers kiwis. Le grille pain éjecte les tranches dans un claquement sec. << Un peu plus sec tous les jours. Va t-il connaître le sort de l'ancien ? >> lance Clémentine en attrapant l'appareil pour le tourner.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de vendredi après-midi. << De beaux frissons. Une belle exhibe ! >> dit Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le plan "B" en cas de mauvais temps. Car à regarder dehors, le climat à bien changé. Un ciel couvert et menaçant. Le thermomètre extérieur a chuté. Il ne fait que 11°. Nous sortons sur le perron de la véranda. Le contraste est saisissant. Jogging ou pas jogging ? << Avec le risque de se faire saucer. Regarde un peu le ciel ! >> s'exclame Clémentine. La vaisselle. Nous remontons. Ce sera un entraînement en salle. Les échauffements de l'aérobic. Pour notre jogging sur tapis roulants, clémentine met un film de nos dernières vacances en Écosse. Souvenirs.

C'est sympa de courir en retrouvant les lieux qui nous sont si familiers. Dean Village, Leith, South Queensferry. Les exercices au sol que nous apprécions tout particulièrement. Pompes, ciseaux avants et arrières, abdos. Puis les charges additionnelles que nous pratiquons ce matin sur machines. D'avoir le luxe de posséder son propre équipement, sa propre salle d'entraînement, est un privilège que nous savourons aujourd'hui encore. Les étirements d'un retour au calme. Le samedi nous avons le temps de les faire correctement. Et ça en vaut la peine. Les sensations sont apaisantes. La douche. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Confortablement installée devant un des miroirs de la salle de bain, elle me raconte.

<< Tu me fais une tresse ! >> demande t-elle depuis quelques samedis. Je sépare ses cheveux en trois parties égales pour les tresser en natte. J'aime l'entendre me raconter d'amusantes anecdotes de sa semaine à l'université. Vêtus de nos Levis, de nos chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers. Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Je rejoins Clémentine dans la cuisine. Elle passe l'aspirateur, je passe la serpillère. Nous n'avons toujours pas de femme de ménage. Nous hésitons à passer une annonce. Notre préférence irait à la recommandation d'une de nos connaissances. Pas seulement pour la confiance mais pour entretenir les relations d'un tissu social. Il va être dix heures. Nos livraisons ne vont pas tarder. Clémentine me prend la main.

Elle m'entraîne dans la véranda. Accroupie devant moi, elle ouvre les boutons de mon 501. Elle prépare la stratégie habituelle. Mon sexe coincé sur l'élastique du haut de mon slip. Au moindre mouvement brusque, il jaillit de la braguette. << Sois bien vicelard, Danièle adore ! >> dit elle. Voilà d'ailleurs la camionnette blanche qui descend lentement le chemin pavé pour se garer devant la dépendance. Nous sortons pour traverser le jardin. En restant bien sur les dalles de grès. Tout est mouillé des pluies de la nuit. La fraîcheur humide est désagréable. C'est limite. Même avec nos chemises d'épais coton bleu. Danièle, toute souriante, heureuse de nous voir nous accueille en sautant de son véhicule. Nous touchons nos poings en riant de nos : << Ça va ? >> prononcés en même temps.

Chaque minutes est comptée pour Danièle qui a nombre de clients à livrer. Souvent jusqu'aux environs de quatorze heures. Elle est vêtue d'un pantalon gris, d'un gros pull de camionneur brun. Un bonnet de laine gris. Danièle contourne la camionnette pour ouvrir les portes arrières et y monter. Clémentine me fait un clin d'œil en faisant le rapide geste d'une branlette masculine. Je comprends. Et puis l'occasion est trop bonne. Je sors ma queue. Je bande mou. Je la tiens à sa base. Danièle me tend le cageot contenant nos fruits et nos légumes. << Dommage de ne pouvoir continuer ! >> lance t-elle en riant. J'attrape le lourd cageot. La fraîcheur est vive sur mon sexe. Clémentine attrape le second cageot contenant nos fromages, les œufs, les yaourts, les pots de crème fraîche.

Les cageots posés sur un des deux bancs en pierre, je tire la carte bancaire de ma poche arrière. En me tendant le terminal alors que j'y introduis ma carte, Danièle a soudain ces mots : << J'ai pensé à votre invitation de samedi dernier. Vous n'avez jamais besoin de vous faire livrer quelque chose en semaine ? Je livre également le mercredi. Mais uniquement les produits laitiers de la ferme. Sur commandes ! >>. Clémentine me regarde. Danièle, la tête penchée, observe mon sexe avec attention. Pendant que je fais le code. << On va y réfléchir ! >> répond Clémentine. << Ce serait un plaisir. Je suis beaucoup moins à la "bourre" ! >> précise Danièle. Cette échange de quelques instants me fait bander sévère. Danièle m'adresse un clin d'œil et un sourire complice.

<< J'ai peut-être quelqu'un pour le ménage ! >> dit elle en s'installant au volant. Je me masturbe franchement contre Clémentine qui me tient par la taille. Nous regardons notre adorable livreuse faire sa manœuvre de demi tour. Danièle mime une masturbation de la main qu'elle passe par la vitre baissée. << Trop bien ! >> lance t-elle avant de la remonter. Arrivée au portail nous voyons la camionnette freiner sèchement. Nous comprenons immédiatement. C'est le tube Citroën rénové de notre boulangère. Je remballe à toute vitesse. Pas de "ça" avec madame Marthe. Encore sous le coup de l'émotion et de l'excitation, je reprends mon contrôle. Madame Marthe, hilare, se gare au même endroit. << On a failli devoir faire un constat avec Danièle ! >> s'écrie t-elle.

En sautant du marche pieds avec cette étonnante aisance malgré sa corpulence, notre boulangère adorée nous dit encore : << Je suis vraiment désolée. Ça ne marchera pas avec ma nièce pour le ménage ! >>. Ouvrant la porte latérale qui coulisse dans un effroyable bruit de tôle, madame Marthe rajoute : << Ce n'est pas simple de trouver une personne de confiance ! >>. Elle tire le cageot contenant les deux grosses miches de pain complet et bio, les deux pâtes feuilletées, l'énorme brioche ronde au pudding. Les deux gros croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Après avoir salué notre boulangère, nous contournons la maison avec les deux premiers cageots. Nous rangeons les fruits et les légumes sur les étagères en bois du cellier.

La cave d'une ancienne demeure garde une température constante. Ce qui est parfait pour une parfaite conservation. Nous remontons par l'escalier intérieur afin de ranger les produits frais dans le réfrigérateur. C'est par la véranda que nous allons récupérer le cageot du pain. Sous les premières gouttes de pluie. Nous redescendons à la cave, dans le cellier. Du congélateur où je mets une des miches, une des pâtes feuilletées, je tire le paquet de moules, les deux sachets de petits pois et de haricots verts. Je place le tout sur le large couvercle de la marmite où je prépare le bouillon. Clémentine fait l'assaisonnement d'une des belles laitues toutes fraîches. Je l'aide à en laver les feuilles. Il n'est que onze heures. Tout est prêt pour le repas. Clémentine m'entraîne au salon.

Assise sur mes cuisses elle allume l'ordinateur. Nous avons des courriels. Celui de Juliette qui nous invite à passer au haras dimanche. Elle y organise sa première animation équestre. Les deux messages de ma famille en Écosse. Le mail de l'entreprise paysagère qui annonce son intervention le jeudi 2 novembre. Le petit mot d'Estelle impatiente de nous rejoindre pour 14 h cet après-midi. Elle précise qu'elle n'emmène pas sa bicyclette. Clémentine surfe un peu sur le site de l'université. Avant de répondre aux différents messages. Elle change de position pour me tourner le dos. Je passe mes mains délicatement de son ventre à ses tous petits seins. << MMhh ! Défense d'arrêter ! >> dit elle sans se déconcentrer. Bien évidement je n'est pas l'intention d'arrêter. C'est si bien.

Clémentine se lève. À présent à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle prend un air grave. << Je dois te dire. Je n'ai rien trouvé à proximité pour une semaine de vacances. On ne va pas faire cinq cent bornes. Tu es fâché ? >> dit elle. J'éclate de rire en voyant son expression dépitée. Je réponds : << Mais on se passe notre semaine de vacances chez nous. Ici. J'ai d'ailleurs soudain quelques malicieuses idées d'activités ! >>. Elle se met à rire. Soulagée. << Je t'aime ! >> s'exclame t-elle en mitraillant mes lèvres de bisous. Je rajoute : << Et puis c'est toujours un peu sinistre de partir à la Toussaint ! >>. Clémentine se frotte, imprimant un léger mouvement masturbatoire de ses hanches, elle murmure : << Et moi aussi j'ai quelques idées ! >>.

Il commence à faire faim. Nous quittons le salon pour la cuisine. Il suffit de faire repartir le bouillon en ébullition. D'y jeter les moules décongelées. Dans le wok je vide les sachets de petits pois et de haricots verts. La salade étant déjà prête, Clémentine reste serrée contre mon dos, ses bras autour de ma taille. Pour me murmurer des douceurs, poser ses lèvres dans ma nuque. Titiller le lobe de mon oreille gauche du bout de sa langue. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les vacances universitaires. Elles débutent vendredi 27 octobre à midi jusqu'au dimanche 5 novembre au soir. Par contre la semaine qui précède sera consacrée à un travail personnel. Exclusivement à la maison. << C'est génial ! On sera quand même ensemble deux semaines ! >> lance t-elle.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur les propos de Danièle. << Il faut qu'on trouve un prétexte pour se faire livrer un truc un mercredi. Elle n'a pas précisé cette éventualité sans une arrière pensée ! >> précise t-elle. Je comprends parfaitement. Nous envisageons différents stratégies, différents prétextes. Différents besoin. << Des pommes de terre ! >> s'écrie soudain Clémentine. Nous rions aux éclats. Elle rajoute : << On adore les gratins de patates. On va en commander plein samedi prochain. Ce serait bien de provoquer un "truc" un des deux mercredis où on est ensemble ! >>. Je la regarde. Nous nous fixons en mordillant nos lèvres inférieures. Comme deux sacripants entrain de préparer un "coup".

La vaisselle. Il est 13 h30. << On prépare une surprise à Estelle, viens ! >> lance Clémentine en m'entraînant par la main. Nous gravissons les escaliers. Une fois dans la salle de bain, Clémentine retire son Levis, sa culotte. << Fais pareil. Viens, prends moi là, sur la table ! >>. Je retire le bas de mes vêtements. C'est une table de bois blanc. Sur laquelle il y a du linge plié. Nous y posons les affaires que nous allons mettre le lendemain. Notre salle de bain est grande. Spacieuse. Une ancienne chambre transformée dans les années cinquante. Clémentine s'y installe. Prend appui sur ses coudes. Je m'approche pour saisir ses chevilles. Je la culbute en arrière. Sa nuque posée sur les deux épaisses serviettes de douche pliées. Je colle alors mon sexe encore mou contre le sien.

Je le frotte jusqu'à le rendre dur comme le bois. Clémentine se masturbe. J'adore quand elle s'asticote le clito. Ce bouton géant dont la nature l'a dotée. Centimètre par centimètre je la pénètre. Elle se mordille la lèvre inférieure en me fixant de son air espiègle. Je suis complètement enfoncé. << Je t'aime ! >> lance t-elle dans un souffle en fermant les yeux. Je reste immobile. J'attends le "signal". Mais c'est toujours dans ce moment particulier que Clémentine aime à partager ses secrets de fille. << Je n'arrête pas de penser à la soirée Gloryhole ! >> m'avoue t-elle en ouvrant ses yeux. Je bouge doucement en murmurant : << Moi aussi. Je suis impatient de te revoir dans cette situation ! >>. Clémentine se met à bouger. Nous baisons en poussant des cris. En soufflant.

<<Put-Hein mais ça déchire ! On vous entend depuis les escaliers dans la tourelle ! >> lance Estelle en jaillissant dans la salle de bain. Nous cessons pour éclater de rire. << Et on ne s'est même pas encore laver les dents ! >> fait Clémentine alors que je me retire. La vue de mon érection exerce toujours sur Estelle une véritable "commotion". Elle ouvre de grands yeux. Comme si c'était la première fois qu'elle voyait mon chibre fièrement dressé. Elle jette son grand sac de sport sur le carrelage avant de s'approcher. Comme craintive, elle se penche pour mieux regarder. Écartant les pans de ma chemise pour mieux voir. << Tu as envie ? >> lui demande Clémentine, derrière moi, qui agite ma queue tout près de son visage. Estelle se redresse. Nous éclatons de rire.

<< Laissez-moi arriver ! >> lance t-elle. Clémentine me pousse contre la table. J'y prends appui de mes mains. Mes fesses contre le bord. Elle s'accroupit devant moi. Ma bite est ruisselante de nos mélanges. Clémentine me la gobe, une expression d'extase sur le visage, poussant un soupir en fermant les yeux. Estelle qui tire son pyjama de soie mauve, une culotte de change et des chaussettes de son sac de sport nous observe. << Put-Hein, ça commence fort le week-end ! >> s'exclame t-elle. Clémentine cesse de sucer pour répondre : << Ça a commencé hier après-midi, au canal ! >>. Estelle s'écrie : << Raconte ! Je veux tout savoir. Tu as encore fait ta salope ? >>. Clémentine se redresse, s'essuie la bouche qu'elle ouvre pour me montrer ce qu'elle a pompé.

Je m'assois sur la table. Clémentine entre mes jambes, debout, jouant avec ma queue, raconte nos aventures. Le pêcheur et le cycliste qui mâtaient. Estelle s'assoit à côté de moi. Elle nous raconte son vendredi après-midi au bureau avec sa maman. Son samedi matin toujours avec sa maman pour faire les courses. Clémentine entretient mon érection en me branlant. Changeant de main. Estelle pose sa tête sur mon épaule. Dans un soupir elle conclue : << Bref c'était bien mais vous m'avez manqué ! >>. Nous nous lavons enfin les dents. Estelle, derrière moi, nous fait d'horribles grimaces dans le miroir. Tenant ma bite de sa main droite, mes couilles de sa main gauche. Clémentine propose d'aller en ville. De bien nous "allumer" par des stimuli extérieurs. S'exciter pour ce soir.

<< Mais je le suis déjà ! >> s'exclame Estelle qui me contourne pendant que j'essuie ma bouche. Elle s'accroupit. Elle hume nos parfums. Avant de prendre la peau de mon prépuces entre ses lèvres. Pour suçoter. Avec l'excitation de la baise il y a encore vingt minutes, elle se ramasse du jus de couilles qu'elle déglutit difficilement. Clémentine se penche pour demander : << Tu te régales ? >>. Estelle cesse de pomper, se redresse, ouvre sa bouche pour toute réponse. Elle aussi apprécie de garder longuement le foutre. De le laisser se mélanger à sa salive avant d'avaler. Je passe ma main entre ses cuisses. Je palpe son sexe à travers l'épais tissu de son Levis. Clémentine se serre contre moi. Nous remettons nos vêtements en avouant à Estelle que c'était un "piège surprise".

Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Estelle s'arrête nette. << Je vous entendais depuis là ! >> dit elle. C'est un escalier en colimaçon qui monte de la cave jusqu'au grenier. Dans la tourelle qui intrigue toujours nos visiteurs. Il pleut. C'est sous l'immense parapluie que nous traversons le jardin. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Suce parfois. Estelle, installée à l'arrière, caresse mon cou, mes joues. Quand Clémentine suce, elle passe son visage entre les deux reposes têtes pour demander : << Tu te régales ? >>. Nous rions de bon cœur. Il y a une vingtaine de kilomètres jusque dans dans la petite ruelle où je gare la voiture. C'est à dix minutes du centre. Les filles accrochées à mes bras, je nous abrite de notre parapluie. Il pleut fort.

Malgré cette météo, il y a du monde dans les rues piétonnes. Une forêt de parapluies multicolores. Un tour à la FNAC. Un tour dans un des grands magasins dont nous faisons les quatre étages. Nous profitons de chaque opportunité pour nous livrer à des attouchements très excitants. Je bande comme le dernier des salauds. Je suis obligé de redresser ma queue car je n'en peux plus de la sentir douloureusement tordue au fond de mon slip. Ce qui fait rire mes deux anges. Elles adorent me mettre dans des situations embarrassantes. Excités comme nous le sommes, il faut lutter contre nos instincts libidineux. Il y a des caméras de surveillance et notre trio ne passe pas inaperçu. Nos hautes tailles. Ces deux sublimes jeunes filles accrochées aux bras de cet homme d'âge mûr. Ça intrigue forcément.

Un salon de thé où nous dégustons de petites tranches de tartes à l'abricot et des chocolats chauds. Il y a du monde. Mon défi du jour, lancé par Estelle, me met encore dans une situation angoissante. Ma bite à l'air sous la table. Cachée par la nappe. Plein de gens à toutes les tables. Le bourdonnement incessant des conversations. Estelle qui fait tomber sa serviette pour pouvoir se pencher, tendre son bras, saisir ma queue. Clémentine fait de même. Nous envisageons une petite visite aux toilettes. Il faut retirer ce projet car c'est un perpétuel va et vient des clients. << Prenons notre "mâle" en impatience ! >> lance Estelle. Les filles me tiennent les mains tout en parlant de leurs études. Des clients des tables voisines observent en comprenant sans doute la nature de nos relations.

Lorsque nous flânons dans une des galeries commerciales du centre ville je propose aux filles de nous offrir un bon restaurant en soirée. Elles se regardent. Me regardent. J'insiste en suggérant de nous garder bien émoustiller pour le retour. << J'ai trop envie de baiser ! >> lance soudain Estelle en se serrant conte moi pour cacher sa main tripoteuse. << Et on a tout ce qu'il faut à la maison ! >> rajoute Clémentine. Je tente mon dernier joker : << Oui, certes, mais il faut préparer la bouffe ! >>. Sans répondre, passant leurs bras sous les miens, mes deux anges m'entraînent. Nous revenons à la voiture. Il est dix huit heures quand nous revenons. Nous nous mettons immédiatement aux préparations. Éplucher les patates, les navets, le céleri, les carottes. Ail, oignons.

Nous en faisons suffisamment pour assurer les trois repas du week-end et même le mien de lundi midi. Clémentine fait l'assaisonnement pour le reste de la grosse laitue déjà lavée. Estelle touille la potée de légumes afin d'éviter qu'elle n'accroche au fond de la vieille cocotte en fonte noire. Je fais rissoler trois magnifiques filets de limande. C'est rapide. Nous préparons en nous touchant, en nous faisant des bises. Je passe souvent derrière mes "préparatrices" pour caresser leurs seins minuscules, passer mes mains entre leurs cuisses. Je me fais toucher, branler, secouer avant de passer à table. Nous mangeons de bon appétit en nous félicitant d'êtres rentrés. Tout à l'heure, après la vaisselle, le salon va encore résonner de nos folies. Nous sommes fous de désirs.

Bonne fin de soirées à toutes les coquines qui vont s'offrir une baise party lors de leurs triolismes coutumiers...

Julien (membre du trio)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 7 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2403 -



Un dimanche sous la fraîcheur de l'automne

La grasse matinée des dimanches nous amène souvent jusqu'à neuf heures. Estelle à ma droite qui est restée contre moi toute la nuit. Clémentine à ma gauche qui vient se blottir. La météo a changé. Un changement radical car il fait bien frais dans la grande chambre. Seule pièce de la demeure où la température est volontairement maintenue au plus bas. Estelle saisit ma tumescence en collant ses lèvres sous mon oreille. C'est comme une agréable ventouse. Clémentine se frotte contre ma hanche, une cuisse posée sur la main d'Estelle. << C'était un samedi soir génial ! >> dit elle. Je glisse mes mains dans les culottes. Estelle rajoute : << Même si on déteste la sodomie, cette soirée restera dans les annales ! >>. Nous rions. << Mémorable tu veux dire ? >> demande Clémentine.

Estelle se lève d'un bond. Animée de l'impérieux besoin naturel. Elle se précipite vers la porte en s'écriant : << Je vous attends en bas ! >>. Clémentine passe sous le draps pour prendre mon érection en bouche. Étrange sensation le matin lorsqu'il n'y a pas de réelle excitation. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Dans la salle de bain nous mettons nos Levis, nos chemises à carreaux. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Le thermostat régule la température. Les radiateurs fonctionnent en conséquence. Il fait bien chaud. Il y a déjà l'odeur du café, du pain grillé. Estelle, encore dans son pyjama de soie mauve me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour mitrailler mon visage de bises. Clémentine attend son tour.

Je lui administre le même traitement. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les douces "exactions" sexuelles de notre samedi soir. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. S'en est bien fini des escapades à bicyclettes. Tout comme il en est terminé de l'été Indien. Estelle propose une randonnée au lac des collines. << Ils ne nous ont pas encore confisqué l'heure d'été. Profitons-en. Il ne fait nuit qu'à partir de sept heures ! >> précise t-elle. Nous saluons la suggestion. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font le rapide inventaire de ce qu'il ne faudra pas oublier. Dans le petit sac à dos que je porte, des pommes, la thermos de thé bien chaud, les barres de céréales.

La vaisselle. Estelle, pleine d'initiatives, propose de faire comme il y a trois ans, le ménage ensemble. Nous applaudissons. Nous remontons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Estelle se vêt comme nous. Elle s'occupera de l'étage alors que nous ferons le bas. La cuisine ayant été nettoyée samedi matin, il reste le salon, le couloir, les toilettes, la véranda. Un dernier bisou. Nous redescendons. Clémentine et moi n'arrêtons pas de nous faire des bises. La véranda non plus n'est pas chauffée. La température extérieure n'excède pas 10° alors qu'il est onze heures quinze. Estelle vient nous rejoindre à la cave, dans la buanderie, avec les draps sales. Elle me saute au cou en disant : << Être dans la même maison en étant séparé. Mais quelle horreur ! >>.

Le sèche linge rempli nous remontons pour préparer le repas. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de concombre. Je remue la potée de légumes afin qu'elle n'attache pas au fond de la vieille cocotte en fonte noire. Estelle prépare les pavés de saumon en papillotes. Sur le barbecue électrique dans la véranda. Quand je viens secouer ma bite devant la vitre qui nous sépare, elle mime une pipe. Clémentine passe derrière moi pour me l'attraper, pour me branler. Je colle ma queue contre le verre. Je retourne toutefois rapidement aux mouvements circulaires de ma spatule. La préparation est rapide. Nous mangeons de bon appétit en évoquant quelques souvenirs de vacances. Estelle se réjouit pour celles à venir. Les congés de la Toussaint qui commencent la semaine prochaine.

Nous resterons ensemble. << Mes parents partent en Écosse huit jours. Vous êtes obligés de m'accueillir ! >> dit Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Elle rajoute en s'adressant à moi : << Vous n'avez pas honte monsieur de frotter votre bite contre la vitre qui vous sépare d'une innocente jeune fille ? >>. Nous rigolons comme des bossus quand Clémentine rajoute : << À une innocente salope voyeuse, tu veux sans doute dire ! >>. Nous ne traînons pas. Les assiettes, les couverts dans le lave vaisselle, nous remontons nous laver les dents. Pressés de filer, nous redescendons à toute vitesse. Dans le petits sac à dos que je porte il y a également la minuscule paire de jumelles. Les gants et les bonnets au cas où. Nous enfilons nos anoraks rouges.

Nous sortons. Le contraste entre les températures de ces derniers jours et celle d'aujourd'hui est étonnant. Le thermomètre indique cruellement 11°. Un vent de Nord Est qui souffle assez fort. Nous prenons la Mercedes. Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'au parking du restaurant du lac. Je roule doucement dans une circulation fluide. Clémentine joue avec ma queue en commentant les changements de couleurs des paysages. Assise à l'arrière, Estelle me caresse le cou. Se redresse souvent pour regarder ce que fait Clémentine. << Ce soir en rentrant je veux être devant ! >> lance t-elle alors en saisissant mes oreilles pour jouer avec. Je gare la voiture sur le parking. Départ des différents sentiers de randonnées. Nous avons une préférence pour celui qui mène au château rénové.

C'est qu'il y a du monde. Plein d'autres véhicules. Des groupes de marcheurs s'apprêtent eux aussi. Devant les coffres ouverts de leurs autos. Je remballe difficilement quand je bande. Ce qui fait toujours rire mes deux anges qui adorent me savoir dans d'embarrassantes situations. Nous changeons de chaussures pour mettre nos grosses godasses. C'est parti. Nous laissons la grande maison du restaurant sur notre gauche en gravissant le sentier. Il n'y a plus que les tables et les chaises vides sur la terrasse. Les parasols repliés. C'est un spectacle assez désolant. On sent bien que c'est la fin des vies extérieures. Passé le pont en dos d'âne qui traverse le torrent, le sentier redevient chemin. Nous pouvons y marcher côte à côte. D'un bon pas. Les filles me tenant par les mains.

Nous croisons des gens qui reviennent. Sans doute partis en matinée, de bonne heure. Nous attirons évidemment bien des regards. Nous marchons avec nos anoraks ouverts. En montant, l'effort permet de se réchauffer. Nous sommes à l'abri du vent. Sous les arbres. Des hêtres, des chênes, des acacias. Le bruit que font nos pas dans le tapis de feuilles qui jonchent le sol pierreux. À de nombreuses reprises Estelle plaque sa main sur ma braguette. << Mais ouvre-la ! >> s'exclame t-elle à chaque arrêt. Je m'y refuse. Il y a trop de promeneurs. Une heure trente de marche pour arriver au château. Il est magnifique. Les financements du Conseil Général ont transformé cette forteresse du treizième siècle en une construction d'un véritable comte de fée. C'est une belle réussite.

On y accède en traversant un authentique pont-levis. C'est plein de gens. Le bar restaurant accueille les randonneurs. On y sert des repas, des sandwichs, des pâtisseries et des boissons à toutes heures. Le dimanche jusqu'à seulement dix huit heures. La cour intérieur du château est pavée. Tout autour, dans les renfoncements des murailles, des commerces. Le côté sud est une vaste scène sur laquelle se produisent des orchestres, des groupes à la saison d'été. Il y a un musée, une boutique souvenir, un office de tourisme. Bien évidemment, avec cette fraîcheur en altitude, la terrasse est déserte. Il y a quelques tables vides. Nous pouvons y déguster des tranches de tarte aux noix et un bon chocolat chaud. L'ambiance de cet endroit est chaleureuse, conviviale. Bonnes vibrations.

Clémentine, très sensible aux choses éthérées, prétend que nous sommes sur un vortex. Un de ces hauts lieux d'énergie. << Les anciens architectes ne construisaient pas n'importe où. Ils avaient d'autres connaissances et tenaient compte d'autres facteurs. Pour le bien-être des gens qui devaient vivre là ! >> explique t-elle. Nous adorons l'écouter. Les filles gardent leurs mains posées sur les miennes. Nous attirons les curiosités de quelques tables voisines. Surtout quand Estelle m'entraîne par la main en direction de la porte des toilettes. Enfermés dans un des cabinets des toilettes hommes, je la prends en levrette. Ses mains en appui contre le carrelage, elle me présente son cul, ses fringues sur les mollets. Juste quelques minutes ou je garde ma main sur sa bouche.

Nous rejoignons Clémentine en pleine conversation avec une des serveuses. Elle fait les présentations. << C'est Mathilde. Elle est dans la même université mais en première année ! >>. Estelle s'écrie : << Ah oui ! On se croise parfois ! >>. La jeune fille est au boulot. Mathilde ne s'attarde pas. C'est au tour de Clémentine de m'entraîner par la main. Sous quelques regards interrogateurs. Que font donc ces deux jeunes filles aux toilettes avec cet homme d'âge mûr ? Ce n'est tout de même pas leurs père ? Enfermés dans le même cabinet, Clémentine se fait lécher le minou après son pipi. Elle suce ma queue après le mien. Nous rejoignons Estelle qui bavarde également avec Mathilde. << Je crois que je vous ai trouvé une femme de ménage pour le samedi matin ! >> s'exclame t-elle.

Nous nous apprêtons à quitter cet endroit très sympathique quand Mathilde nous rejoint en disant : << Ça m'intéresse. J'ai pas trop de sous. Estelle m'a donné votre 06. Je peux vous rappeler mercredi vers midi ? >>. Clémentine répond : << Avec plaisir ! >>. Nous prenons le sentier qui descend vers le lac. Mathilde est une jeune fille souriante, aimable. Des cheveux courts, auburns. Dix neuf ans. Elle n'est pas sans rappeler Danièle dans son comportement physique. Réservée mais causante. Estelle nous stoppe, se colle contre moi pour cacher sa main qui se pose sur ma braguette en disant : << T'attends au moins trois semaines avant de faire ton satyre. C'est une jeune fille de bonnes mœurs ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine répond : << On s'en charge ! >>

Le sentier contourne le lac sur sa droite. Ses eaux noires y reflètent le ciel tourmenté. Nous arrivons au torrent qu'y si jette pour reprendre le chemin qui le longe. Jusqu'au pont en dos d'âne. Il est dix huit heures. Le soleil a disparu derrière les collines. Il fait frisquet à l'ombre. Les fraîcheurs humides et désagréables des soirs d'octobre. Avec cette odeur d'humus qui nous accompagne depuis le début de notre périple. J'ai beau m'y refuser, Estelle s'installe devant. Assise au sol entre les pieds de Clémentine. Elle peut jouer avec ma bite dégoulinante quand Clémentine cesse de la sucer. Je roule doucement. Il est dix huit heures quarante cinq quand nous arrivons. La préparation du repas. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates.

Estelle nous concocte sa spécialité des dimanches soirs. Une bonne omelette aux fromages. Je réchauffe la potée de légumes sans cesser de la remuer. Nous mangeons de bon appétit en évoquant cette jeune fille réservée et sympathique rencontrée cet après-midi. Nous ne traînons pas. Le lave vaisselle fonctionne à plein. Vautrées dans le canapé, sans Levis, sans culottes, juste en chaussettes, mes deux anges m'offrent la dégustation de leurs minous. Le dimanche, jamais de douche. Je laisse aux lecteurs d'imaginer les saveurs de ce dessert. L'orgasme d'Estelle la fait hurler. Celui de Clémentine la fait pisser en criant. Nous reprenons nos esprits. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. La séparation est difficile. Elle revient mardi soir. Je pisse contre la portière du Kangoo.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont elles aussi se régaler d'une bonne bite juteuse avant de s'étourdir dans un sommeil réparateur. Demain, il y a école...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Fleur - 8 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2404 -



C'est reparti pour une semaine

Hier matin, lundi, l'application "forêt" nous réveille de ses délicatesses à presque six heures. Clémentine est restée serrée contre moi toute la nuit. Elle se blottit encore plus fort. << J'ai froid ! >> murmure t-elle à mon oreille. Quelques papouilles, quelques bisous. Nous nous levons en devant nous brusquer. Les toilettes. Les vêtements de sports dans la salle de bain. On commence doucement à "émerger". Morts de faim nous dévalons les escaliers. Les radiateurs, pilotés par thermostat, viennent de se mettre en fonction. Ça chauffe vite mais la fraîcheur finalise le réveil. Clémentine me raconte ses rêves en faisant le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Clémentine récupère les quatre tranches éjectées par le grille pain. D'un mouvement déjà sûr et gracieux. C'est magique.

Le lundi il reste de la brioche. Il suffit de la mettre dans le four à micros ondes pour la retrouver onctueuse. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la randonnée de dimanche après-midi. Cette activité est une excellente alternative à la bicyclette lorsque reviennent les froidures. Nous mangeons de bon appétit en énumérant les options d'un bon repas en soirée. << La bouffe, la baise, du bon temps, on ne s'en prive pas. Dommage, j'ai cours aujourd'hui ! >> lance Clémentine en venant terminer la tranche de brioche assise sur mes cuisses. Le contact du lycra sous mes mains est une autre volupté. Il est 6 h25. Nous remontons. L'heure de l'entraînement nous transforme en guerriers pour la journée. Surtout Clémentine assez facétieuse en ce début de semaine.

L'échauffement de l'aérobic, prélude au jogging sur tapis roulants. Les pompes, les abdos, constituants des exercices au sol. Les charges additionnelles. Redoutables ce matin encore. Le retour au calme d'un stretching bien peu concentré avant la douche. C'est ma première "mission". Je cavale jusqu'au garage pour y sortir l'auto. Quand il commence à faire froid, l'option moteur thermique se montre plus performante que l'électrique. Il est 7 h45. Le jour commence à se lever sous un ciel principalement bleu. La température est de 6°. Clémentine vient me rejoindre chaudement habillée. Levis, gros pull sous le blouson de cuir brun acquis en Écosse. Ses bottines brunes. Son bonnet, ses gants. Je murmure : << Elle est inouïe ma belle esquimau ! >>. Un dernier bisou.

Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Ce matin nulle envie de m'attarder. Le vent du Nord est insupportable. Je déteste le froid sous un ciel bleu. Un soleil qui ne réchauffe pas. Aussi, je me dépêche de rentrer faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je m'attelle ce lundi à la peinture de ce cinquième paysage de commande. C'est toujours d'après des photos prises durant l'une ou l'autre de nos randonnées. Celle-là me rappelle de beaux souvenirs. La ruine du vieux moulin, envahie de lierre sur sa face Sud. Avec en fond les hauts peupliers du bord de l'étang. Je peins dans une véritable extase. Un vrai bonheur.

Le craquement du bois de hêtre, les odeurs de châtaignes dans la vieille poêle trouée. Tout cela participe de l'enchantement de ma matinée. La faim me prévient que nous approchons midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer le reste de la potée de légumes. Je vérifie la parfaite température de la pâte feuilletée sortie du réfrigérateur ce matin. Je lave les feuilles d'une belle laitue. Un rapide assaisonnement pendant que rissole un filet de colin avec des champignons noirs. Je lave une grosse aubergine, deux courgettes, de gros champignons de Paris. Ce sera pour la tarte aux cucurbitacées comme l'appelle Clémentine qui en raffole. Il y a simplement à couper le tout en fines tranches, à placer sur la pâte. Recouvrir d'un flan.

Une bonne couche de gruyère Alpestre. De la chapelure. Des cerneaux de noix. Au four pour y laisser mijoter notre repas du soir à 160°. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde le sujet morbide des assassinats de professeurs. Les conséquences dramatiques de ces fous psychopathes qu'il est prétendument impossible d'extrader. Un laxisme de plusieurs décennies de la part des lâches dirigeants mettant sans cesse la poussière sous le tapis. Pour d'évidentes raisons économique avec les pays d'origines. De basses manœuvres politiciennes dont la dernière en date est de signer un contrat d'approvisionnement en gaz avec le Qatar, principal financeur du terrorisme et d'autres joyeusetés. La France à présent pieds et poings liés.

Je ne traîne pas. La cuisine embaume de la tarte qui cuit paisiblement dans le four. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Par une des deux fenêtres je constate que les cheminées de la maison de monsieur Bertrand, notre plus proche voisin, en contrebas, à quelques trois cent mètres, dégagent elles aussi une belle fumée. Louis chauffe au bois. Pressé d'aller me dégourdir les jambes, je redescends à toute vitesse. J'enfile mon anorak. La température extérieure est de 13°. C'est ce maudit vent du Nord. Je vais jusqu'à la rivière. Nos amis à plumes semblent indifférents aux conditions climatiques. C'est la danse des canards. Imités par leurs comparses les colverts et les poules d'eau. Il est 13 h45 quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans un plaisir élégiaque.

Du bruit. Je sais qu'il est aux environs de 17 h30. Clémentine rentre de cours. Posant son cartable sur la table, elle me rejoint en sautillant. J'anticipe. Je pose la palette, les pinceaux. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, son nez encore tout froid, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je dois secouer ta bite. De la part d'Estelle ! >> lance t-elle en se levant. Je me lève. J'ouvre ma blouse, je sors mon sexe. Clémentine s'en empare en riant pour me le secouer vulgairement. J'adore ce qui est vulgaire. Tout comme la fille que j'aime qui s'accroupit pour humer les senteurs automnales de ma journée d'homme. Je l'aide à se relever car elle a encore du travail. << Il faut que je te lise la nouvelle mouture d'un paragraphe ! >> fait elle.

Je reprends ma peinture. Clémentine, assise devant son ordinateur, me fait la lecture. Entrecoupant certaines phrases de : << Tu sais que je t'aime toi ? >>. Ou encore de : << Et toi tu m'aimes ? >>. Nos activités nous mènent rapidement à 18 h45. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse pour me diriger vers le petit lavabo de l'atelier. Je me lave les mains, la bite posée sur le rebord. << Attends moi ! >> s'écrie Clémentine en terminant de ranger ses affaires. Elle se précipite pour saisir mon sexe mou. Le tenant juste du pouce et de l'index de la main droite, par en-dessous avec la main gauche, elle en dirige les jets. Penchée en avant. La vapeur des mélanges avec l'eau chaude est assez nauséabonde. Nous en rions. Mon bras autour de la taille de Clémentine.

Dans le minuscule miroir accroché au carrelage, je regarde ses expressions où se mêlent curiosité, amusement et parfois surprise. Elle s'accroupit. Je me tourne pour lui offrir le chibre dont elle se régale quelques instants. J'apprécie l'érection qui me gagne. J'aide Clémentine à se redresser. Je passe une main entre ses cuisses en murmurant : << Ce soir, je m'occupe tout particulièrement de votre cas mademoiselle ! >>. Clémentine m'entraîne dans une farandole en chantant son bonheur. Nous admirons la danse des dernières flammes sur les braises. Morts de faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand elle découvre ce qui réchauffe dans le four, Clémentine me saute au cou. Elle s'attaque à l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Je mets les assiettes, les couverts.

Derrière elle, mes bras autour de sa taille, je chuchote des douceurs, des cochonneries, des insanités qui la font beaucoup rire. Je caresse ses seins en glissant mes mains sous son pull. Sur le doux coton de son T-shirt. << Tu ne t'occupes jamais assez d'eux tu sais ! >> dit elle. Je pose mes mains sur sa braguette pour répondre : << Mais il y a tellement de choses partout que je ne peux pas m'occuper de tout ! >>. Nous en rions de bon cœur quand elle attrape ma queue pour rajouter : << Moi j'ai ce truc. Et ce soir rien que pour moi. Je te raconte après ! >>. La sonnerie du four. Clémentine, accroupie devant la vitre fumée de la porte du four m'observe. Elle sait que la vision d'une femme accroupie, de dos, impose à ma libido les plus délicieux tourments. Je me masturbe un peu.

Elle sort la tarte dorée et fumante. Je la tiens par ses hanches. Mes lèvres dans sa nuque alors que je soulève sa natte. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur quelques anecdotes du week-end. Nous ne traînons pas. Les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle. << Attends-moi au salon. Branle-toi. Je reviens vite ! >> lance t-elle en s'enfuyant. J'allume les deux grosses bougies du candélabre. Seule lumière à éclairer cette partie du salon. Sur le bureau je prépare un confortable coussin du canapé. La cuvette de plastique bleu. Je me branle un peu en faisant le tour du bureau. << Bonsoir monsieur ! >>. Je me retourne. Clémentine, vêtue d'une de ses jupes kilts à gros carreaux verts et rouges, d'un chemisier blanc, de ses escarpins noirs à talons, ses bas noirs.

J'adore lorsqu'elle me réserve de telles surprises. Chaque femme devrait en réserver de telles à leur compagnon de vie. Rien de plus aphrodisiaque. C'est à la fois extrêmement cérébral et éminemment stimulant. Elle s'avance doucement. Tourne autour de moi en gardant ses distances. La queue que je tiens dans ma main droite est un véritable démonte-pneu de camion. Je sens les battements affolés de mon cœur. Je tourne sur moi-même pour voir évoluer Clémentine. Pour elle aussi ce jeu est terriblement gratifiant, attractif et excitant. << Vous vous masturbez souvent devant des étudiantes ? >> demande t-elle en me regardant par en-dessous. C'est divin d'interpréter le rôle de deux parfaits inconnus. Clémentine sait faire durer. Ces préliminaires sont tout simplement merveilleux.

Ni elle, ni moi, ne voulons y mettre un terme. Malgré l'inévitable pulsion "animale" qui nous gagne inexorablement. Mais en sachant faire durer, il y a une gradation du plaisir de tous les sens. Un peu de contrôle, de maîtrise et on y gagne en excitations diverses. Clémentine s'accroupit. Se tenant au bureau de sa main gauche. Posant sa droite sur son genoux. Les cuisses écartées. Malgré la faible luminosité de cet endroit, je distingue son intimité poilue. Je ressens ces vertiges que procurent les instants suprêmes. Clémentine prend cette expression d'innocence juvénile qui achève de mettre mes nerfs à rudes épreuves. Je me masturbe devant ce film "sextraordinaire", sublime et sensationnel. Clémentine m'observe à présent comme si c'était la toute première fois. Comme étonnée.

Elle se relève. Une main sous sa jupe, entre ses cuisses, elle me fixe, ingénue, mutine, une cuisse croisée sur l'autre, bougeant légèrement du bassin sous l'effet de sa masturbation discrète. Elle cesse pour sauter sur le bureau, s'y installer. Ses cuisses relevées, son clitoris géant entre son pouce et son index. << Prenez-moi monsieur ! >> lance t-elle dans un souffle. Je ne me fais pas prier. Je m'approche. Je frotte mon sexe contre le sien avant de m'y introduire. Une expression d'extase sur le visage, Clémentine se laisse tomber en arrière, la tête sur le coussin. Je la tiens par ses chevilles pour la baiser à la hussarde. Une fois immobile, son visage en sueur, Clémentine me confie ses secrets de filles. << J'ai préparé mon "coup" dans la voiture, au retour en me touchant ! >> dit elle.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines aux capacités imaginatives qui font de leurs amants les plus dociles serviteurs de leurs désirs les plus inavouables...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 9 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2405 -



Un réveil encore bien difficile

Quand la soirée de la veille est passionnée, "agitée", le réveil du lendemain est toujours difficile. << Et avec l'âge ça ne s'améliore pas ! >> murmure Clémentine en se blottissant contre moi. Il est presque six heures. Les délicatesses de l'application "forêt" nous tirent du sommeil. Pour murmurer cette phrase Clémentine doit s'y prendre à trois fois avant de cesser de trébucher sur les mots. Ce qui nous fait rire en nous précipitant aux toilettes. Ça continue d'ailleurs dans la salle de bain ou nous passons nos vêtements de gym. Morts de faim nous dévalons les escaliers. La maison est froide et les radiateurs viennent de s'allumer. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves de la nuit. C'est étonnant de se souvenir ainsi de chaque détail. Avec une telle précision. J'écoute avec beaucoup d'intérêt.

Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Les deux gros croissants aux amandes dans le four à micros ondes. Je beurre les quatre tranches éjectées par le grille pain. Nous nous inquiétons du bruit toujours plus fort de cet appareil presque neuf acheté il y a un an. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur ces folies responsables de nos difficultés à émerger le matin. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la présence d'Estelle ce soir. Clémentine la voit d'ici deux heures en cours. Il est 6 h25. Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Aérobic. Jogging sur tapis roulants. Exercices au sol. Charges additionnelles. Stretching. Tout est "mécanique" aujourd'hui. La douche. Je redescends le premier pour sortir la voiture et la faire chauffer.

Presque 7 h45. Le jour achève de se lever sous un ciel d'un bleu aussi froid que l'atmosphère. Le thermomètre extérieure n'est que de 6°. Clémentine vient me rejoindre vêtue comme lundi. Levis, pull sous son blouson de cuir brun, bottines brunes. Une écharpe kaki autour du cou. Assortie à son bonnet, ses gants. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je ne m'attarde pas. Il fait trop froid. Je rentre faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier j'allume un beau feu dans la cheminée. J'adore les odeurs du bois sec qui s'enflamme. Dans des craquements aussi secs que celui du grille pain. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce cinquième paysage de commande m'abstrait très rapidement et complètement de la réalité.

Je peins dans la plus totale sérénité. Pensant à tout sauf à ce que je fais en restant pourtant concentré. Le temps m'échappe. Autant que sa perception. Il est midi quand je mets deux grosses bûches sur les braises. Je retire la poêle trouée contenant les châtaignes. Dans la cuisine je réchauffe le reste de la tarte. Je fais l'assaisonnement d'une salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde les évènements Belges. Ce fou qui assassine froidement des inconnus avant de boire tranquillement son café hallal dans un bistrot. André souligne ce fait très curieux. La plupart de ces criminels minables sont abattus par les forces de l'ordre. Serait-ce plus pratique afin d'éviter qu'ils ne parlent ? Ce qui pourrait être embarrassant pour certains "responsables" ?

J'écoute en inventoriant le nécessaire de la surprise que je réserve à mes deux anges ce soir. J'opte pour un gratin de pommes de terre. Nous adorons les gratins et plats qui se cuisinent au four en général. Je vais tâcher d'apporter un peu d'originalité à ma recette. J'épluche, je lave et coupe les patates en tranches. Je les aligne à la verticale dans le grand plat en terre cuite. Le flan devra être très liquide. C'est lui qui cuira l'ensemble. Je verse le liant. Ce mélange d'œuf, de fromage blanc, de crème fraîche et de lait de soja sur les pommes de terre. Je dispose quantité de cerneaux de noix. Je recouvre de fines lamelles de morbier et de Saint Nectaire que j'entrecroise. Une couche de gruyère Suisse. De la chapelure. Au four pour une lente et longue cuisson à 160°. Le thermostat contrôlera l'opération.

La vaisselle. Je mets immédiatement les assiettes et les couverts. Ainsi, ce soir, tout sera prêt. Je lave deux grosses endives avant de quitter la cuisine pour monter me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas je dévale les escaliers. La température extérieure n'est que de 16°. Je déteste le ciel bleu et le soleil quand il fait froid. C'est comme si ce décorum ne servait à rien. Je descends jusqu'à la rivière. Toujours ce maudit vent du Nord. Il n'est pas fort mais omniprésent. Le responsable de cette atmosphère désagréable. Il est 14 h quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans l'exacte remake spirituel de ce matin. Sans voir s'écouler le temps. Du bruit. Il est 17 h30. Clémentine entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. Heureusement j'anticipe toujours.

À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Le remaniement du quatrième chapitre de sa thèse. Il en restera deux à revoir après la semaine de vacances. Elle a encore du travail. En s'installant devant son ordinateur elle dit : << J'ai raconté notre soirée à Estelle. Attends-toi aux pires extravagances de sa part ! >>. Je réponds : << Je vais finir sur les rotules, vieillir prématurément ! >>. Nous en rions aux éclats. Cette petite heure de labeur commun est encore un autre bonheur que nous savourons. << Put-Hein, j'arrête où je pète un câble ! >> lance soudain Clémentine. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine range ses affaires avant de me rejoindre au lavabo. Elle me tient la bite pour en diriger les jets.

Ce rituel pisseux est interrompu par l'arrivée d'Estelle. Je suis étonné par sa vêture. Habillée d'une de ses jupes kilts à carreaux verts et rouges, d'un chemisier blanc sous son élégant manteau long et noir. Ses escarpins à talons. Estelle est hyper sexy. Je bande presque immédiatement dans la main de Clémentine. << Clémentine m'a tout raconté à midi. Trop bien. Je veux vivre la même chose ! >> s'exclame t-elle en tournant autour de nous. Le bruit rythmé de ses talons sur les tommettes de l'atelier. Son allure, son élégance, sa classe naturelle. Elle s'appuie contre le pilier centrale, une jambe relevée, le talon contre la poutre. Elle nous observe avec une expression d'intérêt. Je la connais assez pour savoir ce qu'elle ressent en interprétant ce rôle de femme fatale. << Je monte me mettre en tenue ! >> s'écrie Clémentine.

Estelle s'approche. J'ai les mains sur les hanches. Par contractions de mes muscles fessiers, je remue de la queue. Estelle se remet à marcher. Silencieuse. Tournant autour de moi en même tant que je le fais pour la regarder. << Demain, je baise avec parrain, tu me "prépares" ce soir. Tu veux bien ? >>. Je ne sais quoi répondre. Estelle se rapproche. Elle pose ses mains sur les miennes en s'accroupissant. Elle hume mon érection en me fixant avec sévérité. Estelle est impressionnante dans son interprétation de la "femme fatale". Les pans de son manteau sur le sol. Un genoux posé à terre. Elle me dit : << J'aime vous tailler des pipes monsieur. Mais j'aime encore davantage baiser avec vous ! >>. Elle se redresse. Avec ses talons de six centimètres, elle fait son mètre quatre ving huit. Ma taille. Pratique.

Je retire son manteau en le mettant sur mon bras. Elle prend ma main. Nous quittons l'atelier pour le salon. C'est elle qui dépose soigneusement les deux coussins du canapé sur le bureau. Je plie soigneusement son manteau sur le dossier de la chaise. Du bruit. Je me retourne. Clémentine, vêtue d'une de ses jupes kilts, chemisier blanc, escarpins à talons. Elle se dirige vers nous. Lorsque les femmes portent de hauts talons, leurs démarches devient dansantes. Gracieuse. Affolante de sensualité. Elles se tiennent toutes les deux par le bras en me souriant. Mutines, coquines. Je me masturbe. Je suis encore comme un gamin dans un magasin de bonbons. Il commence à faire faim. Je propose de passer à table avant d'assouvir nos désirs de plus en plus "bestiaux". Nous rions.

Lorsque mes deux sublimes complices découvrent ce qui réchauffe au four, j'ai droit à un déluge de bises. Estelle choppe mon érection en disant : << Julien notre maître queue excelle aux fourneaux comme aux filles ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Pour ne pas risquer de se tâcher, Estelle et Clémentine enfilent leurs tabliers. Je les noue dans leurs dos. Passant mes mains sur leurs seins minuscules que je peux sentir palpiter sous leurs chemisiers. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement de la salade d'endives. Estelle, en appui de ses deux mains, se frotte lascivement sur un des coins de la table. << On se refait un film dans le genre ce week-end ? >> propose t-elle. << Génial ! >> répond Clémentine. Estelle rajoute : << Ça fera le vingtième ! >>. Je demande : << Vous ferez les "actrices" vêtues comme ça ? >>.

La sonnerie du four. Quand Estelle se masturbe ainsi, ses joues deviennent toutes rouges. J'adore. Elle s'accroupit devant la porte vitrée. Avant d'ouvrir elle m'observe. Elle sait à quel point j'aime voir une femme accroupie de dos. Je me masturbe. Clémentine se serre contre mon dos, ses bras autour de ma taille. Estelle sort le plat doré et fumant. Nous mangeons de bon appétit en envisageant différents scénarios pour ce nouveau film. À plusieurs reprises Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Comme elle est en jupe elle passe sa main entre ses cuisses. J'adore voir une femme d'une élégance raffinée se livrer à des actes d'une vulgarité rare. Je me lève pour agiter ma queue. Vers Estelle, vers Clémentine qui mime à chaque fois une fellation. << On fait ce film samedi ! >> précise t-elle.

Nous ne traînons pas. Une fois encore c'est le lave vaisselle qui hérite de nos assiettes, de nos couverts. Toutes les deux, une main sous leurs jupes, comme des sœurs jumelles, me font des clins d'œil. << Je vais être salope ce soir, vous n'imaginez même pas ! >> lance Estelle en contournant la table pour m'attraper la bite. << Et moi donc ! >> rajoute Clémentine qui contourne la table pour prendre ma main. C'est ainsi que mes deux "bourreaux" entraînent leur "victime" au salon. Estelle s'accroupit immédiatement. Se tenant à la chaise où est posé son manteau. Elle devra nous laisser à 22 h. Il reste une heure trente. Clémentine s'installe à califourchon sur le tabouret. Ses cuisses largement écartées. Les coquines me fixent en mimant toutes les deux une branlette masculine. Je suis pris de vertige.

Elles se redressent. C'est étrange. Tous leurs mouvements sont coordonnés. Comme si elles avaient répété. Elles s'installent toutes les deux sur le bureau. Un mètre les sépare. Les talons de leurs escarpins posés sur le bord du meuble. Les cuisses largement écartées dans cette indécence folle qui me projette aux limites de l'apoplexie. << Maître queue ! >> murmure Estelle en pointant son index vers son sexe. Je suis toujours envahis d'une frustration intense. Y mettre ma bouche, ma langue ou y mettre ma queue ? Un dilemme souvent pénible. Elles le savent et s'en amusent. Je suis comme un gamin dans un magasin de jouets. Je veux me pencher pour bouffer sa chatte quand Estelle s'écrie : << Non ! Viens ! >>. Ça rentre comme dans du beurre. Mon cœur bat la chamade. Clémentine se masturbe.

Je passe de l'une à l'autre. Coulissant mon sexe dans leurs intimités avec une étonnante facilité. Ça dégouline. La surface du bureau, en bois de chêne, est maculée de dizaines et de dizaines anciennes tâches. Il y en a de toutes fraîches ce soir encore. Une soirée à se secouer à crier, à hurler, à jouir comme des bêtes. Clémentine, à genoux sur le bureau, se branle comme une endiablée. Pissant dans la cuvette posée entre ses cuisses. Je baise Estelle avec une fureur rare. Son orgasme est un concerto pour une voix que pourrait envier n'importe quelle cantatrice. Celui de Clémentine est une philharmonie baroque où s'alternent les notes les plus basses, les plus rauques avec les crêtes les plus aiguës. Je pousse des rugissement d'ours en rut. Je me vide les couilles dans la bouche de Clémentine.

Bonne nuit à toutes les coquines, totalement épuisées, serrées dans les bars de leur baiseur fou, sous les draps. Confiant leurs derniers secrets de fille avant de plonger. Dodo...

Julien (baiseur fou)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 10 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2406 -



Une proposition qui soulage un peu Juliettte

Hier matin, mercredi, il est sept heures trente. C'est la journée où Clémentine travaille depuis la maison. Je me réveille pour la regarder sortir du sommeil. << Mmhh, comme c'était bien avant d'aller au lit ! >> s'exclame t-elle en s'étirant. Je l'attrape par la taille pour la serrer contre moi. << Oh mais tu m'aimes fort aujourd'hui ! >> rajoute t-elle en se couchant sur moi, se frottant sur mon érection naturelle. Le besoin de pisser est bien trop contraignant et nous ne sommes pas du matin. Nous nous précipitons aux toilettes. Enfilons nos vêtements de sport dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Le jour se lève sous un ciel sinistre. Il pleut. Une météo épouvantable avec des bourrasques de vent. Clémentine fait le café en racontant ses rêves de la nuit.

Je presse les oranges, pèle les kiwis. << Avec ce temps, il n'y aura pas de frustration à rester enfermés bien au chaud ! >> fait Clémentine en attrapant les quatre tranches qu'éjecte le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies du mardi soir avec Estelle. Sur ce projet de film pour samedi. << Une bonne occupation si la météo est pourrie ! >> dit Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre invitation chez Juliette en soirée. << Ça nous fera une sortie ! >> précise Clémentine en venant terminer sa tartine au miel sur mes genoux. Nous traînons un peu à table. Quelques papouilles où nous nous retrouvons avec les lèvres collantes. La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Bien disposés.

Aujourd'hui nous pouvons pratiquer en faisant les exercices consciencieusement sans êtres pressés par le timing. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Abdos, charges additionnelles. Le retour au calme avec les étirements d'un bon stretching. La douche. Nos Levis, nos chemises à carreaux. Il est 9 h20 quand nous sommes dans l'atelier. Clémentine assise à la table, devant son ordinateur, entourée de ses fiches. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque la finalisation de ce cinquième paysage de commande. Je peins dans une certaine euphorie. Euphorie que nous partageons en commençant cette nouvelle journée ensemble. J'aime entendre Clémentine chantonner.

Parfois elle se lève, vient me déposer une bise dans la nuque. Fait un petit tour devant l'âtre pour y admirer les flammes. Parfois c'est moi qui passe derrière elle pour placer ma tête contre la sienne. Elle en profite pour me faire la lecture des corrections qu'elle apporte à son paragraphe. Selon les directives d'Alban, son maître de thèse. Cela s'apparente à une forme de télétravail. La matinée passe ainsi, dans l'émulation de nos activités respectives. Il est midi. Clémentine met deux bûches dans l'âtre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer le reste du gratin de pommes de terre. Pendant que Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de concombre, je panne deux filets de lieu noir. Trempés dans l'œuf, puis dans la panure et du gruyère finement râpé.

Poêlés ce sont de petits régals. Quand soudain mon téléphone se met à vibrer. Clémentine l'attrape sur le buffet. << Juliette ! >> lance t-elle en mettant sur mode "haut parleur". Juliette nous propose de remettre la soirée. Elle est débordée de travail. Clémentine suggère qu'elle vienne manger à la maison. << On fait simple, ce sera des nouilles ! >> précise t-elle. Comme soulagée, Juliette se réjouit de cette solution. << À ce soir alors, 19 h15 ! >> conclue Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le cas Juliette. J'adore quand Clémentine imite son accent Corse. Je suis plié de rire. Nous traînons à table. C'est bien de pouvoir le faire sans pression. Pour ce soir Clémentine propose un gratin de pâtes avec une simple sauce au Roquefort. De l'émincé de saumon.

La vaisselle. Clémentine fait immédiatement bouillir l'eau salée. Je m'attelle à la confection d'une sauce au Roquefort. Chacun a une tâche bien définie. Clémentine râpe du gruyère Suisse. Ce sont des "coudes rayés" que Clémentine plonge dans l'eau bouillante. Je descends à la cave pour chercher un pavé de saumon. Il faudra le laisser décongeler avant de l'émincer puis de le rajouter à la sauce. Égoutter les "coudes rayés", les verser dans le grand plat en terre cuite. Les recouvrir d'une copieuse couche de gruyère, de cerneaux de noix. Saupoudrer de chapelure. Faire mijoter au four à 160°. C'est sereins que nous montons nous laver les dents. Nous redescendons pour chausser nos bottes en caoutchouc. C'est sous le grand parapluie que nous allons jusqu'à la rivière.

Le vent est froid. Même s'il s'est considérablement calmé depuis ce matin il souffle par bourrasques désagréables. Je dois redoubler d'effort en tenant le parapluie. Clémentine à mon bras. Nous sommes emmitouflés dans nos anoraks "doudounes". Il est 14 h quand nous sommes de retour dans l'atelier. Clémentine remet deux bûches sur les braises. Nous reprenons nos postes de travail. Dans la même ambiance studieuse. Il est est un peu plus de seize heures quand je dépose la dernière touche sur ma toile achevée. Je la place sur un second support à l'abri d'un drap qui la protège de la poussière. Je dispose ma prochaine réalisation encore au stade de l'ébauche sur le chevalet. Je n'ai pas envie de m'y mettre maintenant. Je nettoie la palette, les pinceaux.

La bite posée sur le bord du lavabo, je me lave les mains. Clémentine se précipite pour me l'attraper. Elle en dirige les jets en disant : << Il faut toujours m'appeler pour que je m'occupe des petits détails de la vie quotidienne ! >>. Nous rions. Quand je ris en pissant ça gicle toujours un peu n'importe comment. La poigne de Clémentine se fait alors plus ferme. Accroupie, se régalant des derniers épanchements, elle me fixe de ses yeux plein de reconnaissance. Je l'aide à se redresser. Je l'accompagne jusqu'à la table car elle n'a pas terminé. Je reste un moment debout derrière elle à caresser sa nuque. J'écoute sa lecture. Il n'est que dix sept heures quand je m'installe dans le vieux canapé en velours carmin de l'atelier. Avec un album consacré à Johannes Vermeer de Delft.

De contempler ses œuvres me permet toujours de situer les choses. Dans ce gros livre il y a des éléments de comparaisons avec d'autres Maîtres du dix septième siècle Hollandais. Notamment Gerrit Dou qui reste ma référence absolue. Ce peintre avait atteint une telle notoriété que toutes les cours royales d'Europe s'arrachaient ses œuvres. De petites peintures sur bois réalisées avec un soin extrême, extraordinaires de par l'atmosphère qui s'en dégage. Je suis plongé dans mes contemplations admiratives quand Clémentine s'écrie : << Ras-le-bol ! >>. Elle se lève d'un bond pour commencer à ranger ses affaires. << Je rejoins mon chéri, j'en ai trop marre ! >> lance t-elle en se précipitant. Elle se serre fort en posant sa tête sur mon épaule pour regarder avec moi.

Le silence. Juste le crépitement des dernières braises. Le crépuscule gagne doucement ce coin de l'atelier. Nous avons travaillé toute la journée avec les lampes à halogène. Je referme le gros livre. Clémentine se couche sur le dos, sa tête sur ma cuisse. C'est comme un sas qui permet de passer de l'activité au calme. << Un stretching mental ! >> comme elle aime à appeler ces moments de sérénités. << Sors ta bite s'il te plaît ! Je veux que tu sois mon satyre préféré ce soir ! >> dit Clémentine en s'installant sur le côté pour m'extraire le chibre de la braguette béante. << Voilà ! Tu n'es pas plus à l'aise comme ça ! >> lance t-elle avant de le gober. Elle suce quelques instants. Se redresse, se met à califourchon sur mes cuisses. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande.

Nous restons ainsi à nous confier nos ressentis, à évoquer la semaine de vacances qui nous attend, le film porno que nous voulons réaliser avec Estelle. Il est dix huit heures quarante cinq. Les dernières braises incandescentes éclairent ce coin de la grande pièce. C'est magique car il fait nuit. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Le pavé de saumon a décongelé. Je le coupe en fines lamelles pour le saisir à la poêle. Pour éviter tout risque je porte mon tablier. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Je rajoute l'émincé de saumon doré dans la sauce au Roquefort. J'allume le four pour réchauffer le gratin de pâtes. La sauce à feux doux. Nous mettons les assiettes et les couverts. Clémentine vient se frotter contre mon tablier qu'elle dénoue pour me le retirer.

Elle me tient le Zob pour m'emmener dans le hall d'entrée. Depuis l'interphone j'ouvre le portail. Nous assistons à l'arrivée de notre invitée. La grosse Mercedes qui descend lentement le chemin pavé pour se garer devant le garage. Juliette, sous un grand ciré noir et luisant, ouvre son parapluie pour traverser le jardin. Nous l'accueillons en ouvrant la porte juste avant qu'elle ne sonne. Elle est tellement heureuse de nous voir. Je la débarrasse de son ciré dégoulinant d'eau. Juliette est en jeans ce soir, un gros pull, des bottines. Ses longs cheveux noirs en natte. Des bises. Clémentine lui prend le bras. Nous revenons dans la cuisine juste à l'instant où résonne la sonnerie du four. << C'est moi ! >> s'écrie Juliette en enfilant les maniques. Elle sait à quel point l'instant me ravi.

J'adore voir une femme accroupie, de dos. Jusqu'à présent, depuis dix minutes qu'elle est là, Juliette a fait mine de ne pas s'apercevoir de ce qui pend de la braguette bouton de mon 501. C'est dans le reflet de la vitre qu'elle m'observe me branler. Clémentine m'adresse un clin d'œil en remuant la salade. Je bande comme le dernier des salauds quand Juliette pose le plat doré et fumant sur la table. Elle me fait un sourire suggestif, le regard par en-dessous. J'agite mon braquemard dans sa direction. Elle lève un pouce en me faisant elle aussi un clin d'œil. Nous mangeons de bon appétit. Durant les conversations de ce repas, Juliette nous raconte ses journées chargées, le projet Gloryhole du vendredi 3 novembre. Les travaux qu'elle compte entreprendre au printemps prochain.

Je me lève à plusieurs reprises pour secouer mon chibre mou. Je fais "l'hélicoptère" pour le plus grand ravissement de Clémentine. Juliette, souriante, me lance des regards incroyablement suggestifs. Clémentine propose à Juliette de venir manger avec nous tous les mercredis soirs. Ce sera beaucoup plus simple. Récréatif. << Génial ! J'emmène le dessert ! >> s'écrie t-elle. Je réponds : << Ne vous ennuyez avec rien. Vous venez les mains vides. Dégagez-vous de toute formalité. Vous êtes la bienvenue ! >>. Juliette, ravie, pose sa main sur les nôtres pour rajouter : << À charge de revanche, je vous réserverai de belles surprises ! >>. Nous rions de bon cœur quand Clémentine demande : << Des trucs coquins ? Comme on aime ? >>. Juliette répond : << Bien sûr ! >>

Bonne fin de soirée à toutes les coquines pressées de retrouver un bon lit après avoir affronté la pluie pour raccompagner l'invitée trop heureuse de ce bon moment. De ce qui s'annonce...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 11 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2407 -



La météo affligeante de la journée

L'application "forêt" nous tire du sommeil un peu avant six heures. En gémissant, Clémentine vient se blottir. C'est bluffant de réalisme d'avoir l'impression que des oiseaux gazouillent dans la chambre. Que la source s'écoule aux pieds du lit. Quelques bisous, quelques papouilles. Chaque seconde est comptée. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos tenues sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Il fait frais dans dans la maison car les radiateurs viennent seulement de s'allumer. Clémentine fait le café en racontant des bribes de ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée en compagnie de Juliette. Elle était heureuse de notre proposition. Venir manger tous les mercredis soirs avec nous, chez nous.

<< Ça va drôlement lui simplifier la vie. Et nous pouvons rester tranquillement au chaud, à la maison, tout l'hiver ! >> dit Clémentine. Je n'avais pas vu les choses sous cet angle et j'adhère complètement à ce principe. Nous mangeons de bonne appétit en évoquant ce qui nous attend au haras d'ici deux semaines. Le Gloryhole organisé par Juliette. Il est 6 h25. Nous remontons nous livrer à notre entraînement. L'échauffement est doublement nécessaire ce matin. À cause de la fraîcheur et pour se mettre en condition. Aérobic. Jogging sur tapis roulants. Exercices au sol. Charges additionnelles. Stretching avant de prendre la douche. Je cavale dans les escaliers pour aller préparer la voiture. Presque 7 h45. Il pleut. Le jour semble se lever aussi péniblement que nous. Le froid.

Clémentine me rejoint sous le parapluie. Levis, bottines, pull à col roulé, blouson, bonnet et gants. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au sec et au chaud. La vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. J'allume un beau feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, j'attaque ce matin le sixième paysage de commande. D'après une photo prise il y a deux ans aux environs du port de plaisance. Je peins dans une douce sérénité. Il est dix heures quand mon téléphone se met à vibrer. Posé sur la desserte à ma droite. Je le saisis. Le numéro de Juliette s'affiche. C'est sympathique et rare. Juliette me remercie pour la proposition. Elle m'avoue qu'avec la somme de travail il est quelquefois difficile de préparer le repas pour des invités.

Notre nouvelle formule va donc considérablement modifier son emploi du temps des mercredis à venir. Je précise une fois encore. Clémentine et moi insistons pour qu'elle vienne les mains vides. Je rajoute : << Juste votre sourire, votre complicité et vos attitudes ! >>. Je l'entends rire aux éclats. Nous passerons peut-être au haras dimanche. Sinon nous nous revoyons mercredi prochain. Nous nous saluons. Je termine ma séance de peinture sans cesser de penser à cette sublime bourgeoise. Nous sommes invités à son anniversaire. Le 10 novembre elle fête ses 50 ans. Il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer le gratin de pâtes, la sauce au Roquefort. Faire l'assaisonnement d'une rapide salade de carottes.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff revient sur les évènements dramatiques liés à la guerre de religions qui pointe le bout de son sale nez. Sur le grand renoncement des professeurs ne pouvant plus aborder ce sujet sans risquer leurs vies. Sur les grands espaces culturels recevant du public comme le musée du Louvre obligés de fermer leurs portes. Les menaces d'attentats à la bombes dans les lycées, les gares. Tout cela par l'inconséquence de dirigeants qui, durant des décennies, ont préféré mettre la poussière sous le tapis. J'écoute en préparant mentalement la surprise que je réserve à mes deux anges ce soir. Ce seront des beignets de crevettes, de crabe avec des pommes de terre chips. Elles adorent. Et c'est si simple à préparer.

Je fais une pâte à crêpe que je laisse reposer dans le saladier sous un linge. Je fais revenir des crevettes encore congelées dans le wok. Elles partent en flotte. Il suffit de les égoutter. J'épluche, je lave et coupe en fines rondelles de belles et grosses pommes de terre. Je les fais rissoler dans la poêle. Sans cesser de les retourner pour les dorer de chaque côté. Je les étale sur du papier absorbant. Puis sur les plaques du four. Il n'y aura qu'à les réchauffer. Tout est prêt. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir les jambes, je dévale les escaliers pour chausser mes bottes en caoutchouc. C'est sous le parapluie que je descends jusqu'à la rivière. Au sol, le tapis de feuilles commence à pourrir. Un compost naturel qui sent bon l'automne. Odeurs d'humus.

Il est 14 h quand je suis de retour dans l'atelier. Deux bûches sur les braises. Me voilà plongé dans mon labeur. Je peins dans la même douce volupté que ce matin. Abstrait du réel. Du bruit. Il est donc déjà 17 h30 ! Clémentine rentre de cours. Posant son cartable sur la table, elle se précipite pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou pour me raconter sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Elle a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle chantonne entre deux concentrations. << Demain, à midi, c'est les vacances ! >> lance t-elle à plusieurs reprises. En chantant à chaque fois cette phrase sur une autre musique. Il est dix huit heures trente. << Là, stop ! >> s'écrie t-elle en se levant.

Je nettoie la palette, les pinceaux. C'est lorsque je vais devant le petit lavabo de l'atelier qu'elle me rejoint à toute vitesse en disant : << Attends-moi ! >>. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Sous l'écoulement du robinet d'eau bouillante. Ça monte en vapeurs nauséabondes. Ça nous fait rire. Accroupie, Clémentine se régale en suçotant. La porte de l'atelier s'ouvre brusquement. Estelle se précipite en s'écriant : << Déjà ! Et sans moi ! >>. Clémentine se redresse alors qu'Estelle s'accroche à mon cou. Les filles comparent leurs écrits. Ce qu'il faut prévoir pour demain, la dernière matinée de cours. J'en profite pour remuer les dernières braises incandescentes. Elles viennent me rejoindre. Estelle saisit ma bite en lançant : << Qu'est-ce que j'ai pris hier soir ! >>.

Clémentine dit : << Tu m'as déjà raconté à midi. Mais Julien ne le sais pas encore ! >>. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la taille, par les épaules. << Mes parents n'étaient pas là. Une réunion du comité d'entreprise. J'ai baisé dans ma chambre avec parrain. J'adore quand il me met à poil et qu'il a juste sa queue à l'air. Comme toi. C'est homme est une véritable machine ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle rajoute : << Jean-Marc m'a chargé de demander à Clémentine une partie à trois ! >>. Je lui demande : << Tu vas accepter j'espère ! >>. Clémentine me répond : << C'est un redoutable baiseur. Si tu es d'accord, j'y vais ! >>. Je précise que je ne suis pas seulement d'accord mais que j'exige qu'elle participe à ce trio ! Nous en rions aux éclats. Bisous.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand les filles découvrent ma surprise, je croule sous les bisous. Nous enfilons nos tabliers. Je les noue dans les reins de mes deux anges qui font pareil avec le mien. Clémentine fait l'assaisonnement de deux belles endives. Je porte l'huile de friture à ébullition. Les pommes de terre chips réchauffent au four. Estelle verse les crevettes et les morceaux de crabe dans la pâte à crêpe. Estelle revient sur quelques détails croustillant de sa baise du mercredi soir. Elle propose à Clémentine de mettre au point la stratégie "trio". Sa marraine ne se doute de rien depuis plus de dix ans que ça dure. Il faut donc ruser. Je lance : << Et pourquoi pas notre maison d'amis ? Je peux m'y planquer pour vous admirer ! >>. Estelle et Clémentine se regardent.

<< Excellente initiative. Jean-Marc sera hyper content de te revoir ! >> dit Estelle. Clémentine répond : << Moi aussi. Et de revoir sa queue aussi ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les différents aspects de cette partie à trois. << Mardi soir, pendant les vacances ? >> propose Clémentine. << Je vois avec lui. Il est très occupé ! >> répond Estelle. Estelle qui se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. << Et toi, vieux pervers, tu seras planqué pour mâter, comme d'habitude ! >> me fait elle. Je me lève pour agiter mon chibre dans sa direction en disant : << Comme d'habitude. Mais je te réserverai le fruit de mes branlettes ! >>. Estelle s'écrie : << Pervers et salaud en plus ! >>. Nous rions.

Les assiettes, les couverts dans le lave vaisselle. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il nous reste une heure trente. Les filles m'entraînent au salon. Pendant que Clémentine allume les deux grosses bougies, Estelle s'empare de ma biroute. Je bande mou. << J'aime la compagnie des vicelards. Je m'ennuie tellement avec ceux qui ne le sont pas ! >> lance t-elle alors que Clémentine vient nous rejoindre. << J'ai une méchante envie de sucer ce soir ! >> dit elle en s'accroupissant. Estelle passe ma queue sur son visage. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande comme le dernier des salauds dans la bouche de Clémentine. Estelle cesse de m'embrasser. Sa tête posée contre ma poitrine, un bras autour de ma taille, sans lâcher mon sexe, elle regarde cette pipe.

<< Tu as raconté à Julien ta toute première pipe ? >> demande Estelle. Pour toute réponse, Clémentine pousse un gloussement amusé. Je dis : << Oui, elle m'a raconté. C'était avec son "ex" quand elle avait dix sept ans, derrière le lycée. C'est bien ça ? N'est-ce pas ? >>. Clémentine répond par un gloussement amusé. Estelle glisse à mon oreille : << C'était avec mon parrain, dans sa bagnole, j'étais derrière. On avait quinze ans ! >>. Clémentine cesse de sucer, se relève en disant : << Salope ! Je réserve mes petits secrets au compte goutte ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle s'accroupit à son tour en lançant : << En parlant de gouttes, ne laissons pas s'échapper celles-là ! >>. Clémentine chuchote à mon oreille : << Je te raconterai la vérité. Les vérités ! >>. Je sais par expérience que les femmes n'aiment pas trop revenir sur ces choses du passé. Il faut souvent leurs arracher des aveux. Ce que j'évite de faire. Je les préfère spontanés.

Je demande : << Après ses six années de vie commune, tu as encore des petits secrets ? C'est génial ! >>. Clémentine, en se penchant pour regarder la pipe d'Estelle, me fait : << Tu ne me poses jamais de questions, alors j'oublie les réponses ! >>. Nous ne cessons de rire aux éclats. Je conclue en rajoutant : << Je me doute bien qu'il a encore des trucs inavouables quelque part dans vos mémoires à toutes les deux ! >>. Estelle se redresse à son tour. Elle ouvre la bouche pour m'en montrer le contenu. Elle adore la dissolution du foutre avec sa salive. << Ce petit gout salé ! >> précise t-elle souvent. << C'est une friandise délicieuse ! >> rajoute Clémentine. Les filles me poussent. Je tombe dans le canapé. Elles jettent des coussins parterre pour s'y mettre à genoux. Je sais ce qui m'attend.

<< Tu es prié d'être bien vicelard ! >> lance Estelle en prenant appui de ses bras sur ma cuisse gauche. << J'aime quand tu donnes toute ta mesure ! >> rajoute Clémentine qui s'appuie sur ma cuisse droite. Toutes les deux, en riant, se refilent ma bite qu'elles sucent en gloussant. Elles reviennent sur des souvenirs communs. << Les plus intéressants ! >> précise Clémentine. << Avant c'était juste des coups d'essais ! >> rajoute Estelle. Clémentine cesse de pomper pour dire : << Oh mais il y a eu de supers coups d'essais ! >>. Je les écoute ainsi disserter. C'est passionnant. Je me fais vider les couilles en restant parfaitement immobile. Juste de petites contractions des muscles fessiers pour faire bouger ma queue dans les bouches avides et gourmandes de mes deux anges. En revenant sur certains détails précis, comme dans une entente mutuelle, elles changent de sujet pour revenir à des anecdotes communes.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines impatientes de se faire baiser sous les draps pour livrer quelques secrets de fille...

Julien (confesseur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Fleur - 12 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2408 -



Les vacances de la Toussaint commencent à midi

Quand elle termine à midi, Clémentine est très souvent bien déconneuse. Mais quand en plus c'est le début des vacances, c'est l'euphorie. L'application "forêt" nous arrache de nos profonds sommeils. L'illusion parfaite de nous réveiller au cœur d'une forêt enchantée. Quelques bisous, quelques papouilles, nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nos vêtements de gym. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. En me racontant les moments forts de ses rêves, imitant l'accent Corse de Juliette, Clémentine fait le café. Je suis plié de rire en pressant nos oranges, en pelant nos kiwis. Comme une ballerine Clémentine s'élance vers le grille pain à l'instant même où ce dernier éjecte ses premières tranches. Pas de doute, il y a de l'ambiance !

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les folies en compagnie d'Estelle. J'ai eu droit à une pipe d'anthologie. << Tu préfères quelle bouche ? >> demande Clémentine en venant terminer sa tartine de confiture d'églantines sur mes genoux. Je réponds : << Une fois que je suis la victime d'une fellation passionnée il m'est impossible de définir quoi que ce soit ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour. Clémentine termine à midi. Elle aimerait bien aller flâner en ville. Avec cette météo déplorable aucune autre activité ne serait plus agréable. 6 h25. Nous remontons. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol. Charges additionnelles, stretching. Le tout dans les déconnades de la fille que j'aime.

La douche. Je dévale les escaliers pour aller sortir l'auto du garage. Il pleut. Presque 7 h45 et le jour achève de se lever sous un ciel d'une tristesse infinie. Parfait contraste avec l'humeur joyeuse de Clémentine qui vient me rejoindre en sautillant sur les dalles de grès. Dans son anorak, son Levis, ses bottines. Sous son parapluie. Il fait légèrement moins froid. Un dernier bisou où elle me palpe la braguette. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Aucune envie de m'attarder ce matin. Je me dépêche de rentrer pour faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume tout de même un bon feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce sixième paysage de commande me procure d'autres émotions. Dans une certaine euphorie.

Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris surréalistes. Il est rapidement midi. Deux bûches sur les braises. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il reste quantité de beignets à la crevette et aux crabes. Nombre de pommes de terre chips. Je réchauffe. Je prépare l'assaisonnement d'une salade d'endives. Il est midi trente. Clémentine rentre de cours en me sautant au cou. << Les vacances ! >> lance t-elle. Je la soulève pour l'emmener aux toilettes. Elle me couvre le visage de bisous en disant : << Mes "petits machins" sont arrivés ce matin ! Mais j'ai pris mon médoc ! >>. Je la laisse seule pour retourner dans la cuisine. Dehors, la pluie a enfin cessé. Le ciel reste morose et extrêmement nuageux. Une température de 19°.

Clémentine me rejoint. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos activités de l'après-midi. Clémentine me raconte sa matinée. Ses cours. << Je dois te tripoter la queue de la part d'Estelle ! >> me dit elle. Je dis : << Après la vaisselle ! >>. Nous rions. Nous revenons sur la jeune serveuse rencontrée dimanche dernier au restaurant du château durant notre randonnée. Mathilde. Elle devait nous appeler mercredi soir. Faire trois heures de ménage les samedis matins semblaient beaucoup l'intéresser. << C'est très "tendance" de ne pas répondre, de ne pas donner signe de vie ! Laissons tomber ! >> conclue Clémentine. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous changer. Clémentine porte une de ses jupes kilts à carreaux rouges et verts. Un chemisier blanc, un pull bleu nuit.

Ses bas noirs tenus par un porte-jarretelles noir. Ses bottines noires de ville à légers talons. Sur sa demande je porte un pantalon à plis et à pinces, noir. Une chemise blanche sous un pull gris. Mes souliers de ville noirs. Nous prenons des poses devant le miroir. Je souffle un peu d'air chaud sur ses seins dont les extrémités sont dures et douloureuses. Je masse un peu son bas ventre. << Mmhh, docteur Julien, je sens que je vais vous consulter de nombreuses fois cet après-midi ! >> lance t-elle en s'accroupissant. Sa tête contre ma cuisse, ses bras autour de ma jambe, les siennes très écartées, Clémentine rajoute : << Ce qui ne m'empêchera pas d'être hyper salope. C'est un besoin viscéral. Une catharsis après les cours ! >>. Nous en rions. Je l'aide à se redresser. Bisous.

Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos blousons de cuir noir. De nouvelles poses devant le grand miroir du hall d'entrée. << Regarde comme on est beaux tous les deux. L'élégance, le style. Je nous aime ! >> lance Clémentine. Par mesure de prudence, je prends le grand parapluie. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Nous prenons la Mercedes. Je roule doucement sur les vingt cinq kilomètres qui nous séparent de la ruelle habituelle où nous garons la voiture. Clémentine joue avec ma queue en revenant sur ses aveux de la fin de soirée. << Avant toi je n'ai pas sucé beaucoup de mecs. Ça a commencé par Jean-Marc, le parrain d'Estelle. Je te raconterai quand on pourra à nouveau faire l'amour. C'est les vacances ! >> dit elle. J'écoute amusé. Je ne pose jamais de questions quand à son passé. C'est un bonheur quand c'est elle qui m'en parle.

De ma main droite sous sa jupe, entre ses cuisses largement écartées, je joue avec son clitoris géant. J'aime bien tirer sur la petite ficelle blanche. Donner de petits à coups. << Arrête ! C'est dangereux ! >> s'écrie t-elle en saisissant alors mon poignet. Je gare l'auto. Il y a des morceaux de ciel bleu. Serait-ce prometteur pour le week-end qui s'annonce ? Nous marchons d'un bon pas. Clémentine reste accrochée à mon bras. Il y a un peu plus de dix minutes jusqu'aux premières rues piétonnes. Là, nous ralentissons pour flâner. Regarder les belles vitrines. Quand elle est déconneuse, Clémentine donne des noms fantaisistes aux rues que nous parcourons. La rue des glands. La rue de la queue. L'avenue du clito. La rue de la chatte. Nous entrons dans le premier grand magasin.

Au quatrième étage c'est le salon de thé, restaurant. C'est noir de monde dans le bourdonnement incessant des conversations. Nous y remonterons tout à l'heure. Le troisième étage ce sont à droite les vêtements femmes, à gauche les vêtements hommes. C'est pas la droite que nous commençons. Il y a des habits de marques. Très luxueux. Notamment ce blouson de nubuck beige au col, aux manches et au bas de fausse fourrure blanche. Sur le mannequin il est absolument superbe. Clémentine le décroche pour le mettre. Entre seize et dix huit ans, pour gagner un peu d'argent, dans sa famille d'accueil, elle faisait du mannequinat. Son mètre quatre vingt deux, ses seulement 62 kilos la voyait crouler sous les propositions. Elle s'en est lassée car les contraintes sont souvent de longues attentes, des pertes de temps et, il faut bien l'admettre, la compagnie d'autres filles souvent stupides, aux préoccupations sans réels intérêts.

