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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 1 - Samedi -



ELLE ME TIENT LA BITE POUR EN DIRIGER LE JET CONTRE LE MUR

Hier matin, vendredi, nous sommes tirés de notre sommeil par la "Lettre à Elise", de Ludwig van Bite-au-Vent.
Il est six heures. Clémentine me fait deux bises, me tire du lit. < Debout, mon Bitounet péteur ! > me fait-elle.
La jeune fille se précipite aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Moi, je traîne des pieds jusqu'à la salle de bain.
Ma bite posée sur le rebord du lavabo, je pisse en lâchant une somptueuse salve de pets symphoniques en Fa.
C'est fantastique. Je module longuement du Fa au Sol. J'insiste longuement sur le Fa#. C'est magnifique. Beau.

< Je t'entend, vieux cochon ! > me fait Clémentine en venant me rejoindre pour en secouer les dernières gouttes.
Nous rigolons comme des bossus en descendant pour prendre notre petit déjeuner. Nous bavardons en rigolant.
Puis c'est notre heure d'entraînement. Gym, aérobic, abdo et charges additionnelles. Nous prenons notre douche.
Avec tout ça il est déjà 7 h45. Il est temps de nous séparer pour nos activités de la journée. Plein de gros bisous.
Clémentine revient en fin d'après-midi. Il est 17 h. Comme chaque jour la jeune fille est toute contente. Bisous...

Avec la douceur de cette journée finissante, Clémentine et moi, nous avons l'envie de partir pour une belle balade.
Clémentine m'ouvre la braguette, me sort le Zob et me demande : < Comme va Bitounet ? >. Elle me la secoue.
Nous rions de bon cœur en descendant le chemin jusqu'à la rivière. Je montre les messages d'Estelle reçus ce jour.
Clémentine les lit et me fait : < Mais quelle petite salope ! Attends, tu vas voir je vais lui répondre un truc ! >.
La jeune fille écrit le message suivant : - "Week-end de dressage, tenue à la laisse et selfies juteux" -. Elle envoie !

Nous évoquons le week-end à venir. Estelle va venir le passer avec nous. Elle arrive samedi pour dix huit heures.
Elle repart dimanche vers vingt heures. Comme la météo a prévu un climat médiocre, ce sera week-end "maison".
Pendant notre promenade, Clémentine me sort la bite à plusieurs reprises pour jouer un peu avec. Délicatement.
Parfois la jeune fille s'accroupit pour en renifler les effluves parfumées du jour. Ou pour en goûter les saveurs.
< Bitounet au fromage ! > me fait-elle en se redressant. Je lui essuie les petites particules de frome aux lèvres.

Nous revenons pour 18 h50. Les journées rallongent à présent vite. Nous décidons de nous faire un repas simple.
Ce sera du riz complet avec une béchamel aux champignons. Je fais griller le riz à sec dans une casserole en inox.
Sans cesser de remuer avec une spatule en bois. Puis je rajoute quatre volumes d'eau dans un nuage de vapeur.
< Mets ton tablier. Ne vas pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > fait Clémentine en me tendant le tablier.
La jeune fille s'occupe de la salade. Je mets sur feu très doux et je pose un couvercle sur la casserole. Sauce.

J'émince l'ail, l'oignon, la ciboulette et les champignons. Je fais fondre une noix de beurre Breton et demi-sel.
J'y fait blondir de la farine. Sans cesser de remuer en huit. Je rajoute un bol de lait de soja. Je coupe le feu.
Clémentine enlève son jean et sa culotte. Elle s'assoit sur la table. C'est le rituel du broutage. Je prends la chaise.
Je m'assois. La tête entre les jambes de la jeune fille, je m'enivre des effluves parfumées de sa journée. Délices.
L'odeur est un peu forte. Je plonge mon visage dans la touffe dense et fournie de la jeune fille. Je renifle encore.

Le clitoris géant de Clémentine est rapidement turgescent. Je fouille les plis et les replis de toutes ses peaux. Régal.
Les fromages du jour picotent un peu sur le bout de la langue. C'est absolument goûteux. Clémentine se pâme. Joie.
La jeune fille me fait : < Attention Bitounet brouteur, sinon je viens ! >. Je cesse mon broutage. Je me redresse.
Je vais jeter un coup d'œil aux cuissons de la bouffe. Tout est au poil. Je reviens frotter ma bite sur la chatte et le clito.
J'appelle affectueusement Clémentine par le petit nom de "Clitorette". Les aventures de Bitounet et de Clitorette...

Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles. Nous aimons tant ça.
Baiser sans bouger pour faire monter l'excitation dans une inéluctable gradation du plaisir. C'est vraiment excellent.
Nous nous chuchotons plein de cochonneries mêlées de douceurs. Nous évoquons évidemment la venue d'Estelle.
Estelle qui vient encore pour s'offrir de délicieuses peurs, de délicieux frissons, qui vont nourrir sa libido de jeune fille.
Nous restons ainsi, l'un dans l'autre, plus d'une demi heure. Presque imperceptiblement, Clémentine se met à bouger.

Un mouvement lent et régulier fait de toutes petites contractions. Les cochonneries que nous échangeons nous excitent.
Clémentines se raidit. La jeune fille se cabre. Elle me tient par la nuque. Elle se serre. Jambes serrées autour de moi.
L'orgasme l'inonde soudain. La tête contre mon épaule, Clémentine pousse plusieurs petits cris de ravissement. Plaisir.
Je la maintiens fermement pour lui permettre les plus évanescentes extases. La jeune fille gémit longuement. Immobile.
Je reste encore en elle. Le fourreau est doux, humide et chaud. Je me retire doucement. Nos sexe restent liés de foutrine.

Clémentine saute de la table. En chaussettes sur le carrelage, elle s'accroupit pour récupérer tout le jus gluant du Zob.
La jeune fille tombe à genoux pour me sucer comme si sa vie en dépendait. Je la laisse se régaler longuement. Jute.
Je saisis la jeune fille par ses cheveux pour la forcer à se relever. Si je ne le fais pas, Clémentine oublie tout le reste.
J'essuie la nappe pleine de nos jus. Clémentine met la table. < Comme c'était bon, mon Bitounet baiseur ! > fait-elle.
Nous rions de bon cœur. Je lui réponds : < Tu étais encore délicieuse Clitorette ! >. Nous nous asseyons pour manger.

Ce repas est évidemment délicieux. Nous bavardons. Nous évoquons les vacances de Pâques qui se profilent au calendrier.
Nous restons à savourer la bouffe une bonne demi heure. Nous faisons la vaisselle. Puis Clémentine m'entraîne au dehors.
Me tenant par la queue comme par une laisse, la jeune fille me tire derrière le garage. Elle s'accroupit devant moi. Ravie.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant le Chef-d'œuvre que nous découvrons en photo ci-dessous.
Clémentine, malgré la fraîcheur, suce les derniers épanchements qui s'écoulent de ma bite gluante. Elle se régale encore...

Bonne baise, bon léchage de minou et bonne pipe à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Bitounet brouteur)

Classe


Je clique sur les deux belles images pour bien lire ce qui est écrit dessus. Je suis émerveillé par mon clic et par ma découverte...

Classe



Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/10/18 09:36 par bobvoyeur.
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - © - Dimanche -




Estelle vient passer le week-end avec nous

Le samedi matin, les fonctionnalités du réveil son désactivées. Clémentine et moi, nous traînons un peu au lit.
En règle générale, nous sommes tous deux des lèves tôt. Mais nous apprécions les câlins des jours de congés.
Hier matin, nous nous réveillons vers huit heures. Clémentine me fait plein de bisous et me chevauche en riant.
Elle se lève précipitamment en me tirant du lit : < Pipi ! > s'écrie t-elle en trottinant vers les toilettes. Je la suis.
Je la tiens par les hanches, cambrée au-dessus de la cuvette de faïence. Clémentine se lâche dans un long jet..
.
Je m'accroupis pour recueillir les dernières gouttelettes et savourer les miasmes de la nuit de la jeune fille. Régal.
Clémentine me saisit par les oreilles pour me forcer à me relever. Elle m'entraîne par la queue à la salle de bain.
La jeune fille pose ma bite sur le rebord du lavabo, me la tient et en dirige le jet avec une précision surprenante.
Nous rigolons évidemment comme des bossus faisant un coup pendable. Elle m'en secoue les dernières gouttes.
S'accroupissant pour pomper les derniers épanchements, Clémentine se régale un peu de mes parfums de la nuit...

Je saisis Clémentine pas ses cheveux pour la forcer à se redresser. Si je ne le fais pas, nous y passons la matinée.
Nous descendons à la cuisine pour y prendre notre copieux petit déjeuner. Clémentine me suggère un bon jogging.
Nous partons courir sur le chemin sec qui descend vers la rivière. Une heure de running et nous revenons. Douche.
Comme tous les samedis matins, nous sacrifions au rituel des courses. D'abord le marché pour les légumes frais.
Puis le supermarché pour les produits d'entretien, le papier cul, le beurre demi sel, etc... Moi, je pousse le caddie...

Nous revenons pour midi trente. Nous nous préparons un repas simple. Des pâtes avec une sauce au pistou. Frome.
Avec ce temps, je propose de faire sécher le linge, pour la première fois de l'année, dans le jardin plutôt qu'à la cave.
Je vais vider la machine. Nous sortons dans le jardin pour y suspendre les draps, les serviettes, les gants de toilettes.
Nous revenons pour savourer notre repas. Nous bavardons. Nous évoquons la venue d'Estelle en fin d'après-midi.
< Mets ton tablier. Ne va pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > me fait Clémentine au début de la vaisselle.

L'après-midi sera consacré à un peu de rangement. J'en profite pour passer la serpillère à la cuisine et à la salle de bain.
Je lave les chiottes. Je lave la douche, le bidet et le lavabo. Clémentine s'occupe de la poussière, des tapis, de la literie.
Vers quinze heures nous décidons de partir marcher un peu dans la campagne environnante. Il fait plutôt agréable. Doux.
La jeune fille me demande de lui fixer le collier canin autour du cou, d'y fixer la laisse et de l'emmener pisser au dehors.
Nous rions de bon cœur de cette charmante initiative. Je tiens la jeune fille par la laisse. Parfois je donne des coups secs.

Près de l'étang, nous croisons un vieux monsieur. Il nous observe, amusé. Je tiens cette belle et grande fille par la laisse.
Nous le saluons comme si tout cela était parfaitement normal. Il semble éberlué, le bougre. Clémentine s'accroupit. Riant.
Le vieux monsieur, sans doute désireux de ne pas mettre son système cardio vasculaire à rude épreuve, continue sa route.
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine qui m'a sucé la queue à plusieurs reprises durant la balade, s'amuse bien.
Nous sommes de retour pour 17 h45. Estelle ne va pas tarder. Nous constatons que le linge a déjà complètement séché !

Je regarde par la fenêtre de la cuisine. Estelle arrive en poussant sa bicyclette. Vêtue de son jean bleu, de son anorak noir.
Clémentine s'empresse d'aller l'accueillir. Estelle entre à la cuisine. Toute souriante elle me fait : < Bonjour Oncle Julien ! >.
Elle me serre la main avant les trois bises Bretonnes règlementaires. Je la saisis par ses épaules. Je la regarde. Souriante.
Estelle est vraiment très heureuse d'être avec nous. Elle ne peut dissimuler sa joie. Elle sautille autour de Clémentine. Rires.
Clémentine porte toujours le collier canin du quel pend la laisse jusque sur le haut de ses cuisses. Elle l'agite devant Estelle.

< Oh ! Tu me le mets ! > s'écrie Estelle en tirant sur la laisse. Je remercie Estelle pour tous les messages en SMS envoyés.
Elle me fait : < Je pense à vous deux tout le temps, alors j'ai envie de vous écrire ! >. Je suis très touché par cet aveux.
Clémentine passe le collier canin autour du cou d'Estelle qui fixe ses cheveux en queue assez haut sur sa nuque. Elastique.
Immédiatement Estelle me tourne le dos, s'accroupie devant moi et soulève ses cheveux. Je me saisis de sa nuque fine.
Je la tiens fermement. Fort. Estelle ne peut réfréner un frisson de contentement. Elle qui vient chercher sa dose de frissons...

Clémentine est passée derrière moi pour me sortir la bite. Elle regarde par dessus mon épaule. Elle me pousse avec son bassin.
Je me retrouve avec la queue contre la nuque d'Estelle. Clémentine la frotte contre la peau de la jeune fille. Un long moment.
Je redresse Estelle qui passe sa main dans sa nuque pour constater qu'elle est humide de liquide séminal épais, gluant, visqueux.
Elle me fait un délicieux sourire. Plus du tout effarouchée, la jeune semble heureuse de vivre enfin ce qu'elle attend depuis jeudi.
Nous décidons de préparer notre repas du soir. Après tout, le prétexte officiel, est la découverte d'une nouvelle recette de cuisine.

Je propose une grande tarte à la carotte ! < Super ! > s'écrie encore Estelle. Estelle que tient fermement Clémentine par la laisse.
Je secoue ma bite en direction d'Estelle en lui faisant : < Les vraies festivités commencent après le repas. < Super ! > me fait-elle.
Estelle prépare la pâte. Je nettoie les carottes. Clémentine prépare la salade. Notre capacité d'organisation fait merveille. Super !
Je râpe les carottes. Je râpe du gruyère de Comté. Estelle me montre une pâte d'une homogénéité admirable. Elle couvre le tout.
Pendant que la pâte repose, nous éminçons de l'ail, de l'oignon, de la ciboulette et du persil. Je fais rissoler à la poêle. A feu doux.

A plusieurs reprises je saisis Estelle par ses cheveux. Sans ménagement, mais surtout sans brutalité, je l'entraîne autour de la table.
La jeune fille, les yeux pleins de reconnaissance, m'adresse des sourires de plus en plus équivoques. Petite vicieuse qui s'éclate bien.
Je la tiens souvent fermement par la nuque pour lui pousser la tête en avant. Je l'emmène contre le mur pour lui appuyer le front.
Nous retournons à nos préparatifs. Nous sommes des gens plein de bon sens. Nous ne nous égarons pas dans d'autres considérations.
Estelle étale la pâte. Je dispose les carottes râpées finement que j'étale correctement. Je verse la poêlée. Je mets le gruyère râpé.

Clémentine met au four. Thermostat sur 6, cuisson à 250° pour une durée de quarante minute. Quarante minutes de trucs vicelards.
Clémentine nous laisse en mettant son index sur ses lèvres. Elle nous fait : < Chut ! Je vais préparer une surprise ! > Elle s'en va.
Estelle est soudain très gênée de se retrouver seule avec moi. Tout ce qui se passe avec elle n'est possible que grâce à Clémentine.
C'est la proximité des deux filles, leur complicité, qui rend possibles nos petits jeux de rôles inoffensifs, salaces mais hyper excitants.
Je me branle devant Estelle qui détourne les yeux comme si c'était la toute première fois. Cela m'amuse beaucoup. J'en rajoute...

Estelle, comme sur ses gardes, reste à distance en tenant sa laisse derrière son dos. Elle fait semblant de s'occuper à l'évier.
Je ne suis évidemment pas dupe. Je respecte totalement les pudeurs bien légitimes de la jeune fille. Je range même ma queue.
Clémentine revient. < Coucou ! > nous fait-elle. Nous la découvrons vêtue en parfaite "Maîtresse Clémentine". Une merveille !
Bottes noires en cuir à talons hauts. Jupe en cuir noir, courte. Bas noir. Un bustier de cuir lacé sur le devant sur un T-shirt blanc.
Clémentine n'est pas véritablement fétichiste des vêtements d'apparats. Mais je sais que lorsqu'elle se déguise, "ça va le faire" !

La sonnerie du four nous rappelle que nous avons un appétit d'ogre à satisfaire. Nous savourons ce repas avec de délicieuse attentions.
C'est un régal. Estelle a repris son attitude confiante. Clémentine est là, à ses côtés. La voilà rassurée. Elle recommence à jouer. Sympa.
Je me lève à deux reprises pour aller poser ma main sur sa nuque. J'appuis fort. Jusqu'à porter son visage tout près de son assiette.
Estelle oppose une résistance. Je sors ma bite pour la secouer à proximité de son visage. Méfiante, elle se détourne. Sur ses gardes.
Nous faisons la vaisselle. Puis nous passons au salon. Je découvre un appareil photo fixé sur un trépieds au milieu de la pièce. Etrange !

< C'est quoi ? > que je demande à "Maîtresse Clémentine". Cette dernière me répond : < C'est l'appareil photo à Estelle ! >. Surprise.
Clémentine me met dans le secret. Estelle me regarde par en dessous, terriblement vicelarde. < C'est pour mes selfies ! > me fait-elle.
< Nous allons réaliser des photos de très haute qualité. Des selfies de luxe, en quelque sorte ! > me précise encore Clémentine. Silence.
Clémentine se saisit d'Estelle en la tirant par la laisse. Elle la force à s'assoir sur la chaise au milieu de la pièce. Dossier entre les jambes.
Estelle se retrouve rapidement attachée par les chevilles aux pieds de la chaise. Les mains entravées dans le dos. Collier et laisse au cou.

Cette petite salope a tant vibré pour cette nouvelle expérience, toute la semaine, que je peux voir les frissons qui agitent tout son corps.
Clémentine place l'appareil photographique à un mètre de la chaise, un peu de biais. Elle contrôle le bon fonctionnement. Fait un essai.
Ma compagne, délicieuse salope devant l'éternel, me sort la queue. Elle s'installe confortablement sur le petit tabouret rembourré. En bois.
Clémentine secoue ma bite devant le visage d'Estelle. Cette dernière, même en tentant de jouer l'offusquée, a du mal à cacher sa joie.
Je lui saisis la nuque de la main droite. Je passe ma main gauche sous son menton. Clémentine lui passe ma bite sur la peau du visage.

Estelle tente de se soustraire à mon étreinte. Même si la situation tant attendue l'excite au plus haut point, ses inhibitions resurgissent.
Clémentine fait durer, insistant bien sur ses joues, les lèvres de sa bouche fermée avec obstination. J'ai la bite gluante et le foutre coule.
Rapidement Estelle a du liquide séminal qui sèche sur son visage. Clémentine, de sa main libre, appuie sur le déclencheur de l'appareil.
Elle fait quelques photographies. Clémentine se redresse pour aller constater le résultat. < Impeccable ! > s'exclame t-elle en revenant.
Je tiens fermement Estelle. Clémentine se met à me sucer. Je suis tellement excité que je vacille. Je me tiens à la tête d'Estelle qui mâte.

A plusieurs reprises Clémentine sort ma bite de sa bouche emplie de foutre gluant pour la passer sur le visage d'Estelle plutôt écœurée.
A chaque fois, consciencieusement, Clémentine fait une série de photos. Estelle tente de se soustraire à mon étreinte. Peine perdue.
Clémentine reprend sa pipe. Je décide qu'il est temps de faire une première série de photos éloquentes et démonstratives. J'éjacule !
Je sors ma bite de la bouche de Clémentine pour juter en pleine face d'Estelle que j'empêche de bouger. Je suis obligé de tenir fort.
Clémentine met sur "Rafale". Plus d'une dizaine de clichés sont pris à intervalles réguliers. Estelle va pouvoir en rajouter à sa collection.

Estelle, le visage ruisselant de sperme sourit à l'appareil. Je la tiens fermement par ses cheveux en queue. Je viens mettre mon visage.
Ainsi, elle aura le souvenir du mec qui vient de lui juter au visage. Elle pourra même montrer à d'éventuelles copines. Je m'en moque.
Clémentine, avide de sperme, se met à lécher le visage d'Estelle. Pour la première fois, je peux entendre Estelle gémir véritablement.
La situation perdure quelques minutes. Clémentine reprend sa pipe gourmande. Estelle me fixe en souriant, le regard reconnaissant.
Je lui dis : < Tu vas avoir les plus beaux selfies du monde ! >. La jeune fille me fait alors : < Ils resteront totalement secrets ! Certain ! >

Une demi-heure se passe. Clémentine se régale du foutre que je produis en quantité industrielle. A cause de mon excitation délirante.
Je sors ma queue in extremis pour éjaculer une nouvelle fois au visage d'Estelle. La quantité est abondante. Le sperme est plus épais.
Mon foutre reste collé par paquets sur le visage d'Estelle. Clémentine enclenche l'appareil en mode "rafale". Une trentaine de clichés.
Je suis épuisé. Clémentine me fait un clin d'œil. Elle se positionne derrière l'appareil. Accroupie, prête à enclencher. Je reste droit.
Ma bite devant le visage d'Estelle dont je tiens la tête avec fermeté, je pisse par plusieurs petits jets parfaitement contrôlés. Bien crade.

Estelle tente de toutes ses forces de se soustraire de mon étreinte. Je lutte. Je n'imagine pas tant de force dans ce corps frêle et mince.
Clémentine ajuste la focale de l'appareil en mode "manuel". Il n'est pas question de risquer de gâcher la prise. C'est fantastique. Pro !
Le visage ruisselant de pisse qui dégouline avec le foutre, Estelle, incroyable petite salope, sourit à l'objectif. Je mets mon visage à côté.
Clémentine se précipite. Elle lèche de le visage d'Estelle. Elle revient me pomper la queue. Retourne lécher Estelle. J'ai des vertiges fous.
C'est un peu l'anniversaire "bis" pour les 20 ans d'Estelle. Les promesses de l'anniversaire à venir pour les 20 ans de Clémentine. Bientôt.

Nous nous regardons tous les trois, comme étonnés de nous êtres livrés à tant de stupre, à tant de luxure, d'une façon aussi naturelle.
Clémentine détache Estelle. Elle lui tend une serviette. Estelle vient s'accroupir devant l'appareil photo en disant : < Je peux voir ? >.
Je propose de mettre la carte SD dans l'ordinateur, d'allumer le grand écran de la télé et d'admirer le résultat de notre travail du soir.
Il est déjà vingt trois heures. Clémentine nous propose de sortir au jardin pour aller réaliser notre Chef-d'œuvre mural. Elle m'entraîne.
Nous sommes derrière le garage. Clémentine, accroupit, me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Un petit jet. Je suis vidé.

Pour en récupérer les derniers épanchements, ce mélange foutre pisse, Clémentine me suce. Nous rentrons. Estelle me fait des sourires.
Clémentine propose à Estelle de prendre une douche. La jeune fille décline la proposition en disant : < Je suis trop fatiguée ! >.
Nous allons nous coucher. Estelle dort avec nous. Avec précaution, malgré qu'elle sait ne rien risquer, elle est derrière Clémentine.
Nous sommes tellement épuisés que nous nous endormons. Il n'est évidemment pas question de partie à trois ou d'autre saloperies.
Nous sommes entre gens raisonnables, plein de convenances et de bons goûts. De plus je suis un parfait gentleman. C'est dire !

Je me relève pour aller écrire ces lignes en mode "Word". Il ne me reste plus qu'à les mettre en ligne ce matin. Clémentine à mes côtés.
Estelle s'amuse à lire en terminant sa tranche de brioche. Nous partons en balade ce matin car la pluie est annoncée cet après-midi.

Bonne journée à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Ecrit-vain public pour filles délurées) -

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Je clique sur les deux merveilleuses images pour bien lire ce qui est écrit dessus...

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 19/03/17 10:29 par Oncle-Julien.
Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - © - Lundi -



Estelle passe le dimanche avec nous

Je suis réveillé par des chuchotements et par des rires. Je tourne la tête sur ma gauche. J'ouvre les yeux. Les deux filles.
Clémentine qui me voit sortir du sommeil me chevauche et me fait plein de bises. Estelle reste tout au bout du lit. Rires.
< Bonjour Oncle Julien ! > me fait la jeune fille pendant que Clémentine me chatouille en riant. Je regarde la pendule.
Il est huit heures du matin. Je regarde par la fenêtre. Le ciel est couvert mais lumineux. Je salue Estelle : < Coucou ! >.
Clémentine se lève et m'entraîne par la main en s'écriant : < Pipi ! >. Nous filons aux toilettes. Je tiens Clémentine...

La jeune fille se lâche dans un jet long et sonore. Elle est cambrée, debout au-dessus de la cuvette en faïence du cabinet.
Je m'accroupis pour récupérer les dernières gouttes et pour lui lécher le sexe. Les parfums de sa nuit me montent aux narines.
Nous restons ainsi quelques minutes. Clémentine se saisit de mes oreilles pour m'obliger à me redresser. Elle m'entraîne.
Nous allons à la salle de bain. Clémentine me dépose délicatement la bite sur le rebord du lavabo pour en diriger le jet. Net.
La jeune fille en secoue consciencieusement les dernières gouttes avant de s'accroupir pour en recueillir les épanchements.

Je laisse Clémentine se régaler un petit moment. A mon tour je la saisis par ses oreilles pour l'obliger à se relever. Elle glousse.
Clémentine me tirant par le Zob comme par une laisse m'entraîne dans la chambre à coucher. Estelle s'est rendormie. Ronfle.
Nous ne voulons pas la réveiller. Nous sommes assis parterre sur l'épais tapis et nous observons la dormeuse. Elle ouvre l'œil.
Estelle nous fait un grand sourire. Nous nous levons pour nous remettre au lit. Estelle reste distante, tout au bord du lit. Ravie.
Clémentine secoue ma bite en la montrant à Estelle qui éclate de rire. Je bande mou. Nous rigolons comme des bossus. Super.

Clémentine se frotte sur ma cuisse. Je prends son clitoris géant entre mon pouce et mon index. Il faut chercher dans la touffe.
Je renverse Clémentine sur le dos et je dis à Estelle : < Regardez un peu de quoi la nature a doté votre amie étudiante ! >
< Incroyable ! > fait Estelle en se rapprochant pour observer. Clémentine et moi sommes juste vêtus de nos T-shirt de nuit.
Estelle porte le pyjama japonais en soie de Clémentine. La jeune fille se lève et nous lance en trottinant vers les WC : < Pipi ! >
Je me mets à lécher le clitoris de Clémentine. Je fouille les plis et les replis de toutes ses peaux les plus intimes. Elle se pâme.

Je dois faire attention. Clémentine déteste avoir un orgasme trop rapidement. La jeune fille préfère rester excitée en permanence.
Estelle revient des toilettes. Elle nous adresse un coucou de la main et file à la salle de bain. Nous l'entendons prendre sa douche.
Clémentine m'attire sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Je suis en appui sur mes mains.
Je déteste peser de tout mon poids sur le corps de Clémentine. Pourtant elle m'attire à elle à plusieurs reprises. Pour m'embrasser.
Nous restons ainsi longuement. Clémentine est très excitée. Estelle revient de la salle de bain. Elle s'est habillée de ses vêtements.

Estelle vient s'asseoir sur le bord du lit. Elle nous regarde en souriant. < Petit Déjeuner ? > fait Clémentine. Je me retire doucement.
J'ai la bite gluante. Le jus de Clémentine est toujours très conséquent. Mélangé à mon liquide séminal, c'est quantité de filaments.
Je montre ma queue gluante à Estelle en lui disant : < Si vous suciez, chère Estelle, vous auriez de quoi vous régaler ! >. Silence.
C'est Clémentine qui se régale à quatre pattes sur le lit. Je suis debout, mains sur les hanches. Estelle, en admiration, observe. Joie.
Je me laisse sucer un petit moment. Je dois saisir Clémentine par les cheveux pour l'obliger à cesser. Sinon nous y passons la journée.

Nous descendons à la cuisine. Comme nous avons fait le ménage hier après-midi, la matinée sera consacrée à nous la couler douce.
Nous dégustons notre copieux petit déjeuner en bavardant. Estelle nous avoue être heureuse comme rarement, ici, etavec nous.
< Tu reviens autant que tu veux ! Tu es toujours la bienvenue ! > lui fait Clémentine. J'invite Estelle à revenir le week-end prochain.
< C'est trop gentil ! Si je ne vous dérange pas, je veux bien ! Je reviens mardi soir ! > nous fait Estelle. Nous faisons notre vaisselle.
Clémentine nous entraîne devant l'ordinateur. Nous regardons les photographies que nous avons réalisé hier soir. Elles sont superbes.

J'en profite pour mettre en ligne le récit de cette soirée. Textes que j'écris le soir pendant que Clémentine travaille pour ses études.
Estelle regarde les clichés un peu gênée mais très contente du résultat. Sur plus de de 50 photos, son visage est ruisselant de sperme.
Sur la plupart des clichés la jeune fille est souriante, fixe l'objectif. Mon sperme épais, collé par paquets sur son visage angélique.
Sur les dix dernières, c'est la pisse qui entraîne par coulures visqueuses l'ensemble du foutre en stalactites qui dégoulinent vers le bas.
< Superbes souvenirs que tu as là ! > fait Clémentine. Sur trois photos on voit mon visage souriant juste à côté de celui d'Estelle...

Il est dix heures du matin. Nous décidons d'aller nous promener dans la campagne environnante. Estelle se saisit du collier canin.
Elle me le tend. Je le lui fixe autour du cou. Estelle semble bien excitée par les images qu'elle vient de découvrir. Je lui fixe la laisse.
Nous sortons. Il fait plutôt agréable. Nous descendons à la rivière. Nous suivons le chemin. Parfois je donne quelques à coups.
Clémentine me tient la main. Je la sens très amoureuse. A plusieurs reprises elle murmure à mon oreille : < Je t'aime ! >. Bisous.
A trois reprises je demande à Estelle de se mettre à genoux sur la terre sèche du chemin. Je la tiens par la nuque. J'appuis fort.

Sur le chemin du retour. Une dernière fois, Estelle est à genoux, je me place devant elle. La bite à l'air. Clémentine l'agite sous son nez.
Estelle lève la tête, les yeux plein de reconnaissance, elle me fait le plus délicieux des sourires. Je pisse. Le jet passe tout près. Rires.
Clémentine dirige le jet avec sa dextérité habituelle sans mouiller de la moindre goutte le visage d'Estelle qui reste méfiante. Recul.
Clémentine s'accroupit pour en récupérer les derniers épanchements. Elle en profite bien évidemment pour me sucer avec avidité.
Nous restons ainsi un petit moment. Je fais un clin d'œil à Estelle en lui disant : < La petite vient en mangeant ! >. Eclat de rire.

Nous arrivons à la maison pour midi. Je propose de faire simple. Un gratin de coquillettes avec une sauce au thon. L'idée est félicitée.
Nous nous mettons à l'ouvrage. Je fais bouillir trois litres d'eau salée. Estelle émince de l'ail, de l'oignon et du persil. C'est "Top Chef".
Clémentine prépare la salade. Les deux filles bavardent en évoquant quelques amusantes anecdotes de leurs vies d'étudiantes. Rires.
Rapidement le repas est prêt. Nous passons à table. Deux fois je me lève pour saisir Estelle par la nuque. Elle porte le collier canin.
La jeune fille n'oppose aucune résistance. Je prends son assiette pour la poser au sol. Je force Estelle à se mettre à quatre pattes.

J'appuis sur la nuque d'Estelle. Curieusement, docile et obéissante, la jeune fille commence à manger sans les mains. Je la tiens bien.
Le visage dans l'assiette, la jeune fille prend ainsi le reste de son repas. Clémentine, excitée comme rarement me tient la queue.
Clémentine me fait : < Tu me fais jamais ça, à moi, pourquoi ? >. Je me penche pour lui déposer un délicat bisou sur le front.
Nous faisons notre vaisselle. J'essuie le visage d'Estelle qui a de petits reliquats du repas collés un peu partout autour de la bouche.
Nous passons au salon. Clémentine attache Estelle sur la chaise à l'envers. Le dossier entre les jambes. Estelle semble si heureuse.

Nous passons une grande partie de l'après-midi à nous amuser tous les trois. Nous reproduisons souvent la situation de la veille.
Estelle insiste pour se faire photographier avec du foutre sur le visage. De la pisse également. Je me mets en quatre pour l'exaucer.
En soirée, c'est le rituel du Chef-d'œuvre. Clémentine m'entraîne derrière le garage, dans le jardin. Estelle maintenue à la laisse.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle est accroupit. Elle peut ainsi en sucer les derniers épanchements.
Estelle, le visage encore dégoulinant de foutre et de pisse, regarde comme hallucinée. Il est temps de préparer le repas du soir...

Bonne dégustation à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Maître Queue pour petites gourmandes)

Classe


Je cesse de me toucher le sexe pour cliquer sur les deux merveilleuses images. Je peux découvrir ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 4 - © - Mardi -



Clémentine est tellement heureuse

Le lundi matin présente une particularité. Nous avons une énergie extraordinaire. Hier matin, le réveil sonne à six heures.
Clémentine, toujours pleine de l'énergie de ses 20 ans m'entraîne au petit trot. Elle file aux toilettes. Moi, à la salle de bain.
Avec la délicatesse dont je suis coutumier, je dépose ma bite sur le bord du lavabo. Je pisse en me grattant les couilles.
Il y a bien évidemment cette merveilleuse salve de pets modulés en tonalité de Fa. Une montée chromatique jusqu'au Sol.
< Je t'entends, mon Bitounet péteur ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus. C'est la fête.

Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre étonnant week-end. Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche.
Clémentine s'en va pour 7 h45. Moi, j'ai du travail à l'atelier. La jeune fille revient pour 17 h. Elle me saute au cou. Bisous.
Malgré la météo maussade, le sol est sec. Nous décidons d'une balade. Clémentine fixe le collier canin autour de son cou.
Elle y fixe la laisse. Je lui montre les quatre messages en SMS envoyé aujourd'hui par Estelle. Clémentine lit. Concentrée.
< Oh la petite salope. On a mangé ensemble à midi. Elle ne m'a pas dit tout ça ! > fait Clémentine en me tendant la laisse.

Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Je tiens la jeune fille par la laisse. Parfois, je donne un à coup, je tire. Sympa.
< Maître Julien, je vous aime ! > me fait Clémentine tellement heureuse. Je la tiens fermement par la laisse pour l'entraîner.
Nous nous embrassons tendrement sans être dupes de ce jeu de rôle un peu stupide mais source d'amusantes excitations.
Une fois encore nous croisons un quidam. C'est une dame qui promène son chien. Elle nous salue et se rend compte du jeu.
Elle reste comme hallucinée. Clémentine en rajoute dans l'outrance en s'accroupissant. Toute fière d'être tirée à la laisse...

Nous rions de bon cœur de cette situation cocasse. Nous sommes de retour pour 18 h50. Nous décidons de faire simple. Riz.
Clémentine est tellement heureuse qu'elle n'arrête plus de me murmurer des folies. Elle m'embrasse et me sort la queue.
Je fais bouillir de l'eau. < Ne te brûle pas la bite. Mets ton tablier ! > me fait la jeune fille accroupit me tenant par la cuisse.
Clémentine se redresse sous l'impulsion de ma main qui la tient par ses cheveux. Elle se met à la préparation de la salade.
Nous avons tous deux cette capacité immédiate de passer du ludique au sérieux. Une qualité que j'apprécie chez Clémentine.

Je verse le riz à l'étuvé dans l'eau bouillante. J'émince de l'ail, de l'oignon, des champignons, du persil en prévision de la sauce.
Je fais rissoler à la poêle. Clémentine prend mon smartphone pour faire une réponse au dernier message d'Estelle. Concentrée.
< Regarde ! > me fait-elle. Je lis "Demain soir, mardi, tu es notre adorable soumise". Clémentine appuie sur "Envoi". Rires.
< Elle n'a pas cessé de me parler de son week-end. Une addiction qui la comble d'aise ! > me confie ma compagne. J'écoute.
Elle rajoute encore : < Elle vient s'offrir les frayeurs et les frissons qui nourrissent sa libido. Elle s'éclate comme une folle ! >

Je mets le couvercle sur la poêle. Je coupe le feu. J'égoutte le riz. Je mets dans le plat en terre cuite. J'étale le gruyère râpé.
Je place le tout au four. Thermostat sur 6, cuisson à 250° pour la durée habituelle de quarante minutes. 40 minutes de vice.
Clémentine accroupit à mes côtés regarde l'intérieur du four. Elle a sa tête contre ma cuisse et se tient à ma jambe. Douce.
Je sais bien que Clémentine n'a pas la réelle vocation de soumise mais d'en interpréter le rôle lui procure de délicieux frissons.
Que ne ferais-je pas pour satisfaire chacun de ses caprices. Je la tiens fermement par la nuque comme je le fais pour Estelle.

Je la force à se relever. Je l'entraîne au salon. Je la bascule sur le canapé. Elle me regarde amoureusement toute contente.
Je la débarrasse de son jean et de sa culotte. Je viens fourrer mon visage dans sa touffe prodigieusement fournie. Bosquet.
Je peux rapidement me régaler des peaux de son clitoris géant. Il y a tous les parfums de la journée de la jeune fille. Délice.
Je me régale en fouillant chaque plissure. Il y a là quelques reliquats non identifiables que je récupère, qui picotent la langue.
Clémentine est en extase. < Mon Bitounet Lécheur ! > murmure t-elle entre deux gémissements. Je suce, je lèche, je pompe.

< Tu me baises un peu, mon Bitounet niqueur ? > me demande la jeune fille. Je cesse mon cunnilingus pour me redresser.
Avec d'infinies précautions je m'introduis dans la fille. Nous restons ainsi, parfaitement immobiles à nous chuchoter des trucs.
Depuis la cuisine la sonnerie du four nous rappelle les réalités culinaires et autres délices qui nous attendent. Je me retire.
Je prends Clémentine sur le dos, j'imite le hennissement du cheval et nous filons au petit trot à la cuisine. Odeur de bouffe.
Je mets la table. Clémentine suce nos jus qui pendent du bout de ma bite. Je la laisse un peu se régaler de son apéro préféré.

Nous passons à table. C'est un véritable régal. Nous bavardons. Soudain, au milieu du repas, Clémentine pose l'assiette au sol.
Tout comme le fait Estelle, Clémentine se met à quatre pattes pour manger sans les mains. Je me lève pour lui tenir les cheveux.
Je la redresse. < Maître Julien, j'aime être votre soumise ! > me fait Clémentine alors que je n'ai strictement rien demandé.
Nous rions de bon cœur de cette imitation d'Estelle. J'essuie les traces de sauce et les grains de riz collés autour de sa bouche.
Nous terminons notre repas en évoquant la visite d'Estelle demain soir. < Notre petit animal de compagnie ! > fait Clémentine.

Nous faisons la vaisselle. Clémentine reprend son rôle beaucoup plus probant de meneuse et m'entraîne au dehors, au jardin.
Derrière le garage elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un nouveau Chef-d'œuvre. Virtuose habile.
Clémentine en secoue consciencieusement les dernières gouttes, s'accroupissant pour en récupérer les derniers épanchements.
Je la laisse se régaler de ce mélange pisse foutre qu'elle apprécie tant. Je la redresse en tirant sur la laisse. Nous rentrons. Joie.
< Je vais te tailler une de ces pipes, mon Bitounet pisseur ! > fait Clémentine, m'entraînant au salon. Je bande comme un salaud !

Bonne pipe juteuse à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Bitounet bandeur) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - © - Mercredi -



Estelle passe la soirée avec nous

Lorsque le réveil nous tire de notre sommeil, hier matin, à 6 h, Clémentine me fait plein de bisous et me sort du lit.
< Bonjour mon petit Bitounet péteur ! > me fait la jeune fille en filant vers les toilettes. Moi, je file à la salle bain.
La bite posée sur le bord du lavabo je pisse en lâchant une série de pets symphoniques en tonalité habituelle de Fa.
< Je t'entends mon Bitounet cochon ! > me fait Clémentine depuis les cabinets. Nous rigolons comme des bossus.
Nous prenons notre petit déjeuner. Puis notre heure d'entraînement. La douche. Clémentine part en cours. 7 h45.

A son retour, en fin d'après-midi, à 17 h, Clémentine se précipite pour m'embrasser avec cette passion fougueuse.
< Estelle arrive dans dix minutes ! > me fait-elle en me sortant la queue pour l'agiter en riant. Je la regarde amusé.
La jeune fille rajoute encore : < On va préparer un "plan". Je veux faire une expérience ! >. Je reste étonné. Silence.
Par la fenêtre de la cuisine, je vois arriver Estelle. Elle traverse le jardin en poussant sa bicyclette. Je range ma bite.
Clémentine, file au salon et me lance : < Va lui ouvrir, tu lui dis que je suis de retour dans dix minutes ! >. J'ouvre...

< Bonjour Oncle Julien ! > me fait Estelle en me serrant la main. Les trois bises Bretonnes. Je l'invite à entrer. Cuisine.
Estelle est hésitante. Elle demande : < Elle n'est pas là Clémentine ? >. Je précise qu'elle reviendra dans 10 minutes.
< Je m'en vais ! Je reviens plus tard ! > me fait Estelle en se dirigeant vers le hall d'entrée. Clémentine a vu juste.
Lorsqu'elle n'est pas là, Estelle n'est pas du tout à l'aise. Nul doute que c'est la preuve de tout ce que nous supputons.
Clémentine apparaît soudain en faisant : < Coucou ! Blague ! >. Estelle, comme soulagée, me regarde en souriant...

Le temps est menaçant. Il fait plutôt frais. Tout cela n'invite pas à la promenade. Nous décidons de rester à la maison.
Je remercie Estelle pour ses quatre messages en SMS reçus aujourd'hui. Clémentine passe derrière moi pour se frotter.
< Et tes selfies ? Tu es contente ? > demande Clémentine. Estelle secoue la tête de haut en bas en s'écriant : < Oui ! >.
Estelle nous apprend que les 53 clichés réalisés samedi et dimanche sont de parfaites réussites. Ils sont rangés. Classés.
Estelle les a immédiatement téléchargé de sa carte SD sur son disque dur externe. < Personne ne les verra ! > fait-elle.

Clémentine s'empare du collier canin pour le passer autour du cou d'Estelle qui s'attache les cheveux en queue. Elastique.
Elle fixe la laisse au collier que me montre fièrement Estelle tout en s'accroupissant en me tournant le dos. Début de soirée.
Je pose ma main sur la nuque de la jeune fille. Je la tiens fermement. Clémentine s'accroupit à ses côté pour la toucher.
La main entre les cuisses de la jeune fille Clémentine lui fait : < Séance de dressage pour petite salope pucelle ! >. Rires.
Estelle retire la main de Clémentine d'un geste vif. Je lui appuis sur la tête comme pour lui infliger une brimade. Soumise.

Je saisis Estelle par ses cheveux pour la forcer à se relever. Je l'entraîne au salon. Clémentine récupère les cordelettes.
Je maintiens Estelle par ses cheveux. Clémentine attache les mains écartées de la jeune fille autour du buffet du salon.
Elle lui fixe les pieds écartés de la même manière. J'ai mon visage tout près de celui d'Estelle. Je la scrute, je l'étudie.
La jeune fille est gênée. Nous ne savons jamais si elle simule ou si c'est sincère. Clémentine opte pour le seconde chose.
Je prends la chaise. Je la place devant Estelle. Je monte dessus. J'ai la braguette devant son visage. Clémentine pousse.

A plusieurs reprises ma braguette est contre la face d'Estelle. Je lui maintiens la tête avec fermeté. Clémentine me sort la bite.
Elle la frotte sur le visage d'Estelle qui se débat en s'écriant : < Non ! >. Clémentine se penche pour lui dire : < Salope ! >.
Clémentine s'accroupit pour déboutonner le jean à Estelle. Sans ménagement elle lui descend le pantalon et la culotte.
Estelle a son jean et sa culotte descendus à mi cuisses. Elle a les jambes légèrement écartées, ses vêtements restent là.
< Viens renifler ça ! > me fait Clémentine en me tirant par la queue pour me forcer à descendre de la chaise. Je m'accroupis.

Je renifle le sexe d'Estelle qui est terriblement gênée. < Fille négligée ! > ponctue Clémentine en me maintenant par la tête.
C'est vrai que l'odeur est âcre, plutôt forte. Estelle a une toute petite touffe très peu fournie. Décoiffée et un peu sauvage.
J'observe les lèvres de son sexe de pucelle. La toute petite aspérité de son clitoris est à peine visible. J'inspecte sans toucher.
Clémentine détache une jambe et un bras d'Estelle pour la forcer à se retourner. Elle l'attache face contre le buffet. De dos.
Je lui renifle la raie du cul. < Pas de doutes ! Fille négligée ! > me fait Clémentine. Je scrute le protège slip de la belle captive.

Ce qui y colle confirme les affirmations de Clémentine qui détache Estelle. La jeune fille remonte ses vêtements rapidement.
Terriblement gênée Estelle s'assoit au sol. Elle reste comme prostrée en fixant les lames du parquet. Nous la laissons méditer.
Je suis debout devant Estelle. Je me branle doucement à courte distance de son visage. Enfin elle redresse la tête. Sourire.
Je saisis la jeune fille par les cheveux. Sans ménagement, mais sans brutalité, je la force à se relever. Je l'entraîne à la cuisine.
Il est déjà 18 h45. Il est temps de passer à la leçon de cuisine. Ce sera un gratin de choux fleurs à la sauce Béchamel. Recette.

Je lave le choux fleur. Estelle émince l'ail, l'oignon et la ciboulette. Clémentine s'occupe de la salade verte. Ambiance "Top Chef".
Les deux filles bavardent. Elles évoquent leurs journées d'étudiantes. J'écoute en silence les amusantes anecdotes. C'est sympa.
Je fais cuire les morceaux de choux fleur. Estelle fait rissoler l'ail, l'oignon et la ciboulette dans une poêle. Je prépare la Béchamel.
Je montre comment faire cette sauce à Estelle qui regarde avec attention. Concentrée et bonne élève. Je la tiens par ses cheveux.
Nous mettons le choux fleurs dans le plat en terre cuite. Estelle y verse la poêlée et le gruyère râpé. Elle met le plat dans le four.

Thermostat sur 6, cuisson à 250° pour une durée de quarante minutes. Clémentine enlève son jean et sa culotte. Estelle regarde.
Clémentine nous saisit Estelle et moi par la nuque pour nous entraîner au salon. Elle se couche sur le canapé. Léchage de minou.
Tout en me régalant des saveurs de la journée de Clémentine, je tiens Estelle qui est à genoux sur le coussin à côté du canapé.
Un petit moment et je m'introduis avec d'infinies précautions dans Clémentine qui éprouve les plus délicieux tourments. Belle.
Estelle nous regarde baiser sans dire un mot. Parfois je donne un à coup sur la laisse pour l'attirer. Elle résiste avec force. Recul.

La sonnerie du four nous rappelle à d'autres réalités. Je me retire. Clémentine se lève. J'ai la bite trempée qui dégouline de foutre.
Je la secoue devant le visage d'Estelle que j'éclabousse ainsi copieusement. Estelle sort son smartphone et se fait un rapide selfie.
Le visage éclaboussée de jute elle se fait quelques clichés souriante devant l'objectif. Je penche mon visage pour être sur une photo.
Nous passons à la cuisine. Nous mettons la table. Le repas est délicieux. Nous bavardons, nous rions. Je me lève. Une surprise.
Je prends Estelle par la nuque. Je saisis son assiette et je la pose au sol. A quatre pattes, Estelle termine son repas sans les mains.

La petite salope, le visage plein de gratin, se fait un selfie dans cette situation. Clémentine me tient la bite en me masturbant.
Nous restons un moment à vivre cette situation étonnante dans le plus grand recueillement. Dans le plus parfait silence. Superbe.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine nous entraîne dans le jardin. Derrière le garage. Elle tient Estelle par sa laisse. Moi par le Zob.
Clémentine accroupit, me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Estelle fait une photographie de Clémentine qui me suce.
Nous rentrons pour la suite de la soirée qui serra principalement consacrée au travail et aux révisions des deux étudiantes studieuses.

Moi, pendant ce temps, je rédige ce texte que je poste ce matin. En y laissant toujours quelques fautes d'inattentions. Tant pis.

Bonne séance de dressage à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Vicelard pour jeunes salopes) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - © - Jeudi -



Clémentine prépare un "plan" pipe

Hier matin, mercredi, j'ouvre les yeux quelques instants avant que le réveil n'émette sa musique. Il va être six heures.
Je me tourne pour voir, et entendre, Clémentine qui dort encore en ronflant doucement. Elle est adorable. Je me lève.
Je contourne le lit pour lui déposer un délicat bisou sur le front, les joues et le bout de nez. Elle m'attire contre elle.
< Bonjour mon Bitounet bisouteur ! > me fait la jeune fille. Elle se lève et file aux toilettes. Moi je file à la salle de bain.
La bite déposée sur le bord du lavabo je pisse en lâchant un extraordinaire chapelet de pets que je module avec soin.

Clémentine vient me rejoindre en s'écriant < Je t'entends mon Bitounet prouteur ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Elle se saisit de mon Zob pour en secouer les dernières gouttes. Elle se penche pour en sucer les derniers épanchements.
Nous descendons pour prendre notre petit déjeuner. Puis, c'est l'entraînement et la douche. Clémentine s'en va. 7 h 45.
Lorsqu'elle revient en fin d'après-midi, Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux, m'embrasse et regarde mon tableau.
Je viens de finir une nouvelle toile. Je pose mes pinceaux et ma palette. Je lui montre les messages d'Estelle. Elle lit...

< Oh la petite vicieuse ! > me fait Clémentine avant de répondre : " D'accord pour le film samedi soir". Elle envoie le SMS.
Estelle et Clémentine mangent ensemble au restaurant universitaire à midi. Elles échangent leurs confidences de filles.
Je m'amuse beaucoup des petites histoires que me rapportent Clémentine. Lorsqu'Estelle veut me parler c'est par Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Il apparaît de plus en plus qu'Estelle tire un vrai plaisir de ces petites frayeurs avec nous. Séances.
La jeune fille a le désir secret d'être filmée dans les situations qui la couvre de frissons durant les petites séances chez nous.

Dehors, le temps est maussade. La fraîcheur du climat n'invite pas vraiment à la promenade. Nous restons au chaud. Maison.
Clémentine me sort la bite pour jouer avec. Elle me fait : < Comment va la bite à Bitounet ? >. Elle me la secoue en riant.
La jeune fille se met à genoux entre mes cuisses. Je suis assis sur ma chaise, devant mon chevalet. Clémentine renifle. Joie.
< Ouah ! Elle sent fort dis donc ! Elle a besoin d'un nettoyage ! > me fait-elle en humant les effluves parfumées de mon Zob.
Clémentine me décalotte pour passer sa langue sous le gland dont elle fait le tour soigneusement. S'attardant sur le méat...

Je la regarde s'offrir son petit bonheur. Tout en me nettoyant la queue, Clémentine me raconte sa journée. J'écoute. J'adore.
< Tu sais, j'ai repris contact avec le vieux salaud du parc ! > me fait la jeune fille. Je lui propose de mettre le coussin au sol.
Elle sera plus à l'aise pour s'y mettre à genoux ou pour s'y asseoir. < Tu es un amour ! > me fait-elle. Je lui caresse la tête.
Elle continue : < J'organise un "plan" pour la semaine prochaine ! Je veux me sucer du vieux ! >. Je connais ses capacités.
Clémentine organise toujours parfaitement les choses. Ce "Plan" se déroulera mercredi prochain, en soirée, dans le parc...

Je lui demande : < Mais pourquoi tu ne te fais pas un "plan" avec un "D'jeune" ? >. Clémentine se met à me sucer. Silence.
Un petit moment passe. Clémentine, la bouche juteuse, me fait : < Je préfère les mecs "mûrs". Les vicelards ! >. J'écoute.
Elle continue : < Je vois et j'entends les "D'jeunes de la facultés ! Mon dieu qu'ils sont bêtes ! >. Je ne dis rien. Je la regarde.
Nous bavardons ainsi. Entre le projet vicelard de samedi et celui de mercredi prochain il y a de quoi gamberger. Du "boulot" !
Nous bavardons durant ce passionnant préliminaire qui dure un très long moment. Je saisis Clémentine par ses cheveux. Fort.

Je force la jeune fille à se redresser. Des filaments de jute suintent aux coins de ses lèvres. Je lui dépose un bisou sur le front.
La jeune fille est si belle. Je lui rappelle que pour son anniversaire, le premier avril, je lui prépare un adorable poisson. 20 ans.
Clémentine en gloussant de plaisir, tente de retourner à sa passion, la pipe. Je l'en empêche. Nous nous levons. Je l'entraîne.
Nous montons à l'étage. Je lui enlève son jean et sa culotte. Je la bascule sur notre grand lit. Je fixe ses poignets aux montants.
Je fixe ses chevilles aux montants du bas. Bras et jambes écartés, Clémentine est offerte à mes douceurs. Elle m'observe....

< J'aime tellement lorsque tu as de telles initiatives ! > me confie t-elle, ravie et réellement enchantée. Je viens humer sa chatte.
L'odeur de sa journée de jeune fille me flatte les narines d'effluves enivrantes. Je respire longuement. Clémentine se pâme. Joie.
Je mets mon visage entre ses cuisses écartées. La touffe dense et épaisse me chatouille les joues et le nez. Je suce le clitoris.
Clémentine a de légers frissons. Je me régale des miasmes de sa journée de jeune fille. Je fouille les plis et les replis. Avec soin.
Les saveurs un peu piquantes sur le bout de la langue participent de m'exciter. Je prends mon premier repas de la soirée. Goûteux.

Nous restons ainsi un petit moment. Les gémissements lascifs de Clémentine ne laissent aucun doute. Son plaisir est immense.
< Viens ! > me glisse t-elle à l'oreille. Je me redresse. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. C'est bien humide.
Je reste en appui sur les bras. Je déteste peser de tout mon poids sur le corps de la jeune fille. Nous restons immobiles. Sympa.
Nous aimons nous chuchoter les cochonneries en restant sans bouger. Je reçois les plus invraisemblables confidences de filles.
Tout cela achève d'emmener Clémentine à un orgasme qui secoue son corps de plusieurs spasmes. Je n'éjacule pas. Je me garde.

Il est dix neuf heures. Je détache Clémentine qui me saute au cou en me disant : < Tu es mon Bitounet de bonheur ! >. Rires.
Clémentine me suce longuement la bite. Elle adore pomper le jus de mon excitation. J'ai les couilles qui dégorgent leur trop plein.
Je saisis Clémentine par ses cheveux et je la force à se redresser. Nous descendons à la cuisine. Tout cela nous a ouvert l'appétit.
Ce soir, nous allons faire très simple. Je coupe six épaisses tranches de pain complet et "Bio". Je les beurre. Je mets des anchois.
Je dispose de fines tranches de gruyère. Je dépose trois olives noires sur chaque tartines. Je mets sur un grand plat. Au four...

Thermostat sur 7. Cuisson à 300° pour une durée de vingt minutes. Pendant ce temps nous terminons de préparer la salade verte.
Nous évoquons le film qu'aimerait réaliser Estelle. Décidément cette jeune salope désire aller au bout de ses fantasmes inavouables.
Clémentine m'entraîne dans le jardin. Nous passons derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur.
Accroupie, Clémentine en secoue les dernières gouttes avant d'en sucer les derniers épanchements. Ce mélange foutre et pisse.
Pour ne pas y passer la soirée, je la force à se relever. Il est temps de retourner à la cuisine. La délicieuse odeur est accueillante...

Bonne tartines aux anchois à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Bitounet cuisinier)

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - © - Vendredi -



Estelle est si bien avec nous

Hier matin, il est six heures lorsque le réveil nous tire de notre profond sommeil. Clémentine me fait deux bisous et se lève.
La jeune fille se précipite aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Moi, je file à la salle de bain. Je traîne un peu des pieds.
Je pose ma bite sur le bord du lavabo. Je me gratte les couilles en pissant. Je lâche une formidable salve de pets profonds.
< Je t'entends Pavarotti du proute, va ! >. Nous rigolons comme des bossus en descendant prendre notre petit déjeuner.
Après le petit déjeuner nous nous entraînons une heure. La douche. Il est déjà 7 h45. Clémentine s'en va en cours. Faculté.

Je suis assis devant mon chevalet, absorbé par mon travail. Il est 17 h. Clémentine revient. Elle s'assoit sur mes genoux.
Nous faisons un rapide bilan de notre journée. Clémentine m'embrasse. Dehors, il y a du soleil. Nous décidons de partir.
< Première virée à bicyclette ? > me demande la jeune fille avant de rajouter : < Estelle sera là pour dix neuf heures ! >
Je pose mes pinceaux et ma palette. Clémentine m'entraîne à l'étage. Nous mettons nos tenues de sport. Collants. Maillots.
Nous passons au garage. Nous soulevons la bâche, nous décrochons nos vélos. Un rapide gonflage. Manomètres 4,5 bars.

Et nous voilà sur la piste cyclable qui longe le canal. Il ne fait pas vraiment chaud, mais il fait plutôt sympathique. Vent arrière.
Nous bavardons, nous rions, c'est un nouveau petit bonheur. La nature est encore celle de l'hiver. Les arbres sont nus. 23 mars.
Il y a bien ça et là quelques branches en fleurs. Quelques bourgeons entrain d'éclore. Nous croisons pleins d'autres cyclistes.
< Estelle vient pour dix neuf heures ! > me rappelle Clémentine. Nous faisons quelques photos. Clémentine me photographie.
Nous sommes de retour pour 19 h. La bicyclette d'Estelle est posée contre le mur du garage. Elle sait où est la clef de la maison.

Nous entrons. Estelle a tout préparé sur la table de la cuisine. < Bonjour Oncle Julien ! > me fait la jeune fille, me serrant la main.
Nous nous faisons les trois bises Bretonnes. Clémentine et moi nous montons nous changer. Nous voilà vraiment de retour. Cuisine.
Je sors ma bite pour l'agiter devant Estelle qui rit en me faisant : < La selle du vélo ne la congestionne pas trop ? Tout va bien ? >.
Je reste pantois. Je ne suis pas habitué à de tels traits d'esprit de la part de la jeune fille le plus souvent réservée. Timide. Humour.
Nous rions de bon cœur. Estelle s'attache les cheveux en queue, me tourne le dos pour s'accroupir devant moi. Début de la fête...

Je pose ma main sur la nuque de la jeune fille. Clémentine s'accroupit pour me sucer un peu. L'ambiance habituelle de la cuisine.
Je saisis les deux filles par leurs cheveux pour les forcer à se redresser. Nous allons préparer des courgettes farcies. Simple. Bon.
Je lave les courgettes et les champignons. Clémentine lave les feuilles de salade. Estelle émince l'ail, l'oignon et les champignons.
Nous sommes d'une efficacité redoutable. Je creuse les aubergines. Estelle fait rissoler la farce. Ciboulette émincée et rajoutée.
Les deux filles bavardent. Elles se racontent quelques anecdotes étudiantes et amusantes. J'aime écouter en silence. C'est rigolo.

Estelle remplit les courgettes de la garniture. Clémentine me secoue la bite. Estelle mâte du coin de l'œil. Nous mettons au four.
Thermostat sur 6, cuisson à 250° pour une durée de quarante minutes. Nous passons au salon. Je remercie Estelle pour ses SMS.
< Je peux voir ! > s'écrie Clémentine. Je les lui montre. Estelle me fait un clin d'œil. J'agite ma queue assez vulgairement. Rires.
Dans ses messages, Estelle confirme qu'elle viendra bien passer le week-end avec nous. Je possède une caméra numérique.
Nous mettons tous les détail au point. La caméra sera fixée sur le trépieds. Elle fonctionnera en mode automatique. Une heure.

Estelle précise qu'elle apporte sa carte SD. Une capacité de 8 Go. Ce qui assure une durée de une heure trente. Nous allons filmer.
La jeune fille récupère sa carte après le film. Pas question de laisser la moindre trace. Tout sera téléchargé sur son disque dur.
J'admire cette capacité à la réflexion. Clémentine m'a raconté à quel point Estelle s'aime. Elle se masturbe même devant son miroir.
Un narcissisme bien compréhensible quand on est si belle et attractive. C'est la sonnerie du four qui nous tire de nos mises au point.
Je mets la table. Clémentine remue la salade. Estelle sort le gratin du four. Le repas s'annonce délicieux. Nous voilà assis. Bouffe.

A deux reprises, je me lève pour venir me mettre debout à côté d'Estelle. Ce qui est devenu une habitude. Je la tiens par la nuque.
J'appuis fermement sur la tête de la jeune fille. Je la saisis par ses cheveux pour la forcer à se lever. Je pose son assiette au sol.
A quatre pattes, sans les mains, la tête dans son assiette, Estelle essaie de manger proprement. Ce qui est tout à fait impossible.
Clémentine est toujours légèrement excitée lorsqu'elle observe la scène. Elle me fait un délicieux sourie appuyé d'un clin d'œil.
Ma compagne aime cette relation particulière. Comme il n'y a pas de rapports sexuels entre Estelle et moi, elle n'est pas jalouse...

Nous terminons le repas. Estelle insiste pour faire la plonge. Avec une serviette, j'essuie les reliquats de bouffe sur son visage.
Clémentine ne cesse pas de me branler doucement entre deux assiettes. A l'idée de ce qui nous attend ce week-end sans doute.
Nous passons au salon. Estelle est assise dans le fauteuil. Clémentine et moi nous sommes vautrés dans le canapé. Bavardages.
Estelle se lève au bout d'un moment. Elle se saisit du coussin en velours et le pose devant nous. Elle se met à genoux dessus.
Les mains sur la tête, la jeune fille reste bien droite. Elle est vêtue de son jean et de sa chemise à carreaux. En chaussettes...

Clémentine se penche sur le côté. C'est l'heure de son dessert. Je passe ma main sur le visage d'Estelle. Ma caresse est délicate.
Clémentine me suce avec une tendresse et une douceur qui me procure rapidement de délicieux vertiges. Je caresse ses cheveux.
Parfois, pour mieux regarder, Estelle se penche en avant. Je la tiens par ses cheveux en queue afin qu'elle ne perde pas l'équilibre.
Nous restons ainsi plus d'une heure. Je regarde la pendule. Il est 21 h15. Je saisis Clémentine par ses cheveux pour lui montrer.
< C'est l'heure du chef-d'œuvre ! > me fait-elle. Nous nous levons. Clémentine nous entraîne par la nuque, Estelle et moi. Dehors.

Nous sommes dans le jardin. Clémentine accroupit me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Estelle fait une photographie.
Clémentine secoue les dernières gouttes en les faisant gicler sur le visage d'Estelle qui n'a pas le temps de se préserver. Surprise.
Ma compagne suce les derniers épanchements. Ce mélange foutre et pisse qu'elle aime tant. Nous retournons au chaud. Au salon.
Les deux filles se mettent à la révision de leurs cours. Moi je rédige ce texte que je poste ce matin. Travail silencieux et sérieux.
Estelle nous laisse pour 22 h30. Elle me serre la main, me fait les trois bises Bretonnes avant de me faire : < A samedi 17 h30 ! >.

Bon gratin de courgettes à toutes et à tous....

Oncle Julien - (Qui secoue sa bite) -

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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - © - Samedi -




Clémentine a une préférence pour le vendredi

Hier matin, Vendredi, c'est le concerto pour flûte K299 de Mozart qui nous tire de notre profond sommeil. Six heures.
Clémentine me fait deux bises, se lève et se précipite aux toilettes en chantant. Moi je vais à la salle de bain. Proutes.
La bite posée sur le bord du lavabo, je reste dans l'esprit de la pièce de Mozart pour en ponctuer le tempo. En Fa#.
< Je t'entends mon Bitounet Mozart ! > me fait Clémentine depuis les cabinets. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Ensuite c'est notre heure d'entraînement. Puis la douche. 7 h45...

Clémentine me fait plusieurs bisous en me faisant : < C'est le dernier jour ! Ce soir c'est week-end ! >. Puis elle s'en va.
A son retour, à 17 h, la jeune fille vient s'assoir sur mes genoux. Nous faisons le bilan de nos journées respectives. Joie.
La météo est médiocre mais tout est sec. Si nous nous habillons chaudement, une balade sympa est tout à fait jouable.
Clémentine observe mon travail de la journée en me sortant la queue. < Pourquoi le reflet, là ? > me demande t-elle.
Je lui explique que c'est une ruse de peintre. Pour créer un effet de lumière sur une des perles du collier entre les fruits.

Je pose mes pinceaux et ma palette. Je retire ma blouse. Clémentine m'entraîne à l'étage en me tirant par la queue.
Nous nous changeons. < Il ne fait pas froid. Il fait frais ! > précise la jeune fille en enfilant son jean sur ses collants.
Nous voilà sur le chemin qui descend à la rivière. Clémentine sort le collier canin et la laisse de son petit sac à dos.
Elle me demande de le lui fixer. Je lui passe le collier autour du cou et j'y attache la laisse. Nous bavardons un peu.
Parfois, pour le plus grand plaisir de Clémentine, je donne un coup sec sur la laisse tout en la tirant. Elle adore ça...

Nous arrivons aux abords de l'étang Sondur. Avec ce climat, il n'y a pas de pêcheur pour taquiner la carpe ou le brochet.
Nous en faisons le tour. Au bout du sentier, il y a soudain un cavalier. Le haras n'est pas loin. C'est une jeune femme.
Assise très droite sur sa monture l'écuyère arrive à notre hauteur. La cavalière découvre cette scène surréaliste en riant.
< Bonsoir ! > nous fait-elle en nous croisant doucement. Je tiens Clémentine par la laisse. Nous saluons la jeune femme.
La cavalière s'arrête un peu plus loin. Nous l'observons, amusés. Pour être certaine de n'avoir pas rêvé elle se retourne.

Clémentine, dans ces situations, prend toujours son allure de jeune fille fière. Son port de tête altier en est encore sublimé.
L'écuyère continue son chemin. < Tu vas voir, elle va repasser ! > fait Clémentine en s'accroupissant, me sortant le Zob.
Clémentine hume longuement les parfums de ma journée. Nous sommes ainsi depuis un tout petit moment. C'est sympa.
Clémentine, une fois encore, a vu juste. Là, depuis le vieux cabanon, la cavalière revient. Clémentine me bloque. Silence.
J'ai la bite à l'air. Clémentine est à genoux sur la terre du sentier, son visage tout près de ma braguette, tenue à la laisse.

La cavalière, pas du tout hésitante, fait avancer sa monture tout doucement. J'essaie de planquer ma bite en me tournant.
Clémentine m'en empêche fermement. L'écuyère arrive à notre hauteur : < C'est génial ce que vous faites ! > dit-elle.
Clémentine, parfaitement immobile, répond : < Mon maître me fait faire mon pissou du soir ! >. La cavalière se met à rire.
< Vous en avez de la chance ! > fait la jeune femme très droite sur sa monture. J'ai un sentiment d'insécurité. Je suis gêné.
Clémentine s'amuse de cette situation. La cavalière nous fait un superbe sourire. Elle donne une impulsion à son cheval...

L'écuyère et sa monture disparaissent au bout du sentier, derrière les fourrés. Clémentine me suce avec passion. Avidité.
La situation m'a considérablement excité. Clémentine pompe quantité de liquide séminale avec fougue. Toute heureuse.
Je la saisis par ses cheveux pour la forcer à se redresser. Nous reprenons notre promenade. Je la maintiens fermement.
Clémentine, courbée en avant, tenue par ses cheveux a quelques difficultés pour avancer. < Je t'aime ! > me fait-elle.
Soudain, là, derrière les bosquets d'arbres nus, j'apreçois la cavalière qui nous mâte en souriant. Elle nous fait un signe...

Cette fois, c'est au petit trot qu'elle s'éloigne. Clémentine me fait ! < J'adore ! Nous étions à la hauteur de la situation ! >.
Nous rions de bon cœur en reprenant le chemin de la maison. Nous sommes de retour pour dix neuf heures. Avec une faim.
Nous décidons de nous faire un gratin dauphinois. J'épluche les patates. Clémentine prépare la salade. Je prépare le plat.
Nous faisons tout cela très vite. Clémentine est tellement excitée qu'elle me dit : < On met tout au four et on baise ! >.
J'émince de l'ail, de l'oignon, de la ciboulette. Je râpe du gruyère de Comté. Je fais cuire les bouts de patates à l'eau salée.

La cuisson est rapide. Je verse les morceaux de pommes de terre dans le plat en terre cuite. Je mets l'ail, l'oignon le frome.
Hop, dans le four. Thermostat sur 6, cuisson à 250° pour une durée de quarante minutes. Clémentine enlève ses vêtements.
Elle m'entraîne sur le canapé du salon. J'aime la voir trottiner en chaussette et avec sa chemise à carreaux qui flotte. Belle.
Elle se couche, cuisses largement écartées. Je mets mon visage entre ses jambes. Les parfums de sa journée dans les narines.
Je me régale des miasmes de sa journée de jeune fille. Considérablement excitée, Clémentine gémit. Elle est mouillée, juteuse.

C'est mon apéritif préféré. Je la suce. Je la lèche. Je la pompe. Son clitoris géant est rarement aussi turgescent. C'est sublime.
Je sens bien que l'orgasme est inévitable. Quelques minutes et voilà Clémentine qui se lâche dans un cri grave et profond.
Elle me repousse. Bien évidemment je reste obstinément à lui bouffer la chatte. Nous repartons rapidement pour un autre tour.
Je me redresse. Avec d'infinies précautions, je pénètre la fille qui se cabre de plaisir. Nous restons sans bouger. C'est grand !
Nous nous racontons nos émotions de tout à l'heure, devant la cavalière. Nous nous mettons à nous bercer de plus en plus vite.

Clémentine a son second orgasme en même temps que la sonnerie du four. Je fais attention de ne pas éjaculer. Je me garde.
En effet, Clémentine préfère mon sperme en dessert et dans la bouche. Nous passons à la cuisine pour déguster notre repas.
Après la vaisselle, Clémentine m'entraîne au dehors, dans le jardin, derrière le garage. Elle m'embrasse. Puis elle s'accroupit.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. La jeune fille en secoue jusqu'aux dernières gouttes avant de me sucer.
Clémentine raffole de plus en plus de ces épanchements d'un mélange foutre pisse. Je la saisis par ses cheveux pour la relever.

Nous retournons au chaud. Clémentine est tellement pressée de me tailler la pipe du soir qu'elle tombe à genoux dans l'entrée.
Il me faut la forcer à se redresser. Je reprends la laisse qu'elle porte toujours autour du cou pour l'entraîner au salon. Canapé.
Clémentine, avide, assoiffée, gourmande, est à genoux sur le coussin de velours devant moi vautré dans le canapé. C'est génial.
Je me fais tailler une pipe magistrale. Je fais durer. Je n'arrête pas de distiller du foutre épais, gluant et visqueux. Son dessert.
Clémentine gémit de plaisir en déglutissant avec peine. Enfin, au bout d'un long moment, j'éjacule en trois saccades. Vertigineux !

Bonne pipe à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Salaud parmi les salauds)

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Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - © - Dimanche -



Estelle vient passer le week-end avec nous

Hier matin, samedi, Clémentine et moi, nous dormons jusqu'aux environs de huit heures. Je me réveille en premier.
Je regarde Clémentine qui dort encore à poings fermés en émettant un petit ronflement régulier ponctué de souffles.
Comme elle est belle ainsi surprise dans cet instant d'inconscience naturelle. Je me lève avec d'infinies précautions.
Je n'ai pas le temps d'arriver à la porte de la salle de bain que la voix de la dormeuse me fait : < Tu vas où Bitounet ? >
Je reviens pour lui faire quantité de bisous. Elle m'attire pour me serrer fort. < Je viens avec ! > me fait Clémentine...

Elle me tient la bite pour en diriger le jet au fond du lavabo. Elle en secoue consciencieusement les dernières gouttes.
Puis, se penchant, la bouche pleine de douceur matinale, elle me suce pour en récupérer les dernier épanchements.
Je la saisis par les cheveux et je la redresse. Si je ne le fais pas, nous y passons la matinée. Clémentine aime tant ça.
Je l'entraîne aux toilettes. Je la maintiens en équilibre, cambrée au-dessus de la cuvette. Elle se lâche d'un jet puissant.
Quand elle a fini, je m'accroupis pour venir renifler les suaves odeurs de sa nuit. Bien évidemment j'en goûte les sucs.

Nous descendons à la cuisine pour y prendre notre petit déjeuner. Nous bavardons en riant. Puis nous partons en jogging.
Une heure de running plus tard nous revenons pour la douche. Il est neuf heures quarante cinq. Nous nous habillons bien.
Nous voilà à flâner au marché. Il y a plein de monde. Nous choisissons nos fruits et légumes pour la semaine. Fromages.
Puis c'est le supermarché. Je pousse le caddie. Dans les allées. Clémentine y dépose les produits qu'elle choisit avec soin.
Comme la jeune fille est en jupe, elle s'offre une petite exhib discrète dans le rayon des livres. Un inconnu est privilégié...

Nous sommes de retour pour midi trente. Nous décidons de faire simple. Des nouilles chinoises avec une sauce au pistou.
La journée est ensoleillée. Même s'il ne fait pas encore vraiment chaud, il fait toutefois déjà bien agréable. Balade à vélo.
Je gonfle les pneumatiques des bicyclettes. Je vérifie la pression de 4,5 bars. L'idéal pour des VTC. Vélos tous chemins.
Il est treize heures quarante, nous voilà à pédaler sur la piste cyclable. L'ancienne voie ferrée qui part derrière le bourg.
C'est une très agréable virée de 50 km, allée et retour. Nous roulons d'un bon rythme soutenu. Retour pour les 17 h. Joie.

Estelle doit arriver pour 17 h30. Nous prenons une douche rapide. Nous nous habillons. Clémentine est vêtue d'une jupe.
Un chemisier sous un pull fin. Elle est chaussée de ses souliers noirs à talons. La petite sangle qui enserre ses chevilles.
Je la fais tourner dans le salon. Comme elle est belle. Je pourrais m'assoir, sortir ma bite, me branler rien qu'en admirant.
Nous ne nous en privons évidemment pas certains soirs de la semaine. Pendant qu'elle travaille à ses cours, par exemple.
Clémentine fixe la caméra Samsung MX10 sur le trépieds. Elle branche sur le secteur. Nous faisons un rapide essai. Super.

Trois coups de sonnette. C'est Estelle. < Bonsoir Oncle Julien ! > me fait-elle en mes serrant la main. Trois bises Bretonnes.
Estelle est vêtue de son jean et d'une de ses éternelles chemises à carreaux. Rouge cette fois-ci. Chaussée de ses baskets.
Nous bavardons un peu assis au salon. Clémentine montre et explique le fonctionnement de la caméra numérique fixée là.
Estelle sort une carte SD de sa poche. De son petit sac à dos elle tire son PC. < Comme ça, tout reste perso ! > fait -elle.
Estelle semble impatiente de passer aux festivités tant attendues. J'aime jouer de patience. Faire durer est un raffinement.

Estelle sort un élastique de sa poche qu'elle agite en riant sous mes yeux. Elle attache ses cheveux en queue. En position.
La jeune fille me tourne le dos, accroupie. Je pose ma main sur sa nuque que je tiens fermement. Tout est en place. Prêt.
Je saisis Estelle par ses cheveux, sans ménagement mais sans brutalité, pour la forcer à se relever. Elle glousse de plaisir.
Clémentine lui fixe le collier canin autour du cou et la laisse. Estelle ne peut cacher sa joie de se retrouver enfin avec nous.
Je passe derrière le bureau pour y prendre la chaise. Il y a un carré de cuir noir qui permet de s'y asseoir confortablement.

Je pose la chaise au milieu du salon. Clémentine tire Estelle par sa laisse pour la forcer à s'y asseoir. Dossier entre les cuisses.
< Si tu portais une jupe, la position t'exciterais au plus haut point ! > lui fait Clémentine. < Tu m'en prêtes une ? > fait Estelle.
Les deux filles montent à la chambre. J'en profite pour aller mettre les ingrédients de la bouffe du soir sur la table à la cuisine.
Les deux filles redescendent en riant. Estelle est tout simplement transcendée. C'est la première fois que je la vois en "femme".
Elle marche maladroitement dans les souliers de Clémentine. Les deux filles sont grandes et ont à peu près la même taille...

Estelle porte la jupe Kilt rouge de Clémentine. Un chemisier sous un pull fin de coton noir. Elle est absolument exquise. Divine.
J'ai soudain la trique. Je sors ma bite pour montrer à Estelle à quel point je bande ! Un vrai démonte-pneu de camion ! Rires.
Clémentine ne peut s'empêcher de s'accroupir pour me la sucer un peu. Je la tiens par les cheveux pour la forcer à se redresser.
Je passe derrière la caméra. Je mets en route. Sur l'écran je distingue parfaitement toute cette partie de la grande pièce. Start.
Je prends Estelle par ses cheveux. Je l'emmène dans le champs de vision de la caméra. Je la tire sans ménagement. Avec force.

Courbée en avant par la contrainte que j'exerce, je force la jeune fille à regarder l'objectif de la caméra. Je me penche à ses côtés.
Je force la jeune fille à s'accroupir. Je place ma jambe entre les siennes afin qu'elle garde ses cuisses bien écartées. Elle s'y refuse.
Je m'accroupis pour tenter d'écarter ses cuisses. Estelle s'y refuse obstinément. Elle n'est évidemment pas du tout habituée à ça.
< On va t'éduquer ! > lui fait Clémentine accroupie à ses côtés. La caméra filme. Je suis debout. Je tiens Estelle par ses cheveux.
Je la force a bien regarder l'objectif de l'appareil en le montrant de mon index. Cela fait diversion, Clémentine lui écarte les cuisses.

Je maintiens Estelle par ses cheveux. Clémentine l'oblige à garder ses mains sur la tête. Elle pose accroupie devant la caméra. Enfin.
Nous restons dans cette position quelques instants. Je force Estelle à se relever. Je la promène un peu dans le champs de la caméra.
Je lui mets la main sous la jupe. Elle me retire la main avec force en s'écriant : < Pas ça ! On ne me touche pas ! >. Je retire la main.
La jeune fille ne vient pas pour se faire toucher ou pour avoir un rapport quelconque. Elle vient pour s'offrir des frayeurs. Des frissons.
J'ai quelquefois tendance à l'oublier. Je la tiens par la nuque. Je la force à se mettre sur la pointe des pieds. Je tire. Elle se laisse faire.

Clémentine, bien excitée par tout cela, se touche. Sa main sous sa jupe elle reste distante. Mais dans l'objectif de la caméra. Vicieuse.
Je force Estelle à se mettre à genoux sur le coussin. Clémentine se saisit de sa tête qu'elle tient fermement. Je me mets tout près.
Je passe ma bite sur le visage d'Estelle qui tente de se soustraire de l'étreinte qu'exerce Clémentine. Peine perdue. Elle est maintenue.
Je reste un long moment à lui passer la queue sur la face. Je sors mes couilles que je frotte bien sur le visage de la jeune fille écœurée.
Nous restons ainsi un long moment immortalisé par la caméra qui filme la scène. Estelle tente à présent de me repousser avec force...

Je tiens la jeune fille sous le menton. Je la fixe dans les yeux. Son regard implorant est fuyant. Je vois les coulures de foutre sur son nez.
Le liquide séminal provoqué par mon excitation s'est écoulé un peu partout sur le visage d'Estelle. Je la tire devant l'objectif de la caméra.
Ainsi filmée, son visage en gros plan, maintenue par le menton et la nuque, la jeune fille à genoux devant la caméra, glousse de plaisir.
La coquine va pouvoir se masturber de longues soirées en visionnant ses frasques narcissiques. Je m'efforce de faire de belles images.
Clémentine n'arrête pas de se masturber, une main sous sa jupe. Il est déjà 19 h. Je propose aux deux filles de préparer le repas du soir.

Cette préparation permet un interlude récréatif qui tombe à propos. Estelle peut reprendre ses esprits. Clémentine peut retrouver les siens.
Estelle remue le riz complet à sec au fond de la casserole. J'épluche l'ail, l'oignon et les gros champignons. Clémentine prépare la salade.
C'est toujours amusant lorsqu'on verse de l'eau dans la casserole. Un nuage de vapeur se dégage dans un bruit d'explosion. Estelle rit. (Complet).
Nous bavardons. Les filles parlent beaucoup de leurs études. De la faculté de Lettre Modernes. J'écoute amusé toutes ces petites anecdotes.
Nous passons à table. Nous sentons bien, tous les trois, que nous sommes impatients de retourner à nos saloperies. Vaisselle rapide. Joie.

Nous retournons au salon. Clémentine allume la caméra. Je saisis Estelle par la laisse. Je la force à s'asseoir sur la chaise. Bien en place.
Le dossier entre ses jambes écartées. Estelle lutte un peu pour m'empêcher de l'installer dans cette position. Clémentine la maintient fort.
Enfin, résignée, Estelle se laisse ficeler les chevilles aux pieds de la chaise et les mains dans le dos. La scène est évidemment bien filmée.
Je reviens me positionner devant le visage de la jeune fille. A nouveau je lui passe la bite sur les joues, le menton, les lèvres et le front.
Clémentine est obligée de lui maintenir la tête avec force car Estelle tente de se soustraire à mes saloperies. Personne n'est dupe. Un jeu.

Finalement, Clémentine lâche Estelle pour venir se mettre à genoux sur le coussin à côté de la chaise. Ma compagne se met à sucer.
Je peux la sentir pomper avec avidité, comme une assoiffée. La main entre ses cuisses elle a repris sa masturbation lente et régulière.
Je tiens Estelle par ses cheveux la forçant à observer alternativement l'objectif de la caméra, la pipe et mon regard. Tout cela l'excite.
Je me saisis des cheveux de Clémentine pour la forcer de s'éloigner. En poussant un petit cri lorsque je lui sors la bite de la bouche.
Je m'accroupis pour regarder sous la jupe d'Estelle. Elle n'a pas voulu retirer sa culotte. Dommage. Je me redresse. Clémentine revient.

Un long moment se passe ainsi. Le vice est palpable. Nous sommes vautrés tous les trois dans le stupre et la luxure. C'est paradisiaque.
C'est un concerto de gémissements, de petits cris lascifs, de gloussements de ravissements et de gargouillis bulleux. Un concerto à 3 voix.
Je me retire vivement de la bouche de Clémentine. J'éjacule au visage d'Estelle. Cette dernière est si surprise qu'elle lâche un petit cri.
Je la force à regarder l'objectif de la caméra. Clémentine se précipite pour zoomer. Ce sera un merveilleux gros plan des plus juteux !
Clémentine revient. La caméra est à présent réglée en mode "portrait". Je tiens fermement Estelle par ses cheveux. Je pisse. Un jet net.

Estelle a un réflexe bien légitime lorsque le jet lui inonde le visage en se mêlant au sperme épais qui colle par paquets sur son visage.
J'en lâche un second, puis un troisième. Clémentine ne peut s'empêcher de se précipiter sur ma queue. Elle se met à pomper avidement.
Nous repartons pour un second tour. J'ai les lombaires légèrement congestionnées. Dans ma position la douleur ne va pas tarder. Merde !
Je me laisse pomper par ma gourmande. Estelle observe cette pipe, son visage ruisselant de pisse et de foutre. Je me retire à nouveau.
J'éjacule une seconde fois au délicat visage de la belle Estelle. Je la force à observer l'objectif de la caméra. Elle a un curieux sourire.

Soudain, il y a un petit déclic sonore. C'est le signal. La carte SD est pleine. La caméra s'éteint. Nous voilà au terme de ce superbe film.
Clémentine détache Estelle qui se frotte les chevilles. Elle lui lèche le visage pour en récupérer les jus. Estelle est très gênée. Hétéro.
Clémentine nous entraîne au dehors. Là, derrière le garage, elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle vise en virtuose.
Nous revenons vite au chaud. Estelle monte se changer. Elle revient en jean et en chemise à carreaux. En chaussettes. Elle allume son PC.
La jeune fille retire la carte SD de la caméra pour l'introduire dans son ordinateur. Nous sommes assis au bureau pour admirer le film.

Il est déjà 23 h. Estelle va dormir avec nous. Demain, si l'après-midi est sympathique, nous irons faire de la bicyclette tous les trois...

Bon cinéma d'Art & d'Essai à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Jean-Luc Godard du porno) -

Classe


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Je reste émerveillé. Tant par ma lectures que par ces belles photographies...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - © - Lundi -



Clémentine, Estelle et moi, nous partons à bicyclette

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des chuchotements, des murmures et des rires. J'ouvre les yeux. Je regarde à gauche.
Clémentine et Estelle sont entrain de me photographier. Je sens des trucs qui me picotent le visage. Ce sont des petits papiers.
Les deux coquines m'ont recouvert de petits bouts de papiers. Elles font des photos et rigolent. Clémentine me chevauche. Rire.
< Bonjour Bitounet ! > me fait-elle en me faisant plein de bisous. Je la serre fort en ne comprenant pas encore bien ce qui arrive.
Estelle, à distance, me fait un < Coucou ! Bonjour Oncle Julien ! >. Je regarde l'écran du réveil. Il est huit heures. Il fait jour...

Je suis vêtu de mon T-shirt de nuit. Je me lève pour aller à la salle de bain. < Je viens avec toi Bitounet ! > me fait Clémentine.
Elle est vêtue comme moi de son T-shirt de nuit. Estelle est vêtue du pyjama japonais de Clémentine. Je vais à salle de bain.
Clémentine se saisit de ma bite pour en diriger le jet au fond du lavabo. Nous rigolons comme des bossus. Secouage des gouttes.
Nous revenons nous mettre au lit. Estelle se lève à son tour. Il y a des petits bouts de papier partout sur le lit et même parterre.
Clémentine me suce un peu. Je la repousse délicatement car sinon nous allons y passer la matinée. Je lui broute un peu le minou.

Estelle revient des toilettes et nous fait : < Je descends. Je prépare le petit déjeuner ! >. Nous ne répondons pas. Bouches pleines.
Nous nous offrons un superbe 69. Clémentine apprécie au-delà du raisonnable. Je savoure les parfums et le goût de sa nuit. Miam.
Nous cessons avant l'orgasme de Clémentine. Elle m'entraîne sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Sans bouger un cil.
Nous sommes ainsi, immobiles, à nous chuchoter des douceurs, lorsque la porte s'ouvre. C'est Estelle tenant un grand plateau.
< Le petit déjeuner est servit ! > nous fait la jeune fille en venant s'asseoir sur le lit, le plateau posé à la place de l'oreiller. Parfums.

Nous cessons nos murmures et je me retire tout doucement. Nous sommes tous les trois assis en tailleur. Nous beurrons la brioche.
Nous bavardons un peu. C'est très sympathique de prendre ce petit déjeuner au lit. Nous faisons très attention à ne pas cochonner.
Le ciel est bleu. Nous avons changé l'heure en avançant nos montres. La journée s'annonce lumineuse et ensoleillée. Excellente.
Nous terminons notre petit déjeuner. Estelle toute contente, s'empare du plateau pour redescendre à la cuisine. Nous nous levons.
Nous nous habillons de nos peignoirs pour rejoindre Estelle à la cuisine. Cette dernière fait déjà la vaisselle. Nous essuyons avec elle.

< Nous avons une soubrette ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Comme nous sommes des gens rigoureux, c'est le ménage.
J'invite Estelle à prendre place au salon pendant que Clémentine et moi passons l'aspirateur, faisons la poussière et tout le toutime.
Je passe l'aspirateur. Clémentine fait la poussière, s'occupe des couvertures et tapis. Je passe la serpillère sur les différents carrelages.
Je nettoie les chiottes, la douche, le bidet et le lavabo. Estelle est assise au bureau, devant l'écran de son ordinateur. Concentrée.
Clémentine m'entraîne pour aller la rejoindre. Là, sur l'écran, nous découvrons le film que nous avons réalisé hier soir. Très bon film.

Il est dix heures trente. Clémentine nous propose une petite balade d'une demi heure. Nous voilà habillés. Nous descendons le chemin.
Nous nous promenons au bord de la rivière. Estelle n'a aucune attitudes équivoques. Aussi, il ne se passe rien d'ambiguë. Balade. Joie.
Nous revenons pour onze heures quinze. Nous avons décidé de concocter une tarte à la courgettes avec des champignons. Préparations.
Estelle prépare la pâte. Je lave les courgettes et les champignons. Nous bavardons en riant beaucoup. Pas une allusion à la sexualité.
Clémentine s'occupe de la salade verte. A plusieurs reprises elle vient m'embrasser. < Je t'aime ! > me murmure t-elle plusieurs fois.

Nous passons à table pour midi quinze. C'est évidemment un repas délicieux. Il ne se passe rien. C'est comme une entente tacite. Rien !
Clémentine, Estelle et moi, dans une parfaite complicité, vivons une toute autre ambiance. Je sexe étant relégué. C'est très sympa aussi.
Après la vaisselle, nous décidons de partir à bicyclette. Il ne fait pas vraiment chaud mais il fait très agréable. Un petit vent de Nord-Est.
Nous roulons sur la piste cyclable le long du canal. Il y a plein de marcheurs, des couples, des familles et plein d'autres cyclistes. Balade.
Nous nous arrêtons plusieurs fois pour faire des photographies. Nous sommes de retour pour dix sept heures trente. Une petite fraîcheur.

Ce soir, il fera clair une heure de plus. Estelle accepte volontiers de manger avec nous. Nous sentons bien qu'elle est si bien avec nous.
Durant la préparation du repas, enfin, Estelle vient se mettre devant moi en me tournant le dos. Elle vient de s'attacher les cheveux.
Elle s'accroupit. Je lui pose la main sur la nuque. Clémentine me sort la queue pour la passer sur la peau du cou d'Estelle. Festivités.
< Je peux rester avec vous encore un peu ce soir, après le repas ? > nous demande notre jeune soumise joueuse. Nous sommes touchés.
< Bien sûr ! > répond Clémentine. Estelle se sent si bien chez nous. Je la tiens fermement par la nuque. J'appuis un peu. Elle gémit.

Je la force à se redresser. Nous terminons la préparation de notre rapide repas. Du pilpil avec une omelette. Tout est rapidement fait.
Je pose l'assiette d'Estelle au sol, à côté de la table. Je la saisis par ses cheveux en queue. Je la force à se mettre à quatre pattes.
Gloussant de plaisir, Estelle n'oppose aucune réelle autre résistance que celle du jeu habituel. Clémentine m'embrasse. Cela l'excite.
Je remplis l'assiette d'Estelle. Clémentine lui passe le collier canin autour du cou et y fixe la laisse. Estelle va prendre son repas ainsi.
Je me lève deux fois pour aller m'accroupir à côté d'Estelle qui mange sans les mains. Elle a de la bouffe collée partout sur le visage.

Après ce repas je force Estelle à se redresser. Fermement, mais sans brutalité. Je lui essuie le visage. Estelle me sourit reconnaissante.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine me branle entre deux assiettes. Puis, saisissant Estelle par ses cheveux, je la force à se mettre au sol.
A quatre pattes. Je la tire à la laisse pour l'entrainer au salon. Je la promène autour de la pièce. Clémentine est assise dans le canapé.
J'entraîne Estelle près du canapé. Je pose le coussin de velours au sol. Je la fais mettre à genoux. Mains sur la tête, bien raide et droite.
Avant de m'asseoir dans le canapé, je lui passe la bite sur le visage. J'empêche tout mouvement de recul. J'insiste sur sa bouche fermée.

Clémentine se rapproche. Je tends ma queue. Ma compagne s'offre son dessert. Estelle, une fois encore, se régale de ce spectacle.
Estelle reste sur ses gardes à chaque fois que je sors ma bite de la bouche de Clémentine. Il sera impossible de lui éjaculer au visage.
Il est déjà vingt et une heures quarante cinq. J'éjacule comme une bienheureux. Clémentine pousse un râle de contentement. Avale.
Je reste encore longuement car Clémentine adore le fameux "fond de cuve". Il est temps de reprendre nos esprits. Estelle doit rentrer.
Nous la raccompagnons au jardin. Clémentine nous entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur...

Bon changement d'heure à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Ejaculateur pour vicelardes) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - © - Mardi -



J'annonce une bonne nouvelle à Clémentine

Hier matin, lundi, pour ce premier jour de la semaine, Clémentine et moi, nous sommes tirés de notre sommeil à six heures.
C'est notre réveil musical qui se permet de le faire. Sans scrupule. Clémentine me fait la bise et se précipite aux toilettes. Vite.
Moi, je file à la salle de bain. La bite posée sur le rebord du lavabo je me gratte les couilles en pissant. Je lâche des pets superbes.
< Je t'entends, mon Bitounet péteur ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus en descendant.
Nous prenons notre petit déjeuner. Nous nous entraînons une heure. Nous prenons notre douche. Clémentine s'en va. 7 h45...

Clémentine revient à 17 h. Elle s'assoit sur mes genoux. Nous faisons le bilan de nos journées. Clémentine me parle de ses cours.
< Estelle n'a pas arrêté d'évoquer son week-end ! > me confie ma compagne. Nous rions de bon cœur. Clémentine a un peu peur.
Elle rajoute encore : < J'ai une inquiétude. Je n'aimerais pas qu'elle tombe amoureuse de toi ! Tu es à moi ! >. Je reste silencieux.
Que pourrais-je bien dire. < Que c'est beau ! J'adore le rendu des couleurs ! > me fait Clémentine en regardant ma toile. Boulot.
Mes six heures de peinture de cette journée exigent de me changer les idées. Nous décidons de partir à bicyclette. Il fait si beau.

Nous voilà sur nos vélos. Nous roulons sur la piste cyclable le long du canal. Le ciel est bleu. Le soleil brille de ses mille feux. Super.
Nous croisons quantité de cyclistes. Nous nous offrons une virée de trente bornes. Nous revenons pour dix neuf heures. La bouffe.
Je fais bouillir de l'eau salée. J'y verse deux verres de pilpil de blé. Clémentine prépare la salade. J'épluche de l'oignon et de l'ail.
J'émince finement en rajoutant de la ciboulette. Clémentine me sort la bite. Je lui mets la main dans son leggins. Caresses douces.
Je décide de révéler ma surprise : < Pour les vacances de Pâques, nous partons une semaine dans le Jura ! Je te fais découvrir ! >.

Clémentine me saute au cou, comme folle de joie : < Tu es un amour ! > s'écrie t-elle avant de m'embrasser avec fougue. Joyeuse.
Je précise : < C'est un de tes cadeaux d'anniversaire ! Pour tes 20 ans tu te dois de découvrir la magnifique Franche-Comté ! >. Joie.
Clémentine sautille en chantant autour de la table de la cuisine. J'aime la voir ainsi contente. Je mets le pilpil dans les assiettes.
Je verse la poêlée sur le tout. Je saupoudre de gruyère d'Emmental. Nous commençons par la salade. Ce repas est encore un régal.
La nuit ne tombe qu'aux environs de vingt heures. Tout cela annonce enfin le retour de la belle saison. Nous faisons la vaisselle...

Clémentine m'entraîne au salon. Elle me tire par la queue comme par une laisse. Toute joyeuse la jeune fille retire son leggings.
Je la bascule doucement sur le canapé. Clémentine écarte ses cuisses largement. Je fourre mon visage dans cette touffe incroyable.
Je m'enivre des odeurs de la journée de la jeune fille. C'est absolument divin. La bicyclette a encore rajouté de suaves parfums.
L'invraisemblable touffe de la jeune fille me fascine. Les poils me chatouillent les joues, le nez et le menton. J'adore. Je m'y fourre.
Le clitoris géant de Clémentine se raidit. Je me mets à sucer, à lécher et à pomper. Je fouille les plis et les replis de toutes ses peaux.

Je m'enivre des sucs et des miasmes de la journée de Clémentine. Des saveurs qui picotent un peu sur le bout de la langues. Rigolo.
Il y a de toutes petites particules un peu moins fondantes. Ce sont les petites spécialités fromagères que m'offre Clémentine. Ravie.
La jeune fille se pâme de plaisir. Elle me tient par les oreilles, par les cheveux, tente parfois de me repousser, tout en gémissant.
Je reste toujours vigilant. Clémentine déteste avoir un orgasme trop rapide. Comme moi, elle adore faire durer les préliminaires.
Dès que je la sens se lâcher un peu trop, je cesse. Clémentine mouille toujours beaucoup et rapidement. Le nectar est un vrai délice.

Un petit moment s'écoule ainsi. Je cesse ma délectation. Clémentine m'attire. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions.
Comme nous aimons tant le faire nous restons parfaitement immobiles. Nous nous murmurons des douceurs et des cochonneries.
Je lui parle du Jura : < J'ai loué un petit studio au premier étage d'une maison près de Morteau ! Chez mon ami monsieur Gilbert ! >.
< Tu es un amour mon Bitounet ! > me fait Clémentine avant de rajouter : < Morteau ? La saucisse ! Ca me rappelle quelque chose ! >.
Nous rions de bon cœur. Clémentine, doucement, se met à bouger. Nous nous berçons lentement. Un petit moment s'écoule ainsi.

L'orgasme est intense. Clémentine est secouée de spasmes qui agitent tout son corps. < Je t'aime ! > s'écrie t-elle dans un dernier cri.
Après les derniers frissons de la jeune fille, nous restons à nouveau longuement immobiles. Nous nous murmurons plein de choses.
Clémentine se lève. Elle s'accroupit pour me sucer la bite dégoulinante de foutre et de foutrine. La jeune fille m'entraîne dans le jardin.
Nous sommes derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle en secoue jusqu'aux dernières gouttes.
Clémentine m'entraîne très vite au chaud en me disant : < Maintenant, je vais te faire une pipe mon Bitounet ! Tu vas en baver ! >...

Bonne pipe baveuse à toutes et à tous...

Oncle Julien - ( Bitounet pompé et sucé) -

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Mon clic m'enchante au-delà du raisonnable. J'admire absolument enchanté.
Oncle Julien m'offre tant et tant de merveilles quotidiennes...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - © - Mercredi -



Estelle passe le mardi soir avec nous

Hier matin, mardi, je suis tiré du sommeil par des chatouillis sur le nez. Clémentine a éteint le réveil. Il est presque six heures.
< Bonjour Bitounet ! > me fait-elle en m'entraînant à la salle de bain. Elle me tient la bite pour en diriger le jet dans le lavabo.
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine en secoue les dernières gouttes. Elle m'entraîne aux toilettes pour y faire pipi.
Je la tiens par ses cheveux. Nous descendons à la cuisine pour y prendre notre copieux petit déjeuner. Puis c'est l'entraînement.
La douche. Il est déjà 7 h45. Clémentine s'en va pour ses cours en faculté. Je vais directement à l'atelier pour ma matinée...

Clémentine revient pour 17 h. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. < Estelle arrive dans cinq minutes ! > dit-elle.
Nous décidons de partir pour une virée à bicyclette. Il fait tellement beau. Il fait même presque chaud. Je vais décrocher le linge.
Estelle arrive. < Bonjour Oncle Julien ! > me fait la jeune fille en me serrant la main. Elle pose sa bicyclette contre le mur. Bises.
Nous voilà entrain de pédaler tous les trois sur la piste cyclable le long du canal. Nous croisons quantité de cyclistes. Il fait beau.
Nous nous offrons une trentaine de kilomètres avec quelques arrêts pour réaliser des photographies. Nous revenons pour 19 h...

Estelle s'attache les cheveux en queue, assez haut au-dessus de la nuque. Elle me tourne le dos et s'accroupit à la cuisine. Joie.
Je pose ma main sur sa nuque. Clémentine me sort la queue qu'elle frotte sur la nuque de la jeune fille. Clémentine m'embrasse.
Nous restons ainsi un petit moment. Estelle, silencieuse, à genoux, reste parfaitement immobile. Je propose de préparer le repas.
Je force Estelle à se redresser. Clémentine me secoue la queue. Nous rions tous les trois de très bon cœur. Cela devient un rituel.
Nous décidons de nous offrir de délicieuses tomates farcies au pâté de lentilles. Je fais cuire deux grands verres de lentilles vertes.

Estelle évide soigneusement six grosses tomates à farcir. Elle dépose l'intérieur, jus pépins et pulpe dans le plat en terre cuite.
Clémentine prépare la salade. Les deux filles bavardent. J'écoute en éminçant finement de l'ail, de l'oignon, des champignons.
Les lentilles cuisent rapidement. Je fais revenir l'ail, l'oignon et les champignons dans une poêle. Je rajoute de la ciboulette.
Clémentine vient me faire plein de bisous en évoquant nos vacances prochaines dans le Jura. Estelle nous fait part de son ressenti.
< Oh ! vous allez me manquer toute une semaine ! > fait la jeune fille. Je lui propose : < Vous venez avec nous ! >. Silence.

Estelle s'empresse de me dire :< Impossible, je dois aider à la maison, mes parents ont une petite entreprise ! >. C'est très bien.
Je conclue : < Parce que quand il y en a pour deux, il y en a pour trois ! >. Clémentine me donne un discret coup de pieds. Tibia.
J'égoutte les lentilles. Estelle y verse la poêlée. Je rajoute du gruyère. Nous mélangeons le tout. Nous remplissons les tomates.
Estelle dispose chacune d'elles dans le plat en terre cuite. Elle met au four. Thermostat sur 6, cuisson à 250°, pour 40 minutes.
Clémentine, que ma proposition à Estelle a un peu froissé, m'entraîne au salon pour me dire : < Je Jura, c'est juste nous deux ! >.

Je la rassure, ma proposition n'était qu'une politesse, rien d'autre. Clémentine m'embrasse. Je la bascule sur le canapé. Elle rit.
Je lui retire son jean et sa culotte. Je fourre ma tête entre ses cuisses. Mon visage chatouillé par les poils de sa touffe fournie.
Je hume les délicates senteurs de la journée de la jeune fille. Avec la virée à bicyclette qui en rajoute, les parfums sont exquis.
Je suce, le lèche et je pompe cet étonnant clitoris géant. Nous en oublions complètement la présence d'Estelle qui nous rejoint.
Estelle prend le coussin en velours, le pose au sol et s'y met à genoux. Je la saisis par ses cheveux pour approcher sa tête...

Clémentine se pâme de plaisir. Estelle a son visage tout près du mien pour bien observer ce magnifique cunnilingus. Dans le silence.
Je sens qu'il va falloir cesser ma léchouille car Clémentine approche de l'orgasme. Je me redresse. Clémentine m'attire avec force.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Estelle a son visage tout près du notre. C'est intime.
Nous nous chuchotons des douceurs et des cochonneries. Comme si nous étions seuls. Je caresse le visage d'Estelle qui est ravie.
Les deux filles sont toutes deux parfaitement hétérosexuelles. Il n'est donc pas question d'effusions saphiques. Pas de film porno !

Comme souvent, Clémentine se met à se bercer doucement. Le mouvement de bassin, d'abord imperceptible s'affirme rapidement.
Je donne quelques coups de reins. Clémentine, dans un râle profond, connaît un orgasme qui secoue son corps de quelques spasmes.
Estelle, toujours à genoux, les coudes en appuis sur le bord du canapé, observe cet orgasme avec l'attention d'une entomologiste.
C'est la sonnerie du four qui nous rappelle que nous avons une faim de loups. Nous nous redressons. J'ai la bite qui dégouline de jus.
Je la passe sous le nez d'Estelle qui a son habituel mouvement de recul. Clémentine se met à me sucer avec passion. Elle adore le jus.

Il faut que je la force à cesser sinon nous allons y rester la soirée. Estelle nous a laissé pour aller préparer la table, sortir le plat du four.
Clémentine se régale de ma bite juteuse. Elle me fait : < Après la bouffe, je vais te tailler une pipe, mon Bitounet, tu vas voir un peu ! >.
Je l'emmène à la cuisine en la tenant par ses cheveux. Estelle est assise et nous fait un sourire. Nous voilà assis à savourer ce repas.
Nous bavardons. Puis c'est la vaisselle. Clémentine m'entraîne dans le jardin. Derrière le garage. Estelle nous suit avec l'appareil photo.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle s'accroupit pour en sucer les derniers épanchements. Pisse et foutre.