Elle prend la même pose que le mannequin de plastique. C'est stupéfiant de réalisme. Je dis : << Ce blouson a été créé spécialement pour toi. On le prend ! >>. Il y a un couple très élégant également qui s'approche. Ils croient avoir affaire à un mannequin d'expositions comme il y en a plein dans les rayons. La jeune femme palpe même la manche du blouson lorsque soudain Clémentine bouge. La jeune femme, effrayée, pousse un cri en mettant sa main sur sa bouche. Ils rient en découvrant Clémentine, mannequin de chair et d'os. Clémentine réfrène mon souhait d'acheter ce beau vêtement. << Le nubuck c'est fragile et salissant. Tu sais que j'ai au moins cinq blousons et que je ne peux n'en mettre qu'un seul à la fois. Viens ! >>. Elle m'entraîne par la main pour continuer.

<< Mon fantasme de l'après-midi. Me balader complètement à poil dans ce magasin. Bavarder avec les gens comme si c'était le plus naturel au monde ! >> me dit elle en nous stoppant soudain devant l'escalator. Elle me montre la partie des vêtements hommes avant de m'y entraîner. Je m'empresse de prononcer les mêmes mots à chaque fois qu'elle aimerait me faire acheter un pull, un pantalon ou encore une de ses magnifiques chemises blanches à jabots. J'en possède déjà deux. Dont la fameuse chemise "Mousquetaire" que je mets pour nos séances de "Maître à Soumises". Il n'y a que des couples à se promener dans le rayon des habits de marques. Dommage car Clémentine s'offrirait volontiers une petite exhibe. << J'ai envie de faire ma salope ! Comme rarement ! >> lance t-elle.

Il n'y a hélas aucune opportunité qui ne le permette réellement. Il est évidemment question d'une exhibe de qualité. Pas d'un truc bâclé. Nous descendons au rayon électro ménager du second étage. Là non plus, pas d'occasions. Par contre il y a quelques belles femmes seules qui errent dans les rayons. Nous attirons bien évidemment leurs attentions. Nos hautes tailles, notre élégance, cette sublime jeune fille au bras d'un homme d'âge mûr. Non, je ne suis pas le papa. Leurs curiosités et leurs interrogations trouvent vite réponses. Le comportement de Clémentine ne laisse aucun doute sur la nature de nos relations. Nous en jouons. C'est d'ailleurs hyper bandant. Toutes ces belles femmes, élégantes, qui m'adressent d'étranges regards. De quoi faire bander une momie Égyptienne.

Nous remontons au dernier étage. La grande salle du restaurant salon de thé ne désemplit pas. Ce sont des tables rondes entourées de quatre chaises d'apparence très confortables. Il y en a une de libre près de la grande baie vitrée qui donne sur les toits des maisons environnantes. Nous choisissons nos tranches de tartes à l'abricot, une grande tasse de chocolat chaud. Il faut patienter quelques instants à une des caisses. Nous voilà installés. Ça grouille de monde. Il y a un couple à une table voisine. La cinquantaine. Très élégant. La dame nous tourne le dos. L'angle parfait pour Clémentine qui me raconte ce qu'elle fait de ses jambes. Je fais mine de ne surtout pas remarquer les regards discrets du monsieur qui semble très préoccupé par ce qui se passe sous notre table.

Clémentine trop heureuse de l'occasion rêvée, en rajoute évidemment. Nos blousons posés sur le dossier des deux chaises vides permettent d'exercer dans la plus totale discrétion. Clémentine, cuisses largement écartées, dans cette indécence folle, se touche. Je fais semblant d'être absorbé dans la contemplation de l'écran de mon téléphone. En écoutant les descriptions que me fait Clémentine. << Je suis entrain de me branler, de lui montrer ma chatte. Et pourtant il continue de bavarder avec sa femme ! >>. Je bande comme le dernier des salauds. Moi aussi j'aimerais bien me branler. La situation dure une bonne demi heure. << J'ai envie de pisser ! >> lance Clémentine dans le brouhaha constant qui commence à nous indisposer. Nous repartons car c'est trop pénible.

Hors de question d'aller tester les toilettes dans ce genre d'endroit. C'est un va et vient continuel. Nous voilà dans la rue. << J'ai chaud ! Normal pour une salope ! >> lance t-elle en me sautant au cou. Nous sommes en pleine foule. Nous prenons le boulevard "Biroute" pour faire la visite d'un des autres grands magasins. Il présente un peu la même configuration. Peut-être un peu plus populaire car les prix y sont plus accessibles. Même constat, aucune réelle opportunité. << Put-Hein j'aimerais faire ma salope. Je dois pisser ! Il me faut un "plan" ! >> dit Clémentine à mon oreille. Je propose de trouver une ruelle transverse, peu fréquentée. Il faut sortir des rues piétonnes. Il y a quelques venelles que nous connaissons bien. Derrière le musée des Beaux-Arts.

Là, dans l'encadrement d'une porte, à l'abri des regards non désirés, Clémentine se dissimule. Je reste à l'écart. Derrière les grands pots de houx. Là, je peux surveiller, "sécuriser". Il y a un jeune type en jogging à capuche qui se pointe. Je fais signe à Clémentine qui s'accroupit immédiatement. C'est du style "caillera". Il s'arrête en découvrant la scène. La pisse qui s'écoule à ses pieds qu'il écarte en sautant. << Hé mais madame, il y a des chiottes publics ! >> lance le mec avec un accent des cités. Au lieu de se montrer le spectateur privilégié, ce jeune con s'en va en proférant des insultes ! Clémentine, tout en pissant, met l'index sur sa tempe pour le faire tourner. C'est moi qui profite du merveilleux show de la fille que j'aime. Je propose un bon restaurant pour ce soir. Bonne idée.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines, victimes de leurs "petits machins" qui malgré tout vont s'offrir des plaisirs raffinés. Dont un suçage de bite, après s'être faite sucer le clito...

Docteur Julien (agent de surveillance)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 13 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2409 -



Le premier jour des vacances

Il est 7 h30 quand Clémentine se serre contre moi en gémissant. Sa tête contre ma poitrine, elle passe une cuisse sous mes fesses, pose l'autre sur mon érection naturelle. D'un léger mouvement masturbatoire elle se frotte contre ma hanche. << Cette fois tout se passe bien. Juste des contractions désagréables ! >> dit elle, faisant allusion au second jour de ses règles. L'envie de pisser met un terme à nos câlins. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous mettons nos tenues de jogging. Le jour se lève dans une clarté qui laisse augurer d'une belle journée. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Il fait bien chaud dans toute la maison. Les radiateurs fonctionnent depuis une heure et demi. Clémentine fait le café en racontant quelques séquences de ses rêves.

Je presse les dernières oranges, je pèle les derniers kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre périple citadin de vendredi après-midi. La soirée dans un bon restaurant gastronomique. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de la journée. Estelle nous rejoindra pour 14 h et restera avec nous toute la semaine. Des réjouissances en perspectives. La vaisselle. Dans le hall d'entrée, depuis l'interphone, j'ouvre le portail. Le thermomètre extérieur indique 12°. Il faut enfiler les K-ways. Nous pratiquons nos exercices d'échauffement à l'intérieur avant de sortir dans la fraîcheur désagréable. C'est parti. Le sol est détrempé par endroit. Aussi nous choisissons de courir sur le bord de l'étroite route communale. En passant devant le haras. Sympathique.

Il est neuf heures quand nous sommes de retour. La douche. Le shampoing. Le sèche cheveux dans la main droite, la brosse dans la main gauche, je coiffe Clémentine. Une serviette autour de ses épaules, assise devant un des miroirs, elle me raconte quelques anecdotes étudiantes. Je divise ses cheveux en trois parties pour en faire une natte. << Mon docteur, mon coiffeur, mon chéri ! >> s'écrie t-elle en me sautant au cou. Comme c'est fragile une fille toute nue qui s'accroche à vous et dont on sent battre le cœur contre sa poitrine. Je suis pétri d'émotion. Nous passons nos Levis, nos chemises à carreaux, baskets. Nous changeons les draps du lit avant de redescendre. Dans la buanderie, à la cave, Clémentine se serre contre moi en disant : << On est ensemble deux semaines ! Je t'aime ! >>

Une semaine de vacances et une semaine de cours depuis la maison, avec des séances de télé travail. Il va être dix heures. Nous remontons. Nous enfilons un gilet en laine à fermeture éclair. Clémentine s'accroupit. Ma braguette bouton ouverte, elle ajuste mon sexe sur le haut de l'élastique du slip. << Voilà, parfait. Mon satyre adoré va encore pouvoir donner toute sa mesure ! >> fait elle en se relevant, posant ses lèvres sur les miennes. Nous sortons. Il faut traverser le jardin en restant sur les dalles de grès. Tout est mouillé des pluies incessantes de ces derniers jours. Voilà la camionnette blanche qui descend lentement le chemin pavé. Danièle, un grand sourire, visiblement heureuse de nous revoir, se gare devant le garage. Elle saute du véhicule en touchant nos poings du sien. << Bonjour ! >>

Ce matin Danièle porte un gilet de camionneur, un pantalon gris avec des empiècements noirs aux genoux, de grosses chaussures. Son bonnet gris. Tout en contournant la camionnette elle dit : << J'ai peut-être quelqu'un pour votre ménage ! >>. En montant à l'arrière elle rajoute : << C'est une jeune fille. Une étudiante. Elle a travaillé dans notre exploitation tout l'été. Elle en veut et c'est une bosseuse ! >>. J'attrape le lourd cageot contenant les fruits et les légumes. Dans l'élan nécessaire, ma bite qui jaillit. << Je ne sais pas si Lise est le style de fille à apprécier ce genre de chose ! >> s'écrie Danièle en pointant son index en direction de ma queue toute molle. Nous rions. Pendant que Clémentine attrape le second cageot je pose le mien sur un des deux bancs en pierre contre la façade.

Je libère Clémentine de ce second cageot contenant les yaourts, les œufs, le beurre, les pots de crème fraîche, les fromages. Danièle saute de son camion en rajoutant : << Je livre aussi le mercredi matin. Donc si vous avez besoin de quoi que ce soit. J'ai beaucoup moins de clients. Donc davantage de temps ! >>. Je tiens mon sexe qui commence à durcir. Il n'en est encore qu'au stade "tuyau d'arrosage". Je l'agite dans sa direction. << Peut-être un autre de ces délicieux gruyères Suisse que vous nous avez fait découvrir ! >> lance Clémentine. << Je vous recommande la "tête de moine". On n'en fait qu'en été et il nous en reste. Si ça vous tente je vous livre mercredi matin, vers dix heures ! >>. répond Danièle. Elle saute au volant de son utilitaire car elle a bien d'autres clients à livrer.

<< Je vous branche avec Lise. J'ai vos coordonnées. Si vous n'avez encore personne c'est la personne qu'il vous faut. Elle sait bosser ! >> dit encore Danièle en démarrant. J'agite mon érection dans sa direction pendant qu'elle procède aux manœuvres du demi tour. Elle mime une rapide masturbation masculine avant de lever le pouce. Nous la regardons remonter vers le portail. Je remballe immédiatement. Voilà le tube Citroën de notre boulangère. Madame Marthe, hilare au volant, comme à son habitude, vient se garer au même endroit. Malgré sa corpulence, la souplesse dont elle fait preuve en sautant du marche pied est étonnante. << Je n'ai toujours personne pour le ménage ! >> dit elle en faisant coulisser la porte latérale dans un effroyable bruit de ferraille. Elle tire un cageot.

<< On a sans doute quelqu'un ! >> fait Clémentine alors que j'attrape le cageot contenant les deux énormes miches de pain complet et bio. La non moins énorme brioche au pudding. Les bouchées à la reine, les deux pâtes feuilletées et les deux gros croissants aux amandes. Madame Marthe non plus ne s'attarde pas. Comme avec Danièle le paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la dame. Nous prenons les deux premiers cageots pour descendre dans la cave par l'extérieur. Il faut contourner la maison. Nous disposons soigneusement les fruits et les légumes sur les étagères en bois du cellier. Nous remontons chercher le troisième cageot. Clémentine se serre contre moi en disant : << J'adore te voir faire le vicieux avec les autres femmes ! >>

Du congélateur où je mets une des deux miches, une pâte feuilletée, je tire le paquet de moules, deux sachets de haricots verts et de petits pois. Clémentine me sort le sexe avant de remonter par l'escalier intérieur. << Toute la semaine, je veux l'avoir à disposition ! >> fait elle alors que nous remontons pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Quand je referme la porte, Clémentine m'attrape la queue en demandant : << J'ai la main froide ? >>. En effet, c'est "saisissant". Elle m'entraîne ainsi jusqu'au salon. Assise sur mes genoux, elle allume l'ordinateur. Le courriel de ma famille en Écosse. Oncle Alan et sa femme Amy nous informent que notre appartement nous attend pour les fêtes de fin d'année. Le message de Juliette qui nous invite à passer dimanche. Sa première animation équestre de la saison. Le mail d'Estelle qui est impatiente de nous rejoindre d'ici deux heures. Elle joint une photo ou on la voit nue derrière une serviette. Une autre autour de sa tête comme un turban. En claquettes de piscine.

Un rapide petite visite sur le site universitaire. Pendant que Clémentine répond à nos courriels, assise à califourchon sur mes cuisses, me tournant le dos, je caresse délicatement ses seins minuscules. << Mmmhhh ! Docteur, vos soins soulagent ! >> dit elle. Je passe ma main sur la braguette de son 501. << Mmmhh ! Là aussi c'est thérapeutique ! >> rajoute t-elle. Nous rions de bon cœur. Clémentine se lève pour changer de position. Ses bras autour de mon cou, elle mitraille mes lèvres de bisous entre des << Je t'aime ! >>. Il commence à faire faim. Les moules ainsi que les légumes ont décongelé. Nous avons un truc infaillible. Poser le tout sur un des deux radiateurs. Dans un plat long à cake. Pas de flotte qui coule. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une belle laitue toute fraîche.

Je porte le bouillon à ébullition après y avoir rajouter de l'ail, de l'oignon, du persil, de la ciboulette. J'y vide le paquet de moules de Bouchot. Dans le wok je vide les sachets de haricots verts et de petits pois. La préparation du repas rituel des samedis midis est rapide. Nous épluchons des pommes de terres, des carottes, des navets et le céleri. Ce sera pour les trois prochains repas du week-end. C'est ça de gagné en temps de préparation pour ce soir car Clémentine suggère une randonnée cet après-midi. Il fait bien trop frais pour partir à bicyclette. Ce ne serait pas vraiment un plaisir. << C'est Estelle qui va être contente. Elle qui adore les randonnées ! >> lance t-elle alors que nous coupons les légumes destinés à la potée. Le tout dans une grand plat en inox préalablement huilé. Dans le four.

Je règle le thermostat sur la température la plus basse. Une précuisson en quelque sorte. Il suffira de la terminer dans la vieille cocotte en fonte noir en revenant de promenade. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'invitation de Juliette. Si la météo est défavorable nous irons faire un tour au haras. C'est toujours sympa d'assister à des spectacles hippiques le dimanche en fin d'après-midi. Par association d'idée, en évoquant le haras, Clémentine en vient à parler du Gloryhole. Elle vient s'assoir sur mes genoux avec son assiette à côté de la mienne. << Tu n'es pas jaloux à l'idée de ce qui va encore se passer là-bas ? >> me demande t-elle une fois encore. Je réponds par une question : << Jaloux ? Tu parles sans doute de cet étrange sentiment qui m'étreint quand je te regarde sucer d'autres queues ? >>

Je la rassure. Bien au contraire, je me réjouis. Le plaisir de Clémentine est double et l'entraîne dans les abîmes du plaisir le plus prosaïque, le plus trivial. Le plus viscéral. De me savoir à ses côtés, de savoir que je la regarde, la comble d'aise. << Je t'aime. Tu sais que je ne le fais pas seulement pour moi mais également pour toi. J'adore quand tu me regardes ! >> chuchote t-elle en terminant son assiette. Nous traînons un peu à table. J'écoute Clémentine me confier ses ressentis concernant les gloryholes passés. Vécus dans ce haras depuis cinq ans. En compagnie de Juliette et de ses "invités" triés sur le volet. Nous rions à l'idée qu'elle va encore exiger des participants un certificat médical de moins de 48 h. Ce sont toutefois des précautions rassurantes. Pas d'improvisations, pas d'éléments douteux. Autant de garanties nécessaires.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. << Qu'ils sont où les gens qui me manquent tant ! >>. C'est Estelle qui entre en posant son grand sac de sport sur le tabouret. Tellement contents de nous retrouver tous les trois que nous nous serrons pour nous faire plein de bises. Estelle, en tirant son pyjama de soie mauve, une paire de chaussettes et une culotte de son sac, nous raconte son vendredi après-midi. Sa matinée à emmener ses parents à l'aéroport. Ils vont passer la semaine à North Kessock en Écosse. Normalement les travaux de rénovations de leur maison devraient êtres terminés. Ils reviennent lundi prochain. Nous irons tous les trois les récupérer à leur descente d'avion. Leur entreprise à Inverness fonctionne déjà à plein régime.

Vêtus tous les trois de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je porte, des pommes, la thermos de thé bouillant, les barres de céréales, la minuscule paire de jumelles. Nous mettons nos anoraks. Les grosses godasses dans les mains, nous traversons le jardin. Je roule doucement. Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'aux collines du château. Un de nos circuits de randonnées préférés. Clémentine joue avec ma queue en revenant sur les émotions que procurent le projet du prochain Gloryhole. Estelle, assise à l'arrière, en me caressant le cou, les joues, précise : << Moi, la seule queue que je vais sucer c'est celle de Julien. Je te laisse à tes dégustations de salopes ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Il fait beau. Le soleil. Le ciel bleu.

Par contre la température n'excède pas 18°. Le vent du Nord Est en est responsable. Je gare l'auto sur le parking du restaurant du lac. Il y a plein de voitures. Nous ne sommes pas seuls à vouloir profiter de cette belle journée. Il y a d'autres groupes de promeneurs qui se préparent. Nous changeons de chaussures. C'est parti. Nous prenons le sentier qui monte à la droite du restaurant dont la terrasse est à présent vide. Voilà le chemin. Il est large et nous pouvons y marcher de front. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les mains. Nous croisons nombre de promeneurs. Des groupes, des couples. C'est encore un vrai bonheur que de s'offrir un après-midi de plaisirs pédestres. Estelle ne déroge pas aux règles qu'elle s'est fixée. Serrée contre moi tous les cent mètres pour masquer ses activités tactiles.

Pour cacher sa main tripoteuse. Il fait trop chaud pour garder les anoraks fermés en montant. Je ne peux donc pas garder ma braguette ouverte. Ce qui frustre ma "masseuse". Nous en rions lorsqu'elle dit : << Ma revanche sera terrible ! >>. Clémentine ne se prive pas pour faire pareil. Tout comme moi qui synchronise mes gestes afin de glisser mes mains entre leurs cuisses en même temps. << Salaud ! >> s'écrie Estelle. << Excellent ! >> s'exclame Clémentine. Nous attirons évidemment bien des attentions de la part des gens que nous croisons. Ce circuit de randonnée est très prisé donc très fréquenté. Mais les enchantements qu'il propose expliquent ce succès. Nous suscitons bien des interrogations. Non. Je ne suis pas le papa de ces deux filles contre moi. Me tenant par les bras ou par les mains. Nous nous en amusons beaucoup. Surtout que pour bien situer les choses, mes deux coquines déposent des bises sur mes joues.

D'arriver devant ce magnifique château entièrement rénové au point qu'il semble avoir été construit récemment est un enchantement. << Le château des milles et une nuits en plein jour ! >> lance Estelle. Nous franchissons le pont-levis. Je suis sujet au vertige alors j'évite de regarder le fond des douves asséchées pour l'hiver. Il y a du monde. Mais cette fois tous les commerces ont tiré leurs volets. C'est dommage. Un bon chocolat chaud dans le restaurant serait un grand moment. Surtout accompagné de tranches de tartelettes. Nous avons notre boisson chaude. Nous faisons quelques selfies. Clémentine place judicieusement son téléphone. Nous prenons la pose. Bien évidement Estelle adore saisir ma braguette de sa poigne ferme juste avant le déclic. Elle rit de mes étonnements.

Pas toujours très discrète alors que d'autre randonneurs se promènent dans la grande cour de la forteresse. Il est à présent interdit de monter sur les créneaux, de parcourir le chemin de ronde, de monter dans le donjon. Mais le charme de l'endroit reste intact. Les recoins où mes deux coquines extraient mon chibre. Clémentine fait les photos. Estelle contre moi, un bras autour de ma taille, tenant mon chibre. Nous sourions à l'objectif. En restant inactif, le froid commence à gagner. Et il est déjà seize heures. Pas d'autre choix que de refermer les anoraks. Ce qui n'empêche nullement les attouchements. Nous redescendons par le sentier qui longe le lac. Nous ne sommes pas seuls à reprendre le chemin du parking. Il faut donc se tripoter avec une certaine discrétion. Difficile pour Estelle.

Elle adore me mettre dans des situations embarrassantes. Si pas gênantes. Il est dix huit heures quand nous revenons à la voiture. Le soleil a disparu derrière les collines. La fraîcheur s'accentue encore. En changeant de chaussures on a carrément froid aux pieds. Sur la route du retour, malgré mon ressentiment, Estelle est assise au sol, entre les pieds de Clémentine. Ce qui permet à sa main de jouer avec ma queue quand Clémentine daigne cesser pour sucer un peu. Je bande comme le dernier des salauds avec cette même appréhension. Pourvu qu'il n'y ait aucun contrôle de gendarmerie sur la route. << Ça finira par arriver un jour ! >> lance Clémentine en se redressant. La position d'Estelle, inconfortable quand elle est à genoux pour sucer elle aussi. Je ralentis encore. Par prudence.

Il est dix neuf heures quand nous revenons. La nuit est tombée. Il fait froid. Clémentine s'attelle immédiatement à la préparation de l'assaisonnement du reste de la laitue. Je verse la potée cuite dans la vieille cocotte en fonte noire. Estelle touille avec la spatule pour éviter que ça n'attache. Je fais rissoler trois beaux dos de cabillaud blanc. Tout est rapide ce soir. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments forts de notre randonnée. << Quand je commence à sucer, je pourrais le faire jusqu'au sommeil ! >> lance Clémentine. << Moi aussi, surtout la bite de notre salaud adoré ! >> s'exclame Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Le programme de la soirée est simple. Clémentine propose de nous regarder baiser en se masturbant. Elle a ses règles.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines, même épuisées par quatre heures de marche, qui vont s'offrir du stupre, de la luxure et au passage quelques orgasmes qui vont les achever totalement. Avant de serrer contre leur bienfaiteur sous des draps tous frais...

Julien (bienfaiteur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Les douceurs du dimanche pendant les vacances

Il n'est pas loin de neuf heures quand je suis réveillé par la main d'Estelle. Main qui se pose sur ma tumescence. Je saisis son poignet pour remonter doucement jusqu'à son épaule alors qu'elle se blottit encore plus fort. Elle reste toujours contre moi durant tout le sommeil. Épousant chacun de mes mouvements. Ses lèvres se posant dans mon cou. Clémentine commence à bouger. Elle aussi se réveille pour se serrer contre moi. Je suis entre mes deux anges. Nous émergeons doucement. En nous étirant. En modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Nous avons l'habitude de la voir courir dans son pyjama de soie mauve. C'est Clémentine qui tient mon érection dans sa main. << C'était bon avant de dormir ! >> murmure t-elle.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Estelle est entrain de faire le café. Il y déjà les odeurs du pain grillé. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Sur la table trône la brioche au pudding. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les points forts de la randonnée de samedi après-midi. De la soirée de folie qui s'en est suivie. Le dessus de notre pauvre bureau victorien qui a subi nos assauts victorieux. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en envisageant l'itinéraire de celle de cet après-midi. Estelle propose l'autre circuit des collines. Celui qui mène au vieux couvent. << Ça fait longtemps ! Génial ! >> s'écrie Clémentine. Nous applaudissons.

Dehors il fait sensiblement la même météo. Un ciel presque entièrement bleu, un soleil à la lumière généreuse. Par contre la température reste basse avec seulement 8°. Nous traînons un peu à table, savourant également ce second jour de vacances. Assises sur mes genoux, mes deux anges font mille projets. Nous devions réaliser notre vingtième film porno samedi. << Avec la météo annoncée dans les prochains jours, nous aurons toute latitude pour le faire ! >> précise Clémentine. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous changer. Tous les trois, Levis, épaisses chemises à carreaux, nous faisons la chambre, le lit. Pressés de nous dégourdir un peu les jambes nous redescendons à toute vitesse. Il faut enfiler les anoraks. << Put-Hein ça caille ! >> s'exclame Estelle.

Les filles, serrées contre moi, nous allons jusqu'à la rivière. Les ébats des poules d'eau, des canards et des colverts, indifférents aux conditions climatiques, sont captivants. Un léger et désagréable vent du Nord souffle sans arrêt. Nous prenons le sentier facile de gauche. Estelle qui ouvre la marche se retourne souvent pour palper ma braguette, me faire une bise. Je me retourne à mon tour pour distribuer les mêmes douceurs à Clémentine. Le sol a séché. << Si c'est comme ça demain on pourra faire notre jogging ici ! >> suggère Clémentine alors que nous arrivons au vieux lavoir. On ne s'y attarde pas. Avec cette fraîcheur ce n'est pas très accueillant. Il est onze heures quarante cinq quand nous revenons. Morts de faim. Chacun avec une tâche bien précise pour notre repas de midi.

Clémentine fait l'assaisonnement d'une belle scarole. Il y en aura pour ce soir tellement cette salade est grande. Estelle prépare les pavés de saumon décongelés en papillotes. Gardant son anorak, sur le barbecue électrique dans la véranda. Je remue la potée de légumes afin qu'elle n'attache pas au fond de la vieille cocotte en fonte noire. Sous mon tablier noué sur mes reins, j'ai la bite à l'air. Parfois je le soulève pour aller coller mon sexe contre la vitre. Estelle mime une fellation, me fait d'horribles grimaces ou remue un index menaçant. Sous les rires de Clémentine qui vient agiter mon zguegue. Les préparatifs sont rapides. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les souvenirs des randonnées "vieux couvent". Les bâtiments sont depuis longtemps abandonnés par les religieuses.

Ce sont maintenant des entrepôts servant aux machines des exploitants agricoles de la région. Seule une des bâtisses resterait fonctionnelle avec ses allures d'ancienne école. Il y a cinq ans nous y avions tourné quelques images pornos qu'Estelle a rajouté à d'autres montages. Nous en rions en mettant les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant nos habituelles pitreries devant le miroir de la salle de bain. Impatients de repartir, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je porte, les barres de céréales, les pommes, la thermos de thé bouillant. Semblables en tous points aux préparatifs de samedi. Nos grosses godasses dans les mains nous traversons le jardin. Il n'est que 13 h15. C'est parti. Vingt cinq bornes dans une circulation fluide.

Je roule doucement. Estelle assise à l'arrière caresse mon cou en proposant différents scénarios pour notre prochain film porno. Clémentine qui joue avec ma queue suggère que nous en prenions les premières images cet après-midi. En effet, pourquoi ne pas inclure dans le film une "rencontre" durant une promenade et la découverte de bâtiments abandonnés ? Nous applaudissons l'idée. Je gare la voiture sur le parking du restaurant. Il y a encore davantage de monde que samedi. Plein de gens profitent encore de cette météo favorable aux randonnées. Nous changeons de godasses. Je prends le sac sur le dos. C'est parti. Cette fois c'est le sentier qui part sur la droite. Moins fréquenté car les paysages qu'il sillonne se diversifient différemment. Principalement en forêts et parfois escarpés.

Par contre les portions de chemins plus larges permettent d'évoluer de front. En marchant côte à côte. Les filles me tenant alors par les mains. Nous croisons tout de même de nombreux promeneurs. Des groupes, des couples. Certains qu'on entend venir de loin avec le bruit que font leurs bâtons sur la rocaille. Il y a un tronçon très sympathique. Plus d'arbres. Juste des bosquets. La vue sur le lointain est splendide. << On fait la "rencontre" ici ? >> suggère Clémentine. << Oui mais ça implique qu'il faudra être vêtu pareil pour les images en intérieurs ! >> précise Estelle. Elles en discutent. Clémentine propose que cette première "rencontre" soit le prélude à une seconde que nous pourrions tourner dans les jardins de notre propriété. Un peu à la manière d'un second rendez-vous.

<< Excellent ! >> s'écrie Estelle qui rajoute : << Une seconde rencontre mais cette fois en tenue "ville" ! >>. Nous scrutons les environs. L'endroit est désert, un peu trop dégagé. On pourrait éventuellement nous apercevoir depuis le chemin plus haut à une centaine de mètres. Clémentine tire son I-phone de la poche de son anorak. Il permet de filmer en 4K. Estelle et moi préparons la scène. C'est d'une simplicité déconcertante mais à la condition de ne pas êtres dérangés. Estelle retire son anorak. Elle met le sac sur son dos. Retire ses larges lunettes de soleil. Ajuste son écharpe à la façon d'un foulard pour protéger son cou. Même si nous sommes à l'abri du vent la chaleur du soleil est très relative. L'application du téléphone de Clémentine affiche 19°. Je retire moi aussi mon anorak.

Comme toujours Clémentine ne se révèle pas seulement excellente metteuse en scène mais également excellente preneuse d'image. Elle dirige les prises de vues. Nous nous assurons une fois encore d'êtres bien seuls. Je me dépêche, en courant, d'aller à la sortie de la forêt. Là-bas à environs cent mètres. Je sors ma bite et mes couilles. La braguette boutons du 501 fait garrot. Ce qui offre une présentation très précise des organes génitaux. << Très classe ! >> crie Clémentine qui rajoute : << OK ! >>. Je marche nonchalamment en direction de l'objectif. À une centaine de mètres, venant dans le sens inverse, Estelle. Jouant à la perfection le personnage de la jeune fille seule dans sa randonnée solitaire. Clémentine filme nos arrivées communes dans le champs de vision.

Nous jouons aux parfait inconnus. Ce n'est pas la première fois. Estelle, à une dizaine de mètres, marque un arrêt. La jeune fille vient de remarquer que ce mec se balade avec ses organes génitaux en parfaite liberté. Ses expressions d'étonnement, puis d'inquiétude expriment très exactement une situation réelle. Elle monte le talus pour ne pas croiser de trop près ce satyre qui lance : << Bonjour ! Belle journée pour une ballade ! C'est demain la lessive ? >>. Dans une parodie de dialogue "Terminator". La jeune fille monte d'un pas rapide sans répondre. Clémentine s'accroupit pour filmer la scène sous des angles différents. Je la vois rire de ma facétieuse question. Une seule et première prise permet de capturer la spontanéité de l'instant. Nous jouons parfaitement nos rôles. Je m'arrête, prenant la base de mon sexe entre le pouce et l'index, je demande : << Vous pourriez peut-être me renseigner, mademoiselle ? >>

Estelle s'arrête. Elle me domine d'une vingtaine de mètres. S'arrête. Répond par une question : << Quoi donc ? >>. Je tends l'index en direction de cette partie de la vallée : << Quel est donc le nom du village qu'on aperçoit au loin ! >>. Estelle répond : << Je crois que c'est Branle-les-mimosas ! >>. Je dois détourner la tête afin de cacher mon irrépressible envie d'éclater de rire. Estelle ne s'attarde pas et dévale le talus pour quitter la situation fort embarrassante. Je crie : << Vous êtes du coin ? >>. La jeune fille s'arrête. Se retourne pour répondre : << Oui, pourquoi ? >>. Je rajoute : << On pourrait faire connaissance, faire quelques pas ensemble ! >>. Elle marque un temps d'hésitation. Pointe son index en disant : << Avec ça exposé à tous vents, vous n'y pensez pas ! >>

Je m'exclame, en tentant de remballer avec difficulté : << Si ce n'est que ça ! Voilà, c'est rangé ! >>. La jeune fille se rapproche doucement en disant : << Je vous préviens, je sais crier très fort et je sais me défendre ! >>. Elle prend une position de karatéka. Une fois encore je détourne la tête pour ne pas éclater de rire en étant filmé. Clémentine filme en riant silencieusement. Heureusement que la fonction "film" d'un I-phone 14 permet des images sans tremblements. Nous tournons le dos à l'objectif pour marcher côte à côte vers la forêt. Nous pouvons parler car avec la distance impossible de nous entendre depuis l'objectif. << Salaud ! Tu joues bien les pervers de rando ! >> me fait Estelle. Je réponds : << Tu joues bien la salope de rando ! >>. Rires. Nous entendons Clémentine crier : << OK ! >>

<< C'est dans la boîte ! >> dit elle en nous rejoignant. << C'est génial ! Excellent prélude à la suite ! >> rajoute Estelle qui remet son anorak en faisant : << Brrrrr ! >>. Nous avons eu de la chance car arrive un groupe de marcheurs. Une bonne vingtaine de randonneurs. Nous suscitons évidemment les interrogations habituelles. Ces deux superbes jeunes filles qui tiennent les mains de cet homme d'âge mûr. Et comme à chaque fois, mes deux anges prennent plaisir à bien situer les choses. En me faisant des bises sur les joues en même temps et en riant. Je prie le lecteur d'imaginer les regards libidineux de certains promeneurs. Nous nous en amusons tellement. Nous arrivons au sommet de la colline. C'est juste là, en contrebas, dans le col, qu'il y a les bâtiments du vieux couvent.

De ce côté ci le vent du Nord est impitoyable. Ce n'est qu'une fois dans la grande cour que nous retrouvons la douceur toute relative des 19° ambiants. Personne. Comme les dernières fois, dans les hangars il y a des machines agricoles. << On se fait une suite ici ? >> propose Estelle. << Comment vois-tu les choses ? >> demande Clémentine. Elle nous expose son idée. Le couple arrive en ce lieu. Le mec doit pisser. La jeune fille s'éloigne pour le laisser s'isoler dans un coin. Le type revient avec la bite à l'air et en pissant. Nous rions aux éclats de ce second épisode saugrenu. << Si on fait bien les choses, ça ne sera pas du tout ridicule ou improbable. Après tout, un film porno n'est qu'une exposition de fantasmes souvent improbables ! >> explique Estelle. Nous redevenons sérieux.

Là, entre deux grandes caisses et devant d'énormes meules de foin enveloppées dans de la cellophane jaune, l'endroit idéal. Clémentine filme. Estelle et moi arrivons dans la grande cour. Nous pouvons nous raconter plein de truc nous sommes bien trop loin de l'objectif pour êtres entendus. << Sois bien vicelard ! >> me demande Estelle alors que nous approchons. De la façon la plus vulgaire possible je mime une pisse masculine en pointant mon autre doigt vers les meules de foin. Estelle détourne pudiquement la tête. Jouant une fois encore à la perfection son rôle de jeune fille puritaine et "innocente". Je me déboutonne. Clémentine me filme de dos. Je me concentre pour la suite. Je vais devoir pisser pour de bon. C'est là qu'Estelle prend une de ses initiatives bien réelles.

Elle s'approche pour demander : << Ça va comme vous voulez ? >>. Je me tourne en lâchant une première salve qu'elle évite de justesse. Je réponds : << Oui, la pisse au grand air est une thérapie ! >>. C'est Estelle qui détourne la tête pour cacher son rire. Clémentine tourne autour de nous pour filmer sous tous les angles. Estelle s'éloigne. Ce qui lui permet d'éclater de rire sans être filmée. Je termine par plusieurs jets dans sa direction. Je remballe pour rejoindre la jeune fille qui m'attend un peu plus loin. << OK ! >> lance Clémentine qui rajoute : << C'est dans la boîte ! >>. C'est l'après-midi des "miracles" car à peine avons nous terminé qu'un autre groupe de randonneurs entre dans la grande cour. Nous ne nous attardons pas. Il y a deux heures de marche pour le retour.

Il est dix huit heures quarante cinq quand nous sommes de retour. Considérablement excités par nos réalisations et les "amuses gueules" dans la voiture pendant que je roulais. Morts de faim. Et de froid. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la scarole. Estelle concocte son omelette aux fromages des dimanches soirs. Je touille la potée de légumes. Il en restera pour le repas de midi, demain. Nous mangeons de bon appétit. Le plaisir est immense. Ce soir Estelle ne sera pas obligée de nous laisser. Nous traînons à table. Mes deux anges assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, à faire le scénario de la suite du film. La vaisselle. Les coquines m'entraînent au salon. C'est le troisième jour des règles de Clémentine. Ce qui ne m'empêchera pas de sucer son clitoris géant entre deux pénétrations avec Estelle. Malgré la fatigue nous nous montrons remarquablement performants. Avant un bon dodo.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines épuisées par une randonnée de quatre heures, ponctuée d'arrêts "prises de vues" extrêmement excitantes et d'un dernier orgasme avant de retrouver la douceur des draps. Blotties tout contre leur bienfaiteur...

Julien (acteur amateur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 15 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2411 -



Des jours qui s'écoulent dans la joie

Il est aux environs de huit heures trente, hier matin, lundi. Une grasse matinée dont nous raffolons tous les trois. Estelle qui reste collée à moi toute la nuit, saisit mon érection naturelle en prenant le lobe de mon oreille entre ses lèvres. Clémentine qui vient se blottir. Je suis entre mes deux anges dans un enchantement paradisiaque. Toutes les deux comme des naufragées à leur branche s'accrochent à moi. Mes bras autour de leurs épaules nous restons ainsi à nous étirer. À nous faire des bisous. Je sens leurs mains dans mon slip qui se disputent mon sexe dur comme le bois. Nous en rions de bon cœur. Estelle, n'en pouvant plus de lutter contre l'impérieux besoin, se lève. Elle se précipite vers la porte en s'écriant : << Je vous attends dans la cuisine, venez vite ! >>

Clémentine se couche sur moi, frotte son sexe sur le mien en chuchotant : << C'est monstrueusement bon le soir avant de se coucher ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. La cuisine embaume déjà des suaves effluves du café, du pain grillé et du reste de brioche qu'Estelle, dans son pyjama de soie mauve, a placé dans le four à micros ondes. Elle saute à mon cou en disant : << C'est génial juste avant de dormir ! >>. Je la soulève pour la faire tourner. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments forts de notre randonnée de dimanche après-midi. Ces premières séquences du prochain film porno que nous comptons réaliser dans les tous prochains jour. Un truc bien sympa.

<< On peu se le tourner aujourd'hui ! >> suggère Estelle. Nous mangeons de bon appétit en envisageant cette possibilité. << Mes "petits machins" sont terminés ! >> lance Clémentine en venant s'installer la première sur mes genoux. Trempant sa brioche dans mon bol de café elle rajoute : << J'ai une petite idée de figuration ! >>. Estelle vient s'assoir à son tour en disant : << Raconte ! >>. Clémentine prend son air mystérieux avant de répondre : << Je fais la "femme décors". Assise dans le fond, immobile, pendant que vous faites vos saloperies devant la caméra en automatique ! >>. Nous en rions de bon cœur. << C'est génial ! >> lance Estelle. Dehors, le ciel est menaçant. << Si on veut aller courir, c'est maintenant ! >> s'exclame Clémentine. La vaisselle rapide.

Nous remontons nous laver les dents, nous vêtir de nos habits jogging. Leggings de lycra noir, sweats de lycra rouge. Pressés de nous offrir ce second plaisir de la journée nous redescendons à toute vitesse. Le thermomètre extérieur n'indique que 8°. Nous pratiquons nos exercices d'échauffement dans le hall d'entrée avant d'affronter la fraîcheur humide et désagréable. Nos K-ways, les bonnets, les gants. Le sol est trempé des pluies de la nuit. C'est le long de l'étroite route communale que nous pratiquons notre heure de running. Il est dix heures quinze quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons la chambre, le lit. Nous la rejoignons dans la salle de bain. C'est à notre tour en l'écoutant chantonner. Levis, chemises à carreaux, nous redescendons.

Dans le salon, assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Il n'y a qu'Estelle a avoir un courriel de ses parents. Ils sont bien arrivés. La météo écossaise est aussi moche qu'ici. Les travaux de rénovations de leur maison sont terminés. La filiale de l'entreprise fonctionne à plein régime. Les commandes affluent. Yvan et Michèle ne chôment pas. Les filles surfent sur le site universitaire. Il y a les informations attendues. La seconde partie du premier trimestre, et jusqu'aux vacances de Noël, sera consacrée à parfaire les deux derniers chapitres de leurs thèses. Version définitive. Nous passons dans l'atelier. Estelle a emmené du travail. << Mais pas aujourd'hui. Put-hein je veux être cool ! >> s'exclame t-elle. Nous sommes debout devant une des deux grandes baies vitrées.

La pluie s'est mise à tomber. << C'est une météo épouvantable. Alors qu'il pourrait faire beau pour nos vacances ! >> dit Clémentine. Elles sont serrées contre moi. Nous regardons la campagne environnante. C'est assez morose. Estelle s'accroupit, déboutonne la braguette de mon 501 en disant : << J'ai l'antidote des mauvais jours ! >>. Elle m'extrait le chibre de quelques mouvements adroits. Se redresse en me le tenant fermement. Demande : << Personne ne trouve rien à y redire n'est-ce pas ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous quittons l'atelier pour revenir au salon. Estelle allume une belle flambée dans la cheminée. Nous la regardons faire installés dans le canapé. Clémentine joue avec ma queue tout en évoquant la seconde partie du premier trimestre. Elles parlent de leurs études.

Estelle est une spécialiste des "allumages". Également de cheminées. Elle vient nous rejoindre en sautillant lorsque le téléphone filaire se met à sonner. C'est un vieux téléphone en bois et laiton doré. Une véritable pièce de musée des années 30 du siècle dernier. Il est magnifique mais extrêmement sonore. Vieille sonnerie. Clémentine se lève d'un bond pour se précipiter vers le buffet. C'est Estelle qui empoigne mon Zob. Nous écoutons la conversation. C'est Lise. La jeune fille dont Danièle nous a vanté les mérites samedi dernier. Clémentine gère toujours parfaitement la logistique. Comme tout le reste. Elle me consulte du regard en fixant un rendez-vous cet après-midi pour quinze heures. Je lève le pouce de la main droite. C'est parfait. Estelle me masturbe en murmurant des trucs.

<< On va peut-être enfin avoir quelqu'un pour le ménage ! >> dit Clémentine en venant s'accroupir entre mes jambes écartées. Estelle lui tend ma biroute. Je bande dur quand elle l'agite sous le nez de Clémentine. Cette dernière nous donne ses impressions quand à la voix, aux intonations et à l'expression orale de la jeune étudiante en BTS commerce. << Tu vas faire ton pervers dès l'entretien d'embauche ? >> demande Estelle alors que Clémentine suçote et mâchouille la peau fripée de mon prépuce. Je réponds : << Certainement pas. Et je te demande de n'avoir aucune attitude qui pourrait prêter à caution ! >>. Elle me tord la bite en l'arrachant de la bouche de Clémentine pour répondre : << Moi, une fille sage, innocente et vertueuse, avoir ces comportements ? Jamais ! >>

Nous en rigolons comme des bossus. Il commence à faire faim. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de concombre. Estelle remue les restes de la potée de légumes qui réchauffent à feu doux. Je poêle trois filets de colin avec des champignons, de l'ail, de l'oignon. Un rapide déglaçage pour une sauce. C'est très agréable de déposer de fines lamelles de Morbier sur les légumes bouillants. Elles fondent. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le scénario du film porno. Cette histoire de second rendez-vous fixé après une première rencontre en forêt. << Ce serait bien de pouvoir tourner en extérieur quand il ne pleut pas ! >> dit Clémentine. << Ou alors sous des parapluies. Un petit côté romantale et sentimentique ! >> fait Estelle. Nous rions.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges vont de développements en développements. Évitant de tomber dans l'improbable ou encore dans le surréalisme. << Si nous voulons réaliser un truc qui tient la route, il faut rester dans les attitudes naturelles ! >> précise Clémentine. << Un truc glauque mais emmené de façon "spirituelle". Bien salace. Comme on aime ! >> rajoute Estelle. La vaisselle à l'ancienne. Clémentine plonge, nous essuyons. Les mains vides, à chaque fois qu'elle me croise, Estelle palpe la bosse sous mon tablier. Nous montons nous laver les dents. Pressés d'aller faire quelques pas sous le grand parapluie nous dévalons les escaliers. Les filles accrochées à mes bras, nous descendons à la rivière.

Il pleut. Il fait froid dans nos anoraks fermés. Nous remontons pour entrer dans la maison d'amis. << Plus de nouvelles du couple japonais rencontré en juillet à Édimbourg ? >> demandee Estelle. << Leur dernier courriel remonte à la mi septembre. Ils voulaient venir en France quelques jours pour la fin octobre. Depuis, plus rien ! >> répond Clémentine. Il y a de la poussière à l'intérieur. Il faudrait y faire un bon ménage. C'est propre mais poussiéreux. Il y a juste la fonction "hors gel" qui régule la température. Il y fait presque aussi froid qu'au dehors. Nous ne nous attardons pas. Nous traversons le jardin pour renter au sec, au chaud. Depuis l'interphone du hall d'entrée, j'ouvre le portail. Nous retournons au salon. Cette grande pièce Victorienne offre une ambiance des siècles passés.

Je suis entre mes deux anges. Nous regardons dehors par une des deux portes fenêtres. Le perron en demi lune et les quatre marches en demi cercle qui donne sur le petit parc. Le sol est couvert de feuilles. L'entreprise paysagère n'interviendra que le jeudi 2 novembre. Estelle me sort le Zob. << Je te mets en condition pour l'entretien d'embauche ! >> dit Estelle. Je fais : << Déconne pas. On a dit qu'on reste loin de toutes déviances. Nous ne savons absolument rien concernant cette jeune fille ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine rajoute : << Laisse-là arriver. Je te surveille ! >>. Clémentine tire la pochette contenant la caméra numérique et ses accessoires. Elle fait un essai alors qu'Estelle joue avec ma queue. << Batteries OK ! >> lance Clémentine.

Je suggère que nous attendions un jour meilleur et sans pluie pour tourner cette suite. Trois coups de sonnette. << J'aime les gens qui arrivent en avance ! >> lance Clémentine. << Ils sont souvent demandeurs ! >> rajoute Estelle. Je remballe ma bite avec difficulté quand je bande comme le dernier des salauds. << Je vais ouvrir. Installe-toi derrière le bureau ! >> me fait Clémentine. << Et moi je passe sous le bureau ! >> lance Estelle. Je dis : << Toi, tu restes assise dans le canapé avec un bon bouquin ! >>. En riant elle répond : << Un bouquin de cul alors ! >>. Elle se précipite vers la grande bibliothèque pour choisir un gros album consacré à la la peinture hyperréaliste de Jean Olivier Hucleux. Je m'installe derrière le bureau alors qu'Estelle me fait des gestes obscènes.

Clémentine revient suivie d'une toute jeune fille. Elle est plutôt réservée que timide en s'avançant vers le bureau. Nous nous présentons. Lise à dix neuf ans, est dans sa première année "BTS commercial". Elle habite dans le bourg voisin. À quelques trois kilomètres. Dans une des maisons du nouveau lotissement. Elle circule à scooter. N'a pas peur des conditions météorologiques. Elle est menue. Presque frêle. De longs cheveux auburns encadrent un visage juvénile. Vêtue d'un jeans, d'un pull sous son anorak. Je demande : << Mais vous êtes venue à scooter ? >>. Lise s'empresse de préciser : << Non, avec la voiture de ma maman ! >>. Tout en bavardant, j'évite de regarder Estelle. Clémentine pose quelques questions subsidiaires. Lise y répond avec clarté. Une fille intelligente.

Clémentine propose à la jeune fille de visiter la grande demeure, de découvrir le lieu de son futur emploi des samedis matins. Je les laisse partir en essayant de garder tout mon sérieux. << Tu es génial en "patron", vieux débauché ! >> s'écrie t-elle en se levant pour me rejoindre. << Tu bandes espèce de vieux pervers ? >> s'écrie t-elle en palpant ma braguette. << Même pas ! >> s'exclame t-elle en s'installant à califourchon sur mes cuisses. << J'aime quand tu fais ton numéro de "châtelain sérieux". Tu joues super bien. Ça me donne des idées pour un film ! >> rajoute t-elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Mon érection est immédiate. Du bruit. Des voix. Estelle se lève d'un bond pour courir vers le canapé. Clémentine revient avec Lise. Je demande : << Vous êtes partante ? Ça vous convient ? >>

<< Comme lieu de travail on ne peut rêver mieux ! >> répond la jeune fille souriante. Je fixe les modalités. Tant que c'est encore possible la rémunération se fera en "espèces". Dans une petite enveloppe jaune que je montre à Lise. Clémentine, assise sur le bureau rajoute quelques conclusions. Pour rester dans le principe nous faisons un contrat oral. << Du black ? >> demande Clémentine. << Je préfère aussi ! >> répond Lise. J'accompagne Lise en compagnie de Clémentine. Sur le perron la jeune fille nous fait : << Je commence samedi. Je suis là à 8 h30. Je me réjouis. Merci. À bientôt ! >>. Nous la regardons traverser le jardin sous son parapluie. C'est une minuscule Fiat rouge dans laquelle elle monte. Elle nous adresse un dernier signe de la main avant de remonter le chemin.

Quand nous revenons. Estelle, complètement à poil, assise sur la chaise où se tenait précédemment Lise, le dossier entre ses cuisses écartées, nous fait : << C'est trop cool ! J'ai assisté à un grand moment d'hypocrisie bourgeoise. Ça m'a mise dans tous mes états et j'ai mes "petits machins" dans deux jours ! >>. Nous rions aux éclats. Estelle rajoute : << On se refait cette scène. J'interprète le rôle de Lise. Tu me fais un entretien d'embauche ! >>. Abasourdi, je demande : << Là, maintenant, à poil ? >>. Estelle se lève, monte sur la chaise, mime une masturbation masculine en s'écriant : << Oui, on refait, je postule ! >>. Clémentine saisit la caméra en disant : << Je filme ! >>. Je m'installe derrière le bureau avec la bite à l'air. Estelle s'assoit devant le bureau.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines qui aiment réaliser leurs fantasmes dans le calme, la tranquillité en étant inspirées par leur libido débridée...

Julien (directeur des ressources humaines)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 16 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2412 -



Un agréable mardi de vacances

Il est un peu plus de huit heures quand Estelle saisit mon érection matinale. Encore dans un demi sommeil ce mardi matin. Elle se serre encore plus fort pour murmurer : << J'ai beaucoup apprécié l'entretien d'embauche ! >>. Clémentine que cela réveille également chuchote : << Deux entretiens d'embauche dont celui d'une salope complètement à poil ! >>. Je suis entre mes deux anges et nous rions déjà aux éclats. Je glisse mes mains dans les culottes pour jouer de mes doigts quand Estelle s'écrie : << Pipi ! >>. Elle se lève d'un bond pour courir vers la porte en rajoutant : << Je vais tout préparer, je vous attends en bas ! >>. C'est Clémentine qui prend le relai en jouant avec ma bite. Elle se frotte contre ma hanche entourant ma cuisse des siennes. C'est chaud, c'est doux. Merveilleux.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. C'est en slips et T-shirts de nuit que, morts de faim, nous dévalons les escaliers. En entrant dans la cuisine flottent les enchanteresses effluves du café, du pain grillé et des deux croissants dans le four à micros ondes. Estelle, dans son pyjama de soie mauve, vient se blottir contre mon dos, ses bras autour de ma taille, pendant que je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. << On se fait la suite du film cet après-midi parce que demain, j'ai mes "petits machins" ! >> lance Estelle. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'entretien d'embauche de Lise. << C'est du lourd Julien. Elle va avoir dix neuf ans le 3 décembre. Un peu de retenue ! >> fait Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Avec vulgarité.

Nous rions de bon cœur quand Clémentine rajoute : << Mais Julien est un parfait gentleman. Ce n'est pas le genre ! >>. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la suite de notre film porno. Dehors, il pleut. Le ciel est bas. Un léger vent de Nord Est participe de la morosité de cet épouvantable climat. << Où est passé notre été Indien ? >> s'exclame Estelle. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous vêtir de nos habits sports. C'est dans notre salle d'entraînement que nous pratiquons le second plaisir de cette nouvelle journée. Les échauffements aérobics sont surréalistes. Quand elles se mettent à deux à déconner, l'entraînement devient rapidement loufoque. Les joggings sur Tapis roulants pendant qu'Estelle fait du vélo d'intérieur. En poussant des cris. En chantant.

Pliés de rire nous passons aux exercices au sol. Abdos, pompes, ciseaux avants, arrières. Ce n'est qu'en attaquant les charges additionnelles qu'il n'y a d'autres choix que de redevenir sérieux. Les étirements d'un retour au calme des plus agréables. Estelle et Clémentine me font tomber en arrière pour me tripoter, me chatouiller en riant. << T'es hyper sexy dans ton legging ! >> lance Estelle qui ne cesse de palper l'énorme bosse qui déforme mon slip. Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons la chambre, le lit. Nous la rejoignons dans la salle de bain. Tous les trois, habillés de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux, baskets, nous redescendons à toute vitesse. Nous allons directement dans l'atelier. Estelle y allume une belle flambée dans la cheminée.

Avec Clémentine, ses bras autour de ma taille, nous la regardons faire. Les filles parlent de leurs études. Établissent le programme de la semaine prochaine. Les cours y reprendront mais depuis ici. Avec des séquences de télé travail. << J'irai récupérer toutes mes affaires dimanche prochain. Comme ça on peut s'y mettre dès lundi matin ! >> précise Estelle. << Et tes parents ? Il faut les chercher à l'aéroport à quelle heure ? >> demande Clémentine. << Dix sept heures trente ! >> répond Estelle qui disperse les cendres avec le tisonnier. Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur de Clémentine. Nous découvrons le courriel de Juliette. Elle viendra mercredi soir pour 19 h. << Elle ne sait peut-être pas que je serai là ! >> lance Estelle qui découvre le mail de ses parents.

Il est dix heures quarante cinq. Nous quittons l'atelier pour le salon. Je suis entre mes deux anges devant une des portes fenêtres. Nous regardons tomber la pluie. Au loin tout s'estompe dans le brouillard. C'est une vraie météo d'automne. Du tiroir du bas du bureau, Clémentine tire la petite caméra. Elle vérifie la charge des deux batteries. Estelle reste contre moi. Nous la regardons faire des essais. << On tourne en extérieur cet après-midi ! >> dit elle. Le scénario décidé est très simple. Ce sera un rendez-vous derrière la maison d'amis, devant l'abri à bois. Clémentine filmera elle aussi à l'abri d'un parapluie. Nous nous réjouissons pour cette nouvelle aventure. Je propose de prendre les voitures, d'aller filmer une arrivée de rendez-vous dans un chemin, dans la forêt.

<< Dans la boue et la gadoue tu veux dire ! >> s'écrie Estelle. C'est vrai, je n'y pensais plus. << Non non, on se fait ça peinards dans la propriété ! >> rajoute t-elle alors que Clémentine nous montre l'écran de la caméra. Les réglages lumières. Avec cette météo la luminosité est médiocre. Estelle fourre sa main dans ma braguette béante. Elle en tire le chibre. Je bande mou. << J'aimerais beaucoup avoir affaire à un véritable salaud cet après-midi ! >> dit elle. Nous rions quand Clémentine répond : << Tu prépares les "outils" ! ? >>. Estelle rajoute : << Oui, je les affute ! >>. Je ne tarde pas à bander alors que ma coquine, tout en bavardant, me tord le Zob dans tous les sens. À la limite de la douleur et dans le plus total inconfort. Il commence à faire faim. Nous quittons le salon.

Il suffit de réchauffer le reste du gratin de coquillettes. Estelle s'en occupe. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de carottes. Je poêle trois filets de lieu noir. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre scénario de l'après-midi. << Regardez, on dirait que la pluie a cessé ! >> dit Clémentine. Estelle se lève pour aller constater à la fenêtre. << Effectivement. Et plus de vent non plus ! >> lance t-elle. En revenant elle mime une masturbation masculine dans ma direction en rajoutant : << Parfait pour des prises de vues en extérieurs ! >>. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, mes deux anges envisagent différents menus pour ce soir et pour mercredi soir. << Gratins ! >> propose Estelle.

<< Excellents, faciles et rapides ! >> dit Clémentine. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. << C'est génial, regardez, la météo se fait complice de notre projet ! >> lance Estelle. En effet, il y a le soleil entre deux nuages. Juste une trouée de couleur bleu. Nos vêtements sont prêts. Pour la circonstance, Estelle met le porte-jarretelles de Clémentine. << Ça m'insupporte ! Ça gratte ! >> s'écrie t-elle. Sa jupe kilt à carreaux rouges et verts. Un chemisier blanc sous un pull bleu nuit. Ses escarpins à talons. Ceux avec la petite sangle de cuir noir qui enserre délicatement la cheville. Une des vestes cintrées à la taille de Clémentine. Sur la demande des filles je porte un strict costume noir, chemise blanche, cravate sous mon manteau. Clémentine reste en jeans. Elle va filmer.

Nous prenons la pose devant le grand miroir ovale de la salle de bain. << Put-Hein on est hyper classe ! >> s'exclame Estelle. Elle s'accroupit, se tenant à ma jambe se ses bras, posant sa tête sur ma hanche, les cuisses largement écartées. Pas de culotte. << On se fait une séance avec le "Maître" un de ces jours ? >> demande t-elle. << Excellente idée ! >> répond Clémentine qui nous regarde assise sur la table blanche. << Ça m'excite un mec en costard cravate ! >> lance Estelle. << Moi aussi ! >> rajoute Clémentine. Une grosse bosse déforme déjà l'avant de mon pantalon à plis et à pinces. Nous descendons prudemment. Estelle avec ses talons. Les filles me tiennent par la main. Nous reprenons des poses devant le grand miroir du hall d'entrée. << Sors ta bite ! >> me fait Estelle.

Clémentine s'exclame : << C'est ridicule. Attends d'être en situation "réelle" ! >>. Nous emmenons les petits parapluies. Il ne pleut pas. Ce seront de simples accessoires. La fraîcheur humide est vraiment désagréable. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Nous contournons la dépendance. Nous voilà sur les pavés auto bloquants devant l'abri à bois. La clôture qui sépare notre propriété du chemin qui descend à la rivière. Pour pouvoir filmer commodément, Clémentine fixe la caméra sur le trépieds. Nous la sentons encore plus excitée que nous. Pourtant elle fait toute chose avec un calme et une précision de mouvements admirables. Nous ouvrons nos parapluies. Nous sortons par le portillons. Le sol du chemin est pierreux. Ce qui évite la boue.

Par contre tout est trempé. Clémentine se révèle une fois encore excellente metteuse en scène. Elle dirige l'ensemble. Estelle et moi, en parfaits acteurs, nous suivons scrupuleusement ses directives. Elle nous explique plusieurs fois comment les choses doivent se passer. << Pourvu que monsieur Bertrand ne descende pas à la rivière pendant le film ! >> lance Estelle. En effet notre voisin descend plusieurs fois par jour pour nourrir ses amis à plumes. Je m'éloigne dans la descente. Estelle dans le sens opposé. C'est superbe car un rayon de soleil illumine soudain les environs. << OK ! >> crie Clémentine. Je remonte d'un pas lent. Tenant malgré tout mon parapluie ouvert. Estelle vient à ma rencontre marchant lentement elle aussi. Nous jouons la scène de la rencontre à la perfection.

Pas besoin d'une seconde prise. Nous nous serrons les mains. Je fais quelques élégantes courbettes. Nous sommes à une vingtaine de mètres de la caméra. Nous pouvons raconter n'importe quoi sans êtres entendus par le micro. Même si ce dernier est sous son bonnet de mousse pour éviter les bruits du vent. Il est fixé sur le haut de la caméra. Malgré tout, nous jouons les dialogues d'une véritable rencontre d'un premier rendez-vous. La scène dure environ cinq minutes. Nous nous éloignons lentement en descendant vers la rivière. À l'instant même où le soleil disparaît brutalement. << C'est OK ! >> crie Clémentine. En riant nous remontons. Estelle retire une feuille morte transpercée par son talon en y restant accrochée. Nous rentrons. Contents de nous retrouver bien au chaud.

Clémentine nous montre les images sur l'écran de la caméra. << C'est hyper génial. Ça paraît parfaitement authentique ! >> s'écrie Estelle. << On passe à la suite ? >> suggère Clémentine qui place la caméra face au canapé du salon. Je suis assis à la droite d'Estelle. << OK ! >> lance Clémentine qui se touche. Tout en improvisant le dialogue que pourrait avoir deux inconnus ayant fait connaissance à l'instant, Estelle fixe ma braguette avec insistance. C'est hyper excitant de jouer cette comédie. Je bande comme le dernier des salauds. Ça ne se verra pas à l'écran dans mon pantalon noir. Mais ce qui se distinguera parfaitement c'est ma main d'Estelle qui se pose sur ma braguette. Sur son invitation, je l'ouvre. Je me lève alors que Clémentine oriente et déplace le trépieds. Pour saisir l'instant.

Debout, de profil à l'objectif, j'extrais mon sexe dur comme le bois. Il jaillit soudainement comme un ressort. Sous le gloussement de ravissement de "Delphine", le pseudo choisi par Estelle pour le personnage de ce film. Elle se déplace pour s'installer sur le bord du canapé, les cuisses outrageusement écartées face à la caméra. Je me fais tailler une pipe des familles. Vêtu en employé des pompes funèbre pour un pompier. Avec juste quelques centimètre de mon chibre apparent entre mon pantalon et les lèvres d'Estelle. Elle se touche en suçant. Clémentine déplace la caméra, fait probablement des zooms. Elle a une main dans son Levis. Je suis pris de vertige. Je me tiens aux oreilles d'Estelle pour ne pas chavirer. Cambré sur mes genoux fléchis. Estelle cesse pour s'allonger, cuisses écartées.

Elle m'invite à la pénétrer. Je ne suis pas à l'aise dans mon costume de représentant de commerce. Ça coince, ça tire. Gardant appui sur mes bras, je pénètre Estelle qui se laisse aller. Elle aussi, terriblement excitée par nos jeux d'acteurs, se lâche complètement. Peut-être cinq minutes d'une baise agitée. Je la nique à la hussarde. Son orgasme la fait hurler. Elle me repousse délicatement pour se terminer aux doigts devant l'objectif. Elle tombe en arrière, les yeux fermés, comme si elle perdait connaissance. << OK ! >> fait Clémentine qui éteint la caméra. Je n'ai pas éjaculé. Je garde ma purée pour les évènements qui ne manqueront pas de suivre. Quand Estelle reprend ses esprits, se touchant à nouveau, elle s'écrie : << Put-Hein faut que j'enlève ce porte-jarretelles ! >>. Nous montons en courant.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines aimant faire l'actrice, aimant filmer et aimant l'hédonisme le plus raffiné...

Rocco Julien Siffredi



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 17 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2413 -



Juliette vient manger à la maison

Hier matin, mercredi, notre grasse matinée nous emmène aux environs de huit heures trente. Je suis entre mes deux anges. Estelle à ma droite qui se serre encore plus fort en murmurant : << J'ai mes "petits machins" ! >>. Clémentine à ma gauche qui se blottit en chuchotant : << Je t'ai entendu te lever ce matin ! >>. C'est ainsi que nous émergeons tous les trois du sommeil. Estelle se lève la première. En se dirigeant vers la porte elle dit : << Je vais tout préparer à la cuisine ! >>. Nous nous étirons. Clémentine saisit ma tumescence. Je glisse ma main dans sa culotte. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Ces suaves parfums matinaux où se mêlent les odeurs de café et de pain grillé. Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. Estelle raconte.

<< J'ai un peu mal au ventre. J'ai pris mon médicament tôt ce matin ! >> fait elle en venant se blottir contre moi. Elle rajoute : << Docteur Julien, je viens en consultation ! >>. Je pose mes lèvres sur chacun de ses seins. À travers la soie mauve de son pyjama je souffle de l'air chaud. Tout en massant délicatement le bas de son ventre. << Mmmhhh docteur, c'est bon ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la réalisation de notre film. Une grande réussite d'après Clémentine qui s'occupe toujours si bien de la caméra et de la mise en scène. << J'en ferai un montage. Nous aurons une soirée cinéma vers la mi novembre ! >> précise Estelle. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le prochain projet cinématographique. Ce fameux "entretien d'embauche".

Clémentine propose de faire "la femme décors". Pendant que la caméra filmerait en automatique, elle resterait assise sur une chaise dans le fond. Immobile. Vêtue d'élégante manière. Nous trouvons l'idée superbe. << On peut se le faire cet après-midi ou demain ! >> suggère Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, les filles révisent les différents options du repas de ce soir. Juliette arrivant pour 19 h30. Ce sera un gratin de choux fleurs. Celui livré samedi est énorme. Il assurera même le repas de jeudi midi. La vaisselle. Je souffle un peu d'air chaud sur les seins d'Estelle tout en massant délicatement son ventre. Nous montons nous laver les dents, nous vêtir de nos tenues de gymnastique. Dehors, il pleut. Pas de running.

Les échauffements de l'aérobic. Dans une certaine déconnade. Pendant qu'Estelle pratique le vélo ergométrique, nous pratiquons notre jogging sur tapis roulants. Inversant, permutant. À chaque fois Estelle palpe ma bosse en disant : << Je t'adore dans ton legging toi ! >>. Les exercices au sol. Pour Estelle également les différents enchaînements d'abdominaux offrent un réel soulagement. Les charges additionnelles. Ce matin sur les machines. Les étirements d'un stretching de retour au calme. En vacances nous pouvons pratiquer consciencieusement en prenant tout notre temps. Estelle prend sa douche pendant que nous faisons la chambre. Le lit avant de la rejoindre à la salle de bain. Nos paires de jeans, nos chemises à carreaux, nous redescendons pour aller dans la cuisine.

Il est décidé de nous mettre immédiatement à la préparation du repas de ce soir. Clémentine coupe et lave le choux fleurs qu'il est préférable de laisser tremper un peu dans de l'eau tiède vinaigrée. Estelle râpe une grosse quantité de gruyère Suisse. Je prépare le grand plat carré en terre cuite. Je le beurre. Je concocte le liant. Un flanc composé d'œuf, de fromage blanc, de lait de soja. Le choux fleurs est ébouillanté quelques minutes dans l'auto cuiseur. Estelle passe plusieurs fois derrière moi. Ses bras autour de ma taille avant descendre sur ma braguette ouverte. Je pose à quelques reprises mes lèvres sur ses seins. La "thérapie du souffle" comme l'appelle Clémentine. << Rudement efficace et tellement agréable ! Tu me fais ça à travers le coton de ma culotte ? >> lance Estelle. Rires.

Clémentine égoutte le choux fleurs avant de le déposer dans le plat. Je verse le flan. Estelle recouvre d'une copieuse couche de gruyère. De la chapelure, des cerneaux de noix, quelques graines de sésame grillé. Au four pour laisser longuement mijoter à 160°. Le thermostat s'occupera de la cuisson. Il est onze heures quinze. Nous passons au salon. Assises sur mes cuisses, mes deux anges consultent l'ordinateur. Seule Estelle à un courriel de ses parents. La météo Écossaise est aussi épouvantable qu'ici. En regardant dehors, c'est un climat sinistre. Des bourrasques de vent jettent des paquets de pluie contre les portes fenêtres. Le thermomètre extérieur indique 10°. Les filles surfent sur le site de l'université. Il y a quelques informations quand aux prochains cours des doctorants.

Estelle allume la grande cheminée. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine regarde. Nous aimons assister à ce spectacle. Avec le vieux soufflet de cuir Estelle souffle sur les minuscules flammes qui commencent à s'élever. Elle place l'embout entre ses cuisses en mimant une pénétration. << Il faut que j'essaie ce "plan" là ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. Il commence à faire faim. Nous quittons le salon pour la cuisine qui embaume l'odeur du gratin de choux fleurs. Pour midi ce sera des spaghettis à la carbonara. En remplaçant les lardons par des morceaux de calmar poêlés. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de tomates. Estelle râpe du Parmesan. J'égoutte les spaghettis. Je les mets dans un caquelon. Avec un peu de gruyère.

J'y verse le mélange œuf et crème fraîche. Estelle remue. On termine en rajoutant le calmar. C'est évidemment un véritable régal. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le film "entretien d'embauche". Clémentine suggère de le réaliser demain. Ce sera le second jour des règles d'Estelle. Comme elle le précise : << Les deux premiers jours j'ai toujours des congestions, des trucs bizarres dans mon ventre ! >>. Estelle et Clémentine ne sont jamais victimes d'un changement d'humeur pendant les périodes de leurs règles. Leur naturel optimiste reste intact et les préserves de déprimes ou encore de ces "coup de blues" qui affectent trop souvent les caractères. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles mettent au point le scénario très simple du film.

Estelle veut reproduire l'entretien d'embauche de Lise. Notre prochaine "fille de ménage". Bien sûr il faut que l'ensemble "dérape" vers des situations graveleuses. << Tu vas te faire tailler une pipe mon pauvre ami ! Tu ne t'en remettras pas ! >> lance Estelle. Nous en rions aux éclats. Nous réaliserons cet "entretien d'embauche" demain après-midi. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Je propose de partir faire un tour en voiture. Malgré l'épouvantable météo. << Génial ! >> lance Estelle. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks, mettre des bottines. Munis du grand parapluie nous traversons le jardin en luttant contre le vent. Il ne pleut pas sur l'instant. Sympa. Je sors l'auto du garage. C'est rapide.

Je roule doucement en direction de la ville. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, à l'arrière, caresse mon cou. << Ce soir, Juliette ne s'attend pas à me voir. Je vais faire ma salope. Attends-toi à du surprenant ! >> me dit elle en étant redressée, penchée entre les appuis têtes pour regarder ce que fait Clémentine. Je me fais sucer. Estelle commente les gargouillis qui commencent à se faire entendre. Les essuies glaces fonctionnent à plein régime. Estelle aimerait passer devant. Je m'arrête. Hors de question de sortir de la voiture. Ce sont donc des jeux de contorsions auxquels se livrent mes deux anges. C'est amusant. Je me fais sucer par l'une, par l'autre, en roulant doucement. Je reste autant que faire se peut sur les routes départementales. Dans notre coin de campagne elles ne manquent pas. Arrivés à proximité de la ville je propose d'aller prendre un chocolat bien chaud dans un de nos salons de thé préférés. Applaudissements.

Ce sont de véritables épisodes de tempête dans les rues pavées du centre ville. Il faut ruser avec le parapluie pour qu'il ne soit pas irrémédiablement détruit, retourné ou emporté. Les filles accrochées à mes bras. C'est un temps détestable. Heureusement qu'un bon chocolat accompagné d'une tranche de tarte à l'abricot nous offrent le répit d'un endroit convivial et chaleureux. Nous y restons longuement. Première visite aux toilettes hommes avec Estelle qui me suce quelques minutes. Ma bite est dégoulinante de foutre avec les pipes dans la bagnole. Je la laisse seule pour changer son tampon. Je rejoins Clémentine en pleine conversation avec un couple de la table voisine. Estelle revient toute souriante. C'est au tour de Clémentine de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes.

Pipe. Pipis. J'adore faire le contorsionniste dans l'exiguïté d'un cabinet pour lécher le minou de Clémentine. De la faire frissonner en suçant son clitoris géant. Nous rejoignons Estelle qui a pris le relai de la conversation. C'est un couple d'enseignants. Ils étaient professeurs dans l'établissement ou Estelle et Clémentine ont passé leurs années lycée. En sortant, il y a une agréable accalmie. Ce qui nous permet de flâner un peu avant de revenir à la voiture. Il est dix huit heures trente quand nous sommes de retour. J'ai la bite congestionnée après me l'avoir fait tant pomper. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade d'endives. Le gratin de choux fleurs réchauffe au four. Estelle et moi mettons les assiettes, les couverts. J'ai la bite à l'air.

Trois coups de sonnette. Juliette est une femme ponctuelle. Mais ce soir, sans doute impatiente de nous revoir, elle a un bon quart d'heure d'avance. C'est Clémentine qui se précipite pour aller l'accueillir. Estelle passe un bras autour de ma taille. De sa main libre elle empoigne mon chibre. C'est dans cette situation que nous découvre Juliette en suivant Clémentine dans la cuisine. Elle marque un temps d'arrêt avant de s'écrier : << Estelle ! Ça faisait longtemps ! >>. Elles se font la bise en se tenant par les épaules. Juliette me lance un de ses regards par en-dessous bien suggestif avant de me faire trois bises. Clémentine me fait un clin d'œil. Je bande mou. Estelle, son index et son pouce en boucle, tient mon Zob bien raide à sa base. Juliette garde son regard braqué là-dessus.

Ce soir encore elle est en tenue d'écuyère. Son superbe cul moulé dans son pantalon beige d'équitation. Ses bottes de cuir noir. Son gilet sans manches sur un chemisier beige clair. Ses longs cheveux noirs qui flottent sur ses épaules. Les mèches argentées qu'elle exhibe comme une décoration lui confère un charme extraordinaire. Elle ne veut surtout pas de colorations. Elle est monstrueusement belle. Et Estelle le lui répète deux fois. La sonnerie du four. Clémentine se précipite. Estelle me lâche la queue. Nous passons à table. Juliette fête ses 50 ans le 15 novembre. Ce sera un mercredi. Nous sommes invité à cette soirée privée. << Juste nous quatre ! >> précise Juliette. Estelle devra se libérer des contraintes de sa baise du mercredi soir avec son parrain. Nous en rions aux éclats. << Ah non, ce serait dommage ! >> s'exclame Juliette. La conversation s'axe rapidement sur nos préoccupations sexuelles. << Bientôt le Gloryhole ! >> lance encore Juliette.

Nous traînons à table. Juliette ne tarit pas d'éloges sur ce délicieux gratin de choux fleurs. Elle devra nous laisser pour 22 h. Ses journées sont chargées et commencent pour elle aussi par un entraînement d'une heure. Quand je me lève pour agiter ma biroute vers les filles, Estelle se précipite d'un bond pour venir me l'attraper. Elle me branle sans perdre le fil de la conversation. C'est terriblement drôle mais également très excitant. Estelle raconte notre après-midi promenade en voiture et nos occupations "pipes". << Vous arrivez à conduire en vous faisant sucer ? >> me demande Juliette. Clémentine répond : << Faites donc un tour en voiture avec Julien un de ces jours. Je serai assise à l'arrière. Vous me direz vos impressions ! >>. Juliette ouvre de grands yeux gourmands.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui, une fois seules avec leur coquin, se remettent à leurs dégustations sous la couette...

Docteur Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Fleur - 18 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2414 -



De belles journées de vacances

Notre grasse matinée, devenue rituel de nos vacances, nous emmène ce jeudi matin aux environs de neuf heures. Je suis entre mes deux anges qui se serrent contre moi. En se frottant contre mes hanches. Je glisse mes mains dans les culottes. La petite ficelle blanche que je sens dans les poils. J'aime y donner quelques petits à coups. Ce qui fait rire Estelle. Elle dit : << Attention ! >>. Elle se lève d'un bond pour courir vers la porte. << Le petit déjeuner après le pissou du matin ! >>. Clémentine continue son lent et régulier mouvement masturbatoire, enserrant ma cuisse des siennes. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, en slips et T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans son pyjama de soie mauve entrain de mettre les bols sur la table.

Il y a les douces odeurs du café, du pain grillé. << Docteur, un peu bobo ! >> lance Estelle en sautant à mon cou. Je pose mes lèvres sur chacun de ses seins pour souffler de l'air chaud. Ce qui est très agréable pour le second jour de ses règles. Je masse délicatement son bas ventre. Elle palpe ma bosse pour rajouter : << J'aurai mon sirop aussi ? >>. Nous en rions de bon cœur en nous asseyant. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de mercredi après-midi. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le scénario du film porno qu'Estelle aimerait beaucoup réaliser cet après-midi. << Comme la météo est toujours aussi médiocre quelle meilleure activité d'intérieur ! >> souligne t-elle avec à propos. Elle évoque les deux ou trois scénarios envisageables.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles dressent la liste des courses qu'il faudra faire vendredi après-midi. Qu'il pleuve ou qu'il vente il faut assurer la logistique. Des produits surgelés surtout. Poissons et légumes. Nous n'avons plus de moules, de haricots verts ni de petits pois pour assurer les repas des samedis à midi. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en déconnant devant le miroir de la salle de bain. Nos habits de sports. Avec ce temps pitoyable, pas de running. Notre salle d'entraînement. Grande pièce aménagée de tout le nécessaire. Les échauffements de l'aérobic, les joggings sur tapis roulants, le vélo ergométrique, les exercices au sol, charges additionnelles et étirements d'un bon stretching.

Estelle prend sa douche pendant que nous faisons la chambre, le lit. Nous la rejoignons pour prendre notre douche nous aussi. Tous les trois, vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, baskets, nous redescendons. Au salon, assises sur mes cuisses, les filles allument l'ordinateur. Trois courriels. Celui de ma famille en Écosse. Tout va très bien malgré les grandes fatigues d'oncle Alan. Ils sont impatients de nous revoir aux fêtes de fin d'année. Un mail de Juliette qui nous remercie pour la soirée. Heureuse d'avoir revue Estelle. Un message de Lise, notre nouvelle "fille de ménage". Elle confirme sa venue samedi matin pour 8 h30. Estelle découvre le courriel de ses parents. Les filles surfent sur le site de leur université. Commentant les nouvelles informations concernant la sécurité.

<< Pour davantage de sécurité il faut sacrifier de la liberté ! >> lance Estelle. Il est onze heures quinze. Avant de quitter le salon, Clémentine vérifie les deux batteries de la caméra numérique. << Tout est OK ! >> dit elle en faisant un essai image. << Je viens passer mon entretien d'embauche pour quatorze heures ! >> fait Estelle en se serrant contre moi. Elle rajoute : << J'espère que le directeur des ressources humaines saura m'écouter, m'apprécier. Malgré que je ne puisse baiser avec lui ! >>. Nous en rigolons comme des bossus quand Clémentine suggère de réaliser le film quand ses "petits machins" seront terminés. << Pas question, un DRH ça se suce également ! >> s'exclame Estelle. Pliés de rire nous quittons le salon pour la cuisine. Dehors, la pluie ne cesse de tomber. Le vent de souffler.

Il reste du gratin de choux fleurs qu'il suffit de réchauffer dans le wok. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de concombre. Estelle prépare la pâte à pain pour les pizzas de ce soir. Je concocte une sauce au Roquefort. J'y rajoute des cerneaux de noix déchiquetés. C'est un régal. Nous mangeons de bon appétit en dissertant sur ces vacances à la maison. << C'est vraiment très sympathique de les passer sans partir ! >> confie Clémentine. << C'est vrai. Je trouve parfois frustrant de ne partir que pour une semaine ! >> dit Estelle. J'adhère complètement aux avis de mes deux anges. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent les programmes de la semaine prochaine. Nous resterons ensemble mais elles devront fournir un travail universitaire. Télé travail.

Je lave et coupe de belles tomates. Estelle émince de l'ail, de l'échalote. Clémentine émince du persil de la ciboulette. Le tout à la poêle pour être saisi juste ce qu'il faut. La pâte à pain repose dans son saladier sous un linge. La garniture repose dans la poêle sous un couvercle. Estelle râpe de ce délicieux gruyère Suisse. Le grand Tupperware qui le contient, fermé de son couvercle, placé au réfrigérateur. Pour notre repas de ce soir tout est prêt. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Dans la salle de bain bien chaude, Estelle se change. Pour son entretien d'embauche, elle portera la jupette kilt, le chemisier et le pull du film réalisé mardi après-midi. Des collants sombres. Ses escarpins noirs à talons. Avec la fine sangle de cuir qui enserre la cheville. Je m'habille du costume noir.

Nous prenons des poses amusantes et suggestives devant le grand miroir ovale de la salle de bain. Sous les éclats de rire de Clémentine qui reste en Levis, chemise à carreaux. Il faut redescendre avec prudence car les souliers à hauts talons représentent un danger. Je soulève Estelle pour la porter comme une jeune mariée jusqu'au bas des marches. Je la dépose au sol. Elle palpe ma braguette en disant : << Je veux avoir affaire à un directeur des ressources humaines, salace, un tantinet pervers, fourbe et stratège. Tu sais le genre de salaud qui met des conditions aux jeunes femmes qu'il reçoit dans son bureau ! >>. Nous en rions aux éclats. Nous passons au salon. Avec cette météo déplorable il y fait sombre. Estelle allume un bon feu dans la cheminée. Clémentine fixe la caméra.

J'allume la petite lampe sur le bureau. Je place la chaise devant le bureau. Nous restons un petit moment devant une des portes fenêtres de la grande pièce. Je suis entre mes deux anges qui restent accrochées à moi. Nous regardons tomber la pluie. Les rafales de vent projettent quantité de feuilles mortes sur le gazon. C'est un spectacle désolant. Clémentine nous laisse pour retourner au trépieds sur lequel est fixée la caméra. Elle contrôle une nouvelle fois la qualité de l'image. Elle fixe le petit écran à led juste en-dessous et règle l'ouverture sur 2.8. << Normalement, ça devrait le faire ! >> conclue t-elle. Nous sommes invités à nous placer dans le champs pour parfaire les réglages. Une petite prise de vue. Clémentine contrôle la qualité sur l'écran. << C'est OK ! Satisfaisant à défaut d'être parfait ! >> dit elle.

<< Prêt ? >> me demande Estelle en palpant ma braguette. Je glisse ma main entre ses cuisses, sous sa jupe pour répondre : << Prêt ! >>. Le champs de vision de l'objectif est plutôt réduit. Volontairement. Afin de ne capter que les images voulues. Au montage Estelle prévoit de placer un voile plus sombre sur les bords. Je m'installe derrière le bureau. Confortablement, en respirant un grand coup. Clémentine "m'arrange" un peu. Contrôlant les derniers détails. Ma chaise à haut dossier dont les deux têtes de lion sculptées encadrent le haut de ma silhouette. << Moteur ! >> lance Clémentine. Trois coups frappés contre la porte. Estelle n'est pas réellement à l'extérieur de la pièce mais hors champs. Je m'écrie : << Entrez ! >>. Estelle s'avance. La voilà dans l'objectif. L'écran de l'ordinateur sert de moniteur. On peut assister à la scène dans les meilleures conditions. Telle qu'elle est immortalisée par la caméra. Clémentine supervise.