Bonne soirée à trois à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Bitounet juteux) -

Classe


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Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - © - Jeudi -



Clémentine annule son rendez-vous

Hier matin, mercredi, nous sommes tirés de notre profond sommeil par notre réveil musical réglé sur France Musique.
Il est six heures. Clémentine me fait deux bises et se précipite aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Je me lève aussi.
Je vais à la salle de bain. La bite déposée sur le rebord du lavabo, je pisse en lâchant une véritable rafale de proutes.
< Je t'entends, Bitounet prouteur ! > me fait Clémentine depuis les toilettes. Nous rigolons comme des bossus. Rires.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Puis, c'est notre heure de gymnastique. Douche. Il est déjà 7 h45...

Clémentine me fait quelques bisous et s'en va en cours. Moi, je vais à l'atelier. J'ai du travail qui m'attend. Peinture.
Clémentine revient à 17 h. Assise sur mes genoux, la jeune fille me raconte sa journée à la faculté. C'est le bilan.
Nous sommes installés devant mon chevalet. Clémentine me propose de filer pour notre virée à bicyclette du soir.
Je lui rappelle qu'elle a rendez-vous à 20 h avec le veux vicelard dans les chiottes du parc. Elle éclate d'un rire franc.
< Annulé ! > me fait la jeune fille en m'entraînant à l'étage pour nous mettre en tenue de cycliste. Leggings, Sweat.

Nous voilà entrain de pédaler sur la piste cyclable qui longe le canal. Clémentine me confie la raison de son annulation.
< J'en ai vraiment plus envie. Et puis la simple idée me dégoûte ! Ras-le-Bol !> me dit Clémentine. Je reste silencieux.
Nous croisons quantité de cyclistes qui profitent eux aussi de cette superbe fin d'après-midi ensoleillée, presque chaude.
Clémentine m'avoue être impatiente de pouvoir remettre ses jupes, façon tennis, pour aller faire de la bicyclette le soir.
< J'ai mon désir d'exhibition qui me titille ! Si tu savais ! > me fait la jeune fille. Je la rassure. Les beaux jours arrivent.

Nous parcourons nos trente kilomètres. Nous sommes de retour pour dix neuf heures. Nous décrochons le linge bien sec.
Avec ces après-midi ensoleillées, ce vent léger, le linge que je suspends en fin de matinée dans le jardin sèche très vite.
Nous avons un appétit d'ogre. Clémentine me propose une tarte à l'aubergine. Je prépare la pâte. Je lave les aubergines.
Clémentine s'occupe de la salade. Nous bavardons en évoquant nos vacances prochaines dans le Jura. Sept journées.
< Tu es un amour, Bitounet, si tu savais comme je suis contente ! >. La jeune fille m'embrasse et se serre contre moi.

Nous partirons en train. Changement gare Montparnasse, gare de Lyon. J'ai réservé une voiture de location à Morteau.
Je coupe l'aubergine en rondelles. J'émince de l'ail, de l'oignon, de la ciboulette et du persil. Je fais revenir à la poêle.
J'étale la pâte. J'y dépose les rondelles d'aubergine. Je verse la poêlée sur le tout. Je mets une belle couche de gruyère.
Le tout au four, Thermostat sur 6, cuisson à 250°, pour quarante minutes. Je constate que Clémentine à retiré son jean.
La jeune fille m'entraîne au salon. Elle se vautre sur le canapé. Cuisses largement écartées. Je m'assois à ses côtés...

Je caresse sa touffe. Ce buisson fourni et dense qui me fascine. Je titille un peu ce clitoris géant qui est notre beau jouet.
Clémentine me fait part de son désir de passer un séjour dans le jura en se comportant comme une véritable salope. Rires.
< Je veux un "plan" tous les jours ! J'emmène les fringues qu'il faut ! > me confie t-elle toute excitée. Elle m'embrasse.
Je place ma tête entre ses cuisses. J'enfonce mon visage dans l'épais fourré. Je hume les senteurs de sa journée. Odeurs.
Les effluves parfumées de la jeune fille envahissent mes narines. Enivré, je me mets à sucer, à lécher, à pomper le clitoris.

Je fouille tous les plis et les replis des peaux de la jeune fille. Je savoure les miasmes de sa journée. Les petits fromages.
Clémentine se pâme en gémissant doucement. Je prends mon apéritif. Il me faut rapidement cesser car l'orgasme se pointe.
Je me redresse. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles.
Clémentine me chuchote les "plans" qu'elle désire mettre en application dans le jura. Je suis amusé et impressionné. Joies.
Les tendances exhibitionnistes de la jeune fille ont besoin de trouver leurs prolongements dans la réalité. C'est presque vital.

Je lui propose de mettre en application quelques "répétitions" dans les tous prochains jours. Nous pouvons le faire en soirée.
< Tu es un amour ! > me fait-elle en me serrant très fort. Doucement, le mouvement de son bassin se fait plus régulier.
Clémentine s'emmène à un orgasme assez démentiel. Dans un cri qui se décline en râle, en gémissements puis en souffle.
Je reste sans bouger. La jeune fille reste cabrée et serrée contre moi. La sonnerie du four résonne depuis la cuisine. Faim.
Je me retire. J'ai la bite qui dégouline de nos jus. Je n'éjacule que très rarement. Clémentine préfère bouffer mon foutre...

Le repas est évidemment un véritable régal. A quelques reprises, Clémentine se lève pour passer derrière moi et me serrer.
< Je t'aime, Bitounet ! > me fait-elle. Je lui fais : < Tu es ma Clitorette ! >. Nous terminons notre tarte à l'aubergine. Délice.
Nous faisons notre vaisselle. Clémentine m'entraîne au dehors, dans le jardin, derrière le garage. J'ai la queue à l'air. Nuit.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Clémentine secoue bien. Elle se penche pour en sucer les reliquats.
< Je vais te faire une pipe, Bitounet ! Viens vite ! > me fait la jeune fille, se redressant pour m'entraîner à l'intérieur. Super.

Bonne tarte à l'aubergine à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Bitounet sucé par Clitorette) -

Classe


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Classe
Homme, 44 ans, France, Hauts-de-France
Les aventures gourmandes de Bitounet et Clitorette sont alléchantes. Vivement ce prochain séjour jurassien !
Homme, 60 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
Même ayant déserté le site de Mr Bob Voyeur durant six mois , je suis aise à deviner en lisant cette prose "les belles aventures de Clémentine et de Julien " qu'un certain Mr Le Branleur est là dessous .....cette plume et la façon de s'exprimer n'ont qu'un maître .... bravo et encore bravo pour cette littérature inspirée d'un certain génie de l'expression ....
Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - © - Vendredi -



Estelle aime tant venir à la maison

Hier matin, jeudi, je suis réveillé par des bisous délicats. C'est Clémentine qui me fait des papouilles. Il est presque six heures.
< Bonjour Bitounet ! > me fait la jeune fille en se levant pour aller aux toilettes. Je lui fait : < Bonjour Clitorette ! >. Bisous.
Je suis à la salle de bain. J'ai la bite déposée sur le bord du lavabo. Je pisse en me grattant les couilles. Je lâche des pets forts.
Après la première rafale en Fa, je module longuement. Je ne suis pas à court de munitions et je fais une montée chromatique.
< Je t'entends, Bitounet, tu es monté en Sol ! >. Nous rigolons comme des bossus en descendant prendre notre petit déjeuner.

Après le petit déjeuner, nous nous offrons le second plaisir de notre journée. Notre heure d'entraînement. Puis c'est la douche.
Il est déjà 7 h45. Clémentine me fait des bises et s'en va en cours. Je retourne dans mon atelier. Il y a du travail qui m'attend.
Clémentine revient à 17 h. Assise sur mes genoux, installés devant mon chevalet, nous nous racontons notre journée. Sympas.
Nous sommes contents car l'entreprise paysagiste est venue mettre la propriété en état pour la belle saison. Nous allons voir.
< C'est superbe, tout est propre ! > fait Clémentine qui m'invite à nous vêtir de nos tenues de cyclistes pour filer deux heures.

Nous voilà entrain de pédaler sur la piste cyclable. Chaque soir il y a plus de cyclistes qui profitent de la douceur de ce climat.
Nous sommes de retour pour dix neuf heures. Contre la palissade, il y a la bicyclette d'Estelle. Estelle est assise à la cuisine.
< Bonsoir Oncle Julien ! > me fait la jeune fille en me serrant la main. Estelle sait où nous cachons la clef de la maison. Joie.
Je propose de nous concocter une flamiche Picarde, cette fameuse tarte aux poireaux que je réussis de manière extraordinaire.
Clémentine, toute contente, fait des petits bonds autour de moi. < Tu es mon Bitounet cuisiner ! >. Nous rions de bon cœur...

Estelle prépare la pâte. A présent, elle excelle dans cette préparation. Je lave les poireaux avant de les couper et de les faire cuire.
Clémentine s'occupe de la salade. Les filles bavardent comme à leur habitude. J'écoute en silence les anecdotes étudiantes. Rires.
Nous partons pour le Jura avec le train de 21 h30, dimanche soir. Nous arriverons à Besançon à 5 h du matin. Les filles en parlent.
Estelle est un peu tristounette. Elle restera quelques jours sans nous voir. Nous resterons partis au moins sept jours. Peut-être plus.
Nous nous réservons la possibilité de prolonger notre séjour. Personne ne nous attends. Nous avons tout notre temps. Réjouissances.

Estelle met la tarte aux poireaux au four. Thermostat sur 6, pour une cuisson à 250° pour quarante minutes. Nous mettons la table.
Clémentine me fait plein de bises. En me sortant la queue, elle fait à l'attention d'Estelle : < Regarde bien la bite, profites-en bien ! >.
Nous rions de bon cœur. Clémentine secoue ma queue dans tous les sens en la faisant tournoyer. Estelle s'attache les cheveux. Haut.
Estelle s'avance pour s'accroupir en observant. Elle fait : < Elle va me manquer ! >. Nous rigolons tous les trois comme des bossus.
Clémentine agite ma bite tout près du visage d'Estelle ravie de l'aubaine. Je saisis Estelle par ses cheveux. J'attire sa tête. Résistance.

Nous nous amusons un petit moment de cette situation qui plaît tant à Estelle. Elle vient chercher sa dose de frayeurs et de frissons.
Pas un jour où elle ne me fait au moins deux SMS que je montre évidemment à Clémentine. Je lui dit toujours tout. C'est meilleur.
< Je peux venir passer le week-end avec vous ? > nous demande Estelle. < Mais volontiers ! > s'écrie Clémentine en me branlant.
Elle rajoute : < Tu viens fêter mon anniversaire avec nous ! >. Je lui dit : < Pour ses vingt ans, je lui prépare une belle surprise ! >.
Estelle se redresse. Je la tiens par la nuque. Clémentine m'entraîne au salon. J'entraîne Estelle à nous suivre. Il fait encore jour...

Je mets le coussin en velours au sol, juste devant le canapé. Je force Estelle à s'y mettre à genoux, les mains sur la tête. Bien droite.
Clémentine s'assoit dans le canapé. Je suis debout devant Estelle, la bite devant son visage. La jeune fille reste sur ses gardes. Ravie.
Estelle est toujours méfiante. Ma queue à quelques centimètres de son visage la couvre de délicieuses frayeurs. Sa seule demande.
Je lui dis : < Un jour je vous ferais sucer ! Votre première pipe>. Estelle lève la tête pour me faire : < Oui, mais si je suis d'accord ! >.
Clémentine rajoute : < Le jour où tu te décideras, tu vas te régaler ! >. Il y a un silence gêné. Il n'en est évidemment pas question.

Estelle vient chercher ses petites frayeurs, cela se limite à ça. Ce week-end je lui promets de lui en procurer quelques unes. Salaces.
La jeune fille me fait un grand sourire. Je me branle doucement. Clémentine, que tout cela excite considérablement, se met à genoux.
Les deux filles, à genoux l'une à côté de l'autre, on la même position. Mains sur la tête, bien droites. Je me mets devant Clémentine.
Je frotte ma bite sur son visage. Estelle observe avec son attention habituelle. Clémentine ouvre la bouche en gémissant. Yeux fermés.
Elle me suce. La bouche de Clémentine est d'une telle douceur que j'ai toujours l'impression d'avoir ma bite dans un bol de purée tiède.

Je passe ma main sur les joues à Estelle. Elle me fait de délicieux sourires. Parfois j'appuis pour rapprocher sa tête de celle de Clémentine.
Toujours cette résistance. Je lui mets une petite gifle. Clémentine tout en suçant émet un cri de surprise. Estelle a un réflexe de recul.
Je l'attrape par les cheveux pour lui en mettre une seconde. Par jeu, sans violence et sans brutalité. Elle descend ses mains. Se lève.
Je l'en empêche. Je sors ma bite de la bouche de Clémentine. Estelle tente de se soustraire à mon étreinte. Je la secoue sous son nez.
Je veux lui offrir sa petite frayeur. Elle se débat en faisant : < Non ! >. Clémentine tente de reprendre ma queue en bouche. Un ballet...

C'est la sonnerie du four qui nous rappelle que nous avons un appétit d'ogre. Je force Estelle à se redresser. Clémentine se lève. Faim !
Nous allons à la cuisine. Estelle sort la tarte du four pour nous la montrer ! Je lui fais : < Une véritable réussite ! Bravo Estelle ! >. Joie.
J'essuie le foutre qui macule le menton de Clémentine qui me murmure : < J'adore quand tu es salaud comme ça ! >. Elle m'embrasse.
Le repas est un véritable délice. A quelques reprises je me lève pour passer derrière Estelle. Je la tiens par la nuque pour appuyer un peu.
La jeune fille glousse à chaque fois. Durant le repas, Estelle me fait d'étranges sourires et quelques clins d'œil. Clémentine s'en aperçoit...

Après le repas, nous faisons la vaisselle. Clémentine me murmure des douceurs. Estelle fait la plonge. Nous essuyons et rangeons. Rires.
Clémentine se saisissant de ma queue m'entraîne au dehors. Nous voilà derrière le garage dans le jardin. Je tiens Estelle par ses cheveux.
Clémentine s'accroupit. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle en secoue les dernières gouttes avant d'en sucer le jus.
Estelle observe avec grande attention lorsque Clémentine en suce les derniers épanchements. Je lui fais : < Tu sais ce qui t'attend !>.
Nous retournons au salon. Je force Estelle à se remettre à genoux. Clémentine reprend sa pipe. Nous passons encore une heure ainsi...

Bonne pipe juteuse et bonne "soumise" à toutes et à tous.

Oncle Julien - (Vicelard diplômé pour petites salopes) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - © - Samedi -




Nous profitons de cette soirée printanière

Hier matin, vendredi, ce maudit réveil nous tire de nos profonds sommeils à six heures. Comme tous les matins. En musique.
Clémentine me fait deux bises. Elle se lève pour se précipiter aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Je vais à la salle de bain.
La bite délicatement déposée sur le rebord du lavabo, je pisse en lâchant une merveilleuse salve de pets sonores et profonds.
< Je t'entends mon péteur fou ! > me fait Clémentine depuis les cabinets. Nous rigolons comme des bossus en descendant.
Nous prenons notre petit déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Il est 7 h45. Clémentine part à ses cours.

L'après-midi, en prévision de l'anniversaire de Clémentine, je prépare des gâteaux. Sur la plaque je dépose la pâte que je moule.
Je mets au four. Pour la pâtisserie, je dois suivre soigneusement les recettes. Il m'est impossible d'improviser comme en cuisine.
Amoureusement je donne à la pâte les formes de quéquettes, de zigounettes, de zob, de queues ou encore de bites. C'est beau.
Je bâts du blanc d'œufs en neige. J'y rajoute de l'amande et de la noisette râpées. Des graines de sésame grillées. Du fructose.
Je mets sur une autre plaque. Ce seront les meringues qu'aiment beaucoup Clémentine. Pour seize heures tout est terminé...

Clémentine rentre pour 17 H. < C'est week-end !> me fait-elle en sautillant autour de moi. Elle se précipite pour m'embrasser.
Je la soulève. Je la fais tourner. Nous décidons de mettre à profit ce climat exceptionnel pour une nouvelle virée à bicyclette.
Il fait toutefois encore un peu trop frais pour faire du vélo en jupe. Légèrement frustrée, Clémentine met son legging de sport.
J'adore la voir en tenue de vélo. Délicieusement moulée, sa silhouette filiforme est attractive, sexy. Je suis vêtu pareillement.
Nous voilà en route. Clémentine me parle d'Estelle. Estelle qui n'arrête pas d'évoquer les moments qu'elle passe avec nous.

Je lui montre les deux SMS que j'ai reçu aujourd'hui. Messages d'Estelle qui me propose un autre film samedi soir. Bien vicelarde.
< Elle ne m'en a pas parlé à midi, cette petite salope ! > me fait Clémentine. Nous faisons nos trente kilomètres. Plein de monde.
Nous voilà de retour pour dix neuf heures. Clémentine m'entraîne derrière le garage. Le jardin commence à être bien vert. Sympa.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Accroupie pour en savourer les dernières gouttes, Clémentine gémit. Ravie.
Une rapide photographie et nous rentrons. Ce soir, nous décidons de faire simple. Ce sera un gratin de coquillettes complètes. Bio.

Nous montons nous changer. Clémentine se met en jupe. Son kilt qu'elle porte si bien. < Vivement les beaux jours ! > me fait-elle.
Elle porte un pull de coton très fin. Elle est chaussée de ses escarpins noirs, fermé, à talons avec la petite sangle autour de la cheville.
< Mes souliers de baise ! > me dit-elle en riant. Grâce à la sangle, qu'elle que soit la position, elle ne peut pas perdre ses souliers.
Avec un clin d'œil, Clémentine me fait encore : < Tu sais ce que j'ai à l'esprit pour ce soir, Bitounet ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous descendons à la cuisine. Nous sommes un peu excités. Je propose à Clémentine de tout laisser et d'aller nous offrir un restau !

< Attends ! Alors je mets des bas ! J'ai envie de faire ma salope ! > me fait Clémentine en remontant à toute vitesse. Porte jarretelle.
Clémentine redescend. Elle s'accroupit au bas de l'escalier. Porte jarretelle noire, bas noirs et pas de culotte. C'est absolument sublime.
La jeune fille a passé un chemisier sous son pull. < Je me fais une tresse de salope, viens, tu m'aides ! > me fait-elle en m'entraînant.
Clémentine est assise sur le tabouret. Je lui fais une tresse qui lui pend presque jusqu'au milieu du dos. Elle est absolument superbe.
Il est 19 h40. Nous voilà dans la voiture. Clémentine joue un peu avec ma bite. Je roule doucement. Je suis vêtu d'un costume sombre.

Clémentine adore lorsque je suis ainsi vêtu. Nous garons la voiture sur le parking du restaurant situé près du petit lac. Superbe endroit.
La jeune fille adore les regards qui ne manquent pas de se poser sur nous. Les gens s'interrogent. Son père ? Son amant ? Vieux salaud ?
< Un peu des trois ! > s'amuse à préciser Clémentine. C'est toujours avec une certaine arrogance qu'elle me tient la main en public. Défi.
Nous choisissons une table en retrait. Il y a une dizaine de personnes. Principalement des couples. Il y a des murmures. Des regards.
Nous nous amusons tant de ces situations. C'est un avant goût des petits plaisirs que nous allons nous offrir dans le Jura. Vacances...

Nous passons commande. Une entrée faite de crudités. Puis un plateau de fruits de mer. Notre seule et rare alimentation carnée. Délice.
Clémentine me chuchote : < Il y a le mec là-bas, assis en face de sa femme, qui n'arrête pas de me mâter ! Regarde ! >. Je reste discret.
Dans l'écran de mon smartphone, comme dans un rétroviseur, je constate qu'il y a un quinquagénaire libidineux qui regarde en louchant.
Clémentine me fait : < J'ai les cuisses écartées sous la table ! >. Elle me montre le petit film maladroit qu'elle vient de faire sur l'écran.
Son smartphone sous la table. Malgré l'obscurité qui règne sous la table et sous sa jupe, la vision est sans équivoque. C'est superbe.

< Je vais aux chiottes ! Tu vas voir, deux minutes et il y est aussi ! > me fait Clémentine en se levant pour se rendre aux toilettes du fond.
Comme toujours, ses prédictions s'avèrent exactes. Le mec se lève pour se rendre aux cabinets. Quelques minutes se passent. Attente.
Clémentine revient. Elle éclate d'un rire discret. < Le vieux salaud ! Il avait la bite à l'air devant les lavabos ! Il m'a dragué comme ça ! >.
Elle me raconte les détails salaces. Nous rions de bon cœur. Le mec, allumé par le spectacle offert sous la table, semble un peu troublé.
Clémentine filme discrètement. Elle me montre. Sur l'écran on voit le type qui discute avec sa femme en louchant dans notre direction.

Nous prenons notre dessert. Une énorme coupe glacée. Clémentine passe sa main sous la table en me disant : < Je vais l'achever ! >.
La jeune fille se touche discrètement sous la table tout en dégustant sa glace. < Il va faire une apoplexie ! > me fait Clémentine en riant.
< Put-Hein, comme je suis excitée ! Tu vas avoir une sacrée responsabilité à la maison ! > me fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Je demande l'addition. Dans la voiture Clémentine n'arrête plus de se toucher. Main droite. De sa main gauche elle joue avec ma bite.
Nous arrivons à la maison. Je range la voiture. Je ferme le garage. Clémentine, accroupit, est déjà à me sucer. Je suis trempé d'excitation.

Notre baise de ce vendredi soir, n'est pas racontable ! Mon adorable petite salope , qui lit ces lignes en pouffant de rire, a eu deux orgasmes.
Mais quels orgasmes ! < C'est un avant goût de nos vacances Bitounet ! Je vais être la pire salope pendant une semaine ! > me fait-elle.
J'écris ces lignes que je poste ce matin, juste avant d'aller me coucher. Clémentine me taille une pipe sous le bureau. C'est démentiel. Fou.
Je suis le plus heureux des hommes. Un véritable privilégié. Demain, samedi, c'est l'anniversaire de ma coquine. Premier avril ! Vingt ans !
Estelle viendra passer le week-end avec nous. Elle sera là pour 18 h. Je vais préparer le trépieds, la caméra. Tout cela s'annonce branlatoire...

Bonne Annie Versaire à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Baiseur fou pour baiseuses folles) -

Classe


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Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - © - Dimanche -



C'est l'anniversaire de Clémentine

Hier matin, samedi, nous nous réveillons vers huit heures. Je suis le premier à ouvrir les yeux. Il fait déjà bien clair.
Clémentine se réveille presque en même temps. Nous nous faisons plein de bisous et de câlin-douceur. La tendresse.
< Bonjour Bitounet ! > me fait Clémentine en me chevauchant. Nous nous faisons des papouilles en nous amusant.
Clémentine se lève, me prend la main et m'entraîne aux toilettes. < Pipi ! > s'écrie t-elle en me tirant par le Zob.
Je la tiens bien droite par ses cheveux. La jeune fille est assise et se lâche dans un long jet libérateur et sonore...

Elle se lève. Je m'accroupis rapidement pour récupérer le reliquat du bout de ma langue. Et les parfums m'enivrent.
Les odeurs de la nuit de Clémentine, conjuguées à ses saveurs sont mon premier délice de la journée qui s'annonce.
Elle me saisit par les oreilles pour me forcer à me redresser. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Droit.
La jeune fille aussi, à son tour, s'accroupit pour en en récupérer les derniers épanchements. Nous descendons vite.
Nous savourons notre petit déjeuner. Sur la table, la veille, j'ai déposé un paquet. Je fais : < Bon anniversaire ! >...

Clémentine se lève, se jette dans mes bras en s'écriant : < Tu es un amour mon Bitounet ! >. Je la serre fort. Joie.
La jeune fille ouvre son paquet et découvre la gourmette en argent que j'ai fait graver à son prénom, (le vrai). Joie.
Clémentine a une préférence pour le métal blanc. Folle de joie elle me le tend. Je fixe la gourmette à son poignet.
Après le petit déjeuner, nous partons courir une heure pour un jogging des plus agréables. Nous aimons tant. Joie !
Au retour, c'est la douche. Il est déjà 9 h30. Nous nous habillons pour aller faire nos courses. Un autre petit plaisir...

Nous commençons par déambuler au marché. Nous aimons y faire provisions de nos légumes et fruits de la semaine.
Puis nous allons au supermarché. Clémentine est vêtue d'une jupe, d'un pull en coton sous sa veste. Souliers à talons.
Clémentine apprécie de plus en plus d'être féminine. Elle m'avoue que cela l'auto érotise délicieusement. J'aime aussi.
Nous faisons un tour rapide dans le rayon des vêtements. Soudain, une voix féminine nous interpelle. Un souvenir ?
< Pas de laisse aujourd'hui ? > nous fait une jeune femme, environ 40 ans, belle et terriblement bourgeoise. Silence.

Je reste étonné. Qui peut bien nous interpeller ainsi ? < C'est la cavalière de l'étang ! > me fait Clémentine. Consterné !
Clémentine me pousse du coude. La ravissante brune nous fait encore, amusée : < Sans laisse elle va s'échapper ! >.
Nous saluons la dame. A présent tout me revient. Nous évoquons la rencontre au bord de l'étang, la semaine dernière.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Je précise : < C'est un jeu ! >. < J'avais bien compris ! > nous fait la dame.
Nous bavardons quelques instants. Echanges de banalités. < Votre complicité fait envie ! >. Nous fait la jeune femme.

Clémentine et Juliette s'échangent leur numéro de téléphone. Nous continuons nos courses. Nous évoquons la dame.
Nous sommes de retour pour midi trente. Nous décidons de faire simple. Ce sera des spaghettis à la sauce au pistou.
Je fais bouillir de l'eau salée. Clémentine s'occupe de la salade. < Je suis excitée comme une puce ! > me confie t-elle.
Je lui passe la main sous la jupe. Clémentine aimant saisir les opportunités exhibitionnistes, ne porte pas de culotte.
Je me rends compte, du bout de mes doigts, que les lèvres de sa vulve sont humides. Son clito géant est turgescent.

< Tu pourrais me faire jouir, là, comme ça, tellement je suis "allumée" ! > me fait Clémentine. Evidemment je cesse.
Il est préférable de nous maintenir en état d'excitation toute cette journée exceptionnelle. Nous sommes télépathes.
J'égoutte les pâtes. Je coupe le feu sous la poêle. Clémentine remue la salade. Je râpe le parmesan. Nous avons faim.
Sur la table, il y a un second paquet. < Bitounet ! Tu es fou ! > me fait Clémentine avec un air sévère. Pour du sérieux.
La jeune fille n'aime pas ma façon d'être dispendieux. Elle ouvre néanmoins le paquet avant de manger. Quelle suprise.

Il y a un jean de sa marque préférée. Se levant, Clémentine l'essaie immédiatement. Il lui va à ravir. Elle est belle.
Clémentine vient s'assoir sur mes genoux et me couvre le visage de bisous. < Je t'aime comme une folle ! > fait-elle.
Nous mangeons d'un bon appétit. Nous faisons la vaisselle. Clémentine s'assoit sur la table, cuisses écartées. Sourire.
< Juste un peu, s'il te plaît, Bitounet ! > me fait la jeune fille en me faisant signe de venir avec son index. J'obtempère.
Je me pourlèche de se sexe si avenant. Ce clitoris si magnifiquement dur. Cette humidité suintante et mielleuse. Dessert.

Clémentine que l'excitation submerge ne peut réfréner un orgasme. Pourtant, malgré ma vigilance, je ne peux pas l'éviter.
La jeune fille se pâme de plaisir. Elle me force à me redresser. Elle m'attire à elle. Nous nous embrassons en bavant. Joie.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons tous deux parfaitement immobiles. C'est un délice.
Nous nous chuchotons des douceurs et des cochonneries. Nous restons ainsi un très long moment. Clémentine bouge.
Cette fois, je fais très attention. Je me retire doucement. < Mais pourquoi ? > me fait Clémentine d'une voix implorante...

Je me réajuste en répondant : < Parce qu'il faut que tu te réserves pour le reste de la journée ! >. Clémentine rit très fort.
< Pas d'inquiétude ! Je me sens si salope, si tu savais ! > me fait-elle. Je réponds : < Je sais ! >. Nous rions de bon cœur.
Cet après-midi, avec ce temps plutôt couvert, nous décidons une expédition à l'hypermarché. Matériel de jardin. Divers.
C'est évidemment le prétexte pour quelques exhibitions de tout premier ordre. Dans le rayon des bouquins. Elle s'éclate.
Accroupie, les cuisses légèrement écartées, feuilletant un bouquin, Clémentine se livre à une de ses passions dévorantes.

Je reste à l'écart. A la fois pour mâter, mais aussi pour "sécuriser" le "show" de la jeune fille. Son plaisir est toujours double.
Il y a un inconnu qui découvre la scène, ému et troublé. Il y a moi qui la regarde faire son numéro de super salope. Bonheur.
Car tout cela s'adresse avant tout à l'homme qui partage sa vie. J'apprécie ces cadeaux avec toutes les attentions souhaitées.
Je pousse le caddie. Nous y avons déposé des gants de jardinage, des plantoirs, des sachets de graines et autres accessoires.
Nous sommes de retour pour dix sept heures. Estelle ne va pas tarder. Nous rangeons les affaires dans le garage au jardin...

Clémentine n'arrête pas de m'embrasser, de se frotter. Je suis submergé de toute cette tendresse qui m'enivre. C'est grand !
Trois coups de sonnette. C'est Estelle. Vêtue de son éternel jean, de son éternelle chemise à carreaux et de ses baskets.
< Bonjour Oncle Julien ! > me fait la jeune fille en me serrant la main. Trois bises Bretonnes et nous voilà installés au salon.
Nous bavardons. Les filles échangent quelques anecdotes étudiantes. Lundi, ce sont les vacances. Un repos bien mérité. Sûr !
Estelle est assise dans le fauteuil. Je me lève. Je passe derrière elle. Je pose ma main sous ses cheveux sur sa nuque chaude.

La fille reste immobile, silencieuse et en apnée. Je ne bouge pas. Je me contente de serrer. Clémentine m'observe sévèrement.
Il apparaît de plus en plus clairement, au fil de nos discussions, que Clémentine éprouve quelques jalousies compréhensibles.
Très rapidement toutefois, prise au jeu, ma compagne se laisse gagner par sa tendance naturelle au stupre et à la luxure. Ouf !
Estelle se lève et me repousse doucement. Elle sort un élastique de sa poche pour s'attacher les cheveux. Elle me tourne le dos.
Elle s'accroupit devant moi. C'est le signal. Les festivités vont pouvoir commencer. Clémentine se lève pour extraire ma queue.

Nous restons ainsi un long moment. Clémentine frotte ma bite contre la nuque d'Estelle. C'est toujours à la fois amusant et curieux.
Je bande comme un priapique. Un bienheureux exalté qui aurait des visions divines. Et c'est réellement divin. Nous savourons bien.
Clémentine propose à Estelle de monter pour se vêtir en "femme". Estelle est bien plus à son aise dans sa tenue habituelle. Sourire.
Elle accepte néanmoins de se prêter au jeu. Les filles montent. Je les entends rires pendant que je prépare les ingrédients du repas.
Je mets tout ce qu'il faut sur la table. Il n'y aura qu'à préparer. Les petits sablés que j'ai préparé hier en cachette sur un plateau...

Les filles redescendent. Estelle est vêtue de la jupe kilt rouge. D'un chemisier sur lequel il y a un pull fin en coton bleu marine. Belle.
Elle est chaussée des "souliers de baise" à Clémentine. Ces souliers avec la sangle autour des chevilles pour ne pas les perdre.
Estelle porte le collier canin autour du cou. La laisse pend jusque sur le haut de ses cuisses. Je la regarde. Je la tiens par les épaules.
Je la fais tourner. Je lui fais : < Estelle, vous êtes absolument magnifique ! >. < Merci Oncle Julien ! > me fait la jeune fille. Timide.
Je saisis la laisse pour la tirer sans ménagement au salon. Clémentine m'a sorti le zob. Je force Estelle à se mettre à genoux au sol.

Elle est à genoux, bien droite, les mains sur la tête. Je suis debout, ma bite devant son visage. Clémentine lui maintient la tête.
Nous savons qu'Estelle vient chercher les frayeurs qui l'excitent tant. Avoir peur, avoir des frissons, alimentent sa libido de jeune fille.
Clémentine se met à genoux à ses côtés. Elle se met à me sucer. Avec l'excitation et la baise de cette journée, je mouille beaucoup.
La caméra, équipée de la carte SD d'Estelle immortalise ce moment. Estelle a apporté son ordinateur. Elle veut le contrôle total.
Pas d'images d'elle qui pourraient circuler sur le web. Tout comme Clémentine qui y veille avec soin. Tout cela reste en cadre privé.

Nous restons ainsi un long moment. Je me retire de la bouche de Clémentine. Elle me la montre, grande ouverte, gluante de foutre.
Elle s'approche d'Estelle qui est méfiante. C'est moi qui lui tient fermement la tête. Clémentine lui crache la jute visqueuse au visage.
Estelle, une mine écœurée, détourne le visage en s'arrachant de toutes ses forces à mon étreinte. Je lui mets une gifle. Un petit cri.
Clémentine se redresse pour tenir la tête d'Estelle. Fermement. Je lui passe la bite sur le visage. Estelle se débat. Rien à faire. Cris.
Tout cela n'est évidemment qu'un jeu dont Estelle raffole. C'est ce qu'elle vient chercher ici. Je la force à se coucher sur l'épais tapis.

Clémentine fixe les poignets d'Estelle aux pieds de la grande table massive du salon. Une de ses grosses tables "monastère" en chêne.
Puis ma compagne fixe les chevilles d'Estelle aux pieds du lourd fauteuil qu'elle a attiré jusqu'à cet endroit. Estelle tente de se débattre.
Je me couche sur Estelle. Je reste en appui sur mes bras tendus. J'ai mon sexe dure posé sur la jupe, à l'endroit du sexe de la fille.
Je me mets à me masturber franchement, comme si je baisais Estelle. Cette position excite terriblement Clémentine qui m'embrasse.
Estelle, pour la première fois de sa vie dans cette position, reste immobile. Elle semble apeurée. Elle sait pourtant qu'elle ne risque rien.

Je mime cette baise un long moment. Estelle me fixe d'un regard lourd de reproche. Je lui crache au visage. Elle se détourne, écœurée.
Nul doute que durant notre absence, elle aura de quoi nourrir ses fantasmes et ses masturbations solitaires au fond de sa chambre.
Je teste les réactions d'Estelle. Je place ma bite dure et droite sur l'entrée de son sexe. Il y a juste sa culotte qui en défend l'accès.
Je bouge. Je suis tellement dure et puissant que je pourrais m'y enfoncer avec le tissus. Bien évidemment je respecte la jeune fille.
Et là, l'invraisemblable se produit. Estelle se met à bouger de concert, en rythme. Pour la première fois de sa vie, elle découvre "ça".

Estelle a un véritable orgasme. Pour la toute première fois, c'est un homme qui le lui offre. Elle est terriblement gênée. Elle se détourne.
Pourtant elle ne peut dissimuler l'immense plaisir qui vient de l'envahir. Cette jeune salope vient de s'offrir sa première "simulation" !
Clémentine, comme animée d'une crainte légitime, vient inspecter mon sexe. Il est bien en dehors, juste bloqué contre la culotte. Rien.
Estelle tente à présent de se redresser. Je me lève. Je me mets à genoux, juste au dessus de son visage sur lequel je pisse d'un jet net.
Juste un jet, court, précis. Ecœurée, en poussant un cri, elle détourne son visage. Estelle à le visage trempé. Des cheveux qui y collent.

Clémentine se précipite pour me pomper comme une assoiffée. Je décide que c'est le bon moment. J'éjacule. J'inonde sa bouche. Passion.
Ma compagne gémit de plaisir. Estelle regarde tout cela le visage ruisselant de pisse qui lui pique les yeux. Je me retire pour pisser encore.
Je lâche plusieurs jet sur Estelle. Clémentine lui maintient la tête fermement. Estelle pousse des cris de dégoûts. Clémentine me pompe.
Enfin, au bout d'un moment de délices plus vicelards les uns que les autres. Nous cessons. Clémentine détache Estelle. Je range ma bite.
Nous allons au jardin, derrière le garage. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Estelle est dégoulinante de pisse.

Après un rapide coup de sèche cheveux, nous passons à la préparation du repas du soir. Estelle me lance des regards sévères tout le long.
A plusieurs reprises je viens lui mettre la main sur la nuque. A chaque fois la jeune fille me repousse fermement. Je lui mets une gifle. Joie.
Clémentine me chuchote à l'oreille : < C'est ça qu'elle vient chercher. Elle a développé une réelle addiction à nos jeux ! >. Je reste silencieux.
Nous savourons notre repas du soir. Après la vaisselle, au salon, lorsque je montre mes petits gâteaux en forme de bites, c'est l'ovation !
Nous visionnons notre film sur l'ordinateur d'Estelle. C'est excitant. Nous repartons pour une nouvelle réalisation. Deux vicieuses. Un vicieux.

Estelle dort avec nous. En tout bien tout honneur. Pas de partie de cul à trois. Nous sommes des gens sérieux. (Et crevés de fatigue).
J'écris ces lignes avec Clémentine et d'Estelle qui me fait : < On pourrait me reconnaître malgré le pseudo ! >. Rires. Nous allons au lit...

Bon long métrage vicelard à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Vicelard suprême pour connaisseuses) -

Classe


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Bon anniversaire Clémentine, à demain...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - © - Lundi -



Estelle passe le dimanche avec nous

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des chuchotements et des rires étouffés. J'ouvre l'œil. Je regarde sur ma gauche.
Clémentine et Estelle se murmurent des trucs en pouffant de rires. < Bonjour Bitounet ! > me fait Clémentine. Des bisous.
< Bonjour Oncle Julien !> me fait Estelle. Clémentine me chevauche en riant. Elle me chatouille. Je la serre fort contre moi.
Je lui fais : < Bonjour Clitorette et bon anniversaire. Le lendemain, ça compte encore ! >. Nous rions de bon cœur. Plaisir.
Estelle s'avance timidement pour me faire une bise. Elle se lève en nous faisant < Je vais préparer le petit déjeuner ! >

Clémentine en se levant également lui fait : < Oui, super ! On descend après le pissou ! >. Elle m'attrape par la main. WC.
Dans un jet libérateur, Clémentine se soulage. Je m'accroupis pour récupérer les derniers épanchements qui vont arriver.
Je me pourlèche des saveurs de la nuit de la jeune fille qui, depuis hier, a 20 ans ! Cela se fête même le lendemain. Joie.
Clémentine à son tour me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie elle récupère les dernières gouttes. Epanchements.
< Je t'aime mon Bitounet ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. Nous descendons pour rejoindre notre soumise.

Estelle est vêtue du pyjama japonais de Clémentine. Nous sommes simplement vêtus de nos T-shirt de nuit. C'est l'ambiance.
Tout est disposé sur la table. Clémentine va dans la véranda et nous fait depuis la baie vitrée : < Il pleut, c'est hyper moche ! >.
Il n'y aura donc pas de balade. Nous sommes condamnés à passer le dimanche à l'intérieur. Nous beurrons la brioche. Café.
Nous bavardons en riant beaucoup. Estelle est très détendue. Je la trouve même mutine et espiègle. Cela fait vraiment plaisir.
Les deux filles évoquent ces deux semaines de vacances tant attendues. Clémentine et moi, nous partons ce soir. Train. 21 h30.

Estelle nous lance : < Vous allez me manquer ! Dix jours sans vous voir ! >. Je lui réponds : < Nous ferons des courriels ! >.
Clémentine pose sa main sur celle d'Estelle en faisant : < Tu vas déjà nous aider à faire nos valises cet après-midi ! >. Rires.
Nous faisons la vaisselle pendant qu'Estelle prend sa douche. Puis c'est à notre tour. Nous nous savonnons le dos en riant.
Nous nous habillons. Clémentine porte une jupe en velours carmin, légèrement évasée au-dessus du genoux et un T-shirt.
Chaussée de ballerines. Moi je mets un jean et une chemise que je laisse flotter ouverte. Je chausse mes espadrilles bleues.

Estelle est assise devant son ordinateur, au bureau dans le salon. Nous allons la rejoindre. < C'est hyper dégueu ! > fait -elle.
Estelle regarde le film que nous avons réalisé hier soir. Je me vois entrain de lui pisser sur le visage à genoux au-dessus d'elle.
Estelle fait : < Comment je peux accepter tout ça ! >. Nous éclatons de rire. Clémentine dit : < Parce que tu es une salope ! >.
Je passe derrière Estelle pour lui passer la main sous les cheveux et lui saisir la nuque. Je fais : < Et une belle salope ! >. Rires.
Je sors ma bite pour la secouer tout près du visage d'Estelle qui me fait : < Vous êtes les deux plus vicieux que je connaisse ! >

Clémentine, comme le plus souvent, lorsque je prends des initiatives vicieuses, profite de l'aubaine toute heureuse. Elle s'accroupit.
Estelle regarde en faisant : < Je vois que ça commence fort ! >. Clémentine cesse de me sucer pour répondre : < Très fort ! > Joie.
Je maintiens fermement Estelle par la nuque. De mon autre main j'appuie fort sur la nuque de Clémentine pour enfoncer ma bite.
Je caresse le visage d'Estelle. Elle lève ses yeux pour me fixer en me souriant. Nous échangeons quelques clins d'œil. Elle est belle.
La situation dure un moment. Je regarde le film qui défile sur l'écran de l'ordi. Je fais : < Vous avez de la documentation Estelle !>

La jeune fille me fait : < Oui ! Comme je suis contente ! >. Je demande : < Vous nous montrerez ce que vous faites toute seule ? >
Estelle me fait un délicieux sourire en gardant le silence. Je force Clémentine à se redresser. De la jute luisante sur ses lèvres. Belle.
Comme souvent, Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche gluante de mon foutre visqueux et gluant. Estelle nous observe.
Je propose de garder nos esprits encore un peu. Clémentine, ravie, propose de faire le ménage. Clémentine se serre contre moi. Fort.
< Je peux vous aider ? > fait Estelle. < Non, non, reste à ton ordi, tu es notre invitée ! >. Clémentine m'entraîne par la queue...

J'adore passer l'aspirateur. Clémentine change la literie, fait la poussière, secoue les couvertures et les tapis. Nous sommes occupés.
Parfois, Clémentine et moi, nous nous croisons. A chaque fois la jeune fille m'embrasse. < Je t'aime, Bitounet ! > me murmure t-elle.
Je nettoie les chiottes, la douche, le bidet, le lavabo. Je passe la serpillère sur les carrelages. Clémentine fait la cuisine. C'est nickel !
Une bonne heure et demi passe ainsi. Je vide la machine et nous allons suspendre le linge au cellier, à la cave. Près de la chaudière.
Avec ces derniers beaux jours, nous avons suspendu le linge dehors. L'odeur des draps ayant séchés au dehors est tellement agréable.

Nous remontons. Estelle est toujours devant son ordinateur. Je vais voir. Elle est sur YouTube à regarder sa chanteuse préférée. Sympa.
Clémentine monte à l'étage avec les deux grandes valises à roulettes. Je vais aux toilettes. Je suis debout devant la cuvette de faïence.
Je pisse peinard. Soudain la porte s'ouvre. Estelle me contourne pour se placer sur ma droite. Sa première initiative de ce genre. Ravie.
Je lui passe la main sur le visage. La jeune fille s'approche. Elle ouvre la bouche. C'est une véritable invitation à l'embrasser. Silence.
Je reste sans bouger. Je suis impressionné par cette première véritable initiative de la jeune fille. Elle est toute proche. Je reste distant.

Comme Estelle constate que je reste sans bouger, elle s'accroupit pour regarder ma bite qui pointe dure vers le plafond. Petite salope.
Je pointe mon sexe vers son visage. Je saisis ses cheveux pour l'attirer. Estelle résiste de toutes ses forces. Elle est venue pour jouer.
Je suis convaincu que si j'avais voulu l'embrasser, au dernier moment elle se serait détournée. Je commence à connaître ses attitudes.
Je la force à se redresser. Je lui mets une petite gifle. Estelle me regarde avec sévérité. < Tout ça va me manquer ! > me fait-elle.
Je l'entraîne sans ménagement jusqu'au salon. Je la bascule sur le canapé en disant : < Assis-toi là, petite salope ! >. Elle me sourit.

Clémentine redescend. Je lui raconte l'attitude d'Estelle dans les chiottes. < Petite salope ! Pas de trucs derrière mon dos ! > fait-elle.
< Cela mérite une bonne punition ! > fait encore Clémentine. Elle saisit fermement Estelle par ses cheveux pour la forcer à se lever.
Estelle est à genoux sur le coussin, les mains sur la tête. Je m'approche pour lui mettre une petit gifle. Elle me regarde avec défi.
Je lui dis : < Tout à l'heure, je te pisse à la gueule ! >. Estelle me répond immédiatement : < Si je veux ! >. Le regard arrogant.
Clémentine me sort la bite en faisant : < Ici, tu as juste le droit de te taire. Tu dis toujours "Oui" et "Merci" ! >. Estelle est silencieuse.

La matinée se déroule dans cette ambiance ludique. Tout cela n'est évidemment qu'un jeu qui nous excite considérablement. Superbe.
Il est déjà onze heures trente. Nous décidons de préparer notre repas. Trois grandes pizzas. Tous les trois affairés à cette activité. Joie.
Nous bavardons. Le repas est un autre délice. C'est un dimanche très sympathique que nous nous offrons là. C'est la vaisselle. Rires.
Estelle file au salon la première. Clémentine m'embrasse longuement. < C'est mon plus bel anniversaire ! > me fait-elle si heureuse.
Nous allons au salon. Quelle surprise. Estelle est couchée sur le dos. Allongée, jambes largement écartées sur l'épais tapis. Habillée.

Estelle a la même position que hier soir. Je comprends immédiatement l'invitation. Je sors ma queue. Je me couche sur la jeune fille.
Bien qu'elle porte son jean et sa chemise à carreaux, il est clair qu'Estelle veut revivre les émotions d'une fausse baise. Bien salope !
Je me mets en position. Ma bite bien dure contre la braguette d'Estelle. Elle passe même ses jambes autour de moi. Elle me serre.
Clémentine se précipite pour me saisir par les épaules. Elle s'écrie : < Oh là ! C'est mon mec ! >. Estelle est vraiment très excitée.
La jeune fille prend des initiatives étonnantes. Elle semble avoir perdu beaucoup de ses inhibitions. De quoi inquiéter Clémentine.

Je la rassure en l'embrassant. Je lui murmure : < Pas d'inquiétude Clitorette, c'est le jeu ! >. Je me mets à bouger sur le corps d'Estelle.
Je me masturbe longuement. Estelle se met rapidement à bouger en rythme. Clémentine lui maintient fermement la tête. C'est beau.
Estelle, les yeux ouverts, me fixe. Elle me serre contre elle. La situation est critique. Soudain, elle se cabre. Son orgasme est démentiel.
Elle pousse de longs gémissements. Elle s'oublie complètement. Cette façon de jouir est si nouvelle pour Estelle. Et tellement souhaitée.
Clémentine me force à me redresser. Elle me chuchote : < Je ne veux plus que tu fasses ça ! >. Je la rassure. Elle m'embrasse. Fort.

Clémentine m'entraîne au dehors. Derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Estelle vient nous rejoindre.
Nous retournons vite à l'intérieur. La pluie est légère mais mouille tout. Estelle me fait : < Merci Oncle Julien ! C'était merveilleux ! >.
Le reste de l'après-midi nous voit plus réservés. Clémentine ne me quitte pas d'une semelle. Il y a même parfois un certain malaise.
Il est certain que les initiatives nouvelles et étonnantes d'Estelle ont de quoi nous interpeller. Clémentine m'en a déjà fait part. Souvent.
Vers dix sept heures, nous préparons nos valises. Estelle nous quitte après le repas du soir. Nous fermons la maison. Le taxi nous attend...

Bonne semaine à lire nos vacances à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Propriété exclusive de Clémentine) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - © - Mardi -



Les vacances de Clitorette et de Bitounet dans le Jura - Jour 1 -

Nous arrivons à la gare de Besançon pour 7 h20, hier matin, lundi. Nous avons fait bon voyage. Malgré un retard de train.
Nous avons un peu dormi. Nous rêvons d'une douche. Clémentine est toute contente. Elle ne connaît pas du tout la région.
Nous avisons un salon de thé à quelques pas de la gare. L'agence de location de voitures ouvre pour huit heures ce matin.
Nous voilà à savourer des croissants, des pains au chocolat avec deux grands cafés. Excellente entrée en matière. Début.
Nous allons chercher la voiture que j'ai réservé. Je finalise la réservation. Je paie. Nous prenons possession du véhicule...

Nous voilà en route pour Morteau. Il y a 50 km. La Golf roule bien. La voiture doit être neuve. Juste 7 000 km au compteur.
Le paysage est magnifique. Nous sommes dans le massif du Jura, dans la partie Franche-Comté. Nous longeons le Doubs.
Nous arrivons enfin à la location. Je connais bien la maison de Monsieur Gilbert. J'y ai déjà passé deux séjours par le passé.
< Ouah c'est superbe ! > fait Clémentine en me faisant plein de bisous. Nous garons la voiture. Nous sortons nos valises.
Je sonne. C'est Madame Gilbert qui vient ouvrir. < Bonjour ! >. Nous échangeons quelques civilités dans le hall d'entrée.

Je finalise immédiatement la réservation avec un chèque conséquent. Monsieur Gilbert vient nous saluer. Heureux de me voir.
Madame Gilbert propose à Clémentine de la suivre à l'étage pendant que je termine l'administratif. Monsieur Gilbert plaisante.
Nous avons sympathisé lors de mes deux précédents séjours. < Vieux salaud ! Elle est super ! > fait-il en montrant l'escalier.
Nous rions de bon cœur. A chacun de mes précédents séjours j'étais accompagné d'une autre compagne. Monsieur Gilbert rit.
Je monte rejoindre Clémentine. Elle me saute au cou en s'écriant : < C'est génial ! Tu es un amour Bitounet ! >. Je la serre...

Notre lieu de vie pour les huit jours à venir occupe tout l'étage de la maison. Un ancien grenier réaménagé avec goût. Un loft.
Les poutres sont apparentes. Les murs sont recouverts d'un crépis crème. Le parquet est recouvert de deux grands tapis. Epais.
Sur la droite il y a deux portes. Les toilettes et la salle de bain. A gauche, au fond, le coin cuisine. L'endroit est superbe. Beau.
Deux grands piliers de bois supportent la poutre centrale et la magnifique charpente. Clémentine sautille autour de moi. Joie.
Nous nous précipitons à la salle de bain. La douche est régénératrice. Nous y restons un moment. Nous savonnant en riant...

Nous revenons dans le loft. Une certaine torpeur nous gagne. Il est neuf heures trente. Clémentine m'entraîne sur le lit. Douceurs.
Serrés l'un contre l'autre, nous sombrons rapidement dans un profond sommeil. Je reprends conscience vers midi. J'ouvre les yeux.
Clémentine se réveille en même temps. Nous nous faisons quelques bisous. Nous nous levons pour défaire nos valises. Ranger.
Nous disposons nos affaires dans le grand placard mural qui fait office d'armoire. Nous avons prévu du pain, des fruits, du fromage.
Nous mangeons rapidement. Nous n'avons qu'une hâte, partir à la découverte. Nous voilà en route pour la commune de Morteau.