Estelle s'assoit sur la chaise. Les mains posées à plat sur ses cuisses. Bien droite. Sa longue natte sur son épaule gauche. << Bonjour monsieur. Je viens pour le poste d'assistante de direction ! >> prononce t-elle d'une voix claire. Je réponds : << Bonjour mademoiselle. Vous n'êtes pas sans ignorer que le poste à pourvoir nécessite quelques compétences particulières sinon d'aptitudes très spécifiques ! >>. Un moment de silence. Il n'est pas question d'éclater de rire et de devoir refaire la prise. Clémentine sait adroitement orienter la caméra aux instants critiques. Nous gardons nos rôles. << Qu'entendez-vous par compétences particulières et aptitudes spécifiques ? >> demande la jeune postulante qui joue à la perfection. Ça me fait bander d'interpréter mon personnage de DRH salace.

Ma main gauche tapotant le bureau avec un stylo, de ma main droite j'ouvre ma braguette. La jeune fille observe mes agissements en se doutant un peu de ce qui se passe. Clémentine fait des gros plans sur son visage. Ce qui me permet de l'admirer sur le moniteur. J'extrais ma queue raide et dure avec quelques difficultés. La caméra s'oriente sur moi. Je réponds : << Vous pratiquez les langues vivantes ? Comme l'anglais par exemple ? >>. Mon interlocutrice dit avec le plus grand sérieux : << Yes of course. I write English, I speak English, I suck and I fuck in English ! >>. Heureusement que Clémentine vient d'orienter la caméra sur Estelle car je dois rire en silence, la main sur la bouche. L'objectif revient sur moi lorsque je me lève, tenant mon chibre à sa base pour l'agiter devant la jeune fille. Mon sexe se détache superbement bien sur le noir de mon costume. << Ah, je vois de quelles aptitudes il est question ! >> lance Estelle.

Clémentine me filme alors que je contourne le bureau pour prendre appui sur son bord. Devant la jeune postulante. Estelle joue tellement bien la surprise, l'étonnement et l'inquiétude que j'en suis presque gêné. Ce qui me permet d'interpréter mon rôle à la perfection. Je garde les mains posées sur le bord du bureau. Avec des contractions des muscles fessiers je fais remuer mon érection. Le silence est total. Clémentine tourne autour de nous pour filmer sous tous les angles. Juste le souffle fort de nos respirations. De nos excitations galopantes. << Je vous offre un aperçu des compétences souhaitées ! >> lance soudain Estelle en se levant pour s'accroupir devant moi. Longuement elle hume les parfums de ma journée d'homme. Les phéromones qui participent de son plaisir.

Je me fais sucer de la plus extraordinaire des façons. Nous jouons nos rôles en parfaits acteurs. Clémentine filme en gros plans. La caméra en automatique. Ce qui lui permet d'aller orienter l'écran de l'ordinateur. Je vois Estelle sucer, en gros plan. Elle se regarde aussi. Du foutre qui commence à suinter aux commissures de ses lèvres. Un grand moment. Clémentine, une main dans son Levis déboutonné reste debout derrière Estelle. À me faire des sourires, des clins d'œil tout en se masturbant. Estelle se redresse, me demande : << Dites-moi monsieur, suis-je le profil idéal pour ce poste ? >>. Elle s'assoit. Je contourne le bureau pour m'installer moi aussi. Je réponds : << Chère nouvelle collaboratrice, vous faits à présent partie de notre équipe ! >>. Estelle, ouvrant la bouche, laisse s'écouler un filet de bave en prononçant avec difficulté : << Merci. Je commence quand ? >>. Je conclue : << Vous commencez à sucer dès maintenant ! >>

Bonne fin d'après-midi à toutes coquines ravies d'avoir passé leur entretien d'embauche avec succès. Et de se retrouver immédiatement responsable du poste "Pipe"...

Julien (directeur des ressources humaines)



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Vendredi, il faut faire les courses

Une fois encore il est presque neuf heures hier matin, vendredi. Neuf heures quand nous nous réveillons tous les trois quasiment en même temps. Estelle à ma droite qui saisit ma tumescence d'une poigne ferme. Clémentine à ma gauche qui vient mettre sa tête dans mon cou en gémissant. Je passe mes bras autour de leurs épaules pour les serrer contre moi. << Docteur, bobo ! >> murmure Estelle. Je me mets à quatre pattes. Je pose mes lèvres sur chacun de ses seins pour y souffler de l'air chaud. Je masse délicatement son bas ventre. Elle n'en plus de se retenir. Se levant d'un bond elle se projette littéralement vers la porte en s'écriant : << Pipi ! Je vous attends en bas ! >>. Clémentine se couche sous moi alors que je garde la même position. Elle s'accroche de ses bras de ses jambes.

<< C'était une superbe soirée docteur ! >> dit elle. Pour nous aussi, l'impérieux besoin de pisser atteint la limite du supportable. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, en slips et T-shirts de nuit nous dévalons les escaliers. Les alléchantes odeurs du café, du pain grillé. Estelle qui me saute au cou en disant : << Génial la soirée ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je la repose au sol pour presser les oranges. Pendant que Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur "l'entretien d'embauche" et la soirée qui s'en est suivie après les pizzas du soir. << Et aujourd'hui à midi, devinez quoi ? >> lance Estelle. << Pizzas réchauffées ! >> répondons-nous en cœur. Nous rions. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les courses.

Dehors, la médiocrité climatique semble être devenue la règle. Tout comme celles d'Estelle dont c'est le troisième jour. Il pleut. Le ciel est bas et sinistre. Nous traînons à table. Mes deux anges installées sur mes cuisses. Leurs bras autour de mon cou, de ma taille, à faire le programme de l'après-midi. Je propose de nous faire un bon restaurant en soirée. << Si le menu à la Cafétéria est sympa, on reste à l'hypermarché ! >> suggère Clémentine. << C'est vrai que souvent on y mange super bien ! C'est tellement alléchant que parfois, avec maman, le samedi matin on hésite ! >> dit Estelle. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous habiller de nos vêtements de sport en lycra. Hors de question d'aller courir avec cette météo pitoyable. Ce sera l'entraînement en salle.

Aérobic. Dans une certaine déconnade. Joggings sur tapis roulants, vélo ergométrique, exercices au sol. Charges additionnelles. Les étirements d'un retour au calme où Estelle nous montre une position vue sur un tutoriel Youtube et qu'il faut maintenir une minute. C'est difficile de le faire sans rire aux éclats. Estelle prend sa douche pendant que nous faisons la chambre, le lit. Nous la rejoignons à la salle de bain. C'est à notre tour. Tous les trois, Levis, chemises à carreaux, baskets, nous redescendons pour aller au salon. Assises sur mes genoux, les filles allument l'ordinateur. Un message de Lise qui nous confirme une nouvelle fois sa venue samedi matin pour huit heures trente. Un courriel de l'entreprise paysagère qui confirme elle aussi sa venue pour jeudi prochain. Dès huit heures.

<< S'il fait moche demain après-midi, je fais le montage de nos deux films. On s'en mâte un en soirée. Samedi soirée cinéma ! >> propose Estelle. Nous trouvons cette idée excellente. Il est onze heures quinze. Nous quittons le salon pour l'atelier. L'odeur des huiles précieuses se mêle à celle des cendres froides de la cheminée. << C'est tristounet une cheminée sans flammes ! >> lance Estelle. << Tu nous l'allumes demain après-midi. Nous aurons une belle flambée pendant nos activités ! >> fait Clémentine. Estelle s'accroupit devant moi. En déboutonnant mon 501 elle dit : << Mais quelle façon déplorable de se comporter devant les filles. Ouvre-nous cette braguette et sors-nous cette queue ! >>. Nous rions aux éclat alors qu'elle extrait mon sexe pour l'agiter en se redressant.

En me tirant par le Zob comme par une laisse elle me fait faire le tour de la grande pièce. Elle me plaque contre le pilier central pour me rouler une pelle d'enfer. Le truc bien baveux en se frottant contre ma turgescence. Il commence à faire faim. En me tirant par la biroute, Estelle nous emmène vers la porte. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement de la salade de carottes. Estelle met les assiettes, les couverts. Les pizzas réchauffent au four. Nous allons dans la véranda. Elle n'est pas chauffée, ce serait inutile. Par la grande baie vitrée nous regardons tomber la pluie. Le vent est tombé. Le tapis de feuilles mortes recouvre le gazon. Des amas sous les troncs des arbres. Les eaux du bassin en sont recouvertes. La sonnerie du four.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Les filles reviennent sur le programme universitaire qui les attend la semaine prochaine. << Mercredi c'est férié ! >> précise Clémentine. << Et mardi soir nous fêtons Halloween ! >> dit Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. << Tu la vois comment cette soirée Halloween ? >> demande Clémentine. << Hard et bien vicelarde ! >> répond Estelle qui pose sa main sur la mienne pour préciser : << On peut même réfléchir à en faire un film. Maquillages, déguisements et tout le bastringue ! >>. Nous en rions de bon cœur. << Ça nous fera le vingt deuxième film depuis six ans ! >> conclue Clémentine. Je me lève, j'agite ma bite toute molle en faisant : << Bouhhhhhh ! >>

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, leurs bras qui m'entourent, mes deux anges envisagent déjà différents scénarios. << Un truc avec un fantôme. Ou encore deux sorcières qui violent un pauvre peintre. Pourquoi pas deux "Soumises" entre les mains d'un "Maitre" portant un horrible masque de vampire ! >> lance Estelle débordante d'imagination. << On va bien y réfléchir ! >> conclue Clémentine. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Malgré cette météo, Clémentine décide de se changer. Jupe kilt, chemisier, pull, bas noirs, porte-jarretelles sous son manteau noir. Estelle et moi restons vêtus de nos jeans, chemises à carreaux. Nos bottines. Alors que Clémentine chausse ses bottes noires à hauts talons.

<< Je fais bien pute ou petite bourgeoise salope ? >> demande t-elle en prenant des poses devant le grand miroir de l'armoire. << Un peu des deux ! >> répond Estelle qui me tient le Zob de la main gauche en ajustant mon écharpe de la main droite. Clémentine, accroupie devant le miroir, les cuisses largement écartées demande : << Culotte ou pas culotte ? >>. Le coton blanc d'une culotte attire l'attention sous l'obscurité d'une jupe. Bien davantage qu'une touffe noire et abondante. << Mais pour se toucher, c'est mieux sans ! >> se répond t-elle. Estelle, derrière moi, me secoue la queue alors que nous assistons au spectacle. Clémentine se redresse en disant : << Culotte ! >>. Nous en rions de bon cœur. Pressés de filer, nous redescendons. Clémentine bien plus prudemment.

Nous enfilons nos blousons de cuirs bruns achetés en Écosse à la fin de nos vacances d'été. Nous prenons des poses devant le grand miroir de la penderie. Il faut prendre le grand parapluie. Je tiens la glacière. Estelle le parapluie. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Nous prenons la Mercedes. C'est parti. Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'à la zone commerciale. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière Estelle revient sur le projet "Halloween". Les essuies glaces fonctionnent à plein. Les filles me demandent de passer devant leur université. Je gare la voiture sur le parking de l'hypermarché. Il n'y a pas trop de monde en ce vendredi après-midi pluvieux. La glacière branchée sur l'allume cigare indique déjà moins deux degrés. Parfait.

Je nettoie la poignée du caddie avec du gel hydroalcoolique. Nous enfilons nos fins gants mappa en caoutchouc. Je pousse le chariot. Estelle accrochée à mon bras. Clémentine nous précédant en tenant la liste des courses. Il est à peine 14 h30. Nous parcourons les rayons qui nous concernent en flânant. Estelle, pas toujours très discrète, palpe ma braguette. Clémentine compare les prix, jette ses choix dans le chariot. Il n'y a pas trop de clients mais nous attirons leurs attentions. Nos hautes tailles, ces deux sublimes jeunes filles accrochées aux bras de cet homme d'âge mûr. Nous nous en amusons encore beaucoup. Lessives, papier cul, crème à récurer, papier absorbant et tous les produits usuels dont il faut refaire le stock. Nous suivons Clémentine comme la guide dans un musée.

Le rayon "culturel" est quasi désert. Clémentine s'empare du chariot en disant : << Regardez le mec qui se pointe là-bas. Une belle tête de vainqueur, non ? >>. Nous regardons dans la direction indiquée. C'est un jeune homme, la trentaine, vêtu d'un pantalon noir, d'un pull noir sous un blouson de cuir noir. Des bottines noires. << Assez classe ! >> dit Estelle qui m'entraîne au rayon des bandes dessinées. De là nous pouvons assister aux manœuvres d'approches de Clémentine. Elle circule en poussant le caddie. Elle est d'une élégance folle dans son manteau, ses bottes à talons. Le jeune homme feuillette un des gros albums de photos. Ce sont les promotions de Noël car il y a des tables sur lesquelles sont posés des centaines de livres. Des collections entières. Clémentine passe deux fois pour tenter d'attirer l'attention de sa "victime". Même si nous avons assisté à cette situation d'innombrables fois, c'est toujours très excitant, passionnant, captivant.

Clémentine se place à proximité du jeune homme. Elle feuillette un album. Le mec jette un rapide regard pour découvrir l'exquise silhouette sur sa droite. Le chariot fait un écran parfait. << Regarde, elle commence à se toucher ! >> murmure Estelle. En effet, comme si elle ajustait un sous vêtement, Clémentine se touche discrètement. Le mec s'en rend compte. Il continue toutefois à feuilleter son bouquin. Nous le voyons loucher vers la fille. << Quelle salope ! >> chuchote Estelle qui me palpe discrètement la bosse. Clémentine s'accroupit. Sa victime et elle nous font face à une trentaine de mètres mais derrière une des grandes tables. Impossible de voir ce que fait mon exhibitionniste adorée. Elle a disparu. Mais aux regards que jette le jeune homme nous comprenons bien.

<< Viens, on passe derrière eux ! >> me fait Estelle en saisissant ma main. Comme deux amoureux, insouciants, anonymes, nous passons en faisant mine de nous douter de rien. Effectivement, Clémentine, en plein "show" fait son numéro alors que le jeune homme mâte à s'en déboîter les globes oculaires. L'heureux privilégié. Nous repassons une seconde fois. Il ne tente rien. Se contente de profiter de son privilège. L'idéal pour Clémentine qui déteste être abordée. Sans doute aux limites de l'ankylose elle se redresse. C'est à cet instant qu'une jeune femme vient rejoindre l'inconnu. Elle lance un regard suspicieux à l'encontre de Clémentine. << Oh la jalouse ! Tu as vu le regard qu'elle a lancé à Clémentine ! >> me fait Estelle. Nous en rions de bon cœur. Nous nous rejoignons aux rayons de l'informatique. Clémentine partage ses ressentis. << J'ai envie d'une autre "dose" ! >> nous confie t-elle. Hélas, il n'y a pas d'autres opportunités.

Nous terminons par les surgelés. Passage en caisse. Nous mettons immédiatement les achats dans le coffre de la voiture. Les surgelés dans la glacière affichant à présent moins seize degrés. Parfait. Nous revenons pour flâner dans la galerie commerciale. Les vitrines des boutiques. Celles du salon de thé car il y a là parfois des occasions qui font les larrons. Ce sont principalement des couples. La plupart des séniors. Le petit café, la petite pâtisserie d'après les courses. Une table nous y accueille. Des chocolats chauds, des tartelettes aux fraises. Les menus proposés à la cafétéria sont effectivement alléchants. Pour nous ce sera des plateaux de fruits de mer avec un assortiment de crudités. D'énormes coupes glacées en dessert. Nous sommes de retour à la maison pour vingt et une heures.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir les plaisirs habituels d'un trio d'hédonistes pratiquants...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 20 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2416 -



Les petites habitudes du samedi

Il est sept heures trente, hier matin, samedi. C'est Estelle qui nous réveille. Elle est restée serré contre moi toute la nuit. Comme toutes les nuits. Le soyeux de son pyjama sur ma peau. Aussi quand elle saisit mon érection naturelle en murmurant : << Il y a la "petite nouvelle" qui vient faire le ménage ! >>. Clémentine se blottit contre moi en chuchotant : << Déjà ? Mais il n'est pas l'heure ! >>. Nous nous étirons. Je suis entre mes deux anges. Quelques bisous, quelques papouilles. Estelle se lève la première pour courir vers la porte. << Je descends ! >> lance t-elle. Clémentine tient mon sexe qui commence à ramollir. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. La cuisine parfumée des odeurs du café, du pain grillé. Estelle me saute au cou.

Je la soulève pour la faire tourner. Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. Je vais dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Estelle vient m'y rejoindre en sautillant. << Je veux te voir à l'œuvre avec la nouvelle fille de ménage ! >> dit elle en m'entraînant par la main jusque dans la cuisine où Clémentine verse les cafés. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre après-midi à l'hypermarché et le repas du soir de la cafétéria. Nous mangeons de bon appétit en organisant notre matinée. Estelle se propose de faire l'accueil de la "petite nouvelle". De nous rejoindre pour l'entraînement dans notre salle à l'étage. Je suggère que c'est à moi de le faire. Je suis tout de même le maître de maison. Les filles s'écrient : << Tous les trois ou rien ! >>

Nous en rions de bon cœur. Clémentine suggère de mettre à profit cette "météo de merde" pour reporter l'entraînement à cet après-midi. Nous ne traînons toutefois pas. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Nous nous mettons malgré tout en tenues sports. Le besoin est irrépressible. Nous aimons trop commencer nos journées par le rituel de la gymnastique. Nous resterons simplement attentifs. La grande pendule indique l'heure exacte. << Il faudra la changer avant d'aller au lit ce soir ! >> lance Estelle. Les échauffements de l'aérobic. Les joggings sur les tapis roulants. Les exercices au sol. Il est presque huit heures trente. Nous redescendons à toute vitesse. Juste à temps pour faire entrer Lise. Toute souriante. Elle est un peu surprise de voir Estelle et nos tenues de gym.

Nous nous serrons les mains. Estelle se présente. Lors de notre entretien, Clémentine à montré à Lise l'ensemble des tâches à réaliser. Nous l'accompagnons jusqu'à l'office. Cette grande pièce sert un peu de garde meubles. Un peu bordélique. C'est là qu'il y a le nécessaire. Dans un des quatre placards muraux. Serpillères, balais, seaux, bassines, produits d'entretien. Lise nous rassure, elle fait le ménage chez une vieille dame les lundis soirs. Nous savons lui faire confiance. Vêtue d'une paire de jeans, d'un pull sous un anorak brun. Chaussée de "Doc Martens". Ses cheveux auburn attachés en catogan. Son visage juvénile et souriant, elle dit : << J'attaque ! >>. Nous la laissons pour remonter. Les charges additionnelles. Les étirements consciencieux d'un bon retour au calme.

Estelle prend sa douche la première pendant que nous changeons les draps, aérons la chambre. La pluie tombe avec régularité. Une pluie fine qui semble s'être installée pour plusieurs jours. Nous rejoignons Estelle pour prendre notre douche. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite je coiffe mes deux anges. Assises devant un des miroirs elles organisent le planning de la semaine prochaine. Le levé tous les jours à sept heures trente. À la table de travail dès neuf heures. Arrêt des hostilité à midi et à dix sept heures l'après-midi. Je leurs fais à toutes les deux une belle natte. Habillés de nos Levis, de nos sweats, baskets, nous dévalons les escaliers. Nous entendons l'aspirateur quelque part au rez de chaussée. Nous enfilons nos anoraks. Le grand parapluie.

Nous sortons. Estelle est chargée de nous protéger de la pluie. Un peu déçue, elle dit : << Dommage que tu ne puisses par montrer ta bite à Danièle. J'aurais bien volontiers assisté à ton numéro de vieux satyre ! >>. Nous rions en traversant le jardin. Il faut rester sur les dalles de grès. Nous n'attendons même pas. Il est presque dix heures. Voilà la camionnette blanche qui descend le chemin pavé depuis le portail. Estelle se cache dans le garage. Ce qui n'est pas sans nous surprendre. Danièle, toute souriante, se gare devant le garage. Elle saute de son véhicule. << Bonjour ! Quel temps de merde ! >> s'écrie t-elle en prenant un air de dépit tout en fixant le bas de mon anorak fermé. Elle contourne la camionnette pour ouvrir les portes arrières. Elle y monte. J'attrape le lourd cageot contenant nos fruits et nos légumes. << C'est frustrant ! >> fait la jeune femme en montrant le bas de mon anorak de son index. Clémentine attrape le second cageot contenant nos yaourts, œufs, fromages, pots de crème fraîche.

Je pose le cageot sur le banc de pierre. J'ouvre mon anorak. Ma braguette, je sors ma queue. Je bande mou. Je reste soigneusement dissimulé entre la camionnette et le porte du garage. Ainsi, des fenêtres de la maison il est impossible de me voir. Quand Danièle saute de son véhicule elle me découvre entrain de pisser. << Ah quand même ! >> s'écrie t-elle toute ravie de mon initiative. Tout comme Clémentine qui lance : << Génial ! >>. Elle se précipite pour saisir mon sexe, en diriger les jets. Sous le regard attendri de Danièle qui fait : << Wouah ! Trop bien ! >>. Elle n'a hélas pas le temps de s'attarder. Elle me tend le terminal dans lequel j'introduis la carte bancaire. Même commande pour samedi prochain. Je remballe. Danièle remonte dans sa camionnette. Démarre.

Nous la regardons faire sa manœuvre de demi tour. Elle nous adresse un clin d'œil. De sa main libre elle mime une rapide masturbation masculine. Estelle est restée silencieuse. Cachée dans le garage. Assistant depuis la fenêtre à mon "numéro". << Génial monsieur le pisseur ! >> lance t-elle en me sautant au cou. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère qui descend à son tour pour se garer au même endroit. Madame Marthe, hilare, saute du marche pied en faisant : << Bonjour sous la pluie ! >>. Elle fait coulisser la porte latérale dans un horrible bruit de ferraille. J'attrape le cageot contenant nos deux grosses miches, les pâtes feuilletées, les bouchées à la reine, l'énorme brioche au pudding. Cette fois ll y a trois gros croissants aux amandes. Paiement par carte.

Madame Marthe connait bien Estelle. Elle demande : << Quelle météo ont vos parents en Écosse ? >>. Estelle répond: << Exactement la même ! >>. Nous saluons notre boulangère qui va vers d'autres livraisons. Chacun, portant un cageot, sous la pluie cette fois, nous contournons la maison. Nous descendons à la cave par l'arrière. Dans le cellier nous disposons soigneusement les fruits et les légumes sur les étagères en bois. Estelle, derrière moi, me palpe la braguette en disant : << J'adore quand tu fais ton pervers ! >>. Clémentine rajoute : << Moi aussi ! >>. Estelle fait : << Je suis hyper excitée à cause de toi vieux satyre ! >>. Nous en rions de bon cœur. Interdiction de me sortir la bite pour remonter. Il y a Lise. Inutile de choquer cette jeune fille. Nous ne savons absolument rien d'elle dans ce domaine très particulier. Comme le précise une fois encore Clémentine : << Jouons la "normalité". Nous verrons bien comment ça évolue ! >>

Du congélateur où Estelle dépose une des miches de pain, une pâte feuilletée, je tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. Des pavés de saumon pour demain midi. Estelle me tripote en fouillant ma langue de sa bouche. Clémentine me tient par la taille. Nous remontons par l'escalier intérieur. La cuisine vient d'être passée à la serpillère. Nous allons jusqu'au réfrigérateur pour y ranger les produits frais. Les filles restent discrètes pour éviter de nous faire surprendre dans des situations équivoques. Nous quittons la cuisine pour le salon. Lise en sort au même instant en tenant l'aspirateur. Elle porte des écouteurs. Elle nous adresse un merveilleux sourire. Elle nous paraît encore plus petite en baskets. Elle nous regarde comme des géants. Nous rions.

Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine allument l'ordinateur. Nous avons trois courriels. Celui de ma famille Écossaise. J'apprends qu'oncle Alan va passer une série d'examens au pôle gériatrique de l'hôpital d'Édimbourg. Il a fêté ses 90 ans le 6 octobre. Sa femme Amy nous rassure, il va bien. Juste fatigué. Un message de Juliette qui nous rappelle que nous sommes invités au haras demain dimanche. Elle y organise une animation équestre "portes ouvertes". Un mail de mon notaire qui m'informe qu'il y aurait éventuellement un acheteur pour un de mes immeubles. Il m'invite à passer à son cabinet le jour de mon choix la seconde semaine de novembre. Estelle découvre le courriel de ses parents. Nous irons les chercher à l'aéroport lundi après-midi pour dix sept heures trente.

Dans une petite enveloppe jaune, je glisse un billet de cinquante euros. Il est onze heures trente. À nouveau chaussée de ses Doc Martens, sans sa blouse, Lise toque à la porte avant d'entrer. Elles nous découvre ainsi. Surprise et souriante elle dit : << Voilà, j'ai terminé. J'espère que vous serez satisfaits. Sinon faites-moi un texto. Je reviens samedi prochain ! >>. Mes deux anges se lèvent les premières avant moi. Nous contournons le bureau. Je tends l'enveloppe jaune à la jeune fille en faisant : << Merci. Mais nous ne doutons pas un seul instant de vos compétences ! >>. Clémentine rajoute : << Et ça sent bon partout dans la maison ! >>. Estelle me tire la langue discrètement. Elle mime une fellation derrière le dos de Lise que nous raccompagnons dans le hall d'entrée. Salutations.

Morts de faim nous courons à la cuisine en riant des facéties d'Estelle. Elle s'accroupit devant moi en s'écriant : << Maintenant, tu nous sort ça, assez joué ! C'est chiant de devoir faire gaffe ! >>. Nous rigolons comme des bossus alors qu'elle se redresse pour agiter ma bite toute mollasse. << Je préfère aussi ! >> lance Clémentine qui s'accroupit. Estelle frotte mon sexe sur son visage. Je l'aide à se redresser. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une belle laitue toute fraîche. Estelle fait le bouillon. Je verse le contenu des sachets de petits pois et de haricots verts dans le wok. Le tout a décongelé sur les deux radiateurs de la cuisine. Estelle vide le paquet de moules dans le bouillon en ébullition. Préparations rapides et "miam" du samedi. Nous mettons les assiettes et les couverts.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la personnalité de Lise. Clémentine propose de ne rien provoquer. De laisser les choses se faire. << Si elles doivent se faire ! >> précise t-elle. << Après tout, il n'y a pas que des membres du "club" sur terre ! >> rajoute Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Je conclue : << Ce serait malsain de provoquer des "trucs" sans avoir un indice sur ses intérêts sexuels ! >>. Les filles éclatent de rire. Estelle répond : << Elle n'en a peut-être pas ! >>. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges envisagent différentes options d'activités pour l'après-midi. Clémentine propose d'aller en ville. << Pourquoi pas la bibliothèque municipale ? >> précise t-elle.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. À l'étage aussi ça sent bon. Lise a allumé les deux diffuseurs d'arômes. Les effluves parfumées du magnolia. Tout est propre. Nous nous changeons. Comme nous ne chauffons pas la chambre à coucher, il faudra reprendre l'habitude de préparer nos vêtements la veille dans la salle de bain. Estelle en retirant son Levis dit : << Mes "petits machins" sont terminés ! >>. Clémentine fait : << On va fêter ça ce soir alors ! >>. Je rajoute : << Pauvre bureau victorien qui va encore souffrir de nos folies ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Mes deux anges portent une de leurs jupes kilts. Collants pour Estelle. Porte-jarretelles pour Clémentine. Chemisiers crèmes sous des pulls bleus nuit aux cols en "V". Souliers de ville de cuir noir à légers talons.

Sur leurs demandes, je porte un costume de velours gris. Des mocassins gris. Une chemise blanche déboutonnée sous un pull gris au col en "V". Nous prenons des poses devant le grand miroir ovale. << On renoue avec la tradition des défis. Cet après-midi tu sors ta bite deux fois. Et dans des endroits à risques ! >> fait Estelle en s'accroupissant à côté de moi. Sa tête contre ma hanche, ses cuisses largement écartées, ses bras autour de ma jambe. Clémentine prend la même position pour dire : << Et moi je fais les photos ! >>. Je pose les mains sur leurs têtes pour répondre : << Vous allez encore me provoquer des émotions brutales ! >>. Elles se redressent en même temps pour mitrailler mes joues de bisous. Je saisis leurs nattes pour rajouter : << Ma revanche ce soir ! >>

Pressés de filer nous redescendons. Au rez de chaussé il y a les effluves parfumées du jasmin. Là aussi les deux diffuseurs d'arômes ont fonctionné. Il ne pleut plus. Il faut profiter de cette accalmie. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Nous prenons la Mercedes. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle à l'arrière caresse mon cou en revenant sur nos projets de la semaine prochaine. Le Gloryhole prévu vendredi soir chez Juliette, au haras. À cette évocation je sens la main de Clémentine trembler en tenant mon sexe. Je suggère de nous offrir une superbe soirée. Le "Maître" et ses deux "Soumises". Estelle s'écrie : << Ah oui ! Ça fait longtemps ! >> Clémentine s'exclame : << J'ai un méchant besoin de me faire recadrer. Lundi soir. OK ? >>

Estelle dit : << Et pourquoi pas demain après-midi, si c'est un dimanche de merde ? >>. Silence. Je trouve la suggestion parfaite. Clémentine se penche pour me sucer. Estelle passe son visage entre les deux appuis tête pour regarder. Elle me dit : << Tu nous fais une bonne séance de "dressage" demain. Ça me manque ! >>. Pourtant Estelle n'est pas du tout d'une nature "soumise". Ce serait plutôt une "dominatrice". Mais elle a pris goût à ce jeu. Clémentine se redresse pour rajouter : << Je vais être la dernière des salopes ! >> Estelle s'écrie : << On filme ? >>. Clémentine s'exclame : << Oui mais alors je porte mon loup de dentelles noires ! >>. Je ralentis pour m'engager dans la rue qui mène au centre en disant : << Les filles, faisons ça mardi soir, pour Halloween ! >>

Estelle s'écrie : << Mais on peut faire deux fois ! >>. Clémentine s'exclame : << C'est vrai ! Où est le problème ! >>. Nous rions aux éclats. Je gare la voiture dans la ruelle habituelle. À dix minutes des rues piétonnes. Quelle chance. Il ne pleut pas. Les filles restent accrochées à mes bras alors que nous marchons d'un bon pas. << N'oublie pas, tu as deux défis à réaliser ! >> me fait Estelle alors que nous prenons l'escalator d'un des grands magasins. Il y a du monde. C'est samedi. Nous commençons par le vaste troisième étage. Les rayons vêtements. Comme elle adore me mettre dans des situations embarrassantes, Estelle ne se prive pas pour palper ma braguette. Discrètement certes, mais pas toujours assez. Comme nous attirons déjà l'attention, c'est souvent "limite" et à risques.

Nos hautes tailles, nos élégances. Ces deux sublimes jeunes filles accrochées aux bras d'un homme d'âge mûr. De quoi susciter bien des interrogations. Ce sont surtout les femmes qui nous observent avec interrogations. Quand je croise leurs regards c'est pour constater à quel point elles le plongent dans le mien. Le regard souvent libidineux des messieurs en dit long. Ce qui nous amuse énormément. << Mon défi ! >> lance Estelle en s'accroupissant entre deux mannequins hommes en plastique élégamment vêtus de costumes. Clémentine prend une photo. Estelle écarte ses cuisses juste le temps du déclic. Elle reproduit à plusieurs reprises. Ce qui créé une sorte d'émulation où chacune donne dans une amusante surenchère. Clémentine, à ce jeu-là, n'a pas sa pareille. Pas de culotte.

Sa culotte est restée dans l'auto. Ses bas noirs, retenus par son porte-jarretelles noir, sont une merveille quand elle prend elle aussi des poses "insolentes". Mes deux coquines me font encore bander comme le dernier des salauds. Il faut faire preuve de ruse, de stratégie. Mais c'est payant. Nous réalisons une dizaine de photos. Je suis chargé de les prendre. Je n'ai pas les talents de Clémentine mais je me débrouille plutôt bien. Et lorsqu'un des clichés ne présente pas la qualité désirée, il suffit de le supprimer. De recommencer. Nous évitons souvent de justesse de nous faire surprendre. Ce sont le plus souvent des couples. << À toi maintenant ! >> fait Estelle en se serrant contre moi pour palper mon énorme bosse sans être vue. Mon cœur bât la chamade. Clémentine me roule une pelle.

Un couple nous croise ainsi dans l'allée. Ils se retournent pour nous observer comme des délinquants. Nous rions. Quand la femme se retourne une nouvelle fois pour nous lancer un regard lourd de reproches, Estelle lui tire la langue. La gratifiant également d'une horrible grimace. << Il y a de ces cons j'vous jure ! >> lance t-elle alors que nous passons dans les rayons des vêtements féminins. Là, les choses sont plus dangereuses. Je dois prendre mon courage à deux mains. << Là, parfait ! >> lance Estelle en me plaçant entre deux mannequins femmes en plastique. Je regarde partout autour de nous. Pour un homme ce n'est pas aussi simple. Il ne suffit pas de s'accroupir en jupe et d'écarter les cuisses. Il faut ouvrir la braguette, fouiller dans le slip pour en sortir le locataire. C'est ardu.

Je respire un grand coup. << Je reste avec toi ! >> me fait Estelle. Clémentine tient son téléphone. J'ouvre ma braguette. Rapidement, d'un geste sûr. Je sors mon chibre raide et dur. << Ah, tu vois, quand tu veux ! >> fait Estelle en m'entourant la taille de son bras gauche, pointant l'index de son autre main en direction de mon érection délirante en ce lieu. Clémentine prend deux rapides clichés. Je me retourne juste à temps contre Estelle pour éviter d'être pris en flagrant délire par ces deux femmes faisant du shopping. << Une autre ! Comme ça ! >> murmure Estelle en saisissant mon chibre. Clémentine prend une photo. Estelle et moi souriant à l'objectif. Je remballe à toute vitesse, voilà deux autres couples. Je suis en sueur. Je sens battre mon cœur dans mes tempes.

<< Tu as deux défis ! >> précise Estelle alors que nous cherchons un autre endroit où nos délires sont possibles. Je laisse aux lecteurs d'imaginer le courage dont il me faut faire preuve. Surtout éviter toute témérité. Il faut rester maître de nos émotions. Estelle empoigne la braguette des mannequins hommes pour poser en souriant. Clémentine prend des photos. Elle aussi veut se faire photographier ainsi. C'est l'émulation. Chacune a une nouvelle idée. Plus saugrenue que la précédente. Une fois encore c'est Clémentine qui remporte la palme. À genoux devant un des mannequins portant costume elle mime une fellation. C'est là que nous nous faisons surprendre par un couple. Ils sont terriblement gênés. Clémentine se redresse en leurs adressant le plus merveilleux des sourires.

Je ne sais pas si nous donnons des idées à certains couples de clients, mais nos comportements ont de quoi éveiller les libidos des gens ouverts d'esprits. En croisons-nous ? Il serait difficile de le conclure. Nous sommes évidemment tous les trois considérablement excités. Pour descendre au second étage, celui de l'électro ménager, Clémentine suggère de prendre un des ascenseurs. Ils sont très fréquentés. L'un des trois arrive. Nous nous y précipitons. La porte se referme avant que d'autres clients aient le temps de s'y précipiter. Estelle, en appuyant sur le bouton numéro trois dit : << Messieurs dames, nous prenons actuellement l'ascenseur de seize heure quarante huit ! >> Nous en rions lorsqu'elle appuie sur le bouton stop en rajoutant : << Sors ta queue ! >>. Clémentine n'attend pas ma réaction. Elle s'accroupit devant moi pour ouvrir ma braguette. Elle en extrait la queue ramollie. Elle la prend immédiatement en bouche. Estelle mâte.

Il est évidemment impossible de bloquer ainsi l'ascenseur sans provoquer l'arrivée des secours. Clémentine se redresse rapidement. C'est au tour d'Estelle. Clémentine prend un photo. C'est moi qui appuie sur le bouton. Estelle se redresse. Je remballe ma queue devenue ruisselante de liquide séminal. Je suis tellement excité. L'ascenseur s'arrête au second étage. Les rayons des machines à laver, des frigo, des appareils divers n'opèrent pas le même charme sur nos psychés. << Put-Hein pas ici, c'est trop moche ! >> lance Estelle. Nous reprenons l'escalator pour monter cette fois au quatrième étage. La grande cafétéria décorée Halloween. C'est samedi. C'est les vacances. Il y a un nombre considérable de familles. Dont des familles de Simpson peu discrètes et bruyantes.

Aussi, nous ne nous attardons pas. Inutile d'espérer refaire le coup de l'ascenseur. Trop de gens guettent leurs arrivées. Un véritable quai de gare. C'est par l'escalator que nous redescendons. La pluie s'est remise à tomber. Je tiens le grand parapluie. Mes deux anges accrochées à mes bras. Nous avons quelques préférences pour certains salons de thé. Notamment celui situé au premier étage d'une grande pâtisserie aux vitrines Halloween. Chance. Il y a une table libre. La configuration de l'étage évoque les gradins d'une salle de théâtre. Installés tout en haut nous savourons un chocolat chaud avec des tartelettes aux myrtilles. L'endroit idéal pour toute exhibitionniste désireuse de s'offrir quelques jeux de jambes sous la table. Avec la certitude d'être vue aux gradins du bas. Plaisir suprême pour Clémentine qui ne s'en prive pas. Il y a deux couples assis en contrebas. L'un des messieurs vient de remarquer ce qui se passe sous notre table.

Tout en dégustant sa tartelette, Clémentine commente ce qu'elle fait. Elle doit toutefois exercer son Art avec prudence. Le salon de thé est plein de clients. Le bourdonnement continu des conversations. << Fais-lui le test des chiottes ! >> suggère Estelle qui elle aussi s'amuse. Comme elle porte des collants, c'est évidemment moins pertinent pour un voyeur éventuel. C'est le même monsieur qui, tout en bavardant, scrute avec beaucoup d'intérêt. Je fais mine de ne pas me rendre compte de ce qui se passe. Clémentine répond : << Tu as vu. C'est un va et vient incessant aux toilettes ! Tant pis ! >>. Le test des chiottes consiste à attirer un voyeur dans les toilettes. De découvrir ses attitudes, son comportement. Clémentine adore ce scénario. Filmant souvent la situation à l'insu des protagonistes. C'est follement amusant de revoir ces images une fois sorti des toilettes. Mais là, c'est hélas tout à fait impossible. Bien trop de monde.

Il est dix huit heures quand nous quittons la FNAC où nous aimons terminer nos flâneries de fin d'après-midi. Je propose un bon restaurant. << Ah non, je veux baiser ce soir ! >> lance Estelle. << Moi aussi ! >> s'écrie Clémentine. Je roule doucement. Il est dix huit heures quarante cinq quand nous sommes de retour. Nous passons nos tabliers pour ne pas nous salir. Assis à la table nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri. Ce sera pour la potée de légumes des trois repas du week-end. Nous mangeons de bon appétit. Sans traîner. Nous nous précipitons au salon. Mes deux anges, toujours aussi sexys dans leurs vêtements de ville achèvent de m'allumer. Force est constater que les jeunes filles sont beaucoup plus intéressées et motivées par des soirées baises que par des soirées restaurants. Surtout à 26 ans. Après ça s'estompe. Ce qui est généralement le cas lorsqu'elles deviennent femmes, passées la trentaine.

Bonne soirée baise à toutes les coquines bien "allumées" par une escapade crapuleuse en ville...

Julien (qui a relevé ses deux défis et qui s'apprête à en relever d'autres sur la surface d'un bureau victorien)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 21 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2417 -



Dimanche, dernier jour des vacances

Estelle à ma droite qui reste collée à moi toute la nuit, saisit ma tumescence en posant ses lèvres dans mon cou. Juste sous l'oreille. Clémentine à gauche se tourne pour se blottir. Il est presque neuf heures quand nous sortons ainsi de nos profonds sommeils. Plein de bisous, plein de papouilles avant de nous étirer en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. Riant aux éclats. Estelle se lève pour courir vers la porte en s'écriant : << Pipi ! Je descends préparer ! >>. Clémentine se couche sur moi. Frottant son sexe sur le mien elle mitraille mon visage de bises. C'est à nous d'aller pisser. Morts de faim, juste en slips et T-shirts de nuit nous dévalons les escaliers. Estelle, dans son pyjama de soie mauve, chantonne en mettant les bols, la confiture, le miel et les cuillères.

La cuisine embaume des effluves du café, du pain grillé. La magnifique brioche au pudding évoque déjà les fêtes de fin d'année. Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. Estelle, contre mon dos, passe ses bras autour de ma taille pour dire : << Des soirées comme ça j'en veux tous les jours ! >>. Clémentine répond : << Mais tu en as tous les soirs ! >>. Nous rions aux éclats. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur cette fameuse soirée. Nous mangeons de bon appétit en envisageant déjà les prochaines. Il est décidé de se faire une "Halloween party" filmée. Mardi soir. Des réjouissances en perspective. Ce sera probablement une de nos séances du "Maître" et de ses deux "Soumises". << Façon sorcier et sorcières ! >> dit Estelle en se levant pour mimer une branlette.

Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges dissertent sur le sujet bien plus sérieux de la semaine qui les attend. C'est depuis la maison qu'elles suivront leurs cours universitaires. Mais en se ménageant toutefois des horaires souples. << Pas question de bourrer ! >> lance Estelle. << Si ce n'est nos chattes ! >> rajoute Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous revêtons nos paires de jeans, nos chemises à carreaux, nos baskets avant de passer dans la chambre pour faire le lit, fermer les fenêtres. Le changement d'heure ne se perçoit pas ce matin. Par contre ce sera un vrai coup de massue en soirée.

<< Ces sales cons. Depuis que je suis petite ils promettent d'arrêter leurs conneries d'heures d'été et d'heures d'hiver ! >> s'exclame Estelle lorsque nous descendons les escaliers. << Ce n'est pas que dans ce domaine que ce sont de sales cons ! >> s'écrie Clémentine. Nous enfilons nos anoraks. Surprise. Il fait relativement doux. Le thermomètre extérieur indique 17° alors qu'il est 10 h30. Le ciel reste nuageux mais pas menaçant. Les filles restent accrochées à mes bras alors que nous allons jusqu'à la rivière. Il n'y a pas le moindre souffle de vent. Cela participe toujours de nos plaisirs des dimanches matins. Le spectacle de nos amis à plumes qui virevoltent sur l'eau. Les familles de canards, de poules d'eau et de colverts s'agrandissent chaque année. Ils cancanent de plus belle.

<< Avec cette météo, il faut aérer ta chambre. Fais voir si c'est bien rangé ! >> fait Estelle en s'accroupissant. Elle déboutonne mon 501 pour en extraire une queue mollasse, qui pend lourdement comme un tuyau d'arrosage. << Voilà ! C'est un peu bordélique dans ton slip ce matin ! Et je ne te dis pas l'odeur ! >> rajoute t-elle en humant longuement les odeurs de ma nuit d'homme. Le dimanche, pas de douche, juste une rapide toilette. Et comme notre soirée fut consacrée à nos exactions sexuelles, il en subsiste les odeurs intimes. << Monsieur Schlinguo, j'ai le regret de vous annoncer que vous avez un blâme pour outrage aux muqueuses nasales ! >> fait elle encore en se redressant. Tout en pinçant le nez Estelle conclue : << Pouah ! >>. Nous rions comme des fous.

Clémentine se penche d'abord pour renifler à son tour. S'accroupit ensuite pour bien constater. << En effet, ça fouette ! >> s'écrie t-elle en se relevant. Je dis : << Et vous n'imaginez pas ce que ce sera ce soir en revenant de randonnée ! >>. Estelle saisit mon chibre pour l'agiter en disant : << Commençons par secouer la poussière ! >>. Toutes les deux se penchent pour mieux voir. L'odeur me monte au nez. Estelle, en décalottant légèrement l'extrémité de mon gland, met à jour les substances granuleuses d'un fromage de Parmezob. Elles éclatent de rire en se pinçant le nez. Je dis : << Attendez que je vienne sentir vos minous moi aussi. Ça ne doit pas être triste non plus ! >>. C'est en rigolant comme des bossus que nous remontons le chemin. Par mesure de précaution je remballe le Zob.

Nous ne rencontrons pas notre voisin. Nous rentrons pour préparer le petit sac à dos. Il contient les barres de céréales, des pommes, la thermos de thé bouillant, la minuscule paire de jumelles. Tout est prêt pour le départ dès la fin du repas. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de concombre et d'avocat. Estelle prépare les pavés de saumon en papillotes sur le barbecue électrique de la véranda. Je remue la potée de légumes pour éviter que ça n'attache. Préparations rapides. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les itinéraires. C'est là que Clémentine nous rappelle qu'avec ce stupide changement horaire, il fera nuit une heure plus tôt. << Les sales cons ! >> s'écrie Estelle. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en déconnant. Fous rires.

Il n'est même pas treize heures quand nous dévalons les escaliers, pressés de filer. Je roule doucement sur les quatre kilomètres qui nous séparent de la chapelle désacralisée. Clémentine joue avec ma queue. Estelle assise à l'arrière caresse mon cou en commentant les couleurs de l'automne. Je gare la voiture le long du muret de l'enclos du cimetière. Il y a d'autres autos garées là. C'est le début d'un itinéraire de promenade assez prisé par les connaisseurs. Il y a des groupes de gens devant les portes grandes ouvertes de la chapelle. Nous changeons de godasses. Je porte le sac. Avant de traverser la route pour prendre le chemin qui monte, nous allons voir ce qui se prépare. C'est la dernière exposition de la saison. Consacrée cette fois aux réalisations écologiques de la région.

Nous faisons très vite le tour pour regarder les photos suspendues sur les murs intérieurs. << Ils font chier avec leur wokisme de merde ! L'écologie de salons parisiens, cucul-la praline, ça gonfle ! >> murmure Estelle. Clémentine murmure : << Mais au fait, c'est qui ce "ils" ? >>. Nous en rions de bon cœur en ressortant. C'est parti. Nous marchons d'un bon pas. La température est de 19°. Nous retirons nos anoraks pour les nouer autour de la taille par leurs manches. Je suis prié d'ouvrir ma braguette. C'est tout à fait jouable car le nœud des manches dissimule parfaitement la biroute qui pend. Ce qui permet évidement à mes deux anges de jouer avec leur "doudou". Surtout Estelle qui profite de chaque virage pour me la saisir fermement en disant : << Tu n'as pas honte vieux cochon de te promener queue à l'air en compagnie de deux jeunes filles prudes et innocentes ! >>. Succession de fous rires.

Nous croisons des marcheurs. Personne ne se doute, ne se rend compte. De plus Estelle ou Clémentine ont le réflexe de me prendre dans leurs bras. Ce qui assure la plus totale discrétion. << On pouvait se mettre en jupettes avec ce temps ! >> précise Clémentine que je touche moi aussi. Voilà l'ancienne carrière. Il faut la contourner par le sentier escarpé. Une lourde chaîne nous sépare du ravin. Je suis en proie au vertige. J'évite de regarder au bas des falaises artificielles. Il y a des gamins du bourg voisin qui font du vélo tout terrain au fond. Nous revenons sur le chemin pierreux. Nous suscitons encore l'intérêt des randonneurs que nous croisons. Cet homme d'âge mûr que tiennent par les mains ces deux jeunes filles. Nous nous en amusons. Surtout mes deux anges qui me font des bises pour bien situer la nature de nos relations.

Nous arrivons aux bâtiments abandonnés de la vieille tuilerie. Avec l'automne il y a moins de végétation. Nous pouvons y évoluer avec plus de facilité. Nous entrons dans la grande bâtisse de briques rouges. Il y à là les anciens fours. Ils sont énormes. Ils permettait de cuire une tonne de tuiles à chaque fournée. Il y a encore les potences, le mécanisme à roues dentées qui permettait de mouvoir les grosses chaînes. Les wagonnets sur rails. C'est à la fois surréaliste, impressionnant et excitant. C'est là que nous avons réalisé le premier film porno de Julie il y a quatre ans. Une séance "bondage" très superficielle. De quoi satisfaire le fantasme très flou d'une jeune fille d'à peine dix huit ans. Nous nous promettons depuis ce temps à réaliser le nôtre. Beaucoup plus sophistiqué.

Nous entendons les voix des différents groupes de marcheurs. Il faut donc rester prudent en prenant nos photos souvenirs. Estelle, son bras gauche autour de ma taille, sa tête contre ma poitrine, penchée légèrement en avant qui agite ma bite molle vers l'objectif. Clémentine prenant les clichés. Nos anoraks dénoués posés sur le support de briques devant l'un des fours. Je remballe plusieurs fois de justesse. Des gens visitent. Nous nous saluons. Des curieux entrent dans les fours. On peut parfaitement y tenir debout à une dizaine de personnes. Les chaînes qui pendent des poutrelles du plafond. C'est le décorum idéal pour n'importe quels films fantastiques, d'horreurs ou encore de "Bondage SM". Ce que nous nous promettons une fois encore de faire. << L'heure ! >> rappelle Clémentine.

Nous revenons sur le chemin. Il faut compter deux heures de marche en descendant par le même itinéraire. Le plus rapide. Il est quinze heures trente. La nuit tombe vers dix sept heures quarante cinq. Jouons la prudence. Il y a des endroits qui peuvent s'avérer dangereux quand arrive le crépuscule. Surtout avec nos arrêts pipis, nos arrêts câlins et nos photos souvenirs. Quatre autres photos. Dont Estelle, culotte et Levis aux genoux, accroupie au milieu du chemin entrain de pisser. Nous l'échappons belle, et de justesse car un groupe de randonneurs se pointe à l'instant précis où elle se redresse en remontant ses fringues. Je la tiens par sa natte alors que Clémentine filme la scène. On y verra arriver les marcheurs. Nous en rions de bon cœur en reprenant notre descente. Le crépuscule.

La nuit va y succéder très vite. Il est dix huit heures quand nous arrivons à la voiture. Le temps de changer de chaussures et nous voilà en route. Dix huit heures trente quand nous sommes de retour. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade d'endives. Estelle nous concocte son omelette des dimanches soirs. Je remue la potée de légumes. Il en restera pour demain midi. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments forts de notre randonnée. Nous traînons à table. Ce soir Estelle ne sera pas obligée de nous quitter. La vaisselle. Nous passons au salon. Vautrés dans le canapé, Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche, nous regardons les photos prises cet après-midi. << On doit en avoir une bonne centaine ! >> lance Clémentine. << 300 ! >> corrige Estelle.

C'est probablement plus proche de la réalité. Depuis cinq ans nous aimons nous photographier dans des situations qu'Estelle qualifie de "tendues". Lorsqu'un beau paysage, un magnifique panorama se présente, nous avons pour habitude de poser au premier plan. J'ai alors très souvent la bite dans la main d'Estelle. Nous sentons la fatigue nous gagner. J'ai la braguette ouverte. << Sors ta bite. Je veux mon dessert ! >> me fait Estelle. << Mmhhh ! Moi aussi j'en veux ! >> s'exclame Clémentine. Je dis : << Si vous me promettez toutes les deux de m'offrir le mien. Elles se lèvent d'un bond pour retirer leurs Jeans, leurs culottes. À genoux sur les épais coussin je me bouffe de la chatte négligée. Mes amis ! Quel régal ! Quel délice. Et ce fromage ! Une pure merveille avant d'aller au lit.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer le minou par une bouche gourmande avant de se partager une bite juteuse au Parmezob sous les draps. Prélude à un bon dodo...

Julien (producteur dominical de Parmezob)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 22 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2418 -



La rentrée tout en restant à la maison

Il est sept heures trente, hier matin, lundi. Nous sommes tirés du sommeil par de petits cris. << L'application "zoo" ! >> fait Estelle en saisissant ma tumescence. Clémentine se tourne pour se blottir contre moi. Pas encore vraiment réveillés nous rions des facéties d'Estelle. Des bisous, des papouilles. Estelle me lâche le Zob pour se lever et se précipiter vers la porte en disant : << Application pipi puis application petit déjeuner ! >>. Nous rions. Clémentine me tient la bite d'une poigne ferme en disant : << J'aime devoir aller à l'école en restant avec mon chéri. Bien au chaud à la maison. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, en slips et T-shirts de nuit nous dévalons les escaliers. Estelle, dans son pyjama de soie mauve est responsable de ces suave effluves parfumées qui enchantent nos matins.

Les odeurs du café, de la brioche au four à micros ondes, du pain grillé. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. Estelle, toujours aussi facétieuse, glisse sa main dans mon slip pour dire : << Et si un matin tu pelais les oranges et que tu pressais les kiwis ! >> Nous rions quand elle rajoute : << Mais c'est tout mou là-dedans ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments forts de notre randonnée de dimanche. De ce projet de réaliser un film "bondage" dans les bâtiments abandonnés des anciennes tuileries. << Ça me fait déjà fantasmer ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différentes options du film "Halloween" que nous projetons de faire mardi soir. Ce sera une séance de "dressage" devant la caméra numérique.

Nous ne traînons pas. À peine la vaisselle faite nous remontons pour nous laver les dents, nous mettre en tenues sports. Il pleut. Le thermomètre extérieur indique 7°. Le jour est levé sous un ciel sinistre. Ce sera donc un entraînement en salle. Les échauffement progressifs de l'aérobic avant les joggings sur tapis roulants. Vélo ergométrique pour Estelle qui adore pédaler le plus vite possible jusqu'à en devenir toute rouge. Les exercices au sol préludes aux charges additionnelles. Les étirements d'un bon stretching pour revenir au calme. Pendant qu'Estelle prend sa douche, nous faisons la chambre le lit. Nous la rejoignons. Notre douche. Tous les trois, dans nos paires de jeans, nos chemises à carreaux, nos baskets, nous redescendons pour nous rendre directement dans l'atelier.

Estelle y allume une belle flambée dans la cheminée. Clémentine prépare ses classeurs sur la table. Estelle l'y rejoint pour ouvrir les siens. Elles allument leurs ordinateurs. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin la suite de ce sixième paysage de commande commencé il y a plus d'une semaine. Je peins dans un enthousiasme délirant. C'est à la fois étonnant et merveilleux de peindre avec mes deux anges à quelques mètres. Je les entends échanger. Lire voix hautes. Les silences concentrés qui s'en suivent. Le chantonnement de l'une, celui de l'autre. C'est un enchantement paradisiaque. Ce sentiment est partagé par les filles que je rejoins parfois. Debout derrière elles, penché, mon visage entre leurs têtes.

Elles m'expliquent ce que je vois sur les écrans. Comme elles ont toutes les deux les cheveux en natte, il est facile de déposer de furtifs bisous dans leurs nuques. << Ça devrait être comme ça tous les jours ! >> dit Estelle sans se laisser distraire. Je retourne à ma peinture. La faim commence à faire gargouiller nos estomacs. Ça s'entend dans les intervalles de silence. Je me lève pour mettre deux bûches sur le tapis de braises. Les filles me rejoignent. Presque midi. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer le reste de potée de légumes. Estelle s'en occupe pendant que Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade d'endives. Je trempe trois dos de cabillaud blanc dans de l'œuf mélangé à du gruyère Alpestre finement râpé. Puis dans de la chapelure poivrée. Du paprika doux.

Je fais rissoler dans la poêle. Je rajoute du lait de soja au reste d'œuf. Au bain marie pour en faire une sauce. Nous mangeons de bon appétit en évoquant cette curieuse promiscuité qui nous réunit dans l'atelier. << C'est vraiment génial. On a l'impression de bosser en étant en vacances ! >> précise Clémentine. << Et on a les visites d'un gentil monsieur qui vient trop rarement nous faire des bisous dans le cou ! >> rajoute Estelle. Les filles parlent de leurs travaux d'écritures. Il y a encore deux chapitres de leurs thèses à remanier. À en faire la version définitive que nous ferons imprimer dès les vacances de Pâques l'année prochaine. << Là, ça ne rigole plus ! >> précise Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges proposent le repas de ce soir. Des spaghettis.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. En regardant par une des deux fenêtres, nous voyons les fumées s'élever trois cent mètres plus bas, depuis les cheminées de la maison de monsieur Bertrand. Il pleut. La météo est déplorable. << Dans un sens c'est bien. Ce n'est pas frustrant de rester enfermés ! >> lance Clémentine. Nous redescendons pour enfiler nos anoraks, les bottes en caoutchouc. C'est sous le grand parapluie que nous sortons malgré tout pour aller jusqu'à la rivière. << L'an dernier, à la même période, on s'est encore faite une sortie vélo. Vous vous souvenez ? >> dit Estelle. Ce n'est que jeudi, dans trois jours, que l'entreprise paysagiste intervient. Il est grand temps car le tapis de feuilles s'épaissit. Les branches cassées jonchent le gazon. Spectacle navrant.

Il est 13 h30 quand nous sommes de retour dans l'atelier. À nos postes de travail. Estelle se plaint quelquefois des lenteurs de son ordinateur. << Windows pour moi c'est terminé. Je n'y retournerai jamais ! >> précise Clémentine devant son Mac. << Put-hein c'est cher ! >> lance Estelle. En les écoutant parler ainsi, je sais ce que va être le prochain cadeau pour Estelle. Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. Il est 14 h30. Les voilà toutes les deux en télé travail. Connectées à l'université. Je me lève pour aller voir à quoi ressemble l'homme qui possède cette voix grave et envoûtante. << Alban, notre maître de thèse ! >> chuchote Clémentine. Je vois enfin à quoi ressemble vraiment ce professeur. Plutôt bel homme, de haute taille, blond, les yeux bleus et environs trente cinq ans. J'avais déjà vu quelques photos.

Clémentine m'en parle souvent. Vantant ses grandes qualités de pédagogue, sa culture générale et sa capacité à résoudre des équations à trois inconnus en un temps record. L'après-midi se déroule dans un travail concentré. Il est dix sept heures quand Clémentine se lève. En sautillant autour de la grande pièce pour se dégourdir les jambes, elle s'écrie : << Là, moi j'arrête ! >>. Estelle se lève à son tour pour venir mettre deux bûches dans l'âtre. << Ras-le-cul ! >> lance t-elle. << Jamais dans le cul, c'est à chier ! >> fait Clémentine. Nous rions. Mes deux anges rangent leurs affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Si tout se passe bien ce sixième paysage sera terminé jeudi avant midi. Nous nous asseyons sur les poufs disposés devant la cheminée. Sur l'épais tapis. Les flammes qui dansent.

Il a fait tellement sombre toute la journée que nous avons travaillé avec les lampes à halogène. À présent que tout est éteint, que le crépuscule s'annonce, ce sont les flammes qui éclairent cette partie de la grande pièce. Nous admirons ce magnifique spectacle en grignotant les dernières châtaignes. Estelle se rapproche pour poser sa tête sur mon épaule droite. Clémentine fait pareil sur mon épaule gauche. C'est un moment de silence. Juste les craquements du bois sec. La nuit tombe inexorablement alors qu'il n'est que dix huit heures. Il y a cette ambiance magique des soirs d'automne. La féérie d'un feu dans la cheminée. L'immense bonheur d'êtres ensemble tous les trois. Nous devions chercher les parents d'Estelle à l'aéroport. Mais ils ont préféré se débrouiller par eux-même.

Estelle pose sa main sur ma braguette ouverte en disant : << Mais tu n'es allé pisser qu'une seule fois cet après-midi, alors que nous y étions chacune deux fois. Il est terminé le rituel du pipo dans le lavabi ? >>. Nous rions. Je me lève pour sortir ma queue toute molle en m'écriant : << Maintenant que tu m'y fais penser ! >>. Debout devant le petit lavabo de l'atelier, la bite posée sur le rebord, je me lave les mains une seconde fois. Dans le minuscule miroir je vois accourir mes deux coquines. Estelle me choppe le Zob. Clémentine se serre contre moi, ses bras autour de mon cou. Penchée en avant elle regarde. Je me concentre. Je dois absolument pisser avant de commencer à bander. Une première salve libératrice qui surprend Estelle qui a failli lâcher la biroute. Elle en dirige les jets.

J'ouvre le robinet d'eau chaude pour rincer en même temps. Ce qui fait monter les vapeurs assez nauséabondes à nos narines. << Tu pisses bien jaune ce soir ! C'est à cause du jaune de cadmium de tes peintures ? >> lance Estelle. Nous rions. Quand je ris il faut bien tenir le zguegue parce que ça gicle rapidement n'importe comment. Je termine en érection que contraint Estelle vers le bas. Me secouant le chibre turgescent qu'elle branle un peu. Clémentine que cette vision excite toujours considérablement se penche pour gober la peau fripée de mon prépuce. Elle s'accroupit sans qu'Estelle ne lâche la queue. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. C'est évidemment le sommet d'une excitation qui me fait vaciller. Je me tiens au lavabo. Clémentine se redresse en ouvrant la bouche.

Estelle s'accroupit à son tour en s'écriant : << J'en veux aussi ! >> Clémentine me fixe de son expression mutine, la bouche grande ouverte avant de déglutir. Estelle se redresse à son tour. Elle a récupéré davantage de jute. Elle aussi aime à montrer fièrement ce qu'elle garde en bouche. Cette fois elle en crache le contenu dans la mienne. Elle fait cela assez souvent, saisissant mon Zob qu'elle tord dans tous les sens tout en murmurant : << Vieux pervers ! >>. Tout cela achève de nous mettre en appétit. Morts de faim nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Estelle s'occupe des spaghettis. Je poêle trois filets de lieu noir. << J'ai le goût de ton foutre ! >> fait Estelle en venant se lover dans mes bras. << Moi aussi ! >> dit Clémentine. Nous restons serrés tous les trois à nous faire des bisous. Estelle égoutte les spaghettis. Clémentine remue la salade. Je dépose les filets de poisson dans nos assiettes.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la soirée. << Quand j'ai le gout du foutre, j'ai envie de sucer ! >> lance Clémentine. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Elle dit : << Moi aussi ! >>. Je propose que les pipes soient plus particulièrement réservées à notre séance de "dressage Halloween", demain mardi. << Oh oui, tu nous dresses, tu nous recadres demain soir ! >> s'écrie Estelle. Je suggère donc de réserver notre soirée de lundi à une bonne baise sur bureau. << Tu es un amour ! >> lance Clémentine en venant s'assoir la première sur mes cuisses. À califourchon pour se frotter, ses bras autour de mon cou. << Tu me fais de la place ! >> s'exclame Estelle qui vient s'installer. Toutes les deux, à califourchon, sur chacune de mes cuisses à se frotter langoureusement. Elles mitraillent mon visage de bisous alors que mon érection maltraite déjà ma bite mal enroulée au fond de mon slip. Douloureux.

La vaisselle. Les filles m'entraînent par les bras. Nous passons au salon. J'adore les voir monter toutes les deux sur le bureau après avoir enlevé leurs baskets. Improviser une sorte de danse lascive en retirant leurs Levis, leurs culottes. Les faire tournoyer au-dessus de leurs têtes avant de les catapulter n'importe où. Il y a juste la lueur des deux grosses bougies du candélabre. Je sors mon Zob. Le soulageant enfin de sa contrainte. Je saisis deux des coussins du canapé que je viens poser sur la surface du bureau. Mes deux anges, juste en chemises et chaussettes s'installent. Cuisses largement écartées, impatientes de se faire bouffer le minou avant les pénétrations que je leurs réserve. Ce soir encore, nullement pressé par un quelconque horaire, je prends tout mon temps sous la douce musique stéréophonique des gémissements de mes deux anges. Je les noie de plaisir. Je m'introduis dans chacune. Je cesse pour revenir sucer, lécher. Déguster.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines enivrées de ce plaisir divin de se faire caresser, sucer, lécher et pénétrer à tour de rôle...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Fleur - 23 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2419 -



Halloween

Il est sept heures trente. Estelle, serrée contre moi toute la nuit, saisit ma tumescence en murmurant : << Bonjour monsieur ! >>. Clémentine se réveille en venant se blottir. Ce mardi encore il est un peu difficile de sortir de ce lit bien douillet et si chaud. Nous ne chauffons pas la chambre à coucher. C'est bien mieux pour dormir dans les toutes meilleures conditions. Je suis entre mes deux anges. Nous nous étirons. Des bises. << C'était une soirée "baise sur bureau" absolument divine ! >> lance Estelle qui se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine se frotte contre ma hanche, m'enserrant de ses cuisses pour rajouter : << C'est vrai que ce lundi soir fut "académique ! >>. Nous rions. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Clémentine m'y entraîne par le Zob.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Les bonnes odeurs du café, du pain grillé et des trois croissants aux amandes dans le four à micros ondes. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. Estelle dans son pyjama de soie mauve qui vient se serrer contre mon dos pour palper la bosse. Nous sommes en slips et T-shirts de nuit. Il fait bien chaud. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos fréquentes soirées "baises sur bureau". << Impossible de s'en lasser ! >> précise Estelle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le film "Halloween" que nous voulons réaliser ce soir. En fait ce sera une de nos séances du "Maître" et de ses deux "Soumises". La caméra en fonctionnement automatique pour la plus grande partie du "truc".

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, revêtir nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Le temps est bien trop menaçant pour aller courir. Notre salle d'entraînement elle non plus n'est pas chauffée. Il faut donc rapidement s'échauffer avec des mouvements aérobic. Prétextes aux déconnades de mes deux anges déjà bien facétieuses. Joggings sur tapis roulants. Vélo ergométrique pour Estelle qui en raffole. Exercices au sol. Charges additionnelles. Retour au calme avec les étirements bienfaisants d'un bon stretching consciencieux. Estelle prend sa douche pendant que nous faisons la chambre, le lit. Petits rituels de nos matinées. Nous la rejoignons dans la salle de bain. Après notre douche, nous revêtons nos Levis, nos chemises à carreaux.

Nous dévalons les escaliers pour aller directement dans l'atelier. Estelle adore allumer les flambées dans les cheminées de la maison. Clémentine, ses bras autour de ma taille, nous la regardons faire. Les filles sont assises à la table, devant leurs ordinateurs, entourées de leurs classeurs ouverts, de leurs fiches. Je suis installé devant mon chevalet à préparer les couleurs sur la palette. La peinture de ce sixième paysage de commande me plonge dans une extase double. La présence d'Estelle et Clémentine. Ma passion picturale. Je peins en savourant chaque instant de ce nouvel enchantement. Il fait tellement sombre qu'il nous faut travailler à la lumière des lampes à halogène. Il y a même un brouillard qui se densifie au dehors. La matinée se passe ainsi, dans l'émulation constructive.

C'est la faim qui prévient. En effet, il est presque midi quand nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement d'une belle laitue dont elle lave chaque feuilles. Également pour ce soir. Estelle réchauffe les spaghettis dans une poêle en y rajoutant du basilic, les recouvrant de fines tranches de morbier qui fond dessus. Dans le wok je réchauffe des crevettes en boîte. On fait vite, pressés d'aller à l'essentiel. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les options du repas de ce soir. Ce sera un gratin d'aubergine et de courgette. Les filles reviennent sur leurs travaux littéraires de la matinée. Ceux qui les attendent cet après-midi. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges échangent leurs impressions quand au télé travail qui les attend.

Nous lavons et coupons deux belles et grosses courgettes. Une énorme aubergine. Des champignons de Paris. Pendant que Clémentine et moi disposons les tranches en dominos dans le grand plat carré, Estelle prépare le liant. Un flanc à base d'œufs, de fromage blanc, de crème fraîche et de lait de soja. Elle verse sur le tout. Clémentine râpe une bonne quantité de gruyère Suisse dont je recouvre l'ensemble. Estelle saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Clémentine finalise en faisant deux cercles de cerneaux de noix sur le tout. Au four pour mijoter longuement à 160°. Nous faisons la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. En regardant par une des deux fenêtres c'est un paysage d'Halloween.

De la brume estompe le paysage au-delà d'une centaine de mètres. Nous enfermant dans une atmosphère mystérieuse. Pressés d'aller constater de visu, nous redescendons à toute vitesse. Les anoraks. Les bottes en caoutchouc. Le thermomètre extérieur n'indique que 11°. C'est dans une fraîcheur humide et désagréable que nous allons jusqu'à la rivière. Il est 13 h45 quand nous sommes de retour dans l'atelier. Les filles à leur poste de travail. Moi au mien. Parfois je me lève pour aller les rejoindre. Sans déranger. Debout derrière elles. Penché, mon visage entre leurs têtes. Je dépose toutefois des bisous dans leurs nuques. Sur les écrans des ordinateurs je vois Alban, le prof qui disserte. Puis défilent des exemples de textes. De tournures. Bref, le télé travail par visio conférence. Parfait.

Dix sept heures. J'anticipe. Je nettoie la palette, les pinceaux. << Là, si je n'arrête pas, je pète une durite ! >> lance Clémentine. << Arrête, ça va gicler ! >> s'exclame Estelle. Nous rions. Je retire ma blouse. Debout devant le lavabo de l'atelier, la bite posée sur le rebord de faïence, je me lave les mains. Mes deux anges se précipitent pour m'y rejoindre. << Regardez-moi ce pisseur ! Il allait pisser sans nous ! >> s'écrie Estelle en saisissant mon sexe mou. << Ça ne se fait pas ! >> rajoute Clémentine. Estelle dirige consciencieusement les jets en direction du trou rond ou du rectangulaire. La vapeur s'élève sous l'effet du robinet d'eau chaude. Je pisse par petits jets en bandant lentement. Pour terminer dans la bouche de Clémentine accroupie à ma droite. Estelle à gauche.

Elles se redressent en échangeant leurs impressions. Serrées contre moi elles me mitraillent le visage de bisous. Nous nous installons dans le vieux canapé de velours carmin de l'atelier. Je suis entre mes deux anges qui parlent du travail réalisé aujourd'hui. Je vais préparer un thé au jasmin avec de petits gâteaux secs. Agréable moment de détente qui permet, tout comme le stretching du matin, de revenir au calme. Il est dix huit heures. Nous quittons l'atelier pour le salon. Estelle y allume un feu dans la cheminée. Il fait déjà nuit noire. Clémentine allume les deux grosses bougies du candélabre. Du tiroir du bas du bureau elle sort la caméra, vérifie la charge des deux batteries. Un essai de luminosité. Avec la pénombre de certains recoins il faut augmenter le nombre d'iso. C'est parfait.

La caméra fixée sur son trépieds, Clémentine nous demande de nous placer dans le champs, devant l'objectif. << Parfait. Il faut juste éviter d'aller jusqu'aux portes fenêtres, il y fait trop sombre ! >> précise t-elle. Du même tiroir Estelle tire les deux paires de menottes. Les deux paires de genouillères de cuir noir. Les mêmes que portent les pratiquantes en rollers qu'on croise sur la piste cyclable. Elle me regarde par en-dessous, avec un air mutin. Elle dépose le tout sur le bureau. Je prépare deux chaises placées dans l'espace entre le bureau et la table basse devant le canapé. Sur l'épais tapis aux motifs cachemires. Les filles m'entraînent par les mains. Nous montons nous mettre en tenues. Estelle et Clémentine portent une jupe kilt. Un chemisier blanc, des escarpins à talons.

Sur leurs demandes je porte mon pantalon de cuir moulant, ma chemise blanche à manches bouffantes, mes cuissardes. << Notre Mousquetaire ! >> lance Estelle. << J'adore quand tu es habillé comme ça ! >> rajoute Clémentine. Nous prenons des poses devant le grand miroir ovale de la salle de bain. Ces préparatifs vestimentaires aiguisent autant nos libidos que nos appétits. Avec des souliers à talons hauts il est préférable de redescendre prudemment. Dans la cuisine, pour ne pas nous salir, nous mettons nos tabliers, noués sur les reins. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Le gratin chauffe au four. Estelle et moi mettons les assiettes, les couverts. Quand elle s'accroupit devant la porte vitrée du four, me tournant le dos, les cuisses largement écartée, mon érection est presque immédiate. Contrainte par l'étroitesse de mon pantalon de cuir noir. C'est désagréable. Estelle sait à quel point j'aime cette vision érotique.

Elle refait à quelques reprises alors que Clémentine, derrière mon dos, ses bras autour de ma taille murmure : << Il est interdit de se branler avant le début des festivités ! >>. Nous en rions. Heureusement que la sonnerie du four met un terme à ma "torture". Estelle sort le gratin, doré, odorant, fumant. Nous savourons ce délice en sachant qu'il en restera pour demain midi. << Trop bon ! >> s'écrie Estelle. Bien évidemment, trop pressés de nous livrer à nos jeux, nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous retirons nos tabliers. Les filles m'entraînent par les mains. Il fait presque trop chaud dans le salon. Clémentine entrebâille une des deux grandes portes fenêtres. Immédiatement la caresse du souffle d'un air plus frais. Clémentine se place derrière la caméra. J'ouvre ma braguette.

Nous nous regardons tous les trois. Un silence. Comme si nous cherchions au fond de nous le courage nécessaire. << J'allume ? >> demande soudain Clémentine. << Allume ! >> répond Estelle. << Ça tourne ! >> lance Clémentine. Estelle, debout à quelques mètres devant l'objectif, bras ballants, reste immobile. Clémentine met son loup noir à dentelles. Ce qui donne un air mystérieux supplémentaire à l'ambiance gothique dans laquelle nous sommes plongés. J'entre à mon tour dans le champs de la caméra. Clémentine et Estelle, l'une à côté de l'autre, me regardent tourner autour d'elles. Avec une vulgarité assumée, je glisse mes mains sous leurs jupes. Ce réflexe féminin qui les fait sursauter quand je monte le long de leurs cuisses pour doigter leurs intimités de filles.

Je saisis leurs nattes. Comme si je les tenais par une laisse. Je récupère les quatre genouillères pour les fixer à leurs genoux. J'ordonne : << À quatre pattes ! >>. Elles s'exécutent immédiatement. Fixant toutes les deux l'objectif de la caméra. Mutiques. Je reste un instant dans cette position, entre mes deux "Soumises". Je donne un à coup. Je tire. Je les fais avancer ainsi. Clémentine qui adore ces situations, lève la patte à chaque coin de meubles. Je reste bien dans le champs de vision de la caméra en faisant plusieurs tours de cette partie éclairée de la grande pièce. Je passe derrière elles pour les doigter. Toujours ce soubresaut quand j'enfonce mes doigts. Cette fois dans les culs. Estelle émet un petit gémissement. Je me penche pour dire : << Tu commences à aimer ça, hein, dans le cul ! >>. Elle se contente de pousser un autre petit gémissement. J'ordonne : << À genoux ! >>. Elles se redressent immédiatement à mon ordre.

Je bande mou. Je frotte mon sexe sur le visage de Clémentine. Je passe sur celui d'Estelle. Elle adore jouer l'importunée. La dégoûtée. Aussi je lui inflige "double dose". Lorsque je veux lui enfoncer la bite dans la bouche elle reste avec les lèvres obstinément serrées. Détournant son visage en faisant d'horribles grimaces. Clémentine l'observe. Je la maintiens fermement par la nuque et sous le menton. Elle se débat. Cherche à se soustraire de cette étreinte. C'est bien évidemment un jeu. Je n'ai pas l'âme d'un "Maître" véritable. Je pince son nez. Elle tente de me repousser, ses mains sur mes cuisses. Rien n'y fait. Je maintiens l'étreinte. Pour pouvoir enfin respirer, Estelle n'a d'autres choix que d'ouvrir la bouche. L'instant précis où j'y fourre ma queue. Profondément alors qu'elle pousse un profond râle de dégoût. Clémentine, les mains croisées sur la tête, assiste à ce spectacle. J'entends sa respiration haletante de fille excitée. Elle se trémousse.

Estelle tente d'inutiles efforts pour me faire cesser. Dans la réalité ce serait très simple. Mais ce sont les besoins du film. Je quitte sa bouche pour pénétrer celle de Clémentine. Elle l'ouvre d'ailleurs en grand pour accueillir ma bite dégoulinante. Estelle, les mains sur la tête, observe à son tour. Je passe de l'une à l'autre. Une bonne dizaine de minutes à me faire sucer en ayant des propos et des exigences d'une grossièreté inouïe. Les filles, trop excitées, ne jouent plus. Elles s'adonnent vraiment à leurs passions les plus secrètes. À présent et sur mon ordre, assises sur les chaises à l'envers, les dossiers écartant leurs cuisses, leurs mains menottées dans le dos, je les fais sucer à tour de rôle. Les gargouillis, le bruit bulleux sont les seuls bruits à résonner dans le salon. Je suis couvert de frissons. C'est une jouissance permanente. Je lutte pour ne pas éjaculer. Aussi, régulièrement, je quitte leurs bouches pour m'accroupir devant l'une, devant l'autre.

Je les doigte. J'enfonce mes doigts. Je me redresse pour passer derrière elles. Pour les enculer de mes index en tenant des propos d'une vulgarité exemplaire. Je reviens me faire pomper le chibre. Je frotte ma queue trempée sur leurs magnifiques petites gueules de salopes. Le loup de dentelles noires que s'obstine à porter Clémentine n'est plus qu'une "serpillère" qui colle à sa peau. Je finis en beauté. En leurs pissant aux visages. Je dois forcer Estelle à sucer entre deux jets. Alors que Clémentine, telle une gourmande attend bouche ouverte. Toutes les deux, ruisselantes de pisse se font tringler à tour de rôle sur le bureau. Leurs orgasme sont cataclysmiques. Clémentine pisse dans la cuvette que je tente de tenir le plus adroitement possible. Le bip sonore de la caméra indique qu'il reste une minute sur la carte SD. Je les fais mettre à genoux devant la caméra. Debout entre elles, les tenant par leurs nattes, je me penche. Nous sourions à l'objectif. Grand moment.

Bonne nuit à toutes les coquines qui viennent de s'offrir les plus merveilleux frissons dont des "Soumises" peuvent rêver. Après une bonne douche elles retrouvent leurs "Maître" sous les draps...

Julien ("Maître" pour de faux)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 24 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2420 -



La Toussaint

Hier matin, mercredi, notre grasse matinée nous emmène jusqu'à neuf heures. Un jour férié. Estelle à ma droite qui se serre encore plus fort. Clémentine à ma gauche qui se blottit. L'enchantement paradisiaque de nos réveils. Estelle se lève d'un bond pour courir vers la porte. << Pipi, vite. Je descends ! >> lance t-elle. Clémentine me chevauche en disant : << Cette soirée Halloween était magnifique ! Tu as fait fort ! >>. Nous en rions de bon cœur. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle. La cuisine embaume des suaves odeurs de café et de pain grillé. Je pèle les kiwis, Clémentine presse les oranges. Estelle, derrière moi, ses bras autour de ma taille me demande : << Avez-vous bien dormi "Maître" ? >>. Elle me palpe.

Je me retourne pour la prendre dans mes bras et répondre : << Tout contre vous ma belle "Soumise" ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée du "Maître" et de ses deux "Soumises". << Je crois que tu ne seras pas obligé de faire un montage du film. Je n'ai pas souvenir de temps morts ou d'inutilités ! >> lance Clémentine. << C'est vrai, c'était dense, intense. On se mâte ce film samedi. Soirée cinoche. Ça vous dit ? >> fait Estelle. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différentes options du repas de ce soir. Juliette vient manger à la maison. Clémentine propose de faire simple. Ce seront des bouchées à la reine. << Génial ! >> s'écrie Estelle. << Et pour midi il reste du gratin de courgette et d'aubergine ! >> conclue Clémentine. Réjouissances.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Dehors il fait réellement un temps de Toussaint. De la brume. Du brouillard. On ne distingue pas grand chose au-delà d'une vingtaine de mètres. << Cet automne, encore aucune manifestation du fantôme ! >> lance Estelle alors que nous revêtons nos vêtements de gym. << C'est vrai, on n'y pensais même plus ! >> répond Clémentine. Inutile de tenter le running. La température extérieure n'est que de 6°. Nous préférons l'entraînement en salle. Les échauffements de l'aérobic. Les joggings sur tapis roulants. Vélo ergométrique. Exercices au sol. Charges additionnelles. Stretching. Estelle prend sa douche pendant que nous faisons la chambre, notre lit. C'est à notre tour d'aller sous l'eau. Agréable moment.

Vêtus tous les trois de nos Levis, de nos chemises à carreaux, nos baskets, nous redescendons pour passer directement au salon. Il est presque onze heures en ce jour férié. Assises sur mes genoux, les filles allument l'ordinateur. Un message de ma famille Écossaise. Tout va bien mais mon oncle Alan passera quelques jours au pôle gérontologique d'Édimbourg. Un courriel de Juliette qui propose de venir passer la soirée chez elle. Comme c'est un jour chômé elle aura le temps de concocter un bon repas. En précisant qu'elle fera simple. Estelle trouve le mail de ses parents. Nous sommes invités dimanche à midi. Leur semaine en Écosse s'est très bien déroulée. La filiale de l'entreprise fonctionne à plein régime. Yvan envisage même de créer un emploi supplémentaire vu l'abondance de commandes. Surtout à l'approche des fêtes de fin d'année.

Nous enfilons nos anoraks. Les bottes en caoutchouc. Bonnets, gants avant de sortir. La fraîcheur humide et désagréable. Un brouillard à couper au couteau. Nous descendons jusqu'à la rivière. Tout est trempé des pluies de ces derniers jours. Les filles restent accrochées à mes bras. Estelle revient sur notre soirée Halloween. << Tu te débrouilles rudement bien dans le rôle. Tu as pris des cours ? >> me demande t-elle en posant sa main ganté sur ma braguette fermée. C'est Clémentine qui répond : << Oui, tous les matins à l'entraînement Julien me passe les menottes pour courir ! >>. Nous rigolons comme des bossus en décrivant la situation évidemment impossible. Nous remontons lentement en bavardant. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de concombre.

Estelle met les assiettes, les couverts. Le reste de gratin réchauffe. Je fais rissoler trois filets de colin avec des champignons. Estelle déboutonne mon 501 en disant : << On se fait un remake ? Après Halloween, la Toussaint ? >>. Nous en rions de bon cœur. Elle sort mon Zob pour l'agiter vers Clémentine en rajoutant : << Un truc bien salace comme nous en avons le secret ! >>. La sonnerie du four. Estelle me lâche la bite pour se précipiter. Elle enfile les maniques avant de sortir le gratin fumant. Réchauffé c'est encore meilleur. Nous mangeons de bonne appétit en évoquant les randonnées possibles dans les environs. << C'est la Toussaint. On se fait un cimetière des environs. C'est bien le diable s'il n'y a pas un plan qui se présente ! >> s'exclame Clémentine. << Super ! >> dit Estelle.

<< Pourquoi ne pas se faire le petit cimetière de la chapelle désacralisée ? >> suggère Estelle. << Excellent ! On a déjà vécu des trucs sympas là-bas ! >> fait Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font mille scénarios pour cet après-midi. << Encore faut-il qu'il y ait quelqu'un ! >> précise Estelle. << Mais il y aura déjà nous ! >> lance Clémentine. La vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents. Pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous resterons habillés pareils pour le restant de la journée. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, barres de céréales, thermos de thé bouillant et la caméra numérique que Clémentine tient à emmener.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Installée à l'arrière Estelle caresse mon cou en revenant sur les moments forts de notre soirée de "dressage". Il n'y a que quatre kilomètres jusqu'à la chapelle. Comme il fallait s'y attendre l'endroit est désert. Fantomatique dans le brouillard qui semble s'épaissir. Je gare la voiture le long du muret. Nous entrons dans le cimetière qui entoure la chapelle gothique. Plus personne n'est enterré là depuis près d'un siècle. Par contre pour des raisons touristiques, l'endroit est soigneusement entretenu. Il fait froid aujourd'hui. Je refuse de sortir ma bite. << Même si je te la tiens au chaud ? >> demande Estelle, espiègle et mutine. Pour toute réponse je dépose une bise sur son front, glissant ma main entre ses cuisses chaudes.

Nous passons entre les tombes horizontales, les statues d'anges gardiens, les stèles de pierres dont les noms gravés s'estompent inexorablement avec les siècles. La mousse envahit doucement le bas des pierres. Nous tentons de lire des patronymes quand soudain le bruit d'un moteur. On ne distingue pas à plus d'une quinzaine de mètres. Une forme blanche qui se gare le long du muret. Des voix. Nous tentons de percer la brume. Ce sont deux couples de séniors. Une des femmes porte un pot de chrysanthèmes. << Ils viennent fleurir une tombe ! >> chuchote Estelle alors que nous restons dissimulés derrière un caveau de familles. En effet un des couples s'arrête devant une stèle. L'homme s'accroupit avec une balayette. Alors que la femme déplace des objets sur la tombe.

L'autre couple s'éloigne pour faire de même un peu plus loin. Silhouettes fantomatiques, insolites, dans la brume. L'homme s'éloigne avec des branchages à la main. << Il va aux poubelles ! Venez ! >> murmure Clémentine que nous suivons. Nous précédons le type en sautant au-dessus du muret pour nous cacher dans le périmètre de pierre où se trouvent de grandes poubelles grises. Clémentine tire la caméra du sac à dos. << Filme ! >> fait elle à Estelle qui l'allume immédiatement. Clémentine guette l'arrivée de l'homme. Le voilà. Il s'approche du portillon qu'il ouvre. Il s'apprête à jeter les branchages sur le tas de compost. Il découvre cette jeune fille accroupie, entrain de faire pipi entre deux poubelles sur roulettes. Estelle et moi restons dissimulés derrière le muret de pierres.

<< Oh pardon mademoiselle ! >> fait le brave homme visiblement très gêné. Bien évidemment, trop heureuse de l'aubaine, Clémentine reste immobile, se contentant de répondre : << Mais il n'y a pas de mal monsieur. C'était tellement urgent ! >>. L'homme regarde ce spectacle comme abasourdi, les bras ballants. Clémentine, gardant sa position entame la conversation. << Vous avez des ancêtres enterrés ici ? >> demande t-elle. << Non, c'est une tradition familiale de venir entretenir deux tombes du dix neuvième siècle. L'instituteur et un colonel de l'armée ! >> répond le brave homme. Dans cette position d'une indécence folle et malgré le froid, Clémentine continue la conversation. C'est l'arrivée inopinée de sa femme qui met un terme à cet entretien surréaliste.

Clémentine se redresse. Elle se précipite derrière une des poubelles pour remonter sa culotte et son pantalon. La dame ne se doute de rien en disant : << Mais qu'est-ce que tu fais ! Viens on s'en va ! >> dit elle à son mari. Ce dernier jette un dernier rapide coup d'œil. Ce sera un grand souvenir. La fille exhibitionniste du cimetière ! Clémentine vient nous rejoindre, frigorifiée. << Alors, tu as choppé la crève ? >> demande Estelle. Clémentine nous raconte alors que je remplis le bouchon godet de thé bouillant. << Wouah, ça fait du bien ! >> lance Clémentine qui sautille pour se réchauffer. Estelle montre les images captées sur l'écran de la caméra. Avec la brume, on ne comprend pas vraiment ce qui se passe. Ce sont des formes humaines que l'on discerne. << Efface ! >> dit Clémentine.

Nous retournons à la voiture alors qu'une autre auto vient se garer. Un autre couple de personnes âgées. Nous prenons la route qui mène au bourg. Estelle propose une petite visite surprise à ses parents. Nous arrivons alors qu'Yvan et Michèle sont au salon avec un coule de voisins. En pleine conversation concernant le projet d'éolienne que la commune veut faire installer à l'entrée du village l'année prochaine. Ce qui créé évidemment un tollé général. Les parents d'Estelle sont contents de nous voir. Nous participons un peu à cette conversation en savourant du thé, des petits gâteaux. Je promets d'apposer mon nom à la pétition qui circulera dès Noël. Nous repartons en promettant d'être là dimanche à midi. Il est dix sept heures trente quand nous sommes de retour. Il fait bien chaud.

<< Quelle horreur de devoir ressortir ce soir ! >> lance Estelle. Je dis : << La voiture est chaude et on se serre fort ! >>. Nous restons vautrés dans le canapé du salon à regarder des extraits du film réalisé mardi soir. Halloween. Sur l'écran de la caméra l'image est d'une précision chirurgicale. En 4K. Nous nous réjouissons pour découvrir cela dans de meilleures conditions samedi soir. Estelle, tout en bavardant, tord ma bite dans tous les sens. Comme je bande c'est souvent assez douloureux. Elle le sait la coquine. Il est dix huit heures quarante cinq quand nous repartons dans la nuit. Je ne dépasse pas les dix kilomètres heure avec ce brouillard. C'est comme si je roulais dans du coton. Je gare l'auto dans la cour du haras. Il y a juste les lampes de secours qui sont allumées.

Juliette nous a réservé une belle surprise. Une tarte aux brocolis avec des petites pommes de terre sautées. Elle est heureuse de nous voir. Nous mangeons de bon appétit en l'écoutant raconter les derniers évènements professionnels. Il y a quatre vingt sept chevaux en pension jusqu'au printemps prochain. Son entreprise fonctionne elle aussi à plein régime. À tel point que Juliette envisage la construction d'une quatrième écurie. Elle a des demandes depuis les départements limitrophes. Sur leurs demandes, je me lève avant le dessert pour me masturber devant mes trois spectatrices. Applaudissements. Juliette s'adresse plus directement à Clémentine : << Toujours partante pour le Gloryhole de vendredi soir ? >>. Clémentine répond : << Partante ! >> en mimant une pipe. Nous en rions de bon cœur.

Bonne fin de soirée et bonne nuit à toutes les coquines qui se blottissent contre leur bienfaiteur sous la couette qui ne tarde pas à chauffer...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Fleur - 25 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2421 -



Une agréable soirée pipe

Il est sept heures trente, hier matin, jeudi. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Je suis entre mes deux anges qui se blottissent contre moi. Je passe mes bras autour de leurs épaules pour les serrer encore plus fort. Nous nous étirons alors qu'Estelle saisit ma tumescence en disant : << Je vais faire pipi. Je vous attends en bas ! >>. Elle me lâche pour bondir hors du lit et se précipiter vers la porte. Clémentine saisit elle aussi mon érection matinale en murmurant : << J'ai un peu la trouille pour vendredi soir ! >>. Elle fait évidemment allusion au Gloryhole organisé par Juliette. Notre amie est revenue à plusieurs reprises sur le sujet en parlant d'une surprise. Je rassure Clémentine : << Que peut-il bien t'arriver à part des bites qui se succèdent dans ta bouche ! >>. Nous rions aux éclats.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, en slips et T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers. Estelle, dans son pyjama mauve qui met les bol et les couverts. Les délicieuses odeurs du café et du pain grillé. Clémentine pèle les kiwis, je presse les oranges. Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Les filles viennent me rejoindre en sautillant. << Interdiction absolue de nous laisser toutes seules ! >> s'écrie Estelle en glissant sa main dans mon slip. Elles m'entraînent par les bras. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée chez Juliette. Ce bon repas dont elle nous a gratifié. << Tu crois que ce sera quoi la surprise demain soir ? >> demande Estelle. << Je ne sais pas mais je m'attends à un truc bien dégueu ! >> répond Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. Il ne pleut pas ce matin. Le ciel reste toutefois couvert. La température extérieure n'est que de 4°. Nous n'avons pas le courage d'aller courir dehors. << On devient des mauviettes ! >> s'exclame Clémentine. << Des larves ! >> surenchérit Estelle. Je propose de nous faire violence et d'y aller quand même. << Allez ! Un effort ! >> lance Clémentine. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, enfiler nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Pressés d'évaluer nos courages, de nous confronter à un effort de volonté supplémentaire, nous redescendons en courant. Les K-ways, les bonnets, les gants. C'est dans le hall d'entrée que nous pratiquons nos exercices d'échauffement. Nous sortons dans une désagréable froidure humide.

À l'instant où arrive la camionnette de l'entreprise paysagère. Le véhicule tire une sorte de chenillette. La chef de chantier saute de son utilitaire pour venir nous saluer. Elle est toute souriante en découvrant mes compagnes. La plupart du temps il n'y a que moi. Son employé est entrain de décrocher l'engin. Caroline intervient dans la propriété depuis huit ans. Elle connaît parfaitement les lieux et sait quoi faire. Nous la saluons en la laissant à son travail. Et il y en a avec toutes ces feuilles, cette tempête nocturne qui a cassé et arraché tant de branchages. C'est sur le bord de l'étroite route communale que nous faisons notre running. En repassant devant le haras, Estelle lance : << Le Gloryhole ! >>. En courant nous rions. Surtout qu'Estelle sans cesser de jogger tourne sur elle-même. Il est neuf heures quand nous revenons. Pendant qu'Estelle prend sa douche, nous faisons la chambre, notre lit avant de la rejoindre à la salle de bain.

Habillés de nos paires de jeans, de nos chemises à carreaux, nos baskets nous redescendons pour aller directement dans l'atelier. La joie d'Estelle est d'allumer un bon feu dans la cheminée. Clémentine allume les ordinateurs, prépare les fiches. Avant de la rejoindre à la table Estelle fait le détour par le chevalet. J'y suis déjà installé à préparer les couleurs sur la palette. Debout derrière moi, ses bras autour de mon cou, elle regarde ma toile. << J'aimerais savoir peindre comme ça ! >> dit elle. Un dernier bisou et elle va rejoindre Clémentine. Je me plonge dans la finalisation de ce sixième paysage de commande. Je peins dans une douce extase, écoutant mes deux anges à leurs travaux d'écritures. Il est onze heures quand je dépose la dernière touche de blanc de titane. Œuvre finie.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Je dépose la toile terminée sur un second support afin qu'elle y sèche sous un linge. Je rajoute deux bûches sur les braises avant de rejoindre les filles. Debout derrière elles, penché, mon visage entre leurs têtes, je regarde les écrans. Leurs textes remaniés. Je caresse leurs nuques. << Mmhh ! C'est si doux ! >> gémit Estelle. << Encore ! >> gémit Clémentine. Cette capacité toute féminine de ne pas se laisser distraire en restant concentrées sur leurs activités. Je récupère la première nature morte de commande encore à l'état d'ébauche pour la poser sur le chevalet. J'attaquerais cette toile dès cet après-midi. Le dessin préparatoire et la couche d'impression déjà achevés. Je vais touiller les braises avec le tisonnier pour les attiser davantage.

Les filles rangent leurs affaires pour venir me rejoindre. << On a fait du bon boulot ! >> lance Clémentine en me prenant le bras. << On est à jour ! >> rajoute Estelle qui passe ses bras autour de ma taille. La faim nous tenaille de plus en plus. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << On fait simple ! >> s'écrie Clémentine. << Bouchées à la reine ! >> suggère Estelle. C'est vrai, c'est simple. J'ouvre une boîte de thon, une boîte de champignons. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade de carottes. Estelle râpe un bonne quantité de gruyère Suisse. Je prépare la Béchamel. Le four chauffe. Le contenu des boîtes dans la poêle, je dis : << Donnons du goût à ce qui n'en pas pas ! >>. Estelle s'exclame alors : << On s'en fout, on se fait un truc diététique demain ! >>.

<< Demain, lasagne au saumon ! Qu'en pensez-vous ! >> propose Clémentine. Nous applaudissons. Estelle dit : << Non, on se fait ça samedi. Demain pizzas ! >>. Nous rions de bon cœur à ces hésitations. Je rajoute le thon et les champignons poêlés avec de l'ail, de l'échalote à la Béchamel. Du gruyère. Une garniture bien onctueuse. Estelle égoutte les coquillettes. Clémentine remplis les six grosses bouchées. Elles sont calées par les coquillettes que verse Estelle. Je recouvre d'une grosse couche de gruyère, chapelure, graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Au four déjà hyper chaud. Nous allons dans la véranda pour constater que toute cette partie de la propriété à été débarrassée des amas de feuilles, des branches arrachées. C'est toujours un travail parfait. Toujours.

Je suis entre mes deux anges que je tiens par la taille. Le brouillard est moins dense mais il reste persistant. Nous privant de la vue sur cette partie de la campagne. Estelle glisse sa main dans ma braguette béante. << Mmhh, c'est bien chaud là-dedans ! >> dit elle. La sonnerie du four. Morts de faim nous retournons dans la cuisine. << C'est moi ! >> s'exclame Estelle qui enfile les maniques pour sortir le plat du four. Fumant, doré, sentant bon le gruyère Alpestre. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos travaux. Ils avancent très exactement aux rythmes souhaités. J'écoute les filles échafauder des stratégies pour le retour à l'université lundi prochain. Alban, leur maître de thèse, va orienter les travaux de cette seconde partie du premier trimestre.

À son évocation elles échangent leurs impressions sur ce professeur émérite qui donne quelquefois des conférences de physiques. Je l'ai vu sur l'écran des ordinateurs. << Beau gosse en plus ! >> précise Estelle. Clémentine mime une fellation en disant : << Il me donne parfois des "idées" ! >>. Nous en rions. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine en s'écriant : << Si on se le fait, c'est moi la première ! >>. Clémentine surenchérit en lançant : << On se le fait toutes les deux mais après le Doctorat ! >>. Nous rigolons comme des bossus quand Estelle rajoute : << Il faudra trouver un plan pour que Julien puisse regarder en cachette ! >>. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, les filles reviennent sur la soirée Gloryhole qui nous attend vendredi. << Après une bonne lasagne au saumon ! >> précise Estelle. << Je ne voudrais pas la dégueuler ! >> dit Clémentine.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Nous pouvons entendre les machines de l'entreprise paysagère. Pressés d'aller nous dégourdir les jambes, nous dévalons les escaliers pour mettre nos anoraks, les bottes en caoutchouc. Le thermomètre extérieur indique 8°. Avec ce brouillard, le sol humide, l'ambiance reste de saison. Tout a été nettoyé. Propre. La dame est au sommet d'une échelle double armée d'une sorte de tronçonneuse. L'employé est lui aussi sur une échelle à tailler les haies de houx et de lauriers. Nous descendons jusqu'à la rivière. Les eaux sont à leur niveau maximale. Il faut remercier notre voisin, monsieur Bertrand. Son initiative d'établir là une digue de terre évite à cet endroit de ressembler à un étang. Inondant trente mètres de chemin et de sentier.

Il fait froid. Cette impression est encore accentuée par le vent du Nord Est. Quatorze heures quand nous sommes de retour dans l'atelier. Les filles à leurs postes de travail. Je suis assis devant le chevalet. Je prépare les nouvelles couleurs sur la palette. J'attaque cette première nature morte de commande. Je peins dans cette douce félicité que procure la présence de mes deux anges. Je les entends rire, chantonner entre deux longues séquences silencieuses. L'après-midi se passe ainsi. << Put-Hein je pète un câble ! >> s'écrie soudain Estelle qui se lève pour faire la ballerine dans toute la grande pièce. << Moi aussi ! >> fait Clémentine qui se lève pour commencer à ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Il est dix sept heures quinze. Le crépuscule s'annonce.

Nous avons travaillé éclairés par les lampes à halogène. Clémentine les éteint. Assis en tailleurs sur l'épais tapis, nous regardons danser les dernières flammes de la cheminée. << C'est étrange. À cette période de l'année, Christine devrait se manifester lorsque la nuit tombe ! >> lance Estelle. Elle fait allusion au fantôme de mon ancienne compagne disparue. << Elle est peut-être allée hanter une autre maison. Ou partie en vacances dans les îles ! >> fait Clémentine. Estelle se couche sur le côté, sa tête posée sur ma cuisse. Je caresse sa nuque. Clémentine se serre contre moi. Nous restons ainsi, silencieux à revenir au calme. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les trois dernières bouchées à la reine. Une salade d'endives dont Clémentine prépare l'assaisonnement. Je mets les assiettes, les couverts. Estelle me sort le Zob. Tout mou. Elle l'agite en disant : << Ouh ! >>

Nous rions quand elle le secoue en direction de Clémentine. << Il va falloir s'en occuper grave. Tu as vu dans quel état il est ! >> lance t-elle. Nous rigolons comme des bossus. Estelle s'accroupit pour humer les odeurs de ma journée d'homme. Après la séance de travail il n'y a pas eu le rituel du pipi dans le lavabo. << Tu nous prépares une saloperie pour ce soir ? >> me demande Estelle en se redressant. Je réponds : << Ah mais maintenant que tu m'en donnes l'idée, peut-être bien ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Après avoir remué la salade, Clémentine vient nous rejoindre. Rien ne me fait bander plus fort qu'un baiser passionné. << Ah, ça commence à ressembler à quelque chose ! >> s'écrie Estelle en découvrant mon chibre que Clémentine tient d'une poigne ferme.

La sonnerie du four. Une fois encore Estelle se précipite. Accroupie devant la porte vitrée, elle me tourne le dos. Sa longue natte qui pend dans son dos. Ce spectacle constitue pour moi le summum de l'érotisme. Clémentine me branle. Estelle tire le plat du four. C'est encore meilleur réchauffé. Aussi nous savourons ce repas simple avec une joie immense. Les filles reviennent sur leurs études. La rentrée universitaire de lundi. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges envisagent différents programmes pour le week-end à venir. Pour ce soir, je propose une "baise sur bureau". Je ne suis pas obligé de le suggérer une seconde fois. À peine la vaisselle terminée que mes deux anges m'entraînent au salon. Me "propulsent" pourrai-je même dire ! Je tombe dans le canapé.

Toutes les deux, à genoux sur les épais coussins, reniflent mon sexe. Je bande comme le dernier des salauds en les contemplant à humer ma biroute. Estelle décalotte l'extrémité du gland en faisant une horrible grimace. C'est vrai que l'odeur de vieux sandwich au thon monte jusqu'à mes narines. Elles rient en se faisant sentir mon chibre, leurs nez tout près. C'est Clémentine qui lèche la première. Estelle me décalotte complètement pour offrir mon gland au "nettoyage". Du Parmezob à la base, sous le "socle" que Clémentine récupère du bout de la langue. Estelle me fixe de son regard troublant. Je me fais pomper la queue par Clémentine alors qu'Estelle, sans cesser de me fixer dit : << Tu t'entraînes pour demain soir ? >>. Clémentine, sans cesser de sucer glousse affirmativement en riant.

Elle refile enfin mon chibre dégoulinant de liquide séminal à Estelle. C'est son jeu de ce soir. Sans cesser de me fixer elle me taille une pipe des familles. Clémentine m'observe en souriant. C'est à son tour. Je demande : << Et cette "baise sur bureau" ? On fait ? >>. Estelle cesse de pomper pour dire : << Quand je commence à sucer, je n'ai plus envie d'arrêter ! >>. Clémentine rajoute : << C'est comme une friandise ! >>. Elles se partagent ma queue en échangeant leurs impressions. J'écoute. Je regarde. Merveilleux spectacle. Comme les femmes sont belles quand elles font "ça". Surtout quand elles s'amusent du trouble et du tourment de leurs "victimes". Je caresse leurs têtes. Je passe l'extrémité de mes doigts sur leurs joues creusées par l'effort de succion. Je chuchote des douceurs.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment se régaler longuement d'une queue juteuse en bavardant, en riant en savourant de la bonne jute...

Julien (bienheureux parmi les bienheureux)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 26 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2422 -



Ce vendredi tant attendu

Il est presque sept heures trente, hier, vendredi matin. Estelle est encore restée accrochée à moi toute la nuit. Ce sont les mouvements de ses pieds contre les miens qui me réveille. Dès que je bouge, Clémentine se réveille à son tour. Je suis entre mes deux anges qui se serrent contre moi. Quelques bisous, quelques papouilles. Estelle se lève pour se précipiter vers la porte. << Je vous attends en bas ! >> fait elle. Clémentine passe sa tête sous le draps pour prendre mon érection matinale en bouche. Sensation étrange sans excitation. Elle remonte à la surface en murmurant : << J'adore les soirées pipes ! >>. Je chuchote : << Tu vas en avoir une autre ce soir. Et une belle ! >>. Nous rions de bon cœur en nous rendant à notre tour aux toilettes. Nous passons dans la salle de bain.

Morts de faim, habillés de nos tenues sports, nous dévalons les escaliers. Les parfums du café et du pain grillé nous accueillent. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée pipe. << Je crois que j'en garde le goût toute la nuit ! >> dit Estelle. << Malgré la crème dentifrice avant d'aller au lit ? >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. J'avoue que moi aussi j'ai l'impression d'avoir parfois le goût de leurs minous toute la nuit après nos soirées cunnilingus. Nous mangeons de bon appétit en évoquant ce qui nous attend ce soir chez Juliette. << Il faut y être pour vingt heures ! >> précise Clémentine. Elle rajoute : << Je vais encore me retrouver dans un état aujourd'hui. À chaque fois je suis morte de trouille ! >>

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. La météo est la même que celle de jeudi. Du brouillard, un air froid et humide. Pas plus de 4° alors qu'il est huit heures. << Un peu de courage. On va courir ! >> lance Clémentine. Nous redescendons pour enfiler nos K-ways, les bonnets, les gants. C'est dans le hall d'entrée que nous nous échauffons de quelques sauts sur place, quelques pompes et quelque abdos. C'est parti. C'est à nouveau sur le bord de l'étroite route communale que nous nous offrons notre jogging. << Ça meule ! >> s'exclame Estelle qui accélère le rythme. En passant devant le haras, sans cesser de courir, elle se retourne pour mimer une pipe, montrant les bâtiments du doigt. << Arrête, ça me fout les boules ! >> fait Clémentine. Un bon running d'une heure.

Il est neuf heures quand nous revenons. Pendant qu'Estelle prend sa douche, nous faisons le lit, la chambre. Nous la rejoignons dans la salle bain. C'est à notre tour. Tous les trois, vêtus de nos Levis, de nos chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Estelle y allume une belle flambée dans la cheminée. Clémentine allume les ordinateurs. Je suis installé devant mon chevalet à préparer les couleurs sur la palette. J'aime entendre mes deux anges s'interroger, échanger, parfois chantonner tout en travaillant à leurs écrits. Je peins dans la plus totale sérénité. Ce sont de grands moments de plénitude. Les heures défilent tellement vite. C'est la faim qui nous alerte. << Midi dans dix minutes ! >> lance Clémentine. Estelle se lève la première en sautillant.

Elle met deux bûches sur les braises. << Cet après-midi il faut rentrer du bois ! >> dit elle en montrant le grand panier vide. Clémentine vient me rejoindre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << On fait nos lasagnes au saumon, les pavés sont dans le haut du frigo ! >> suggère Clémentine. Nous trouvons l'idée excellente. Il faudra juste faire preuve de patience. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade de concombre. Estelle découpe les deux gros pavés de saumon en fines lamelles. Je trempe les feuilles de lasagne dans l'eau bouillante. Je concocte une Béchamel. Estelle saisit une minute à la poêle le saumon. Avec des champignons. Ail, oignon. Je râpe de ce délicieux gruyère Suisse. Estelle dispose les feuilles de lasagne dans le grand plat carré en terre cuite. Parfait.

Sur chaque couche, je verse le mélange Béchamel, saumon, champignons. Estelle recouvre de gruyère. Nous passons à la seconde couche jusqu'à remplir le plat. Je casse deux œufs auxquels je rajoute le reste de gruyère. De la crème fraîche. Clémentine verse délicatement sur le tout. Quelques fines lamelles de Parmesan pour recouvrir. Des cerneaux de noix. Au four préchauffé pour une cuisson à 350°. Dix minutes. << De quoi mourir de faim ! >> s'écrie Estelle qui fourre sa main dans ma braguette, sous mon tablier. Clémentine vient derrière moi pour le dénouer. Je me retrouve rapidement avec la bite à l'air. Nous regardons par une des trois fenêtres de la cuisine. C'est une véritable et authentique journée de novembre. La météo annonce du gros temps pour samedi.

Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les épaules. Je les tiens par la taille. Estelle garde ma bite dans sa main gauche. C'est son "doudou". La sonnerie du four. Enfin. Nous nous précipitons comme des affamés. Nous savourons cet exquis repas en nous réjouissant doublement. Car il en restera pour ce soir. << Avant le Gloryhole ! >> précise Estelle espiègle et mutine. << J'espère que je ne vais pas la dégueuler à cause d'une bite plus dégueulasse que les autres ! >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. << Tu nous fais le coup à chaque fois ! >> dit Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. Estelle n'est que rarement présente quand nous nous amusons au Gloryhole. Les vendredis soirs elle les passe avec ses parents.

Aussi, elle se réjouit en s'écriant : << Moi j'aurai Julien pour moi toute seule ! >>. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, les filles font le programme de l'après-midi. Plutôt que d'aller flâner en ville, d'affronter les 6° du froid qui sévit, elles proposent de parfaire leurs travaux. Je trouve l'idée séduisante. Cela me permettra d'avancer également. Même si mes quatorze commandes seront terminées avant les vacances de fin d'année. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en déconnant. Clémentine tend son bras en disant : << Regardez, j'ai la tremblotte en pensant à ce soir ! >>. Estelle s'approche pour faire : << Mais c'est normal, tout le monde tremble un peu en tendant le bras à l'horizontale ! >>. Nous en rions aux éclats.

<< Ce n'est même pas vrai ! >> s'empresse de corriger Estelle. Je dis : << Mais je ne vois pas ta main trembler. Même pas un peu ! >>. Clémentine se met à rire. Pressés d'aller nous dégourdir un peu les jambes, nous redescendons. Nous mettons nos anoraks. Bonnets, gants. Nous allons jusqu'à la rivière. Les filles restent accrochées à mes bras. Serrées contre moi. Ce maudit vent de Nord Est se remet sournoisement à souffler. << Il va créer une dépression et entraîner son contraire cette nuit. Le vent d'Ouest qui amènera la pluie ! >> dit Clémentine. Il est quatorze heures quand nous sommes de retour dans l'atelier. Estelle s'occupe de l'entretien du feu dans la cheminée. Nous voilà plongés dans nos occupations. Parfois je vais rejoindre les filles à leurs table. Pour regarder.

Penché en avant, mes mains sous leurs nattes, posées sur leurs nuques, ma tête entre les leurs, elles m'expliquent. Elles terminent leurs écrits. Je peins dans la même joie que ce matin. Clémentine, ses feuilles tirées de l'imprimante à la main, tourne autour de la grande pièce en lisant à haute voix. Puis c'est au tour d'Estelle. C'est un peu comme deux actrices de théâtre qui déclameraient leurs textes. Je suis prié d'écouter et de donner mon avis. Les développements littéraires ayant pour thème l'intrication quantique restent pour moi du chinois, teinté d'hébreux. Je ne peux qu'apprécier la qualité des textes. << Il reste les deux derniers chapitres à terminer avant les fêtes ! >> précise Estelle. Il est dix sept heures. Les filles rangent leurs affaires, extrêmement satisfaites.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Estelle vient me rejoindre. Elle attend. Je me lève. Elle retire ma blouse pour saisir mon sexe tout mou. << Viens par là vieux pervers, que je te fasse pisser dans le lavabo ! >> dit elle alors que Clémentine vient nous rejoindre. Elle s'accroche à mes épaules pour regarder. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Ça monte en vapeur sous le robinet d'eau bouillante qui coule dans le petit lavabo de l'atelier. En secouant les dernières gouttes elle dit : << Ce soir, elle n'est que pour moi ! >>. Nous rions. << Arrêtez de parler de ce soir, j'en ai des sueurs froides ! >> s'écrie Clémentine. En s'accroupissant pour suçoter, récupérer les derniers reliquats, Estelle rajoute : << Tout au fond de toi, je sais ce qui se passe. Je sais comment tu fonctionnes ! >>

Quand Estelle agite mon chibre à présent bien dur dans une invitation, Clémentine fait : << Non, pas maintenant. Je me garde pour tout à l'heure ! >>. Je saisis sa natte pour attirer son visage près du mien en disant : << Je vais admirer ta prestation ce soir encore. Tu n'imagines pas ! >>. Sans lui laisser le temps de répondre, la voyant comme "bouleversée", j'enfonce ma langue dans sa bouche. Pendant qu'Estelle s'offre une pipe des familles. Cela ne dure pas. Accroupie, la position est inconfortable avant de devenir pénible. Aussi, dès que j'arrête de fouiller la bouche de Clémentine, j'aide Estelle à se redresser. Un bisou sur son front. Sur ses lèvres. Toutes les deux se blottissent contre moi. Nous prenons une fois encore conscience de l'immense privilège que nous accordent nos existences.

Nous restons assis en tailleurs devant la cheminée. Dans l'obscurité, à regarder danser les dernières flammes. Des instants de silences méditatifs. Des échanges d'impressions. Il est dix huit heures trente. Animés par la faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer la lasagne. De faire l'assaisonnement d'une salade d'endives. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en riant de nos "problèmes existentiels". << Problèmes qui consistent essentiellement à gérer notre bonheur ! >> précise Estelle alors que Clémentine, sa main sur la mienne, reste rêveuse. Je la devine inquiète. Comme à chaque fois avant nos aventures dans les écuries de Juliette. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous décidons de rester vêtus comme nous le sommes. Il faut y aller.

Vendredi soir au Gloryhole

Je roule doucement dans la nuit. Il n'y a que trois kilomètres jusqu'au haras. Clémentine joue un peu machinalement avec mon sexe. Il n'y a derrière ce jeu aucune autre raison que d'occuper son esprit. Elle reste silencieuse. Parfois elle tourne sa tête pour m'observer. Alors qu'Estelle, assise à l'arrière, tout en caressant mes joues, tente quelques dérisions. Je sais bien ce qui se passe dans la psyché de Clémentine. Une excitation grandissante mêlée à de l'appréhension. Cet état d'esprit est bien légitime. Ce n'est pas la première fois que nous nous rendons chez Juliette pour une soirée "trou dans le mur". Estelle se penche vers l'appui tête de Clémentine pour dire à son oreille : << Tu as emmené de la mayonnaise pour mettre sur des saucisses ? >>. Clémentine éclate de rire. Enfin.

Je gare la voiture sur le parking. Devant l'ancienne écurie aux lumières allumées. Comme à chaque fois Clémentine ne tient surtout pas à rencontrer les protagonistes de cette nouvelle séance. Aussi, nous fermons les portières de l'auto le plus silencieusement possible. Clémentine se serre contre moi pour murmurer : << Tu restes tout près de moi. Tu ne t'éloignes sous aucun prétexte. Dès que c'est fini on se sauve à toute vitesse ! >>. Je connais bien cette réaction de Clémentine. Aucun contact avant. Aucun contact après. C'est Estelle qui vient se blottir elle aussi, qui chuchote : << Je reste avec Julien. Je ne le quitte pas d'une semelle. Tous les deux près de toi ! >>. Comme rassurée, Clémentine nous dépose à chacun une bise sur la joue. Il y a cinq voitures garées dans la cour.

Nous entrons dans l'écurie. L'odeur forte des chevaux dont certains nous observent. Leurs têtes jusqu'aux encolures au-dessus des portillons de leurs box. Nous les caressons entre les deux yeux. Ils adorent se faire grattouiller à cet endroit. Au bout de l'allée, sur la gauche, le local bureau. C'est en général ici qu'attendent les impétrants. Les heureux privilégiés choisis par Juliette. Curieusement, ce soir, nous n'entendons aucun bruit, aucune voix, aucun rire. Estelle colle son oreille contre la porte. Elle écoute. << Personne ! >> chuchote t-elle. Clémentine écoute à son tour. Nous nous regardons, dubitatifs et silencieux. Clémentine nous entraîne dans le box vide. Juste à côté du local bureau. Faiblement éclairé par une lampe de chevet posé sur un tabouret. C'est surréaliste.

Estelle s'accroupit devant la cloison qui sépare le box du local. Elle colle son œil au trou. Cet orifice parfaitement rond d'environ cinq centimètres de diamètre. Nous le connaissons bien depuis cinq années que Clémentine le "pratique". Pas de lumière de l'autre côté. C'est un simple trou noir. Estelle sort son téléphone. En fonction lampe elle éclaire la paroi. Il y a de nouvelles coulures sous l'orifice. Sèches. C'est un peu dégueulasse quand on sait de quoi elles sont constituées. Estelle y rapproche son nez. << Ça ne sent rien quand c'est sec ! >> chuchote t-elle. Les seuls bruits sont ceux des sabots des chevaux. C'est une atmosphère très particulière. Presque angoissante. Clémentine se penche à son tour pour scruter les coulures. Regarder par le trou. Elle y place également son oreille.

Estelle me montre le matelas recouvert d'un drap propre posé au sol contre les briques rouges du mur de gauche. Nous reconnaissons là une attention de Juliette à notre égard. Estelle murmure : << Nous deux, on baise là ! >>. Elle empoigne ma braguette d'une poigne ferme avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Clémentine se redresse et chuchote : << Ce qui se passe là fait très certainement partie de ce nouveau scénario ! >>. C'est fort probable puisque Juliette nous a prévenu. Elle nous réserve une surprise. Nous nous asseyons tous les trois sur le matelas. Il y a trois gobelets et une bouteille d'eau sur le tabouret. << Juliette pense à tout ! >> murmure Estelle en déboutonnant la braguette de mon 501. Je m'allonge sur le dos pour lui faciliter les choses.

Clémentine s'amuse de la situation lorsqu'un bruit de frottement se fait entendre. Je me redresse précipitamment. Là, du trou dans le mur, une bite molle. Gland couvert d'un prépuce fripée. Nous restons silencieux. Juste nos respirations. Avec l'excitation nous sommes rapidement en apnées. Estelle retire les gobelets et la bouteille du tabouret. Elle se lève pour le placer à une trentaine de centimètres du mur. Juste devant ce sexe de petite taille. La surprise promise par Juliette. Je saisis Clémentine qui hésite par sa natte. Je la fais s'assoir sur le tabouret. Elle garde toutefois sa tête en retrait, regardant cette bite avec un certain dégoût. Estelle, à genoux sur le matelas, une main dans son Levis déboutonné, observe. Je l'entends haleter d'excitation. Je reste penché à droite de Clémentine.

Deux ou trois minutes plus tard, je pose ma main à plat sur sa nuque. Elle sait ce que je m'apprête à faire. Elle oppose une résistance à ma pression naissante. Je me penche un peu plus pour chuchoter : << Tu es venue pour bouffer de la bite. Suce ! >>. D'une poussée brusque je colle son visage sur le sexe toujours mou. D'un mouvement gracieux de la tête elle prend le petit "tuyau" en bouche. Elle peut gober ce sexe miniature entièrement. Je n'ai plus besoin d'appuyer. Clémentine pose ses mains à plat sur la cloison. De chaque côté du trou. Je bande mou. Je frotte ma bite sur sa joue creusée par l'effort de succion. Estelle se masturbe en se rapprochant. Elle ne perd rien de ce spectacle. Je me penche pour scruter les expressions de Clémentine. J'adore la regarder de très près.

Je peux ainsi découvrir les plus infimes détails. Ces minuscules perles de sueur qui apparaissent d'abord sur son nez, son front. Les yeux fermés. Immobile, alternant les succions complètes avec les pompages de l'extrémité pour recueillir le liquide séminal. Estelle se lève pour venir près de moi. Elle saisit mon érection. Tous les deux, nos visages près de celui de Clémentine nous admirons cette pipe juteuse. Car le jus coule. Clémentine en bave. Au propre comme au figuré. Des bulles de foutre apparaissent quelquefois aux commissures de ses lèvres. Pour pouvoir déglutir la quantité de jute, elle lâche la bite. C'est à cet instant qu'on découvre cette substance gluante qui relie sa bouche à la queue inconnue. Le spectacle est hallucinant. Estelle me branle en se masturbant.

Estelle est une grande voyeuse. C'est donc un grand moment de voyeurisme. Nous avons envie de baiser tous les deux. Mais ce à quoi nous assistons là est encore plus fort. Cette queue reste molle. C'est étonnant. Une véritable pipe, hyper juteuse. << Hyper dégueulasse ! >> chuchote Estelle. Clémentine cesse de sucer. Tout en avalant avec délice elle tend le sexe à Estelle. << Beurk ! >> murmure t-elle en se serrant contre moi comme pour que je la protège. Clémentine retourne à sa fellation gourmande. Nous assistons à une éjaculation. C'est impressionnant. Clémentine, en gémissant, semble ne plus cesser d'avaler. Elle ouvre de grand yeux, sont nez dans les poils du propriétaire inconnu de ce chibre mollasse. Elle se retire, pose la main sur sa gorge pour faire une horrible grimace.

Du sperme apparait soudain. Il en arrive encore. Clémentine se précipite pour le récupérer, se remettre à sucer. << Tu te régales hein, salope ! >> lui murmure Estelle en approchant sa bouche de son oreille. Comme le type ne se retire pas, Clémentine repart pour un second tour. Sa préférence. Nous entendons le type râler de l'autre côté de la cloison. Son orgasme et son plaisir doivent le faire jouir. Nous assistons à cette suite toute aussi juteuse. Moins longue. À peine quelques minutes et le mec éjacule une seconde fois. Faisant les délices de sa pompeuse qui en gémit de bonheur. Je caresse la nuque de Clémentine en scrutant chacune de ses expressions. Estelle fait de même en murmurant : << Quelle salope ! >>. La bite, trempée, disparaît rapidement. Laissant le trou vide.

Clémentine, en s'essuyant les lèvres me montre ce qu'elle garde en bouche. << Ah put-hein ! Dégueulasse ! >> chuchote Estelle. Clémentine déglutit en faisant une horrible grimace. Elle me sourit quand jaillit une nouvelle queue. Celle-là est en érection. Raide. Un sacré calibre. Son propriétaire la décalotte en tirant sur la peau. Une odeur ignoble nous arrive aux narines. C'est immonde. Estelle se serre contre moi en murmurant : << C'est dégueulasse ! >>. Je pose ma main à plat une nouvelle fois sur la nuque de Clémentine. Pourtant cette fois, je ne suis pas obligé d'appuyer. Elle avance son visage pour prendre ce sexe en bouche. Refermant ses lèvres sur la totalité du gland. Nous avons vu le fromage qui en maculait la base. Nous imaginons facilement la langue de Clémentine le nettoyer.

Sa langue qui tourne autour du gland. Sa tête qui bouge en légers mouvements circulaires. Pas de doute, elle se nettoie cette queue. Elle en prend davantage en bouche. Les yeux fermés, poussant de petits cris de ravissements, elle suce tout en déglutissant. C'est encore une véritable pipe des familles à laquelle Clémentine s'adonne dans sa passion pour la fellation. Je dit à l'oreille d'Estelle : << Tu veux qu'on baise ? >>. Elle me répond : << Attends, on regarde encore un peu. C'est trop bien ! >>. C'est vrai que c'est trop bien. Surtout que le propriétaire de cette bite éjacule en poussant un véritable cri d'ours en rut. Sa jouissance doit être indicible. La queue disparait. Laissant le trou noir et vide. Clémentine nous montre l'intérieur de sa bouche en levant les deux pouces.

Je dépose une bise sur son front. Estelle fait de même. Clémentine s'essuie le menton quand surgit une nouvelle queue. Un bon calibre. Une odeur forte. Le hennissement d'un cheval dans l'écurie. À peine a t-elle avalé que Clémentine referme ses lèvres sur l'extrémité de ce chibre veineux et violacé. Ce sexe est plus fin. Une bonne quinzaine de centimètres. Une fois encore, les expressions d'extases qui se lisent sur ses traits nous excitent au plus haut point. Estelle et moi, debout de chaque côté de Clémentine, nous nous masturbons en l'observant. Nous nous sourions. Nous sommes en sueur dans nos pulls. Le gargouillis de cette pipe juteuse nous captive. Mais où donc peut bien se cacher Juliette ? En tous cas cette surprise participe de l'enchantement de cette nouvelle soirée Gloryhole.

Nous assistons à l'éjaculation. Clémentine comme pour ne pas perdre la moindre goutte, est tombée à genoux sur l'épaisse couverture posée au sol. Entre le tabouret et le mur. Ce sont de véritables petits cris de ravissements qu'elle émet en pompant de toutes ses forces. La bite disparaît. Clémentine, comme prise de vertige en avalant se redresse. Elle nous murmure : << C'est tellement dégueu que s'en est délicieux ! >>. Nous en rions quand apparaît une autre bite. Probablement celle de l'employé de l'entreprise d'entretien. Ce black bien vicelard que Clémentine a déjà sucé lors d'un précédent Gloryhole. C'est elle qui le décalotte. Les particules de fromage gluant, collées à la base, sont bien apparentes sur la peau sombre. Il y a du foutre qui coule du méat. Il s'est branlé en attendant son tour, l'enfoiré.

Clémentine avance son visage, bouche ouverte pour fermer ses lèvres sur ce gland luisant. << Mmmhhh ! >> s'écrie t-elle, ne pouvant cacher son plaisir. C'est qu'elle évoque assez souvent, lorsque nous baisons, le goût de la bite de ce black athlétique. Elle se régale en gémissant. Notre vicelard ne bande pas vraiment. C'est une bite de taille très "normale". La réputation des grosses bites des hommes noirs n'est qu'une légende urbaine. Par contre celle-ci est hyper juteuse. Clémentine suce avec passion quand soudain elle se retire. Elle comprend que ce n'est pas du foutre qui envahit sa cavité buccale. Le salaud est entrain de pisser. Un jet que Clémentine ne peut éviter complètement. Estelle s'écarte juste à temps. Tout cesse. Clémentine, méfiante, attend en regardant, distante.

Plus rien. Elle y retourne en gémissant. Ses joues creusées par l'effort de succion donne à son visage une apparence anorexique. Elle se retire une nouvelle fois. Cette fois elle anticipe. Un jet de pisse qui va se briser à au moins deux mètres derrière nous. Clémentine, méfiante, scrute avec attention un petit moment. Elle y retourne. Cette fois ce n'est pas de la pisse qu'elle se ramasse. Ce type éjacule des quantités prodigieuses de sperme. À nouveau Clémentine tombe à genoux, le visage collé contre le trou, à pomper de toutes ses forces avant que le mec ne se retire. Lâchant une dernière giclée de foutre qu'elle se prend en pleine gueule. Elle s'essuie avec le mouchoir que lui tend Estelle. << Ça suffit ! >> lance Clémentine qui se redresse alors qu'un nouveau braquemard fait son apparition.

Comme convenu, sans demander son reste, Clémentine nous entraîne par les mains. Nous fuyons. C'est le terme exacte. Clémentine ne voudrait pas tomber sur un de ces types. Dans la voiture, avec la serviette prévue à cet usage, elle s'essuie. << Tu n'as rien pris dans les cheveux. Par contre l'épaule gauche de ton pull ressemble à une éponge ! >> lui fait Estelle, assise à l'avant. Toutes les deux sur le siège passager. Je démarre. Une étrange sensation nous habite. Nous n'avons rencontré personne. << Bravo Juliette. Si c'était ça la "surprise" c'est réussi ! >> s'exclame Estelle. Je roule doucement. Clémentine mange la pomme prévue pour enlever les "goûts". C'est Estelle qui joue avec ma bite en rajoutant : << C'était tellement excitant, tellement captivant qu'on a passé la soirée à te mâter. Sans baiser ! >>. Il est vingt deux heures quand nous sommes de retour. Clémentine se lave les dents une bonne dizaine de minutes. Nous rions.

Bonne nuit à toutes les coquines qui, une fois encore vont garder en bouche le goût du foutre toute la nuit. Malgré la crème dentifrice...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
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Les petits bonheurs du samedi

Sept heures trente, hier matin, samedi. Estelle se couche sur moi. C'est un réveil surprenant. << Il faut se lever. Montrer sa bite à la dame des livraisons ! >> se met elle à chanter. Clémentine se réveille à son tour en venant se blottir contre nous. Nous commençons cette journée, à peine sortis du sommeil, à rire aux éclats. Estelle se frotte un peu sur mon érection naturelle au réveil avant de bondir, de courir vers la porte en s'écriant : << Je descends après le pissou ! >>. Clémentine monte également sur moi pour me couvrir le visage de bisous. << Merci pour la soirée. Tu as vu ? Cette fois je n'ai pas vomi ! >> lance t-elle. Nous continuons à rire. Alors que je la félicite pour sa prestation, nous allons pisser à notre tour. Dans la salle de bain nous revêtons nos habits de gymnastique.

Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Nous y retrouvons Estelle encore dans son pyjama de soie mauve. Elle met les bols sur la table dans les suaves parfums du café, du pain grillé. Je pèle les kiwis alors qu'elle vient se serrer contre mon dos, ses bras autour de ma taille. Clémentine presse les oranges. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée Gloryhole. << Sextraordinaire ! Bravo ! >> lance Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine, se rassoit en mimant une fellation. Nous rions de l'expression un peu gênée de Clémentine qui dit : << C'est vrai, cette fois c'était cool ! >>. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la possible réalisation du prochain dernier grand fantasme de Clémentine. Une bande de mecs rien que pour elle. Son premier "Gang Bang". Fantasme de plus en plus en vogue chez les jeunes filles d'après Estelle.

Je me lève pour aller ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Suivi d'Estelle qui vient me rejoindre. En palpant ma bosse elle prononce une fois encore ces mots : << Tu es hyper sexy dans ton legging ! >>. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Estelle se change. Nous hésitons. Jogging ou entraînement en salle ? Les pluies de cette nuit ont détrempé les sols. Il est huit heures. Un peu par manque de courage, ce sera l'entraînement en salle. Clémentine redescend pour accueillir Lise, notre nouvelle "fille de ménage" dont nous voyons la petite Fiat rouge descendre lentement le chemin pavé. Estelle se serre contre moi, ses bras autour de mon cou pour dire : << Je t'aime Julien. C'est tellement merveilleux notre belle histoire à tous les trois depuis plus de six ans ! >>

Elle enfonce sa langue dans ma bouche, bloque son sexe contre le mien qu'elle peut ainsi sentir durcir. Clémentine remonte et se précipite en s'écriant : << Et moi ! >>. Même traitement mais avec une effroyable bosse qui déforme mon legging. Nous allons dans notre salle d'entraînement. Les échauffements de l'aérobic. Autant de prétextes à la plus pure déconnade. Estelle n'arrêtant pas de mimer des trucs bien vulgaires. Joggings sur tapis roulants, vélo ergométrique. Exercices au sol. Ce n'est qu'en passant aux charges additionnelles que nous redevenons sérieux. Pour ne pas risquer de nous blesser mais également parce que les concentrations sont obligatoires. Les étirements d'un agréable retour au calme où Estelle recommence ses facéties. Elle prend sa douche la première.

Clémentine et moi changeons les draps du lit. On entend l'aspirateur que passe Lise quelque part à l'étage. Nous rejoignons Estelle dans la salle de bain. Notre douche. Assises toutes les deux devant un des miroirs, les grandes serviettes sur les épaules, mes deux anges s'offrent ce moment qu'elles adorent. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je les coiffe. Pendant qu'elles évoquent la rentrée universitaire de lundi. Je sépare leurs cheveux en trois parties égales pour en tresser de belles nattes. C'est la troisième semaine qu'elles souhaitent les porter. C'est à mon tour. Clémentine me sèche les cheveux pendant qu'Estelle les réunit en catogan. << Karl Largersbite ! >> dit elle alors que nous rions aux éclats. Vêtus de nos Levis, chemises à carreaux, baskets, nous redescendons à toute vitesse. L'aspirateur se fait entendre quelque part au salon. Nous enfilons nos anoraks. Bonnets, gants. Ma braguette boutonnée.

Avec cette température de 4° à presque dix heures, impossible de jouer à l'exhibitionniste. Nous sortons dans le désagréable froid humide. Nous traversons le jardin en restant bien sur les dalles de grès. Les filles restent accrochées à mes bras alors qu'arrive la camionnette blanche des fruits et des légumes. Danièle nous gratifie de son magnifique sourire en se garant devant le garage, derrière la Fiat. Elle aussi est vêtue "hiver". Un gros gilet de camionneur, un pantalon d'épaisse toile grise, de grosses godasses, un bonnet. Elle saute du véhicule pour toucher nos poings du sien. Elle s'adresse à Estelle : << J'ai livré vos parents ce matin ! >>. Elle jette un rapide coup d'œil sur le bas de mon anoraks soigneusement fermé pour rajouter : << C'est dommage ce froid. Vraiment ! >>

De l'arrière de la camionnette elle tire le premier cageot que j'attrape. Lourd. Il contient nos fruits, nos légumes pour la semaine. Clémentine attrape le second cageot qui contient les fromages, les yaourts, les œufs, le beurre, les pots de crème fraîche, de fromage blanc. Une fois encore en regardant le bas de mon anorak avec insistance, Danièle répète : << Vraiment dommage ! >>. J'introduis la carte bancaire dans le terminal qu'elle me tend. Estelle s'approche en disant : << Nous on la voit tous les jours ! >>. Danièle ouvre de grands yeux devant cette révélation pour s'écrier : << Je m'en doute un peu ! >>. Même commande pour samedi prochain. En faisant sa manœuvre de demi tour, Danièle nous fait un autre merveilleux sourire, mime une rapide masturbation masculine. Un clin d'œil. Tous les trois nous faisons exactement la même imitation en regardant la camionnette remonter le chemin. Estelle me palpe en disant : << Dommage ! >

<< J'aime quand tu es bien vicelard avec les dames complices qui apprécient ! >> lance Clémentine qui vient se blottir contre moi. Voilà le tube Citroën de notre boulangère qui descend. Madame Marthe, toujours d'humeur égale, hilare au volant, se gare au même endroit. Elle saute de son marche pied. << Bonjour ! >> dit elle en faisant coulisser la porte latérale. Cet invraisemblable bruit de ferraille. << J'ai livré vos parents ce matin ! >> dit elle à Estelle. J'attrape le cageot contenant les deux grosses miches de pain, les deux pâtes feuilletées, les bouchées à la reine et l'énorme brioche au pudding. Les deux gros croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la dame qui s'en va pour d'autres clients. Nous prenons nos cageots.

Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Sur les étagères en bois du cellier, nous disposons soigneusement les fruits, les légumes. Il y a enfin ces petites pommes de terre "Bintje" dont nous raffolons. On peut les faire cuire ou les faire rissoler sans les éplucher. Juste les laver. Pratiques et délicieuses. Du congélateur où elle place une pâte feuilletée, Estelle tire un paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. Nous remontons par l'escalier intérieur. Dans la cuisine nous voyons enfin Lise. Elle s'apprête à y passer la serpillère. Estelle et moi la saluons chaleureusement. Elle est mignonne ce matin encore. Sa coupe de cheveux à la garçonne, auburn, ses petites tâches de rousseur, toute frêle dans son sweat. Toute petite. Modèle réduit.

Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Nous quittons la cuisine pour laisser notre "fille de ménage" continuer ses nettoyages. Au salon, assises sur mes cuisses, mes deux anges allument l'ordinateur. Trois messages. Juliette qui nous demande si sa "surprise" était à la hauteur de nos attentes. Elle précise que pour elle tout s'est très bien passé avant et après. Un courriel de ma famille en Écosse. Tout va bien. Un mail des parents d'Estelle qui nous rappellent que nous sommes invités à manger demain dimanche pour midi. Pendant que les filles répondent, je glisse le billet de 50 euros dans la petite enveloppe jaune. Estelle et Clémentine vont aux informations sur le site de l'université. Des indications s'affichent sur l'écran. << Génial, ça va être cool jusqu'à Noël ! >> s'écrie Estelle.

Il est onze heures trente. Lise vient nous rejoindre au salon. Elle est souriante en disant : << J'adore faire le ménage dans votre grande maison. J'aimerais bien en avoir une comme ça un jour ! >>. Clémentine et Estelle se lèvent, contournent le bureau. Elles sont toutes les deux comme des géantes de chaque côté de Lise qui doit mesurer un mètre soixante dix tout au plus. C'est amusant de voir la jeune fille lever la tête pour échanger. Elles parlent toutes les trois de leurs études. Lise nous apprend qu'elle va avoir 19 ans le 3 décembre. C'est sa première année en "BTS commerce". Je me lève à mon tour pour contourner le bureau. Je remets son enveloppe à la jeune fille. << Merci monsieur. C'est un plaisir double ! >> me dit elle. Je réponds : << Et un plaisir partagé ! >>

Nous laissons Clémentine raccompagner Lise jusque dans le hall d'entrée. Estelle se jette à mon cou en faisant : << C'est son second samedi et tu ne lui pas encore montré ta bite ! Aurais-tu un problème ? >>. Nous rions aux éclats. Clémentine nous rejoint alors qu'Estelle, accroupie, déboutonne mon 501. << Il était temps ! >> lance t-elle en se précipitant. Me voilà rapidement avec la bite à l'air. Toute molle entre les visages de mes deux anges qui la reniflent. Je les saisis par leurs nattes en demandant : << Vous n'avez pas faim des fois ? >>. Elles se redressent en riant. << C'est toujours sympa un petit apéro avant la bouffe ! >> lance Estelle. << On prendra le digestif ! >> rajoute Clémentine. Morts de faim nous quittons le salon pour la cuisine. Préparations rapides des samedis.

Les moules, les haricots verts, les petits pois ont parfaitement décongelé sur les radiateurs. Placés dans des moules à cakes tout en longueur dont il suffit de vider l'eau. Clémentine fait l'assaisonnement de la belle laitue toute fraîche. Elle en lave les feuilles également pour ce soir. Estelle porte le bouillon à ébullition avant d'y vider le paquet de moules de Bouchot. Je fais chauffer les haricots verts et les petits pois dans le wok. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la personnalité de Lise. Contrairement à Julie qui aimait "jouer" la timide, la "coincée", Lise se montre beaucoup plus naturelle. N'ayant aucune hésitation dans ses attitudes. << Combien de temps avant d'en faire une membre du "Club" ? >> me demande Estelle. Clémentine répond : << Attendons le "déclic" ! >>

<< Le "Déclic" ! J'aime beaucoup cette bande dessinée de Milo Manara. Tu te rappelles quand on la feuilletait en cachette dans la bibliothèque du bureau de papa ? >> demande Estelle. Clémentine répond : << Et comment ! On avait treize ans je crois ! >>. J'écoute mes deux anges revenir sur leurs souvenirs. Je connais également le travail de Milo Manara que je recommande aux amateurs de bandes dessinées érotiques. C'est merveilleusement réalisé. Je découvre donc de nouvelles anecdotes. << La petite boîte provoquant le "déclic". Une idée géniale ! >> s'exclame Estelle. Elle se lève pour mimer une masturbation masculine. Nous traînons à table en revenant sur la soirée Gloryhole. << Ta préférée ? >> lui demande Estelle. << Oui, sans conteste ! Quatre bonnes bites ! >> répond Clémentine. << Et de ces quatre bites, ta préférée ? >> fait encore Estelle. Clémentine, un peu gênée me regarde avant de dire : << La première ! >>

<< La toute molle ? La petite ? >> s'écrie Estelle. << Oui, j'en raffole car elles ne déçoivent jamais. C'est hyper juteux et ça se suce sans causer de crampes à la mâchoire ! >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Je n'ai personnellement reconnu aucune bite habituelle. Ni Clémentine qui a fort apprécié la "surprise". << À refaire ! >> s'exclame t-elle en venant s'assoir la première sur mes genoux. Estelle la rejoint. Elles échangent leurs ressentis. Estelle et moi avons été les voyeurs privilégiés de ces moments d'une intensité incomparable. Estelle qui pose tout un tas de questions sur le goût des trois autres queues. << La black était savoureuse aussi ! >> répond Clémentine. J'écoute. Estelle tripote ma queue aussi dure que la branche d'un vieux chêne.

Nous envisageons différentes options de programmes pour l'après-midi. Il fait moche, froid, mais il ne pleut pas. La météo prévoit une nouvelle tempête. Nous optons pour une virée en ville. Clémentine désireuse de s'offrir quelques petits frissons exhibitionnistes. << On est de véritables nymphos toutes les deux ! >> lance Estelle qui commence à débarrasser la table. << Tu plaisantes ? Nous sommes de véritables salopes tu veux dire ! >> s'écrie Clémentine qui remplit les deux éviers d'eaux chaudes. Rires. La vaisselle à "l'ancienne". Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous nous changeons. Sur la demande de mes deux anges, je porte un pantalon de fin velours marron, une chemise blanche sous un pull brun au col en "V". Mes mocassins bruns. Les filles portent leurs jupes kilts, chemisiers blancs sous des pulls noirs aux col en "V". Souliers de ville à légers talons. Trois élégants.

Collants pour Estelle. Bas pour Clémentine. Nous prenons des poses devant le grand miroir du hall d'entrée. << On est supers beaux tous les trois ! >> lance Estelle qui rajoute : << Tu te souviens comme on étaient complexées d'êtres aussi belles quand on avait seize ans ? >>. Clémentine répond : << Oui mais après on savait le tourner à notre avantage ! >>. Nous rions. J'aime les écouter. J'ai appris sur le tard qu'il n'est pas simple pour les filles qui sont belles d'assumer leurs physiques. Surtout adolescentes. De devoir affronter les regards. Nous mettons nos nouveaux blousons de cuirs bruns achetés cet été en Écosse. Bien doublés, ils sont chauds et protecteurs. Chacun son écharpe autour du cou. C'est parti. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en évoquant celles qu'elle a goûté vendredi soir. Estelle, installée à l'arrière, caresse mes joues en posant de nouvelles questions. En donnant ses impressions quand à son voyeurisme.

Vingt cinq kilomètres jusqu'en ville. La petite ruelle habituelle. Nous y laissons la voiture. Une dizaine de minutes à pas rapide. Clémentine et Estelle restent accrochées à mes bras. C'est samedi. Il y a foule dans les rues piétonnes. Nous attirons évidemment bien des regards. C'est très agréable de parcourir les étages des grands magasins. Il y a de nouvelles arrivées en vêtements d'hiver. Les premières décorations de Noël font insidieusement leurs apparitions. Il n'y a pas de réelles opportunités d'exhibes de qualités. << Si c'est pour faire n'importe quoi, rater son plan dans la précipitation, inutile de se lancer ! >> confie Clémentine. Pourtant nous parcourons tous les rayons à la recherche d'une bonne occasion. Ce sont principalement des couples qui se promènent dans les magasins.

Notre salon de thé préféré. Au premier étage. Les tables en gradins. Il y a là de belles possibilités. À condition d'êtres installées à une des quatre tables du haut. Hélas, elles sont toutes prises. Nous devons nous contenter d'une de celles du bas. Quatre gradins. Ce qui ne nous empêche nullement de savourer une "torche au marron" et un chocolat chaud. C'est un incessant bourdonnement. Les clients conversent. C'est toutefois très sympathique de flâner en ville. Bien évidemment je dois quelquefois gronder Estelle pas toujours très discrète dans ses palpations de braguette. << Ce soir, je te fais ta fête vieux salaud ! >> me dit elle alors. Clémentine, riant aux éclats, me tripote beaucoup plus discrètement. Tout comme moi en passant mes mains sous leurs jupes. Bien vulgos mais discret.

Il est dix neuf heures quand nous revenons avec quelques paquets. Un après-midi shopping où nous avons trouvé de beaux pulls mohairs. Des chaussures à la fois "habillées" mais très "sports". Nous restons vêtus comme nous le sommes. Il faut simplement passer les tabliers pour ne pas risquer de nous salir. Assis à la table, nous épluchons les patates, les carottes, les navets et le céleri. La potée de légumes qui accompagnera les repas du week-end. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle remue les légumes pour qu'ils ne collent pas. Je poêle trois dos de cabillaud blanc. J'y rajoute la crème fraîche. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Pour ce soir Estelle propose de regarder le film réalisé mardi. Le "Maître" et ses deux "Soumises". La suggestion est applaudie. La vaisselle. Nous passons au salon. Clémentine s'occupe des branchements. Estelle me tripote la queue dans le canapé.

Je suis entre mes deux anges. Clémentine à ma gauche qui manipule la télécommande. Estelle à ma droite qui manipule mon Zob. Le film est tel qu'il a été tourné. Sans les montages habituels d'Estelle. Nous nous y retrouvons dans nos personnages. Je recommande cette situation à tous les esthètes de l'érotisme. Être en présence réelle des deux "actrices" qu'on voit en même temps à l'écran. Il n'existe sans doute aucun stimulant de libidos plus puissant. Il en va de même pour Estelle et Clémentine qui me regardent dans mon interprétation du "Maître". Elles ont toutes les deux ce personnage assis entre elle. En chairs et en os. Nous commentons nos prestations. Parfois hyper vicelardes. Quelquefois en riant. L'excitation graduelle nous entraîne dans d'indicibles moments d'extases. Clémentine marque des temps d'arrêts sur images, revient en arrière alors que nous nous masturbons comme des fous. Avant la baise.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines que les "soirées cinéma" ravissent au-delà de ce qui est exprimable par des mots. Avant de se faire sauter par un bandeur fou à tour de rôle sur la surface d'un bureau victorien restant imperturbable...

Julien (bandeur fou)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 28 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2424 -



Repos dominical et petites léchouilles en soirée

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Estelle s'agrippe alors qu'elle est restée serrée contre moi toute la nuit. Elle pose ses lèvres dans mon cou, juste sous mon oreille. En saisissant ma tumescence. Clémentine se réveille pour venir se blottir. Je suis entre mes deux anges. Nous restons ainsi à nous offrir des papouilles en riant. À nous étirer en gémissant. Estelle se lève d'un bond pour courir vers la porte. Clémentine m'entraîne sur elle en murmurant : << C'était vraiment génial ces deux semaines. Ça va être difficile de nous séparer demain matin. Même pour quelques heures ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim nous dévalons l'escalier pour rejoindre Estelle. La cuisine sent bon le café, le pain grillé.

Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. L'énorme brioche au pudding trône royalement au milieu des bols, des pots de miel et de confiture. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de ces deux semaines ensemble. << Ça va être dur demain soir, sans vous ! >> lance Estelle. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de ce dimanche. Nous sommes attendus à midi chez les parents d'Estelle. L'après-midi se fera en fonction de la météo. En regardant au dehors, il faut se rendre à l'évidence, ce seront des activités d'intérieur. La tempête de cette nuit, la pluie, ont laissé de nouvelles séquelles. D'autres branches arrachées et gisant au sol. Un nouveau tapis de feuilles mortes jonchant le gazon. Bref, c'est assez déprimant vu sous l'angle sévère du constat. Ce que nous évitons de faire pour n'en garder que l'aspect évènementiel. Ludique. Après tout ce n'est pas grave et ne nous porte pas préjudice.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, les filles évoquent la rentrée de demain. Les cours. Leurs préparatifs. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, mettre de la flotte sur nos gueules, nous habiller de nos paires de jeans, de nos épaisses chemises à carreaux. Faire notre chambre, notre lit, fermer les fenêtres. Clémentine, prévoyante, prépare les vêtements qu'elle mettra demain dans la salle de bain. Pressés d'aller constater de visu le climat pitoyable, nous descendons à toute vitesse. Nos cirés, les bottes en caoutchouc. Inutile de prendre le parapluie, il serait irrémédiablement détruit par les rafales de vent. Les filles, accrochées à mes bras, nous luttons contre les éléments déchaînés, penchés en avant dans l'effort.

L'espèce de tornade responsable de tous ce carnage à cessé pour faire place à la tempête. Nos cirés ruisselants de pluie diluvienne, nous allons jusqu'à la rivière. Ses eaux ont atteint le seuil critique. Il faut hurler pour se faire comprendre. Sous nos capuchons qu'il faut maintenir d'une main ferme. Nous remontons les trois cent mètres du chemin à présent poussés, bousculés par le vent. Comme si les éléments ne voulaient pas de notre présence. Nous rentrons pour retirer les cirés, les bottes. << Put- Hein ! Qu'est-ce qu'ils vont êtres obligés d'inventer pour nous imposer l'idée de sécheresse ? >> lance Estelle. << Oh certainement un vaccin anti sécheresse ! >> répond Clémentine. C'est en rigolant comme des bossus que nous descendons à la cave. Au cellier. Récupérer une tarte aux noix.

Il en reste cinq au congélateur. Pour la faire décongeler il suffit de la placer sur un des deux radiateurs de la cuisine. Estelle s'accroupit devant moi. En déboutonnant ma braguette pour en extraire le locataire, elle dit : << Si tu dragues ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents ! >>. Nous rions quand Clémentine rajoute : << Tiens, ça faisait longtemps que tu ne l'avais plus faite celle-là ! >>. Je dis : << Rassure-toi, je lui montre simplement ma queue en douce, dans un coin ! >>. Estelle se redresse, me tire par le Zob en s'écriant : << Salaud ! >>. C'est ainsi qu'elle m'entraîne jusqu'au salon. Assises sur mes cuisses, mes deux anges allument l'ordinateur. Prévisions météo, petit tour sur le site de l'université, ouvertures de nos messageries Orange. Pas de courriels.

Des paquets de pluie sont projetés contre les deux portes fenêtres de la grande pièce. Il y règne l'obscurité des mauvais jours. Un petit tour sur les forums où nous publions nos récits. Il y a souvent des petits mots en messageries privées. C'est amusant de les découvrir. Clémentine adore y répondre en signant de mon véritable prénom. Nous entretenons d'ailleurs une correspondance assez régulière avec certains intervenants de ces derniers espaces virtuels de liberté et de libertinage. Il est onze heures. Pour partir, nous resterons vêtus ainsi. Les filles se lèvent et m'entraînent jusqu'au canapé où elles me font tomber. À genoux sur les épais coussins, leurs bras sur chacune de mes cuisses, humant mes odeurs d'homme, elles échangent leurs impressions. Reviennent sur les moments forts de ces deux dernières semaines ensemble. Le tournage des deux films pornos, la soirée Gloryhole, la soiré pipe et les autres soirée baises sur bureau.

Estelle agite ma bite sous le nez de Clémentine. << J'adore ! >> murmure t-elle en collant ses narines sur la peau fripée du prépuce. Estelle me décalotte légèrement. L'odeur du Parmezob est ignoble. << Monsieur Schlinguo ! >> murmure Estelle qui penche la tête pour mieux regarder Clémentine qui lèche. Je caresse leurs nuques. Estelle fait d'horribles grimaces, me tire la langue. Clémentine suçote et mâchouille la peau qu'elle tire comme un chewing-gum. Je dis : << Ce soir, après le repas, je propose un bon léchage de minous ! >>. Je ne suis pas obligé de le suggérer une deuxième fois. En se redressant la première, Estelle se met à sautiller en s'exclamant : << Oh oui ! >>. Clémentine, passionnée par son activité continue de sucer juste le bout en gloussant de joie. Nous rions.

Il faut songer à y aller. Nous nous levons. Pour remballer mon érection plus rapidement, j'ouvre mon Levis pour fourrer ma bite dans le slip. << Wouah, super comme ça ! >> s'écrie Estelle qui s'accroupit en rajoutant : << Laisse-moi tout refermer. Trop bien ! >>. Clémentine, tout contre moi, un bras autour de ma taille, nous observons Estelle s'affairer consciencieusement. Je débande quand tout est reboutonné. Estelle se redresse en rajoutant : << Et à partir de maintenant, je te tiens à l'œil vieux pervers ! >>. Nous retournons à la cuisine. Clémentine place la tarte aux noix décongelée dans le grand Tupperware. Nous enfilons nos anoraks. Bonnets, gants. Il faut respirer un grand coup, courir à toute vitesse pour traverser le jardin en restant sur les dalles de grès. La bagnole.

Je roule doucement. Pour ne pas déranger le bel ordonnancement réalisé par Estelle, Clémentine se contente de palper ma braguette. Trois kilomètres. Je gare la voiture dans la descente du garage. Yvan, Levis et sweat, vient nous accueillir en ouvrant la porte basculante. Ce qui évite de nous faire tremper par la pluie incessante. Nous montons par l'escalier de la cave. Michèle, vêtue de la même façon vient nous faire des bises. Une fois encore j'ai l'impression que c'est la grande sœur d'Estelle. Michèle aussi laisse de belles mèches grises parsemer ses cheveux noir d'éclats argentés. C'est magnifique. Juliette fait exactement pareil. Il y a des femmes qui n'éprouvent pas le besoin de coloration pour masquer leurs âges. Pas de ridicules tentatives de "jeunisme" inutile. C'est magnifique.

Le repas nous attend au salon. Il est un peu plus de midi. Des pommes de terres farcies au pâté de saumon et de crabe. Accompagnées de tomates et de brocolis confis. Un délice. Une laitue en salade. Nous mangeons de bon appétit en parlant de notre chère Écosse. Yvan doit y retourner dans la semaine du 20 au 26 novembre. L'organisation de la filiale est terminée mais il faut superviser la bonne marche de l'entreprise. << Monter une boîte là-bas, revient à environs 30 % moins cher qu'en France ! >> précise le papa d'Estelle en rajoutant : << Impôts , frais et comptable inclus ! >>. Quand je m'adresse plus particulièrement à sa maman, j'ai droit à un coup de pied d'Estelle sous la table. Michèle me lance quelquefois un de ses regards hautement suggestif, par en-dessous en mangeant.

Je ne sais pas si elle le fait exprès mais cette bosse à l'intérieur de sa joue apparaît très souvent. Elle aussi le fait quand sa fille ne regarde pas, bavardant avec son papa ou Clémentine. Nous savourons ce délicieux repas. Nous traînons longuement à table. J'ai envie de masser mon tibia gauche après quelques coups plus forts que les autres. Michèle me parait bien rusée aujourd'hui. C'est quand Estelle s'installe sur les genoux de son papa qu'elle se lève pour débarrasser. Clémentine et moi l'imitons. Estelle est rassurée en sachant que Clémentine nous accompagne à la cuisine. Nous mettons les assiettes, les verres et les couverts dans le lave vaisselle. Clémentine me fait un discret clin d'œil. Je lui ai raconté à quel point j'aime montrer ma queue à la maman d'Estelle. Elle est complice.

Aussi, je me déboutonne rapidement pendant que Michèle fait le café en bavardant. Clémentine dispose les petites tasses aux motifs Celtiques sur le plateau. Je tiens ma queue, raide comme un piquet. je l'agite dans sa direction à l'instant où elle se retourne. Michèle ouvre de grands yeux ravis. Elle observe autant la réaction de Clémentine que mon érection. << Génial ! >> murmure t-elle. Clémentine rajoute : << Julien et moi nous ne nous cachons jamais rien ! >>. Michèle chuchote : << Mon mari est moi non plus ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je me branle un peu. Michèle et Clémentine me regardent; silencieuses. La cafetière "à l'ancienne" siffle. Je remballe. Nous retournons au salon où Estelle montre des photos à son papa. Toujours installée sur ses genoux. Dans le fauteuil.

Nous prenons le dessert. La tarte aux noix est une délicatesse supplémentaire. Michèle me lance des regards furtifs, évitant la "surveillance" de sa fille. Ce qui participe d'une ambiance amusante, ludique et tellement chaleureuse. Dehors, le vent et la pluie sévissent toujours. Nous passons une grande partie de l'après-midi dans le salon. Régulièrement Estelle va remuer les braises dans la cheminée, rajouter une bûche. Nous faisons mille projets pour nos vacances Écossaises de l'été prochain. Estelle, Clémentine et moi y retournons pour les fêtes de fin d'année. Édimbourg est la ville la plus festive d'Europe. Surtout à la période de Noël. De nouvel an. Son marché de Noël est certainement le plus beau. Nous quittons Yvan et Michèle aux environs de dix sept heures. Ils viendront manger à la maison dimanche prochain.

De retour, nous passons directement dans l'atelier. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Avec Clémentine elles réunissent leurs affaires. Estelle range son ordinateur avec ses deux classeurs dans son cartable de cuir brun. Un objet fétiche qui l'accompagne depuis le collège. Un objet "vintage". Je prépare mes accessoires pour demain. La seconde nature morte de commande encore à l'état de dessin posée sur le chevalet. Il commence à faire faim. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade de carottes. Estelle concocte son omelette aux fromages, je remue la potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit. Sans traîner. Il règne cette ambiance teintée de nostalgie des dimanches soirs. Nous passons au salon. Le léchage de minous, pas lavés, me procure des vertiges. C'est là que j'avoue mon exhibition devant sa maman à Estelle. Elle me repousse en s'écriant : << Espèce de vieux salaud ! >>. Je lui bouffe la chatte.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines aimant se faire nettoyer le minou, vautrées dans un canapé profond, après avoir bien mangé, en échangeant leurs impressions entre deux gémissements de plaisir. Entre deux râles de jouissance extrême...

Julien (lécheur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
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Il faut retourner à l'école

Hier matin, lundi, nous sommes tirés de nos profonds sommeils par les douceurs de l'application "forêt". Il est presque six heures. Le gazouillis des oiseaux, le bruit d'une source. C'est bluffant d'avoir l'impression de nous réveiller en pleine nature. Nos deux téléphones fonctionnent en même temps sur nos tables de nuit. La stéréophonie permet cet étonnant phénomène. En gémissant Clémentine se serre contre moi. << Je ne veux pas y aller ! >> murmure t-elle. Quelques papouilles, quelques bisous. Il faut s'y résoudre. Il y a école. Chaque seconde nous est précieuse. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos habits de sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. L'absence d'Estelle est étrange. Dérangeante. Clémentine fait le café.

Je presse les oranges, pèle les kiwis. Le lundi matin il reste de la brioche. Le grille pain éjecte ses tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les points forts du week-end. Le Gloryhole de vendredi soir qui laisse à Clémentine une bien meilleure impression encore que les fois précédentes. Nous rions de bon cœur quand elle précise : << Un comme ça tous les mois, ça situe les choses ! >>. Nous mangeons de bon appétit en envisageant cette possibilité. 6 h25. Nous remontons pour notre entraînement. Notre salle n'est pas chauffée. Il faut donc redoubler d'effort lors des échauffements de l'aérobic. Le jogging sur les tapis roulants. Une petite pensée pour Estelle en regardant le vélo ergométrique vide. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Puis le retour au calme.

La douche. Je descends le premier pour sortir la voiture du garage. 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans son blouson de cuir brun, son Levis, ses bottines, son écharpe, son bonnet, ses gants. Tout est trempé des pluies de la nuit. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. La température est de 4°. Je m'empresse de rentrer au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier, j'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je suis habité d'une certaine nostalgie. Il y a peu cette grande pièce résonnait encore des rires, des échanges et des présences de Clémentine et d'Estelle. Comme un avant goût de ce que je subirai sans doute le jour où toute cette merveilleuse histoire prendra fin. J'essaie de penser à autre chose. De me concentrer sur cette première nature morte de commande à livrer avant les fêtes.

Je peins dans une introspection que je veux positive. Après tout, dès demain soir, mardi, nous serons à nouveau ensemble tous les trois. Et Clémentine rentre en fin d'après-midi. Il n'y a pas lieu d'être tristounet. La matinée passe sans que je n'ai la moindre perception du temps. C'est quand j'ai faim que je sais qu'il est midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les restes de la potée de légumes. Pendant que rissole un filet de colin, je fais l'assaisonnement d'une salade de tomates. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Le nom de cette station évoque toujours un peu une de ces radios diffusant de la musique crétinisante. Que nenni. André Bercoff, dans son émission quotidienne revient sur les mensonges éhontés Covid et vaccins.

Lentement mais sûrement les vérités que se sont acharnés à dissimuler les responsables de cette mascarade mondiale arrivent au grand jour. Une vaste opération financière doublée d'une expérience de manipulations des masses. J'écoute en réunissant mentalement les ingrédients nécessaires à la surprise que je réserve pour le repas du soir. Une tarte aux champignons accompagnée d'une laitue. Facile à préparer. J'étale la pâte feuilletée dans le grand plat rond à bords hauts. Je lave et coupe de beaux gros bolets. Je les dispose en domino à la manière d'une spirale. J'intercale de fines tranches de deux avocats. Je verse le liant. Mélange d'œufs, de crème fraîche, de fromage blanc et de lait de soja. Je recouvre d'une bonne couche de gruyère Suisse. Chapelure, graines de sésame grillé.

Deux cercles de cerneaux de noix. Au four pour laisser mijoter longuement à 160°. Le thermostat veillera à la cuisson parfaite. Je. lave les feuilles d'une laitue. Je prépare son assaisonnement. Pour ce soir, tout est prêt. J'en connais une qui va être contente ! La vaisselle. Je monte ma laver les dents. Pressé de me dégourdir les jambes je dévale les escaliers. La météo maussade semble s'être installée pour l'éternité. Le ciel reste lourd et chargé de nuages sombres, menaçants. La température n'est que de douze degrés. Emmitouflé dans mon anorak je vais jusqu'à la rivière. Les canards, les poules d'eau, les colverts paraissent indifférents aux conditions climatiques. Contrairement à notre voisin, je n'ai pas de vieux pain ni de graines à leurs offrir. Je vais y penser moi aussi.

Quatorze heures piles quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la félicité d'une sérénité retrouvée. Sans voir tourner les aiguilles de la pendule. Pendule imaginaire car je n'en veux pas dans l'atelier. Juste le craquement du bois de hêtre léché par les flammes. Du bruit. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. << Tu m'as manqué ! >> s'écrie t-elle en s'asseyant à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou. << Je dois t'embrasser très fort de la part d'Estelle ! >> rajoute t-elle en enfonçant sa langue dans ma bouche. Clémentine me raconte sa journée, le repas du restaurant universitaire. Quelques anecdotes universitaires et professorales. Rires.

Elle a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches elle chantonne. Nous retrouvons cette émulation enchanteresse que nous apprécions tant. Le retour de la fille que j'aime en fin d'après-midi est comparable à cette idée d'avoir parcouru des kilomètres sur la banquise, dans le froid et d'entrer subitement dans un endroit bien chaud pour y déguster un bon chocolat fumant. Quand je lui fais part de cette image, elle m'envoie des bisous dans sa main. << Put-hein, là, ta petite esquimau en à marre ! >> s'écrie t-elle en se levant d'un bond pour ranger ses affaires. Il est dix huit heures trente. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine me rejoint au petit lavabo de l'atelier. Pendant que je lave mes mains, elle tient ma bite pour en diriger les jets. Adroite.

Elle secoue les dernières gouttes, penchée en avant, son visage tout près de mon chibre. Elle tapote le Zob sur le bord de la faïence avant de s'accroupir pour suçoter un peu. Je caresse sa tête. Je saisis sa natte pour l'aider à se redresser. Elle se blottit contre moi en murmurant : << Je t'aime. C'est toujours difficile de te laisser le lundi matin. On vit des trucs tellement intenses durant nos week-end ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je la promène dans toute la grande pièce à présent plongée dans l'obscurité. Seules les lueurs des dernières flammèches éclairent cette partie de l'atelier. C'est comme ça que nous le quittons pour aller dans la cuisine. Quand elle découvre ce qu'il y a dans le four que j'allume, elle mitraille mon visage de bisous en palpant ma grosse bosse.

Il n'y a qu'à mettre les assiettes, les couverts. L'un contre l'autre nous regardons par une des fenêtres. La nuit est noire. Le retour des bourrasques venteuses. C'est d'un sinistre qui ne gâche en rien notre bonheur. Clémentine s'accroupit devant moi pour me sortir la bite. Elle hume les odeurs accumulées là depuis la douche matinale. << Mmmhhh ! >> gémit elle en y frottant son visage. << Ce soir je te la suce. J'ai trop envie. J'y pensais tout le temps en me touchant dans la voiture ! >> rajoute t-elle alors que résonne la sonnerie du four. Elle se redresse en disant : << Je m'en occupe, ne va pas risquer de te brûler ! >>. Elle enfile les maniques, s'accroupit devant la porte vitrée. Je me branle. Elle sait à quel point cette vision flatte mes sens, stimule ma libido. Elle me mâte un peu.

C'est une tarte dorée et fumante, délicieusement parfumée que je recommande. C'est tellement simple à préparer. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les vacances de fin d'années. Nous nous envolerons pour l'Écosse le samedi 23 décembre pour revenir le vendredi 5 janvier. Des réjouissances en perspectives. Nous traînons à table. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait mille projets pour ce nouveau séjour à Édimbourg. La vaisselle. Nous passons au salon. Clémentine allume les deux grosses bougies du candélabre. Seule lumière qui éclaire cette partie de la grande pièce silencieuse. Je la regarde faire en palpant mon sexe mou. Elle tourne la tête pour me faire de délicieux sourires. Le regard par en-dessous, terriblement suggestif. C'est hyper excitant.

J'adore me branler devant la fille que j'aime. Je suis debout près de la cheminée, dans la pénombre. Clémentine scrute. L'expression amusée de son visage l'illumine d'un charme fou. Elle est si belle. Sur ses traits de jeune fille que j'ai connu lorsqu'elle n'avait que dix neuf ans, il y a sept ans, s'annoncent ceux de la femme. Et de vivre cette métamorphose participe d'un bonheur divin. Indicible. Je me masturbe en la regardant ainsi tourner autour du bureau. Passer devant moi. Sans cesser de m'observer. C'est intense. Mon degré d'excitation me fait frissonner. Clémentine s'accroupit à quelques mètres devant moi, sa main dans son Levis déboutonné. Nous nous regardons nous masturber. Ça aussi c'est une joie immense. Les expressions du visage de Clémentine sont comme un film.