Je gare la voiture dans une rue adjacente à celle qui mène au centre ville. Il fait doux. Il y a du soleil. Tout commence très bien.
Clémentine me tient par la main. Nous arrivons devant l'hôtel de ville. Il y a des promeneurs. Des touristes aussi. Déjà ! Sympa.
Clémentine est vêtue d'un jean, d'un sweat-shirt noir sous une veste légère, noire. Elle est chaussée de basket. Elle est si belle.
Moi, je porte un pantalon en lin clair, une chemise crème sous une veste en lin clair. Je suis chaussé de mocassin légers, clairs.
Nous sommes deux véritables touristes en goguette. Nous sommes assis sur un banc à regarder autour de nous. Détendus...

Au bout d'un petit moment, nous marchons jusqu'à l'office de tourisme. Nous y faisons provisions de brochures. Documentations.
Discrètement, Clémentine me touche la braguette en me chuchotant : < Tu es beau Bitounet dans ton costume de lin ! >. Bises.
Nous rions de bon cœur. Clémentine rajoute : < Fais très attention, je sens monter en moi la salope ! >. Tout cela nous amuse.
Clémentine ne réfrène que difficilement ses pulsions lorsqu'elles l'envahissent. La jeune fille m'attire dans chaque recoin. Bisous.
A chaque fois elle me touche la braguette. Je bande comme un véritable salaud. Je lui mets la main entre les cuisses. Réflexe...

Nous sommes bien "allumés". Nous terminons notre visite de Morteau vers dix sept heures trente. Nous décidons de faire des courses.
Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons au supermarché. Dans la voiture, Clémentine m'a sorti la bite pour jouer un peu avec.
Je suis donc dans un état de légère excitation. Nous faisons nos courses. Ce qu'il faut pour assurer la logistique des prochains jours.
Nous flânons un peu. Tous les supermarchés d'Europe se ressemblent. C'est à la fois rassurant et effrayant. Nous prenons le temps.
Je propose à Clémentine de rentrer rapidement. De mettre nos provisions au réfrigérateur et de tout ranger. Puis un restaurant...

Nous n'arrêtons plus de nous tripoter, de nous embrasser. La nuit tombe. Nous prenons la précaution de mettre des vêtements chauds.
J'ai continuellement la bite à l'air. Nous voilà en route pour nous rendre dans le petit restaurant que nous avons repéré sur la route.
C'est un endroit charmant. Nous faisons le bilan de cette première journée. Les festivités vont vraiment commencer dès demain. Mardi.
Au retour, Clémentine ne peut s'empêcher de me sucer un peu dans la voiture. Nous arrivons à la maison. Elle m'entraîne derrière.
Là, contre ce nouveau mur, Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, elle en suce les derniers épanchements.

Nous baisons comme des salauds avant de nous endormir pour un vrai sommeil régénérateur dont nous avons cruellement besoin.
Clémentine me murmure : < Je vais être terriblement salope tout ce séjour ! Tu as intérêt à te méfier ! Si tu savais ! >. Bisous.
Dès le matin, demain, nous avons en prévision de partir en virée. Après le jogging et la douche. "Expéditions". Expériences et Cie.
Clémentine se blottit contre moi. Avant que je n'entende ses premiers petits ronflements, elle me chuchote : < Je t'aime Bitounet ! >
La jeune fille a emmené quelques vêtements qui vont lui permettre les plus parfaites et les plus délicieuses exhibitions prévues...

Bonne découverte du Jura à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui publie une photo suggestive. Avec l'accord de Clémentine) -

Classe


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Classe
Homme, 44 ans, France, Hauts-de-France
Belle mise en bouche Sourire. Hâte de connaître la suite des évènements.
Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - © - Mercredi -



Les vacances de Clitorette et de Bitounet - Jura Suck Parc 2 -

Hier matin, mardi, je suis réveillé par plein de bisous. Clémentine qui vient d'ouvrir l'œil me fait : < Bonjour mon Bitounet ! >.
Je regarde ma montre sur la table ne nuit. Il est huit heures. Je fais : < Bonjour Clitorette ! > en la faisant basculer sur moi.
Nous restons un petit moment à nous faire des papouilles. L'impérieux besoin du pissou matinal nous oblige à y satisfaire. WC.
Clémentine se lève et m'entraîne. Nous sommes tous deux vêtus de nos T-shirt de nuit. Clémentine fait son pissou la première.
Je la tiens par ses cheveux. La jeune fille se libère dans un long jet sonore. Je m'accroupis. J'en récupère les dernières gouttes.

Puis c'est à mon tour. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Elle secoue les dernières gouttes. Elle s'accroupit aussi.
La jeune fille me suce pour en récupérer les derniers épanchements. C'est une vraie pipe. Je la force à se redresser. En tirant.
Nous prenons notre petit déjeuner. Je regarde par la grande baie vitrée. Le ciel est gris et couvert. Mais pas menaçant toutefois.
En dégustant nos tranches de pain beurrées de miel, nous consultons les brochures récupérées hier, à l'office de tourisme. Sympa.
Si ce climat persiste, notre choix se porte sur le Musée Courbet à Ornans. C'est un peintre que j'ai fais découvrir à Clémentine...

Après le petit déjeuner, nous nous accordons le second plaisir de la journée. Nous partons pour un jogging. Une bonne heure.
La propriété de Monsieur Gilbert est à environ un kilomètre de Morteau. Je connais le parcours sportif tout proche. Nous y allons.
Nous adorons l'entraînement physique. Nous allons même louer des bicyclettes pour des virées en soirées. Si le climat le permet.
Nous revenons pour dix heures. Nous prenons notre douche en nous savonnant mutuellement le dos. Nous rions beaucoup. Joie.
Après la douche, Clémentine répond aux deux SMS d'Estelle reçus hier. Nous rions de bon cœur. Tout cela nous amuse tant...

Je propose à Clémentine d'aller jusqu'à la Jardinerie à quelques centaines de mètres. Il s'y trouve des serres. Cela nous intéresse.
C'est une grande surface. La zone commerciale commence à partir de cet endroit. Il y a un grand choix. C'est un autre plaisir.
Nous comparons un peu les prix pratiqués ici avec ceux de chez nous. C'est sensiblement les mêmes. Nous flânons. La promenade.
Il y a du monde. Principalement des couples de retraités. Les caddies sont emplit de sacs de compost, d'engrais ou encore d'outils.
Je reste en admiration devant les aquariums plein de poissons exotiques. Clémentine sympathise avec un gros perroquet coloré...

Nous sommes de retour pour midi. Tout cela nous a ouvert l'appétit. Clémentine fait la salade. Moi je prépare les coquillettes Bio.
Une sauce aux champignons. Du parmesan râpé. Et nous voilà à savourer un repas rapide. Un repas de vacances. C'est un régal.
Après la vaisselle, Clémentine m'entraîne sur le lit. Je suis assis. La jeune fille me bande les yeux en me disant : < Patience ! >.
Je l'entends ouvrir le placard mural. Quelques instants passent. Clémentine vient m'enlever le bandeau. Une agréable surprise.
La jeune fille est vêtue de sa jupe kilt. Une jupe qui lui arrive au-dessus des genoux. Un chemisier sous un pull noir. Une veste.

Chaussée de ses souliers à légers talons, la jeune fille tourne sur elle-même. < Tu voudrais une fille comme ça ? > me fait-elle.
Nous rions de bon cœur. Clémentine vient s'assoir sur mes genoux. Je la trouve absolument magnifique. Je le lui fais remarquer.
La jeune fille me fait : < J'emmène des vêtements de change si la fraîcheur persiste ! > Pourtant le ciel s'est dégagé. Du soleil.
Nous allons sur l'escalier extérieur de notre entrée séparée pour y prendre la température. C'est beaucoup plus sympa. Doux.
< J'emmène des collants et un jean au cas où ! > me fait encore Clémentine en se serrant dans mes bras. Nous restons ainsi...

Je demande à la jeune fille : < Et moi ? Tu veux que je sois habillé comment ? >. Elle me répond : < Jean et sweat. Simple ! >.
Je passe donc les vêtements souhaités. Nous voilà prêts. En allant à la voiture, nous croisons Monsieur Gilbert. < Bonjour ! >.
Nous voilà en route pour Ornans. Environ 50  km par la départementale 461. Le paysage est magnifique. C'est splendide. Beau.
Nous arrivons dans le bourg. Le village ou a vécu Gustave Courbet. C'est sa maison qui a été transformée en Musée. Typique.
Je gare la voiture à l'entrée du bourg. Clémentine me fait : < C'est superbe, il ne fait pas froid ! >. Elle a les jambes nues...

Nous nous promenons un peu dans le bourg. C'est un village typique de Franche-Comté. Nous marchons main dans la main.
Il y a peu de gens. A cette période de l'année, il y a peu de visiteurs. Pourtant le Musée Courbet attire toujours des amateurs.
Nous entrons dans le hall d'accueil. Nous prenons notre billet d'entrée. La jeune femme nous propose une possible visite guidée.
Nous déclinons l'offre. Nous préférons partir à la découverte. Nous voilà dans la première pièce. Clémentine est enchantée.
Nous sommes sans doute les seuls visiteurs. Tout est silencieux. Aux cimaises les magnifiques œuvres du peintre. Superbes...

Clémentine, vêtue de sa jupe kilt, de sa veste noire cintrée est absolument magnifique. Parfois je reste en retrait. Je l'admire.
La jeune fille me touche discrètement la braguette à plusieurs reprises. Nous regardons les toiles du maître. Soudain des voix.
Nous voyons un couple entrer dans la pièce voisine. Des gens élégants. La belle quarantaine. L'homme prend des photographies.
La femme regarde les tableaux. Clémentine me fait : < Mets toi à l'écart ! Il y a peut-être un "plan" ! >. Un autre visiteur arrive.
Celui-ci est seul. C'est un homme plutôt petit. Il fait des photos lui aussi. Je passe dans l'étroit couloir. Les escaliers sont au bout.

Clémentine est accroupit. Elle fait mine de fouiller dans son petit sac à dos en cuir noir qui fait aussi office de sac à main. Silence.
Le couple s'est éloigné. Il ne reste que le petit homme. Quinquagénaire, ventru et dégarni. Il tombe sur le "show" de Clémentine.
Je reste dissimulé dans l'angle du couloir. Je fais mine d'observer une toile. Clémentine reste évidemment dans cette position.
Le type, d'abord troublé, semble rapidement reprendre la maîtrise de son émotion. Il reste à regarder une toile. Il fait semblant.
Clémentine n'a pas bougé. Les cuisses légèrement écartées, un genoux au sol, elle scrute attentivement l'intérieur de son sac...

L'inconnu se rapproche. Il tente quelques mots. Je regarde, admiratif, l'aplomb avec lequel Clémentine reste dans cette position.
L'homme est debout à environ deux mètres de la jeune fille. Il voit donc parfaitement sous la jupe de Clémentine. Pas de culotte.
Cela pousse évidemment notre quidam a entreprendre une approche plus direct. Je n'entends pas les propos qui s'échangent.
Clémentine a relevé sa jambe. A présent, accroupie devant l'inconnu, cuisses écartées elle a posé son sac entre ses jambes.
Je bande comme un salaud. Le type sans doute aussi. Il se touche la braguette devant la jeune fille tout en bavardant. Excellent !

La situation perdure ainsi un petit moment. Je vois Clémentine rire tout en bavardant. Voilà soudain le couple qui revient par là.
Cela met fin aux échanges. Clémentine se redresse. Elle quitte la pièce. Elle me croise en me faisant un clin d'œil. Elle monte.
Le type ne tarde évidemment pas à la suivre. Il me remarque enfin. Il monte l'escalier à son tour. J'attends un petit moment.
Je monte. Je reste discrètement sur le haut des marches. Là, au fond de la pièce, Clémentine, à nouveau accroupit bavarde.
Je n'en crois pas mes yeux. Le mec a sorti sa bite qu'il agite devant la jeune fille tout en discutant. Une situation à risque...

Je reste silencieux. On ne peut pas me voir. Il y a juste le haut de ma tête et mes yeux au ras du plancher. Je suis prudent. Voyeur.
L'inconnu se branle franchement. Clémentine est ostensiblement dans sa position préférée. En parfaite et sublime exhibitionniste.
Derrière moi, au bas de l'escalier, arrive le couple. Je n'ai d'autre choix que de monter. Je dérange visiblement ce qui se passe.
Nous voilà à cinq personnes dans la salle. Tout a cessé. Clémentine et moi, nous continuons à jouer les parfaits inconnus. Super !
La fille redescend. Bien sûr le quidam fait de même. Je redescends à mon tour. La même situation, dans la même salle. Sympa.

Je vois Clémentine rire tout en bavardant. Cette soudaine complicité doit ravir le mec. Ce genre de chose n'est pas fréquente. Rare.
L'inconnu, très exhibitionniste également, s'en donne à cœur joie. Il reste courtois, gentleman et n'a aucun geste équivoque. Sympa.
Le couple redescend. Une fois encore cela met fin à une situation hautement torride. Clémentine se redresse. Le type range sa bite.
J'arrive à mon tour. Le type tend une carte de visite à la jeune fille qui lui serre la main. < Enchantée ! > fait Clémentine. J'entends.
Elle quitte les lieux pour marcher à toute vitesse. Je la rejoins à la voiture. < C'était génial ! > me fait-elle en se serrant contre moi.

Nous filons. Il est inutile d'êtres vus ensemble si le type rôde dans les environs. < Il est pêcheur ! > m'apprend Clémentine excitée.
< Il m'invite à passer à l'étang ou il pêche ! > rajoute encore la jeune fille en me sortant la bite. < Je suis hyper excitée ! > fait-elle.
Nous arrivons à notre location vers vingt heures. Nous sommes allés voir où ce trouve cet étang. Facile d'accès. Nous irons demain.
Clémentine m'entraîne derrière le mur sous l'escalier métallique. Elle me tient la bite pour en diriger le jet. Elle secoue les gouttes.
Nous montons préparer notre repas. Après la vaisselle, nous décidons d'aller nous balader un peu à Morteau. Nous sommes excités.

Retour pour 21 h30. Nous nous léchons, nous nous suçons et nous faisons l'amour dans une excitation absolument délirante. Vacances !

Bonne découverte du Jura à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Privilégié parmi les privilégiés)

Classe


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C'est un mur du Jura, ça change un peu !

Classe
Couple, 52 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Enfin un post intéressant......merci qui ? Merci tonton.....je suis fan Amoureux
Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - © - 2017 -



Les vacances de Clitorette et de Bitounet - Jura Suck Park 3 -

Hier matin, mercredi, j'ouvre un œil. Je regarde ma montre, il est huit heures. Sans doute mon réveil biologique. Naturel.
Clémentine dort encore. J'aime entendre son léger ronflement. Elle est couchée sur le dos, la bouche légèrement ouverte.
Malgré mon pissou pressant, je reste immobile. Je regarde dormir la jeune fille. C'est sans compter sur son sixième sens.
Les yeux encore fermés, elle me fait : < Bonjour Bitounet ! >. Je lui fais plein de bisous. Le front, les joues, même le nez.
Clémentine me chevauche en riant. < Pipi ! > s'écrie t-elle en m'entraînant aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux. Fort.

< Je veux que tu ais ce comportement toute la journée ! > me fait Clémentine en se redressant. Je récupère ses gouttes.
A son tour elle me tient la bite pour en diriger le jet. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine récupère les gouttes.
Nous préparons notre petit déjeuner. Clémentine répond aux trois SMS reçus hier d'Estelle. Nous discutons du programme.
Aujourd'hui, nous irons visiter les Salines Royales d'Arc-et-Senans. Environs 90 km toujours sur la départementale 461.
Nous serons chaudement vêtus. En effet, en regardant par la fenêtre, force est de constater un ciel gris et bas. Lourd...

Après le petit déjeuner, nous nous offrons notre second plaisir. Nous partons pour notre jogging. Il fait plutôt frais dehors.
Comme hier nous courons sur le parcours sportif de Morteau. Au retour, c'est la douche. Nous aimons rire en la prenant.
Nous voilà habillés. Il est 9 h30. Nous décidons d'aller nous promener à Morteau. Dix minutes de marche et nous y voilà.
Ce matin, c'est la visite d'un de ces fameux tuyés. Ces cheminées de bois où sont fumées les fameuses saucisses du lieu.
Les saucisses sont suspendues sur toute la hauteur des quatre faces intérieures. Elles sont fumées au bois de hêtre. Odeur.

Nous nous promenons. Puis nous allons visiter la fameuse fonderie des cloches Obertino. Visite impressionnante. Etonnante.
Au retour, vers midi, il y a quelques timides apparitions du soleil. Pourtant la fraîcheur persiste. Cela ne gâche pas notre joie.
Nous croisons Monsieur Gilbert qui nous salue. Il n'a de yeux que pour la belle jeune fille qui m'accompagne. L'œil libidineux.
Clémentine prépare la salade. Je prépare le riz que je fais revenir dans une cuillère d'huile d'olive. Je prépare l'omelette.
Je rajoute trois volumes d'eau Nuage de vapeur. Clémentine me sort la bite et me fait : < Au retour, on passe à l'étang ! >...

Je la saisis par ses cheveux, fermement, sans brutalité. Je la force à se mettre à genoux. Je dis : < Tu es ma salope préférée !>.
Je lui passe la queue sur le visage. Longuement. Clémentine se pâme de contentement. Elle pousse de délicats gémissements.
Je me comporte selon ses désirs. < Je mets le collier canin cet après-midi. Tu me promènes à la laisse partout ! > me fait-elle.
Je lui permets de me sucer un peu. Au bout d'une dizaine de minutes le repas est prêt. Je la force à se redresser. Fermement.
< Aïe ! Mes genoux ! > me fait la jeune fille en se massant. Je la tiens par ses cheveux. < Je t'aime Bitounet ! > s'écrie t-elle.

Nous savourons notre repas. L'omelette à l'ail, à l'oignon et aux champignons est parfumée de gruyère de la région. Comté.
Nous étudions les brochures touristiques. Nous faisons notre vaisselle. Je laisse Clémentine sucer un peu ma bite qui dégouline.
Je ne la laisse pas se régaler de son dessert trop longtemps. Sinon nous allons y passer la journée. Nous nous préparons. Auto.
Nous roulons dans ce magnifique paysage. Ce massif du Jura si charmant. Sur notre gauche, parfois, nous longeons le Doubs.
Il est quatorze heures quarante cinq lorsque nous arrivons aux salines Royales. Une grande bâtisse massive typique du XVIIème.

Clémentine, dans la voiture, non sans de nombreuses contorsions, a passé sa jupe, retiré sa culotte. Prête à toutes opportunités.
Une petite exhibition est toujours un petit bonheur qui saurait la ravir et entretenir sa libido de jeune fille. Elle a les jambes nues.
C'est donc d'un pas rapide que nous parcourons la centaine de mètres qui nous séparent du parking au bâtiment. Peu de visiteurs.
L'intérieur de la grande bâtisse est surprenant. C'est là que Louis XIV tenait sa réserve de sel. Produit de luxe du siècle d'or. Cher.
Il y a deux couples qui visitent les lieux. Parfois nous écoutons les explications de la guide. Parfois nous flânons dans les salles...

Il y a un homme, vêtu d'un bleu de chauffe, tenant une échelle sur son épaule qui passe. Il nous croise en nous saluant. Sourires.
Sans doute un employé se livrant à quelques travaux d'entretien. Nous le croisons à deux reprises. Une fois au bas de l'escalier.
Clémentine, en jupe, me pousse du coude et met son index sur sa bouche. Je comprends. L'employé est occupé. Que fait-il bien ?
Toujours est-il qu'il lève les yeux pour découvrir la jeune fille accroupit en haut des marches. Elle fouille dans son sac à main. Plan.
Clémentine trop heureuse de vivre une de ses situation préférées, reste ostensiblement dans cette position. L'homme mâte. A fond !

Le groupe de visiteurs arrive mettant un terme à l'exhibition de Clémentine. Elle reste pourtant accroupit jusqu'au dernier moment.
Le type a rarement vu une telle salope. Il nous lance un regard amusé lorsque nous le croisons pour quitter les lieux. Retour dehors.
Le soleil est haut dans le ciel. Toutefois ce désagréable vent de Nord Est impose une fraîcheur désagréable. Nous voilà en voiture.
Clémentine me sort la bite pour jouer un peu avec. Parfois, elle se penche pour savourer la jute qui suinte au bout de mon méat.
Nous arrivons aux environs de l'étang près d'Ornans. Nous l'avons visité hier. Il est dix sept heures trente. Je gare la voiture...

Nous parcourons les trois cent mètres en marchant doucement. Au détour de l'ancienne bâtisse de briques rouges, il y a l'étang.
Le type de hier est bien là. Assis sur une chaise pliante. Son matériel de pêche à ses côtés. Il surveille le flotteur. Ligne à la main.
Clémentine me fait : < Reste planqué là. Au moindre souci tu arrives ! >. Je reste derrière le coin du mur. Clémentine s'avance.
Les bras croisés. La jeune fille marche doucement faisant le tour du petit plan d'eau. Le pêcheur la remarque. Il a un sourire. Joie.
Clémentine arrive à sa hauteur. Ils se serrent la main. Depuis l'endroit où je me cache, je n'entends pas les propos échangés...

Clémentine est debout à côté du type qui est assis. Il semble lui expliquer ce qu'il fait là. La conversation dure un long moment.
Je peux voir plusieurs éclats de rires. Le pêcheur lui raconte sans doute d'amusantes choses. Clémentine se tourne vers le type.
La jeune fille, tout en riant, tout en bavardant est tournée vers l'homme. Cambrée sur ses jambes, elle mime une masturbation.
Clémentine le fait à plusieurs reprises, restant ostensiblement de longs instants à mimer une masturbation masculine. Bien salope.
Pourtant, l'inconnu reste stoïque tout en observant. Un long moment ponctué de ces mouvements s'écoule. Clémentine s'en va...

La jeune fille serre la main du type et s'en retourne doucement. Elle contourne l'étang. Elle se positionne bien face du pêcheur.
Une dizaine de mètres les séparent. Le plan d'eau n'est pas large à cet endroit. Clémentine est accroupit. Cuisses bien écartées.
Je contourne le mur pour mieux regarder ce que va faire cette salope. Le pêcheur regarde. Fixe. Il semble comme hypnotisé.
Clémentine regarde dans sa direction. Elle soutient le regard du type. Je sais qu'elle se concentre. Elle cherche à pouvoir pisser.
Avec l'excitation que je lui devine, pisser relève d'un certain tour de force. Enfin, au bout d'un moment, la jeune fille y parvient.

Clémentine se lâche en plusieurs jets. Cambrée, elle dirige ses giclées qui viennent se briser loin devant elle. Le type se lève.
Le pêcheur sort enfin sa queue qu'il agite dans la direction de la jeune fille. Clémentine a envie de pisser depuis notre visite.
L'abondance est donc conséquente. Le type se branle. Il a une petite bite que j'avais entrevu hier au Musée Gustave Courbet.
Clémentine arrive au bout de ses réserves. Le dernier jet tombe entre ses cuisses. Elle se touche. Une masturbation très lente.
L'inconnu se met à marcher. Il a sans doute le désir de contourner l'étang pour rejoindre la fille. Clémentine se redresse vite...

Marchant à toute vitesse, Clémentine me rejoint. Nous allons à toutes jambes vers la voiture. Au loin, le type nous a vu.
Il s'est arrêté. Nous démarrons. < Je suis hyper excitée Bitounet ! > me fait Clémentine sa main sous sa jupe. Je roule.
Nous faisons quelques kilomètres. Je m'arrête dans un chemin au bord de la route. Je me mets à genoux dans la voiture.
Clémentine s'est allongée en position siège couchette. Je lèche son sexe trempé. Impossible de réfréner longtemps le plaisir.
L'orgasme de Clémentine est immense. Elle me tient la tête avec tant de force en gémissant, en poussant de profonds râles.

Nous revenons à notre location pour vingt heures. Clémentine m'entraîne derrière la maison. Il y a le soleil qui se couche.
La jeune fille me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Nous faisons quelques photos de nous deux. Les ombres.
Nous nous préparons un bon repas. Nous décidons d'aller nous balader un peu dans les rues de Morteau après la bouffe.
< Merci pour ces vacances Bitounet ! C'est merveilleux ! > me fait la jeune fille en se serrant à plusieurs reprises contre moi.
Au retour, nous nous léchons, nous nous suçons et nous baisons comme des bienheureux. Nous nous écroulons de sommeil.

Bonne pêche à la carpe et au brochet à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Vigile attitré dune merveilleuse salope) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - © - Vendredi -




Les vacances de Clitorette et de Bitounet - Jura Suck Park 4 -

Hier matin, jeudi, je suis réveillé par plein de bisous. Sur le front, sur les joues et même sur le bout du nez. Clémentine me sourit.
< Bonjour Bitounet ! > me fait la jeune fille en me chevauchant. Je la serre contre moi en lui murmurant : < Bonjour Clitorette ! >.
Clémentine se lève, m'entraîne par la main en s'écriant : < Pipi ! >. Nous trottinons jusqu'aux toilettes. Le pissou de Clémentine.
Je la tiens par ses cheveux comme elle aime tant. La jeune fille se lâche dans un long jet libérateur. Puis, c'est à mon tour. Sympa.
Nous prenons notre petit déjeuner. Il est huit heures quinze. Dehors, le ciel est bleu. Le soleil brille déjà. Par contre, il fait froid...

Après le petit déjeuner, c'est notre jogging. Le climat n'est pas sans rappeler celui de l'hiver. Il y a un vent froid de Nord Est. Fort.
Nous courons vite. Une bonne heure de running plus tard nous sommes de retour pour une bonne douche bien chaude. Agréable.
Nous étudions nos brochures touristiques. Nous sommes tous les deux assis sur le lit. Le projet du jour est un château médiéval.
La visite du château d'Oricourt. Distant d'environs 90 km de Morteau, nous décidons de partir dans la matinée. Nous nous vêtons.
Clémentine emmmène des vêtements de change. Jean, pull. Pour la route elle porte une jupe sous son impair noir. Des bottes. Pull.

Nous voilà en route sur la départementale 31. Le paysage est de toute beauté. Dans la voiture, c'est une ambiance printanière.
Clémentine porte des collants. Elle me fait : < S'il ne faisait pas aussi froid, j'aurai rien mis. C'est frustrant ! >. Il fait trop froid.
Nous arrivons aux abords du château. C'est une grande bâtisse de pierres grises qui évoque une grande ferme. Impressionnant.
Nous garons la voiture. Ce vent froid et désagréable semble encore s'être accentué. Nous marchons vite jusqu'à l'accueil. Ouf !
Clémentine me propose de faire le tour extérieur d'abord. L'ambiance et la configuration des lieux éveillent son désir exhibitionniste.

Lorsque nous sommes à l'abri du vent, le soleil est chaud et généreux. Il y a un homme qui fait des photographies. Près du puit.
Sa femme est plus loin et regarde plusieurs fois dans la direction de son photographe de mari. Clémentine se positionne discrète.
Entre un muret et la margelle du puit, la jeune fille s'accroupit. Sa position favorite. A l'abri du vent, elle descend son collant.
Le collant et la culotte à mi-cuisses, Clémentine expose sa touffe dense et noire. Le photographe arrive dans l'angle de vue.
Il reste immobile. Sa femme ne peut pas voir ce qu'il regarde en souriant. Moi, je fais semblant de regarder ma brochure.

Le type fait certainement quelques photos. Je n'en suis pas sûr. Clémentine garde la tête baissée, son visage caché par ses cheveux.
Je bande en l'observant s'exhiber ainsi, sans pudeur, sans inhibition apparente. Je sais que c'est tout le contraire. Ce sont des efforts.
Ces situations d'exhibitions procurent à la jeune fille d'indicibles sensations d'excitation. Surmonter ses inhibitions participe du plaisir.
Clémentine, malgré ses efforts, n'arrive pas à pisser. Le type s'éloigne car sa femme vient dans sa direction. Clémentine se redresse.
La jeune fille vient me rejoindre. Nous regardons le couple s'éloigner vers la sortie de l'enclos. Nous continuons notre découverte...

La cour est vaste. Il y a une seconde opportunité. Un quidam observe à la jumelle vers les collines rocheuses. Nous nous séparons.
Clémentine marche doucement. Les bras croisés, la jeune fille s'approche du muret. Elle s'assoit sur la pierre. Bien à l'abri du vent.
Les jambes légèrement écartées, elle feuillette la brochure reçue à l'entrée du site. Le type aux jumelles aperçoit la belle jeune fille.
Il aperçoit surtout la position équivoque de Clémentine. Une jambe relevée, l'autre posée au sol. Il y a pourtant collant et culotte.
L'inconnu marche un peu. Il passe devant la jeune fille. Il se positionne un peu plus loin. Il mâte discrètement. Je suis à l'écart.

De l'endroit où je me trouve, juste derrière le coin du mur, je peux voir sans être vu. Je regarde plusieurs fois. Il n'y a personne.
Le type, sans doute un peu vicelard, se touche discrètement la braguette. Clémentine lève la tête à quelques reprises. Mise en scène.
A chaque fois que la jeune fille relève la tête, l'inconnu est un peu plus téméraire. Clémentine, excellente actrice feint la surprise.
Pourtant, bien salope, Clémentine garde sa position équivoque. Le quidam, sous l'élan d'une pulsion irrépressible, sort sa queue.
Discrètement, regardant autour de lui, il agite son sexe dans la direction de la jeune fille. Il est dans l'encadrement d'une porte.

La situation plutôt cocasse perdure quelques instants. Clémentine se redresse. Elle se met à marcher doucement vers les écuries.
Le type remballe et se dirige dans la même direction. Là, plein d'audace, il s'approche de la jeune fille pour lui adresser la parole.
Clémentine fait mine d'être étonnée par tant d'audace alors qu'elle sait parfaitement que c'est souvent la conséquence inéluctable.
De l'endroit où je me trouve, je ne peux rien entendre des propos qui s'échangent. Je vois Clémentine bavarder et éclater de rire.
Le type, quadragénaire, plutôt élégant, est un peu plus petit que Clémentine. La jeune fille, avec ses talons, avoisine 1,82 mètres.

J'observe l'aplomb dont fait preuve ma compagne dans ces situations vicelardes qui la ravissent. Le type regarde partout autour de lui.
A nouveau il ouvre sa braguette. Il sort sa bite qu'il secoue à sa base devant le regard attentif de la jeune fille. Il doit vraiment s'éclater.
Clémentine semble soudain embarrassée. Elle secoue plusieurs fois la tête négativement. Le type lui montre un recoin derrière le mur.
Il doit sans doute devenir insistant. Clémentine fait un geste négatif de la main et s'éloigne brusquement. L'inconnu devient pressant.
Il se met à suivre la jeune fille après avoir rangé sa bite. Clémentine semble à présent importunée. Je la laisse mariner un peu. Amusé.

Le quidam, devenu le vrai boulet, devient oppressant. Il est temps que j'intervienne. J'arrive. Je me dirige franchement vers Clémentine.
Le type comprend. Embarrassé, ennuyé, il tourne les talons pour s'éloigner rapidement. < Ce sont souvent des emmerdeurs ! > fait-elle.
Clémentine me dit : < Tu as vu ? Tu as constaté comme il était "gonflé" ? Il aurait du en rester là ! Le con ! >. Nous rions de bon cœur.
Je propose à Clémentine de différer la visite du château pour l'après-midi et d'aller nous offrir un restaurant dans les environs immédiats.
Nos billets d'entrée restent valides toute la journée. Nous en avons confirmation à l'accueil. Nous nous mettons en quête d'un restaurant.

Nous revenons pour quatorze heures. La visite est absolument superbe. Deux heures plus tard, à la sortie, nous décidons de voir le coin.
Nous nous promenons. Nous reprenons la voiture. Nous sommes de retour pour vingt heures. Il fait toujours aussi froid, sinon d'avantage.
Clémentine m'entraîne derrière la maison. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Accroupie, elle en suce les épanchements.
Nous montons les escaliers lorsqu'une voix nous fait : < Alors, ce séjour vous plaît ? >. C'est Monsieur Gilbert qui est au bas de l'escalier.
Nous bavardons un peu. Nous préparons notre repas du soir. Chaudement vêtus nous allons nous balader dans Morteau. Retour pour 22 h.

Bonne visite du château médiéval d'Oricourt à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Vigile du service sécurité de Clémentine) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - © - Samedi -



Les vacances de Clitorette et de Bitounet - Jura Suck Park 5 -

Hier matin, vendredi, comme chaque jour de la semaine, c'est Clémentine qui est réveillée la première. Difficile de rester seule.
Aussi, la jeune fille me couvre le visage de bisous plus doux les uns que les autres pour me tirer gentiment de mon sommeil.
Je la prends contre moi pour lui faire : < Bonjour Clitorette mon petit réveil matin ! >. < Bonjour Bitounet ! > me fait-elle. Joie.
Nous restons un petit moment à nous faire des papouilles. Le besoin de faire nos pissoux est rapidement impérieux, irrépressible.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux. Elle se lâche. Puis c'est à son tour de me tenir la bite. Bien net.

Nous prenons notre petit déjeuner en étudiant nos brochures touristiques. Ce matin, nous partons pour Saint-Claude. 100 km.
Nous découvrons un SMS de Juliette, la cavalière du bord de l'étang Sondur que nous avions revu au supermarché. Réponse.
"Passez de bonne vacances" écrit-elle. Clémentine répond aux différents messages. Ceux d'Estelle qui nous envoie une photo.
Après le petit déjeuner, nous partons pour notre jogging. Au retour nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Il fait beau.
Le vent est beaucoup moins froid, le ciel est parfaitement bleu. Il est 10 h. Nous voilà en route pour le village de Saint-Claude...

Le paysage du haut-Doubs est vraiment exceptionnel. La région du Jura est certainement une des plus belles de notre beau pays.
Dans la voiture, Clémentine joue un peu avec ma bite qu'elle fait durcir en me racontant plein de cochonneries. C'est superbe.
La jeune fille est vêtue comme hier. Jupe plutôt courte. Collants, Bottes, Son impair noir, un pull. Moi, je suis en jean, sweat-shirt.
Nous arrivons à Saint Claude vers 11 h30. Je roule plutôt lentement car nous aimons admirer les splendides paysages alentours.
Il y a plus de cent kilomètres par la départementale D 437 depuis Morteau. Il y a donc de quoi s'enivrer d'un spectacle unique...

Nous garons la voiture à l'entrée du bourg. Il fait plutôt agréable. Le vent du Nord Est souffle toujours mais beaucoup moins fort.
Nous nous promenons un peu dans les rues. C'est un pett village typique du Jura. Entouré de collines. Encaissé dans une vallée.
Saint-Claude est la capitale mondiale de la pipe. C'est ici, dans quelques ateliers artisanaux, que sont taillées les plus belles pipes.
Nous allons visiter l'atelier de Sébastien Baud, artisan réputé. L'accueil est chaleureux. Nous découvrons cette étonnante activité.
< Tu voudrais une pipe ? > me demande Clémentine devant un employé occupé à un tourillon. Le quidam se met à rire. Amusé...

C'est certainement un gag qu'il doit entendre souvent de la part des couples qui visitent le lieu. Nous admirons tout cela. Il est midi.
Nous sommes passés devant un petit restaurant très sympathique. J'invite Clémentine à y prendre notre repas. L'endroit est sympa.
Il y a quelques personnes assises. Nous choisissons une table un peu en retrait. La vue sur l'extérieur est admirable. Superbe lieu.
Clémentine me fait : < La pipe, ça m'inspire ! > Elle me prend les mains, me fait un clin d'œil avant de rajouter : < Mon dessert ! >.
Ce repas est délicieux. Il y a un jeune homme affairé derrière le comptoir. Je peux le voir loucher à plusieurs reprises vers notre table.

< Il mâte sous la table ! > me fait Clémentine. J'imagine bien l'émotion qui doit habiter le jeune homme. La vue doit être sublime.
La jeune fille sait saisir les opportunités qui se présentent. J'observe le visage de mon exhibitionniste. Dans ces instants particuliers.
C'est à la fois émouvant et terriblement excitant. Clémentine se lève pour aller aux toilettes. Elle va vers le bar pour demander "où".
Le jeune homme contourne le comptoir en invitant la jeune fille à le suivre. Il revient. Reste une minute avant d'y retourner encore.
Le salopiot doit être bien "allumé" pour se montrer aussi téméraire. Je reste seul à table un petit moment. Clémentine revient. Rires.

< Génial ! Un jeune vicieux ! > me fait Clémentine en me racontant ce qui s'est passé aux toilettes. Le type qui lui montre sa queue.
Il reste silencieux, timide mais branleur. Clémentine enfonce le clou en lui demandant quelques renseignements sur la belle région.
Le jeune homme est tout rouge, couvert de sueur et terriblement emmerdé par cette situation qu'il a lui-même créé. Un peu stupide.
Nous demandons l'addition. Le jeune homme derrière le bar, très gêné, n'ose plus regarder dans notre direction. Nous nous levons.
Clémentine, pour un dernier show, s'accroupit bien devant le bar, fouille dans son sac à main, lève la tête et lance un sourire au mec.

Il est quatorze heures. La suite de notre programme sera la visite du Musée de la pipe et du diamant. Nous découvrons un bel endroit.
Il y a là quantité de pierres précieuses, de pierres rares, plus belles les unes que les autres. Et bien évidemment quantité de pipes.
< Je suis méchamment excitée ! > me confie Clémentine en me touchant discrètement la braguette. La jeune fille guette l'opportunité.
Il y a un autre couple qui visite les salles. Un moment, l'homme reste à part devant une vitrine. Clémentine en profite pour s'accroupir.
Sa position fétiche. Faire semblant de fouiller son sac à main, lui permet toutefois de bien faire l'inventaire de ce qu'il contient. Sécurité.

Le type remarque rapidement la belle jeune fille accroupie entre deux grandes vitrines. Il mâte en louchant discrètement. Je suis à l'écart.
J'observe ce magnifique spectacle. Je bande comme un salaud. Je ne remercierais jamais assez ma compagne de m'offrir ces émotions.
Clémentine sait se montrer, se mettre en scène. C'est une virtuose de l'exhib. Je l'ai vu pratiquer tant de fois et c'est toujours sublime.
La jeune fille en rajoute évidemment jusqu'à déstabiliser ce brave homme. Il est comme halluciné par ces visions qu'il devine délibérées.
Cette jeune salope prend un tel plaisir à être vue ainsi, discrètement, entre deux recoins. Clémentine offre cette situation trois autres fois.

La femme rejoint son mari. Il n'est pas libre des ses mouvements. Il louche pourtant discrètement tout en bavardant avec sa compagne.
Finalement, n'ayant d'autre choix que de la suivre, le couple quitte la salle. Nous visitons le Musée jusqu'aux environs de seize heures.
La suite du programme sera ces fameuses chutes d'eau appelées "Cascades de la queue de cheval". L'endroit est majestueux. Superbe.
Clémentine, très excitée, me tripote la bite qu'elle me sort discrètement sur le sentier qui longe la rambarde. Nous croisons des visiteurs.
Clémentine se montre téméraire. Il y a un couple qui prend des photos, là-bas, près du cabanon. Clémentine attend l'instant précis.

La jeune femme tourne la tête dans notre direction. La trentaine, blonde, plutôt sexy et belle. Clémentine lui montre ma bite qu'elle tient.
Je suis terriblement gêné. Je bande comme un salaud. Clémentine me la secoue vulgairement. La jeune femme nous fait un sourire. Joie.
La situation est intense mais ne dure qu'un instant. Cette vision fugace doit émoustiller la jeune femme car elle regarde une seconde fois.
Clémentine s'est accroupit à côté de moi. Son visage tout près de ma bite turgescente. La jeune femme affiche un grand sourire. Superbe.
Je tiens Clémentine par ses cheveux. La situation bien vicelarde doit titiller la jeune femme. Son mari vient vers elle. Il montre un endroit.

Le couple s'éloigne. La jeune femme se retourne une dernière fois. Ils disparaissent au bout du sentier. Le bruit de la cascade est très fort.
Ce bruit impressionnant participe à un certain inconfort. Nous ne pouvons pas entendre l'arrivée inopinée de quelques promeneurs. Gaffe.
Nous reprenons le chemin du retour. Clémentine me suce quelquefois. Juste quelques secondes. C'est très excitant. J'adore ses initiatives.
Dans la voiture, la jeune fille ne peut réfréner son désir ce cette fellation tant désirée. Je roule doucement. Clémentine me suce. Prudence.
Je me fais pomper le Zob par moments plus ou moins longs. Je propose à Clémentine de réserver nos ardeurs pour le retour à la maison.

Nous arrivons vers 20 h30. Nous préparons notre repas du soir. Clémentine me fait : < Je vais chercher un truc à la voiture ! >. Elle sort.
La jeune fille revient avec le sac à dos que nous laissons toujours dans le coffre. < Tu ne vas pas le croire ! > me fait Clémentine. Riant.
Elle continue : < Je descends l'escalier. Je regarde par la fenêtre ouverte. Monsieur Gilbert se branle ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Ainsi ce brave Monsieur Gilbert fait parti du "Club" ! Notre repas est délicieux. Avant d'aller nous promener à Morteau, c'est le rituel pisseux.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Accroupie, elle en récupère les derniers épanchements. Balade à Morteau...

Bonne visite du Musée de la pipe à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Vicelard pour vicieuses)

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Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - © - Dimanche -




Les vacances de Clitorette et de Bitounet - Jura Suck Park 6 -

Hier matin, samedi, je suis le premier à ouvrir l'œil. A ma gauche, Clémentine, sur le dos, ronfle doucement. J'aime la regarder.
La montre, posée sur la table de nuit, indique huit heures. Mon réveil biologique semble infaillible. J'applique le contrat établi.
Je dépose de délicats bisous sur le visage de la jeune fille qui sort de son sommeil avec des petits gémissements d'aise. Plaisir.
< Bonjour mon Bitounet ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi avant de me chevaucher. Le moment des papouilles.
Par la grande baie vitrée nous découvrons un ciel bleu et lumineux. Le soleil semble briller de mille feux. Une belle journée. Joie.

Nous avons passé une partie de la nuit à nous sucer, à nous lécher et à baiser. La faim titille nos estomacs. Nous nous levons.
L'envie de pisser, elle, titille nos vessies. C'est l'absolue priorité du WC. Clémentine m'y entraîne. Je la tiens par ses cheveux.
La jeune fille se lâche dans son jet libérateur habituel. Je m'accroupis pour en récupérer les dernières gouttes. Goûter les saveurs.
Puis c'est au tour de Clémentine de me la tenir afin d'en diriger le jet. Elle s'accroupit pour en récupérer les derniers épanchements.
Nous nous précipitons au coin cuisine pour y savourer un copieux petit déjeuner. Le dimanche, c'est le jour sans entraînement...

Clémentine répond aux SMS d'Estelle qui nous raconte ses visites quotidiennes à la maison. Tout est parfaitement propre et en ordre.
Nous décidons de prolonger notre séjour jusqu'à mercredi. Je propose à Clémentine de nous offrir trois jours à Paris pour le retour.
< Ouah ! Génial ! Je ne connais pas Paris ! Tu es un amour Bitounet ! >. Il faudra négocier la journée supplémentaire avec le loueur.
Au programme, ce matin, expédition rapide dans le canton Suisse de Neuchâtel. Distant d'à peine 10 km. C'est une petite visite.
Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Nous allons sur le haut de l'escalier extérieur pour y prendre la température....

Il fait plutôt agréable. Cet ignoble vent de Nord Est a cessé. Clémentine revêt une de ses jupes emmenées. Beige. Elle met des collants.
Un pull sous sa veste noire. Des souliers à légers talons. Nous serons de retour pour le repas. Cet après-midi c'est une randonnée.
Nous voilà en route pour la frontière. Le canton de Neuchâtel ressemble en tous points à la Franche-Comté. Mêmes beaux paysages.
Nous visitons un petit Bourg qui, sous bien des aspects, offre un style médiéval. C'est de toute beauté. Le cimetière est impressionnant.
Il y a de nombreux caveaux. Des sculptures magnifiques. Quelques personnes sont occupées là. Nettoyant les dalles ou désherbant.

Le climat est plutôt doux. Je suis en jean et en sweat-shirt. Il est dix heures trente et la matinée est fort sympathique. C'est un bonheur.
Nous parcourons les allées de cet étrange endroit lorsque Clémentine me pousse du coude en me faisant : < Reste à l'écart. Surveille ! >
J'obtempère en me dissimulant derrière un ange en pierre, massif et majestueux. Là-bas, il y a un homme qui se promène comme nous.
Je vois Clémentine prendre sa position favorite entre deux dalles horizontales. Elle me tourne le dos. L'inconnu tombe sur le spectacle.
Comme la plupart des quidams qui découvrent le show de la jeune fille, ce dernier à un mouvement d'étonnement. Il continue son chemin.

Il se retourne rapidement. La jeune fille n'a pas bougé. Je regarde aux alentours. Il n'y a personne dans les environs immédiats. Super.
Clémentine, cuisses écartées, tête baissée, reste parfaitement immobile. Le type s'est arrêté. Discrètement, derrière un calvaire, il mâte.
Il y a de quoi mâter. Je sais que Clémentine fait tous les efforts du monde pour tenter de pisser. L'excitation est telle qu'elle ne peut pas.
L'homme s'approche doucement. Par étapes. Je vois une expression amusée sur son visage de quadragénaire. Clémentine relève la tête.
< Bonjour ! > fait l'homme. Clémentine, avec cet aplomb formidable qui fait toute mon admiration, reste sans bouger et répond à son tour.

Une conversation s'engage. Depuis ma cachette, j'entends parfaitement les propos qui s'échangent. Nous sommes en Suisse francophone.
< C'est un magnifique spectacle que vous nous offrez là, pour un samedi matin ! > fait le brave homme conscient de son privilège. Ravi.
Clémentine pousse un rire enchantée avant de faire : < Merci ! >. Evidemment la jeune fille reste dans sa position. C'est ce qui l'excite.
Surmonter ses inhibitions naturelles, ressentir une légère honte, tout cela participe de cette sensation de plaisir tant recherchée. Souhaitée.
Le type reste à quelques distances. Environs deux mètres. Une pierre tombale le sépare de cette belle jeune fille qui s'exhibe. Si vicelarde.

L'inconnu propose à Clémentine de faire plus amplement connaissance devant un café. Toute la galanterie et le savoir vivre Helvétique !
Pas un geste déplacé, pas un mot obscène. Clémentine sort l'argument imparable : < Non ! Mon ami se promène, il est quelque part ici ! >.
L'homme devant ce refus n'insiste pas. Il salue la jeune fille qui se redresse enfin et s'en va. Clémentine me rejoint. < Super ! > fait-elle.
< J'ai des fourmis dans les jambes ! Mais quel moment ! > me confie t-elle en me montrant la toute petite tache de pisse au sol. Rires...

Nous sommes de retour à notre location pour midi trente. Nous préparons un rapide repas à emporter. Tout dans le grand sac à dos.
Ce sac que Clémentine est allé récupérer hier soir dans le coffre de la voiture. Surprenant à son passage, Monsieur Gilbert à se branler.
Tout est rapidement prêt. Clémentine, prudente, emmène son legging et un K-way. Elle peut enfin mettre sa jupe plissé façon "tennis".
Un sweat-shirt, des chaussures légères de marche, la jeune fille est absolument splendide. Je prends le sac à dos et clémentine le sien.
Nous voilà en route pour le Saut du Doubs distant de 30 km par la départementale 461. Nous arrivons au parking de Vion. Les Taillards.

Je prends ma précaution habituelle. Je demande à une dame affairée dans son jardin si je peux garer la voiture à proximité. Je préfère.
La jeune femme me fait : < Mais bien sûr, mettez-là dans l'allée, chez nous. Elle ne risquera rien ! >. Cette précaution me rassure.
Nous prenons le sentier au départ de Viller-Le-Lac. C'est une randonnée de 4 h30. Une distance de 10 km. Un dénivelé d'environ 500 m.
Nous croisons quelques marcheurs. Le plus souvent des groupes de quatre personnes. L'endroit est de toute beauté. C'est magnifique.
A quelques reprises Clémentine s'arrête, me sort la bite avant de s'accroupir pour la sucer quelques instants. Cela rajoute à la magie.

Nous arrivons au barrage du Châtelot. La vue est majestueuse. Il y a pas mal de randonneurs. Clémentine observe avec la paire de jumelles.
Pas de réelles opportunités d'exhibition. Même fugaces. < Je suis hyper excité avec le coup du cimetière ! > me confie t-elle en m'embrassant.
Nous restons sur le GR 5, ce sentier qui contourne le lac artificiel. Nous voilà en chemin pour le Belvédère du Châtelard. Sentier des crêtes.
Au détour d'un petit pont de pierre qui enjambe un large ruisseau, il se présente enfin une opportunité. Il y a un randonneur solitaire assis.
Il nous tourne le dos. Il est en contre bas. Il mange une pomme en regardant au loin. Clémentine me fait : < Attends-moi là. Surveille ! >.

Je regarde la jeune fille descendre le sentier. Elle passe à quelques mètres de l'inconnu. Depuis ma cachette, je n'entends rien des échanges.
Il y a le bruit du ruisseau. Mais je vois le randonneur, son sac sur le dos, assis sur le rocher, saluer poliment la jeune randonneuse. Attractive.
De croiser une jeune fille, en jupe, portant un petit sac à dos, semblant seule, doit rajouter au charme de cette ensorceleuse journée. Surprise.
Clémentine s'arrête. Sans doute que notre marcheur engage une conversation. La jeune fille reste debout, à quelques mètres, bras croisés.
La situation perdure ainsi un petit moment. Je vois Clémentine rire à plusieurs reprises, secouant sa tête en tenant ses cheveux d'une main...

Clémentine remonte le sentier. Elle salue l'inconnu avant de me rejoindre. < Je lui ai dit que j'étais accompagnée et que tu n'allais pas tarder ! >
Elle me propose d'attendre un peu. Clémentine se met dans le virage du sentier, à une vingtaine de mètres de notre randonneur qui se lève.
L'homme n'a pas vu le retour de la jeune fille qui est en contre bas du sentier, dans le virage, accroupit sur une petite plate forme rocheuse.
Il monte doucement le sentier. Là, dans le virage, en regardant sur sa gauche, il découvre la jeune fille. La position est sans équivoque. Pipi.
J'ai la paire de jumelles. Je mâte. Le type s'est arrêté. Clémentine a relevé la tête. La conversation reprend. Je n'entends rien. C'est torride !

Clémentine m'a fait part de sa grosse envie de pisser. Envie qu'elle garde avec difficulté le plus souvent en prévision d'un "plan" exhib. Dur !
Enfin, là, l'occasion lui est donné de se libérer devant un inconnu qui n'en demandait sans doute pas tant. Le type sort un appareil photo.
Clémentine, tout en pissant, se redresse et fait un geste de refus. Elle se pisse dessus en se tournant. L'inconnu prend sans doute un cliché.
Clémentine semble plutôt fâchée. Elle remonte la pente en se réajustant. Dans les jumelles, je vois tout en détail. Le type semble s'excuser.
Clémentine l'ignore et le contourne. L'inconnu accélère son pas pour la suivre. Je décide d'intervenir. Je viens à la rencontre de Clémentine.

Lorsque le randonneur me voit, il ralentit son pas. Clémentine me prend la main. L'individu nous dépasse sans un mot. Je lui dis < Bonjour !>.
Clémentine me montre ses chaussettes trempées de pisse, ses cuisses et ses mollets mouillés. Je retire mon sac à dos. Les vêtements de change.
Clémentine s'essuie avec des mouchoirs en papier. Elle rit de son aventure en me racontant la nature des propos échangés. Balade en commun !
Nous continuons notre périple montagnard. Nous sommes de retour au Saut du Doubs pour dix huit heures quarante cinq. Superbe randonnée.
Nous récupérons la voiture. J'invite Clémentine à nous changer avec les vêtements prévus dans le coffre de la voiture. Restaurant à Viller-Le-Lac.

Nous voilà de retour à notre location. Il est 22 h30. Clémentine m'entraîne derrière la maison. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur.
Accroupie, la jeune fille, comme à son habitude, aime à en savourer les derniers épanchements après en avoir secoué les dernières gouttes. Virtuose.
Nous sommes tous les deux excités par notre journée. Je me pourlèche des saveurs du sexe de Clémentine. Je déguste les fruits intimes de sa journée.
Un vrai délice. Le nectar des dieux. L'élixir de longue vie ! Puis je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobile. La baise.
Nous faisons le bilan de notre journée. On se repasse le "film". Cela nous excite terriblement. Nous commençons à nous bercer. Nos orgasmes sont divins...

Bonne randonnée à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Complice idéal de la plus merveilleuse des salopes)

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Je suis émerveillé. Autant par l'histoire de ce dimanche que par les clichés...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 23 - © - Lundi -



Les vacances de Clitorette et de Bitounet - Jura Suck Park 7 -

Hier matin, dimanche, je suis le premier à ouvrir l'œil. Clémentine dort encore profondément. En apparence. Je respecte notre contrat.
Contrat qui stipule que le premier à ouvrir les yeux réveille l'autre. Il y a un avenant au contrat. Le "réveillé" peut lécher le dormeur !
Je fais plein de bisous sur le visage de ma dormeuse. En gémissant d'aise la jeune fille sort de sa torpeur. Elle se serre contre moi. Fort.
< Bonjour Bitounet ! > me fait-elle avant de me chevaucher pour la séance de papouilles. Nous restons ainsi quelques instants. Délices.
L'envie du pissou matinale rend la situation intenable plus longtemps. Clémentine m'entraîne aux toilette. Pipi. Chacun son tour. Nature.

Nous prenons notre copieux petit déjeuner. Clémentine répond aux trois SMS reçus hier. Estelle nous fait quantité de messages. Sympa.
Nous savons presque en temps réel ce qu'elle fait. Elle passe à la maison tous les soirs pour vérifier si tout est en ordre. C'est très gentil.
Je lui ramènerais un cadeau pour la récompenser. Le dimanche c'est journée sans entraînement. Nous étudions nos brochures. Touristes.
Aujourd'hui, au programme, c'est la visite des grottes d'Osselle. Ce complexe souterrain réputé et visité par quantité de touristes. Super.
Nous partirons après la douche. L'après-midi nous irons randonner. La journée s'annonce magnifique. Le ciel est bleu. Le soleil brille...

Nous voilà prêts. Comme hier nous avons chargé le sac à dos. Clémentine s'habille comme hier. Jupe à mi-cuisses. Sweat-shirt. Baskets.
Moi, je suis en jean et en sweat-shirt. En rangeant nos affaires dans la voiture, voilà Monsieur Gilbert qui vient nous saluer. Bavardages.
Je lui expose notre souhait de rester jusqu'à mercredi matin. Notre loueur est tout à fait d'accord. Il nous invite à un barbecue en soirée.
Nous déclinons l'offre car notre seule alimentation carnée est d'origine marine. De plus nous ne savons pas l'heure de notre retour. Joie.
Nous voilà en route pour Roset-Fluant. Le paysage époustouflant de cette partie Fanc-Comtoise du Jura nous enchante. C'est superbe...

Dans la voiture, jute avant d'arriver, Clémentine met son legging. La fraîcheur des grottes nécessite d'être habillé chaudement. Humide.
Il y a déjà beaucoup de voitures garées sur le parking surveillé. Nous voilà à faire la queue pour acquérir nos billets. Visite par groupes.
Aucune opportunité d'exhibition pour Clémentine. Mais ce que nous découvrons est si splendide que nous en sommes émerveillés. Beau.
La visite dure une demi-heure. Un environnement de stalactites et de stalagmites. L'ère Jurassique. Tout est expliqué par notre guide.
Nous sommes toutefois heureux de nous retrouver à l'air libre. Il fait chaud. C'est comme une première journée d'été. C'est appréciable.

A la voiture, nous remettons nos vêtements légers. Clémentine est absolument magnifique. Je la fais tourner sur le parking. Bisous. Joie.
Nous avons le désir de refaire notre randonnée de hier mais dans l'autre sens. Surtout de remonter au point culminant à plus de 1018 m.
Le paysage nous a tant séduit que nous ressentons l'impérieuse envie de le revoir, de le parcourir à nouveau. Retour sur Viller-Le-Lac.
< Je suis hyper "allumée" mon Bitounet ! > me fait Clémentine dans la voiture en me sortant la queue pour jouer un peu avec. Plaisir.
Je bande comme un vrai salaud. < Tu es un vrai salaud ! > me fait Clémentine. Nous éclatons d'un rire heureux. Nous arrivons à Vion.

Comme hier, c'est moi qui prend le grand sac. Nous y mettons d'inutiles vêtements légers de change. Nous voilà sur le sentier. Marche.
Tout nous paraît encore plus beau que hier. Comme nous prenons le sens contraire, c'est un peu l'inconnu. Nous sommes ravis. Super !
Nous croisons beaucoup plus de marcheurs que hier. Le plus souvent des groupes. Plus rarement des couples. Pas de personnes seules.
Nous nous arrêtons au point de vue. En bas nous distinguons les Taillards, le bourg à côté de Vion. Il y a plein de monde à regarder.
Nous reprenons notre marche. Au détour 'un sentier, Clémentine s'arrête. De son petit sac à dos, elle sort le collier canin. Et me le tend.

< Tu me le mets, Bitounet ? > me fait la jeune fille. Je le lui passe autour du cou. Il est parfaitement visible au-dessus de son T-shirt.
Comme le col de son vêtement est en "V", le collier canin noir, en cuir, est parfaitement visible. La boucle métallique brille de mille feux.
Nous reprenons notre marche. Nous croisons des randonneurs à plusieurs reprises. Parfois, un des marcheurs remarque le collier noir.
Curieusement, ce sont surtout les femmes qui remarquent ce curieux attribut en ce lieu. Il y a parfois d'étranges sourires sur les lèvres.
Les randonneurs qui nous croisent, voient cette jeune fille en compagnie d'un homme d'âge mûr. C'est déjà une première curiosité...

Nous arrivons au barrage du Châtelot. L'endroit nous semble encore plus beau. Nous sommes assis sur un rocher. Nous admirons le lieu.
Clémentine sort la laisse. < Tu me la fixe, Bitounet ? > me fait-elle en me tendant l'objet ainsi que son cou. Je passe le mousqueton.
Nous reprenons notre marche pour descendre sur le barrage. Je ne tiens pas Clémentine par sa laisse qui pend simplement depuis son cou.
Quelques randonneurs remarquent la laisse qui pend jusque sur le haut des cuisses de la jeune fille. Il y a des têtes qui se retournent.
Clémentine aime me tenir par la main en public. Cette jeune fille avec un homme qui pourrait être son père. Port de tête altier. Arrogance.

Je lui fais remarquer que parfois tout cela me gêne un peu. < On les emmerde ! > est souvent la seule réponse de la jeune fille amusée.
J'évite toutefois de la tenir à la laisse. Nous prenons le sentier qui monte au belvédère du Châtelard. Il commence à faire chaud. Sympa.
Nous croisons un couple. Clémentine me tend la laisse : < Tiens-moi ! > me fait-elle. Je suis un peu gêné de croiser ces gens. La laisse.
Le regard amusé de la jeune femme qui nous dépasse est sans équivoque. Nous croisons un autre couple. Mêmes regards amusés. Rires.
Enfin, en contre bas, arrive l'opportunité tant attendue. Un randonneur monte d'un bon pas. Clémentine s'accroupit. Je la tiens à la laisse.

Le marcheur contourne le virage. Il tombe sur le spectacle. Clémentine lève la tête. Nous faisons : < Bonjour ! > presque en même temps.
Le type se retourne pour être certain de ne pas halluciner. Il nous fait un grand sourire avant de continuer son chemin. Clémentine se lève.
Nous continuons notre randonnée. Lorsque nous croisons des groupes de marcheurs, c'est souvent les derniers qui remarque la laisse.
Nous nous amusons beaucoup de tous ces regards. Clémentine beaucoup plus que moi en fait. Nous voilà de retour à la voiture. Change.
J'ai garé l'auto chez les mêmes particuliers que hier. Les gens nous invitent également à boire quelque chose car nous bavardons un peu.

Nous déclinons l'offre pour nous mettre en quête d'un restaurant. Il est déjà dix neuf heures. Finalement, nous retournons dans celui de hier.
Clémentine garde ostensiblement son collier autour du cou. Mais sans la laisse. Assis à la même table que hier nous dégustons un bon repas.
Quelques rares "connaisseurs" remarquent le collier canin autour du cou de la jeune fille. Le serveur semble en être. Il a un sourire entendu.
Nous sommes de retour pour 22 h30. Clémentine qui m'a déjà sucé à plusieurs reprises dans la voiture est très excitée. Moi également !
A la location, Clémentine m'entraîne derrière la maison. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle en suce les reliquats.

Nous nous léchons, nous nous suçons et nous baisons longuement avant de nous endormir d'un sommeil profond et régénérateur. Ronfle...

Bonne masturbation à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Bitounet promeneur de salope) -

Classe


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Classe
Homme, 44 ans, France, Hauts-de-France
Quelles aventures haletantes SourireSuperTirer la langue !
Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - © - Mardi -



Les vacances de Clitorette et de Bitounet - Jura Suck Park - 8 -

Hier matin, lundi, c'est à mon tour d'être réveillé par plein de bisous sur le front, les joues et même sur le bout du nez. J'ouvre un œil.
< Bonjour mon Bitounet ! > me fait Clémentine en montant sur moi pour me chevaucher. < Bonjour Clitorette ! > que je lui fais. Bises.
C'est le moment "papouilles" avant que l'impérieuse et irrépressible besoin de pisser nous oblige à nous lever. Nous trottinons aux WC.
Je tiens Clémentine par ses cheveux pendant qu'elle se soulage d'un long jet libérateur. Je m'accroupis pour en récupérer les reliquats.
A son tour la jeune fille me tient la bite pour en diriger le jet. Elle s'accroupit pour en récupérer les derniers épanchements. Saveurs...

Nous prenons notre petit déjeuner en consultant nos brochures touristiques. Au programme ce sera la visite du fameux château de Joux.
Ensuite ce sera une belle randonnée sur les hauteurs de Pontarlier. Clémentine répond aux trois messages que nous a envoyé Estelle.
Estelle semble se languir et être impatiente de nous revoir. Elle nous envoie une photographie d'elle assise devant son ordinateur. Ravie.
Estelle n'arrête pas de regarder les deux films que nous avons réalisé récemment. Elle a en projet d'en réaliser encore un. Réjouissances.
Après le petit déjeuner nous partons pour notre heure de jogging. Il fait beau, le ciel est bleu et pourtant il fait un peu plus frais que hier.

A notre retour, après le plaisir du running, c'est celui de la douche. Nous nous savonnons en riant. Puis nous nous habillons. Précautions.
Clémentine prépare des vêtements de change. Comme les deux jours précédents c'est moi qui porte le grand sac à dos. Peu de choses.
C'est un sac à dos pliable sans armature métallique, très pratique. En allant à la voiture, nous croisons Monsieur Gilbert. Bavardages.
< Si tous les loueurs étaient aussi silencieux que vous, ce serait parfait ! Je ne vous entends jamais ! > nous fait notre loueur. Sympa.
Nous voilà en route. Direction Pontarlier. Environ trente kilomètres par la départementale 437. Nous admirons le magnifique paysage...

Nous arrivons sur le parking surveillé du Château de Joux. C'est une bâtisse impressionnante au sommet d'une colline entouré d'autres.
Des murs cyclopéens d'où se dégagent une impression de puissance. Clémentine est vêtue d'une jupe, de collants, d'un pull. Veste noire.
Chaussée de ses souliers à légers talons, je la prends par les mains pour la faire tourner. Je lui dis : < Comme tu es belle Clitorette ! >.
Nous prenons nos billets à l'entrée du château. Il nous faut attendre quelques minutes car la visite est guidée. Nous feuilletons des trucs.
Nous sommes environ une vingtaine de touristes à suivre le guide très loquace et plein d'humour. Nous détestons cette promiscuité...

Clémentine, un peu frustrée du manque d'opportunités exhibitionnistes me touche discrètement la braguette à plusieurs reprises. Joie.
La jeune fille me chuchote quantité de cochonneries durant la visite. < Je suis hyper salope ce matin ! > me murmure t-elle. Souriante.
Ce qui nous impressionne particulièrement durant cette visite c'est le puit. Un trou muré de plus de 100 mètres de profondeur. C'est fou.
Les salles, souvent monumentales, offrent d'étonnantes reliques, meubles et ustensiles d'une autre époque. De plusieurs époques en fait.
La visite dure une heure. Nous voilà de retour au grand air. Il fait un peu meilleur. La chaleur du soleil, même toute relative, est agréable.

Clémentine sort le collier canin de son sac : < Tu me le mets, s'il te plaît ! > me fait-elle en me le tendant. Discrètement, je le lui fixe.
Le pull en "V", sous la veste, permet de bien voir cet attribut de "soumise". Nous parcourons une des deux cours du château. Sympa.
Clémentine porte son collier canin en cuir d'une élégante façon. Son usage, même pour les plus ignorants, ne laisse aucun doute. Jeu.
Enfin, là, entre un mur et une palissade de bois, l'opportunité tant souhaitée se présente. < Reste là, surveille ! > me fait la jeune fille.
Je reste à l'écart, dans l'encadrement d'une porte fermée. Clémentine est accroupit à une vingtaine de mètres. Un inconnu arrive là...

C'est un homme grand, athlétique, sans doute aussi grand que moi. Il fait des photographies. Il fait quelques signes. Je me retourne.
Sa compagne, là-bas, fait des photographies également. L'inconnu "tombe" sur le superbe spectacle que nous offre Clémentine. Belle.
Les collants et la culotte à mi-cuisses, les jambes écartées, la jeune fille se fait surprendre dans sa position préférée. La tête baissée.
Je vois l'homme faire quelques rapides photos de la scène. Il ne perd pas ses moyens et mitraille avec calme. Faisant semblant de rien.
Le salopiot doit faire une bonne dizaine de clichés. Clémentine, la tête penchée en avant, les cheveux devant le visage est anonyme...

L'homme se rapproche. De l'endroit où je me trouve, je n'entends rien des propos qui s'échangent. Clémentine lève la tête. Souriante.
Bien évidemment, afin de jouir de l'instant, la jeune fille ne bouge pas. Ce "flash" tant recherché procure la montée d'adrénaline. Joie.
L'inconnu tourne les talons après avoir salué la jeune fille qui reste ostensiblement dans la même position. Délicieusement salope. Jeu.
Clémentine se redresse pour me rejoindre. Nous continuons notre visite. Il est midi. Je propose à Clémentine de prendre notre repas.
Nous quittons l'enceinte médiévale pour nous diriger vers la voiture. Nous croisons le couple. L'homme fait un sourire à Clémentine...

Nous avons préparé quelques fruits, quelques sandwichs que nous savourons assis sur un muret. Nous voilà en route pour randonner.
Nous prenons la départementale 402 pour nous rendre sur les bords du Doubs. Comme toujours, je rentre en contact avec un habitant.
Un monsieur très gentil nous propose de garer la voiture dans son allée. Tranquillisés par cette certitude, nous prenons notre marche.
Le sentier de grande randonnée monte doucement. Rapidement nous sommes en hauteur. La vue sur le Doubs est superbe. Magnifique.
Nous voyons les toits des maisons de Pontarlier briller sous le soleil. Il est quatorze heures. Nous croisons quelques rares randonneurs.

Clémentine est vêtue de sa jupe de "marche", de son sweat-shirt. Chaussée de baskets sa silhouette en est encore sublimée. Le collier.
La jeune fille me tend la laisse : < Tu m'attaches ! > me fait-elle. Je la promène ainsi, maintenue par la laisse comme elle aime tant.
Nous croisons un jeune couple. La jeune femme nous fait un superbe sourire en nous saluant. Notre particularité doit donner des idées.
Clémentine, fausse "soumise" mais vraie salope, apprécie ces instants de vice intense. A chaque fois, elle m'embrasse en gloussant.
Nous croisons un groupe de marcheurs. Des "séniors" en randonnée. C'est un groupe d'une dizaine d'individus. Etonnements surpris.

Nous sommes sur le chemin du retour, terminant notre boucle. Il est seize heures trente. Le ciel se couvre. Le soleil disparaît vite.
Nous prenons soudain conscience que ce n'est pas l'été. A peine le début du printemps. Nous arrivons à la voiture. Heureux et ravis.
Je propose une visite de Pontarlier. Nous remercions le particulier chez qui nous avons laissé le véhicule. Nous roulons doucement.
Clémentine, assise à ma droite, la main sous sa jupe, se masturbe d'un geste lent et régulier. Je lui dis : < Tu veux un "broutage ? >.
La jeune fille, ravie, me fait : < Oh oui ! >. J'avise un petit chemin qui part sur la droite. < Le coup de la panne ! > me fait-elle...

A genoux dans la voiture, devant le siège passager rabattu, je lèche le clitoris géant de Clémentine. Je me régale des saveurs du jour.
La jeune fille mouille toujours beaucoup. Aussi ma dégustation est abondante et absolument délicieuse. Les parfums m'enivrent vite.
J'arrête à plusieurs reprises. Il est défendu d'emmener Clémentine à un orgasme prématuré. La jeune fille adore rester excitée. Plaisir.
Nous restons un long moment à nous offrir du bonheur. Clémentine me repousse doucement en me disant : < Je vais "exploser" ! >.
Je cesse. Je me relève. Nous reprenons notre route. La visite de Pontarlier est très agréable. Je propose un restaurant en soirée...

Bien évidemment, une belle jeune fille de 20 ans, portant un collier canin, accompagné d'un homme d'âge mûr, attire les regards.
Ce fut encore le cas durant toute notre promenade dans le centre de Pontarlier et surtout au restaurant. La laisse qui pend. Fou !
Nous sommes de retour pour 22 h30. Clémentine m'attire derrière la maison. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur.
Comme tous les soirs, pendant que je rédige cette histoire que je poste le matin, Clémentine révise un peu ses cours. Rentrée lundi.
< J'ai envie de baiser ! > me fait la jeune fille. Il est 23 h30. Nous prenons une douche en nous touchant, en nous caressant. Super !

Bonne visite du Château de Joux à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Faux "Maître" pour fausse "Soumise")

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - © - Mercredi -



Les vacances de Clitorette et de Bitounet - Jura Suck Park 9 - (Suite et Faim) -

Hier matin, mardi, c'est moi qui ouvre l'œil le premier. Je regarde ma montre posée sur la table de nuit. Il est presque huit heures.
Je regarde sur ma droite. En gémissant d'aise, Clémentine est entrain de se réveiller à son tour. < Bonjour Bitounet ! > me dit-elle.
< Bonjour Clitorette ! > que je lui fais. Nous nous faisons plein de bisous en retardant autant que possible notre envie de pisser.
Clémentine se lève, me tire par la main. Nous trottinons jusqu'aux toilettes. Je tiens la jeune fille par ses cheveux. Elle se soulage.
Puis, elle me tient la bite pour en diriger le jet. Nous sommes morts de faim. Nous nous précipitons pour notre petit déjeuner. Joie.

Nous bavardons tout en découvrant les trois messages envoyés par Estelle. Clémentine y répond avec son humour habituel. Sympa.
Nous étudions nos brochures touristiques. C'est notre dernier jour dans ce magnifique Jura. Il y a encore tant de choses à découvrir.
Notre programme de la matinée affiche la visite du musée de l'horlogerie à Morteau. Après-midi, randonnée dans le Val de la Loue.
Après le petit déjeuner nous partons pour notre jogging quotidien. Le ciel est bleu. Il y a du soleil. Hélas, il y a le vent du Nord Est.
Une sensation de fraîcheur a refait sa désagréable apparition. Nous sommes de retour après un running d'une heure. La douche...

Nous nous habillons. Clémentine met sa jupe, ses collants, son pull sous sa veste noire cintrée. Souliers à légers talons. Magnifique.
Moi, je mets mon ensemble en lin clair sur une chemise blanche. Mocassins. Nous décidons de prendre la voiture. Ce sera rapide.
Il n'y a pourtant qu'un peu plus d'un kilomètre. Mais nous avons en perspective de faire quelques courses au supermarché. Bouffe.
Nous voilà en route. < Je me sens encore hyper salope ce matin ! > me fait Clémentine dans la voiture et me tripotant la braguette.
Je me gare dans une rue adjacente à celle où se trouve le Musée de l'horlogerie. Il y a peu de monde. Nous prenons nos billets...

Il est 10 h30. Nous flânons dans les salles. Sous les vitrines nous admirons quantité de rouages, de roues dentées et autres cadrans.
Une jeune femme entre dans la salle. Elle prend plusieurs photos sans prêter la moindre attention à nos présences. Nous observons.
Nous lisons l'historique de certaines pièces rares et impressionnantes. Il y a vraiment des choses magnifiques. Clémentine me touche.
La jeune fille n'arrête pas de me toucher la braguette. Nous rions de bon cœur. Nous changeons de salle. Un couple s'y trouve. Seul.
Des retraités qui chuchotent, observant les vitrines. Comme souvent, c'est encore la femme qui nous regarde d'un air interrogateur.

< Rien à se mettre sous la dent ! > me fait Clémentine. Nous admirons les gravures du XVIIIème qui représentent des horlogeries.
La jeune femme photographe arrive dans la salle à son tour. Elle surprend la main de Clémentine posée sur ma braguette. Réflexe.
La jeune femme esquisse un sourire avant de détourner pudiquement le regard. Je retire la main de Clémentine qui résiste en riant.
Je bande comme un vrai salaud. Ce qui évidemment déforme mon pantalon d'une grosse bosse. Gêne. Clémentine s'en amuse. Joie.
La jeune femme nous surprend à quelques reprises. < Regarde bien, elle mâte dans le reflet des vitrines ! > chuchote Clémentine...

En effet, je constate la révélation que me fait ma compagne. Je bande comme un vrai salaud. Je commence à être excité. Un salaud !
< J'aime quand tu es salaud ! > me chuchote encore Clémentine en descendant la tirette de ma braguette. Et elle y glisse sa main.
< Tu ne vas pas me sortir la bite ici ? > que je lui demande en essayant de retirer sa main. < Et pourquoi pas ? > me répond t-elle !
Je suis obligé d'être autoritaire. Je retire sa main. Je ne veux courir aucun risque inutile. On ne sait jamais. Clémentine se met à rire.
La visite se termine. Direction le supermarché. Nous allons acheter des fruits, du pain, du fromage pour notre départ demain matin.

J'ai tout prévu. J'ai réservé une chambre à l'hôtel du Roi René. Dans le quartier des Batignolles à deux pas de la place de Clichy. Paris.
Nous serons tout prêt de Pigalle et de Montmartre. Nous arriverons gare de Lyon vers quatorze heures. Nous prendrons le taxi. Bien.
Nous y resteront jusqu'à samedi matin. Nous serons de retour chez nous pour quatorze heures. Lundi est férié pour cause de Pâque.
Tout est prévu. Estelle vient passer le week-end avec nous. Elle arrive pour dix sept heures trente. Réjouissances et film personnel.
J'explique tout ça à Clémentine qui connaît mes capacité d'organisations. < Tu es un amour, mon Bitounet ! Je t'aime ! > me fait-elle.

Nous terminons nos courses. Nous sommes de retour à la location pour midi trente. Je prépare des spaghettis. Clémentine la salade.
Après le repas, c'est la vaisselle. Clémentine me semble bien excitée. < J'ai mes petits machins de filles ! > m'apprend t-elle en riant.
Je lui dis : < Ce qui ne m'empêche absolument pas de m'occuper de clitounet, ma Clitorette ! >. Elle m'embrasse en gémissant. Plaisir.
Après la vaisselle, nous voilà en route pour le Val de la Loue. Environ 25 km dans un paysage surprenant sur une route sinueuse. Beau.
Clémentine m'a sorti la bite qu'elle me suce de temps en temps. < Je vais m'occuper de ta queue, tu vas voir ! > me fait Clémentine...

Comme toujours je gare la voiture près de quelques habitations. C'est rassurant. Nous voilà sur le sentier qui monte à la grotte. Loue.
La loue prend sa source dans un endroit mystérieux. Elle apparaît par une ouverture béante dans une paroi rocheuse verticale. Belle.
C'est rapidement une rivière qui s'écoule là. C'est un paysage de toute beauté. Sauvage et pourtant très invitant. Nous marchons bien.
Nous prenons le sentier balisé qui monte sur la droite. Une rambarde métallique permet de se pencher au-dessus du gouffre sans risque.
Nous admirons, enivrés d'une sensation de vertige. Nous sommes à l'abri de ce léger vent de Nord Est. Il fait presque chaud au soleil.

Notre randonnée se décline sur deux heures trente de marche. Une boucle qui nous ramènera à la grotte de la Loue aux eaux noires.
Clémentine relève sa jupe. Elle tire sur sa culotte pour me montrer la ficelle blanche qui pend de son impressionnante, abondante touffe.
Nous rions de bon cœur. < La place est prise jusqu'à samedi ! > me fait la jeune fille avant de rajouter : < Donc ! Pipe obligatoire ! >.
Il y a quelques rares randonneurs. Nous croisons surtout des couples ou des groupes de retraités. Nous sommes mardi. C'est normal.
Il ne se présente aucune opportunités exhibitionnistes. A plusieurs reprises, Clémentine s'accroupit devant moi pour me sucer un peu.

J'ai donc très souvent la bite à l'air sur ce sentier aux charmes enchanteurs. Nous sommes très excités. C'est le dernier jour de Jura.
Au détour d'un amas rocheux, nous découvrons un endroit aménagé. Deux tables de pierres, des bancs et un cabanon de bois. Propre.
Il y a un couple. La trentaine. L'homme nous tourne le dos. La jeune femme, brune, cheveux longs, lunettes, nous adresse un sourire.
Clémentine me propose de nous asseoir un peu pour savourer des pommes. La jeune femme regarde à plusieurs reprises vers nous.
Clémentine me sort une nouvelle fois la bite. Aucun doute, là, sous notre table, de là où se trouve la jeune femme, elle voit ma bite.

Je suis terriblement gêné. Je suis très excité également. Clémentine, évidemment, s'amuse à la fois de mon trouble et de la situation.
Nous voyons le couple bavarder. Pas une seule fois l'homme ne se retourne. La jeune femme garde sans doute ce qu'elle voit secret.
Clémentine se penche sur le côté et se met à me sucer. La jeune femme louche vers nous. Elle semble à présent très gênée. Fellation.
Pourtant, rapidement amusée, elle regarde de plus en plus souvent dans notre direction. Je tiens Clémentine par ses cheveux. Fort.
J'éjacule. Clémentine est surprise. Il est rare que j'éjacule ainsi sans me faire pomper au moins une bonne heure. Je le fais exprès.

Je fixe la jeune femme, bien vicelard. Je lève le pouce de ma main libre comme pour signifier "Super" ! Elle me fait un discret sourire.
Son compagnon est absorbé dans la lecture d'une carte. Une vingtaine de mètres nous séparent. Je force Clémentine à se redresser.
Je me lève. J'agite ma bite dans la direction de la jeune femme tout en tenant Clémentine par ses cheveux pour la forcer à revenir.
La jeune femme détourne le regard. C'est sans doute la première fois de sa vie qu'elle découvre un véritable vicelard. Deux vicieux !
Clémentine est évidemment enchantée de mes initiatives. Elle se remet à me sucer comme si sa vie en dépendait. Un grand moment.

Le couple se lève. Je force Clémentine à se redresser. Je cache ma bite. Enfin l'homme se retourne pour nous lancer un rapide regard.
Ils s'en vont. Je me lève une nouvelle fois, je secoue ma bite dans la direction de la jeune femme qui se retourne deux fois. Emotion.
< J'aime quand tu as ce comportement ! > me fait Clémentine en tentant de reprendre ma bite en bouche. Je l'en empêche. Départ.
Nous reprenons notre descente. < J'en aurais encore ? > me demande Clémentine en arrivant à la grotte. < Promis ! > que je lui fais.
Nous sommes de retour à notre location pour dix neuf heures. Je propose à Clémentine de nous offrir le dernier restaurant dans le Jura.

Nous revenons pour 22 H30. Clémentine m'entraîne derrière la maison. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Net.
Accroupie, la jeune fille, comme une assoiffée, en récupère les dernières gouttes en gémissant. Elle n'a pas cessé de me sucer. Belle.
Clémentine fait la révision de ses cours pendant que je rédige ce texte que je posterai ce matin de mercredi. C'est notre rituel du soir.
Nous sommes couchés pour 23 h30. Je me régale des peaux du clitoris géant de Clémentine. Il y a toutes les saveurs et le fromage.
La pipe que me fait Clémentine est vertigineuse. Elle me bouffe la queue en poussant des petits cris de ravissements. J'éjacule. Fou...

Bonne pipe vicelarde à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Vicelard patenté pour connaisseuses averties) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - © - Jeudi -



Les vacances de Clitorette et de Bitounet - Paris 1 -

Hier matin, mercredi, c'est notre réveil qui nous tire de notre sommeil. Il est 6 h. Deux bises et nous nous levons immédiatement.
Nous avons notre train à Besançon à 8 h29. Pas une minute à perdre. Le pissou, le petit déjeuner, la douche et nous filons. 6 h45.
Nous voilà en route. Nous arrivons à Besançon pour huit heures. Je ramène la voiture à l'agence de location. Tout est en ordre. Bien.
Clémentine me fait : < Merci Bitounet. Ce sont mes plus belles vacances ! >. Je la serre contre moi. Nous sommes sur le quai. Gare.
C'est le TGV 9588 qui va nous emmener gare de Lyon à Paris. Il arrive. Il y a peu de monde sur le quai. Nous prenons place. Sièges.

Hier soir, lorsque nous avons préparé nos valises, nous avons constaté cette impression d'avoir plus d'affaires au retour qu'à l'aller.
Le voyage se passe de manière très agréable. Clémentine répond aux trois messages d'Estelle. Il y a même un message de Juliette.
La cavalière qui nous avait surpris au bord de l'étang lorsque je promenais Clémentine à la laisse. Elle nous souhaite "Bon retour".
Clémentine évoque la rentrée universitaire, mardi prochain. Elle se réjouit car elle aime ses études. La jeune fille a une vie douce.
< Depuis que tu a pris tous les relais dans mon existence, je suis si heureuse ! > me fait-elle en posant sa tête sur mon épaule...

Nous arrivons gare de Lyon pour 10 h45. Nous traînons nos grosses valises sur roulettes le long de l'interminable quai et hall. Taxi.
Nous avisons un taxi qui nous emmène à notre hôtel. L'hôtel du Roi René, place du Dr. Félix Lobligeois. Nous y arrivons à 11 h15.
Lors de mes déplacements dans la capitale, c'est toujours dans cet établissement que je descends. Un endroit très sympathique.
La dame de l'accueil nous reçoit avec un grand sourire. Nous nous connaissons bien. Nous prenons possession de notre chambre.
Au dernier étage avec une vue sur le quartier et ses alentours. Nous nous changeons. Il y a du soleil et il fait plutôt doux. Léger.

Clémentine est vêtue d'une jupe. Un peu froissée. De son pull de coton fin sous sa veste noire cintrée. Des souliers à talons plats.
Je suis vêtu de mon ensemble de lin clair sur ma chemise blanche. Mes mocassins. Je propose à Clémentine un bon restaurant.
Nous marchons. Je montre l'endroit où je venais enregistrer il y a très longtemps, rue des Dames. nous arrivons place de Clichy.
Une dizaine de minutes de marche et nous voilà sur Pigalle. Clémentine ressent ces émotions des provinciaux à Paris. Découverte.
Devant le Moulin Rouge, je prends quelques photographies de la jeune fille. Nous déambulons un peu sur le boulevard. La faim...

Je connais un bon restaurant rue de Douai. J'y ai quantité d'amis qui tiennent là quelques magasins de musique. Nous nous régalons.
Il est déjà treize heures trente. Clémentine est toute heureuse de respirer l'ambiance de cet endroit de Paris. Je lui raconte des trucs.
Quelques anecdotes de ma vie dans la capitale lorsque j'y venais régulièrement par le passé pour mes activités d'artiste. Souvenirs.
Je propose à Clémentine de monter à Montmartre. Nous revenons sur Pigalle, à droite du Moulin Rouge, nous prenons la rue Lepic.
Nous arrivons au moulin de la galette. Nous prenons à droite. Il y a les premiers antiquaires, puis les premières galeries de peinture.

Clémentine va d'enchantements en émerveillements. J'aime la voir si heureuse. A plusieurs reprises elle se serre contre moi. Bisous.
Nous voilà sur Montmartre. La place du Tertre est déjà envahit des tables des bistrots. Heureusement il y a encore les peintres. Art.
Nous nous promenons longuement dans le village. J'emmène Clémentine visiter le Musée Dali. Petit Musée de circonstance. Etrange.
Il n'y a là aucune œuvre du Maître mais quantité de réalisations. Flacons de parfum, reproductions de gravures signées par l'artiste.
Je promets à Clémentine de l'emmener à Port Lligat, en Catalogne, pour visiter la maison Musée de Salvador Dali. Une semaine. Juin.

Nous admirons la vue sur Paris depuis la butte. Nous avons de la chance. La basilique du Sacré-Cœur est ouverte aux visiteurs. Super.
Clémentine prend plein de photographies. Il y a de quoi filmer. Il est rapidement dix huit heures. Je propose une restau à Montmartre.
Nous reposons nos jambes devant un délicieux plateau de fruits de mer. Nous traînons à table. Nous déambulons ensuite dans les rues.
Montmartre, le soir, lorsque la nuit est tombée, connaît une seconde vie. L'animation est assurée par des groupes de touristes. Japon.
En effet, la quantité de touristes asiatiques visitant la butte Montmartre est phénoménale. Nous sommes de retour à l'hôtel pour minuit.

Bonne visite à Paris à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Guide touristique plein d'attentions pour sa visiteuse) -

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Classe - 27 - © - Vendredi -



Les vacances de Clitorette et de Bitounet - Paris 2 -

J'ouvre les yeux. Je regarde ma montre posée sur la table de nuit, à ma droite. Il est huit heures. Je regarde à droite. Clémentine dort.
Nous sommes à Paris. Le bruit de la circulation, quatre étages plus bas, monte jusqu'à notre chambre. Clémentine se réveille. Bisous.
< Bonjour Bitounet ! > me fait la jeune fille en me chevauchant. < J'ai envie de câlins ! > rajoute t-elle en se saisissant de ma bite.
Nous rions de bon cœur. < D'abord pipi ! > me dit Clémentine en m'entraînant aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux. C'est pissou.
Je m'accroupis pour en récupérer les dernières gouttes et savourer les miasmes de la nuit de la jeune fille. La petite ficelle pend là...

A son tour Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Elle s'accroupit pour regarder et en récupérer les derniers épanchements.
Nous retournons au lit. Immédiatement je mets ma tête entre les cuisses de la jeune fille. Je fourre mon visage dans la touffe dense.
Je me régale des saveurs de sa nuit. Je suce, je pompe, je lèche cet impressionnant clitoris déjà bien turgescent. C'est un vrai délice.
Nous devrons en rester au cunnilingus car la pénétration n'est pas souhaitable avant demain samedi. Je reste d'une grande vigilance.
Clémentine déteste avoir des orgasmes trop tôt. Nous restons ainsi un long moment. Nous frôlons plusieurs fois l'extrême limite. Bon.

La jeune fille veut rester excitée pour la matinée. A son tour elle s'empare de ma queue pour en humer les parfums de la nuit. Plaisir.
Doucement, avec sa langue, la jeune fille tente de s'immiscer entre le prépuce et le gland. L'indicible caresse commence. Une fellation.
Contrairement à Clémentine je peux rester à me faire sucer durant des heures. Tout le temps que je veux. Sans éjaculer. Maîtrise.
Je la laisse pomper un petit moment. Je la force à cesser. Je l'entraîne à la douche. Le petit déjeuner est servit jusqu'à neuf heures.
Nous avons tout juste le temps de descendre. Le petit déjeuner de l'hôtel du Roi René est copieux. On peut en reprendre tant et tant.

Nous remontons à la chambre. Il fait beau. Le fond de l'air est légèrement frais. < Le fond de l'air effraie ! > me fait Clémentine. Rires.
La jeune fille est vêtue de son jean. Son sweat-shirt sous sa veste noire cintrée. Ses baskets. Prête à affronter notre longue marche.
Nous adorons déambuler et parcourir la ville à pieds. Il y a tant de choses à voir à Paris. Nous descendons jusqu'à la place de l'Opéra.
Je prends quelques photos de Clémentine devant l'Opéra. Puis nous descendons jusqu'au Musée du Louvre. Il y a beaucoup de monde.
Nous entrons dans la cour du Musée. Je prends quelques clichés de Clémentine devant la pyramide. Elle pose en faisant le clown. Rires.

Nous remontons la rue de Rivoli. Les commerces sous les arcades offrent quantité de choses plus insolites les unes que les autres.
J'achète une chemise à carreaux, très "classe" que je ramènerais à Estelle. Je lui ai déjà acquis une bague taillée dans un onyx noir.
Estelle aura ses cadeaux samedi soir. J'emmène Clémentine dans une boutique tout près de l'hôtel Meurisse. Un peu d'essayage.
Je suis assis devant la rangée de cabines d'essayage. J'ai une patience infinie et j'adore découvrir les vêtements sur la jeune fille.
Je propose à Clémentine de prendre le tailleur qu'elle porte. Une jupe droite, un chemisier blanc et une veste de style blaser. Super !

< Mon premier tailleur ! Et de Paris ! > me fait Clémentine toute contente de notre choix. Nous voilà à trimballer un grand sac papier.
Il fait très agréable. Il est treize heures. Je propose à Clémentine de nous prendre un bon repas. Elle me propose le bord de la Seine.
Casse-croûte. Nous traversons le pont des Arts. Nous remontons le quai Voltaire. Nous achetons des baguettes dans une boulangerie.
Dans une petite épicerie nous achetons des fruits et du fromage. Nous descendons nous asseoir près de l'eau. Il y a plein de monde.
Beaucoup de touristes font comme nous, ils mangent sur le pouce. Nous faisons quelques photos. Nous admirons les bateaux-mouches.

Notre séjour à Paris est beaucoup trop court. Clémentine décline mon offre de visiter le Musée du Louvre ou le Musée d'Orsay proche.
Elle préfère remonter vers l'hôtel puis passer la fin de l'après-midi et la soirée à Montmartre. Je la comprends. C'est tellement sympa.
Sur le retour, je lui fais découvrir les Galeries Lafayette boulevard Haussmann. Nous déambulons dans les étages. Clémentine est ravie.
Je lui choisi un beau pull noir au maillage extraordinairement fin et au col en "V". Nous sommes de retour à l'hôtel pour dix huit heures.
Nous nous changeons en prévision de la fraîcheur du soir. Nous montons sur Pigalle. Nous déambulons jusqu'à la place Pigalle. Fontaine.

Il y a des bus garés qui libèrent des flots de touristes de toutes nationalité. Une majorité d'asiatiques en goguette. C'est impressionnant.
Nous remontons au village de Montmartre. Nous flânons. Là-haut un léger vent de Nord Est apporte une fraîcheur désagréable. Tant pis.
Ce vent ne gâche absolument pas notre plaisir. Nous faisons quantité de photographies dans les fameux escaliers. Clémentine, radieuse.
Notre appétit est aiguisé par tous ces kilomètres qui remplacent bien nos absences de jogging. Nous portons notre choix sur la place.
La place du Tertre est noire de monde. Malgré la fraîcheur, les fumeurs affrontent le climat assis à leurs tables. Téméraires et courageux.

C'est devant un délicieux repas fait de riz, de galettes et d'une omelette copieuse que nous admirons l'extérieur depuis la vitrine intérieure.
Nous évoquons notre séjour dans le Jura. La prochaine découverte que je réserve à Clémentine, une semaine en juin, sera la Catalogne.
Depuis que je lui ai fait découvrir le travail de Salvador Dali, le Maître Catalan est devenu le peintre contemporain préféré de la jeune fille.
Cet été, en juillet, pour notre voyage en Ecosse, je lui ai promis de l'emmener à Glasgow au Muée Kelvingrove pour y voir une merveille.
En effet, le fameux "Christ de Saint-Jean de la Croix y est exposé depuis 1951. L'écosse sera une grande découverte pour Clémentine...

Nous revenons à l'hôtel pour minuit. Nous avisons une arrière cour juste quelques maisons avant. Clémentine m'y entraîne. Chef-d'œuvre.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre une porte en bois fermée. Sans doute un local poubelle. Le dessin est de toute beauté.
D'une main virtuose, Clémentine tente de représenter un personnage fantasmatique. Un jet de pisse net, précis, aux lignes épurées.
Nous sommes enfin dans notre chambre. Fourbus, épuisés avec les jambes qui nous font un peu mal. Une bonne nouille de sommeil.
Nous nous offrons quelques douceurs, quelques papouilles avant de plonger dans l'inconscience d'un sommeil régénérateur et nécessaire.

Bonne visite de Montmartre à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Guide parisien pour jeune provinciale) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - © - Samedi -



Les vacances de Clitorette et de Bitounet - Paris 3 - (suite et faim) -

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons presque en même temps. Clémentine me chevauche en riant. Il est déjà huit heures.
Nous n'avons pas l'habitude d'entendre le bruit de la circulation sous nos fenêtres. C'est sans doute ça qui nous a bien réveillé.
< Pipi ! > s'écrie Clémentine en m'entrainant aux toilettes. Je tiens la jeune fille par ses cheveux. Elle se soulage d'un long jet.
J'en goûte et j'en savoure les miasmes de sa nuit. Puis c'est au tour de Clémentine de me la tenir pour en diriger le jet. Rigolo.
Nous prenons notre douche. Le ciel est gris. Le fond de l'air "effraie" comme le précise la jeune fille. Nous nous habillons. Chaud.

Le petit déjeuner de l'hôtel du Roi René est copieux. Il y a plein de monde. Nous détestons toute forme de promiscuité. Pénible.
Nous remontons à la chambre. Clémentine est vêtue de sa jupe carmin, collants noirs, d'un pull sous sa veste noire cintrée. Belle.
J'aime lorsqu'elle se chausse de ses souliers marrons de ville à talons plats. Comme elle est grande cela sublime sa silhouette.
Moi, je porte un jean, un sweat-shirt sous ma veste noire. Je suis chaussé de mes mocassins. Je fais venir un taxi devant l'hôtel.
Notre programme de la matinée sera l'esplanade du Trocadéro et visite de la Tour Effel. Nous n'avons pas l'envie de marcher...

Nous arrivons au Trocadéro pour neuf heures trente. Malgré le désagréable vent frais, il y a beaucoup de monde. Des couples.
Nous faisons des photographies. Un vieux monsieur très élégant nous propose de nous photographier tous les deux. Superbe !
Clémentine, avec son exubérance naturelle, ne peut s'empêcher de faire la clown sur nombre de clichés que je prends d'elle. Joie.
En fond, il y a la Tour Effel. Nous allons prendre nos billets. Nous voilà dans l'ascenseur qui nous mène au premier étage. Haut.
Nous sommes tous les deux sujets au vertige. Aussi, il nous faut surmonter cette sensation avant de pouvoir apprécier la vue...

Parfois, discrètement, et pour conjurer la sensation désagréable du vertige, Clémentine me touche la braguette. C'est amusant.
Nous montons au troisième étage. Nous sommes à la limite de la nausée à cause de ce maudit vertige. La vue est fantastique.
Là-haut, il y a du monde. Le vent souffle en gâchant le plaisir. Clémentine a même sorti son bonnet en laine. Nous admirons.
A nos pieds, toute la capitale s'étend jusqu'à l'horizon de toutes parts. Nous faisons quelques photos. Nous observons un peu.
Cette désagréable sensation de vide vertigineux nous oblige à abréger notre présence à cette altitude. Exactement 276 mètres.

Enfin nous voilà de retour sur notre bonne vieille terre. Il semble faire meilleur. Clémentine a retiré son bonnet. Nous marchons.
Nous déambulons dans les jardins du Trocadéro. Il y a vraiment beaucoup de touristes et de promeneurs. Nous décidons de filer.
J'entraîne Clémentine. Nous traversons la Seine. Nous prenons le quai Branly. Puis la fameuse rue de l'Université. Sympathique.
Je montre la maison où ont vécu Gala et Salvador Dali dans leur période parisienne du début des années trente. Lieu anonyme.
Nous remontons jusqu'à Montparnasse. Nous visitons l'église Saint-Bernard. Il y a là une cérémonie ou quelque chose de similaire.

Il est treize heures. Nous avons faim. Plutôt que d'aller au restaurant, Clémentine me propose un repas sur le pouce. Bord de Seine.
Il y a tant de petites épiceries de quartier partout à Paris que nous avons l'embarras du choix. Baguettes, fruits et fromages. Joie.
Nous retournons sur les bords de la Seine. Il y a quelques séquences ensoleillées. Nous voilà à regarder les bateaux-mouches.
Nous dégustons ce frugal repas en appréciant chaque instant. Il fait presque doux au soleil. Nous sommes à l'abri du vent. Sympa.
Nous restons là un long moment. Il y a tant d'animation. A côté de nous il y a deux jeunes qui jouent de la guitare. Du jazz. Blues.

Nous décidons de remonter le boulevard de l'Opéra. Nous reprenons le même chemin que hier mais en marchant doucement. Plaisir.
La circulation est dense. Nous évoquons le silence et la solitude de notre belle campagne qui commencent doucement à nous manquer.
< Je suis contente de rentrer demain ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. < Merci pour ces vacances ! > me fait-elle.
< Mes vingt ans resteront dans ma mémoire pour toujours ! > me chuchote la jeune fille. Je la serre très fort. Nous restons ainsi.
Je murmure : < Et tu ne sais pas encore ce que je te prépare pour tes 21 ans ! > Nous rions de bon cœur. < Je t'aime ! > dit-elle.

Nous arrivons à l'hôtel. Il est seize heures. Clémentine est assise sur le lit. Je me mets à genoux entre ses jambes. Tentation. Joie.
L'occasion est trop bonne. La jeune fille se lève, descend ses collants noirs et sa culotte. Je me régale des saveurs de sa journée.
Clémentine est allongée sur le dos. Elle pousse des gémissements de plaisir. Je suce et je lèche ce clitoris géant. Un vrai délice. Bon.
Malgré mes précautions, la jeune fille ne peut empêcher un orgasme qui lui arrache un long râle. Je viens m'allonger à ses côtés.
Nous nous racontons plein de douceurs, de projets et de secrets. Il est dix sept heures. Clémentine veut remonter à Montmartre...

Cette fois, nous nous habillons plus chaudement. Clémentine est en jean, pull. Chaussée de basquets, la voilà prête pour monter.
Nous reprenons le chemin habituel. Place de Clichy, Pigalle puis la montée au village de Montmartre. C'est notre endroit préféré.
L'endroit devient presque familier à Clémentine qui m'entraîne à son tour. J'aime lorsque la jeune fille reprend ses initiatives. Bien.
Nous déambulons à nouveau dans le village. Il y a toujours autant de monde. Nous choisissons notre restaurant. Nous réservons.
Nous allons au Sacré-Cœur. Cette fois l'accès y est impossible. Par contre on peut visiter le jardin des Carmes. Le lieu des moines.

Nous revenons au restaurant pout vingt heures. Un plateau de fruits de mer qui régale nos palais. Nous dégustons en bavardant.
Demain matin, nous avons notre train à neuf heures. Nous serons de retour pour treize heures. Réjouissances pour ce retour.
Nous flânons encore à Montmartre qui restera le meilleur souvenir de Paris pour Clémentine. Nous rentrons à l'hôtel pour minuit.
Sur le chemin, Clémentine avise une arrière cour. Elle m'y entraîne. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre une cloison.
La jeune fille secoue consciencieusement les dernières gouttes avant de s'accroupir pour en savourer les derniers épanchements.

Bonne visite de Montmartre à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Heureux de retrouver bientôt sa maison) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - © - Dimanche -



Le retour

Hier matin, samedi, nous sommes tirés de notre sommeil par le réveil. Il est sept heures. Tout va très vite. Quelques bisous.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. C'est nos rituels pisseux. Nous prenons notre douche. Toutes nos affaires sont prêtes.
Nous descendons pour prendre notre petit déjeuner. Il y a déjà du monde. Pour ce week-end de fêtes, il y a de l'affluence.
Avant de remonter, je vais à l'accueil de l'hôtel afin de faire venir un taxi. Nous avons juste le temps de monter à la chambre.
Nous redescendons avec nos encombrantes valises à roulettes. Direction gare Montparnasse. C'est l'heure du retour. 8 h30...

Nous arrivons chez nous pour treize heures trente. Nous avons fait bon voyage. L'odeur de la maison est fraîche et agréable.
Nous avions tout bien nettoyé avant de partir. Nous découvrons un mot d'Estelle déposé sur la table de la cuisine. Nous lisons.
"Bonjour. Je suis passé tous les soirs pour aérer et voir si tout était en ordre". Nous sommes touchés par cette belle attention.
Estelle mérite bien les cadeaux que nous lui avons ramené. Elle vient en fin d'après-midi pour 18 h et reste jusqu'à demain.
Nous nous changeons. Clémentine se serre dans mes bras pour me remercier, une fois encore, pour ce cadeau d'anniversaire.

Nous n'avons qu'un premier désir. Faire un bon jogging. Le temps est gris, menaçant mais le sol est sec. C'est une météo idéale.
Nous voilà à courir le long de la rivière. Ce running qui nous a tant manqué depuis trois jours arrive comme une bénédiction. Joie.
Nous sommes de retour pour quinze heures. Une bonne douche. Il est temps d'aller faire nos courses. Remplir le réfrigérateur.
Nous faisons provision de légumes et de fruits frais au marché dont les commerçants sont entrain de remballer. Il était temps.
Puis nous allons au supermarché. Je pousse le caddie. Nous reprenons rapidement tous nos repères. C'est bien aussi le retour...

Nous rentrons pour dix sept heures. Ce soir nous allons nous régaler d'une bonne flamiche Picarde. Délicieuse tarte aux poireaux.
Clémentine décide de rester en jupe. Elle retire ses collants. Ses petits seins pointent sous son pull. Elle porte rarement un soutif.
Moi je reste en jean et en sweat-shirt. Nous préparons ce qu'il faut pour le repas du soir en déposant les ingrédients sur la table.
Trois coups de sonnettes. Clémentine va ouvrir. Estelle entre à la cuisine. Son sourire est éclatant. Son visage est radieux. Belle.
< Bonjour Oncle Julien ! Comme je suis contente de vous revoir tous les deux, ça commençait à faire long ! > me fait-elle. Ravie.

Estelle me serre la main. Trois bises Bretonnes. J'entraîne Estelle au salon. Sur la grande table monastère il y a deux paquets posés.
Je fais à la jeune fille : < Il faut les ouvrir ! >. Clémentine passe son bras autour de ma taille et me serre. Nous regardons Estelle.
Cette dernière ouvre le petit paquet d'abord. Elle découvre la bague taillée dans un bel onyx noir acquise au musée de Saint-Claude.
Estelle passe la bague à son annulaire. C'est comme si elle était taillée pour elle. Il faut dire que Clémentine a les mêmes doigts fins.
Puis la jeune fille ouvre le grand paquet. Elle découvre la chemise à carreaux bleus que j'ai trouvé dans une boutique rue de Rivoli.