Je peux y projeter toutes mes émotions, tous mes désirs, tous mes souvenirs. Elle se met à genoux, cuisses écartées, continuant à se toucher. Son regard devient implorant. J'attendais ce ressenti. Je m'approche doucement. Clémentine observe le mouvement régulier de mon poignet. J'arrête pour agiter ma queue. Je bande comme le dernier des salauds. L'accélération de nos respirations. La reprise du souffle après de longues apnées. Clémentine est agitée des mêmes soubresauts que moi. Nous sommes "prêts". Elle ouvre la bouche, m'invitant à y enfoncer mon sexe. Je m'approche. Je frotte ma bite sur son visage, je la passe sur ses lèvres comme un lipstick. De sa main libre elle saisit mon poignet pour gober mon Zob. Je suis soudain pris de vertiges. Je la tiens par ses oreilles.

D'un lent mouvement masturbatoire je me fais tailler une pipe des familles. Je me retire pour l'aider à se redresser. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses genoux douloureux. Je l'entraîne par sa natte jusqu'au canapé. Elle s'y installe. Je m'assois. Clémentine se couche sur le côté. Cette position est parfaite pour une fellation passionnée. En me faisant pomper, parfaitement immobile, écoutant les gargouillis bulleux, je reviens sur certaines séquences du Gloryhole. En gémissant de bonheur, Clémentine écoute. Pouvant revivre ainsi certaines émotions vécues tout en ayant une queue dans la bouche. Son excitation est évidement proportionnelle aux souvenirs évoqués. En murmurant je confie les scènes qui m'ont particulièrement marquées. Nous passons la soirée ainsi. Je n'éjacule qu'une fois au lit.

Bonne nuit à toutes les coquines qui adorent sucer de la queue en se faisant raconter des histoires de pipes. Avant de se faire lécher le minou et de plonger dans les bras de Morphée, contre leur bienfaiteur...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 30 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2426 -



Estelle, Clémentine et moi

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Cette étonnante sensation de se réveiller au fond d'une profonde et mystérieuse forêt. Y résonnent les gazouillis, une source qui s'écoule et aujourd'hui des bruit de feuilles agitées par la brise. L'illusion est parfaite. Cette application trouvée sur le web est réellement bluffante. En gémissant Clémentine vient se blottir contre moi, enserrant ma cuisse gauche des siennes pour se frotter quelques instants contre ma hanche. Des papouilles. Des bisous. ll faut se lever. Nous courons aux toilettes avant de passer nos leggings et sweats de lycra dans la salle de bain. Les radiateurs viennent de s'allumer. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Les deux gros croissants dans le four à micros ondes.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de lundi. << J'adore quand on fait durer en se regardant ! >> me confie Clémentine en posant sa main sur la mienne. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée qui nous attend avec Estelle. << Quand je vais lui raconter ce qui s'est passé, elle va vouloir refaire à trois ! >> rajoute t-elle. Elles se voient ce matin en cours. Six heures vingt cinq, il faut remonter pour l'entraînement. Nous entendons souffler le vent dans la nuit noire. Notre salle d'entraînement n'étant pas chauffée, la motivation est décuplée. Les échauffements des mouvement aérobic sont amples, généreux et très efficaces. Le jogging sur tapis roulants parfait cette sensation de confort. Les exercices au sol préludes aux charges additionnelles.

Le retour au calme d'un stretching bien trop précipité avant la douche. Je descends pour aller préparer la voiture. Presque 7 h45. Clémentine me rejoint sous son parapluie, chaudement vêtue. Blouson, écharpe, bonnet, Levis, gants et bottines. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. La température extérieure est de 3°. Je m'empresse de rentrer au chaud et au sec sous des bourrasques de vents. Je fais la vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. J'y allume le feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette première nature morte de commande est inspirante. Surtout que je sais la terminer demain soir. Je peins dans les suaves voluptés de plaisirs que procurent la passion. En pensant à notre soirée.

Il y a tant de variantes, tant de déclinaisons quand un couple partage les mêmes penchants. Mais quand ce couple devient trois, c'est tout simplement divin. Je n'ai strictement aucune notion du temps qui passe. Je travaille sous la lumière d'une lampe à halogène. Presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les restes de la tarte aux champignons. Accompagnée d'une salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, en compagnie de son invitée, André Bercoff aborde le sujet des évènement dramatiques du moyen-orient. Sud Radio étant une station indépendante, n'appartenant à aucun milliardaire, ses journalistes peuvent donc s'exprimer sans détours, sans hypocrisies et en toute liberté.

Les informations n'étant pas formatées, calibrées et orientées l'auditeur reste consterné par les réalités cachées et les vérités révélées. Notre ministre de l'économie qui voulait ruiner l'économie Russe entre deux chapitres de son livre érotique, aussi performant dans ses délires que dans sa verve à prendre toute une nation pour une bande d'imbéciles. Mais en y réfléchissant bien, n'est il pas dans son rôle ? Cette nation est tout de même capable de mettre et d'accepter des incompétents notoires, des irresponsables et d'authentiques sinistres salauds aux commandes de son destin. Tout en écoutant je compose mentalement la surprise que je destine à mes deux anges. Des bouchées à la reine. Nous en raffolons au point que nous pourrions en manger tous les jours comme aime à le préciser Estelle à chaque fois.

Je concocte une belle et onctueuse Béchamel. Dans la poêle je fais revenir des filets de flétan préalablement émincés. Des champignons, de l'ail, de l'oignon. J'y rajoute persil et ciboulette. Je verse dans la Béchamel. Je rajoute du gruyère Suisse. Je remplis les cinq grosses bouchées à la reine de cette garniture. Je les dispose dans le grand plat carré en terre cuite. J'égoutte les coquillettes que je verse tout autour. Je recouvre l'ensemble d'une bonne couche de ce même gruyère, de chapelure, de graines de sésame grillé. De cerneaux de noix. Au four pour laisser mijoter à 160°. La vaisselle. J'allume la cuisinière à bois. C'est la première fois cet automne. La flambée prend rapidement, comme si cette ancienne cuisinière était impatiente d'entrer en fonction. Elle en ronronne de satisfaction.

Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir les jambes malgré la pluie, je redescends à toute vitesse. J'enfile mon ciré, je chausse mes bottes en caoutchouc. J'évite ainsi de risquer la destruction de mon parapluie. C'est contre des bourrasques d'un vent vengeur que je vais jusqu'à la rivière. Cette épouvantable météo ne semble avoir aucune incidence sur nos amis à plumes. Les colverts, les canards, les poules d'eau voguent sur les eaux tourmentées comme des touristes sur la plage de Saint Tropez en plein mois d'aout. Il est treize heures quarante cinq quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en pensant à tout sauf à ce que je fais tout en restant concentré. Paradoxe amusant qui reste l'élément moteur de cette séance de l'après-midi.

Dix sept heures trente. J'adore entendre les bruits que fait Clémentine. Je cherche toujours à les identifier lorsque la porte s'ouvre et qu'elle se précipite vers moi. J'anticipe. Je pose ma palette, mes pinceaux pour la réceptionner. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le repas du restaurant universitaire. << Je dois te mettre en condition de la part d'Estelle qui arrive dans une heure ! >> dit elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. C'est une méthode imparable pour me mettre en "condition". En érection ! Clémentine ne s'attarde pas. Elle a encore des notes à mettre en application dans le remaniement de ses écrits. Quel bonheur que d'être ensemble dans nos activités. Parfois elle chantonne, lance un cri, fait la lecture.

Jusqu'au moment fatidique où elle se lève pour s'écrier : << Mais là, j'en ai vraiment ras-le-bol ! >>. 18 h30. Pendant qu'elle range ses affaires je nettoie la palette, les pinceaux, je retire ma blouse. Clémentine me rejoint devant le petit lavabo de l'atelier. Je me lave les mains alors qu'elle me tient la bite pour en diriger les jets. J'adore quand elle tapote ma queue toute molle sur le rebord de faïence en éteignant le robinet d'eau chaude. Avant de se pencher encore davantage pour prendre l'extrémité de mon Zob en bouche. Une fois encore c'est dans cette situation que nous surprend Estelle. Elle se précipite en s'exclamant : << Et moi, je sens le vieux pâté ! >>. Elle saute à mon cou pour me faire plein de bises. Clémentine se redresse en passant l'index sur ses lèvres comme pour les essuyer.

<< Clémentine m'a tout raconté. Je veux aussi ! >> lance Estelle qui attrape mon sexe pour me tirer comme par une laisse. Elle me fait faire le tour de la grande pièce. Je suis obligé de la suivre en marchant comme un crétin. Ce qui fait rire Clémentine. Nous restons quelques instants devant ma toile. Clémentine éteint les lumières. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << Génial ! Tu as allumé la cuisinière ! >> s'écrie Estelle. C'est une ancienne cuisinière de fonte noires aux cuivres éclatants. Une véritable pièce de musée qui fonctionne parfaitement depuis au moins un siècle. C'était avant l'obsolescence programmée. En ces époques ont fabriquait pour faire durer. Lorsque mes deux anges découvrent ce que je sors du four électrique pour le placer dans le four à bois, j'ai droit à un mitraillage en règle de bises. Estelle lâche mon Zob pour mettre les assiettes, les couverts. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade d'endives.

Il n'y a pas de sonnerie dans un four à bois. Il faut donc redoubler de vigilance car la chaleur est intense. À tel point que le thermostat qui contrôle les radiateurs les a éteint. La douce chaleur du feu de bois. Un enchantement. Estelle, souvent accroupie devant la vitre fumée de la porte, surveille le réchauffage. << Ça fume ! >> s'exclame t-elle alors que je me masturbe doucement. La vue d'une femme accroupie, de dos, exerce sur ma psyché de délicieux tourments. Nous savourons ce plat délicieux. Je recommande. C'est tellement simple à faire. Et quand c'est bon sur la langue, dans l'estomac, c'est un véritable stimulant pour libidos débridées. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur des souvenirs récents. Cette fois encore sur le Gloryhole de vendredi dernier. Beaux souvenirs.

Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, Estelle et Clémentine parlent de leurs études. Elles sont libres les mercredis. Mais cette liberté doit être mise à profit pour avancer dans leurs travaux. La vaisselle. Nous quittons la cuisine pour le salon. Des paquets de pluie sont violemment projetés contre les vitres des portes fenêtres. Un petit côté sinistre. Seules les deux grosses bougies du candélabre éclairent cette partie de la grande pièce. << On fait ? >> demande Estelle. << On fait ! >> répond Clémentine. Je ne sais pas ce qu'elles ont encore préparé en mangeant ensemble à midi mais une petite excitation me gagne. Toutes les deux, comme si c'était chorégraphié, déboutonnent leurs Levis. Très pratiques les braguettes des modèles 501.

Une main dans leurs culottes, toutes les deux, l'une à côté de l'autre, me fixent. Mon sang ne fait qu'un tour. Là où d'autres passent leurs soirées devant les programmes lénifiants de leurs téléviseurs, nous occupons les nôtres à nous inonder de plaisirs. Ce soir à nous masturber. Car c'est ce que mes deux coquines ont fomenté. Je suis à la fois pétri d'émotions et en proie à une excitation galopante. Toutes les deux, avec cette extraordinaire expression d'innocence m'observent d'un air interrogateur. Elles se dirigent vers le bureau. Plaçant leurs sexe contre les coins, en appui sur leurs mains, elles impriment à leurs bassins un lent et régulier mouvement masturbatoire. Je les regarde se frotter ainsi en sortant mon chibre. Je bande évidemment comme le tout dernier des salauds.

Je tourne autour d'elles en me branlant. J'admire cette scène merveilleuse sous tous les angles. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste une heure et demi. Il n'y a que le souffle de nos respirations. Les premiers gémissements se font de plus en plus audibles. Ce sont encore des instants d'une intensité folle qui se succèdent. Je viens me placer en face, mon entrejambes posé sur le troisième coin du bureau. Je sors mes couilles avec difficulté. La braguette 501 n'offre que peu d'espace de manœuvres. Ainsi garrottées ma bite et mes couilles sont présentées de façon "académique". Je m'astique quelques instants. Je cesse pour imiter les filles. Juste en bougeant le bassin, en me frottant. << On ne fait pas assez souvent ! >> lance Clémentine qui cesse pour fourrer sa main dans sa culotte. Estelle fait de même. Tout comme moi. Nous nous branlons tous les trois en nous observant. << La dernière fois qu'on la fait c'était avec Juliette. Vous vous souvenez ? >> lance Estelle.

En effet, juste avant de partir en Écosse, à la fin juin, nous nous sommes offerts une de ces soirées branles dont raffole Juliette. Nous aussi. Ça change drôlement et permet d'échanger les "films" que nous nous projetons mentalement. C'est en nous masturbant ainsi que nous revenons sur quelques grands moments de nos aventures. << Put-hein c'est bon ! Je fais ça tout le temps depuis que j'ai treize ans ! >> s'écrie Estelle. << Moi aussi ! Tu te rappelles toutes les fois où on le faisait ensemble ? >> s'exclame Clémentine. J'écoute ces aveux que je connais pour les avoir entendu souvent. Mais je ne m'en lasse pas. Estelle est la première à être secouée de spasmes. Se tenant au bureau de sa main libre, en poussant de petits cris, cambrée sur ses jambes fléchies, jouissant éperdument. C'est Clémentine qui fait pareil mais en donnant des à coups avec son bassin. Elle aussi doit se tenir au bureau. Moi, je me garde pour sous la couette tout à l'heure. Pour sa bouche.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font juter au fond de la gorge avant de s'endormir dans les bras de leur branleur fou...

Julien (branleur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 31 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2427 -



Juliette explique la "combine" Gloryhole

Hier matin, mercredi, il est sept heures quinze quand nous nous réveillons quasiment en même temps. De façon tout à fait naturelle. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Enserrant ma cuisse gauche des siennes pour se frotter lascivement. << C'est si bon les soirées branles ! >> murmure t-elle alors que je glisse ma main dans sa culotte. Elle saisit mon érection matinale. Des papouilles, des bisous. L'impérieux besoin de pisser l'emporte. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos habits sports. Il fait bien chaud dans la maison. Les radiateurs fonctionnent depuis plus d'une heure et quart. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. J'allume la cuisinière à bois. Elle prend très vite.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre "soirée branle" à trois. << Compagnons de branle. C'est un super trio ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les souvenirs de toutes les fois où cela s'est produit. Avec Juliette, avec Estelle et quelquefois avec Julie dont nous n'avons plus aucune nouvelle. Il est 7 h45. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, faire notre lit avant de passer dans notre salle d'entraînement. Pas chauffée. Il faut donc très rapidement s'échauffer avec des mouvements aérobics. Le jogging sur tapis roulants vient parfaire cet échauffement. Les exercices au sol avant les charges additionnelles. Les étirements du stretching permettent un parfait retour au calme avant une bonne douche. Nous prenons notre temps.

Vêtus de nos paires de jeans, de nos chemises à carreaux, baskets, nous redescendons pour aller directement dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée pendant que Clémentine prépare ses affaires, assise devant son ordinateur. Le mercredi, c'est depuis la maison qu'elle suit ses cours. En télé travail connectée avec l'université, le professeur. La perspective de passer cette journée dans l'émulation nous enchante. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je m'attaque à l'achèvement de cette première nature morte de commande. Je peins dans la plus totale félicité, si près de la fille que j'aime. Je savoure le plaisir de l'entendre chantonner, de l'entendre se relire, de l'entendre se moquer d'elle-même quand elle commet une erreur.

Notre matinée passe ainsi. Il est presque midi quand je dépose la dernière touche de la pointe de mon plus fin pinceau sur la surface de la toile achevée. Dès cet après-midi je pourrais m'atteler à la seconde nature morte de commande. Clémentine met deux bûches sur les braises, m'entraînant par la main, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il y fait agréablement chaud. Je mets une bûche dans la cuisinière à bois. Sa plaque est rougeoyante. Il suffit de réchauffer les deux grosses bouchées à la reine accompagnées de leurs coquillettes. Clémentine fait l'assaisonnement d'une laitue. Elle en lave les feuilles également pour le repas de ce soir. Juliette vient nous rejoindre pour 19 h30. Nous mangeons de bon appétit, passant en revue les différentes options du repas de la soirée. Gratin Dauphinois.

Mais un gratin Dauphinois revu et corrigé façon "nous". Qui s'apparenterait peut-être davantage à un gratin parmentier. Nous épluchons et lavons de belles pommes de terre que Clémentine coupe en tranches. Pendant ce temps je fais revenir à la poêle des calmars avec des champignons, de l'ail, de l'échalote. Je concocte une sauce en faisant blondir de la farine dans du beurre avant d'y rajouter de l'eau. Ce qui s'appelle un "roux". Je verse dans la poêle en "déglaçage". Clémentine égoutte les tranches de patates saisies quelques instants dans l'eau bouillante. Elle dispose la première couche au fond du grand plat carré en terre cuite. Je verse de la garniture, du gruyère. Seconde couche de pommes de terre. Seconde couche de garniture. Il y en a quatre au total jusqu'à ras bord.

Je recouvre d'une bonne couche de gruyère Suisse, de chapelure, de graines de sésame grillé, de cerneaux de noix. De fines tranches de Saint Nectaire. Dans le four électrique à laisser mijoter longuement à 160°. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de nous dégourdir les jambes, nous redescendons à toute vitesse. Le thermomètre extérieur indique 10°. Le ciel est nuageux mais pas menaçant. Tout est trempé des pluies des derniers jours. Au sol c'est une véritable confiture de feuilles mortes. L'entreprise paysagère interviendra une dernière fois le vendredi premier décembre. Il y aura du boulot. Emmitouflés dans nos anoraks nous allons jusqu'à la rivière. Grâce à l'initiative de notre voisin, les digues de terre empêchent les eaux de déborder. De transformer l'endroit en étang. C'est toujours un spectacle amusant de voir s'ébattre les poules d'eau, les colverts et les canards. Chaque année ils sont plus nombreux. Leurs petits.

Il est quatorze heures quand nous sommes de retour dans l'atelier. Deux bûches dans l'âtre. Clémentine à ses cours, moi à ma peinture. C'est à chaque fois un challenge de commencer une nouvelle œuvre. Une petite angoisse tout au fond de moi. Bien inutile mais nécessaire. Une fois encore le temps nous échappe. Parfois l'un ou l'autre se lève. Je reste quelques minutes debout derrière Clémentine à caresser son cou alors qu'elle m'explique ce qu'elle fait. Elle reste debout derrière moi à caresser mon cou en me regardant peindre. Je peins donc dans les toutes meilleures dispositions. Dix sept heures. << Là, j'arrête où je jette tout dans les flammes ! >> s'écrie Clémentine en se levant pour ranger ses fiches. De l'imprimante elle tire une série de feuilles pour m'en faire la lecture.

Je nettoie la palette, les pinceaux en écoutant. Le crépuscule s'annonce. Clémentine, telle une actrice de théâtre qui déclame son texte, fait le tour de la grande pièce. Je la félicite. Elle prétend que cette nouvelle version est supérieure à la précédente. En suivant les directives de son maître de thèse, elle ordonne ses pensées par l'écrit avec méthode. Je reste admiratif. Je retire ma blouse pour aller me laver les mains au petit lavabo de l'atelier. La bite posée sur le rebord. Clémentine vient me rejoindre. Elle me tient la queue pour en diriger les jets. Dans le minuscule miroir accroché à la partie carrelée, j'adore voir l'expression de ses traits. Elle sait que je la regarde. Quand ses yeux plongent dans les miens, je sens mon sexe durcir tout en pissant. C'est un rituel dont on ne se lasse pas.

Je termine le plus souvent avec une érection alors que Clémentine tapote mon Zob sur le bord de la faïence. Avant de se pencher pour suçoter un peu en gémissant : << Mmmhhh ! >>. Quand elle se redresse c'est pour se blottir dans mes bras. Nous restons ainsi un petit moment, silencieux, à bouger tout doucement. À nous bercer. Clémentine prépare du thé au jasmin sur la plaque électrique de l'atelier. Je mets quelques gâteaux secs à côté des tasses. Sur la table basse devant le vieux canapé de velours carmin. Nous savourons cette collation en évoquant l'Écosse qui nous attend pour les fêtes de fin d'année. Nous y passerons la presque totalité des deux semaines de vacances. Avec Estelle qui se réjouit. Les festivités d'Édimbourg en ces périodes sont un enchantement.

Clémentine, couchée sur le dos, sa tête posée sur ma cuisse, frotte sa joue contre mon érection naissante. Je caresse son front. Je passe délicatement l'extrémité de mes doigts sur ses sourcils. Les yeux fermés elle savoure ces instants de calme absolu. La nuit est tombée. Seules les dernières flammes éclairent cette partie de la grande pièce. Le silence est un plaisir supplémentaire. Juste les craquements du feu dans la cheminée. Mon sexe contre la joue de Clémentine qui parfois tourne la tête pour y déposer une bise. Je passe mon index sur ses lèvres. Elle saisit mon poignet pour mettre mon index dans sa bouche. Elle ouvre les yeux. Une expression espiègle et mutine illumine ses traits. << C'est tellement bien ensemble ! >> chuchote t-elle avant de se tourner pour gober mon Zob.

La position idéale pour une fellation. Couchée sur le côté, en appui sur son coude, Clémentine suce avec passion. Je murmure des douceurs, des cochonneries. Ce qui la fait glousser de rire. Je me fais pomper le dard comme un bienheureux. Il va être dix huit heures quarante cinq. Clémentine se redresse. Comme elle le fait toujours, elle me montre l'intérieur de sa bouche. Exhibant fièrement la quantité de foutre qu'elle adore garder avec sa salive le plus longtemps possible. Je contemple avec admiration. Avec une légère grimace, un léger mouvement de tête, elle finit par avaler. J'ai mes mains sur ses joues, à genoux sur le canapé, fou amoureux de ma suceuse dont je couvre le visage de bises. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je sors le gratin du four électrique pour le placer dans le four à bois. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Je mets les assiettes, les couverts. Une grosse bûche de hêtre dans la cuisinière hyper chaude.

J'agite mon sexe mou et suintant de liquide séminal en direction de Clémentine. << Quand je commence je pourrais continuer encore et encore ! >> lance t-elle en contournant la table pour se pencher et le prendre en bouche. Je murmure : << Et si tu me suçais ce soir devant Juliette ? On lui fait du spectacle ! >>. Clémentine se redresse en s'écriant : << Excellent ! >>. Nous en rions de bon cœur. La consigne est simple. Nos intimes sont invités à entrer sans prévenir. Ils sont ici chez eux. Du bruit. Des pas depuis le hall d'entrée. << Coucou ! >>. Juliette entre dans la cuisine. Ce soir encore dans sa tenue de travail. En écuyère. Son pantalon d'équitation beige aussi moulant qu'un legging, ses bottes noires de cavalière, son gilet sur un chemisier d'épais coton crème. Sa taille de guêpe.

Comme à chaque fois, Juliette fait mine de ne pas se rendre compte de ce qui pend de ma braguette. Elle contourne la table pour nous faire la bise. << Je suis venue les mains vides. J'ai tellement de travail. Je n'ai même pas le temps de me préparer des repas sérieux ! >> lance t-elle. Clémentine la rassure : << Mais c'est convenu comme ça. Tout l'hiver et jusqu'au printemps vous viendrez les mains vides ! >>. Juliette s'écrie : << Mais le cœur plein de joie ! >>. Je dis : << Et ça se voit ! >>. Je pointe mon index sur sa poitrine. Elle se met à rire en empoignant ses petits seins. Il faut surveiller le réchauffage dans le four à bois. << Je m'en occupe ! >> fait Juliette en s'accroupissant devant la porte vitrée du four. Elle aussi sait à quel point j'aime voir une femme accroupie et de dos.

Clémentine m'adresse un clin d'œil avec un rapide mouvement masturbatoire de la main. J'agite mon sexe. Je sais bien que Juliette m'observe dans le reflet de la vitre fumée. Elle tourne la tête pour me faire un merveilleux sourire. Ce soir ses cheveux sont attachés en catogan. Les mèches argentées qui parsèment sa chevelure noire provoquent sur ma libido de délicieux tourments supplémentaires. C'est absolument divin. Cette femme est radieuse. Elle enfile les maniques, ouvre la porte du four pour en sortir le gratin odorant, fumant, doré. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Juliette nous raconte ses journées. L'administratif, les rendez-vous, les visites du vétérinaire. << Toujours des pipes à quelques intervenants privilégiés ? >> demande Clémentine. Nous rions.

<< Toujours ! >> répond Juliette. Je me lève pour agiter ma queue. Je bande mou. Clémentine et Juliette sont alors silencieuses à observer mes exhibitions. << On ne s'en lasse pas ! >> lance Juliette. La conversation s'axe rapidement sur nos préoccupations principales quand nous sommes ensemble. La sexualité. Juliette nous raconte comment elle a organisé le Gloryhole de vendredi dernier. Chaque participant arrivant seul dans le local voisin. Les autres étant rassemblés avec elle dans le salon de réception des nouvelles écuries. Clémentine écoute avec attention, posant des questions précises. << Il restait deux invités mais vous êtes partis après le quatrième ! >> précise Juliette. Elle refuse de donner l'identité d'un des quatre. << Le premier. Je vous le présenterai ! >> rajoute Juliette.

Juliette qui demande : << Votre préférence ? >>. Clémentine répond : << Justement le premier. Mais il est difficile d'être réellement objective dans un enchaînement de fellations ! >>. Juliette me demande mon avis. Je ne sais quoi dire sinon que c'est toujours un extraordinaire spectacle. Je demande à mon tour : << Et vous avez terminé la soirée en partouze, en gang bang ? >>. Juliette éclate de rire avant de répondre : << Non. Quand ces messieurs sont repartis, je suis sagement allée me coucher. Il était 22 h ! >>. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Il reste une heure après la vaisselle. Juliette adore notre grande cuisine. Surtout lorsque la cuisinière à bois fonctionne. Ce côté "d'autrefois" qu'apprécient nos rares visiteurs. Nous passons au salon pour le dessert.

Juliette, vautrée dans son fauteuil, les cuisses largement écartées, posées sur les accoudoirs, revient sur le souhait de Clémentine. Cet ultime fantasme très "tendance" du gang bang. Être livrée nue à une bande de mâles plus vicelards les uns que les autres. << Contrairement à ce que l'on pourrait croire, c'est beaucoup plus difficile à organiser et surtout à gérer ! >> lance Juliette qui rajoute : << J'en ai vécu deux dans ma vie, ce n'est pas vraiment "top" ! >>. Clémentine joue avec ma queue tout en posant plein de questions. Juliette, avec un luxe de détails y répond. Elle ne cherche pas à dissuader ni à décourager mais elle relate froidement ses deux expériences. Quand Juliette parle sexualité avec Clémentine, elle la tutoie. Ce soir encore elle se touche du bout de l'index.

Son doigt qui glisse sur la couture centrale de son pantalon d'écuyère. Divisant sa vulve aux lèvres généreuses en deux bosses qu'elle malaxe parfois. On commence à discerner la tache plus sombre que font ses sécrétions. Résultantes de son excitation que nous devinons aussi grandissantes que les nôtres. Clémentine promet de bien réfléchir à ce gang bang, de tenir compte des conseils et des expériences de Juliette qui rajoute : << Avec deux mecs c'est bien. Ça suffit. Après c'est moins cool. T'es juste un morceau de barbaque ! >> dit elle. En me branlant, Clémentine écoute avec attention. Je bande comme le dernier des salauds en restant silencieux. En fixant Juliette qui croise quelquefois mon regard avec une expression amusée. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture.

Bonne nuit à toutes les coquines que ces soirées excitent prodigieusement, qui se font brouter le minou, pénétrer un peu avant de sucer sous la couette...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2428 -



Estelle est toute heureuse quand arrive le jeudi soir

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. L'application "forêt" nous tire de nos sommeils par ses enchantements. Certains réveils sont plus féériques que d'autres. Car ce n'est jamais exactement la même chose. Clémentine qui se blottit contre moi en gémissant prétend que c'est du "réel", pris sur le vif quelque part dans le monde. Quelques bisous, quelques papouilles. Il faut se lever. Nous allons aux toilettes avant de nous vêtir "sport" dans la salle de bain. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Il faut donc se remuer un peu. Ça caille. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café, coupe les tranches qu'elle place dans le grille pain, je presse les oranges, je pèle les kiwis. J'allume la cuisinière à bois. Une belle flambée qui démarre de suite.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les révélations de Juliette durant notre repas. << Ça lui va super bien ces mèches de cheveux gris qui se mêlent à sa tignasse noire ! >> précise Clémentine qui rajoute : << Comme la maman d'Estelle. Quand je serais vieille moi non plus je ne chercherai pas à les cacher ! >>. Nous mangeons de bon appétit en esquissant les plans du week-end qui s'annonce. Il faudra faire quelques achats. Il est 6 h25, nous remontons pour nous offrir le second plaisir de ce début de journée. Les échauffements aérobics. Les joggings sur tapis roulants, les exercices au sol. Les charges additionnelles. Le retour au calme d'un stretching trop hâtif par manque de temps. La douche. Je redescends pour aller sortir l'auto du garage, la faire chauffer.

Sept heures quarante cinq. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. La température extérieure n'est que de 4°. Emmitouflée dans son anorak beige, une écharpe de laine crème. Un pantalon de velours côtelé beige. Des bottines marron clair. Son bonnet, ses gants. << À tout à l'heure ! >> dit elle en se mettant sur la pointe des pieds pour un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud, au sec pour faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume un autre feu mais dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette seconde nature morte de commande constitue le troisième plaisir de ma journée. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris.

La matinée passe ainsi. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les restes du délicieux gratin. Accompagné d'une salade de concombre, c'est un repas simple. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Très certainement la seule station "libre" du pays. Dans son émission André Bercoff évoque le nouveau ministre de l'éducation. Un individu qui "porte beau, pipoliser par les médias qui le présentent déjà comme un "présidentiable" 2027. Une sorte de gendre idéal, beau gosse, "bankable". Dont toutes les sorties et déclarations publiques ne sont qu'autant d'opérations de communications. Bref, comme le précise Charles Gave, l'invité, les médias tentent de nous refaire le coup "Emmanuel Ducron". Les gens seront-ils dupes ?

J'écoute en préparant mentalement les ingrédients de ma surprise de ce soir. J'hésite souvent à préparer le nécessaire à pizza. Car le restaurant universitaire en propose une fois par semaine. Allez ! Je tente le coup. Ce sera pizza ce soir. Je fais une belle et onctueuse pâte à pain. J'aime y incorporer le jus d'un ail et d'un oignon que je presse. Du curcuma, du paprika en poudre. Du parmesan que je réduis également en poudre. Je pétris longuement. Je laisse reposer dans le saladier, sous un linge. L'endroit le plus chaud de la cuisine étant sur une des étagères de la hotte au-dessus de la cuisinière à bois qui ronronne. Je fais la garniture. Des tomates fraîches que je lave, coupe, que je fais revenir à feux doux avec de l'ail, de l'échalote, persil, ciboulette. Le tout repose sous un couvercle. Il me reste à râper du gruyère Suisse. La vaisselle. Je remonte me laver les dents dans la plus parfaite sérénité. Le repas du soir est préparé.

Pressé d'aller me dégourdir un peu les jambes, je dévale les escaliers pour enfiler mon ciré, mes bottes en caoutchouc. Il pleut. Le vent souffle plus modérément. Je vais jusqu'à la rivière. Le thermomètre extérieur indique 10°. Pas loin de quatorze heures quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Les deux bûches que je viens de déposer dans l'âtre s'enflamment dans des craquements sonores. Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. L'après-midi passe d'ailleurs tout aussi vite. Il est dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. << Tu m'as manqué ! >> s'écrie t-elle en se précipitant pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. J'ai la trouille.

Ouf, pas de pizzas à midi. Clémentine a encore ses travaux d'écritures. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Un autre plaisir de cette journée. << Là, voyez-vous, si je n'arrête pas, je pète une durite ! >> s'écrie t-elle en se levant. Il est dix huit heures trente. Je nettoie la palette, les pinceaux. Devant le petit lavabo de l'atelier, la bite dans la main de Clémentine qui en dirige les jets, je me lave les mains. Un de nos rituels de fin de séance. C'est quand elle est penchée à suçoter la peau fripée de mon prépuce qu'arrive Estelle. << C'est toujours quand je ne suis pas là ! >> s'écrie t-elle en se précipitant. Elle me fait la bise. Clémentine se redresse pour répondre : << Mais quand tu baises avec Jean-Marc, le mercredi soir, on n'est pas là non plus ! >>. Nous rions de bon cœur.

Je dis : << Oui, raconte-moi ça ! >>. Estelle s'accroupit pour me mitrailler le Zob de bisous avant d'en prendre l'extrémité en bouche. Pour me procurer une superbe érection, Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande rapidement comme le dernier des salauds dans celle d'Estelle qui cesse pour se redresser. Les filles m'entraînent dans une farandole folle dans toute la grande pièce. Estelle invente des paroles farfelues qu'elle chante sur une mélodie de comptine. Nous répétons en cœur sur le même air. J'ai la bite à l'air qui remue dans tous les sens. Ce qui fait rire aux éclats mes deux anges. Estelle se place devant moi, passe ses bras autour de mon cou, prend une expression grave pour demander : << Elle t'a raconté Clémentine ? >> Je demande : << Quoi ? >>

<< Bon, on verra ça en mangeant ! >> répond t-elle. Clémentine me prend par le bras pour rajouter : << Tu vas beaucoup aimer ! >>. Les filles m'entraînent ainsi. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand elles découvrent les préparations, elles me mitraillent le visage de bises. Estelle travaille bien la pâte. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endives. Je réchauffe la garniture, je sors le Tupperware contenant le gruyère déjà râpé. C'est rapide. Le four de la cuisinière à bois est une véritable fournaise. Même pas dix minutes de cuisson et nos pizzas évoquent la surface d'un volcan en activité. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour le week-end qui commence demain vendredi, à midi. Clémentine pose sa main sur la mienne en disant : << Les aveux ! >>

C'est Estelle qui m'explique. Depuis quelques semaines, quand elle baise avec Jean-Marc, son parrain, ce dernier demande des nouvelles de Clémentine. Alors mes deux coquines ont organisé une façon bien à elles de lui en donner. Jean-Marc est un baiseur fou. Un de ces mâles "alphas" dont l'endurance n'a d'égale que celle d'un champion cycliste terminant son étape en tête du col du Tourmalet. << On fait ça vendredi prochain, dans la maison d'amis ! >> précise Clémentine. J'adore être étonné. Je lance : << Il faudra préparer la maison, chauffer et surtout faire le ménage. Quelle est la combine que vous avez trouvez toutes les deux pour le faire venir un vendredi après-midi ? >>. Estelle répond : << Jean-Marc préfèrerait le faire dans son camping car ! >>. Je rajoute : << Une bien meilleure idée, non ? >>

<< Oui, mais toi, comment feras-tu ton voyeur pour mâter ? >> s'exclame Estelle. C'est vrai, je n'y avais pas pensé. Décidément mes deux anges sont de fines stratèges. Ça m'excite. Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine rajoute : << Et on sera deux voyeurs. Toi dans dans ton placard à balais, moi confortablement installée sur le canapé d'en face pour regarder ! >>. Clémentine mime une fellation pour préciser : << Je vais me faire sauter par "monsieur cent mille volts ! >>. Nous en rions aux éclats. Il y a un peu plus de trois ans, Clémentine a baisé avec Jean-Marc, j'étais planqué. Elle en garde le souvenir d'un type à la santé de fer. Déjà adolescente, cachée dans l'armoire, elle mâtait ses prouesses quand il venait baiser Estelle en cachette. Dans sa chambre. Elle avait à peine seize ans. Il a été son initiateur. Mais à l'époque Clémentine n'osait pas. Vierge. Elle se contentait de masturbations folles, d'exhibitionnisme en devenir.

Cette conversation nous excite considérablement. << Tu me contrôles le minou ce soir. Parce qu'il est un peu congestionné par ce qu'il a subi hier soir ! >> fait Estelle en se levant pour débarrasser. Nous l'aidons. Vaisselle à "l'ancienne", à la main avant de nous précipiter au salon. Le "contrôle qualité" se déroule toujours de la même façon. Toutes les deux, juste en sweats et en chaussettes, vautrées dans le canapé, m'offrent leurs minous. Émerveillé je découvre les parfums de leurs journées de filles. À genoux sur les épais coussins, je passe de l'une à l'autre. J'en découvre également les saveurs. Ce soir, pendant ma "dégustation", elles échangent leurs impressions, élaborent le plan "parrain" pour vendredi prochain. J'écoute en suçant du clitoris, en léchant de la cyprine. Il en coule dans les raies culières.

Toutes les deux se mettent alors à quatre pattes, les coudes en appui sur le dossier du canapé. Je me redresse. En écartant leurs fesses je fourre ma langue dans les poils des trous de cul pour récupérer la mouille. J'en ai des hauts le cœur mais cette délicate sensation où se mêlent dégoût et excitation me procure les plus fous vertiges. J'ai les joues et le menton trempés. Elles continuent à bavarder comme si elles étaient à con....fesses. Je me redresse, Estelle ne s'y attendait pas. Je l'enfile par derrière alors qu'elle s'écrie : << Salaud ! >>. Je la besogne à la hussarde, comme elle aime. Un peu à la façon de son parrain. Jean-Marc la tire souvent dans cette position pour lui murmurer des saloperies. Des insultes qui excitent tellement Estelle. Moi, je me contente d'embrasser Clémentine qui se masturbe.

Estelle, bavant sur le cuir noir du dossier du canapé, gémit, pousse de petits cris d'animal blessé. Clémentine reprend la même position pour se faire enfiler de manière identique. Je passe de l'une à l'autre distribuant des kilomètres de câble en poussant des cris d'homme des cavernes en rut. Les filles poussant des cris haletants comme en proie à de véritables tortures. Estelle s'avance brusquement pour me faire sortir la queue ruisselante de nos mélanges. En hurlant elle s'offre un orgasme tellurique. Elle n'a pas cessé de se toucher pendant toute la baise. Elle devra nous laisser pour 22 h. La séparation sera encore difficile sous le parapluie et dans la nuit noire. Je veux pénétrer une nouvelle fois Clémentine mais elle se retourne, attrape la cuvette sous le guéridon pour pisser en jouissant.

Nous reprenons nos esprits. J'ai la bite qui dégouline de nos mélanges. Je reste debout, hébété, en me tenant à Estelle qui s'essuie la chatte et l'intérieur des cuisses avec un mouchoir en papier. Si nous disposions de plus de temps, c'est avec ma bouche que je l'aurais nettoyé. Clémentine, adossée contre le bord du canapé, accroupie au-dessus de la cuvette, termine de pisser en haletant. Je saisis sa nuque. Je frotte ma queue sur son visage. Elle ouvre la bouche pour la recueillir. Estelle enfonce sa langue dans la mienne. Ce sont trois saccades qui manquent de me renverser si Estelle ne me retenait pas. J'éjacule en poussant le cri d'un damné dans les flammes du châtiment infernal. Clémentine me tient par les poches arrières de mon Levis pour déglutir, ne rien perdre, tout bouffer.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment à s'endormir dans les bras de leur bienfaiteur, sous les draps, après une nouvelle soirée d'un indicible plaisir...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 33 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2429 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Les enchantements féériques de l'application "forêt" nous tirent de nos sommeils. Il est presque six heures, hier matin, vendredi. Comme elle termine à midi et que commence le week-end, Clémentine se montre facétieuse dès le réveil. C'est en imitant l'accent Corse de Juliette qu'elle saisit ma tumescence en murmurant : << Bonjour monsieur. C'est à vous ce gros machin là ? >>. Nous rions de bon cœur. Quelques papouilles, quelques bisous avant de nous précipiter aux toilettes. Les radiateurs viennent de se mettre en fonction, il ne fait pas plus de 16° dans la maison. Car au dehors la température est descendue cette nuit à zéro degré. Dans la salle de bain nous mettons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine.

J'allume immédiatement un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, coupe les tranches qu'elle glisse dans le grille pain. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos douces folies de jeudi soir en compagnie d'Estelle. Clémentine la voit ce matin en cours. Elles pourront échanger leurs impressions. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Il y aurait quelques courses à faire mais nous pouvons très bien les faire demain, samedi, avec Estelle. << Si la météo reste merdique, on reste à la maison ! >> propose Clémentine. Je ne peux que me rallier à cette sage suggestion. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à l'entraînement. Dans notre salle d'entraînement point de chauffage. 14°.

Nous redoublons donc d'effort pour nous échauffer correctement avec l'aérobic. Les joggings sur tapis roulants où Clémentine fait ses "figures" et ses prouesses. Déconneuse à l'idée du week-end qui commence à midi, elle redouble de facéties. Je suis plié de rire à la voir courir à l'envers tout en gardant le rythme. Avec un sérieux désopilant. Buster Keaton revu et revisité version féminine. Les exercices au sol avant de passer aux charges additionnelles où ça ne rigole plus. Le retour au calme avec les étirements d'un stretching hâtif. La douche. Je descends le premier pour aller sortir la voiture. Il est presque 7 h45. Le froid est glacial. Le thermomètre extérieur indique 2°. C'est sous un ciel sinistre que Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak, capuche à fourrures.

Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire la vaisselle, notre lit. Il fait bien chaud à présent partout dans la maison. Dans l'atelier, j'allume la flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je plonge dans ma seconde nature morte de commande avec une sorte d'euphorie. Une tendance à la déconne laissée par Clémentine. Je peins avec délectation en pensant à nos folies de jeudi et à celles qui nous attendent ce week-end. Il est presque midi. Je mets deux bûches sur les braises crépitantes. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Pendant que réchauffe la grande pizza, je fais l'assaisonnement d'une salade de concombre. Il est midi trente quand Clémentine rentre de cours.

Elle me saute au cou. Son nez tout froid contre mon cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je l'emmène aux toilettes pour le rituel pisseux, le lavage des mains. Morts de faim nous courons à la cuisine. Le four de la cuisinière à bois est une fournaise. Il faut donc rester extrêmement vigilant. Sous peine de voir notre repas carbonisé. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << Estelle me demande de te transmettre ses félicitations. De sa part je dois te toucher le Zob tout le reste de la journée ! >> lance t-elle en venant terminer sa pizza assise sur mes cuisses. Rires. Nous traînons à table. Ce froid hivernal est plutôt décourageant. Nous restons hésitants. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés d'aller constater, nous redescendons.

La température ne dépasse pas 8°. Il y a un léger vent du Nord. Le ciel reste bas et morose. Nous allons jusqu'à la rivière. Clémentine propose de rester à la maison. Ce n'est pas le travail qui manque. Avec sa sagesse habituelle elle suggère de mettre à profit cette météo peu engageante pour avancer dans nos activités. Nous remontons le chemin quand nous tombons sur monsieur Bertrand. Notre voisin tient un sachet à la main. Il contient le vieux pain et les boules de graines dans de la graisse. Nourrir ses amis à plumes est une de ses passions. Nous bavardons à l'abri du vent, derrière notre maison d'amis. Louis nous raconte les travaux d'installation de ses panneaux photo voltaïques enfin terminée. Comme nous il pourra générer sa propre électricité en restant en parfaite autarcie.

Le vieux salaud reluque quelquefois Clémentine alors que je fais mine de ne pas m'en rendre compte. S'il savait, ce retraité pervers, que je suis parfaitement au "courant", en parlant électricité, de toutes ses frasques sexuelles avec ma compagne. Nous le saluons pour traverser le jardin. Clémentine se retourne. Nous le regardons descendre vers la rivière. D'un pas alerte et sportif. Alors qu'il vient de fêter ses 69 ans le 16 septembre dernier. << Et si ce vieux saligaud était notre "plan" de ce début d'après-midi ? >> me fait Clémentine en empoignant ma braguette. Je la regarde. Elle rajoute : << J'ai envie. Je peux ? >>. Je réponds : << Bien évidemment. Tu proposes quoi ? >>. Clémentine m'entraîne par la main. Nous traversons le jardin en courant pour retourner derrière la dépendance.

Là, dans l'abri à bois, nous guettons le chemin. Le retour de monsieur Bertrand. Clémentine regarde par le trou dans la porte. Par notre Gloryhole privé. Elle étudie bien ce qu'elle projette de réaliser. << Toi, tu restes caché là. Si ça dégénère tu rappliques ! >> dit elle. Ici, protégés du vent, le climat est légèrement plus supportable. Voilà notre voisin qui remonte. Clémentine sort de l'abri à bois. Elle passe par le portillon qui sépare notre propriété du chemin. Elle sautille sur place en soufflant dans ses mains. Ses gants dans la poche de son anorak. C'est ainsi que Louis la découvre. Quand il est seul en présence de Clémentine il la tutoie. << Alors ma grande, tu n'as pas froid ? Qu'est-ce que tu fais là ? Il est où ton cocu ? >> demande t-il. Clémentine le tutoie également pour répondre : << Il est déjà entrain de peindre et moi j'avais envie d'être un peu avec toi ! >>. En prononçant ces mots, Clémentine mime une fellation. Bosse dans la joue.

Le bougre ne se fait pas prier. << Là, dans le froid ? Tu ne veux pas venir dans la grange ? >> lance le retraité en se palpant la braguette. << Non, ici ! >> fait Clémentine en s'accroupissant. Le vieux salopard descend la tirette de son pantalon de gros velours côtelé brun. Je suis accroupis derrière la porte. Je vois parfaitement la scène par le trou à une dizaine de mètres. Louis extrait sa bite encore plus minuscule dans le froid. Quand il la tient entre le pouce et l'index elle disparait sous ses doigts. Il se rapproche en disant : << Ton repas est servi ma grande. Tu es une bonne salope toi, tu sais ! >>. Clémentine s'accroche au pan du gros blouson de velours de Louis. Impossible d'en voir davantage car son visage disparait totalement contre et dans la braguette du renégat. Vieux saligaud.

Il tient Clémentine par sa capuche, tirant sur la fourrure synthétique. À présent je ne vois même plus sa tête. Elle finit par tomber à genoux sur les pavés autobloquants devant le portillon. Ils sont tous deux immobiles. Le vieux salopard chuchote des trucs que je devine bien salaces mais qu'il m'est impossible de comprendre. Parfois, il relève la tête pour pousser un cri. Se cambre sur ses genoux fléchis. Clémentine que je devine sucer avec avidité reste parfaitement immobile. "Habitant" cette braguette de son visage invisible. Je me branle. L'immobilité rajoute à la pénibilité de la température. La situation perdure toutefois un bon quart d'heure. Quand le vieux salaud se retire, je distingue enfin les expressions du visage de Clémentine. Je la vois tenter de déglutir avec difficulté. En grimaçant.

Des filaments de foutre épais et gluant reliant sa bouche au mini sexe de l'affreux vicelard. Cette situation se reproduit à plusieurs reprises. C'est comme si monsieur Bertrand, en proie à des douleurs lombaires, rectifiait sa posture. Ce qui permet à Clémentine de tenter d'avaler et de pouvoir reprendre une respiration normale. Impossible de savoir quand ce vieux saligaud éjacule. Clémentine me confie souvent que ce sont d'incessantes montées de jute qui envahissent sa bouche. De plus ce retraité ignoble est incontinent. Il se retire, se redresse, en poussant un râle. << Adorable salope ! >> lance t-il alors que Clémentine se redresse. Penchée elle se masse les genoux alors que le voyou remballe et referme sa braguette en disant : << Tu l'aimes la bite du vieux Louis, hein ! >>

Clémentine, en passant une main entre ses cuisses, se cambrant à son tour sur ses jambes fléchies, répond : << Oh oui ! Mais maintenant je vais aller bouffer celle de mon homme ! >>. Louis tire un mouchoir de sa poche en rajoutant : << Et essuie toi ma grande, tu as plein de foutre autour de la ventouse qui te sert de bouche. Salope ! >>. Clémentine repousse le bras de monsieur Bertrand. << Au revoir ! >> dit elle avant de passer par le portillon qu'elle referme derrière elle. Elle fait mine de contourner la maison d'amis. Monsieur Bertrand descend le chemin sur les trois cent mètres qui le sépare de sa maison. Il y a une brume qui se lève. Je rejoins Clémentine devant la porte ouverte du garage où elle est entrain de garer son auto. << Quel porc ce type ! >> me confie t-elle.

Je la félicite. << Viens, on rentre, je suis morte de froid ! >> s'écrie t-elle en m'entraînant par la main. Je monte avec elle dans la salle de bain où elle se lave les dents une nouvelle fois. << Beurk ! >> dit elle en s'essuyant la bouche avec la serviette. Elle rajoute : << C'est tellement dégueulasse que ça m'excite rien que d'y penser ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous dévalons les escaliers pour l'atelier. Je mets deux bûches dans l'âtre. Clémentine, grignotant une pomme, reste contre moi. << Dis-moi tes impressions ? >> me demande t-elle. Je réponds : << Je te remercie pour le spectacle. Je n'ai pas arrêté de me branler ! >>. À ces mots Clémentine me pousse dans le vieux canapé de velours carmin. Elle jette un des coussins au sol pour s'y mettre à genoux entre mes jambes, pieds écartés.

<< Fais voir comment c'est chez toi ! >> lance t-elle en déboutonnant mon 501. Elle en extrait mon sexe trempé de liquide séminal. Les effets conjugués de ma masturbation et de mon excitation. << Mmmhhh ! >> s'exclame t-elle en le prenant en bouche. Je bande encore mou. Je la regarde se régaler une seconde fois d'une seconde queue. Je caresse son front. Je passe l'extrémité de mes doigts sur ses joues creusées par l'effort. Je murmure : << Tu aimes bouffer de la bite, hein, ma grande ! >>. Je parodie ainsi les paroles de Louis en essayant d'imiter sa voix rauque. Sans cesser de sucer Clémentine pouffe de rire. Elle ouvre les yeux, son expression amusée, pour me fixer. Comme elles sont belles quand elles font ça. Je vacille. Elle referme les yeux pour s'offrir sa "préférence". La pipe.

Je fais évidemment durer. Toutes les deux trois minutes, pour déglutir et pour laisser reposer sa mâchoire, Clémentine cesse. Me donne ses impressions. Me confie l'intensité émotive que lui procure les fellations "sauvages" qu'elle s'offre quelquefois avec d'autres. Sous le ravissement de ses aveux j'écoute. Je ne suis même pas obligé de poser la moindre question puisqu'elle m'apporte les réponses avant que je n'y pense. Elle retourne à sa dégustation. Cesse à nouveau. Je reviens sur différentes situations vécues. Quand je raconte celle qui me vient à l'esprit, sans cesser de pomper, Clémentine rit en gloussant. Des bulles de foutre qui éclatent aux commissures de ses lèvres. Une véritable pipe des familles qui dure un peu plus d'une heure. Je n'éjacule pas. Je préfère me garder pour le soir.

Nous consacrons le reste de l'après-midi à nos travaux respectifs. Clémentine à ses écrits, moi à ma peinture. J'aime l'entendre chantonner, se relire à haute voix. Revenir sur des séquences précises de ce qu'elle a vécu cet après-midi. Concluant invariablement sur ces mots : << J'aime trop la pipe. C'est autant cérébral que physique ! >>. Nous rions quand elle rajoute : << Autant que buccale ! >>. Il est dix huit heures. La nuit est tombée. Je propose de nous habiller en "élégants" pour aller nous offrir un bon repas dans un restaurant. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine range ses affaires. Après réflexion elle préfère rester à la maison, bien au chaud. << On se fait des spaghettis avec une sauce au Roquefort. Une salade de tomates. Et on se termine ! >> dit elle.

Nous restons encore un peu assis en tailleurs sur l'épais tapis devant la cheminée. Clémentine me parle de ses cours. Me lit quelques extraits de ses corrections. Morts de faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Pendant que cuisent les spaghettis je concocte la sauce au Roquefort. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. C'est moi qui emmène Clémentine au salon. En la portant comme une jeune mariée. C'est moi qui suis à genoux sur un des épais coussins. Mon visage entre ses cuisses à me régaler de sa journée de filles, de ses excitations. J'en ai des vertiges. Quand elle m'entraîne sur elle, je la pénètre dans une volupté ensorcelante. Nous baisons comme nous aimons. Clémentine me chuchote plein de ses secrets de fille.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se serrent contre leur complice dans d'autres voluptés toutes aussi enchanteresses...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 34 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2430 -



La météo épouvantable de notre samedi

Hier matin, samedi, il est un peu plus de sept heures quand Clémentine se blottit contre moi. Dans un gémissement elle murmure : << J'ai fait un cauchemar ! >>. Je caresse sa tête alors qu'elle enserre ma cuisse gauche des siennes pour se frotter lascivement. En couvrant son visage de bisous je chuchote : << Tu me racontes devant de bonnes tartine au miel et à la confiture d'églantine ! >>. L'impérieux besoin de pisser nous projette hors du lit pour nous précipiter aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Dans la salle de bain, nous revêtons nos ensembles lycra avant de dévaler, morts de faim, les escaliers. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Elle démarre au quart de tour en ronronnant. Clémentine fait le café, pèle les kiwis, je presse les oranges.

Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les pipes de Clémentine vendredi après-midi. J'adore quand le jour d'après, après mûres réflexions, elle me raconte ses impressions, partage son ressenti. << J'aime le foutre de ce vieux salopard ! >> me confie t-elle une fois encore. Elle a eu l'occasion d'y goûter à plusieurs reprises depuis trois ans. J'avoue à Clémentine le plaisir que j'éprouve à l'observer, planqué. Elle rajoute : << Je ne peux vraiment le faire et prendre mon pied que lorsque je te sais caché pour voir ! J'en suis accro ! >>. Nous rions de nos déviances. De nos gratifiants et excitants travers. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la matinée. C'est toujours le même chaque samedi matin.

La météo est exécrable. Il pleut, la température extérieure est de 3°. Pas de running ce matin encore. La vaisselle. Il est sept heures trente, nous remontons nous laver les dents, changer les draps de notre lit. Notre "fille de ménage" s'occupera du reste. Lise arrivera pour 8 h30. Elle a pour consigne d'entrer sans prévenir. J'ai ouvert la porte d'entrée à cet effet. Notre salle d'entraînement n'étant volontairement pas chauffée, c'est une motivation supplémentaire. Les échauffements de l'aérobic, les joggings sur tapis roulants, les exercices au sol. Les charges additionnelles. Durant les étirements du stretching nous percevons les bruits de l'aspirateur. Lise est là, déjà en pleine action. Nous allons dans la salle de bain. Notre douche. Le samedi nous pouvons prendre tout notre temps.

Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Une serviette sur les épaules elle revient sur la fellation dont elle a gratifié notre voisin. Clémentine est une authentique "folle de la pipe". Une véritable "pipo maniaque" comme elle se qualifie elle-même. Nous en rions de bon cœur. C'est à mon tour de me faire sécher les cheveux et coiffer. Vêtus de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux nous descendons. Les livraisons ne vont pas tarder. Nous croisons Lise qui sort des toilettes du bas avec l'aspirateur. << Bonjour ! >> faisons nous en même temps et en riant. Nous bavardons quelques instants. Elle est habillée d'un survêtement beige. Ses cheveux courts, auburns, encadrent son minois juvénile couvert de discrètes tâches de rousseurs.

Elle est toute petite entre nous. Souriante, cette jeune fille respire la joie de vivre, l'optimisme de ses bientôt dix neuf ans. Et de surcroît, le ménage est fait à la perfection. Nous la laissons à ses occupations pour revêtir nos anoraks. C'est sous le parapluie que nous traversons le jardin. Tout est trempé et c'est une véritable confiture de feuilles qui couvre le sol. Nous contournons le gazon en restant sur le sentier gravillonné. À l'abri de l'auvent de la dépendance, nous attendons. Il va être dix heures. Voilà l'utilitaire Mercedes blanc qui descend lentement le chemin pavé. Danièle au volant, avec un magnifique sourire, se gare derrière la petite Fiat rouge de Lise. Elle saute de sa fourgonnette en touchant nos poings du sien. << Bonjour ! Un temps de merde ! >> lance la jeune femme.

Elle contourne son véhicule. Elle ouvre les portes arrières pour y monter. En mimant une rapide masturbation masculine avant d'empoigner le cageot, Danièle s'adresse à moi en demandant : << Sinon, ça va ? >>. Nous rions aux éclats. J'attrape le lourd cageot qui contient nos fruits, nos légumes. Clémentine, en mimant une pipe, répond : << Dans l'ensemble oui, ça va ! >>. Je rajoute : << Dans le détail, ça va moins bien, il faut rester emmitoufler dans nos vêtements d'hiver ! >>. Clémentine attrape le second cageot qui contient nos yaourts, le beurre, les œufs, les pots de crèmes fraîches, de fromage blancs et toutes les spécialités fromagères dont nous raffolons. Danièle saute de sa camionnette. Elle me tend le terminal dans lequel j'introduis la carte de paiement. En me souriant coquinement.

Elle rajoute : << Je vous rappelle que je fais également des livraisons le mercredi matin. J'ai moins de clients, je suis donc moins à la bourre ! >>. Clémentine me fait un clin d'œil. C'est elle qui répond : << On note. On a vos coordonnées ! >>. En mimant une nouvelle fois une rapide masturbation masculine Danièle dit encore : << Alors n'hésitez pas ! >>. Nous la regardons s'installer au volant, démarrer. Malgré le froid, à l'abri de la pluie, je sors très vite mon Zob. J'ouvre mon anorak. Danièle fait sa manœuvre de demi tour en me regardant me branler. Elle lève le pouce de sa main en m'adressant un clin d'œil. Nous la regardons remonter le chemin. Arrivée au portail en refait ce geste évocateur avant de disparaître. << Tu as compris le message ? >> me demande Clémentine alors que je remballe. Je viens de prendre conscience que dans mon élan vicelard, je ne me suis pas dissimulé derrière le véhicule. Je n'ai pris aucune précaution !

<< On ne peut pas être plus clair, c'est une invite ! >> rajoute Clémentine en refermant mon anorak, collant ses lèvres sur les miennes. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère qui descend les pavés autobloquants du chemin. Hilare au volant, comme à son habitude. Elle se gare au même endroit. Elle saute de sa camionnette avec un << Bonjour ! >> plein d'optimisme. J'attrape le cageot contenant nos deux grosses miches de pain complet et bio. Les deux pâtes feuilletées, les bouchées à la reine, l'énorme brioche au pudding. Les deux gros croissants aux amandes. Madame Marthe a toujours d'amusantes anecdotes concernant la vie du bourg voisin. Tout le monde est vent debout contre le projet de la municipalité qui veut faire installer des éoliennes à l'entrée du village.

<< La combine est toujours la même. La communauté de commune signe des contrats qui engagent les mairies. C'est cette instance qui décide. Qui fait la pluie et le beau temps et tout le monde doit la fermer ! Un peu comme pour les pays européens ! >> explique la brave dame. J'introduis la carte de paiement dans le terminal que me tend notre boulangère. Nous signons les pétitions qu'elle nous soumet. Il est évidemment hors de question de cautionner un fonctionnement totalitaire pour de basses raisons financières. Nous ne sommes pas dupes de cette mauvaise farce des "terroristes" de l'environnement, de ces écologistes de salons parisiens. Même commande pour la semaine prochaine. Nous saluons madame Marthe qui s'en retourne vers d'autres livraisons. Nous contournons la maison avec nos cageots pour descendre à la cave par derrière. Nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères en bois du cellier.

Du congélateur où je mets une des grosses miches et une pâte feuilletée, je tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. Nous remontons par l'escalier intérieur. Lise vient de passer la serpillère partout sur les carrelages du rez de chaussée. Mais avec la chaleur dégagée par la cuisinière à bois, tout est fort heureusement déjà sec dans la cuisine. Nous l'entendons s'affairer dans le hall d'entrée. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Nous passons au salon. Assise sur mes cuisses, Clémentine allume l'ordinateur. Nous avons trois mails. Un message de ma famille d'Édimbourg. Oncle Alan reste en observation au pôle gérontologique de la ville. Nous sommes attendus avec impatience pour les fêtes de fin d'année. Le courriel de Juliette qui nous rappelle qu'elle fête son anniversaire le mercredi 15 novembre. Elle aura cinquante ans. À cet effet elle propose de décaler à vendredi soir. Et juste pour nous trois.

Le mail d'Estelle impatiente de nous rejoindre en début d'après-midi. Pendant que Clémentine répond, je glisse deux billets dans l'enveloppe jaune. 50 et 20 euros. Lise a bien passé sa "période d'essai". Elle a droit à une rémunération conséquente. Trois heures de travail méritent salaire. Elle vient d'ailleurs nous rejoindre vêtue d'une paire de jeans, d'un sweat brun. Baskets. << Et voilà. C'est un plaisir. Plus tard je veux vivre dans une grande maison comme la vôtre. Trop bien ! >> lance t-elle en faisant le tour de la grande pièce comme pour en admirer une fois encore l'ambiance victorienne. Clémentine se lève pour la rejoindre. Lui montrer les différents collections de livres anciens hérités de mes parents. Je me lève à mon tour pour contourner le bureau. Elles reviennent.

Je tends son enveloppe jaune à Lise qui s'en saisit en disant : << Merci ! >>. C'est Clémentine qui raccompagne la jeune fille jusque dans le hall d'entrée. Je lis le courriel arrivé à l'instant. C'est Maître Robert, mon notaire qui m'informe. Il y aurait un client potentiel pour les deux immeubles que je mets en vente depuis un an. Deux fois douze appartements de grands standings dont je voudrais me débarrasser avant de retourner vivre en Écosse avec Clémentine. Clémentine qui me rejoint en faisant : << Tu sais quoi ? Lise ! Elle a tout vu ! Si ! Elle t'a vu par la fenêtre de la cuisine. Quand tu te branlais devant Danièle ! >>. Je reste consterné. Je demande : << Et alors, qu'est-ce qu'elle a dit ? >>. Clémentine me fait un clin d'œil en répondant : << Rien, elle avait un sourire coquin ! >>. Me voilà soulagé. C'est mieux. Clémentine rajoute : << Une membre du "Club", c'est sûr ! >>. Nous en rions de bon cœur en quittant le salon pour la cuisine. Morts de faim.

Clémentine fait l'assaisonnement d'une magnifique laitue toute fraîche. Je prépare le bouillon. En attendant qu'il monte en ébullition pour y jeter les moules, je réchauffe les haricots verts et les petits pois dans le wok. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur ce qui s'est passé à la fois devant Danièle et devant notre nouvelle "fille de ménage". Je reste toutefois un peu inquiet. << Mais ne t'inquiète pas. Si elle revient samedi prochain, les choses seront claires ! Je t'assure elle me l'a raconté sans paraître incommodée ou choquée ! >> me dit Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Elle rajoute : << Ça m'excite de savoir qu'elle "sait" ! Pas toi ? >>. Nous en rions de bon cœur. Nous traînons à table. Dehors, rien ne change. Météo exécrable. Température n'excédant pas 8°. << J'adore quand tu es vicieux avec les autres meufs ! >> murmure Clémentine.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Les effluves parfumées du magnolia. Lise a allumé les diffuseurs d'arômes dans les pièces de l'étage. << Viens voir, regarde, elle a même fait la poussière dans l'ancienne chambre de Christine ! >>. En effet, dans cette chambre qu'affectionnait tant mon ancienne compagne disparue, j'ai recouvert tous les meubles de housses de coton blanc. Les volets fermés. C'est un peu comme un sanctuaire. Fantomatique. C'est très probablement de cette chambre que proviennent les bruits que nous entendons parfois. Curieusement, en cet automne il n'y a encore aucun phénomène. << Coucou ! >>. On entend Estelle depuis la salle de bain au fond du couloir. Nous nous précipitons. << Ah vous êtes là ! >> s'exclame t-elle en sautillant.

Nous nous retrouvons enfin ensemble tous les trois. << Depuis jeudi soir ça fait comme une éternité ! >> lance t-elle. Serrés à nous faire des bises. Nous retournons dans la salle de bain où Estelle prépare son pyjama de soie mauve qu'elle tire de son sac de sport. Une culotte, des chaussettes. "Bunny Boy", son petit lapin peluche d'un gris sale. Le doudou qu'elle trimballe depuis toute petite. << On va en ville cet après-midi ? On a quelques courses à faire ! >> propose Clémentine. << Super ! >> lance Estelle. Nous restons habillés comme nous le sommes. Levis, chemises à carreaux. Nous mettons un pull. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks, chausser nos bottines. C'est sous le parapluie géant que nous traversons le jardin, en restant sur l'étroit chemin gravillonné. Je sors la Mercedes.

Il y a vingt cinq bornes jusqu'en ville. La ruelle où nous garons l'auto. Je roule doucement. Conduite cadencée par le mouvement des essuies glaces. Clémentine joue avec ma queue. Estelle à l'arrière qui caresse mon cou en nous racontant son vendredi après-midi et son samedi matin à l'hypermarché avec sa mère. Clémentine raconte la pipe qu'elle a faite à monsieur Bertrand. << Beurk ! Comment tu fais pour sucer des vieux ! >> s'écrie Estelle. Nous rions aux éclats quand Clémentine répond : << C'est dans les vieilles gamelles qu'on fait les meilleures soupes ! >>. Estelle rajoute : << N'oublie pas, tu baises avec parrain vendredi prochain. Il rapplique pour 14 h30. Il n'aura qu'une heure. Mais attends-toi à te faire défoncer la chatte. Je l'ai eu au téléphone vendredi soir ! Il en "veut" ! >>. Nous rigolons comme des bossus.

Je gare la voiture dans la petite ruelle déserte. Il y a une dizaine de minutes en marchant vite jusqu'aux premières rues piétonnes du centre. Sous le grand parapluie que je tiens entre mes deux anges accrochées à mes bras. Il pleut. C'est décourageant. Aussi nous entrons rapidement dans un des grands magasins. Celui aux quatre étages dont le dernier est restaurant salon de thé. << Il nous faut des sachets papiers pour les deux aspirateurs ! >> précise Clémentine. Nous rions de cette considération quelque peu prosaïque. << Moi, des tampons "minis" ! >> rajoute Estelle en pouffant. C'est un peu nos occupations de ces derniers samedis après-midi pluvieux qui se succèdent. La perspective de s'offrir quelques frissons reste un objectif non négligeable pour Clémentine qui nous entraîne dans tous les rayons.

Ce sont surtout des couples qui se promènent dans les grands magasins les samedis. Il n'y a donc pas de véritables opportunités. Et Clémentine exige de l'exhibition de qualité supérieure. << Pas de trucs minables ! >> précise t-elle alors qu'Estelle se colle contre moi pour dissimuler sa main qui palpe ma braguette. << J'ai envie de faire ma salope ce week-end. Attends-toi à du sévère ! >> me dit elle. << Ah bon, toi aussi ! >> rajoute Clémentine. Nous trouvons les sachets papiers à l'étage de l'électro ménager. Les tampons "minis" au rez de chaussée dans le rayon "hygiènes féminines". Nous avons traîné là une bonne heure et demi. Le premier étage étant le plus intéressant par ses rayons consacrés à la culture. Et aux jouets. Nous adorons y flâner comme des gamins.

<< J'ai toujours préféré les Lego aux poupées. Je pouvais inventer des trucs !>> lance Estelle en palpant ma bosse. << Moi, c'était les maquettes de bateaux anciens à faire soi-même ! >> dit Clémentine. Pour moi, beaucoup plus âgé, c'était les "mécanos". Je montre les emballages aux filles qui écoutent avec attention. << Des trucs de garçon quoi ! >> s'exclame Estelle. Dans l'ascenseur, je refuse de sortir ma bite alors qu'elle appuie sur le bouton "stop". << Tu vas alerter la sécurité ! On va se faire engueuler ! >> lance Clémentine alors que je tiens Estelle par ses poignets. Pour tempérer ses ardeurs "tripoteuses". Il pleut. Nous flânons malgré tout sous notre grand parapluie. Notre salon de thé préféré nous accueille à l'étage de la grande boutique pâtisserie boulangerie.

Bien évidement avec cette météo les places sont chères. De la chance. Une table se libère sur le dernier des quatre gradins. Hélas celui du bas. << On s'en fout, de toute façon tu peux rien entreprendre tu es en pantalon ! >> dit Estelle à Clémentine qui aurait préféré le gradin du haut. Nous savourons d'excellentes "mille feuilles" accompagnées de délicieux chocolats chauds. Nous traînons à table en envisageant les turpitudes qui nous attendent la semaine prochaine. Vendredi sera plutôt chargé puisque Jean-Marc, le parrain d'Estelle, viendra baiser avec Clémentine vers 14 h30. La soirée sera consacrée à l'anniversaire de Juliette. Estelle ne viendra pas. Elle s'accorde toujours trois soirées avec ses parents. Nous revenons sur nos expériences et nos souvenirs de baises, de partouzes et de Gloryholes.

Qu'il est agréable de traîner dans la douce chaleur des magasins. Même s'il y a foule car beaucoup de gens commencent à réfléchir aux cadeaux des fêtes. Les trois marchés de Noël qui ouvriront leurs allées pour le samedi 18 novembre. << C'est la semaine prochaine je vous signale ! >> précise Estelle en palpant effrontément ma bosse sans prendre la moindre précaution. Là, dans la rue, devant la vitrine de cet antiquaire. Deux vieux messieurs discutent dans la boutique en assistant à la scène, plutôt amusés. Il est dix huit heures trente quand nous revenons à la maison. Il fait nuit noire. La pluie n'a pas cessé de la journée. Assis à la table de la cuisine nous épluchons les pommes de terres, les carottes, les navets, le céleri. La potée de légumes qui accompagnera les repas du week-end.

<< On fait quoi pour le repas de midi, dimanche ? >> demande Estelle. Yvan et Michèle viennent manger avec nous. Aussi, pragmatique comme à son habitude, Clémentine propose de faire exactement comme les autres dimanches. Des pavés de saumon avec la potée de légumes. << C'est pas con. C'est délicieux et on ne se fait pas chier ! >> s'exclame Estelle. Elle s'adresse soudain à moi en me donnant un coup de pied sous la table : << Si tu dragues ma mère, si tu lui montres ta bite, je t'arrache les couilles avec les dents ! >> dit elle. Clémentine s'écrie : << Mais tu radotes ! Tu dis tout le temps la même chose et Julien a toujours sa belles paires de roupettes ! >>. Nous rigolons comme des bossus quand Estelle rajoute : << Tu nous les montres après la bouffe, il faut que je contrôle ça de visu ! >>. L'ambiance est à l'euphorie quand je précise que j'ai quelques poussées de libido "anarchiques". << Nous aussi ! >> lancent-elles en même temps.

Accompagné de beaux filets de lieu noir que j'ai préalablement panné, d'une laitue en salade, ce repas simple est un vrai petit festin. La vaisselle. Estelle, impatiente de "contrôler" nous entraîne au salon. Le dessus de ce pauvre bureau victorien et centenaire, subit une fois encore nos assauts "guerriers". Gardant de nouvelles séquelles de nos épanchements juteux. Cette paires de couilles qu'Estelle veut m'arracher avec les dents battent la mesure sur ses fesses alors que je passe de l'une à l'autre. Je me comporte avec Estelle comme elle aime. Avec la délicatesse d'un lutteur slave. Comme un hussard avec Clémentine. Tout ça dans un déluge de jus divers et variés que nous aimons savourer entre deux assauts. Épuisés par nos plaisirs, il est vingt deux heures trente quand nous sommes sous les draps. Je suis entre mes deux anges, leurs têtes contre mon épaule, à faire le bilan de cette nouvelle soirée aux orgasmes "glorieux" et juteux.

Bonne nuit à toutes les coquines aimant se "recueillir" par quelques dernières confessions avant de s'endormir contre leur "limeur"...

Julien (artisan limeur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 35 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2431 -



Yvan et Michèle viennent manger à la maison

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Je suis entre mes deux anges. Estelle à ma droite, collée à moi toute la nuit, se serre encore plus fort. Clémentine à ma gauche se tourne pour venir se blottir. Elles se frotte lascivement contre mes hanches en gémissant. Les premiers mots intelligibles d'Estelle : << Put-Hein, il pleut toujours encore ! >>. En effet, une des deux fenêtres, celle du balcon, exposée au vent est ruisselante d'eau. Estelle se lève d'un bond en lâchant ma turgescence que saisit immédiatement Clémentine qui dit : << L'obscure objet du plaisir ! >>. En courant vers la porte dans son pyjama de soie mauve, Estelle rajoute : << Je vous attends en bas ! >>. Clémentine me masturbe doucement en me confiant à quel point c'était bien et bon.

Elle fait allusion à notre soirée de folie de samedi. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Dans la salle de bain bien chaude nous mettons nos paires de jeans, nos chemises à carreaux. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Les suaves parfums du café, du pain grillé et du feu qu'allume Estelle dans la cuisinière à bois. Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. L'énorme brioche au pudding trône au milieu de la table. Quand Estelle se rapproche pour poser ses lèvres sur les mienne en disant : << Superbe samedi soir ! >>, je passe ma main entre ses cuisses chaudes. J'adore ce réflexe féminin. Ce sursaut quand je touche son intimité. C'est tellement doux "enveloppé" dans la soie. Elle passe ses bras autour de mon cou. Premier contact.

Nous prenons notre petit déjeuner en élaborant les préparations du repas de midi. Yvan et Michèle arriveront pour midi. << On fait comme on a dit ? >> demande Clémentine. << Oui, on ne s'emmerde pas ! >> répond Estelle. Chacun aura une tâche bien définie. Ça fonctionne très bien comme ça. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos "exactions" sexuelles. << Elles s'entremêlent toutes dans ma tête ! >> lance Estelle. << On vieillit c'est normal. On devient gaga lady ! >> fait Clémentine. C'est en riant que nous dégustons nos parts de brioches. << Meilleure à chaque dimanche ! >> dit Clémentine. Dehors il pleut. La température extérieure ne dépasse pas 5°. Nous traînons à table. Mes deux anges assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille.

Elles reviennent sur nos projets de vendredi prochain. << C'est génial. On est ensemble une partie de l'après-midi. Mais je ne resterai pas longtemps. On va en ville avec maman ! >> précise Estelle. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pendant qu'Estelle s'habille, nous faisons le lit. Nous dévalons les escaliers pour mettre nos anoraks, chausser les hautes bottes en caoutchouc. C'est sous le grand parapluie que nous allons jusqu'à la rivière. Les filles accrochées à mes bras. Certains arbres sont déjà nus. Offrant leurs silhouettes sinistres aux éléments. Malgré ce froid, cette pluie, ce vent, les poules d'eau, les colverts et les canards s'ébattent comme des baigneurs insouciants sur la plage de Bandol dans le Var.

Nous remontons. Il faut ruser pour préserver le parapluie. Il y a des rafales qui pourraient l'arracher de mes mains. Nous rentrons au sec, au chaud. Il est à peine onze heures. Dans le salon, Estelle allume une belle flambée dans la cheminée. Clémentine, ses bras autour de ma taille, assise sur mes genoux, nous regardons le spectacle. Il fait tellement sombre partout dans la maison que quelques appliques sont allumées. Ces mains de bronze laitonné qui tiennent de fausses bougies. Accrochées aux murs du couloir tous les deux mètres. Aux murs du salon. Cela participe à l'ambiance très particulière de notre grande demeure. Les filles s'installent sur mes cuisses pour allumer l'ordinateur. Aucun courriel. Aussi elles surfent sur le site de l'université. Aucune information.

Un petit tour sur les messageries privées des forums où nous publions nos aventures. Il y a toujours quelques mots gentils auxquels Clémentine se fait un plaisir de répondre. De fidèles lecteurs nous suivent depuis plus de six ans. Nous entretenons avec certains des échanges suivis. Nous quittons le salon pour la cuisine. Estelle enfile son anorak pour aller dans la véranda qui n'est pas chauffée. Elle y prépare les cinq pavés de saumon en papillotes sur le barbecue électrique. Clémentine fait l'assaisonnement d'une belle et grosse scarole. Il y en aura même pour ce soir. Je remue la potée de légumes dans la vieille cocote en fonte noire. Pour éviter qu'elle n'accroche. Sur la cuisinière à bois il faut ruser car la température ne s'y contrôle pas. Sous mon tablier noué sur mes reins, ma braguette est ouverte. Ma bite à l'air qui fait une bosse suggestive. Parfois je vais rapidement vers la vitre pour y coller ma queue. Estelle qui mâte alors, jouant l'effarouchée.

Elle agite son index menaçant, me fait des grimaces, mime une masturbation masculine et me tire la langue. Clémentine qui rit aux éclats en mettant les assiettes et les couverts. C'est beau sa façon de préparer. Sur le chemin de table imprimé de motifs floraux sépias, les couverts en laitons brillent de mille feux. Il y a déjà là un peu des fêtes de fin d'années. J'ouvre le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. En revenant de la véranda avec le plateau sur lequel sont disposées les papillotes, Estelle s'écrie : << Ils arrivent ! >>. En effet, par les vitres dégoulinantes de pluie, nous voyons la voiture se garer. Yvan en sort le premier pour ouvrir le parapluie sous lequel se glisse Michèle serrée contre lui. Les parents d'Estelle traversent le jardin à toute vitesse. Estelle les accueille.

Tous les deux en Levis, en sweats, nous nous faisons des bises. Yvan et moi nous contentant de poignées de mains viriles. N'en déplaise aux wokistes, nous n'avons aucune velléité 'transgenre" dans un avenir proche. À chaque fois que nous abordons le sujet nous en rigolons comme des bossus. Estelle veut absolument faire le service. Nous sommes attablés. Michèle en face et à côté d'Yvan en face de Clémentine. Estelle assise à ma droite à gauche de son papa. Ce repas d'une simplicité déroutante reste un régal. Nous mangeons de bon appétit en parlant de l'Écosse. De la filiale de l'entreprise à Inverness. << Ça a démarré fort. Cinq employés, une directrice et je compte embaucher une personne le mois prochain. On croule sous les commandes pour les fêtes ! >> explique Yvan.

Je surprends quelquefois le regard par en-dessous que m'adresse Michèle. Elle est rusée. C'est quand Estelle bavarde avec son papa. Nous aimons ce jeu de séduction qui n'échappe pas à Clémentine qui adore. Hélas, Estelle qui surveille du coin de l'œil, me gratifie de quelques coups de pieds sous la table. Yvan, aussi complice avec sa femme que Clémentine et moi, fait mine de ne s'apercevoir de rien. Nous traînons à table. C'est quand Estelle débarrasse pour mettre les assiettes, les couverts dans le lave vaisselle que je peux enfin adresser un clin d'œil à Michèle. En massant mon tibia douloureux. Elle m'en fait un aussi. J'aimerais beaucoup faire mon vicelard, lui montrer ma bite. C'est un rituel que nous apprécions. Ils ont ramené le dessert. Une belle tarte à la poire. Superbe.

C'est au salon que nous dégustons cette pâtisserie concoctée par la maman d'Estelle. La danse des flammes dans l'âtre est un véritable spectacle. Clémentine est vautrée dans le canapé à la droite d'Yvan avec qui elle rit beaucoup. Yvan serré par Estelle sur sa gauche qui me fait de discrètes grimaces alors que je bavarde avec Michèle. Nous sommes elle et moi dans les fauteuils. Les petites assiettes, les tasses sur la table basse qui nous sépare. C'est une atmosphère très conviviale. Familiale sous certaines apparences. J'écoute plus souvent que je ne parle. Clémentine et Estelle ont passé tellement de temps ensemble durant leurs adolescences en compagnie d'Yvan et de Michèle que j'aime à écouter leurs souvenirs, les anecdotes de vacances. Les grands évènements communs. Un plaisir.

Je guette chaque instant. J'aimerais vraiment faire mon vicelard avec Michèle. Elle aussi laisse des mèches grises colorer d'argent ses cheveux noirs. C'est absolument divin. Elle ne fait pas ses 49 ans. Elle pourrait être la grande sœur d'Estelle plutôt que sa maman. Yvan non plus ne fait pas ses 50 ans. Une bonne partie de l'après-midi se passe ainsi, dans une ambiance des plus agréables. Nous nous montrons des photos sur les téléphones que nous nous faisons passer. Des souvenirs d'Écosse où nous y avons souvent photographié les mêmes lieux. Nous prévoyons d'ailleurs de passer une semaine, l'été prochain, dans leur grande maison de North Kessock à quelques kilomètres d'Inverness. Il est dix sept heures quand nous raccompagnons Yvan et Michèle dans le hall d'entrée.

La pluie n'a pas cessé. Le crépuscule s'annonce déjà. Quand je lui serre la main en lui faisant trois bises, Michèle joue de son index dans ma paume. C'est personnel mais c'est quelque chose d'éminemment excitant. Je fais pareil. Estelle ne peut pas s'en douter. Le tout ne dure que quelques secondes. Mais ça me fait bander méchamment. Clémentine garde sa main dans celle d'Yvan en lui faisant la bise. Font-ils pareil ? J'en saurai davantage ce soir, sous les draps, à l'heure des confidences. Nous les regardons traverser le jardin en contournant la pelouse pour rester sur l'étroit chemin gravillonné. Un dernier coucou. Dans le froid, sous l'auvent de l'escalier d'entrée, nous regardons la grosse Mercedes monter jusqu'au portail. Clémentine referme la porte. Estelle me plaque contre celle de la penderie. << Félicicaleçon, tu as été d'un comportement exemplaire ! >> dit elle en déboutonnant ma braguette. Je bande encore un peu mais mou.

J'avoue tout de même quand elle est accroupie pour me sortir le Zob, que j'aurais volontiers montrer mon zguegue à sa mère. De ses dents elle mordille la peau de mon prépuce en disant : << Vieux salaud ! >>. Elle se redresse. Les filles m'entraînent au salon. Me font tomber dans le canapé. Toutes les deux, à genoux sur les épais coussins, se refilent ma bite qu'elles hument, qu'elles reniflent en partageant leurs impressions. Le bilan de cet après-midi chaleureux et des plus agréables. << Alors, pue-de-la-bite, tes petits désirs exhibitionnistes non assouvis te titillent encore ! >> lance Estelle en tordant mon érection dans tous les sens. Je crie : << Aïe ! >>. Elle répond : << Tu n'as pas d'autre réponse vieux pervers ! Chochotte va ! >>. Nous rions de bon cœur alors que Clémentine commence à débarrasser la table.

Nous retournons à la cuisine pour poser cette petite vaisselle sur l'évier. Estelle qui devra nous laisser à 22 h commence à montrer les premiers signes d'une excitation galopante. Elle ne lâche ma queue que pour des actes essentiels. Murmurant à plusieurs reprises : << Vieux salaud ! >>. Je la tripote avec cette vulgarité toute particulière qu'elle apprécie tant. Cambrée sur ses genoux fléchis, pieds écartés, pour permettre à ma main de palper son intimité. N'en pouvant plus elle déboutonne son 501, saisit mon poignet pour y fourrer ma main. << C'est là que ça se passe monsieur ! >> lance t-elle alors que Clémentine se serre contre mon dos, ses bras autour de ma taille. Je dis : << Ce soir, mes coquines, je vais vous bouffer la chatte comme rarement ! >>. Elles éclatent de rire.

Clémentine prépare l'assaisonnement du reste de scarole. Estelle nous concocte sa spécialité des dimanches soirs. Une omelette aux fromages. Je remue la potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur ce bel après-midi en "famille". Mes deux anges évoquent le travail qui les attend lundi. Les cours avec deux professeurs différents. J'aime entendre et découvrir les stratégies toutes féminines qu'elles mettent en œuvre. C'est admirable de finesses, de ruses et d'intrigues. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, elles reviennent sur nos projets "sexe" de vendredi prochain. Nous en rions de bon cœur car là aussi il y a de la stratégie. La vaisselle. C'est au salon que je savoure mon dessert. Chattes juteuses.

Bonne nouille à toutes les coquines qui après s'être faites bouffer la chatte aiment à se retrouver contre leur "nettoyeur" pour lui confier leurs secrets de fille...

Julien (nettoyeur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 36 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2432 -



Un lundi de détente

Hier matin, lundi, l'application "forêt" nous réveille gentiment. De ses exquises surprises bucoliques. Printanières et dans le plus total décalage avec la réalité de notre automne morose, froid et pluvieux. Il est presque six heures. Clémentine se serre contre moi. J'aime quand elle achève de me tirer du sommeil en enserrant ma cuisse des siennes. Qu'elle imprime un léger mouvement masturbatoire de ses hanches en gémissant. Quelques bisous. Quelques papouilles. Nous courons aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos lycra sports. Les radiateurs viennent de se mettre en fonction. Ni la fraîcheur, ni le timing ne donnent envie de traîner. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. J'allume la flambée dans la cuisinière à bois. Je pèle les kiwis.

Le lundi il reste de cette délicieuses brioche au pudding. Je la mets dans le four à micros ondes quelques instants. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les points forts de ce week-end. Il y en a eu quelques uns. Clémentine évoque la fellation prodiguée à monsieur Bertrand. Évènement qui a marqué le début des festivités. Nous mangeons de bon appétit en envisageant déjà les situations qui nous attendent vendredi prochain. Il est 6 h25. Nous remontons pour notre heure d'entraînement. Les échauffements de l'aérobic. Le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Le retour au calme avec les étirements d'un stretching bâclé. La douche. Je redescends très vite pour aller sortir la voiture du garage. La faire chauffer car il n'y a que 3°.

Le jour achève de se lever à presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Emmitouflée dans son anorak. Ma belle esquimau me fait un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je m'empresse de rentrer pour faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume le feu de la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque la peinture de cette seconde nature morte de commande que j'achèverai certainement avant midi. Quelques dernières retouches dictées par mon perfectionnisme. Je peins dans l'allégresse en poussant des cris surréalistes à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. Effectivement je l'achève définitivement pour 11h.

Je dépose l'œuvre sur un autre support afin qu'elle sèche à l'abri de la poussière, sous un linge. Je mets la nouvelle toile sur le chevalet. Je peux garder les même couleurs car c'est la troisième nature morte de commande. Je m'y attelle nonchalamment car la faim commence à me gagner. Presque midi quand je place deux bûches sur les braises crépitantes. Je quitte l'atelier pour la cuisine.Je n'ai qu'à réchauffer le reste de potée de légumes. De faire l'assaisonnement d'une salade de concombre. Je poêle un dos de cabillaud blanc. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde les actualités sous l'angle de l'information non calibrée, non formatée mais au contraire objective. La manifestation de dimanche, l'absence du méprisant de la République. Lui qui a signé un contrat d'approvisionnement gaz qui lie la France durant vingt ans au Qatar. Qatar principale financeurs du terrorisme.

Il ne va pas mordre la main de celui qui le nourrit. La guerre en Ukraine qui se fait voler la vedette par celle qui ne dit pas son nom au Moyen-Orient. Les nouveaux 50 milliards offerts à Zélinsky et à son gouvernement de corrompus notoires. Alors que des centaines de milliers de français mangent aux restaurants du cœur. Sont confrontés à une austérité sans équivalentes depuis plus de soixante dix ans. J'écoute en préparant mentalement la surprise que je réserve à Clémentine ce soir. Ce sera une tarte aux courgettes et à l'aubergine. Avec une montagne de ce savoureux gruyère Suisse que nous a fait découvrir Danièle. Je lave et je coupe les cucurbitacées. Je place les tranches en dominos dans le grand plat carré en terre cuite. Je verse le mélange œuf, fromage blanc et lait de soja sur l'ensemble.

Je râpe une grosse quantité de gruyère. Je recouvre le tout. De la chapelure, des graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Dans le four électrique pour laisser mijoter longuement à 160°. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé de me dégourdir un peu les jambes, je dévale les escaliers pour enfiler mon ciré, chausser mes bottes en caoutchouc. Avec les rafales de vent, inutile de risquer de détruire le parapluie. Il pleut. C'est vraiment une météo épouvantable. Je fais tout de même les trois cent mètres qui me séparent de la rivière. Il est quatorze heures quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans la plus totale sérénité. Les heures de l'après-midi défilent hors de ma perception. C'est le bruit que j'entends qui annonce l'arrivée de Clémentine. Il est donc déjà 17 h30. Elle se précipite. J'anticipe. Je pose la palette, les pinceaux sur la desserte. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou elle me raconte.

Sa journée de cours, le repas du restaurant universitaire. << Je dois te branler de la part d'Estelle ! >> conclue t-elle en se frottant. Ses lèvres posées sur les miennes. Clémentine a encore du travail à terminer. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches la voilà concentrée sur ses écrits. Encore un de ces moments d'émulation commune hautement productifs. << Ras-le-bol de café ! >> s'écrie t-elle en se levant pour commencer à ranger ses affaires. Il est dix huit heures trente. Je nettoie la palette, les pinceaux. J'enlève ma blouse. Debout devant le petit lavabo de l'atelier, la bite posée sur le rebord, je me lave les mains. Clémentine accourt pour me la saisir, en diriger les jets en se serrant contre moi. Rituel sympathique qui est devenu la douce habitude. Très agréable.

Accroupie, suçotant la peau fripée de mon prépuce, me fixant de son regard implorant, Clémentine apprécie mes caresses. Je saisis ses cheveux pour les réunir en queue, l'aider à se redresser. Elle tient mon sexe pour m'entraîner devant la cheminée. La seule lueur à éclairer cette partie de la grande pièce. C'est un spectacle magnifique que la danse des dernières flammèches. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine découvre émerveillée ce que je tire du four électrique pour le placer dans le four à bois. Il faut surveiller. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endives. Je les lave, les coupe en morceaux. Nous mettons les assiettes, les couverts. Clémentine sort la tarte du four. Son dessus évoque celui de la surface d'un volcan en ébullition. Doré.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Clémentine revient sur des moments de sa journée de cours. Ce qui l'attend pour le trimestre prochain. Ses prévisions, ses pronostics, ses appréhensions. J'écoute. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me confie se réjouir chaque jour davantage pour les fêtes de fin d'année. Nous prendrons notre avion le dimanche 24 décembre. Édimbourg. Pour revenir le vendredi 5 janvier. Je l'écoute faire mille projets. La vaisselle. Nous quittons la cuisine pour passer au salon. Clémentine allume les deux grosses bougies du candélabre. Elles seront le seul éclairage de cette partie de la grande pièce. Nous entendons les bourrasques venteuses jeter des paquets d'eau avec violence contre les vitres des deux portes fenêtres.

Je passe derrière Clémentine pour entourer sa taille de mes bras. Je pose mes lèvres dans sa nuque, sous son oreille. Je ferme les yeux pour m'enivrer de cet instant de grâce. Je l'entend gémir. Elle aussi profitant de la douceur. Elle se retourne lentement pour passer ses bras autour de mon cou. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Ce qui me procure une érection presque instantanée. Contre la braguette de son Levis. J'adore l'entendre gémir en m'embrassant. La fougue qu'elle y met devient rapidement proportionnelle à mon degré d'excitation. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je la promène un peu dans l'obscurité. Nous allons jusqu'à l'une des portes fenêtres. La nuit est noire. On ne discerne nulle chose. Juste la flotte qui coule le long des carreaux des vitres.

Je chuchote : << J'ai envie de vous faire l'amour mademoiselle. Je sais, je ne suis pas très original. Mais veuillez accepter mes pulsions avec bienveillance ! >>. J'adore voir Clémentine rire aux éclats. Je l'emmène vers le bureau. Je la dépose au sol. Elle s'accroupit pour frotter son visage contre mon érection. Je bande comme un taureau en rut. C'est magnifique de la voir s'amuser ainsi, accrochée de ses mains aux passants de mon vieux 501. Je l'aide à se redresser pour déboutonner le sien. << Attends, ça va plus vite ! >> lance t-elle en se penchant pour retirer ses bottines, enlever ses vêtements. << Prenez-moi monsieur. Et surtout n'ayez aucun égard particulier pour ma personne ! >> dit elle en sautant d'un bond pour s'assoir sur le bureau. Pauvre bureau victorien et centenaire.

Je vais jusqu'au canapé pour prendre un des épais coussins de velours noir. Je reviens pour le placer derrière Clémentine. Ses pieds posés sur le bord, cuisses largement écartées, à titiller son clitoris géant. Je m'éloigne pour me masturber en regardant. Nous nous masturbons tous les deux en nous observant. Je suis toujours fasciné par les yeux d'un bleu tellement clair qu'ils éclairent son visage comme les phares d'un camion la nuit. Ses longs cheveux noirs encadrant son visage d'ange aux expressions d'innocence. Je ne connais pas de plus sublime stimulant à la libido. Clémentine non plus. Nous adorons faire durer. Maîtriser le plus longtemps possible nos pulsions amoureuses et sensuelles. Je la regarde comme si c'était la première fois. Le spectacle me subjugue, me fais trembler.

J'adore me sentir comme un adolescent devant sa première fois. Clémentine adore être regardée. Nous y trouvons donc tous les deux les plus profonds émois. << Viens ! >> finit elle par murmurer en s'allongeant, prenant appui sur ses coudes, me fixant de la lueur presque irréelle de ses yeux. Ils ont toujours quelque chose d'étonnant, d'impressionnant et de mystérieux dans l'obscurité. Je m'approche. Je frotte mon sexe contre le sien. Fouillant dans cette touffe dense et fournie avec l'extrémité de ma bite. Je la passe entre les lèvres charnues de sa vulve. Clémentine tient son clitoris géant entre son pouce et son index. Elle se laisse tomber sur le dos, la tête posée sur l'épais coussin. C'est l'instant le plus sublime, le plus indicible lorsque je m'enfonce, centimètre par centimètre.

Clémentine gémit avec délectation. Je la pénètre avec d'infinies précautions pour rester immobile. Je la regarde. Les yeux fermés, mordillant sa lèvre inférieure, en proie à ce plaisir qui se densifie inexorablement. Par petites contractions des muscles fessiers nous communiquons dans la plus totale intimité. Clémentine tend quelquefois ses mains afin que je l'aide à se redresser. Ses bras autour de mon cou, elle se met à bouger doucement. J'aime alors la soulever pour la promener dans toute la grande pièce. Puis revenir la déposer sur le bureau où elle s'allonge à nouveau. C'est là que Clémentine, entre deux gémissements, me confie ses secrets de fille. Ce soir il est question de Jean-Marc, le parrain d'Estelle. Il viendra ici pour la toute première fois, vendredi. Dans notre maison d'amis.

Clémentine m'avoue se réjouir pour baiser avec ce type. Ce sera la seconde fois. Nous évitons l'orgasme à plusieurs reprises car à l'évocation de ce projet nos excitations deviennent difficilement gérables. C'est absolument divin d'entendre Clémentine évaluer différentes stratégies en faisant l'amour. Elle met déjà au point les situations dans lesquelles Estelle et moi resteront cachés pour la voir se faire tringler. Jean-Marc étant un baiseur fou, les réjouissances promettent d'êtres "fesses...........tives". Clémentine se masturbe toujours lorsqu'elle est pénétrée. Je me retire préventivement car je sens que très bientôt elle ne maîtrisera plus rien. Je me précipite pour attraper la cuvette de plastique bleu. Juste à temps. En hurlant, en pissant, elle s'offre un orgasme dithyrambique.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se régalent encore un peu de la bite juteuse de leur baiseur avant de s'endormir voluptueusement dans ses bras...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Le petit monde de Clémentine et de Julien
Wednesday 15 November 2023 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 37 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2433 -



Tous les trois

Il est presque six heures hier matin, mardi. Dès le chant des premiers oiseaux qui résonnent étrangement dans une mystérieuse forêt, Clémentine vient se blottir en gémissant. L'application "forêt" est encore d'un tel réalisme que s'en est bluffant. C'est comme si nous quittions nos sommeils dans cette forêt enchanteresse. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim et impatients nous revêtons nos tenues sport. Nous dévalons les escaliers dans la fraîcheur qui règne dans la maison. Les radiateurs viennent de se mettre à fonctionner. J'allume une flambée dans la cuisinière à bois pendant que Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse les oranges, elle pèle les kiwis. Les deux croissants dans le four à micros ondes.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. << J'aime mes lundis soirs, je t'ai pour moi toute seule et c'est si bon ! >> fait Clémentine en venant terminer sa tartine au miel assise sur mes cuisses. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos douces folies. Six heures vingt cinq. Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement. L'aérobic reste l'échauffement le plus efficace. Le jogging sur tapis roulants avant les exercices au sol. Excellente mise en conditions avant d'attaquer les charges additionnelles. Les étirements d'un stretching précipité par manque de temps. La douche. C'est le rôle que je me réserve. Je dévale les escaliers pour aller préparer la voiture. Une fois encore sous la pluie. Il fait froid à presque sept heures quarante cinq. Pas plus de trois degrés.

Clémentine vient me rejoindre à l'abri de son parapluie, emmitouflée dans son anorak noir, Levis et bottines. Un dernier bisou dans ce jour qui achève de se lever. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Au chaud. Au sec. Pour faire la vaisselle, notre lit. Une fois dans l'atelier, j'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette troisième nature morte de commande me plonge dans les extases de la création. Je peins dans cet état jusqu'aux environs de midi. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il y a les restes de la tarte aux courgettes et aubergines. Je fais l'assaisonnement d'une salade de carotte. Un filet de flétan poêlé avec de l'échalote. De l'ail.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff et son invité reviennent sur les évènements de ces dernières vingt quatre heures. Bien évidement avec les révélations habituelles et proprement scandaleuses que ne dévoile aucun autre média. Mais comme je n'écoute aucun autre média c'est tous les jours un bonheur d'être réellement informé par des journalistes d'investigations qui enquêtent sur le terrain sans se contenter des "arrivages" filtrés par les directives ministérielles de l'AFP. L'Agence Française de Presse aux ordres de la doxa qui contrôle les opinions. J'écoute en préparant mentalement le repas de ce soir. Estelle et Clémentine adorent les bouchées à la reine. Moi aussi. Accompagnées de coquillettes. Mon choix est donc vite fait.

Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute de l'émincé de saumon. Ces filets sous vide qu'il suffit de déballer et de finement trancher. Tout comme les beaux champignons de Paris que je fais rissoler en même temps. Je fais bouillir les coquillettes. Je râpe une bonne quantité de gruyère Alpestre. Je rajoute la poêlée à la Béchamel avec du gruyère. Je remplis les cinq grosses bouchées à la reine avant de les disposer dans le grand plat carré en terre cuite. J'égoutte les coquillettes pour les verser autour des bouchées. Je recouvre d'une ample couche de gruyère. De la chapelure, des graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Au four électrique pour une longue cuisson à 160°. Je rajoute une grosse bûche dans la cuisinière à bois. La vaisselle. Je monte me laver les dents.

Il est agréable, quel que soit la météo, même épouvantable comme aujourd'hui, d'aller faire quelques pas dehors. Je redescends pour enfiler mon ciré, chausser les bottes en caoutchouc. J'affronte le vent et la pluie en allant jusqu'à la rivière. Épouvantable. C'est le mot très exacte pour décrire ce climat affligeant. Et ça dure depuis des jours. Il est 13 h50 quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans cette humeur extatique qu'aucune conditions météorologiques ne peut altérer. L'après-midi passe au rythme des heures qui s'enchaînent. Du bruit. Il est dix sept heures trente. Clémentine entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, en se frottant, elle me raconte sa journée de cours.

Le menu du restaurant universitaire. Elle a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches elle s'y met en chantonnant. Quel bonheur de peindre encore un peu avec sa présence. << Faut s'arrêter au stop ! >> lance t-elle soudain en se levant pour ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Dix huit heures trente. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Pendant que je me lave les mains, Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Nos rituels sont à la fois amusants, captivants et délicieusement agréables. Agréables comme cette courte petite fellation à laquelle s'adonne la fille que j'aime après avoir secoué les dernières gouttes. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes, accrochée à mon cou. Je la promène dans la pièce.

C'est dans cette promenade pleine de bisous qu'Estelle nous surprend en arrivant à son tour. Elles se sont vues en cours toute la journée. À peine ai-je déposé Clémentine que j'inflige le même traitement à Estelle. Je suis entre mes deux anges que je tiens par la taille, bite à l'air. Nous admirons la danse des dernières flammes. La seule lueur résiduelle dans l'atelier. Morts de faim nous le quittons pour la cuisine. Estelle ne lâche pas ma queue. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de concombre. Quand elles découvrent le plat magnifique que je sors du four électrique pour le glisser dans la chaleur infernale du four à bois, j'ai encore droit à un mitraillage de bises en stéréophonie. << Toi, je te fais de ces trucs ce soir ! >> lance Estelle en passant derrière moi pour secouer mon chibre. Je bande mou.

Il faut surveiller la cuisson car il suffit d'un instant d'inattention pour risquer un début de carbonisation de notre repas. Estelle, accroupie, me tournant le dos profite du reflet de la vitre de la porte du four pour observer ma branlette. J'aime trop cette position féminine qui inflige à ma psyché les plus délicieux tourments. Clémentine vient me rejoindre pour me branler. Estelle enfile rapidement les maniques en disant : << Attention, ne me perturbez pas davantage, je sors le plat ! >>. C'est un plat doré, fumant, odorant qui met nos sens à rude épreuve. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. J'écoute les filles parler de leur journée, des profs, d'Alban leur maître de thèse. Il y a toujours une foultitude d'amusantes petites anecdotes. Nous traînons à table. Mes deux anges sur mes genoux.

Il n'est pas possible d'occulter cette météo pitoyable. << Que vont encore nous inventer nos écologistes de salons parisiens pour justifier l'augmentation du prix de l'eau, alors qu'il ne cesse d'en tomber ! >> lance Estelle. << Oh ils ne sont même plus obligés de trop se creuser la tête. Avec un peuple de tels cons n'importe quel prétexte passe ! >> s'écrie Clémentine. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon accrochées à mes bras. << Es-tu prêt au pire ? >> me demande Estelle en saisissant ma biroute toute molle. << Le pire du pire ? >> rajoute Clémentine. Je comprend rapidement que durant leurs repas de midi au restaurant universitaire, elles n'ont pas seulement parlé de leurs études. Mes deux anges me lâchent pour retirer leurs bottines, leurs paires de jeans, leurs culottes. Mes "complotistes" avaient soigneusement préparées leurs "coups".

Pauvre bureau victorien et centenaire. Tu vas encore subir les assauts de nos tribulations sexuelles. Seules les deux grosses bougies du candélabre éclairent cette partie de la grande pièce. Les filles récupèrent deux des épais coussins du canapé qu'elles posent sur la surface du bureau. Sur le sous main de vieux cuir beige qui craquelle avec les années. Je reste distant. Je les regarde s'installer toutes les deux. Assises sur le bureau, me fixant de leurs regards suggestifs, par en-dessous. Je me masturbe. << On est au spectacle tous les trois. Et c'est génial ! >> dit Estelle qui s'installe plus confortablement en se touchant la première. Clémentine fait de même. À peine un mètre les sépare toutes les deux. Leurs pieds à présent relevés, posé sur le bord du meuble. Leurs cuisses bien écartées.

Il est tout à fait impossible de se lasser d'un tel "show". Le genoux droit d'Estelle contre le genoux gauche de Clémentine. En appui sur leurs bras gauches, elles se touchent de la main droite. Nous pourrions nous contenter d'une "soirée branle" tellement c'est bon. Clémentine en fait l'appréciation. Estelle propose de faire durer un peu. Je trouve la suggestion excellente. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il nous reste une heure trente de "jeux". << Tu nous filmes avec mon téléphone ? Il est dans la poche de mon Levis ! >> lance Estelle. Je vais le tirer du vêtement. Clémentine cache son visage avec ses cheveux. Je filme mes deux anges entrain de se branler. Dommage que je ne puisse immortaliser les expressions d'extase sur les traits de Clémentine. Car ils sont identiques à ceux d'Estelle.

Un petit film d'une durée qui n'excède pas quelques minutes. Je tourne autour du bureau pour saisir l'image sous tous les angles. Je rejoins mes deux coquines. Nous regardons le résultat. Avec le peu de luminosité il y a du "grain". Ce qui rajoute un petit côté "porno amateur" qui nous fait rire. Estelle m'attrape par le bras. << Tu me la mets ! >> lance t-elle en me positionnant. Je frotte mon sexe contre le sien. D'abord en appui sur ses coudes elle s'allonge rapidement, la tête posée sur le coussin. Je la pénètre toutefois avec délicatesse. Je suis très excité mais parfaitement maître de mes actes pondérés et mesurés. Ce n'est qu'une fois complètement enfoncé que je la baise à la hussarde. Je passe une fois encore de l'une à l'autre. Pénétrées ou non, toutes les deux se masturbent.

Même si nous pratiquons à la façon d'un autre de nos rituels, il est impossible d'en prendre l'habitude. Il y a tant de variantes. Ce soir par exemple je promène mes deux anges à tour de rôle dans la grande pièce. Pénétrées jusqu'aux couilles, au risque de trébucher dans la pénombre. L'orgasme d'Estelle doit être de onze sur l'échelle de Richter qui n'en comporte que dix. L'orgasme pisseux de Clémentine emplit la cuvette d'un tsunami qui la fait hurler. Estelle veut absolument me sucer. Aussi, dès qu'elle reprend ses esprits, c'est à genoux qu'elle me tient fermement de ses mains à mes fesses. Clémentine encore complètement hébétée, en sueur, observe cette pipe comme si c'était la première. J'ai beau vouloir me concentrer, me contenir pour lui réserver mon foutre sous les draps, c'est dans la bouche d'Estelle que j'éjacule en hurlant, me tenant à Clémentine pour ne pas tomber. Trois saccades, un déluge de sperme que se goinfre Estelle. Deux giclées, des gouttes que suçote Estelle en gémissant de contentement.

Bonne nuit à toutes les coquines épuisées qui se blottissent contre leur distributeur de foutre, sous la couette pour plonger dans un sommeil réparateur. La chatte peut-être encore sensible au touché...

Julien (distributeur de foutre)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
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Fleur - 38 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2434 -



La soirée avec Juliette

Le gazouillis des oiseaux qui précède leurs chants. La source qui s'écoule. Le tout dans une étrange résonance. L'application "forêt" nous réveille de ses fééries. Ce sont nos deux téléphones, posés sur nos tables de nuit. Cette stéréophonie est d'un réalisme étonnant. Il est presque sept heures hier matin, mercredi, quand Clémentine se couche sur moi pour me couvrir le visage de bises. << Je t'aime. On va être ensemble toute la journée ! >> murmure t-elle en se frottant lascivement sur mon érection naturelle. Hélas l'impérieux besoin, tout aussi naturel, nous précipite aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Dans la salle de bain nous revêtons nos lycra de gym. << C'est génial de pouvoir dormir une heure de plus ! >> fait encore Clémentine en s'accrochant à mon cou.

Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café. Je presse les oranges, elle pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de la veille. << Celles du mardi soir diffèrent légèrement de celles du jeudi ! >> précise Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Juliette ce soir. << On se fait un gratin de pommes de terre. Ça te dit ? >> demande Clémentine. Je trouve la suggestion parfaite. Juliette adore et l'automne tout comme l'hiver sont les saisons des gratins. Il est sept heures trente. La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure de sport. La température extérieure n'est que de 5°. Les pluies de la nuit ont encore tout détrempé.

Nous n'avons pas le courage d'aller courir. Les échauffements de l'aérobic, le jogging sur tapis roulants et les exercices au sol remplacent très bien le running. Les charges additionnelles avant le retour au calme d'un bon stretching. Fait correctement quand le timing le permet. La douche. Nous prenons tout notre temps. Habillés de nos Levis, de nos sweats, nous redescendons pour aller directement dans l'atelier. Ses activités d'écritures attendent Clémentine qui prépare ses affaires, allume son ordinateur pendant que je fais prendre une magnifique flambée dans la cheminée. Installés à nos postes de travail nous savourons ce bonheur d'être ensemble. Je prépare les couleurs sur la palette. Je me plonge avec volupté dans la peinture de ma troisième nature morte de commande.

Je peins dans la plus parfaite félicité. Parfois je me lève pour me placer derrière Clémentine. En plein télé travail. Je passe mes doigts dans ses cheveux à la manière d'un peigne. Elle n'est pas déconcentrée en murmurant : << J'adore ! >>. Il faut murmurer car elle est en connexion directe avec quelques membres de son groupe d'étudiants dont Estelle que je vois quelquefois apparaître sur l'écran. Puis d'autres visages inconnus. Personne ne peut me voir puisque debout je reste invisible. C'est amusant. Il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Morts de faim nous quittons l'atelier pour la cuisine. Le ciel s'est enfin dégagé. Il y a même quelques déchirures de nuages qui permettent d'en entrevoir le bleu. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une salade de tomates et d'avocat.

Il suffit de réchauffer les deux bouchées à la reine dans la fournaise du four à bois. Je commence déjà à éplucher les patates, à les laver pendant que Clémentine met les assiettes et les couverts. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la présence de Juliette ce soir. Elle est née le 15 novembre 1973. Nous fêterons donc son anniversaire une première fois et une seconde fois vendredi soir chez elle. << 50 ans ! On lui en donne dix de moins ! >> lance Clémentine. Nous ne traînons pas. Il faut encore éplucher quelques pommes de terre, les laver avant de les couper en tranches et de les ébouillanter une petite minute dans l'auto cuiseur. Nous les disposons en dominos dans le grand plat carré en terre cuite. J'y verser le liant. Ce flan à base d'œufs, de fromage blanc et de lait de soja.

Clémentine recouvre d'une grosse couche de gruyère Alpestre. De la chapelure, des graines de sésame grillé. Je compte très exactement cinquante cerneaux de noix que nous disposons parallèlement par carrés de plus en plus petits. Dans le four électrique pour une lente cuisson à 160°. Pendant que Clémentine saisit des filets de saumon à la poêle, je concocte une sauce au Roquefort. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises à chaque fois que nous nous croisons. Je rajoute le saumon finement émincé à la sauce. Je retire du feu pour laisser reposer sous un couvercle. Nous dévalons l'escalier pour descendre à la cave. Dans le cellier pour retirer une belle tarte aux noix meringuée du congélateur. Nous remontons pour la mettre près de la cuisinière à bois. Elle pourra décongeler au chaud.

Nous montons nous laver les dents. Il y a des séquences d'ensoleillement. Pressés d'en profiter nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. La température est de 12°. Le vent reste assez fort. Main dans la main nous allons jusqu'à la rivière. Les eaux sont à leur niveau maximal. Bourbeuses, tourmentées, charriant des quantités de feuilles, de branchages qui s'entremêlent. Le bonheur des castors que nous entrevoyons parfois. Il y a des ragondins qui font leur apparition. Espèce invasive dont les seuls prédateurs restent l'alligator et le puma. C'est dire si leur présence est inquiétante. Notre voisin, monsieur Bertrand, a l'autorisation de la municipalité de les tirer à vue. Et il excelle dans le tir à la carabine. Nous l'entendons même quelquefois faire des "cartons".

Il est quatorze heures quand nous sommes de retour dans l'atelier. Le ciel s'obscurcit à nouveau. Nous obligeant à travailler sous les lampes à halogène. Les heures passent vite. Il est dix sept heures quand Clémentine se lève en s'écriant : << Hasta la vista baby ! >>. Nous rions quand elle rajoute : << I'll be back ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux pendant qu'elle range ses affaires. Devant le petit lavabo de l'atelier, tenant ma bite pour en diriger les jets, Clémentine me confie à quel point nos mercredis l'enchantent. Je me lave les mains en regardant l'expression de son visage quand elle reste consciencieusement à viser le trou rond du fond ou le rectangulaire du trop plein. Ça fume sous le filet d'eau bouillante. Accroupie, elle se régale des derniers épanchements qu'elle pompe.

Le crépuscule s'annonce. La pluie s'est remise à tomber. Couchée sur le dos, sa tête posée sur ma cuisse, nous sommes confortablement installés dans le vieux canapé en velours carmin. Juste les crépitements dans la cheminée. Je caresse délicatement les sourcils de Clémentine. Les yeux fermés, elle savoure ces instants de retour au calme. Nous restons silencieux. Sa joue contre ma queue dont la peau fripée du prépuce colle à la sienne. Elle y frotte sa pommette. Je caresse son front, ses cheveux. Elle ouvre les yeux pour dire : << On tend un piège à Juliette ce soir. J'ai une idée ! >>. Elle me fait un clin d'œil. J'écoute avec attention. Elle continue : << Je vais l'accueillir. Toi, tu nous attends au salon. Tu te branles. Nous te rejoignons. Tu te comportes en pervers juste avec moi ! >>

En écoutant ce développement scénaristique surréaliste, je commence à bander. Toujours contre la joue de Clémentine qui tourne la tête pour y déposer des bises. Elle rajoute : << On va voir sa réaction. Peut-être aura t-elle envie de la pipe d'anniversaire ! >>. Nous rions aux éclats. Je dis : << La connaissant elle préfèrerait certainement une baise d'anniversaire ! >>. Clémentine se redresse en lançant : << Non, je ne veux pas que tu baises avec elle. Après ce ne sera plus jamais la même chose. Elle prend vite des habitude cette vieille nymphomane ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je réponds : << C'est vrai je suis déjà en perpétuelle présence d'un parfait spécimen, souvent de deux. Inutile de m'exposer aux problèmes cardiovasculaires ! >>. Nous restons pliés de rire.

Clémentine se positionne sur le côté. En appui sur son coude avant de s'allonger plus confortablement avec mon sexe dans la bouche. Je me fais tailler une pipe des familles. Tout en caressant sa nuque je donne ma version du scénario de la soirée. Riant en gloussant Clémentine suce. Parfois elle cesse pour donner son avis. J'ai le droit d'avoir quelques élans tactiles avec notre invitée. Clémentine adore quand j'ai un comportement de satyre avec d'autres femmes. Surtout quand elles sont complices. Il est dix huit heures trente. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Juliette adore notre grande cuisine qu'elle compare à celle d'un manoir. Pendant que je mets les assiettes et les couverts sur le chemin de table aux motifs sépias, Clémentine pique cinquante petites bougies mauves sur la tarte aux noix dont la meringue est à présent molle. C'est du plus bel effet. Par mesure de précaution il est préférable de réchauffer le gratin au four électrique.

Je suis prié d'aller préparer ma "surprise" au salon. Juliette ne pas plus tarder. Elle arrive le plus souvent avec un peu d'avance. Clémentine a vu juste. Car à peine je quitte la cuisine en tenant mon érection que les trois coups de sonnette fatidiques se font entendre. Nos intimes ont pour consigne d'entrer sans attendre. Ils sont un peu chez eux dans cette grande demeure qu'ils affectionnent. Je me précipite au salon. J'hésite. Branlette debout ou vautré dans le canapé ? J'aimerais l'avis de Clémentine mais je l'entends recevoir Juliette. J'improvise. J'ouvre mon 501 que je descends à mi cuisse avec mon slip. Je bande comme le dernier des salauds. Je sens mon cœur battre la chamade dans ma poitrine. Jusque dans mes tempes. Mon excitation est terrible. Grandissante. Immense.

Ça dure. C'est extraordinaire. Affreusement stimulant. Je me branle, cambré sur mes genoux fléchis quand Clémentine entre la première. Comme abasourdie par ce qu'elle découvre. Suivie de Juliette vêtue d'élégante manière à la façon d'une secrétaire de direction. Un tailleur noir, une veste blaser noire sur un chemisier blanc, une cravate noire. Des bas noirs, chaussée d'escarpins noirs à talons hauts. Elle aussi marque un temps d'arrêt, comme consternée par ce qu'elle voit. J'accélère le mouvement métronomique de mon poignet. La pignole sévère. Je dois être tour rouge et en sueur. Le silence est total. Juste le vent au dehors. Clémentine, trop excitée par cette situation qui va au-delà du scénario prévu, se touche. Juliette trouve enfin les mots. << Bonsoir. Quelle surprise ! Je dérange ? >>

J'agite ma turgescence en disant : << Bonsoir Juliette et bon anniversaire ! >>. Elle avance d'un pas hésitant pour s'approcher. S'accroupir. Son visage à un mètre de mon érection démente. Clémentine se touche à présent avec la main dans son 501. Elle m'adresse un clin d'œil. Juliette se redresse. Je cesse pour m'approcher. Je pose mes mains sur ses épaules pour lui faire trois bises en répétant : << Bon anniversaire Juliette ! >>. Ravie, enchantée, retrouvant toutes ses facultés, ou faisant semblant de les avoir perdu, elle répond : << Merci pour cet accueil. Je suis très touchée ! >>. J'avance ma main pour la coller à l'endroit de son sexe. Sur sa jupe tailleur en disant : << Oui, vous voilà touchée ! >>. J'adore ce réflexe, ce sursaut qu'ont toutes les femmes quand on les surprend ainsi. Juliette, surprise, me fait à son tour trois bises. << Et si on passait à table ! >> lance Clémentine. Juliette saisit mon poignet. Je palpe.

Elle bloque ma main pour demander : << C'est une répétition pour vendredi soir, n'est-ce pas ? >>. Je réponds : << Oui, une "générale" avant la représentation ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine vient me rejoindre pour passer son bras autour de ma taille. Marquant ainsi son "territoire", sa "propriété". Je remonte mon slip puis mon Levis. Nous quittons le salon pour la cuisine. Nous n'avons pas entendu la sonnerie du four. Aussi Clémentine se précipite pour en ouvrir la porte. Tout va bien. Elle en sort un plat doré à souhait, fumant, merveilleusement parfumé. Juliette apprécie nos attentions. Les cinquante cerneaux de noix qu'elle compte en pointant chacun de son index. Elle contourne la table pour faire une bise à Clémentine puis à moi. Nous mangeons de bon appétit en riant.

Ma "surprise" a beaucoup émue notre invitée. Elle en rit entre deux phrases. Je me lève pour agiter mon sexe mollasse dans sa direction. Juliette reste alors silencieuse, mâchant en observant mon chibre. << Vendredi, c'est moi qui réserve une surprise. Je vous attends pour dix neuf heures ! >> lance t-elle. Lorsqu'elle découvre les cinquante bougies qu'allume Clémentine sur la tarte aux noix, Juliette s'écrie : << C'est génial. Ça me touche, vous n'imaginez pas ! >>. Je contourne la table, je veux avancer ma main en disant : << Oui, vous êtes touchée ! >> quand elle attrape mon poignet en faisant : << Vendredi soir ! >>. Elle se cambre sur ses genoux fléchis pour se toucher, vulgairement en rajoutant : << Je suis trop excitée et il est déjà 21 h ! >>. Elle devra partir à 22h.

Juliette ne veut surtout pas souffler les bougies. << Par hygiène. C'est comme ça qu'on se refile des merdes en hiver ! >> précise t-elle. Nous adhérons parfaitement à ce principe élémentaire de prudence. Par contre, avec le pouce et l'index qu'elle mouille de salive, elle mouche chacune des cinquante bougies. En les comptant : << Une, deux, trois... >>. Clémentine, serrée contre mon dos, ses bras autour de ma taille, jouant avec ma queue, nous admirons ce spectacle. Juliette, une fois les bougies éteintes se positionne sur un des coins de la table. En appui sur ses mains elle y frotte son sexe. Gênée par l'étroitesse de sa jupe droite. << C'est génial de fêter mon anniversaire dans l'intimité avec les gens que j'aime ! >> dit elle avant de s'assoir. Nous savourons notre dessert en revenant sur nos souvenirs communs. Les Gloryholes...

Bonne nuit à toutes les coquines bien "allumées" par une soirée sous "tension" qui de font sucer le clitoris avant un bon orgasme et un bon dodo...

Julien (suceur de clitos)



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Fleur - 39 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2435 -



Quand Estelle revient en soirée

L'application "forêt" nous enchante et nous réveille en ce jeudi matin. Il est presque six heures hier quand nous sommes tirés du sommeil par le gazouillis des oiseaux, l'écoulement d'une source. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Quelques papouilles, quelques bisous avant de courir aux toilettes. Dans la salle de bain nous mettons nos tenues sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café, j'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Je presse les oranges, elle pèle les kiwis. Apports de vitamines C non négligeables qui couvrent très largement les besoins de la journée. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en compagnie de Juliette. Son anniversaire. Clémentine dit : << J'ai adoré ton comportement au salon ! Fais ça plus souvent rien que pour moi ! >>

Nous en rions de bon cœur. Elle rajoute : << Et Juliette également. Tu as vu son attitude ? >>. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le vendredi et la soirée qui nous attend. Nous fêterons une seconde fois les cinquante ans de Juliette chez elle. Je précise : << Après t'être faite baisée l'après-midi par la "machine" Jean-Marc ! >>. Nous rions. << Arrête, j'ai toujours cette appréhension avant les passages à l'acte ! >> s'écrie t-elle. Il est six heures vingt cinq. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Depuis une demi heure que les radiateurs fonctionnent, il commence à faire bien chaud dans la maison. Sauf dans notre salle d'entraînement et dans la chambre à coucher. Volonté délibérée pour un meilleur confort de vie. Les 10 ° qui règnent là sont une motivation supplémentaire.

L'échauffement de l'aérobic. Le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol. Ça met en parfaite condition pour les charges additionnelles qui imposent des mouvements à amplitudes réduites. Le retour au calme des étirements du stretching avant la douche. Je descends pour aller faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Il pleut. Le jour achève de se lever. La météo est encore sinistre. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue sous son parapluie. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou et je me dépêche de rentrer au chaud, au sec pour faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume le feu de la cheminée. Confortablement installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "et moi, et moi" de Jacques Dutronc.

Jacques Dutronc dont la biographie vient d'être publiée et que j'ai l'intention d'acheter. J'aime bien ce type. J'attaque la troisième nature morte de commande dans les toutes meilleures dispositions d'esprit. Je peins dans un enthousiasme débridé qui me fait chanter "les cactus" ou encore "les playboys" dans l'allégresse la plus déconnante. Il est rapidement midi. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les restes du gratin de pommes de terre et de sauce au Roquefort. Juste l'assaisonnement d'une salade verte dont je lave les feuilles également pour ce soir. C'est une préparation rapide. Surtout que je réchauffe le tout grâce à la chaleur infernale de la cuisinière à bois. Vieille "locomotive" sur laquelle je peux compter tous les hivers.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde quelques sujets d'actualité. Notamment celui de l'usage totalitaire de l'article 49.3 dont use une première ministre aux ordres d'une hiérarchie tout aussi despotique. Mais après tout, ce peuple n'a t-il pas les tortionnaires qu'il mérite ? Puisqu'il les place sur les trônes dorés depuis lesquelles leurs "Maîtres" les gifles jour après jour avec de nouvelles contraintes. Un peuple qui aime l'humiliation au point d'en redemander tous les cinq ans. Un carnivore à qui l'on inflige un tourment continu finit par mordre. Mais il a un instinct de survie, lui. Pas les moutons. J'écoute en préparant mentalement le nécessaire des bouchées à la reine que je vais préparer pour le repas de ce soir. J'en connais deux qui vont en êtres enchantées.

Je concocte une Béchamel. Je coupe des filets de saumon pour les poêler avec des champignons. Je fais bouillir les coquillettes. Je râpe du gruyère Suisse. Je rajoute le contenu de la poêle dans la Béchamel en y rajoutant du gruyère. Je remplis les cinq grosses bouchées à la reine de cette savoureuse garniture. Je les dépose dans le grand plat carré en terre cuite. J'égoutte les coquillettes que je verse tout autour. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. J'en mets partout parce que c'est tellement bon. Au four électrique pour laisser mijoter longuement à 160°. La vaisselle. Je monte me laver les dents dans une sérénité déconneuse. De savoir que ma surprise du soir est en pleine cuisson me rend serein.

Pressé d'aller faire quelques pas je redescends très vite pour enfiler mon ciré, chausser mes bottes en caoutchouc. Il pleut. La température extérieure est de 10°. Je traverse le jardin pour entrer dans la maison secondaire. Des festivités vont s'y dérouler demain. Je vais donc faire un peu de ménage. C'est amusant d'aborder cette tâche de façon ludique. Je retire mon ciré. Dans la cheminée je froisse des feuilles de papier journal. Je recouvre de petits morceaux de cageots brisés en mille morceaux. Des branchages secs. Deux bûches de bois de hêtre. Ainsi, demain, il n'y aura plus qu'à allumer. Armé d'un plumeau, je fais la poussière. Comme il fait plutôt froid, je m'active. Seul un "hors gel" permet au 6° de se maintenir tout l'hiver. Je passe l'aspirateur. Je monte à l'étage.

Pas question d'y faire le ménage, il faudrait y consacrer deux heures. Et rien n'est prévu dans la chambre, la cuisine et la salle de bain du haut. Je vérifie toutefois le bon fonctionnement des robinets, des plaques électriques de la chasse d'eau. Tout est parfait. Je redescends. Content du résultat je fais un contrôle des batteries. Les panneaux photovoltaïques sur le toit de la dépendance fonctionnent parfaitement. Ainsi que ceux du sol. Nous sommes producteur du courant que nous utilisons et nous en revendons même à EDF. Je quitte la maison serein. Tout est OK pour demain. Il est 14 h30 quand je suis installé devant mon chevalet. Je termine probablement cette toile en fin d'après-midi. Un après-midi qui passe dans la plus totale félicité. Du bruit. Clémentine rentre de cours.

Jetant son cartable dans le fauteuil à bascule, c'est en sautillant qu'elle vient me rejoindre. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Le temps réellement pourri qui l'afflige et son impatience d'être en week-end dès demain, vendredi à midi. Clémentine a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle chantonne. Il est dix huit heures trente quand elle se lève pour ranger ses affaires. << Là, ça suffit ! >> dit elle. Je viens de terminer ma toile. Je nettoie la palette, les pinceaux. Le rituel pisseux. Elle vient me rejoindre devant le petit lavabo de l'atelier où je me lave les mains. Tenant ma bite pour en diriger les jets elle me dit : << Toute l'après-midi j'ai pensé à demain pendant les cours. J'ai un peu la trouille ! >>

Je la rassure. << Je serai caché dans le placard. J'ai d'ailleurs fait un peu de ménage et de rangement dans la maison secondaire ! >>. Clémentine, s'accroupissant pour savourer les derniers épanchements, s'écrie : << Je t'aime ! >>. Je la regarde suçoter avec cette expression d'extase qui illumine ses traits. Je l'aide à se redresser pour la prendre dans mes bras. Du bruit. Alors que nous nous embrassons Estelle surgit dans l'atelier avec cette énergique et dynamique besoin de nous retrouver. Elle me fait la bise et découvre ce que Clémentine tient dans la main. << J'arrive toujours au bon moment ! >> lance t-elle en s'accroupissant. Clémentine lui tend ma queue en l'agitant sous son nez. Estelle en hume les parfums avant de se la goinfrer quelques instants. Gémissante.

Elle se redresse. Passant sa langue sur ses lèvres, elle dit : << Mmhh, pas dégueu ce soir ! >>. Nous en rions de bon cœur. << Raconte à Julien les coups de pistons que tu t'es ramassée toute ta soirée de mercredi ! >> fait Clémentine. << Jean-Marc est tout simplement une machine à baise ! >> répond Estelle en gardant ma bite dans la main. Elle me fait un rapide topo. Comme tous les mercredis soirs son parrain est venu la niquer. << Cette fois dans le dépôt, sur une pile de cartons ! >> rajoute t-elle. Estelle s'adresse à Clémentine pour préciser : << Tu vas en avoir une démonstration demain après-midi. Tu vas encore voir de quoi cet enfoiré est capable ! >>. À ces mots Clémentine se serre contre moi, me prend dans ses bras en disant : << Je suis morte de trouille tu sais ! >>

<< Et pas morte de faim ? >> demande Estelle qui me tord soudain la bite avec force. Comme je bande, c'est douloureux. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand mes deux anges découvrent ce que je tire du four électrique pour le mettre dans le four à bois, j'ai encore droit à une sorte de "triomphe". Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Estelle met les assiettes, les couverts. Je passe derrière elle. Je la tiens par la taille en demandant : << Le petit contrôle du jeudi soir après la bouffe ? >>. Estelle tourne la tête, dépose un bisou sur mes lèvres qu'elle lèche d'un coup de langue avant de répondre : << Je n'osais pas aborder ce délicat sujet ! >>. Nous en rigolons comme des bossus quand Clémentine rajoute : << Ta chatte est un sujet délicat maintenant ? >>

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos frasques. Pour ce week-end Estelle suggère le visionnage d'un de nos anciens films. Elle en possède vingt et un. << Une bonne soirée cinéma en redécouvrant un de nos chefs d'œuvres passés ! >>. Nous applaudissons à cette idée. Estelle rajoute : << Vous savez, le premier qu'on a tourné dans le grenier, quand j'étais attachée et tourmentée par "Maître Julien" ! >>. Elle se lève pour appuyer son propos en mimant une masturbation masculine. Clémentine rajoute : << Et le plafond s'en souvient. Tu sais la tâche de pisse sur les moulures dans la chambre ! >>. Estelle joue la fille gênée, prise en défaut avant de répondre : << J'ai pas fais exprès. Je devais faire pipi très fort ! >>. Debout, les deux mains entre ses cuisses serrées elle nous lance un regard de petite fille innocente. Je dis : << Quand on a tourné ce film tu n'avais que 20 ans. Je suis impatient de te revoir il y a six ans ! >>

Nous ne traînons pas. Estelle devra nous laisser pour vingt deux heures. La vaisselle. Estelle m'entraîne par la queue comme par une laisse jusqu'au salon. Sous les rires de Clémentine car dans cette situation je suis obligé de marcher comme un con. << Un gogol ! >> lance Estelle. À peine sommes-nous dans la grande pièce que mes deux anges, dans l'obscurité, retirent leurs bottines, leurs Levis, leurs culottes. Pendant que j'allume les deux grosses bougies du candélabre. Toutes les deux, vautrées dans le canapé, cuisses largement écartées, ont même préparé les épais coussins au sol, sur le tapis. C'est par le minou d'Estelle que je commence notre rituel des jeudis soirs. Je passe de l'une à l'autre. Elles partagent leurs impressions en se faisant sucer ou en se masturbant. Je me régale.

Bonne nouille à toutes les coquines qui, sous les draps, vont se régaler de celle de leur lécheur. Une nouille juteuse, biologique, sans pesticide qui se savoure sous la couette avant de plonger dans les profondeurs du sommeil...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Les rebondissements d'un vendredi après-midi

Hier matin, il est presque six heures quand nous sommes arrachés à nos profonds sommeils. Les illusions bluffantes de l'application choisie nous réveille dans une profonde et mystérieuse forêt. En gémissant Clémentine se serre contre moi. Elle murmure d'incompréhensibles logorrhées qui nous font rire. Comme souvent les vendredis, au levé, l'euphorie la gagne. Comme son week-end commence à midi, Clémentine se lâche dans des facéties qui me font marrer. Quelques bisous, quelques papouilles et nous cavalons aux toilettes. Dans la salle de bain nous enfilons nos lycra de sport. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café, me racontant ses rêves en imitant l'accent Corse de Juliette, j'allume la cuisinière à bois. Je suis plié de rire.

Elle pèle les kiwis, je presse les oranges en comprenant enfin ce qu'elle dit. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les "contrôles" du jeudi soir. Les orgasmes qui s'en suivent. Nous mangeons de bon appétit en évoquant ce qui nous attend cet après-midi et ce soir. Clémentine reprend soudain un air grave pour dire, d'un ton solennel : << J'ai la trouille ! >>. Je la rassure, tout se passera très bien. Nous en rions de bon cœur. Six heures vingt cinq. Nous remontons. L'heure de l'entraînement dans notre salle pas chauffée. Il faut donc s'échauffer avec l'aérobic et un jogging sur tapis roulants. Pour les exercices au sol c'est parfait. Pour les charges additionnelles c'est encore mieux. Avant les étirements d'un stretching bien trop précipité par manque de temps. Puis vient la douche.

Je redescends le premier pour aller sortir la voiture du garage. Presque sept heures quarante cinq. Le jour achève de se lever dans la morosité habituelle d'une matinée pluvieuse. Clémentine, sous son parapluie, vient me rejoindre. Chaudement vêtue car les quatre degrés ambiants sont éprouvants. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre à toute vitesse me mettre au chaud et fuir la pluie. Je fais la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'aime y allumer une flambée dans la cheminée. Malgré l'humidité, l'hygromètre affiche 76 % d'humidité relative, le tirage reste parfait. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je m'attelle ce matin à la peinture de la quatrième et dernière nature morte de commande. Un vrai plaisir.

Je peins dans cette douce euphorie laissée par Clémentine. La matinée passe encore sans que je n'ai notion du temps. C'est la faim qui reste l'indicateur temporel lorsque midi approche. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les deux grosses bouchées à la reine et les coquillettes dans la fournaise du four à bois. Je fais l'assaisonnement d'une salade de concombre. Je surveille la cuisson. Il n'y a ni thermostat ni minuterie dans un four à bois. Je mets les assiettes, les couverts. Il est midi trente quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. C'est ainsi que je l'emmène aux toilettes. Le rituel pisseux et le lavage des mains. Avec plein de bisous.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Comme la plupart des vendredis, en quittant l'université, avant de rentrer, elle passe prendre de l'essence. Elle s'est encore faite draguer par un hurluberlu pas très fin. Nous rions de bon cœur quand elle décrit la situation. Le type emplissant le réservoir de sa camionnette en félicitant Clémentine pour ses cheveux noirs et ses yeux bleus. << J'ai répondu que je n'y étais pour rien et que ce n'était pas de ma faute ! >> lance t-elle en venant s'assoir sur mes genoux. Nous traînons à table. Quand j'évoque notre rendez-vous du début d'après-midi, Clémentine s'écrie : << Non, ne dit rien. Ça me met dans des états d'inquiétude ! >>. Nous rions quand je dit : << Peur de ne pas être à la hauteur. Peur d'affronter ? >>

<< Oui ! >> répond laconiquement Clémentine avant de se lever pour commencer à débarrasser. Mes bras autour de sa taille, derrière elle, je murmure à son oreille : << Moi, caché dans mon placard, je vais avoir du spectacle ! >>. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous passons rapidement dans la chambre pas chauffée pour récupérer les vêtements que va porter Clémentine. Elle me demande de rester serré contre son dos pour avoir chaud. Elle choisi une de ses jupes kilts à carreaux rouges et verts. Un chemisier blanc sous un pull bleu nuit. Ses escarpins noirs à talon hauts. Avec la petite sangle qui enserre délicatement la cheville. << Mes godasses de baise ! >> aime t-elle à préciser en les agitant.

Nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks. C'est sous le parapluie que nous traversons le jardin. J'ai allumé le chauffage hier, dans la maison secondaire. Il y fait bien chaud. << Oh super ! Tu as fait la poussière, c'est tout propre ! >> s'exclame Clémentine. Je n'ai qu'à craquer une allumette pour allumer le feu dans la cheminée. Les craquements, les crépitements. Clémentine se change pendant que je prépare le café, des petits gâteaux secs sur un plateau. Le tout sur la table basse qui sépare les deux canapés. Les lambris de bois clair des murs, s'ajustant par le phénomène de séchage soudain, émettent des craquements. Clémentine porte sa jupe kilt, son chemisier blanc sous son pull bleu nuit au col en "V". Ses "souliers de baise". Elle les nomme ainsi car grâce à la petite sangle, elles ne se détachent jamais du pied. Même lors des galipettes les plus acrobatiques. Elle lève sa jupe pour me montrer sa touffe dense.

<< Je suis bien coiffée ? >> demande t-elle. Nous rigolons comme des bossus. J'ouvre la porte du troisième placard. J'y ai ai plié deux grosses couvertures matelassées posées au sol. Elles amortiront et rendront silencieuse ma présence dans cet espace étroit. Clémentine y entre avec moi. Impossible d'y tenir à deux sans êtres serrés l'un contre l'autre. << Ça m'excite bien. Il faut qu'on tente un truc là dedans un de ces jours ! >> dit elle en empoignant ma bosse. Je bande déjà sévère. Nous ressortons. Il va être l'heure. Voilà d'ailleurs la jaguar noire qui se gare devant la porte du garage. De la grosse limousine Anglaise sortent Estelle et son parrain. Ça fait trois ans que je n'ai plus vu Jean-Marc. Il paraît bien plus "enveloppé". J'entre dans le placard. Clémentine referme la porte.

<< Tu viens à mon secours s'il y a un "blême" ! >> dit elle en poussant bien la porte de son coude et de son épaule. Je respire un grand coup en sortant mon Zob. Par l'étroite ouverture circulaire grillagée, j'assiste à l'entrée de Jean-Marc et d'Estelle. Jean-marc que cache pas sa joie de revoir Clémentine. Il lui fait trois bises chaleureuses. Estelle regarde vers le placard pour m'adresser un clin d'œil. Elle est vêtue de son Levis, d'un sweat. Jean-Marc retire son manteau. Il est habillé d'un costume noir et strict. << J'ai un rendez-vous à 15 h30. Je n'ai donc que trois quart d'heure. Vous m'excuserez. Et je dois ramener Estelle ! >> lance t-il en s'installant dans le canapé. Je le vois de face. Le parrain d'Estelle se montre quelquefois farfelu, plein d'humour souvent graveleux. Bien vicelard.

Jean-Marc

Lorsque j'ai élaboré les plans d'aménagement de notre dépendance pour en faire une maison d'amis, une résidence secondaire, je n'ai pas imaginé un seul instant que ce placard servirait un jour à me cacher. C'était il y a trois ans. Me voilà une fois encore debout sur deux épaisses couvertures pliées. Afin de ne pas provoquer le moindre craquement. Par l'étroite ouverture circulaire grillagée, j'ai une vue parfaite sur le salon. Je dois simplement éviter de m'appuyer contre la porte en bois. Estelle et Clémentine me tournent le dos. Assises sur le canapé qui fait face à celui où est installé Jean-Marc. Sur la table basse qui les sépare les tasses fumantes, les petits gâteaux secs. Depuis trois ans le parrain d'Estelle s'est un peu épaissi. Perdant au passage de son physique athlétique au profit d'une bedaine peu seyante. Mais il reste jovial, plein d'humour. Un humour graveleux. Il rit d'ailleurs de ses plaisanteries comme si elles étaient racontées par un autre.

Ce sont le plus souvent des blagues un peu lourdes, vulgaires, voire grossières. Estelle et Clémentine jouant parfaitement la comédie, en rient. << Alors ? Tu gardes un bon souvenir de la dernière fois ? >> demande t-il à Clémentine avant de porter sa tasse à ses lèvres. Elle répond : << Oui, plutôt. Mais Estelle me raconte tes frasques et tes performances tous les jeudis matins ! >>. Jean-Marc se met à rire. Il s'adresse à Estelle : << Tu entres dans les détails comme j'entre dans ta chatte ? >>. Inutile de faire un dessin pour décrire le mental de cet homme pourtant intelligent et performant dans son domaine professionnel. Chassez le naturel et il revient au galop. Cet adage populaire prend ici tout son sens. Jean-Marc mime une masturbation masculine en s'adressant cette fois à Clémentine, il lance : << Si on baise c'est maintenant ! >>. Il regarde sa montre et rajoute : << Parce que j'ai un rendez-vous important pour 15 h30 ! >>

Clémentine se lève. Je découvre qu'elle était assise devant ce type avec les cuisses largement écartées. Elle ajuste sa jupe kilt. Elle contourne la table pour venir s'assoir à droite de Jean-Marc. Estelle se lève à son tour pour se diriger vers la cheminée. Saisissant le tisonnier, elle disperse les braises sous les bûches. Jean-Marc est entrain de tripoter Clémentine, sa main qui fouille sous sa jupe. Elle tient son poignet pour tempérer ses ardeurs. << Je suppose que tu exiges la capote comme Estelle. C'est ça hein ? Depuis trois ans elle veut que j'enfile ce truc à la con avant de la sauter ! >> lance le goujat. << Oui, évidemment. Elle a bien raison. Finalement on ne sait pas où tu traînes ! >> répond Clémentine. Jean-Marc éclate de rire avant de répondre : << Je ne fais l'amour qu'avec ma femme et je ne baise qu'avec Estelle. Je n'ai pas le temps d'aller papillonner ailleurs. Mais je me plie aux exigences des salopes que je saute ! >>

Il se lève. Saisit Clémentine par ses cheveux. Sans la moindre considération il l'allonge dans le canapé, sa tête sur l'accoudoir confortable et rembourré. Il ouvre son pantalon. Clémentine se masturbe en regardant. Estelle, penchée en avant, ses coudes en appui sur le dossier du canapé observe. Pas de doute, Jean-Marc a pris du bide. << Tu vois encore ta bite quand tu vas pisser ? >> demande Clémentine. Le bougre éclate de rire en répondant : << J'y vais au jugé ma grande ! >>. Son pantalon et son slip sur les chevilles, il enfile une capote qu'il tire d'un sachet qu'il déchire avec les dents. Sa cravate qui pend sur la gueule de Clémentine, il se vautre sur elle. << Tu me fous la gerbe ! >> s'écrie t-elle sans tenter de le repousser. Ce salopard n'a pas le moindre égard pour sa personne. Il la pénètre doucement. Il a quand même la présence d'esprit de rester en appui sur ses bras.

Estelle fixe l'ouverture grillagée de la porte derrière laquelle je suis en sueur, entrain de ma masturber. Elle me fait des clins d'œil, mime des pipes alors que son parrain s'est mise à l'œuvre. Clémentine se fait baiser par un véritable ours en rut. Une machine. Estelle nous raconte tous les jeudis de quoi elle est victime consentante. C'est la seconde fois que je vois Jean-Marc à l'ouvrage. C'est vrai que c'est impressionnant. On dirait un de ses acteurs pornos des vieux films des années soixante dix. Aucune classe. Vulgaire. Bedonnant. Entrain de s'affairer sur Clémentine qui esquive ses tentatives de l'embrasser. Tout en la baisant il lève la tête, d'adresse à Estelle en disant : << C'est un plaisir. Tu en veux un peu aussi ou tu attends mercredi prochain ? >>. Estelle, en reculant, répond : << Non merci, j'attends mercredi ! >>. Clémentine, ses cuisses écartées qui gigotent au rythme effréné qu'impose son baiseur fou, se tient aux épaules du salaud.

Je l'ai déjà vu se faire tringler par des mecs, notamment Pierre, le mari de Bernadette Walter, la collaboratrice de Juliette. Mais là, comme la fois précédente, toujours avec Jean-Marc, elle subit les outrages surréalistes d'un piston hydraulique. Quelle santé malgré ses kilos en trop ! Comme Clémentine esquive ses tentatives de l'embrasser, il alterne les insultes et les crachats. Tout en se faisant sauter par un authentique furieux, elle fait d'horribles grimaces, de la salive du salopard qui lui coule sur la gueule. Estelle tourne autour des canapés, une main dans son Levis déboutonné. Malicieuse, elle vient s'adosser à la porte derrière laquelle je suis planqué, en apnée, totalement bouleversé par ce qui se passe. Je me branle au rythme qu'impose Jean-Marc complètement enfoncé dans la fille.

Clémentine pousse des cris, la tête penchée en arrière, agitée comme un pantin, s'abandonnant à sa jouissance. Jean-Marc s'immobilise soudain. << Salope ! >> hurle t-il en se cambrant. Le bougre connaît l'orgasme. << Salopard va ! >> lance Estelle qui cesse de tapoter discrètement contre ma porte pour s'approcher. Jean-Marc se retire. Il enlève son préservatif empli de foutre laiteux. Clémentine se redresse, comme en proie aux vertiges, elle ouvre et referme ses yeux plusieurs fois. Elle s'essuie le visage maculé de crachats avec le mouchoir en papier que lui tend Estelle. Son parrain tend la capote à Clémentine. Il remonte ses fringues en disant : << C'est que je m'attarderais bien volontiers encore un peu avec vous les filles, mais les affaires m'attendent. Vous m'excuserez ! Tu es un super coup Clémentine on refait quand tu veux. Je t'aurais bien sauté quand tu avais seize ans et que tu te branlais en me regardant baiser Estelle. Grande salope ! >>.

Clémentine se lève. Levant sa jupe elle essuie son sexe avec le même mouchoir. La capote toujours dans la main, tenue entre le pouce et l'index de sa main gauche. << Allez je file, à bientôt les filles ! >> lance Jean-marc en allant vers la porte qu'il referme derrière lui en lâchant un pet. << Quel porc ! >> lance Estelle qui le rejoint en courant. << Mais quel coup ! >> s'écrie Clémentine en levant les bras, tenant la capote qu'elle vide dans sa bouche. Elle avale. Enfile le préservatif sur sa langue qu'elle tire en direction du placard. Je sors. J'ai préféré attendre un peu. On sait jamais. Baiseurminator peut revenir. Clémentine comme gênée, baisse les yeux. Je félicite Clémentine. Elle vient me rejoindre en courant. J'esquive afin qu'elle ne puisse poser ses lèvres sur les miennes.

Même si je suis terriblement excité l'idée qu'elle vient d'avaler le sperme de ce salaud et lécher la capote qu'il portait pour la niquer, je ne veux pas que Clémentine m'embrasse. Ce qui la fait beaucoup rire. Estelle et son parrain sont partis. Il est 15 h. Tout cela n'a pas duré plus d'une demi heure. Clémentine reste contre moi. Me fait des bises. Estelle revient soudain. Saisit mon érection pour la tordre dans tous les sens. << On se voit demain, put-hein, je vous préviens, je suis hyper "allumée" ! >> lance t-elle. Elle fait une rapide bise à Clémentine avant de filer vers la porte. Nous la regardons courir sous la pluie qui recommence à tomber. Jambes nues, en jupe kilt, Clémentine qui tremble de froid, se change rapidement. Je mets son anorak sur ses épaules. Nous courons pour traverser le jardin. Elle m'entraîne par la main pour monter dans la salle de bain.

Nous dévalons les escaliers pour aller dans la cuisine. Clémentine croque dans une pomme en me fixant, souriante. Je la félicite une nouvelle fois. De subir de tels assauts mérite des congratulations. Elle en rit aux éclats. << Cette ordure m'a défoncé. Il voulait m'enculer aussi, tu as vu ! >> lance t-elle. Je réponds : << Non ! Tu sais dans mon placard je ne voyais pas tout ! >>. Elle éclate de rire en rajoutant : << Alors viens on va dans l'atelier, je te raconte ! >>. Vautrés tous les deux dans le vieux canapé de velours carmin, tenant ma bite, sa tête contre mon épaule Clémentine me raconte avec moult détails sans que je n'ai à poser la moindre question. En conclusion je lui avoue ma déception de ne pas l'avoir vu sucer. << Il déteste la pipe, tu sais bien ! >> s'exclame t-elle en se levant.

Se mettant à genoux sur un des épais coussins, elle rajoute : << Mais c'est toi qui va en bénéficier ! >>. Je me fais tailler une pipe des familles. Cette fois, en caressant sa tête, son visage, ses sourcils, c'est moi qui pose des questions. Clémentine a connu plusieurs petits orgasmes mais pas le "grand ouragan". << Je me réserve pour ce soir, sous les draps. Demain c'est samedi. Cool ! >> dit elle entre deux succions passionnées. Je lui rappelle que nous sommes attendus chez Juliette pour dix neuf heures. << Tu seras bien salaud avec elle. Moi aussi je veux du spectacle ce soir ! >> rajoute mon adorable suceuse. Nous restons ainsi un long moment. Avec mes masturbations dans le placard, mes couilles sont pleines de jutes. De quoi régaler Clémentine qui glousse de plaisir. Les gargouillis...

La soirée d'anniversaire

Nous restons dans l'atelier. Il n'y a plus qu'un tapis de braises. Seule source d'une pauvre lumière. Je force Clémentine à se redresser. Elle pose sa tête contre mon épaule. Nous restons silencieux à savourer ces instants magiques. Ce retour au calme. Nous quittons l'atelier pour monter nous préparer. Il est déjà dix huit heures et nous sommes attendus pour dix neuf heures. Clémentine choisit nos vêtements dans la chambre. Nous les emmenons dans la salle de bain où il fait bien chaud. Nous portons tous les deux des pantalons noirs à plis et à pinces. Un chemisier blanc sous un pull noir au col en "V". Nos souliers de ville. Nous prenons des poses devant le grand miroir ovale. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> me fait Clémentine. Elle pose sa main sur ma braguette.

Je saisis sa nuque pour approcher son visage du miroir. Je dis : << Regarde la gueule de salope que tu te trimballes encore ce soir. Vous avez les yeux cernés mademoiselle ! >>. Elle se mire. Silencieuse. Elle répond : << C'est vrai. Tu as raison. Mon image renvoyée par un miroir m'a toujours érotisé. Jusqu'à mes quinze ans je souffrais d'être belle. Un vrai complexe qui pourrissait mon existence. Pareil pour Estelle. Alors notre thérapie a très vite été le sexe ! >>. Clémentine revient parfois sur son adolescence. Elle m'embrasse avec fougue. Je bande comme le dernier des salauds. Nous redescendons pour mettre nos manteaux. De nouvelles poses devant le grand miroir du hall d'entrée. C'est sous le parapluie que nous traversons le jardon. Nous sortons la Mercedes.

Je roule doucement. Il n'y a que trois kilomètres qui nous séparent du haras. Clémentine tripote ma bosse en me confiant quelques réflexions quand à sa baise de l'après-midi. << J'en ai la chatte toute congestionnée ! >> dit elle alors que je gare la voiture dans la cour déserte. Juliette nous accueille au bas de l'escalier qui mène à ses appartements. Vêtue comme elle l'était mercredi soir. Nous la suivons dans l'escalier en admirant la couture arrière de ses bas noirs. Un délicieux repas nous attend dans le salon éclairé de bougies. Des plateaux de fruits de mer que Juliette a fait venir par le traiteur du bourg. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur quelques épisodes des aventures vécues ensemble. Juliette qui en raffole autant que nous propose une soirée masturbation. Sublime !

Bonne fin de "soirée branle" à toutes les coquines qui peuvent une fois encore s'adonner aux plaisirs des sens, en se lâchant totalement...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2437 -

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Un samedi comme on les aime

Il est un peu plus de sept heures, hier matin, samedi. En se blottissant dans mes bras, Clémentine murmure : << Comme c'était bon et bien ce vendredi ! >>. Elle fait évidemment allusion à sa baise de l'après-midi avec le parrain d'Estelle et à notre soirée branle chez Juliette. Une très agréable façon de fêter l'anniversaire de cette belle dame. On s'est branlé en cœur durant le reste de la soirée après de délicieux plateaux de fruits de mer. Je fais remarquer à Clémentine que malgré sa nuit de sommeil elle en a encore les yeux cernés. Nous en rions de bon cœur en courant jusqu'aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Les radiateurs fonctionnent depuis plus d'une heure. Dans la salle de bain nous revêtons nos tenues sports. Clémentine regarde ses cernes.

<< Put-hein, je ferais peur à la peur ! >> s'écrie t-elle. En riant, morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café. Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Je presse les dernières oranges, Clémentine pèle les derniers kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos "exactions" sexuelles de vendredi. Clémentine me confie à quel point il est unique de baiser avec Jean-Marc. << Une véritable machine à piston ! >> précise t-elle en riant. Elle rajoute : << Comment fait Estelle pour se faire tringler par ce type tous les mercredis soirs ? >>. Nous rigolons comme des bossus. Dehors, c'est la pluie. Météo navrante.

Aussi, dès la vaisselle terminée nous remontons pour notre entraînement en salle. Les échauffements aérobics préludes au jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol. Nous voilà dans les meilleures conditions pour attaquer les charges additionnelles. En contrôlant la qualité et l'exactitude de nos mouvements dans les grand miroirs. Le retour au calme avec les étirements d'un agréable stretching. Nous entendons l'aspirateur quelque part à l'étage. Lise, notre "femme de ménage", est donc déjà là depuis un quart d'heure. Parfait. Pressés de prendre notre douche de faire nos shampoings, nous courons jusqu'à la salle de bain. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Une serviette sur ses épaules elle évoque nos vacances à Édimbourg.

Le samedi matin nous pouvons prendre tout notre temps. C'est appréciable, surtout pour Clémentine qui est à la bourre tous les matins durant la semaine. En sortant de la salle de bain nous allons récupérer les draps sales dans la chambre à coucher. Lise est entrain d'y passer l'aspirateur. << Bonjour ! >> nous écrions-nous en même temps. Elle est vêtue de ce survêtement sport beige qu'elle portait les autres fois. Après quelques échanges de banalités nous la laissons à son travail. << Tu as remarqué le coup d'œil appuyé qu'elle a lancé sur ta braguette ? >> demande Clémentine dans les escaliers quand nous redescendons. J'avoue ne pas avoir remarqué. Clémentine rajoute : << Je suis certaine qu'elle t'a vu montrer ta bite à Danièle samedi dernier. Qu'elle t'a même vu te branler. ! >>

Cette possibilité me gêne soudain. Nous sommes vêtus de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux. Il n'est que neuf heures trente. Dans le salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous avons trois mails. Un message de ma famille Écossaise. Tout va bien. Oncle Alan est de retour à la maison après deux semaines au pôle gérontologique de l'hôpital Broadford d'Édimbourg. Un message de Juliette qui nous remercie pour nos deux soirées ensemble cette semaine. Elle précise avec humour qu'après une de nos soirées branles il lui faudrait dix heures de sommeil. Le message d'Estelle impatiente de nous retrouver en début d'après-midi. Pendant que Clémentine répond, je glisse un billet de 50 euros et un billet de 20 euros dans l'habituelle enveloppe jaune.

Nous traînons un peu. Clémentine surfe sur le site de l'université. Il y a des informations quand aux travaux d'isolations qui débuteront au printemps de l'année prochaine. Quand elle est devant l'ordinateur, assise sur mes cuisses, Clémentine me tourne le dos. Je caresse délicatement ses tous petits seins à travers le coton de sa chemise. Je peux les sentir palpiter sous mes doigts. Aussi je passe mes mains sous la chemise pour les effleurer du bout de mes index alors que Clémentine murmure : << J'aime ! Vous ne vous occupez pas assez d'eux cher monsieur ! >>. Nous rions quand je chuchote : << Mais il y a tant de choses à découvrir chez vous mademoiselle qu'une vie entière n'y suffirait pas ! >>. Il va être l'heure. Nos livraisons ne vont pas tarder. Lise vient d'ailleurs d'entrer dans la pièce.

Nous la laissons y passer l'aspirateur. Cette fois j'ai été observateur. Effectivement, j'ai surpris un rapide regard sur ma braguette fermée. << Tu as vu cette fois ? >> me demande Clémentine dans le hall d'entrée où nous enfilons nos anoraks. Elle palpe ma bosse en rajoutant : << On va préparer un plan bien vicelard ! >>. S'accroupissant, elle déboutonne ma braguette. La température extérieure n'est que de 8°. Il pleut. C'est sous le grand parapluie que nous traversons le jardin. Nous n'attendons pas longtemps devant la maison secondaire. Voilà la camionnette blanche qui descend lentement les pavés autobloquants du chemin. Danièle, souriante, visiblement contente de nous voir, se gare derrière la petite Fiat rouge de Lise. Elle saute de son véhicule pour toucher nos poings du sien.

<< Bonjour ! >> faisons-nous une fois encore ensemble. Danièle contourne la camionnette pour ouvrir les portes arrières. Elle y monte. Elle mime une rapide masturbation masculine en lançant : << Toujours besoin de rien les mercredis matins ? >>. Je ne sais quoi dire. C'est Clémentine, en faisant la même imitation, qui répond : << On va très sérieusement y réfléchir ! >>. J'attrape le lourd cageot contenant nos fruits et nos légumes que me tend Danièle. Elle porte un bonnet de laine assorti à son épais gilet de camionneur. Un pantalon gris renforcé aux genoux. De grosses godasses de protections. Très masculine. Clémentine attrape le cageot contenant les yaourts, les œufs, le beurre, les pots de crèmes fraîche et de fromage blanc ainsi que nos spécialités fromagères. Du Roquefort surtout.

Nous sommes à l'abri sous l'auvent de la dépendance. Rapidement j'ouvre mon anorak. Je sors ma bite. Alors qu'elle me tend le terminal dans lequel j'introduis la carte bancaire, Danièle lance : << À la bonne heure ! >>. Clémentine rajoute : << Merci pour votre complicité ! >>. Danièle rajoute : << J'adore ! >>. C'est moi qui fait : << On va trouver quelque chose à se faire livrer les mercredis matins ! >>. Danièle me tend le ticket qu'elle tire du terminal en disant : << J'ai un peu plus de temps les mercredis matins. Moins de clients. Et c'est le seul matin où je ne suis pas sur les marchés avec mon mari ! >>. Je me branle. Elle me fait le plus merveilleux des sourires. Un clin d'œil avant de monter dans son véhicule. Nous la regardons faire les manœuvres du demi tour. En restant souriante.

En partant elle mime une nouvelle fois une branlette. Vitre baissée elle lance : << Peut-être à mercredi. Sinon à samedi prochain ! >>. Je remballe. Je referme mon anorak. La bite à l'air quand il fait froid et qu'il pleut n'offre pas les meilleurs sensations. Voilà d'ailleurs le tube Citroën rénové de notre boulangère. Hilare au volant madame Marthe se gare au même endroit. Nous récupérons le cageot contenant les deux grosses miches de pain complet, les deux pâtes feuilletées, l'énorme brioche au pudding recouverte de sucre blanc donnant l'illusion de couler. Les deux gros croissants aux amandes. Les bouchées à la reine. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous contournons la maison avec nos trois cageots pour descendre à la cave par derrière. Sous la pluie et sans notre parapluie ouvert.

Nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères en bois du cellier. Clémentine se serre contre mon dos pour palper ma bosse. << Que pourrait-on bien nous faire livrer mercredi matin ? Parce que les insistances de Danièle ont un sens ! >> dit elle. Elle déboutonne ma braguette. Je murmure : << Arrête, il y a Lise en haut ! >>. En prononçant ces mots je prends soudain conscience qu'une fois de plus, en montrant mon Zob à Danièle, je n'ai pas pris la peine de me cacher derrière son véhicule. Clémentine qui devine ma pensée chuchote : << Mais c'est tant mieux voyons ! Tu n'aimes pas vivre les développements d'une possible nouvelle histoire ? >>. Je suis terriblement gêné. Du congélateur où je dépose une des miches de pain, une pâte feuilletée, je tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. Clémentine me sort la queue toute molle. << Je t'aime. Tout ça m'excite. C'est superbe ! >> me fait elle.

Elle joue avec mon Zob en enfonçant sa langue dans ma bouche. Ce qui provoque une érection immédiate. Elle me masturbe, me la tord dans tous les sens. Je m'écrie : << Je refuse de monter comme ça ! >>. Clémentine éclate de rire en disant : << Dommage. Ce serait un de nos coups d'éclats ! >>. Je remballe avec beaucoup de difficultés sous les rires de Clémentine. Une énorme bosse déforme le haut de ma cuisse car volontairement, sur la demande de Clémentine, je laisse dépasser ma queue dure comme le bois par l'élastique latéral de mon slip. Elle l'empoigne de sa main en faisant : << Wouah ! Tu fais fort. Quel machin ! Viens, on monte ! >>. Nous montons par l'escalier intérieur. Je porte le cageot des produits frais. Lise vient de passer la serpillère sur le carrelage de la cuisine.

<< Allez-y, je repasse, c'est facile ! >> nous dit elle en nous voyant hésitant dans le couloir. Impossible, à moins d'être bigleux, de ne pas voir le cylindre de chair qui déforme mon Levis sur le haut de ma cuisse. Comme si j'avais un tuyau dans la poche. Ce qui n'échappe évidemment pas à la jeune fille. Elle doit s'y reprendre à deux fois pour être certaine de ne pas halluciner. Pour en rajouter une louche, je contracte fortement mes muscles fessiers. Ce qui a pour effet de faire bouger le "machin". Lise insiste : << Allez-y, je repasse après ! >>. Nous traversons la cuisine pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Je mets le paquet de moules, les sachets de petits pois et de haricots verts sur le large couvercle de la marmite de la cuisinière à bois. Je débande enfin. Bien soulagé.

Je surprends une nouvelle fois le regard de Lise qui cette fois, lorsque nous sortons de la cuisine, m'adresse un sourire. Je pourrais qualifier ce sourire d'ambigu. Un sourire qui n'échappe évidemment pas à Clémentine. Il est presque onze heures. Nous passons dans l'atelier. Lise y a déjà passé la serpillère sur les tommettes en terre cuite. L'odeur du chlore se mêle à celle du jasmin répandue par le diffuseur d'arôme. Clémentine s'accroupit. Me déboutonne une nouvelle fois. Extrait mon sexe en disant : << J'adore tes comportements de satyre. Tu as vu sa façon de mâter. Elle doit avoir compris à qui elle a affaire. Je t'aime. Ça m'excite si tu savais ! >>. Elle gobe l'extrémité de mon sexe pour en mâchouiller la peau fripée du prépuce. La tirant entre ses dents pour me faire un clin d'œil.

Je caresse ses cheveux qu'elle laisse flotter sur ses épaules. Je dis : << Tu imagines un peu si elle revient dans l'atelier ? Parce que regarde, il y la petite pelle et la balayette à côté du panier à bois ! >>. En effet, à droite de la cheminée, ces deux objets deviennent le sujet central attirant nos attentions. Je force Clémentine à se redresser alors qu'elle s'écrie : << Mais pourquoi ! >>. Je réponds : << On arrête de déconner. Soyons patients. S'il doit se passer un truc ou un évènement révélateur, nous le verrons bien ! >>. Clémentine me dit : << Tu es la sagesse même. Je suis tellement excitée que j'en perds le bon sens ! >>. Nous rigolons comme des bossus alors que je soulève Clémentine. Elle enserre ma taille de ses jambes pour un baiser fougueux et passionné, en gémissant.

C'est comme ça que nous nous faisons surprendre par Lise revenue chercher la pelle et la balayette. << Oh pardon, excusez-moi ! >> lance t-elle en se précipitant pour traverser la grande pièce. Elle file aussi vite qu'elle est venue. N'ayant pas vu que mon gros dard poilu était fièrement dressé contre la braguette de Clémentine. << C'est trop ! >> lance t-elle en déboutonnant son Levis pour se toucher. Une cuisse sur l'autre avec un mouvement des hanches. Je dis : << Viens, il va être l'heure ! >>. Je reboutonne le pantalon de Clémentine qui me saute au cou en disant : << Merci monsieur ! >> Je remballe moi aussi. Nous quittons l'atelier pour revenir au salon. Lise nous y rejoint. Son sourire est éloquent mais également très évocateur, si pas complice. Elle s'assoit sur la chaise.

Je lui tends l'enveloppe jaune en la remerciant. << Mais c'est moi qui vous remercie. J'adore votre grande maison. Il y a plein de recoins. Et ce qui se passe dehors n'est pas sans intérêt non plus ! >>. Je reste médusé. Tout comme Clémentine qui me lance un regard étonné. Nous sommes certains que ces mots sont une allusion directe à ce qui s'est passé avec Danièle. Lise, toute contente du petit effet qu'elle vient de produire, se lève. << Il faut que j'y aille. On se revoit samedi prochain ! >>. Clémentine la raccompagne jusque dans le hall d'entrée. Je sors ma bite. Il faut que je me soulage. Rarement la tension est aussi forte en fin de matinée, un samedi. Je suis entrain de me masturber quand Clémentine revient en s'écriant : << Génial ! >>. Elle vient s'accroupir pour gober mon chibre mouillé de jus.

Après une petite minute à se sustenter elle se redresse pour m'annoncer : << Tu es "fais" mon vieux. Elle m'a avoué dans le hall qu'elle a tout vu. Me demandant si c'était une habitude ou une "impro" ? >>. Je reste abasourdi. Je demande : << Et tu as dit quoi ? >>. Clémentine me tire par le Zob pour m'entrainer à la cuisine en répondant : << La vérité ! >>. Nous rions soudain aux éclats. Je m'écrie : << Tu es fantastique ! >> en la prenant dans mes bras. << Et toi fantas.......trique ! >> s'exclame t-elle. Nous rigolons comme des bossus en nous mettant à la préparation du repas. Clémentine fait l'assaisonnement de la magnifique laitue toute fraîche. Je prépare le bouillon. Il monte en ébullition pendant que je réchauffe les haricots verts et les petits pois décongelés dans le wok. Je vide le grand paquet de moules de Bouchot dans le bouillon. Nos préparations rapides des samedis. Bien peu diététiques mais tellement délicieuses !