C'est une véritable effusion. Estelle s'écrie : < Oh merci tous les deux ! Comme je suis heureuse ! >. Estelle me fait plein de bisous.
Nous restons assis au salon. Nous racontons nos séjours dans le Jura et à Paris. Estelle écoute. Enchantée par nos amusants récits.
Je lui propose de découvrir nos aventures, à Clémentine et à moi, sur le forum car, chaque jour, comme dans un journal, j'ai tout relaté.
Clémentine allume l'ordinateur du bureau. < Viens voir ! > fait-elle à l'attention d'Estelle. < Je lirais tout ça demain ! > fait Estelle.
Estelle est vêtue d'une de ses sempiternelles chemises à carreaux, d'un jean et reste chaussée de ses baskets. Etudiante. Jeune fille.

Il est 18 h30. Estelle se propose de préparer la pâte pour la tarte aux poireaux. Clémentine s'occupe de la salade. Je lave les poireaux.
Les deux jeunes filles évoquent la rentrée universitaire de mardi. Elles aiment bien leurs études. Elles sont à se réjouir. J'écoute amusé.
Estelle vient tout près de moi et me montre le "chouchou" qu'elle vient de sortir de la poche de son jean. C'est un élastique à cheveux.
La jeune fille me tourne le dos et attache ses cheveux en queue, en hauteur. Elle s'accroupit. C'est le signal. Les festivités commencent.
Je pose ma main sur sa nuque. Il y a une émotion. Cela fait presque deux semaines. Estelle pousse un profond soupir de contentement.

Clémentine s'approche. Elle passe derrière moi pour m'ouvrir la braguette et en extraire mon Zob turgescent. Je bande comme un salaud.
C'est Clémentine qui frotte bien ma bite contre la peau délicate de la nuque d'Estelle. Nous reprenons les choses où nous les avons laissé.
Estelle se met à genoux. Sa tête penchée en avant. Je tiens sa nuque fermement. Je la force à se mettre à quatre pattes. Gémissements.
Parfois Estelle lève la tête pour me lancer un regard plein de reconnaissance. Tout cela semble tant lui avoir manqué cruellement. Plaisir.
Clémentine s'empare du collier canin. Je lâche Estelle qui se redresse. Je la tire par ses cheveux pour la forcer à se lever. La voilà debout.

Clémentine fixe le collier au cou d'Estelle. Elle y fixe la laisse en lui racontant nos promenades dans le Jura. Lorsque je la tenais à la laisse.
Clémentine me fixe dans les yeux avec une rare intensité. J'invite les deux filles à continuer la préparation de notre repas du soir. Bouffe.
Nous faisons tout rapidement et avec méthode. Estelle met la tarte aux poireaux au four. Nous avons 40 minutes de vice pur devant nous.
Je vais aux toilettes. Clémentine me rejoint en tenant Estelle à la laisse. Estelle est debout à ma droite. Clémentine à ma gauche. Je pisse.
Estelle observe avec une grande attention. Je lâche plusieurs petits jets. Clémentine appuie sur la tête d'Estelle pour la forcer à se pencher.

Estelle s'accroupit pour mettre son visage tout près de ma bite. Il m'est difficile de pisser en bandant autant. Clémentine me la tient fort.
Elle en dirige le jet contre le bas. C'est presque douloureux. La contrainte est forte. Clémentine s'accroupit à son tour. Son visage tout près.
Entre chacun de mes jets, Clémentine me suce. Estelle, comme hallucinée, observe. En apnée, retenant son souffle, elle semble excitée.
Clémentine cesse de me pomper et tend ma bite en direction du visage d'Estelle qui a son mouvement de recul habituel. C'est émouvant.
Je saisis Estelle par ses cheveux. Sans ménagement mais sans brutalité j'approche son visage à quelques centimètres de ma queue. Pisse.

Estelle, avec une force rare, tente de se soustraire à mon étreinte. Elle vient chercher ses petites frayeurs. Je les lui offre volontiers. Soin.
J'arrive, assez sournoisement, je dois le reconnaître, à lui lancer un jet de pisse en plein visage. Ecœurée, la jeune fille lutte. Puissamment.
Clémentine que tout cela excite considérablement se met à me pomper comme si sa vie en dépendait. Estelle, le visage ruisselant de pisse.
Nous sommes évidemment tous les trois au comble de l'excitation lorsque la sonnerie du four nous rappelle aux réalités prosaïques. Faim.
Je force Clémentine a cesser sa pipe juteuse. Elle a ce mélange foutre-pisse qui macule tout le bas de son visage de gourmande invétérée.

Je prends du papier cul que je déroule du rouleau pour en tendre un bout à chacune. Estelle, le regard si plein de reconnaissance, s'essuie.
Je tiens les deux salopes par leurs cheveux pour les entraîner à la cuisine. Clémentine remue la salade. Estelle sort la flamiche de son four.
Je mets la table. Nous avons peine à reprendre nos esprits. Nous prenons soudain conscience, tous les trois, de notre addiction au vice. Joie.
Nous mangeons toutefois d'un bon appétit. Deux fois je me lève pour venir poser ma main sur la nuque d'Estelle. J'appuie avec fermeté.
La jeune fille a presque le visage dans son assiette. Je cesse. Je sors ma bite que je frotte sur sa joue avant de la passer sur sa bouffe...

Estelle repousse son assiette en s'écriant : < C'est dégueu ! >. Clémentine lui fait : < Peut-être ! Mais qu'est-ce que ça ta manqué ! >. Rires.
Je tiens à présent fermement Estelle par ses cheveux. Je m'empare de sa fourchette et je la force à manger. Enfin, écœurée, elle s'y résigne.
Nous terminons notre repas. Nous faisons notre vaisselle. Nous bavardons. Nous avons tous les trois cette faculté de passer du coq à l'âne.
Clémentine nous laisse pour aller au salon. La caméra est fixée sur son trépieds. Estelle s'approche de moi et me murmure : < Génial ! >.
Je sais bien maintenant que la jeune fille aime nos jeux. Rien ne lui plaît davantage que de jouer à la vierge effarouchée. Vierge elle l'est !

Son visage tout près du mien, son regard par en-dessous, Estelle a la bouche entrouverte. Je sais que c'est une invitation à l'embrasser.
Clémentine me la formellement interdit. Et jamais je n'irais à l'encontre des exigences bien légitimes de ma compagne. C'est tout à deux.
J'entraîne Estelle par la laisse. Clémentine était d'ailleurs sur le pas de la porte à nous surveiller. A me surveiller. Nous passons au salon.
La caméra tourne. La chaise est posée au milieu de la pièce. Les cordelettes de coton blanc sont prêtes. Au sol. Je force Estelle à s'assoir.
Clémentine lui fixe les chevilles et les bras derrière le dos. Le dossier de la chaise, entre les cuisses écartées, Estelle semble enchantée...

Les saloperies vont pouvoir reprendre de plus belle. Pour notre plus grand plaisir. Je suis debout devant Estelle. Ma bite devant son visage.
Clémentine lui maintient fermement la tête. Je passe mon sexe sur le visage d'Estelle en insistant tout particulièrement sur sa bouche.
La jeune fille a la mâchoire crispée. Les lèvres fermement serrées. Elle tente de se soustraire de l'étreinte de Clémentine. Peine perdue.
Nous restons ainsi un long moment. Je pince le nez d'Estelle. Pour respirer la petite salope n'aura pas d'autre choix que d'ouvrir la bouche.
Estelle comprend rapidement la stratégie. Elle se débat avec l'énergie d'un désespoir de circonstance. Tout cela n'est que le jeu qui l'affole.

Je ne veux toutefois pas aller contre la volonté de la jeune fille. Je me contente de lui procurer la frayeur souhaitée. Je me retire à temps.
Estelle peut enfin respirer à nouveau. Elle reprend son souffle. C'est sonore, puissant et impressionnant. Clémentine vient s'accroupir.
Je bande comme un priapique intraitable. Clémentine suce le jus qui ruisselle depuis le bout de mon méat trempé. Je coule beaucoup.
Estelle a enfin repris sa respiration normale. Elle me fixe d'un regard plein de reconnaissance. Elle a eu sa profonde dose de peur. Trouille.
Nous restons ainsi longuement. Mes lombaires, à cause de ma position, provoquent une légère douleur. Clémentine est à genoux. Coussin.

L'indicible caresse de Clémentine me propulse dans un univers de délices. Estelle observe tout cela avec ravissement. La caméra filme tout.
Je me dis qu'il serait bien agréable d'éjaculer par surprise au visage d'Estelle qui sait que cela finira par lui arriver. Mais quand ? Mystère...
Je lui pince le nez. A nouveau Estelle arrive aux limites de la suffocation. En même temps que je lui lâche le nez, elle ouvre la bouche. Je jute.
Mon sperme, d'un premier jet puissant, est projeté dans la cavité buccale de la jeune fille qui suffoque sous la surprise. Et la quantité. Foutre.
Elle tente de cracher. Le sperme est tellement loin dans sa gorge qu'elle n'a d'autre choix, pour ne pas se noyer, que d'avaler. Petite salope.

Son regard est à présent lourd de reproche. Clémentine, les yeux ouverts pour ne rien perdre de ce sublime spectacle me suce en gémissant.
Nous repartons pour un second tour. Estelle a enfin réussi à se vider la bouche. En déglutissant malgré elle et en recrachant ce qu'elle pouvait.
A présent, entre deux toussotements, Estelle regarde l'objectif de la caméra. Du foutre ruisselant de sa bouche qu'elle ne peut pas essuyer.
< Tu vas pouvoir te branler des soirées entières en regardant le film et en te souvenant de ce qui vient encore de t'arriver ! > que je lui dis.
Nous restons un long moment ainsi. A plusieurs reprises Clémentine cesse sa pipe. Tant pour reposer sa mâchoire que pour secouer ma bite.

Je pince le nez d'Estelle une nouvelle fois. Cette fois-ci, la jeune fille sait très exactement ce que je lui prépare. Elle se débat avec énergie.
D'une main je tiens ses cheveux pour la forcer à rester près de ma queue. De l'autre je pince son nez. Je me concentre. Clémentine sait.
Quelle n'est pas ma surprise soudaine. Estelle ouvre la bouche en grand. Je cesse de boucher son nez. Elle reste ainsi, bouche grande ouverte.
Je n'en crois pas mes yeux. Clémentine cesse de me sucer et dirige ma bite vers la bouche d'Estelle. J'éjacule comme le dernier des vicelards.
Pas besoin de maintenir la tête d'Estelle qui se laisse inonder la bouche de mon sperme épais, jaunâtre et visqueux. Mon orgasme est terrifiant.

Mon corps est secoué de plusieurs spasmes. C'est délirant. Estelle me fixe dans les yeux en me montrant l'intérieur de sa bouche dégoulinante.
Clémentine est aussi surprise que moi. Elle s'attend à ce qu'Estelle lui recrache ma substance dans la bouche. Non, Estelle avale. Déglutit. Fou.
Estelle, en déglutissant fixe l'objectif de la caméra. Clémentine se lève pour voir si tout a été filmé. Chance. Il ne reste que quelques minutes.
Je détache Estelle en la félicitant pour ce véritable tour de force. La jeune fille, terriblement gênée fuit mon regard. Le jeu semble terminé.
Clémentine nous entraîne au dehors. Derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. En suce les dernières gouttes.

Nous retournons à l'intérieur. J'écris ces lignes que je posterais demain matin, dimanche. Estelle et Clémentine sont assises dans le canapé.
Il est vingt trois heures. Nous sommes fourbus, épuisés. Nous montons nous coucher. Au lit, je tente bien de brouter. Clémentine s'endort...

Bonne soirée de vice à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Vicelard de rêve pour salopes gourmandes) -

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Classe - 30 - © - Lundi -



Estelle passe le dimanche avec nous

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par une sensation de fraîcheur. J'entends des murmures et des rires étouffés.
J'ouvre les yeux, je regarde sur ma gauche. Clémentine et Estelle font les clowns en observant mon Zob. Zob qui les fait rire !
< Bonjour Bitounet ! > me fait Clémentine en me chevauchant. Elle me chatouille, me fait des papouilles et plein de petits bisous.
< Bonjour Oncle Julien ! > me lance Estelle en restant distante. Je regarde ma montre posée sur la table de nuit. Il est huit heures.
Estelle se lève en nous faisant : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. Clémentine répond : < On te rejoins tout de suite ! >

Clémentine se lève et m'entraîne aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Je la tiens par ses cheveux. Elle se lâche d'un long jet. Net.
Je m'accroupis pour en récupérer les dernières gouttes. Les parfums de la nuit de Clémentine m'enivrent toujours agréablement.
A son tour la jeune fille me tient la bite pour en diriger le jet. Elle en secoue les dernières gouttes avant de s'accroupir en gloussant.
Clémentine en récupère les derniers épanchements. Je la laisse sucer un petit instant. Je la force à se redresser. Nous descendons.
Tout est prêt sur la table de la cuisine. Estelle fait griller des grosses tranches de pain complet. Le fumet du café nous enchante...

Nous nous régalons de ce copieux petit déjeuner tout en bavardant et en riant. Les deux filles évoquent évidemment leurs études.
La brioche est un délice. Nous relatons encore quelques détails de nos séjours dans le Jura et à Paris. Nous avons plein de photos.
Nous les ferons découvrir à Estelle qui écoute nos anecdotes avec un grand intérêt. Nous faisons la vaisselle. Le temps est très gris.
Clémentine et moi, nous sommes simplement vêtus de nos T-shirt de nuit et de grosses chaussettes. Ce qui fait rire Estelle. Amusée.
Estelle est vêtue du pyjama japonais à Clémentine. Nous échangeons quantité de plaisanteries sur nos tenues respectives. Plaisir...

Faire le ménage ne s'impose absolument pas puisque tout est resté propre. Durant notre absence, Estelle n'a pu s'empêcher de sévir.
Clémentine entraîne Estelle au salon. Là, derrière le bureau, les deux filles sont devant l'ordinateur. Je viens voir ce qu'elles regardent.
Clémentine propose à Estelle de découvrir nos périples sur ce forum. < Super ! On dirait votre journal ! > fait Estelle admirative. Joie.
Nous montons à l'étage pour faire le lit et la chambre. Devant le miroir de la salle de bain, nous nous lavons les dents. En rigolant.
Nous nous habillons en prenant conscience de la fraîcheur de ce dimanche matin. Clémentine se serre contre moi pour m'embrasser.

Je la soulève. Je la fais tourner. J'aime la savoir heureuse, détendue et toujours si sereine. < On se fait une balade ? > me fait elle.
Je trouve l'idée formidable. Nous regardons par la fenêtre. Tout est sec. Le ciel est gris et lourd. Il faudra s'habiller bien chaudement.
Je prends Clémentine sur le dos. Nous descendons l'escalier. Nous arrivons au salon. Estelle est absorbée dans sa lecture. Concentrée.
< Superbe ! Vous avez du vous éclater tous les deux ! > nous fait Estelle. Elle allume son ordinateur personnel et y glisse sa carte SD.
A présent Estelle veut découvrir le film que nous avons réalisé hier soir. Pour éviter tous risques, prudente, Estelle a son propre ordi.

Nous découvrons les premiers instants du film. C'est absolument superbe. L'image est d'une précision "HD". C'est du très bon boulot.
Parfois, pour une raison qui nous échappe, les choses se font toutes seules. Estelle termine le téléchargement sur son disque dur privé.
Ainsi, rien ne traîne nul part. Estelle réalise ses films pour son seul plaisir. Il n'est évidemment pas question de les rendre publiques.
< Je fais des montages chez moi, je vous ferais voir une prochaine fois ! > nous fait Estelle en terminant d'effacer la carte SD. Vide.
Elle se lève pour monter se changer. Clémentine se serre contre moi pour me chuchoter : < Elle se branle le soir devant ses films ! >

Estelle revient. Elle s'est revêtue de la chemise que nous lui avons ramené de Paris. < Elle est hyper "Classe " ! > nous dit-elle. Ravie.
C'est vrai que cette chemise lui va à ravir. Elle nous montre la bague qu'elle porte à l'annulaire. < Elle est superbe ! > nous fait-elle.
Je laisse les deux filles pour aller aux toilettes. Avant de partir en balade, il faut être prévoyant. C'est comme avant un pique-nique.
Je suis entrain de pisser. La porte s'ouvre. Clémentine tient Estelle par ses cheveux. Elle la maintiens fermement sur ma droite.
< Je vous laisse !> fait Clémentine en sortant des WC. Estelle reste à mes côtés. Elle est toute timide. Je la saisis par la nuque. Fort.

Estelle n'oppose aucune résistance. Ces yeux ont une expression de ravissement qu'elle ne peut dissimuler. Je pourrais l'embrasser.
Je bande comme un vrai salopard. Je tiens ma bite de la main gauche. Je tiens la nuque d'Estelle de la main droite. Un profond silence.
Je regarde derrière moi. Par la porte entre baillée, je vois Clémentine qui observe. Je sais que cette attitude a un peu valeur de test.
Clémentine sait que je n'entreprends jamais rien sans son aval, sans son accord et surtout sans sa présence. Le besoin d'être rassurée.
Cette attitude toute féminine m'enchante. Clémentine vient nous rejoindre. Elle m'embrasse longuement comme reconnaissante. Joie.

Nous sortons des toilettes. C'est moi qui entraîne les deux filles par leurs cheveux. Nous nous vêtons chaudement. Nous sortons. Balade.
Il fait frais. Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Clémentine me tient par la main. A plusieurs reprises elle se serre contre moi.
Estelle me lance quelquefois de curieux regards. Souvent vicelards. Par en-dessous. Près du mirador, je m'arrête. J'ouvre ma braguette.
Debout devant les deux filles, je secoue ma bite. Clémentine me regarde amusée et interrogative. Estelle me fait de délicieux sourires.
Je me branle doucement. Estelle a posé sa main sur son sexe, entre ses cuisses. Rapidement elle glisse sa main dans son jean. Branle...

Je demande à Estelle : < Tu fais ça tout le temps, hein ? >. Estelle reste silencieuse. Je vois simplement sa main bouger dans son jean.
Clémentine que tout cela excite toujours considérablement s'accroupit à côté de moi. Elle enserre ma cuisse de ses bras. C'est le silence.
Nous reproduisons cette situation à plusieurs reprises sur le parcours de notre promenade. Une promenade qui nous met en appétit. Faim.
Nous prenons le chemin du retour. Nous sommes tous les trois très excités. Pas l'ombre d'un doute. Il est 11 h lorsque nous revenons.
Nous nous décidons pour un bon gratin de coquillettes. Ce sera rapide. Nous préparons tout avec méthode. Nous surmontons l'excitation.

A plusieurs reprises je sors ma bite pour la secouer devant Estelle que cela enchante. A présent la jeune fille ne cache plus ses troubles.
Clémentine qui voit de la jute qui pointe à l'extrémité de mon méat, s'accroupit à plusieurs reprises pour me sucer. Récupérer le jus.
Clémentine a préparé la salade. J'ai préparé la sauce aux champignons. Estelle a enfourné le gratin. Nous avons trente minutes de vice.
Je me fais sucer par Clémentine. Je suis assis sur la table. Clémentine est assise sur une chaise. Estelle est debout devant moi. Sourires.
Estelle, la main fermée devant sa bouche, fait une bosse de sa langue contre l'intérieur de sa joue. Elle me fait des clins d'œil. Vicieuse.

Clémentine se régale des sécrétions abondantes causées par mon excitation. Nous pouvons l'entendre gémir. Estelle se penche pour voir.
Je saisis les cheveux d'Estelle pour attirer son visage près du mien. Elle ouvre sa bouche. J'ai l'envie folle de l'embrasser. Elle attend ça.
Je me contente de cracher dans sa cavité buccale. Surprise, Estelle détourne la tête en déglutissant ma salive. Clémentine cesse sa pipe.
Elle lève la tête pour voir ce qui se passe au-dessus d'elle. Je lui tiens fermement la nuque pour la forcer à retourner à sa fellation. Jus.
C'est la sonnerie du four qui nous rappelle aux réalités. Nous cessons nos petits jeux. Je mets la table. Clémentine remue la salade...

Notre repas est délicieux. Deux fois je me lève pour venir saisir Estelle par sa nuque. Je lui passe la bite sur le visage. Elle se laisse faire.
Clémentine mime une masturbation masculine en montrant l'assiette d'Estelle qui s'écrie : < Non, pas ça ! >. Je me branle doucement.
< Si vous faites ça, je m'en vais ! > fait Estelle en se dégageant de mon étreinte. Elle semble vraiment sérieuse. Je cesse pour m'assoir.
Estelle me regarde à plusieurs reprises avec sévérité. Nous terminons notre repas. Puis c'est la vaisselle. Estelle fuit mon regard. M'évite.
Comme souvent, impossible de savoir si c'est par jeu ou si c'est sincère. Dans le doute, je reste dans une certaine réserve. Petite salope.

Nous passons au salon. Estelle est vautrée dans le fauteuil. Clémentine et moi, nous sommes vautrés sur le canapé. C'est le dessert.
Devant nos coupes de glace, nous bavardons. Je me lève pour me mettre debout devant Estelle. Ma braguette ouverte devant le visage.
Je sors ma bite. Je saisis la coupe de glace vide et j'y passe ma queue. La bite pleine de vanille, de pistache et de pralin, je la secoue.
Estelle a son réflexe de recul. < Goûte ! > lui fait Clémentine qui vient nous rejoindre, accroupie à ma droite. Son visage tous près.
Estelle me fixe. Clémentine se saisie de ma queue pour en lécher les crèmes. Estelle observe, plutôt amusée, Clémentine se régale...

Je caresse le visage d'Estelle d'un mouvement délicat. La jeune fille, absolument ravie, se laisse faire. Clémentine se met à me pomper.
A plusieurs reprises je sors ma bite de la bouche de Clémentine pour la pointer vers le visage d'Estelle. Elle me fait de délicieux sourires.
Je n'en crois pas mes yeux mais à chaque fois que je sors ma queue de la bouche de Clémentine, Estelle ouvre la sienne. En très grand.
Cette petite salope me fait comprendre ce qu'elle désire. Ce qu'elle a vécu hier soir. Le goût du sperme qu'elle a découvert hier soir.
Je me saisis des cheveux d'Estelle. Je n'ai nul besoin d'attirer son visage. C'est elle qui se rapproche, bouche grande ouverte. J'éjacule.

Estelle se laisse juter dans la bouche sans aucun de ses réflexes de recul habituels. Elle reste ainsi, bouche ouverte, à me fixer. Salope.
Je vois la quantité de foutre que la jeune fille me montre. Clémentine a repris ma bite en bouche. Elle me suce avec avidité. Vertiges.
Estelle referme sa bouche. Elle ne baisse pas ses yeux. Avec un air de défi, la jeune fille savoure mon foutre sans l'avaler. Longuement.
Finalement, avec un air d'écœurement Estelle avale. Elle secoue la tête comme dégoûtée. Elle regarde la pipe que continue Clémentine.
Je me concentre. Estelle revient tout près. Je me retire, la bite à moitié molle. Estelle ouvre la bouche une nouvelle fois. Cela m'excite.

Nous repartons pour un second tour. Je suis obligé de me retirer de la bouche de Clémentine. La situation est devenue inconfortable.
Je l'entraîne sur le canapé. Nous nous accordons une pause. Il est déjà 15 h30. Estelle me fait un signe, le pouce de sa main dressé.
Clémentine lui demande : < C'était bon ? >. Estelle un peu gênée, ne répond pas. Son silence parle pour elle. C'est si nouveau. Si neuf.
Nous restons ainsi un long moment à bavarder. Nous évoquons la possibilité d'un nouveau film samedi prochain. Estelle aimerait bien.
< Tu vas te constituer une belle collection ! > lui lance Clémentine. Estelle nous propose de repasser demain soir, lundi de Pâques...

< Je passe les fêtes en famille, mais je peux me libérer entre 18 h et 22 h ! > nous précise Estelle. < Une bonne idée ! > fait Clémentine.
Ma compagne nous entraîne au dehors, derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Un jet net et précis.
Comme toujours, terriblement gourmande, Clémentine en suce goulument les derniers épanchements. Ce mélange de foutre et de pisse.
Nous revenons au chaud. La pipe reprend. Estelle est à genoux tout près de nous, devant le canapé. Cette fois, elle reste à l'écart.
Il est 18 h. Estelle est obligée de nous laisser. Elle a beaucoup de mal à nous quitter. Je lui fais quelques bises rassurantes. A demain soir...

Bonne séance de jute avec votre soumise à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Vicelard de luxe pour petites salopes goûteuses) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - © - Mardi -



Clémentine me fait des confidences

Hier matin, lundi de Pâques, jour férié, je suis tiré de mon sommeil par des chuchotements. C'est Clémentine à ma gauche.
< Je t'aime mon Bitounet ! > murmure t-elle plusieurs fois. J'ouvre un œil. Je me tourne et je la serre très fort contre moi.
< Bonjour Clitorette ! > que je lui fais en lui couvrant le visage de bisous. Nous restons ainsi à nous offrir plein de tendresse.
Nous surmontons nos fortes envies du pissou matinal. Finalement, n'en pouvant plus, nous nous levons. Direction toilettes.
Je tiens Clémentine par ses cheveux. Elle se soulage d'un long jet libérateur. Je m'accroupis pour en récupérer les reliquats.

Puis c'est à mon tour. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, la jeune fille en récupères les reliquats.
Nous retournons au lit. Il est huit heures. Nous nous serrons fort. Clémentine me chuchote quantité de douceurs. Tendresse.
Je me laisse glisser doucement. Premier arrêt sur les tous petits seins de la jeune fille. Je les lèche, les caresse les embrasse.
Je continue ma descente. Me voilà dans la broussaille dense et fournie de sa toison pubienne. Je hume les parfums de sa nuit.
Je m'enivre des senteurs de ce lieu. Le clitoris géant de Clémentine est une véritable invitation à diverses dégustations...

Je me régale maintenant des miasmes de la nuit de Clémentine. Le gout est fort, délicat, tout comme l'odeur qui se dégage.
La jeune fille, comme affolée se met à gémir. < Donne-moi ta bite ! > fait la jeune fille. Nous nous mettons en position 69.
La bouche de Clémentine est d'une indicible douceur. J'ai l'impression de tremper ma queue dans un bol de purée tiède. Bon.
Si j'insiste encore, Clémentine va avoir un orgasme. Je cesse pour me retourner. Avec d'infinies précautions je m'introduis.
Je suis dans la fille. Nous sommes parfaitement immobiles. < Tu ne feras jamais ça avec Estelle, hein ? > me fait Clémentine.

Je suis surpris par cette soudaine question. Je la rassure. Je n'en ai nulle envie. Je lui dis : < J'ai tout ce qu'il faut avec toi ! >.
< Tu promets ? > me demande encore ma compagne. Je crois que nos petits jeux avec Estelle commencent à l'inquiéter.
Je caresse ses cheveux, le visage, je lui souris et je dis : < Sans ton accord, sans que tu m'y encourages, je te promets ! >.
Comme rassurée Clémentine se love sous moi en gémissant. Je rajoute : < Tu veux qu'on arrête nos petites "séances" ? >.
< Non, non, c'est excitant, mais Estelle me fait des confidences. Tu es à moi ! > me fait encore Clémentine. Je comprends...

Nous restons l'un dans l'autre un long moment. Nous adorons rester sans bouger. Pour nous c'est le comble de l'excitation.
Il est neuf heures. La faim commence à nous titiller. Nous cessons. Je retire ma queue gluante. Nous nous suçons un peu.
Comme nous détestons gâcher, nous nous offrons un rapide 69. Je dois faire attention. L'orgasme de Clémentine guette.
Nous descendons. Il fait frais. Nous avons nos peignoirs. Dehors le ciel est bas, gris, lourd et menaçant. C'est assez lugubre.
Nous savourons notre délicieux et copieux petit déjeuner. Nous traînons à table. C'est le dernier jour des vacances. Férié...

Clémentine revient encore quelquefois sur le cas Estelle qui semble la tourmenter. Je la rassure. Elle peut me faire confiance.
La jeune fille vient s'assoir sur mes genoux. Je la serre et je la berce. Son optimisme naturel reprend rapidement le dessus.
La voilà envahie de sa bonne humeur habituelle. Je la prends sur le dos, j'imite le hennissement du cheval. Je parcours le salon.
< Je t'aime mon Bitounet ! > me fait-elle entre deux rires. Nous remontons pour prendre une douche. Savonnage des dos.
Nous nous habillons comme en hiver. Nous allons faire un tour dans le jardin. Je regarde le thermomètre extérieur : 8°. Frais.

Un vent désagréable nous incite à rester à la maison. Nous trions les photographies de nos vacances. Jura, Paris. Dossiers.
La matinée passe ainsi. < Je sais où tu as caché tes œufs de Pâques ! > me fait Clémentine en glissant sa main dans mon slip.
Nous rions de bon cœur. < Les œufs de mon lapin ! > me fait-elle encore. Je lui dis : < Tu es adorable ! >. On s'embrasse.
Nous préparons notre repas de midi. Nous décidons de faire simple. Des tranches de pain complet, épaisses que je beurre.
Je dépose sur chacune une rondelle de tomate, deux filets d'anchois, deux olives noires, du gruyère râpé. Le tout au four...

Nous préparons une rapide salade verte. Nous n'arrêtons pas de nous embrasser. Clémentine est tout le temps contre moi.
Ces deux semaines passées ensemble, dans une proximité de chaque instant, va être tempérée par la rentrée universitaire.
Clémentine en a bien conscience. Il faut à nouveau s'ouvrir au monde, aux réalités extérieures. En juin, c'est les vacances.
Nous nous régalons de nos tartines grillées. Un régal. J'évoque notre semaine en Catalogne à la mi juin. Réjouissances.
Mais, d'ici là, il reste deux mois. Clémentine termine sa troisième année de faculté. L'an prochain c'est sérieux. Le "Master".

Nous faisons le peu de vaisselle. Dehors, il se met à pleuvoir. Nous allons dans mon atelier. Tout est comme je l'ai laissé.
Assise sur mes genoux, nous sommes devant mon grand chevalet. La toile en cours attend les derniers coups de pinceaux.
< C'est beau ce que tu fais ! > me fait Clémentine. < J'aime l'odeur de ton atelier ! > rajoute t-elle encore en se levant.
La jeune fille parcours la grande pièce. Elle s'assoit à ma table de travail. Elle se met à m'imiter en mettant mes lunettes.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle revêt ma blouse, qu'elle s'empare de ma grande palette et qu'elle imite mes attitudes.

L'après-midi se passe à nos activités respectives. Clémentine prépare ses affaires pour demain. Elle lit un peu à haute voix.
La jeune fille aime avoir mon avis sur telle ou telle chose. Il est 17 h30. Trois coups de sonnette. C'est l'arrivée d'Estelle.
Clémentine s'empresse d'aller accueillir notre visiteuse. Elle revient avec Estelle. < Bonsoir Oncle Julien ! > me fait-elle.
Nous nous serrons la main. Trois bises Bretonnes. Estelle quitte son anorak. Elle porte sa chemise à carreaux, son jean.
Discrètement, Clémentine me glisse à l'oreille : < Sois vicelard s'il te plaît ! >. Je la regarde. Elle me fait un clin d'œil.

Estelle nous fait : < Journée de Pâques en famille ! Ouf ! C'est fini ! >. Nous rions de bon cœur. Elle évoque sa journée.
Estelle ne pourra pas rester très longtemps. Il lui faudra repartir au plus tard à 22h. Les deux filles évoquent la rentrée.
Toutes les deux, assises devant l'ordinateur, regardent des choses ayant trait à leurs études. Studieuses et silencieuses.
Je vais préparer les ingrédients du repas du soir sur la table de la cuisine. J'entends quelquefois des éclats de rire. Joie.
Je vais aux toilettes. A peine suis-je debout devant la cuvette que la porte s'ouvre. Les deux filles entrent. Silencieuses.

Estelle a attaché ses cheveux en queue. Elle s'accroupit à ma droite. Clémentine s'empare de ma bite. Je bande hyper fort.
Mon envie de pisser est soudain reléguée au rayon des souvenirs. Clémentine me branle doucement. Estelle observe. Joie.
Clémentine force ma queue à pointer vers la cuvette. C'est toujours à la limite de la douleur. Ma bite est contrariée. Fort.
J'ai beau me concentrer, l'excitation et la contrainte exercée sur ma bite m'empêchent de pisser. Estelle observe, amusée.
Nous restons ainsi un long moment, silencieux, concentrés. Clémentine s'accroupit à son tour. Elle prend ma bite en bouche.

Estelle lève la tête pour fixer mon regard. Elle ouvre la bouche en m'adressant un clin d'œil appuyé. Elle est dans son élément.
Clémentine me suce avec passion. Je tiens Estelle par ses cheveux. J'attire son visage. Elle résiste. Un mouvement négatif.
Je force Clémentine à se redresser. Je tiens les deux salopes par leurs cheveux. Je les entraîne au salon. Clémentine glousse.
Je pose deux coussins au sol. J'invite les deux jeunes filles à s'y mettre à genoux. Clémentine ne se fait pas prier. Estelle si.
Je dois même la forcer à se mettre à genoux. Fermement. Je sais qu'Estelle aime jouer. La contrainte l'excite. Je joue le jeu.

Clémentine ne joue pas. Elle suce avec avidité. Estelle reste distante. Elle porte sa main fermée devant sa bouche. Immobile.
Faisant une bosse avec sa langue contre l'intérieur de sa joue, Estelle mime une pipe vulgaire. Elle me fait un nouveau clin d'œil.
Cette petite salope aime les attitudes équivoques. Elle ne s'en prive plus. Tout cela m'excite. Clémentine en récupère les fruits.
Les montées de liquide séminal provoquées par mon excitation régalent la jeune fille qui pompe comme si sa vie en dépendait.
Nous restons un long moment ainsi. Estelle n'arrête plus ses mimiques vicieuses. Son plaisir est évidemment intense. Salope...

Il est 19 h30. Je force Clémentine à se relever. Je maintiens fermement Estelle. Je tente de passer ma bite sur son visage. Non.
La jeune fille, énergiquement, s'arrache à mon étreinte. Je lui mets un gifle. Elle me regarde avec un air de défi. Deuxième gifle.
Elle se relève. Clémentine m'embrasse. Sa bouche est gluante de foutre. Estelle reste à distance sur le pas de la porte. Sévère.
Nous allons préparer notre repas du soir. A plusieurs reprises je sors ma bite dégoulinante de son foutre épais devant Estelle.
Elle me regarde avec une sévérité non feinte. Nous passons à table. Le repas est délicieux. Nous bavardons. Bonne ambiance.

Deux fois je me lève pour venir saisir Estelle par la nuque. A chaque fois elle repousse mon étreinte avec force. J'insiste. Fort.
Clémentine me fait un clin d'œil. Ce n'est qu'un jeu. Estelle s'amuse tant de ces situations vicelardes qu'elle vient chercher.
Je la saisis fermement par les cheveux, je lui frotte ma bite sur le visage avant de la passer sur sa bouffe dans son assiette.
Estelle se débat avec force en s'écriant : < C'est dégoûtant ! Salopard va ! >. Pourtant j'insiste. Estelle se redresse. Je la tiens.
Penchée en avant, tentant de se soustraire à mon étreinte, Estelle lutte avec force. Cette petite salope en veut et du sévère.

Après la vaisselle, Clémentine nous entraîne au dehors. Le sol est mouillé. Nous restons sur les dalles. Derrière le garage.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle en secoue les dernières gouttes. Je tiens Estelle par la nuque.
Nous retournons au chaud. Estelle reste distante. Ce soir il sera certainement impossible de lui juter au visage, dans la bouche.
Clémentine savoure mes sécrétions devant le regard scrutateur d'Estelle qui reste ostensiblement éloignée à plus d'un mètre.
Il est presque 22 h. Je garde mon éjaculation pour la chambre à coucher. Estelle nous laisse. Elle me fait : < Merci ! >. Bises...

Bonne soirée avec votre visiteuse vicieuse à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Salopard spécialisé pour jeunes vicelardes) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - © - Mercredi -



L'habitude a repris son cours naturel

Hier matin, mardi, le réveil nous tire du sommeil à six heures. Pas de temps à perdre. Deux bisous et nous voilà debout.
Clémentine se précipite aux toilettes. Moi, je me précipite à la salle de bain. La bite posée sur le bord du lavabo, je pisse.
Je lâche une fantastique salve de pets en tonalité de Fa. Je module longuement le dernier pour le hisser en tonalité de Sol.
< Je t'entends mon Bitounet prouteur ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus. Cuisine.
Nous prenons un copieux petit déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Il est 7 h45. Il faut y aller...

Clémentine rentre à 17 h. Elle vient s'asseoir sur mes genoux dans l'atelier. Nous sommes devant mon grand chevalet.
Nous faisons le bilan de nos journées. Clémentine est toute contente de sa première journée de cours. Bonne ambiance.
Nous restons un petit moment à bavarder. J'aime entendre les anecdotes que me relatent ma compagne. Intéressantes.
< A midi, au restaurant universitaire, Estelle n'a pas arrêter d'évoquer son week-end avec nous ! > me fait Clémentine.
J'écoute amusé en gardant un silence souriant. < Elle revient jeudi soir ! > rajoute Clémentine . Je cesse mon travail...

Nous allons dans la véranda. Le temps est maussade. Il y a eu plusieurs coups de vent et autant de giboulées. Déplorable.
Nous décidons de rester à la maison. Clémentine m'entraîne devant l'ordinateur. Nous regardons les photos de nos vacances.
La jeune fille est assise sur mes genoux et commente le diaporama qui défile. Cela me paraît déjà loin. Je le lui signifie.
< C'est pareil pour moi ! C'est déjà du passé ! Vivement les vacances à venir ! > me fait Clémentine avec son optimisme.
Nous ne sommes pas des nostalgiques du passé. Aussi, nous évoquons déjà cette semaine qui nous attend à la mi juin...

Je tape Port Lligat sur la page Google. Clémentine découvre la maison de Salvador Dali. Celle que nous irons visiter bientôt.
J'ai déjà entamé les démarches de réservation dans un hôtel de Cadaqués. Clémentine me fait plein de bisous. Contente.
J'aime mettre à profit mes talents d'organisateur. Je ne laisse jamais rien au hasard. Ce qui sécurise ma compagne. Super.
Clémentine me fait découvrir le Blog d'un peintre qui reproduit des toiles de Salvador Dali. Elle est devenue inconditionnelle.
Le temps passe ainsi. Je vais de découverte en découverte car je ne connais pas cet artiste. Clémentine commente. Bien.

Pour le repas de ce soir, nous décidons de faire simple. Comme la météo est immonde et fraîche, ce sera encore un bon gratin.
J'évide des aubergines. Clémentine s'occupe de la salade. J'émince de l'ail, de l'oignon, des champignons et de la ciboulette.
Je fais revenir la préparation à feu doux dans une poêle. Je dispose les quatre grosses aubergines dans le plat en terre cuite.
Je rempli délicatement, avec une petite cuillère, les aubergines avec la garniture. L'odeur nous ouvre l'appétit. Je mets au four.
Thermostat sur 6. Cuisson à 250°. Pour une durée de quarante minutes. < 40 minutes de douceurs ? > demande Clémentine.

Je la prends dans mes bras. Je déboutonne son jean. Je le lui retire ainsi que sa culotte. Je la soulève pour l'emmener au salon.
< J'aime tes initiatives, Bitounet !> fait la jeune fille en s'allongeant langoureuse dans le canapé, cuisses largement écartées.
Je fourre mon visage entre ses cuisses. Immédiatement tous les parfums de la journée de la jeune fille envahissent mes narines.
Il y a tous les goûts de sa journée aussi. Je me régale de tout cela avec délice. C'est absolument prodigieux. Je prends le temps.
Clémentine me guide en me tenant par les oreilles. < Je t'aime, c'est si bon ! Tu vas me rendre folle ! > me fait la jeune fille...

Je reste d'une grande vigilance. Pas d'orgasme prématuré. Je veux que Clémentine reste excitée toute la soirée. Elle également.
Aussi, je suce, je lèche ce clitoris géant avec prudence. Je me retire, je cesse, toujours à temps. Clémentine remue du bassin.
Comme souvent, Clémentine me tire par les cheveux pour m'entraîner sur elle. Je reste sur mes bras tendus pour rester léger.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles à nous confier quantité de secrets.
C'est la sonnerie du four qui met un terme provisoire à nos effusions amoureuses. Nous avons faim. Nous filons à la cuisine...

Ce repas est délicieux. Je montre les trois messages que m'a envoyé Estelle sur mon smartphone. Clémentine répond en riant.
< Cette petite salope n'en aura jamais assez ! Attends, tu vas voir, je vais me mêler de tout ça de plus près ! > fait Clémentine.
Clémentine me donne des nouvelles de Julie. Elle a rencontré un étudiant, stagiaire comme elle, à la bibliothèque municipale.
< Nous ne la verrons plus que très rarement ! > conclue Clémentine. Nous rions de bon cœur. Nous faisons notre vaisselle.
Clémentine m'entraîne au salon. Nous reprenons les choses où nous les avons laissé. Sur le canapé. C'est absolument génial !

Cette première journée de reprise nous a quelque peu fatigué. Il faut reprendre le rythme. Rythme que nous retrouvons soudain.
C'est toujours Clémentine qui accélère. Les mouvements de son bassin s'accentuent. Tout cela termine évidemment dans la joie.
Nos orgasmes sont phénoménaux. Nous restons souvent épuisés, haletants, un petit moment. Nous reprenons nos esprits. Enfin.
Nous voilà assis de part et d'autre du bureau. Clémentine travaille à ses cours. Moi je rédige ce texte. Il sera posté demain matin.
Seulement, parfois, il n'y a pas de connection. Et le post a du retard. Ce qui arrive en ce mercredi. Cela met Clémentine en rage.

Avant d'aller prendre notre douche pour aller nous coucher, Clémentine m'entraîne au dehors. Derrière le garage. Tous les deux.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Accroupie, la jeune fille en récupère tous les mélanges qui dégoulinent.
Une fois encore la jeune fille suce les reliquats avec avidité. Je dois la faire cesser pour ne pas y passer la nuit. Nous rentrons...

Bon retour de vacances à toutes et à tous. Pour celles et ceux qui partent : Prudence...

Oncle Julien - (Qui aime qu'on lui tienne la bite pour en diriger le jet) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - © - Jeudi -



Clémentine et les jours heureux

Hier matin, mercredi, il est six heures lorsque notre réveil musical nous tire de nos sommeils. Quelques bises et debout.
Clémentine file aux toilettes. Moi je file à la salle de bain. La bite déposée sur le rebord froid du lavabo je pisse. Peinard.
Je lâche une fabuleuse salve de pets que je module depuis le Fa# jusqu'au Sol. C'est puissant, profond et très sonore.
< Je t'entends mon péteur fou ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus en descendant.
Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Puis c'est l'heure de gym. La douche. Nous nous quittons. Il est 7 h45.

Clémentine revient pour 17 h. Elle est toujours pressée de rentrer. Assise sur mes genoux devant mon chevalet. Bisous.
La jeune fille me raconte sa journée. C'est toujours passionnant. Mes journées sont solitaires et je suis dans mon travail.
Aussi, ces nouvelles de l'extérieur ne sont pas sans m'amuser. Sans éveiller ma curiosité. Dehors il fait beau, mais froid.
Clémentine me propose de nous habiller chaudement pour un bon jogging. Je range mes affaires. Je nettoie mes palettes.
Nous montons nous habiller. Cinq minutes d'échauffement et nous voilà à courir sur le chemin qui descend à la rivière...

Nous avons nos bonnets, nos gants. Le ciel est souvent découvert. Les arbres sont en fleurs et en feuilles. Le soleil brille.
Pourtant le froid ambiant rappelle celui d'un mois de février. Paradoxe dérangeant et désagréable. Nous courons. Plaisir.
Nous revenons pour 18 h30. Nous prendrons notre douche avant de nous coucher. Je montre les deux messages reçus.
C'est Estelle qui, tous les jours, m'envoie un petit mot gentil, parfois ambiguë. Clémentine lit et répond en s'amusant.
< Estelle est toujours convaincu que c'est toi qui répond ! > me fait ma compagne. Nous rions de bon cœur. Sympa...

Nous allons au salon. Assis devant l'ordinateur nous découvrons nos courriels. J'ai une réponse de l'hôtel de Cadaqués.
La réservation est tout à fait possible. Nous pouvons disposer d'une chambre, WC salle de bain du lundi 19 au 25 juin.
Nous découvrons les photos de l'établissement. J'y suis déjà descendu deux fois. Je connais le sérieux de ce bel hôtel.
Clémentine est enchantée. Il y a un mail d'Estelle qui joint une photo de nous trois en balade au début avril. Très bien.
< Elle mâte les films qu'elle fait chez nous presque tous les soirs en se branlant ! > me fait Clémentine. Je suis amusé.

Clémentine rajoute : < Plutôt que de regarder les films de cul des autres, Estelle préfère s'allumer sur les siens ! >.
Je trouve ça absolument parfait. Il est question d'en réaliser un quatrième samedi prochain. Estelle viens chez nous.
Une fois encore, la jeune fille vient passer le week-end avec nous. Dans son message, Estelle nous propose un plan.
Je dois être vêtu d'un costume sombre, d'une chemise blanche et d'une cravate. Si je pouvais lui montrer déjà jeudi.
Clémentine me dit : < Oui, elle me parle de ce fantasme du VRP depuis quelques temps ! >. Nous envisageons cela.

Pour le repas de ce soir, nous allons nous préparer un gratin dauphinois. Notre jogging nous a ouvert l'appétit. La faim.
Nous sommes vêtus de nos leggings noirs et de nos sweats. Les radiateurs de la maison sont à nouveau allumés. Bon.
Nous voilà à la cuisine. J'épluche les patates. Clémentine s'occupe de la salade. Je coupe les pommes de terre en dés.
Je les fais cuire dans l'eau bouillante. Clémentine vient souvent se blottir contre moi. Nous nous embrassons. Douceurs.
Je dispose les morceaux de patates dans le plat en terre cuite. Une première couche de gruyère. Patates. Et fromage.

Je casse un œuf que je bâts avant de le verser sur le tout. Des bouts d'ail cru et de la chapelure. Je mets dans le four.
Thermostat sur 6. Cuisson à 250° pour une durée de 40 minutes. Clémentine retire son legging et sa culotte. Assise.
Sur la table, cuisses écartées, la jeune fille me montre sa somptueuse touffe. J'adore voir cette broussaille si fournie.
Je m'assois sur la chaise. Mon visage entre ses cuisses, je hume les effluves parfumées de la journée de la jeune fille.
Je suis rapidement saisi d'un vertige. L'odeur de sa journée rajoutée à celle du jogging, est enivrante. Je bande fort...

Les poils sont humides. Certains collent entre la vulve et le trou du cul. Le système pileux de ma compagne est génial.
Les poils qui poussent en haut et à l'intérieur des cuisses collent contre la peau. Je me mets à lécher, à sucer, à pomper.
Je m'attarde longuement sur les peaux des lèvres de ce sexe si appétissant. Je défripe, je fouille le moindre recoin. Plis.
Clémentine, en appui sur ses bras, derrière elle, est en pâmoison. Je peux l'entendre gémir de plaisir. Je prends l'apéro.
Le clitoris géant de la jeune fille pointe, fier et droit. Je vais en récupérer les saveurs, les miasmes et les fromages. Bon.

Il me faut être adroit et vigilant car l'orgasme de Clémentine n'est jamais très loin durant le cunnilingus. J'y excelle bien.
La jeune fille aime à rester excitée. Pendant que je la lèche, que je la fouille, que je la nettoie, elle me chuchote des trucs.
N'en pouvant plus, la lutte devenant trop difficile, Clémentine se saisit de mes oreilles pour me forcer à me redresser.
Elle m'attire à elle. Avec d'infinies précautions, je m'introduis dans la fille. Nous restons parfaitement immobiles. Silence.
Doucement Clémentine se serre contre moi pour me murmurer plein de douceurs et de cochonneries. C'est un bonheur...

Clémentine me chuchote des projets bien vicelards qu'elle a en prévision. Exhib dans des lieux insolites de préférence.
J'écoute, amusé, en bandant comme le dernier des salauds. Je l'encourage dans ses penchants en chuchotant des trucs.
Tout cela nous pousse au paroxysme de l'excitation. Doucement Clémentine se met à bouger du bassin, en rythme. Bien.
La sonnerie du four nous rappelle aux réalités. Nous cessons. Je retire ma bite gluante du sexe visqueux de la fille. Bon.
Clémentine déteste perdre du jus. Aussi, dès que je me suis retiré, elle s'accroupit pour me sucer. En gémissant. Régal...

J'essuie la table dont le bord est trempé de nos mouilles. Clémentine remue la salade. Je sors le gratin du four. Odeurs.
Nous mettons la table. Ce repas est délicieux. Nous nous régalons en nous racontant plein de choses. Nous rions bien.
Nous faisons notre vaisselle. Clémentine n'arrête pas de se toucher entre deux assiettes qu'elle range dans le buffet.
Je secoue ma bite dans sa direction. Nous nous regardons nous masturber. Pressés de retourner à la baise. Impatients.
Clémentine m'entraîne au salon. Là, sur le canapé, en 69, nous prenons le digestif. Clémentine est trempée de cyprine.

Lorsque nous sommes dans cette position, Clémentine résiste beaucoup mieux aux assauts de ses orgasmes. Concentrée.
Nous nous régalons de nos sexes un long moment. Puis Clémentine m'entraîne à la monter. Je m'introduis doucement.
Nous restons immobiles très longtemps. Comme si nous voulions prolonger toujours plus loin ces moments intenses. Bons.
L'orgasme nous prend tous les deux. Nous restons un moment sans bouger à reprendre nos esprits. Clémentine se lève.
Elle m'entraîne au dehors, dans nos peignoirs. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Chef-d'œuvre...

Bonne baise à toutes et à tous. Sans modération...

Oncle Julien - (Qui se prête aux sollicitations les plus exigeantes) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 34 - © - Vendredi -




Estelle a une demande particulière

Hier matin, jeudi, il est six heures lorsque notre réveil musical nous tire de nos profond sommeil. Saloperie de Boléro de Ravel.
Clémentine me fait deux bises et s'écrie : < Pipi ! > en trottinant vers les toilettes. Elle m'entraîne. Je vais à la salle de bain.
La bite posée sur le rebord froid du lavabo je pisse en lâchant une rafale phénoménale de pets plus beaux les uns que les autres.
< Je t'entends, mon Ravel du pet ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus en descendant. Faim.
Nous prenons notre petit déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Nous nous séparons. Il est déjà 7 h45...

Clémentine revient pour dix sept heures. Assise sur mes genoux, devant mon chevalet, dans l'atelier, nous faisons nos bilans.
La jeune fille me raconte sa journée. < Estelle arrive pour dix sept heures trente ! >me fait Clémentine. Il y a une demande.
< Tu peux mettre un de tes costumes, une chemise blanche et une cravate, s'il te plaît ? > me demande Clémentine. Sourire.
C'est la demande particulière d'Estelle dont un des fantasmes le plus récurrent est d'avoir affaire à un homme en costume.
Nous rions de bon cœur. Je range mes affaires. Je nettoie mes palettes. Nous montons à la chambre. Je fais de l'essayage...

< C'est parfait ! Comme tu es beau ! > me fait Clémentine. Elle est assise sur le lit et me contemple habillé de mon costume.
Je vais donc recevoir Estelle selon sa demande. Clémentine m'entraîne par la main. C'est elle qui me fait tourner sur moi-même.
La jeune fille se serre contre moi, m'embrasse et me fait : < On va s'éclater ce soir, je le sens ! >. Nous redescendons. Salon.
Trois coups de sonnette. Estelle est à l'heure. Clémentine va ouvrir et revient suivit d'Estelle qui me découvre vêtu de noir.
< Bonsoir Oncle Julien ! > me fait la jeune fille en me serrant la main tout en faisant une courbette. Puis trois bises Bretonnes...

Je dois faire mon petit effet sur Estelle qui paraît sincèrement impressionnée par ma tenue de représentant en matériel agricole.
< Monsieur le banquier ! > dit Clémentine en me présentant à Estelle qui me fait un délicieux sourire. Je l'invite à s'assoir. Joie.
Je reste debout dans le salon, mains dans les poches. Clémentine et Estelle sont assises dans le canapé. Un profond silence.
Estelle semble enfin se mettre à l'aise. Elle est vêtue de sa chemise à carreaux, de son jean et est chaussée de ses baskets.
Clémentine porte un sweat, un pantalon noir et est chaussée de mocassins d'intérieur. Je regarde ces deux belles jeunes filles.

Clémentine et Estelle évoquent leur journée à la faculté. Quelques anecdotes amusantes qui se déroulent durant les cours.
J'écoute amusé. Je suis appuyé contre la grande table monastère. Les mains dans les poches. En costumes cravate. Insolite.
Je trouve mon accoutrement un peu déplacé. Je ne suis pas vraiment à l'aise. Je regarde mes souliers noirs au cuir brillant.
Je relève la tête. Estelle, tout en bavardant, me fixe à plusieurs reprises avec insistance. Doucement, j'ouvre ma braguette.
Lentement, pour ménager mon effet, je sors ma bite. Elle pend de l'ouverture de mon pantalon. Estelle regarde. Enchantée.

Estelle fixe mon sexe comme si c'était la toute première fois qu'elle le voyait. Clémentine m'observe également en souriant.
Je suis étrangement gêné d'être ainsi le sujet d'intérêt des deux jeunes filles. C'est une curieuse sensation. Très excitante.
Je prends ma bite entre le pouce et l'index. Je bande mou. Je secoue ma queue doucement en direction des deux salopes.
Vêtu en employé des pompes funèbres, me secouant la queue, je me sens quelque peu ridicule. Mais j'aime rendre service.
Clémentine se lève pour aller faire trois cafés. Estelle, seule avec moi, semble à nouveau habitée de ses inhibitions naturelles.

Je fixe la jeune fille qui a baissé son regard. Je me branle doucement. Je me rapproche. Je suis debout devant la jeune fille.
Estelle se lève pour quitter la pièce. Pour rejoindre Clémentine à la cuisine. Je reste au salon. Je reprends mon attitude.
Les deux filles reviennent. Les tasses de café fumant sont posées sur la petite table devant le canapé. Une odeur agréable.
Estelle s'est attachée les cheveux en queue. Je sais que c'est le signal. Le code qui confirme le début des festivités. Plaisir.
Je me rapproche pour m'accroupir devant la table basse. Je remue la petite cuillère dans ma tasse. Je regarde Estelle. Joie.

La jeune fille, avec la présence rassurante de Clémentine, a repris son aplomb. Un air de défi dans le regard elle se lève.
Elle prends le coussin carmin, le pose au sol au milieu du salon. Elle s'y met à genoux en nous tournant le dos. Une invitation.
Les mains posées sur la tête, bien droite, la jeune fille a baissé son visage vers le sol. Clémentine me fait signe d'y aller.
Je me redresse. Je viens me placer devant Estelle. J'ai la bite à hauteur de son visage baissé. Elle mâte en louchant. Vice.
Clémentine vient nous rejoindre. Ma compagne se saisit de la tête d'Estelle pour la maintenir fermement. Je tiens ma queue.

Doucement, je passe ma bite sur le visage d'Estelle qui tente bien évidemment de se soustraire à l'étreinte de Clémentine.
J'ai de la jute, provoquée par l'excitation, qui suinte au bout de mon méat. < Méat Coule pas ? > me fait Clémentine. Rires.
Estelle ne rit pas du tout. Elle semble écœurée. Une fois encore la question récurrente reste la même. Est-ce un jeu ou vrai ?
Peu importe. Cette jeune salope de 20 ans vient s'offrir sa soirée de frayeur. Ses moments de frissons. Je fais de mon mieux.
Cette petite vicelarde vient nourrir sa libido de jeune fille. Ce qui lui permet quantité de supports intellectuels. Masturbations.

Nous restons ainsi un long moment. Estelle a le visage trempé de foutre. Clémentine tient fermement Estelle par ses cheveux.
Elle vient s'accroupir à côté d'Estelle qui arrive enfin à se dégager de l'étreinte ferme et puissante. Clémentine me suce. Plaisir.
La quantité de liquide séminal doit être conséquente car je peux l'entendre déglutir avec peine. Estelle se lève. Nous cessons.
Il est l'heure de nous préparer à manger. Nous évoquons ce que nous venons encore de vivre. Estelle est terriblement gênée.
Clémentine fait : < C'est une excellente répétition pour le film que nous faisons samedi soir ! >. < Super ! > conclue Estelle.

Nous nous préparons trois pizzas. J'ai passé mon tablier pour ne pas risquer de tâcher mon costume de "croque-mort". Rires.
Notre repas est délicieux. A plusieurs reprises je montre ma bite dégoulinante à Estelle. A chaque fois Clémentine s'accroupit.
Ma compagne adore se régaler de tous les épanchements de ma queue. Elle se redresse et nous entraîne au dehors. Jardin.
Là, derrière le garage, elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Puis elle en suce les derniers épanchements.
Estelle fait une photo. Nous retournons à l'intérieur. Le repas est délicieux. La vaisselle est animée. La soirée sera studieuse.

Bonne soirée à thèmes à toutes et à tous. (Faites gaffe aux tâches)...

Oncle Julien - (Qui se met en quatre pour faire plaisir) -

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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 35 - © - Samedi -



Clémentine et moi, nous savourons nos sexes

Hier matin, vendredi, ce maudit réveil musical nous tire de nos sommeils avec le violoncelle de Sergueï Rachmaninov.
Clémentine tape sur l'objet en criant : < Ta gueule ! >. Nous rigolons comme de bossus. Bisous et debout. Urgence.
< Pipi ! > fait Clémentine en m'entraînant par la main. Il est six heures. Elle va aux toilettes. Je vais à la salle de bain.
La bite posée sur le rebord froid du lavabo, je pisse en lâchant une salve philharmoniques en Fa#. De beaux proutes.
< Je t'entends mon Bitounet violoncelliste ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus...

Nous prenons notre petit déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. C'est l'heure de se quitter. 7 h45.
Clémentine revient pour 17 h. Assise sur mes genoux, dans l'atelier, la jeune fille me raconte sa journée. C'est amusant.
< C'est le week-end, Bitounet, et il y a du soleil ! On file en vélo ? >. me fait elle. Je trouve l'idée excellente. Je range.
Nous montons à la chambre. Nous voilà en tenue de cycliste. Vêtus de nos leggings noirs. Plutôt chaudement. Bonnets.
Il fait très beau. Il ne fait plus froid. Par contre il subsiste un fond d'air frais. Sans doute ce maudit vent de Nord Est...

Nous bavardons. Nous croisons quantité de cyclistes, de rollers ou encore de joggeurs. Une belle soirée de printemps.
Nous parcourons nos 50 km dans un plaisir remarquable. Nous voilà de retour pour 19 h30. Il fait encore bien jour. Clair.
Nous décidons de nous préparer un repas simple. Simple mais goûteux. Nos fameuses tartines au four. Je coupe le pain.
Quatre grosses tranches de pain complet et "Bio". Clémentine s'occupe de la salade. Je beurre les tartines. Avec soin.
Je dépose sur chacune une rondelle de tomate, deux filets d'anchois, deux olives noires et du gruyère râpé. Au four...

Clémentine se serre contre moi. J'aime lorsqu'elle frotte doucement son bas ventre contre le mien. C'est très émouvant.
C'est très excitant aussi. La jeune fille m'entraîne dans le jardin. Nous allons admirer le coucher du soleil sur les arbres.
Là-bas, au-dessus des collines, l'astre du jour se couche. Avant de décrocher le linge, Clémentine m'entraîne au garage.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle s'accroupit pour en savourer les derniers épanchements.
Je la laisse déguster un petit moment. Je la force à se redresser. Nous décrochons le linge que j'ai suspendu le matin.

Nous avons faim. Notre virée à bicyclette nous a ouvert l'appétit. Nous passons au salon. Nous allumons l'ordinateur.
Il y a une réponse de l'hôtel de Cadaqués qui confirme la prise en compte de ma réservation. C'est une chose réglée.
Je montre les messages que m'a envoyé Estelle. Deux SMS amusants auxquels Clémentine répond rapidement. Rire.
La sonnerie du four résonne enfin. Nous nous précipitons à la cuisine. Les tartines sont absolument délicieuses. Bon.
Voilà la nuit qui arrive. Nous faisons la vaisselle. Clémentine m'entraîne au salon. Elle retire son legging et sa culotte.

Vautrée sur le canapé, cuisses largement écartées, la jeune m'invite à prendre mon digestif préféré. Je me précipite.
Mon visage fourré entre les cuisses de la jeune fille, je hume les effluves parfumées de sa journée. C'est "puissant" !
Avec la randonnée à bicyclette, les senteurs sont suaves et délicates. Je renifle longuement. Le fumet m'enivre. Bien.
Je passe la langue entre le trou du cul et le sexe de Clémentine. L'humidité savoureuse est un véritable délice. Régal.
Je décolle les poils avec la langue pour les essorer. Je défripe les plis des lèvres du sexe de la jeune fille. Je fouille...

Il y a tous les goûts de la journée de la jeune fille. Des miasmes plus grumeleux que d'autres plus fondants aussi. Délice.
Clémentine commence à gémir. Il me faut être très vigilant. Pas d'orgasme prématuré. Je suce et lèche avec prudence.
Après être certain d'avoir bien nettoyé les lèvres de la jeune fille, je viens m'attarder sur son clitoris géant. Il est dur.
Clémentine a des à coups, quelques spasmes annonciateurs. Je cesse. Il est temps. Juste au bon moment. Elle glousse.
Je retourne à ma dégustation. Les petits plis du bouton géant de la jeune fille recèlent de petits fromages du terroir...

Je cesse à temps. Nous avons évité l'orgasme de justesse à trois reprises. Clémentine adore être dans un tel état. Joie.
Excitée ainsi, elle aime lorsque je la pénètre doucement. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Plaisir.
Nous restons parfaitement immobiles. Clémentine m'embrasse. < Ta bouche à mon odeur ! > me chuchote t-elle. Rires.
Nous nous murmurons plein de douceurs que nous mêlons à nos cochonneries habituelles. C'est absolument divin. Bon.
Nous aimons nous avouer nos tendances, nos penchants, nos désirs, nos projets sans bouger. L'excitation est intense...

< Ne jute pas ! J'ai envie de te bouffer la bite après ! > me fait Clémentine en se mettant à bouger doucement. Rythme.
La jeune fille s'arrête. Recommence. S'arrête à nouveau. Une légère accélération annonce les choses à venir. Orgasme !
J'éprouve autant d'orgasmes sans éjaculer. Cette particularité participe à la maîtrise totale de mes épanchements de jus.
Clémentine, dans un long râle, se libère de la délicieuse tension de son immense excitation. Un gémissement s'en suit.
La jeune fille se serre contre moi. Sa bouche à mon oreille, je l'entends reprendre son souffle. Je reprends le mien. Ouf...

Nous restons longuement ainsi. Clémentine me repousse doucement. < Je veux ta bite ! > me fait elle en se redressant.
Nous sommes assis l'un à côté de l'autre. Clémentine se laisse glisser. Elle s'empare de ma queue ruisselante de nos jus.
L'indicible caresse me fait basculer dans un nouveau plaisir. J'ai l'impression d'avoir la bite dans un bol de purée tiède.
Clémentine savoure. Je sais lorsqu'elle déglutit mes montées de liquide séminal et de trop plein de sperme. Elle gémit fort.
La jeune fille, folle de la pipe, me suce comme si sa vie en dépendait. Parfaitement immobile elle savoure son dessert...

Nous restons ainsi un très long moment. A plusieurs reprises, afin de reposer sa mâchoire, la jeune fille se redresse.
Nous bavardons un peu. Clémentine a le menton et la bouche trempés de foutre. J'essuie avec mon index. Elle le suce.
La jeune fille retourne à sa dégustation. J'en ai connu des suceuses, et de très haut niveau, mais Clémentine m'étonne.
Je décide d'éjaculer. Car c'est toujours moi qui décide, jamais mon sexe. Dans un râle de bonheur, Clémentine avale.
La jeune fille me fait le "fond de cuve". Désireuse d'en avoir encore, elle repart pour un second tour. C'est le bonheur...

< Tu veux que je sois vicelard ? > que je lui demande. Clémentine se redresse pour me répondre : < J'adore, Bitounet ! >
Je la saisis par ses cheveux. Je la force à se redresser. Nous nous levons. Je lui fais faire le tour du salon. Bien maintenue.
< Tu n'es pas assez salaud avec moi ! > me fait Clémentine, marchant, courbée en avant, maintenue par la tignasse.
Je l'entraîne aux toilettes. Je n'ai même pas besoin de la forcer à s'accroupir. Elle est déjà à genoux. Je me concentre.
Enfin, au bout d'un petit moment de silence absolu, j'arrive à lâcher mon premier jet de pisse. Clémentine se met à sucer.

< C'est un entraînement pour demain soir, avec Estelle ? > me demande Clémentine entre deux pompages de bite juteuse.
Je ne dis rien. J'essaie de lui pisser dans la bouche pendant qu'elle pompe. C'est toujours difficile. Cela demande un effort.
Il faut de la concentration mais aussi de la méthode. Je m'imagine toujours avec les pieds dans l'eau froide. Et ça marche !
Clémentine, en salope absolue, déglutit les petits jets. Ce mélange de foutre et de pisse qui l'enivre jusqu'à en crier de joie.
Les petits cris de ravissements m'excitent considérablement. Je bande comme le derniers des salauds. Difficile de pisser...

La situation perdure ainsi un long moment. Je force Clémentine à se redresser. Je la tiens fermement par ses cheveux. Fort.
Je l'entraîne au salon. Sa bouche dégoulinante de mélange, elle me fait : < Je t'aime Bitounet ! >. Nous montons. La douche.
Au lit, en position de 69, j'offre un orgasme "atomique" à la jeune fille avant de lui éjaculer une copieuse quantité de foutre.
Epuisés, fourbus, serrés l'un contre l'autre, nous nous chuchotons quelques dernières douceurs avant de nous endormir.
Rapidement, la respiration régulière de la jeune fille se transforme en doux petits ronflements. Emerveillé, je m'endors aussi.

Bonne soirée de folie à toutes et à tous. Essayez les toilettes, c'est juteux...

Oncle Julien - (Bandeur juteux, pisseux et vicieux) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - © - Dimanche -



C'est le week-end. Estelle vient le passer avec nous

Hier matin, samedi, je suis réveillé par les bisous de Clémentine qui m'en couvre le visage. Sur les joues, le front et le nez.
< Bonjour mon Bitounet ! > me fait elle lorsque j'ouvre les yeux. Je la prends contre moi. Je dis : < Bonjour Clitorette ! >.
Je regarde le réveil. Il indique huit heures dans deux minutes. Notre horloge biologique semble réglée et infaillible. Pareille.
Dehors, le ciel est lumineux. Pourtant il n'est pas bleu. Il y a ce voile diaphane. < Pipi ! > s'écrie Clémentine en se levant.
La jeune fille m'entraîne aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux. Elle se lâche dans un long jet libérateur. Net, droit. Précis.

Lorsque Clémentine termine ses derniers ruissellements, je m'accroupis pour en récupérer les dernières gouttes. Savoureux.
Les effluves parfumées de sa nuit me monte aux narines. Impressionnantes et enivrantes. Puis c'est à mon tour. Je me relève.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Un jet droit, net et précis. Elle en secoue les dernières gouttes avec soin.
La jeune fille s'accroupit à son tour pour en récupérer les derniers épanchements. Je la force à se relever. Nous descendons.
Notre petit déjeuner est copieux. Nous ouvrons la fenêtre pour prendre la température. Une fraîcheur matinale. Mois d'avril...

Clémentine me propose un jogging. Nous montons nous habiller de nos leggings noirs. Il faut nous équiper bien chaudement.
Nous voilà à courir le long de la rivière. Nous revenons après un running d'une heure. C'est la douche. Il faut bien se préparer.
Nous partons faire nos courses. Nous commençons par le marché du bourg voisin. Provisions de légumes, de fruits. Fromages.
Clémentine est vêtue de sa jupe carmin évasée au-dessus du genoux. Bas noirs. Un pull sous son manteau. Très "bourgeoise".
Depuis notre retour du Jura, il n'y a pas eu d'expéditions exhibitionnistes. Clémentine un peu frustrée guette une opportunité.

Nous continuons nos achats au supermarché. Je pousse le caddie. Clémentine fait les choix, me montre et met dans le chariot.
En quête d'une occasion qui pourrait faire le larron, nous allons flâner au rayon culturel. Le rayon des bouquins et magazines.
Il n'y a pas grand monde entre les livres de poches et les nouvelles parutions. Il y a bien ce jeune type qui feuillette un truc.
Vêtu d'un anorak bleu, d'un jean et chaussé de baskets le mec doit avoir 25 ans. Un casque à musique sur les oreilles. Mp3.
Clémentine me fait : < A défaut de caviar, on mange du pâté ! Attends-moi là ! >. Je reste devant les bandes dessinées...

Clémentine s'avance. A deux mètres de l'inconnu. La voilà à s'accroupir pour faire mine de feuilleter un livre de poche. Sympa.
Depuis ma planque, je peux admirer son jeu de jambes remarquable. Le type vient enfin de découvrir cette paire de cuisses.
Cuisses légèrement écartées sur une vue magnifique. L'obscurité qui règne sous la jupe ne permet que des suppositions. Noir.
Le jeune gars, pas du tout gêné, s'accroupit pour faire, lui aussi, semblant de feuilleter un bouquin. Je regarde plutôt amusé.
Clémentine, ravie, se met en scène pour notre plus grande joie, à l'inconnu et à moi. Quel culot. Je suis admiratif. Amoureux.

Le type n'est visiblement pas du genre à prendre des pincettes. Il adresse la parole à la jeune fille qui redresse la tête. Sourire.
Sans bouger, toute heureuse de l'aubaine, Clémentine engage la conversation. Notre gaillard ne perd pas le Nord. Il baratine.
Il est d'une génération où on ne s'emmerde plus. On attaque sévère. On y va franco. Au diable les convenances. Assurance.
Clémentine dont je connais parfaitement les goûts, ne semble pas trop apprécier ces soudaines familiarités d'attitudes. Debout.
La jeune fille se redresse. Elle salue le gars qui fait un clin d'œil. Il ne tente toutefois aucune approche. Pas le style "boulet"...

Nous continuons nos courses. A la caisse en face de la notre, il y a le jeune gars. Il est accompagné d'une ravissante jeune fille.
Il nous observe amusé. Il lève le pouce de sa main droite comme pour nous féliciter. Le bougre. Il me fait même un clin d'œil.
Nous sommes de retour pour midi et demi. Nous décidons de faire simple. Ce sera des spaghettis avec une sauce au pistou.
Par contre je propose à Clémentine de préparer le repas du soir. Ainsi nous aurons plus de temps à consacrer à nos saloperies.
Estelle doit nous rejoindre pour dix sept heures. Ma compagne évoque une tarte à l'aubergine garnie de tranches d'avocat grillé.

C'est vite fait. Le temps est plutôt maussade. Les nuages semblent encore s'êtres épaissis. Nous savourons nos spaghettis. Bon.
Je déroule la pâte qui a reposé pour y déposer des tranches d'aubergine. Je place des tranches d'avocat. Je verse la garniture.
Oignon, ail et ciboulette revenus à la poêle. Je saupoudre de gruyère râpé. Au four. Thermostat sur 5. Cuisson 200°. Une heure.
Nous faisons notre vaisselle. Nous allons au jardin. Les semis d'il y a une semaine commencent à germer. Radis, oignons, persil.
Nous désherbons un peu. Cette année il n'y a pas de limaces. Avec les grands froids de janvier la terre a pu geler en profondeur.

L'activité jardinière est une des récentes passions de Clémentine. Aussi nous passons là de très agréables moments. Bavardages.
Clémentine me touche parfois la braguette en me chuchotant : < Comment va la "bête" ? >. Nous rigolons comme des bossus.
Avant de rentrer, vers 16 h30, Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur.
Elle en secoue les dernières gouttes avant de s'accroupir pour en savourer les derniers épanchements. En suçant délicatement.
Comme toujours, lorsque Clémentine se met à sucer, il faut être vigilant. Je la laisse se régaler un peu. Je la force à se relever.

Il faut nous préparer. Je mets ma tenue de commercial, costume cravate, conformément à la demande d'Estelle. C'est amusant.
Clémentine s'habille en secrétaire de direction. Elle met l'ensemble que je lui ai offert à Paris. Tailleur. Veste blaser. Chemisier.
D'une élégance folle, Clémentine s'attache les cheveux en chignon et met ses lunettes d'étudiante cerclées de noir. Superbe !
Nous descendons au salon en pouffant de rire. Nous nous regardons ainsi accoutrés sans pouvoir garder notre sérieux. Rires.
Trois coups de sonnette. C'est Estelle. Clémentine va ouvrir. Le bruit des ses talons hauts résonne sur le carrelage. Etrange...

Ma compagne revient suivit d'Estelle qui me serre la main et fait une légère courbette. < Bonsoir Oncle Julien ! > me dit-elle.
Trois bises Bretonnes et nous voilà installés au salon. Estelle est vêtue de la chemise à carreaux que je lui ai ramené de Paris.
Un jean et des baskets. Clémentine, vêtue en secrétaire de direction reste très droite, assise dans le canapé. Il y a du solennel.
< Tu veux que je te prête des fringues de filles ? > demande Clémentine à Estelle. Cette dernière est hésitante. Elle accepte.
Je montre la caméra fixée sur son trépieds à Estelle. Elle sort son ordinateur de son petit sac à dos. Puis me tend la carte SD.

Clémentine et Estelle montent à l'étage. Je fais des réglages d'image. Je contrôle le bon fonctionnement de l'appareillage. Bien.
J'entends rire en haut. L'ambiance promet d'être joyeuse. Les deux filles redescendent. Estelle est vêtue de la jupe kilt rouge.
Un pull fin de coton noir sur un chemisier blanc. Les "souliers de baise" de Clémentine. Noirs, fermés, la sangle sur les chevilles.
Je fais : < Vous ête absolument magnifique Estelle ! >. La jeune fille, très confuse, mal à l'aise, me fait : < Merci monsieur ! >.
Je saisis Estelle par ses épaules, je la fais tourner sur elle-même. Je l'entraîne devant la caméra qui tourne déjà. Je lui montre.

Je force Estelle à se pencher en avant. Je mets mon visage à côté du sien. Clémentine vient nous rejoindre. Nous fixons l'objectif.
Je soulève ses cheveux pour saisir Estelle par la nuque. Je lui montre l'objectif. Je pousse sa tête en avant. Nous restons ainsi.
Clémentine se relève. Elle va placer la chaise au milieu du salon. Les cordelettes de coton blanc sont posées au sol. Tout est prêt.
Je force Estelle à se mettre à genoux, mains sur la tête devant l'objectif de la caméra. Clémentine vérifie si l'image est de qualité.
Tout est fonctionnel. Je force Estelle à se relever. La jeune fille prend l'élastique à cheveux passé autour de son poignet. Sourires.

Je lui propose de laisser pendre ses cheveux. Etonnée, la jeune fille me fait : < Ils vont êtres mouillés ! >. Avec un clin d'œil.
Sans ménagement, mais sans brutalité, j'entraîne Estelle par la tignasse jusqu'à la chaise. Assise, le dossier entre les jambes.
Clémentine fixe les chevilles d'Estelle aux pieds de la chaise avec les cordelettes. Elle fixe ses poignets derrière son dos. Prête.
Je m'accroupis devant Estelle pour scruter son entre jambes. Elle porte une culotte. Elle refuse obstinément de la retirer. Gêne.
Je relève sa jupe pour bien scruter sa culotte. J'observe avec l'attention d'un entomologiste. C'est nickel. Blanc. Immaculé. Net.

Je me redresse. Clémentine a posé le coussin de velours au sol, à côté de moi, devant la chaise. Elle a même placé le tabouret.
C'est un petit tabouret bas. Je sais ce qu'elle a derrière la tête. Ma braguette devant le visage d'Estelle, je suis immobile. Silence.
Je tiens Estelle par la nuque et sous le menton. Je force son visage à se plaquer sur ma braguette. Premiers réflexes de recul. Jeu.
Je frotte doucement le tissus contre la peau de la jeune fille. Clémentine passe derrière Estelle pour faire quelques photographies.
C'est l'appareil d'Estelle. Je tiens la jeune fille par la tête. Elle tente, sans réelle conviction, de se soustraire de mon étreinte. Joie...

Je lâche la tête de la jeune fille. Elle lève les yeux pour me lancer un regard terriblement vicelard. Elle attend ça toute la semaine.
J'ouvre doucement ma braguette. Un geste lent et calculé. Je ménage soigneusement mon effet. Après tout, nous sommes filmés.
Je sors ma bite. Je bande mou. Clémentine est assise sur le petit tabouret. Elle observe ce que je fais. Comme une "scientifique".
Estelle sait ce qui l'attend. Elle éloigne son visage. Je me saisis de sa tête. Fermement. Je la force à se rapprocher. Jeux de lutte.
Dure lutte. Après quelques efforts, j'arrive enfin à passer ma queue sur le visage de la jeune fille. Je le fais longuement. Salopard.

Estelle a une mine d'écœurement non feinte. Pourtant nous savons maintenant qu'elle est excellente comédienne. Une "artiste".
Bien évidemment, avec cette certitude, j'en profite un maximum, donnant libre cours à mes penchants vicelards de vrai salaud.
Clémentine me jette des regards admiratifs. Elle mime quantité de bisous avec les lèvres de sa bouche. Je suis épaté. Plaisir...
En fait, je crois bien que c'est Clémentine qui m'excite le plus à me regarder ainsi me comporter en parfait saligaud. Vrai plaisir.
Clémentine, assise sur le tabouret, écarte ses cuisses autant que sa jupe droite le lui permet. Donc à peine. C'est divin. Génial !

Je n'arrête pas de passer ma bite sur le visage d'Estelle. J'insiste sur les lèvres de sa bouche qu'elle garde ostensiblement serrées.
Rien à faire. Impossible de lui enfoncer la queue dans la bouche. Excité comme un beau diable, l'extrémité de mon méat suinte.
Il y a du liquide séminal qui commence à s'écouler. Sécrétions bien visqueuses, gluantes et qui s'éparpillent sur le visage d'Estelle.
Il y a donc du foutre qui commence à sécher sur le menton, sur les joues et sur les paupières d'Estelle. Elle ne se débat même plus.
Le jeu lui plaît tellement que la jeune fille ne prend même plus la peine de jouer les offusquées. Finie la vierge effarouchée. Basta !

Clémentine, que tout cela excite considérablement, a passé une main sous sa jupe. Son souffle est aussi sonore que celui d'Estelle.
Je tends ma bite dégoulinante vers Clémentine qui se l'engouffre pour la sucer comme une assoiffée. C'est géant. C'est immense !
Je tiens la tête d'Estelle à quelques centimètres de la pipe de Clémentine. Elle lève les yeux pour me fixer. Un sourire désarmant.
Je sors ma bite de la bouche de Clémentine. Je la lui passe sur le visage comme je fais pour Estelle. Gémissements. Gloussements.
Estelle ouvre sa bouche en grand. Comme une invitation. S'en est trop. Je tente d'y enfoncer ma queue. Estelle ferme rapidement.

Nous jouons à cela à plusieurs reprises. A chaque fois, mes tentatives avortent. La petite salope referme la bouche. Bien vicelarde.
Il est clair que ce jeu nous amuse follement. Clémentine me suce comme si sa vie en dépendait. Il y a tellement de jus. Excitation.
Je me concentre. A chaque fois que j'ai la bite dans la bouche de Clémentine, Estelle a la sienne grande ouverte. C'est délirant. Fou.
Je passe mon Zob sur le visage de Clémentine. Je m'imagine avec les pieds dans l'eau. Voilà que j'y arrive enfin. Je fais très vite.
Sournoisement, sans prévenir, comme le dernier des enfoirés, je lâche un jet de pisse dans la bouche grande ouverte d'Estelle...

Stupeur. Toussotant, manquant de s'étouffer, Estelle tente de recracher ce qu'elle peut en poussant de petits cris. Ravissement ?
Clémentine me suce en gémissant de bonheur et de plaisir. Estelle me jette un regard se reproche. < Salaud ! > me lance t-elle.
Je lui mets une gifle. Je me penche pour lui cracher au visage. Rapidement pourtant, Estelle ouvre à nouveau la bouche. Salope.
Je me concentre à nouveau. C'est difficile. Mon excitation rend les choses délicates. Enfin, j'y arrive à nouveau. Un vrai salopard.
Sournoisement, faisant semblant d'introduire ma bite dans la bouche de Clémentine je la pointe vers Estelle. Jet de pisse. Bouche.

A nouveau la jeune fille tente de se libérer de mon étreinte. Rien à faire. Je la tiens par sa tignasse avec une poigne de fer. Salaud.
Estelle me fixe avec un air de défi et me fait : < Tu es le pire des salopards ! >. Je lui dis : < Merci ! >. Je lui mets une bonne gifle.
Ce ne sont jamais de vraies gifles. Jamais animées du moindre désir de violence. Mais elles font parties de ces jeux qu'adore Estelle.
Estelle a d'ailleurs maintenant le bas du visage trempé de pisse. Il y a sans doute aussi du foutre. Personne ne sait plus vraiment.
Clémentine pousse une multitude de petits cris de ravissements. Elle se masturbe doucement tout en me pompant la queue. Avide.

J'ai sans doute lâché une bonne dizaine de jets de pisse au visage et dans la bouche d'Estelle. A présent, je tente l'éjaculation. Jute.
Il va me falloir agir avec ruse car la jeune fille me voit venir avec mes gros sabots. Elle est méfiante. Elle sait quel salopard je suis.
Je fais semblant d'être absorbé dans l'indicible plaisir de la pipe que m'administre Clémentine lorsque je me retire sournoisement.
Estelle, hyper salope tout en mimant la révulsion, a sa bouche grande ouverte. Je lui balance la purée en maintenant sa tête. Fort.
Estelle n'a d'autre choix que de déglutir. Je reste ainsi. A présent il est plus facile de lui lâcher un nouveau jet de pisse. Salopard.

Cette fois-ci, avec des cris d'écœurement Estelle tente de se soustraire à mon étreinte. Dans un mouvement fort elle y parvient.
Clémentine me suce. Elle me fait le "fond de cuve". Nous allons repartir pour un second tour. Le signal de la caméra résonne. Bip.
Le clignotant rouge du voyant indique la fin de la réserve sur la carte SD. Nous cessons tout. Cette rupture tombe bien à propos.
Nous avons faim. Il est déjà 20 h. Je propose de nous offrir notre délicieux repas du soir qu'il n'y a qu'à réchauffer. Superbe idée.
Les filles, toutes joyeuses se réjouissent. Clémentine détache Estelle. Les filles me rejoignent à la cuisine. J'ai allumé le four. Joie.

Clémentine redescend de la salle de bain avec le sèche cheveux et une serviette qu'elle tend à Estelle. Elle peut essuyer la pisse.
Comme le jeu est provisoirement terminé, Estelle est redevenue cette jeune fille réservée, aimable et polie. Paradoxe stupéfiant.
Pendant la cuisson, nous retournons au salon. Estelle met sa carte SD dans son ordinateur. Nous visionnons des extraits. Edifiant.
La qualité "Pro" des images nous enchante et nous rassure. C'est une heure trente de vice, de stupre et de saloperies. Bon boulot.
Je m'accroupis en ordonnant à Estelle d'écarter ses cuisses. Elle refuse. Je la force. Sa culotte, à l'endroit de son sexe, est mouillée.

La sonnerie du four nous sort de nos admirations. Après le repas, les filles révisent leurs cours. Je rédige ce texte. Au lit à minuit.

Bonne soirée avec votre soumise joueuse à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Une bande de salaud à lui tout seul - Pour le plus grand plaisir de Clémentine et d'Estelle) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - © - Dimanche -



Estelle est si heureuse de son week-end avec nous

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par de curieuses sensations, des rires étouffés, des murmures et des papouilles.
J'ouvre un œil, et le bon. Je tourne la tête sur la gauche, je regarde mon torse. Clémentine et Estelle s'amusent. Joie.
< Bonjour mon Bitounet ! > me fait Clémentine en me faisant des bisous. < Bonjour Oncle Julien ! > me fait Estelle.
Je regarde l'écran du réveil, il est presque huit heures. Clémentine me chevauche. Je la serre contre moi. Fort. Bises.
Nous restons un petit moment ainsi. Estelle reste au bout du lit, couchée sur le côté la tête en appuie sur son bras...

< Pipi ! > s'écrie Clémentine en se levant pour m'entraîner par la main aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux. WC.
La jeune fille se soulage d'un long jet sonore et puissant. Je m'accroupis pour respirer les odeurs de sa nuit. Goûter.
Puis, c'est au tour de Clémentine de me la tenir pour en diriger le jet. Accroupie, la jeune fille en suce les reliquats.
Nous entendons la voix d'Estelle derrière la porte qui nous fait : < Je descends préparer le petits déjeuner ! >. Sympa.
Nous descendons. Estelle est vêtue du pyjama japonais de Clémentine. Nous sommes vêtus de nos T-shirt de nuit...

Nous bavardons en riant beaucoup. Dehors, il fait beau. Le ciel est bleu. Par contre il fait plutôt frais. Nous regardons.
Nous savourons notre petit déjeuner. Estelle évite mes regards. Elle est à nouveau cette jeune fille réservée, discrète.
Les deux filles parlent un peu de leurs études. La brioche est absolument savoureuse. Nous traînons à table. Un plaisir.
Nous faisons une rapide vaisselle. Clémentine propose à Estelle de s'installer devant l'ordinateur pendant le ménage.
Je passe l'aspirateur. Clémentine fait la chambre. Je nettoie les chiottes, la douche et la salle de bain. Tout va très vite.

Je termine de passer la serpillère sur les carrelages de la cuisine, des toilettes, de la salle de bain et du hall de l'entrée.
Je rejoins les deux jeunes filles qui sont assises devant l'ordinateur d'Estelle. Sur l'écran s'affichent les cours de faculté.
Je tente de comprendre ce que je lis. Clémentine m'explique un peu. Puis Estelle me montre son disque dur externe.
< Le film de hier soir est déjà rangé, en sécurité, là dedans ! > me fait la jeune fille. Estelle est prudente et range tout.
Il n'est évidemment pas question de rendre publiques nos performances "d'acteurs". Tout cela reste du domaine privé.

< Je fais des montages chez moi. Un de ses jours, je vous prépare un extrait pour vous montrer ! > nous fait Estelle.
Clémentine et moi nous montons prendre notre douche. Nous revenons vêtus de jean et de sweat-shirt. C'est dimanche.
Estelle monte à son tour pour prendre sa douche. Il est déjà 10 h. Tout est propre et rangé. C'est comme nous aimons.
Estelle redescend. Vêtue de sa chemise à carreaux et de son jean. Clémentine propose de prendre quelques photos.
L'appareil, fixé sur le trépieds, en mode automatique, immortalise quelques poses que nous prenons devant l'objectif.

< Tu en veux quelques vicelardes ? > demande Clémentine à Estelle en mimant une masturbation masculine. Sourires.
< Super ! > fait Estelle. Elle est accroupit devant l'objectif. Je suis debout à ses côtés. Clémentine est de l'autre côté.
Sur le second cliché, j'ai la bite qui pend de la braguette à quelques centimètres du visage d'Estelle. C'est sympathique.
Clémentine tient les cheveux d'Estelle en queue au-dessus de sa tête. Je mets ma biroute tout près du visage d'Estelle.
Nous faisons quelques clichés avec quelques variantes. Estelle se met à genoux, les mains sur la tête. Ma bite à côté...

Nous rions de bon cœur durant cette petite séance improvisée. < Tu auras matière pour tes montages ! > fait Clémentine.
Nous regardons le résultat sur l'écran de l'ordinateur d'Estelle. Clémentine me tient par la queue. Estelle est concentrée.
C'est encore du bon boulot. Je me lève. Je pose ma main sur la nuque d'Estelle, en la passant sous ses cheveux. Silence.
Clémentine se met à me sucer doucement. Estelle me fixe. Son regard est plein de reconnaissance. Un moment passe.
Je force Clémentine à cesser sa pipe. Je tends ma bite à Estelle en la secouant. La jeune fille me fait de délicieux sourires.

Nous évoquons notre repas de midi. Clémentine propose une randonnée pour l'après-midi. Ce programme nous enchante.
Je vais aux toilettes. A peine suis-je debout devant la cuvette que la porte s'ouvre derrière moi. Clémentine et Estelle.
< Je vous laisse ! > fait Clémentine en lâchant les cheveux d'Estelle et en me faisant un clin d'œil. Je suis un peu gêné.
Estelle est debout sur ma droite. Elle regarde ma queue. Elle me dit : < J'avais le goût de vos sécrétions toute la nuit ! >.
< Dégoûtée ? > que je lui demande. < Pas du tout. Je commence à vraiment apprécier ! > me répond la jeune fille. Joie.

Clémentine, qui est évidemment restée derrière la porte pour écouter, revient. Elle s'accroupit pour se saisir de ma queue.
Je me concentre. Je tente de pisser. Estelle me fait un délicieux sourire. Elle me fixe. Je sens bien qu'elle surmonte sa gêne.
Enfin j'arrive à lâcher un premier jet. C'est toujours difficile en érection. Je présente cette particularité de pisser en bandant.
Chaque fois que je cesse de pisser, Clémentine me suce la bite avec avidité, concentrée. C'est impressionnant. Et excitant.
Estelle s'est accroupit pour regarder de plus près. Tout cela passionne tellement cette jeune fille de 20 ans. Elle observe...

Nous restons un long moment dans les toilettes. Je force Clémentine à se redresser. Je saisis Estelle par ses cheveux.
J'entraîne les deux salopes au salon. Je leur propose de nous mettre à la préparation de notre repas de midi. Sympa !
Clémentine se met à genoux pour récupérer les coulées de liquide séminal qui n'arrêtent plus. J'ai la bite trempée. Fou.
Estelle s'empare du verre qui est toujours posé à côté du téléphone, sur le plateau en argent. C'est une sorte de décors.
Elle me le tend. Je comprends. Je le prends. Je me branle doucement. Clémentine se redresse. Je jute dans le verre...

Il y a du sperme au fond du verre et des coulures de foutre s'écoulent sur les parois, maculant les bords. Je le tends à Estelle.
La jeune fille le pose sur la table basse. Elle saisit son appareil photo et fait plusieurs clichés de ce verre plein de foutre. Joie.
Clémentine est autant surprise que moi devant les initiatives d'Estelle. Décidément la jeune fille sait nous surprendre. Plaisirs.
Nous ne sommes pourtant pas au bout de nos surprises. Estelle prend le verre, le porte à ses lèvres. < Cul sec ? > fait elle.
Comme hallucinés Clémentine et moi nous regardons Estelle boire le contenu visqueux et gluant du verre. Léchant les bords.

Estelle a parfaitement nettoyé l'intérieur du verre. Avec sa langue. Avec son doigt qu'elle lèche et suce. Il y a un silence.
Estelle me tend le verre en disant : < Mon apéritif était fameux . J'aurais un digestif ? >. Nous rions de bon cœur. Fou !
Cette initiative inattendue a achevé de nous mettre en appétit. Clémentine m'embrasse longuement. Estelle nous observe.
Nous allons à la cuisine. Estelle me montre l'intérieur de sa bouche. Il y a encore des filaments gluants. Elle fait un sourire.
Clémentine nous entraîne au dehors. Il fait un peu frais mais beau. Nous allons derrière le garage. Estelle fait des photos.

Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Quelle n'est pas ma nouvelle surprise. Estelle tient le verre.
Clémentine y fait dégouliner les dernières gouttes mélangées aux reliquats de foutre jaunâtre. L'instant est vraiment insolite.
<Mon digestif ! > fait Estelle en récupérant le verre. Nous retournons à l'intérieur. Nous préparons une délicieuse flamiche.
Cette tarte aux poireaux absolument délicieuse. Le verre, contenant la substance jaunâtre est posé sur le bureau du salon.
Après le repas, c'est la vaisselle. Estelle vient me trouver en tenant le verre. J'y éjacule une nouvelle fois. Du sperme gluant.

Consternés, Clémentine et moi, nous regardons Estelle boire le contenu du verre avec un air de dégoût. C'est étrange. Décalé.
Estelle me montre l'intérieur de sa bouche en faisant une grimace. < C'est écœurant. Abjecte et dégueu ! > nous lance t-elle.
Pourtant cette petite salope nettoie consciencieusement l'intérieur du verre. Avec sa langue et son doigt. Nous restons sidérés.
Nous partons pour une randonnée de trois heures. Clémentine a passé le collier canin autour du cou d'Estelle. Tenue à la laisse.
Notre randonnée est superbe. Le fond de l'air est encore un peu frais mais le soleil est haut dans un ciel parfaitement bleu...

A plusieurs reprises, je sors ma bite pour la secouer devant les deux filles qui s'amusent du spectacle. Clémentine se touche.
Estelle, pour le première fois, passe sa main dans son jean en me faisant un clin d'œil. Nous récidivons de nombreuses fois...

Bon apéritif et bon digestif à toutes les connaisseuses.

Oncle Julien - (Prince des vicelards - Roi des salopards) -

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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - © - Mardi -



Clémentine aime faire de la bicyclette

Hier matin, lundi, notre réveil musical nous tire de notre sommeil avec la symphonie No 5 de Gustave Malher. C'est dur.
Clémentine tape sur l'appareil en s'écriant : < Mais ta gueule, Gustave ! >. Nous rigolons comme des bossus. Il est 6 h.
Deux rapides bisous et Clémentine se lève en disant : < Pipi ! >. Elle trottine aux toilettes Moi, je file à la salle de bain.
La bite posée sur le rebord du lavabo, je pisse en lâchant des pets symphoniques. C'est absolument divin. Fort. Sonore.
< Je t'entends, mon Gustave du proute ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous descendons en riant de bon cœur...

Nous prenons notre copieux petit déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Il est 7 h45. Il faut y aller.
Clémentine revient pour 17 h. Assise sur mes genoux elle me raconte sa journée. Nous sommes devant mon chevalet.
< Estelle garde une impression d'enchantement suite à son week-end avec nous ! > m'apprend Clémentine. C'est sympa.
Nous décidons de nous offrir une virée à bicyclette. Dehors il fait beau, le ciel est bleu et le soleil règne en maître absolu.
Nous montons nous changer. Vêtus de nos leggings et de nos sweats, nous voilà en tenues de cycliste. Tout est près. Ok.

Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable le long du canal. Il fait plutôt agréable. Nous avançons contre un léger vent d'Ouest.
Nous bavardons. Nous croisons quantité de cyclistes. Avec cette magnifique soirée, nombreux sont les amateurs de bicyclette.
Nous arrivons près de la petite écluse de la cabane. C'est ainsi que nous l'avons baptisé à cause de la vieille maison de bois.
< Reste à l'écart ! Planques toi derrière la baraque ! > fait Clémentine animée d'un de ses irrépressible désirs exhibitionnistes.
Je reste dissimulé entre la palissade délabrée et l'angle de la maisonnée. La végétation permet d'être parfaitement invisible.

Clémentine passe sur la passerelle au-dessus de l'écluse. Elle pose son vélo contre le tronc d'un arbre. Elle reste à scruter.
De ma cachette je peux la voir me faire des coucous et des signes de la main. Nous nous amusons comme des petits fous.
Soudain, elle me fait signe de me reculer. La jeune fille descend son leggings sur les chevilles. Elle reste ainsi dissimulée.
Les mains en appui sur la rambarde au-dessus de l'écluse, légèrement cambrée, les jambes fléchies, la jeune fille attend.
Je vois venir un cycliste. Un type vêtu en vrai coureur du "Tour de France" comme il y en a tant. Il roule doucement. Peinard.

Clémentine, la tête penchée en avant, le visage dissimulé derrière ses longs cheveux, cambrée en avant, pisse dans la flotte.
Le jet tombe environ trois mètres plus bas en brillant au soleil. Notre coureur du "Tour de France" s'arrête net pour regarder.
Les bras croisés, le cycliste regarde ce spectacle hallucinant. Une jeune fille, culotte descendue, debout, entrain de pisser !
Spectacle rare et merveilleux dont veut profiter notre sportif. Il porte son casque. Je ne peux pas lui donner un âge. Rien.
Clémentine, évidemment dans une de ses situations préférées, savoure ces instants avec une intensité rare. J'imagine sa joie.

La jeune fille lâche un jet rapide. Elle cesse. Puis un autre. Et un autre encore. Le cycliste comprend avoir affaire à une salope.
Je suis admiratif. Dans ma cachette je regarde cette scène époustouflante. Je suis dans le même état que le type. Je bande.
Même si la jeune fille partage ma vie, que je la connais bien, je suis toujours émerveillé par ses initiatives qui me ravissent.
Le cycliste n'a aucune attitude ambiguë. Il se contente de regarder, d'admirer. En rentrant, il brûlera sans doute un cierge !
J'entends notre cycliste dire : < Tout va bien mademoiselle ? >. Clémentine, comme toujours, reste silencieuse et immobile...

L'inconnu remonte sur sa bicyclette. Il n'insiste pas. Tout ce qui plait à Clémentine. Être vue et ne pas être emmerdée. Bien.
Le cycliste s'en va en se retournant deux fois. Clémentine s'essuie la chatte avec un mouchoir en papier. Le type regarde.
La jeune fille remonte son legging et se réajuste. Notre bougre pédale doucement. Je devine son état d'esprit. Ce sera dur !
Clémentine revient sur la piste. Je la rejoins. Nous continuons notre route. Nous parcourons 10 km. Nous croisons le type.
Je le vois de près. Il porte des lunettes, un visage émacié. Sans doute quinquagénaire. Il a un curieux sourire. Moi aussi...

Nous revenons pour 19 h30. Nous décrochons le linge que j'ai suspendu en fin de matinée. Clémentine m'entraîne au garage.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle en secoue les dernières gouttes avant de s'accroupir pour sucer.
Je laisse la jeune fille se régaler quelques instants. Je la force à se redresser sinon nous allons y passer le restant de la soirée.
Nous rentrons. Je réchauffe le gratin de riz que j'ai préparé à midi. Clémentine prépare la salade pendant que je fais la sauce.
< Bitounet ! Je suis hyper excitée ! Tu t'occupes de mon cas après ? > me fait la jeune fille en se frottant contre moi. Bisous.

Notre repas est délicieux. Je montre les deux messages que m'a envoyé Estelle. Clémentine, en riant, y répond. C'est rigolo.
< La petite salope ! Tu vas voir, la pipe n'est pas loin ! Elle en a parlé à midi, au restaurant universitaire ! > fait Clémentine.
J'écoute amusée. Clémentine rajoute : < La pipe, c'est tout, hein, tu promets ! >. Je la rassure en précisant qu'elle décide.
Moi, je n'ai pas de demandes particulières. Nos petits jeux, Clémentine et moi, me suffisent largement. Elle le sait très bien.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine retire son legging et sa culotte. Elle m'entraîne au salon. Léchage de minou. Régalade.

Bonne virée à bicyclette à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Docteur Honoris Causa en vicelardises appliquées)

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Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - © - Mercredi -



Clémentine me "prépare" pour la visite d'Estelle

Hier matin, mardi, le réveil musical nous tire de notre sommeil avec la 5ème de Ludwig Van Bite-au-Vent. Il est six heures.
< Ta gueule Ludwig ! > fait Clémentine en tapant sur l'appareil. Nous rigolons comme des bossus. Deux bisous et debout !
Clémentine se lève en s'écriant : < Pipi ! >. Elle trottine vers les toilettes. Moi, je file à la salle de bain. Je lâche des proutes.
< Je t'entends Ludwig péteur ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous descendons en riant. Un copieux petit déjeuner.
Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Il est déjà 7 h45. Clémentine s'en va à ses cours. Je vais dans mon atelier.

Clémentine revient à 17 h. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée à l'université. J'écoute avec attention. J'aime.
Dehors, la météo est épouvantable. Il y a des giboulées de pluie, des rafales venteuses, le ciel est désespérément gris et bas.
< Estelle arrive pour 17 h30 ! > m'apprend Clémentine. Je lui montre les deux messages que m'a envoyé notre visiteuse.
Clémentine les regarde. Amusée elle me fait : < Cette petite salope vient chercher ses petites frayeurs habituelles ! >. Rire.
La jeune fille répond. A son tour Clémentine me fait lire le message qu'elle a reçu de Juliette, la cavalière. Juste un "coucou".

Je range mes affaires, je nettoie mes palettes. Nous passons à la cuisine. Je montre à Clémentine la pâte préparée à midi.
Une belle et grosse boule sous son linge dans son grand saladier. Je lui chuchote : < Ce soir, ce sera tarte à l'aubergine ! >.
< Tu es un amour Bitounet ! > me fait la jeune fille en posant sa main sur ma braguette. Elle fait : < Sois salaud ce soir !>.
Je lui promets de faire de mon mieux. Nous préparons les ingrédient du repas du soir. Ainsi nous aurons tout notre temps.
Nous pourrons nous consacrer à nos saloperies de la soirée. Trois coups de sonnette. C'est Estelle. Clémentine va ouvrir.

Les deux filles entrent au salon où je suis assis dans le fauteuil. Estelle vient me serrer la main. < Bonjour Oncle Julien ! >
Je me lève. Trois bises Bretonnes. Estelle est vêtue d'une de ses éternelles chemises à carreaux, d'un jean et de ses baskets.
Clémentine et Estelle sont assises dans le canapé. Les filles bavardent un petit peu en évoquant des anecdotes d'étudiantes.
Puis Estelle, sortant une clé USB nous propose de visionner un petit montage réalisé rapidement chez elle lundi soir. Sympa.
Estelle sort son ordinateur de son petit sac à dos posé au sol à côté du canapé. Nous allons nous asseoir derrière le bureau.

Là, sur l'écran, devant nos yeux étonnés, il y a de rapides extraits des quatre films que nous avons réalisé. C'est très bien.
Il y a les images où je passe ma bite sur le visage d'Estelle. De belles images où je suis couché sur elle à mimer une baise.
Des images où Estelle regarde l'objectif avec du sperme sur le visage. Des images où elle se fait éjaculer dans la bouche.
Il y a ces fameuses images où je lui lâche plusieurs jets de pisse au visage, dans la bouche et par surprise. Magnifique.
Clémentine et moi, nous avons le même réflexe au même moment. Nous sifflons, admiratifs en faisant un < Ouah. Bien ! >

Estelle éteint son ordinateur et nous fait : < Ce sont nos petits secrets. Personnes ne verra jamais ces images. J'y veille ! >.
Clémentine l'encourage. Il y aura bien, de temps en temps, une petite entrave à la règle mais personne ne sera identifiable.
Nous nous levons. Estelle retourne s'asseoir dans le canapé. Clémentine a passé sa main dans son jean. Je sors ma queue.
Ces petits extraits de nos aventures nous ont considérablement excité. J'agite ma bite en direction d'Estelle qui me sourit.
< Sans vous deux, tout cela serait impossible ! > nous fait la jeune fille. Clémentine debout, cambrée, se masturbe. Rires.