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les évènements de la matinée. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait quelques pronostics sur d'éventuels développements quand aux attitudes de Lise. Ce n'est pas du tout une jeune fille timide ou introvertie. Son look de garçon manqué, son dynamisme en font une "battante". Son petit minois aux tâches de rousseurs, ses cheveux courts et auburns, ses expressions amusées. Tout cela participe d'une personnalité attachante. Clémentine ne peut s'empêcher un parallèle avec Julie. << Rien à voir ! Autant Julie n'arrêtait pas de "jouer" la timide, la fille réservée, autant Lise est extravertie ! >> précise t-elle. Les analyses comportementales de Clémentine s'avèrent souvent pertinentes.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. << Coucou les gens ! >>. C'est Estelle qui arrive. Elle pose son grand sac de sport sur le tabouret. Serrés tous les trois nous nous faisons plein de bises. Tellement contents de nous retrouver. De son grand sac de sport Estelle tire son pyjama, une culotte, des chaussettes en nous racontant son vendredi après-midi et son samedi matin. Avec sa maman. << On était en ville. Voir un peu pour les cadeaux ! >>. Nous racontons notre "soirée branle" chez Juliette. Clémentine raconte ce qui s'est passé ce matin. Estelle s'approche, empoigne ma braguette avec fermeté en martelant : << Espèce de vieux pervers. Encore une meuf à qui tu vas montrer l'étendu de tes saloperies ! Vieux cochon. Tu devrais avoir honte ! >>. Nous rigolons comme des fous.

Il est décidé d'aller en ville. Avec cette météo pitoyable, que pourrions-nous bien faire d'autre ? Mes deux anges sont à jour dans leurs études. Ont même de l'avance. Nous restons habillés tous les trois comme nous le sommes. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Nos bottines, nos anoraks. Le grand parapluie. Au moment où nous sortons nous tombons sur monsieur Bertrand. << Bonjour ! Je vais zigouiller des dindes cet après-midi ! Je vous en fais une ? >> lance t-il sous son ciré jaune. << On dirait un gnome ! >> chuchote Estelle. Notre voisin sait que nous fêtons chaque année, le 23 novembre, la Thanksgiving. Il sait mes origines anglo saxonnes et les traditions auxquelles je suis attaché par ma culture. Monsieur Bertrand rajoute : << Je la mets au congélateur. Venez la chercher le jour d'avant ! >>. J'accepte volontiers. Surtout que je sais que Louis élève ses oies, ses poules, ses canards et ses dindes aux grains. En liberté surtout.

Je roule doucement sur les vingt cinq kilomètres qui nous séparent de la ville. Ou plutôt de la ruelle où nous avons pour habitude de garer la voiture. Clémentine joue avec ma queue en revenant sur mes comportements exhibitionnistes avec nos relations féminines. Estelle, assise à l'arrière, en caressant mon cou, donne ses impressions sur la baise de Clémentine vendredi après-midi. << Tu la sens encore ta chatte, non ? >> demande t-elle à Clémentine qui répond : << Jusqu'à la "soirée branle" chez Juliette. Là ça va ! >>. Rires. Je gare l'auto dans la ruelle déserte. C'est sous le grand parapluie que nous marchons d'un pas rapide jusqu'aux rues piétonnes du centre. Il s'y prépare les marchés de Noël. Les chalets en bois où s'affairent déjà les commerçants en prévision du 24 novembre. La semaine prochaine.

<< Cette année il y a un marché de Noël sur les quais du port de plaisance ! >> nous apprend Estelle. Nous nous promettons d'y faire un tour dimanche prochain. Comme les deux samedis précédents, nous flânons dans les rues aux pavés luisants, sous notre grand parapluie. Les filles accrochées à mes bras. Visites hebdomadaires aux trois étages du premier grand magasin. Inutile d'espérer des jeux exhibes. Il y a bien trop de monde avec le Black Friday. << Black Freud Day ! >> lance Estelle au rayon des livres en nous montrant la couverture d'un ouvrage consacré à Sigmund Freud. Elle rajoute : << Même avec des efforts démesurés tu n'atteindras jamais les sommets de vice de cet éminent inventeur de la psychanalyse. Un "tordu" de première ! >>. Nous rigolons comme des bossus alors que la coquine me palpe la bosse. Pas très discrète. Avec cette affluence, cette météo, nous décidons que nos défis du jour seront modérés.

Défis qui consistent principalement à nous toucher en prenant quelques risques. Mais exclusivement devant de très rares solitaires. Ce sont principalement des couples, des familles, que nous croisons dans les rayons. Le rituel du chocolat chaud et des tartelettes dans notre salon de thé préféré. Un tour à la FNAC. Je propose de nous offrir un bon restaurant pour changer un peu. << Mais j'ai emmené le film "bondage" qu'on voulait mâter ce soir ! >> lance Estelle. Les filles hésitent entre le confort douillet d'une "soirée cinéma" devant le premier film porno que nous avons tourné ensemble il y presque six ans et un repas gastronomique dans un trois étoiles. Finalement, c'est Clémentine qui tranche : << On se mâte le film demain après-midi. Avec ce temps de merde ! >>

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui se régalent à la table d'un somptueux restaurant en faisant mille projets pour les vacances de fin d'année...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 42 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2438 -



Dimanche maussade dehors, chaleureux dedans

Notre grasse matinée dominicale nous emmène aux environs de neuf heures. Estelle à ma droite qui est restée blottie contre moi toute la nuit. Clémentine à ma gauche qui vient se serrer. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Estelle saisit ma tumescence en posant ses lèvres sous mon oreille. Clémentine qui se frotte lascivement contre ma hanche. L'impérieux besoin de pisser. Estelle nous quitte soudainement. Sautant du lit en s'écriant : << Pipi au lit ! >>. Amusés nous la regardons courir vers la porte dans son pyjama de soie mauve. Clémentine se frotte encore un peu en murmurant : << Je t'aime. C'était bon avant de dormir ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud dans la salle de bain. Comme partout dans la maison. Nous enfilons nos Levis, sweats.

Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Il y a déjà les suaves effluves du café et du pain grillé qui flottent dans l'air. Clémentine presse les oranges. Je me place derrière Estelle qui est entrain d'allumer le feu dans la cuisinière à bois. Mes bras autour de sa taille. Je passe une main entre ses cuisses alors qu'elle murmure : << Mmmhhh ! C'est bon ça ! >>. Je rejoins Clémentine qui pèle les kiwis pour faire de même. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur notre samedi après-midi, et la soirée au restaurant. Nous ne sommes pas rentrés trop tard. Ce qui nous a permis quelques douces folies avant d'aller nous coucher. J'ai beaucoup aimé faire l'amour à Clémentine sous les draps pendant qu'Estelle après s'être masturbée s'endormait déjà.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de ce dimanche qui s'annonce aussi pluvieux que les jours précédents. En regardant dehors, c'est un ciel gris, bas et sinistre. << C'est qu'on en prendrait presque l'habitude ! >> lance Estelle en venant terminer sa tranche de brioche assise sur mes genoux. Clémentine vient la rejoindre. Toutes les deux, installées sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, évoquent leurs chères études. Nous traînons à table. Cette brioche au pudding est tellement bonne qu'on s'en prend encore une tranche en envisageant le repas de midi et de ce soir. << Après-midi cinoche ! >> lance Estelle. << Un bon porno "maison" ! >> rajoute Clémentine. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle avant de remonter.

Estelle se change pour se vêtir de la même façon. Levis, sweat. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous faisons notre lit. Comme nous avons aéré, la température est celle de l'extérieure. 3°. Nous refermons les fenêtres en grelotant. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks, chausser les bottes en caoutchouc. C'est sous le parapluie, mes deux anges accrochées à mes bras, que nous allons jusqu'à la rivière. C'est toujours surprenant d'y voir les poules d'eau, les canards et les colverts s'ébattre à la surface des eaux comme s'ils étaient totalement indifférents aux conditions climatiques. Nous ne nous attardons pas. En remontant nous entrons dans la maison secondaire. Seul le hors gel maintient les 8° ambiants. C'est "glaçant".

Clémentine se couche sur le canapé froid en mimant la baise de vendredi après-midi. Estelle mime une masturbation masculine. Je sors mon Zob malgré la température peu avenante. Nous revivons la situation vécue vendredi mais sans le principal protagoniste. << Ce baiseur fou de Jean-Marc ! >> lance Estelle. Clémentine me tend les mains que je saisis pour l'aider à se redresser. Elle saisit ma bite bien molle par cette température. Nous nous serrons tous les trois pour nous réchauffer un peu. Je remballe ma queue avant de ressortir. Nous traversons le jardin en accélérant le pas. Qu'il est agréable de rentrer au sec, au chaud. Estelle nous entraîne dans le salon. Elle y allume une belle flambée dans la cheminée. Clémentine serrée contre moi, nous admirons son grand savoir faire.

Les flammes s'élèvent rapidement. Clémentine déplace la table basse à roulettes sur laquelle l'écran géant du téléviseur est fixé. J'ajuste les coussins du canapé. Tout est prêt pour notre après-midi cinéma. Estelle agite la petite boîte en plastique contenant la carte SD. Le film tourné à l'automne 2017. Ce fut le premier d'une collection qui compte six ans après vingt et une suites. Nous nous réjouissons. Il commence à faire faim. Je félicite Estelle pour cette flambée magnifique. Nous quittons le salon pour la cuisine. Il est décidé de faire très simple. Spaghettis avec une sauce au Roquefort. Des filets de saumon fumé qu'il suffit de couper en fines lamelles pour les rajouter. Chacun s'affaire. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de concombre. Estelle s'occupe des spaghettis, du gruyère.

Je concocte une onctueuse sauce au Roquefort à partir d'un "roux". La cuisinière à bois est une véritable locomotive. Une fournaise sur laquelle nous cuisinons. C'est une épreuve car la chaleur fait rapidement transpirer. Mais cuisiner à l'ancienne est un tel plaisir. Préparations rapide. Une grosse quantité de spaghettis permettra de réchauffer les restes ce soir. Ainsi que la sauce. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre prochain séjour en Écosse. Les fêtes de fin d'année à Édimbourg. Le fameux Hogmanay et ses festivités uniques en Europe en cette période. << On se fixe un défi chaque jour ! >> lance Estelle. Et je filme chacun d'eux ! >> s'exclame Clémentine. << Je filme les tiens ! >> rajoute Estelle. Les filles font mille projets. Parfois plus fous les uns que les autres. Comme par exemple baiser dehors. Ce qui est évidement impossible avec le climat hivernale Écossais et surtout avec l'affluence touristique entre Noël et Nouvel An.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles reviennent sur les Hogmanay que nous avons déjà vécu les années passées. << L'année dernière, la nuit du nouvel an, tu as taillé une pipe à un parfait inconnu qui pissait au fond d'une cour, tu te souviens ? >> demande Estelle. << Oh oui, je m'en souviens bien ! Comment pourrais-je oublier la "pipe de Nouvel an" ! >> répond Clémentine. J'invite d'ailleurs le lecteur intéressé à retrouver cet épisode. Nous y relatons l'évènement avec le luxe de détails habituel. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. << On se met en jupes, c'est plus facile pour la branlette ! >> propose Clémentine. << Super ! >> fait Estelle.

Nous récupérons rapidement les vêtements dans la chambre pas chauffée pour revenir dans la salle de bain. Les filles se changent. C'est un peu surréaliste de les découvrir en jupettes d'été, plissées, façon "tennis". Sans culottes. Moi je reste dans ma paire de jeans. Pressés d'aller au "cinéma", nous dévalons les escaliers. Il n'est pas tout à fait 15 h. Clémentine introduit la carte SD, allume le téléviseur. Tout est parfait. Dans la cuisine nous préparons le thé au jasmin, les petits gâteaux secs du dessert. Les tasses avec le reste posés sur la table basse. Devant le canapé où nous nous vautrons. Estelle déboutonne mon 501. Elle fouille dans ma braguette. Je me lève pour lui permettre de déballer plus facilement l'objet de ses recherches. Nous rions. Je m'installe entre mes deux anges.

Clémentine manipule la télécommande. Estelle manipule ma biroute. Le montage des films est une spécialité d'Estelle. Un générique de début, un générique de fin. << La musique est de Ludwig Van Bite au vent ! >> lance t-elle. Nous rions aux éclats. Dans ce tout premier opus réalisé ensemble, Le pseudo d'Estelle est "Micky", celui de Clémentine "Samantha", le mien "Mike". À l'image nous reconnaissons le grenier immense de notre grande demeure. Un chef-d'œuvre architecturale composé d'un enchevêtrement de poutres. Seule une partie en est éclairé. Je reste sidéré. C'est surprenant. Estelle et Clémentine n'avaient encore que vingt ans. C'est criant de vérité. Nous prenons soudain conscience à quel point nous changeons en six ans. Pareil pour moi. Je n'étais encore que quadragénaire. À l'écran, Estelle sur ma droite, Clémentine sur ma gauche. Nous sourions un peu bêtement à la caméra qui filme en automatique. Belle image.

Dans le film je suis habillé de mon pantalon de cuir noir, de mes cuissardes noires, de ma chemise blanche aux manches bouffantes. J'interprète pour la première fois devant la caméra le personnage du "Maître". Et je me débrouille plutôt bien. Estelle y interprète la "Soumise". Clémentine est mon assistante "Domina". Je ne soulignerais jamais assez l'émotion qui nous étreint à chaque fois. De nous voir à l'écran, tous les trois en même tant qu'êtres installés devant le téléviseur nous plonge dans une indicible suite de sensations extraordinairement denses. C'est un film "bondage". Estelle, attachée par les mains aux poutres de la charpente, livrée aux tourments que lui inflige "Maître Mike". Attachée en jupe kilt et chemisier blanc. Par les poignets, par les chevilles, jambes écartées.

Debout, livrée à des attouchements d'une vulgarité sidérante. Clémentine, tout en se touchant, fait de nombreux arrêts sur images. Estelle se masturbe de la main droite en me tordant la bite de la main gauche, assise à ma droite. Dans le film, Estelle que je viens de masturber une nouvelle fois lâche un jet de pisse sur le plancher. << Cette fameuse tâche qui macule les moulures du plafond de la chambre à coucher ! >> précise Clémentine. << J'ai pas fait exprès ! >> lance Estelle. Nous sommes hyper excités, en sueur. J'ai mon Levis et mon slip sur les chevilles. Ce film est émouvant à plus d'un titre. Avec le recul, c'est une parfaite réussite. Bien réalisé. Dans son montage Estelle a enlevé toutes les longueurs inutiles et les scènes sans réels intérêts. Chapeau ma chère "Soumise".

Avec les arrêts sur images, ce film qui ne totalise que 45 minutes, dure deux bonnes heures. Nous laissons quelquefois l'image fixe sur une scène particulièrement suggestive pour grignoter de petits gâteaux ou pour nous resservir en thé. Ce qui nous permet de reprendre nos esprits et de tempérer quelque peu nos excitations de plus en plus délirantes. L'après-midi se termine bien évidemment par une "baise sur bureau" où j'honore mes deux anges avec toute la déférence dû à leur rang de coquines. Je passe de l'une à l'autre. C'est tellement bon que nous beuglons comme une tribu de sauvages à nous trois. Quand je pénètre Clémentine, Estelle peut se calmer afin de retarder son orgasme. Quand je pénètre Estelle, Clémentine peut différer le sien. C'est de la haute voltige.

Il est dix huit heures précises quand Estelle, hurlant de plaisir, s'offre sa seconde "secousse" tellurique. Se tournant sur le côté, les mains entre ses cuisses serrées, comme en proie à une intense douleur. Il est dix huit heures dix quand Clémentine s'offre son "séisme" pisseux en poussant des cris déments. Je pourrais éjaculer pour la seconde fois tellement je suis dévoré du besoin de jouir. Je finis par le faire en distribuant du mieux que je peux l'impressionnante quantité de sperme dans les bouches gourmandes de mes deux anges. Couchés sur l'épais tapis, nous reprenons nos esprits. Je suis entre mes deux coquines. Il commence à faire drôlement faim. Estelle devra nous laisser à 22 h. Nous quittons le salon pour la cuisine en riant de nos délires. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons longuement à table. Après la vaisselle, même si nous sommes complètement épuisés, je lèche et je suce de merveilleux minous baveux.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui terminent cette séance de cinéma "d'art et d'essai" dans la tourmente d'un nouvel orgasme. Demain il y a école...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 43 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2439 -



Juste nous deux

L'application "forêt" nous tire de nos profonds sommeils. Il est presque six heures, hier matin, lundi. Encore un de ses réveils difficiles où Clémentine, se serrant contre moi, murmure : << Je reste avec toi ! >>. Quelques bisous, quelques papouilles. La résignation est sévère mais inévitable. Chaque seconde est à présent comptée. Nous nous levons pour courir aux toilettes. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Il ne fais pas plus de seize degrés un peu partout dans la maison. Y compris dans la salle de bain ou nous nous habillons rapidement de nos lycra de sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café, met les tranches dans le grille pain. J'allume une flambée dans la cuisinière à bois. Le lundi il reste de la brioche que je mets au four à micros ondes. Elle y retrouve son moelleux.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les points forts de ce week-end. Surtout celui de vendredi après-midi avec le parrain d'Estelle. Notre samedi soir au restaurant. Notre dimanche après-midi et sa séance cinéma à domicile. De quoi rajouter sur les étagères de la bibliothèque de nos souvenirs. << La collection se densifie ! >> fait Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en nous réjouissant pour ce soir. Juste nous deux. Il est six heures vingt cinq. Nous remontons nous livrer à notre entraînement. Il en faut de la volonté aujourd'hui. Heureusement c'est en s'y mettant que cela se transforme rapidement en sources de satisfactions. Les échauffements aérobics. Le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Le stretching avant une bonne douche.

Je descends toujours le premier. Je sors la voiture du garage. Presque sept heures quarante cinq. Le jour achève de se lever sous ce ciel morose qui semble être devenu la norme de ce mois de novembre. En me rejoignant chaudement vêtue, Clémentine me fait : << J'ai mes "petits machins" ! >>. Je dépose une bise sur son front. << Mais ça ira, j'ai pris mon médoc ! >> me rassure t-elle en s'installant au volant. Sa grimace indique que le médicament ne fait pas encore son effet. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Il ne pleut pas mais tout est trempé. La température n'est que de deux degrés. Je rentre à toute vitesse pour retrouver les agréables vingt deux degrés qui règnent dans la maison. Je fais la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume immédiatement un beau feu dans la cheminée.

Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette quatrième et dernière nature morte de commande me projette dans une sorte d'extase. Une extase pas du tout mystique mais créatrice. Je peins en pensant à nos folies du week-end. Me reviennent à l'esprit la séance de baise de Clémentine avec le parrain d'Estelle. C'est la seconde fois qu'elle baise avec lui. Mais là c'était du sévère. J'éprouve ce petit pincement au cœur que connaissent tous les hommes qui aiment partager leurs compagnes pour de "grandes occasions". Cette parfaite complicité qui permet d'entretenir une libido débridée et, en ce qui nous concerne, déviante. La matinée passe ainsi, dans d'excitantes introspections. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine.

Pendant que rissole un filet de flétan, que gonfle du riz complet, je fais l'assaisonnement d'une salade de carottes. C'est rapide. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff et son invité reviennent sur les mesures liberticides qui se mettent sournoisement en place. La parole de la "religion européiste" ne doit pas seulement être portée au plus grand nombre mais inculquée, imposée. Au point qu'il faut s'inquiéter de la possibilité qu'une pensée dissidente puisse être considérée bientôt comme un délit d'opinion. Peut-être même que d'ici deux trois ans assisterons-nous à des condamnations à des peine pour prisonniers politiques. Cela paraît absurde mais c'est bien une certaine forme d'absurdité qui anime les dirigeants aux abois qui veulent imposer leurs dogmes par la force. Pour sauver leurs miches.

J'écoute en préparant mentalement la surprise que je réserve à Clémentine. Le repas du soir. Je vais faire simple mais comme nous aimons. Un gratin d'inspiration Dauphinoise mais façon "moi". J'épluche, je lave et je coupe de belles pommes de terre. Des tranches régulières. Pendant qu'elles s'ébouillantent sur la cuisinière à bois, je lave et coupe des champignons de Paris. Je râpe une tonne de ce délicieux gruyère Suisse. Dans la poêle je fais revenir des rondelles de calmars encore congelés. Mais ça va très vite sur la fournaise de la cuisinière. Ça chauffe. Et c'est peu de le dire. Je constitue un mélange d'œufs, de fromage blanc et de lait de soja. J'y rajoute le calmar, du gruyère. J'égoutte les patates pour les disposer en couche dans le grand plat en terre cuite. Sur chacune je verse de cette onctueuse garniture. Quatre couches jusqu'à ras bord du plat. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère. Chapelure, graine de sésame grillé.

Des cerneaux de noix. Je mets dans le four électrique pour laisser mijoter longuement à seulement 160°. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir les jambes je redescends à toute vitesse pour enfiler mon anorak. C'est une chance extraordinaire si je compare aux jours précédents, il ne pleut pas. Pas encore car à regarder le ciel menaçant nul doute que nous y aurons droit très bientôt. Je vais jusqu'à la rivière. La température n'excède pas 10°. Je rentre du bois. Il est quatorze heures quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans la même extase que ce matin. Sans voir passer le temps. Du bruit. Il est déjà dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Elle dépose son cartable sur la table en faisant : << Quelle journée de merde ! >>

Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée de merde. Le menu du restaurant universitaire. Les échanges avec Estelle. Sa journée fut surtout merdique à cause de ses règles. Cette fois plutôt douloureuses malgré son médicament. Elle déboutonne son Levis pour que je puisse y glisser la main. Je masse délicatement par petits cercles concentriques. Sans appuyer. Je pose mes lèvres sur chacun de ses seins. À travers le coton de son sweat je souffle de l'air chaud. Ça soulage. Ce sont ces contractions répétées de son bas ventre qui la tourmentent. << Saloperies de règles ! >> lance t-elle en m'entraînant vers la table. Clémentine a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Je reste auprès d'elle. Debout dans son dos.

Elle m'explique ce que je vois sur l'écran alors que je ne cesse de caresser son ventre. L'extrémité de ses seins étant si sensible et douloureux que j'évite d'y toucher. Même d'effleurer. Nous passons la dernière partie de cette journée à terminer nos activités. << Put-hein, là, j'ai besoin des soins du docteur Julien ! >> s'écrie t-elle en se levant pour ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Elle me rejoint devant le petit lavabo de l'atelier où je me lave les mains. Tenant ma bite pour en diriger les jets elle tente de décrire les étranges sensations dans son intimité. Elle secoue les dernières gouttes en se penchant. Je la tiens par ses cheveux en queue pour dire : << Ce n'est peut-être pas indiqué pour ce que tu as ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine s'exclame : << Je dois prendre mon sirop avant et après le repas ! >>.

Nous restons dans l'atelier pour admirer, dans l'obscurité, la danse des dernières flammes. Installés dans le vieux canapé de velours carmin. Une main dans la culotte de Clémentine couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses. Mes caresses soulagent un peu son bas ventre. Elles n'ont strictement rien de sexuel. Elles font partie de la "thérapie" du docteur Julien. Efficaces tout de même. Je me lève. Je glisse un coussin sous la nuque de Clémentine. Avec d'infinies précautions, sans cesser de masser, je pose mes lèvres sur l'extrémité de ses seins. À travers le tissus, j'insuffle de l'air chaud. << Mmhh, docteur, ça fait un bien fou vous savez ! >> murmure t-elle en se prélassant dans une sorte d'extase. "J'exerce" en libéral pendant un bon quart d'heure. Mes honoraires étant à la tête de la cliente, j'écoute Clémentine revenir sur sa baise avec Jean-Marc.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand Clémentine découvre ce que je tire du four électrique pour le mettre dans le four à bois, c'est un mitraillage de bisous sur mon visage. Je l'aide à préparer l'assaisonnement de la salade d'endives. Nous mettons les assiettes, les couverts. Il faut sortir le gratin sous peine de l'exposer à un début de carbonisation. Un gratin fumant, dorée, embaumant toute la grande pièce. Clémentine pendue à mon cou qui me chuchote des tonnes de << Je t'aime ! >>. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les marchés de Noël qui ouvrent vendredi prochain, 24 novembre. C'est toujours agréable de s'y promener, de flâner dans les allées entre les chalets de bois. Surtout que cette année, il y en aura un sur les quais du port de plaisance.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine parle des ses études. Impatiente d'en avoir terminé avec les corrections de sa thèse. La vaisselle. Nous quittons la cuisine pour le salon. Clémentine allume les deux grosses bougies du candélabre. Seule source de lumière éclairant cette partie de la grande pièce. La pluie qui s'est mise à tomber est projetée contre les vitres des portes fenêtres par de violentes bourrasques de vent. Je propose un suçage de clitoris. Cela fait partie de la thérapie du docteur Julien. Docteur Honoris Causa es cunnilingus. Clémentine me confie qu'elle aura beaucoup de mal à passer d'un état de pénibilité à celui du plaisir. J'insiste en lui rappelant que c'est une technique de "soins" palliatifs qui fonctionne plutôt bien d'habitude.

Je n'insiste pas. Par contre elle s'installe dans le canapé, couchée sur le côté, sa tête sur ma cuisse pour dire : << Je crois que quelques goutte de votre potion me feraient le plus grand bien docteur ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je ne cesse de masser délicatement son bas ventre. Je cesse pour jouer avec ses poils. Je recommence alors qu'elle fourre ses doigts dans ma braguette béante. Elle fouille un peu. Je l'aide à en extraire mon Zob tout mou. Clémentine adore y coller sa joue en gémissant. Elle hume longuement les odeurs de ma journée d'homme en gémissant de plaisir. Elle se redresse pour chuchoter : << Aromathérapie ! >>. Nous en rions aux éclats. Se mettant à plat ventre sur un coussin, elle gobe mon sexe. L'indicible caresse me donne immédiatement le vertige. Je caresse sa nuque.

La position pour une pipe n'est pas très agréable mais elle l'est pour soulager ses viscères. Aussi, quand elle cesse, je me retire pour me mettre à genoux à côté du canapé. Mon visage tout près du sien je donne mes impressions. Nous nous faisons plein de bisous en nous racontant plein de choses. La soirée se passe ainsi, dans le calme. Reposante. Loin de nos libidos habituellement déchaînées. Avant de quitter le salon, Clémentine me tend son téléphone en s'accroupissant. << Un petit film pour moi demain ! >> dit elle en prenant ma bite toute mollasse en bouche. Je filme une petite minute. Nous montons en riant. La salle de bain. Ce n'est que sous la couette que j'offre à Clémentine un soulagement qui va lui permettre de s'endormir tout contre moi. Un suçage de clito qui la fait fondre.

Bonne nuit à toutes les coquines qui, après un orgasme "thérapeutique" et quelques gouttes de "sirop", plongent avec volupté dans un profond sommeil réparateur...

Docteur Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Le petit monde de Clémentine et de Julien
Wednesday 22 November 2023 07:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 44 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2440



Le mardi soir, Estelle, Clémentine et moi

Il est presque six heures hier matin, mardi. L'illusion parfaite d'être réveillé au fond d'une mystérieuse forêt aux étranges résonances. Nos deux I-phones se mettant à fonctionner en même temps sur nos tables de nuit. Clémentine, en gémissant, se tourne pour se blottir contre moi. Quelques papouilles, quelques bisous. << J'ai encore dodo docteur ! >> murmure t-elle. Nous courons vers la porte habités de l'impérieux besoin d'aller aux toilettes. Le radiateurs viennent d'entrer en fonction. Il ne fait pas plus de 16°. Dans la salle de bain nous nous habillons en vitesse de nos tenues de gym. Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café. Elle met les deux gros croissants aux amandes dans le four à micros ondes. Je pèle les kiwi.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. C'est le second jour de ses règles. Clémentine souffre de quelques pénibles contractions du bas ventre. << Cette fois c'est plus chiant que d'habitude ! >> précise t-elle. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la préparation de la dinde jeudi soir. Nous fêtons Thanksgiving avec Estelle. Six heures vingt cinq. Nous remontons pour nous entraîner. Les échauffements aérobic sont bien nécessaires dans notre salle volontairement non chauffée. Le jogging sur tapis roulants vient parfaire cette agréable sensation. Les exercices au sol. Clémentine adore pratiquer des abdos car cela la soulage. Elle les pratique parfois à l'université en s'isolant avec Estelle. Les charges additionnelles. Les étirements d'un stretching bâclé.

La douche. Je redescends pour aller faire chauffer la voiture. Il va être sept heures quarante cinq. Le jour achève de se lever sous un ciel nuageux mais pas encore menaçant. Tout est trempé des pluies de la nuit. La température est de 2°. Chaudement vêtue Clémentine vient me rejoindre pour un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de courir me mettre au chaud. Car il fait à présent bien chaud dans la maison. Je fais la vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. J'allume la flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque cette quatrième et dernière nature morte de commande avec jubilation. Je peins dans un enthousiasme qui me fait chanter des paillardes comme "la digue du cul" ou encore "la tour de Londres". Les chansons du bréviaire du carabin dont je me souviens lors de mes études aux Beaux-Arts de Paris. Le bon vieux temps des étudiants en Arts.

Les heures défilent, défiant la raison pour m'emmener aux environs de midi. Je mets deux bûches sur les flammes. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de gratin de pommes de terre. Je fais l'assaisonnement d'une scarole dont je lave les feuilles également pour ce soir. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff revient sur l'expédition criminelle du village de Crépol alors que tous les médias mainstream parlent d'un simple fait divers. D'une simple rixe ayant dégénérée. Bien évidemment briffés par le ministère de l'intérieur qui veut absolument masquer la réalité des choses qui attendent les campagnes françaises. Cette lâcheté absolue aura une fois encore les conséquences que l'on devine. Juste pour occulter les interrogations. Il y a même des salauds suprêmes parmi les politiciens et les journalistes pour oser prétendre que cet évènement serait du pain béni pour les extrêmes. Hypocrites.

J'écoute en préparant mentalement les pizzas que je réserve en surprise à mes deux anges en soirée. Je fais une belle et onctueuse pâte à pain à laquelle je rajoute du Parmesan finement râpé. Du sel, le jus d'un ail et d'une échalote que je presse. Je pétri la pâte longuement. Je laisse reposer dans le saladier recouvert d'un linge. Je lave et je coupe de belles tomates. Dans la poêle avec de l'ail, de l'oignon. J'y rajoute des bolets. Je recouvre cette garniture d'un couvercle pour laisser reposer. Il ne me reste plus qu'à râper du gruyère Suisse et notre repas du soir est prêt. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas je redescends pour mettre l'anorak. Chausser les bottes en caoutchouc. Le ciel est à nouveau sombre et menaçant. La température est de 8°.

Pas l'ombre d'un doute, nous allons vers l'hiver. Il est treize heures quarante cinq quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. L'après-midi est constructif car je mettrais certainement la touche finale à cette toile demain matin. Du bruit. Il est dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table et vient me rejoindre en courant. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Ouf. Il n'y avait pas de pizzas à midi. Clémentine se lève, déboutonne son Levis en disant : << Docteur, j'ai bobo ! >>. Je me lève. Je glisse une main dans sa culotte pour masser délicatement son bas ventre. Coiffant au passage sa dense toison pubienne.

Je pose mes lèvres sur l'extrémité douloureuse de chacun de ses petits seins. Au travers de la laine de son pull, du coton de son chemisier, je souffle de l'air chaud. << Mmhhh ! >> fait elle en me tenant par les épaules, me caressant la tête. Clémentine a encore du travail. Assise devant son ordinateur entourée de ses fiches. Nous terminons l'après-midi dans cette douce émulation. << Stop ! >> lance t-elle soudain en se levant pour refermer son classeur. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine me rejoint devant le petit lavabo de l'atelier. Elle me tient la bite pour en diriger les jets fumants sous l'eau chaude du robinet. Je sèche mes mains pour glisser la droite dans sa culotte. Penchée en avant, Clémentine récupère les dernières gouttes. Je masse et je coiffe sa touffe fournie.

Me prenant dans ses bras, se serrant fort, elle murmure : << Merci docteur ! >>. Nous ne connaissons pas de meilleure formule de "soins" intensifs. Je descends jusqu'au clitoris géant fièrement dressé dans l'épaisse forêt de ma bien aimée. À peine si je l'effleure du bout de l'index qu'elle a cet amusant petit réflexe féminin. Ce sursaut léger qui mêle surprise et douceur. Elle s'accroche à mes épaules en chuchotant : << Oh oui docteur, c'est bon ça ! >>. Du bruit. Estelle jaillit dans l'atelier en se précipitant vers nous. Clémentine cède sa place à Estelle qui me saute au cou. Je reprends rapidement Clémentine dans mes bras. Estelle adore jouer avec le tisonnier en remuant les braises rougeoyantes. Je caresse encore un peu ma "patiente". Les thérapies du bon docteur Julien.

Comme j'ai la bite à l'air et qu'Estelle fait semblant de ne s'en rendre compte qu'à l'instant, elle se précipite pour me l'attraper. << La bite du docteur ! >> lance t-elle en l'agitant vers Clémentine. Je bande mou. Nous rions. Il commence à faire faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Estelle travaille la pâte pour lui rendre son élasticité. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la scarole. Je réchauffe la garniture. Les filles parlent de leurs études. Je saupoudre de la farine sur les trois plaques du four à bois. Sur une des plaques du four électrique. Ce sera pour demain midi. C'est encore une véritable fournaise là-dedans. Estelle étale consciencieusement la pâte. Je verse la garniture que Clémentine répand jusqu'aux bords. Une bonne couche de gruyère. Des cerneaux de noix. On aime.

Au four qu'il faut à présent surveiller. La cuisson dans le four à bois est extrêmement rapide. Il faut rester vigilant. Surveiller. Estelle s'en charge pendant que nous mettons les assiettes, les couverts. Rien ne titille davantage ma libido qu'une femme accroupie, de dos, cuisses écartées. Peu importe ses vêtements. Estelle le sait bien. Elle ne surveille pas seulement la cuisson dans le reflet de la vitre mais également ma façon obscène de secouer ma queue toute molle. Ce "tuyau d'arrosage" comme elle l'appelle affectueusement. Clémentine s'en saisit pour m'entraîner tout près. Elle frotte mon chibre contre la joue d'Estelle. << Attention ! >> s'exclame t-elle en enfilant les maniques. Nous nous éloignons pour lui permettre une amplitude de mouvements. Elle sort les pizzas du four.

Leurs dessus évoquent la lave en ébullition d'un volcan << Rock around Tazieff ! >> lance t-elle en les posant sur la desserte. Elle les dispose soigneusement sur les grandes assiettes plates spéciales pizzas. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les souvenirs encore tous chauds du week-end. << On se fait des marchés de Noël samedi et dimanche. Ça vous dit ? >> lance Estelle. << Et comment ! >> répond Clémentine. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine en rajoutant : << Ce sera à mon tour de réclamer les bons soins du docteur ! >>. Elle fait allusion à ses règles. Le plus souvent le 25 de chaque mois. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles font mille projets pour ces marchés de Noël à venir.

La vaisselle. Mes deux anges m'entraînent par les bras jusqu'au salon. Elles me font tomber dans le canapé. Toutes les deux retirent leurs bottines, leurs Levis, leurs culottes. Je me branle en les regardant faire les pitres. Elles me montrent leurs culs, écartent leurs fesses, se retournent pour quelques gestes obscènes qui nous font rire aux éclats. J'invite Clémentine à s'installer pour lui prodiguer quelques soins. Quand elle a ses règles, ça la gêne toujours un peu, au début, quand je suce son clitoris géant. Mais passés les premiers instants, le plaisir ainsi procuré fait oublier les désagréments de ses "petits machins". Je suis à genoux sur un des épais coussins, mon visage dans la touffe. Estelle, à quatre pattes, tente tant bien que mal dans cette inconfortable position de me tailler une pipe.

Rapidement Clémentine se laisse gagner par le plaisir indicible de mon suçage. Je m'applique. Il y a les saveurs fromagères de sa journée de fille dans les reliefs de l'intimité de sa "bite de fille". Son clitoris me paraît encore plus imposant ce soir. De la taille de la première phalange de mon pouce. C'est impressionnant. Ses gémissements ne laissent aucun doute sur l'amélioration de son état de santé. << Baisez tous les deux, je mâte ! >> s'écrie t-elle soudain en me repoussant délicatement. Estelle se redresse d'un bond, me saisit le poignet pour m'entraîner sur le canapé. Clémentine, en se touchant, se vautre dans le fauteuil. Restant en appui sur mes bras, au-dessus d'Estelle je me laisse faire. Elle guide ma queue pour se l'introduire. Nous entendons les gémissements de Clémentine.

Je baise Estelle à la hussarde. Avec la délicatesse d'un Sumo. Alternant le rut de l'ours avec celui de l'homme de Néandertal. Les petits cris d'animal blessé que lance Estelle qui se masturbe elle aussi en même temps participent de cet orchestre philharmonique de tout premier ordre. L'orgasme d'Estelle est une succession de secousses, de spasmes qui pourraient m'inquiéter si je n'en avais la bite rude. L'orgasme pisseux de Clémentine qui tente de ne pas gicler à côté de la cuvette. Je me redresse. Elle pose la cuvette pour tomber à genoux devant moi. J'enfonce mon sexe dans sa bouche pour y éjaculer en beuglant. Estelle à genoux sur le canapé, se touche en nous observant avec de grands yeux. Elle sera obligée de nous laisser à 22 h. C'est à dire dans un bon quart d'heure.

Bonne nuit à toutes les coquines ayant bénéficié du traitement thérapeutique du docteur. Un véritable soulagement qui leurs permet une bonne nouille de sommeil.

Docteur Julien (éminent praticien)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Homme, 53 ans, France
Fleur - 45 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2441 -



Tarte aux brocolis avec Juliette

Hier matin, mercredi, il est sept heures quand Clémentine, en gémissant, se blottit dans mes bras. Quelques bisous, quelques papouilles. C'est le troisième jour de ses "petits machins". C'est pas le top mais largement compensé par le plaisir de pouvoir rester à la maison. Car c'est depuis la maison qu'elle prendra ses cours. Il y a donc une certaine forme d'euphorie dans les levés du mercredi. Nous nous précipitons aux toilettes. J'y laisse Clémentine seule pour me rendre dans la salle bain. Depuis une heure que les radiateurs fonctionnent il fait bien chaud partout. Elle me rejoint en sautillant pour nous habiller de nos lycra de gymnastique. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume la cuisinière à bois pendant que Clémentine fait le café. Le grille pain éjecte ses tranches.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de la soirée de mardi. Estelle qui a encore bien profité de la situation pour se faire tringler dans le canapé. << J'aime te voir dans tes "combats épiques" ! >> me dit Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Elle rajoute : << Ce matin ça va mieux. Juste quelques contractions comme une envie de chier qui n'aboutit pas ! >>. Nous rions aux éclats. Nous mangeons de bon appétit en envisageant différentes options de repas pour ce soir avec Juliette. Clémentine suggère une tarte aux brocolis et champignons avec une salade d'endives. Je m'écrie : << Retenue ! >>. C'est simple, facile et délicieux. << Une affaire entendue ! >> s'exclame Clémentine qui vient terminer sa tartine au miel assise sur mes genoux. En riant.

Il est sept heures trente quand nous remontons nous offrir le second plaisir de la journée. Une bonne séance d'entraînement. Les nécessaires et impérieux échauffements de l'aérobic. Ceux d'un jogging sur tapis roulants avant les exercices au sol qui soulagent tellement bien le ventre de Clémentine. Elle redouble d'ailleurs d'activités avec des groupés maximums, genoux relevés, mains sous la nuque pour des relevés de jambes. Six séries de soixante mouvements. En rythmant sa respiration. Inspiration au relevé, rentrer le ventre, marquer l'instant, expiration en phase descendante. "Tablettes de chocolat" assurées au bout de quelques mois. Nous voilà prêts pour affronter les redoutables charges additionnelles. Le retour aucalme avec les consciencieux étirements d'un bon stretching.

La douche. Clémentine, plutôt déconneuse, me fait rire en imitant l'accent Corse de Juliette. En commentant ce qu'elle fait ou en pensant à haute voix. Habillés de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux nous redescendons pour passer dans l'atelier. Clémentine s'assoit devant son ordinateur, ouvre ses classeurs et se met immédiatement à son télé travail. << Ils sont déjà là ! >> lance t-elle alors que j'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette dernière nature morte de commande que je m'apprête à finaliser ce matin. Je peins dans une véritable félicité. Tellement heureux de la proximité de la femme que j'aime. J'aime l'entendre s'adresser à un professeur ou à quelques collègues étudiants.

Il est très exactement onze heures trente quand je dépose la dernière touche sur la surface du tableau terminé. Je le place sur un second support afin qu'il sèche tranquillement sous un linge. À l'abri de la poussière. Rien n'en génère davantage qu'un feu de bois. Je dépose la première scène de genre de commande sur le chevalet. Trois personnages vêtus à l'ancienne qui auront comme à chaque fois les traits de ma compagne, d'Estelle et les miens. Comme toujours je situe cette anecdote dans une ambiance très dix septième siècle Hollandais. Ce qui fait le succès de ces toiles imitant à la perfection les grands Maîtres du siècle d'or. Pieter de Hook, Johannes Vermeer de Delft ou encore et surtout mon préféré Gerrit Dou. Clémentine se lève pour me rejoindre. En sautillant pour se dégourdir.

Il commence à faire faim il n'est pas loin de midi. Une grosse pizza qu'il suffit de réchauffer nous attend à la cuisine. Avant de quitter l'atelier je mets deux bûches sur les braises. C'est la première matinée depuis quelques semaines où je ne suis pas obligé de travailler avec la lampe à halogène. Dehors le ciel est souvent bleu et lumineux. Avec des séquences ensoleillées. Sympathique. Clémentine sort mon Zob pour me tirer comme par une laisse. Je masse un peu son bas ventre. Je souffle de l'air chaud sur ses seins à travers l'épais coton de sa chemise. << Merci docteur. Vos soins m'ont une fois encore tirés d'affaire ! >> dit elle. Nous quittons l'atelier ainsi. Emmené par la queue jusqu'à la cuisine. Ce qui m'oblige à marcher comme un con. Nous en rigolons comme des bossus.

Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de carottes. Je sors la pizza du four électrique éteint pour la mettre dans la fournaise du four à bois. Je sors une pâte feuilleté du bas du réfrigérateur pour la laisser se mettre à température sur l'étagère de la hotte au-dessus de la cuisinière à bois. Tout est rapide. Je descends à la cave, au cellier, pour y récupérer les magnifiques brocolis et des champignons de Paris. Clémentine, facétieuse me rejoint sur la pointe des pieds. Pour m'effrayer par un << Coucou ! Darling ! I love you ! >>. J'ai les bras chargés. Elle attrape ma queue en enfonçant sa langue dans ma bouche. Je bande rapidement dans sa main. Une fois encore elle me tire par le Zob pour remonter l'escalier. Nous arrivons à temps. Je sors immédiatement la pizza du four. De justesse.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant la préparation de la dinde demain soir. Pour fêter dignement Thanksgiving il faut que ce soit une cuisson réussie. Seule et unique fois de l'année où nous mangeons autre chose que du poisson. Surtout que c'est Estelle qui veut se charger de tout. Ce sera plutôt un dindonneau que Louis nous apportera en début d'après-midi. Notre voisin élève des poules, des oies et des dindes. Il nous arrive d'entendre le coq chanter. Mais comme nous ne sommes pas parisiens, les bruits naturels de la campagne ne nous indisposent pas. Clémentine étale la pâte dans le grand plat à tarte. Je lave et je coupe brocolis et champignons. Il faut ébouillanter quelques minutes les brocolis avant de les étaler sur la pâte. Je verse le liant. C'est un flan composé d'œuf, de crème fraîche et de lait de soja. Clémentine recouvre d'une grosse couche de gruyère. De la chapelure. Des graines de sésame grillé. C'est beau.

Il y a eu tellement de noix cette année, nous aimons tellement ça, que j'en mets des cerneaux sur toutes nos préparations. En quantité. Et dans les salades. Clémentine glisse la tarte au four électrique. Cuisson lente, douce et longue à 160°. Le thermostat pilotera le tout sans avoir à s'en occuper. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés d'aller nous dégourdir les jambes, nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks pour sortir. C'est un froid glacial encore accentué par un violent vent du Nord. << Quelle horreur ! >> s'exclame Clémentine qui se serre contre moi. Nous descendons jusqu'à la rivière. Il fait tellement froid que nous relevons nos capuches. Les oreilles nous piquent. Le bout du nez qui coule. 2°.

Et toujours cet étonnant stoïcisme dont font preuve les canards, les poules d'eau et les colverts. Nos amis à plumes s'ébattent sur l'eau comme des parisiens sur la plage de Saint Tropez au mois d'aout. Nous ne nous attardons pas. Une surprise nous attend. Monsieur Bertrand a déposé une cagette contenant un gros paquet sur la dernière marche du perron. << La dinde ! >> s'écrie Clémentine. Nous rentrons au chaud. Il faut faire un peu de place dans le bas du frigo pour y mettre le paquet. Nous quittons la cuisine pour l'atelier. Clémentine immédiatement à ses études. Je commence ma nouvelle toile dont le dessin préparatoire et la couche d'impression ont été réalisés en septembre. Je me félicite toujours de faire ce travail en amont. Je n'ai plus qu'à recouvrir des couches supérieures.

Je peins dans le plus absolu bonheur. Il est dix sept heures quand Clémentine se lève en lançant : << Stop ! J'arrête ! >>. Elle commence à ranger ses affaires alors que je nettoie la palette, les pinceaux. Le crépuscule précipite l'obscurité qui s'installe depuis une demi heure. Clémentine, couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, me donne ses impressions, me raconte sa journée. Nous sommes confortablement installés dans le vieux canapé en velours carmin de l'atelier. À quelques mètres de la grande cheminée dont les dernières flammes lèchent les braises. Seule lueur à éclairer cette partie de la grande pièce. Je caresse la tête de Clémentine en l'écoutant. Ma bite toute molle contre sa joue comme elle aime. La peau fripée de mon prépuce collant contre sa pommette. Elle raconte.

Parfois je glisse ma main dans son Levis déboutonné pour masser délicatement son bas ventre. Ça va beaucoup mieux question crampes et contractions. C'est un soulagement. Nous restons ainsi un long moment. Quelquefois Clémentine tourne la tête pour suçoter ou mâchouiller la peau du Zob. Je caresse ses sourcils. Du bruit. Nos intimes ont pour consignes d'entrer dans notre demeure sans êtres obligés de s'annoncer. À cet effet, j'ai ouvert le portail avant d'aller dans l'atelier en début d'après-midi. Juliette entre dans l'atelier. En soufflant dans ses mains, venant vers nous, elle dit : << Ça meule, quelle horreur ! >>. Nous nous redressons pour lui faire la bise. Comme toujours Juliette fait mine de ne pas voir ce qui pend de ma braguette. J'adore ce typique comportement féminin.

Ce soir Juliette est en pantalon d'épais velours côtelé brun. Un pull noir de laine mohair à col roulé. Des bottines brunes. Élégante. Ses longs cheveux noirs en libertés sur ses épaules. Les reflets argentés de ses mèches grises. J'adore. Nous regardons danser les dernières flammes. Clémentine à ma gauche qui me tient par la taille. Juliette à ma droite, bras croisés. Nous bavardons un peu. Juliette nous raconte sa journée. Nous remercie une fois encore pour ces soirées qu'elle passe avec nous. Chacune reste d'ailleurs un souvenir des plus agréables. Clémentine saisit ma queue. Je bande mou. Juliette se penche pour regarder enfin. Elle dit : << On se fait une soirée branle un de ces prochains vendredis ? >>. Clémentine répond : << Avec plaisir ! >>. Je les écoute envisager une date.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand Juliette découvre ce que je tire du four électrique éteint pour le mettre dans la fournaise du four à bois, elle s'exclame : << Ça aussi c'est génial. Ces mercredis ensemble où je peux me détendre ! >>. Je passe mon bras autour de ses épaules pour dire : << Le plaisir est partagé ! >>. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endives. Juliette met les assiettes, les couverts. Je surveille le four. C'est Juliette qui insiste pour sortir la tarte. Elle m'adresse un clin d'œil en lançant : << J'adore vous tourner le dos ! >>. Accroupie devant le four, elle observe dans le reflet de la vitre. Ce n'est pas seulement l'instant où elle va sortir la tarte qu'elle guette mais ma masturbation. Rien ne m'excite davantage qu'une femme accroupie de dos.

Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte ses journées chargées. << Je n'ai même pas le temps de faire des pipes à mon vétérinaire. Ni à l'homme d'entretien ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. << Et si vous veniez fêter Thanksgiving avec nous demain soir ! >> propose Clémentine. << Avec plaisir ! >> s'exclame Juliette. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Nous traînons à table. Je me lève à plusieurs reprises pour agiter ma bite devant les coquines. Juliette se lève parfois pour se toucher, m'imiter ou poser son entrejambes sur un des coins de la table. << Il faut décider d'une date pour une soirée branle. C'est trop bien ! >> dit Clémentine. << Vendredi prochain par exemple. La semaine prochaine. Venez pour vingt heures ! >> répond Juliette en s'asseyant.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui passent du bon temps en compagnie d'une merveilleuse bourgeoise, délicieusement salope, qui vient de fêter ses 50 ans...

Julien (Docteur Honoris Causa es bite à l'air)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 46 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2442 -



Soirée "dinde" à quatre

Il est presque six heures hier matin, jeudi. Les gazouillis généreux des oiseaux. C'est ce qui nous réveille. Ce ne sont évidemment que les illusions bluffantes de l'application. Tellement réalistes que c'est comme si nous étions tirés de nos sommeils au fond d'une mystérieuse forêt aux étranges résonances. Le doux bruit d'une source qui s'écoule vient parfaire cette féérie. En gémissant Clémentine se blottit contre moi. Comme tous les jours nous resterions bien ainsi quelques minutes supplémentaires. Hélas, il faut se lever. Des bisous, des papouilles, nous nous précipitons aux toilettes. J'y laisse Clémentine pour venir le premier dans la salle de bain. Elle m'y rejoint en s'écriant, toute contente : << Terminé ! Presque plus rien. Et plus bobo ! >>. Clémentine fait bien sûr allusion à ses règles.

Nous enfilons nos lycra de sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant ses rêves, j'allume la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée avec Juliette. Juliette qui revient ce soir partager la dinde de Thanksgiving. << Avec nous trois, tu seras en compagnie de quatre dindes ! >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Nous mangeons de bon appétit en organisant plus ou moins les festivités. C'est Estelle qui veut absolument finaliser la préparation. Mais c'est moi qui, dès le milieu de l'après-midi, sera aux fourneaux. Je me réjouis car j'adore préparer les repas. Il est six heures vingt cinq. Nous remontons pour notre gym.

Les échauffements aérobics motivés par la fraîcheur qui règne dans notre salle d'entraînement. Le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol qu'apprécient encore tant Clémentine. Les charges additionnelles. Le retour au calme du stretching. La douche. Je dévale les escaliers pour aller préparer la voiture. Presque sept heures quarante cinq. La température est de moins un degré. Le vent glacial impose un froid polaire. Le ciel est entièrement dégagé et le jour paraît bien levé. Déguisée en esquimau, Clémentine vient me rejoindre en sautillant pour se réchauffer. Un dernier bisou. << Put-hein maintenant c'est l'hiver en plus ! >> s'exclame t-elle en s'installant au volant. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de courir me mettre au chaud. Je fais la vaisselle, le lit avant l'atelier.

J'allume le feu dans la cheminée. L'atelier étant situé Nord, Nord Est le vent glacial refroidit toujours cette partie de la maison. La cheminée et les deux radiateurs s'avèrent toutefois très efficaces. Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque avec sérénité cette première scène de genre à trois personnages. Je peins dans la plus suprême félicité. La journée s'annonce pleine de ces évènements imprévisibles dont je raffole. Il va être midi. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le dernier quart de l'énorme tarte aux brocolis. Je fais l'assaisonnement d'une salade de concombre. Je sors la dinde du réfrigérateur pour la laisser se mettre à température. C'est une belle volaille. Pas grande mais bien dodue.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, avec son invité, André Bercoff aborde l'épineux sujet de l'inflation galopante, des restrictions budgétaires annoncées pour l'année prochaine. Quand une "crise" dure depuis cinquante ans, ce n'est plus une "crise" mais c'est un "système". Personne n'est plus vraiment dupe. À part l'immense majorité qui continue de croire aux mensonges de politiciens voyous, roublards et profiteurs. C'est sur ce thème que sont évoqués la fin annoncée des restaurants du cœur, les augmentations du gaz, de l'électricité. Les salaires qui seront "gelés". Tout cela alors que les parlementaires européens, les députés et autres "élus" du peuple augmentent leurs salaires, qu'Ursula von Der Leyen trouve 50 nouveaux milliards à offrir à cette crapule de Zelinski et à son gouvernement de corrompus. J'écoute en préparant mentalement les ingrédients nécessaires à mes préparations de la dinde.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé de me dégourdir un peu les guiboles je redescends pour enfiler mon anoraks. La température extérieure est de 4°. Et toujours ce vent du Nord qui souffle. Je descends jusqu'à la rivière. Le bout du nez qui coule, les oreilles qui brûlent malgré ma capuche et mon bonnet. Je ne m'attarde pas. Il est treize heures trente quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans la plus parfaite des plénitudes. Les crépitements dans l'âtre accompagnent mes délicats coups de pinceaux. Il est 15 h30. Stop. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches dans le feu. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je me réjouis pour les préparatifs. Je préchauffe le four électrique à 200°. Je mets la dinde dans un grand plat thermorésistant en Pyrex. Je fais fondre du beurre. J'en recouvre la dinde. Je fais tremper quelques instants des biscottes. Je prépare des cerneaux de noix. Je fais bouillir des marrons.

J'épluche l'oignon. J'émince l'ail, j'épluche, je lave et je coupe des champignons. Le pâté de lentilles a décongelé. Tous ces ingrédients seront nécessaires pour farcir la bestiole. Il faut la remplir avec la main enfoncée. Je surmonte mon dégout. Je badigeonne la carcasse avec de la moutarde à l'ancienne. Le four est à température. Parfait. Je lave les petites pommes de terre Bintje qui gardent toutes leurs saveurs en ne les épluchant surtout pas. Je passe à la poêle dans du beurre fondu. J'y rajoute des petites tomates cerises, des bolets. Je vérifie. Je n'ai rien oublié. C'est la recette de ma grand mère maternelle. Je la voyais faire quand j'étais petit. Ça me plaisait d'être avec elle lors des préparatifs de fêtes. J'enfourne la dinde. Il faudra la laisser cuire deux heures trente. Sans cesser de l'arroser de son propre jus. Il faut faire fondre du beurre, y rajouter de la farine, laisser blondir, rajouter de l'eau. Arroser régulièrement. C'est un travail.

Je surveille la cuisson avec un soin maniaque. Il est déjà dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. << Mmmhhh, ça sent bon ! >> s'écrie t-elle en entrant dans la cuisine. Elle me saute au cou. Je la soulève. << Mon Maître queue est déjà aux fourneaux ! >> lance t-elle alors que je la soulève, qu'elle mitraille mon visage de bisous. Je l'emmène devant le four. Nous nous accroupissons pour constater que la viande présente déjà un bel aspect doré. J'ouvre pour arroser une nouvelle fois la bête. << Put-Hein ça me donne faim ! >> s'exclame Clémentine qui a encore du travail. << Viens, pipi ! >> dit elle en m'entraînant par la main. Le rituel pisseux nous amuse et nous excite. Clémentine tire son ordinateur du cartable. C'est à la table de la cuisine qu'elle s'installe. Ses fiches.

Tout en me racontant sa journée, le menu du restaurant universitaire, Clémentine reste plongée dans ses écrits. Je surveille la cuisson. En accompagnement j'ai prévu des haricots verts et des petits pois. Ils ont bien décongelé. Entre deux coups d'œil au four, je rejoins Clémentine pour la tenir par ses épaules, faire des bises dans sa nuque. << J'aime quand vous me perturbez ainsi monsieur le cuisiner ! >> dit elle. Il est dix huit heures trente quand Clémentine se lève pour ranger ses affaires. Accroupie avec moi devant la porte vitrée du four, nous admirons la parfaite réussite. Estelle entre dans la cuisine. << Put-hein comme ça sent bon ! >> lance t-elle en courant pour venir voir. << Raconte ta baise avec Jean-Marc ! >> fait Clémentine. Estelle répond : << La vraie machine ! >> répond t-elle. Estelle passe derrière moi, ses bras autour de ma taille, sa main qui descend sur ma braguette, elle rajoute : << Tu me contrôles ce soir ? >>

Nous en rions de bon cœur. << C'est à moi de terminer le repas. Comme convenu ! >> s'écrie t-elle en passant devant moi pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Palpant ma bosse qui grossit rapidement, Estelle me roule une pelle d'enfer. Elle déboutonne mon Levis. Elle s'accroupit pour en extraire mon érection. Avec quelques difficultés. << Ne va pas risquer de te la brûler, c'est à moi d'assurer aux fourneaux ! >> dit elle en se redressant. Sans lâcher ma bite dure comme le bois. Avec Clémentine nous mettons les assiettes et les couverts. Je peux tourner autour de la table avec la bite à l'air sans courir le moindre risque. Sinon celui de me faire chopper par le Zob quand je passe trop près d'Estelle. Du bruit. << Coucou ! >>. C'est Juliette qui entre dans la cuisine. Heureuse.

Ce soir elle est en Levis, sweat bleu nuit, bottines. Ses longs cheveux en catogan. Nous la savons heureuse quand elle vient ici. Mais là c'est visiblement une joie qui la comble. Nous nous faisons des bises. << Trois dindes pour manger la quatrième en compagnie d'un maître queue ! >> lance t-elle. Nous rions aux éclats. Je dis : << Quatre dindes et le dindon de la farce ! >>. C'est dans cette ambiance que nous regardons Estelle terminer la présentation. La dinde dorée à souhait, luisante, entourée de petites pommes de terre en "robes des champs", de tomates à présent confites, de bolets rôtis. << À table ! >> lance Estelle. Juliette daigne enfin faire semblant de s'apercevoir de ce qui pend de ma braguette. Nous voilà installés. Juliette avoue sa joie de revoir Estelle. Réciproque.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur des souvenirs communs. Le dernier Gloryhole. Juliette nous raconte ses petites aventures avec son vétérinaire. Les pipes qu'elle prodigue à son homme d'entretien. Ce grand black qui arrive avec sa camionnette en début d'après-midi. << Pas plus d'une pipe par semaine au "petit personnel" ! >> conclue t-elle. Nous rigolons comme des bossus. Estelle et Juliette devrons nous laisser pour 22 h. Aussi, nous profitons de chaque instant pour le rendre aussi dense que possible. Ce repas de Thanksgiving est un véritable délice. Pour Juliette c'est la toute première fois qu'elle fête Thanksgiving. Elle ne savait même pas que cela existait. << Encore un truc que les Américains nous exporte ! >> fait elle. Estelle répond : << C'est super ! >>

Nous traînons à table. Nos conversations axées la plupart du temps sur nos préoccupations communes tournent autour du sexe. Parfois, sur un signe d'Estelle ou une invitation de Clémentine, je me lève pour agiter mon chibre. Je me branle un peu avant de me rassoir. Juliette me lance ce regard de reproche, sévère, qui n'est évidemment qu'un jeu qui amuse beaucoup Estelle. Estelle qui m'adresse des clins d'œil avant de se lever à son tour pour m'imiter. Elle débarrasse avec Juliette. Tout dans le lave vaisselle. Avec Clémentine nous préparons les coupes glacées. Le dessert nous fait saliver autant que délirer. Juliette invite Estelle à participer à la "soirée branle" prévue vendredi de la semaine prochaine. << Le vendredi je suis avec mes parents. J'peux pas j'ai famille ! >> répond t-elle. Rires.

Il va être l'heure. Estelle et Clémentine assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, nous écoutons Juliette parler de sa Corse natale. De Sartène le village où elle a grandi. De Monticello où vit Jacques Dutronc que les villageois apprécient beaucoup. << On le voit parfois faire ses courses comme n'importe qui, en traînant un peu la savate ! C'est pas très loin en moto ! >> raconte t-elle. Il faut se résoudre. Il va être l'heure. Nous raccompagnons Juliette et Estelle dans la nuit glaciale jusqu'à leurs voitures. Un dernier bisou. Pas de bite à l'air dans ce froid polaire. Nous nous dépêchons de rentrer. De monter dans la salle de bain, de nous laver les dents, un brin de toilette. Sous la couette j'offre à Clémentine une petite pénétration de principe et un cunnilingus somnifère.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment se retrouver sous les draps, dans les bras de leur maître queue, après y avoir gouter et avant un bon dodo...

Julien (maître queue)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
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Le vendredi noir

C'est souvent dans une certaine euphorie que Clémentine se réveille les vendredis matins. Ce qui est encore le cas hier à presque six heures. L'application "forêt" nous tirant de nos sommeils avec ses habituels enchantements. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Il ne fait pas plus de seize degrés dans la maison. C'est avec fébrilité que nous nous vêtons de nos tenues sports dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement la cuisinière à bois pendant que Clémentine fait le café. Déconneuse et en imitant l'accent Corse de Juliette. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée Thanksgiving. Il reste de la dinde et de sa garniture pour notre repas de midi.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différents programmes de l'après-midi. Clémentine propose de nous faire un des marchés de Noël en ville. Il est six heures vingt cinq quand nous remontons pour l'entraînement. Les nécessaires échauffements aérobic. Le jogging sur les tapis roulants où Clémentine montre encore toute l'étendue de ses facéties du vendredi. << Il est noir aujourd'hui ! >> lance t-elle sans cesser de courir, à l'endroit, à l'envers en déconnant dans un sérieux qui me fait me plier de rire. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Les étirements d'un retour au calme. Prétextes à d'autres situations loufoques. La douche. Je cavale dans les escaliers pour aller sortir la voiture du garage. Presque sept heures. Un ciel bas, couvert, sinistre, un froid polaire.

Clémentine me rejoint en sautillant pour se réchauffer. Vêtue de son anoraks, son bonnet, son écharpe ses gants. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter les pavés autobloquants secs du chemin. Avec le froid le sol a séché avec une étonnante rapidité. Je me dépêche de retourner au chaud faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je m'attelle à la peinture de cette première scène de genre de commande avec délectation. Je peins animé de cette euphorie laissée par Clémentine. Sans voir passer les heures. Presque midi. Je le sais parce que j'ai faim. Je nettoie la palette, les pinceaux, satisfait de mon travail. Cette toile sera terminée mercredi prochain au plus tard.

Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine où je réchauffe les restes. Il y a de la quantité. J'ai juste à faire l'assaisonnement d'une salade de carottes. Je mets les assiettes, les couverts. Midi trente. Clémentine rentre de cours. << Je suis frigorifiée ! >> lance t-elle en me sautant au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour couvrir mon visages de bisous. Je l'emmène aux toilettes ainsi. Pour le rituel pisseux et le lavage des mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << De la part d'Estelle je dois te tripoter sans arrêt jusqu'à son retour demain ! >> précise t-elle en mimant une fellation. La dinde et sa garniture réchauffées, c'est encore meilleur. << On devrait se faire des viandes blanches une fois par semaine ! >> fait encore Clémentine.

Nous traînons à table en faisant quelques projets pour le week-end qui vient de commencer. Le vendredi, qu'il soit noir ou non, Clémentine termine à midi. Moi aussi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine suggère de faire le premier Marché de Noël donné sur les quais du port de plaisance ce dimanche. C'est une excellente idée. Nous nous réjouissons pour découvrir cette nouvelle animation créée par la municipalité du bourg voisin. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine toujours si déconneuse que je suis plié de rire. Je me change pour mettre une paire de jeans propres, une chemise blanche sous un pull bleu nuit au col en "V". Mes bottines brunes. Clémentine garde son élégance de la matinée. Elle aime quand je brosse ses cheveux.

J'adore la coiffer devant le miroir alors qu'elle me raconte des anecdotes de l'université. Il est treize heures quarante cinq. Nous enfilons nos épais blousons de cuir brun. Nos bonnets de laine brune. Nos écharpes, nos gants de cuir brun. La température extérieure est de 4°. Le vent du nord est responsable de ce froid glacial. Nous traversons le jardin en courant jusqu'au garage. Clémentine, en rangeant sa voiture, a laissé les deux battants ouverts. << Ils déconnent avec le froid. C'est sans doute le moteur électrique ! >> explique t-elle. Nous sortons la Mercedes. Je roule doucement sur les vingt cinq kilomètres qui nous séparent de la ville. Clémentine joue avec ma queue. Il est quatorze heures quinze quand nous nous garons dans la ruelle habituelle, à dix minutes pédestres du centre.

Les rues piétonnes sont magnifiquement décorées. Les vitrines également. Des panonceaux partout indiquant jusqu'à moins 50 % sur "certains" articles. Bref, c'est le second Black Friday et les affaires battent leur plein. Il y a un monde fou. Clémentine reste accrochée à mon bras. Nous attirons encore bien des regards par nos hautes tailles et notre élégance. Clémentine s'arrête parfois pour nous regarder dans le reflet d'une vitrine : << Regarde comme on est "classe". Même avec des bonnets ridicules ! >>. Nous en rions de bon cœur. Voilà la place de l'Hôtel de ville et son marché de Noël. Cette année, curieusement, les illuminations sont à tendance mauves, violettes et même parfois d'un bleu clair. Les chalets de bois sont disposés judicieusement afin de laisser de grandes allées. Parfait.

C'est un peu comme tous les ans. Des chalets proposant des boissons chaudes, vins, thé, café ou tisanes. Des objets artisanaux. Du nougat et autre spécialités pâtissières. Des bonbons. Ce qui attire nos attentions est cette présence policière partout. Certains armés de mitraillettes noires impressionnantes. << Chacun chez soi et les vaches seront bien gardées ! >> lance Clémentine faisant allusion aux récents évènements. Même dans son université les étudiants sont appelés à la plus grande prudence. Nous flânons en oubliant presque le froid. Il faut préciser que nous sommes chaudement habillés. Là, au détour du chalet des spécialités fromagères, dans l'odeur appétissante des gratins de patates, nous rencontrons monsieur Bertrand et sa femme. Nos voisins vêtus en ours polaires.

Nous bavardons un peu. Louis nous invite à déguster un gobelet de vin chaud. Même chaud et fortement dilué, nous ne consommons pas de vin. Pas d'alcool. Nous déclinons leur offre. Le vieux salaud joue parfaitement au voisin cool. Il ne sait toujours pas que "je sais". Et c'est tant mieux. Nous les saluons pour continuer notre promenade. Au fur et à mesure de l'après-midi qui avance il y a davantage de gens. C'est délicieux de savourer une gaufre chaude au sucre. Légère et onctueuse. Qui donne envie d'en prendre une deuxième. Nous abandonnons le dédale des chalets pour reprendre une rue piétonne. Il y a un "saint Nicolas" qui se fait photographier avec des gamins, leurs parents aux sourires niais, crétinisés par leur progéniture bruyante. Voilà le second marché de Noël.

Situé sur l'esplanade, les chalets disposés en cercles concentriques. Il y a un énorme bonhomme de fausse neige, articulé, à la limite du ridicule, qui soulève des gamins de ses mains en forme de soucoupes. Là aussi c'est une succession de stands de boissons chaudes, de friteries, d'articles en cuir et autre bijoux de pacotilles. Le crépuscule s'annonce car les lumières deviennent plus vives. En levant les yeux on constate un ciel qui s'assombrit. Il va être seize heures trente. C'est l'instant "thé". Par chance, dans notre salon de thé préféré, au premier étage, il y a quelques tables libres. Nous y savourons un bon chocolat chaud avec des torches aux marrons. Un délice. Clémentine s'offrirait volontiers une petite frayeur, un petit plan exhibe. Mais avec tout ce monde c'est impossible.

Inutile d'aller nous amuser dans un des cabinets des toilettes hommes. L'endroit connait un incessant va et vient. Nous rions de nos légères frustrations. << J'ai envie de te bouffer la queue ! >> murmure Clémentine en posant sa main sur la mienne. Non, je ne suis pas le père de la sublime jeune fille attablée à mes côtés. Pourtant quelques regards de clients d'autres tables semblent poser cette question. Nous quittons pour retourner dans la foule. Avec la nuit tombée, tout n'est plus que féérie. Par contre il fait encore plus froid. Où est-ce une impression après les douceurs du chocolat chaud ? Nous nous dirigeons vers la place du Parc. Il y a là le troisième marché de Noël. Tout aussi beau. Cette année les espaces entre les chalets permettent une circulation plus fluide. Bien organisée.

Je propose à Clémentine de nous offrir un bon restaurant. Hésitante, elle pose discrètement sa main sur ma braguette en disant : << J'ai envie de faire plein de trucs, ça fait quand même presque vingt quatre heures qu'on est "sages" ! >>. Nous en rions de bon cœur. Quand nous parlons la vapeur s'échappe de nos bouches. << Ça caille ! >> lance Clémentine alors que nous lisons les différents menus affichés devant des restaurants. C'est une façon imparable de se décider. Un menu qui provoquerait le désir, le "coup de cœur". Ce restaurant étoilé, en plein centre ville, propose des spécialités gratinées et savoyardes. Toutes les semaines, et jusqu'à Noël, il y aura les spécialités de différents terroirs de France. On se regarde. On s'interroge. On hésite. Il va être dix huit heures trente.

<< Viens ! >> lance Clémentine en prenant ma main. Nous entrons dans l'établissement. Nous connaissons bien ce restaurant très chic où l'on mange mieux que bien. Les décorations des fêtes sont toutes dans les teintes sépias. Absolument magnifiques car elles font régner une ambiance de magie, de mystère. Il y a toujours des tables libres dans de grands restaurants de luxe. La serveuse, en smoking nœud papillon comme le serveur, nous invite à la suivre à l'étage. Un large escalier qui évoque celui d'un palace. Notre table est située devant une large fenêtre qui donne sur le marché de Noël place de l'Hôtel de ville. La vue est splendide. Il fait chaud, l'atmosphère est feutrée. Il y a déjà quelques clients attablés. Nous nous faisons face devant une petite table ronde à la nappe brodée.

C'est un réel plaisir d'être là. Nous prenons la commande. En bavardant, nous nous tenons les mains, jouant avec nos doigts. Il y a juste trois autres couples éparpillés dans la salle. C'est très intime. Lumière tamisée, lustres à peine éclairés. Boiseries de chêne. Dorures anciennes. << Et puis les cabinets des toilettes hommes sont spacieux ! >> précise Clémentine. Comme il est encore tôt, pour nous faire patienter, la serveuse nous apporte des encas. Noisettes et amandes grillées entre les toasts minuscules au caviar et au pâté de crabe. Un régal qui met nos appétits à rude épreuve. Clémentine m'emmène aux toilettes. Nous traversons la salle sous quelques discrets regards. Que peuvent bien aller faire ensemble cette jeune fille et cet homme d'âge mûr ? Non je ne suis pas le papa. Je vous jure.

Enfermés dans un des cabinets des toilettes hommes, après avoir fait pipi, après s'être fait lécher la cramouille, Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Ça nous fait rire quand ça résonne ainsi. Je me fais sucer un peu en caressant ses cheveux, en murmurant des cochonneries. Nous retournons nous assoir. Il commence à faire faim. Voilà enfin nos gratins de brocolis au confis de calmars dans leurs sauces aux cèpes. Un régal. Nous prenons tout notre temps pour savourer chaque bouchée. << Regarde, on fait des émules ! >> chuchote Clémentine. Un couple se dirige vers les toilettes. << On devrait demander des droits d'auteurs ! >> rajoute t-elle. L'absence de ces gens est surprenante. Ils reviennent enfin, des couleurs aux joues. Nous récidivons avant le dessert.

Bonne faim de soiré à toutes les coquines que le Black Friday émoustille dans le froid polaire des marchés de Noël...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Un samedi "traditionnel"

Il est sept heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine se couche sur moi. Frottant son sexe contre ma tumescence. Couvrant mon visage de bisous. << J'aime les samedis matins ! >> murmure t-elle. Nos impérieux besoin de pisser ne nous laissent aucune autres alternatives. Nous nous précipitons aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Dans la salle de bain également où nous revêtons nos lycra de sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine prépare le café, pèle les derniers kiwis, presse les dernières oranges. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Le grille pain éjecte ses tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée au restaurant après les marchés de Noël.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant la récidive cet après-midi avec Estelle. Avant de faire la vaisselle, nous allons ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Nous montons nous laver les dents avant de passer dans notre salle d'entraînement. Par contre pas chauffée. Excellente formule pour motiver nos efforts dès les échauffements aérobics. Le jogging sur les tapis roulants. Pour les exercices au sol nous voilà dans les toutes meilleures conditions. Prélude parfait aux manipulations des charges additionnelles. Le samedi nous pouvons consacrer tout notre temps aux étirements d'un stretching très agréable qui permet un progressif retour au calme. La douche mais sans êtres obligés de nous presser. Il est huit heures quarante cinq. Nous entendons l'aspirateur.

Notre "fille de ménage" est déjà à l'ouvrage. Lise est ponctuelle et s'adonne avec plaisir au nettoyage. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Assise devant le miroir, une serviette sur les épaules, elle me confie être impatiente. Elle se réjouit pour les fêtes de fin d'année que nous passerons une fois encore à Édimbourg. Autant que moi. Les festivités du Hogmanay étant inoubliables, nous y passerons douze jours. C'est à mon tour. Clémentine manie le sèche cheveux et la brosse en faisant mille projets pour ce séjour. Bous nous habillons de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux, baskets. Lise est probablement à faire la poussière dans la salle d'entraînement. Nous changeons les draps du lit pour redescendre avec le "paquet".

Dans la buanderie de la cave nous pouvons suspendre le linge. J'en profite toujours pour jeter un coup d'œil à la chaudière. Tout est parfait. Clémentine, derrière moi, ses bras autour de ma taille, me chuchote : << J'ai de drôles d'idées qui me passent par la tête quand je suis à la cave ! >>. Je me retourne pour la prendre dans mes bras en demandant : << Un exemple s'il vous plaît mademoiselle ? >>. Elle déboutonne ma braguette pour palper la bosse dans mon slip. << Des trucs dans le genre ! >> répond t-elle. En s'accroupissant elle rajoute : << Où encore comme ça ! >>. Elle en extrait le chibre. Je bande mou. Clémentine l'agite devant son visage en me fixant dans les yeux. Je dis : << Tiens, c'est étrange, mais savez-vous que j'ai soudain les mêmes idées. Curieux, non ? >>

Clémentine mitraille mon Zob de bises avant d'en gober l'extrémité. Sans sucer, continuant à me fixer de son air espiègle. Je caresse ses cheveux. Elle se redresse en disant : << On se fait un "plan" Lise. Je suis impatiente de découvrir ses réactions ! >>. Je propose d'attendre de meilleurs dispositions. Climatiques d'abord et plus intimistes après. Nous ne la connaissons que depuis un mois et c'est son quatrième samedi matin. << C'est vrai, ne brusquons pas les choses. Ce qui est certain c'est qu'elle réagit très bien ! >> conclue Clémentine. Je rajoute : << Elle a son anniversaire le 3 décembre. On marque le coup. Dix neuf ans, ça se fête ! >>. Nous ne connaissons strictement rien des goûts et des intérêts de cette jeune fille. Clémentine saura faire le nécessaire pour en savoir davantage.

Nous remontons. Je remballe ma biroute mais Clémentine m'empêche de reboutonner ma braguette. << De petites expériences. De petites suggestions. De petites flatteries à la libido permettent d'apprendre des choses sur le comportement des gens ! >> dit elle. Il est neuf heures trente. Nous passons rapidement au salon. Assise sur mes cuisses, Clémentine allume l'ordinateur. Trois courriels. Celui de ma famille d'Écosse. Nous sommes attendus avec impatience. Le message de Juliette qui nous remercie pour ces deux soirées avec nous. En nous rappelant que vendredi prochain ce sera "soirée branle" dès vingt heures. Le mail d'Estelle impatiente de nous rejoindre en début d'après-midi. Elle précise qu'elle a ses "petits machins" et qu'elle sollicitera le docteur Julien pour ses méthodes particulières de soins "calinoux".

Clémentine me tourne le dos pour répondre aux mails. Je caresse ses seins minuscules dont les extrémités sont rapidement en érection. J'adore. << Tu les négliges trop souvent tu sais. C'est si bon ! >> murmure t-elle sans se déconcentrer. Un petit tour sur le site universitaire. << Regarde, pour les fêtes, ils ont changé la page d'accueil ! >> lance t-elle. Je me contorsionne pour mieux voir. En effet, il y des flocons de neiges qui tombent sur l'écran. Faisant penser à ces boules en verre qu'il faut agiter pour voir tomber la neige sur un personnage ou sur un monument. Nos livraisons ne vont pas tarder. Je glisse un billet de 50 € et un billet de 20 € dans une petite enveloppe jaune. Je la glisse dans la poche arrière de mon 501. Nous quittons le salon pour tomber sur Lise. Dans son survêtement gris, coiffée d'une casquette, souriante et enchantée. << Bonjour ! >> nous faisons-nous en même temps. Ce qui nous fait rire. Avec cette fille le "courant" passe bien.

Nous la laissons à son balai et à sa serpillère pour enfiler nos anoraks, nos bonnets, les gants. Le thermomètre extérieur indique 2°. Le vent souffle du Nord. Nous sortons dans le froid glacial pour traverser le jardin. Avec ce climat le sol a séché très vite. Des premières gelées ne sont pas à exclure. Nous n'attendons pas longtemps en sautillant sur place. Voilà le fourgon Mercedes blanc qui descend le chemin. Danièle, souriante, se gare derrière la Fiat rouge de Lise. Elle saute de sa camionnette pour toucher nos poings gantés du sien. << Bonjour. Mais quel horreur que ce froid hivernal alors que c'est encore l'automne ! >> s'exclame t-elle. Elle porte son gilet d'épaisse laine, un pantalon gris renforcé aux genoux, de grosses godasses de sécurité. Son bonnet de "bûcheronne".

Il est évidemment hors de question de montrer ma bite. Comme si elle devinait cette pensée, Danièle, en montant à l'arrière de son véhicule, s'écrie : << Dommage ! >>. J'attrape le lourd cageot contenant les fruits et les légumes. Clémentine celui contenant les fromages, les yaourts, les pots de crème fraîche, de fromage blanc, les œufs et le beurre. En sautant de son fourgon, Danièle demande : << Toujours pas de livraisons "spéciales" le mercredi matin ? >>. Clémentine répond : << Figurez-vous que nous sommes à y réfléchir depuis quelques jours ! >> Danièle précise une fois encore : << J'ai bien plus de temps car beaucoup moins de clients les mercredis ! >>. Elle me tend le terminal dans lequel j'introduis la carte de paiement. Même commande pour samedi prochain.

Assise au volant, faisant la manœuvre de demi tour, vitre baissée, Danièle conclue : << Ça me manque ! >>. À quoi peut-elle bien faire allusion si ce n'est à mes exhibitions ? Nous la regardons partir. Danièle mime une masturbation masculine avant de monter le chemin. Nul doute, c'est bien à ça qu'elle faisait allusion. << Il faut absolument la faire nous livrer un truc mercredi matin ! >> lance Clémentine alors que le tube Citroën de notre boulangère descend à son tour. Hilare au volant, comme à son habitude, madame Marthe se gare au même endroit. De la porte latérale elle tire le cageot contenant les miches de pain, l'énorme brioche au pudding, les bouchées à la reine, les pâtes feuilletées et les croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain

Nous contournons la maison avec nos lourds cageots. Ces cageots que je casse car ils permettent d'allumer nos flambées avec facilité. Nous descendons à la cave par l'escalier extérieur. Dans le cellier, sur les étagères en bois, nous disposons nos fruits, nos légumes. Du congélateur je tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. C'est par l'escalier intérieur que nous remontons. Lise, intelligente et pleine de réflexion a compris. Le carrelage du sol de la cuisine est déjà bien sec. Sachant que nous venons ranger nos produits frais dans le réfrigérateur, c'est par la cuisine qu'elle commence. Appréciable. Nous la retrouvons dans le salon où elle termine de passer le plumeau, le chiffon. Elle n'est pas bavarde quand elle travaille. Mais très souriante et avenante.

J'adore le regard d'une femme qui découvre que ma braguette est déboutonnée. Il y a cette émotion qui m'offre un délicieux frisson. Cette fois encore le regard de Lise est évocateur. Elle ouvre de grands yeux, a un rapide mouvement de tête, comme pour mieux se rendre compte qu'elle ne rêve pas. Merveilleux instants qui flattent ma libido. Un second frisson. Électrique. Clémentine s'en est aperçue également. Elle demande : << Lise, qu'elle est donc votre passion dans l'existence à part les plumeaux, les chiffons, les serpillères ? >>. Lise se met à rire. Nous aussi. Elle fixe une nouvelle fois ma braguette, furtivement, avant de plonger son regard dans le mien. Elle répond : << J'ai un Blog, je fais du sport, j'adore les chats, j'aime le chocolat. Et plein de trucs ! >>. Nous l'écoutons rajouter : << Les balades, le vélo, la moto avec mon copain ! >>. Tout en parlant, sans cesser de passer le plumeau, elle conclue : << Les trucs sympas quoi ! >>

En prononçant ces mots, peut-être malgré elle, son regard se pose une nouvelle fois et furtivement sur ma braguette déboutonnée. Troisième frisson. Je sens mon érection contraindre ma bite tordue au fond de mon slip. Il va être onze heures vingt. Lise quitte le salon pour aller se changer dans l'office. Clémentine se serre contre moi, me tenant par les épaules en murmurant : << L'avenir est prometteur. Tu peux en être sûr ! >>. Sans me laisser le temps de répondre elle enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande comme le dernier des salauds. Mon excitation me donne d'agréables vertiges. Lise revient vêtue "ville". C'est ainsi qu'elle nous surprend. En toussotant. Nous rions tous les trois. Je tire l'enveloppe jaune pour me diriger vers la jeune fille. Elle s'en saisit en disant : << Merci ! >>. Et une fois de plus elle jette un coup d'œil furtif sur les boutons métalliques de mon 501. Elle me fait un étrange sourire. Clémentine la raccompagne.