< Tu vois un peu l'état dans lequel tu nous mets ! > lance Clémentine à Estelle. Je m'approche. Je suis debout devant Estelle.
La queue à une cinquantaine de centimètres de son visage. La jeune fille reste sur ses gardes lorsque Clémentine s'approche.
Je lui saisis les cheveux fermement. Estelle résiste fortement. Pas question de lui passer la bite sur le visage ce soir. Certain.
Estelle se redresse. Elle se lève, se dirige vers le buffet bas pour s'emparer du verre posé sur le plateau à côté du téléphone.
Elle agite le verre dans ma direction. Clémentine, à genoux sur le coussin, me tient la jambe avec sa tête contre ma cuisse.

Je comprends où Estelle veut en venir. La jeune fille sort son appareil photo de son petit sac à dos. Elle le pose sur la table.
Réglé en mode caméra "automatique", l'appareil va immortaliser ce qui va encore se passer dans notre salon. Je me branle.
Estelle reste à distance et regarde cette scène excitante. Juste un instant, et pour la première fois, elle se touche le sexe.
Je passe ma bite sur le visage de Clémentine. Estelle me fixe en soutenant mon regard. Elle a toujours un peu de difficultés.
Estelle tient le verre dans sa main et me le montre avec insistance. A présent Clémentine me suce. Sa pipe est merveilleuse.

Nous restons ainsi, tous les trois, un long moment. Je me sens pomper de toutes mes substances par la pipe de Clémentine.
Estelle, pour la toute première fois, passe sa main dans son pantalon. Juste un instant. Comme gênée elle la retire très vite.
Je force Clémentine à se redresser. Je l'entraîne aux toilettes. Estelle nous suit avec l'appareil photo. Tous les trois au WC.
Clémentine est accroupit à ma gauche. Estelle est accroupit à ma droite. Je suis debout devant la cuvette de faïence blanche.
Je bande mou. Ma bite gluante dégouline de liquide séminal épais et visqueux. Estelle me tend le verre. Je le prends en main.

Sur le bord intérieur du verre, je fais couler le trop plein de jute. Je me concentre pour y lâcher au moins une goutte de pisse.
Rien à faire. L'excitation est trop grande. Clémentine se remet à me sucer. Estelle tient à nouveau le verre que je lui ai rendu.
De façon régulière Clémentine recrache la jute qu'elle pompe dans le verre. Estelle observe cette scène hallucinante. Excitée.
Nous restons ainsi un long moment. Clémentine s'est mise à genoux. Estelle ne tarde pas à faire de même. Le verre se rempli.
Je n'arrive pas à pisser la moindre goutte tellement je suis excité. Nous le sommes d'ailleurs tous les trois. Et terriblement. Fou.

Je saisis les deux salopes par leurs tignasses. Je les entraîne au salon. Estelle tient le verre comme s'il s'agissait d'une relique.
Clémentine est à genoux sur le coussin carmin. Estelle est à genoux sur le coussin rouge. Les saloperies reprennent. Sympas.
Le verre est rempli jusqu'à sa moitié. Je n'en peux plus. Je décide que c'est le bon moment pour éjaculer comme un vrai salaud.
Estelle tient le verre sous ma queue. Clémentine me tient la bite en la contraignant vers le bas. L'appareil photo filme le tout.
De la jute épaisse, gluante et visqueuse se répand sur la substance à présent jaunâtre qui empli déjà la moitié du contenant.

Estelle reste un moment pour récupérer soigneusement ce qui s'écoule de ma bite. Je contrôle parfaitement mon épanchement.
Clémentine revient me pomper avec avidité. Elle recrache le "fond de cuve" dans le verre. Je lâche enfin un petit jet de pisse.
Juste une courte giclée qui vient colorer le foutre dans le verre. Il y a des sécrétions jusqu'aux deux tiers du verre. C'est drôle.
Estelle lève la tête. Avec un air de défi elle me fixe. Puis, après quelques instants elle porte le verre à ses lèvres. Yeux fermés.
En poussant un râle de dégout, Estelle boit la totalité du contenu presque d'une seule traite. Je suis consterné. C'est excitant.

Clémentine s'est remise à me sucer. Il me sera impossible de repartir pour un second tour dans l'immédiat. Je la force à cesser.
Debout à mes côtés, Clémentine observe Estelle lécher son doigt avec lequel elle vient de nettoyer l'intérieur du verre. Salope !
< C'était l'apéro ! > fait Estelle en me regardant par en dessous, terriblement vicelarde, me montrant l'intérieur de sa bouche.
< Il y aura le digestif ! > fait Clémentine. Nous rions tous les trois de bon cœur. Estelle éteint son appareil photo. Nous sortons.
Clémentine nous entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Estelle prends des photos.

Bonne soirée de dégustations à toutes les connaisseuse...

Oncle Julien - (Professeur es-Vice pour jeunes étudiantes en dégustations) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - © - Jeudi -



Clémentine trouve que j'en raconte parfois trop

Hier matin, mercredi, il est six heures lorsque notre réveil musical nous tire du sommeil avec du Wolfgang Amadeus Mozart.
< Ta gueule Wolfgang Bang ! > s'écrie Clémentine en éteignant l'appareil. Nous rigolons comme des bossus. Deux bisous.
< Pipi ! > fait la jeune fille en m'entraînant à sa suite. Elle trottine aux toilettes alors que je file à la salle de bain. Pressés.
La bite posée sur le rebord du lavabo, je pisse en lâchant une salve de pets philharmoniques. Je module du Fa jusqu'au Sol.
< Je t'entends ! Mozart est là ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous descendons en nous marrant comme des bossus.

Nous prenons notre petit déjeuner. Clémentine me montre la barre de chocolat qu'a laissé Clémentine sur le réfrigérateur.
< Regarde, le Twix, la petite salope n'a bouffé que la partie trempée dans ton sperme ! >. Effectivement, il reste les 2/3.
Nous rions de bon cœur. Après le petit déjeuner c'est notre heure d'entraînement. Puis c'est la douche. Il est déjà 7 h45.
Clémentine me fait des bisous et s'en va chaudement vêtue pour sa journée de cours. Elle récupère la barre de chocolat.
< Ce sera mon goûter de 10 h ! > me fait elle en dévalant les escaliers du jardin. Elle se retourne pour me faire coucou.

Clémentine revient à 17 h. Assise sur mes genoux la jeune fille me raconte sa journée. J'aime écouter ses petites histoires.
Nous sommes devant mon grand chevalet. Je lui explique quelques mélanges de couleurs. Dehors, c'est le retour de l'hiver.
< Tous les ans, nous avons un printemps pourri ! > me fait Clémentine. Je range mes affaires et je nettoie mes palettes.
Nous regardons par une des deux fenêtres de l'atelier. Celle qui est orientée au Nord. Le ciel est bas, gris, lourd. Pitoyable.
Clémentine se serre contre moi. < On ne peut même pas sortir ! > me fait elle avant de m'embrasser longuement. Dépit...

Nous allons au salon. Assis devant l'ordinateur, nous découvrons nos courriels. Ceux de Clémentine concernent ses études.
Les miens concernent les résultats de mes recherches. Une location chez un particulier dans la région de Cadaqués en juin.
Je trouve qu'il serait préférable d'être indépendant une semaine en Catalogne. Clémentine trouve que c'est une bonne idée.
Il y a un courriel d'Estelle qui nous envoie une photographie de nous trois entrain de faire les clowns lors de notre balade.
Nous répondons. Tous les soirs je découvre au moins un message d'Estelle sur l'ordi et au moins deux sur mon smartphone.

Clémentine me sort la queue. Elle joue un peu avec tout en lisant notre histoire de hier, ici, sur ce superbe forum. Elle rit.
< Tu pousses un peu ! On va finir par me reconnaître avec le portrait que tu dresses ! >. Nous rigolons comme des bossus.
La jeune fille, me secouant la bite, rajoute encore : < Il faut que je te relise. Tu laisses plein de fautes d'inattentions ! >.
Nous rions de bon cœur. Et c'est vrai que ces récits que j'écris le soir pendant que ma compagne révise, sont livrés "bruts".
Je déteste me relire. Clémentine m'entraîne sur le canapé. Debout, elle retire son jean et sa culotte. Elle reste en chemise.

< Regarde un peu ! J'ai la chatte en feu. C'est le printemps et je ne peux même pas lui faire prendre l'air ! > me fait elle.
Nous rigolons comme des bossus. Cambrée en avant sur ses jambes fléchies et légèrement écartées, Clémentine se tient.
Ecartant les lèvres de son sexe, elle me montre tout cela avec un air de dépit. J'avance mon visage pour renifler la touffe.
Cette touffe dense, fournie et épaisse est une véritable invitation à l'exploration. Je hume les effluves parfumées. Délices.
Je me régale des odeurs de la journée de la jeune fille. C'est enivrant. C'est fort et puissant. Clémentine aime beaucoup...

La jeune fille vient se vautrer à mes côtés. Cuisses écartées afin que je puisse continuer à humer ses parfums de fille. Bon.
Clémentine se met rapidement à gémir. Je me contente pourtant de renifler. Elle peut sentir le bout de mon nez chercheur.
A présent, je goûte. Je fouille tous les plis et les recoins des lèvres du sexe de la jeune fille. Il y a plein de belles surprises.
Il y a des choses gluantes. Il y a des choses à la consistance moins fondantes. Les miasmes de sa journée de jeune fille.
Clémentine me tient par les oreilles. Elle me guide avec précisions. Je sens les mouvements de son bassin. Positionnement.

La jeune fille cherche le meilleurs angle afin de ressentir les plus délicieux plaisirs. Enfin je m'occupe de son clitoris géant.
Il est turgescent. Là aussi, il y a plein de divines surprises gustatives. Les petits fromages qui collent dans les peaux. Fort.
Je suce. Je lèche. Je pompe le bouton de plaisir à la fille. En gémissant, immobile, Clémentine se laisse bouffer la chatte.
< Attention ! C'est trop bon ! > me chuchote t-elle parfois. Je sais alors qu'il me faut cesser sous peine d'un orgasme.
Il n'en est pas question. Clémentine aime tant rester excitée. Aussi, avec une vigilance extrême, je reste très prudent...

Je me redresse. Clémentine me regarde étonnée. Je lui fais : < Et si on s'offrait un restau ce soir ? >. Elle reste silencieuse.
< Excellente idée ! > me répond t-elle. Je regarde le cadran de l'horloge Westminster, là, entre la bibliothèque et le bureau.
Il est 18 h30. Nous décidons de nous habiller "classe". Nous montons à la chambre. Clémentine s'habille en "bourgeoise".
Bas, porte-jarretelles, jupe au-dessus du genoux, chemisier sous le pull. Chaussée de souliers noirs fermés à talons hauts.
Je mets un de mes costumes de banquier. Nous voilà vêtus. Nous allons au garage. Clémentine me stoppe. Elle m'entraîne.

Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Une rapide photo et nous voilà dans la voiture. Nous voilà en route.
Clémentine joue avec ma bite. Parfois elle se penche sur sa gauche pour me la sucer. < Je suis excitée ! > me confie t-elle.
Nous roulons vingt minutes. Le temps d'arriver au restaurant près du petit lac. Il y a des voitures sur le parking. Des clients.
Comme toujours, nous attirons tous les regards. Cet homme d'âge mur, en costard, accompagné de cette belle jeune fille.
Clémentine est élégante. Elle polarise rapidement les regards. J'aime la voir avancer, le port de tête altier, fière et droite...

Nous choisissons une table à l'écart. Le garçon nous apporte la carte. Notre choix se porte sur un plateau de fruits de mer.
Il y a quelques couples dans la salle. Clémentine me fait : < Derrière toi, il y a un couple. Le mec peut bien me regarder ! >.
Je pose mon smartphone à côté de mon assiette. Ainsi, m'en servant comme d'un rétroviseur, je peux voir les réactions.
Les choses sont assez rapides. C'est un couple très élégant. Quadragénaire. Je ne vois pas le visage de la jeune femme.
Par contre je m'aperçois rapidement que l'homme regarde avec insistance dans notre direction. Clémentine me fait du pied.

Le "numéro" de la jeune fille vient de commencer. D'une voix discrète, presque en chuchotant, Clémentine m'explique.
< J'ai les cuisses écartées ! Le mec mâte ! > me fait elle en commentant chacune de ses attitudes sous la table. Sympa.
Je regarde l'écran de mon smartphone avec attention. Je scrute. En effet, l'inconnu doit se déboîter les globes oculaires.
Et il y a de quoi mâter ! Clémentine commente le moindre détail. < Je suis hyper excitée ! Si tu savais ! > me fait elle.
Je réponds : < Je sais ! >. Nous rions de bon cœur. Notre repas est délicieux. Ce restaurant à souvent notre préférence.

Tout cela dure toute la durée de notre repas. Clémentine me fait : < Maintenant, je fais le test "toilettes" ! >. Elle se lève.
La jeune fille se dirige vers les toilettes dont la porte est derrière les petites étagères de la collection de plantes vertes.
Ni une, ni deux. Même pas une minute et voilà notre homme qui se lève à son tour pour se rendre aux toilettes. "Allumé".
Clémentine revient au bout de cinq minutes. < Le vicelard ! > me fait elle en me racontant les attitudes du mec au WC.
Je lui dis : < On peut le comprendre, n'est-ce pas ! >. Nous rions de bon cœur. Le type revient. Je l'observe avec soin.

Le couple s'en va. Le type tente de lancer un regard à la jeune fille qui évite soigneusement de le croiser. Le dessert.
Nous demandons l'addition. Dans la voiture Clémentine, la main sous sa jupe, tout en se masturbant, raconte les détails.
Le mec qui lui montre sa bite devant les lavabos. Qui se branle en lui proposant de la revoir. Qui perd son self contrôle.
Nous rigolons comme des bossus. < Arrêtes toi là ! > me fait Clémentine à la hauteur de la petite chapelle. Chemin creux.
< J'ai une envie folle de te sucer ! > me fait encore la jeune fille. Je me fais tailler une pipe passionnée et délicieuse.

Nous restons ainsi un très long moment. Je n'éjacule pas. Je force Clémentine à se redresser en la tirant par ses cheveux.
Je lui dis : < A la maison, ma chère amie, tu vas te faire baiser comme une vraie salope ! >. Nous rions de bon cœur.
Je démarre. Nous roulons. Clémentine est impatiente. A peine la voiture au garage, elle m'entraîne à toute vitesse.
Nous montons dans la chambre. Clémentine retrousse sa jupe. Dépourvue de culotte, elle se couche sur le dos. Superbe.
Je veux m'introduire dans la fille avec d'infinies précautions. Je n'en ai pas le temps. D'un coup de rein, la fille s'enfile...

Bon plateau de fruits de mer à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Complice idéal de sa délicieuse exhibitionniste) -

Classe


Je clique sur les deux merveilleuses images pour bien lire ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - © - Vendredi -



C'est jeudi, Estelle vient passer la soirée avec nous

Hier matin, jeudi, notre réveil musical nous tire de nos profonds sommeils. Le piano de Chopin interprétant une de ses valses.
< Chopin, j'en chope un, je lui casse son piano ! > fait Clémentine en éteignant l'appareil. Nous rigolons comme des bossus.
Deux bisous, nous nous levons. Clémentine trottine aux toilettes. Je file à la salle de bain. La bite posée sur le rebord du lavabo.
Tout en pissant, je lâche une magnifique salve de pets que je module en FA. Restant ainsi dans la tonalité du piano de Chopin.
< Je t'entends, mon Bitounet péteur ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous descendons en rigolant comme des bossus...

Notre petit déjeuner est copieux. Puis c'est notre heure d'entraînement avant la douche. Nous devons nous quitter il est 7 h45.
Clémentine revient pour 17 h. C'est notre rituel. La jeune fille, assise sur mes genoux, me raconte sa journée à la faculté. Joie.
Nous restons un petit moment dans l'atelier, installés devant mon grand chevalet. Nous bavardons en regardant mon travail.
< Estelle arrive pour 17 h30 ! > me fait Clémentine. Je range mes affaires et je nettoie mes palettes. Nous allons à la cuisine.
A midi, j'ai préparé de la pâte à pizza. Je montre la grosse boule de pâte à pain qui repose sous son linge dans le saladier...

Dehors, c'est le retour de l'hiver. Un hiver surréaliste avec les arbres en feuilles et une journée qui dure jusqu'à vingt heures.
Par contre, pour cette fin d'après-midi, tout est sec. Clémentine m'entraîne dans le jardin, derrière le garage. Estelle arrive.
< Bonjour Oncle Julien ! > fait Estelle en me serrant la main. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur.
Tout en pissant je saisis fermement Estelle par ses cheveux pour l'attirer sans ménagement vers moi. Je lui fais trois bises.
Clémentine secoue les gouttes avant de s'accroupir pour déguster les derniers épanchements. Je la laisse se régaler un peu.

Je saisis Clémentine pas sa tignasse pour la forcer à se redresser. Tenant les deux filles par les cheveux, nous rentrons. Salon.
Les deux filles sont installées dans le canapé à évoquer leurs anecdotes d'étudiantes. J'écoute. Je suis vautré dans le fauteuil.
Clémentine propose à Estelle de découvrir les textes que je mets sur ce forum tous les jours. Des récits où je relate nos trucs.
Les deux filles sont assises derrière le bureau devant l'ordinateur. J'entends Estelle rire de bon cœur. Elle découvre les textes.
< Put-hein ! On peut me reconnaître ! > fait Estelle. Clémentine la rassure. C'est tout à fait impossible Même sur les photos.

Je me lève pour venir regarder. Ce sont ces histoires que j'écris en soirée, pendant que Clémentine travaille à ses révisions.
J'explique à Estelle que je poste ces récits le matin. < C'est comme un journal intime ! > me fait elle en lisant et concentrée.
< Et ce sont les photographies que vous m'autorisez à partager, chère Estelle ! > que je fais à la jeune fille. Elle regarde bien.
< C'est absolument superbe ! > fait encore Estelle en scrutant l'écran de l'ordinateur. Je sors ma queue pour la secouer. Rire.
Estelle me regarde agiter ma bite à quelques cinquante centimètres de son visage, sur sa gauche. Clémentine regarde aussi.

Clémentine se lève. Elle saisit les cheveux d'Estelle en queue au-dessus de sa tête. Je pose ma main sur sa nuque. Silence.
Estelle sort un élastique à cheveux de sa poche. Elle fixe ses cheveux bien au-dessus de la nuque que je ne lâche pas. Fort.
Clémentine se lève. J'appuis sur la nuque d'Estelle pour attirer son visage près du mien. Clémentine revient avec le collier.
Elle fixe le collier canin autour du cou d'Estelle avant d' y accrocher la laisse. Estelle me fixe par en-dessous. Bien vicieuse.
Je me lève, je saisis la laisse. J'entraîne Estelle aux toilettes. Clémentine, surprise par mon initiative me tient par la queue.

Je bande comme un vrai salaud. < Parce que tu es un vrai salaud ! > me fait Clémentine. Nous sommes tous les trois au WC.
Clémentine accroupit à ma gauche. Estelle debout à ma droite qui me fixe d'un regard implorant et plein de reconnaissance.
Clémentine ne peut évidemment pas s'empêcher de me sucer. Elle le fait doucement. Un peu à la façon d'une ventouse.
Estelle a sa tête tout près de la mienne. Je lui caresse délicatement le visage. Je passe mes doigts sur ses lèvres ouvertes.
Elle me fait de délicieux sourires. Si j'en avais l'autorisation, je pourrais l'embrasser sans aucune résistance de sa part. Plaisir.

Je suis saisis de vertiges. Clémentine est à présent à genoux à me tailler une vraie pipe. Je sens mon jus monter doucement.
C'est absolument délicieux. Je caresse le visage d'Estelle. J'ai mon index dans sa bouche. Je fouille sa bouche avec mon doigt.
Estelle suce mon index en me fixant dans les yeux. J'entends Clémentine gémir et déglutir. Je suis tellement excité. Si bien.
Je mets ma main sur les tous petits seins d'Estelle. Elle retire ma main fermement en faisant : < Non ! On ne touche pas ! >.
Clémentine cesse sa fellation pour lever sa tête afin de regarder ce qui se passe au-dessus d'elle. Elle se redresse. Se lève...

Il m'est absolument impossible de pisser dans l'état d'excitation où je suis. < Soirée aux chiottes ! > fait Clémentine. Rires.
Je force Estelle à s'accroupir en la tirant vers la bas avec la laisse. La jeune fille reste prudemment à distance de ma queue.
J'ai beau tenter de la forcer à approcher son visage, rien à faire. La pipe d'Estelle, ce ne sera pas pour soir. Mais quand donc ?
Je me penche pour cracher au visage d'Estelle qui détourne la tête en s'écriant < Salaud ! >. Je récidive. Je lui mets une gifle.
Clémentine se frotte contre ma cuisse en observant mon comportement. Tout cela l'excite considérablement. Trois vicelards.

J'entraîne Estelle que j'ai fait mettre à quatre pattes. Je lui fais faire le tour du salon comme si je promenais un petit animal.
La jeune fille me lance souvent des regards plein de cette reconnaissance étonnante. Clémentine me tient fermement la bite.
Nous prenons beaucoup de plaisir à ce fabuleux moment. Je demande à Estelle de se mettre à genoux sur le coussin carmin.
J'exige qu'elle pose ses mains sur la tête. Je suis debout devant la jeune fille. Je la tiens fermement ses cheveux. Soumise.
Clémentine, debout derrière moi, frotte ma queue sur le visage d'Estelle qui tente de se soustraire de mon étreinte. Vicieuse.

Je me penche une nouvelle fois pour lui cracher au visage. < Salopard, va ! > me fait une nouvelle fois la jeune fille. Sincère.
C'est ce qu'elle vient chercher chez nous. De se retrouver dans ces situations lui procure les plus délicieux tourments. Ravie.
Elle en parle si souvent à Clémentine lors de leurs repas au restaurant universitaire, à midi. Clémentine me raconte en détail.
Estelle, d'un geste brusque, presque violent, arrive enfin à se dégager. Clémentine m'aide à lui maintenir la tête. Je la force.
Je repasse et repasse encore ma bite gluante sur le visage de la jeune fille. J'y laisse quantité de coulures de foutre visqueux.

Il est 19 h. Je propose aux deux jeunes filles de nous mettre à la préparation de notre repas du soir. Idée très bien accueillie.
Je me branle tout près d'Estelle à plusieurs reprises durant la préparation du repas. Un repas que prendra Estelle à 4 pattes.
J'ai posé son assiette au sol. Je lui coupe les morceaux de pizza en petits morceaux. Interdiction de se servir de ses mains.
< Il faut qu'on filme ça aussi ! > me fait Estelle en me fixant de son regard plein de reconnaissance. Je me mets à genoux.
J'éjacule dans l'assiette de la jeune fille, sur sa bouffe. Clémentine lui tient la tête pour l'obliger à manger. Estelle se débat.

Finalement, n'ayant d'autre choix, Estelle fini son assiette. Concentré, j'y lâche un jet de pisse. Clémentine tient Estelle. Jeu.
La tête dans l'assiette Estelle n'a d'autre choix que d'avoir son visage dans la pisse. < C'est dégueulasse ! > s'écrie t-elle.
Rapidement pourtant, à notre plus grand étonnement, nous entendons la jeune fille laper le contenu liquide de son assiette.
Estelle reste ainsi. Clémentine me montre ses mains pour me faire comprendre qu'elle n'est même plus obligé de la forcer.
Estelle nettoie son assiette jusqu'à la rendre aussi propre qu'après une vaisselle. Elle se redresse. A genoux le visage mouillé.

Je m'approche. J'essaie une nouvelle fois de lui mettre la bite dans la bouche. Rien à faire. La jeune fille oppose son refus.
Clémentine se lève, s'accroupit et suce la jute gluante qui s'écoule de mon méat. Estelle observe. Elle me fait des sourires.
< On fait un nouveau film, samedi soir ? > me demande Estelle trempée de pisse. Elle se masse les genoux douloureux.
Je force Clémentine à cesser sa pipe. Je bande mou et de la jute n'arrête plus de couler du bout de ma bite. La vaisselle.
Après le repas, comme le plus souvent, les deux filles se mettent à leurs révisions. J'écris ces quelques lignes. Concentré...

Bonne pizza pour votre soumise à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Moniteur à vice pour jeunes vicelardes) -

Classe


J'arrête de me toucher et je clique sur les deux merveilleuses images afin de bien lire ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - © - Samedi -



Clémentine est à se réjouir, c'est le week-end

Hier matin, vendredi, il est six heures lorsque le réveil nous tire de notre sommeil. Deux bises et Clémentine se lève. Vite.
< Pipi ! > s'écrie t-elle en se précipitant aux toilettes. Moi je vais à la salle de bain. Je pose ma bite sur le bord du lavabo.
Tout en pissant, je lâche une magnifique rafale de pets profonds sonores et puissants. Je module du Fa au Sol. Un Fa#.
< Je t'entends, Bitounet péteur ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus. Nous descendons.
C'est notre copieux petit déjeuner avant l'entraînement d'une heure. La douche. Il est l'heure de nous séparer. Il est 7 h45.

Clémentine revient pour 17 h. Assise sur mes genoux, devant mon chevalet, elle me raconte sa journée d'étudiante. Sympa.
J'apprends à Clémentine que le sèche linge, au bout de huit années de bons et loyaux services, vient de lâcher. Il est mort.
J'explique ma rapide recherche sur le Web et ma commande d'une nouvelle machine qui sera livrée mardi prochain, 13 h30.
Je range mes peintures, je nettoie mes palettes. Clémentine m'entraîne à la cave pour constater le décès du sèche linge.
Nous nous en servons principalement à la mauvaise saison où les jours pluvieux. Il s'avère donc nécessaire d'avoir du neuf.

A la cave, dans cette buanderie soigneusement aménagée, Clémentine se serre fort contre moi avant de m'embrasser.
< Je t'aime Bitounet, tout est toujours si facile avec toi ! > me chuchote la jeune fille entre deux longs baisers. Douce.
Nous restons ainsi un long moment. Puis la jeune fille m'entraîne au dehors. Il fait frais. Presque froid et désagréable.
Clémentine me tire derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle secoue les gouttes.
Puis, accroupie, la jeune fille en savoure les derniers épanchements. Passionnée et concentrée. C'est toujours émouvant.

Nous retournons au chaud. < C'est le week-end, Bitounet ! Comme je suis contente ! > me fait la jeune fille à la cuisine.
Je montre les deux messages que m'a envoyé Estelle. < C'est de plus en plus salace ! > me fait Clémentine en rigolant.
La jeune fille répond un message rapide avant de rajouter : < Elle vient passer le samedi soir et le dimanche avec nous ! >.
Nous rions de bon cœur. Nous préparons les ingrédients de notre repas de ce soir. Nous disposons le tout sur la table.
Clémentine m'entraîne au salon. Nous sommes assis devant l'ordinateur, au bureau. Un autre message d'Estelle. Photo.

Nous découvrons un nouveau cliché pris lors d'une de nos promenades. On nous y voit, tous les trois, à faire les clowns.
Clémentine a quelques messages ayant trait à ses études et un message de Juliette, la cavalière rencontrée à l'étang.
Cette dernière nous propose de passer au haras pour voir les chevaux dont elle s'occupe. Un soir, en promenade par là.
La réponse de Clémentine reste évasive et très informelle. < Une bourgeoise désœuvrée ! > me fait Clémentine. Rires.
< Demain soir, Estelle vient chercher ses frissons. Elle m'a encore avoué de ces choses à midi ! > fait Clémentine...

Elle rajoute en me sortant la queue : < Je commence à être un peu jalouse ! >. Je la rassure. Il n'y a aucun malaise. Rien.
< Rien sans moi ! Rien sans mon accord ! D'accord, hein ? > me demande Clémentine un peu inquiète mais très amusée.
Je lui dis : < C'est toi qui dirige tout ça. Le jour où tu dis stop, ce sera fini ! >. Clémentine se serre contre moi. Rassurée.
La jeune fille se lève et m'entraîne sur le canapé. < Je veux que tu sois aussi salaud avec moi qu'avec elle ! > me dit elle.
Je réponds qu'il m'est difficile d'avoir un comportement aussi vicelard avec la fille que j'aime. Clémentine m'embrasse...

Je lui ouvre son jean que je descends. Je lui retire la culotte. Clémentine, en chemise et en chaussettes se relève. Rires.
La jeune fille imite Estelle devant le canapé. Elle prend ses mimiques, le ton de sa voix. Nous rions de bon cœur. Sympa.
Il n'est pas question de moqueries, bien évidemment. C'est plutôt pour recréer la présence de notre adorable visiteuse.
Je me lève. Je saisis Clémentine par ses cheveux. Sans ménagement je l'entraîne pour faire le tour du salon. Fermement.
Je la fais mettre à genoux sur le coussin carmin au milieu de la pièce. Je vais au bureau. Je prends le collier canin....

Je reviens pour fixer le collier autour du cou de la jeune fille. J'y attache la laisse. Clémentine me regarde. Amoureuse.
Je me mets devant elle, debout, la queue devant le visage. La jeune fille me fixe de son regard plein de reconnaissance.
Je la tiens par sa tignasse. Je passe ma bite sur son visage. Contrairement à Estelle, Clémentine veut gober ma queue.
Je l'en empêche. En gémissant de plaisir, de bonheur surtout, Clémentine savoure ce moment d'un intensité délicieuse.
Je fais évidemment durer tout cela de longs instants. < Je vais te brouter la chatte, tout à l'heure ! > que je lui fais...

Je laisse enfin Clémentine me pomper la bite. Je suis excité. Il y a donc de conséquentes montées de liquide séminal.
J'aime me sentir pompé. J'aime sentir lorsque Clémentine me tire le jus. J'ai la bite dans un bol de purée tiède. Doux.
Je laisse la jeune fille se régaler. Ses petits cris de ravissements, appuyant ses déglutissions, ne laissent aucun doute.
Le plaisir de Clémentine est intense et complet. Elle est dans son élément et se livre à une de ses activités préférées.
Je retire ma bite de sa bouche. De longs filaments gluants et visqueux relient ma queue aux lèvres de sa bouche...

Je tire sur la laisse pour entraîner la jeune fille. Elle avance doucement à quatre pattes. Je lui fais faire le tour du salon.
Je l'entraine dans le hall d'entrée. Là, sur le carrelage, je fais : < Pisse, salope ! >. Clémentine lève une jambe. Haut.
Comme un petit animal, à quatre pattes, une jambe relevée, la jeune fille lâche un petit jet de pisse. Puis un second.
C'est un spectacle absolument magnifique. Cela nous excite considérablement. Je passe derrière la jeune fille. A genoux.
Je lui lèche le croupion trempé de pisse. Il y a une coulée de cyprine épaisse et visqueuse qui s'échappe de son sexe.

Moi aussi, à quatre pattes derrière la jeune fille je me régale des saveurs et des odeurs de sa journée de jeune fille.
Cette petite salope, pendant que je lui lèche le trou du cul, lâche un tout petit jet de pisse. C'est une vraie surprise.
Je suis enivré par les initiatives de Clémentine. Cela l'excite vraiment beaucoup. J'ai les mains posées dans sa pisse.
Je me redresse. Nous allons aux toilettes. Je la tiens par la laisse. Elle est debout, cambrée au-dessus de la cuvette.
J'attends les dernières gouttes pour les récupérer en suçant comme un assoiffé. Nous nous lavons les mains. Rires.

Je prends la serpillère pour aller essuyer le carrelage. Je tiens Clémentine par la laisse. Puis je l'entraîne à la cuisine.
Il est temps de nous préparer à manger. Pendant la cuisson du gratin dauphinois, au four, nous pouvons baiser. Joie.
Parfaitement immobiles, l'un dans l'autre, nous nous murmurons des douceurs et des cochonneries. C'est superbe.
Clémentine me confie son désir de vivre des "plans" d'enfer dès le retour des beaux jours. Elle m'avoue des folies.
La sonnerie du four nous tire de nos introspections excitantes. Notre repas est délicieux. J'aime la voir si heureuse...

Bon léchage de minou, bon suçage de bite à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Cuisinier lécheur pour filles délurées) -

Classe


Je clique sur les deux merveilleuses images pour mieux lire ce qui est écrit dessus. Surtout celle de droite...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - © - Dimanche -



Estelle vient faire de la bicyclette avec nous

Hier matin, samedi, j'ouvre un œil. Je regarde l'écran du réveil. Il est huit heures dans deux minutes. Je regarde Clémentine.
La jeune fille semble dormir à poings fermés. Cela ne dure jamais très longtemps. Le sixième sens féminin sans aucun doute.
Voilà Clémentine qui ouvre les yeux. < Bonjour Bitounet ! > fait elle en se serrant contre moi. Je la prends dans mes bras.
Nous restons ainsi un petit moment, silencieux et immobiles. < Pipi ! > fait soudain la jeune fille en m'entraînant par la main.
Nous voilà aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux. La jeune fille se lâche dans un long jet libérateur. Je lui fais des bisous...

Accroupis, je lui lèche le minou. Je peux profiter des odeurs et des saveurs de sa nuit. Un petit délice délicat et surprenant.
Puis c'est mon tour. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Adroite et virtuose elle n'en met pas de gouttes à côté.
Accroupie, elle en récupère les derniers épanchements. Je la force à se redresser. Nous descendons prendre le petit déjeuner.
Dehors le soleil règne en maître dans un ciel parfaitement bleu. Clémentine ouvre une des fenêtres de la cuisine. Il fait frais.
Chaudement vêtus de nos leggings et de nos sweats, nous nous offrons notre jogging d'après petit déjeuner. Tout est sec...

Une heure de running et nous voilà de retour pour une douche des plus agréables. Nous nous habillons plutôt chaudement.
Il est déjà 10 h. Nous partons pour faire nos courses au marché. Provisions de fruits, de légumes et de fromages du terroir.
Clémentine porte une jupe, des bas, un pull sous son manteau noir. Moi, je suis en jean et pull sous le mien. Il fait meilleur.
Nous déambulons un peu puis nous nous rendons au supermarché. Je pousse le caddie. Clémentine y dépose nos achats.
Avec l'arrière pensée d'une éventuelle opportunité exhibitionniste, Clémentine m'entraîne au rayon "culturel". Aux bouquins.

Il n'y a pas grand monde. Nous sommes dans le rayon des bandes dessinées. De là nous avons une vue parfaite sur le reste.
Nous pouvons parfaitement regarder le rayon des livres. Il y a juste un couple qui lit. La femme laisse son mari et s'en va.
Clémentine me fait : < Attends-moi là. Surveille. S'il y a un souci, tu viens ! >. Je la regarde s'avancer dans le rayon. Belle.
A environ deux mètres de l'inconnu, Clémentine jauge à la fois les lieux et le type. Discrètement, en louchant. Bien vicieuse.
J'adore l'observer lorsqu'elle étudie sa mise en scène. En fine stratège la jeune fille ne prend jamais aucun risque inutile...

L'homme est grand. Il doit avoir ma taille. Il est élégant. Il est accroupit et il feuillette avec intérêt un livre de poche rouge.
Clémentine s'accroupit elle aussi. Un livre posé sur les cuisses légèrement écartées, elle fait mine de lire ce qu'elle feuillette.
Depuis l'endroit où je me trouve, je distingue le porte-jarretelle noir. La vue est splendide. C'est très discret mais si évident.
L'inconnu se rend rapidement compte du privilège qui lui est offert. Comme toujours, l'homme "choisi" se pose "la" question.
Est-ce un acte délibéré ? Est-ce le fruit d'une inattention de la jeune fille ? Autant de questions qui restent sans réponses...

La situation perdure un petit moment. Clémentine est prudente. Un couple passe. Clémentine resserre ses cuisses. Discrète.
A peine sont-ils passés que Clémentine revient à sa position initiale. C'est la réponse à la question. C'est un acte délibéré !
Fort de cette certitude, en général, le quidam qui se retrouve dans cette situation a deux possibilités. Tenter la drague ou pas.
Notre homme semble choisir la seconde solution. Le fait de savoir sa femme dans les environs est sans doute déterminant.
Clémentine reste ainsi. Discrètement, jouant parfaitement son rôle, elle offre un peu plus au regard du quidam. Observateur.

Je bande comme un salaud. Ma compagne aime me savoir à la regarder faire la salope. C'est moi qu'elle aime tant "allumer".
Tout le reste n'est que prétexte à me rendre un peu plus fou d'elle. Clémentine réussi tout cela à la perfection. Superbe. Belle.
La femme du type revient. Clémentine a juste le temps de se redresser. Le show est terminé. Le couple s'en va doucement.
Clémentine vient me rejoindre. Elle me fait un bisou en me disant : < Très moyen, mais sympa ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous faisons un rapide tour dans le rayon des vêtements. Là aussi, c'est toujours un lieu prometteur. Mais aucune opportunité.

Dans la voiture, sur le chemin du retour, Clémentine m'a sorti la queue. A cause de l'excitation, elle suinte. Du jus au méat.
Clémentine se penche et se met à me sucer pour ne rien laisser se perdre. Elle déteste gâcher. C'est délicieux. Fabuleux.
Bien évidemment je ralentis. Je roule toujours doucement. La grosse berline allemande ne se prête d'ailleurs pas au "sport".
Je prends la petite route du haras. Il y a peu de circulation. Je peux y rouler à 10 km/h et sans emmerder personne. Sympa !
Clémentine est avide et me suce comme si sa vie en dépendait. Nous arrivons à la maison. Je la laisse encore un peu savourer.

Il est midi trente. Je force Clémentine à se redresser. < Comme c'est bon mon Bitounet ! > me fait elle. Nous sortons de l'auto.
Nous décidons de faire simple. Je beurre quatre grosses tranches de pain complet. J'y dépose des filets d'anchois. De la tomate.
Des olives noires, du gruyère râpé et je mets au four. Nous préparons la salade. Clémentine joue souvent avec ma bite. Dure.
A plusieurs reprises la jeune fille s'accroupit pour récupérer la jute qui s'écoule car je suis toujours très "juteux". Elle se régale.
Nous passons à table. Une rapide vaisselle. Nous allons au jardin pour sacrifier à une autre passion de Clémentine. Le potager.

Les précédents semis, malgré le gel de ces dernières nuits, offrent les premiers résultats. Nous nous mettons au travail Sympa.
Nous semons les tubercules dans la terre fraîchement retournée. Puis les futures tomates, les poireaux et les salades de laitue.
Ce travail nous absorbe deux bonnes heures. Il fait très agréable. Un après-midi printanier. Clémentine me touche parfois. Joie.
Elle me palpe la braguette avec des petits sourires amusés. < Estelle doit arriver pour 16 h30 ! > dit-elle en riant. Il est 16 h.
Nous cessons nos activités jardinières pour retourner à l'intérieur. Il fait beau. Clémentine suggère une virée à bicyclette. Canal.

Estelle arrive un peu avant l'heure comme elle le fait de plus en plus souvent. < Bonjour Oncle Julien ! > fait elle plutôt ravie.
Nous nous serrons la main. Estelle me fait toujours cette curieuse courbette avant l'échange de nos trois bises Bretonnes. Joie.
Nous sommes vêtus de nos tenues de cycliste. Clémentine prête un leggings à Estelle. Nous voilà prêts. C'est un vrai plaisir.
Nous roulons sur la piste cyclable. Nous croisons quantité de cyclistes, de rollers et de promeneurs. Les deux filles bavardent.
Estelle demande à Clémentine si elle aussi a été avertie par mail qu'il n'y aura pas cours mardi après-midi. Professeurs absents.

Nous n'avons pas allumé l'ordinateur de toute la journée. Cette bonne nouvelle enchante Clémentine. Nous pédalons heureux.
Il est donc tout naturellement conclu qu'Estelle vienne passer l'après-midi avec nous. S'il fait beau, randonnée à pieds ou vélo.
Nous arrivons au petit port de plaisance. Nous faisons quelques photos devant les bateaux. Déconnades, rigolades et poilades.
Nous sommes de retour pour 20 h. La fraîcheur du soir est désagréable. Nous avons froid aux oreilles et aux mains. Pas grave.
A la maison, je propose un gratin de coquillettes avec une sauce aux champignons. Tous les trois nous sommes à la besogne...

A quelques reprises, je sors ma bite que j'agite sous le regard amusé des deux jeunes filles. Estelle me fait plusieurs clins d'œil.
Le repas est très agréable. Le gratin est un délice et nos bavardages des plus amusants. Estelle me lance des regards appuyés.
Nous faisons notre vaisselle. Au salon la caméra est déjà fixée sur son trépieds depuis la veille. Estelle prend son petit sac à dos.
Elle en sort son ordinateur, son appareil photo. Elle tend la carte SD à Clémentine qui l'introduit dans la caméra. Tout est prêt.
Clémentine propose à Estelle de monter pour se changer. Je termine le ménage à la cuisine. Un coup de balai. Rapide serpillère.

J'entends les filles rire à l'étage. J'aime l'animation de la maison lorsqu'elles sont là à faire les clowns. Une ambiance très festive.
Les filles redescendent. Clémentine a revêtu l'ensemble que je lui ai offert à Paris. Tailleur. Jupe droite, veste blaser et chemisier.
Chaussée de ses "souliers de baise", noirs, fermés, à talons hauts avec cette ravissante petite sangle autour de la cheville. Divin.
Estelle a revêtu la jupe kilt à carreaux, un chemiser blanc sous son pull bleu. Chaussée de souliers à talons hauts également. Joie.
J'admire les deux jeunes filles qui font une sorte de défilé de mode rien que pour moi. Estelle est maladroite dans ses souliers...

Je monte me changer à mon tour. Je redescends revêtu de mon costume de banquier sur la demande particulière d'Estelle. Plaisir.
Quelle n'est pas ma surprise de voir Estelle assise dans le fauteuil, une jambe posé sur chaque accoudoir, les cuisses bien écartées.
Estelle, plutôt timide et réservée, manifeste rarement ce genre d'attitude d'elle-même. Il faut le plus souvent l'y forcer. Surprise.
Clémentine est vautrée dans le canapé. Cuisses écartées également, elle se masturbe doucement. Estelle garde toujours sa culotte.
Alors que Clémentine expose sa merveilleuse touffe dense et fournie. Les deux filles m'ont donc réservé cette délicate surprise...

< La caméra tourne ! > me fait Clémentine. Je viens m'accroupir devant le fauteuil. J'observe l'entre jambes d'Estelle assez gênée.
Je remarque qu'elle aussi se laisse pousser les poils. Cette nouvelle tendance qui nous vient des Etats-Unis est des plus heureuses.
Je distingue quelques poils qui dépassent de chaque côté de la culotte blanche et immaculée de la jeune fille. Le spectacle est divin.
Pourtant, rapidement, cet examen est au-dessus des possibilités de le supporter d'Estelle. Elle descend ses jambes pour les resserrer.
Je suis amusé par tant de candeur. Est-ce encore par jeu ou est-ce sincère ? J'adore garder ce mystère non élucidé. Bon moment...

Je tourne la tête pour regarder Clémentine. Depuis nos courses au supermarché ce matin, elle est très excitée. Elle se masturbe.
Ces véritables belles et chaudes journées de printemps qui tardent à s'installer frustrent beaucoup ses velléités exhibitionnistes.
Clémentine est impatiente de se livrer à une de ses passions délurées. Être vue et surprise dans des situations bien équivoques.
Ma compagne "doigt" donc prendre son mal en patience. Je passe derrière Estelle pour approcher mon visage du sien. Le silence.
Estelle prend l'élastique à cheveux qu'elle a passé autour de son poignet pour les attacher. Hauts au-dessus de la nuque. Signal...

Clémentine m'observe. Elle adore me regarder lorsque j'ai mon comportement de vicelard patenté. Cela l'excite considérablement.
Elle est aux premières loges de ce spectacle hautement masturbatoire et ne se prive pas de donner libre cours à ses penchants.
Je saisis fermement Estelle par la nuque pour la forcer à se lever. La jeune fille ne peut cacher sa joie. Les festivités commencent.
Je la promène maintenue par la nuque pour faire le tour du salon. Nous le parcourons plusieurs fois. Passant entre les meubles.
Clémentine nous observe en se masturbant. J'aime la voir, transfigurée de plaisir, entrain de se livrer à cette activité ludique...

Je force Estelle à se mettre à genoux sur le coussin carmin, au sol, au milieu du salon. Mains sur la tête. Je me penche pour voir.
Mon visage tout prêt du sien, je scrute avec l'attention d'un entomologiste. Il y a une toute légère sueur à peine visible qui suinte.
Estelle est toujours terriblement gênée lorsque je l'observe de si près. Pourtant son beau visage devrait la rassurer. Pas du tout !
Je regarde Clémentine qui se régale de notre spectacle. Elle me fait un sourire. Je sors ma bite devant le visage d'Estelle. Silence.
Je reste ainsi un long moment. Estelle me fixe dans les yeux. Un regard à la fois interrogateur et reconnaissant. Elle est si belle...

Je sais que dans cette période, Estelle aime par dessus tout avoir affaire à un homme en costume. Bite à l'air de préférence. Vice.
De se retrouver dans cette situation, avec la présence rassurante de Clémentine, a tendance à prévaloir sur toutes ses activités.
C'est un privilège rare qu'Estelle vit là. Elle en est parfaitement consciente. Ce qui est un fantasme pour d'autres devient ici réalité.
Parfois, même si elle fait tout pour le cacher, je peux percevoir les frissons de plaisirs qui parcourent le corps fin, délicat d'Estelle.
Aussi, avec beaucoup d'attention, d'imagination, je m'efforce de lui procurer toutes les sensations, toutes les émotions souhaitées.

Je me tiens la bite devant le visage d'Estelle. Je me retourne. Clémentine vient de lâcher un gémissement irrépressible. Branlette.
Sans prévenir, de la façon la plus sournoise, en parfait vicelard diplômé, je lâche un jet de pisse au visage d'Estelle. Une surprise.
Estelle détourne son visage en poussant un cri de dégoût. La pisse lui pique les yeux car elle tente de les essuyer. Un nouveau jet.
< Espèce de salopard ! > s'écrie t-elle en tentant de me repousser, ses mains sur mes cuisses. Je lâche un nouveau jet. Vicelard.
S'en est trop pour Estelle qui se lève le visage ruisselant de pisse qui dégouline sur le pull prêté par Clémentine. Machine à laver.

Je l'attrape par ses cheveux en queue. Sans ménagement je la force à s'accroupir. Sans brutalité mais fermement. C'est un ordre.
Estelle se débat avec vigueur. Une force rare dans un corps d'apparence si frêle. Je lui lâche une nouvelle giclée. Elle se détourne.
A présent Estelle m'insulte en criant. J'ai droit à tout le répertoire des noms d'oiseaux les plus exotiques. Est-ce un jeu ? Sérieux ?
J'observe Clémentine qui se branle du bout des deux doigts de sa main droite. Sa main gauche écartant les lèvres de son sexe.
Je tiens fermement Estelle pas sa tignasse. Je me penche. Je lui crache au visage. Je lui mets une gifle. Elle se débat en criant...

Estelle arrive à se soustraire à mon étreinte. Elle s'enfuit derrière le bureau. Je tente de l'attraper. Nous courrons autour du meuble.
Cette petite salope ruisselante de pisse est adroite et plutôt agile. Je n'ai d'autre choix que de monter sur le bureau pour la choper.
Estelle se débat. Un instant j'ai l'impression qu'elle veut me gifler à son tour. Volontairement je lâche sa main en tendant ma joue.
Elle hésite. Finalement son bras retombe. C'est moi qui lui en met une. Ce ne sont jamais de vraies gifles. Ni animées de violence.
Je force Estelle à revenir au milieu de la pièce. Je regarde Clémentine qui se masturbe en poussant des gémissements révélateurs.

Je tiens Estelle fermement par ses cheveux. Elle est à genoux. Elle retire ma main avec force pour retirer son pull et son chemisier.
Ses vêtements sont trempés. Désagréable. Estelle ne porte plus qu'un fin maillot jaune à fines bretelles. Pas de soutiens gorge.
Pourquoi faire ? Tout comme Clémentine, Estelle a de tous petits seins. Les siens sont pointus. Les bouts en sont ce soir turgescents.
Je frotte ma bite sur son visage. Je la tiens par la nuque et par le menton. La pression de mes doigts déforment ses traits délicats.
Clémentine ne peut réfréner un premier orgasme. Nous restons immobiles Estelle et moi pour observer ma compagne. Jouissance...

Soudain, par surprise, profitant de ce moment de relâche, Estelle se lève précipitamment. Elle va vers le meuble du téléphone.
La jeune fille saisit le verre posé sur le plateau. Elle me le montre en l'agitant. J'ai compris. Estelle se met à genoux sur le coussin.
Elle me tend le verre. Je suis tellement excité que je décide d'y éjaculer à l'instant. Je n'ai que le temps d'y déverser mon foutre.
Déjà Estelle me le prend des la main. Elle le pointe vers moi en me faisant : < Prost ! >. Je regarde, halluciné, la fille qui boit.
Clémentine se lève. Elle vient me rejoindre. Accroupie elle suce ma queue pour en récupérer le jus qui continue d'en dégouliner...

Nous restons ainsi un petit moment. Estelle me montre un verre parfaitement vide et propre. Le bip de la caméra se fait entendre.
Je force Clémentine a cesser sa pipe. Elle se lève pour aller éteindre l'appareil. Estelle s'empare immédiatement de sa carte SD.
Comme habités d'une passion divine, nous nous retrouvons tous les trois devant l'ordinateur d'Estelle. Nous observons l'écran.
Là, devant nos yeux cernés de vice, de stupre, de luxure et sans doute de fatigue, nous regardons le fruit de notre travail. Film.
< C'est remarquable ! > fait Clémentine. Je dis à Estelle : < Tu vas pouvoir t'en offrir des orgasmes chez toi, toute seule, salope !>

Estelle file à sa douche. Clémentine se serre contre moi en me disant : < Tu as été génial ! Je me suis éclatée comme jamais ! >.
Elle m'entraîne au dehors, derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle vise plutôt bien. Juste.
Accroupie, Clémentine, encore très excitée, me suce pour récupérer les dernières gouttes de ce mélange foutre et pisse. Son régal.
Je suis obligé, une fois encore, de forcer Clémentine à se relever sinon nous allons passer la nuit dehors. Nous rentrons au chaud.
Estelle est assise au bureau, vêtue du pyjama japonais de Clémentine. Elle regarde l'écran, lève son pouce et nous fait un sourire.

Bonne soirée avec votre soumise à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui bât la mesure avec sa bite sur le visage des filles qui aiment) -

Classe


Je clique sur les deux merveilleuses images afin de bien lire ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - © - Lundi -



Chères amies lectrices, chers amis lecteurs.

Je tiens à vous remercier pour votre indéfectible fidélité. Je regarde le nombre de vues au bas de cette première page.
Je suis à la fois touché et impressionné. J'espère que chacune, chacun, y aura trouvé intérêt, plaisir, joie et satisfaction.

"Clémentine" est évidemment un pseudonyme. Tout comme pour "Estelle" et les rares autres intervenants de mes récits.
Ces pseudonymes permettent de préserver l'anonymat des personnes et de leurs vies privées. La moindre des choses.

Tous mes récits relatent des faits biens réels, des évènements authentiques et vécus. C'est comme un journal quotidien.
Pour rendre leurs lectures attractives, j'utilise l'articulation narrative du roman. Bien évidemment, je ne raconte pas tout.

Il me reste à vous souhaiter autant de plaisir et d'intérêt à la découverte de toutes nos aventures à venir, jour après jour.
Mes récits ne demandent aucun commentaire. Il se lisent un peu comme de simples divertissements. Pour le fun. Le plaisir.

Oncle Julien


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