Seul au salon, j'extrais mon Zob enfin soulagé. Dur comme la branche d'un chêne centenaire. Je me branle. Une bonne dizaine de minutes. Clémentine revient et me surprend. << Génial ! Tu sais que tes "prestations" sont très appréciées ? >> lance t-elle en m'imitant. Elle s'approche pour prendre le relai. Pour me masturber en rajoutant : << J'en sais un peu plus. Lise ne se prétend pas voyeuse mais curieuse. Elle aime être surprise. Nous avons bavardé un peu dans le hall. Je pense que Danièle l'a mise au "parfum" avant qu'elle ne commence les ménages chez nous ! >>. Je reste pétrifié. Cette révélation me fait débander. Clémentine me rassure en disant : << Mais ne t'inquiète pas, c'est dans un sens positif. Lise a même précisé qu'elle préfère savoir à qui elle a affaire ! >>

Cette révélation me rassure. Je recommence même à bander. C'est par la queue que Clémentine m'entraîne à la cuisine. Elle fait l'assaisonnement de la laitue toute fraîche. Je prépare le bouillon. Pendant qu'il monte en ébullition sur la cuisinière à bois, je réchauffe les haricots verts et les petits pois. Tout a parfaitement décongelé près le fournaise de la "locomotive". C'est ainsi que nous appelons notre bonne vielle cuisinière. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la personnalité de Lise. Clémentine qui adore mes comportements de satyre envisage quelques ruses à mettre en applications. Comme par exemple de me faire surprendre en pleine branlette. << Et là, c'est moi qui serait cachée pour mâter ce qui se passe ! >> lance t-elle. Nous en rions de bon cœur.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de ma taille, de mon cou, Clémentine développe quelques idées bien vicelardes. Je connais bien les capacités "créatrices" de son imagination. Et pas seulement dans le domaine du cul. Nous rions aux éclats de ses idées parfois saugrenues. << On va mettre ça au point, puis le réaliser avant les vacances de Noël ! >> conclue t-elle. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. << Coucou ! Qu'ils sont où les gens que j'aime ! >>. Estelle arrivée en silence, nous surprend ainsi en ouvrant la porte de la salle de bain. Elle pose son sac de sport sur le tabouret avant de se précipiter vers nous. Serrés tous les trois, dans un de ces intenses moments chaleureux, nous nous couvrons de bisous. Ces retrouvailles sont un tel bonheur.

<< J'ai mes "petits machins docteur ! >> s'écrie t-elle en empoignant ma braguette avant d'y fourrer sa main. Immédiatement je pose mes lèvres sur l'extrémité de ses petits seins. Au travers l'épais coton de sa chemise à carreaux, je souffle de l'air chaud. << Mmhh, docteur, ça soulage ! Mais là aussi ! >> fait elle en déboutonnant son 501. J'y glisse ma main pour masser délicatement son bas ventre. Elle rajoute : << Cette fois j'ai pas trop mal mais des contractions bien chiantes ! Parfois des vertiges ! >>. Je la serre dans mes bras. << Tu auras du bon sirop du docteur. Ça soigne ! >> lance Clémentine qui saisit ma queue. Nous rigolons comme des bossus. << On se fait les marchés de Noël ? >> s'écrie Estelle. << Et comment ! >> répond Clémentine qui agite ma biroute.

Nous restons vêtus comme nous le sommes. Juste changer les baskets pour des bottines. En nous tenant les mains, nous dévalons les escaliers pour remettre nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en racontant notre matinée. << Espèce de vieux vicelard, tu vas encore faire ton "numéro" de pervers devant une gamine de dix huit ans ! >> lance Estelle installée à l'arrière. << Dix neuf ans le 3 décembre ! >> corrige Clémentine. Nous rions. Je gare la voiture dans la ruelle habituelle. Le ciel est gris, bas et la neige n'étonnerait pas en tombant soudain. Il fait un froid polaire. Accrochées à mes bras mes deux anges accélèrent le pas. Dix minutes jusqu'aux premières rues piétonnes. Les enchantements des décorations magnifiques.

<< Ce matin, avec maman, après les courses, on s'est baladé dans la galerie commerciale, superbes décos aussi ! >> raconte Estelle alors que nous arrivons sur la place de l'hôtel de ville. C'est noir de monde. Fort heureusement, entre les chalets, les allées sont larges. Nous pouvons flâner assez confortablement. Les jus de fruits chauds, il faut vraiment aimer. Pas nous. Par contre au chalet qui propose une bonne centaine de thés différents nous nous régalons d'une boisson chaude du Tibet. Nous attirons encore bien des regards. Tous les trois serrés le plus près possible, dans notre bulle de bonheur. Une délicieuse gaufre au sucre en parcourant les allées. Nous ne l'avions pas visité hier mais il y a un marché de Noël au rez de chaussée de l'ancien hôtel de ville. Il y fait bien plus chaud.

Nous admirons les soieries, les tissus brodés, les motifs des textiles imprimés. C'est de toute beauté. Une véritable féérie. Nous adorons tous les trois les textures des différentes matières. Estelle, pas toujours très discrète, ponctue chacune de ses appréciations par un tripotage de braguette. La mienne que je refuse d'ouvrir, même cachée par les pans de mon anorak ouvert dans la douce chaleur de la grande salle. Je dis : << Et ce soir, on se fait un bon restau. Obligatoire ! >>. Estelle se met à sautiller pour demander : << Obligatoire ? >>. Clémentine répond : << Obligatoire ! >>. Nous en rions. Clémentine propose de se refaire le même que vendredi soir. << Pourtant on serait bien à la maison. Le docteur pourrait me soigner, me donner mes gouttes ! >> lance Estelle.

Notre chocolat chaud dans notre salon de thé préféré au premier étage. Dont la vue donne sur les magnifiques décors lumineux de la rue piétonne. Nous y savourons une crêpe chantilly. Nous parcourons les allées du second marché de Noël. La nuit est tombée, offrant de nouveaux enchantements. << Ils devraient faire les marchés de Noël en été quand il fait chaud ! >> s'exclame Estelle qui souffle dans ses gants pour réchauffer ses mains. Nous sautillons souvent sur place en admirant les beaux objets présentés dans les chalets. << Demain, on se fait le marché de Noël du port de plaisance ! >> s'exclame Clémentine. << Mais en Damart Thermolactyl ! >> s'écrie Estelle. Il est dix huit heures trente quand nous arrivons au restaurant. Par prudence Clémentine y a réservé une table à l'étage. Loi des séries. C'est la table ronde que nous occupions la veille. Ce soir, plateaux de fruits de mer. Deux visites aux toilettes hommes. Avec chacune.

J'offre son sirop à Estelle alors que nous sommes enfermés dans un des cabinets. Je masse sa toison pubienne, je souffle de l'air chaud sur ses seins. Estelle prend consciencieusement ses "gouttes" en respectant la posologie. Je pourrais lui éjaculer dans la bouche tellement elle s'applique. C'est au tour de Clémentine. Même traitement même si ce n'est que "préventif". Deux visites avec chacune. Sous quelques regards interrogateurs et bien légitimes. Que vont donc faire ces deux sublimes jeunes filles, chacune à leur tour, aux toilettes avec cet homme d'âge mûr qu'elle tiennent à chaque fois par la main ? Nous nous en amusons énormément. Nous traînons à table. Peu pressés d'affronter le froid et les vingt bonnes minutes qui nous séparent de la voiture. Il faut toutefois s'y résoudre.

Bonne nouille à toutes les coquines qui aiment s'en régaler encore un peu sous la couette après avoir pris leurs "gouttes". Dans la voiture en rentrant...

Docteur Julien (Prescripteur de gouttes)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 49 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2445 -



Un agréable dimanche

La grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures, hier matin, dimanche. Estelle à ma droite, restée accrochée à moi toute la nuit. Clémentine à ma gauche qui se blottit en gémissant. Je suis entre mes deux anges dans l'enchantement paradisiaque des bienheureux. J'ai entendu et senti Estelle se lever très tôt. Sans doute les inconvénients de son second jour de règles. Elle saisit mon érection naturelle pour se serrer encore plus fort. Distribution de bisous. Câlins, papouilles. Nous ne tiendrons pas une minute de plus. L'envie de pisser. Estelle, d'un bond, s'élance vers la porte en s'écriant : << Je vous attends à la cuisine ! >>. Clémentine se frotte contre ma hanche en murmurant : << Ça aide à tenir pour ne pas faire pipi au lit ! >>. Rires. C'est à notre tour de courir aux toilettes.

Il fait bien chaud dans la maison. Dans la salle de bain où nous passons nos Levis, nos épaisses chemises à carreaux. Il y a les vêtements d'Estelle. Elle est descendue dans son pyjama de soie mauve. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour la rejoindre. Ça sent déjà le café et le pain grillé dans toute la cuisine. Estelle entrain d'allumer la flambée dans la cuisinière à bois. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. J'adore passer mes bras autour de sa taille quand Estelle est en pyjama. C'est doux. Je passe ma main entre ses cuisses en restant serré derrière elle. << Mmhh docteur, sont-ce vos premiers soins du matin ? >> lance t-elle en plaçant le dernier et plus petit disque de fonte avec le tisonnier. Au milieu de la table trône la belle et grosse brioche au pudding.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre samedi. Les balades en ville, dans les Marchés de Noël, la soirée au restaurant. Nous mangeons de bon appétit en envisageant déjà nos activités de l'après-midi. Dehors, le ciel est gris et bas. Un véritable ciel d'hiver. La température extérieure est exactement de 0°. On voit bouger les rares feuilles encore accrochées désespérément aux branches. << Redoutable ! >> fait Estelle. << Détestable ! >> conclue Clémentine. Nous traînons à table en faisant mille projets avant les vacances de fin d'année. Estelle aimerait bien réaliser un vingt et unième film porno. << On pourrait aussi se mâter un de ceux déjà réalisés. Un samedi soirée cinéma ! >> suggère Clémentine. << Ah oui, j'en regarde des extraits parfois ! >> répond Estelle.

Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, les filles parlent de leurs études. La finalisation des deux derniers chapitres de leurs thèses. << Les définitifs cette fois ! >> précise Estelle. << Ça le fait, on est dans les clous ! >> lance Clémentine. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Estelle se change. Quand elle est nue, juste avant qu'elle ne mette sa culotte propre, je la prends dans mes bras. Je fais très attention car l'extrémité de ses seins minuscules est douloureuse quand elle a ses "petits machins". Je caresse sa toison pubienne. Je masse délicatement son bas ventre. << Mmh docteur, vous êtes aux petits soins avec votre patiente ce matin ! >> Lance t-elle.

Vêtue tous les trois à l'identique, pressés d'aller constater la réalité de cet hiver précoce, nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks. Les bonnets, les gants. C'est par une gifle que ce vent nous accueille une fois dehors. Un vent glacial qui fait régner un froid polaire. Les filles restent accrochées à mes bras alors que nous descendons jusqu'à la rivière. C'est en sautillant sur place que nous admirons le ballet nautique des canards, des colverts et des poules d'eau. Indifférents aux conditions hivernales. Nous ne nous attardons pas. << On sait ce qui nous attend c'est après-midi ! > précise Clémentine. Nous remontons d'un pas rapide pour revenir au chaud. Dans le salon où mes deux anges s'installent sur mes cuisses pour allumer l'ordinateur. Elles surfent sur le site de l'université.

<< Mon vieil Asus rame de plus en plus ! >> lance Estelle. << Prends un Mac, tout est tellement mieux sur un Mac ! >> fait Clémentine. << Put-hein tu as vu les prix du MacBook Pro 13 ? Presque 1 700 euros à la FNAC ! >> s'écrie Estelle. Instinctivement je sais immédiatement ce que sera son cadeau de Noël. Nous en avons vaguement parlé avec Clémentine qui dit : << En tous cas, ne fais aucun frais avant les soldes de janvier ! >>. C'est rusé. << Certainement pas. Je crois que je vais récupérer le HP de papa, le portable qu'il emmène en déplacement. Il compte justement en changer aux soldes ! >>. Je pense : << Ouf ! >>. Il commence à faire faim. Nous quittons le salon pour la cuisine. On va faire simple. Spaghettis à la carbonara. Remplaçant la viande par des ronds de calmars.

Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de concombre. Estelle s'occupe des spaghettis. Elle râpe du parmesan. Je prépare la garniture pour la sauce. Des œufs, de la crème fraîche. Je fais décongeler des ronds de calmars dans le wok. C'est rapide. Il partent en flotte. Je n'ai plus qu'à les faire rissoler dans la poêle. De les verser dans la garniture. Estelle égoutte les spaghettis. Il y en a une montagne. Ce soir on pourra réchauffer dans le four sous une montagne de gruyère. Avec une omelette au Saint Nectaire et au Morbier. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Estelle se lève parfois pour mimer une masturbation masculine. Je m'écrie : << Non, pas de défis à relever cet après-midi. Avec ce froid tout reste bien au chaud ! >>. Nous rions de bon cœur.

Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Les filles se déshabillent rapidement pour enfiler des collants qu'elles porteront sous les jeans. Je fais de même avec un legging en lycra. Nous remettons nos pantalons. Nous voilà bien équipés pour affronter les éléments. C'est un peu serré dans mon Levis. Je pose une fois encore mes lèvres sur chacun des seins d'Estelle. Au travers de son gros pull, de sa chemise, je souffle de l'air chaud en massant son bas ventre. Appuyant légèrement sur sa braguette. << Docteur, vous êtes un véritable magicien ! >> lance t-elle en palpant ma bosse. Nous rions. Pressés de filer, nous dévalons une fois de plus les escaliers. Les anoraks. Les bleus cet après-midi. Bonnets, gants.

Il y a trente cinq kilomètres par la route. Seulement vingt cinq par la piste cyclable. Cette pensée nous rend nostalgiques de la bicyclette. Je roule doucement. Clémentine a bien tenté de sortir ma queue. Mais avec le legging que je porte, cela relève de l'impossible. << Saloperie de froid ! >> lance t-elle. Assise à l'arrière Estelle caresse mon cou. Il fait rapidement trop chaud dans la voiture. Il faut réduire. Clémentine en règle le thermostat sur 19°. Le chauffage d'une grosse berline Allemande se contrôle avec une grande précision. Je gare l'auto sur le parking aménagé pour les fêtes. Mais cela impose de parcourir presque un kilomètre pour arriver enfin au port de plaisance. C'est un espace découvert où souffle un vent désagréable. Une fois descendu sur les quais il disparaît enfin.

Nous découvrons le premier marché de Noël organisé là. Comme pour toutes les festivités organisées en ce lieu par la municipalité du bourg voisin, c'est une réussite. << Put-Hein, ils ont fait fort ! >> lance Estelle qui se blottit encore plus fort contre moi. Quelle bonne initiative que d'avoir pensé à mettre des sous-vêtements chauds. C'est beaucoup plus supportable de flâner entre les chalets en bois. Les décorations sont magnifiques. Sous un chapiteau il y a le manège rétro pour les petits. Les parents autour qui les regardent tourner dans des petites autos, sur des chevaux à bascules ou encore sur de petites motos. C'est judicieux car sont proposés là toutes sortes de choses plus attirantes les unes que les autres. L'odeur du vin chaud est toutefois désagréable si on aime pas.

Par contre les fines gaufres au sucre dont nous nous régalons sont d'une délicatesse inouïe. Nous flânons longuement. Estelle, parfois peu discrète, lorsqu'elle commente une découverte, palpe effrontément ma braguette. << Comment se porte le "paquet" ? >> demande t-elle. Je réponds : << Je te l'expédie par la poste ! >>. Clémentine s'écrie : << J'en veux un aussi ! >>. Mes deux anges restent serrées contre moi. Nous avançons quelquefois péniblement dans la foule. Les "bouchons" sont causés par les poussettes que s'obstinent à trimballer les plus inconscients. << Les emmerdeurs avec leurs chiards ! >> lance Estelle que cala incommode au point qu'elle pourrait engueuler ces gens. Nous rions de ses colères larvées. << Même des sales cons avec des chiens ! >> s'écrie t-elle.

Les quais du port de plaisance ont été judicieusement utilisés. Les allées entre les chalets à l'extérieur sont larges. Même les bateaux, bâchés ou non, sont décorés de lumignons de toutes les couleurs. Une féérie que Clémentine immortalise par nombre de photos. La nuit tombe de plus en plus tôt. Il est seize heures trente quand elle s'annonce par un crépuscule qui permet d'apprécier les guirlandes lumineuses. C'est magnifique. Il y a une de ces doubles vitres entre lesquelles tombe une neige artificielle. Nous nous photographions pour donner l'illusion d'être sous la neige. Clémentine demande à un couple d'asiatiques de nous photographier. Ils s'amusent en riant de nous voir faire les clowns. Nous leurs rendons la pareille. S'il ne faisait pas aussi froid nous pourrions faire connaissance.

<< Mignons tous les deux ! >> lance Clémentine qui apprécie tout particulièrement les gens des pays du soleil levant. << Oui, je me ferais bien le mec ! >> rajoute Estelle qui me demande : << Et la meuf, à ton goût ? >>. Nous en rions de bon cœur. Il faut se frayer un passage dans une foule de plus en plus dense. << Il faudrait Rambo pour avancer là-dedans ! >> s'exclame Estelle qui commence à saturer. Nous arrivons enfin aux marches du large escalier qui monte sur la route. Le vent nous gifle violemment. Nous l'avions oublier. Nous suivons les nombreux visiteurs qui eux aussi s'en vont. D'autres qui arrivent. Ouf, la voiture. Je roule doucement. Estelle et Clémentine assises sur le siège passager malgré mon refus. << Il n'y a pas de gendarmes. Ils sont au chaud dans leur gendarmerie ! Pas fous les bestiaux ! >> lance Estelle qui ne cesse de palper ma braguette. << Toi, tu vas voir à la maison ! >> rajoute t'elle en déboutonnant.

Il est dix huit heures quarante cinq quand nous revenons. Qu'il fait bon d'êtres au chaud. Je rajoute une bûche sur les dernières braises de la cuisinière à bois en ouvrant grand le tirage. Nous montons nous changer. Retirer les sous-vêtements devenus désagréables. C'est juste en slips, chemises, chaussettes et baskets que nous redescendons. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade d'endives. Estelle prépare sa spécialité des dimanches soirs, une omelette aux fromages. Je réchauffe les spaghettis sous une montagne de gruyère dans un plat en terre cuite. Dans la fournaise du four à bois. D'êtres tous les trois en slips émoustillent nos sens. Nous n'arrêtons pas de passer nos mains enfin chaudes entre nos cuisses qui ne le sont pas moins. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan. Estelle devra nous laisser pour 22 h. L'idée même d'affronter la nuit glaciale l'effraie. Nous la raccompagnerons à sa voiture. Promis.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui vont se faire sucer le clitoris, vautrées dans un confortable canapé pour conclure un dimanche fort agréable...

Julien (suceur de clitos)



NOTE
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Clémentine et Julien
Tuesday 28 November 2023 07:33

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France


Le petit monde de Clémentine et de Julien

Après quelques 2446 épisodes le plaisir de partager nos aventures reste intact. De sacrés moments.
C'est une véritable joie de publier nos récits quotidiennement. C'est même devenu une nécessité.

Bien évidement, les noms, les prénoms, les lieux ne sont qu'autant de pseudonymes sans réalités.
Il est préférable de préserver son anonymat. Sur Internet mais également sur les forums "sexes".

Je remercie nos lectrices, nos lecteurs pour leurs fidélités, pour l'intérêt qu'ils nous portent.
Tout particulièrement celles et ceux qui entretiennent avec nous un contact en messagerie privée.

Nous avons autant de joie à pratiquer les échanges en messagerie privée qu'à narrer nos aventures.
C'est très intéressant, souvent amusant et parfois passionnant. Certains "amis" depuis six ans.

Je vous souhaite d'excellentes lectures, de belles découvertes et de passer du bon temps avec nous.

Cordialement.

Clémentine et Julien

Classe

NOTE
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Homme, 53 ans, France
Fleur - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2446 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, lundi, nous sommes tirés de nos profonds sommeils par l'application "forêt". D'agréables fééries qui nous réveillent en douceurs. Sur nos tables de nuit, de chaque côté de notre lit, en même temps, nos téléphones se mettent à fonctionner. Tout cela ne dure que quarante cinq secondes. Clémentine, en gémissant, se blottit contre moi. Quelques papouilles, quelques bisous, il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes un peu à la façon de robots. Dans la salle de bain nous enfilons nos tenues sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. L'organisation est sans faille. Pendant que Clémentine fait le café, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. Le reste de la brioche retrouve son moelleux dans le four à micro onde.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les merveilles vues ce week-end. Les marchés de Noël constituent une agréable activité lorsque le temps ne permet pas d'autres possibilités extérieures. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les soirées de la semaine qui nous attend. Six heures vingt cinq. Nous remontons nous entraîner. Les échauffements aérobics dans une salle où il ne fait pas plus de 10°. Le jogging sur tapis roulant. Les exercices au sol. Les charges additionnelles finissent par nous mettre dans d'excellentes conditions. Nous transformant en guerriers pour la journée. Les étirements du retour au calme. Même bâclé un stretching reste toujours l'idéal pour terminer une séance. La douche. Je redescends pour aller préparer la voiture. La faire chauffer.

Presque sept heures quarante cinq. La température est de 2° sous un ciel menaçant. Le jour achève de se lever. Clémentine vient me rejoindre déguisée en esquimau. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je cavale pour rentrer au chaud faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier c'est d'abord le plaisir d'allumer une belle flambée dans la cheminée. Rapidement crépitante. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. La peinture de ma première scène de genre à trois personnages m'accapare totalement. C'est une œuvre de commande qui sera expédiée à son commanditaire après les fêtes. Je peins dans la plus parfaite sérénité, poussant des cris surréalistes.

Les heures passent hors de ma perception. Je sais qu'il est midi aux gargouillis que fait mon estomac. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Pendant que gonfle du riz complet, que rissole un filet de flétan, je fais l'assaisonnement d'une salade de tomates. Préparation rapide. Je sors une pâte feuilletée du réfrigérateur pour lui permettre de se mettre à température. À proximité de la cuisinière à bois où je viens de rajouter une bûche. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff revient sur les évènements tragiques de Crépol. L'assassinat du jeune Thomas présenté comme un fait divers, une simple rixe entre jeunes par les médias aux ordres d'un gouvernement préparant sciemment le chaos et la guerre civile.

J'écoute en préparant mentalement les ingrédients de la tarte aux courgettes que je veux préparer ce soir. J'étale la pâte feuillée à présent tiède dans un grand plat aux bords hauts. Je lave, je coupe une grosse aubergine et deux belles courgettes. Je place les tranches en domino, en spirale. C'est ludique et très agréable à réaliser. Sur le tout je verse le liant. Le mélange d'œuf, de crème fraîche et de lait de soja. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère Suisse. De la chapelure. Des graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix que je dispose en deux cercles concentriques. Au four électrique pour laisser mijoter à 160°. La vaisselle. C'est serein que je monte me laver les dents. J'aime me délasser un peu au dehors. Pressé de me dégourdir les jambes je dévale les escaliers.

Emmitouflé dans mon anorak, mon bonnet sur la tête, c'est sous le parapluie que je descends jusqu'à la rivière. Un froid glacial, du vent, de la pluie. L'horreur. La pluie tombe presque quotidiennement depuis plus d'un mois. Je pense à Clémentine qui pose souvent la question de savoir comment Véolia et les mafieux du gouvernement vont s'y prendre pour inventer la pénurie d'eau. Pour gonfler les factures à venir en justifiant des nappes phréatiques basses. Treize heures quarante cinq quand je suis confortablement installé devant le chevalet. Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. Poussant des cris surréalistes à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. Sans avoir la moindre perception du temps qui s'écoule. Je sais qu'il est dix sept heures trente.

J'entends le bruit qui précède le retour de Clémentine. La porte s'ouvre. Elle jette son cartable dans le fauteuil pour courir vers moi en sautillant. À califourchon sur mes cuisses, se frottant, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas du restaurant universitaire. << Estelle me charge de te remercier pour tes soins avec une bonne pipe ! >> conclue t-elle avant de se lever. Elle a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine se met à l'ouvrage en chantonnant. Cette petite heure d'émulation commune est encore un enchantement. Dix huit heures trente quand Clémentine se lève pour commencer à ranger ses affaires en s'écriant : << Ras-le-bol ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux parce que c'est tout à fait pareil pour moi.

Clémentine me rejoint au petit lavabo de l'atelier où je me lave les mains. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Elle secoue les dernières gouttes alors que je m'essuie. Penchée en avant, elle se régale des derniers épanchements. Je caresse sa nuque. Elle se redresse. Toutes lumières éteintes, juste éclairés par la lueur des dernières flammes vacillantes nous admirons les braises rougeoyantes. Clémentine contre moi, son bras autour de ma taille. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand elle découvre la surprise que je tire du four électrique éteint pour la placer dans la fournaise du four à bois, j'ai droit à un mitraillage de bisous. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade d'endives en me confiant sa joie d'être seule avec moi les lundis soirs. C'est vrai. Moi aussi.

Nous mangeons de bon appétit en parlant des vacances à venir. << Même plus un mois et c'est l'Écosse ! >> fait Clémentine. Nous organisons déjà mentalement ce qu'il faudra préparer et emmener. Nous avons pour habitude d'envoyer nos cadeaux pour ma famille par la poste. Ce qui évite de tout trimballer dans l'avion. << On devrait faire pareil pour nos valises ! >> suggère Clémentine. C'est à étudier. Mais il est bien d'avoir un minimum avec nous en cas de pépins. << Si jamais l'avion heurte un iceberg en plein milieu de l'Atlantique Nord par exemple ! >> lance Clémentine en venant s'installer à califourchon sur mes cuisses. Nous en rions. Ses bras autour de mon cou elle chuchote : << J'ai envie de faire l'amour avec toi ! >>. Nous restons ainsi à nous embrasser. Je bande rapidement. Hyper fort. J'adore quand elle se frotte.

La vaisselle. Je soulève Clémentine comme une jeune mariée pour l'emmener au salon. Je la dépose en m'accroupissant pour déboutonner son Levis. Je retire ses bottines. Je l'entends soupirer de contentement. Elle m'aide à retirer ses vêtements. Je suis prié de garder les miens. Clémentine adore quand ma queue dépasse de ma braguette. Je la fais tomber dans le canapé où elle se vautre en gémissant de plaisir. À genoux sur un des épais coussins, ma tête entre ses cuisses, je hume longuement les effluves parfumées de sa journée de fille. J'en ai de doux vertiges. C'est absolument divin. Du bout de la langue je fouille les plis et les replis de ses lèvres charnues. Je l'enfonce pour savourer les reliquats. les miasmes. Le gout vinaigré du trou à pipi. Miam. Clémentine caresse ma tête.

Je suce son clitoris géant qu'elle cesse alors de tenir entre son pouce et son index. Décalotté comme le serait une petite bite, j'y goute les saveurs fromagères délicates et onctueuses. Clémentine est comme moi. Nous avons tous deux une préférence pour les rapports génitaux buccaux. La soirée pourrait se limiter à ce cunnilingus qui m'offre les plus suaves émotions. J'adore sentir les frissons des cuisses de Clémentine contre mes joues. Je me régale de son miel. Ces coulures de cyprine que je récupère avant qu'elles ne coulent entre ses fesses. Je retire les poils qui envahissent ma bouche. Il y en a tellement. Mais j'aime ça. J'aime les légers spasmes qui animent tout le corps de Clémentine. Parfois elle se tortille d'un côté ou de l'autre pour chercher le meilleur angle de jouissance. De plaisir.

Quand je sens poindre l'ultime instant, je cesse. C'est comme si Clémentine retombait subitement pour s'avachir un peu plus dans les profondeurs du canapé. Quand le "danger" est passé, je reprends mes "explorations" linguales ou mes suçages. Du jus de fille mouille le bas de mon visage. C'est comme des vagues. Les mouvements réguliers du bassin de Clémentine. Quand je la pénètre de ma langue, elle se masturbe. Quand je suce son clitoris elle pousse un petit râle de bonheur. Entre deux gémissements. Nous savons ruser. Éviter l'orgasme au dernier instant, laisser retomber la pression avant de monter d'un cran dans la gradation du plaisir de plus en plus intense. Je cesse pour tirer la cuvette en plastique de sous le guéridon à côté du canapé. J'anticipe. Clémentine en rit.

<< Viens ! >> dit elle en se couchant de tout son long, sa tête posée sur les coussins, les cuisses largement écartées, une jambe sur le dossier du canapé. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Clémentine cesse de se masturber pour s'installer encore plus confortablement sous moi. Elle saisit mon érection pour la placer judicieusement. Mes amis ! Cette merveilleuse sensation quand, centimètre par centimètre je pénètre son intimité. La tête rejetée en arrière, les yeux fermés, mordillant sa lèvre inférieure, gémissant, Clémentine m'attrape par le cou pour se suspendre à moi. Elle murmure : << Emmène moi, loin ! >>. Je bouge doucement. Mes couilles battant ses fesses. Ses jambes enserrant ma taille. Nous partons aux pays des merveilles.

Nous alternons toujours les séquences d'immobilités totales. Juste en contractant nos muscles fessiers. Clémentine me confie alors ses secrets de fille. Ses désirs. Les fantasmes exhibitionnistes habituels qu'elle a le souhait de développer. << Je n'ai pas encore tout exploré ! >> chuchote t-elle avant que je ne me remette à bouger en rythme. Lentement. Clémentine se laisse retomber. Elle peut ainsi reprendre sa masturbation en même temps que je lui fais l'amour. Car ce soir nous ne baisons pas, nous faisons l'amour. En poussant un cri, me repoussant, Clémentine, haletante, s'apprête à être la victime d'un véritable chapelet d'orgasmes. Elle se redresse. S'assoit. Vautrée. Tenant son clitoris turgescent. Impressionnante petite bite. J'ajuste la cuvette. Elle se lâche en hurlant de plaisir.

Bonne nouille à toutes les coquines qui s'en offre une bien juteuse pour l'égoutter sous les draps dans une fellation passionnée. Et passionnante...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Le petit monde de Clémentine et de Julien
Wednesday 29 November 2023 07:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 2 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2447 -



Estelle, Clémentine et moi

Les gazouillis d'oiseaux que l'on devine sur les branches, dans les arbres d'une forêt mystérieuse. L'écoulement d'une source que l'on devine entre des roches moussues. L'application "forêt" nous arrache de nos sommeils avec ses enchantements. Il est presque six heures, hier matin, mardi. Clémentine vient se blottir contre moi en murmurant des propos incompréhensibles. Nous rions de sa façon de trébucher sur les mots. Des bisous, des papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos lycra sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café en étant cette fois intelligible. Nous rions. Elle me confie à quel point : << J'aime comme tu m'aimes avant de monter nous coucher ! >>

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre lundi soir. En effet, c'était magnifique. << Tu me refais ça quand tu veux, sans demander ! >> lance t-elle. Nous en rions de bon cœur. Les deux gros croissants aux amandes retrouvent tout leur moelleux dans le four à micros ondes. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Estelle que Clémentine voit tout à l'heure en cours. << Quand je vais lui raconter elle aura envie aussi. Attends-toi à une soirée mouvementée ! >> dit elle. Ce sont de nouveaux éclats de rires. Six heures vingt cinq, nous remontons pour nous offrir notre heure de gymnastique. Il commence à faire bien chaud partout dans la maison. Sauf dans notre salle d'entraînement comme dans notre chambre à coucher. Une volonté délibérée.

Les échauffements aérobics sont donc nécessaires. Ainsi que le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol qui viennent parfaire cette sensation de liberté avant les redoutables mais bénéfiques charges additionnelles. Les étirements d'un stretching qui permet un parfait retour au calme. La douche. Je redescends pour sortir la voiture du garage. Le jour achève de se lever sous un ciel menaçant, un froid glacial, un vent du Nord. Presque sept heures quarante cinq. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak beige. Son bonnet, ses gants. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Le contraste entre les moins deux degrés du dehors et les vingt deux degrés de l'intérieur est saisissant. La vaisselle, notre lit.

Dans l'atelier j'aime à allumer une belle flambée dans la cheminée. Le crépitement des premières flammes. Confortablement installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette première scène de genre de commande m'entraîne dans les méandres de ma passion. Je peins dans la plus totale félicité. Sans percevoir les tours d'aiguilles de la pendule. Il va être midi. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte la grande pièce pour la cuisine. Une bûche sur les braises de la cuisinière à bois. La "locomotive" semble ronronner de bonheur. Je réchauffe le reste de tarte à la courgette. Je fais l'assaisonnement d'une salade de carottes. Dans le grand plat en terre cuite je dispose les cinq grosses bouchées à la reine. Ce sera la surprise pour la soirée.

Une des surprises très probablement. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff et ses invités reviennent sur cette nouvelle anxiogène "bénéfique" que constitue l'épidémie en Chine. Comme le précisait fort bien Hermann Göring au procès de Nuremberg : << Pour contrôler un peuple il faut trouver un évènement qui l'effraie. L'inventer au besoin. Car d'un peuple qui a peur on fait tout ce qu'on veut ! >>. André évoque également cette ahurissante mascarade qui consiste à condamner à des peines de prisons fermes des gens qui veulent défendre leurs valeurs occidentales et séculaires contre la barbarie. Alors que les assassins qui tuent aux couteaux dans des fêtes de villages restent en liberté mais sous "contrôle judiciaire". Chacun aura compris l'infamie et la lâcheté appliquées par les dangereux psychopathes criminels qui sont aux "affaires" de ce pays. C'est scandaleux et surtout révoltant.

Tout en écoutant les débats qui s'en suivent, je prépare une belle Béchamel. J'émince des filets de saumon fumé au bois de hêtre. Je les fais revenir dans la poêle avec des champignons, de l'ail, de l'échalote. Je râpe de ce succulent gruyère Alpestre. Je ne remercierais jamais assez Danièle de nous l'avoir recommandé puis fait découvrir. Encore meilleur que le meilleur des Comtés. J'égoutte les coquillettes complètes et "bio". Je les verse dans le plat tout autour des bouchées à la reine que je remplis de la garniture. Cette onctueuse Béchamel à laquelle j'ai rajouté le contenu de la poêle. Je recouvre d'une montagne de gruyère. Chapelure, graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Au four électrique pour une lente et longue cuisson à seulement 160°. Je lave des endives.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. En regardant par une des deux fenêtres de la salle de bain je découvre cette campagne sinistre, dont la plupart des arbres sont vides de leurs feuillages. La fumée qui monte de la maison des Bertrand à quelques trois cent mètres en contrebas. Pressé d'aller me dégourdir les jambes je redescends à toute vitesse. J'enfile mon anorak, mon bonnet, mes gants. J'affronte le vent du Nord, sec et cinglant. La température extérieure est de 4°. Un hiver précoce. Il pourrait tomber de la neige de ce ciel gris et bas que cela n'étonnerait personne. Le plus tard possible s'il vous plaît. Je vais jusqu'à la rivière dont les eaux charrient des amas de feuilles, des branches cassées. L'entreprise paysagère intervient une dernière fois vendredi , dans trois jours.

Treize heures cinquante. Je suis confortablement installé devant le chevalet. Je peins dans la même félicité que ce matin. Cette toile verra sa finalisation demain matin. L'après-midi s'écoule ainsi, sous la lumière artificielle d'une lampe à halogène. Il fait tellement sombre. Du bruit. J'anticipe. Je pose la palette, les pinceaux sur la desserte à ma droite. Clémentine entre dans l'atelier, pose son cartable sur la table, se précipite pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée de cours. Le repas de midi au restaurant universitaire. Estelle qui est pressée de vivre ce que lui a raconté Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Comme deux sœurs jumelles, depuis qu'elles ont douze ans, Estelle et Clémentine ne se cachent jamais rien.

Clémentine a encore du travail. Qu'elle est impatiente de mener à son terme. Assise devant son ordinateur, des classeurs ouverts, elle se plonge immédiatement dans ses notes. Nous apprécions énormément ces séances de travail commun. << Put-Hein mais comme j'en ai marre ! Je balance tout dans le feu ! >> s'écrie t-elle soudain en se levant pour ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Moi aussi je sature. Je me lave les mains au petit lavabo de l'atelier, la bite posée sur le rebord de faïence. Clément me rejoint pour s'en saisir, en diriger les jets, la secouant pour s'amuser. Je m'essuie les mains en observant ses expressions dans le minuscule miroir. J'adore la regarder. C'est comme un film passionnant. Elle le sait. Ça l'amuse et ça l'excite beaucoup. Exhibitionniste.

Penchée en avant, récupérant les reliquats, je passe l'extrémité de mes index sur ses joues creusées par l'effort de succion. Une probable minute. Pas davantage. Elle se redresse pour murmurer : << Mmmhh ! >>. Je la prends dans mes bras. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, suspendue à mon cou, je la promène dans toute la grande pièce. Elle me couvre le visage de bisous. Ce sont toujours des moments d'intenses émotions. Elle me dit : << Je t'aime, mais pas seulement. Je suis également amoureuse. Donc méfie-toi des femmes amoureuses. Il pourrait t'arriver des "bricoles" ! >>. Sans me laisser la possibilité de répondre, elle enfonce sa langue dans ma bouche. Ma bite à l'air se met alors rapidement à durcir. À frotter contre l'entre jambes de son Levis.

La porte s'ouvre sur Estelle. Elle arrive toujours silencieusement et nous découvre ainsi. << J'arrive au bon moment ! >> s'exclame t-elle en se précipitant vers nous. Clémentine lui cède sa place en sautant au sol. Estelle s'accroche pour recevoir le même traitement. << Monsieur bite à l'air. Clémentine m'a tout raconté à midi. Je veux voir si c'est vrai ! >> lance t-elle alors que je la promène dans tout l'atelier. Clémentine, une main dans son Levis déboutonné nous observe avec une expression malicieuse. Estelle saute au sol devant la cheminée alors que Clémentine vient d'éteindre les lumières. Seule la lueur des dernières flammes éclaire cette partie de l'atelier. Je suis entre mes deux anges que je tiens par la taille. Estelle garde ma queue dans la main pour la tordre dans tous les sens.

Elle nous raconte son lundi soir en compagnie de ses parents. Ils ne pourront pas passer les fêtes dans leur nouvelle maison en Écosse. Trop de contraintes professionnelles dans leur entreprise. Les filles posent leurs têtes sur mes épaules, en même temps. << Séquence romantique ! >> murmure Estelle qui se tourne soudainement pour me saisir par les épaules. << Put-hein comme vous me manquez les soirs où je ne suis pas avec vous. Et toi, je t'aime ! >>. Elle regarde Clémentine pour rajouter : << Oui, je sais, tu vas dire une fois encore que c'est ton mec. Mais c'est le mien aussi ! >>. Elles éclatent de rire. J'adore les voir rire aux éclats. Estelle s'accroupit la première en s'accrochant à mes fesses. Clémentine la rejoint pour dire : << C'est une partie que j'aime beaucoup ! >>

Elles rient. Je les regarde humer les odeurs de ma journée d'homme. C'est passionnant. Elles scrutent en décalottant légèrement, observant comme deux entomologistes découvrant une nouvelle "créature". Elles échangent leurs impressions. L'odeur fromagère de mon chibre à moitié décalotté monte à mes narines. Vous savez ces effluves qui rappellent un vieux sandwich au thon. Ça me gêne toujours un peu. Sous leurs nez alors qu'elles reniflent en riant. Estelle qui tient mon Zob, l'agite devant le visage de Clémentine. Je bande mou. Mon "tuyau d'arrosage" secoué mollement sous le nez de Clémentine. Estelle le lui frotte sur la gueule. Clémentine ferme les yeux avec une expression d'extase. Mais c'est Estelle qui le prend en bouche la première. Me fixant fièrement.

Elles se refilent ma biroute en évoquant son goût. Clémentine se redresse la première pour éviter l'ankylose qui la gagne. Estelle tombe à genoux pour se livrer à une véritable pipe des familles. Clémentine m'embrasse. Elle me tient fort car elle devine les vertiges qui me font vaciller. Je sombre dans l'indicible volupté d'une fellation passionnée. Clémentine me tient le chibre, se penche pour dire : << On va manger ? >>. Aussitôt Estelle cesse. Se redresse en s'écriant : << J'ai faim. C'est à cause de l'apéro ! >>. Elles m'attrapent toutes les deux par la taille pour m'entraîner. C'est ainsi que nous quittons l'atelier pour la cuisine. Une bûche sur les braises de la "locomotive". Clémentine fait l'assaisonnement des deux endives déjà lavées. Quand elles découvrent ce que j'ai préparé c'est la fête.

Je mets les assiettes, les couverts. Estelle, accroupie devant le four de la cuisinière à bois, surveille la fournaise. Elle observe également dans le reflet de la vitre ma masturbation. Elle sait à quel point cette situation agit sur ma libido. Clémentine me fait des clins d'œil en faisant des bosses avec sa langue à l'intérieur de sa joue. C'est un plat doré, magnifique, aux fumets exquis qu'Estelle sort de four. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la soirée qui nous attend. << Ça fait longtemps qu'on a pas baisé sur le bureau. Vous en pensez quoi ? >> demande Estelle. Elle se lève entre deux coups de fourchette pour mimer une masturbation masculine. Nous ne traînons pas. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Nous débarrassons pour mettre dans le lave vaisselle. Impatients. Fébriles.

À peine m'ont elle entraîné au salon que toutes les deux, sans même se concerter, retirent leurs bottines, leurs jeans et leurs culottes. Je me masturbe en restant à distance. Juste en épaisses chaussettes qui évoquent des jambières de ballerines, en sweats, elles s'assoient sur le bureau. Un mètre les sépare. Elle relèvent leurs jambes pour poser leurs pieds sur le bord du meuble. Elles écartent les cuisses. Toutes les deux, le regard par en-dessous, espiègles et mutines, observent mes réactions en se touchant. Ce sont des moments d'une intensité sans équivalents. Je me branle en tournant autour du bureau pour les admirer sous tous les angles. << Tu viens me fourrer la première ! >> s'écrie Estelle. Je contourne le meuble, je m'approche avec deux épais coussins du canapé.

En se couchant pour m'accueillir elles pourront y poser leurs têtes. Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle. Je cesse. Je me penche. Je veux d'abord goûter à sa journée de fille. J'en ai d'étourdissants vertiges. Mes amis ! Je ne connais pas de dessert plus savoureux. Je la pénètre doucement. Clémentine se masturbe, déjà en sueur. Une fois pénétrée jusqu'aux couilles, Estelle se met à bouger en rythme. Je la baise avec la délicatesse d'un Bruce Lee en plein combat de rue. Quand je veux me retirer pour m'enfiler dans Clémentine, en haletant, elle m'en empêche. Je passe enfin à Clémentine qui n'est pas réellement demandeuse. Avec elle nous restons immobiles alors qu'Estelle sautant du bureau me chope les couilles par derrière, dans le Levis qu'elle déboutonne. En se masturbant de sa main libre. Elle me fait le cul, accroupie à me lécher les roubignoles. Elle remonte s'assoir. Je l'enfile à nouveau. Ce soir elle est carrément hystérique.

<< C'est parce que tu baises avec ton parrain demain soir ? >> demande Clémentine qui se touche. << Peut-être bien ! >> répond Estelle. Nous passons une heure et demi à vivre une nouvelle fois nos folies. Deux orgasmes pour Estelle qui ne pousse pas seulement des cris mais de véritables mugissements. L'orgasme pisseux de Clémentine qui hurle de plaisir, les yeux larmoyants, en sueur, toute rouge, prostrée. Défaite par ce tsunami qui la submerge. Tout comme il submerge la cuvette en plastique bleue. Je tiens cette cuvette en essayant de tout récupérer mais ça gicle souvent n'importe comment. Estelle saute du bureau pour tomber à genoux. J'ai le slip et le Levis sur les chevilles. C'est en beuglant comme un animal en rut que j'éjacule dans sa bouche. Il va bientôt être l'heure.

Bonne nuit à toutes les coquines qui adorent se lover contre leur coquin, sous les draps pour de derniers câlins avant un bon dodo...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 3 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2448 -



Clémentine, moi et Juliette

Hier matin, mercredi, il est tout juste sept heures quand je réveille Clémentine. J'ai une méthode infaillible et douce pour ne causer aucun mini traumatisme post sommeil. Je place ma paupière tout près de sa joue. El ouvrant et en fermant l'œil, mes cils caressent sa peau. Ça la chatouille un peu. Lorsqu'elle ouvre les yeux, je murmure : << Papillon ! >>. Puis je frotte mon nez délicatement contre le sien en chuchotant : << Esquimau ! >>. C'est en gémissant d'aise qu'elle s'étire puis qu'elle se serre contre moi. Le plaisir est double puisque nous passons la journée ensemble. Le mercredi Clémentine n'a pas cours à l'université. C'est depuis la maison qu'elle restera en télé travail.Il y a donc une certaine tendance à la déconne. L'euphorie de la joie que présente cette situation.

Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous passons nos lycra de sports. Il fait déjà bien chaud dans la maison. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café, j'allume la cuisinière à bois. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis en me disant à quel point elle aime ma façon de la tirer du sommeil. << De me tirer aussi ! >> rajoute t-elle en venant palper ma bosse. Nous en rions de bon cœur. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Estelle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celle qui nous attend ce soir en compagnie de Juliette. C'est en imitant son accent Corse que Clémentine rajoute : << Notre coach "branlettes" ! >> Écroulés de rire nous dégustons nos délicieuses tartines de confiture.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents avant de gagner notre salle d'entraînement. Pas chauffée. Motivation supplémentaire pour s'agiter le plus vite possible en y entrant. L'échauffement de l'aérobic, celui du jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol avant les charges additionnelles. Le retour au calme avec les étirements d'un stretching réalisé correctement. La douche. Nous revêtons nos Levis, nos épaisses chemises à carreaux. Nous affrontons la fraîcheur de la chambre à coucher pour y faire notre lit. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Clémentine s'assoit devant son ordinateur, ouvre ses classeurs. J'allume un beau feu dans la cheminée. Dehors c'est l'hiver. Un mois avant sa date officielle. Le gris du ciel. Menaçant. Une température extérieure à moins 2°.

Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine ce matin cette première scène de genre à trois personnages. Comme à chaque toile de ce style, les personnages féminins ont les traits de Clémentine et d'Estelle. Le personnage masculin a les miens. Ce sont des moments fabuleux. Travailler ensemble. Clémentine chantonne quelquefois. Je chante avec elle. Elle imite mes cris d'animaux qui n'existent pas. Je peins dans un authentique enchantement. Il est onze heures quinze quand je pose la dernière touche de brun sur la surface de la toile. Je la place sur un second support. Recouverte d'un ample linge elle pourra sécher à l'abri de la poussière. Je place la scène de genre suivante sur le chevalet. Dessin préparatoire, couche d'impression réalisés.

Je rajoute deux bûches sur les braises crépitantes avant de rejoindre Clémentine. Debout derrière elle, je masse délicatement sa nuque son cou. Elle m'explique qui est l'étudiant que je vois parler à l'écran. Elle retire son casque bluetooth et l'éteint. J'entends le jeune homme qui développe un concept mathématique. C'est abstrait pour moi qui ne jure que par le réalisme en peinture comme dans d'autres domaines. Clémentine rit de me voir en plein désarroi. Elle se lève pour se blottir dans mes bras. Je retire ma blouse devant le petit lavabo de l'atelier. Pendant que je me lave les mains, Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Ce matin je m'amuse à contracter mes muscles fessiers. Ce qui a pour effet de lâcher de véritables jets brefs et en rafales. Clémentine vise en la secouant.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il y a les deux dernières grosses bouchées à la reine à réchauffer. Avec leurs coquillettes. Je m'en occupe. Clémentine fait l'assaisonnement d'un salade de concombre. Je coupe le légume en fines lamelles. Nous mangeons de bon appétit en envisageant diverses options de repas pour ce soir avec Juliette. Clémentine décide de faire simple. Une purée en accompagnement de pavés de saumon poêlés. Excellente suggestion. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur ses cours depuis la maison. Souvent en connexions avec Estelle. Nous descendons récupérer les pavés de saumon dans le congélateur. Les pommes de terre dans le cellier. Clémentine me sort la bite pour me l'agiter en riant.

<< On a encore oublié de se faire livrer quelques chose par Danièle. Elle insiste pourtant pour le faire. Il faut qu'on s'invente un besoin ! >> dit elle. C'est vrai, je n'y ai pas pensé non plus. Clémentine rajoute : << Je suis certaine qu'elle y pense et qu'on s'offrirait une belle tranche de vice ! >>. En remontant nous nous promettons de trouver un "plan". Nous épluchons, lavons et coupons les grosses pommes de terre. Une cuisson rapide dans l'auto cuiseur sur la fournaise de la cuisinière à bois. Les deux gros pavés de saumon posés sur le couvercle décongèlent très vite. Il faut les mettre dans un récipient car ils partent en flotte. Ce qui créé des bulles qui tournent sur la fonte rougeoyante en sifflant. Pendant ce temps nous faisons la vaisselle. Clémentine passe les patates dans le presse purée.

Je découpe le saumon en fines tranches. Poêlées avec des champignons, de l'ail, de l'échalote. Il faut rajouter du lait de soja, de la crème fraîche à la purée avant de l'étaler dans le grand plat carré en terre cuite. En plusieurs couches. Sur chacune d'elles on verse de la poêlée, du gruyère Suisse. On recouvre d'une couche de purée pour refaire. Ainsi sur cinq couches jusqu'à ras bord. On couvre de fines lamelles de Morbier, de saint Nectaire. Chapelure, graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix en carrés concentriques. Au four électrique pour une longue cuisson à 160°. Nous lavons les feuilles d'une belle laitue. Ce sera la salade d'accompagnement. Il suffit de terminer par son assaisonnement. Huile de noix, huile d'olive, moutarde à l'ancienne. Recouvrir d'un linge. C'est prêt.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. << Madame branlette arrive pour dix neuf heures. Je vous demanderai donc de l'accueillir avec tous les honneurs ! >> me fait Clémentine en sortant ma queue pour la faire tournoyer. "L'hélicoptère" qui nous fait beaucoup rire. Debout derrière moi, elle agite mon chibre devant le grand miroir ovale. Pressés d'aller nous dégourdir un peu les jambes, nous dévalons les escaliers. Anoraks, bonnets, gants pour affronter le froid polaire. Le pénible vent glacial. Jusqu'à la rivière. Clémentine reste serrée contre moi pour me raconter sa façon de voir les choses ce soir avec l'arrivée puis la présence de Juliette. Nous en rigolons comme des bossus. Je trouve les différents scénarios géniaux.

Il est presque quatorze heures quand nous retrouvons l'atelier. Les crépitements de la cheminée. Les suaves odeurs des bois de hêtre et de chêne qui se consument doucement. Clémentine assise devant son ordinateur. Moi devant mon chevalet. Une nouvelle séance de plaisir partagé. De chansons loufoques, de cris surréalistes. Parfois l'un se lève pour aller faire un rapide bisou à l'autre. Murmurer une douceur ou une coquinerie à son oreille. << J'ai envie d'une pipe ! >> chuchote Clémentine à la mienne. L'après-midi passe ainsi. << Là, je n'en peu plus ! >> s'écrie Clémentine en se levant pour ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Le rituel pisseux devant le lavabo avant de nous avachir dans le vieux canapé de velours carmin. Entre les épais coussins assortis.

Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, Clémentine parle de ses cours à domicile. J'écoute en caressant son front. Ma bite toute molle contre laquelle elle frotte sa joue. Le crépuscule fait rapidement place à la nuit. Ce ne sont plus que les dernières flammes qui éclairent cette partie de la grande pièce. C'est un moment de félicité que nous vivons. Pour Clémentine c'est comme un sas de décompression. Quand elle tourne la tête c'est pour suçoter la peau fripée de mon prépuce. La mâchouiller. J'adore la regarder s'amuser ainsi. Depuis sept ans il m'est tout à fait impossible de m'habituer à son visage d'ange, ses traits délicats, ses yeux d'un bleu clair et intense, ses longs cheveux d'un noir de jais. C'est un sentiment merveilleux d'être "l'élu", le privilégié "choisi". J'en savoure l'instant.

Comme le précise parfois Juliette, c'est pour mon argent aussi. Je lui rétorque à chaque fois que j'ai les moyens de m'offrir non pas un ange mais deux. Ce qui fait beaucoup rire Clémentine et Estelle qui précise : << Pourquoi ? C'est vilain d'aimer l'argent ? >>. Nous passons une bonne heure ainsi. Je bande mou. Je frotte ma queue sur son visage. Les yeux fermés avec une expression d'extase, Clémentine en gémit de plaisir. << On fait la "surprise" à Juliette ? >> lance t-elle soudain en se redressant. Je garde ma main gauche dans sa culotte. Je tiens son clitoris géant entre le pouce et l'index. Elle bouge doucement et en rythme, masturbée délicatement depuis plus d'une demi heure. << Tu te mets là, dans l'obscurité, dans le fauteuil à bascule et tu te branles. Moi je m'assoie sur le pouf pour te regarder ! >> m'explique t-elle une nouvelle fois. Superbe.

Je m'installe. Clémentine aussi. L'un en face de l'autre. Juste éclairés par les flammèches. Nos intimes ont pour consigne d'arriver sans s'annoncer. À cet effet, nous avons ouvert le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. C'est le bruit discret que nous entendons qui nous prévient de la présence de Juliette. La porte s'ouvre. C'est ainsi qu'elle nous découvre ce soir. Vêtue d'une paire de jeans, d'un pull à coll roulé, de ses bottines, elle se précipite en disant : << J'hallucine ou vous vous entraînez pour vendredi soir ? >>. Nous en rions tous les trois aux éclats. Cette fois, en arrivant, Juliette ne peut pas faire semblant d'ignorer mon chibre. Je bande comme le dernier des salauds. Elle se penche pour faire la bise à Clémentine. Puis à moi en rajoutant : << Superbe surprise. Félicitations ! >>

Juliette s'installe en tailleur sur le tapis. Je me branle. Clémentine, les coudes sur ses cuisses, écoute Juliette nous raconter sa journée. Nous bavardons ainsi un petit moment. La faim nous gagne. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand Juliette découvre le plat que je sors du four électrique pour le mettre dans la fournaise du four à bois, elle passe son bras autour de ma taille en disant : << N'allez pas risquer de vous brûler cher branleur. Ce sera moi qui sortirais le plat dans cinq minutes ! >>. Il suffit de mettre les feuilles de laitue dans l'assaisonnement déjà préparé. De placer les assiettes et les couverts sur la table. Je n'arrête pas de me masturber. D'agiter ma bite vers Juliette ou vers Clémentine. Juliette sait que mon plaisir est décuplé quand je la vois accroupie de dos.

Devant la porte du four, dans le reflet de la vitre elle observe ma branle. Clémentine qui vient se placer derrière moi, ses bras autour de ma taille. << Attention ! >> lance Juliette qui ouvre la porte. C'est un gratin aussi divinement beau que bon. Nous mangeons d'un appétit faisant honneur à ce plat. La conversation reste axée sur nos préoccupations. Le sexe. Ce vendredi nous serons tous les trois à nous offrir une "soirée branle". Ce n'est pas la première. Tout en mangeant je me lève d'ailleurs à plusieurs reprises pour en donner un aperçu à mes deux spectatrices. Juliette nous promet une << Très belle surprise ! >>. Elle devra nous laisser pour 22 h. Nous traînons à table. Je me lève pour frotter ma biroute sur la joue de Clémentine. Elles bavardent toutes les deux comme si c'était "normal". Nous en rions beaucoup. Je me comporte encore ce soir comme un véritable dépravé, doublé d'un satyre et d'un pervers chevronné. Sous les rires des coquines.

Bonne nouille à toutes les coquines qui en savourent les jus sous la couettes. Remerciant ainsi leur coquin de leurs offrir de merveilleux instants d'un esthétisme vicelard et déviant. Avant de se ramasser des giclées de sperme au fond de la gorge. Puis se s'endormir blottie contre leur bienfaiteur...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 4 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2449 -



Contrôles de routines du jeudi soir

Il est presque six heures hier matin, jeudi. Les fééries de l'application "forêt" nous tirent du sommeil. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Quelques papouilles. Quelques bisous. Il faut se lever. C'est comme des robots dont les piles seraient défaillantes que nous allons aux toilettes. Nos mouvements mécaniques et un peu maladroits ne tardent pas à nous faire rire. Les radiateurs viennent de s'allumer. Il ne fait pas très agréable dans la salle de bain où nous enfilons nos vêtements de sport. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Nous pressons les oranges, nous pelons les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée avec Juliette. Nos conversations érotiques.

Nous mangeons de bon appétit en nous réjouissant des folies de ce soir avec Estelle. << Je la vois tout à l'heure en cours. Au restaurant universitaire, à midi, elle va me raconter son mercredi soir avec son parrain ! >> dit Clémentine qui vient terminer sa tartine au miel sur mes genoux. Six heures vingt cinq. Il faut remonter car chaque seconde est précieuse. L'échauffement des mouvements aérobics. Le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol. Excellente mise en conditions avant les charges additionnelles. Le retour au calme avec un stretching bien trop hâtif. La douche. Il fait à présent très agréable dans la maison avec 22°. Je descends le premier pour préparer la voiture. Presque 7 h45. Il neige un peu. Le thermomètre extérieur indique moins deux degrés. Un ciel sinistre.

Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. << Mais quelle horreur ! >> lance t-elle, déguisée en esquimau. Je dis : << Sois prudente ! >>. En s'asseyant au volant elle répond : << Oui. Promis. Je ne me touche pas en roulant ! >>. Nous rions. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je m'empresse de retourner au chaud pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier, première des choses, allumer une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je m'attelle à cette seconde scène de genre avec jubilation. Je peins dans un enthousiasme parfois délirant qui me fait pousser des cris surréalistes. J'entends du bruit. Un moteur de camion. Je me précipite. J'avais complètement oublié l'intervention de l'entreprise paysagère.

Je mets mon anorak pour aller saluer la dame qui s'occupe du chantier. Son assistant déjà entrain de décrocher une machine. Ils connaissent leurs boulots. Et avec le tapis de feuilles pourrissantes et les branchages jonchant le sol, ils ont de quoi s'occuper. Je laisse Caroline à son travail pour retourner au chaud. La matinée passe encore à une telle vitesse. Midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je regarde par une des fenêtres. Le jardin est propre. La neige a disparu pour faire place à une pluie fine et incessante. Je réchauffe le reste de purée. Je fais l'assaisonnement d'une salade de concombre et d'avocat. En prévision de la préparation du repas de ce soir, je sors la pâte feuilletée du réfrigérateur. Je descends chercher des poireaux à la cave.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff aborde la "relaxe" du garde des sceaux. Deux poids deux mesures en fonction de votre degré d'implication dans le marasme des magouilles à la tête d'un pays. Les faits sont avérés, il y a bien eu matérialisation des faits reprochés mais notre Dupont-Maserati les aurait commis à l'insu de son plein gré. Une sorte de Virenque de la magistrature. Dopé malgré lui à la mauvaise foi la plus écœurante. Ces individus donnent la gerbe et sont maintenus à leurs fonctions. Il y a également l'article 4 de la future loi Darmanin qui précise que tout individu qui préconisera les médecines parallèles, qui dénoncera les effets secondaires d'un vaccin, l'efficacité des médecines alternatives en substitut aux traitements médicaux conventionnels se verra condamné à un an de prison et à quinze mille euros d'amandes. Bref, la victoire de "Big Pharma". Proprement monstrueux.

Je visionne mentalement les préparations de la Flamiche Picarde qui sera notre repas du soir. J'étale deux tiers de la pâte feuilletée dans le grand plat rond à bords hauts. Je lave et je coupe deux gros poireaux. Je les ébouillante dans l'autocuiseur. Je concocte une belle et onctueuse Béchamel. J'y rajoute de ce succulent gruyère Suisse. J'égoutte le poireau pour le rajouter à la sauce. Je verse le tout sur la pâte. Le reste de gruyère dessus. Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée en jointant bien les bords. Je badigeonne le mélange œuf, lait de soja et moutarde à l'ancienne sur le tout. Au four électrique pour une longue et lente cuisson à 160°. Je fais l'assaisonnement de la salade de tomates qui accompagnera la tourte aux poireaux. J'en connais deux qui vont se régaler ce soir.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. De ce côté-ci de l'étage le bruit des machines est assez pénible. Je regarde par une des deux fenêtres. Caroline et son employé, côte à côte, poussent les amas de feuilles avec des sortes de canons soufflant. Le bruit est assourdissant. Pourquoi donc ne pas utiliser des moteurs électriques plutôt que ces maudits moteurs thermiques ? Je me promets d'en parler au directeur de cette entreprise que je connais bien depuis huit ans qu'elle intervient dans ma propriété. Il pleut en plus. Alors cette confiture de feuilles colle fortement sur l'herbe. Je redescends pour mettre mon anorak, chausser mes bottes en caoutchouc. C'est sous le parapluie que je vais jusqu'à la rivière. Malgré les trois cent mètres qui m'en séparent je perçois cet épouvantable potin.

Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je reprends ma peinture dans un relatif silence revenu. L'atelier est orienté Nord, Nord Est. Le double vitrage des grands baies vitrées fait également office d'isolant phonique. L'après-midi se passe dans l'enthousiasme de la passion. Du bruit. Dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table. Se précipite pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas de midi du restaurant universitaire. Elle a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches la voilà plongée dans ses écrits. En chantonnant parfois, en se relisant quelquefois. Me demandant ce que j'en pense.

Dix huit heures trente quand elle se lève d'un bond en s'écriant : << J'arrête ou je pète une durite ! >>. En réunissant ses affaires pour les ranger elle rajoute : << J'aime bien ce mot "durite". Ça rime avec bite et ça évoque des trucs un peu glauques. Tu me la donnes après, ta "durite" ! >>. Nous rions alors que je nettoie la palette, les pinceaux. Devant le petit lavabo de l'atelier, où je me lave les mains, bite posée sur le rebord, Clémentine vient me rejoindre en sautillant. << Ta "durite" ! Je la purge ! >> lance t-elle en la saisissant pour en diriger les jets. Penchée en avant, après en avoir secoué les dernières gouttes, Clémentine suçote la peau fripée de mon prépuce. Elle se redresse en disant : << Le constat est sans appel mon pauvre monsieur, votre durite présente des fuites ! >>

Nous rigolons comme des bossus quand je promène Clémentine dans toute la grande pièce. Accrochée à mon cou, ses jambes autour de ma taille, mitraillant mon visage de bises. C'est la situation sur laquelle tombe Estelle qui arrive toujours silencieusement. Je dépose Clémentine au sol pour administrer le même traitement à notre visiteuse. Je bande mou. Quand je la repose au sol, Estelle attrape mon chibre, elle le soupèse en disant : << Il y a bien là 350 grammes de barbaques ! Nous rigolons comme des bossus. Je demande : << Et ta soirée de mercredi ? Baisée jusqu'à la congestion ? >>. En continuant de rire Estelle répond : << Au delà, j'ai encore la chatte toute ankylosée. Tu veux contrôler ? >>. Elle saisit le tisonnier pour remuer les dernières braises en me racontant.

Morts de faim nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je remballe ma bite. Quand les filles découvrent ce que j'ai préparé, je suis pris en sandwich par leurs effusions de tendresse. Je tire la Flamiche Picarde du four électrique éteint pour la mettre dans la fournaise du four à bois. L'assaisonnement des tomates déjà lavées est un gain de temps appréciable car nous sommes pressés de manger. Pressés de passer au salon pour procéder au "contrôle" de la chatte d'Estelle. Bien évidemment tout cela n'est qu'un prétexte car sa chatte se porte comme un charme. Je pourrai bientôt le constater une fois de plus. Estelle, accroupie devant le four pour surveiller m'observe également dans le reflet de la vitre fumée. Je mets les assiettes, Clémentine les couverts. Je sors ma bite pour l'agiter mollement.

"L'hélicoptère" qui fait tant rire mes deux anges quand je fais tournoyer ma biroute. Estelle enfile les maniques. Elle ouvre la porte du four pour en sortir la splendide tourte aux poireaux. Son odeur embaume soudainement toute la cuisine. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos soirées de débauches. Estelle ne vient pas avec nous vendredi chez Juliette. La "soirée branle" se déroulera sans elle. << Vous me raconterez samedi ! >> précise t-elle. La Flamiche Picarde est un met délicieux autant que délicat. Mes deux anges félicitent mon initiative. Nous ne traînons pas. Les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle. Elles m'entraînent en me tenant par les bras jusqu'au salon. << Tu contrôles mon minou monsieur le garagiste ! >> lance Estelle en retirant ses bottines, son Levis et sa culotte. Clémentine fait de même. Je jette les épais coussins sur le tapis devant le canapé où se vautrent mes deux coquines excitées.

C'est par le sexe d'Estelle que je commence le plus souvent mes "contrôles" des jeudis soirs. Mon visage entre ses cuisses alors qu'elle titille son clitoris, je hume longuement les effluves parfumées de sa journée de fille. Toutes les deux se masturbent en me regardant renifler. En riant elles échangent leurs impressions. Estelle revient sur quelques détails épiques de sa baise avec son parrain. << Il n'a pas cessé de parler de toi et de ton "garage à bite" ! >> dit elle à Clémentine qui a son tour évoque les sensations ressenties vendredi dernier en se faisant sauter par le parrain d'Estelle. Je fouilles les plis de leurs vulves en les écoutant digresser sur leurs aventures. C'est évidemment extrêmement excitant. Quand ma langue fouille leurs intimités elles se masturbent. Parfois en gémissant, parfois en bavardant. Quand je suce leurs clitoris, c'est soudain la stéréophonie d'un concerto pour deux voix en jouissances majeures. La Coda s'annonce.

C'est le plus souvent Estelle qui est la victime d'un orgasme "dévastateur" qui la laisse haletante. Prostrée. Couchée sur le côté, ses cuisses serrées sur ses mains. L'orgasme pisseux de Clémentine dont je tente de recueillir les jets puissants qui m'éclaboussent dans la cuvette que j'oriente au mieux. C'est en hurlant qu'elle se "décharge". C'est merveilleux de voir les éjaculation de cyprine laiteuse et abondantes êtres éjectées en même temps que les jets de pisse. Dès les dernières gouttes je me précipite pour y coller ma bouche. Les frissons qui secouent l'intérieur de ses cuisses contre mes joues. Des spasmes qui secouent tout son corps alors qu'elle me tient par les oreilles. Je connais moi aussi l'extase. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Elle reprend ses esprits avant de s'habiller. Clémentine me bouffe la queue. Je m'agite dans sa bouche avec quelques généreux coups de reins. J'éjacule en poussant un hurlement de damné. Put-hein !

Bonne nuit à toutes les coquines qui se blottissent contre leur lécheur suceur sous la couette. Pour sombrer dans le sommeil après lui avoir confié leurs derniers ressentis...

Julien (Docteur Honoris Causa es cunnilingus)



NOTE
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Fleur - 5 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2450 -



Soirée branle chez Juliette

Hier matin, vendredi, à presque six heures, quand les fééries de l'application "forêt" nous réveillent, Clémentine, en se blottissant contre moi, s'écrie : << Il était temps ! >>. Encore dans un demi sommeil, nous nous mettons à rire. Le week-end commence à midi le vendredi. Ce qui rend la fille que j'aime très facétieuse dès le levé. Des bisous, des papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs viennent de se mettre à fonctionner. Il ne fait pas chaud. C'est donc fébriles, avec rapidité, que nous enfilons nos tenues de sports dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine, en imitant l'accent Corse de Juliette, "madame branle" comme elle la surnomme, fait le café. Je suis plié de rire en allumant le feu dans la cuisinière à bois. Il prend très vite.

Clémentine pèle les kiwis en imitant un pas de danse folklorique tout en chantant d'absurdes litanies. Je presse les oranges, écroulé de rire. Je m'exclame : << Ce matin, je ne suis pas seulement fou amoureux de toi, mais je t'adore ! >>. Elle me saute au cou. Il faut se raisonner. Chaque seconde nous est comptée pour pouvoir tout faire. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le programme de l'après-midi. Il faudra aller en ville acheter les cadeaux pour ma famille en Écosse. Famille qui est également devenue celle de Clémentine qui se réjouit pour la revoir aux vacances de fin d'année. Nous mangeons de bon appétit en organisant bien le planning. Nous sommes attendus chez Juliette pour 20 h. Six heures vingt cinq. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement.

Les échauffements aérobics, ceux du jogging sur tapis roulants ou Clémentine, déconneuse, se met à courir en se tournant, avec un sérieux qui me fait pouffer de rire. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Les étirements du stretching avant la douche. Je redescends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le jour achève de se lever et à presque 7 h45 la température extérieure n'excède pas moins deux degré. Et toujours ce léger vent du Nord. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue sous un ciel gris, bas et sinistre. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Frigorifié, je me dépêche de rentrer dans l'agréable chaleur qui règne dans la maison. 22°. Je fais rapidement la vaisselle et notre lit avant de passer dans l'atelier. J'allume le feu de la cheminée.

Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette seconde scène à trois personnages m'accapare très vite et totalement. Je peins dans l'euphorie laissée par Clémentine. La matinée passe au-delà de ma perception du temps. Il est presque midi. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches dans les flammes. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de la tourte aux poireaux. Je concocte l'assaisonnement d'une salade de carottes. Je fais gonfler du riz complet. Une sauce au Roquefort. Midi trente. Clémentine rentre de cours pour me sauter au cou. Je la soulève. Les jambes autour de ma taille, elle mitraille mon visage de bisous. C'est comme ça que je l'emmène aux toilettes pour le rituel pipi et le lavage des mains.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée de cours. << Peut-être rencontrera t-on Estelle et sa maman au marché de Noël ! >> précise t-elle. Nous traînons un peu à table. Assise sur mes cuisses, à califourchon, ses bras autour de mon cou elle dit : << J'ai une méchante envie de faire des trucs sympas tu sais. Ça va être dur d'attendre jusqu'à ce soir ! >>. Nous en rions de bon cœur. J'émets l'hypothèse de commencer dès maintenant et d'entretenir nos excitations jusque dans la soirée. Mais avec ce froid, il sera difficile de mettre en application ce dogme qui nous est cher. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine garde ses vêtements de la matinée. Levis, pull mohair à col roulé, bottines. Je me change pour des habits propres.

Nous prenons quelques poses déconnantes devant le miroir ovale de la salle de bain. J'ai la braguette ouverte. Le chibre qui en pend mollement. Clémentine, accroupie sur ma gauche, me tient par les jambes. Sa tête posée sur ma cuisse. Elle me dit : << Savez-vous mon cher "Maître" que j'aurais besoin d'une sérieuse reprise en main ? >>. En caressant sa tête je réponds : << Ma douce "Soumise", je vous promets une belle séance ce weekend ! >>. Clémentine se redresse, saisit ma queue. Enfonce sa langue dans ma bouche. Le goût d'eucalyptus de la crème dentifrice. Je bande presque immédiatement comme le dernier des salauds. Tenu par la bite, nous descendons les escaliers avec précaution en nous faisant des bises. Les anoraks noirs. Les bonnets, les gants. C'est parti.

Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'à la petite ruelle habituelle où nous garons l'auto. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue tout en me racontant quelques amusantes anecdotes de sa matinée d'étudiante. Il est 14 h quand nous arrivons. En ville le vent ne peut sévir avec autant de perversité que dans la campagne. C'est presque un soulagement. Nous marchons d'un pas rapide, Clémentine me tenant par le bras. Dix minutes jusqu'aux premières rues piétonnes. Il y a du monde. Un froid humide et glacial. Nous traversons le marché de Noël en flânant. Les odeurs de cannelle, d'anis des boissons chaudes. Les odeurs sucrées des gaufres qui réchauffent sur des plaques électriques. Des crêpes et des pommes d'amours caramélisées. Ça donne envie. De la pure gourmandise.

Sur l'escalator qui mène au premier étage de la FNAC, Clémentine utilise la stratégie "Estelle" pour me palper discrètement la bosse. Serrée contre moi, une main baladeuse, l'autre autour de mon cou. Nous attirons évidemment bien des regards. Nos hautes tailles. Cette sublime jeune fille au bras d'un homme d'âge mûr. Le rayon informatique. J'ai l'intention d'acheter un nouvel ordinateur comme cadeau de Noël pour Estelle. Nous choisissons le même modèle que celui de Clémentine. MacBook Pro 13. La vendeuse vient nous rejoindre après une bonne dizaine de minutes d'attente. C'est que nous ne sommes pas seuls, il y a du monde. Il y a le modèle d'exposition. Je propose à Clémentine d'en acheter un neuf également pour elle. << T'es fou, le mien n'a même pas deux ans et il fonctionne super bien ! >>. Je demande à la vendeuse un modèle certifié fabriqué dans l'année. Afin de retarder l'obsolescence inévitable au bout de 5 ans.

<< Ils ne sont pas aux même prix. Il faut compter cent cinquante euros de plus ! >> précise la jeune fille. Je réponds : << C'est ça que nous voulons ! >>. Elle nous invite à l'attendre. Elle revient au bout de quelques minutes avec cet emballage blanc si caractéristique d'Apple. Nous ne nous attardons pas, nous passons en caisse. Facture de garantie. Dans son emballage l'ordinateur ne pèse pas plus d'un kilo huit cent. << Comme son prix 1,8 K ! >> lance Clémentine. Je trimballe le sac. Nous passons aux rayon des bouquins. Des idées de cadeaux pour mon oncle et sa femme, pour ma tante et son mari. C'est chargés que nous retournons à la voiture. Nous ferons les emballages cadeaux avant de tout envoyer par la poste. Pour ne pas les trimballer dans l'avion. On fait ça chaque année.

Nous revenons en ville pour nous offrir un bon chocolat chaud et une tartelette aux abricots dans notre salon de thé préféré. C'est à chaque fois très agréable de nous retrouver au chaud. Même si les chocs thermiques successifs sont déplaisants. Par la grande baie vitrée nous avons vue sur une des rues piétonnes. C'est noir de monde. Avec le crépuscule qui annonce la tombée de la nuit, les illuminations prennent un aspect féérique. Je propose de manger en ville. Dans ce restaurant gastronomique dont nous apprécions la classe et la cuisine. Clémentine préfère rentrer. Mettre les cadeaux dans l'atelier. Préparer le paquet cadeau pour Estelle. Je trouve l'idée judicieuse. Il est dix huit heures trente quand nous revenons. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates.

Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Il reste de la sauce au Roquefort. Préparations rapides. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Il reste trois quart d'heure. C'est dans l'atelier que Clémentine fait le bel emballage cadeau pour Estelle. Un magnifique papier aux motifs sépias. Je la regarde faire, consciencieuse, alors qu'elle me confie son impatience de rejoindre "madame branle". Je fais les emballages cadeaux pour la famille en Écosse. Nous irons les emmener à la poste vendredi prochain. Nous cachons le paquet pour Estelle comme des gamins facétieux. Sur le haut d'une des étagères de la grande armoire où je stocke du matériel de peinture. Petites toiles, pinceaux, tubes de couleurs et toutes ces petites choses. Estelle aime ouvrir les armoires.

Nous restons vêtus comme nous le sommes. << Pour me branler c'est plus simple en jupe ! >> lance Clémentine avec une expression de dépit. Nous rigolons comme des bossus. Je suggère que nous remontions dans la chambre pour choisir une jupe qu'elle pourra mettre chez Juliette. Elle m'entraîne par la main. Nous remontons en courant. C'est une de ses jupes kilts à carreaux rouges et verts. Des escarpins à talons hauts, avec la petite sangle qui enserre délicatement la cheville. Nous cavalons pour redescendre, enfiler nos anoraks. C'est parti. Il n'y a que trois kilomètres jusqu'au haras. La cour est déserte. De la lumière à l'étage, au-dessus des bureaux d'accueil. C'est comme si elle guettait notre arrivée. À peine sommes-nous devant la porte que celle-ci s'ouvre. Juliette.

J'aime découvrir la joie qui inonde son visage lorsqu'elle nous voit. Ce soir Juliette est vêtue d'une jupe noire et ample. De bottes noires à talons hauts. Un pull à col roulé. Ses longs cheveux noirs aux reflets d'argent qui flottent sur ses épaules. C'est toujours une émotion qui m'envahit quand je la revois. Nous la suivons dans l'escalier. << Thé, tisane, café avec les petits salés ? >> demande t-elle. Ce sera un thé. Vautrés dans le canapé, Clémentine et moi, nous grignotons des noix de cajou en écoutant Juliette nous raconter sa journée. Installée dans le fauteuil qui nous fait face. Je fixe ses cuisses qu'elle écarte imperceptiblement. Clémentine pose sa main sur ma braguette. << Ça va sentir le renfermé, mettez-vous donc à l'aise ! >> me fait Juliette en écartant ses cuisses. Majestueuse. Pointant son index vers ma braguette.

Clémentine se lève en disant : << Je me change à la salle de bain ! >>. Elle s'y précipite avec le grand sachet FNAC qui contient sa jupe et ses souliers. Juliette me fixe silencieusement. Mon regard va de ses yeux à son sexe qu'elle me montre si généreusement. << J'ai envie de faire l'amour avec toi. Il faut à tout prix que tu persuades Clémentine de t'y autoriser. Ça fait presque sept ans qu'on se connaît. S'il te plaît ! >> chuchote t-elle comme de peur d'être entendue. Je murmure : << Tu me demandes l'impossible. Clémentine est intraitable à ce sujet ! >>. Je n'ai pas le temps de finir que Clémentine revient. Comme elle est belle et sexy dans sa jupe kilt, ses escarpins noirs. Elle tourne sur elle-même en soulevant légèrement sa jupe. << C'est comment ? >> demande t-elle.

Juliette est bisexuelle. Cette tendance la fait littéralement "baver" à chaque fois que nous sommes ensemble. Je le déplore mais pour Clémentine c'est une option impossible. Lorsque nous faisons l'amour et que j'aborde ce fantasme de la voir coucher avec une autre fille, elle répond invariablement : << Je serai gouine quand tu seras pédé ! >>. Il n'y a donc pas l'ombre d'un début d'espoir de voir réaliser un jour ce fantasme. Je sors ma queue. Je tiens mon érection. Clémentine reste debout. Une main sous sa jupe. L'autre sur son sein gauche. Elle se touche. Nous voilà silencieux tous les trois. Juliette se lève. Elle se touche en faisant face à Clémentine. Elles s'observent toutes les deux. Je me branle en assistant à cette confrontation. C'est à la fois surréaliste et hyper excitant.

Dommage que Clémentine n'est aucune attirance pour les femmes. Car Juliette, sublime bourgeoise de cinquante ans, est redoutablement sexy, attractive, séduisante. Selon l'expression populaire "elle ferait bander un mort". Mais les vivants surtout parce que mon érection devient presque une torture. << J'ai une surprise, comme toujours ! >> lance soudain Juliette en s'éloignant. Nous n'y avions pas prêté attention dans la pénombre. Elle revient avec une sorte de boîte noire d'environ 50 cm sur 30 et autant de haut. Cela ne semble ni lourd ni encombrant. << Sybian ! Vous connaissez ? >> dit elle en posant l'objet sur la table basse. << Tu en as un ! Je n'en ai jamais vu pour de vrai ! >> s'écrie Clémentine. << Je l'ai depuis huit jours. Je voulais te le faire essayer ! >> dit Juliette.

Clémentine, en se touchant, se penche pour observer l'appareil. Juliette ouvre une petite trappe à l'arrière. En sort deux godes de tailles différentes. << Put-hein ! >> murmure Clémentine à la fois étonnée et intéressée. << Je fixe le petit. Touche, il est en caoutchouc ! >> lance Juliette en le fixant sur l'ergot du dessus. L'engin fait penser à une selle de cheval. On s'y assoit à califourchon, le gode enfoncé. Je regarde l'expression d'envie qui se dessine sur les traits de Clémentine. << Viens, monte sur la table, tu t'accroupis et tu t'installes. Dès que tu te sens prête tu t'enfonces le truc. Tu préfères le grand ? >> explique Juliette. Elle branche la prise de l'appareil avec la rallonge. Elle met en fonction. Le gode se met à vibrer. Il y a différentes vitesses, différentes fréquences. Un petit bruit.

<< Génial ! Je ne suis pas du tout sextoys mais je vais me faire un plaisir d'essayer ! >> s'exclame Clémentine ravie. Juliette enduit alors le gode d'un gel. << Lubrifiant et stérilisant ! >> lance t-elle en montrant le flacon. Clémentine monte sur la table basse. Elle me tend une main pour que je l'aide à maintenir son équilibre. Un équilibre précaire car elle tend son autre main à Juliette. Nous la tenons tous les deux. Clémentine s'accroupit doucement. Les lèvres charnues de son sexe se refermant sur l'extrémité du gland en caoutchouc. Elle lâche la main de Juliette pour se l'enfoncer doucement. Tout en se mettant à genoux sur la table basse. L'engin est dimensionné à la perfection. À genoux, assise sur l'appareil, Clémentine se met à pousser de petits cris de ravissements. << Mmhh ! >>

Juliette fait tourner une molette crantée de un à dix. Clémentine lâche ma main pour tenir la poignée. Tout comme elle le ferait sur une selle. Sur un cheval. L'appareil en présente d'ailleurs le profilé. Les vibrations sonores augmentent. Les expressions de ravissements sur le visage de Clémentine passent de l'étonnement à la surprise, du plaisir à l'extase. Juliette se touche en admirant ce spectacle. Je suis debout devant Clémentine à me branler. C'est merveilleux de la voir se faire baiser par cet engin. C'est surréaliste. Extraordinaire. Elle a compris comment ça fonctionne. En haletant, elle tourne la molette sur cinq. Le bruit n'est pas sans rappeler celui d'un batteur électrique de cuisine. Les frissons qui agitent l'intérieur des cuisses de Clémentine secoue un peu la machine. Et la table basse. Ce qui est posé dessus.

Il y a du jus qui coule sur l'appareil. Il en coule jusque sur la table. Clémentine, en extase, les yeux fermés, prostrée sur la machine s'envoie littéralement en l'air. Elle ouvre les yeux, me fixe avec un regard implorant, couverte de sueur. Elle ouvre la bouche. J'y enfonce ma queue ruisselante de jute. C'est tellement excitant que ça fait bien vingt minutes que je lutte contre l'éjaculation. Juliette se masturbe en nous observant. L'orgasme de Clémentine est tout simplement prodigieux. Et pisseux. Juliette ne s'y attendait pas. Elle éclate de rire. J'éjacule au fond de la gorge de Clémentine qui en tousse, qui manque de s'étouffer tout en pissant. C'est prodigieux. Juliette aussi s'offre un orgasme. Nous reprenons nos esprits. Clémentine passe la serpillère en s'excusant. Nous rions aux éclats.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui savent très exactement quel sera l'un des cadeaux du prochain Noël...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
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